[{"role": "user", "content":"Coupe du Monde: le Venezuela surprend la Turquie, 71-68" }, {"role": "assistant", "content":"C’est l’un des résultats les plus surprenants des matches de préparation à la Coupe du monde: la Turquie s’est fait battre aujourd’hui par le Venezuela, 71-68, à Suzhou.\\n\\nIl est vrai que le coach turc avait choisi de laisser Scottie Wilbekin et Ersan Ilyasova au repos. Cedi Osman a marqué 33 points, Semih Erden a ajouté 18 points et Melih Mahmutoglou 9 mais ça n’a pas été suffisant.\\n\\nSi la Turquie a momentanément pris les devants 56-55 à sept minutes de la fin du match, le Venezuela lui a infligé un irrémédiable 9-2.\\n\\nPhoto: Cedi Osman (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Prépa Coupe du monde: La France s’impose à l’Italie, 82-80, avec un Evan Fournier de feu (29 points)" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France a remporté son sixième match de préparation face à l’Italie, 82-80. Evan Fournier a été transcendant en attaque avec 29 points -record en carrière en bleu- dont 21 en deuxième mi-temps et solide en défense. Les Bleus ont été sous courant alternatif mais l’une des explications sont les essais effectués par Vincent Collet.\\n\\nA la lecture de ce match, il n’est pas sûr que le coach emmène trois meneurs de métier à la Coupe du monde. Théo Maledon n’est visiblement pas remis de sa blessure à l’épaule et Elie Okobo n’a pas un jeu assez « propre » pour un meneur remplaçant. Peut-être le saura t-on dans la journée car il est probable que Collet donne sa liste des 12 avant le match de mardi face aux Serbes.\\n\\nEvan Fournier récupérait sa place dans le starting five et Nando De Colo celle de sixième homme de luxe, Louis Labeyrie étant au poste 4 en l’absence de Amath Mbaye.\\n\\nUn fois encore, Rudy Gobert imposait sa loi dans la peinture (9 points, 3 rebonds à la mi-temps) d’autant que les Italiens manquent de pivots de haute stature, une situation renforcée par le forfait de Nicolo Melli. Louis Labeyrie tirait aussi son épingle du jeu. Malgré les 8 points de Marco Bellineli, les Français, sérieux, menaient après un quart-temps, 20-18.\\n\\nL’évolution du score variait en fonction des changements des deux coaches. Elie Okobo et Paul Lacombe avaient ainsi des passages difficiles, au contraire d’Axel Toupane. Théo Maledon faisait son retour à la compétition et comme Okobo, il se distinguait par... des balles perdues (7 à eux deux !). Vincent Collet le rappelait très vite sur le banc. Les Bleus encaissaient ainsi un terrible 0-13 et voilà l’Italie avec un avantage substantiel: 25-34. C’est avec ses cadres, Evan Fournier (7 points) en sniper (4/6 à trois-points en global pour les Bleus) et Nicolas Batum très complet (5 points, 2 rebonds, 2 contres, 2 interception, 1 passe) que la France pouvait revenir dans le match et passer en tête à 2′ de la fin de la mi-temps (37-36), un avantage conservé au retour aux vestiaires, 39-38.\\n\\nLa flambée d’Evan Fournier\\n\\nLa flambée de Evan Fournier royal sur jeu rapide et en drive était impressionnante (22 points en 7′ à 100% à cheval sur les deux quart-temps) et la France augmentait son avance, 56-42 (25e). Seulement, les Français connaissaient un petit creux alors que les Italiens retrouvaient le chemin du filet.\\n\\nVincent Collet innovait avec Rudy Gobert et Vincent Poirier ensemble dans la peinture et une défense de zone 2-1-2. Nando De Colo régalait avec quelques passes lumineuses. Fin du 3e quart-temps: 65-57.\\n\\nLes Français s’embourbaient au début du quatrième quart-temps et l’Italie revenait à portée de fusil (65-62). Ils gâchaient beaucoup de lancers (19/30 au final). Vincent Collet choisissait de finir le match avec son cinq idéal et Nicolas Batum en ailier-fort. Malgré un shoot précipité de Evan Fournier, les Bleus s’assuraient le gain du match, 82-80, sur un dernier rebond défensif de Rudy Gobert.\\n\\nMarco Belinelli avec 20 points, Danilo Gallinari 15 et Alessandro Gentile 14 ont été les trois meilleurs scoreurs italiens.\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\n\\nPréparation:\\nMardi 27 août – France-Serbie\\n\\nCoupe du Monde:\\n\\n1er tour – Groupe G – Shenzhen\\nDimanche 1er septembre – France-Allemagne\\nMardi 3 septembre – France-Jordanie\\nJeudi 5 septembre – France-République Dominicaine\\n\\n\\n[MINI-MOVIE] Retour en vidéo sur la victoire de la France face à l'Italie pour le 2e match du tournoi de préparation de Shenyang#TeamFranceBasket #FRAITA pic.twitter.com/gHi85GCB4F\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 25, 2019\\n\\n\\nPhoto: Evan Fournier, FFBB" }, {"role": "user", "content":"Israël: Edgar Sosa (ex-Gravelines) à Gilboa Galil" }, {"role": "assistant", "content":"S’il ne disputera pas la Coupe du monde avec la République dominicaine, le combo guard Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) a du moins trouvé un club pour la saison prochaine. L’ancien Gravelinois a signé avec le club israélien de Gilboa Galil.\\n\\nAvec le BCM, Edgar Sosa avait cumulé 13,2 points et 5,2 passes décisives mais sa saison avait été entachée de nombreuses blessures.\\n\\nPhoto: BCM" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Découvrir la Jordanie, adversaire de la France à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de Jordanie, qui sera l’adversaire de la France à la Coupe du monde le mardi 3 septembre, est enveloppée d’un épais mystère que la diffusion de ce match de préparation -en entier- à Suzhou face à la Grèce va largement dissiper.\\n\\nSans puiser dans ses ressources, la Grèce s’est facilement imposée, 92-65. Giorgos Printezis a marqué 17 points, Giannis Antetokounmpo 13 points (plus quatre rebonds, quatre passes, trois interceptions et deux contres), et Ioannis Papapetrou 12 points.\\n\\nComme annoncé, la principale menace jordanienne est le meneur américain naturalisé Dar Tucker (1,90m, 31 ans), qui a inscrit 23 points.\\n\\nLa France ne devrait pas être menacée...\\n\\nPhoto: Dar Tucker, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: Retour de Théo Maledon et Evan Fournier face à l’Italie" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France va livrer ce matin à 9h30 contre l’Italie un avant-dernier match de préparation à la Coupe du monde à Shenyang. Victime d’une blessure à l’épaule lors du tournoi de Villeurbanne, le meneur Théo Maledon fait son retour dans le roster. C’est également le cas pour Evan Fournier qui n’avait pas été aligné face à la Nouvelle-Zélande en raison d’une légère entorse à la cheville.\\n\\nCe sont Frank Ntilikina et Amath Mbaye qui vont rester en civil ce matin.\\n\\nDe leur côté, les Azzurri récupèrent Amedeo Della Valle et Alessandro Gentile, laissés de côté en raison de différents problèmes lors du match contre la Serbie\\n\\nLes 12 Français :\\n\\nAndrew Albicy, Nicolas Batum, Nando De Colo, Evan Fournier, Rudy Gobert, Louis Labeyrie, Paul Lacombe, Mathias Lessort, Théo Maledon, Elie Okobo, Vincent Poirier, Axel Toupane.\\n\\nLes 14 Italiens:\\n\\n# 00 Amedeo Della Valle (1993, 194, Armani Milan)\\n\\n# 3 Marco Belinelli (1986, 196, San Antonio Spurs – NBA)\\n\\n# 5 Alessandro Gentile (1992, 200, -)\\n\\n# 6 Paul Biligha (1990, 200, Armani Exchange Milan)\\n\\n# 7 Luca Vitali (1986, 201, Germani Basket Brescia)\\n\\n# 8 Danilo Gallinari (1988, 208, Thunder Oklahoma City – NBA)\\n\\n# 10 Daniel Hackett (1987, 199, CSKA Moscou – Russie)\\n\\n# 12 Ariel Filloy (1987, 190, Umana Reyer Venise)\\n\\n# 15 Jeff Brooks (1989, 203, Armani Exchange Milan)\\n\\n# 16 Amedeo Tessitori (1994, 208, De ‘Longhi Treviso)\\n\\n# 17 Giampaolo Ricci (1991, 201, Segafredo Virtus Bologna)\\n\\n# 23 Awudu Abass (1993, 198, Germani Basket Brescia)\\n\\n# 41 Brian Sacchetti (1986, 200, Germani Basket Brescia)\\n\\n# 70 Luigi Datome (1987, 203, Fenerbahce – Turquie)\\n\\nEntraîneur: Meo Sacchetti\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Time Out avec Andrew Albicy" }, {"role": "assistant", "content":"Pour en savoir un peu plus sur le meneur des Bleus et... quelques uns de ses équipiers.\\n\\n\\n🎼 Au basket c’est beau la vie, pour les grands et... Albicy ! 🎼 Ce qui est sûr, c'est que le défi est largement relevé Andrew ❤🏀 pic.twitter.com/peggtMZdT9\\n\\n— SFR (@SFR) August 24, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Interview Yann Barbitch : Les dessous de la préparation de la coupe du Monde 2019 (1e partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Après son stage à Lyon, l’équipe de France poursuit actuellement sa préparation à la coupe du Monde 2019 à Shenyang, en Chine. Mais qui sait comment s’organise cette préparation ? Entretien en deux parties sur le sujet avec Yann Barbitch, manager sportif de l’équipe de France.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDe notre envoyé spécial à Lyon, Bruno Ferret\\n\\nL’équipe de France suit actuellement un stage de préparation à la coupe du Monde 2019 à Shenyang, en Chine, stage qui se concluera entre samedi et mardi prochain par trois matchs « amicaux » contre la Nouvelle-Zélande, l’Italie et la Serbie.\\n\\nMais, finalement, qui sait ce qu’est vraiment une préparation ? Comment s’organise-t-elle ? Quel est son contenu ? Qui en sont les acteurs ? Quels sont les multiples détails importants qu’il faut prendre en considération ? Pour répondre à ces questions, Yann Barbitch, ancien joueur de haut niveau et aujourd’hui manager sportif de l’équipe de France, aborde pour Basket Europe toutes les facettes de la préparation.\\n\\nDans cette première partie, nous abordons principalement l’organisation de cette préparation.\\n\\nPour commencer, pouvez-vous nous expliquer quelles sont les fonctions d’un manager sportif ?\\n\\nMa mission est de faire en sorte que le groupe puisse travailler dans les meilleures conditions possibles. Ce groupe comprend une trentaine de personnes, entre les joueurs, le staff technique, le staff médical, l’équipe de communication, l’intendant, etc. L’objectif est de tout mettre en œuvre au service de la performance. Je suis une sorte de chef d’orchestre, en somme.\\n\\nQuand débute l’organisation d’une préparation ?\\n\\nÀ partir du moment où nous recevons le calendrier des compétitions de la FIBA, soit environ six mois avant le début d’une compétition. Une fois les dates du tournoi connues, nous pouvons commencer à planifier l’organisation de la préparation et de la compétition. Cette planification s’effectue plusieurs mois à l’avance, en concertation avec le staff technique, et Vincent Collet en particulier. Il est alors question d’établir un calendrier comportant le nombre de semaines consacrées à l’entraînement, le nombre de matchs de préparation prévus, en bref tout ce que nous souhaitons faire avant de démarrer la compétition. Une fois les dates arrêtées, nous choisissons les lieux où cette préparation va se dérouler puis le staff technique décide du nombre de joueurs qui vont être présélectionnés. Une fois ces informations rassemblées, nous pouvons procéder à tout ce qui est réservation d’hébergements et de moyens de transport, à l’organisation de la restauration, de tout ce qui va être notre vie au quotidien pendant cette période.\\n\\nL’objectif ultime d’une préparation, c’est bien évidemment d’être le plus au point possible pour la compétition. Mais quels peuvent être les autres objectifs de cette période ?\\n\\nL’objectif, c’est de créer une équipe, une osmose. Cela concerne en priorité les joueurs, bien entendu. Il faut faire en sorte que ceux-ci, qui sont souvent leaders dans leur club, puissent jouer ensemble sous le maillot de l’équipe de France. Certains se connaissent déjà pour avoir déjà joué ensemble en équipe de France, mais il y a aussi des nouveaux. Il faut arriver à faire en sorte que tous donnent le meilleur d’eux-mêmes et forment la meilleure équipe sur le parquet. La démarche est un peu la même pour ce qui concerne le staff : il doit arriver à travailler ensemble, à optimiser tout ce qu’il fait au service du sportif, des joueurs et de la performance. Notre avantage, c’est que nous avons un staff qui travaille ensemble depuis presque dix ans, que ce soit au niveau technique ou médical, même si quelques personnes sont entrées ou sorties du groupe au fil du temps. Cette stabilité du staff a l’avantage qu’il n’y a pas de phase d’adaptation, pas de besoin d’apprendre à travailler ensemble. Lorsque l’on se retrouve, les automatismes sont là, chacun sait ce qu’il a à faire.\\n\\n« Il faut que les menus soient variés, sinon on se lasse vite. »\\n\\nL’un des points importants de la planification concerne les lieux où les stages vont se dérouler. Quels sont les critères pour les choisir ?\\n\\nNous avons élaboré un cahier des charges précis sur la salle, l’hébergement, les transports et d’autres choses. Il y a également une dimension « politique », afin de répondre aux souhaits de la Fédération française et de son président, de faire la promotion du basket sur le territoire. Les choix ne sont donc pas seulement sportifs ou logistiques mais aussi parfois politiques. L’objectif est d’arriver à combiner ces contraintes pour définir des lieux qui correspondent à nos besoins et à nos demandes. Ce qui limite le nombre de villes susceptibles d’accueillir ces stages de préparation.\\n\\nÉtant donné les caractéristiques des basketteurs, généralement très grands, on peut imaginer qu’il y a des demandes spéciales en matière d’hébergement, qui limitent elles aussi le nombre d’hôtels susceptibles de vous accueillir ?\\n\\nEffectivement. Il faut pouvoir disposer de grands lits pour tous les joueurs, avec parfois des extensions, pour les plus grands. En général, chaque joueur est seul dans sa chambre, ils peuvent donc profiter d’un lit double, en dormant en diagonale (sourire).\\n\\nEn ce qui concerne la restauration, des sportifs de haut niveau suivent généralement des régimes diététiques précis. Cela implique qu’il y a des exigences à ce niveau ?\\n\\nIl est vrai que les joueurs ne mangent pas n’importe quoi. C’est le médecin de l’équipe, Serge Petuya, qui gère les menus, en mettant l’accent sur la variété. Il faut que ces repas soient équilibrés, composés de produits frais, accompagnés de sauces. Nous passons quelque chose comme un mois tous ensemble, à raison de trois repas par jour, il faut vraiment que les menus soient variés, sinon on se lasse vite. Il faut vraiment que la restauration soit de la meilleure qualité possible, de sorte que les joueurs n’aient pas envie d’aller au McDo du coin, même si cela se fait de moins en moins. Il faut que cette nourriture corresponde à nos critères sportifs et qu’elle soit goûteuse. Que l’on n’ait pas « pâtes-poulet » à tous les repas ! (rires)\\n\\nHormis les blessures, à quels types d’imprévus devez-vous pouvoir faire face lors d’une préparation ?\\n\\nLes imprévus, il y en a toujours plus ou moins. Cela peut être un bus en retard pour aller à l’entraînement, un joueur qui oublie ses chaussures, un train ou un avion annulé. Ou aussi un joueur qui perd son passeport, qu’il faudra faire refaire en urgence. Il y a plein de petites choses de ce genre que l’on essaye d’anticiper le plus possible.\\n\\nPhoto d’ouverture : FFBB\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nDe notre envoyé spécial à Lyon, Bruno Ferret\\n\\nL’équipe de France suit actuellement un stage de préparation à la coupe du Monde 2019 à Shenyang, en Chine, stage qui se concluera entre samedi et mardi prochain par trois matchs « amicaux » contre la Nouvelle-Zélande, l’Italie et la Serbie.\\n\\nMais, finalement, qui sait ce qu’est vraiment une préparation ? Comment s’organise-t-elle ? Quel est son contenu ? Qui en sont les acteurs ? Quels sont les multiples détails importants qu’il faut prendre en considération ? Pour répondre à ces questions, Yann Barbitch, ancien joueur de haut niveau et aujourd’hui manager sportif de l’équipe de France, aborde pour Basket Europe toutes les facettes de la préparation.\\n\\nDans cette première partie, nous abordons principalement l’organisation de cette préparation.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euro U16 féminin: La France vient à bout de l’Allemagne, 61-53" }, {"role": "assistant", "content":"C’est dans le dernier quart-temps que les Françaises sont parvenues à décramponner les Allemandes, 61-53, après avoir longtemps cherché une adresse convenable. Les points ont été repartis entre 9 joueuses dont 3 sont à 10 points chacune. Les Allemandes n’ont jamais pu trouver la faille à trois-points (2/19) et ont été dominées au rebond en fin de match.\\n\\nLa France termine ainsi première de sa poule et affrontera ainsi lundi la Finlande.\\n\\nLes Bleuettes sont demeurées 4’30 au pain sec et à l’eau alors que les Allemandes en étaient à 6 points, ce qui avait le don d’hystériser leur banc. Le score évoluait au compte-gouttes pour arriver à 10-15 après 10′.\\n\\nC’était à une belle bouillie de basket auquel assistait le -forcément- très maigre public de Skopje (37 balles perdues au total). Ce n’est pas la bonne volonté qui manquait mais bien des fondamentaux notamment ceux pour la finition, à commencer aux layups. Du moins les Françaises égalisaient à 19 à la 18e et revenaient à deux points (22-24) au buzzer sur un trois-points de Sara Roumy, la seule de l’équipe à avoir marqué plus de trois points -huit- à la mi-temps.\\n\\nLes deux équipes continuaient de se tenir par la barbichette, les Françaises égalisant à 40 à la 30e minute après avoir concédé un peu de terrain.\\n\\nSuite à un bon passe de Maia Hirsch, la France prenait cinq points d’avance (51-46) qu’elle faisait fructifier à 60-51 à 2′ de la fin grâce -enfin- à quelques paniers extérieurs. De quoi tenir une deuxième victoire d’affilée.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nHOW @louisepreneau6 🇫🇷 ?@ffbasketball @rvbc85 #FIBAU16Europe pic.twitter.com/6eP5Uxj71H\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 24, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Patty Mills lors d’Australie vs. Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur australien et des San Antonio Spurs Patty Mills (1,83m, 30 ans) a éclaboussé de sa classe le match Australie vs. Etats-Unis scorant 30 points et poussant les Boomers vers une victoire de prestige (98-94) en marquant les 10 derniers points de son équipe.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=1wGLq1R9nmg" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Après le forfait de Kyle Kuzma, les 12 joueurs de Team USA sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe américaine pour la Coupe du monde a été finalisée ce samedi après qu’il ait été certain que la blessure à la cheville de Kyle Kuzma (2,06m, 24 ans, Los Angeles Lakers) l’empêchait de participer à la compétition.\\n\\nLes 12 Américains:\\n\\nHarrison Barnes (Sacramento Kings); Jaylen Brown (Boston Celtics); Joe Harris (Brooklyn Nets); Brook Lopez (Milwaukee Bucks); Khris Middleton (Milwaukee Bucks); Donovan Mitchell (Utah Jazz); Mason Plumlee (Denver Nuggets), Marcus Smart (Boston Celtics); Jayson Tatum (Boston Celtics); Myles Turner (Indiana Pacers); Kemba Walker (Boston Celtics); et Derrick White (San Antonio Spurs).\\n\\nL’équipe américaine va poursuivre sa préparation à Sydney, en Australie, du 25 au 28 août avec un dernier match le 26 contre le Canada à la Qudos Bank Arena.\\n\\nPhoto: Harrison Barnes" }, {"role": "user", "content":"Prépa Coupe du monde: L’équipe de France repousse la Nouvelle-Zélande, 95-81" }, {"role": "assistant", "content":"Sans Evan Fournier et Andrew Albicy, l’équipe de France a dominé la Nouvelle-Zélande cet après-midi à Shenyang, 95-81.\\n\\nAxel Toupane excellent dans son rôle de défenseur/shooteur à trois-points paraît assuré d’une place à la Coupe du monde. Très actif, Paul Lacombe (9 points et 3 rebonds) a probablement marqué des points dans cette perspective. On est plus réservé à propos de Amath Mbaye (2 points à 1/6) et Louis Labeyrie (4 points) et surtout d’Elie Okobo peu inspiré (7 points à 3/9) et dont le sort est directement lié à la possibilité de Théo Maledon de récupérer de sa blessure à l’épaule et du choix de Vincent Collet de prendre ou pas trois meneurs.\\n\\nL’équipe de France affronte l’Italie demain dimanche à 9h30, puis mardi la Serbie à 13h30. Deux tests beaucoup plus sérieux.\\n\\n\\nAmath Mbaye était désigné comme titulaire au poste 4 avec Frank Ntilikina comme meneur et Nando De Colo au poste 2 avec le forfait d’Evan Fournier en raison d’une entorse à la cheville mais Vincent Collet procédait très vite à de multiples changements. On voyait un énorme Rudy Gobert des deux côtés du terrain. Les Bleus menaient 8-2 et encore 16-9, mais gâchaient tout en une minute (19-19, 9e), une fois les cadres sur le banc. L’association Elie Okobo-Paul Lacombe à l’arrière n’était pas pertinente.\\n\\nAvec des paniers extérieurs, notamment en première intention (8/19 à trois-points), la Nouvelle-Zélande faisait jeu égal avec la France et passait pour la première fois devant, 23-25 puis 29-33 et 34-42. Quand il était sur le parquet, on avait droit à un formidable Nando De Colo comme passeur et finisseur (16 points en première mi-temps), ce qui permettait à la France de revenir à 42-43.\\n\\nAlors que Vincent Collet avait remis son cinq de base (Ntilikina-De Colo-Batum-Mbaye-Gobert), les Tall Blacks connaissaient un passage dans le désert (0-11 en 4′). Le travail défensif des Bleus commençait à payer face à un adversaire qui flanchait à trois-points. 57-46, 27e. Avec un trois-points de Elie Okobo, un autre de Axel Toupane et une interception de Elie Okobo, le tout en quelques secondes, la France passait un 32-13 à la Nouvelle-Zélande dans le quart-temps pour mener 74-56 à la 30e.\\n\\nLes Bleuets s’endormaient et les Tall Black revenaient peu à peu, 74-65 (33e). Quand il n’y avait pas Nando De Colo et Rudy Gobert sur le terrain ça fonctionnait tout de suite moins bien mais l’intérêt pour coach Collet était de faire un complet tour d’effectif peut-être pour la dernière fois avant de faire son choix. C’était laborieux mais avec un Frank Ntilikina (12 points, 5 rebonds, 3 interceptions) solide au poste de meneur, les Bleus s’assuraient une victoire sur une marge confortable face à des Néo-Zélandais faiblards en défense et qui vivent et meurent avec le tir à trois-points en attaque.\\n\\nFrance 95 : Nando De Colo 19, Frank Ntilikina 12, Rudy Gobert 12. Nouvelle-Zélande 81: Corey Webster 11, Tohi Smith-Milner 11, Tom Abercrombie 10, Ethan Rusbatch 10. Q1: 19-19; MT: 42 à 43; Q3: 74-56.\\n\\nPhoto: Nicolas Batum (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: L’Allemagne glisse sur une peau de banane japonaise, 83-86" }, {"role": "assistant", "content":"Grosse surprise à Saitama où l’Allemagne a été défaite par le Japon, 83-86, lors d’un match de préparation à la Coupe du monde. Les Allemands menaient 81-77 à deux minutes de la fin mais ont encaissé ensuite un irrémédiable 0-9.\\n\\nLa star japonaise Rui Hachimura a scoré 31 points alors que Yuta Watanabe a ajouté 20 points. Le meneur du Oklahoma Thunder Dennis Schröder a marqué 16 points mais à seulement 6/21 aux shoots.\\n\\nC’est la première défaite des Allemands après cinq victoires en préparation face à des équipes de deuxième niveau international. Ils seront les adversaires des Bleus le dimanche 1er septembre pour l’ouverture de la Coupe du monde.\\n\\nPhoto: Rui Hachimura (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’arrivée en Chine de l’équipe de France" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France est à Shenyang, dans le nord de la Chine pour un ultime tournoi de préparation. Cet épisode de la Web Série qui lui est consacré raconte comment se prépare un tel voyage et comment s’organise la vie du groupe. \\n" }, {"role": "user", "content":"Le coach Bernard Faure présente les médaillés d’argent de l’Euro U16" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir débriefé pour nous (voir ICI) le récent championnat d’Europe U16 et la médaille d’argent remportée par les Bleuets, l’entraîneur Bernard Faure revient sur les prestations et l’avenir de chacun des douze joueurs de la sélection. Qui a permis la révélation au grand jour d’un immense potentiel, celui de Victor Wembanyama.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’équipe de France des moins de 16 ans (U16) a donc remporté une très belle médaille d’argent lors de l’Euro qui s’est déroulé à Udine du 9 au 17 août. Une équipe séduisante, combative et aux caractéristiques bien spécifiques, comme le souligne Bernard Faure, son entraîneur : « nous avons eu la particularité d’avoir une équipe extraordinairement grande, 2,02m de moyenne. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit ça en équipe de France ! »\\n\\nMais la grande taille de ces joueurs (Maxime Raynaud, 2,12m ; Naoll Balfourier, 2,15m ; Victor Wembanyama, 2,18m) n’est pas la seule caractéristique de ces Bleuets. Bernard Faure détaille pour Basket Europe le profil des douze joueurs.\\n\\nNathan De Sousa – 1,87m – Poste 1\\n\\nStats : 21,3 minutes, 6,7 points (à 40,5 % aux tirs, 27,8 % à trois points), 3,4 rebonds, 3,0 passes décisives, 8,4 d’évaluation\\n\\nNathan De Sousa est arrivé tardivement dans le groupe, nous l’avons récupéré début juin. Il s’est peu à peu imposé par son leadership, sa combativité. C’est quelqu’un qui n’hésite pas à prendre ses responsabilités et, défensivement, il a vraiment apporté un plus au groupe. Il a réussi à monter son niveau de jeu pendant l’Euro. Il nous a vraiment donné satisfaction, c’est une très bonne surprise. Maintenant, pour aller vers le haut niveau, il doit stabiliser son adresse extérieure, améliorer sa gestion des rythmes dans un match. Il nous a apporté beaucoup d’énergie, il a vraiment été très efficace. Et Dieu sait s’il avait un profil différent des autres joueurs de l’équipe !\\n\\nOusmane Dieng – 2,01m – Poste 1\\n\\nStats : 22,3 mn, 8,9 pts (33,3 % aux tirs, 32,4 % à trois pts), 2,7 rbds, 3,6 pds, 7,9 d’éval\\n\\nIl est au pôle France Ivan Mainini. Nous l’avons décalé sur le poste de meneur cette année car nous étions en recherche de joueurs à potentiel sur ce poste. Il nous a donné toute satisfaction. Il a posé des problèmes à ses adversaires du fait de sa grande taille. Au début, cela a été un peu difficile, mais il a essayé de faire au mieux. Et autant sa grande taille peut être un atout, autant, on a pu le voir plusieurs fois, cela a pu être un inconvénient, notamment en défense. Il nous a fallu composer avec cela, mais il a un véritable potentiel, il doit développer ses qualités athlétiques et prendre conscience de sa potentialité. Lui aussi a haussé son niveau de jeu tout au long de l’Euro, même s’il a été un peu irrégulier. Mais globalement, quand il a été bon, l’équipe a été bonne. C’est vraiment l’un des baromètres de l’équipe.\\n\\nKymany Houinsou – 1,94m – Poste 1/2\\n\\nStats : 10,1 mn, 2,2 pts (22,2 % aux tirs, 20,0 % à trois pts), 2,0 rbds, 0,3 pd, 2,7 d’éval\\n\\nC’est l’un des plus jeunes de l’équipe, né en 2004 (NDLR : 15 ans), qui joue à l’Asvel depuis un an. Nous l’avons fait évoluer sur les postes 1 et 2 mais, pour le moment, il est plus un arrière qu’un meneur. Il a essayé de répondre au mieux à nos attentes, lui que nous avons essentiellement pris pour son profil athlétique et défensif, complémentaire des deux autres meneurs. Sur ce plan-là, il nous a donné satisfaction. Il savait qu’il n’aurait pas énormément de temps de jeu, ce qui n’est pas facile pour un garçon qui joue beaucoup dans son club. Il s’est très bien adapté à cette situation. Il a apporté à chaque fois qu’on a fait appel à lui. Pour devenir un poste 2, il lui reste à développer un tir extérieur et à prendre confiance en lui. Il a vraiment fait ce que nous voulions, ce qu’il pouvait apporter, il nous a bien aidé défensivement.\\n\\nThomas Llaury – 1,90m – Poste 2\\n\\nStats : 14,6 mn, 4,9 pts (36,4 % aux tirs, 41,2 % à trois pts), 1,3 rbd, 1,0 pd, 4,1 d’éval\\n\\nIl nous a apporté énormément en termes de combativité et de défense. À chaque fois qu’on a fait appel à lui pour stopper un bon joueur adverse, il l’a fait. Cette sorte de joueur de rôle en sortie de banc est précieuse. Il a une autre grosse qualité : il n’hésite pas à prendre ses responsabilités, il est à plus de 41 % à trois points sur le tournoi, c’est très bien. Nous sommes contents de lui parce que nous l’avons récupéré en cours de saison pour le placer dans un rôle bien précis et il a répondu à nos attentes. C’est un garçon qui a de vraies qualités de leadership, qui a traîné l’équipe derrière lui, notamment quand nous n’étions pas en bonne posture. C’est un très bon coéquipier, toujours positif.\\n\\nAdama Bal – 1,94m – Poste 2\\n\\nStats : 12,6 mn, 6,0 pts (34,1 % aux tirs, 26,9 % à trois pts), 1,0 rbd, 1,0 pd, 3,7 d’éval\\n\\nSon avenir est peut-être en meneur mais nous l’avons exclusivement fait jouer poste 2. Il est nettement plus efficace pour le moment sur ce poste. Il sortait du banc pour apporter son tir à trois points et son toucher près du cercle, ils nous a donné satisfaction. Comme il jouait beaucoup plus pendant la saison que sur cet Euro, il a parfois eu un peu de mal à gérer le fait qu’il faille partager le temps de jeu. Défensivement, il est un peu plus « light » que les autres, car il est plus jeune (NDLR : il est né en décembre 2003, il n’a que 15 ans). Il doit se construire physiquement, mais il a un vrai potentiel. Quand il se sera développé, il pourra être un scoreur et apporter beaucoup plus que ce qu’il a fait sur le plan défensif. Lorsqu’il aura franchi ce cap, il pourra donner sa pleine mesure : c’est quelqu’un qui travaille bien, je ne suis pas inquiet pour lui. À mon avis, il fait partie de ces joueurs qui seront encore plus performants en U18 et en U20.\\n\\nArmel Traoré – 2,00m – Poste 3\\n\\nStats : 25,1 mn, 12,9 pts (44,9 % aux tirs, 29,2 % à trois pts), 5,4 rbds, 1,7 pd, 12,9 d’éval\\n\\nIl a énormément progressé toute l’année et pendant l’Euro. C’est un garçon athlétique, très présent en défense et au rebond, qui s’exprime très bien sur jeu rapide. Il a été performant, mais il doit maintenant apprendre à canaliser son énergie et à prendre confiance en lui. Il a été essentiel sur cet Euro, se montrant régulier sur tous les matchs. Il s’est surpris lui-même : pour en avoir parlé avec lui, il était étonné d’avoir été à ce niveau sur les sept matchs. Il prend conscience de ce qu’il a fait, de ce qu’il lui reste à accomplir, c’est une belle avancée par rapport au début de la saison. C’est un garçon qui avait tendance à se dévaloriser, il a pris conscience pendant cet Euro de ce qu’il était capable de faire. Lui aussi sera nettement plus performant en U18, je pense.\\n\\nYohan Traoré – 2,04m – Poste 3/4\\n\\nStats : 23,0 mn, 8,4 pts (61,9 % aux tirs, 0 % à trois pts), 4,0 rbds, 1,0 pd, 9,0 d’éval\\n\\nDans son rôle de sixième homme sur les postes 3 et 4, il a apporté. Il s’est mis au service de l’équipe, a bien exploité ses qualités athlétiques (il est très aérien), il a amené beaucoup d’énergie, au rebond et en défense. Il a été régulier sur cet Euro, sans doute plus que pendant la saison. Il doit avancer sur le contrôle et sur la technique individuelle, c’est là où se situe sa marge de progression. Avec un peu de travail, il devrait se stabiliser sur un poste extérieur, pour peu qu’il améliore son shoot extérieur, notamment à trois points. C’est un joueur sur lequel on pourra se reposer pour les années à venir.\\n\\nVictor Wembanyama – 2,18m – Poste 4\\n\\nStats : 23,6 mn, 9,0 pts (50,0 % aux tirs, 16,7 % à trois pts), 9,6 rbds, 5,3 contres, 19,6 d’éval\\n\\nUn joueur étonnant, tout simplement étonnant ! Nous avons commencé avec lui en avril – il est de 2004. Au départ, il a eu beaucoup de mal à rentrer dans le groupe, mais il s’est battu pour gagner sa place. Il a montré beaucoup de courage, car il n’était pas habitué à des charges d’entraînement et à un niveau de compétition aussi élevés. Pendant la préparation, on a senti qu’il y avait un déclic et il a encore franchi un cap pendant l’Euro, devenant incontournable. Il a été la pierre angulaire de l’édifice défensif, avec beaucoup de dissuasion au contre, beaucoup de présence au rebond. On savait que son potentiel était grand, avec sa taille et son envergure de 2,32m, et il a vraiment assumé tout ce qu’il s’est passé autour de l’équipe et de lui. Le « buzz » sur sa personnne n’a été simple à gérer ni pour lui, ni pour ses coéquipiers, ni pour l’encadrement, mais au final, tout s’est bien passé. Il est intelligent, il a du recul, il est bien entouré par ses parents. Il a tout pour réussir. Pour le moment, il est très performant sur le poste d’ailier-fort. Il manque de force pour aller jouer près du cercle, même s’il y va quelquefois. Mais il aime jouer au large, participer à la construction du jeu. Il a une bonne vision du jeu, il peut monter la balle en dribbles, il est étonnant sur ce plan-là. Il est parfois presque trop joueur, il va prendre des risques alors que ça n’a pas lieu d’être. C’est aussi un axe de progression. À haut niveau, il sera certainement un ailier-fort fuyant et une tour de contrôle en défense.\\n\\nMaxime Raynaud – 2,12m – Poste 5\\n\\nStats : 7,5 mn, 2,2 pts (40,0 % aux tirs), 2,3 rbds, 1,0 pd, 3,0 d’éval\\n\\nIl ne joue sérieusement au basket que depuis deux ans, il faisait de la natation auparavant. Il n’est pas dans un centre de formation, ce qui fait qu’il s’entraîne moins que les autres. Il est brillant à l’école, il ne veut pas quitter son lycée, il hésite à intégrer un centre de formation. Il nous a apporté sa taille, sa mobilité, de la rotation, surtout sur les premiers matchs. Mais il a découvert le haut niveau, sa méconnaissance du jeu à ce niveau l’a un peu mis en difficulté. Et il a eu plus de mal à s’exprimer sur les derniers matchs, quand le niveau est monté. Il manque de QI basket, de pratique, de références. Et comme il cherche à tout comprendre, il se retrouve parfois en difficulté, parce qu’on n’explique pas forcément le basket de la même manière que ce qu’il peut connaître scolairement parlant. Il n’a pas toujours réussi à s’adapter, mais comme il est intelligent, il a une bonne marge de progression, à condition qu’il s’entraîne plus. C’est un choix à faire, pour lui et sa famille.\\n\\nHugo Meniandi – 2,00m – Poste 4/5\\n\\nStats : 19,9 mn, 7,0 pts (56,8 % aux tirs, 0 % à trois pts), 5,0 rbds, 1,7 pd, 9,7 d’éval\\n\\nCe petit intérieur nous a apporté de la mobilité, de la densité, un jeu au sol que les autres grands n’avaient pas forcément. Il est très complémentaire du reste de l’équipe. C’est un garçon qui s’exprime bien dans le post-up et près du cercle, très attiré par le panier. C’est parfois une bonne chose, car il est agressif, mais quelquefois, ce n’est pas à lui d’y aller et il a tendance à boucher les espaces. Il est très utile, il a une bonne marge de progression sur le plan défensif. Pour évoluer vers le plus haut niveau, il devra forcément évoluer, s’écarter un peu. Comme il semble en fin de croissance, il va lui falloir songer à un changement de poste, à devenir ailier. Il faudra voir comment il pourra s’adapter.\\n\\nNaoll Balfourier – 2,15m – Poste 5\\n\\nStats : 10,9 mn, 3,4 pts (52,4 % aux tirs, 0 % à trois pts), 1,9 rbd, 0,4 ctr, 3,1 d’éval\\n\\nIl était très introverti lorsqu’il est arrivé au pôle France, il y a deux ans. Il progresse beaucoup, sera à maturité dans quelques années. Comme la plupart des joueurs de très grande taille, il devrait être vraiment opérationnel à 23-24 ans. Il est déjà beaucoup plus mobile qu’à son arrivée, mais cela reste toujours difficile pour lui de jouer contre des équipes plus petites. Il manque encore de confiance en lui, doit être entouré, mais sa marge de progression semble importante. Pour le moment, il s’exprime plus face au cercle que près du panier, il joue donc plus poste 4 que 5, mais c’est difficile pour lui de défendre sur un ailier-fort. Par ailleurs, il nous a apporté son expérience : il a fait partie de l’équipe qui a fait l’Euro à Novi Sad et, même s’il y avait peu joué, il a pu amener à ses coéquipiers son expérience de la compétition. Lorsque l’on fait un Euro, c’est toujours important d’avoir un ou deux joueurs qui ont participé à une édition précédente, surtout qu’il s’agit souvent pour ces garçons de leur première compétition internationale. De ce fait, il a été important dans le groupe. Pour se développer, il aura besoin de temps et de travailler beaucoup, surtout physiquement. Mais ses parents m’ont dit que, déjà, ils ne le reconnaissaient plus par rapport à son arrivée au pôle France.\\n\\nBrice Dessert – 2,07m – Poste 5\\n\\nStats : 15,2 mn, 2,6 pts (29,2 % aux tirs), 5,6 rbds, 0,1 pd, 4,7 d’éval\\n\\nIl a commencé le basket tardivement, il est arrivé au pôle France en septembre. C’est un intérieur de grande taille, costaud, qui a le sens du rebond, très courageux, qui travaille bien. Son peu de vécu fait qu’il manque de constance, mais il devrait pouvoir franchir un cap lorsqu’il aura amélioré ses appuis au sol. Techniquement, en dehors de cet axe de progression, il a déjà une bonne finition près du panier, il n’hésite pas à se sacrifier sur les basses besognes (rebonds, écrans, etc.), il a été utile. Nous nous posions des questions eu égard à son manque de vécu, mais il a répondu présent. Ce n’est que du bonheur, cela va montrer à tous ces jeunes que le travail paye et que s’ils veulent continuer vers le monde professionnel, il va falloir qu’ils redoublent d’attention et d’exigence.\\n\\nLe staff de l’équipe de France U16\\n\\nBernard Faure, entraîneur principal\\n\\n« Je suis le chef de projet, celui qui élabore tous les contenus d’entraînement, qui effectue la mise en place de la préparation physique, qui coache l’équipe. »\\n\\nDavid Gallois\\n\\n« Il s’occupe surtout des joueurs extérieurs et du jeu collectif d’attaque. »\\n\\nÉric Kehlhoffner\\n\\n« Il est plutôt en charge de la défense et des joueurs intérieurs. »\\n\\nLudovic Puigcerber\\n\\n« C’est notre assistant vidéo. »\\n\\nPhoto d’ouverture : FIBA Europe\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nL’équipe de France des moins de 16 ans (U16) a donc remporté une très belle médaille d’argent lors de l’Euro qui s’est déroulé à Udine du 9 au 17 août. Une équipe séduisante, combative et aux caractéristiques bien spécifiques, comme le souligne Bernard Faure, son entraîneur : « nous avons eu la particularité d’avoir une équipe extraordinairement grande, 2,02m de moyenne. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit ça en équipe de France ! »\\n\\nMais la grande taille de ces joueurs (Maxime Raynaud, 2,12m ; Naoll Balfourier, 2,15m ; Victor Wembanyama, 2,18m) n’est pas la seule caractéristique de ces Bleuets. Bernard Faure détaille pour Basket Europe le profil des douze joueurs.\\n\\nNathan De Sousa – 1,87m – Poste 1\\n\\nStats : 21,3 minutes, 6,7 points (à 40,5 % aux tirs, 27,8 % à trois points), 3,4 rebonds, 3,0 passes décisives, 8,4 d’évaluation\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Evan Fournier et Théo Maledon absents face à la Nouvelle-Zélande" }, {"role": "assistant", "content":"Théo Maledon, en convalescence après son choc à l’épaule survenu au tournoi de Villeurbanne, et Evan Fournier, victime d’une légère entorse à la cheville, seront absents en début d’après-midi (13h30) pour le premier des trois matches du tournoi de Shenyang contre la Nouvelle-Zélande.\\n\\nL’équipe de France aura ensuite l’Italie (dimanche, 15h30) et la Serbie (mardi, 19h30) comme derniers adversaires en préparation avant la Coupe du monde.\\n\\n\\n[GAME DAY] Tournoi de préparation de Shenyang 🇨🇳#FRANZL 🇫🇷⚡️🇳🇿\\n⏰13h30 (19h30 heure locale)\\n📺En direct sur @RMCsport 2\\n\\nLes 12 : Albicy, Batum, De Colo, Gobert, Labeyrie, Lacombe, Lessort, M'Baye, Ntilikina, Okobo, Poirier et Toupane#TeamFranceBasket #FIBAWC pic.twitter.com/WP2AaPGbiw\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 24, 2019\\n\\n\\nPhoto: Evan Fournier (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"L’Australie inflige aux Etats-Unis sa première défaite depuis 2006 !" }, {"role": "assistant", "content":"L’Australie vient d’infliger à Team USA sa première défaite depuis le championnat du monde 2006 au Japon, 98-94. L’évènement s’est déroulé en soirée à Melbourne, au Marvel Stadium devant 52 079 spectateurs. Les Boomers n’avaient jamais réussi à battre les Américains en 55 ans et en 26 confrontations !\\n\\nC’est le meneur de jeu des San Antonio Spurs Patty Mills (1,83m, 31 ans) qui a mené la danse avec 30 points dont 13 dans le dernier quart-temps. Le pivot des Golden State Warriors Andrew Bogut (2,13m, 35 ans) a ajouté sa patte avec 16 points, neuf rebonds et quatre passes et Joe Ingles (2,03m, 31 ans), ailier du Utah Jazz a scoré 15 points.\\n\\nKemba Walker a été le meilleur marqueur américain avec 22 points.\\n\\nIl s’agit d’un sérieux coup de semonce pour les Américains, privés de quantité de stars NBA, à une semaine de la Coupe du monde. Ils étaient invaincus depuis 76 matches !\\n\\nLes Boomers ont été placés dans un groupe difficile avec la Lituanie, le Sénégal et le Canada. Ils n’ont jamais remporté de médaille aux Jeux olympiques ni à la Coupe du monde. 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Il signe alors à l’Alba Berlin pour la fin de saison et toujours en Eurocup il engrange 15,2 points, 3 rebonds pour 14,5 d’évaluation. Après la Chine durant l’été 2017 il signe à Venise. Il termine premier de saison régulière et remporte la FIBA Europ Cup. La saison dernière, il était à Pistoia, avant de découvrir le championnat libanais.\\n\\n« C’est un joueur que je placerai entre Paulius (Valinskas) et Gaylor (Curier), c’est un 2 / 3 qui possède une excellente qualité de tir. C’est un vrai créateur sur écran porteur. Il a une grosse expérience en Europe où il a prouvé que c’est une valeur sure. Il se passe toujours quelques choses quand il a le ballon dans les mains, » commente le coach Germain Castano." }, {"role": "user", "content":"La vidéo: la finale de la Coupe du monde 2010, Etats-Unis vs Turquie" }, {"role": "assistant", "content":"Voir ou redécouvrir la finale de la Coupe du monde 2010 entre les Etats-Unis et la Turquie. C’est ce que propose la FIBA dans cette vidéo. Kevin Durant sur une autre planète...\\n\\nPhoto: USA Basketball" }, {"role": "user", "content":"Nik Stauskas arrive à Vitoria en toute humilité" }, {"role": "assistant", "content":"Huitième choix de la Draft en 2014, Nik Stauskas (1,98m, 25 ans) a mis le cap vers l’Espagne. Avec un avenir en NBA de plus en plus bouché, le shooteur canadien a décidé de donner son accord à Vitoria, une belle écurie d’Euroleague.\\n\\nMais l’ancien joueur des Blazers et des Cavs l’an passé débarque au Pays Basque en toute humilité. Il est bien conscient qu’on ne passe pas de la NBA au jeu FIBA sans un temps nécessaire d’adaptation.\\n\\n« L’adaptation au jeu européen ne sera pas facile », a expliqué le sniper canadien lors de sa conférence de presse. « D’après les premiers jours d’entraînement, je peux vous dire que c’est du jeu rapide et les mouvements de joueurs sont différents de la NBA. J’ai hâte de pouvoir apprendre à jouer et comprendre encore mieux ce style de jeu. C’est une superbe opportunité pour moi de progresser. »\\n\\nPassé par la fac réputée de Michigan, Nik Stauskas est surtout connu pour son tir de loin, mais il est aussi capable de poser le ballon et de partir en pénétration. Son jeu offensif ne se limite pas seulement à du catch & shoot...\\n\\n« Je peux jouer avec ou sans la balle, je sais m’adapter. Il s’agit surtout pour moi d’apprendre ce que préfère le coach. J’ai compris rapidement qu’il aimait jouer vite. Mais il faut encore que j’apprenne les nuances du jeu, que j’apprenne le système en place. »\\n\\nEncore en phase d’apprentissage, du système mais aussi de ses nouveaux coéquipiers, sans parler d’une nouvelle culture dans un nouveau pays, Stauskas ne va pas se tourner les pouces dans les semaines à venir.\\n\\nAlors que les grosses cylindrées du Vieux Continent commencent à reprendre le chemin des terrains, Stauskas va pouvoir répéter ses gammes...\\n\\n« Je suis à l’aise avec l’idée d’être un joueur sur lequel l’équipe peut dépendre. Dans le même temps, je suis tout nouveau dans le club et j’ai donc encore beaucoup à apprendre. Je ne vais pas dépasser mes limites mais je pense aussi pouvoir apporter du leadership. J’ai maintenant pas mal d’expérience à haut niveau et j’espère pouvoir faire passer un cap à cette équipe. »" }, {"role": "user", "content":"Euro U16 féminin: les Bleuettes sans pitié pour le Danemark, 97-29" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa glissade imprévue face à la Lituanie, l’équipe de France a passé sa frustration sur la pauvre Danemark qui a été étrillée, 97-29.\\n\\nDès le premier quart-temps, les Bleuettes avaient mis les choses au point: 27 à 2 ! Les Danoises n’ont marqué que 7 points à la mi-temps et l’évaluation finale est lourde de sens, 135 à 3.\\n\\nLe coach Julien Egloff a fait tourner tout son banc et c’est au final Leila Lacan qui a obtenu la meilleure évaluation avec 19 pour 13 points, 4 rebonds et 5 passes.\\n\\nDemain, ça sera une autre paire de manches face à l’Allemagne qui a dompté la Lituanie, 60-51.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Leila Lacan (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Nemanja Nedovic encore sur le flanc" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur serbe de Milan n’est décidément pas verni. A l’instar d’un Derrick Rose en NBA, Nemanja Nedovic (1m91, 28 ans) n’arrive pas à se défaire de ses pépins physiques.\\n\\nIl vient effectivement de subir une nouvelle opération, une arthroscopie du genou droit, après une saison marquée par plusieurs absences répétées. Nedovic n’a ainsi pu prendre part qu’à 35 rencontres avec Milan la saison dernière, pour 11 points, 3 passes et 2 rebonds de moyenne.\\n\\nAncien des Warriors du temps de son explosivité maximale, Nedovic a par exemple dû rester sur le côté durant 3 semaines après un coup à la cuisse gauche, subi face à Darussafaka.\\n\\nMeneur fragile, Nedovic a reçu de sacrés renforts (de la concurrence aussi) avec Sergio Rodriguez et Shelvin Mack qui débarquent notamment pour la nouvelle saison, avec Ettore Messina aux manettes." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: la Serbie au finish face à l’Italie, 71-65" }, {"role": "assistant", "content":"Avec Dalino Gallinari et Luigi Datome, l’Italie, qui n’a pas été brillante au tournoi d’Athènes, est un tout autre client et la Serbie a dû forcer la porte pour s’imposer, 71-65, dans un match de préparation à la Coupe du monde cet après-midi à Shenyang.\\n\\nLes Serbes ont pris le contrôle dès le premier quart-temps (27-17) et ont eu jusqu’à 16 points d’avance (50-34) mais les Italiens ont réussi à revenir au score et même à passer en tête à moins de trois minutes de la fin (64-65). La Serbie a toutefois terminé la rencontre avec un 7-0 et a remporté la victoire.\\n\\nBogdan Bogdanovic et Stefan Jovic ont été les meilleurs marqueurs serbes, avec respectivement 15 et 11 points. 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C’est en anglais." }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Le stage commando du Mans Sarthe Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Hier on a pu voir les images des joueurs du Mans Sarthe Basket en stage commando grâce à un partenariat avec le 2e Rima. Voici maintenant la vidéo avec des images fortes !" }, {"role": "user", "content":"Interview Bernard Faure (coach de l’équipe de France U16) : « Les garçons se sont bonifiés tout au long de la compétition »" }, {"role": "assistant", "content":"À Udine, l’équipe de France des moins de 16 ans (U16) a remporté une brillante médaille d’argent. L’entraîneur de cette équipe, Bernard Faure, revient sur cette compétition et la réussite des Bleuets.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme souvent lorsqu’il s’agit d’une compétition réservée aux moins de 16 ans (les U16), difficile de savoir a priori quel va être le niveau de compétitivité d’une équipe. C’est pour cela que l’argent récolté par l’équipe de France U16, seulement battue en finale par l’Espagne (61-70), constitue un excellent résultat. Sur lequel le sélectionneur et entraîneur principal de l’équipe, Bernard Faure, s’exprime, avant d’évoquer les spécificités du jeu de ces jeunes joueurs.\\n\\nQuel est votre sentiment à la fin de cette compétition ? Le résultat est conforme à vos attentes ou constitue-t-il une agréable surprise ?\\n\\nNous nous attendions à un bon résultat, mais pas forcément de ce niveau. Avec les U16, c’est toujours difficile de se projeter. Nous savions que nous avions des potentiels dans l’équipe, mais il s’agissait de leur première compétition internationale, on ne pouvait donc pas savoir si ces potentiels allaient se réaliser. Avant cet Euro, j’avais dit que cette équipe serait certainement plus forte en U18 voire en U20 du fait des profils des joueurs. Pour nous, savoir exactement ce que ces jeunes pourraient donner en U16 restait une inconnue. Mais nous avons la réponse : nous avons fait une belle deuxième place et les garçons se sont vraiment bonifiés tout au long de la compétition.\\n\\nQue manquait-il pour décrocher l’or ?\\n\\nLa finale a vraiment été une opposition de styles. C’est ce qu’on craignait un petit peu depuis les débuts : nous avons des joueurs très grands et, en U16, ce n’est pas forcément facile à gérer. En outre, nous sommes tombés sur une équipe espagnole qui jouait quasiment sans intérieurs, avec des joueurs très rapides, mobiles, beaucoup plus que les nôtres, et nous avons beaucoup souffert de ça.\\n\\nPour des joueurs de 2,10m et plus, on imagine que ça ne doit pas être facile de défendre sur des joueurs de 2,00m (NDLR : le plus grand joueur espagnol, Inaki Ordonez Ochoa, mesure 2,01m et joue ailier, le pivot Pablo Leon Vasquez mesurant... 1,99m !) ?\\n\\nOui, c’est une caractéristique à laquelle ils ne sont pas habitués. En outre, les Espagnols avaient mis en place une défense tout-terrain qui a réussi à faire déjouer tous ses adversaires. Et elle a été la clé de cette finale. Nous avons eu beaucoup de mal à gérer cette pression défensive, nous avons perdu beaucoup de ballons, nous avons eu du mal à installer notre jeu offensif. Du coup, les Espagnols en ont profité pour beaucoup marquer sur contre-attaque.\\n\\nMais le résultat final est tout de même positif ?\\n\\nPour nous, il est tout à fait satisfaisant, et même plus que ça. Nous sommes très contents de cette deuxième place, qui nous ouvre les portes du Mondial U17 de l’année prochaine et qui concrétise le travail de la filière de détection et de formation mise en place par la Fédération française.\\n\\n« Une bonne partie de cet effectif est profilée pour le haut niveau. »\\n\\nD’après vous, beaucoup de ces Bleuets atteindront le niveau professionnel ?\\n\\nIl est toujours difficile de se projeter. Cela m’étonnerait qu’ils aillent tous à haut niveau, on n’arrive jamais à avoir 100 % de réussite à cet égard. Après, oui, il y aura des joueurs de haut niveau. Mais on ne sait pas ce qui peut se passer dans les années à venir. Il y a tant de choses qui mettent les jeunes à contribution, l’entourage, les parents, toutes ces choses qu’on ne maîtrise pas. Mais une bonne partie de cet effectif est profilée pour le haut niveau, c’est clair. Ils ont montré qu’ils étaient travailleurs, prêts à renverser les situations compromises. Mais la progression n’est jamais linéaire. C’est aussi une question d’opportunités, d’être « au bon endroit au bon moment ». Et il y a bien sûr la question de l’intégrité physique. Les joueurs de haut niveau s’entraînent beaucoup, même s’ils sont jeunes. Il faut donc être prudents avec eux, rester au bord de la ligne jaune sans jamais la franchir. Mais il faut aussi que ces jeunes soient prêts à encaisser de grosses charges d’entraînement, sans lesquelles ils ne peuvent pas progresser.\\n\\nL’une des caractéristiques de cet Euro a été un manque d’adresse généralisé (aucune équipe au-dessus de 30 % à trois points, aucune au-dessus de 44 % aux tirs). L’explication tient-elle à la jeunesse des joueurs ?\\n\\nDans le basket de jeunes, on n’a pas les mêmes chiffres que chez les seniors. Une des caractéristiques du jeu des plus jeunes, c’est qu’ils commettent plus d’erreurs, ont moins de maîtrise, d’où plus de maladresse et de balles perdues que chez les seniors. On dit parfois que les Français sont moins adroits que d’autres nations, mais nous terminons quand même dans les trois premières équipes à l’adresse (NDLR : 2e à l’adresse globale, 3e à trois points). Et nous avons aussi eu un bon résultat par le biais de ces erreurs, balles perdues et tirs manqués adverses : comme l’une de nos principales forces, c’est la maîtrise du rebond, cela nous a permis de récupérer des ballons, de lancer des contre-attaques, d’être très performants dans ces secteurs. Ensuite, il faut remettre les chiffres dans leur contexte : grâce à notre qualité défensive, nous avons laissé sur le tournoi nos adversaires à 32 % de tirs réussis alors que nous en mettions 43 % (NDLR : 42,9 % précisément). Cela reste des chiffres bruts relativement faibles, mais l’écart entre ces deux pourcentages montre que notre travail défensif a payé.\\n\\nL’émotivité logique de ces jeunes gens explique également ce manque d’adresse ?\\n\\nBien sûr, d’autant que pour la plupart, il s’agit de leur première compétition importante. En équipe de France U16, au-delà du travail technique et tactique, nous faisons tout un travail d’accompagnement pour dédramatiser un peu l’événement, travail que nous effectuons tant en préparation que pendant la compétition. Nous avons un staff expérimenté (j’en suis à ma septième campagne comme entraîneur principal après treize autres comme assistant), nous commençons à maîtriser ces paramètres.\\n\\nEn conclusion, cette médaille d’argent récompense le travail accompli sur les jeunes ? En France, nous avons un savoir-faire que la Fédération française applique au niveau des équipes de jeunes. Nous avons une filière de détection qui fonctionne, des pôles Espoirs, un pôle France complémentaires de ce que font les centres de formation. Pour moi, les médailles remportées en équipes de France de jeunes, et celle-ci en particulier, reflètent bien le travail qui peut se faire sur tout le territoire.\\n\\nPhoto : FIBA Europe\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nComme souvent lorsqu’il s’agit d’une compétition réservée aux moins de 16 ans (les U16), difficile de savoir a priori quel va être le niveau de compétitivité d’une équipe. C’est pour cela que l’argent récolté par l’équipe de France U16, seulement battue en finale par l’Espagne (61-70), constitue un excellent résultat. Sur lequel le sélectionneur et entraîneur principal de l’équipe, Bernard Faure, s’exprime, avant d’évoquer les spécificités du jeu de ces jeunes joueurs.\\n\\nQuel est votre sentiment à la fin de cette compétition ? Le résultat est conforme à vos attentes ou constitue-t-il une agréable surprise ?\\n\\nNous nous attendions à un bon résultat, mais pas forcément de ce niveau. Avec les U16, c’est toujours difficile de se projeter. Nous savions que nous avions des potentiels dans l’équipe, mais il s’agissait de leur première compétition internationale, on ne pouvait donc pas savoir si ces potentiels allaient se réaliser.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"La photo: Les filles de l’ASVEL avec Tony Parker, Tim Duncan et Manu Ginobili" }, {"role": "assistant", "content":"La préparation des Lionnes de l’ASVEL à San Antonio ressemble davantage à un conte de fées qu’à un stage commando ! On les voit ici poser avec leur président Tony Parker qui a fait appel à deux de ses potes, Tim Duncan et Manu Ginobili. Pas mal comme photo souvenirs.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: L’Allemagne rêve d’une médaille" }, {"role": "assistant", "content":"Comme les autres équipes qualifiées à la Coupe du monde, l’Allemagne se prépare en Asie mais elle fait tout d’abord escale au Japon avant de se rendre en Chine. Si le voyage Munich-Tokyo a été confortable, les Allemands ont peu goûté les embouteillages dans la capitale japonaise et le passage dans un tunnel de 30km de long.\\n\\nDeux matches sont au programme à Saitama, près de Tokyo, là où s’est tenu le championnat du monde de 2006, contre deux adversaires de moyen calibre, la Tunisie aujourd’hui et le Japon demain. Mercredi, les Allemands joueront l’Australie à Jiangmen avant de débuter la Coupe du monde face à la France le dimanche 1er septembre..\\n\\n« Notre souhait est que nous atteignons le second tour à Nanjing et que nous ayons la possibilité de nous qualifier pour les Jeux olympiques », a déclaré le président de la fédération allemande Ingo Weiss.\\n\\nLes fans allemands sont très ambitieux et espèrent que leur équipe nationale rapportera une médaille de Chine.\\n\\nSi le public parle d’une médaille à la Coupe du monde, c’est légitime », a souligné Weiss. « Je pense que c’est juste et correct. Nous avons trois chances de remporter une médaille au cours des trois prochaines années: à la Coupe du Monde, aux Jeux Olympiques et aux Championnats d’Europe 2021 en Allemagne. «\\n\\nLe président de la fédération allemande précise avoir aboli le système de bonus suivant le résultat final mais qu’il y a toujours des primes de victoires.\\n\\n« Si le tournoi se passe bien et que nous atteignons les demi-finales, la question sera soulevée à nouveau », a déclaré Weiss à propos des bonus supplémentaires.\\n\\nLes 13 joueurs suivants sont actuellement au Japon:\\nDennis Schröder (Thunder / NBA d’Oklahoma City, 41 sélections), Maodo Lo (Bayern Munich, 53 sélections), Ismet Akpinar (Besiktas Istanbul, 33 sélections), Isaac Bonga (Wizards de Washington) / NBA, 6 sélections.), Andreas Obst (ratiopharm ulm, 13 sélections), Robin Benzing (Basket Zaragoza / ESP, 136 sélections.), Paul Zipser (Bayern Munich, 35 sélections), Niels Giffey (ALBA Berlin, 65 sélections), Johannes Thiemann (ALBA Berlin, 37 sélections), Danilo Barthel (FC Bayern Munich, 44 sélections), Maximilian Kleber (Dallas Mavericks / NBA, 22 sélections), Daniel Theis (Boston Celtics / NBA, 36 sélections, Johannes Voigtmann (CSKA Moscou / RUS, 58 sélections).\\n\\nPhoto: Johannes Thiemann" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 2 500 personnes pour voir un entraînement à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Environ 2 500 personnes ont assisté hier soir au palais des sports de Beaublanc à Limoges à un entraînement du CSP ouvert au public. Il s’agit bien sûr, comme chaque année, d’un record de France.\\n\\n« Lors de la présentation du groupe réalisée par Crawford Palmer, le directeur sportif du Limoges CSP, Brian Conklin, revenu à Limoges cet été, a largement été ovationné par les supporters, tout comme Jerry Boutsiele, Hugo Invernizzi ou encore Nicolas Lang », écrit Le Populaire, qui a consacré la Une de ce jour à ce qui est chaque année un évènement.\\n\\n\\nBEAUBLANC S’EMBRASE ! MERCI ! 💚💚 #CSP4ever pic.twitter.com/03EVapRpF7\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) August 22, 2019\\n\\n\\n\\n#Basket #JeepElite Près de 2000 personnes dans Beaublanc à 17h pour assister à l'entraînement public du Limoges CSP... La 2ème tribune vient d'être ouverte et les supporters continuent d'arriver ! pic.twitter.com/ZqBY2kTPz9\\n\\n— Alouette Radio (@AlouetteRadio) August 22, 2019\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Adversaire des Bleus à la Coupe du monde, la République dominicaine souffre face à l’Espagne, 70-102" }, {"role": "assistant", "content":"Adversaire de l’équipe de France au premier tour de la Coupe du monde, la République dominicaine a été sévèrement battue hier soir par l’Espagne au centre WiZink de Madrid et devant 13 000 spectateurs: 102-70.\\n\\nLa différence de niveau s’est très vite démontrée au tableau d’affichage: 25-16, 35-16 puis 51-35 à la mi-temps et encore 61-37 après une série de triples. C’est la première fois depuis les JO de Rio que les Espagnols ont franchi le cap des 100 points.\\n\\nRicky Rubio a été le meilleur marqueur (20 points) et le meilleur passeur espagnol (6) alors que Juancho Hernangomez a ajouté 19 points et 7 rebonds.\\n\\nEloy Vargas et Ronald Roberts Jr ont inscrit chacun 11 points du côté des Dominicains dont le pourcentage de réussite à deux-points (42,5%) tranche avec celui des Espagnols (72,2%).\\n\\nL’équipe espagnole se rendra samedi à Ningbó, en Chine, où elle disputera les deux derniers matchs de préparation à la Coupe du monde contre l’Argentine et la Russie.\\n\\nPhoto: Ricky Rubio (FEB)" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Quand Yannick Noah prouve qu’il a le basket dans le sang" }, {"role": "assistant", "content":"Ce jeune homme de 1,93m à 59 ans. Pas mal conservé, non? Beau geste de basketteur aussi...\\n\\nVous l’avez reconnu, il s’agit de Yannick Noah, ancien champion de tennis, chanteur, et aussi père de Joakim le NBAer. Pas de doute il aurait pu faire un super basketteur.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/B1c0rXsnecX/?igshid=1p201hrtntzb7" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Le tournoi de Suzhou en direct sur Youtube et Facebook" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la Coupe du monde se rapproche, la FIBA annonce avoir passé un accord avec Atlas Sports afin de diffuser en direct sur sa chaîne Youtube et sur sa page Facebook, le tournoi de Suzhou du 23 au 27 août.\\n\\nCelui-ci va réunir pas moins de huit pays: Chine, République dominicaine, Grèce, Jordanie, Porto Rico, Sénégal, Turquie et Venezuela. Ce sont ainsi 12 matches qui seront diffusés gratuitement.\\n\\n23 août:\\n\\nSénégal vs Venezuela (19h30, GMT+8) et Turquie vs Porto-Rico (19h00, GMT +8)\\n\\n24 août:\\n\\nGrèce vs. Jordanie (20h00, GMT+8) et Chine vs. République Dominicaine (19h30, GMT+8)\\n\\n25 août\\n\\nDemi-finale (15h00, GMT +8) et Finale (19h30, GMT+8)\\n\\n26 août\\n\\nMatch de classement (19h30, GMT+8) et demi-finale (19h30, GMT+8)\\n\\n27 août\\n\\nMatchs de classement (13h30, GMT +8, 15h30, GMT+8 et 16h30, GMT+8) et Finale 19h30, GMT+8)" }, {"role": "user", "content":"Interview Christian Monschau (Nancy) : « Il faudra être en forme au moment des playoffs ! »" }, {"role": "assistant", "content":"Éliminé par Saint-Chamond d’un point à la belle des quarts-de-finale des playoffs d’accesssion, le SLUC Nancy n’a pu remonter en Jeep Élite malgré une bonne saison, cependant marquée par les blessures. Pour la saison à venir, Christian Monschau, son entraîneur, conserve son ambition de montée, tout en étant conscient de l’adversité à laquelle les Couguars devront faire face.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous avez fait toute la saison dans le Top 5 du classement et vous avez été éliminé en quarts-de-finale par Saint-Chamond. Que vous a-t-il manqué pour aller plus loin ?\\n\\nIl nous a manqué un mois. Nous avons été touché par des blessures assez incroyables et extra-basket. L’exemple le plus marquant est celui de Mérédis Houmounou, qui se blesse gravement par la faute de la chute d’un panneau publicitaire ! Ça a été notre première cassure. Nous avions quatre joueurs sur les postes 1 et 2 et ils ont tous été impactés par ces blessures. Ça a cassé notre ligne arrière et nous n’avons plus été aussi compétitifs. Avant cela, nous étions sur une belle dynamique : lorsque nous avons pu prendre Souleyman (Diabaté), nous avons été premiers ou deuxièmes selon les semaines. Ensuite, cela a été très dur, mais l’équipe a fait front malgré tout. Nous avons donné tout ce qu’on avait. Il n’y a pas de regret à avoir. Nous avons fait une belle saison globalement. Nous sommes très frustrés de ne pas avoir pu aller jusqu’au bout mais, avec du recul, on se rend compte que c’était vraiment une belle saison. Le club a été récompensé par le fait d’avoir mis ses jeunes sur le terrain. La LNB a décerné une prime substantielle au SLUC pour avoir fait jouer les jeunes (NDLR : le Label Bronze de la LNB). Le club a également battu le record historique de spectateurs sur une saison en Pro B. Je tiens à remercier les joueurs pour tous les efforts qu’ils ont fait parce que beaucoup d’entre-eux ont joué blessé. J’étais vraiment très fier de ce groupe.\\n\\nL’intersaison a été agitée en coulisses avec l’arrivée d’un nouveau président (Aurélien Fortier), d’un directeur général (Youri Verieras) et d’un nouveau directeur sportif (Sylvain Lautié). Quel est votre avis sur cette nouvelle configuration ?\\n\\nC’est une nouvelle page qui se tourne pour le club, on va la laisser s’écrire. En tout cas, je remercie l’ancien président Philippe Durst pour le travail qu’il a fait au club. Il est aussi responsable de ma venue. Il a réussi à me convaincre de signer alors que ça n’était pas mon intention du tout. Je ressens beaucoup de loyauté à son égard.\\n\\nDe grands noms ont rejoint la Pro B, comme Amara Sy, Nobel Boungou-colo, Shawn King ou Roko Ukic, que pensez-vous de cette évolution ?\\n\\nCela démontre à quel point ce championnat est passionnant en plus d’être d’un très bon niveau technique et tactique. On a déjà vu beaucoup de bons joueurs l’an passé, dont plusieurs ont d’ailleurs signé en Jeep Élite. Il y a aussi beaucoup d’excellents coachs en Pro B. Je pense que l’arrivée des deux équipes reléguées (NDLR : Antibes et Fos-sur-Mer) positionnera la Pro B au même niveau que la saison dernière, sinon plus.\\n\\nIl faudra être encore plus fort cette saison pour monter sachant qu’il n’y a qu’une seule place en Jeep Élite, qu’en pensez-vous ? Il faudra être plutôt en forme au moment des playoffs (sourire). La saison passée, nous avions l’ambition de jouer la première place au même titre que Roanne, qui l’a obtenu, Orléans et sur la fin Rouen ou Vichy-Clermont. Cette année, toutes les équipes auront la volonté de se positionner dès la saison régulière et les candidats à la montée seront encore plus nombreux. On peut penser à Saint-Chamond, qui a fait une grosse saison et qui garde une belle ossature, à Rouen, à Vichy-Clermont, à Gries-Oberhoffen, sans oublier les équipes qui ont manqué les playoffs de peu la saison passée, comme Blois. Par ailleurs, Antibes a monté un gros roster, Paris n’a pas encore terminé mais c’est royal pour l’instant, donc ça va être très dur.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nVous avez fait toute la saison dans le Top 5 du classement et vous avez été éliminé en quarts-de-finale par Saint-Chamond. Que vous a-t-il manqué pour aller plus loin ?\\n\\nIl nous a manqué un mois. Nous avons été touché par des blessures assez incroyables et extra-basket. L’exemple le plus marquant est celui de Mérédis Houmounou, qui se blesse gravement par la faute de la chute d’un panneau publicitaire ! Ça a été notre première cassure. Nous avions quatre joueurs sur les postes 1 et 2 et ils ont tous été impactés par ces blessures. Ça a cassé notre ligne arrière et nous n’avons plus été aussi compétitifs. Avant cela, nous étions sur une belle dynamique : lorsque nous avons pu prendre Souleyman (Diabaté), nous avons été premiers ou deuxièmes selon les semaines. Ensuite, cela a été très dur, mais l’équipe a fait front malgré tout. Nous avons donné tout ce qu’on avait. Il n’y a pas de regret à avoir. Nous avons fait une belle saison globalement. Nous sommes très frustrés de ne pas avoir pu aller jusqu’au bout mais, avec du recul, on se rend compte que c’était vraiment une belle saison. Le club a été récompensé par le fait d’avoir mis ses jeunes sur le terrain. La LNB a décerné une prime substantielle au SLUC pour avoir fait jouer les jeunes (NDLR : le Label Bronze de la LNB). Le club a également battu le record historique de spectateurs sur une saison en Pro B. Je tiens à remercier les joueurs pour tous les efforts qu’ils ont fait parce que beaucoup d’entre-eux ont joué blessé. J’étais vraiment très fier de ce groupe.\\n\\nL’intersaison a été agitée en coulisses avec l’arrivée d’un nouveau président (Aurélien Fortier), d’un directeur général (Youri Verieras) et d’un nouveau directeur sportif (Sylvain Lautié). Quel est votre avis sur cette nouvelle configuration ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : SLUC Nancy" }, {"role": "user", "content":"Euro U16 féminin: La France douchée d’entrée, 61-66" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France restait sur une victoire face à l’Espagne en préparation (56-48) et elle tombe de haut puisqu’en match d’ouverture à l’Euro à Skopje, en Macédoine, les Bleuettes se sont fait surprendre par la Lituanie, 61-66. Si Sara Roumy (24 points, 4/11 à trois-points) a été performante offensivement, ses équipières sont apparues trop timorées.\\n\\nLes Françaises affronteront demain le Danemark et samedi l’Allemagne.\\n\\nL’équipe de France a fait connaissance avec la prodige lituanienne Juste Jocyte, une arrière-ailière d’1,84m, gauchère, blonde, qui est née le 19 novembre 2005 si bien qu’elle n’a encore que 13 ans. A la mi-temps, elle avait déjà planté 14 points sur les 31 de son équipe. Heureusement, la Landaise Sara Roumy, une autre gauchère, était également très adroite et avec un 4/5 à trois points, elle avait atteint le même total de points. La France menait alors 37-31.\\n\\nLes Bleuettes étaient devant tout le troisième quart-temps mais se faisaient rejoindre au buzzer à 49. Elles lâchaient prise en début de quatrième quart-temps et étaient menées 53-60 alors que 4 minutes restaient au chrono. Sara Roumy a eu pourtant une balle d’égalisation à 20 secondes de la fin mais les Lituaniennes ont récolté le fruit de leur travail.\\n\\nJuste Jocyte a ajouté 7 points à sa marque en deuxième mi-temps et surtout s’est constituée un total 12 rebonds, 5 passes et... 7 balles perdues. Elle a trouvé de plus de l’aide en la personne de Urtė Čižauskaitė, auteure de 15 points et 18 rebonds.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Sara Roumy, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Kendrick Perry ne peut pas honorer son contrat avec les Metropolitans 92" }, {"role": "assistant", "content":"Le combo guard Kendrick Perry (1,83m, 26 ans) annonce sur Instagram qu’il ne pourra pas honorer cette saison son contrat avec les Métropolitans 92. Il doit retourner bientôt aux Etats-Unis afin de subir éventuellement une autre opération au genou.\\n\\n« Je tiens à remercier personnellement toutes les personnes impliquées dans le Metro92 qui m’ont fourni une opportunité », écrit-il. « Depuis le premier jour, ils ont travaillé avec diligence avec moi et ne n’ont pas pressé de faire quoi que ce soit avec qui je n’étais pas à l’aise, alors je suis extrêmement reconnaissant. Pour mes coéquipiers, ce fut un plaisir de faire connaissance avec vous tous pendant mon court séjour ici et j’ai hâte de rester en contact et de vous suivre tout au long de la saison. »\\n\\nPerry sortait d’une excellente saison avec le club russe Nizhny Novgorod." }, {"role": "user", "content":"Juice Thompson (ex-Le Mans) signe à Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"Selon des sources concordantes et en attendant l’officialisation par le club, on peut annoncer la venue du meneur américain Michael «Juice» Thompson au BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nGravelines sera ainsi le cinquième club de Jeep Elite de l’Américain après Rouen, Villeurbanne, Pau et Le Mans et le troisième de suite avec le coach Eric Bartecheky.\\n\\nAvec Le Mans, Juice Thompson a obtenu la saison dernière 12,7 points et 4,6 passes en Jeep Elite et 12 points et 4,6 passes en Basketball Champions League.\\n\\nPhoto: FIBA." }, {"role": "user", "content":"51 218 spectateurs à Melbourne pour voir les Etats-Unis dominer l’Australie, 102-86" }, {"role": "assistant", "content":"Devant 51,218 spectateurs au Marvel Stadium de Melbourne, les Etats-Unis ont supplanté l’Australie 102-86 dans un match de préparation à la Coupe du monde.\\n\\nKemba Walker a été le meilleur marqueur américain avec 23 points, tandis que Myles Turner a réalisé un impressionnant double-double: 15 points et 14 rebonds. Patty Mills et Chris Goulding ont réalisé la meilleure marque des Boomers avec chacun 19 points.\\n\\nA la mi-temps, les Australiens n’avaient qu’un point de retard (43-44) mais les Américains leur ont infligé un 10-0 à la reprise et ils avaient une avance confortable (76-61) à la fin du troisième quart-temps.\\n\\nD’après les premières réactions sur les réseaux sociaux, les spectateurs se plaignent de la visibilité dans le stade habituellement réservé au football australien.\\n\\nEn revanche, Gregg Popovitch -qui, lui, était bien placé !- a déclaré à propos du fait de coacher devant tant de monde :\\n\\n« C’était comme dans un film. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=444&v=rAdmYAKaRBM\\n\\n\\n$500 seats. Again, not my photo. @acccgovau are gonna be a little busy tomorrow #BoomersUSA pic.twitter.com/Tx7RIZp0Iu\\n\\n— Dion Alessi (@dionalessi) August 22, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"République dominicaine: Pas de Coupe du monde pour Edgar Sosa" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien combo guard de Gravelines Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) ne participera pas à la Coupe du monde avec la République dominicaine car les médecins de son équipe ne lui ont pas permis lors des entraînements de mettre un bandage de protection autour de sa cheville douloureuse ! C’est ce qu’il a annoncé sur les réseaux sociaux.\\n\\nLa République dominicaine sera l’adversaire de la France le jeudi 5 septembre.\\n\\n\\nEl 🇩🇴 @edgarsosa88 aclara lo sucedido con @rdbseleccion, siempre es bueno escuchar las dos 🔔 Pero Lo cierto es que por un vendaje terminamos las relaciones con el que posiblemente ha sido el mejor armador de nuestra...\\n\\n📸 https://t.co/aOApdclZUR via https://t.co/hnIEZiwLsj pic.twitter.com/P26i3Al2XZ\\n\\n— basketdominicano.com (@basketdom) August 21, 2019\\n\\n\\nPhoto: BCM" }, {"role": "user", "content":"Les premières photos des Bleus en Chine" }, {"role": "assistant", "content":"Les Bleus sont arrivés hier en Chine et le service de presse de la FFBB ainsi que son président Jean-Pierre Siutat ont publié quelques photos sur les réseaux sociaux. Comme on peut le constater Rudy Gobert est bien connu là-bas !\\n\\nL’équipe de France va participer au tournoi de Shenyang avec la Nouvelle-Zélande (samedi 24), l’Italie (dimanche 25) et la Serbie (mardi 27).\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\nAprès un long voyage l'Equipe de France est arrivée à Shenyang mercredi en début d'après-midi.\\nAu programme 2 jours d'entraînement avant le tournoi de Shenyang :\\n24/08 : 🇨🇵⚡🇳🇿\\n25/08 : 🇨🇵⚡🇮🇹\\n27/08 : 🇨🇵⚡🇷🇸\\n\\nEn direct sur @RMCsport 2#teamfrancebasket #FIBAWC pic.twitter.com/bWve1fsUrA\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 22, 2019\\n\\n\\n\\nEn face... La Corée du Nord... Le pont de l'amitié... pic.twitter.com/HNyiOlnOzP\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) August 22, 2019\\n\\n\\n\\nLe grand départ des bleus 🇫🇷 @FRABasketball @FIBAWC pic.twitter.com/h74SnpAmpF\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) August 20, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"50 000 spectateurs attendus au Marvel Stadium pour Australie vs. Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"L’Australie et les Etats-Unis vont s’affronter deux fois en matches de préparation, ce jeudi et samedi, au Marvel Stadium de Melbourne. Le match est diffusé en direct à partir de 11h45 ce matin ICI.\\n\\nOn attend 50 000 personnes dans cette arène habituellement réservée principalement au football australien et où le terrain est installé au milieu de ce qui est habituellement la pelouse. Aucun doute au vue des photos et vidéos ci-dessous: la visibilité sera loin d’être parfaite. Des écrans géants ont été installés afin de permettre aux spectateurs les moins bien placés de voir quelque chose des matches.\\n\\nSi l’équipe américaine a été complètement refondue en raison d’une avalanche de forfaits, celle d’Australie est également loin d’être au complet. Il lui manque notamment son homme à tout faire des Philadelphia Sixers, Ben Simmons, ce qui n’empêche pas le combo guard des Cleveland Cavaliers Matthew Dellavedova d’être (très) optimiste:\\n\\n« Ça va être génial d’être là-bas et évidemment, c’est une grosse affaire pour le basketball en Australie et nous espérons pouvoir contribuer à la croissance du jeu, mais pour nous, c’est juste un autre élément important de notre préparation pour gagner une médaille d’or aux championnats du monde. »\\n\\nDans ses commentaires, le coach de Team USA Gregg Popovich est allé... dans le même sens:\\n\\n«C’est une des équipes capables de remporter la victoire, sans aucun doute. Je ne dis pas ça parce que je suis là. C’est juste un fait. Ils sont proches de ça depuis plusieurs années et ils ont faim. Ils ont du talent. Coach Lemanis fait du bon travail et ils forment une équipe, ils sont ensemble. Ils savent ce qu’ils font. Ils exécutent vraiment bien ce qui est demandé et c’est ce qu’il faut. Ils ont la ténacité et le physique pour aller avec ça. Je pense qu’ils sont l’un des meilleurs candidats sans aucun doute. «\\n\\n\\nMarvel Stadium Melbourne looking amazing for Boomers v USA! pic.twitter.com/RWuppzK7jm\\n\\n— Dwayne Russell (@_DwayneRussell) August 22, 2019\\n\\n\\n\\nThe view from ground level. pic.twitter.com/rYlCtPbtNK\\n\\n— Rohan Smith (@Ro_Smith) August 22, 2019\\n\\n\\nhttps://twitter.com/SBSSport/status/1164122556862832641" }, {"role": "user", "content":"Rétro Coupe du monde – 1986 et 2010 : Scénarios catastrophe" }, {"role": "assistant", "content":"Aussi bien à Equeurdreville et Saragosse en 1986 qu’en Turquie en 2010, le ciel est tombé sur la tête des Gaulois.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCe match contre la Grèce à Equeurdreville, banlieue de Cherbourg, le 21 novembre 1985, fut à la fois magnifique, virevoltant, insoutenable, sans fin et terriblement cruel.\\n\\nLe sélectionneur Jean Galle avait battu le rappel des troupes, re-sélectionnant notamment Eric Beugnot, écarté par son prédécesseur Jean Luent à l’issue des Jeux de Los Angeles. « J’avais quitté l’équipe de France par la petite porte et pendant quinze mois je l’ai eu en travers de la tête. Je tiens à remettre les pendules à l’heure. » Et l’aîné des Beugnot d’ajouter : « il faut que je prouve que je peux récupérer le numéro 14 que j’ai lâché. »\\n\\nGalle voulait un esprit commando. L’enjeu était de taille : la France avait besoin d’une victoire pour croire encore en ses chances d’aller au Mondial espagnol. Les organisateurs avaient installé des praticables pour accueillir 3 500 spectateurs et un record de soixante journalistes, et fait venir le parquet du POPB. Le choix de l’endroit avait attiré des sarcasmes et dans les médias, Hervé Dubuisson avait gentiment chambré, « Equeu... Equequer... »\\n\\nLe match donc, une folie. Hervé Dubuisson est en transes, étourdissant. « Du-bui-sson ! » crie le public normand pas rancunier. Le match dure deux heures et trente minutes et donne lieu à trois prolongations. Dub défie les lois de la pesanteur et inscrit 51 points* avec 6 sur 11 à deux-points, 11 sur 21 à trois-points, et 6 sur 7 aux lancers-francs. Le record, qui tient toujours, d’un Français dans un match international.\\n\\nEt alors ? Au bout de la nuit, la France perd 130 à 126. Et si Dub, sur les rotules dans les cinq dernières minutes, a fait exploser son compteur à points, Nick Galis en a empilé tout de même 45. « C’est impossible de marquer ce type-là », concède Eric Beugnot. « J’avais ma main sur son cœur, je l’entendais battre. J’arrivais à le neutraliser sur deux, trois attaques et à la quatrième il me filait entre les doigts. Galis est marquable tant qu’il n’a pas pris le ballon. Là aussi, j’ai bien essayé mais il y avait toujours un ou deux blocs pour lui. »\\n\\n« Physiquement et moralement c’est terrible de quitter la salle avec un pareil sentiment de frustration »,soupire Jean Galle. « Les garçons se sont battus à mort et pourtant on a perdu. Il ne faut pas cependant en faire une affaire d’état. Le soleil continuera de se lever demain. »\\n\\nSurtout que les Français furent finalement invités au Mondial en Espagne qui, pour la première fois, s’ouvrait à vingt-quatre équipes. Pour vivre une nouvelle tragédie à Saragosse.\\n\\nLa trahison des Espagnols\\n\\nLes voici face à l’Espagne. « La France sera un rival facile », frime la presse espagnole. Bien en jambes en préparation, les Français confirment face au vice-champion olympique et ne cèdent que de quatre points (80-84). Le sélectionneur Antonio Diaz-Miguel décerne des bons points : « je n’ai pas reconnu l’équipe de France », dit-il. « C’est une équipe mature qui a fait preuve d’une bonne sélection dans les shoots, d’une bonne tenue de balle, qui a acquis un véritable sérieux. De plus, les Français ont très bien contrôlé les contre-attaques espagnoles, ce qui nous a énormément gênés. »\\n\\nSeulement, une défaite est une défaite. Et en voici une seconde, toujours face aux Grecs. 87-84. Rageant. Est-ce fichu ? Non, car les Bleus avec un Joby Vestris (2,13m) en super forme rentre dans le lard des Brésiliens. Richard Dacoury parvient même à dérégler la machine infernale Oscar Schmidt qui gaspille ses shoots : 8/23. Score final : France, 93. Brésil, 85.\\n\\nDans une poule à six, c’est toujours un peu compliqué de faire des calculs, mais tout le monde -les joueurs, le coach, les journalistes- est persuadé que c’est tout bon, la France va hériter de la troisième place derrière l’Espagne et la Grèce. Direction Barcelone et le deuxième tour. Il suffit que l’Espagne, à la casa, et qui vient de passer cinquante-cinq points à Panama, batte le Brésil. Une formalité. Sauf que les Espagnols ont la tête ailleurs et les Brésiliens la rage du condamné. Au terme d’un nouveau scénario catastrophe, la victoire des sud-Américains est sans appel, 86-72.\\n\\nLe ciel est tombé sur la tête des Gaulois. Les Français sont les seuls éliminés du premier tour avec plus de victoires que de défaites (3-2). Jean Galle est groggy. « C’est un coup de massue, il faut l’avouer. Ce soir, tout le monde est malheureux. »\\n\\n« Tout le monde n’a pas mouillé le maillot »\\n\\nCoupe du Monde de 2010 en Turquie. France vs. Nouvelle-Zélande. Il y a des jours où tout rentre. C’est ce qu’a dû se dire le meneur Michael Fitchett lorsque son tir à trois-points désarticulé s’est fracassé sur le plexis avant de retomber, presque par erreur, dans le cercle. Des paniers à trois-points, ce 2 septembre 2010, les Néo-Zélandais en transforment QUATORZE sur TRENTE-DEUX tentatives face à des Bleus amorphes. Pero Cameron, qui a davantage un profil de deuxième ligne de rugby que d’intérieur de basket, provoque Alain Koffi, s’enfonce à deux à l’heure dans la peinture française et décoche un tir en crochet rétro qui fait mouche. Kirk Penney, guard de 1,96m et 96kg, passe vingt-cinq points à la France, Mika Vukona, natif des Fidji, quinze.\\n\\nHorreur, en deuxième mi-temps, la bande à Vincent Collet n’a inscrit que cinq points et s’est fait définitivement distancer par ces gens venus de l’autre côté du globe et dont quatre joueurs sont semi-professionnels. « Tout le monde n’a pas mouillé le maillot », accuse Michael Gelabale. Il semblerait que les Français aient été traumatisés juste avant par les Grecs, spécialistes du calcul et des combines, et qui se sont fait battre sciemment par les Russes, 69-73.\\n\\nVingt-quatre heures plutôt, les Français avaient la première place en main, mais les Lituaniens les ont envoyés promener (55-69). Les Néo-Zélandais ne sont plus rattrapables mais les Bleus peuvent encore sauver la troisième place du groupe en perdant de onze points maximum. 74-66 pour la Nouvelle-Zélande, 46 secondes au chrono. Panier à trois-points de Penney et faute de Nicolas Batum en prime. + 11. Yannick Bokolo marque deux lancers. + 9. Les Bleus, et leur fameux manque d’expérience de l’Euroleague, oublient de faire faute. Thomas Abercrombie, vu ensuite à l’Asvel mais qui ne laissera pas de trace en Pro A, shoote, et marque. A trois points, évidemment. + 12. Batum fait une dernière tentative de survie. Gamelle.\\n\\nYannick Bokolo avoue « une grosse erreur, on s’est mis dans de beaux draps. » Vincent Collet parle de « désillusion totale ». L’équipe de France termine quatrième de son groupe, et fait face en quarts-de-finale à la Turquie imprenable chez elle. Défaite 95-77. Bye, bye.\\n\\nLes deux championnats d’Europe suivants et la Coupe du monde de 2014 balaieront cette désagréable sensation que la France ne sait pas gagner les matches qui comptent.\\n\\n*Certains medias font état de 54 points, mais c’est le chiffre retenu par la FFBB.\\n\\nPhoto d’ouverture: Florent Pietrus, France-Turquie’10 (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nCe match contre la Grèce à Equeurdreville, banlieue de Cherbourg, le 21 novembre 1985, fut à la fois magnifique, virevoltant, insoutenable, sans fin et terriblement cruel.\\n\\nLe sélectionneur Jean Galle avait battu le rappel des troupes, re-sélectionnant notamment Eric Beugnot, écarté par son prédécesseur Jean Luent à l’issue des Jeux de Los Angeles. « J’avais quitté l’équipe de France par la petite porte et pendant quinze mois je l’ai eu en travers de la tête. 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Nous nous dirigeons vers la Chine avec un groupe expérimenté, mais un groupe qui sait qu’il a beaucoup de travail à faire, mais ils sont prêts à relever ce défi, » a commenté le coach Paul Henare.\\n\\nL’expérience se présente sous la forme de Tom Abercrombie (troisième Coupe du monde), tandis que Jarrod Kenny, Corey Webster, Tai Webster, Alex Pledger, Rob Loe et Isaac Fotu participent à leur deuxième tournoi mondial.\\n\\nArrières: Shea Ili (Wellington Saints / Melbourne United); Jarrod Kenny (Bay Hawk’s / Cairns Taipans); Tai Webster (Galatasaray); Corey Webster (NZ Breakers); Ethan Rusbatch (Bay Hawks);\\n\\nAiliers: Tom Abercrombie (Wellington Saints / NZ Breakers); Jordan Ngatai (Wellington Saints / NZ Breakers);\\n\\nAiliers forts: Isaac Fotu (Universo Treviso); Finn Delany (Nelson Giants / NZ Breakers);\\n\\nCentres: Alex Pledger (Southland Sharks / Melbourne United); Rob Loe, (Wellington Saints / NZ Breakers); Tohi Smith-Milner (Melbourne United);\\n\\nCoach: Paul Henare" }, {"role": "user", "content":"Le quiz: Vincent Poirier vs. Paul Lacombe" }, {"role": "assistant", "content":"Le Quiz d’aujourd’hui concerne deux tatoués, Vincent Poirier et Paul Lacombe. Votre pronostic?\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro 2021: La Grande-Bretagne dans le groupe de la France" }, {"role": "assistant", "content":"Les quatre dernières équipes qui participeront aux qualifications à l’EuroBasket 2021 sont désormais connues. Il s’agit du Danemark, de la Grande-Bretagne, de la Roumanie et de la Suisse. Ces quatre équipes ont été intégrées à des groupes conformément aux résultats du tirage au sort qui a eu lieu à Munich en juillet.\\n\\nC’est ainsi que la Grande-Bretagne se retrouve affectée au groupe G avec l’Allemagne, la France et le Monténégro. Les Britanniques ont remporté leurs quatre matches contre le Kosovo et le Luxembourg. 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Graffenstaden)FAILLOTEva2003Cercle Jean Macé Bourges BHIRSCHMaia2003CFBB (Roannais BF)KAPINGALeya2003CFBB (Tarbes)KIAVIElyah2003Basket Lattes MontpellierKOMARAHawa2003CJMBourgesLACANLeila2004AS TournefeuilleLE SEYECRosanna2004CFBB (ES Saint-Ave Basket)ROUMYSara2003CFBB (Basket Landes)TRAOREAminata2004Marne-la-Vallée\\n\\nEntraineur : Julien Egloff\\nAssistants : Thomas Gioguitti et Charlène Collette\\n\\nChampionnat d’Europe à Skopje (Macédoine) du 22 au 30 août\\nJeudi 22 août à 21h00 : France-Lituanie\\nVendredi 23 août à 16h30 : Danemark-France\\nSamedi 24 août à 21h00 : France-Allemagne\\nLundi 26 août : Huitièmes de finale\\nMardi 27 août : Quarts de finale\\nJeudi 29 août : Demi-finales\\nVendredi 30 août : Finale\\n\\nPhoto: Eva Faillot (Bourges)" }, {"role": "user", "content":"François Gomez à propos de Tima Pouye (Tarbes): «Son objectif c’est l’équipe de France»" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques jours, à l’Euro U20, où la France a conquis la médaille de bronze, on a énormément vu Tima Pouye (1,75m, née en 1999), qui s’est révélée la meilleure marqueuse (13,1 points) et passeuse des Bleues (2,0) avec aussi l’évaluation numéro 1 (13,1). La combo guard tarbaise n’a pas froid aux yeux, et même quand son adresse générale est quelconque (30,3% sur l’ensemble de la compétition), vous pouvez être certain qu’elle ne va pas se planquer. Son talent a été reconnu par le jury de l’Euro qui l’a retenue dans le 5 all-stars. Nous avons demandé ses impressions à son sujet à son coach au TGB, François Gomez.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nTima Pouye est un peu à part dans les jeunes joueuses Françaises dans le sens qu’elle n’hésite pas à prendre ses responsabilités offensives même quand la réussite n’est pas là. Peut-être a-t-elle eu aussi carte blanche de son coach, Jérôme Fournier ?\\n\\nTima est sorti du Centre Fédéral et va attaquer sa troisième saison au TGB. On a été très heureux de voir qu’elle avait envie de continuer chez nous après ses deux premières années ici. La première année, on l’avait plutôt envisagé comme meneuse de jeu en étant un peu sur le poste 2 et l’année dernière, elle a davantage joué sur le poste 2. Et cette année elle va être utilisée exclusivement sur le poste 2. Son souhait c’est de conserver la double casquette, d’être ce fameux combo, poste 2-1. Elle est un peu en montagnes russes et elle doit stabiliser son niveau. Au championnat d’Europe U20, elle est quand même allée chercher une médaille de bronze en étant la meilleure scoreuse de l’équipe et en étant élue dans le 5 majeur du tournoi. Ça démontre toute la qualité de cette jeune joueuse. Mais donc elle est un peu sur le mode alternatif et il va falloir qu’elle soit maintenant très régulière dans ses performances. Physiquement c’est quelqu’un qui est très solide, techniquement elle peut marquer d’un peu partout même si elle a quelques carences dans les finitions sur les shoots en medium et près du cercle. Elle doit s’affirmer comme une poste 2 à part entière dans notre championnat. Pour ce qui est de sa relation avec le coach et pour avoir regardé l’équipe de France U20, je pense qu’elle avait une carte très, très blanche. Au TGB, comme on fait du développement, il faut aussi laisser les gens avoir une phase d’expression assez importante. Ça a été un peu compliqué l’an dernier car il y avait des gens dans l’effectif qui lui ont croquée cette espace-là et c’est pour cela qu’on a renouvelé l’effectif et différemment.\\n\\nLe fait qu’elle soit décalée en 2, c’est sa volonté et la vôtre ou aussi est-ce dû à l’éclosion de Marine Fauthoux ?\\n\\nMarine va prendre du temps de jeu et on a fait aussi venir une autre internationale, U18, Marie Pardon (NDLR : de Lyon), qui vient d’avoir une médaille de bronze cet été. On va donc avoir deux pures meneuses de jeu, ce ne sont pas des combos. Tima souhaite conserver ce statut de 2-1 mais j’essaye de la convaincre qu’aujourd’hui, au plus haut niveau, des gens qui jouent sur différents postes, il n’y en n’a pas tant que ça. C’est possible pour suppléer des absences mais on a quand même à faire à des spécialistes. Un poste 2 peut effectivement rendre service de temps en temps sur des aspects organisationnels mais j’ai tendance à l’amener sur un poste qui est vraiment le sien de façon à ce qu’elle puisse aller vers le plus haut niveau. Elle a 20 ans et son projet c’est l’équipe de France, une équipe d’Euroleague et je crois qu’elle a tout à fait raison de se fixer de tels objectifs. Elle pourra justement les atteindre sur quelque chose de plus spécifique et pour moi c’est le poste 2.\\n\\nPhoto ouverture: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nTima Pouye est un peu à part dans les jeunes joueuses Françaises dans le sens qu’elle n’hésite pas à prendre ses responsabilités offensives même quand la réussite n’est pas là. 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En raison d’un partenariat avec le 2e Rima, les Manceaux ont effectué aujourd’hui une préparation physique de haut vol !\\n\\nLes anciens, Antoine Eito, Valentin Bigote et Terry Tarpey avaient déjà pu apprécier cette entrée en matière musclée la saison dernière.\\n\\n\\nÇa c’est de la préparation physique ! 💥👀💪 pic.twitter.com/YBDThJJVTg\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) August 21, 2019\\n\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: L’Espagne dévoile son roster définitif" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Sergio Scariolo a annoncé le roster définitif de l’équipe d’Espagne pour la Coupe du monde en écartant Jaime Fernández et Ilimane Diop. 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Le meneur des Toronto Raptors a été opéré au pouce et il n’est pas en mesure de retrouver l’ensemble de ses moyens d’ici la fin du mois.\\n\\nLe forfait du champion NBA 2019 fait suite à celui de Marvin Bagley III, originellement retenu dans la « Select Team », l’équipe chargée de donner la réplique au groupe de pré-sélectionnés, et qui n’a pas accepté de participer à la Coupe du monde comme Gregg Popovich le lui proposait car... ce n’est pas dans ses plans !\\n\\nVoici donc le dernier point sur la situation... Avant les prochains épisodes:\\n\\nHarrison Barnes (Sacramento Kings)\\nJaylen Brown (Boston Celtics)\\nDe’Aaron Fox (Sacramento Kings)\\nJoe Harris (Brooklyn Nets)\\nKyle Kuzma (Los Angeles Lakers)\\nBrook Lopez (Milwaukee Bucks)\\nKhris Middleton (Milwaukee Bucks)\\nDonovan Mitchell (Utah Jazz)\\nMason Plumlee (Denver Nuggets)\\nMarcus Smart (Boston Celtics)\\nJayson Tatum (Boston Celtics)\\nP.J. Tucker (Houston Rockets)\\nMyles Turner (Indiana Pacers)\\nKemba Walker (Boston Celtics)\\nDerrick White (San Antonio Spurs)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie-Serbie: Mantas Kalnietis impressionné par Nikola Jokic" }, {"role": "assistant", "content":"La Serbie a battu la Lituanie à Kaunas (91-95) lors du deuxième match de préparation à la Coupe du monde opposant les deux équipes. Il s’agit de la deuxième victoire des Serbes, la première ayant été obtenue à Belgrade.\\n\\nBogdan Bogdanovic a marqué 27 points et Nikola Jokic en a ajouté 14. Du côté lituanien, Jonas Valanciunas a totalisé 18 points et l’ancien meneur de l’ASVEL, Mantas Kalnietis, 15.\\n\\n« Je dirais qu’il y avait plus de qualité (que le match à Belgrade) car nous avons tout de même marqué beaucoup, mais il y a eu beaucoup d’erreurs en défense », a déclaré Kalnietis. « Ils sont évidemment costauds et difficiles à manoeuvrer. L’attaque s’est déroulée sans heurts, mais il y a certainement beaucoup de choses à améliorer. Nous avons le temps, nous devons continuer à travailler. «\\n\\nMantas Kalnietis a été tout spécialement impressionné par Nikola Jokic (2,13m, 24 ans), le pivot des Denver Nuggets:\\n\\n« Peu de défenseurs en Europe lisent le match comme il le fait, ses passes quand il met la balle au centre rendent les choses si dangereuses. 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Le jeune Argentin Leandro Bolmaro, l’un des plus grands espoirs de l’équipe B, pourrait apporter une aide ponctuelle ou en cas de problème physique de Pangos ou de Ribas. »\\n\\nLe Barça va t-il finalement recruté un meneur remplaçant de classe? Un problème d’argent? Pas vraiment. Une bonne partie du salaire de Heurtel sera prise par une assurance que les différentes sections du club contractent en signant un joueur.\\n\\nPhoto: Barça" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Le Russe Alexey Shved déclare forfait sur blessure" }, {"role": "assistant", "content":"Encore un absent de marque à la Coupe du monde: le meneur russe Alexei Shved (1,98m, 30 ans) n’est pas en mesure de tenir sa place en raison d’une blessure à la cheville gauche. Il est recommandé au joueur d’assurer sa convalescence à travers un programme individuel de quatre semaines.\\n\\nAlexey Shevd est un formidable scoreur, aussi bien au Khimki Moscou qu’avec l’équipe russe et il détient notamment le record de points en carrière en VTB League.\\n\\n« Je ne pouvais même pas penser que je manquerai la Coupe du Monde, » a déclaré le joueur. « Je suis très en colère. J’ai travaillé sur un programme individuel en vacances et au cours des trois dernières semaines à Belgorod. La cheville me gênait avec un effort physique important, mais cela devenait plus facile et je m’attendais à avoir le temps de récupérer à mon arrivée en équipe nationale. 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Passé par l’Espagne, la G-League, Israël, la Turquie, la Russie et le Liban, cet intérieur athlétique va vivre sa première expérience en France.\\n\\nLa saison dernière, Jackie Carmichael compilait en moyenne 11 points et 6,4 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Matthieu Chauvet, coach de Charnay qui monte en LFB: «Il y a des matches qui vont compter double»" }, {"role": "assistant", "content":"Elu Meilleur Entraîneur de Ligue Féminine en 2013 alors qu’il était en poste à Toulouse, Matthieu Chauvet est l’homme qui est à la base de la montée parmi l’élite de l’équipe de Charnay-lès-Mâcon, une commune de 7 300 habitants de la Saône-et-Loire. Interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi on prend votre historique, c’est vraiment une montée progressive que le club a effectuée ?\\n\\nSur les dernières années, oui. Auparavant, il y a quand même eu une longue période au niveau du club sur de la NF1 et de la Ligue 2 avant de redescendre en NF1 lorsque justement j’ai repris les rênes de l’équipe. Après, c’est vrai que tout s’est enchaîné. C’est même un peu surréaliste pour une ville comme Charnay d’avoir pu enchaîner cette descente en NF1 et tout de suite derrière le titre de champion de France de NF1, une demi-finale de playoffs de Ligue 2 puis un titre de champion de France avec une accession en Ligue Féminine. Ce n’était pas dans les projets d’être en Ligue aussi tôt. L’année dernière on s’était vu avec les dirigeants pour voir à quel horizon on pouvait situer la montée en ligue. On était parti sur un dossier 2021. On a donc été plus vite que prévu. Quand il y a de la volonté, des choses qui fonctionnent... et puis modestement je connais très bien le basket féminin et je sais ce qui marche bien sur certaines visions et c’est aussi un atout.\\n\\n1 200 spectateurs pour la finale, un écran géant pour le match à Toulouse, c’est une vraie passion qui existe autour de l’équipe ?\\n\\nC’était archiplein et il a fallu transformer un peu la salle au niveau des places assises pour accueillir ces 1 200 personnes, ce n’était pas du tout prévu. A la base c’est une salle de 950 places et il a fallu demander des autorisations exceptionnelles. Oui, il y a eu un réel engouement, on est à un endroit où les gens aiment le basket. C’est comme partout, dès qu’il y a une équipe qui gagne, un style de jeu qui est plaisant, de l’échange entre ce qui se passe sur le terrain et ce qui se passe dans les tribunes, ça créé de l’engouement. C’est avant tout une belle récompense pour les acteurs du terrain, les joueuses, les dirigeants et moi-même de voir qu’avec tout le travail qui est fourni, le basket qui est présenté, les gens apprécient et viennent de plus en plus nombreux. Quand on discute avec les gens qui viennent au match, ils disent que le basket que l’on a proposé tout au long de la saison est ultra plaisant à regarder, ça les passionne.\\n\\nIl y a une centaine de kilomètres entre Charnay et Chalon, y a-t-il une forme de concurrence, une partie du public qui va voir des matches des deux équipes ?\\n\\nIl y a deux publics, Chalon c’est du basket masculin. Mais les dirigeants de Chalon sont venus et on a été aidé par le président (Dominique) Juillot pour avoir cet objectif de monter, il a fait partie de nos soutiens humains. La concurrence qu’il y a pu avoir pour nous c’est un peu Prissé-Macon qui est le village d’à côté et qui fait du basket masculin (NDLR: l’ESPM est en N2). On se partage parfois les spectateurs mais si on joue en décalage les gens vont voir aussi bien Prissé que Charnay.\\n\\n« Antoine Griezmann est Mâconnais et il est toujours attaché à sa ville »\\n\\nL’international de football Antoine Griezmann est venu au match 3 de la finale contre Toulouse. C’était la première fois ?\\n\\nC’était la première fois et c’était un petit truc en plus pour l’ambiance de cette finale, pour que ce ne soit pas un jour comme les autres. C’est un Mâconnais et il est toujours attaché à sa ville. Il aime le basket et il est habituellement davantage habitué aux salles NBA. Ça a changé un petit peu pour lui ! Deux ou trois personnes ont œuvré pour le faire venir. Reviendra t-il ? Je ne sais pas.\\n\\nSouvent une équipe qui monte est sur sa lancée positive et c’est souvent la deuxième année, celle de la confirmation qui est la plus délicate ?\\n\\nOui mais ça reste de la théorie. On peut surfer sur une forme d’euphorie mais c’est aussi dangereux car justement il ne faut pas se mettre dans la tête le fait que l’on va gagner autant de matches que la saison passée. J’espère qu’il sera le plus court possible mais un enchaînement de défaites risque d’affecter aussi bien les joueuses qu’à un moment donné le public et les dirigeants. Je suis d’accord sur le raisonnement mais si on profite un peu de cette euphorie, on risque d’être vite calmé. Notre premier match à l’Open c’est Montpelier. Ce qui m’intéresse c’est de voir comment on va réagir à ces nouvelles difficultés. Il va falloir travailler dur pour être au niveau.\\n\\nAuparavant, il y avait une ou deux équipes de pointe et cette saison, il y en a quatre ou cinq ?\\n\\nOui, il y a un réel top 5, le championnat est très dense. J’ai connu la Ligue Féminine il y a quelques années à Toulouse et je l’ai revu l’an passé notamment à l’Open et sur les finales à Lyon, ce n’est plus du tout le même niveau de jeu. Il y a eu une progression notamment dans l’intensité physique, de jeu. Il va falloir en effet batailler contre pas mal d’équipes et pas seulement deux épouvantails. Et puis avec cette formule de playdowns, au cas où, il y a des matches qui vont compter double. L’exploit contre un gros c’est bien, ça fait plaisir sur le moment mais ça ne fait pas beaucoup plus avancer dans le championnat. C’est évident qu’il vaut mieux gagner contre des équipes qui seront à la lutte avec nous.\\n\\n« Laétitia (Guapo) est une très bonne joueuse de 3×3 mais elle montrera qu’elle est aussi une très bonne joueuse de 5×5 »\\n\\nPour faire venir Pauline Lithard, vous avez prospecté dès le début de l’année ou attendu que les grosses cylindrées se servent ?\\n\\nDès que l’on a su que Mélanie Devaux que l’on souhaitait conserver partait pour raisons personnelles, la priorité a été de se mettre en quête d’une meneuse titulaire qui pouvait aussi bien jouer en Ligue qu’en Ligue 2. Ça s’est fait très tôt avec des premières discussions en janvier ou février. On n’a pas attendu que les gros disent, on garde, on ne garde pas. Je ne peux pas concevoir mon basket sans une très bonne meneuse.\\n\\nPour les étrangères, vous avez pris deux jeunes Américaines, une déjà expérimentée, Jade Johnson-Walker, et une qui sort de fac, Jordan Moore ?\\n\\nC’est plus facile de cibler des joueuses qui n’ont pas une grosse expérience européenne, elles coûtent mois cher. Je regarde d’abord les profils et après on parle argent. Et même si ce sera une rookie dans le championnat, j’ai trouvé celui de Jordan Moore athlétique, très intéressant. On verra si elle s’adapte au championnat français. Jade Johnson-Walker a deux saisons en Grèce et a connu l’Eurocup, c’est intéressant aussi. Ce sont aussi deux joueuses qui collent totalement à notre budget donc ça tombe bien. On n’a pas les moyens dans l’immédiat de se payer des joueuses de l’équipe de France ou de WNBA. Le vécu, l’expérience c’est important mais c’est surtout l’alchimie entre les joueuses qui va être déterminante.\\n\\nLaétitia Guapo est l’une des meilleures joueuses de 3×3 au monde, actuellement quatrième du ranking FIBA. C’est positif cette pratique pour le 5×5 ?\\n\\nElle m’a dit qu’elle se sent en pleine forme, qu’elle est encore un cran au-dessus. J’ai vu certains de ces matches, il y a beaucoup d’intensité physique. C’est un jeu très rapide, qui marche beaucoup à l’instinct. C’est une belle pratique complémentaire du 5×5 et ça ne peut qu’augmenter les qualités des joueuses. J’espère juste qu’elle ne sera pas trop fatiguée. Laétitia est une très bonne joueuse de 3×3 mais elle montrera qu’elle est aussi une très bonne joueuse de 5×5.\\n\\nPhoto d’ouverture: Dominique Martin (Charnay)\\n\\n[armelse]\\n\\nSi on prend votre historique, c’est vraiment une montée progressive que le club a effectuée ?\\n\\nSur les dernières années, oui. Auparavant, il y a quand même eu une longue période au niveau du club sur de la NF1 et de la Ligue 2 avant de redescendre en NF1 lorsque justement j’ai repris les rênes de l’équipe. Après, c’est vrai que tout s’est enchaîné. C’est même un peu surréaliste pour une ville comme Charnay d’avoir pu enchaîner cette descente en NF1 et tout de suite derrière le titre de champion de France de NF1, une demi-finale de playoffs de Ligue 2 puis un titre de champion de France avec une accession en Ligue Féminine. Ce n’était pas dans les projets d’être en Ligue aussi tôt. L’année dernière on s’était vu avec les dirigeants pour voir à quel horizon on pouvait situer la montée en ligue. On était parti sur un dossier 2021. On a donc été plus vite que prévu. 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Ca, ce sont les chiffres de Victor Wembanyama en trois matches et trois victoires à l’Euro U16. Il y a aussi la fantastique impression de facilité qui se dégage de cet albatros, son agilité, sa fluidité, sa faculté à courir en transition, à faire des passes avec rebond en course et des alley-oop.\\n\\nUn albatros de 2,18m de haut et de 2,31m d’envergure qui a eu 15 ans le 14 janvier et devant qui il est absolument impossible de marquer. Il chasse tous les ballons sous le cercle et il est aussi capable de monter sur un shooteur à trois-points pour détourner le tir. Le garnement.\\n\\nNe cherchez pas de comparaison en Europe, ni avec Rudy Gobert au même âge, ni avec Alexis Ajinça. D’ailleurs cette équipe de France est totalement atypique avec deux autres big men -Naoll Balfournier à 2,15m et Maxime Raynaud à 2,12m- et sept joueurs à 2 mètres et davantage. A t-il fini de grandir? « Il ne sait pas, » a t-il répondu au site de la FIBA.\\n\\nSon nom et son profil sont désormais connus dans toute l’Europe et au-delà des mers. Comment vit-il ça dans ce corps immensément long avec tout au bout une petite bouille d’adolescent?\\n\\n« Je ne me concentre pas sur les remarques des gens et sur ce que les gens disent de moi. Je dois me concentrer sur mon jeu et sur rien d’autre pour améliorer ma progression », déclare t-il. « Je pense que les gens, qui ne m’ont même jamais vu jouer, se concentrent sur moi et écrivent des choses sur moi. Je suis très grand, ça leur suffit pour dire que je suis un projet. »\\n\\nVictor est issu d’une famille de sportifs et sa soeur aînée Eve, ailière d’1,83m à l’ASVEL, a été championne d’Europe U16 il y a deux ans.\\n\\n« Je n’ai pas toujours joué officiellement au basket-ball, mais j’ai toujours eu un ballon chez moi. 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L’arrière Bria Hartley a cumulé 17 points (4/8 à trois-points), 6 rebonds et 4 passes en 33′.\\n\\nLe Liberty a été cependant largement défait par le Storm, 69-84, où deux joueuses de Ligue Féminine se sont illustrées. L’Américaine de Lyon Alysha Clark a réalisé un parfait 7/7 aux tirs pour 21 points alors que l’Australo-Américaine de Montpellier Sami Whitcomb a marqué 18 points (7/11) et fait 4 passes.\\n\\n« C’est vraiment agréable de jouer dans une aréna comme celle-ci. Je pense qu’au niveau professionnel, c’est à quoi devrait ressembler une arèna. Les fans sont impatients d’arriver ici, désireux de nous soutenir, alors vous souhaitez continuer de la sorte dans le futur, » a déclaré Bria Hartley.\\n\\nLe Liberty évolue habituellement au Westchester County Center, une salle de 5 000 places.\\n\\n\\n17 points for @Breezyyy14, including 4 3PM! 🗽 pic.twitter.com/zFTJDHQESE\\n\\n— New York Liberty (@nyliberty) August 11, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: Le titre à l’Italie, Tima Pouye dans le 5 All-Stars" }, {"role": "assistant", "content":"L’Italie a été couronnée championne d’Europe U20 féminine après sa victoire sur la Russie en finale, 70-67. Constanza Verona a été dominatrice avec 25 points (10/15 aux tirs), 7 rebonds et 4 passes. C’est la preuve de la bonne santé du basket féminin italien après le triomphe des U18 à Sarajevo.\\n\\nAprès sa victoire sur la Belgique, la France a récolté la médaille de bronze.\\n\\nSara Madera (1,86m, pivot) a été élue MVP du tournoi et elle prend place dans le 5 All-Stars avec sa compatriote Constanza Verona (1,70m, ailière), la Russe Valentina Kozhukhar (1,88m, pivot), la Française Tima Pouye (1,75m, arrière) et la Belge Billie Massey (1,86m, pivot).\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 82 médailles pour les pré-sélectionnés espagnols à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le basket international, les Espagnols sont incontestablement les plus médaillés. Leur fédération a calculé qu’au cumulé des 16 pré-sélectionnés pour la Coupe du monde, on atteint le chiffre de 82 médailles: 27 sont en or, 16 en argent et 39 en bronze. La razzia dans les compétitions de jeune explique évidemment ce phénomène.\\n\\nLe numéro un avec 10 médailles est Rudy Fernandez, 34 ans, qui fut médaillé de bronze au champion d’Europe cadet en 2001 et qui a toujours été par la suite des bons coups chez les séniors !\\n\\nA titre de comparaison, Boris Diaw en a collectionné 7 et Tony Parker 5.\\n\\n10Rudy FernandezBronzeEuro européen 2001OrCoupe du monde 2006ArgentEurobasket 2007ArgentJeux olympiques 2008OrEurobasket 2009OrEurobasket 2011ArgentJeux olympiques 2012BronzeEurobasket 2013OrEurobasket 2015BronzeJeux olympiques 2016" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL: Le tournoi de Lyon des Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"Suite de la préparation de l’équipe de France cette semaine avec le tournoi de Lyon.\\n\\nJeudi 15 août:\\n\\n20h30 – Préparation CM – France/Monténégro – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 16 août:\\n\\n20h30 – Préparation CM – France/Brésil – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 17 août:\\n\\n20h30 – Préparation CM – France/Argentine – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Frank Ntilikina (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: La France s’offre une médaille de bronze" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré une première mi-temps pathétique au niveau de l’adresse, l’équipe de France a vaincu la Belgique (50-34) et remporté le bronze à l’Euro U20. La 10e médaille dans la catégorie depuis 2000 et la première depuis 2015. En difficulté depuis quelque temps et notamment face à l’Italie en demi-finale, la Tarbaise Tima Pouye (18 points à... 6/20, 9 rebonds) est sortie de sa boîte au bon moment mais c’est au final la sobre et efficace Emmanuelle Tahane (8 points, 14 rebonds, 22 d’évaluation) qui a pesé le plus fort dans cette victoire.\\n\\nL’équipe de France a encore raté beaucoup de paniers « faciles » dans le premier quart-temps mais imposait peu à peu sa puissance et possédait six points d’avantage après dix minutes (15-9), ce qui ne traduisait qu’imparfaitement le 23-7 à l’évaluation.\\n\\nLes Bleuettes faisaient vivre l’enfer aux Belges dans la peinture. Billie Massey élue dans le meilleur 5 du championnat du monde U19 il y a quelques jours dégustait comme les autres (0/6 aux tirs) mais en captant tout de même 10 rebonds.\\n\\nSeulement, la maladresse des Françaises était crispante, affligeante, désespérante. Digne des pires bloopers. On eut droit par exemple à deux airballs de suite. C’est ainsi que la France n’eut pendant 9’30 qu’un seul point marqué sur lancer-franc. Merci à Tima Pouye d’avoir inscrit un trois-points sur la dernière attaque française (après 6 échecs), on n’y croyait plus. Voici pourquoi les deux équipes retournèrent aux vestiaires sur un score de benjamines départementales (19-17) avec un 6/35 aux shoots pour les Bleuettes. Soit 17,1%. Avec 24,1%, les Belges faisaient donc beaucoup mieux...\\n\\nLe coup de chaud de Tima Pouye\\n\\nSans une défense en acier, il y a longtemps que l’équipe de France aurait coulé au fond de l’océan. Après trois minutes de disette, il s’est passé un évènement: les Françaises ont mis sans un seul raté 7 points de suite ! C’est sûr que Tima Pouye -pas plus que son coach Jérôme Fournier- ne perdait pas confiance en elle. Sur quatre coups de patte et deux lancers, elle donnait à la France un bon gros bol d’air (41-24, 32e). Les Belges n’avaient plus de gaz et étaient définitivement hors course.\\n\\nUn chiffre à assumer en commun: le 8/46 à trois-points...\\n\\nLes stats d’Emmanuelle Tahane sur le tournoi: 9,4 points à 64,9% de réussite, 8,3 rebonds pour 16,4 d’évaluation en 25′ de moyenne.\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Brittney Griner au centre du grosse bagarre en WNBA" }, {"role": "assistant", "content":"Brittney Griner, Diana Taurasi, Kristine Anigwe, Kaela Davis, Briann January et Kayla Thornton ont toutes été renvoyées aux vestiaires suite à une bagarre intervenue lors du match Phoenix Mercury vs Dallas Wings.\\n\\nLe conflit a commencé avec un jeu physique dans la peinture d’Anigwe sur Griner. Cela incita Griner à des représailles qui s’intensifièrent rapidement. L’internationale américaine a dû être retenue par plusieurs personnes après avoir pourchassé Anigwe. Taurasi, qui n’a pas participé au match suite à une blessure, a immédiatement sauté du banc pour aider Griner. Elle a commenté ensuite qu’elle est venue défendre sa coéquipière et qu’elle le referait 100 fois sur 100.\\n\\nLes Wings vaincu le Mercury 80-77.\\n\\n\\nThat girl didn’t want Brittney Griner’s smoke. She took off running. 😂😂\\n\\npic.twitter.com/S8SRAIaSam\\n\\n— Yea...IDK 🤷🏽\u200d♀️ (@NCbae79) August 11, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U16: La France sort indemne du piège grec, 59-54" }, {"role": "assistant", "content":"Très probablement fatigués par leur magnifique prestation d’hier soir face aux Serbes, les Français ont longtemps joué cet après-midi à un rythme bien moins élevé, laissant les Grecs croirent en leur étoile. Un temps ménagé, Victor Wembanyama (2,18m, 15 ans, 8 points, 5 rebonds, 5 contres, 2 interceptions en un peu plus de 18′) a insufflé une grosse dose de confiance dans le money time que les Bleuets ont bien négocié, 59-54.\\n\\nLe huitième de finale est programmé pour mardi sans doute contre l’Estonie.\\n\\nL’équipe de France a débuté le match en jouant « petit », c’est à dire sans un seul de ses trois big men et est restée trois bonnes minutes sans marquer. Gênés par la press tout terrain des Grecs, les Bleuets vont d’ailleurs être chiche en points: 5 en 7 minutes. Et seulement 11 au bout du quart-temps contre 12 aux Grecs.\\n\\nLeur maladresse empêchait les Français de profiter de leur avantage en taille. Victor Wembanyama fit son apparition après 14 minutes de jeu mais n’eut pas d’impact offensif et la cote d’alerte était atteinte car les Grecs savaient mettre quelques tirs extérieurs pour se dégager (13-22). Oui, deux points de totalisé en 8 minutes pour les garçons de Bernard Faure ! Un écart un peu revu à la baisse à la mi-temps (19-25) mais le 7/27 aux tirs et aussi les 9 balles perdues faisaient tâches.\\n\\nLes Français mettaient ensuite davantage d’énergie mais la finition était toujours défectueuse sinon pour Hugo Mienandi (9 points à 4/5, 5 rebonds) et les Grecs naviguaient à 6-10 points devant (32-38, 30e).\\n\\nLeur impact physique commençait à porter ses fruits -surtout avec Wembanyama avec qui c’est IMPOSSIBLE de scorer sous le cercle- et les Bleuets passaient pour la première fois en tête à 5 minutes de la fin, 43-42.\\n\\nUn trois-points de Thomas Llaury, un 2+1 de Yohan Traore (meilleur marqueur de l’après-midi avec 13 points), un stop et deux lancers de Llaury et l’affaire -c’est à dire la première place du groupe qui offre en principe un tableau un peu plus aisé- était dans le sac.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Adama-Alpha Bal, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le sniper Ron Lewis (ex-Fos) à Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Le SLUC Nancy fait appel à l’arrière-ailier américain Ron Lewis (1,93m, 35 ans), déjà vu en France ces 4 dernières années, successivement à Rouen, Pau-Orthez, Le Havre et Fos-sur-Mer.\\n\\n« Le sniper américain, qui est un véritable joueur d’expérience, est reconnu pour son adresse à 3-points à près de 40% mais pas que. Il sait attaquer le cercle et défendre. C’est un joueur ployvalent, qui sait, chaque saison, marquer les esprits, » écrit le SLUC sur son site internet.\\n\\nRon Lewis a assuré 15,3 points, 3,5 rebonds et 3,4 passes pour 13,2 d’évaluation de moyenne lors de la saison 2019-2020 à Fos.\\n\\n« Ron Lewis est un joueur qui depuis de nombreuses années s’impose dans la LNB. Ron correspond au profil recherché par Christian Monschau. Nous sommes heureux d’accueillir un joueur polyvalent et très agressif vers le cercle, » commente le directeur sportif, Sylvain Lautié.\\n\\nLe coach Christian Monschau précise:\\n\\n« Lewis est un joueur habitué de la Pro A, qui avait d’ailleurs joué les Playoffs avec Pau. C’est gros scoreur, un des tout meilleurs l’an passé en Jeep Elite avec Fos. C’est un joueur complet avec un gros volume de tirs à 3-pts. Il sait également pénétrer pour s’offrir des lancers-francs. C’est un créateur pour les autres avec un fort QI basket qui lui permet de bien s’impliquer dans une défense collective. C’est une excellente opération pour le SLUC. »\\n\\nSon parcours:\\n\\n2007-2008 : Leuven (Bel) 2013-2014 : Brindisi (Ita)\\n2008-2009 : Nahariya (Isr) 2014-2015 : Torino (Ita)\\n2009-2010 : Nymburk (R.Tch) 2015-2016 : Rouen (Jeep Elite)\\n2010-2011 : Mons Hainaut (Bel) 2016-2017: Pau-Orthez (Jeep Elite)\\n2011-2012 : Hapoel Holon (Isr) 2017-2018 : Le Havre (Pro B)\\n2012-2013: Antalya (Tur) 2018-2019 : Fos-sur-Mer (Jeep Elite)\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Clarissa Dos Santos (ASVEL) et le Brésil remportent les Jeux Panaméricains" }, {"role": "assistant", "content":"Le Brésil a remporté les Jeux Panaméricains à Lima en battant en finale une équipe des Etats-Unis par 79 à 73.\\n\\nTanina Da Paixao (24 points), Raphaella Monteiro (12 points) et la pivot de l’ASVEL Clarissa Dos Santos (12 points plus 3 rebonds) ont été les meilleures marqueuses brésiliennes alors que les Américaines étaient très dépendantes de leur pivot Beatrice Mompremier (16 points, 12 rebonds). C’est dans le dernier quart-temps que les Brésiliennes ont fait la différence, 24-20.\\n\\nCe succès brésilien est à relativiser dans le sens que les Etats-Unis étaient représentés par des joueuses universitaires. Beatrice Mompremier porte ainsi habituellement le maillot de l’université de Miami. Son patronyme s’explique par ses origines haïtiennes." }, {"role": "user", "content":"Serbie: Blessé, Milos Teodosic va manquer la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"La nouvelle est cruelle pour l’équipe de Serbie et pour tout ceux qui souhaitaient le voir à l’oeuvre à la Coupe du monde: Milos Teodosic (1,96m, 32 ans) déclare forfait pour la Chine.\\n\\nC’est Eurohoops qui est détenteur du scoop après avoir eu l’information auprès des médecins de l’équipe nationale serbe. L’ancien meneur des Los Angeles Clippers a quitté le terrain inopinément hier lors du match face à la Lituanie à Belgrade en se plaignant de douleurs au pied. Son coach Sasha Djordjevic avait ensuite exprimé ses craintes en conférence de presse et les examens médicaux les ont malheureusement confirmées." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Mathias Lessort, Amath Mbaye et Timothé Luwawu-Cabarrot au Blind Test" }, {"role": "assistant", "content":"Mathias Lessort, Amath Mbaye et Timothé Luwawu-Cabarrot s’affrontent au Blind Test et... ils sont calés!" }, {"role": "user", "content":"Les highlights du phénomène Victor Wembanyama, 2,18m, 15 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Vous voulez apprendre à connaître le nouveau phénomène du basket français (et européen), Victor Wembanyama, 2,18m, qui n’a que 15 ans. Voici ses highlights lors du match de l’Euro U16 face à la Serbie. Ses stats: 11 points à 6/10 aux tirs, 10 rebonds, 7 contres et 3 interceptions.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Joe Ingles: «Jouer pour l’Australie est la raison qui m’a poussé à commencer le basket»" }, {"role": "assistant", "content":"Possible adversaire de la France lors du deuxième tour de la Coupe du monde, l’Australie est considérée comme un postulant pour une médaille même si sa star des Philadephia Sixers Ben Simmons a déclaré forfait. Aux Jeux de Rio, les Boomers avaient atteint les demi-finales mais perdu les deux matches suivants échouant ainsi dans la quête d’une médaille, ce qui a laissé un goût amer dans la bouche de Joe Ingles, l’arrière-ailier des Utah Jazz, comme il l’a confié au site de la FIBA.\\n\\n« Perdre le match pour la 3e place a vraiment été frustrant. Nous n’avions jamais été aussi proche durant toutes ces années. Il s’agira de faire mieux cet été. Cela va être excitant. Nous pourrons compter sur nos fans et j’espère que nous serons les premiers Boomers à rentrer au pays avec une médaille autour du cou. »\\n\\nMême s’ils sont dans le « groupe de la mort » avec le Canada, la Lituanie et le Sénégal, les Australiens croient dans leur étoile:\\n\\n« Avec l’équipe que nous avons – que nous aurons – nous nous rendons en Chine avec confiance. Nous croyons en nous. Même lors des deux derniers tournois auxquels nous avons participé, nous étions tout près, » dit Ingles, qui ajoute: « pour moi et pour mon équipe, quand nous jouons pour notre pays, c’est une très grande fierté. Nous ne représentons pas juste une personne, nous représentons 23 millions de personnes, ou peut-être même plus actuellement. Nous savons que les gens nous suivent, sur place ou depuis chez eux, et vous le ressentez bien. Jouer pour l’Australie est la raison qui m’a poussé à commencer le basket. En grandissant, j’ai toujours voulu représenter l’Australie. C’est tout ce que je voulais. La NBA, et même le basket pro en Australie, me paraissaient alors bien loin à l’époque. Je suivais les matchs de l’Australie aux JO et à la Coupe du Monde, c’est ce que nous regardions en Australie. La première fois que j’ai enfilé ce maillot a été un moment très spécial. »\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=LO2gRnDomYI" }, {"role": "user", "content":"Chine: Michael Beasley aurait refusé une offre de 5 millions de dollars" }, {"role": "assistant", "content":"Selon l’insider Jeff Goodman, l’ailier Michael Beasley (2,06m, 30 ans) aurait reçu d’une équipe chinoise une offre de cinq millions de dollars pour la prochaine saison. Mais il ne l’aurait finalement pas accepté...\\n\\nMichael Beasley compte 609 matches NBA à son actif pour sept équipes et en onze saisons pour 12,4 points en moyenne. Il a déjà joué dans la ligue chinoise de 2014 à 2016 plus cinq matches la saison dernière pour les Guangdong Dongguan.\\n\\nJeudi, Michael Beasley été suspendu pour cinq matches par la NBA pour avoir enfreint sa politique antidrogue, en fait il avait été contrôlé positif à la marijuana. Une sanction qui ne s’appliquera pas s’il va en Chine.\\n\\nMais un autre insider Shams Charania annonce que l’ancien n°2 de la Draft 2008 va finalement s’engager avec les Detroit Pistons pour 2,6M€." }, {"role": "user", "content":"18 150 spectateurs à Belgrade pour voir la Serbie s’imposer à la Lituanie" }, {"role": "assistant", "content":"Impressionnant: 18 150 spectateurs ont investi hier soir la Stark Arena de Belgrade pour voir la Serbie s’imposer 72 à 68 à la Lituanie dans un match de préparation.\\n\\nLes deux joueurs des Sacramento Kings, Bogdan Bogdanovic et Nemanja Bjelica ont été les deux meilleurs marqueurs serbes avec respectivement 18 et 15 points. Pour son retour en équipe nationale depuis les JO de Rio, Nikola Jokic a ajouté 13 points. Marius Grigonis (18 points) et Mindaugas Kuzminskas (12 points) ont été les scoreurs numéro 1 de la sélection lituanienne.\\n\\n« Je pense que cette affluence est une grande victoire pour nous tous qui vivons du basketball. C’était une belle image. Un grand merci à tous ceux qui sont venus à l’aréna. C’est une chose fantastique pour les joueurs. L’atmosphère a influencé les joueurs, peu importe leur expérience », a commenté le coach Aleksandar Djordjevic.\\n\\nIl y a toutefois une mauvaise nouvelle pour les Serbes qui est ressortie de la soirée: Milos Teodosic a dû regagner le banc suite à une blessure au pied et Djordjevic s’est dit inquiet." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Décès de l’ancien international Chicho Sibilio" }, {"role": "assistant", "content":"Il fut l’un des joueurs emblématiques du basket espagnol, du FC Barcelone et de l’équipe nationale, des années 80. Chicho Sibilio est décédé hier à l’âge de 60 ans.\\n\\nL’ailier dominicain naturalisé espagnol avait été finaliste de l’Euro de 1983 en France, vainqueur de la Coupe Korac en 1987 contre Limoges, 5 fois champion d’Espagne et 8 fois vainqueur de la Coupe du Roi.\\n\\n\\nMuy triste por el fallecimiento de un mito del baloncesto, un referente del @BaloncestoESP y el @FCBbasket que marcó a las generaciones posteriores y que hizo grande a nuestro deporte. Descansa en paz, Chicho 🙏 pic.twitter.com/2WBOtTR49b\\n\\n— Pau Gasol (@paugasol) August 10, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Rétro Coupe du monde – 1963 : Les hommes de Rio" }, {"role": "assistant", "content":"La France s’attribua une superbe 5e place à Rio, dans une ambiance de folie pure. Meilleur Français du tournoi, Maxime Dorigo s’en souvient encore avec émotion.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPas de Mondial aux Philippines en 1962 car le gouvernement refusa de délivrer des visas aux joueurs et officiels des pays socialistes. C’est donc pour le Brésil qu’embarque la délégation française après avoir posé sur la passerelle de l’aérogare d’Orly avec le chanteur Gilbert Bécaud. Un périple de 27 000 km les attend, sur sept appareils différents, et des visites à Rio, Belo Horizonte, Port of Spain, La Barbade, Fort-de-France et Point-à-Pitre.\\n\\nSur place, les basketteurs sont dans l’hôtel voisin où séjourne Jean Paul Belmondo, qui tourne l’Homme de Rio avec Françoise Dorléac. L’acteur réalise lui-même toutes les cascades sans protection, notamment en passant d’une chambre à l’autre en empruntant le bord de la façade de l’hôtel qui donne sur Copacabana. A ce sujet, Maxime Dorigo nous livre une anecdote : « Notre masseur, Jean-Paul Serini, s’occupait par ailleurs de Paul Belmondo, le sculpteur, le père de Bébél. C’est comme ça que j’ai fait sa connaissance. Un jour, il me dit : je tourne toute la journée en haut du gratte-ciel et, comme un con, je me fais une entorse en traversant la route pour aller à la plage. »\\n\\nL’équipe de France est amputée de Jean-Paul Beugnot, son pivot, et de Philippe Baillet. La préparation a été sommaire avec, avant de partir, seulement trois tests contre l’URSS. Bernard Mayeur et Henri Grange se blessent et ne disputent que quatre matches alors que Jean Degros est terriblement décevant. Et pourtant la France va s’offrir une belle cinquième place. Une performance qui ne sera jamais égalée avant la médaille d’argent olympique à Sydney, 37 ans plus tard !\\n\\nChristian Baltzer qui a excellé dans les « récupérations » (en d’autres termes, le rebond), Michel Rat, Jean-Baptiste Ré, Jean-Claude Lefèbvre et ses 2,18 m – « Délivré de certains complexes, adopté entièrement par ses camarades, volontaire et adroit, l’Antibois est classé parmi les meilleurs joueurs du tournoi », note le coach Robert Busnel – et Alain Gilles – « qui est déjà à 18 ans un authentique champion » – ont vaincu l’adversité. Ils ont été aussi propulsés par un Max Dorigo qui a été tout simplement époustouflant.\\n\\n« On n’avait rien à perdre », se rappelle Max. « Comme les Japonais à la Coupe du monde de foot qui courent partout sur le gazon, on s’était battu comme des chiens. Après le dernier match contre la Yougoslavie, j’ai quitté la salle comme un automate. Je m’étais complètement défoncé, j’étais en coton, vidé. Et à l’époque, on ne prenait pas de tétine (sic), rien, on était sur nos ressources propres. On m’a ramené à l’hôtel, on a mis le panneau « ne pas déranger » à l’entrée de ma chambre, en vérifiant que je n’étais pas mort, et j’ai dormi pendant 24 heures, sans manger et sans boire ! »\\n\\n« Que pensez-vous de Brigitte Bardot » ?\\n\\nMaxime Dorigo, 1,92m, 27 ans, reconnaissable à sa petite moustache et son manque de cheveux, sociétaire de l’Alsace de Bagnolet, frère aîné de Laurent, doté d’un shoot extérieur meurtrier à deux mains, qui partait au-dessus de la tête, voilà ce que l’on savait du basketteur. Mais Max avait une double vie. Avec deux collaborateurs, il était artisan-couturier, à Paris, dans le XXe. Une profession exercée dans le but de pouvoir se libérer pour l’équipe de France, même si Max devait déclarer forfait pour la majorité des matches amicaux, et qu’il n’a jamais honoré, par manque de disponibilité, ses trois sélections dans l’équipe d’Europe.\\n\\nUn jour, pour un match contre l’URSS à Tours, il n’arriva qu’à une demi-heure de l’entre-deux et, une fois douché, il repartit illico à Paris pour être d’attaque dans son atelier dès cinq heures du matin. Le Simmental de Milan voulait profiter de ses racines italiennes et lui offrit trois ans de contrat et la possibilité d’ouvrir dans la citée lombarde un magasin de prêt-à-porter. Il refusa. « Qu’est-ce j’avais dans la tête à l’époque ? », rigole-t-il. À la fin de sa carrière sportive, il deviendra pendant 25 ans directeur commercial chez Adidas.\\n\\nÀ ce Mondial brésilien, le grand Max a la main en feu. Il a pu se consacrer à fond au basket et aux soins pendant un mois et il n’a jamais été aussi en forme. Avec 16,8 points en moyenne, il va terminer 4e marqueur du tournoi derrière le Péruvien Enrique Duarte, le Soviétique Alexander Petrov et le Yougoslave Radivoj Korac. Il en met 28 contre Porto Rico. « La moitié de mes paniers venaient d’au-delà de 6,25 m alors que la ligne à trois-points n’existait pas ! » Max Dorigo est élu dans le « Cinq idéal » du tournoi. Avec deux équipiers, il est invité à dîner par le consul de France et interviewé par les télévisions et radios brésiliennes qui lui demandent son avis sur la star planétaire française... Brigitte Bardot.\\n\\nHystérie collective\\n\\nMax et tous ceux qui ont ferraillé durant ce championnat du monde se souviennent de l’équipe du Brésil, qui sera cousue d’or, et de l’ambiance extraordinaire au Maracanazinho. « Leur cinq majeur aurait eu sans soucis sa place en NBA », assure-t-il. Wlamir Marques et Amaury Pasos sont entrés en ce mois de mai au Panthéon du sport brésilien.\\n\\nTous les observateurs sont formels, plus de 40.000 spectateurs avaient pris place dans l’enceinte pour les matches du Brésil. « Toutes les écoles de samba de Rio avaient investi le dernier étage et, à chaque fois qu’un Brésilien prenait le ballon, ils faisaient tous tou... tou... toum... Et quand il tirait, babababababa... De la folie complète ! »\\n\\n« 40.000 personnes rivalisaient d’ardeur, d’initiatives, de fantaisies, d’extravagance », écrivit à son retour, dans un style emphatique, Robert Busnel, « pour faire le plus de bruit possible en agitant frénétiquement les objets les plus divers : drapeaux, lampions lumineux aux couleurs nationales, mouchoirs comme aux corridas madrilènes, et même chemises balancées comme des fanions. » Le tout sur des airs de samba, de bossa nova, en hurlant, en sifflant, en crachant et en jetant des pétards !\\n\\nBusnel raconte que, pour immortaliser les héros, une centaine de photographes se jetèrent sur eux, qu’un mètre d’épaisseur de serpentins (!) recouvrit le sol – la cérémonie de clôture fut ainsi annulée – et que l’hystérie collective au Maracanazinho dura une bonne heure. Claude Lambert de France Soir ajouta : « Dans la tribune de presse, nous sommes cinq journalistes français stupéfiés, bouleversés par le spectacle. Des sambas résonnent un peu partout dans les rues de Rio. Nous sommes pris par cette ambiance. On nous embrasse. Nous dansons aussi comme si cette victoire nous concernait. Ce jour-là, des centaines de milliers de Cariocas ont passé une nuit blanche. »\\n\\nDu jamais vu, jura Busnel qui avait déjà tout vu.\\n\\n[armelse]\\n\\nPas de Mondial aux Philippines en 1962 car le gouvernement refusa de délivrer des visas aux joueurs et officiels des pays socialistes. C’est donc pour le Brésil qu’embarque la délégation française après avoir posé sur la passerelle de l’aérogare d’Orly avec le chanteur Gilbert Bécaud. Un périple de 27 000 km les attend, sur sept appareils différents, et des visites à Rio, Belo Horizonte, Port of Spain, La Barbade, Fort-de-France et Point-à-Pitre.\\n\\nSur place, les basketteurs sont dans l’hôtel voisin où séjourne Jean Paul Belmondo, qui tourne l’Homme de Rio avec Françoise Dorléac. L’acteur réalise lui-même toutes les cascades sans protection, notamment en passant d’une chambre à l’autre en empruntant le bord de la façade de l’hôtel qui donne sur Copacabana. A ce sujet, Maxime Dorigo nous livre une anecdote : « Notre masseur, Jean-Paul Serini, s’occupait par ailleurs de Paul Belmondo, le sculpteur, le père de Bébél. C’est comme ça que j’ai fait sa connaissance. Un jour, il me dit : je tourne toute la journée en haut du gratte-ciel et, comme un con, je me fais une entorse en traversant la route pour aller à la plage. »\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\nArticle paru dans BasketNews en juillet 2010\\n\\nPhoto d’ouverture: L’équipe de France en partance pour Rio pose avec le chanteur Gilbert Bécaud (Le Musée du Basket); Le 5 Majeur de l’équipe du Brésil." }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: La France est tombée sur un os italien, 43-56" }, {"role": "assistant", "content":"Faute à un jeu offensif trop monocorde lourdement pénalisé par la défaillance de sa combo guard Tima Pouye (2/19 aux shoots dont 0/11 à trois-points), la France a chuté ce soir en demi-finale de l’Euro U20 face à l’Italie. Elle a encaissé un terrible 0-14 dans le money time.\\n\\nLes Françaises joueront demain les Belges pour la médaille de bronze et les les Italiennes seront face aux Russes pour l’or.\\n\\nOn a tout de suite compris que les Italiennes étaient d’un tout autre calibre que les précédents adversaires des Bleuettes surtout défensivement. Les Françaises étaient menées 10-12 au bout du premier quart-temps pénalisées par leur adresse défectueuse (26,3%) dont un 1/9 pour Tima Pouye.\\n\\nAlors que les Françaises butaient invariablement sur la défense italienne, leurs adversaires alternaient jeu extérieur et intérieur pour se dégager au score (12-20, 13e). Les 2,01m de Serena Manala (5 points et 8 rebonds sur ses 10 premières minutes de jeu) permettait de mettre quelque peu de l’ordre à l’intérieur mais ce n’était pas commode de dérégler le bel ordonnancement italien. La France avait encore cinq points de retard à la mi-temps (22-27).\\n\\nLes Bleuettes s’en remettaient beaucoup trop à Tima Pouye qui déjouait en attaque et la faillite générale à trois-points (2/15 !) était un handicap lourd à combler. Et pourtant après avoir compté une douzaine de points de retard, les Françaises remontaient à la surface pour revenir à égalité à 39 (8’35). Le momentum paraissait en leur faveur surtout que sur un jump shot de Océane Monpierre, elles prenaient la tête à 3’42 de la fin (43-42).\\n\\nEt puis... Rideau! Un trois-points italien, une interception/contre-attaque, un autre trois-points et c’était emballé. Honnêtement, c’était aussi mérité. Alors qu’elles ont dominé au rebond (48 à 35), les Bleuettes n’ont pas pu compter sur ce match sur une individualité de la valeur de Sara Madera auteur d’un double double (15 points, 11 rebonds).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Hélène Jakovljevic, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U16: Un succès de prestige des Français sur la Serbie, 69-67" }, {"role": "assistant", "content":"C’était électrique, tendu et superbe. Ce n’était qu’un deuxième match de poule mais ça ressemblait à une demi-finale ou une finale. Menés quasiment tout le match, les Bleuets sont venus coiffer avec beaucoup de caractère les Serbes sur le fil, 69-67.\\n\\nOusmane Dieng (17 points) est sorti meilleur marqueur du match côté français, Hugo Mienandi (12 points) a été décisif dans le money time mais c’est l’albatros Victor Wembanyama, sur les bases d’un triple double surnaturel (11 points, 10 rebonds, 7 contres) qui a crevé l’écran.\\n\\nIl est tout de suite apparu que si les Serbes avaient un léger déficit en taille -c’est si peu fréquent-, ils avaient du répondant à l’intérieur notamment avec Vuk Boskovic et Filip Brankovic à la musculature déjà bien affirmée.\\n\\nComme le reste du match, le premier quart-temps fut rythmé, intense, avec une belle adresse côté serbe (53,8%), ce qui leur a permis de faire la course en tête pour aboutir à 22-24.\\n\\nLa taille et l’incroyable envergure de Victor Wembanyama lui permettaient d’être un paratonnerre en défense et comme les consignes défensives étaient respectées des deux côtés, on assistait à un long surplace. Les Serbes profitaient un peu mieux des opportunités mises à leur disposition et avec le trio Matija Belic (12 points)/Nikola Radovanovic (11)/Filip Brankovic (11), ils s’offraient un bonus de 7 points à la mi-temps (40-33). Les Français avaient marqué deux fois moins de points dans ce quart-temps que dans le premier.\\n\\nLa patte gauche de Nikola Radovanovic (20 points à 5/10 à trois-points) faisait très mal aux Français et mettait en extase le banc serbe. Un écart de douze points était constaté à la 26e minute (39-51). Les Serbes faisaient preuve d’une grande maturité mais Victor Wembanyama leur posait parfois des problèmes insolubles. Contres, dissuasion globale, alley-oop, rebonds, tout y passait.\\n\\nLes Bleuets avaient le mérite de ne pas lâcher le morceau et revenaient à quatre points, 51-55, puis à trois 56-59 (35e), et enfin à égalité, 62-62 à 3′ de la fin.\\n\\nLe final était palpitant. Le puissant et opportuniste Hugo Mienandi donnait l’avantage à son équipe, puis c’était autour de Nikola Radovanovic d’un heureux trois-points avec la planche de faire de même. C’était encore Mienandi qui refaisait passer les Français devant. Il devait être de nouveau sur les deux derniers coups gagnants. Une passe décisive à Ousmane Dieng puis plus tard un rebond offensif sur un lancer manqué de ce même Dieng.\\n\\nOn attend la suite avec impatience. Dès demain contre la Grèce.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nSi vous avez manquez le match:\\n\\n\\nJust throw it 🆙, Victor Wembanyama will take care of the rest! 🧨💥 #FIBAU16Europe\\n\\n📺 https://t.co/VkAnissrvo\\n📝 https://t.co/yFsW7zLxuN pic.twitter.com/MKjy7AD1Eu\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 10, 2019\\n\\n\\nPhoto: Victor Wembanyama, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Face à la France, la République Dominicaine sera sans ses joueurs NBA" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération dominicaine a annoncé la présélection de 17 joueurs en vue de la Coupe du monde en Chine où elle sera dans le groupe de la France, de l’Allemagne et de la Jordanie. En plus de Al Horford (2,08m, Philadelphia Sixers), comme redouté, Karl-Anthony Towns (2,13m, Minnesota Timberwolves) est forfait tout comme Ángel Delgado (2,08m), qui a joué dans sa carrière deux matches avec les Los Angeles Clippers.\\n\\n« Towns a préféré se préparer pour sa saison avec Minnesota. Dans le cas de Delgado, son médecin a recommandé une pause après une blessure pour être en bonne santé lors de sa saison en Chine », a déclaré Francisco Garcia, directeur général de l’équipe.\\n\\nEn revanche, l’ancien combo guard de Gravelines, Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) fait bien partie du groupe.\\n\\nRafael Uribe, président de la fédération a indiqué que la sélection partira pour l’Espagne lundi prochain.\\n\\n«Nous arriverons à Madrid mardi et nous nous déplacerons à Torrejón où nous jouerons un match avec l’Espagne, l’équipe numéro deux du monde. Nous arriverons en Chine le 24 et nous aurons trois autres matches », a-t-il ajouté.\\n\\nL’entraîneur Néstor « Ché » García, après avoir fait un bilan des Jeux panaméricains -son équipe a terminé quatrième après une défaite, 92-83, face aux Etats-Unis pour la médaille de bronze- a estimé que la République dominicaine manque de taille vis à vis de la France et de l’Allemagne.\\n\\nMeneurs: Gelvis Solano, Edgar Sosa, Ronald Ramón et Adris De León.\\n\\nArrières: Víctor Liz, Rigoberto Mendoza et Jean Montero.\\n\\nAiliers: Juan Miguel Suero, Luis David Montero, Dagoberto Peña, Sadiel Rojas, Ronald Roberts Jr., Eulis Báez et Juan José García.\\n\\nPivots: Eloy Vargas, Jhonatan Araujo et Luis Santos.\\n\\nPhoto: Karl-Anthony Townes" }, {"role": "user", "content":"Grèce: L’ancien Manceau Kendrick Ray à l’AEK Athènes" }, {"role": "assistant", "content":"L’AEK Athènes a annoncé la signature d’un contrat d’un an avec l’arrière américain Kendrick Ray (1,88m, 24 ans), qui la saison dernière avait joué pour le Maccabi Tel Aviv avant d’être prêté au Mans\\n\\n«Je suis venu à AEK pour les trophées. Une équipe ne recrute pas de bons joueurs et aucun bon joueur ne fait partie d’une équipe si le but ultime n’est pas de remporter des trophées », a déclaré l’Américain.\\n\\nKendrick Ray s’était fait une très bonne réputation en Champions League lors de la saison 2017-18 lorsqu’il portait le maillot du club tchèque de Nymburk. Au MSB, il avait fait figure d’électron libre avant de s’assagir. Son bilan fut en demi-teinte: 9,2 points, 1,8 passe, 1,4 rebond en 13 matches.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Team USA: Fin du stage de Las Vegas, 17 joueurs encore en course" }, {"role": "assistant", "content":"A l’issue du stage de Las Vegas, un match a opposé la Blue Team -l’équipe de la sélection américaine- à la White Team -l’équipe de la Select Team, le partenaire d’entraînement- et la première s’est nettement imposée, 97-78.\\n\\nUSA Basketball a ensuite annoncé la liste des 17 joueurs invités à poursuivre la préparation à la Coupe du monde à Los Angeles avec notamment un match contre l’Espagne le 16 août. Plusieurs modifications ont été apportées. Bam Adebayo et Thaddeus Young ont été écartés alors que Derrick White et Marvin Bagley III ont été intégrés. Par ailleurs, alors qu’ils étaient au départ des partenaires d’entraînement, De’Aaron Fox et Joe Harris font toujours partie du groupe, sachant que Kyle Lowry et Marcus Smart en convalescence ne sont pas encore opérationnels.\\n\\n« Nous accueillons quelques jeunes joueurs de la Select Team et nous allons donc être patients avec le reste de l’équipe car nous disposons de beaucoup de temps. Nous avons deux semaines pour décider qui fera partie des 12′′, a déclaré le directeur général de Team USA Jerry Colangelo. “Nous devons déposer notre liste de joueurs quarante-huit heures avant le premier match en Chine et nous voulons que tout le monde ait sa chance. »\\n\\n\\nLes 17 pré-sélectionnés\\n\\nHarrison Barnes (Sacramento Kings)\\nMarvin Bagley III (Sacramento Kings)\\nJaylen Brown (Boston Celtics)\\nDe’Aaron Fox (Sacramento Kings)\\nJoe Harris (Brooklyn Nets)\\nKyle Kuzma (Los Angeles Lakers)\\nBrook Lopez (Milwaukee Bucks)\\nKyle Lowry (Toronto Raptors)\\nKhris Middleton (Milwaukee Bucks)\\nDonovan Mitchell (Utah Jazz)\\nMason Plumlee (Denver Nuggets)\\nMarcus Smart (Boston Celtics)\\nJayson Tatum (Boston Celtics)\\nP.J. Tucker (Houston Rockets)\\nMyles Turner (Indiana Pacers)\\nKemba Walker (Boston Celtics)\\nDerrick White (San Antonio Spurs)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=UlM2W7iQK5k\\n\\nPhoto: USA Basketball" }, {"role": "user", "content":"Pour le general manager du Bayern, Munich sera la capitale du basket-ball européen dans un avenir proche" }, {"role": "assistant", "content":"Le directeur général du FC Bayern Munich, Marko Pesic, a accordé une longue interview à Eurohoops et il en ressort que le club allemand a les dents longues. Rappelons que le Bayern, tout comme l’ASVEL, a obtenu une wild card de deux ans mais qu’il s’est déjà lancé dans la compétition au titre de champion d’Allemagne. Le Bayern a terminé 11e sur 16 de la dernière saison régulière.\\n\\nVoici sa réponse à la question de savoir ce qu’il pense de la volonté de Ulie Hoeness -le président du club- de se qualifier pour le top 8 de l’Euroleague:\\n\\n« Je suis d’accord sur le principe avec notre président que nous devons viser cela. Mais sur le plan opérationnel, il s’agit d’une tâche gigantesque. Ma vision est que nous serons la capitale européenne du basket-ball dans un avenir proche. Le club a toutes les opportunités car nous avons beaucoup à offrir en termes de sport et de conditions optimales. Munich est une ville merveilleuse, au coeur de l’Europe. Une culture du basket-ball se développe ici, la scène internationale l’enregistre déjà et le message continuera de se répandre. Avant le troisième match de la finale, nous avions plus de 20 000 demandes de billets. Les victoires palpitantes contre Fenerbahçe Istanbul et le FC Barcelone ont été une publicité incroyable et je suis sûr que nous allons devenir une équipe européenne de haut niveau (...) Jordi Bertomeu, président de l’Euroleague, a récemment déclaré que les autres clubs devraient se tourner vers Munich, car ils travaillent de manière exemplaire sur leur structure. Pour moi, une telle déclaration vaut autant qu’un titre. »\\n\\nPhoto: Bayern" }, {"role": "user", "content":"Adversaire des Bleus à la Coupe du monde, la Jordanie a pris une raclée par la Pologne, 51-92" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France aura certainement beaucoup plus à craindre de l’Allemagne et de la République dominicaine que de la Jordanie lors de la première phase en Coupe du monde. Celle-ci s’est fait dominer par la Pologne, 51-92, hier soir au Tournoi de Ceski.\\n\\nDamian Kulig a marqué 14 points, Krysztof Sulima 12 et le Franco-polonais Mathieu Wojciechowski 7 pour l’équipe polonaise. L’entraîneur Mike Taylor a utilisé 13 joueurs et a obtenu des points de chacun d’eux.\\n\\nPour la Jordanie, l’Américain naturalisé Dar Tucker a cumulé 17 points et huit rebonds, tandis que Jordan Dasaqui a marqué 10 points. Aucun autre joueur n’a marqué plus de 5 points.\\n\\n« Je me sentais très bien, je rêvais d’un tel début. L’équipe adverse n’était pas très forte, mais c’est bien. Il est toujours préférable de jouer le premier match d’entraînement avec ce type d’équipe, de bouger un peu, de faire de l’exercice« , a commenté Aleksander Balcerowski. Même type de commentaire chez Jakub Schenk: « Il est difficile de tirer des conclusions après avoir remporté un match de cette façon. Le test le plus important nous attend demain (NDLR: face à la République tchèque). »\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La première sortie de Giannis Antetokounmpo avec la Grèce" }, {"role": "assistant", "content":"Giannis Antetokounmpo (2,11m, 24 ans) a effectué son premier match de préparation à la Coupe du monde avec la Grèce face à la Hongrie.\\n\\nLe bilan: 19 points (5/8 aux tirs, 9/10 aux lancers), 8 rebonds, 1 passe, 1 contre en un peu plus de 21′. Victoire de la Grèce 83-59. Tranquille.\\n\\n«Il n’y a pas que les points qu’il marque. Il est partout. Rebonds, défense, contre. Il peut tout faire », a déclaré le coach Thanasis Skourtopoulos à la télévision nationale grecque après le match.\\n\\n\\nGiannis Antetokounmpo vs Hungary\\n19 POINTS\\n9/10 FTs\\n5/8 FG\\n8 REBOUNDS\\n1 ASSIST\\n1 BLOCK\\n21:28 min.\\n\\n🇬🇷 Greece 83-59 Hungary🇭🇺#RoadToChina #FIBAWC #Hellas #GreekFreak@Giannis_An34 @FIBAWC @bucks pic.twitter.com/3qQYNSdMGZ\\n\\n— basket2⃣4⃣ (@basket24gr) August 9, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Bandja Sy est annoncé à Andorre" }, {"role": "assistant", "content":"Bandja Sy (2,04m, 29 ans) reste à l’étranger mais change de pays puisque du Partizan Belgrade en Serbie il passe à MoraBanc Andorra, qui disputera cette saison l’Eurocup.\\n\\n“C’est un joueur très athlétique. Il a beaucoup d’énergie et un bon shoot à 3-points. Il a le profil de joueur que nous recherchions », a déclaré Francesco Solana, le directeur général du club.\\n\\nAvec le Partizan, le petit frère d’Amara a tourné en moyenne à 5,7 points, 3,9 rebonds et 1,1 passe décisive en 23 minutes sur 15 matches en Eurocup, et 9,7 points et 5,8 rebonds dans l’Adriatic League.\\n\\nBandja Sy a également joué pour Pau, Nancy, Villeurbanne et l’AEK Athènes." }, {"role": "user", "content":"La photo: Match de basket en Chine en 1965" }, {"role": "assistant", "content":"Le basket-ball est arrivé en Chine en 1901, par l’intermédiaire d’un instructeur YMCA, de la même manière qu’il était apparu en France un peu moins de 10 ans auparavant (1893). Inventé en 1891 au sein des Young Men’s Christian Association, implantées tout autour du Globe, le basket-ball a bénéficié d’une diffusion mondiale par ce biais. La photographie ci-dessous date de 1965 et était légendée comme suit :\\n\\n« En Chine populaire, le basket-ball est en pleine évolution et devient un jeu très populaire. Dans une petite commune chinoise, un terrain de basket-ball a été installé dans un cadre très couleur locale. »\\n\\nMême au cours de la sanglante Révolution Culturelle (1966-76), les Chinois continueront à s’adonner au basket.\\n\\nCe cliché fait partie de la collection du Musée du Basket." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’histoire de la Coupe du monde, première partie" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA propose un documentaire sur l’histoire de la Coupe du monde. En voici la première des quatre parties avec des images d’époque et des témoignages d’acteurs comme Pau Gasol, Oscar Schmidt, Arvydas Sabonis, Jorge Garbajosa, Toni Kukoc, Alonzo Mourning, Mike Krzyzewski et Theo Papaloukas. Cela couvre 69 ans et 17 tournois.\\n\\nPrécision, c’est en anglais. Une façon de faire ses devoirs de vacances en se divertissant !" }, {"role": "user", "content":"Euro U16 : En ouverture, la France traumatise la Bosnie, 102-38" }, {"role": "assistant", "content":"Les Bosniaques vont probablement passer une mauvaise nuit car ils sont sortis ce soir du terrain dans les vaps. Ils en ont vu de toutes les couleurs et peuvent ressasser quelques chiffres comme l’écart final (-64, 102 à 38) ou celui à l’évaluation (-129, 143 à 14).\\n\\nL’équipe de France a la Serbie au programme demain et la Grèce dimanche. On ira verra plus clair sur sa valeur.\\n\\nLe coach Bernard Faure a tout de suite trouvé les bonnes combinaisons notamment en plaçant ensemble deux de ses trois tours, Victor Wembanyama (2,18m), Naoll Ballfournier (2,15m) et Maxime Raynaud (2,12m). Avec de l’agressivité défensive, une belle adresse aux tirs du champ (64,2%), un 11/13 aux lancers, et Ousmane Dieng comme principal finisseur (7 points), le match était déjà dans la poche après 10′: 32-13 !\\n\\nAvoir 30 points d’avance (46-16) après 13′ de jeu, c’est rare. Avoir marqué 50 points au bout de 15′, tout autant. 57 à 18 au score et 80 à -1 à l’évaluation collective à la mi-temps, ça vous parle ? Le plus dur pour les Bosniaques c’était d’avoir tous ces chasse-mouches français dans la peinture -ne pas oublier Brice Dessert et ses 2,07m-. Ils pourraient demander à leur fédération une prime de pénibilité !\\n\\nIl y eut ensuite une nette accalmie en raisons d’imprécisions françaises diverses et variées mais le troisième quart-temps fut tout de même gagné 17-12. Et puis les Bleuets ont redonné un violent coup d’accélérateur pour dégoûter définitivement leurs adversaires.\\n\\nSept Français terminent avec une évaluation comprise entre 11 et 18. Tout le monde a joué entre 14 et 21 minutes. Rien à ajouter.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Brice Dessert (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : trois à six mois d’absence pour Ferdinand Prénom (Roanne)" }, {"role": "assistant", "content":"La tuile pour Roanne avant même de commencer la saison. Ferdinand Prénom (2,04m, 28 ans) va être indisponible entre trois et six mois.\\n\\nSur son site, la Chorale indique que l’ancien joueur de Hyères-Toulon est touché aux genoux. Déjà gêné la saison dernière, le massif intérieur roannais souffre de lésions aux genoux qui nécessitent une nouvelle intervention chirurgicale. Ces lésions ont été révélées à l’occasion de la visite médicale de reprise. Le club s’est déjà mis à la recherche d’un joueur pouvant amortir l’absence de l’ancien pivot dijonnais.\\n\\nLa saison dernière, Ferdinand Prénom compilait en moyenne à 10,5 points et 5,1 rebonds pour une évaluation de 13 en Pro B.\\n\\nPhoto : Chorale Roanne" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les Bleus et la Coupe du Monde. Episode 2, les joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"L’Equipe de France se prépare pour la Coupe du Monde en Chine (31 août au 15 septembre en Chine). Après le Media Day à l’INSEP, les Bleus ont pris la direction de Pau puis Toulouse pour un stage, et disputer leurs deux premiers match de préparation face à la Turquie et la Tunisie. À cette occasion, la FFBB donne un coup de projecteur sur les joueurs qui composent le Groupe France cet été.\\n\\nPhoto: Frank Ntilikina (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Le Sénégal se prend une trempe en Italie, -57 !" }, {"role": "assistant", "content":"Le Sénégal sera placé dans le « Groupe de la Mort » à la Coupe du monde en Chine avec l’Australie, le Canada et la Lituanie et son résultat hier soir à Vérone devant deux milliers de spectateurs face à l’Italie n’incite pas à l’optimisme.\\n\\nPremier quart-temps: 31-10. Puis 55-26 à la mi-temps. 85-41 après 30 minutes. Pour finir à 111-54. C’est ce qu’on appelle une déculottée.\\n\\nIl faut savoir que Marco Belinelli, Danilo Gallinari et Luigi Datome étaient absents. Que Pietro Ardori et Michele Vitali aient terminé meilleurs marqueurs du côté de l’Italie avec 15 points chacun est purement anecdotique.\\n\\n« Je dois dire qu’après le grand écart de la première mi-temps il n’a pas été facile pour les garçons de rester concentrés. Nous l’avons fait et je suis heureux de l’intensité. Mais le match de demain avec la Russie sera différent, » a commenté le coach Méo Sacchetti.\\n\\nUn seul Sénégalais a réussi à dépasser les 10 points, Babacar Toure 15. Xane D’Almeida et Youssoupha Ndoye sont à 8.\\n\\nLe remplacement en dernière minute du coach Abdou Ndiaye par Moustapha Gaye fait beaucoup jaser au Sénégal et a évidemment perturbé les Lions. Le président de la Fédération, Babacar Ndiaye a donné hier, lors d’une conférence de presse, sa version des faits. Selon lui, Abdou Ndiaye qui a qualifié l’équipe sénégalaise à la Coupe du monde, avait des demandes salariales hors de portée de sa fédération.\\n\\n« J’ai proposé à ‘’Adidas’’ un contrat de deux ans et deux mois. Donc ça veux dire que j’avais la volonté de continuer de travailler avec lui. On s’est mis d’accord sur les conditions financières, même si, au départ, ses prétentions me paraissaient élevées. Il voulait quelque chose d’impossible. Il réclamait un salaire mensuel de sept millions (NDLR: 10 675 euros). ‘’Adidas’’ avait pris l’équipe sans contrat. Il était prêt à tout parce qu’il voulait revenir, mais quand on s’est qualifié, il réclame un contrat. »\\n\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Suivre à 14h30 Etats-Unis vs Brésil en clair sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Canal + propose ce lundi à 14h30 la diffusion en clair sur Dailymotion du match Etats-Unis vs Brésil, deux possibles adversaires de l’équipe de France en quart-de-finale.\\n\\nPhoto: FIB" }, {"role": "user", "content":"Les 12 Argentins pour la Coupe du monde et le tournoi de Lyon sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Sergio Hernández a confirmé que, si aucun événement imprévu ne se produisait, l’équipe argentine qui ira à la Coupe du Monde sera la même que celle qui a remporté la médaille d’or aux Jeux panaméricains, il y a quelques jours. Cette équipe est constituée pour moitié de joueurs qui vont opérer en Ligue espagnole à la rentrée.\\n\\nL’Argentine va participer au Tournoi de Lyon où elle aura comme adversaire le Brésil (le 15 août), le Monténégro (le 16) et la France (le 17). A la Coupe du Monde, elle sera dans le groupe B avec la Corée du Sud, le Nigeria et la Russie.\\n\\nN°nomAgeT.PosteEquipe1Agustín Cáffaro242.10IntérieurSan Lorenzo3Luca Vildoza241,88ArrièreVitoria4Luis Scola392,07IntérieurAgent Libre7Facundo Campazzo281,78ArrièreReal Madrid8Nicolás Laprovittola291,90ArrièreReal Madrid9Nicolas Brussino262.02IntérieurSaragosse10Maximum Fjellerup221,98AilierSan Lorenzo12Marcos Delía272,09PivotRegia de F.14Gabriel Deck241,99AilierReal Madrid25Lucio Redivo251,83ArrièreAgent Libre29Patricio Garino261,98AilierVitoria83Tayavek Gallizzi262,06PivotRegatas C.C.Sergio Hernandez56\\n\\nPhoto: Gabriel Deck (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Voir en clair Grèce-République Tchèque sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Canal+ Sport propose actuellement en clair le match de Coupe du monde Grèce vs République Tchèque sur Dailymotion. Le vainqueur pourrait affronter l’équipe de France en quart-de-finale." }, {"role": "user", "content":"Italie: Opéré de l’appendicite, Danilo Gallinari ne sera rétabli que pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"La Gazzetta dello Sport rapporte que l’ailier du Oklahoma City Thunder Danilo Gallinari (2,08m, 31 ans depuis hier), opéré de l’appendicite, le 3 août à Vérone, devrait rater tous les matches de préparation de l’équipe d’Italie et être en mesure de tenir sa place que pour le début de la Coupe du monde.\\n\\n« Il Gallo », qui a reçu la visite d’un médecin du Thunder, ne sera pas ainsi disponible pour le tournoi à Athènes et un tournoi en Chine. L’Italie ouvrira la Coupe du monde le 31 août face aux Philippines.\\n\\nQuant à Gigi Datome, qui se remet d’une blessure au genou, il devrait être d’attaque pour le tournoi en Chine à partir du 23 août.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Adrien Moerman – L’équipe de France lui a déroulé le tapis rouge" }, {"role": "assistant", "content":"Longtemps barré par la paire Boris Diaw-Florent Piétrus et miné par les blessures, Adrien Moerman est arrivé cette fois en équipe de France par la grande porte. Il est devenu au fur à mesure un joueur typique d’Euroleague et en France, des « 4 » de son envergure, il n’y en a pas de rechange. Son entrée en matière lundi face à la Turquie (12 points à 3/4 à trois-points en 13’) est très prometteuse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’était à la fin de l’année 2007, il avait 19 ans, dans un vestiaire du palais des sports Maurice-Thorez à Nanterre. Adrien Moerman nous racontait s’être retrouvé les yeux dans les yeux avec Nick Bradford, un ailier américain de Reims. Ça commençait à chauffer. Il n’a pas baissé son regard.\\n\\n« Ce n’est pas parce qu’il a 35 ans, qu’il a plus d’expérience que nous, qu’il est meilleur que nous. Moi, ma force c’est de me dire : Il faut que je le bouffe ce soir et que je me donne à fond. »\\n\\nAdrien Moerman venait de la Chorale de Roanne où il jouait peu pour apprendre le métier en Pro B par où la JSF Nanterre transitait. Son coach Pascal Donnadieu confiait que le jeune homme « ne doute jamais » et qu’il lui avait donner la permission de shooter à trois-points ce qui lui avait été quasiment interdit à Roanne et en équipe de France jeune. Le shoot en périphérie, une nécessité pour un 4 moderne bien bâti, hargneux. Un Viking ce jeune Adrien Moerman qui n’avait donc peur de rien. Cette saison-là, il tourna à 14,7 points et 7,7 rebonds pour 15,5 d’évaluation. Pour ainsi dire du jamais vu à ce niveau pour un intérieur aussi jeune.\\n\\nConcurrence et pépins physiques\\n\\nPrécoce, ce fils de basketteurs de Nationale 2 qui prenait modèle sur Vincent Masingue et Cyril Julian, deux autres batailleurs ? Oui et non car ce n’est qu’à 16 ans qu’il a explosé subitement en étant le meilleur marqueur (14,1 points) et le deuxième rebondeur (9,8 rebonds) de l’équipe de France qui fut championne d’Europe de la catégorie avec Nicolas Batum et Alexis Ajinça comme autres figures de proue. Il sera aussi champion d’Europe juniors avec 14,8 points et 8,7 rebonds. Et encore médaille de bronze au championnat du monde U19. Quelle rampe de lancement ! Et pourtant...\\n\\nA 31 ans -il va les avoir le 7 août-, Adrien Moerman ne comptait avant cette campagne 2019 que 9 malheureuses sélections en équipe de France. Pas de Coupe du monde 2014 et de championnat d’Europe 2015 alors qu’il excellait avec Limoges. En 2016, il était de l’expédition aux Philippines pour gagner un billet pour les Jeux Olympiques mais il s’y montra peu à l’aise et ne fut pas retenu pour Rio. C’est terrible d’être coupé ainsi mais le natif de Fontenay-aux-Roses ne laisse percevoir aucune amertume.\\n\\n« Dur oui et non car je m’y attendais quand je suis parti. Il manquait Rudy (Gobert), il était en train de signer son contrat. Qu’est-ce que tu veux ? C’est la loi. C’est très dur d’être coach, de sélectionner. Mais, non, non... Après ça, je suis reparti plus fort, à Barcelone, j’ai joué avec Thomas (Heurtel), il y avait peut-être une partie de frustration en moi mais je m’y attendais quand même. Ça me rend toujours plus fort ! »\\n\\nCet adepte de la pensée de Nietzche est mal tombé, né un peu trop tôt ou un peu trop tard. Devant lui, il y avait le meilleur intérieur français de tous les temps, Boris Diaw, qui fut d’une fidélité sans faille à la sélection nationale. Et en backup, Florent Piétrus, le Ministre de la Défense, parfait comme role player/destructeur. Et puis Moerman n’a pas été épargné par les pépins physiques de toutes sortes. Alors qu’il était attendu à l’Euro 2017, c’est son dos et un genou qui l’ont confiné au stand.\\n\\n« Il faut respecter cette époque. J’ai aussi eu des blessures qui m’ont empêché de venir. Ça me motive encore plus à venir plus fort ici, à progresser encore plus dans les clubs où je joue. Et maintenant que j’ai la chance d’être là, je vais tout donner, apporter le maximum à cette équipe de France pour aller le plus loin possible. Si j’étais frustré, je ne serais pas là actuellement. Je suis heureux d’être là, je retrouve de bons potes. »\\n\\nSes potes de la génération 88 et tous les autres car Adrien est de l’avis de tous « easy going » comme disent les Américains, facile à vivre.\\n\\n« On a un groupe jeune avec de nouvelles figures. On s’entend vraiment bien, on est tous blagueurs, on joue les uns contre les autres en Euroleague, certains ont joué ensemble. Je m’entends bien avec tout le monde même si j’ai plus d’affinités avec Thomas (Heurtel) et Nico (Batum) qui sont de ma génération. C’est important dans un groupe de ne pas toujours avoir des rapports avec les mêmes. Il faut partager son expérience avec tout le monde. La clé de notre succès sera d’avoir une bonne cohésion entre nous. Les anciens sont partis, la jeunesse arrive. Je pense que ça nous donne une bonne dynamique. On est une équipe qui a envie de tout donner pour cette équipe de France. On a beaucoup de talents. On veut aller le plus loin possible. Une médaille, je ne sais pas, on verra comment on se sent durant la préparation, elle nous donnera le tempo pour la Coupe du monde. On sait que ça va être une compétition très relevée, à nous de rien lâcher même dans les moments les plus difficiles. »\\n\\nMaintenant que Boris Diaw et Florent Pietrus sont à la retraite, Vincent Collet n’a pas fait mystère qu’Adrien Moerman était devenu indispensable aux Bleus. De par son profil, de par son abattage, sa générosité, de par son vécu accumulé en 130 matches d’Euroleague. Oui, 130, car il a participé à la compétition reine d’Europe avec Darüşşafaka, Barcelone et Anadolu Efes Istanbul et aussi Orléans, Nancy et Limoges. Un record d’équipes pour un Français. Vincent Collet lui a déroulé le tapis rouge. Pourtant, il s’en est fallu de peu une fois de plus que Moerman déclare forfait car il a dû faire face à une autre menace physique, un pépin au tendon d’Achille gauche. Il est suivi par Xavier Dumélié, le kiné du Limoges CSP et il a pu heureusement éviter l’opération.\\n\\n« J’étais arrivé avec une petite douleur et depuis que je suis là, ça commence à aller beaucoup mieux. La douleur au tendon d’Achille c’est plus récurrent alors que celle au dos ça peut passer au bout d’une ou deux semaines. C’est mon os qui est un peu plus haut et ça frotte mon tendon à chaque fois. C’est comme une tendinite. Pour le moment tout va bien. Je suis venu aussi ici à l’INSEP pour avoir beaucoup de soins pendant ces trois jours. Je me sens bien mais maintenant il faut voir pendant les entraînements et les matches comment ça va se passer. Comme je l’ai dit, si je viens en équipe de France c’est pour être à 100%. A moi de mettre tout en œuvre pour jouer tous les matches et tout donner. »\\n\\nSa meilleure saison en Euroleague\\n\\nAdrien Moerman arrive lancé. Il sort de sa meilleure saison en club. Il a affiché des statistiques resplendissantes en Euroleague (12,0 points, 40,1% à trois-points, 6,0 rebonds) dans une équipe d’Anadolu Efes qui a atteint le Final Four où seul le CSKA Moscou a réussi à la mater en finale. L’alchimie s’est faite entre des joueurs de sept nationalités différentes. Adrien a aussi apprécié que le coach Ergin Ataman lui laisse davantage de liberté que Svetislav Pesic à Barcelone où tout était plus cadré. A Anadolu Efes, il avait des systèmes pour lui et la totale confiance de ses équipiers.\\n\\n« Istanbul, c’est une belle ville et j’ai toujours bien joué dans les équipes turques », déclare t-il. « Je suis avec un coach qui me donne beaucoup de confiance et qui me laisse m’épanouir sur le terrain. Ça s’est vu cette saison, c’est ma meilleure saison en Euroleague. Je me suis vraiment amusé. Je reste dans des clubs qui me plaisent, l’organisation, le coach avec des joueurs qui me correspondent. On avait un bon groupe et ils ont gardé à peu près les mêmes joueurs. Je resterai à Istanbul le temps que ça me plaît. »\\n\\nOn observe que dans la liste des 15 Bleus, un tiers opère en NBA et un autre tiers en Euroleague. La vampirisation américaine de l’équipe de France imaginée il y a une dizaine d’années ne s’est pas produite tant les joueurs français ont accompagné le développement sportif de l’Euroleague.\\n\\n« La NBA et l’Europe ce sont deux mondes complètement différents. Ce ne sont pas les mêmes règles et c’est vrai que d’avoir plus de joueurs d’Euroleague ça amène plus d’expérience. C’est bien d’avoir ce mélange, d’avoir cette compétition à l’entraînement. L’Euroleague se développe de plus en plus, beaucoup de joueurs NBA arrivent cette année, » apprécie-t-il.\\n\\nAdrien Moerman va d’ailleurs se retrouver principalement aux côtés d’un pivot de NBA, et pas n’importe lequel, le double meilleur défenseur de l’année, Rudy Gobert, et un autre, Vincent Poirier, si bon avec Vitoria que les Boston Celtics lui ont offert un contrat de deux ans. On imagine Gobzilla Gobert nettoyer les balles qui hésiteront au-dessus du cercle après rebond, ce qu’il n’a pas le droit de faire en NBA.\\n\\n« Ça change tout dans une raquette quand tu as Rudy, Vincent, et Mathias (Lessort). Rudy a une envergue énorme, il saute super haut. Il va changer toutes les trajectoires comme il le fait en NBA. C’est notre clé défensive d’avoir des joueurs comme ça. » Il ajoute : « je pense que l’on a un groupe qui peut jouer beaucoup en transition, courir, pour faire du mal aux équipes adverses. »\\n\\nAdrian Moerman s’en lèche déjà les babines. Nous aussi.\\n\\nPhoto d’ouverture : FFBB\\n\\n[armelse]\\n\\nC’était à la fin de l’année 2007, il avait 19 ans, dans un vestiaire du palais des sports Maurice-Thorez à Nanterre. Adrien Moerman nous racontait s’être retrouvé les yeux dans les yeux avec Nick Bradford, un ailier américain de Reims. Ça commençait à chauffer. Il n’a pas baissé son regard.\\n\\n« Ce n’est pas parce qu’il a 35 ans, qu’il a plus d’expérience que nous, qu’il est meilleur que nous. Moi, ma force c’est de me dire : Il faut que je le bouffe ce soir et que je me donne à fond. »\\n\\nAdrien Moerman venait de la Chorale de Roanne où il jouait peu pour apprendre le métier en Pro B par où la JSF Nanterre transitait. Son coach Pascal Donnadieu confiait que le jeune homme « ne doute jamais » et qu’il lui avait donner la permission de shooter à trois-points ce qui lui avait été quasiment interdit à Roanne et en équipe de France jeune. Le shoot en périphérie, une nécessité pour un 4 moderne bien bâti, hargneux. Un Viking ce jeune Adrien Moerman qui n’avait donc peur de rien. Cette saison-là, il tourna à 14,7 points et 7,7 rebonds pour 15,5 d’évaluation. Pour ainsi dire du jamais vu à ce niveau pour un intérieur aussi jeune.\\n\\nConcurrence et pépins physiques\\n\\nPrécoce, ce fils de basketteurs de Nationale 2 qui prenait modèle sur Vincent Masingue et Cyril Julian, deux autres batailleurs ? Oui et non car ce n’est qu’à 16 ans qu’il a explosé subitement en étant le meilleur marqueur (14,1 points) et le deuxième rebondeur (9,8 rebonds) de l’équipe de France qui fut championne d’Europe de la catégorie avec Nicolas Batum et Alexis Ajinça comme autres figures de proue. Il sera aussi champion d’Europe juniors avec 14,8 points et 8,7 rebonds. Et encore médaille de bronze au championnat du monde U19. Quelle rampe de lancement ! 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Si bien que l’Argentine, qui avait perdu son premier match face aux Etats-Unis est éliminée du tournoi.\\n\\nCette grave erreur a entraîné la démission du chef de la délégation, Hernán Amaya, et de la directrice du développement du basket-ball féminin, Karina Rodríguez, qui fut précédemment l’une des meilleures joueuses du pays.\\n\\n« C’est l’un des moments les plus tristes de ma carrière. J’assume toute la responsabilité de ce qui s’est passé. J’ai déjà présenté ma démission », a déclaré Amaya sur les réseaux sociaux.\\n\\n\\nEs uno de los momentos más tristes de mi carrera. Asumo total responsabilidad por lo sucedido. Ya he presentado mi renuncia al cargo.\\n\\n— Hernan Federico Amaya (@coachamaya) August 7, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: L’ALBA Berlin conserve le coach Aito Garcia Reneses pour jouer l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son équipe va disputer cette saison l’Euroleague, l’Espagnol Aito Garcia Reneses, 72 ans, demeure l’entraîneur de l’Alba Berlin où il est arrivé il y a deux ans. Depuis il a emmené 5 fois l’Alba en finale (2 fois du championnat allemand, 2 fois de la coupe d’Allemagne, 1 fois de l’Eurocup).\\n\\n« Les deux dernières années à Berlin ont dépassé mes attentes. L’expérience avec les joueurs, les entraîneurs, le personnel et les supporteurs a été excellente et la bonne atmosphère entre tous les participants a été un facteur important de la réussite du développement au cours de cette période. Des adversaires extrêmement puissants nous attendent en Euroleague la saison prochaine. Je suis donc très heureux que nous ayons conservé presque toute l’équipe. Il est très difficile pour la plupart des clubs de basket-ball en Europe de garder leurs bons joueurs après de bonnes performances. Cette continuité est très importante pour nous », a commenté celui qui est une légende du coaching espagnol.\\n\\n\\nSON PALMARES\\n\\nCirculo Catolico / Cotonificio Badalona (1973/74 – 1982/83)\\nEntraîneur de l’année de l’ACB 1976\\n\\nJoventut Badalona (1983/84 – 1984/85)\\n\\nFC Barcelone (1985/86 – 1989/90, 1993 – 1996/97, 1998/99) – 2001/02)\\nSaporta Cup 1986\\nKorac Cup 1987, 1999\\nChampion 1987, 1988, 1989, 1990, 1995, 1996, 1997, 1999, 2001\\nCoupe du Roi 1987, 1988, 1994, 1994, 2001\\nEntraîneur de l’année de l’ACB 1990\\n\\nJoventut Badalona (2003/04 – 2007/08)\\nCoupe d’Europe FIBA 2006\\nCoupe ULEB 2008\\nCoupe du Roi 2008\\nEntraîneur de l’année de l’ACB 2006\\n\\nEntraîneur national 2008 de l’Espagne 2008\\n\\nArgent aux Jeux Olympiques\\n\\nUnicaja Malaga (2008/09 – 2010/11)\\n\\nCajasol Sevilla (2012/13) – 2013/14)\\n\\nHerbalife Gran Canaria (2014/15 – 2015/16)\\nEntraîneur de la Coupe d’Europe 2015\\n\\nALBA BERLIN (2017/18 – 2018/19)\\nEntraîneur de l’année de la BBL 2018\\nEntraîneur de l’année en Eurocup 2019" }, {"role": "user", "content":"Le rêve d’enfance de Léo Westermann était d’avoir Zeljko Obradovic comme coach... Il va se réaliser au Fenerbahçe !" }, {"role": "assistant", "content":"Leo Westermann quitte le Zalgiris Kaunas pour Istanbul et le Fenerbahçe mais dans une interview à 15min.lt, le meneur alsacien dit tout le bien qu’il pense du club lituanien et du pays en général.\\n\\n« Oui, nous faisons de l’argent avec le basket-ball, mais il est très important pour nous (NDLR sa femme et lui) d’être heureux. Et c’était vraiment super pour moi d’aller à la salle tous les jours, de jouer avec ces gars-là, de vivre ici avec ma famille. J’étais heureux ici « , insiste Léo Westermann qui a passé deux saisons au Žalgiris. « À mes yeux, maintenant, Zalgiris est sans aucun doute un des huit meilleurs clubs d’Europe. Peut-être même plus (...) Le Žalgiris Kaunas a été formidable pour moi. J’ai souvent répété que je suis très reconnaissant au Žalgiris. Ils m’ont considéré comme un membre de leur famille. Pour eux, j’étais comme un Lituanien, pas un Français. Je leur en serai toujours reconnaissant. »\\n\\nA propos de ses anciens équipiers, le Français est louangeur :\\n\\n« C’était une blague que je sois un ennemi maintenant, que je ne sois plus leur ami », sourit-il. » Ils sont contents pour moi. Ils vont me manquer. Ils sont devenus de bons amis à moi qui prendront toujours une place spéciale dans mon cœur. »\\n\\nLéo Westermann pensait demeurer dans le club lituanien avant d’être sollicité par le Fener.\\n\\n«Je pensais vraiment rester à Kaunas. Je n’avais pas l’intention de partir. Mais quand l’été est arrivé et que l’offre est arrivée, j’ai dû prendre une décision. Maintenant, je suis membre du Fenerbahçe à Istanbul. Certains rêvent de jouer à Barcelone ou au Real Madrid, d’autres rêvent de jouer en NBA et du shoot victorieux pour leur équipe nationale... » Léo Westermann dit que son rêve d’enfance était de jouer pour Zelko Obradovic: «Il est le seul entraîneur en Europe qui m’a fait rêver depuis mon enfance. Lorsque vous jouez avec lui, vous savez toujours que vous avez les meilleures chances de remporter l’Euroleague et de faire partie d’une équipe de premier plan. Il est pesant, dur sur le terrain, il peut te crier dessus mais en dehors c’est un grand homme. »" }, {"role": "user", "content":"Euro U16: La France ouvre aujourd’hui face à la Bosnie" }, {"role": "assistant", "content":"Les effectifs des 16 équipes participantes au Championnat d’Europe U16 à Udine, Italie, du 9 au 17 août ont été publiés.\\n\\nFait exceptionnel, la France présente trois big men: Victor Wembanyama (2,18m, Nanterre), Naoll Balfournier (2,15m, Centre Fédéral) et Maxime Raynaud (2,12m, Charenton). Tous les Français sont de 2003 sauf Kymany Houinsou et Victor Wembanyama qui sont nés en 2004.\\n\\nLes Bleuets affrontent la Bosnie aujourd’hui puis la Serbie demain et la Grèce dimanche.\\n\\nLa France a été trois fois championne d’Europe: 2004, 2014 et 2017 et a remporté un total de 5 médailles. Le record de médailles d’or est la possession de feu la Yougoslavie avec 8 unités. Les anciennes républiques de la Yougoslavie ont ensuite gagné 6 titres.\\n\\nLe record de points sur un match lors d’un Euro U16 remonte à 1987. Le Yougoslave Arjan Komasek avait inscrit 52 points contre l’Espagne et sa moyenne au cours du tournoi avait été de 28,4. L’Espagnol Ricky Rubio en avait marqué 51 contre la Russie en 2006 mais en double prolongation.\\n\\nLe Lituanien Domantis Sabonis contre la Pologne en 2012 et le Serbe Marko Pecarski contre la Lettonie en 2016 ont pris 27 rebonds.\\n\\nEn 2018 l’Israélien Amit Aharoni a réalisé 14 passes face au Monténégro. Ricky Rubio a fait 11 interceptions en 2006 contre la Croatie. L’Espagnol avait de plus combiné un incroyable quadruple double: 19 points, 10 rebonds, 13 passes et donc 11 interceptions. Le Serbe Dejan Musli a totalisé 12 contres face à la France en 2007.\\n\\nQuant au record de paniers à trois-points, il est toujours la propriété du néo-Limougeaud Hugo Invernizzi avec un 9/11 obtenu en 2009 contre la Serbie.\\n\\nCliquez sur les liens ci-dessous pour avoir les rosters complets.\\n\\n * Groupe A: Croatie, Allemagne, Italie, Russie\\n * Groupe B: Israël, Lettonie, Macédoine, Espagne\\n * Groupe C: Estonie, Lituanie, Slovénie, Turquie\\n * Groupe D: Bosnie-Herzégovine, France, Grèce, Serbie\\n\\nPhoto d’ouverture: Ousmane Dieng, Victor Wembanyama et Yohan Traore (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Playground 4 : Episode 3/4 à Vichy" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de CourtCuts est de retour pour un nouvel opus de Playground, le quatrième. Le but, faire le tour de France des meilleurs terrains extérieurs de l’Hexagone.\\n\\nDans ce troisième épisode, Julien Bonnet et ses amis ont décidé de mettre le cap sur Vichy. A lire ou relire, notre interview de Julien Bonnet, fondateur de CourtCuts." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Les Serbes ne sont plus que 14" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Sasha Djordjevic s’est séparé de Dejan Todorovic, Aleksa Avramovic et Nikola Jovanovic et ainsi la pré-sélection serbe pour la Coupe du monde 2019 ne compte plus que 14 joueurs.\\n\\nIl s’agit de Milos Teodosic, Stefan Jovic, Vasilije Micic, Bogdan Bogdanovic, Dragan Milosavljevic, Marko Gururic, , Vladimir Lucic, Marko Simonovic, Nemanja Bjelica, Stefan Bircevic, Nikola Jokic, Miroslav Radikica, Nikola Mulutinov et Boban Marjanovic.\\n\\nLa Serbie affrontera la Lituanie demain à Belgrade puis la Lituanie accueillera la Serbie à Kaunas le 12 août. Il y aura ensuite le tournoi de l’Acropole à Athènes avec la Grèce, l’Italie et la Turquie.\\n\\nPhoto: Boban Marjanovic (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: Direction les demi-finales pour les Bleues qui ont ballotté la Hongrie, 76-33" }, {"role": "assistant", "content":"Les Bleues ont tout fait plus haut, plus vite et plus fort et jamais les Hongroises n’ont pu contester leur supériorité. Individuellement, Emmanuelle Tahane (17 points, 9 rebonds, 22 d’éval) et Awa Trasi (10 points et 12 rebonds) ont les meilleurs chiffres, mais c’est tout un rouleau compresseur qui a fait un énorme chantier pendant quarante minutes.\\n\\nEn demi-finale les Françaises vont affronter samedi l’Italie vainqueur de l’Espagne, 71-62. Cette équipe là peut aller très loin car outre son formidable potentiel athlétique, elle possède un fort QI basket et la capacité à rester concentré jusqu’au bout.\\n\\nContrairement à la veille, c’est grâce à une belle adresse (57,8%) que les Bleues ont marqué le double de points (28-14) que leurs adversaires dans le premier quart-temps et démontré leurs intentions. Avec 8 points, Awa Trasi avait été la plus productive.\\n\\nSi les Françaises baissaient un peu pied en attaque, leur solidité défensive leur permettait de conserver leur acquis et même de le faire fructifier. Emmanuelle Tahane a le chic pour trouver les bonnes positions sous le cercle où ses qualités physiques font merveille à la finition. A la mi-temps, les Hongroises, dévorées au rebond (32 à 15) et qui n’avaient marqué que 4 points dans la deuxième tranche de dix minutes, savaient que les carottes étaient cuites et même brûlées (46-18).\\n\\nLe coach Jérôme Fournier pouvait faire appel à l’ensemble de ses joueuses, toutes jouaient avec application sans prendre pitié pour les Magyars. Après trois-quarts temps, la France avait toujours inscrit exactement le double de points (62-31). Et ce fut pire dans le dernier quart-temps. Les Hongroises ont mis 8 minutes pour marquer un point! Et il n’y a pas eu d’autres paniers... Honnêtement, il était temps que ça s’arrête. Une Hongroise pleurait sur le banc, quelques unes étaient nerveuses. Bref, une sale soirée !\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\nPhoto: Océane Monpierre, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France – Vincent Collet: «Beaucoup plus constants»" }, {"role": "assistant", "content":"Au terme d’un match sans suspense, Vincent Collet et Evan Fournier sont revenus sur le match et le déroulement de la préparation, perturbée par le forfait de Thomas Heurtel.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nFace à une Tunisie fatiguée par son match du soir précédent et limitée, l’équipe de France a vécu une soirée tranquille hier à Toulouse (94-56), permettant aux douze joueurs inscrits sur la feuille de match d’évoluer entre 12 et 22 minutes.\\n\\nEn conférence de presse d’après-match, le sélectionneur Vincent Collet et l’arrière Evan Fournier sont revenus sur cette prestation ainsi que sur le forfait de Thomas Heurtel et la prestation de Théo Maledon (14 points à 4/5 aux tirs et 4/4 aux lancers francs, 2 rebonds, 1 passe, 3 interceptions).\\n\\n« Lundi, nous n’étions pas contents »\\n\\nVincent Collet : « Contre la Turquie, on avait fait un match en demi-teinte. En préparation, les résultats ne veulent pas dire grand-chose, l’important, c’est la rigueur dans l’exécution. Face à la Turquie, on en avait beaucoup manqué, avec de mauvais écrans. Là, contre la Tunisie, c’était mieux, beaucoup plus rapide. On a vu de vrais écrans, qui permettent de créer des situations intéressantes. Nous avons également été beaucoup plus constants dans l’agressivité défensive. Maintenant, il faut que les joueurs récupèrent avant le prochain stage (dès le 12). Nous avons beaucoup de travail qui nous attend lors de ce deuxième bloc. Il faut donc se reposer.\\n\\nLe niveau n’a jamais baissé malgré les nombreuses rotations ?\\n\\nIl faut être prudent dans l’analyse, au vu de l’adversité. Physiquement, la Tunisie a eu du mal en deuxième mi-temps. On aimerait qu’il n’y ait pas de différence de niveau quels que soient les joueurs sur le terrain. Mais l’important, c’est surtout l’état d’esprit. Hier, avant le match, nous avons beaucoup travaillé à la vidéo, sur la mise en place, les systèmes, les timings. Le point positif, c’est ce que les jeunes en ont fait sur le terrain. Lundi, j’étais déçu du niveau de concentration, nous n’étions pas contents, je l’ai dit aux joueurs. Ils ont eux aussi compris que ce n’était pas bien. Là, c’était beaucoup mieux.\\n\\nThéo Maledon a fait une très bonne prestation ?\\n\\nThéo a été très bien, mais il faut garder les pieds sur terre. On verra la semaine prochaine s’il peut reproduire ça face à une plus forte opposition.\\n\\nComment réagissez-vous au forfait de Thomas Heurtel ?\\n\\nNous l’avons appris aujourd’hui (hier mercredi) à 14 heures. C’est un vrai coup dur. D’abord pour lui, qui était motivé à l’idée de jouer, surtout comme meneur titulaire. Et pour l’équipe : sa gestion des pick’n’roll est l’une des meilleures en Europe. Maintenant, il faut qu’on soit capables de rebondir et de trouver des solutions.\\n\\nThéo Maledon sera donc à Lyon pour la deuxième partie du stage, alors que Léo Westermann est réserviste. Sera-t-il fait appel à ses services ?\\n\\nThéo nous accompagne à Lyon. Léo est réserviste, mais il n’est actuellement pas le remplaçant désigné d’Heurtel. Nous n’avons pas pris de décision, on réfléchit *.\\n\\nEvan Fournier : « ça fait chier ! »\\n\\nEvan Fournier : Ce soir, c’était mieux dans les intentions, dans les systèmes, dans la mise en place (NDLR : que face à la Turquie). Mais sinon, il n’y a pas grand-chose à dire, la Tunisie n’est pas au même niveau que la Turquie et a joué hier, ça s’est surtout senti au quatrième quart-temps. Mais on était plus en équipe. C’est le positif.\\n\\nComment avez-vous appris le forfait de Thomas Heurtel ?\\n\\nJe l’ai su avant tout le monde : c’est mon pote et mon camarade de chambre. Ça fait chier. Mais (sourire), on a montré ce soir qu’on n’avait pas besoin de lui – je plaisante, bien sûr. Thomas est un véritable talent offensif, l’un des meilleurs meneurs d’Europe sur pick’n’roll. Maintenant, il n’est plus là, il faut faire confiance aux jeunes, ne pas regarder derrière.\\n\\nQu’avez-vous pensé de Théo Maledon ?\\n\\nC’est un jeune qui joue comme un gars avec de l’expérience. Il me rappelle Léo Westermann sur pick’n’roll. Il est clairement en avance sur son âge. Et il n’a peur de personne, j’aime ça. Quant à son âge, il n’en a rien à faire.\\n\\nSur un match de ce genre, sans enjeu, que travaille-t-on principalement ?\\n\\nIl fallait surtout se concentrer sur nous, la mise en place offensive, les systèmes. Il fallait d’abord respecter les consignes, bien poser les écrans. C’est ce qu’on a fait.\\n\\n*Dans l’après-midi, la FFBB a envoyé un communiqué pour indiquer que Elie Okobo est appelé pour participer au stage de Lyon.\\n\\nPhoto d’ouverture: Evan Fournier, FFBB\\n\\n[armelse]\\n\\nFace à une Tunisie fatiguée par son match du soir précédent et limitée, l’équipe de France a vécu une soirée tranquille hier à Toulouse (94-56), permettant aux douze joueurs inscrits sur la feuille de match d’évoluer entre 12 et 22 minutes.\\n\\nEn conférence de presse d’après-match, le sélectionneur Vincent Collet et l’arrière Evan Fournier sont revenus sur cette prestation ainsi que sur le forfait de Thomas Heurtel et la prestation de Théo Maledon (14 points à 4/5 aux tirs et 4/4 aux lancers francs, 2 rebonds, 1 passe, 3 interceptions).\\n\\n« Lundi, nous n’étions pas contents »\\n\\nVincent Collet : « Contre la Turquie, on avait fait un match en demi-teinte. En préparation, les résultats ne veulent pas dire grand-chose, l’important, c’est la rigueur dans l’exécution. Face à la Turquie, on en avait beaucoup manqué, avec de mauvais écrans. Là, contre la Tunisie, c’était mieux, beaucoup plus rapide. On a vu de vrais écrans, qui permettent de créer des situations intéressantes. Nous avons également été beaucoup plus constants dans l’agressivité défensive. 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Il a également joué 9 matches de G-League pour 18,1 points, 7,4 passes et 4,7 rebonds en 36′ de moyenne.\\n\\nPhoto : Bellenger/IS/FFBB" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel va être opéré du genou" }, {"role": "assistant", "content":"Une rupture partielle du tendon rotulien du genou gauche a été diagnostiquée chez Thomas Heurtel (1,89m, 30 ans) alors qu’il passait en début de semaine des examens médicaux au FC Barcelone, le privant de Coupe du monde.\\n\\nDans un communiqué, le FC Barcelone annonce que le meneur international va passer sur le billard:\\n\\n« L’intervention chirurgicale sera réalisée avec la présence et la supervision du service médical du FC Barcelone. Une fois l’opération terminée, l’état du meneur de Barcelone et le temps approximatif de sa rééducation seront rapportés. »\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Pro B: A propos de la venue de François Peronnet à Nancy, Youri Verieras: «la décision a été collégiale»" }, {"role": "assistant", "content":"Il est rarissime qu’un président salarié devienne directeur général d’un autre club. C’est le cas de Youri Verieras, 30 ans, qui est passé du Limoges CSP au SLUC Nancy. A noter qu’embauché par le président Philippe Durst, il a été confirmé par son successeur Aurélien Fortier.\\n\\nLe SLUC a par ailleurs salarié Sylvain Lautié comme Directeur Sportif, Marie Garcia comme responsable administrative et financière et aussi François Peronnet, l’ancien coach du CSP, qui devient l’adjoint de Christian Monschau.\\n\\nYouri Verieras s’exprime dans L’Est Républicain, expliquant notamment cette structuration:\\n\\n« Dans les procédures des labels clubs décernés par la LNB, c’est aujourd’hui fortement conseillé. Cet élan de structuration du club est normal. Le SLUC est une société qui doit fonctionner comme telle. Par exemple, le Directoire du club avait besoin dans le domaine sportif, de se reposer au quotidien sur un expert. À l’initiative du président, le nouveau Directoire du club est complémentaire et chacun aura ses dossiers. »\\n\\nA propos de la venue de François Peronnet, Youri Verieras précise:\\n\\n« Christian Monschau n’avait pas d’assistant, François était libre, sur le marché, après avoir emmené le CSP Limoges en play-off de Jeep Élite. Je peux vous dire que la décision a été collégiale. Le Directoire, le coach, Sylvain Lautié et moi-même avons voté. »\\n\\nPhoto: Youri Verieras (CSP)" }, {"role": "user", "content":"SNB: La liste des joueurs qui sont encore sans club" }, {"role": "assistant", "content":"Comme à chaque fois à cette période de l’inter-saison, des joueurs n’ont pas encore d’employeurs. Le Syndicat des Joueurs (SNB) en a dressé une liste.\\n\\nParmi les noms les plus connus, on remarque Jordan Aboudou, Kevin Corre, Romain Duport, Antoine Mendy et encore Hervé Touré.\\n\\nLa liste est disponible ICI.\\n\\nPhoto: Romain Duport (CCRB)" }, {"role": "user", "content":"Le pivot international américain Geoffrey Groselle à Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"L’Américain Geoffrey Groselle (2,10m 26 ans) est le nouveau pivot d’Orléans.\\n\\nFormé à l’université de Creighton, Geoffrey Groselle a joué ensuite en Allemagne à Brunswick puis à Bremerhaven. La saison dernière, il était à Astana en VTB League où il a tourné à 12,1 points et 5,7 rebonds pour 15 d’évaluation en 26 matchs. Il a décroché également le titre de champion du Kazakhstan.\\n\\nCet été, il a participé avec l’équipe nationale américaine aux Jeux panaméricain à Lima au Pérou où il a obtenu une médaille de bronze avec notamment 18 points, 10 rebonds et 2 passes lors du match pour la troisième place face La République Dominicaine. Il termine le tournoi avec 10,2 points et 5,0 rebonds en 5 matchs.\\n\\n« Geoffrey est un pivot de grande taille à 2,10m avec une belle mobilité. Très adroit sous le cercle, il possède d’excellentes mains. En progression constante depuis sa sortie de l’université, Geoffrey a réalisé une très belle saison en VTB League face à de grandes équipes européennes. C’est un joueur d’équipe par excellence qui va se fondre parfaitement dans le collectif, il sera très complémentaire de Chris Evans et de Miralem Halilovic dans la peinture, » estime le coach Germain Castano." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Voici l’hymne de la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Le clip vidéo officiel de la Coupe du monde sort aujourd’hui. Il est l’oeuvre de Jason Derulo, artiste mondialement reconnu pour plusieurs disques de platine et de la reine de l’âme chinoise, Tia Ray. Il s’intitule Champion." }, {"role": "user", "content":"WNBA: 16 points à 100% pour Marine Johannès face à Chicago" }, {"role": "assistant", "content":"Nouvelle performance de choix cette nuit de Marine Johannès lors du match New York Liberty vs Chicago Sky. La Normande a scoré 16 points (4/4 à trois-points, 2/2 à deux-points) fait 2 passes, pris 1 rebond (selon les stats officielles) et même réalisé un contre en seulement 15′.\\n\\nMarine Johannès est à un point de son record face à Los Angeles. Sa moyenne sur 7 matchs s’établit à 7,7 points, 1,7 rebond et 1,7 passe en 16′ de moyenne.\\n\\nCe match était aussi l’occasion de voir face à face les deux Franco-Américaines, Bria Hartley de New York et Gabby Williams de Chicago. Hartley a cumulé 6 points (3/11), 7 passes et 2 rebonds alors que Williams n’a eu droit qu’à 9′ de jeu pour 5 points et 1 rebond.\\n\\nChicago s’est imposé 101-92.\\n\\n\\nSpecial thanks to Brittany Boyd, Han Xu, and Marine Johannes of the @nyliberty for visiting our pediatric patients at the HSS Lerner Children’s Pavilion earlier this week! #LIBERTYLOUD #HSSKids pic.twitter.com/1drSXmHL7h\\n\\n— Hosp Special Surgery (@HSpecialSurgery) August 3, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"L’Espace Muséal de la FFBB ouvrira ses portes pour les Journées du patrimoine" }, {"role": "assistant", "content":"Comme lors des éditions précédentes, l’Espace Muséal de la FFBB sera ouvert au public à l’occasion des Journées européennes du patrimoine le samedi 21 septembre 2019.\\n\\nLa Commission Patrimoine et d’anciens internationaux feront découvrir l’histoire du basket français, son évolution et ses spécificités.\\n\\nCette année, des jeux anciens issus des collections du Musée du Basket seront exposés. Sera également proposée aux visiteurs une ludothèque éphémère en collaboration avec la boutique FFBB Store qui permettra d’expérimenter la subtilité des règles de ce sport collectif, inventé à la toute fin du 19ème siècle par James Naismith à Springfield Massachussetts...\\n\\nLes visites sont libres ou commentées (l’inscription est recommandée par mail auprès de Daniel Champsaur : dchampsaur@ffbb.com ; Anne-Catherine Grassiot : acgrassiot@ffbb.com ou au 01 53 94 25 23).\\n\\nFEDERATION FRANCAISE DE BASKETBALL\\n\\n117 rue du Château des Rentiers, 75013 Paris.\\n\\nM° Olympiades (ligne 14) ou Nationale (ligne 6)\\n\\nRER C Bibliothèque Nationale François Mitterrand\\n\\nBus 62, 64, 83, 27" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de France-Tunisie" }, {"role": "assistant", "content":"Les meilleurs moments en images de la victoire de l’équipe de France hier soir à Toulouse face à la Tunisie, 94-56.\\n\\n\\n[HIGHLIGHTS] Les meilleures actions de France⚡Tunisie c'est ici 👇 pic.twitter.com/OV9G37KA1S\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) August 7, 2019\\n\\n\\nPhoto: Vincent Collet (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Asvel et Monténégro – La double vie de Zvezdan Mitrovic" }, {"role": "assistant", "content":"Les Villeurbannais ont sacrifié aux traditionnels tests médicaux et se sont envolés hier pour le Monténégro où ils vont préparer leur saison en Jeep Elite et en Euroleague. Pourquoi le Monténégro ? Parce que leur coach Zvezdan Mitrovic, ressortissant de ce pays de 660 000 habitants, est aussi le boss de l’équipe nationale qui prépare de son côté la Coupe du monde en Chine.\\n\\nUn communiqué de l’ASVEL précisait hier que l’équipe était privée de Théo Maledon, actuel partenaire d’entraînement en équipe de France, et de David Lighty « retenu aux Etats-Unis pour raisons personnelles » dont on sait qu’il vient d’empocher 200 000 dollars en tant que vainqueur du The Basketball Tournament.\\n\\nL’équipe du Monténégro aussi a passé des examens médicaux et s’entraîne à la Bemax Arena de Podgorica, la capitale du pays. « Je suis reconnaissant aux gars d’avoir répondu à l’appel », a commenté Coach Z lors d’une conférence de presse. Il devait penser en premier lieu à Nikola Vucevic (2,13m, 28 ans), le pivot du Orlando Magic.\\n\\n« Je pense que c’est une bonne chose pour le basket-ball monténégrin de disputer pour la première fois la Coupe du monde, » a déclaré celui-ci. « Après les Jeux Olympiques, c’est la plus grande compétition. Il n’est pas nécessaire de fixer des objectifs spécifiques mais de se consacrer à la préparation, pour y aller en bonne santé et au complet et essayer de faire le meilleur résultat possible. »\\n\\nL’ailier-fort Bojan Dubljevic et le meneur naturalisé Derek Needham rejoindront plus tard la préparation. Le capitaine Blagota Sekulic, 37 ans, pour qui ce sera le bâton de maréchal, a promis un combat :\\n\\n« J’espère que nous serons épargnés par les blessures, que tout ira bien. Nous ne pouvons rien promettre d’autre que de nous battre, de lutter et de donner le meilleur de nous-mêmes. »\\n\\nL’équipe monténégrine s’entraînera à Podgorica jusqu’au 1er août puis se rendra à Kolasin, une petite station de ski de 3 000 habitants où elle jouera un match à huis-clos contre... l’ASVEL. Il n’est pas dit quelle équipe Mitrovic coachera. Chacune une mi-temps ? Au moins les décisions arbitrales lui seront-elles favorables, la moitié du temps.\\n\\nCe n’est pas tout. Le retour à Lyon est prévu le mercredi 14 août. Comme ça les Villeurbannais pourront se rendre le lendemain à l’Astroballe pour assister à un match de l’équipe de France face au... Monténégro. Peut-être cette fois-là Mitrovic devra t-il coacher contre Théo Maledon." }, {"role": "user", "content":"Le quizz : Nando De Colo vs Adrien Moerman" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a fait s’opposer Nando De Colo (Fenerbahce) et Adrien Moerman (Anadolu Efes) sur un quizz sur la Coupe du monde." }, {"role": "user", "content":"Féminines: A 40 ans, Evina Maltsi prend sa retraite internationale" }, {"role": "assistant", "content":"La vénérable capitaine de l’équipe nationale de Grèce Evanthia Maltsi prend à 40 ans -elle est née le 30 décembre 1978- sa retraite internationale.\\n\\nCette incroyable pistolero a réalisé une longue et belle carrière. Elle a disputé l’Euro en 2001, fut élue MVP de celui de 2009 et était encore performante à la Coupe du Monde 2018 où elle a marqué 28 points contre la France. Elle a également pris part aux Jeux Olympiques à Athènes en 2004 où elle fut la troisième meilleure marqueuse. Elle a battu un record national avec 3 000 points inscrits avec l’équipe de Grèce.\\n\\nEvina a joué dans de nombreux clubs européens dont Bourges en 2006-07." }, {"role": "user", "content":"Préparation Coupe du monde : La France atomise la Tunisie (94-56). Théo Maledon à 14 points" }, {"role": "assistant", "content":"La Tunisie n’est pas une superpuissance mondiale du basket mais elle avait bien résisté la veille à la Turquie (54-64). Cette fois, face à des Bleus qui avaient des choses à se faire pardonner après leur sortie face à cette même Turquie, elle a pris l’eau, 94-56.\\n\\nFrank Ntilikina et Théo Maledon ont apporté une preuve supplémentaire que l’avenir leur appartient mais pour le court terme, il faudra une véritable adversité pour savoir ce que les Français ont vraiment dans le ventre.\\n\\nNando De Colo, Axel Toupane (mollet) et Mathias Lessort (entorse à la cheville) devraient vite revenir en piste mais Toupane a t-il encore le temps de séduire Vincent Collet?\\n\\nSinon à 0-4 et un 9-11, les Français ont toujours eu la maîtrise du score. Des balles perdues et quelques trous d’air en défense leur ont interdit d’avoir plus de trois points d’avance après un quart-temps. C’est dans le deuxième quart et grâce à une défense étouffante qu’ils ont laissé les Tunisiens sur place. 33-21 (15e), 52-29 à 56% de réussite à la mi-temps. Tout était dit. La deuxième mi-temps ressembla à un immense garbage time.\\n\\nAvec le forfait de Thomas Heurtel (genou défectueux), c’est Andrew Albicy qui a glissé comme meneur titulaire mais Frank Ntilikina est vite monté au feu pour se montrer appliqué, complet et très incisif. Dans le contexte, sa sélection pour la Chine ne paraît plus faire de doute.\\n\\nOuis, mais... Théo Maledon, désormais 3 sélections au compteur et 18 ans depuis juin, retenu a priori pour être partenaire d’entraînement, n’a pas abdiqué toute prétention. Il a joué avec beaucoup d’audace, scorant 8 points sur ses 4 premières minutes de jeu et finissant à 14 points avec des passages en deuxième arrière. Quel sang froid. Vincent Collet a t-il besoin de faire appel à Léo Westermann ou Elie Okobo en dépannage ? Le trio Albicy-Ntilikina-Maledon pourrait faire l’affaire.\\n\\nSalah Majri (2,18m, 33 ans), le pivot des Dallas Mavericks, premier Tunisien à avoir joué en NBA a vu trente-six chandelles. Deux posters/dunks de Vincent Poirier et surtout du grand, du très grand Rudy Gobert (12 points, 5 rebonds) comme rebondeur/fixateur/finisseur et aussi comme passeur, et qui a réalisé en prime un contre stratosphérique sur Mourad Mabrouk.\\n\\nEvan Fournier quant à lui s’est bien amusé en balançant quelques missiles. Il finit à 17 points à 4/7 à trois-points.\\n\\nLorsque les Bleus ont creusé l’écart dans le deuxième quart-temps, Timothé Luwawu et Amath Mbaye étaient sur le terrain et très déterminés ont effectué un passage absolument sans reproche. Mbaye (9 points, 4 rebonds, 2 passes) a également montré son jus en fin de match. Mais encore une fois, on pourra juger de la montée en puissance collective et des individualités quand l’opposition sera plus consistante.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FFBB)\\n\\nLA PREPARATION\\n\\nStage dans la métropole de Lyon du 11 au 17 août\\n\\nAstroballe Villeurbanne :\\nJeudi 15 août à 20h30 – France-Monténégro\\nVendredi 16 août à 20h30 – France-Brésil\\nSamedi 17 août à 20h30 – France-Argentine\\n\\nStage en Chine du 22 au 30 août\\n\\nShenyang (Chine)\\nSamedi 24 août – France-Nouvelle Zélande (19h30 heure locale)\\nDimanche 25 août – France-Italie (15h30 heure locale)\\nMardi 27 août – France-Serbie (19h30 heure locale)\\n\\nCoupe du Monde 2019 en Chine du 31 août au 15 septembre\\n\\n1er tour – Groupe G – Shenzhen\\nDimanche 1er septembre – France-Allemagne (20h30 heure locale)\\nMardi 3 septembre – Jordanie-France (20h30 heure locale)\\nJeudi 5 septembre – République Dominicaine-France (20h30 heure locale)\\n\\n2e tour – Groupe I – Nanjing – 7 au 9 septembre (sous réserve de qualification)\\n\\nhttps://twitter.com/MT28APRIL/status/1159168889433014273\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: La France étouffe la Suède, 53-31" }, {"role": "assistant", "content":"8, 8, 7 et 8 points. C’est ce que les Suédoises ont marqué à chaque quart-temps. Elles ont perdu 25 balles et ont shooté à 30%. Voici comment les Bleuettes se sont qualifiées pour les quarts-de-finale du championnat d’Europe U20 où elles affronteront demain soir la Hongrie. La dé-fen-se.\\n\\nLes Françaises ont eu beaucoup de mal en début de match face à la défense regroupée des Suédoises, leur adresse générale est la même que celle de leurs adversaires mais elles ont perdu deux fois moins de ballons. Elles ont gagné chaque quart-temps en augmentant la dose: +3, +4, +5 et +10.\\n\\nCe n’était pas la soirée de Tima Pouye (0/9 aux tirs) gênée par une boîte et davantage celle de Daphne Gnago (16 points et 8 rebonds) et de Awa Trasi (14 points), qui a marqué les 4 seuls paniers primés des Françaises alors que ses coéquipières ont manqué leurs 20 tentatives !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Daphne Gnago (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Landing Sané à Monaco, c’est signé" }, {"role": "assistant", "content":"L’effectif de Monaco continue de se renforcer. Cette fois avec l’intérieur français, Landing Sané (2,07m, 28 ans).\\n\\nSelon nos informations, l’ancien joueur du Paris-Levallois est à Monaco depuis hier et a signé son contrat. Le club n’attend plus que les résultats des tests médicaux pour pouvoir officialiser sa signature. Après un exercice 2018/19 partagé entre Levallois, Andorre et Bar, l’ancien joueur de Reggio Emilia trouvera de la stabilité en Principauté où il disputera l’Eurocup et où il devrait être la doublure de Kim Tillie.\\n\\nLa saison dernière, Landing Sané a compilé en moyenne 6,3 points et 4,1 rebonds entre la Jeep Elite, la Ligue Adriatique, la Liga Endesa et l’Eurocup.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel forfait pour la coupe du Monde !" }, {"role": "assistant", "content":"Meneur titulaire de l’Equipe de France, Thomas Heurtel (1,89m, 30 ans) est contraint de déclarer forfait pour la coupe du Monde, annonce la FFBB.\\n\\nInitialement mis au repos pour le match contre la Tunisie prévu ce mercredi soir en raison de douleurs au genou, le meneur des FC Barcelone a passé des examens en Espagne qui ont révélé que le tendon rotulien est touché. L’ancien joueur de l’Anadolu Efes doit observer une période de repos de plusieurs semaines et est donc obligé de quitter l’Equipe de France très prématurément.\\n\\nVincent Collet n’a plus sous la main que Andrew Albicy et Frank Ntilikina comme véritables meneurs. Nando De Colo et Paul Lacombe sont davantage des 2. Une opportunité pour Théo Malédon, 18 ans, actuellement partenaires d’entraînement ou pour Léo Westermann qui est sur la liste des réservistes ? La réponse ne saurait tarder.\\n\\nPhoto : FFBB" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Zaid Hearst nouvel arrière d’Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Relegué en Pro B, Antibes poursuit son recrutement XXL avec Zaid Hearst (1,94m, 27 ans).\\n\\nLes Sharks annoncent aujourd’hui avoir mis la main sur le deuxième meilleur scoreur du championnat lituanien. Formé à l’université de Quinnipiac, il a lancé sa carrière professionnelle en deuxième division espagnole. Il a ensuite évolué en deuxième division italienne avant de rejoindre le BC Nevezis la saison dernière.\\n\\nLa saison dernière, Zaid Hearst compilait en moyenne 14,8 points et 2,6 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BC Nevezis" }, {"role": "user", "content":"Le point club par club sur les arrivées/départs en Pro B" }, {"role": "assistant", "content":"BasketEurope vous propose un point en instantané des transferts de Pro B. Nous ne tenons compte que de ceux qui ont été officialisés par les clubs.\\n\\n\\nTransferts Pro B 2019/20\\n\\nBasketEurope vous propose de suivre durant toute l’inter-saison l’évolution des ... Lire la suite\\n\\n[gdlr_core_pub]" }, {"role": "user", "content":"Le Villeurbannais David Lighty vainqueur du tournoi TBT avec 2 millions de dollars à la clé" }, {"role": "assistant", "content":"The Basketball Tournament est un tournoi ouvert, avec 64 équipes participantes, qui se déroule chaque été avec un montant de 2 millions de dollars à la clé pour l’équipe vainqueur.\\n\\nCe tournoi puise aussi son originalité dans le fait que si ce sont des joueurs américains dont certains NBAer comme Jonathan Simmons qui y participent, les règles suivies sont celles de la fédération internationale. Cependant, les quart-temps sont plus courts puisqu’ils ne durent que 9 minutes. Enfin, une autre spécificité est présente au niveau des fautes. Les joueurs ne sont expulsés qu’après leur 6ème faute et non la 5ème comme en FIBA.\\n\\nDe nombreuses têtes connues du championnat de France étaient présentes lors de ce tournoi. On retrouvait notamment William Bufford (1,96 m, 29 ans), ex Limoges et BCM Gravelines, le Villeurbannais David Lighty (1,95 m, 31 ans) ou encore l’ancien Monégasque Aaron Craft (1,88 m, 28 ans) qui évoluaient tous au sein de l’équipe Carmen’s Crew et qui s’est hissée en finale pour finalement la gagner face au Golden Eagles, emmené notamment par Elgin Cook (1,96 m, 26 ans), ancien joueur du Cedevita Zagreb.\\n\\nLors de la finale David Lighty a compilé 17 points à 5/11 aux tirs, 7 rebonds et 4 passes en 33 minutes. Elgin Cook a marqué 17 points pour l’équipe perdante.\\n\\nSelon le site officiel du TBT, David Lighty a empoché, au même titre que les autres figures passées par la LNB précédemment, la coquette somme de 200,000$.\\n\\n\\nDavid Lighty came up CLUTCH again for @CarmensCrew in their $2 million win over Golden Eagles!\\n\\nGame-high 17 points, 7 rebounds & 4 assists for the newly crowned CHAMPION! #TBT2019 pic.twitter.com/gBF6bmAWn0\\n\\n— TBT (@thetournament) August 7, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 4 200 spectateurs pour France-Tunisie" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France fait recette. Le match de préparation à la Coupe du monde de ce soir France-Tunisie se jouera à guichets fermés au Palais des Sports de Toulouse soit 4 200 spectateurs.\\n\\nLundi, le match France-Turquie avait réuni 7 525 spectateurs au palais des sports de Pau.\\n\\nPhoto: palais des sports de Pau, FFBB\\n\\n\\nToulouse à guichets fermés ce soir ! 🔥\\nLes 4200 places du Palais des Sports ont trouvé preneur pour #FRATUN 🇫🇷🇹🇳 ce mercredi#TeamFranceBasket pic.twitter.com/hPUutcnqPi\\n\\n— Kévin Bosi (@kevinbosi) August 7, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Will Thomas rejoint le Zenit Saint-Pétersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Andrew Albicy aura comme équipier au Zenit Saint-Pétersbourg, en Euroleague et en Eurocup, l’expérimenté ailier Will Thomas (2,03m, 33 ans), qui possède la nationalité géorgienne en plus de l’américaine.\\n\\nLa saison dernière, Will Thomas a gagné l’Eurocup avec Valence et il a été élu MVP de la finale. Sur un total de 23 matchs, il a inscrit 11,8 points, 3,7 rebonds et 1,7 passe. Il a déjà joué en Euroleague avec Malaga et Valence.\\n\\nEn plus de Andrew Albicy, le Zenit a précédemment ajouté à son effectif Gustavo Ayon, Alex Renfroe, Colton Iverson, Mateusz Ponitka, Anton Ponkrashov, Austin Hollins, Andrey Zoukov, Dmitry Khvostov et Tim Abromaitis tout en conservant Vladislav Trushkin, Anton Pushkov et Sergey Balashov.\\n\\nLe Zenit a comme principal sponsor Gazprom, une société qui emploie 400 000 personnes pour l’extraction, le traitement et le transport de gaz naturel." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Alice Nayo rejoint Gdansk et la Pologne" }, {"role": "assistant", "content":"Alice Nayo (1,87m, 26 ans) a choisi de rejoindre la Pologne et Politechnika Gdansk pour la saison 2019/20.\\n\\nAncienne ailière de Villeneuve d’Ascq et Nice, Alica Nayo opérait la saison dernière au Chartres Basket en Ligue 2, où elle a enregistré une moyenne de 19,2 points et 4,8 rebonds. C’est aussi une excellente joueuse de 3×3 qui apparait à la 72e place mondiale.\\n\\n« Après quelques années en France, j’ai décidé de changer de club à la recherche de nouveaux défis. Je n’ai jamais joué à l’étranger mais je pense que la Pologne est ma meilleure destination. C’est près de la France et il a une forte ligue avec de bonnes joueuses. Je connais Tiffany Clark qui jouait dans l’équipe de Chartres et c’est par elle que j’ai entendu beaucoup de bonnes choses sur la ligue polonaise, mais aussi sur l’équipe de l’Université de technologie de Gdańsk. C’est pourquoi j’étais encore plus sûr que c’était un bon choix. J’espère que je pourrai connaître la Pologne, sa culture et ses habitants avec une énergie positive. Je laisserai certainement tout mon cœur sur le parquet et je pense que mon expérience, mon athlétisme et mon engagement à la fois en attaque et en défense contribueront aux prochaines victoires », commente t-elle sur le site du club.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Richard Solomon, dernière pièce du recrutement de la JDA Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"La JDA Dijon Basket annonce le recrutement du pivot américain Richard Solomon (2,08m, 27 ans), qui sort de G-League (Oklahoma City Blue) et qui lors de la saison 2016-17 portait le maillot du BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nAvec le BCM et avec un temps de jeu moyen de 22 minutes, il avait assuré 10,1 points et 8 rebonds pour 14,9 d’évaluation. Il avait ensuite rejoint Usak en Turquie, puis donc la G-League où il a compilé 13,8 points et 8,6 rebonds pour 18,7 d’évaluation en moyenne.\\n\\n« Suite au refus de Gavin (Ware) de prolonger l’aventure avec nous, il a fallu trouver un poste 5. Le marché sur ce poste-là est à la fois très difficile et complexe. Aussi, après avoir exploré diverses options, le choix de Richard nous apparaît à la fois complémentaire du reste de l’équipe mais également une plus-value quant à ses capacités. Vertical, athlétique, dissuasif, jouant très bien les pick & roll, il possède des atouts qui, je pense, permettront de tirer l’équipe vers le meilleur« , commente le coach Laurent Legname.\\n\\nL’effectif de la JDA est désormais au complet avec Axel Julien, David Holston, Rasheed Sulaimon, Lamonte Ulmer, Jérémy Leloup, Abdoulaye Loum, Michael Young, Richard Solomon et Alexandre Chassang." }, {"role": "user", "content":"Australie: Xavier Cooks (Strasbourg) retenu pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Le swingman Xavier Cooks (2,03m, 23 ans) qui a signé cet été avec la SIG Strasbourg fait partie des 12 joueurs retenus par l’Australie pour la Coupe du monde. Jonah Bolden et Xavier Cooks ont été sélectionnés pour la première fois après avoir impressionné au camp de sélection des Boomers.\\n\\nSix membres de l’équipe olympique 2016 sont de retour, avec Aron Baynes, Andrew Bogut, Matthew Dellavedova, Chris Goulding, Joe Ingles et Patrick Mills. Cinq joueurs sont actuellement en NBA, autant en NBL, le championnat australien, et deux en Europe. A noter toutefois que Andrew Bogut a disputé 11 matches avec les Golden State Warriors la saison dernière.\\n\\nBen Simmons (Phila Sixers) et Thon Maker (Detroit Pistons) sont les deux grands absents de la sélection.\\n\\n« En tant que nation, nous sommes extrêmement chanceux d’avoir des joueurs qui sont non seulement extrêmement qualifiés sur le terrain, mais qui sont également des êtres humains formidables », a déclaré le coach Andrej Lemanis.\\n\\nL’Australie jouera deux fois en préparation les Etats-Unis et aussi le Canada qui sera son adversaire en phase de groupe à la Coupe du monde. Les Boomers sont susceptibles de croiser la France au deuxième tour.\\n\\nJoueurClubAron BaynesPhoenix Suns (NBA)Andrew BogutSydney Kings (NBL)Jonah BoldenPhiladelphie 76ers (NBA)Xavier CooksSIG Strasbourg (France)Matthew DellavedovaCleveland Cavaliers (NBA)Cameron GliddonBrisbane Bullets (NBL)Chris GouldingMelbourne United (NBL)Joe InglesUtah Jazz (NBA)Nicholas KayWildcats de Perth (NBL)Jock LandaleŽalgiris Kaunas (Lituanie)Patty MillsSan Antonio Spurs (NBA)Nathan SobeyBrisbane Bullets (NBL)\\n\\nLe programme:\\n16 août: Australie vs. Canada au RAC Arena de Perth.\\nle 17 août: Australie vs Canada au RAC Arena de Perth.\\nle 22 août: Australie vs USA au Marvel Stadium de Melbourne.\\nle 24 août: Australie vs USA Basketball au Marvel Stadium de Melbourne.\\n\\n1er septembre: Australie vs. Canada\\n3 septembre: Australie vs. Sénégal\\n5 septembre: Australie vs. Lituanie\\n7 et 9 septembre : Huitièmes de finale\\n10 septembre: Quarts de finale\\n13 septembre: Demi-finales\\n15 septembre: Finale et Finale 3e place\\n\\nPhoto: Xavier Cooks" }, {"role": "user", "content":"U18: Santi Aldama et Usman Garuba, les pépites espagnoles" }, {"role": "assistant", "content":"La relève est là en Espagne avec la génération 2001 championne d’Europe U18 et plus particulièrement du côté des big men où l’on trouve le MVP, Santiago Aldama et un autre all-star du tournoi, Usman Garuba.\\n\\nSanti Aldama est le fils de... Santi Aldama, 2,13m, qui a disputé les Jeux Olympiques de Barcelone en 1992. Son fiston a été décisif dans l’emballage final: 19 points contre la Lettonie en 16e de finale, 25 points et 9 rebonds contre la Russie en quart, 19 points et 11 rebonds contre la Grèce, et 23 points contre la Turquie. Au total, cela donne 18,0 points et 7,6 rebonds en moyenne.\\n\\nSanti Aldama a rejeté les offres du Real Madrid, du FC Barcelone et de Gran Canaria pour s’engager en NCAA avec Loyola Marimount. La presse espagnole le compare à Pau Gasol mais lui réfute le compliment... et son père aussi:\\n\\n« Quand on a un jeune homme, on cherche des comparaisons, mais il faut faire très attention à ne pas mettre une pression excessive sur un garçon de son âge. Il a un talent important et a fait un championnat exceptionnel, mais on le compare à Pau Gasol qui est le meilleur. Vous devez avoir les pieds sur terre « , a t-il souligné.\\n\\nQuant à Usman Garuba (2,03m), il est né en mars 2002 et il a élu MVP de l’Euro U16 alors qu’il avait... 14 ans. Est-ce un développement précoce qui lui permet de dominer physiquement en jeune? Sera-ce toujours le cas à l’âge adulte ? En tous les cas, né à Madrid, il est au Real depuis l’âge de 11 ans et le coach Pablo Laso l’a lancé la saison dernière contre Burgos et il est ainsi devenu le troisième joueur le plus jeune de l’histoire du club après Luka Doncic et Roberto Núñez. Il devrait vraiment entrer dans les rotations du Real cette saison.\\n\\nA l’Euro, Usman Garuba a établi des statistiques impressionnantes: 15,6 points, 12,9 rebonds, 2,1 contres et 1,6 passe. Sa faiblesse: le shoot extérieur (2/8 à trois-points) qui peut devenir un lourd handicap s’il ne grandit plus. Il en a conscience:\\n\\n« J’ai encore 17 ans et je dois tout améliorer, mon shoot, et surtout ma concentration. La NBA ne me préoccupe pas pour l’instant, je m’en fiche de ça. Je pense à la vie de tous les jours et au meilleur basket possible. »\\n\\nPhoto ouverture: Santiago Aldama (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Klemen Prepelic (ex Limoges) passe de Madrid à Badalone" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison qui ne restera pas dans les annales au Real Madrid, Klemen Prepelic (1,91m, 26 ans) quitte la capitale espagnole.\\n\\nSur son site, la Joventut Badalona annonce la signature pour une saison de l’ancien limougeaud. Champion d’Europe avec la Slovénie en 2017, cet arrière également passé par Levallois est notamment reconnu pour sa qualité de shoot. Il devrait pouvoir se relancer dans ce club qui a terminé septième de Liga Endesa en 2018/19 et qui disputera l’Eurocup à la rentrée.\\n\\nLa saison dernière, Klemen Prepelic compilait en moyenne 4,1 points et 1,3 passe décisive en 10 minutes de jeu. En 2017/18, il tournait à plus de 15 points par match avec Levallois.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Le beau geste de Pauline Akonga Nsimbo" }, {"role": "assistant", "content":"Pauline Akonga Nsimbo (1,88m, 37 ans) du Hainaut Basket va participer à l’AfroBasket avec la République Démocratique du Congo. Alors qu’elle est proche de la fin de sa carrière en équipe nationale comme en club, elle a eu un geste qui a été apprécié à son arrivée à Kinshasa: elle a offert des paires de basket à ses équipières.\\n\\n\\n“J’ai des larmes aux yeux. Ça fait un bout de temps que je ne joue plus en équipe nationale. A chaque fois qu’on m’appelait, je n’avais pas le temps pour venir car le club me libérait difficilement. Comme c’est ma dernière sélection, peut être aussi la fin de ma carrière, j’ai voulu faire ce don en guise de souvenir”, a t-elle déclaré, des propos rapportés par Congoprofond.net.\\n\\n\\nPauline Akonga Nsimbo a connu une riche carrière qui l’a emmenée en Angola, au Mozambique, au Portugal, en Belgique, puis à Arras, Le Hainaut, Villeneuve d’Ascq et de nouveau Le Hainaut.\\n\\n\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"Timothé Luwawu-Cabarrot: L’énigme" }, {"role": "assistant", "content":"Tout comme Frank Ntilikina, Timothé Luwawu-Cabarrot (2,01m, 24 ans) arrive de NBA pour gagner sa place en équipe de France. Il est difficile avant de le voir à l’œuvre de déterminer sa valeur internationale mais il est habité par une grosse confiance en lui.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl y a trois sortes de trajectoires. Les linéaires comme celle de Nicolas Batum, meilleur junior européen de sa génération, de la Pro A et de l’Euroleague au Mans à son actif, avant d’entrer à 20 ans en NBA et d’y être toujours onze ans plus tard. Deuxième catégorie, les tardifs. Pas de traces de Nando De Colo et Vincent Poirier dans les équipes de France cadettes et juniors, ils ont ensuite brûlé les étapes à l’âge adulte. Et enfin, les précoces ou prématurés, c’est selon, qui filent en NBA alors qu’ils ont peu de kilomètres au compteur, la ligue américaine étant friande de prospects qui bourgeonnent encore quand ils franchissent l’Atlantique. C’est le cas de Frank Ntilikina et Timothé Luwawu-Cabarrot qui selon toute vraisemblance vont connaître ce soir, ensemble à Pau, leur première sélection en équipe de France face à la Turquie.\\n\\nIl y a deux ans, Timothé Luwawu, alors âgé de 22 ans, avait déjà été appelé par Vincent Collet dans la perspective de l’Euro mais il avait été recalé aux tests médicaux de l’INSEP pour un problème de tendinopathie rotulienne.\\n\\n« Je me sentais bien mais quand je suis arrivé en France, dans le sud, j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas au genou après quelques entraînements individuels. Ça été confirmé ici quand on a fait des examens supplémentaires. A partir de là, on a décidé de me renvoyer à Philadelphie pour faire les soins nécessaires, » rappelle t-il.\\n\\nDepuis, le Cannois a maintenu le contact avec le Team France en voyant à New York Patrick Beesley, son general manager, et aussi Boris Diaw qui fait désormais le lien avec les internationaux. Mais TLC demeure un inconnu pour les observateurs européens qui ne suivent pas la NBA au jour le jour.\\n\\n« On peut dire ça mais je ne pense plus pour longtemps », affirme t-il.\\n\\nEnfant de l’Olympique d’Antibes\\n\\nTimothé Luwawu-Cabarrot, dont le père est d’origine congolaise, est un pur produit de la formation antiboise puisqu’il a passé dix ans à l’Olympique à partir de la catégorie poussin, où il était ni grand ni costaud. Ce n’est qu’en cadets, puis en espoirs (17,6 points, 6,5 rebonds et 2,0 passes) qu’il a commencé à faire son trou et c’est à l’occasion de l’Euro U20 en 2014 qu’il a attiré l’attention des premiers scouts NBA. Un an plus tard, toujours à l’Euro U20, il était le meilleur marqueur (11,6 points) d’une équipe de France qui comptait également dans ses rangs Guershon Yabusele, Mathias Lessort, Alpha Kaba et Petr Cornelie.\\n\\nIl fit une seule vraie saison dans le circuit professionnel français, en Pro B, avec comme mission principale de mettre le shooteur adverse sous l’éteignoir. Comme Alpha Kaba, il choisit ensuite l’option de Mega Leks, un club de Belgrade contrôlé par l’agence BeoBasketdont il était client, qui à une exception près alignait uniquement des joueurs de 22 ans ou moins et qui était une plateforme d’exposition pour la draft NBA. En Adriatic League, le Français allait frapper fort : 14,8 points en moyenne.\\n\\n« C’est carrément moins athlétique qu’en France, mais ça joue plus « smart » (intelligemment). Il faut plus réfléchir quand tu joues ici. La pré-saison a été difficile et, pour mon premier match contre l’Etoile Rouge, je n’ai pas bien joué (6 points à 2/12 et -1 d’évaluation lors de la première journée de l’Adriatique). Ensuite je me suis adapté, » confia t-il alors à Basket Hebdo. « J’ai progressé bien sûr mais c’est aussi que l’année dernière, je n’avais pas vraiment l’occasion de montrer ce que je savais faire. Il y avait trois étrangers, des anciens, une hiérarchie à respecter... Alors qu’ici, je suis la première option offensive et quand je démarre un match, je sais que je vais jouer 30 minutes. Je suis plus relax, j’ai confiance en moi... et le coach (l’ancien international Dejan Milojevic) aussi a confiance en moi. »\\n\\nLe garçon fluet s’est forgé en quelques petites années un physique de joueur NBA avec une bonne taille (2,015m précisément) et de solides qualités athlétiques peu courantes en Adriatique Ligue qui en firent un 24e choix de la draft 2016.\\n\\nLe rebond à Chicago\\n\\nSon année de rookie ? Pas mal. 19 apparitions dans le starting five, 17’ de temps de jeu moyen et 6,4 points. En raison d’une forte concurrence, le Cannois n’a pas vraiment confirmé lors de la deuxième saison aux Philadelphia Sixers et fut victime d’un trade qui l’envoya à Oklahoma City où il fut mis trop souvent en pénitence sur le banc ou quand il en sortait c’était pour des gouttes de temps de jeu. Pas facile de faire ses preuves quand on ne fait non plus jamais de 5c5 à l’entraînement ! Et au lieu de suer pendant le match, Timothé faisait par défaut du rab lors des shootings matinaux ou en arrivant le soir avant les autres.\\n\\n« Il faut faire avec, ce n’est pas quelque chose que l’on contrôle, » répond t-il quand on lui demande s’il n’a pas trouvé le temps long lors de ce séjour au Thunder. « J’ai essayé de parler avec le coach, de faire ce qui était dans mon pouvoir, dans mes capacités pour rentrer sur le terrain et jouer. Quand je suis rentré sur le terrain, je pense que j’ai montré à tout le monde que j’étais capable de jouer. A partir du moment où les personnes ne sont pas capables de voir ce qu’ils ont et ce qu’ils pouvaient faire de moi, tu ne peux plus rien faire. »\\n\\nSon coach Billy Donovan louait pourtant ses aptitudes de shooteur et voyait en lui un défenseur très correct mais mettait en avant la profusion de joueurs à son poste. Donovan ne fit appel à ses services que quatre fois plus de 10 minutes en trois mois. Une aumône. Un autre transfert avant la deadline du 1er février cette fois à Chicago, a relancé sa carrière dans le bon sens.\\n\\n« Quand j’étais à Oklahoma City et que j’ai vu la trade deadline arriver, tout ce que j’ai voulu c’est partir et aller dans un club pour jouer. Je bossais tous les jours pour être prêt le jour où mon agent m’appelle et me dit « Tim, tu vas partir dans telle équipe. » C’est ce qui est arrivé. Il m’a dit « tu vas partir à Chicago » et quand je suis arrivé à Chicago, j’étais prêt à jouer.\\n\\nLe coach Jim Boylen l’a accueilli avec le sourire en disant :\\n\\n« Il a une mentalité de scoreur. Il est grand. Je suis content que l’on ait cet ailier à observer, qu’on puisse voir ce qu’il peut faire. »\\n\\nPas des paroles en l’air. En 29 matches, le Cannois est apparu 19’ en moyenne pour 6,8 points à 33,0% à trois-points et 2,7 rebonds. Il a même cumulé 18 points, 10 rebonds et 2 contres face aux Raptors, le futur champion. La stratégie des coaches en NBA est parfois très énigmatique.\\n\\n« Je pense qu’à Philly et à Oklahoma City même si je n’ai pas beaucoup joué, j’ai beaucoup progressé quand j’étais là-bas. A Chicago, j’ai eu l’occasion de jouer et de montrer sur quoi j’avais travaillé. A partir du moment où j’ai mis un pied en NBA et jusqu’à maintenant, j’ai progressé dans tous les aspects du jeu et aussi dans ma tête. »\\n\\nSon avenir? Alors qu’il est en stage avec les Bleus, TLC est agent libre.\\n\\n« Il y a quelques contacts, quelques choses dans les airs, quelques franchises qui m’aiment bien mais pour l’instant rien de concret. On attend. »\\n\\nTout se joue actuellement\\n\\nQuand on est à plusieurs milliers de kilomètres de la France, on demeure connecté et Timothé Luwawu-Cabarrot suit à distance la Jeep Elite et le basket européen.\\n\\n« Comme j’ai joué à Antibes, je sais ce qu’ils font. Je suis les joueurs français en Europe avec qui j’ai joués comme Mathias (Lessort) et Alex (Chassang) car il faisait une saison énorme à Dijon, Paul (Lacombe), Axel (Toupane), un peu tout le monde de loin mais sans regarder les matches. »\\n\\nOn a déjà aperçu sa silhouette dans l’Azur Arena quand la saison régulière de NBA est terminée.\\n\\n« C’est chez moi donc j’y retourne. Je vois des matches quand j’ai l’occasion, cette année, j’en ai vu un car l’un de mes meilleurs amis, Isaia (Cordinier) y jouait et il a été énorme à la fin de l’année. C’est sûr que cette année Antibes ce n’était pas au top. »\\n\\nTLC confie qu’il n’était pas aux aguets lorsque Vincent Collet a annoncé le 12 juin la liste des 15 pré-sélectionnés mais évidemment il a accueilli la nouvelle avec une grande satisfaction.\\n\\n« Pour être honnête, je ne savais pas du tout quel jour ça allait tomber. Mais quand c’est arrivé, je me suis dit, « enfin une opportunité de montrer aux Français, à la France, à Vincent (Collet) et même aux joueurs qui sont en Europe et qui ne me connaissent pas forcément, que ce soit Nando (De Colo), Thomas (Heurtel), Adrien (Moerman) que je ne suis pas arrivé en NBA pour rien et que je ne reste pas un anonyme, un mystère pour tout le monde, que je puisse montrer ce que je sais faire. »\\n\\nLorsqu’il a annoncé sa liste à la presse, Vincent Collet a fait un petit commentaire sur le joueur des Bulls soulignant que son format est peu répandu dans le basket français. TLC opine du chef :\\n\\n« Oui, je pense qu’en équipe de France, je suis unique. J’ai une confiance énorme en mes capacités et je suis persuadé qu’après ce stage à Pau et ces matches ma place est là. Je ne suis pas venu ici pour être le 12e mais pour jouer, pour être une partie entière de l’équipe. Je pense que j’ai clairement ma place dans l’équipe et je pense que je vais le prouver pendant les entraînements et les matches. » Il ajoute qu’il peut apporter « de la défense, du tir, du drive, de la personnalité, du caractère »\\n\\nC’est donc en ce moment, à Pau, à Toulouse, que Timothé doit donner la preuve au coach des Bleus qu’il sera plus utile que d’autres postulants qui sont directement ou indirectement ses concurrents : Axel Toupane, Paul Lacombe voire Frank Ntilikina. L’intéressé n’a pas de fausse pudeur, il estime qu’il n’a pas le même profil que Toupane, qu’il est plus complet, plus fort en attaque et que lui aussi sait mettre la pression en défense. Sur les quelques séquences où on le voit en vidéo, il apparaît qu’il déclenche son shoot extérieur à toute vitesse et qu’il aime driver en frottant ses muscles à son défenseur. Sur de sa force le Cannois.\\n\\n« En NBA, je n’ai pas forcément pu montrer tout ça mais j’ai beaucoup plus de qualités que tout le monde pense. »\\n\\nIl considère aussi la Coupe du monde comme une superbe vitrine, un lieu idéal pour s’exposer :\\n\\n« Je pense que si je montre mes capacités, que je peux être performant, surtout à côté de joueurs NBA confirmés, ça peut changer des choses dans leurs têtes. Ça peut être un déclic pour certaines franchises. Mais pour l’instant ce n’est pas quelque chose auquel je pense. Je pense juste à la prépa, à Pau, au premier entraînement, au deuxième entraînement. J’ai vraiment hâte de m’entraîner, de jouer, » disait-il il y a une semaine à l’INSEP. Il ajoutait : « Je ne me soucie pas forcément des joueurs qui sont en face de moi mais de moi-même et de mes coéquipiers. J’ai à apprendre à les connaître comme il faut. »\\n\\nNéanmoins, si Timothé Luwawu-Cabarrot obtient son visa pour la Chine, il va changer de rôle, avoir un nouveau challenge. Jusqu’ici, il a été habitué à prouver individuellement qu’il a sa place dans une équipe, mais il n’a pas connu les playoffs en NBA et son expérience du haut niveau européen se limite à une finale d’Adriatic League. Il va lui falloir négocier collectivement des matches à gros enjeu, des do or die. Il verra, c’est plus valorisant et encore plus excitant.\\n\\nOuverture: Photo FFBB\\n\\n[armelse]\\n\\nIl y a trois sortes de trajectoires. Les linéaires comme celle de Nicolas Batum, meilleur junior européen de sa génération, de la Pro A et de l’Euroleague au Mans à son actif, avant d’entrer à 20 ans en NBA et d’y être toujours onze ans plus tard. Deuxième catégorie, les tardifs. Pas de traces de Nando De Colo et Vincent Poirier dans les équipes de France cadettes et juniors, ils ont ensuite brûlé les étapes à l’âge adulte. Et enfin, les précoces ou prématurés, c’est selon, qui filent en NBA alors qu’ils ont peu de kilomètres au compteur, la ligue américaine étant friande de prospects qui bourgeonnent encore quand ils franchissent l’Atlantique. C’est le cas de Frank Ntilikina et Timothé Luwawu-Cabarrot qui selon toute vraisemblance vont connaître ce soir ensemble à Pau leur première sélection en équipe de France face à la Turquie.\\n\\nIl y a deux ans, Timothé Luwawu, alors âgé de 22 ans, avait déjà été appelé par Vincent Collet dans la perspective de l’Euro mais il avait été recalé aux tests médicaux de l’INSEP pour un problème de tendinopathie rotulienne.\\n\\n« Je me sentais bien mais quand je suis arrivé en France, dans le sud, j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas au genou après quelques entraînements individuels. Ça été confirmé ici quand on a fait des examens supplémentaires. A partir de là, on a décidé de me renvoyer à Philadelphie pour faire les soins nécessaires, » rappelle t-il.\\n\\nDepuis, le Cannois a maintenu le contact avec le Team France en voyant à New York Patrick Beesley, son general manager, et aussi Boris Diaw qui fait désormais le lien avec les internationaux. Mais TLC demeure un inconnu pour les observateurs européens qui ne suivent pas la NBA au jour le jour.\\n\\n« On peut dire ça mais je ne pense plus pour longtemps », affirme t-il.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: Thomas Heurtel absent face à la Tunisie" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur des Bleus Thomas Heurtel (1,88m, 30 ans) sera ménagé demain mercredi à Toulouse face à la Tunisie (20h30, en direct sur RMC Sport 2). Le joueur a en effet ressenti une gêne au genou à la suite du match d’hier à Pau face à la Turquie. Ainsi, par mesure de précaution, le staff tricolore a décidé de le préserver face à la Tunisie ce mercredi.\\n\\nThomas Heurtel, qui devait initialement se rendre à Barcelone pour effectuer un bilan médical avec son club entre les deux stages de Toulouse et Lyon, a été autorisé par le staff de l’Équipe de France à anticiper son départ en Espagne.\\n\\nPar ailleurs, Nando De Colo, Mathias Lessort et Axel Toupane, déjà préservés hier face à la Turquie, seront à nouveau ménagés demain face à la Tunisie. Afin de pallier ces absences, le staff des Bleus a décidé d’aligner Théo Maledon dans la liste des 12 joueurs retenus pour affronter la Tunisie à Toulouse.\\n\\nLes 12 joueurs retenus contre la Tunisie (mercredi à 20h30, au Palais des Sports de Toulouse) :\\nAndrew Albicy, Nicolas Batum, Evan Fournier, Rudy Gobert, Louis Labeyrie, Paul Lacombe, Timothé Luwawu-Cabarrot, Amath M’Baye, Théo Maledon, Adrien Moerman, Frank Ntilikina, Vincent Poirier.\\n\\nPhoto: FFBB\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jonathan Arledge arrive dans la peinture de Cholet Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Le recrutement étranger de Cholet est terminé après le recrutement de Jonathan Arledge (2,06m, 27 ans).\\n\\nSur son site, CB annonce la signature pour une saison de cet intérieur américain formé aux universités de George Mason et Old Dominion. Passé par la Suisse et la deuxième division italienne, il évoluait la saison dernière à Ventspils avec qui il a été sacré champion de Lettonie/Estonie. Il va vivre sa première expérience en Jeep Elite dans les Mauges.\\n\\nLa saison dernière, Jonathan Arledge compilait en moyenne 12,3 points, 5,4 rebonds, 1,1 passe décisive et 1 interception en championnat, et 12,1 points et 5,2 rebonds en Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Zoran Dragic avec Killian Hayes à Ulm" }, {"role": "assistant", "content":"Le Slovène Zoran Dragic (1,96m, 30 ans) signe pour un an à Ratiopharm Ulm et sera ainsi l’équipier de Killian Hayes au sein de l’équipe allemande.\\n\\nZoran est le frère cadet de la star du Miami Heat, Goran Dragic. Il peut opérer comme arrière ou ailier. Il était la saison dernière à Trieste où il a assuré 12,8 points et 2,6 rebonds dans la ligue italienne.\\n\\nL’entraîneur d’Ulm, Jaka Lakovic, lui-même Slovène, a joué un rôle important dans le processus de recrutement de Dragic.\\n\\n« Je suis très heureux que Zoran ait décidé de jouer à Ulm. Bien sûr, je le connais très bien depuis son passage avec l’équipe nationale et je sais qu’il aidera notre équipe dans de nombreux secteurs. C’est un leader absolu avec surtout un fort jeu d’attaque et une qualité exceptionnelle en défense. «\\n\\nLors de sa carrière, le swingman a eu une petite expérience aux Phoenix Suns et au Miami Heat ainsi qu’au Khimki Moscou, à Milan et Anadolu Efes. 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Il vivra donc sa première expérience en France en Pro B.\\n\\nLa saison dernière, Pendarvis Williams compilait en moyenne 9 points, 2,5 rebonds et 2,1 passes décisives.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BG Göttingen" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Tyrus McGee vers Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Sacré champion de FIBA Europe Cup avec le Dinamo Sassari il y a quelques semaines, Tyrus McGee (1,88m, 28 ans) devrait continuer sa carrière en France.\\n\\nSelon nos informations, ce poste 2 américain sorti d’Iowa State devrait s’engager avec l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. Passé par l’Espagne, l’Allemagne, la Turquie et l’Italie, cet arrière explosif a notamment été l’auteur d’un des dunks de l’année en finale des playoffs italiens. A Venise en 2016/17, il a aussi été sacré champion d’Italie.\\n\\nLa saison dernière, Tyrus McGee a commencé en Turquie, à Afyonkarahisar, avant de finalement rejoindre le Dinamo Sassari. Il a compilé en moyenne 10,3 points, 2,3 rebonds et 2,2 passes décisives entre les championnats turc et italien et la FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: Le tirage au sort des 64e de finale" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a procédé au tirage au sort du premier tour de la Coupe de France masculine – Trophée Robert Busnel 2020. Ces rencontres de 1/64e de finale se joueront le mardi 17 septembre à 20h00*. Les 1/64e de finale se joueront le même jour que le tour préliminaire, le mardi 17 septembre*.\\n\\nGRIES/OBERHOFFEN BC (PRO B) vs LILLE METROPOLE BASKET CLUBS (PRO B)\\nORCHESIEN B C (NM1) vs DENAIN A S C V P H (PRO B)\\nBESANCON AVENIR COMTOIS (NM1) vs MULHOUSE PFASTATT BASKET ASSOCIATION (NM1)\\nAS KAYSERSBERG AMMERSCHWIHR BCA (NM1) vs SLUC NANCY BASKET ASSOCIATION (PRO B)\\nSO MARITIME BOULOGNE (NM1) vs ESSM LE PORTEL (Jeep® ÉLITE)\\nGET VOSGES (NM1) vs SOUFFELWEYERSHEIM BC (PRO B)\\nVITRE AURORE (NM1) vs RUEIL ATHLETIC CLUB (NM1)\\nSAINT THOMAS BASKET LE HAVRE (NM1) vs SPO ROUEN BASKETBALL (PRO B)\\nSTADE DE VANVES (NM1) vs CHOLET BASKET (Jeep® ÉLITE)\\nAL MADELEINE EVREUX (PRO B) vs UJAP QUIMPER (PRO B)\\nVENDEE CHALLANS BASKET (NM1) vs Paris BasketBall Association (PRO B)\\nCAEN BASKET CALVADOS (NM1) vs SAINT QUENTIN BB (PRO B)\\nCERGY-PONTOISE BB (NM2) vs CEP LORIENT BASKET (NM1)\\nADA BLOIS BASKET 41 (PRO B) vs UNION POITIERS BASKET 86 (PRO B)\\nJSA BORDEAUX BASKET (NM1) vs HERMINE DE NANTES ATLANTIQUE (PRO B)\\nDAX GAMARDE GOOS BASKET (NM1) vs UNION TARBES LOURDES PYRENEES BASKET (NM1)\\nETOILE ANGERS BASKET (NM1) vs C’CHARTRES BASKET M (NM1)\\nSTADE ROCHELAIS RUPELLA (NM1) vs UNION TOURS BASKET METROPOLE (NM1)\\nTOULOUSE BASKET CLUB (NM1) vs ORLEANS LOIRET BASKET ASSOCIATION (Jeep® ÉLITE)\\nSO PONT DE CHERUY CHARVIEU CHAVANOZ BASKET-BALL (NM1) vs UNION SPORTIVE AVIGNON/PONTET (NM1)\\nANDREZIEUX BOUTHEON ALS BASKET (NM1) vs OL. ANTIBES BASKET AMA (PRO B)\\nMONTBRISON MASCULINS BC (NM2) vs ROANNE CHORALE (Jeep® ÉLITE)\\nST CHAMOND BASKET VALLEE DU GIER (PRO B) vs JEANNE D’ARC DE VICHY (PRO B)\\nFEURS EF (NM1) vs FOS PROVENCE BASKET (PRO B)\\nSAINT VALLIER BASKET DROME (NM1) vs AIX MAURIENNE S B (PRO B)\\nAC GOLFE JUAN VALLAURIS (NM2) vs US CHARITOISE BASKET (NM1)\\n\\nPour rappel le tour préliminaire opposera les huit premiers de la saison 2018/2019 de Jeep Elite. 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C’est la première victoire de l’Albiceleste dans la compétition depuis 1995.\\n\\nL’inusable Luis Scola, 39 ans, a été le meilleur marqueur du match avec 28 points et 9 rebonds alors que Facundo Campazzo a assuré 10 points et 12 passes.\\n\\nAu cours de ce tournoi, l’Argentine n’a perdu que face au Mexique (64-72) et a remporté un succès de prestige sur une faible sélection des Etats-Unis (114-75).\\n\\nL’équipe d’Argentine est constituée sur une base de joueurs qui évoluent en Espagne, au Real Madrid pour Facundo Campazzo, Nicolás Laprovittola et Gabriel Deck, à Vitoria pour Luca Vildoza et Patricio Garino, à Saragosse pour Nicolás Brussino, à Breogán pour Lucio Redivo et à la Joventut de Badalona pour Marcos Delia.\\n\\nLes Jeux panaméricains ont également servi de préparation à la Coupe du monde où l’Argentine fait partie du groupe B avec la Russie, la Corée du Sud et le Nigeria.\\n\\nPorto Rico : Joseph Soto (3), Isaac Sosa (5), Devon Collier (19), Emmanuel Andújar (8), Gilberto Clavell (-), Christian Pizarro ( 2), Isaiah Manderson (4), Iván Gandía (-), Benito Santiago Jr. (12), Justin Reyes (2), Derek Reese (11) et Christopher Brady (-).\\n\\nArgentine: Facundo Campazzo (10), Nicolás Brussino (6), Marcos Delia (7), Patricio Garino (11), Luis Scola (28), Agustín Caffaro (- ), Luca Vildoza (2), Nicolás Laprovittola (7), Máximo Fjellerup (-), Gabriel Deck (11) et Tayavek Gallizzi (2).\\n\\n\\nInmediatamente después del recordado triple de Campazzo ante Canadá, en la AmeriCup 2017, mientras todos iban a saludar a Facu, Gabriel Deck se arrimó al banco con su habitual paso cansino y dijo, sin levantar la voz: “Este pibe está loco”. Ayer lo terminó de confirmar. pic.twitter.com/x7AQD1E9RS\\n\\n— Argentina Básquet (@cabboficial) August 5, 2019\\n\\n\\nPhoto: Luis Scola" }, {"role": "user", "content":"La photo: Jean-Claude Bouttier et le président de l’AS Berck" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le boxeur est décédé samedi, Le Musée du Basket a ressorti de ses archives ce cliché datant de 1973. Le boxeur Jean-Claude Bouttier est alors au summum de sa gloire. Deux ans auparavant, il est devenu champion d’Europe des moyens et il a été élu champion des champions français par le quotidien L’Equipe.\\n\\nLa personne à ses côtés est beaucoup moins connu du public et pourtant il a été un moment un acteur majeur du sport français puisqu’il s’agit de Jacques Renard, qui était alors le président de l’AS Berck. Un club qui sera deux fois demi-finaliste de la Coupe des Champions (1974 et 1975), l’équivalent d’être au Final Four de l’Euroleague.\\n\\nJacques Renard est décédé en 2010 à l’âge de 80 ans." }, {"role": "user", "content":"Jonathan Jeanne poursuit sa carrière au Danemark" }, {"role": "assistant", "content":"Bien qu’atteint du Syndrome de Marfan, une maladie qui a amené les spécialistes français à lui interdire la pratique du basket, Jonathan Jeanne (2,15m, 22 ans) poursuit sa carrière professionnelle.\\n\\nAprès la LEB Oro espagnole, à Iberojet Palma et au CB Prat, où il a cumulé 5,4 points et 3,6 rebonds en 16 minutes, l’Antillais rejoint selon Sportando, le championnat... danois et le Randers Cimbria.\\n\\n\\nFrench 22-year-old big man Jonathan Jeanne has signed a deal with Randers Cimbria of the Danish BasketLigaen, a source told @Sportando.\\n\\n— Nicola Lupo (@NicolaLupo99) August 5, 2019\\n\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Thomas Scrubb (Strasbourg) dans la pré-sélection du Canada" }, {"role": "assistant", "content":"La fédération canadienne a annoncé la liste finale des 19 joueurs qui vont participer au camp d’entraînement pour la Coupe du monde. Si Jamal Murray y figure, tout comme RJ Barrett, il ne sera pas du voyage en Chine.\\n\\nLes Canadiens disposent ainsi de cinq joueurs NBA et de huit autres évoluant en Europe dont le néo-strasbourgeois Thomas Scrubb.\\n\\nRJ Barrett *Arrière2,01New York KnicksAaron BestArrière1,92Riesen Ludwigsburg (Allem.)Khem BirchCentre2,08Orlando MagicChris BoucherCentre2,10Toronto RaptorsOshae BrissettAilier2,05Toronto RaptorsMelvin EjimAilier1,98Málaga (Espagne)Brady HeslipArrière1,88Istanbul BBSK (Turquie)Cory JosephArrière1,90Sacramento KingsKaza Kajami-KeaneArrière1,88Mitteldeutscher BC (Allem.)Jamal Murray *Arrière1,92Denver NuggetsAndrew NembhardArrière1,95Florida Gators (NCAA)Duane NoticeArrière1,88Raptors 905 (G League)Kelly OlynykAilier2,13Miami HeatEugene OmoruyiAilier2,01Oregon (NCAA)Kevin PangosArrière1,88FC Barcelone (Espagne)Addison PattersonArrière1,98Bella Vista Prep (Arizona)Phil ScrubbArrière1,93Estudiantes (Espagne)Thomas ScrubbAilier2,01SIG Strasbourg (France)Kyle WiltjerAilier2,09Turk Telekom (Turquie)\\n\\n* Blessure, camp d’entraînement seulement\\n\\nPhoto: Thomas Scrubb" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: Encore du pain sur la planche" }, {"role": "assistant", "content":"Même si le score final (69-74) n’a guère d’importance, la France n’a pas montré son meilleur visage lors de ce premier match de préparation à la Coupe du monde. Quelques facettes sont prometteuses, mais il reste encore énormément de travail pour que l’équipe de France justifie son rang de médaillé potentiel.\\n\\nAu sortir d’une lourde semaine d’entraînement, qui a visiblement pesé dans les jambes de la plupart des joueurs, la France n’a pas laissé une impression bouleversante pour son premier match de préparation face à la Turquie (perdu 69-74, ce qui est anecdotique), une bonne équipe européenne, bénéficiant de forts joueurs extérieurs (Cedi Osman, Furkan Korkmaz, Melih Mahmutoglou...) mais quelque peu dépourvue à l’intérieur. Pour autant, les intérieurs français n’en ont pas profité, souffrant même parfois au rebond offensif, plus par manque de concentration que par domination turque.\\n\\nGlobalement, l’équipe de France n’a fait que montrer ce qu’était une équipe en tout début de sa préparation – la Turquie était son premier opposant : un manque de liant collectif (aussi bien offensif que défensif), des joueurs en retrait car visiblement impactés par le travail effectué lors de ce stage à Pau (Batum et Fournier en premier lieu), des joueurs manquant parfois de sens du partage (n’est-ce pas, Heurtel ou Fournier ?).\\n\\nAprès avoir démarré avec le cinq majeur décidé depuis longtemps par Vincent Collet, à savoir Heurtel-Fournier-Batum-Moerman-Gobert, l’équipe de France a d’abord commencé par souffrir sur les flèches à trois points turques, 3/5 dans le premier quart-temps, un « pêché mignon » qui s’est prolongé tout le match : 13/29 au final à trois points pour les Turcs (dont 3/3 pour Mahmutoglou), la faute à des défenseurs incapables de passer un écran ou à d’autres débordés en un contre un (et permettant ainsi de créer le décalage et de renverser vers un shooteur libre).\\n\\nPeu en jambes, les Français ont « fait l’accordéon », dominant les premier et troisième quart-temps mais sombrant plus ou moins lors des deuxième et quatrième (perdus 11-17 puis 13-20). Très approximatif en première mi-temps (11 balles perdues pour 10 passes décisives), le jeu offensif tricolore s’est quelque peu amélioré après la pause, l’équipe ne perdant « que » 6 ballons pour 9 passes.\\n\\nLe gros souci français a concerné la défense sur le pick’n’roll, laissant des trous béants, quels que soient les joueurs sur le terrain. Plus souvent un problème de communication et de réglages collectifs que de défaillances individuelles. Le travail effectué lors des prochains jours devrait permettre de régler – au moins en partie – cette faiblesse.\\n\\nUne mention à Adrien Moerman et Paul Lacombe\\n\\nAu tout début de sa préparation (alors que la Turquie l’a déjà commencé il y a quelques semaines), l’équipe de France a donc montré un visage mi-figue mi-raisin, parfois intéressante par les prestations de Thomas Heurtel (quoique trop soliste et dribbleur par moments), d’Adrien Moerman (3/4 à trois points et présent en permanence) ou Rudy Gobert (11 rebonds pour aller avec ses 9 points), mais collectivement assez pauvre.\\n\\nSur le plan individuel, si les cadres n’ont pas forcément cherché à montrer tout leur talent (on pense à Nicolas Batum ou à Evan Fournier), d’autres, en quête d’une place pour le Mondial en Chine, ont su se mettre en valeur – avec un élément à relever : aucun n’a cherché à jouer le « sauveur de la patrie » en se montrant hyper individualiste, un très bon point.\\n\\nÀ l’intérieur, Vincent Poirier a alterné le bon et le moins bon, perdant trois ballons en 7 minutes lors de son premier passage, mais assurant points, rebonds et passes. Louis Labeyrie a été discret en attaque mais s’est bien fondu dans le collectif, tout comme Amath M’Baye, également auteur d’un dunk tonitruant pour les un peu plus de six minutes qu’il a passées sur le terrain.\\n\\nÀ la mène, Andrew Albicy n’a guère forcé son talent, défendant fermement mais se montrant sans trop de relief en attaque, alors que Frank Ntilikina a laissé une impression mitigée : trop maladroit pour jouer poste 2 (ce qu’il a pourtant fait pendant un bon moment, mais pour 0/3 aux shoots), il n’a guère montré pouvoir driver l’équipe, ses six passes décisives étant un peu un trompe-l’œil. Et sa défense n’a pas forcément impressionné.\\n\\nÀ l’inverse, Paul Lacombe a joué comme il le fait depuis toujours, collectif, combatif, et sans les scories qui entâchaient son jeu dans ses jeunes années. Sur ses passages, il s’est montré a minima bon, voire important dans l’équipe. Quant à Thimotée Luwawu-Cabarrot, il n’a eu droit qu’à un peu plus de quatre minutes en seconde mi-temps, ce qui lui a guère laissé le temps de montrer quoi que ce soit. À revoir, peut-être face à la Tunisie.\\n\\nEn conclusion, la seule réelle leçon à tirer de ce premier match est que l’équipe de France a encore beaucoup de travail à abattre avant de pouvoir songer prétendre à une médaille en Coupe du monde. Certains joueurs sont en avance, d’autres un peu en retard, d’autres encore (Nando de Colo, Axel Toupane, Mathias Lessort) blessés. Mais rien n’est fait pour la sélection finale. Et encore moins pour l’acmé de la sélection française.\\n\\nCe qui tombe bien : ce n’est pas maintenant que l’équipe de France doit tout casser, mais dans environ un mois en Chine...\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\nPhoto: Rudy Gobert (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : C’est la rentrée pour plusieurs clubs" }, {"role": "assistant", "content":"A un peu moins de 50 jours de la reprise du championnat de Jeep Elite, certaines équipes ont effectué leur rentrée ce lundi 5 août.\\n\\nQuelques clubs dont la rentrée était prévue hier ont partagé des photos et vidéos pour tenir informer leurs différents supporters.\\n\\nAu programme, pour les joueurs, des tests médicaux avant de reprendre, plus tard, le ballon et les premières séances collectives.\\n\\n\\n#Reprise #TestsPhysiques\\n\\nJerry et Benoit étaient présents à Beaublanc pour effectuer une première batterie de tests physiques. RDV sur notre compte insta pour suivre les coulisses de cette reprise 😁#CSP4Ever pic.twitter.com/bUDtPtGSEh\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) August 5, 2019\\n\\n\\n\\nReprise au Palais avec le début des tests physiques 💪 #ELANation pic.twitter.com/aXoHGzCC5z\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) August 5, 2019\\n\\n\\n\\nDébut des tests médicaux !\\n\\nCette fois, la saison est lancée ! 💯💪 pic.twitter.com/64UHU0Ghzi\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) August 5, 2019\\n\\n\\n\\n⏰ C'est reparti ! Les joueurs commencent à arriver et font les premiers examens médicaux 💉#TeamJDA #Dijon pic.twitter.com/opIiMXjKmO\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) August 5, 2019\\n\\n\\nPhoto : Limoges CSP" }, {"role": "user", "content":"Figure de la Chorale de Roanne championne de France en 1959, Jeannot Chaptard est décédé" }, {"role": "assistant", "content":"Champion de France avec la Chorale de Roanne en 1959, Jean Chaptard est décédé ce lundi 5 août à l’âge de 85 ans. Il fut d’une fidélité sans faille au club dont il fut un temps administrateur et il était assis au premier rang à la Halle-Vacheresse en compagnie de son épouse.\\n\\nPour Le Progrès, il était revenu sur le premier titre de la Chorale : « C’était à Tours et on avait fait un très grand match pour battre les Villeurbannais en finale ! » Comme supporter, il avait ensuite assisté au titre de 2007 et à celui de Pro B en juin dernier.\\n\\nLe président Daniel Pérez lui rend hommage sur le site du club:\\n\\n«C’est une figure du club, il fait partie de son histoire, mais je l’appréciait tout particulièrement pour sa personnalité. Il faisait l’unanimité en raison de sa gentillesse, sa jovialité, son humour, c’était un homme attachant avec beaucoup d’humanité. »\\n\\nPhoto Chorale" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: La France matraque les Pays-Bas, 86-35" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U20 n’a pas fait de quartiers pour son dernier match de groupe à l’Euro féminin, atomisant les Pays-Bas, 86-35.\\n\\nCe qui est impressionnant c’est le nombre de points marqués par les Néerlandaises par quarts-temps: 8, 9, 12 et 6. Leur pourcentage de réussite aux tirs s’est figé à 22% (13/59).\\n\\nCôté français, si Tima Pouye est une fois de plus la meilleure marqueuse (22 points), Serena Malala (2,01m) s’est distinguée avec un double double (13 points, 12 rebonds) alors que l’ensemble des Françaises a infligé un 66 à 27 au rebond aux Pays-Bas.\\n\\nL’équipe de France sera opposée mercredi à 20h15 à la Suède en huitième de finale.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Serena Malala (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Caleb Walker revient en Pro B à Fos" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier natif de Kansas City ne sera parti qu’une petite saison à Bruxelles sous les ordres de Serge Crevecoeur, pour revenir au sein du championnat de France.\\n\\nCaleb Walker (1,94m, 29 ans) fut le scoreur principal de l’ALM Evreux pendant 2 ans et c’est désormais sous les couleurs des BYers de Fos-sur-mer qu’il va retrouver le championnat de France.\\n\\nAu sein d’une équipe bruxelloise qui a réalisé une saison honorable (demi finales des playoffs, perdu face à Anvers, le finaliste malheureux, 2 matchs à 0.), il était le coéquipier d’anciennes têtes du championnat de Pro B comme Amin Stevens (2,03 m, 29 ans) ou encore Christopher Smith (1,94 m, 25 ans).\\n\\nSous les ordres du coach Serge Crevecoeur, l’ancien pensionnaire des Cornhuskers du Nebraska compilait 13,4 points à 57,5%, 4,9 rebonds et 2,2 passes décisives pour 15,2 d’évaluation.\\n\\nAprès Makram Ben-Romdhane (2,06 m, 30 ans), Fos-Provence enregistre une deuxième belle arrivée en seulement quelques jours.\\n\\n\\nL’effectif fosséen pour la saison prochaine continue de se dessiner. Après Makram Ben Romdhane, c’est l’arrière-ailier américain Caleb Walker (1,94, 29 ans) qui s’est engagé avec Fos Provence Basket !\\n\\nPlus d'informations ici 👉https://t.co/xR21xsGap2#LetsgoBYers pic.twitter.com/uY3O7OUJ3D\\n\\n— FOS PROVENCE BASKET (@FosProvenceBB) August 5, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde : Jan Vesely (République tchèque) déclare forfait" }, {"role": "assistant", "content":"Malheureusement pour elle, la République tchèque ne pourra pas compter sur l’un de ses meilleurs joueurs, Jan Vesely (2,13m, 29 ans), pour la coupe du Monde.\\n\\nAlors que les Tchèques vont disputer la coupe du Monde pour la première fois de leur histoire, le pivot du Fenerbahce souffre toujours du genou et vient de déclarer forfait. La fédération locale a indiqué que son intérieur est toujours en convalescence après son opération du ménisque.\\n\\nMVP en titre de l’Euroleague, l’ancien joueur des Washington Wizards regrette de ne pas pouvoir prendre part à cette aventure.\\n\\n« Malheureusement, je ne serai pas au Championnat du monde. Ma santé est plus importante. Je dois soigner mon genou blessé pour pouvoir supporter la prochaine saison jusqu’à la fin. Cette blessure est avec moi depuis janvier de je suis toujours inquiet à ce sujet. Je ne serais pas en mesure de me préparer pour le Championnat du monde. »\\n\\nBloqué par le calendrier de l’Euroleague, le champion d’Europe 2017 n’a pu disputer que deux matchs avec sa sélection dans le cadre des qualifications pour la coupe du Monde.\\n\\n« J’attendais le championnat du monde avec impatience. Malheureusement, des problèmes de santé ne m’empêchent de rejoindre l’équipe nationale. Nous avons fait un énorme travail en qualifications. Je suis désolé, je ne peux pas jouer avec les gars ».\\n\\nLa République tchèque est dans le groupe E, avec les Etats-Unis, la Turquie et le Japon.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Christophe Ney (European Prospects) : «Le but est de faire jouer Killian Hayes 25 minutes en tant que titulaire»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vient officiellement de quitter Cholet pour Ulm, Killian Hayes (1,95m, 18 ans) va découvrir le championnat allemand et l’Eurocup.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nChristophe Ney d’European Prospects -dit autrement, c’est un expert en espoirs du basket continental- nous éclaire sur l’arrivée en Bundesliga du jeune meneur français, qui fut inclus dans le 5 all-Stars au championnat du monde U17 en 2018. Selon lui, le Ratiopharm Ulm, qui a terminé sixième du championnat allemand 2018-19 et qui s’est donc qualifié pour les playoffs, cherche à progresser sur la scène allemande et européenne.\\n\\n« Ulm est un club très progressif en Allemagne. Leur manager Thomas Stoll est toujours à la recherche de nouveaux chemins. Ils avaient Per Günther (1,84m, 31 ans) comme meneur de jeu pendant des années, qui est devenu backup la saison dernière. Avec Hayes ils prennent un certain risque mais le but est de le faire jouer 25 minutes par match en tant que meneur titulaire avec Günther comme relais. »\\n\\nPour lui, le prospect NBA, qui vise la Draft 2020, sera bien entouré à Ulm, dans un club apparemment très bien structuré et qui attire un public nombreux.\\n\\n« Le fait d’avoir un coach comme Jaka Lakovic est un plus car il connaît bien les secrets pour devenir un meneur de jeu. Per Günther, lui aussi, a beaucoup d’expérience en plus d’être un leader naturel sur et en dehors du terrain. Ils ont aussi un directeur sportif ultra compétent : Thorsten Leibenath qui a été l’entraineur de l’équipe pendant huit ans. Les infrastructures du club sont vraiment bonnes avec l’une des meilleurs salles d’Allemagne. Elle compte 6 200 places et est à guichets fermés pour chaque match (NDLR: avec 6 200 spectateurs en moyenne, Ulm possède la deuxième affluence de Bundesliga derrière l’Alba Berlin et ses 9 461 spectateurs. C’est le seul des 18 clubs à faire 100% de remplissage). »\\n\\nDepuis 2012/13, Ulm dispute l’Eurocup (l’Eurochallenge en 2014/15) et figure dans la partie haute du classement de Bundesliga. Un moyen d’attirer les jeunes, comme Killian Hayes, qui veulent disputer une coupe d’Europe avant pourquoi pas de tenter leur chance aux Etats-Unis.\\n\\n« Ulm veut devenir une adresse en Europe en ce qui concerne les jeunes. Ils ont réussi à developper David Kramer qui a signé aux Suns cet été », précise Christophe Ney.\\n\\nEnfin, en Allemagne, Killian Hayes va effectivement sortir de sa zone de confort établie à Cholet. La Bundesliga compte par exemple deux clubs d’Euroleague avec le Bayern Munich et l’ALBA Berlin. Bamberg a également longtemps lutté dans la plus grande compétition européenne avant de rejoindre la Champions League la saison dernière.\\n\\nLe championnat allemand est, à mon avis beaucoup plus fort, que le français. Le Bayern Munich ou l’ALBA Berlin ont des gros budgets de plus de 10 millions d’euros. Il y a encore pas mal de joueurs américains (six par équipe maximum) et donc pas mal de meneurs athlétiques. »\\n\\nPhoto : FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nChristophe Ney d’European Prospects -dit autrement, c’est un expert en espoirs du basket continental- nous éclaire sur l’arrivée en Bundesliga du jeune meneur français, qui fut inclus dans le 5 all-Stars au championnat du monde U17 en 2018. Selon lui, le Ratiopharm Ulm, qui a terminé sixième du championnat allemand 2018-19 et qui s’est donc qualifié pour les playoffs, cherche à progresser sur la scène allemande et européenne.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le président de Vitoria menace de ne jouer que l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Sur Radio Vitoria, Josean Querejeta, le président de Baskonia Vitoria, a de nouveau menacé de quitter la Ligue espagnole:\\n\\n« Actuellement, il existe une très bonne compétition en Europe, l’Euroleague. Il existe également une bonne concurrente, l’ACB. Pour aller de l’avant, l’ACB doit entreprendre une série d’actions, des actions importantes, telles que celles du football. Dans le cas contraire, il y aura un moment où, si l’Euroleague grandit et que l’ACB ne le fait pas, nous serons obligés de jouer dans une seule et unique compétition: la meilleure d’Europe. »\\n\\nLe responsable du club de Vitoria estime que:\\n\\n« Cela se produira tôt ou tard. Je le dis depuis longtemps et nous devrons être préparés à cette situation ».\\n\\nLe Real Madrid a déjà évoqué cette même possibilité de se retirer de la Ligue ACB. Querejeta a en outre minimisé les conséquences de devoir disputer plus de 80 matchs par saison avec le passage à 18 clubs en Euroleague.\\n\\n« Cela nous permet de générer des revenus et d’offrir aux joueurs des salaires bien supérieurs à ceux d’autrefois. En NBA, ils jouent le même nombre de matches et ne se plaignent pas. En raison de notre rapide élimination nos joueurs sont en vacances depuis près de deux mois et demi. Même si la saison est difficile, il reste suffisamment de temps pour récupérer. Vous voulez faire partie de l’élite, l’élite exige ce rythme. «" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : entorse de la cheville pour Mathias Lessort" }, {"role": "assistant", "content":"Présélectionné pour la coupe du Monde par Vincent Collet, Mathias Lessort fait partie des joueurs qui ont disputé les qualifications, mais qui ne sont pas assurés d’être dans les 12 pour la grande compétition à la fin du mois en Chine.\\n\\nAlors que l’Equipe de France est actuellement en stage à Pau et s’apprête à affronter la Turquie ce lundi soir, le nouvel intérieur du Bayern Munich s’est fait une entorse à la cheville. La FFBB indique que l’ancien joueur de Malaga a été ménagé tout le week-end, alors Nando De Colo et Axel Toupane sont toujours au repos en raison de lésions au mollet.\\n\\nLors de la phase de qualifications, Mathias Lessort a compilé en moyenne 10,7 points, 7,2 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 16 en 21 minutes de jeu sur six matchs.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeux Panaméricains: L’Argentine humilie les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"L’Argentine a infligé aux Etats-Unis -du moins à l’équipe qui les a représentés, c’est à dire une sélection de la Big East- une humiliation en demi-finale des Jeux Panaméricains remportant la rencontre avec 39 points d’écart (114-75). Il s’agit du plus gros écart entre les deux pays, à égalité avec la performance obtenue en 2001 avec Andres Nocioni à la tête de l’Albiceleste.\\n\\nL’Argentine possède une moyenne d’âge de 26,5 ans contre 21,5 à l’équipe américaine et est emmenée par le vénérable Luis Scola (18 points) et les stars de l’ACB, Facundo Campazzo (5) et Gabriel Deck (23). Ceci explique cela." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Adas Juskevicius quitte la sélection lituanienne" }, {"role": "assistant", "content":"La Lituanie s’est imposée à la Finlande, 80-60, lors d’un match de préparation à la Coupe du monde. Domantas Sabonis a marqué 11 points et pris 3 rebonds. L’ex-Villeurbannais Mantas Kalnietis et Rokas Giedraitis ont ajouté neuf points chacun.\\n\\nLe coach Dainius Adomaitis et son staff ont fait leurs adieux à trois joueurs Gytis Masiulis, Martynas Echodas et l’ancien nanterrien Adas Juškevičius.\\n\\n« Pour les entraîneurs, ces décisions sont toujours les plus difficiles, les plus cruelles. Tous les joueurs qui viennent dans l’équipe font un travail fantastique, font des efforts fantastiques et nous ne pouvons que les en remercier », a commenté Dainus Adomaitis.\\n\\nQuatre matches amicaux sont au programme: le 10 août à Belgrade et le 12 à Kaunas avec la Serbie, le 16 à Espoo avec la Finlande et le 17 dans la même ville avec la Russie.\\n\\nQuinze joueurs forment désormais la pré-sélection:\\n\\nMantas KalnietisPG19689 kg32 ansMartin GebenC208112 kg24 ansJonas ValančiūnasC211116 kg27 ansPaulius JankūnasPF205107 kg35 ansMindaugas KuzminskasSF, PF20598 kg29 ansEimantas BendžiusPF, SF20798 kg29 ansDomantas SabonisPF, C211109 kg23 ansEdgar UlanovSF19892 kg27 ansRokas GiedraitisSF20088 kg26 ansArnas ButkevičiusSF19796 kg26 ansJonas MačiulisSF20098 kg34 ansRenaldas SeibutisSG, SF19682 kg34 ansMarius GrigonisSG, SF19893 kg25 ansŽygimantas JanavičiusPG19280 kg30 ansLukas LekavičiusPG18378 kg25 ans\\n\\nPhoto: Adas Juskevicius (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL: L’équipe de France en préparation" }, {"role": "assistant", "content":"C’est la reprise télévisuelle cette semaine avec deux matches de préparation de l’équipe de France. Attention: si c’est le groupe Canal+ qui a les droits de la Coupe du monde, c’est RMC Sport qui possède ceux des équipes de France et qui donc diffuse les matches de préparation.\\n\\nLundi 5 août:\\n\\n19h30 – Buzzer – Emission – RMC Sport 2\\n\\n20h30: France/Turquie – Préparation CM – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 7 août:\\n\\n20h30 – France/Tunisie – Préparation CM – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Rudy Gobert (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Certains clubs ont de 3 à 5 mois de retard dans le paiement des salaires" }, {"role": "assistant", "content":"La crise économique qui secoue la Turquie depuis plusieurs mois affecte la Super League de basket-ball. Plusieurs dirigeants ont ainsi indiqué que leur club traverse une période délicate en raison de la hausse du dollar et de l’euro vis à vis de la livre turque. C’est pourquoi la période de transfert est sensiblement plus calme que la saison dernière.\\n\\n« Les contrats avec des joueurs étrangers qui sont calculés en dollar ou en euro ont conduit les clubs à entrer la saison dernière dans une impasse en raison des fluctuations », écrit ainsi basketball.com.tr.\\n\\nLe site évoque également le mécontentement de nombreux joueurs:\\n\\n« Il y a encore beaucoup de joueurs qui ne peuvent pas obtenir leurs salaires accumulés de la saison dernière. Certains clubs ont 3 ou 5 mois de retard de paiement. Le fait qu’aucun mécanisme de contrôle n’ait pas été mis en place à cet égard joue un rôle très important dans la prévention de la résolution du problème. »\\n\\nFenerbahce Beko, qui a recruté Nando De Colo, Léo Westermann, Derrick Willams et Berkay Candan n’est pas concerné par les mesures d’austérité.\\n\\n«Nous avons ajouté quatre joueurs très importants à notre équipe. Nous avons mis en place un bon personnel. Je voudrais remercier la direction, en particulier le président Ali Koç qui nous a fourni ce budget. » a commenté le directeur sportif Cenk Renda." }, {"role": "user", "content":"Euro U18: L’Espagne obtient son premier sacre depuis 2011" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la première fois depuis 2011, l’Espagne remporte le Championnat d’Europe U18 en battant en finale la Turquie, 57-53. La Slovénie a grimpé sur le podium pour la première fois depuis 2002. La France est cinquième.\\n\\nLa Turquie a eu à un moment 13 points d’avance mais Santi Aldama, du haut de ses 2,11m, a sorti le grand jeu (23 points) pour renflouer l’Espagne. Usman Garuba a ajouté un double double (11 points et 14 rebonds).\\n\\nSanti Aldama a été élu MVP du tournoi et a retrouvé à ses côtés dans le 5 All-Stars, Usman Garuba, Alperen Sengun (Turquie), Nikolaos Rogkavopoulos (Grèce) et Ziga Samar (Slovénie).\\n\\n\\n🎶🎶🎶 MVP MVP MVP 🎶🎶🎶. @santialdama put up 23 PTS to lead @baloncestoESP 🇪🇸's comeback! #FIBAU18Europe\\n\\n📖 https://t.co/7HzRlxI6N4 pic.twitter.com/3q5mf1avo8\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 4, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"La photo: Freddy Hufnagel devant La Villa Navarre à Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Pris par ses soins, une photo de Freddy Hufnagel devant La Villa Navarre à Pau co-propriété de Boris Diaw où l’équipe de France séjourne actuellement en préparation à la Coupe du monde.\\n\\nLa légende de l’Elan Béarnais du temps d’Orthez l’a publiée sur facebook avec ce commentaire:\\n\\n« Si vous n’y êtes jamais allé, le plus bel endroit de Pau ! La villa Navarre ! Quand le Béarn vous parle ! »\\n\\nFreddy Hufnagel, 59 ans en août, a été international de 1981 à 1989 pour 103 sélections." }, {"role": "user", "content":"Aleksandar Djordjevic (Serbie): «Je sais que tout le monde s’attend à ce que nous revenions avec une médaille»" }, {"role": "assistant", "content":"Avec l’accord du coach Aleksandar Djordjevic, l’ailier Milan Macvan (2,06m, 29 ans) a quitté le camp d’entraînement de l’équipe nationale serbe pour aller signer un contrat avec le club japonais Toyota Alvark, entraîné par Luka Pavicevic. Il ne participera pas ainsi à la Coupe du monde.\\n\\n« Nous devons beaucoup de gratitude à Milan Macvan, qui a jusqu’ici fait tout son possible durant la préparation. Il n’est pas facile de revenir en pleine forme après une blessure qui l’a privé du terrain pendant plus d’un an. Ensemble, nous avons estimé qu’à ce stade, il était préférable pour lui de continuer sa préparation pour la saison avec son nouveau club. Nous attendons Macvan dans les prochaines échéances de l’équipe nationale serbe », a Djordjevic.\\n\\nPar ailleurs, lors d’un rendez-vous avec les médias venus en nombre, le coach serbe s’est dit satisfait de la première partie de la préparation, qui s’est terminée hier et qui n’a pas rassemblé une équipe complète en raison des règles de la NBA. Aleksandar Djordjevic sait que la concurrence sera relevée en Chine:\\n\\n« Beaucoup d’équipes vont chercher une médaille et tout le monde voit sa chance, pas seulement nous, sachant que les Américains ont été vaincus par l’Argentine, la Yougoslavie, l’Espagne et la Grèce dans l’histoire récente ... Je pense à la Lituanie, la Russie, la Grèce avec (Giannis) Antetokounmpo, le MVP de la NBA. Sans oublier la France, l’Espagne, l’Italie, le Canada, l’Argentine et l’Australie. »\\n\\nÀ propos des grandes attentes du public et de la forte pression due à l’impératif du succès, Djordjevic a déclaré:\\n\\n« Je sais que tout le monde s’attend à ce que nous revenions avec une médaille et je vous garantis que nous nous préparons avec cent pour cent de force et d’effort. Que nous apportions une médaille ou non, nous ne le savons pas, mais la pression ne nous gêne pas, c’est la preuve que nous en valons la peine... »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: La France torpille la Russie (101-57) et se classe 5e" }, {"role": "assistant", "content":"La façon dont ils ont avalé en fin d’après-midi la Russie lors du match pour la cinquième place ne peut qu’aviver les regrets des Français d’avoir calé lors du dernier quart-temps face à la Turquie en quart-de-finale. Même privée de Théo Maledon et Kilian Hayes, cette génération 2001 avait les moyens de monter au minimum sur le podium. Un peu de suffisance leur aura coûté cher.\\n\\nA peine commencé le sort des Russes était réglé et ils se retrouvaient largués à 34-14 après 14 minutes et encore à 65-29 à la 26e. Les Bleuets poursuivaient leur entreprise de destruction jusqu’au bout et passaient même le cap symbolique des 100 points (101-57).\\n\\nL’intérieur Moussa Diabate a fait une nouvelle fois forte impression avec 25 points (11/15 aux tirs) et 9 rebonds. Essome Miyem a complété la vigueur du secteur intérieur avec un double double (16 points et 11 rebonds). Pour sa part Malcolm Cazalon a montré l’étendue de son registre avec 13 points, 9 passes, 4 rebonds et 3 interceptions.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Moussa Diabate (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminine: La France étouffe l’Italie en défense, 52-34" }, {"role": "assistant", "content":"En marquant seulement 34 points avec un taux de réussite de 22,2%, les Italiennes ont pu apprécier la qualité de la défense française. Tout n’a pas été parfait cependant de l’autre côté du terrain avec 17 pertes de balles. Dernier adversaire de la première phase, les Pays-Bas demain à 20h15.\\n\\nSur sa lancée de son match face à l’Allemagne, Tima Pouye a tout de suite donné de l’agressivité à l’attaque française (7 des 11 premiers points). Le match était engagé mais brouillon. Après avoir mené tout le quart-temps, les Bleuettes n’avaient qu’un point d’avance (16-15) à la 10e minute.\\n\\nIl y avait à la fois de l’intensité défensive et beaucoup de déchets. Chaque panier était enfanté dans la douleur si bien que le score à la mi-temps (28-23) était riquiqui. Leus 11 balles perdues avaient empêché les Françaises de profiter à fond de leurs qualités athlétiques supérieures.\\n\\nC’était le même contenu dans le troisième quart-temps: une solide défense et des imperfections offensives. Malgré tout les Françaises passaient pour la première fois le cap des 10 points d’avance (38-27, 28e), ce qui vue la petitesse du score était déjà pas mal.\\n\\nCette fois, les filles de Jérôme Fournier tenaient le bon bout. Leur défense condamnaient les Italiennes à une piètre adresse et elles bouclaient parfaitement le rebond défensif. Les Bleuettes n’ont marqué que 9 points dans le dernier quart-temps sauf que c’est... trois fois plus que leurs adversaires !\\n\\nCarla Brémaud rejoignait Tima Pouye à 10 points, le meilleur total individuel côté français.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Tima Pouye (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Vincent Poirier et Louis Labeyrie, les Best Friends" }, {"role": "assistant", "content":"Ils se connaissent (très) bien depuis l’époque de Levallois. Voici les « Best Friends » Vincent Poirier et Louis Labeyrie dans cette vidéo tournée par la FFBB.\\n\\nPhoto: Louis Labeyrie (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Une liste -en principe- définitive de 15 joueurs pour les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Cette fois, on peut espérer qu’il s’agit de la liste définitive. Après un dernier forfait, celui de Julius Randle (New York Knicks), USA Basketball a annoncé une liste de 15 joueurs devant participer à un camp d’entraînement à Las Vegas à partir du 5 août.\\n\\nIl s’agit de : Bam Adebayo (Miami Heat); Harrison Barnes (Sacramento Kings); Jaylen Brown (Boston Celtics) ; Kyle Kuzma Los Angeles) Lakers); Brook Lopez (Milwaukee Bucks); Kyle Lowry (Toronto Raptors); Khris Middleton (Milwaukee Bucks); Donovan Mitchell (Utah Jazz); Mason Plumlee (Denver Nuggets), Marcus Smart (Boston Celtics); Jayson Tatum (Boston Celtics); PJ Tucker (Houston Rockets); Myles Turner (Indiana Pacers); Kemba Walker (Boston Celtics); Thaddeus Young (Chicago Bulls).\\n\\nGregg Popovich (San Antonio Spurs) est l’entraîneur en chef, Steve Kerr (Golden State Warriors), Lloyd Pierce (Atlanta Hawks) et Jay Wright (Villanova) ses adjoints.\\n\\nAprès le camp de Las Vegas, les 15 joueurs sélectionnés feront un break et se réuniront de nouveau à Los Angeles pour s’entraîner du 13 au 15 août et disputer un match de préparation face à l’Espagne, au Honda Center à Anaheim le 16 août.\\n\\nLa liste officielle des 12 membres de l’équipe américaine pour la Coupe du monde sera dévoilée le 17 août.\\n\\nL’équipe américaine poursuivra ses préparatifs les 19 et 24 août à Melbourne, en Australie, et disputera deux matchs de préparation contre l’Australie les 22 et 24 août au Marvel Stadium. Elle achèvera sa tournée à Sydney, du 25 au 28 août avec un match le 26 août, face au Canada, à la Qudos Bank Arena.\\n\\nPhoto: Gregg Popovich (USA Basketball)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Malgré les 15 points de Dar Tucker (ex-Maurienne), la Jordanie prend une trempe face à la Russie (-40)" }, {"role": "assistant", "content":"Adversaire de la France, au même titre que l’Allemagne et la République dominicaine, dans le groupe préliminaire, la Jordanie ne devrait pas peser lourd à la Coupe du monde en Chine si on se réfère à sa large défaite (71-111) face à la Russie en préparation.\\n\\nC’est dans le troisième quart-temps que les Jordaniens ont totalement craqué (11-35). Vitaly Frizdon (22) et Nikita Kurbanov (15) ont été les deux meilleurs marqueurs russes alors du côté des joueurs du Moyen Orient c’est l’arrière américain naturalisé Dar Tucker (1,93m, 31 ans) que l’on a vu deux saisons à Maurienne en Pro B (2011-12 et 2013-14) qui a été le meilleur marqueur avec 15 points. Dar Tucker est également connu en France pour avoir remporté le concours de dunk du All-Star Game en 2011.\\n\\nLa Jordanie s’est qualifiée dans la zone asiatique en prenant la troisième place du Groupe E derrière la Nouvelle-Zélande et la Corée et devant la Chine -qualifiée comme pays organisateur-, le Liban et la Syrie. Avec 21,8 points, Dar Tucker fut le meilleur marqueur jordanien sur l’ensemble de ses 11 matches.\\n\\nPhoto: Dar Tucker (Jordanie, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Makram Ben Romdhane passe de Saint-Chamond à Fos" }, {"role": "assistant", "content":"L’international tunisien Makram Ben Romdhane (2,05m, 30 ans) portera cette saison le maillot de Fos/Mer en Pro B.\\n\\nMakram Ben Romdhane est passé par Murcie en Espagne, a été champion d’Egypte en 2015, quadruple champion de Tunisie avec l’Etoile Sportive du Sahel, et vient de réaliser une très bonne saison avec Saint-Chamond: 11,7 points, 8,5 rebonds, 3,3 passes décisives et 1,5 interception pour 16,3 d’évaluation." }, {"role": "user", "content":"Clint Capela est venu donner un coup de main à la Suisse contre le Portugal" }, {"role": "assistant", "content":"Clint Capela (2,08m, 25 ans) est venu renforcer l’équipe de Suisse pour un match de pré-qualifications à l’Euro 2021, à Fribourg. L’ancien membre du centre de formation de l’Elan Chalon, pivot des Houston Rockets depuis 2014, a contribué avec 16 points et 11 rebonds à la victoire de son équipe sur le Portugal, 77-72.\\n\\n« L’expérience de jouer à nouveau pour mon pays devant ce public était incroyable. Nous avons apporté beaucoup d’énergie et de ténacité. Ce n’était pas facile au début du match, ils ont été durs mais nous avons bien réagi. On peut dire qu’aujourd’hui a été une bonne journée. En fait, je n’ai pas senti la pression, je viens de jouer de mon mieux et je suis reconnaissant d’avoir l’occasion d’être sur le terrain avec mes coéquipiers. », a t-il déclaré à la fin du match.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Ryan Reid (ex-Roanne et Nancy) a signé à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Ryan Reid (2,04m, 32 ans) est le nouvel intérieur de l’Ujap Quimper. Formé à Florida State, le Jamaïcain a été drafté en 57ème position par les Indiana Pacers avant d’être transféré aux Thunders d’Oklahoma City et d’y disputer cinq matches.\\n\\nOn l’a déjà vu trois saisons en France, à la Chorale de Roanne (2012/14) et à Nancy (2014/15) avant qu’il poursuive sa carrière au Japon et au Canada.\\n\\nSon parcours :\\n\\n2010-2011 Tulsa 66ers\\n\\n2011-2012 Thunder d’Oklahoma City\\n\\n2012 Tulsa 66ers\\n\\n2012 Tulsa 66ers\\n\\n2012 Mets de Guaynabo\\n\\n2012-2014 Chorale de Roanne (JEEP Elite – ProA)\\n\\n2014-2015 SLUC Nancy (JEEP Elite – ProA)\\n\\n2015-2016 Niigata Albirex\\n\\n2016-2017 Shimane Susanoo Magic\\n\\n2018 St. John’s Edge\\n\\n2018 Kanazawa Samuraiz" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: L’Espagnol Usman Garuba cartonne" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il est né en 2002 -les autres ont un an de plus- le pivot espagnol Usman Garuba (2,05m), natif de Madrid, et formé au Real, a réalisé hier un match phénoménal en demi-finale du championnat d’Europe U18 face à la Grèce: 18 points, 19 rebonds, 3 passes, 3 contres et 3 interceptions pour 38 d’évaluation. L’Espagne l’a emporté 70-54, les Grecs n’inscrivant que 18 points en deuxième mi-temps.\\n\\nLes Espagnols seront opposés en finale à la Turquie qui a écarté la Slovénie, 72-64.\\n\\nDe son côté, après sa désillusion face à cette même Turquie en quart-de-finale (64-69), l’équipe de France a croqué la Grande-Bretagne (81-52) avec comme meilleur marqueur Lorenzo Thirouard-Samson (16 points) et Mathieu Gauzin avec la meilleure évaluation (21) avec 13 points, 4 rebonds, 4 passes et 4 interceptions. Les Bleuets seront opposés cet après-midi (17h45) à la Russie pour la cinquième place.\\n\\nPhoto: Usman Garuba (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminin: Entrée réussie de la France face à l’Allemagne, 77-50" }, {"role": "assistant", "content":"Face à l’Allemagne dont il ne faut pas sous-estimer les qualités, l’équipe de France U20 a fait une entrée aux petits oignons dans son Euro, 77-50. Elle possède avec Tima Pouye (22 points) et Emmanuelle Tahane (15 points, 9 rebonds) deux fers de lance. Prometteur pour la suite.\\n\\nLa France affrontera demain à 18h l’Italie qui plus tôt dans la journée s’est inclinée face aux Pays-Bas, 72-75.\\n\\nL’Allemagne a tout de suite fait connaissance avec Emmanuelle Tahane (1,83m), qui joue pour l’université de Missouri, qui avait marqué la moitié des points des Bleuettes, à 4/4 au tirs, lorsque celles-ci menaient 16-8 (7e).\\n\\nJérome Fournier pouvait puiser dans son banc, les Françaises maintenaient leur pression défensive et le jeu offensif était bien huilé: 31-13 (14e) avec 4/10 à trois-points contre 5 échecs aux Allemandes. Un léger relâchement réduisait l’écart avant la mi-temps à 33-20. Une stat significative: 2 balles perdues côté français, 11 côté allemand.\\n\\nTima Pouye était en feu en début de deuxième mi-temps avec déjà 20 points (7/11 dont 4/6 à trois-points) sur ses 16 premières minutes de jeu. Les Allemandes souffraient physiquement et étaient menées pour la première fois de 20 points à la 18e minute (51-30).\\n\\nJérôme Fournier pouvait donner du temps de jeu à Serena Manala au gabarit imposant (2,01m et seulement 18 ans, 7 points et 5 rebonds). D’ailleurs chacune des 12 joueuses passaient un minimum de 8 minutes sur le terrain pour participer à cette ample victoire.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Océane Monpierre (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Giannis Antetokounmpo: «J’échangerais le titre de MVP pour la médaille d’or en Chine»" }, {"role": "assistant", "content":"Giannis Antetokounmpo n’a pas caché ses sentiments pour l’équipe nationale grecque lors d’une interview pour le journal grec Ta Nea.\\n\\nElu MVP de la saison 2018-19 de la NBA, la superstar grecque des Milwaukee Bucks a déclaré:\\n\\n«J’échangerais le titre de MVP pour la médaille d’or en Chine. Je ressens toujours quelque chose de spécial lorsque je joue pour l’équipe nationale. Lorsque vous commencez le tournoi et écoutez l’hymne national, les émotions ne peuvent pas être décrites. Après le premier panier, les premiers échanges, c’est une expérience incroyable et chaque fois, je suis aussi fier que la première fois. Le sentiment de gagner avec l’équipe nationale est incroyable et j’ai déjà dit que je ferais toujours partie de l’équipe, aussi longtemps que je serai en bonne santé comme cet été ».\\n\\nLe fait que ses frères Thanasis et Kostas fassent également partie de l’équipe rend les choses encore meilleures:\\n\\n«Nous essayons simplement de nous encourager les uns les autres et de nous améliorer. C’est un sentiment incroyable que nous soyons tous les trois ensemble. Nous avons travaillé très fort pour arriver ici. C’est pourquoi je sais que notre mère est fière, de même que notre père, qui, je suis sûr, nous surveille du ciel ».\\n\\nUne leçon donnée à tous ses confrères américains qui se désistent un à un...\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Comment DJ Cooper a été suspendu deux ans pour s’être retrouvé... enceinte" }, {"role": "assistant", "content":"La rumeur courait... RTV l’a en quelque sorte officialisée... Si DJ Cooper a été suspendu pour deux ans par la Fédération Internationale, c’est que c’est une autre personne -sa petite amie- qui avait fourni de l’urine lors d’un contrôle antidopage. Manque de chance, de la gHC a été détectée dans ses urines, ce qui voulait dire que Cooper était... enceinte !\\n\\nLa FIBA a immédiatement suspendu le joueur pour fraude. La sanction le maintiendra en dehors des terrains jusqu’au 20 juin 2020.\\n\\nDJ Cooper a notamment joué deux fois pour Monaco, et également pour Pau et Gravelines.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Team USA: Julius Randle renonce à son tour" }, {"role": "assistant", "content":"Julius Randle (2,06m, 24 ans) a un peu plus d’imagination que les autres. Ce n’est pas pour « préparer la prochaine saison » que l’intérieur des New York Knicks renonce à Team USA et à la Coupe du monde mais pour « raisons familiales. »\\n\\nMême les sparring partners de la « Select Team » se désistent tour à tour. Cette fois c’est Landry Shamet qui fait défection et Torrey Craig qui est appelé pour le remplacer.\\n\\nSuite au prochain épisode." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Le Russe Timofey Morzgov vers un forfait" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot russe Timofey Mozgov (2,16m, 33 ans) qui a déjà manqué la saison NBA 2018-19 en raison d’un traumatisme au genou est plus que douteux pour la Coupe du monde.\\n\\n«La récupération de ma blessure au genou a progressé, mais elle n’est pas aussi rapide qu’elle devrait l’être car c’est un traumatisme ancien. Je ne veux pas porter d’accusations injustifiées à l’égard de médecins américains, mais leur traitement de ma blessure n’était pas tout à fait correct. Il me semble qu’il sont partis d’un mauvais diagnostic. Rien de grave ne s’est produit, mais la blessure s’est aggravée avec le temps » , a déclaré Mozgov à l’agence TASS .\\n\\nAndrei Kirilenko, président de la Fédération russe a déclaré à TASS la semaine dernière que Mozgov avait une chance de rejoindre l’équipe pour les championnats uniquement s’il se remettait de la blessure et retrouvait la forme physique requise.\\n\\n« Notre équipe a besoin de Mozgov, il serait d’une grande aide pour la Coupe du monde, mais seulement s’il est en bonne santé et en bonne forme physique. Il [Mozgov] doit achever sa récupération et acquérir la forme requise. »\\n\\nTimofey Mozgov a signé pour le Khimki Moscou pour la prochaine saison." }, {"role": "user", "content":"Interview Nando De Colo: «On a une équipe capable de jouer dans les yeux des Américains»" }, {"role": "assistant", "content":"A 32 ans, avec la retraite de Boris Diaw, Nando De Colo est devenu le doyen de l’équipe de France. Et le futur joueur du Fenerbahçe Istanbul est plus que jamais l’un de ses moteurs*.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA quel niveau situez-vous cette Coupe du monde dans la hiérarchie des compétitions auxquelles vous participez sachant qu’elle est plus importante que les éditions précédentes ?\\n\\nQuelque soit la compétition, quand on vient en équipe de France, on est motivé pour faire le meilleur résultat possible. On a su à chaque fois avoir l’équipe plus ou moins au complet, ça prouve à quel point on est concentré sur toutes les compétitions qui peuvent nous être proposées. On sait aussi que la Coupe du monde peut nous donner un accès direct aux JO. C’est le point important de cet été.\\n\\nC’est l’objectif principal, aller directement aux Jeux Olympiques de Tokyo ?\\n\\nOui si on se dit que les équipes européennes vont faire un podium. Si elles sont en dessous de ça, on va essayer d’aller plus loin. Il faut d’abord bien se préparer. On sait qu’à chaque fois que l’on a fait des résultats, c’est qu’il y a eu une bonne préparation avant. C’est important de garder ça en mémoire et d’être tous dans la même direction.\\n\\nA 32 ans, vous êtes le joueur le plus âgé de l’équipe, le plus ancien avec Nicolas Batum. Avez-vous un rôle d’accompagnement des plus jeunes ?\\n\\nJe pense que c’est quelque chose qui se fait automatiquement. Evidemment, on a plus d’expérience, de sélections en équipe de France, donc il y a un rôle à ce niveau-là mais on a toujours eu cette facilité en équipe de France à ce que chacun soit à l’aise. C’est ce qui m’est arrivé tous les étés avec l’équipe de France. C’était bien encadré par les anciens. On est aussi sur des générations où les joueurs se connaissent entre eux par le passé et c’est important. C’est à nous évidemment de montrer la voie.\\n\\nIl faut le faire sans Tony Parker et maintenant sans Boris Diaw ?\\n\\nÇa fait maintenant trois ans que Tony, Flo (Pietrus) et Mike (Gelabale) sont partis. J’espère que la transition a été faite depuis ! On a un groupe qui a aussi beaucoup d’expérience et des jeunes qui nous accompagnent sur les entraînements. Ça va être intéressant de voir comment la prépa se passe, de connaître les responsabilités des uns et des autres. On sait que l’on a tous des rôles importants dans nos clubs et ça va être à nous de faire l’effort pour être au service de l’équipe.\\n\\nParlez-vous avec Nicolas Bartum du capitanat ?\\n\\nNon. J’en n’ai pas discuté pour le moment avec Nico. On est arrivé à l’INSEP. Le programme c’était de se retrouver, de faire les tests médicaux et les conférences de presse. Ce sont souvent des décisions qui sont prises par le staff technique. Evidemment on est les plus âgées dans l’équipe mais c’est juste un nombre ! Si vous voyez mon assistant coach à Moscou, vous ne dites jamais qu’il a 52 ans (NDLR: Il s’agit de Darryl Middelton, un intérieur américain qui a fait une longue carrière en Europe principalement en Espagne où il a battu le record du plus vieux joueur de l’ACB: 44 ans, 8 mois et 6 jours) et il est encore capable de jouer. Ce n’est pas quelque chose sur lequel je me fixe. Tant qu’on est en forme, que l’on peut aider l’équipe, c’est le plus important. L’expérience est plus importante que l’âge.\\n\\n« Pour être honnête, je ne connais pas personnellement Frank Ntilikina, je vais apprendre à le découvrir »\\n\\nCertaines équipes enregistrent des forfaits importants, ce qui n’est pas le cas de l’équipe de France. Avez-vous des limites ?\\n\\nIl ne faut pas se mettre des limites. Il faut juste se mettre des limites minimum mais on ne sait pas où on s’arrêtera. Ça va dépendre de ce que l’on a vraiment envie de faire collectivement et ça va être à chacun de prendre ses responsabilités en fonction de son rôle. C’est ensemble que l’on arrivera à passer les étapes les unes après les autres.\\n\\nPlusieurs joueurs sont dans la force de l’âge, c’est le moment d’accrocher quelque chose ?\\n\\nC’est vrai mais il y a aussi beaucoup de jeunes qui sont derrière nous qui veulent aller aussi accrocher les mêmes objectifs que les nôtres. Il ne faut pas juste se contenter de ceux qui sont au top de leur forme. C’est ensemble que l’on arrivera à faire quelque chose. C’est une équipe qui au fil des années essaie d’évoluer. On a su évoluer avec Tony, Boris et Flo et il va falloir continuer à évoluer derrière et j’espère que ça va continuer ainsi. C’est comme ça que l’équipe de France pourra rester au top. Mais avant de penser à la finale, aux Etats-Unis si on doit les croiser, c’est d’abord se concentrer sur notre équipe. Et il ne faut pas oublier non plus que ce championnat du monde peut être aussi un tremplin pour les JO qui viennent. Le plus important c’est essayer de créer un groupe qui sera présent sur 2019 et 2020 et évidemment essayer après d’aller chercher une ou deux médailles.\\n\\nSi vous ne voulez pas croiser les Etats-Unis en quart-de-finale, il va falloir peut-être ne pas perdre un seul match auparavant ? Ce n’est pas un parcours très facile que vous avez ?\\n\\nNon, mais en ayant tout le respect du monde pour eux, à l’heure d’aujourd’hui on a une équipe capable de jouer dans les yeux des Etats-Unis. Evidemment, si on peut les éviter, peut-être que ça sera une bonne chose mais pour aller chercher une médaille, il faudra forcément battre des gros dans tous les cas, que ce soit les Etats-Unis, la Serbie, l’Espagne, l’Australie, le Canada. Il y a d’autres équipes à part les Etats-Unis. Evidemment, on s’est vite focalisé sur eux parce que si on ne termine pas premier du deuxième groupe, on les joue directement mais en tous les cas, ce n’est pas la seule équipe dont il faut parler.\\n\\nParlez-vous entre vous des forfaits dans l’équipe américaine ? Suivez-vous ça au jour le jour ?\\n\\nPersonnellement, je ne fais pas trop attention à ce qui se passe au niveau des Américains. Je l’ai dit, le plus important c’est de se concentrer sur notre équipe et on est content que tous les joueurs aient répondu présent aujourd’hui.\\n\\nSi vous dites que vous êtes capables de battre les Etats-Unis, c’est que vous avez une grosse confiance ?\\n\\nJ’ai confiance dans mes coéquipiers, je sais ce qu’ils valent, je sais que chacun a un rôle important dans son équipe. Ils jouent à haut niveau, ce n’est pas comme si on revenait dix ans en arrière quand on devait se qualifier pour les championnats d’Europe et que l’équipe était diminuée par beaucoup de forfaits. Là, on est tous présents et encore plus avec leurs forfaits, on peut se dire que l’on est capable de les jouer. Maintenant, on n’a pas encore commencé notre prépa, on n’a pas encore fait de matches, on ne sait pas encore comment on va réagir les uns envers les autres, ça fait deux ans que l’on n’a pas joué ensemble et encore, il y a deux ans, il n’y avait pas Rudy et Nico. Ce n’est pas facile avant même d’avoir commencé la prépa de se dire si on est capable de faire quelque chose ou non. Ce que l’on veut évidemment c’est aller le plus loin possible et je sais que sur le papier on en a les qualités. C’est à nous de tout mettre en œuvre.\\n\\nComment avez-vous suivi la phase de qualification alors que les joueurs d’Euroleague et aussi de NBA n’ont pas pu participer à tous les matches ?\\n\\nOn s’est qualifié, c’était ça l’objectif. On a vite vu sur les premiers matches que même si certains joueurs ne pouvaient pas être présents, que l’on avait un effectif qui était très compétitif. Ce qui arrivait à nous arrivait aussi aux autres nations. La chance que l’on a c’est que derrière nos quinze, seize joueurs qui sont habituellement avec nous l’été, on a aussi quinze autres joueurs qui sont capables de relever le niveau et de bien porter le maillot de l’équipe de France.\\n\\nEt certains ont été appelés de nouveau cet été ?\\n\\nLa vie est faite d’opportunités et certains qui n’étaient pas forcément dans les premières listes ont prouvé qu’ils étaient capables d’apporter un plus à notre équipe et c’est pour cela qu’ils sont là aujourd’hui.\\n\\nVous avez un avis sur Frank Ntilikina ?\\n\\nJe ne sais pas. Pour être honnête, je ne le connais pas personnellement, je vais apprendre à le découvrir. On a peut-être discuté deux ou trois fois durant l’année grâce aux réseaux sociaux. Je ne connais pas très bien le joueur. J’étais déjà parti quand il a commencé à jouer avec Strasbourg. Je ne suis pas trop non plus la NBA durant la saison, même si j’essaye de faire attention entre autres à ce que les Français peuvent faire. Ça va être intéressant de voir comment ce groupe évolue.\\n\\n« Non, non, non, je ne souhaitais pas retourner en NBA... »\\n\\nA propos de NBA, vous souhaitiez y retourner et finalement vous changez de club d’Euroleague en allant du CSKA Moscou à Fenerbahçe ?\\n\\nNon, non, non, je ne souhaitais pas retourner en NBA. C’était juste une des possibilités. Etant donné que j’étais en fin de contrat, la seule certitude que j’avais c’était de partir de Moscou. Je pense que j’en avais fait le tour et que c’était le moment d’aller voir quelque chose d’autre. Evidemment, j’ai fait attention à tout ce qui s’est passé autour. J’avais quelques touches en NBA mais rien de bien concret et après le Fener et Madrid se sont mis en avant et voilà.\\n\\nVos droits appartenaient aux Toronto Raptors pour la NBA et en Espagne à Valence ?\\n\\nOui mais après ce sont des négociations internes qui se font.\\n\\nQu’est-ce qui prime maintenant dans votre carrière ?\\n\\nJ’ai envie de continuer à gagner. Ces cinq dernières années m’ont permis d’évoluer au meilleur niveau européen et c’est ce que je recherche, essayer de renouveler ce que j’ai pu produire à Moscou avec une autre équipe. Le Fener est l’une des trois, quatre équipes ces cinq dernières années qui restent à un niveau constant mais ils ont eu une saison très difficile l’année dernière. C’est un petit plus qui va me permettre d’arriver là-bas et de faire le maximum pour relever l’équipe.\\n\\nPour revenir à l’équipe de France, Vincent Collet dit que ce qui vous a manqué il y a deux ans à l’Euro, c’est ce qui constitue votre ADN, la défense. C’est ça aussi votre impression ? Et est-ce que l’apport de Nicolas Batum et Rudy Gobert va être fondamental là-dedans ?\\n\\nEvidemment la défense fait toujours partie des grandes équipes mais c’est surtout une cohésion de groupe. Il y a deux ans on n’a peut-être pas eu de bons résultats défensivement parce qu’on était sur des systèmes défensifs différents. Même moi. Sur le terrain on ne savait pas tous ce que l’on devait faire. On avait des règles qui étaient établies mais on n’était pas tous sur la même longueur d’onde. Aujourd’hui, évidemment, avec Rudy dans la raquette ou même un Vincent (Poirier) qui sort d’une très grosse saison, ça change la donne. Autour on a des joueurs qui ont cette qualité-là. Mais ça ne dépend pas d’un ou deux joueurs, encore une fois, c’est la cohésion de l’équipe qui va faire la différence. Si on ne dépend que d’un ou deux joueurs, on aura des résultats mais ça se jouera toujours un peu à la chance. Si on est tous ensemble quoiqu’il arrive ça va faire la différence.\\n\\nY a-t-il une recette pour que chacun trouve son rôle dans une préparation aussi courte ?\\n\\nC’est compliqué mais ça dépend surtout des attentes du coach. Et après c’est à nous de bien comprendre que l’on est en équipe de France, que l’on n’a pas neuf mois pour trouver sa place et que d’ici un mois, on fasse, entre guillemets, certains sacrifices par rapport à ce que l’on peut produire en club et essayer de voir ce dont l’équipe de France a besoin.\\n\\nEtes-vous déjà allé en Chine ?\\n\\nOui, une fois avec le CSKA.\\n\\nAvez-vous eu un aperçu du pays ?\\n\\nOui. Je ne suis pas fan ! On a eu un déplacement assez compliqué...\\n\\n*L’interview a eu lieu juste avant que Nando De Colo et Axel Toupane apprennent que les examens médicaux effectués à l’INSEP ont révélé des lésions musculaires au mollet droit nécessitant par mesure de précaution une période de repos d’une dizaine de jours.\\n\\nPhoto: FIBA Europe\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA quel niveau situez-vous cette Coupe du monde dans la hiérarchie des compétitions auxquelles vous participez sachant qu’elle est plus importante que les éditions précédentes ?\\n\\nQuelque soit la compétition, quand on vient en équipe de France, on est motivé pour faire le meilleur résultat possible. On a su à chaque fois avoir l’équipe plus ou moins au complet, ça prouve à quel point on est concentré sur toutes les compétitions qui peuvent nous être proposées. On sait aussi que la Coupe du monde peut nous donner un accès direct aux JO. 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Lire la suite\\n\\n[gdlr_core_pub]\\n\\nPhoto: LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le Manceau Kenny Baptiste prêté à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Kenny Baptiste (1,97m, 19 ans) a été prêté à l’Ujap Quimper par Le Mans Sarthe Basket.\\n\\nLe Guadeloupéen Kenny Baptiste peut évoluer aux postes d’arrière et d’ailier. Dans le championnat espoir, il a été l’auteur de 14,8 points, 5,0 rebonds et 2,5 passes décisives. Il a été médaillé de bronze au championnat du monde U19 cet été.\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Adversaire de la France à la Coupe du monde, la République dominicaine en demi-finale des Jeux panaméricains" }, {"role": "assistant", "content":"Adversaire de l’équipe de France à la Coupe du monde en Chine dans le groupe préliminaire, la République dominicaine s’est qualifiée cette nuit pour les demi-finales du tournoi de basket des XVIIIes Jeux panaméricains qui se disputent à Lima au Pérou. Elle s’est facilement imposée à l’Uruguay, 83-57, et rejoint ainsi l’Argentine, les États-Unis et Porto Rico, qui sera son adversaire en demi.\\n\\nLionel Figueroa a marqué 16 points, Juan Miguel Suero 13 et Eloy Vargas 12 avec cinq rebonds pour l’équipe dominicaine.\\n\\nLa veille, les Dominicains ont failli faire sensation puisqu’ils ont mené tout le match face à l’Argentine, qui a égalisé au buzzer d’un triplé de Luca Vildoza. Les Argentins, qui ont leur équipe type pour la Coupe du monde, ont fait la différence en prolongations, 102-97.\\n\\nA noter que l’ancien gravelinois Edgar Sosa ne fait pas partie de la délégation dominicaine.\\n\\nA lire ICI notre article sur la République dominicaine.\\n\\nPhoto: Lionel Figueroa" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 féminines: Ouverture ce soir face à l’Allemagne" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U20 féminines est sur le pont à partir de ce soir pour son Euro, à Klatovy en République tchèque. L’Allemagne sera son premier adversaire. Cinq des douze Françaises sont en formation aux Etats-Unis.\\n\\nA noter lors de l’ultime match de préparation face à l’Espagne (victoire 47-46) les 17 points et 11 rebonds de l’ailière Emmanuelle Tahane (1,83m).\\n\\nN°NOMPrénomNée lePosteClub2FRANCHELINColine19991ASVEL3TRASIAwa19995NW. FLORIDA ST.7FOFANANabala20005NANTES REZE8GNAGODaphné19993-4UC RIVERSIDE 12BREMAUDCarla19992WICHITA STATE 13TAHANEEmmanuelle19993-4UNIV. OF MISSOURI17DROGUETCamille19992ASVEL20MANALASéréna20005MONTPELLIER27JAKOVJLEVICHélène20001-2VILLENEUVE31MONPIERREOcéane20001ROCHE VENDEE32POUYETima19991-2TARBES99MBANDUNaomi19993-4GULF COAST STATE\\n\\n+2 joueuses remplaçantes\\n\\n4PARISIClaire30/04/19991BASKET LANDES15GURAMAREMaria20/09/20005HARVARD\\n\\nEntraîneur : Jérôme Fournier\\nAdjoints : Grégory Morata, Virgile Abel, John Delay\\n\\nStage au Temple-sur-Lot du 25 au 28 février\\n\\nStage à l’INSEP du 21 au 24 mai\\n\\nStage au Temple-sur-Lot du 12 au 20 juin\\n\\nTournoi de Bourg-en-Bresse du 21 au 23 juin\\nVendredi 21 juin – France – République Tchèque : 71-44\\nSamedi 22 juin – Belgique – France : 58-73\\nDimanche 23 juin – France – Japon : 72-77\\n\\nStage à Bourg-en-Bresse du 24 au 26 juin\\n\\nStage à Nice du 9 au 11 juillet 2019\\n\\nTournoi à Nice du 12 au 14 juillet\\nVendredi 12 juillet – France – Russie : 70-49\\nSamedi 13 juillet – France – Belgique : 50-41\\nDimanche 14 juillet – France – Australie : 67-57\\n\\nStage et Tournoi à Ferrol (Espagne) du 16 au 21 juillet\\nVendredi 19 juillet – France – Serbie : 82-54\\nSamedi 20 juillet – France – Russie : 44-49\\nDimanche 21 juillet – France – Espagne : 47-46\\n\\nStage à Klatovy (République Tchèque) du 29 juillet au 2 août 2019\\n\\nChampionnat d’Europe à Klatovy (République Tchèque) du 3 au 11 août\\nSamedi 3 août à 20h15 : France – Allemagne\\nDimanche 4 août à 17h30 : Italie – France\\nLundi 5 août à 19h45 : France – Pays-Bas\\nMercredi 7 août : Huitièmes de finale\\nJeudi 8 août : Quarts de finale\\nSamedi 10 août : Demi-finales\\nDimanche 11 août : Finale\\n\\nPhoto: (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Canada: Pas de Dwight Powell (Dallas Mavericks) à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y a pas que Team USA qui est touché par les forfaits, le Canada aussi. Et toujours pour la même raison: un joueur NBA qui préfère « préparer la prochaine saison ».\\n\\nDwight Powell (2,11m, 28 ans) sort d’une saison à 10,6 points et 5,3 rebonds avec les Dallas Mavericks et il a été prolongé cet été pour 33 millions de dollars sur trois ans.\\n\\nCe forfait survient après celui de RJ Barrette victime d’une blessure au mollet." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Pour l’Espagnol Ricky Rubio, la France peut battre les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la première fois depuis 1999, l’Espagne n’alignera aucune de ses trois stars Pau Gasol, Juan Carlos Navarro et Sergio Rodriguez à une compétition internationale estivale et tant Nikola Mirotic que Serge Ibaka sont forfaits cet été. La participation de Ricky Rubio (1,93m, 28 ans) n’a elle jamais été remise en cause, lui qui souligne à nouveau à quel point l’équipe nationale est importante pour lui.\\n\\n« Enfiler ce maillot de l’équipe nationale, jouer avec Pau Gasol, Marc Gasol, Juan Carlos Navarro, Rudy Fernandez, c’était genre ‘j’y suis arrivé !’ Je fais partie des 12 meilleurs joueurs de mon pays. Je ne joue pas uniquement pour ‘Rubio,’ pour moi ou pour ma famille, je représente tout un pays qui nous regarde et qui nous soutient. Je me souviens avoir suivi la Coupe du Monde et les JO comme enfant, et dire ‘L’Espagne joue. Nous jouons.’ Quand tu portes le maillot de ton équipe nationale, ce n’est pas juste 12 gars qui évoluent côte à côte. Nous formons un groupe uni, qui veut faire honneur au pays tout entier », commente t-il au site de la FIBA.\\n\\nPour celui qui fut pendant deux saisons l’équipier de Rudy Gobert au Utah Jazz et qui a été transféré aux Phoenix Suns, la France fait partie des pays qui peuvent battre les Etats-Unis.\\n\\n« Je vois beaucoup de prétendants au titre. Avant, c’était toujours les USA et une génération d’une autre nation, comme l’Espagne ou l’Argentine, qui pouvait les regarder droit dans les yeux. Mais actuellement, il y a de nombreux pays qui peuvent rivaliser. Pas seulement pour arriver en finale : pour battre les USA. L’Espagne, bien sûr, mais aussi la France, l’Australie... il y a plein de bonnes équipes qui peuvent se mêler à la lutte pour les premières places et gagner la médaille d’or, » affirme Rubio, prêt à disputer sa 3e Coupe du Monde. « C’était comme regarder un film dont on connaît l’issue. On savait que les USA l’emporteraient à la fin. Ces dernières années, on dirait que le film a un peu changé. Le suspense dure plus longtemps et les fins sont devenues plus incertaines. Tout peut arriver. »\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Les calendriers de NM1 et NM2 dévoilés" }, {"role": "assistant", "content":"La Commission Fédérale des Compétitions a dévoilé les calendriers de Nationale Masculine 1 et Nationale Masculine 2 pour la saison 2019-2020 bien qu’il existe des procédures en cours.\\n\\nSuite au Bureau Fédéral du 2 août 2019, les décisions suivantes ont été entérinées:\\n\\n• Engagement de l’ETOILE CHARLEVILLE MEZIERES en NM2 sous réserve de l’acceptation et de la réalisation par le club de la proposition de conciliation;\\n• Engagement de UNION SPORTIVE AVIGNON PONTET en NM1 pour pourvoir à la place vacante\\n\\n« La Commission Fédérale des Compétitions a reçu un très grand nombre de contraintes et/ou de souhaits (difficiles à concilier) issus des clubs. Elle a fait tout son possible pour répondre favorablement aux demandes, bien qu’il ne soit parfois pas simple, voire impossible, de les faire toutes cohabiter », indique la FFBB dans un communiqué.\\n\\nLe calendrier de la NM1\\n\\nLe calendrier de la NM2\\n" }, {"role": "user", "content":"Chris Evans et Paulius Valinskas à Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"Orléans Loiret Basket complète son effectif avec deux recrues: l’ailier américain Chris Evans (2,03m, 28 ans) et l’arrière lituanien Paulius Valinskas (1,91m, 23 ans).\\n\\nChris Evans est un joueur référencé en Europe. Il a fait partie de l’effectif de l’AS Monaco lors de la saison 2017-18 et fut finaliste des playoffs avec de bonnes stats (13,9 points à 52,0%, 13,5 d’évaluation). Il était passé auparavant par l’Hapoël Tel-Aviv et la D-League.\\n\\nLa saison dernière, il a goûté à l’Euroleague avec Gran Canaria (6 matchs à 10,3 points et 2,6 rebonds) pour terminer la saison en Turquie au Pinar Karsiyaka (9,0 points, 3,3 rebonds).\\n\\n« Chris Evans est un garçon qui connait le championnat de Jeep Elite pour avoir fait les beaux jours de Monaco lors de la saison 2017/2018, C’est un pur poste 4 capable de s’écarter avec une excellente qualité de shoot. Pouvant évoluer sur le poste 3, Chris possède un vrai volume de jeu, il est capable de mettre beaucoup d’intensité sur le terrain. Il sera le parfait complément de Miralem (Halilovic) et du futur poste 5 dans la peinture« , estime le coach Germain Castano.\\n\\nNé dans la ville, Paulius Valinskas a été formé au Zalgiris Kaunas et a connu le Final Four de l’Euroleague à 20 ans.\\n\\nPrêté la saison dernière à Lietkabelis, club de première division lituanienne, pour gagner en temps de jeu, il compile 12 points, 2,4 rebond, 3,4 passes pour 11,2 d’évaluation en 27 minutes dans le championnat local. Il participe également à 14 matchs de la Basketball Champions League.\\n\\nPassé par toutes les équipes de jeunes de son pays, il participa au championnat d’Europe U16 en 2011, l’Euro 2013 avec l’équipe U18 ainsi qu’à l’Euro 2015 (12,7 points en 24 minutes de jeu) avec les U20 lituaniens.\\n\\n« C’est un garçon formé dans une très grande école de basket qui est Kaunas. C’est un poste 2/1 qui va nous apporter beaucoup de percussions dans le jeu. Paulius est un véritable créateur avec une excellente qualité de passe. Il est capable de ‘nettoyer le jeu’. il possède également la capacité de scorer et d’être adroit à 3 points. Il a un vrai sens du jeu avec beaucoup d’activités des deux côtés du terrain« , commente Germain Castano à son égard.\\n\\n\\nPhoto: Chris Evans" }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (Monaco) «Oui, nous devrions être costauds»" }, {"role": "assistant", "content":"Sur le site du club, le coach Sasa Obradovic évoque la saison à venir sachant que l’AS Monaco a enregistré les nouvelles signatures ou reconduction de contrats de Dee Bost, Dylan Ennis, Kim Tillie, Wilfried Yeguete, Éric Buckner, Anthony Clemmons, Yakuba Ouattara, et J.J. O’Brien. Princier. La Roca Team fait figure avec l’ASVEL de favorite pour la conquête de la prochaine couronne nationale.\\n\\n\\n« Le club a vraiment fait de son mieux et s’est donné les moyens de réussir. C’est très intéressant. Sur le papier, l’équipe semble meilleure que celle de la saison passée. Mais tous les coaches vous diront la même chose : ils ne peuvent être pleinement satisfaits avant de sentir la réalité du terrain ! Maintenant il faut commencer à travailler avec mon groupe. »\\n\\nEt le recrutement n’est pas encore complètement bouclé:\\n\\n« Nous avons 5 étrangers (non JFL), nous n’avons pas besoin de nous presser pour choisir le 6e autorisé par le règlement. Concernant le profil de ce dernier, justement, je pourrais mieux appréhender nos besoins précisément une fois que nous aurons commencé la préparation. »\\n\\n\\nLe coach serbe revient sur l’échec en finale des playoffs en juin face à l’AVEL:\\n\\n« La saison passée, en finale, la blessure de Robinson avant le match 5 a été un facteur crucial en notre défaveur. Il nous a manqué l’extra, le joueur capable de faire la différence au moment où nous en avions besoin. Le groupe de joueurs que nous avions lors des derniers mois 2018-19 a été capable de montrer toute la consistance nécessaire pour le haut niveau. C’est pourquoi j’ai bon espoir que cette prochaine saison, avec un effectif plus important, nous soyons en mesure de proposer des matches encore plus intenses. Oui, nous devrions être costauds. Ce sera à nous de le démontrer. »\\n\\n\\n\\nLe programme d’avant-saison de la Roca Team\\n\\n5 août : Jour d’arrivée des joueurs en Principauté.\\n6-8 août : examens médicaux, tests de condition physique.\\n9 août : premier entraînement.\\n10 août : départ pour le stage de Bormio.\\n10-25 août : stage de préparation à Bormio, Italie.\\n24 août : match face à Galatasaray.\\n25 août : match face à Efes Pilsen.\\n30 août : match à Berlin face à l’Alba.\\n1er septembre : match à Berlin face à Mitteldeutscher.\\n3-9 septembre : Gloria Cup à Antalya, Turquie.\\nGroupe A : Turk Telecom, Bahcesehir Koleji, Unics Kazan.\\nGroupe B : Tofas, Besiktas, AS Monaco\\n\\nPhoto: Sasa Obradovic (AS Monaco)" }, {"role": "user", "content":"VTB League: Adas Juskevicius (ex-Nanterre) rejoint Perm" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien sniper de Nanterre Adas Juskevicius (1,94m, 30 ans) rejoint le club russe du Parma Basket localisé à Perm en Russie et qui est engagé en VTB League.\\n\\nL’international lituanien a été l’auteur de 11,2 points (44,4% à trois-points), 2,3 passes et 2,0 rebonds la saison dernière en Jeep Elite. Il est dans la pré-sélection lituanienne pour la Coupe du monde.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/B0qky_CoZem/\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: Près de 2 000 spectateurs à Pau à l’entraînement des Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France prend chaque été ses quartiers à Pau pour bénéficier des infrastructures du palais des sports, de l’hébergement dans la magnifique Villa Navarre dont Boris Diaw est co-propriétaire et aussi pour la ferveur du public béarnais.\\n\\nEn attendant le match de lundi face à la Turquie, l’entraînement de cet après-midi des Bleus était ouvert au public et le journaliste de la République des Pyrénées, Jean Fauret, nous indique qu’entre 1 500 et 2 000 spectateurs étaient présents dans l’enceinte. Impressionnant.\\n\\n\\nEntre 1500 et 2000 spectateurs au Palais des sports pour l'entraînement des Bleus @FRABasketball ouvert au public @ffbasketball pic.twitter.com/5SPeXgHrr1\\n\\n— Jean Fauret (@JeanFauret) August 2, 2019\\n\\n\\n\\nBain de foule pour les Bleus 🇫🇷 au Palais des Sports @EBPLO. Près de 2000 supporters présents ! #TeamFranceBasket pic.twitter.com/DKT0PzDQ0b\\n\\n— Kévin Bosi (@kevinbosi) August 2, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Killian Hayes quitte Cholet pour Ulm – Jaka Lakovic: «je lui fais confiance pour diriger l’équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Le feuilleton Killian Hayes (1,95m, 18 ans) est enfin terminé. Le Choletais prend la direction de l’Allemagne et du Ratiopharm Ulm.\\n\\nCholet Basket vient d’officialiser le départ de son meneur qui fait partie des plus grands espoirs du basket français. Désireux de disputer une coupe d’Europe, le jeune international français souhaitait quitter Cholet pour un autre club français. Seulement, CB demandait trop d’argent pour un pensionnaire de Jeep Elite. La récente sanction de la FFBB qui a suspendu 6 semaines le jeune homme pour avoir refusé sa sélection en Equipe de France U20 a poussé le clan Hayes à s’intéresser aux offres étrangères. A Ulm, il disputera donc la Bundesliga et l’Eurocup.\\n\\nLa saison dernière, Killian Hayes compilait en moyenne 7,1 points, 2,3 rebonds et 3,1 passes décisives pour une évaluation de 8,1.\\n\\n« Je suis convaincu que Killian continuera à se développer avec nous, car il trouve ici des conditions idéales. Avec Jaka Lakovic, il a un entraîneur qui a été meneur, même au plus haut niveau, et a travaillé comme entraîneur auprès de nombreux espoirs exceptionnels. Killian a beaucoup d’expérience malgré son jeune âge. Son style de jeu améliorera ses coéquipiers et mènera l’équipe, » déclare le Directeur sportif Thorsten Leibenath.\\n\\nLe coach Jaka Jakovic ajoute:\\n\\n« Killian Hayes vaut le risque. Il apporte tout ce dont un meneur de jeu moderne a besoin. Il est grand, rapide et un excellent passeur. Malgré sa jeunesse, je lui fais confiance pour diriger l’équipe. «\\n\\nPhoto : Linda Chasserieau" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Juan Palacios (ex Chalon) a l’Estudiantes" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à l’Elan Chalon, Juan Palacios (2,06m, 34 ans) va faire son retour en Liga Endesa.\\n\\nL’Estudiantes Madrid vient d’annoncer la signature pour une saison de l’intérieur colombien. Passé par Vic, La Palma et Gran Canaria, c’est la troisième fois qu’il foulera les parquets espagnols en 2019/20. Intérieur musculeux, il a également porté le maillot de Nanterre en 2013 avant de faire son retour dans l’Hexagone l’été dernier à Chalon.\\n\\nLa saison dernière, Juan Palacios tournait en moyenne à 13,3 points, 5,5 rebonds et 2,4 passes décisives.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"U16: Les 12 joueurs retenus en équipe de France sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Bernard Faure a livré les noms des 12 joueurs retenus pour le Championnat d’Europe qui se tiendra à partir du 9 août en Italie et après deux derniers matches de préparation. Trois joueurs font entre 2,12m et 2,18m.\\n\\nEquipe de France U16 masculins\\n\\nNOMPrénomTailleClubBALAdama1,93mPôle France BasketBALFOURIERNaoll2,15mPôle France BasketDE SOUSANathan1,87mCholet BasketDESSERTBrice2,07mPôle France BasketDIENGOusmane2,01mPôle France BasketHOUINSOUKymany1,94mLDLC ASVELLLAURYThomas1,91mCholet BasketMIENANDIHugo2,00mLe Mans SBRAYNAUDMaxime2,12mSC Charenton BasketTRAOREArmel2,00mPôle France BasketTRAOREYohan2.04mPôle France BasketWEMBANYAMAVictor2.18mJSF Nanterre\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\nAssistants : David Gallois et Eric Kehlhoffner\\n\\nMatchs de préparation le 3 et 4 août au Monténégro\\n\\nChampionnat d’Europe du 9 au 17 août à Udine (Italie)\\n\\nPhoto: Naoll Balfourier\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les Bleus au media day" }, {"role": "assistant", "content":"Voici le premier épisode du Team France à la Coupe du monde qui nous emmène au Media Day qui s’est tenu lundi à l’INSEP, à Paris." }, {"role": "user", "content":"Interview Frank Ntilikina : «Montrer pourquoi j’ai été sélectionné»" }, {"role": "assistant", "content":"Présélectionné avec l’Equipe de France pour la Coupe du monde, Frank Ntilikina (1,98m, 21 ans), qui a été le dernier NBAer à obtenir l’autorisation de jouer de la part des New York Knicks, a répondu aux questions des médias à l’occasion d’un point presse à l’INSEP.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre saison a été raccourcie à cause de blessures, comment vous sentez-vous ?\\n\\nJe vais bien. J’ai fait des soins, j’ai repris les entraînements, on a monté l’intensité petit à petit au fil des semaines. Même si c’est compliqué d’avoir une longue période sans jouer, je me sens bien physiquement.\\n\\nVous attendiez-vous à être sélectionné en Equipe de France ?\\n\\nOui, je savais qu’un jour ou l’autre ça allait devenir un objectif. Je suis très content d’avoir été appelé.\\n\\nQuel est l’état d’esprit de l’équipe après vous être retrouvé ?\\n\\nOn est tous dans un très bon état d’esprit. On a un très bon groupe, on a un mois pour bien se préparer. Le plus important c’est qu’on est tous sur la même longueur d’onde. Le groupe France veut performer à la coupe du Monde. On va bien s’entraîner ensemble et on verra où ça nous mène.\\n\\nQue devez-vous faire personnellement pour être dans le groupe final ?\\n\\nJouer mon jeu.\\n\\nVincent Collet disait que c’était bien d’avoir de l’enthousiasme, mais qu’il fallait aussi avoir une certaine crainte. Partagez-vous cet avis ?\\n\\nOui. Je pense qu’il faut qu’on soit prêt mentalement. Il faut être ambitieux, il faut être confiant, mais il faut être sur ses gardes parce qu’on joue les meilleurs pays du monde et les meilleurs joueurs du monde. Mais je pense que ça vaut pour tous les matchs, pas que sur cette coupe du Monde ni même qu’au basket. Je pense que c’est important dans tous les sports.\\n\\nVous sentez-vous comme un rookie dans cette équipe de France ?\\n\\nC’est vrai qu’il y a eu le petit bizutage à mon arrivée, mais sur le parquet on est tous des joueurs comme les autres. C’était sympa, c’était marrant parce qu’en plus c’était mon anniversaire, mais le terrain c’est le terrain.\\n\\nComment vous sentez-vous à l’approche de votre première sélection ?\\n\\nComme je le disais, c’était un objectif. C’est le moment de montrer pourquoi j’ai été sélectionné. En se fixant des objectifs on se prépare en faisant en sorte de pouvoir les atteindre donc c’est à moi de me préparer le mieux possible pour quand je serai envoyé sur le terrain.\\n\\nIl y a plusieurs gros joueurs sur le poste 1/2 qui n’ont pas été sélectionné, ça doit être une fierté ?\\n\\nOui c’est clair. Je suis fier d’être ici, il y a des vrais noms, même si ce n’est qu’une présélection, je suis très content de pouvoir en faire partie.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=PwRF5Tspu_E\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre saison a été raccourcie à cause de blessures, comment vous sentez-vous ?\\n\\nJe vais bien. J’ai fait des soins, j’ai repris les entraînements, on a monté l’intensité petit à petit au fil des semaines. Même si c’est compliqué d’avoir une longue période sans jouer, je me sens bien physiquement.\\n\\nVous attendiez-vous à être sélectionné en Equipe de France ?\\n\\nOui, je savais qu’un jour ou l’autre ça allait devenir un objectif. 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Je pense que, jusque maintenant, Strasbourg est le meilleur souvenir que j’ai en termes de basket... Et surtout je sais ce que vaut le niveau du basket ici et ça compte beaucoup pour moi.«\\n\\nEn ce qui concerne l’équipe alsacienne pour cette saison, le Guyanais est enthousiaste:\\n\\n« On a une équipe homogène et jeune. Je connais quasiment tous les joueurs. Je suis excité à l’idée de jouer avec eux car je suis impatient de voir ce que ça va donner. J’ai hâte d’être au premier entraînement et de bosser avec eux. On verra bien ce que ça va donner mais sur le papier ça me plait bien.\\n\\nPhoto: FIBA\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: 10 000 billets vendus en 24 heures pour la venue de la Lituanie à Pampelune" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe d’Espagne va disputer ce soir à la Navarra Arena de Pampelune son premier match de préparation à la Coupe du monde. La province de Navarre est tellement heureuse de recevoir Sergio Llull et ses complices que les 10 000 billets ont été vendus en avril en 24 heures !\\n\\nLe coach Sergio Scariolo ne dispose pas de toutes ses troupes puisque Marc Gasol et Rudy Fernandez seront absents pour « raisons personnelles ». Ceci dit, la Lituanie va se présenter sans Domantas Sabonis, Jonas Valanciunas, Mantas Kalnietis, Paulius Jankūnas et Renaldas Seibutis. Excusez du peu.\\n\\nHuit joueurs espagnols paraissent avec une présence assurée à la Coupe du monde (Ricky Rubio, Sergio Llull, Rudy Fernandez, Victor Claver, Juancho Hernangomez., Pierre Oriola, Willy Hernangomez et Marc Gasol) et les huit autres (Quino Colom, Jaime Fernandez, Pau Ribas, Javier Beirán, Xavi Rabaseda, Joan Tailor, Pablo Aguilar et Llimane Diop) vont se battre pour les quatre places restantes." }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Mantas Kalnietis fait son retour au Lokomotiv Kuban" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à l’ASVEL, Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) n’accompagnera pas le club villeurbannais en Euroleague mais va retrouver son ancien club.\\n\\nSelon le journaliste lituanien Donatas Urbonas, l’ancien meneur de Milan va faire son retour au Lokomotiv Kuban. Natif de Kaunas, le meneur international a déjà porté le maillot de Kuban entre 2012 et 2015. Il a d’ailleurs remporté l’Eurocup 2013 avec Krasnodar. L’annonce officielle devrait arriver dans peu de temps.\\n\\nLa saison dernière, Mantas Kalnietis compilait en moyenne 8,3 points, 2,7 rebonds et 5,5 passes décisives entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\n\\nMantas Kalnietis will continue his career in Lokomotiv Krasnodar, official announcement is expected soon.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 2, 2019\\n\\n\\nPhoto : Inifinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Meilleur marqueur de l’Euroleague, Mike James (Milan) rejoint le CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il a négocié son départ d’Armani Milan où il avait un contrat 2+1, le combo guard Mike James (1,85m, 28 ans) va rebondir au CSKA Moscou a déclaré une source à Eurohoops.\\n\\nMike James n’est autre que le meilleur marqueur en titre de l’Euroleague avec 19,8 points en moyenne plus 6,4 passes et 3,8 rebonds. Auparavant, on l’a vu dans différents clubs européens dont Vitoria et le Panathinaikos et aussi en NBA pour 36 matches à 9,3 points en moyenne." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le Macédonien Stojan Gjuroski à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"L’ALM Evreux a annoncé l’engagement du Macédonien Stojan Gjuroski (2,02 m, 27 ans), qui évolue sur les postes 3 et 4.\\n\\nCelui-ci a été formé en NCAA (Louisiana Tech) avant de faire carrière en Bulgarie (Levski Sofia ) puis dans son pays avec les clubs de Skopje et Karpos Sokoli. La saison dernière, il s’était installé en Espagne, tout d’abord à Huesca, en LEB Oro où il tournait à 14,4 points, 3,5 rebonds et 1,6 passe avant de finir la saison à Melilla dans le même championnat pour y disputer les playoffs d’accession où le club a été éliminé en demi-finale par Bilbao." }, {"role": "user", "content":"Interview Rudy Gobert : «Notre potentiel est illimité»" }, {"role": "assistant", "content":"Présent avec l’Equipe de France à l’INSEP pour la conférence de presse en amont de la préparation à la coupe du Monde, Rudy Gobert (2,16m, 27 ans) a répondu aux questions des médias. Il n’en démord pas: il veut la médaille d’or.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre état d’esprit en retrouvant l’Equipe de France ?\\n\\nMotivé. Motivé pour essayer d’aller chercher cette médaille d’or. Et puis je suis aussi content de retrouver tout le monde, tous mes amis, le staff, cette équipe de France. Je suis aussi très heureux d’être en France. Le plus dur commence et j’ai vraiment hâte de passer aux choses sérieuses. Il y a quelques nouveaux joueurs, mais ce sont des gars qu’on connait. On a parlé avec eux. Il y a quelques joueurs qui sont partis à la retraite, mais je pense qu’on garde le même noyau.\\n\\nSentez-vous votre rôle évoluer avec le temps ?\\n\\nOui, je pense qu’avec les années, j’ai plus d’expérience qu’avant et je suis un meilleur joueur. Je vais avoir plus un rôle de leader et les jeunes vont me regarder comme un ancien, même si je ne me considère pas encore en tant que tel. Mais c’est quelque chose que j’aime, partager avec les autres, c’est important. Quand tu veux gagner, il faut savoir communiquer avec tes coéquipiers.\\n\\nÇa vous met la pression d’avoir ce rôle de leader ?\\n\\nNon, j’aime bien. Quand tu veux gagner, il faut faire tous les sacrifices possibles. Pour moi, c’est ça être un leader. Ce n’est pas forcément dire aux autres quoi faire, mais donner l’exemple par l’attitude par les actes pour faire en sorte que tout le monde te suive et s’inspire de ça.\\n\\nLe basket FIBA a aussi ses propres règles, pouvoir rester dans la raquette ou nettoyer l’anneau, qu’est-ce que ça change ?\\n\\nC’est différent. Il va falloir que je m’y habitue à nouveau, je pense que ça va me prendre quelques semaines. C’est fun pour moi de pouvoir faire ça et je pense que du coup c’est un gros plus pur l’équipe. Je pense que je suis un défenseur identique en NBA ou en FIBA, mais les règles FIBA avantagent. C’est un plus pour nous.\\n\\nVous avez la possibilité de jouer avec des postes 4 mobiles, comme Nicolas Batum, est-ce quelque chose que vous préférez ou vous aimez les postes 4 classiques ?\\n\\nAvoir des joueurs qui shootent à mes côtés ça m’ouvre le jeu, ça met beaucoup de pression sur la défense, mais je peux jouer avec les deux. J’ai joué six ans avec Derrick Favors qui joue en 4 mais qui est un vrai 5. Je sais m’adapter.\\n\\n« Je ne vois pas vraiment de limite nous concernant. On a du talent à tous les postes, on a de l’expérience et de la jeunesse »\\n\\nQu’attendez-vous de ce mois de préparation ?\\n\\nÇa va être une grosse Coupe du monde. On sait qu’on a beaucoup de boulot, mais l’important c’est de connaitre nos principes, de trouver notre identité et qu’on s’habitue à jouer ensemble pour qu’on développe des automatismes et qu’une fois arriver en match on puisse exécuter et gagner les matchs.\\n\\nC’est quelque chose qui peut se faire rapidement ?\\n\\nJe pense qu’on a des joueurs intelligents, des joueurs qui veulent gagner donc oui je pense que ça va se faire rapidement et que chacun sera capable de se sacrifier pour le bien de l’équipe.\\n\\nQuel est le potentiel de cette équipe de France ?\\n\\nJe dirais un potentiel illimité. Je ne vois pas vraiment de limite nous concernant. On a du talent à tous les postes, on a de l’expérience et de la jeunesse. C’est à nous de bien nous préparer et d’être sérieux.\\n\\nC’est toujours comme ça ou cette année vous sentez qu’il y a un vrai potentiel ?\\n\\nIl y a de quoi y croire, mais il faut s’en donner les moyens. Tout le monde sait que la route est longue, elle n’est pas simple. Il faut être un groupe soudé, même dans les moments difficiles parce qu’on en aura c’est sûr. S’il n’y a que des moments faciles en général tu arrives aux matchs couperets et tu tombes de haut. C’est dans les moments difficiles qu’on se forge.\\n\\nVous croisez avec un groupe relevé en sortant de la phase de poules quel est votre avis là-dessus ?\\n\\nJe trouve que c’est bien. Je préfère jouer des grosses équipes dès le début, ça nous forge. On va se battre pour être le mieux possible, même si on passe à côté d’un quart-temps ou d’un match.\\n\\nVincent Collet disait qu’il ressentait beaucoup d’enthousiasme mais qu’il fallait aussi de la crainte.\\n\\nJe pense qu’on a cette crainte, c’est le respect. On sait qu’on va affronter des adversaires redoutables. Il faut faire le job, on se prépare pour essayer d’enlever cette crainte et la transformer en confiance.\\n\\n« Il faudrait dix nouveaux forfaits pour que les Américains ne soient plus les favoris. »\\n\\nBoris Diaw n’est plus là, qu’est-ce que ça va changer ?\\n\\nJe vais m’y habituer au fur et à mesure, mais c’est vrai que Boris ça a toujours été un joueur qui se sacrifiait pour l’équipe et rendait la vie facile aux autres quand il était sur le terrain. C’est clair qu’un joueur comme ça, ça ne court pas les rues.\\n\\nQue pensez-vous de la sélection américaine qui essuie forfait sur forfait ?\\n\\nÇa reste les favoris. Ça reste une équipe très talentueuse, très athlétique. Il faudrait dix nouveaux forfaits pour qu’ils ne soient plus les favoris.\\n\\nÇa fait du bien de retrouver la prépa, l’INSEP ?\\n\\nC’est comme un bol d’air frais. Retrouver tous ces gars avec qui j’ai disputé des matchs, mais avec qui je n’ai pas fait de compétitions depuis trois ans c’est que du plaisir. On a hâte que les choses sérieuses commencent.\\n\\nVous pourriez vous retrouver face à de gros joueurs comme Nikola Jokic ou Marc Gasol, qu’en pensez-vous de ces affrontements ?\\n\\nC’est bien. Mais quand je joue contre une équipe, c’est 5 contre 5. Je veux maitriser les cinq joueurs en face. Si Jokic met 2 points, mais qu’un autre en met 40 et que c’est de ma faute, c’est pareil.\\n\\nPhoto d’ouverture: FFBB\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre état d’esprit en retrouvant l’Equipe de France ?\\n\\nMotivé. Motivé pour essayer d’aller chercher cette médaille d’or. Et puis je suis aussi content de retrouver tout le monde, tous mes amis, le staff, cette équipe de France. Je suis aussi très heureux d’être en France. Le plus dur commence et j’ai vraiment hâte de passer aux choses sérieuses. Il y a quelques nouveaux joueurs, mais ce sont des gars qu’on connait. On a parlé avec eux. Il y a quelques joueurs qui sont partis à la retraite, mais je pense qu’on garde le même noyau.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : FIBA/FFBB" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: rififi au Sénégal" }, {"role": "assistant", "content":"Le moins que l’on puisse dire c’est que l’équipe du Sénégal se prépare dans la plus grande confusion pour la Coupe du monde. Vingt-quatre heures après avoir donné une première liste de pré-sélectionnés, le nouveau coach Moustapha Gaye, qui a remplacé il y a quelques jours Abdou Ndiaye, change ses pions.\\n\\nDisparaissent les géants Tacko Fall (2,31m, Boston Celtics) et Youssoupha Fall (2,20m, Vittoria) et aussi Gorgui Dieng (2,11m, Minnesota Timberwolves), Amar Sylla (Ostende), Moise Diamé (Saint-Vallier) et plusieurs joueurs locaux. A l’inverse, reviennent en jeu Xane D’Almeida (Charleville) et Lamine Sambe (Rueil) qui ont apporté une forte contribution à la qualification et dont la non sélection initiale avait choqué. Mactar Gueye et Momar Ndoye (Vichy Clermont) sont également appelés.\\n\\nVoilà qui ne met pas les Lions dans les meilleures conditions pour préparer une Coupe du monde où les attendent Australie, Canada et Lituanie et ça fait jaser...\\n\\n« Faut-il en rire ou en pleurer? », se demande le site leral.net. « Peut-être les deux à la fois, en cette veille de Coupe du monde de basket-ball prévue en Chine où la Fédération sénégalaise de Basket-ball aurait provoqué le départ d’Abdourahmane Ndiaye « Adidas » de la tête des Lions du basket. Et l’a fait remplacer au pied levé ou à « main levée » par le ccoach Moustapha Gaye. Comment peut-on changer de sélectionneur à trois semaines d’une Coupe du monde? Surtout dans une poule aussi relevée que celle du Sénégal avec le Canada, la Lituanie et l’Australie (...)\\n\\nEn tout cas, la participation des Lions du basketball ressemble davantage à une aventure touristique, où des dizaines de millions FCFa du contribuable sénégalais seront jetés à la fenêtre. Ce, du fait du manque de sérieux et du bidonnage dans la préparation de l’équipe nationale.\\n\\n« Le Témoin » quotidien reste convaincu que seuls les dirigeants, fédéraux et joueurs vont se frotter les mains (billets d’avions, frais hôteliers, perdiem, primes de participation, polices d’assurance). Et le drapeau national en pâtira.\\n\\nMais avec le budget inépuisable de l’Etat du Sénégal, il y aura de quoi aller visiter la Grande muraille et revenir fêter une déroute ! Avec des primes de 20 millions de francs à chacun des «Lions» du basket qui se seront fait ratatiner en Chine, en plus de leurs dirigeants bien sûr ! Sans oublier les passeports diplomatiques, bien sûr ! «\\n\\nL’ancien président de la fédération Baba Tandian apporte aussi son éclairage dans Stades sur l’éviction d’Abdou Ndiaye:\\n\\n« «Je trouve que c’est mesquin, inélégant et pas du tout joli... On ne doit pas se permettre d’éjecter comme ça quelqu’un à qui on vient tout juste de proposer un contrat qu’il était en train d’étudier avec ses conseillers juridiques... Il lui en veulent à mort depuis qu’il a poussé un coup de gueule en réclamant de meilleures conditions au sein de l’équipe nationale... Le virer de la sorte, c’est irrespectueux et Adidas ne mérite pas ça»\\n\\nLa liste des 20 pré-sélectionnés\\n\\n1 XANE D’ALMEIDA\\n\\n2 CLEVIN FINLEY HANNAH\\n\\n3 ADAMA LOUIS ADAMS\\n\\n4 ALKALY MAMADOU NDOUR\\n\\n5 THIERNO IBRAHIMA NIANG\\n\\n6 MOUHAMMAD FAYE\\n\\n7 DJIBRIL ABDOULAYE THIAM\\n\\n8 MAMADOU LAMINE SAMBE\\n\\n9 ANTHOINE KATHIFUN MENDY\\n\\n10 IBRAHIMA FALL FAYE\\n\\n11 PAPE MOUSTAPHA DIOP\\n\\n12 MOMAR NDOYE\\n\\n13 MAMADOU LAMINE DIOP\\n\\n14 MACTAR GUEYE\\n\\n15 BIRAM FAYE\\n\\n16 MAURICE DALY NDOUR\\n\\n17 BABACAR TOURE\\n\\n18 CHEIKH TIDIANE MBODJ\\n\\n19 YOUSSOUPHA NDOYE\\n\\n20 HAMADY BARRO NDIAYE\\n\\nPhoto: Xane D’Almeida (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Serbie: Rashawn Thomas (Partizan Belgrade) libéré sous caution" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier américain Rashawn Thomas (2,00m, 24 ans), qui a signé un contrat portant sur deux saisons avec le Partizan Belgrade, a été arrêté par la police de Gainesville et libéré en déposant une caution de 32 000 dollars.\\n\\nL’ancien joueur du Dinamo Sassari se trouvait au volant de son véhicule en possession de marijuana, de BHO et de plusieurs pilules d’ectasy.\\n\\nLe président du Partizan, Ostoja Mijailovic, a confirmé que le club est au courant de la situation dans laquelle leur joueur est impliqué mais il ne fera aucune déclaration avant d’avoir reçu des informations du service de police et lorsque le dossier sera officiellement clos." }, {"role": "user", "content":"Canada: RJ Barrett forfait pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Troisième choix de la draft 2019, le Canadien R.J. Barrett (2,01m, 19 ans) va manquer la Coupe du monde en Chine. Contrairement aux Américains qui se défilent tour à tour, il a une bonne excuse: il est blessé au mollet. Peut-être aussi que les New York Knicks l’ont encouragé à se désister.\\n\\nLe Canada se retrouve dans le « groupe de la mort » à la Coupe du monde avec l’Australie, la Lituanie et le Sénégal et peut ensuite se retrouver sur la route de la France.\\n\\nhttps://twitter.com/ShamsCharania?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1156959542938394625&ref_url=http%3A%2F%2Fbasket-infos.com%2F2019%2F08%2F01%2Fpas-de-coupe-du-monde-pour-rj-barrett%2F" }, {"role": "user", "content":"Team USA: Encore deux forfaits" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le camp d’entraînement à la Coupe du monde doit s’ouvrir lundi 5 août à Las Vegas, USA Basketball a annoncé aujourd’hui que deux nouveaux joueurs déclarent forfait: Andre Drummond (Detroit Pistons) et Montrezl Harrell (Los Angeles Clippers). Pour compenser, la fédération américaine a fait appel à Bam Adebayo (2,08m, 22 ans, Miami Heat).\\n\\nLes membres de l’équipe nationale américaine attendus au camp d’entraînement en plus d’Adebayo sont : Harrison Barnes (Sacramento Kings); Jaylen Brown (Boston Celtics) ; Kyle Kuzma (Los Angeles Lakers); Brook Lopez (Milwaukee Bucks); Kyle Lowry (Toronto Raptors); Khris Middleton (Milwaukee Bucks); Donovan Mitchell (Utah Jazz); Mason Plumlee (Denver Nuggets), Julius Randle (New York Knicks); Marcus Smart (Boston Celtics); Jayson Tatum (Boston Celtics); PJ Tucker (Houston Rockets); Myles Turner (Indiana Pacers); Kemba Walker (Boston Celtics); et Thaddeus Young (Chicago Bulls).\\n\\nPhoto: Andre Drummond" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: La France se fait sortir par la Turquie, 64-69" }, {"role": "assistant", "content":"La Turquie a exécuté un parfait match de traînard pour passer devant la France dans le money time et l’éliminer en quart-de-finale de l’Euro U18, 64-69.\\n\\nLes Bleuets ont beaucoup trop compté sur leurs qualités athlétiques supérieures et les exploits individuels de Malcolm Cazalon (21 points à 7/19). Il est évident que Killian Hayes et surtout Théo Maledon leur auraient apporté une sérénité salvatrice. Il n’y a peut-être pas de surdoués dans l’équipe turque mais au niveau de la qualité du basket, il n’y a pas photo.\\n\\nL’adresse générale des Français à 35,8% fait mal comparativement à celle des Turcs, 50%, alors que ceux-ci ont pris 21 shoots en moins !\\n\\nComme les Croates hier, les Turcs ont fait connaissance directement avec la défense étouffante des Français: 8-0 et 13-2 au bout de 5’50. C’est leur fragilité dans l’adresse à trois-points (1/7) qui empêchait alors les garçons de Lamine Kebe de se faire la belle pour de bon (16-11, 10e).\\n\\nLes Turcs avaient peu de positions confortables (22 tirs en première mi-temps contre 34 aux Français) mais les optimisaient (45,4% de réussite) si bien qu’ils ne prenaient pas l’eau malgré les coups de boutoir de Malcolm Cazalon (15 points en moins de 15′) et la polyvalence de Juhann Begarin. Leur press tout terrain ralentissait aussi les attaques françaises. La France obtenait tout de même son avantage maximal au buzzer de la mi-temps (39-27).\\n\\nLes Turcs mettaient en place une zone pour tester la réactivité des Bleuets mais si ceux-ci n’étaient pas super adroits, ils se donnaient quelques secondes chances avec des rebonds offensifs. Si bien qu’après trois quart-temps, l’écart était dans les mêmes eaux: 56-44.\\n\\nSeulement les Turcs ne perdaient pas confiance et, notamment grâce au small forward Tibet Gorener (4/5 à trois-points pour 16 points), ils donnaient un violent coup d’accélérateur pour infliger un 10-0 aux Bleuets et revenir à 56-54 à 6’50 de la fin. Tout était à refaire. Victime d’une terrible panne de courant, les Bleuets ont en fait mis 5 minutes pour marquer un petit lancer et plus de 6 minutes pour inscrire un premier panier sur un 2+1 de Malcolm Cazalon.\\n\\nCe qui devait arriver arriva. La Turquie passa pour la première fois en tête à 60-61 sur un improbable 3-points de Atakan Erdek. Ensuite, elle géra aux petits oignons le money time avec des lancers, deux rebonds offensifs, une interception. 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En revanche, y figurent l’Américain naturalisé Clevin Hannah et les deux géants Tacko Fall (2,31m), qui vient de signer avec les Boston Celtics, et Youssoupha Fall (2,20m, Vittoria), qui pourtant jusqu’ici a refusé de rejoindre la sélection de son pays d’origine.\\n\\nEn plus de joueurs de la sélection U19 qui font aussi leur entrée avec Amar Sylla et Birame Faye, plusieurs locaux font partie de cette liste: Birahim Gaye (AS Douanes), Alkaly Ndour (Douanes), Pape Moustapha Diop (Douanes), Pape Abdou Karim Kebe (Douanes), Thierno Ibrahima Niang (As Douanes), Mamadou Lamine Diop (DUC) et Babacar Diallo (JA).\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Premier adversaire de la France, l’Allemagne a dévoilé ses 16 pré-sélectionnés" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur national Henrik Rödl a annoncé aujourd’hui à Hambourg la liste des 16 pré-sélectionnés pour représenter l’Allemagne à la Coupe du Monde. Le meneur d’Oklahoma City Dennis Schröder sera le leader de la Mannschaft qui sera le premier adversaire de la France dans la première phase. 5 joueurs évoluent en NBA et 3 en Euroleague.\\n\\nDennis Schröder (1,85m, 25 ans, meneur Oklahoma City Thunder, NBA – 38 sélections.)\\n\\nMaodo Lô (1,91m, 26 ans, meneur, Bayern Munich – 49 sél.)\\n\\nIsmet Akpinar (1,90m, 24 ans, meneur, Besiktas Istanbul, Turquie – 29 sél.)\\n\\nIsaac Bonga (2,03m, 19 ans, meneur, Washington Wizards, NBA – 2 sél.)\\n\\nJoshiko Saibou (1,88m, 29 ans, meneur, Telekom Bonn – 8 sél.)\\n\\nObst Andreas (1,91m, 23 ans, arrière, Ratiopharm Ulm – 10 sél.)\\n\\nPaul Zipser (2,03m, 25 ans, arrière, San Pablo Burgos, Espagne – 31 sél.)\\n\\nRobin Benzing (2,08m, 30 ans, ailier, Saragosse, Espagne – 135 sél.)\\n\\nNiels Giffey (2,00m, 28 ans, ailier, Alba Berlin – 61 sél.)\\n\\nKarim Jallow (1,98m, 22 ans, arrière-ailier, Löwen Braunschweig – 5 sél.)\\n\\nJohannes Thiemann (2,05m, 25 ans, ailier, Alba Berlin – 33 sél.)\\n\\nMoritz Wagner (2,11m, 22 ans, intérieur, Washington Wizards, NBA – 0 sél.)\\n\\nDanilo Barthel (2,08m, 27 ans, intérieur, Bayern Munich – 40 sél.)\\n\\nDaniel Theis (2,03m, 27 ans, intérieur, Boston Celtics, NBA – 32 sél.)\\n\\nMaximilian Kleber (2,11m, 27 ans, intérieur, Dallas Mavericks, NBA – 19 sél.)\\n\\nJohannes Voigtmann (2,11m, 26 ans, CSKA Moscou, Russie – 54 sélc.)\\n\\nL’équipe allemande se réunira pour la première fois le lundi 5 août à Trèves et y disputera une rencontre de préparation le dimanche 11 août face à la Suède.\\n\\nElle poursuivra sa préparation à Hambourg, où du 16 au 18 elle prendra part à la Supercup VTG avec la Pologne, la République tchèque et la Hongrie.\\n\\nLe mercredi 21 Août, la délégation allemande se rendra au Japon pour s’acclimater. Au programme, à Saitama, près de Tokyo, deux autres matches contre la Tunisie (23 août) et le Japon (24 août).\\n\\nL’Allemagne n’effectuera qu’un seul match de préparation face à un adversaire de premier ordre, le mercredi 28 août à Jiangmen en Chine face à l’Australie.\\n\\nA la Coupe du monde, elle jouera la France (1er septembre), la République dominicaine (3 septembre) et la Jordanie (5 septembre 2019).\\n\\nPhoto: Dennis Schröder (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"Le NBAer Jonas Jerebko proche du Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Après neuf ans en NBA, Jonas Jerebko (2,08m, 32 ans) serait sur le point de faire son retour en Europe.\\n\\nSelon le journaliste lituanien Donatas Urbonas, l’intérieur suédois serait proche de signer en faveur du Khimki Moscou qui vient déjà d’enregistrer la signature de Timofey Mozgov.\\n\\nPassé par Detroit, Boston, Utah et Golden State, l’ancien joueur de Biella n’a jamais été champion NBA, mais est passé tout proche du sacre en juin dernier alors qu’il s’est hissé jusqu’en finale avec les Warriors avant de tomber face à Toronto.\\n\\nLa saison dernière, Jonas Jerebko compilait en moyenne 6,2 points et 3,9 rebonds.\\n\\n\\nJonas Jerebko is heading to Europe after 9 NBA seasons. Jerebko is close to sign with Khimki Moscow Region, I was told.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 1, 2019\\n\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=h7bOiy-Zc4s" }, {"role": "user", "content":"Ron Baker quitte la NBA pour le CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Après trois ans passés entre la NBA et la G-League, Ron Baker (1,93m, 26 ans) quitte les Etats-Unis pour signer en Euroleague.\\n\\nSur son site, le CSKA Moscou annonce s’être attaché les services de l’ancien pensionnaire de Wichita State pour une saison. Il tentera de relancer sa carrière après un exercice difficile. La saison dernière, Ron Baker a compilé à peine 1 point et 1 rebond en seulement 15 matchs entre les Knicks et les Wizards." }, {"role": "user", "content":"Le NBAer Nik Stauskas signe à Vitoria" }, {"role": "assistant", "content":"Après cinq ans en NBA, Nik Stauskas (1,98m, 25 ans) quitte les Etats-Unis et s’engage avec Vitoria.\\n\\nSur son site, le Baskonia annonce avoir trouvé un accord avec le huitième choix de la Draft 2014 pour la saison prochaine. Passé par Sacramento, Philadelphie, Brooklyn, Portland et Cleveland, cet arrière notamment connu pour son adresse longue distance va vivre sa première expérience de l’autre côté de l’Atlantique.\\n\\nLa saison dernière, Nik Stauskas compilait en moyenne 5,8 points, 1,8 rebond et 1,1 passe décisive en 15 minutes de jeu." }, {"role": "user", "content":"Vivre Grèce-Monténégro en direct à 14h sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Canal+ annonce que le match de Coupe du monde Grèce-Monténégro sera diffusé à partir de 14h en direct et en clair sur Dailymotion. L’occasion de voir le choc au sommet entre le Grec Giannis Antetokounmpo et le Monténégrin Nikola Vucevic.\\n\\nPhoto: Giannis Antetokounmpo (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"George Eddy et la Coupe du monde : «J’ai du mal à accepter l’absence d’un Anthony Davis»" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste George Eddy tient un blog sur mycanal.fr et il y évoque les désistement à la chaîne des stars américaines pour la Coupe du monde.\\n\\n« Ce qu’on entend le plus souvent maintenant c’est : » je veux me consacrer à ma préparation avec mon club pour la saison prochaine ». C’est recevable mais je persiste à penser qu’il n’y a pas de meilleure préparation qu’une Coupe du Monde face aux meilleurs joueurs de la planète dans des matches à gros enjeu ! C’est vrai aussi que les joueurs craignent la blessure et les propriétaires et general managers des franchises mettent souvent la pression pour faire l’impasse comme l’a décrit récemment Erick McCollum, le frère de C.J. qui a osé braver le tabou autour des désistements en énonçant les raisons. Erick dit que les joueurs avec des salaires max comme son frère ont tout à perdre et peu à gagner en participant. Heureusement les joueurs de la Dream Team de 1992 ont pensé autrement ! Et les joueurs de la CDM de 2010 et 2014 qui ont permis à Team USA de dominer continuellement. »\\n\\nPlus loin, George Eddy ajoute:\\n\\nSi je peux comprendre qu’un Steph Curry soit rincé après 5 finales NBA dans 5 très longues saisons, j’ai du mal à accepter l’absence d’un Anthony Davis qui est en vacances depuis mi-avril si ce n’est mi-février ! Certes, chaque cas est diffèrent mais la bonne nouvelle c’est que dans les autres sélections les désistements sont rares et les pays comme l’Espagne, la France, la Serbie ou l’Australie sont convaincus qu’ils peuvent créer la surprise et remporter le trophée ! «\\n\\nRappel: c’est le groupe Canal+ qui détient les droits de la Coupe du monde 2019.\\n" }, {"role": "user", "content":"Tom Digbeu signe avec le Zalgiris Kaunas" }, {"role": "assistant", "content":"Fils de l’ancien international Alain Digbeu, Tom Digbeu (1,95m, 17 ans) a signé un contrat de plusieurs saisons avec le Zalgiris Kaunas indique l’insider espagnol Chema de Lucas.\\n\\nTom Digbeu a été formé au FC Barcelone et vise une place dans la prochaine draft NBA. Il a joué la saison dernière dans l’équipe réserve du Barça en LEB Oro pour 3,9 points en 16 matchs.\\n\\n\\nTom Digbeu, ex Barça, ficha por el Zalgiris Kaunas con un contrato multianual\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) August 1, 2019\\n\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ONKudEtcw1U" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (coach des Bleus): «Il ne faut pas plus d’une défaite pour aller en quart»" }, {"role": "assistant", "content":"A la veille de l’ouverture de la Coupe du monde -dimanche à 14h30-, le coach des Bleus Vincent Collet a fait un dernier point avec les médias français à Shenzhen.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA propos de la défaite des Bleus contre l’Allemagne à l’Euro 2017 :\\n\\nJe l’ai revu deux fois le match. Je m’en suis servi, inspiré. Après, on n’a pas inondé les joueurs d’information à partir de ce match-là mais beaucoup plus vis-à-vis des derniers qu’ils ont joués en préparation. Ils n’ont pas tout à fait la même équipe et nous surtout on n’a pas du tout la même. Il y a des choses à prendre mais c’était il y a deux ans en arrière et ça reste quand même un match du passé mais on va se servir de quelques petites choses.\\n\\nA propos de l’amélioration des Bleus en défense depuis deux ans :\\n\\nClairement mais leur défense aussi s’est améliorée. C’est ça qu’il faut arriver à comprendre, c’est un autre match. On a une équipe qui est effectivement plus solide mais l’équipe allemande l’est aussi davantage alors qu’ils ont ajouté moins de joueurs, sinon (Maximillan) Kléber. Mais ils sont comme nous deux ans plus âgés. C’était une équipe qui était très jeune à l’image de (Dennis) Schröder, qui était très doué mais très jeune et qui, à mon avis, est beaucoup plus fort aujourd’hui qu’il y a deux ans en particulier sur le domaine du tir extérieur.\\n\\nA propos d’une défaite contre l’Allemagne qui pourrait modifier la dynamique de confiance née des matches de préparation :\\n\\nLa dernière fois, en 2013, on a perdu l’ouverture contre l’Allemagne et on était forcément déçu et abattu mais malgré tout on avait corrigé le tir. Là ça serait plus compliqué. Notre problème, c’est le parcours. On est dans l’obligation de très vite gagner des matches pour ne pas se mettre de boulet aux pieds car on sait que pour arriver à une qualification (NDLR: en quart-de-finale), il faut être dans les deux premiers des deux groupes. Ça veut dire au maximum une défaite. On peut penser qu’une deuxième défaite serait rédhibitoire pour se qualifier en demi-finale. Et au-delà de ça, il vaut me mieux se qualifier comme premier car sinon ça serait certainement les Etats-Unis en quarts-de-finale.\\n\\nA propos de jouer de suite l’adversaire du groupe. Est-ce mieux ?\\n\\nNon. On est les seuls à faire ça avec le Canada et l’Australie mais eux ils sont obligés puisque dans leur poule il y a trois grosses équipes et il y en a forcément deux qui allaient se rencontrer. Nous, on n’a pas de chance, ce n’est pas le cas dans les autres poules. Mais de toutes façons, à deux jours près ça ne change pas grand-chose. On le sait depuis le début, aussi on se prépare en conséquence comme les Allemands. Ça reste un premier match avec tout ce que ça comporte comme excitation particulière, comme stresse. Il y a souvent des surprises et on ne peut pas savoir quel va être le scénario, il y a des choses un peu improbables qui peuvent se produire dans ce type de match.\\n\\nA propos de cette équipe de France new-look :\\n\\nOn a beaucoup de jeunes joueurs qui vont jouer pour la première fois une compétition de ce niveau. C’est quelque chose d’important. Les blessures d’Adrien (Moerman) et de Thomas (Heurtel) nous enlèvent de l’expérience qui nous aurait été précieuse dans ce type de match. Il faut faire avec, il faut que tout le monde rentre dans la compétition et on va essayer de faire le mieux possible.\\n\\nA propos de Nando De Colo et de sa forme :\\n\\nJe le trouve plutôt en bonne forme malgré la blessure qui l’a privé des deux premières semaines de préparation. Il a fait un bon retour et son rôle est de nous apporter sa connaissance, sa science du jeu, également son adresse. Les deux joueurs qui sont blessés sont quand même deux bons tireurs et on n’a plus trop aujourd’hui de menaces extérieures ou en tout cas moins et je pense que l’adresse de Nando va être précieuse. On va en avoir besoin en même temps que sa connaissance du jeu car c’est clairement des domaines où on n’est pas super performants.\\n\\nA propos de la force des Bleus, le jeu rapide :\\n\\nOn n’a pas le choix. L’identité de l’équipe est clairement établie. Si cette équipe-là ne défend pas fort et ne peut pas avoir de jeu rapide, si elle ne peut qu’attaquer sur demi-terrain, on aura des difficultés. Même quand on fera plutôt un bon match dans ce domaine-là, je ne pense pas que l’on ait à la base un potentiel très fort sur demi-terrain. On doit avoir cette alternance et pour l’avoir il faut la mériter et donc il faut défendre et prendre des rebonds.\\n\\nA propos d’une hiérarchie au poste 4 :\\n\\nPas vraiment... C’est l’un des postes inexpérimentés de l’équipe avec aussi le poste 1. C’est comme ça. On va devoir composer. On a la possibilité d’utiliser Nando sur le poste 1 et Nicolas (Batum) sur le poste 4. Ça sera l’une des alternances possibles mais en espérant qu’avant ça les joueurs qui vont jouer sur ces postes soient à leur meilleur niveau.\\n\\nA propos du cinq de départ pour le match contre l’Allemagne, est-il déjà établi :\\n\\nOui, il s’est entraîné ce soir en configuration de match. Je ne vais pas vous le donner (sourire).\\n\\nA propos d’éventuels pépins physiques ou de joueurs malades :\\n\\nNon. Le coach est un peu malade mais ce n’est pas très grave. Tout le monde a été un peu malade avec les effets conjugués de la chaleur humide et de la climatisation. Je crois que le médecin a utilisé tout son stock de médicaments depuis dix jours que l’on est en Chine. Les joueurs ont été pratiquement tous malades à tour de rôle et ça a finir par venir sur nous.\\n\\nPhoto: Rudy Gobert (FIBA)\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nA propos de la défaite des Bleus contre l’Allemagne à l’Euro 2017 :\\n\\nJe l’ai revu deux fois le match. Je m’en suis servi, inspiré. Après, on n’a pas inondé les joueurs d’information à partir de ce match-là mais beaucoup plus vis-à-vis des derniers qu’ils ont joués en préparation. Ils n’ont pas tout à fait la même équipe et nous surtout on n’a pas du tout la même. Il y a des choses à prendre mais c’était il y a deux ans en arrière et ça reste quand même un match du passé mais on va se servir de quelques petites choses.\\n\\nA propos de l’amélioration des Bleus en défense depuis deux ans :\\n\\nClairement mais leur défense aussi s’est améliorée. C’est ça qu’il faut arriver à comprendre, c’est un autre match. On a une équipe qui est effectivement plus solide mais l’équipe allemande l’est aussi davantage alors qu’ils ont ajouté moins de joueurs, sinon (Maximillan) Kléber. Mais ils sont comme nous deux ans plus âgés. C’était une équipe qui était très jeune à l’image de (Dennis) Schröder\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le calendrier de la Ligue Féminine est dévoilé" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Féminine a dévoilé son calendrier pour la saison 2019-2020. 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Actuellement en stage à Pau avec l’équipe de France, le pivot Mathias Lessort (2,06m, 23 ans) a signé un contrat avec le FC Bayern Munich indique une source à Sportando.\\n\\nPlus tard dans la matinée, le Bayern a confirmé le recrutement et le directeur sportif Daniele Baiesi a commenté:\\n\\n« Mathias est un centre très athlétique, qui apporte beaucoup d’énergie, de rebonds et une présence défensive. Nos big men se compléteront et nous offriront de nombreuses options sur le terrain. Mathias nous donne une profondeur particulière dans le pick-and-roll, comme il l’a déjà montré en EuroLeague et enEuroCup. 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Ferez vous mieux que lui?\\n\\n\\n#QUIZ COUPE DU MONDE | @toups_33 ⚡️@FrankLikina\\nLes 2 anciens Strasbourgeois se défient sur un Quiz basket consacré à l'Equipe de France et à la Coupe du Monde 🏀 🇫🇷🏆\\nAlors, qui va gagner ? 🤔#TeamFranceBasket #FIBAWC pic.twitter.com/Z2F317040P\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) July 31, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Adversaire de la France à 14h30, l’Allemagne a fait le plein de confiance" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’est pas une surprise: les Allemands, qui sont les premiers adversaires de l’équipe de France en début d’après-midi (14h30) sont habités par une grosse confiance en eux. Ils ont évidemment comme atout numéro un à la mène Dennis Schröder mais leur jeu intérieur apparaît également très consistant. 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Johannes Voigtmann (2,11m, CSKA Moscou), pour sa taille est un passeur extraordinaire; le duo formé de Maximilian Kleber (2,07m, Dallas Mavericks) et Daniel Theis (2,02m, Boston Celtics) est d’un calibre mondial, Danilo Barthel (2,07m / Bayern Munich) est un bosseur acharné sans oublier Johnnes Thiemann (2,04m, Alba Berlin).\\n\\n« J’essaie de faire des choses que tout le monde ne fait pas », dit le joueur de 25 ans en décrivant son rôle. « Jouer avec énergie, défendre, me sacrifier pour l’équipe. »\\n\\nUn avis que partage son coach Henrik Rödl:\\n\\n« JT est quelqu’un qui est toujours prêt, il a de l’expérience au plus haut niveau, il a déjà disputé le dernier Championnat d’Europe avec nous. C’est quelqu’un que vous pouvez très bien utiliser dans la lutte au rebond, et je pense que c’est crucial. »\\n\\nL’équipe de Henrik Rödl est très motivée, car elle souhaite obtenir un ticket pour les Jeux Olympiques lors de cette Coupe du Monde. Seulement les deux meilleures équipes européennes se verront distribuer le précieux sésame. Dennis Schröder indique que tous les joueurs se sont totalement consacrés à cet objectif. Ils ont bien entendu en mémoire leur victoire, 81-84, en huitièmes de finale de l’Euro 2017. Depuis, les Bleus se sont renforcés avec Nicolas Batum et Rudy Gobert et cela ne leur a pas échappé :\\n\\n« La France sera assurément l’adversaire le plus puissant du tour préliminaire, très forte en défense, très talentueuse », a déclaré Maximilian Kleber. « Contre la France, vous ne pouvez pas vous permettre des erreurs. »\\n\\nL’ailier Robin Benzing insiste sur l’enjeu:\\n\\n« Le premier match est très important. 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Les Allemands considèrent cela comme un -bon- signe.\\n\\nPhoto: Daniel Theis (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: A la conquête du Monde !" }, {"role": "assistant", "content":"Patrick Beesley, général manager du Team France, et Vincent Collet, son entraîneur, ont fait le point alors que la préparation à la Coupe du monde en Chine prend son élan.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBien sûr, c’est au coach qu’appartient la tâche de choisir les joueurs qui composent l’équipe nationale. Mais dans le processus intervient aussi deux paramètres. Il faut que le joueur ciblé se montre intéressé, disponible. Actuellement, Gregg Popovich expérimente ce qui est le plus pernicieux dans le basket international placé sous le joug de la NBA : la mauvaise volonté des stars à rejoindre Team USA en donnant comme prétexte de « se concentrer sur la prochaine saison ». Vincent Collet est beaucoup plus verni. Seuls parmi les papabili, Fabien Causeur et Joffrey Lauvergne ont décliné l’invitation, l’un pour burn out, l’autre par mal être. Sinon, il a à sa disposition les 15 postulants qu’il voulait y compris Nicolas Batum et Rudy Gobert qui avaient pris un été off il y a deux ans et tiré un trait sur l’Euro.\\n\\nL’autre épée de Damoclès suspendue au-dessus des têtes et qui sert de sélection naturelle, ce sont les blessures qui dérèglent de plus en plus la carrière des basketteurs de haut niveau. Avant l’Euro 2017, Fabien Causeur, Timothé Luwawu-Cabarrot et Moustapha Fall avaient quitté le groupe à peine arrivés à l’INSEP. Pendant les semaines de préparation, chaque message du service de presse de la fédération qui tombe dans la boîte mail des journalistes est lu avec appréhension car souvent porteur de mauvaises nouvelles. Pour l’instant, tout va bien mais croisons les doigts.\\n\\n« Hier les appareils n’étaient pas accessibles car c’était dimanche et des joueurs passent encore actuellement des examens donc on n’est pas en capacité de tirer à l’instant un bilan *», a commenté prudemment Patrick Beesley. Vincent Collet ajoutant: « les premiers éléments ne montrent rien de rédhibitoire, a priori, contrairement à il y a deux ans. Selon la mémoire du docteur c’est la première fois. »\\n\\nEn fin de cette matinée, la rencontre avec la presse et devant une assistance d’une cinquantaine de personnes s’est déroulée dans une atmosphère détendue avec des joueurs disponibles comme ils ne le seront plus de tout le mois d’août consacré à la préparation et du 31 août au -espérons le- 15 septembre à la Coupe du monde. Le passage à l’INSEP, dans le Bois de Vincennes, était une entrée en douceur consacrée aux retrouvailles, à faire connaissance avec certains joueurs moins habitués à ce rassemblement de VIP, aux tests médicaux, aux soins, à la promo et donc aux médias. Chaque joueur était assis avec devant lui une table qui portait son nom -comme en NBA- et autour de lui une grappe de journalistes plus ou moins importante en fonction de sa notoriété.\\n\\nChoisir et reconstruire\\n\\nL’équipe de France doit se reconstruire. La désillusion de l’Euro 2016 et l’élimination en huitièmes de finale face à l’Allemagne, c’est déjà loin. Trente joueurs ont mis depuis la main dans le cambouis pour assurer la qualification lors de fenêtres plus ou moins fermées où la grande absente aura été l’équité sportive. Andrew Albicy a participé aux 12 matches mais maintenant qu’il est au Zénit de Saint-Petersbourg l’abonnement va prendre fin car l’équipe russe entre en Euroleague. Paul Lacombe à 10 et il ne connaît pas sa prochaine destination. Alain Koffi à 9, Moustapha Fall, Axel Julien et Lahaou Konate à 8 mais ils ne sont pas retenus pour les agapes en Chine. Nicolas Batum à 4. Evan Fournier et Rudy Gobert à 2 seulement. Frank Ntilikina et Timothé Luwawu-Cabarrot sont toujours vierges de sélection et représentent à cet égard des énigmes.\\n\\nSans préjuger des choix de Vincent Collet, Andrew Albicy et Thomas Heurtel à la mène, Nicolas Batum, Nando De Colo, Evan Fournier à l’extérieur, Rudy Gobert, Mathias Lessort, Adrien Moerman et Vincent Poirier paraissent disposés d’une place garantie. Les autres ont un petit mois devant eux pour démontrer leur indispensabilité. Sept autres sont sur une liste de réserve pour palier des défections dues au mauvais sort.\\n\\nTout en faisant quelques choix forcément tranchants, Vincent Collet va devoir aussi harmoniser le trio Heurtel-De Colo-Fournier, installer une hiérarchie, et refaire d’une défense intransigeante le fond de commerce des Bleus. Le retour de Rudy Gobert et Nicolas Batum va largement y contribuer.\\n\\n« Il faut surtout que l’on profite de cette préparation pour construire une équipe qui soit beaucoup plus solide qu’elle ne l’était il y a deux ans »\\n\\nA propos de la préparation :\\n\\nPatrick Beesley : Pour nous, ce stage de reprise à l’INSEP est un temps fort de la préparation car avec les équipements spécialisés c’est la possibilité de faire un état des lieux de chaque joueur. C’est le basique. Il permet aussi de donner un peu de temps à tout le monde et de régler les derniers détails. Je pense par exemple à des problèmes de podologie qui sont apparus nécessitant la constitution de semelles. Il a fallu aussi régler des problèmes administratifs avec l’ambassade de Chine. Ça donne aussi du temps au coach car Vincent (Collet) a pu avoir des entretiens individuels avec les joueurs. Ça permet à tout le monde d’être opérationnel pour le départ réel sur le terrain demain matin. Cette année, on avait conçu ce rassemblement de façon un peu différente. On a proposé aux joueurs un travail un peu à la carte entre la salle de basket, la salle de musculation et les piscines. Les joueurs sont allés aux différents endroits. Aucun entraînement n’était organisé, planifié par le staff. C’est une préparation très concentrée, on n’a que 28 jours constitués de trois blocs : Pau, Lyon et Shenyang au cours desquels il y aura huit matches, cinq sur le territoire et trois en Chine avant la Coupe du monde. Nous nous transférons cet après-midi sur Pau et demain matin nous lançons la préparation réelle sur le terrain.\\n\\nVincent Collet :La première phase du programme qui va démarrer demain à Pau va être la seule où l’on va pouvoir avoir de nombreuses séances d’entraînement. On va pouvoir s’entraîner pendant une semaine deux fois par jour. On va devoir apprendre pas mal de choses ensemble. Le tournoi de Lyon va constituer la deuxième phase et l’on n’aura que quelques séances d’entraînement puisqu’on aura trois matches. Et ensuite lors de la troisième phase en Chine, à Shenyang, on aura de nouveau trois matches et on essaiera d’affiner avant de démarrer la compétition. On sait que c’est une préparation qui est quand même rapide mais toutes les équipes sont logées à la même enseigne. Il y a des règlements auxquels personne ne peut s’abstraire qui sont imposés entre autres par la NBA. C’est une façon de se préparer à laquelle on va devoir s’habituer.\\n\\nA propos de la dynamique engendrée par les qualifications :\\n\\nPB : La dynamique qu’a affiché le Team France durant ces deux années de qualification doit perdurer. C’est quelque chose avec Vincent que l’on souhaite fortement. La sélection qui va partir en Chine doit être à la hauteur de l’héritage que lui a laissé les 30 joueurs qui ont participé aux matches. Ce que l’on veut aussi faire passer aux joueurs, c’est qu’il y a des valeurs sur le terrain sans lesquelles on ne peut pas faire de grandes choses. On fera tout avec le staff pour le rappeler aux joueurs.\\n\\nVC : En ce qui concerne l’état d’esprit de l’équipe, je ressens depuis trois jours beaucoup d’enthousiasme. Mais vous le savez déjà car plusieurs joueurs se sont régulièrement exprimés sur leurs ambitions souvent très élevées. En tant que coach, mon rôle est aussi de canaliser, d’être souvent à contre-pied de l’humeur générale du groupe. Si on veut être performant dans cette Coupe du monde, bien sûr qu’il faut de l’enthousiasme mais il faut aussi de la crainte. Je pense qu’on en avait manqué il y a deux ans avant le championnat d’Europe. Il faut surtout que l’on profite de cette préparation pour construire une équipe qui soit beaucoup plus solide qu’elle ne l’était il y a deux ans. On a, je crois, dans cette équipe une base de joueurs qui est solide mais malgré tout on doit travailler pour que tout cela devienne une forte équipe. C’est l’enjeu des prochaines semaines. On a la chance d’avoir construit avec Patrick une préparation progressive et surtout très solide. Le fait de jouer de très fortes équipes va nous permettre de nous étalonner. On va quand même jouer le Brésil, l’Argentine et surtout la Serbie à Shenyang une semaine avant la compétition. On sait que les Serbes font partie des deux ou trois très grands favoris de la Coupe du monde. Ca sera à chaque fois l’occasion de mesurer le travail à accomplir. Comme à chaque fois que l’on démarre une compétition, c’est porteur d’une promesse mais il faut maintenant que le travail nous permette de transformer cette promesse en acte le plus positif possible.\\n\\n« Je pense que les Knicks ont un peu traîné les pieds pour donner la lettre d’autorisation qui est donnée habituellement une fois que les assurances sont réglées »\\n\\nA propos des objectifs :\\n\\nVC : Nos objectifs sont élevés et ils sont surtout guidés par l’objectif olympique. L’objectif de la fédération est de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Ça ne nous interdit rien, on veut aller le plus haut possible, sachant qu’il y a deux façons de se qualifier pour les Jeux Olympiques. Celle que je préfère bien entendu c’est celle qui est directe, mais c’est aussi la plus compliquée, à savoir être dans les deux meilleures nations européennes lors de cette Coupe du monde. Pour parler clairement, être dans les deux meilleures nations européennes, c’est à minima à mon sens être en demi-finale. Et ce n’est même pas garanti car il est fort possible qu’il y ait deux équipes européennes sur le podium. Si d’aventure on n’y parvenait pas, il faut bien sûr à minima obtenir le tournoi pré-olympique. C’est le moyen par lequel on s’est qualifié en 2016. Mais on sait que c’est TRES préférable de se qualifier directement pour avoir des ambitions aux Jeux Olympiques.\\n\\nA propos des problèmes d’assurance:\\n\\nPB: Il y avait un problème. Frank Ntilikina ne s’est pas entraîné parce qu’on n’avait pas le feu vert de la NBA. Ce feu vert est arrivé cette nuit et il n’y a plus aucun problème. Je pense que les Knicks ont un peu traîné les pieds pour donner la lettre d’autorisation qui est donnée habituellement une fois que les assurances sont réglées. Il y a trois semaines que les visites médicales ont été faites et pour Vincent Poirier avec Boston, en quinze jours ça a été réglé. Mais là, on a tous les papiers, feu vert pour tout le monde !\\n\\nA propos d’un éventuel code de bonne conduite, comme par exemple Didier Deschamps qui -selon un journaliste- avait demandé de ne pas contacter les agents pendant la Coupe du monde :\\n\\nPB: Ça m’étonnerait que les footballeurs n’aient pas eu l’autorisation de contacter les agents. Ça paraît très compliqué. On a un code de conduite en interne, quelques règles de fonctionnement, mais nos joueurs sont assez « bien éduqués » pour ne pas poser de problèmes particuliers.\\n\\nVC: Ils ont quasiment tous un contrat, ce qui facilite les choses par rapport à cette notion d’agent. On a eu des débuts de préparation avec davantage de joueurs qui n’avaient pas trouvé de clubs.\\n\\n« Pour l’instant et jusqu’à preuve du contraire, ils (les Américains) sont les favoris incontestés ou du moins incontestables de la compétition »\\n\\nA propos des joueurs qui se désistent dans l’équipe américaine alors que les NBAers français sont disponibles et n’ont pas besoin de préparer la saison de façon individuelle:\\n\\nVC: Les joueurs sont sensibles au fait de jouer dans notre équipe nationale et c’est rassurant. On sait que particulièrement en Europe les compétitions internationales de pays ont beaucoup de succès. Le sport mondial a été construit sur ces oppositions. C’est vrai que c’est une satisfaction que nos joueurs soient tous là cette année. On n’a pas eu de défections, j’ai pu choisir librement ceux qu’on voulait. En ce qui concerne les Américains, je met tout le monde en garde car tout le monde pense à ceux qui ne viennent pas et à chaque fois ceux qui remplacent ne sont pas mauvais. Pour l’instant et jusqu’à preuve du contraire, ils sont les favoris incontestés ou du moins incontestables de la compétition.\\n\\nA propos des favoris de la compétition, peut-on y mettre la France :\\n\\nVC: Je ne pense pas que l’on peut prétendre à ça au vue des deux dernières compétitions internationales, les Jeux Olympiques de Rio et le championnat d’Europe de 2017. On a un peu reculé vis à vis de ce que l’on avait pu faire les saisons précédentes. Par contre, à Rio, une nation a émergé, c’est l’Australie et malheureusement elle est sur notre chemin dès le deuxième tour éventuel. Je la rajouterai aux Serbes et aux Américains, si vous en voulez trois. Si vous en voulez quatre, je vous en donne un quatrième et si vous en voulez cinq, je vous en donne un cinquième (sourire).\\n\\nA propos des entretiens individuels avec les joueurs:\\n\\nJe ne peux pas partager grand chose avec vous, c’est pour ça qu’ils sont individuels (sourire). Il n’y a pas de grands secrets. Ce sont davantage des échanges. C’est une équipe jeune puisque le joueur le plus âgé c’est Nando De Colo qui n’a que 32 ans. Tous les autres ont moins de 30 ans. Mais il y a beaucoup de joueurs qui ont une vraie expérience équipe de France et qui surtout ont des expériences dans leurs clubs de très haut niveau. On a discuté de tout ça et de ce que l’on doit construire ensemble et aussi de façon individuelle pour chacun d’entre eux. Je tiens à ce que les joueurs s’approprient le projet, l’aventure. On est une communauté avec l’équipe mais aussi le staff, qui partage beaucoup de choses dans ces moments-là. Il faut une communauté de valeur et de destin. Ce que l’on va faire, on va le faire ensemble. Je sais qu’ils sont très motivés et il faut qu’ils transforment cette motivation qui est parfois individuelle dans le partage.\\n\\nA propos du moment où Vincent Collet va donner sa liste des 12:\\n\\nVC: Ça sera après le tournoi de Lyon et avant de partir à Shenyang mais on se conserve la possibilité d’emmener un 13e joueur car il y aura un tournoi avec trois matches qui sera très intense. On ne se voit pas en rapatrier un en cas de cou dur.\\n\\n*On apprendra mardi matin que Nando De Colo et Alex Toupane sont mis au repos une dizaine de jours pour chacun des lésions musculaires au mollet droit.\\n\\nPhoto: Nando De Colo et Adrien Moerman (FFBB)\\n\\n[armelse]\\n\\nBien sûr, c’est au coach qu’appartient la tâche de choisir les joueurs qui composent l’équipe nationale. Mais dans le processus intervient aussi deux paramètres. Il faut que le joueur ciblé se montre intéressé, disponible. Actuellement, Gregg Popovich expérimente ce qui est le plus pernicieux dans le basket international placé sous le joug de la NBA : la mauvaise volonté des stars à rejoindre Team USA en donnant comme prétexte de « se concentrer sur la prochaine saison ». Vincent Collet est beaucoup plus verni. Seuls parmi les papabili, Fabien Causeur et Joffrey Lauvergne ont décliné l’invitation, l’un pour burn out, l’autre par mal être. Sinon, il a à sa disposition les 15 postulants qu’il voulait y compris Nicolas Batum et Rudy Gobert qui avaient pris un été off il y a deux ans et tiré un trait sur l’Euro.\\n\\nL’autre épée de Damoclès suspendue au-dessus des têtes et qui sert de sélection naturelle, ce sont les blessures qui dérèglent de plus en plus la carrière des basketteurs de haut niveau. Avant l’Euro 2017, Fabien Causeur, Timothé Luwawu-Cabarrot et Moustapha Fall avaient quitté le groupe à peine arrivés à l’INSEP. Pendant les semaines de préparation, chaque message du service de presse de la fédération qui tombe dans la boîte mail des journalistes est lu avec appréhension car souvent porteur de mauvaises nouvelles. Pour l’instant, tout va bien mais croisons les doigts.\\n\\n« Hier les appareils n’étaient pas accessibles car c’était dimanche et des joueurs passent encore actuellement des examens donc on n’est pas en capacité de tirer à l’instant un bilan », a commenté prudemment Patrick Beesley. Vincent Collet ajoutant: « les premiers éléments ne montrent rien de rédhibitoire, a priori, contrairement à il y a deux ans. Selon la mémoire du docteur c’est la première fois. »\\n\\nEn fin de cette matinée, la rencontre avec la presse et devant une assistance d’une cinquantaine de personnes s’est déroulée dans une atmosphère détendue avec des joueurs disponibles comme ils ne le seront plus de tout le mois d’août consacré à la préparation et du 31 août au -espérons le- 15 septembre à la Coupe du monde. Le passage à l’INSEP, dans le Bois de Vincennes, était une entrée en douceur consacrée aux retrouvailles, à faire connaissance avec certains joueurs moins habitués à ce rassemblement de VIP, aux tests médicaux, aux soins, à la promo et donc aux médias. Chaque joueur était assis avec devant lui une table qui portait son nom -comme en NBA- et autour de lui une grappe de journalistes plus ou moins importante en fonction de sa notoriété.\\n\\nChoisir et reconstruire\\n\\nL’équipe de France doit se reconstruire. La désillusion de l’Euro 2016 et l’élimination en huitièmes de finale face à l’Allemagne, c’est déjà loin. Trente joueurs ont mis depuis la main dans le cambouis pour assurer la qualification lors de fenêtres plus ou moins fermées où la grande absente aura été l’équité sportive. Andrew Albicy a participé aux 12 matches mais maintenant qu’il est au Zénit de Saint-Petersbourg l’abonnement va prendre fin car l’équipe russe entre en Euroleague. Paul Lacombe à 10 et il ne connaît pas sa prochaine destination. Alain Koffi à 9, Moustapha Fall, Axel Julien et Lahaou Konate à 8 mais ils ne sont pas\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: La France se sort du piège croate, 62-53" }, {"role": "assistant", "content":"Les Français ont eu chaud en huitièmes de finale de finale de l’Euro et peuvent remercier Mathieu Gauzin (4/13 aux shoots mais 16 points et 4 interceptions) qui a été présent quand ça n’allait pas fort et Moussa Diabaté (2,08m), une nouvelle fois en double double (19 points et 13 rebonds). Ils ont aussi pourri les attaques croates avec 16 interceptions.\\n\\nEn quart, les Bleuets vont affronter demain la Turquie, qui a éliminé l’Italie, 67-55. Il leur faudra être plus précis que cet après-midi (30,6% de réussite aux tirs) !\\n\\nEn se projetant dans les couloirs de passe, les Bleuets ont interdit aux Croates de marquer pendant les 150 premières secondes. Seulement comme ils commettaient de leur côté pas mal de précipitations, leur supériorité athlétique ne s’exprima pas entièrement dans le premier quart-temps (18-13).\\n\\nD’ailleurs, les Croates trouvaient leurs marques face à la défense française et passaient en tête, 20-21 (13e). Le gâchis offensif -l’adresse était tombée sous les 30%- perdurait et les Français sortaient du terrain à la mi-temps avec deux points de retard (26-28).\\n\\nAjoutant beaucoup trop de fantaisies à leur jeu, les Bleuets continuaient de peiner face à un basket plus épuré des Croates (28-34). Il fallait que Mathieu Gauzin, au poste de meneur, prenne un surcroît de responsabilités pour qu’ils reviennent à hauteur.\\n\\nLes parents/supporters faisaient du bruit comme mille dans les tribunes pour pousser les garçons de Lamine Kebe mais les Croates avaient du répondant notamment avec le shooting guard Luksa Buljevic (12 points et 5 rebonds).\\n\\nAprès une dernière égalité à 2’15 du buzzer, le money time était français grâce à deux lancers de Mathieu Gauzin, deux autres de Timothé Cruzol plus un panier à 5 mètres plein de sang froid, des stops et toujours l’abattage de Moussa Diabate.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Timothé Crusol (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Patrick Auda à Boulazac, recrutement terminé" }, {"role": "assistant", "content":"Boulazac vient de boucler son recrutement estival avec l’addition de Patrick Auda (2,06m, 29 ans).\\n\\nSur son site, le BBD annonce la signature du pivot tchèque qui dispose d’une vraie expérience. Passé par la Pologne, il a eu l’occasion de se former en NCAA, à Seton Hall, ou encore de gouter à la Liga Endesa avec Manresa. La saison dernière, il évoluait à Pistoia, en Italie, où il compilait en moyenne 11,1 points et 4,5 rebonds.\\n\\nEn préparation pour la coupe du Monde avec la République Tchèque, il rejoindra le groupe boulazacois mi-septembre.\\n\\nThomas Andrieux s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\nJoueur intérieur, solide physiquement et capable d’évoluer sur les postes 5 et 4, Patrik possède une polyvalence lui permettant de jouer éloigné ou près du cercle. Ayant connu différents championnats, il possède une réelle expérience du niveau international. Il participera d’ailleurs à la coupe du monde début Septembre en Chine avec la République Tchèque. Nous lui souhaitons la bienvenue au BBD. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Roko Ukic signe à Antibes !" }, {"role": "assistant", "content":"Très gros coup de la part des Sharks d’Antibes qui viennent de recruter Roko Ukic (1,96m, 34 ans). Il arrive en provenance de Levallois.\\n\\nSur son site, le club azuréen annonce avoir fait signer l’ancien international croate pour deux saisons. Pointure à la mène, il faisait encore partie des meilleurs joueurs à son poste en Jeep Elite en 2018/19.\\n\\nPassé par Split, Vitoria, Barcelone, Rome, le Fenerbahce, le Panathinaikos, l’AEK Athènes ou encore le Cedevita Zagreb, il a également passé deux ans en NBA entre Toronto et Milwaukee.\\n\\nLa saison dernière, Roko Ukic compilait en moyenne 12,8 points, 2,1 rebonds et 6,8 passes décisives pour une évaluation de 13,6 en Jeep Elite. Il a participé au concours des meneurs et au match du All Star Game 2018.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le Lituanien Ovidijus Varanauskas boucle le recrutement de Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"L’effectif du Limoges CSP version 2019/20 est désormais connu dans son intégralité.\\n\\nSur son site, le club limougeaud vient d’annoncer la signature du Lituanien Ovidijus Varanauskas (1,87m, 28 ans) pour la saison prochaine. Passé par la Lituanie, la Pologne, l’Italie et la Lettonie, ça ne sera pas sa première saison en France. L’ancien joueur de Varèse a porté le maillot de Gries, en NM1, lors de la saison 2016/17 et celui de Rouen en 2017/18 pour découvrir la Pro B.\\n\\nIl vivra par contre sa première expérience en Jeep Elite et en Eurocup avec le CSP. La saison dernière, il compilait en moyenne 10 points, 2,4 rebonds et 3,5 passes décisives entre les championnats lituanien et polonais.\\n\\nCrawford Palmer s’est exprimé sur la dernière recrue du CSP.\\n\\n“La signature de Ovidijus Varanauskas clôture notre recrutement et nous donne un meneur solide, talentueux, expérimenté et de caractère pour seconder Semaj Christon à la mène. Il a une science du jeu, notamment dans le jeu de pick-and-roll, très avancée, et peut aussi être une menace à 3-points. Capable de défendre dur, de presser tout terrain, Ovidijus rentre parfaitement dans le style de jeu que nous souhaitons mettre en place cette saison. Son statut de non-JFL/Bosman va nécessiter de faire des choix en Jeep Elite, mais il était essentiel de recruter le bon joueur à ce poste clé, et nous pensons l’avoir trouvé ».\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BC Prienai" }, {"role": "user", "content":"Féminines : les calendriers de LF2, NF1, NF2, NF3" }, {"role": "assistant", "content":"Après le calendrier de Nationale Masculine 3, la FFBB a dévoilé ceux des divisions féminines, à part la LFB.\\n\\nLes différents calendriers sont à retrouver ci-dessous :\\n\\n * LF2\\n * NF1\\n * NF2\\n * NF3" }, {"role": "user", "content":"Le calendrier de Nationale Masculine 3 dévoilé" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la reprise approche à grands pas pour la plupart des équipes, la FFBB vient de dévoiler plusieurs calendriers dont celui de NM3. La saison reprendra le samedi 14 septembre à 20 heures pour les douze poules. Les calendriers de NM1 et NM2 devraient être disponibles d’ici là mi-août.\\n\\nLe calendrier complet est à retrouver ici.\\n\\nVoici la composition des douze poules de NM3 :\\n\\n * Poule A\\n * MONTELIMAR UMS – 1\\n * IE – ROCHE BASKET AL – 1\\n * MENTON BASKET CLUB –\\n * STADE LAURENTIN BASKET –\\n * US CAGNES SUR MER – 1\\n * OLYMPIQUE ANTIBES JUAN LES PINS\\n * IE – OULLINS STE FOY BASKET BALL – 2\\n * AS MONACO BASKET –\\n * SAINT VALLIER BASKET DROME – 2\\n * ST CHAMOND BASKET VALLEE DU GIER – 2\\n * TAIN TOURNON AG – 1\\n * BASKET CRO LYON – 1\\n\\n * Poule B\\n * FOS PROVENCE BASKET –\\n * IE – CTC GRENOBLE ALPES METROPOLE BASKET – GRENOBLE BASKET 38 – 1 CRAN PRINGY BASKET – 1\\n * AIX MAURIENNE SAVOIE BASKET\\n * AIL DE ROUSSET – 1\\n * AL SAINT PRIEST – 1\\n * COGNIN LA MOTTE SB – 1\\n * O CABRIES CALAS – 1\\n * SANARY BASKET CLUB – 1\\n * AUBAGNE GARLABAN BASKET – 1\\n * BANDOL BASKET CLUB –\\n * VAULX EN VELIN BASKET CLUB –\\n\\n * Poule C\\n * COTEAUX DU LUY BASKET – 1\\n * REAL CHALOSSAIS –\\n * FRONTIGNAN LA PEYRADE BASKET – 1\\n * MONTAUBAN BASKET CLUB – 1\\n * JEANNE D’ARC D’OLORON – 1\\n * TOULOUGES BA – 1\\n * CAHORSAUZET BASKET –\\n * IE – MONTPELLIER BASKET MOSSON – 1\\n * MALAUSSANNE MAZEROLLES BASKET SOUBESTRE – 1\\n * TURSAN BASKET CHALOSSE –\\n * TOULOUSE OL. AEROSPATIALE CLUB – 1\\n * HAGETMAU DOAZIT CHALOSSE – 1\\n\\n * Poule D\\n * VAL D’ALBRET BASKET – 1\\n * STADE MONTOIS BASKET MASCULIN –\\n * SAINT GEORGES MONTAIGU VENDEE BASKET – 1 CASTELNAU MEDOC BC – 1\\n * VENDEE CHALLANS BASKET – 2\\n * VALENCE CONDOM GERS BASKET – 1\\n * SAINT MEDARD BASKET – 1\\n * LA ROCHELLE RUPELLA 17 – 2\\n * AVENIR GRANDFONDS SPORTIF – 1\\n * ELAN TURSAN BASKET – 1\\n * JIL COLAYRAC BASKET – 1\\n * ROCHE VENDEE BC – 1\\n\\n * Poule E\\n * HERMINE DE NANTES ATLANTIQUE – 2\\n * MONTFORT BC – 1\\n * SAINT HERBLAIN BASKET CLUB – 1\\n * CAEN NORD BASKET –\\n * UJAP QUIMPER – 2\\n * CERCLE SPORTIF BAYEUX – 1\\n * CAEN BASKET CALVADOS –\\n * ASPTT CAEN – 1\\n * BREST BASKET 29 – 1\\n * ATLANTIQUE BC NAZAIRIEN – 1\\n * BC HENNEBONTAIS – 1\\n * RENNES POLE ASSOCIATION –\\n\\n * Poule F\\n * SAINT LAURENT DE LA PLAINE – 1\\n * ADA BLOIS BASKET 41 –\\n * UNION TOURS BASKET METROPOLE – 2\\n * CHAMBRETAUD SSSP VENDEE – 1\\n * SIMILIENNE NANTES –\\n * VINEUIL SPORTS BASKET –\\n * CMPJM INGRE BASKET –\\n * BRESSUIRE LE REVEIL –\\n * AS SAINT ROGATIEN NANTES – 1\\n * ETOILE ANGERS BASKET – 2\\n * ALERTE SP. DE FONDETTES –\\n * EVEIL SPORTIF D’ORMES BASKET BALL –\\n\\n * Poule G\\n * GCO BIHOREL – 1\\n * MONTVILLE HOUPPEVILLE BASKET BALL –\\n * E.LE CHESNAY VERSAILLES 78 B – 1\\n * BARJOUVILLE SCL – 1\\n * UNION SPORTIVE FECAMPOISE – 1\\n * ESC TRAPPES SQ YVELINES –\\n * SPO ROUEN BASKETBALL –\\n * AMICALE LAIQUE MONTIVILLIERS B. – 1\\n * RUEIL ATHLETIC CLUB – 2\\n * SAINT THOMAS BASKET LE HAVRE – ESPOIR IE –\\n * LE MANS SAINT PAVIN – 1\\n * US MARLY LE ROI –\\n\\n * Poule H\\n * OLYMPIQUE GRANDE SYNTHE BASKET – SO MARITIME BOULOGNE –\\n * BC ST MARTIN LES BOULOGNE – 1\\n * CSMF PARIS –\\n * IE – AS MEUDON – 1\\n * LEVALLOIS METROPOLITANS\\n * Paris BasketBall Association –\\n * ESPOIR US O BEZONS – 1\\n * VAL DE SEINE BASKET – 1\\n * GRAVELINES GRAND FORT BCM – 1\\n * BASKET CLUB ARDRES –\\n * COEUR DE FLANDRE BASKET BALL – 1\\n\\n * Poule I\\n * PALS ATHLETIC CLUB GUISE – 1\\n * RONCQ U S – 1\\n * BEUVRAGES USM – 1\\n * METZ BC – 1\\n * Exempt\\n * ASCC MARGNY – 1\\n * US SILVANGE BASKET – 1\\n * BASKET CLUB LONGWY REHON – 1\\n * USO BRUAY LABUISSIERE –\\n * BB CHAUNY AUTREVILLE – 1\\n * ABC DOURGES – 1\\n * WASQUEHAL FLASH B – 1\\n\\n * Poule J\\n * SAINT CHARLES CHARENTON SAINT MAURICE – 1\\n * NEUILLY SUR MARNE BASKET BALL – 1\\n * COULOMMIERS BRIE BASKET – 1\\n * SLUC NANCY BASKET ASSOCIATION –\\n * BC SAINT ANDRE LES VERGERS – 1\\n * IE – CTC OZOIR VAL D’EUROPE – 1\\n * EFFORT BASKET MIRECOURT – 1\\n * MARNE-LA-VALLEE BASKET VAL MAUBUEE – 1\\n * REIMS CHAMPAGNE BASKET –\\n * VIE AU GRAND AIR SAINT MAUR –\\n * LE MEE SPORTS MELUN VAL DE SEINE – 1\\n * UNION SPORTIVE ALFORTVILLE BASKET – 1\\n\\n * Poule K\\n * FURDENHEIM A.C.S.L. – 1\\n * POLIGNY JURA BASKET COMTE – 1\\n * ASL DESSENHEIM – 1\\n * EVEIL SPORTIF MONTMOROT –\\n * SELESTAT BC – 1\\n * S.I. GRAFFENSTADEN – 1\\n * MULHOUSE PFASTATT BASKET ASSOCIATION – 2\\n * GRIES/OBERHOFFEN BC – 2\\n * SCHAEFFERSHEIM A.S.L.C. – 1\\n * WEITBRUCH A.S.C.G – 1\\n * CSSL RIXHEIM – 1\\n * JURA SALINS BASKET CLUB –\\n\\n * Poule L\\n * AL NUITS SAINT GEORGES – 1\\n * UNION SPORTIVE TULLE CORREZE – 1\\n * LIMOGES CSP –\\n * CLERMONT BASKET BALL – 1\\n * AS TARARE –\\n * LAGRESLE ETOILE – 1\\n * STADE CLERMONTOIS BASKET AUVERGNE – 1\\n * JA VICHY CLERMONT METROPOLE\\n * AL CALUIRE ET CUIRE – 1\\n * ASC SAINT APOLLINAIRE – 1\\n * IE – AS PANAZOL –\\n * ALFA SAINT JACQUES – 1\\n\\nPhoto : FFBB" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Timofey Mozgov fait son retour au Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Comme pressenti, Timofey Mozgov (2,16m, 32 ans) fait son retour en Europe au Khimki Moscou.\\n\\nSur Twitter, le club moscovite a annoncé le retour de l’international russe qui va vivre sa troisième expérience avec le Khimki après ses années entre 2006 et 2010, et son passage pendant le lock-out NBA en 2011.\\n\\nBlessé au genou, l’ancien pivot des Cavaliers n’a pas disputé le moindre match la saison écoulée. Il a même été coupé par les Orlando Magic à peine arrivé dans le cadre d’un trade le 6 juillet 2018. En 2017/18, il valait 4,3 points et 3,1 rebonds en 11 minutes avec les Brooklyn Nets.\\n\\n\\n⚡️ Тимофей Мозгов возвращается домой! / Timofey Mozgov is back in town! The first ever Russian @NBA champion is coming home to Khimki for the next season! #ХимкиМежсезонье19 pic.twitter.com/kEhgOmGDwn\\n\\n— BC Khimki (@Khimkibasket) July 31, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: Milan dépensera 17M€ avant impôts de masse salariale" }, {"role": "assistant", "content":"La masse salariale d’Armani Milan, club d’Euroleague, sera selon le quotidien sportif italien La Gazzetta dello Sport de 17 millions d’euros pour cette saison 2019-20 et de 9 à 10 millions après impôts.\\n\\nMilan s’est enrichi de Aaron White (Zalgiris), Riccardo Moraschini (Enel Brindisi), Paul Biligha (Reyer Venezia), Michael Roll (Maccabi Tel-Aviv), Shelvin Mack (Charlotte Hornets), Sergio Rodriguez (CSKA Moscou) et a également embauché Ettore Messina comme coach.\\n\\nL’équipe italienne a dépensé deux millions supplémentaires pour rompre les contrats avec Mike James et James Nunnally.\\n\\nToujours selon La Gazzetta dello Sport, Virtus Bologne, engagé en Eurocup, disposera d’un budget de 15M€ avec 9M€ de masse salariale.\\n\\nPhoto: Ettore Messina" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Avec Quincy Acy, le Maccabi Tel-Aviv signe un autre ancien NBAer" }, {"role": "assistant", "content":"Le Maccabi FOX Tel Aviv annonce la signature de Quincy Acy (2,01m, 28 ans), un ailier explosif, agile, combattif et bon défenseur, qui possède un bon background en NBA.\\n\\nL’expérience de Quincy Acy dans la ligue américaine est de 337 matches pour 4,9 points et 3,5 rebonds dans 6 franchises différentes.\\n\\n« C’est un gars qui s’entraîne dur, ne se plaint pas, est dynamique et a de longues mains. C’est un joueur qui met de l’énergie dans l’équipe, un bon rebondeur offensif pour son poste et qui a considérablement amélioré son tir récemment », se félicite le club israélien dans un communiqué." }, {"role": "user", "content":"Les villes de la première édition de la Ligue africaine ont été dévoilées" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue africaine de basketball (BAL) a annoncé hier soir que Le Caire (Egypte), Dakar (Sénégal), Lagos (Nigéria), Luanda (Angola), Rabat (Maroc) et Monastir ou Tunis (Tunisie) seront les villes hôtes de sa première saison alors que le Final Four se tiendra à Kigali (Rwanda). La NBA est partenaire de la FIBA dans l’organisation de la compétition.\\n\\nA compter de mars 2020, les six villes organiseront une saison régulière réunissant 12 équipes réparties en deux conférences, chacune se déroulant dans trois villes. Chaque équipe disputera ainsi 30 matches. Les trois meilleures équipes de chaque conférence, les « Super 6 », seront qualifiées pour les playoffs et disputeront des matches aller-retour pour accéder au Final Four qui se tiendra à Kigali en juin.\\n\\nLa NBA et la FIBA prévoient également de consacrer un soutien financier et des ressources au développement continu de l’écosystème du basket-ball africain, notamment en formant des joueurs, des entraîneurs et des arbitres, et en investissant dans les infrastructures." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Abdou Ndiaye n’est plus l’entraîneur du Sénégal" }, {"role": "assistant", "content":"Bien connu en France pour y avoir longtemps joué puis entraîné chez les garçons et chez les filles, Abdou « Adidas » Ndiaye avait emmené le Sénégal à la qualification à la Coupe du monde mais n’avait pas été reconduit depuis ce qui laissait les Lions sans chef. De plus, comme trop souvent, les joueurs n’ont pas encore reçu leurs primes de qualification.\\n\\nMouhamed Faye s’est exprimé récemment sur le sujet sur wiwsport:\\n\\n« Les grandes équipes qu’on dit les favorites du Mondial sont en préparation depuis des semaines. Le Sénégal n’en est pas encore là. En tant que joueur, on ne peut qu’être frustré. On se dit que tout ce qui a été fait est réduit à rien. Et, on ne parle pas des affaires de primes. Je ne vais pas m’éterniser sur cela. Parce qu’on ne vient pas jouer pour l’argent. J’ai fais une quinzaine d’années en l’équipe nationale, donc je connais les réalités. Je viens pour représenter ma nation et je donne tout. Cependant, cette situation est frustrante. Car, en ce moment, on devrait être en regroupement pour les entraînements et pouvoir jouer des matchs test. On ne part pas au mondial pour seulement faire de la figuration. Pour cela, on aurait aimé bien se préparer et y aller dans le dessein de progresser par rapport à l’élite. Actuellement, il n’y a a pas de sélectionneur; On ne comprends pas. C’est quoi le problème? On s’est toujours comporté en lion à chaque compétition. On se donne à 200% et on revient au pays la tête haute. De ce fait, si on voit que les choses ne se déroulent pas comme il se doit, on est perdu. »\\n\\nFinalement, Abdou Ndiaye n’a pas été rappelé et on a appris aujourd’hui, à un mois de l’ouverture de la Coupe du monde, que la fédération sénégalaise a nommé un nouveau coach, Moustapha Gaye.\\n\\nEn Chine, le Sénégal est dans le « groupe de la mort » avec L’Australie, le Canada et la Lituanie et susceptible de croiser la France au tour suivant.\\n\\nPhoto: Abdou Ndiaye (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Nikola Mirotic aurait eu une offre de 45M$ des Chicago Bulls" }, {"role": "assistant", "content":"Selon son coach au FC Barcelone, Svetislav Pesic, qui s’est exprimé sur Mozzart Sport, l’international espagnol Nikola Mirotic aurait eu une offre de 45M$ brut de la part des Chicago Bulls. Une autre franchise NBA lui aurait fait une proposition équivalente et selon Marca, il s’agit des Utah Jazz.\\n\\nToujours selon Svetislav Pesic, le choix du Barça serait celui du coeur, Nikola Mirotic et sa famille préférant revenir en Europe et ils sont devenus propriétaires d’une maison à Barcelone." }, {"role": "user", "content":"Marion Ortis, 8e arbitre français à officier lors d’une finale européenne de jeune" }, {"role": "assistant", "content":"Selon l’historien du basket Vincent Janssen, en officiant lors de la finale de l’Euro U18 féminin cet été, Marion Ortis est le huitième arbitre français, des deux sexes, à avoir été désigné pour une compétition de jeune au niveau européen ou mondial.\\n\\nLes autres sont, dans l’ordre chronologique, Pascal Dorizon, Chantal Julien, Nicolas Maestre, Carole Delauné, Eddie Viator, Joseph Bissang et Mathieu Hosselet.\\n\\nVous pouvez relire ICI l’interview que nous a accordé cette année Marion Ortis." }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Oui, Rudy Gobert possède un shoot à trois-points" }, {"role": "assistant", "content":"Oui, Rudy Gobert a la possibilité de marquer à trois-points. C’est son équipier Nicolas Batum qui en apporte la preuve sur twitter. La scène a eu lieu hier au palais des sports de Pau où les Bleus sont actuellement en stage.\\n\\nEn 406 matches de NBA, Rudy Gobert n’a jamais pris un seul shoot à trois-points.\\n\\n\\n👀 @rudygobert27 pic.twitter.com/eFbB1sPr82\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) July 30, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Rétro Coupe du monde – 1950, 54 et 59 : Des équipes corpos et de militaires" }, {"role": "assistant", "content":"Lors des deux premières éditions du championnat du monde, les États-Unis déléguèrent des équipes corpos, de Chevrolet et de Caterpillar. Et pour la troisième, ils recrutèrent exclusivement des soldats de l’armée de l’air\u2009!\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n«\u2009M. Jones, nous venons vous prévenir que nous n’avons pas l’intention de jouer notre match contre le Brésil demain soir.\u2009»\\n\\nRenato William Jones, tout puissant secrétaire général de Fédération internationale, manque de s’étrangler et de laisser tomber son éternel cigare. Ces Américains n’ont pas l’air de plaisanter. S’ils déclarent forfaits, ça ferait une sacrée bouffonnerie. Ça ficherait par terre la réputation de ce Championnat du monde qui n’en est qu’à sa deuxième édition, et qu’il a voulu, lui, William Jones.\\n\\n«\u2009Mais ce n’est pas possible\u2009! Vous n’avez pas le droit de faire ça\u2009! D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi vous abandonneriez sans lutter un titre que vous avez à la portée de la main.\u2009»\\n\\n«\u2009Pour nous, le basket-ball est avant tout un jeu et un moyen de communiquer avec des gens différents de nous. Mais peut-on encore parler de jeu, et de communication, devant les manifestations d’hostilités qui nous sont quotidiennement adressées ?\u2009»\\n\\nAu Maracanazinho\\n\\nC’est lors du congrès de la FIBA à Londres, en 1948, que William Jones, qui avait exercé de hautes fonctions à l’UNESCO, avait concrétisé son projet d’un Mondial de basket. La première édition avait été confiée deux ans plus tard à l’Argentine et donc pour la deuxième, en cette année 1954, au Brésil.\\n\\nEn ces temps de guerre froide, la FIBA se heurtait à de délicats problèmes politiques, mais aussi au fait que le basket-ball américain vivait en autarcie. Son lien fragile avec le pays dominant de ce jeu était l’Athletic Amateur Union, qui sur place ne contrôlait quasiment rien. Et si un accord existait avec le comité olympique américain pour envoyer aux jeux des équipes de qualité, le Championnat du monde était le cadet des soucis des Yankees.\\n\\nA Rio, Team USA était représenté par les Peoria Caterpillar, qui avaient remporté les trois dernières années le titre du Championnat AAU. Les joueurs, tous blancs, avaient été classiquement formés dans diverses universités, mais étaient ensuite devenus des ingénieurs, des cadres et des ouvriers de l’usine Caterpillar, installée à Peoria, dans l’Illinois. En d’autres termes, c’était une équipe corpo qui défendait l’honneur du basket US, à défaut des joueurs de NBA, interdits d’équipe nationale pour pratique du professionnalisme, et de tout le vivier universitaire préoccupé en ce mois d’octobre par le championnat NCAA.\\n\\nD’après l’entraîneur français Robert Busnel, les éléments de base étaient Dick Retherfords, un passeur qui disposait d’un tir en suspension d’une «\u2009précision absolue\u2009», Joe Stratton, qui shootait «\u2009avec le poignet seulement\u2009», et Kirby Minter, qui «\u2009a l’air lourd et malhabile\u2009» et qui se révéla en fait «\u2009rapide, aérien, inspiré dans les débordements\u2009» et dont «\u2009le tir roulé ne pardonne pas\u2009». Avec 11,1 points, Minter sera le meilleur réalisateur d’une équipe qui comptait 10 joueurs à 1,98m et davantage, ce qui à l’époque en imposait.\\n\\nLa somme allouée par le gouvernement brésilien précédent fut divisée par deux et une épée de Damoclès fut longtemps suspendue au-dessus de l’épreuve. Un «\u2009Marcanazinho\u2009» (le petit Maracana) fut imaginé mais ne fut disponible qu’à la toute dernière minute. Avec sa gigantesque voûte circulaire, il était majestueux et pouvait contenir officiellement 35\u2009000 spectateurs. Et davantage encore en se serrant. Vingt milliers assistèrent en moyenne aux matches dans une ambiance carnavalesque. Les Brésiliens n’hésitaient pas à brocarder les adversaires, d’où la trouille des Américains.\\n\\nWilliam Jones dut se montrer très convaincant car les boys bien élevés de chez Caterpillar acceptèrent finalement de jouer la finale. Au moment de la présentation des équipes, la foule, énervée, ne se doutait pas que les Américains avaient menacé de prendre le matin même le premier avion pour New York. «\u2009Quand les joueurs brésiliens firent à leur tour leur entrée sur le terrain, ce fut du délire. Les drapeaux verts et jaunes s’agitèrent follement. Les pétards explosèrent\u2009», écrivit Marcel Hansenne dans son ouvrage Le Basket. Il n’y eut rapidement l’issue de cette finale que les Américains remportèrent 62 à 41, comme leurs huit autres matches. «\u2009Avec cette équipe de Caterpillar, comme il en existe plusieurs aux USA, les Américains ont rappelé gentiment et sans prétention qu’ils restaient pour longtemps les meilleurs basketteurs du monde\u2009», jugea Robert Busnel. «\u2009Avec leur leçon de basket, ils donnent une leçon de sportivité. Pas un mot, pas un geste, pas un mouvement d’humeur. Ils ont la conscience de leurs forces et n’en abusent pas.\u2009»\\n\\nUne préparation expéditive\\n\\nQuatre ans auparavant, les États-Unis avaient déjà délégué au Championnat du monde en Argentine, une équipe corpo, les Chevrolet-Devon. Pour donner une idée de son niveau, sachez que seul Robert Williams eut ensuite un strapontin en NBA. Le joueur le plus étonnant était John Stanich, un guard formé à UCLA, qui était amputé de plusieurs doigts. «\u2009Sa difformité, dont il a su compenser le handicap par un style approprié, ne l’empêcha pas de manifester une adresse étonnante\u2009», observa Robert Busnel.\\n\\nLe Luna Park de Buenos Aires était entouré d’une haute grille surmontée de fils de fer pour canaliser les ardeurs de des 25\u2009000 spectateurs et on raconta que les Américains avaient une boule au ventre quand ils affrontèrent l’Argentine. Ils ne furent pas réellement en mesure de rivaliser avec la bande à Oscar «\u2009Milito\u2009» Furlong, le MVP du tournoi, d’autant qu’ils virent une grêle de fautes (38) leur tomber dessus, au point qu’ils terminèrent le match à quatre. Victoire argentine, 64-50. «\u2009Les spectateurs ivres de joie et d’orgueil faillirent étouffer leurs idoles avec leurs embrassements\u2009», relata Busnel.\\n\\nC’est en janvier 1959 que se tint le 3e Championnat du monde, toujours en Amérique du Sud, au Chili cette fois. Personne n’était dispo du côté des Américains, aussi l’AAU se résolut à faire appel à l’US Air Force qui chercha des volontaires à travers une petite annonce passée dans un journal de l’armée\u2009! 24 joueurs furent ainsi regroupés en décembre à la base Andrews pour un camp de sélection. Des anciens étudiants de UCLA, USC, California, North Carolina ou encore Colorado incluaient cette team USA, mais pas un ne mesurait plus de 1,95m. La préparation fut expéditive. A peine le temps de reconnaître le prénom de ses équipiers.\\n\\nIl y eut jusqu’à 23\u2009143 billets vendus pour le choc USA-URSS sur le terrain à découvert du Stade de Santiago qui, en 1962, servit de cadre à la Coupe du monde de football. Les Américains furent étrillés (37-62) par les Soviétiques qui, ensuite, refusèrent d’affronter Formose. Si bien qu’avec cette équipe de va-nu-pieds, les États-Unis récoltèrent indûment la médaille d’argent.\\n\\nSentant qu’ils ne pouvaient plus asseoir leur supériorité avec les premiers guys venus, les USA alignèrent un an plus tard aux jeux de Rome quelques-uns de leurs plus brillants universitaires : Jerry West, Walt Bellamy et Jerry Lucas. Et ceux-là, forcément, firent respecter la loi du plus fort.\\n\\nArticle paru dans BasketNews en juillet 2010\\n\\n[armelse]\\n\\n«\u2009M. Jones, nous venons vous prévenir que nous n’avons pas l’intention de jouer notre match contre le Brésil demain soir.\u2009»\\n\\nRenato William Jones, tout puissant secrétaire général de Fédération internationale, manque de s’étrangler et de laisser tomber son éternel cigare. Ces Américains n’ont pas l’air de plaisanter. S’ils déclarent forfaits, ça ferait une sacrée bouffonnerie. Ça ficherait par terre la réputation de ce Championnat du monde qui n’en est qu’à sa deuxième édition, et qu’il a voulu, lui, William Jones.\\n\\n«\u2009Mais ce n’est pas possible\u2009! Vous n’avez pas le droit de faire ça\u2009! D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi vous abandonneriez sans lutter un titre que vous avez à la portée de la main.\u2009»\\n\\n«\u2009Pour nous, le basket-ball est avant tout un jeu et un moyen de communiquer avec des gens différents de nous. Mais peut-on encore parler de jeu, et de communication, devant les manifestations d’hostilités qui nous sont quotidiennement adressées ?\u2009»\\n\\nAu Maracanazinho\\n\\nC’est lors du congrès de la FIBA à Londres, en 1948, que William Jones, qui avait exercé de hautes fonctions à l’UNESCO, avait concrétisé son projet d’un Mondial de basket. La première édition avait été confiée deux ans plus tard à l’Argentine\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: équipe des Etats-Unis de 1959." }, {"role": "user", "content":"Jeremy Lin refuse l’offre du CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, Jeremy Lin (1,91m, 31 ans) a rejeté la proposition du CSKA Moscou car il ne veut pas venir en Europe pour l’instant et espère obtenir un nouveau contrat en NBA. La Chine est aussi une option pour lui.\\n\\nJeremy Lin a disputé 491 matches en NBA à 11,6 points et est free agent. Lors de son passage aux Toronto Raptors, ses stats sont tombées à 7,0 points, 2,6 rebonds et 2,2 passes en 23 matches.\\n\\n\\nThe deal between Jeremy Lin & CSKA Moscow falls apart, I am told.\\nThe free agent guard turned down CSKA Moscow's proposal because he is not interested, at least for now, to sign in Europe.\\nLin awaits for NBA offer to come but if nothing happens, I wouldn't rule out China for him\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 30, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : l’Elan Béarnais tient son meneur américain" }, {"role": "assistant", "content":"Après le départ de Mickey McConnell, l’EBPLO était à la recherche d’un nouveau meneur de jeu américain. Le staff a choisi Ronal Moore (1,83m, 31 ans).\\n\\nSur son site, l’Elan Béarnais annonce que l’ancien pensionnaire de l’université de Siena sera le chef d’orchestre de l’équipe pour la saison prochaine.\\n\\nPassé par la Slovaquie, la Pologne, la Hongrie et l’Ukraine, il évolue en Italie depuis 2014. D’abord à Caserta, puis à Pistoia et enfin à Varese la saison dernière. Ronald Moore compilait en moyenne 9,1 points, 2,9 rebonds et 4,4 passes décisives entre le championnat et la FIBA Europe Cup en 2018/19.\\n\\nLaurent Vila s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« On cherchait après le départ de Mickey McConnell un meneur de jeu capable de faire jouer l’équipe pour que chacun soit mis dans les meilleures conditions possibles pour s’exprimer et soit heureux. Cela va dépendre du jeu qu’on va pratiquer mais aussi du meneur et on a pu le voir la saison dernière avec un organisateur et passeur comme Mickey ou autrefois avec DJ (Cooper). Ce qui m’a plu chez Ronald, c’est sa vitesse d’exécution. Il a un vrai premier pas, une bonne percution derrière pick’n’roll. Dans la raquette il est capable de faire les bons choix pour finir en marquant ou en passant la balle aussi bien sous le cercle qu’au large pour des tirs à 3 points. S’il doit prendre ses responsabilités en matière de scoring il le fera. Il a beaucoup de clairvoyance, relance bien le jeu et très impliqué défensivement aussi. Il dispose d’une excellente personnalité. Il fut capitaine au sein de son université mais aussi à Pistoia. C’est gage d’un joueur d’expérience qui dispose d’une grande maturité et tourné vers les autres. Cela m’intéressait de disposer d’un tel relais sur le terrain. On a déjà eu l’occasion d’en parler ensemble et c’est quelque chose qu’il apprécie également. »\\n\\nLe technicien palois est toujours à la recherche d’un poste 1/2 pour compléter son effectif.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Ra’Shad James débarque à Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Le recrutement du BBD se poursuit avec l’arrière américain Ra’Shad James (1,85, 29 ans).\\n\\nSur son site, Boulazac officialise la signature de l’ancien pensionnaire de l’université de Northwood. Passé par la G-League, la Corée du Sud, la Pologne, la Croatie, la Turquie et l’Allemagne, ce joueur athlétique aura en charge le scoring du BBD pour sa première saison en France. Il arrive en provenance du Ratiopharm Ulm, mais c’est à Bonn qu’il a passé le plus clair de l’exercice 2018/19. La saison dernière, Ra’Shad James compilait en moyenne 12,9 points, 2,6 rebonds et 2,3 passes décisives entre le championnat et la BCL.\\n\\nThomas Andrieux s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Poste 2 explosif et très athlétique, Ra’Shad est décrit comme un joueur talentueux capable d’apporter au scoring. Que ce soit dans le tir extérieur, et notamment à 3 points, que dans sa faculté à attaquer le cercle, son esprit de compétition est très élevé, se définissant lui-même comme un winner. C’est un joueur majeur qui s’engage au BBD, dont nous attendons énormément.«\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"L’ancien pivot de l’ASVEL Cliff Alexander signe au Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans annonce sa sixième et ultime recrue en la personne du puissant pivot américain Cliff Alexander (2,03 m, 23 ans), en provenance du club allemand de Bamberg.\\n\\nIl s’agit, rappelle le club manceau, pour certains jurys de spécialistes, du numéro 1 de sa génération à la sortie des lycées américains en 2014 mais qui fut blessé et non drafté en 2015 et qui en définitive n’a joué que 8 matches en NBA, à 20 ans, et s’est contenté de G-League.\\n\\nOn le connaît davantage en France pour avoir porté le maillot de l’ASVEL en 2018 (7 matches, 8 points, 4 rebonds). Il était donc la saison dernière à Bamberg, qui est allé au Final Four de la BCL.\\n\\nLe MSB compte ainsi 10 joueur pro sous contrat avec Jacques Alingué, J.P. Batista, Valentin Bigote, Antoine Eïto, Obi Emegano, Matthieu Gauzin, D.J. Stephens, Terry Tarpey, Brandon Taylor et Cliff Alexander. Les stagiaires Brahim Dohou, Jacques Eyoum et Junior Tshunza seront appelés à intégrer le groupe dès la reprise fixée lundi prochain 5 août.\\n\\n« Enregistrer la venue de Cliff est une très bonne nouvelle. A Bamberg, dans une forte et ambitieuse équipe, la concurrence dans la raquette était relevée. En dépit de celle-ci, et donc d’un minutage assez réduit, Cliff a produit des statistiques de haute facture. Au MSB, il vient pour bénéficier d’une exposition supérieure et obtenir plus de responsabilités. Spectaculaire, il nous apporte une dimension physique et athlétique qui complète parfaitement J.P., pivot plus au sol, » commente le coach Dounia Issa.\\n\\nClubs : Kansas (NCAA) en 2015. Portland Trail Blazers (NBA) et Santa Cruz Warriors (G-League) en 2016. Erie Bay Hawks (G-League) et Long Island Nets (G-League) en 2017. Wisconsin Herd (G-League) et ASVEL (Jeep ÉLITE) en 2018. Bamberg (Allemagne) en 2019\\n\\nPalmarès en club : Vainqueur de la coupe d’Allemagne en 2019. Demi-finaliste de la BCL en 2019. Champion de la conférence Big 12 en 2015\\n\\nPalmarès individuel : Naismith Prep Player of the Year en 2014. Mr. Basketball USA en 2014. Jordan Brand Classic co-MVP en 2014. McDonald’s All American en 2014.\\n\\nStatistiques Allemagne 2019: 9,6 points à 62.3% aux tirs et 76.3% aux lancers-francs, 5,7 rebonds, 0,8 contre et 13,2 d’évaluation en 17 min/m (31 matches)\\n\\nStatistiques BCL 2019: 7,0 points à 54.7% aux tirs et 67.6% aux lancers-francs, 5,8 rebonds, 0,7 contre et 9,7 d’évaluation en 17 min/m (20 matches)\\n" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : Nando De Colo et Axel Toupane au repos pour le début de la préparation" }, {"role": "assistant", "content":"L’Equipe de France s’est retrouvée à l’INSEP ce week-end et tous les joueurs ont passé des examens médicaux avant d’attaquer la préparation pour la Coupe du Monde qui débute le 31 août.\\n\\nArrivée à Pau ce matin, l’EDF est en stage jusqu’au 4 août et disputera son premier match de préparation le 5, face à la Turquie. Aujourd’hui, la FFBB a annoncé avoir mis au repos Nando De Colo (1,96m, 32 ans) et Axel Toupane (2,03m, 27 ans).\\n\\nLes deux joueurs souffrent de lésions musculaires au mollet droit et, par mesure de précaution, doivent être ménagés une dizaine de jours en fonction de l’évolution de la blessure, indique la fédération.\\n\\nPhoto : Bacot/FFBB" }, {"role": "user", "content":"Italie : Akil Mitchell (ex Boulazac) signe à Trieste" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Boulazac, Akil Mitchell (2,03m, 27 ans) va poursuivre sa carrière en Italie.\\n\\nSur son site, le Pallacanestro Trieste 2004 annonce la signature via un contrat 1+1 (une année plus une autre en option) de l’intérieur américano-panaméen. Formé à l’université de Virginia, il est passé par la G-League, la Nouvelle-Zélande et la France, à deux reprises (Antibes en 2015/16 et Boulazac).\\n\\nLa saison dernière, Akil Mitchell compilait en moyenne 9,6 points, 5,9 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 12,2. Il a également participé au concours de dunks du All Star Game en décembre dernier.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Linda Chasserieau" }, {"role": "user", "content":"Italie: Sergio Rodriguez annoncé officiellement à Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il a conclu un accord de séparation à l’amiable avec Mike James, Armani Milan annonce officiellement ce matin l’arrivée au club du meneur espagnol Sergio Rodriguez (1,91m, 33 ans).\\n\\nEl Chacho sort de deux saisons avec le CSKA Moscou avec qui il a gagné l’Euroleague 2019. Au préalable, il a passé l’essentiel de sa carrière en NBA et au Real Madrid (6 saisons dans les deux endroits).\\n\\nSergio Rodriguez, qui a été champion du Monde en 2006, champion d’Europe en 2015 et médaillé aux Jeux de Londres et de Rio, a renoncé à jouer la Coupe du monde en Chine avec l’Espagne.\\n\\nPhoto: Euroleague\\n\\n\\nWhere did we meet him before? 👀\\nAny suggestions? 😏\\n\\n🔥💣🔥💣#WeNotMe @SergioRodriguez pic.twitter.com/sO5xwKEPgR\\n\\n— Olimpia Milano (@OlimpiaMI1936) July 30, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Le président de la fédération espagnole Jorge Garbajosa tacle l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"En marge de la présentation du tournoi de Malaga, le président de la Fédération espagnole Jorge Garbajosa, a estimé lundi que l’Espagne figurait parmi les candidats à la victoire en Coupe du Monde en Chine avec la France, l’Italie, la Turquie, la Lituanie, la Russie, la Serbie, le Canada, les États-Unis et l’Argentine.\\n\\n« C’est une compétition dont la première phase est en principe abordable, puis nous croiserons la Serbie et l’Italie, avec des déplacements (à l’intérieur de la Chine) », a déclaré Garbajosa, qui estime que l’équipe nationale était plongée dans une période de transition avec les forfaits de Pau Gasol, Sergio Rodriguez, Nikola Mirotic et Serge Ibaka.\\n\\nJose Garbajosa a ajouté qu’on l’avait pris pour un fou quand il avait ouvert les qualifications de la Coupe du monde à des joueurs dont l’âge allait de 22-24 ans à plus de 40. Comme l’équipe de France, l’Espagne a été privée de ses nombreux joueurs de NBA et d’Euroleague et a utilisé 29 joueurs durant les fenêtres, un de moins que la France.\\n\\n« Il y en a neuf sur la liste pour la Coupe du monde qui ont joué dans les fenêtres et personne ne leur a rien donné ».\\n\\nLe président de la fédération espagnole est d’ailleurs toujours autant remonté contre l’Euroleague:\\n\\n« C’est scandaleux. Nous l’avons dit il y a longtemps qu’il semblait y avoir des intérêts particuliers, mais le temps nous donne raison. Il est difficile de parler de cela après avoir évoqué des choses aussi intéressantes que la sélection. C’est désagréable, mais ce sont des faits et non des opinions. La FIBA réduit le temps de concentration pré-olympique pour aider les ligues, les ligues changent leur système avec d’autres alternatives pour le bien de tous, les syndicats font un effort, les Fédérations s’adaptent ... Nous faisons tous un effort pour le bien commun sauf un. Ce n’est pas une guerre Euroleague-FIBA mais une guerre de l’ Euroleague contre le système du basket-ball en général dans le monde entier. L’Euroleague est contre les ligues et les équipes. «" }, {"role": "user", "content":"U16: 8 victoires et 4 défaites en préparation" }, {"role": "assistant", "content":"Avec deux nouvelles victoires face à la Croatie, les U16 français en sont à 8 succès pour 4 défaites au cours de la préparation à leur championnat d’Europe qui démarre le 9 août à Udine, en Italie.\\n\\nAvec 23 points au total des deux rencontres, le Manceau Hugo Meninandi a été le meilleur marqueur des Bleuets face aux Croates.\\n\\n\\nFrance – Serbie : 72-66\\nFrance – Turquie : 47-80\\nTurquie U15 – France : 49-110\\nCroatie – France: 71-67\\nLituanie – France : 75-56\\nFrance – Allemagne : 71-73 a.p.\\nFrance – Allemagne : 75-51\\nFrance – Belgique : 97-72\\nItalie – France : 67-91\\nFrance – Slovénie : 89-57\\n\\nCroatie-France: 47-53 et Croatie France-: 51-58\\n\\nDu 2 au 5 août : Matches au Monténégro\\n\\nDu 9 au 17 août : Championnat d’Europe à Udine (Italie)\\nVendredi 9 août à 18h45 : Bosnie-Herzégovine – France\\nSamedi 10 août à 18h45 : France – Serbie\\nDimanche 11 août à 14h15 : Grèce – France\\nMardi 13 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 14 août : Quarts de finale\\nVendredi 16 août : Demi-finales\\nSamedi 17 août : Finales" }, {"role": "user", "content":"Suzuki France est le nouveau fournisseur des équipes de France" }, {"role": "assistant", "content":"Tomoyuki Shimazaki, Président de Suzuki France et Jean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française de BasketBall ont annoncé hier à l’INSEP, au cours de la conférence de presse des Bleus, un accord pluriannuel entre Suzuki France et la FFBB.\\n\\nÀ compter du 29 juillet, la marque Suzuki France est présente sur chaque rencontre des Équipes de France masculine et féminine et lors des Finales de la Coupe de France. En tant que fournisseur officiel, Suzuki France s’affichera sur les dispositifs LED en bord de terrain et sur l’ensemble des supports de communication de la fédération. Ce partenariat s’inscrit dans une stratégie globale de Suzuki France de développement et de visibilité de la marque japonaise. En accompagnant la FFBB, Suzuki France pourra activer l’ensemble de son réseau avec plus de 200 points de vente automobile en France.\\n\\nTomoyuki Shimazaki, Président de Suzuki France a déclaré :\\n\\n« En signant ce partenariat avec la Fédération Française de BasketBall, Suzuki France s’engage dans le sport en soutenant à la fois les Équipes de France de basketball masculine et féminine et en apportant sa collaboration au développement des activités de la FFBB. Engagé depuis 2006 dans la voile avec La Solitaire Urgo Le Figaro, la course-référence en solitaire, Suzuki France est également partenaire depuis 2013 de La Grande Odyssée Savoie Mont Blanc, la course en chien de traineau la plus exigeante en Europe. Suzuki France poursuit ainsi sa politique de partenariat sportif dynamique et diversifié, avec le deuxième sport collectif le plus pratiqué en France et de surcroît le 1er sport collectif féminin. Nous remercions la FFBB pour la confiance qu’elle nous accorde et nous tenons à souligner que l’association entre la FFBB et Suzuki France démontre notre attachement commun à des valeurs fortes telles que l’intégrité, l’humilité, le respect et l’esprit d’équipe. Nous aurons à cœur de mettre toute notre énergie dans ce nouveau partenariat avec le même esprit de proximité qui nous anime à l’égard de notre réseau de concessionnaires.»\\n\\nJean-Pierre Siutat, Président de la FFBB, a ajouté:\\n\\n«Suzuki devient fournisseur officiel des Équipes de France. C’est un signe de confiance de la part d’une marque mondiale et je tiens à remercier personnellement son président, Monsieur Shimazaki ainsi que les équipes de Suzuki France avec lesquelles nous avons élaboré ce partenariat. Le basket connait une progression importante en terme de pratique dans le monde et en France en particulier, les chiffres de la FFBB le démontrent. Je souhaite d’ailleurs que nous travaillons avec Suzuki au-delà même des Équipes de France et je pense que notre maillage territorial ainsi que le réseau de Suzuki en France y contribueront.»\\n\\nAvec 710 970 licenciés, la FFBB bat un nouveau record cette saison.\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Pau Gasol n’a pas envisagé de revenir en Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Pau Gasol (2,13m) est actuellement à Madrid pour se soigner de sa blessure au pied qui l’a empêché d’être à 100% la saison dernière et qui le prive de la Coupe du monde. Avec 3,9 points et 4,6 rebonds avec San Antonio et Milwaukee, il a obtenu les statistiques les plus faibles de sa carrière. Le Catalan va rejoindre les Portland Trailblazers et sera ainsi le cinquième Espagnol à porter la tunique de la franchise de l’Oregon après Fernando Martin, Rudy Fernandez, Victor Claver et Sergio Rodriguez.\\n\\nL’aîné des Gasol a déclaré que pour lui revenir au FC Barcelone n’était pas une option:\\n\\n« Je n’ai vraiment pas envisagé la possibilité de revenir en Europe. Mon idée était de continuer en NBA et après avoir évalué toutes les options, celle de Portland était la meilleure et celle qui me convenait le mieux à ce moment-là de ma carrière. »\\n\\nPau Gasol a eu 39 ans le 6 juillet et il ne veut pas regarder au loin:\\n\\n« Il est difficile de dire si je continuerai ou non après les jeux. Maintenant je me concentre sur cette saison à Portland et nous prendrons ensuite des décisions. Je veux être le meilleur possible la saison prochaine. »\\n\\nIl s’agira de la 19e saison en NBA pour l’intérieur espagnol grâce à:\\n\\n« Mon amour du basket-ball et de la compétition. J’aime tester mes limites et faire partie des meilleures ligues de basket-ball au monde. Tout cela me pousse à continuer. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Bria Hartley passe à Galatasaray" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y a plus de Française au Fenerbahçe puisqu’après la coach Valérie Garnier c’est la combo guard franco-américaine Bria Hartley (1,73m, 27 ans) qui quitte le club champion de Turquie. Elle ne va pas loin puisqu’elle rejoint les rangs du Galatasaray, un autre club d’Istanbul.\\n\\nLa saison dernière, en 13 matchs d’Euroleague, Bria Hartley a cumulé 14,1 points, 3,4 rebonds et 3,0 passes. Elle joue actuellement en WNBA avec le New York Liberty.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Marcquise Reed clôture le recrutement de Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Après Steeve Ho You Fat et Justin Carter annoncés un peu plus tôt dans la journée, Roanne vient de terminer son recrutement en annonçant l’arrivée de Marcquise Reed (1,91m, 24 ans).\\n\\nFraichement sorti de l’université de Clemson, ce poste 2 américain va donc connaitre sa première expérience en professionnelle en Jeep Elite. Il vient de disputer la Summer League NBA avec Detroit, aux côtés de Sekou Doumbouya. La saison dernière, Marcquise Reed compilait en moyenne 19,4 points, 5,5 rebonds, 3 passes décisives et 2,1 interceptions en NCAA.\\n\\nLaurent Pluvy s’est exprimé sur sa dernière recrue.\\n\\n« Marcquise est un joueur qu’on suivait depuis le début du marché, mais il a préféré dans un premier temps faire la Summer League et voir s’il pouvait décrocher un contrat. Très bon au NIT (Tournoi national par invitation de la NCAA), il évoluera dans le registre de David, fort attaquant bon défenseur et très bon rebondeur pour sa taille. C’est aussi un gros voleur de ballons. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Clemson Men’s Basketball" }, {"role": "user", "content":"Euro U18 : la France maîtrise la Lettonie" }, {"role": "assistant", "content":"En Grèce pour l’Euro, l’Equipe de France U18 poursuit son parcours avec une troisième victoire en trois matches face à la Lettonie, 73-63.\\n\\nAprès la Slovénie et la Grèce, la sélection tricolore U18 avait rendez-vous avec la Lettonie pour mettre un terme à sa phase de groupe. Portés par Malcolm Cazalon (20 points, 4 rebonds, 5 interceptions) et Mouassa Diabaté (9 points, 10 rebonds, 3 interceptions, 4 contres) à 20 d’évaluation chacun, les joueurs de Lamine Kebe ont mené toute la rencontre pour s’offrir une troisième victoire de rang.\\n\\nProchain rendez-vous, mercredi (15h45) en huitième de finale pour affronter le dernier du groupe D, vraisemblablement la Croatie. A moins que cette dernière s’impose face à l’Espagne et chamboule le classement de son groupe.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: David Jackson (ex-Roanne) nouvelle recrue de Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Bien connu à la Chorale de Roanne où il vient de passer deux saisons, l’arrière américain, David Jackson (1,95m, 33 ans), vient de signer pour deux ans à l’Ujap Quimper.\\n\\nAvec la Chorale, David Jackson a été champion de France de Pro B et gagné la Leaders Cup de Pro B. Il a tourné à 11,6 points, 2,8 rebonds et 2,5 passes en 25′ de moyenne pour 10,6 d’évaluation.\\n\\nClubs précédents :\\n\\n2004-08 : Western Illinois University (NCAA I)\\nNon drafté\\n2008-09 : KKJ Blejo Polje (Monténégro)\\n2009-10 : Basketball Pezinok (Slovaquie)\\n2010-13 : PGE Turow Zgorzelec (Pologne)\\n2013-14 : Novipiu Casale Monferrato (Italie\\nDNA Gold)\\n2014-16 : Boulazac (Pro B)\\n2016-17 : PGE Turow Zgorzelec (Pologne)\\n2017-19 : Roanne (Pro B)\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Russie : Mam Jaiteh signe à Saratov" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’Italie, Mam Jaiteh (2,08m, 24 ans) va poursuivre sa carrière en Russie, à Saratov.\\n\\nSur Instagram, la formation russe a annoncé la signature pour une saison du pivot français. Formé à l’INSEP, le natif de Pantin avait ensuite rejoint Boulogne-sur-Mer où il avait montré de très bonnes choses et où il avait été élu MVP français et meilleure progression de Pro B, faisant de lui l’un des plus grands espoirs du basket français. Suite à cela, il a rejoint Nanterre, où il a joué trois ans avant de passer une saison à Strasbourg et de rejoindre Limoges l’été dernier.\\n\\nEn cours de saison 2018/19, l’ancien strasbourgeois a été poussé vers la sortie par la direction limougeaude et c’est en Italie qu’il a trouvé refuge, à Turin.\\n\\nMam Jaiteh a compilé en moyenne 10,9 points et 7 rebonds en Serie A.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/B0fwo-unM9W/?igshid=1vojxx8piknao\\n\\nPhoto : Fiat Torino" }, {"role": "user", "content":"Jeep® ÉLITE : deux nouvelles signatures pour Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Champion de France de Pro B, la Chorale de Roanne poursuit son recrutement avec Steeve Ho You Fat (2,01m, 31 ans) et Justin Carter (1,93m, 32 ans).\\n\\nSur son site, la Chorale annonce les signatures pour une saison de ces deux nouveaux joueurs, en attendant la dernière pièce du puzzle roannais.\\n\\nPassé par la Turquie, la Chine, la Russie, Israël ou encore le Kazakhstan et Dubai, Justin Carter, un poste 2 américain n’a jamais foulé les parquets français. En Italie, la saison dernière, il a remporté la FIBA Europe Cup sous les couleurs du Dinamo Sassari.\\n\\nPour Ho You Fat, c’est la deuxième fois qu’il portera le maillot de Roanne puisqu’il a déjà joué à la Chorale en 2014/15. Bien connu en France, cet intérieur très expérimenté sort d’une saison exceptionnelle du point de vue individuel avec Evreux. Passé par Cholet, Antibes, Orchies, Rouen et donc Evreux, il retrouvera la Jeep Elite après cinq ans en Pro B.\\n\\nLa saison dernière, Justin Carter et Steeve Ho You Fat tournaient respectivement à 5,4 points et 2,3 rebonds en Italie, et 15,6 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 16,3 en Pro B.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest / ALM Evreux" }, {"role": "user", "content":"Jade Sage passe d’Antibes à Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"Les Sharks d’Antibes n’avaient pas reconduit en fin de saison dernière le contrat de Jade Sage qui était avec Lauriane Dolt de la SIG Strasbourg la seule assistante coach de Jeep Elite, mais la Girondine, 26 ans, va rebondir à l’ASVEL comme analyste vidéo.\\n\\nAncienne joueuse de haut niveau, passée par les centres de formation de Nantes-Rezé, Nice et Arras, Jade Sage s’est vite prise de passion pour le coaching et est titulaire du DEJEPS (Diplôme d’Etat de la Jeunesse de l’Education Populaire et de Sport).\\n\\nVous pouvez lire ICI l’interview qu’elle nous a accordé la saison dernière.\\n\\nPhoto: Sharks Antibes" }, {"role": "user", "content":"Amazon nouveau partenaire de la FFBB" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Française de BasketBall (FFBB) et Amazon annoncent aujourd’hui leur partenariat pour les trois prochaines saisons. Ce partenariat a été annoncé à l’occasion de la conférence de presse de rentrée de l’Équipe de France masculine de Basket avant sa préparation à la Coupe du Monde 2019 en Chine.\\n\\nAprès la Ligue Nationale de Basket (LNB), Amazon renforce son soutien à un sport majeur, en choisissant de devenir partenaire de la FFBB et du basket français, une discipline dont les valeurs sont similaires à celles d’Amazon estime la société. À l’occasion de cette alliance avec la FFBB, une boutique FFBB / Équipe de France de Basket sera disponible prochainement sur Amazon.fr avec une large sélection, incluant les tenues officielles de l’Équipe de France masculine et féminine\\n\\n« Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur le soutien d’Amazon pour continuer à développer le basket en France. En devenant fournisseur officiel des Équipes de France, Amazon sera présent sur chacun des matchs que nous organisons en France. Un dispositif sera également mis en place pour accompagner dans un second temps les clubs amateurs et nos licenciés. Le basket se développe fortement en France et le soutien de nos partenaires devient essentiel. Je tiens à remercier Frédéric Duval et ses équipes de leur confiance » a déclaré Jean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française de BasketBall.\\n\\nQuant à Frédéric Duval, Country Manager Amazon.fr, il déclare:\\n\\n« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de renforcer notre soutien au basket français en devenant fournisseur officiel de la FFBB, tout en préservant notre qualité de partenaire majeur de la LNB. Le basket-ball est un sport majeur porteur de valeurs que nous partageons chez Amazon : dépassement de soi, performance, esprit d’équipe, proximité... Nous sommes ancrés dans le quotidien des clients et ce partenariat confirme notre volonté d’être toujours au plus près des français en partageant leurs passions. Nous aurons notamment à cœur de faire vivre ce partenariat partout en France. »\\n\\nPour ajouter toujours plus de ferveur, un « Amazon Shoot Challenge » sera proposé durant la pause entre le troisième et quatrième quart temps de l’ensemble des matchs en France de l’Equipe de France de Basket. Les heureux gagnants du tirage au sort du concours « Amazon Shoot Challenge » sur la page Facebook de la FFBB auront la possibilité de remporter un bon d’achat sur le site amazon.fr allant jusqu’à 1 000 euros. Pour tenter de remporter cette somme maximale, le participant devra réussir en un seul essai un panier en lançant le ballon depuis le rond central sur le terrain. Pour les malchanceux cela n’est pas perdu pour autant. Ce même participant aura droit à un second essai pour tenter de mettre un panier depuis la ligne des 3 points, et en cas de réussite, il se verra remettre un bon d’achat de 100€.\\n\\nEn outre, tout comme pour les matchs de LNB, Amazon offrira aussi à ses membres Amazon Prime en France la possibilité de remporter des places pour assister à certains matchs de l’Équipe de France. Enfin, Amazon soutient également le basket amateur en participant aux Fêtes Nationales du Mini-Basket." }, {"role": "user", "content":"Adas Juskevicius (ex-Nanterre): «La France fut une expérience extraordinaire»" }, {"role": "assistant", "content":"S’il ne poursuit pas son séjour à Nanterre, le shooteur lituanien Adas Juskevicius se dit enchanté de son expérience en France et dans une interview à Basketnews.lt, il est louangeur pour la Jeep Elite:\\n\\n«J’ai joué en Espagne, en Turquie et en Allemagne, et c’est la France qui m’a le plus impressionné parce que leurs joueurs locaux sont très forts. C’est vraiment difficile de jouer là-bas. Je trouve plus facile de jouer en Coupe d’Europe qu’en Championnat de France. Il a des joueurs très forts, beaucoup de talent, donc le jeu est basé sur l’individualité. C’est la ligue la plus proche de la NBA en Europe par son style de jeu. Pour moi, ce fut une expérience nouvelle et extraordinaire. «\\n\\nSelon BasketNews.lt, le sniper âgé de 30 ans a reçu une offre de Vilnius à la fin de la saison, mais il l’a rejetée et il poursuit la recherche d’un nouveau club qui est engagé dans une coupe d’Europe.\\n\\n« Je veux au moins deux matches par semaine et que les conditions soient bonnes pour moi et ma famille. »\\n\\nVous pouvez lire ou relire l’interview que Adas Juskevicius a accordé à BasketEurope lors du All-Star Game LNB.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Rosanne Le Seyec, internationale U15, 1,97m et elle grandit toujours" }, {"role": "assistant", "content":"A 15 ans, Rosanne Le Seyec a déjà fait le buzz dans une région dont son patronyme révèle l’identité, la Bretagne. Elle est basketteuse, va intégrer l’INSEP, et mesure 1,97m, une taille rare chez les filles (le record de France est détenu par Rose-Marie Scheffler, 2,02m). Et elle grandit toujours puisqu’en avril la FFBB l’annonçait avec deux centimètres en moins. Rosanne a déjà dépassé maman (1,83m), son frère jumeau Julien (1,88m) et même papa (1,93m).\\n\\n« Elle faisait 1,28 m à cinq ans, 1,68 m à 10 ans... Elle m’a dépassée à 12 ans, et elle était déjà plus grande que son père à 14 ans... », a témoigné maman à Actu.fr, carnet de santé à l’appui.\\n\\nOriginaire de Guern dans le Morbihan, Rosanne avait déjà eu droit aux honneurs du Télégramme où l’on apprenait qu’elle est dotée d’une excellente dextérité et d’un bon shoot à mi-distance. La jeune fille est à l’évidence une passionnée, fan de LeBron James, Tony Parker, Michael Jordan et Frank Ntilikina, qui rêve d’équipe de France A et de WNBA.\\n\\nElle a passé avec succès des tests d’entrée à Bourges, Lyon et Montpellier mais c’est l’INSEP qui a eu sa préférence et elle a déjà goûté au maillot bleu U15, scorant 8 points de moyenne au tournoi de l’Amitié contre l’Espagne, l’Italie et la Grèce.\\n\\nDepuis son retour en Bretagne, Rosanne récupère d’une copieuse année tout en donnant un coup de main aux travaux de la ferme et avec son ballon qui ne la lâche pas.\\n\\n« Même quand c’est pluvieux, elle sort jouer entre deux averses... Quand on part en vacances, elle vérifie toujours qu’elle pourra jouer au basket sur place... », révèle maman à Actu.fr.\\n\\nOn suivra son parcours avec attention." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La fabuleuse finale du championnat du monde, Argentine-Yougoslavie de 2002" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA nous donne à revoir la fabuleuse finale du championnat du monde de 2002 entre la Yougoslavie et l’Argentine. Pour ceux qui ne s’en souvienne pas, on ne vous donne pas le vainqueur car c’est haletant...\\n\\nPhoto: Pedrag Stojakovic (Yougoslavie, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Sondage : Non, la sanction de Killian Hayes n’est pas justifiée" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques jours, nous vous demandions sa la sanction de la FFBB envers Killian Hayes était, selon vous, justifiée.\\n\\nAprès avoir refusé sa sélection en Equipe de France U20 en ne respectant pas le protocole fédéral, le meneur de jeu français a été suspendu 6 semaines, du 20 septembre au 1er novembre 2019 et ne pourra disputer aucun match de Jeep Elite, s’il reste en France, durant cette période.\\n\\nSeulement, selon vous, cette sanction est injustifiée. Sur 823 votants, une faible majorité (52%) estime que la FFBB n’avait pas a suspendre le joueur six semaines pour un tel motif. A l’inverse, 48% des votants estiment cette sanction justifiée.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand Valérie Garnier aimait faire du spectacle" }, {"role": "assistant", "content":"Belle trouvaille que celle du site hoopdiary.net qui a déniché ce documentaire intitulé « Vaillantes, les petites! » réalisé par Tribulations.\\n\\nIl date de 1988 et il est consacré au BCA Mirande, le club d’un village du Gers de 3 500 habitants, qui a gagné trois titres de champion de France consécutifs (1988 à 1990).\\n\\nLe chef de la bande, le gourou peut on écrire, c’était le coach, Alain Jardel, qui sera plus tard celui des « filles en Or » de 2001. Il avait comme adjoint Jacky Commères, qui a connu ensuite un long parcours fédéral, et il a formé des internationales de renom: Martine Campi, Yannick Souvré, Valérie Garnier, Loëtitia Moussard, Florence Roussel que nous retrouvons dans ce docu.\\n\\nOn y voit deux futurs coaches de l’équipe de France: Claude Bergeaud, alors « fiancé » de l’une des joueuses, Nathalie Etienne, et Valérie Garnier, que l’on surnommait au club « la Brésilienne », faisant des têtes avec un ballon en plastic, et déclarer à propos de son style:\\n\\n« J’ai un jeu qui ne correspond pas trop à ce qu’un entraîneur attend. J’aime bien tenter des choses qui ne sont pas dans la logique du basket. Je n’ai pas un basket dirigé, je n’aime pas trop savoir qu’à tel moment il faut faire ça, j’aime bien improviser. Je ne sais pas si on peut appeler ça du « cinéma ». J’aime bien en rajouter un peu, plutôt que de faire quelque chose simple, c’est de le compliquer pour faire plaisir au public. C’est vrai que j’aime bien faire du spectacle. »\\n\\nValérie Garnier était donc une sorte de Marine Johannès avant l’heure et voici qui confirme ce que nous disait récemment Yannick Souvré.\\n\\nVous pouvez lire ICI un article d’époque sur le BAC Mirande." }, {"role": "user", "content":"Infographie: Qui est le meilleur marqueur américain de tous les temps à la Coupe du monde ?" }, {"role": "assistant", "content":"Qui est le meilleur marqueur américain de tous les temps au Championnat du monde/Coupe du monde. Cette infographie de HoopHype va nous le dire...\\n\\n\\nThese have been the top USA scorers at the World Cup through the years. pic.twitter.com/qnHR1K6F1P\\n\\n— HoopsHype (@hoopshype) July 25, 2019\\n\\n\\nAlonzo Mourning a obtenu la médaille de bronze en 1990 et l’or quatre ans plus tard." }, {"role": "user", "content":"Euro U18: Les Bleuets font dérailler la Grèce, 80-55" }, {"role": "assistant", "content":"L’appui du public a beau constitué un stimulant, la Grèce n’a pas pesé lourd ce soir à Volos face à l’équipe de France (80-55), qui l’a totalement asphyxié athlétiquement à l’image de Moussa Diabaté (2,08m) auteur de 20 rebonds dont... 12 offensifs plus 14 points.\\n\\nGrâce à une défense oppressante les Français ont empêché les Grecs de marquer pendant les 3’15 premières minutes alors qu’eux avaient mis 8 points à leur actif. Une série de contre-attaques permettaient aux Grecs de refaire un temps leur retard avant que les Bleuets ne reprennent largement leurs aises (31-13, 13e) notamment grâce au punch de Mathieu Gauzin (7 points, 3 interceptions et 2 passes à ce moment là).\\n\\nSur attaque placée, les Grecs étaient paniqués. Le cap des 20 points d’avance était atteint sur une contre-attaque de Juhann Begarin (38-17, 16e) et les Bleuets affichaient plus de deux fois plus de points que leurs adversaires à la mi-temps (45-22). Seule une bonne adresse à trois-points (4/18) leur faisait défaut.\\n\\nMoussa Diabate faisait un sacré chantier sous le cercle où ses longs segments lui permettaient de moissonner au rebond. Les Grecs ne perdaient pas pour autant la foi et opposaient davantage de résistance, gagnant même de trois points le troisième quart-temps (19-16).\\n\\nTout en faisant tourner ses douze joueurs, le coach Lamine Kebe n’avait aucune crainte à avoir, son équipe contrôlait parfaitement la situation jusqu’au bout et Mathieu Gauzin finissait avec 16 points en 19′.\\n\\nLa France affrontera demain la Lettonie qui est à toujours à la recherche de sa première victoire.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Mathieu Gauzin, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Kuban ou Galatasaray pour Mantas Kalnietis (ex-ASVEL)" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur lituanien de l’ASVEL Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) hésite entre signer au Lokomotiv Kuban Krasnodar en Russie ou à Galatasaray en Turquie a déclaré une source à Sportando. Kalnietis a déjà porté le maillot de Kuban de 2012 à 2014.\\n\\nLa saison dernière, l’international lituanien a tourné à l’ASVEL à 7,7 points 5,4 passes en Jeep Elite et 10,2 points et 5,7 passes en Eurocup.\\n\\nKuban et Galatasaray sont deux équipes d’Eurocup, ce qui veut dire que Kalnietis renonce à l’Euroleague. Alors qu’il est en stage avec l’équipe nationale, il s’est confié à BasketNews.lt:\\n\\n« Vous voulez aller dans une ville favorable à votre famille où il y a une école internationale, mais en même temps, ce que je ressens sur le terrain est important. Je ne peux pas dire qu’il y a une énorme différence entre jouer en Euroleague ou en Eurocup. Je veux faire un bon choix parce que j’ai été déçu plusieurs fois. ”\\n\\nPhoto: Asvel" }, {"role": "user", "content":"Mondial U19 féminin: Les Etats-Unis récupèrent leur couronne du bout des doigts" }, {"role": "assistant", "content":"Les Etats-Unis ont récupéré leur couronne mondiale en U19 après leur victoire en finale sur l’Australie, 74-70, cet après-midi à Bangkok, Thaïlande. Les Américaines avaient échoué en finale, il y a deux ans, face à la Russie.\\n\\nIl s’agit de leur huitième titre sur les dix dernières éditions de ce championnat du monde de la catégorie.\\n\\nLes Etats-Unis ont énormément souffert puisqu’elles ont du recourir aux prolongations pour écarter les Aussies. Ce n’est d’ailleurs qu’après une série de balles perdues/interceptions, que Hailey Van Lith a égalisé à 15 secondes du temps réglementaire (66-66), l’Australienne Jazmin Shelley loupant un trois-points au buzzer.\\n\\nL’ailière Aliyah Boston a réalisé un double double avec 12 points et 11 rebonds alors que les meneuses Paige Bueckers (17 points) et Hailey Van Lith (16) ont été les meilleures marqueuses côté américain. L’Australienne Isobel Anstey s’est distinguée dans l’autre camp avec 16 points, 12 rebonds, 4 contres et 3 passes.\\n\\nAprès avoir tenu tête face aux Etats-Unis en demi-finale, portée une fois de plus par son pivot Billie Massey (12 points et 11 rebonds), la Belgique a crânement joué sa chance de médaille face à l’Espagne échouant de peu (52-58). Même si son équipe va revenir de Thaïlande sans breloque, il s’agit d’un grand succès pour Arvid Diels, le coach de Wavre-Ste Catherine, qui est un formateur d’exception.\\n\\nCette génération 2019 a donc obtenu le même classement que celle qui en 2010 à Toulouse au Mondial U17 avait révélé Emma Meesseman, Hind Ben Abdelkader, Antonia Delaere, Julie Vanloo et Hanne Mestdagh sous la direction de Daniel Goethals. Il y a deux ans, c’est Billie Massey and Co qui avaient été championnes d’Europe en U18.\\n\\nL’Américaine Paige Bueckers a été élue MVP. Sa compatriote Rhyne Howard, l’Australienne Alexandra Fowler, l’Espagnole Lola Pendande et la Belge Billie Massey complètent le cinq All-Star du tournoi.\\n\\nPhoto d’ouverture: Hailey Van Lith (Etats-Unis, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Les premières photos des Bleus à l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"Les 15 pré-sélectionnés de l’équipe de France pour la Coupe du monde en Chine sont arrivés à l’INSEP et ont passé des tests physiques. Voici les premières images.\\n\\nPhotos: FFBB. Ouverture: Rudy Gobert" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Le top 100 des joueurs français – Cinquième partie: les pivots" }, {"role": "assistant", "content":"Les cinq membres de la Rédaction de Basketeurope ont relevé un challenge : classer les meilleurs joueurs français par poste, sachant qu’ils sont éparpillés entre la NBA, l’Europe, la Jeep Elite et la Pro B. On a également fait un bilan rédactionnel pour le top 20. Cinquième et dernière partie, les pivots.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1- Rudy GOBERT – 2,17m, 26 ans, Utah Jazz\\n\\nStats NBA : 15,9 points, 12,9 rebonds, 8,8 tirs par match\\n\\nNommé dans le troisième cinq majeur de la NBA, nominé pour le titre de défenseur de l’année (déjà décroché l’an dernier), le Nordiste a produit cette saison les meilleurs chiffres de sa carrière outre-Atlantique. Et il n’a jamais été autant responsabilisé en attaque : 8,8 tirs pris par match contre 7,9 la saison précédente. Ce avec le meilleur pourcentage jamais proposé, 66,9 %. Alors, certes, il ne s’éloigne jamais vraiment du cercle pour dégainer, mais il devient une menace offensive crédible. Dominant en NBA, il lui reste à faire de même en sélection nationale. Ca tombe bien, il doit participer à la Coupe du Monde !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=CJlsCwIr1y4\\n\\n2- Vincent POIRIER – 2,13m, 25 ans, Kirolbet Baskonia Vitoria\\n\\nStats Euroleague : 11,9 points, 8,3 rebonds, 17,7 d’évaluation\\n\\nQui aurait pu penser, il y a trois ans, que le natif de Clamart, envoyé par son club de Paris-Levallois faire quelques piges en N1 avec le Centre Fédéral, dominerait quelques saisons plus tard en Euroleague ? Et pourtant, Poirier figure cette saison au sein du All-Euroleague Second Team, autrement dit parmi les dix meilleurs joueurs de la plus relevée des compétitions européennes de clubs. Puissant, mobile, adroit, bon défenseur, il coche toutes les cases et continue de progresser à une vitesse ahurissante. En play-offs d’Euroleague, il a été monstrueux : 16,5 points à 78,8% aux tirs (!), 10,0 rebonds, 27,8 d’évaluation. « Sky is the limit ».\\n\\n3- Joffrey LAUVERGNE – 2,11m, 27 ans, Fenerbahce\\n\\nStats Euroleague : 8,5 points, 60,0% à deux-points, 3,6 rebonds\\n\\nAprès trois saisons et demi sans réussir à s’y imposer, le fils de Stéphane, l’ancien international, a quitté la NBA pour se relancer en Europe, sous les ordres du volcanique Zeljko Obradovic. Au final, le bilan est mitigé, en partie par la faute d’une vilaine blessure qui lui a fait manquer toute la fin de la saison. Mais aussi parce que, utilisé quasi-exclusivement comme pivot, le Mulhousien a dû s’accomoder d’un statut de remplaçant de Jan Vesely, MVP de l’Euroleague. Faisons confiance à son caractère pour progresser dans la hiérarchie la saison prochaine.\\n\\n4- Mathias LESSORT – 2,06m, 23 ans, Unicaja Malaga\\n\\nStats Eurocup : 11,0 points, 70,1% aux tirs, 5,4 rebonds\\n\\nDepuis ses débuts à l’Élan Chalon, le Martiniquais connaît une progression constante. Après une saison 2016-17 plus que satisfaisante à Nanterre, il est parti à l’Étoile Rouge de Belgrade avant de signer pour Malaga. En Espagne, il s’est imposé comme titulaire au poste de pivot, réjouissant le public par ses dunks fracassants. Si sa saison en liga Endesa est correcte (8,8 points et 5,4 rebonds), c’est surtout en Eurocup qu’il a impressionné, avec des stats en constante progression au fil des tours : en quarts-de-finale, il a compilé 15,7 points à 80,0%, 6,0 rebonds et 24,7 d’évaluation. De quoi être nommé dans le deuxième cinq de la compétition. Un concurrent sérieux pour l’équipe de France.\\n\\n5- Joakim NOAH – 2,11m, 34 ans, Memphis Grizzlies\\n\\nStats NBA : 7,1 points, 5,7 rebonds, 2,1 passes\\n\\nOn le croyait fini après son terrible « crash » à New York, dans la ville de son cœur, où il avait été éjecté de la rotation. L’ancien meilleur défenseur de la ligue semblait bon pour la retraite. Puis il a été transféré à Memphis, comme rotation de Marc Gasol. Et là, le fils de Yannick, le tennisman-chanteur, a montré à tous qu’il n’avait rien perdu de son énergie débordante, de sa rage de vaincre, de ses qualités de rebondeur et de passeur. Le double champion NCAA est toujours un bon pivot NBA.\\n\\n6- Kevin SÉRAPHIN – 2,08m, 29 ans, FC Barcelone Lassa\\n\\nStats Euroleague : 8,3 points, 63,2% aux tirs, 3,6 rebonds\\n\\nTout ne s’est pas passé comme prévu pour l’ancien numéro 17 de la draft 2010. Après une première saison plutôt encourageante à Barcelone, le Guyanais a vu son temps de jeu décroître progressivement, au point de provoquer des protestations de sa part, qui n’ont eu pour seul résultat que Svetislav Pesic a décidé de se passer de ses services pour la fin de la saison. S’il reste un pivot attaquant talentueux, Séraphin devra hausser le jeu au rebond et en défense. En tout cas, son avenir ne semble pas devoir s’écrire dans la capitale catalane.\\n\\n7- Ian MAHINMI – 2,11m, 33 ans, Washington Wizards\\n\\nStats NBA : 4,1 points, 18,8% à trois-points, 3,8 rebonds\\n\\nBon an mal an, l’ancien Havrais continue son petit bonhomme de chemin en NBA dans un rôle de pivot remplaçant entrant en jeu pour défendre, contrer, prendre des rebonds et des fautes. Il n’est rentré que 34 fois sur le terrain pendant la saison et son temps de jeu ne cesse de diminuer depuis quatre saisons, mais il assure toujours son rôle sans regimber. À noter qu’il a tenté, et réussi (plus rarement...), ses premiers tirs à trois-points en carrière.\\n\\n8- Moustapha FALL – 2,18m, 27 ans, Lokomotiv Kuban Krasnodar\\n\\nStats Eurocup : 5,6 points, 92% aux tirs, 2,9 rebonds\\n\\nLa progression constante du Parisien a été freinée par les blessures. Entre VTB League et Eurocup, il n’a pu disputer que 28 rencontres cette saison, non sans montrer qu’il avait tout à fait sa place à ce niveau : 7,9 points à 73,4% aux tirs en VTB League, un ahurissant 23/25 au shoot en Eurocup ! Dommage qu’il soit moins précis aux lancers francs : 56,5% en VTB, 52,6% en Eurocup. Mobile, vertical, le joueur formé à Poitiers doit continuer à gagner en dureté et en constance pour poursuivre sa progression. Il en a les moyens.\\n\\n9- Youssoupha FALL – 2,21m, 24 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 11,5 points, 7,5 rebonds, 15,5 d’évaluation\\n\\nAu sortir d’une magnifique saison mancelle, le Sénégalais naturalisé Français a signé pour Vitoria, le club basque s’empressant de le prêter à Strasbourg afin que le joueur, encore brut de décoffrage, progresse au contact de Vincent Collet. Le début de saison a donné raison à cette démarche, avant qu’une blessure vienne entraver cette évolution. Très convaincant une fois revenu en jeu, il a souffert en fin de saison du délitement du jeu strasbourgeois, ses performances décroissant avec le temps. S’il a largement progressé aux lancers francs (62,5% cette saison contre 39,3% la précédente), il doit encore gagner en muscles – notamment au niveau des jambes –, en dureté et en stabilité émotionnelle pour prétendre s’imposer à Vitoria.\\n\\n10- Mouhammadou JAITEH – 2,08m, 24 ans, Fiat Turin\\n\\nStats Serie A (Italie) : 10,9 points, 7,0 rebonds, 16,8 d’évaluation\\n\\nPlacé derrière Samardo Samuels et Jerry Boutsiele dans la rotation limougeaude, critiqué pour son apparent manque de dureté par les exigeants supporters locaux, le précoce natif de Pantin a dû s’exiler fin octobre à Turin. Là, dans une équipe luttant (en vain) contre la relégation, l’ancien MVP de ProB (à 18 ans) a commencé piano avant de passer à l’allegro au fil du temps, enfilant les double double comme des perles en fin de saison, avec des pourcentages aux tirs impressionnants (69,0% sur la saison). Remplaçant sur ses dix premières rencontres, il s’est imposé comme titulaire ensuite. En France ou ailleurs en Europe, de nombreuses portes devraient s’ouvrir devant lui.\\n\\n11- Nicolas DE JONG – 2,09m, 31 ans, Boulazac BD\\n\\nStats Jeep Élite : 13,5 points, 51,4% aux tirs, 5,1 rebonds\\n\\nLongtemps passé « sous les radars », le Franco-Néerlandais a dû commencer sa carrière par la N2 avant de passer plusieurs saisons quelconques en Pro A, d’abord à Vichy (trois saisons) puis à Strasbourg. Après une parenthèse d’un an suite à une grosse blessure, il a réussi à progresser régulièrement au point d’attirer l’attention de Saragosse, où il réussit une très honnête saison 2017-18 à 8,7 points et 3,8 rebonds. De retour en France, à Boulazac, il confirme qu’il est l’un des meilleurs pivots offensifs JFL du championnat, améliorant par ailleurs notablement son rendement au rebond, jusqu’alors un de ses points faibles. On a hâte de le voir dans un effectif de haut de tableau. Celui de Pau ?\\n\\n12- Ali TRAORÉ – 2,08m, 34 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 11,6 points, 64,5% aux tirs, 13,1 d’éval (en 18,0 minutes)\\n\\nTout le monde connaît la « papatte gauche » d’Ali Traoré, ses manques en défense, son caractère parfois volcanique. Capable de dégoupiller pour un lancer franc raté, le joueur formé à l’Asvel n’en reste pas moins une menace offensive de tout premier ordre, capable de marquer face à n’importe quel défenseur, main gauche ou main droite. Mais aussi de prendre des rebonds et de réaliser des contres. Certes pas le plus grand défenseur, la faute à une mobilité latérale limitée, le natif d’Abidjan se montre toutefois concerné par ce côté du terrain. Et il a prouvé en l’absence de Youssoupha Fall qu’il pouvait endosser sans souci le costume de pivot titulaire. Lui reste à savoir rester calme, lui qui a été impliqué dans deux « altercations » au sein de son club, lui ayant valu une mise à pied de quelques jours.\\n\\n13- Wilfrid YEGUETE – 2,01m, 27 ans, Le Mans SB\\n\\nStats BCL : 6,8 points, 6,8 rebonds, 43,1% aux lancers francs\\n\\nArrivé sur la pointe des pieds en ProA après sa formation aux États-Unis (prep school puis fac NCAA de Florida), le petit pivot s’est rapidement imposé par son énergie débordante, son sens du rebond et sa dureté. Au point qu’il a cette saison supplanté dans la rotation mancelle un pivot réputé en Europe comme Richard Hendrix (sans doute moins adapté aux joutes de la Jeep Élite, cela étant). Parfait joueur d’équipe, il lui reste à travailler sur son tir aux lancers francs : 54,8% en Jeep Élite, 43,1% en BCL, le « Hack a Will » devenait trop tentant pour les adversaires du MSB...\\n\\n14- Alain KOFFI – 2,07m, 35 ans, BCM Gravelines-Dunkerque\\n\\nStats Jeep Élite : 9,7 points, 57,3% aux tirs, 5,3 rebonds\\n\\nTrop « vieux », Alain Koffi ? Écoutez-le ricaner, son numéro 35 (son âge) fièrement affiché sur son torse. Certes, il n’affiche plus tout à fait les mêmes performances qu’à l’époque de sa grande période mancelle (12,4 d’évaluation tout de même contre 16,1 en 2008-09). Mais, au BCM, il se partage les tâches intérieures avec Bangaly Fofana et, surtout, un Taylor Smith de gala cette saison. De quoi relativiser la « baisse » de rendement. Du reste, il a été appelé par Vincent Collet pour faire partie de l’équipe de France lors des fenêtres internationales (9 matchs). Et il ne va certainement pas en rester là : il devrait porter le numéro 36 à la rentrée...\\n\\n15- Jerry BOUTSIELE – 2,08m, 26 ans, Limoges CSP\\n\\nStats Eurocup : 5,8 points, 4,6 rebonds, 55,6% aux lancers francs\\n\\nComme bon nombre d’autres JFL de l’effectif, Jerry Boutsiele a souffert de l’habituel marasme ambiant du CSP. Engagé comme un poste 4, lui qui est un pur pivot, il a toutefois su tirer son épingle du jeu, éclipsant Mam’ Jaiteh et un Samardo Samuels en mode dilettante. Mais, comme ses coéquipiers, il a nettement baissé de pied en fin d’exercice et lors des play-offs. Bon défenseur, volontaire, adroit au poste, il lui reste à travailler les lancers francs : 45,6% sur la saison régulière...\\n\\n16- Ousmane CAMARA – 2,02m, 30 ans, Élan Chalon-sur-Saône\\n\\nStats Jeep Élite : 8,3 points, 53,1% aux tirs, 6,6 rebonds\\n\\nS’il n’est pas « flashy », Ousmane Camara est un joueur précieux dans un collectif. Combatif, dur au mal, il s’occupe sans rechigner de toutes les tâches obscures, prenant en attaque ce que lui donne le jeu. Dans la médiocre saison chalonnaise, il a été l’un des seuls à surnager. Quel meilleur exemple que le sien pour de jeunes pousses telles que Mathis Dossou-Yovo et Etienne Ca ? Sa récompense : 4 matchs en équipe de France (3,0 points et 5,0 rebonds). Un gros point faible, toutefois, les lancers francs : 55,6% sur la saison.\\n\\n17- Alexandre CHASSANG – 2,04m, 24 ans, JDA Dijon\\n\\nStats BCL : 9,4 points, 50% à trois-points, 11,5 d’évaluation\\n\\nPas assez mobile pour jouer 4, trop petit pour le poste de pivot, le joueur formé à l’Asvel a longtemps été sous-estimé pour son positionnement difficile à définir. Laurent Legname ne s’est pas posé la question, il l’a signé comme doublure de son surpuissant pivot Gavin Ware. Et le choix s’est révélé avisé : l’Altoséquanais (il est né à Châtenay-Malabry) a réussi une belle saison, jouant quasiment autant que son homologue américain (18,4 minutes contre 20,6), en apportant une menace offensive aussi bien intérieure (57,4% aux tirs) qu’extérieure (4,9,1% à trois-points) tout en respectant les standards défensifs de la maison. Une progression saluée par une sélection en équipe de France.\\n\\n18- Johan PASSAVE-DUCTEIL – 1,98m, 33 ans, Châlons-Reims CB\\n\\nStats Jeep Élite : 10,6 points, 52,1% aux tirs, 5,0 rebonds\\n\\nCelui dont on se souvient surtout pour avoir « mangé » Alexis Ajinça lors de la finale des play-offs 2012-13 lorsqu’il jouait à Nanterre a réussi à tirer son épingle du jeu dans un effectif qui, cette saison, donnait la part belle aux artilleurs non-JFL, Devin Ebanks, Blake Schilb et Jimmy Baron au premier chef. Plus passeur et contreur que les années passées, « Jo » s’est fondu dans le collectif et a fait son job. Avec, qui plus est, une adresse aux lancers francs en nette progression : 70,3% contre 61,9% en carrière.\\n\\n19- Bangaly FOFANA – 2,12m, 30 ans, BCM Gravelines-Dunkerque\\n\\nStats Jeep Élite : 4,4 points, 65,3% aux tirs, 3,5 rebonds\\n\\nAvec le temps qui passe et la lourde blessure qui lui a valu de rater la presque totalité de la saison passée, le longiligne et bondissant pivot des premières années villeurbannaises s’est transformé en un intérieur moins vertical mais plus puissant, toujours plus attiré par les tâches obscures et la défense que par les arabesques offensives, même s’il ne rechigne toujours pas à claquer quelques alley-oops. Mais ses limites, notamment attaque, restent les mêmes et il a glissé derrière Alain Koffi et Taylor Smith dans la rotation.\\n\\n20- Fernando RAPOSO – 2,04m, 29 ans, Antibes Sharks\\n\\nStats Jeep Élite : 7,2 points, 6,0 rebonds, 43,1% aux lancers francs\\n\\nLe pivot à la quadruple nationalité (française, allemande, portugaise et camerounaise) a livré la meilleure saison statistique de sa carrière. Responsabilisé dans un effectif à la peine, il a pour la première fois eu droit à plus de 20 minutes/match. Il s’en est tiré avec les honneurs, même si les Sharks sont relégués. Les lancers francs restent son talon d’Achille...\\n\\n20e ex aequo- Mathis DOSSOU-YOVO – 2,05m, 18 ans, Élan Chalon-sur-Saône\\n\\nStats Jeep Élite : 3,0 points, 2,1 rebonds, 52,5% aux tirs\\n\\nTout frais émoulu du Centre Fédéral, le Castelroussin s’est très vite retrouvé plongé dans le grand bain des pros, Jean-Denys Choulet lui accordant 17 minutes dès le quatrième match de la saison. S’il a logiquement parfois souffert face à des pivots bien plus mûrs physiquement que lui, il a toutefois réussi quelques coups d’éclat, comme ses 12 points et 6 rebonds face à Villeurbanne (en 16 minutes) ou ses 10 points et 9 rebonds face à Antibes. Évidemment encore très irrégulier, il dispose d’une belle marge de progression. Mais attention à la concurrence interne : son coéquipier Etienne Ca, certes plus âgé (22 ans désormais), est souvent passé devant lui dans la rotation en fin de saison.\\n\\nSuivent :\\n\\nFerdinand Prenom, 2,03m, 28 ans, Roanne (ProB)\\n\\nJean-Marc Pansa, 2,08m, 21 ans, Nanterre 92 (Jeep Élite)\\n\\nBastien Vautier, 2,10m, 20 ans, SLUC Nancy (ProB)\\n\\nRomain Duport, 2,17m, 32 ans, Cholet (Jeep Élite)\\n\\nÉtienne Ca, 2,10m, 22 ans, Élan Chalon-sur-Saône (Jeep Élite)\\n\\nMelvin Govindy, 2,10m, 21 ans, Cholet (Jeep Élite)\\n\\nJérôme Cazenobe, 2,03m, 30 ans, Denain Voltaire (ProB)\\n\\nMohamed Koné, 2,11m, 38 ans, Vichy-Clermont (ProB)\\n\\n[armelse]\\n\\n1- Rudy GOBERT – 2,17m, 26 ans, Utah Jazz\\n\\nStats NBA : 15,9 points, 12,9 rebonds, 8,8 tirs par match\\n\\nNommé dans le troisième cinq majeur de la NBA, nominé pour le titre de défenseur de l’année (déjà décroché l’an dernier), le Nordiste a produit cette saison les meilleurs chiffres de sa carrière outre-Atlantique. Et il n’a jamais été autant responsabilisé en attaque : 8,8 tirs pris par match contre 7,9 la saison précédente. Ce avec le meilleur pourcentage jamais proposé, 66,9 %. Alors, certes, il ne s’éloigne jamais vraiment du cercle pour dégainer, mais il devient une menace offensive crédible. Dominant en NBA, il lui reste à faire de même en sélection nationale. Ca tombe bien, il doit participer à la Coupe du Monde !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=CJlsCwIr1y4\\n\\n2- Vincent POIRIER – 2,13m, 25 ans, Kirolbet Baskonia Vitoria\\n\\nStats Euroleague : 11,9 points, 8,3 rebonds, 17,7 d’évaluation\\n\\nQui aurait pu penser, il y a trois ans, que le natif de Clamart, envoyé par son club de Paris-Levallois faire quelques piges en N1 avec le Centre Fédéral, dominerait quelques saisons plus tard en Euroleague ? Et pourtant, Poirier figure cette saison au sein du All-Euroleague Second Team, autrement dit parmi les dix meilleurs joueurs de la plus relevée des compétitions européennes de clubs.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Les compliments de son coach à Göttingen sur Michael Stockton, le nouveau meneur de Cholet" }, {"role": "assistant", "content":"Quand on lit les déclaration de son coach à Göttingen, Johan Roijakkers, on se dit que le meneur américain Michael Stockton était très apprécié en Allemagne où il a joué six saisons dans trois clubs différents. Et Cholet Basket, qui vient de le signer peut être totalement rassuré sur son état d’esprit.\\n\\n« Nous sommes très reconnaissants à Mike pour son implication avec nous au cours des deux dernières saisons. Aucun autre joueur n’a eu autant d’influence positive sur l’équipe et sur l’ensemble du club « , déclare Johan Roijakkers. « Mike fera toujours partie de la famille du basket-ball à Göttingen et est toujours le bienvenu ici. »\\n\\nLe fils de John Stockton n’a raté qu’un seul match de BBL la saison dernière et a marqué 16,4 points par match et fait 7,0 passes, les deux meilleures performances de l’équipe violette. Michael Stockton a été All-Star de BBL les deux dernières saisons.\\n\\n« Il était le cerveau de l’équipe sur le parquet et ma main droite, sur et en dehors du terrain. Je suis très heureux d’avoir pu entraîner un joueur de cette classe et des personnes comme Mike. »\\n\\nDifficile d’être plus élogieux." }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Le top 100 des joueurs français – Quatrième partie, les ailiers-forts" }, {"role": "assistant", "content":"Les cinq membres de la Rédaction de Basketeurope ont relevé un challenge : classer les meilleurs joueurs français par poste, sachant qu’ils sont éparpillés entre la NBA, l’Europe, la Jeep Elite et la Pro B. On a également fait un bilan rédactionnel pour le top 20. Deuxième partie, les ailiers-forts.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1- Adrien MOERMAN – 2,02m, 30 ans, Anadolu Efes Istanbul\\n\\nStats Euroleague : 12,0 points, 59,2% à deux-points, 6,1 rebonds\\n\\nQuel parcours que celui d’Adrien Moerman, obligé de descendre en Pro B, à Nanterre, gagner du temps de jeu à la sortie du centre de formation de Roanne avant de remonter en Pro A (Orléans, Nancy, Limoges) puis de s’imposer en Turquie sur la scène européenne. Aujourd’hui, il figure parmi les joueurs majeurs d’une équipe qui a disputé la finale de l’Euroleague. Ne lui reste plus qu’à enfin faire sa place en équipe de France.\\n\\n2- Louis LABEYRIE – 2,09m, 27 ans, Valence\\n\\nStats Eurocup : 6,0 points, 21,1% à trois-points, 4,0 rebonds\\n\\nAprès avoir fait ses classes sur la Côte d’Azur puis parfait son apprentissage à Paris-Levallois, le fantasque natif de Gonesse a connu une saison 2017-18 de toute beauté aux côtés de Vincent Poirier à Levallois. Et comme son compère de la raquette, cet amateur de bon vin est parti en Espagne, à Valence. Il n’a pour le moment pas encore pris la mesure de la Liga Endesa comme le pivot de Vitoria, et sa saison est parsemée de hauts et de bas. Une saison pour voir, une autre pour vaincre ?\\n\\n3- Amath MBAYE – 2,06m, 29 ans, Segafredo Virtus Bologne\\n\\nStats BCL : 11,4 points, 3,7 rebonds, 11,9 d’évaluation\\n\\nL’université aux États-Unis (Wyoming puis Oklahoma), le Japon puis l’Italie, l’intérieur né à Bordeaux a connu une trajectoire des plus atypiques. Après avoir cartonné pendant trois saisons en Extrême-Orient, il a continué sur le même tempo à Brindisi, au point de retenir l’attention de Milan, avec qui il a joué une saison d’Euroleague en demi-teinte. Redescendu d’un étage à Bologne, il s’est imposé comme l’un des joueurs majeurs (10,0 points et 3,8 rebonds en 27,7 minutes) du vainqueur de la BCL.\\n\\n4- Guerschon YABUSELE – 2,03m, 23 ans, Boston Celtics\\n\\nStats NBA : 2,3 points, 1,3 rebond, 6,1 minutes, 41 matchs\\n\\nAu bout de deux saisons, difficile de dire que le natif de Dreux a réussi à faire son trou en NBA. Joueur de bout du banc, il n’a guère impressionné les rares fois où son entraîneur lui a laissé du temps de jeu. Parti après une seule saison pleine de Pro A à Rouen (11,5 points, 6,8 rebonds en 2015-16, à 20 ans), il a d’abord connu une saison en Chine, aux Shanghai Sharks avant d’alterner entre G-League et banc NBA. L’année à venir risque d’être cruciale pour la suite de sa carrière.\\n\\n5- Amine NOUA – 2,02m, 22 ans, LDLC Asvel\\n\\nStats Eurocup : 10,8 points, 43,2% à trois-points, 4,0 rebonds\\n\\nOn est tellement habitués à le voir évoluer sous le maillot villeurbannais qu’on en oublierait presque qu’il vient tout juste d’avoir 22 ans. Et qu’il progresse d’année en année, même si ses stats sont en baisse cette saison : la faute à la densité de l’effectif de l’Asvel et à un trou d’air en cours de saison. Celui qui est pour nous le meilleur U21 de Jeep Élite (il avait 21 ans en début de saison) et qui figure dans notre cinq majeur des U21 d’Europe a connu ses premières sélections en équipe de France lors des fenêtres internationales, avec un bonheur certain : 7,0 points, 1,5 rebond en 12,6 minutes sur 4 matchs. À moins d’être signé à la draft par une franchise NBA, il découvrira l’Euroleague à la rentrée avec son club de cœur – il est à l’Asvel depuis les benjamins.\\n\\n6- Kim TILLIE – 2,10m, 30 ans, Herbalife Gran Canaria\\n\\nStats Euroleague : 6,5 points, 40,9% à trois-points, 2,7 rebonds\\n\\nDepuis qu’il a quitté l’Asvel pour les terres espagnoles (et grecques pendant une saison), le premier fils du sélectionneur de l’équipe de France de volley n’a fréquenté que du beau monde. Après deux ans « d’apprentissage » à Murcie, il est passé par Vitoria, l’Olympiakos et aujourd’hui Gran Canaria, pour cinq saisons d’Euroleague. Jamais comme joueur majeur, jamais au bout du banc. Adroit, mais rebondeur moyen pour sa taille. Pas épargné par les blessures.\\n\\n7- Livio JEAN-CHARLES – 2,03m, 25 ans, LDLC Asvel\\n\\nStats Eurocup : 5,3 points, 48,6% aux tirs, 4,3 d’évaluation\\n\\nPassé par le Centre Fédéral et formé à l’Asvel, le Guyanais semblait parti pour une carrière prometteuse outre-Atlantique après un Hoop Summit 2013 où il marque les esprits : 27 points et 13 rebonds. Mais, fauché par une rupture des ligaments croisés lors de l’Euro U20 qui suit, ses rêves se brisent. Hormis deux saisons sans saveur en D-League, les portes de l’Amérique lui restent fermées. Depuis son retour à Villeurbanne, le joueur brièvement passé par Malaga (en 2017-18) semblait en retrait. Mais, sur les playoffs actuels, il est passé devant Noua dans la rotation et semble retrouver des sensations offensives, lui qui n’a jamais donné sa part aux chiens en défense.\\n\\n8- Aaron CEL – 2,03m, 32 ans, Polski Cukier Torun (Pologne)\\n\\nStats BCL : 12,3 points, 44,4% à trois-points, 4,5 rebonds\\n\\nFormé au Mans, le Franco-polonais a démarré sa carrière professionnelle en Pro B avant de passer quatre ans dans le pays de ses parents puis de revenir en France en Pro A, à Monaco puis Gravelines-Dunkerque. N’obtenant pas les responsabilités qu’il souhaitait, il est retourné en Pologne, où il brille dans une équipe qui dispute actuellement les finales de playoffs du championnat national. Joueur complet, il est le leader statistique de son équipe. International polonais.\\n\\n9- Hugo INVERNIZZI – 1,96m, 26 ans, Nanterre 92\\n\\nStats BCL : 7,2 points, 44,9% à trois-points, 2,9 rebonds\\n\\nAilier de formation, réputé pour son shoot de loin, le Mulhousien a été replacé en poste 4 par Pascal Donnadieu au cours de ces deux dernières saisons à Nanterre. S’il souffre logiquement en défense face à des intérieurs plus grands et lourds que lui, il se venge à l’autre bout du parquet, par sa mobilité et son adresse à trois-points. Et le replacement semble avisé, le néo-international (2 sélections lors des fenêtres internationales) voyant toutes ses stats en progression.\\n\\n10- Léopold CAVALIÈRE – 2,02m, 23 ans, Élan Béarnais Pau-Lacq-Orthez\\n\\nStats Jeep Élite : 7,9 points, 54,6% aux tirs, 5,6 rebonds\\n\\nS’il n’est pas le plus doué offensivement ni le plus esthétique des joueurs, l’Albigeois se rattrape par son énergie infinie, sa rage de vaincre, sa dureté et son implication défensive. En constante progression depuis sa sortie du centre de formation palois, il s’est imposé comme un joueur majeur de l’Élan Béarnais. Reste à régler la mire à trois-points (28,2%), domaine dans lequel il manque de confiance.\\n\\n11e ex aequo- Yannis MORIN – 2,08m, 25 ans, Châlons-Reims CB\\n\\nStats Jeep Élite : 8,6 points, 58% aux tirs, 1,1 contre\\n\\nCurieuse trajectoire que celle du Martiniquais. Après avoir fait ses armes au Centre Fédéral et à Cholet, il passe deux ans en Pro B sans grand relief (7,1 points à 39,4% aux tirs) avant de tenter l’aventure de la NBA. Coupé par Oklahoma City juste avant le début de la saison 2017-18, il s’oriente vers la G League avant de revenir en France effectuer des piges en Jeep Élite. La première, au Mans, lui permet de décrocher le titre de champion de France. Cette saison, c’est à Châlons-Reims qu’il intervient par deux fois, compensant les blessures de Pape Badji. Prolongé jusqu’à la fin de la saison, il s’est montré intéressant, bon rebondeur, fort contreur. Seule vraie faiblesse, le tir à trois-points : 19,7% en carrière en Jeep Élite.\\n\\n11e ex aequo- Landing SANÉ – 2,07m, 28 ans, Morabanc Andorre\\n\\nStats Liga Endesa : 4,7 points, 44% à deux-points, 2,4 rebonds\\n\\nPassé par cinq clubs lors des deux dernières saisons (Reggio Emilia, Andorre, Levallois, Mornar Bar et Andorre à nouveau), le natif d’Ermont a la bougeotte. Au Monténégro, dans une équipe disputant la Ligue Adriatique et l’Eurocup, il a fait bonne figure : 11,8 points et 6,8 rebonds en 4 matchs de coupe d’Europe. De retour à Andorre aux côtés d’Andrew Albicy, son rendement a été moindre mais il est visiblement très apprécié dans la principauté.\\n\\n13- Pierre PELOS – 2,05m, 26 ans, BYERS Fos-sur-Mer\\n\\nStats Jeep Élite : 12,7 points, 57,1% aux tirs, 15,5 d’évaluation\\n\\nQui, lorsqu’il ferraillait avec Pau Nord-Est en N2 ou Tarbes-Lourdes en N1, aurait pu penser qu’un jour l’Agenais se révèlerait un joueur dominant en Jeep Élite ? Avant cette saison, le joueur formé à Pau avait patiemment gravi les échelons, participant avec Bourg-en-Bresse et Fos à deux montées de Pro B en Pro A. Mais toujours dans un rôle de complément. Et là, d’un coup, cet attaquant délié a fait grimper toutes ses stats, devenant même une menace à trois-points ! Certes, Fos-sur-Mer a été relégué en fin de saison, mais le joueur capable de s’exprimer sur les postes 4 et 5 va rester en première division française, signé par Bourg-en-Bresse. La (très) belle surprise de la saison.\\n\\n14- Petr CORNELIE – 2,11m, 23 ans, Le Mans SB\\n\\nStats BCL : 6,9 points, 48,4% aux tirs, 3,2 rebonds\\n\\nGrand, mobile, athlétique, le Calaisien est revenu au bercail après un intermède d’une saison à Paris-Levallois. Mais, que ce soit en région parisienne ou dans la Sarthe, il laisse comme un arrière-goût d’inachevé : les espoirs nés de sa saison 2015-16 où, à 20 ans, il marquait 9,6 points (à 54,4% aux tirs) pour 11,3 d’évaluation avec le MSB ne l’ont pas amené à progresser de manière visible. Manque de physique ? De dureté ? Toujours est-il qu’il donne toujours l’impression qu’il pourrait faire bien mieux.\\n\\n15- Damien INGLIS – 2,04m, 24 ans, CSP Limoges\\n\\nStats Eurocup : 5,3 points, 37,9% aux tirs, 3,9 rebonds\\n\\nEncore un joueur qui reste un mystère pour nombre d’observateurs. Au sortir d’une saison de Pro A à Roanne (à 18 ans) laissant entrevoir d’impressionnantes qualités athlétiques, le Guyanais est drafté par les Milwaukee Bucks, pour lesquels il ne joue que 20 matchs, entre blessures et détours par la D-League. De retour en Europe, il fait un passage éclair à Capo d’Orlando avant de trouver refuge à Strasbourg pour la fin de saison 2017-18. S’il y laisse un souvenir mitigé, ses stats ne sont pas mauvaises : 6,1 points en 16,8 minutes. Transféré à Limoges, il y suit un parcours aussi chaotique que la saison du club : blessé en début de saison, il commence à s’installer dans la rotation avant d’à nouveau se blesser et de manquer 15 des 16 derniers matchs de saison régulière. Blessé ou benché ? Il se voit octroyer 28 minutes lors du premier match des play-offs, pour 7 points à 2/10 aux tirs... Pas toujours en phase avec le collectif.\\n\\n16- Jean-Victor TRAORÉ – 2,03m, 33 ans, ESSM Le Portel\\n\\nStats Jeep Élite : 7,0 points, 43,4% à trois-points, 4,5 rebonds\\n\\nLongtemps considéré comme un (très) bon joueur de Pro B, l’international burkinabé né à Dakar (Sénégal) a prouvé pendant deux saisons qu’il avait tout à fait sa place à l’échelon supérieur. Cette saison, il a même fait preuve d’une adresse de loin qui ne lui était pas coutumière (31,2% sur quatre saisons de Pro B, 30,6% lors de sa première année en Jeep Élite au Portel). Malgré cela, il a décidé de retourner à Lille, en Pro B, pour la saison prochaine.\\n\\n17- Florent PIETRUS – 2,02m, 38 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 4,7 points, 54,5% aux tirs, 8,4 d’éval\\n\\nOn ne présente plus le « ministre de la défense » aux 230 sélections en équipe de France. D’une infinie dureté en défense et d’une motivation jamais en berne, il a pour seul « défaut » d’avoir l’âge de ses artères. À 38 ans, le Guadeloupéen formé à Pau n’a plus la détente de ses jeunes années. Mais il a tout de même su rendre de fiers services sur un poste 4 peu fourni à la SIG, produisant encore 6,4 d’évaluation en 16,7 minutes en Jeep Élite et 8,4 en BCL. Le grand frère de Mickael se verrait bien continuer au moins une année supplémentaire.\\n\\n18- Jean-Frédéric MORENCY – 1,96m, 30 ans, Boulazac BD\\n\\nStats Jeep Élite : 4,1 points, 11,5% à trois-points, 3,1 rebonds\\n\\nPour sa 9e saison dans l’élite française, le Parisien affiche ses plus faibles statistiques depuis dix ans et ses années Espoir à Pau-Lacq-Orthez. Pas forcément un signe de déclin : le grand frère de Romuald (Vichy-Clermont, Pro B) n’a jamais été un joueur de stats, surtout concentré sur la défense et le collectif. Cela dit, jamais son adresse n’a été aussi faible, notamment à trois-points. Et les lancers francs restent un problème : 59,5%.\\n\\n19- Abdoulaye LOUM – 2,08m, 28 ans, JDA Dijon\\n\\nStats BCL : 7,5 points, 59,3% à deux-points, 9,9 d’évaluation\\n\\nEn dehors de deux intermèdes à Boulogne-sur-Mer en Pro B (25 matchs en 2012-13 et 2016-17), le natif de Mont-de-Marsan a toujours fréquenté l’élite française dans le rôle d’intérieur bondissant, principalement concentré sur les tâches défensives. Ce qui convient parfaitement à la philosophie de son coach, Laurent Legname, qui lui confie 15,9 minutes en Jeep Élite. Pas le plus doué balle en main, mais shoote à plutôt bon escient (47,7% aux tirs en carrière).\\n\\n20- Steeve HO YOU FAT – 2,01m, 30 ans, ALM Evreux\\n\\nStats Pro B : 15,6 points, 51,0% aux tirs, 16,3 d’évaluation\\n\\nEn dehors d’une saison en Pro A à Cholet, son club formateur, le Guyanais a effectué toute sa carrière en deuxième division, progressant d’année en année. Cette saison, il se paye même le luxe de terminer meilleure évaluation JFL de Pro B, affichant des statistiques en hausse dans quasiment toutes les catégories, avec notamment 1,2 contre par match.\\n\\nSuivent :\\n\\nIvan Février, 2,04m, 20 ans, Levallois Metropolitans (Jeep Élite) et Roanne (Pro B)\\n\\nMamadou Dia, 2,03m, 41 ans, BYERS Fos-sur-Mer (Jeep Élite)\\n\\nOlivier Cortale, 2,07m, 22 ans, Gries-Oberhoffen (Pro B)\\n\\n[armelse]\\n\\n1- Adrien MOERMAN – 2,02m, 30 ans, Anadolu Efes Istanbul\\n\\nStats Euroleague : 12,0 points, 59,2% à deux-points, 6,1 rebonds\\n\\nQuel parcours que celui d’Adrien Moerman, obligé de descendre en Pro B, à Nanterre, gagner du temps de jeu à la sortie du centre de formation de Roanne avant de remonter en Pro A (Orléans, Nancy, Limoges) puis de s’imposer en Turquie sur la scène européenne. Aujourd’hui, il figure parmi les joueurs majeurs d’une équipe qui a disputé la finale de l’Euroleague. Ne lui reste plus qu’à enfin faire sa place en équipe de France.\\n\\n2- Louis LABEYRIE – 2,09m, 27 ans, Valence\\n\\nStats Eurocup : 6,0 points, 21,1% à trois-points, 4,0 rebonds\\n\\nAprès avoir fait ses classes sur la Côte d’Azur puis parfait son apprentissage à Paris-Levallois, le fantasque natif de Gonesse a connu une saison 2017-18 de toute beauté aux côtés de Vincent Poirier à Levallois.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, »\\ntype= »show »][arm_setup id= »2′′\\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Les transferts dans les quatre équipes espagnoles" }, {"role": "assistant", "content":"La presse espagnole fait état des transferts dans les équipes de la ligue ACB. On vous en fait profiter pour les quatre équipes engagées en Euroleague.\\n\\nFC BARCELONA\\n\\nSous contrat: Thomas Heurtel (renouvelé), Kevin Pangos, Kyle Kuric, Pau Ribas, Adam Hanga (renouvelé), Victor Claver (renouvelé), Rolands Smits, Pierre Oriola, Ante Tomic, Artem Pustovyi.\\n\\nArrivées: Cory Higgins (CSKA Moscou, Russie), Brandon Davies (Zalgiris Kaunas, Lituanie), Nikola Mirotic (Milwaukee Bucks, NBA), Alex Abrines.\\n\\nDéparts: Chris Singleton (fin du contrat), Jaka Blazic (Cedevita Olimpija, Croatie/Slovénie), Kevin Seraphin (Tigre de Xinjiang, Chine).\\n\\nREAL MADRID\\n\\nSous contrat: Facundo Campazzo, Sergio Llull, Klemen Prepelic, Fabien Causeur (renouvelé), Jaycee Carroll, Rudy Fernández, Jeffery Taylor (renouvelé), Gabriel Deck, Anthony Randolph, Trey Thompkins, Felipe Reyes (renouvelé), Sebas Saiz (retourne), Walter Tavares (renouvelé).\\n\\nArrivées: Nicolas Laprovittola (Joventut Badalona), Jordan Mickey (Khimki Moscou, Russie)\\n\\nDéparts: Melwin Pantzar (fin du contrat), Santiago Yusta (Tenerife), Gustavo Ayón (Zenit St. Petersbourg, Russie), Ognjen Kuzmic (Étoile Rouge Belgrade, Serbie).\\n\\nVALENCIA BASKET\\n\\nSous contrat: Sergi García (retour), Guillem Vives (renouvelé), Sam Van Rossom, Alberto Abalde, Fernando San Emeterio (renouvelé), Joan Sastre, Aaron Doornekamp (renouvelé), Louis Labeyrie, Bojan Dubljevic, Mike Tobey.\\n\\nArrivées: Brock Motum (Efes Istanbul, Turquie), Quino Colom (Bahcesehir, Turquie), Maurice Ndour (Unics Kazan, Russie), Vanja Marinkovic (Partizan Belgrade, Serbie).\\n\\nDéparts: Will Thomas (fin du contrat), Antoine Diot (ASVEL, France), Rafa Martínez (Bilbao), Matt Thomas (Toronto Raptors, NBA).\\n\\nBASKONIA VITORIA\\n\\nSous contrat: Jayson Granger, Luca Vildoza, Shavon Shields, Matt Janning, Patricio Garino, Tadas Sedekerskis, Tornike Shengelia, Ajdin Penava, Ilimane Diop, Youssoupha Fall.\\n\\nArrivées: Michael Eric (Darussafaka Istanbul, Turquie), Pierria Henry (Unics Kazan, Russie).\\n\\nDéparts: Marcelinho Huertas (Tenerife), Darrun Hilliard (CSKA Moscou, Russie), Johannes Voigtmann (CSKA Moscou, Russie), Vincent Poirier (Boston Celtics, NBA).\\n\\nPhoto: Nicolas Laprovittola" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Le top 100 des joueurs français – Troisième partie: les ailiers" }, {"role": "assistant", "content":"Les cinq membres de la Rédaction de Basketeurope ont relevé un challenge : classer les meilleurs joueurs français par poste, sachant qu’ils sont éparpillés entre la NBA, l’Europe, la Jeep Elite et la Pro B. On a également fait un bilan rédactionnel pour le top 20. Troisième partie, les ailiers.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1- Nicolas BATUM – 2,03m, 30 ans, Charlotte Hornets\\n\\nStats NBA : 9,3 points, 45,0% aux tirs, 5,2 rebonds\\n\\nHormis l’adresse, toutes les statistiques du 25e choix de la draft 2008 sont en baisse par rapport à l’année passée : points, rebonds, passes, interceptions. Signataire en juillet 2016 d’un pharaonique contrat de 120 millions de dollars sur cinq ans, le natif de Lisieux a vu depuis son rendement régulièrement décroître. Il n’en reste pas moins un joueur complet en attaque comme en défense. Mais la déception gagne à Charlotte, qui a déjà songé à le transférer.\\n\\n2- Axel TOUPANE – 2,01m, 26 ans, Olympiakos\\n\\nStats Euroleague : 4,8 points, 36,1% à trois-points, 3,3 d’évaluation\\n\\nAprès une expérience ratée en NBA (25 matchs entre Denver, Milwaukee et La Nouvelle Orléans), l’enfant de la SIG Strasbourg est venu se relancer à l’Olympiakos, sous les ordres de David Blatt, après une année à Kaunas où Saras Jasikevicius a loué sa défense. Devenu relativement adroit à trois-points par rapport à ses années alsaciennes, il a tenu toute la saison un rôle de joueur de complément, sur un temps de jeu réduit (13’35 de moyenne en Euroleague). A quitté l’Olympiakos avant la fin de la saison suite à des salaires impayés.\\n\\n3- Thimoté LUWAWU-CABARROT – 1,98m, 23 ans, Chicago Bulls\\n\\nStats NBA : 6,8 points, 39,4% aux tirs, 2,7 rebonds\\n\\nThimotée Luwawu-Cabarrot a connu une troisième année NBA agitée, transféré à l’intersaison de Philadelphie à Oklahoma City, où il n’a joué que quelques bribes de match avant de partir pour Chicago, où il a pu se relancer. Il y bénéficie de 18,8 minutes de jeu et n’a jamais marqué autant de points. Mais le Cannois formé à Antibes n’a toujours pas trouvé la mire : 33,0% à trois-points. La saison prochaine sera celle de la confirmation ou, probablement, la fin de l’aventure NBA.\\n\\n4- Charles KAHUDI – 1,96m, 32 ans, LDLC Asvel\\n\\nStats Eurocup : 10,3 points, 54,4% à deux-points, 4,4 rebonds\\n\\nMiné par des soucis personnels liés à la santé de sa fille, « L’Homme » a connu une baisse de rendement assez notable en Jeep Élite (8,9 points à 38,2% aux tirs contre 10,9 points à 45,0% la saison précédente), compensée par sa meilleure saison statistique en Eurocup. Dans un contexte peu propice à la concentration sur le basket, le joueur formé à Cholet s’est focalisé sur la défense, qui reste son fonds de commerce. Du fait de ses incertitudes familiales, ne sait pas encore s’il sera disponible pour la Coupe du Monde. On ne peut plus compréhensible.\\n\\n5- Lahaou KONATÉ – 1,96m, 27 ans, Nanterre 92\\n\\nStats BCL : 9,7 points, 40,6% aux tirs, 12,1 d’évaluation\\n\\nFormé à Hyères-Toulon, passé par la Nationale 1 (Denek bat Urcuit) puis la Pro B (Evreux) avant de rejoindre la Pro A au Mans puis à Nanterre, le natif de Créteil a su descendre de standing pour lancer sa carrière. Depuis, il est en progression constante et a explosé cette saison. Joueur essentiel dans le dispositif de Pascal Donnadieu, il a terminé la saison dans le Cinq majeur de la Jeep Élite. Vu en Bleu pendant les fenêtres internationales, il peut entretenir l’espoir d’être sélectionné pour la Coupe du Monde.\\n\\n6- Nobel BOUNGOU COLO – 2,03m, 31 ans, Joventud Badalone\\n\\nStats ACB (Espagne) : 5,9 points, 79% à deux-points, 2,4 rebonds\\n\\nDevenu globe-trotter après avoir contribué aux deux derniers titres du CSP Limoges, passé par Khimki, Séville et Turin, l’enfant de Brazzaville (République du Congo) a commencé la saison sans club avant de réaliser une courte pige à Levallois en début d’année 2019 (3 matchs de Jeep Élite, deux de Leaders Cup, dont l’un à 32 points, 13 rebonds et 39 d’évaluation face à Pau-Lacq-Orthez). Il est alors parti pour la banlieue de Barcelone, où il a endossé un rôle de remplaçant avant de briller en play-offs : 13,5 points avec 60% à trois-points, 11,0 d’évaluation.\\n\\n7- William HOWARD – 2,01m, 25 ans, CSP Limoges\\n\\nStats Eurocup : 10,6 points, 45,5% à trois-points, 13,1 d’évaluation\\n\\nLe fils de Skip Howard, joueur américain passé notamment par Vichy, a connu une saison contrastée. De belles stats en Eurocup au sein d’une équipe qui a atteint le Top 16, mais un rendement en retrait par rapport à sa précédente saison limougeaude en Jeep Élite : 9,2 points à 41% aux tirs et 11,2 d’évaluation contre 11,4 points à 48,6% et 12,3 d’éval en 2017-18. Du mal à se situer dans le marasme limougeaud ?\\n\\n8- Sekou DOUMBOUYA – 2,05m, 18 ans, CSP Limoges\\n\\nStats Eurocup : 6,9 points, 73,1% à deux-points, 2,8 rebonds\\n\\nProspect « ultime » du basket français de par ses qualités athlétiques et le potentiel qu’il laisse entrevoir, le Guinéen naturalisé français a été scruté à la loupe par tous les observateurs pour ses premiers pas en Jeep Élite. Plus concerné par l’élite du basket français qu’à son époque poitevine en Pro B, il n’a pas déçu. Encore irrégulier, il s’est parfois troué mais a sorti quelques belles perfs, dont un énorme carton lors de la dernière journée de saison régulière contre une équipe de Levallois démobilisée : 34 points à 72,2% aux tirs. Il est attendu aux alentours de la 10e place à la prochaine draft NBA.\\n\\n9- Mickael GELABALE – 2,00m, 36 ans, Élan Chalon\\n\\nStats Jeep Élite : 10,9 points, 52,0% aux tirs, 13,0 d’évaluation\\n\\nL’air de la Saône réussit au vétéran de la LNB (265 matchs de Pro A), où il vient de réussir sa meilleure saison statistique en France depuis... 2010-11 ! Sous ses apparences perpétuellement décontractées, le Guadeloupéen a fait le job sous les ordres de Jean-Denys Choulet, qui l’a souvent placé au poste 4. Pas de quoi perturber l’ancien international au palmarès long comme le bras. L’âge ne semblant pas avoir de prise sur son rendement, on reverra le joueur formé à Cholet sur les parquets français à la rentrée.\\n\\n10- Jérémy LELOUP – 1,99m, 32 ans, JDA Dijon\\n\\nStats BCL : 5,4 points, 32,6% à trois-points, 1,6 rebond\\n\\nAu sortir de son bail de cinq ans à la SIG Strasbourg, le joueur formé au Mans est revenu dans un club qu’il connaissait bien pour y avoir passé trois saisons, Dijon. Avec l’envie de regagner en temps de jeu et en responsabilités offensives. Un pari à moitié gagné puisque s’il a joué et marqué plus qu’en Alsace, il n’a pas retrouvé le rendement de sa précédente saison bourguignonne (12,9 points en 2012-2013). Mais la satisfaction est collective, avec la superbe troisième place en saison régulière de la JDA.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=gxb7QYFA8qY\\n\\n11- Bandja SY – 2,04m, 28 ans, Partizan Belgrade\\n\\nStats Eurocup (Top 16) : 7,2 points, 47,1% à trois-points, 4,2 rebonds\\n\\nAprès quatre saisons de Pro A partagées entre Pau, Nancy et l’Asvel, le petit frère d’Amara est parti découvrir du pays, d’abord à l’AEK Athènes puis au Partizan Belgrade. Où il s’est imposé comme un joueur majeur, dans un costume de « 3 & D » physique parfaitement taillé pour lui. Il a produit peu ou prou les mêmes statistiques en Ligue Adriatique et en Eurocup.\\n\\n12- Mathieu WOJCIECHOWSKI – 2,03m, 26 ans, Dabrowa Gornicza\\n\\nStats Pologne : 13,6 points, 59,5% aux tirs, 5,7 rebonds\\n\\nMalgré un indéniable potentiel, le Nordiste n’a pas réussi à s’imposer en LNB. Il avait été l’auteur d’une très bonne saison 2014-15 au Portel, en Pro B, qui avait retenu l’attention des recruteurs de Pro A au point que Limoges lui faisait signer un contrat de cinq ans. Mais, après deux saisons sans relief (1,8 point puis 3,4 points), il partait pour Bourg-en-Bresse, sans guère plus de réussite (4,0 points). À la dernière intersaison, le joueur formé à Gravelines-Dunkerque a alors pris la décision de migrer vers le pays de ses parents, la Pologne. Bien lui en a pris : à Dabrowa Gornicza (ville du sud de la Pologne), le sympathique Calaisien réussit une saison épatante, qui l’a même vu nommé MVP du mois de janvier.\\n\\n13- Jean-Michel MIPOKA – 1,98m, 33 ans, BCM Gravelines-Dunkerque\\n\\nStats Jeep Élite : 8,5 points, 33,3% à trois-points, 2,5 rebonds\\n\\nSans faire de bruit, le Toulousain vient de boucler sa 16e saison en LNB, dont 11 dans l’élite. Coéquipier modèle, capable d’évoluer sur les postes 3 et 4, plutôt adroit de loin (36,6% en carrière) même si la réussite n’a pas trop été au rendez-vous cette saison, celui qui fait partie des innombrables joueurs formés à Cholet produit bon an mal an des statistiques similaires d’une saison à l’autre. Sur les trois dernières saisons, à l’évaluation : 8,5, 8,4 et 7,9. Constant.\\n\\n14- Terry TARPEY – 1,96m, 25 ans, Le Mans MSB\\n\\nStats BCL : 4,7 points, 4,1 rebonds, 21,3 minutes\\n\\nTerry Tarpey III, fils de... Terry Tarpey II, Manceau entre 1995 et 1997, a connu une année 2018 pourrie par les blessures (genou, cuisse...). Entre retours parfois précipités et légitimes craintes de rechute, l’ancien de la fac NCAA de William & Mary n’a pu reproduire l’excellente saison précédente, avec des pourcentages en berne. Mais l’international A’ reste un chien en défense et un joueur suractif. Si sa santé le laisse en paix, il montrera ses réelles capacités la saison prochaine.\\n\\n15- Maxime COURBY – 2,03m, 28 ans, JL Bourg-en-Bresse\\n\\nStats Jeep Élite : 8,1 points, 44,9% à trois-points, 3,6 rebonds\\n\\nParfait joueur de collectif, « joueur de l’ombre », le champion d’Europe U20 en 2010 a dû passer par la case Pro B au sortir du centre de formation de Gravelines-Dunkerque pour s’imposer dans le monde professionnel. « Late bloomer » (à éclosion tardive, en français), il a attendu ses 23 ans et son passage à Rouen pour commencer à vraiment s’imposer avant de s’installer à Bourg-en-Bresse, où il vient d’achever sa quatrième saison. Une pièce importante du dispositif de Savo Vucevic, que Bourg cherche logiquement à prolonger.\\n\\n16- Digué DIAWARA – 2,05m, 20 ans, Élan Pau-Lacq-Orthez\\n\\nStats Jeep Élite : 5,6 points, 27,3% à trois-points, 2,5 rebonds\\n\\nAvouons-le, on pensait que la saison qui vient de se terminer serait celle de l’explosion pour l’athlétique ailier formé à l’Asvel. Mais, il faut le concéder, il nous a laissé sur notre faim. Explosif, il l’est. Talentueux, il le montre par moments. Mais sa propension à prendre des tirs inconsidérés ou à tenter des actions trop risquées ne s’est pas atténuée. Il doit gagner en maturité pour espérer s’imposer en Jeep Élite avant de vouloir viser plus haut.\\n\\n17- Pierre-Étienne DROUAULT – 1,94m, 28 ans, ESSM Le Portel\\n\\nStats Jeep Élite : 5,9 points, 28,7% à trois-points, 2,3 rebonds\\n\\nComme d’autres joueurs, ce Manceau pur jus a fait le choix de descendre dans des divisions inférieures à la sortie de son centre de formation (au Mans, bien sûr) pour s’affirmer. Bien lui en a pris : après une saison à Angers en N1 et quatre années en Pro B (Evreux et Saint-Quentin), il a pu retrouver la Pro A avec Cholet avant de passer en cours d’année à Boulazac, où il a commencé à montrer le bout de son nez. La saison porteloise de celui qui est un 2-3 montre la progression constante d’un joueur à qui il manque surtout un tir à trois-points.\\n\\n18- Jérôme SANCHEZ – 1,96m, 29 ans, Boulazac BD\\n\\nStats Jeep Élite : 5,0 points, 21,0% à trois-points, 2,8 rebonds\\n\\nFormé à Villeurbanne, le natif de Vénissieux a tenu pendant cinq ans à Bourg, entre Pro B et Pro A, le rôle qu’a ensuite rempli Maxime Courby, celui de l’ailier combatif, collectif, et défenseur. Parti en Dordogne il y a deux ans, il a continué sur sa lancée. Cette saison, il se montre un peu moins rentable statistiquement, évoluant dans un effectif plus dense, en rotation du fort US Travis Leslie. Son point faible reste l’adresse longue distance, avec 21% cette saison après le 16,5% de l’année précédente. On peut se dire qu’il y a progrès...\\n\\n19- Maxime ROOS – 2,02m, 24 ans, Levallois Metropolitans\\n\\nStats Jeep Élite : 4,9 points, 42,4% aux tirs, 2,1 rebonds\\n\\nNé à Clamart, formé à Paris-Levallois, Maxime Roos n’a fait qu’une saison d’infidélité à la région parisienne, en 2016-17, à Blois. Pour un résultat malheureux : atteint d’une sévère pubalgie, il ne joue pas un match de la saison. De retour au bercail, il a progressé petit à petit, au point d’être appelé en cours de saison par Vincent Collet comme partenaire d’entraînement de l’équipe de France.\\n\\n20- Lucas DUSSOULIER – 2,03m, 22 ans, Quimper\\n\\nStats Pro B : 12,1 points, 43,2% à trois-points, 15,6 d’évaluation\\n\\nTrop juste, à sa sortie du centre de formation de Pau-Lacq-Orthez, pour espérer jouer un rôle en Pro A, le Libournais de naissance est parti en Pro B, à Charleville-Mézières, parfaire son apprentissage. Après une bonne deuxième saison dans l’Est, il a rejoint la Bretagne, où il a explosé sous les ordres de Laurent Foirest. Adroit (50,6% aux tirs), présent dans tous les secteurs du jeu (5,0 rebonds et 2,8 passes), il présente la deuxième évaluation des joueurs français de la division. Il est attendu avec curiosité à l’étage supérieur.\\n\\nSuivent :\\n\\nAssane Ndoye, 2,00m, 22 ans, Élan Chalon-sur-Saône (Jeep Élite)\\n\\nTariq Kirksay, 1,98m, 39 ans, BYERS Fos-sur-Mer (Jeep Élite)\\n\\nPaul Rigot, 2,01m, 24 ans, Antibes Sharks (Jeep Élite)\\n\\nVafessa Fofana, 2,00m, 26 ans, Hermine de Nantes (Pro B)\\n\\nRémi Barry, 2,03m, 27 ans, AS Monaco (Jeep Élite)\\n\\nPhotos: FIBA, ASVEL, LNB, BCM, JL Bourg, BBD, Metropolitans\\n\\n[armelse]\\n\\n1- Nicolas BATUM – 2,03m, 30 ans, Charlotte Hornets\\n\\nStats NBA : 9,3 points, 45,0% aux tirs, 5,2 rebonds\\n\\nHormis l’adresse, toutes les statistiques du 25e choix de la draft 2008 sont en baisse par rapport à l’année passée : points, rebonds, passes, interceptions. Signataire en juillet 2016 d’un pharaonique contrat de 120 millions de dollars sur cinq ans, le natif de Lisieux a vu depuis son rendement régulièrement décroître. Il n’en reste pas moins un joueur complet en attaque comme en défense. Mais la déception gagne à Charlotte, qui a déjà songé à le transférer.\\n\\n2- Axel TOUPANE – 2,01m, 26 ans, Olympiakos\\n\\nStats Euroleague : 4,8 points, 36,1% à trois-points, 3,3 d’évaluation\\n\\nAprès une expérience ratée en NBA (25 matchs entre Denver, Milwaukee et La Nouvelle Orléans), l’enfant de la SIG Strasbourg est venu se relancer à l’Olympiakos, sous les ordres de David Blatt, après une année à Kaunas où Saras Jasikevicius a loué sa défense. 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Toujours fondamental au CSKA de par la justesse de ses choix, son shoot extérieur, ses pénétrations et son adresse robotique aux lancers. Réussir un tournoi au plus haut niveau mondial collectivement et individuellement est l’une des dernières lignes qui manquent à son CV. Son harmonie avec Thomas Heurtel et Evan Fournier sera indispensable si les Bleus veulent décrocher une médaille à la Coupe du Monde.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=3wgYChTWJA8\\n\\n2- Evan FOURNIER – 2,01m, 26 ans, Orlando Magic\\n\\nStats NBA : 15,1 points, 34,0% à trois-points, 80,6% aux lancers, 3,6 passes.\\n\\nC’est un évènement puisque c’est la première fois en sept saisons NBA que Evan Fournier présente une moyenne de points en régression (17,8 points en 2017-18) avec un taux de réussite dans les paniers primés pour la première fois sous la barre des 35%. Tout n’est pas statistiquement négatif puisque sa moyenne aux passes n’a jamais été aussi élevée. Surtout il n’avait plus fait les playoffs depuis son année de rookie à Denver. L’ancien Poitevin est à l’échelle internationale un attaquant hors pair, le fer de lance des Bleus à condition que tout l’entourage soit bien préparé à ça.\\n\\n3- Fabien CAUSEUR – 1,95m, 32 ans, Real Madrid\\n\\nStats Euroleague : 5,8 points, 41,5% à trois-points, 1,4 passe\\n\\nDeux années de suite le Breton a été brillant au Final Four de l’Euroleague. Sa productivité est immédiate en sortie de banc. Il peut jouer 2 ou 1, shooter de loin, driver, servir les autres. Surtout, il ne désespére pas quand le coach semble l’ignorer. Le joueur idéal d’une grande équipe -dix équipiers ont eu un temps de jeu supérieur au Real en Euroleague !-et il n’y a pas de raison que ce soit différent en bleu. L’équipe de France ? Fabien Causeur n’y a jamais tenu le rôle que ses capacités lui promettaient ; la faute à une cascade de pépins physiques.\\n\\n4- Edwin JACKSON – 1,90m, 29 ans, Buducnost Podgorica\\n\\nStats Euroleague: 9,8 points, 42,9% à trois-points, 85,0% aux lancers.\\n\\nSa carrière n’est pas un modèle de stabilité avec six clubs sur les cinq dernières années. Il avait montré ses dents longues à Estudiantes Madrid (23,1 points en moyenne, meilleur marqueur de la ligue ACB après avoir été celui de la Pro A trois ans auparavant) avant de rentrer dans le rang à Barcelone. A Podgorica, il a retrouvé des responsabilités avec 26’ de temps de jeu moyen en Euroleague pour une bonne productivité. Il est un peu l’opposé de Fabien Causeur dans le sens où il a besoin de temps de jeu et de la balle pour être à son affaire.\\n\\n5- Rodrigue BEAUBOIS – 1,88m, 31 ans, Anadolu Efes Istanbul\\n\\nStats Euroleague : 9,5 points, 40,0% à trois-points, 91,2% aux lancers, 2,3 passes\\n\\nSi un jour il faut désigner le meilleur joueur français qui n’a jamais porté le maillot national, on pensera au Guadeloupéen en priorité. En cause, la NBA, des blessures et... la concurrence. Oublié Dallas et la NBA (2009-13). L’ancien Choletais s’est reconstruit en Belgique et en France avant de tirer profit de son talent, en Espagne et en Turquie. Dans une équipe qualifiée pour le Final Four de l’Euroleague, ses stats sont un peu en baisse (12,4 pts à Vitoria mais c’est relatif). A apprécier son 124/138 (89,9%) aux lancers-francs en carrière en Euroleague.\\n\\n6- Paul LACOMBE – 1,95m, 29 ans, AS Monaco\\n\\nStats Eurocup : 11,0 points, 26,8% à trois-points, 5,2 rebonds, 2,3 passes, 1,3 interception\\n\\nPour beaucoup l’actuel meilleur joueur français de Jeep Elite. L’homme à tout faire, une énergie débordante. Peut mener le jeu et contester les rebonds aux intérieurs. Sa seule faiblesse reconnue c’est que son shoot extérieur n’est pas fiable. Le Monégasque a été aussi épatant avec l’équipe de France durant les matches de qualification à la Coupe du Monde. Il mérite d’être testé au plus vite à plus haut niveau et de gagner le titre de champion après cinq finales perdues.\\n\\n7- Yakuba OUATTARA – 1,90m, 27 ans, AS Monaco\\n\\nStats Eurocup: 10,4 points, 36,9% à trois-points, 3,4 rebonds\\n\\nSa tentative d’intégrer la NBA s’étant soldée par un échec, il est retourné à Monaco mais une blessure au mollet l’a laissé la saison dernière sur le flanc. Quand il est en pleine possession de ses moyens, ça fait mal. Rapide, tonique, aérien -deux fois vainqueur du concours de dunks du All-Star Game-, l’ancien MVP du championnat espoir possède aussi un tir à trois-points redoutable. Et comme Paul Lacombe, sa défense fait peur à tout le championnat. Une perle dans un roster français.\\n\\n8- Valentin BIGOTE – 1,96m, 27 ans, Le Mans SB\\n\\nStats BCL : 10,4 points, 33,9% à trois-points, 2,8 rebonds\\n\\nUne carrière qui s’est construite peu à peu puisque le frère cadet de Mathieu du CEP Lorient est passé par la case Pro B (Boulogne, Denain, Nantes) avant de s’épanouir à Dijon à 26 ans. Il a confirmé au Mans augmentant même sa productivité offensive. Aime shooter de loin, de très loin même, et aussi driver vers le cercle. Il peut être parfois irrésistible (30 points contre Antibes, 23 contre Pau) mais a foiré ses playoffs face à l’ASVEL (2,5 points et -1 d’éval en deux matches).\\n\\n9- Isaia CORDINIER – 1,96m, 22 ans, Sharks Antibes\\n\\nStats Jeep Elite : 10,6 points, 33,3% à trois-points, 3,9 rebonds, 2,2 passes\\n\\nIl a réalisé quelques coups d’éclat dans la deuxième moitié de saison, notamment en coupe de France contre Rouen ou face à Fos (28 points et 34 d’évaluation). Sa vitesse et sa détente ont alors fait merveille. Ce fils d’un ancien international de hand revient de loin, c’est-à-dire d’une saison blanche en raison de graves problèmes aux genoux. Il est donc en passe de confirmer la raison pour laquelle les Atlanta Hawks l’avaient drafté en 44e position en 2016. Nanterre doit lui servir de nouveau tremplin.\\n\\n10- Jeremy NZEULIE – 1,91m, 28 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 9,9 points, 40,9% aux tirs, 2,3 rebonds\\n\\nLa greffe n’a pas réellement prise à Strasbourg. L’enfant de Nanterre avait parfaitement réussi sa reconversion à Chalon avec un titre de champion de France et l’acquisition d’un nouveau statut grâce à ses qualités athlétiques, son culot et une bonne adresse de près comme de loin. L’adresse ? Le Franco-Camerounais a débuté sa saison par un 2/21 et encore un 16/62... Il s’est ensuite repris mais a terminé, à l’image de son équipe, sur une mauvaise note en playoffs (2/12 face à Dijon). De nouveaux équipiers lui permettront peut-être de retrouver la fameuse confiance.\\n\\n11- Axel BOUTEILLE – 2,00m, 24 ans, Limoges CSP\\n\\nStats Eurocup : 12,3 points, 55,7% à deux-points, 51,0% à trois-points, 3,9 rebonds\\n\\nLe Limougeaud est réputé pour être capable de passer un ballon dans le chas d’une aiguille pour marquer un panier. Son adresse générale (53,1%) en carrière en Jeep Elite est remarquable et il a fait monter celle à trois-points de 33,3% à 47,2% en un an. Il a marqué 13 fois 15 points et plus cette saison. Il a aussi fait le job en équipe de France avec 8,2 points en moyenne en 6 matches. Il lui reste à diversifier son jeu et notamment à être plus dur en défense.\\n\\n12- Nicolas LANG – 1,98m, 29 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 10,1 points, 60,7% à deux-points, 53,8% à trois-points, 85,7% aux lancers\\n\\nSa saison a été brusquement interrompue suite à une fracture du plateau tibial du genou gauche survenue lors d’un accident de la circulation. Il reste à connaître les conséquences à terme de cette blessure. L’Alsacien avait enregistré une très bonne passe entre la 25e et la 28e journée de Jeep Elite avec 16,7 points à 26/37 aux shoots. Son point (très) fort on le connaît : le shoot. L’un des plus purs de France. Sa faiblesse aussi : le manque de qualités athlétiques et les conséquences qui vont avec.\\n\\n13- Killian HAYES – 1,95m, 17 ans, Cholet Basket\\n\\nStats Jeep Elite: 7,1 points, 18,1% à trois-points, 2,3 rebonds, 3,1 passes, 0,9 interceptions\\n\\nLes attentes sont très élevées envers ce gaucher à la technique affirmée considéré comme le meilleur joueur européen né en 2001 et qui fut élu dans le cinq All-Stars du Mondial U17 à l’été 2018. Alors, c’est terrible à dire mais on est un peu déçu. Alors que son camarade de promo Théo Maledon a prouvé toute sa maturité à l’ASVEL, Killian a parfois souffert dans une équipe qui a dû lutter jusqu’au bout pour se maintenir. Est-il meneur ? Est-il deuxième arrière ? Son 14/77 à trois-points est évidemment à oublier au plus vite. Il n’y a pas de raison de ne plus croire en son étoile. Simplement, il faut un peu plus de temps que prévu pour qu’il s’accomplisse.\\n\\n14- Pape SY – 1,98m, 31 ans, Cholet Basket\\n\\nStats Jeep Elite:\\n\\n10,7 points, 30,2% à trois-points, 90,5% aux lancers, 4,4 rebonds\\n\\nLui aussi a dû dealer avec un contexte ambiant pas facile et cette saison, qui devait être celle de la renaissance après un séjour à Strasbourg miné par des douleurs au dos, a été mi-figue, mi-raisin. A l’image d’une carrière chaotique où il a semblé chercher le bon port d’attache. Sa puissance, son sens de la percussion et sa vitesse pour quelqu’un de sa taille avaient fait naître bien des espoirs -n’a-t-il pas joué quelques matches avec les Atlanta Hawks ?- qui se sont peu à peu éteints.\\n\\n15- Boris DALLO – 1,96m, 25 ans, SLUC Nancy\\n\\nStats Pro B: 6,0 points et 6,0 rebonds en 2 matches.\\n\\nPour son dernier match de la saison -la belle des quarts-de-finale de playoffs contre Saint-Chamond-, il s’est fendu de 18 points et 22 d’évaluation, prouvant qu’il avait un certain talent. Reste à savoir si sa trajectoire l’a favorisé. Pas facile de s’y retrouver depuis sa sortie de l’INSEP. Boris Dallo est un grand voyageur : Poitiers, le Partizan Belgrade, Antibes, la D-League, Panionios (statistiquement sa meilleure saison avec 7,5 points et 7,3 rebonds), l’Aris Salonique et donc le SLUC, le tout depuis 2012. Il est temps de se poser.\\n\\n16- Adam MOKOKA – 1,96m, 20 ans, KK Mega Bemax\\n\\nStats Adriatic League : 11,2 points, 38,2% aux tirs, 3,1 rebonds\\n\\nChampion d’Europe en U16 et en U18. Comme Boris Dallo, Adam Mokoka a choisi l’exil en Serbie après son trophée de Meilleur Jeune de la Jeep Elite avec comme objectif de se préparer à la draft NBA de cette année pour laquelle il s’est inscrit. Il a joué 27’ en moyenne soit le double de son temps de jeu à Gravelines. Un défenseur haut de gamme, athlétique, puissant avec une grande envergure. Ses progrès à trois-points sont significatifs (de 12,5% à 31,9% en deux ans). A confirmer.\\n\\n17- Benjamin SENE – 1,88m, 25 ans, BCM Gravelines-Dunkerque\\n\\nStats Jeep Elite: 7,2 points, 39,4% aux tirs, 4,1 passes\\n\\nL’ancien joueur du SLUC Nancy peut être classé comme 1 aussi bien que comme 2. Il a vu sa saison écourtée en raison d’une blessure aux adducteurs, ce qui a fortement perturbé un BCM qui a dû également composer avec les absences prolongées d’Edgar Sosa. Rapide, créatif, le Gravelinois est handicapé par une adresse fluctuante. Son pourcentage de réussite encore inférieur à 40% est tout de même son meilleur en carrière mais son rendement global a chuté vis-à-vis de la saison précédente.\\n\\n18- Bastien PINAULT – 1,96m, 25 ans, Elan Chalon\\n\\nStats Jeep Elite : 10,0 points, 42,1% à trois-points, 82,4% aux lancers\\n\\nUn tireur d’élite. Certes son adresse chiffrée à trois-points est en baisse si on la compare avec celle de la saison 2017-18 (de 52,4% à 42,1%) mais c’est en prenant près de deux fois plus de shoots (de 2,5 à 4,7 en moyenne). Normal, d’une place de remplaçant (9’), le Chalonnais est passé à celui de -presque- titulaire (20’). Bref, il n’est plus un gadget, celui qui doit prendre feu sitôt entré sur le terrain, mais un vrai joueur de Jeep Elite après être passé par la N1 (La Rochelle) et la Pro B (Evreux).\\n\\n19- Kevin HARLEY – 1,96m, 25 ans, Poitiers Basket 86\\n\\nStats Pro B : 14,7 points, 50,4% aux tirs, 4,5 rebonds, 3,2 passes\\n\\nKevin Harley s’est offert une promotion nationale en remportant le dernier concours de dunk du All-Star Game, ce qui en dit long sur ses qualités athlétiques. Mais il y a un autre endroit où cet arrière-meneur originaire de Trappes a fait un bond, c’est dans la hiérarchie de la Pro B, passant en un an de 7,7 à 15,2 d’évaluation. Cela lui a valu d’intégrer le cinq All-Stars de la saison de Pro B au milieu de quatre étrangers. Et c’est ainsi aussi qu’après 6 saisons dans l’anti-chambre dont 5 à Poitiers, il rejoint Boulazac et la Jeep Elite.\\n\\n20- Yannick BOKOLO – 1,91m, 34 ans, Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez\\n\\nStats Jeep Elite : 1,9 point, 29,5% aux tirs en 12’/match\\n\\nCinq saisons au Mans, six à Gravelines et de nouveau cinq à Pau. A l’heure probablement de sa retraite, on peut écrire que Yannick Bokolo fut un compagnon fidèle. Un féroce défenseur aussi. Il aura toujours eu un problème de positionnement. Un meneur, qu’il fut un temps en équipe de France, ou un deuxième arrière ? On ne le saura jamais vraiment. Peu importe le poste, son gros point noir aura été sa maladresse. 26% à trois-points et 52,8% aux lancers en carrière. Et encore un épouvantable 29,4% sur cette dernière saison paloise aux tirs du champ.\\n\\nSuivent...\\n\\nDamien Bouquet, 1,96m, 24 ans, Evreux (Pro B)Bathiste Tchouaffé, 1,97m, 21 ans, Bourg (Jeep Elite)Benjamin Monclar, 1,91m, 31 ans, Blois (Pro B)Abdou Mbaye, 1,89m, 30 ans, Fos (Jeep Elite)David Denave, 1,93m, 33 ans, Vichy-Clermont (Pro B)Gaetan Clerc, 1,89m, 28 ans, Caen (Pro B)\\n\\n[armelse]\\n\\n1- Nando DE COLO – 1,96m, 32 ans, CSKA Moscou\\n\\nStats Euroleague : 14,7 points, 43,1% à trois-points, 94,6% aux lancers, 3,4 passes.\\n\\nVainqueur de l’Euroleague pour la deuxième fois de sa carrière. Sa moyenne de points est la plus faible sur les quatre dernières années et s’explique notamment par un temps de jeu un peu en retrait. Toujours fondamental au CSKA de par la justesse de ses choix, son shoot extérieur, ses pénétrations et son adresse robotique aux lancers. Réussir un tournoi au plus haut niveau mondial collectivement et individuellement est l’une des dernières lignes qui manquent à son CV. Son harmonie avec Thomas Heurtel et Evan Fournier sera indispensable si les Bleus veulent décrocher une médaille à la Coupe du monde.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=3wgYChTWJA8\\n\\n2- Evan FOURNIER – 2,01m, 26 ans, Orlando Magic\\n\\nStats NBA : 15,1 points, 34,0% à trois-points, 80,6% aux lancers, 3,6 passes.\\n\\nC’est un évènement puisque c’est la première fois en sept saisons NBA que Evan Fournier présente une moyenne de points en régression (17,8 points en 2017-18) avec un taux de réussite dans les paniers primés pour la première fois sous la barre des 35%. Tout n’est pas statistiquement négatif puisque sa moyenne aux passes n’a jamais été aussi élevée. Surtout il n’avait plus fait les playoffs depuis son année de rookie à Denver. 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Mais pas facile après 17 saisons aux Spurs et trois titres NBA de se retrouver dans un rôle subalterne dans une équipe qui est exclue des playoffs.\\n\\n3- Andrew ALBICY – 1,78m, 29 ans, Morabanc Andorre\\n\\nStats Eurocup : 12,1 points, 43,1% aux tirs, 5,9 passes, 1,8 interceptions\\n\\nSort de sa troisième et dernière saison à Andorre. Sa meilleure aussi. Il a joué une demi-finale de l’Eurocup et a été élu dans le 5 All-star de la compétition. Un chien en défense (6e de l’ACB aux interceptions), bon passeur (5e de l’ACB) mais dont l’adresse extérieure n’a jamais été la qualité première. Son investissement en équipe de France lors des qualifications à la Coupe du monde a été apprécié ; il a été le seul des Bleus à participer aux 12 matches. Bref, à l’horizon de la trentaine, il confirme les espoirs placés en lui il y a une dizaine d’années. Rappel: il fut ainsi le MVP de l’Euro U20 en 2010.\\n\\n4- Léo WESTERMANN – 1,98m, 26 ans, Zalgiris Kaunas\\n\\nStats Euroleague : 6,4 points, 35,6% à deux-points, 42,0% à trois-points, 2,8 passes\\n\\nChacun loue sa haute taille pour un meneur, son QI Basket, sa bonne adresse au-delà des 6,75m mais aussi compatit avec ses pépins physiques à répétition. On se souvient qu’en octobre 2017, l’Alsacien avait reçu une béquille qui avait touché une artère et qu’il avait frôlé l’amputation avant de revenir sur les terrains en janvier. Cette saison, il a joué 27 des 34 matches d’Euroleague plus 35 dans la ligue lituanienne. Il n’a toutefois que le 7e temps de jeu et la 7e évaluation d’une équipe une nouvelle fois championne de Lituanie et encore une fois -de justesse- dans le top 8 européen.\\n\\n5- Frank NTILIKINA – 1,98m, 20 ans, New York Knicks\\n\\nStats NBA: 5,7 points, 33,7% aux tirs, 2,8 passes, 0,8 interception\\n\\nSa draft en 2017 avait provoqué un formidable buzz en France pour celui qui était considéré comme le meilleur junior européen de sa génération. Pensez, il était grand (1,98m), avec une envergure immense (2,16m), une tête bien faite, seulement 18 ans et les Knicks le draftaient en huitième position, un record national. Seulement, après deux ans d’exercice et des ouvertures, l’ancien Strasbourgeois n’a pas percé et sa place aux Knicks est menacée. Si l’on fait l’addition de son temps de jeu à la SIG et à New York, on s’aperçoit que « The French Prince » manque cruellement de vécu. De plus, son forfait pour favoriser une préparation individuelle à l’été 2018 l’a empêché de plus de mettre le pied à l’étrier avec les Bleus.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=JtwWetafdQI\\n\\n6- Elie OKOBO – 1,90m, 21 ans, Phoenix Suns\\n\\nStats NBA : 5,7 points, 39,3% aux tirs, 2,4 passes\\n\\nSigner un contrat de quatre saisons dont deux sont garanties pour un total de 6 millions de dollars est déjà une performance quand on est (tout en haut) au deuxième tour de la draft. Au final, le Bordelais a joué cette saison 53 matches en NBA et 9 en G-League où ses statistiques sont flatteuses -mais c’est un championnat si spécial : 18,1 points, 7,4 passes, 4,7 rebonds, mais seulement 29,4% de réussite à trois-points. En NBA, il a vécu une saison classique de rookie avec quelques étincelles (un record à 18 points, 7 passes, 5 rebonds) et beaucoup de sorties de banc. Encourageant.\\n\\n7- Antoine DIOT – 1,93m, 30 ans, Valence Basket\\n\\nStats Euroleague : 4,0 points, 77,8% aux tirs, 1,3 passe en 11’\\n\\nAprès ses problèmes d’hernie discale à l’époque du Mans qui avaient mis en péril sa carrière, le Bressan a connu une période d’indisponibilité de 444 jours suite à une série de blessures articulaires puis musculaires... avant d’être touché en janvier par une lésion aux ischio-jambiers de la cuisse gauche. Cette saison, Antoine Diot n’a joué que 8 matches d’Eurocup et le double en ACB. Valence a gagné l’Eurocup mais il n’a totalisé que 40 minutes. Tout ses avatars ont coûté très cher à la carrière de celui qui était parti pour être le boss de l’équipe de France de l’ère post-Parker.\\n\\n8- Théo MALEDON – 1,92m, 18 ans, LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\nStats Eurocup : 7,1 points, 82,6% aux lancers, 2,1 passes\\n\\nTout a été dit et écrit sur le Villeurbannais qui va fêter ses 18 ans le 12 de ce mois. Son talent intrinsèque et sa maturité sont exceptionnels. Il lit le jeu comme un vieux routier et sa solidité émotionnelle est impressionnante. Il a su gagner la confiance de son coach Zvzedan Mitrovic et c’est ainsi que ses temps de passage sont bien supérieurs à ceux de Frank Ntilikina à Strasbourg et même de Tony Parker à son époque parisienne. La saison prochaine en Euroleague doit lui permettre de passer un cap supplémentaire et d’envisager un rang très élevé dans la draft 2020. Il est attendu dans le top 5.\\n\\n9- Axel JULIEN – 1,85m, 26 ans, JDA Dijon\\n\\nStats BCL : 8,4 points, 35,2% aux tirs, 5,5 passes\\n\\nSa montée en régime a été progressive. MVP du championnat espoir en 2012, il a joué en Pro B et en Pro A avec Hyères-Toulon avant d’arriver à Dijon, il a été de l’équipe de France A’ avec Pascal Donnadieu avant d’être convoqué pour 8 matches en équipe de France à l’occasion des qualifications à la Coupe du monde (14’ et 5,6 d’évaluation en moyenne). C’est un combo guard athlétique que son coach Laurent Legname place souvent au côté de son MVP David Holtson. Il a fait des playoffs remarquables avec la JDA où son shoot à longue distance et aussi ses pénétrations furent une menace constante.\\n\\n10- Antoine EITO – 1,86m, 31 ans, Le Mans SB\\n\\nStats BCL : 7,9 points, 34,3% aux tirs, 3,9 passes, 1,2 interception\\n\\nC’est au Mans où il vient de conclure, en trois parties -et avec à chaque fois une halte à Orléans- une quatrième saison pleine plus quelques matches de playoffs et pour lequel il a re-signé jusqu’en 2022 que le Charentais a trouvé sa plénitude. Un homme de caractère apprécié pour ses commentaires pertinents qui est un crocodile en défense et dont les poussées d’adrénaline bonifient sa réussite à trois-points même si son adresse générale s’établit à un faible 35,4% en carrière. Meneur ou deuxième arrière, c’est selon. Faute d’être appelé en équipe de France 5×5, il va tenter cet été de gagner sa place chez les Bleus en 3×3.\\n\\n11 – David MICHINEAU – 1,91m, 24 ans, Levallois Metropolitans\\n\\nStats Jeep Elite : 11,1 points, 39,7% à trois-points, 3,0 rebonds, 2,9 passes\\n\\nEtre drafté par une franchise NBA (39e position en 2016 par New Orleans qui a ensuite cédé ses droits aux Clippers) fait que les regards se posent sur vous. Depuis l’ancien espoir de Chalon a changé trois fois de monture, passant à Hyères-Toulon, à Cholet puis à Levallois. Le séjour de l’Antillais dans le Maine-et-Loire n’avait pas été pleinement convaincant. A Levallois dans une cylindrée supérieure, ce combo athlétique a fait sensiblement mieux, son évaluation passant de 6,3 à 10,4. Il a notamment gagné en réussite à trois-points en atteignant 39,7% (+10,3%). Il doit s’affirmer comme un point guard.\\n\\n12- Jonathan ROUSSELLE – 1,95m, 29 ans, Limoges CSP\\n\\nStats Eurocup : 5,9 points, 54,5% à deux-points, 3,7 passes\\n\\nDécevant. Voici le qualificatif qui vient à l’esprit quand on évoque le séjour du Nordiste à Limoges. Ses prestations à Cholet avaient fait naître beaucoup d’espoirs mais il a été secoué par le parcours chaotique du CSP. Le changement de coach et l’arrivée de Jordan Taylor ont eu pour lui un effet négatif. Sur les 15 derniers matches, il n’a joué qu’une seule fois au moins 20 minutes contre 10 fois sur les 18 premiers matches. Son adresse à trois-points n’a jamais été aussi faible en pro. Ses 4 sélections hivernales en équipe de France sont une petite consolation.\\n\\n13- Benoît MANGIN – 1,89m, 30 ans, ESSM Le Portel–\\n\\nStats Jeep Elite : 9,8 points, 42,4% à trois-points, 88,0% aux lancers, 5,0 passes\\n\\nAu Portel depuis 2011, en Pro B puis en Jeep Elite, il fait preuve d’une rare fidélité à un club. Une blessure au pied qui avait nécessité une opération avait pourri sa saison 2017-18. Il s’est totalement requinqué effectuant sa meilleure saison parmi l’élite avec 11,8 d’évaluation et une progression en un an de 13% de réussite à trois-points prouvant qu’il a largement le niveau. Seuls Pierre-Etienne Drouault et lui seront encore à l’ESSM à la rentrée. Il en sera donc plus que jamais la pierre angulaire.\\n\\n14- Frédéric BOURDILLON – 1,93m, 28 ans, Hapoël Eilat\\n\\nStats Israël : 8,3 points, 56,6% aux tirs, 2,2 rebonds\\n\\nProfitant de sa double nationalité -il est juif par sa mère-, il a tenté l’aventure en Israël, d’abord au Maccabi Haifa et maintenant à l’Hapoël Eilat. Auparavant, il avait fait trois ans à l’INSEP, puis était passé par Antibes, Chalon, Charleville en N1, Rueil, avant un retour à Antibes. Eilat a terminé 4e de la saison régulière nationale et Frédéric Bourdillon a eu droit à 24’ de temps de jeu. De son équipe, c’est lui qui a pris le plus de shoots à trois-points (141) et qui en a réussi le plus (55), ce qui laisse deviner qu’il est autant un shooting guard qu’un meneur.\\n\\n\\n15- Edouard CHOQUET 1,88m, 31 ans, Fos Basket\\n\\nStats Jeep Elite : 7,3 points, 40,4% à trois-points, 5,1 passes\\n\\nFos a fait l’aller-retour Pro B/Jeep Elite mais son meneur de jeu ne peut être tenu comme responsable puisqu’il affiche pour cet exercice peu ou prou le même rendement que la saison précédente. Son adresse aux tirs est d’ailleurs quasiment la même en carrière dans les deux divisions. C’était la sixième saison en Provence pour ce natif de Limoges né en 1988 au moment où le CSP gagnait la Coupe des Coupes, qui s’était offert un intermède discret à l’ASVEL. A prouvé à travers des commentaires qu’il est un homme de conviction.\\n\\n16- Abdoulaye NDOYE – 1,91m, 21 ans, Cholet Basket\\n\\nStats Jeep Elite : 6,1 points, 46,1% aux tirs, 3,6 rebonds, 2,7 passes, 1,4 interception\\n\\nL’un des fruits de la fameuse école choletaise. Fils de Oumar, un ancien pro à Gravelines, Lorient et Nantes et qui fut un temps son coach au BCM. Un gros physique qui lui permet d’être polyvalent en défense en pouvant se mettre en travers des postes de 1 à 4. Son pourcentage de réussite, y compris à trois-points (38,4) s’est sensiblement amélioré depuis qu’il est passé pro. Abdou se présente à la prochaine draft NBA.\\n\\n17- Jean-Baptiste MAILLE – 1,90m, 25 ans, Rouen MB\\n\\nStats Pro B : 9,7 points, 28,4% à trois-points, 4,9 rebonds, 4,5 passes, 1,4 interception\\n\\nLe seul meneur de Pro B de notre top 20. Après sa saison à Fos-sur-Mer et un apprentissage au Portel et en N1, le Manceau d’origine avait de quoi faire sa place en Jeep Elite et c’est pourquoi Limoges l’avait signé comme backup. Seulement une rupture des croisés des ligaments du genou dès le mois d’août a mis tous ses plans par terre. Il n’est revenu en piste qu’en fin de saison et a dû repartir de presque zéro à Rouen. Beaucoup d’énergie, bon défenseur, un patron, qui a pris une large part dans l’excellente saison de Rouen.\\n\\n18- Ludovic BEYHURST – 1,72m, 20 ans, SIG Strasbourg\\n\\nStats BCL : 0,7 point, 1/16 aux tirs, 1,5 passe en 10’\\n\\nLa puce française de la Jeep Elite. L’avoir dans ses jambes est un calvaire. Enormément de culot. Il avait été l’une des révélations de la précédente saison. Son pourcentage de réussite à trois-points en Jeep Elite (39,5) est beaucoup plus satisfaisant même si son apport demeure modeste (2,6 points en 14 min/moy). La SIG lui a donné la possibilité d’avoir du temps de jeu alors qu’il n’est qu’un espoir mais la marche est haute et un transfert dans un club moins huppé pour gagner des responsabilités paraît s’imposer.\\n\\n19- Arthur ROZENFELD – 1,78m, 24 ans, JL Bourg\\n\\nStats Jeep Elite : 4,6 points, 38,9% aux tirs, 3,0 passes\\n\\nUn petit format comme Ludovic Beyhurst et comme lui il n’a pas froid aux yeux. Formé à l’ASVEL. Il y a deux ans à Roanne (14,5 points, 4,4 passes), il avait laissé deviner que la Pro B était trop étroite pour lui mais son séjour à Chalon (2,8 points en 11’) avait sonné comme un retour sur terre. Pour la première de ses deux années de contrat à Bourg où il se retrouve backup de Garrett Sim comme à Boulogne, il a augmenté sa productivité avec un temps de jeu plus conséquent de près de 15 minutes. Il a notamment retrouvé sa précision aux lancers (57/69).\\n\\n20- Rémi LESCA – 1,81m, 28 ans, Boulazac BD\\n\\nStats Jeep Elite : 5,3 points, 27,1% à trois-points, 54,4% aux lancers, 3,3 passes,\\n\\nLe Landais a la réputation d’un arrière hargneux, qui aime Beaublanc et son public qui le transcendent, et aussi qui met de « gros shoots ». Seulement son peu d’adresse au-delà de la ligne à 6,75m prouve qu’il n’a pas toujours de bonnes positions. Sans doute son manque de qualités athlétiques. Sa moyenne à l’évaluation (4,2) en 8 ans de carrière en Jeep Elite atteste de ses limites. Sa maladresse aux lancers est troublante quand on sait qu’il était à 20/22 à Châlons-Reims en 2014-15.\\n\\nSuivent:\\n\\nMathieu Guichard, 1,88m, 31 ans, Saint-Chamond (Pro B)Xavier Gaillou, 1,90m, 29 ans, Fos (Jeep Elite)\\n\\n[armelse]\\n\\n1- Thomas HEURTEL – 1,89m, 30 ans, FC Barcelone\\n\\nStats Euroleague : 10,4 points, 45,0 à trois-points, 4,8 passes\\n\\nSes 44 d’évaluation (22 points, 11 passes) face à Badalone en playoffs attestent que le Biterrois est en plein boom même si ses stats sur la saison régulière de l’ACB sont en légère régression vis-à-vis de l’exercice précédent. Entre Vitoria, Anadolu Efes et le Barça c’est la huitième saison au plus haut niveau de l’Euroleague pour lui et on peut le féliciter pour la construction de sa carrière. Il était catalogué comme un meneur fougueux, instinctif, il a su canaliser son énergie tout en conservant sa créativité. Il y a quatre ans, il était la révélation de la Coupe du Monde en l’absence de Tony Parker. Il est plus que jamais l’héritier du maître au poste 1.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=sEkYmbdnYeM\\n\\n2- Tony PARKER – 1,88m, 37 ans, Charlotte Hornets\\n\\nStats NBA: 9,5 points, 25,3% à trois-points, 3,7 passes\\n\\nLe meilleur joueur français de tous les temps vient d’annoncer qu’il prend sa retraite sportive. 37 ans est un bel âge pour ranger les baskets et se consacrer plus encore à son rôle de président de l’ASVEL. Même s’il n’a joué que 56 matches, aucun comme titulaire, aucun à partir du 17 mars, que sa réussite à trois-points est tombée de 41,5% à 21,5% en trois ans, sa production chiffrée aux Hornets n’est pas tout de même pas si vilaine. Mais pas facile après 17 saisons aux Spurs et trois titres NBA de se retrouver dans un rôle subalterne dans une équipe qui est exclue des playoffs.\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Euroleague, Eurocup, FIBA, Metropolitans, Fos B, LNB, Cholet Basket, BBD.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, »\\ntype= »show »][arm_setup id= »2′′\\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Limoges a déboursé plus d’un million d’euros en ruptures de contrat" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au Populaire, Yves Martinez, président du directoire, et Pierre Fargeaud, directeur administratif, juridique et financier, confirment que le Limoges CSP a dû débourser entre 1M€ et 1,2M€ dans des ruptures de contrat qui concernent selon le journaliste Matthieu Marot, les joueurs Mam Jaiteh, London Perrantes, Samardo Samuels, Fréjus Zerbo, les coches Kyle Milling, François Peronnet et Dominique Roinard, le directeur sportif Olivier Bourgain et le président Youri Verieras.\\n\\nA propos de François Peronnet, qui d’assistant de Kyle Milling, était passé head coach, Yves Martinez confirme qu’il ne savait pas que l’ancienne équipe dirigeante avait prolongé son contrat en cours de saison:\\n\\n« Je n’en avais jamais entendu parler avant de prendre la présidence. Il a été prolongé de deux ans en février avec un salaire doublé. Cela a été une surprise. Même si pour des raisons d’objectif François Peronnet n’était pas dans notre projet, on n’imaginait pas un seul instant le coût que son départ pouvait engendrer puisque nous pensions qu’il avait encore un an de contrat comme assistant. Ça changeait la donne... »\\n\\nEt à la question de savoir pourquoi le CSP a choisi de s’en séparer alors que ses résultats sur le terrain étaient corrects, il avance:\\n\\n« Il s’agit d’une décision de Céline Forte. On avait un projet axé sur les jeunes et au regard de ce qui s’est passé la saison dernière, on avait des doutes sur sa capacité à rentrer dans ce schéma. »\\n\\nFrançois Peronnet est devenu depuis l’assistant de Christian Monschau au SLUC Nancy, club qui a également recruté Youri Verieras comme Directeur Général." }, {"role": "user", "content":"Championnat du monde U19 féminin: La Belgique fait trembler les Etats-Unis !" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y a plus d’équipes européennes en course au championnat du monde féminin U19 puisque en demi-finale, l’Espagne a été éliminée par l’Australie (55-64) et la Belgique par les Etats-Unis (59-67).\\n\\nMais ne nous y trompons pas, c’est un véritable exploit qu’ont réalisé les Belges face aux Américaines qui sont aussi voraces en jeune que chez les adultes.\\n\\nLes Etats-Unis ont gagné les trois premiers quarts-temps (15-11, 18-15, 16-14) mais les Belges sont toujours restées dans la course et c’est alors que l’on pouvait croire qu’elles allaient payer leurs efforts qu’elles ont placé un coup d’accélérateur pour revenir au score et même mener, 59-58, à 3’16 de la fin sur deux lancers de Maxuella Mbaka. Les Américaines ont alors fait le nécessaire pour ne pas se prendre les baskets dans le tapis belge.\\n\\nLes Belges vont maintenant défier les Espagnoles pour la médaille de bronze mais on a déjà la preuve que la formation d’outre-Quiévrain est désormais d’excellence car ce n’est pas une performance isolée. L’équipe belge compte dans ses rangs une perle, la pivot Billie Massey (1,86m) appelée à rayonner en Europe et ailleurs comme Emma Meesseman le fait actuellement. Elle tourne à 15,6 points (54,9%), 14,4 rebonds et 2,6 contres depuis le début du tournoi.\\n\\nC’est toutefois l’ailière Maxuella Mbaka (1,78m) qui a été éblouissante au cours de cette demi-finale avec 21 points (9/16), 6 passes, 4 rebonds et 2 interceptions.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=O7V5tOzA4g8\\n\\n\\n.@mcl__31 was super impressive on her way to 21 points, almost leading @TheBelgianCats 🇧🇪 to the upset over USA! 👊 #FIBAU19 pic.twitter.com/H3W1jblZfQ\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 27, 2019\\n\\n\\nPhoto: Maxuella Mbaka" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: La France ouvre par une victoire sur la Slovénie, 66-52" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’elle est privée de ses deux moteurs, Théo Maledon et Killian Hayes, l’équipe de France U18 a débuté l’Euro à Volos, en Grèce, par une victoire sur la Slovénie (66-52) un peu longue à se dessiner en raison d’une maladresse chronique (35,7% avec un 2/13 pour Timothé Crusol et 3/10 pour Malcolm Cazalon).\\n\\nEntre pertes de balle (4) et surtout tirs mal ajustés (4/19), les Bleuets étaient menés 11-14 après dix minutes de jeu. C’est grâce à leur puissance physique illustrée par les 7 points et 6 rebonds en 14′ de Moussa Diabate (2,08m), les pénétrations tranchantes de Juhann Begarin (8 points) et leur ardeur défensive que les Français se constituaient un petit pécule avant la mi-temps (24-30).\\n\\nLongtemps freinée par les initiatives malheureuses de Malcolm Cazalon et une adresse qui avait du mal à être supérieure à 25%, l’équipe de France parvenait enfin à son donner un peu d’air (44-33, 18e) notamment grâce à une bonne série de Mathieu Gauzin.\\n\\nPas de quoi s’endormir sur ces quelques lauriers. Dominés physiquement, les Slovènes optimisaient leurs ressources et revenaient à 49-46. Mais leur défense aussi bien au sol qu’aérienne constitue une arme de premier choix pour les Bleuets qui finissaient sur un 13-3. Juhann Begarin (15 points à 6/10) et Mathieu Gauzin (13 points à 6/9) ont compensé en attaque les défaillances de certains de leurs équipiers.\\n\\nLa France affrontera demain la Grèce et lundi la Lettonie.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Juhann Begarin (FIBA)\\n\\n\\n.@malcolm_cazalon sends an early ankle-warning message 💯 #FIBAU18Europe@ffbasketball 🇫🇷\\n\\n📺 https://t.co/3BHsoTR1jr\\n📝 https://t.co/SI0sruUkmJ pic.twitter.com/txO7qIkqGa\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 27, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Ian Miller (ex-Gravelines) rejoint la Chorale de Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, la Chorale de Roanne fait appel à l’arrière américain Ian Miller (1,90m, 27 ans) que l’on a déjà vu en France, à Gravelines, pour 8 matches en 2018. Il avait alors réalisé 10,1 points, 3,9 passes et 2,5 rebonds en 23′ de jeu.\\n\\nIan Miller a par ailleurs joué dans les divisions inférieures italiennes et aussi en A1 avec Turin, au Kazakhstan, en Turquie, et il était la saison dernière en Israël, au Gilboa Galil pour 15,4 points (41,0% de réussite à trois-points), 2,7 passes et 2,4 rebonds en 29′ en moyenne.\\n\\n\\nIan Miller has signed in Jeep Elite with Chorale Roanne, a source told @Sportando.\\nMiller moves back to France after a season in Israel\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 27, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"L’ancien Burgien Trey Lewis arrive à Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière américain Trey Lewis (1,88m, 26 ans) est la nouvelle recrue du BCM Gravelines-Dunkerque annonce le club ce matin.\\n\\nTrey Lewis est connu en France pour avoir porté le maillot de Bourg-en-Bresse à partir de février 2018 et jusqu’à la fin de la saison, faisant parler la poudre: 17,2 points, 3,9 passes décisives et 3,2 rebonds de moyenne, avec notamment 37 points face à Chalon-sur-Saône.\\n\\nTrey Lewis a la particularité d’avoir fréquenté trois universités NCAA: Penn State, Cleveland State et Louisville. On l’a également vu en Allemagne et en G-League.\\n\\n« Trey Lewis est un joueur que le basket français a découvert lors de son passage à la JL Bourg sur la 2e partie de saison 2017/2018 et on peut dire qu’il avait été impressionnant, » commente le GM Romuald Coustre. « C’est un arrière aussi capable de se décaler au poste de meneur si besoin, ce qu’il a très bien fait à Bourg. C’est clairement le joueur d’impact que l’on recherchait sur les lignes arrières. On est ravis qu’après sa saison en G-League l’année dernière pour essayer de décrocher une place en NBA, il ait choisi le BCM pour son retour en Europe »." }, {"role": "user", "content":"VTB League: Buducnost signe Scott Wood (ex-Gravelines)" }, {"role": "assistant", "content":"Buducnost Voli annonce l’arrivée de l’ailier américain Scott Wood (2,00m, 29 ans). L’équipe du Monténégro est engagée en VTB League et en Eurocup.\\n\\nScott Wood sort d’une saison à 7,8 points, 3,2 rebonds et 1,4 passe avec le BCM Gravelines-Dunkerque. Il a pris 140 de ses 183 shoots à trois-points pour 44,3% de réussite.\\n\\nScott Wood a joué auparavant en Espagne, G-League et Turquie." }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Les Bleus se rassemblent ce week-end à l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"C’est ce week-end que les 15 pré-sélectionnés en équipe de France pour la Coupe du monde se retrouvent à l’INSEP, à Paris, où les attendent demain une visite médicale et lundi un point presse dans la matinée.\\n\\nLes Bleus ont un mois pour se préparer à la Coupe du monde qui débutera le 1er septembre et après le passage à Paris, ils prendront un avion pour Pau où sont au programme un stage d’une semaine et un premier match contre la Turquie.\\n\\nLes 15 pré-sélectionnés:\\n\\nPrénomNomNaiss.T.P.ClubAndrewALBICY19901,781St. PetersbourgNicolasBATUM19882,032/3Charlotte HornetsNandoDE COLO19871,961/2FenerbahçeEvanFOURNIER19921,992/3Orlando Magic RudyGOBERT19922,155Utah Jazz ThomasHEURTEL19891,881BarceloneLouisLABEYRIE19922,094/5ValencePaulLACOMBE19901,901/2?MathiasLESSORT19952,055MalagaTimothéLUWAWU-CABARROT19951,983Chicago BullsAmathM’BAYE19892,034/3Virtus BologneAdrienMOERMAN19882,004Anadolu Efes FrankNTILIKINA19981,981New York Knicks VincentPOIRIER19932,135Boston CelticsAxelTOUPANE19922,013?\\n\\nLes 2 partenaires d’entraînement:\\n\\nPrénomNomNaiss.T.P.ClubAlexandreCHASSANG19942,044/5DijonThéoMALEDON20011,911Villeurbanne\\n\\nLes 7 réservistes:\\n\\nPrénomNomNaiss.T.P.Club 2018-2019MoustaphaFALL19922,185AnkaraEdwinJACKSON19891,902VilleurbanneLahaouKONATE19911,962?ElieOKOBO19971.902Phoenix Suns YakubaOUATTARA19921,912/3MonacoLéoWESTERMANN19921,971FenerbahçeGuershonYABUSELE19952,034?\\n\\nStage à Pau du 29 juillet au 5 août\\n\\nPau – Palais des Sports\\nLundi 5 août à 20h30 – France-Turquie\\n\\nStage à Toulouse les 6 et 7 août\\n\\nToulouse – Palais des Sports\\nMercredi 7 août à 20h30 – France-Tunisie\\n\\nStage dans la métropole de Lyon du 11 au 17 août\\n\\nMétropole de Lyon – Astroballe Villeurbanne :\\nJeudi 15 août à 20h30 – France-Monténégro\\nVendredi 16 août à 20h30 – France-Brésil\\nSamedi 17 août à 20h30 – France-Argentine\\n\\nStage en Chine du 22 au 30 août\\n\\nShenyang (Chine)\\nSamedi 24 août – France-Nouvelle Zélande (19h30 heure locale)\\nDimanche 25 août – France-Italie (15h30 heure locale)\\nMardi 27 août – France-Serbie (19h30 heure locale)\\n\\nCoupe du Monde 2019 en Chine du 31 août au 15 septembre\\n\\n1er tour – Groupe G – Shenzhen\\nDimanche 1er septembre – France-Allemagne (20h30 heure locale)\\nMardi 3 septembre – Jordanie-France (20h30 heure locale)\\nJeudi 5 septembre – République Dominicaine-France (20h30 heure locale)\\n\\n2e tour – Groupe I – Nanjing – 7 au 9 septembre (sous réserve de qualification)\\n\\nPhoto: Evan Fournier (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Killian Hayes (Cholet): la piste de l’étranger" }, {"role": "assistant", "content":"Killian Hayes (1,95m) fête aujourd’hui son 18e anniversaire mais n’a toujours pas de club pour la saison prochaine.\\n\\nLimoges, Monaco et Nanterre se sont montrés tour à tour intéressés mais selon Le Courrier de l’Ouest s’est désormais vers l’étranger que se dirige l’arrière choletais.\\n\\nRappelons que Killian Hayes vient d’écoper par la FFBB d’une suspension de six semaines (du 20 septembre au 1er novembre) pour ne pas avoir accepté de se rendre en équipe de France U20 cet été.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"3×3: C’est le jour de l’Open de France à La Rochelle" }, {"role": "assistant", "content":"Ce samedi, sur l’Esplanade Eric Tabarly de La Rochelle, se tient l’Open de France de 3×3.\\n\\nL’Open de France voit s’affronter les meilleures teams du circuit Open Plus. Un ranking spécifique est appliqué, et ce, afin de préserver l’équité sportive entre les Opens Plus (les points gagnés au ranking FIBA pouvant être différents selon les Opens Plus).\\n\\nLes points et les prize money attribués sur les Opens Plus sont les suivants : – – 1 500 points pour l’équipe 1ère et 1 000 €\\n– 750 points pour l’équipe 2ème et 600 €\\n– 500 points pour les 3ème et 4ème et 200 €\\n\\n– 300 points pour les 5ème, 6ème, 7ème et 8ème\\n– 200 points pour les 9ème, 10ème, 11ème et 12ème\\n– Les équipes du tournoi de qualification marquent 100 points\\nEn cas d’égalité, les équipes seront départagées au nombre de participations aux Opens Plus puis au ranking FIBA.\\n\\nLes 9 meilleures équipes, au classement du circuit Open Plus, sont qualifiées pour le tournoi final de l’Open de France.\\nLes 8 équipes classées de la 10ème à la 17ème place sur le circuit Open Plus prennent part au tournoi qualificatif de l’Open de France 3×3.\\n\\nParmi ces 8 équipes, 2 seront qualifiées au tournoi final de l’Open de France. 1 wild card sera également accordée par la FFBB pour le tournoi final de l’Open de France.\\n\\nTournoi de qualification :\\n\\n– 8 équipes réparties en 2 poules de 4\\n– Les 2 premiers de chaque poule sont qualifiés pour les demi-finales – Les vainqueurs des demi-finales sont qualifiés pour le tournoi final.\\n\\nTournoi final :\\n\\n– 12 équipes réparties en 4 poules de 3\\n– Les 2 premiers de chaque poule sont qualifiés pour les quarts de finales – Quarts de finales, demi-finales et enfin finale.\\n\\nL’équipe masculine qui remportera la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF à La Rochelle participera à l’un des Masters européens, qualificatif pour la finale mondiale du FIBA 3×3 World Tour.\\n\\nUN DISPOSITIF MEDIA COMPLET\\n\\nÀ la suite du succès rencontré ces 3 dernières années, l’Open de France 3×3 sera de nouveau diffusé en direct sur internet (chaîne YouTube FFBB) ainsi que sur RMC Sport 2 à partir des demi-finales. Il fera l’objet d’une couverture complète sur les réseaux sociaux 3×3 de la FFBB.\\n\\nL’Open de France 3×3 2018 – les chiffres clés :\\n\\nSur Youtube :\\n7 heures de direct\\n156 000 minutes visionnées\\n\\nSur Twitter :\\n410 000 impressions des tweets 3×3\\n\\nSur Facebook :\\n580 000 impressions des publications 3×3, 370 000 personnes atteintes" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Direction Iraklis pour Jamal Shuler" }, {"role": "assistant", "content":"Jamal Shuler (1,92m, 33 ans), alias Jamal shooter, prend la direction de la Grèce et du BC Iraklis.\\n\\nJamal Shuler est bien connu en France pour avoir navigué entre Vichy (2010-11), Nancy (2011-12), Nanterre (2014-15 avec un titre de MVP de la finale de l’EuroChallenge et 2017-18) et Monaco (2015-15).\\n\\nIl était la saison dernière à l’Hapoel Tel Aviv pour 10,9 points, 2,8 rebonds et 2,2 passes.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Interview Ludovic Beyhurst (SIG Strasbourg) : «Je me donne trois ans pour être un meneur dominant en Jeep Elite»" }, {"role": "assistant", "content":"Micro-meneur de la SIG Strasbourg, Ludovic Beyhurst (1,72m, 20 ans) a signé son premier contrat professionnel l’été dernier. Bien installé dans la rotation de Vincent Collet avec quasiment 15 minutes par match en Jeep Elite, l’ancien pensionnaire de l’INSEP possède de belles ambitions. Entretien.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvez-vous toujours joué à Strasbourg ?\\n\\nNon, j’ai d’abord commencé dans le club de mon village près de Strasbourg. Je suis arrivé à la SIG pour jouer en minimes France, j’ai enchaîné sur trois ans à Paris, à l’INSEP, et ça fait maintenant trois ans que je suis revenu à Strasbourg.\\n\\nQuel est votre rythme actuel, faites-vous toujours des études ?\\n\\nNon j’ai arrêté mes études. J’ai eu mon baccalauréat ES et je ne fais plus que du basket maintenant.\\n\\nLa passerelle espoirs/pro n’est pas trop compliquée à gérer ?\\n\\nAu début c’est un peu compliqué, mais c’est vrai que pour moi ça s’est fait assez tôt. Ce n’était pas forcément prévu. Je faisais des bons matchs en Espoirs donc j’ai été intégré aux entrainements des pros et vu que ça se passait bien, j’ai pu jouer quelques minutes en pro. Une fois que je suis devenu vraiment dominant en Espoirs j’ai pu décrocher mon contrat professionnel et jouer quelques minutes la saison dernière ça m’a permis d’être prêt à vraiment me lancer complètement en tant que pro cette saison. Mais il y a quand même des niveaux d’écart, surtout en terme de vitesse, d’intensité et d’adresse. C’est vrai que ce n’est pas évident au début, mais on s’adapte.\\n\\nComment se passe votre saison personnellement ?\\n\\nJe pense pouvoir faire mieux. J’ai vraiment bien commencé la saison, comme l’équipe. J’ai ensuite eu un petit coup de mou, j’ai eu un mois et demi un peu compliqué où j’étais un peu moins bon et donc où je jouais du coup un peu moins. L’équipe a aussi vécu une phase un peu difficile avec beaucoup de défaites. Tout ça a fait que c’était un peu plus compliqué. Et la Leaders Cup m’a permis de revivre un peu, j’ai fait une demi et une finale très solide et l’équipe a gagné donc je me retrouve à nouveau dans une phase ascendante. Je dois travailler sur ma régularité dans mes performances.\\n\\nVous avez été amené à jouer plutôt souvent avec les blessures ou les absents, avez-vous été accompagné par Vincent Collet ?\\n\\nQuand on regarde, je joue en moyenne 14 minutes dans une grosse équipe. Ce n’est pas donné à tout le monde pour une première année en pro. C’est vraiment bien. Vincent joue un rôle important dans tout ça parce que c’est lui qui m’a donné la confiance dès le début même s’il fallait évidemment prouver le reste sur le terrain. Je lui dois beaucoup de crédit à la base et je suis bien entouré à Strasbourg. En tant que vétéran, Florent Pietrus est toujours là pour me donner des conseils et m’orienter sur le terrain parce qu’il connait bien le jeu que Vincent produit. C’est vraiment intéressant pour moi d’avoir Flo Pietrus et Vincent Collet qui m’entourent.\\n\\nAvec l’arrivée du nouveau meneur, Nate Sobey, comment allez-vous gérer la concurrence ? En avez-vous déjà parlé avec le coach ?\\n\\nOn n’en a pas parlé. Je vais faire mon taf et puis si je continue sur la même lancée que la Leaders Cup, il n’y a pas de raison que ça me pénalise. Je crois que c’est un arrière/meneur assez complet et qu’on sera amené à jouer ensemble. Je sais que je vais quand même avoir mes minutes et que je vais pouvoir montrer ce que je sais faire et ce sur quoi j’ai progressé. Je compte bien garder ce rythme-là et même faire mieux qu’au début de saison.\\n\\nComment vous sentez-vous sur le terrain, pas trop de pression ?\\n\\nSur les premiers matchs, forcément, c’était un peu de pression parce que c’était vraiment nouveau de jouer en pro. Il y a plus de monde dans les tribunes, il y a une pression de résultats parce que la SIG est une équipe ambitieuse qui a un besoin de résultat. Au fur et à mesure on prend de l’expérience et maintenant ça va. Les matchs je les aborde tous de la même façon et je les prends vraiment comme des challenges. Ce n’est pas quelque chose qui me met la pression plus que ça.\\n\\nComment vous sentez-vous dans le groupe ?\\n\\nJeune (rires) ! On a une équipe avec beaucoup de joueurs d’expérience donc c’est vrai que parfois dans le vestiaire c’est un peu bizarre parce qu’il n’y pas forcément les mêmes délires dans un groupe de jeunes que dans un groupe plus mature. Il faut s’adapter, mais je me sens bien ! J’ai de bonnes affinités avec des joueurs, mais une fois que tu fais tes preuves sur le terrain généralement le reste suit. Je n’ai pas à me plaindre !\\n\\nVous sentez-vous respecter sur le terrain ou les joueurs ont tendance à vous prendre pour le petit jeune ?\\n\\nMaintenant je commence à me sentir respecter. Comme je dis, j’ai quand même dans vraies minutes. Si je n’avais pas le niveau, je ne serais pas sur le terrain pour la SIG Strasbourg. Je me sens respecté par les adversaires.\\n\\n« Mes deux exemples sont vraiment Campazzo et donc David Holston. Ce sont les deux joueurs qui m’inspirent et que je regarde le plus. »\\n\\nOn peut voir que vous êtes très actif en défense, vous courrez beaucoup, c’est une façon d’essayer de compenser votre petite taille ?\\n\\nDisons que quand t’es jeune les premières choses que te demande ton coach c’est de bien défendre pour que l’équipe encaisse le moins de paniers possible. Donc au début tu dois faire ta place comme ça. En plus, je suis un meneur de petite taille, j’ai des qualités de vitesse qui sont faites pour la défense. Mais je n’aspire pas à devenir juste un joueur qui défend et qui court partout comme les gens le disent. Je veux aussi être un joueur présent en attaque, qui peut faire jouer l’équipe. Je pense que j’en suis capable parce que j’ai une assez bonne vision de jeu donc je compte bien m’améliorer et me montre plus offensivement et pas juste défensivement.\\n\\nSur quoi pensez-vous devoir progresser en priorité ?\\n\\nJe pense que je dois devenir plus agressif, comme je l’ai fait à la Leaders Cup, pour me permettre devenir plus scoreur. Ça m’a permis de me libérer mais aussi de libérer l’équipe parce que jouer avec un meneur agressif offre des opportunités aux autres. Je dois aussi travailler sur la régularité de mon shoot. Je suis capable de prendre des shoots, mais il faut que ça devienne un vrai point fort pour être une plus grosse menace.\\n\\nEst-ce qu’un joueur comme David Holston peut être un exemple pour vous ?\\n\\nCarrément ! C’est vraiment mon exemple. Je regarde justement beaucoup de vidéos de lui pour pouvoir m’inspirer de sa façon de jouer. Ça me montre vraiment le chemin à suivre et c’est cool pour moi de pouvoir jouer contre des joueurs comme ça. Il y a aussi Facundo Campazzo du Real Madrid. Il fait partie de ces petits meneurs qui ont un grain de folie particulier, sur la passe notamment. Mes deux exemples sont vraiment Campazzo et donc David Holston. Ce sont les deux joueurs qui m’inspirent et que je regarde le plus pour pouvoir progresser et atteindre mes objectifs.\\n\\n« J’ai aussi pour but de jouer en Equipe de France, ça serait vraiment un rêve »\\n\\nJusqu’à quand êtes-vous en contrat avec la SIG ?\\n\\nC’est sur 3 ans sous la forme d’un ans plus deux ans. Je termine cette année et j’ai deux ans en option. C’est le club qui choisira de me garder ou pas.\\n\\nComment voyez-vous la suite de votre carrière ?\\n\\nJ’aimerais devenir un joueur référencé en Jeep Elite et vraiment être un des meneurs dominants du championnat. Je me donne trois ans pour le faire. Ensuite j’ai envie de partir à l’étranger et m’épanouir dans un pays comme l’Espagne ou une équipe qui joue une grosse coupe d’Europe. J’ai aussi pour but de jouer en Equipe de France, ça serait vraiment un rêve.\\n\\nUn club vous ferait rêver ?\\n\\nLe Real Madrid... Ça fait vraiment rêver. Mais c’est vraiment compliqué d’y accéder donc je préfère faire étape par étape et mon premier objectif c’est d’être dominant d’ici trois ans en Jeep Elite.\\n\\n[armelse]\\n\\nAvez-vous toujours joué à Strasbourg ?\\n\\nNon, j’ai d’abord commencé dans le club de mon village près de Strasbourg. Je suis arrivé à la SIG pour jouer en minimes France, j’ai enchaîné sur trois ans à Paris, à l’INSEP, et ça fait maintenant trois ans que je suis revenu à Strasbourg.\\n\\nQuel est votre rythme actuel, faites-vous toujours des études ?\\n\\nNon j’ai arrêté mes études. J’ai eu mon baccalauréat ES et je ne fais plus que du basket maintenant.\\n\\nLa passerelle espoirs/pro n’est pas trop compliquée à gérer ?\\n\\nAu début c’est un peu compliqué, mais c’est vrai que pour moi ça s’est fait assez tôt. Ce n’était pas forcément prévu. Je faisais des bons matchs en Espoirs donc j’ai été intégré aux entrainements des pros et vu que ça se passait bien, j’ai pu jouer quelques minutes en pro. Une fois que je suis devenu vraiment dominant en Espoirs j’ai pu décrocher mon contrat professionnel et jouer quelques minutes la saison dernière ça m’a permis d’être prêt à vraiment me lancer complètement en tant que pro cette saison. Mais il y a quand même des niveaux d’écart, surtout en terme de vitesse, d’intensité et d’adresse. C’est vrai que ce n’est pas évident au début, mais on s’adapte.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine: le programme des 32e de finale dévoilé" }, {"role": "assistant", "content":"La Commission Compétitions de la FFBB a procédé hier au siège de la fédération à Paris au tirage au sort du premier tour de la Coupe de France féminine. Les rencontres auront lieu le vendredi 27 septembre à 20h00.\\n\\nLe vainqueur, l’US Orthez et le finaliste, le Pays Voironnais, du Trophée féminin 2019, participeront à ces 32e de finale en compagnie de 10 clubs de LF2.\\n\\nLe programme des 32e de finale\\n\\nVendredi 27 septembre 2019\\n\\nPays Voironnais BC (NF1) – Montbrison Féminines BC (LF2)\\n\\nUS Orthez Basket (NF1) – Toulouse Métropole Basket (LF2)\\n\\nSI Graffenstaden (LF2) – Reims Basket Féminin (LF2)\\n\\nBC La Tronche Meylan (LF2) – C’Chartres Basket Féminin (LF2)\\n\\nAS Aulnoye (LF2) – COB Calais (LF2)\\n\\nBCSP Rezé (LF2) – Angers UFAB 49 (LF2)\\n\\nDates des prochains tours de la Coupe de France\\n\\n\\nDate\\n\\nTour\\n\\n26/10/2019\\n\\n16e de\\nfinale\\n\\n14/12/2019\\n\\n8e de\\nfinale\\n\\n15/02/2020\\n\\nQuarts de\\nfinale\\n\\n16/02/2020\\n\\nDemi-finales\\n\\n25/04/2020\\n\\nFinale\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: Le budget de Limoges pour 2019-20 est inférieur de 30% au précédent" }, {"role": "assistant", "content":"Interrogé par Le Populaire, Pierre Fargeaud, membre du directoire du club et aussi son directeur administratif et juridique, informe que le budget que le Limoges CSP a mis sur pied pour 2019-20 est inférieur de 30 % à celui de la saison dernière. La masse salariale qui est encadrée tombe ainsi de 1,8 à 1,2M€. « Mais, pour le moment, la LNB nous autorise à dépenser 1,6 million d’euros brut. »\\n\\nDans l’optique d’avoir de nouvelles ressources, le CSP a déniché un partenariat pour son centre de formation et se lance dans l’Esport avec un nouveau sponsor. Il cherche aussi à se reprocher de la société Legrand qui a son siège en ville." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Denain se renforce avec Shawn King" }, {"role": "assistant", "content":"Denain marque un gros coup sur le marché des transferts en recrutant le vétéran Shawn King (2,07m, 37 ans) qui était encore très utile cette saison dans son club.\\n\\nPassé par Nancy, Le Havre et Gravelines, le MVP de Pologne 2017 va faire son retour en France dans le Nord de la France. La saison dernière, il évoluait dans un championnat qui lui réussit plutôt bien, le championnat polonais, sous les couleurs de Ostrów Wielkopolski. Il compilait en moyenne 10,6 points et 10,6 rebonds. En 2014/15, il avait terminé avec la meilleure évaluation de Pro A (19,7) avec le STB.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Jeremy Lin est la cible du CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Le CSKA Moscou veut débaucher l’arrière Jeremy Lin (1,91m, 30 ans), qui est free agent, a déclaré une source à Sportando.\\n\\nJeremy Lin est une célébrité mondiale tout particulièrement dans la communauté asiatique. Né en Californie, étudiant à la prestigieuse université d’Harvard, il est le premier joueur d’origine taïwanaise à jouer en NBA.\\n\\nEn février 2012, il conduit les New York Knicks à une inattendue série de victoires et gagne sa place de titulaire. La ferveur autour de ses performances est telle que les médias parlent de Linsanity. Grâce à sa popularité, il permet à la franchise newyorkaise de vendre davantage de places et de maillots. Seulement, en mars il se blesse à un genou et il doit se faire opérer à mettre un terme à sa saison.\\n\\nJeremy Lin a joué un total de 480 matches en NBA pour 11,6 points et 4,3 passes. En passant la saison dernière d’Atlanta à Toronto, il a pu s’offrir une bague de champion NBA mais avec seulement 8 matches en playoffs à 1,1 point en moyenne.\\n\\nLe CSKA Moscou est à la recherche d’arrières talentueux pour succéder à Nando De Colo et à l’Espagnol Chacho Rodriguez.\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jalen Riley nouveau meneur de Cholet" }, {"role": "assistant", "content":"Après Michael Stockton, Cholet vient d’annoncer l’arrivée d’un nouveau meneur, Jalen Riley (1,82m, 26 ans).\\n\\nPassé par la Slovaquie et l’Islande, le temps de six rencontres à chaque fois, c’est en Espagne en 2017/18 qu’i lance réellement sa carrière. La saison dernière, il évoluait à Palanga, en deuxième division lituanienne et enregistrait en moyenne 26,4 points, 4,5 rebonds, 3,7 passes décisives et 2 interceptions.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : D.Luksta" }, {"role": "user", "content":"Rafa Pueyo (Bilbao) à propos de Jonathan Rousselle: «Sa qualité et son expérience nous aideront dans de nombreux aspects du jeu»" }, {"role": "assistant", "content":"Limoges a officialisé hier soir le départ du meneur Jonathan Rousselle (1,95m, 29 ans) qui va prendre la direction de Bilbao comme l’a confirmé ce matin le club basque.\\n\\nJonathan Rousselle était arrivé de Cholet à l’été 2018 et malgré quelques bonnes séquences et six sélections supplémentaires en équipe de France, il n’a pas confirmé dans le Limousin les espoirs placés en lui.\\n\\nSes stats à Limoges en 2018-19: 4,9 points, 3,1 passes et 1,8 rebond.\\n\\n« C’est un joueur avec une grande expérience dans une ligue très compétitive comme est la française. Il domine le jeu de pick and roll, générant de bonnes options pour ses coéquipiers ou étant agressif. Il est également très efficace dans les tirs extérieurs et joue très bien la contre-attaque », commente le directeur sportif de Bilbao, Rafa Pueyo, ajoutant: « C’est un meneur avec une bonne attitude défensive capable de faire pression sur le meneur rival. Je pense que sa qualité et son expérience nous aideront dans de nombreux aspects du jeu. »\\n\\nLe Club Deportivo Basket Bilbao Berri était redescendu en 2018 en LEB après 14 ans au sommet et y retrouve sa place après une saison de purgatoire. Il y a quelques semaines, il a déjà attiré dans ses filets un autre Limougeaud, Axel Bouteille.\\n\\n\\nAlgunos nos han preguntado quién es Jonathan Rousselle. Limoges CSP vs Estrella Roja de la Eurocup 18/19. 67-71 a falta de menos de un minuto. Jo Rousselle sube el balón. La respuesta aquí 😎👇👇👇 pic.twitter.com/fUMUyRdDzs\\n\\n— Surne Bilbao Basket 😎 (@bilbaobasket) July 26, 2019\\n\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Ruphin Kayembe reste à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Sur son site, l’ALM Evreux annonce que Ruphin Kayembe (2,01m, 26 ans) honorera bien sa deuxième année de contrat.\\n\\nArrivé en France en 2015, cet intérieur congolais a d’abord passé deux saisons en NM1, à Challans puis à Souffelweyersheim. Il a ensuite rejoint l’ALM en 2017 pour une saison avant de prolonger pour deux ans au terme de son premier exercice (10,4 points et 5,8 rebonds pour 12,9 d’évaluation). Gêné par les blessures, le natif de Kinshasa n’a pu disputer que 20 rencontres la saison écoulée saison pour 11,1 points et 5,7 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest / ALM Evreux" }, {"role": "user", "content":"Team USA: Le grand chambardement" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a à ce jour dix forfaits pour la Coupe du monde par rapport à la liste initiale fournie par Team USA. Et dans la nouvelle liste de 17 joueurs que vient de dévoiler le comité de sélection, il n’y a plus que cinq All-Stars: Andre Drummond, Brook Lopez, Kyle Lowry, Khris Middleton, et Kemba Walker.\\n\\nJames Harden et Eric Gordon des Houston Rockets, Damian Lillard et CJ McCollum des Portland Trail Blazers, Anthony Davis des Los Angeles Lakers, Zion Williamson des New Orleans Pelicans, Bradley Beal des Washinton Wizards, Tobias Harris des Philadelphia 76ers, DeMar DeRozan des San Antonio Spurs et Kevin Love des Cleveland Cavaliers se sont retirés de la pré-sélection invoquant généralement le désir de « préparer la prochaine saison NBA ». Sachant que des superstars comme LeBron James des Los Angeles Lakers, Kawhi Leonard des Los Angeles Clippers et Stephen Curry des Golden State Warriors ne figuraient pas sur la liste préliminaire.\\n\\nViennent d’être ajoutés à la liste des 17, Jaylen Brown, Montrezl Harrell, Mason Plumlee, Julius Randle, Marcus Smart et Thaddeus Young. On imagine le branle-bas de combat qui a agité ces derniers jours le comité de sélection américain même si le boss de Team USA, Jerry Colangelo assure que les backups ne sont pas du menu fretin.\\n\\n« Les six joueurs que nous avons ajoutés aujourd’hui sont tous des joueurs exceptionnels et, avec les autres joueurs qui participeront au camp d’entraînement de la Coupe du Monde, ils offriront à l’entraîneur Popovich et à son personnel des qualités athlétiques et une polyvalence remarquables. »\\n\\nPrécédemment, Jerry Colangelo avait assuré à The Athletic que la situation est maîtrisée:\\n\\n« Nous avons la chance d’avoir beaucoup de talents, beaucoup de talents en NBA. Il n’y a pas de panique. Ce sera peut-être plus difficile, mais nous pourrons former une équipe très compétitive. Nous avons eu des joueurs qui nous ont appelés qui veulent être sur notre liste. Ce que j’ai toujours dit, c’est que nous avons une liste initiale et qu’elle est souple. Je ne suis surpris par aucune des défections. »\\n\\nDans une déclaration officielle, il a ajouté:\\n\\n« USA Basketball cherche à sélectionner la meilleure équipe possible pour la Coupe du Monde FIBA alors que nous tentons de remporter une troisième médaille d’or consécutive. Nous avons une liste complète de garçons qui ont joué pour USA Basketball et qui ont déjà participé à des événements FIBA, ils comprennent la compétitivité du basketball FIBA et ont du respect pour les autres équipes nationales. Nous sommes impatients de présenter les joueurs sélectionnés à la Coupe du monde FIBA et de leur offrir l’expérience incroyable de représenter leur pays dans l’une des plus importantes compétitions de basketball au monde. «\\n\\nOn remarque tout de même que vis à vis de la liste de 35 joueurs établie en avril 2018 seulement... 6 sont encore présents !\\n\\nArrières: Kyle Lowry (1,85m, 33 ans, Toronto Raptors), Donavan Mitchell (1,90m, 22 ans, Utah Jazz), Marcus Smart (1,92m, 25 ans, Boston Celtics), Kemba Walker (1,85m, 29 ans, Boston Celtics).\\n\\nAiliers: Harrison Barnes (2,03m, 27 ans, Sacramento Kings), Jaylen Brown (2,05m, 22 ans, Boston Celtics), Montrzl Harrell (2,03m, 25 ans, LA Clippers), Kyle Kuzma (2,06m, 24 ans, LA Lakers), Khris Middlelton (2,03m, 27 ans, Milwaukee Bucks), Julius Randle (2,06m, 24 ans, New York Knicks), Jayson Tatum (2,03m, 21 ans, Boston Celtics), PJ Tucker (1,98m, 34 ans, Houston Rockets), Thaddeus Young (2,03m, 31 ans, Chicago Bulls).\\n\\nPivots: Andre Drummond (2,11m, 25 ans, Detroit Pistons), Brook Lopez (2,13m, 31 ans, Milwaukee Bucks), Macon Plumlee (2,11m, 29 ans, Denver Nuggets), Myles Turner (2,11m, 23 ans, Indiana Pacers).\\n\\nLa fédération américaine a également annoncé la composition de la « Select Team » qui servira de « sparring partner » à l’entraînement, mais aussi lors d’un match amical le 9 août à Las Vegas.\\n\\nMeneurs : Trae Young, De’Aaron Fox, Jalen Brunson\\nExtérieurs : Joe Harris, Mikal Bridges, Derrick White, Pat Connaughton, Landry Shamet\\nIntérieurs : John Collins, Jarrett Allen, Marvin Bagley, Jonathan Isaac, Mitchell Robinson.\\n\\nAprès le camp de Las Vegas, les pré-sélectionnés auront droit à une courte pause avant de se réunir à Los Angeles du 13 au 15 août et de disputer un match de préparation face à l’Espagne au Honda Center à Anaheim le 16 août.\\n\\nLa liste officielle des 12 membres de l’équipe pour la Coupe du monde sera dévoilée le 17 août. L’équipe américaine poursuivra sa préparation à Melbourne, en Australie, du 19 au 24 août. Elle disputera deux matchs avec l’Australie, les 22 et 24 août au Marvel Stadium. Elle restera en Australie, à Sydney, du 25 au 28 août avec un match le 26 août face au Canada à l’aréna Qudos Bank.\\n\\nPhoto: Gregg Popovich, USA Basketball" }, {"role": "user", "content":"Championnat du monde U19 féminine: Les Américaines se fâchent !" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement se déroule en Thaïlande le championnat du monde U19 féminin pour lequel l’équipe de France n’est pas qualifiée. Nous en sommes au stade des quarts-de-finale.\\n\\nGrandissimes favorites, les Américaines avaient jusqu’ici fait le job (+ 23 contre l’Australie, +22 contre la Corée, +45 contre la Hongrie et... seulement +18 contre l’Allemagne) mais maintenant qu’elles sont au stade des matchs à élimination directe, elles ont mis le turbo face au Canada.\\n\\nCe n’est pas tant le score final qui est impressionnant (81-46, +35) mais davantage encore les difficultés rencontrées par les Canadiennes pour trouver en première mi-temps l’accès au panier de leurs voisines américaines: 9 points dans le premier quart et 7 dans le deuxième. Il y a eu ensuite un peu de « laxisme » du côté de Team USA même si le Canada termine à 30% de réussite aux tirs alors que les Américaines ont chipé 13 ballons et dominé 33 à 18 au rebond.\\n\\nOn plaint leur prochain adversaire, la Belgique ou le Japon.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : le prospect Juhann Begarin au Paris Basketball" }, {"role": "assistant", "content":"Après Milan Barbitch, le Paris Basketball recrute Juhann Begarin (1,94m, 16 ans) en provenance de l’INSEP.\\n\\nAu Centre Federal depuis deux ans, ce poste 1/2 qui fait partie des grands espoirs du basket français lancera donc sa carrière en professionnel non loin de là, à Paris. Suivi par de nombreux clubs, il a choisi le projet de Jean-Christophe Prat et de l’ambitieux club parisien qui vient de recruter coup sur coup Amara Sy et Nobel Boungou-Colo.\\n\\nCette saison, Juhann Begarin compilait en moyenne 10,6 points, 3,5 rebonds et 1,9 interception en NM1.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Notre sondage : la sanction contre Killian Hayes est-elle justifiée ?" }, {"role": "assistant", "content":"Killian Hayes (1,95m, 18 ans) a refusé sa sélection en Equipe de France U20 préférant se préparer individuellement aux Etats-Unis pour sa prochaine saison en Europe avant probablement d’être drafté en NBA. Surtout, il n’aurait pas respecté le protocole fédéral. Par conséquent, le meneur de jeu a été suspendu 6 semaines par la FFBB, du 20 septembre au 1er novembre 2019. Sauf s’il gagne en appel, le joueur ne pourra pas ainsi participer aux six premières journées de Jeep Elite. Trouvez-vous cela justifié ?\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Interview Julie Allemand (Lyon ASVEL), la petite Belge qui monte: «Avec les résultats que l’on fait cette année, on sent qu’il y a un engouement»" }, {"role": "assistant", "content":"N’allez pas croire la date de naissance indiquée sur ses papiers d’identité. Balle en main comme dans une conversation, la meneuse belge Julie Allemand possède une maturité bien supérieure à ses 22 ans. Meilleure passeuse à la dernière Coupe du monde, elle a fait partie des Belgian Cats qui ont bousculé les Bleues en quart-de-finale et sa valeur ne fait qu’augmenter à chaque sortie avec l’équipe de Lyon ASVEL Féminin actuellement en tête de la Ligue Féminine. Une crème à l’interview la Liégeoise.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLorsque l’équipe de Belgique a été éliminée par la France à la Coupe du Monde de football, vous vous êtes fait chambrer par SMS par vos équipières françaises de Lyon ?\\n\\nTout à fait. Depuis la première saison où je suis arrivée à Lyon, j’étais considérée comme la Belge et on se charrie toujours un petit peu et évidemment quand la France a gagné à la Coupe du monde, j’ai reçu des messages. J’avais dit que je prendrai ma revanche au championnat du monde. Et l’occasion est arrivée puisqu’on a pu jouer contre la France en quart-de-finale.\\n\\nVous les avez chambré à votre tour ?\\n\\nOui. On donnait le match chez vous sur Canal+ Sport et on m’avait demandé de faire une interview après match. J’avais dit que j’avais pris ma revanche par rapport à Paoline Salagnac qui était dans mon équipe. J’avais dit que comme ça c’était 1-1 !\\n\\nVous avez été surprises par la passivité des Françaises lors de ce match ?\\n\\nOn formait vraiment un groupe avec l’équipe belge, on était sur un nuage depuis le début du tournoi et peu importe l’équipe que l’on affrontait, on se donnait à fond. Dès le début de match, on était dedans et on a vu que les Françaises passaient à côté de leur match. On l’avait vraiment bien préparé et on les a mis en difficulté. Je reste persuadée qu’elles avaient un peu trop de confiance. J’avais entendu dire qu’elles étaient contentes de jouer contre nous, que c’était mieux que d’affronter une autre équipe. Elles n’étaient peut-être pas focus à 100% comme elles auraient dû l’être. On a créé la surprise et dès que l’on a pris l’avantage, on a voulu creuser l’écart. C’est toujours particulier pour nous de jouer contre la France. C’est un match encore un peu plus intéressant que l’on a envie de gagner. On a eu pas mal de réussite alors qu’elles étaient vraiment en difficulté.\\n\\nEtes-vous d’accord pour dire que les Français ont toujours en général un complexe de supériorité vis-à-vis des Belges ?\\n\\nOui, je suis d’accord (rires).\\n\\nEt que vous, à l’inverse, vous avez un petit complexe d’infériorité en disant toujours que vous êtes un petit pays ?\\n\\nJe pense aussi, ça a toujours été comme ça. Mais si on se retrouve confronté en juin à la France (NDLR : à l’EuroBasket), on ne va jamais se sentir comme ça et la France ne va pas avoir ce sentiment de supériorité. Ça sera égal. Mais, oui, de manière générale, je suis d’accord. Quand on joue en jeune, on se dit « c’est la France ! Nous, on est un petit pays ». En France, il y a plus de chances d’avoir des talents car il y a plus de joueuses.\\n\\nAnn Wauters a-t-elle joué un rôle fondamental dans la prise de conscience de vos capacités ?\\n\\nTout à fait. Ce n’est pas facile car on ne savait pas si elle allait pouvoir jouer ou rester sur le côté. Son genou n’était pas dans un état extraordinaire et on a n’a pas pu l’avoir comme on voulait durant ce championnat du monde (NDLR : 12’ de temps de jeu par match pour 3,7 points et 2,2 rebonds). On avait besoin d’elle et elle a joué un rôle sur le côté. On n’aurait pas fait le même championnat du monde si elle n’avait pas été là. Elle était toujours là pour nous rappeler certaines choses, avant, pendant et après le match. Avoir une joueuse comme ça, même si elle ne joue pas, c’est super important.\\n\\nOù en est-elle actuellement ? Sera-t-elle présente cet été au championnat d’Europe ?\\n\\nElle n’a toujours pas joué cette saison ci et je pense qu’elle ne jouera pas. Son objectif est d’être prête pour le championnat d’Europe. Elle travaille avec les kinés pour sa rééducation mais ce n’est pas facile du tout surtout qu’elle est âgée maintenant (NDLR : 38 ans) et elle a du mal pour revenir. On sait aussi que son objectif, c’est de participer aux Jeux Olympiques. Je pense qu’elle sera toujours à nos côtés pour nous pousser pour se qualifier aux Jeux Olympiques et là, je pense qu’elle donnera tout pour pouvoir jouer.\\n\\nVous avez terminé meilleure passeuse de cette coupe du monde (8,2 pds/moy). C’est un résultat individuel de rêve pour une meneuse surtout aussi jeune ?\\n\\nCe n’était pas attendu. Quand je participe à un championnat du monde, je ne pense pas à des prestations individuelles et plutôt au groupe. Surtout pour une meneuse qui pense à gérer l’équipe et aller le plus loin possible. Ça s’est tellement bien passé que c’est plutôt une récompense. C’était chouette. J’étais à la fois contente et surprise car ce n’était pas un objectif que je m’étais fixée. A part les matches pour les qualifications du championnat d’Europe, je n’avais pas encore fait de compétition avec l’équipe nationale. Il ne faut pas non plus rester là-dessus. C’était plus facile car je n’étais pas non plus connue. Faire ça une deuxième fois, ça ne sera pas facile car à partir du moment où les personnes te connaissent, elles peuvent plus facilement te contrer. J’étais peut-être un peu la surprise au niveau du championnat, c’était un bon moment, mais c’est l’équipe qui m’intéresse.\\n\\n« Sans me vanter, quand j’étais petite, j’étais déjà forte et j’étais grande. Je ne sentais pas vraiment de différence contre les garçons »\\n\\nAvec Emma Meesseman et Julie Vanloo, la Belgique a été championne d’Europe U18 et quatrième au Mondial cadettes. C’est cette génération qui a initié le succès. C’est le fruit de structures fédérales ou de clubs, d’un grand pas vers plus de professionnalisme ?\\n\\nOn avait vraiment un groupe et tout le staff, la fédération belge, a essayé de grandir et de mettre tous les moyens de notre côté pour obtenir des résultats. C’est tout le monde qui grandi en même temps. On a une génération de folie et on sait qu’une fois où elle sera passée, la Belgique ne sera plus au même niveau. C’est pour ça qu’il faut que l’on en profite en ce moment, tout donner et créer des exploits. Le basket féminin a évolué ces dernières années mais quand on voit le championnat belge, c’est très faible. La force de notre équipe c’est d’avoir beaucoup de joueuses à l’étranger et qui progressent là-bas.\\n\\nA quel âge avez-vous joué la première fois en Première Division belge ?\\n\\nA 15 ans, j’étais en double affiliation avec un club de première division (Point Chaud Sprimont) et mon premier club de jeune (BC Alleur).\\n\\nVous avez été précoce, donc toujours habituée à vivre avec des filles plus vieilles que vous ?\\n\\nSouvent. Toute petite, je jouais avec des garçons qui avaient toujours un ou deux ans de plus que moi. Quand je suis passée en filles, j’étais aussi avec des plus âgées. C’est pour ça que j’ai pu grandir assez vite. Contrairement à d’autres joueuses, je ne suis pas allée dans un centre de formation. A partir de 15 ans, j’ai joué dans une équipe semi-pro pendant trois ans avec pas mal de jeunes mais aussi des filles plus expérimentées. Je suis ensuite partie trois ans à Braine. J’avais 17 ans et j’étais avec des professionnelles plus âgées. J’ai du apprendre. C’était une force pour moi de pouvoir côtoyer des joueuses qui avaient une méthode de travail, une expérience. La première année à Braine, c’était un coach letton et il était difficile avec moi. La première année, je n’étais pas professionnelle, je faisais des études et il me les a fait arrêter. C’était invivable avec lui car dès que l’on n’allait pas à un entraînement, même le shooting le jour du match, on ne jouait pas le match. Il avait du mal à comprendre les études. Je n’étais pas bien, j’avais raté mes examens, je n’arrivais pas à m’épanouir. Et quand j’ai fait le choix d’arrêter les études, c’est sûr que ma saison s’est bien passée. Du coup, il a eu confiance en moi et en Eurocup, j’avais 20’ de temps de jeu. C’est là que l’on a joué la finale contre Villeneuve.\\n\\nEst-ce un conseil que vous donneriez à des jeunes filles de jouer contre des garçons ? C’est profitable ou trop dur ?\\n\\nQuand on est jeune, on ne s’en rend pas compte... Sans me vanter, quand j’étais petite, j’étais déjà forte et j’étais grande. Je ne sentais pas vraiment de différence contre les garçons. Si petite j’avais joué contre des filles ça aurait été différent alors, oui, c’est une bonne idée quand on peut de jouer contre des garçons. Je suis persuadée que même maintenant, ça l’est. Dans les camps WNBA, ils font jouer les filles contre les garçons. Ça joue tellement plus physique qu’au final tu es mieux préparée. Après, en match, c’est plus facile.\\n\\nVous aviez aussi des qualités athlétiques, une puissance musculaire importante ?\\n\\nOui, dès petite mais je ne les travaillais pas spécialement. J’ai appris qu’il ne faut pas travailler que ses défauts mais aussi ses qualités. C’est là que l’on a confiance en soi, que l’on peut les utiliser à 100%. Je les travaille vraiment pour être à l’aise sur les terrains.\\n\\nEn 2015, vous avez donc disputé la finale de l’Eurocup face à Villeneuve d’Ascq. Vous avez remporté le match aller en France (64-68) et vous avez été battu au retour à Charleroi (53-73). Qu’est-ce qui s’est passé pour expliquer ce résultat contradictoire ?\\n\\nIl y a eu un sentiment de confiance d’être allé gagner à Villeneuve de quatre points. On s’y attendait tellement pas que je pense que l’on est arrivé au match retour en pensant que ça serait facile. On savait que la salle allait être remplie, que ça allait être full supporters pour nous, et je pense que le problème c’est qu’on avait déjà gagné la coupe d’Europe. On avait eu des cameramen sur nous tout le temps, durant la journée, dans le vestiaire, en sortant du vestiaire et on n’était pas habitué à ça. Je pense que c’était une erreur du club d’avoir permis ça. On n’était pas du tout concentré...\\n\\nC’est aussi le fait de jouer au Spiroudome devant 6.500 spectateurs, 140 journalistes et 100.000 téléspectateurs qui vous a mis la pression ?\\n\\nOui, on était vraiment stressé. On pensait que ça allait tomber tout cuit et on est passé à côté. On a eu un pourcentage de réussite catastrophique. Il n’y a pas une joueuse qui a réussi à tirer l’équipe alors que par contre Villeneuve est arrivé en mode guerrières après avoir perdu chez elles.\\n\\n« C’était vraiment osé de faire ça surtout à son âge. Ça prouve qu’elle a du caractère. Je suis un peu triste qu’elle ne l’ait pas mis car ça aurait fait le tour de la France et des autres pays »\\n\\nLe fait que Tony Parker ait repris le club de Lyon a-t-il été un élément décisif dans votre choix de venir ici ?\\n\\nOui dans le sens qu’il m’a appelé, c’est flatteur, il m’a expliqué le projet, qu’ivoulait m’avoir comme joueuse. Tu prends en compte tout ça. Mais mon réel choix de venir à Lyon c’est que le coach (Valéry Demory) me voulait. Je pars du principe que si le président me veut mais que le coach ne m’aime pas, ça ne sert pas à grand-chose. Le coach voulait me faire grandir encore, il savait que j’avais encore deux ou trois étapes à passer et jusqu’à présent ça s’est vraiment bien passé. Je sais que je peux avoir confiance en lui, qu’il a confiance en moi.\\n\\nVous connaissiez sa carrière quand il vous a appelée ?\\n\\nPas du tout ! Il était à la base à Montpellier et mon agent m’avait dit que je pouvais aller là-bas. C’est ensuite que l’on m’a dit, « changement de plan, c’est plutôt Lyon ». C’était donc plutôt pour le coach. Je voulais partir à l’étranger et ça se jouait entre la Russie et la France. Je savais que le championnat français est très bon et que tout le monde peut gagner contre tout le monde. Et pour une première étape à l’étranger, Lyon c’est bien car ce n’est pas très loin. Mes parents viennent presque une semaine sur deux.\\n\\nPour une Liégeoise, il n’y a pas beaucoup de dépaysement de venir à Lyon ?\\n\\nHonnêtement, non. On me charrie pas mal pour mon accent mais c’est la même langue. Il a pas mal changé déjà en un an et demi ! Même ma grand-mère arrive à venir ici. En voiture, ça met sept heures mais si on prend l’avion c’est une heure, en train de Bruxelles c’est trois heures et demie. Les gens sont très chaleureux à Lyon, j’ai été très bien accueillie. Ça ne fait pas une grande différence de venir à Lyon si ce n’est que la ville est beaucoup plus jolie et il y a plus de soleil, c’est parfait.\\n\\nA 20 ans, la Russie ça aurait été un dépaysement total ?\\n\\nC’est sûr que ça aurait été beaucoup plus compliqué que maintenant. Mais c’est vrai que quand j’étais à Braine, j’avais envie de partir et je ne pensais pas spécialement à la France mais à la Russie. Je ne sais pas pourquoi je voulais partir là-bas. J’ai finalement choisi Lyon et je ne le regretterai jamais, j’ai vraiment fait le bon choix.\\n\\nLes Wallons suivent généralement l’actualité française et regardent la télévision française. C’est votre cas ?\\n\\nOui. On a quand même pas mal de chaînes françaises alors que vous, vous avez aucune chaîne belge. On a TF1, France 2, France 3, France O.\\n\\nEt le basket ?\\n\\nOui. J’ai deux, trois amies qui ont joué dans le championnat français. C’est un championnat très intéressant. Et quand je regardais l’Eurocup et l’Euroleague, il y avait des équipes françaises. J’ai toujours un peu suivi.\\n\\nPlusieurs joueuses de l’équipe belge actuelle sont venues jouer dans des clubs français : Ann Wauters à Valenciennes et Villeneuve, Emma Meesseman à Villeneuve, Kim Mestdagh à Charleville, Julie Vanloo à Mondeville et Lyon, Marjorie Carpréaux à Mondeville, Villeneuve d’Ascq et Bourges, Antonia Delaere au Hainaut. Jouer à Villeneuve d’Ascq, au Hainaut ou à Charleville, c’est presque comme d’être en Belgique ?\\n\\nC’est sûr même si elles ne sont pas spécialement venues pour l’endroit. Villeneuve avait une grande équipe à ce moment-là. C’était une pierre deux coups. Ann Wauters vit à Ypres, à 10-15 minutes de Villeneuve.\\n\\nPour revenir à Tony Parker, l’équipe féminine a-t-elle des rapports avec lui ?\\n\\nIl essaye d’être là en début de saison pour présenter le projet. Je pense qu’il fait ça avec toutes les joueuses, quand ça ne va pas, il envoie un petit message pour motiver et aussi quand ça va bien. Il est présent d’une certaine manière et je pense qu’il a prévu après sa saison de venir assister aux playoffs quand il sera là. C’est bien qu’il fasse ça car ça montre que l’on a de l’importance à ses yeux, qu’il compte sur nous.\\n\\nQu’est-ce qui fait la force de votre équipe cette année ? Un effectif équilibré, de fortes individualités, le coach ?\\n\\nUn peu tout. On a de bonnes individualités mais c’est le fait qu’en groupe, on soit vraiment forte. On l’a encore vu hier (NDLR : l’interview s’est déroulée vendredi après le match retour de Eurocup à Tarbes). On a deux blessées mais en fait le groupe est plus fort. Le coach arrive à bien gérer l’équipe, il connait ses joueuses, nos qualités, nos défauts. On a vu à plusieurs matches où l’on était en difficulté qu’il suffisait qu’on se regroupe et on arrivait à retrouver notre agressivité. Je pense aussi que l’on est une équipe de bosseuses, tout le monde, pas une ne sort du lot. C’est comme ça que tu peux continuer à travailler en groupe.\\n\\nQuelle est l’équipe qui vous a fait jusqu’ici la plus forte impression, Bourges ou Montpellier que vous avez déjà affronté cinq fois ?\\n\\nHonnêtement, je ne sais pas. Ce ne sont pas des équipes qui m’ont impressionnée tant que ça. En début de saison, je m’attendais à ce que Montpellier soit beaucoup plus fort et on voit qu’ils sont pas mal en difficulté. Bourges, on les a joués au bon moment. En début de saison quand ils revenaient du championnat du monde et ils n’étaient pas prêts et quand ils étaient dans une période creuse avec trois, quatre défaites d’affilée. On va jouer en coupe contre eux et ça ne sera vraiment pas facile. Ça sera chez eux et ils ont déjà perdu deux fois contre nous. Ils vont être prêts et nous on n’est toujours pas sûrs d’avoir le retour d’Alyssa Clark qui a un problème au genou. Ils ne veulent pas presser les choses pour pas qu’elle se re-blesse après.\\n\\nVotre équipière Kendra Chery a tenté un dunk en plein match. Elle en réussit à l’entraînement ?\\n\\nEn fait, on ne s’y attendait pas du tout. Toute l’équipe est restée choquée. Surtout qu’elle n’avait pas eu énormément de temps de jeu sur ce match-là . C’était vraiment osé de faire ça surtout à son âge. Ça prouve qu’elle a du caractère. Je suis un peu triste qu’elle ne l’ait pas mis car ça aurait fait le tour de la France et des autres pays. Elle sait jumper mais le problème c’est qu’elle ne le fait pas assez après les entraînements. Elle ne l’a jamais fait avec nous à l’entrainement. Si elle se donnait par exemple comme objectif de le faire chaque jour après un entraînement, elle serait peut-être plus à l’aise en match. C’est bien, ça a fait parler d’elle. Il faut maintenant qu’elle le réussisse. Je n’étais pas encore revenue du championnat du monde et il parait qu’elle l’avait déjà tenté lors d’un match amical mais aussi en le ratant. Si elle le travaille, elle y arrivera sans problème. Ça ne vient pas tout seul.\\n\\nLà, elle l’a raté de peu ?\\n\\nOui, elle était vraiment montée, elle était dedans. Le problème c’était juste de caler le ballon à une main. C’est juste ça qui a posé problème car elle peut dunker, c’est sûr.\\n\\nLe ballon est plus petit pour vous mais c’est quand même gros pour des mains de filles ?\\n\\nPour moi, c’est sûr. Il faut que je choisisse le bon endroit au niveau du ballon mais il y a des filles qui ont de grandes mains et qui s’en saisissent facilement.\\n\\n« Il est certain que l’année prochaine, je veux jouer l’Euroleague. Lyon est bien parti pour la jouer »\\n\\nLorsque vous êtes en Belgique, vous bénéficier d’une structure pour vous perfectionner individuellement ?\\n\\nOui, c’est une académie, Corodo, qui s’est créée il y a cinq ou six ans. Lorsque je suis arrivée à Braine, mon agent m’a donnée le numéro d’un coach là-bas, il y en a plusieurs. J’étais entrée en contact avec lui, j’avais fait quelques entraînements et j’ai accroché. C’est une académie qui travaille sur l’individu et ils travaillent nos forces et pas toujours nos défauts. C’est à une heure de chez moi. Quand c’est l’été, je m’entraîne tous les jours là-bas. Je peux y aller autant de fois que je veux. Je m’entends très bien avec le coach. Je lui explique ce qu’a été ma saison et ce que j’aimerais bien travailler durant l’été. L’été, c’est mon moment préféré car c’est là que l’on peut le plus travailler individuellement pour devenir le plus fort possible, que ce soit maniement de ballon, shoots après écran, après dribbles, à deux et trois-points, layups avec ou sans contact. C’est vraiment top. Ils travaillent aussi sur le mental, ils analysent tous mes matches et on a toujours un feedback pour dire ce qui est bien et pas bien, ce que je dois travailler la semaine. C’est en train d’avoir plus de visibilité et c’est bien car c’est une académie qui le mérite vraiment. C’est important pour un joueur de basket de pouvoir bosser durant l’été, de travailler ses qualités et ses défauts.\\n\\nVous êtes en fin de contrat à la fin de la saison. Votre objectif est de jouer l’Euroleague. Votre choix de club se fera en fonction de ça ?\\n\\nTout à fait. Il est certain que l’année prochaine, je veux jouer l’Euroleague. Lyon est bien parti pour la jouer. Si j’ai bien compris, souvent ils donnent un troisième tickets aux clubs français et ça serait pour celui qui termine premier de la phase classique. On va se battre pour avoir la place en Euroleague. Je pense qu’on le mérite au vue de la saison que l’on est en train de faire.\\n\\nSi Lyon va en Euroleague, vous pourriez re-signer ?\\n\\nTout à fait. C’est vraiment un très beau projet... Oui, pourquoi pas.\\n\\nOn se rend compte que dans beaucoup de clubs féminins en Europe, même si l’équipe est bonne, même s’il y a de l’argent, il y a peu d’intérêt populaire. C’est important qu’il y ait un engouement autour de l’équipe ?\\n\\nOui. A Mado où on joue, il y a un club ASVEL qui a été créé et ça nous fait énormément de bien. A chaque match, il y a de l’ambiance. L’année dernière, la salle était bien remplie mais il n’y avait pas vraiment de gens qui nous supportaient ; ils venaient juste assister aux matches. C’est la grande différence avec l’année passée. On pense que l’on joue juste un match, que s’il y a des gens ou pas ça va rien changer, mais au final c’est faux. Une salle remplie, au niveau de la motivation, c’est juste incroyable combien ça peut être différent pour nous. Avec les résultats que l’on fait cette année, on sent qu’il y a un engouement. C’est pour ça qu’il faut que l’on continue. Ce n’est pas facile pour le basket féminin à Lyon car il y a le foot, le rugby, pas mal de sports, l’ASVEL garçons, mais cette année on s’en sort vraiment pas mal. Nos dirigeants sont contents qu’il y ait pas mal de gens qui viennent voir nos matches et que la salle soit remplie de plus en plus.\\n\\nVous allez souvent voir les matches des garçons ?\\n\\nOui, souvent, quand ils jouent en semaine car c’est rare quand on peut y aller le week-end. On joue souvent le jeudi en Eurocup et eux le mardi donc c’est facile pour nous d’assister aux matches. Mais je pense que c’est dommage qu’eux ne viennent pas à nos matches !\\n\\nIls ne viennent jamais ?\\n\\nNon ! Ce sont des garçons...\\n\\nAvez-vous tout de même l’impression d’appartenir au même club ?\\n\\nOui et non. Le problème c’est que l’on ne joue pas dans la même salle. C’est pour ça que l’on ne ressent pas tout à fait d’appartenir au même club même si, par exemple, par rapport aux réseaux sociaux, oui on est un club.\\n\\nPeu de meneuses européennes ont réussi en WNBA. Est-ce votre ambition d’y aller ?\\n\\nC’est un objectif, un rêve. Je ne me mets aucune pression là-dessus car je suis encore très jeune et j’ai encore énormément de travail à faire. De toute façon, cet été c’est le championnat d’Europe donc ça ne sera pas le cas. Une fois que j’aurai grandi, j’espère avoir la chance de participer au moins à un camp, d’être dans le roster, d’avoir un peu de minutes. Il y a d’autres objectifs avant ça.\\n\\nLe championnat d’Europe et la qualification aux Jeux Olympiques ?\\n\\nOui et j’ai envie de dire d’abord avec Lyon le championnat, la coupe d’Europe. Et une fois la saison terminée ce sera le championnat d’Europe avec l’équipe nationale avec comme objectif de terminer dans le top 6 pour faire le tournoi de qualification aux Jeux Olympiques pour ensuite se qualifier. Chaque chose en son temps.\\n\\nVous avez été drafté en 33e position en 2016 ?\\n\\nOui et là je suis sous l’emprise d’Indiana. Ce sont eux qui pendant trois ans doivent choisir s’ils me veulent dans leur équipe ou pas. Ils avaient changé de coach et la nouvelle ne me voulait plus spécialement. Et à partir de mai, normalement je suis libre. N’importe quelle franchise peut venir me demander si elle le souhaite.\\n\\n\\n\\n\\n.@JulieAllemand is really the full package! 🤩 #EuroCupWomen@TheBelgianCats @ASVEL_Feminin pic.twitter.com/ny798EORRB\\n\\n\\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) February 24, 2019\\n\\n[armelse]\\n\\nLorsque l’équipe de Belgique a été éliminée par la France à la Coupe du Monde de football, vous vous êtes fait chambrer par SMS par vos équipières françaises de Lyon ?\\n\\nTout à fait. Depuis la première saison où je suis arrivée à Lyon, j’étais considérée comme la Belge et on se charrie toujours un petit peu et évidemment quand la France a gagné à la Coupe du monde, j’ai reçu des messages. J’avais dit que je prendrai ma revanche au championnat du monde. Et l’occasion est arrivée puisqu’on a pu jouer contre la France en quart-de-finale.\\n\\nVous les avez chambré à votre tour ?\\n\\nOui. On donnait le match chez vous sur Canal+ Sport et on m’avait demandé de faire une interview après match. J’avais dit que j’avais pris ma revanche par rapport à Paoline Salagnac qui était dans mon équipe. J’avais dit que comme ça c’était 1-1 !\\n\\nVous avez été surprises par la passivité des Françaises lors de ce match ?\\n\\nOn formait vraiment un groupe avec l’équipe belge, on était sur un nuage depuis le début du tournoi et peu importe l’équipe que l’on affrontait, on se donnait à fond. Dès le début de match, on était dedans et on a vu que les Françaises passaient à côté de leur match. On l’avait vraiment bien préparé et on les a mis en difficulté. Je reste persuadée qu’elles avaient un peu trop de confiance. J’avais entendu dire qu’elles étaient contentes de jouer contre nous, que c’était mieux que d’affronter une autre équipe. Elles n’étaient peut-être pas focus à 100% comme elles auraient dû l’être. On a créé la surprise et dès que l’on a pris l’avantage, on a voulu creuser l’écart. C’est toujours particulier pour nous de jouer contre la France. C’est un match encore un peu plus intéressant que l’on a envie de gagner. On a eu pas mal de réussite alors qu’elles étaient vraiment en difficulté.\\n\\nEtes-vous d’accord pour dire que les Français ont toujours en général un complexe de supériorité vis-à-vis des Belges ?\\n\\nOui, je suis d’accord (rires).\\n\\nEt que vous, à l’inverse, vous avez un petit complexe d’infériorité en disant toujours que vous êtes un petit pays ?\\n\\nJe pense aussi, ça a toujours été comme ça. Mais si on se retrouve confronté en juin à la France (NDLR : à l’EuroBasket), on ne va jamais se sentir comme ça et la France ne va pas avoir ce sentiment de supériorité. Ça sera égal. Mais, oui, de manière générale, je suis d’accord. Quand on joue en jeune, on se dit « c’est la France ! Nous, on est un petit pays ». En France, il y a plus de chances d’avoir des talents car il y a plus de joueuses.\\n\\nAnn Wauters a-t-elle joué un rôle fondamental dans la prise de conscience de vos capacités ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA sauf ouverture Claire Porcher, Lyon Basket ASVEL." }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Gustavo Ayon, du Real Madrid à St. Petersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Le Zenit St Petersbourg, équipe russe de VTB League et nouveau venu en Euroleague, annonce ce matin la signature de l’intérieur mexicain Gustavo Ayon (2,06m, 24 ans).\\n\\nGustavo Ayon a effectué une première partie de sa carrière au Mexique, au Venezuela et en Espagne avant de rejoindre la NBA (4,3 points et 4,8 rebonds en 135 matches) puis d’être engagé au Real Madrid en 2014. 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La justification à sa défection, Horford, qui vient de signer aux Philadelphia Sixers pour 109 millions de dollars, l’a fourni sur Instagram :\\n\\n« Je souhaite informer tous mes abonnés qu’en raison de mon changement d’équipe (NDLR : il passe de Boston à Philadelphie) et de mes nouvelles responsabilités avec la nouvelle organisation, il m’est difficile de prendre du temps pour faire le travail. Je ne ferai pas partie cette année de la sélection nationale. C’est une décision très difficile pour moi de ne pas pouvoir jouer car j’ai toujours eu le désir de participer à une coupe du monde. »\\n\\nDu classique. Avec en bonus le message promotionnel qui va bien :\\n\\n« Encore une fois, je conduirai un clinic de basket-ball à Saint-Domingue (NDLR : la capitale du pays) où nous inclurons des jeunes de différentes régions du pays pour poursuivre le développement des talents dominicains. »\\n\\nLe directeur général de la sélection, Francisco Garcia, lui-même ancien joueur de NBA, a déploré son forfait racontant qu’il avait rencontré le joueur en avril à Miami en compagnie du nouveau boss de l’équipe nationale, l’Argentin Nestor « Che » Garcia, et qu’à l’époque les chances de le voir à l’œuvre en Chine étaient bonnes, « mais son changement d’équipe en NBA a évidemment influencé sa décision. »\\n\\nAl Horford était l’une des deux étoiles sur qui comptait la République Dominicaine. L’autre est le pivot Karl Anthony Towns (2,13m, 23 ans) né dans le New Jersey d’un père Américain mais aussi d’une mère de la République dominicaine. Towns est un pilier des Minnesota Timberwolves où il a flambé lors de la saison écoulée : 24,4 points, 12,4 rebonds et 1,6 contre.\\n\\nDans une interview en mars dernier, Towns avait dit réfléchir avant d’accepter la proposition de rejoindre la sélection nationale. A ce jour, il n’a pas encore dit officiellement « no » mais c’est tout comme. Il y a quelques semaines, sur son compte twitter, il a déclaré que la République dominicaine était devenue une « île de la peur » après que plusieurs hommes eurent tenté d’assassiner dans un bar l’ancien joueur David Ortiz !\\n\\nBref, le seul joueur ayant une expérience en NBA qui pourrait éventuellement se rendre en Chine est Angel Delgado (2,02m), qui n’a pas le même pedigree que ses glorieux compatriotes puisqu’il a joué en tout deux matches la saison passée avec les Los Angeles Clippers.\\n\\nL’ex-Gravelinois Edgar Sosa dans la sélection\\n\\nAu bout du compte, pour nous, la figure reconnaissable est celle de l’ancien Gravelinois Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) qui bien que né à New York possède le passeport dominicain. Combo guard au talent certain de scoreur, Sosa a laissé le BCM sur sa faim notamment en raison d’une fragilité à la cheville qui l’a mis trois fois sur la touche, la dernière fois définitivement à la mi-avril.\\n\\nEdgar Sosa révélait à BasketEurope qu’il considère que le joueur qui l’a le plus impressionné est justement Al Horford avec qui il a joué en équipe nationale.\\n\\nEdgar Sosa a mis la main à la pâte dans le processus de qualification (2 matches, 8,5 points). Tout s’est joué lors de la dernière journée face au Brésil. Malgré sa défaite au Palacios de los Deportes de Santo Domingo (63-71), la République dominicaine s’est qualifiée en tant que « meilleur quatrième » de la zone américaine. Les Quequeyanos s’étaient auparavant offerts un succès de prestige sur le Canada (88-76). Il s’agira de sa troisième participation à la Coupe du monde après les éditions de 1978 et de 2014.\\n\\n« Les critiques nous font grandir, nous sommes reconnaissants à tous ceux qui prêtent attention à cette équipe nationale. L’équipe nationale sénior de basket-ball est l’équipe nationale la plus populaire du pays », commentait le coach d’alors, Melvyn Lopez.\\n\\nDepuis Melvyn Lopez a donc été remplacé par Nestor « Che » Garcia qui précédemment fut le sélectionneur de l’Argentine et du Venezuela avec qui il a participé aux Jeux Olympiques de Rio (1).\\n\\nSur l’ensemble des qualifications, l’ailier de Grand Canaria Eulis Baez (1,98m... 37 ans, 12,5 points et 6,0 rebonds) a obtenu la meilleure évaluation (17,5) alors que l’arrière Victor Liz (1,88m), qui joue à Porto Rico, fut le meilleur marqueur (13,7 points).\\n\\nAméliorer la défense !\\n\\nOn va bientôt en savoir davantage sur la République dominicaine car en amont de la Coupe du monde, elle est engagée du 31 juillet au 4 août aux Jeux panaméricains de Cali, Colombie. Dans le roster annoncé(2), figurent notamment Marques Townes (1,90m, 23 ans), qui sort de Loyola et qui a été recruté par le club espagnol de Murcie, et le meneur de Texas Tech Brandone Francis (1,90m, 24 ans) aux côtés de Victor Liz et autre Edgar Sosa.\\n\\nPour se préparer, la République dominicaine livre actuellement plusieurs matches contre le Nigéria. Après la défaite des Quequeyanos, 88-90, le coach Néstor Garcia a déclaré que s’il avait apprécié l’agressivité de ses joueurs, il leur fallait améliorer leur mobilité, la circulation de balle et la défense. Il a fustigé les 28 points encaissés dans le deuxième quart-temps.\\n\\n« Il faut beaucoup travailler. Nous devons tout améliorer même si nous avons bien fait certaines choses parfois. Ce groupe veut travailler et nous sommes très exigeants. Nous étions perdus dans certains systèmes offensifs, nous devons donc répéter et répéter. Nous avons fini par nous faire battre avec une très grande équipe qui a passé beaucoup de temps ensemble et qui se connait. Autoriser 90 points dans le basket international où l’on ne vous laisse pas beaucoup d’espace, c’est beaucoup. Mais en défense, c’est là où je ne négocierai avec aucun joueur « , a-t-il ajouté.\\n\\nIl n’y a pas qu’en Europe où les calendriers se télescopent car durant ces matches de préparation de l’équipe nationale se tiennent les finales des championnats en République dominicaine aussi bien qu’à Porto-Rico auxquels prennent part plusieurs internationaux. Pas facile ainsi de façonner un collectif surtout avec un nouveau coach. ★\\n\\n(1) Né le 11 janvier 1965 à Bahía Blanca, Néstor Garcia a coaché en Argentine, au Venezuela, en Uruguay, en Espagne, au Brésil, en Arabie saoudite, au Mexique et à Porto Rico.\\n\\n(2) La pré-sélection pour les Jeux Panaméricains : Brandone Francis, Marques Townes, LJ Figueroa, Luis Santos, Edgar Sosa, Ronald Ramón, Víctor Liz, Rigoberto Mendoza, Eloy Vargas, Gelvis Solano, Sadiel Rojas, Juan Miguel Suero, Luis Montero, Dagoberto Peña, Jhonatan Araujo, Ronald Roberts Jr., Juan José García, Juan Guerrero.\\n\\n\\nLe deuxième sport le plus populaire derrière le baseball\\n\\nPopulaire le basket en République dominicaine? C’est une certitude. Libreta Deportiva écrivait récemment:\\n\\n« C’est le sport qui célèbre le plus grand nombre de tournois provinciaux, le plus pratiqué dans les écoles et les quartiers et le seul qui ait parfois osé concurrencer le baseball en termes de popularité. »\\n\\nEn fait, c’est avec l’accroissement des installations sportives dans le pays, en particulier dans les grandes villes, que le basket-ball a pu se développer dans l’île.\\n\\nLors de l’édition de 2014 en Espagne, théâtre de la deuxième participation de l’équipe nationale à la Coupe du monde, un sondage avait révélé que sur 10 personnes contactées, quatre déclaraient regarder les matchs alors que les six autres avouaient ne pas ou peu s’y intéresser. Un résultat qui ferait bondir de joie en France mais qui fut considéré comme peu flatteur dans le pays surtout si on le comparait à l’intérêt pour la Coupe du monde de foot. Un sport pourtant moins couru en République dominicaine et dont l’équipe nationale n’était pas qualifiée pour cette édition au Brésil.\\n\\nLe journaliste Aneudy Pimentel avait estimé que le football attirait plus de supporters en raison des gigantesques efforts de promotion effectués, un élément qui selon lui avait fait défaut à l’équipe de basket.\\n\\n«Le football a plus de fans, plus d’adeptes. Je n’aime pas le football parce que je suis dominicain, je suis basketteur, joueur de baseball, mais il faut reconnaître que le football reçoit un accueil fantastique dans le monde entier. En outre, il bénéficie de beaucoup plus de promotion ce qui manque à ce classique du basket-ball. »\\n\\nJosé Luis Montilla, un radioreporter, mettait lui en avant le manque de compétitivité de l’équipe nationale.\\n\\n« Sachant que l’équipe dominicaine n’aura aucune chance de remporter des médailles, je comprends que la Coupe du monde de football était probablement plus folle que la Coupe du monde de basket-ball elle-même. Tout le monde sait que nous n’allons pas dépasser les seizièmes de finale. Je comprends que ce soit pour cette raison que la Coupe du Monde a eu plus de succès, en plus du fait que beaucoup de gens pratiquent ce sport. »\\n\\nIl y a quatre ans, dans son groupe, la République dominicaine avait accroché la Nouvelle-Zélande et la Finlande à son palmarès pour échouer face à l’Ukraine, la Turquie et forcément les Etats-Unis. Elle avait ainsi poussé son parcours -n’en déplaise à José Luis Montilla- jusqu’en huitièmes de finale où elle fut éliminée par la Slovénie (61-71).\\n\\nLes Bleus n’ont pas envie qu’elle fasse mieux cinq ans plus tard. ★\\n\\nPhoto d’ouverture: Rigoberto Mendoza (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nLa décision d’Al Horford de ne pas participer avec l’équipe de la République Dominicaine à la Coupe du monde en Chine a créé un malaise chez les supporters d’un pays de 10 millions d’habitants qui occupe dans les Caraïbes les deux tiers de l’Ile d’Hispaniola, en partage avec Haïti, et qui favorise le tourisme industriel.\\n\\nNé il y a trente-trois ans à Porto Plata, Alfred Joel Horford, est le fils d’un ancien joueur de NBA, Tito Horford et il fut l’équipier de Joakim Noah à l’université de Florida avant d’embrasser une belle carrière dans la ligue américaine avec 786 matches à ce jour pour 14,1 points et 8,4 rebonds en moyenne et cinq présences au All-Star Game. Al Horford devait être le fer de lance de la Selección. La justification à sa défection, Horford, qui vient de signer aux Philadelphia Sixers pour 109 millions de dollars, l’a fourni sur Instagram :\\n\\n« Je souhaite informer tous mes abonnés qu’en raison de mon changement d’équipe (NDLR : il passe de Boston à Philadelphie) et de mes nouvelles responsabilités avec la nouvelle organisation, il m’est difficile de prendre du temps pour faire le travail. Je ne ferai pas partie cette année de la sélection nationale. C’est une décision très difficile pour moi de ne pas pouvoir jouer car j’ai toujours eu le désir de participer à une coupe du monde. »\\n\\nDu classique. Avec en bonus le message promotionnel qui va bien :\\n\\n« Encore une fois, je conduirai un clinic de basket-ball à Saint-Domingue (NDLR : la capitale du pays) où nous inclurons des jeunes de différentes régions du pays pour poursuivre le développement des talents dominicains. »\\n\\nLe directeur général de la sélection, Francisco Garcia, lui-même ancien joueur de NBA, a déploré son forfait racontant qu’il avait rencontré le joueur en avril à Miami en compagnie du nouveau boss de l’équipe nationale, l’Argentin Nestor « Che » Garcia, et qu’à l’époque les chances de le voir à l’œuvre en Chine étaient bonnes, « mais son changement d’équipe en NBA a évidemment influencé sa décision. »\\n\\nAl Horford était l’une des deux étoiles sur qui comptait la République Dominicaine. L’autre est le pivot Karl Anthony Towns (2,13m, 23 ans) né dans le New Jersey d’un père Américain mais aussi d’une mère de la République dominicaine. Towns est un pilier des Minnesota Timberwolves où il a flambé lors de la saison écoulée : 24,4 points, 12,4 rebonds et 1,6 contre.\\n\\nDans une interview en mars dernier, Towns avait dit réfléchir avant d’accepter la proposition de rejoindre la sélection nationale. A ce jour, il n’a pas encore dit officiellement « no » mais c’est tout comme. Il y a quelques semaines, sur son compte twitter, il a déclaré que la République dominicaine était devenue une « île de la peur » après que plusieurs hommes eurent tenté d’assassiner dans un bar l’ancien joueur David Ortiz !\\n\\nBref, le seul joueur ayant une expérience en NBA qui pourrait éventuellement se rendre en Chine est Angel Delgado (2,02m), qui n’a pas le même pedigree que ses glorieux compatriotes puisqu’il a joué en tout deux matches la saison passée avec les Los Angeles Clippers.\\n\\nL’ex-Gravelinois Edgar Sosa dans la sélection\\n\\nAu bout du compte, pour nous, la figure reconnaissable est celle de l’ancien Gravelinois Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) qui bien que né à New York possède le passeport dominicain. Combo guard au talent certain de scoreur, Sosa a laissé le BCM sur sa faim\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le meilleur dunk de chaque équipe en 2018/19" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que les équipes s’apprêtent à reprendre le chemin du gymnase et peaufinent leur effectif, la LNB vient de publier le meilleur dunk de chaque équipe de Jeep Elite pendant la saison 2018/19.\\n\\nOn y retrouve notamment, l’énorme poster d’Assené Ndoye face à l’ASVEL, le gros dnuk au buzzer d’Adreian Payne dans la défense de Bourg-en-Bresse, le poster d’Akos Keller face à Fos, le coast to coast de Sekou Doumbouya ou encore l’envolée de Jeremy Nzeulie face à Nanterre.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Les photos: Victime d’un accident de la route, Ognjen Kuzmic est sorti de l’hôpital" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot serbe de l’Etoile Rouge de Belgrade Ognjen Kuzmic (2,16m, 29 ans) a été victime, le 14 juillet, d’un grave accident de la route en Bosnie et avait été maintenu dans le coma.\\n\\nC’est tout d’abord l’association des joueurs d’Euroleague qui a publié sur les réseaux sociaux cette photo où de son lit d’hôpital le géant serbe indique qu’il va bien. Puis un peu plus tard RTS Sport qui a annoncé qu’il venait de sortir de l’hôpital. Le joueur là aussi lève le pouce.\\n\\nKuzmic a été opéré pour soigner des blessures au visage et à la mâchoire et régler ses problèmes respiratoires. Il va poursuivre sa convalescence chez lui tout en se soumettant régulièrement à des examens.\\n\\n\\nWe are extremely happy to see Ognjen Kuzmic getting better and wish him successful recuperation! @kkcrvenazvezda pic.twitter.com/shOtyCvHsA\\n\\n— EuroLeague Players Association (@the_ELPA) July 25, 2019\\n\\n\\n\\nKuzmić pušten iz bolnice na kućno lečenjehttps://t.co/WkNy6tAViD #rtsvesti pic.twitter.com/wDBdQptRrB\\n\\n— RTS_Sport (@RTS_Sport) July 25, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Karlton Dimanche signe un contrat pro de trois ans avec Cholet" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket a fait signer un contrat de trois saisons à celui qui est l’un des plus beaux espoirs du basket français, Karlton Dimanche (1,94m, 19 ans).\\n\\nLe meneur guyanais a été médaillé de bronze à l’Euro U18 en 2018 , champion de France Espoirs, MVP du championnat Espoirs et donc élu dans le 5 Majeur du championnat, vainqueur du Trophée du Futur en 2019.\\n\\nSes stats en espoirs ont été de 16,8 points, 8,8 rebonds, 5,4 passes et 2,9 interceptions et 24,5 d’évaluation pour 30min en moyenne.\\n\\nKarlton Dimanche fut repéré en 2015 dans le camp de Kevin Seraphin, un autre Guyanais passé par Cholet Basket. Il fut notamment le meilleur intercepteur de l’Euro U18 en 2018 réalisant 9 steals contre le Monténégro.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : recrutement terminé pour Strasbourg, Thomas Scrubb arrive" }, {"role": "assistant", "content":"Le visage de la SIG version 2019/20 est connu, sa dernière recrue arrive en provenance d’Italie, Thomas Scrubb (1,98m, 27 ans).\\n\\nSur son site, Strasbourg annonce la signature de cet ailier anglo-canadien pour la saison prochaine. Né au Canada, ce gaucher n’a joué en professionnel qu’en Europe. Il est passé par Kataja (Finlande), Giessen (Allemagne), Avellino et Varese, en Italie. Cette saison, Thomas Scrubb compilait en moyenne 13,3 points, 6,1 rebonds et 2 passes décisives entre le championnat et la FIBA Europe Cup.\\n\\nVincent Collet s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Thomas est un poste 3 polyvalent, gaucher, qui a vraiment une force de pénétration intéressante et qui, en dépit d’une gestuelle surprenante, est également adroit à 3pts. C’est un joueur qui vaut d’abord de par son activité et les multiples choses qu’il est capable de faire sur un terrain, le tout en étant très combatif. La venue de Thomas Scrubb clôt le recrutement. Il va apporter son expérience et mettre du liant dans notre collectif et pourra même être parfois utilisé en poste 4 ».\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Varese" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Billy Garrett arrive à Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"C’est donc un arrière américain qui vient boucler le recrutement de l’Elan Chalon. Billy Garrett (1,96m, 24 ans) s’est engagé pour la saison prochaine, indique le club.\\n\\nFormé à l’université de De Paul, le natif de Chicago est un poste 2 scoreur qui dispose d’une bonne lecture de jeu. Après l’université, il a signé en faveur des Westchester Knicks, en G-League, il a même eu la chance de fouler à quatre reprises les parquets NBA avec les New York Knicks en avril 2019. Cette saison, Billy Garrett compilait en moyenne 16,5 points, 3,2 rebonds et 3,6 passes décisives en G-League.\\n\\nPhilippe Hervé a donné son ressenti sur sa dernière recrue de l’été.\\n\\n« Arrière de grande taille, c’est un joueur intelligent, fort techniquement toujours sous contrôle et capable de tout sur un terrain. Il sera amené à jouer sur les deux postes arrière aux côtés de Justin et de Marcus. J’étais déjà intéressé par Billy avant la Summer League et j’ai pu le rencontrer sur place donc je suis vraiment heureux qu’il rejoigne l’Elan. Il vient finaliser notre recrutement dont je suis pleinement satisfait. Maintenant, j’ai hâte de retrouver le parquet dans un peu moins de quinze jours.»\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Xavier Cooks débarque à Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Strasbourg poursuit son recrutement avec l’ailier fort australien Xavier Cooks (2,03m, 23 ans).\\n\\nSur son site, la SIG annonce la signature pour une saison de l’ancien pensionnaire de l’université de Winthrop. Avec le départ de Jarell Eddie, la formation strasbourgeoise était à la recherche d’un profil similaire, à savoir un poste 4/3 capable d’écarter le jeu d’artiller de loin. Diplômé en 2018, il a passé sa saison rookie à Würzburg, en Allemagne.\\n\\nLa saison dernière, Xavier Cooks compilait en moyenne 11,5 points (40% de réussite à trois points), 5,5 rebonds et 2,1 passes décisives entre le championnat allemand et la FIBA Europe Cup.\\n\\nVincent Collet s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Xavier est un jeune joueur australien qui vient d’accomplir une bonne première saison de rookie dans l’équipe de Würzbourg. C’est un garçon longiligne, au registre assez complet, qui passe bien la balle, capable de s’inscrire régulièrement dans la bataille du rebond avec par exemple des claquettes au rebond offensif. Nous avons été séduits par son activité et son dynamisme, sa palette offensive avec un tir qu’il doit utiliser davantage mais qui est assez fiable. Nous pensons que c’est un joueur qui va continuer à progresser et qui sera complémentaire de nos autres intérieurs. Avec cette signature le recrutement du secteur intérieur est ainsi complet ».\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"FIBA World 3×3: Une nouvelle victoire pour les Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine a remporté hier soir le FIBA World 3×3 à La Rochelle avec cinq victoires en autant de matches dont l’une en finale sur l’Espagne.\\n\\nDéjà vainqueurs à Turin et à Ekaterinbourg, les Françaises consolident ainsi leur place de numéro 1 du World Women’s Series.\\nFrance-Pologne : 18-7\\nFrance-Pays-Bas : 16-10\\nFrance-Russie : 18-12\\nDemi-finale : France-Pologne : 20-13\\nFinale : France-Espagne : 21-16\\n\\nL’Equipe de France :\\n\\nNomPrénomNais.ClubFILIPAna-Maria20/06/1989CharlevilleGUAPOLaëtitia25/10/1995CharnayPAGETMarie-Eve28/11/1994CharlevilleTOUREMamignan19/12/1994Basket Landes\\n\\n\\n🇫🇷Guapo called game\\n🔥🔥🔥🔥🔥 #3x3WS pic.twitter.com/9HEjIYZGpT\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 24, 2019\\n\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Michael Stockton, le fils de John Stockton, à Cholet Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket a confirmé officiellement avoir fait affaire avec le meneur américain Michael Stockton (1,85m, 30 ans).\\n\\nSorti de Westminster en 2011, le gaucher Michael Stockton a déjà derrière lui une longue carrière en Europe et principalement en Allemagne: Karlsruhe, Ludwigsburg et Göttingen plus la G-League (Canton), la Russie (Saratov) et la Grèce (Patras).\\n\\nLa saison dernière, avec le BG Goettingen, il a compilé 16,4 points, 3,1 rebonds, 7 passes décisives (4e de Bundesliga) et 1,1 interception pour 17,6 d’évaluation en moyenne sur 33 matches.\\n\\n« Nous avons beaucoup de jeunes dans notre équipe, avec peu d’expérience. Michael est un meneur de jeu qui a connu plusieurs clubs, pour la plupart en Europe. Il nous apportera l’expérience dont nous avons besoin. Sur le terrain, c’est un leader, un joueur très vocal. Il a réalisé de bonnes statistiques la saison dernière », commente le coach Erman Kunter.\\n\\nMichael Stockton a la particularité d’être le fils de John Stockton, meneur légendaire des Utah Jazz -19 saisons- et membre de la Dream Team des Jeux de Barcelone en 1992.\\n\\nIl a par ailleurs déjà joué contre son frère David (1,80m, 28 ans) qui était la saison dernière le meneur du Medi Bayreuth dans la ligue allemande après avoir porté lui aussi le maillot des Utah Jazz... trois matchs.\\n\\nLa saison dernière, John Stockton est venu rendre visite plusieurs fois avec sa femme Nada à son fiston à Göttingen. Probable aussi qu’on le voit un de ces jours à La Meilleraie de Cholet.\\n\\nLe Courrier de l’Ouest annonce pour sa part la venue du Congolais Junior Etou (2,03m, 25 ans) qui est le... cousin de Serge Ibaka, l’international espagnol des Toronto Raptors. Junior Etou a été formé aux Etats-Unis (Rutgers et Tulsa) et a vécu sa première saison en Europe en 2018-19 avec Sakarya en Turquie. En 20 matchs, il y a assuré 11,5 points et 7,8 rebonds en 30 minutes de moyenne. Il s’est ensuite rendu à l’Estudiantes Madrid pour 9 rencontres avec un rendement plus modeste: 2,1 points, 2,6 rebonds et 3,3 d’évaluation pour 9 minutes de jeu.\\n\\nPhoto: Michael avec son père John et la femme de celui-ci.\\n\\n\\nMichael Stockton has agreed to terms with Cholet, a source told @Sportando.\\nStockton spent the past two seasons with BG Goettingen\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 25, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Avec la venue de Greg Monroe, le Bayern Munich frappe fort !" }, {"role": "assistant", "content":"Eurohoops a lancé le scoop, le club l’a confirmé officiellement dans la matinée, le Bayern Munich signe pour un an le vétéran de la NBA, Greg Monroe (2,11m, 120 kg, 29 ans).\\n\\nLe puissant pivot américain fut le 7e choix de la draft en 2010 et il a cumulé en NBA 632 matches dont 417 dans un cinq de départ. Ses stats générales: 13,2 points (51,4% de réussite) et 8,3 rebonds. Ses clubs: Pistons, Bucks, Suns, Celtics, Raptors et Sixers.\\n\\nLors de la saison 2013-14, Monroe avait bouclé une troisième saison consécutive avec plus de 1 000 points et 600 rebonds, ce que seul Grant Hill avait jusque là réalisé aux Detroit Pistons depuis 1994-95.\\n\\nLa saison dernière, l’ancien étudiant de Georgetown est passé de Toronto à Boston où il a peu joué avant de finir à Philadephie pour 3 matches à 13,7 points et 4,3 rebonds.\\n\\nCe renfort correspond à la montée en puissance du club bavarois qui comme l’ASVEL dispose d’une wild card pour deux ans en Euroleague et qui compte y demeurer pour de bon. Le Bayern a déjà offert un contrat de longue durée au MVP des finales du championnat allemand Nihad Djedovic et au co-capitaine Vladimir Lucic. Il a signé TJ Bray (1,96m, 27 ans) et Josh Huestis (2,01m, 27 ans), alors que trois joueurs quittent le club, le pivot Devin Booker, l’arrière Stefan Jovic et l’ailier-fort Derrick Williams." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Le Suisse Jonathan Kazadi renforce Lille" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà vu en France lors des deux dernières saisons, Jonathan Kazadi (1,95m, 28 ans) est de retour en Pro B.\\n\\nSur son site, le club lillois annonce la signature pour une saison de l’international suisse. Né à Berne, il a lancé sa carrière à Fribourg en 2007 avant de s’expatrier en France en 2016 quand il a signé pour Orléans, puis à Aix-Maurienne la saison suivante. L’été dernier, il s’est engagé avec Valladolid, mais a terminé la saison en Suisse, à Genève. Cette saison, Jonathan Kazadi compilait en moyenne 7,7 points et 2,9 rebonds entre la deuxième division espagnole et la Suisse.\\n\\nJean-Marc Dupraz s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Jonathan est prioritairement un arrière qui peut jouer meneur, voire même un peu en 3. Sa polyvalence sera intéressante sur la durée d’une saison éprouvante. C’est un cérébral, un joueur intelligent qui sera une courroie de transmission pour notre jeu. Il raisonne d’abord » bonne passe » avant de penser à shooter, même s’il est tout à fait capable de mettre des points, en scorant notamment dans le périmètre, ce qui est de plus en plus rare. Il est international, a déjà joué en France, c’est une belle recrue pour nous. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Lions de Genève" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Benjamin Monclar prolonge à Blois jusqu’en 2022" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il a déjà passé six saisons au club et qu’il était encore sous contrat jusqu’en 2020, Benjamin Monclar (1,90m, 31 ans) va prolonger son séjour à l’ADA Basket jusqu’en 2022.\\n\\nSa dernière saison dans le Loire-et-Cher s’est conclue avec 12,1 points, 2,7 rebonds et 2,7 passes pour 12,5 d’évaluation.\\n\\n« Cette prolongation s’inscrit dans l’histoire du club et dans le début d’un nouveau cycle avec la signature d’Alexis (Tanghe). Benjamin fait partie de ceux qui ont écrit des belles pages de l’histoire du club au sein duquel il a grandi en tant que joueur mais aussi en tant qu’Homme. Il reste encore une marge de progression à aller chercher ensemble, » estime le coach Mickaël Hay.\\n\\nPhoto: ADA Blois" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Interview Pierre Pelos (Bourg) : «A Pau, je travaillais la nuit et je m’entraînais trois fois par jour»" }, {"role": "assistant", "content":"Troisième meilleur joueur français à l’évaluation en Jeep Elite, Pierre Pelos (2,06m, 25 ans) ne retournera pas en Pro B avec Fos-sur-Mer. Il a décidé de revenir à Bourg-en-Bresse dont il a déjà porté le maillot lors de la saison 2016-17.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre ressenti sur la saison ? Collectivement vous terminez avec une descente mais vous avez réalisé votre meilleure saison en carrière.\\n\\nLe sentiment est un peu mitigé parce que collectivement on s’arrête sur une descente. J’aurais bien aimé qu’on parvienne à maintenir le club, mais c’était compliqué parce qu’on a connu des hauts et des bas. On a eu beaucoup de blessés et quand on arrive à gagner deux matchs de suite à la maison, ce qui est compliqué en Jeep Elite, on avait l’occasion de faire quelque chose d’intéressant mais ça s’est vite arrêté et l’enchaînement des défaites a fait mal. Tout le monde a appris de cette saison, moi aussi. Personnellement, je suis quand même satisfait de ce que j’ai pu faire dans ce contexte-là.\\n\\nLe maintien ne s’est pas joué à grand-chose, que vous a-t-il manqué ?\\n\\nCa s’est joué à un match... Celui contre Le Portel. Après la saison qu’on fait, on a encore une nouvelle chance de sauver, de faire quelque chose et en plus à la maison. Tout le monde y croyait, mais ça ne s’est finalement pas passé comme on l’espérait. Beaucoup de joueurs sont passés à côté dans ce match, je pense qu’on s’est mis une pression supplémentaire sans s’en rendre compte. Je crois qu’il n’y a que moi et Jarvis (Varnado) qui avons été bien. C’était trop peu pour aller chercher un résultat sur ce match là. En plus, on ne devait gagner que d’un point, ce qui n’était pas insurmontable.\\n\\nQue vous ont apporté ces deux ans avec Fos ?\\n\\nJ’ai appris énormément sur moi parce que je suis parti après une saison à Bourg où on a été champions de Pro B. Repartir en Pro B c’était très dur, il a fallu repartir de l’avant mentalement. C’était très compliqué, j’ai mis du temps à digérer tout ça. Je suis arrivé en surpoids à la reprise. Je l’ai payé cher, je suis revenu bien seulement à la fin de la saison mais j’ai eu ma chance et je l’ai saisi. La deuxième saison, c’était une vraie opportunité pour moi d’avoir une chance. Une vraie chance. La saison a commencé et j’étais toujours sur la lancée de mes playoffs de Pro B ce qui m’a permis de bien commencer et de garder un bon niveau tout le long.\\n\\n« C’est là que nous avons eu notre premier enfant avec ma femme »\\n\\nPourquoi revenir à Bourg ?\\n\\nC’est un club dans lequel j’ai adoré passer une saison (nldr, 2016/17). C’était super, ça s’est très bien passé, les gens étaient adorables. J’avais beaucoup bossé cette année-là. Quand ils se sont positionnés pour me récupérer, j’étais intéressé parce que ça réunissait beaucoup de choses. C’est là que nous avons eu notre premier enfant avec ma femme, sa famille est de la région et pour le côté basket c’est le top parce que c’est un club où il y a encore beaucoup de choses à faire. Il y a une jolie page à écrire, comme aller chercher le premier titre du club, n’importe lequel. La Leaders Cup, la coupe de France ou le championnat. Le challenge me plaisait de revenir écrire une belle page de l’histoire du club et pourquoi pas disputer une coupe d’Europe la saison d’après.\\n\\nVous avez donc signé pour deux saisons ?\\n\\nOui.\\n\\nIl y a l’un des meilleurs intérieurs de Jeep Elite à Bourg-en-Bresse avec Zack Peacock, ça a joué dans votre choix ?\\n\\nC’est clair. Il fait partie des joueurs avec qui j’ai déjà joué quand j’étais à la JL, on a une bonne relation et je retourne à Bourg en sachant que je peux même être aligné avec lui sur le terrain. Je peux être là en rotation, je peux jouer avec lui donc ça laisse beaucoup de choix au coach. Je vais beaucoup apprendre là-bas, je vais continuer ma progression et j’espère poser beaucoup de soucis aux intérieurs adverses.\\n\\nD’autres clubs de Jeep Elite voulaient aussi vous récupérer ?\\n\\nOui, d’autres clubs étaient intéressés. Il y a toujours des clubs qui s’intéressent, mais ils ne font pas forcément d’offre. Je suis allé dans un club qui m’a fait une vrai offre et où je savais où je mettais les pieds.\\n\\n« On a toujours dit que je n’allais pas assez vite, assez haut, que je n’étais pas assez physique, pas assez dur »\\n\\nVous avez connu la NM2, la NM1, la Pro B et la Jeep Elite, vous pensez être enfin installé en Jeep Elite ?\\n\\nJe ne sais pas vraiment. Ca dépend de moi, mais je pense que je commence à avoir un nom en Jeep Elite maintenant. Je vais continuer de travailler pour être encore plus fort, mais je pense avoir ma place en Jeep Elite.\\n\\nQu’envisagez-vous pour la suite de votre carrière ?\\n\\nDisputer une coupe d’Europe, pourquoi pas aller jouer à l’étranger. J’y vais étape par étape. Je veux déjà être en forme pour la rentrée pour faire la meilleure saison possible que ce soit avec le club ou individuellement pour avancer.\\n\\nVous avez terminé troisième joueur français à l’évaluation, qu’est-ce que ça représente ?\\n\\nCa représente beaucoup et pas grand chose à la fois. Je dis ça parce que je n’y fait pas vraiment attention mais c’est quand même une fierté parce qu’il y en a beaucoup qui ne croyaient pas en moi, ils pensaient que je n’allais pas y arriver. On a toujours dit que je n’allais pas assez vite, assez haut, que je n’étais pas assez physique, pas assez dur. Aujourd’hui je suis là et j’ai prouvé que je fais partie des bons joueurs français. C’est une fierté de pouvoir montrer à certaines personnes que je suis là et que je ne suis pas seulement là sur le banc à faire de la figuration.\\n\\nC’est quasiment le double de la saison passée en Pro B, comment l’expliquer ?\\n\\nC’est le fruit des efforts pendant les saisons précédentes. Mais il faut aussi noter que pendant une grosse partie de la saison je jouais beaucoup moins. J’avais un rôle mineur parce que, comme je le disais j’étais hors de forme. En playoffs d’accession j’ai commencé à avoir des chiffres similaires à cette saison. Je manquais de régularité. Cette année, j’étais mieux à ce niveau. J’ai énormément gagné en régularité grâce à un gros travail mental. J’ai travaillé avec un préparateur mental cette année et je l’ai tout de suite ressenti sur le terrain. Je n’ai pas vraiment connu de baisse de régime. Même dans les matchs où je me sentais moins bien physiquement, j’arrivais quand même à apporter à mon équipe.\\n\\nFreddy Fauthoux nous confiait que l’Elan Béarnais ne voulait pas vous garder une fois votre formation terminée et qu’il a du faire le forcing. C’était une période difficile ?\\n\\nA Pau j’avais fait une première saison en Espoirs, la deuxième saison on a fait une grosse saison en N3, mais le club ne voulait pas me garder parce que j’avais terminé mon cursus espoir. Fred a fait le forcing parce qu’il pensait que je n’étais pas totalement prêt. Il a fait le forcing pour me garder un an de plus pour que le club continue à me donner quelque chose pour vivre. J’ai donc fait le choix moi-même de rester et cette saison a été plus que bénéfique. J’ai bien fait de l’écouter, parce que j’ai appris beaucoup de choses. En plus de jouer, je travaillais à côté. J’étais surveillant de nuit dans un internat. Ca me faisait des nuits courtes et je m’entraînais quasiment trois fois par jour. Je m’entraînais avec les pros et la N2 et je jouais avec la N2 le week-end. C’était rude, mais j’ai beaucoup appris sur le basket et ça m’a fait énormément grandir. Aujourd’hui je dis un grand merci à Freddy et Dominique Loueilh (NDLR: le directeur sportif) qui ont fait le forcing pour me garder. Je me suis dit que j’avais perdu un an, mais au contraire je suis un joueur qui a besoin de temps et ça m’a énormément servi de faire un an de plus dans un cocon où j’étais suivi et où on m’a laissé le temps de grandir.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe sentiment est un peu mitigé parce que collectivement on s’arrête sur une descente. J’aurais bien aimé qu’on parvienne à maintenir le club, mais c’était compliqué parce qu’on a connu des hauts et des bas. On a eu beaucoup de blessés et quand on arrive à gagner deux matchs de suite à la maison, ce qui est compliqué en Jeep Elite, on avait l’occasion de faire quelque chose d’intéressant mais ça s’est vite arrêté et l’enchaînement des défaites a fait mal. Tout le monde a appris de cette saison, moi aussi. Personnellement, je suis quand même satisfait de ce que j’ai pu faire dans ce contexte-là.\\n\\nLe maintien ne s’est pas joué à grand-chose, que vous a-t-il manqué ?\\n\\nCa s’est joué à un match...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Fos Provence Basket" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Fabien Paschal à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Pigiste à Evreux la saison dernière, Fabien Paschal (2,05m, 28 ans) a été rappelé par les dirigeants ébroïciens.\\n\\nSur son site, l’ALM annonce l’arrivée pour une saison de l’intérieur français. L’ancien joueur de Gravelines était à Evreux en début de saison pour remplacer Kevin Dinal. A la fin de cette pige, il était retourné au Havre, où il venait de passer deux saisons. Avec le STB, il s’est hissé jusqu’en finale de NM1.\\n\\nCette saison, Fabien Paschal a tourné à 10,2 points et 2,9 rebonds pour une évaluation de 10,7 en Pro B et 7,8 points et 3,9 rebonds en NM1.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest / ALM Evreux" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: les highlights de Malcolm Cazalon en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U18 va débuter son championnat d’Europe samedi en Grèce, à Velos. Dans son programme de préparation, le tournoi de Logroño en Espagne. La plateforme spécialisée BasketCantera.TV a réalisé ces highlights qui mettent en valeur l’ailer des Bleuets et de la JL Bourg, Malcom Cazalon (1,97m).\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : Playground 4, épisode 1/5" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de CourtCuts est de retour pour un nouvel opus de Playground, le quatrième. Le but, faire le tour de France des terrains extérieurs de l’Hexagone.\\n\\nPour le premier épisode, Julien Bonnet et ses amis ont décidé de mettre le cap sur Nimes et Mauguio. A lire ou relire, notre interview de Julien Bonnet, fondateur de CourtCuts." }, {"role": "user", "content":"Grèce: Sofoklis «Baby Shaq» Schortsanitis va rejouer avec Ionikos Nikaias" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous l’avions annoncé il y a quelques semaines et comme il a satisfait aux examens médicaux, le pivot grec Sofoklis Schortsanitis (2,06m, 34 ans) va faire son retour avec Ionikos Nikaias, nouveau promu dans la Ligue grecque.\\n\\nSurnommé Baby Shaq ou Big Sofo, Sofoklis Schortsanitis avait été victime d’une rupture du tendon d’Achille en décembre 2016 lorsqu’il portait le maillot d’Apollon Patras. Il était ensuite réapparu brièvement en janvier 2018 à Trikala. L’ancien international a longtemps souffert d’un surpoids mais il a entrepris un travail de fond pour se délester de kilos superflus.\\n\\nIonikos est le club qui a vu débuter la légende Panayotis Yannakis." }, {"role": "user", "content":"La FIBA Europe Cup sans les clubs français" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA a procédé au tirage au sort de la FIBA Europe Cup (C4). Comme la saison dernière, aucun club français n’est engagé.\\n\\nLa saison régulière démarrera le 23 octobre." }, {"role": "user", "content":"Kevin Séraphin en partance pour la Chine" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux saisons pas tellement convaincantes à Barcelone, la faute à de nombreux pépins physiques, Kevin Séraphin (2m08, 29 ans) serait en partance pour la Chine. Selon Eurohoops, le pivot tricolore aurait signé un contrat en faveur des Tigres volants de Xinjiang.\\n\\nA 8 points et 4 rebonds en 13 minutes de moyenne en Euroleague la saison passée, Séraphin a prouvé qu’il pouvait être encore diablement efficace dans les raquettes européennes. Mais ce sur des courtes séquences seulement...\\n\\nToujours aussi perfectible défensivement, le Guyanais de formation Choletaise va donc relever un nouveau défi en Chine, où à l’instar de l’expérience d’un Edwin Jackson, on sait qu’il faut impérativement être performant, à défaut de quoi l’aventure tourne court.\\n\\nL’intérieur français aura en tout cas en Chine un terrain de jeu approprié pour retrouver du rythme, et faire des stats chez le dernier finaliste malheureux du championnat !" }, {"role": "user", "content":"WNBA: Seulement 13′ de temps de jeu pour Marine Johannès" }, {"role": "assistant", "content":"Après ses 17 points à 6/6 aux shoots face aux Los Angeles Sparks, Marine Johannès n’a eu droit aujourd’hui qu’à 13 minutes de jeu face au Connecticut Sun. Le temps de prendre deux shoots et de marquer un panier, de faire deux passes et de commettre trois fautes.\\n\\nL’autre internationale française du New York Liberty, Bria Hartley, a été davantage gâtée avec 26 minutes de temps de jeu pour 12 points, 3 rebonds et 3 passes.\\n\\nLe Liberty a été en échec, 63-70." }, {"role": "user", "content":"Killian Hayes (Cholet) suspendu 6 semaines pour un refus de sélection en équipe de France U20" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération française de basket-ball a infligé au Choletais Killian Hayes une suspension de 6 semaines pour ne pas avoir répondu favorablement à une convocation de l’Équipe de France U20 informe Ouest France qui précise que cette suspension ira du 20 septembre au 1er novembre 2019. Le joueur ne pourra pas ainsi participer aux six premières journées de Jeep Elite.\\n\\n« Le meneur-arrière de 17 ans (il fêtera ses 18 ans le 27 juillet) aurait préféré se concentrer sur la préparation de la saison prochaine plutôt que d’honorer sa convocation, et n’aurait pas répondu aux différentes relances de Jean-Aimé Toupane, entraîneur des U20 français », écrit le quotidien.\\n\\nKillian Hayes, qui cherche à partir de son club formateur, et qui est notamment la cible du Limoges CSP, a la possibilité de faire appel.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Kevin Lowe est le nouveau forfait de l’équipe américaine" }, {"role": "assistant", "content":"Il devient de plus en plus difficile de s’y retrouver dans Team USA qui doit défendre les couleurs de la première puissance mondiale du basket à la Coupe du monde.\\n\\nAlors que Marcus Smart et Thaddeus Young puis Jaylen Brown (2,01m, 22 ans, Boston) et Julius Randle (2,06m, 24 ans, New York) ont été appelés pour combler les premières défections, on a appris que DeMar DeRozan et Damian Lillard puis que Kevin Love se font à leur tour porter pâles. Cela fait un total à ce jour de neuf forfaits.\\n\\nPar ailleurs, The Athletic affirme que Kyle Lowry, opéré du pouce la semaine dernière, souhaite participer à la compétition, et il a prévu de rejoindre le groupe pour la seconde phase de la préparation.\\n\\nLe premier rassemblement est prévu le 5 août à Las Vegas avec la « select team » qui servira de sparring partner.\\n\\nLa pré-sélection\\n\\nMeneurs : Kyle Lowry, Kemba Walker, Marcus Smart.\\n\\nExtérieurs : Khris Middleton, P.J. Tucker, Harrison Barnes, Donovan Mitchell, Jayson Tatum, Thaddeus Young, Jaylen Brown.\\n\\nIntérieurs : Andre Drummond, Myles Turner, Kyle Kuzma, Brook Lopez, Paul Millsap, Thaddeus Young, Julian Randle.\\n\\nPhoto: Kevin Lowe" }, {"role": "user", "content":"Italie : le NBAer Shelvin Mack ciblé par Milan" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en Europe à Milan, Etorre Messina est en train de monter une équipe très compétitive et voudrait ajouter une nouvelle pièce en la personne de Shelvin Mack (1,91m, 29 ans).\\n\\nSelon La Gazzetta Dello Sport, l’entraîneur italien songe à l’ancien joueur des Atlanta Hawks pour remplacer Mike James dont l’avenir à Milan se montre de plus en plus incertain même s’il est toujours sous contrat pour deux saisons.\\n\\nPassé par Washington, Philadelphie, Atlanta, Utah, Orlando, Memphis et Charlotte, l’ancien pensionnaire de l’université de Butler n’a jamais évolué ailleurs qu’aux Etats-Unis, que ce soit en NBA ou en G-League. Néanmoins, en 2013, il faisait déjà partie des joueurs ciblés par Milan.\\n\\nCette saison, Shelvin Mack compilait en moyenne 7,5 points et 3,2 passes décisives." }, {"role": "user", "content":"La Hoops Factory arrive à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Après Aubervillier, Evry, Lille, Toulouse et bientôt Bordeaux, la Hoops Factory va s’implanter dans une nouvelle ville française.\\n\\nSur Facebook, l’entreprise tenue par Gilles Bravo a annoncé l’ouverture d’un complexe à Limoges en 2020.\\n\\nLire ici l’interview de son directeur, Gilles Bravo.\\n\\nhttps://www.facebook.com/HoopsFactoryParis/posts/1145211658998162?xts[0]=68.ARAN13hjPEnJMTbjUvxUtI2JOoGxVOuTWVWau99Mir7avGQi16D2dNhU43IrwhR04mqBlpR9uDO5KCzU-E6qLxN1Kgbodg1nk2SsLH-LysiQgaKlzyGPqTEnyJICMm-rftGh0k1CkMn0udJkcHJVWfghXkMCuhigsXboMrot1sIXloyyL1X1yOxcadT2HQk7Iui_bkNYh3ulRjuawoxcA925OkTiwNjmseEUaZYLgqkSosH3DVUJ6jE_1SzN-ko0PBLBK0eVX8Usyl9vY-Q8lWFu5lmvl7Ggl1RRAu4tLf22r1mcoaR99cPefB_Pjl64LyJYpITd6yqV0EnFiL69Xzl39HMS0jWkqxuQ17-_J8Vouoh69lmdG7VKY8xNYPEA1OwGm5KRNEudv6NXRbnq5AC1yD3TX_n44TNNfCBh-6nEqL5eOM23ONqFkP3kxvSlLX_XZhe6ZaGssBDINwwEIpi82c70H6IfdYyvTSkG9z2qkDx9DmSht518-w&tn=-R" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Le Portel recrute Toarlyn Fitzpatrick et affiche complet" }, {"role": "assistant", "content":"L’effectif de l’ESSM version 2019/20 est maintenant connu après le recrutement de la dernière pièce, Toarlyn Fitzpatrick (2,06m, 29 ans).\\n\\nSur son site, Le Portel annonce la signature de cet intérieur américain pour la saison prochaine. Formé à l’université de South Florida, le natif de Tampa Bay est directement venu en Europe pour lancer sa carrière professionnelle. Passé par la Belgique, la Grèce et l’Allemagne, il va vivre sa première expérience en France. La saison dernière, au Holargos BC, Toarlyn Fitzpatrick compilait en moyenne 8,2 points et 5,1 rebonds par match.\\n\\nEric Girard s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Nous sommes heureux de clôturer notre équipe 2019-2020 par la signature de Toarlyn, qui est un vrai 4 shooteur mais pas uniquement. Il est complet et pourra jouer aussi bien en attaque qu’en défense avec Frank, Ousman, Drissa voir Cyrille vu son gabarit et sa taille. Joueur de collectif en tout premier lieu, avant de penser à ses stats, n’usant pas de son excellent tir extérieur et capable d’attaquer le panier de l’extérieur ou d’emmener ses plus petits adversaires poste bas. En défense, il apportera aussi sa polyvalence et sa taille. Sa complémentarité au reste de l’équipe nous a séduits, avec une belle expérience en Europe ces dernières années... De plus, ayant été coéquipier de Darrin Dorsey la saison dernière pour quelques matchs, Darrin nous a confirmé que Toarlyn était un joueur « ESSM » par son profil et son professionnalisme. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le CCRB signe Nic Moore et Jessie Begarin" }, {"role": "assistant", "content":"En cette fin de mois de juillet, le CCRB affiche complet suite aux recrutements de ses deux derniers joueurs. Il s’agit de Nic Moore (1,75m, 27 ans) et Jessie Begarin (1,90m, 31 ans).\\n\\nLe premier, meneur de jeu américain, connait déjà la France. Notamment formé à l’université de SMU, il est passé par Brindisi en 2016/17. Il a ensuite commencé la saison 2017/18 dans l’Hexagone, à Nanterre. Il avait quitté le club des Hauts-de-Seine en raison de conflit avec le club et était retourné à Brindisi pour terminer l’exercice. Cette saison, le natif de Winona Lake était en deuxième division italienne, à Rome.\\n\\nLe deuxième, vient de réaliser une très belle saison en Pro B. Finaliste des playoffs d’accession avec Rouen, il a également été jusqu’en demi-finale de la coupe de France avant de tomber sur le futur vainqueur, l’ASVEL. Passé par Besançon, Hyères-Toulon, Souffelweyersheim ou encore Le Portel, cet arrière formé à l’INSEP fait partie des joueurs appréciés partout où ils passent. A Châlons-Reims, il retrouvera son coéquipier de cette saison, Jean-Baptiste Maille.\\n\\nCette saison, Nic Moore et Jessie Begarin compilaient respectivement 16,2 points, 2,5 rebonds et 4,2 passes décisives en deuxième division italienne, et 11,3 points, 3,5 rebonds et 2,3 passes décisives en Pro B.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Andre Spight arrive à Rouen" }, {"role": "assistant", "content":"Finaliste des playoffs d’accession, le Rouen Metropole Basket poursuit son recrutement avec Andre Spight (1,91m, 24 ans).\\n\\nSur son site, le RMB annonce la signature de cet arrière américano-arménien pour la saison prochaine. Tout juste sorti de l’université de Northern Colorado, il a connu une première saison en tant que professionnel assez mouvementée. Il est brièvement passé par le Mornar Bar, ensuite les Helsinki Seagulls, puis l’Istanbul BB avant de rejoindre la G-League et les Winsconsin Herd.\\n\\nCette saison, Andre Spight tournait en moyenne à 13,5 points, 2,5 rebonds et 2,1 passes décisives par match.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto : Helsinki Seagulls / Liekeissa.com" }, {"role": "user", "content":"Mantas Kalnietis: «Tony Parker est un exemple de la façon dont un champion NBA devrait vivre après la retraite»" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’une interview à des médias lituaniens, l’ancien meneur de jeu de l’ASVEL Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) a confié qu’il avait reçu avant les playoffs d’Eurocup une proposition importante mais que l’ASVEL avait refusé la possibilité de rachat de son contrat (buyout).\\n\\nLe journaliste Donatas Urbonas livre également la version du meneur international lituanien quant à son départ de Villeurbanne.\\n\\n« J’ai lu les gros titres comme quoi l’ASVEL a décidé de se séparer de moi, mais j’ai aussi eu une vision différente sur ce qu’il faut faire la saison prochaine. Je suis très reconnaissant vis à vis du club et ce qu’il m’a apporté mais je n’ai pas eu un trop grand désir de rester. »\\n\\nMantas Kalnietis loue par ailleurs l’action de Tony Parker comme président de l’ASVEL:\\n\\n« Il a toujours été très positif et vraiment intéressé par le fonctionnement de l’ASVEL. Tony est un exemple de la façon dont un champion NBA devrait vivre après la retraite. Il est très simple, sait quoi dire et quand se présenter à l’équipe. Son impact en France est tout simplement énorme. «\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Bourges est candidat au Final Four" }, {"role": "assistant", "content":"Le Tango Bourges Basket est de nouveau candidat à l’organisation au Prado (5 027 places) du Final Four de l’Euroleague (17 au 19 avril 2020) qu’il a déjà mis sur pied en 1998 et 2003. La nouvelle présidente Agnès St-Ges et le directeur général Valentin Cavelier l’ont fait savoir aux instances dirigeantes de FIBA Europe lors du tirage au sort qui s’est tenu hier à Munich, indique Le Berry.\\n\\nPoint important du nouveau règlement: l’organisation de ce Final Four n’est plus dépendante de la présence de l’équipe dans le dernier carré de la compétition.\\n\\nLe club belge des Castors de Braine a également fait part de son intérêt. Il peut disposer du Dôme de Charleroi et de ses 6 300 places." }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Sous médiatisée la Ligue Féminine ? Pas si sûr !" }, {"role": "assistant", "content":"Une étude sur la Ligue Féminine, ses clubs, ses joueuses, ses compétitions, ses affluences et sa médiatisation. En deux parties. Voici la deuxième.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Ça fait des années que l’on se bat pour la médiatisation du basket féminin et une forme de parité. A l’époque de M. Chêne et de Antenne 2 on nous disait d’être plus féminine, que l’on passera alors plus de matches. Après c’était, ayez plus de résultats ! Je peux vous faire l’historique. Je sais que toutes les joueuses mettent du cœur à l’ouvrage pour essayer de professionnaliser la chose. »\\n\\nAinsi s’exprime l’ancienne internationale Loétitia Moussard à propos de la médiatisation du basket féminin. Une vielle tarte à la crème. L’auteur de ses lignes se souvient ainsi d’une discussion enflammée d’une bonne demi-heure, il y a plus de trente ans, avec Alain Jardel, alors fougueux entraîneur du BAC Mirande qui ne comprenait pas que les filles ne soient pas logées à la même enseigne médiatique que les garçons. La raison était finalement simple : la demande était moins forte et les entreprises de presse ne sont pas des services publics et doivent contenter leurs lecteurs/téléspectateurs pour vivre ou survivre. Plusieurs études à l’époque du magazine Maxi-Basket, qui consacrait environ 1/5e de sa pagination aux féminines, indiquait que si 25% des lecteurs estimaient qu’il en fallait davantage, 50% s’accordaient à considérer que c’était la bonne dose, et un autre quart disait que ça ne les intéressait absolument pas. Autre élément incontournable : le nombre de lectrices était dix fois moins important que le nombre de lecteurs qui constituaient l’essentiel du contingent de fans du basket... féminin. En faisant le tour des publications et des sites spécialisés en Europe, on s’aperçoit que les basketteuses françaises sont loin d’être les parents pauvres du continent. Les mentalités ont évolué, bien sûr, mais pas forcément à la vitesse supersonique.\\n\\nUn record de matches\\n\\nIl y a eu trois pics dans la médiatisation du basket féminin. La première dans la première moitié des années soixante-dix lorsque le Clermont Université Club, finaliste à répétition de la Coupe des Champions -l’équivalent de l’Euroleague- profita du désert sportif français pour bénéficier de retransmissions sur la première chaîne de l’ORTF. Deuxièmement, on observa un éclairage sur les « Filles en Or » à l’occasion de leur triomphe en France à l’Euro 2001, et troisièmement, un autre encore plus intense ur l’équipe de France, et plus spécialement sa meneuse Céline Dumerc, aux Jeux de Londres en 2012, car ses matches spectaculaires furent retransmis sur France Télévisions à des horaires où ça cartonne -pas à l’heure de la rosée du matin comme les garçons aux JO de Sydney.\\n\\nUne fois que l’on a dit ça, sortons une vérité : il n’y a jamais eu autant de matches télévisés de la Ligue Féminine que pour la saison 2018-19. Déjà parce que jusqu’à un passé récent, c’était zéro sur toute la ligne.\\n\\nLa première révolution à l’échelle de la Ligue Féminine fut la captation automatisée de ses matches par le système K-Motion et leur diffusion sur Internet. Un système qui ne peut satisfaire que les fans du premier cercle (320 000 vues ont été enregistrées cette saison en totalité) sachant qu’il n’y a que deux caméras qui suivent la balle, que l’image n’est pas top, et qu’il n’y a pas de commentaires. Le deuxième facteur, c’est le contrat LNB/FFBB négocié avec le groupe Altice qui par ricochet permet la diffusion de matches de LFB sur RMC Sport. En fait, il existe deux contrats distincts. L’un concerne les équipe de France dont la FFBB est signataire et l’autre regroupent les championnats français, garçons et filles, plus la Coupe de France, la Leaders Cup, le All-Star Game, l’Open Féminin, et ce sont Jean-Pierre Siutat pour la FFBB et Alain Béral pour la LNB qui apposent leurs signatures.\\n\\nC’est ainsi que l’on est arrivé à un record de 31 matches de basket féminin dont 13 de LFB diffusés en direct cette saison dont l’ensemble de la finale Lyon-Montpellier.\\n\\n« Il fallait démocratiser la visibilité de l’image, ce qui n’a pas été simple car il y a un diffuseur qui paye l’exclusivité », explique la directrice de la LFB, Irène Ottenhof à propos de la diffusion de tous les matches de LFB sur Internet. « La deuxième partie c’est de produire des images digestes, agréables donc plus qu’avec un algorithme qui permet de suivre la balle et deux caméras, d’avoir des commentaires. Si RMC diffuse le match, c’est évidemment verrouillé. Parfois des chaînes régionales diffusent des matches. C’est à la charge des clubs et c’est soumis au préalable à l’autorisation de RMC. »\\n\\nRédacteur en chef du basket sur RMC Sport, Cyril Méjane affirme que sa chaîne est très conciliante sur le sujet.\\n\\n« On le fait sans soucis, on ne va pas aller à l’encontre du basket féminin. On l’a fait avec les filles et aussi en Pro B avec le club de Quimper lorsqu’ils ont joué dans la salle de Brest. L’objectif pour nous est que ce soit diffusé le plus possible sur les télé locales comme ça été le cas en Eurocup pour Montpellier qui a été diffusé sur France 3 régionale jusqu’à la finale. Quand on produit un match de LFB c’est au même niveau de production qu’un match de LNB. Et encore plus pour un match d’Eurocup car les normes FIBA sont encore plus importantes. »\\n\\nNégocié des droits en solo ?\\n\\nDébut mai, suite à une chronique humoristique dans l’émission Buzzer sur RMC Sport, l’Union des Clubs de LFB (UCLFB) a publié une diatribe sur les réseaux sociaux, en prenant comme cibles le chroniqueur, lui reprochant des propos « sexistes, vulgaires et insultants pour notre sport, les clubs et les joueuses qui font notre championnat » et aussi le fait que les petites lucarnes ne sont pas suffisamment ouvertes, à son goût, au basket féminin.\\n\\n« Les clubs de LFB ne sont bénéficiaires d’aucun droit TV. Pire encore, la diffusion en webtv repose sur un investissement annuel de 20 000 euros par club pour les seuls matchs de LFB. Cette saison RMC aura diffusé au maximum une quinzaine de matchs de LFB, sans rendez-vous récurrent, sans moyens de commentaires dans les salles par souci d’économies, sans ligne éditoriale assumée sinon ces commentaires vulgaires et scandaleux, » peut-on lire dans le communiqué. Et encore : « Enfermés dans un contrat de mariage forcé, le basket féminin regarde passer le train de l’évolution spectaculaire d’autres sports. » La requête arrive plus loin : « Alors OUI, STOP AU MEPRIS, AU SEXISME ET A LA VULGARITE, le basket féminin, ses joueuses, ses clubs et l’ensemble des supporters et pratiquants méritent le respect et une fenêtre médiatique. Ne comptez pas sur nous pour alimenter un faux débat basket masculin vs basket féminin. C’est bien le basket français dans son ensemble qui souffre d’une médiatisation trop faible et peu valorisante, un vrai paradoxe compte-tenu de la dimension spectaculaire de ce sport. Par ailleurs, l’ancrage et l’importance sur les territoires des clubs professionnels est également sans commune mesure avec la médiatisation qui en est faite. D’autre part, comme l’a souligné Madame la Ministre des Sports en mars dernier, nous ne pouvons plus admettre de nous voir reprocher depuis trop longtemps que le sport féminin devrait être plus performant pour être mieux médiatisé et plus vendeur pour attirer les annonceurs et le public. Cet argument ne tient plus. Comme nous l’avons exprimé devant le président de la Fédération Française de Basket le 8 avril dernier nous voulons avoir notre mot à dire sur la médiatisation de notre sport et les négociations futures des accords relatifs à notre sport. »\\n\\nEst-il envisageable que la Ligue Féminine et ses clubs négocient directement leurs droits TV ?\\n\\n« Je n’y crois pas ! », répond tout de go Philippe Legname, le président de la LFB. « Il faut savoir comment est financée la ligue féminine. Elle est financée en totalité par la Fédération. Si demain les clubs voulaient avoir une ligue indépendante, il faudrait qu’ils assument près de deux millions d’euros de fonctionnement. Je ne pense pas qu’ils puissent avoir deux millions d’euros de reversement télé. Donc ça leur coûterait de l’argent. Impossible pour eux de négocier les droits télé. Après que la fédération voit avec la LNB pour qu’il y ait une réversion vis-à-vis des clubs féminins, c’est la seule possibilité. Mais comme la fédération verse déjà cette somme pour le basket féminin, elle n’a pas l’intention de verser en plus de l’argent venant des droits TV. Il faudrait aussi connaître la position des clubs de la Ligue Nationale de Basket qui eux voudraient plus que ce qu’ils reçoivent. Il y a une partie qui va à la fédé et une à la ligue qui en reverse ensuite à ses clubs. C’est donc une histoire de pourcentage. Je ne vois pas la LNB et les clubs masculins accepter que quelque chose soit pris pour aller aux clubs de la Ligue Féminine. »\\n\\nEn fait, la Ligue Féminine ne génère pas suffisamment d’audience pour naviguer en solitaire et sa marque est étroitement liée au développement du basket dans son ensemble donc masculin. En revanche, il n’apparaît pas exclu de voir son exposition augmenter chez l’actuel diffuseur.\\n\\n« Un match par semaine, je ne pense pas sur la prochaine année. Mais comme il reste un an de contrat, c’est quelque chose dont il faut rediscuter dans les négociations qui vont bientôt commencer », estime Cyril Méjane qui indique que son groupe est pleinement ouvert au basket féminin. « Sur RMC sport, à travers nos différents supports, c’est une volonté globale, que ce soit à la radio et sur les différentes chaînes gratuites et payantes et sur BFM TV. Un exemple, sur les 6 matches de l’équipe de France féminine du mois de juin, deux vont être diffusés en clair sur RMC Story. Un match à Rennes et celui de Rouen. C’est la volonté globale du groupe. Je suis pour diffuser plus de matches de Ligue Féminine mais, on en a déjà parlé avec Irène, il faut aussi trouver les meilleurs arrangements économiques. L’ASVEL va avoir un budget plus important -et j’en ai discuté avec Tony (Parker)-, et l’idée c’est d’avoir la même soirée l’ASVEL masculin et l’ASVEL féminin. On pourrait, nous, « l’événementialiser ». Ça ne ferait aussi qu’une seule production. Il y a d’autres soucis comme le fait que les filles ont des sponsors différents des garçons et que la salle de Mado-Bonnet a ses sponsors et qui ne seront pas sur le terrain si elles jouent à l’Astroballe. Oui le développement du basket féminin et du sport féminin en général est important chez nous. Après, il y a des histoires de contrats, d’obligations de diffusion que l’on a avec la LNB, la FFBB, la LFB qui sont en discussion. »\\n\\nIl faut savoir qu’une production avec un simple commentaire en cabine revient à plus de 10 000 euros et que pour un match d’Eurocup ou de l’équipe de France les tarifs sont sensiblement supérieurs.\\n\\n« Il faudrait faire en sorte que le calendrier de la Ligue Féminine soit en corrélation avec celui des garçons », reprend Cyril Méjane. « Les week-ends où il n’y a pas de garçons, on fera des matches si possible de basket féminin et ça serait bien que l’on ait de grosses affiches. Si on a de grosses équipes de Ligue Féminine qui jouent l’une contre l’autre c’est plus facile à mettre sur nos antennes, comme les garçons. Avec les coupes d’Europe on a les problèmes des matches du lundi et il faut être honnête : certaines équipes qui jouent ensemble ne font pas beaucoup d’audience. Un ASVEL-Montpellier, un Bourges-ASVEL, ça fait plus d’audience. On sait que l’ASVEL en garçons et en filles vont être très forts la saison prochaine et obligatoirement ça va faire venir du monde. La finale de LFB de cette année nous conforte dans le fait qu’il faut en diffuser. Après, il y a des contraintes économiques qui nous sont imposées par le groupe. RMC Sport a été racheté par le groupe Altice il y a deux ans et il y a des économies à faire. »\\n\\nLes causes ne sont jamais perdues. Qui pouvait imaginer au début de ce siècle qu’il y aurait un jour 13 matches de Ligue Féminine diffusés sur une chaîne nationale ? Longtemps les joueuses qui étaient élues MVP du championnat ne recevaient pas de trophées faute d’un financement adéquat. N’est-ce pas Odile Santaniello et Yannick Souvré présentent lors de la cérémonie des Trophées du Basket, le lundi 20 mai dans le cadre prestigieux de la Salle Gaveau à Paris ? Depuis deux ans, les lauréates sont célébrées avec le même apparat que les garçons. La parité gagne malgré tout du terrain. Peu à peu.\\n\\n\\nUne moyenne de 1 689 spectateurs\\n\\nAvec la naissance de quelques nouvelles salles (Charleville, Landerneau, Nantes-Rezé, Roche Vendée) ou l’agrandissement du Prado à Bourges et malgré le fait qu’il en existe encore de trop vétustes (Lattes), les affluences sont en hausse en quatre ans de 26% soit 34% depuis 2003, à 1 689 spectateurs, avec un taux de remplissage de 74%. Un chiffre pas très éloigné des 1 948 spectateurs de la Pro B. A ce propos, c’est un constat à faire: la Ligue Féminine est beaucoup plus médiatisée que la deuxième division des garçons.\\n\\n[armelse]\\n\\n« Ça fait des années que l’on se bat pour la médiatisation du basket féminin et une forme de parité. A l’époque de M. Chêne et de Antenne 2 on nous disait d’être plus féminine, que l’on passera alors plus de matches. Après c’était, ayez plus de résultats ! Je peux vous faire l’historique. Je sais que toutes les joueuses mettent du cœur à l’ouvrage pour essayer de professionnaliser la chose. »\\n\\nAinsi s’exprime l’ancienne internationale Loétitia Moussard à propos de la médiatisation du basket féminin. Une vielle tarte à la crème. L’auteur de ses lignes se souvient ainsi d’une discussion enflammée d’une bonne demi-heure, il y a plus de trente ans, avec Alain Jardel, alors fougueux entraîneur du BAC Mirande qui ne comprenait pas que les filles ne soient pas logées à la même enseigne médiatique que les garçons. La raison était finalement simple : la demande était moins forte et les entreprises de presse ne sont pas des services publics et doivent contenter leurs lecteurs/téléspectateurs pour vivre ou survivre. Plusieurs études à l’époque du magazine Maxi-Basket, qui consacrait environ 1/5e de sa pagination aux féminines, indiquait que si 25% des lecteurs estimaient qu’il en fallait davantage, 50% s’accordaient à considérer que c’était la bonne dose, et un autre quart disait que ça ne les intéressait absolument pas. Autre élément incontournable : le nombre de lectrices était dix fois moins important que le nombre de lecteurs qui constituaient l’essentiel du contingent de fans du basket... féminin. En faisant le tour des publications et des sites spécialisés en Europe, on s’aperçoit que les basketteuses françaises sont loin d’être les parents pauvres du continent. Les mentalités ont évolué, bien sûr, mais pas forcément à la vitesse supersonique.\\n\\nUn record de matches\\n\\nIl y a eu trois pics dans la médiatisation du basket féminin. La première dans la première moitié des années soixante-dix lorsque le Clermont Université Club, finaliste à répétition de la Coupe des Champions -l’équivalent de l’Euroleague- profita du désert sportif français pour bénéficier de retransmissions sur la première chaîne de l’ORTF. Deuxièmement,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: (ouverture): Fatimatou Sacko (Lyon) et Endy Miyem (Lattes-Montpellier). Ana Suarez (Nantes-Rezé). Marine Fauthoux (Tarbes)." }, {"role": "user", "content":"Limoges enrôle le meneur international américain Semaj Christon" }, {"role": "assistant", "content":"C’est fait: le Limoges CSP tient son meneur américain, il s’agit de Semaj Christon (1,90 m, 26 ans) qui a joué un peu en NBA et porté le maillot USA lors des qualifications à la Coupe du monde.\\n\\n“Semaj Christon est un meneur-scoreur qui sait créer aussi des opportunités pour ses coéquipiers, » indique le directeur sportif Crawford Palmer. « Très performant en Summer League à Vegas, meilleur passeur de la Summer League en Californie, c’est un joueur qui a été le back-up de Russell Westbrook à OKC, mais a aussi une expérience internationale qui donne quelques assurances. On a eu de très bons échos sur la personne, et aussi sur son talent. C’est un meneur physique, intelligent, qui a progressé sur son tir. Un bon meneur est crucial pour la performance d’une équipe, surtout tel que nous avons structuré notre effectif, et nous pensons avoir trouvé le joueur qu’il faut pour mener le Limoges CSP cette saison.”\\n\\nIssu de Xavier dans l’Ohio, Semaj Christon a été drafté en 2014 à la 55e place par le Miami Heat. Il joua en définitive au Oklahoma City Blue en G-League). La saison suivante, il fit sa valise pour l’Italie et le VL Pesaro (14,3 points, 3,7 passes décisives, 3,3 rebonds, 11,2 d’évaluation).\\n\\nPuis, il est retourné aux USA pour connaître cette fois la NBA et le Oklahoma City Thunder avec qui il disputa 62 rencontres (2,9 points et 2,0 passes en 15′). Il termina la saison avec l’équipe de G-League du Oklahoma City Blue. En 2017-2018, il effectua une expérience en Chine pour évoluer avec l’équipe des Canton Long-Lions avec qui il compila 27,8 points, 5,8 passes décisives et 4,3 rebonds pour 24,9 d’évaluation.\\n\\nEn novembre 2017, il fut appelé par Team USA et disputa deux matchs comptant pour les qualifications à la Coupe du monde 2019 pour 6,5 points et 2,5 passes décisives.\\n\\nLa saison passée, il jouait en Israël avec Hapoel Beer Sheva et a affiché 18,8 points, 4 passes, 2,1 rebonds pour 15,4 d’évaluation.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"William Howard au Jazz: Un contrat sur trois ans de 4 198 912$ mais seulement 50 000$ garantis" }, {"role": "assistant", "content":"L’insider américain Eric Pincus a dévoilé les détails du contrat de trois ans de l’ancien Limougeaud William Howard avec le Utah Jazz.\\n\\nSi le contrat global de 4 198 912 dollars est très alléchant, l’argent n’est pas encore dans sa poche.\\n\\nAinsi, sur les 898 310$ de la première saison, seulement 50 000€ sont garantis. 250 000$ de plus le seront s’il est encore dans le roster en début de saison. Etc.\\n\\nLes montants par saison sont:\\n\\n * 2019-20 : 898 310$\\n * 2020-21 : 1 517 981$\\n * 2021-22 : 1 782 621$\\n * 2022-23: 2 228 276$ (éventuellement)\\n\\nBref, tout reste à faire.\\n\\n\\nUpdated the Utah Jazz: Stanton Kidd has $250k guaranteed, William Howard $50k until the first game of the season then $250k – Miye Oni fully guaranteed in 1st year – still TBD on Nigel Williams-Goss @BBallInsiders https://t.co/UgYVE7itSh\\n\\n— Eric Pincus (@EricPincus) July 19, 2019\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: La Russie a toujours un espoir de récupérer Timofey Mozgov" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe russe à débuter sa préparation à la Coupe du monde à Novogorsk. Le coach Sergey Bazarevich ne dispose pas pour l’instant du pivot du Orlando Magic Timofey Mozgov (2,16m, 33 ans) qui est blessé à la jambe. Il n’a pas définitivement tiré une croix dessus.\\n\\n« Timofey lui-même m’a dit qu’il espérait une amélioration spectaculaire de son état, ce qui lui permettrait de commencer à s’entraîner. Et il a noté que les chances sont faibles. Nous nous sommes arrêtés à ce stade – je n’ai plus entendu de nouvelles de lui », a commenté le coach Sergey Bazarevich. « Il n’a jamais refusé de jouer pour l’équipe nationale, il veut jouer pour elle maintenant. Nous aussi, nous n’avons jamais pris la décision de ne pas l’appeler en équipe nationale. Aujourd’hui, il n’est pas en mesure de participer à l’équipe, mais il s’attend à ce que le traitement produise un effet cumulatif et que, dans peu de temps, son état s’améliore considérablement. C’est ce que ses médecins promettent. Je traite Timofey avec beaucoup de respect et je lui ai dit que nous étions prêts à surveiller la situation et à attendre aussi longtemps que nécessaire. »\\n\\nQuant à la gâchette Alexey Shved, il rejoindra le groupe un peu plus tard.\\n\\nLa pré-sélection:\\n\\nYevgeny Baburin Nizhny Novgorod, 32 ans, 189 cm), Dmitry Kulagin (Lokomotiv-Kouban, Krasnodar, 27 ans, 197 cm), Mikhail Kulagin (CSKA Moscou, 24 ans, 191 cm), Grigori Motovilov (Vladivostok, 21 ans, 191 cm), Alexander Platunov (Perm, 22 ans, 192 cm), Andrei Sopin (UGMK, Revda, 22 ans, 186 cm), Ivan Ukhov (CSKA Moscou, 23 ans, 193 cm), Vitaly Fridzon (Lokomotiv Kuban, 33 ans, 194 cm), Alexey Shved (Khimki, Khimki, 30 ans années, 198 cm), Semyon Antonov (CSKA Moscou, 30 ans, 202 cm), Nikita Balashov (Névezis, Lituanie, 28 ans, 207 cm), Evgeny Valiev (Zénith Saint-Pétersbourg, 29 ans, 205 cm), Andrei Vorontsevich (CSKA Moscou, 32 ans, 207 cm), Andrei Zubkov (Khimki Moscou, 28 ans, 205 cm), Sergey Karasev (Zenit Saint-Petersbourg, 25 ans, 201 cm), Nikita Kurbanov (CSKA Moscou, 32 ans, 202 cm), Andrei Lopatin (CSKA Moscou, 20 ans, 208 cm), Joel Bolomba (CSKA Moscou, 25 ans, 204 cm), Artem Zabelin (Avtodor Saratov, 31 ans, 215 cm), Vladimir Ivlev (Lokomotiv Kuban, 29 ans, 207 cm), Artem Klimenko (UNICS Kazan, 25 ans, 214 cm)." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le Choletais Warren Woghiren (2,14m) prêté à Denain" }, {"role": "assistant", "content":"International U18 et U19, champion de France espoir et élu dans le 5 majeur de la compétition (14,2 points et 7,7 rebonds pour 16,9 d’évaluation en 21′), Warren Woghiren (2,14m, 20 ans) est prêté par Cholet Basket à l’AS Denain.\\n\\nLe club choletais lui a fait signer au préalable un contrat de trois ans. Il retrouvera à Denain ses anciens équipiers Youri Morose et Rigo Edzata.\\n\\nPhoto: Cholet Basket" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Migna Touré, reine du 3×3" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA a publié cette vidéo de la Landaise Migna Touré (1,83m, 24 ans), qui est numéro 1 au ranking mondial du 3×3 et qui participe actuellement à la Rochelle à la 3×3 World Cup.\\n\\n\\n🇫🇷 @Lokossoo flashed more dribbling skills than @Lisafreestyle at the 3×3 World Cup ⚡\\n\\nWatch her play today at the #3x3WS La Rochelle 😎 pic.twitter.com/KoXYW7V5Zt\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 23, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : quand les coachs passent leur entretien d’embauche" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques semaines de la reprise de la saison d’Euroleague, les coachs européens ont passé leur entretien d’embauche face... aux joueurs.\\n\\nDans une vidéo, l’Euroleague montre différents coachs dont Etorre Messina, Zeljko Obradovic, David Blatt ou encore le rookie Zvezdan Mitrovic. Face à Kyle Hines, Tornike shengelia ou encore Nihad Dedovic.\\n\\nLes techniciens européens subissent une série de questions comme celle sur leurs références. Si Zeljko Obradovic déballe son palmarès hors du commun avec notamment neuf titres d’Euroleague, Zvezdan Mitrovic sort, lui, son téléphone et compose le numéro de son boss, Tony Parker.\\n\\nExcellent.\\n\\n\\nAn off-season where the players interview the coaches 🤔\\n\\nJust imagine... 👀#GameON pic.twitter.com/lwKIzMIX8X\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) July 23, 2019\\n\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Jevohn Shepherd passe de Paris à Lille" }, {"role": "assistant", "content":"Après un an à Paris, Jevohn Shepherd (1,95m, 33 ans) débarque au Lille Métropole Basket.\\n\\nSur son site, le club lillois annonce l’arrivée pour la saison prochaine de ce poste 3 jamaïcain. Passé par le Canada, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Roumanie, l’Italie et la Belgique, l’ancien pensionnaire de l’université de Michigan est arrivé en France en 2017. Il a d’abord signé à Chalon puis à rejoint le SLUC Nancy. L’été dernier, il s’était engagé avec le Paris Basketball mais a été touché par les blessures et n’a pu disputer que huit rencontres de Pro B et quatre de Leaders Cup.\\n\\nCette saison, Jevohn Shepherd compilait en moyenne 10,3 points et 2,6 rebonds pour une évaluation de 6,5.\\n\\nJean-Marc Dupraz s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Jevohn est un joueur très « all around ». Il peut poster, shooter, et jouer sur pick and roll. Il connaît le jeu, sait scorer mais aussi aider au rebond, c’est intéressant. Il ne découvre pas la division, ça a fait pencher la balance. Il a été assez ennuyé par des blessures à Paris la saison dernière mais je veux surtout retenir le bel exercice qu’il a effectué avec Nancy il y a 2 ans. Il m’avait déjà tapé dans l’œil lorsqu’il était là-bas. Il possède de belles aptitudes qu’il a encore démontré contre le LMB en fin de saison dernière. J’espère que ses blessures ne seront plus qu’un vieux souvenir et le laisseront tranquille cette saison. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto : Paris Basketball" }, {"role": "user", "content":"Hugo Invernizzi a signé à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Le Populaire, a annoncé hier en fin d’après-midi la signature au Limoges CSP de Hugo Invernizzi (1,96m, 26 ans) qui venait d’indiquer sur les réseaux sociaux qu’il quittait Nanterre après quatre saisons de bons et loyaux services. Une arrivée qui compense le départ d’un autre shooteur, William Howard, qui s’en va à la conquête d’une place aux Utah Jazz.\\n\\nDans la soirée, le club a confirmé l’information dans un communiqué:\\n\\n« “Hugo Invernizzi est un joueur qui a plu très tôt à Alfred Julbe, et qui a été sur nos listes depuis que nous avons commencé à travailler sur le recrutement. C’est un joueur complet, aguerri, avec un bras à 3-points redoutable. Avec le départ de William Howard, nous avions eu besoin de ce profil 4/3 shooteur qui peut ouvrir le jeu, et sa venue nous permet beaucoup d’options. C’est un jeune joueur, international français déjà expérimenté du haut niveau. Nous sommes confiant sur le fait qu’il va vite trouver sa place dans le projet du coach et du club« , a analysé le directeur sportif Crawford Palmer.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, l’Alsacien a assuré 8,6 points à 39,5 % à trois-points, 3,9 rebonds, et 1,7 passe décisive pour 11 d’évaluation en 27 minutes.\\n\\n« Le staff limougeaud continue de travailler à la venue du prometteur Kilian Hayes. Si le club limougeaud serait en passe de boucler le dossier de son meneur titulaire, il éprouverait davantage de difficultés à finaliser la piste menant au jeune joueur de Cholet », écrit Le Popu qui précise que si le CSP ne conclue pas avec le Choletais, il pourrait engager deux meneurs US.\\n\\n\\nLe fc pôle emploi perd un grand joueur, félicitations pour cette signature mon gars 🙏🏾 https://t.co/ArnOphohG2\\n\\n— Lahaou Konate (@lahaouKonate) July 23, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Michael Young passe de Cholet à Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"Après une belle saison à Cholet, Michael Young (2,06m, 24 ans) rejoint les rangs de Dijon.\\n\\nSur son site, la JDA annonce l’arrivée de l’ailier fort américain pour la saison prochaine. Formé à l’université de Pittsburgh, il a lancé sa carrière en G-League en 2017/18. Il a ensuite porté les couleurs de Ponce, à Porto Rico, avant d’arriver en France l’été dernier. Cette saison, Michael Young compilait en moyenne 14,1 points et 4,6 rebonds pour une évaluation de 12,5.\\n\\nLaurent Legname, s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Après le choix de Ryan de rejoindre Boulazac, il a fallu trouver un joueur dont les qualités pourraient être complémentaires au reste de l’équipe. Michael a prouvé à Cholet ses qualités offensives : capable de scorer aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, nous espérons qu’il continuera à le faire l’année prochaine. Maintenant, à lui de faire les efforts nécessaires de l’autre côté du terrain, afin de respecter notre philosophie. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FOXAEP" }, {"role": "user", "content":"Euro U18: L’équipe de France est ambitieuse" }, {"role": "assistant", "content":"La prochaine équipe de France de jeune en piste va être celle des U18 dont le Championnat d’Europe commence le 27 juillet à Velos en Grèce. Le coach Lamine Kébé a dévoilé cet après-midi la liste des 12 joueurs pour cet Euro.\\n\\nLes Bleuets ont remporté tous leurs matches de préparation à l’exception du dernier en Serbie. Après avoir gagné l’or européen en U16 en 2017 et l’argent mondial en U17 en 2018, la génération 2001 peut se montrer ambitieuse même si elle est privée de Théo Maledon et Killian Hayes.\\n\\nNOMPrénomTailleClubBarbitchMilan1,95Pole France BasketBegarinJuhann1,94Pole France BasketCareneMaxime2,08Pole France BasketCazalonMalcom1,97JL BourgCrusolTimothé1,93Pole France BasketDemahis BallouRudy1,88Pole France BasketDiabateMoussa2,08Montverde (USA)GauzinMathieu1,92Le MansKamagateIsmael2,09OrléansMiyemEssome2,08Pole France BasketOuedraogo Yvan2,03Pole France BasketThirouard Samson Lorenzo1,97Pole France Basket\\n\\nEntraineur : Lamine Kebe\\nAssistants : Nicolas Absalon, Nicolas Corbe\\n\\nChampionnat d’Europe à Velos (Grèce) du 27 juillet au 4 août\\nSamedi 27 juillet à 13h30 : Slovénie – France\\nDimanche 28 juillet à 20h15 : France – Grèce\\nLundi 29 juillet à 15h45 : France – Lettonie\\nMercredi 31 juillet : Huitièmes de finale\\nJeudi 1er août : Quarts de finale\\nSamedi 3 août : Demi-finales\\nDimanche 4 août : Finale\\n\\nPhoto: Malcolm Cazalon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Ludovic Beyhurst deux ans de plus à la mène de Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Signataire de son premier contrat professionnel avec Strasbourg l’été dernier, Ludovic Beyhurst (1,72m, 20 ans) est renouvelé à la SIG.\\n\\nSur son site, le club strasbourgeois indique que le club disposait d’une option pour prolonger son micro-meneur deux ans de plus et c’est chose faite. Récemment meneur titulaire de la sélection U20 au championnat d’Europe, le natif de Strasbourg a pu montrer de belles choses lorsqu’il a été lancé sur le terrain. Notamment en défense où son agressivité se fait vite remarquer.\\n\\nCette saison, Ludovic Beyhurst compilait en moyenne 1,9 points, 1 rebond et 1,6 passe décisive entre le championnat et la BCL en 13 minutes de jeu.\\n\\nLe président de la SIG, Martial Bellon a donné son ressenti sur la prolongation de son jeune meneur de jeu.\\n\\n« La formation est dans l’ADN du club. Nous avons démontré à plusieurs reprises que nous savions donner une chance aux jeunes. Ludovic a été formé au club et je suis très heureux qu’il poursuive sa carrière professionnelle avec nous. Je tiens à le féliciter pour sa belle campagne avec l’Equipe de France U20, qui a terminé à la 4ème place du Championnat d’Europe ».\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Marcelinho Huertas rebondit à Tenerife" }, {"role": "assistant", "content":"A 36 ans, Marcelinho Huertas (1,91m) n’en a pas encore fini avec le basket. Le meneur de jeu s’est engagé avec Tenerife, annonce le club.\\n\\nAprès deux saisons passées à Vitoria, l’international brésilien passé par Bologne, Bilbao ou encore Barcelone et les Los Angeles Lakers va poursuivre son chemin sur les Îles Canaries. Il a signé pour une durée de deux saisons.\\n\\nCette saison, Marcelinho Huertas compilait en moyenne 7,8 points et 4,7 passes décisives pour une évaluation de 8,6 en Euroleague, et 7,8 points et 5 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en ACB.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Les clubs français connaissent leurs adversaires" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA a procédé en fin de matinée au tirage au sort des groupes de la saison régulière de l’Euroleague féminine. L’ASVEL et Lattes-Montpellier pourraient se retrouver ensemble sauf que les Héraultaises doivent tout d’abord éliminer Olympiakos pour se qualifier.\\n\\nL’ASVEL est par ailleurs dans le groupe de Schio de Pierre Vincent et Sandrine Gruda et de Fenerbahçe de Bria Hartley.\\n\\nPour sa part, Bourges tombe dans celui du champion en titre, Ekaterinbourg, de Prague de Valériane Ayayi et de Braine de Frédéric Dusart.\\n\\nLa saison débutera le 16 octobre." }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine : Les groupes ont été dévoilés" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA a procédé en fin de matinée au tirage au sort de l’Eurocup féminine qui concerne trois clubs français: Basket Landes, Charleville et Roche Vendée, ces deux derniers se retrouvant dans le même groupe, ce qui limite toujours « l’effet européen »." }, {"role": "user", "content":"Pro B: L’international sénégalais Pape Badji avec Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Le Poitiers Basket 86 annonce la signature du pivot international sénégalais, Pape Abdou Badji ( 2,06m, 26 ans) en provenance de Châlons-Reims.\\n\\nAvant la France, Pape Badji a joué en Suisse et en Belgique à Willebroek entre 2016 et 2018. Au CCRB il a été ralenti par des blessures et il n’a pris part qu’à 5 matches pour 5,4 points et 5,8 rebonds. Il a par ailleurs disputé 6 matches avec le Sénégal pour les qualifications à la Coupe du monde: 7,8 points et 4,5 rebonds en 18′ de moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Dallas Moore à Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"Jeremy Senglin parti à Andorre, Nanterre ajoute de la folie à son effectif avec le scoreur Dallas Moore (1,85m, 24 ans).\\n\\nSur son site, le club des Hauts-de-Seine annonce la signature de cet arrière américano-albanais pour une saison. Formé à l’université de North Florida entre 2013 et 2017, il est directement venu jouer en Europe à sa sortie de la fac. Passé par Pesaro en 2017/18, il a joué entre l’Hapoel Tel Aviv et Turin cette saison. Après seulement huit matchs en Israël, il a rejoint Mam Jaiteh en Italie.\\n\\nLe champion de France 2013 indique qu’en officialisant la signature de l’ancien meneur turinois, il met un terme aux négociations pour recruter Killian Hayes.\\n\\nCette saison, Dallas Moore compilait en moyenne 15,9 points, 2,3 rebonds et 3,1 passes décisives en Italie.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Fiat Torino" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Marcus Smart et Thaddeus Young en renfort à Team USA" }, {"role": "assistant", "content":"Chaque jour son et même ses forfaits pour USA Basketball puisque après Bradley Beal est venu s’ajouter hier celui de Tobia Harris (2,06m, 27 ans, Charlotte) avec toujours la même rengaine: « je veux préparer la prochaine saison. »\\n\\nIl ne restait donc plus que 14 joueurs disponibles pour le coach Gregg Popovich aussi celui-ci a fait appel au meneur Marcus Smart (1,93m, 25 ans, Boston) et à l’ailier Thaddeus Young (2,03m, 31 ans, Chicago) pour compléter l’effectif. Le premier rassemblement est prévu à Las Vegas le 5 août. D’ici là...\\n\\nLa pré-sélection\\n\\nMeneurs : Damian Lillard, Kyle Lowry, Kemba Walker, Marcus Smart\\n\\nExtérieurs : Khris Middleton, P.J. Tucker, Harrison Barnes, Donovan Mitchell, Jayson Tatum.\\n\\nIntérieurs : Andre Drummond, Kevin Love, Myles Turner, Kyle Kuzma, Brook Lopez, Paul Millsap, Thaddeus Young.\\n\\nPhoto: Marcus Smart" }, {"role": "user", "content":"Argentine: Les Jeux Panaméricains avant la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Même si Luis Scola, 2,06m, 39 ans depuis avril, continue à faire partie de l’équipe, après l’adieu d’Emanuel Ginobili, Andrés Nocioni et Carlos Delfino aux Jeux de Rio en 2016, la Coupe du monde en Chine du 31 août au 15 septembre constituera le premier défi majeur de la nouvelle génération argentine, qui compte notamment dans ses rangs le MVP des playoffs 2019 de la ligue espagnole, le meneur Facundo Campazzo.\\n\\nOn saura très vite ce que la sélection argentine a dans le ventre car elle va participer à Cali aux Jeux panaméricains qui auront lieu du 31 juillet au 4 août. L’Argentine est dans un groupe avec l’Uruguay, le Mexique et aussi la République dominicaine futur adversaire de la France à la Coupe du monde.\\n\\n« Depuis 2014 ou 2015, le changement est profond. Nous sommes un groupe plus récent et plus jeune, dirigé par Luis (Scola). Je pense qu’il y a beaucoup de joueurs qui sont très bons en Europe, ils ont de plus en plus d’opportunités et ça se passe très bien, » commente Facundo Campazzo\\n\\nDe fait, 9 des 14 joueurs opèrent dans le championnat espagnol dont trois au Real Madrid, à commancer par Facu Campazzo.\\n\\n * Leandro Bolmaro (FC Barcelone)\\n * Nico Brussino (Basket Zaragoza)\\n * Agustín Cáffaro (Sunchales)\\n * Facundo Campazzo (Real Madrid)\\n * Gabriel Deck (Real Madrid)\\n * Marcos Delia (Joventut de Badalona)\\n * Maxi Fjellerup (San Lorenzo de Almagro)\\n * Tayavek Gallizzi (Regatta)\\n * Patricio Garino (Kirolbet Baskonia)\\n * Nico Laprovittola (Real Madrid)\\n * Faca Piñero (Cordoue)\\n * Lucio Redivo (Cafes Candelas Breogán)\\n * Luis Scola (Shanghai Sharks)\\n * Luca Vildoza (Kirolbet Baskonia)\\n\\nPhoto: Facundo Campazzo" }, {"role": "user", "content":"Mindaugas Kuzminskas choisit l’Olympiakos" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncé en partance de Milan, Mindaugaus Kuzminskas (2,06m, 29 ans) s’est donné le temps de la réflexion et il a finalement opté pour l’Olympiakos le Pirée. Un contrat de deux ans, en apparence, car avec l’option l’été prochain de tout remettre à plat.\\n\\nL’international lituanien était à la relance à Milan, après la fin en queue de poisson de son expérience NBA à New York (une saison seulement). Il s’en tire avec 8 points et 3 rebonds de moyenne en Euroleague.\\n\\nDans un rôle limité en Lombardie (17 minutes en moyenne en Euroleague), Kuzminskas devrait trouver davantage de responsabilités avec David Blatt aux commandes.\\n\\nAutour des vétérans Printezis et Spanoulis, les Reds ont bien renouvelé les troupes à l’intersaison avec Kuzminskas donc, mais aussi Wade Baldwin IV, Ethan Happ ou encore Brandon Paul.\\n\\nCrédits photo : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le Franco-Malien Drissa Ballo signe au Portel" }, {"role": "assistant", "content":"L’international malien Drissa Ballo (2,08m, 24 ans) sera portelois à la rentrée annonce le club.\\n\\nFormé à la JDA Dijon, Drissa Ballo a joué en Pro B, à Hyères-Toulon, Aix-Maurienne, Blois -champion de France en 2018- avant de faire une pige à Evreux (4,8 points, 3,2 rebonds en 12′ sur 6 matches).\\n\\n« Driassa, en tant que JFL, va venir compléter notre secteur intérieur et essayer de gagner de l’expérience et des minutes dans notre effectif. Trouver des Français à un tarif cohérent se fait de plus en plus difficile pour ne pas dire quasi impossible », commente le coach Eric Girard. « Drissa paraît être un garçon sérieux avec un potentiel physique certain. »\\n\\nPhoto: ALM Evreux" }, {"role": "user", "content":"CSKA Moscou: Une masse salariale de 26 millions d’euros" }, {"role": "assistant", "content":"Interrogé par iz.ru, le président du CSKA Moscou, Andrei Vatutin a déclaré que la masse salariale du CSKA Moscou pour la prochaine saison sera de 26 millions € (13% de taxes incluses) et a rappelé les nouvelles règles au sein de l’Euroleague.\\n\\n« Pour cette saison et les suivantes, la contribution du propriétaire au budget du club ne peut pas dépasser 65%. Après quatre ans, l’Euroleague souhaite porter ce chiffre à 40%. Le plan consiste à encourager les clubs à avoir plus de revenus. Dans le même temps, il est important que les clubs ne puissent pas dépenser plus de 65% du budget en salaires pour les joueurs, quel que soit le montant de leurs revenus. La nouvelle limite oblige déjà aujourd’hui à être plus modeste en matière de recrutement et à respecter un plafond salarial particulier. Dans le budget du CSKA pour la saison 2019/20, la masse salariale s’élèvera à environ 26 millions d’euros, avec 13% taxes incluses. »\\n\\nLe boss du CSKA a évoqué les départs de Nando De Colo, Corey Higgins et Sergio Rodriguez.\\n\\n« Corey et Nando ont voulu changer de situation et ont évoqué des raisons familiales. Bien sûr, nous voulions conserver de tels joueurs, mais nous ne pouvions pas aller contre leur volonté. Corey voulait changer de pays, a reçu un contrat solide et mérité au Barça, ce que nous ne pouvions objectivement pas nous permettre dans le cadre des exigences de l’Euroleague. Peu de gens s’attendaient à voir Nando au Fener et, lui-même, quittant le CSKA a déclaré qu’il envisageait un itinéraire différent. Après quelques semaines, les circonstances changèrent simultanément sur les deux continents, ce qui l’a conduit à Istanbul. Sergio Rodriguez a reçu d’un autre club une offre de signature d’un contrat de trois ans, ce qui est très important pour un joueur à ce stade de sa carrière. Nous l’avons rencontré et nous nous sommes séparés gentiment. Il est clair qu’il est impossible de remplacer rapidement des joueurs de ce niveau, l’équipe a besoin de l’apparition de nouveaux visages, la vie continue. Ce sont de nouveaux défis pour le club et les fans. Je le répète, après la grande victoire (NDLR: en Euroleague), je ne voulais pas vraiment changer quelque chose, mais nous n’avons pas eu d’autre choix. D’autre part, cette équipe a été construite pour plus d’un an, a remporté deux Euroleague et, probablement, a atteint son plafond, les forces des anciens combattants ne sont pas illimitées. »\\n\\nAndrei Vatutin a par ailleurs parler des primes offertes par l’Euroleague et de la concurrence de la Basketball Champions League.\\n\\n« Aucun changement n’est prévu pour la prochaine saison: 37 000 € pour le vainqueur de la saison régulière, 70 000 € pour aller au Final Four et 1 million d’euros pour le vainqueur de la compétition. Nous avons atteint ces chiffres en 2016 lorsque le CSKA est devenu le champion à Berlin. C’est stable. Il est clair que j’aimerais davantage, mais, apparemment, c’est le maximum que l’Euroleague puisse offrir. »\\n\\nLe président du CSKA estime que même si la BCL propose 2 millions d’euros au vainqueur, ça ne changera pas la donne:\\n\\n« C’est peu probable, car pour les favoris du tournoi, ces prix ne constituent pas le facteur déterminant. Je vais noter un point important. Dans le basket-ball européen, il y a un vrai chaos: Euroleague, Eurocup, Champions League, FIBA Europe Cup, ligues nationales, tournois qualificatifs pour l’équipe nationale dans les « fenêtres » ... Cela décourage les investissements pour le basket-ball. Le paradoxe est que tout le monde est satisfait de cette situation. Tout est en quelque sorte « réglé ». Les clubs se sont habitués au fait qu’ils ne pouvaient pas lâcher l’équipe nationale, les fédérations se sont habituées au fait qu’il leur fallait engager une discussion avec les clubs. Il n’y a pas d’ordre, pas de pouvoir, qui nous mènera tous à un dénominateur commun. Je ne sais pas quel genre de personne ou d’organisation pourrait faire cela. Chaque partie possède sa propre vérité, et le fouillis des compétitions, des règles, des réglementations est devenu une donnée. Et nous devrons vivre avec cela pendant plus d’un an. »\\n\\nPhoto: Andrei Vatutin (CSKA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Adam Hanga prolonge à Barcelone jusqu’en 2022" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis plusieurs jours et c’est désormais officiel, Adam Hanga (2,01m, 30 ans) prolonge son contrat à Barcelone.\\n\\nSur son site, le Barça annonce avoir trouvé un accord pour offrir deux saisons de plus à l’international hongrois qui était initialement en contrat jusqu’en juin 2020. La saison 2022/23 est également en option. En deux saisons, l’ancien joueur de Vitoria a déjà disputé 131 matchs sous les couleurs du club catalan et a remporté deux fois la Copa del Rey.\\n\\nCette saison, Adam Hanga compilait en moyenne 9,3 points et 3,8 rebonds entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Le tirage au sort à suivre en direct à 13h" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort de l’Eurocup est à suivre en direct à 13h (voir ci-dessous). 24 équipes sont engagées dont Limoges, Monaco et Nanterre.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=y9O854o_Wv8&feature=youtu.be" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Pour son retour en Liga Endesa, Bilbao vise 7 000 abonnés" }, {"role": "assistant", "content":"Le RETAbet Bilbao Basket revient en Liga Endesa après être passé une saison par le purgatoire de la LEB Gold et le club basque est ambitieux: il vise les 7 000 abonnés.\\n\\nIl s’agit d’un chiffre raisonnable quand on sait que l’ancien club de Frédéric Weis et Adrien Moerman est doté d’une salle de 10 014 places et qu’il a enregistré de fortes affluences en LEB Oro.\\n\\n« Nous avons connu un taux de remplissage de près de 70% de notre capacité et en playoffs, en demi-finale, nous avions 8,587 personnes et 9, 679 en finale. Ces données nous encouragent et constituent la base de notre campagne. L’objectif est d’avoir 1 000 abonnés supplémentaires. Passez de 60 à 70% d’abonnements. Alors que nous étions en LEB, nous étions la quatrième équipe en matière d’affluence y compris celles d’ACB « , a déclaré la vice-présidente Isabel Iturbe.\\n\\nRETAbet Bilbao a également profité de son passage en division inférieure pour épurer ses dettes." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Derrick Williams dans le viseur de plusieurs clubs" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison très satisfaisante au Bayern Munich, Derrick Williams (2,03m, 28 ans) a attiré l’attention de plusieurs clubs d’Euroleague.\\n\\nSelon Sportando, l’ancien joueur des Minnesota Timberwolves serait sur les tablettes de Milan, l’Anadolu Efes, Vitoria et le Fenerbahce. Le club italien en aurait même fait sa cible principale et lui aurait proposé un contrat en conséquence. Boudé par les franchises NBA, l’ancien numéro 2 de Draft a décidé de tenter sa chance à l’étranger. Un choix payant.\\n\\nCette saison, Derrick Williams compilait en moyenne 11,4 points et 3,3 rebonds en championnat, et 13,3 points et 4,1 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Sondage: Oui, la venue de Bria Hartley chez les Bleues a été positive" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques jours, nous vous posions la question, “Estimez-vous positif que Bria Hartley ait rejoint l’équipe de France ?”. Voici les résultats.\\n\\nNous avons enregistré 764 votants et 84% (643 votes) d’entre eux pensent que l’arrivée de Bria Hartley en équipe de France est une bonne chose. Seulement 16% des votants estiment que la combo guard du Fenerbahce n’aurait pu dû rejoindre les Bleues.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : A Aix-Maurienne, Jaraun Burrows arrive, Junior Zéro prolonge" }, {"role": "assistant", "content":"Le club basé à Aix-les-Bains avance petit à petit dans son recrutement.\\n\\nSur le site site officiel du club, le nouveau coach Manu Schmitt a fait un point sur cette intersaison vers la saison 2019/2020 en annonçant la prolongation d’un joueur et la signature d’un autre.\\n\\nLa prolongation s’est faite avec le jeune Junior Zéro (1,95m, 22 ans). Cet ailier bondissant, formé au Mans, espère bien avoir plus de responsabilités dans sa deuxième année professionnelle lui qui ne jouait que très peu la saison dernière : Seulement 11 minutes de temps de jeu pour 3,5 points à 45,5% et 1,6 rebond pour un total de 3,9 d’évaluation.\\n\\nLa signature est celle de l’intérieur athlétique Jaraun Burrows (2,03m, 33 ans), bien connu de la Pro B pour avoir été le pivot de Fos-sur-Mer lors de la saison 2017/2018. Pouvant jouer sur les postes 4-5, l’intérieur bahaméen est un joueur très efficace à courte distance puisqu’il tourne à plus de 60% aux shoots sur ces trois années en France. Blessé la plupart du temps l’année dernière, il n’a joué que 9 matchs en Jeep Elite avec Fos et tentera donc d’oublier cette mauvaise saison.\\n\\nLors de sa dernière saison en Pro B, le natif de Nassau compilait 13,9 points, 5,1 rebonds et 1,7 passe décisive pour 14,9 d’évaluation.\\n\\n\\nJunior Zéro reste, Jaraun Burrows arrive ! https://t.co/IDB6r4mkIT\\n\\n— Aix-Maurienne S.B (@AMSB73) July 8, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B : l’Espagnol Josep Franch arrive à Gries" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir enregistré le départ de Xavier Forcada pour Roanne, le BCGO s’est mis à la recherche d’un remplaçant et c’est sur un autre Espagnol, Josep Franch (1,90m, 28 ans), que Ludovic Pouillard et son staff ont jeté leur dévolu, annonce le club.\\n\\nPassé par Badalone, Murcie, Seville ou encore San Sebastian en Liga Endesa, ce meneur de jeu arrive en provenance de Melilla et évoluait en LEB Oro, la deuxième division espagnole pour jouer la montée. Après avoir effectué toute sa carrière en Espagne, il va vivre sa première expérience à l’étranger en France.\\n\\nCette saison, Josep Franh compilait en moyenne 8,8 points, 3,6 rebonds et 4,1 passes décisives par match.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto : Club Melilla Baloncesto" }, {"role": "user", "content":"N1: L’Etoile de Charleville ne veut pas être reléguée en Régionale" }, {"role": "assistant", "content":"L‘Etoile de Charleville-Mézières, qui est un club historique, avait obtenu sur le terrain son maintien en Nationale 1, mais la chambre d’appel de la FFBB a confirmé vendredi dernier la décision de le rétrograder en Ligue régionale. La dette du club est de 300 000 euros et malgré le licenciement de trois salariés en 2018, l’exercice écoulé est encore déficitaire alors que le budget pour 2019-20 n’apportait pas assez de garanties.\\n\\n« Le club de l’Etoile de Charleville, par l’intermédiaire de son président, vous informe que la commission d’appel de la FFBB a confirmé les directives de la commission de contrôle de gestion, qui prononce la relégation du club en championnat régional. Les dirigeants se réuniront lundi pour étudier les recours possibles pour faire annuler cette décision, constatant que la chambre d’appel n’a pas pris en compte l’intégralité des documents soumis à cette commission », a écrit en fin de semaine dernière l’Etoile dans un communiqué.\\n\\nLe club des Ardennes cherche une conciliation et menace de recourir au tribunal administratif. Le président Luc Torres a déclaré à France Bleu que deux ans, deux ans et demi sont nécessaires pour éponger la dette.\\n\\n« Si nous sommes relégués en Ligue régionale, on sera incapable de combler la dette. Le club ne pourra pas s’en relever«" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Le scoreur fou Jimmer Fredette signe deux saisons au Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"Le Panathinaikos vient d’enrôler une grande star du championnat chinois, le meneur/arrière américain Jimmer Fredette (1,88m, 28 ans).\\n\\nL’ancien étudiant de Brigham Young a réalisé de gros cartons avec les Sharks de Shanghai tournant à 36,9 points, 5,6 rebonds et 5,3 passes sur les trois dernières saisons !\\n\\nJimmer Fredette avait été drafté en 10e position en 2011 et il a également accompli 241 matches en NBA. Sa saison la plus efficace avait été celle en rookie à Sacramento (7,6 points) alors que sa moyenne générale est tombée à 6,0." }, {"role": "user", "content":"La photo: Alexia Chartereau et Iliana Rupert fêtées en Sarthe" }, {"role": "assistant", "content":"De retour de Belgrade, les vice-championnes d’Europe sont reparties en famille ou en WNBA pour Bria Hartley et Marine Johannès. C’est ainsi que les Berruyères d’adoption Alexia Chartereau et Iliana Rupert sont revenues en Sarthe où habitent leurs parents, elles qui ont porté toutes les deux le maillot des JS Coulaines, un club de la banlieue du Mans.\\n\\nLe Comité de la Sarthe a posté cette photo sur les réseaux sociaux où on les voit avec les parents d’Alexia aux extrémités et la maman d’Iliana au milieu.\\n\\nPhoto: Comité de la Sarthe" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Lamonte Ulmer passe de Bourg à Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"Après les prolongations de David Holston et Axel Julien, la JDA Dijon annonce l’arrivée de Lamonte Ulmer (1,98m, 32 ans).\\n\\nEn France depuis deux ans, à Châlons-Reims puis Bourg-en-Bresse, l’ailier américain continue sa route à Dijon. Passé par le Luxembourg, la Finlande, la Roumanie et l’Allemagne, l’ancien pensionnaire de l’université de Rhode Island a notamment su faire apprécier ses qualités athlétiques depuis deux ans en Jeep Elite.\\n\\nLaurent Legname s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Suite à la saison dernière, on cherchait un joueur poste 3 complémentaire de Jérémy, mais aussi capable de jouer avec lui, ou encore de performer avec la ligne extérieure. Lamonte est un joueur qui connait bien la Jeep ELITE, avec une très bonne saison au CCRB en tant que scoreur. Il a eu un peu des hauts et des bas à Bourg, mais il a prouvé sa capacité à scorer, grâce notamment à son profil très athlétique, capable de bien jouer sans ballon, mais aussi de prendre des rebonds offensifs et défensifs. Je pense qu’il aura à cœur de faire une belle année après la saison en dents de scie à la JL Bourg et que ce sera un deal gagnant-gagnant. À lui de s’intégrer au mieux et de nous apporter ce qu’il sait faire. »\\n\\nCette saison, Lamonte Ulmer compilait en moyenne 9,5 points et 3,8 rebonds pour une évaluation de 10,6 en Jeep Elite.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Dans le vestiaire des Bleues après la finale de l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Dernier épisode de La Minute Inside au championnat d’Europe avec des images de vestiaires et les commentaires de Endy Miyem, Valérie Garnier et Jean-Pierre Siutat après la défaite face à l’Espagne.\\n\\nPhoto: Sara Chevaugeon et Queralt Casas (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Nick Calathes MVP une troisième saison consécutive" }, {"role": "assistant", "content":"Chef d’orchestre du Panathinaïkos, Nick Calathes (1,96m, 30 ans) vient d’être élu MVP du championnat grec.\\n\\nSous contrat pour encore deux saisons, l’international grec a une nouvelle fois prouvé qu’il fait partie du gratin des joueurs européens à la barre de la formation athénienne. Cette saison, Nick Calathes compilait en moyenne 9,7 points, 3,4 rebonds et 8,1 passes décisives en championnat.\\n\\n\\nMVP για τρίτη σερί σεζόν ο Νικ Καλάθης #basketleague #mvpoftheseason 🏀🏆\\n\\n✍️ https://t.co/EDZVnN0EJO pic.twitter.com/sOKcEpZ8iM\\n\\n— ΕΣΑΚΕ (@esakegr) July 9, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Michael Eric pour remplacer Vincent Poirier à Vitoria" }, {"role": "assistant", "content":"Vincent Poirier parti en NBA, Vitoria se retrouve amputé d’un joueur à l’intérieur. Pour y remédier, la formation basque annonce aujourd’hui la signature pour deux ans de Michael Eric (2,11m, 31 ans).\\n\\nNé au Nigeria, le natif de Lagos est passé par l’université de Temple avant de lancer sa carrière professionnelle en G-League pendant deux ans. En Europe, il est ensuite transité par Brindisi, l’AEK Athènes; Bilbao et Darussafaka. Après deux saisons en Turquie marquées par un titre d’Eurocup en 2018, l’ancien joueur des Texas Legends va donc découvrir le championnat espagnol.\\n\\nCette saison, Michael Eric compilait en moyenne 11,1 points et 5 rebonds pour une évaluation de 10,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne : le Real Madrid s’offre le MVP de la saison Nicolas Laprovittola" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison de maestro sous les couleurs de Badalone, Nicolas Laprovittola (1,93m, 29 ans) va poursuivre sa carrière chez le champion d’Espagne, le Real Madrid.\\n\\nSur son site, la Joventut annonce le départ du MVP de Liga Endesa 2019 tandis que le Real Madrid officialise son arrivée. Né en Argentine, le meneur de jeu dispose de la double nationalité argentine et italienne. Passé par Flamengo, Vilnius, l’Estudiantes Madrid, Vitoria ou encore le Zenith Saint-Petersbourg, il a également disputé une quinzaine de matchs NBA avec les San Antonio Spurs en 2016/17.\\n\\nCette saison, Nicolas Laprovittola compilait en moyenne 17,1 points, 2,5 rebonds et 6,3 passes décisives en Liga Endesa.\\n\\n\\n👉 #WelcomeLaprovittola pic.twitter.com/foZwKWMS0j\\n\\n— Real Madrid Basket (@RMBaloncesto) July 9, 2019\\n\\n\\nPhoto : Joventut Badalona" }, {"role": "user", "content":"L’ancien villeurbannais Tim Abromaitis quitte Tenerife pour le Zenith Saint-Petersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"A Tenerife depuis 2015, Tim Abromaitis (2,03m, 29 ans) va quitter les Iles Canaries pour la Russie et le Zenith Saint-Petersbourg.\\n\\nSur Twitter, le club russe a annoncé la signature de l’ailier fort américain pour les deux prochaines saisons. Vainqueur de la Champions League en 2017, l’ancien pensionnaire de Notre Dame a lancé sa carrière à l’ASVEL avant de passer par Strasbourg, Braunschweig (Allemagne) et donc Tenerife. Au Zenith, le natif de Waterbury évoluera aux côtés d’Andrew Albicy et vivra sa deuxième campagne d’Euroleague après celle disputée avec Strasbourg en 2013/14.\\n\\nCette saison, Tim Abromaitis compilait en moyenne 11,9 points et 4,4 rebonds entre la Champions League et la Liga Endesa.\\n\\n\\nТим Абромайтис — новый игрок «Зенита»!Наш клуб подписал двухлетний контракт с 29-летним американским форвардом.\\n//\\nTim Abromaitis is our new player!Our club has signed 29 years old American forward for two years. #Zenitbasket pic.twitter.com/2Xr4c8pASB\\n\\n— Basketball club Zenit (@zenitbasket) July 8, 2019\\n\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde – Espagne: forfaits de Serge Ibaka, Nikola Mirotic et Sergio Rodriguez" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach italien Sergio Scariolo a annoncé ce matin la pré-sélection espagnole pour la Coupe du monde en Chine (du 31 août au 15 septembre) qui comprend 16 joueurs.\\n\\nSerge Ibaka, champion NBA avec Toronto, Sergio Rodríguez , champion d’Euroleague avec Moscou, et aussi Nikola Mirotic, qui vient de signer un contrat mirobolant avec Barcelone, ont décliné l’invitation à se joindre au groupe. Le premier préfère effectuer la fameuse « préparation individuelle » chère aux joueurs NBA, le second veut reposer son corps de 33 ans avant de connaître son destin pour la prochaine saison, le troisième n’a pas cédé aux demandes de la fédération qui a tenté jusqu’au dernier moment de le faire changer d’avis.\\n\\nUn coup dur pour le secteur intérieur espagnol quand on sait que Pau Gasol est lui forfait sur blessure.\\n\\nLa moitié des 16 pré-sélectionnés sortent des fenêtres de qualification.\\n\\nJoueurClubSel.Pablo AguilarPallacanestro Reggiana42Javier BeiránIberostar Tenerife9Víctor ClaverFC Barcelona134Quino ColomBahçeşehir Koleji14Ilimane DiopKirolbet Baskonia7Rudy FernándezReal Madrid211Jaime FernándezUnicaja12Marc GasolToronto Raptors168Willy HernangómezCharlotte Hornets46Juancho HernangómezDenver Nuggets18Sergi LullReal Madrid131Xavi RabasedaHerbalife Gran Canaria17Pierre OriolaFC Barcelona20Pau RibasFC Barcelona21Ricky RubioUtah Jazz133Joan SastreValencia Basket19\\n\\nPhoto: Serge Ibaka (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Limoges engage le pivot sénégalais de 2,15m Atoumane Diagne et fait revenir Brian Conklin" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP fait revenir au club l’intérieur américain Brian Conklin (1,98m, 29 ans) et s’est fait prêter par le FC Barcelone le jeune pivot sénégalais Atoumane Diagne (2,15m, 20 ans), qui opèrera comme Cotonou, indique le club dans un communiqué.\\n\\n« Atoumane est un jeune joueur, prêté par le Barça, que nous avons contacté très tôt pour nous apporter de la taille dans la raquette. C’est un profil assez atypique pour le Jeep Elite. Avec sa taille, une envergure extraordinaire et une mobilité surprenante, il peut nous apporter des solutions aux rebonds et en protection du cercle, tout en étant dangereux près du panier. Son impact sur un terrain va bien au-delà des statistiques. Bien qu’ayant joué en LEB Oro en Espagne, il s’entraine depuis deux ans avec l’équipe première du Barça, donc il connait le haut niveau. Sortant d’un des meilleurs clubs européens, francophone, et ayant côtoyé Alfred Julbe à Barcelone, il devrait s’adapter rapidement au Limoges CSP, » commente le directeur sportif Crawford Palmer.\\n\\nAtoumane Diagne portait jusqu’ici le maillot de l’équipe B du Barça.\\n\\nVoici par ailleurs ce qu’en disait il y a quelques semaines le site espagnol spécialisé zonadebasquet, qui estime qu’il n’a pas montré de signes de progression lors de la saison écoulée:\\n\\n« C’est toujours ce mur du rebond et de l’intimidation, mais au niveau de l’attaque on n’a rien vu de nouveau qui n’ait pas été connu. C’est un bon joueur qui termine ses actions au niveau du cercle mais qui souffre aux lancers- francs. Peut-être qu’un changement de décor pourrait être bénéfique pour un joueur qui a besoin de franchir cette étape pour ne pas rester sur la route. »\\n\\n\\nNé le 31 décembre 1998 à Dakar (Sénégal)\\n\\nParcours :\\nCB Unelco Cadet (2012-2013)\\nFC Barcelona Junior. (2013-2016)\\nFC Barcelone B (depuis 2016)\\n\\nStats:\\n\\n34 matches: 21 minutes, 6.9 points (63% à deux-points), 6,4 rebonds, 0.8 passes, 1.7 contre 10.6 d’évaluation.\\nPalmarès :\\nChampion d’Espagne cadets (2013-2014)\\nChampion d’Espagne juniors (2015-2016)\\nChampion Adidas Next Generation Tournament (2015- 2016)\\n\\nPar ailleurs, Brian Conklin est de retour au CSP après une saison en Australie, où il portait le maillot des Illawara Hawks. Lors de la saison 2017-2018 sous les couleurs vertes, il avait cumulé 8,6 points (50% à 3-points), 4,7 rebonds et 1,4 passe décisive en 22 minutes pour une évaluation moyenne de 9,4 en Jeep Elite.\\n\\n« Nous sommes très contents du retour de Brian Conklin et ce qu’il peut apporter à l’équipe : de la dureté, du caractère, en plus de ses talents de basketteur. Il a apprécié son passage à Limoges en 2017-2018, et le CSP aussi. Il nous donne une certaine assurance à l’intérieur où son énergie, son exigence permanente et sa connaissance du jeu créent beaucoup d’opportunités pour lui-même et ses coéquipiers. Brian rentre parfaitement dans le style d’équipe que nous voulons construire, » estime Crawford Palmer.\\n\\n\\nNé le 5 septembre 1989 à Eugene (Oregon – Etats-Unis)\\n\\nParcours :\\n2008-12 : St Louis University (NCAA I)\\n2012-13 : Zero Fees Southland Sharks (Nouvelle Zélande)\\n2013-14 : Townsville Crocodiles (Australie) puis Zero Fees Southland Sharks (Nouvelle Zélande)\\n2014-15 : Townsville Crocodiles (Australie) puis Cangrejeros de Santurce (Porto Rico)\\n2015-16 : Townsville Crocodiles (Australie) puis Piratas de Quebradillas (Porto Rico) puis Leones de Santo Domingo (République Dominicaine)\\n2016-17 : Nanterre (Pro A)\\n2017-18 : Limoges (Jeep ÉLITE)\\n2018-2019 : Illawara Hawks (Australie)\\nPalmares :\\nVainqueur de la FIBA Europe League en 2017\\nVainqueur de la Coupe de France en 2017\\nChampion de Nouvelle Zélande en 2013\\nChampion de République Dominicaine en 2016\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"C’est fait : deux ans au Fenerbahce pour Leo Westermann" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncé proche du Fenerbahce depuis plusieurs jours, Leo Westermann (1,98m, 26 ans) va bien s’engager en faveur du champion d’Europe 2017.\\n\\nAlors que le Zalgiris Kaunas a officialisé l’arrivée d’Alex Perez et l’intérêt du Fenerbahce pour l’international tricolore, l’ancien villeurbannais nous a lui-même confirmé avoir paraphé un contrat de deux saisons, en attendant la visite médicale qui doit avoir lieu en fin de semaine. Au Fenerbahce, l’ancien joueur du Limoges CSP va rejoindre Nando De Colo qu’il a déjà côtoyé au CSKA Moscou et son meilleur ami Joffrey Lauvergne avec qui il a déjà évolué au Partizan Belgrade.\\n\\nAprès avoir été coaché pour Dusko Vujosevic, Dimitris Itoudis ou encore Sarunas Jasikevicius, le natif de Haguenau va une nouvelle fois jouer pour un entraîneur d’exception en la personne de Zeljko Obradovic.\\n\\nCette saison, Leo Westermann compilait en moyenne 6,8 points, 2 rebonds et 3,1 passes décisives entre l’Euroleague et le championnat lituanien.\\n\\nFin mars, nous sommes allés rendre visite à l’ancien joueur de Kaunas à l’occasion du déplacement de son équipe à l’Olympiakos. L’occasion pour vous de lire ou relire nos interviews (1 et 2).\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Eric Buckner prolonge à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, le pivot américain Eric Buckner (2,08m, 29 ans) s’est mis d’accord avec l’AS Monaco pour une saison supplémentaire.\\n\\nLa saison écoulée, Eric Buckner, réputé pour sa détente verticale exceptionnelle, a joué 8 matches avec l’ASVEL puis 22 avec l’ASM pour 9,4 points et 4,3 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"WNBA: Bria Hartley et Marine Johannès à pied d’oeuvre au New York Liberty" }, {"role": "assistant", "content":"Le New York Liberty vient d’annoncer que les arrières internationales françaises Bria Hartley et Marine Johannes ainsi que l’intérieure suédoise Amanda Zahui sont arrivées sur place pour participer à la suite de la saison WNBA. A l’inverse, Kiah Stokes, qui a également pris part à l’Euro avec la Turquie y renonce pour des raisons privées.\\n\\nLe Liberty est actuellement 9e (sur 12) avec 7 victoires et 8 défaites. En cinq matches avant l’Euro, Bria Hartley a tourné à 9,0 points, 5,0 rebonds, 4,2 passes et 1,2 interception alors que Amanda Zahui a assuré 11,4 points et 7,8 rebonds en 9 matches.\\n\\nIl s’agit de la première expérience de Marine Johannès dans la ligue US.\\n\\nPhoto: Marine Johannès (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Finale de l’Euro féminin: Une audience de 1 885 000 téléspectateurs en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"La finale de l’Euro féminin Espagne-France a réuni dimanche sur La1 TVE une moyenne de 1 885 000 téléspectateurs soit 15,5% de parts de marché. Il s’agit de la meilleure audience de la chaîne de la journée.\\n\\nA 22h10, une pointe à 3 052 000 spectateurs a été observée.\\n\\nCes chiffres dépassent largement les records de la finale de l’Euro 2017 et du match pour le bronze de la Coupe du Monde de Tenerife 2018.\\n\\nCes audiences sont à mettre en parallèle avec les 582 000 spectateurs sur W9 sachant que la population de l’Espagne est de 49 millions d’habitants contre 67 millions à la France.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB: L’internationale brésilienne Nadia Colhado à Charleville" }, {"role": "assistant", "content":"Pour compléter son déjà riche effectif, Charleville a recruté la pivot internationale brésilienne Nadia Colhado (1,94m, 30 ans), qui arrive de Girone, champion d’Espagne.\\n\\n» Nadia peut être une joueuse importante dans une équipe comme la notre. Ce n’est pas une star. Nous sommes contents d’avoir pu saisir l’opportunité de la faire venir aux Flammes. C’est une combattante, une besogneuse qui rayonnait à plus de 10 points – 10 rebonds avec Girone. Nous recherchions ce profil de joueuse, capable de défendre fort, de prendre des rebonds et de travailler collectivement », commente le coach Romuald Yernaux sur le site du club.\\n\\nC’est face à Lyon, en 1/4 de finale de l’Eurocup, que la Brésilienne a réalisé sa meilleure performance de la saison: 17 points et 18 rebonds.\\n\\nL’effectif de Charleville en 2019-20.\\n\\nMeneuses: Amel Bouderra / Giorgia Sottana. Ailières/Arrières: Sara Chevaugeon / Kim Mestdagh / Katie-Lou Samuelson / Janel Salaun. Intérieures: Endy Miyem / Fatimatou Sacko / Nadia Gomes Colhado" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 2 000, le nombre de matches diffusés par an par la FIBA sur Facebook et Youtube" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement, les super fans se régalent en regardant sur Youtube et Facebook les compétitions des équipes nationales de jeune organisées par la Fédération Internationale (FIBA) durant les mois de juillet et août.\\n\\nCela représente un peu plus de 1 500 matches auxquels il faut ajouter plus de 500 autres rencontres d’Euroleague féminine, de FIBA Europe Cup, etc.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"James Gist quitte le Panathinaïkos pour l’Etoile Rouge" }, {"role": "assistant", "content":"Après sept saisons passées au Panathinaïkos, James Gist (2,06m, 32 ans) quitte la Grèce pour retourner en Serbie, cette fois à l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nSur son site, le Red Star annonce la signature pour deux ans du quintuple champion de Grèce. Joueur reconnu sur le continent européen, l’intérieur américain né en Turquie est passé par Biella, Kuban, le Fenerbahce, Malaga et donc le Pana. En 2010/11, il a également déjà joué en Serbie, mais pour le meilleur ennemi de sa nouvelle équipe, le Partizan Belgrade.\\n\\nCette saison, James Gist compilait en moyenne 7,4 points et 4,3 rebonds entre l’Euroleague et le championnat grec.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Kim Tillie signe à Monaco !" }, {"role": "assistant", "content":"A l’échelle de la Jeep Elite, l’AS Monaco réalise un transfert hors catégorie en enrôlant l’international Kim Tillie (2,10m, 31 ans).\\n\\nComme le rappelle l’ASM, Kim Tillie, c’est cinq saisons en Euroleague, un Final Four en 2016 avec Vitoria, une médaille de bronze mondiale avec l’équipe de France en 2014, un titre de champion d’Europe junior en 2006, un quart de finale des Jeux Olympiques avec l’équipe de France en 2016.\\n\\nNé le 15 juillet 1988 à Cagnes-sur-Mer, Kim Tillie a débuté à l’US Cagnes, avant de jouer un an avec les cadets des Sharks d’Antibes. Il avait 16 ans lorsqu’il prit la direction de l’INSEP à Paris. Deux ans plus tard, l’Azuréen intégrait l’Université d’Utah, réalisant le cursus complet de quatre saisons.\\n\\nIl a porté ensuite les maillots de l’ASVEL, Murcie, Vitoria, Olympiakos et Gran Canaria pour la saison écoulée 29 matches d’Euroleague (16 dans le Cinq de départ), 6,5 pts, 52,4% à 2-pts, 40,9% à 3-pts (36/88), 2,7 rebonds en 17′.\\n\\n« C’est surtout la conversation que j’ai eue avec le coach Sasa Obradovic qui m’a vraiment convaincu de venir à Monaco. Le projet m’a séduit et il y aussi le fait que j’ai beaucoup de famille dans la région. Je suis né à Cagnes, je suis d’ici, c’est un point fort pour moi », commente le joueur sur le site du club (...) C’est vrai que je suis content de revenir en France, de montrer le niveau que j’ai et comment j’ai évolué en Euroligue et en Espagne. Quand j’étais en France, je n’étais pas le même joueur, je dirais que je suis beaucoup plus expérimenté. »\\n\\nEn revenant en France dans une équipe d’Eurocup, Kim Tillie va retrouver une bonne occasion de postuler cet hiver à l’équipe de France lui qui n’a pas été retenu pour la Coupe du monde.\\n\\n. »C’est vrai je suis un peu déçu de ne pas être dans le groupe même si je comprends tout à fait les choix du coach. Il va falloir que je réalise une grande saison pour réintégrer le groupe, je travaille pour ça. C’est toujours mon objectif, et donc je vais travailler très dur pour revenir en équipe de France, car cela me manque. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin U18: Les Bleuettes balaient la République Tchèque, 76-39" }, {"role": "assistant", "content":"Comme on s’y attendait, l’équipe de France féminine U18 n’a pas fait de quartiers face à la République Tchèque, marquant près du double de points, 76-39.\\n\\nLes Tchèques ont inscrit 11, 8, 9 et 11 points par quart-temps avec une réussite aux tirs de 23,3%. Quatre Françaises sont en double figure avec 14 d’évaluation pour Camille Hillotte.\\n\\nLes Bleuettes terminent ainsi premières du groupe C et affronteront le 4e du groupe D mercredi.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Serena Kessler (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"LNB – Les labels ont été distribués aux clubs: Chalon, Strasbourg et Villeurbanne en or" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de sa réunion tenue ce jour à Paris, la Commission Label de la Ligue Nationale de Basket a attribué les différents Labels Clubs Or, Argent et Bronze aux clubs ayant répondu aux critères du cahier des charges d’attribution. Cette année, 19 clubs se sont vus attribuer un Label (3 or, 7 argent et 9 bronze).\\n\\nLe Label Club LNB qui a été mis en place en 2014 est au coeur du Plan Stratégique LNB voté en fin de saison dernière puisque 4 mesures y font référence (cf. mesures 17 à 20 ICI). La LNB a souhaité en effet augmenter les exigences en matière de structuration interne des clubs. Les travaux de la Commission Label, accompagnée par la société OLBIA, sont en cours de définition pour que le nouveau cadre du dispositif soit mis en place dès la saison 2020-21.\\n\\nCe dispositif volontaire a pour but de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels sur la base d’un cahier des charges distinguant quatre grandes catégories considérées comme éléments structurants d’un club :\\n\\n1. Une première partie Gouvernance, Administration, Finance apprécie la structuration salariée du club, sa structure juridique et sa santé financière. Cette partie s’intéresse également à la responsabilité sociétale et environnementale des clubs.\\n\\n2. Une partie Marketing, Commercial et Communication, importante pour développer des revenus stables au club face à l’incertitude du résultat sportif, a également été mise en avant. Les aspects commerciaux (nombre et structuration des partenariats), de communication (Marque club, images et vidéos, réseaux sociaux) et Merchandising (Produits boutique, commercialisation...) seront ici appréciés.\\n\\n3. Une troisième partie est consacrée au Sportif et Médical. Elle tend à valoriser le staff technique et médical du club, ainsi que l’organisation de l’effectif sportif et de la formation, notamment en matière de continuité dans les effectifs.\\n\\n4. La dernière partie Equipement, Exploitation et Gestion de salle valorise les clubs dont les équipements répondent aux exigences du sport professionnel envers les médias, les délégations sportives, les différents publics (spectateurs, partenaires) et permettent aux clubs de renforcer leur modèle d’exploitation.\\n\\nLes Labels Clubs LNB 2018-2019\\n\\nLABEL OR\\nJeep® ÉLITE : Elan Chalon/Saône (Argent en 2018), LDCL ASVEL (Argent en 2018), SIG Strasbourg (idem en 2018)\\nPROB : Aucun club\\n\\nLABEL ARGENT\\nJeep® ÉLITE : JL Bourg Basket (idem en 2018) – Cholet Basket (idem en 2018) – Le Mans Sarthe Basket (idem en 2018) – Limoges CSP (idem en 2018) – Nanterre 92 (idem en 2018) – EB Pau-Lacq-Orthez (idem en 2018)\\nPROB : Orléans Loiret Basket (Bronze en 2018)\\n\\nLABEL BRONZE\\nJeep® ÉLITE : Antibes Sharks (idem en 2018) – Boulazac Basket Dordogne (idem en 2018) – Champagne Châlons-Reims Basket (idem en 2018) – JDA Dijon (idem en 2018) – BCM Gravelines-Dunkerque (idem en 2018) – Levallois Metropolitans (nouveau labellisé)\\nPROB : ADA Blois Basket (idem en 2018) – SLUC Nancy (idem en 2018) Chorale Roanne (idem en 2018)\\n\\n« Je tiens à féliciter tous les clubs qui ont progressé cette saison dans le Label. C’est la première année que nous avons 3 Labels Or ; c’est un signe de très bonne dynamique ! Je me réjouis également de voir chaque année de plus en plus de clubs rentrer dans le process de labellisation. C’est la preuve que ce dispositif est un bon référent pour mieux structurer et professionnaliser les clubs. C’est notre rôle que d’accompagner les clubs dans cette démarche et c’est en ce sens que nous travaillons actuellement sur la refonte du Label pour le mettre plus encore en cohérence avec les chantiers prioritaires de développement du basket professionnel« , commente le président de la LNB, Alain Béral." }, {"role": "user", "content":"Amath M’Baye quitte l’Italie et Bologne pour la Turquie et Izmir" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir lancé sa carrière au Japon, Amath M’Baye (2,06m, 29 ans) continue son chemin en Europe et s’engage avec Izmir.\\n\\nSon agent vient d’annoncer que l’international tricolore quitte Bologne pour rejoindre le Pinar Karsiyaka et vivre sa première expérience en Turquie après avoir connu l’Italie avec Milan, Brindisi et Bologne, et donc le Japon. Vainqueur de la Champions League il y a quelques semaines, l’intérieur bordelais fait aussi partie de la liste élargie de Vincent Collet pour la coupe du monde.\\n\\nCette saison, Amath M’Baye compilait en moyenne 10,6 points et 3,8 rebonds entre la Champions League et le championnat italien.\\n\\n\\nAmath M’Baye @Amath22Juice is new player of @KSKBasket Welcome to @TBF #teamwass\\n\\n— Sead Galijasevic (@SeadGalijasevic) July 8, 2019\\n\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 : les 12 joueurs sélectionnés" }, {"role": "assistant", "content":"Du 13 au 21 juillet, l’Equipe de France U20 prendra part au championnat d’Europe qui se déroulera à Tel Aviv, en Israël.\\n\\nAprès une préparation ponctuée par un tournoi à Istanbul terminé avec seulement une victoire en quatre matchs, Jean-Aimé Toupane a dressé une liste de douze joueurs pour se rendre à l’Euro.\\n\\nLe sélectionneur regrette ne pas pouvoir compter sur Jaylen Hoard, Olivier Sarr ou encore Joshua Mballa.\\n\\n« Il y a six mois j’étais plutôt optimiste puisque nous avions fait plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour rencontrer les joueurs et les universités. Il y a toujours une raison. Au bout du bout ils ne sont pas là... je ne rentre pas dans les détails, c’est juste dommage », a-t-il indiqué à la FFBB.\\n\\nNamePrénomDate de naissanceTaille(cm)PosteClub saison 2018/2019AFFO MAMADylan22/07/19991973/4BOULAZAC BASKETBAZILLETimothée15/05/19992065LIMOGES CSPBEYHURSTLudovic05/01/19991721SIG STRASBOURGBLANCYanik11/06/19991881POITIERS BASKET 86BRIKISofiane15/04/19991922LDLC ASVELCHOUPASYohan11/03/20001901EB PAU LACQ ORTHEZFEVRIERIvan08/02/19992054CHORALE ROANNE (LEVALLOIS METROPOLITANS)HIPPOLYTECalvin05/01/20001983STB LE HAVREKHERZANEElias30/03/19991801STB LE HAVRE KOUYATELucas01/04/19992005ELAN CHALONPONSYves07/05/19991973TENNESSEE UNIVERSITY (USA)RUELQuentin26/07/19992013/4CHOLET BASKET\\n\\nEntraîneur : Jean Aimé Toupane\\nAssistants : Dounia Issa et Ali Bouziane\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Orléans prolonge quatre joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur des playoffs d’accession de Pro B, l’Orléans Loiret Basket va retrouver la Jeep Elite après deux ans passés dans son antichambre.\\n\\nSur son site, l’OLB vient d’annoncer les prolongations de quatre joueurs : Giovan Oniangue, Gaylor Curier, Miralem Halilovic et son MVP Brandon Jefferson. A noter également que Germain Castano et son assistant Thomas Drouot ont aussi prolongé leur bail dans le Loiret.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici. La Pro B par ici.\\n\\nPhoto : Page Création / Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U15: 3 victoires dont une sur l’Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"A Seregno (Italie), l’équipe de France U15 (joueurs nés en 2004) a remporté le Tournoi de l’Amitié avec trois victoires en autant de rencontres.\\n\\nLes Bleuets étaient pourtant privés de Victor Wenbanyama (2,13m), retenu avec les U16.\\n\\nLes résultats:\\nFrance – Espagne : 78-62\\nFrance – Italie : 88-65\\nFrance – Grèce : 68-42\\n\\nClassement final :\\n1- France\\n2- Espagne\\n3- Italie\\n4- Grèce\\n\\nNomPrénomNais.TailleClubBRENA CHEMILLEAurèle20041m85CTC Union 31 NordBOUZIDIAlexandre20041m92ASVELMALWAYAKillian20051m92Marne La ValléeBORDESMatéo20041m89CTC Grand DaxHANIFIBenali20042m00CTC ToulouseDICKOMoussa20042m00LevalloisCORREASimon20042m01NancyHAMON CRESPINMaël20042m03NancyJACQUESWilson20052m04DenainDZELLATHalvine20042m00BloisPROTImanol20041m93PoitiersAJINCAMelvin20041m97CFBBMANETNoah20041m90CFBBRUPERTRayan20041m86SCM Le MansDOUALLADaryl20041m91Marne-la-Vallée" }, {"role": "user", "content":"Jeep® Élite : D’Angelo Harrison nouvelle recrue du Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir annoncé le retour de Frank Hassell, Le Portel vient d’officialiser la signature d’une cinquième recrue, D’Angelo Harrison (1,93m, 26 ans).\\n\\nPassé par l’Usak Sportif (Turquie) et l’Hapoel Gilboa Galil (Israël), cet arrière américain évoluait cette saison aux côtés de l’ancien chalonnais et villeurbannais John Roberson à Krasnoyarsk. D’Angelo Harrison compilait en moyenne 16,1 points, 6,4 rebonds et 3 passes décisives en VTB League.\\n\\nEric Girard s’est exprimé sur son nouveau joueur :\\n\\n« La signature de ce fort scoreur extérieur est une excellente nouvelle pour notre équipe, notre club. Nous souhaitions recruter D’Angelo il y a un an déjà, à sa sortie d’Israël tellement il avait dominé la ligue et suite à sa nouvelle grosse saison, dans un championnat encore plus relevé, en Russie VTB League, l’opportunité a pu se concrétiser. Fort arrière scoreur, excellent rebondeur pour sa taille, bon créateur sur les postes 2/1, il complétera parfaitement notre roster extérieur. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : VTB League" }, {"role": "user", "content":"582 000 téléspectateurs sur W9 pour France-Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"La finale de l’Euro féminin France-Espagne a réuni hier soir 582 000 téléspectateurs sur W9 soit 3,0% de parts de marché. La tournure du match n’a certainement pas favorisé l’audience.\\n\\nLa demi-finale face à la Grande-Bretagne avait fait 312 000 sur la même chaîne.\\n\\nLa finale de foot féminin, Etats-Unis vs. PaysBas, en accès prime time, a été suivie par 5,26 millions de téléspectateurs sur TF1 (41,2%) et 686 000 (5,4%) sur Canal+. Un autre monde.\\n\\nLes audiences sur Canal+ Sport qui a aussi diffusé la finale ne sont pas dévoilés.\\n\\nChaineProgrammeTéléspectateursPDA 4+TF1The Amazing Spider-Man...3 270 00019.2%FR2RTT2 271 00011.5%FR3Agatha Raisin2 120 00010.9%5Les 100 lieux qu’il faut voir945 0004.8%M6Zone interdite2 381 00012.7%ArteThe Big Lebowski544 0004.4%C8Don Camillo en Russie682 0003.7%W9Basket: France / Espagne582 0003.0%TMCLes naufragés420 0002.1%TFXPour cent briques t’as plus rien366 0001.9%NRJ 12Tellement vrai195 0001.0%4Heidi425 0002.2%C StarChicago Fire182 0000.9%\\n\\n\\nConstat triste mais implacable : l'audience des Bleues est en forte baisse sur leurs 4 finales consécutives à l'Euro.\\n\\n(Et, aucune surprise : énorme gap entre France TV et W9). pic.twitter.com/ExcVdESQaG\\n\\n— Yann Casseville (@Kasvilovic) July 8, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Impressionnant ! Le triomphe des basketteuses à la Une des journaux espagnols" }, {"role": "assistant", "content":"Ce matin, le nouveau titre de champion d’Europe des équipières de Laia Palau fait la Une des journaux espagnols. Certains en grand format. Vraiment impressionnant." }, {"role": "user", "content":"Turquie: Léo Westermann vers Fenerbahçe ?" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le journaliste lituanien, Donatas Urbonas, Fenerbahçe Istanbul est en passe de signer pour deux ans le meneur français Léo Westermann (1,98m, 26 ans) qui a obtenu 6,3 points et 2,8 passes en Euroleague la saison écoulée en Euroleague.\\n\\nAinsi Léo Westermann deviendrait le backup de son compatriote Nando De Colo comme un temps au CSKA Moscou.\\n\\n\\nLeo Westermann transfer from Zalgiris to Fenerbahce is set, French PG will sign a two year deal, I was told.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) July 8, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Entre 3,9 et 5,2M€ pour Nikola Mirotic à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Mundo Deportivo, le coût global de la venue de l’international espagnol Nikola Mirotic au FC Barcelone (3 ans +1) est de 26 millions d’euros. Il devrait ainsi recevoir chaque année entre 3,9 et 5,2M€. Des montants qui en font le numéro 1 en Europe devant le Russe Alexey Shved du Khimki qui touche 3,6M€ la saison.\\n\\n« Un autre fait notable dans l’histoire est que Mirotic arrive de la NBA. Ainsi, selon les lois fiscales en vigueur en Espagne, pour sa première saison à Barcelone, il n’est tenu de payer que 24% du montant (contre 44 à 48% pour les deux saisons suivantes), car les joueurs ayant des contrats importants doivent payer ce montant au Trésor. De plus, le contrat peut être structuré avec un bonus de signature inclus, qui est également taxé à 24%. Contrairement à la NBA, ces chiffres ne sont pas annoncés publiquement, » explique Eurohoops.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Palmarès à l’Euro féminin, Laila Palau n°3, Endy Miyem n°5" }, {"role": "assistant", "content":"Avec pas moins de 8 médailles à l’Eurobasket, la meneuse espagnole Laia Palau a désormais dépassé la Russe Maria Stepanova et monte sur la troisième marche du podium des joueuses européennes ayant remporté le plus de médailles, derrière les Soviétiques Ouliana Semenova et Olga Soukharnova.\\n\\nDepuis l’été 2003 (bronze), Laia Palau est montée sur le podium européen en 2005 (bronze), 2007 (argent), 2009 (bronze), 2013 (or), 2015 (bronze), 2017 (or) et 2019 (or).\\n\\nA noter que les trois joueuses qui constituent ce trio de tête ont joué en France: Ouliana Semenova à Orchies, Olga Soukharnova à Mirande et Challes et Laia Palau deux fois à Bourges.\\n\\nEndy Miyem, qui a été de toutes les campagnes depuis 2009 -Sandrine Gruda était forfait en 2015- intègre la cinquième place avec six autres joueuses.\\n\\nLE TOP 10\\n\\nMEDJOUEUSEPAYSOAB10Ouliana SemenovaURSS10––9Olga SoukharnovaURSS9––8Laia PalauEspagne3147Maria StepanovaRussie3316Olga ArteshinaRussie33–6Nadejda ChouvaevaRussie6––6Dagmar HubalkovaTchécoslovaquie–336Tatiana OvetchkinaURSS6––6Ilona KorstineRussie33–6Galina SavitskayaURSS6––\\n\\n6Endy MiyemFrance 141\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Notre sondage : Estimez-vous positif que Bria Hartley ait rejoint l’équipe de France?" }, {"role": "assistant", "content":"Titulaire d’un passeport français depuis quelques mois, Bria Hartley (1,73m, 26 ans) a participé activement à l’Euro. Estimez-vous que la Newyorkaise a eu un impact positif sur la sélection tricolore ?\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Les résultats de notre sondage sur l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a une dizaine de jours, nous vous posions la question, “Pensez-vous que l’ASVEL sera compétitive la saison prochaine en Euroleague ?”. Voici les résultats.\\n\\nNous avons enregistré 428 votants et 62% (265 votes) d’entre eux pensent que le club de Tony Parker sera à la peine en Euroleague la saison prochaine. A l’inverse, 38% des votants estiment que les Villeurbannais y feront bonne figure.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: Astou Ndour MVP, Sandrine Gruda dans le 5 All-Stars" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que l’Espagnole Astou Ndour (14,8 points, 8,2 rebonds, 1,3 interception et 1,2 contre) a été élu MVP de l’Euro 2019, Sandrine Gruda figure dans le 5 All-Stars du tournoi.\\n\\nMarta Xargay (Espagne), Sonja Petrovic (Serbie), Temi Fagbenle (Grande-Bretagne), Sandrine Gruda (France), Astou Ndour (Espagne).\\n\\n\\n🗣️🎙️: \\Quand on sait qu'on peut faire mieux, est-ce qu'on doit se satisfaire?\\\\n\\nLa réaction pleine de sincérité de @Sandrine_Gruda après cette nouvelle défaite en finale d'un Euro\\n\\nVivez le meilleur de l'@EuroBasketWomen sur @myCANAL | 💻: https://t.co/ztKqUKXY0f#FRAESP pic.twitter.com/CR3Pvl0UWM\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) July 7, 2019\\n\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda et Astou Ndour (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Mondial U19: Les Etats-Unis en or, Joël Ayayi dans le 5 All-Stars" }, {"role": "assistant", "content":"Seuls les Etats-Unis ont réussi à mater le Mali (93-79) qui a tenu une mi-temps en finale (42-40). Avec 21 points, Cade Cunningham a été le top marqueur de la soirée.\\n\\nJoel Ayayi a été élu dans le Cinq All-Stars du tournoi avec Oumar Ballo (Mali), Tyrese Haliburton (Etats-Unis), Siriman Kanoute (Mali) et Reginald Perry (Etats-Unis) qui a été élu MVP. Avec 20,9 points en moyenne, le Français termine troisième scoreur du tournoi.\\n\\n 1. Etats-Unis\\n 2. Mali\\n 3. France\\n 4. Lituanie\\n 5. Russie\\n 6. Porto Rico\\n 7. Serbie\\n 8. Canada\\n 9. Australie\\n 10. Grèce\\n 11. Argentine\\n 12. Lettonie\\n 13. Nouvelle Zélande\\n 14. Philippines\\n 15. Sénegal\\n 16. Chine\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"(REDIFF) Endy Miyem: Nos plus belles années" }, {"role": "assistant", "content":"Onze ans que Endy Miyem (1,88m, 31 ans) est en équipe de France. Vice-championne olympique, championne d’Europe, trois médailles d’argent, une de bronze. Son palmarès correspond aux plus belles années du basket féminin français.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’était il y a sept ans dans une brasserie qui donne sur la gare de Bourges. A la question, « votre corps fatigue-t-il ? », Endy répondait « non, non, je ne le ressens pas. Je suis encore jeune ! ». En ce qui concerne ses envies de jouer à l’étranger, elle disait, « j’y pense car je veux me dire que dans ma carrière j’aurai testé autre chose. Où ? Je ne sais pas. Qui me voudra. Où je voudrai aller aussi. » Et quant à une éventuelle participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres pour lesquels l’équipe de France n’était pas encore qualifiée, elle parlait de « rêve ».\\n\\nRennes, juin 2019. Endy Miyem a pris part à deux JO et gagné une médaille d’argent à Londres, joué une saison en Russie au Dynamo Koursk, deux en Italie à Famila Schio et passé un été en WNBA aux Minnesota Lynx, et à 31 ans, au sein de l’équipe de France seule Sandrine Gruda est d’un an son aînée. Hier à Rouen, elle a fêté sa 200e sélection en bleu face à la Chine.\\n\\n« C’est vrai que ça fait bizarre. On ne voit pas le temps passer, on se voit jeune, jeune, jeune, et tout d’un coup, tac !, on bascule dans les plus vieilles, quasiment la plus vieille. En même temps, il faut s’habituer rapidement parce qu’il y a un staff, la coach qui comptent sur moi pour me servir de toutes ces années où j’étais parmi les plus jeunes et durant lesquelles j’ai engrangé un peu d’expérience, pour m’en servir aujourd’hui, essayer de guider un peu, avoir le rôle de celles qui m’ont guidée avant. »\\n\\nLes Belges ne seront pas pris à la légère\\n\\nLa retraite de Céline Dumerc a marqué un vrai bouleversement car au-delà d’être une meneuse de jeu d’exception, la Landaise était une meneuse de femmes, la Reine des abeilles, et chez les Bleues personne n’a réellement enfilé ses baskets sachant que chaque groupe humain a besoin d’un chef. Endy a récupéré le capitanat mais cette trentenaire joyeuse -qui «n’aime pas trop se dévoiler » disait-elle lors de l’entretien à Bourges- a dû se faire un peu violence pour assumer cette promotion.\\n\\n« Je partage un peu cette tâche avec Sandrine (Gruda) et Diandra (Tchatchouang) quand elle était là, elles m’épaulent un peu dans ce rôle mais quand on me donne des responsabilités, j’aime bien être à la hauteur de ces responsabilités, de la confiance que l’on me donne. Etre capitaine, c’est montrer l’exemple que ce soit sur et en dehors du terrain. C’est toujours faire passer l’équipe avant soi, faire preuve d’abnégation, essayer de s’écouter le moins possible, de parler, de transmettre aux autres. Ce n’est pas juste parler, rigoler mais quand ça ne va pas savoir le dire, repérer les moments où l’on a besoin d’un petit coup de boost, mettre tout le monde sur le droit chemin, et ce n’est certainement pas la partie la plus simple au vu de mon caractère », reconnait-elle dans un rire communicatif qui fait voir la vie en bleu.\\n\\nC’était visible : il y a un an, en quart-de-finale de la Coupe du Monde en Espagne, face à la Belgique, les Bleues ont manqué de caractère, ne se sont pas rebellées à temps, et le ciel leur est tombé sur la tête, 65-86. Endy répond avec franchise :\\n\\n« C’est sûr que l’on a manqué de caractère, moi la première. Je me suis remise en question après cette compétition en me disant que j’ai peut-être loupé un moment où j’aurais dû hausser le ton. Pas contre les filles mais essayez de créer quelque chose, un déclic, pour espérer renverser la tendance. C’est mon rôle mais c’est aussi le rôle de chacune. Parfois le déclic, il faut aller le chercher soi-même. Mais c’est sûr que ça fait partie de mon rôle et j’espère avoir retenu la leçon et être prête si jamais on se retrouve dans une situation pareille, ce que je n’espère pas. »\\n\\nLongtemps la France a dominé la Belgique. L’historique laissait apparaître 16 victoires sur les 17 derniers matches face aux Belgian Cats. Les joueuses du plat pays faisaient un petit complexe d’infériorité face à un pays beaucoup plus riche en moyens humains et financiers. Seulement, la Belgique a mis en place les structures adéquates pour son élite et peut compter sur une génération exceptionnelle autour de Emma Meesseman, une all-star WNBA. Les Bleues se sont-elles assez méfiées de cette nation émergente ? N’était-ce pas tentant de considérer pour le clan français que tomber sur les Belges à ce stade de la compétition était une aubaine ?\\n\\n« Que les journalistes où l’entourage les sous-estiment, ça ne devrait pas être tant notre souci. Nous, on doit se dire que peu importe ce qu’elles ont fait avant, ça ne nous regarde pas vraiment. Il y a la réalité du jour, de ce match. Lorsque l’on a joué contre elle, on n’était pas à la hauteur. Peut-être que l’on a pensé à ce qui s’est passé avant, que l’on a imaginé des choses alors que quelque soit l’adversaire, il faudra dans tous les cas que l’on arrive à imposer notre jeu sans réfléchir réellement à qui on a en face. »\\n\\nAucun doute, si les Françaises sont confrontées une nouvelle fois à Ann Wauters and Co, elles ne prendront pas l’opposition à la légère. Annoncée en amont de la compétition comme les favorites pour le titre européen notamment par le site de la FIBA, les filles de Valérie Garnier ont pu constater au tournoi de Rennes qu’en plus de l’Espagne et de la Belgique, la Russie, la Serbie, la Turquie possèdent du répondant et que la bataille sera rude et incertaine.\\n\\n« Oui, ça ne sera pas évident et ça pourrait remettre les idées en place à ceux qui pourraient croire que c’était gagné, que parce qu’on nous classait favorites, ça allait dérouler tout seul. Je n’y crois pas, je ne pense pas que ce sera le cas. A plusieurs compétitions on nous mettait sur le podium, on nous mettait belles, que l’on était çi ou ça et ça ne nous a pas empêchées d’échouer à chaque fois. Avec les forfaits d’Helena (Ciak), de Diandra (Tchatchouang) et de Sarah (Michel) ce n’est pas tout à fait la même équipe que l’on pensait avoir au départ. Les cartes sont un peu rabattues et il faudra que l’on prouve, nous, sur le terrain que l’on est à la hauteur de ce ranking qu’on nous a collées. »\\n\\nA ce propos, les forfaits imprévus de dernière minute de deux de ses équipières à Lattes-Montpellier, Diandra Tchatchouang et Helena Ciak n’ont-ils pas affecté le moral d’Endy ?\\n\\n« Quand même ! », répond-elle « On attendait avec impatience cet été après une saison qui n’a pas forcément été simple à Montpellier. C’est toujours un plaisir de venir en équipe de France avec à chaque fois de nouveaux objectifs et cette fois celui de la fédé d’aller chercher cette médaille d’or. Alors forcément quand il y en a deux qui sortent du projet, voire trois avec Romane (Berniès) qui a été écartée aussi, ce n’est pas simple mais on n’y peut rien. En partant, elles nous ont encouragées, elles prennent de nos nouvelles et elles essayent de nous donner de la force de loin. »\\n\\nAu moins jusqu’à l’Euro 2021\\n\\nAvant le Mondial espagnol, Endy Miyem est donc parti vivre sa première expérience en WNBA dans une franchise, le Minnesota Lynx, quatre fois champion au cours de la décennie. Elle a eu droit de rentrer vingt fois en jeu mais elle qui est depuis longtemps titulaire partout où elle passe a dû se contenter de cinq minutes de temps de jeu moyen, autant dire des miettes qui ne peuvent rassasier. Avec le recul, est-elle satisfaite de cette expérience dans la version féminine de la NBA ?\\n\\n« Oui dans le sens que j’ai été vraiment ébahie par tout ce que j’ai pu voir. C’est quand même un autre monde. Oui parce que c’est un peu un rêve de jeunesse que je réalisais. Non parce que j’aurais aimé jouer un peu plus, peut-être pas une réelle chance, mais pouvoir m’exprimer un petit peu plus, voir réellement si j’ai le niveau ou pas de jouer dans cette ligue. Mais j’essaye de voir le positif dans chaque situation et j’ai vraiment apprécié le temps que j’ai passé là-bas. Je me suis entraînée avec de superbes joueuses, une coach vraiment très particulière dont je me souviendrai toujours (NDLR : Cheryl Reeve, qui est en poste depuis 2010). J’ai aussi gagné ce côté shoot à trois-points que j’avais un peu oublié dans mon jeu et que j’ai remis. »\\n\\nAprès l’Euro, ce sera au tour de Marine Johannès de s’aventurer en WNBA, au New York Liberty, en compagnie de Bria Hartley, qui y est titulaire, et de son ancienne équipière à Bourges, la Canadienne Nayo Raincock, qui y cire le banc. Quels conseils peut donner la capitaine à une joueuse au talent reconnu mais à la timidité presque maladive ?\\n\\n« C’est vrai que là-bas la concurrence est rude, rude, rude. On en a déjà parlé. Le peu qu’on va lui donner, il va falloir qu’elle le prenne, qu’elle joue son jeu, qu’elle n’ait pas peur, qu’elle fonce, même si ça peut être un peu intimidant. Là-bas, ça fonctionne vraiment à ce que tu donnes sur l’instant. Si durant les trois minutes qu’ils te donnent, tu arrives à prendre deux rebonds, et que tu marques quatre points, ils vont commencer à se dire que tu es peut-être capable et ils vont te donner encore du temps de jeu. Parfois ! Pas tout le temps ! Il faut qu’elle profite de tout ce qui va lui arriver là-bas, de tout ce qu’elle va avoir la chance de recevoir. »\\n\\nOn peut aussi se mettre à la place de Bria Hartley, qui a découvert d’un coup la France, son équipe nationale, ses joueuses, son style de jeu, elle, la Newyorkaise, habituée l’été à la WNBA où les joueuses sont plus costaudes, vont plus vite, et où le jeu en première intention est une institution.\\n\\n« Les mentalités sont pas mal différentes et même le sens du jeu. Là-bas, ils sont très portés vers le cercle, vers l’attaque. Ici parfois ça doit lui paraître... (elle cherche le bon mot)... On ne va pas dire planplan (rires). Un peu bizarre. Une joueuse professionnelle doit s’adapter aux différentes cultures, aux différents types de jeu. »\\n\\nA ce propos, Endy qui avait porté neuf saisons le maillot tango de Bourges jouant ainsi la carte de la stabilité va connaître à la rentrée son quatrième club en cinq ans, les Flammes de Charleville-Mézières. Le facteur géographique a-t-il joué dans son choix, sachant que Endy est originaire de Reims -son père et ses oncles y sont entraîneurs et elle a porté les maillots du Reims Université Club et de Saint-Jacques avant d’en partir à l’âge de 13 ans- et que les deux villes sont distantes de moins de cent kilomètres ?\\n\\n« Un peu car ce n’est pas très loin de chez moi. Quand Charleville m’a contactée et proposée ce très bon contrat je me suis dit que certes je perds le soleil mais je récupère la famille et les amis qui ne sont pas très loin. C’est un nouveau challenge, ils ont montré beaucoup d’intérêt pour la joueuse que je suis. J’ai été séduite par cette proposition. »\\n\\nAllez, une dernière question avant que Endy ne regagne le bus des Bleus en partance pour l’hôtel. S’est-elle fixée une limite dans le temps avec l’équipe de France ?\\n\\n« Les Jeux de Tokyo, c’est clairement dans mes objectifs. Si j’arrivais à faire l’Euro en France, ça serait vraiment top (NDLR : la France est candidate en coopération avec l’Espagne pour l’édition de 2021). Après, plus loin... ah !, Paris 2024, je ne sais pas... »\\n\\nEndy part dans une bouffée de rire. Probablement qu’elle ne s’imagine pas avoir un jour trente-six ans.\\n\\n * Championne de France 2008, 2011, 2012, 2013 et 2015\\n * Finaliste du Championnat de France : 2007, 2019\\n * Vainqueur de la Coupe de France : 2010, 2014\\n * Finaliste de la Coupe de France: 2007\\n * Vainqueur du tournoi de la Fédération 2007, 2008\\n * Vainqueur du Match des champions : 2014\\n * Finaliste de l’Eurocup: 2019\\n * Troisième de l’Euroleague: 2012-2013\\n * Championne d’Italie : 2018\\n * Vainqueur de la Coupe d’Italie : 2017, 2018\\n\\n * Médaillée d’argent aux Jeux olympiques 2012 de Londres\\n * Médaillée d’or au championnat d’Europe 2009 en Lettonie\\n * Médaillée d’argent au championnat d’Europe 2013 en France\\n * Médaillée d’argent au championnat d’Europe 2015 en Hongrie et Roumanie\\n * Médaillée de bronze au championnat d’Europe 2011 en Pologne\\n * Médaillée d’argent au championnat d’Europe 2017 en République tchèque\\n\\n * Médaillée de bronze au Championnat du monde des 21 ans et moins 2007 en Russie\\n * Médaillée de bronze au Championnat d’Europe des moins de 20 ans 2007 en Bulgarie\\n * Médaillée de bronze au Championnat d’Europe des moins de 18 ans 2005 en Bosnie\\n\\n[armelse]\\n\\nC’était il y a sept ans dans une brasserie qui donne sur la gare de Bourges. A la question, « votre corps fatigue-t-il ? », Endy répondait « non, non, je ne le ressens pas. Je suis encore jeune ! ». En ce qui concerne ses envies de jouer à l’étranger, elle disait, « j’y pense car je veux me dire que dans ma carrière j’aurai testé autre chose. Où ? Je ne sais pas. Qui me voudra. Où je voudrai aller aussi. » Et quant à une éventuelle participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Londres pour lesquels l’équipe de France n’était pas encore qualifiée, elle parlait de « rêve ».\\n\\nRennes, juin 2019. Endy Miyem a pris part à deux JO et gagné une médaille d’argent à Londres, joué une saison en Russie au Dynamo Koursk, deux en Italie à Famila Schio et passé un été en WNBA aux Minnesota Lynx, et à 31 ans, au sein de l’équipe de France seule Sandrine Gruda est d’un an son aînée. Hier à Rouen, elle a fêté sa 200e sélection en bleu face à la Chine.\\n\\n« C’est vrai que ça fait bizarre. 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Mais que pouvaient faire les Bleues face à une équipe espagnole dure, vite, virevoltantes, expérimentée, mieux en place collectivement, tout simplement meilleure et dotée d’une exceptionnelle shooteuse à trois-points, Marta Xargay (1,80m, 28 ans) auteure de 23 points à 8/12 aux tirs ?\\n\\nAvant cet Euro, le ranking mondial de la FIBA classait les Etats-Unis (684 points) devant l’Espagne (529) et la France (383), la hiérarchie a donc été respectée même si le score final (66-86) est très sévère... mais pas injuste.\\n\\nPrivée de Helena Ciak, la meilleure joueuse de Ligue féminine de l’année, Diandra Tchatchouang et Sarah Michel, la France était lourdement handicapée et elle aurait pu être retirée de la course dès le quart-de-finale face à la Belgique. Cette médaille d’argent, la quatrième de suite donc, la huitième médaille en vingt ans, est un joli lot de consolation.\\n\\nL’autre point positif, c’est que l’équipe de France a obtenu son billet pour le Tournoi de Qualification Olympique et étant donné le système, elle a déjà un pied à Tokyo. Son autre atout pour le futur est la jeunesse de l’équipe -24 ans de moyenne d’âge- et les très bons résultats en jeune avec les batailles permanentes avec l’Espagne, sont tout autant une source d’espoir.\\n\\nDéjà -14 à la mi-temps\\n\\nEvidemment, si la Serbie avait pris part à cette finale, la Belgrade Arena aurait connu une toute autre atmosphère. Là, il y avait quelques centaines de spectateurs dans les gradins dont la majorité n’était pas directement concerné.\\n\\nMarine Johannès refaisait son apparition dans le cinq de départ conduisant Bria Hartley à sortir du banc. Pas de round d’observation. Le premier exploit: trois paniers à trois-points en deux minutes trente pour l’arrière du Dynamo Koursk, Marta Xargay et voici l’Espagne qui court, qui court et déjà à 17-8 en 5 minutes. Un temps-mort de Valérie Garnier s’imposait pour recadrer son équipe défensivement.\\n\\nLa circulation de balle des Espagnoles était impressionnante. Quel rythme fou ! En serrant davantage sa défense et avec Sandrine Gruda impériale en attaque (18 points à 8/13 aux shoots, 6 rebonds et 4 passes au final), la France revenait un temps au score (18-19) mais avant de décrocher à nouveau dangereusement: 21-32. Trente-deux points dans la vue en 10′, énorme. L’adresse espagnole faisait peur: 61,9% avec un 6/8 à trois-points et Marta Xargay à 11 points. Les Bleues étaient prises dans un tourbillon.\\n\\nLes Espagnoles sont aussi rusées comme la meneuse Silvia Dominguez qui sur une remise de touche en ligne de fond se faisait une passe sur le dos d’Olivia Epoupa pour récupérer la balle et scorer. Bria Hartley avait beaucoup de déchets dans son jeu et l’Espagne continuait à faire danser la défense française.\\n\\nValérie Garnier essayait différentes options dont Marième Badiane qui n’était pas entrée en jeu face à la Grande-Bretagne. Mais malgré une Sandrine Gruda impeccable (12 points et 5 rebonds à ce moment-là), les Bleues n’y arrivaient pas, incapables de tenir individuellement leurs joueuses, trop imprécises dans leur passing game (10 balles perdues, deux fois plus que les Espagnoles). 36-50 à la mi-temps.\\n\\nDes fulgurances de Bria Hartley\\n\\nA la reprise, ce sont les Françaises qui imposaient un temps leur rythme avec des fulgurances de Bria Hartley (17 points mais seulement 9 d’évaluation) rageuse en passeuse et scoreuse. Les Bleues revenaient à 56-48 mais pas de quoi affoler les Espagnoles qui avaient du répondant notamment avec Marta Xargay et son bras en or. Et alors que l’on croyait à du mieux, les Espagnoles obtenaient le plus gros écart du match (49-67, 17e). Si la France ne craquait pas définitivement c’était beaucoup grâce à la suractivité à ce moment-là de Bria Hartley (56-70, 30e).\\n\\nLes Espagnoles n’avaient pas ces fameux moments faibles pendant lesquels on espère se refaire. Leur maîtrise sur le jeu était totale. Valérie Garnier commandait une press tout terrain avec le trio d’arrières Fauthoux-Johannès-Hartley sur le front mais les Bleues prenaient un vrai bouillon. A 39 ans, Laia Palau se payait le luxe d’inscrire 12 points pour établir une évaluation à 14. 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Au même moment, L’Equipe se contente d’un bandeau en Une avec un titre commun aux footballeuses et aux basketteuses « Finales dames ». Plein pot apparaissent deux coureurs du Tour de France.\\n\\nOK pour la vitrine. Mais le contenu ?\\n\\nSur 32 pages, Marca en consacre (presque) quatre à l’actualité du basket mais avec une pour Zion Williamson et une autre à l’arrivée de Nikola Mirotic au Barça et à la situation générale au Real. Et dans la double page réservée aux équipières de Laia Palau figure un encadré sur Kawhi Leonard aux Clippers.\\n\\nEn ouvrant L’Equipe et ses 44 pages, on découvre deux pleines pages sur l’Euro féminin et une autre sur les Clippers et l’arrivée de Nando De Colo aux Fenerbahçe.\\n\\nBref, sur le plan rédactionnel les deux journaux sont grosso modo sur la même longueur d’onde. Par ailleurs, une page de pub est prise dans Marca par Caixabank avec les principales basketteuses espagnoles alors que W9 fait la promotion dans L’Equipe de la finale que la chaîne diffuse ce soir.\\n\\nDonc pas question de traiter L’Equipe d’une quelconque misogynie. Et si sa Une est consacrée au Tour de France c’est que cette course cycliste est nourricière du groupe Amaury. Contrairement à une idée reçue, L’Equipe est une société privée libre de ses choix éditoriaux, pas un service public qui hiérarchiserait les performances sportives uniquement au mérite. D’ailleurs ça serait très subjectif.\\n\\nQuant au foot, il y en a 18 pages dans Marca alors que l’on est hors saison. Et « seulement » 12 dans L’Equipe quand bien même la Coupe du monde féminine se déroule en France. A l’inverse des Etats-Unis où plusieurs sports se partagent le gâteau médiatique, il y a longtemps que la plupart des pays d’Europe font de la monoculture jusqu’à l’écoeurement. Mais ceci est une toute autre histoire..." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: La France repousse l’Espagne... en U18" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré une gestion brouillonne du money time et deux lancers ratés de Eve Mahoutou, alors qu’elle menait de neuf points à 1’10 de la fin, l’équipe de France a vaincu l’Espagne 64-63 lors de la deuxième journée de l’Euro U18 féminin. Sur la dernière action, l’Espagnole Mama Dembelé Traore a eu deux lancers pour égaliser mais elle a manqué le second.\\n\\nAvant ce relâchement, les Françaises ont été devant au score durant les trois derniers quart-temps emmenées par Aminata Gueye (12 points, 9 rebonds), Janelle Salaun (12 points, 8 rebonds), Ténin Magassa (11 points, 8 rebonds) et Serena Kessler (11 points, 5 rebonds).\\n\\nLes Bleuettes ont dominé au rebond (52 à 36). Elles devront confirmer demain face à la République Tchèque, qui lors de la première journée a été malmenée par l’Espagne, 48-80.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nTOUCHDOWN 🏈🇫🇷 ! #FIBAU18Europe@ffbasketball @Ewlguennoc @edcmahoutou\\n\\n📺 https://t.co/ZAfdmkYL8d pic.twitter.com/r8QzwyAPLG\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 7, 2019\\n\\n\\nPhoto: Marie Pardon (FIBA)." }, {"role": "user", "content":"Finale de l’Euro féminin: L’Espagne favorite des bookmakers" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’est pas une surprise: l’équipe d’Espagne est la favorite des bookmakers pour remporter l’Euro féminin, ce soir, à partir de 20h30. Les sept sites répertoriés par Wincomparator sont unanimes.\\n\\nOn peut observer que sur les 10 dernières rencontres entre les deux pays, chacun en a remporté la moitié. Le dernier en date en compétition officielle remonte à la finale de l’Euro 2017 et avait tourné à la démonstration espagnole, 71-55.\\n\\nPhoto: Laura Nicholls (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"312 000 téléspectateurs pour France/Grande-Bretagne sur W9" }, {"role": "assistant", "content":"La demi-finale de l’Eurobasket féminin France/Grande-Bretagne a réuni hier, à partir de 18h, 312 000 téléspectateurs sur la chaîne de la TNT, W9, ce qui représente 3,0% de parts de marché.\\n\\nVoici les audiences des autres chaînes à la même heure:\\n\\n« N’oubliez pas les paroles » (France 2) : 1,86 million (16,5%).\\n« 50′ inside, le mag » (TF1) : 1,65 million (14,9%).\\nAngleterre/Suède, petite finale de la Coupe du monde féminine de football (TMC) : 859.000 (9,2%).\\n« 28 minutes » (Arte) : 383.000 (2,8%).\\nFrance/Grande-Bretagne, demi-finale de l’EuroBasket féminin 2019 (W9) :312.000 (3,0%).\\n« Groland, le Zapoï » (Canal+) : 174.000 (1,2%).\\n\\nL’audience sur Canal+ Sport qui diffusait également le match n’est pas connue." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les réactions de Endy Miyem et Olivia Epoupa sur Canal+ Sport" }, {"role": "assistant", "content":"A l’issue de la victoire des Bleues sur la Grande-Bretagne, en demi-finale de l’Euro, Endy Miyem et Olivia Epoupa ont fait leurs commentaires sur l’antenne de Canal+ Sport.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de France vs Grande-Bretagne" }, {"role": "assistant", "content":"En attendant la finale de ce soir, voici les meilleurs moments de la demi-finale France vs. Grande-Bretagne de l’Euro féminin." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Sergio Rodriguez vers Malaga ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur du CSKA Moscou Sergio Rodriguez (1,91m, 33 ans) ne sait toujours pas où il va jouer à la rentrée. 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Leur vif intérêt semble séduire Sergio Rodríguez, qui s’efforce sérieusement d’écarter les autres propositions qu’il a sur la table pour dire oui à Malaga. »" }, {"role": "user", "content":"La France et l’Espagne co-organisateurs de l’Euro féminin 2021? Réponse le 15 juillet" }, {"role": "assistant", "content":"La France et l’Espagne sont de féroces rivaux sur le terrain et ce sera une fois de plus illustré avec ce soir la finale de l’EuroBasket féminin mais cela ne les empêche pas de candidater ensemble à l’organisation de l’édition de 2021 de l’Euro féminin. 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L’ancienne capitaine de l’équipe de France a répondu comme à chaque fois avec pertinence et franchise.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre départ à Belgrade dépendait de la qualification de la France, alors étiez-vous stressée pendant le match contre la Belgique ?\\n\\n(Rires) Stressée, ce n’est même pas le mot ! Je n’étais pas très convaincue sur les matches amicaux de l’équipe de France et donc j’étais plutôt dubitative dans mon cheminement intellectuel sur le fait d’aller à Belgrade ou pas. Et puis les matchs sur place m’ont beaucoup plus convaincu. Je crois que l’arrivée de Sandrine Gruda a changé beaucoup de choses et pas seulement du fait de ses 33 points hier soir. Avec la dureté qu’elle a amenée dans l’équipe, elle lui a fait passer à mes yeux un cap. Franchement, avant qu’elles commencent la compet, je pensais que je n’irai pas à Belgrade et ensuite j’ai trouvé que défensivement c’était assez serein. En ce qui concerne le côté offensif, je sais qu’il y a des jours avec et des jours sans. Elles sont les meilleures marqueuses de l’Euro mais hier soir ça a été compliqué. J’ai trouvé que les Belges jouaient juste, je suis fan de Emma Meesseman bien sûr et surtout de Julie Allemand. Elle donne une envergure à cette équipe-là. J’étais méfiante mais malgré tout assez sereine... La vache ! A la fin du match, je ne les voyais pas du tout passer. Un gros stress. J’ai regardé en famille et mon fils m’a dit de colère, « maman, je vais à la douche ! », il est quand même resté et on a crié comme des malades. Ce sont les joies du basket et je suis bien sûr ravie pour elles.\\n\\nN’a-t-on pas vu contre la Belgique une Sandrine Gruda dépendance comme très rarement dans l’histoire du basket féminin français par rapport à une joueuse ?\\n\\nOui, dans le sens où certaines se sont un peu échappées. Je pense que les toutes jeunes ont été fébriles paradoxalement alors qu’elles auraient dû être un peu inconscientes. Je pense à (Alexia) Chartereau qui n’a pas pris des shoots ouverts qu’elle prend habituellement ou même (Sara) Chevaugeon. Valérie (Garnier) les a fait rentrer c’est donc qu’elle a confiance et elles ne prennent pas leurs responsabilités. Par contre, Sandrine a fait « donnez-moi la balle ! ». Elle a été poster en bas, c’était certainement le système. Ça finit bien mais ça nous a rendu dépendant, c’est quand même dangereux. Elle a gagné son combat contre Meesseman car elle l’a pourri tout le match, elle lui a fait vivre un enfer. J’ai été hyper contente que Pierre Vincent entraîne de nouveau Sandrine (NDLR : à Schio) car je pense qu’il va la refaire travailler et lui amener un côté psychologique. On a retrouvé la grande Sandrine, pas parce qu’elle a marqué 33 points mais parce qu’elle a eu un impact sur le jeu qu’elle avait auparavant et qui faisait d’elle l’une des meilleures joueuses du monde à ce poste.\\n\\nPlus peut-être que ses points, le plus impressionnant, ça a été sa défense comme par exemple son stop sur Emma Meesseman lors de la dernière action du temps règlementaire ?\\n\\n(Rire) Elle lui a mis des marrons tout le match et sans prendre de fautes. J’avais peur de ça : si elle prenait trois fautes dès le début, c’est plié. Il n’y qu’elle qui peut la tenir. Chartereau est beaucoup trop tendre. Endy Miyem est trop petite. Sandrine est remontée comme une pendule à défendre, j’adore ça. Quand elle et Epoupa se mettent à défendre, il faut que les autres s’y mettent. La pression qu’elles mettent est énorme. A un moment donné, Sandrine va à la limite lui cracher dans la tête !\\n\\n« J’ai trouvé que Bria Hartley et Marine Johannès manquaient de punch, de jambes et d’impact physique »\\n\\nQue pensez-vous de la montée en puissance sur cet Euro de Olivia Epoupa qui a trois poumons ?\\n\\nOn ne lui donne pas beaucoup de crédit, je trouve, peut-être parce qu’elle n’a pas marqué son passage en France. Je suis assez fan. Elle va beaucoup au rebond offensif et je suis assez d’accord avec Céline Dumerc : un rôle de meneuse implique d’être gestionnaire et donc le repli défensif. Mais elle apporte tellement, et tu peux avoir à côté quelqu’un de plus lent, de plus haut.\\n\\nSon manque de reconnaissance en France est sans doute dû au fait qu’elle a joué à Toulouse, un club de deuxième catégorie, puis à Villeneuve d’Ascq où elle n’a pas été performante ?\\n\\nComplètement. Son passage en France à la sortie de l’INSEP, il est zéro. Elle aura les honneurs qu’elle mérite le jour où elle reviendra dans un gros club. Moi, je l’aurais prise en club !\\n\\nQue pensez-vous des prestations de Bria Hartley, et de l’extérieur de son intégration dans le groupe ?\\n\\nJe regarde pas mal les photos sur les réseaux sociaux et on a l’impression qu’elle s’est complètement fondue dans le truc. L’internationalisation de toutes les équipes françaises de club font que les filles n’ont pas de soucis à parler l’anglais. Apparemment, elle est venue avec un état d’esprit de vouloir s’intégrer, de s’approprier ce pays qu’elle ne connait certainement pas tant que cela non plus. Il faut se dire les choses, c’est une opportunité pour elle de faire les Jeux. En tant qu’Américaine, elle ne peut pas, en tant que Française, elle les jouera en 2024 si elle va jusqu’au bout et peut-être dès 2020. Les Américains sont beaucoup plus portés sur ça que d’autres nations, les Jeux ça leur parle. Beaucoup plus que nous. Merci à sa grand-mère ! Ce qui est important c’est le relationnel avec Valérie (NDLR : Valérie Garnier était aussi sa coach au Fenerbahçe) et le fait qu’elle doit rêver des Jeux. Elle s’est très bien fondue et c’est une vraie joueuse de basket même si hier soir je l’ai trouvée en demi-teinte. J’ai trouvé qu’elle et Marine Johannès manquaient de punch, de jambes et d’impact physique. Alors qu’une Valériane Ayayi ne manquait pas de jambes même si elle a été moins vu que lors de certains matches. Bria Hartley et Marine Johannès se sont fait passer énormément défensivement.\\n\\nLa compétition n’est pas terminée mais les productions de Marine Johannès ressemblent pour l’instant à celles de la dernière Coupe du monde ? Elle n’a pas un mental d’acier ?\\n\\nJe ne suis pas dans le groupe mais on a l’impression qu’elle est perturbée. C’est la tête qui fait qu’elle n’est pas présente dans le jeu. Est-elle fébrile ? Vit-elle mal la concurrence ? Est-elle déjà en WNBA ? Il n’y a qu’elle qui a les réponses. C’est dommage qu’elle passe à côté et il va falloir qu’elle s’en serve. Il ne faut pas oublier qu’elle est jeune et elle n’a pas encore un énorme bagage international derrière elle malgré tout. Pour moi, elle a l’œil qui n’y est pas. Elle rentre dans le jeu avec cet air qui est génial quand elle a la tête à l’endroit mais qui peut être détestable quand elle traîne des pieds. Son jeu est hyper excentrique, hors du commun et plutôt génial, elle a gagné en efficacité et en dureté avec Bourges mais pourquoi c’est dur au niveau international ? C’est beaucoup plus physique, beaucoup plus dur. Pour moi, elle n’est pas apte à marquer 15 points par match. Pour l’instant ce n’est pas quelqu’un de sûr. Je trouve que c’est bien que l’équipe ne soit pas dépendante d’elle, d’ailleurs il faut être dépendant de personne. On va voir comment ça va se passer devant l’Angleterre qui est archi-dépendante d’une joueuse. Si Sandrine fait le même match contre l’intérieure (NDLR : Temi Fagbenle), il n’y a pas de match. Pour Johannès, ça fait partie de l’apprentissage de la joueuse. Tu es portée aux nues parce que tu es hors du commun et il faut te remettre en question. Il faut comprendre pourquoi ça ne marche pas et faire les bons choix. Je vois chez elle une forme de timidité mais je ne la connais pas, pas plus que « bonjour, ça va ? ». Rigoler trois secondes ce n’est pas connaître la personne. Mais ça fait partie du parcours relativement classique d’une bonne joueuse. Elle n’a que 24 ans. Elle a mieux assumé l’Euroleague cette année que jamais mais je pense qu’elle n’est pas faite encore en équipe de France pour être la joueuse majeure sur laquelle tu t’appuis. Tout le monde a crû ça mais moi je ne suis pas spécialement surprise. Par contre, si elle ne prend pas les bonnes décisions et qu’elle ne se remet pas en question sérieusement, elle ne restera que cette joueuse magnifique... de temps en temps.\\n\\n« Valérie (Garnier), c’était une gauchère, une shooteuse, elle ne défendait pas ! »\\n\\nAvez-vous eu le temps de scouter les Britanniques ?\\n\\nOui, j’ai regardé. La Grande-Bretagne, je ne suis pas la seule à ne pas trop les connaître. Il y a Jo Leedham qui a fait le tour de la France en passant par Bourges et puis (Temi) Fagbenle. Elle est puissante, assez rapide, mais elle n’est pas super technique. Je pense que Sandrine peut la tenir sans trop de problèmes si elle arrive à ne pas faire trop de fautes. C’est une fille qui joue à Polkowice donc elle la connait. Elles ont une troisième joueuse, Karlie Samuelson, qui était à Fullerton, et qui a un parcours hyper atypique. Elle n’est jamais venue en Europe, elle est allée en WNBA et elle s’est pétée gravement. Elle a tiré un trait sur sa carrière et elle est revenue en coachant. Elle a été reprise en WNBA et elle est venue en Europe pour la première fois l’année dernière. C’est une naturalisée, qui pour la WNBA est Américaine, et elle est la deuxième marqueuse de l’équipe. Pour moi, elles ont trois joueuses d’impact. Elles vont commencer à fatiguer.\\n\\nLe piège c’est de se dire « chouette ! C’est la Grande-Bretagne en demi et pas la Serbie ou l’Espagne ? »\\n\\nJe préfère la Grande-Bretagne que l’Espagne ou la Serbie qui sont au-dessus de nous. La Serbie chez elle, c’est intouchable et les Espagnoles c’est monstrueux. Astou Ndour remplace largement Sancho Lyttle. Pour moi, c’est la finale avant l’heure. Tant mieux que l’on ait les Anglaises ! C’est une chance, il faut la saisir... J’adore Endy Miyem, c’est une fille qui est consensuelle. Comme le dit Céline (Dumerc) dans un reportage, « toi tu veux être aimée ! » Oui, mais quand il faut crier et envoyer, ce n’est pas possible. Sandrine ne le serait pas non plus car elle est beaucoup trop dure mais Endy est beaucoup trop gentille. Et là, il faut faire comprendre à tout le monde qu’il faut mettre le mors aux dents et y aller. J’ai lu quelque part que Bria Hartley est la capitaine. C’est bien, elle amène un plus mais non, non, ce n’est pas la capitaine. Je trouve que ça manque.\\n\\nÇa avait déjà été le cas à la dernière Coupe du monde ?\\n\\nBien sûr. Ça avait été archi flagrant. C’est dommage que l’on n’ait pas (Héléna) Ciak en plus car on serait une équipe transformée. Sarah Michel aussi car elle amène de la défense. Ciak, c’est vraiment une grosse, grosse perte. L’avantage que l’on a c’est que Gruda est transcendée par rapport à la Coupe du monde où elle avait été transparente.\\n\\nVous avez été la coéquipière de Valérie Garnier à Mirande et en équipe de France. Qu’en pensiez-vous à l’époque ? C’était une passionnée ? Pouviez-vous imaginer qu’elle serait un jour coach de l’équipe de France ?\\n\\nC’était une accro comme il y en a peu. Les accros sont toujours dans le basket : Audrey Sauret, Cathy Melain, Ana Kotocova. Valérie est très différente de la joueuse qu’elle était. Je pense qu’elle a été extrêmement influencée par la façon d’être et de penser d’Alain Jardel (NDLR: coach emblématique de Mirande puis de l’équipe de France). La personne que j’ai connu au début, c’était un peu une Johannès en puissance. Elle n’avait pas sa facilité physique surtout qu’elle avait été déjà blessée au genou et une opération dans les années 80, ce n’est pas comme maintenant, mais elle pouvait s’arrêter à trois-points en fin de contre-attaque. A l’époque ça ne se faisait pas. C’était une gauchère, une shooteuse, elle ne défendait pas ! Elle adorait jouer avec moi... Je défendais pour elle (rire) ! Je ne shootais pas trop. Elle était le feu et j’étais l’eau. Ce n’était pas quelqu’un d’écervelée mais quelqu’un qui jouait à l’instinct. Donc tu ne penses pas toujours que ces gens-là vont être entraîneurs. Ceci dit, quand je l’ai côtoyé, j’étais lycéenne et je ne pensais pas à ce que je ferai plus tard dans la vie. Après, elle a vécu du Jardel pendant des années qui lui a inculquée le travail et la discipline qui l’a malgré tout formatée. Certainement qu’elle a perdu un peu de cette insouciance pour être davantage cadrée et elle s’en inspire énormément dans sa façon d’être et de parler. C’est son éducation basket et elle reproduit certaines choses d’Alain. Elle s’est aussi formée depuis avec les expériences qu’elle vit dans les clubs. Mais c’est marrant de la voir aujourd’hui dire « discipline... Il faut faire le système ». C’est très loin de la joueuse de départ qu’elle était. Ceci dit, depuis son passage en Turquie, à mon sens, elle laisse beaucoup plus de liberté à ses joueuses.\\n\\n« Je fais les Jeux pour France Télévisions et j’espère que ça va continuer »\\n\\nDepuis votre retraite sportive vous avez été consultante pour plusieurs chaînes de télévision. Pouvez-vous nous rappeler ça ?\\n\\nJe crois que les premières fois c’était avec David Cozette sur Sport+. J’ai fait la chaîne L’Equipe et surtout France Télévisions car je fais les Jeux pour eux et j’espère que ça va continuer. Pour tous, c’est à l’évènement, le seul contrat que j’ai eu c’était avec L’Equipe pour suivre Bourges en coupe d’Europe sur une saison. Je m’étais engagée avec M6 qui a les évènements à partir des demi-finales. Là ça va, c’est sur un week-end un peu prolongé.\\n\\nVotre métier est d’être Directrice Générale de la Ligue de volley, vous avez pu glisser ce week-end prolongé à Belgrade dans votre agenda ?\\n\\nJ’ai surtout la chance que mon employeur accepte. Vincent Couëffé avec qui je commente est un volleyeur qui a joué en Pro B. Je fais quelques clins d’œil à l’antenne sur le volley et aussi sur le sport féminin.\\n\\nVous avez toujours un pied à la fédération de basket en tant que membre du comité directeur comme avant vous aviez un pied dans le volley avant de devenir DG de la Ligue ?\\n\\nJ’étais présidente de la commission marketing à titre bénévole. Isabelle Collette, qui était DG de la Ligue de volley m’avait dit qu’elle cherchait quelqu’un qui soit totalement indépendant, qui connaisse le sport et surtout le marketing sportif. Elle m’avait dit que ce n’était pas glamour du tout mais qu’on était là pour imposer le règlement. Je me suis dit « pourquoi pas, ça peut m’intéresser de voir autre chose. » J’ai fait ça pendant une année et quand Isabelle est partie à la Ligue de Basket (NDLR : comme DG adjointe), elle m’a fait savoir que son poste se libérait, elle m’a demandé si ça m’intéressait et elle m’a mis en contact avec la gouvernance de l’époque. C’est grâce à elle que j’ai le poste.\\n\\nPhotos: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre départ à Belgrade dépendait de la qualification de la France, alors étiez-vous stressée pendant le match contre la Belgique ?\\n\\n(Rires) Stressée, ce n’est même pas le mot ! Je n’étais pas très convaincue sur les matches amicaux de l’équipe de France et donc j’étais plutôt dubitative dans mon cheminement intellectuel sur le fait d’aller à Belgrade ou pas. Et puis les matchs sur place m’ont beaucoup plus convaincu. Je crois que l’arrivée de Sandrine Gruda a changé beaucoup de choses et pas seulement du fait de ses 33 points hier soir. 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Il fallait être très costaud pour éliminer la Serbie qui a été portée par une ambiance de soufre à la Belgrade Arena (71-66).\\n\\nLes Espagnoles ont tenu la tête toute la première mi-temps profitant des pénétrations de Silvia Dominguez (8 points) pour creuser un écart (21-11). C’est ensuite Ana Cruz (11 points à la mi-temps, 14 d’éval) qui a été très en vue et l’Espagne avait encore 7 points d’avance à la mi-temps (37-30).\\n\\nLes Serbes étaient parties pour faire un match de traînardes et sur leur seul panier à trois-points du match (sur 11 tentatives) inscrit par Dajana Butulija à 4’30 de la fin, elles sont pris l’avantage (64-62). Seulement les nerfs étaient plutôt espagnols à l’image de Ana Dabovic (9 points, 4 rebonds), qui a joué avec une main bandée, qui a craqué en faisant une antisportive sur Astou Ndour qui était aussi sa cinquième faute.\\n\\nAlors que Jelena Brooks (17 points, 20 d’évaluation) a été impeccable, l’autre cadre serbe, Sonja Petrovic (2/11) a déjoué.\\n\\nBien que limitée par les fautes, Astou Ndour a assuré 17 points et 5 rebonds en 22′ et son combat demain face à Sandrine Gruda s’annonce grandiose.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Laura Nicholls (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: La France retrouve SA Marine Johannès et se qualifie pour la finale !" }, {"role": "assistant", "content":"Toutes les statistiques présentes mais aussi du passé (9 victoires en 10 rencontres depuis 1968) plaidaient en faveur des Bleues mais dans une Arena de Belgrade bien trop grande pour cette demi-finale -comme beaucoup de public les Serbes ne s’intéressent qu’à leur équipe- heureusement animée par la cohorte de supporters français, les Britanniques n’ont jamais hissé le drapeau blanc. Le score final (63-56) atteste de leur résistance.\\n\\nPour obtenir la délivrance, les Bleues ont su défendre leur terrain pied à pied avec une Olivia Epoupa dont l’évaluation (11) ne traduit absolument pas la hargne carnassière. Marine Johannès est sortie de sa boîte au bon moment nous offrant quelques moments de grâce et surtout une belle efficacité (20 points à 9/18 aux tirs, 5 passes, 25 d’éval). Endy Miyem (16 points, 6 rebonds) a fait un gros taf alors que Sandrine Gruda, même si elle a loupé quelques ballons tout cuit -la fatigue, probablement- finissant avec un 3/14 aux tirs est tout de même en double double (11 points, 10 rebonds).\\n\\nLes Françaises ont su limiter le trio Jo Leedham/Karlie Samuelson/Temi Fagbenle à un 8/33 aux shoots et le banc britannique est trop faible pour compenser.\\n\\nIl s’agit pour la France de la 10e médaille de son histoire et de la quatrième finale consécutive mais les trois précédentes se sont conclues par un échec.\\n\\nLes Bleues affronteront demain le vainqueur de l’autre demi-finale, Serbie-Espagne. Le match sera retransmis sur W9* en clair et sur Canal+ Sport. Les deux anciennes meneuses de l’équipe de France, Yannick Souvré et Céline Dumerc, sont les consultantes sur ces chaînes.\\n\\nUn départ très poussif\\n\\nValérie Garnier avait de nouveau préféré introduire Bria Hartley dans le cinq de départ plutôt que Marine Johannès, mais mécontente d’un départ poussif de son équipe, elle demandait très vite un temps-mort. Ca ne changeait pas grand chose. Les Bleues pataugeaient devant la défense britannique. Il fallait attendre 5’50 et 11 tirs ratés pour qu’elles marquent leur premier panier hors lancer alors que les Britanniques menaient 2-13 ! Le stress sans doute.\\n\\nValérie Garnier choisissait alors de mettre dans le bain Marine Fauthoux, 18 ans, en plus de Sara Chevaugeon et plus tard Ornella Bankole -seules Marième Badiane et Iliana Rupert ne sont pas entrées du match. Alors que Jose Maria Buceta, le coach espagnol de la Grande-Bretagne, faisait appel à son banc dont on sait qu’il n’est pas à la hauteur du cinq majeur, l’hémorragie était stoppée avec sept points de suite de Marine Johannès qui délivrait en sus une passe lumineuse (17-16, 11e).\\n\\nLa Normande était aussi impliquée en défense et les Britanniques n’avaient globalement plus la partie belle en attaque. Seulement les Françaises retournaient dans un moment faible et la Grande-Bretagne repartait au score, 25-31. Et si les Bleues parvenaient à égalité à 34 à la mi-temps c’est que Sandrine Gruda, moins performante en attaque que face à la Belgique mais impeccable en défense sur Temi Fagbenle, et Marine Johannès (14 points sur ses 12 premières minutes) étaient passées par là.\\n\\nC’était très tendu\\n\\nLes Britanniques commençaient à tirer la langue et la France se constituait un petit matelas: 40-34 puis 47-38 (35e) sur le seul panier du match de Bria Hartley venu d’un service de sa future équipière au Liberty, Marine Johannès. Ne croyez pas que les Britanniques lâchaient prise pour autant. C’était le match de leur vie ! Et l’arrière Rachael Vanderwal, 36 ans, le savait mieux que quiconque, elle qui fut avec 12 points la meilleure marqueuse de son équipe de la soirée.\\n\\n52-46 après trois-quart-temps alors que l’adresse n’était que de 36,1% dont un 2/11 pour Sandrine Gruda visiblement émoussée. Un avantage de huit points se réduisait à trois (54-51) à sept minutes de la fin. C’était TRES tendu même si l’atmosphère de la Belgrade Arena ne le laissait pas supposer. Rien de fluide.\\n\\nOlivia Epoupa, une énergie surhumaine\\n\\nLes Bleues menaient 60-53 mais Bria Hartley et Olivia Epoupa avaient récolté quatre fautes. Avec une interception, une contre-attaque à fond conclue par un superbe fouetté de panier, Marine Johannès prouvait qu’elle avait retrouvé toutes ses sensations.\\n\\nLes Françaises faisaient les efforts défensifs nécessaires boostées par l’énergie surhumaine de Olivia Epoupa et son 1,64m. Avec un avantage de 62-54 à 2’17 de la fin, elle tenait le bon bout et ne le lâchait pas. Ce n’était pas un match inoubliable mais il fallait le gagner. Le reste...\\n\\n*W9 retransmettra également le tournoi de qualification olympique.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nDid I say already that this is @MarineJ5's world and we are just living it 🤔? #EuroBasketWomen@FRABasketball 🇫🇷 I put the replays right away too 😉.\\n\\n📺 https://t.co/3pwcEnO2eE pic.twitter.com/o2CIZBFpvb\\n\\n— FIBA Women's EuroBasket (@EuroBasketWomen) July 6, 2019\\n\\n\\nPhoto: Marine Johannès, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde U19: La France se fait piéger par le Mali, 73-76" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U19 est tombée en demi-finale face au Mali, en ce début de soirée à Heraklion et ne retrouvera donc pas demain pour l’or le vainqueur de Etats-Unis vs Lituanie. On n’en demandait pas tant au départ à cette génération 2000 privée de son joyau Sekou Doumbouya, qui vient d’être drafté par les Detroit Pistons mais l’appétit était venu après la victoire en quart sur le Canada (80-85). Cette qualification malienne est le plus grand exploit de tous les temps pour une équipe africaine.\\n\\nLa paire Oumar Ballo/Hassan Drame avait inscrit 29 des 39 points maliens à la mi-temps alors que Joël Ayayi (2/7) jusque là le scoreur des Bleuets était déjà bien tenu. Au prix d’un bel effort, le Mali avait effectué un petit décrochage dans le deuxième quart-temps (26-14) pour mener 39-33.\\n\\nLes Maliens ont toujours eu ensuite les affaires en mains en s’appuyant sur six joueurs et demi. Joël Ayayi (3/15 aux tirs) n’a jamais retrouvé la main et c’est le Chalonnais Mathis Dossou-Yovo (18 points et 9 rebonds) qui a été le plus efficace des Français avec le Manceau Kenny Baptiste (14 points, 5 rebonds, 4 passes).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yohan Choupas (FIBA)\\n\\n\\n.@ffbasketball's 🇫🇷 @Joel_Ayayi is giving up nothing easy! ⛔ #FIBAU19\\n\\n📺 Watch live: https://t.co/30FM22MXOW pic.twitter.com/ezwHHdu3DO\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 6, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U18 féminin: Les Bleuettes bousculent Israël, 95-39" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France n’y est pas allée de main morte pour son match d’ouverture à l’Euro U18 féminin, battant Israël, 95-39\\n\\nAu bout d’un quart-temps, tout était dit: 18 à 2 ! Les Israéliennes ont tourné à un pourcentage aux shoots de 21,2. Avec 15 points, Janelle Salaun a été la top scoreuse française.\\n\\nPhoto: Janelle Salaun (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: Le coach tarbais François Gomez emmène la Suède au TQO" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach tarbais François Gomez a rempli sa mission en emmenant la Suède au Tournoi de Qualification avec sa victoire cet après-midi en barrages sur la Russie, 57-52.\\n\\nD’autant plus méritoire que son intérieure star Amanda Zahui, pénalisée par les fautes, n’a joué que 19 minutes pour 4 points et 3 rebonds. Elin Eldebrink (14 points, 5 rebonds et 4 passes) a été la Suédoise la plus efficace avec Regan Magarity (12 points, 5 rebonds) et Kalis Loyd (16 points). En face, l’abattage de Maria Vadeeva (15 points, 8 rebonds) n’a pas été suffisant.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: La Belgique qualifiée pour le tournoi Pré-Olympique" }, {"role": "assistant", "content":"Obligée de passer en début d’après-midi par un match de barrage face à la Hongrie, l’équipe de Belgique s’est qualifiée pour le Tournoi Pré-Olympique en remportant le match, 72-56.\\n\\nMenées 12-17 à la fin du premier quart-temps, les Belgian Cats ont infligé ensuite un 15-0 aux Hongroises et elles ont creusé l’écart jusqu’à la fin du troisième quart-temps.\\n\\nAvec 17 points chacune, Kim Mestdagh, qui sera à la rentrée avec les Flammes de Charleville, et la Lyonnaise Julie Allemand ont été les deux meilleures marqueuses de la rencontre.\\n\\nPhoto: Emma Meesseman (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Frank Hassell fait son retour au Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Frank Hassell (2,03m, 21 ans) quitte Cholet Basket pour faire son retour au Portel où il a laissé d’excellents souvenirs.\\n\\nL’ancien étudiant d’Old Dominion surnommé « The Tank » avait fait connaissance avec la France par le biais de Boulazac en 2015 avant de porter deux saisons le maillot de l’ESSM. Il avait commencé le dernier exercice en Pologne, à Stelmet Zielona Góra, avant de rejoindre Cholet où il avait tourné à 13,7 points et 7,9 rebonds.\\n\\n« Les supporters N°1 de Jeep ÉLITE en rêvaient, l’ESSM l’a fait ! Faire revenir Frank après son départ il y a un an, suite aux playoffs et à la qualification historique en coupe d’Europe, était un fantasme... et bien, suite à un travail de longue haleine, nous y sommes parvenus!!! Sixième meilleur scorer de Jeep Elite (15,7), 2ème rebondeur (8,9), 3ème à l’évaluation (18,9) en 2017-2018, Frank avait réalisé la meilleure saison de sa carrière à l’ESSM ! A 31 ans, après une saison difficile en Pologne et à Cholet où il a quasiment maintenu CB à lui seul en Jeep Elite, nous sommes fiers avec le Président d’avoir pu ramener « The Tank » à la maison... Nous montrons de la sorte que le club reste attractif et que notre ambition est de revenir au niveau de nos deux magnifiques saisons en Pro A, une volonté de tout un encadrement ! », commente le coach Eric Girard sur le site du club.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Wilfried Yeguete signe pour deux ans à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"L’information était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines, elle est officiellement confirmée: l’ancien intérieur du Mans Wilfried Yeguete (2,01m, 27 ans) rejoint pour deux ans l’AS Monaco.\\n\\nSorti de l’université de Florida en 2014, ce petit gabarit très énergique a progressé ensuite régulièrement au Havre, à Pau et au Mans où il a stationné trois saisons. Il a été l’oeuvre de 9,0 points et 7,6 rebonds en 23′ de moyenne lors de l’exercice écoulée.\\n\\n« Cette année au Mans (surtout en fin de saison) dû à des blessures mais aussi à des différents match-ups, j’ai beaucoup joué 4 avec Richard (Hendrix). Quand j’étais à l’université je jouais 4. Quand je suis arrivé en France, au Havre avec Eric (Bartechecky), j’ai évolué en 5. Mais je suis assez mobile et je peux jouer sur le périmètre, passer, je suis plus costaud et physique par rapport aux 4 classiques. Je pense que je peux apporter à ce poste. J’ai beaucoup travaillé l’année dernière avec Dounia Issa pour développer mon shoot à 3-pts aussi, et mon shoot globalement, et je compte continue à travailler et m’améliorer dans ce domaine », commente le joueur sur le site de l’ASM.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Officiel: Nikola Mirotic à Barcelone pour trois saisons" }, {"role": "assistant", "content":"C’est désormais officiel: l’international espagnol originaire du Monténégro, Nikola Mirotic (2,08m, 28 ans), a conclu un accord pour trois saisons avec le FC Barcelone après quelques jours de négociations.\\n\\nNikola Mirotic sort de cinq saisons en NBA à 12,3 points et 5,9 rebonds en moyenne.\\n\\nLire notre édito ici.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: Le triangle d’or des Britanniques" }, {"role": "assistant", "content":"Si la Grande-Bretagne est en demi-finale de l’Euro féminin où elle va défier ce samedi la France, c’est pour beaucoup grâce à un trio de joueuses qui ne ménagent pas leurs efforts pour mettre ce pays du rugby, du foot et du cricket sur la carte du basket-ball européen.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nParfois la lecture des chiffres est édifiante. C’est le cas pour la Grande-Bretagne. Tami Fagbenle (1,93m, 26 ans) présente sur quatre matches une évaluation de 24,0, Jo Leedham (1,76m, 31 ans) de 17,0 et Karlie Samuelson (1,83m, 24 ans) de 15,6. Suivent deux joueuses à 7,4, Rachael Vanderwal et Cheridene Green. Et pour trouver la sixième, Ellidh Simpson, il faut descendre à 3,2 !\\n\\nC’est en s’appuyant à fond sur ce robuste trio que la Grande-Bretagne a obtenu d’ores et déjà le meilleur classement de son histoire. Jamais équipe britannique, garçon ou fille, ne s’était immiscée dans une demi-finale européenne. Lors de sa dernière apparition à l’Euro, en 2015, la Grande-Bretagne avait perdu ses quatre matches. Cette fois, elle a surpris la Lettonie (+14), l’Ukraine (+14), le Monténégro (+11) et la Hongrie (+3). Seule l’Espagne l’a fait vaciller mais ce ne fut pas sans peine (+8). Les jeunes femmes de sa Gracieuse Majesté ont ainsi fait un beau bras d’honneur aux bookmakers qui les classaient à la dernière place des prévisions.\\n\\nFace à la Hongrie, les Britanniques ont fait preuve de férocité défensive, d’altruisme offensif, de ruse, à la très grande satisfaction de leur coach espagnol, Jose Maria Buceta.\\n\\n« C’est fantastique », s’est exclamé celui-ci. “Mais c’est le résultat d’un groupe de joueuses géniales qui ont tout : l’engagement, le sens du travail en équipe. Croyance, confiance, ce sont les choses que nous avons. Et nous devons être très fiers car nous avons prouvé que nous pouvons faire quelque chose. »\\n\\nJo Leedham, six saisons en France\\n\\nDepuis le début de l’Euro, Jo Leedham joue 35’ par match. Jo, on la connait très bien en France depuis qu’elle avait inscrit 29 points contre les Bleues lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012 les poussant en prolongation. Elle avait enchaîné avec cinq saisons à Bourges et une à Villeneuve d’Ascq.\\n\\nL’Anglaise possède un coffre énorme, c’est une battante fantastique et elle peut réussir un match plein sans même marquer beaucoup. Sa ligne statistique la plus spectaculaire est celui du nombre moyen d’interceptions : 4. C’est naturellement la numéro 1 du tournoi. Elle est aussi la meilleure rebondeuse (7,2) et la meilleure passeuse (5,2) de son équipe, tout en étant la troisième marqueuse (12,0 points) même s’il y a du déchet (34,6% de réussite).\\n\\n« Il est incroyable que les gens ne la fassent pas signer pour les meilleures équipes car elle est l’une des meilleures joueuses que j’ai jamais entraînée », a déclaré Buceta. « Parce qu’elle comprend la situation. Elle a marqué 20 points contre la Lettonie lors du premier match, toute l’équipe était prise par la défense, ce qui lui a permis de jouer pour elle. Les meilleures joueuses comprennent quand c’est le moment et quand ça ne l’est pas. Elle a également joué une excellente défense, pas seulement aujourd’hui mais tout le tournoi.... C’est ainsi que les grandes joueuses se différencient des bonnes joueuses. ”\\n\\nJo était réellement aux anges après la victoire sur la Hongrie :\\n\\n« Wow ! Je suis tellement fière de cette équipe. Nous sommes venues ici en espérant faire quelque chose, mais je ne peux honnêtement pas dire que je m’attendais à ce que nous soyons en demi-finale parce que depuis le début, nous essayions d’atteindre les quarts de finale. Mais cette équipe est tellement spéciale. Nous essayons simplement d’obtenir une médaille maintenant. Oui, et nous avons une chance. «\\n\\nFormées en NCCA\\n\\nLes trois joueuses pilotes de la Grande Bretagne sont issues de la NCAA. Jo Leedham est sortie de la modeste université de Franklin Pierce et cartonna en senior au point d’être la top marqueuse de la NCAA II (27,2 points). Karlie Samuelson a effectué son cursus à Stanford. Ses deux sœurs ont également joué au plus haut niveau universitaire. Bonnie à Stanford comme Karlie et Katie Lou, que nous retrouverons à la rentrée sous le maillot de Charleville, à Connecticut. Ensemble les frangines Samuelson ont participé à plus de 400 matches universitaires dont huit Final Four. Elles ont appris à shooter dans l’arrière-cour de la maison familiale et sont devenues des tireurs d’élite.\\n\\nKarlie a disputé en 2017 trois matches de pré-saison avec les Los Angeles Sparks avant d’être victime d’une fracture au pied. Elle a joué ensuite 13 matches avec Vigarano en Italie mais elle retourna au pays dès janvier évoquant des raisons personnelles. Elle est devenue entraîneur tout en poursuivant des études pour signer de nouveau à l’été 2018 avec les Sparks et effectué la saison majoritairement sur le banc. Elle a joué ensuite aux Castors de Braine et surtout elle a fait en 2018 ses débuts dans l’équipe de Grande-Bretagne en profitant de la nationalité britannique de sa mère.\\n\\nOn leur a coupé les vivres !\\n\\nD’origine nigériane, Tami Fagbenle est née à Baltimore et a fréquenté la prestigieuse université d’Harvard et en est sortie diplômée en anthropologie mais elle avait été auparavant élevée en Grande-Bretagne. Elle aussi joue en WNBA (52 matches à 2,3 points) et son investissement dans l’équipe nationale britannique remonte à plusieurs années puisqu’elle était présente aux Jeux de Londres avec un rôle plus modeste qu’aujourd’hui (4,8 points et 4,0 rebonds). Pivot l’hiver à Polkowice, elle a planté 29 points contre le Monténégro et la Hongrie.\\n\\n« Nous sommes déjà arrivées si loin que nous devons continuer et le ciel est notre limite. Je ne sais pas jusqu’où nous irons. »\\n\\nTami Fagbenle est en mission. L’agence gouvernementale britannique alloue de l’argent aux fédérations des différentes disciplines suivant leur compétitivité présumée aux Jeux Olympiques et elle a estimé que l’équipe de basket ne l’était pas ! Fagbenle a vivement critiqué cette décision et déclaré à Sky Sports que le fait de ne pas capitaliser sur le basket après les JO de 2012 avait porté un tort considérable à la discipline dans le pays.\\n\\n« Nous voulons tous obtenir une médaille d’or aux Jeux Olympiques ou à une autre occasion, mais cela n’arrivera pas du jour au lendemain. Vous devez donc investir dans ce sport. Je pense que 2012 a aidé à mettre un peu plus le basket-ball britannique sur la carte, c’était vraiment très bénéfique. C’était un moment crucial, en termes de croissance, et si nous avions le financement, je pense que nous pourrions avoir ... notre trajectoire était comme ça (une courbe croissante) et ensuite le financement a été coupé et nous allions en quelque sorte comme ça (une courbe décroissante). C’est frustrant parce que c’est comme si nous étions sur deux pages différentes. »\\n\\nUK Sport a déclaré que le problème du financement était constamment à l’étude et a déjà promis de réévaluer le potentiel de l’équipe féminine si elle se qualifiait aux JO de Tokyo via l’EuroBasket. Tami Fagbenle et ses copines ont déjà fait une grande partie du boulot.\\n\\nPhoto ouverture: Jo Leedham (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nParfois la lecture des chiffres est édifiante. C’est le cas pour la Grande-Bretagne. Tami Fagbenle (1,93m, 26 ans) présente sur quatre matches une évaluation de 24,0, Jo Leedham (1,76m, 31 ans) de 17,0 et Karlie Samuelson (1,83m, 24 ans) de 15,6. Suivent deux joueuses à 7,4, Rachael Vanderwal et Cheridene Green. Et pour trouver la sixième, Ellidh Simpson, il faut descendre à 3,2 !\\n\\nC’est en s’appuyant à fond sur ce robuste trio que la Grande-Bretagne a obtenu d’ores et déjà le meilleur classement de son histoire. Jamais équipe britannique, garçon ou fille, ne s’était immiscée dans une demi-finale européenne. Lors de sa dernière apparition à l’Euro, en 2015, la Grande-Bretagne avait perdu ses quatre matches. Cette fois, elle a surpris la Lettonie (+14), l’Ukraine (+14), le Monténégro (+11) et la Hongrie (+3). Seule l’Espagne l’a fait vaciller mais ce ne fut pas sans peine (+8). 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Les Bleuettes sont opposées à 14h à Israël.\\n\\nGUENNOCEwl1,77MondevillePARDONMarie1,77Lyon BFRAYNAUDEmilie1,75PFBBKESSLERSerena1,82PFBBGOMISVacianna1,73MondevilleEWODOYohanna1,84PFBBHILLOTTECamille1,84PFBBHAMAOUIJade1,85BourgesSALAUNJanelle1,88PFBBMAHOUTOUEve2001CharlevilleMAGASSATenin1,97PFBBGUEYEAminata1,93Mondeville\\n\\nEntraineur : Arnaud Guppillotte\\nAssistants : Christophe Pontcharraud et David Morabito\\n\\n\\nSamedi 6 juillet à 14h00 : France – Israel\\nDimanche 7 juillet à 14h00 : Espagne – France\\nLundi 8 juillet à 16h15 : République Tchèque – France\\nMercredi 10 juillet : Huitièmes de finale\\nJeudi 11 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 13 juillet : Demi-finales\\nDimanche 14 juillet : Finale\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Demi-finale Euro féminin: La Serbie n’a jamais battu l’Espagne sur les 10 derniers matches" }, {"role": "assistant", "content":"Serbie-Espagne en demi-finale de l’Euro. Est-ce la finale avant l’heure ? C’est en tous les cas l’avis de l’ancienne capitaine des Bleues, Yannick Souvré. Sûr que ça sentira le souffre ce soir à 20h30 à l’aréna de Belgrade. L’avantage du terrain, c’est un avantage considérable pour les filles de Marina Maljkovic.\\n\\n\\n\\n« Nous sommes satisfaits du public », a déclaré la coach aux média serbes. « Nous jouons tard, à 21h30, c’est un horaire où beaucoup de gens sont occupés. Nous comprenons ça mais nous attendons davantage de monde demain (NDLR : aujourd’hui). Je remercie le public de son soutien à la fois à Zrenjanin et à l’Arena. Bien sûr que nous aimons jouer devant lui, c’est ce que les filles ont dit à plusieurs reprises. »\\n\\nSi les Belges ont succombé face aux Serbes (66-70), c’est en partie en raison de la fièvre qui a poussé celles-ci dans les moments décisifs. La Suède, qui avait si bien résisté à la France, a été balayée sans ménagement en quart-de-finale (87-49).\\n\\nUne joueuse a payé de sa personne, c’est l’ancienne Montpelliéraine et nouvelle Berruyère Ana Dabovic (1,89m, 29 ans), meilleure marqueuse (19 points) et meilleure évaluation (19) de son équipe avec aussi 5 rebonds et 3 passes. La MVP de l’Euro 2015 était apparue poussive lors des finales de la Ligue Féminine, elle a retrouvé le rythme. Seulement la cadette des Dabovic a reçu un coup de pied lors du match contre la Suède et un un os dans le poignet a été touché. Elle est possiblement forfait ce soir, on imagine le préjudice.\\n\\n« Vous savez à quel point Ana est importante pour notre équipe », commente Marina Maljkovic. « Il est presque impossible de jouer avec une demi-main. L’os est cassé, c’est tout. Elle a continué à jouer contre la Suède le plus longtemps possible. Nous ferons de notre mieux pour qu’elle puisse demain (aujourd’hui) aider l’équipe nationale mais nous ne pouvons rien dire d’avance. »\\n\\nDe son côté, l’Espagne est privée pour cette compétition de sa fer de lance, Alba Torrens. Cela ne la a pas empêchée de gagner ses quatre matches précédents pulvérisant la Russie en quart (78-54). La Sénégalaise naturalisée Astou Ndour (17,0 points et 10,0 rebonds) règne dans la peinture. L’historique des matches entre les deux équipes plaide en sa faveur ; elle a remporté les dix derniers.\\n\\n« L’équipe espagnole est un solide favori », assure Marina Maljkovic. « Depuis des années ils obtiennent les meilleurs résultats, ils ont constamment remporté des médailles, les joueuses jouent dans les meilleures équipes mondiales, souvent en WNBA. Nous faisons face à un adversaire très difficile. Notre motivation, notre désir est de les battre une fois car nous ne l’avons jamais fait auparavant. Nous allons essayer de trouver toutes les solutions, tous les moyens possibles, pour gagner. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Richard Dacoury: «Il est arrivé que l’on me traite de bamboula»" }, {"role": "assistant", "content":"Richard Dacoury, qui fête aujourd’hui ses 60 ans, est revenu dans le staff du Limoges CSP, le club dont il fut l’icône et avec qui il a remporté pas moins de quatre coupes d’Europe dont la plus prestigieuse en 1993, la C1.\\n\\nLe Populaire fait remonter ses souvenirs dans un « grand format » y compris ceux de son enfance. Richard Dacoury est le fils d’un Ivoirien et d’une Française.\\n\\n« Ma couleur de peau, j’en ai plus souffert dans la prime enfance. Entre cinq et dix ans, il est arrivé que l’on me traite de « bamboula », de « cacao », de « chocolat »... Je le disais à ma mère et elle me répondait : « T’inquiète pas mon chéri ! Toi, tu n’as qu’à les traiter de cachet d’aspirine ou de lavabo ! ». Mais sinon, je ne peux pas dire que j’ai souffert du racisme. Mon statut de sportif de haut niveau et de champion m’a aussi, je pense, protégé de ça »." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La Minute Inside dans les vestiaires des Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"Les mots de Valérie Garnier et de Jean-Pierre Siutat et les commentaires de Bria Hartley au retour dans les vestiaires après la victoire sur la Belgique, synonyme de qualification aux demi-finales de l’Euro. C’est le nouvel épisode de la Minute Inside de la FFBB.\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: JR Reynolds resigne à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur américain JR Reynolds (1,88m, 35 ans) a resigné à Poitiers indique le club.\\n\\nJR Reynolds a été champion de Jeep Elite avec Villeurbanne en 2009 et 2014 et il a également évolué à Orléans en 2010-11 et à Gravelines en début de saison dernière avant de rejoindre le PB86. 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De plus Germain Castano et son staff remplissent complètement tous les critères recherchés par notre club : état d’esprit, compétence, management, engagement et confiance. Germain souhaite continuer de travailler avec le club ainsi qu’avec Thomas Drouot. Ils s’identifient parfaitement au projet de l’OLB », a commenté le président Didier Nourault." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Michael Fakuade rebondit à Châlons-Reims" }, {"role": "assistant", "content":"Non prolongé par Orléans à l’issue de la saison 2018/2019, l’ailier fort nigérian Michael Fakuade jouera quand même en Jeep Elite la saison prochaine puisqu’il vient de s’engager au CCRB.\\n\\nAlex Abreu (1,77m, 28 ans) en 2017/2018, Michael Fakuade en 2018/2019, il semblerait que le club champenois aime piocher ses étrangers chez les Orléanais.\\n\\nPassé par les championnats allemand et espagnol dans lesquels il a, à chaque fois, joué en seconde puis première division, Michael Fakuade (2,02 m, 30 ans), est un intérieur américain au passeport nigérian, fort défenseur avec beaucoup de caractère. Il complétera le poste 4 du CCRB déjà enrichi de Dominique Archie (2,01m, 32 ans).\\n\\nL’année dernière, en Pro B, il compilait 10,9 points à 48% et 6,1 rebonds pour 13,7 d’évaluation en 24 minutes de temps de jeu.\\n\\n\\n✍️ Michael FAKUADE rejoint le @CCRBASKET ! L'ailier-fort américano-nigerian (30 ans – 2.01m) arrive de @OLB45 avec qui il vient de remporter les playoffs d'accession en #JeepELITE . Plus d'infos sur cette arrivée ➡️ https://t.co/zaTHAVLYKv pic.twitter.com/c2UJ6mAV7n\\n\\n— Champagne Basket 🧙\u200d♂️ (@ChampBasketOff) July 5, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde U19: La France qualifiée pour la demi-finale !" }, {"role": "assistant", "content":"En dépit d’un pourcentage de réussite douteux (37,3%), l’équipe de France U19 s’est qualifiée ce soir à Héraklion pour les demi-finales de la Coupe du Monde en s’imposant au Canada, 85-80. Les Bleuets affronteront demain le Mali lui même vainqueur de Porto-Rico (84-74).\\n\\nUne fois de plus, Joël Ayayi a été l’homme de la situation en étant proche d’un triple double avec 25 points, 8 rebonds et 7 passes pour 30 d’évaluation. Babacar Niasse a assuré 17 points et 5 rebonds. En effectuant deux interceptions dans les 15 dernières secondes ponctuées de 2 lancers, Kenny Baptiste (7 points, 7 rebonds) a été présent dans le money time.\\n\\nLes Bleuets ont mené l’essentiel de la rencontre mais sans jamais se dégager au score.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n.@FFbasketball 🇫🇷 doing a good job of holding Canada 🇨🇦 at bay, as @florianleopold2 flushes with two hands inside! 💪 #FIBAU19\\n\\n📺 Watch live: https://t.co/30FM22MXOW pic.twitter.com/LrfbV1KvQ0\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 5, 2019\\n\\n\\n\\n.@Joel_Ayayi with the dagger?! #FIBAU19\\n\\n📺 Watch live: https://t.co/30FM22MXOW pic.twitter.com/gARbtkY1J2\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 5, 2019\\n\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Adreian Payne, un an de plus à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Satisfait de ses services, l’ASVEL a confirmé l’intérieur américain Adreian Payne (2,08m, 28 ans) pour une saison supplémentaire.\\n\\nDrafté en 15ème position par les Hawks d’Atlanta en 2014, Adreian Payne a joué 107 matches en NBA pour 4,0 points et 2,9 rebonds. Avant d’arriver en mars à Villeurbanne, il a porté lors de la saison 2018-19 les maillots du Panathinaikos et des Nanjing Tongxi en Chine.\\n\\nAvec l’ASVEL, cet intérieur US polyvalent et très athlétique a assuré 10,4 points (41,4% à trois-points), 4,4 rebonds et 10,8 d’évaluation en 17.5 minutes." }, {"role": "user", "content":"Nando De Colo a signé un contrat 2+1 avec Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il souhaitait retourner en NBA, Nando De Colo (1,96m, 32 ans) a conclu un accord avec Fenerbahçe pour deux saisons avec une supplémentaire indique plusieurs sources.\\n\\nFenerbahçe vient de perdre coup sur coup deux joueurs importants, Nicolo Melli et Marko Guduric et d’après la presse turque cela libère une enveloppe de 4 millions de dollars.\\n\\n« On a appris que De Colo préférerait le bleu marine (NDLR: La couleur de Fenerbahçe) à cause du succès remporté par Fenerbahçe ces dernières années et de son entraîneur Obradovic », écrit Hurriyet.\\n\\nNando De Colo a déjà gagné deux Euroleague avec le CSKA Moscou.\\n\\n\\nFenerbahçe Beko, Nando de Colo ile 2+1 yıllık sözleşme imzaladı pic.twitter.com/AcrGl3vvqq\\n\\n— beIN SPORTS Türkiye (@beINSPORTS_TR) July 5, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin – Julie Allemand: «Ce triple de Hartley c’est comme une chape de plomb qui nous est tombée dessus»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est peu dire que les Belges sont frustrées d’avoir laissé échapper hier soir une victoire en quart-de-finale de l’Euro face aux Bleues qui leur tendait les bras dans le temps réglementaire avant de succomber à bout de forces dans le rab de cinq minutes (80-84). La meneuse de l’ASVEL Julie Allemand s’est confiée au quotidien wallon La Dernière Heure:\\n\\n“En tout cas, moi je n’avais plus rien comme force pendant la prolongation. J’étais préparée mentalement au combat pendant quarante minutes mais pas plus. Ce triple de Hartley – on n’aurait même pas pu faire faute avant puisqu’elle s’est retrouvée toute seule – c’est comme une chape de plomb qui nous est tombée dessus. Mais aujourd’hui on a vu qu’on était là. On n’a pas à rougir sauf peut-être de notre premier quart-temps. Ce résultat, c’est très décevant mais c’est le jeu, il faut vite tourner la page. »\\n\\nLes Belgian Cats joueront leur qualification au Tournoi Pré-Olympique demain face à la Hongrie. Elles devraient le faire et les Bleues seront certainement leurs premières supportrices.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Damien Inglis retourne à la SIG Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la SIG Strasbourg indique enregistrer la signature pour une saison de l’ailier fort Damien Inglis (2,06m, 24 ans), lui qui a déjà porté le maillot strasbourgeois lors de la saison 2017-18.\\n\\n\\nA la recherche d’une rotation à l’intérieur, le coach Vincent Collet a donc fait le choix de faire revenir Damien Inglis et commente cette signature :\\n\\n« Après un passage rapide en fin de saison 2017/18, où il avait laissé entrevoir de belles choses, Damien avait choisi de rejoindre Limoges pour être d’avantage responsabilisé. Il revient à la SIG avec une mentalité de revanchard. Il voudra montrer qu’il peut devenir un JFL d’impact. Il aura un rôle de poste 4 polyvalent dans cette équipe et je souhaite le voir gagner en constance afin qu’il franchisse un palier significatif ».\\n\\nDamien INGLIS – né le 20 mai 1995 (24 ans)\\nTaille : 2,06m\\nPoids : 111 kg\\nPoste : ailier fort\\nVainqueur Coupe de France 2018\\n\\nSon parcours:\\n\\n2013 – 2014 : Roanne (ProA)\\n2014 – 2015 : N’a pas joué\\n2015 – 2016 : Milwaukee Bucks (NBA) puis Canton Charge (D-League) puis Westchester Knicks (D-league)\\n2016 – 2017 : Westchester Knicks (G-League)\\n2017 – 2018 : Capo d’Orlando (ITA) puis SIG Strasbourg (Pro A)\\n2018 – 2019 : CSP Limoges (Jeep ELITE)\\n2019 – 2020 : SIG Strasbourg (Jeep ELITE)\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Spencer Butterfield revient à Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"L’information est tombée ce matin et elle était inattendue : l’arrière vainqueur de la Fiba Europe Cup avec le club des Hauts de Seine, Spencer Butterfield (1,91m, 26 ans), est de retour !\\n\\nAprès une année 2018/2019 où il n’a presque pas joué (seulement 4 matchs en Serie A Italienne à 16 points de moyenne) puisque le joueur avait pris sa retraite pour se consacrer à l’immobilier, Spencer Butterfield a décidé de revenir au plus haut niveau du basket-ball.\\n\\nEt quoi de plus logique que de retourner au sein du club avec lequel on a gagné son dernier trophée ? C’est donc tout naturellement que Spencer Butterfield s’est engagé avec l’équipe coachée par Pascal Donnadieu pour la saison 2019/2020.\\n\\nPour rappel, l’ancien sniper en chef de la JSF Nanterre avait signé à l’ALBA Berlin suite à sa belle année au sein de l’ex Pro A et valait 12 points à 47,7% (44,3% à 3-points), 3,6 rebonds et 1,4 passe décisive pour 12,5 d’évaluation en seulement 23 minutes de temps de jeu en Bundesliga.\\n\\n\\n💥 Spencer Butterfield de retour à Nanterre 💥\\n\\nC’est LA bonne nouvelle pour le Club des Hauts-de-Seine ! Le sniper nanterrien est de retour et sort de sa retraite spécialement pour Nanterre 92 🔥🔥🔥🔥🔥\\n\\n+ d’infos sur https://t.co/A15BiHtb9w #WeAreJSF pic.twitter.com/VxZpgcED3r\\n\\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) July 5, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Une cinquième saison à la JDA Dijon pour Axel Julien" }, {"role": "assistant", "content":"La JDA Dijon annonce ce jour que son meneur Axel Julien (1,85m, 26 ans), au club depuis 4 saisons et son arrivée de Hyères-Toulon en 2015 – va poursuivre son aventure en Bourgogne pour une année supplémentaire.\\n\\nLe Varois a bouclé une nouvelle saison très positive avec notamment 5 matchs de haut niveau en playoffs contre Strasbourg et Monaco (17 points, 7 passes, 4 rebonds pour 21 d’évaluation en moyenne).\\n\\nAxel Julien complète l’effectif actuellement composé de Jérémy Leloup, de David Holston et d’Abdoulaye Loum, tous sous contrat.\\n\\n« Dans mon esprit dès le début de saison j’allais honorer ma deuxième année de contrat, pour toutes les raisons qui m’ont déjà fait rester les saisons précédentes. Seule une offre qu’il était impossible de refuser m’aurait fait changer d’avis. Elle n’est pas venue, je suis donc ravi de continuer l’aventure avec la JDA pour une 5ème saison ! », commente le joueur.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Les highlights de Sandrine Gruda face à la Belgique: un grand moment de l’histoire du basket français" }, {"role": "assistant", "content":"C’est son record de points (33) mais aussi probablement son match le plus accompli en 188 sélections avec les Bleues car Sandrine Gruda a été constante durant les 35 minutes qu’elle a passé sur le terrain, sous les deux cercles, réduisant au maximum l’impact du diamant belge, Emma Meesseman. Voici les highlights de la Martiniquaise face à la Belgique en quart-de-finale de l’Euro. Un grand moment de l’histoire du basket français.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le film des finales de Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"A grand renfort de -belles- images de matches, d’entraînement et encore de supporters et de commentaires, la LNB a publié le film des finales de Jeep Elite 2019 qui retrace la bataille entre Villeurbanne et Monaco.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Haukur Palsson (Nanterre) rejoint l’Unics Kazan" }, {"role": "assistant", "content":"L’international islandais Haukur Palsson (1,97m, 27 ans) a signé à l’Unics Kazan indique le club russe sur les réseaux sociaux.\\n\\nHaukur Palsson sort de trois très bonnes saisons en France. La première au Rouen Métropole Basket, la seconde à Cholet Basket et la troisième à Nanterre 92 où il a compilé la saison écoulée 9,0 points (38,6% à trois-points), 3,3 rebonds et 2,2 passes en Jeep Elite.\\n\\nL’Unics Kazan -une ville du Tartastan de 1,2 million d’habitants, est engagé en VTB League (2e de saison régulière et demi-finaliste en 2019) et en Eurocup.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Metropolitans 92: Boris Diaw officiellement président" }, {"role": "assistant", "content":"L’Equipe indique que Boris Diaw, 37 ans, est désormais le président des Metropolitans 92 en remplacement de Jean-Pierre Aubry suite à un conseil d’administration exceptionnel, qui a eu lieu hier à Boulogne-Billancourt. Neuf nouveaux membres boulonnais ont également été élus sur un total de dix-huit.\\n\\nL’ancien capitaine des Bleus est également manager général adjoint de l’équipe de France qui va entamer à la fin du mois sa préparation à la Coupe du monde.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pourquoi la JDA Dijon aime la Basketball Champions League ?" }, {"role": "assistant", "content":"Aujourd’hui s’est tenu le tirage au sort de la prochaine saison de Basketball Champions League. Une compétition que Pau-Orthez va découvrir, opérant son grand retour au premier plan sur la scène européenne. Strasbourg et Dijon sont en terrain connu, l’occasion de voir avec la JDA, équipe surprise de la saison dernière de Jeep Elite, ce que le club pense de cette nouvelle compétition européenne.\\n\\nLa BCL permet de tirer vers le haut la saison d’une équipe en championnat\\n\\nLe créneau de la BCL a toujours été de dire qu’elle veut aider les ligues nationales, qui sont ses actionnaires, à se développer. Les clubs aussi. C’est pour ça que la qualification en BCL se fait uniquement via des critères de réussites sportives à partir des résultats en ligue nationale. La BCL était également la saison dernière la compétition européenne qui impose le moins de match à ses clubs, pour ne pas trop tirer sur les joueurs. Autant de dispositions pour permettre d’obtenir les meilleurs résultats possibles en ligue domestique. Ce qui a été le cas de Dijon, troisième de la saison régulière de Jeep Elite.\\n\\nPourtant, la saison dernière par exemple, la JDA ne comptait que neuf joueurs professionnels dans son équipe. « Et on est tombé sur un groupe très costaud en BCL », expliquait cette saison le président Thierry Degorce au site de la LNB. « J’ai pu effectuer quelques déplacements. C’était des grosses équipes. Cela a été positif parce que cela nous a tiré vers le haut. Cela a été un élément de motivation et les joueurs se sont éclatés dans le projet. Je pense que cela nous a aidés pour le championnat. » « C’est toujours bien de renouer avec des cultures de basket différentes selon les pays », rajoutait Jean-Louis Borg en interview pour Basket Europe en février dernier. « C’est toujours très enrichissant. Après, l’enchainement des matches de haut niveau, même si ça laisse des traces au niveau de la fatigue et de l’état physique, c’est bénéfique et on en récolte les fruits en championnat. C’est clair pour moi. Pour toutes ces raisons-là, c’est un vrai plus d’avoir participé à cette BCL et ça donne envie d’y retourner le plus rapidement possible.«\\n\\nUne organisation performante\\n\\nTous les acteurs qui ont côtoyé la BCL mettent en avant le professionnalisme des équipes de Patrick Comninos, le patron de la Basketball Champions League. « J’ai découvert cette coupe d’Europe », poursuit le président de la JDA. « C’est très positif. C’était bien organisé, bien structuré. » « Dès le tirage au sort, on a pu se rendre compte de la qualité d’organisation de cette compétition, à la fois au niveau de la structure mais aussi au niveau de l’équipe qui travaille au quotidien pour la BCL », poursuit Jean-Louis Borg. « On a toujours eu des interlocuteurs privilégiés pour nous permettre d’avancer sur ce dossier. Parce qu’il faut voir qu’on partait presque de zéro par rapport à l’organisation de matches de coupe d’Europe. C’est déjà un aspect qui a été énormément apprécié au niveau du club. On s’est rendu compte que c’était sérieux, organisé, structuré. Ça nous a facilité la tâche pour rentrer de plein pied dans la compétition, d’abord à domicile par rapport à toute l’organisation avec le cahier des charges à respecter. »\\n\\nUne visibilité boostée\\n\\nLa BCL met le paquet pour faire connaitre et communiquer autour de sa compétition. Que ce soit au niveau du choix des diffuseurs autant que dans le travail réalisé sur le numérique et les réseaux sociaux. « L’aspect médiatique est important », conclut Thierry Degorce. « On a eu beaucoup de matches télévisés sur Canal +, ce n’est pas négligeable pour un club comme nous qui cherche à développer sa notoriété et son image. » « Les exigences cohérentes de la BCL nous ont obligé à booster tout le monde au club, niveau administratif et organisationnel », rappelle Jean-Louis Borg. « A la fois cette rigueur sur les retransmissions télé par exemple, ce qui est très important aux yeux de la BCL – et à juste titre. Une grosse nouveauté pour nous a été au niveau de la communication numérique et digitale parce que vraiment la BCL est très performante à ce niveau-là et ils passent beaucoup d’énergie dans ce registre. Ça nous a obligé à nous mettre au niveau. Je suis persuadé que le fait de participer à cette compétition a participé à l’amélioration de tous nos réseaux sociaux. Ils sont très compétents et ça a été une prise de conscience pour nous. »\\n\\nDes joueurs disponibles pour s’épanouir avec l’équipe de France\\n\\nLe calendrier de la BCL est compatible avec le calendrier des compétitions internationales des équipes nationales. Les joueurs des clubs engagés en BCL sont donc disponibles pour rejoindre la sélection. Ce qui a été le cas pour Axel Julien et Alexandre Chassang de la JDA. Et quand on voit les playoffs 2019 de Jeep Elite de Julien, meneur de Dijon et des Bleus sur les qualifications, meilleur joueur des quarts de finale, il est évident que ses passages en Bleus l’ont fait grandir, comme il déclarait d’ailleurs au magazine Basket en avril 2019. « Individuellement, ça m’a fait progresser. J’ai côtoyé un autre coach, découvert le niveau international. On n’a pas joué les meilleures équipes du monde, mais c’est une autre intensité, du vrai haut niveau. Et ça nous a donné, a tous ceux qui jouent dans le championnat de France, un peu de crédibilité. »\\n\\nPhoto: David Holston (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Les photos: La joie des Bleues après la victoire sur la Belgique" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a un peu moins d’un an, c’était elles qui étaient en pleurs après le camouflet subit en quart-de-finale de la Coupe du monde. Cette fois ce sont les Bleues qui peuvent fêter leur qualification en demi-finale de l’Euro contre ces mêmes Belges. On remarque que la Newyorkaise Bria Hartley n’est pas la moins expressive.\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Alex Abrines revient à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la signature de Nikola Mirotic (2,08m, 28 ans) est en instance de confirmation officielle, un autre joueur espagnol part de la NBA pour revenir dans son pays natal. Cette fois-ci, il s’agit d’Alex Abrines (1,98m, 26ans).\\n\\nSelon Eurohoops, après 3 saisons passées dans l’Oklahoma au sein du Thunder, franchise américaine qui l’a drafté en 2013 en 32ème position, le natif de palma de Majorque revient dans le club qu’il a quitté avant de traverser l’Atlantique : le FC Barcelone.\\n\\nCelui qui avait contribué à remporter le dernier titre national du club catalan en 2014, s’est engagé pour 3 saisons.\\n\\nIl compilait l’année dernière, lors de sa dernière saison NBA : 5,3 points à 35,7% et 1,5 rebond pour 4,5 d’évaluation en 18 minutes de temps de jeu.\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de France-Belgique" }, {"role": "assistant", "content":"Le résumé de la victoire des Bleues en prolongation sur la Belgique (84-80) qui leur donne accès aux demi-finales de l’EuroBasket.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin – France-Belgique: une formidable Sandrine Gruda (33 points) propulse les Bleues en demi-finale (84-80 a.p.)" }, {"role": "assistant", "content":"Epatante, formidable, éblouissante, lumineuse... Les qualificatifs manquent pour décrire la prestation de Sandrine Gruda ce soir face à la Belgique. Les chiffres révèlent qu’elle a battu son record de points en sélection (33) avec une adresse époustouflante -voici un qualificatif de plus: 11 sur 15 aux tirs du champ et 11/12 aux lancers. Plus 10 rebonds. Un contre. Pas de balle perdue. 39 d’évaluation.\\n\\nHeureusement que la Martiniquaise était là car ses équipières ont semblé parfois anesthésié à l’image de Marine Johannès (4 points et 1/5 aux shoots) et aussi de Bria Hartley (12 points mais à 4/12 aux tirs, 3 balles perdues et 5 fautes) mais qui a prouvé que c’était une battante et qu’elle était clutch en enfilant le trois-points de l’égalisation dans le temps réglementaire. Au moment de tresser des lauriers, on n’oublie pas Olivia Epoupa (13 points, 9 rebonds, 5 passes, 5 interceptions, 22 d’évaluation) à l’énergie tout simplement exceptionnelle durant 38 minutes sur le terrain.\\n\\nIl a fallu aussi de très bonnes séquences défensives pour désarçonner les Belges qui ont retrouvé ce soir leur fighting spirit, leur joie de jouer avec une Emma Meesseman (24 points) toujours capable d’exploits, l’ultra complète Kim Mestdagh qui était partie pour faire un triple double (16 points, 9 rebonds et 7 passes) et l’inévitable Julie Allemand (15 points, 4 passes) mais aussi des joueuses moins connues comme Kyara Linskens (10 points et 16 d’éval) et Jana Raman (10 points et 12 d’éval).\\n\\nLes Bleues sont ainsi directement qualifiées pour le Tournoi Pré-Olympique et joueront samedi une demi-finale où il ne s’agira pas de sous-estimer la surprenante Grande-Bretagne.\\n\\nValérie Garnier avait placé Bria Hartley dans le cinq de départ, à la place de Marine Johannès, et les Françaises prenaient le taureau par les cornes avec une Sandrine Gruda très incisive: 9-1 puis 16-5 (6e). Les Belges étaient étouffées par le rythme des Bleues, perdaient quantité de ballons et n’avaient pas de tirs confortables.\\n\\nUn écart de quinze points était noté à la 8e minute (24-9). Emma Meesseman et Kim Mestdagh étaient obligées de prendre les affaires belges en mains en attaque pour éviter d’entrée la déroute. Quelques négligences françaises permettaient aux Belgian Cats de revenir à 27-16 à la fin du premier quart-temps. Les filles de Valérie Garnier affichaient alors une réussite de 58,8% aux tirs. Trop parfait...\\n\\nLes Belgian Cats entamaient nettement mieux la deuxième période, mettaient leur jeu en place et profitaient des errements défensifs français notamment sur des coupes vers le panier et des contre-attaques belges rondement menées. Certains changements n’avaient pas été positifs comme le passage de Marine Johannès une fois de plus dans le dur (aucun shoot en 8′). En cinq minutes, les Belges étaient revenues à 31-28. Trop portées sur les initiatives individuelles, les Bleues ne marquaient plus et sur un panier de Julie Allemand les Belges, qui ne s’étaient jamais découragées, passaient pour la première fois en tête, 30-32.\\n\\nSi les Françaises étaient de nouveau devant à la mi-temps (35-32) grâce à un durcissement de la défense, leur pourcentage de réussite était tombée à 45,1%.\\n\\nBria Hartley met le trois-points de l’égalisation\\n\\nAnn Wauters ne parvenait pas à tenir Sandrine Gruda et la France se redonnait temporairement de l’air, 41-34. La Martiniquaise était à son meilleur niveau des deux côtés du terrain car Emma Meesseman ne rigolait pas avec elle. C’est -encore- Kim Mestdagh qui permettait aux Belges d’égaliser à 48. Et encore 52-52 au bout de trente minutes sur un panier au buzzer de Sara Chevaugeon. Quand Sandrine Gruda n’était pas sur le terrain, le jeu des Bleues n’étaient pas fluide et c’était... stressant. L’absence de Helena Ciak au milieu de la peinture pesait lourd et la big woman Kyara Linskens en profitait.\\n\\nLes cadres belges assuraient davantage que leurs collègues françaises, sinon Sandrine Gruda et Olivia Epoupa. A leur train, les Belgian Cats prenaient de l’avance: 54-60 (32e). Les Françaises ne marquaient plus à l’image de Bria Hartley.\\n\\nDans un final du temps réglementaire, tout se faisait au forceps. Sandrine Gruda et Emma Meeseman mettaient encore la main à la pâte. Bria Hartley scorait à 28 secondes de la fin. Julie Allemand ratait deux lancers, mais Kyara Linskens prenait le rebond offensif et la Lyonnaise cette fois mettait ses deux lancers. 65-68 à 17 secondes. Dernière action des Bleues: Valériane Ayayi ratait son 3-points mais Bria Hartley, qui en était jusque là à 3/11 aux shoots, mettait le sien. 68-68. Prolongation.\\n\\n\\n. @Breezyyy14 EST CLUTTTTTTTTTTCCCHCHHHHHHHH @FRABasketball !!!!!!#EuroBasketWomen #WeCanBeEuro 🏀 pic.twitter.com/GScBgjoAY3\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) July 4, 2019\\n\\n\\nEmma Meeseman faisait quelques prodiges mais Sandrine Gruda aussi. Et en plus, la Française parvenait à faire faire à la Flamande sa cinquième faute et gagnait ainsi le combat des cheffes. Les Bleues assuraient aux lancers (19/23 sur l’ensemble du match) et c’était -enfin -dans la poche. Que ce fut dur !\\n\\n« Nous sommes bien revenus après avoir raté notre départ. Nous avons dominé la seconde période et nous avions tout en main pour remporter la victoire. Si vous avez 3 points d’avance à 1 minute de la fin, vous devez toujours gagner, » rageait le coach belge Philip Mesdagh.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto ouverture : Sandrine Gruda, FIBA" }, {"role": "user", "content":"L’arrière Marcus Thornton à Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Chalon a recruté l’arrière américain Marcus Thornton (1,91m, 26 ans) qui opérait la saison écoulée à Banvit, en Turquie.\\n\\nPassé par l’université de William & Mary, Marcus Thornton a joué en Australie, aux Sydney Kings, en G-League aux Maine Red Claws et aux Canton Charges, en Italie à Pesaro et donc à Banvit où il a été victime d’une fracture de fatigue. Ses stats en 3 matches de BCL: 11,7 points, 3,7 rebonds et 4,0 passes.\\n\\n« Marcus est un joueur athlétique par sa vitesse avec un vrai talent, très fort joueur de un contre un, il n’hésite pas à prendre ses responsabilités mais il est également capable de valoriser ses partenaires. Nous avons bénéficié d’un concours de circonstance pour le faire venir à l’Elan Chalon. Sans sa blessure c’est un joueur qui aurait pu prétendre intégrer des grands clubs européens. Nous sommes très contents qu’il nous rejoigne, » déclare le coach Philippe Hervé.\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : l’arrière d’Andorre Dylan Ennis débarque à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Preuve de l’attractivité grandissante du championnat de France, l’AS Monaco Basket a enregistré ce matin l’arrivée de l’arrière Dylan Ennis (1,89m, 28 ans).\\n\\nPassé par trois cursus universitaires que sont Rice, Villanova et Oregon State, Dylan Ennis a effectué sa première année en tant que professionnel dans trois clubs : le Tecnyconta Saragosse, le Mega Bemax et l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nEfficace dans chacun de ses passages dans ses clubs, Dylan Ennis a attiré la convoitise de cylindrées supérieures et c’est ainsi que pour la saison 2018/2019, il a signé pour le BC Andorre qui jouait l’Eurocup.\\n\\nLà-bas, il s’est affirmé comme un joueur pouvant jouer au plus haut niveau européen. A la fin de sa campagne européenne ponctuée par l’élimination de l’ASVEL en quart de finale et une demi finale perdue face à l’ALBA Berlin, l’arrière canado-jamaïcain-serbe a été élu dans le deuxième meilleur cinq de la compétition.\\n\\nDylan Ennis compilait la saison dernière en Liga Endesa : 13,4 points à 43,6%, 3 rebonds et 2,6 passes décisives pour 11,6 d’évaluation en 25 minutes de temps de jeu." }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: La Grande-Bretagne en demi-finale" }, {"role": "assistant", "content":"En s’imposant à la Hongrie (62-59), la Grande-Bretagne s’est qualifiée pour les demi-finales de l’EuroBasket féminin, ce qui représente une surprise de taille car les Britanniques étaient considérées comme les underdogs de la compétition.\\n\\nConséquence directe pour les Françaises: c’est la Grande-Bretagne qu’elles rencontreront en demi-finale en cas de victoire ce soir face à la Belgique ou la Hongrie pour le match de barrage décisif pour le tournoi de qualification olympique si elles perdent face aux Belgian Cats.\\n\\nLes Britanniques ont mené au score de la fin du premier quart-temps jusqu’à la fin mais elles ont connu une sérieuse alerte dans le money time. Bernadett Hatar a même eu une balle sous le cercle pour passer devant. Agnes Studer a eu pour sa part l’occasion d’égaliser au buzzer de la ligne médiane mais le ballon a ricoché deux fois sur le cercle.\\n\\nLa pivot de Polkowice Temi Fagbenle (1,93m, 26 ans), née à Baltimore aux Etats-Unis, d’origine nigériane, élevée en Grande-Bretagne mais formée en NCAA, a rayonné avec 29 points (13/22) dont un panier très important à 49 secondes de la fin.\\n\\nMême si elle n’a scoré que 4 points (1/6) Jo Leedham (ex-Bourges et Villeneuve d’Ascq) a été omniprésente avec 12 rebonds, 8 passes et 3 interceptions.\\n\\nPhoto: Johanna Leedham (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Champions League: les adversaires de Dijon, Pau et Strasbourg sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"En fin de matinée s’est tenu le tirage au sort de la Basketball Champions League qui concernait la JDA Dijon, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez et la SIG Strasbourg.\\n\\n1er Tour de qualification:\\n\\nInter Bratislava vs Olympic\\nKarhu de Fribourg vs Tsmoki-Minsk\\nSortertalje vs Balkan Botevgrad\\nKapfenberg vs Kyiv Basket\\nSzombathely vs Oradea\\nPrishtina vs Legia Warsawa\\nBenfica vs Groningen\\nKeravnos vs Bakken Bears\\n\\n2e Tour de qualification:\\n\\nVainqueur de Keravnos / Bakken Bears vs Lietkabelis\\nVainqueur de Benfica / Groningen vs Mornar\\nVainqueur de Karhu / Tsmoki-Minsk vs Torun\\nVainqueur de Szombathely / Oradea vs Ventspils\\nVainqueur de Sortertalje / Balkan Botevgrad vs Ange\\nVainqueur de Kapfenberg / Kyiv vs San Pablo Burgos\\nVainqueur de Prishtina / Legia Warsawa vs Nijni Novgorod\\nVainqueur de l’Inter Bratislava / Fribourg Olympic vs Bonn\\n\\nGroupe A: BAXI Manresa (ESP), Dinamo Banco di Sardegna Sassari (ITA), Filou Oostende (BEL), SIG Strasbourg (FRA), Turk Telekom (TUR), UNET Holon (ISR), Vainqueur du Match 9 (Keravnos/Bakken Bears/Lietkabelis), Vainqueur du match 11 (Karhu Basket Kauhajoki/Tsmoki-Minsk/Polski Cukier Torun).\\n\\nGroupe B: AEK (GRE), Anwil Wloclawek (POL), Bandirma BK (TUR), Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez (FRA), Hapoel Bank Yahav Jerusalem (ISR), RASTA Vechta (GER), Vainqueur du Match 13 (Södertälje Kings/Balkan Botevgrad/Telenet Giants Antwerp), Vainqueur du Match 14 (Kapfenberg Bulls/Kyiv-Basket/San Pablo Burgos).\\n\\nGroupe C: Brose Bamberg (GER), CEZ Nymburk (CZE), Gaziantep (TUR), Iberostar Tenerife (ESP), Peristeri Vikos Cola (GRE), VEF Riga (LAT), Vainqueur du Match 10 (SL Benfica/Donar Groningen/Mornar Bar), Vainqueur du Match 15 (Z-Mobile Prishtina/Legia Warszawa/Nizhny Novgorod).\\n\\nGroupe D: Basket Zaragoza (ESP), Besiktas Sompo Japan (TUR), Happy Casa Brindisi (ITA), JDA Dijon (FRA), Neptunas Klaipeda (LTU), PAOK (GRE), Vainqueur du Match 12 (Falco Szombathely/CSM CSU Oradea/Ventspils), Vainqueur du Match 16 (Inter Bratislava/Fribourg Olympic/Telekom Baskets Bonn).\\n\\nLa saison régulière se compose de quatre groupes de huit équipes chacun, avec des matchs joués à domicile et à l’extérieur. Les quatre équipes les mieux classées de chaque groupe se qualifieront pour les playoffs.\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin – France vs Belgique: Souvenez-vous du 28 septembre 2018 !" }, {"role": "assistant", "content":"Un France-Belgique, ce n’est pas un match comme les autres car plusieurs Belgian Cats jouent, ont joué ou vont jouer dans la Ligue Féminine, et les mots qui viennent dans la bouche des actrices, c’est « respect » et « amitié ».\\n\\nAinsi Ann Wauters (ex-Valenciennes et Villeneuve) élue Meilleure Etrangère des 20 ans de Ligue Féminine par les fans est élogieuse dans La Dernière Heure :\\n\\n« La LFB c’est du très haut niveau et très homogène. C’est très athlétique, très dur mais propre. Ça va nous changer de la Russie et de la Serbie, beaucoup plus vicieuses, ou même de la Slovénie qui offrait une défense atypique.”\\n\\nDeux des joueuses les plus concernées sont les Lyonnaises, Julie Allemand et Marième Badiane. L’une est Belge, l’autre Française.\\n\\n« D’abord, Ju c’est ma pote ! », lance Marième Badiane à la Dernière Heure; « À l’ASVEL, on partage notre chambre en déplacements. On est très proches et c’est cool de voir sa progression. Par rapport au match de ce jeudi ? C’est simple, j’aurais préféré ne pas la croiser avant la finale ! C’est du basket et donc il faudra bien qu’il y ait un gagnant mais on n’est pas vraiment dans la revanche. Il y a beaucoup de respect entre les joueuses. Et puis, si les deux équipes en sont là, c’est qu’elles le méritent. Après on joue pour des équipes différentes, pour notre pays. Alors copines en dehors mais adversaires sur le terrain. Sans état d’âme !”\\n\\nLà où tout le monde est d’accord, c’est que le match ne va pas ressembler au quart-de-finale de la Coupe du monde 2018 où les Bleues avaient dérouillé (65-86). Les cinq meilleures marqueuses belges ce soir là étaient passées par la LFB : Kim Mestdagh (23 points), Emma Meesseman (16 et 9 rebonds), Julie Allemand (11 et... 13 passes), Julie Vanloo (10) et Ann Wauters (7). Les Françaises avaient été humiliées.\\n\\nLes temps ont changé. Trois cadres de l’équipe de France (Helena Ciak, Diandra Tchatchouang et Sarah Michel) sont forfait. Valérie Garnier a injecté du sang frais et la Franco-Américaine Bria Hartley qui s’est remarquablement fondue dans le groupe et qui apporte sa classe mondiale. C’est pour l’instant la meilleure marqueuse de l’équipe (11,7 points) et elle met ce petit grain de folie qui manquait aux Bleues lorsque Marine Johannès n’est pas sur le terrain ou pas à son meilleur... ce qui est le cas pour l’instant dans cet Euro.\\n\\nLes Belges ne sont plus dans la douce euphorie de la Coupe du monde où elles étaient des challengers. Les attentes étaient élevées avant l’Euro, certains observateurs faisaient même des Belgian Cats les favorites, et elles ont connu le stress, la douleur. Le coach Philip Mestdagh n’a réellement que 8 joueuses à sa disposition y compris Ann Wauters, complètement à cours de rythme, qui ne tourne qu’à 18,8 % de réussite aux shoots !\\n\\nCe duel franco-belge (18h sur Canal+ Sport) s’annonce passionnant. L’enjeu est très, très important. Une question de suprématie entre les deux voisins, une place dans le dernier carré avec la possibilité d’une médaille ensuite et aussi -tout aussi important sinon plus- une place assurée au Tournoi de Qualification Olympique presque synonyme de JO de Tokyo. D’ailleurs, celui qui sortira battu ce soir aura intérêt à se relever aussitôt car l’attendra samedi un match de barrage contre le perdant d’un autre quart, Grande-Bretagne/Hongrie, qui pour l’équipe victorieuse donnera également les clés pour le TQO.\\n\\nNon, ce n’est pas un match comme les autres, ce soir à Belgrade." }, {"role": "user", "content":"Kevin Harley (Boulazac): «Je suis prêt pour la Jeep Elite»" }, {"role": "assistant", "content":"Kevin Harley (1,96m, 25 ans) sort d’une saison remarquable avec Poitiers (14,7 points, 4,5 rebonds, 3,2 passes) qui l’a vu figurer dans le Cinq All-Stars de la Pro B avec quatre étrangers, Xavier Forcada (Gries), Miralem Halilovic (Orléans), Brandon Jefferson (Orléans) et Marcellus Sommerville (Nancy). Dis autrement, il était le joueur français numéro 1 du championnat. En bonus, il a remporté le concours de dunks du All-Star Game. Il va retrouver à Boulazac la Jeep Elite qu’il a déjà connu avec Poitiers (2011-2013) mais cette fois, il y est attendu comme un joueur majeur.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre bilan de la saison ?\\n\\nJe regrette d’avoir perdu le dernier match de playoffs à domicile contre Orléans parce que j’aurais aimé prolonger le plaisir. Je pense qu’on a quand même fait une super saison. D’un point de vue personnel aussi. Etant donné qu’on a changé de meneur et qu’on a eu des blessés, je pense qu’on a fait une très bonne saison. On a fait ce qu’on pouvait et on a tous pris du plaisir. C’est vraiment une année que je n’oublierai pas.\\n\\nL’année de la confirmation en Pro B avant de monter en Jeep Elite ?\\n\\nJe dirais plutôt de l’explosion parce que je n’avais pas fait une saison extraordinaire l’année passée. Mais c’est vrai que tout m’a souri cette année et ça me n’empêchera pas de continuer sur cette lancée.\\n\\nVous avez doublé votre évaluation par rapport à la saison précédente, comment l’expliquez-vous ?\\n\\nJe pense qu’il y a beaucoup de choses qui sont entrées en jeu. Il y a déjà le facteur mental. Je me suis dit « c’est bon j’ai 24 ans, maintenant il faut y aller, il ne faut plus réfléchir et il faut jouer ». Il y a aussi le travail que je fais chaque été qui apporte une progression. Mon rôle aussi a changé. Je n’ai clairement pas eu le même rôle que les autres années. J’en avais discuté avec les coachs avant de resigner l’année dernière. Je leur ai dit le rôle que j’aimerais avoir et on est tombé d’accord là-dessus. Je pense que ça a marché. Ils m’ont fait confiance et je pense que je leur ai rendu du mieux possible. C’est gagnant-gagnant.\\n\\nVous avez travaillé sur votre mental seul ou avec un coach ?\\n\\nTout seul. J’ai déjà travaillé avec un coach mental mais c’était il y a quelques années. Avant, je réfléchissais beaucoup, je me disais qu’il ne fallait pas perdre la balle, qu’il fallait tout bien faire. Là, je joue. Tout simplement. J’ai perdu des ballons, oui, j’ai raté des shoots, j’ai fait des erreurs sauf qu’avant ces erreurs pouvaient impacter les deux ou trois minutes qui suivaient mon erreur. Maintenant c’est fini. Je fais une erreur, je sors, ce n’est pas grave, je sais que je vais rentrer en jeu plus tard. Je ne pose plus de questions pendant que je joue. Quand c’est terminé, je repense aux erreurs, mais pendant le match ce n’est pas grave, je passe à autre chose.\\n\\nVous pensiez que c’était le bon moment pour faire le saut en Jeep Elite ?\\n\\nOui. Je l’ai toujours dit, mon but c’est d’essayer d’aller le plus haut possible. J’ai explosé en Pro B, mais si je n’avais rien eu en Jeep Elite, j’aurais certainement continuer en Pro B pour faire cette année de la confirmation. Ça ne m’aurait pas dérangé, mais je pense que je suis prêt pour la Jeep Elite. Quand j’ai eu cette opportunité, je n’ai pas hésité.\\n\\nPourquoi Boulazac ?\\n\\nJ’ai discuté avec le coach et son staff. Je voulais aller au plus haut niveau, mais surtout je voulais jouer. Le plus important c’est d’être sur le terrain. C’est difficile de garantir un temps de jeu, mais ils m’ont dit que j’allais être responsabilisé, qu’ils veulent que je fasse la même chose qu’à Poitiers. C’est ça qui est important pour moi, être sur le terrain et avoir un rôle. Après, c’est à moi de travailler pour aller chercher plus. On a été clair là-dessus et c’est ce que je voulais. Ils me font confiance. Je ne vais pas dire qu’ils se sont mouillés, mais ils me font confiance.\\n\\nVous avez signé pour une saison ?\\n\\nJ’ai signé pour une saison, avec une autre saison en option. Les deux partis peuvent décider si on continue ou pas l’année prochaine.\\n\\n« J’ai pu voir le club, c’est un club très structuré et bien organisé. Ils savent où ils veulent aller et je pense qu’ils s’en donnent les moyens »\\n\\nQuelles sont vos attentes pour votre vraie première expérience en Jeep Elite ?\\n\\nJe ne m’attends pas à quelque chose en particulier. Je veux juste jouer. Je pense que c’est le même basket, c’est le même sport. Alors, peut-être qu’il y aura un temps d’adaptation, je ne dis pas, mais je veux juste être bon sur le terrain comme je l’ai été cette saison. Je ne me dis pas que j’y vais en venant de Pro B et que je dois y aller petit à petit. A la rentrée, je serai un joueur de Jeep Elite comme tous les autres. Oui, je devrai prouver, mais chaque joueur doit le faire dès qu’il met un pied sur le terrain et c’est ce qui est intéressant. Peu importe contre qui je joue, je veux le « manger ». Je donne tout, mais je n’y vais en tant que « petit poucet ».\\n\\nAvez-vous suivi la belle saison de Boulazac ? Ça a dû vous aider dans votre choix.\\n\\nC’est clair. Ça a été compliqué pour eux parce que la saison dernière ils se sont maintenus parce que Blois n’est pas monté. Ils ont dû recruter sur le tard, mais ils ont vraiment fait quelque chose de bien. J’ai pu voir le club, c’est un club très structuré et bien organisé. Ils savent où ils veulent aller et je pense qu’ils s’en donnent les moyens. Ils ont montré de quoi ils étaient capables et on va devoir confirmer ça la saison prochaine. Je ne dis pas qu’on vise directement les playoffs, mais ils espèrent refaire le même type de saison que cette année.\\n\\nVous avez toujours joué à Poitiers, la seule année que vous avez fait ailleurs c’était à Denain, n’avez-vous pas un peu « peur » de quitter votre confort ?\\n\\nNon. Je ne vois pas pourquoi j’aurais peur parce que c’est ce que je recherche. L’idéal aurait été de monter avec Poitiers, mais à moins de ça j’ai toujours su ou espérer que j’allais devoir partir pour aller voir plus haut. Mais je connais Boulazac. J’ai habité pas loin, j’y ai quelques amis, je connais beaucoup de gens donc je ne vais pas complètement en terrain inconnu.\\n\\n« Le concours de dunks, c’est un super moment »\\n\\nAvez-vous un exemple de joueur auquel vous aimeriez ressembler ?\\n\\nEn vérité, je ne regarde pas beaucoup de basket. Je ne regarde que les joueurs que je connais personnellement. Pour donner un nom, c’est un peu ce que Kawhi Leonard fait. Dans le sens où c’est un joueur qui n’était pas attendu mais qui s’est créé et c’est un des tous meilleurs. C’est le truc que j’aimerais faire aussi. Personne ne me connait, mon but n’est pas d’être reconnu, mais j’ai envie de faire partie des meilleurs. Je n’ai pas de modèle en particulier, j’aimais la mentalité de Kobe Bryant quand j’étais plus jeune. C’est le joueur qui m’a fait grandir, mais j’aime les qualités de beaucoup de joueurs.\\n\\nVous verra-t-on au concours de dunks cette saison ?\\n\\nTechniquement, je dois y retourner pour défendre mon titre. Je ne vois pas pourquoi je dirais non, c’est un super moment. A moins d’avoir des petits pépins physiques, j’y serai.\\n\\nVous avez encore quelques dunks en stock ?\\n\\nOui j’ai quatre dunks enregistrés que je pourrais faire. Au cas où (rires).\\n\\nPhoto: avec Jérôme Sanchez BBD\\n\\n[armelse]\\nQuel est votre bilan de la saison ?\\n\\nJe regrette d’avoir perdu le dernier match de playoffs à domicile contre Orléans parce que j’aurais aimé prolonger le plaisir. Je pense qu’on a quand même fait une super saison. D’un point de vue personnel aussi. Etant donné qu’on a changé de meneur et qu’on a eu des blessés, je pense qu’on a fait une très bonne saison. On a fait ce qu’on pouvait et on a tous pris du plaisir. C’est vraiment une année que je n’oublierai pas.\\n\\nL’année de la confirmation en Pro B avant de monter en Jeep Elite ?\\n\\nJe dirais plutôt de l’explosion parce que je n’avais pas fait une saison extraordinaire l’année passée. Mais c’est vrai que tout m’a souri cette année et ça me n’empêchera pas de continuer sur cette lancée.\\n\\nVous avez doublé votre évaluation par rapport à la saison précédente, comment l’expliquez-vous ?\\n\\nJe pense qu’il y a beaucoup de choses qui sont entrées en jeu. Il y a déjà le facteur mental. Je me suis dit « c’est bon j’ai 24 ans, maintenant il faut y aller, il ne faut plus réfléchir et il faut jouer ».\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: La situation des quatre clubs espagnols à l’inter-saison" }, {"role": "assistant", "content":"Marca a fait un point sur les mouvements à l’inter-saison dans les clubs de la ligue Endesa. Voici ce qui concerne les quatre clubs d’Euroleague pour la saison 2019-20.\\n\\nA noter que le renouvellement de contrat de Thomas Heurtel au Barça n’a pas encore été officialisé par le club.\\n\\nREAL MADRID\\n\\nSous contrat: Facundo Campazzo, Sergio Llull, Klemen Prepelic, Fabien Causeur (renouvelé), Jaycee Carroll, Rudy Fernandez, Jeffery Taylor (renouvelé), Gabriel Deck, Anthony Randolph, Trey Thompkins, Felipe Reyes (renouvelé), Sebas Saiz (retour), Walter Tavares (renouvelé).\\n\\nArrivée: –\\n\\nDéparts: Santiago Yusta (fin du contrat), Gustavo Ayón (fin du contrat).\\n\\nSpéculations : Nicolás Laprovittola (Joventut Badalone), Nando De Colo (CSKA Moscou), Jordan Mickey (Khimki Moscou).\\n\\nFC BARCELONE\\n\\nSous contrat: Kevin Pangos, Kyle Kuric, Pau Ribas, Adam Hanga, Víctor Claver (renouvelé), Rolands Smits, Pierre Oriola, Ante Tomic, Artem Pustovyi.\\n\\nArrivées: Cory Higgins (CSKA Moscou)\\n\\nDéparts : Chris Singleton (fin du contrat), Jaka Blazic (fin du contrat), Thomas Heurtel (fin de contrat), Kevin Seraphin (fin du contrat).\\n\\nSpéculations : Brandon Davies (Zalgiris), Nikola Mirotic (Milwaukee Bucks), Alex Abrines (libre).\\n\\nVALENCIA BASKET\\n\\nSous contrat: Sergi García, Guillem Vives (renouvelé), Sam Van Rossom, Alberto Abalde, Fernando San Emeterio (renouvelé), Joan Sastre, Louis Labeyrie, Bojan Dubljevic, Mike Tobey.\\n\\nArrivée : Brock Motum (Efes Istanbul).\\n\\nDéparts Aaron Doornekamp (fin du contrat), Will Thomas (fin du contrat), Antoine Diot (fin du contrat), Rafa Martinez (fin du contrat), Matt Thomas (Raptors de Toronto).\\n\\nSpéculations : Sergio Rodriguez (CSKA Moscou), Kevin Pangos (FC Barcelone), Dario Brizuela (Estudiantes Madrid), Janis Strelnieks (Olympiacos Le Pirée).\\n\\nBASKONIA VITORIA\\n\\nSous contrat: Jayson Granger, Luca Vildoza, Shavon Shields, Matt Janning, Patrick Garino, Tadas Sedekerskis, Tornike Shengelia, Ajdin Penava, Ilimane Diop, Youssoupha Fall.\\n\\nArrivée : –\\n\\nDéparts : Marcelinho Huertas (fin du contrat), Darrun Hilliard (CSKA Moscou), Johannes Voigtmann (CSKA Moscou), Vincent Poirier (Boston Celtics).\\n\\nSpéculation: Santiago Yusta (Real Madrid).\\n\\nCorry Higgins (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie: 19 pré-sélectionnés pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Quatre semaines avant le début du premier camp de l’équipe nationale lituanienne, le coach Dainius Adomaitis, a annoncé la liste définitive des candidats qui seront invités à Palanga pour se préparer à la Coupe du monde.\\n\\nMantas Kalnietis (Villeurbanne) et Adas Juskevicius (Nanterre) font partie des 19 pré-sélectionnés.\\n\\n« La « liste finale des candidats » est le résultat d’une longue discussion avec les entraîneurs. Les joueurs ont eu de bonnes saisons individuelles et tous les membres de la liste méritaient d’être présents. Pour le moment, des incertitudes subsistent quant à Arthur Gudaitis et Jonas Mačiulis, qui sont soignés pour blessures », a commenté le coach. « Selon les règles NBA, Jonas Valančiūnas et Domanto Sabonis sont obligés d’arriver à une date précise, le 30 juillet, mais nous n’excluons pas qu’ils soient avec l’équipe dès le début de la préparation. »\\n\\nLa Lituanie sera dans le « groupe de la mort » avec l’Australie, le Canada et le Sénégal\\n\\nNOM, PRÉNOMPOSITIONMantas KalnietisPGLukas LekavičiusPGŽygimantas JanavičiusPGMarius GrigonisSG / SFRenaldas SeibutisSGAdas JuškevičiusSG / PGJonas MačiulisSF / PFArnas ButkevičiusSFRock GiedraitisSF / SGEdgar UlanowSFDomantas SabonisPF / CEimantas BendisPF / SFMindaugas KuzminskasSF / PFGytis MasiulisPFPaul JankūnasPFJonas ValančiūnasCMartin GebenCMartynas EchodasCArtūras GudaitisC\\n\\nPhoto: Jonas Valanciunas (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Nanterre se lance dans le e-basketball" }, {"role": "assistant", "content":"Nanterre se lance dans le E-Gaming en créant une troisième section au côté de la section amateurs (JSF Nanterre) et de l’équipe pro (Nanterre 92).\\n\\nPour se faire, le club s’est associé avec BlueGang qui devient donc à compter de ce jour, NanterreGaming, une équipe de e-sport figurant parmi les meilleures teams européennes et évoluant sur le mythique jeu NBA2K.\\n\\n« Mais ce n’est pas tout ! Pour accroitre la notoriété et l’image de notre club sur de nouvelles audiences, Nanterre Gaming sera également prochainement présent sur LE JEU le plus utilisé partout dans le monde : FORTNITE ! On n’en dit pas trop, les nouvelles arrivent bientôt !! Dans la saison, de nouvelles équipes pourraient intégrer Nanterre Gaming, sur d’autres jeux... » précise le club sur son site Internet.\\n\\nFormée de sept joueurs, l’équipe évoluera en première division française, la « division élite » et participera à plusieurs compétitions européennes." }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19 – Joël Ayayi: «On peut battre les Américains»" }, {"role": "assistant", "content":"Le jeune frère (1,90 m, 19 ans) de Valériane Ayayi est pour l’instant le leader de l’équipe de France des moins de 19 ans qui vient de corriger la Grèce en huitième de finale à la Coupe du Monde FIBA U19. Sur quatre matches, le coéquipier de Killian Tillie à Gonzaga en NCAA tourne à 20,0 points, 57% aux tirs dont 40% à 3-pts, 5,3 pts, 2,8 pds en 22 minutes de jeu seulement. Interview en sortie de match.\\n\\nComment te sens-tu, pas seulement après cette victoire contre la Grèce, mais quelles sont tes sensations depuis le début de cette Coupe du Monde FIBA U19 ?\\n\\nJe me sens super bien. Je commence à sentir un peu la fatigue mais maintenant, il faut bien se reposer et y retourner. Pas d’excuse, je ne me plains pas. Et puis quand on gagne, on a surtout envie de jouer le prochain match donc c’est parfait.\\n\\nComment juges-tu ton niveau de jeu ?\\n\\nJe trouve que je joue vraiment bien mais je sais que je peux faire mieux. Je perds encore trop de ballons sur des actions un peu folles. Je pourrai aider l’équipe un peu plus au rebond aussi mais sinon, globalement, je joue bien. Je veux rester au même niveau d’intensité et je veux garder confiance en moi. Je sais ce que je peux faire donc maintenant, il faut tout donner.\\n\\nQuelle est votre ambition avec cette équipe de France ?\\n\\nNotre objectif est de rejoindre le dernier carré. Il ne nous reste plus qu’un match à gagner pour remplir cet objectif. Mais il reste 40 longues minutes à jouer d’abord où il va falloir qu’on livre un bon basket. On est une équipe qui tente de progresser à chaque match. Je trouve que c’est le cas jusqu’à présent. Contre le Canada, ça va être vraiment difficile. Il va falloir qu’on applique parfaitement le plan de jeu. En espérant que ça nous amène en demi. Si on y parvient, après on va se battre pour le titre.\\n\\nTu penses que vous pouvez battre les Etats-Unis ?\\n\\nOui, j’y crois. Tout le monde peut les battre. On a une bonne équipe. Eux aussi. Evidemment, ils seraient favoris mais ce n’est qu’un match de basket. 40 minutes. Si on les joue ce sera en finale, et là tout peut arriver.\\n\\nQu’est-ce que représente l’équipe nationale pour toi qui joues loin de France depuis deux saisons à Gonzaga ?\\n\\nPour moi, il s’agit d’un environnement totalement différent. A l’université, je joue avec mes potes, c’est presque une famille. Tout le monde se connait, on passe tout notre temps ensemble. On joue le titre à long terme, c’est une aventure qui se déroule toute l’année. Ici, c’est un commando à court terme. On n’a qu’un mois à vivre ensemble. On vient de différents endroits, un peu de partout et chacun essaye d’être au mieux au meilleur moment. Le premier match couperet tombe vite dans ce tournoi. Mais c’est vraiment génial de représenter son pays, de jouer pour la sélection. C’est un sentiment extraordinaire.\\n\\nTu as faim de basket sur cette compétition parce que tu es en manque de temps de jeu et de compétition depuis deux ans ? Tu veux prouver que tu peux jouer plus ?\\n\\nJe fais confiance au programme. Ils savent quand je serai prêt à passer plus de temps sur le terrain. L’année dernière, on avait une équipe incroyable avec beaucoup de talent à l’arrière. C’était difficile pour moi, évidemment, mais je l’accepte. Ça me force à revenir toujours plus fort, à m’entrainer dur pour tenter de progresser. J’essaye de conserver une attitude positive. Si je ne joue pas, c’est que je ne suis pas prêt ou que ceux devant moi sont meilleurs que moi. Donc je veux progresser.\\n\\nAprès deux saisons à Gonzaga où tu es parti très jeune à 17 ans, tu as passé une première saison à ne pas jouer, tu as commencé à mettre le nez à la fenêtre en 2018-19. Pourquoi ce choix et comment te sens-tu là-bas.\\n\\nGonzaga est vraiment un endroit super. J’adore la communauté, la famille autour de l’équipe de basket. C’est un environnement super pour moi pour bosser et progresser.\\n\\nQuelles sont tes ambitions en NCAA et pour la suite ?\\n\\nJe veux jouer en NBA mais je veux gagner le titre avec Gonzaga. Aujourd’hui, tous ceux qui viennent chez les Bulldogs veulent jouer le titre tout en se préparant pour la prochaine étape. Pour moi, la décision de venir a vraiment été liée au programme de Gonzaga. Un des meilleurs du pays avec une mentalité générale qui me convient, assez différente de ce qu’on voit par ailleurs aux Etats-Unis. Ici la culture du travail est vraiment très forte. Pour l’instant, je ne regrette rien.\\n\\nD’où vient l’amour des joueurs français pour le maillot national ? Les Français jouent partout sur la planète, dans les plus grands clubs en NBA, en Europe, mais chaque année, il semblerait que tous reviennent pour jouer pour les Bleus. Comment expliquer cela ?\\n\\nPour moi, c’est encore plus simple. Ma grande sœur est Internationale. Elle a toujours été un modèle pour moi et j’ai toujours voulu jouer en équipe nationale. Pour faire comme elle. Dès qu’on m’appelle, je viens.\\n\\nParle-nous de ta sœur, qu’est-ce qu’elle représente pour toi ?\\n\\nElle a toujours été là pour moi. J’ai tenté de marcher dans ses pas. Je l’ai beaucoup regardé jouer, elle me donnait des conseils.\\n\\nSi vous ne gagnez pas de médaille dans cette coupe du monde mais que ta sœur en remporte une à l’EuroBasket féminin, tu serais content de ton été ?\\n\\nJe serai content. Je sais à quel point elle bosse dur. Et ça fait toujours une médaille de plus pour la famille. Et on est comme une équipe. Je pense qu’elles peuvent vraiment gagner quelque chose et je serai très heureux pour elle. Je suis très fier d’elle, je sais qu’elle est fière de moi, c’est sûr que j’aimerai beaucoup gagner ce tournoi mais je ne me mets pas la pression." }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Dossier: la Ligue Féminine, un modèle en Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Une étude sur la Ligue Féminine, ses clubs, ses joueuses, ses compétitions, ses affluences et sa médiatisation. En deux parties. Voici la première.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nS’il n’y a pas d’études chiffrées qui permettent de l’affirmer sans avoir peur d’être démenti, la Ligue Féminine de Basket peut être qualifiée sinon de numéro 1 du moins de l’une des ligues modèles d’Europe. Les meilleurs clubs russes, turcs, ou encore l’USK Prague possèdent des budgets beaucoup plus replets que ceux de l’Hexagone mais quand on observe leurs championnats nationaux en profondeur, on s’aperçoit qu’il ne sont pas toujours en bonne santé économique et que la valeur sportive de chacune de leurs équipes est hétérogène. La ligue turque est ainsi asséchée par les problèmes économiques du pays et le Yakin Dogu Üniversitesi de Sandrine Gruda a remporté l’Eurocup puis participé au Final Four avant dans la foulée de déposer les armes. Une chute brutale comparable à celle de Ros Casares Valence, champion d’Europe en 2012 et qui dû repartir en troisième division à la rentrée suivante lorsque son sponsor principal, Ros Casares, qui lui avait permis de constituer une véritable Dream Team, se retira subitement.\\n\\nEconomiquement, après des années, des décennies même, de gestions hasardeuses, les clubs de LFB placés sous la coupe du Contrôle de Gestion sont devenus sains tout en augmentant leur degré de performance sportive. Collectivement. Il n’est pas question pour le champion de France de finir invaincu comme c’est le cas pour l’USK Prague en République Tchèque.\\n\\n« Le championnat est vraiment homogène. Il n’y a pas de petites équipes. Je me sens honorée de jouer dans ce championnat. J’ai eu l’occasion de discuter avec nos étrangères qui disent : la France c’est bien mais c’est vraiment dur car il y a de la concurrence à tous les postes et dans chaque équipe. Ce n’est plus le même basket qui était proposé il y a quelques années », confirme Mamignan Touré, l’arrière de Basket Landes du haut de ses 24 ans.\\n\\nUn constat que reprend évidemment à son compte le président de la Ligue Féminine, Philippe Legname :\\n\\n« La ligue a fêté ses 20 ans l’année dernière et ce fut 20 ans de progression constante au niveau des structures, des résultats sportifs, de la force que représente la Ligue Féminine. On a un championnat très dense et très homogène. C’est un championnat qui a la chance de garder toutes ses internationales françaises, ce qui n’est pas le cas des garçons qui sont en concurrence directe avec la NBA et l’Euroleague. On a aussi des joueuses de WNBA qui viennent renforcer le championnat dont celles qui l’ont remporté l’année dernière (NDLR : Alysha Clark de Lyon, Samantha Whitcomb de Lattes-Montpellier et Kaleena Mosqueda-Lewis de Charleville avec le Seattle Storm). Les meilleures internationales d’Europe et d’Afrique rejoignent également le championnat. On a des internationales belges, serbes, italiennes, espagnoles, maliennes, sénégalaises, ivoiriennes, etc. Je souligne aussi la qualité des entraîneurs. Il y a une dizaine ou une quinzaine d’années, ils ne privilégiaient pas une carrière en Ligue Féminine. Tous voulaient être dans le basket masculin à haut niveau. On s’aperçoit que la ligue féminine a pris du crédit par rapport à ça et que les gens veulent vraiment faire carrière au niveau du basket féminin. On a quelqu’un comme Valéry Demory qui au départ était coach à Evreux en Pro B et qui a basculé sur le basket féminin assez rapidement. Ce n’est plus une honte de le faire. C’est même valorisant. On a des jeunes entraîneurs qui arrivent comme Stéphane Leite de Landerneau qui font un très bon travail. »\\n\\nDu sexy à la performance\\n\\nA l’inverse, le temps béni où Bourges, trois fois, et Valenciennes, deux fois, était champion d’Europe et se retrouvaient même ensemble en finale de l’Euroleague -en 2001 à Messine- est révolu. Des armées se sont donc levées en Russie et en Turquie grâce à l’argent de généreux donateurs. Il suffit de regarder les gradins vides de la salle de Fenerbahçe, le club de Valérie Garnier et Bria Hartley, champion de Turquie, pour être convaincu que son économie est totalement artificielle.\\n\\n« Au niveau européen, on a eu des résultats positifs même si on n’arrive pas à aller au bout en raison des écarts de budget entre les clubs qui jouent le Final Four et les clubs français », reprend Philippe Legname. « On a quand même gagné ces dernières années l’Eurocup avec Villeneuve d’Ascq et Bourges avec même une finale 100% française. Cette année, on avait qualifié nos quatre équipes au premier tour. »\\n\\nAlors que l’Open de Paris qui regroupe toutes les équipes pour la première journée de championnat demeure sa référence originale, la LFB a innové dernièrement avec des playoffs à huit clubs, des playdowns à quatre pour désigner l’équipe descendante et un passage de 14 à 12 clubs qui a renforcé le niveau sportif de la compétition. Un format qui coûte cher à ceux qui connaissent des instants de faiblesse. En Ligue Féminine depuis 1996 et disposant d’un remarquable centre de formation, et malgré une remontada au printemps, l’US Mondeville a été ainsi condamnée à la relégation en Ligue 2.\\n\\n« Même en Ligue Féminine 2 ça travaille. On avait des clubs de Ligue 2 qui montaient et qui redescendaient aussitôt. Ce n’est plus le cas. On a des clubs qui arrivent et qui réussissent à rester en Ligue Féminine. Il n’y a plus de descente systématique du montant », constate Philippe Legname.\\n\\nL’illustration, c’est justement que Landerneau et La Roche Vendée ont laissé à Mondeville et Nantes-Rezé le soin de se départager pour éviter la dernière place fatidique.\\n\\n« Les clubs se plaignaient qu’avec le passage à douze il y avait moins de matches. On a eu l’idée de créer le pré-Open avec trois sites de quatre équipes et de le faire sur des territoires où il n’y a pas forcément de basket féminin de haut niveau, en donnant l’organisation pendant trois ans à un site. Troyes, Tours et la Nouvelle-Aquitaine ont été choisis. Cette année, l’Open sera les 5-6 octobre à Coubertin -sauf si le PSG hand joue ce jour-là et on sera obligé dans ce cas d’aller à Carpentier- et le pré-Open quinze jours avant, les 21 et 22 septembre.\\n\\nSur les sept dernières saisons, la Ligue Féminine a eu comme directrice générale Irène Ottenhof obligée de quitter son poste en cette fin de saison, au grand regret de son président qui parle d’harmonie entre les deux têtes de l’exécutif et qui ne connaît pas à ce jour son successeur. La LFB n’est pas indépendante comme la LNB et relève toujours de l’autorité de la fédération.\\n\\n« A un moment le basket féminin a fait le buzz autour de l’image sexy », rappelle Irène Ottenhof au moment de faire le bilan de son septennat. « Un des premiers combats que l’on a souhaité livrer c’était de basculer la communication autour du glamour et du sexy sur la performance. Lorsque nous sommes arrivés en 2013 avec Philippe, l’équipe de France gagnait des titres, le championnat de ligue féminine était reconnu et on a voulu changer les mentalités. Ça s’est traduit dans un premier temps sur les affiches de l’Open qui étaient très médiatisées. Symboliquement, on est passé du décolleté en peau de ballon à des visuels beaucoup plus connotés autour de la performance, de la famille avec la volonté de relier les générations. Ça s’est manifesté aussi par la volonté forte de mettre en place des évènements avec les pré-Open, le changement des formules sportives. En testant les choses et en se trompant parfois comme de mettre deux matches le vendredi soir à l’Open et le Match des Champions et de ne plus jouer le dimanche. On a été aussi les premiers sur le continent à faire arbitrer tous nos matches par trois arbitres comme en Euroleague et en Eurocup. » ★\\n\\n\\nDes budgets en hausse, des joueuses sécurisées\\n\\nLe palmarès du championnat de France de première division ressemble à un monument aux morts. Tous les champions avant l’ère de Bourges ont disparu. Depuis la création de la Ligue Féminine en 1998, l’hécatombe s’est poursuivi. Valenciennes, alias l’USVO, est morte dans l’indifférence générale sacrifiée sur l’autel du foot. Challes Basket, le premier club français qualifié pour un Final Four, n’est plus. Clermont, Mourenx, Perpignan, ce sont d’autres villes qui n’ont plus de basket de haut niveau.\\n\\nL’ancienne internationale Loetitia Moussard, 46 ans, un temps figure du BAC Mirande -un autre champion national qui a trépassé- et vainqueur de l’Euroleague avec Bourges en 2001, se souvient de cette époque :\\n\\n« Quand les clubs étaient en difficulté, il y avait des retards de salaires. Ça arrivait qu’il y ait des retards de deux ou trois mois pour certaines joueuses avec les loyers impayés. Tu continuais à jouer au maximum car sinon ça n’arrangeait pas la situation. Les clubs se sont vachement professionnalisés avec des services com’ qui attirent beaucoup de monde avec des soirées à thèmes, etc, avec la fédé qui contrôle les budgets. »\\n\\nDonc, les budgets sont en pleine croissance et c’est général comme le rappelle Philippe Legname :\\n\\n« Tout le monde a monté son budget. On est au-dessus de ce qui se fait en handball et en volley. On est à 1 852 000€ de moyenne. Des clubs sont autour de 3M€ et le minimum c’est 1,5M€. On parlerait d’un budget de 4M€ à Lyon l’année prochaine. Ce n’est pas officiel. Ça serait un record. 4M€ c’était le record en LNB il y a dix ans. Charleville a fait un travail formidable au niveau du budget avec un club des partenaires extraordinaire. Ça travaille dans les clubs. Ce qui est plus important encore c’est l’évolution des budgets de partenariat. On avait avisé les clubs qu’ils risquaient d’avoir des subventions des collectivités à la baisse. Ça s’est avéré. En 2013-14, on était parti avec 796 000 de subventions et on est à 706 000. Par contre, ce qui est intéressant c’est que la courbe partenaires a augmenté. De 508 000€ elle est monté à 935 000€. C’est un bond énorme. Les clubs féminins ont toujours une dépendance vis-à-vis des collectivités mais elle est beaucoup moindre. C’est sécurisant. Il y a une dizaine d’années on perdait chaque année des clubs qui étaient en faillite. La totalité de la Ligue 2 était pratiquement en cessation de paiement il y cinq, six ans. La mise en place du contrôle de gestion et du fond de réserve a permis de structurer les clubs au niveau financier et on n’a plus de clubs en danger que ce soit en Ligue Féminine ou en Ligue 2. »\\n\\nUne étude en début de saison parue sur BasketEurope démontrait que les joueuses de Ligue Féminine gagnent aujourd’hui en moyenne davantage que leurs homologues de la Pro B masculine : 4 800€ en brut contre 4 700€. Toujours ici même, Jeremy Medjana, le principal agent du basket féminin en France, nous informait qu’il n’avait jamais négocié autant de contrat à 100 000 euros et plus que pour la prochaine saison. La conséquence de cette vitalité contrôlée, c’est que les joueuses n’ont plus une épée de Damoclès au-dessus de leur tête comme le constate Loétitia Kamba, qui est dans la ligue depuis 2008 et qui quitte cet été Villeneuve d’Ascq pour Lattes-Montpellier.\\n\\n« On est très bien protégé. Les salaires, c’est très rare que ça arrive en retard. » Elle rectifie tout de même : « Ça dépend des clubs... »\\n\\nDe fait, Mamignan Toure a eu une mauvaise expérience avec le Cavigal qui apparaît toutefois isolée.\\n\\n« A Nice, il pouvait y avoir des retards de salaires et de loyers. Ça ne nous empêchait pas d’aller à l’entraînement, de jouer, d’être dans un bon cadre. En arrivant à Basket Landes, ça m’a fait un soulagement de me dire qu’il n’y aura pas d’impayés. J’ai directement trouvé mon appartement. Je n’avais pas de contraintes extra-basket à régler. C’est relatif à l’évolution des clubs. Ils font en sorte d’être le plus professionnels possible avec des conditions extra-basket qui nous permettent d’être le plus épanouies possible. » ★\\n\\n\\nUn calendrier surchargé\\n\\nIl s’est passé un évènement en ce mois de mai puisque c’est seulement la troisième fois depuis 1995 que Bourges n’a pas été concerné par la finale des playoffs. Ce alors que les Tango ont été performantes en Euroleague et qu’elles ont gagné la Coupe de France. C’est donc bien la preuve que par forte concurrence même les monuments nationaux peuvent être en péril.\\n\\n« On a quatre clubs représentés en finale du championnat et de la Coupe de France. Ça veut dire que l’on est sorti de l’ère du fameux clasico, Valenciennes-Bourges puis Bourges-Montpellier. Le clasico c’est intéressant aussi en matière de communication. Ça permet de parler d’une discipline avec une marque de deux clubs. Il y a un virage à prendre en terme de communication sur le fait que la densité s’illustre par le fait que toutes les équipes peuvent à un moment ou un autre gagner un titre et que tous les week-ends, c’est disputé. Ça prépare nos joueuses aux coupes européennes et les joueuses de l’équipe de France à affronter les meilleurs du continent et de la planète, » analyse Irène Ottenhof.\\n\\nL’une des bizarreries de la finale c’est qu’il s’est écoulé une semaine pleine entre le Match 4 et le Match 5, ce qui est à contre-sens de l’esprit des playoffs où les rencontres doivent d’enchaîner afin de maintenir une pression sur les équipes et un intérêt médiatique constant. Autre caractéristique: la finale de la Coupe de France vient s’insérer systématiquement au milieu de ces playoffs ce qui perturbe leur lisibilité pour un oeil non averti.\\n\\n« La date des finales de la Coupe France est donnée deux ans amont pour retenir Bercy. On ne peut pas la bouger. Quand on établit le calendrier, il faut tenir compte de cette date et du fait que le championnat finit fin avril. C’est pourquoi il y a du temps un peu avant la finale de la Coupe de France et on est obligé de placer les playoffs avant et après. En ce qui concerne la dernière manche de la finale des playoffs, on avait la soirée des Trophées le lundi et c’est pourquoi on était obligé de la faire jeudi, mercredi c’était trop tôt », répond Philippe Legname.\\n\\nEn fait, la Ligue Féminine doit composer avec la Coupe de France, la Soirée des Trophées, et aussi l’équipe de France laquelle est sur le pont l’été et aussi lors des fenêtres hivernales. On peut ajouter que la WNBA est aussi un élément perturbateur. On a vu Alysha Clark et Samantha Whitcomb sauter dans un avion après le Match 5 des playoffs pour rejoindre Seattle afin de fêter le titre 2018 et se lancer dans la nouvelle saison.\\n\\n« On a une borne de départ et de fin que l’on ne maîtrise pas », reprend Arnaud Dunikowski, chargé des relations presse et nouvelles technologies à la LFB. « On est conditionné par les compétitions FIBA que ce soit le championnat d’Europe qui va avoir lieu à la fin juin -il faut laisser du temps à l’équipe de France de se séparer- et parfois on a un championnat du monde qui commence à la fin septembre. On est obligé de loger le même nombre de matches dans des bornes qui sont plus ou moins longues. On n’a pas d’autres solutions, à moins de dépasser les bornes mais on pénaliserait alors l’équipe de France ou les clubs qui auraient moins de préparation en amont ou encore d’avoir moins de vacances à Noël. »\\n\\nLe programme de Marine Johannès pose évidemment question quand on sait qu’elle enchaîne championnat jusqu’aux demi-finales des playoffs, coupe de France jusqu’à la finale, équipe de France avec la préparation complète et WNBA au New York Liberty pour repartir à la fin de l’été avec l’ASVEL.\\n\\nAutre satisfaction dans les nouveautés pour la LFB, les playdowns dont le principe est simple : les quatre derniers de la saison régulière s’affrontent par matches aller-retour dans une deuxième phase, les résultats obtenus précédemment les uns contre les autres entrant en ligne de compte.\\n\\n« Ce sont des matches très intéressants sur le plan sportif et qui font venir du monde dans les salles. C’était une demande très forte de la part des clubs et notamment ceux qui ne disputent pas de coupes d’Europe et qui se retrouvaient avec très peu de matches à domicile pour peu que le match de l’Open soit un « à domicile » et qu’ils se fassent rapidement éliminés de la Coupe de France. Les clubs peuvent ainsi travailler sur leur partenariat », se félicite Philippe Legname. ★\\n\\n\\nUne Commission de la fédération\\n\\nLa Ligue Féminine de Basket demeure imbriquée à la FFBB dont elle n’est qu’une commission et elle en est très dépendante structurellement et économiquement.\\n\\n« Le positionnement de la Ligue Féminine au sein de la FFBB fait que tous les évènements même budgétairement sont pilotés par le service évènement : coupe de France, Open de la LFB qui revient à 250 000€, Championnes de cœur quand ça existait. Hors évènements, il y a 100 000€ en frais de fonctionnement, 60 000€ sur le plan de féminisation, et pour les actions de communication et de nouvelles technologies, on est sur un cumul de 60 000€, » livre Irène Ottenhof.\\n\\nPhilippe Legname complète :\\n\\n« La Ligue Féminine est une commission de la fédération. Ce n’est pas le même statut que la Ligue Nationale de Basket qui a une délégation de la fédération pour gérer le sport professionnel. En clair, quand le comité directeur de la LNB se réunit et prend une décision, il l’applique. Nous, quand on fait une réunion avec la commission de haut niveau avec les clubs, on doit passer par le bureau fédéral qui valide ou pas et ensuite par le comité directeur. On n’est pas autonome au niveau de la prise de décision. » ★\\n\\n\\nActives au sein du Syndicat des Basketteurs\\n\\nLes basketteuses (Ligue Féminine et Ligue 2) sont désormais partie intégrante du SNB, l’Union des Basketteurs Professionnels, au point que Alice Nayo en est sa vice-présidente alors que Margaux Okou est également membre du Comité Directeur.\\n\\n« Ils viennent nous expliquer nos droits car toutes les filles ne sont pas au courant de tout ça », confie Laétitia Kamba.\\n\\nRien qu’en consultant le site internet, on y apprend que :\\n\\n– Un salaire minimal de 1 407,89€ brut mensuel existe pour toutes les joueuses.\\n\\n– En cas d’arrêt de travail suite à une blessure, une joueuse conserve son salaire en intégralité pendant les 90 premiers jours. Après ce délai, seule la sécurité sociale la rémunérera. Cette rémunération sera limitée aux plafonds sécurité sociale, qui est égale à 3 269€/mois en 2017.\\n\\n– Existe une obligation de participer aux actions de promotion du club mais que celui-ci doit informer la joueuse au minimum 5 jours à l’avance. Ce délai n’est pas exigé lorsqu’il s’agit de promouvoir le basket dans les centres scolaires ou universitaires.\\n\\n-Et encore que si la joueuse tombe enceinte, le contrat de travail est suspendu le temps de son indisponibilité mais qu’elle continue de toucher son salaire ainsi que les avantages liés à son contrat (voiture, appartement, etc...).\\n\\nDes accords sectoriels devraient avoir leurs applications pour la saison 2021-22. ★\\n\\n[armelse]\\n\\nS’il n’y a pas d’études chiffrées qui permettent de l’affirmer sans avoir peur d’être démenti, la Ligue Féminine de Basket peut être qualifiée sinon de numéro 1 du moins de l’une des ligues modèles d’Europe. Les meilleurs clubs russes, turcs, ou encore l’USK Prague possèdent des budgets beaucoup plus replets que ceux de l’Hexagone mais quand on observe leurs championnats nationaux en profondeur, on s’aperçoit qu’il ne sont pas toujours en bonne santé économique et que la valeur sportive de chacune de leurs équipes est hétérogène. La ligue turque est ainsi asséchée par les problèmes économiques du pays et le Yakın Dogu Üniversitesi de Sandrine Gruda a remporté l’Eurocup puis participé au Final Four avant dans la foulée de déposer les armes. Une chute brutale comparable à celle de Ros Casares Valence, champion d’Europe en 2012 et qui dû repartir en troisième division à la rentrée suivante lorsque son sponsor principal, Ros Casares, qui lui avait permis de constituer une véritable Dream Team, se retira subitement.\\n\\nEconomiquement, après des années, des décennies même, de gestions hasardeuses, les clubs de LFB placés sous la coupe du Contrôle de Gestion sont devenus sains tout en augmentant leur degré de performance sportive. Collectivement. Il n’est pas question pour le champion de France de finir invaincu comme c’est le cas pour l’USK Prague en République Tchèque.\\n\\n« Le championnat est vraiment homogène. Il n’y a pas de petites équipes. Je me sens honorée de jouer dans ce championnat. J’ai eu l’occasion de discuter avec nos étrangères qui disent : la France c’est bien mais c’est vraiment dur car il y a de la concurrence à tous les postes et dans chaque équipe. Ce n’est plus le même basket qui était proposé il y a quelques années », confirme Mamignan Touré, l’arrière de Basket Landes du haut de ses 24 ans.\\n\\nUn constat que reprend évidemment à son compte le président de la Ligue Féminine, Philippe Legname :\\n\\n« La ligue a fêté ses 20 ans l’année dernière et ce fut 20 ans de progression constante au niveau des structures, des résultats sportifs, de la force que représente la Ligue Féminine. On a un championnat très dense et très homogène. C’est un championnat qui a la chance de garder toutes ses internationales françaises, ce qui n’est pas le cas des garçons qui sont en concurrence directe avec la NBA et l’Euroleague. On a aussi des joueuses de WNBA qui viennent renforcer le championnat dont celles qui l’ont remporté l’année dernière (NDLR : Alysha Clark de Lyon, Samantha Whitcomb de Lattes-Montpellier et Kaleena Mosqueda-Lewis de Charleville avec le Seattle Storm). 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Pour les groupes comprenant l’un des pays hôtes, celui-ci et les deux équipes les mieux classées seront qualifiées.\\n\\nL’équipe de France a été placée dans le Groupe G qui contient précisément un pays hôte, l’Allemagne. Le Monténégro du coach de l’ASVEL, Zvezdan Mitrovic est l’autre membre de ce groupe avec une quatrième équipe issue des qualifications qui sera soit le Luxembourg, le Kosovo ou plus sûrement la Grande-Bretagne dont l’un des joueurs de base est Myles Hesson (Gravelines) avec Ovie Soko (Murcie).\\n\\nCes matches se joueront au cours de trois fenêtres du 17 au 25 février 2020, du 23 novembre au 1er décembre 2020 et du 15 au 23 février 2021 avec deux matchs joués par chaque équipe à chaque fenêtre.\\n\\nLes équipes nationales dont la France seront privées pour ces fenêtres de leurs joueurs NBA et très probablement de ceux d’Euroleague. Et si les Bleus s’étaient tirés avantageusement du piège des qualifications à la Coupe du monde 2019, il leur faudra aborder ce nouveau challenge avec vigilance. Inutile de tirer des plans sur la comète puisque l’on ignore qui sera disponible dans chaque pays.\\n\\nGroupe A: Espagne, Pologne, Israël et Slovaquie / Chypre / Roumanie.\\nGroupe B: Russie, Italie, Macédoine et Estonie.\\nGroupe C: Lituanie, République tchèque, Belgique et Albanie / Biélorussie / Danemark.\\nGroupe D: Croatie, Turquie, Pays-Bas et Suède.\\nGroupe E: Serbie, Finlande, Géorgie et Suisse / Portugal / Islande.\\nGroupe F: Slovénie, Ukraine, Hongrie et Autriche.\\nGroupe G: France, Allemagne, Monténégro et Luxembourg / Kosovo / Grande-Bretagne.\\nGroupe H: Grèce, Lettonie, Bosnie-Herzégovine et Bulgarie.\\n\\nDateMatchLieuVen. 21-2-20Allemagne – France–Lun. 24-2-20France – Monténégro–Ven. 27-2-20Luxembourg ou Kosovo ou Grande-Bretagne – Fra.–Lun. 30-2-20France – Allemagne–Ven. 19-2-21Monténégro – France–Lun. 22 -2-21France – Luxembourg ou Kosovo ou Grande-Br.–\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Wesley Johnson quitte la NBA pour le Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"Update :\\n\\nc’est officiel, le Panatainaïkos a annoncé la signature de Wesley Jonhson pour une saison.\\n\\nAprès neuf ans en NBA, Wesley Johnson (2,01m, 31 ans) serait sur le point de traverser l’Atlantique pour la première fois de sa carrière.\\n\\nSelon SDNA et Live Sport, le quatrième choix de la Draft 2010 serait en discussion avec le Panathinaïkos. Les deux partis seraient même déjà tombés d’accord sur les termes du contrat et il ne manque plus que l’officialisation du club grec. L’ailier texan est passé par Minnesota, Phoenix, Los Angeles, New Orleans et Washington dans sa carrière.\\n\\nCette saison, Wesley Johnson compilait en moyenne 3,3 points et 1,9 rebond en 14 minutes de jeu sur 38 matchs.\\n\\n\\nSDNA source: Panathinaikos BC agreed to terms with the No4 pick of the 2010 NBA Draft, Wesley Johnson. #paobc https://t.co/kIKDqDCJN7\\n\\n— George Zakkas (@ZakkasGeorge) July 22, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Rasheed Sulaimon de retour à Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Levallois, Rasheed Sulaimon (1,95m, 25 ans) fait son retour dans le club qui lui a fait connaître la France, la JDA Dijon.\\n\\nLe club bourguignon indique sur son site que l’ancien pensionnaire de Duke s’est à nouveau engagé pour la saison prochaine. 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Je suis également enthousiaste à l’idée de jouer pour l’entraîneur Dimitris et avec mes futurs coéquipiers. Je suis excité d’avoir une chance de m’améliorer. Je suis sûr que ça va être une bonne expérience. »" }, {"role": "user", "content":"Italie: Un budget de 14M€ pour la Virtus Bologne" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le journaliste Daniele Labanti du Corriere de la Serra, Virtus Bologne dispose pour cette saison d’un budget de 14 millions d’euros.\\n\\nVainqueur de la Champions League 2019 mais engagée en Eurocup, la Virtus a mis le paquet sur le meneur serbe Milos Teodosic (environ 2M€ par an) et a aussi signé deux anciens Américains de Jeep Elite, Kyle Weems et Julian Gamble ainsi que Giampaolo Ricci, Frank Gaines et Vince Hunter. Il existe aussi un accord avec le Slovène Aleksej Nikolic et le club aurait des vues sur Stefan Markovic et Klemen Prepelic.\\n\\n\\n#Virtus A. Nikolic è stato bloccato da tempo. La vera notizia del giorno è Hunter, ed eventualmente se il rilancio per averlo chiude economicamente la pista per la guardia straniera di alta qualità con cui il club tratta. Il limite di budget stagionale era fissato a € 14 mln.\\n\\n— Daniele Labanti (@DLabanti) July 21, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Quand l’ancienne Berruyère Cristina Ouvina parle de la condition des joueuses en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"Mundo Deportivo a interviewé la meneuse espagnole Cristina Ouvina (1,77m, 28 ans), championne d’Europe, qui a passé deux saisons à Bourges et qui a signé pour la rentrée à l’USK Prague.\\n\\nA propos de la médiatisation du sport féminin en Espagne, elle commente:\\n\\n« Heureusement, un petit changement a été remarqué, en particulier dans le basket, bien que les couvertures soient toujours occupées par des hommes. Il existe d’autres sports comme le handball ou le volleyball féminin dont on ne parle pas. »\\n\\nA propos des différences vis à vis d’autres pays européens, Cristina Ouvina, qui a également joué en Pologne et en Russie, a visiblement apprécié son passage en Ligue Féminine:\\n\\n« En France, c’est beaucoup plus suivi. Peu importe que vous jouiez contre le premier ou contre le dernier, les salles sont toujours remplies. Vous pouvez avoir une moyenne de quatre mille personnes à regarder du sport féminin. De plus, toutes les joueuses ont des contrats avec des équipementiers, ce qui n’est pas le cas ici en Espagne, c’est réservé aux équipes masculines. »\\n\\nElle fait remarquer que c’est plus difficile de faire du sport de haut niveau quand on est une femme:\\n\\n« Les conditions ne sont pas les mêmes. Vous ne jouez pas de la même façon après 18 heures de trajet dans un avion privé, et lorsque vous avez pris trois avions et un bus. »\\n\\nUne autre remarque de l’internationale espagnole:\\n\\n« Ce qui me dérange le plus, c’est qu’ils me disent que je ressemble à Pau Gasol, ils donnent toujours l’exemple d’un garçon. J’aimerais que les gens commencent à dire que vous ressemblez à Laia Palau, car au final, nous sommes tout aussi professionnels et nous gagnons davantage de titres ou autant que les garçons. Nous devons passer cette barrière et comprendre qu’il existe également des références féminines au basket-ball. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U20: Israël une deuxième fois de suite champion d’Europe" }, {"role": "assistant", "content":"En battant l’Espagne en finale, 92-84, avec l’appui de fans déchaînés, Israël a remporté pour la deuxième fois d’affilée l’EuroBasket U20. Une grande première depuis 2008.\\n\\nAlors que la première mi-temps fut serrée (42-42), les Israéliens ont déclenché le feu par la suite inscrivant 50 points lors de la deuxième période.\\n\\nDeni Avdija a été élu comme attendu MVP du tournoi et hier soir il a cumulé 23 points (9 tirs sur 16), 7 passes, 5 rebonds, 4 contres et 1 interception. Son équipier Yam Madar a assuré de son côté 17 points et 8 passes. Dans le camp espagnol, Miguel Gonzalez a été le top scoreur avec 14 points.\\n\\nLes Israéliens Deni Avdija et Yam Madar, les Espagnols Carlos Alocen et Sergi Martinez et l’Allemand Philipp Herkenhoff font partie du 5 All-Stars.\\n\\nSi la finale s’est déroulée devant 3 500 spectateurs dans la Shlomo Arena, ce sont en définitive plus de 20 000 personnes qui étaient sur une liste d’attente pour obtenir un billet.\\n\\nA noter que la Pologne, la Lettonie et aussi la Serbie se retrouvent reléguées en division B et sont remplacées par le Portugal, la République tchèque et la Belgique.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Vincent Pourchot, le rebond à Lorient" }, {"role": "assistant", "content":"Comment le plus grand basketteur français de tous les temps s’est-il retrouvé au chômage puis en Nationale 2 avant de rebondir au CEP Lorient en N1?\\n\\nVoici la deuxième partie de l’article. La première partie est à lire ici.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDe l’Est, Vincent Pourchot est parti plein Ouest, dans le Morbihan, au CEP Lorient. Il est monté en grade, passant de la N2 à la N1 et aussi... sur la bascule où son poids de 132 kilos est apparu bien trop élevé même pour quelqu’un de sa taille. Il n’est pas besoin d’expliquer à un lecteur averti qu’une surcharge pondérale n’est pas en adéquation avec un basket qui se joue de plus en plus haut et aussi de plus en plus vite. Vincent n’est pas homme à se cacher derrière son petit doigt et son discours est toujours empreint de franchise.\\n\\n« Autant à Besançon il y a eu des choses positives qui m’ont fait réagir, autant le fait de s’entraîner beaucoup moins, qu’il y ait moins de physique, je me suis laissé un peu aller et j’ai pris du poids », confie t-il. « Quand je suis arrivé à Lorient, le coach m’a attrapé entre quatre yeux en me disant qu’il fallait que je prenne en compte certaines choses par rapport à mon physique. Il m’a dit que j’avais le basket, que je suis intelligent dans le jeu, que j’ai de bonnes mains, que je fais certaines choses très bien mais je ne suis pas quelqu’un qui aime bien cuisiner -je ne dis pas que je mange McDo et Kebab-, je mange des choses basiques mais je ne faisais pas d’effort à Besançon. Arrivé ici le coach et le préparateur physique qui s’occupe beaucoup de nous m’en ont parlé et on a mis un protocole en place. C’est comme ça que je suis arrivé à perdre près de vingt kilos. »\\n\\nLe préparateur physique en question, Ken Chanteux, et le kiné, Frédéric Le Foulgoc, se sont donc occupés de sa grande personne pour effectuer un travail de fond à base d’étirements, de séances de cryothérapie hebdomadaires, de marche quotidienne dans l’océan, de contrôle de son alimentation, bref d’une hygiène de vie plus en rapport avec celle d’un sportif de haut niveau. Les effets positifs sur le terrain se sont faits sentir pour sa deuxième saison en Bretagne et Vincent est fier aussi de ne pas avoir manqué un match depuis trois ans.\\n\\n« J’ai progressé en attaque comme en défense, au niveau du cardio. Ca a amélioré le temps de jeu que je peux avoir. En septembre 2017 j’étais à 12-13’ de temps de jeu moyen et pour finir en demi-finale de playoffs contre Saint-Quentin, j’ai joué 42 minutes. On n’aurait pas pu forcément me les donner en septembre. Sur ma deuxième année, j’ai fait des matches à 35-38 minutes. J’étais claqué mais je ne mettais pas trois semaines à m’en remettre », se félicite t-il.\\n\\nSon coach, Philippe Maucourant, dresse un bilan plus global :\\n\\n« C’est peut-être l’histoire de sa vie et de sa carrière qui bien entendu n’est pas terminée : il a fait une très grosse éval cette année et tout le basket français attendrait que ce soit beaucoup plus dense régulièrement. Ça serait un manque d’humilité de dire « je sais ce qu’il faut faire ». Je ne peux que parler de ma responsabilité vis-à-vis de lui. Quand je l’ai récupéré, on a fait un plan sur l’hygiène de vie et le fait d’obtenir un corps qui est décent. On est toujours dans cette structuration du corps. On lui a fait perdre entre 20 et 25 kilos en quelques mois ce qui est une vraie performance. Les limites, ce sont celles que l’on se fixe et une fois qu’elles sont atteintes, il faut les dépasser. Si je perds 20 kilos, je veux maintenant en perdre 25. De façon que petit à petit on puisse reprendre de la masse musculaire. C’est peut-être au système de rendre autonome les joueurs en terme d’éducation et ne pas les assister sinon au cours d’une première phase. A l’évidence c’est compliqué pour Vince. Pour moi c’est la condition sine qua non de la régularité dans ses performances. C’est quelqu’un qui a un tas d’arguments pour prétendre faire des performances (...) C’est beaucoup de contraintes. Et dans mon process, j’essaye de dire que qu’il ne faut pas qu’il soit une contrainte mais que l’on utilise ses qualités. C’est fondamental que lui comprenne que l’on ne peut pas avoir des hauts et des bas à l’intérieur d’une saison et dans l’enchaînement des saisons. On a fait l’année dernière le gros travail d’assèchement en terme de poids en six mois. Sauf que lorsqu’on atteint les objectifs, il y a une forme de dégradation de la motivation. Et je ne peux pas être motivé pour le joueur. Je peux l’être dans le projet, l’accompagnement mais pas à la place de. La saison dernière, on a fini très tard. Ses genoux ont été beaucoup exposés et il a fallu faire des PRP avec des phases de repos importantes, ce qui empêche le vrai travail de fond en inter-saison qui est capital. J’espère que cette année il va pouvoir mener ça de meilleure façon (...) Quand il est arrivé chez nous, c’était « j’ai mal là, je ne vais pas m’entraîner ». C’est pas comme ça que ça se passe. Il faut apprendre à avoir des douleurs, à jouer avec, ça fait partie de la vie de sportif. Et il faut travailler le physique de façon à ce que l’on repousse la blessure. Aller chez le kiné, à la mer puisqu’on a la chance chez nous d’avoir l’océan pour tremper les jambes dedans après les grosses séances. Ça, il sait le faire. La nutrition, se faire à manger, ça s’est compliqué. Il fait des progrès mais je me demande si je ne vais pas l’héberger chez moi, ça sera encore plus rapide (rires) (...) Bien sûr, quand on fait 25 kilos de moins, les articulations souffrent largement moins. Mais ce n’est pas suffisant. On a un processus global qui est de vraiment assécher pour amener plus de souplesse et de flexibilité dans l’ensemble du corps de façon à avoir un cadre musculaire qui soit plus intéressant pour que d’un point de vue défensif -car c’est là le plus compliqué- on n’ait pas que des contraintes à gérer. »\\n\\nUn pivot de 2,22m est toujours là à la fin\\n\\nUn géant, c’est atypique. Cela peut rapporter gros mais cela demande une attention toute particulière de la part du coach, des équipiers, de l’entourage. Vincent est très lucide sur son cas exceptionnel, sur le fait que son profil aurait convenu davantage aux années 60, 70 et 80 quand le jeu était plus statique.\\n\\n« D’une façon globale, on a l’impression qu’il y a de moins en moins de joueurs intérieurs académiques tels que certaines générations ont pu connaître », constate son coach. « Il souffre de ça et du fait que les entraîneurs ont eu peu de cas comme ça dans le cadre de leur expérience. Il se trouve que j’ai eu les deux plus grands dans mon équipe avec Olivier Gouez à Epinal en Pro B. A l’époque, il sortait de l’ASVEL et on avait fait un prêt avec ses dirigeants. Ça a joué dans mon expérience de ne pas avoir d’a priori négatif pour récupérer Vincent. »\\n\\nOlivier Gouez, qui frôle les 2,20m, en voilà bien un autre géant que l’on attendait en Pro A sinon plus haut et qui s’est contenté des divisions inférieures.\\n\\n« Les projets sportifs sont compliqués », reconnaît Philippe Maucourant. « Nous, entraîneurs, à un moment on s’arrête à la limite de ce qu’ils ont envie de faire et de ce que leur représentant a envie de faire pour eux. Quand j’ai eu Olivier Gouez, il finit quand même meilleur pourcentage de Pro B. Il jouait beaucoup dans un championnat pas forcément accessible à ce type de joueur. Je concède que ce n’était pas la même division qu’aujourd’hui mais c’est quelqu’un qui est quand même arrivé à s’exprimer. Ce qui va influencer vis-à-vis de ce type de joueur, c’est la façon dont on a envie de jouer et comment on ressent le basket. Si on se laisse entraîner par les mouvances, on va les retrouver en Nationale 3 et pas en Pro A, Pro B ou Nationale 1. Mais je me dis qu’au Real de Madrid et au CSKA Moscou et d’autres clubs, ils ont des très grands. Il y a quand même la place pour ces grands joueurs par la taille. »\\n\\nComme on peut s’en douter, ce qui convient le mieux à Vincent Pourchot se sont les 5 au profil classique, pas un intérieur fuyant. L’international sénégalais de Saint-Vallier, Moise Diame, en voilà un qui donne des boutons au pivot lorientais. Un autre paramètre est fondamental, l’acceptation du groupe de joueurs d’avoir en son sein un cas d’espèce. Il y a une soixantaine d’années était apparu dans le basket français Jean-Claude Lefèbvre, 2,18m, à une époque où mesurer plus de 1,90m était déjà grand au niveau international. Son coach et mentor Robert Busnel avait regretté que ses équipiers ne comprennent pas qu’il faille revoir systèmes et style de jeu pour lui.\\n\\n« De la même façon qu’il y a peu d’entraîneurs qui ont l’habitude de gérer un grand, les joueurs qui ont cette expérience-là sont plutôt rares aussi et ça nécessite obligatoirement un temps d’adaptation, » analyse Philippe Maucourant. « C’est forcément très long. Il y a des aspects de replis défensifs collectifs qui sont différents. Je parle plus de l’aspect des contraintes que de la positivité que ça peut apporter. Il a comme avantage d’avoir des mains et une intelligence de jeu globale qui est intéressante. Les coéquipiers sont très exigeants avec un grand. Ils estiment que la nature les a dotés de certaines facultés qu’eux non pas et ils voudraient que les efforts soient à la même hauteur que ceux qu’ils font. Ils voudraient que Vince fasse plus de muscu, qu’ils perdent plus de poids, plus de ci et plus de ça. De façon qu’eux ressentent moins les contraintes d’un point de vue défensif. C’est peut-être un jugement un peu injuste. »\\n\\nEt l’intéressé comment se sent-il au milieu de tous ces hommes à la taille ordinaire ?\\n\\n« Sur le plan de l’arbitrage, je ne pense pas être avantagé ou désavantagé. Mais sur deux ans, je pense avoir déjà gagné le respect de mes coéquipiers et aussi des équipes adverses qui me considèrent vraiment comme un joueur de basket et non pas juste comme un grand. Oui, je ne vais pas forcément vite. Oui, il y a des choses qu’il faut régler par rapport à moi. Mais si tu peux le faire, peut-être que tu vas être gagnant à la fin. A la fin des matches, mes 2,22m sont toujours là pour gêner alors qu’un pivot de 1,95m/2m il sera peut-être fatigué et moins performant. Il y a des choses avantageuses même si il y a des domaines où je dois continuer à m’améliorer. »\\n\\nSans regret, sans amertume\\n\\nVincent Pourchot est formel : il accomplit actuellement sa meilleure saison en professionnel. Avec 11,6 points (72,0% de réussite à deux-points !) et 8,2 rebonds pour 19 d’évaluation, ses statistiques ont doublé en un an.\\n\\n« J’ai fait 44 d’évaluation contre Toulouse. C’est moi qui ait le record d’évaluation », dit-il fièrement. « Contre GET Vosges, j’ai pris 25 rebonds dont 10 offensifs. J’ai fait 10 points mais à 3/13 aux tirs. Je sortais de deux matches pas bons à 0 et -2 d’évaluation. C’est la première fois où j’ai eu deux matches de suite où je n’étais pas à la hauteur. Je ne faisais pas de bons entraînement. Le coach m’a pris en entretien. Même si on gagnait et qu’il ne restait plus que quatre matches, il ne fallait pas négliger. Le plus important c’est de se remettre en question et d’être capable de rebondir. »\\n\\nCollectivement, la saison du CEP n’a pas été un long fleuve tranquille. Le 24 janvier, la chambre d’appel de la FFBB a puni le club de trois points de pénalité en première phase et de deux au début de la deuxième, confirmant ainsi la sanction de la Commission de contrôle de gestion. Le motif ? Des fautes dans la gestion financière au cours de la saison précédente. C’est ainsi que le CEP s’est retrouvé dans le Groupe C, les playdowns, dont il va finir en tête.\\n\\n« L’ambition du club est de devenir un vrai club de haut niveau et ça passera par une montée en Pro B, » confirme Philippe Maucourant. Montée ou plutôt remontée car le CEP a connu l’élite dans les années 80 du temps du meneur artistique Ed O’Brien et du goinfre du rebond Phil Lockett. « Avec les méandres que l’on a eu, on ne peut pas affirmer que l’on est prêt à le faire. Si on a chopé ces points de pénalité c’est qu’il y a eu des choses dans le passé qui n’étaient pas suffisamment nickel. Cela dit, le CEP a de l’avenir avec un vrai projet écrit depuis des années. C’est un club qui obtient son budget à 90% par des partenariats privés. C’est quasi unique en France. C’est sa force et c’est aussi sa faiblesse car on pourrait passer dans une autre division financière si on avait un budget avec du 70-30 ou du 60-40. On peut mettre plus de 3 000 personnes dans la salle, on en a mis 3 300 l’année dernière. On a déjà des atouts pour envisager d’atteindre le but du club. »\\n\\nLe prochain chapitre du club breton va-t-il s’écrire avec Vincent Pourchot ? Mystère.\\n\\n« J’aimerais pouvoir aller dans le haut niveau, en Pro B déjà pour commencer puis la Pro A un jour. Je suis pour l’instant en discussion avec Lorient. On n’a pas encore réalisé les entretiens. Mais j’ambitionne d’aller plus haut. Est-ce que ça sera avec Lorient ou pas, je ne sais pas. On a eu pas mal de soucis cette année avec les mauvaises gestions financières et des points de pénalité. On a été mis dans le groupe du maintien alors que ce n’était clairement pas notre place. On a fait sept victoires de suite avec des écarts moyens de plus de vingt points. Je ne sais pas comment l’équipe va être faite l’année prochaine, je ne connais pas le projet. Donc je ne sais pas de quoi sera fait mon avenir l’année prochaine. »\\n\\nSon coach confirme qu’à ce jour rien n’est établi.\\n\\n« Je ne peux pas dévoiler quoique ce soit sinon que l’on est sous la forme d’un engagement moral. J’aime bien travailler dans la durée avec des joueurs. Je suis dans cette vision mais rien n’est formalisé. Il faut s’entendre aussi sur les exigences que l’on met de part et d’autre. Je suis capable de m’engager mais avec des gens qui veulent mener les efforts pour continuer à avancer. J’ai envie de savoir jusqu’où lui-même veut avancer. Les limites, ça me stresse. Il veut aller en Jeep Elite ? J’entends ça très régulièrement de la part de joueurs mais qu’est-ce que tu es prêt à faire pour y arriver ? On est à deux ans de collaboration. Qu’est-ce qu’on met en place pour la troisième année ? C’est plus la méthode qui m’intéresse (...) Le CEP a remis un éclairage sur Vincent Pourchot. On a aussi besoin d’images qui représentent les clubs. Ça ne fait que deux ans qu’il est là mais ça commence à se faire. Malheureusement c’est difficile de stabiliser des effectifs notamment en Nationale 1. J’ai cette volonté très forte mais il faut trouver les bonnes personnes. Mathieu Bigote est encore là depuis plus longtemps. Ils peuvent représenter l’image du CEP. »\\n\\nCurieuse trajectoire tout de même que celle de ce géant. Certains l’imaginaient rejoindre la NBA, lui qui a côtoyé Rudy Gobert aujourd’hui superstar aux Utah Jazz. Vous aurez beau le cuisiner un peu, aucune amertume ne transparait des propos de Vincent Pourchot quand bien même le basket lui a réservé autant d’infortunes que de fortunes.\\n\\n« Rudy et moi, on n’avait pas le même profil physique. Mon profil de pivot lent un peu à l’ancienne, il y en a de moins en moins. J’aurais pu être un pivot extraordinaire, je dis bien peut-être, dans les années 70-80 quand il n’y avait pas forcément de grands joueurs athlétiques. Avec le temps les choses changent. Des regrets, ce n’est pas forcément le bon mot. Je n’intéressais pas forcément les clubs, je n’ai pas à avoir de regrets vis-à-vis de ça. Je suis très content de ce qui arrive à Rudy et Youssoupha (Fall) et moi je reste concentré sur moi et mon projet. »\\n\\n[armelse]\\n\\nDe l’Est, Vincent Pourchot est parti plein Ouest, dans le Morbihan, au CEP Lorient. Il est monté en grade, passant de la N2 à la N1 et aussi... sur la bascule où son poids de 132 kilos est apparu bien trop élevé même pour quelqu’un de sa taille. Il n’est pas besoin d’expliquer à un lecteur averti qu’une surcharge pondérale n’est pas en adéquation avec un basket qui se joue de plus en plus haut et aussi de plus en plus vite. Vincent n’est pas homme à se cacher derrière son petit doigt et son discours est toujours empreint de franchise.\\n\\n« Autant à Besançon il y a eu des choses positives qui m’ont fait réagir, autant le fait de s’entraîner beaucoup moins, qu’il y ait moins de physique, je me suis laissé un peu aller et j’ai pris du poids », confie t-il. « Quand je suis arrivé à Lorient, le coach m’a attrapé entre quatre yeux en me disant qu’il fallait que je prenne en compte certaines choses par rapport à mon physique. Il m’a dit que j’avais le basket, que je suis intelligent dans le jeu, que j’ai de bonnes mains, que je fais certaines choses très bien mais je ne suis pas quelqu’un qui aime bien cuisiner -je ne dis pas que je mange McDo et Kebab-, je mange des choses basiques mais je ne faisais pas d’effort à Besançon. Arrivé ici le coach et le préparateur physique qui s’occupe beaucoup de nous m’en ont parlé et on a mis un protocole en place. C’est comme ça que je suis arrivé à perdre près de vingt kilos. »\\n\\nLe préparateur physique en question, Ken Chanteux, et le kiné, Frédéric Le Foulgoc, se sont donc occupés de sa grande personne pour effectuer un travail de fond à base d’étirements, de séances de cryothérapie hebdomadaires, de marche quotidienne dans l’océan, de contrôle de son alimentation, bref d’une hygiène de vie plus en rapport avec celle d’un sportif de haut niveau. Les effets positifs sur le terrain se sont faits sentir pour sa deuxième saison en Bretagne et Vincent est fier aussi de ne pas avoir manqué un match depuis trois ans.\\n\\n« J’ai progressé en attaque comme en défense, au niveau du cardio. Ca a amélioré le temps de jeu que je peux avoir. En septembre 2017 j’étais à 12-13’ de temps de jeu moyen et pour finir en demi-finale de playoffs contre Saint-Quentin, j’ai joué 42 minutes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Dwight Powell (Canada): «Nous avons beaucoup de joueurs talentueux»" }, {"role": "assistant", "content":"Interrogé par le site de la FIBA, l’intérieur des Dallas Mavericks Dwight Powell (2,11m, 28 ans) est confiant sur le potentiel de l’équipe du Canada pour la Coupe du monde:\\n\\n« Je pense que nous avons beaucoup de joueurs talentueux et de gars qui peuvent aider l’équipe. Des jeunes aux vétérans, et quand je parle de vétérans, je pense à des gars comme Cory Joseph et Kelly Olynyk, qui n’ont que 27 ou 28 ans. Nous avons une très bonne base de joueurs. Il nous reste encore tant d’années à jouer, mais nous nous sommes bien améliorés au cours des deux dernières années. Si nous continuons ainsi, notre avenir sera radieux. Nous avons aussi tellement de jeunes gars qui peuvent avoir un impact sur l’équipe, tels que Jamal Murray et RJ Barrett. Nous avons donc beaucoup de jeunes pistoleros à venir qui peuvent avoir un impact sur l’équipe des deux côtés du terrain. »\\n\\nLe Canada est dans le « groupe de la mort » avec l’Australie, la Lituanie et le Sénégal et pourrait ensuite croiser le chemin de la France.\\n\\n« L’objectif est d’aller loin dans le tournoi. Nous sommes ambitieux, mais nous savons aussi que c’est très ouvert et que beaucoup d’équipes peuvent se battre pour une médaille dans le tournoi. Le niveau de compétitivité dans le monde a tellement augmenté, et il sera plus difficile d’atteindre les trois premières places d’une compétition internationale. Cela va être très intense et chaque équipe devra apporter son meilleur jeu pour passer au tour suivant et avoir un beau parcours en Chine. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Marcus Eriksson à l’Alba Berlin" }, {"role": "assistant", "content":"A Gran Canaria depuis deux saisons, Marcus Eriksson (2m01, 25 ans) a décidé de faire jouer sa clause de sortie. Le shooteur suédois va changer d’air : il a signé pour quatre ans à l’Alba Berlin !\\n\\nAncien prodige mis en couveuse à Barcelone, Eriksson tournait l’an passé à plus de 12 points de moyenne avec Gran Canaria en Liga ACB, à un excellent 45% à trois points. En Euroleague, c’était du même acabit à 10 points à 41% derrière l’arc.\\n\\nA Berlin, Eriksson jouera encore l’Euroleague et il devrait obtenir un rôle plus important, ne serait-ce que dans l’expérience du plus haut niveau continental.\\n\\nEncore jeune à 25 ans seulement, Eriksson peut encore viser haut. Et pourquoi pas la NBA à terme, pour celui qui a été drafté par les Hawks (au second tour) en 2015 ?" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le Paris Basketball s’offre Nobel Boungou-colo" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelques jours et c’est officialisé: l’ailier Nobel Boungou-colo (2,02m, 31 ans) a signé au Paris Basketball. Il s’agit d’une prise très rare pour un club de Pro B et après l’annonce de la venue de Amara Sy, cela démontre que les propriétaires américains du club parisien n’ont pas l’intention de moisir dans la division.\\n\\nNobel Boungou-colo compte à son actif 206 matches en Jeep Elite avec Orléans, Hyères-Toulon, Le Mans, Limoges et Levallois. Il a été champion de France de Pro B (2012) et de Pro A (2014 et 15) avec le CSP et sa pige la saison dernière de 5 matchs -y compris la Leaders Cup- avec Levallois a prouvé qu’il était toujours en jambes.\\n\\nLe natif de Brazzaville en République du Congo possède également une solide expérience européenne avec des hauts et des bas au Khimki Moscou, Séville, Turin et Badalone.\\n\\nPhoto: Metropolitans\\n" }, {"role": "user", "content":"Moustapha Fall retourne en Turquie, à Ankara" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot international Moustapha Fall (2,18m, 27 ans) retourne en Turquie après une saison au Lokomotiv Kouban Krasnodar en Russie. Il vient de signer chez Türk Telekom Ankara indique le club.\\n\\nEn 2017-18, à sa sortie de Chalon, Moustapha Fall avait rejoint Sakarya, qui montait alors de deuxième division. Avec Krasnodar, il a tourné à 7,9 points et 4,6 rebonds en VTB League, et 5,6 points et 2,9 rebonds en Eurocup tout en étant handicapé par des pépins physiques.\\n\\n\\nBaşlıyoruz!!💥 Fransız Pivot Moustapha Fall yeni sezonda bizimle. 😎 pic.twitter.com/rrEla6lBok\\n\\n— Türk Telekom Basketbol (@TT_Basketbol) July 21, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U20: Pas de médaille pour la France" }, {"role": "assistant", "content":"Privée de Ivan Février, son meilleur marqueur sur le tournoi (14,8 points) et deuxième rebondeur (6,2), et malgré l’ardeur de Yohan Choupas (22 points à 6/14 aux shoots), l’équipe de France a laissé en ce début de soirée l’Allemagne prendre la médaille de bronze (65-73), le même dénouement que l’année dernière.\\n\\nL’ambiance pour cette « petite finale » avait repris le principe de la douche froide puisque l’on passait de la chaleur torride de la demi-finale avec une salle archi-pleine à des gradins vides et une bande son qui reproduisait le crissement des baskets sur le parquet.\\n\\nContrairement à la veille où ils avaient été prolifiques d’entrée, les Bleuets rataient 8 de leurs 9 premiers shoots. S’ils parvenaient un temps à équilibrer le débat, ils perdaient leur meneur Ludovic Beyhurst sur une blessure à la cheville dès la 8e minute -l’Alsacien allait revenir en fin de deuxième quart-temps-, ce qui leur faisait un peu perdre le fil du match (11-16, 10e).\\n\\nCa se gâtait ensuite puisque les Allemands avaient pris une belle avance à la 12e minute (11-23) avec un jeu bien structuré et quelques banderilles à trois-points par Bruno Vrcic (3/3). Sous l’impulsion du meneur palois Yohan Choupas (11 points en 10′) la France divisait son retard par deux, 26-31 puis 33-38 à la mi-temps.\\n\\nSeulement le momentum était de nouveau allemand, 37-47 (25e), avec une adresse générale et spécialement à trois-points bien supérieure. Et même si l’articulation Beyhurst-Choupas fonctionnait bien, les Français étaient toujours à la poursuite des Allemands après trois quart-temps (48-60). L’intérieur Philipp Herkenhoff (2,08m, 20 points, 8 rebonds, 3 passes) était implacable.\\n\\nAvec ce panier à trois-points de huit mètres avec la planche au buzzer de Jonas Mattisseck, on sentait que les carottes étaient cuites. De fait, les Allemands contrôlaient le tempo du match avec sang froid illustré par un 12/22 derrière l’arc à comparer avec le 5/26 des Français.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nOh là là, @eliaskzn! 😲\\n\\n📺 https://t.co/diQgWRCJzB\\n📝 https://t.co/5YDGf09plP@ffbasketball 🇫🇷 #FIBAU20Europe pic.twitter.com/ULiMFn0JkK\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 21, 2019\\n\\n\\nPhoto: Ludovic Beyhurst, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Victime d’un grave accident de la route, Ognjen Kuzmic va mieux" }, {"role": "assistant", "content":"L’Etoile Rouge de Belgrade vient d’annoncer dans un communiqué que la santé du pivot serbo-bosniaque Ognjen Kuzmic (2,16m, 29 ans) s’améliore très sensiblement.\\n\\nOgnjen Kuzmic a été victime d’un grave accident de voiture il y a une semaine et avait été placé dans le coma. Il a repris connaissance vendredi et il est prévu de le faire passer de la salle des urgences à l’unité des soins intensifs. Sa vie n’est plus en danger et pour la première fois, il a même pu se lever et se tenir debout." }, {"role": "user", "content":"16 000 personnes sur une liste d’attente pour la finale de l’Euro U20" }, {"role": "assistant", "content":"La présence ce soir de l’équipe nationale israélienne en finale de l’Euro U20 face à l’Espagne provoque dans le pays un buzz inédit pour cette catégorie d’âge et 16 000 personnes sont inscrites sur une liste d’attente en espérant obtenir un billet. La Drive In Arena de Tel-Aviv, officiellement nommée Shlomo Group Arena, ne contient que 3 500 places pour le basket.\\n\\nPlus que jamais, la grande star de l’équipe est l’arrière du Maccabi Tel-Aviv Deni Avdija (2,02m, 18 ans) qui tourne à 17,7 points, 8,8 rebonds, 5,0 passes et 2,3 interceptions depuis le début du tournoi.\\n\\nNé en 2001, comme Théo Maledon et Killian Hayes, Deni Avdija a deux ans de moins que la plupart des autres joueurs du tournoi. Son père, Zufer Avdija, est né à Pristina, au Kosovo, avant de s’installer définitivement à Belgrade au cours de sa carrière et de devenir capitaine de l’Etoile Rouge où il a passé onze ans de 1979 à 1990.\\n\\nLe fiston est réputé pour être un bourreau de travail et après le match contre la Lituanie, mécontent de son adresse, il a attendu que la salle se vide pour faire des shoots... à 23h.\\n\\nLa finale Israël-Espagne et celle pour la médaille de bronze, France-Allemagne sont à suivre ici:" }, {"role": "user", "content":"Travis Trice est le nouveau meneur de Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"La SIG Strasbourg annonce ce dimanche l’engagement du meneur américain Travis Trice (1,88m, 26 ans) qui arrive en provenance du club turc de Tofas Bursa.\\n\\nFormé à l’Université de Michigan State, demi-finaliste d’un Final Four NCAA, il a joué en D-League à Westchester puis en Australie, à Cairns, de nouveau en D-League et en Australie avec les Bullets de Brisbane. Ce fut ensuite le Liban, encore la D-League en 2018-19 à 16,9 points, 6,3 passes et 4,3 rebonds. En avril dernier, il renforçait Tofas Bursa où en en 10 matches, il a affiché une ligne statistique de 11,4 points et 6,4 passes.\\nTravis Trice a également été le meneur de l’équipe des Etats-Unis à six reprises lors du tournoi de qualification à la Coupe du Monde.\\n\\n« Travis Trice est un joueur que l’on suit depuis un moment maintenant », raconte le coach Vincent Collet. « On s’était intéressé à lui l’an passé. Il a un gros cursus universitaire en sortant de l’Université de Michigan avec qui il a été au Final Four. Pendant longtemps il a poursuivi son rêve de NBA et est resté en G league où il a fait de belles saisons, tout comme en Australie, avant d’arriver à Tofas la saison passée. Il arrive à maturité mais on espère qu’il va encore progresser avec nous. C’est, à coup sûr, un joueur de talent. Travis est un vrai meneur passeur mais est aussi relativement bon tireur. C’est un joueur complet. On souhaite qu’il monte dans la hiérarchie du basket européen et qu’il nous aide à atteindre nos objectifs. De plus, nous avons eu de bonnes informations le concernant sur le plan humain. Il a joué aussi pour le team USA, ce qui est souvent un bon signal sur l’homme »." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Mérédis Houmounou prolongé à Nancy jusqu’en 2021" }, {"role": "assistant", "content":"Mérédis Houmounou (1,90m, 30 ans) prolonge au SLUC Nancy jusqu’en 2021 annonce le club.\\n\\nArrivé en Lorraine, à l’été 2018, le natif de Nancy a assuré la saison dernière 7,8 points, 3,5 rebonds et 4,2 passes pour 9,2 d’évaluation.\\n\\n« Nous souhaitons, le directoire, le staff technique et moi-même, que le public puisse s’identifier à notre équipe et à notre club. Mérédis fait partie de cette catégorie de joueur sur laquelle un club peut et doit s’appuyer. Il a démontré l’an passé que nous pouvions lui faire confiance. Grâce à ses aptitudes physiques notamment, son abnégation en défense, son engagement et son état d’esprit irréprochable, c’est un joueur qui compte dans un collectif et qui participe activement à être l’âme du SLUC. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur Mérédis pour les deux prochaines saisons, » commente le président Aurélien Fortier sur le site du club." }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Le top 10 des salaires pour Eurohoops, Nando De Colo 4e" }, {"role": "assistant", "content":"l\\n\\nLe site Eurohoops divulgue ce matin les top salaires de l’Euroleague. A l’instar de ceux de Jeep Elite donnés par BasketEurope, ce ne sont pas des salaires officiels comme en NBA mais ils sont confirmés par plusieurs sources. Ce sont des salaires annuels en net et en dollars.\\n\\nNando De Colo apparaît à la quatrième place en conservant à peu près les mêmes revenus qu’au CSKA Moscou. Avec 1,85M€, Thomas Heurtel (Barcelone) est à la porte de ce top 10.\\n\\nBien que touchant environ 2M$, Milos Teodosic (Virtus Bologne) est exclu de ce classement puisqu’il est en Eurocup.\\n\\n1-Nikola Mirotic (FC Barcelone) 5 400 000\\n\\n2- Alexey Shved (Khimki Moscou) 4 000 000\\n\\n3- Edy Walter Tavares (Real Madrid) 3 000 000\\n\\n4- Nando De Colo (Fenerbahçe) 2 600 000\\n\\n5- Nick Calathes (Panathinaikos) 2 550 000\\n\\n6- Jan Vesely (Fenerbahçe) 2 430 000\\n\\n7- Sergio Llull (Real Madrid) 2 200 000\\n\\n– Sergio Rodriguez (Armani Milan) 2 000 000\\n\\n– Alex Abrines (FC Barcelone) 2 000 000\\n\\n-Kostas Sloukas (Fenerbahçe) 2 000 000\\n\\n-Corry Higgins (FC Barcelone) 2 000 000\\n\\nPhoto: Nando De Colo (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Los Angeles Times: «Marine Johannès a ébloui le public»" }, {"role": "assistant", "content":"La WNBA a fait connaissance hier avec le diamant normand, Marine Johannes, auteure de 17 points. Voici ce qu’on dit sur elle sa coach, deux de ses équipières, un fan et les journalistes américains.\\n\\n« Pas mal. C’est une marqueuse. Ca ne va pas arriver chaque soir mais elle est capable de mettre des tirs. Nous avons besoin de ça. Nous avons besoin de celles qui sont dans le match pour influer sur le jeu et fournir un effort maximal. C’est une rebondeuse. C’est une arrière solide sur pick and roll. » Katie Smith, coach du New York Liberty.\\n\\n« Le Liberty menait 44-37. Johannes avait mis 11 de ses points dans le deuxième quart-temps. Elle a ébloui le public avec un trio de trois-points dont un avant la mi-temps au buzzer. » Los Angeles Times.\\n\\n»Je pense qu’elle est capable de faire de grandes choses pour cette équipe et pour la ligue spécialement pour les joueuses internationales qui arrivent en WNBA. » Tina Charles, joueuse du Liberty.\\n\\n« Marine est une scoreuse. Elle amène cette confiance européenne dans le basket-ball nord-américain et c’est très plaisant à regarder. » Kia Nurse, joueuse du Liberty.\\n\\n« Je me sens bien, je suis heureuse d’être ici. C’est vraiment chouette. J’aime l’atmosphère ici. » Marine Johannès.\\n\\n« Marine Johannes est ma nouvelle joueuse favorite de tous les temps. » Jason Gilbert, un fan.\\n\\n« Une belle scène dans le vestiaire de New York. Alors que Marine Johannes était interviewée par des journalistes, sa voisine de casier Rebecca Allen l’a aidé à simplifier les questions pour elle. » Geoff Magliocchetti, journaliste (Rebecca Allen a joué à Lyon lors de la saison 2017-18).\\n\\n« Dites moi tout ce que vous savez sur Marine Johannes. Je suis tout ouïe. » Eye on the W. Journaliste.\\n\\nDonc, on conseille au journaliste newyorkais et à tous de lire ou de relire l’interview que nous a accordé, il y a quelques mois, la star française d’Amérique. C’est ici." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Marine Johannès lors de New York vs Los Angeles" }, {"role": "assistant", "content":"C’est le meilleur de Marine Johannès que les fans du Liberty ont pu apprécier hier lors du match New York-Los Angeles. La preuve en images:" }, {"role": "user", "content":"Bookmakers: La France 4e à la Coupe du monde, l’ASVEL 18e en Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Il est toujours intéressant de jeter un oeil sur les sites de paris en ligne pour évaluer les chances des équipes avant une compétition. Quand on joue de l’argent, on fait attention, pas de sentiment !\\n\\nAinsi, si l’on prend en compte le cumulé de quatre sites Bet365, Betclic, Expekt et Unibet, les Etats-Unis -ce n’est évidemment pas une suprise- sont donnés archifavoris de la Coupe du monde (1,20 la cote la plus élevée, 1,16 la plus basse) devant l’Espagne (26,00 et 13,00), la Grèce -sans doute l’effet Giánnis Antetokoúnmpo- (30,00 et 26,00) et la France (34,00 et 26,00).\\n\\nMais attention, la France est susceptible de croiser les Etats-Unis, et aussi l’Australie qui la suit de près (41,00 et 21,00), le Canada (40,00) et la Lituanie (61,00 et 51,00). Bref, c’est nuageux.\\n\\nC’est beaucoup plus clair en Euroleague. Le Real Madrid (4,50 et 4,25), le CSKA Moscou (4,50 et 5,50), le Fenerbahçe (5,50 et 5,00) et le FC Barcelone (6,00 et 4,50) sont les mieux placés pour aller au Final Four d’après les parieurs. On peut difficilement les contredire.\\n\\nOn trouve l’ASVEL à la dernière place. 18e. 175,00 et 101,00. A égalité, l’Alba Berlin et l’Etoile Rouge de Belgrade (150,00 et 101,00) sont les deux équipes qui la devancent de quelque peu.\\n\\nDit autrement, Villeurbanne se retrouve dans la situation de la Jordanie, de l’Angola, de la Corée du Sud et du Japon à la Coupe du monde. La très, très grosse cote.\\n\\nPhoto: Charles Kahudi (ASVEL, LNB)" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Vincent Pourchot, le géant de 2,22m boudé par la France" }, {"role": "assistant", "content":"Comment le plus grand basketteur français de tous les temps s’est-il retrouvé au chômage puis en Nationale 2 avant de rebondir au CEP Lorient en N1?\\n\\nLa première partie nous emmène aussi au pays des géants.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDécembre 2011. Un match lambda du championnat espoir entre Pau et Nancy va sortir de l’anonymat par la grâce d’un géant de 2,22m et de 19 ans, Vincent Pourchot. Ses chiffres ? 26 points (11/14 aux shoots, 4/6 aux lancers), 25 rebonds et 15 contres en 33 minutes sur le terrain. Résultat : 62 d’évaluation. Un record à la Wilt Chamberlain qui a provoqué un buzz dans l’univers de la balle orange. L’Echassier avait posé à l’époque avec une modeste feuille de papier où était inscrit le nombre surréaliste « 100 » marquant son record. Aucun photographe n’a permis au pivot du SLUC d’immortaliser sa performance gargantuesque.\\n\\nComment le Lorrain a-t-il vécu son exploit ?\\n\\n« Je ne m’en étais pas du tout rendu compte », répond-il de sa voix douce aux Antipodes de sa stature de Golgoth. « Pour moi j’avais fait mon match. Et vu que j’enchaînais avec les pros, après le match je suis allé dans le vestiaire des pros, je me suis changé et je suis allé directement sur le terrain sans toucher à mon téléphone. On n’avait pas discuté avec le coach espoir, pas de speech. Ce qui m’a marqué à vie c’est que l’on était en train de s’échauffer avec les pros. A chaque fois que l’on faisait des étirements, Jean-Luc Monschau venait taper dans la main de ses joueurs en adressant un petit mot d’encouragement. Il vient me voir et en me taquinant, il me dit « Vincent, si un jour tu refais 62 d’évaluation, peut-être que je te ferai jouer. » 62 d’évaluation ? Sur le coup je n’ai pas forcément tilté. On finit le match pro, je rentre dans le vestiaire. Je prends mon portable et là je vois des notifications de L’Equipe qui disait, « record historique d’évaluation dans le basket français ». J’ai pris conscience de l’ampleur du truc. Après j’ai reçu plein de messages. Pau avait un effectif complet. La petite anecdote marrante c’est que leur équipe entière avait fait 59 d’évaluation. J’avais fait 62 et mon équipier Kevin Talhien avait fait 35. On avait une évaluation générale de 130 et quelque. »\\n\\nA l’époque, cette performance astronomique et historique n’avait pas surpris plus que ça son actuel coach au CEP Lorient, Philippe Maucourant.\\n\\n« Je suis passé par l’est de la France et peut-être ai-je un œil plus averti sur les jeunes de Lorraine. C’est plus dans le cadre de l’équipe de France et de son passage à l’INSEP que j’ai commencé à m’intéresser à ce joueur-là. Nancy c’était après et j’ai estimé que c’était normal qu’il puisse faire des cartons en espoirs. »\\n\\nPlus dans les plans\\n\\nVincent Pourchot est originaire de Landovillers, un village de 365 habitants près de Metz. Lorsque vous faites 222 cm de hauteur sans chaussures avec une envergure de 2,32m, vous êtes forcément une cible des regards toute votre vie. Des quidams comme des autres joueurs, des coaches, des scouts, des journalistes et des fans. Le basket, Vincent l’a découvert à six ans au Metz BC. Il est parti adolescent à l’INSEP préparer un bac pro informatique et une carrière de basketteur professionnel.\\n\\n« Il poussait tellement vite qu’il fallait être précautionneux. Au début, il dormait même avec des attelles, une vraie souffrance », a témoigné Lucien Legrand, le patron du pôle basket de l’INSEP, au Journal du Dimanche. « En classe, on a acheté des pupitres plus élevés, et trouvé un lit plus grand pour sa chambre. Des spécialistes lui montraient aussi les bonnes positions à adopter, ne serait-ce que pour s’asseoir ou dormir. Et le podologue n’arrêtait pas de le mettre en garde : ‘Si tu ne mets pas bien tes semelles, tu vas jouer avec ta vie.' »\\n\\nVincent va gagner une première médaille en bronze avec les U16 en 2008. C’est la génération Léo Westermann, Evan Fournier et Louis Labeyrie. Une deuxième en argent à Metz, chez lui et devant toute sa famille, avec l’équipe de France à l’Euro U18 en 2009. Le Lorrain est 10e homme. Une troisième médaille toujours argentée s’offre à lui trois ans plus tard avec les U20. Il est alors la doublure de Rudy Gobert et l’équipe de France est riche de Livio Jean-Charles, Hugo Invernizzi, Axel Julien, Pierre Pelos, Axel Toupane et Léo Westermann. Vincent a droit à 15 minutes contre la Macédoine, en profite pour scorer 16 points et... demeure clouer sur le banc par la suite.\\n\\nVincent n’a jamais été en relation avec des universités américaines ni eu connaissance que des scouts s’intéressaient à ses mensurations si spéciales. Il n’a eu qu’une seule touche avec l’étranger.\\n\\n« Lors de ma deuxième année INSEP, on m’avait invité à aller visiter la Joventut Badalone. C’est Frédéric Weis, qui est de Lorraine comme moi, qui m’a mis en relation avec eux. Ils voulaient me prendre mais comme j’étais à l’INSEP, si je voulais partir de moi-même, il fallait rembourser les frais de formation. Ca faisait beaucoup d’argent et le club n’était pas forcément prêt à l’investir. Je n’avais pas non plus encore passé le bac et ma mère voulait absolument que je l’ai. »\\n\\nCe fut donc le SLUC Nancy. Son centre de formation. De stats ronflantes dans le championnat espoir: 16,3 points à 61,9%, 12,9 rebonds et 2,3 contres sur deux années. Et... une présence royale de 3 minutes en tout et pour tout avec les pros. Vincent n’a jamais réédité son 62 d’évaluation. C’est sans doute pour ça que Jean-Luc Monschau ne lui a jamais accordé sa confiance.\\n\\nLa suite : un contrat avec Lille en Pro B. Pas de chance : une blessure à la cheville lors du premier match l’éloigne du terrain quelques semaines. Pendant ce temps, le coach Abdou Ndiaye qui avait souhaité son arrivée est viré et son remplaçant Cédric Binauld n’en veut pas. Il ne lui donnera que des poussières de temps de jeu.\\n\\nC’est à Charleville la saison suivante, toujours en Pro B, qu’il va avoir de véritables responsabilités. Le coach Cédric Heitz croit en lui. Avec 15’ de temps de jeu moyen, il fournit 7,4 points, 4,2 rebonds pour 10,4 d’évaluation. Très bien à 22 ans. Seulement ce sera le pic de sa carrière jusqu’ici.\\n\\n« J’étais le meilleur joueur à l’évaluation/minute. J’avais fait des choses positives. Je pense que j’étais prêt à jouer en Pro B, il fallait simplement qu’il y ait quelqu’un qui sache m’intégrer à l’effectif pour m’utiliser correctement. »\\n\\nCédric Heitz est parti et Vincent s’est retrouvé le bec dans l’eau. Charleville, qui possédait le plus petit budget de la division, voulait faire des économies. Aussi incroyable que cela puisse paraître, le géant va se retrouver à 24 ans au chômage.\\n\\n« Avec Charleville, je n’étais plus forcément dans les plans. Tout le monde ne pensait pas forcément pouvoir me faire jouer car les gens pensaient qu’il n’y avait que Cédric qui pouvait m’utiliser correctement. J’avais eu des propositions que je n’ai pas accepté car ma priorité c’était Charleville et c’est au dernier moment que l’on m’a dit « Vincent, on ne veut plus de toi. » Je me suis retrouvé au chômage jusqu’au mois de décembre. Je me suis remis en question en me disant qu’il fallait que je joue coûte que coûte. Peu importe où ça sera, je signerai. Et c’est là que j’ai signé à Besançon en Nationale 2. »\\n\\nLe chômage, la N2... Si le basket français qui dépense sans compter pour de la main d’œuvre étrangère et qui s’est longtemps plaint de manquer de big men s’était alors regardé dans le miroir en sachant qu’il laissait de côté un pivot de 2,22m certes pas tonique mais pas manchot non plus, il aurait eu honte.\\n\\nPas d’amertume\\n\\nC’est donc Nicolas Faure et Besançon qui font appel à ses services. Vincent a-t-il connu le spleen alors qu’il s’est retrouvé en inactivité forcée ?\\n\\n« Non. Je n’ai jamais douté car je sais que dans une carrière il y a des moments positifs et négatifs. C’est sûr que c’était un moment pas facile à gérer mais je savais qu’un jour ou l’autre je trouverai un pied à terre et j’ai eu la chance que Besançon me fasse une proposition. Je n’ai jamais eu de regrets après y compris de signer en Nationale 2 car tous les coaches qui m’ont fait appeler ont respecté leurs engagements. Ce sont les circonstances qui ont fait qu’il y a eu des changements entre le coach qui s’est fait virer et puis moi l’été je me suis blessé tout seul en marchant. J’ai été arrêté un mois à Lille et pendant ce temps-là le coach a fait que de perdre et il s’est fait virer. Quand j’ai signé à Charleville, je devais jouer en Nationale 1 et au final ils ont eu une wild card et ils ont fini en Pro B. Je suis tombé au bon endroit au bon moment, » déclare t-il à l’encontre d’idées reçues.\\n\\nAucune trace de rancune chez Vincent Pourchot, l’anti starlette :\\n\\n« La N2 m’ a fait du bien pour remettre les pieds sur terre. Il n’y avait que trois entraînements par semaine, je n’étais pas autant entouré par un préparateur physique, un kiné. On est dans le monde du travail. Les gens font du basket par passion et ne sont pas payés. Cette signature à Besançon m’a fait grandir et prendre conscience de beaucoup de choses. »\\n\\nA lire demain : Vincent Pourchot, le rebond au CEP Lorient\\n\\n\\nL’infiniment grand\\n\\nLe basketteur le plus grand de tous les temps est le Lybien Suleiman Ali Nashnush, qui au début des années soixante a été de façon fugace international. Il a même fait l’acteur dans le film de Federico Fellini, Satyricon. Taille : 2,45m. Soit 8 pieds en mesure anglo-saxonne.\\n\\nLe plus grand « vrai » professionnel répertorié est le Russe Alexandre Sizonenko. Il a joué pour le Spartak Leningrad (1976-78) et le Stroitel Kuybyshev (1979-86) et compte aussi 12 sélections en équipe nationale. Il est décédé dans un hôpital de son gigantisme après une fin de vie cauchemardesque. Taille : 2,39m.\\n\\nOn connait le plus grand joueur de NBA et de LNB de tous les temps puisqu’il s’agit de Gheorghe Muresan, vu trois fois à Pau. Taille : 2,31m avec chaussures, 2,295m sans.\\n\\nLe plus grand Français de tous les temps ? Il n’est pas facile de faire le tri entre les légendes et la réalité. Peut-être s’agit-il de Georges Kieffer né comme Vincent Pourchot à Metz, en 1912. Il était connu sous le nom de géant d’Obermodern, un village d’Alsace. Un titre très honorifique et invérifiable de « plus grand homme du monde » lui avait été attribué à la foire de Paris en 1937. Taille : 2,42m.\\n\\nLe plus grand Français de ce XXIe siècle ? Peut-être Vincent Pourchot qui est en tous les cas le plus grand basketteur français de tous les temps. L’ancienne internationale Rose-Marie Scheffler (2,02m) étant la plus grande basketteuse. Vincent toise le Franco-Sénégalais de Strasbourg Youssoupha Fall d’un petit centimètre. Les deux géants se connaissent bien.\\n\\n« De loin, ça ne se voit pas mais à chaque fois que je suis à côté de lui, il voit bien que je suis plus grand ! », sourit Vincent. « On a le même agent (NDLR : Comsport), on s’est déjà retrouvé l’un contre l’autre à l’époque où on était en espoir, on s’est entraîné ensemble pendant un mois aux Etats-Unis. C’est incroyable ce qu’il fait. On n’a pas les mêmes qualités physiques et basket. J’ai de meilleures mains, je suis peut-être un peu plus adroit que lui, mais il a de meilleures qualités athlétiques que moi. »\\n\\nLes géants comme les nains ont longtemps été des attractions de foires. Notre époque n’y échappe pas. Vincent Pourchot a participé, il y a un an à Paris, à un rassemblement d’une dizaine de personne de très, très grandes tailles, hommes et femmes et de toutes nationalités. C’est de cette rencontre que provient la photo où l’on voit un homme dépasser Vincent d’une tête !\\n\\nContrairement à Gheorge Muresan qui était issu d’une famille de gens à « taille normale » et qui devait son gigantisme à un dysfonctionnement de l’hypophyse, glande endocrine située à la base du cerveau, Vincent Pourchot n’est pas isolé au sein de la sienne.\\n\\n« Ma mère mesure près d’1,80m. Mon père 1,95m. J’ai des cousines qui font 2m dont l’une a été à l’INSEP avec moi pendant un an. Elle a arrêté le basket. Ma tante a joué à son époque en équipe de France jeune », dit-il.\\n\\nPour reprendre la formule d’un confrère, le Lorrain de Bretagne s’assume de haut en bas. Il est fier de son corps qui est devenu bien proportionné -on en reparlera dans le deuxième chapitre. Sa mère a témoigné que jamais son fils ne s’est plaint des moqueries à l’école. Pourtant, il doit souvent faire face à la bêtise humaine.\\n\\n« On ne le regarde plus comme quelqu’un qui fait 2,22 mais comme Vincent Pourchot », témoigne son coach Philippe Maucourant. « Mais ce qui nous dérange c’est le regard des gens. Quand on voyage, il a droit à des réflexions stupides. « T’es grand ! Tu fais du basket ? » On en souffre plus que lui car il est habitué depuis qu’il a quinze ans à faire des photos sur les aires d’autoroute. Il a une carapace et c’est nous qui pouvons réagir plus désagréablement que lui ne le fait. »\\n\\nVincent confirme qu’il est blindé face aux remarques désobligeantes.\\n\\n« Ma taille, c’est ma fierté. Je n’ai aucun problème avec ça. Forcément quand je sors j’attire l’attention. Les gens que je connais dont mes coéquipiers me disent que ça doit être relou de vivre ça au quotidien. Je leur réponds que je prends ça avec le sourire. Ça m’a forgé un caractère. Je sais cerner les gens, je sais quand ils exagèrent. Je suis capable de répondre quand ça ne me plaît pas. Il y en a qui font des remarques incroyables. On se demande comment on peut dire des choses comme ça. J’ai une mentalité plutôt costaud sur ça. Et puis quand on me voit en général on ne fait pas trop les malins. Je commence à être un peu costaud », glisse-t-il dans un sourire de sa voix douce d’où transpire une énorme gentillesse.\\n\\n[armelse]\\n\\nDécembre 2011. Un match lambda du championnat espoir entre Pau et Nancy va sortir de l’anonymat par la grâce d’un géant de 2,22m et de 19 ans, Vincent Pourchot. Ses chiffres ? 26 points (11/14 aux shoots, 4/6 aux lancers), 26 rebonds et 15 contres en 33 minutes sur le terrain. Résultat : 62 d’évaluation. Un record à la Wilt Chamberlain qui a provoqué un buzz dans l’univers de la balle orange. L’Echassier avait posé à l’époque avec une modeste feuille de papier où était inscrit le nombre surréaliste « 100 » marquant son record. Aucun photographe n’a permis au pivot du SLUC d’immortaliser sa performance gargantuesque.\\n\\nComment le Lorrain a-t-il vécu son exploit ?\\n\\n« Je ne m’en étais pas du tout rendu compte », répond-il de sa voix douce aux Antipodes de sa stature de Golgoth. « Pour moi j’avais fait mon match. Et vu que j’enchaînais avec les pros, après le match je suis allé dans le vestiaire des pros, je me suis changé et je suis allé directement sur le terrain sans toucher à mon téléphone. On n’avait pas discuté avec le coach espoir, pas de speech. Ce qui m’a marqué à vie c’est que l’on était en train de s’échauffer avec les pros. A chaque fois que l’on faisait des étirements, Jean-Luc Monschau venait taper dans la main de ses joueurs en adressant un petit mot d’encouragement. Il vient me voir et en me taquinant, il me dit « Vincent, si un jour tu refais 62 d’évaluation, peut-être que je te ferai jouer. » 62 d’évaluation ? Sur le coup je n’ai pas forcément tilté. On finit le match pro, je rentre dans le vestiaire. Je prends mon portable et là je vois des notifications de L’Equipe qui disait, « record historique d’évaluation dans le basket français ». Là j’ai pris conscience de l’ampleur du truc. Après j’ai reçu plein de messages. Pau avait un effectif complet. La petite anecdote marrante c’est que\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: CEP Lorient et FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Les joueurs n’ont pas tous le même avis sur l’intérêt de jouer pour leur équipe nationale" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à Sportske Novosti, Bostjan Nachbar, le directeur général de l’ELPA (l’association des joueurs de l’Euroleague) a confirmé que l’Euroleague a pour objectif de boycotter les fenêtres internationales et indiqué que les joueurs n’ont pas une position commune sur le sujet.\\n\\n« Les joueurs nous disent que les clubs les forcent à ne pas jouer avec leurs équipes nationales, » indique t-il en préambule.\\n\\nL’ancien international slovène informe qu’il a consulté quantité de joueurs mais qu’il n’est pas facile de faire une synthèse:\\n\\n« La chose la plus importante pour ELPA est que nous ayons un avis unique en tant qu’organisation et tant que nous ne l’avons pas -nous ne l’avons pas pour l’instant-, il ne serait pas judicieux de faire entendre notre voix. Après avoir discuté avec les joueurs, nous avons constaté que tout le monde n’a pas le même avis. Certains aimeraient jouer des matches de qualification avec leurs équipes nationales, d’autres préfèrent ne pas le faire et d’autres nous disent que les clubs les forcent à ne pas jouer avec leurs équipes nationales. Il n’y a pas d’avis unique. Dans cette situation, le plus intelligent est d’attendre. Mais nous avons les portes ouvertes pour tout problème. »\\n\\nBostjan Nachbar est également revenu sur la genèse du syndicat.\\n\\n« Nous sommes chanceux car l’Euroleague nous a permis de nous organiser. Ils auraient pu empêcher cela, mais cela n’aurait pas été malin, car ils ont besoin des joueurs pour développer la concurrence. Il est clair que nous ne serons pas toujours d’accord. J’aimerais que chaque ligue ait son union, il ne serait pas réaliste de faire une union de tous les joueurs en Europe car il y a 500 équipes et un club en République tchèque connaît d’autres problèmes que ceux du CSKA. Ils sont tous les deux en Europe mais ils ont des histoires différentes. «\\n\\n\\nPhoto: Bostjan Nachbar" }, {"role": "user", "content":"WNBA – Marine Johannès (17 points) enflamme New York" }, {"role": "assistant", "content":"Pour son troisième match sous le maillot du New York Liberty et son premier at home, Marine Johannès a réalisé face aux Los Angeles Sparks une performance qui fera date. En 22 minutes, l’internationale française a terminé meilleure marqueuse de son équipe avec 17 points à 100% de réussite (6/6 aux tirs dont 4/4 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs) plus 5 rebonds et 1 interception.\\n\\nA la mi-temps, la Normande avait déjà assuré 13 points à 5/5 aux tirs et 2 rebonds.\\n\\nL’autre internationale française Bria Hartley a été plus discrète avec 3 points, 2 passes et 1 interception.\\n\\nLe New York Liberty s’est imposé 79-75.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n.@marinej5 is putting on a show in her 1st home game! 13 pts. 5-5 from the field. She can't be stopped! 💯 pic.twitter.com/twaFsnKanw\\n\\n— New York Liberty (@nyliberty) July 20, 2019\\n\\n\\n\\nCan’t stop, won’t stop. 🔥 Marine Johannes for another 👌 #LibertyLoud pic.twitter.com/ibkeWtxEy0\\n\\n— WNBA (@WNBA) July 20, 2019\\n\\n\\n\\nMarine Johannès est d’assez loin la plus légère sur le parquet : une seule coéquipière ne la dépasse que pour moins de 10kgs (7), tandis qu’aux Sparks la plus légère pèse 13 kgs de plus qu’elle. Elle a aussi une teammate qui fait quasi le double de son poids.\\n\\n— Antoine Bancharel (@TweetsAntoine) July 20, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 : la France chute en demi face à Israël, 71-80" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir surpassé l’Ukraine et la Croatie, la France était opposée à Israël en demi-finale de l’Euro U20 masculin. Les Israéliens avaient l’immense avantage de jouer à domicile à Tel-Aviv.\\n\\nFace aux hôtes de la compétition, les Bleuets mènent 11-0 mais soutenus par leur public, les joueurs de Ariel Avraham Beit Halahmy renversent la situation après un quart-temps, 15-20. Dans la deuxième période c’est le scénario inverse qui se produit (15-10 pour les Bleuets), notamment grâce à l’envie de Ludovic Beyhurst (meilleur marqueur côté français au final avec 16 points) et Dylan Affo Mama toujours précieux en défense.\\n\\nAprès 20 minutes de jeu, les deux équipes sont donc à égalité, 35 partout. Deni Avdija dictant sa loi avec 15 d’évaluation à la mi-temps (13 points et 8 rebonds). En face, Ludo Beyhurst affiche aussi 15 d’évaluation à la pause avec 10 points, 3 rebonds, 3 interceptions et 3 passes décisives.\\n\\nAu retour des vestiaires, les Israéliens resserrent les rangs et poussent les Bleuets dans leurs retranchements. Présents défensivement, appliqués en attaque, trouvant la mire à longue distance, les coéquipiers de Eidan Alber ne laissent pas la place aux Français qui doivent profiter d’exploits individuels pour rester au contact. A la fin du troisième quart-temps, les locaux mènent 54-50.\\n\\nDans la dernière reprise, les Israéliens confirment leur supériorité. Les Bleus ne trouvent plus de solution et commencent à réellement se faire distancer, prenant jusqu’à treize points de retard (75-62). Israël l’emporte finalement 80-71.\\n\\nDominateurs au rebond (42 à 31), les Bleuets ont en revanche été peu efficaces à trois-points: 6/25.\\n\\nLa France échoue donc aux portes de la finale, mais aura l’occasion de jouer la médaille de bronze demain après-midi (17h15) face à l’Allemagne. En finale, Israël sera opposé à l’Espagne.\\n\\nDeni Avdija, a logiquement été élu joueur du match avec 26 points, 11 rebonds, 5 interceptions et 3 contres pour une évaluation de 34.\\n\\nBoxscore complète ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Hugo Invernizzi quitte Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un court message sur twitter, Hugo Invernizzi (1,98m, 26 ans) laisse entendre qu’il quitte Nanterre après quatre saisons au club.\\n\\nL’ailier alsacien était arrivé dans les Hauts-de-Seine en 2015 en provenance du Havre et il y a acquis un statut de shooteur d’élite. Sa saison 2018-19 a été conclue avec 8,6 points et 3,9 rebonds. Sur l’ensemble de sa carrière professionnelle, il tourne à 41,5% à trois-points et 81,6% aux lancers-francs.\\n\\n\\nC’était 4 belles années 💚 pic.twitter.com/nEClWOhPmK\\n\\n— Hugo Invernizzi (@10_Goyou) July 20, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Etats-Unis: C’est au tour d’Eric Gordon de déclarer forfait à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Après Anthony Davis et James Harden, c’est au tour d’Eric Gordon (1,93m, 30 ans) de refuser de disputer la Coupe du monde.\\n\\nL’arrière des Houston Rockets avait fait partie de l’équipe US championne du monde en 2014. Il gagné le trophée de NBA Sixth Man of the Year en 2017.\\n\\nLa fédération américaine n’a pas annoncé de remplaçants.\\n\\nLa pré-sélection\\n\\nMeneurs : Damian Lillard, Kyle Lowry, Kemba Walker\\n\\nExtérieurs : Brad Beal, Khris Middleton, P.J. Tucker, Harrison Barnes, Donovan Mitchell, Jayson Tatum, C.J. McCollum.\\n\\nIntérieurs : Andre Drummond, Kevin Love, Myles Turner, Kyle Kuzma, Brook Lopez, Paul Millsap, Tobias Harris.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le portrait des médaillées de bronze U18 par leur coach" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Arnaud Guppillotte nous brosse le portrait des Bleuettes qui ont obtenu la médaille de bronze à l’Euro U18.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEwl Guennoc, 1,75m, meneuse\\n\\n8,3 points, 3,3 passes, 1,3 interception\\n\\nC’est la joueuse qui va tout comprendre tactiquement ce qui se passe sur le terrain. C’est un cerveau. Elle a un gros bras. Elle peut tirer à trois-points et aussi stopper-tirer dans le middle rang shoot. Elle est adorable parce qu’elle fait tout comme il faut. Il lui manque juste ce petit truc en plus, cette détermination qu’une Marie Pardon va montrer sur le terrain quand il faut faire l’effort en plus en défense, quand il faut mettre les mains dans le cambouis sur les aspects physiques. Là, elle est un peu soft et c’est son axe de développement. Par contre, elle met les gros tirs, elle ne doute pas, elle peut rater quatre tirs et mettre le cinquième. Elle a encore une grosse marge de progression technique notamment sur le dribble mais elle a franchi un cap. Cette année, elle a joué en poste 1, belle évolution et belles promesses d’avenir.\\n\\nMarie Pardon, 1,77m, meneuse\\n\\n8,1 points, 5,6 passes, 4,0 rebonds\\n\\nLa vice-capitaine de l’équipe. Elle a fait un super CE en terminant deuxième passeuse. Elle avait fait un bon CE U16 en backup de Marine, mais elle n’était pas satisfaite de son CM U17 de l’année dernière et elle m’avait dit qu’elle allait travailler. Ça s’est vu. Elle a développé un tir à trois-points et un stop-tir, ses connaissances tactiques. Elle est devenue la meneuse titulaire de l’équipe car elle défend très, très fort en faisant très peu de fautes, ce qui est rare. C’est une meneuse puncheuse qui a donc développé du tir extérieur. Sur le match de la troisième place, elle plante un tir à trois-points, du stop-tir. Il lui manque encore de la régularité tactique. C’est ce qui nous a manqué cette année avec l’absence de Marine, de la régularité tactique sur tout un match, être juste dans les rythmes, dans les créations, l’organisation.\\n\\nEmilie Raynaud, 1,77m, meneuse\\n\\n6,0 points, 30,3% à trois-points\\n\\nComme Serena Kessler, c’est une 2002 qui n’a pas fait le CE U16 l’année dernière. C’est une joueuse qui a un gros bras et qui peut enchaîner des séries à trois-points. Une vraie shooteuse. Elle a un très bon jeu sans ballon, un jeu de passes pas mal du tout, elle comprend tout. Elle a des qualités athlétiques qui sont encore à développer car elle est assez lente notamment défensivement. Elle est puissante au sol. Elle a une timidité, une réserve psychologique, et toute la campagne je lui ai dit de ne pas réfléchir, « tu as un tir ouvert, tu prends pour scorer ». C’est ce qu’elle a fait et c’est une vraie bonne révélation. Elle a joué 18-20 minutes par match et à chaque fois elle nous a plantés un ou deux tirs minimum. Elle n’a pas douté du tout, ce qui était sa faiblesse avant quand elle refusait les tirs.\\n\\nSerena Kessler, arrière, 1,82m\\n\\n9,1 points, 6,3 rebonds, 3,0 passes, 1,6 interception, 12,6 d’évaluation\\n\\nC’est ce que l’on appelle une swing player, quelqu’un qui a un volume de jeu très important. C’est la créatrice de l’équipe, une finisseuse, qui défend fort avec véritablement un sens de l’interception, qui drive fort, qui peut tirer à trois-points, qui rebonde beaucoup, qui passe beaucoup la balle. Lors du match pour la troisième place, elle est proche du triple double (NDLR : 11 points, 10 rebonds, 6 passes). Elle est très féline, elle est puissante, elle sent bien les coups. C’est vraiment une joueuse d’avenir qui est encore très perfectible techniquement. Si elle travaille bien, elle peut être une très grande joueuse de basket.\\n\\nCamille Hillotte, ailière, 1,84m\\n\\n4,1 points, 27,8% à trois-points\\n\\nC’était notre cambrioleuse de jeu sans ballon. C’est une joueuse qui est dotée d’une adresse phénoménale mais surtout qui a un jeu sans ballon extraordinaire. Quand elle a la balle à trois-points, ça fait mouche. Elle a un QI basket au-dessus de la norme, elle n’est pas très bonne balle en main mais elle est capable de jouer dans les espaces, autour des écrans, des back doors, là, elle est très forte. Elle ne défend pas beaucoup, c’est pourquoi ça la freine un peu et qu’elle ne peut pas jouer plus.\\n\\nYohana Ewodo, ailière, 1,84m\\n\\n5,8 points, 6,0 rebonds, 2,5 passes\\n\\nTout en longueur. C’est la capitaine de l’équipe, la maître Yoda. Son surnom c’est « Petit Nuage », c’est très nuageux, elle ne force rien, elle flotte sur le terrain. Elle a été embêtée au début de l’Euro car elle a eu une élongation aux ischios et elle a loupé les trois premiers matches, ce qui a un peu tronqué son CE. Elle a eu du mal à tenir le rythme sur la suite de la compétition. Elle rebonde, c’est un gros défenseur capable de briser à elle seule une contre-attaque adverse. Elle est très intelligente sur les replis, la défense sur porteur, le jeu sans ballon. Elle drive beaucoup, elle n’a pas beaucoup tiré car elle a préféré aller vers le cercle. C’est la colle de l’équipe et quand elle n’est pas sur le terrain on le sent.\\n\\nJanelle Salaun, ailière, 1,88m\\n\\n9,7 points, 41,2% à trois-points, 6,7 rebonds\\n\\nC’était un prospect quand elle est arrivée au Centre Fédéral, il y a trois ans, et qui à force de travail est passé d’un statut de joueuse d’avenir à joueuse du présent. C’est une vraie belle joueuse, très athlétique, qui court très vite, très féline, qui rebonde, avec un gros tir à trois-points, elle est capable de driver. Elle fait 1,88m et c’est une joueuse du basket moderne, qui peut jouer et défendre sur des postes 3 ou 4 sans problème. Elle a été un peu embêtée par une cheville fragile durant la préparation donc elle a été un peu moins dans le combat près du cercle sur ce CE. Il lui manque encore un peu de culture basket tactique notamment en défense, sur certains placements, sur certains spacings. Quand on attaque une zone, elle a du mal à se repositionner mais vis-à-vis de ses années en U16 et U17, elle a franchi un gros cap.\\n\\nJade Hamaoui, ailière, 1,85m\\n\\n3,9 points, 4,0 rebonds\\n\\nC’est la stoppeuse défensive sur le poste 4. Elle est dotée d’un QI basket et d’un volume de jeu intéressants. Elle peut marquer des points, rebonder, défendre, passer. C’est l’un des trois couteaux suisses de l’équipe, ce qui nous a permis de nous adapter à l’adversaire. Elle pouvait jouer grand petit, jouer sur un poste 4, un poste 3.\\n\\nVeille Mahoutou, 1,82m, ailière\\n\\n3,0 points\\n\\nNotre Ngolo Kante. Elle a plus joué sur un poste 4-5 cette année car on avait deux grandes. C’est une vraie stoppeuse défensive comme on en fait de moins en moins alors que c’est pourtant essentiel. Quand il y avait une mission défensive, c’est elle qui s’en chargeait car elle peut défendre du poste 1 au poste 5. On pouvait faire des switchs sur tous les écrans avec elle sur le terrain. Elle rebonde, elle court, elle est généreuse. Elle sait très bien qui elle est et qui elle n’est pas, aussi elle ne prendra pas un tir si elle sait qu’elle ne le mettra pas. C’est l’une des personnes que j’apprécie tout particulièrement car elle n’a rien à faire de la lumière. Elle est adorable sur et en dehors du terrain. Elle optimise ce qu’elle est.\\n\\nAminata Gueye, 1,93m, pivot\\n\\n8,1 points, 70% aux tirs, 6,9 rebonds, 13,4 d’évaluation\\n\\nC’est sa première expérience en équipe nationale. Elle est toute fraîche dans le basket puisqu’elle l’a commencé il y a trois ou quatre ans. Elle a fait une grosse saison à Mondeville, elle a bien progressé. J’avais peur que plus le niveau allait avancer et plus elle serait en difficulté. Or, elle a été hyper concentrée, hyper sobre alors que c’était un peu son problème au début de la prépa où elle avait des sautes de concentration. Elle s’est abreuvée des consignes, elle a vraiment évolué. Elle est à 70% de réussite ! Comme Ténin Magassa, elle rebonde, elle a une super évaluation sur un temps de jeu réduit. Très belle révélation, c’est une 2002 et toute neuve dans le basket ! Si elle travaille, elle sera l’une des joueuses majeures de la génération 2002.\\n\\nTénin Magassa, 1,97m, pivot\\n\\n8,9 points, 61,5% aux tirs, 5,4 rebonds, 11,0 d’évaluation\\n\\nJe doutais de sa capacité à tenir les matches car elle a été blessée pendant deux ans aux deux genoux. Elle a joué 12 minutes par match cette année car elle ne pouvait pas donner plus physiquement. Je me suis dit qu’on n’allait pas tout miser sur les grandes car il y avait trop d’incertitudes soit physiques ou de niveau de jeu. Et plus on est entré dans la compétition et plus elles ont été efficaces. Elle fait 1,97m et elle a surtout une mobilité, une fluidité, une coordination motrice incroyables. C’est Diandra Tchatchouang dans un corps d’1,97m. Elle est dotée en plus d’une explosivité, d’une puissance assez fabuleuses. Ce qui lui a manqué sur ce CE pour durer plus longtemps, c’est une condition physique impeccable et une habitude de jeu. Elle n’a pas fait les U16-U17, elle a repris au mois de novembre et je suis très content pour elle qui a galéré pendant deux ans. Elle n’est pas encore régulière mais elle a fait un match pour la troisième place somptueux. C’est un prospect. Elle est du même acabit qu’Iliana Rupert, le même talent. Elle n’aurait pas été blessée pendant deux ans, on avait la paire d’intérieures pour le présent et l’avenir la plus incroyable du basket au niveau presque mondial. Je l’avais entraîné au Centre Fédéral avant qu’elle se blesse et elle pouvait smasher, elle allait super vite, elle pouvait partir des trois-points et mettre tout le monde derrière elle et aller mettre un layup très, très haut. Elle reste fragile. C’est un cercle vicieux car on ne peut pas faire trop de muscu et d’aérobie car ça déclenche des douleurs. C’est son seuil de douleur qui détermine sa capacité de travail.\\n\\nVaciana Gomis, 1,73m, arrière\\n\\nA été blessée, seulement 9’ de jeu\\n\\n[armelse]\\n\\nEwl Guennoc, 1,75m, meneuse\\n\\n8,3 points, 3,3 passes, 1,3 interception\\n\\nC’est la joueuse qui va tout comprendre tactiquement ce qui se passe sur le terrain. C’est un cerveau. Elle a un gros bras. Elle peut tirer à trois-points et aussi stopper-tirer dans le middle rang shoot. Elle est adorable parce qu’elle fait tout comme il faut. Il lui manque juste ce petit truc en plus, cette détermination qu’une Marie Pardon va montrer sur le terrain quand il faut faire l’effort en plus en défense, quand il faut mettre les mains dans le cambouis sur les aspects physiques. Là, elle est un peu soft et c’est son axe de développement. Par contre, elle met les gros tirs, elle ne doute pas, elle peut rater quatre tirs et mettre le cinquième. 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Un match entre les anciens et les modernes remporté par...\\n\\n\\nThese are the top scorers for the French National Team in World Cup history 🇫🇷 pic.twitter.com/BNDVW9nSns\\n\\n— HoopsHype (@hoopshype) July 20, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne : l’ancien strasbourgeois Darion Atkins signe à Tenerife" }, {"role": "assistant", "content":"A Strasbourg en 2017/18, Darion Atkins (2,03m, 26 ans) continue sa route en Europe et va découvrir l’Espagne.\\n\\nDe retour à l’Hapoel Holon cette saison après une année en France, l’ancien pensionnaire de Virginia quitte à nouveau Israël pour s’engager à Tenerife. 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Dans sa sixième saison dans l’Hexagone, l’arrière toujours très souriant est un personnage apprécié en Jeep Elite. Vainqueur de la coupe de France samedi dernier avec Villeurbanne, il répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nOh! mon premier match en tant que professionnel... Oh!, ça remonte ! Je me souviens d’un match de présaison quand je suis arrivé en Italie. J’avais joué tout le match et j’étais fatigué, c’est pour ça que je m’en souviens (rires). Ça reste un bon souvenir. Je ne savais pas à quoi m’attendre, c’était tout nouveau pour moi. Je ne savais pas quel allait être mon rôle, j’étais un peu nerveux.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe pense à David Andersen. Sur des petites choses. Il m’a aidé à comprendre comment devenir un professionnel. Il est pro depuis plus de 20 ans donc je pense juste que le fait d’être à ses côtés, parler avec lui m’a beaucoup apporté.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJe regardais jouer tout le monde, mais mon joueur préféré était surement Tracy McGrady. Bien sûr, Michael Jordan aussi. J’ai pu voir Michael Jordan jouer en vrai, mais je n’ai jamais vu McGrady.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nC’est compliqué d’en choisir qu’un seul ! Je prendrais Justin Robinson, de Chalon. Malgré sa petite taille, il fait tant de choses. Il est incroyable, je le choisirais pour ce qu’il apporte à son équipe.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJ’ai côtoyé des coaches avec des styles tellement différents. Je vais choisir un coach avec qui j’ai gagné un titre. J’ai gagné ici (Villeurbanne)... mais c’est compliqué j’ai aussi gagné avec Pascal Donnadieu à Nanterre. Et cette année, c’est la première fois que je suis en tête du championnat. Je vais choisir les trois coachs que j’ai eu à Lyon : JD Jackson, TJ Parker et Zvezdan Mitrovic.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nLes Cleveland Cavaliers. C’est l’équipe de mes rêves parce que c’est là où je suis né.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nBelgrade. Jouer contre le Partizan c’est fou. Je n’avais jamais vu ça avant. C’est quelque chose qu’il faut vivre, ça ne suffit pas d’en parler.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nQuand tu te blesses. Peu importe la blessure, c’est vraiment un sentiment terrible de se blesser en plein match.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nTout le monde parlerait de titres mais pour voir c’est juste le fait de créer des groupes, des bandes. Les relations que tu crées avec tes coéquipiers c’est spécial. Le fait de vivre des hauts et des bas avec ton équipe, c’est spécial. Je pense que c’est ce qui va me manquer le plus quand j’aurais pris ma retraite.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nEn professionnel, je dirais Mike Conley. Mais j’ai joué avec Greg Oden à l’université. Il était vraiment dominant, il rendait le jeu tellement facile.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nLeBron James, sans hésiter.\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nMon premier trophée, le titre avec Nanterre. C’était une saison folle pour moi. Ma mère est décédée cette année-là, donc j’ai vécu beaucoup d’émotions pendant cette saison. Sur le terrain on a terminé à la huitième place, personne ne nous attendait mais nous avons remporté le championnat et marqué l’histoire.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nJe pense que c’était à l’université. J’ai fait un 8/8 à trois points et j’avais mis 30 et quelques points. Mais j’ai joué tellement de matchs, je ne sais pas. De toute façon, je ne pense qu’à gagner\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLe fadeaway de Michael Jordan. On ne peut pas défendre dessus, c’est unstoppable.\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nJ’aurais aimé pouvoir voir Wilt Chamberlain marquer 100 points. J’aurais payé pour voir ça.\\n\\nPourquoi le numéro 23 :\\n\\nMichael Jordan, bien sûr. C’est le premier numéro que j’ai eu.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nC’est compliqué, il y en a beaucoup (rires) ! Je dirais Evant Turner (ndlr, Portland TrailBlazers).\\n\\nSi vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nGreg Oden au poste 5, Jared Sulligner en 4, Evan Turner en 3 et Mike Conley au poste 1.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nLyon, de loin !\\n\\nVos hobbies en dehors du basket :\\n\\nJ’aime la nourriture, j’aime regarder des films, être avec mon fils et ma famille. Mais j’aime vivre des expériences, voyager et découvrir de nouvelles cultures.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nC’est une bonne question ! J’enlèverais les fautes d’équipe (rires).\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe serais toujours dans le sport. Dans l’entraînement de joueurs, j’aime être près des gens, des enfants. Quelque chose dans le développement des jeunes.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe développerai mes business et je me lancerai dans le coaching, comme je l’ai expliqué.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nOh mon premier match en tant que professionnel... Oh, ça remonte ! Je me souviens d’un match de présaison quand je suis arrivé en Italie. J’avais joué tout le match et j’étais fatigué, c’est pour ça que je m’en souviens (rires). Ça reste un bon souvenir. Je ne savais pas à quoi m’attendre, c’était tout nouveau pour moi. Je ne savais pas quel allait être mon rôle, j’étais un peu nerveux.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe pense à David Andersen. Sur des petites choses. Il m’a aidé à comprendre comment devenir un professionnel. Il est pro depuis plus de 20 ans donc je pense juste que le fait d’être à ses côtés, parler avec lui m’a beaucoup apporté.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJe regardais jouer tout le monde, mais mon joueur préféré était surement Tracy McGrady. Bien sûr, Michael Jordan aussi. J’ai pu voir Michael Jordan jouer en vrai, mais je n’ai jamais vu McGrady. [__GHOST_URL__/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Isaia Cordinier aux Nets ? Une épée de Damoclès pour Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il a signé trois ans à Nanterre, Isaia Cordinier (1,96m, 22 ans) va t-il faire faux bond à l’équipe de Pascal Donnadieu pour rejoindre les Brooklyn Nets? L’hypothèse n’est pas totalement à exclure.\\n\\nComplètement guéri de ses problèmes aux genoux, Cordinier a effectué une bonne summer league à Las Vegas du 5 au 15 juillet et les Nets possèdent les droits sur lui jusqu’au 31 juillet avec la possibilité de le signer sans indemniser Nanterre !\\n\\n« Pour le moment je me considère comme joueur de Nanterre, je me prépare à jouer avec eux et j’en suis très heureux », déclare le joueur au Parisien. « Brooklyn voulait voir où j’en étais, quelle était mon évolution depuis l’opération. Je suis arrivé mi-juin à Brooklyn, juste après la saison avec Antibes, pour des entraînements et je ne compte couper qu’une semaine cet été pour continuer à progresser. J’ai du temps à rattraper... Ils étaient contents mais je n’en sais pas plus. Dans tous les cas, je serai ravi de ce qui m’attend. Mon objectif est d’aller en NBA et je ferai tout pour l’atteindre tôt ou tard ».\\n\\nPhoto: Sharks" }, {"role": "user", "content":"NBA: Le bilan des Français en summer league" }, {"role": "assistant", "content":"Onze joueurs français, ainsi qu’un Sénégalais JFL, ont participé aux divers rassemblements et matchs de summer league de la NBA début juillet. Quel a été leur rendement ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes « summer leagues » (camps d’été) de la NBA rassemblent toutes les franchises du championnat nord-américain ainsi que, parfois, des équipes nationales de jeunes (cette année, la Chine et la Croatie, avec des effectifs de joueurs le plus souvent âgés de moins de 21 ans). Aucune grande star ne figure dans ces compétitions, ces camps étant pour les franchises l’occasion d’évaluer des joueurs de multiples provenances (sortant de NCAA, évoluant dans des championnats étrangers, joueurs professionnels étrangers plus ou moins confirmés, etc.) et de déterminer lesquels pourraient compléter leur effectif de saison régulière : matchs et entraînements sont scrutés à la loupe par l’encadrement des franchises.\\n\\nComme c’est le cas depuis maintenant plusieurs années, un certain nombre de joueurs français ou issus de la formation nationale ont participé à ces summer leagues (les deux premières se sont tenues à Salt Lake City et en Californie du 1er au 3 juillet, la plus importante, celle de Las Vegas, ayant eu lieu du 5 au 15 juillet). En tout, ce sont douze joueurs « nationaux » (onze Français et Ibrahima Fall Faye, Sénégalais passé par le centre de formation de Chalon et par Poitiers avant d’évoluer cette année à Louvain, en Belgique) qui ont foulé les parquets de ces summer leagues.\\n\\nPour quel résultat ? Le bilan par joueur (par ordre alphabétique).\\n\\nIsaïa Cordinier (Antibes – Brooklyn Nets)\\n\\nStats moyennes : 5 matchs, 17,8 minutes, 7,0 points, 34 % aux tirs, 3,6 rebonds, 1,0 passe, 0,4 interception, 0,8 contre.\\n\\nSon match référence : Brooklyn vs Detroit (105-85) le 13 juillet : 20’46, 20 points, 7/10 aux tirs dont 3/4 à 3 points, 3 rbs, 1 pd, 2 ints, 2 contres, 2 balles perdues.\\n\\nParfois très gourmand (2/13 contre Minnesota), le futur joueur de Nanterre s’est peu à peu imposé dans l’effectif des Nets, se montrant efficace sur de courtes périodes de jeu. Mais, après sa performance face à Detroit, il a sensiblement baissé de pied lors du match suivant, celui contre Minnesota (6 pts, 3 rbds, 1 pd, 1 contre, 1 bp). Sans doute insuffisant pour décrocher une place dans un effectif NBA mais encourageant pour la suite de la carrière d’un joueur longuement blessé.\\n\\nSekou Doumbouya (Limoges – Detroit Pistons)\\n\\nStats moyennes : 1 match, 13 mn, 9 pts à 43 % aux tirs, 2 rbds, 0 pd, 0 int, 0 contre.\\n\\nSon match référence : Brooklyn vs Detroit (105-85) le 13 juillet : 13’22, 1/4 à 3 points, 2 bps.\\n\\nFraîchement drafté en 15eposition par les Pistons, l’espoir de Poitiers et Limoges est arrivé blessé à Las Vegas et les dirigeants de la franchise n’ont pas pris de risques avec le joueur, qui n’a eu droit qu’à un bref passage sur le terrain, face à Isaïa Cordinier. Mais le staff technique de Detroit en sait probablement suffisamment sur le joueur pour le juger sans avoir besoin de cette prestation sans grande signification pour parfaire leurs connaissances à son sujet. Il sera en NBA à la rentrée.\\n\\nIbrahima Fall Faye (Louvain – Miami Heat)\\n\\nStats moyennes : 5 matchs, 12 mn, 3,6 pts, 53 % aux tirs, 4,2 rbds, 0 pd, 0,2 int, 1,2 contre.\\n\\nSon match référence : Miami vs Minessota (87-90) le 10 juillet : 7’31, 6 pts à 3/4 aux tirs, 3 rbds, 3 contres, 3 bps.\\n\\nIbrahima Fall Faye a participé à cinq des huit rencontres disputées par le Heat en Californie puis à Las Vegas. Le tout comme joueur d’appoint, mais sachant rentabiliser son maigre temps de jeu. Il a surtout montré ses qualités défensives, au rebond et au contre. Mais probablement pas de quoi déclencher l’intérêt des scouts NBA.\\n\\n\\n🏀 #NBASummerLeague\\nJaylen Hoard (8pts, 4rbds) et les Blazers se paient les Bucks\\n▶️ https://t.co/JSgnvG9YE7#NBAextra\\n\\n— NBAextra (@NBAextra) July 13, 2019\\n\\n\\nJaylen Hoard (Wake Forest (NCAA) – Portland Trailblazers)\\n\\nStats moyennes : 5 matchs, 22’4 mn, 8,4 pts, 55 % aux tirs, 4,4 rbds, 1,2 pd, 0,6 int, 0 contre.\\n\\nSon match référence : Portland vs Milwaukee (99-84) le 12 juillet : 26’21, 8 pts à 57,1 %, 4 rbds, 1 pd, 2 ints, 2 bps.\\n\\nNon drafté, le fils d’Antown Hoard (passé par Le Havre, Evreux, Boulazac, etc.) et Katia Foucade (ex-internationale française) a tout de même signé un two-way contract avec les Blazers, qui ont profité des summer league pour mieux évaluer celui qui a plutôt brillé avec sa fac de Wake Forest (13,1 pts, 45,8 % aux tirs, 7,6 rbds, 1,5 pd, 0,6 contre). Au final, le staff a dû se montrer satisfait d’un joueur qui, sans jamais faire partie du cinq majeur, a vu son temps de jeu augmenter régulièrement (27’51 et 26’21 sur ses deux derniers matchs contre moins de 20’ sur les parties précédentes). Reste à voir si ces bonnes prestations lui permettront de se faire une place dans l’effectif des Blazers et non en G-League.\\n\\nWilliam Howard (Limoges – Utah Jazz)\\n\\nStats moyennes : 0 match\\n\\nSon match référence :\\n\\nUn peu blessé, le swingman limougeaud n’est pas entré en jeu la moindre minute lors de ces summer leagues. Mais il faut croire que les dirigeants du Jazz en savaient assez à son sujet pour lui offrir un contrat non garanti de trois ans. Il ne fait plus partie de l’effectif de Limoges et devra faire ses preuves lors des prochains camps d’entraînement des Jazz.\\n\\nDavid Michineau (Levallois – Los Angeles Clippers)\\n\\nStats moyennes : 5 matchs, 19’6 mn, 8,0 pts à 43 % aux tirs, 2,0 rbds, 3,4 pds, 0,8 int.\\n\\nSon match référence : Clippers vs Sacramento (83-80) le 11 juillet : 32’28, 14 pts à 45,5 % aux tirs, 5 rbds, 5 pds, 3 ints, 4 bps.\\n\\nOn l’oublie peut-être, mais David Michineau a été drafté en 39e position par les Pelicans de la Nouvelle-Orléans en 2016. Sans jamais fouler les parquets de la grande ligue. Ce qui ne l’empêche pas de régulièrement tenter sa chance lors des summer leagues, avec un certain bonheur, comme le démontrent ses prestations à Las Vegas, où il a fini dans le cinq majeur lors des deux dernières parties. Intéressant, mais suffisant pour décrocher un contrat NBA ?\\n\\nAdam Mokoka (Mega Bemax – Chicago Bulls)\\n\\nStats moyennes : 5 matchs, 28’8 mn, 9,2 pts, 44 % aux tirs, 4,4 rbds, 1,6 pd, 1,0 int.\\n\\nSon match référence : Chicago vs Lakers (96-76) le 5 juillet : 31’16, 10 pts à 37,5 % aux tirs, 8 rbds, 3 pds, 1 bp.\\n\\nFigurant à chaque match dans le cinq majeur de son équipe, l’ancien espoir gravelinois a produit de belles prestations (trois matchs sur cinq à plus de 10 pts) sans trop tirer la couverture à lui : il a pris une seule fois plus de 10 shoots, là où certains de ses coéquipiers n’en prenaient jamais moins de 13. Seules ombres au tableau, une adresse à trois points moyenne (7/21, soit 33,3 %, au total) et un seul match, son match référence, avec un +/- positif. Il a signé en juin un two-way contract avec les Bulls.\\n\\nYannis Morin (Châlons-Reims – Oklohoma City Thunder)\\n\\nStats moyennes : 2 matchs, 12’0 mn, 5,0 pts, 83 % aux tirs, 1,5 rbd, 1,5 contre.\\n\\nSon match référence : Oklahoma vs Croatie (69-68) le 12 juillet : 22’05, 10 pts à 83,3 %, 3 rbds, 3 contres, 0 bp.\\n\\nDéjà passé par les summer leagues et la G-League, Yannis Morin poursuit son rêve de NBA. Avec le Thunder, il n’a guère eu l’occasion de s’exprimer à Las Vegas. Hormis 1’41 sur le terrain face à Philadelphie, il n’a eu qu’un match pour faire montre de ses qualités. Et ce face à une équipe de Croatie principalement composée de jeunes joueurs. Le Champenois y a fait preuve de ses habituelles compétences, défensives comme offensives, affichant par ailleurs l’un des meilleurs +/- de son équipe. Mais on devrait le retrouver en Jeep Élite à la rentrée.\\n\\n\\n🏀 #NBASummerLeague\\nAmine Noua et les Hawks dominent les Spurs ✌️\\n▶️ https://t.co/kl9oOXGxwd#NBAextra\\n\\n— NBAextra (@NBAextra) July 13, 2019\\n\\n\\nAmine Noua (LDLC Asvel – Atlanta Hawks)\\n\\nStats moyennes : 3 matchs, 17,3 mn, 6,7 pts, 35 % aux tirs, 3,7 rbds, 1,3 pd, 2,7 ints, 0,3 contre.\\n\\nSon match référence : Atlanta vs San Antonio (80-72) le 12 juillet : 22’39, 8 pts à 50 % aux tirs, 4 rbds, 3 pds, 5 ints, 0 bp.\\n\\nAuréolé de son titre de champion de France avec Villeurbanne, Amine Noua a surmonté la déception de ne pas avoir été drafté avant de participer à la summer league de Las Vegas avec les Hawks. Après une première prestation délicate (5 pts à 1/7 aux tirs en 14’52), il a été benché deux parties avant de refouler le parquet et de se montrer plus convaincant (7 pts à 3/7 et 4 rbds en 14’43 avant son match référence). Au point de figurer dans le cinq majeur d’Atlanta lors de sa dernière partie, face aux Spurs, où il s’est également distingué avec son 2/2 à trois points (2/7 auparavant) et le meilleur +/- de son équipe. À défaut, sans doute, de signer un contrat NBA, cette summer league lui aura donné de la confiance avant de se confronter à l’Euroleague avec LDLC Asvel.\\n\\nÉlie Okobo (Phoenix Suns)\\n\\nStats moyennes : 4 matchs, 18’5 mn, 10,5 pts, 42 % aux tirs, 1,8 rbd, 1,8 pd, 1,0 int.\\n\\nSon match référence : Phoenix vs Memphis (69-79) le 9 juillet : 25’18, 15 pts à 40 % aux tirs, 2 rbds, 0 pd, 1 int, 4 bps.\\n\\nLes Suns de Phoenix ont vu leur premier match annulé pour cause de... tremblement de terre ! Remis de sa probable frayeur, Élie Okobo a alors commencé piano sa summer league sur le banc (12’ de jeu pour 7 pts à 2/7) avant de retrouver le cinq majeur pour les trois dernières parties et de faire parler son talent offensif (11,6 pts de moyenne sur trois matchs). Celui qui a tourné pour sa première saison en NBA à 5,7 pts et 2,4 pds sur 53 matchs a donc eu l’occasion de montrer qu’il pouvait rendre des services à sa franchise. Lui reste à gagner en agressivité offensive (seulement deux lancers francs tentés en quatre matchs).\\n\\nDarel Poirier (Sans club – San Antonio Spurs)\\n\\nStats moyennes : 3 matchs, 10’4 mn, 4,0 pts, 66 % aux tirs, 2,3 rbds, 0,3 pd, 0,3 contre.\\n\\nSon match référence : San Antonio vs Atlanta (72-80) le 12 juillet : 18’51, 10 pts à 100 %, 3 rbds, 2 bps.\\n\\nNon drafté, Darel Poirier a passé sa saison entre la G-League et l’Italie, avant de retourner aux États-Unis participer au camp NBA G-League Elite. Pendant les summer leagues de Salt Lake City et de Las Vegas, l’ailier fort formé à Cholet n’a guère eu l’occasion de s’exprimer (un match à 10 mn, un autre à 2’54), hormis le dernier match de l’équipe, où il a pu démontrer d’évidentes qualités de finisseur et un tir à trois points fiable (2/2). De là à espérer être appelé par une franchise NBA...\\n\\nGuerschon Yabusele (Boston Celtics)\\n\\nStats moyennes : 2 matchs, 16’5 mn, 2,0 pts à 14 % aux tirs, 3,0 rbds, 1,5 pd, 1,0 int, 1,0 contre.\\n\\nSon match référence : Boston vs Cleveland (89-72) le 8 juillet : 16’44, 4 pts à 33,3 % aux tirs, 2 rbds, 2 pds, 2 ints, 2 contres, 1 bp.\\n\\nSi Guerschon Yabusele espérait en la summer league pour reprendre des couleurs après une saison au bout du banc des Celtics et remonter dans la hiérarchie du club, on peut dire que l’opération est ratée : après deux matchs sans relief et marqués par un manque d’adresse désastreux (1/7 aux tirs en cumulé), l’ancien de la Chorale de Roanne a été tout simplement coupé de l’effectif des Celtics. Une fin en queue de poisson qui augure probablement d’un retour en Europe, à moins que l’ancien 16e de la draft 2016 persiste en son rêve américain et tente l’aventure de la G-League. Mais l’horizon NBA semble bien bouché...\\n\\nPhoto ouverture: Isaia Cordinier\\n\\n[armelse]\\n\\nLes « summer leagues » (camps d’été) de la NBA rassemblent toutes les franchises du championnat nord-américain ainsi que, parfois, des équipes nationales de jeunes (cette année, la Chine et la Croatie, avec des effectifs de joueurs le plus souvent âgés de moins de 21 ans). 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Tout a commencé en demi-finale de la coupe de Grèce, en février, lorsque Oly a refusé de jouer la deuxième mi-temps contre le Pana puis a annoncé que la seule condition pour qu’il rejoue à l’avenir face au Pana était que la ligue fasse arbitrer les matches par des officiels étrangers, ce qu’elle a refusé.\\n\\nLa 14ème place dans la ligue sera comblée par une wildcard et, selon l’assemblée générale, l’Olympiacos ne pourra pas être candidat à cette invitation." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Blois prolonge trois joueurs et le coach Mickaël Hay" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son recrutement était très bien avancé, l’ADA Blois vient de prolonger pas moins de trois joueurs et le coach Mickaël Hay pour la saison prochaine.\\n\\nSur Facebook, le champion de France Pro B 2018 annonce que Benjamin Monclar, Thomas Cornely et Tyren Johnson feront toujours partie de l’effectif à la rentrée. Ils vivront ainsi respectivement leur septième, quatrième et troisième saison au club.\\n\\nDe son côté, Mickaël Hay a également prolongé son bail d’une saison et va vivre son septième exercice sur le banc de l’ADA.\\n\\nEn 2018/19, Blois a terminé septième du classement de Pro B (19v-15d) mais n’a pas fait le poids face à Rouen, futur finaliste, et s’est incliné en deux manches en quart de finale des playoffs d’accession.\\n\\nhttps://www.facebook.com/ADABloisBasket41/posts/10157571268812262?xts[0]=68.ARBZXY1TKoyg5ZWbjsYWxJyRMOTP3ceEuCNHnQmrp-4Kv8ZQUzB3Ty2Tpk5yCFlKOlY5Dr5Q5pYBTdsvYnYKmh_Vve9-JI-FB53rTze5eQ9fVtcKmy0I6KebJ56M4W2-5NwtlJlS3ZnN5-0bw3nDlm9Hbp5MXnukg7BRQqh2jVvNzqbsu3w5rsPg9QZJsgz4Of3Ol1FccvzkaAO7MqVfAEFNCWkMjLZyg06R4ahcctuDlYVOgUCW8nNYM4SJ0tCI2yBGlq0hZzblH8D393Rx2Ox8JfJAm_vwS1kbqi2hKmuTJLX4m5rQaPr-Vg_skNncf2zZxtEvRPySKWxSEA&tn=-R\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Sekou Doumbouya revient en Père Noël dans son quartier à Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"Récemment drafté par les Detroit Pistons, Sekou Doumbouya est revenu dans son quartier de l’Argone à Orléans et avec la complicité de son équipementier, il a joué le Père Noël en juillet en distribuant des baskets et en signant des autographes.\\n\\n\\n📍Orléans – l'Argone – 18/07/19\\nBack on the block\\n\\nMusique : @dossehofficiel feat Koba laD – Sombre Gainage\\n\\n#45 #45 #45 #45 pic.twitter.com/g17BQiSykU\\n\\n— Sekou Doumbouya (@sekou_doums) July 19, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Turquie : Cameron Clark (Le Mans) pour rejoindre Dwight Hardy (ex Limoges) au Bahcesehir ?" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir recruté l’arrière limougeaud Dwight Hardy, le Bahcesehir serait sur le point d’annoncer la signature du Manceau Cameron Clark (2,01m, 27 ans).\\n\\nSelon Ismail Senol, le champion de France 2017 avec Chalon va quitter la Jeep Elite pour retourner en Turquie, où il avait signé en 2017/18, à Gaziantep avant de se blesser au plateau tibial, ce qui l’avait prisé de toute la saison. Avec le Bahcesehir, il vivra donc sa vraie première expérience en BSL.\\n\\nCette saison, Cameron Clark compilait en moyenne 13,6 points et 3,6 rebonds pour une évaluation de 12,6 en Jeep Elite, et 12,3 points et 4,8 rebonds pour une évaluation de 9,2 en Champions League.\\n\\n\\nBahçeşehir Koleji, Cameron Clark ve Dwight Hardy ile resmi sözleşme imzaladı. Bu sene izlemesi keyifli, dengeli bir takım kurdular. Geçen seneden ders çıkarmaları çok güzel.\\n\\n— İsmail Şenol (@ismailsenol) July 18, 2019\\n\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Italie : Julian Gamble (Nanterre) a signé à la Virtus Bologne" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Nanterre, Julian Gamble (2,08m, 29 ans) quitte la France pour l’Italie.\\n\\nSelon Sportando, le pivot américain a trouvé un accord avec la Virtus Bologne pour un contrat de deux ans avec le vainqueur de la dernière édition de la Champions League, qui évoluera en Eurocup à la rentrée. Avant d’arriver à Nanterre, l’ancien pensionnaire de l’université de Miami a lancé sa carrière professionnelle à Saint-Vallier, en Pro B. Par la suite, il est passé par la Belgique (Bruxelles), l’Allemagne (Bonn) et l’Asvel.\\n\\nCette saison, Julian Gamble compilait en moyenne 9,5 points et 5,3 rebonds entre la Champions League et la Jeep Elite.\\n\\nDepuis son départ de Nanterre, Julian Gamble porte le maillot de Hunan dans la ligue chinoise.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Etats-Unis: James Harden ne fera pas la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le New York Times James Harden (1,96m, 29 ans) a prévenu le coach de Team USA Gregg Popovich qu’il ne participera pas à la Coupe du monde en Chine. Le motif? Il préfère se consacrer à la prochaine saison NBA.\\n\\nMVP de la NBA en 2018, encore dans la first team la saison écoulée, le meneur/arrière des Houston Rockets avait été champion du monde en 2014.\\n\\nIl s’agit du deuxième forfait d’envergure après celui de Anthony Davis.\\n\\nLa pré-sélection\\n\\nMeneurs : Damian Lillard, Kyle Lowry, Kemba Walker\\n\\nExtérieurs : Brad Beal, Khris Middleton, P.J. Tucker, Harrison Barnes, Eric Gordon, Donovan Mitchell, Jayson Tatum, C.J. McCollum.\\n\\nIntérieurs : Andre Drummond, Kevin Love, Myles Turner, Kyle Kuzma, Brook Lopez, Paul Millsap, Tobias Harris." }, {"role": "user", "content":"Arnaud Guppillotte (coach des U18 féminines): «On court, on saute, on est de plus en plus costaud»" }, {"role": "assistant", "content":"Au rapport compétitions/médailles, Arnaud Gruppillotte, 43 ans, est imbattable : 11 médailles (2 en or, 6 en argent, 3 en bronze) en 12 campagnes avec des équipes de France féminines de jeunes. Après l’argent au Mondial U17 durant l’été 2018, le Vosgien a emmené le week-end dernier les U18 au bronze à l’Euro. C’était méritoire car lui faisaient défaut Marine Fauthoux et Iliana Rupert, déjà avec les A, Kendra Chery et Zoé Wadoux, blessées, et aussi Vaciana Gomis qui n’a pu jouer que neuf petites minutes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvec les quatre joueuses supplémentaires, ce n’était plus la même équipe ?\\n\\nNon. On en rigolait avec le staff en disant que si on avait eu ces quatre joueuses là, on aurait bu des mojitos tous les soirs au lieu de faire du scouting ! Qu’est-ce qui nous manque en demi-finale ? (NDLR: défaite contre la Hongrie, 57-68). Il y a un accident sur la route entre l’hôtel et le gymnase, on est resté une heure et demie dans le bus et on est arrivé vingt-cinq minutes avant le début du match. Ils nous ont octroyés cinq minutes d’échauffement. Il y a mieux pour commencer un match ! Ça nous a mis dans le bazar en début de match et on a couru après. Mais on gagne l’Espagne sans les quatre, on développe un basket où on est quatrième attaque en étant à 73 points par match, ce qui est vraiment bien. On est premier en défense, au rebond, aux passes, à l’adresse générale, deuxième adresse à trois-points. On a développé un jeu magnifique. Oui, avec deux joueuses sur les quatre, on passait la demi-finale quelque soit les circonstances. Mais les absences ont les connaissait à l’avance. On savait depuis janvier, février, que Kendra et Zoé étaient blessées. Il n’y avait pas de surprises et surtout les présentes ont fait le travail. Les coaches adverses tout comme Jacky Commères (NDLR : Directeur de la Performance et des équipes nationales à la FFBB) m’ont dit qu’ils ne misaient pas trop sur l’équipe, ils ne pensaient pas que l’on ferait une médaille avec autant d’absences. Il y a aussi Vaciana Gomis qui s’est blessée au premier match. C’était vraiment notre facteur X car elle a fait une préparation crescendo. C’était notre défenseur, notre joueuse de jeu rapide, notre driveuse ++. Sur les derniers matches de préparation, c’est elle qui faisait sauter les verrous en permanence. Le fait qu’elle se blesse nous a mis dans la difficulté car on avait fait une équipe en tant compte d’elle. Elle était dans le cinq majeur donc en fait on avait un cinq majeur en moins. Les collègues des autres équipes m’ont dit que si on leur enlevait deux joueuses du cinq majeur, ils ne seraient même pas en quart-de-finale. « Toi avec un cinq majeur en moins, tu arrives à faire médaille de bronze. Et sans les circonstances de début de match contre la Hongrie, tu peux faire médaille d’or. » Il y a la qualité des joueuses qui étaient présentes et aussi leur investissement car il y avait beaucoup de débutantes. Quatre ou cinq joueuses n’avaient jamais fait de CE. On n’avait pas de marge de manoeuvre mais elles ont fait un CE vraiment splendide. C’est une très belle médaille de bronze.\\n\\nC’est une génération 2001 exceptionnelle ou est-ce simplement la traduction de ce qu’est aujourd’hui le basket féminin français ?\\n\\nC’est un peu des deux. C’est la douzième campagne que je fais et je peux dire qu’il y a une vraie belle génération 2001 et si on ajoute des 2002 ça permet d’avoir cette densité-là. J’ai envie de dire aussi qu’il y a une montée de la qualité du travail de formation et il y a de plus en plus de bonnes joueuses formées. On tire le niveau avec les « stars », Marine, Iliana, Kendra mais il y a d’autres joueuses qui poussent le niveau vers le haut. Je trouve que le niveau moyen + du basket féminin français s’est amélioré. Il y a encore du travail à faire ! Je viens d’avoir au téléphone Vincent Bourdeau qui sort d’un match en moins de 15 contre l’Espagne où ils ont pris 20 points contre l’Espagne. Il m’a dit qu’on est en retard sur les fondamentaux. Même s’ils n’étaient pas au complet à ce tournoi de l’Amitié et que l’Espagne l’était. Mais on peut se féliciter de la qualité du travail qui est fait, par les clubs, les centres de formation, les comités, les ligues, les pôles espoirs, etc. C’est vraiment pas mal mais il ne faut pas s’en satisfaire.\\n\\nL’une de vos joueuses, Marie Pardon va à Tarbes rejoindre Marine Fauthoux ?\\n\\nOui, elles vont faire le duo des meneuses. Elles sont toutes les deux avec Iliana en Martinique. Elles s’entendent comme larrons en foire. Il y aura aussi Tima Pouye qui est plutôt en 2. Il va y avoir de l’ambiance ! François (Gomez) va devoir s’accrocher, il va s’arracher les cheveux blancs (rires).\\n\\nA propos de Marine Fauthoux et Iliana Rupert : « Ce sont en plus des gamines adorables, qui sont à la fois pros et insouciantes et c’est très, très rare »\\n\\nVous avez donc eu personnellement 11 médailles en 12 campagnes. C’était avec les U18 ou d’autres catégories d’âge ?\\n\\nJ’ai voyagé sur quatre catégories : U16, U17, U18 et U20. Je parlais avec mon staff des différentes générations : j’ai commencé en 2007, douze ans ce n’est pas grand-chose à l’échelle du basket, et il y a pourtant une belle évolution. Lorsque j’ai commencé, il y avait trois coaches et c’est tout. C’est un des coaches qui faisaient la préparation physique avec des connaissances empiriques. Là, on était à deux préparateurs physiques durant la compet. Dans mes contenus pédagogiques et de programmation, il y a 40% de préparation physique. Ça joue beaucoup pour à la fois ne pas se blesser, impacter sur nos qualités et pour reproduire les performances. Le fait que l’on ait intégré depuis une petite dizaine d’années la préparation physique et les préparateurs physiques à part entière dans la formation et de manière très professionnelle, ça a changé pas mal de choses. On ne faisait pas n’importe quoi mais on faisait avec ce que l’on avait et nos connaissances alors que là c’est pointu. Quand je vois ce qu’ont fait Julien Colombo et Julien Claude cet été avec l’équipe, c’est incroyable. On ne sentait pas à la fin que les joueuses avaient sept matches dans les pattes.\\n\\nC’est ça aussi qui explique que l’équipe de France est souvent meilleure que ses adversaires dans le quatrième quart-temps ?\\n\\nIl y a ça et puis aussi cette année je pouvais faire jouer tout le monde. Mon plus petit temps de jeu c’est onze minutes par match. On a un effet rouleau compresseur parce qu’on a de la rotation. Certaines équipes ont un cinq majeur et après c’est le désert de Gobi. L’Espagne a eu ça avant nous, ils avaient des staffs avec des préparateurs physiques, ils faisaient beaucoup de préparation physique, et aujourd’hui ils sont moins dominants. L’Espagne ne m’a jamais posé de problème et je ne me souviens plus la dernière fois que l’on a perdu contre elle. Maintenant que l’on fait plus de préparation physique, nos qualités d’explosivité et de puissance se réitèrent. Avant on pouvait faire un coup de temps en temps, alors que là on réitère tout. Ça a changé la donne. On court, on saute, on est de plus en plus costaud. Et il y a le travail technique qui est associé à la préparation physique. Je prône un basket très aéré avec beaucoup d’enchainements, de possessions, de passes et de traversées de terrain. Il y a une évolution à tous les niveaux : technique, tactique et physique.\\n\\nDeux joueuses de cette génération sont donc en équipe de France A. D’autres vont-elles suivre ?\\n\\nIl ne faut pas faire de généralité car ce sont deux joueuses exceptionnelles. Marine et Iliana conjuguent l’insouciance dans la performance avec des qualités techniques et tactiques au-dessus du lot, une capacité d’adaptation, une prise de recul sur la pression qu’elles pouvaient avoir. Ce sont de vraies joueuses de basket au sens littéral du terme. Des joueuses qui conjuguent toutes ses qualités-là, on en n’aura quand même pas tous les ans. Ce sont des exceptions. Je ne pense pas que deux joueuses de 18 ans, même pas 18 ans pour Iliana, étaient ensemble en équipe nationale (NDLR : à ce niveau de performance de l’équipe de France, c’est une grande première). Je souhaite que l’exception devienne une généralité, ça serait une bonne nouvelle pour notre formation et notre basket... Ou alors une mauvaise nouvelle pour celles qui sont là depuis un certain temps car ça voudrait dire qu’elles n’avancent pas (sourire). Mais j’étais très content pour elles car ce sont en plus des gamines adorables, qui sont à la fois pros et insouciantes et c’est très, très rare. Elles étaient sur la plage en Martinique et elles ont regardé nos matches, elles nous ont envoyés des messages. Ce sont des gamines qui connaissent leur talent mais qui ne disent pas « nous, on vaut plus que les autres. » Elles sont humbles, travailleuses et ambitieuses et c’est pour ça que ce sont des exceptions. Elles ont tout compris au truc.\\n\\nPhoto d’ouverture: Yohana Ewodo, Serena Kessler et Jade Hamaoui (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nAvec les quatre joueuses supplémentaires, ce n’était plus la même équipe ?\\n\\nNon. On en rigolait avec le staff en disant que si on avait eu ces quatre joueuses là, on aurait bu des mojitos tous les soirs au lieu de faire du scouting ! Qu’est-ce qui nous manque en demi-finale ? (NDLR: défaite contre la Hongrie, 57-68). Il y a un accident sur la route entre l’hôtel et le gymnase, on est resté une heure et demie dans le bus et on est arrivé vingt-cinq minutes avant le début du match. Ils nous ont octroyés cinq minutes d’échauffement. Il y a mieux pour commencer un match ! Ça nous a mis dans le bazar en début de match et on a couru après. Mais on gagne l’Espagne sans les quatre, on développe un basket où on est quatrième attaque en étant à 73 points par match, ce qui est vraiment bien. On est premier en défense, au rebond, aux passes, à l’adresse générale, deuxième adresse à trois-points. On a développé un jeu magnifique. Oui, avec deux joueuses sur les quatre, on passait la demi-finale quelque soit les circonstances. Mais les absences ont les connaissait à l’avance. On savait depuis janvier, février, que Kendra et Zoé étaient blessées. Il n’y avait pas de surprises et surtout les présentes ont fait le travail. Les coaches adverses tout comme Jacky Commères (NDLR : Directeur de la Performance et des équipes nationales à la FFBB) m’ont dit qu’ils ne misaient pas trop sur l’équipe, ils ne pensaient pas que l’on ferait une médaille avec autant d’absences. Il y a aussi Vaciana Gomis qui s’est blessée au premier match. C’était vraiment notre facteur X car elle a fait une préparation crescendo. 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Son jeu correspond parfaitement à ce que souhaite mettre en place Alfred Julbe. A ce moment du mercato, quand les JFL référencés se font rares, nous sommes heureux de pouvoir signer Nicolas. » commente Crawford Palmer, le directeur sportif." }, {"role": "user", "content":"Pro B : François Peronnet rejoint Youri Verieras à Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Remercié par la nouvelle direction du Limoges CSP, François Peronnet (46 ans) n’a pas tardé à trouver un nouveau job.\\n\\nSur son site, le SLUC Nancy annonce l’arrivée de l’ancien coach d’Orléans en tant qu’assistant de Christian Monschau. Entraîneur principal du CSP depuis la fin novembre 2018, c’est à Nancy que le natif de Chaumont a démarré sa carrière de coach avec les sections jeunes du SLUC entre 1995 et 1998. Il retrouvera en Lorraine son ancien président à Limoges, Youri Verieras, devenu directeur général du club nancéien.\\n\\nDepuis ses débuts d’entraîneur, François Peronnet est passé par Chalon-sur-Saône, ASVEL, Orléans, Châlons-en-Champagne, Bourg-en-Bresse, Quimper, Limoges et Tokyo." }, {"role": "user", "content":"Féminines: La France dispensée des qualifications à l’Euro 2021" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort des qualifications pour l’EuroBasket 2021 féminin aura lieu le 22 juillet à l’aéroport de Munich. La France et l’Espagne, co-organisatrices, en seront dispensées. Une bonne affaire pour la santé de nos internationales !\\n\\n33 pays vont participer à ces qualifications et seront répartis en neuf groupes. Six groupes de quatre équipes et trois groupes de trois équipes. Il y aura des matches aller-retour dans chaque groupe. Les neuf vainqueurs de chaque groupe et les cinq meilleures équipes occupant la deuxième place seront qualifiés pour la phase finale.\\n\\nPour le tirage au sort, les 33 équipes ont été réparties en quatre chapeaux.\\n\\nCes qualifications seront programmées sur trois fenêtres, les 10 et 18 novembre 2019, du 8 au 16 novembre 2020 et du 31 janvier au 8 février 2021.\\n\\nLes tournois de qualification olympique auxquels la France est qualifiée en tant que finaliste de l’EuroBasket 2019 sont programmés en février 2020." }, {"role": "user", "content":"Bourg-en-Bresse : Malcolm Cazalon prêté en Belgique ?" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé l’été dernier à Bourg après deux ans à l’INSEP Malcolm Cazalon (1,97m, 17 ans) n’a été que très peu aperçu sur les parquets de Jeep Elite. Il se pourrait même qu’il soit prête ailleurs pour s’aguerrir la saison prochaine.\\n\\nSelon Emiliano Carchia de Sportando, le jeune arrière français devrait rejoindre la Belgique. Il serait sur le point d’être prêté à Louvain pars la JL Bourg. Le club belge a terminé à la neuvième et avant-dernière place du championnat belge en 2018/19 avec 10 victoires et 26 défaites.\\n\\nCette saison, Malcolm Cazalon compilait en moyenne 0,9 point et 0,5 rebond en moins de 4 minutes de jeu en Jeep Elite. Il a aussi disputé deux matchs avec les Espoirs pour 8,5 points, 1,5 rebond et 5 passes décisives pour une évaluation de 12 en 15 minutes.\\n\\n\\nFrench top prospect Malcolm Cazalon is expected to play next season on loan in Belgium with Leuven Bears, a source told Sportando\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 19, 2019\\n\\n\\nPhoto: Guilherme Amorin" }, {"role": "user", "content":"Calendrier Euroleague 2019-2020: Olympiakos et Panathinaikos, premiers adversaires de l’ASVEL à l’Astroballe" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le CSKA Moscou a été sacré champion d’Europe fin mai, il est désormais temps de connaitre le calendrier de la saison prochaine.\\n\\nL’édition 2019/20 de l’euroleague démarrera les jeudi et vendredi 3 et 4 octobre. Pour son retour dans la compétition reine, l’ASVEL recevra lors des deux premiers matchs et pas n’importe qui. Le club de Tony Parker accueillera coup sur coup l’Olympiakos et le Panathinaïkos.\\n\\nQuelques dates importantes :\\n\\n * Vendredi 4 octobre : match des champions entre Valence, vainqueur de l’Eurocup, et le CSKA Moscou, vainqueur de l’Euroleague.\\n * Jeudi 14 novembre : le Clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone au WiZink Center de Madrid.\\n * Vendredi 6 décembre : le derby de Grèce entre le Panathinaïkos et l’Olympiakos.\\n * Vendredi 24 janvier : le déplacement d’Ettore Messina et Milan à Istanbul pour affronter le Fenerbahce et Zeljko Obradovic. Un choc de coach au sommet.\\n\\nLe calendrier complet est à découvrir ici.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Shawn Jones dans la raquette de Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Pour densifier sa peinture après la signature de Ryan Pearson, Boulazac vient de mettre la main sur Shawn Jones (2,03m, 27 ans), annonce le club.\\n\\nFormé à l’université de Middle Tennessee, le natif de Miami a d’abord tenté sa chance en G-League avant d’arriver en Europe en 2015/16 et de signer à Andorre. Depuis, il est passé par l’Hapoel Jerusalem, Avellino, Sassari et il évoluait cette saison à l’Hapoel Holon. Inconnu en France, il vivra sa première expérience en Jeep Elite en Dordogne.\\n\\nThomas Andrieux s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Après l’arrivée de Ryan sur le poste 4, nous souhaitions densifier notre secteur intérieur, notamment sur l’aspect du rebond, et l’impact dans la raquette près du cercle. En ce sens, Shawn a déjà démontré lors de ces dernières saisons en Italie, et encore l’an dernier en Israël toutes ces compétences dans ce domaine. Auteur de sorties solides en BCL FIBA Champions League, tout d’abord à Avellino en 17-18, puis la saison passée à Holon. Nous sommes très heureux de son arrivée au BBD »\\n\\nCette saison, Shawn Jones compilait en moyenne 9,3 points et 5,9 rebonds entre le championnat et la Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro 2021: La France est tête de série" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA Europe vient de dévoiler les modalités du tirage au sort pour les qualifications à l’EuroBasket 2021 qui se tiendra le lundi 22 juillet à Munich. La France est tête de série.\\n\\n32 pays participeront à ces qualifications... y compris les pays hôtes de la phase finale, Allemagne, Géorgie, Italie et République Tchèque. Les équipes seront réparties en huit groupes de quatre et chaque équipe jouera les autres par le système aller-retour. Les trois équipes les mieux classées de chaque groupe seront qualifiées pour la phase finale. Sauf... pour les groupes où il y aura un des pays hôtes où seulement les deux autres équipes les mieux classées seront qualifiées. Oui, c’est la FIBA !\\n\\nLes têtes de série sont déterminées par le ranking mondial de la FIBA.\\n\\nCes qualifications se joueront lors de trois fenêtres : 17 et 25 février 2020, 23 octobre et 1er novembre 2020 et 15 et 23 février 2021.\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce: L’ancien Dijonnais Rion Brown engagé par le Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"Vu à la JDA Dijon il y a deux saisons, l’arrière shooteur/ailier Rion Brown (1,98m, 27 ans) connait une belle promotion en étant engagé par le Panathinaikos annonce le club. Il s’agit d’un contrat 1+1.\\n\\nRion Brown est passé par Israël (Hapoël Tel Aviv), la Belgique (Excelsior Bruxelles), la Finlande (Kataja), la Jeep Elite (JDA Dijon) et était déjà la saison dernière en Grèce à Promitheas Patras où il a cumulé 15,1 points, 4,8 rebonds et 1,9 passe. De quoi taper dans l’oeil du Pana." }, {"role": "user", "content":"Killian Hayes à Limoges: Réponse aujourd’hui ?" }, {"role": "assistant", "content":"Grand espoir du basket français, Killian Hayes (1,85m, 18 ans) est selon Le Courrier de l’Ouest tout proche d’un accord avec Limoges. Et sa signature pourrait être rendu publique dès aujourd’hui.\\n\\n« Après plusieurs semaines de tractations, le club du limousin et CB semblent avoir trouvé un terrain d’entente financier relatif aux trois années de contrat de Hayes dans les Mauges. Quant au buy-out que récoltera le club de Killian Hayes si celui-ci est bien drafté au 1er tour de la NBA en juin 2020 (Ndlr : 750 000 dollars, soit 665 000 €), Cholet, le CSP et l’entourage américain du joueur semblent proches d’un accord », écrit le quotidien du Maine-et-Loire.\\n\\nKillian Hayes veut absolument jouer une coupe d’Europe et le CSP est engagé en Eurocup.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Yohan Senez à la présidence de Denain, le coach Rémy Valin a re-signé" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASC Denain Voltaire PH a un nouveau président puisque Alain Place a quitté sa fonction et Yohan Senez a été élu à sa place.\\n\\nYohan Senez, 35 ans, est le directeur de cabinet et de la communication de la ville de Denain.\\n\\n« Je suis sur que Yohan va faire un bon président et que ce club continuera sur la voie de la Pro B », commente Alain Placé sur les réseaux sociaux. « La Pro B à Denain est quelque chose d’important. C’est l’occasion pour le club et la ville d’avoir un rayonnement national. »\\n\\nQuant au nouveau président, il ne manque pas de renvoyer l’ascenseur:\\n\\n« Je remercie de tout cœur les membres du Conseil d’Administration de Denain Voltaire pour la confiance qu’ils me témoignent en m’élisant ce soir Président du club. Un salut amical et plein de reconnaissance à Alain Place, qui a porté et incarné l’ASCDV-PH pendant ces six dernières années, qui en a redressé les finances et rendu possible de magnifiques moments de Basket. Merci de tout cœur mon cher Alain ! Je suis ravi que tu restes parmi nous avec des responsabilités moins prenantes, mais toujours au sein de l’équipe que nous formons. Je peux dès ce soir annoncer que notre coach Rémy Valin a resigné pour la saison 2019/2020, et que nous communiquerons sur la nouvelle équipe de Dragons dès la semaine prochaine. Nul doute qu’elle nous fera rêver et vibrer ! »\\n\\n\\nAlors que le Président Alain Place nous quitte ce soir, il voulait vous délivrer un dernier message avant d’entamer la nouvelle saison 🔴⚪️ pic.twitter.com/znX6APq7MV\\n\\n— DENAIN VOLTAIRE (@denainvoltaire) July 18, 2019\\n\\n\\nPhoto: Yohan Senez" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Pas de Tristan Thompson avec le Canada" }, {"role": "assistant", "content":"Etre pré-sélectionné ne veut pas toujours dire accepter l’invitation. C’est ainsi que Tristan Thompson (2,08m, 28 ans), l’ailier-pivot des Cleveland Cavaliers a fait savoir qu’il ne sera pas à la prochaine Coupe du monde.\\n\\nTristan Thompson, c’est 10,9 points et 10,2 rebonds la saison dernière en NBA et aussi une présence défensive de chaque instant.\\n\\nPossible adversaire de la France au deuxième tour, le Canada conserve toutefois quantité d’armes de premiers choix." }, {"role": "user", "content":"Grèce: Olympiakos engage le Lituanien Mindaugas Kuzminskas" }, {"role": "assistant", "content":"Avec l’ailier Mindaugas Kuzminskas (2,06m, 29 ans), Olympiakos a engagé un joueur confirmé d’Euroleague.\\n\\nLe Lituanien a joué 158 matches dans la compétition européenne reine. Tout d’abord au Zalgiris Kaunas puis à Malaga et Milan où il séjournait depuis deux ans. Il a aussi 69 matches aux New York Knicks à son palmarès.\\n\\nEn 30 matchs d’EuroLeague la saison dernière, Kuzminskas a enregistré une moyenne de 8,5 points (46,9% à trois-points) et 3,3 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Rudy Gobert confirme ses ambitions pour la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"De nouveau élu meilleur défenseur de l’année en NBA, Rudy Gobert (2m16, 27 ans) est en pleine confiance. Et comment ?\\n\\nIl sort de sa meilleure saison en carrière à 16 points, 13 rebonds, 2 contres, 2 passes et 1 interception par match ! Le tout à 66% de réussite, là aussi un record en carrière.\\n\\nDe retour en France, et à Saint Quentin notamment où il tient ses camps d’été pour les jeunes, le pivot tricolore a également confirmé ses ambitions pour la prochaine Coupe du Monde, qui se tiendra en Chine à partir du 31 août prochain.\\n\\n« On ne va pas venir pour s’amuser. Il faut essayer de gagner tous les matchs et viser l’or », a entonné Gobert dans une interview pour la FIBA. « C’est un de mes rêves de remporter une médaille d’or olympique ou la Coupe du Monde. On sait que ce sera difficile, mais c’est l’objectif. C’est ce qu’on doit viser. »\\n\\nVersés dans le Groupe G, avec l’Allemagne, la Jordanie et la République Dominicaine, les Bleus devront se retrousser les manches d’entrée de jeu. Un mal pour un bien certainement.\\n\\nLe dernier souvenir de compétition internationale étant plutôt amer, sortie sans gloire en huitièmes – face à l’Allemagne, l’Equipe de France et Rudy Gobert ont un beau défi à relever. Première étape : Shenzhen.\\n\\n« On doit jouer notre meilleur basket pour bien défendre nos couleurs. C’est beaucoup de fierté et de plaisir. Tu te dois de donner tout ce que tu as. »\\n\\nCar derrière dès le second tour, ça s’annonce corsé avec un brassage avec le « groupe de la mort » dont le Canada, l’Australie, la Lituanie et le Sénégal." }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Jeremy Medjana (agent de Comsport), 3e partie, à propos de la Ligue Féminine : «Je n’ai jamais eu autant de contrats à dépasser les 100 000€»" }, {"role": "assistant", "content":"En 1996 naissait Comsport, une agence qui a commencé à faire parler d’elle en mettant en lumière la Slam Nation, une prestigieuse troupe de dunkers. Un quart de siècle plus tard, toujours avec à sa tête Bouna Ndiaye et Jeremy Medjana, Comsport a pignon sur rue en NBA avec la signature de quelques-uns des plus beaux fleurons du basket français à des sommes qui donnent le vertige. L’agence est aussi très présente en France avec notamment dans son écurie une large majorité des internationales.\\n\\nJeremy Medjana nous parle de son agence, du marché, et d’un métier à qui il consacre environ 180 jours par an à se déplacer.\\n\\nL’interview est en trois parties. Voici la troisième.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCela vous arrive-t-il souvent que certains de vos joueurs ont des difficultés pour être payés par des clubs européens ?\\n\\nNon car on évite de mettre des joueurs dans des clubs en difficulté ou du moins on essaye de prendre un maximum de précautions. Ça fait très longtemps que ça ne nous est plus arrivé. Même chez les filles, je ne les mets pas dans un club par défaut.\\n\\nAinsi, vous avez Valériane Ayayi, qui est dans l’un des meilleurs clubs d’Euroleague, Prague ?\\n\\nC’est un club très solide où sont passées Elodie Godin et Sandra Le Dréan très longtemps qui y a fini sa carrière. Ça s’est toujours très bien passé. Ce sont des gens que je pratique depuis très longtemps donc je sais où je mets les pieds. A Ekaterinbourg, j’ai mis Sandrine (Gruda) neuf ans, Laurent Buffard, Jacky Moreau. Ekat c’est exceptionnel, un autre monde. Je ne sais même pas si un club masculin offre les mêmes conditions en Europe. Je crois qu’ils ont sept ou huit avions privés. C’est incroyable. Le président de la holding qui détient le club, c’est la 422e fortune au monde. C’est inouï qu’une personne comme ça soit à la tête d’un club féminin. C’est pour ça que j’ai peur que ça soit l’hégémonie pour très longtemps. Ça fait deux années de suite qu’ils gagnent, ils couraient après ça depuis très longtemps. Ils veulent tout gagner autant d’années qu’ils pourront. Il n’y a pas de limite, de problèmes d’argent. Breanna Stewart avait signé à Ekat. Comme elle ne jouera pas, je pense qu’ils vont garder la même équipe à laquelle ils vont rajouter (Jamierra) Falkner, une meneuse américaine avec un passeport russe qui était blessée, et (Jonquel) Jones, qui a un passeport européen. Ils étaient déjà intouchables et ils vont encore se renforcer sachant en plus qu’ils devaient avoir Stewart. Ils sont vraiment hors catégorie. On en rigolait avec Tony (Parker), qui me disait que comme ça ils avaient peut-être une chance de faire le Final Four voir peut-être même de jouer la finale, ce qui est vrai.\\n\\nEkaterinbourg appauvrit un peu les autres concurrents ?\\n\\nOui, même si ça reste solide. Prague est capable de payer des joueuses quasiment 500 000. Ce n’est pas anodin. Mais on sait bien que malgré tout l’argent n’a pas toujours été déterminant. La preuve, Prague a eu beaucoup moins de budget que d’autres clubs et ils ont réussi à gagner l’Euroleague (NDLR: en 2015). Mais, malgré tout, j’ai bien peur que Ekaterinbourg soit devenu intouchable. Les dés ne sont-ils pas pipés pour longtemps ?\\n\\nDe combien est leur budget ?\\n\\nPeut-être une quinzaine de millions. C’est plus que le budget de l’ASVEL. Et les charges là-bas ne sont pas comparables. Quinze millions à Ekaterinbourg c’est peut-être vingt-cinq ici.\\n\\nCombien de joueuses de l’équipe de France actuelle sont chez Comsport ?\\n\\nEn général, neuf-dix. Je ne travaille plus avec Sandrine (Gruda) depuis qu’elle n’est plus à Ekat. Elle a arrêté avec moi pour travailler avec son mari. Et j’ai arrêté de travailler avec Olivia Epoupa de mon propre chef.\\n\\nPourquoi les transferts en Ligue Féminine se font-ils dès le mois de janvier alors que chez les garçons c’est beaucoup plus tard ?\\n\\nParce qu’il y a des présidents qui sont impatients et qui veulent à tout prix faire leur équipe très rapidement. C’est un peu la panique, la course à la joueuse française (sourire). Je ne cache pas que c’est quelque chose qui n’est pas super car il y a trop d’inconnues à cette période-là au niveau des clubs pour prendre tout le temps les bonnes décisions. Villeneuve qui jouait l’Euroleague cette année est en train de jouer pour se maintenir (NDLR : les playdowns). Tu peux te trouver en difficulté si tu t’es engagée trop tôt. Après, ce sont les joueuses qui décident. Il faudrait qu’elles soient toutes à l’unisson en décidant de ne pas se lier aussitôt dans la saison.\\n\\nÇa devrait être la même chose chez les garçons ? C’est le fait que la plupart des meilleures joueuses soient en France qui provoque ce phénomène ?\\n\\nCe n’est bizarrement pas le même mécanisme et je ne saurais pas l’expliquer. Il y a quelques présidents qui ne veulent pas s’embêter à recruter tard, ils veulent aller vite, et les autres emboîtent le pas. Il ne faut pas se mentir : ce sont les riches qui recrutent en premier. Bourges a quasiment toujours eu la primeur.\\n\\nC’est quand même curieux : on parle des transferts alors que la saison régulière n’est même pas terminée. De plus, cette année, ils ont été rendus publics alors que d’habitude ça reste plus ou moins secret ?\\n\\nIl y a aussi une petite émulation, une rivalité entre clubs qui ont des moyens conséquents. Il n’y a plus que Bourges. Il y a Bourges, Lyon et Montpellier. Basket Landes aussi est monté en budget, Charleville-Mézières. Il y a plusieurs clubs qui sont capables aujourd’hui de proposer des contrats importants. Je n’ai jamais eu autant de contrats à dépasser les 100 000 euros que cette année. J’en avais deux qui avaient dépassé les 100 000 euros sur les quinze dernières années et cette année, j’en ai fait sept ou huit. Etrangères et Françaises.\\n\\n« Pour Marine Johannès à peu près la moitié des clubs WNBA nous ont contactés »\\n\\nC’est vous qui avez mis en contact Marine Johannès avec le New York Liberty ?\\n\\nOn a été contacté par les clubs pour Marine. Je pars d’un principe simple : ce n’est pas nous qui décrétons d’aller dans les grands clubs étrangers ou en WNBA. Ce sont eux qui décident. Je dis toujours aux joueuses et aux joueurs, soyez les meilleurs possibles et les bonnes choses arriveront, à l’image d’une Marine ou d’un Vincent Poirier. Quand tu es bon, les choses viennent à toi.\\n\\nUn club comme New York a des scouts en Europe qui le renseignent sur la valeur des meilleures joueuses ?\\n\\nForcément. Le recrutement se fait beaucoup via leurs propres joueuses.\\n\\nBria Hartley peut faire la pub de Marine Johannès ?\\n\\nEnormément. En WNBA, elles sont beaucoup dans cet esprit-là. Ils ne sont pas aussi développés que chez les mecs au niveau du scouting (NDLR : Emmeline Ndongue avait été ainsi recommandée aux Los Angeles Sparks par Lisa Leslie suite à un face à face en Europe). Après, je suis partenaire avec Boris Lelchitski de l’agence Sigsports, qui est mon témoin de mariage, qui a embauché l’ancienne joueuse portugaise Tina Penichero, qui est agent. Ils ont une position très dominante en WNBA avec, je crois, quatre ou cinq joueuses par club. En fait, ce n’est pas facile pour une joueuse européenne d’aller en WNBA car il y a des frais qui sont importants notamment pour faire le visa alors que pour une joueuse sur place il n’y a pas le même coût pour le visa de travail. Ça veut dire que quand tu es étrangère, il faut vraiment être très forte. Emma Meesseman, Sandrine Gruda, Ann Wauters, ce sont les grosses joueuses qui ont fait carrière en WNBA et il n’y en a pas tant que ça.\\n\\nComme Marine Johannès va faire le championnat d’Europe, elle n’est pas libre de suite. C’est donc peut-être plus difficile de négocier un contrat ?\\n\\nA peu près la moitié des clubs nous ont contactés mais je voulais aussi avoir une garantie même si je mets ça entre guillemets. Je crois que techniquement, Marine va être suspendue afin que son contrat ne rentre pas en ligne de compte au niveau de la masse salariale. On est tombé d’accord pour que Marine rejoigne le Liberty après l’équipe de France. Ça veut dire qu’elle ne va pas faire la préparation et qu’elle va arriver en cours. Il y a deux clubs qui avaient accepté ça, Phoenix et New York. On a choisi ensuite celui qui nous paraissait le plus enclin à son épanouissement. Après, il faut aller sur la place et être bon, c’est tout (sourire).\\n\\nFaire trois saisons en une, n’est-ce pas trop ?\\n\\nJe sais bien mais il n’y a pas trop le choix. Son rêve de toujours à Marine c’est de jouer en WNBA. On a essayé de trouver le meilleur compromis. C’est vrai que c’est problématique l’enchainement de toutes ces compétitions entre le club, l’équipe de France et la WNBA. C’est lourd. Après, je ne suis pas sûr qu’elle joue 40 minutes en WNBA. C’est la première fois qu’elle va le faire, on va voir ce que ça va donner. Elle avait une opportunité qui est concrète, ils ont accepté qu’elle arrive après, c’était difficile de demander mieux.\\n\\nEst-elle bankable comme disent les Américains ? Son image peut-elle intéresser des sponsors ?\\n\\nOui, elle est bankable car elle a un style de jeu qui est hyper spectaculaire. En plus c’est une très belle fille. Elle a tous les arguments entre le jeu, son physique et sa personnalité pour faire quelque chose de bien. Au niveau marketing, New York c’est le plus gros marché au monde. Après, on parle de basket féminin, je ne m’emballe pas. On a même vu avec Tony (Parker), il n’a pas fait grand-chose en terme de marketing. Ce n’est pas si simple. J’en parlais avec un de mes jeunes joueurs : il y a (Giannis) Antetokounmpo mais lui il est passé dans la catégorie des superstars. C’est rare pour un étranger. Il y a eu Dirk Nowitzki mais ce n’était pas un joueur spectaculaire, en tous les cas pas comme le voit les jeunes. Ce n’est pas le plus flashy, le plus gros jumpeur. Quand tu vois Zion Williamson qui a déjà trois millions de followers sur Instagram, on voit que les gamins sont attirés par le côté spectaculaire, le dunk.\\n\\nToutes proportions gardées, Marine Johannès provoque en Europe un buzz qui est exceptionnel ?\\n\\nC’est une joueuse hyper spectaculaire et pour un club comme Ekaterinbourg c’est important d’avoir une joueuse comme elle. Quand tu as 6 500 spectateurs pour les matches à domicile, c’est plus sympa d’avoir Marine Johannès. Tu vas avant tout pour voir un spectacle. Quand on voit Earvin Ngapeth au volley, c’est plus excitant de le voir que d’autres. On a besoin d’entertainment et Marine fait partie de cette catégorie rare qui est vraiment dans l’air du temps.\\n\\nL’ASVEL pourra t-elle à court terme jouer un Final Four ?\\n\\nOui, je pense. Même Bourges. Peut-être Montpellier. Mais la marge est étroite. Tony et Nicolas (Batum) ont été clairs sur leurs ambitions. L’ASVEL a fait une équipe qui sur le papier peut aller très loin si elle est confirmée comme ça puisque Marine a l’opportunité d’aller dans un club européen avant le 30 juin. Si elle reste telle quelle c’est une équipe excitante et hyper talentueuse.\\n\\n * Installée à Toulouse, la société gère les intérêts d’environ 65 personnalités du sport dont les basketteurs Rudy Gobert, Mickaël Gelabale, Céline Dumerc, Helena Ciak et les handballeurs Daniel Narcisse et Thierry Omeyer.\\n\\n[armelse]\\n\\nCela vous arrive-t-il souvent que certains de vos joueurs ont des difficultés pour être payés par des clubs européens ?\\n\\nNon car on évite de mettre des joueurs dans des clubs en difficulté ou du moins on essaye de prendre un maximum de précaution. Ça fait très longtemps où ça ne nous est plus arrivé. Même chez les filles, je ne les mets pas dans un club par défaut.\\n\\nAinsi, vous avez Valériane Ayayi, qui est dans l’un des meilleurs clubs d’Euroleague, Prague ?\\n\\nC’est un club très solide où sont passées Elodie Godin et Sandra Le Dréan très longtemps qui y a fini sa carrière. Ça s’est toujours très bien passé. Ce sont des gens que je pratique depuis très longtemps donc je sais où je mets les pieds. A Ekaterinbourg, j’ai mis Sandrine (Gruda) neuf ans, Laurent Buffard, Jacky Moreau, Caroline Aubert. Ekat c’est exceptionnel, un autre monde. Je ne sais même pas si un club masculin offre les mêmes conditions en Europe. Je crois qu’ils ont sept ou huit avions privés. C’est incroyable. Le président de la holding qui détient le club, c’est la 422e fortune au monde. C’est inouï qu’une personne comme ça soit à la tête d’un club féminin. C’est pour ça que j’ai peur que ça soit l’hégémonie pour très longtemps. Ça fait deux années de suite qu’ils gagnent, ils couraient après ça depuis très longtemps. Ils veulent tout gagner autant d’années qu’ils pourront. Il n’y a pas de limite, de problèmes d’argent. Breanna Stewart avait signé à Ekat. 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L’ASM est un club très ambitieux. C’est super motivant d’apprendre d’un coach comme Sasa Obradovic. Il a la philosophie du très haut niveau. Jouer pour lui c’est un peu comme jouer en Eurolegue. Il a l’exigence des plus grands et c’est aussi l’exigence que je veux appliquer à moi-même pour aller plus haut. On ne gagne pas dans la facilité. C’est la culture de la victoire. On voit le recrutement. L’équipe qui est train de se bâtir montre toute l’ambition du club. Là où je suis vraiment content, c’est que ma progression suit celle du club, pour moi, c’est un peu symbolique. Je suis arrivé en 2015, je découvrais la Pro A en même temps que la Roca Team. La saison prochaine, on va se battre pour aller chercher des titres. Même quand tu as tout donné, que tu es allé au bout de toi-même, pour le club, pour l’organisation, pour les fans, c’est tellement frustrant de perdre une finale. Avec Dee (Bost), on aura cette rage de vaincre à transmettre dans le vestiaire ».\\n\\n\\n\\nComme un goût d’inachevé\\nI’m back!!! @asmonaco_basket #lesvraissavent #daghemunegu https://t.co/40dZoJMp5Q\\n\\n— yak (@yakubaouattara) July 18, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Calendrier: La FIBA réduit la charge sur les joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un article précédent, nous évoquions la surcharge des calendriers. La fédération internationale a conscience de ce phénomène et depuis 2014 elle met en place des actions concrètes pour réduire la cadence qui s’abat sur les joueurs de très haut niveau. Dans toutes les strates de son nouveau format de compétitions internationales, la cadence est allégée. Voici un récapitulatif.\\n\\nL’Euro ? 9 matches au lieu de 11\\n\\nLa FIBA a initié cette réflexion en 2014 et les premiers effets se sont fait sentir dès l’Euro 2015. A l’Euro 2013 où la France l’emporte, l’équipe de Vincent Collet ainsi que la Lituanie finaliste ont disputé 11 matches. Dès 2015, ce chiffre est redescendu à 9 rencontres au maximum.\\n\\nFin des back-to-back\\n\\nEn 2017 ont été rajouté deux jours supplémentaires de repos dans le calendrier de façon à ce que le format garantisse qu’aucune équipe ne puisse jouer plus de deux jours de suite, contrairement à ce qui se pratiquait avant.\\n\\nCoupe du monde ? 8 matches au lieu de 9\\n\\nPour la Coupe du Monde 2019, en dépit d’un passage de 24 à 32 équipes, le nombre matches se réduit de 9 (édition 2014) à 8 désormais. Et le nouveau format exclut désormais deux matches en deux jours pour les équipes.\\n\\nJO ? 6 matches au lieu de 8\\n\\nEnfin, aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020, le nombre de matches joués par l’équipe vainqueur va passer de 8 pour les éditions précédentes à 6.\\n\\nUn été off et des préparations raccourcies\\n\\nCes constats participent d’une réflexion plus large en la matière. Pour rappel, la période de préparation avant une compétition majeure a également été ramenée de 5 à 4 semaines. On peut ajouter à cela qu’un été sur quatre, comme cela a été le cas en 2018, se déroule désormais sans compétition majeure.\\n\\nUne charge répartie sur un réservoir plus large\\n\\nEnfin, même avec le nouveau système des fenêtres qualificatives, un format très court avec des préparations resserrées où les équipes nationales puisent dans un large répertoire permet de répartir plus équitablement qu’avant la charge de travail imposée par l’appel sous les drapeaux.\\n\\n26% de temps de mobilisation en moins\\n\\nLa FIBA expliquait ainsi en 2017 que, sur l’intégralité d’un cycle olympique, le temps de mobilisation des joueurs en sélection était ainsi réduit de 26% sur l’ensemble de ses compétitions, fenêtres incluses. Donc même si désormais, des matches de qualification se joue au cours de la saison, au total, la charge qui pèse sur les joueurs est allégée.\\n\\nA l’écoute\\n\\nAutre exemple récent, le calendrier pour les qualifications pour les compétitions continentales de 2021 (l’EuroBasket pour la France) vient d’être reprogrammé, notamment à la demande de certaines fédérations, passant ainsi de quatre à trois fenêtres. La FIBA est toujours ouverte à la discussion, à la concertation avec ses partenaires pour trouver des solutions et optimiser le calendrier, tout en gardant la santé des joueurs et donc une charge réduite au centre de ses préoccupations.\\n\\nLa BCL, la plus légère de compétitions européenne\\n\\nDernier exemple, le calendrier de la Basketball Champions League est le plus léger des trois grandes compétitions européennes. 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Malgré tout, les Français gardent leur avance et sont toujours devant à la pause (35-22) après avoir terminé le deuxième quart-temps sur une égalité (10-10).\\n\\nDans le troisième quart-temps, c’est le scénario inverse du huitième de finale qui se dessine. Les Français ne sont plus aussi incisifs en défense et en attaque rien ne va, les pertes de balle se multiplient sur attaque placée. Les Croates en profitent d’ailleurs pour revenir à deux points en fin de période (43-41). Après 30 minutes de jeu, les deux équipes sont même à égalité, 47 partout.\\n\\nPour le dernier quart-temps, la France revient à ce qui a fait sa force en première période et face à l’Ukraine : la défense. Portés par l’agressivité de Ludovic Beyhurst, Dylan Affo Mama ou encore Calvin Hippolyte, les Français repoussent les Croates qui ne trouvent plus de solution en attaque. Affo Mama inscrit plusieurs dunks pour donner de l’air à son équipe et Ludo Beyhurst termine le travail dans les deux dernières minutes avec un step-back à deux points et un panier en pénétration plein de touché et de sang-froid. Les 50 dernières secondes se jouent sur la ligne des lancers francs mais Yohan Choupas (3/4) et consorts ne tremblent pas et s’imposent 71-63.\\n\\nMeilleur joueur de la rencontre, Dylan Affo Mama a une nouvelle fois fait parler son impact physique. En 24 minutes, il a compilé 17 points (8/12 aux tirs), 2 rebonds et 4 interceptions malgré deux lay-up très précieux ratés dans le troisième quart-temps. Boxscore complète ici.\\n\\nEn demi-finale, la France sera opposée au vainqueur du match entre Israël et la Lituanie." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le zapping des Bleues à l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Dans cette vidéo, la FFBB nous propose le zapping des Bleues à l’Euro ou l’équipe de France côté coulisses.\\n\\nPhoto: Sandrine Guda (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : vers une prolongation de Shane Larkin à l’Anadolu Efes" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en Europe cette saison après avoir passé l’exercice 2017/18 avec les Boston Celtics, Shane Larkin (1,80m, 26 ans) pourrait poursuivre son aventure en Turquie.\\n\\nSelon Eurohoops, le meneur de jeu américain aurait informé le club qu’il souhaite continuer et les deux partis seraient tombés d’accord sur un contrat d’un an plus une autre année en option. L’ancien joueur de Vitoria disposerait de clauses de départ pour la NBA à l’été 2020. 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Pour le quotidien sportif espagnol, les budgets des deux clubs ne seront pas très éloignés même si Albert Soler, le directeur du Barça a déclaré que son club ne disposera pas du plus gros du basket espagnol.\\n\\nArrêtons nous sur quelques chiffres fournis par Mundo Deportivo.\\n\\nLe Barça va faire quelques économies puisqu’il s’est délesté de Chris Singleton (3 millions d’euros brut la saison) et Kevin Seraphin (2,2 à 2,5M€). 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Comme on s’attend cette saison que celui-ci soit proche de un milliard d’euros (!), les autres sections pourront se permettre un dépassement de 50M€. Comme le dit Mundo Deportico, « cela augmente la flexibilité quand il s’agit de faire le budget du basket azulgrana. »\\n\\n*A titre de comparaison, L’Equipe annonce une masse salariale net de 2,4M€ pour l’ASVEL soit la plus faible des 18 équipes d’Euroleague." }, {"role": "user", "content":"Europe: Halte au calendrier surchargé !" }, {"role": "assistant", "content":"93. C’est le nombre de matches que pourrait disputer lors de la saison 2019-20 une équipe d’Euroleague espagnole qui irait jusqu’au Final Four et en finale de l’ACB avec un Match 5. C’est ce qu’a calculé Marca, qui parle à juste titre, de saison la plus éprouvante de l’histoire du basket européen.\\n\\nSi les demi-finales de la Ligue Endesa atteignent le cinquième match, les finalistes pourraient même être obligés de jouer deux jours de suite, les 9 et 10 juin, ce qui n’est jamais arrivé.\\n\\nCeci est la conséquence de l’expansion à 18 équipes de l’Euroleague avec ainsi quatre journées supplémentaires de saison régulière. La compétition européenne reine débutera une semaine plus tôt (3 octobre) pour se terminer une semaine plus tard avec le Final Four (22 et 24 mai).\\n\\nDe son côté, l’ASVEL peut potentiellement jouer plus de quatre-vingts matches (34 de saison régulière de Jeep Elite et autant de saison régulière d’Euroleague, plus éventuellement Leaders Cup, Coupe de France, playoffs de Jeep Elite et on n’envisage pas les playoffs d’Euroleague), ce qui est déjà énorme.\\n\\nLes internationaux ne seront pas au bout de leurs travaux forcés car la FIBA veut aussi montrer sa puissance. Il y a aura de nouveau des fenêtres l’hiver pour les qualifications à l’Euro 2021 (les clubs d’Euroleague n’avaient pas libéré leurs joueurs pour celles de 2018 et 2019, qu’en sera t-il de l’ASVEL?) et se présentera pour les pays non encore qualifiés le tournoi pré-olympique du 23 au 28 juin. Seules les deux premières nations européennes à la Coupe du monde en seront exemptées. Puis en cas de qualification les J0 de Tokyo du 26 juillet au 9 août. Puis la saison 2020-21. Puis..." }, {"role": "user", "content":"William Howard (Limoges) a signé trois ans avec les Utah Jazz" }, {"role": "assistant", "content":"Les Utah Jazz ont annoncé cette nuit avoir signé deux joueurs, Stanton Kidd et le Français William Howard. Selon la politique de l’équipe, les termes des accords n’ont pas été publiés mais l’agence de l’ancien Limougeaud Inception Sports précise que la durée de son contrat est de trois ans. Précision importante, le contrat n’est pas garanti.\\n\\nWilliam Howard faisait partie de l’équipe des Utah Jazz engagée à la fois à la Summer League de Salt Lake City et de Las Vegas mais il n’est pas entré en jeu. Il a expliqué à France 3 Nouvelle Aquitaine pourquoi:\\n\\n« Je n’ai pas joué la Summer League parce que j’étais blessé. J’ai encore deux semaines de repos pour récupérer ma mobilité. J’en profite pour régler mes affaires en France et préparer mon déménagement. Début août, j’attaque. Il va falloir que je m’entraîne et que je retrouve ma forme pour le « training camp » (stage d’entraînement) au mois d’octobre. «\\n\\nLa saison dernière, William Howard a tourné à 9,2 points, 4,1 rebonds et 2,4 passes avec le Limoges CSP en Jeep Elite.\\n\\nVous pouvez lire ICI le portrait que Basket Europe lui a consacré lors de son arrivée à Limoges.\\n\\n\\n\\nCongrats to William Howard on signing a three-year contract with the Utah Jazz. @whow25 @utahjazz @NBA pic.twitter.com/PzcMqhK20B\\n\\n— Inception Sports (@Inception_Bball) July 17, 2019\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Ben Bentil (ex CCRB) passe de Peristeri au Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"Passé par Châlons-Reims, Ben Bentil (2,06m, 24 ans) continue de monter en grade et s’engage avec le Panathinaïkos.\\n\\nSur son site, le Pana annonce la signature de l’intérieur ghanéen pour les deux prochaines saisons. Formé à l’université de Providence, il est passé par la G-League, la Chine, la France et l’Espagne. A l’intersaison 2018, l’ancien joueur du Bilbao s’est engagé avec Peristeri avant d’attirer l’oeil du Panathinaïkos. Il vivra donc sa première expérience en Euroleague à la rentrée.\\n\\nCette saison, Ben Bentil compilait en moyenne 12,2 points et 6,6 rebonds en championnat.\\n\\nPhoto : Peristeri BC" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Jeremy Medjana (agent de Comsport), 2e partie : «Si Vincent Poirier va en NBA, ça sera direct. Il ne fera pas de summer league»" }, {"role": "assistant", "content":"En 1996 naissait Comsport, une agence qui a commencé à faire parler d’elle en mettant en lumière la Slam Nation, une prestigieuse troupe de dunkers. Un quart de siècle plus tard, toujours avec à sa tête Bouna Ndiaye et Jeremy Medjana, Comsport a pignon sur rue en NBA avec la signature de quelques-uns des plus beaux fleurons du basket français à des sommes qui donnent le vertige. L’agence est aussi très présente en France avec notamment dans son écurie une large majorité des internationales.\\n\\nJeremy Medjana nous parle de son agence, du marché, et d’un métier à qui il consacre environ 180 jours par an à se déplacer.\\n\\nL’interview est en trois parties. Voici la deuxième.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIntervenez-vous dans le conflit qui oppose la fédération sénégalaise et la fédération française à propos de Youssoupha Fall, qui aimerait rejoindre les Bleus ?\\n\\nBouna est intervenu. Il y a eu dans un premier temps un accord du président sénégalais. Il est revenu sur son accord à partir du moment où la FIBA n’a pas donné son aval, en disant qu’il voulait le récupérer. Tout ce que je sais c’est que Youssoupha ne jouera pas pour le Sénégal et donc à un moment donné, il n’y a aucun intérêt à empêcher un joueur de jouer ailleurs. La décision appartient à la FIBA.\\n\\nC’est le fait que la NBA ne recherche plus trop les big men qui fait qu’il n’a pas intéressé ses clubs ?\\n\\nS’il continue d’évoluer, il a toujours une chance de faire la NBA. Il y en a moins mais il y a encore quelques grands comme (Boban) Marjanovic. On ne peut pas dire que c’est impossible. C’est un joueur qui progresse d’année en année. D’un point de vue moteur, technique. Quand on voit les progrès qu’il a fait cette année aux lancers-francs. Il a aussi progressé sur sa main gauche. Lui comme Vincent (Poirier) arrivent à maturité tardivement. Ce sont des grands qui ont commencé très tard. On sait bien que le fait d’avoir joué au basket avant 18 ans au Sénégal ne l’a pas mis dans les meilleures dispositions.\\n\\n« Sekou montre plein de prédispositions pour le basket moderne. Il est capable de défendre sur plein de postes, il fait partie des athlètes d’élite. Il y a toujours plein d’aléas mais je suis assez confiant »\\n\\nCet été, votre joueur numéro 1 qui se présente à la draft NBA, c’est Sekou Doumbouya. Il va faire des camps ?\\n\\nOui, bien sûr, il y a tout un plan qui est mis en place. On ne l’accompagne pas à chaque fois, ça n’a pas de sens. Ce n’est pas comme ça que tu lui apprends à devenir fort et à être autonome. Comme la plupart il va s’entraîner à Dallas mais ça dépend de Limoges par rapport aux playoffs. Sekou montre plein de prédispositions pour le basket moderne. Il est capable de défendre sur plein de postes, il fait partie des athlètes d’élite. Il y a toujours plein d’aléas mais je suis assez confiant. Je le suis aussi pour Vincent Poirier, qui aura peut-être la chance d’y aller plus tardivement en terme d’âge. Il sera peut-être plus prêt avec l’expérience acquise en Euroleague.\\n\\nIl va aussi faire des tryouts cet été ?\\n\\nNon. Si Vincent y va, il le signe en garantie en direct. Il ne fera pas de summer league. Il n’a plus à prouver sa valeur, il fait partie des meilleurs intérieurs de l’Euroleague. Le meilleur essai à faire c’est d’aller le voir jouer en live.\\n\\nRevenons sur votre activité. Combien de temps passez-vous chaque jour au téléphone ?\\n\\nEntre 13 et 15 heures.\\n\\nVous avez aussi le décalage américain dans la tête ?\\n\\nBien sûr, on regarde les matches importants surtout les playoffs. Je n’irai pas cette année car ma femme doit accoucher mais j’étais l’année dernière en playoffs. Mais par exemple, Bouna était avant-hier au match à Houston pour voir Rudy (Gobert). Il rend visite à nos joueurs quasiment une fois par mois sur toute la saison. C’est fatigant mais pour nous ce n’est pas un métier c’est une passion. Tant que la passion reste intacte, ça va (rires). Pour l’instant c’est le cas, on adore ce que l’on fait et quand c’est le cas c’est évidemment plus facile. L’avantage que l’on a avec Bouna c’est que l’on a une réussite qui a fait que l’on a pu étoffer le staff en interne, ça permet de déléguer beaucoup de choses et ça nous permet de nous concentrer sur le cœur de notre métier qui est le suivi et le conseil. Les premières années ont été vraiment intenses en terme d’investissement. Parfois avec Bouna on ne dormait que quatre heures par nuit. Je ne sais pas comment il fait mais Bouna dort très peu. Moi, quand je dors sept heures j’ai l’impression d’avoir fait une grasse mat’. C’est un rythme que l’on a pris.\\n\\n« On fait un peu exception car avec Bouna on a capitalisé mais ce n’est pas si simple que ça que de rentrer dans la cours des grands dans le métier d’agent »\\n\\nComment êtes-vous jugés par les instances aujourd’hui ?\\n\\nJ’étais au Final Four de l’Euroleague féminine avec Kamil Novak (NDLR : le Directeur Exécutif de la FIBA Europe) et franchement ça se passe super bien. Plus on a avancé et mieux ça s’est passé, il y a une forme de respect qui s’est instaurée. Quand tu es sérieux, les gens reconnaissent ton travail et quand tu rentres dans la cour des plus grandes agences, forcément il y a un travail derrière. C’est comme un joueur, quand il rentre dans la cour des grands c’est qu’il a travaillé pour ça. J’ai vu l’évolution des relations avec la fédé et avec la ligue, elles sont allées dans le bon sens au fil des années.\\n\\nVous avez l’impression de faire partie du mécanisme de fonctionnement du basket alors qu’à une époque, vous étiez les trublions ?\\n\\nAutant le métier d’agent est reconnu aux Etats-Unis à part entière, autant ici ça a mis du temps. On a quelque part malheureusement la malchance que le métier d’agent est souvent décrié à travers ce qui se passe dans le football. Aux Etats-Unis, les sports majeurs sont représentés par des syndicats puissants mais selon moi les choses y sont mieux réglementées. Dans le football, il y a tellement d’argent mais j’ai du mal à comprendre qu’un (Mino) Riola à travers un (Paul) Pogba puisse gagner 40 ou 50 millions d’euros sur un transfert. Au final, le joueur est floué. C’est pourquoi aux Etats-Unis, tu ne peux pas toucher plus de 4% et les transferts sont limités à 700 000 dollars cette année, je crois 725 000 l’année prochaine. C’est mieux car je crois que grâce à ça, il n’y a pas de déboires.\\n\\nL’examen fédéral pour devenir agent est-il devenu aussi un moyen de faire un tri sur la qualité des gens qui veulent faire ce métier-là ?\\n\\nJe pense. Matthieu Nicolas l’a eu cette année du premier coup. Ce n’est pas un examen si évident que ça, mais si tu as la motivation, que tu le prépares et que tu as un peu de capacité, il n’y a pas de raison que tu ne l’aies pas. C’est vrai que dans le football et les sports en général, ils veulent qu’il y ait moins d’agents car ils estiment qu’il y en a déjà beaucoup trop. Il n’y en a pas beaucoup qui peuvent vraiment vivre de ce métier.\\n\\nUne dizaine en France ?\\n\\nUne petite dizaine. On fait un peu exception car avec Bouna on a capitalisé mais ce n’est pas si simple que ça que de rentrer dans la cours des grands dans le métier d’agent.\\n\\nComment jugez-vous aujourd’hui le marché français vis-à-vis du marché étranger ?\\n\\nLe basket est toujours à une place un peu anonyme même si l’arrivée de l’ASVEL va être forcément une bonne chose. Ils ne vont pas avoir un très gros budget et ils vont lutter contre des mastodontes, mais on ne va pas se plaindre, ce que fait Tony (Parker) à l’ASVEL, ça se respecte, c’est exceptionnel. Ça va faire du bien qu’un club français puisse rejouer l’Euroleague pendant deux ans garantis. Il faut espérer que ce soit une locomotive et que l’on en ait peut-être un deuxième dans les années à venir tels que Strasbourg ou Paris. On a besoin d’avoir un peu plus d’exposition et ainsi un peu plus d’intérêt d’un point de vue médiatique. Quand Nanterre ou Strasbourg ont fait des exploits contre des grands d’Europe, ça a tout de suite eu un retentissement bien plus important même si on n’est pas sur des chaînes hertziennes et on reste très peu vu. Et la NBA passe la nuit et très peu de gens vont se lever à 2 ou 3h pour regarder les matches. On travaille le lendemain !\\n\\nVotre agence Comsport est-elle beaucoup impliqué dans l’Euroleague ? Avez-vous beaucoup de joueurs ?\\n\\nQuelques-uns. On est content que Valence soit qualifié pour l’Euroleague de la saison prochaine du moins avec Louis Labeyrie puisque Antoine (Diot) est en fin de contrat et on va voir ce qui va se passer avec lui. On voit ce que fait Vincent Poirier à Vitoria, l’année prochaine, Youssoupha Fall y sera aussi. On a Kevin Séraphin qui est à Barcelone. C’est important d’avoir des joueurs en Euroleague et je pense qu’il y a beaucoup de joueurs talentueux dans les nouvelles générations et ceux qui n’arriveront pas en NBA, pas mal d’entre-eux auront une chance d’accéder à l’Euroleague. C’est important pour nous d’avoir des jeunes qui jouent la meilleure compétition européenne de clubs. On le voit par rapport à Vincent Poirier. D’être performant en Euroleague ça peut permettre à un moment donné d’accéder à la NBA. Ça pourrait se passer pour lui.\\n\\nDe la Nationale 1 au top de l’Euroleague en si peu de temps, c’est peut-être progression comme on en n’a jamais vu ?\\n\\nPourquoi ? Le travail et aussi le fait que Vincent a commencé le basket très tard et sa marge de progression est encore très importante. J’avais vu ça avec Sandra Dijon. Quand je l’ai récupérée, elle avait 25 ans. Elle faisait une première saison en Ligue Féminine avec Istres et derrière, elle a progressé beaucoup car elle a commencé tard. Pareil pour Jean-Michel Baptiste Adolphe. A son arrivée de Guadeloupe, il avait 25 ans. Vincent a commencé à 17 ans sauf qu’il fait 2,13 ou 2,15m et que le potentiel est d’autant plus important. Alors, oui, Vincent Poirier a une ascension qui est assez fulgurante. Du jamais vu effectivement. Il a commencé à être performant en N1 avec l’INSEP, ça a été un déclic et derrière, il y a eu le changement de coach à Levallois avec Freddy Fauthoux qui était plus enclin à faire jouer les jeunes. Freddy, ça fait partie de sa fibre et on le voit avec Ivan Février cette année. Je suis content pour Vincent car il le mérite, c’est un bosseur. Et il a encore une belle marge de progression, elle est où sa limite ?\\n\\n[armelse]\\n\\nIntervenez-vous dans le conflit qui oppose la fédération sénégalaise et la fédération française à propos de Youssoupha Fall, qui aimerait rejoindre les Bleus ?\\n\\nBouna est intervenu. Il y a eu dans un premier temps un accord du président sénégalais. Il est revenu sur son accord à partir du moment où la FIBA n’a pas donné son aval, en disant qu’il voulait le récupérer. Tout ce que je sais c’est que Youssoupha ne jouera pas pour le Sénégal et donc à un moment donné, il n’y a aucun intérêt à empêcher un joueur de jouer ailleurs. La décision appartient à la FIBA.\\n\\nC’est le fait que la NBA ne recherche plus trop les big men qui fait qu’il n’a pas intéressé ses clubs ?\\n\\nS’il continue d’évoluer, il a toujours une chance de faire la NBA. Il y en a moins mais il y a encore quelques grands comme (Boban) Marjanovic. On ne peut pas dire que c’est impossible. C’est un joueur qui progresse d’année en année. D’un point de vue moteur, technique. Quand on voit les progrès qu’il a fait cette année aux lancers-francs. Il a aussi progressé sur sa main gauche. Lui comme Vincent (Poirier) arrivent à maturité tardivement. Ce sont des grands qui ont commencé très tard. 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Jeremy Medjana et Bouna Ndiaye entourés de Ian Mahinmi, Rudy Gobert et Kevin Seraphin." }, {"role": "user", "content":"La photo: Will Yeguete de retour chez les Gators" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien Manceau et désormais Monégasque Will Yeguete a été étudiant aux Florida Gators avec qui il a atteint le Final Four de la NCAA en 2014. Etudiant un jour, étudiant toujours. Will a rendu visite cette semaine à sa fac qui l’a salué d’un tweet.\\n\\n\\nOur guy @Will15Yeguete made his way back home & got a chance to talk to the team today.\\n\\nWill won on & off the court! 3 Elite Eights, a Final Four & a @UF grad. Great to see you, Will. #GatorsAlways pic.twitter.com/5j2wwUMF2w\\n\\n— Florida Gators Men’s Basketball (@GatorsMBK) July 16, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Monaco : Paul Lacombe et Yakuba Ouattara visent l’étranger" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir commencé un recrutement plutôt intéressant avec Dylan Ennis, Anthony Clemmons, Kim Tillie ou encore Wilfried Yeguete, Monaco va devoir redoubler d’efforts pour remplacer deux de ses hommes forts.\\n\\nD’après les informations de L’Equipe, Paul Lacombe (1,95m, 29 ans) et Yakuba Ouattara (1,93m, 27 ans) ne comptent pas rempiler avec la Roca Team. Les deux internationaux français se voient plutôt à l’étranger. Le quotidien rapporte que l’ancien strasbourgeois aurait été approché par le Zalgiris Kaunas tandis que l’ancien arrière bondissant de Denain serait tourné vers l’Espagne.\\n\\nCette saison toujours dans son rôle d’homme à tout faire, Paul Lacombe tournait à 11,2 points, 5,2 rebonds, 3,3 passes décisives et 1,6 interception entre le championnat et l’Eurocup. De son côté, Yakuba Ouattara compilait en moyenne 11,1 points et 3,6 rebonds.\\n\\nPhoto : LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Céline Dumerc, Edouard Choquet, Antoine Eito... Tu t’es vu quand tu seras vieux ?" }, {"role": "assistant", "content":"Les résultats de l’application FaceApp font fureur depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. Voulez-vous voir la tête que vous aurez dans 30, 50 ans? Ce saut dans le temps est possible y compris pour les basketteuses et basketteurs et certains s’en donnent à coeur joie.\\n\\nVoici quelques exemples saisissants avec Céline Dumerc (Basket Landes), Edouard Choquet (Fos), les Manceaux Antoine Eito, DJ Stephens, Valentin Bigote et Terry Tarpey et Luigi Datome, l’Italien de Fenerbahçe pour qui on ajoute la photo originale." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Anthony Clemmons pour épauler Dee Bost à la mène de Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Monaco poursuit son recrutement avec le meneur de jeu américano-kazakh Anthony Clemmons (1,88m, 24 ans)\\n\\nSur son site, la Roca Team annonce la signature de l’ancien pensionnaire de l’université d’Iowa pour la saison prochaine. Il est passé par l’Allemagne et la VTB League avant d’atterrir en France.\\n\\n« Je suis vraiment très heureux de signer à Monaco... Il y a cinq ans, avec mon Université d’Iowa, nous avions effectué un trip en Europe. Après un match à Londres, nous avions pris un vol pour aller visiter Monaco. J’avais 19 ans à peine, je fus ébloui par l’endroit et je n’aurais jamais osé penser revenir des années plus tard en tant que joueur de l’AS Monaco Basket ! Je vais découvrir la Ligue française, je pense que la VTB a été le bon endroit pour s’acclimater et évoluer dans le contexte du jeu européen. Je connais bien Dee Bost, que j’ai affronté avec Astana lorsqu’il était à Khimki. C’est un joueur de haut niveau, on va tout faire pour former une paire efficace. Monaco a de fortes ambitions, le challenge est passionnant. En Russie, coach Obradovic a réussi de grandes choses avec Kuban, finaliste de l’EuroCup, ce sera un honneur de travailler sous ses ordres ».\\n\\nCette saison, Anthony Clemmons compilait en moyenne 13,3 points, 3,3 rebonds, 5,4 passes décisives et 1,5 interception par match.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Peter Jok arrive à Cholet" }, {"role": "assistant", "content":"Après Vafessa Fofana et Chris Horton, Cholet annonce la signature de Peter Jok (1,98m, 25 ans) pour une saison.\\n\\nFormé à l’université de Iowa, cet ailier soudanais évoluait depuis deux saisons en G-League sous les couleurs des Northern Arizona Suns. Il va vivre à Cholet sa première expérience en Europe.\\n\\nErman Kunter a donné son ressenti sur son nouvel ailier.\\n\\n« C’est un poste 3 shooteur, qui possède des qualités athlétiques, lui permettant également de jouer 2. 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Après avoir passé un an en France au BCM, l’ancien joueur des Celtics a pris la direction de l’Hapoel Jerusalem pour l’exercice 2018/19, où il évoluait aux côtés d’Amar’e Stoudemire.\\n\\nCette saison, Chris Johnson compilait en moyenne 10,1 points et 3,9 rebonds entre le championnat et la Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié / BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 : la France file en quart de finale" }, {"role": "assistant", "content":"En Israël pour l’Euro U20, l’Equipe de France était opposée ce mercredi à l’Ukraine en huitième de finale de la compétition.\\n\\nFace à une rugueuse sélection ukrainienne, les joueurs de Jean-Aimé Toupane sont tenus en échec pendant toute la première mi-temps mais sont tout de même devant après 20 minutes de jeu (26-23).\\n\\nDe retour des vestiaires, les coéquipiers d’Ivan Février se remettent en marche et mettent surtout un coup d’accélérateur. Ils provoquent des tirs difficiles grâce àleur défense, profitent du jeu rapide notamment grâce à Yohan Choupas à trois-points ou encore Dylan Affo Mama au double pas. Les Français multiplient les bonnes attaques, même face à la défense de zone proposée par leurs adversaires en fin de période, trouvant de l’alternance en mettant la balle dans les mains de Février en bas, qui trouve parfaitement Affo Mama ou encore Calvin Hippolyte. Après trois quart-temps, la France mène 50 à 33.\\n\\nDans la dernière période, les Bleuets ont continué sur leur lancée sans laisser d’espoir à l’Ukraine pour finalement s’imposer 68-40. En quart de finale, la France sera opposée à la Croatie jeudi à 12h45.\\n\\nMeilleur joueur de la partie, Dylan Affo Mama a fait parler son physique. 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Cela oblige Crawford Palmer (NDLR: le directeur sportif) et Alfred Julbe (le coach) à rivaliser d’ingéniosité pour construire un effectif capable de tenir la route en Jeep Elite mais aussi en Eurocup. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Sylvain Lautié nouveau directeur sportif à Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a de plus en plus de directeur sportif en Jeep Elite et Pro B et le SLUC Nancy se met au goût du jour en embauchant Sylvain Lautié.\\n\\nSylvain Lautié, 51 ans, est un visage connu à Nancy puisqu’il était le coach de l’équipe qui remporta la Coupe Korac (C3) en 2002. Le SLUC rappelle qu’il a réussi à faire monter trois équipes de Pro B en Pro A au cours de sa carrière: Besançon, Levallois et Boulazac.\\n\\n« Par cette création de poste importante dans la structuration du club et ses objectifs de performance, le SLUC Nancy Basket se dote d’un directeur sportif de qualité qui aura pour tâche le recrutement de l’effectif professionnel, la gestion quotidienne du secteur sportif en lien avec l’entraineur principal, Christian Monschau et la direction du club. Il a pour mission également de renforcer encore d’avantage les liens avec le centre de formation, en poursuivant la politique de développement des jeunes joueurs à haut potentiel tout en étant en lien permanent avec le centre de formation », est-il écrit sur le site du club.\\n\\nLe nouveau président Aurélien Fortier ajoute:\\n\\n\\n« Grâce à un autofinancement générépar des économies et un effort significatif et substantiel de Sylvain qui a accepté de relever le challenge dans des conditions optimales pour le club, nous avons pu créer ce poste structurant pour l’avenir de notre projet sportif.»" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Boris Dallo renforce Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison partagée entre la Grèce et la Pro B, Boris Dallo (1,96m, 25 ans) est de retour en Jeep Elite à Strasbourg.\\n\\nSur son site, la SIG indique que le meneur-arrière s’est engagé pour être le pigiste médical de Jeremy Nzeulie qui a été contraint de se faire opérer du genou. Passé par Poitiers, Belgrade, Antibes et Panionios, il évoluait la saison dernière à l’Aris Salonique, avant de venir renforcer le SLUC Nancy en fin de saison.\\n\\nVincent Collet s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Boris va assurer la pige médicale de Jérémy Nzeulie. C’est un joueur qui a l’avantage de pouvoir évoluer sur tous les postes extérieurs. Après deux saisons en Grèce, la dernière à l’Aris Salonique, il aura l’opportunité de valider les progrès qu’il a pu faire lors de ses expériences à l’étranger. C’est un joueur physique, fort en pénétration, qui peut défendre et qui sera utile du fait de sa polyvalence. Il se trouve qu’il y a 7 ans à la sortie du centre fédéral, nous avions souhaité engager Boris mais il avait préféré rejoindre Poitiers ».\\n\\nCette saison, Boris Dallo compilait en moyenne 5,4 points, 3,4 rebonds et 2,5 passes décisives en Grèce.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Stanimir Marinov à la mène de Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Pour trouver son nouveau meneur de jeu, l’UJAP Quimper s’est tourné vers la Roumanie et a mis le grappin sur Stanimir Marinov (1,93m, 27 ans), annonce le club.\\n\\nInternational bulgare, il a principalement évolué dans son pays natal avec quelques incartades au Kosovo, en Ukraine et cette saison à Cluj, en Roumanie. Cette saison, Stanimir Marinov compilait en moyenne 9,3 points, 4,1 rebonds et 3,3 passes décisives.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Jeremy Medjana (Agent de Comsport), 1ère partie: «On a une cinquantaine de joueurs et une trentaine de joueuses»" }, {"role": "assistant", "content":"En 1996 naissait Comsport, une agence qui a commencé à faire parler d’elle en mettant en lumière la Slam Nation, une prestigieuse troupe de dunkers. Un quart de siècle plus tard, toujours avec à sa tête Bouna Ndiaye et Jeremy Medjana, Comsport a pignon sur rue en NBA avec la signature de quelques-uns des plus beaux fleurons du basket français à des sommes qui donnent le vertige. L’agence est aussi très présente en France avec notamment dans son écurie une large majorité des internationales.\\n\\nJeremy Medjana nous parle de son agence, du marché, et d’un métier à qui il consacre environ 180 jours par an à se déplacer.\\n\\nL’interview est en trois parties. Voici la première.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSans refaire toute l’histoire, tout a commencé avec votre rencontre avec Bouna Ndiaye, qui est désormais installé à Dallas. Vous vous voyez souvent ?\\n\\nOn ne se voit pas souvent car on est toujours par monts et par vaux et on peut difficilement maintenant être au même moment tous les deux parce qu’on a une couverture qui est assez large entre le masculin et le féminin. Bouna est effectivement basé à Dallas depuis une dizaine d’années mais ça ne veut pas dire grand-chose car il est 250 jours par an sur la route. C’est donc difficile dans ce cas-là de savoir où est ta base. Il a d’ailleurs toujours son appartement à Paris. C’est lui qui s’occupe de l’Afrique. On faisait notre camp de détection tous les ans au Sénégal. La semaine dernière, il était au Cameroun pour organiser un camp qui le sera dans pas mal de pays d’Afrique, le Nigéria, le Congo. Trois jours de détection pour, comme il le dit, rendre un peu au continent africain. Et aussi s’il tombe sur un jeune et bon prospect pouvoir le faire venir en Europe ou pourquoi pas aux Etats-Unis.\\n\\nComment vous répartissez-vous le travail ?\\n\\nBouna et moi sommes les co-gérants de nos deux sociétés. A Comsport France, il y a un responsable juridique et administratif, un Angevin, qui a remplacé quelqu’un qui est parti sur d’autres perspectives. On s’est attaché cette fois-ci à avoir quelqu’un qui soit passionné basket car la personne qui était là avant était la seule à ne pas l’être. Il y a quatre agents, Bouna, moi, Florian Collet et Matthieu Nicolas. Bouna et Florian s’occupent essentiellement des joueurs français. Je suis souvent sur le recrutement des joueurs alors que Bouna et Florian sont plus sur la gestion des joueurs au quotidien. Florian s’occupe plus des joueurs français qui sont en Pro B et des Américains qui sont sur le haut niveau. Sachant que les Américains on les gère via des partenaires aux Etats-Unis. Ce n’est pas notre objectif d’aller recruter des Américains en direct alors qu’on a des arguments pour le faire. Pour nous, notre priorité ça reste le marché français et le marché africain. On a embauché un autre agent, Matthieu Nicolas, qui a eu sa licence sur la dernière session. Il travaille sur le recrutement de jeunes y compris de jeunes Européens. On a ainsi placé un jeune Européen à Nanterre qui est meneur titulaire d’une équipe nationale. C’est un autre marché que l’on est en train d’explorer (...) Caroline Aubert nous a également rejoint sur le secteur féminin et elle prépare sa licence d’agent. On a une personne qui s’occupe de tout ce qui est prépa physique, nutrition, conseil sur la récup’. C’est un salarié qui est là depuis plus de dix ans et qui est mis à disposition de nos clients pour les aider au quotidien. Il peut se rendre sur place mais il fait plus du travail à distance. Nos clients sont très contents du service qu’il apporte (...) On a 125m2 de bureaux à Paris et puis aussi de beaux bureaux à Dallas. Pour une agence de basketteurs c’est rare d’avoir autant de personnel et ça montre aussi le sérieux de la boîte. On cherche tout le temps à faire évoluer la structure.\\n\\nCombien avez-vous de joueurs et de joueuses dans votre portefeuille ?\\n\\nUne cinquantaine de joueurs et une trentaine de joueuses, qui sont essentiellement des Françaises ou des Africaines qui sont toutes naturalisées françaises. Les joueurs sont essentiellement français. On commence sur les pays limitrophes à recruter avec Matthieu, la Belgique, l’Allemagne, pourquoi pas les Pays-Bas et l’Angleterre. On ne va pas s’attaquer à des marchés comme l’Italie ou l’Espagne car les joueurs italiens signent avec des agents italiens, les Grecs avec des Grecs, alors qu’en Belgique ou Pays-Bas il n’y a pas d’agents qui ont pignon sur rue donc c’est plus ouvert.\\n\\n« La concurrence sait que leur chance d’avoir un gamin c’est de l’avoir tôt. Je vois que beaucoup d’agents essayent de créer un affectif avec eux »\\n\\nLa concurrence est-elle plus intense aujourd’hui sur le marché français qu’il y a quelques années ?\\n\\nForcément car les gamins sont démarchés de plus en plus tôt, ce qui quelque part est un peu problématique car tu es obligé de te positionner assez rapidement sur des joueurs jeunes. C’est un peu le travers du football. J’ai l’impression qu’on y arrive petit à petit. La concurrence sait que leur chance d’avoir un gamin c’est de l’avoir tôt. Je vois que beaucoup d’agents essayent de créer un affectif avec eux.\\n\\nC’est quelque chose qui fait tiquer la fédération que vous, agents d’une façon générale, vous soyez très tôt sur les joueurs de l’INSEP ?\\n\\nDans le contexte actuel, c’est difficile de changer ça. Mais c’est du conseil, de l’engagement moral, on ne signe pas de contrat.\\n\\nOn ne peut signer des contrats qu’avec des joueurs professionnels ?\\n\\nDéjà, d’une. Et ce ne sont pas des contrats de représentation, sinon en NBA et en FIBA. Si tu as un contrat avec un joueur, la règlementation en France dit que le mandat doit être déposé à la ligue ou à la fédé et dans ce cas-là c’est le joueur qui doit te payer mais nous on est payé par les clubs. C’est l’hypocrisie du système. Tout le monde fait comme ça.\\n\\nC’est Bouna Ndiaye qui s’occupe des joueurs NBA à Comsport ?\\n\\nBouna et moi, on les gère en binôme. Je leur rend visite minimum deux à trois fois par an. On va dire que Bouna est l’agent primaire et moi l’agent secondaire. Beaucoup de boîtes américaines fonctionnent comme ça. Comme on est co-fondateurs et co-gérants de la boîte, c’est naturel.\\n\\n« Je crois que l’on était rentré dans le top 10 ou le top 10 des plus grosses agences NBA »\\n\\nLa signature des contrats il y a deux ans de Nicolas Batum, Rudy Gobert, Evan Fournier et Ian Mahinmi vous a fait une très bonne publicité pour inciter les meilleurs joueurs français à vous rejoindre ?\\n\\nIl y avait le contrat avec Nico qui était déjà important : 46,6M$. Mais c’est vrai que les contrats à plus de 100M$ d’il y a deux ans nous ont propulsés dans la dernière catégorie. Forcément, ça incite d’autres joueurs à nous rejoindre. On a vécu ça à l’inverse. Quand on essayait de placer un joueur en NBA, les Ricains jouaient sur le fait qu’on en n’avaient pas. On a perdu (Johann) Pétro car les gens ont utilisé des arguments dans ce sens-là en disant qu’on n’avait pas encore l’expérience d’avoir signé un gros contrat et puis après, d’avoir signé un très gros contrat. Aujourd’hui, je pense qu’il n’y a plus d’arguments dont la concurrence peut user. La concurrence, c’est quoi ? Ce sont les plus grosses boîtes américaines. Je crois que l’on était rentré dans le top 10 ou le top 15 des plus grosses agences NBA. En sachant que nous avec nos quelques joueurs NBA, on a le plus gros salaire moyen joueurs en tant qu’agence NBA. Ian est à 16 par an, Evan à 17, et Nicolas et Rudy entre 24 et 25 par an (NDLR : en millions de dollars). En terme de moyenne salariale, c’est énorme. Il y a des agences qui ont beaucoup plus de joueurs que nous et qui font moins de chiffres. On est plus sur du qualitatif.\\n\\nC’est vous les premiers à avoir compris la richesse humaine qu’il peut y avoir dans le basket français ?\\n\\nJe pense et il y a aussi l’idée que c’est plus facile d’être géré par un agent français qui parle la même langue que vous, qui a la même provenance, la même culture. Ne serait-ce que pour aller loin dans l’échange, dans la relation, dans le détail. Je ne pourrai pas aller aussi loin dans le détail en anglais avec un joueur américain que je peux le faire avec un joueur français. On ne peut pas nier ça.\\n\\nBouna Ndiaye est également agent pour des footballeurs ?\\n\\nIl a fait de bons trucs dans le football mais il est focus à 99% sur le basket. Ça reste notre cœur d’activité et notre dada.\\n\\nVous occupez-vous aussi de la gestion du patrimoine des joueurs ?\\n\\nCe n’est pas du tout notre métier. Il y a quelques boîtes qui ont pignon sur rue et qui sont spécialisées et il y en a une où il y a beaucoup de nos clients que ce soit dans le masculin ou le féminin. C’est Elite & Patrimoine (1) avec Kevin Beesley et Frédéric Schatzle, qui était le fondateur. Ce sont des gens expérimentés et c’est important pour nous que nos joueurs travaillent avec les meilleurs. On les conseille, ils les rencontrent, après ils travaillent avec eux ou pas. On oblige aucun de nos joueurs ou de nos joueuses à travailler avec nos partenaires mais si on les conseille c’est que l’on a des garanties sur ce qu’ils vont leur apporter. On travaille beaucoup avec Didier Domat et Arnaud Péricard et quand un joueur a besoin d’un avocat, évidemment on va leur conseiller des gens que l’on pratique depuis longtemps et en qui on a une entière confiance.\\n\\nL’année dernière, vous étiez présent au côté de Rudy Gobert lorsqu’il a reçu son trophée de Meilleur Défenseur de la saison NBA. Vous avez donc un rôle d’accompagnateur sur les évènements de ce genre ?\\n\\nBien sûr. Pour le joueur c’est quand même un accomplissement fort. Ça n’arrivera pas tout le temps qu’un joueur français soit élu Meilleur Défenseur. Aux NBA Awards, les gros agents sont présents car ils ont quasiment tous quelqu’un.\\n\\nVous vous chargez aussi des relations entre les internationaux et l’équipe de France ?\\n\\nBien sûr. On est je pense des partenaires privilégiés avec les équipes de France, dans la mise en relation, sur un point de vue logistique. Quand un joueur change de numéro de téléphone et que le manager des équipes de France (NDLR : Patrick Beesley) a besoin de les contacter, c’est important. Pour leur prendre un billet d’avion. On fait tout le temps le tampon.\\n\\nEt lorsque les joueurs NBA viennent en France, vous vous occupez de la logistique ?\\n\\nOui. Il faut savoir aussi que l’on organise un camp aux Etats-Unis tous les ans qui est assez important. Et on est en train de préparer la même chose pour le faire en France ou en Europe. Ça sera pour nos joueurs français mais peut-être ça se fera à l’étranger.\\n\\n[armelse]\\n\\nSans refaire toute l’histoire, tout a commencé avec votre rencontre avec Bouna Ndiaye, qui est désormais installé à Dallas. Vous vous voyez souvent ?\\n\\nOn ne se voit pas souvent car on est toujours par monts et par vaux et on peut difficilement maintenant être au même moment tous les deux parce qu’on a une couverture qui est assez large entre le masculin et le féminin. Bouna est effectivement basé à Dallas depuis une dizaine d’années mais ça ne veut pas dire grand-chose car il est 250 jours par an sur la route. C’est donc difficile dans ce cas-là de savoir où est ta base. Il a d’ailleurs toujours son appartement à Paris. C’est lui qui s’occupe de l’Afrique. On faisait notre camp de détection tous les ans au Sénégal. La semaine dernière, il était au Cameroun pour organiser un camp qui le sera dans pas mal de pays d’Afrique, le Nigéria, le Congo. Trois jours de détection pour, comme il le dit, rendre un peu au continent africain. Et aussi s’il tombe sur un jeune et bon prospect pouvoir le faire venir en Europe ou pourquoi pas aux Etats-Unis.\\n\\nComment vous répartissez-vous le travail ?\\n\\nBouna et moi sommes les co-gérants de nos deux sociétés. A Comsport France, il y a un responsable juridique et administratif, un Angevin, qui a remplacé quelqu’un qui est parti sur d’autres perspectives. On s’est attaché cette fois-ci à avoir quelqu’un qui soit passionné basket car la personne qui était là avant était la seule à ne pas l’être. Il y a quatre agents, Bouna, moi, Florian Collet et Matthieu Nicolas. 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Cette saison, il évoluait en première division italienne, à Pistoia.\\n\\nEric Girard s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Ousman qui vient de première division Italienne a réalisé une saison pleine sur le plan individuel. Mais au-delà de ses 12 points et 10 rebonds par match (qui fait de lui l’un des meilleurs rebondeurs de son championnat comme l’était OD à l’époque), il a surtout une capacité défensive, rare chez un intérieur, car il est capable de contenir quasiment tous les postes sur le terrain avec une énergie qui j’espère sera contagieuse pour ses partenaires... Il avait aussi été excellent en VTB League, championnat très réputé avant une saison moyenne en Grèce. Il pourra donc évoluer, soit avec Frank soit avec notre futur 4 shooter (en cours de recherche). »\\n\\nCette saison, Ousman Krubally compilait en moyenne 12,4 points et 10,2 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Sara Bonelli" }, {"role": "user", "content":"Le Paris Basketball sera le club résident de la future Aréna de la Porte de la Chapelle" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au Parisien, le président du Paris Basketball, David Kahn, annonce que le Paris Basketball sera le club résident de la future aréna de La Porte de la Chapelle qui sera construite dans la perspective des JO de Paris’2024 (1) et dont la capacité devrait se situer entre 7 et 8 000 places (2).\\n\\n« La chose la plus importante, et de très loin, est la signature d’un protocole d’accord avec la mairie de Paris pour qu’on soit le seul club résident de la nouvelle aréna, Porte de la Chapelle. C’est capital », insiste t-il. « La Halle Carpentier, c’est très bien, la ville a investi des centaines de milliers d’euros pour la rénover dès cet été, mais notre futur se situe Porte de la Chapelle. Sans ce projet, il n’y avait pas d’avenir pour le basket et je ne serai pas là devant vous (...). On sera résident dès l’ouverture de l’aréna, qu’on espère en septembre 2022, jusqu’en 2031 au moins. On s’est engagé pour 35 dates par saison (...) Il est possible qu’on joue aussi un petit nombre de matchs à l’AccorHôtels Arena à partir de 2022 (...) «\\n\\nDavid Kahn affirme par ailleurs que la montée en Jeep Elite dès cette année n’est pas une nécessité et qu’il ne voit pas Nanterre et les Métropolitans 92 qui vont s’installer à Boulogne comme des concurrents.\\n\\n(2) Au départ l’Aréna 2 de la Porte de la Chapelle devait accueillir les tours préliminaires du tournoi de basket-ball des JO de Paris’24 mais l’ensemble de la compétition se tiendra finalement à l’AccorHôtels Arena. L’Aréna 2 servira uniquement de cadre au badminton.\\n\\n(1) Dans L’Equipe du jour, David Kahn précise: « La jauge minimale sera de 8 000 places mais on verra si on peut l’augmenter. »" }, {"role": "user", "content":"Australie: Ben Simmons confirme qu’il ne participera pas à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Ben Simmons (2,08m, 22 ans) a confirmé via twitter qu’il ne jouera pas pour l’Australie lors de la Coupe du monde.\\n\\n«Je voulais que tout le monde sache qu’après avoir consulté mes représentants, j’ai pris la décision difficile de renoncer à la Coupe du Monde en Chine cet été», a expliqué Simmons. « Je suis vraiment enthousiasmé par le talent que nous avons dans l’équipe des baby – boomers, surtout dans la perspective de 2020 où je serai honoré et fier de représenter mon pays sur la plus grande scène sportive du monde aux Jeux olympiques de Tokyo. »\\n\\nPlus prosaïquement, Simmons se sent redevable vis à vis des Philadephia Sixers. 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A part un passage chez les Houston Rockets en 2006/07, le natif de Larissa a effectué l’intégralité de sa carrière en Grèce, passant par Larissa, Maroussi, le Panathinaïkos et donc l’Olympiakos.\\n\\nCette saison, Vassilis Spanoulis compilait en moyenne 9,9 points, 2,1 rebonds et 5 passes décisives entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Devin Booker (ex Chalon) au Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Après trois saisons au Bayern Munich, Devin Booker (2,07m, 28 ans) va rejoindre un autre club.\\n\\nL’intérieur américain va quitter l’Allemagne pour la Russie et le Khimki Moscou, annonce le club. Il formerait ainsi une paire d’intérieurs de haut niveau avec Timofey Mozgov qui est sur le point de faire son retour au Khimki.\\n\\nFormé à l’université de Clemson, le double champion d’Allemagne en titre a lancé sa carrière en France en 2013. Il a d’abord rejoint les rangs du SLUC Nancy. Il a ensuite porté le maillot de Bourg-en-Bresse avec qui il a remporté les playoffs de Pro B 2014 dont il a été élu MVP des finales. A l’intersaison 2015, il a signé pour une saison à l’Elan Chalon et a fait parler son talent pour être élu MVP de Pro A.\\n\\nCette saison, Devin Booker compilait en moyenne 10,2 points et 4,3 rebonds pour une évaluation de 12,7 en championnat, et 8,9 points et 3,4 rebonds pour une évaluation de 9,8 en Euroleague.\\n\\n\\n🗣 @DevinBooker31:\\n\\n– Я очень рад и взволнован, меня ждет новый этап карьеры с такой сильной командой. Жду встречи с моими новыми партнерами скорее бы начать сезон. Это новый вызов для меня, и я готов отдать все силы ради побед «Химок».#ХимкиМежсезонье19 pic.twitter.com/1F3Eq6Hwz1\\n\\n— BC Khimki (@Khimkibasket) July 16, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : CJ Harris (Pau) dans le viseur du BCM Gravelines ?" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Pau, CJ Harris (1,91m, 28 ans) pourrait continuer sa carrière dans le Nord de la France.\\n\\nSelon Emiliano Carchia de Sportand, le BCM Gravelines-Dunkerque serait très intéressé par le scoreur palois. Avec plus de 45% d’adresse à trois points et plus de 87% aux lancers francs, l’arrière américain faisait partie des joueurs les plus adroits du championnat. Formé à l’université de Wake Forest, le champion de Lettonie 2016 est passé par Ludwisbourg, Ulm, Riga, Radom et Sakarya avant d’arriver en France lors de l’intersaison 2018.\\n\\nCette saison, CJ Harris compilait en moyenne 16,8 points, 2,6 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 14,4.\\n\\n\\nGravelines-Dunkerque is showing very serious interest in CJ Harris, who was one of the best shooters in Europe last year with 45.4% from 3 and 87.4% FT with Pau-Orthez, a source told @Sportando\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 16, 2019\\n\\n\\nPhoto : LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : DeMarcus Nelson quitte Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux ans passés à Lyon-Villeurbanne, DeMarcus Nelson (1,93m, 33 ans) quitte le club.\\n\\nSur Facebook, la formation villeurbannaise annonce que le capitaine de sa défense ne prolongera pas l’aventure dans le Rhône après le titre de Jeep Elite et sa distinction de MVP des finales remportés il y a quelques semaines sous ses couleurs.\\n\\nCette saison, DeMarcus Nelson compilait en moyenne 6,9 points, 2,6 rebonds et 3,2 passes décisives en Jeep Elite, et 7,5 points, 3,1 rebonds et 2,6 passes décisives en Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LDLCASVEL/posts/10161962156545640?xts[0]=68.ARC_FQD5bFR0wWSrTK3_705ltqYxKDhoksQYovm6QEBVku6dngIidoAK2ZWgV7zO_mSwbdF2CQfq502y49C0oRGnjEC2rEVUnr0aJNES751UpzKQSgRnoNM_iQEo_UFlkVAdLjr1_ETz_xHfEDJfr5KXSqO7r85TPBuOoH4gdOYSVmgQnv2VXTnTlU-Ha1km5KP-HgIWDgKxBiGbyiJ7nRoh1mbwr5nZKw5mC8E8gWPe6q7ZSTtX8gOfIs0fXbVcLjHMBCEd1Km2GqxqJzRfYrflPGoCFXjT5RQvoi9mZknmNkOOac8If2dKlseVVFbybojcl90jNkoMXPcQQkQR&tn=-R\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Eric Buckner prolonge à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’était plus un secret, depuis plusieurs jours l’annonce de la prolongation d’Eric Buckner (2,08m, 29 ans) a Monaco était attendue et c’est aujourd’hui chose faite.\\n\\nSur son site, la Roca Team annonce que celui qui a débuté la saison 2018-19 à l’ASVEL sera toujours sur Le Rocher à la rentrée, aux côtés de Wilfried Yeguete et Kim Tillie dans la raquette monégasque.\\n\\nL’ancien pensionnaire de Georgia State s’est exprimé sur sa prolongation.\\n\\n« Je suis heureux de rester à Monaco... On s’est arrêté tout proche du but la saison passée. Je ressens le fait que nous avons un gros travail à finir. Je pense aussi à notre parcours en Eurocup, on a réalisé une bonne série la saison passée mais je pense que que l’on aurait pu aller beaucoup plus loin. Je respecte vraiment le coach et je pense qu’il est en train de former une grande équipe qui aura les moyens d’être compétitive à haut niveau aussi bien en championnat de France qu’en Eurocup.\\nJe suis impatient de vivre cette nouvelle saison avec nos fans qui nous soutiennent de la meilleure des façons ».\\n\\nCette saison, Eric Buckner compilait en moyenne 9 points et 4,5 rebonds en Jeep Elite, et 8,1 points et 4,6 rebonds en Eurocup avec Monaco.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: 17 joueurs de NBA dans la pré-sélection du Canada !" }, {"role": "assistant", "content":"Canada Basketball a annoncé une liste de pas moins de 29 joueurs qui participeront au camp d’entraînement de l’équipe nationale dans le cadre de la préparation à la Coupe du monde.\\n\\nConsidéré comme l’une des nations montantes du basketball mondial, le Canada a démontré qu’il était doté d’une grande profondeur de banc puisque 36 joueurs différents ont représenté le pays pendant les Qualifications du Groupe des Amériques au cours des six fenêtres de compétition qui lui ont permis de se qualifier à la Coupe du Monde. Il peut aussi aligner un record -hors Etats-Unis- de 17 NBAers. Le seul absent de marque est Andrew Wiggins (Minnesota).\\n\\nLe Canada a été placé dans le Groupe H et rencontrera l’Australie (le 1er septembre), la Lituanie (le 3 septembre) et le Sénégal (le 5 septembre) dans le cadre du premier tour. Les deux meilleures équipes du Groupe G (République Dominicaine, France, Allemagne et Jordanie) et du Groupe H s’affronteront dans le deuxième tour et formeront le Groupe L.\\n\\nPhoto: RJ Barrett\\n\\nNomP.T.ClubNickeil WalkerArr.1,96New Orleans PelicansR.J. BarrettArr.2,00New York KnicksAaron BestArr.1,93Riesen Ludwigsburg (All.)Khem BirchInt.2,06Orlando MagicChris BoucherInt.1,85Toronto RaptorsOshae BrissettAil.2,03Syracuse (NCAA)Dillon BrooksAil.2,00Memphis GrizzliesBrandon ClarkeInt.2,03Memphis GrizzliesAaron DoornekampAil.2,00Valencia (Espagne)Luguentz DortArr.1,93Oklahoma City ThunderShai Gilgeous-AlexanderArr.1,98Oklahoma City ThunderMelvin EjimAil.1,98UNICS Kazan(Russie)Brady HeslipArr.1,88Istanbul BBSK (Turquie)Cory JosephArr.1,91Sacramento KingsMfiondu KabengeleAil.2,08Los Angeles ClippersNaz Mitrou-LongArr.1,93Salt Lake City Stars (G League)Trey LylesAil.2,08San Antonio SpursJamal MurrayArr.1,93Denver NuggetsAndrew NembhardArr.1,96Florida(NCAA)Kelly OlynykAil.2,13Miami HeatKevin PangosArr.1,88FC Barcelona (Espagne)Dwight PowellAil.2,11Dallas MavericksPhil ScrubbArr.1,93Zenit Saint Petersburg (Russie)Thomas ScrubbAil.2,00Openjobmetis Varese(Italie)Marial ShayokAil.1,96Philadelphia 76ersAndy RautinsArr.1,93Bahcesehir Istanbul (Turquie)Nik StauskasArr.1,98Cleveland CavaliersTristan ThompsonInt.2,08Cleveland CavaliersKyle WiltjerAil.2,08Unicaja Malaga (Espagne)\\n\\nPROGRAMME\\n\\nDATEEVENEMENTLIEUDu 4 au 6 aoûtCamp d’entraînementToronto7 aoûtCanada vs. NigeriaToronto9aoûtCanada vs. Nigeria Winnipeg16aoûtCanada vs. Australia Perth, Australie17aoûtCanada vs. Australia20 aoûtCanada vs. New Zealand Sydney, Australie21 aoûtCanada vs. New Zealand26 aoûtCanada vs. USASydney, Australie1er sep.Canada vs. AustralieCoupe du M.3 sep.Canada vs. Lituanie5 sep.Canada vs. Sénégal" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Jacob Wiley arrive au Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"En fin de saison avec Gran Canaria, Jacob Wiley (2,03m, 24 ans) est le nouveau joueur du Panathinaïkos.\\n\\nSur son site, le Pana annonce la signature de l’intérieur californien pour une saison. Passé par les Brooklyn Nets et les Longs Island Nets, aux Etats-Unis, le natif de Long Beach est arrivé en Europe en 2018. Il a disputé sept petits matchs avec Ludwisburg avant de s’engager avec les Adelaide 36ers, en Australie, pour la saison 2018/19. Une fois la saison de NBL terminée, le bondissant intérieur a débarqué à Gran Canaria où il a rapidement été performant.\\n\\nCette saison, Jacob Wiley compilait en moyenne 12,2 points et 5 rebonds en Australie. En Espagne, il tournait à 16,5 points et 5,1 rebonds en ACB, et 10 points et 2,5 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Les Philippines espèrent toujours aligner Jordan Clarkson, le meneur de Cleveland" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot Andray Blatche (2,11m, 32 ans) a finalement rejoint lundi la base d’entraînement de Gilas Pilipinas, l’équipe nationale des Philippines, qui se prépare pour la Coupe du monde.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe dernier passage de Blatche avec l’équipe nationale remonte aux éliminatoires de la zone asiatique au Kazakhstan, où il a marqué 41 points, récolté 13 rebonds et propulsé les Philippines à la Coupe du monde. Une performance car une gigantesque bagarre face à l’Australie, à l’été 2018, avait conduit la suspension de pas moins de dix joueurs philippins.\\n\\nDans la liste des joueurs pré-sélectionnés pour le Mondial, on trouve un autre « naturalisé, » le meneur/arrière Jordan Clarkson (1,96m, 27 ans) des Cleveland Cavaliers. Un gros poisson puisqu’à 16,8 points, 3,3 rebonds et 2,4 passes la saison écoulée en NBA. Naturalisé?\\n\\nJordan Clarkson est né à Tampa, en Floride, a fait entièrement carrière aux Etats-Unis mais possède du sang philippin par le biais de sa mère. Il a déjà porté le maillot des Philippines il y a deux ans en Malaisie lors des Jeux Asiatiques. Avec 26 points, 5 rebonds et 5,5 passes, Jordan Clarkson a permis aux Philippines de prendre la cinquième place du tournoi.\\n\\n«Cette expérience est une expérience que je n’oublierai jamais. Je suis tellement chanceux de jouer pour le pays et de représenter le drapeau et le peuple! », avait-il déclaré. « J’ai adoré jouer pour l’entraîneur, ainsi que mes coéquipiers, mes frères, tisser des liens qui resteront solides».\\n\\nDe quoi ravir des fans philippins pour qui le basket est une véritable religion.\\n\\nSeulement, les règles d’admission aux Jeux Asiatiques sont plus laxistes et comme officiellement, Jordan Clarkson n’a pas obtenu son passeport avant ses 16 ans -la deadline mise en place par la Fédération internationale- il est considéré comme naturalisé par l’instance internationale qui n’en accepte qu’un seul par équipe nationale. La fédération philippines jure qu’il est citoyen philippin depuis ses 12 ans et elle a entamé un recours afin de pouvoir le faire jouer comme « local ».\\n\\n« Nous espérons toujours qu’un miracle se produira », a déclaré le coach national Yeng Guiao. « Nous n’abandonnons toujours pas notre démarche de le faire jouer en tant que local. » Ajoutant: « Mais en même temps, c’est aussi un plan de secours. Touchons du bois, et j’espère que rien n’arrivera et qu’Andray n’aura aucun problème, mais au moins nous avons des options pour les joueurs naturalisés. »\\n\\nJordan Clarkson a de nouveau émoustillé les fans philippins en partageant sur Instagram une photo où on le voit arborer un T.shirt rouge avec le drapeau des Philippines sur la poitrine. Lorsque les Philippines avaient obtenu leur qualification, il avait aussi fait un petit commentaire bien à propos:\\n\\n“Un tel honneur pour le pays, qualifié pour la coupe du monde, tellement excité !!! J’espère vous voir en Chine !!! »\\n\\nQuant au journaliste philippin Quinito Henson, il n’a pas hésité à déclarer que la présence de Clarkson et de Blatche constituerait une « combinaison mortelle » pour les Philippines, éliminées lors du tour préliminaire de la Coupe du monde de 2014.\\n\\n« Sa présence avec Andray Blatche et les autres joueurs philippins rendra les Philippines compétitives face aux meilleurs du monde. »\\n\\nLes Philippines seront à Foshan dans un groupe avec l’Angola, l’Italie et la Serbie. Il n’y aura que deux qualifiés pour le deuxième tour. Blatche et Clarkson ne seraient pas de trop !\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nLe dernier passage de Blatche avec l’équipe nationale remonte aux éliminatoires de la zone asiatique au Kazakhstan, où il a marqué 41 points, récolté 13 rebonds et propulsé les Philippines à la Coupe du monde. Une performance car une gigantesque bagarre face à l’Australie, à l’été 2018, avait conduit la suspension de pas moins de dix joueurs philippins.\\n\\nDans la liste des joueurs pré-sélectionnés pour le Mondial, on trouve un autre « naturalisé, » le meneur/arrière Jordan Clarkson (1,96m, 27 ans) des Cleveland Cavaliers. Un gros poisson puisqu’à 16,8 points, 3,3 rebonds et 2,4 passes la saison écoulée en NBA. Naturalisé?\\n\\nJordan Clarkson est né à Tampa, en Floride, a fait entièrement carrière aux Etats-Unis mais possède du sang philippin par le biais de sa mère. Il a déjà porté le maillot des Philippines il y a deux ans en Malaisie lors des Jeux Asiatiques. Avec 26 points, 5 rebonds et 5,5 passes, Jordan Clarkson a permis aux Philippines de prendre la cinquième place du tournoi.\\n\\n«Cette expérience est une expérience que je n’oublierai jamais. 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Le premier serait proposé à la télévision comme un match de Noël et le second se jouerait quelques jours plus tard, à une autre date stratégique: le Nouvel An.\\n\\nEn attendant, les tifosi de la Virtus ont accueilli Milos Teodosic avec ferveur et ont été entendus quelques chants provocateurs à l’égard de... la Fortitudo.\\n\\n\\nTeodosic has arrived\\n\\n(via @PaoloDiDomizio) pic.twitter.com/pnkzZfUSel\\n\\n— Eurohoops (@Eurohoopsnet) July 15, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Italie : Riccardo Moraschini quitte Brindisi pour Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Milan était la recherche d’au moins un joueur italien pouvant apporter à l’équipe en vue de la saison prochaine et c’est Riccardo Moraschini (1,95m, 28 ans) qui a été choisi.\\n\\nFormé à la Virtus Bologne, il est passé par Biella ou encore Trento avant d’arriver à Brindisi lors de l’intersaison 2018. Très discret lors de ses premières années en tant que pro, c’est après un passage en deuxième division italienne (2017/18) qu’il est devenu une vraie menace. Parmi les hommes forts de son équipe cette saison, le natif de Cento s’est engagé pour trois saisons avec Milan, annonce le club lombard.\\n\\nLa saison écoulée, Riccardo Moraschini compilait en moyenne 12,1 points, 3,3 rebonds et 2,7 passes décisives pour une évaluation de 14,3.\\n\\nPhoto : Brindisi" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Mathieu Wojciechowski, Aaron Cel et AJ Slaughter avec la Pologne" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Mike Taylor a annoncé la pré-sélection polonaise pour la Coupe du monde dans laquelle figure les Franco-polonais Mathieu Wojciechowski et Aaron Cel et l’Américain naturalisé AJ Slaughter, ex-Villeurbanne.\\n\\n« La clé des cinq dernières victoires en qualifications était de trouver les joueurs qui voulaient vraiment laisser leur cœur sur le terrain pour l’équipe. Nous aurons certainement cela à l’esprit lorsque nous formerons une équipe pour la Coupe du monde. C’est un moment fantastique pour le basket-ball polonais. L’équipe participera à l’événement après 52 ans d’absence. Je suis reconnaissant de pouvoir partager ce succès avec les joueurs et le staff d’entraînement, » a déclaré Mike Taylor.\\n\\nLa pré-sélection polonaise:\\n\\nŁukasz Kolenda (Trefl Sopot)\\nŁukasz Koszarek (Stelmet Enea BC Zielona Góra)\\nKamil Łączyński (Anwil Włocławek)\\nJakub Schenk (Polonais Sugar Toruń)\\nAJ Slaughter (Real Betis Séville, Espagne)\\n\\nKarol Gruszecki (Polski Cukier Toruń)\\nMateusz Ponitka (Zénith Saint-Pétersbourg, Russie)\\n\\nMichał Sokołowski (Stelmet Enea BC Zielona Góra)\\nAdam Waczyński (Unicaja Malaga, Espagne)\\nMathieu Wojciechowski (WKS ląsk Wrocław)\\n\\nAleksander Balcerowski (Herbalife Gran Canaria, Espagne)\\nAaron Cel (Polski Cukier Toruń)\\nTomasz Gielo (Iberostar Tenerife, Espagne)\\nDariusz Wyka (Arka Gdynia)\\n\\nAdam Hrycaniuk (Arka Gdynia)\\nDamian Kulig (Polski Cukier Torun)\\nMaciej Lampe (Al – Manama, Bahreïn)\\nDominik Olejniczak (Florida State, États-Unis)\\nKrzysztof Sulima (Polski Cukier Torun)\\n\\nProgramme de préparation:\\n\\n29 juillet au 7 août: camp d’entraînement à Wałbrzych\\n8 au 12 août: tournoi à Prague (matches avec la Jordanie, la Tunisie et la République tchèque)\\n15 au 18 août: tournoi à Hambourg (matchs avec la République tchèque, l’Allemagne et la Hongrie)\\n21/08: match amical avec les Pays-Bas à Lublin\\n24 au 27 août : tournoi amical en Chine (matches avec l’Iran, le Nigeria et le Monténégro)\\n31 aôut: début de la Coupe du monde en Chine.\\n\\nPhoto: Mathieu Wojciechowski" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Confirmation de Amara Sy à Paris" }, {"role": "assistant", "content":"Le président David Kahn confirme ce soir sur L’Equipe la venue d’Amara Sy (2,02m, 38 ans en août) au Paris Basketball pour plusieurs saisons.\\n\\nL’Amiral vient de clore son séjour à l’AS Monaco avec un an d’avance et son palmarès est fort de 445 matches en Jeep Elite. Il est par ailleurs le président du club de Cergy-Pontoise en Nationale 2.\\n\\nLe Parisien indiquait ce matin que le club de la capitale piste également Nobel Boungou-colo (2,02m, 31 ans). Celui-ci a été double champion de France avec Limoges (2014-15). Il a joué depuis au Khimki Moscou, à Séville, Turin, Badalone et aussi fait la saison dernière une pige efficace à Levallois. Il a débuté le basket à Juvisy en cadet.\\n\\nAu Parisien, le président David Kahn ne confirme ni n’infirme mais déclare:\\n\\n« C’est l’équipe de Paris, managée, coachée par des Parisiens et avec des joueurs parisiens. »\\n\\nPhoto: Amara Sy (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Alexandre Chassang rempile à Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"A la hauteur de la surprise qu’a été la JDA Dijon cette saison, Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans) a été une des révélations de Jeep Elite et c’est un vrai bon coup pour la JDA de pouvoir le prolonger.\\n\\nSur son site, le club bourguignon annonce donc avoir trouvé un accord avec son intérieur pour prolonger l’aventure une saison de plus. Cette saison, Alexandre Chassang compilait en moyenne 8,6 points et 3,4 rebonds pour une évaluation de 9,9 en Jeep Elite, et 9,4 points et 4 rebonds pour une évaluation de 11,5 en Champions League.\\n\\n« Suite à la saison dernière et le fait d’avoir repositionné Chass’ sur le poste 5, il a montré des choses très intéressantes. Nous avons eu la volonté de le garder malgré diverses sollicitations extérieures et il a répondu favorablement à notre offre. Une décision dont on ne peut que se réjouir. À l’aube de cette nouvelle saison, il aura à cœur de continuer sa progression dans un environnement qui lui est favorable. On compte sur lui pour donner le meilleur, en ayant un rôle important au sein de l’équipe », a déclaré Laurent Legname.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Youssou Ndoye quitte Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"La JL Bourg 2019/20 n’est pas encore tout à fait prête et le départ de Youssou Ndoye (2,13m, 28 ans) est désormais officiel.\\n\\nNous savons depuis plusieurs semaines et l’international sénégalais ne souhaitait pas continuer l’aventure avec Bourg, mais le club n’avait pas encore communiqué dessus. Aujourd’hui, Le Progrès rapporte le sentiment de Frédéric Sarre, Manager General du club.\\n\\nL’ancien coach de Strasbourg indique que le club n’a pas fait les démarches pour garder son massif intérieur qui arrivait en fin de contrat. Dans un même temps, l’ancien joueur des Austin Spurs n’a pas non plus exprimé son envie de rester.\\n\\nCette saison, Youssou Ndoye a fait partie des meilleurs joueurs du championnat. Il compilait en moyenne 13,9 points et 8,8 rebonds pour une évaluation de 18,9.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le départ de Kevin Séraphin est confirmé" }, {"role": "assistant", "content":"Le FC Barcelone a annoncé son équipe de 14 joueurs pour la saison 2019-20 et l’international français Kevin Seraphin (2,08m, 29 ans) n’y figure pas tout comme Chris Singleton et Jaka Blazic.\\n\\nKevin Séraphin était arrivé à l’été 2017 en Catalogne et il a disputé 84 matchs avec le Barça, toutes compétitions confondues, et a été handicapé par des problèmes de blessure.\\n\\nLes huit joueurs avec un contrat en cours sont: Kevin Pangos, Pau Ribas, Kyle Kuric, Adam Hanga, Pierre Oriola, Rolands Smits, Ante Tomic et Artem Pustovyi. Deux joueurs ont renouvelé leur contrat: Thomas Heurtel et Víctor Claver. Quatre joueurs arrivent: Cory Higgins, Brandon Davies, Nikola Mirotic et Álex Abrines." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Dimitris Itoudis élu entraîneur de l’année" }, {"role": "assistant", "content":"Champion d’Europe avec le CSKA Moscou, Dimitris Itoudis (48 ans) vient d’être élu meilleur entraîneur d’Euroleague de la saison.\\n\\nCe mardi, l’Euroleague a annoncé que le technicien grec a été élu par ses pairs pour la deuxième fois, après 2016 et son premier titre d’Euroleague avec le club moscovite. Après avoir terminé premier de la saison régulière, la superpuissance russe s’est hissée jusqu’au Graal et a enregistré un bilan final de 29 victoires et 7 défaites en Euroleague pour la saison 2018/19.\\n\\nEntraîneur depuis 1990, Dimitris Itoudis a lancé sa carrière avec les U18 de Zagreb, il est ensuite passé assistant de l’équipe première en 1992. Né à Trikala, il a fait son retour en Grèce en 1995 pour devenir assistant au Panionios. C’est en 1997 que sa carrière d’entraîneur principal a connu son premier départ. Entre 1997 et 1999, il a pris la tête du Philippos Thessalonique, puis du MENT.\\n\\nAu terme de cette période, il a repris un rôle d’assistant coach. Cette fois au Panathinaïkos. Avec le Pana, où il était dans l’ombre du légendaire Zeljko Obradovic, il a remporté pas moins de cinq fois l’Euroleague, onze fois le championnat grec et sept fois la coupe de Grèce. En 2012, il quitte la Grèce, comme Obradovic, et devient entraîneur principal de Banvit. Après une saison en Turquie, Dimitris Itoudis est enrôlé par le CSKA Moscou et il devient l’un des meilleurs coachs du continent.\\n\\nEn tant qu’entraîneur principal, il compte deux Euroleague, quatre VTB League, deux titres de meilleur entraîneur d’Euroleague et trois titres de meilleur coach de VTB League à son palmarès.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : l’accueil des fans de Bologne pour Milos Teodosic" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vient officiellement de s’engager avec la Virtus Bologne, Milos Teodosic est arrivé en Italie lundi et le moins que l’on puisse dire c’est que les fans bolonais sont heureux de le compter parmi eux.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/Bz8x6XQgu6N/\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Jordan Mickey nouvel intérieur du Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Après une première saison très satisfaisante en Europe, Jordan Mickey (2,03m, 25 ans) a attiré l’oeil du champion d’Europe 2018, le Real Madrid.\\n\\nSur son site, le club madrilène annonce la signature pour deux saisons de l’intérieur texan qui arrive en provenance du Khimki Moscou. Passé par l’université de Louisiana State, le natif de Dallas a été drafté par les Boston Celtics en 2015.\\n\\nAprès avoir tenté de faire son trou en NBA pendant trois ans, le All Star de G-League 2016 a décidé de traverser l’Atlantique et se construire une carrière européenne. Un choix qui s’avère payant après un an passé en Russie où il a performé aussi bien en VTB League qu’en Euroleague.\\n\\nCette saison, Jordan Mickey compilait en moyenne 14,6 points et 5,6 rebonds entre l’Euroleague et la VTB League.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Othello Hunter passe du CSKA Moscou au Maccabi Tel-Aviv" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux saisons au CSKA Moscou, un titre de VTB League et une Euroleague, Othello Hunter (2,03m, 33 ans) a pris la décision de prolonger sa carrière ailleurs.\\n\\nSur son site, le Maccabi Tel-Aviv annonce donc la signature de l’intérieur américain via un contrat 1+1 (une saison garantie ainsi qu’une deuxième saison en option). Passé par Sassari, Valladolid, Sienne ou encore l’Olympiakos et le Real Madrid, l’ancien pensionnaire d’Ohio State va retrouver son ancien coach, Ioannis Sfairopoulos, qu’il a côtoyé en Grèce, en Israël.\\n\\n« Je suis très heureux de la signature d’Othello Hunter. Ce sera la deuxième fois que nous travaillerons ensemble, mais cette fois pour Maccabi. Il connaît ma méthode, il a beaucoup d’expérience en Euroleague », a déclaré le technicien grec.\\n\\nCette saison, Othello Hunter compilait en moyenne 8,3 points et 4,2 rebonds entre l’Euroleague et la VTB League.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Interview de Yannis Psarakis (journaliste grec) : «Supporters, hooligans, équipes ou propriétaires savent qu’ils ne seront pas punis»" }, {"role": "assistant", "content":"Journaliste grec depuis 30 ans, ancien correspondant pour des magazines français, Yannis Psarakis suit toujours de très près le basket européen. Lors de notre passage à Athènes, il a accepté de répondre à nos questions. Une interview sans tabou.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nD’une façon générale, le basket grec a-t-il été affecté par la crise financière ?\\n\\nBien sûr. Même les deux éternels adversaires que sont l’Olympiakos et le Panathinaïkos ont dramatiquement réduit leur budget. Les plus petites équipes commencent à recruter des joueurs étrangers et les payent pas plus de 500 euros par mois ou par match dans certains cas ! Le côté positif c’est que quelques équipes ont commencé à utiliser des jeunes joueurs issus de la formation grecque. Chose qui n’était pas arrivé très souvent lors de la dernière décennie.\\n\\nDans quelle situation financière sont les clubs grecs ?\\n\\nPour l’instant ils survivent. Ils affichent des budgets de moins de 400 ou 500 000 euros par an dans certains cas. Les équipes gagnent entre 300 et 400 000 euros provenants des droits TV et du sponsoring de la ligue -certaines équipes ont plus, d’autres ont moins- à part, évidemment, l’Olympiakos, le Panathinaïkos et l’AEK Athènes. Ils ont leur propre accord avec une chaine du câble (Cosmote TV) et leur sponsor qui est... le concurrent du sponsor de la ligue. Les trois équipes ont des accords avec trois sociétés de paris sportifs différentes de celle qui travaille avec la ligue ! Et bien sûr, ces clubs gagnent cinq ou six fois plus d’argent que les autres équipes.\\n\\nY a-t-il beaucoup de clubs qui ont des problèmes pour verser les salaires ?\\n\\nActuellement non. Et c’est parce que les salaires des joueurs sont bas. Les clubs savent qu’ils ne peuvent pas jouer avec le tribunal de la FIBA après que l’Aris (le club de Salonique a été puni pour la deuxième année de suite et pour la cinquième fois en huit saisons) et le PAOK (l’autre club de Salonique a été puni une fois il y a quelques années) ont eu des restrictions pour les transferts de la part de la FIBA.\\n\\nQuelle a été l’évolution de la diffusion des matches à la télévision et les taux d’écoute ?\\n\\nLes fans continent de regarder les matchs, mais pas ceux de championnat. L’Euroleague capte toute l’attention et toutes les autres compétitions sont à des années lumières derrière. On peut le comprendre en voyant la publicité et les accords signés par la ligue. Il n’y a pratiquement pas de pubs pendant les matchs télévisés. Par exemple, il y a 20 ans, quand la ligue grecque était la meilleure d’Europe, les droits TV étaient vendus pour pratiquement un milliards de drachmes. Ce qui correspond à quelque chose comme trois millions d’euros, une très grosse somme d’argent pour cette époque. Aujourd’hui, les droits TV ne valent pas plus d’un million d’euros pour onze équipes, à part donc pour l’Olympiakos, le Panathinaïkos et l’AEK.\\n\\n« Il y a des fans, même du Panathinaïkos, qui n’aiment pas du tout ses « méthodes » et ses réactions, mais... il a l’argent »\\n\\nComment est considéré Dimitris Giannakopoulous en Grèce ?\\n\\nComme un... spécial propriétaire-fan du Panathinaïkos. Il a un nom de famille très respecté, mais il est d’un genre complètement différent. Il a une... personnalité explosive (sic). Il y a des fans, même du Panathinaïkos, qui n’aiment pas du tout ses « méthodes » et ses réactions, mais... il a l’argent, il paye pour l’équipe donc finalement personne ne veut que ça change... si vous voyez où je veux en venir...\\n\\nEst-ce lui qui donne directement de l’argent au Panathinaikos ou ce sont ses sociétés ?\\n\\nIl n’y a pas « d’argent personnel » dans ce monde. Mêmes les milliardaires ont de l’argent grâce à leurs sociétés. Donc, c’est ce qui se passe avec Mr. Giannakopoulos. Après la mort de Pavlos (le père) et Thanassis (l’oncle) Giannakopoulos, il est devenu le co-propriétaire de VIANEX, une sociétés pharmaceutique, avec Katerina, la fille de Thanassis Giannakopoulos. DPG (Dimitris -Pavlos- Giannakopoulos) possède sa propre société de média (DPG Media) mais l’argent pour l’équipe vient de VIANEX, qui est l’une des plus grosses sociétés pharmaceutique des Balkans et d’Europe.\\n\\nSa menace de quitter l’Euroleague pour la Basketball Champions League est-elle sérieuse ?\\n\\nNon pas du tout ! Il a juste essayé de mettre une pression sur l’Euroleague pour avoir un meilleur arbitrage sur les matchs de son équipe. Les équipes d’Euroleague ont un contrat de 10 ans et ils doivent payer une très grosse somme d’argent -quelque chose comme deux ou trois millions d’euros, peut-être plus que ça- s’ils souhaitent partir. Ce qui était le plus plausible après ce qu’il a dit sur son compte Instagram à propos de Jordi Bertomeu et l’Euroleague, aurait été que l’Euroleague le vire. Plus plausible que son propre départ avec son équipe.\\n\\nEt la menace de l’Olympiakos de quitter la Ligue grecque pour l’Adriatic League ?\\n\\nCe n’est pas la même chose. L’Euroleague est une société privée avec des accords entre la société et les co-propriétaires de cette ligue, les équipe). La ligue grecque est totalement différente. Il n’y a pas d’accord, pas de buyout. Donc si l’Olympiakos veut partir, il peut. Mais s’il souhaite revenir, le club devra jouer dans la plus petite ligue du Pirée dans le but de remonter en première division après cinq ans minimum. Je ne sais vraiment pas ce que les frères Aggelopoulos souhaitent faire. Je pense qu’eux-mêmes ne le savent pas...\\n\\n« Ce n’est pas facile « d’accepter » un gars d’origines nigérianes même si lui et ses frères sont nés en Grèce. »\\n\\nQuel est le prix moyen pour assister à un match d’Euroleague du Panathinaikos et de l’Olympiakos ?\\n\\nPour un match de championnat, un billet coûte en moyenne dix euros. Pour l’Euroleague le prix est doublé, voire triplé, 20-30 euros (NDLR: le salaire moyen en Grèce est d’environ 700 euros).\\n\\nLes supporters qui viennent pour les grands matches sont-ils les mêmes qui vont au football ?\\n\\nLa plupart du temps, oui. Et c’est bien le problème. Les hooligans des deux équipes viennent seulement lors des gros matchs contre « l’éternel adversaire ». Panathinaïkos s’est construit une fan base estampillée basket durant les années 2000 et continue de la garder aujourd’hui. L’Olympiakos est toujours en train d’essayer de se créer cette fan base basket, mais elle est bien plus petite que celle du Pana. Panathianïkos a battu un record d’abonnements cette saison avec 9 720 ! L’Olympiakos en compte environ 3 500.\\n\\nPourquoi y a-t-il encore des incidents lors de certains matches notamment entre le Panathinaikos et l’Olympiakos ?\\n\\nRéponse simple. Parce qu’en Grèce, pas seulement aujourd’hui, mais depuis la création du pays il y a des lois qui ne sont pas appliquées. Supporters, hooligans, équipes ou encore les propriétaires continuent à créer des problèmes et des problèmes, car ils savent qu’ils ne seront pas punis. Et s’ils ont punis, il y a toujours une façon de réduire ou annuler cette sanction. Même si nous parlons de fans, d’équipes, de propriétaires.\\n\\nLes fautifs sont-ils sanctionnés (prisons, amendes...) ?\\n\\n(Rires) Jamais. Jamais. Jamais.\\n\\nA quel niveau de popularité se situe Giánnis Antetokoúnmpo en Grèce ?\\n\\nPas autant qu’on pourrait le croire. Vous savez, beaucoup de Grecs sont très... fiers de leur pays et de son histoire. Ce qui signifie qu’ils n’acceptent pas les autres. Ce qui veut dire qu’ils ont un comportement un peu raciste. Ce n’est pas facile « d’accepter » un gars d’origines nigérianes même si lui et ses frères sont nés en Grèce. Ce que je veux dire c’est que, si Giannis était blanc, il aurait pu être beaucoup plus populaire et c’est vraiment dommage. Et je ne parle pas du parti d’extrême droite de Hrisi Avgi (Aube Dorée) qui l’a attaqué plusieurs fois verbalement. La plupart des gens l’aiment parce qu’il est le meilleur joueur du monde et c’est tout. Mais vous savez, Giannis a fait partie des chanceux. Des millions de réfugiés vont et viennent en Grèce depuis 30 ans, la plupart meurent, ont été tués, noyés dans la mer. Giannis, fils d’un couple de réfugiés, était un sur un million...\\n\\n« Le système de l’Euroleague est très dur. Les équipes doivent avoir au moins dix joueurs de première classe et un effectif de quatorze ou seize joueurs prêts à jouer et être compétitifs »\\n\\nSuivez-vous le basket français ?\\n\\nDepuis que j’ai commencé dans le journalisme, il y a 30 ans. J’ai travaille avec plusieurs magazines français en tant que correspondant grec. Maxi Basket, Basket Hebdo (pendant presque cinq ou six ans) et je suis votre championnat tous les ans.\\n\\nQue pensez-vous du niveau de la Jeep Elite ?\\n\\nIl n’est plus ce qu’il était. Les bons joueurs français me manquent. Comme l’étaient Rigaudeau, Bonato et beaucoup d’autres. Limoges ou Orthez étaient habitués à avoir une base de joueurs français et c’est pourquoi ils ont joué tant d’années en Euroleague pendant les années 90. Même l’ASVEL à la fin des années 90. Aujourd’hui, la plupart des équipes sont formées par des joueurs américains. Il n’y a plus de joueurs provenants de l’INSEP ou de plus petites équipes comme ce fut le cas lors des dernières décennies.\\n\\nQue pensez-vous de l’arrivée de l’ASVEL en Euroleague ?\\n\\nJ’aime beaucoup. Les salles françaises me manquent. J’ai pu aller dans plusieurs salles comme Beaublanc, le Palais des Sports de Pau, l’Astroballe, Antares et d’autres et j’aime vraiment l’atmosphère qu’on y troue. Polie et douce mais aussi bruyante ! L’ASVEL de Tony Parker doit investir de l’argent pour construire une grosse équipe.\\n\\nPensez-vous que le club peut réussir quelque chose ?S’ils se paye un gros effectif, oui. Le système de l’Euroleague est très dur. Les équipes doivent avoir au moins dix joueurs de première classe et un effectif de quatorze ou seize joueurs prêts à jouer et être compétitifs. Autrement, ils perdront la plupart des matchs comme le Darussafaka, Podgorica et Gran Canaria le font cette saison. C’est très dur de jouer un gros match ou deux, une fois par mois toutes les semaines avec, en plus, le déplacement. Le plus souvent, les équipes voyagent, jouent et ne s’entrainent pas. Donc chaque équipe qui souhaite être compétitive doit être très forte et se constituer un effectif très profond.\\n\\n[armelse]\\n\\nD’une façon générale, le basket grec a-t-il été affecté par la crise financière ?\\n\\nBien sûr. Même les deux éternels adversaires que sont l’Olympiakos et le Panathinaïkos ont dramatiquement réduit leur budget. Les plus petites équipes commencent à recruter des joueurs étrangers et les payent pas plus de 500 euros par mois ou par match dans certains cas ! Le côté positif c’est que quelques équipes ont commencé à utiliser des jeunes joueurs issus de la formation grecque. Chose qui n’était pas arrivé très souvent lors de la dernière décennie.\\n\\nDans quelle situation financière sont les clubs grecs ?\\n\\nPour l’instant ils survivent. Ils affichent des budgets de moins de 400 ou 500 000 euros par an dans certains cas. Les équipes gagnent entre 300 et 400 000 euros provenants des droits TV et du sponsoring de la ligue -certaines équipes ont plus, d’autres ont moins- à part, évidemment, l’Olympiakos, le Panathinaïkos et l’AEK Athènes. Ils ont leur propre accord avec une chaine du câble (Cosmote TV) et leur sponsor qui est... le concurrent du sponsor de la ligue. Les trois équipes ont des accords avec trois sociétés de paris sportifs différentes de celle qui travaille avec la ligue ! Et bien sûr, ces clubs gagnent cinq ou six fois plus d’argent que les autres équipes.\\n\\nY a-t-il beaucoup de clubs qui ont des problèmes pour verser les salaires ?\\n\\nActuellement non. Et c’est parce que les salaires des joueurs sont bas. Les clubs savent qu’ils ne peuvent pas jouer avec le tribunal de la FIBA après que l’Aris (le club de Salonique a été puni pour la deuxième année de suite et pour la cinquième fois en huit saisons) et le PAOK (l’autre club de Salonique a été puni une fois il y a quelques années) ont eu des restrictions pour les transferts de la part de la FIBA.\\n\\nQuelle a été l’évolution de la diffusion des matches à la télévision et les taux d’écoute ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Anderson Varejao, Leandro Barbosa et Marcelo Huertas avec le Brésil" }, {"role": "assistant", "content":"Aleksandar Petrovic, son coach, a donné une liste de quinze joueurs qui forment la pré-sélection pour la Coupe du monde de l’équipe du Brésil.\\n\\nCelle-ci a une moyenne d’âge de 29 ans et demi et on trouve pas moins de cinq joueurs à 35 ans et plus dont les illustres Anderson Varejao, Leandro Barbosa et Marcelo Huertas. A noter également la présence de deux joueurs NBA, Bruno Cabloco et Cristano Felicio.\\n\\nLe Brésil est dans le Groupe F avec la Grèce, la Nouvelle-Zélande et le Monténégro.\\n\\nAvec 11,6 points (62,8% aux tirs) et 8,3 rebonds pour 18,0 d’évaluation, Anderson Varejao avait été le Brésilien le plus efficace en qualification.\\n\\nAlex Ribeiro Garcia (ailier)– 39 ans – 1m90 – Minas Tênis Clube – SP\\n\\nAnderson França Varejão (pivot) 36 ans – 2m11 – CR Flamengo – ES\\n\\nAugusto Cesar Lima Brito (pivot) – 27 ans – 2m08 – San Pablo Burgos (ESP) – RJ\\n\\nBruno Correa Fernandes Caboclo (ailier) – 23 ans – 2m06 – Memphis Grizzlies (EUA) – SP\\n\\nCristiano Silva Felício (pivot) – 27 ano – 2m08 – Chicago Bulls (EUA) – MG\\n\\nJhonatan Luz dos Santos (ailier) – 32 ans – 1m96 – CR Flamengo – SP\\n\\nLeandro Mateus Barbosa (ailier) – 36 ans – 1m92 – Minas Tênis Clube – SP\\n\\nLucas Dias Silva (ailier/pivot) – 24 ans – 2m07 – Sesi Franca – SP\\n\\nMarcelo Tieppo Huertas (meneur) – 36 ans – 1m91 – SP\\n\\nMarcos Henrique Louzada Silva (Didi) – arrière-ailier – 20 ans – 1m95 – Sydney Kings (AUS) – SP\\n\\nMarcus Vinicius Vieira de Sousa (ailier) – 35 ans – 2m07 – CR Flamengo – RJ\\n\\nRafael Freire Luz (arrière) – 27 ans – 1m88 – MoraBanc Andorra (ESP) – SP\\n\\nRafael Hettsheimeir (ailier/pivot) – 33 ans – 2m08 – Sesi Franca – SP\\n\\nVitor Alves Benite (ailier/pivot) – 29 ans – 1m90 – San Pablo Burgos (ESP) – SP\\n\\nYago Mateus dos Santos (meneur) – 20 ans – 1m78 – CA Paulistano – SP\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Quand les fans de l’Olympiakos sont invités à venir au Panathinaikos à moitié prix" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le conflit perpétuel avec le rival Olympiakos, le Panathinaikos vient d’en rajouter une couche.\\n\\nOn sait que l’Olympiakos, tout en demeurant en Euroleague, est rétrogradé en deuxième division nationale pour avoir refusé deux fois d’être arbitré par des officiels grecs. Eh bien, le Pana a annoncé qu’il met en vente des billets à moitié prix pour... les fans de l’Olympiakos.\\n\\n« Nous avons une responsabilité envers ceux qui aiment le basket-ball grec, et ceux qui aiment vraiment notre sport national seront toujours les bienvenus s’ils veulent voir les meilleurs matches de basket-ball grec », peut-on lire dans la déclaration publiée par le Panathinaikos.\\n\\nPour bénéficier de la réduction, les supporters de l’Olympiacos devront présenter leur abonnement. On doute qu’il y en ait beaucoup qui fassent la démarche." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Travis Munnings arrive à Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Fraîchement diplômé de l’université de Louisiana Monroe, Travis Munnings (1,98m, 24 ans) est la dernière recrue estivale de Blois.\\n\\nAilier complet, il n’a pas été drafté après son cursus universitaire malgré un intérêt des Charlotte Hornets qui l’ont invité à faire un workout en juin dernier. Cette saison, Travis Munnings compilait en moyenne 15,2 points, 7,8 rebonds et 2,6 passes décisives en NCAA.\\n\\nMickaël Hay a donné son ressenti sur son nouveau joueur.\\n\\n« Travis est un jeune joueur qui manie très bien le ballon. Il possède un bon shoot et des qualités athlétiques au-dessus de la moyenne. Ce sera sa première expérience en Europe et on va tout mettre en œuvre pour l’aider à poursuivre sa progression »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : ulmwarhawks.com" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le Sénégalais Maurice Ndour de Kazan à Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Il sera l’une des principales forces du Sénégal à la Coupe du monde. En attendant, l’intérieur Maurice Ndour (2,06m, 27 ans) passe de UNICS Kazan à Valence.\\n\\nMaurice Ndour a été formé à l’université d’Ohio, a porté le maillot du Real Madrid et des New York Knicks (32 matches) et il avait rejoint Kazan en 2007. Il a été consacré meilleur défenseur de VTB League la saison passée.\\n\\nEn trois matches, il a apporté 5,7 points et 1,7 rebond au Sénégal lors des qualifications à la Coupe du monde.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Killian Hayes: le président de Cholet veut que le dossier soit réglé sous dix jours" }, {"role": "assistant", "content":"« Killian nous a fait part de son souhait de jouer une coupe d’Europe la saison prochaine, chose que nous ne pourrons pas lui offrir. Nous sommes donc en pourparlers avec son agent et son entourage pour un départ. »\\n\\nC’est le nouveau président de Cholet Basket, Jérome Mérignac qui évoque dans Le Courrier de l’Ouest le sort de Killian Hayes, le prodige du club qui va avoir 18 ans le 27 de ce mois et qui est en principe sous contrat jusqu’en 2022.\\n\\nLimoges et Monaco sont intéressés par la venue de celui qui vise une place en haut de la draft NBA 2020.\\n\\n« Avec une draft au 1er tour, Cholet Basket peut en effet empocher 750 000 dollars. C’est la raison pour laquelle le club des Mauges demanderait une très rondelette somme de départ au CSP Limoges », écrit le Courrier de l’Ouest.\\n\\nLe président de CB veut que le dossier soit réglé sous dix jours. Le temps presse aussi pour construire l’équipe choletaise de la saison 2019-20.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U20: 3/3 pour les Bleuets" }, {"role": "assistant", "content":"L’écart final de 12 points (69-57) est flatteur. La bataille a été acharnée pendant quarante minutes et les Bleuets ont su enfiler les paniers à trois-points dans le money time pour se débarrasser des Turcs qui n’ont pas excellé en la matière (1/11).\\n\\nA la mi-temps, ce sont les Turcs qui menaient 31-28 mais donc les Français ont su donner le coup d’accélérateur dans le dernier quart-temps remporté 22-13.\\n\\nIvan Février est de nouveau le meilleur marqueur (13 points) mais avec pas mal de déchets (6/18). Timothée Bazille a eu un excellent apport avec 10 points et 8 rebonds.\\n\\nCela fait donc trois victoires en trois matches dans ce tour préliminaire. Mercredi, l’équipe de Jean-Aimé Toupane affrontera l’Ukraine en huitièmes de finale.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Timothée Bazille, FIBA" }, {"role": "user", "content":"La phase finale de l’Euro 2021 en Allemagne" }, {"role": "assistant", "content":"L’Allemagne (Cologne), l’Italie (Milan), la République Tchèque (Prague) et la Georgie (Tbilissi) organiseront chacune une poule de l’Euro 2021. L’Allemagne se voit confier en plus la phase finale qui se tiendra à Berlin à la Mercedes-Benz Arena (anciennement O2 World) d’une contenance de 15 000 sièges. Il s’agira de la 41e édition du championnat d’Europe masculin des nations.\\n\\nCe sera la cinquième fois, que l’Allemagne organisera des championnats d’Europe. La première fois c’était à Böblingen et à Essen en 1971 puis en 1985 à Karlsruhe, Leverkusen et Stuttgart, en 1993, à Berlin, Karlsruhe et Munich avec un titre européen à la clé pour l’équipe nationale. Plus récemment, un tour préliminaire s’est disputé à Berlin en 2015.\\n\\n32 équipes participeront aux qualifications et seront réparties dans 8 poules de 4 équipes. Les 3 premiers de chaque groupe seront qualifiés pour le tournoi final. Ces qualifications se dérouleront sur quatre fenêtres:\\n\\n * 25 novembre – 3 décembre 2019\\n * 17-25 février 2020\\n * 23 novembre – 1er décembre 2020\\n * 15-23 février 2021\\n\\nL’Estonie, la Hongrie et la Slovénie sont les pays qui n’ont pas été retenus pour l’organisation de l’Euro 2021.\\n\\nPhoto: Berlin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Paul Rigot passe d’Antibes à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux ans à Antibes, Paul Rigot (2,01m, 24 ans) quitte le Sud de la France et signe à Evreux.\\n\\nSur son site, l’ALM annonce la signature pour une saison de l’ailier français. Passé par l’INSEP, le natif du Mans a rejoint les rangs du Limoges CSP en 2013 pendant deux ans. Il a ensuite signé à Orchies, puis Monaco et donc Antibes.\\n\\nCette saison, Paul Rigot compilait en moyenne 3,5 points et 1,6 rebond pour une évaluation de 3 en Jeep Elite.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Sharks Antibes" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Cholet recrute Chris Horton" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir récupéré Vafessa Fofana, Cholet vient d’annoncer la signature de Chris Horton (2,03m, 25 ans).\\n\\nSur son site, CB indique que l’intérieur américain s’est engagé pour une saison dans les Mauges. Formé à l’université d’Austin Peay, il a lancé sa carrière aux Grand Rapids Drive, en G-League, avant de traverser l’Atlantique. En 2017/18, il a signé une saison en à l’Alba Fehervar, en Hongrie, avant de rejoindre les rangs de Kymi, en Grèce, à l’intersaison 2018.\\n\\nErman Kunter s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Chris est un joueur assez complet, comme ses statistiques l’année dernière l’ont démontré. Depuis sa première expérience en Europe, il progresse chaque année, notamment en attaque. C’est un joueur athlétique, capable de faire beaucoup de choses. »\\n\\nCette saison, Chris Horton compilait en moyenne 13,6 points et 9 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: L’Allemagne privée de Isaiah Hartenstein (Houston Rockets)" }, {"role": "assistant", "content":"Adversaire de la France au premier tour de la Coupe du monde, l’Allemagne devra faire sans son jeune intérieur américano-allemand Isaiah Hartenstein (2,13m, 21 ans) qui veut « travailler » cet été pour se faire une place aux Hoston Rockets.\\n\\nHartenstein est le fils d’un ancien joueur pro allemand et coach et d’une Américaine, il est né dans l’Oregon, a été formé en Allemagne et au Zalgiris Kaunas. Il a joué la saison dernière 28 matches avec les Rockets pour 8′ de temps de jeu moyen.\\n\\n\\n\\n\\n\\nIsaiah Hartenstein confirmed he won’t play in FIBA World Cup 2019. He already came to an agreement with Germany NT coach Henrik Rodl that he needs to get ready for an important NBA season with Houston Rockets. “I will need to prove I can belong here,” he told me.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) July 15, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Alexis Wangmene débarque dans la raquette de Saint-Quentin" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en Pro B à la rentrée, Saint-Quentin continue de construire l’effectif qui tentera de maintenir l’équipe en deuxième division française.\\n\\nAujourd’hui, le SQBB annonce l’arrivée d’Alexis Wangmene (2,01m, 30 ans), en provenance de Belgique. International camerounais, le natif de Yaoundé a quasiment effectué l’intégralité de sa carrière en Europe. Formé sous les couleurs des Texas Longhorns en NCAA, il a ensuite tenté sa chance en G-League avant d’arriver en Europe en 2013. IL est passé par la Slovénie, la Pologne et le Kosovo avant d’atterrir à Liège pendant l’été 2018.\\n\\nCette saison, Alexis Wangmene compilait en moyenne 13,8 points et 7,3 rebonds par match.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n" }, {"role": "user", "content":"La France va organiser l’Euro féminin 2021 !" }, {"role": "assistant", "content":"La France va co-organiser l’Euro féminin du 17 au 27 juin 2021 avec l’Espagne. Les phases de groupe se tiendront à Lyon au palais des sports de Gerland et Valence (Valencia) et la phase finale à l’AccorHôtels Arena de Paris-Bercy. Cette candidature a été préférée ce matin à Munich par le Central Board de la Fédération Internationale à celle conjointe de la Suède et de l’Ukraine.\\n\\n16 équipes seront réparties en 4 poules de 4 équipes. Chaque site du 1er tour (Lyon et Valence) accueillera deux poules de 4. Les 2 premières équipes de chaque poule seront qualifiées pour les quarts-de-finale qui se dérouleront sur les deux sites. Les matches de classement ainsi que les demi-finales, finale pour la 3e place et finale, auront pour cadre Paris-Bercy.\\n\\nPar tradition, le pays organisateur est qualifié d’office pour la compétition.\\n\\nCet Euro de 2021 servira de répétition générale avant les Jeux Olympiques de Paris en 2024 dont le tournoi de basket-ball aura lieu dans la même enceinte. La capacité maximale de la salle en configuration basket est de 16 000 places.\\n\\nLa France a déjà accueilli l’Euro féminin en 1962, 1976, 2001 et 2013 à Lille, Mouilleron-le-Captif, Orchies, Trélazé et Vannes.\\n\\n« L’union des deux grandes puissances du basket féminin européen, l’Espagne et la France, donne de la solidité à un projet qui vise à poursuivre l’héritage de l’organisation de la Coupe du Monde de Tenerife 2018 et à donner un élan définitif à la promotion du basket-ball féminin, le grand pari de la FEB« , a commenté le président de la fédération espagnole, Jorge Garbajosa.\\n\\n\\nAns the winners are....\\nWelcome @EuroBasketWomen 2021 in 🇪🇸 and 🇫🇷 @BaloncestoESP @ffbasketball @jgarbajosa15 @Sandrine_Gruda pic.twitter.com/Ay72wTXr60\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) July 15, 2019\\n\\n\\nhttps://twitter.com/photocollespec/status/1150709963465068544\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Officiel : le Panathinaïkos annonce la signature de Jimmer Fredette" }, {"role": "assistant", "content":"Sans grande surprise, le Panathinaïkos vient d’officialiser l’arrivée de Jimmer Fredette pour les deux prochaines saisons.\\n\\nConnu pour ses qualités de scoreur qu’il a parfaitement su exporter en Chine depuis trois ans avec les Shangai Sharks (il a inscrit 75 points en un match en novembre 2018), le natif de Glens Falls va gouter pour la première fois de sa carrière au jeu européen et à l’Euroleague en Grèce. Passé par Sacramento, Chicago, New Orleans, New York et Phoenix, l’ancien joueur des Kings n’est jamais parvenu à se faire une vraie place en NBA.\\n\\nCette saison, Jimmer Fredette compilait en moyenne 36 points, 5,6 rebonds, 5,3 passes décisives et 2,5 interceptions en Chine." }, {"role": "user", "content":"Italie: Le maire d’Avellino a mis 20 000 euros de sa poche pour tenter de sauver le club" }, {"role": "assistant", "content":"C’est demain que le bureau de la Lega va décider si Scandone Avellino va pouvoir repartir en Serie B après avoir été exclu de Serie A suite à de graves problèmes financiers de son sponsor Sidigas.\\n\\nMais déjà, Gianluca Festa, le maire de cette ville de 55 000 habitants de Campanie a sauvé le club en payant de sa poche 20 000 euros pour l’inscription de Scandone en Serie B... Le 9 juillet peu avant minuit, ce qui représentait la deadline.\\n\\n« Je ne pouvais pas annuler pour 20 000 euros, une histoire composée de sacrifices de tant de personnes , » a expliqué le maire. « Ne trouvant pas beaucoup d’aide autour de moi, j’ai décidé de donner cet argent après avoir parlé à Petrucci (NDLR: le président de la ligue italienne). Si le paiement n’avait pas été effectué hier, nous aurions déjà disparu aujourd’hui. Nous conservons un espoir, nous sommes habitués à nous battre, et je l’ai toujours dit: je n’abandonnerai jamais tant que je pourrai me battre pour sauver le football et le basket-ball. »" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Quino Colom pour remplacer Antoine Diot à Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Antoine Diot parti à l’ASVEL, Valence s’est mis en quête d’un nouveau meneur et c’est Quino Colom (1,88m, 30 ans) qui a été choisi.\\n\\nCette saison en Turquie, il était le chef d’orchestre du promu, Bahcesehir, mais avant cela il a déjà performé en Eurocup et en Euroleague qu’il retrouvera à la rentrée avec Valence. Né à Andorre, l’international espagnol est passé par Saragosse, Fuenlabrada ou encore Bilbao en Espagne, puis par Kazan pendant trois saisons avant d’atterrir en Turquie.\\n\\nCette saison, Quino Colom compilait en moyenne 15,5 points, 3,1 rebonds et 6 passes décisives en première division turque.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"WNBA: 7 points pour Marine Johannès contre le champion en titre" }, {"role": "assistant", "content":"Pour son deuxième match en WNBA, Marine Johannès a scoré 7 points (2/3 aux tirs du champ dont un primé, 2/2 aux lancers) et fait 2 passes en 14′. Le New York Liberty a échoué à Seattle face au Storm, le champion en titre, 69-78, malgré un dernier quart-temps de feu (26-12).\\n\\nBria Hartley est entrée dans le cinq de départ et a joué 28′ pour 7 points, 5 passes, 4 rebonds et 2 interceptions.\\n\\nOutres les deux internationales, ce match a également concerné la Lyonnaise Alysha Clark (6 points, 3 rebonds, 3 passes) et la Montpelliéraine Sami Whitcomb (11 points, 4 rebonds, 3 passes).\\n\\n\\nMarine Johannes 🇫🇷 s’est une nouvelle fois illustrée avec les @nyliberty cette nuit en #WNBA 🙌\\n\\n➡️ 7 points, 2 passes en 14 minutes 🔥@MarineJ5 @ASVEL_Feminin\\n\\nSes highlights ⤵️ pic.twitter.com/7o2TWR3xIJ\\n\\n— Jacques Guillemant (@jacquesguil) July 15, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] En Direct avec Youssoupha Fall (Strasbourg) : «La connaissance de Vincent Collet m’épate»" }, {"role": "assistant", "content":"Meilleure évaluation de Jeep Elite, Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) a atterri à Strasbourg à l’intersaison en prêt après avoir été sacré champion de France avec Le Mans et signé un contrat de quatre ans avec Vitoria. Le géant d’Alsace répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne me souviens pas du tout... C’est sûr que c’était avec Le Mans mais je ne me souviens pas de la première fois où j’ai joué avec les pros (ndlr, le 10 mars 2015 face au Paris-Levallois, il a compilé 2 points et 2 rebonds en 4 minutes dans la victoire du MSB).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe pense notamment à un joueur que j’ai affronté. Lors de la demi-finale de championnat l’année dernière avec Le Mans contre Strasbourg, j’avais du mal contre Miro Bilan. Je pense que j’ai réussi à m’adapter à lui au fil de la série et je pense que ça m’a rendu meilleur.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nVincent (Collet)... Sa connaissance du basket m’épate vraiment. Il connait vraiment, vraiment le basket sur le bout des doigts.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nIl n’y en aurait pas un en particulier... Je ne dirai pas rêver, je dirais que maintenant c’est devenu un objectif. Jouer en NBA, peu importe l’équipe.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nA Limoges ce n’est pas mal, mais je pense que là où il y avait le plus d’ambiance c’était contre la Virtus Bologne.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nJe dirais quand je me suis blessé au nez en Coupe d’Europe avec Le Mans. Petr Cornelie m’avait mis un coup sans faire exprès au rebond et j’ai pissé le sang du nez à ce moment-là. Mais je pense aussi à l’année où j’étais à Poitiers. On était sixième du classement lors de la dernière journée, on devait se qualifier pour les playoffs et on a perdu au buzzer contre Denain. On a été éliminé comme ça.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nLe titre de champion de France avec Le Mans.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nC’est difficile, mais je pense que ça serait Miro Bilan. C’était surtout avant, maintenant je sais à quoi m’attendre avec lui. On se connait bien, j’ai progressé.\\n\\nVotre move préféré :\\n\\nLe contre.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLes mouvements au poste bas d’Hakeem Olajuwon. Comment il bouge etc...\\n\\nPourquoi le numéro 19 :\\n\\nÇa n’a pas de signification particulière. Ce n’est pas comme les autres joueurs qui prennent par exemple le numéro de leur département ou autres. Moi, on m’a proposé le 19, je l’ai dit à mon père et il m’a dit que ce numéro pourrait bien m’aller. J’ai donc pris le 19 et je le garde depuis. C’est important pour moi. (Ndlr, le père de Youssoupha Fall est décédé en mars 2017).\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\n(Rires) Il ne faut pas répondre à ça ! Il y en a trop ! Je m’entends bien avec beaucoup de joueurs, Nicolas Lang, Ali Traoré. Je m’entends avec tout le monde.\\n\\nSi vous deviez choisir cinq potes pour monter une équipe, qui choisiriez-vous :\\n\\nJe prendrais Nico (Lang) comme shooteur, en meneur je prends Ludo (Beyhurst), Jeremy (Nzeulie) et Quentin (Serron) et puis Flo (Pietrus).\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nStrasbourg !\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nJ’aime bien aller au restaurant, sortir marcher en ville, aller au cinéma...\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe ne sais pas. Je n’en ai aucune idée. Avec ma taille ça a tout de suite été le basket.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne me souviens pas du tout... C’est sûr que c’était avec Le Mans mais je ne me souviens pas de la première fois où j’ai joué avec les pros (ndlr, le 10 mars 2015 face au Paris-Levallois, il a compilé 2 points et 2 rebonds en 4 minutes dans la victoire du MSB).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe pense notamment à un joueur que j’ai affronté. Lors de la demi-finale de championnat l’année dernière avec Le Mans contre Strasbourg, j’avais du mal contre Miro Bilan. Je pense que j’ai réussi à m’adapter à lui au fil de la série et je pense que ça m’a rendu meilleur.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL /BELLENGER / IS / LNB" }, {"role": "user", "content":"Ranking Mondial 3×3: Migna Touré n°1, 10 Françaises dans le top 14 !" }, {"role": "assistant", "content":"La joueuse de Basket Landes Migna Touré (1,83m, 24 ans) est largement en tête du ranking mondial 3×3 féminin avec 513 800 points. Le tir groupé des Françaises est tout à fait remarquable puisque 10 d’entre-elles figurent dans le top 14.\\n\\nLe tableau est beaucoup moins flatteur chez les garçons puisque le premier Français, Charly Pontens est... 70e ! Ce sont les Serbes qui se taillent la part du lion au classement.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Israël: Un contrat de 3,4M$ sur 3 ans pour Omri Casspi au Maccabi Tel-Aviv ?" }, {"role": "assistant", "content":"Sans club depuis février, l’ailier israélien Omri Casspi (2,06m, 30 ans) se serait engagé pour trois ans avec le Maccabi Tel Aviv. Son contrat serait de 3,4 millions de dollars sur trois ans avec en bonus un rôle de dirigeant à la fin de sa carrière. A noter toutefois que le club a infirmé cette annonce.\\n\\nOmri Casspi est sorti du Maccabi il y a dix ans pour embrasser une carrière NBA qui l’a emmené dans sept franchises différentes pour 588 matches, 7,9 points et 4,0 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"William Howard quitte Limoges pour tenter sa chance aux Utah Jazz" }, {"role": "assistant", "content":"On apprend ce soir sur Le Populaire que William Howard (2,01m, 25 ans) quitte Limoges, les Utah Jazz souhaitant payer le buyout de 150 000$ pour tester l’international français.\\n\\n« Il ne sera pas Limougeaud la saison prochaine. Nous sommes en train d’effectuer les formalités pour le libérer comme c’était stipulé dans son contrat », indique le directeur sportif du CSP Crawford Palmer.\\n\\nWilliam Howard est arrivé à Limoges il y a deux ans en provenance de Hyères-Toulon. Lors de la saison écoulée, il a affiché 9,2 points, 4,1 rebonds et 2,4 passes en Jeep Elite.\\n\\nLire ICI le portrait que nous lui avons consacré lors de son arrivée au CSP." }, {"role": "user", "content":"Euro U18 féminines : Le bronze pour la France !" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U18 revient bronzée de sa campagne 2019 après sa large victoire en ce début de soirée sur la Russie, 77-45. Il s’agit de la 10e médaille en 11 ans dans la catégorie. Seule l’année 2018 a fait exception. Une performance accomplie sans quatre joueuses de base, Marine Fauthoux, Iliana Rupert, Zoé Wadoux et Kendra Chéry.\\n\\nContrairement à la veille, les Françaises ont fait valoir leurs qualités athlétiques supérieures et après un quart-temps la cause était déjà entendue: 26-14 avec 8 points de l’intérieure Ténin Magassa (1,97m) et une adresse générale de 53,3%.\\n\\nLes Russes n’auront marqué que 18 points en deuxième mi-temps et leur adresse générale s’est figée à un médiocre 25%. Elles ont aussi été dominées au rebond, 54-35.\\n\\nAvec 11 points et 10 rebonds, Ténin Magassa a réussi un double double alors que Serena Kessler n’était pas loin du triple double (11 points, 10 rebonds, 6 passes).\\n\\nSur l’ensemble de la compétition, Janelle Salaun est la meilleure marqueuse (9,7 points), Aminata Gueye la meilleure rebondeuse (6,7) et Marie Pardon la meilleure passeuse (5,6).\\n\\nLa boxscore est ici\\n\\nLes statistiques des Françaises sont ici\\n\\n5 All-Stars:\\n\\nReka DOMBAI (HUN), Ilaria PANZERA (ITA) MVP, Janelle SALAUN (FRA), Caterina GILLI (ITA), Angelika KISS (HUN)\\n\\nPhotos: France (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro U20: La France écarte la Grande-Bretagne, 74-60" }, {"role": "assistant", "content":"Après le Monténégro, l’équipe de France U20 s’est offert en fin d’après-midi la Grande-Bretagne au championnat d’Europe de la catégorie, 74-60.\\n\\nLe démarrage fut laborieux mais après un 12-0 au début du deuxième quart-temps, les Bleuets menaient 38-27 à la mi-temps avec 25 points de la paire Dylan Mama/Ivan Février et une évaluation collective du double des Britanniques: 46-23.\\n\\nL’avantage des Français a toujours tourné autour de la dizaine de points face à des Britanniques dont certains ont fait parler leur puissance physique. Les garçons de Jean-Aimé Toupane ont su gérer le money time pour ne pas être réellement inquiété.\\n\\nAvec 22 points réussis avec un superbe 10/11 aux shoots, l’ailier Dylan Mama de Boulazac a été le meilleur marqueur français et aussi le numéro 1 à l’évaluation (23).\\n\\nLes Bleuets seront opposés demain à la Turquie.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Sofiane Briki, Ludovic Beyhurst et Ivan Février (FIBA)\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Le coup de gueule de l’agent de Nikola Milutinov (Olympiakos) contre les retards de paiement" }, {"role": "assistant", "content":"C’est un mal qui épargne le basket français mais qui ronge beaucoup de clubs européens: le fait que les joueurs ne soient pas payés ou payés en retard. L’agent du pivot serbe Nikola Milutinov (2,12m, 24 ans), Georgios Dimitropoulos, a publié sur les réseaux sociaux une déclaration à ce sujet.\\n\\nCe coup de gueule fait suite au refus d’Olympiakos de libérer le joueur alors que le CSKA Moscou, d’après la Gazzetta.gr, aurait offert environ 1,5 million d’euros au club grec ainsi que trois millions d’euros par an à Milutinov. D’après le journal Livesport, le joueur a aussitôt envoyé un courrier à Olympiakos pour récupérer son dû sinon il s’estimera free agent.\\n\\n«Milutinov, comme toute personne sur terre, a le droit d’exiger d’être payé à temps. Le fait que dans presque tous les clubs grecs, ainsi que dans de nombreux clubs en Europe, dont de nombreux clubs d’EuroLeague, d’EuroCup, de BCL, d’ACB, russes, italiens, turcs, etc., les joueurs restent impayés ou sont payés en retard depuis des années et qu’ils n’en parlent pas assez, le fait que des milliers d’affaires soient portées devant les tribunaux locaux ou les BAT, ne signifie pas qu’une fois que quelqu’un demande à être payé ce qui lui est dû, c’est une irrégularité. Limiter un problème mondial à un seul club est une blague! C’est l’une des raisons pour lesquelles nous sommes à des centaines d’années de la NBA.\\n\\nNikola a un contrat de plus d’un an avec l’Olympiakos et c’est un choix de club qu’il reste ou non. S’il reste, il donnera 100% comme toujours pour le club qui lui fait confiance depuis des années, contrairement à d’autres clubs. Aussi simple que cela. Ce qui se passe ensuite, en tant qu’agent libre, est quelque chose que nous ne pouvons pas connaître aujourd’hui. »\\n\\nLe centre serbe a enregistré une moyenne de 11,7 points, 7,9 rebonds et 1,5 passe décisive en Euroleague lors de la saison 2018-19." }, {"role": "user", "content":"Serbie: Le pivot international Ognjen Kuzmic grièvement blessé dans un accident" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot serbe Ognjen Kuzmic (2,14m, 29 ans) a été grièvement blessé dans un accident de la circulation hier soir en Bosnie, a indiqué dimanche son club, l’Étoile Rouge de Belgrade. Le joueur a été touché à la tête et à la poitrine et a été transféré à Belgrade. Il serait dans le coma. Trois autres personnes été blessées dans cet accident.\\n\\nOgnjen Kuzmic a été champion de NBA avec les Golden State Warriors en 2015 et gagné l’Euroleague en 2018 avec le Real Madrid. Il venait de signer un contrat de deux saisons avec l’Etoile Rouge de Belgrade et était pré-sélectionné pour la Coupe du monde en Chine." }, {"role": "user", "content":"Australie: Ben Simmons forfait à la Coupe du monde ?" }, {"role": "assistant", "content":"La question qui agite le basket australien est la suivante: Ben Simmons (2,08m, 22 ans) va t-il participer à la Coupe du monde? La réponse est TRES importante. Ben Simmons c’est 17,5 points, 8,5 points et 7,9 passes pour les Philadelphie Sixers la saison écoulée.\\n\\nAu cours de cette saison, Simmons avait été prudent lorsque les journalistes lui avaient demandé à plusieurs reprises s’il jouerait pour l’Australie lors de cette Coupe du monde. La raison: son contrat était en renégociation. Mais avant que celui-ci soit finalisé, il avait assuré sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Je vais être un Boomer (NDLR: le surnom des basketteurs australiens) pour les prochains événements, alors restez à l’écoute. »\\n\\nLe contrat n’est pas encore signé mais on parle de 170 millions de dollars sur cinq ans -un record pour un sportif de son pays et... d’après le journaliste Adrian Wojnarowski de ESPN, qui a eu son agent Rich Paul, Simmons aurait changé d’avis. Sa priorité serait de se préparer pour la prochaine saison en NBA.\\n\\nLes Boomers n’ont pas encore remporté de médaille à une Coupe du Monde ni aux Jeux Olympiques mais avec Simmons à la tête d’une équipe composée de joueurs de la NBA, dont Patty Mills, Andrew Bogut, Joe Ingles, Matthew Dellavedova, Aron Baynes et Jonah Bolden, les planètes paraissaient alignées.\\n\\nL’Australie est placée dans le « groupe de la mort » à la Coupe du monde avec le Canada, la Lituanie et le Sénégal et peut croiser potentiellement l’équipe de France\\n\\n\\nPhiladelphia 76ers star Ben Simmons is \\doubtful\\ to play for Australia in the FIBA World Cup this summer, his agent Rich Paul tells ESPN. Simmons is more likely now to spend his full offseason preparing only for the Sixers season — free of national team responsibilities.\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) July 13, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 – Deni Avdija (Israël): «nous représentons le peuple juif du monde entier»" }, {"role": "assistant", "content":"Les salles sont trop souvent complètement vides lors des compétitions de jeunes estivales, alors il faut souligner que les 3 500 places de la Shlomo Group Arena de Tel-Aviv -qui sert habituellement à l’Hapoël- étaient toutes occupées hier soir pour le match Israël-Serbie du championnat d’Europe U20.\\n\\nC’est un évènement important pour le basket israélien comme le souligne l’arrière du Maccabi Tel-Aviv, Deni Avdija, 18 ans, au Jerusalem Post.\\n\\n«Ça fait du bien. Jouer à la maison avec notre public et dans les installations de notre pays est incroyable. Avoir nos fans à domicile derrière nous est également un avantage considérable. Les Israéliens adorent nous encourager et ils adorent le succès lorsque nous réussissons, ce qui constitue une part importante de notre potentiel de succès dans cette compétition. Nous sommes également conscients du fait que nous représentons le peuple juif du monde entier et nous ferons de notre mieux pour le rendre fier. »\\n\\nLes Israéliens sont entrées dans la compétition extrêmement ambitieux car ce sont eux les tenants du titre après leur victoire en Allemagne en 2018. Il y a beaucoup d’attente de la part du public israélien.\\n\\n« Je n’appellerais pas cela de la pression, en tant que basketteurs, nous aimons toujours la compétition au plus haut niveau », a expliqué Avdija. «Mais nous savons aussi que remporter des championnats consécutifs est un défi et que ce ne sera pas facile. Cependant, nous avons une excellente équipe nationale et un excellent entraîneur qui peut tout mettre en place. »\\n\\nHier soir, la Serbie a douché les espoirs d’Israël en s’imposant 92-81 malgré les 14 points, 8 rebonds et 6 passes de Avdija. La jeune perle israélienne, qui est entré sept fois en jeu avec le Maccabi en Euroleague la saison dernière, est annoncée dans le top 10 de la prochaine draft NBA tout comme le Français Théo Maledon mais qui lui n’est pas présent à cet Euro.\\n\\n«Il est difficile de penser à la NBA. C’est excitant, mais j’ai une année complète devant moi et je veux le faire jour après jour et je ne pense pas à l’avenir, le temps passera tout seul. «\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Italie: Seulement 17 équipes en Serie A" }, {"role": "assistant", "content":"Olimpia Milan, Reyer Venise, Dinamo Sassari, Vanoli Cremona, New Basket Brindisi, Aquila Trento, Pallacanestro Trieste, Pallacanestro Varese, Pallacanestro Cantù, Virtus Bologna, Leonessa Brescia, Pallacanestro Reggiana, Victoria Libertas Pesaro et Pistoia Basket 2000 seront de nouveau présents sur la ligne de départ de la Série A italienne pour la saison 2019-20.\\n\\nÀ ces derniers s’ajoutent les trois nouveaux promus de la Serie A2, dont l’admission a été ratifiée: Fortitudo Bologna, Virtus Roma et l’Universo Treviso. Le nombre impair d’équipes saute aux yeux. La raison: l’exclusion de Scandone Avellino qui devrait être approuvée mardi par le Conseil fédéral et qui sera probablement sur la ligne de départ de la série B.\\n\\nLe championnat débutera donc avec 17 équipes et non pas 18 comme prévu initialement. La formule prévoira donc deux descentes et l’objectif sera de revenir à 16 équipes pour la saison 2020-21.\\n\\nC’est précisément à partir de la saison à venir que des clauses plus restrictives seront adoptées afin d’éviter les faillites pendant la saison. En plus des contrôles habituels effectués par Comtec, la Lega Basket Serie A imposera des obligations minimales afin de régulariser le championnat autant que possible." }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] En Direct avec Haukur Palsson (Nanterre) : «Avec le 13 je voulais porter malheur à l’adversaire»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vient de s’engager avec l’UNICS Kazan, Haukur Palsson nous avait accordé une interview en fin de saison. L’occasion pour vous de la lire ou relire.\\n\\nInternational islandais passé par l’université de Maryland, Haukur Palsson (1,97m, 26 ans) vit sa troisième saison de suite en France à Nanterre, après avoir joué à Rouen et Cholet. Après l’entraînement matinal, l’ancien joueur de Manresa a répondu aux questions du « En Direct ». Demain, il sera face à Pau en quart-de-finale aller des playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe m’en souviens , j’étais à Manresa et c’était contre la Joventut Badalone. J’en garde un plutôt bon souvenir, j’avais 18 ou 19 ans à l’époque (ndlr, victoire de Manresa lors de laquelle Haukur Palsson a commencé le match et compilé 2 points, 3 rebonds et 3 contres en 20 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a deux. Je dirais Jon Stefansson qui joue toujours aujourd’hui (ndlr, à Reykjavik, en Islande) et Hörður Vilhjálmsson qui ne joue plus depuis cette saison et qui est devenu coach.\\n\\nAviez-vous un modèle dans le basket :\\n\\nJon Stefansson ! J’aimais aussi beaucoup Kobe Bryant. Et quand j’ai commencé à regarder Manu Ginobili, je l’ai très vite adoré.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nC’est difficile... Julian Wright était très bon quand on a joué Levallois, mais c’est compliqué de sortir un seul joueur. Il y a vraiment beaucoup de bons joueurs dans ce championnat, je ne peux pas en tirer un.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nQuand j’étais jeune j’ai eu un coach, Thomas. A l’époque je ne me suis pas rendu compte de ce qu’il m’apportait, mais avec du recul je me dis qu’il m’a beaucoup aidé. J’ai bien aimé aussi Gary Williams, quand j’étais à l’université de Maryland. C’est pendant mes jeunes années que j’ai le plus été marqué par mes entraineurs.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nQuand j’étais à l’université de Maryland. C’était incroyable. On a un très bon public ici à Nanterre, mais il y avait 18 000 personnes dans la salle à Maryland ! (sourire)\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nEncore en activité, je dirais Kevin Durant.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nJe pense que ma deuxième année en Espagne a été très difficile (ndlr, à Manresa). Je n’étais pas en confiance. Mon année en high school n’était pas une bonne expérience non plus. Je pense aussi au moment où je me suis blessé au dos, c’était dur.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nMes premières années de basket étaient bien, mon expérience à Maryland était géniale. Mais je pense que c’est ma première année en Espagne qui reste la meilleure que j’ai vécu.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nAdam Hanga ou Justin Doellman.\\n\\nLe meilleur joueur contre qui vous avez joué :\\n\\nKyrie Irving, je pense.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nJe n’en ai pas vraiment.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nHum... Le stepback de James Harden. La façon qu’il a de pouvoir se créer son propre tir à chaque fois... Ah non, les fadeaways de Kobe Bryant !\\n\\nPourquoi le numéro 13 :\\n\\nC’est une bonne question (rires) ! Il se dit toujours que le numéro 13 porte malheur. Quand j’étais jeune, j’ai toujours voulu prendre ce numéro parce que voulais justement porter malheur à l’adversaire. Ça c’est quand j’étais enfant, mais depuis je l’ai toujours gardé.\\n\\nLes sujets de discussion dans les vestiaires :\\n\\nOn parle vraiment de tout et n’importe quoi ! Ça peut être un joueur, un match, une performance...\\n\\nLe mec le plus drôle de l’équipe :\\n\\nJeremy Senglin est très, très drôle.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nTous mes meilleurs amis sont des joueurs de basket ! Il y en a deux dont je suis vraiment proche.\\n\\nSi vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nCompliqué... C’est une bonne question... Je partirais avec Justin Doellman, Adam Hanga, il n’est pas vraiment meneur mais Jeremy Senglin et mon gars Josh Asselin au poste 5.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJ’étais très bien à Rouen, mais ici on est juste à côté de Paris donc c’est difficile de rivaliser.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nL’été j’aime pêcher, les balades à cheval, j’aime faire du camping, tout se qui se fait à l’extérieur. J’aime jouer à la playstation.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nC’est une question compliquée, j’aime ça ! Je commencerais par mettre les mêmes règles partout. En Europe il à 24 secondes, en NCAA 35, en high school parfois il n’y a pas de limite. Voilà par quoi je commencerais.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe serais dans la vente, quelque chose comme ça.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nDans la vente.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe m’en souviens , j’étais à Manresa et c’était contre la Joventut Badalone. J’en garde un plutôt bon souvenir, j’avais 18 ou 19 ans à l’époque (ndlr, victoire de Manresa lors de laquelle Haukur Palsson a commencé le match et compilé 2 points, 3 rebonds et 3 contres en 20 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a deux. Je dirais Jon Stefansson qui joue toujours aujourd’hui (ndlr, à Reykjavik, en Islande) et Hörður Vilhjálmsson qui ne joue plus depuis cette saison et qui est devenu coach.\\n\\nAviez-vous un modèle dans le basket :\\n\\nJon Stefansson ! J’aimais aussi beaucoup Kobe Bryant. Et quand j’ai commencé à regarder Manu Ginobili, je l’ai très vite adoré.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Pourquoi Salamanque se retrouve exclu après 13 participations consécutives" }, {"role": "assistant", "content":"Un seul pays a trois représentants assurés dans la prochaine Euroleague féminine: la Russie. La France et la Turquie ont deux qualifiés d’office dans les 16 alors que Montpellier et Botas doivent passer par les qualifications. L’Espagne n’aura qu’une équipe, Gérone, le champion, et Avenida Perfumerias Salamanque reste au bord de la route après 13 participations consécutives et une cinquième place dans le Groupe B la saison dernière. De quoi le rendre amer.\\n\\nLes places sont accordées en fonction des résultats obtenus par les clubs de chaque pays sur les trois dernières saisons et l’Espagne n’occupe que la huitième place sur la liste ! Preuve que tout n’est pas rose dans le pays champion d’Europe. En fait, Salamanque a été plusieurs années le seul représentant espagnol en Euroleague et Eurocup et le pays n’a pas pu engranger beaucoup de points.\\n\\nPerfumerias Salamanque a publié un communiqué pour expliquer avoir tenté de faire fléchir la FIBA mais celle-ci s’est montré intransigeante. Le règlement est le règlement. Salamanque se contentera cette saison de l’Eurocup.\\n\\nLe tirage au sort de l’Euroleague et de l’Eurocup aura lieu le 23 juillet à Munich.\\n\\nLe classement FIBA\\n\\n1 Russie 274 000\\n2 Turquie 187 000\\n3 France 126 667\\n4 Hongrie 99 000\\n5 République tchèque 71 333\\n6 Pologne 64 333\\n7 Italie 63 000\\n8 Espagne 52 333\\n9 Lettonie 20 000\\n10 Belgique 18 667\\n\\nQualifiés d’office :\\n\\n * Ekaterinbourg (Russie)\\n * Fenerbahce (Turquie)\\n * Lyon ASVEL Féminin (France)\\n * Sopron (Hongrie)\\n * U. S. K. Prague (République Tchèque)\\n * Schio (Italie)\\n * Gérone (Espagne)\\n * T. T. T. Riga (Lettonie)\\n * Braine (Belgique)\\n * Dynamo Koursk (Russie)\\n * Cukurova Basketbol (Turquie)\\n * Bourges (France)\\n * Orenbourg (Russie)\\n\\nTour préliminaire :\\n\\n * Botas (Turquie)\\n * Gdynia (Pologne)\\n * Lattes-Montpellier (France)\\n * Venise (Italie)\\n * Olympiacos (Grèce)\\n * Miskolc (Slovaquie)\\n\\nPhoto: Silvia Dominguez (Salamanque, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Fenerbahçe recrute Derrick Williams pour 1,5M$ la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Le moins que l’on puisse dire, c’est que Fenerbahçe est très actif sur le marché des transferts. Après Nando De Colo, selon Eurohoops, le club turc vient d’enrôler Derrick Williams (2,03m, 28 ans).\\n\\nL’ailier américain sort d’une excellente saison en Euroleague avec le Bayern Munich : 13,4 points, 4,2 rebonds et 14,2 d’évaluation.\\n\\nWilliams cherchait à retourner en NBA mais il n’a pas eu le bon contact. Il a joué précédemment 428 matches dans la ligue américaine de 2011 à 2018 pour 8,9 points et 4,0 rebonds en moyenne.\\n\\nD’après Emiliano Carchia de Sportando, le montant du contrat est de 1,5M$.\\n\\n\\nDerrick Williams will get around $1.5 million (net) from Fenerbahce, I am told.\\nHe will sign a single-season deal with the Turkish powerhouse\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 14, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: Avec 4 283 points, Amara Sy est le meilleur marqueur de Jeep Elite en activité" }, {"role": "assistant", "content":"L’information est fournie par le site Proballers: Amara Sy, qui a annoncé hier son départ de l’AS Monaco, est le joueur en activité qui a marqué le plus de points en Jeep Elite: 4 283.\\n\\nMême s’il a opéré un peu à l’étranger (AEK Athènes, D-League, Murcie), l’Amiral a passé 18 saisons en Jeep Elite: 9 à Villeurbanne (en trois fois), 3 au Mans, 2 à Orléans et 4 à Monaco. Il a été 6 fois all-star.\\n\\nSa moyenne de points en saison régulière est de 9,6.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\nAvec 4283 points marqués en saison régulière, @AmarouXX est le meilleur marqueur #JeepELITE en activité. Il a annoncé aujourd’hui son départ de @ASMonaco_Basket pour rejoindre...\\n\\nPhoto : Sébastien Grasset pic.twitter.com/CrswxbZ8wo\\n\\n— Proballers (@Proballers_FR) July 13, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"William Howard va t-il faire faux-bond à Limoges ?" }, {"role": "assistant", "content":"C’est ce qui inquiète le Limoges CSP depuis quelques heures: son ailier William Howard (2,01m, 25 ans) pourrait ne pas être au rendez-vous de la reprise de l’entrainement début août.\\n\\nL’international est actuellement aux Etats-Unis en quête d’une place en NBA et il serait en passe de franchir la première étape. Car s’il n’est pas entré en jeu à la Summer League de Las Vegas, il a tapé dans l’oeil du staff des Utah Jazz comme le rapporte L’Equipe.\\n\\n« Mais ce qu’il a montré lors de séances de travail, notamment les 5 et 6 juin lors d’un mini-camp ayant réuni une trentaine de joueurs à huis clos a visiblement convaincu l’équipe de Rudy Gobert. Selon nos informations, la franchise de l’Utah, séduite par son profil et ses qualités de shooteur longue distance, aurait décidé de lui donner sa chance lors du camp d’entraînement, qui débutera fin septembre. »\\n\\nS’ils veulent embaucher le natif de Montbrison, les Jazz devront payer un buy-out de 150 000 dollars et s’il ne gagne pas sa place dans l’équipe, William Howard pourra toujours signer un two-way contract et jouer en G-League.\\n\\nLimoges, qui a déjà perdu Sekou Doumbouya et Axel Bouteille, alors que Jonathan Rousselle souhaite partir, est en mal de joueurs français dans son projet de reconstruction. Et il n’y en a plus pléthore de bons sur le marché.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"La France co-organisatrice de l’Euro féminin 2021 ? Réponse aujourd’hui" }, {"role": "assistant", "content":"La France et l’Espagne effectuent une candidature main dans la main pour organiser l’Euro féminin 2021 avec une phase finale à Paris-Bercy. L’autre projet est celui de la Suède et de l’Ukraine.\\n\\nLa France a déjà accueilli l’Euro féminin en 1962, 1976, 2001 et 2013 à Lille, Mouilleron-le-Captif, Orchies, Trélazé et Vannes.\\n\\n« Cela signifierait que tout se joue devant nos fans, qui nous suivent depuis le début, même lorsque nous n’avons pas eu autant de succès. Merci à tous les employés qui travaillent à la Fédération pour tout le travail qu’ils font chaque année. Nous avons eu la chance de tous les récompenser par une médaille « , a déclaré Sandrine Gruda, médaillée d’argent au dernier Euro à Belgrade et élue dans le cinq all-stars.\\n\\nEn ce qui concerne l’Euro masculin, la République tchèque, l’Estonie, l’Allemagne, la Géorgie, la Hongrie, l’Italie et la Slovénie sont concernés. Aucune des offres ne réclamant à elle seule l’organisation de l’événement phare du basketball européen, comme pour les filles, l’un des pays qui sera l’hôte de la phase de groupe organisera également la phase finale.\\n\\nAprès l’introduction du nouveau système de compétition de la FIBA, l’événement est passé d’un cycle de deux ans à un cycle de quatre ans, offrant aux joueurs un été libre et maximisant les chances d’avoir des stars internationales dans les compétitions phares de la FIBA.\\n\\nLes annonces seront diffusées sur toutes les plateformes de médias sociaux de la FIBA à 16h30 GMT + 2.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U18 féminin : Pas de finale pour les Françaises éliminées par la Hongrie, 56-67" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré leur supériorité physique matérialisée par une domination au rebond (45-34), les Françaises se sont fait sortir en demi-finale de l’Euro U18, 56-67, par une équipe de Hongrie au jeu collectif très huilé et qui a été plus performante à la finition.\\n\\nPour cet Euro, l’équipe de France est privée de Iliana Rupert et Marine Fauthoux déjà avec les A ainsi que deux autres cadres, Zoe Wadoux et Kendra Chery, blessées.\\n\\nL’équipe de France sera opposée demain à la Russie pour la médaille de bronze.\\n\\nL’avantage des Hongroises après un quart-temps s’expliquait par une très bonne circulation de balle et une adresse à 56,2% contre 31,2% aux Françaises. Menées 17-24, les Françaises avaient une réaction (26-26) mais pêchaient encore trop dans la finition notamment à trois-points (0/7) et étaient toujours menées à la mi-temps (28-31). Particularité: la France se retrouvait alors avec 10 joueuses entre 2 et 5 points !\\n\\nPar la suite, les Hongroises maintenaient une belle adresse, ce qui leur permettait d’être devant au score et de prendre même un avantage substantiel (43-56, 32e).\\n\\nLes Bleuettes ont alors redoublé d’ardeur défensive et tenté d’emballer le rythme du match mais collectivement la Hongrie tenait bon. La différence dans l’adresse générale (31,8 contre 45%) était bien trop en défaveur des Françaises qui ont eu comme top scoreuse Eve Mahoutou avec seulement 9 points.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Serena Kessler, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euro U20 : Portée par Ivan Février, la France ouvre par une victoire sur le Monténégro" }, {"role": "assistant", "content":"Longtemps à la peine, l’équipe de France U20 a réussi à renverser la vapeur dans le quatrième quart-temps lors du match d’ouverture qui l’opposait en fin d’après-midi au Monténégro, 71-61.\\n\\nLes Bleuets étaient menés 38-26 à la mi-temps avant de remporter la troisième période (21-15) et surtout de faire un gros effort défensif dans la quatrième (24-8).\\n\\nIvan Février a réalisé une production offensive de grande qualité avec 31 points à 10/16 aux tirs, plus 9 rebonds pour 32 d’évaluation. Timothé Bazille est l’autre Français à avoir atteint le cap des 10 points avec 9 rebonds. Ombre au tableau: Ivan Février est mal retombé sur sa cheville en fin de match.\\n\\nL’équipe de France sera opposée demain à la Grande-Bretagne à 17h15.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nGood news for 🇫🇷? Ivan Fevrier knocks down a jumper, seals the deal, climbs to 31 PTS on the night.\\n\\nBad news for @FRABasketball? Ivan Fevrier lands awkwardly, rolls the ankle. 🤕 #FIBAU20Europe pic.twitter.com/FxyqFYHKoD\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 13, 2019\\n\\n\\nPhoto: Ivan Février, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Amara Sy quitte Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Sur les réseaux sociaux, l’AS Monaco et Amara Sy (2,02m, 37 ans) viennent d’indiquer qu’ils se séparent alors qu’il restait au joueur un an de contrat.\\n\\nLe Franco-Malien a passé quatre saisons au sein de la Roca Team avec à la clé trois Leaders Cup, deux finales de Jeep Elite et une finale de Champions League.\\n\\nSuite à des problèmes au poignet et au genou, le capitaine monégasque n’a pu jouer que 4 matches de saison régulière et les playoffs lors de la saison 2018-19.\\n\\n« Il me restait un an de contrat que je comptais honorer mais vu l’offre et le projet sur du long terme qui m’a été proposé je ne pouvais pas refuser car je devais penser aussi à mon avenir est à celui de ma famille », indique t-il sur le site du club sans préciser sa future destination." }, {"role": "user", "content":"Sarunas Jasikevicius aurait flirté avec les Grizzlies" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach du Zalgiris Kaunas, Sarunas Jasikevicius, a récemment confirmé qu’il a été en pourparlers quant à un poste en NBA, dans le staff des Grizzlies en l’occurrence.\\n\\nEn contact avec plusieurs franchises américaines ces dernières saisons, ce n’est pas encore cette année que le technicien balte franchira l’Atlantique.\\n\\n« J’ai discuté avec Memphis, mais ils ont finalement décidé de choisir un autre candidat », a-t-il expliqué sur Gigantes. « Mais pour moi, c’est important d’avoir ce genre d’entretiens, de voir comment les choses se passent dans les autres équipes, assisté à des réunions avec les propriétaires et savoir comment ils voient les choses. Tout ça fait de moi un meilleur entraîneur. »\\n\\nToujours concentré sur son équipe du Zalgiris, Coach Jasikevicius va repartir aux combats à la tête de son armée verte.\\n\\nEt un effectif qui a pas mal évolué : avec les départs de Brandon Davies et Léo Westermann parmi d’autres et les arrivées de Jock Landale (du Partizan), Alex Perez (de Banvit) ou Zach Hayes (de Galatasaray).\\n\\n« Je peux partir du Zalgiris quand je veux. Mais je continue à le dire : ce sera très difficile de me faire partir car c’est le meilleur club d’Europe. Et ce sans avoir un gros budget ! Les joueurs et les entraîneurs sont traités avec beaucoup de respect et on peut travailler en toute sérénité. C’est important pour un jeune coach, surtout quand on voit que dans la moitié des clubs d’Euroligue, beaucoup de coaches se font virer en cours de saison. »" }, {"role": "user", "content":"Brandon Taylor est le nouveau meneur du Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket annonce la cinquième signature, pour une saison, de l’inter saison avec le meneur de jeu américain Brandon Taylor (1,75 m, 25 ans), en provenance du club italien de Bergame, en LegaDue italienne.\\n\\nOriginaire de Californie, Brandon Taylor a été formé à l’université d’Utah, il a gagné le championnat et la coupe en Hongrie, a été finaliste du championnat en Roumanie et demi-finaliste en Italie. Il était la saison dernière le numéro 1 à l’interception de A2 (2,2 par match). L’Américain avait signé début juin à Avellino mais le club a depuis fait faillite.\\n\\n« Adroit de loin, pas effrayé à l’idée d’aller se frotter aux grands pour finir au contact ou provoquer des fautes, c’est surtout son enthousiasme, son leadership et son mental qui sont loués partout où il passe. Autant de qualités, pour ne pas dire de valeurs, qui ont convaincu le staff de le propulser aux manettes de l’équipe », écrit le club sur son site internet.\\n\\nLe MSB est désormais à la recherche d’un intérieur pour finaliser son recrutement.\\n\\n\\n« Je suis honoré de l’opportunité que le MSB m’offre. A titre personnel, je suis heureux de pouvoir passer une étape supérieure dans ma carrière. J’ai l’intention de tout donner sur le parquet, et même davantage encore. Je suis impatient d’être à bord pour débuter cette nouvelle aventure, » commente le joueur.\\n\\nQuant au coach Dounia Issa, il paraît enchanté de sa recrue.\\n\\n\\n\\n« Brandon possède toutes les caractéristiques du meneur de jeu qui peut exploser au plus haut niveau : la vitesse, l’adresse, la défense, le sens du collectif et le souci de la gagne. Ce package est séduisant. Libre après la banqueroute d’Avellino, nous avons saisi l’opportunité de le récupérer. Sa personnalité, son côté posé, sa soif de progresser ont énormément joué dans notre décision. »\\n\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Utah (NCAA) de 2013 à 2016. Alba Fehervar (Hongrie) en 2017. Steaua Bucarest (Roumanie) en 2018. Bergamo (Italie 2) en 2019.\\n\\nPalmarès en club : Finaliste du championnat roumain en 2018. Champion de Hongrie en 2017. Coupe de Hongrie en 2017. Finaliste de la conférence Pac-12 en 2016.\\n\\nPalmarès individuel : Élu dans le meilleur cinq du championnat roumain en 2018. Élu dans le meilleur cinq défensif de la Pac-12 en 2016.\\n\\nExpérience coupe européenne : FIBA Europe Cup en 2017 et 2018.\\n\\nStatistiques LegaDue 2019: 17,2 points à 51.5% aux tirs, dont 55/142 à 3-pts (38.7%), et 85.0% aux lancers-francs, 5,7 passes décisives, 3,9 rebonds, 2,1 int et 21,3 d’évaluation en 34 min/m (28 matches)" }, {"role": "user", "content":"Milos Teodosic, trois ans à la Virtus Bologne pour 6,5M€" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Eurohoops, le meneur serbe Milos Teodosic (1,96m, 32 ans) a signé un accord de trois ans et de 6,5 millions d’euros avec la Virtus Bologne, vainqueur de la Champions League 2019 et qui est engagé pour la prochaine saison en Eurocup.\\n\\nMilos Teodosic avait clôturé sa saison aux Los Angeles Clippers en février avec 8,0 points et 4,0 passes en 60 matches sur deux exercices. Il avait porté auparavant quatre saisons le maillot d’Olympiakos et six saisons celui du CSKA Moscou.\\n\\nLa présence comme coach au Virtus de son compatriote et patron de l’équipe nationale Sasha Djordjevic a évidemment pesé lourd dans le choix de l’étoile serbe.\\n\\n\\nSDNA source: Milos Teodosic will earn around 6.5M Euros (net) after his BIG three-year deal with Virtus Bologna! The agreement was first reported by Eurohoops.\\n\\n— George Zakkas (@ZakkasGeorge) July 13, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde U19 : Les 12 médaillés de bronze vus par leur coach" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir obtenu une médaille de bronze européenne en U18 l’année dernière, la génération 2000 est allée chercher une médaille du même métal cet été en Grèce. Cette fois c’était lors du championnat du monde U19. Coach de cette talentueuse génération, Frédéric Crapez a dressé le portrait de ses douze médaillés.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvant de s’attaquer à la présentation de ses joueurs, le sélectionneur tricolore a tenu à avoir un mot pour l’équipe en général.\\n\\n« Ils se sont tous donnés sans compter sur le terrain. Je leur tire un grand coup de chapeau. Ils ne sont pas très « cotés » mais ce sont tous, pour moi, des grands joueurs dans l’acceptation de leur rôle. Pour former une bonne équipe, il faut que chacun accepte son rôle et cette génération 2000 l’a compris et accepté. C’est ce qui a fait leur force et qui fait qu’aujourd’hui ils ont deux médailles autour du cou. On termine quand même première nation européenne. Ce qui confirme nos progrès. D’ailleurs, les Serbes, qui étaient avec nous à l’hôtel et avec qui on entretient de bonnes relations, nous ont dit qu’on avait progressé par rapport à l’an dernier. On a maîtrisé plus de choses dans le jeu et c’est vrai que ça fait plaisir parce que par rapport à l’Euro on a perdu (Timothé) Crusol et (Essomé) Miyem remplacés par Niasse, Makoundou et Evtimov. Pour un staff c’est un plaisir de pouvoir repartir avec des bases communes. On a pu améliorer ce qui n’a pas été l’an dernier et ça c’est vraiment un plus. Je leur tire un grand coup de chapeau, ce n’est pas facile de leur faire comprendre les choses parce que tout le monde veut jouer. Cette année, tous les joueurs pouvaient vraiment jouer, sans que le niveau de l’équipe baisse, même si on peut mettre quelques bémols. Quand vous êtes coach, il ne faut frustrer personne, il faut que les leaders s’affirment, il faut que tout le monde se sente utile. On leur a expliqué, ça passe par pas mal d’entretiens. Ils ont compris que le basket ce n’est pas un sport individuel et il faut se mettre au service du collectif. Et le résultat récompense leurs efforts dans ce domaine-là. »\\n\\nFrédéric Crapez a également eu un mot pour ceux avec qui il a partagé cette aventure, ses assistants Romain Chenaud et Mehdy Mary.\\n\\n« C’est une aventure humaine avant tout et ces résultats dépendent aussi des compétences d’un staff très professionnel. Le respect mutuel existe, chacun met ses compétences sur la table pour le bien de l’équipe. Travailler avec Mehdy (Mary) et Romain (Chenaud) c’est vraiment un plus. Il n’y a pas d’ego, ce sont trois coachs qui s’occupent d’une équipe auquel on rajoute la préparation physique et le staff médical. Mon rôle c’est de manager tout ce monde-là pour le bien de l’équipe et c’est un vrai plaisir ! Ce n’est pas facile (rires) ! Mais c’est un vrai plaisir ! On avait mis la barre très haute parce qu’on savait bien que si on se reposait sur nos lauriers et si on oubliait qui on était, on n’aurait pas existé dans ce championnat du monde. On a été très exigeants dès le premier jour du mois de mai pour faire comprendre aux joueurs qu’il fallait vraiment qu’on monte le niveau par rapport à l’an dernier si on voulait exister dans cette compétition. Et je pense qu’on l’a fait. Tout le monde s’y est mis et c’est une vraie réussite. »\\n\\nKarlton Dimanche\\n\\nMeneur de jeu – 1,93m\\n\\n9 points, 5,3 rebonds, 4,1 passes décisives, 2,7 interceptions\\n\\nToujours présent en défense, même s’il a eu du mal contre le meneur malien. Impactant en défense, capable de prendre quelques rebonds offensifs et vole toujours des ballons. Je pense que sur ce championnat, Karlton s’est rendu compte que s’il veut atteindre ses rêves, il va vraiment falloir qu’il travaille sur son tir. Il le sait, mais maintenant il va falloir qu’il s’en donne les moyens. Au niveau de l’équipe, il a été indispensable, avec l’activité défensive qu’il pouvait mettre tout terrain sur les meneurs adverses. Il ne perd pas beaucoup de ballons, il est sûr balle en main.\\n\\nLucas Bourhis\\n\\nMeneur de jeu – 1,78m\\n\\n3,8 points, 1,2 rebond, 1,2 passe décisive\\n\\nIl savait ce qui l’attendait. Un peu comme l’an dernier. Il a encore mieux accepté son rôle et il a été performant. On l’a trouvé aussi en progrès dans la préparation et sur les matchs où on a fait appel à lui il a plutôt été bon. Il a été dans ce qu’on attendait, il a fait souffler Karlton, il a réorganisé le jeu quand c’était nécessaire. Sur les derniers matchs on n’a pas trop fait appel à lui en raison de l’impact physique.\\n\\nYohan Choupas\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n7,6 points, 2,4 rebonds, 2,4 passes décisives\\n\\nIl a eu du mal à retrouver son adresse de l’an dernier parce que je pense qu’il voulait faire encore plus de choses. Bizarrement, on l’a trouvé plus adroit cette année alors qu’il a eu de moins bons pourcentages mais je trouve qu’il a avancé dans la lecture de jeu et la passe. C’est ce qu’il travaille encore avec son club de Pau, tout ça n’est pas encore stable. Il a toujours son impact défensif qui a été hyper important pour nous. Là-dessus, il a été rayonnant. Encore plus que l’année dernière. Il termine bien le tournoi. Je trouve qu’il a fait une bonne prestation notamment sur le match pour la troisième place. Je sais qu’à Pau il est en train de se muer en meneur créateur, mais ce n’était pas sur ce rôle-là qu’on l’attendait parce qu’on avait déjà du monde sur ce poste et c’était difficile de lui donner ça par rapport à l’équilibre de l’équipe. Il est en bonne voie pour y arriver parce que c’est un garçon travailleur qui se dépense sans compter sur un terrain.\\n\\nBabacar Niasse\\n\\nDeuxième arrière – 1,92m\\n\\n10,9 points, 2,6 rebonds, 1,7 interception\\n\\nIl n’était pas là l’année dernière pour cause de blessure et il avait faim cette année ! Il voulait prouver qu’il avait bien sa place dans ce groupe-là, qu’il était capable de performer et il l’a très bien fait. C’était notre sixième homme puisqu’on n’a pas trop voulu toucher à la base qui s’était construite l’an dernier. Il a été très précieux. Aussi bien en défense qu’en attaque. Il a été très bon. Impactant.\\n\\nHugo Robineau\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n4 points, 2,6 passes décisives\\n\\nToujours là et on l’a aussi trouvé en progrès. Il a progressé dans l’adresse, il a été plus adroit que l’an dernier à trois points. Je ne sais pas si ça se traduit dans les chiffres, mais il s’est montré plus sûr de lui, plus en confiance. Sur les derniers matchs, je pense que le problème est plutôt physique. Ce qui l’a empêché de s’exprimer davantage.\\n\\nJoël Ayayi\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n20,9 points, 5,6 rebonds, 3,4 passes décisives, 2,1 interceptions\\n\\nIl est encore en progrès par rapport à l’an dernier. Il est beaucoup plus régulier. A part le match contre le Mali où je pense qu’il subit leur impact physique. Comme toute l’équipe. Pour le reste, il a sorti des gros matchs sur ce mondial. Chapeau ! Notre clutch player Joël ! Il est à 20,9 points de moyenne et il y a des matchs où je ne l’ai pas fait trop jouer parce que le match était plié. En matière de performance, il a fait six matchs sur sept pour moi. Contre le Mali, il a été présent aussi dans le sens où il n’a pas reculé face à ses responsabilités. Il a subi l’impact physique des Maliens qui se sont occupés de son cas. Il a fait un gros championnat du monde, en progrès par rapport à l’an dernier.\\n\\nKenny Baptiste\\n\\nAilier – 2m\\n\\n8,1 points, 4,1 rebonds\\n\\nUn gros potentiel qui se confirme, mais il va falloir qu’il comprenne qu’il faut qu’il s’y mette vraiment. Avec Kenny, le potentiel est là mais il faut vraiment qu’il se mette au travail dans le sens où il faut qu’il monte l’exigence vis-à-vis de lui-même. Il est encore trop facile. Il est monté au fur et à mesure de la compétition. Il a été primordial dans la réussite de l’équipe, comme tous. Il a été bon. C’est un garçon qui ne fait pas beaucoup d’erreurs et qui lit bien le jeu en attaque. Ce qu’on peut lui reprocher, c’est son manque de dureté. C’est là-dessus qu’il faut qu’il s’améliore. Il faut qu’il soit plus intense.\\n\\nJacques Eyoum\\n\\nAilier fort – 1,95m\\n\\n4,7 points, 4 rebonds\\n\\nIl a eu le même rôle que l’an passé, le joueur de l’ombre. Toujours présent, solide, défense, rebonds et quelques petits paniers en début de tournoi. Toujours là Jacques. L’indispensable.\\n\\nMathis Dossou-Yovo\\n\\nPivot – 2,02m\\n\\n7,8 points, 6,7 rebonds\\n\\nC’était notre pilier l’an dernier. Ça devait l’être encore cette année, malheureusement à la première minute du deuxième match ce pilier a été bien fissuré. Mathis est revenu avec beaucoup de courage pour être présent dès le huitième de finale et aller jusqu’au match de la troisième place. Même s’il avait le feu vert médical, il voulait tellement participer à cette aventure que je lui tire un grand coup de chapeau parce que je sais très bien qu’il n’a pas été à 100% sur le tournoi et que ça a dû le frustrer. Il a apporté ce qu’il pouvait et il a quand même fait des bonnes stats sur les deux derniers matchs (18 points, 8 rebonds contre le Mali et 4 points, 10 rebonds et 3 passes contre la Lituanie), ce qui prouve la qualité de ce joueur. C’est un exemple. Il a été capitaine de l’équipe pour la deuxième année consécutive et je lui ai qu’on ne s’était vraiment pas trompé en le nommant capitaine parce qu’il a vraiment tiré l’équipe vers le haut malgré sa blessure.\\n\\nFlorian Leopold\\n\\nPivot – 2,02m\\n\\n5 points, 4,7 rebonds\\n\\nEn progrès ! Autant l’année dernière il avait été en difficulté, autant cette année sur les cinq premiers matchs il a été précieux. Il a eu un peu de mal à finir, mais peut-être parce que le niveau montait. Je l’ai trouvé en progrès, plus stable dans le jeu. Il a fait moins d’erreurs, il était présent au rebond. Il a été très dur, c’est le joueur de l’équipe qui a posé les meilleurs écrans. Il a apporté un vrai plus parce qu’avec la blessure qu’a eu Mathis on aurait pu souffrir à l’intérieur et finalement ça ne s’est pas si mal passé que ça.\\n\\nYoan Makoundou\\n\\nPivot – 2,07m\\n\\n4 points, 2,4 rebonds\\n\\nC’est bien dommage qu’il n’a pas été là l’an dernier parce qu’étant jeune dans le basket, n’ayant pas beaucoup d’années de joueur derrière lui, il lui a manqué la compétition de l’an dernier. Il a été bon contre la Chine, mais bon quand on voit leur classement final, c’est normal. Sur les matchs plus serrés où il faut tout de suite être performant, ne pas faire d’erreur, il a eu un peu plus de mal. Il a essayé d’apporter son énergie à l’équipe et je suis persuadé que s’il avait fait l’euro l’an dernier, il aurait été bien meilleur. Il faut qu’il acquière de l’expérience, mais il a de grosses possibilités.\\n\\nNicholas Evtimov\\n\\nPivot – 2m\\n\\n1,8 point, 1,8 rebond\\n\\nIl a été très bon en préparation, dans l’intensité aux entraînements. C’est un garçon qui a une qualité d’entraînement au-dessus de la moyenne. Il n’a pas non plus fait la campagne de l’an dernier, je pense que ça l’a pénalisé dans le sens où il a mis un peu de temps à comprendre ce qu’on attendait vraiment de lui. Même si on lui a expliqué plusieurs fois, ça n’a pas été simple pour lui. Je suis content qu’on ait réussi à le faire jouer sur le dernier match. Il gardera quand même un bon souvenir et il sentira qu’il a été utile à l’équipe. Au début, il voulait un peu tout faire, marquer, prendre des rebonds, faire des passes. On lui a fait comprendre que ce n’était bon, qu’il fallait défendre, prendre des rebonds, quand il avait des tirs ouverts, il fallait les prendre. Il a fallu lui expliquer ça et je trouve que son passage sur le match pour la médaille a été exemplaire. Il a été sobre et il a joué pour l’équipe. Et à ce moment-là, il devient très intéressant.\\n\\n[armelse]\\n\\nAvant de s’attaquer à la présentation de ses joueurs, le sélectionneur tricolore a tenu à avoir un mot pour l’équipe en général.\\n\\n« Ils se sont tous donnés sans compter sur le terrain. Je leur tire un grand coup de chapeau. Ils ne sont pas très « cotés » mais ce sont tous, pour moi, des grands joueurs dans l’acceptation de leur rôle. Pour former une bonne équipe, il faut que chacun accepte son rôle et cette génération 2000 l’a compris et accepté. C’est ce qui a fait leur force et qui fait qu’aujourd’hui ils ont deux médailles autour du cou. On termine quand même première nation européenne. Ce qui confirme nos progrès. D’ailleurs, les Serbes, qui étaient avec nous à l’hôtel et avec qui on entretient de bonnes relations, nous ont dit qu’on avait progressé. 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L’ABP est frontalement contre ces décisions qui nuisent aux compétitions nationales et affaiblissent les joueurs. »" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Rudy Fernandez, Marc Gasol, Laia Palau et Alba Torrens joueurs et joueuses de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Un jury composé par la Fédération espagnole et le quotidien sportif Marca a élu les meilleurs joueurs et joueuses espagnols de la saison.\\n\\nRudy Fernandez, l’arrière du Real Madrid, capitaine de l’équipe d’Espagne a été consacré « meilleur joueur national » alors que Laia Palau, la meneuse championne d’Europe et de Girone se voit décerner le même trophée pour les femmes.\\n\\nChampion NBA avec les Toronto Raptors, Marc Gasol est élu « meilleur joueur espagnol à l’international », Alba Torrens (Ekaterinbourg) étant son pendant féminin.\\n\\nAutres lauréats: Carlos Alocen (Saragosse, international U20) et Maite Cazorla (Université d’Oregon et Atlanta Dream) sont reconnus comme les « meilleurs espoirs »" }, {"role": "user", "content":"Ryan Pearson passe de Dijon à Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Après Le Mans et Dijon, l’ailier américain Ryan Pearson (1,98m, 29 ans) va poursuivre sa carrière en France à Boulazac.\\n\\nCe gaucher au shoot atypique a transité par l’Université de George Mason puis par l’Ukraine (Frankivsk), en Israël (Maccabi Hashdod) et en Belgique (Anvers) où il a énormément scoré en EuroChallenge: 15,8 points, 6,7 rebonds la première année, 19,8 points, la seconde, ce qui lui donna le titre de meilleur marqueur de la compétition.\\n\\nLa saison dernière, il a tourné à 13,0 points, 3,1 rebonds et 1,7 passe en Jeep Elite avec la JDA.\\n\\n« Ryan est un joueur référencé de Jeep Elite. En début de carrière, il a côtoyé Kenny Chery en Hongrie, championnat dans lequel il s’est révélé. Depuis 3 ans, c’est un joueur majeur de Jeep Elite. Poste 4 expérimenté, il va nous apporter au scoring et à la création par l’intermédiaire de son jeu de passes. Son leadership et son esprit de compétition seront des atouts précieux pour notre équipe », commente le coach Thomas Andrieux.\\n\\n\\n\\nPhoto: JDA" }, {"role": "user", "content":"WNBA: Débuts réussis pour Marine Johannès avec New York !" }, {"role": "assistant", "content":"Si le New York Liberty s’est pris les pieds dans le tapis à Chicago face au Sky (83-99), Marine Johannès a parfaitement réussi son entrée en WNBA totalisant 10 points (4/7 aux tirs), 3 passes et 1 rebond en 16 minutes. La Normande est arrivée mardi aux Etats-Unis après un break d’une journée en famille.\\n\\nDe son côté Bria Hartley est entrée dans le cinq de départ pour 29′ de temps de jeu, 13 points (2/9 aux tirs, 8/8 aux lancers), 5 passes et 3 rebonds.\\n\\nDans le camp de Chicago, l’autre Franco-Américaine Gabby Williams a assuré 5 points (2/5), 4 rebonds et 3 passes en 18′. L’Espagnole Astou Ndour, MVP de l’Euro, a dû se contenter de 12′ pour aucun point et un rebond.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\ndouble-figure debut for @MarineJ5 (10 pts, 3 ast, 1 reb)! 💦 pic.twitter.com/UGQNuVjQT4\\n\\n— New York Liberty (@nyliberty) July 13, 2019\\n\\n\\n\\n🌪@Breezyyy14 pic.twitter.com/YCAlClv40U\\n\\n— New York Liberty (@nyliberty) July 13, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro U20: La France débute aujourd’hui face au Monténégro" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U20 débute aujourd’hui son Euro en Israël face au Monténéro. Amputée de plusieurs joueurs, elle a laissé apparaître en préparation des difficultés à être compétitive. Eddy Kayouloud a remplacé en dernière minute Yanick Blanc, blessé.\\n\\n\\nNomPrén.Nais.T.P.ClubAFFO MAMADylan19991973/4BOULAZACBAZILLETimothée19992065LIMOGESBEYHURSTLudovic19991721STRASBOURGKAYOULOUDEddy19991943CENTRAL ARK.BRIKISofiane19991922VILLEURBANNECHOUPASYohan20001901PAUFEVRIERIvan19992054ROANNEHIPPOLYTECalvin20001983LE HAVREKHERZANEElias19991801LE HAVRE KOUYATELucas19992005CHALONPONSYves19991973TENNESSEE RUELQuentin19992013/4CHOLET\\n\\nEntraîneur : Jean Aimé TOUPANE\\nAssistants : Dounia ISSA et Ali BOUZIANE\\n\\nMatches de préparation:\\nSamedi 15 juin : France – Turquie : 64-66\\nDimanche 16 juin : France – Turquie : 62-57\\nJeudi 27 juin : France – Serbie : 68-81\\nVendredi 28 juin : France – Serbie : 55-66\\nLundi 1er juillet : France – Grèce : 55-60\\nMercredi 3 juillet : France -Serbie : 44-61\\nJeudi 4 juillet : France – Ukraine : 75-63\\nVendredi 5 juillet : France – Turquie : 64-88\\n\\nChampionnat d’Europe à Tel Aviv (Israël) du 13 au 21 juillet 2019\\nSamedi 13 juillet à 17h45 : France – Monténégro\\nDimanche 14 juillet à 17h15 : Grande Bretagne – France\\nLundi 15 juillet à 19h30 : Turquie – France\\nMercredi 17 juillet : Huitièmes de finales\\nJeudi 18 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 20 juillet : Demi-finales\\nDimanche 21 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Yves Pons" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’apothéose ou le retour d’Orléans en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"L’OLB a sorti le 7e épisode de La Conquête, intitulé L’apothéose qui raconte le Match 3 de la finale de Pro B face à Rouen qui a amené le club du Loiret a retrouvé sa place en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: OLB" }, {"role": "user", "content":"Le programme du MAIF Open LFB 2019 de Paris dévoilé" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Féminine de Basket vient de dévoiler le programme du MAIF Open LFB 2019 qui se tiendra les 5 et 6 octobre prochains au Stade Pierre de Coubertin à Paris.\\n\\n\\nSamedi 5 octobre 2019\\n\\n13h30 : Saint-Amand Hainaut Basket – Nantes Rezé Basket\\n\\n16h00 : Basket Landes – Charleville-Mézières\\n\\n18h30 : Lyon ASVEL Féminin – Tango Bourges Basket / Match des Champions*\\n\\nDimanche 6 octobre 2019\\n\\n13h30 : Lattes Montpellier – Charnay BBS\\n\\n16h00 : Tarbes GB – Landerneau BB\\n\\n18h30 : ESB Villeneuve d’Ascq LM – Roche Vendée BC\\n\\nL’équipe qui remportera son match du MAIF Open LFB sera considérée comme évoluant à domicile et se déplacera à l’occasion du match retour (journée 12).\\n\\n*Match des Champions : le Champion de France affronte le vainqueur de la Coupe de France. Le résultat ne compte pas pour le classement de la saison 2019-2020.\\n\\nBilletterie\\n\\nSoyez alertés de l’ouverture de la billetterie du MAIF Open LFB en vous inscrivant sur billetterie.ffbb.com. Un e-mail vous sera envoyé dès que les réservations ouvriront (durant l’été). Les personnes inscrites à cette alerte billetterie bénéficieront de tarifs privilégiés." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: le calendrier est sorti, Villeurbanne-Limoges dès la 1ère journée" }, {"role": "assistant", "content":"Le calendrier de la Jeep Elite pour la saison 2019-20 est sorti. Il est à télécharger ICI. La première journée est fixée au 21 septembre avec comme choc Villeurbanne-Limoges.\\n\\nLa journée officielle pour la Jeep Elite est fixée le samedi à 20h00, mais certains clubs ont obtenu une dérogation à l’année :\\nVendredi à 20h00 : JDA Dijon Bourgogne – BCM Gravelines-Dunkerque – ESSM Le Portel – Champagne Châlons-Reims Basket – Chorale Roanne\\nVendredi à 20h30 : Metropolitans 92\\nSamedi à 18h30 : AS Monaco Basket\\nSamedi à 20h00 : Boulazac Basket Dordogne – JL Bourg-en-Bresse – Elan Chalon/Saône – Cholet Basket – Le Mans Sarthe Basket – Limoges CSP – LDLC ASVEL – Nanterre 92 – Orléans Loiret Basket – EB Pau-Lacq-Orthez – SIG Strasbourg.\\n\\nA noter que cette saison, 3 équipes seront reléguées en Pro B en raison de la réorganisation des championnats professionnels avec un passage à 16 clubs en Jeep Elite et à 20 clubs en Pro B en 2020-21, comme voté en Assemblée Générale en juin 2018 dans le cadre du Plan Stratégique..\\n\\nDeux évènements majeurs se disputeront également durant la saison :\\n– Le All Star Game, le 29 décembre 2019. Les meilleurs joueurs français et étrangers de la Jeep Elite se retrouvent sur le parquet de l’AccorHotels Arena pour le show de fin d’année.\\n– La Disneyland Paris Leaders Cup LNB, du 14 au 16 février 2020. Les huit meilleures équipes de Jeep Elite à mi-saison iront pour la huitième année en découdre à Disneyland Paris.\\n" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Alex Abrines est de retour à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Comme prévu, Alex Abrines (1,98m, 25 ans) quitte la NBA et fait son retour au FC Barcelone.\\n\\nAprès trois saisons passées aux Etats-Unis, l’international espagnol revient là il a évolué entre 2012 et 2016, là où il s’est confirmé en Euroleague et fût nommé meilleur jeune de la compétition (2016). Sur son site, le Barça annonce la signature jusqu’en 2021 de l’ancien joueur de Malaga. Il dispose également d’une option pour effectuer une troisième année en Catalogne à la fin de son contrat.\\n\\nIl compilait l’année dernière, lors de sa dernière saison NBA : 5,3 points à 35,7% et 1,5 rebond pour 4,5 d’évaluation en 18 minutes de temps de jeu." }, {"role": "user", "content":"Orléans: un budget de 4,5M€ pour le retour en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"L’OLB va disposer la prochaine saison d’un budget de 4,5 millions d’euros pour son retour en Jeep Elite soit environ 750 000€ de mieux que pour l’exercice écoulé en Pro B.\\n\\nPour ce faire, la mairie d’Orléans va verser une subvention exceptionnelle de 300.000€ qui viendra en sus du million qu’il débourse chaque année.\\n\\n« Il faut que le club aille chercher des recettes complémentaires d’au moins ce montant-là, pour qu’on débloque cette somme. Si par mégarde, l’OLB redescend en ProB la saison suivante, la subvention ne serait pas reconduite », commente à La République Michel Martin, qui est le maire-adjoint de la ville d’Orléans en charge des finance et aussi président du conseil de surveillance de l’OLB" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Monaco, Limoges et Nanterre connaissent leurs adversaires" }, {"role": "assistant", "content":"Ce vendredi à Barcelone se tenait le tirage au sort pour connaitre quelles équipes composeront les quatre groupes de saison régulière d’Eurocup. Parmi elles, trois clubs français étaient représentés : Monaco, Limoges et Nanterre.\\n\\nTirée dans le groupe A de la compétition, l’AS Monaco sera opposée à Patras, au Maccabi Rishon, Ulm, Andorre et la Virtus Bologne qui a remporté la Champions League en 2019.\\n\\nChampion d’Europe 1993, Limoges est tombé dans le groupe B et devra affronter le Lokomotiv Kuban, Vilnius, Bursa, le Partizan Belgrade et le champion d’Italie en titre, Venise.\\n\\nEnfin, après trois saisons en coupe d’Europe FIBA, Nanterre fait son retour en Eurocup et se retrouve dans le groupe C en compagne du Darussafaka, Kazan, Ljubljana, Badalone et Brescia.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Officiel : le Fenerbahce annonce l’arrivée de Leo Westermann" }, {"role": "assistant", "content":"Comme nous vous l’annoncions il y a quelques jours, Leo Westermann (1,98m, 26 ans) quitte le Zalgiris Kaunas pour le Fenerbahce.\\n\\nSur son site, le club turc, qui a enrôlé Nando De Colo et qui compte déjà dans ses rangs Joffrey Lauvergne, annonce la signature pour deux saisons de l’ancien joueur du Limoges CSP. Cette saison, Leo Westermann compilait en moyenne 6,8 points, 2 rebonds et 3,1 passes décisives entre l’Euroleague et le championnat lituanien.\\n\\nFin mars, nous sommes allés rendre visite à l’ancien joueur de Kaunas à l’occasion du déplacement de son équipe à l’Olympiakos. L’occasion pour vous de lire ou relire nos interviews (1 et 2).\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le dunker fou DJ Stephens fait son retour au Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Dalenta Jameral -plus connu par ses initiales, DJ- Stephens (1,95 m, 28 ans) fait son come back au Mans.\\n\\nDJ Stephens est considéré comme le meilleur dunkeur jamais vu en Jeep Elite et il remporta le concours de dunk du All-Star Game 2017. Il contribua aussi au titre de champion de France 2018 du MSB en faisant notamment preuve d’une belle adresse à trois-points et d’une solide défense.\\n\\nIl y a un an, le meilleur 6e homme de la Jeep Élite paraphait un bail d’une année supplémentaire avec le MSB mais le contrat était assorti d’une clause NBA et il accepta un peu plus tard un two-way des Memphis Grizzlies. Il ne joua en définitive qu’un seul match lors de la saison écoulée dans la ligue américaine.\\n\\n« Je suis très heureux de revenir pour de bon au sein du MSB. J’ai vraiment la sensation que c’est ici que je devais me trouver la saison passée... Maintenant, j’arrive pour jouer de mon mieux afin d’essayer d’aider mes coéquipiers à remporter un trophée, et pourquoi pas le titre ! », a commenté le joueur\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Memphis (NCAA) de 2010 à 2013. Ilysiakos Athènes (Grèce), Milwaukee Bucks (NBA) et Anadolu Efes Istanbul (Turquie) en 2014. Zenith Saint-Petersbourg (Russie) en 2015. Canton Charge (D-League) et Iowa Energy (D-League) en 2016. Budivelnyk Kiev (Ukraine) et Vaqueros de Bayamon (Porto-Rico) en 2017. Le Mans Sarthe Basket (Jeep Élite) en 2018. Memphis Hustle (G-League), Memphis Grizzlies (NBA), Manama (Bahrein) et Los Prados (République Dominicaine) en 2019.\\n\\nPalmarès en club : Champion de France Jeep Élite en 2018. Champion d’Ukraine en 2017. Vainqueur de la conférence USA en 2011, 2012 et 2013.\\n\\nPalmarès individuel : Élu meilleur 6e homme de la Jeep Élite en 2018. All-Star de la Jeep Élite en 2018. Vainqueur du concours de dunks du All-Star Game LNB 2018. Élu dans le meilleur cinq du championnat ukrainien en 2017. All-Star du championnat ukrainien en 2017. Élu meilleur défenseur de la conférence USA en 2013.\\n\\nExpérience coupe européenne : Eurocup en 2015.\\n\\nStatistiques Jeep Élite 2018: 9,5 points à 46.8% aux tirs, dont 58/150 à 3pts (38.7%), et 79.5% aux lancers-francs, 3,1 rebonds, 0,5 passe décisive et 9,3 d’évaluation en 20 min/m (33 matches)\\n\\nStatistiques G-League 2019: 7,9 points à 44.8% aux tirs, dont 12/33 à 3pts (36.4%), et 100.0% aux lancers-francs, 5,0 rebonds et 8,6 d’évaluation en 22 min/m (10 matches).\\n\\nLire ici l’interview qu’il avait donné à Basketeurope.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Timofey Mozgov en approche au Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il ne possède aucune option en NBA, Timofey Mozgov (2,16m, 32 ans) est sur le point de faire son retour en Europe.\\n\\nSelon Eurohoops, le pivot russe a trouvé un accord verbal avec le Khimki Moscou. L’ancien joueur des Los Angeles Lakers vivrait ainsi sa troisième expérience dans la capitale russe après ses années entre 2006 et 2010, et son passage pendant le lock-out NBA en 2011.\\n\\nBlessé au genou, l’ancien pivot des Cavaliers n’a pas disputé le moindre match cette saison. Il a même été coupé par les Orlando Magic à peine arrivé dans le cadre d’un trade le 6 juillet 2018." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : DaJuan Summers arrive à Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Les Levallois Metropolitans continuent leur recrutement avec la signature de DaJuan Summers (2,03m, 31 ans).\\n\\nSur Twitter, le club francilien annonce l’arrivée pour une saison de l’ailier américain. Passé par la NBA (Detroit, New Orleans, Los Angeles), Kiev, Gran Canaria ou encore Izmir, le natif de Baltimore évoluait en 2017/18 sous les couleurs du Galatasaray. Cette saison, l’ancien joueur des Clippers a été aperçu en Corée du Sud, à Séoul. Avec l’équipe locale il a tourné à 23,5 points et 9,7 rebonds en quatre rencontres.\\n\\nLa saison dernière, DaJuan Summers compilait en moyenne 9,3 points et 3,3 rebonds entre le championnat turc et l’Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\n\\n🚨 [OFFICIEL]\\nL'ailier américain DaJuan Summers @DSummersTime est la nouvelle recrue des #Metropolitans92 pour la saison prochaine ! 🇺🇸🔥#recrutement #Metropolitans #Boulogne #Levallois #JeepElite #LNB #welcome pic.twitter.com/CARxxUnsYC\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) July 12, 2019\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: un nouveau système de qualification pour 2020-21 met les ligues nationales au pied du mur" }, {"role": "assistant", "content":"Les actionnaires de ECA -la société qui gère la compétition- ont approuvé l’entrée en vigueur de nouvelles règles d’octroi de licences aux clubs d’Euroleague à compter de la saison 2020-21. Ces nouvelles règles visent à fournir aux clubs, indépendamment de leur territoire d’origine, des chances égales d’accéder à la compétition et des possibilités d’y rester :\\n\\n• Attribution de deux licences pour le champion et le finaliste d’Eurocup.\\n\\n• Fin de l’accès direct pour certains clubs champions de leur pays (VTB League, Adriatic League, ligue allemande et espagnole) mais trois wild cards délivrées.\\n\\n• Suppression de la limite maximale de clubs par pays, qui était jusqu’ici de quatre.\\n\\n• Parmi les deux clubs d’Eurocup qualifiés celui qui a obtenu le meilleur classement à la fin de la saison d’Euroleague restera en compétition pour la saison suivante s’il a atteint les playoffs. Si cela se produisait, l’accès pour la saison suivante ne serait accordé qu’au seul champion de l’Eurocup.\\n\\nEn conséquence, les dix-huit licences disponibles pour 2020-201 seront attribuées comme suit: \\n\\n-11 clubs licenciés\\n\\n-2 Wild Cards (ASVEL Villeurbanne, Bayern FC Munich)\\n\\n-2 licences Eurocup (champion et finaliste)\\n\\n-3 Wild Cards annuelles\\n\\nLes participants ont également convenu de maintenir l’obligation pour les clubs de participer à leurs ligues nationales respectives afin de pouvoir obtenir une licence Euroleague / Eurocup, sauf si le conseil exécutif des actionnaires de la CEA estime qu’une situation spécifique peut empêcher un club de satisfaire à cette exigence. Il y ainsi le cas d’Olympiakos en Grèce.\\n\\n\\nPar ailleurs, l’Euroleague a officiellement annoncé que le champion de la Ligue ABA aurait la priorité pour l’attribution de l’une des trois wild cards annuelles.\\n\\nLa ligue ACB, la plus forte ligue nationale d’Europe, qui délègue actuellement quatre équipes en Euroleague (trois détenteurs de licence à Barcelone, Vitoria et Real Madrid ainsi que le vainqueur de l’Eurocup Valence), a fait savoir dans un communiqué qu’elle n’est pas satisfaite de ce nouveau système qui pénalise les champions nationaux rappelant:\\n\\n« L’ACB rejette fermement le modèle choisi de façon unilatérale par l’Euroleague. L’ACB réaffirme le besoin de maintenir un écosystème du sport en Europe où ce sont les ligues nationales qui qualifient pour la principale compétition européenne, comme cela a toujours été le cas dans l’histoire du basket européen et dans les principaux sports européens. L’ACB rejette l’arbitraire du nouveau système d’accès qui remplace la qualification traditionnelle via les ligues nationales par l’attribution de cinq invitations, dont trois sont valables pour une saison. »\\n\\nAndreas Zagklis, le secrétaire général de la FIBA avait prévenu début mai sur ce qui se préparait en coulisses de la part de l’Euroleague.\\n\\n« Le plus important je crois, c’est que l’heure de vérité a sonné pour les ligues nationales en Europe. Soit elles deviennent plus fortes et maintiennent leur rang, et pourquoi pas même grandissent parce qu’elles estiment que c’est normal, qu’elles représentent la grande majorité des clubs. Ou alors elles vont devenir ce qu’ECA souhaite qu’elles deviennent, une sorte de troisième division en Europe. On travaille avec les ligues nationales et on investit dans cette direction. On espère que dans un future proche, ECA va nous rejoindre pour nous permettre de trouver une position forte pour les ligues nationales dans l’environnement européen. On espère également joindre nos efforts pour tirer commercialement bénéfice d’un environnement à nouveau apaisé. »\\n\\nL’ULEB, l’Union des Ligues nationales européennes, a également exprimé son mécontentement:\\n\\n« Suite aux annonces de ECA d’aujourd’hui concernant un nouveau système de qualification pour l’Euroleague à partie de la saison 2020-21, l’Union des ligues professionnelles européennes de basket tient à exprimer les remarques suivantes : le nouveau système d’accès à l’Euroleague nie les fondamentaux du système sportif européen, c’est à dire la qualification par le championnat national qui s’appuie sur le mérite sportif. De ce fait, l’ULEB rejette fortement le système proposé qui laisse une grande part à la subjectivité des choix avec la distribution de 5 invitations dont 3 pour une saison seulement. »\\n\\nNul doute que la Ligue Nationale de Basket (LNB) rejoint ce point de vue." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Roanne tient son pivot américain" }, {"role": "assistant", "content":"Après un cursus universitaire avec les Montana Grizzlies, Jamar Akoh (2,03m, 23 ans) va vivre sa première expérience professionnelle en France, à Roanne, annonce le club.\\n\\nL’avis de Laurent Pluvy sur son nouveau joueur.\\n\\n«On cherchait un rookie sur ce poste là qui puisse nous apporter de l’enthousiasme, de l’énergie ainsi qu’une forte qualité de rebond, et Jamar répond à ces critères. Avec en plus un côté très joueur, très altruiste, qui devrait plaire au public et ravir ses coéquipiers.»\\n\\nCette saison, Jamar Akoh compilait en moyenne 15,4 points et 8,5 rebonds en NCAA.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto : Montana Griz Basketball" }, {"role": "user", "content":"L’herbe n’est pas toujours plus verte en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"Nikola Mirotic est l’homme de l’été en Espagne. L’Hispano-Monténégrin a fait l’actualité avec son contrat mirobolant offert par le Barça et voici qu’il refuse d’être intégré dans l’équipe nationale pour la Coupe du monde. Il n’est pas le seul. L’autre naturalisé Serge Ibaka et Nacho Rodriguez ont fait savoir au coach Sergio Scariolo qu’il ne fallait pas compter sur eux. La raison est à chaque fois la même : « j’ai besoin de repos. »\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Ibaka et Mirotic ont communiqué tout au long de l’année leur volonté d’être là et cela les honore, puis lorsqu’il a été question d’évaluer le pour et le contre et de valoriser d’autres facteurs, cela n’a pas été possible », constate Sergio Scariolo.\\n\\nDésormais beaucoup de joueurs profitent des réseaux sociaux pour se justifier directement auprès des fans avec l’aide de leur agent ou de leur chargé de com. Ainsi, Nikola Mirotic écrit :\\n\\n« J’ai dû prendre la difficile décision de ne pas être présent à ce prochain tournoi. Ce furent des semaines importantes, de grands changements dans ma vie et dans celle de ma famille. L’intensité de ces décisions, conjuguée à la fin de saison exigeante en NBA m’a amené à prendre cette décision. » Il a rappelé aussi qu’il avait eu « deux blessures importantes, une à la cheville et une à la main en fin de saison régulière et j’ai pris la décision de travailler tout l’été pour offrir ma meilleure version du retour en Europe ». En concluant car ça ne mange pas de pain : « mon engagement envers la FEB (NDLR : la fédération espagnole) sera toujours valable. »\\n\\nChacun pensait que Serge Ibaka, dont la dernière apparition remonte au Mondial 2014, ferait son retour avec la seleccion à l’occasion de cette Coupe du monde car il porte le maillot des Toronto Raptors, champions NBA 2019, dont Scariolo est l’un des assistants-coaches. Que nenni. L’Italien assure qu’Ibaka souhaitait être disponible mais que sa saison « a été plus longue que prévu, et que la porte n’a pas été fermée définitivement, ni par lui, ni par aucun de ceux qui ne le souhaitent. » Bref, là encore n’insultons pas l’avenir au cas où...\\n\\nCeci dit, faudra t-il faire appel l’année prochaine à ceux qui se font porter pâle pour la Coupe du monde et qui estimeraient que les Jeux Olympiques mériteraient davantage de faire un « effort » ? C’est l’un des objets des polémiques entre supporters sur les réseaux sociaux. On peut classer ceux-ci en deux catégories. Ceux qui estiment que les joueurs sont libres de venir ou pas, qu’ils ont raison de penser à leur femme et leurs enfants, qu’il leur faut reposer leur corps, etc. Et les autres qui crient à l’anti patriotisme pour ne pas dire à la haute trahison. Ceux-là ont beau jeu de mettre en exergue le fait que Pau Gasol est prêt à venir à genoux en équipe nationale et qu’il est navré de ne pouvoir être de l’aventure en Chine en raison d’une blessure au pied.\\n\\n« Nous devons mettre en valeur ce joueur de 39 ans, qui est dans la dernière partie de sa carrière, qui a tout gagné dans le monde du basket-ball et qui a encore de l’espoir et de l’intérêt, il faut souligner la particularité de Pau », estime Scariolo.\\n\\nPau Gasol vous rappelle t-il quelqu’un ? Boris Diaw bien sûr. L’aîné des Gasol, 39 ans, apporte la preuve que consacrer ses étés à l’équipe nationale n’abrège pas la carrière en club. Idem pour Boris Diaw qui était encore gaillard à 36 ans et qui n’a manqué que 26 matches sur ses cinq dernières saisons en NBA.\\n\\nIl ne fait aucun doute que l’Espagne est fortement pénalisée par les quatre forfaits dont trois volontaires et son staff n’est pas ingrat puisqu’il a fait appel dans la liste des pré-sélectionnés à la moitié de joueurs ayant participé aux fameuses « fenêtres » de qualification.\\n\\n» Chaque année, il y a eu des problèmes de dernière minute, une signature de contrat, une free agency qui n’est pas résolue... On a déjà eu droit à tout, il est donc inutile de s’étonner ou de faire des spéculations à l’avance. Nous n’avons jamais été au complet, mais cette fois, il y a plus de victimes que jamais, même si cela ne diminuera pas l’impact que nous avons en tant qu’équipe « , a déclaré l’entraîneur pour qui Ricky Rubio, Sergio Llull, Rudy Fernández et Marc Gasol constitueront l’épine dorsale de l’équipe.\\n\\nSans être narquois, on trouve la situation des Espagnols plutôt rassurante. Elle cloue le bec à ceux qui estiment que l’herbe est plus verte chez le voisin d’outre-Pyrénées et qui clament que tout basketteur français qui refuse une sélection en bleu devrait être excommunié à vie, visant en fait ceux de NBA. Si une telle sanction avait été appliquée, Boris Diaw se serait retrouvé bien seul en équipe de France. Et puis, les forfaits hors blessures ont toujours existé. Il y avait parfois des motifs très valables comme lorsque les internationaux étaient amateurs et qu’ils avaient un boulot à côté. D’autres fois les raisons étaient moins avouables : le coach ne leur plaisait pas, tout comme quelques-uns de leurs équipiers, ils préféraient aller à la plage en juillet, etc. La NBA, ses dollars, ses règles conçues dans son intérêt propre et pas dans ceux de la communauté internationale -ça ne vous rappelle personne ?- n’ont fait évidemment que compliquer les rapports des joueurs avec leur équipe nationale.\\n\\nImpossible de comptabiliser pour chacune des 32 sélections les forfaits vis à vis de ce que les coaches avaient dans leur tête. Il apparait pour autant que cette Coupe du monde 2019 qualificative pour les Jeux Olympiques mobilise davantage de stars que les précédentes. Vincent Collet n’a eu à déplorer que deux forfaits qui ne soient pas médicaux : Joffrey Lauvergne et Fabien Causeur, qui n’avaient pas une place garantie dans les 12. C’est donc mieux que les Espagnols.\\n\\nPhoto: Boris Diaw, Serge Ibaka et Pau Gasol (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\n« Ibaka et Mirotic ont communiqué tout au long de l’année leur volonté d’être là et cela les honore, puis lorsqu’il a été question d’évaluer le pour et le contre et de valoriser d’autres facteurs, cela n’a pas été possible », constate Sergio Scariolo.\\n\\nDésormais beaucoup de joueurs profitent des réseaux sociaux pour se justifier directement auprès des fans avec l’aide de leur agent ou de leur chargé de com. Ainsi, Nikola Mirotic écrit :\\n\\n« J’ai dû prendre la difficile décision de ne pas être présent à ce prochain tournoi. Ce furent des semaines importantes, de grands changements dans ma vie et dans celle de ma famille. L’intensité de ces décisions, conjuguée à la fin de saison exigeante en NBA m’a amené à prendre cette décision. » Il a rappelé aussi qu’il avait eu « deux blessures importantes, une à la cheville et une à la main en fin de saison régulière et j’ai pris la décision de travailler tout l’été pour offrir ma meilleure version du retour en Europe ». En concluant car ça ne mange pas de pain :\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Antoine Diot pour trois saisons à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Antoine Diot (1,93m, 30 ans) est la nouvelle signature pour trois saisons de LDLC ASVEL.\\n\\nL’ASVEL continue de construire son équipe pour être la plus compétitive possible en Euroleague en signant pour trois saisons le meneur bressan Antoine Diot.\\n\\nAntoine Diot fut le leader de la génération des 88/89 qui a remporté plusieurs médailles avec les équipes de France de jeune à laquelle appartiennent également Edwin Jackson, qui s’est lié il y a quelques jours avec le club villeurbannais, et Nicolas Batum devenu en sus de sa carrière en NBA le Directeur des opérations basket du club.\\n\\nAprès l’INSEP, Le Mans, Paris-Levallois et Strasbourg, le Bressan avait choisi l’Espagne et Valence pour poursuivre sa carrière durant quatre saisons. A la clé, un titre de champion d’Espagne (2017) et une Eurocup (2019). Malheureusement, des pépins physiques lui ont fait passer une saison blanche (2017-18) et amoindri temps de jeu et rendement. Il n’a ainsi disputé que 8 matches cette saison en Eurocup pour 4,5 points et 2,9 rebonds en 12′.\\n\\n« Je suis très heureux que nous ayons trouvé un accord avec Antoine. C’est un joueur exemplaire avec qui j’ai eu la chance de jouer au Mans et en Equipe de France, je suis sûr que son altruisme et son expérience pourront servir le groupe sur et en dehors du terrain. C’était important pour Tony (Parker) et moi de construire une équipe avec des joueurs avec cet état d’esprit. Antoine sera à la mène aux côtés de Théo Maledon et de Jordan Taylor, j’ai hâte de voir notre trio de meneurs évoluer en EuroLeague ! », a commenté Nicolas Batum.\\n\\n\\n🎥 Retour sur la visite de @DiotAntoine au club, pour un échange avec @tonyparker et @nicolas88batum, avant de retrouver l'Astroballe pour quelques tests médicaux #LDLCASVEL pic.twitter.com/alQBr8F2y7\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) July 12, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Olympiakos et Panathinaikos se querellent en pleine Assemblée Générale" }, {"role": "assistant", "content":"Les représentants de l’Olympiakos et du Panathinaikos se sont querellés hier en pleine Assemblée générale de l’Euroleague à Munich comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nAu centre du débat animé, la relégation d’Olympiakos en deuxième division grecque. Manos Papadopoulos du Panathinaikos a posé perfidement la question suivante:\\n\\n«Comment une équipe peut-elle jouer à la fois en deuxième division et en Euroleague? Cela diffame et nuit à notre produit et à notre organisation. En acceptant cela, permettons-nous aux grands clubs tels que Panathinaikos, Barcelone, le Real Madrid ou le Maccabi de suivre l’exemple de l’Olympiakos et de faire chanter leur ligue nationale pour défendre leurs intérêts? Toute équipe peut maintenant dire qu’elle s’en va si elle ne veut pas jouer le lundi ou que tel arbitre ne lui convient pas. ”\\n\\nLe directeur commercial de l’Olympiakos Nikos Lepeniotis a répondu:\\n\\n«Je suis très surpris de voir l’intérêt de M. Papadopoulos pour le championnat grec. Ils auraient dû aborder la question au cours des derniers mois au niveau local, pas ici à l’Assemblée générale de l’Euroleague. C’est quelque chose qui concerne la Ligue grecque et non l’Euroleague. Bien sûr, cela n’a rien à voir avec de l’extorsion de fonds mais avec la crédibilité du championnat. Je voudrais également demander à M. Papadopoulos, aux clubs et à la direction de la ligue, si quelque chose doit être fait pour les membres de l’Euroleague qui font chanter le reste de la ligue. «\\n\\nDans le communiqué officiel de l’Euroleague, il est mentionné que les clubs d’Euroleague ont l’obligation de participer à leur championnat national mais... que le le directoire des actionnaires de ECA évaluera les situations spécifiques pouvant empêcher un club de satisfaire à cette exigence.\\n\\nBref, ce sera à la tête du client." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Malela Mutuale accompagnera Orléans en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"Après 3 années où il fut éloigné des parquets de l’élite, Malela Mutuale (1,88m, 29 ans) les retrouvera à la rentrée 2019/2020.\\n\\nLa paire de meneurs qu’il a constitué avec Brandon Jefferson et qui fut l’une des plus efficaces de Pro B l’année passée sera de nouveau la même à l’échelon supérieur. Le meneur natif de la métropole Lyonnaise et fort défenseur a prolongé son bail dans le Loiret d’une saison supplémentaire. Ses qualités de guerrier sont très appréciées du coach Germain Castano et seront précieuses pour le retour du club au sein de l’élite.\\n\\nL’année dernière, dans un rôle de rotation derrière le MVP en titre de la division, Brandon Jefferson (1,75 m, 27 ans), il compilait 5,6 points à 35,3%, 2,9 rebonds et 2,7 passes décisives pour 6,9 d’évaluation en 21 minutes de temps de jeu.\\n\\n\\n📢Effectif 2019/2020 🏀\\n\\n➡️ Pilier de la défense cette année @Male869 continuera la saison prochaine à martyriser les attaquants adverses en #JeepELite sous les ordres de Germain Castano.\\n\\n🖥️Plus d'infos : https://t.co/CLrDRLcNJ0#TousOLB pic.twitter.com/NATw4eHsd9\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) July 11, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Revoir chaque jeudi les finales de la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA propose sur sa chaîne YouTube de voir chaque jeudi les finales des championnats du monde/Coupe du monde de 1994 à 2014.\\n\\nPremier épisode ce soir à 20h avec l’équipe des Etats-Unis de 1994 version Shaquille O’Neal que l’on appelait la Dream Team II face à la Russie." }, {"role": "user", "content":"Euro U18 féminines: La France brillamment en demi-finale !" }, {"role": "assistant", "content":"Cet après-midi, à la Dvorana « Mirza Delibasic » de Skenderija, les juniors françaises ont croqué l’Allemagne, vainqueur de l’édition 2018, en quart-de-finale de l’Euro, 72-49.\\n\\nEmilie Raynaud et Yohana Ewodo ont été les meilleures marqueuses avec 11 points et Marie Pardon a obtenu avec 14 la meilleure évaluation.\\n\\nLes Bleuettes rencontreront en demi-finale le vainqueur de Hongrie-République Tchèque.\\n\\nLes Allemandes ont tout de suite fait connaissance avec la défense française: 5’30 pour inscrire le premier panier du champ. L’avance des Françaises fluctua en fonction de leur adresse avec une pointe à +14 (31-17) avec Ewl Guennoc (9 points à 4/5, 3 passes) en maîtrise à la mène mais seulement +5 (31-26 à la mi-temps).\\n\\nLes Bleuettes ont définitivement tiré profit de leur ardeur défensive en infligeant un 22 à 4 aux Allemandes dans le troisième quart-temps (53-30). Elles ont eu ensuite jusqu’à trente points d’avance, 69-39, face à un adversaire qui a vendangé à trois-points (5/27).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Ewl Guennoc (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Sergio Rodriguez a fait son choix" }, {"role": "assistant", "content":"Free agent, Sergio Rodriguez (1,91m, 33 ans) ne continuera pas avec le CSKA Moscou. Annoncé approché par trois clubs espagnols, l’ancien joueur du Real Madrid aurait finalement choisi une toute autre destination.\\n\\nSelon Emiliano Carchia de Sportando et Chema De Lucas, le meneur de jeu espagnol va découvrir l’Italie et s’engager avec l’Olimpia Milano d’Ettore Messina. De retour en Europe après cinq ans passés en NBA, le technicien italien a à coeur de remettre le club lombard sur le devant de la scène, surtout en Euroleague.\\n\\nCette saison, Sergio Rodriguez tournait en moyenne à 10,5 points et 4,5 passes décisives entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\n\\nBreaking Newa: Chacho Rodriguez is finalizing an agreement with Olimpia Milano, a source told me and @chemadelucas.\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 11, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: 12 joueurs des championnats de France avec la Côte d’Ivoire" }, {"role": "assistant", "content":"Pas moins de douze joueurs de championnats de France de la Jeep Elite à la Nationale 3 sont inclus dans la liste de 19 joueurs communiqués par la fédération ivoirienne pour la Coupe du monde.\\n\\nOn retrouve notamment Solo Diabate (Nancy), Mohamed Kone (Vichy-Clermont) et encore Fréjus Zerbo (Bourg).\\n\\nSeulement deux joueurs opèrent dans le championnat de leur pays.\\n\\nLa Côte d’Ivoire sera dans le Groupe A avec la Pologne, le Venezuela et la Chine.\\n\\nPhoto: Frejus Zerbo (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Nikos Zisis s’engage à Badalone" }, {"role": "assistant", "content":"A bientôt 36 ans, l’arrière grec, Nikos Zisis (1,97m) va découvrir son 9 ème club de son immense carrière.\\n\\nSelon Eurohoops, après quatre ans passés du côté de Bamberg, le natif de Salonique s’est engagé pour deux saisons à Badalone malgré de sérieux intérêt de clubs comme Gran Canaria ou encore l’AEK Athènes.\\n\\nNikos Zisis possède un CV immense puisqu’il est passé par des clubs comme Bamberg, le CSKA Moscou, Bilbao ou encore le club russe de Kazan.\\n\\nCette saison il compilait 7,1 points à 43,2%, 2,3 rebonds et 3,9 passes décisives pour 9,2 d’évaluation en seulement 23 minutes." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jimmy Baron reste au CCRB" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il disposait d’une clause de départ jusqu’au 10 juillet pour un club qui dispute une coupe d’Europe, Jimmy Baron (1,91m, 33 ans) reste finalement à Châlons-Reims.\\n\\nPassé par San Sebastian, Kuban, Roma, Fuenlabrada ou encore Banvit et Charleroi, le natif d’East Greenwich a débarqué en France pendant l’été 2018. Inconnu dans l’Hexagone auparavant, il a su faire apprécier son adresse longue distance (44% de réussite à trois points cette saison) à tous les fans du CCRB.\\n\\nCette saison, Jimmy Baron compilait en moyenne 13,6 points, 2,4 rebonds et 2,1 passes décisives pour une évaluation de 12,5.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Nantes annonce cinq nouvelles recrues" }, {"role": "assistant", "content":"Dixième du classement de Pro B au terme de la saison 2018/19, le Nantes Basket Hermine s’active sur le marché aujourd’hui.\\n\\nAprès avoir annoncé les prolongations de Ludovic Negrobar, Garry Chathuant, Thibault Desseignet, Mathis Guillou, Louis Gibey et Harvey Gauthier, les dirigeants du NBH viennent de dévoiler les noms de cinq recrues.\\n\\nLes cinq joueurs à avoir donné leur accord au club nantais sont : Terry Smith, René Rougeau, Abdel Kader Sylla, Mourad El Mabrouk et Maodo Nguirane. Plus de précisions sur chaque profil sur le site du club.\\n\\nAvec ces signatures, Nantes affiche complet et compte un effectif de onze joueurs. Retrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Enquête: Gabby Williams, la nouvelle Franco-Américaine de Montpellier" }, {"role": "assistant", "content":"Une grand-mère parisienne qui lui permet de jouer comme française, un cursus universitaire à Connecticut, la WNBA, l’histoire de Gabrielle « Gabby » Williams, qui va porter le maillot de Lattes-Montpellier à la rentrée, ressemble singulièrement à celle de la néo-internationale Bria Hartley. On a fait témoigner sa mère, Thérèse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPremier élément à prendre en considération : Gabby Williams était un prodige. Du saut en hauteur. Son record personnel était de 1,88m.\\n\\nLors des épreuves de sélection pour gagner sa place dans l’équipe américaine pour les Jeux Olympiques de Londres en 2012, elle se classa cinquième. A l’époque, elle n’avait que 15 ans et était lycéenne à Sparks dans le Nevada !\\n\\n« Elle avait une élasticité juvénile », a déclaré Amy Acuff, qui a participé quatre fois aux Jeux Olympiques. « On pouvait voir un rebond et un ressort dans ses mouvements. Elle était si fraîche et brillante. Il peut être difficile d’obtenir sa meilleure performance dans une grande compétition comme celle-là, mais elle a vraiment été à la hauteur. »\\n\\nLa carrière de sauteuse en hauteur d’exception de Gabby a pris fin prématurément suite à une grave blessure au genou survenue quelques mois plus tard alors qu’elle jouait un match de basket. Elle s’est de nouveau blessée, toujours au genou, lorsqu’elle était en dernière année au lycée. Quand elle fut autorisée à reprendre ses activités sportives, Gabby a déclaré :\\n\\n« J’avais en quelque sorte réalisé que je voulais faire du basket-ball plus que je ne voulais faire de la piste. »\\n\\nDeux fois championne NCAA\\n\\nCar la fille de Matthew, lui-même basketteur de renom dans le Nevada, et Therese Williams était aussi un phénomène du basket même si ses débuts dans ce qui est la meilleure université américaine version féminine, Connecticut, furent laborieux. Lorsque les Huskies furent vaincus par Stanford, le 17 novembre 2014, après 47 victoires consécutives, elle n’était pas entrée en jeu.\\n\\nUConn, c’est une usine à champions. Onze titres NCAA entre 1995 et 2016 avec coach Geno Auriemma aux manettes. UConn, c’est Rebecca Lobo, Sue Bird, Diana Taurasi, Tina Charles, Maya Moore, Breanna Stewart et aussi Bria Hartley, 12e scoreuse, 6epasseuse et 15e intercepteuse de l’histoire de la fac, qu’elle a quitté juste au moment où Gabby y faisait son entrée.\\n\\nLe coach Geno Auriemma ne faisait pas encore confiance à Gabby. Ses coéquipières ne lui faisaient pas encore confiance. Elle ne se faisait pas confiance. Le doute, dira-t-elle, l’avait consumée. Après le match de Stanford, Gabby prit une résolution :\\n\\n« Je n’ai plus jamais voulu ressentir cela. Je me suis dit que je devais trouver un rôle dans cette équipe, que je devais trouver un moyen d’aider. » Et elle est devenue une star de UConn.\\n\\nIntérieure de petite taille (1,80m), Gabby Williams profite à fond de ses exceptionnelles qualités athlétiques pour être une sorte de super Florian Pietrus. Elle fut la cinquième joueuse de UConn à réaliser un triple double (16 points, 16 rebonds et 10 passes contre East Carolina) et surtout elle s’est fait la spécialité d’être une superwoman de la défense. Elle fut ainsi reconnue comme le meilleur défenseur de l’année en 2017 de toute la NCAA et figure au palmarès avec Sylvia Fowles et Brittney Griner.\\n\\nGabby Williams a remporté 148 de ses 151 matches et deux couronnes nationales en 2015 et 2016 avec Connecticut.\\n\\n« Ses compétences en matière de maniement du ballon et de jump shoot doivent être affinées, mais il y a une assurance calme et flottante concernant Williams. La manière élégante dont elle s’impose dans un jeu avec sa vision, son positionnement et son anticipation. Sa capacité non seulement à sauter haut, mais aussi à sauter rapidement une deuxième fois, une troisième fois. Son glissement gracieux, bondissant, toujours sur la plante des pieds, comme s’il y avait une barre de saut en hauteur invisible à surmonter », a écrit le prestigieux New York Times.\\n\\nUn commentaire analogue à celui de Joanna Bernabei-McNamee, la coach d’Albany :\\n\\n« Certains de ses rebonds qu’elle saisit sont phénoménaux. Ses jambes sont comme des ressorts. «\\n\\nUne très bonne saison de rookie en WNBA\\n\\nDraftée en 4e position par le Chicago Sky en 2018, Gabby Williams a réalisé une saison de rookie de très bon niveau entrant 30 fois en 34 matches dans le cinq de départ pour 7,3 points, 4,3 rebonds, 1,6 interception, sachant que sa défense si spéciale ne peut être matérialisée en chiffres. D’autant plus remarquable que née en septembre 1996, Gabby avait 21 ans.\\n\\nCe n’est pas encore l’heure du bilan mais on notera toutefois que ses statistiques sont cet été en recul puisqu’après treize matches, elles sont tombées à 6,5 points, 1,7 rebond et 0,8 interception. Une raison purement mathématique : son temps de jeu a fondu de 23 à 16 minutes et elle sort désormais du banc. La venue d’une intérieure de grande taille et expérimentée de Los Angeles Jantel Lavender (1,93m, 29 ans) est peut-être l’explication.\\n\\nLe coach du Sky ? James Wade, un autre Franco-Américain, qui n’est autre que le mari d’Edwige Lawson, elle-même directrice sportive de Lattes-Montpellier, la future destination de Gabby.\\n\\nEtant donné son jeune âge, Gabby Williams est toujours en phase d’apprentissage. Le Chicago Sun rapporte ce rituel qui atteste que la jeune femme n’a pas encore la solidité mentale adéquate pour le sport de très haut niveau. Après chaque entraînement, ses équipières autour d’elles, Gaby doit inscrire deux lancers-francs de suite. Si elle remplit sa mission, chacun retourne chez soi. Sinon, tout le monde -ou parfois seulement un groupe de joueuses sélectionnées- doit faire un « suicide ». Gabby n’est pas une mauvaise shooteuse de lancers (77% de réussite en carrière en WNBA) mais c’est un exercice mental que le coach a voulu mettre en place afin que sa joueuse ne pense pas à « autre chose » quand elle est sur la ligne.\\n\\n« Vous n’avez pas besoin de trouver un adversaire dans votre tête; cela met le doute dans votre tête », a déclaré Jame Wade, qui pense que les hésitations de Williams peuvent l’empêcher d’atteindre son plein potentiel. » Lorsque vous vous concentrez sur le négatif, vous ne pouvez pas vous concentrer pour en sortir. Donc, essayer de trouver des solutions, et vous devez trouver des solutions en vous-même. »\\n\\nComme Française en Italie et en Espagne\\n\\nLe site de la Fédération internationale en atteste, c’est avec le passeport français que Gaby s’est engagée l’été dernier avec le club italien de Naples. La Franco-Américaine y a fait belle figure (16,3 points, 8,6 rebonds, 1,6 interception) mais le club a mis la clé sous la porte au bout de 14 matches.\\n\\nC’est pourquoi, Gabby a ensuite trouvé refuge à Girone, en Espagne, dans une équipe beaucoup plus forte -celle de Laia Palau- qui a été couronnée championne national et qui a atteint les demi-finales de l’Eurocup. Après avoir éliminé Lyon, elle s’est fait sortir par Montpellier. Une bonne façon de faire connaissance.\\n\\nSi l’on prend comme référence ses 4 matches en Eurocup, Gabby a prouvé sa valeur offensivement (14,0 points mais avec une faiblesse à trois-points, 3/15) et au rebond (5,3) avec cette capacité à multiplier les steals (3,3). Comme joueuse française, ça se pose là et on peut déjà affirmer que le BLMA a fait une excellente affaire en enrôlant cette jeune femme, qui à l’époque universitaire, assistait aux réunions du Centre culturel afro-américain qui était inquiet de l’élection de Donald Trump comme président des Etats-Unis pour le traitement réservé aux femmes, aux minorités et aux immigrés.\\n\\nRien n’empêche Gabby Williams de jouer un jour en équipe de France sinon une règle de la Fédération internationale qui la considère comme « naturalisée » puisqu’elle n’a pas opté pour la nationalité basket française avant ses 16 ans. Ça sera donc Bria Hartley ou elle mais jamais les deux à la fois.\\n\\n\\nSa mère, Thérèse Williams\\n\\n\\n« Gabby est vraiment heureuse de jouer en France. Elle cherchait à le faire »\\n\\nNous avons demandé à sa mère, Thérèse Williams, quels sont les liens entre Gabby et sa famille française.\\n\\nVous avez des origines françaises de par votre mère qui est de Paris. Pouvez-vous nous dire pourquoi elle est venue s’installer aux Etats-Unis ?\\n\\nMa mère a rencontré mon père américain à Berlin en 1967. Elle était militaire. Elle a déménagé de Paris en France jusque dans une petite ville du Nevada appelée Winnemucca, ce qui signifie « un mocassin » en Paiute. C’est là où je suis née et où j’ai grandi.\\n\\nAvez-vous des contacts avec votre famille qui est en France ?\\n\\nOui, toute ma famille maternelle y vit toujours. J’ai visité la France cinq fois à chaque fois durant l’été entier et j’ai maintenu des contacts avec eux à travers ma mère.\\n\\nGabby et vous venez-vous en France de temps en temps ?\\n\\nJe ne suis pas revenue en France pendant vingt-cinq ans mais en avril dernier et alors que Gabby jouait pour Girone, en Espagne, elle a pris quelques jours pour venir à Paris pour rendre visite à mon oncle et mon cousin et toute sa famille.\\n\\nParlez-vous français ?\\n\\nUn peu. Ma mère nous l’a appris un peu lorsque nous avons grandi et j’ai pris des cours au lycée mais il n’y a pas beaucoup d’opportunités de le pratiquer ici.\\n\\nGabby parle t-elle français ?\\n\\nGabby peut le parler et le comprendre beaucoup mais elle est toujours en phase d’apprentissage. Elle s’entraîne avec ma mère. Elle l’apprend vite et bien. Je pense qu’elle le parlera presque couramment lorsqu’elle quittera la France. Elle s’imprègne facilement des langues étrangères et adore les apprendre. Elle a fait l’effort d’apprendre l’italien pendant qu’elle était en Italie et l’espagnol lorsqu’elle était en Espagne.\\n\\nAimez-vous la culture française ?\\n\\nOui, beaucoup ! Je ne connais que ce que j’ai observé avec ma famille, mais j’ai adoré passer la semaine dans une ville animée puis rejoindre les maisons de campagne le week-end. J’aime les repas, toujours avec un assortiment de délicieux fromages et du pain. J’aime les marchés spécialisés par opposition aux grandes épiceries américaines. Lorsque j’étais chez ma grand-mère l’été à Paris, elle me donnait une liste de courses et m’envoyait aux marchés avec son petit chariot d’épicerie. J’ai aimé ça et cela m’a beaucoup aidé à apprendre.\\n\\nVotre famille française connaît-elle la carrière de basketteuse de Gaby ?\\n\\nOui, ils ont commencé à avoir de l’intérêt pour ses qualités athlétiques lorsqu’elle avait 15 ans. Elle fut la plus jeune participante aux épreuves de sélection (trials) pour les Jeux Olympiques de 2012 en athlétisme. Au saut au longueur, parmi 24 sauteurs d’universités ou professionnels, elle a pris la cinquième place, s’appropriant le record du monde pour une jeune fille de quinze ans. Ils ont même suivi sa carrière à UConn. Je ne pense pas qu’ils aient regardé beaucoup de basket avant ça, mais ils le font maintenant !\\n\\nDepuis quand Gabby a-t-elle le passeport français ?\\n\\nEn fait, nous avons tout juste reçu notre passeport français lors de sa dernière année à Uconn. Ce fut assez facile. J’ai téléphoné au consulat de France à San Francisco pour connaître les mesures à prendre. Mon acte de naissance français était déjà archivé. Le reste était assez simple : quelques formalités administratives et quelques voyages à San Francisco.\\n\\nGabby avait-elle l’envie de jouer en France ou est-ce un hasard qu’elle se retrouve à Montpellier ?\\n\\nElle est vraiment heureuse de jouer en France. Elle cherchait à le faire.\\n\\nAimerait-elle jouer un jour pour l’équipe de France ?\\n\\nOui, elle aimerait jouer pour l’équipe de France. Nous aimerions tous la voir faire ça.\\n\\nSavez-vous que Bria Hartley, qui a joué aussi à Uconn est actuellement membre de l’équipe de France ? La connaissez-vous ?\\n\\nJe n’ai jamais rencontré Bria, mais j’ai rencontré sa mère une fois à un match. Gabby m’a dit qu’elles sont dans une situation comparable et elle parle souvent à Bria.\\n\\nViendrez-vous en France pour voir jouer Gabby ?\\n\\nOui, je le ferai ! Je suis allée la voir pendant qu’elle jouait en Italie, mais j’attends encore plus la France !\\n\\n[armelse]\\n\\nPremier élément à prendre en considération : Gabby Williams était un prodige. Du saut en hauteur. Son record personnel était de 1,88m.\\n\\nLors des épreuves de sélection pour gagner sa place dans l’équipe américaine pour les Jeux Olympiques de Londres en 2012, elle se classa cinquième. A l’époque, elle n’avait que 15 ans et était lycéenne à Sparks dans le Nevada !\\n\\n« Elle avait une élasticité juvénile », a déclaré Amy Acuff, qui a participé quatre fois aux Jeux Olympiques. « On pouvait voir un rebond et un ressort dans ses mouvements. Elle était si fraîche et brillante. 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A l’ordre du jour était prévue la nomination du Directoire pour les trois prochaines saisons.\\n\\nAinsi, le conseil de surveillance a élu son nouveau Directoire, qui est dorénavant composé de : Pierre Burgun (PDG des montres Pierre Lannier), Jean-Louis Koessler (Associé de MAZARS, Cabinet international d’audit et de conseil), Bernard Braun (Avocat honoraire) et Martial Bellon qui a été confirmé dans son rôle de Président de ce Directoire\\n\\n« Le Président du Conseil de Surveillance Robert Fedida remercie chaleureusement, au nom du Conseil de Surveillance, les anciens membres du Directoire : Christian Grasset, Nicolas Moncade, Raymond Schweitzer et Dominique Wendling, qui se sont investis et impliqués aux côtés de Martial Bellon, pour amener le club au niveau où il se trouve aujourd’hui.\\nLe Conseil de Surveillance, conscient des nouveaux enjeux et des nouveaux impératifs, a souhaité, d’une part, permettre à des chefs d’entreprise compétents et impliqués dans le Club de prendre place dans la gouvernance du Club, et d’autre part, apporter l’expertise nécessaire à la concrétisation des projets de la SIG Strasbourg. «" }, {"role": "user", "content":"Le Camerounais Benoit Mbala signe à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP poursuit son recrutement avec l’ailier international camerounais Benoît Mbala (2,03 m, 23 ans).\\n\\nBenoît Mbala a connu un parcours exotique puisque né à Yaoundé, il a débuté le basket aux Philippines, et il a joué au Mexique, en Corée du sud et en France, en Pro B, à Roanne puis Maurienne où il a assuré 15,2 points, 7,2 rebonds pour une évaluation de 16,6 en 24′.\\n\\nLa saison passée il poursuivait son tour du monde à Séoul, en Corée, pour 20,6 points, 8,9 rebonds pour une évaluation de 19,8 en 30 minutes. Des statistiques toujours difficiles à interpréter.\\n\\n« Benoit Mbala arrive pour renforcer notre raquette, et apporter encore de la densité physique à nos rotations, » commente le directeur sportif Crawford Palmer. « Il peut défendre sur plusieurs postes. Il est capable de scorer, avec un tir à 3-points en progression. Il est dur, travailleur, nous comptons sur lui pour continuer son développement. Avec une évaluation par minute impressionnante en Pro B, des performances de haut niveau en équipe nationale camerounaise, il est prêt à franchir le cap de la Jeep Elite et l’Europe. En plus de ses qualités de basketteur, Benoit est un homme de qualité et nous sommes très heureux de son arrivée au CSP. »\\n\\n\\n2012-13 : Southwestern University PHINMA (Philippines CESAFI)\\n2015 : Glan Montana (Philippines Pacquiao Sport Challenge)\\n2016-17 : De La Salle University (Philippines University Athletic Association of the Philippines)\\n2017-18 : Fuerza Regia (Mexique LNBP) puis Roanne (Pro B)\\n2018-19 : Seoul Samsung Thunder (Corée du Sud) puis Aix-Maurienne (Pro B)\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Vidéo- 3×3: Les deux buzzer beaters de Migna Toure" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine 3×3 a remporté l’étape du Women World Series d’Ekaterinbourg en battant en finale la Russie, 15-14 après prolongation. La Landaise Migna Touré a joué un rôle décisif avec deux buzzer beaters.\\n\\nNomPrénomNaisClubGUAPOLaëtitia25/10/1995CharnayNAYOAlice16/01/1993ChartresPAGETMarie-Eve28/11/1994CharlevilleTOUREMamignan19/12/1994Basket Landes\\n\\n\\nFrance – Russie : 18-11\\nFrance – Roumanie : 19-11\\nFrance – Etats-Unis :15-16\\nDemi-finale : France – Etats-Unis : 15-11\\nFinale : France – Russie : 15-14 a.p.\\n\\n\\nShe hit 2 buzzer beaters in the same game 😱😱 #3x3WS @Lokossoo 🇫🇷 pic.twitter.com/YjLPnqY1po\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) July 11, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Abdoulaye Mbaye choisit Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Abdoulaye Mbaye (1,89m, 30 ans) vient de se lier avec le Poitiers Basket 86 annonce le club.\\n\\nAbdoulaye Mbaye a eu une carrière très perturbée par les blessures. Champion d’Europe en cadets et juniors, génération Nicolas Batum, il fut deux fois all-stars, meilleur marqueur français de Pro A en 2009, a porté les maillots de Dijon, Strasbourg, Gravelines, Rouen, Nancy et Fos-sur-Mer en ProB.\\n\\nSes stats en 2018-19: 5,2 points, 1,0 rebond et 0,7 passe en 13′ de moyenne avec Fos.\\n\\nPhoto: Fos" }, {"role": "user", "content":"Sarunas Jasikevicius (Zalgiris Kaunas): «Nous manquons de budget mais nous compensons avec beaucoup d’autres avantages»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à El Mundo Deportivo, l’entraîneur du Zalgiris Kaunas, Sarunas Jasikevicius insiste sur la qualité de vie qui règne au sein du club lituanien ce qui l’invite à rester à bord malgré des sollicitations extérieures:\\n\\n« Je dis toujours que du président au dernier assistant, nous nous entendons très bien, il règne une atmosphère très familiale. À l’heure actuelle, de nombreux joueurs veulent venir à Kaunas parce qu’ils constatent que les gens s’améliorent beaucoup et, malheureusement pour nous, ils font ensuite le saut dans des clubs plus importants. Nous manquons de budget, mais nous compensons avec de nombreux autres avantages. Si le joueur ou son représentant sont intelligents et ne recherchent pas seulement un contrat d’un an, il est également très intéressant pour eux de venir à Kaunas et de s’améliorer. Tous ceux qui sont venus se sont beaucoup améliorés et continueront comme cela, espérons-le. »\\n\\nVoici pourquoi la star du basket lituanien est le timonier du club depuis 2014:\\n\\n« J’ai la possibilité de quitter le Zalgiris à l’heure que je veux. Mais je dis toujours la même chose: il est très difficile de me sortir de ce club car il s’agit de la première organisation en Europe. Et cela sans avoir un gros budget. Les joueurs et les entraîneurs sont traités avec beaucoup de respect, ils nous ont laissé travailler et ils nous ont beaucoup soutenus. Et un jeune entraîneur doit en tenir compte, car nous constatons ce qui se passe avec les entraîneurs de l’Euroleague, la moitié des équipes les changent à la mi-saison. »\\n\\nPour Jasikevicius, la NBA ou un club d’Euroleague de première catégorie ne sont donc pas une priorité absolue:\\n\\n« Pour moi le nom du club ne veut pas dire grand chose. Il est clair que j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour le Panathinaïkos, pour Barcelone ou pour le Maccabi, mais pour un entraîneur, c’est différent, je me fiche de ce qu’il y a ici (NDLR: il indique l’endroit où est cousu l’écusson du club), l’important est de savoir avec qui je vais travailler et si il est possible de faire une bonne équipe, s’il est possible de gagner et de profiter. Pour un joueur le nom du maillot est très important, pour un entraîneur, la chose importante est de pouvoir compter sur le soutien, de faire en sorte que tout le monde est dans le même bateau. »\\n" }, {"role": "user", "content":"Mirza Teletovic: «La NBA? C’est ennuyeux»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Bosniaque Mirza Teletovic, 35 ans, possède derrière lui une longue carrière en Europe et en NBA où il a joué 343 matches. Il a pris sa retraite, il y a un an, pour devenir le président de la fédération de son pays. Dans une interview à Radio Vitoria, il a fait part de sa nette préférence pour l’Euroleague.\\n\\n« Quand je suis allé à la NBA, mon opinion est que c’était très ennuyeux. Si vous ne jouez pas pour Golden State ou les Cleveland Cavaliers, qui s’affrontent pour être champions... vous vous dites pourquoi suis-je là ? À Vitoria (NDLR: il y a passé six ans), nous avons toujours joué pour quelque chose. La Supercopa, la Copa Del Rey, participer au Final Four de l’EuroLeague. Aux États-Unis... qu’est-ce qu’il y a? Pour moi, c’était ennuyeux. C’était une bonne expérience aussi. C’est la meilleure ligue du monde. Vous pouvez jouer contre les meilleurs au monde et être entraîné par des légendes. Mais pour moi, je me sentais mieux en EuroLeague et en Espagne. Il y aura de plus en plus de joueurs qui reviendront. Je ne comprends pas pourquoi les jeunes décident de partir parce que vous savez que vous resterez sur le banc ou dans la G League pendant les trois premières années. »\\n\\n“" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Ywen Smock s’engage avec Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"Première recrue pour le club orléanais depuis l’annonce de la remontée en Jeep Elite, Ywen Smock (2,04m, 22 ans) s’est engagé pour la saison 2019/2020.\\n\\nC’est un joueur qui ne cesse de progresser depuis son départ du centre de formation de Cholet, sur lequel vient de mettre la main le coach Germain Castano.\\n\\nAu sein de la surprenante équipe de Gries-Oberhoffen, promu en Pro B lors de la saison 2018/2019 et demi finaliste des playoffs d’accession, ce pivot avait un rôle de rotation. Ainsi, en 15 minutes de temps de jeu, il valait 6 points à 62,8% et 3,5 rebonds pour 7,3 d’évaluation.\\n\\nLe coach Germain Castano s’est ainsi félicité de cette signature, sur le site officiel du club :\\n\\n« Nous souhaitions un jeune joueur qui amène de la dureté dans la raquette. Il est en constante progression depuis 3 saisons. Il vient chez nous pour avoir un rôle très précis au sein du groupe, il aura quelques minutes de jeu dans un premier temps pour suppléer le futur poste 5 et Miralem (Halilovic). Il doit nous apporter son impact défensif, offensivement cela sera du bonus pour nous ! »\\n\\n\\n📢Effectif 2019/2020 🏀\\n\\n➡️@OLB45 tient son intérieur français ! Nous avons trouvé un accord pour la saison prochaine avec Ywen SMOCK (Pivot, 22 ans, 2m04, JFL) qui découvrira la #JeepELITE sous le maillot Orléanais !\\n\\n🖥️Plus d'infos : https://t.co/UqkF1Aqz4S#TousOLB pic.twitter.com/fgy3ga6z0k\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) July 10, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Alex Abreu (ex Orléans et CCRB) rebondit à Giessen" }, {"role": "assistant", "content":"Aperçu à Châlons-Reims en début de saison, Alex Abreu (1,78m, 27 ans) vient de trouver un nouveau job en Europe pour la rentrée. Il s’est engagé à Giessen, en Allemagne.\\n\\nA Orléans la saison dernière et auteur d’un exercice très satisfaisant, le meneur de jeu avait attiré l’attention des clubs de Jeep Elite. C’est au CCRB qu’il s’est engagé mais son expérience en Champagne ne s’est pas passé comme prévue. Peu rentable, il a quitté le club en décembre et est retourné sur sa terre natale de Porto Rico. Comme en 2015/16 et 2016/17, il a évolué sous les couleurs d’Aguada. Sur leur site, les Giessen 46ers annonce la signature de l’ancien Orléanais pour une saison.\\n\\nLa saison écoulée, Alex Abreu compilait en moyenne 9,3 points et 5,5 passes décisives à Porto Rico.\\n\\nPhoto : LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup Pro B : 6 groupes de 3 équipes" }, {"role": "assistant", "content":"La Leaders Cup Pro B reprendra le 20 septembre et les 18 équipes ont été réparties en 6 groupes géographiques.\\n\\nLille, Denain, Saint-Quentin... Rouen, Evreux, Paris... Quimper, Nantes, Poitiers... Nancy, Gries, Souffelweyersheim... Blois, Vichy, Saint-Chamond... Aix-Maurienne, Antibes, Fos...\\n\\nChaque équipe jouera 4 matches face aux adversaires de sa poule, à domicile et à l’extérieur. Les premiers de chaque poule seront qualifiés pour les quarts-de-finale ainsi que les deux meilleurs seconds.\\n\\nLe calendrier est à télécharger ici." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le calendrier est sorti, reprise le 11 octobre" }, {"role": "assistant", "content":"Comme voté en Assemblée Générale en juin 2018 dans le cadre du Plan Stratégique, les championnats professionnels seront réorganisés pour un passage à 16 clubs en Jeep® ÉLITE et à 20 clubs en Pro B en 2020-21.\\n\\nEn conséquence, seul un club de PRO B accédera à la division supérieure en fin de saison.*\\n\\nLes playoffs réunissant les 7 meilleures équipes de la saison régulière et le vainqueur de la Leaders Cup Pro B (ou les 8 meilleures équipes de la saison régulière si le vainqueur de la Leaders Cup Pro B fait partie des 8), permettront donc, dans un format 1-1-1 (match aller chez le mieux classé à la fin de la saison régulière, match retour chez le moins bien classé et belle éventuelle chez le mieux classé), d’identifier le Champion de France PROB qui accèdera en Jeep® ÉLITE à l’issue de la saison 2019-20*.\\n\\nLa journée officielle pour la Pro B se déroule le vendredi à 20h00, les clubs suivants recevront à domicile à ce jour et à cette heure : Aix-Maurienne Savoie Basket – ASC Denain Voltaire – Fos Provence Basket – BC Gries-Oberhoffen – Lille Métropole Basket – Rouen Métropole Basket – Saint-Chamond Basket Vallée du Giers – Saint-Quentin Basket-Ball – JA Vichy Clermont Métropole.\\n\\nLes clubs suivants ont obtenu une dérogation à l’année pour leurs rencontres à domicile :\\nLe vendredi à 20h30 : Antibes Sharks – ALM Evreux Basket Eure – Nantes Basket Hermine – Paris Basketball\\nLe samedi à 20h00 : ADA Blois – SLUC Nancy – Poitiers Basket 86 – UJAP Quimper – BC Souffelweyersheim\\n\\n*sous réserve qu’il satisfasse aux règles du Contrôle de la gestion financière des clubs professionnels et aux conditions du cahier des charges imposées aux clubs de Jeep® ÉLITE\\n\\nLe calendrier est à télécharger ici.\\n" }, {"role": "user", "content":"Sergio Rodriguez quitte le CSKA Moscou, retour en Espagne ?" }, {"role": "assistant", "content":"Même si le club ne l’a pas annoncé officiellement, Sergio Rodriguez ne continuera pas avec le CSKA Moscou.\\n\\nD’après Eurohoops, l’international espagnol est officiellement free agent et est donc à la recherche d’un nouvel employeur. Son contrat avec Moscou prend fin le 12 juillet, mais les deux partis seraient tombés d’accord pour ne pas prolonger l’aventure. L’ancien joueur du Real Madrid ne devrait pas rester sans club très longtemps tant il fait partie des meilleurs joueurs du continent.\\n\\nSelon ABC, Vitoria, Malaga et Valence se sont approchés de l’ancien joueur des Philadelphie Sixers. Toujours selon le journal espagnol, le Real Madrid ne fera pas d’offre après avoir recruté le MVP de Liga Endesa Nicolas Laprovittola.\\n\\nCette saison, Sergio Rodriguez tournait en moyenne à 10,5 points et 4,5 passes décisives entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pologne: Mathieu Wojciechowski, de Gornicza à Wroclaw" }, {"role": "assistant", "content":"Le Franco-Polonais Mathieu Wojciechowski (2,03m, 26 ans) va demeurer en Pologne mais passe de Dąbrowa Górnicza à Wroclaw.\\n\\nMathieu Wojciechowski a réalisé une très bonne saison 2018/19 avec des moyennes de 13,6 points et 5,7 rebonds en 28′ de temps de jeu. En janvier, il a été élu MVP de la ligue.\\n\\nAuparavant, il avait porté les maillots de Lille, Gravelines, Le Portel et Bourg. Vous pouvez retrouver notre interview de Mathieu Wojciechowski ici." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin U18 : La France sort la Pologne et va en quart" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine s’est qualifiée pour les quarts-de-finale de l’Euro U18 battant la Pologne, 75-54, profitant notamment de l’abattage d’Aminata Gueye (1,93m) auteure d’un double double avec 18 points (8/9 aux tirs) et 10 rebonds pour 29 d’évaluation.\\n\\nLes Françaises ont rapidement creusé un écart d’une dizaine de points mais les Polonaises ont ensuite longtemps traité d’égal à égal avant de perdre quelque peu les pédales dans le dernier quart-temps (26-14).\\n\\nJanelle Salaun s’est distinguée par son adresse à trois-points (4/5) à l’inverse de la paire Ewl Guennoc/Serena Kessler maladroite (5/25 sur l’ensemble des tirs du champ). Les Françaises ont pris deux fois plus de rebonds (61 à 30).\\n\\nLes Bleuettes affronteront demain en quart-de-finale l’Allemagne, tenante du titre.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Janelle Salaun (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Saul Blanco débarque à Gries" }, {"role": "assistant", "content":"Encore un nouvel Espagnol qui arrive à Gries. Saul Blanco (1,96m, 34 ans) rejoint ses compatriotes Joseph Franch et Asier Zengotitabengoa, annonce le BCGO.\\n\\nInconnu en France, il est passé par Fuenlabrada, Malaga, Tenerife ou encore Seville. En carrière, il a notamment disputé 29 matchs d’Euroleague avec Malaga entre 2009 et 2012. En 2018/19, il évoluait en LEB Plata, l’équivalent de notre Nationale 1, à Gijon.\\n\\nCette saison, Saul Blanco compilait en moyenne 15,3 points, 4,9 rebonds et 2,8 passes décisives. Il a été élu dans le meilleur cinq de la saison de la troisième division espagnol.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Maurice Acker passe de Lille à Caen" }, {"role": "assistant", "content":"A Lille depuis 2017, Maurice Acker (1,73m, 32 ans) va gouter à la NM1 pour tenter de faire remonter Caen en Pro B.\\n\\nSur son site, le Caen Basket Calvados annonce la signature pour une saison de l’ancien joueur du HTV. Le club normand précise que le CBC n’était pas la seule formation à vouloir s’attacher les services du meneur américain, mais qu’il a été convaincu par l’ambitieux projet du club.\\n\\nCette saison, Maurice Acker compilait en moyenne 13,7 points et 4,5 passes décisives pour une évaluation de 11,4.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Christophe Delrue" }, {"role": "user", "content":"U16 Féminines: 16 joueuses en stage" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Julien Egloff a fait appel à 16 joueuses pour un stage à Vernon du 13 au 19 juillet. 12 joueuses seront ensuite sélectionnées pour le tournoi du FOJE (Festival Olympique de la Jeunesse Européenne) à Bakou (Azerbaïdjan) qui se déroule du 20 au 28 juillet.\\n\\nNomPrénomN.ClubDEBROISEInes2003CFBB (BC Ermont)DIARISSOOumou Sallymata2003CFBB (Marne-la-Vallée)DJOKOClara2003CFBB (S.I. Graffenstaden)FAILLOTEva2003CJM BourgesHIRSCHMaia2003CFBB (Roannais BF)KAPINGALeya2003CFBB (Tarbes GB)KIAVIElyah2003Lattes MontpellierKOMARAHawa2003CJMMacé BourgesLACANLeila2004AS TournefeuilleLANDUREAdele2003CFBB (Landerneau)MARMILLODJade2003Lattes MontpellierPRENEAULouise2003La Roche VendéeRIVIERECélia2003Marne-la-ValléeROUMYSara2003CFBB (Basket Landes)SENEN’Deye Sophie2003CFBB (Cavigal Nice)TRAOREAminata2004Marne-la-Vallée\\n\\nEntraîneur: Julien EGLOFF\\nAssistants : Thomas GIORGUITTI, Charlène COLLETTE\\n\\nStage à Vernon du 13 au 19 juillet\\n\\nTournoi FOJE à Bakou du 20 au 28 juillet\\n\\nStage à Voiron du 1er au 7 août\\n\\nTournoi de Voiron du 8 au 10 août\\nEquipes participantes : Espagne, France, Lettonie, Turquie\\n\\nStage à Voiron du 11 au 14 août\\n\\nTournoi en Espagne du 14 au 18 août\\n\\nStage à Skopje (Macédoine) du 19 au 21 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Skopje (Macédoine) du 22 au 30 août\\nJeudi 22 août à 21h00 : France-Lituanie\\nVendredi 23 août à 16h30 : Danemark-France\\nSamedi 24 août à 21h00 : France-Allemagne\\nLundi 26 août : Huitièmes de finale\\nMardi 27 août : Quarts de finale\\nJeudi 29 août : Demi-finales\\nVendredi 30 août : Finales" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Philippe Durst non reconduit à la présidence du SLUC Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Coup de tonnerre ce matin, annoncé par l’Est Républicain. Le journal nous a apprend que le président Philippe Durst n’est pas reconduit à la tête du club nancéien.\\n\\nLe SLUC va devoir réécrire une page blanche puisqu’à l’heure actuelle, le club n’a plus de président. Philippe Durst paye certainement les échecs sportifs des deux dernières années.\\n\\nArrivé à la tête des Couguars au début de la saison 2017 pour notamment, remettre le SLUC sur le droit chemin financièrement et remonter le club en Jeep Elite suite à sa relégation survenue la saison précédente, il n’a donc pas réalisé les objectifs qui lui étaient donnés.\\n\\nLe Conseil de Surveillance du club lorrain devrait se réunir d’ici la fin de semaine pour élire le successeur de Philippe Durst. L’ancien président Christian Fra est pressenti pour revenir en intérim étant donné l’urgence de la situation." }, {"role": "user", "content":"Europe : Les champions de 46 pays" }, {"role": "assistant", "content":"Voici la liste des champions et des finalistes de 46 pays européens avec les scores des finales.\\n\\nChampionnatChampionAlbanieGoga b. Teuta, 3-2AllemagneBayern Munich b. ALBA Berlin, 3-0ArménieAragatz b. Urartu, 5-1AutricheKapfenberg b. Gmunden, 3-0BelgiqueOstende b. Anvers, 3-1BiélorussieTsmkoki Mi b. COR-Boris, 3-0BosnieSiroki b. Sarajevo, 3-0BulgarieBalkan b. Levski Sofia 3-1ChypreKeravnos b. Larnaca, 3-1CroatieCibona Zagreb b. Cedevita Zagreb, 4-0DanemarkBakken b. Horsens, 4-0EcosseEdimbourg K. b. Sony C., 1-0EspagneReal Madrid b. FC Barcelone, 3-1EstonieKalev/Cr. b. LTU/Kalev, 3-0FinlandeKauhajoki b. Kouvot, 4-1FranceASVEL b. Monaco, 3-2GeorgieDelta b. Kutaisi, 3-2GrècePanathinaikos b. Promitheas, 3-0HongrieFalco b. Kormend, 3-0IrlandeTempleogue b. Belfast, 1-0IslandeKR b. IR, 3-2IsraëlMaccabi Tel-Aviv b. Maccabi Rishon, 1-0ItalieVenise b. Sassari, 4-3KosovoPrishtina b. Rahoveci, 3-1LettonieVentspils b. VEF Riga, 1-0LituanieZalgiris Kaunas b. Lietuvos Rytas Vilnius, 3-0LuxembourgEtzella b. T71, 3-1MacédoineMZT Skopje b. Rabotnicki, 3-0MalteAthleta b. Hibs Sen, 3-0MoldavieDonbasket b. CD Tighina, 3-0MonténegroBudcnost Podgoricab. Monar B, 3-2NorvègeKongsberg b. Gimle, 2-1Pays-BasZwolle b. Groningen, 4-2PologneAnwil b. Polski C., 4-3PortugalOliveirense b. Benfica, 3-1République TchèqueNymburk b. BK Decin, 3-0RoumanieOradea b. Sibiu, 3-1Royaume UniLeicester R b. London CR, 1-0RussieCSKA Moscou b. Khimki Moscou, 3-0SerbieEtoile Rouge Belgrade b. Partizan Belgrade, 3-1SlovaquieInter Bratislava b. Previdza, 4-0SlovéniePrimorska b. Olimpija Ljubljana, 3-0SuèdeSodertalje b. Boras, 4-1SuisseFribourg b. Genève, 3-0TurquieAnadolu Istanbul b. Fenerbahçe Istanbul, 4-3UkraineKhimik b. Kyiv B, 3-0" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Charles-Henri Bronchard deux ans de plus à Vichy-Clermont" }, {"role": "assistant", "content":"Vichy-Clermont annonce avoir prolongé pour deux ans Charles-Henri Bronchard (2,00 m, 36 ans) et qu’il l’accompagnera ensuite dans sa reconversion dans le coaching.\\n\\nCharles-Henri tournait cette saison à 11,1 points, 4,3 rebonds et 1,6 passe pour 10,5 d’évaluation en 26 minutes. A l’occasion des 1/4 de finale de playoffs face à Gries-Oberhoffen il avait répondu présent en haussant son niveau de jeu (15 points, 6,5 rebonds et 2,5 passes pour 14 d’évaluation).\\n\\nTaulier du basket français avec plus de 5 000 points marqués en LNB, et valeur sûre de la Pro B qu’il connait sur le bout des doigts avec plus de 500 matchs au compteur joués avec Mulhouse, Bourg, Saint-Vallier, Rouen et Le Portel, Charles-Henri est une référence sur les parquets.\\n\\nCoéquipier exemplaire, redoutable combattant, mobile et capable de dégainer de loin, notre féroce bagarreur est tout simplement l’un des intérieurs français les plus efficaces de Pro B. Il fait également partie de l’équipe de France de 3×3.\\n\\n– 2001-02 : Prissé-Macon (NM1)\\n– 2002-03 : Prissé-Macon (NM2)\\n– 2003-05 : CS Autun (NM1)\\n– 2005-07 : Mulhouse (Pro B)\\n– 2007-10 : Bourg-en-Bresse (Pro B)\\n– 2010-11 : Saint-Vallier (Pro B)\\n– 2011-12 : Rouen (Pro B)\\n– 2012-14 : Le Portel (Pro B)\\n– 2014-15 : Pau-Lacq-Orthez (Pro A)\\n– 2015-21 : Vichy-Clermont (Pro B)\\n\\nPhoto: JAVCM\\n" }, {"role": "user", "content":"Où ont été formés les joueurs français ?" }, {"role": "assistant", "content":"Dans quels centres de formation, dans quelles équipes de première (ou deuxième) division ont été formés les joueurs français (et JFL) actifs aujourd’hui en LNB, en Europe ou en NBA ? Certains noms viennent de suite à l’esprit. Et pourtant, l’étude révèle quelques belles surprises !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn entend souvent, au sujet de certains clubs qu’ils sont des « clubs formateurs » alors que d’autres le seraient moins, voire pas du tout. Parmi les premiers, les noms qui viennent le plus facilement à l’esprit sont ceux de Cholet, de Chalon, du Havre, voire de Pau-Lacq-Orthez. Mais est-ce vraiment le reflet de la réalité ?\\n\\nPour le savoir, nous avons passé en revue les effectifs 2018-19 de toutes les équipes de Jeep Élite et de Pro B (en ne prenant en compte que les joueurs ayant joué un minimum de matchs et avec un temps de jeu d’au moins 5 minutes en moyenne, excluant ainsi les Espoirs n’ayant fait que de « la figuration ») ainsi que le cursus de tous les joueurs français évoluant dans de grands championnats européens ou NBA cette année. Nous avons donc recensé où tous ces joueurs français (ou JFL, comme par exemple Fréjus Zerbo, Ivoirien formé en grande partie en France) ont été formés, c’est-à-dire le centre de formation qu’ils ont fréquenté et/ou les équipes professionnelles où ils ont évolué jusqu’à leurs 21 ans révolus (en prenant en compte que certains joueurs n’ont pas fréquenté de centre de formation, qu’ils soient arrivés sur le tard – autrement dit vers 18 ans – dans le circuit professionnel ou, au contraire, qu’ils s’agisse de joueurs « précoces » comme Théo Maledon, par exemple).\\n\\nÀ partir de là, il n’est pas difficile de calculer combien de joueurs issus d’un club donné officient dans l’un ou l’autre de ces championnats. Mais, pour donner une véritable idée de la valeur de la formation d’un club, nous avons appliqué des coefficients : avoir un joueur qui évolue en NBA n’a pas la même « valeur » que d’avoir formé un autre officiant en Pro B.\\n\\nNous avons donc appliqué le barème suivant : 15 points pour un joueur NBA, 10 pour un joueur d’Euroleague, 8 points pour un club d’Eurocup ou de BCL (à l’exception des clubs français), 5 points pour un joueur évoluant dans un championnat européen majeur (mais sans coupe d’Europe), 3 points pour un autre actif dans un championnat européen de moindre importance (la Pologne, par exemple), 5 points pour un joueur de Jeep Élite, 1 point pour un joueur de Pro B.\\n\\nEt, au final, une fois tous les calculs effectués, le résultat ne manquera pas de surprendre. Certes, les clubs cités au début de cet article figurent dans le haut du classement, mais pas tout en haut. Nous vous laissons découvrir qui est le « vainqueur » de cette étude...\\n\\n1er – Asvel : 99 points\\n\\nJeep Élite (13 joueurs) : Théo Maledon, Charles Galliou, Amine Noua, Livio Jean-Charles, Amara Sy, Paul Lacombe, Alexandre Chassang, Digué Diawara, Ali Traoré, Antoine Eito, Arthur Rozenfeld, Jérôme Sanchez (+ deux saisons à Bourg-en-Bresse), Bangaly Fofana.\\n\\nPro B (4 joueurs) : Lucas Hergott, Gide Noel, Théo Léon, Stéphane Gombauld (+ Saint-Chamond et Lille).\\n\\nEuroligue (3 joueurs) : Edwin Jackson, Léo Westermann, Kim Tillie (+ NCAA).\\n\\nEh oui, c’est sans doute la plus grosse surprise de ce classement, Villeurbanne n’ayant pas forcément la réputation d’être un club formateur. Et pourtant... En tout, vingt joueurs évoluant de la Pro B à l’Euroligue cette saison ont été formés en tout ou partie à l’Asvel. Certains, comme Amine Noua, ont fréquenté le club depuis leurs plus jeunes années, d’autres sont arrivés plus tard dans leur évolution ou n’ont fait que passer (on pense à Jérôme Sanchez, venu de Bourg-en-Bresse avant d’y repartir après deux saisons à Villeurbanne).\\n\\nToujours est-il que le club de la banlieue lyonnaise est le plus important pourvoyeur de JFLs de la Jeep Élite (13 joueurs) et de l’Euroligue (avec Cholet pour ce dernier critère) ! Il est par ailleurs à noter que quatre des joueurs formés au club y évoluent cette saison. Et que neuf internationaux français (actuels ou passés) sont issus de l’Asvel, personne ne fait mieux, là non plus.\\n\\n2e – Pau-Lacq-Orthez : 90 points\\n\\nJeep Élite (12 joueurs) : Alpha Kaba, Alexis Ajinça, Corentin Carne, Léopold Cavalière, Digué Diawara, Thibault Daval-Braquet, Florent Piétrus, Jean-Philippe Morency, Rémy Lesca, Bastien Pinault, Pierre Pelos, Fernando Raposo.\\n\\nPro B (5 joueurs) : Bryan Pamba, Romain Hilliotte, Lucas Dussoulier, Franck Séguéla, Mickael Var.\\n\\nEuroleague (1 joueur) : Thomas Heurtel.\\n\\nNBA (1 joueur) : Elie Okobo.\\n\\nAvec ses 18 joueurs évoluant jusqu’en NBA, Pau-Lacq-Orthez est l’une des places fortes de la formation en France, même si l’époque dorée des frères Piétrus et de Boris Diaw fait partie du passé. De l’encore très jeune Lucas Dussoulier parti s’épanouir en Pro B au joueur majeur d’Euroleague qu’est Thomas Heurtel en passant par le NBAer Elie Okobo, nombre de joueurs sont sortis du Béarn ces dernières années. Et l’Élan Béarnais est le deuxième « fournisseur » de Jeep Élite, avec 12 joueurs formés en tout ou partie (comme Diawara) à Pau.\\n\\n3e – Cholet : 84 points\\n\\nJeep Élite (6 joueurs) : Charles Kahudi, Jean-Michel Mipoka, Yannis Morin, Mickael Gelabale, Killian Hayes, Abdoulaye Ndoye.\\n\\nPro B (9 joueurs) : Kadri Moendadze, Romuald Morency, Vafessa Fofana, Gary Florimont, Steeve Ho You Fat, Rigo Edzata, Youri Morose, Junior Mbida.\\n\\nEuroleague (3 joueurs) : Kévin Séraphin, Nando de Colo, Rodrigue Beaubois.\\n\\nNBA (1 joueur) : Rudy Gobert.\\n\\nSurprise, Cholet n’est « que » troisième de notre classement. La faute à un nombre de joueurs évoluant en Jeep Élite relativement faible (quatre équipes en ont plus). Mais le club des Mauges compense en ayant de nombreux joueurs formés en son sein partis exercer leur métier en Pro B. Et, surtout, en ayant de fortes « têtes d’affiche » évoluant aujourd’hui en Euroleague ou en NBA, comme Nando de Colo ou Rudy Gobert.\\n\\n4e – Le Mans : 72 points\\n\\nJeep Élite (6 joueurs) : Jérémy Leloup, Yannick Bokolo, Youssoupha Fall (+ Poitiers), Petr Cornelie, Alain Koffi, Pierre-Etienne Drouault.\\n\\nPro B (11 joueurs) : Grégory Bengaber, Jean-Baptiste Maille, Earvine Bassoumba, Kevin Mendy, Soriah Bangoura, Babacar Niang, Maxime Choplin, Thomas Ceci-Diop, Jean-Philippe Dally, Kevin Corre, Junior Zéro.\\n\\nCoupes d’Europe (2 joueurs) : Antoine Diot, Aaron Cel.\\n\\nNBA (1 joueur) : Nicolas Batum.\\n\\nLe MSB peut se targuer d’avoir, comme l’Asvel, 20 joueurs formés en tout ou partie en son sein évoluant à haut niveau. S’il se positionne quelque peu en retrait des trois premiers de ce classement, c’est surtout parce que plus de la moitié de ces anciens élèves jouent en Pro B. Mais le club peut se targuer d’avoir « produit » pas moins de cinq internationaux français (qui seraient probablement six si Youssoupha Fall pouvait être sélectionné en équipe de France) : Jérémy Leloup, Yannick Bokolo, Alain Koffi, Antoine Diot -certes passé par l’INSEP- et Nicolas Batum.\\n\\n5e – Chalon-sur-Saône : 65 points\\n\\nJeep Élite (9 joueurs) : Rémi Barry, Yakouba Ouattara, Nicolas Lang, Axel Bouteille, David Michineau, Etienne Ca, Assane Ndoye, Mathis Dossou-Yovo, Jean-Victor Traoré.\\n\\nPro B (2 joueurs) : Philippe Braud, Jonathan Hoyaux.\\n\\nEuroleague (1 joueur) : Joffrey Lauvergne.\\n\\nCoupes d’Europe (1 joueur) : Matthias Lessort.\\n\\nHors NBA (et encore, Joffrey Lauvergne y a joué), Chalon est présent à tous les niveaux du basket professionnel au travers des joueurs formés au club. Et l’avenir se présente plutôt bien avec des jeunes pousses prometteuses telles que Etienne Ca ou Mathis Dossou-Yovo, déjà bien responsabilisés en pro malgré leur jeune âge.\\n\\n6e – Levallois : 64 points\\n\\nJeep Élite (5 joueurs) : Cyrille Eliezer-Vanerot, Maxime Roos, Neal Sako, Landing Sané, Ivan Février.\\n\\nPro B (6 joueurs) : Junior Mbida, Malela Mutuale, Giovan Oniangue, Frédéric Loubaki, Kevin Dinal, Thomas Hieu-Courtois.\\n\\nCoupes d’Europe (1 joueur) : Andrew Albicy.\\n\\nEuroleague (1 joueur) : Vincent Poirier.\\n\\nNBA (1 joueur) : Tony Parker.\\n\\nD’abord PSG Racing, puis Paris-Levallois et aujourd’hui Levallois (avant d’être Boulogne-Levallois la saison prochaine...), le club de la capitale puis de sa proche banlieue a formé quelques belles perles, à commencer par le meilleur joueur français de l’histoire, Tony Parker. Et, sous la houlette de Freddy Fauthoux, d’autres se révèlent depuis quelques saisons, de Vincent Poirier hier à Neal Sako aujourd’hui.\\n\\n7e ex-aequo – Le Havre : 63 points\\n\\nJeep Élite (7 joueurs) : Fréjus Zerbo, Nanta Diarra, Gédéon Pitard, Ousmane Camara, Pape Sy, Romain Duport, Xavier Gaillou.\\n\\nPro B (3 joueurs) : Mérédis Houmounou, Gauthier Denis, Fabien Paschal.\\n\\nEuroleague (1 joueur) : Fabien Causeur.\\n\\nNBA (1 joueur) : Ian Mahinmi.\\n\\nCertes, Le Havre évolue aujourd’hui en Nationale 1 et n’a probablement plus les mêmes moyens pour former des jeunes de haut niveau que lors de ses plus belles années. Mais de bien beaux joueurs ont fait leurs premiers pas professionnels dans la sous-préfecture de la Seine-Maritime, de Pape Sy à Ian Mahinmi en passant par Fabien Causeur.\\n\\n7e ex-aequo – Nanterre : 63 points\\n\\nJeep Élite (4 joueurs) : Jean-Marc Pansa, Jérémy Nzeulie, Jerry Boutsiele, Bathiste Tchouaffé.\\n\\nPro B (3 joueurs) : Alexis Desespringalle, Maxence Dadiet, Hugo Suhard.\\n\\nChampionnat européen (1 joueur) : Mam’ Jaiteh.\\n\\nEuroleague (2 joueurs) : Adrien Moerman, Edwin Jackson.\\n\\nNBA (1 joueur) : Evan Fournier.\\n\\nS’il a bien œuvré dans la « post-formation » en permettant à des jeunes de franchir un cap et de s’élever vers les plus hauts niveaux (Adrien Moerman, Edwin Jackson, Evan Fournier), le club de la banlieue parisienne a également su en former depuis un plus jeune âge, comme Jerry Boutsiele.\\n\\n9e – Poitiers : 40 points\\n\\nJeep Élite (2 joueurs) : Youssoupha Fall, Sekou Doumbouya (+ Limoges).\\n\\nPro B (7 joueurs) : Mickael Var, Boris Dallo, Arnaud Thinon, Kevin Harley, Yannick Blanc, Pierre-Yves Guillard, Jim Seymour.\\n\\nCoupe d’Europe (1 joueur) : Moustapha Fall.\\n\\nNBA (1 joueur) : Evan Fournier.\\n\\nS’ils n’étaient partis sous d’autres cieux, à des niveaux plus élevés, Poitiers pourrait présenter un cinq majeur comprenant Kevin Harley, Evan Fournier, Sekou Doumbouya, Moustapha et Youssoupha Fall. Pas très équilibré (pas de meneur et deux pivots) mais diablement excitant. En tout cas, le club de Charentes-Maritimes continue de former régulièrement de très bons jeunes. A noter que Bathiste Tchouaffé, que le club récupère cette année en prêt de Bourg, a grandi dans les équipes de jeune du club.\\n\\n10e – Roanne : 35 points\\n\\nJeep Élite (1 joueur) : Damien Inglis.\\n\\nPro B (5 joueurs) : Thomas Ville, Pierre Brun, Jean-Stéphane Rinna, David Ramsayer, Alexis Tanghe.\\n\\nEuroleague (1 joueur) : Adrien Moerman.\\n\\nNBA (1 joueur) : Guerschon Yabusele.\\n\\nDeux joueurs ayant (plus ou moins) évolué en NBA, un autre grande figure de l’Euroleague, la Chorale de Roanne peut se targuer d’avoir « sorti » quelques belles têtes d’affiche. Pour le reste, la contribution du club est plus modeste. Mais il n’y a vraiment pas de quoi rougir !\\n\\n11e ex-aequo – Gravelines-Dunkerque : 34 points\\n\\nJeep Élite (5 joueurs) : Jonathan Rousselle, William Howard (+ high school USA), Valentin Bigote, Maxime Courby, Max Kouguere.\\n\\nPro B (3 joueurs) : Aurélien Rigaux, Nicolas Taccoen, Paul-Loup Duwiquet.\\n\\nChampionnats européens « mineurs » (2 joueurs) : Matthieu Wojciechowski, Adam Mokoka.\\n\\nFormateur de bons joueurs en France et en Europe, le BCM n’arrive guère à les retenir à la maison...\\n\\n11e ex-aequo – Hyères-Toulon : 34 points\\n\\nJeep Élite (4 joueurs) : Alexis Ajinça, Axel Julien, Lahaou Konaté, Digué Diawara.\\n\\nPro B (6 joueurs) : Clément Cavallo, Charly Pontens, Théo Bouteille, Daryl Nerée, Florent Tortosa, Reda Diabi.\\n\\nCoupe d’Europe (1 joueur) : Louis Labeyrie.\\n\\nQuelques pépites, comme Louis Labeyrie ou Alexis Ajinça, de très bons joueurs de Jeep Élite, des cadres de Pro B, le club varois œuvre bien en matière de formation.\\n\\n13e – Antibes : 29 points\\n\\nJeep Élite (1 joueur) : Isaia Cordinier.\\n\\nPro B (1 joueur) : Yann Siegwarth.\\n\\nCoupe d’Europe (1 joueur) : Frédéric Bourdillon.\\n\\nNBA (1 joueur) : Thimoté Luwawu-Cabarrot.\\n\\nLe club de la Côte d’Azur a sorti peu de joueurs, mais d’un bon, voire très bon niveau.\\n\\n14e – Strasbourg : 28 points\\n\\nJeep Élite (2 joueurs) : Hugo Invernizzi, Ludovic Beyhurst.\\n\\nPro B (3 joueurs) : Olivier Cortale, Quentin Goulmy, Damien Bouquet.\\n\\nNBA (1 joueur) : Franck Ntilikina.\\n\\nPeu de joueurs formés à Strasbourg passent le cap du haut niveau, mais plusieurs pourraient se retrouver en Jeep Élite à court terme (Cortale ou Goulmy, en plus de Bouquet).\\n\\n15e – Dijon : 21 points\\n\\nJeep Élite (3 joueurs) : Sadio Doucouré, Yakouba Diawara (+ NCAA), Abdoulaye Mbaye.\\n\\nPro B (6 joueurs) : Alexis Tanghe, Ferdinand Prénom, Solo Diabaté, Benjamin Monclar, Drissa Ballo, Olivier Romain.\\n\\nIl y a maintenant un petit moment que la JDA n’a plus vu éclore un grand talent de son centre de formation...\\n\\n16e – Limoges : 15 points\\n\\nJeep Élite (2 joueurs) : Sekou Doumbouya, Paul Rigot.\\n\\nPro B (5 joueurs) : Gaylor Curier, Sade Aded-Hussein, Tim Eboh, Thomas Cornely, Ludovic Negrobar (+ divisions nationales).\\n\\nLe CSP n’est pas vraiment un club formateur, hormis « l’attraction » Sekou Doumbouya.\\n\\n17e – Nancy : 12 points\\n\\nJeep Élite (1 joueur) : Benjamin Sene.\\n\\nPro B (7 joueurs) : Mehdy Ngouama (+ junior college USA), Enzo Goudou-Sinha, Williams Narace, Bastien Vautier, Valentin Chery, Gaetan Clerc, Aurélien Salmon.\\n\\nPeu de joueurs formés au SLUC, mais trois d’entre-eux évoluent au club (Goudou-Sinha, Narace, Vautier).\\n\\n18e – Fos-sur-Mer : 11 points\\n\\nPro B (3 joueurs) : Bodian Massa, Sullivan Hernandez, Kevin Bichard.\\n\\nCoupe d’Europe (1 joueur) : Louis Labeyrie.\\n\\nHormis Louis Labeyrie, qui a grandi au club, peu de choses à signaler.\\n\\n19e – Orléans : 9 points\\n\\nJeep Élite (1 joueur) : Nobel Boungou colo.\\n\\nPro B (4 joueurs) : Bryan Pamba, Vincent Vent, Mael Lebrun, Luc Loubaki (+ Monaco).\\n\\nDe temps à autres, un joueur émerge du centre de formation orléanais...\\n\\n20e – Boulazac : 6 points\\n\\nJeep Élite (1 joueur) : Alexandre Aygalenq.\\n\\nPro B (1 joueur) : Olivier Romain.\\n\\nRelativement récent dans l’élite, le club périgourdin n’a pas encore vraiment sorti de joueurs de son centre de formation.\\n\\nIls ont été formés en tout ou partie en NCAA :\\n\\nGeorgi Joseph, Terry Tarpey, Will Yeguete, Mathis Keita, Ilian Evtimov, Mo Koné, Sylvain Francisco, Victor Samnick, Moustapha Diarra, Bryson Pope, Jason Jones, Tiegbe Bamba, Yakouba Diawara, Kim Tillie, Amath Mbaye, Bandja Sy, Joakim Noah. Soit 17 joueurs.\\n\\nIls n’ont pas fréquenté de centre de formation (mais ont parfois joué dans un club professionnel avant leurs 21 ans) :\\n\\nJacques Alingue, Nicolas De Jong, Nobel Boungou colo, Edouard Choquet, Mamadou Dia, Marc Judith, David Denave, Charles-Henri Bronchard, Emmanuel Monceau, Gilles Duro, Antoine Mendy, Jérôme Cazenobe, Karim Atamna, Carl Ona Embo, Patrick Clarence. Soit 15 joueurs.\\n\\n[armelse]\\n\\nOn entend souvent, au sujet de certains clubs qu’ils sont des « clubs formateurs » alors que d’autres le seraient moins, voire pas du tout. Parmi les premiers, les noms qui viennent le plus facilement à l’esprit sont ceux de Cholet, de Chalon, du Havre, voire de Pau-Lacq-Orthez. Mais est-ce vraiment le reflet de la réalité ?\\n\\nPour le savoir, nous avons passé en revue les effectifs 2018-19 de toutes les équipes de Jeep Élite et de Pro B (en ne prenant en compte que les joueurs ayant joué un minimum de matchs et avec un temps de jeu d’au moins 5 minutes en moyenne, excluant ainsi les Espoirs n’ayant fait que de « la figuration ») ainsi que le cursus de tous les joueurs français évoluant dans de grands championnats européens ou NBA cette année. Nous avons donc recensé où tous ces joueurs français (ou JFL, comme par exemple Fréjus Zerbo, Ivoirien formé en grande partie en France) ont été formés, c’est-à-dire le centre de formation qu’ils ont fréquenté et/ou les équipes professionnelles où ils ont évolué jusqu’à leurs 21 ans révolus (en prenant en compte que certains joueurs n’ont pas fréquenté de centre de formation, qu’ils soient arrivés sur le tard – autrement dit vers 18 ans – dans le circuit professionnel ou, au contraire, qu’ils s’agisse de joueurs « précoces » comme Théo Maledon, par exemple).\\n\\nÀ partir de là, il n’est pas difficile de calculer combien de joueurs issus d’un club donné officient dans l’un ou l’autre de ces championnats. Mais, pour donner une véritable idée de la valeur de la formation d’un club, nous avons appliqué des coefficients : avoir un joueur qui évolue en NBA n’a pas la même « valeur » que d’avoir formé un autre officiant en Pro B.\\n\\nNous avons donc appliqué le barème suivant : 15 points pour un joueur NBA, 10 pour un joueur d’Euroleague, 8 points pour un club d’Eurocup ou de BCL (à l’exception des clubs français), 5 points pour un joueur évoluant dans un championnat européen majeur (mais sans coupe d’Europe), 3 points pour un autre actif dans un championnat européen de moindre importance (la Pologne, par exemple), 5 points pour un joueur de Jeep Élite, 1 point pour un joueur de Pro B.\\n\\nEt, au final, une fois tous les calculs effectués, le résultat ne manquera pas de surprendre. Certes, les clubs cités au début de cet article figurent dans le haut du classement, mais pas tout en haut. Nous vous laissons découvrir qui est le « vainqueur » de cette étude...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Amine Noua (Villeurbanne) et Amara Sy (Monaco): le même club formateur, l’ASVEL." }, {"role": "user", "content":"Notre sondage : pensez-vous que l’ASVEL sera compétitive la saison prochaine en Euroleague ?" }, {"role": "assistant", "content":"Sacrée championne de France mardi soir pour la 19e fois de son histoire et auteure du deuxième doublé coupe/championnat après 1957, l’ASVEL peut maintenant se tourner complètement vers la saison 2019/20. Celle-ci marquera le retour du club de Tony Parker en Euroleague après dix ans de disette. Dans un contexte extrêmement relevé, sera t-elle à votre avis à la hauteur ?\\n\\nPhoto : LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Pau recrute le meneur Matt Mobley et le pivot Cheikh Mbodj" }, {"role": "assistant", "content":"Après Travis Leslie, Petr Cornelie et Nicolas de Jong, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez a engagé à la fois le meneur américain Matt Mobley (1,93m, 24 ans) et le pivot sénégalais Cheikh Mbodj (2,08m, 31 ans).\\n\\nMatt Mobley vient du Spirou Charleroi et dans le championnat belge, il s’est fendu de 16 points (40,8% à 3-points), 3,3 rebonds et 2,1 passes décisives pour 13,4 d’évaluation en 25 minutes.\\n\\nMatt Mobley a été formé dans deux universités de NCCA, St. Bonaventure et Central Connecticut State.\\n\\nCheikh Mbodj était lui dans le championnat polonais et avec Torun, il a assuré 11,8 points (56,9% de réussite aux tirs), 6,1 rebonds et 1,2 passe pour 15,1 d’évaluation en 24 minutes.\\n\\nInternational sénégalais, il est déjà passé par plusieurs clubs européens: Ilisiakos Athènes en Grèce, Cantu et Sassari en Italie, Slupsk en Pologne, Ventspils en Lettonie et donc Torun.\\n\\nPhoto: Matt Mobley (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 8 167 spectateurs pour la Coupe des Landes" }, {"role": "assistant", "content":"8 167. 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Conformément aux dispositions des Règlements Sportifs Particuliers NM3 et NF2, elle s’est également prononcée sur les clubs sportivement accédant en championnats NM2/NF1 au terme de la saison 2018/19. Elle a par ailleurs statué sur l’engagement des clubs CF/PN pour lesquels elle s’était saisie.\\n\\nA l’exception des clubs accédant en NM2/NF1, la Commission de Contrôle de Gestion a auditionné l’ensemble des clubs une ou plusieurs fois (délibéré) lors de ses séances.\\n\\nAvis favorable engagement en LFB 2019/20 :\\n\\nRoche Vendée BC, Nantes Rezé Basket, ESB Villeneuve d’Ascq, Flammes Carolo Basket, Lyon ASVEL Féminin, St Amand Hainaut Basket, Basket Landes, Tarbes Gespe Bigorre, BL Montpellier MMA, Bourges Basket, Landerneau Bretagne Basket, Charnay Basket Bourgogne Sud\\n\\nAvis favorable engagement en LF2 2019/20 :\\n\\nBC Saint-Paul Rezé, Angers UF Basket 49, Montbrison Féminins BC, Toulouse Métropole Basket, COB Calais, Reims Basket Féminin, AB Chartres, CFBB, AS Aulnoye, USO Mondeville Basket, BC La Tronche Meylan, S. Illkirch Graffenstaden\\n\\nAvis favorable engagement en NF1 2019/20 :\\n\\nUS La Glacerie\\n\\nAvis défavorable engagement en NF1 2019/20 :\\n\\nCavigal Nice Basket 06 : Rétrogradation en Ligue Régionale\\n\\nAvis favorable accession en PRO B au terme de la saison 2018/19 :\\n\\nBC Souffelweyersheim, St Quentin Basket-Ball\\n\\nL’engagement en championnat PRO B de ces équipes est soumis à la décision de la LNB.\\n\\nAvis favorable engagement en NM1 2019/20 :\\n\\nSTB Le Havre, Vendée Challans Basket, ALS Andrézieux Bouthéon, SAS SP BC Orchies, Saint-Vallier BD, Union Tarbes-Lourdes PB, Rueil AC, CEP Lorient Basket-Ball, SOM Boulogne, La Charité Basket, CFBB, Toulouse BC, Aurore Vitré BB, Enfants du Forez, AS Kaysersberg ABCA, Stade Rochelais Rupella, Etoile Angers Basket, Union Tours MB, JSA Bordeaux Métropole Basket, C’Chartres Basket Masculin, Caen BC, Stade de Vanves GPSO Basket, Dax Gamarde Basket 40, SO Pont de Cheruy Charvieu Chavanoz Basket-Ball, Mulhouse Pfastatt Basket Association\\n\\nAvis défavorable engagement en NM1 2019/20 :\\n\\nEtoile de Charleville Mézières Ardennes Basket : Rétrogradation en Ligue Régionale Besançon Avenir Comté : Rétrogradation en Ligue Régionale\\nSorgues BC : Rétrogradation en Ligue Régionale\\n\\nAvis favorable engagement en NM2 2019/20 :\\n\\nUS Aubenas, GET Vosges, Récy Saint-Martin\\n\\nAvis favorable accession en NM2 au terme de la saison 2018/19 :\\n\\nHyères Toulon Var Basket, La Ravoire Challes, Auch BC, Pontoise ULR Basket St Just St Rambert, Union Poitiers Basket 86, Lille Métropole Basket Clubs, IE – Cambrai Basket (Cambrai Basket), IE – CTC Europ’Essonne (ES Massy)\\n\\nAvis favorable accession en NF1 au terme de la saison 2018/19 :\\n\\nAL Caluire et Cuire, Furdenheim A.C.S.L., IE – BC Alenconnais (BC Alenconnais), Limoges ABC en Limousin\\n\\nAutres décisions :\\n\\nAS Cherbourg : Rétrogradation des équipes seniors en championnat départemental au terme de la saison 2018/19 et interdiction d’engager des équipes de jeunes en championnat de France 2019/20\\n\\nAnnemasse BC : Avis favorable engagement NF2\\nBrissac Aubance Basket : Avis favorable engagement RM2 (à la demande du club) ASVEL Villeurbanne BF : Avis favorable engagement NF1\\n\\nConformément aux dispositions de l’article 924 des Règlements Généraux FFBB, les clubs peuvent interjeter appel devant la Chambre d’Appel à l’encontre des décisions de la Commission de Contrôle de Gestion, dans un délai de 10 jours ouvrables à compter de la date de réception de la décision." }, {"role": "user", "content":"Jean-Baptiste Maille signe à Châlons-Reims" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur de jeu de Rouen, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 25 ans) a signé pour deux saisons à Châlons-Reims annonce le club.\\n\\nConsidéré comme l’un des meilleurs meneurs de Pro B, le Manceau a assuré 9,7 points, 4,9 rebonds et 4,5 passes pour une évaluation de 13,7 en 25 minutes de temps de jeu.\\nFormé au Centre de Formation du MSB, Jean-Baptiste Maille a débuté sa carrière professionnelle en Pro B avec Le Portel en 2013-2014 avant d’évoluer à Challans en Nationale 1 puis de retrouver la Pro B avec Fos pendant deux saisons.\\nEn 2017-2018, il signa un contrat avec le CSP Limoges mais une blessure l’empêcha de s’exprimer une grande partie de la saison.\\nJean-Baptiste Maille est le troisième joueur JFL du CRRB avec Yannis Morin et Jo Passave-Ducteil de l’effectif 2019-2020." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Valérie Garnier n’est plus la coach de Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"La presse turque annonce que Fenerbahçe s’est séparé de son coach, Valérie Garnier, qui est également celle de l’équipe de France.\\n\\nValérie Garnier, 54 ans, était arrivée au Fener en mars 2018 et l’a emmené deux fois au titre national.\\n\\nLe nouveau coach du club est l’Espagnol Victor Lapena, 44 ans, qui était cette saison celui du club russe de Nadezhda Orenburg.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Le bilan de la saison de Gries-Oberhoffen" }, {"role": "assistant", "content":"Petit poucet de la Pro B en début de saison et annoncé comme futur relégué du championnat, Gries-Oberhoffen, l’équipe du coach Ludovic Pouillart a déjoué tous les pronostics pour finalement échouer d’un rien à une finale d’accession en Jeep Elite. Le site du BCGO s’est entretenu avec le coach et son président, Thomas Lotz.\\n\\nSur la saison qui vient de s’écouler\\n\\n« Sur le plan sportif, ça a été une saison positive. On a été au-delà de toutes les espérances que l’on pouvait avoir au départ. Faire les playoffs, en début d’année, ce n’était pas dans les plans. Finalement, on perd en demi-finale d’une possession à chaque fois contre Rouen » Ludovic Pouillart\\n\\n« On a gagné en professionnalisme, on a eu de bons retours des autres clubs qu’on a accueillis. La billetterie, l’accueil des adversaires, les partenaires. » Thomas Lotz\\n\\nSur le plan économique pour la saison 2019/2020\\n\\n« On aimerait passer à 1,4 million voire plus si possible. Notre économie reste fragile même si l’an prochain, contrairement à la saison écoulée, on ne devrait plus être la plus petite masse salariale (480 000 euros cette année). On restera malgré tout dans le bas du classement. » Thomas Lotz\\n\\nSur les cadres de l’équipe 2018/2019\\n\\n« On voulait reconstruire la prochaine équipe autour de quatre joueurs: Asier (Zengotitabengoa) et Xavi (Forcada) qui sont, en théorie, toujours sous contrat, puis Olivier (Cortale) et Yann (Siegwarth). [...] Olivier avait réglé sont sort assez vite en signant à Roanne. Yann a demandé une revalorisation de salaire qu’il était trop difficile de lui accorder. Quant à Xavi, il veut tenter sa chance en Jeep Elite, ce qu’on peut comprendre. Seul Asier, restera donc au BCGO. » Ludovic Pouillart\\n\\n« J’ai décidé, pour ma part, de rester au club une année de plus. A un moment, j’ai hésité, c’est sûr, et j’ai eu quelques appels, en Pro B, et même un club ou deux en Jeep Elite ». Ludovic Pouillart\\n\\nSur la suite du recrutement\\n\\n« L’équipe gardera l’accent espagnol. Certains noms ont déjà fuité mais on ne va pas en dévoiler tant que ce n’est pas définitivement signé. Il devrait y avoir au moins trois Espagnols la saison prochaine. Depuis tout petits, on leur inculque le sens du collectif, un jeu où on fait bouger la balle et où le QI basket est important. Ils ont ça dans le sang en quelque sorte et c’est ce que j’affectionne. Ce que je voulais aussi, ce sont des mecs qui ont des choses à prouver, qui veulent retrouver un niveau qu’ils n’ont plus connu depuis quelques saisons. » Ludovic Pouilart\\n\\nPhoto: BCGO" }, {"role": "user", "content":"Pro B: David Denave prolonge de deux ans à Vichy-Clermont" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à la JAVCM en automne 2016, David Denave poursuit son aventure en Auvergne et sera toujours métropolitain pour les deux prochaines saisons.\\n\\nSa main gauche est une des plus redoutées de la Pro B. Et c’est une nouvelle fois sous les couleurs de Vichy-Clermont qu’on le retrouvera à la rentrée. Le sniper David Denave (1,93m, 23 ans) prolonge pour deux ans à la JAVCM.\\n\\nArrivé en Auvergne en automne 2016, comme simple pigiste médical, suite à la blessure de Cédric Bah, le Stéphanois avait signé jusqu’à la fin de la saison avant de parapher un nouveau contrat de deux ans. 2019-20 sera donc sa quatrième saison sous les couleurs rouge et jaune.\\n\\nReconnu comme l’un des meilleurs joueurs français de la division sur son poste d’arrière, David Denave est un danger permanent sur le terrain pour ses adversaires. Avec ses 13,7 points, 3,5 rebinds et 3,1 passes pour 12,3 d’évaluation, il a été un pion essentiel du dispositif du coach Guillaume Vizade en sortie de banc. Capable de prendre feu à tout moment, il sort de son meilleur exercice au sein du club métropolitain." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Lucas Bourhis prêté à l’ADA Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Dans l’air depuis quelques jours déjà, l’information s’est confirmée hier dans la journée, Lucas Bourhis (1,77m, 19 ans) évoluera la saison prochaine sous les ordres de Mickaël Hay à Blois.\\n\\nLe jeune meneur Tourangeau revient dans sa région natale sous la forme d’un prêt d’une saison du BCM Gravelines. Certainement encore un peu tendre pour les joutes de la Jeep Elite, le poste 1 de petite taille est venu chercher du temps de jeu à l’échelon inférieur pour faire ses armes.\\n\\nMeneur avec un gros volume de jeu et meilleur passeur du championnat espoirs, Lucas Bourhis compilait cette saison 13,2 points à 44%, 3,4 rebonds et 7,8 passes décisives pour 17,4 d’évaluation en 33 minutes de temps de jeu.\\n\\nIl évoluera sur le poste 1 avec Thomas Cornely (1,90m, 27 ans). Deux vrais postes 1 gestionnaires qui pourront alimenter toute l’équipe.\\n\\nDe son côté, l’ADA Blois avance bien dans son recrutement puisque le meneur espoir est la 6ème recrue du club.\\n\\n\\nMeilleur passeur du championnat espoirs cette saison, nous avons le plaisir d'accueillir Lucas #Bourhis en provenance du @BCMBasket ! 🏀\\n\\nBienvenue à Blois Lucas ! 🙂\\n\\nLe communiqué ➡ https://t.co/50vFvQ2Ngh#ADABlois #PartageonsLaPassion #ProB pic.twitter.com/YynHyQtdKX\\n\\n— 🐝 ADA Blois Basket 41 (@ADABloisBasket) June 25, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Les photos: Tony Parker et le trophée de champion de France" }, {"role": "assistant", "content":"Tony Parker est habitué à poser avec des trophées ou des casquettes de champion de toutes sortes que ce soit avec les Spurs ou les Bleus. Comme président de l’ASVEL, c’est plus rare, et à l’évidence, le président est ravi du moment." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le tacle de Nando De Colo, un arbitre bousculé... Le Top 5 Bloopers de la VTB League" }, {"role": "assistant", "content":"La VTB League présente le Top 5 Bloopers de la saison. C’est ici que Nando De Colo apporte la preuve qu’il aurait pu devenir un excellent footballeur." }, {"role": "user", "content":"3×3: L’Open de France à la fin juillet à La Rochelle" }, {"role": "assistant", "content":"Cette année, c’est la Rochelle qui va accueillir l’Open de France de 3×3, à un an de l’intronisation de la discipline aux Jeux Olympiques de Tokyo.\\n\\nEn 2012, la FFBB a créé l’Open de France 3×3 pour réunir les meilleurs joueurs et joueuses de 3×3 de France dans un même tournoi. Depuis, cette compétition est organisée chaque année en extérieur dans un lieu emblématique au cœur d’une ville. C’est un véritable événement qui est mis en place autour du tournoi avec de nombreuses animations pendant toute la semaine précédant l’Open. C’est l’étape finale de la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF : le vainqueur remporte la Superleague !\\n\\nAu niveau mondial, l’Open de France fait partie du FIBA 3×3 World Tour, le circuit international de 3×3. C’est-à- dire qu’en plus d’être sacrée meilleure équipe de 3×3 en France, l’équipe masculine qui remporte l’Open de France gagne son billet pour l’une des étapes européenne du World Tour. L’objectif ? La qualification pour la prestigieuse finale mondiale. Miami, Abu Dhabi, ou encore Pékin, les lieux font rêver et tous les basketteurs 3×3 sont motivés à l’idée d’affronter les meilleurs joueurs de la planète dans un tournoi exceptionnel au niveau très relevé.\\n\\nAujourd’hui le basket 3×3 entre dans une nouvelle dimension en étant inclus au programme olympique : à partir de 2020, il y aura officiellement un tournoi de 3×3 parmi les épreuves des Jeux Olympiques de Tokyo. Ce qui veut dire que cette pratique va attirer de plus en plus l’attention du public et des médias. Il y a également un nombre croissant de joueurs et de joueuses professionnels qui commencent à participer aux tournois de 3×3 en espérant un jour accéder aux Jeux Olympiques.\\n\\nComment accéder à l’Open de France ?\\n\\nL’Open de France verra s’affronter les meilleures teams du circuit Open Plus. Un ranking spécifique sera appliqué, et ce, afin de préserver l’équité sportive entre les Opens Plus (les points gagnés au ranking FIBA pouvant être différents selon les Opens Plus).\\n\\nLes points et les prize money attribués sur les Opens Plus sont les suivants : – 1 500 points pour l’équipe 1ère et 1 000 €\\n– 750 points pour l’équipe 2ème et 600 €\\n– 500 points pour les 3ème et 4ème et 200 €\\n\\n– 300 points pour les 5ème, 6ème, 7ème et 8ème\\n– 200 points pour les 9ème, 10ème, 11ème et 12ème\\n– Les équipes du tournoi de qualification marquent 100 points\\nEn cas d’égalité, les équipes seront départagées au nombre de participations aux Opens Plus puis au ranking FIBA.\\n\\nCombien d’équipes peuvent se qualifier à l’Open de France ?\\n\\nLes 9 meilleures équipes, au classement du circuit Open Plus, seront qualifiées pour le tournoi final de l’Open de France.\\nLes 8 équipes classées de la 10ème à la 17ème place sur le circuit Open Plus prendront part au tournoi qualificatif de l’Open de France 3×3. Parmi ces 8 équipes, 2 seront qualifiées au tournoi final de l’Open de France.\\n1 wild card sera également accordée par la FFBB pour le tournoi final de l’Open de France.\\n\\nEn 2019, c’est à La Rochelle que se retrouveront les 18 meilleures équipes masculines et 18 meilleures équipes féminines, issues du circuit des Opens Plus organisés pendant la saison, pour tenter de remporter la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF.\\n\\nFormule sportive :\\n\\nTournoi de qualification :\\n\\n– 8 équipes réparties en 2 poules de 4\\n– Les 2 premiers de chaque poule sont qualifiés pour les demi-finales – Les vainqueurs des demi-finales sont qualifiés pour le tournoi final.\\n\\nTournoi final :\\n\\n– 12 équipes réparties en 4 poules de 3\\n– Les 2 premiers de chaque poule sont qualifiés pour les quarts de finales – Quarts de finales, demi-finales et enfin finale.\\n\\nL’équipe masculine qui remportera la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF à La Rochelle participera à l’un des Masters européens, qualificatif pour la finale mondiale du FIBA 3×3 World Tour.\\n\\nMARDI 23 JUILLET\\n\\n10h00-12h00 : Animations Basket Santé, 12h00-14h00 : Terrains en libre accès, 14h00-17h30 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle, HandiBasket et animations Basket Santé 18h00-23h00 : FIBA 3×3 World Women’s Series (phase de poules)\\n\\nMERCREDI 24 JUILLET\\n\\n10h00-12h00 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs de La Rochelle, 12h00-14h00 : Terrains en libre accès, 14h00-17h30 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle 18h00-23h00 : FIBA 3×3 World Women’s Series (phase finale)\\n\\nJEUDI 25 JUILLET\\n\\n10h00-12h00 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle, 12h00-14h00 : Terrains en libre accès, 14h00-17h30 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle, 18h00-23h00 : Tournoi GRDF Inter-Entreprises\\n\\nVENDREDI 26 JUILLET\\n\\n10h00-12h00 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle, 12h00-14h00 : Terrains en libre accès, 14h00-17h30 : Initiation 3×3 avec les centres de loisirs et clubs de La Rochelle, 18h00-23h00 : Tournoi de Qualification de l’Open de France 3×3\\n\\nSAMEDI 27 JUILLET : TOURNOI FINAL DE L’OPEN DE FRANCE 3×3\\n\\n10h00-14h00 : Phase de poules, 16h00-23h00 : Phase finale, concours de dunks (masculin), concours de dextérité (féminin), GRDF Shootout Contest (mixte) et animations\\n\\nL’entrée sera gratuite toute la semaine." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le film du dernier affrontement entre Rouen et Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion de la belle, synonyme de montée dans l’élite pour le vainqueur, entre Orleans et Rouen et qui a vu le club de Germain Castano s’imposer à domicile, 80-62, OLB TV a réalisé un résumé du match que voici." }, {"role": "user", "content":"L’ASVEL rafle son 19e titre de champion de France" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL a remporté ce soir son 19e titre de champion de France. Les Villeurbannais ont fait craquer Monaco dans le troisième quart-temps de ce cinquième match pour s’imposer 66-55. Chacun aura gagné à domicile et comme l’ASVEL a terminé premier de la saison régulière, il a pu bénéficier pour l’Epilogue de ce plus déterminant. Et c’est ainsi la première fois depuis Cholet Basket en 2010 que le numéro 1 de cette saison régulière confirme en playoffs.\\n\\nAvec ce couronnement national et sans oublier la victoire en Coupe de France, l’ASVEL rend légitime son invitation de deux ans à l’Euroleague et fait le doublé après le titre des filles. Ce n’était pas arrivé depuis 1963 et le Paris Université Club. Tony Parker, qui vient de faire entrer l’Olympique Lyonnais dans le capital du club, amorce en grandes pompes une carrière de président à plein temps. Et Zvezdan Mitrovic, en échec avec Monaco, a bien fait de changer de camp !\\n\\nMalgré la canicule (34° dans la salle) qui sévit actuellement en France, cette Epilogue s’est disputé le jour et à la date prévus. L’Astroballe a été aérée toute la journée, les portes ont été maintenues ouverte durant le match, les joueurs ont bénéficié de ventilateurs dans les vestiaires, de l’eau a été distribuée aux spectateurs et beaucoup se sont munis d’éventails. Cependant, cela laisse entier le problème de disputer des matches de basket en été dans des salles non climatisées.\\n\\nL’AS Monaco a joué ce match avec un handicap majeur, l’absence de son combo guard américain Gerald Robinson (11,3 points et 14,5 d’évaluation en saison régulière au cours de laquelle il avait déjà manqué 13 matches), à cause d’un problème aux adducteurs. Avec l’appui de quelques supporters bruyants de l’Olympique Lyonnais, l’ASVEL, au complet -si l’on excepte Alpha Kaba, hors service depuis longtemps déjà- pouvait aussi bénéficier de l’appui -enfin !- d’une véritable atmosphère de playoffs. D’après le président Tony Parker, le club a reçu 12 000 demandes de places, ce qui prouve que l’engouement est monté au fil des matches.\\n\\nLazeric Jones et Dee Bost cartonnent\\n\\nPremier incident: suite à un coup de coude involontaire de Paul Lacombe, Charles Kahudi était contraint de sortir du terrain, la bouche en sang. Cette fois, aucune des deux équipes ne se faisait décrocher d’entrée. Malgré tout, les Villeurbannais menaient la danse avec une belle adresse intérieure et une ample domination au rebond (14 à 5) pour se retrouver à 15-8 après sept minutes. Il fallait quelques trois-points audacieux (4/9 dans le premier quart) et une absence de pertes de balle pour que la Roca Team conserve la roue de l’ASVEL.\\n\\nChangement de scénario dans la période de dix minutes suivante. Après six échecs de l’ASVEL, Charles Kahudi parvenait à scorer à trois-points et c’était la bienvenue car Monaco commençait à prendre le dessus en fermant l’approche de son cercle. De l’autre côté, la paire de guards Lazeric Jones (11 points)-Dee Bost (8) cartonnait alors que l’ASVEL n’avait personne à l’extérieur pour leur répondre. Zvezdan Mitrovic récoltait sa traditionnelle technique, Mantas Kalnietis était impuissant, et l’ASM parfaitement sereine infligeait un 8-18 à son adversaire pour virer en tête à la mi-temps (27-35). Les balles perdues (14 à 5) coûtaient cher aux Villeurbannais.\\n\\nAnecdote: alors que Eric Buckner avait raté ses trois premiers lancers-francs, le directeur exécutif ukrainien de Monaco Oleksiy Yefimov priait... et ça a marché. Le pivot américain a marqué le quatrième !\\n\\nUn seul panier pour Monaco en 10′\\n\\nLa question que chacun se posait était: les Villeurbannais allaient-ils retrouver de la sérénité en deuxième mi-temps? Réponse immédiate: oui. Quatre trois-points en quatre minutes dont deux de AJ Slaughter les remettaient dans la course. 39-38. La grinta et le momentum avaient changé de camp. La défense villeurbannaise ligotait les Monégasques, qui en plus avaient les mains moites au moment de shooter, Dee Bost s’énervait, Miro Bilan trouvait deux fois l’ouverture, Mantas Kalnietis récupérait tout ses sens, Charles Kahudi moissonnait au rebond (10) et l’ASVEL faisait monter l’addition à +13 (51-38) avant que Dee Bost marque à 25 secondes de la fin le premier panier du champ de l’ASM du quart-temps ! Quel retournement de situation.\\n\\nLa mini-pause faisait du bien aux Monégasques qui refaisaient jeu égal avec leurs rivaux. C’était très chaud et c’était au tour de DeMarcus Nelson d’envoyer son coude dans le menton de Lazeric Jones. L’ASM était revenue à 55-49 mais plus personne ne marquait. Les défenses en étaient responsables et aussi le poids de l’enjeu.\\n\\nDavid Lighty, déjà champion de France avec Nanterre et l’ASVEL, mettait deux paniers dont un trois-points, Eric Buckner continuait de manquer ses lancers (2/8) et tous les Monégasques leurs shoots à trois-points (1/12). Bilan: 60-49 à 2’13 du buzzer. Les carottes étaient cuites d’autant que le magnifique Paul Lacombe, battu pour la sixième fois de suite en finale, sortait pour cinq fautes. L’ASVEL pouvait fêter son 19e titre de champion de France et DeMarcus Nelson en bonus celui de MVP des finales.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n * Épisode 1 : samedi 15 juin : ASVEL b. Monaco: 81-71\\n * Épisode 2 : lundi 17 juin : ASVEL b. Monaco: 73-67\\n * Épisode 3 : jeudi 20 juin : Monaco b. ASVEL: 97-62\\n * Épisode 4 : samedi 22 juin : Monaco b. ASVEL: 89-81\\n * Épilogue : mardi 25 juin : ASVEL b. Monaco: 66-55\\n\\n * Le palmarès des champions de France depuis la création de la LNB:\\n\\n * 1987-1988 : Limoges CSP\\n * 1988-1989 : Limoges CSP\\n * 1989-1990 : Limoges CSP\\n * 1990-1991 : Olympique Antibes\\n * 1991-1992 : EB Pau-Orthez\\n * 1992-1993 : Limoges CSP\\n * 1993-1994 : Limoges CSP\\n * 1994-1995 : Olympique Antibes\\n 1995-1996 : EB Pau-Orthez\\n 1996-1997 : Paris BR\\n 1997-1998 : EB Pau-Orthez\\n 1998-1999 : EB Pau-Orthez\\n 1999-2000 : Limoges CSP\\n 2000-2001 : EB Pau-Orthez\\n 2001-2002 : ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n 2002-2003 : EB Pau-Orthez\\n 2003-2004 : EB Pau-Orthez\\n 2004-2005 : Strasbourg IG\\n 2005-2006 : Le Mans SB\\n 2006-2007 : Chorale Roanne\\n 2007-2008 : SLUC Nancy\\n 2008-2009 : ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n 2009-2010 : Cholet Basket\\n 2010-2011 : SLUC Nancy\\n 2011-2012 : Élan Chalon\\n 2012-2013 : JSF Nanterre\\n 2013-2014 : Limoges CSP\\n 2014-2015 : Limoges CSP\\n 2015-2016 : ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n 2016-2017 : Élan Chalon\\n 2017-2018 : Le Mans SB\\n * 2018-2019: ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\nPhoto ouverture: Livio Jean-Charles (LNB)\\n\\n\\nQuel retournement de situation ! @LDLCASVEL est revenu des vestiaires avec de bien meilleures intentions et l'@ASMonaco_Basket est en train de subir#FinalesJeepELITE pic.twitter.com/XJTYt9uHtD\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 25, 2019\\n\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1143626603873939456" }, {"role": "user", "content":"La vidéo de promotion de Lille, «Nous sommes le LMB!»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Lille Métropole Basket a sorti cette vidéo de promotion intitulé « Nous sommes le LMB ! »" }, {"role": "user", "content":"Limoges, Monaco et Nanterre engagés en Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, l’Eurocup confirme l’engagement du Limoges CSP, de l’AS Monaco et de Nanterre 92 pour la saison 2019-20.\\n\\nAprès une réunion du conseil d’administration de l’EuroCup mardi, la liste des équipes qui participeront à l’EuroCup pour la saison 2019-20 a été envoyée pour recommandation aux instances compétentes de l’Euroleague pour approbation.\\n\\nLa liste est composée de 25 clubs car une wildcard sera choisie parmi eux pour participer à l’EuroLeague. Cette liste comprend des clubs de 13 pays différents et après trois saisons sans club grec dans la compétition, Promitheas Patras sera le représentant héllénique.\\n\\nLes équipes sont les suivantes:\\n\\nAS Monaco (France)Asseco Arka Gdynia (Pologne)Buducnost VOLI Podgorica (Monténégro)Cedevita Olimpija Ljubljana (Croatie/Slovénie)Darussafaka Tekfen Istanbul (Turquie)Divina Seguros Joventut Badalone (Espagne)Dolomiti Energia Trento (Italie)EWE Oldenburg (Allemagne)Galatasaray Doga Sigorta Istanbul (Turquie)Germani Brescia Leonessa (Italie)Limoges CSP (France)Lokomotiv Kuban Krasnodar (Russie)Maccabi Rishon LeZion (Israël)MoraBanc Andorra (Espagne)Nanterre 92 (France)Partizan NIS Belgrade (Serbie)Promitheas Patras (Grèce)Ratiopharm Ulm (Allemagne)Rytas Vilnius (Lituanie)Segafredo Virtus Bologne (Italie)Tofas Bursa (Turquie)Umana Reyer Venise (Italie)Unicaja Malaga (Espagne)UNICS Kazan (Russie)Zenit St. Petersbourg (Russie)\\n\\nAu sujet des droits des médias, le conseil a appris que 16 radiodiffuseurs sur quatre continents sont déjà sous contrat pour couvrir l’EuroCup pour la saison prochaine, tandis que des négociations sont en cours dans quatre autres pays.\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro Féminin: Au ranking de la FIBA, la Belgique prend la place de la France comme favorite" }, {"role": "assistant", "content":"A trois jours de la première journée et alors que les matches de préparation sont terminées la FIBA vient de sortir la dernière mouture de son power ranking. Changement de leader puisque la Belgique chipe à la France sa place de favorite.\\n\\n« La France était un bon leader, mais trois grandes absences dans leur rotation de base leur font mal », estime la FIBA. « Elles devraient tout de même continuer à performer avec le talent dont elles disposent, mais sera-ce pour une quatrième médaille d’argent de suite ? Ce serait une régularité plus impressionnante et peut-être que les blessures signifieraient qu’être de nouveau finalistes serait un exploit plus grand encore que ces dernières années. Beaucoup de choses dépendront de la santé et de l’efficacité de Sandrine Gruda, d’une Marine Johannes en pleine forme et des solides débuts de Bria Hartley pour la phase finale. Leurs performances de préparation ont été aléatoires, mais l’un des points positifs est l’inclusion du talent de leurs passionnantes adolescentes. »\\n\\nLa coach Valérie Garnier qui espérait que la France rétrograde dans les prédictions ne pourra qu’apprécier ce changement de cap !\\n\\nL’Espagne est annoncée comme médaille de bronze devant l’Italie, la Serbie et la Russie. On verra si les experts de la FIBA sont de bons pronostiqueurs.\\n\\nPhoto: Bria Hartley (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les Bleues sont à Riga. Jeudi, c’est l’Euro !" }, {"role": "assistant", "content":"La « Minute Inside » de la FFBB nous donne des nouvelles des Bleues. Elles sont bien arrivées à Riga, capitale de la Lettonie, et elles ont droit à un peu de détente avant le début des affaires sérieuses: jeudi, premier match de l’Eurobasket contre la République Tchèque.\\n\\nPhoto: Marine Fauthoux (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"JP Batista (Le Mans): «Vous allez voir un JP moins timide»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une vidéo publiée sur la plateforme YouTube, le MSB a dévoilé la conférence de presse de présentation de JP Batista qui revient au club après une saison à Limoges et quatre au Brésil.\\n\\nJP Batista (2,06m, 37ans) explique au cours de la vidéo qu’au delà de son attachement pour cette ville et le club, il n’a jamais vraiment perdu contact avec les dirigeants et le nouveau coach Dounia Issa.\\n\\n« Dounia est quelqu’un que je respecte beaucoup, pour sa personnalité et le joueur qu’il a été. Je suis impatient de travailler à ses côtés (...) J’ai envoyé un message à Dounia pour le féliciter lors de sa nomination en tant que coach puis pour soutenir le club en finale de Coupe de France. J’ai alors commencé à discuter avec Vincent (NDLR : Vincent Loriot, directeur sportif) puis les discussions au sujet de mon retour se sont accélérées. »\\n\\nAu sujet de son retour en Europe, il reprend :\\n\\n« Chaque année au Brésil, j’avais un oeil sur l’opportunité de revenir en Europe, ça devenait de plus en plus difficile. Mais dans mon esprit, je savais que si je devais revenir en Europe, ça ne pouvait qu’être au Mans. C’est ma seconde maison (...) Pendant ces 4 ans où j’étais au Brésil, j’ai également beaucoup appris en tant que joueur, j’ai amélioré mon implication avec les fans, avec les partenaires. Vous allez voir un JP différent, une personne plus expressive et moins timide. »" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’Episode 4 de la finale Villeurbanne-Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"En attendant l’Epilogue de ce soir, la LNB nous fait revivre en vidéo l’Episode 4 de la Finale de Jeep Elite, Villeurbanne-Monaco." }, {"role": "user", "content":"Chine: Stephon Marbury est le nouvel entraîneur des Beijing Fighters" }, {"role": "assistant", "content":"Retiré du circuit professionnel, en tant que joueur, depuis un an, Stephon Marbury a décidé de se lancer dans le coaching.\\n\\nLa légende NBA, Stephon Marbury (1,88m, 42 ans) a annoncé officiellement, ce lundi, être le coach pour la saison à venir des Beijing Fighters.\\n\\nLe double All-Star américain, qui jouait encore l’année dernière .... à Beijing (Pékin), a arrêté sa carrière NBA en 2008/2009 pour venir s’expatrier en Chine. Il a d’abord joué pour différentes petites équipes avant de poser ses valises en 2011/2012 à Beijing pour ne jamais en repartir." }, {"role": "user", "content":"Finale Jeep Elite – Charles Kahudi (Asvel) avant le Match 5 : «Sur le terrain, ça sera irrespirable»" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques heures de la finale des playoffs de Jeep Elite face à Monaco (ce mardi à 20h45 à l’Astroballe), le capitaine de l’ASVEL Charles Kahudi a fait un dernier point avec les médias.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSur le fait que la série est en cinq manches :\\n\\n« C’est sûr que c’est le meilleur scénario possible pour le basket français, pour les fans, pour les téléspectateurs, pour tout le monde. On pousse le bouchon le plus loin possible, le suspens, donc forcément c’est un gros plus. C’est sûr que pour nous quand tu mènes 2-0 et que tu te fais rattraper 2-2 ce n’est pas le meilleur scénario possible mais c’est le sport. On connait les raisons pourquoi on a perdu ces deux matches-là. A nous de pouvoir faire le nécessaire pour chez nous gagner ce Match 5 et pouvoir profiter après de très bonnes vacances derrière. »\\n\\nSur un stress éventuel avant un match décisif :\\n\\n« Il n’y a pas de stress à avoir, tout le monde va être assez stressé pour nous. Il faut plus penser au « comment » qu’au résultat. Comment jouer ce match-là, quelles sont les clés pour nous, quelles sont les munitions qu’il faut que l’on utilise, quels sont les ingrédients et on espère que ça fera un très bon plat, une très belle victoire et non plutôt l’inverse. »\\n\\n« C’est une équipe qui aime bien courir, ce sont des mobylettes. A nous d’être plus intelligent là-dessus, de pouvoir mieux conserver la balle »\\n\\nSur l’agressivité des Monégasques lors des Matches 3 et 4 :\\n\\n« Ils ont été très agressifs, c’est vrai, et on a subi leur agressivité comme ils ont subi la nôtre lors des deux premiers matches. Ce sont des choses évidemment déterminantes mais à côté de ça, on a été très laxistes par moments, on perd énormément de ballons. C’est aussi notre faute. Ce n’est pas la faute de systèmes de jeu. On sait très bien qu’il y a de petites choses à modifier dont les balles perdues. Pratiquement à chaque balle perdue, ils ont eu des munitions pour courir derrière. C’est une équipe qui aime bien courir, ce sont des mobylettes. A nous d’être plus intelligent là-dessus, de pouvoir mieux conserver la balle. Ça serait déjà une clé pour pouvoir déjà mieux nous exprimer. Ils ont pris pour partie d’agresser nos meneurs très tôt, très haut. Après, forcément, c’est plus compliqué de mettre le jeu en place, il y a moins de temps et on est plus dans la précipitation. On a travaillé sur des choses qui peuvent nous aider là-dessus. A nous de les mettre en place là. De toute façon, il ne reste plus qu’un match. Il ne faut plus trop tergiverser et y aller. »\\n\\nSur la chaleur qui s’annonce étouffante à l’Astroballe* :\\n\\n« Chaque été à l’Astroballe, c’est la même chose, il va faire très chaud. J’espère aussi qu’il y aura une salle qui sera pleine et qui fera beaucoup de bruit. Forcément sur le terrain ça sera irrespirable mais on doit faire avec, peu importe les températures. Je pense que l’excitation et la détermination seront présentes pour tout le monde. Ce n’est pas une excuse pour eux comme pour nous, il fera chaud pour tout le monde pareil et même pour les supporters. »\\n\\nSur la valeur de l’opposition :\\n\\n« Il va falloir contrôler leurs meneurs, c’est sûr, et leurs extérieurs en général, leurs postes 4 qui shootent, leurs intérieurs. Ils ne sont pas numéro 2 de la saison pour rien. Ils ont une très bonne équipe, des armes partout. C’est une équipe qui est un peu similaire à la nôtre. Il faudra prendre des options. Cette année, on a joué des équipes encore plus fortes que Monaco et qu’on a réussi à faire déjouer. Il faut être plus focalisé sur nous, sur ce que l’on veut faire. Et après le résultat sera ce qu’il sera. C’est un sport d’adresse et l’adresse, ça va, ça vient. Il ne faut pas stresser si on est à -5 ou +5, à -10 ou +10. »\\n\\n« J’espère qu’il y aura une marée noire et blanche à l’Astro pour nous pousser et mettre la pression sur Monaco »\\n\\nSur le fait que la saison puisse être réussie même sans titre de champion :\\n\\n« Si on ne gagne pas le titre, non, ce n’est pas réussi. On est là pour gagner le championnat, on veut gagner le championnat. On a la chance d’avoir fait se parcours là, c’est très bien pour le club et pour nous d’avoir fait ce que l’on a fait en coupe d’Europe et en Coupe de France, mais le plus important de l’année c’est cette période-là, ce trophée-là. Non, on ne pourrait pas dire que ça serait une saison totalement réussie si on ne gagne pas le match demain (NDLR : aujourd’hui) et on ne pourrait pas dire non plus que ça serait une mauvaise saison. On est finaliste, on a fait de bonnes choses, mais on ne peut pas se contenter de ça. On serait frustré. Je ne pense pas une seconde à ça, au fait que l’on a quand même fait une bonne saison. C’est une mentalité, entre guillemets, totalement française. On se contente du peu, non, on a tout ce qu’il faut pour aller chercher le meilleur. On a les cartes en mains et si on n’y arrive pas, ça sera notre faute. C’est tout. Si on n’est pas motivé pour un Match 5 à la maison, on n’y sera jamais. Peu importe les circonstances. C’est un titre, on est compétiteurs, on joue pour gagner des titres et pas juste des matches et là on a l’occasion de le faire. On a déjà eu deux matches pour tuer la concurrence et on n’a pas réussi à le faire. Maintenant, on est face à nous-même. On va avoir notre salle qui va nous pousser, on a un scénario qui peut être idyllique. Gagner chez soi, c’est bien aussi. On ne peut pas ne pas être motivé pour un tel match, être prêt à donner 300%, à se battre pour le moindre ballon.\\n\\nSur l’exemple à suivre des filles de l’ASVEL, championnes de France en cinq manches :\\n\\n« C’est vrai qu’elles ont vécu un scénario similaire. On espère suivre leur exemple, forcément. Elles ont gagné le titre à la maison, j’y étais, c’était une très belle fête. Elles étaient hyper contentes et on était contentes pour elles. C’est sûr que ça serait un scénario parfait mais il va falloir contrôler le match quarante minutes comme elles, contrôler le rebond, défensivement les faire déjouer. Je me rappelle de leur match, elles ont eu des runs importants, des stops aussi. C’est un schéma que l’on peut essayer de copier surtout avec nos armes et notre manière de faire. C’est à nous de jouer ! »\\n\\nSur l’avantage de jouer à l’Astroballe comme les filles à Madot-Monnet :\\n\\n« Encore plus car c’est encore plus grand et j’espère qu’il y aura plus de monde. J’espère qu’il y aura une marée noire et blanche à l’Astro pour nous pousser et mettre la pression sur Monaco. Etre encore plus étouffant. Nous, on va essayer d’être des épouvantails sur le terrain. Ça sera à nous en premier de montrer la voie aux supporters. »\\n\\n*Météo France prévoit une température de 34° à l’heure du début du match. Lyon est dans une cuvette et la chaleur y est souvent étouffante. L’Astroballe ne bénéficie pas d’air conditionné et si les organisateurs ont pris des mesures pour éviter que l’atmosphère soit insupportable, un report de ce Match 5 n’est pas totalement exclu.\\n\\n[armelse]\\n\\nSur le fait que la série est en cinq manches :\\n\\n« C’est sûr que c’est le meilleur scénario possible pour le basket français, pour les fans, pour les téléspectateurs, pour tout le monde. On pousse le bouchon le plus loin possible, le suspens, donc forcément c’est un gros plus. C’est sûr que pour nous quand tu mènes 2-0 et que tu te fais rattraper 2-2 ce n’est pas le meilleur scénario possible mais c’est le sport. On connait les raisons pourquoi on a perdu ces deux matches-là. A nous de pouvoir faire le nécessaire pour chez nous gagner ce Match 5 et pouvoir profiter après de très bonnes vacances derrière. »\\n\\nSur un stress éventuel avant un match décisif :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n" }, {"role": "user", "content":"Les Toronto Raptors s’intéressent à Nando De Colo" }, {"role": "assistant", "content":"Selon des sources concordantes, les Toronto Raptors vont proposer une « qualifying offer » à Nando De Colo qui souhaite retourner en NBA.\\n\\nLe Nordiste a déjà joué 119 matches dans la ligue américaine dont 21 aux Raptors en 2013-14 et c’est pourquoi ils peuvent lui prolonger son contrat rookie, ce qui représenterait un chèque de 1,9 million de dollars. Nando De Colo pourrait avoir d’autres propositions de franchises mais les Raptors auraient toujours la possibilité de s’aligner.\\n\\nA titre de comparaison, le contrat de l’international français au CSKA Moscou était proche de 3 millions de dollars la saison.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nLEXIQUE" }, {"role": "user", "content":"3×3: Les Bleues remportent les Jeux Européens" }, {"role": "assistant", "content":"Les Françaises marquent leur territoire en 3×3 puisqu’après une médaille de bronze à la Coupe du Monde à Amsterdam, c’est une médaille d’or qu’une autre équipe de France féminine a décroché à Minsk en Biélorussie aux Jeux Européens. La Lettonie a été balayée en finale, 21-8.\\n\\nDe leur côté, les garçons ont été stoppés par cette même Lettonie en quarts-de-finale.\\n\\nEquipe de France masculine:\\n\\nNomPrénomN.ClubCHRISTOPHEAnthony04/03/1983AS MonacoCORNELYThomas29/06/1991ADA BloisJOSEPHMike13/04/1994Toulouse BCWILSONRaphael10/01/1989Cergy-Pontoise\\n\\n\\nEquipe de France féminine\\n\\nNomPrénomN.ClubDJALDI TABDIClarince06/12/1995Rezé Basket 44HERIAUDCaroline22/12/1996Roche VBCKONEAssitan23/04/1995USO MondevilleTAYEAUJohanna07/01/1989Saint Claude basket\\n\\n\\n\\nVendredi 21 juin\\nHommes : Ukraine – France : 18-14\\nFemmes : France – Andorre : 20-9\\n\\nSamedi 22 juin\\nHommes : France – Russie : 22-21\\nHommes : Italie – France 13-22\\n\\nDimanche 23 juin\\nFemmes : France – Suisse : 21-7\\nFemmes : France – Pays-Bas :18-8\\n\\nLundi 24 juin\\nHommes : Quarts de finale : France – Lettonie : 14-21\\nFemmes : Quarts de finale : France – Russie : 20-13\\nFemmes : Demi-finales : France – Allemagne : 11-10\\nFemmes : Finale : Estonie – France : 8-21" }, {"role": "user", "content":"NBA Awards: Le doublé de Rudy Gobert, le triomphe des Européens" }, {"role": "assistant", "content":"Le Grec Giannis Antetokounmpo (2,11m, 24 ans) a été élu MVP de la saison 2018-19, le Slovène Luka Doncic (2,01m, 20 ans) Rookie de l’Année et Rudy Gobert (2,16m, 26 ans) Meilleur Défenseur comme en 2018. Les Européens ont fait un triomphe aux MVP Awards.\\n\\nStar des Milwaukee Bucks, Giannis Antetokounmpo est le deuxième européen couronné après Dirk Nowitzki en 2007. Il devance largement James Harden (941 points contre 776 avec 78 des 101 premières places).\\n\\nLuka Doncic (Dallas Mavericks) est également dominant du côté des rookies en totalisant 491 points contre 301 à Trae Young (Atlanta).\\n\\nLe pivot des Utah Jazz Rudy Gobert avait à faire à forte partie mais il a réussi à devancer Giannis Antetokounmpo et Paul George (Oklahoma) et ainsi à s’accaparer une deuxième fois de suite le trophée de Meilleur Défenseur.\\n\\nLe Trophée de la plus belle progression (Most Improved Player) a aussi échappé aux Américains puisqu’il est revenu au francophone des Toronto Raptors, le Camerounais Pascal Siakam (2,06m, 25 ans)." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Jade Sage ne sera plus assistante à Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Jade Sage, 26 ans, à qui nous avons donné la parole cette saison, et qui avait la particularité d’être avec Lauriane Dolt à Strasbourg, l’une des deux femmes assistantes-coaches en Jeep Elite ne sera plus aux Sharks d’Antibes la saison prochaine en Pro B annonce le club dans un communiqué.\\n\\nAssistante-coach des Espoirs antibois de 2016 à 2018, Jade Sage avait rejoint le groupe professionnel l’été dernier en qualité de technicienne vidéo et travail individuel.\\n\\nMarc Berjoan, assistant pendant quatre saisons, n’est pas non plus conservé, tout comme l’Américano-Suédois Kenny Grant qui était en stage avec les Sharks la saison passée a qui a obtenu son diplôme DES-JEPS spécialité performance sportive mention basket." }, {"role": "user", "content":"Strasbourg: Deux fils de célébrités au centre de formation" }, {"role": "assistant", "content":"Sur son site internet, on apprend que les fistons de deux anciens glorieux internationaux vont rejoindre le centre de formation de la SIG Strasbourg, ceux de Florian Pietrus et de Crawford Palmer, qui porta le maillot rouge et blanc de 2002 à 2006.\\n\\n« Chez les plus jeunes, nous allons avoir la venue d’Illan Pietrus, qui a donné son accord pour nous rejoindre », explique Olivier Weisler, le directeur du centre. « On verra ce qu’il en est mais, en attendant, nous sommes là pour l’accompagner dans son projet, certes précoce, mais il a déjà les moyens de s’exprimer en U18. Trois garçons U15 de la SIG à Illkirch nous rejoignent : Yohan Fansi, Pavel Szulc et Antoine Tansele, tous les trois de 2004. Ils joueront en cadets région mais seront intégrés au centre de Formation dans le programme d’entraînement. Le jeune Simon Correa, de 2004 aussi, va signer une convention de trois ans avec la SIG Strasbourg, mais entre à l’INSEP. Enfin, deux garçons nés en 2003 nous rejoignent : Noah Palmer et un Anglais, Mickael Belle. Noah est le fils de Crawford. Il devait nous rejoindre l’année dernière, mais il avait fait le choix de suivre son père à Chalon. Crawfrod étant parti il a fait une rupture de convention avec Chalon pour venir l’année prochaine. Mickael Belle est international U16 et va faire le championnat d’Europe groupe B avec son pays. Enfin il y a l’arrivée d’Essome Miyem.«" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Nick Nurse est le coach du Canada, Gordon Herbert son adjoint" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, Nick Nurse est désormais officiellement le coach de Team Canada.\\n\\nIl va désormais s’atteler à construire la formation la plus compétitive possible et devrait normalement pouvoir compter sur le leader de l’équipe depuis maintenant 2015, en la personne d’Andrew Wiggins.\\n\\nNick Nurse, dont nous vous racontions l’histoire il y a quelques jours, sera assisté de Gordon Herbert, pour cette Coupe du Monde 2019.\\n\\nL’assistant du coach est une figure ancienne du championnat de France puisqu’il a coaché à Paris et à Pau, respectivement de 2004 à 2006 et de 2006 à 2007.\\n\\n\\n.@Raptors's @NBAtitle-winning coach Nurse will lead @CanBball🇨🇦 at the #FIBAWC!https://t.co/FV1K4Mhk6Q\\n\\n— FIBA Basketball World Cup (@FIBAWC) June 24, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Charly Pontens à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"L’UJAP Quimper annonce la venue du combo guard Charly Pontens (1,90m, 23 ans) en provenance de l’ADA Blois.\\n\\nCette saison, Charly Pontens a cumulé 5,8 points, 1,8 rebond et 2 passes décisives pour 6,4 d’évaluation en 20,6 minutes par match. Il est par ailleurs international de 3×3 et a participé à la Coupe du Monde à Amsterdam.\\n\\nClubs précédents :\\n2013 – 2014 : SOM Boulogne (Pro B)\\n2014 – 2015 : Hyères-Toulon Var Basket (Pro B)\\n2015 – 2016 : GET Vosges (NM1)\\n2016 – 2019 : ADA Blois Basket 41 (Pro B)" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Argyris Pedoulakis est le nouveau coach du Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"On connaît désormais le nouvel entraîneur du Panathinaïkos, successeur de Rick Pitino.\\n\\nAyant essuyé son refus de prolongation, le Panathinaïkos, a du faire face au départ de son entraîneur Rick Pitino vendredi. Pour sa première saison, celui ci a conduit le Pana au titre de champion de Grèce et en quarts de finale de l’Euroleague. Selon, divers sources, il désirerait retourner en NBA.\\n\\nLe Panathinaïkos, de son côté, a annoncé, en début d’après midi, son nouvel entraîneur. Il s’agit d’Argyris Pedoulakis, figure bien connue du basket-ball à Athènes puisqu’il y a été un joueur entre 1986 et 1992 puis l’entraîneur entre 2012 et 2014 et en 2016. Il avait notamment gagné avec le Pana, en tant que coach principal, le championnat grec (2012/2013) et deux coupes nationales (2013 et 2014)\\n\\nhttps://twitter.com/paobcgr/status/1143117869766598656" }, {"role": "user", "content":"Limoges va avoir une invitation en Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours bien informé, le journaliste espagnol Chema de Lucas indique sur twitter que la Virtus Bologne, vainqueur de la BCL 2019, Brescia, Darussafaka et Limoges vont obtenir une invitation en Eurocup pour la saison 2019-20.\\n\\n\\nPara los que me preguntáis: el Limoges 🇫🇷 también tiene plaza en la próxima Eurocup\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) June 25, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Officiel: Le pivot brésilien JP Batista revient au Mans, à bientôt 38 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Son âge -il va avoir 38 ans le 29 octobre- n’a pas rebuté le staff du Mans Sarthe Basket tant il apprécie le joueur et l’homme qu’il connaît si bien. Le pivot international brésilien Joao Paulo Lopes Batista (2,03m) revient dans la Sarthe qu’il a quitté en 2014 pour aller à l’époque à Limoges et qui vient d’être sacré MVP du championnat brésilien. L’annonce a été faite ce matin lors d’une conférence de presse en sa présence.\\n\\nSur son joueur, le coach JD Jackson avait dit un jour:\\n\\n« Il n’y a pas beaucoup de gars qui ont son talent, son gabarit et son expérience et qui font le sale boulot, qui jouent pour les autres, qui écoutent le coach à chaque instant. Vous ne vous rendez pas compte comme il bosse, vous ne vous rendez pas compte de son engagement et du bien qu’il nous fait. »\\n\\nChampion de France avec Limoges en 2015, JP Batista, avait quitté le Limousin un an avant le terme de son contrat car il ne s’y sentait pas très à l’aise. Il était alors retourné dans son pays au club de Flamengo, à Rio de Janeiro avec qui il fut champion en 2016 puis au Mogi das Cruzes.\\n\\n« Consacré à 37 ans, J.P., meilleur rebondeur et n°1 à l’évaluation de la NBB, avait l’embarras du choix au moment de poursuivre sa riche et longue carrière. Mais le cœur a parlé. Et la raison tout autant. Au point de se rendre à l’évidence. C’est au MSB qu’il a décidé d’apporter son immense vécu, son leadership par le travail, sa conscience professionnelle au quotidien, ses valeurs humaines, ses fondamentaux dos au panier, son toucher de balle, un sens du devoir et un dévouement jamais pris en défaut pour que la cuvée 2020 soit la plus réussie possible », écrit le club sur son site internet.\\n\\nQuant au nouveau coach Dounia Issa, qui a joué à ses côtés, il ajoute:\\n\\n« C’est une véritable satisfaction d’enregistrer le retour à la maison de J.P., tant il a marqué le club. Il va nous apporter un état d’esprit exemplaire, une expérience unique du très haut-niveau, une éthique de travail tellement incroyable qu’elle lui permet d’être toujours aussi compétitif à son âge. C’est un modèle d’homme et de sportif qui va épauler le staff pour mettre en place notre philosophie et notre identité. A nous de trouver les profils les plus complémentaires au sien, mais aussi à Jacques (Alingue), pour constituer la raquette adéquate. »\\n\\nRepères :\\nClubs : Gonzaga (NCAA) en 2005 et 2006. Lietuvos Rytas Vilnius (Lituanie) en 2007 et 2008. Barons Riga (Lettonie) en 2008. MSB (Pro A) de 2009 à 2014. Limoges (Pro A) en 2015. Regatas do Flamengo (Brésil) de 2016 à 2018. Mogi das Cruzes (Brésil) en 2019\\nStatistiques 2019 (Brésil) : 16,6pts à 57.7% aux tirs et 78.7% aux lancers-francs, 8,7rbds 2,16pds, 0,75int et 20,5 d’évaluation en 31 matches (31 min/m)\\nExpérience européenne : Euroleague en 2008, 2009 et 2015. Eurocup en 2007, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015. FIBA Europe Cup en 2008.\\n\\nPalmarès en club : Champion de France en 2015. Leaders Cup en 2009 et 2014. Coupe de France en 2009. Champion de Lettonie en 2008. Vainqueur de la Ligue Baltique en 2007.\\n\\nDistinctions individuelles : MVP de la ligue brésilienne en 2019. MVP de la Leaders Cup 2014." }, {"role": "user", "content":"Le Quai 54 remporté par la bande à Andrew Albicy" }, {"role": "assistant", "content":"Le plus connu des tournois de street basketball s’est déroulé ce week-end à Paris et a vu l’équipe du nouveau meneur de l’équipe de Saint-Pétersbourg, Andrew Albicy, s’imposer face à une équipe brésilienne.\\n\\nPour la 15ème édition du Quai 54, nombreux sont les stars du ballon rond à s’être donné rendez-vous durant ce week-end pour venir faire le show au pied de la Tour Eiffel.\\n\\nQue ce soit pour assister aux matchs ou au spectaculaire concours de dunk l’événement a réuni 15 000 personnes au Stade Emile-Anthoine, au centre de Paris.\\n\\nLa Fusion, le nom de l’équipe d’Andrew Albicy (1,78m, 29 ans), a successivement éliminé l’équipe de Lawsport (61-37), celle de Midnight Madness (57-47) puis l’équipe d’un autre international français Mathias Lessort, le Cartel (61-44) pour enfin remporter le titre face au Stretopia, équipe brésilienne comptant dans ses rangs l’ancien NBAer Leandro Barbosa (1,92m, 36 ans).\\n\\nLes spectateurs ont également assisté au concours de dunks sous le regard de nombreuses stars NBA, ambassadeurs de la marque Jordan telles que Russell Westbrook (1,91m, 30 ans) , Kemba Walker (1,85m, 29 ans) ou encore Blake Griffin (2,08m, 30 ans).\\n\\nLe concours a réuni quatre des meilleurs dunkers actuels à savoir : Guy Dupuy (France), Jordan Southerland (USA), Daniel Kabeya (Congo) et Isaiah Rivera (Porto Rico). C’est ce dernier qui a d’ailleurs remporté le concours, il est vrai bien aidé par l’ailier fort des Detroits Pistons, Blake Griffin.\\n\\nBandja Sy a été élu MVP alors que son frère Amara grand adepte du Quai 54 n’a pas pu participer à cette édition puisqu’il est pris avec l’AS Monaco par la finale de Jeep Elite.\\n\\n\\nSylvain Francisco ➡️ @Nobeezy16 🔥🔥🔥 #Quai54 pic.twitter.com/y9NTqaftv0\\n\\n— Quai 54 (@quai54wsc) June 23, 2019\\n\\n\\nPhotos: Quai 54. En ouverture, Andrew Albicy" }, {"role": "user", "content":"Furkan Korkmaz à la relance au Fener ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que les Sixers ont décliné leur option sur sa prochaine année de contrat, Furkan Korkmaz (2m01, 21 ans) pourrait bien revenir au pays pour se relancer.\\n\\nSelon Ajansspor, le jeune arrière turc aurait eu des discussions avancées à propos d’un contrat avec le Fenerbahçe, une destination intéressante pour rebondir après deux années NBA sans relief (5 points en 12 minutes de moyenne).\\n\\nIl faut dire que Korkmaz n’a pas eu de chance non plus, touché au ménisque du genou droit en février dernier. Mais, à part pour une performance à 40 points en ligue d’été à Las Vegas l’été passé, le shooteur formé à l’Efes Istanbul n’a pas vraiment réussi à s’imposer dans la rotation chargée des Sixers.\\n\\nAprès avoir perdu son titre en Turquie, au profit du rival de l’Efes, le Fenerbahçe a bien l’intention de revenir au premier plan l’an prochain. Et cette signature irait dans ce sens..." }, {"role": "user", "content":"Préparation Euro Féminin: L’Espagne frôle l’humiliation face à la Grande-Bretagne, 67-65" }, {"role": "assistant", "content":"Faut-il se fier aux résultats des matches de préparation à l’EuroBasket même si son ouverture est prévue jeudi ? Après avoir étranglé la Suède (62-29), l’Espagne a eu toutes les peines du monde hier à repousser la Grande Bretagne (67-65), qui n’est pourtant pas référencée comme l’une des meilleures équipes du continent.\\n\\nLes joueuses du Lucas Mondelo ont été menées 20-30 (13e), 51-58 (33e) et encore 64-65 à 34 secondes de la fin. Ce sont un panier de Anna Cruz et un lancer de Marta Xargay, meilleure marqueuse espagnole avec 15 points, qui les ont sauvées. Laura Nicholls était sur la base d’un triple double avec 12 points, 9 rebonds et 7 passes.\\n\\nDu côté anglais, Karlie Samuelson a scoré 21 points et Jo Leedham, bien connue en France, 16.\\n\\nLes Espagnoles n’ont inscrit que 6 de leurs 21 tentatives à trois-points contre un 9/17 aux Britanniques.\\n\\nPhoto: FEB" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Champion, le Bayern Munich va encore augmenter son budget" }, {"role": "assistant", "content":"Le Bayern Munich est champion d’Allemagne après avoir balayé en finale l’Alba Berlin, 3-0. Les Munichois ont remporté la troisième manche en prolongation, 93-88.\\n\\nVladimir Lucic a marqué 23 points, y compris un trois-points pour conduire le match en prolongation, tandis Nihad Djedovic en a ajouté 18. Peyton Siva a marqué 21 points pour Alba, suivis des 13 points de Johannes Thiemann et des 10 points de Niels Giffey.\\n\\nIl s’agit du cinquième titre du Bayern depuis la création du championnat allemand et du deuxième consécutif. Les Bavarois ont fêté ce trophée en versant, non pas du champagne, mais de la bière sur la tête de leur coach Dejan Radonjic !\\n\\nLe Spiegel écrit que le Bayern devrait encore augmenter son budget qui est cette saison d’un peu plus de 20 millions d’euros.\\n\\n« Munich et Berlin devraient continuer à jouer le titre entre eux à long terme. Bayern contre Alba, cela pourrait devenir le classique des playoffs à l’avenir dans un scénario prévisible. Ce n’est pas ennuyeux. Mais quelques années à peine après que la BBL ait applaudi le Bayern pour lui donner sa renommée, cette ligue est sur le point de devenir trop petite pour le FC Bayern. »\\n" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Ana Maria Filip (Charleville) s’engage avec les Polonaises de Polkowice" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’elle vient d’obtenir la médaille de bronze à la Coupe du Monde 3×3, Ana Maria Filip (1,95m, 30 ans) a signé avec le club polonais du CCC Polkowice.\\n\\nAna Maria Filip a porté dans le passé les maillots de Bourges (deux fois), Villeneuve d’Ascq, Tarbes, Montpellier et donc Charleville (deux fois). Elle compte 35 sélections en équipe de France 5×5.\\n\\n\\nNową twarzą w drużynie mistrzyń Polski w sezonie 2019/2020 będzie Ana Maria Filip (1989, 195 cm), ostatnio grająca w euroligowym @FlammesCarolo. Witamy w Polkowicach! 📝🤝😊 #blkpl pic.twitter.com/xgZmXSL38q\\n\\n— BC Polkowice (@PolkowiceBasket) June 23, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3: Les Bleues bronzées" }, {"role": "assistant", "content":"Les États-Unis ont remporté leur premier titre masculin, tandis que la Chine a également créé l’histoire avec un triomphe dans la catégorie féminine en remportant la Coupe du Monde FIBA 3×3 à Amsterdam. Les Bleues ont décroché la médaille de bronze.\\n\\nLes États-Unis ont commencé le tournoi en mettant fin à la série de 15 victoires consécutives de la Serbie, championne en titre, et ont remporté l’ensemble de leurs sept matches.\\n\\nLe tireur d’élite Damon Huffman a scoré 8 points pour mener les États-Unis à une victoire de 18-14 sur la Lettonie en finale. Kareem Maddox a compilé 5 points et 7 rebonds pour mettre fin à la domination de l’Europe lors de la Coupe du monde.\\n\\nChez les femmes, la Chine a également remporté ses sept matches avec une victoire en finale sur la Hongrie, 19-13. ZhiTing Zhang a contrôlé la peinture pour terminer avec 8 points.\\n\\nComposée de Marie-Eve Paget (Charleville), Mignan Touré (Basket Landes), Laëtitia Guapo (Charnay) et Anne-Marie Filip (Charleville), l’équipe de France a remporté le bronze en dominant l’Australie, 21-9. Mignan Touré a scoré 7 points et Ana-Maria Filip a cumulé 6 points et 7 rebonds.\\n\\nEn plus de cette médaille, les Bleues obtiennent leur billet pour le Tournoi de Qualification Olympique des Jeux de Tokyo 2000.\\n\\nClassement:\\n\\nHommes:\\n\\n1- Etats-Unis, 2- Lettonie, 3- Pologne, 4- Serbie, 5- Porto-Rico, 6- France, 7- Slovénie, 8- Ukraine, 9- Lituanie, 10- Australie.\\n\\nFemmes:\\n\\n1-Chine, 2- Hongrie, 3- France, 4- Australie, 5-Espagne, 6-Russie, 7-Roumanie, 8- Italie, 9- République Tchèque, 10- Nouvelle-Zélande.\\n\\nLes matches de la France:\\n\\nMercredi 19 juin\\nFrance – Japon :16-14\\nAndorre – France : 6-22\\n\\nVendredi 21 juin 2019\\nAustralie – France : 16-17\\nFrance – Suisse : 20-10\\n\\nSamedi 22 juin 2019\\nQuarts de finale : France – Italie : 15-9\\n\\nDimanche 23 juin 2019\\nDemi-finales :France – Hongrie : 10-14\\nMatch 3e place : France – Australie : 21-9\\n\\nPhoto: Marie-Eve Paget et Laëtitia Guapo (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL: L’Epilogue de Jeep Elite et l’Euro féminin" }, {"role": "assistant", "content":"C’est l’Euro féminin. Canal+Sport a choisi en plus de l’équipe de France de diffuser les trois matchs de l’Espagne en phase de groupe. Ce mardi, c’est aussi l’Epilogue de la finale des playoffs de Jeep Elite entre Villeurbanne et Monaco.\\n\\nMardi 25 juin:\\n\\n20h45 – Villeurbanne/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 27 juin:\\n\\n14h20 – France/Rép. Tchèque – Euro Féminin – Canal+Sport\\n\\n19h50 – Ukraine/Espagne – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\nVendredi 28 juin:\\n\\n14h20 – Montenegro/France – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\n19h50 – Espagne/Grande-Bretagne – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\nDimanche 30 juin:\\n\\n17h20 – Lettonie/Espagne – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\n19h50 – Suède/France – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\nPhoto: Livio Jean-Charles, ASVEL (Hervé Bellenger/LNB)" }, {"role": "user", "content":"Féminine – France/Chine : Longtemps inquiétantes, les Bleues doivent leur salut à Bria Hartley, 73-70" }, {"role": "assistant", "content":"Pour cet ultime match de préparation à l’Euro, après une courte période de repos, l’équipe de France a longtemps été malmenée par la Chine avant un récital de Bria Hartley qui a scoré les 10 derniers points des Bleues en une minute trente.\\n\\nSous les yeux de Tony Parker et Nicolas Batum, les Bleues ont été longtemps statiques en attaque, maladroites et peu dynamiques en défense. Elles ont connu un terrible coup de mou dans le premier quart-temps passant en 2’39 de 13-10 à 13-20 en cumulant les balles perdues et les gâchis à la finition (4/17 aux tirs).\\n\\nEquipe d’un bon niveau international (6e à la dernière Coupe du monde juste derrière la France), la Chine a joué avec du rythme, en étant compacte en défense, et en bénéficiant de l’abattage de sa perle de 2 mètres et de 20 ans, Li Yueru, auteure d’un double double (16 points et 13 rebonds) et du bras de Li Meng (17 points).\\n\\nLa France s’en est beaucoup remise à Marine Johannès pour ne pas se faire dépasser (16 points à 5/8 aux tirs sur les 17 premières minutes et au final un record en carrière de 23 points).\\n\\nIl a fallu attendre le dernier quart-temps entamé avec un retard de 9 points (45-54) pour que les Françaises retrouvent leur allant défensif. Le sprint final a été mené par Bria Hartley auteure d’un 2+1 pour égaliser à 31 secondes de la fin et du panier à trois-points victorieux à sept dixièmes du buzzer. La Franco-Américaine termine à 19 points à 8/11 aux tirs exposant comme contre la Russie sa capacité à être décisive sur certaines séquences.\\n\\nAutres sujet de satisfaction: si elle ne faisait pas partie du cinq de départ, Sandrine Gruda a joué plus de dix-neuf minutes pour son match de reprise suite à une douleur à la cuisse. Elle a loupé ses cinq premiers shoots (3 points seulement) mais elle s’est donnée à fond au rebond (5) et en défense (4 interceptions, 1 contre) et c’est rassurant après une telle période d’inactivité. Marième Badiane, Alexia Chartereau, Ornella Bankolé et Marine Fauthoux ont également eu des passages positifs.\\n\\nSeulement, l’équipe de France n’est pas encore collectivement au point (17 passes pour 18 balles perdues, 8/35 aux shoots si l’on excepte le trio Johannès-Hartley-Chartereau) et a été broyée au rebond (26 à 43).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Marième Badiane/FFBB" }, {"role": "user", "content":"Après deux ans de pénitence, Orléans remonte en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux ans de pénitence, Orléans va retrouver la saison prochaine la Jeep Elite. L’OLB s’est imposé lors de la belle d’accession à Rouen (80-62) qui n’a pu rééditer dans le Loiret sa performance du match de saison régulière. Une (re)montée qui tombe bien puisqu’une aréna de 10 000 places doit bientôt être édifiée sur le territoire.\\n\\nLe MVP de Pro B de la saison, le meneur américain Brandon Jefferson (1,75m, 27 ans) a été irrésistible avec 25 points, 7 passes et 5 interceptions.\\n\\nFinaliste de la Leaders Cup Pro B, auteur d’un beau parcours en Coupe de France où il fut le dernier représentant de la division jusqu’en demi-finale -il fut éliminé par Villeurbanne-, le Rouen Métropole Basket a réalisé une saison de toute beauté. Un vrai succès pour le coach Alexandre Ménard même si la montée en Jeep Elite n’est pas au bout.\\n\\nA la fin du match, le coach de l’OLB Germain Castano était aspergé d’eau par ses joueurs. Lui aussi mérite des louanges.\\n\\nC’est dans un palais des sports d’Orléans fort de 3 300 spectateurs brûlants et presque tous en blanc avec des clap-clap que s’est disputée cette belle des playoffs d’accession. Des problèmes techniques à la table de marque qui obligeaient les joueurs à évoluer « en aveugle » ajoutaient de la tension à un match qui en sécrétait déjà naturellement.\\n\\nTout de suite Brandon Jefferson (11 points dans le premier quart-temps), a voulu démonter que son invisibilité lors du Match 2 n’était qu’un accident de parcours et avec l’appui d’un Giovan Oniangue en verve et d’un Miralem Halilovic surpuissant à l’intérieur dans la division, l’OLB menait 20-8 après moins de sept minutes. Un avantage en partie conservé après 10′ sur un score fleuve, 26-17. Les Normands avaient alors perdu 8 ballons.\\n\\nSeulement le RMB n’abdiquait pas. Par deux trois-points salutaires puis des paniers intérieurs et une légère domination au rebond, il se rapprochait peu à peu. Le choc entre les deux cadors donnait lieu à plusieurs actions très spectaculaires et aussi à quelques initiatives un peu trop audacieuses. Brandon Jefferson (16 points à 6/8 aux tirs à la mi-temps) et ses pas de danse donnaient le tournis à ses adversaires mais Rouen épurait son jeu et revenait à 30-27 (15e) puis à 42-38 à la mi-temps.\\n\\nTout s’est joué en moins de deux minutes\\n\\nLa course poursuite continuait et Rouen revenait à 42-41. Ce n’était pas fluide du tout dans le troisième quart-temps. Brandon Jefferson était in the zone et cumulait les paniers venus du fin fond de l’arrière cuisine, ce qui permettait à Orléans de se dégager à nouveau (61-49, 30e). La défense de l’OLB avait aussi fait le taf.\\n\\nLes Rouennais attaquaient le dernier quart-temps le couteau entre les dents et revenaient totalement dans la course. Avec un 8-0, le RMB s’approchait à 61-57. Le Nigérian Zimmy Nwogbo (18 points) à l’intérieur et l’arrière Jamars Diggs (16) alimentaient majoritairement la marque.\\n\\nC’est alors qu’en un clin d’oeil, Orléans réussissait un trois-points puis une contre-attaque avec lancer et hop!, l’OLB reprenait dix points d’avance (67-57) puis seize à quatre minutes de la fin (73-57). Cette fois le RMB qui perdait un peu les pédales ne s’en relevait pas. Debout, le public orléanais savourait ce moment mais l’écart final est bien sévère pour les Normands.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nLe meilleur joueur de #PROB @bjefferson3 a mis son costume de MVP ce soir ! Déjà 11 pts pour le joueur de l'@OLB45\\nOrléans 26 – 17 @RouenMBasket #playoffs #accession #PROB pic.twitter.com/JHlKffxuvr\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 23, 2019\\n\\n\\nPhoto: OLB" }, {"role": "user", "content":"Nationale 1: Benoit Gillet héros du All-Star Game" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir assuré sa montée en Pro B, Saint-Quentin a accueilli hier soir au palais des sports Pierre-Ratte le All-Star Game de Nationale 1 organisé par l’association Pro-Am Media. Environ 1 200 spectateurs ont assisté à l’évènement.\\n\\nKilian Incrédule de La Charité a remporté le skill challenge alors que c’est le héros local Benoit Gillet qui s’est approprié le concours de tirs à trois-points et un autre Picard Mohamed Queta le concours de dunks.\\n\\nLe Nord a vaincu le Sud lors du match des étoiles, 98-89, et c’est l’inévitable Benoit Gillet qui a été élu MVP. Autre moment fort, lorsque les joueurs de SQBB ont été ovationnés par le public au milieu du parquet." }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 3 301 spectateurs pour la belle de la finale de Pro B à Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"Un projet d’aréna est en phase de concrétisation à Orléans mais en attendant, l’OLB occupe le vétuste palais des sports situé dans le centre-ville à la capacité réduite. La belle de la finale des playoffs de Pro B contre Rouen ce dimanche fait guichets fermés mais même avec 200 places debout, cela ne va jamais porté l’affluence qu’à 3 301 spectateurs indique la République du Centre.\\n\\n« Quand Orléans a joué dans de telles conditions dans des matches à enjeux (derby contre Blois, Nancy, Roanne et Vichy-Clermont), l’OLB n’a jamais perdu cette saison. »\\n\\nIl s’agit de la première statistique rassurante pour l’OLB et il y en a une seconde: depuis que la finale des playoffs de Pro B se joue en trois matches -saison 2012/13- une équipe qui gagne la première manche et qui accueille la belle a toujours gagné.\\n\\nDe quoi motiver un peu plus... les Normands !" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Fabien Causeur a une offre du Real Madrid sur la table" }, {"role": "assistant", "content":"Marca a fait le point de la situation des joueurs du Real Madrid, qui vient d’être sacré de nouveau champion d’Espagne, et des possibilités de transferts.\\n\\nEn ce qui concerne les Français, Marca estime qu’il est pratiquement impossible de faire venir dans la capitale espagnole Nando De Colo et Thomas Heurtel. Le premier, qui quitte le CSKA Moscou, a des envies de NBA et de toutes façons ses droits en Espagne appartiennent à Valence.\\n\\n« Un os difficile à négocier. Les Blancs le savent déjà depuis qu’ils ont essayé avec Victor Claver. Et Heurtel pourrait continuer à Barcelone... »\\n\\nLe Real a en revanche de bons espoirs de conserver Fabien Causeur:\\n\\n« L’arrière français a fait une fin de saison extraordinaire. Il termine son contrat et a une offre de renouvellement est sur la table depuis un certain temps. Pour des raisons personnelles, il a demandé du temps pour répondre et devrait le faire la semaine prochaine. »\\n\\nPar ailleurs, en ce qui concerne le Slovène Klemen Prepelic (ex-Limoges et Levallois), Marca commente:\\n\\n« L’arrière n’a pas eu une bonne première année à Madrid. Forcé de jouer comme meneur, il a été en dessous de son niveau. Il est supposé avoir besoin de minutes et avec Carroll et Rudy, ils ne peuvent pas lui en donner. L’intention est de le laisser partir sous forme de prêt. Huit équipes se sont montrées intéressées. »\\n\\nKlemen Prepelic n’est entré que 22 fois dans le championnat espagnol -par comparaison, Facundo Campazzo culmine à 41 apparitions- pour 10′ en moyenne, 4,2 points et 29,8% de réussite à trois-points.\\n\\nPhoto: Fabien Causeur (Euroleague)\\n" }, {"role": "user", "content":"Italie: Venise est champion d’Italie" }, {"role": "assistant", "content":"Reyer Venezia a été couronné champion de la Ligue italienne 2019 avec une dernière très large victoire sur le Dinamo Sassari, 87 à 61, ce qui lui a permis de gagner la série, 4 manches à 3.\\n\\nMike Bramos (22 points, six rebonds) et l’ancien Chalonnais Marquez Haynes (21 points) ont été les leaders offensifs de Venise avec un 10/18 cumulés à trois-points. Les Vénitiens ont fait la loi dans le troisième quart-temps: 30-17.\\n\\nRashawn Thomas (16 points, sept rebonds) est sorti du lot à Sassari\\n\\nIl s’agit du quatrième titre de champion de l’histoire de Venise et le deuxième pour le club en deux ans puisqu’il avait déjà décroché le trophée en 2017.\\n\\nAvant le match 7, l’entraîneur de Sassari, Gianmarco Pozzecco avait une fois de plus régalé son auditoire avec ses commentaires toujours plein de punch:\\n\\n« Mes garçons sont des hommes extraordinaires. Ma petite amie est venue à Venise avec nous et c’est la première fois qu’elle est avec une équipe de basket-ball. Nous l’avons pris sur un vol charter, un vol à la carte qui était clairement plus pratique qu’un vol régulier. Quand nous sommes rentrés à la maison, elle était bouleversée et elle a dit: « je n’aurais jamais pensé que vos garçons avaient une telle vitalité ». Et c’est vrai. Pour émerger à ces niveaux, vous devez d’abord être un grand homme, puis finalement, il devient essentiel d’être un grand joueur. Tout d’abord, cependant, vous devez être un grand homme, car les sacrifices consentis par les joueurs du Dinamo et de Venise sont innombrables. Je suis heureux parce qu’ils méritent vraiment de participer à ce match 7. Tout le monde, sans distinction. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=2qfdyNynGAs" }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: Faut-il croire en l’équipe de France ?" }, {"role": "assistant", "content":"Pour l’Eurobasket (du 27 juin au 7 juillet en Lettonie et Serbie), l’équipe de France féminine avance avec quelques armes létales mais aussi rajeunie et diminuée ce qui la repositionne en outsider. Reportage à Rennes à l’occasion du tournoi majeur de sa préparation.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Je suis fatiguée, » lâche Bria Hartey en français. Fatiguée la Franco-Américaine ? La vie d’une basketteuse professionnelle de ce calibre peut ressembler parfois à des travaux forcés. Sitôt la saison avec Fenerbahçe clôturée, championnat turc et Euroleague cumulés, elle s’est envolée pour New York pour prendre à bras le corps la saison WNBA, une obligation contractuelle. L’attendaient cinq matches au Liberty du 24 mai au 4 juin avec au final une victoire -enfin- sur les Las Vegas Aces dans laquelle elle a pris une part prépondérante : 17 points, 6 rebonds, 6 passes même si son adresse fut défectueuse (5/15 aux tirs).\\n\\nLa fédération française lui avait ensuite préparé un voyage transatlantique, un transit par Paris avant de rejoindre Rennes où l’équipe de France s’est mesurée le week-end dernier à la Turquie, la Russie et la Serbie, trois oppositions très consistantes.\\n\\nPlutôt prudente dans sa gestuelle jusque-là, Bria Hartley a été démonstrative face à la Russie, se jetant sur les ballons avec ardeur et levant le poing après une action réussie. Elle a surtout fait étalage de sa vitesse, de jambes et de bras, et de sa sûreté de main made-in-USA, prenant délibérément le jeu à son compte dans le troisième quart-temps puis en prolongation, scorant 15 et 5 points au cours de ces deux fractions du temps de jeu.\\n\\n« Nous avons débuté lentement mais dans le troisième quart-temps, nous avons fait un vrai bon run, une bonne poussée, nous avons augmenté le tempo », commenta-t-elle en anglais avant de poursuivre en français afin de prouver qu’elle bosse le sujet : « Merci à tous, à demain. Voilà. » Puis de reprendre de nouveau en anglais pour expliquer sa poussée de fièvre, « dans le troisième quart-temps, je suis devenue folle car j’ai reçu un coup de coude au visage. J’ai été agressive et j’ai scoré. »\\n\\nBria Hartley était donc un peu lasse mais elle a bien mérité de la patrie et elle a profité des quelques heures de repos qui ont suivi le séjour en Bretagne pour recharger ses accus et visiter Paris, la ville de naissance de sa grand-mère. Elle a posté sur Instagram une photo d’elle devant la Pyramide du Louvre. En interrompant sa saison de WNBA au Liberty où elle est souvent membre du cinq majeur, la Newyorkaise a prouvé que son engagement avec les Bleues, ce n’est pas du flan.\\n\\nDans quel état sera Sandrine Gruda ?\\n\\nLa blessure est devenue au fil des années le pire ennemi des basketteuses et des basketteurs et pour les équipes nationales une sorte de deuxième sélectionneur avant même les choix du head coach. L’équipe de France n’a pas été épargnée avec celles conjuguées de Helena Ciak, Diandra Tchatchouang et Sarah Michel, respectivement les 5e, 6e et 10e évaluations des Bleues à la Coupe du Monde l’été dernier sachant que depuis Helena Ciak a réalisé une saison de MVP. Trois cadres, trois défenseurs de premier ordre, donc trois défections majeures.\\n\\n« La blessure de Sarah Michel avait été un peu anticipée car quand je l’avais mis sur la liste, je savais qu’elle pouvait ne pas être là, » explique la coach Valérie Garnier. « Quant à Helena et Diandra, je pensais vraiment les récupérer. Les examens médicaux ont dit le contraire. Il a fallu s’adapter et ça n’a pas été facile. On a eu un stage de Mont-de-Marsan très perturbé. Qu’est-ce qu’on fait avec la joueuse ? On y croit ? Les examens médicaux, les allers-retours avec Bordeaux, et puis au final la reprise d’Helena était trop tardive et la douleur de Diandra n’était pas supportable pour qu’elle puisse s’entraîner et participer. On a pris des décisions qui n’étaient pas faciles humainement pour elles et pour moi. On ne pouvait pas faire autrement. Helena a passé quinze jours avec nous et elle n’a pas mis un pied sur un terrain et Diandra a fait un entraînement. A côté, on avait des joueuses valides, qui montraient des choses et il fallait prendre des décisions. »\\n\\nAu-delà de la volonté fédérale exprimée par son président Jean-Pierre Siutat de viser la médaille d’or à l’Euro, le power rankings de la FIBA n’a pas hésité à placer l’équipe de France comme favori de la compétition. Au complet, pourquoi pas, mais ainsi handicapée, le pronostic ne tient plus forcément.\\n\\n« Est-ce que ça change nos objectifs ? Moi, j’annonce un objectif de maîtrise, de contrôle de tout ce que l’on a à faire pour nous emmener le plus loin possible. Je pense que normalement, on devrait nous changer de position. Déjà nous mettre favori était assez surprenant. »\\n\\nD’autant qu’à ces trois forfaits, il faut ajouter le fait que Sandrine Gruda en raison d’une douleur à la cuisse a été jusqu’ici privée des matches de préparation et qu’elle doit faire son retour ce dimanche pour l’ultime test à Rouen face à la Chine. Or l’intérieure antillaise était encore et de très loin la numéro 1 à l’évaluation des Bleues à la Coupe du Monde (15,7), la Reine sur l’échiquier étant donné sa capacité à scorer, à prendre des rebonds et à défendre dur.\\n\\n« Il faut attendre même si ce matin elle a fait du 3×3 et hier du 5×5 mais on va prendre zéro risque. C’est la décision que l’on a pris en interne. Je pense qu’elle aimerait être sur un terrain étant donné ce qu’elle fait en prépa physique... Mais tout va bien... », a rassuré Valérie Garnier à Rennes.\\n\\nSoyons clair : si Sandrine Gruda n’est pas compétitive en Lettonie et en Serbie, c’est tout l’édifice qui s’écroule. Il n’y a pas de solution de rechange.\\n\\nLes deux jeunettes\\n\\nQuelques heures auparavant, Valérie Garnier a rendu sa sentence : Romane Bernies, 26 ans, et Marie-Michelle Milapie, 23 ans, ont été les deux derniers cuts, au profit de deux gamines, Marine Fauthoux, 18 ans depuis janvier, et Iliana Rupert qui les aura en juillet.\\n\\nIl y a à peine un an, les deux copines d’enfance de l’époque paloise lorsque leurs paternels, Freddy et Thierry, portaient le maillot vert et blanc, obtenaient la médaille d’argent au championnat du monde U17. On avait remarqué la maturité, la hargne et les qualités de stratège de la première, les dons d’ubiquité de la seconde du haut de ses 194 cm. L’une pouvait être la nouvelle Céline Dumerc et l’autre l’héritière de Sandrine Gruda, mais de là à pronostiquer de les voir ensemble si tôt à l’Euro des adultes, il y avait un pas de géant...\\n\\n« Pour en avoir discuté avec Marine, on n’avait jamais imaginé être parmi les douze au bout. On l’a appris tout à l’heure et la réaction était un peu bizarre. Qui dit coupe, dit joueuses qui sont contentes d’être là mais aussi des joueuses qui sont tristes de ne pas faire partie du groupe. On se doit d’avoir une réaction pas trop expressive mais mesurée. On a attendu d’être un peu écartées du groupe et d’être à deux pour entre guillemets célébrer cette sélection », révélait Iliana la Berruyère, tout en pudeur.\\n\\nMarine est devenue à peine majeure meneuse titulaire d’une équipe de Ligue Féminine, Tarbes, ce qui est formidable, mais Iliana a visé encore plus haut : se frayer son chemin dans la peinture du Bourges Basket déjà forte de Nayo Raincok, Alexia Chartereau, Katherine Plouffe et Elodie Godin. Passer de la Ligue 2 à l’Euroleague c’est un peu comme de sauter trois classes dans un parcours scolaire. Iliana n’est pas devenue titulaire d’un coup de baguette magique mais à force de travail individuel, d’observation, de confrontation, elle a fait le job obtenant davantage de temps de jeu avec la blessure de Elodie Godin et assurant par exemple 9,0 points et 5,3 rebonds lors de la série de quart-de-finale de playoffs en trois manches face à Landerneau. Disputer la reine des compétitions européennes constitue forcément un apprentissage accéléré.\\n\\n« Ça m’a beaucoup aidé car il y a beaucoup de joueuses qui jouent en Euroleague qui font partie de ces équipes-là ce soir. Et pas qu’en Euroleague, tous les jours à l’entraînement. Les intérieures qui étaient à Bourges cette année, c’était des grosses intérieures. Tous les jours et tous les week-ends, à chaque match, d’avoir en face de soi des intérieures qui sont vraiment dures, forcément ça aide et on s’habitude à cette dureté. »\\n\\nJusque-là la pièce centrale des équipes de France de jeune, la surdouée berruyère a dû s’habituer forcément à un de temps de jeu plus réduit mais l’impression d’ensemble, c’est qu’elle n’a pas froid aux yeux et qu’elle optimise les minutes qu’on lui donne.\\n\\n« Chaque rôle est différent suivant les équipes où l’on va. En allant à Bourges, je savais que je n’allais pas avoir un rôle majeur mais c’est ça aussi la chose sur laquelle je devais travailler cette année, être une joueuse du banc. Et plus vite on comprend son statut et mieux après c’est. On sait que dans des moments difficiles on ne va pas beaucoup jouer. Si on est frustrée par ça quand on rentre et qu’il faut être efficace, justement on ne va pas l’être. Il faut comprendre son rôle et j’ai réussi à le comprendre assez vite. »\\n\\nÇa cogne Illiana, au niveau international ?\\n\\n« Oui, oui, oui !, » sourit-elle. « Ce n’était pas simple contre la Turquie et la Russie et ce soir non plus mais c’est le haut niveau... J’aime bien mine de rien ! »\\n\\nA l’évidence, la jeune prodige ne sera qu’une backup à cet EuroBasket. Dans l’histoire, les internationales françaises pas encore majeures sont rarissimes. Pour sa première compétition, la Coupe du Monde de 2006 au Brésil, Sandrine Gruda avait assuré 10,0 points et 2,9 rebonds mais c’était une vieille de 19 ans !\\n\\n« Iliana, qui n’a pas encore 18 ans, joue 13 minutes. C’est positif pour le basket français », commentait Valérie Garnier après sa sortie face à la Russie. « C’est bien qu’elle soit sur le terrain pour prendre de l’expérience et pour se trouver à l’aise. Ça n’a rien à voir avec un championnat qui soit français ou étranger quand on joue au niveau international. C’est bien qu’elle le découvre sur les matches de préparation. C’est fait pour ça. »\\n\\nUn rajeunissement général\\n\\nMarine Fauthoux et Iliana Rupert ne sont que la partie immergée de l’iceberg. Avec les forfaits de Sarah Michel (30 ans), Helena Ciak (29 ans) et Diandra Tchatchouang (28 ans), la moyenne d’âge de l’équipe de France 2019 est tombée à 24 ans avec seulement deux « anciennes », Sandrine Gruda (32 ans) et Endy Miyem (31). Autres chiffres-clé : cinq joueuses ont six sélections et moins et quatre d’entre-elles ne font pas partie de la liste des 20 joueuses ayant participé aux qualifications à cet Euro.\\n\\n« L’état d’esprit qui a régné durant tout le match et sur le banc a été formidable et ça a poussé les joueuses dans cette énergie », a commenté Valérie Garnier après la victoire sur la Russie. « On a enfin trouvé le rythme même si j’ai explosé les temps de jeu et que la préparatrice physique (NDLR : Sabine Juras) n’est pas contente. Normalement, il faut que je m’en tienne autour des 20’ et là ce n’est pas bien. 25’, 28’, 29’, 24’, 22’. Mais je pense que les joueuses ont la satisfaction d’un travail qui commence à porter ses fruits. C’était bien après le match pas très positif d’hier (NDLR: contre la Turquie) que l’on trouve des satisfactions. Pour moi c’est le cas. Bien sûr il y a des erreurs toujours dans la sélection des tirs. On tire 24 fois de plus qu’elles mais aller chercher 17 rebonds offensifs aux Russes et faire 14 interceptions, cette énergie qu’a montré ce soir cette très jeune équipe de France me plaît. Le débordement d’énergie fait que l’on perd parfois un peu de lucidité dans l’efficacité des tirs. On a raté des tirs sous le cercle que l’on a plutôt l’habitude de mettre. Le travail entrepris est plutôt satisfaisant. »\\n\\nL’absence d’Héléna Ciak a libéré une place et Iliana Rupert en a profité pour la subtiliser au détriment de la Landaise Marie-Michelle Milapie. Quant à Marine Fauthoux, elle a dû s’imposer à une joueuse plus chevronnée, Romane Berniès, qui avait assuré 13’ de temps de jeu moyen à la Coupe du Monde et qui pouvait faire valoir ses aptitudes à défendre le plomb.\\n\\n« C’est une complémentarité d’équipe et pas forcément l’une par rapport à l’autre, » répond Valérie Garnier interrogée sur la question. « J’aurais pu partir plus petit, sans une joueuse un peu plus athlétique. On a fait le choix de la complémentarité entre Olivia (Epoupa) et Bria (Hartley) et puis l’apport de la jeunesse pour des places un peu plus lointaines sur le banc. Pourquoi ? Parce qu’il y a l’immédiateté et l’Euro qui arrive dans dix jours et aussi le moyen et le long terme. Je me dois d’avoir des résultats mais aussi de préparer l’avenir. Mais quand je les vois jouer sur un terrain de basket, elles n’ont pas volé leur place en équipe de France ces deux jeunes joueuses. »\\n\\nMarine et Iliana ont signé un long bail avec les Bleues et leur trajectoire passera par les Jeux de Paris en 2024. Elles n’auront que 23 ans.\\n\\nUn coup de fatigue\\n\\nDe l’extérieur, les résultats du tournoi de Rennes avec une victoire (+7 contre la Russie) pour deux défaites (-9 contre la Turquie, -7 contre la Serbie) peuvent apparaître décevants. L’équipe de France est-elle amoindrie ? Incontestablement. Faut-il s’alarmer et envisager des lendemains qui déchantent ? Pas si sûr. On a constaté les flashes de grande classe de Bria Hartley et Marine Johannès, la hargne constante de Olivier Epoupa, la présence rassurante d’Endy Miyem et encore les performances offensives de Alexia Chartereau, qui n’a pas encore 21 ans. On attend donc le retour de Sandrine Gruda et aussi la montée en puissance de Valériane Ayayi auteure d’une saison très convaincante avec Prague. Le collectif doit encore prendre forme, l’agressivité être constante sur un match entier. Les propos de la coach n’étaient pas alarmistes après l’insuccès face à la Serbie.:\\n\\n« On sort d’une période de douze jours de stages et de matches. On a souhaité avoir cette période très longue pour être un peu dans la fatigue et la difficulté, ce qui a été le cas. Je vois la naissance d’un groupe donc ce sont des choses positives. Dans le négatif, le haut niveau ne tolère pas le manque de contrôle des détails. On perd ce soir car on n’a pas été dans le contrôle du rebond, on a fait des aides qui n’étaient pas assurées, on a perdu des ballons. »\\n\\nMême si Sabine Juras souhaitait que Valérie Garnier ménage ses cadres, la coach a donc un peu tiré sur la corde, ce qui explique notamment que Bria Hartley se plaignait de son état de fatigue.\\n\\n« Quand je vois Valériane à 29 minutes et Marine à 27, ce n’est pas bien (sourire). Mais on joue les matches pour les gagner que ce soit les joueuses ou l’entraîneur. On savait qu’elles seraient fatiguées sur ce tournoi. C’était la grosse période d’entraînement. On les a même entraînées les matins des matches. Elles vont pouvoir maintenant se reposer un petit peu, se régénérer en famille et revenir en pleine forme à Rouen pour commencer à monter en puissance et surtout tirer les renseignements de ce magnifique tournoi de Rennes qui envoie à tous un signal et pas simplement à nous, que l’Euro 2019 va certainement être d’un très bon niveau. C’est un Euro Pré-Olympique donc obligatoirement tout le monde va vouloir la même chose. »\\n\\nEtre au moins dans le top 6\\n\\nC’est effectivement une année riche et baroque qui se profile. Monter sur le podium est une chose, se qualifier pour les Jeux Olympiques une autre, d’une valeur encore plus importante.\\n\\nMême si elle est privée de sa fer de lance, Alba Torrens, et si elle n’effectue pas un sans-faute en préparation, l’Espagne a tout à fait la capacité à conserver son titre que la Belgique dans le dernier carré mondial l’été dernier, devrait vivement lui contester. Le tournoi de Rennes en a apporté la preuve : la Serbie à domicile, la Russie et la Turquie seront des challengers de premier ordre. Et même la Suède et encore l’Italie ne sont pas à négliger.\\n\\nLe tableau des Bleues n’est pas un cadeau. Si finir en tête de la phase de groupe permettrait d’éviter un match de barrage toujours piégeux, l’adversaire en quart devrait être la Belgique, la Russie ou la Serbie, donc trois candidats sérieux au podium. En cas de faux-pas, il faudra retrouver de suite ses esprits pour se classer dans le top 6, la condition sine qua non pour participer au Tournoi de qualification Olympique qui va se tenir... en février prochain soit au milieu de la saison des clubs et entre deux fenêtres réservées aux qualifications pour l’Euro 2021. Vous imaginez le pire ? La FIBA le fait pour vous ! D’autant que le champion olympique en titre, les Etats-Unis, et le pays organisateur, le Japon, ont l’obligation de prendre part à ce TQO même s’ils sont qualifiés d’office ! Ubuesque. Ceci dit, il apparaît plus complexe de se hisser dans le top 6 européen plutôt que de se classer dans les trois premiers de l’une des quatre poules de quatre équipes qui seront alors constituées.\\n\\n« L’objectif primordial est d’être dans les six pour participer à ces fenêtres du TQO en février 2020 qui sont jouées par tout le monde, on ne sait pas où. C’est pour cela que je dis que c’est un Euro qui va être très relevé, tout le monde les veut ces six premières places », observe Valérie Garnier questionnée sur la difficulté à gagner l’or après trois Euros de suite en argent. « Bien sûr c’est un objectif fédéral mais c’est valable pour toutes les nations et donc ça ne va pas être simple. Il y aura aussi une fenêtre en novembre et c’est pour cela que l’on a pris soin aussi de nos joueuses blessées pour qu’elles essaient de se remettre sur pied le plus rapidement possible. »\\n\\nLe site de paris Givemebet fait de l’Espagne son favori (2,90) devant la France (4,00), la Belgique (6,50) et la Russie (10,00). Ça nous paraît déjà plus raisonnable. ★\\n\\nQuand Valérie Garnier était obligée de sacrifier Bria Hartley\\n\\nNous avons élucidé un mystère ou du moins eu la confirmation d’une intuition. Bria Hartley n’a joué avec Fenerbahçe que 24 matches de saison régulière du championnat turc alors qu’elle n’était pas blessée et que ses performances étaient satisfaisantes : 11,0 points, 3,7 rebonds et 3 passes. Valérie Garnier a levé le voile sur un pan du règlement national.\\n\\n« J’avais sept étrangères et je ne pouvais en mettre que quatre à la fois dans le championnat turc. Je coupais toutes les semaines donc maintenant je suis entraînée (sourire). En plus quand Bria a intégré le championnat turc elle n’avait pas encore sa nationalité française FIBA et donc elle était américaine. Quand je mettais Stokes, qui était américaine et pas turque à l’époque, et si je la couplais avec (Kelsey) Plum, je n’avais pas droit à plus d’Américaines. Donc j’étais obligée d’en sortir une. C’était un casse-tête chinois régulier. Ça expliquait pourquoi parfois Bria ne jouait pas et c’était un problème d’association de passeports. »\\n\\nUn problème de riche. Kelsey Plum est membre de Team USA. Kiah Stokes du New York Liberty comme Bria Hartley et Kia Vaughn, une pivot de 1,93m, qui possède le passeport tchèque. Anastasia Veremenko est la meilleure joueuse biélorusse. Cecilia Zandalasini est une référence du basket italien tout comme Giorgia Sottana qui n’a joué que l’Euroleague.\\n\\nLa stratégie a été payante puisque le Fener a gagné une deuxième fois de suite le championnat turc en battant en finale Cukurova, qui depuis a déposé son bilan. ★\\n\\n[armelse]\\n\\n« Je suis fatiguée, » lâche Bria Hartey en français. Fatiguée la Franco-Américaine ? La vie d’une basketteuse professionnelle de ce calibre peut ressembler parfois à des travaux forcés. Sitôt la saison avec Fenerbahçe, championnat turc et Euroleague, clôturée, elle s’est envolée pour New York pour prendre à bras le corps la saison WNBA, une obligation contractuelle. L’attendaient cinq matches au Liberty du 24 mai au 4 juin avec au final une victoire -enfin- sur les Las Vegas Aces dans laquelle elle a pris une part prépondérante : 17 points, 6 rebonds, 6 passes même si son adresse fut défectueuse (5/15 aux tirs).\\n\\nLa fédération française lui avait ensuite préparé un voyage transatlantique, un transit par Paris avant de rejoindre Rennes où l’équipe de France s’est mesurée le week-end dernier à la Turquie, la Russie et la Serbie, trois oppositions très consistantes.\\n\\nPlutôt prudente dans sa gestuelle jusque-là, Bria Hartley a été démonstrative face à la Russie, se jetant sur les ballons avec ardeur et levant le poing après une action réussie. Elle a surtout fait étalage de sa vitesse, de jambes et de bras, et de sa sûreté de main made-in-USA, prenant délibérément le jeu à son compte dans le troisième quart-temps puis en prolongation, scorant 15 et 5 points au cours de ces deux fractions du temps de jeu.\\n\\n« Nous avons débuté lentement mais dans le troisième quart-temps, nous avons fait un vrai bon run, une bonne poussée, nous avons augmenté le tempo », commenta-t-elle en anglais avant de poursuivre en français afin de prouver qu’elle bosse le sujet : « Merci à tous, à demain. Voilà. » Puis de reprendre de nouveau en anglais pour expliquer sa poussée de fièvre, « dans le troisième quart-temps, je suis devenue folle car j’ai reçu un coup de coude au visage. J’ai été agressive et j’ai scoré. »\\n\\nBria Hartley était donc un peu lasse mais elle a bien mérité de la patrie et elle a profité des quelques heures de repos qui ont suivi le séjour en Bretagne pour recharger ses accus et visiter Paris, la ville de naissance de sa grand-mère. Elle a posté sur Instagram une photo d’elle devant la Pyramide du Louvre. En interrompant sa saison de WNBA au Liberty où elle est souvent membre du cinq majeur, la Newyorkaise a prouvé que son engagement avec les Bleues, ce n’est pas du flan.\\n\\nDans quel état sera Sandrine Gruda ?\\n\\nLa blessure est devenue au fil des années le pire ennemi des basketteuses et des basketteurs et pour les équipes nationales une sorte de deuxième sélectionneur avant même les choix du head coach.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Stéphane Gombault rejoint l’ADA Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Après les arrivées de Lamine Sambe, Cédric Bah, Alexis Tanghe et Abdoulaye Sy, l’ADA Blois s’enrichit de Stéphane Gombauld (2,02m, 22 ans), un poste 4 athlétique.\\n\\nLe Guadeloupéen fut le leader de la génération 1997 dans les équipes de France de jeunes et il signa à l’ASVEL sans s’y imposer. Il transita ensuite par Saint-Chamond avant de passer à Lille puis Chartres toujours en Pro B.\\n\\nIl était cette saison à 7,0 points et 4,6 rebonds en 16′ de temps de jeu moyen.\\n\\n« Stéphane est un joueur très longiligne, athlétique et capable de courir vite. Il a démontré lors des saisons précédentes qu’il est capable d’être très productif sur un faible temps de jeu. Il est temps pour lui de passer à une dimension supérieure, » déclare le coach Mickaël Hay sur le site du club." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights du Match 4 de la finale Monaco-Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"La LNB nous offre les meilleurs moments de l’Episode 4 de la finale des playoffs entre Monaco et Villeurbanne.\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (LNB, Hervé Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Voir ici en direct et en clair France-Chine sur RMC Story" }, {"role": "assistant", "content":"RMC Story diffuse ce soir à 18h30, en direct et en clair, le dernier match de préparation à l’Euro de l’équipe de France face à la Chine. Grâce au compte DailyMotion de la chaîne, vous pouvez voir ce match ici:\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3: Pas de demi-finale pour les Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"Contrairement aux filles, les Bleus ne se sont pas qualifiés pour les demi-finales de la Coupe du Monde 3×3. Ils sont lourdement tombés hier soir devant la meilleure équipe de la planète, la Serbie, 12-20.\\n\\nL’équipe de France est composée de Lucas Dussoulier, Dominique Gentil, Charly Pontens et Mickaël Var.\\n\\nLes demi-finales opposeront les Etats-Unis à la Pologne et la Lettonie à la Serbie.\\n\\nLes Françaises affronteront aujourd’hui la Hongrie à 14h40 alors que l’autre demi-finale verra aux prises la Chine et l’Australie.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"La photo: Les Bleues ont reçu leurs maillots" }, {"role": "assistant", "content":"Les Françaises ont reçu leurs maillots pour le championnat d’Europe des mains de Geneviève Guinchard, 189 sélections en équipe de France, soit la 21e au palmarès, et qui fut médaillée d’argent au championnat d’Europe en 1970 à Rotterdam.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les plus beaux dunks de la saison de BCL" }, {"role": "assistant", "content":"La Basketball Champions League a sorti un Best of des dunks de la saison 2019-20. Le voici." }, {"role": "user", "content":"Finale Jeep Elite, Villeurbanne-Monaco : Il y aura une belle mardi à l’Astroballe" }, {"role": "assistant", "content":"Pas encore de 19e titre de champion de France pour Villeurbanne et Monaco peut toujours croire en son étoile et à son premier trophée après sa victoire ce soir à Gaston-Médecin, 89-81.\\n\\nLa Roca Team a mené tout au long du match même si elle n’a jamais réussi à larguer son rival et le meneur américain, international bulgare, Dee Bost (19 points, 4/5 à trois-points) a été une deuxième fois de suite le MVP de la soirée.\\n\\nPour l’instant, chaque équipe a gagné à domicile. La série va t-elle se poursuivre mardi à l’Astroballe ?\\n\\nLe président Tony Parker et le Directeur des Opérations Basket Nicolas Batum étaient assis sur le banc de l’ASVEL et le Prince Albert dans sa tribune pour assister à ce Match 4 et voir le bon démarrage de Monaco (7-2) alors que le coach Zvezdan Mitrovic était déjà averti... Il allait prendre une technique un peu plus tard. Le Monténégrin a changé de camp mais ses mauvaises manières perdurent.\\n\\nLe pivot américain naturalisé hongrois de l’ASM au bandeau blanc au vent, Jarrod Jones, attaquait ce match bille en tête avec 7 points en 4 minutes dont un dunk puissant. Beaucoup d’énergie était dépensée par les deux équipes dès les premiers échanges et quatre bombes à trois-points en plus d’une défense intense et d’un surplus de rebonds permettaient aux Monégasques de mener 19-8 après 6 minutes 40. Mais quelques approximations leur faisaient perdre une bonne partie de ce capital (21-18).\\n\\nChaque passe était contestée et les Villeurbannais gâchaient beaucoup de ballons (14 au bout de 18′, 7 interceptions Monégasques à 1) mais demeuraient dans la roue de l’ASM avec Mantas Kalnietis aux manettes et DeMarcus Nelson à 9 points, ce qui en faisait alors le meilleur marqueur du match. Pas question de partir en quenouille comme au Match 3. Mi-temps: 37-34.\\n\\nAlors que l’ASVEL était à deux doigts d’égaliser, la Roca Team repartait de l’avant notamment grâce à des actions positives de Paul Lacombe des deux côtés du terrain (45-36, 24e). Un slalom de Gerald Robinson conclu par un layup acrobatique avec lancer en sus était l’action du match. Dee Bost marquait pour sa part un panier de très, très loin -à peu près de neuf mètres- avant de battre Charles Kahudi en un-contre-un et d’ajouter un lancer. Si bien que les joueurs de la principauté menaient 65-56 après trois quart-temps après avoir mis 28 points dans celui-ci.\\n\\nDeMarcus Nelson (18 points) et Charles Kahudi (15) connus pour leur activité défensive étaient très saignants en attaque mais impossible pour l’ASVEL de refaire son attaque. 74-63 à moins de cinq minutes du buzzer. Dee Bost en feu, une pénétration avec dribble dans le dos de Paul Lacombe (14 points), un contre de Eric Buckner sur Mantas Kalnietis et des lancers de Lazeric Jones balayaient les espoirs villeurbannais de sortir le champagne à Monaco.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n * Épilogue : mardi 25 juin à 20h45 sur RMC Sport 2 :\\n\\n\\n+9 pour l'@ASMonaco_Basket à la fin de QT4 ! @LDLCASVEL n'est jamais très loin Dee Bost a fait le show en fin de période#FinalesJeepELITE pic.twitter.com/wQJr6TXfCu\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 22, 2019\\n\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (Hervé Bellenger, LNB)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3: Les Bleues en demi-finale" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine de 3×3 s’est qualifiée en fin d’après-midi pour les demi-finales de la Coupe du Monde grâce à sa victoire en quart-de-finale sur l’Italie, 15-9, tenante du titre. Les Bleues affronteront demain le vainqueur d’Espagne-Hongrie. Dans l’autre demi-finale, la Chine sera opposée à l’Australie.\\n\\nL’équipe de France est composée de Ana-Marie Filip, Laetitia Guapo, Marie-Eve Paget et Migna Touré.\\n\\nPar ailleurs, Marie-Eve Paget a remporté la médaille d’or au concours des meneuses après avoir gagné l’argent il y a un an. Elle a battu l’Italienne Rae Lin D’Alie en finale.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: L’incroyable carton de l’Espagne contre la Suède : 62-29" }, {"role": "assistant", "content":"Si vous doutiez que l’Espagne pouvait conserver son titre de championne d’Europe suite au forfait de Alba Torrens, voici un résultat qui va vous faire changer d’avis. Hier soir, en match de préparation, les équipières d’Anna Cruz, qui fêtait ses 150 sélections, ont mis une dérouillée à la Suède de François Gomez: 62 à... 29.\\n\\nDe retour de WNBA, la Sénégalaise naturalisée Astou Ndour a dominé dans la raquette avec 22 points et 13 rebonds tandis qu’en face Amanda Zahui, qui elle aussi revenait des Etats-Unis, n’a pas participé au match. C’est une circonstance atténuante mais ça n’explique pas que les Suédoises aient marqué 6, 9, 10 et... 4 points par quart-temps. La défense espagnole les a étouffées.\\n\\nFrida et Elin Eldebrink n’ont ainsi scoré que 2 points chacune à 1/5 aux tirs. D’ailleurs les Suédoises ont tourné à 28,6% de réussite à deux-points et fait chou blanc à trois-points: 0/10. Elles ont perdu 19 ballons et été dominées au rebond: 35-48.\\n\\nLa Suède est l’un des adversaires de la France lors du groupe préliminaire de l’Euro.\\n\\nPhoto: FEB\\n\\nC\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"Didier Rey (président de Pau): «Vitalis Chikoko n’a pas honoré sa parole»" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de la conférence de presse organisée à l’occasion des signatures de Travis Leslie, Nicolas De Jong et Petr Cornelie, le président de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Didier Rey, a expliqué comment il a vécu les départs de Vitalis Chikoko à Levallois et de Mickey McConnell qui intègre de staff de son ancienne université, St. Mary’s. Le site du club rapporte ses propos.\\n\\n« Sur le cas de Vitalis Chikoko, je veux apporter quelques précisions mais je m’abstiendrai de tout commentaire. J’ai parlé de son avenir avec le joueur et son agent dès le match face à Villeurbanne et nous avons très vite trouvé un accord, une prolongation de trois années supplémentaires. Le coach a reçu le joueur et Vitalis nous a confirmé être là la saison prochaine. Nous avions son accord et au lendemain de l’ultime soirée du club organisée à l’Aragon à Pau, il devait passer au Palais pour signer son contrat en fonction des conditions prévues et acceptées. Il s’avère que je l’attends toujours. Il n’a pas honoré sa parole et on a appris le lendemain de façon laconique qu’il ne jouerait pas chez nous la saison prochaine. Cela pourra vous paraître étonnant mais je vais m’en tenir là. Pour le cas de Mickey McConnell, c’est un peu similaire. On a décidé très tôt, vous comprendrez bien pourquoi, de vouloir le conserver également. Mickey avait des prétentions salariales élevées, peut-être même un peu plus que celles que pouvait lui offrir le club mais nous avons considéré l’importance de celui-ci et avons fait des efforts très conséquents afin de le garder. Il avait des propositions écrites entre les mains avant qu’il ne quitte le sol béarnais et avec une volonté de rester qu’il m’a confirmée en personne. On a obtenu un accord dans des conditions qu’on ne lui avait jamais proposé au cours de sa carrière selon son propre agent. On a fait tout ce qui était en notre pouvoir afin de le retenir. Il y a eu un revirement de situation. Son ancienne université lui a fait une proposition de travail dans le staff en tant que coach, un contrat déjà proposé il y a deux trois ans mais qui n’avait pas été signé à l’époque. Il a fait son choix, malheureusement pour nous. Dans le vocabulaire, et j’y tiens, Mickey n’a pas refusé notre offre mais a fait un autre choix de carrière. C’est peut-être la faute à pas de chance, cela fait des péripéties pour deux joueurs, ça fait beaucoup mais c’est la vie. Avec le staff, le coach, nous sommes repartis de l’avant et nous allons constituer l’équipe nous permettant de figurer le mieux possible au sein du championnat et de la BCL. »\\n\\nPhoto: Vitalis Chikoko (Elan Béarnais)" }, {"role": "user", "content":"Jean-Paul Bret, maire de Villeurbanne: «C’est l’Asvel qui a changé les règles du jeu»" }, {"role": "assistant", "content":"Le maire de Villeurbanne Jean-Paul Bret a réagi sur le site de la ville à l’annonce du partenariat entre l’ASVEL et l’Olympique Lyonnais. S’il se montre satisfait que le club continuera à jouer la grande majorité de ses matches à l’Astroballe même après la construction d’une aréna, il est visiblement irrité de l’abandon du projet d’une nouvelle salle sur le territoire de sa ville et il a l’intention de revoir la convention qui liant celle-ci avec le club.\\n\\n« Nous étions en attente d’une réponse depuis plus de deux mois. Tony Parker et Gaëtan Müller espéraient que nous donnions la nouvelle de l’arrêt de leur projet d’Aréna, mais il s’agit d’un projet totalement privé et ce n’était pas à la Ville de s’en occuper ». Le maire a tenu à rappeler tout ce que Villeurbanne et la Métropole avaient entrepris pour « être facilitateurs » aux côtés de l’Asvel : études prévisionnelles d’aménagements de voirie et d’accessibilité du site de Georges-Lyvet, révision du Plan local d’urbanisme et d’habitat, déclassement du stade et déménagement des équipes de rugby sur un autre site, proposition d’un bail à construire de 72 ans pour éviter au club d’avoir à acheter le terrain... « De notre côté, tout était prêt. Les collectivités étaient au rendez-vous, c’est l’Asvel qui a changé les règles du jeu ».\\n\\nJean-Paul Bret s’est réjoui du fait que le club continue à jouer à l’Astroballe ses matches de championnat et certains matches d’Euroleague. Il s’est par contre étonné des propos tenus concernant des travaux que l’Asvel envisage : « La Ville reste propriétaire de la salle et a déjà réalisé 1,8 million d’euros de travaux en 10 ans pour adapter les lieux aux contraintes du championnat et aux demandes du club. On pourra discuter et on fera, ou pas. Mais cela s’accompagnera aussi d’un changement des loyers ».\\n\\nLe maire a également annoncé son intention de revoir la convention liant la Ville au club : « Les changements des règles du jeu imposés par l’Asvel vont entraîner une remise à plat de notre partenariat ». Un audit va être mené sur les comptes de l’association Asvel basket, qui s’occupe du volet amateur et de la formation des jeunes, mais qui est aussi la seule habilitée à inscrire l’Asvel pro dans les compétitions nationales. Jean-Paul Bret demande enfin à ce qu’une clause soit ajoutée dans la convention entre l’association Asvel basket et la SASP (société anonyme sportive professionnelle) afin qu’il soit noté que l’Asvel doit rester à Villeurbanne : « Tant que les relations étaient bonnes, cela allait de soi. Aujourd’hui, il vaut mieux que cela soit acté »." }, {"role": "user", "content":"Brock Motum vers Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Tout juste titré avec l’Efes Istanbul en Turquie, l’intérieur australien, Brock Motum (2m08, 28 ans) aurait trouvé un accord avec Valence pour poursuivre sa carrière européenne, selon EuroHoops.\\n\\nAprès deux ans à Kaunas et deux à Istanbul, Motum va donc mettre le cap sur l’Espagne, où Malaga le convoitait également. Dans un rôle de remplaçant à l’Efes, il a tourné à 6 points et 2 rebonds de moyenne cette saison en Euroleague. La compétition reine que retrouvera justement Valence l’an prochain après son sacre en EuroCup cette saison.\\n\\nAvec sa papatte gauche, Motum est un intérieur capable de s’écarter dans le rôle désormais classique du « strech 4 ». On devrait également le retrouver en fin d’été avec l’Australie pour la Coupe du Monde." }, {"role": "user", "content":"L’ASVEL et l’Olympique Lyonnais officialisent leur partenariat et la construction d’une aréna" }, {"role": "assistant", "content":"LDLC ASVEL, Lyon ASVEL Féminin et l’Olympique Lyonnais ont officialisé ce matin la naissance d’un partenariat qui prévoit une prise de participation financière minoritaire d’OL Groupe, et une représentation du club de football dans les organes de gouvernance de celui du basket. Cette association est une grande première dans l’histoire du basket-ball français.\\n\\nUn accord stratégique a été également conclu. Il donne la possibilité à l’OL de bénéficier de l’image internationale et de la notoriété de Tony Parker, notamment aux USA et en Chine, deux pays où OL Groupe souhaite se développer. Le deal prévoit aussi des synergies entre les deux clubs notamment en terme de de billetterie, sponsoring, séminaires et plus globalement dans les activités commerciales.\\n\\n« Nous apportons 3,4 M€ en capital, nous aurons 20% dans un cadre de partenariat total avec le groupe de Tony Parker. Et pendant cinq ans, nous allons apporter 2,5 M€ de sponsoring, ce qui permet de faire la moitié du chemin pour un budget de l’ASVEL à 15 M€ à terme, » a déclaré Jean-Michel Aulas.\\n\\nLa participation de l’OL à Lyon ASVEL Féminin sera par ailleurs de 300 000€ pour 10% des parts.\\n\\nPour l’instant, l’ASVEL jouera tous ses matchs à l’Astroballe jusqu’à l’ouverture de la future aréna d’OL Groupe. A terme, tous les matchs de championnat de Jeep Elite et certains matchs d’Euroleague continueront de se dérouler à Villeurbanne. L’ASVEL devrait disputer en revanche des matchs de prestige d’Euroleague dans la future aréna d’OL Groupe lorsque celle-ci sera opérationnelle.\\n\\nSur son site Internet, l’OL précise à propos de l’Arena d’un coût de 100 millions et qui devrait être opérationnel en 2022 :\\n\\n« La nouvelle aréna de l’Olympique Lyonnais viendra compléter l’offre et les infrastructures existantes et à venir d’OL City qui comprend le Groupama Stadium (ouvert le 9 janvier 2016), l’hôtel Kopster (ouvert le 1er octobre 2018), OL Le Musée (inauguré le 28 mai 2018), le pôle médical (ouverture prévisionnelle mi-juillet 2019), l’immeuble de bureaux « Les loges » (ouverture prévisionnelle octobre 2019), et le centre de loisirs (ouverture prévisionnelle automne 2020).\\n\\nL’aréna permettra d’accueillir des concerts (de 15 à 16 000 personnes), des événements sportifs (12 000 personnes) et des séminaires de grande ampleur (3 000 personnes). L’aréna se situera à proximité du stade et de la gare de tramway pour faciliter l’accès et permettra l’organisation d’une centaine d’événements par an. La mise en exploitation devrait intervenir à horizon 2023-2024. L’OL sera propriétaire à 100% de la nouvelle aréna et sera également en charge de l’exploitation. »\\n\\nLors de la conférence de presse, Thierry Sauvage, DG d’OL Groupe, a commenté -propos rapportés par Le Progrès:\\n\\n« Le projet est grand car il faut permettre à l’ASVEL d’exister aux côtés du Real Madrid, du CSKA Moscou ou du Barça. Mais c’est possible dans le basket aussi. Ce sport est en avance sur le football en matière des franchises, des ligues fermées, de marketing, notamment aux Etats-Unis, etc. » L’occasion pour lui de réaffirmer son soutien au projet de ligue fermée en Ligue des Champions de football qui fait tant débat. »\\n\\n\\n🤝 Signature d'un accord de partenariat entre l'Olympique Lyonnais et @LDLCASVEL / @ASVEL_Feminin #teamOL / #teamASVEL pic.twitter.com/KSUIuEA8I1\\n\\n— Olympique Lyonnais (@OL) June 22, 2019\\n\\n\\n\\n🎙 @tonyparker «Si, en 2014 quand je suis arrivé, on m’avait dit que le club serait en Euroligue, que les filles seraient championnes de France et qu’on s’associerait avec l’OL je ne l’aurait pas cru. On signe le plus gros deal de l’histoire du basket français» pic.twitter.com/779OugrY32\\n\\n— Olympique Lyonnais (@OL) June 22, 2019\\n\\n\\n\\nUn grand moment pour les clubs ! #TeamASVEL #TeamOL pic.twitter.com/5naSEoIoai\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) June 22, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’inside du Match 3 de la finale Monaco-Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"En attendant, l’Episode 3 ce soir, voici l’Inside de la troisième manche de la finale des playoffs de Jeep Elite entre Monaco et Villeurbanne avec notamment Dee Bost et Charles Galliou." }, {"role": "user", "content":"Photo: Les reconnaissez-vous ?" }, {"role": "assistant", "content":"A ce petit jeu du « les reconnaissez-vous ? », les plus de 35-40 ans ont un avantage indéniable. Leur apparence a changé, l’un à les cheveux blanchis et l’autre plus aucun sur le caillou. Un indice: la photo a été postée sur les réseaux sociaux par le Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nA gauche, il s’agit de l’Américano-Grec Nick Galis, 62 ans en juillet prochain, le plus extraordinaire scoreur du basket européen de tous les temps, qui emmena la Grèce au titre de champion d’Europe en 1987, ce qui provoqua un formidable boom dans le pays.\\n\\nA droite, c’est Doron Jamchi, 57 ans, lui aussi un sacré pointivore, grande figure du Maccabi et du basket israélien.\\n\\nPhoto: Maccabi Tel-Aviv" }, {"role": "user", "content":"Pierre Fosset responsable du Circuit Pro 3×3 à la fédération" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vient tout juste d’abandonner la présidence du Tango Bourges Basket, Pierre Fosset a été nommé à la tête de la nouvelle Commission Fédérale du Circuit Pro 3×3. André Salagnac a été désigné vice-président de cette commission.\\n\\nMardi, au siège de la FFBB, le président Jean-Pierre Siutat a annoncé le prochain appel à candidatures pour le premier circuit pro Européen de basket 3×3. Ce circuit professionnel de basket 3×3 verra le jour en 2020, et se déroulera d’octobre à avril. Il sera composé de « Teams » incluant obligatoirement une équipe féminine et une équipe masculine. Pour rappel cette « Ligue Régionale » s’intègre dans l’organisation mondiale du basket 3×3 par la FIBA. Elle doit notamment permettre à la France de participer au développement de cette nouvelle discipline olympique présente aux J.O. de Tokyo 2020 et de cumuler encore plus de points au ranking mondial.\\n\\nPierre Fosset, 66 ans, a été président du Bourges Basket de 1993 à 2019, lequel a remporté un record de 3 Euroleague (1997, 1998, 2001), 1 Coupe Ronchetti (1995), 1 EuroCup (2016), 10 Coupe de France et 14 titres de champion de France. Il a également contribué au développement structurel de son club et du basket féminin en général." }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3 : Et maintenant les quarts de finale contre les tenants du titre !" }, {"role": "assistant", "content":"Après une journée de vendredi réussie, les deux équipes de France de 3×3 s’attaquent aujourd’hui aux quarts de finale de la Coupe du Monde à Amsterdam.\\n\\nHier, les filles sont demeurées invaincues après leur victoire sur l’Australie (17-16) et la Suisse (20-10). Premières de leur groupe, elles vont devoir ce samedi se mesurer à l’Italie championne du Monde en titre. Les garçons ont également fait coup double face à la Chine (22-9) et la Slovénie (21-18), mais voici que se présentent les maîtres Serbes, triples tenants du titre.\\n\\nFemmes:\\n\\nMercredi 19 juin\\nFrance – Japon :16-14\\nAndorre – France : 6-22\\n\\nVendredi 21 juin 2019\\nAustralie – France : 16-17\\nFrance – Suisse : 20-10\\n\\nSamedi 22 juin 2019\\nQuarts de finale – 19h00 : France – Italie\\n\\nDimanche 23 juin 2019\\nDemi-finales\\nMatch 3e place\\nFinale\\n\\nHommes:\\n\\nMercredi 19 juin :\\nFrance – Lituanie : 17-21\\nQatar – France : 13-21\\n\\nVendredi 21 juin :\\nChine – France : 9-22\\nFrance – Slovénie : 21-18\\n\\nSamedi 22 juin\\nQuarts de finale – 20h45 : France – Serbie\\n\\nDimanche 23 juin\\nDemi-finales\\nMatch 3e place\\nFinale\\n\\n\\n🇫🇷 Les Bleus' Day 4 was unforgettable like French Montana at the #3x3WC pic.twitter.com/22Fd1ODXhX\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) June 22, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le Real Madrid remporte le 35e titre de champion de son histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Avec une victoire de 74-68 à Barcelone, le Real Madrid a remporté le quatrième match de la finale des playoffs, son deuxième titre successif et le 35e de son histoire. Il s’agit aussi du cinquième de son entraîneur Pablo Laso en huit ans.\\n\\nLe meneur de jeu argentin Facundo Campazzo, auteur de 15 points, neuf rebonds et six passes, a été élu MVP alors que Walter Tavares a réalisé un double double avec 10 points et 13 rebonds. Fabien Causeur a ajouté 10 points (3/10 aux tirs) et 5 rebonds.\\n\\nBrillant jusqu’ici dans la série, Thomas Heurtel a été bien contenu et n’a inscrit que 2 points à 1/6 aux shoots. Il s’agit selon Marca de son pire match depuis des mois. Kevin Pangos a été le meilleur marqueur du Barça avec 16 points.\\n\\nLe Real a archidominé au rebond avec 42 prises à 27.\\n\\n\\nAsí se juega. Conexión Campazzo – Tavares. #PlayoffLigaEndesa pic.twitter.com/zxSRXmFOP0\\n\\n— Basket en Movistar Plus+ (@MovistarBasket) June 21, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Adrien Moerman et Anadolu Efes champions de Turquie" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 38 points de son meneur Shane Larkin (1,82m, 26 ans), Anadolu Efes a remporté le septième match décisif (89-74) de la finale des playoffs sur le Fenerbahçe et le titre de champion de la ligue turque. Il s’agit du 15e du club.\\n\\nLes 38 points de Shane Larkin se décomposent en 8/9 à deux-points, 3/9 à trois-points et 13/13 aux lancers. Il a ajouté 3 rebonds et 4 passes. Il s’agit de la deuxième performance dans le championnat turc après les 40 points de David Rivers en 2000.\\n\\nVasilije Micic a scoré 8 points alors que Adrien Moerman a assuré 8 points et 6 rebonds et il est le seul à avoir joué 40 minutes. Rodrigue Beaubois n’a pas participé à ce cinquième match.\\n\\nCôté Fenerbahçe, Kostas Sloukas a marqué 21 points et Nikola Kalinic 19.\\n\\n\\nAdrien Moerman! 🔥 (via: @tivibuspor) #BSLpic.twitter.com/bnYqCI75tr\\n\\n— TrendBasket (@TrendBasket) June 21, 2019\\n\\n\\n\\n💬Şampiyonluğun ardından @AnadoluEfesSK'in yıldızları Shane Larkin ve Adrien Moerman'ın açıklamaları 👇 pic.twitter.com/JTbeFrD8Q2\\n\\n— Tivibu Spor (@tivibuspor) June 21, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Pedro Martinez pour remplacer Svetislav Pesic à Barcelone ?" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Gran Canaria en mars, Pedro Martinez ne continuera pas dans les Îles Canaries et serait en partance pour le FC Barcelone.\\n\\nSelon Encestando, l’ancien coach de Vitoria devrait prendre la relève de Svetislav Pesic au Barça. L’entraîneur de 69 ans songeait à laisser sa place à la tête de l’équipe et prendre un autre rôle dans le club catalan.\\n\\nPassé par Manresa, Tenerife, l’Estudiantes Madrid, ou encore Séville, le natif de Barcelone a été sacré champion d’Espagne en 2017 avec Valence.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La future aréna d’Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"On nous promet une aréna à Orléans depuis des années... Même s’il y a un retard d’un an à l’allumage, il prend forme avec CO’Met, un projet unique en France réunissant salle de sports de 10 000 places, palais des congrès, parc des expos et Zénith. Cette vidéo nous fait pénétrer virtuellement au coeur de ce projet." }, {"role": "user", "content":"Le 3×3 passe dans le monde professionnel en France et en Europe" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence de presse au siège de la FFBB, le président de la fédération française de basket, Jean-Pierre Siutat a présenté le projet du circuit de 3×3 professionnel en Europe. L’appel à candidatures sera officiellement lancé lundi 24 juin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPlusieurs sujets ont été évoqués. Les raisons de la création de ce circuit, la vision de la FIBA sur le développement du 3×3, l’importance d’un circuit international ou encore le calendrier à venir pour la création de ce circuit européen et les grandes dates du 3×3 dans les prochaines années.\\n\\n\\nPourquoi un circuit professionnel de 3×3 :\\n\\n« Le 3×3 est devenue une discipline qui fera ses débuts en 2020 à Tokyo. Il y aura beaucoup d’images de cette discipline, des gamins et des gamines auront envie de s’adonner à cette discipline. Le 3×3 est adossé à un classement des joueurs et des joueuses. C’est grâce à ce classement que, pour chaque nation, vous avez vos équipes nationales qui participent aux grandes compétitions. On n’est pas sur des qualifications sportives classiques. Il a des joueurs qui font des tournois de plus ou moins haut niveau et ce sont ces points qui permettent à un moment de se qualifier en garçons ou en filles. Pour la petite histoire, les deux Equipes de France sont actuellement à Amsterdam pour disputer la coupe du Monde. De cette coupe du Monde, des points seront attribués si nos Equipes de France performent et il y a des chances pour qu’au moins une des deux équipes – les filles – se qualifie directement pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Dans le même temps, on a une Equipe de France qui part faire les Jeux Olympiques Européens à Minsk. Là aussi des points seront attribués et on espère glaner quelques points qui nous permettront de monter en puissance. Si vous créez ce circuit professionnel, vous mettez des choses en place pour acquérir des points.\\n\\nEnsuite, on aimerait créer demain une filière de joueurs et de joueuses qui ne font que du 3×3. Le débat de fond aujourd’hui c’est que quand on monte nos équipes de France, on va chercher des joueurs dans des clubs professionnels. C’est bien qu’on puisse les avoir, mais ça peut ne pas durer. Quand il y a des blessés et que vous rendez des joueurs blessés, le club n’est pas très content. Ce sont des négociations avec la LNB, la LFB. Il faudrait qu’un jour on identifie les joueurs qui ne font que ça. Et le circuit 3×3 sera un vrai moyen pour ne faire que ça. A partir du moment ou des joueurs seront uniquement dans le 3×3, ils seront meilleurs. Ils seront entraînés en fonction du jeu 3×3. On pense que cette filière fera que l’on aura des joueurs et des joueuses qui seront meilleurs. Ce qu’on recherche inévitablement, c’est être compétitif en 2024 pour l’Equipe de France. Les deux équipes de France seront normalement déjà qualifiées pour les Jeux à Paris donc on cherche à performer et pour cela on a besoin de joueurs uniquement tournés vers le 3×3. »\\n\\n\\nLa vision de la FIBA sur le développement du 3×3\\n\\n« C’est une vision qui m’a toujours interpellé. Je suis tombé sur ce schéma en septembre 2017. La FIBA fait appel à des promoteurs privés pour organiser des tournois de 3×3 dans lesquels on engage des joueurs et des joueuses. Ils sont tous directement liés à la FIBA au travers d’une plateforme qui s’appelle Event Maker. Comme nous sommes tous, fédérations nationales, membres de la fédération internationale, la FIBA a dit qu’elle nous mettait au milieu du système pour contrôler le tout. Aujourd’hui, il y a beaucoup de dérapages. Beaucoup de pays ne sont même plus investis dans l’organisation du 3×3. Les promoteurs privés ont envahi le marché. Nous, on veut éviter ça parce qu’on considère que c’est de notre ressort de lutter contre ce schéma. Il n’y a pas très longtemps sur un bureau central à Abidjan, il y a eu une décision de la FIBA qui est historique, que j’ai mené, dans laquelle les fédérations nationales sont reconnues comme la structure qui gère le 3×3 sous réserve qu’elles le fassent convenablement. Si une fédération ne le fait pas bien, la FIBA laissera les promoteurs privés gérer.\\n\\nCe qui a de marrant c’est qu’on est dans un sport collectif, mais dans lequel le réflexe est individuel. Une équipe de 3×3 c’est quatre joueurs. Quatre joueurs peuvent jouer ensemble le dimanche et ces quatre mêmes joueurs peuvent jouer avec une autre équipe le dimanche d’après. Ils ne sont pas raccrochés à un club. Automatiquement, on peut avoir, comme au tennis, des joueurs qui évoluent beaucoup plus rapidement que d’autres.\\n\\nNous, une équipe nationale se qualifiera sur une grande compétition si dans les 100 meilleurs joueurs de sa nation on a obtenu assez de points pour pouvoir être assez bien classé auprès des autres nations. En novembre chaque année, la FIBA fait le total des points acquis par l’ensemble des 100 premiers joueurs d’une même nation. Si le total de ces points fait que vous êtes dans les 3,4 ou 5 premiers au classement mondial, vous êtes qualifiés pour les grandes compétitions. Concrètement, si la France féminine, qui est actuellement 5e, est 4een novembre, elle sera automatiquement qualifiée pour les Jeux Olympiques de 2020. Sinon, elle devra participer à des tournois pour lui permettre de gagner des points.\\n\\nNous avons une vraie mission qui est de développer le 3×3 parce que c’est quelque chose qui doit plaire aux jeunes, mais aussi à des gens d’un certain âge, ce que j’appelle les « quadras ». Des gens qui ont fait du basket pendant des années, qui ont peut-être arrêté parce qu’ils n’ont plus le temps ou l’envie à un moment donné de faire du 5×5. Ces gens on les retrouvera au travers du 3×3. On a donc créé deux types de compétitions. Il y a les championnats de clubs. On veut faire en sorte que nos clubs aient la double culture, celle du 5×5 que l’on a depuis toujours et celle du 3×3. Petit à petit on va créer la pyramide des compétitions. Ensuite il y aussi la partie des tournois, qui est traditionnelle. On est disponibles entre copains, on va faire un tournoi à tel endroit. On a établi trois niveaux de tournois. Le premier avec les 3×3 de base, on appelle ça les Open Start, ça peut être organisé partout. On va en faire près de 10 000 en France, cette année on en est à déjà plus de 1 000. Le deuxième niveau, c’est ce qu’on appelle les Open Plus. Ce sont des tournois plus relevés dans lesquels les joueurs sont de meilleure qualité et dans lesquels il y aura des prize money (récompense en argent). Les meilleurs joueurs du département, de la région ou de France viendront participer pour gagner un peu d’argent. On en a fait une trentaine cette année et on imagine arriver à 130 d’ici deux ou trois ans, ce qui ferait environ une dizaine par région. Ensuite il y a l’Open de France, qui est le meilleur niveau et nous l’avons souhaité itinérant pour que chaque année on puisse marquer les territoires avec cet événement. L’année dernière on a fait un truc extraordinaire à Toulouse. Cette année, nous serons à La Rochelle. C’est quelque chose qui prend de plus en plus de valeur et dans lequel on retrouve les meilleurs joueurs de France comme Amara Sy ou Andrew Albicy. On imagine créer un quatrième niveau assez rapidement. On aimerait intégrer un tournoi annuel à Paris qui serait un Master faisant partie du circuit international. Ce Master serait un peu le Roland-Garros du 3×3. C’est-à-dire un tournoi identifié dans lequel les meilleurs joueurs et joueuses du monde viendraient s’affronter chaque année pour gagner des points et de l’argent pour tenter de qualifier leurs nations aux compétitions internationales. Voilà notre mission à la FFBB. »\\n\\n\\nL’importance du circuit international à plusieurs et non pas seulement en France\\n\\n« Quand on regarde la vision de la FIBA, ils ont globalement réussi leur vision du développement du 3×3 dans le monde. C’est lié à ce qu’on appelle des Masters, des grands rendez-vous dans des mégapoles mondiales. Et en-dessous, des Challengers, où les gens vont chercher de l’argent et à se qualifier pour les grands rendez-vous internationaux. Pour que ce circuit prenne de la valeur, la FIBA a demandé à certains pays de se regrouper pour créer des ligues régionales. Si ces pays se regroupent pour faire des ligues régionales, la fédération internationale va donner deux choses. D’abord, des millions de points à gagner dans le cadre du ranking fédéral. Ensuite, des accès aux Masters. On a tout intérêt à créer ce type de ligue régionale. On est très motivés et on travaille depuis avril avec pas mal de pays à travers des réunions et on est ravis d’annoncer qu’on a trouvé une solution pour avancer ensemble et créer cette première ligue régionale. L’Europe sera certainement un exemple pour que d’autres ligues émergent.\\n\\nLa FIBA considère qu’une ligue régionale est créée si on respecte trois conditions :\\n\\n– Un minimum de trois nations ensemble qui sont proches géographiquement.\\n\\n– Il faut que les joueurs puissent jouer de façon régulière. On ne peut pas faire une ligue régionale avec seulement deux mois de compétition pendant l’été.\\n\\n– La FIBA veut que ces joueurs et joueuses deviennent professionnels. Ils quittent le 5×5 pour se concentrer uniquement sur le 3×3 et en vivent.\\n\\nSi ces conditions sont respectées, la FIBA accompagnera ces ligues régionales et donnera un maximum de points pour qu’on puisse valoriser ces ligues. Avec d’autres pays nous avons souhaité, imposé à ce que notre circuit soit un circuit tout de suite mixte. A chaque événement, les hommes et les femmes seront là. On a aussi souhaité à ce que nous puissions mettre nos équipes dans des métropoles. On veut éviter que ces équipes se retrouvent dans des petites villes ou dans des villes qui ont la culture du basket traditionnel, mais qui ne seront peut-être pas les mieux placées pour accueillir le 3×3. Dans notre circuit, nous souhaitons, pour favoriser encore la mixité, que les résultats des filles et des garçons soient en commun. On aurait pu faire deux classements différents, on le fera pour la FIBA, mais dans le circuit ces résultats seront regroupés et cumulés. »\\n\\n\\nLa première composition des affaires\\n\\n« On souhaite faire démarrer en octobre 2020 ce circuit. On aimerait associer huit, voire dix nations d’Europe de l’Ouest avec minimum 18 équipes. La France, qui a pris le leadership sur ce projet, souhaiterait avoir huit équipes en 2020. L’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas et la Suisse auraient minimum deux équipes. On associe Andorre parce qu’ils ont un club de 5×5 qui tourne bien en ACB et ils ont une vraie culture de 3×3 à développer. La Belgique aura une équipe à Bruxelles. Et pour l’Espagne c’est en cours parce qu’ils sont dans une phase de transition mais ils sont très intéressés pour nous rejoindre. On sait qu’on aura entre 18 et 20 équipes en octobre 2020.\\n\\nPour montrer le calendrier général du circuit, on est sur une mobilisation de douze mois. En 5×5 on est à peu près sur dix mois de septembre à juin et ensuite les joueurs se tournent au fur et à mesure sur le 3×3 pendant l’été. Le cœur du 3×3 c’est l’été. Demain, on jouera au 3×3 toute l’année. Le circuit professionnel se fera l’hiver, avec des phases finales au printemps et ensuite il sera temps en France de faire les Open Plus. Tout le long de l’année il y aura des Open Start. On aura l’obligation de développer des joueurs et des joueuses. »\\n\\n\\nLa vision des affaires\\n\\n« On veut que les équipes soient supportées par des clubs fédéraux traditionnels. On veut éviter qu’un promoteur privé vienne organiser des circuits sans nous. Si un promoteur privé veut venir, on le prend, mais il sera considéré comme un club et affilié à la fédération. On préférerait faire appel à des clubs professionnels. On discute avec des clubs de LNB et de LFB, et certains d’entre eux sont déjà intéressés.\\n\\nOn garantit la participation des huit équipes jusqu’en 2024. On a mis en place tout un processus d’admission. Ça commence lundi avec le lancement de l’appel d’offres pour choisir nos candidats. La remise des candidatures se fera au mois de novembre et nous choisirons les huit premiers candidats au mois de janvier 2020. Ça laissera huit mois aux candidats retenus pour se préparer, recruter des joueurs, un staff si besoin et préparer le début de la compétition. »\\n\\n\\nLa suite\\n\\n« Le scénario idéal c’est de démarrer avec huit équipes en 2020. Il faut ensuite qu’on monte en puissance chez nous et avec les autres pays. En 2022, on passera de huit à douze équipes. Les équipes qui nous rejoindront auront aussi une garantie de participation de quatre, jusqu’en 2026 donc. On ira peut-être chercher ceux qui sont en liste d’attente de 2020. En 2024, de la même manière, on passera de douze à seize équipes. L’objectif c’est d’avoir un rythme de croisière de seize équipes. Le Japon a lancé son circuit professionnel et compte aujourd’hui 70 équipes. On cherche du haut niveau, quelque chose de structuré avec un vrai cahier des charges. »\\n\\n\\nLa constitution des équipes\\n\\n« Pour garantir cette appellation de ligue régionale, il faut que les joueurs et les joueuses soient professionnels. On veut qu’une équipe soit composée de six joueurs. Quatre qui seront les titulaires, donc professionnels, et deux jeunes qui seront en formation. C’est deux jeunes, qui joueront très peu, on trouvera des solutions pour qu’ils aillent jouer au basket traditionnel. Par contre, les quatre titulaires seront rémunérés et on veut limiter l’apport des étrangers. Aucun intérêt pour nous, dans l’objectif de ranking, de faire jouer des étrangers. Chaque équipe n’aura le droit qu’à un étranger.\\n\\nOn a deux solutions pour les contrats de ces joueurs. Soit, on les considère comme dans le 5×5 et ils disposent d’un contrat de travail qui est donc de douze mois avec un club. Soit, on les considère comme des travailleurs indépendants. Ils sont payés à la pige et le reste du temps ils sont libres pour faire ce qu’ils veulent. Comme au tennis. »\\n\\n\\nLe calendrier à venir\\n\\n« Nous avons un bureau fédéral vendredi lors duquel nous allons valider toute cette procédure. Nous lançons officiellement l’appel à candidatures lundi 24 juin. Tous les coins de France pourront répondre, ça permettra de voir ceux qui sont déjà intéressés ou pas. Nous ferons une liste restreinte par rapport à ça. On va laisser jusqu’au 23 juillet pour que tous les clubs de France puissent candidater et le 24 juillet, le bureau fédéral se réunira pour choisir une liste restreinte. On va essayer d’implanter ce circuit professionnel dans des endroits où il y a de la population, dans les métropoles ou des villes importantes. Limoges, n’est pas une métropole, mais est une ville importante. Pareil pour Angers... Ensuite il sera temps d’envoyer les dossiers complets de candidature et on laissera jusqu’au 15 novembre à l’ensemble des candidats pour qu’ils puissent répondre. Il y aura un assistant de la fédération pour les accompagner dans ces démarches. Nous ferons une audition des candidats au mois de décembre pour bien comprendre leurs projets, les conseiller et régler leurs problèmes. Le 17 janvier, le bureau fédéral se réunira pour choisir les huit candidats. On accompagnera les huit choisis pour le lancement du circuit professionnel en octobre 2020. Nous aurons une réunion avec les autres pays à Belgrade le 3 juillet dans le cadre de l’Eurobasket féminin et nous en profiterons pour sceller un certain nombre de choses sur ce circuit.\\n\\nLes trois rendez-vous importants à court terme :\\n\\n– Les Jeux Olympiques 2020. Japon directement qualifié donc on pense que la France le sera en 2024. C’est une très bonne nouvelle parce qu’il y aura du 3×3 à la télévision, sur les chaines publiques et ça développera l’intérêt.\\n\\n– Du 10 au 12 septembre 2021, le championnat d’Europe est organisé à Paris. Ce sera un moyen pour nous de catalyser, il y aura les meilleurs joueurs d’Europe. Objectif médaille.\\n\\n– Les Jeux Olympiques de Paris en 2024. »\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPourquoi un circuit professionnel de 3×3 :\\n\\nLe 3×3 est devenue une discipline qui fera ses débuts en 2020 à Tokyo. Il y aura beaucoup d’images de cette discipline, des gamins et des gamines auront envie de s’adonner à cette discipline. 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Si vous créez ce circuit professionnel, vous mettez des choses en place pour acquérir des points.\\n\\n\\nLa vision de la FIBA sur le développement du 3×3\\n\\nC’est une vision qui m’a toujours interpellée. Je suis tombé sur ce schéma en septembre 2017. La FIBA fait appel à des promoteurs privés pour organiser des tournois de 3×3 dans lesquels on engage des joueurs et des joueuses. Ils sont tous directement liés à la FIBA au travers d’une plateforme qui s’appelle Event Maker. Comme nous sommes tous, fédérations nationales, membres de la fédération internationale, la FIBA a dit qu’elle nous mettait au milieu du système pour contrôler le tout. Aujourd’hui, il y a beaucoup de dérapages. Beaucoup de pays ne sont même plus investis dans l’organisation du 3×3. Les promoteurs privés ont envahi le marché. Nous, on veut éviter ça parce qu’on considère que c’est de notre ressort de lutter contre ce schéma. Il n’y a pas très longtemps sur un bureau central à Abidjan, il y a eu une décision de la FIBA qui est historique, que j’ai mené, dans laquelle les fédérations nationales sont reconnues comme la structure qui gère le 3×3 sous réserve qu’elles le fassent convenablement. Si une fédération ne le fait pas bien, la FIBA laissera les promoteurs privés gérer.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Marcus Ginyard, nouvel ailier américain de Limoges. «Ce n’est pas un joueur de stats», commente Crawford Palmer" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, le Limoges CSP annonce la signature de l’ailier américain Marcus Ginyard (1, 96m, 32 ans), en provenance de Asseco Prokom Gdynia où il tournait à 8,5 points, 3,2 rebonds.\\n\\n« C’est un joueur expérimenté évoluant au poste 3 qui a joué dans la très bonne université de North Carolina. Il sera à Limoges pour aider l’équipe au maximum, » commente le nouveau coach espagnol Alfred Julbe\\n\\nQuant au directeur sportif, Crawford Palmer, il précise:\\n\\n« Marcus est un joueur qui entre totalement dans notre idée d’augmenter le niveau défensif de l’équipe. Il n’est pas un joueur de stats. Il va nous apporter une densité physique. Marcus sera complémentaire à des joueurs que nous avons ou que nous souhaitons avoir. Les fondamentaux, le collectif, la classe dans beaucoup de domaines sont des éléments caractérisants Marcus. Nous sommes très contents qu’il vienne à Limoges nous apporter ce qu’il sait faire. C’est à chaque joueur de déterminer son rôle. Nous voyons Marcus comme un très bon complément à William Howard par exemple. Il pourra jouer avec lui ou rentrer derrière lui pour mettre de la pression, pour jouer avec du contact. Il jouera avec abnégation pour son équipe. Il est également capable de scorer, notamment à 3-points. Nous avons eu de très bons échos. 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C’est le genre de joueur qui est extrêmement intéressant pour une équipe. »\\n\\nMarcus Ginyard en bref ...\\n\\n1,96 m – Ailier\\n\\nNé le 8 mai 1987 à Rochester (New-York, Etats-Unis)\\n\\n2005 – 2010: University of North Carolina at Chapel Hill (NCAA), 2010 -2011: BBC Bayreuth (Allemange), 2011 – 2012: Ironi Nahariya (Israel), 2012 – 2013: Anwil Włocławek (Pologne) , 2013 – 2014: BC Azovmash Mariupol (Ukraine) 2014: Stelmet Zielona Góra (Pologne), 2014 – 2015: Westchester Knicks (G League) 2015 – 2016: Hermine Nantes Atlantique (ProB) 2016 – 2017: Energa Czarni Słupsk (Pologne) 2017 – 2018: KK Rabotnički Skopje (Macédoine) 2018 – 2019: CSM Oradea (Roumanie) 2019 : Asseco Arka Gdynia (Pologne)" }, {"role": "user", "content":"Rick Pitino refuse la prolongation du Panathinaïkos et rentre aux Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé début janvier pour redresser la barre du Panathinaïkos, Rick Pitino ne prolongera pas son aventure en Grèce.\\n\\nA 66 ans, l’ancien coach des New York Knicks souhaite retourner aux Etats-Unis. Selon le journaliste Adrian Wojnarowski, l’ancien coach de Louisville est à la recherche d’un poste en NBA, que soit en tant que coach ou consultant. L’ancien coach de l’université de Kentucky quitte la Grèce avec une coupe et un championnat remportés.\\n\\nLe technicien américain s’est exprimé suite à son départ.\\n\\n« L’année passée a été incroyable. Je voudrais remercier tous les joueurs du Panathinaïkos pour leurs efforts impressionnants. Merci à mon staff pour leur loyauté et leur dévouement. Merci à notre propriétaire et Manager General passionné. Enfin, merci au peuple grec pour votre hospitalité et gentillesse remarquables. C’est un pays incroyable qui aura toujours une place dans mon coeur. Vous allez tous me manquer, mais je rentre à la maison et je suis impatient d’attaquer le prochain chapitre de ma vie. »\\n\\n\\nPitino wants to return to a full-time pursuit of a job in the NBA — coaching, player personnel or an advisory role, he said. https://t.co/asJVbzyULP\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) June 21, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"BCL : Pau, Strasbourg et Dijon pour représenter la France ; tous les participants connus" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que les playoffs touchent à leur fin dans toute l’Europe, la Champions League vient de dévoiler le nom des 24 qualifiés pour la saison prochaine.\\n\\nPau, Strasbourg et Dijon seront les trois représentants français. Le club du Béarn vivra sa première expérience en Champions League et retrouve une coupe d’Europe après avoir disputé la FIBA Europe Cup en 2016/17. Monaco, qui a quitté la compétition la saison dernière pour l’Eurocup, ne fera donc pas son retour en BCL. 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Le futur potentiel canadien jouait alors en poussin pour le club de la Saône-et-Loire.\\n\\nAlors que Rowan Alexander Barrett (plus souvent appelé RJ) a été sélectionné en 3ème position de la draft NBA cette nuit pour incarner la renaissance de la franchise new-yorkaise, le JSL nous rappele à tous qu’il a joué au basket en France.\\n\\nSon entraîneur Mattias Fernandez se souvient :\\n\\n« A cet âge-là, il dominait déjà. Il était au-dessus du lot. Il avait déjà un dribble bien installé, ce qui est rare chez des gamins aussi petit. Mieux : il pouvait tirer de loin, à trois points ! Sur un panier mini-poussins mais quand même... Il en a mis 2 ou 3 en match cette année-là. »\\n\\nMatthias Fernandez a eu un oeil sur lui après son départ de l’Elan Chalon comme il le confie dans l’article :\\n\\nJ’ai continué à le suivre après, j’ai vu des vidéos de lui à Duke (sa fac). Il est impressionnant. A l’époque, c’était difficile de dire à quel niveau il allait monter.\\n\\nDorénavant, son ancien entraîneur aura tout le loisir de le regarder à la télévision et d’admirer les exploits de son ancien prodige." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Le programme de l’Open de Paris" }, {"role": "assistant", "content":"Le programme du prochain MAIF Open LFB qui se déroulera les 5 et 6 octobre 2019 à Paris est connu.\\n\\nMatch des Champions**\\nLyon ASVEL Féminin – Tango Bourges Basket\\n\\nJournée 1\\nSaint-Amand HB – Nantes Rezé Basket\\nESB Villeneuve d’Ascq LM – Roche Vendée BC\\nLattes Montpellier – Charnay BBS\\nTarbes GB – Landerneau BB\\nBasket Landes – Charleville-Mézières\\n\\nLes jours et horaires de chaque match seront communiqués en juillet.\\n\\nL’équipe qui remportera son match de l’Open LFB sera considérée comme évoluant à domicile et se déplacera à l’occasion du match retour (journée 12).\\n\\n*Sous réserve de l’engagement définitif des équipes par la Commission de Contrôle de Gestion\\n**Match des Champions : le Champion de France affronte le vainqueur de la Coupe de France. Le résultat ne compte pas pour le classement de la saison 2019-2020." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Jeremy Senglin (Nanterre) pour remplacer Andrew Albicy à Andorre" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Nanterre, Jeremy Senglin (1,88m, 24 ans) devrait prendre le chemin d’Andorre où il devrait remplacer Andrew Albicy parti au Zenith Saint-Petersbourg, selon Encestando.\\n\\nFormé à l’université de Weber State, le meneur de jeu américain est d’abord passé la G-League et l’Allemagne avant d’atterrir dans le 92. Auteur d’une saison très intéressante sous les ordres de Pascal Donnadieu, le natif de Kansas City a attiré l’oeil du Morabanc Andorra avec lequel il pourra disputer la Liga Endesa et l’Eurocup. Capable de petits coups de chaud, l’ancien joueur des Long Island Nets vivra sa première expérience en Espagne.\\n\\nCette saison, Jeremy Senglin compilait en moyenne 14,3 points, 2,4 rebonds et 3,2 passes décisives en championnat, et 13,9 points, 3,3 rebonds et 2,7 passes décisives en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"La Suisse avec Clint Capela mais sans Thabo Sefolosha cet été" }, {"role": "assistant", "content":"Engagée dans les pré-qualifications pour l’Eurobasket 2021, la Suisse pourra compter sur l’un de ses hommes forts cet été en la personne de Clint Capela (2,08m, 25 ans).\\n\\nC’est sur son site que la fédération suisse a annoncé la bonne nouvelle à ses supporters. C’est après plusieurs mois de discussions que le natif de Genève a pris la décision de faire son retour en sélection. La dernière fois que l’ancien joueur de l’Elan Chalon a porté le maillot suisse, c’était pour les qualifications à l’Eurobasket 2015.\\n\\n« Je suis ravi de retrouver l’Equipe Suisse, pays qui me tient à cœur. Swiss Basketball a fait d’énormes progrès dans tous les domaines ces dernières années et je dois avouer que le retour en Equipe Nationale me réjouit au plus haut point. Je remercie le Président pour sa confiance », a déclaré le pivot des Houston Rockets.\\n\\nCette saison, Clint Capela compilait en moyenne 16,6 points et 12,6 rebonds en NBA.\\n\\nPar contre, Thabo Sefolosha, ailier du Utah Jazz et également passé par l’Elan Chalon, sera le grand absent de la sélection helvétique, annonce 20 Minutes. L’ancien joueur d’Oklahoma City est à la recherche d’un nouveau contrat et rejoindre la sélection pendant plusieurs semaines l’handicaperait pour trouver sa nouvelle équipe.\\n\\nVoici le programme de la Suisse cet été.\\n\\n * Samedi 3 août 2019 à 20h00 : Suisse – Portugal à la salle Saint-Léonard, Fribourg\\n * Samedi 10 août 2019 à 16h00 : Islande – Suisse à Reykjavik, Islande.\\n * Mercredi 14 août 2019 à 19h30 : Portugal – Suisse à Sines, Portugal\\n * Mercredi 21 août 2019 à 20h00 : Suisse – Islande à la salle du Pierrier, Clarens" }, {"role": "user", "content":"Jeu Concours MadinBasket : Gagner un lot de reversibles" }, {"role": "assistant", "content":"Vous souhaitez être libéré des corvées journalières de lavage des chasubles? Nous vous proposons de gagner un lot de chasubles réversibles pour votre club ! Ce sont des chasubles offert par Madinbasket, 100% personnalisables avec le logo de votre club, les numéros et aucune limitation de couleur ou de taille.\\n\\nPour gagner ce lot de maillots pour les clubs de basket, il vous suffit de répondre à cette question : Qui va gagner les playoffs de Jeep Élite : Asvel ou Monaco ?\\n\\nBonne chance !" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : un tour préliminaire pour les huit premiers de Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB vient d’annoncer que le format de la Coupe de France allait être différent la saison prochaine concerner la Jeep Élite.\\n\\nLes huit premiers du classement de Jeep Élite au terme de la saison 2018/19 vont disputer un tour préliminaire de coupe de France pour se qualifier directement au Top 8 (quarts de finale).\\n\\nCe tour préliminaire aura lieu le mardi 17 septembre et voici les clubs qui s’affronteront.\\n\\nStrasbourg IG (Jeep® Élite) – LDLC ASVEL (Jeep® Élite)\\n\\nLimoges CSP (Jeep® Élite) – EB Pau-Lacq-Orthez (Jeep® Élite)\\n\\nJDA Dijon (Jeep® Élite) – Nanterre 92 (Jeep® Élite)\\n\\nLe Mans SB (Jeep® Élite) – AS Monaco (Jeep® Élite)\\n\\nPhoto : FFBB" }, {"role": "user", "content":"U19: Les 12 Bleuets pour la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Frédéric Crapez a rendu ses derniers arbitrages et l’équipe de France U19 a pris sa forme définitive après deux matches en Serbie (défaite 85-72 puis victoire 75-92).\\n\\nLes Bleuets sont en stage à Compiègne jusqu’au 25 juin puis prendront un vol pour Héraklion où se tiendra la Coupe du monde du 29 juin au 7 juillet.\\n\\nCHOUPASYohan11/03/2000193PAUDIMANCHEKarlton05/03/2000193CHOLETLEOPOLDFlorian28/07/2000202CHOLETNIASSEBabacar30/04/2000195CHALONROBINEAUHugo27/02/2000190CHOLETAYAYIJoël05/06/2000196GONZAGA UN.DOSSOU YOVOMathis06/11/2000205CHALONEYOUMJacques03/02/2000195LE MANSBAPTISTEKenny24/01/2000200LE MANSEVTIMOVNicholas08/05/2000201GRENNSBORO HSMAKOUNDOYoan09/08/2000207CHOLETBOURHISLucas09/02/2000178BCM\\n\\nEntraineur : Frédéric Crapez\\nAssistants : Romain Chenaud et Mehdy Mary\\n\\nStage à Compiègne du 19 au 25 juin\\n\\nDimanche 23 juin : France – Canada\\nLunidi 24 juin : France – Nouvelle Zélande\\n\\nStage à Héraklion (Grèce) du 26 au 28 juin\\n\\nCoupe du Monde à Héraklion (Grèce) du 29 juin au 7 juillet\\nSamedi 29 juin à 15h00 : Porto Rico – France\\nDimanche 30 juin à 12h15 : France – Chine\\nMardi 2 juillet à 12h45 : France – Serbie\\nMercredi 3 juillet : Huitièmes de finale\\nVendredi 5 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 6 juillet : Demi-finales\\nDimanche 7 juillet 2019 : Finale\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Sekou Doumbouya drafté en 15e position par les Detroit Pistons" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il pouvait espérer être dans le top 10, notamment numéro 9 par Washington, le Limougeaud Sekou Doumbouya a été drafté cette nuit au Barclay Center en 15e position par les Detroit Pisons, l’équipe de Blake Griffin.\\n\\nLe Franco-Guinéen s’est néanmoins montré extrêmement satisfait de réaliser son rêve :\\n\\n« C’est le début... C’est clairement que le début d’une nouvelle aventure. C’est comme ma première année à Poitiers, c’était aussi le début de quelque chose, puis Limoges après. Ces deux étapes sont terminées, maintenant place à la NBA », a-t-il déclaré à Basket USA, regrettant seulement que son père n’a pu être présent en raison de problèmes de visa.\\n\\nDoumbouya est le septième Français choisi dans le top 15 après Frank Ntilikina (8e en 2017), Joakim Noah (9e en 2007), Tariq Abdul-Wahad (11e en 1997), Jérôme Moïso (11e en 2000), Mickaël Pietrus (11e en 2003) et Frédéric Weis (15e en 1999).\\n\\nSix autres joueurs européens ont été draftés cette nuit : le Géorgien Goga Bitadze s’est classé 18ème, le Croate Luka Samanic 19ème, le Lituanien Deividas Sirvydis 37ème, le Serbe Alen Smailagic 39ème, le Lituanien Ignas Brazdeikis 47ème et le Serbe Vanja Marinkovic 60ème.\\n\\nContrairement à ses espérances, l’ex-Gravelinois Adam Mokoka, qui s’était présenté à la draft, a fait chou blanc.\\n\\n\\n🏀🇫🇷 Il est là notre Frenchie ! Sekou Doumbouya en 15ème position.\\n#NBA #NBAextra #NBADraft pic.twitter.com/yXcT2OwLbR\\n\\n— NBAextra (@NBAextra) June 21, 2019\\n\\n\\n\\nIt's Game Time @sekou_doums !!#ComsportFamily pic.twitter.com/hnuTNGergt\\n\\n— Comsport (@Agence_Comsport) June 20, 2019\\n\\n\\n\\nSekou Doumbouya a un message pour #Poitiers après avoir été drafté par les @DetroitPistons 🤟 #NBADraft19\\n\\nOn est ensemble Sekou, bon courage pour cette nouvelle aventure qui t'attends en @NBA ! pic.twitter.com/ZqUgBs8aza\\n\\n— Poitiers Basket 86 (@pb86officiel) June 21, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Keith Langford dans le viseur de l’ASVEL ?" }, {"role": "assistant", "content":"Deux fois meilleur scoreur de l’Euroleague, Keith Langford (1,93m, 35 ans) ne restera pas au Panathinaïkos la saison prochaine.\\n\\nSelon Eurohoops, l’arrière texan serait sur les tablettes de plusieurs clubs d’Euroleague, dont l’ASVEL. L’ALBA Berlin et Vitoria seraient également sur les rangs. Une chose est sûre, c’est que l’ancien joueur de l’UNICS Kazan ne souhaite pas rester au Panathinaïkos et cherche une équipe dans laquelle il sera davantage « lui-même ».\\n\\nCette saison, Keith Langford compilait en moyenne 10,7 points et 2,2 rebonds pour une évaluation de 9,9 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Le coach de Anvers, Roel Moors, à Bamberg" }, {"role": "assistant", "content":"Brose Bamberg vient de nommer le Belge Roel Moors, 40 ans, au poste d’entraîneur en chef. Celui-ci a emmené il y a quelques semaines les Antwerp Giants en finale de la Basketball Champions League.\\n\\nCelui qui a recruté Roel Moors n’est autre que Leo De Rycke, l’ancien directeur sportif... d’Anvers.\\n\\n« Brose Bamberg veut se réorganiser. Ceci s’applique en plus de l’équipe de Bundesliga, au développement et à l’implication de jeunes joueurs. Pour ce projet à moyen terme, nous recherchions un coach qui correspond à ce profil. Après que nous ayons eu des candidats à Bamberg sur place, le conseil de surveillance, la direction et moi-même avons décidé de choisir Roel Moors. Il a prouvé à Anvers qu’il pouvait former et développer une équipe. C’est un travailleur qui vit pour le basket-ball. Nous sommes tous d’accord sur le fait qu’il est la bonne personne au bon endroit pour atteindre nos objectifs en matière de BBL et de BCL. «\\n\\nRoel Moors a joué en tant que meneur pour diverses équipes belges et pour l’Asvel et a été nommé joueur belge de l’année à quatre reprises. En outre, il a disputé plus de 100 matchs pour l’équipe nationale belge, y compris lors des Championnats d’Europe en 2011 et 2013. Après sa carrière de joueur, il a été nommé entraîneur adjoint chez les Giants avant d’être promu head coach en novembre 2015 après le limogeage de l’entraîneur en chef Paul Varvaeck. Un an plus tard, il a remporté son premier titre d’entraîneur avec la Supercup de Belgique." }, {"role": "user", "content":"BasketEurope est de nouveau à votre service" }, {"role": "assistant", "content":"Les serveurs de BasketEurope ont connu une maintenance plus longue que prévu (elle devait être terminée à 7h00), ce qui explique que notre site n’a pas été accessible une bonne partie de la matinée. Tout est désormais rentré dans l’ordre.\\n\\nBonne lecture et merci pour votre confiance car vous êtes de plus en plus nombreux à nous lire chaque jour !" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Alexis Desespringalle signe à Gries-Oberhoffen" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière formé à Nanterre quitte Quimper, suite au retour de Paul-Lou Duwiquet et pose ses valises en Alsace pour la saison 2019/2020.\\n\\nAlexis Desespringalle (1,92m, 28 ans) s’est engagé, hier soir, pour Gries-Oberhoffen, récent demi finaliste sortant des playoffs d’accession de Pro B.\\n\\nIl sort d’une saison correcte individuellement, sous les ordres du coach Laurent Foirest, où il compilait 6,9 points 1,6 rebond et 1,5 passe décisive pour 7,5 d’évaluation en 15 minutes." }, {"role": "user", "content":"L’énorme poster dunk à la Baron Davis de Tyrus McGee en finale de Serie A" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la victoire du Dinamo Sassari face à Venise dans le match 6 des finales des playoffs italiens, le meneur de jeu Tyrus McGee (1,88m, 28 ans) a claqué un énorme poster dunk. Contre son ancienne équipe, le champion d’Italie 2017 est monté sur les 2,08m du pivot Mitchell Watt ! Pour les fans de NBA, il vous rappellera certainement la fois où Baron Davis a dunké sur Andrei Kirilenko il y a douze ans.\\n\\n[gdlr_core_pub]\\n\\nSuivez tous les transferts de ProA sur notre tableau actualisé quotidiennement." }, {"role": "user", "content":"Finale des playoffs, Match 3: Monaco, comme un ouragan !" }, {"role": "assistant", "content":"Sasa Obradovic est toujours invaincu à Gaston-Médecin. Le coach serbe a su trouver les mots pour rebooster ses joueurs et Monaco s’est offert un sursis après ses deux échecs initiaux en terre lyonnaise. Surtout la Roca Team a effectué une véritable démonstration des deux côtés du terrain (97-62) et c’est l’ASVEL qui cette fois a été étouffée et était sans confiance au point de n’inscrire que 3 paniers à trois-points sur 22 tentatives ! Seuls les intérieurs Miro Bilan et Amine Noua ont réellement fait le job. Dee Bost a été le maître des lieux (23 points, 4/6 à trois-points, 9/11 aux lancers) et cette finale a retrouvé tout son sel.\\n\\nCette fois, l’Ukrainien Sergii Gladyr était en polo sur le banc, l’AS Monaco ayant un étranger en trop dans son roster. La petite salle Gaston-Médecin affichait guichets fermés pour la première fois de la saison et le public en rouge lâchait quelques « Monaco... Monaco... » qui stimulaient la Roca Team en défense. 14-5 après six minutes. Sans rythme, l’ASVEL venait d’encaisser un 11-1.\\n\\nL’entrée de son patron lituanien Mantas Kalnietis redonnait un temps de la vigueur à l’ASVEL illustrée par un dunk vrombissant de Adreian Payne après une percée dans la défense monégasque. 22-17 à l’issue du premier quart-temps.\\n\\nSeulement les Monégasques faisaient preuve d’un mordant bien supérieur aux deux premiers matches et ils atteignaient le cap des dix points d’avance (27-17) notamment grâce à un 8/9 aux lancers. Et après une réaction villeurbannaise, la Roca Team faisait monter l’écart à un niveau élevé: +16 (39-23) avec la paire Dee Bost (11 points)-Elmedin Kikanovic (7) à la finition. Il fallait attendre un huitième essai pour que les Villeurbannais inscrivent enfin par Théo Maledon un panier à trois-points. Ils semblaient par moments complètement perdus. A croire que les joueurs des deux équipes avaient échangé leurs maillots depuis le Match 2 à l’Astroballe. Et l’ASVEL n’était pas encore au fond de la piscine puisque des Monégasques très hargneux affichaient une avance de 22 points à la mi-temps (52-30). Le score durant cette période de dix minutes était de 30 à 13.\\n\\nLes Villeurbannais semblaient être revenus sur le parquet pour se refaire la cerise... mais après une technique à Zvezdan Mitrovic c’est Monaco qui se faisait la belle : 70-41. 24/38 pour les Monégasques à l’adresse générale aux tirs du champ. ASVEL où est ta défense ?\\n\\nOn devinait que les Villeurbannais ne feraient pas de remontada. A la 30e minute, Monaco avait atteint les 80 points alors que l’ASM en avait marqué 71 et 67 à la fin des deux premiers matches. Le plafond des 30 points était crevé à la 31e minute (82-52) avant un pic à +33 (85-52) puis à +35 (97-62). Du garbage time avec Sofiane Briki puis Kevin Cham. Les Villeurbannais devront se satisfaire d’avoir évité de prendre 100 points.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n * Épisode 4 : samedi 22 juin à 20h30 sur RMC Sport 2\\n * Épilogue : mardi 25 juin à 20h45 sur RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\n\\nA l'image de @GRJR22 sur cette action, l'@ASMonaco_Basket s'envole dans cet Episode 3. @LDLCASVEL est dans les cordes. +22 pour la Roca Team à la pause !\\nMonaco 52 – 30 Lyon-Villeurbanne#FinalesJeepELITE pic.twitter.com/J8iRMrWaMo\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 20, 2019\\n\\n\\nPhoto: Eric Buckner LNB" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Bathiste Tchouaffé (Bourg) prêté à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière issu du Centre Fédéral est prêté par la JL Bourg-en-Bresse au club poitevin pour la saison 2019/2020.\\n\\nEn mal de temps de jeu et au sein d’une division dans laquelle il peine à tirer son épingle pour l’instant, Bathiste Tchouaffé (1,97m, 21 ans) est, désormais, un joueur du Poitiers Basket 86 pour la saison à venir.\\n\\nJulien Desbottes, président du club bressan l’avait annoncé à l’issue de la saison, le club cherchait à prêter ses jeunes pour la saison à venir afin qu’ils puissent avoir davantage de temps de jeu pour s’exprimer.\\n\\nBathiste Tchouaffé rejoint un club, entraîné par Ruddy Nelhomme qui est réputé pour faire jouer les jeunes joueurs et les aider à se développer. C’est un club dont il a déjà fréquenté les équipes de jeune comme le démontre la vidéo publié par le PB 86.\\n\\nIl compilait cette saison en Jeep Elite 2,9 points à 31,3% et 1,3 rebond pour 2,7 d’évaluation en 10 minutes de temps de jeu.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici. Le Pro B ici.\\n\\nhttps://twitter.com/pb86officiel/status/1141724313030148102" }, {"role": "user", "content":"N1: Vincent Pourchot, 2,22m, signe à Tours" }, {"role": "assistant", "content":"Vincent Pourchot (2,22m, 26 ans) quitte le CEP Lorient mais pas la Nationale 1 puisque il rejoint l’UTBM, le club de Tours.\\n\\nCette saison, le plus grand basketteur français de tous les temps a assuré 11,6 points à 72% de réussite et 8,2 rebonds par match avec le club breton.\\n\\nNous lui avons consacré, il y a quelques semaines un article Premium à lire ici et ici." }, {"role": "user", "content":"Paul Lacombe (Monaco) avant le match 3 : «On a été catastrophiques dans les attitudes»" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques heures du match 3 des finales de Jeep Elite, Paul Lacombe s’est présenté en conférence de presse en déclarant son espoir de continuer le plus longtemps la série.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nL’arrière monégasque est revenu sur l’impact de l’ASVEL sur la Roca Team. Mais l’ancien Strasbourgeois a surtout pointé du doigt le comportement de son équipe.\\n\\n« Les deux premiers matchs étaient durs, physiques... Tous les qualificatifs dans ce sens-là sont bons. Ils nous ont montré ce qu’il fallait qu’on fasse chez nous. Ils nous ont fait totalement déjouer sur ces deux premiers matchs par la dureté défensive. On n’a pas su répondre collectivement. On l’a fait individuellement par moments grâce à des sursauts d’orgueil mais ça ne suffit pas pour gagner un match. Ça suffit pour mettre en danger, mais pas pour gagner le match malheureusement. Malgré tout, les deux matchs nous ont laissé de l’espoir. Surtout, de ce qu’on voit en vidéo c’est qu’on ne fait pas les choses dans le bon ordre. Certes, ils mettent de l’intensité physique, mais à côté de ça on subit alors qu’on pourrait avoir un meilleur visage et c’est ce qu’on va faire. Il faut montrer plus de dureté, plus d’engagement et plus d’intensité. A partir de là, on arrivera surement à retrouver de la fluidité offensive, à se repartager un peu plus la balle et à reprendre un peu plus de plaisir parce qu’il y a eu pas mal de frustration sur l’ensemble des deux matchs parce qu’on ne joue pas ensemble. »\\n\\nIrrésistible depuis l’arrivée de Sasha Obradovic et jusqu’en demi-finale, les coéquipiers de Paul Lacombe se sont-ils mis trop de pression ?\\n\\n« Sur un plan personnel, c’est sûr. J’ai beau avoir fait des grands discours avant les finales ou ce genre de choses, mais inconsciemment ça m’a rattrapé. J’ai tout essayé mais malheureusement je n’ai pas réussi à me mettre dans ma bulle. Je ne sais pas si ça s’est propagé sur mes coéquipiers, mais c’est vrai que certains d’entre eux n’ont pas encore répondu présent. On voit que les attitudes ne sont pas les mêmes qu’en demi-finale, en quart de finale ou même que pendant les derniers matchs de saison régulière. Certes, l’ASVEL fait en sorte qu’on joue de cette manière, mais nous ne sommes pas nous-mêmes. Il y a forcément un peu de pression, mais j’ai l’impression qu’on était un peu plus détendu à l’entraînement aujourd’hui. Il nous faut de la sérénité pour être plus calme dans ce qu’on fait parce qu’il y a des moments où on part un peu dans tous les sens parce qu’on n’est pas assez lucides. Et à côté de ça on va clairement devoir monter en intensité parce qu’on ne s’est pas mis au niveau des finales. »\\n\\nL’international français s’est exprimé sur son rendement personnel qui est en baisse sur cette finale. Lors des quatre premiers matchs de playoffs, il tournait à 17,5 d’évaluation. Depuis, il a disputé trois matchs et ne tourne plus qu’à seulement... 3 d’évaluation.\\n\\n« Au-delà des statistiques, c’est surtout dans l’attitude. Je ne suis pas moi-même et c’est ça qui m’a le plus pesé. Ce n’est pas moi et juste pour moi-même, par fierté, il faut que je fasse mieux. Il faut que je fasse mieux aussi pour les gens qui me soutiennent. Ça me fait plaisir parce que malgré tout j’ai eu beaucoup de messages de soutien de gens du basket, de gens d’en dehors. Je pense que le quatrième quart-temps du match 2 à l’ASVEL m’a fait beaucoup de bien parce que ça m’a permis de me relâcher un peu et de redevenir un peu moi-même. C’est la voix à suivre, individuellement, pour ce troisième match. »\\n\\nMême si la Roca Team est dos au mur, Paul Lacombe croit toujours aux chances de son équipe qui devra d’abord commencer par montrer un autre visage ce soir.\\n\\n« On y croit encore. Quand on regarde les vidéos on voit que l’ASVEL nous pose beaucoup de problèmes. Ils jouent très bien, mais malgré tout, on voit que dans les attitudes on est catastrophiques. Quand on regarde, on est presque choqué, on se dit que c’est pas possible et on se demande pourquoi on fait ça. Dès le début de match on montre des choses assez négatives qu’on n’a pas montré sur les quarts et les demis donc ça pose problème et c’est dommage. Je pense que c’est l’effet finale qui a fait ça. On y croit parce que si on redevient nous-mêmes on pourra peut-être au moins accrocher ce troisième match. On ne parle même pas de la suite, on veut juste ce troisième match déjà pour une question de fierté et pour les gens qui nous soutiennent. Je pense que le fait de revenir à la maison et être dans notre confort ça va peut-être nous libérer. On n’a pas le choix de toute façon si on veut continuer un peu cette finale. »\\n\\n[armelse]\\n\\nL’arrière monégasque est revenu sur l’impact de l’ASVEL sur la Roca Team. Mais l’ancien strasbourgeois a surtout pointé du doigt le comportement de son équipe.\\n\\n« Les deux premiers matchs étaient durs, physiques... Tous les qualificatifs dans ce sens-là sont bons. Ils nous ont montré ce qu’il fallait qu’on fasse chez nous. 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Il est accompagné de deux joueurs formés localement : Petr Cornélie (2,10m, 23 ans) et Nicolas de Jong (2,09m, 31 ans).\\n\\n\\n🖋 Travis Leslie s’engage avec l’ Elan Béarnais 👍 + d’infos à venir sur le site officiel 📸 Linda Chasserieau#ELANation pic.twitter.com/zX3cFNt7wD\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) June 20, 2019\\n\\n\\nDans l’optique de jouer une coupe d’Europe, l’EBPLO a décidé de se consolider avec de solides références. En effet, Travis Leslie sort d’une belle saison avec Boulazac puisqu’il compilait 12,9 points à 51,4%, 5,9 rebonds et 2,2 passes décisives pour 15,9 d’évaluation en seulement 25 minutes de temps de jeu.\\n\\nSon coéquipier au BBD, Nicolas de Jong est également un pivot d’expérience. Meilleur joueur français à l’évaluation en 2016/2017, celui qui est par ailleurs international néerlandais a réitéré une solide saison. Il tournait, en effet à 13,5 points à 51,4%, 5,1 rebonds et 1,1 passe décisive pour 13,4 d’évaluation en 27 minutes.\\n\\nEnfin, Petr Cornélie, poste 4 de grande taille capable de shooter de loin (39,1% sur la saison) arrive pour confirmer sa saison de reconstruction après une blessure, au Mans sous les ordres de l’entraîneur Eric Bartecheky. L’ancien pensionnaire du centre de formation du MSB valait cette saison 6,9 points et 3,8 rebonds pour 8,5 d’évaluation en 16 minutes.\\n\\nL’Elan Béarnais a par ailleurs confirmé que son meneur américain Mickey McConnell ne restait pas au club. Il préfère intégrer le staff technique de son ancienne université de Saint Mary’s.\\n\\n\\n🖋 Petr Cornelie s’engage avec l’ Elan Béarnais 👍 + d’infos à venir sur le site officiel 📸 Eric Traversié#ELANation pic.twitter.com/Mo68impfjb\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) June 20, 2019\\n\\n\\nPhoto: Travis Leslie (BBD)" }, {"role": "user", "content":"Kostas Sloukas devrait continuer au Fenerbahce" }, {"role": "assistant", "content":"Kostas Sloukas (1,90m, 29 ans) fait partie des joueurs les plus convoités sur la scène européenne aux côtés de Nando De Colo.\\n\\nSelon Eurohoops, l’international grec n’avait pas moins de quatre équipes à ses trousses. En plus du Fenerbahce, qui souhaite le conserver, l’Olympiakos, le FC Barcelone et le Maccabi Tel-Aviv auraient approché le triple champion d’Euroleague.\\n\\nArrivé en 2017 à Istanbul, le natif de Thessalonique a signé un contrat de trois ans dont la troisième est en option. Toujours d’après Eurohoops, c’est d’ailleurs le club turc qui aurait remporté la mise. Tous ont proposé un contrat de trois ans avec une option après la deuxième année au triple champion de Turquie.\\n\\nBarcelone aurait proposé un total de 6,1 millions d’euros, le Fenerbahce 5,6 millions, l’Olympiakos 5,1 millions et le Maccabi Tel-Aviv se serait arrêté à un peu plus de 1,5 million d’euros par saison. Finalement, il devrait signer deux saisons de plus (option pour une troisième année) et toucher environ 6 millions d’euros à Istanbul.\\n\\nCette saison, Kostas Sloukas compilait en moyenne 11,8 points, 2,2 rebonds et 4,8 passes décisives pour une évaluation de 15,2.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne : vers une prolongation de cinq ans pour Walter Tavares au Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Au Real Madrid depuis 2017, Walter Tavares (2,21m, 27 ans) devrait faire encore un bon bout de chemin avec le champion d’Europe 2018.\\n\\nSelon Eurohoops, le meilleur défenseur de la saison d’Euroleague serait proche de trouver un accord avec le club madrilène pour prolonger son contrat de cinq saisons, soit jusqu’en 2025 puisqu’il est déjà sous contrat jusqu’en 2020. Le contrat, qui triplerait quasiment son salaire annuel, devrait contenir des clauses pour partir en NBA, mais seulement après 2021. L’ancien joueur des Cleveland Cavaliers pourrait également signer en NBA cet été mais en échange d’un buy-out.\\n\\nCette saison, Walter Tavares compilait en moyenne 7,3 points et 6,2 rebonds en Euroleague, et 7,1 points et 7,1 rebonds en Liga Endesa." }, {"role": "user", "content":"Officiel: Le shooteur letton Rihards Lomazs s’engage avec l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Une nouvelle signature à LDLC ASVEL très active sur le marché des transferts, celle de l’arrière international letton Rihards Lomazs (1,90m, 23 ans) pour les deux prochaines saisons.\\n\\nCelui-ci est MVP et champion de la Ligue lettone-estonienne avec le club de Ventspils et il est réputé pour la qualité de son shoot à trois-points. Il était le meilleur marqueur de son équipe avec 15,0 points (64,1% aux tirs dont 50,0 à trois-points), 3,8 passes, 3,1 rebonds et 1,1 contre. Il était par ailleurs à 17,1 points et toujours à 50% à trois-points en Basketball Champions League.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Zimmy Nwogbo signe pour deux nouvelles saisons à Rouen" }, {"role": "assistant", "content":"Le Rouen Métropole Basket annonce la re-signature de son ailier « Big » Zimmy Nwogbo (1,90m, 27 ans) pour les deux prochaines saisons.\\n\\nL’ailier-fort américano-nigérian sort d’une saison très convaincante à 12,4 points, 5,4 rebonds et 13,6 d’évaluation.\\n\\n« Dur et appliqué en défense, Zimmy a été un des piliers de la dernière saison du RMB. Véritable guerrier sur le terrain, « Big Z » est très apprécié en dehors du parquet pour sa sympathie, sa bienveillance et sa bonne humeur. C’est pourquoi il sera une des fondations de l’équipe la saison prochaine », écrit le club sur son site internet.\\n\\n * Né le 25 Août 1991 (27 ans) à Atlanta, Georgie ; 2.01m – Ailier Fort\\n * Coéquipier d’Amin Stevens à Mt. Vernon Presbyterian\\n * Formé aux Etats-Unis (4 ans en NCAA)\\n * Meilleur match de la saison 2018-2019 : 23 pts, 8/13 aux tirs, 5-5 LF et 27 d’évaluation\\n * A réalisé 18 matchs de Pro B à 15 d’évaluation ou +. Soit plus d’un match sur deux\\n * Comprend et parle de mieux en mieux le français\\n\\nPARCOURS :\\n\\n2009-2011 : Charleston Southern (NCAA 1)\\n\\n2011-2013 : Cedarville (NCAA 2)\\n\\n2013-2015 : Clavijo Logrono (Espagne 2)\\n\\n2015-2016 : Amics Castello (Espagne 2)\\n\\n2016-2017 : Club Athletico Platense Florida (Argentine)\\n\\n2017-2018 : Brissac (NM1)\\n\\n2018/2019 : Rouen Métropole Basket (Pro B)\\n\\nPhoto: LNB\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19: La France atomise la Grèce (77-46) et se qualifie pour les quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"En s’imposant très largement à la Grèce en Crète (77-46), l’équipe de France U19 s’est qualifiée pour les quarts-de-finale de la Coupe du monde de la catégorie.\\n\\nMalgré la zone grecque, les Bleus ont fait une vraie différence dans le deuxième quart-temps (18-10) avant de prendre les choses définitivement en main en deuxième mi-temps. Les Grecs ont été paralysés par la défense française: 25,4% de taux de réussite avec un 4/27 à trois-points\\n\\nAvec 13 points Babcar Niasse a été le meilleur marqueur du match alors que Karlton Dimanche a obtenu la meilleure évaluation (20). Le coach Frédéric Caprez a pu faire tourner tous ses joueurs et l’équipe de France a bénéficié du retour de Mathis Dossou-Yovo qui s’était blessé contre la Chine.\\n\\nLes Bleus seront opposés vendredi à 20h30 au Canada vainqueur du Sénégal (79-90).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Kenny Baptiste (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les Bleues entre Riga et Belgrade" }, {"role": "assistant", "content":"Le voyage de l’équipe de France entre Riga et Belgrade où l’attend demain un quart-de-finale face à la Belgique, c’est le thème de « La Minute Inside » du jour avec des commentaires de Alexia Chartereau.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Jhornan Zamoro pose ses valises à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Fabrice Lefrancois a tenté un pari à l’aile pour remplacer Damien Bouquet avec Jhoran Zamoro (1,93m, 30 ans).\\n\\nHabitué des championnats espagnol et vénézuélien où il a effectué la totalité de sa carrière, Jhornan Zamoro va donc pour la première fois posé sa carrière en France, ce qui pourrait demander un certain temps d’adaptation.\\n\\nCet ailier bon défenseur était le meilleur marqueur de son équipe puisqu’il valait l’année dernière à Ourense dans la LEB Gold espagnole 14,8 points à 41%, 3 rebonds et 1,9 passe décisives en 26 minutes pour 11,3 d’évaluation." }, {"role": "user", "content":"L’ailier Jamel Artis signe aux Métropolitans 92" }, {"role": "assistant", "content":"Les Metropolitans 92 annonce la signature de l’arrière Jamel Artis (2,01m, 26 ans) dont ce sera la première expérience en Europe.\\n\\nFormé à Pittsburg, Jamel Artis a joué 15 matches avec les Orlando Magic en 2017-18 (5,1 points, 2,5 rebonds) et surtout 31 matches en G-League la saison écoulée pour 16,6 points, 4,5 rebonds et 3,2 passes." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Officiel, Axel Bouteille à Bilbao" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelque temps déjà, c’est désormais officiel. Le désormais ancien Limougeaud Axel Bouteille a signé à Bilbao en Espagne.\\n\\nLa saison écoulée en Eurocup, Axel Bouteille a tourné à 12,3 points et 3,9 rebonds.\\n\\nRetabet Bilbao est l’ancien club de Frédéric Weis et retrouve la Lgia Endesa après un séjour en LEB Oro.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\nOFICIAL: El alero internacional francés de 24 años Axel Bouteille firma con los hombres de negro. Bienvenue @BouteilleAxel!\\n\\n✅ 12,3 ptos y 3,9 rb en Eurocup 18/19\\n✅ Mejor % de acierto en T3 de la ProA con un 47.3%. 51% en Eurocup\\n\\nLee la Noticia aquí: https://t.co/efgex8lYmU pic.twitter.com/WVMgONIW2t\\n\\n— Surne Bilbao Basket 😎 (@bilbaobasket) July 3, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Ronald Roberts nouvel intérieur de Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Ronald Roberts (2,03m, 27 ans) est le nouvel intérieur de l’Elan Chalon. C’est un Américano-dominicain qui évoluait la saison écoulée en Allemagne, à Science City Jena.\\n\\n« Ronald ROBERTS n’est pas un nom inconnu de l’Elan Chalon puisqu’en 2014 à sa sortie de l’université de Saint-Joseph’s un contrat lui avait été proposé avant qu’il ne décide d’activer sa clause NBA », rappelle le club sur son site internet. « Appelé par les Philadelphia 76ers, il rejoint finalement 87ers Delaware (14 matchs pour 15,8 points et 11,6 rebonds de moyenne). En 2015/2016, il signe avec les Raptors de Toronto mais dispute la saison en G-League avec les Raptors 905, proposant là encore d’impressionnantes statistiques : 18,1 points et 12,1 rebonds de moyenne, lui valant une sélection au All Star Game G-League en 2016. »\\n\\nRonald Roberts a joué ensuite à Tofas en Turquie, à l’Hapoel Jérusalem et donc à Jena cumulant en moyenne 14,3 points, 6,3 rebonds en 22 minutes sur 15 matchs en Bundesliga.\\n\\n« Ronald est un joueur spectaculaire par sa mobilité, sa verticalité et sa puissance. Il va être complémentaire avec Ousmane. Je voulais déjà le recruter par le passé. Nous sommes donc heureux qu’il nous rejoigne. Il vient finaliser le recrutement du secteur intérieur avec Ousmane, Mickael, Etienne et Mathis « , commente le coach Philippe Hervé." }, {"role": "user", "content":"Dee Bost prolonge pour deux ans à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur américano-bulgare Dee Bost (1,88m, 29 ans) prolonge son séjour de deux années supplémentaires à l’AS Monaco. Dee Bost a été l’auteur d’excellents playoffs (12,1 points, 3,6 rebonds, 5 passes).\\n\\n\\n« En fait, j’ai reçu des offres plus grosses d’un point de vue financier... Ce que m’a proposé Monaco, c’était assez pour ce que je recherchais, être un joueur épanoui qui peut s’exprimer complètement. Je suis donc très heureux de cette signature, d’autant plus que ma famille se plaît parfaitement sur le Rocher », commente t-il sur le site du club.\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Une prolongation et une arrivée à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Eurohoops, l’ailier fort espagnol, Victor Claver (2,05m, 31 ans), déjà présent à Barcelone depuis deux ans, a prolongé son bail de trois années. Dans le même temps, le club vient d’annoncer l’arrivée de Cory Higgins (1,96m, 30 ans)\\n\\nC’est un homme du banc que vient de prolonger le club de la Catalogne. Après avoir resigné le meneur de jeu international français, Thomas Heurtel, pour deux ans plus une en option, c’est l’ailier fort Victor Claver qui repart lui aussi pour un cycle de trois ans.\\n\\nL’année dernière en Liga Endesa, le natif de Valence compilait 5,5 points à 42,3%, 3,9 rebonds et 1,2 passe décisive en 20 minutes de temps de jeu pour 8,2 d’évaluation.\\n\\n\\n🏀🖊@Victor_Claver is staying at @FCBBasket for three more seasons\\n\\n👉 https://t.co/LLX8IYJ0PS\\n\\n🔵🔴 #ForçaBarça! pic.twitter.com/Ruo2QFFIiB\\n\\n— Barça Basket (@FCBbasket) July 2, 2019\\n\\n\\nDu côté des arrivées, le club catalan a également annoncé celle de l’arrière américain Cory Higgins en provenance du CSKA Moscou. Celui-ci a aussi signé pour les trois prochaines années. Après quatre saisons passées du côté de la capitale russe, l’arrière découvrira donc son quatrième championnat étranger après avoir transité aussi par la Russie et la Turquie.\\n\\nEn 2018/2019, il valait en VTB League, 9,6 points à 45,8%, 1,7 rebond et 1,1 passe décisive pour 7,6 d’évaluation en 18 minutes.\\n\\nAu vu des récentes prolongations et signatures, et en attendant la confirmation officielle de celle de Nikola Mirotic, Barcelone se dirige donc vers un nouveau cycle de trois ans pour se reconstruire et aller reconquérir le titre national qui le fuit depuis 2014.\\n\\n\\n🏀 Agreement in principle for the addition of Cory Higgins\\n\\n✅ 30 year old Colorado graduate will wear the @FCBbasket jersey until 30 June 2022 once he has passed his medical\\n\\n👉 https://t.co/2KuUXEOnzd\\n\\n🔵🔴 #ForçaBarça pic.twitter.com/JK6ExIOIY9\\n\\n— Barça Basket (@FCBbasket) July 3, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"L’ASVEL mise sur le pivot belge Ismael Bako" }, {"role": "assistant", "content":"\\nLes grandes manoeuvres continuent à l’ASVEL qui annonce ce matin la signature du MVP belge de la ligue, MVP de la finale de la coupe de Belgique, élu dans le 5 idéal de la Basketball Champions League, le pivot Ismael Bako (2,08m, 95kg, 2,20m d’envergure, 23 ans) en provenance des Telenet Giants d’Anvers.\\n\\n« Meilleur joueur de la saison avec son club, excellent rebondeur, Ismael va apporter son énergie débordante et sa vélocité des deux côtés du terrain. Formé à l’école « basket européen », il dispose également d’une grosse maîtrise du Pick and Roll et ses qualités athlétiques seront des atouts de taille aussi bien sur la scène hexagonale qu’européenne », écrit l’ASVEL dans un communiqué.\\n\\nEn BCL, Ismael Bako a assuré 11,2 points à 57,5% aux tirs, 6,4 rebonds et 1,3 contre en 23′ de moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Nanterre recrute le meneur canadien de Boulazac, Kenny Chery" }, {"role": "assistant", "content":"Nouveau recrutement interne en Jeep Elite avec le passage du meneur canadien de Boulazac, Kenny Chery (1,80m, 27 ans) à Nanterre 92.\\n\\nAvec le BBD, Kenny Chery s’est classé troisième meilleur scoreur de Jeep Elite (16.7 points à 41% de réussite à 3-pts) avec en plus 3,4 rebonds et 4,3 passes de moyenne.\\n\\nLe Canadien avait joué auparavant à Baylor (NCAA), Fehervar (Hongrie), Séville et San Sébastien (Espagne)." }, {"role": "user", "content":"Sue Bird défend sa petite amie Megan Rapinoe contre Donald Trump" }, {"role": "assistant", "content":"Quatre fois championne olympique, quatre fois championne du monde, star de la WNBA, Sue Bird, 38 ans, a fait il y a deux ans son coming out dans une interview et dévoilée sa relation amoureuse avec la footballeuse Megan Rapinoe, actuellement en pleine lumière avec la Coupe du Monde de foot qui se tient en France.\\n\\nSue Bird vient d’écrire une lettre ouverte pour défendre sa petite amie sur le site The Players Tribune après que le président Donald Trump l’eut critiqué. En fait, Megan Rapinoe avait exprimé la semaine dernière son mépris envers l’administration Trump en confiant au magazine Eight by Eight qu’elle n’irait probablement pas à La Maison Blanche si l’équipe nationale américaine remportait la Coupe du monde. Ses mots exacts furent : « je ne vais pas aller à la putain de Maison Blanche ».\\n\\nFemme de convictions, Megan Rapinoe n’avait ainsi pas hésité une fois à s’agenouiller lors de l’hymne national en solidarité envers Colin Kaepernick, ce footballeur américain qui s’était rendu célèbre mondialement en s’agenouillant pendant l’hymne national dans le but de protester contre le racisme et les violences policières envers les minorités dans son pays. Trump avait alors déclaré:\\n\\n« Megan ne devrait jamais manquer de respect envers notre pays, la Maison Blanche ou notre drapeau, surtout depuis que beaucoup a été fait pour elle et son équipe »,\\n\\nSue Bird n’a pas mâché ses mots dans sa lettre et elle a affirmé à quel point elle est fière de sa petite amie et elle a qualifié Donald Trump « d’adolescent à part entière. » Elle a écrit aussi : « ce serait ridicule au point de rire, si ce n’était pas si grossier. » Elle lui lance une pique en faisant remarquer qu’il avait eu davantage de considération pour une coach blanche (Kim Mulkey) que pour une coach noire (Dawn Staley). Bird a également brièvement commenté la politique de Trump, qui « ruine la vie de tant d’innocents ».\\n\\nSue Bird a affirmé que sa petite amie semblait « insensible » à l’attaque du président. « Vous ne pouvez tout simplement pas secouer cette fille », a-t-elle écrit. « Elle va faire son truc, à sa propre vitesse, à son propre rythme, et elle va s’excuser auprès de PERSONNE pour cela. »" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19: France-Grèce à voir en direct sur YouTube à 19h30" }, {"role": "assistant", "content":"Pas le temps de respirer: l’équipe de France U19 enchaîne directement ce soir à 19h30, heure française, avec les huitièmes de finale de la Coupe du Monde.\\n\\nJusqu’ici les Grecs ont battu les Philippines (85-69) mais échoué devant la Russie (75-83) et l’Argentine (68-73). Ils ont souffert de leur manque d’efficacité à deux-points (41,7% de réussite contre 58,9% aux Bleuets).\\n\\nL’équipe de France est très dépendante de Joël Ayayi (23,0 points à 59,6% de réussite et 24,3 d’évaluation en 3 matches). La blessure à la cheville de Mathias Dossou-Yovo la pénalise fortement.\\n\\nVoir ici les statistiques.\\n\\nPhoto: Yohan Choupas (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: Julie Allemand à propos de Marine Johannès: «Si je peux la tuer, je le ferai»" }, {"role": "assistant", "content":"Cela aurait pu être le 110e et dernier match de Ann Wauters avec les Belgian Cats. Un avion Belgrade-Bruxelles les aurait ramené au plat pays en pleurs. Pas de quart-de-finale de l’Euro et surtout la porte des Préolympiques pour Tokyo 2020 se serait refermée sur elles.\\n\\nUn temps ballotées par les Slovènes, longtemps menacées, les Belges ont enfin vu la lumière dans la dernière minute pour l’emporter 72-67 et accrocher ce billet de quart-de-finale qu’elles joueront demain contre la France.\\n\\n« Je ne sais pas comment on l’a fait, je n’ai pas reconnu notre identité et j’ai très vite ressenti la nervosité envahir le groupe», a avoué Emma Meesseman au Soir. « Je suis fier de mon équipe, mais je ne l’avais jamais vu aussi stressée », a concédé son coach Philip Mestdagh.\\n\\nLe sauveur de la patrie, c’est Julie Allemand, la meneuse de l’ASVEL, qui a marqué les 10 points de son équipe dans le premier quart-temps, 25 au total, et un trois-points qui a permis aux Cats de prendre définitivement la tête dans la dernière minute.\\n\\n« Je pense que c’est mon meilleur score sous le maillot de la Belgique et je suis heureuse car je devais aussi m’adapter à la défense », a déclaré la Liégeoise au site de la FIBA. « C’était vraiment difficile et nous n’avons pas bien démarré le match. Je ne sais pas ce qui s’est passé, nous n’avons pas reconnu notre équipe. Nous nous sommes améliorés au deuxième quart-temps, mais après la pause, la situation était redevenue la même comme au début du match. »\\n\\nJulie Allemand va donc se retrouver face à la France qu’elle connaît si bien et à sa future équipière Marine Johannès:\\n\\n« J’aime vraiment son style et c’est toujours très spécial de jouer contre une équipe comme la France. Il ne reste plus qu’à gagner une fois pour que nous puissions figurer dans le Top Four », ajoutant en blaguant: « Je suis vraiment contente de jouer avec elle la saison prochaine car elle est géniale, mais maintenant elle sera aussi mon adversaire en quarts de finale et si je peux la tuer, je le ferai. »\\n\\nQuand on connait le mental de Julie Allemand, il va falloir que Marine Johannès, peu à son affaire jusqu’ici dans cet Euro, passe demain la surmultiplié.\\n\\nPhoto: Julie Allemand, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le tirage au sort de la Champions League à 11h en direct" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA retransmet en direct à partir de 11h le tirage au sort de la Basketball Champions League. Dijon, Pau et Strasbourg sont les trois équipes françaises engagées." }, {"role": "user", "content":"Nando De Colo intéresse aussi Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vise un retour en NBA où les Toronto Raptors possèdent ses droits, l’international Nando De Colo (1,96m, 32 ans) ne manquera pas de propositions en Europe si l’affaire ne se fait pas.\\n\\nAprès le Real Madrid et Valence, c’est le club turc de Fenerbahçe qui selon Sportando fait les yeux doux au Nordiste. Il serait alors associé à l’arrière grec Kostas Sloukas qui vient de prolonger son séjour à Istanbul jusqu’en 2022." }, {"role": "user", "content":"Un two-way contract avec les Chicago Bulls pour Adam Mokoka" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que personne n’a voulu de lui lors de la dernière draft et qu’il avait indiqué ne pas vouloir revenir à Gravelines, Adam Mokoka (1,96m, 20 ans) a réussi à obtenir un two-way contrat avec les Chicago Bulls pour la prochaine saison.\\n\\nIl pourra ainsi jouer en G-League et passer 45 jours avec les Bulls tout en pouvant signer à tout moment un contrat en NBA.\\n\\nAprès avoir été élu Meilleur Jeune de Jeep Elite lors de la saison 2017-18, le Parisien était parti au club serbe du KK Mega Bemax où il avait assuré 11 points, 3,8 rebonds, 3,7 passes et 1,3 interception.\\n\\n\\nOFFICIAL: The Bulls have signed guard Adam Mokoka to a Two-Way contract.\\n\\nMORE: https://t.co/j8ZgFgcUI7\\n\\n— Chicago Bulls (@chicagobulls) July 2, 2019\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Miro Bilan (ASVEL) et Elmedin Kikanovic (Monaco) sont libres !" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’ils étaient encore en principe sous contrat avec leur club respectif, les deux pivots finalistes des playoffs de Jeep Elite, le Croate de l’ASVEL Miro Bilan et le Bosnien de l’AS Monaco sont désormais libres indique le patron de l’agence BeoBasket Misko Raznatovic.\\n\\nMiro Blan a activé sa clause de sortie et ne devrait pas manquer de sollicitations après une très bonne saison (12,0 points et 6,4 rebonds). D’après Emiliano Carchia de Sportando, pour le remplacer, l’ASVEL serait sur le jeune big man nigérian Tonye Jekiri (2,13m, 24 ans), formé à Miami et passé par Ostende, auteur de 12,8 points et 10,2 rebonds avec Gaziantep dans le championnat turc.\\n\\n\\nMiro Bilan from Asvel and Elmedin Kikanovic from Monaco are free agents! #BeoBasket\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) July 2, 2019\\n\\n\\n\\nASVEL is showing serious interest in Tonye Jekiri, a source told @Sportando.\\nThe big man averaged a double double in BSL with Gaziantep this season (12.8ppg and 10.2rpg).\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) July 2, 2019\\n\\n\\nPhoto: Miro Bilan (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"La FIBA en collaboration avec le NBA pour créer la NBA junior" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA et la NBA étendent leur partenariat pour améliorer le développement du basket de jeunes à l’échelle de la planète.\\n\\nLa FIBA et la NBA veulent améliorer et développer la formation à l’échelle mondiale à travers une nouvelle collaboration : la NBA Junior (Jr. NBA), le programme mondial de la NBA pour filles et garçons.\\n\\nL’instance dirigeante du basket mondial va soutenir, à travers un partenariat étendu les efforts de formation et de développement de la NBA. La FIBA va s’investir pour améliorer le programme d’entrainement des coaches de Jr. NBA et va tenir des cours d’éducation des arbitres en lien avec Jr. NBA partout sur la planète.\\n\\nLa FIBA et la NBA vont également assurer la remise-à-neuf de plusieurs terrains et de salles sur des marchés spécifiques pour offrir aux enfants un environnement de jeu sécurisé et ludique pour apprendre et jouer au basket. Cette saison, la NBA et ses équipes vont toucher plus de 51 millions de jeunes dans 75 pays, bien souvent en partenariat avec les fédérations nationales, dans le cadre des ligues Jr. NBA (Jr. NBA league play), avec les écoles, des cliniques, des concours et d’autres événements à destination du public.\\n\\nLa FIBA et la NBA vont également s’associer pour le Jr. NBA Global Championship, un tournoi de basket pour les meilleurs joueurs de 13 et 14 ans, garçons et filles, partout sur la planète, que la NBA a lancé l’année dernière. La FIBA va s’atteler à améliorer l’organisation, faciliter l’accessibilité à travers toutes les compétitions de qualifications internationales et fournir des arbitres internationaux pour le tournoi Global Championship de cet été.\\n\\nLe deuxième Jr. NBA Global Championship se tiendra du 6 au 11 Août au ESPN World of Sports Complex, au sein du Walt Disney World près d’Orlando, en Floride. 32 équipes (16 des Etats-Unis d’Amérique et 16 en provenance du monde entier), garçons et filles d’Afrique, d’Asie, du Canada, de Chine, d’Europe, du Moyen-Orient, d’Amérique Latine et du Mexique prendront part au tournoi\\n\\nCe partenariat entre la FIBA et la NBA est le dernier d’un nombre important de collaborations étroites que les deux entités ont mené au cours de ces dernières années.\\n\\nFIBA et NBA ont co-fondé Basketball Without Borders (BWB), le programme mondial de développement du basket et de sensibilisations des communautés mis en place en 2001. La NBA et la FIBA ont tenu 58 camps BWB dans 37 villes dans 29 pays, pour un total de 3 400 participants. 68 d’entre-eux ont été draftés en NBA ou signés en tant qu’agent libre par une franchise.\\n\\nPlus tôt cette année, le partenariat entre la FIBA et la NBA a franchit un nouveau cap avec le lancement de la Basketball Africa League (BAL), une nouvelle ligue professionnelle regroupant 12 équipes de clubs venant de tout le continent africain. Le coup d’envoi de la BAL est programmé pour l’année prochaine. Il s’agit pour la NBA de sa première collaboration pour gérer une ligue en dehors de l’Amérique du nord." }, {"role": "user", "content":"NBA: Vincent Poirier va signer aux Boston Celtics" }, {"role": "assistant", "content":"Après une excellente saison dans la ligue espagnole et en Euroleague, le pivot international Vincent Poirier (2,13m, 25 ans) va signer un contrat de deux ans avec les Boston Celtics.\\n\\nAvec Baskonia Vitoria, Vincent Poirier tournait cette saison à 11,3 points et 8,1 rebonds en Euroleague. Meilleur rebondeur de la compétition, le Français a été élu dans le deuxième 5 idéal.\\n\\nIl s’agit d’une ascension fantastique pour le natif de Clamart qui, il y a trois ans, jouait encore essentiellement en Nationale 1 au Centre Fédéral.\\n\\n\\n2,650 M$ l'année pour Vincent Poirier aux Celtics. La franchise de Boston voulait le signer pour 3 ans mais Poirier et ses agents (Comsport) ont préféré un deal plus court. Le tricolore était suivi par Benas Matkevicius le scout international des Celtics depuis plusieurs saisons\\n\\n— Pascal Giberné (@PascalGibBN) July 2, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: Julie Allemand sauve la Belgique qui affrontera la France en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Jusque là en-dessous de ses standards à l’Euro, la meneuse de l’ASVEL Julie Allemand a évité à la Belgique une grave désillusion ce soir en match de barrage face à la Slovénie. Alors que les Belgian Cats étaient à la dérive (12-27), elle a pris leur destin en mains et scoré 16 de leurs 34 points en première mi-temps. C’est encore elle qui a planté un trois-points à 48 secondes du buzzer afin de faire passer la Belgique en tête (66-65). Ses équipières ont ensuite inscris suffisamment de lancers-francs pour se débarrasser pour de bon de ces coriaces Slovènes, 72-67.\\n\\nLes statistiques finales de Julie Allemand mettent en exergue 25 points (10-19 aux shoots), 4 rebonds et 3 passes. Emma Meesseman (18 points, 9 rebonds, 5 passes, 3 contres) et Kim Mestdagh (13 points, 11 rebonds) ont été comme d’habitude les autres piliers de l’équipe belge. La faiblesse du banc (10 d’évaluation sur les 92 de l’équipe) a été une fois de plus criarde.\\n\\nLe quart-de-finale Belgique/France est programmé jeudi à 18h.\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde U19 : La France tombe face à la Serbie (76-85) malgré les 33 points de Joël Ayayi" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir ouvert le feu avec brio face à Porto Rico (+23) et la Chine (+65), l’équipe de France est tombée en ce début d’après-midi sur un os à la Coupe du monde U19 : la Serbie. Les Bleuets se sont inclinés, 76-85.\\n\\nAprès avoir été mené 36-46 à la mi-temps, les Français sont revenus à 4 points par la suite mais sans pouvoir opérer la jonction. Joël Ayayi a été une fois de plus offensivement brillant avec 33 points (12/22 aux tirs) et 31 d’évaluation en 28′.\\n\\nEn face, l’intérieur Filip Petrusev (2,11m) équipier de Ayayi à Gonzaga et l’ailier Marko Pecarski (2,08m) ont également sorti leurs habits de gala avec respectivement 18 points et 13 rebonds, et 28 points et 9 rebonds.\\n\\nLes Bleuets étaient privés de Mathis Dossou-Yovo qui s’est blessé à la cheville face à la Chine.\\n\\nLa France se classe ainsi deuxième du groupe D, et affrontera en 8e de finale l’Argentine, la Russie ou la Grèce.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n.@Joel_Ayayi has 20 points in the second half for @FFBasketball! 🇫🇷 #FIBAU19\\n\\n📺 Watch live: https://t.co/30FM22MXOW pic.twitter.com/oNrmsRXrpt\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 2, 2019\\n\\n\\nPhoto: Joel Ayayi (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Jonathan Tabu débarque au Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Le capitaine de la sélection belge Jonathan Tabu s’est engagé, ce jour, pour la prochaine saison pour l’ESSM Le Portel.\\n\\nDu Mans au Portel, voilà le chemin que va faire Jonathan Tabu (1,89m, 33 ans). L’expérimenté meneur arrive pour apporter sa vista, son expérience et son leadership. Tout autant de qualités qui ont fait défaut à l’équipe du Portel version 2018/2019.\\n\\nSur sa demi-saison écoulée au Mans, sous les ordres de coach Bartecheky, l’ancien joueur du Spirou Charleroi valait 7,2 points à 43,3% aux tirs, 1,3 rebond et 3,1 passes décisives pour 7,3 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu. Il formera une paire complémentaire avec l’autre meneur Benoit Mangin (1,89m, 31 ans)\\n\\nLe coach Eric Girard s’est félicité de cette signature et l’a analysé sur le site officiel du club:\\n\\nAccueillir le Capitaine de l’équipe de Belgique, un joueur qui vient de passer 3 ans en Espagne, dans l’un des championnats les plus réputés d’Europe, ainsi qu’une bonne pige au Mans, est une belle satisfaction pour nous. Jonathan composera notre paire d’arrières avec Benoît, il nous apportera son expérience du haut niveau, de la Jeep Élite, son adresse à 3-points ainsi que le leadership qui nous a tant fait défaut la saison passée... Et quoi de plus facile d’incorporer un joueur habitant à moins de 3h de le Portel et parlant notre langue !? Ce duo de « choc » avec Benoît, sera complété par un arrière scorer Américain et le recrutement de nos extérieurs sera au complet...\\n" }, {"role": "user", "content":"Limoges se sépare de son pivot Samardo Samuels" }, {"role": "assistant", "content":"« Le Limoges CSP et Samardo SAMUELS se séparent d’un commun accord. Le Limoges CSP souhaite le meilleur à Samardo pour la suite de sa carrière. Le club continue à travailler sur la construction de son équipe pour la saison 2019-2020 », indique le club dans un bref communiqué.\\n\\nLe pivot jamaïcain Samardo Samuels (2,08m, 30 ans) était arrivé dans le Limousin en février 2018 avec à la fois un CV flatteur et la réputation d’être un homme difficile à gérer. L’ancienne équipe dirigeante n’avait pas hésité à le re-signer pour deux ans mais son comportement a été parfois trouble et il n’a pas toujours été convaincant sur le terrain (9,4 points, 3,9 rebonds en 17′ par match en Jeep Elite). De quoi donc convaincre le nouveau staff de ne pas le conserver.\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Le Nigérian Obinna Emegano de Dijon au Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Après les intérieurs expérimentés Jacques Alingué et JP Batista, Le Mans Sarthe Basket signe l’arrière Obinna Emegano (1,90m, 26 ans) pour une saison. L’international nigérian appelé à disputer la prochaine Coupe du Monde en Chine arrive en provenance de la JDA Dijon.\\n\\nCet extérieur hyper puissant et cubique est ce que les Américains appellent un « 3 and D », c’est-à-dire un spécialiste des tirs à 3-pts et de la défense, et il a l’avantage de posséder le passeport britannique.\\n\\n« Je suis très heureux d’accueillir Obi. Il nous apporte une dimension physique sur les lignes arrières, avec une densité assez rare à ce poste de jeu. D’autre part, sa capacité à scorer sans trop utiliser le ballon nous a séduits. C’est un two-way player, un joueur qui participe des deux côtés du terrain. Tous les retours humains sont positifs et unanimes, comme les échanges que j’ai pu avoir avec lui. Son éthique de travail nous laisse à penser qu’il possède une belle marge de progression. Obi a les capacités d’avoir de l’impact offensif en Jeep ÉLITE, dans un registre complémentaire à tous nos extérieurs », commente le coach Dounia Issa.\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Western Illinois (NCAA) en 2012. Oral Roberts (NCAA) de 2013 à 2016. Casale Monferrato (Italie 2) puis Polfarmex Kutno (Pologne) en 2017. Rouen (Pro B) en 2018. Dijon (Jeep ÉLITE) en 2019.\\n\\nStatistiques 2019 (Jeep ÉLITE) : 8,1pts à 48.5% aux tirs, dont 43.9% à 3pts, et 86.8% aux lancers-francs, 2,2rbds, 1,1int, 0,9pd et 8,4 d’évaluation en 34 matches (22 min/m)" }, {"role": "user", "content":"Le secret de la venue de Nikola Mirotic au Barça: La section football" }, {"role": "assistant", "content":"Une très large majorité des fans du basket -et c’est valable aussi pour le foot- ne s’intéresse qu’à la réalité du terrain. Ce qui se passe dans les coulisses financières des clubs n’est pas leur souci. Le sport spectacle est un divertissement, de l’entertainment comme disent les Américains, alors pourquoi chercher la petite bébête dans les comptes des clubs surtout quand ceux-ci sont étrangers.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSeulement, le devoir d’un journaliste c’est au moins de mettre le nez là où les situations lui semblent bancales si ce n’est abracadabrantesques. Plusieurs fois BasketEurope a publié les chiffres de déficit de quelques clubs européens, le Real Madrid, le FC Barcelone et Fenerbahçe en tête, et fait appel à des économistes (1 et 2) du sport pour leur demander si justement il y a une économie en Euroleague. Leur réponse commune est NON.\\n\\nAvouons que même vacciné, nous avons encore été surpris ce week-end par l’annonce faite par la presse espagnole comme quoi le FC Barcelone aurait fait une offre à 70 millions d’euros sur 6 ans à l’international des Milwaukee Bucks, Nikola Mirotic, devenu agent libre. Record d’Europe pulvérisé. Voici donc un club européen capable de concurrencer les propositions de franchises NBA ! On se serait cru revenu au Spaghetti Circuit des années 80 quand les clubs italiens rivalisaient avec les franchises américaines, avant telle la grenouille de La Fontaine de s’en faire péter la panse.\\n\\nFaut-il se réjouir d’une telle annonce ?\\n\\nNous n’avons pas à disposition toutes les données nécessaires pour comparer l’ACB espagnol et l’Euroleague d’un côté et de l’autre la NBA en matière de droits télévisuels, de marketing, d’hospitalité et de merchandising. On sait simplement qu’ils sont justement incomparables. Une enquête de AS a démontré que le Barça a généré pour la saison 2017-18, 11,1 millions de revenus, soit grosso-modo ce que l’ASVEL envisage pour la saison prochaine en Euroleague. Soit.\\n\\n * 2,5 en billetterie et abonnés\\n * 5,2 en sponsors\\n * 2,7 en droits télés\\n * 0,7 autres\\n\\nLe Barça c’est 5 793 spectateurs de moyenne en 15 matches d’Euroleague alors que les Utah Jazz, qui étaient a priori intéressés par Mirotic, c’est 18 306 en 41 matches de NBA. Et les prix des billets ne sont pas les mêmes dans les deux ligues. Les recettes aux guichets sont au final d’une toute autre ampleur.\\n\\nLe secret économique du FC Barcelone, club omnisports -le même que le Real Madrid- est connu. C’est la section football. D’après la communication officielle du club, le Barça prévoyait au début de cette saison 2018/19 un chiffre d’affaires de 960 millions d’euros de revenus et un bénéfice net de 11 M€.\\n\\nD’après la presse espagnole, la seule autre section du club qui est rentable, c’est... le foot féminin. Il faut dire que le budget de celle-ci est on ne peut plus raisonnable : 1,5 à 2M€ la saison. En revanche, le basket-ball, le futsal, le roller hockey et le handball représentent une perte cumulée de 40M€. Et le plus grand delta entre les produits et les charges est l’apanage du basket avec 25,02M€ pour la saison qui vient d’être clôturée. Vous apprécierez la précision du chiffre.\\n\\nPalacio 23 nous apprend par ailleurs que le chiffre d’affaires de la section handball est misérable : 1,78M€ (1,2M€ pour le sponsoring, 406 000 de droits TV et seulement 165 000€ pour les abonnements et la billetterie) ! Le montant des pertes est estimé à 8,08M€ soit plus de quatre fois celui des recettes. 1,78M€, c’est le budget de Chartres, la lanterne rouge de notre Pro B. Seulement le Barça hand est neuf fois de suite champion d’Espagne et a gagné neuf fois la Ligue des Champions sur les trente dernières années.\\n\\nPalacio 23 envoyait par ailleurs une pique à la section basket du Barça qui n’est pas apparu au Final Four de l’Euroleague sur les cinq dernières saisons :\\n\\n« Dans ce sport, la comparaison révèle que le Real Madrid est en mesure d’optimiser davantage ses ressources en termes de résultats sportifs. En revanche, on espère que les investissements réalisés augmenteront davantage les revenus provenant de l’ACB et de l’Euroleague de sorte qu’à un moment donné, il puisse être rentable de rivaliser avec l’élite et de conserver une partie du talent parti en NBA. »\\n\\nEn offrant autant d’argent à Nikola Mirotic, mais aussi en accordant 11M€ à Thomas Heurtel sur trois saisons, en attendant les prochaines annonces, le Barça a décidé d’employer les grands moyens pour rivaliser avec le Real et les autres seigneurs de l’Euroleague. Pour ce qui est du financement, tant le conseil d’administration du club catalan donnera son feu vert, rien ne résistera aux caprices -on allait écrire à la mégalomanie- des dirigeants du basket.\\n\\nLe budget de l’Olympique Lyonnais est de 280M€. Jean-Michel Aulas vient de signer un partenariat avec l’ASVEL de Tony Parker. On serait surpris qu’il soit prêt à effacer de telles ardoises et donc à se payer un Nikola Mirotic.\\n\\n[armelse]\\n\\nSeulement, le devoir d’un journaliste c’est au moins de mettre le nez là où les situations lui semblent bancales si ce n’est abracadabrantesques. Plusieurs fois BasketEurope a publié les chiffres de déficit de quelques clubs européens, le Real Madrid, le FC Barcelone et Fenerbahçe en tête, et fait appel à des économistes (1 et 2) du sport pour leur demander si justement il y a une économie en Euroleague. Leur réponse commune est NON.\\n\\nAvouons que même vacciné, nous avons encore été surpris ce week-end par l’annonce faite par la presse espagnole comme quoi le FC Barcelone aurait fait une offre à 70 millions d’euros sur 6 ans à l’international des Milwaukee Bucks, Nikola Mirotic, devenu agent libre. Record d’Europe pulvérisé. Voici donc un club européen capable de concurrencer les propositions de franchises NBA ! On se serait cru revenu au Spaghetti Circuit des années 80 quand les clubs italiens rivalisaient avec les franchises américaines, avant telle la grenouille de La Fontaine de s’en faire péter la panse.\\n\\nFaut-il se réjouir d’une telle annonce ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Les trois frères Antetokounmpo pré-sélectionnés pour la Coupe du monde !" }, {"role": "assistant", "content":"Le MVP de la NBA 2019, Giannis Antetokounmpo (2,11m, 24 ans) fait comme prévu partie de la pré-sélection de 18 joueurs constituée pour la Coupe du monde tout comme ses deux frères, Thanassis (2,01m, 26 ans, Panathinaikos) et Kostas (2,11m, 21 ans, Texas Legens)\\n\\nLa pré-sélection: Giannis Athinaiou, Giannis Antetokounmpo, Thanassis Antetokounmpo, Kostas Antetokounmpo, Panagiotis Vasilopoulos, Nick Calathes, Antonis Koniaris, Giannoulis Larentzakis, Vangelis Mantzaris, Dinos Mitoglou, Giannis Bourousis, Tyler Dorsey, George Papayannis, Kostas Papanikolaou, Ioannis Papapetrou, George Printezis, Christos Saloustros et Kostas Sloukas.\\n\\nKostantinos Mitoglou\\n\\nPhoto: Giannis Antetokounmpo (Nike)" }, {"role": "user", "content":"Fabien Causeur prolonge au Real !" }, {"role": "assistant", "content":"Grand absent de la liste de Vincent Collet pour la prochaine Coupe du Monde en Chine, Fabien Causeur (32 ans, 1m96) voulait se concentrer sur les négociations de son nouveau contrat.\\n\\nAuteur d’une nouvelle saison plus que solide dans la rotation madrilène, à hauteur de 7 points par match en Euroleague (dont 15 lors du dernier Final Four), l’ancien Choletais aurait donné son accord pour une prolongation de trois saisons dans le club madrilène (selon EuroHoops).\\n\\n\\n#EuroLeague Fabien Causeur has agreed to sign a 3 years extension with Real Madrid sources tell @Eurohoopsnet\\n\\n— Nikos Varlas (@VarlasOCT) July 2, 2019\\n\\n\\nDéjà très en vue lors du titre européen du Real la saison passée – il avait terminé meilleur scoreur de la finale à 17 points, Causeur se plaît visiblement très bien au Real.\\n\\nA 32 ans, l’arrière gaucher signe là un contrat qui vient couronner sa trajectoire entamée du côté du Havre en 2005 chez les Pros. Après ses quatre saisons à Vitoria, Causeur se dirige donc vers un quinquennat dans la capitale espagnole..." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: La Belgique en repêchage" }, {"role": "assistant", "content":"Pour se confronter à la France jeudi en quart-de-finale, la Belgique doit auparavant sauter par-dessus l’obstacle slovène. Elle a besoin de la performance de tout ses cadres y compris de celle de la meneuse de l’ASVEL Julie Allemand au prise jusqu’ici à une maladresse inhabituelle.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA Zrenjanin, ville de Serbie de 75 000 habitants située dans la province autonome de Voïvodine, la Belgique a échoué de quatre points (66-70) face au pays hôte, ce qui l’oblige à disputer aujourd’hui un match de barrage face à la Slovénie avant éventuellement de retrouver l’équipe de France jeudi en quart-de-finale.\\n\\nEvidemment, à la maison, les Serbes étaient surmotivées et dans ce « groupe de la mort », elles avaient déjà réussi à s’imposer à la Biélorussie (+2) et à la Russie (+14) alors que les Belgian Cats, si elles s’étaient débarrassées des Russes (+13), avaient commis un faux-pays inattendu pour une équipe classée quatrième à la dernière Coupe du Monde face à la Biélorussie (-8).\\n\\nCe Serbie-Belgique fut très engagé et interrompu plusieurs minutes à 66 secondes du terme pour cause de fuites d’eau dans le toit ! Deux remises en jeu mal ajustées avec à l’origine la future Nantaise Antonia Delaere, par ailleurs auteure de 12 points, ont fait perdre aux Belges le bénéfice de leur belle résistance. Jelena Brooks concluant d’un trois-points au buzzer le succès des filles de Marina Maljkovic.\\n\\nLe journaliste du Soir, le quotidien de Bruxelles, Stéphane Druart, voit du positif dans cette courte défaite :\\n\\n« Les Cats n’ont donc pas à rougir de cette défaite face aux Serbes, championnes d’Europe il y a 4 ans et médaillées de bronze aux Jeux dans la foulée, évoluant à domicile, avec une équipe très dynamique. Pour la première fois, les Belges n’étaient pas dominées en taille, ce qui stimula un rythme infernal, une énorme intensité, une animation constante et une indécision totale jusqu’à la dernière action... »\\n\\nQuant au coach Philip Mesdagh, il ne pouvait cacher sa déception :\\n\\n« Il ne nous a pas manqué grand-chose. Nous sommes devant pendant 31 minutes et nous tenons encore l’égalité à l’entrée de la dernière minute. Dommage ces pertes de balles et les 17 points encaissés dans les cinq dernières minutes. On sait que les Serbes vivent pour des moments pareils et se nourrissent du support incroyable de leur public. Mais cela fait mal après une tel combat.”\\n\\nDes Serbes survoltées et des Belges aux mains moites, c’est bien l’avis de Emma Meesseman :\\n\\n« On savait que les Serbes vivent pour ce genre de duel. De notre côté, nous avons été progressivement paralysées par le stress. Nous devons en tirer les leçons pour les tâches à venir. »\\n\\nLes Belgian Cats ont donc désormais l’obligation de passer sur le corps des Slovènes qui, elles, ont bouté les Turques hors de la compétition (+7) mais ont succombé face aux Hongroises (-4) et surtout déraillé devant les Italiennes (-18). Une équipe slovène qui avait surpris la France en qualification à Celje (+6) avant de se faire tailler en morceaux au retour à Charleville (-44).\\n\\nConstruite sur la base d’une génération de U20 talentueuses, l’équipe de Slovénie possède quelques belles individualités avec la meneuse Nika Baric d’Ekaterinbourg, l’arrière Teja Oblak de USK Prague, la pivot de Eva Lisec de Schio ou l’intérieure américaine naturalisée Shante Evans, qui était jusqu’ici à Villeneuve d’Ascq. On connait l’importance de ce barrage puisque le vaincu sera non seulement écarté de la phase finale de l’Euro mais aussi des tournois de qualification aux Jeux Olympiques. Ça ferait désordre pour les Belgian Cats qui partent largement favorites.\\n\\nLa Belgique possède un atout maître avec celle qui est probablement la meilleure joueuse d’Europe, l’intérieure à tout faire, Emma Meesseman (1,92m, 26 ans), qui après trois matches est à la fois sa meilleure marqueuse (24,3 points), sa meilleure rebondeuse (9,0) et une excellente passeuse (2,0). Avec 29,3, l’ancienne joueuse de Villeneuve d’Ascq aujourd’hui à Ekaterinbourg possède la meilleure évaluation du tournoi.\\n\\nRien à redire non plus sur les productions de Kim Mestdagh, la nouvelle Flamme Carolos de Charleville, qui est la deuxième marqueuse (14,3) et passeuse de l’équipe (2,3) et tout naturellement la deuxième à l’évaluation (15,7). Et, insistons, Antonia Delaere, malgré ses deux bévues face à la Serbie, est offensivement dans les clous (8,0 points).\\n\\nSeulement, la Belgique ne possède que la 10e attaque de cet Euro (64,7 points, à comparer aux 77,7 points de la France qui est première) avec un vilain pourcentage de réussite (37,8), tout spécialement à trois-points (23,8). Et là, il faut mettre en exergue des chiffres qui piquent très forts les yeux, ceux de la meneuse de l’ASVEL, Julie Allemand, reconnue comme la numéro 1 à son poste en Ligue Féminine, d’habitude si sûre dans ses choix et qui affiche un 4/20 aux tirs dont un 1/10 à trois-points, le tout pour 5 points en moyenne. Autre maillon faible, le rebond.\\n\\n« 12 contre la Russie, 16 face à la Biélorussie et 20 contre la Serbie ! Jusqu’où va-t-on se faire manger? » tonne le coach dans les colonnes du Soir. « J’ai cité Charles Barkley: “Ma technique au rebond ? Je pose les pieds au sol et j’arrache le ballon !” Il faut du physique, mais surtout de la volonté. »\\n\\nLes Belgian Cats ne disposent pas de réserves abondantes mais les deux étés précédents les joueuses du banc étaient sublimées par les performances des cadres. Julie Allemand en est une majeure et ses défaillances se ressentent sur le collectif. Est-elle physiquement et mentalement au bout du rouleau après une saison longue et exigeante ? Une autre Belge, la Reine Ann Wauters, est par ailleurs l’ombre d’elle-même (3/14 aux shoots, 3/7 aux lancers, 8 fautes en 50’ de jeu) mais est-ce surprenant à bientôt 39 ans et après une saison blanche en raison d’une blessure au genou ?\\n\\n« L’équipe dépend trop de deux joueuses : Meesseman, à qui je ne peux pas demander plus, et Kim », reconnaît Philip Mestdagh en parlant de l’une de ses deux filles. «Toutes les autres doivent apporter plus. Oui, on est un peu dans le dur par rapport aux attentes créées par nos précédentes campagnes mais depuis jeudi nous avons sorti deux parties de très haute volée au niveau de l’intensité. J’ai confiance en la capacité de mes joueuses d’en faire de même face à la Slovénie. »\\n\\nLes Belges ne sont plus dans l’euphorie qui a caractérisé leurs deux étés précédents mais les Slovènes -et probablement ensuite les Françaises- devront se méfier d’une bête blessée.\\n\\nPhoto ouverture: Julie Allemand (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nA Zrenjanin, ville de Serbie de 75 000 habitants située dans la province autonome de Voïvodine, la Belgique a échoué de quatre points (66-70) face au pays hôte, ce qui l’oblige à disputer aujourd’hui un match de barrage face à la Slovénie avant éventuellement de retrouver l’équipe de France jeudi en quart-de-finale.\\n\\nEvidemment, à la maison, les Serbes étaient surmotivées et dans ce « groupe de la mort », elles avaient déjà réussi à s’imposer à la Biélorussie (+2) et à la Russie (+14) alors que les Belgian Cats, si elles s’étaient débarrassées des Russes (+13), avaient commis un faux-pays inattendu pour une équipe classée quatrième à la dernière Coupe du Monde face à la Biélorussie (-8).\\n\\nCe Serbie-Belgique fut très engagé et interrompu plusieurs minutes à 66 secondes du terme pour cause de fuites d’eau dans le toit ! Deux remises en jeu mal ajustées avec à l’origine la future Nantaise Antonia Delaere, par ailleurs auteure de 12 points, ont fait perdre aux Belges le bénéfice de leur belle résistance. Jelena Brooks concluant d’un trois-points au buzzer le succès des filles de Marina Maljkovic.\\n\\nLe journaliste du Soir, le quotidien de Bruxelles, Stéphane Druart voit du positif dans cette courte défaite :\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce : L’Olympiakos veut faire revenir Milos Teodosic" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Eurohoops, le club grec du Pirée aurait fait une offre conséquente au meneur serbe Milos Teodosic (1,95m, 32 ans).\\n\\nLe meneur natif de Valjevo devrait faire son retour en Europe, et cela pourrait être dans un club qu’il connait bien pour y avoir passé 4 saisons entre 2007 et 2011.\\n\\nL’Olympiakos lui aurait formulé une offre de 2,5 millions de dollars sur 2 ans. L’ex meneur des Clippers de Los Angeles n’aurait pas donné de suite, préférant, pour l’instant, évaluer toutes les options possibles. Il est notamment en contact avec la Virtus Bologne coachée par son compatriote Sacha Djordjevic.\\n\\nAprès une saison 2018/2019 raccourcie (seulement 15 matchs joués), Milos Teodosic compilait en NBA, 3,2 points à 42,5% et 2,1 passes décisives pour 3,4 d’évaluation en seulement 10 minutes de temps de jeu." }, {"role": "user", "content":"ALM Evreux : Florent Tortosa signe son retour" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa courte pige de 7 matchs en 2014/2015 à l’ALM Evreux, Florent Tortosa (1,96m, 29 ans) s’est engagé hier de nouveau pour l’équipe coachée par Fabrice Lefrançois mais cette fois pour deux saisons.\\n\\nC’est un joueur d’expérience que vient de recruter le coach Fabrice Lefrançois à l’aile. Avec le probable départ de Drake Reed vers d’autres cieux, il fallait quelqu’un de ce profil à l’aile pour le remplacer.\\n\\nFlorent Tortosa, qui vivra sa 9ème et 10ème saison dans l’Eure, compilait la saison dernière du côté de Lille 8,4 points à 48,1% aux tirs, 2,8 rebonds et 1 passe décisive pour 8 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu." }, {"role": "user", "content":"Le meneur de Limoges Jordan Taylor arrive à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL continue de faire ses emplettes avec le signature du meneur de jeu américain Jordan Taylor (29 ans, 1,85m) qui portait cette saison le maillot de Limoges.\\n\\nJordan Taylor a été finaliste du championnat en Italie (Rome), avant de rejoindre Israël (All Star avec Hapoël Holon), l’Allemagne (vainqueur de la coupe avec l’Alba Berlin), la Turquie (Galatasaray) et donc la France à Limoges à partir de novembre dernier.\\n\\nAuteur de 12,2 points (41,3% à trois-points), 2,5 rebonds et 7,0 passes pour 15,8 d’évaluation en Jeep Elite, il a démontré au CSP ses qualités de patron.\\n\\nPhoto: Limoges CSP" }, {"role": "user", "content":"Johannes Voigtmann passe de Vitoria au CSKA" }, {"role": "assistant", "content":"Johannes Voigtmann (26 ans, 2m11) vient non seulement de devenir la première signature de l’intersaison mais également le premier joueur allemand recruté par le CSKA Moscou. A Vitoria ces trois dernières saisons, le pivot international a décidé d’accepter l’offre de contrat de deux ans offert par le CSKA.\\n\\nSuivi également outre-Atlantique, par les Wizards notamment, Voigtmann a donc préféré poursuivre sa montée en puissance en Europe, chez le champion en titre en Euroleague, tout simplement.\\n\\n« Je suis très content d’être à Moscou, dans un club aussi prestigieux », a commenté Voigtmann sur le site officiel du CSKA. « J’espère qu’on va gagner beaucoup de titres et qu’on vivra de grands moments. »\\n\\nCette saison, Voigtmann tournait à 7 points, 6 rebonds et 3 passes de moyenne en Euroleague. Moins en réussite aux tirs que sur ses deux premières saisons au Pays Basque, le grand pivot allemand a surtout progressé à la passe et dans sa vision du jeu.\\n\\nAvec les départs d’Othello Hunter et Alecs Peters, Voigtmann va obtenir de belles responsabilités dans la raquette russe.\\n\\n« On a suivi Johannes ces trois dernières saisons à Vitoria », a précisé coach Itoudis. « Il est à un bon moment de sa carrière et amènera de l’expérience à notre équipe. On a déjà parlé plusieurs fois et je sais qu’il a refusé plusieurs offres pour venir chez nous. C’est un joueur polyvalent, avec de la taille, très bon rebondeur et qui peut tirer de loin. On est très heureux de l’avoir avec nous. »" }, {"role": "user", "content":"Italie: Marco Belinelli, Danilo Gallineri et Nicolo Melli dans la pré-sélection pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"A une vingtaine de jours du premier rassemblement en vue de la Coupe du monde, le coach Meo Sacchetti a annoncé une liste de 24 joueurs qui seront appelés à constituer l’équipe nationale italienne.\\n\\nMarco Belinelli (San Antonio Spurs), Danilo Gallineri (LA Clippers), Nicolo Melli, qui vient de signer aux New Orleans Pelicans et encore Luigi Datome (Fenerbahçe) font partie de cette liste très élargie.\\n\\nAwudu Abass (1993, 198, A)\\nPietro Aradori (1988, 196, A)\\nMarco Belinelli (1986, 196, G)\\nPaul Biligha (1990, 200, C)\\nJeff Brooks (1989, 203, A)\\nAndrea Cinciarini (1986, 190, P)\\nLuigi Datome (1987, 203, A)\\nAmedeo Della Valle (1993, 194, G)\\nAriel Filloy (1987, 190, P)\\nDiego Flaccadori (1996, 193, G)\\nDanilo Gallinari (1988, 208, A)\\nAlessandro Gentile (1992, 200, G / A)\\nDaniel Hackett (1987, 199, G)\\nNicolò Melli ( 1991, 205, A)\\nRiccardo Moraschini (1991, 194, G / A)\\nDavide Moretti (1998, 188, P / G)\\nDavide Pascolo (1990, 202, A)\\nAchille Polonara (1991, 205, A)\\nGiampaolo Ricci (1991 , 201, A)\\nBrian Sacchetti (1986, 200, A)\\nAmedeo Tessitori (1994, 208, C)\\nStefano Tonut (1993, 194, G)\\nLuca Vitali (1986, 201, P)\\nMichele Vitali (1991, 196, G)\\n\\nPhoto: Marco Belinelli (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: L’arrivée de AJ Slaughter confirmée à Séville" }, {"role": "assistant", "content":"L’Américano-polonais AJ Slaughter (1,91m, 32 ans en août) est devenu la première signature de Real Betis Energía Plus pour la saison prochaine.\\n\\nAJ Slaughter a effectué une bonne partie de sa carrière en France, à Cholet (2012-13), Chalon (2013-14), Strasbourg (2016-17) et Villeurbanne ces deux dernières saisons avec qui il vient de conquérir le titre de champion de France.\\n\\nL’arrière originaire de Louisville n’est pas réputé pour sa défense mais pour sa capacité à scorer. En Jeep Elite, il a tournée cette saison à 11,0 points (43,3% à trois-points), 1,9 rebond et 1,8 passe.\\n\\nSlaughter possède une expérience internationale avec l’équipe nationale de Pologne, avec une participation à l’Eurobasket de 2015 et à la récente phase de qualification pour la Coupe du monde.\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Pro B: SLUC Nancy, le tournant de la rigueur ?" }, {"role": "assistant", "content":"Avec un montant de 905 000 euros, le SLUC Nancy avait déclaré en début de saison 2018-19 la troisième masse salariale de Pro B derrière Orléans et Roanne. Les deux premiers vont retourner en Jeep Elite, pas le SLUC.\\n\\nLe nouveau directoire s’est présenté hier aux médias locaux et Aurélien Fortier fraîchement nommé président devrait donner un tour de vis dans les dépenses.\\n\\n« Donc, le constat est le suivant : le SLUC, seul club professionnel avec des fonds propres négatifs, a tendance à vivre au-dessus de ses moyens. Y compris sur le terrain sportif », fait remarquer l’Est Républicain avant de donner la parole au président:\\n\\n« À la vue des contrats des joueurs, un certain nombre de choses me surprennent. Pour un certain nombre de dossiers, je pense que nous avons tendance à surpayer les joueurs [...]. Nous ne pouvons pas vivre dans l’aisance d’un club de Jeep Élite participant à l’Euroleague, comme cela a été le cas par le passé, alors que nous nous trouvons dans un contexte de Pro B qui nous oblige à beaucoup plus de rigueur ».\\n\\nAurélien Fortier n’a eu pour l’instant le coach Christian Monschau qu’au téléphone:\\n\\n« je lui ai proposé de profiter pleinement de ses vacances, parce que le retour allait être... sportif ! »" }, {"role": "user", "content":"Gravelines: Pas de retour d’Adam Mokoka" }, {"role": "assistant", "content":"Dans les colonnes de La Voix du Nord, le Directeur Exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque, Hervé Beddeleem, confirme que la venue de Pape Sy au club est en phase de finalisation, précisant que c’est l’ancien Choletais qui a souhaité y revenir en apprenant que son coach serait Eric Bartecheky qu’il a eu du temps du centre de formation du Havre.\\n\\nEn revanche, le BCM ne reverra pas l’arrière Adam Mokoka (1,96m, 20 ans), à qui il reste pourtant un an de contrat. Elu Meilleur Jeune de Jeep Elite en 2018, celui-ci était parti au club serbe du KK Mega Bemax dans le but d’être drafté en suite pat un club NBA, en vain. Il va tenter maintenant sa chance dans les summer leagues afin de décider une franchise à le signer.\\n\\nPhoto: BCM" }, {"role": "user", "content":"Les photos: Le retour de Giannis Antetokounmpo, MVP de la NBA, à Athènes" }, {"role": "assistant", "content":"Le week end dernier, le MVP de la NBA, Giannis Antetokounmpo, alias le Greek Freak, est retourné dans sa ville d’enfance, Athènes, à l’occasion du lancement de sa première chaussure signature Nike.\\n\\nLes frères Antetokounmpo, Thanasis (né en 1992), Giannis (1994), Kostas (1997) et Aleksandros (2001), fils d’immigrés originaires du Nigéria, ont connu la misère et il y a une dizaine d’années, ils vendaient des montres et des DVD aux touristes de l’Acropole.\\n\\nDans le quartier Sepolia, au nord de la ville, le graffeur Same84 a dessiné sur un playground une immense fresque représentant l’ailier des Milwaukee Bucks.\\n\\nPhotos: Nike" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Tyrese Rice signe au Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"L’expérimenté arrière américain Tyrese Rice signe au Panathinaïkos pour une saison.\\n\\nTyrese Rice (1,90m, 32 ans) fera son retour la saison prochaine en l’Euroleague, lui qui l’avait remporté en 2014 avec le Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nLe MVP du Final Four de l’édition 2014 a signé au Panthinaïkos pour la prochaine saison après avoir fait son retour la saison dernière en Europe, après une courte expérience chinoise.\\n\\nEn 2018/2019, à Bamberg, il compilait en BBL, 15,4 points à 44,1% aux tirs, 2,2 rebonds et 6 passes décisives pour 14,7 d’évaluation en 28 minutes de temps de jeu." }, {"role": "user", "content":"Mantas Kalnietis ne sera plus villeurbannais" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur de jeu de l’équipe de Lituanie Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) et l’ASVEL séparent leur route annonce le club dans un communiqué.\\n\\nMantas Kalnietis avait été prêté cette saison par Armani Milan.\\n\\nEn Jeep Elite, il s’est fendu de 7,7 points, 5,6 passes et 2,4 rebonds.\\n\\n\\n🏀 INFO EFFECTIF\\n\\nFin de l’aventure villeurbannaise également pour notre meneur de jeu lituanien, Mantas KALNIETIS. Un grand merci à lui pour son implication, sa gentillesse et son altruisme, très bonne continuation Champion ! 🙂🏆 #LDLCASVEL pic.twitter.com/vlX3WbS4v3\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) July 1, 2019\\n\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: les coulisses de France-Suède" }, {"role": "assistant", "content":"« La Minute Inside » nous emmène dans les coulisses de l’équipe de France après sa victoire sur la Suède synonyme de qualification en quart-de-finale.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL: Les quarts-de-finale de l’Euro Féminin avec les horaires" }, {"role": "assistant", "content":"Cette semaine marque réellement la clôture de la saison 2018-19 avant la reprise en août avec l’équipe de France masculine et la Coupe du Monde.\\n\\nSi les Bleues vont en demi-finale et en finale, W9, chaîne de la TNT, retransmettra leurs matches avec l’ancienne capitaine de l’équipe de France, Yannick Souvré, en consultante.\\n\\nJeudi 4 juillet\\n\\n11h30 – Quart de finale – Hongrie c. Grande Bretagne ou Monténégro – Canal+ Sport\\n\\n15h00 – Quart de finale – Espagne c. Italie ou Russie – Canal+ Sport\\n\\n18h00 – Quart de finale – France c. Belgique ou Slovénie – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Quart de finale – Serbie c. Suède – Canal+ Sport\\n\\nSamedi 6 juillet\\n\\n17h30 – Demi-finale – Euro Féminin – Canal+ Sport et W9 si France\\n\\n20h30 – Demi-finale – Euro Féminin – Canal+ Sport et W9 si France\\n\\nDimanche 7 juillet\\n\\n17h30 – Finale – Euro Féminin – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Finale – Euro Féminin – Canal+ Sport et W9 si France\\n\\nPhoto: Bria Hartley (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Arthur Rozenfeld sera le meneur de Vichy-Clermont" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’Espagnol Marcos Suka-Umu, l’intérieur Kévin Mondesir et l’ailier Momar Ndoye, Vichy-Clermont enregistre sa quatrième recrue en la personne du meneur de jeu Arthur Rozenfeld (1,78 m, 24 ans).\\n\\nAprès deux saisons en Jeep Elite en tant que meneur de jeu remplaçant à Chalon-sur-Saône (2,8 points, 0,7 rebonds et 2 passes pour 3,2 d’évaluation en 2017/18) puis Bourg-en-Bresse (4,6 points, 0,7 rebond et 3 passes pour 5,2 d’évaluation en 2018/19), Arthur Rozenfeld va retrouver la Pro B à la rentrée avec les clés du camion métropolitain entre les mains.\\n\\n« À 24 ans après deux saisons en Jeep Elite, dans un rôle de back up (remplaçant), Arthur a faim de retrouver son jeu intuitif fait d’adresse, de création et de leadership. Il conduira l’équipe sur le poste de meneur de jeu et formera avec David Denave et Marcos Suka-Umu un trio d’arrière que l’on espère prolifique. Pure produit de la formation locale, Chamalieres, Stade Clermontois puis ASVEL, on se connaît depuis plus de dix ans et c’est avec beaucoup de plaisir que l’on intègre la venue d’Arthur dans le projet de la JAVCM« , commente le coach Guillaume Vizade.\\n\\nCarrière:\\n\\n– 2012-15 : Lyon-Villeurbanne (Pro A)\\n– 2015-16 : Boulogne-sur-Mer (Pro B)\\n– 2016-17 : Roanne (Pro B)\\n– 2017-18 : Chalon/Saône (Jeep ÉLITE)\\n– 2018-19 : Bourg-en-Bresse (Jeep ÉLITE)\\n– 2019-20 : Vichy-Clermont (Pro B)\\n\\nPhoto: JL Bourg/Aridson Siva" }, {"role": "user", "content":"Russie: Krasnodar se sépare de Moustapha Fall" }, {"role": "assistant", "content":"Sur les réseaux sociaux, le Lokomotiv Kuban Krasnodar annonce qu’il se sépare de son pivot Moustapha Fall (2,18m, 27 ans).\\n\\nL’international français a été victime d’une pubalgie qui a fortement perturbé sa saison conclue en Eurocup par 5,6 points et 2,9 rebonds en seulement 12′ de moyenne en 10 matches.\\n\\n\\n👏Спасибо, Мус!\\n«Локомотив-Кубань» принял решение о прекращении сотрудничества с Мустафой Фаллем. Желаем Мусу удачи и успеха в карьере!\\n\\n👏 Lokomotiv Kuban decided not to extend cooperation with French big man Moustapha Fall.\\nThank you Mous for fantastic dunks and good luck! pic.twitter.com/qLro0xspp8\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) July 1, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Nikola Mirotic, seulement 4M€ par saison à Barcelone ?" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le quotidien AS, l’hispano-monténégrin Nikola Mirotic jouera bien au FC Barcelone pour les quatre prochaines saisons (3 + 1 en option) après l’accord entre le joueur et le club.\\n\\nAs estime que le montant du contrat est sensiblement moindre vis à vis de la somme révélée durant le week-end (70M€ sur 6 ans) et serait compris entre 30 et 35 millions d’euros. Le joueur recevrait donc 4 millions nets par saison, ce qui en ferait tout de même le joueur le mieux payé d’Europe aux côtés du Russe Aleksei Shved (Khimki Moscow).\\n\\nDe son côté Marca précise que les dirigeants du Real Madrid ont été sollicités en mai par l’agent du joueur en Espagne, Igor Crespo:\\n\\n» Ceux-ci ont été réceptifs à l’écoute de leur message jusqu’à ce qu’ils connaissent leurs prétentions économiques: 70 millions d’euros brut pour six saisons, soit 11,6 millions brut par campagne. »\\n\\nLe Real a estimé que ce chiffre sans précédent était exorbitant et totalement hors prix du marché et ont décliné la sollicitation. Nikola Mirotic et ses représentants se sont-ils montrés finalement plus raisonnables depuis avec le Barça ?\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Serbie: Une liste de 18 joueurs pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Aleksandar Djordjevic, le coach de l’équipe nationale serbe a annoncé une une liste restreinte de 18 joueurs qui débuteront la préparation à la Coupe du monde en Chine (31 août – 15 septembre).\\n\\nL’équipe se réunira à Belgrade le 18 juillet et des matches sont prévus avec la Finlande, la Lituanie, la Grèce, l’Italie, la Turquie avant un départ pour la Chine et trois derniers tests: l’Italie le 23 août, deux jours plus tard avec la Nouvelle-Zélande et finalement le 27 août contre la France.\\n\\nMalgré les absences de Nikola Kalinić et Nemanja Nedović, la Serbie s’annonce comme l’un des concurrents majeurs pour une place sur le podium.\\n\\nLes pré-sélectionnés: Miloš Teodosić, Stefan Jović, Vasilije Micić, Bogdan Bogdanović, Dragan Milosavljevic, Marko Gudurić, Aleksa Avramović, Dejan Todorovic, Vladimir Lučić, Marko Simonović, Nemanja Bjelica, Milan Macvan, Stefan Birčević, Nikola Jokić, Miroslav Raduljica, Nikola Milutinov, Boban Marjanovic, Ognjen Kuzmić.\\n\\nPhoto: Nemanja Bjelica (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le coach Svetislav Pesic à Barcelone jusqu’en 2021" }, {"role": "assistant", "content":"Le FC Barcelone et son entraîneur germano-serbe Svetislav Pesic, 69 ans, ont conclu un accord jusqu’en 2021.\\n\\nStanislav Pesic fut une première fois le coach du Barça de 2002 à 2004 avec à la clé une victoire en Euroleague en 2003. Il revient en Catalogne en février 2018 et avec lui les Barcelonais ont remporté la Coupe du Roi en 2018 et 2019.\\n\\nPesic a coaché plusieurs clubs européens de renom et fut aussi champion d’Europe avec l’Allemagne en 1993 puis avec la Yougoslavie en 2001 ainsi que champion du Monde l’année suivante." }, {"role": "user", "content":"Turquie : Nicolo Melli s’envole pour la NBA" }, {"role": "assistant", "content":"Nicolo Melli, l’ailier fort italien qui a fait toute sa carrière en Europe va désormais connaître la grande ligue américaine.\\n\\nL’ailier fort du Fenerbahçe, Nicolo Melli (2,05m, 28 ans) va suivre la même route qu’ont emprunté d’autres joueurs du club récemment comme Brad Wannamaker, Ekpe Udoh ou encore Bogdan Bogdanovic. Il s’est engagé hier soir, lors de l’ouverture de la free fgency chez les News Orleans Pelicans pour 2 ans et 8 millions de dollars, selon le très bien informé Adrian Wojnarowski viagra cena bez receptu.\\n\\nL’intérieur transalpin compilait cette saison 9,3 points à 49%, 4,3 rebonds et 2,5 passes décisives pour 12,9 d’évaluation en 23 minutes de temps de jeu, au sein du championnat turc.\\n\\nC’est un intérieur avec un beau palmarès qui arrive en NBA puisque le natif de Reggio d’Emilie est passé par différents clubs de haut niveau avant le Fenerbahçe (Milan, Bamberg, Reggio Emiliana) et a, à chaque fois, remporté des titres nationaux avec ses différents clubs.\\n\\n\\nEuroLeague power forward Nicolo Melli is finalizing a two-year deal with the New Orleans Pelicans, sources tell ESPN. Melli, 28, was the top scorer in the EuroLeague Finals for Fenerbahce last season.\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) June 30, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pape Sy, de Cholet à Gravelines... pour la troisième fois" }, {"role": "assistant", "content":"Ouest France annonce que Pape Sy (1,98m, 31 ans) a activé sa clause de sortie hier soir peu avant minuit, ce qui était la deadline pour le faire.\\n\\nMême si le club ne l’a pas encore confirmé, le Breton va retourner au Gravelines-Dunkerque dont il a déjà porté le maillot en 2011-12 et de 2014 à 2016. Depuis, il était passé par Strasbourg (2016-18) où il fut gêné par des blessures et donc Cholet. Ses stats lors de la saison écoulée: 10,7 points, 4,4 rebonds et 1,9 passe.\\n\\nEn sens inverse, Cholet Basket a officialisé en fin de matinée la venue de l’ailier de Nantes Vafessa Fofana (2,00m, 27 ans), qui tournait à 9,9 points, 5,1 rebonds et 3,0 passes en Pro B.\\n\\nPhoto: Cholet Basket" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Kostas Sloukas rempile au Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"Comme attendu, l’arrière grec Kostas Sloukas (1,90m, 29 ans) va demeurer au Fenerbahçe pour les trois prochaines années (2+1) soit jusqu’en 2022.\\n\\nPour conserver Kostas Sloukas, le Fener a dû s’aligner sur des offres de Barcelone, Olympiakos et du CSKA Moscou.\\n\\nSloukas est l’un des joueurs majeurs de l’Euroleague puisqu’il s’est fendu de 11,8 points, 4,8 passes et 2,2 rebonds en 32 matches et qu’il a été élu dans le Cinq All-Stars de la compétition. A son palmarès figurent notamment trois Euroleague (2012, 13 et 17), les deux premières remportées avec Olympiakos.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Valence n’a pas renoncé à Nando De Colo" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Nando De Colo (1,96m, 32 ans) a manifesté son désir de retourner en NBA, son ancien club de Valence Basket (2009-12) se dit prêt à l’enrôler si aucune offre satisfaisante se présente à lui. Le club détient en Espagne les droits sur l’ancien combo guard du CSKA Moscou. Et Paco Raga, le directeur du club, a pris soin de le rappeler à Las Provincias :\\n\\n«Nous avons les droits de De Colo dans l’ACB et si nous pouvons assumer l’offre du Real Madrid, nous n’excluons pas de l’égaler. Pourquoi pas. Nous n’excluons aucun scénario et bien sûr, nous n’allons pas renoncer aux droits qui nous appartiennent depuis son arrivée à la NBA en 2012. Nous défendrons toujours les intérêts du club. C’est un joueur de premier plan, l’un des meilleurs d’Europe. »\\n\\nPour ce qui concerne la NBA, ce sont les champions 2019, les Toronto Raptors, qui possèdent les droits sur le Français mais leur offre à 1,8M$ est loin du salaire qu’il touchait à Moscou et qui était proche de 3M$.\\n\\nValence Basket, qui va disputer l’Euoleague avec son équipe masculine comme féminine, escompte disposer la saison prochaine d’un budget de 20M€.\\n\\nPhoto: Valencia Basket\\n" }, {"role": "user", "content":"Euro Féminin: Le programme des barrages et des quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Voici le classement des quatre groupes de l’Euro féminin ainsi que le programme des matches de barrages et des quarts-de-finale.\\n\\nGroupe A :\\n\\n1.Espagne3m3-02.Grande-Bretagne3m2-13.Lettonie3m1-24.Ukraine3m0-3\\n\\nGroupe B :\\n\\n1.France3m3-02.Suède3m1-23.Monténégro3m1-24.République Tchèque3m1-2\\n\\nGroupe C :\\n\\n1.Hongrie3m2-12.Italie3m 2-13.Slovénie3m1-24.Turquie3m1-2\\n\\nGroupe D:\\n\\n1.Serbie3m3-02.Belgique3m1-23.Russie3m1-24.Biélorussie3m1-2\\n\\nBarrages (lundi 1er et mardi 2 juillet) :\\n\\nGrande-BretagneMonténégroSuèdeLettonieItalieRussieBelgiqueSlovénie\\n\\nQuarts-de-finale (jeudi 4 juillet):\\n\\nEspagneItalie ou RussieSerbieSuède ou LettonieFranceBelgique ou SlovénieHongrieGrande-Bretagne ou Macédoine\\n\\nPhoto: Serbie (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: 5 Académiciens prestigieux pour le basket Occitanie" }, {"role": "assistant", "content":"L’Académie du basket Occitanie met chaque année en valeur des joueurs et personnalités qui ont fait sa renommée. Pour 2019, c’est l’ancien entraîneur de l’équipe de France, Francis Jordane, qui est le parrain de la promotion triée sur le volet.\\n\\nSont à l’honneur Pierre Galle, Maurice Boulois, Florence Roussel, Polina Tzekova et Christophe Soulé.\\n\\nFrank Cambus a réalisé à cette occasion ses vidéos de qualité qui retracent le parcours de ces nouveaux Académiciens." }, {"role": "user", "content":"La photo: Les retrouvailles entre Ouliana Semenova et les demoiselles du CUC" }, {"role": "assistant", "content":"Dans les années soixante-dix, elles se sont affrontées quatre fois en finale de la Coupe des Champions, l’Euroleague d’aujourd’hui, et à chaque fois les demoiselles -comme on les surnommait- du Clermont Université Club ont buté sur les Soviétiques -en fait les Lettones- du Daugawa Riga qui bénéficiaient en leur centre d’un pivot hors du temps de 2,20m, Ouliana Semenova.\\n\\n\\nProfitant de l’Euro en Lettonie, Elisabeth Riffiod (la deuxième à partir de la gauche), Ouliana Semenova (au centre), Jacky Chazalon et Annick Hector ont déjeuné avec leur ancienne adversaire aujourd’hui âgée de 67 ans." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La fin de match de folie entre Serbes et Belges" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, la Serbie s’est qualifiée directement pour les quarts-de-finale de l’Euro qu’elle organise alors que la Belgique devra passer par un match de barrage face à la Slovénie pour retrouver ensuite la France. Mais regardez ce final complètement fou. La Belge Antonia Delaere va faire deux remises en jeu hasardeuses et les deux fois les Belges vont perdre la balle gâchant ainsi la possibilité de repasser en tête. Jelena Brooks va même planter un trois-points au buzzer pour consolider la victoire de la Serbie, 66-70.\\n\\n\\n😱 Crazy end game in the game of the tournament so far 😱#EuroBasketWomen @KSSrbije @TheBelgianCats\\n\\n📱 https://t.co/xJB3VvsukN pic.twitter.com/l2pEVTQgJN\\n\\n— FIBA Women's EuroBasket (@EuroBasketWomen) June 30, 2019\\n\\n\\nPhoto: Jelena Brooks (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: Vainqueur de la Suède, 71-65, les Bleues se qualifient pour les quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Après la République Tchèque et le Monténégro, l’équipe de France a accroché la Suède à son tableau de chasse (71-65) au prix d’une belle défense illustrée par les 21 balles perdues par son adversaire et menant tout le match même si les joueuses de François Gomez n’ont jamais hissé le drapeau blanc.\\n\\nVoici les Bleues qui s’épargnent un toujours délicat match de barrage et directement qualifiées pour les quarts-de-finale programmés jeudi bénéficiant ainsi de trois jours de repos. Elles y affronteront le vainqueur du match de barrage entre la Belgique et la Slovénie.\\n\\nLa situation avait le mérite de la clarté. Avec la large victoire surprise du Monténégro sur la République Tchèque (70-57), pas besoin de recourir à la calculette, c’est le vainqueur de ce France-Suède qui allait directement en quart-de-finale sans passer par la case « barrage ».\\n\\nLes Françaises ont tout de suite tissé leur toile défensive autour d’une Sandrine Gruda royale au milieu de la peinture. Les Suédoises n’avaient pas une seule position confortable en attaque et n’ont marqué qu’un seul panier sur les six premières minutes. Bilan après 10′: 4/17 aux shoots et 5 balles perdues au passif de la Suède. Et même si elles manquaient quelques tirs assez faciles, les Bleues menaient 17-9 avec 7 points de Valériane Ayayi.\\n\\nSeulement, il suffisait d’un peu de relâchement et les Suédoises revenaient aussitôt au score (17-14). Elles cueillaient énormément de rebonds offensifs (8 en 15′) mais heureusement ne profitaient pas des deuxièmes chances. Les Françaises prenaient jusqu’à onze points d’avance (29-18) avec une Sandrine Gruda hyper active (12 points, 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe et 1 contre sur ses 17 premières minutes de jeu). A comparer avec le rendement de la musculeuse Amanda Zahui (7 rebonds mais 1/6 aux shoots). Tenues à 31,1% de réussite aux tirs, les Suédoises concédaient après 20 minutes un retard de 10 points (35-25) même si on les sentait toujours à l’affût.\\n\\nMarine Johannès dans le dur\\n\\nC’était physique, tendu, et Marine Johannès ne parvenait pas à trouver ses aises. Elle n’a pas mis un seul point en 18′ loupant même deux lancers à neuf secondes du gong final. Une terrible crise de confiance.\\n\\nAu bout de 26′, les Suédoises avaient déjà perdu 14 balles. L’écart oscillait entre 6 et 13 points et en fin de période il était le même qu’à la mi-temps (51-41). Heureusement, les joueuses de François Gomez étaient toujours maladroites sinon Elin Eldebrink (14 points à 6/11) car elles ne lâchaient pas le morceau.\\n\\nAu même titre que Sandrine Gruda à l’intérieur, Bria Hartley pesait beaucoup sur le jeu français alternant sur les postes 1 et 2, alors que Alexia Chartereau (8 points en deuxième mi-temps) était impeccable des deux côtés du terrain.\\n\\nOn pensait que les Françaises avaient donné un coup de massue sur la tête des Suédoises sur un trois-points de Olivia Epoupa à 6′ de la fin (58-44) mais les drives des soeurs Eldebrink faisaient mal et le danger était toujours présent (58-52). Mais même si Amanda Zahui se démultipliait (13 points, 14 rebonds, 2 interceptions et 2 contres), Bria Hartley couvait la balle et Olivia Epoupa (10 points, 7 passes, 7 rebonds, la confirmation de sa maturité) puis Valériane Ayayi plantaient des tirs primés qui dégageaient la voie.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhotos: Sandrine Gruda et Olivia Epoupa, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19: Après la Lettonie, le Mali s’offre le Canada!" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mali fait actuellement sensation à la Coupe du monde U19. Hier, les représentants de l’Afrique ont battu largement la Lettonie, 93-79. Ils ont fait encore plus fort cet après-midi en s’offrant le Canada, 71-70, en prenant feu dans le troisième quart-temps (11-24).\\n\\nLe shooting guard Hassan Drame (2,00m) a réalisé un double double (15 points et 13 rebonds) alors que le meneur Siriman Kanoute (1,76m) a été le meilleur marqueur avec 22 points.\\n\\nProchain adversaire des Maliens: l’Australie.\\n\\nPhoto: Siriman Kanoute (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Ce qu’il faut ABSOLUMENT savoir sur l’Euro féminin" }, {"role": "assistant", "content":"L’Euro féminin prend son envol aujourd’hui, en Lettonie et en Serbie. Voici quelques clés indispensables.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLes liens franco-belges\\n\\nOn a mis en exergue ces dernières saisons les liens entre les internationales canadiennes et la Ligue Féminine, on peut désormais constater une véritable... invasion des Belgian Cats. Dans le passé, Ann Wauters (Valenciennes, Villeneuve), reconnue officiellement comme la figure étrangère numéro 1 de 20 ans de LFB, Emma Meesseman (Villeneuve), Marjorie Carpreaux (Mondeville, Villeneuve, Bourges) et Julie Vanloo (Mondeville, Lyon) sont passées par la France. La meneuse de l’ASVEL Julie Allemand, élue dans le 5 all-stars de la saison de la Ligue Féminine, est bien entendu aujourd’hui la plus réputée. A la rentrée, Kim Mestdagh sera de retour à Charleville par où elle est déjà passée de 2015 à 2017 et Antonia Delaere va apparaître à Nantes-Rezé. On attendait aussi dans les 12 la future tarbaise Laure Résimont, la MVP belge du championnat, mais blessée en préparation elle n’a pas été retenue par le coach Philip Mestdagh, ce qui a entraîné une petite polémique Outre-Quiévrain car il a préféré sa... fille, Hanne.\\n\\n\\nAstou Ndour, de Dakar aux Îles Canaries\\n\\nLe basket espagnol est friand de main d’œuvre africaine. On connait l’histoire de Serge Ibaka, un Congolais passé par Prissé-Mâcon et qui fut happé par les recruteurs venus d’Espagne, qui fut naturalisé, et qui accomplit la carrière que l’on sait en NBA -il est champion 2019 avec les Toronto Raptors- et qui a renforcé un temps la raquette de l’équipe nationale avant qu’un autre naturalisé, Nikola Mirotic, prenne sa place.\\n\\nL’histoire d’Astou Ndour (1,90m) est un peu similaire. Fille de deux parents basketteurs, elle était déjà une joueuse hors pair dans son école de Dakar et elle aussi a été invitée par le club de Las Palmas dans les Îles Canaries où elle a eu comme famille d’accueil l’ancien entraîneur Domingo Dias et son épouse à l’âge de 14 ans.\\n\\nAstou Ndour a été naturalisée trois ans plus tard et elle a été dominatrice dans les catégories de jeune en Europe. Barrée un temps chez les A par une autre naturalisée, Sancho Lyttle, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, elle a remporté ensuite le bronze à l’Euro 2015, l’argent aux JO de 2016 et le bronze à la dernière Coupe du Monde s’imposant dans le 5 all-stars du tournoi en compagnie des Américaines Diana Taurasi et Breanna Stewart, de la Belge Emma Meeseman et de l’Australienne Liz Campbell. En club, elle est passée tour à tour par Gran Canaria, Fenerbahçe, Avenida et Ragusa et conjointement l’été, elle mène une carrière en WNBA mais sans faire d’étincelles : 5,0 points et 2,5 rebonds en 62 matches à San Antonio et Chicago.\\n\\n\\nIsil Alben, star de twitter\\n\\nA 33 ans, la meneuse Isil Alben, facilement reconnaissable à ses cheveux coupés court décolorées en blond, est une star en Turquie. Une preuve ? Elle possède 213 000 abonnés sur twitter dans un pays qui est friand des réseaux sociaux. Des éléments de comparaison : Céline Dumerc, qui a été très sérieusement boostée suite à sa médiatisation lors des Jeux de Rio est à 152 000 followers. Bria Hartley, qui joue à la fois en Turquie et en WNBA, en est à 24 000. Endy Miyem, la capitaine des Bleues, à 11 000. Marine Fauthoux, qui arrive tout juste en équipe de France, pointe à... 283. Pas de problème, Marine : le talent n’est pas proportionnel à l’impact sur les réseaux.\\n\\n\\nJelena Brooks, la jeune maman (1)\\n\\nNon, Jelena Brooks, répertoriée comme ailière dans l’équipe de Serbie n’est pas une naturalisée. Les mariages peuvent vous faire avancer sur de fausses pistes. Son nom de jeune fille -quelle vilaine expression- est connu de ceux qui suivent le basket féminin international, Milovanovic. Sous ce patronyme, la Serbe a sévi dans différents clubs européens (Spartak Moscou et Koursk notamment), fut championne d’Europe en 2015, médaillée de bronze aux JO de Rio l’année suivante et fut élue Basketteuse serbe de l’année 2017. Jelena s’est mariée avec son petit ami de longue date, Dave Brooks, un basketteur américain, et ils ont eu un petit garçon de 51 centimètres -si vous voulez tout savoir- à la mi-mars... La maman n’a pas mis de temps à revenir sur les parquets !\\n\\n\\nBria Hartley, la jeune maman (2)\\n\\nLa Franco-Américaine Bria Hartley appartient également à la catégorie des basketteuses ayant eu un enfant durant leur carrière. Un fils, Bryson, né en janvier 2017, qu’elle a eu avec avec son petit ami, Shakim Phillips, un footballeur US, qu’elle a rencontré à l’époque où ils étaient tous les deux étudiants à Connecticut.\\n\\nMême aux Etats-Unis ce n’est pas si fréquent. Il y a actuellement une dizaine de joueuses en WNBA qui sont mères de famille. Le cas le plus célèbre est celui de Sheryl Swoopes, qui lors de la saison inaugurale de la ligue, en 1997, retourna sur les parquets six semaines après avoir accouchée et emmena les Houston Comets jusqu’au titre.\\n\\nLa néo internationale française joua 24 matches avec les Washington Mystics et se retira de l’équipe alors qu’elle était enceinte de quatre mois et demi. Médicalement, elle pouvait pousser jusqu’aux six mois de grossesse mais elle avait préféré quitter l’équipe au moment du break dans la saison pour les JO de Rio plutôt que d’être obligée de le faire plus tard, au moment des playoffs.\\n\\n« J’ai toujours voulu être une maman et j’ai toujours voulu être une basketteuse professionnelle, » déclarait Bria Hartley à la presse américaine après son accouchement. « Je ne savais pas exactement quel serait le timing. Mais dans la vie n’arrive pas toujours ce que vous avez planifié. C’est exactement ce que j’ai toujours voulu. »\\n\\nLes joueuses de WNBA qui tombent enceintes continuent de percevoir 50% de leurs salaires et de bénéficier des prestations médicales de la ligue. Bria a été ensuite transférée au New York Liberty et sa maternité n’a pas eu statistiquement d’effet sur ses performances.\\n\\n« Le fait d’être une nouvelle maman peut avoir des conséquences néfastes sur la joueuse à cause de tout le travail que vous devez désormais faire en dehors du terrain », résumait l’ancien Bad Boys de Detroit Bill Laimbeer, qui était alors son coach au New York Liberty. « Mais ce n’est pas vraiment différent dans le sport vis-à-vis des autres univers. Vous devez apprendre à équilibrer deux vies. Pour une mère qui commence tôt dans le processus avec l’alimentation et tout le reste, c’est une corvée épuisante, surtout au niveau de la partie physique du sport professionnel. Mais au bout du compte, plusieurs millions de femmes réussissent à équilibrer ça. »\\n\\n\\nL’Espagne favorite des parieurs, la France 2e\\n\\nIl est toujours intéressant de consulter les sites de paris en ligne pour connaître les favoris d’une telle compétition car quand il y a de l’argent en jeu, au diable l’affect !\\n\\nEn résumé, l’Espagne est donnée favorite -rien de surprenant- devant la France -qui conserve donc une côte certaine malgré les forfaits et des résultats en préparation pas spécialement convaincants- et la Belgique. Suivent la Russie puis la Serbie et beaucoup plus loin la Lettonie, les deux pays organisateurs. La grosse cote est pour la Grande-Bretagne.\\n\\n\\nMaria Vadeeva, Terminator\\n\\nCe n’est pas une ballerine. Euphémisme. La Russe Maria Vadeeva, qui aura 21 ans en juillet, est un colosse de 1,90m et 84 kg, et son style implacable et mécanique lui vaut le surnom de The Terminator.\\n\\nAdolescente, elle exterminait déjà tout dans les raquettes. En 2013, elle disputait l’Euro U16 alors qu’elle avait deux ans de moins et l’année suivante, elle était à la fois la meilleure marqueuse (17,9) et rebondeuse (16,2) du tournoi. A 16 ans, elle était sélectionnée chez les A. Au Mondial U19, elle passa 27 points, 16 rebonds et 5 contres aux Américaines, qui ne sont pas des pieds tendres. Victoire finale pour la Russie et un titre de MVP à la clé. Elle a gagné l’Euroleague avec Koursk puis cette année avec Ekaterinbourg cumulant 14 points et 5 rebonds en finale face à son ancien club. Elle n’a fait au printemps qu’un seul match avec les Los Angeles Sparks en WNBA et elle a planté 24 points. Et puis elle est repartie dare-dare en Russie préparer l’Euro.\\n\\n« Son jeu dos au panier est probablement le meilleur que j’ai jamais vu. Elle a un excellent jeu de jambes. Elle n’a pas peur, elle sait de quoi elle est capable, » a complimenté son équipière Chiney Ogwumike, qui ajoute que c’est un bourreau de travail.\\n\\nThe Terminator, on vous dit.\\n\\n\\nQui n’a pas sa naturalisée ?\\n\\nPremièrement, si Bria Hartley est une « naturalisée » pour la FIBA car elle n’a pas choisi sa nationalité basket avant 16 ans -Alain Koffi est par exemple dans le même cas- elle est française par filiation, par sa grand-mère maternelle, et donc elle n’est pas « naturalisée » au sens juridique du terme. Deuxièmement, les naturalisations bidon sont devenus depuis quelques années une plaie dans le basket féminin européen.\\n\\nCe sont les pays de l’ancien bloc de l’Est qui sont friands de main d’œuvre étrangère pour leur équipe nationale et les règles nationales TRES souples en la matière permettent de se pourvoir rapidement. Tout ceci est moralement douteux mais légal. Rappelons qu’heureusement chaque sélection ne peut en utiliser qu’une seule à la fois. Et aussi que la plus célèbre américaine naturalisée de l’histoire récente est Becky Hammon qui, alors que l’horizon était bouché pour accéder à Team USA, n’avait pas hésité à accepter un passeport russe pour participer aux JO de Pékin. Un choix jugé « anti-patriotique » par Anne Donovan alors coach des Etats-Unis.\\n\\nSi l’on se fie aux effectifs donnés en amont par la FIBA, six Américaines naturalisées devaient être présentes à l’Euro et ce n’est pas du menu fretin. Yvonne Turner fut ainsi la meilleure marqueuse de l’Euroleague, il y a deux ans avec Sopron. Alexandria Bentley (ex-Tarbes) a disputé 199 matches en WNBA. Glory Johnson est à 12,5 points et 8,1 rebonds dans cette même ligue. La Turquie a finalement préféré Kiah Stokes à Quanitra Hollingsworth (1,97m, 30 ans, pivot). Stokes a été championne NCAA avec Bria Hartley à U-Conn et joue toujours avec elle à Fenerbahçe et au New York Liberty. Inséparables !\\n\\nShante Evans (Villeneuve d’Ascq) et D’Andra Moss (Tarbes) jouaient cette saison dans la Ligue Féminine.\\n\\nOn n’oublie pas dans notre comptage la Sénégalo-espagnole Astou Ndour et on ne jurerait pas qu’il n’en s’en cache pas une autre dans les rosters des seize équipes.\\n\\nBiélorussie : Alexandria Bentley (1,73m, 28 ans, meneuse)\\n\\nHongrie : Yvonne Turner (1,78m, 31 ans, meneuse)\\n\\nMonténégro : GloryJohnson (1,91m, 28 ans, ailière)\\n\\nSlovénie : Shante Evans (1,87m, 27 ans, pivot)\\n\\nTurquie : Kiah Stokes (1,91m, 27 ans, pivot)\\n\\nUkraine : D’Andra Moss (1,80m, 31 ans, meneuse)\\n\\nEspagne : Astou Ndour (1,96m, 24 ans, pivot)\\n\\n\\nInternationale en seconde !\\n\\nMême si elle n’aura pas encore tout à fait 18 ans à l’Euro -elle est née le 12 juillet 2001- Iliana Rupert n’est pas la plus jeune joueuse française à participer à une compétition officielle. Loin s’en faut.\\n\\nIl est impossible de passer en revue les internationales d’avant les années soixante-dix faute de posséder les dates de naissance de celles qui ont obtenu des sélections à cette époque. Du moins, à plusieurs mains, nous avons réussi à avoir la certitude que la Berruyère n’est pas la plus précoce.\\n\\nC’est une Clermontoise qui a fait son entrée chez les Bleues la plus jeune, Christelle Doumergue, une intérieure d’1,86m. Née le 28 novembre 1963, elle fut la première fois sélectionnée le 27 juillet 1979 à 15 ans et -presque- 8 mois pour un match face à la Yougoslavie. C’était dans le cadre des Spartakiades et d’ailleurs elle joua le surlendemain face aux Etats-Unis. Elle n’était pas alors en Terminale comme Marine Fauthoux mais en seconde !\\n\\nMieux encore qu’une autre Clermontoise Cathy Malfois (16 ans et 6 mois) qui possédait jusqu’alors le record et qui fut d’ailleurs son équipière pour sa première sélection tout comme Elisabeth Riffiod, la maman de Boris Diaw.\\n\\nAprès avoir débuté le basket à la Fraternelle d’Oullins, Christelle Dumergue... abandonna le basket pour la natation pendant deux ans mais y revint et signa un peu plus tard à Villeurbanne et elle y joua un peu en Nationale 2. C’est au cours d’un match de coupe de France cadettes contre le Clermont UC qu’elle fut repérée par le coach Jean-Pierre Rousselle -le père de Jonathan- et elle signa une licence pour ce qui fut l’un des meilleurs clubs européens de l’époque mais qui était sur le déclin.\\n\\nSes sélections en A ne l’empêchèrent pas parallèlement d’être membre de l’équipe de France cadettes. Elle battit aussi le record de la plus jeune sélectionnée à une compétition officielle, le 19 septembre 1980, contre les Pays-Bas, au championnat d’Europe. Elle marqua 4 points.\\n\\n« Mon but est de jouer un rôle un jour en équipe de France séniors comme c’est le cas de Catherine Malfois que j’admire beaucoup car elle sait tout faire », dira t-elle à L’Equipe.\\n\\nChristelle Doumergue totalisa 115 sélections en équipe de France stoppant sa carrière internationale... prématurément. A 25 ans et demi. Il faut dire qu’elle était tombée dans la période la plus creuse de notre équipe nationale.\\n\\n\\nDES CHIFFRES...\\n\\n3/3\\n\\nLa FIBA a demandé à trois experts dont l’ancienne internationale et mondevillaise Shoana Thorburn de livrer leurs pronostics et ceux-ci sont unanimes : la meneuse belge de l’Asvel, Julie Allemand, figurera dans le cinq-all-stars du tournoi avec l’Espagnole Marta Xargay. Pour le reste, c’est plus partagé mais une autre Belge, Emma Meeseeman, ainsi que la Russe Maria Vadeeva, la Serbe Jelena Brooks et... Valériane Ayayi, dont le parcours avec Prague les a visiblement impressionnés, ont recueilli deux voix.\\n\\n8\\n\\nL’Espagne a participé aux 10 dernières éditions et elle s’est hissée huit fois en demi-finale sur la période.\\n\\n10 et 11\\n\\nLa Belgique a remporté 10 matchs lors de ses deux dernières apparitions lors de la phase finale, alors qu’elle n’avait gagné que 11 matches lors des neuf éditions précédentes. Les Belgians Cats ont atteint les quarts de finale lors des trois dernières apparitions, après avoir échoué à atteindre ce stade lors des quatre tournois précédents.\\n\\n18\\n\\nAucun pays hôte n’a remporté le trophée depuis dix-huit ans. La dernière en date, c’est la France en 2001 au Mans. Pire encore pour les pays qui accueillent, seule depuis un pays est monté sur le podium et ce pays c’est aussi la France, en 2013, battue en finale à Orchies par l’Espagne.\\n\\n21\\n\\nVingt-et-un titres européens ! Le record de l’URSS n’est pas prêt d’être battu. Seule sa propre implosion a mis fin à sa domination continentale. Elle fut même longtemps mondiale. Rappel : elle ne mordit pas une seule fois la poussière tant que Ouliana Semenova, en fut son pivot de probablement 2,20m soit de 1968 à 1986 ! L’URSS fut par ailleurs deux fois championne olympique. En 1976, année où le basket féminin fit son apparition aux JO et quatre ans plus tard lorsque Moscou en fut la ville hôte. En 1984, les Soviets boycottèrent les Jeux de Los Angeles. Six titres de champions du monde sont également tombés dans sa besace.\\n\\n11 pays se sont partagés les titres depuis la création de l’épreuve continentale en 1938 : URSS 21, Espagne et Russie 3, France 2, Bulgarie, Italie, Lituanie, Pologne, République Tchèque, Serbie et Ukraine 1 chacun.\\n\\n32\\n\\nLa France détient avec l’Italie le record de participations à l’EuroBasket : 32. Avec 13 225 points, les Bleues possèdent aussi la meilleure performance toutes les éditions cumulées mais sans jamais avoir réussi à marquer plus de 100 points en 222 matches. Elles ont remporté leurs 11 derniers matches en phase de groupe, ce qui est la plus grande invincibilité des équipes à cet Euro 2019. Autre record : la France est le seul pays à avoir décroché une médaille lors des cinq derniers Euro.\\n\\n\\nLes salles\\n\\nStark Arena, Belgrade (Serbie)\\n\\nCapacité: 16 500\\n\\nSports Center, Nis (Serbie)\\n\\nCapacité: 4 000\\n\\nRiga Arena, Riga (Lettonie)\\n\\nCapacité: 10 000\\n\\nCrystal Hall, Zrenjanin (Serbie)\\n\\nCapacité: 2 400\\n\\nLa Riga Arena où l’équipe de France va disputer ses matches de poule est un lieu magique pour les Bleues puisque c’est ici même, il y a dix ans, que Sandrine Gruda, Endy Miyem and Co furent sacrées championnes d’Europe. On leur donna un surnom « les Braqueuses ».\\n\\n\\nLes groupes:\\n\\nLe premier de chaque groupe est directement qualifié pour les quarts-de-finale. Le deuxième et le troisième passent par un match de barrage.\\n\\n\\nLes équipes:\\n\\n * Groupe A: Great Britain, Latvia, Spain, Ukraine\\n * Groupe B: Czech Republic, France, Montenegro, Sweden\\n * Groupe C: Hungary, Italy, Slovenia, Turkey\\n * Groupe D: Belarus, Belgium, Russia, Serbia\\n\\nLe Programme de la France:\\n\\nPremier tour (Riga -Lettonie)\\nJeudi 27 juin à 14h30 : France-République Tchèque\\nVendredi 28 juin à 14h30 : Monténégro-France\\nDimanche 30 juin à 20h00 : Suède-France\\nLundi 1er juillet : barrage éventuel pour les quarts de finale\\n\\nPhase finale (Belgrade – Serbie)\\nJeudi 4 juillet : quart de finale\\nSamedi 6 juillet : demi-finale\\nDimanche 7 juillet : finale\\n\\n\\nLa vidéo rétro:\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=G_56hNaLqMY\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLes liens franco-belges\\n\\nOn a mis en exergue ces dernières saisons les liens entre les internationales canadiennes et la Ligue Féminine, on peut désormais constater une véritable... invasion des Belgian Cats. 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La nouvelle qui fait l’effet d’une bombe n’a pas encore été confirmée du côté du club catalan.\\n\\nMirotic, c’est 319 matches en NBA à 12,3 points et 5,9 rebonds et son passage à New Orleans la saison écoulée était même un peu au-dessus de ses standards (16,7 points, 6,8 rebonds) avant qu’il ne soit transféré à Milwaukee.\\n\\nMirotic, c’était aussi un salaire de 12,5 millions de dollars l’année et d’après le New York Times, les Utah Jazz étaient prêts à lui offrir 45M$ sur trois ans. Selon As, l’offre initiale que Barcelone a présenté à Mirotic s’élevait à près de 70 millions d’euros bruts sur 6 ans. Celui-ci l’aurait refusé mais cela n’a pas découragé le Barça.\\n\\nSon retour en Europe serait donc une immense surprise dans un club barcelonais qui ne fait plus partie du top 4 depuis 2014 et qui vient de resigner le meneur français Thomas Heurtel en faisant déjà un gros effort financier. 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Moins d’attaque, davantage de défense et apporter du muscle pour rivaliser dans la peinture avec les Etats-Unis, le Canada, l’Australie et la France.\\n\\n« Ce que Scariolo a déjà expliqué à plusieurs reprises, c’est que sa décision ne sera pas conditionnée par le fait qu’il a passé toute la saison avec Ibaka chez les Raptors », écrit Marca.\\n\\nDe fait, le sélectionneur espagnol a été l’adjoint au sein de la franchise canadienne de Nick Nurse, lequel vient d’accepter le poste de coach de l’équipe du Canada.\\n\\nUn autre facteur qui pourrait être déterminant: Mirotic est en fin de contrat avec les Bucks et et fonction du marché et des offres qui lui seront faites, il pourrait être tenté de passer un été au frais.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Anniversaire: Il y a 100 ans, les Jeux Interalliés ou l’implantation du basket en France" }, {"role": "assistant", "content":"« Le basket-ball est un sport presque inconnu en France » : ainsi commence l’article de La Vie au Grand Air du 15 juillet 1919 consacré au tournoi de basket des Jeux interalliés. Ces Jeux, au sortir de la Grande Guerre, sont réservés aux équipes des pays vainqueurs. Ils opposent des équipes nationales constitués de soldats au cours de différentes épreuves sportives. Ils se déroulent au Bois de Vincennes, au Stade Pershing, ainsi nommé en hommage au commandant en chef du corps expéditionnaire américain. Le succès populaire et médiatique est incontestable.\\n\\nLe 29 juin 1919 a lieu la rencontre de basket-ball entre les équipes de France et des Etats-Unis. Le score est sans appel : 96 à 6 en faveur des Américains. L’essentiel est ailleurs : la démonstration a lieu sous les yeux d’un vaste public et est largement couverte par la presse. L’implantation du basket en France, activité relativement confidentielle avant-guerre, est en cours.\\n\\nApproche socio-culturelle pour un événement symbolisant les interactions entre France et Etats-Unis et les phénomènes d’acculturation qui en découlent...Approche politique pour des Jeux de la Paix ouverts exclusivement aux vainqueurs...Approche sous l’angle de l’histoire du sport pour cette première rencontre internationale majeure après le conflit...les grilles d’analyse se superposent, s’entrecroisent...\\n\\nEn Complément : la page consacrée au tournoi de basket dans La Vie au Grand Air du 15 juillet 1919, la « Une » de L’Auto du 22 juin 1919 évoquant l’importance de l’événement, un article scientifique pour approfondir sur la question de l’implantation et du développement du basket-ball en France...\\n\\nPhoto: Le Musée du Basket" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Astou Ndour renforce le Dynamo Koursk" }, {"role": "assistant", "content":"Le Dynamo Koursk dont on sait qu’il est l’une des deux ou trois principales puissances financières du basket féminin européen a signé l’internationale espagnole d’origine sénégalaise, Astou Ndour (1,98m, 24 ans).\\n\\nAstou Ndour participe actuellement à l’EuroBasket après avoir joué un match au Chicago Sky en WNBA. La saison dernière, elle était membre du club turc de Cukurova où elle a affiché 15,2 points et 6,3 rebonds en 31 matches. Cukurova a été finaliste malheureux de la ligue turque face au Fenerbahçe de Valérie Garnier et Bria Hartley.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19: La France ouvre par une victoire sur Porto Rico, 91-68" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France a réussi son ouverture à la Coupe du Monde U19, à Heraklion, en Crète, en repoussant les assauts de Porto Rico, 91-68.\\n\\nLes Portoricains n’ont tenu le rythme que pendant un quart-temps (24-25) mais ont cédé dès que les Français ont mieux défendu. Ils n’ont ainsi scoré que 22 points en deuxième mi-temps.\\n\\nL’arrière de Gonzaga, Joël Ayayi (1,90m) a été le maitre d’oeuvre des Bleuets avec 26 points (11/17 aux shoots) et 7 rebonds. Les Français ont fait une razzia collective au rebond (56 à 27)." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin : Dans les coulisses des Bleues après la victoire sur le Monténégro" }, {"role": "assistant", "content":"« La Minute Inside » nous emmène dans les coulisses de l’équipe de France après sa victoire sur le Monténégro (88-53) lors de la deuxième journée de l’EuroBasket avec les commentaires d’Iliana Rupert, Valérie Garnier et Valériane Ayayi.\\n\\nPhoto: Sara Chevaugeon (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Giannis Antetokounmpo confirme qu’il disputera la Coupe du Monde avec la Grèce" }, {"role": "assistant", "content":"Eurohoops rapporte que Giannis Antetokounmpo (2,11m, 24 ans), MVP de la saison NBA, a confirmé sa participation à la Coupe du Monde lors de la présentation de sa première ligne de chaussures, Zoom Freak 1.\\n\\n«Je n’ai pas encore parlé avec l’entraîneur, je ne sais pas dans quelle position je vais jouer. Mais je m’en fiche. Je veux juste jouer. Que je joue comme arrière ou comme pivot, je m’en fiche. Je suis un joueur de basket. Je veux aider l’équipe de toutes les manières » , a déclaré le Greek Freak.\\n\\nLe MVP a réalisé une saison extraordinaire avec les Milwaukee Bucks se fendant de 27,7 points (57,8% aux tirs), 12,5 rebonds et 5,9 passes. Il sera à l’évidence une attraction majeure de cette Coupe du monde au même titre que l’équipe américaine.\\n\\nLa Grèce jouera dans le groupe F avec le Brésil, la Nouvelle-Zélande et le Monténégro et doit se classer parmi les deux premiers pour se qualifier pour le deuxième tour. Le groupe K affrontera les deux premières équipes du groupe E composé des États-Unis, de la Turquie, du Japon et de la République tchèque. Les deux premières équipes de ce groupe du deuxième tour se qualifieront pour les quarts de finale.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Quand Tony Parker recrute lui-même le speaker pour les matches d’Euroleague de l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a même du recrutement estival chez les speakers. C’est ainsi que Pierre Salzmann-Crochet a été sollicité directement par le président Tony Parker pour animer les soirées d’Euroleague de l’ASVEL.\\n\\n« Je suis sur mon canapé et le téléphone sonne. C’est un numéro bizarre, probablement une enquête téléphonique. Sauf que l’indicatif m’interpelle : « San Antonio, Texas, États-Unis ». Non, non ce n’est pas possible. Enfin si, ça l’est, mais je préfère ne pas me faire de fausse joie. Je décroche, j’entends la voix. « Salut Pierre, c’est Tony Parker. Je ne te dérange pas », raconte Pierre Salzmann-Crochet à Ouest France.\\n\\nIl faut dire que le Normand, qui se fait remarquer par sa grande taille -il se surnomme lui-même « Goliath » sur les réseaux sociaux-, son noeud papillon, sa gestuelle et son dynamisme, possède déjà un solide CV puisqu’il a travaillé pour la FFBB, CourtCuts -c’est lui la voix off-, et différents clubs dont Caen, Mondeville, Rouen et Bourges.\\n\\nIl a d’ailleurs l’intention de continuer à oeuvrer pour le CBC et l’USOM, ses « deux clubs de coeur » même si ceux-ci tombent d’une division à la rentrée. Et son objectif à moyen terme est d’intégrer l’organisation de Paris 2024." }, {"role": "user", "content":"Trois saisons de plus pour David Lighty à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"David « Tank » Lighty (1,98m, 31 ans) va demeurer à l’ASVEL jusqu’en 2022 annonce le club.\\n\\nAprès deux ans à Nanterre (2012-14), deux autres à Villeurbanne (2014-2016) puis encore deux autres (2017-19), l’ailier américain formé à Ohio State va plus que jamais être une figure de la Jeep Elite puisqu’il vient de signer un prolongement de contrat avec l’ASVEL de trois saisons.\\n\\nDavid Lighty a été champion de France avec Nanterre (2013), a gagné la Coupe de France l’année suivante avec le club des Hauts-de-Seine et a été champion de France avec Villeurbanne en 2016 et 2019 remportant en sus la Coupe de France cette année.\\n\\nAlors qu’il n’a manqué que deux matches en quatre saisons et encore sur décision du coach, David Lighty a compilé 10,2 points, 3,4 rebonds et 2,6 passes cette saison en Jeep Elite où il a prouvé aussi sa capacité à très bien défendre.\\n\\n« Je n’imaginais pas l’avenir sans David et je suis vraiment heureux d’avoir réussi à trouver un accord ! Avec lui, on a l’assurance de ne pas se tromper, on sait que l’on pourra toujours compter sur lui. Il est irréprochable, sur le terrain, dans le vestiaire, dans la vie de groupe. C’est le joueur dont tous les Présidents rêvent !« , a commenté le président Tony Parker." }, {"role": "user", "content":"Real Madrid : Jeffery Taylor prolonge jusqu’en 2022" }, {"role": "assistant", "content":"Après la prolongation de Walter Tavares, le Real Madrid continue de prolonger son équipe qui vient d’être sacrée championne d’Espagne.\\n\\nL’ailier madrilène, Jeffey Taylor (2,01m, 30 ans), sort d’une belle saison en sortie de banc et c’est tout naturellement que le Real Madrid lui a proposé de continuer l’aventure avec lui. Il est ainsi lié dorénavant à l’équipe de la capitale espagnole jusqu’en juin 2022.\\n\\nL’ancien joueur des Charlotte Hornets valait cette saison 7,4 points à 56,9% et 1,7 rebond par match, pour 7,3 d’évaluation en 16 minutes de temps de jeu.\\n\\n\\n💪🏀🇸🇪 ¡El alero sueco Jeffery Taylor continuará defendiendo la camiseta blanca gracias a su renovación hasta 2022!\\n\\nVídeo 👇#HalaMadrid | #RMBaloncesto\\n\\n— Real Madrid Basket (@RMBaloncesto) June 28, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"All-Star Game LNB 2019: La billetterie est ouverte" }, {"role": "assistant", "content":"Le traditionnel All-Star Game de la LNB se tiendra à l’AccorHotels Arena de Paris/Bercy le 29 décembre. Ce sera la 17e édition parisienne.\\n\\nSauf la première fois, le All-Star Game se joue chaque année à guichets fermés et c’est pourquoi il n’est jamais trop tôt pour réserver. Le prix des places est de 19 euros." }, {"role": "user", "content":"NBA: William Howard parmi les joueurs qui vont participer aux Summer Leagues" }, {"role": "assistant", "content":"Des joueurs récemment draftés, de jeunes free agents et quelques vétérans vont participer aux NBA Summer Leagues de Salt Lake City, Sacramento et Las Vegas. Parmi eux cinq Français et cinq étrangers qui portaient la saison écoulée le maillot d’une équipe de Jeep Elite. Au total, cela fait trois Limougeauds et même quatre si l’on compte London Perrantes qui avait débuté la saison avec le CSP. Bien que n’apparaissant pas dans le listing, le Villeurbannais a annoncé sur les réseaux sociaux qu’il serait dans le roster des Hawks.\\n\\nAtlanta Hawks: Amine Noua (Villeurbanne), Boston Celtics: Guerschon Yabusele (Boston Celtics), Brooklyn Nets: Isaia Cordinier (Antibes/Nanterre), Detroit Pistons: Sekou Doumbouya (Limoges/Detroit Pistons), Utah Jazz: William Howard (Limoges).\\n\\nBoston Celtics: Kendrick Ray (Le Mans), Dallas Mavericks: Youssou Ndoye (Bourg), Indiana Pacers: DeVaughn Akoon-Purcell (Le Portel), New Orleans Pelicans: London Perrantes (Cholet), Orlando Magic: Isaiah Miles (Limoges).\\n\\nPhoto: William Howard (CSP)" }, {"role": "user", "content":"Portraits: Les 12 Bleues pour l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons brossé le portrait des 12 Bleues qui vont participer à l’EuroBasket, du 27 juin au 7 juillet, en Lettonie et Serbie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOlivier EPOUPA\\n\\n1,65m, 25 ans, Meneuse, Besiktas Istanbul\\n\\nStats en Qualifications: 3,3 points, 6,5 passes, 5,5 rebonds, 1,8 interception en 6m.\\n\\nAprès un passage très quelconque à Villeneuve d’Ascq, la Parisienne est partie en Turquie pour beaucoup plus de réussite, à Galatasaray où elle a remporté l’Eurocup d’abord puis à Besiktas, une équipe moyenne du championnat national (7e de la saison régulière, quart-de-finaliste en playoffs). Elle y a aussi imposé sa griffe, c’est à dire pas énormément de points (10,9) -principalement sur jeu rapide ou en drives- mais de bonnes passes (5,5), énormément de rebonds (6,0) pour une meneuse aussi petite -sa vitesse de réaction est phénoménale- et d’interceptions (2,8, 2e du championnat). Olivia Epoupa a réussi l’exploit monumental d’être élue MVP européenne dans les trois catégories de jeune (U16, U18 et U20) et s’est retrouvée backup de Céline Dumerc en bleu. Il lui faut à 25 ans définitivement confirmer ses dons exceptionnels au niveau adulte avec Bria Hartley à la fois à ses côtés et en relais.\\n\\nMarine FAUTHOUX\\n\\n1,73m, 18 ans, Meneuse, Tarbes Gespe Bigorre\\n\\nStats en Qualifications: Pas participé\\n\\nUne promotion express inattendue puisqu’il y a un an elle était encore à l’INSEP et en Ligue 2 avec Iliana Rupert. Les deux copines d’enfance ont été ensemble championnes d’Europe U16 puis vice-championnes du Monde U17. La Paloise -et pas Landaise, elle tient au distinguo même si ses deux parents le sont- a eu la bonne idée de choisir Tarbes et son coach François Gomez pour franchir une étape décisive. Prendre numériquement la place de l’expérimentée Romane Berniès, c’est fort. Méfiez-vous de son air angélique, Marine a hérité de son père Freddy son fighting spirit et reconnaît avoir le sang chaud. Elle possède un culot monstre, un gros QI Basket et à encore à faire beaucoup de progrès... aux tirs à trois-points si l’on en juge par son pourcentage faiblard en Ligue Féminine cette saison (25,4%). Elle est là essentiellement pour apprendre mais peut fournir de « bonnes minutes » comme elle l’a démontré en prépa contre la Chine. Après, l’Euro, elle retournera à ses cours pour passer le bac en septembre.\\n\\nBria HARTLEY\\n\\n1,76m, 26 ans, Meneuse/Arrière, Fenerbahçe Istanbul\\n\\nStats en Qualifications: 12,5 points, 60,0% à trois-points, 5,0 passes en 2m.\\n\\nC’est par sa grand-mère maternelle qu’elle est française par filiation et non par naturalisation même si la FIBA ne l’a reconnait que sous ce statut puisqu’elle n’a pas opté pour la France avant l’âge de 15 ans. Elle a d’ailleurs porté avec succès le maillot des Etats-Unis aussi bien en 5×5 qu’en 3×3. Une petite prodige car elle fut nommée New York Miss Basketball à 18 ans avant de réaliser une fructueuse carrière universitaire à Connecticut, la meilleure fac du basket féminin US (championne en 2013 et 14). Elue dans la WNBA All-Rookie Team, elle a compilé dans la ligue 156 matches à 7,6 points et 2,6 passes en interrompant un temps sa carrière pour donner naissance à un garçon. En Europe, elle a été championne de Hongrie et cette année de Turquie avec le Fenerbahçe dont la coach est Valérie Garnier. Il apparaît que Bria fait tout plus vite que tout le monde: la course avec ballon, les passes et le jeu de jambes défensif. Ce n’est pas une pure shooteuse mais elle peut scorer de n’importe quelle position et jouer le un-contre-un à la demande. Elle est la deuxième Franco-américaine de l’histoire de l’équipe de France après Géraldine Saintilus qui n’eut pas l’autorisation de jouer l’Euro de 1987.\\n\\nSara CHEVAUGEON\\n\\n1,75m, 26 ans, Arrière, Flammes Carolo Charleville\\n\\nStats en Qualifications: Pas participé\\n\\nLa grande surprise de la sélection car elle n’a pas pris part aux qualifications alors qu’elle est sortie depuis un certain temps des rangs des prospects. C’est en 2012, alors qu’elle était à Challes que la Rochellaise fut élue MVP Espoirs de la Ligue Féminine. Elle a ensuite porté le maillot de Lyon (3 saisons), Bourges (2) et Charleville-Mézières où elle vient de conclure sa deuxième saison. Elle avait limité jusque là ses apparitions en équipe de France à une sélection en 2015 et une autre en 2016. C’est à la force de son poignet qu’elle a conquis sa place en bleu car c’est avant tout une shooteuse (9,2 points à 30,6% à trois-points en LFB). C’est probablement ce que lui demandera Valérie Garnier sur de courtes séquences. Sara possède la particularité d’avoir joué en jeune à Ballarat, en Australie, son père cadre chez Alstom ayant été appelé là-bas.\\n\\nMarine JOHANNES\\n\\n1,77m, 24 ans, Arrière, Bourges Basket\\n\\nStats en Qualifications: 9,7 points, 39,1% à trois-points, 3,8 passes, 2,8 rebonds en 6 m.\\n\\nTout a déjà été écrit sur Marine Johannès car la Normande révolutionne par son style le basket français et européen. Grande fan de NBA, elle possède une panoplie de gestes uniques notamment la capacité à faire des step back à trois-points. On admire sa créativité, sa grâce, sa souplesse, sa vitesse et aussi son endurance. Marine est reconnue comme l’une des meilleures arrières d’Europe et pourtant tout reste encore à écrire car sa Coupe du Monde 2018 fut à l’image de son équipe, décevante (10,6 points, 3,3 passes) tant les attentes sont élevées. Extrêmement timide, elle doit davantage contrôler ses émotions sur le terrain. Son été s’annonce chaud avec l’Euro et ensuite son entrée en WNBA au New York Liberty au coeur de la compétition où son gabarit léger (60kg) devra s’accommoder de physiques tankés, puis son passage à l’ASVEL où elle est attendue comme une star.\\n\\nValériane AYAYI\\n\\n1,85m, 25 ans, Ailière, USK Prague\\n\\nStats en Qualifications: 6,5 points, 23,1% à trois-points, 4,0 rebonds en 6m.\\n\\nElle aussi fut précoce puisque sitôt médaillée d’argent au championnat du monde U19, elle avait rejoint les A pour obtenir la médaille d’argent à l’Euro 2013 en France. Née un jour avant Olivia Epoupa, elle a longtemps épousé sa trajectoire: INSEP puis Basket Landes -elle fut élue Meilleure Joueuse Espoir de la Ligue Féminine en 2014- avant de passer par les trois clubs phare du moment: Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Ascq et Bourges avec à la clé une place dans le Cinq All-Stars de LFB en 2018. Elle a incontestablement franchi un cap avec l’USK Prague participant au Final Four de l’Euroleague avec des stats replètes sur la saison: 13,6 points, 6,4 rebonds, 4,1 passes pour la deuxième évaluation (16,6) de l’équipe tchèque. Avec le forfait de Diandra Tchatchouang, son rôle à l’Euro sera encore plus important et on attend d’elle de la constance dans la performance, ce qui n’a pas été le cas en préparation. Aînée de trois frères dont Joël qui a choisi de s’épanouir à l’université de Gonzaga.\\n\\nOrnella BANKOLE\\n\\n1,81m, 21 ans, Ailière, Lattes-Montpellier\\n\\nStats en Qualifications: Pas participé\\n\\nOn peut qualifier sa sélection comme la confirmation d’une résurrection puisque la native d’Auxerre a été une victime d’une rupture des ligaments croisés du genou, à l’époque de l’INSEP avec les U18, puis du ligament antérieur du genou en novembre 2017. On comprend que sa trajectoire ne fut pas linéaire et qu’elle accompagna le COB Calais en Ligue 2 pour repartir du bon pied. Ses graves pépins physiques ne l’ont pas empêché de conserver ses aptitudes athlétiques, c’est un véritable dragster, très énergique en défense, le tout conjugué à une capacité à scorer de loin (38,8% à trois-points en Eurocup). Dans un effectif héraultais riche et varié, elle a réussi à exploiter au mieux son temps de jeu. Elle profite des forfaits de Diandra Tchatchouang et Sarah Michel et de la non-sélection de Magali Mendy pour s’accaparer sinon un fauteuil du moins un strapontin en équipe de France. Son jeune âge lui laisse encore beaucoup de temps pour s’affirmer.\\n\\nMarième BADIANE\\n\\n1,90m, 24 ans, Intérieure, Lyon ASVEL Féminin\\n\\nStats en Qualifications: 6,6 points et 2,0 rebonds en 2 m.\\n\\nLa Lyonnaise a été très en vue durant la finale de Ligue Féminine profitant à fond de l’absence de la pivot brésilienne Clarissa Dos Santos pour démontrer son savoir-faire. 17,0 points et 7,8 rebonds en cinq matches. Elle a ainsi confirmé au meilleur moment ce qu’elle avait laissé entrevoir en fin de saison régulière et en playoffs jusque là. Dotée d’une excellente technique individuelle, elle peut s’écarter à trois-points (7/13 en finale). Le forfait de sa future équipière à l’ASVEL, Helena Ciak, lui offre maintenant des perspectives en Bleues alors qu’elle était jusque là la cinquième intérieure attitrée. Tout est à prouver pour celle qui ne connaît pas encore l’Euroleague. Son père Abdou, qui lui servit un temps d’entraîneur, fut joueur professionnel notamment à l’Etendard de Brest (1989 à 2000), ville où elle est née. Sa mère Cathy Silinski a évolué comme pivot en Nationale à l’ESL Brest Sa soeur cadette Célia est passée par Landerneau. Formée à l’INSEP, Roche Vendée et à Mondeville. Titulaire d’une licence en Biologie.\\n\\nAlexia CHARTEREAU\\n\\n1,91m, 20 ans, Intérieure, Bourges Basket\\n\\nStats en Qualifications: 6,8 points et 2,7 rebonds en 6 m.\\n\\nElle aussi est une enfant de la balle avec une maman, Sylvie Chiron (1,85m), qui a joué dans les équipes de France jeune puis à Bordeaux dans ce qui est aujourd’hui la Ligue Féminine, et un papa Roland (1,96m), qui après le volley et le hand s’est mis au basket. Avant l’INSEP, la Mancelle a porté le maillot des JS Coulaines -un club de la banlieue du chef lieu de la Sarthe- comme Jeremy Leloup et surtout Iliana Rupert qu’elle a retrouvé à Bourges et en équipe de France. La grande spécialité d’Alexia, c’est le shoot à trois-points: 40% de réussite cette saison en Euroleague avec plus de 4 tentés en moyenne par match. Elle a toujours beaucoup scoré et elle a été si précoce qu’on oublie qu’elle n’aura que 21 ans en septembre. Son palmarès individuel est significatif: dans le meilleur 5 de l’Euro juniors en 2015, MVP l’année suivante et encore Meilleure Espoir de Ligue Féminine en 2017 et 2018. Elle a été élue cette saison par les internautes Meilleure Jeune Joueuse d’Euroleague. Et tout ceci n’est qu’un début.\\n\\nSandrine GRUDA\\n\\n1,93m, 32 ans, Intérieure, Famila Schio\\n\\nStats en Qualifications: 19,0 points à 61,5% aux tirs, 6,0 rebonds, 2,3 passes, 1,5 contre en 6 m.\\n\\nEn raison d’une douleur à la cuisse, la Martiniquaise a vu sa préparation très perturbée et elle n’a participé qu’au dernier match face à la Chine. Un sujet d’inquiétude majeure car elle est la Reine du basket français depuis plus d’une décennie. Ses stats ci-dessus lors des qualifications à cet Euro constituent une preuve de plus, son palmarès avec les Bleues -toutes les médailles depuis 2009 sauf celle de 2017 car elle se maria cet été là-, en Euroleague -deux trophées en 2013 et en 2016 avec Ekaterinbourg- et encore un titre WNBA avec les Los Angeles Sparks est sans équivalent. Au-delà de son élégance gestuelle, elle possède un shoot à 4-5 mètres extrêmement fiable et elle est habituée à se coltiner en défense les meilleures intérieures du monde. Son professionnalisme fait l’admiration de tous. Son père Ulysse, pivot de 2,07m compte six sélections en équipe de France obtenue en 1980. Elle a fait une formation de journaliste au CFJ et créé un site où elle donne de temps en temps de ses nouvelles et où elle décrit les petites manies de chacune dans les vestiaires.\\n\\nEndy MIYEM\\n\\n1,88m, 31 ans, Intérieure, BLMA Lattes-Montpellier\\n\\nStats en Qualifications: 11,4 points, 48,9 aux tirs, 5,6 rebonds en 5 m.\\n\\nSa 200e sélection obtenue face à la Chine lors du dernier match de préparation et son capitanat attestent que la Rémoise est une institution en équipe de France qu’elle a découvert à 20 ans en juillet 2008. Depuis, elle a tout raflé avec les Bleues se positionnant comme la 4 indispensable à sa structure. Son shoot à 5 mètres est de l’argent à la banque comme disent les Américains et elle ne rechigne pas à shooter d’un peu plus loin. La joueuse sur qui vous pouvez toujours compter. Son caractère joyeux est aussi une bénédiction pour le groupe. Elle répugne à avouer qu’elle est susceptible mais se reconnaît pudique et dit avoir longtemps manqué de confiance en elle. En club, elle a séjourné un bail à Bourges (9 saisons) avant de voyager: Koursk, Schio, Lattes-Montpellier (12,1 points et 4,4 rebonds en LFB) et Charleville à la rentrée. Ses parents sont nés au Cameroun et son frère Essomé vient de s’engager avec Strasbourg pour quatre ans.\\n\\nIliana RUPERT\\n\\n1,94m, 17 ans, Pivot, Bourges Basket\\n\\nStats en Qualifications: Pas participé\\n\\nUne ascension vertigineuse. Meilleure joueuse de l’Euro cadettes en 2017 et dans le Cinq All-Stars du Mondial U17 l’année suivante, elle est devenu en ce mois de juin l’une des plus jeunes internationales de l’histoire du basket français en compagnie de son amie d’enfance, Marine Fauthoux. Comme la famille s’était installée au Mans, Iliana est issue du même club qu’Alexia Chartereau, les JS Coulaines. Son histoire a été d’autant médiatisée qu’elle est la fille de Thierry, international, décédé prématurément suite à des problèmes cardiaques quand elle avait 11 ans. Elle a toujours été en avance sur son âge et après la Ligue 2 avec le Centre Fédéral elle s’est adaptée à la LFB et à l’Euroleague avec Bourges. Son coach en U17, Arnaud Guppillotte, dit que c’est une 5 qui joue comme une 4 et qui pourrait même opérer en 3 tout en étant une sorte de deuxième meneuse sur le terrain étant donné son fort QI Basket. Elle a encore besoin de se durcir physiquement. L’héritière annoncée de Sandrine Gruda.\\n\\n[armelse]\\n\\nOlivier EPOUPA\\n\\n1,65m, 25 ans, Meneuse, Besiktas Istanbul\\n\\nStats en Qualifications: 3,3 points, 6,5 passes, 5,5 rebonds, 1,8 interception en 6m.\\n\\nAprès un passage très quelconque à Villeneuve d’Ascq, la Parisienne est partie en Turquie pour beaucoup plus de réussite, à Galatasaray où elle a remporté l’Eurocup d’abord puis à Besiktas, une équipe moyenne du championnat national (7e de la saison régulière, quart-de-finaliste en playoffs). Elle y a aussi imposé sa griffe, c’est à dire pas énormément de points (10,9) -principalement sur jeu rapide ou en drives- mais de bonnes passes (5,5), énormément de rebonds (6,0) pour une meneuse aussi petite -sa vitesse de réaction est phénoménale- et d’interceptions (2,8, 2e du championnat). Olivia Epoupa a réussi l’exploit monumental d’être élue MVP européenne dans les trois catégories de jeune (U16, U18 et U20) et s’est retrouvée backup de Céline Dumerc en bleu. Il lui faut à 25 ans définitivement confirmer ses dons exceptionnels au niveau adulte avec Bria Hartley à la fois à ses côtés et en relais.\\n\\nMarine FAUTHOUX\\n\\n1,73m, 18 ans, Meneuse, Tarbes Gespe Bigorre\\n\\nStats en Qualifications: Pas participé\\n\\nUne promotion express inattendue puisqu’il y a un an elle était encore à l’INSEP et en Ligue 2 avec Iliana Rupert. Les deux copines d’enfance ont été\\n\\n[/arm_restrict_content] arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ouverture de la Coupe du Monde U19" }, {"role": "assistant", "content":"La Coupe du Monde U19 démarre aujourd’hui à Héraklion en Grèce. La France a Porto Rico, la Chine et la Serbie dans son groupe.\\n\\nLes Bleuets ont été médaillés de bronze au Championnat d’Europe à Riga en 2018 et ont fait une bonne préparation. Ainsi, après un premier échec à Vrsac (-13), ils ont battu leurs homologues Serbes (+17) avant de s’imposer plus tard au Canada et à la Nouvelle-Zélande\\n\\nN°NomPré.Nais.T.Club 2018/20191CHOUPASYohan11/03/2000193PAU3DIMANCHEKarlton05/03/2000193CHOLET4LEOPOLDFlorian28/07/2000202CHOLET8NIASSEBabacar30/04/2000195CHALON9ROBINEAUHugo27/02/2000190CHOLET11AYAYIJoël05/06/2000196GONZAGA UNIV.12DOSSOU YOVOMathis06/11/2000205CHALON16EYOUMJacques03/02/2000195LE MANS22BAPTISTEKenny24/01/2000200LE MANS32EVTIMOVNicholas08/05/2000201GREENSBORO DS39MAKOUNDOUYoan09/08/2000207CHOLET90BOURHISLucas09/02/2000178GRAVELINES\\n\\nEntraineur : Frédéric Crapez\\nAssistants : Romain Chenaud et Mehdy Mary\\n\\n\\nSamedi 8 juin : France – Belgique 86-67\\nDimanche 9 juin : France – Belgique 99-6\\nLundi 17 juin : Serbie – France 85-72\\nMardi 18 juin : Serbie – France 75-92\\nDimanche 23 juin : France – Canada : 103-82\\nLunidi 24 juin : France – Nouvelle Zélande : 84-83\\n\\nCoupe du Monde à Héraklion (Grèce) du 29 juin au 7 juillet\\nSamedi 29 juin à 15h00 : Porto Rico – France\\nDimanche 30 juin à 12h15 : France – Chine\\nMardi 2 juillet à 12h45 : France – Serbie\\nMercredi 3 juillet : Huitièmes de finale\\nVendredi 5 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 6 juillet : Demi-finales\\nDimanche 7 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Mathis Dossou-Yovo (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Antoine Diot quitte Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Le Valencia Basket a confirmé ce vendredi qu’il ne renouvellera pas le contrat d’Antoine Diot (1,93m, 30 ans), qui quitte le club espagnol après un séjour de quatre saisons marqué par les blessures.\\n\\nAu cours de cette dernière campagne, après avoir surmonté une rééducation complexe, Antoine Diot a pu rejouer, mais des problèmes musculaires l’ont empêché de le faire régulièrement.\\n\\nLe Bressan a disputé un total de 132 matches avec Valence et il a gagné le championnat d’Espagne en 2017 et l’Eurocup en 2019." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Aurélien Fortier nouveau président du SLUC Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, le SLUC Nancy annonce que son Conseil de Surveillance, réunit en séance de travail extraordinaire ce vendredi 28 juin 2019, a élu Aurélien Fortier en tant Président de la SASP SLUC Nancy Basket.\\n\\nL’homme d’affaires nancéien, directeur général délégué chez Atalian, partenaire officiel du SLUC Nancy Basket depuis de très longues années va prendre ses nouvelles fonctions de Président du Directoire à partir de ce lundi 1erJuillet 2019.\\n\\n« Il poursuivra le long travail de développement entamé par Philippe Durst il y a maintenant 2 ans en vue de retrouver la Jeep Elite à terme. »\\n\\nPar ailleurs, statutairement, le conseil de Surveillance a élu Philippe Dupont en tant que Directeur Général du Directoire.\\n\\nOutre le Président Aurélien Fortier et le Directeur Général Mr Philippe Dupont, le Directoire sera composé de Mr Philippe Souchal, Mr Fabrice Weymeskirch ainsi que le représentant de l’Association Support, Laurent Eisenbach." }, {"role": "user", "content":"1,7 million de spectateurs pour les qualifications à la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":" 1. Dans un communiqué, la FIBA explique que son comité exécutif a reçu un rapport d’un consultant indépendant du sport à propos des qualifications pour la coupe du monde de basket. Ce rapport confirme le succès de ces toutes premières qualifications dans trois domaines clés : affluence dans les salles, couvertures médias et l’intérêt des fans sur toute la planète. Les recherches montrent que 420 matches ont attiré 1,7 million de fans dans 157 salles partout dans le monde. Au final, il y a eu 157 matches à guichets fermés et un taux de remplissage moyen de 68%. Ce nouveau format a attiré de grandes foules sur tous les continents. Par exemple, 23 000 personnes à Manille pour voir Philippines-Australie, 12 167 personnes à Helsinki pour voir Finlande-France, 11 000 personnes pour Angola-Brésil ou encore 10 550 fans pour voir le Brésil-Chili.\\n\\nDe plus, la couverture télévisuelle dans plus de 150 marchés a été complétée par les réseaux sociaux avec 2,2 milliards de personnes touchées, 591 millions d’impressions et 7,5 millions d’engagement en cumulée sur toutes les plateformes, ainsi que 429 millions de vidéos vues.\\n\\nCe ne sont pas seulement les fans de basket qui ont suivi et apprécié les qualifications. L’étude montre que plus de 63 millions de fans qui ne regardent pas d’ordinaire des matches de basket ont suivi les qualifications. Au final, cela représente une croissance importante des gens qui s’intéressent à la discipline sur tous les continents.\\n\\n 1. " }, {"role": "user", "content":"L’équipe de France quasiment assurée de participer au minimum au Tournoi de Qualification Olympique" }, {"role": "assistant", "content":"Le Comité Exécutif de la Fédération Internationale (FIBA) a apporté des précisions quant aux qualifications pour le tournoi masculin des Jeux Olympiques de Tokyo en 2020.\\n\\nLa prochaine Coupe du Monde en Chine va qualifier directement 7 équipes aux Jeux Olympiques tandis que les 16 équipes suivantes les mieux classées à cette Coupe du Monde pourront se qualifier via un un Tournoi de Qualification Olympique. Le Comité Exécutif a confirmé les critères sportifs pour la sélection de deux équipes supplémentaires par zone régionale afin de compléter la composition d’un total de 24 équipes (4 tournois de 6 équipes chacune) pour les TQO.\\n\\nC’est le ranking mondial de la FIBA qui déterminera ces 8 équipes. Les deux équipes les mieux classées par région (Afrique, Amérique, Asie-Océanie et Europe) qui ne seront pas déjà directement qualifiées pour Tokyo ou pour les TQO seront sélectionnées pour participer aux TQO.\\n\\nComme la France est classée troisième au ranking FIBA derrière les Etats-Unis et l’Espagne et devant la Serbie, on peut en conclure que même si elle dérape à la Coupe du Monde, elle pourra au minimum participer à l’un des Tournois de Qualification Olympique. CQFD." }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: La France balaye le Monténégro, 88-53" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France a validé sa présence au deuxième tour de l’EuroBasket et une victoire -et même une défaite de moins de neuf points conjuguée à une victoire de la République Tchèque sur le Montégénro- dimanche contre la Suède lui permettra d’éviter le match de barrage et de filer directement en quart-de-finale.\\n\\nTout le monde a mis abondamment la main à la pâte, ce qui ne sera peut-être plus le cas par la suite. Tout le monde a scoré sauf... Olivia Epoupa. Pour l’anecdote, Iliana Rupert, pas encore 18 ans, a marqué le 88e point de son équipe et ses premiers dans la compétition. Le banc a mis 46 points contre 27 à celui du Monténégro. 18 points ont été infligés en contre-attaque contre 2 du côté adverse.\\n\\nMarine Johannès a terminé meilleure marqueuse avec 15 points et la prestation d’ensemble de Sandrine Gruda a été très rassurante quant à sa condition physique après une interruption en raison d’une douleur à la cuisse.\\n\\nLe Monténégro était a priori l’équipe la plus faible du groupe avec la retraite de Iva Perovanovic et le forfait de la fantasque mais immensément douée Jelena Dubljevic. D’ailleurs, ce petit pays qui fut un temps intimement lié à la Serbie après l’éclatement de la Yougoslavie, avait lourdement chuté la veille face à la Suède (67-51) laquelle s’est fait surprendre en début d’après-midi par la République Tchèque malgré les 19 points, 7 rebonds et 5 passes de Amanda Zahui (1,92m, 25 ans), numéro 1 de son équipe dans ces trois secteurs, elle aussi membre du New York Liberty en WNBA qu’elle a quitté le 19 de ce mois avec une jolie moyenne de 11,4 points et 7,8 rebonds.\\n\\nBeaucoup plus athlétiques, les Bleues sont entrées cette fois dans le match avec agressivité et un écart a été vite établi à la marque: 14-5 au bout de 6′ puis 19-7 et 24-9. Sandrine Gruda faisait un super job sur la naturalisée Glory Johnson -quel contre dans le deuxième quart-temps!- et la circulation du ballon était très bonne. Les Monténégrines étaient prévenues que les Françaises n’étaient pas là pour rigoler.\\n\\nValérie Garnier puisait déjà largement dans l’effectif, la coach monténégrine mettait en place une zone, Bozica Mujovic était en feu, et s’est ainsi que l’avantage des Bleues s’effritait. Pas pour longtemps. Grâce à une belle réussite à trois-points (5/6) et le retour des titulaires avec notamment Valériane Ayayi (10 points, 4 rebonds et 4 passes en une mi-temps) en net regain d’efficacité, la France repartait de plus belle: 37-22. L’activité débordante de Sandrine Gruda (11 points) la conduisait à se constituer un capital de +19 à la mi-temps (45-26). Quand les Bleues défendent dur, une équipe comme le Monténégro ne peut y résister.\\n\\nNi l’intensité défensive, ni l’adresse (52,3% dans les tirs du champ au final) des Bleues ne faiblissaient et l’écart montait, montait: 56-31, 67-38 (30e), 82-47 et donc 88-53 à la fin. Cela permettait à tout le banc d’être en action.\\n\\nPreuve que la défense française fut étouffante, Glory Johnson s’est contentée de 4 points et 2 rebonds en 16′.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FFBB)\\n\\n\\nFrance/Monténégro dans une salle vide, avec juste une poignée de supporters bleus. On ne mesure pas la motivation, l'envie et la détermination qu'il faut pour se donner à fond dans une ambiance aussi morne. Respect les filles !!#equipedefrancefeminine #EuroBasketWomen pic.twitter.com/G4OAHLMRGv\\n\\n— TREVISAN Liliane (@lilouTrevisan) June 28, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Mardy Collins et Strasbourg mettent fin à leur collaboration" }, {"role": "assistant", "content":"Au sortir d’une saison décevante tant pour l’ailier américain que pour le club alsacien, les deux partis ont décidé, ce jour, de se séparer d’un commun accord.\\n\\nCette décision était plutôt attendue et elle est désormais officielle : Mardy Collins (1,98m, 35 ans) ne sera plus un joueur de Strasbourg pour la saison 2019/2020.\\n\\nLe natif de Philadelphie avait pourtant signé l’année dernière, lors de son retour, un contrat de 2 ans mais suite à une saison très moyenne aussi bien collectivement (6ème – 20 victoires pour 14 défaites) qu’individuellement (9,3 points à 38,3%, 22,6% à 3-points, 3,4 rebonds et 3,7 passes décisives pour 9,3 d’évaluation en 24 minutes), on voyait mal comment la collaboration pouvait continuer entre le joueur et son club.\\n\\n\\n🚨 Communiqué de presse 🚨\\n\\nLe club de la SIG Strasbourg et l’ailier Mardy Collins mettent fin à leur collaboration d’un commun accord. @LNBofficiel @BasketballCL @strasbourg\\n\\n▶️ https://t.co/Wc5JkbMQOg pic.twitter.com/cOAPQEDXEJ\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) June 28, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Xavi Forcada signe à la Chorale de Roanne jusqu’en 2021" }, {"role": "assistant", "content":"Xavi Forcada (1,93m, 30 ans) va découvrir la Jeep Elite, sous les couleurs de Roanne à la rentrée 2019/2020.\\n\\nLe meneur espagnol vit décidément une ascension bien peu commune. Après avoir été MVP de Nationale 1 et promu avec Gries en Pro B la saison dernière, Xavi Forcada vient tout simplement d’éblouir l’antichambre de l’élite de son talent.\\n\\nC’est simple, dès sa première année à ce niveau, le meneur ibérique a été élu dans le meilleur 5 de la division, compilant : 14,5 points à 45,7%, 2,9 rebonds et 6,5 passes décisives pour 16,8 d’évaluation en 34 minutes de temps de jeu.\\n\\nC’est donc tout naturellement que certains clubs de Jeep Elite se sont renseignés pour s’attacher ses services. C’est l’équipe de Laurent Pluvy, la Chorale de Roanne qui l’a convaincu et le natif de Barcelone s’est engagé jusqu’en 2021.\\n\\nLaurent Pluvy est très satisfait de cette signature, comme il l’a déclaré sur le site de la Chorale :\\n\\n« On avait imaginé il y a un mois une doublette Forcada/Keita et malgré la blessure de Mathis, on a gardé cette option là. Xavi est un meneur d’expérience qui sait bonifier ses coéquipiers sans s’oublier lui-même. C’est un joueur complet qui s’est très bien adapté au basket français. Il aurait mérité pour moi d’être le MVP du championnat tant il a impacté la division. Il devrait nous apporter tout son vécu, sa science du jeu et surtout son état d’esprit qui correspond parfaitement à ce qu’on recherche afin de rester dans notre identité. »\\n\\n\\n🚨 SIGNATURE 🚨\\n\\nXavier Forcada est à #Roanne aujourd'hui pour signer un contrat de deux ans et rejoindre la #ChoraleNation en #JeepELITE ✍\\n\\nLe meneur catalan formé au Barça a brillé avec @Gries_Basket en #ProB 🐻\\n\\nLe communiqué ➡ https://t.co/vtngrzG1EQ pic.twitter.com/pFHWgLDiF5\\n\\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) June 28, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le Real Madrid est lié avec Walter Tavares jusqu’en 2024" }, {"role": "assistant", "content":"Le Real Madrid a prolongé son géant Walter Tavares (2,21m, 27 ans) jusqu’en 2024 soit quatre ans de contrat supplémentaires. Le pivot du Cap-Vert privilégie ainsi le club espagnol à la NBA avec laquelle il avait quelques touches.\\n\\nWalter Tavares est arrivé au Real en novembre 2018 après avoir quitté la NBA après une expérience peu satisfaisante. Avec lui, l’équipe blanche a remporté les deux derniers titres nationaux, une Euroleague (2018) et une Super Cup. Elle a également disputé le Final Final de l’Euroleague cette saison. Le pivot a été choisi comme meilleur défenseur de l’Euroleague et a intégré le Cinq all-Star de la saison dans la ligue Endesa ." }, {"role": "user", "content":"Un quart des joueuses de l’Euro ont joué un jour en Ligue Féminine" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Féminine a calculé une statistique très significative: 25%% des joueuses présentes à l’Euro ont porté un jour le maillot de l’un de ses clubs.\\n\\n« Une proportion bien supérieure aux relévés effectués lors des dernières éditions (20.1% en 2015, 21.3% en 2017) et qui prouve par les chiffres l’attractivité de notre championnat. La sélection nationale, hors France, avec le plus de joueuses « LFB » est la Belgique (7) qui compte notamment dans ses rangs la championne de France LFB Julie Allemand (Lyon), suivie de l’Espagne, de la Serbie et de la Suède (5).\\n\\nCes statistiques ne prennent pas en compte trois joueuses qui vont apparaître en LFB à la rentrée: la Belge Antonia Delaere (Nantes-Rezé) et les Suédoises Louice Halvarsson (Tarbes) et Klara Lundquist (Lattes-Montpellier).\\n\\nPhoto: Romana Hejdova (Basket Landes, FIBA)\\n\\nPaysJoueusesClubs LFB et saisonsBiélorussie (3)Alexandria BENTLEYTarbes 14-15Tat. LIKHTAROVICHArras 12-13, Tarbes 2014Katsia. SNYTSINALattes Montpellier 2014Belgique (7)Julie ALLEMANDLyon 17-19Mar. CARPREAUXMondeville 2010, Vill. 10-11,\\nBourges 2011Emma MEESSEMANVilleneuve d’Ascq 12-14Kim MESTDAGHCharleville-Mézières 15-17H. NAUWELAERSMondeville 17-18Julie VANLOOMondeville 13-15Ann WAUTERSValenciennes 98-04, Villeneuve 14-15Espagne (5)Tamara ABALDEAix 11-12, Basket Landes 12-13Queralt CASASNantes Rezé 15-16, Basket Landes 16-18,\\nCharleville-Mézières 2018Cristina OUVINABourges 17-19Laia PALAUBourges 04-06, 2018Maria PINA TOLOSAAngers 2016France (12)Sauf Bria HARTLEY–Grande-Bretagne (2)Chantelle HANDYNantes Rezé 2013Johannah LEEDHAMBourges 13-17, Villeneuve 17-18Italie (1)Giorgia SOTTANALattes Montpellier 17-18Lettonie (2)Elina DIKAIOULAKUChalles-les-Eaux 09-10Aija BRUMERMANEMondeville 10-11R Tchèque (3)Romana HEJDOVAAngers 13-15, Saint-Amand 15-17, Mondeville 17-18,\\nBasket Landes 18-19Ter. KRAKOVICOVA Calais 15-16Kam. STEPANOVABasket Landes 12-15, Toulouse 15-16,\\nVilleneuv 16-17, Landerneau 18-19Serbie (5)Dajana BUTULIJALyon 15-16Ana DABOVICLattes Montpellier 2019Nevana JOVANOVICBasket Landes 16-17, Villeneuve 17-18Sonja PETROVICBourges 07-08Maja SKORICBasket Landes 17-18Slovénie (1)Shante EVANSAix 14-15, Villeneuve 18-19Suède (5)Elin ELDEBRINKTarbes 08-09, Villeneuve 13-14Frida ELDEBRINKTarbes 08-10, Bourges 12-13Binta DRAMMEHMondeville 12-13Danielle HAMILTON-CARTERLyon 14-15Kalis LOYDTarbes 14-15, Arras 15-16, Basket Landes 16-17\\nCharleville-Mézières 17-18Ukraine (3)Alina IAGUPOVAVilleneuve 16-17Ol. MALASHENKOArras 09-11 et 12-13Liu. NAUMENKOVilleneuve 16-17" }, {"role": "user", "content":"L’ASVEL confirme l’arrivée de Edwin Jackson pour 4 saisons" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué et avec vidéo à l’appui, l’ASVEL rend officielle ce matin la signature de Edwin Jackson (1,90m, 29 ans). L’international a paraphé un contrat de quatre ans avec le club champion de France.\\n\\nEdwin Jackson a porté le maillot villeurbannais de 2007 à 2008 et de 2010 à 2014. Avec l’ASVEL, il a remporté la Coupe de France en 2008, fut MVP français du championnat en 2013, son meilleur marqueur en 2014, et y a disputé plus de 230 matchs sur la période. Il a ensuite joué au FC Barcelone, Malaga, Estudiantes Madrid, Guandong (Chine) et Buducnost Podgorica (Monténégro), disputant 74 matches d’Euroleague.\\n\\nIl a cumulé 9,8 points à 42,9% à trois-points, 2,5 points et 1,9 passe la saison écoulée en Euroleague avec le Buducnost Podgorica.\\n\\n« Edwin a marqué l’Histoire de notre club et continuera de le marquer dans les saisons à venir. Il a fait preuve d’une motivation extraordinaire pour faire son retour et c’est un bonheur immense d’avoir réussi à trouver un accord. Un contrat de quatre ans, c’est aussi un signe fort, celui d’une volonté de fidélisation des meilleurs joueurs français« , a commenté le président Tony Parker." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Marine Fauthoux, Rookie Time" }, {"role": "assistant", "content":"Quand on entendra le nom de Fauthoux, on ne pensera plus automatiquement à Freddy, le coach de Levallois, mais tout autant à Marine, la meneuse de Tarbes, 18 ans, et débutante en équipe de France à l’Euro. La FFBB propose de la découvrir dans cette vidéo intitulée « Rookie Time »." }, {"role": "user", "content":"Eurobasket féminin: Vous avez le bonjour de Jo Leedham !" }, {"role": "assistant", "content":"Bien connue en France, Jo Leedham (1,80m, 31 ans) a obtenu des statistiques remarquables hier à l’Euro lors de la victoire de la Grande-Bretagne sur la Lettonie, 74-60.\\n\\nLa Britannique a marqué 24 points avec 5 paniers à trois-points sur 8 tentatives, ce qui est déjà très bien mais aussi 4 rebonds, 6 passes, 2 contres et surtout 7 interceptions, ce qui est rare lors d’un Eurobasket.\\n\\nJo Leedham a porté les maillots de Bourges de 2012 à 2017 puis de Villeneuve d’Ascq en 2017-18. Elle s’était aussi signalée en marquant 29 points contre la France aux JO de Londres poussant celle-ci à la prolongation." }, {"role": "user", "content":"Grèce: Sofoklis Schortsanitis, alias Baby Shaq, devrait faire son retour à la compétition" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot grec Sofoklis Schortsanitis (2,06m, 34 ans) connu pour son physique hors normes devrait faire son retour avec Ionikos Nikaias, nouveau promu dans la Ligue grecque, à la condition de satisfaire aux contrôles médicaux.\\n\\nSofoklis Schortsanitis avait été victime d’une rupture du tendon d’Achille en décembre 2016 lorsqu’il portait le maillot d’Apollon Patras. Il était ensuite réapparu brièvement en janvier 2018 à Trikala.\\n\\nSurnommé Baby Shaq ou Big Sofo, le pivot grec d’origine camerounaise a toujours eu des surplus de poids -il pesait autour de 150/160kg- mais suite à un travail individuel assidu, il en aurait beaucoup perdu.\\n\\nIl a auparavant fait le bonheur de plusieurs grands clubs européens (Olympiakos, Maccabi -avec qui il a gagné l’Euroleague en 2014-, Panathinaikos et Etoile Rouge de Belgrade. Il a été par ailleurs médaillé d’argent au championnat du monde 2006 avec l’équipe nationale grecque." }, {"role": "user", "content":"Charles Kahudi (Asvel): «Ma fille a été sauvée mais elle est aujourd’hui hémiplégique»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans Le Parisien, récemment couronné champion de France, Charles Kahudi s’exprime sur la maladie dont souffre l’une de ses filles.\\n\\n« Elle a une maladie rare que les médecins n’arrivent toujours pas à expliquer », confie le capitaine de l’Asvel. « Elle allait bien quand ma saison a commencé mais la maladie s’est déclarée en novembre. Elle a eu une crise de convulsion en pleine nuit qui ont causé d’importantes séquelles neurologiques. Elle a été sauvée mais elle est aujourd’hui hémiplégique. C’est à dire qu’elle a une paralysie unilatérale (gauche). Elle est depuis huit mois à l’hôpital en rééducation quotidienne. Elle a a récupéré certaines fonctions motrices mais le chemin encore long. On espère qu’elle récupérera le maximum. C’est difficile de la voir aujourd’hui en situation de handicap.\\n\\nCharles remercie sa femme d’être un « roc » et ses équipiers qui ont accepté le fait que parfois il était moins bon sur le terrain. Le basket est-il une soupape demande le journaliste du Parisien:\\n\\n« C’est mon métier, ma passion mais ma femme et mes enfants sont les plus importants. Devant la maladie de ton enfant, les priorités changent. Je sais que je donnerais tous mes trophées, tout mon parcours pour guérir ma fille, qu’elle soit à 100 % pour avoir une belle vie. »\\n\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/LNB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les commentaires des champions de France sur Asvel Time" }, {"role": "assistant", "content":"Asvel Time revient évidemment dans sa dernière mouture sur le titre de champion de France des Villeurbannais avec les commentaire des différents acteurs.\\n\\nPhoto: Tony Parker et Adreian Payne (Hervé Bellenger, LNB)" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Haley Peters, de Charleville à la Turquie" }, {"role": "assistant", "content":"Après un séjour à Lyon puis à Charleville, l’ailière américaine Haley Peters (1,91m, 29 ans) a choisi la Turquie comme destination. Elle rejoint le club d’Hatay.\\n\\nHaley Peters a été cette saison l’auteure de 17,6 points et 5,6 rebonds avec les Flammes en Euroleague." }, {"role": "user", "content":"L’arbitre Eddy Viator recordman des finales sifflées depuis un siècle" }, {"role": "assistant", "content":"Fou de basket, de son histoire et de statistiques, Vincent Janssen, dont les lecteurs de BasketEurope ont déjà pu apprécier les recherches, a calculé le nombre de désignations des arbitres pour les finales du championnat de France depuis 1922 !\\n\\nIl s’avère que c’est un contemporain, Eddie Viator qui détient désormais le record avec 21 finales grâce à sa présence dans le trio de l’Episode 5 Villeurbanne-Monaco, dont 16 comme arbitre principal. Il devance ainsi Bruno Gasperin (20) et Philippe Mailhabiau (19).\\n\\n« Il faut savoir que selon les changements de formule de championnat, il y a eu de nombreuses saisons sans finales, de 1964 à 1979 et de 1982 à 1986, » précise Vincent Janssen qui a recensé un total de 62 arbitres.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"La photo: En 1960 aussi, il faisait chaud !" }, {"role": "assistant", "content":"Durant l’été 1960 aussi, il y a eu des poussées de canicule comme le rappelle cette photo exhumée par Le Musée du Basket. On y voit le DTN Robert Busnel tenter de rafraîchir avec des moyens désuets l’international Robert Monclar, père de Jacques et grand-père de Julien et Benjamin, en partance pour les Jeux Olympiques de Rome." }, {"role": "user", "content":"Euroleague 2019-20: Le Zénit Saint-Petersbourg sera la 18e équipe" }, {"role": "assistant", "content":"Le BC Zénit Saint-Petersbourg sera par le biais d’une invitation le 18e club de l’Euroleague pour la saison 2019-2020. Pour la première fois, il y aura ainsi trois équipes russes sur la ligne de départ. Andrew Albicy en sera le meneur de jeu.\\n\\nClubs EuroLeague 2019-20\\n\\nALBA Berlin (via BBL)\\nAnadolu Efes Istanbul\\nArmani Milan\\nEtoile Rouge de Belgrade (via ABA League)\\nCSKA Moscou\\nFC Barcelone\\nFC Bayern Munich (avec licence de deux ans)\\nFenerbahce Istanbul\\nKhimki Région de Moscou (via VTB United League)\\nBaskonia Vitoria\\nLDLC ASVEL Villeurbanne (via licence de deux ans)\\nMaccabi-Tel Aviv\\nOlympiakos Le Pirée\\nPanathinaikos Athènes\\nReal Madrid\\nValence Basket (via EuroCup)\\nZalgiris Kaunas\\nZenit Saint – Pétersbourg (via wildcard)\\n\\n\\nC’est officiel je vais jouer l’ @euroleague la saison prochaine. Good job @zenitbasket 🔥 https://t.co/LcQwLVllXI\\n\\n— Andrew Albicy (@andrewalbicy) June 27, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Devin Oliver est le nouveau poste 4 de Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"La JSF Nanterre 92 avance dans son recrutement des joueurs étrangers pour la saison 2019/2020.\\n\\nAprès avoir annoncé la signature du petit pivot du BCM Gravelines-Dunkerque, Taylor Smith (1,99m, 28 ans), le club francilien a déclaré cet après-midi s’être mis d’accord avec Devin Oliver (2,03m, 27 ans) pour la saison à venir.\\n\\nMalgré une saison aboutie (4ème – 23 victoires, 11 défaites), le club entraîné par Pascal Donnadieu ne devrait conserver aucun de ses joueurs étrangers. Il ne devrait pas, en revanche, oublier pour autant les fondements qui le caractérisent depuis quelques années à savoir le jeu de passe rapide et le tir à 3-points.\\n\\nLe néo-Nanterrien en est d’ailleurs un spécialiste comme en témoigne ses statistiques sur la saison écoulée : il tournait en début de saison en championnat turc à 13,3 points à 52,5% (48,5% à 3-points), 7,6 rebonds et 1,9 passe décisives pour 17,8 d’évaluation en 33 minutes de temps de jeu sur 10 matchs.\\n\\nIl a rejoint ensuite le club finaliste malheureux de la FIBA Europe Cup : s. Oliver Würzburg où il compilait en BBL, 11,6 points à 51,5% (47,8% à 3-points), 4,3 rebonds et 2,1 passes décisives pour 12,6 d’évaluation en 25 minutes de temps de jeu.\\n\\nUne recrue de choix qui enflammera sûrement plus d’une fois le Palais des Sports Maurice-Thorez lorsqu’il prendra feu à 3 points.\\n\\n\\n🔥 Alerte Recrutement 🔥\\n\\nDevin Oliver sera le nouveau Poste 4 de Nanterre 92 🇺🇸 Un joueur sur-explosif que les nanterriens devraient ADORER 😬\\n\\n+ d’infos sur https://t.co/A15BiHtb9w#WeAreJSF pic.twitter.com/wzL8U9Rboi\\n\\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) June 27, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: La mini-movie du triomphe de l’Asvel" }, {"role": "assistant", "content":"La LNB a réalisé cette mini-movie de l’Epilogue -le Match 5- des finales des playoffs de Jeep Elite, Asvel-Monaco, avec au bout le triomphe de l’ASVEL\\n\\nPhoto: DeMarcus Nelson et Tony Parker (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Euro féminin: Les Bleues repoussent la République Tchèque dans le money time, 74-61" }, {"role": "assistant", "content":"Sur les trois premiers quart-temps, l’équipe de France n’a mené que 18 secondes, c’est dire que cette victoire face à la République Tchèque fut beaucoup plus laborieuse que ne l’indique le score final, 74-61. Les Bleues ont été longtemps en dessous de leurs standards et la paire Katerina Elhotova-Romana Hejdova en a alors profité pour cartonner.\\n\\nHeureusement, la France a pu bénéficier d’une Olivia Epoupa stratosphérique dans tous les compartiments du jeu (18 points, ce qui est son record en carrière, 6 passes, 6 interceptions, 4 rebonds) et ses qualités athlétiques ont fait la différence dans les dix dernières minutes face à des Tchèques physiquement au bout du rouleau.\\n\\nC’est sans l’intérieure de Prague, Alena Hanusova, sa top marqueuse en qualifications (16,5 points), l’Américaine naturalisée Kia Vaughn, que Valérie Garnier avait sous la main à Fenerbahçe et Julia Reisingerova, blessée, que la République Tchèque s’est présentée à l’Euro.\\n\\nValérie Garnier avait choisi de placer Sandrine Gruda dans le cinq de départ même si la Martiniquaise n’avait participé qu’au dernier match de préparation face à la Chine en raison d’une douleur à la cuisse. La mise en jambe des Bleues, laxistes en défense, imprécises dans les passes et les shoots, a été laborieuse (9-17). Une sorte de bêtisiers. Une meilleure vigilance en défense avec les exploits d’Olivier Epoupa (8 points) et une franche domination au rebond leur permettaient d’effacer rapidement l’ardoise (17-17) même si les Tchèques repassaient en tête au buzzer du premier quart (19-20).\\n\\nSi les Tchèques étaient aussi compétitives, c’est principalement grâce à une belle adresse et notamment celle de l’ailière de l’USK Prague Katerina Elhotova qui avait scoré 11 points après 14 minutes, alors que les Bleues, visiblement stressées, n’arrivaient pas à conclure, à l’image de Sandrine Gruda qui loupait ses quatre lancers. Seulement deux points en 5 minutes ! De quoi redonner une avance à leurs adversaires, 21-28, et même 25-35 avant de retomber à 27-38 à la mi-temps. C’est son 6/12 à trois-points qui permettait à la République Tchèque de faire la loi.\\n\\nEt ce sont leurs qualités athlétiques qui relançaient les Françaises et toujours leur maladresse qui leur interdisait de profiter pleinement de cette supériorité. La Landaise Romana Hejdova était à son meilleur niveau (16 points en 26 minutes). Si bien que la France faisait des va-et vient-au score et avec un cinq composé de jeunes et de rookies, elle revenait de 37-45 à 50-50 après trente minutes avec 16 points en contre-attaques contre seulement 2 aux Tchèques.\\n\\nUne accélération de Bria Hartley donnait un +6 à la France (60-54) alors que les titulaires étaient revenues en piste. Les Tchèques piquaient du nez et se mettaient en zone pour perturber les Bleues. Un trois-points de Marine Johannès permettait de trouver la clé d’entrée (63-56). Malgré une Romana Hejdova héroïque, les Bleues s’échappaient définitivement. Bria Hartley (13 points), Olivia Epoupa et Endy Miyem (11) plantaient chacune leur panier à trois-points.\\n\\nDemain, à 14h30, les Françaises seront opposées au Monténégro qui a perdu son, premier match face à la Suède, 51-67.\\n\\n\\n\\On ne peut pas se faire des frayeurs comme ça quoi...\\ 😱@Sandrine_Gruda (@FRABasketball) après #FRACZE 🗣️\\n\\nVivez le meilleur de l'@EuroBasketWomen sur @myCANAL | 📺 : https://t.co/ztKqUKXY0f #EuroBasketWomen #WeCanBeEuro #FRACZE pic.twitter.com/4kHGR8j2YH\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) June 27, 2019\\n\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa, FFBB" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Alexandre Ménard sera l’entraîneur de Rouen jusqu’en 2023" }, {"role": "assistant", "content":"Le récent entraîneur finaliste malheureux des playoffs d’accession à la Jeep Elite, Alexandre Ménard, vient de prolonger son contrat avec Rouen. Il en sera l’entraîneur jusque juin 2023.\\n\\nIl ne lui restait qu’une seule saison sur son contrat et après ses récents très bons résultats à la tête de l’équipe rouennaise, Alexandre Ménard était un homme demandé, que ça soit en Jeep Elite ou en Pro B. Il a finalement décidé de prolonger son contrat avec le Rouen Métropole Basket pour 3 saisons supplémentaires.\\n\\nIl explique le choix de cette prolongations sur le site officiel du club :\\n\\n« Cette prolongation de contrat est un signe fort de respect, de partage et d’engagement les uns envers les autres. Cette confiance accordée par les dirigeants est un honneur. Je souhaite ainsi poursuivre avec eux notre mission commune, à savoir : continuer à performer sur le terrain mais aussi porter et faire grandir l’ambitieux projet RMB en dehors. »\\n\\n\\n\\nMalgré les performances de son équipe, le coach sait très bien qu’il aura du mal à conserver la totalité des joueurs de la cuvée 2018/2019. Pourtant, selon Paris-Normandie, il espère tout de même disposé de certains d’entre-eux comme Jamar Diggs (1,88m, 30 ans), Zimmy Nwogbo (2,01m, 27 ans) et Carl Ponsar (2,03m, 22 ans) en plus de Benoit Injai (1,86m, 22 ans), Emmanuel Monceau (1,95m, 23 ans) et Earvine Bassoumba (2,05m, 23 ans).\\n\\nLe coach natif de Cholet aura à disposition une augmentation de budget qui devrait être de 300,000 euros par rapport à la précédente saison. Ce budget devrait se situer aux alentours de 2,6 millions d’euros." }, {"role": "user", "content":"U20 Féminines: Un groupe de 16 joueuses à 6 semaines de l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"L’Equipe de France U20 va effectuer un tournoi et un stage à Bourg-en-Bresse. 16 joueuses ont été convoquées à cette occasion dont 7 sont actuellement en formation aux Etats-Unis.\\n\\nNOMPrénomN.P.ClubBREMAUDCarla19992WICHITA STATE (NCAA)DREANOAdèle19992ANGERSDROGUETCamille19992LYON ASVELFOFANANabala20005NANTESFRANCHELINColine19991LYON ASVELGNAGODaphné19993-4UC RIVERSIDE (NCAA)GURAMAREMaria20005HARVARD (NCAA)JAKOVLEVICHélène20001-2VILLENEUVE D’ASCQMANALASéréna20005LATTES MONTPELLIERMBANDUNaomi19993-4GULF COAST STATE (JUCO)MONPIERREOcéane20001BC ROCHE VENDEEPARISIClaire19991BASKET LANDESPOUYETima19991-2TARBESSHEMATSISarah19993-4SOUTH PLAINS (JUCO)TAHANEEmmanuelle19993-4UNIV. OF MISSOURI (NCAA)TRASIAwa19995NW FLORIDA ST. (JUCO)\\n\\nEntraîneur : Jérôme Fournier\\nAdjoints : Grégory Morata, Virgile Abel, John Delay\\n\\nTournoi de Bourg-en-Bresse du 21 au 23 juin\\nEquipes participantes : Belgique, France, Japon, République Tchèque\\n\\nStage à Bourg-en-Bresse du 24 au 26 juin\\n\\nStage à Nice du 9 au 11 juillet\\n\\nTournoi à Nice du 12 au 14 juillet\\nEquipes participantes : Australie, Belgique, France, Russie\\n\\nStage et Tournoi à Ferrol (Espgane) du 16 au 21 juillet\\n\\nChampionnat d’Europe en République Tchèque du 3 au 11 août\\nSamedi 3 août à 20h15 : France – Allemagne\\nDimanche 4 août à 17h30 : Italie – France\\nLundi 5 août à 19h45 : France – Pays-Bas\\nMercredi 7 août : Huitièmes de finale\\nJeudi 8 août : Quarts de finale\\nSamedi 10 août : Demi-finales\\nDimanche 11 août : Finale\\n\\nPhoto: Maria Guramare (Harvard)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL – EuroBasket féminin: Les Bleues sur Canal+ Sport" }, {"role": "assistant", "content":"Tandis que les matches de préparation sont sur RMC Sport 2, le Championnat d’Europe féminin (27 juin au 7 juillet) sera diffusé sur Canal+ Sport qui a programmé deux rencontres par jour durant la phase de groupes, et la phase finale de la compétition dans son intégralité à compter des quarts de finale.\\n\\nLes matchs seront commentés par Joris Sabi et l’ancienne capitaine des Bleues, Céline Dumerc. Hélène Cougoule réalisera les interviews au bord du terrain. En plateau à Paris, Arnaud Bonnin et George Eddy présenteront les éditions autour de la compétition.\\n\\nRappelons que si les Bleues sont qualifiées pour les demi-finales et finale, leurs matches seront également diffusés en clair sur la chaîne de la TNT, W9.\\n\\nJeudi 27 juin (1ère journée)\\n\\n14h20 : FRANCE / REPUBLIQUE TCHEQUE en direct sur CANAL+SPORT\\n\\n19h50 : UKRAINE / ESPAGNE en direct sur CANAL+SPORT\\n\\nVendredi 28 juin (2ème journée)\\n\\n14h20 : MONTENEGRO / FRANCE en direct sur CANAL+SPORT\\n19h50 : ESPAGNE / GRANDE-BRETAGNE en direct sur CANAL+SPORT\\n\\nDimanche 30 juin (3ème journée)\\n\\n17h20 : LETTONIE / ESPAGNE en direct sur CANAL+SPORT\\n\\n19h50 : SUEDE / FRANCE en direct sur CANAL+SPORT\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Julien Bonnet, le fondateur de CourtCuts: «mettre en avant des joueurs que l’on n’a pas l’habitude de voir»" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis 2012, Julien Bonnet met en ligne chaque mercredi le Top 10 de ce qui s’est passé sur les parquets de Nationale 1, Nationale 2 et Nationale 3. Plus récemment, il s’est aussi lancé dans l’aventure Playground, en faisant découvrir les terrains extérieurs de France – et Mayotte dans le volume 2 – en vidéo. Interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment est né CourtCuts ?\\n\\nJe joue au basket depuis que j’ai 7 ans, mais j’ai vraiment commencé à être passionné à partir du moment où j’ai vu les premières mixtapes And One. Je devais avoir 16 ans, je pense. Avec des potes on avait créé un groupe et on faisait un peu pareil, on se filmait sur les playgrounds. On avait sorti plusieurs mixtapes et c’est comme ça que je me suis formé aux montages vidéos. Quand les mix Ballislife ont commencé à faire le buzz sur Youtube, je me suis dit qu’on avait des lycéens américains qui faisaient plus de buzz que des pros en France. Je trouvais ça super bizarre du coup je me suis dit que j’allais faire la même chose avec ce qu’on a. Pas le lycée, mais en gros la N1, N2 et N3, les niveaux où les joueurs peuvent s’exprimer avant d’être en pro. J’ai commencé à tester en faisant des mix de highlights que je trouvais un peu partout. Je n’avais pas encore commencé les Top 10, mais j’avais mis ça sur Youtube et ça n’avait pas mal marché. C’est seulement après que j’ai décidé de faire le Top 10. La toute première année, j’avais démarché la FFBB, sans réponse... Voyant tous les partages, les vues et les commentaires, ils ont commencé à s’y intéresser. Ils m’ont donc donné un contrat l’année suivante. C’est né comme ça, d’une idée sur un coup de tête pour mettre en avant des joueurs qu’on n’a pas l’habitude de voir. A la base, le but c’était vraiment de faire des mixtapes un peu dynamiques avec des highlights de France. C’est vraiment le Top 10 qui a fait exploser le truc.\\n\\nCombien de personnes sont derrière CourtCuts ?\\n\\nAu début j’étais vraiment tout seul. Aujourd’hui, on est plusieurs comme il y a plusieurs projets autour de CourtCuts. Pour le Top 10, il y a Lucas, le commentateur qui bosse dessus. Il est dans sa deuxième année de contrat avec la FFBB et ça lui a permis aussi de faire pas mal de trucs à côté. Il a pu commenter plusieurs événements de 3×3 et les finales de coupe de France. Pour le All Star Game CourCuts, j’ai gardé avec moi l’organisateur de celui de la saison dernière. Donc là-dessus on est deux, plus le club qui accueille. Et puis pour le projet Playground, il y a le caméraman qui est avec moi dessus. On essaye d’ailleurs de trouver des partenaires pour pouvoir le rémunérer. On va dire que maintenant, on est 4 ou 5 derrière tout ce qui se fait chez CourtCuts.\\n\\n« Quand tout le monde joue, on arrive facilement à avoir 30 vidéos »\\n\\nQue vous apporte la FFBB ?\\n\\nAu début c’était que de l’exposition pure. Aujourd’hui, j’ai un contrat avec eux pour livrer 30 Top 10 dans la saison. Tous les mercredis on publie un Top 10 et en général on s’arrête au trentième. Même si la saison de Nationale 1 n’est pas terminée, c’est le cas pour la N2 et la N3 avant les playoffs. Ils ne nous ont jamais demandé de rallonger, bizarrement, mais on ne va pas se plaindre parce que c’est quand même assez fatigant étant donné qu’on bosse tous à côté de CourtCuts. En général, on est content au début de la saison et à la fin de la saison on n’est pas mécontent non plus quand ça s’arrête (sourire) ! Ça manque vite de recevoir des highlights, mais en fin de saison on approche l’overdose. On a un contrat avec eux pour le Top 10, Lucas aussi, mais pour le reste il n’y a rien. C’est juste pour faire de la promo. J’ai vraiment repris Instagram il y a un peu plus d’un an, mais ce n’est pas du tout rémunéré, c’est juste pour de la visibilité.\\n\\nQui fait les classements ?\\n\\nJe m’occupe des classements.\\n\\nCombien recevez-vous de vidéos par semaine ?\\n\\nQuand tout le monde joue, on arrive facilement à avoir 30 vidéos. Le lundi matin 30 mails pour la N2 et la N3, voire N1 et ensuite il faut aller chercher les actions en N1. Pour la N1, il y a une plateforme où il y a tous les matchs en vidéo. J’ai accès à cette plateforme et je demande aux joueurs à droite à gauche où est-ce qu’il y a eu des actions parce que je ne me fais pas tous les matchs du week-end (rires). En N2 et N3, je reçois les vidéos des coachs, des arbitres, des joueurs...\\n\\nCombien de temps de travail représente un Top 10 ?\\n\\nLe temps de recevoir les mails, les trier, faire le montage, envoyer à Lucas et reprendre, je dirais huit bonnes heures.\\n\\nLes Top 10 seront de retour en 2019/20 ?\\n\\nJe n’ai pas de nouvelle, mais pas de nouvelle, bonne nouvelle. S’ils voulaient arrêter, je pense qu’ils me l’auraient dit. Quand on regarde sur la page Facebook, le Top 10 reste leur produit-phare derrière les vidéos de l’Equipe de France. Et c’est toute l’année alors que l’Equipe de France c’est seulement par période. C’est un de leur produit-phare donc je doute que ça s’arrête tout de suite.\\n\\n« Les gens me disent qu’ils deviennent la légende du quartier quand ils passent sur CourtCuts »\\n\\nQuel a été votre parcours dans le basket ?\\n\\nJ’ai surtout été un joueur de Nationale 3. J’ai joué en région jusqu’à mes 18 ans. Ensuite, je suis parti en N2 en moins de 21 ans, quand ça existait encore. J’ai joué deux ans en N2, le club est descendu mais je suis resté avec le N3. Je n’ai pas bougé, j’ai dû jouer à Frontignan pendant huit ans. On jouait le haut de tableau et le club est remonté en N2 la huitième année, mais je suis parti à Mayotte à la fin de cette année-là.\\n\\nEtes-vous satisfait des retours du public depuis toutes ces années ?\\n\\nOui c’est super, mais comme je suis à Mayotte depuis quatre ans j’ai du mal à me rendre compte de la portée du truc. Mais à chaque fois que je rentre ou sur les réseaux sociaux les gens me disent que dès qu’ils passent sur CourtCuts c’est vraiment un honneur et qu’ils deviennent la légende du quartier (rires). Même dans les vestiaires ça en parle, quand les mecs se font poster ou quoi ça se vanne. Tout ça je ne m’en rends pas compte, juste quand je reçois des messages de temps en temps, mais apparemment c’est quelque chose qui a pris sa place dans le basket français. Je trouve ça génial que ce soit aussi populaire, mais ça m’agace de ne pas pouvoir m’en rendre compte réellement comme je suis loin de la métropole.\\n\\nComment est né le projet Playground ?\\n\\nComme je le disais, je suis plutôt fan de basket de rue avant tout. Faire Playground, c’était juste revenir à mes premiers amours. J’ai joué en club non pas par obligation, mais si on veut jouer au basket, il faut jouer en club, mais c’est vraiment le basket de rue qui me passionnait. C’était revenir à mes plaisirs de jeunesse et utiliser le réseau créé grâce à la notoriété de CourtCuts pour faire un truc sympa. Il y a aussi la prise d’images qui m’intéresse et ça s’y prête. C’est comme ça que c’est né, mais on a changé le format. On a fait des 52 minutes pour les deux premiers, c’est un format télé. J’ai d’ailleurs vendu l’épisode sur Mayotte à la chaîne de télévision locale Mayotte Première. Ensuite, je me suis dit que développer en métropole, il faillait peut-être passé par Youtube parce que ça ne passera pas à la télé. Du coup, on a décidé de faire les volumes 3 et 4 par épisodes.\\n\\nIl y a un épisode 4 de prévu donc ?\\n\\nOui, on a GRDF comme partenaire. On n’a pas encore réuni assez d’argent, mais on a de quoi repartir faire un nouvel épisode. Cette fois, on a décidé de faire en épisodes et de sortir les vidéos la semaine qui suit l’étape pour que les gens soient encore dedans. On va dire que le dernier coup d’essai c’est cet été et que si ça ne fonctionne pas on verra ce qu’on fait de ce projet-là.\\n\\nComment est venue l’idée de faire un épisode à Mayotte ?\\n\\nJe n’y pensais pas du tout avant. C’est en venant ici que je me suis dit qu’il fallait le faire. Le championnat se joue dehors, il y a des playgrounds partout dans tous les villages. C’est génial. On n’a même pas pu tous les faire. En plus il y a cette culture du « tu peux ramener une sono, prévenir juste avec un message, faire un barbecue sauvage et personne t’emmerde ». J’étais obligé de faire un truc ici.\\n\\nQuel est votre ressenti sur les retours du volume 3 ?\\n\\nJ’ai de très bons retours, mais au niveau de l’audience je suis carrément déçu. C’est compliqué de faire 2 000 vues sur un produit comme ça alors que des mecs font 15 000 vues avec des trucs bateaux, ça fait chier. Mais ça veut surtout dire qu’on n’a pas de communauté sur Youtube, c’est ça le gros problème. Pendant cinq ou six ans on a tout mis sur Facebook et puis maintenant ça dort sur Facebook. Ils ont dû changer quelque chose parce que maintenant il ne se passe plus rien sur Facebook. Du coup on est passé sur Instagram et Youtube qu’on avait complètement lâché alors qu’on n’aurait jamais dû. Il nous faudrait 10 ou 20 000 abonnés pour être bien. On va faire Playground 4 cet été, quand il n’y aura plus de championnat, plus de NBA, et on verra ce que ça donnera. On va essayer d’avoir des partenariats avec des Youtubeurs pour avoir un peu de promo et puis on va essayer de monter comme ça.\\n\\nQuels seront les étapes du volume 4 ?\\n\\nOn est en train de se décider. On est en train de voir pour faire Chamonix parce que le terrain est magnifique avec le Mont Blanc derrière. Et finalement, on a pas mal de retours de joueurs qui vont là-bas. Du coup, pourquoi pas faire un arrêt là-bas, en plus c’est près de la Suisse et on voulait faire une étape à Lutry au bord du Lac Léman. On devrait aussi faire une étape vers chez moi, à Montpellier. Ensuite, on hésite à aller à Vichy. Il y a un terrain en bord de fleuve et il y a une communauté qui développe un petit projet là-bas. On hésite à aller à Paris aussi. On voudrait faire 5 étapes. Il y a aussi le Kipstadium de Tourcoing qu’on voudrait faire, mais c’est vraiment à l’opposé de Montpellier.\\n\\nVous pouvez retrouver tous les Top 10 et les liens vers les différents Playground ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment est né CourtCuts ?\\n\\nJe joue au basket depuis que j’ai 7 ans, mais j’ai vraiment commencé à être passionné à partir du moment où j’ai vu les premières mixtapes And One. Je devais avoir 16 ans je pense. Avec des potes on avait créé un groupe et on faisait un peu pareil, on se filmait sur les playgrounds. On avait sorti plusieurs mixtapes et c’est comme ça que je me suis formé aux montages vidéos. Quand les mix Ballislife ont commencé à faire le buzz sur Youtube, je me suis dit qu’on avait des lycéens américains qui faisaient plus de buzz que des pros en France. Je trouvais ça super bizarre du coup je me suis dit que j’allais faire la même chose avec ce qu’on a. Pas le lycée, mais en gros la N1, N2 et N3, les niveaux où les joueurs peuvent s’exprimer avant d’être en pro. J’ai commencé à tester en faisant des mix de highlights que je trouvais un peu partout. Je n’avais pas encore commencé les Top 10, mais j’avais mis ça sur Youtube et ça n’avait pas mal marché. C’est seulement après que j’ai décidé de faire le Top 10. La toute première année, j’avais démarché la FFBB, sans réponse... Voyant tous les partages, les vues et les commentaires, ils ont commencé à s’y intéresser. Ils m’ont donc donné un contrat l’année suivante. C’est né comme ça, d’une idée sur un coup de tête pour mettre en avant des joueurs qu’on n’a pas l’habitude de voir. A la base, le but c’était vraiment de faire des mixtapes un peu dynamiques avec des highlights de France. C’est vraiment le Top 10 qui a fait exploser le truc.\\n\\nCombien de personnes sont derrière CourtCuts ?\\n\\nAu début j’étais vraiment tout seul. 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Je n’avais pas encore commencé les Top 10, mais j’avais mis ça sur Youtube et ça n’avait pas mal marché. C’est seulement après que j’ai décidé de faire le Top 10. La toute première année, j’avais démarché la FFBB, sans réponse... Voyant tous les partages, les vues et les commentaires, ils ont commencé à s’y intéresser. Ils m’ont donc donné un contrat l’année suivante. C’est né comme ça, d’une idée sur un coup de tête pour mettre en avant des joueurs qu’on n’a pas l’habitude de voir. A la base, le but c’était vraiment de faire des mixtapes un peu dynamiques avec des highlights de France. C’est vraiment le Top 10 qui a fait exploser le truc.\\n\\nCombien de personnes sont derrière CourtCuts ?\\n\\nAu début j’étais vraiment tout seul. Aujourd’hui, on est plusieurs comme il y a plusieurs projets autour de CourtCuts. Pour le Top 10, il y a Lucas, le commentateur qui bosse dessus. Il est dans sa deuxième année de contrat avec la FFBB et ça lui a permis aussi de faire pas mal de trucs à côté. Il a pu commenter plusieurs événements de 3×3 et les finales de coupe de France. Pour le All Star Game CourCuts, j’ai gardé avec moi l’organisateur de celui de la saison dernière. Donc là-dessus on est deux, plus le club qui accueille. Et puis pour le projet Playground, il y a le caméraman qui est avec moi dessus. On essaye d’ailleurs de trouver des partenaires pour pouvoir le rémunérer. 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Il prendra ses nouvelles fonctions à partir du lundi 01 juillet.\\n\\nEn poste depuis la saison 2015/16, l’ancien président ne faisait plus l’unanimité au sein de son comité directeur et a donc accepté de passer la main." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Lucas Hergott renforce Fos-Provence" }, {"role": "assistant", "content":"Lucas Hergott (2m, 21ans), désormais ex-joueur de Saint-Chamond, va évoluer sous les couleurs de Fos-Provence Basket pour les deux prochaines saisons.\\n\\nVia son compte Twitter, le club provencal a annoncé ce matin, la signature de l’ancien pensionnaire du centre de formation de l’ASVEL.\\n\\nCe jeune joueur qui a réalisé une belle saison aussi bien collectivement (6ème – 20 victoires pour 14 défaites et une demie finale de playoffs perdue à la belle face à Orléans) qu’individuellement, en témoigne ses statistiques : 7,2 points à 38%, 2,6 rebonds, 2,1 passes décisives pour 7,4 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu.\\n\\nIl va désormais rejoindre un club qui ambitionne de retrouver l’élite après y avoir goûté une saison. Lucas Hergott retrouvera à la rentrée prochaine son coéquipier de Saint-Chamond, Bodian Massa (2,04m, 22 ans).\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\n⚡️LUCAS HERGOTT S’ENGAGE POUR DEUX ANS ! ⚡️\\n\\nLe poste 2-3 de 21 ans arrive du @SCBVG . Il apportera son énergie et sa soif de vaincre des deux côtés du terrain !\\n\\nNous lui souhaitons la bienvenue chez les #BYers !\\nPlus d'informations ici 👉https://t.co/ZoGzo3MAQJ #LetsgoBYers pic.twitter.com/hpIaUruSaA\\n\\n— FOS PROVENCE BASKET (@FosProvenceBB) June 20, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"[ACCÈS LIBRE] Le point sur la situation de Killian Hayes : Cholet, Limoges ou l’étranger ?" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis quelques heures, le nom de Killian Hayes (1,94m, 17 ans) revient sur le devant de la scène et des rumeurs de départ de Cholet Basket sont évoquées. Voici les dernières informations que nous avons recueillies à bonne source sur la situation du combo guard français.\\n\\nSignataire d’un contrat de trois ans l’été dernier avec le club des Mauges, le fils de l’ancien joueur DeRon Hayes pourrait ne pas aller jusqu’au terme de son contrat et quitter le CB après seulement une saison en tant que professionnel.\\n\\nSelon nos informations, le problème résiderait dans le fait que Cholet est depuis quelque temps dans le creux de la vague. Seizième du classement de Jeep Elite cette saison, les Choletais ont longtemps été dans la zone rouge et ne sont pas passés loin de la relégation en Pro B. Cette situation chaotique n’est donc pas propice au bon déroulement du projet jeune du club alors que le clan Hayes aimerait que le meilleur joueur européen de sa tranche d’âge, MVP de l’EuroBasket U16 en 2017 et dans le 5 All-Stars du championnat du monde U17 l’année suivante, dispute une coupe d’Europe, ait un vrai accompagnement sur le développement individuel et qu’il soit aussi entouré de bons joueurs d’expérience. Surtout que le coach franco-turc Erman Kunter souhaiterait recruter un meneur américain et préfèrerait à court terme privilégier Abdoulaye Ndoye à Killian Hayes.\\n\\n[gdlr_core_pub]\\n\\nLa discussion entre le club et le joueur est ouverte depuis un moment et la priorité du jeune international français est de jouer en Jeep Elite. En France, Limoges s’est manifesté et serait devenu la priorité pour le natif de Lakeland. Le CSP reste sur une saison mouvementée mais qui s’est conclue par une qualification pour le Top 16 d’Eurocup et en playoffs de Jeep Elite. Il pourrait ainsi y poursuivre son développement, disputer l’Eurocup (?) et garder en ligne de mire son objectif de Draft NBA 2020 à l’image de Sekou Doumbouya cette saison. Cependant, Cholet n’est pas vraiment enclin a lâcher son prospect et demanderait une compensation financière trop élevée, voire même « délirante » pour un club français, selon nos sources. C’est pourquoi, le clan Hayes, qui souhaite pourtant que le joueur demeure en France, pourrait finalement être poussé vers une proposition venant de l’étranger.\\n\\nSi Limoges ne parvient pas à s’attirer les services du jeune meneur, le club espagnol de Valence qui garde toujours un oeil sur lui pourrait rafler la mise. Juste avant que Régis Boissié soit remercié, le vainqueur de l’édition 2019 de l’Eurocup avait déjà fait une offre au jeune Choletais. CB a refusé cette proposition en assurant que des changements importants allaient arriver dans le staff du club. Deux jours plus tard, Erman Kunter a pris l’équipe en mains.\\n\\nCette saison, Killian Hayes compilait en moyenne 7,1 points, 2,3 rebonds et 3,1 passes décisives pour une évaluation de 8,1 en 19 minutes de jeu.\\n\\nA lire ou relire notre interview de Killian Hayes lors du media Day 2018.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Linda Chasserieau" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Michaël Holton est le nouveau meneur de Lille" }, {"role": "assistant", "content":"Après Thomas Hieu-Courtois et Jean-Vitor Traoré, Lille annonce l’arrivée de Michaël Holton (1,85m, 28 ans).\\n\\nPassé par l’Autriche et la deuxième division allemande, l’ancien pensionnaire de l’université de Saint Michael’s arrive dans le Nord de la France en provenance du championnat ukrainien. Avec Zaporijia, le meneur de jeu américain vient d’être sacré champion d’Ukraine.\\n\\nCette saison, Michaël Holton compilait en moyenne 16,8 points, 3,6 rebonds et 4,4 passes décisives.\\n\\nJean-Marc DUPRAZ s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Michaël est un meneur de jeu qui a la capacité de se décaler sur le poste 2. C’est un profil physique très différent de Maurice mais il possède comme lui une grosse qualité d’adresse et peut se créer son propre tir. J’ai apprécié son profil car, malgré un manque de références puisqu’il a joué dans des ligues mineures (Autriche, Ukraine), il est élégant, efficace et a peu de déchets. Je pense qu’il peut être une des belles surprises du championnat. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : БК Запоріжжя" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Paul-Lou Duwiquet de retour à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison au Caen Basket Calvados, Paul-Lou Duwiquet (1,93m, 23 ans) est de retour à Quimper.\\n\\nPaul-Lou Duwiquet fut un élément majeur de l’équipe bretonne lors de la saison 2017-18 et avait contribué au maintien de l’UJAP en Pro B obtenu lors de la dernière journée. L’arrière français avait réalisé un bel exercice individuel (9,4 points dont 37% à 3-points, 3,5 rebonds et 2,9 passes pour 10,5 d’évaluation en 25 minutes) alors qu’il était prêté par le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nLe shooteur gaucher est doté d’une expérience sérieuse en Pro B avec 114 matchs au compteur.\\n\\nClubs précédents :\\n2018-2019 : Caen Basket Cavados – Pro B\\n2017-2018 : UJAP Quimper 29 – Pro B\\n2015-2017 : Lille – Pro B\\n2009-2015 : Gravelines Dunkerque – U21/Pro A" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Thomas Heurtel (21 points) porte le Barça vers la victoire dans le Match 3 de la finale" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur de jeu français Thomas Heurtel a été une fois encore diabolique, inscrivant 21 points à 7/11 aux shoots et 4 passes décisives lors du Match 3 de la finale des playoffs espagnols et emmenant ainsi le FC Barcelone à la victoire (78-77), ce qui lui permet de revenir à 2 manches à 1 dans la série.\\n\\nLes 18 points du meneur argentin Facu Campazo et l’avalanche de paniers à trois-points des Madrilènes (15/34) n’ont pas été suffisants pour faire tomber le Barça qui a disposé de 24 lancers (22 transformés) contre seulement 10 aux joueurs de Pablo Laso. Trey Thompkins a raté le panier de la victoire.\\n\\nThomas Heurtel tourne à 21,6 points de moyenne dans la série. A noter qu’il a écopé d’une antisportive pour avoir rudoyé... Rudy Fernandez.\\n\\n\\nHeurtel tiene via libre para agredir a Rudy y aquí no pasa nada. Sigan. Vergüenza arbitral. Una más. Y van... pic.twitter.com/PclOZWWEcb\\n\\n— Bae (@baenidas) June 19, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3: Les Bleues conquérantes, les Bleus en ballotage" }, {"role": "assistant", "content":"A la Coupe du Monde 3×3, les Françaises sont bien parties avec deux victoires en deux matches (Japon et Andorre) alors que les Français ont été tenus en échec face à la Lituanie avant de vaincre le Qatar. Il leur faut maintenant s’imposer vendredi à la Chine et à la Slovénie. Les Bleues vont de leur côté être opposées à l’Australie et à la Suisse.\\n\\nEquipe de France féminine\\n\\nNomPrénomNais.ClubFILIPAna Maria1989CharlevilleGUAPOLaëtitia1995CharnayPAGETMarie-Eve1994CharlevilleTOUREMamignan1994Basket Landes\\n\\nMercredi 19 juin\\nFrance – Japon :16-14; Andorre – France : 6-22.\\n\\nVendredi 21 juin\\n19h05 : Australie – France; 21h05 : France – Suisse\\n\\nSamedi 22 juin\\nQuarts de finale\\n\\nDimanche 23 juin\\nDemi-finales; Match 3e place; Finale\\n\\nEquipe de France masculine\\n\\nNomPrénomNais.ClubDUSSOULIERLucas1996QuimperGENTILDominique1988ChallansPONTENSCharly1995BloisVARMickaël1990Poitiers\\n\\nMercredi 19 juin :\\nFrance – Lituanie : 17-21; Qatar – France : 13-21\\n\\nVendredi 21 juin :\\n10h20 : Chine – France; 14h50 : France – Slovénie\\n\\nSamedi 22 juin\\nQuarts de finale\\n\\nDimanche 23 juin\\nDemi-finales; Match 3e place; Finale\\n\\nPhoto: Migna Toure (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"L’équipe de France U20 féminine sans Marine Fauthoux et Iliana Rupert" }, {"role": "assistant", "content":"C’est évidemment sans ses deux « stars », Marine Fauthoux et Iliana Rupert retenues avec les A que les U20 françaises se présenteront au championnat d’Europe à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine ) du 6 au 14 juillet.\\n\\nLe coach Arnaud Guppillotte intègrera deux joueuses supplémentaires en qualité de partenaire d’entrainement, Olivia Yale et Fayzat Djoumoi.\\n\\nGUENNOCEwl2001MondevillePARDONMarie2001Lyon BFRAYNAUDEmilie2002PFBBKESSLERSerena2002PFBBGOMISVacianna2002MondevilleEWODOYohanna2001PFBBHILLOTTECamille2001PFBBHAMAOUIJade2001BourgesSALAUNJanelle2001PFBBMAHOUTOUEve2001CharlevilleMAGASSATenin2001PFBBGUEYEAminata2002Mondeville\\n\\nEntraineur : Arnaud Guppillotte\\nAssistants : Christophe Pontcharraud et David Morabito\\n\\nStage à Riga (Lettonie) du 25 au 29 juin\\n\\nStage à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) du 30 juin au 5 juillet\\nJeudi 4 juillet : France – Allemagne\\n\\nChampionnat d’Europe à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) du 6 au 14 juillet\\nSamedi 6 juillet à 14h00 : France – Israel\\nDimanche 7 juillet à 14h00 : Espagne – France\\nLundi 8 juillet à 16h15 : République Tchèque – France\\nMercredi 10 juillet : Huitièmes de finale\\nJeudi 11 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 13 juillet : Demi-finales\\nDimanche 14 juillet : Finale\\n\\n\\nPhoto: Yohanna Ewodo (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Italie : Aaron Craft (ex Monaco) rempile avec Trento" }, {"role": "assistant", "content":"De retour à Trento fin novembre après un début de saison difficile au Buducnost Podgorica en Euroleague, Aaron Craft (1,88m, 28 ans) vient de prolonger son contrat en Italie.\\n\\nDéjà passé par la formation transalpine en 2016/17, avant d’arriver à Monaco, l’Américain s’est engagé pour une nouvelle année avec l’Aquila Basket, indique le club. Véritable poison en défense, le meneur de jeu originaire de l’Ohio avait été élu meilleur défenseur de Jeep Elite l’année dernière, et il l’a une nouvelle été cette saison en Italie.\\n\\nCette saison, Aaron Craft compilait en moyenne 11,9 points, 4,8 rebonds, 4,7 passes décisives et 2,1 interceptions en Série A.\\n\\nPhoto : Aquila Basket Trento" }, {"role": "user", "content":"Italie : Amadeo Della Valle reste à Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le viseur de l’ALBA Berlin, Amadeo Della Valle (1,96m, 26 ans) sera finalement toujours à Milan la saison prochaine.\\n\\nC’est sur les réseaux sociaux que l’international italien a confirmé qu’il sera toujours en Italie et à l’Olimpia Milano à la rentrée. A l’occasion d’une conférence de presse, sa première à Milan, Ettore Messina a également déclaré avoir discuté avec l’ancien joueur de Reggio Emilia mardi avant qu’il annonce qu’il reste à Milan.\\n\\nCette saison, Amadeo Della Valle compile en moyenne 7,6 points, 1,6 rebond et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 7,1 en Serie A, et 2,1 points en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Rouen maitrise Orléans et s’offre une belle !" }, {"role": "assistant", "content":"Dos au mur après une défaite en finale aller de la finale des playoffs de Pro B, les Rouennais n’avait pas d’autre choix que de s’imposer à la maison pour maintenir leurs espoirs de montée en Jeep Elite en vie.\\n\\nTout de suite installé dans son match, surtout défensivement, Rouen a directement essoufflé les joueurs de Germain Castano. Dans une Kindarena pleine à craquer et chauffé à blanc, le RMB était devant 18-10 après dix minutes. Un écart qui s’est maintenu sur le deuxième quart-temps pour mener 39-30 à la pause.\\n\\nC’est dans le troisième quart-temps que le match s’est définitivement plié. Les joueurs d’Alexandre Menard ont totalement étouffé leurs adversaires pour prendre plus de 20 points d’avance (66-42). Malgré un semblant de retour jusqu’à moins treize dans la dernière période, les Orléanais n’y étaient déjà plus depuis longtemps et se sont finalement imposés 78-63. A noter que le meneur de l’OLB, MVP de Pro B, Brandon Jefferson n’a pas inscrit le moindre point en plus de 38 minutes de jeu. Il a été complètement cadenassé par la défense normande.\\n\\nMeilleur joueur de la partie, Jean-Baptiste Maille a tout fait ce soir avec 10 points, 6 rebonds, 2 interceptions et 4 passes décisives pour une évaluation de 21. Boxscore complète ici.\\n\\nC’est donc dimanche après-midi, au Palais des Sports d’Orléans, que l’on connaîtra le nom du club qui fera son retour en Jeep Elite la saison prochaine. Orléans ou Rouen ?\\n\\nPhoto : Maéva Parmentier" }, {"role": "user", "content":"[LIBRE ACCÈS] Le point sur la situation de Killian Hayes : Cholet, Limoges ou l’étranger ?" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis quelques heures, le nom de Killian Hayes (1,94m, 17 ans) revient sur le devant de la scène et des rumeurs de départ de Cholet Basket sont évoquées. Voici les dernières informations que nous avons recueillies à bonne source sur la situation du combo guard français.\\n\\nSignataire d’un contrat de trois ans l’été dernier avec le club des Mauges, le fils de l’ancien joueur DeRon Hayes pourrait ne pas aller jusqu’au terme de son contrat et quitter le CB après seulement une saison en tant que professionnel.\\n\\n[gdlr_core_pub]\\n\\nSelon nos informations, le problème résiderait dans le fait que Cholet est depuis quelque temps dans le creux de la vague. Seizième du classement de Jeep Elite cette saison, les Choletais ont longtemps été dans la zone rouge et ne sont pas passés loin de la relégation en Pro B. Cette situation chaotique n’est donc pas propice au bon déroulement du projet jeune du club alors que le clan Hayes aimerait que le meilleur joueur européen de sa tranche d’âge, MVP de l’EuroBasket U16 en 2017 et dans le 5 All-Stars du championnat du monde U17 l’année suivante, dispute une coupe d’Europe, ait un vrai accompagnement sur le développement individuel et qu’il soit aussi entouré de bons joueurs d’expérience. Surtout que le coach franco-américain Erman Kunter souhaiterait recruter un meneur américain et préfèrerait à court terme privilégier Abdoulaye Ndoye à Killian Hayes.\\n\\nLa discussion entre le club et le joueur est ouverte depuis un moment et la priorité du jeune international français est de jouer en Jeep Elite. En France, Limoges s’est manifesté et serait devenu la priorité pour le natif de Lakeland. Le CSP reste sur une saison mouvementée mais qui s’est conclue par une qualification pour le Top 16 d’Eurocup et en playoffs de Jeep Elite. Il pourrait ainsi y poursuivre son développement, disputer l’Eurocup (?) et garder en ligne de mire son objectif de Draft NBA 2020 à l’image de Sekou Doumbouya cette saison. Cependant, Cholet n’est pas vraiment enclin a lâcher son prospect et demanderait une compensation financière trop élevée, voire même “délirante” pour un club français, selon nos sources. C’est pourquoi, le clan Hayes, qui souhaite pourtant que le joueur demeure en France, pourrait finalement être poussé vers une proposition venant de l’étranger.\\n\\nSi Limoges ne parvient pas à s’attirer les services du jeune meneur, le club espagnol de Valence qui garde toujours un oeil sur lui pourrait rafler la mise. Juste avant que Régis Boissié soit remercié, le vainqueur de l’édition 2019 de l’Eurocup avait déjà fait une offre au jeune Choletais. 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Sur son site, l’Elan vient donc d’annoncer que l’ancien joueur de Saratov sera toujours présent à la rentrée.\\n\\nCette saison, Justin Robinson compilait en moyenne 15,2 points, 3 rebonds et 8,2 passes décisives (numéro 1 du championnat) pour une évaluation de 17,3. Il a également été élu joueur du mois d’octobre et remporté le concours des meneurs du All Star Game.\\n\\nPhilippe Hervé s’est exprimé sur la prolongation du meneur.\\n\\n« Auteur d’une belle saison à l’Elan Chalon, c’est avec plaisir que Justin continue avec nous. Il apportera à notre équipe son leadership, sa vista et sa capacité à scorer. Au même titre que Mickael, Assane ou Ousmane, il aura à cœur de prendre sa revanche sur cette saison mitigée. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Des mouvements à Vichy-Clermont" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la JA Vichy Clermont fait le point sur les transferts sachant que le coach Guillaume Vizade et son assistant Jonathan Nebout ont été prolongés pour trois saisons.\\n\\nSerge Mourtala, le pivot nigérien de 2,12m et 21 ans, arrivé d’Espagne en aout 2017, a signé son premier contrat professionnel avec le club métropolitain. Une satisfaction pour Guillaume Vizade :\\n\\n« Après deux années d’intégration dans le monde professionnel, Serge a démontré de véritables qualités lors de ses séquences cette année (4,2 d’évaluation en 9 minutes). Preuve de confiance et de volonté de travail commun, il s’engage sur une durée de trois ans avec le club. Dissuasif en défense, précieux près du cercle, Serge est un parfait complément sur le poste 5 ».\\n\\nL’arrière Dimitry César (1,85m, 19 ans) complétera toujours le groupe Pro B pour sa deuxième année de contrat stagiaire, tout en jouant aussi avec l’équipe NM3 du Centre de Formation.\\n\\nD’autres reconductions de contrats avec les joueurs qui ont porté les couleurs de la JAVCM sont actuellement en discussions pour conserver en 2019/2020 l’ossature de l’équipe Pro B de cette saison 2018/2019.\\n\\nConcernant les recrues, la JAVCM va aussi pouvoir compter sur deux premières arrivées :\\n\\nL’arrière Marcos Suka –Umu (1,93m, 34 ans), qui évoluait à Lille ces deux dernières saisons, a paraphé son contrat pour la saison à venir. Guillaume Vizade à son sujet :\\n\\n« Joueur espagnol leader de Lille depuis deux ans, il sort une nouvelle fois d’une saison individuelle très réussie (13,6 points, 4,2 rebonds, 4,9 passes). Joueur référencé en Espagne, où il a réalisé de très bonnes saisons en LEB ORO. Nous sommes heureux de l’accueillir pour la saison 2019/2020 ».\\n\\nDans le secteur intérieur, la JAVCM et Kévin Mondesir ont trouvé un accord pour que le joueur rejoigne l’Auvergne en août prochain.\\n\\nCet intérieur martiniquais de 2,04 m et âgé de 28 ans, international en jeune, jouait à Quimper depuis 2016 après avoir été formé au Centre Fédéral et avoir évolué en Pro B et N1 à Boulogne, Montbrison, St Quentin, Charleville et Feurs.\\n\\n« Poste 4 français, en provenance de Quimper (7,8 points, 2,7 rebonds), Kevin a démontré depuis plusieurs années ses qualités défensives, ainsi que ses prédispositions à écarter le jeu par son adresse extérieure. » Guillaume Vizade s’est aussi dit « heureux d’accueillir un joueur qui va densifier notre raquette ».\\n\\nA l’inverse, la JAVCM constate le départ de Romuald Morency vers les Sharks d’Antibes relégués en Pro B.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"Dominique Archie, nouvel intérieur du CCRB" }, {"role": "assistant", "content":"Dominique Archie (2,01m, 32 ans) est le nouveau poste 4 du Champagne Chalons Reims Basket pour la saison 2019/2020.\\n\\nNous avons appris ce matin la signature de l’Américain Dominique Archie, poste 4 pour une saison au CCRB.\\n\\n\\n✍️ Dominique ARCHIE signe au @CCRBASKET!\\nLe CCRB vient d’engager l’ailier fort américain, Dominique ARCHIE (2,01m – 31 ans) pour une saison. Il évoluait la saison dernière en série A Italienne à Varèse où il a compilé 11,2 points et 4,6 rebonds de moyenne. https://t.co/IH0ghT3WB5 pic.twitter.com/M9BNzgQldc\\n\\n— Champagne Basket 🧙\u200d♂️ (@ChampBasketOff) June 19, 2019\\n\\n\\nLe joueur d’expérience, formé à South Carolina, est passé par le championnat belge, italien la G-League. Il aura la lourde tâche de faire oublier le meilleur marqueur de l’exercice précédent, Devin Ebanks (2,06m, 29 ans).\\n\\nPoste 4 mobile, capable de shooter de loin et de driver, il apportera certainement moins de talent offensif que son prédécesseur mais sans aucun doute plus de capacité défensive et de dureté. Il compilait la saison dernière à Varèse, 11,2 points à 42,8%, 4,6 rebonds et 1,6 passe décisive en 27 minutes de temps de jeu.\\n\\nVoici quelques highlights de sa saison en FIBA Europe Cup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici." }, {"role": "user", "content":"La République Tchèque avec ses stars au Mondial 2019 ?" }, {"role": "assistant", "content":"Au même titre que les autres nations telles que la France, l’Espagne ou la Serbie, la République-Tchèque devrait pouvoir compter sur ses deux joueurs phares que sont Tomas Satoransky (2,01m, 27 ans) et Jan Vesely (2,13m, 29 ans)\\n\\nSur son site officiel, la Fédération Tchèque de basketball a annoncé, ce matin, une pré-liste en vue de la Coupe du Monde qui se déroulera en Chine du 31 août au 15 septembre.\\n\\nEn plus de l’ailier américain naturalisé tchèque bien connu dans le championnat français, Blake Schilb (1,98m, 35 ans) qui devrait lui aussi être du voyage, la Fédération a appelé le pivot du Fenerbahçe, Jan Veseley et le meneur des Washington Wizards, Tomas Satoransky.\\n\\nL’un a dominé l’Euroleague et a été élu MVP de la prestigieuse compétition européenne, l’autre a réalisé une saison collective moyenne (11ème – 32 victoires pour 50 défaites) outre-Atlantique mais s’est imposé comme le premier choix au poste de meneur en l’absence de John Wall (1,93m, 28 ans) blessé.\\n\\nTomas Satoransky compilait cette année 8,9 points, 5 passes décisives et 3,5 rebonds en 27,1 minutes de temps de jeu sur 80 matchs. Quant à Jan Vesely, en Euroleague il valait 12,4 points, 5 rebonds et 2,4 passes décisives pour 18,1 d’évaluation.\\n\\nLa République-Tchèque rencontrera Team USA pour son premier match lors de cette Coupe du Monde le 1er septembre." }, {"role": "user", "content":"Valentin Bigote prolonge au Mans jusqu’en 2022" }, {"role": "assistant", "content":"Par l’intermédiaire de son compte Twitter, le club du Mans Sarthe Basket a fait savoir que l’arrière Valentin Bigote (1,96m, 27 ans) prolongeait l’aventure pour 2 saisons supplémentaires en plus de celle qui lui restait.\\n\\nDepuis son départ du SLUC Nancy Basket à la fin de la saison 2014/2015, Valentin Bigote a réalisé de belles choses. Il s’est d’abord imposé comme un joueur majeur de l’antichambre de l’élite du côté de Nantes puis a finalement décidé de retenter l’aventure à la JDA Dijon. Après une belle saison en Bourgogne, il a posé ses valises dans la Sarthe sous les ordres d’Eric Bartecheky.\\n\\nDans une équipe sarthoise qui a réalisé un parcours correct (8 ème – 20 victoires pour 14 défaites), le natif de Grande-Synthe a conclu la saison la plus aboutie de sa carrière au sein de la Jeep Elite.\\n\\nCapable de shooter de très loin et de driver, il a compilé 12 points à 49,2%, 3,1 rebonds et 1,2 passe décisive pour 11 d’évaluation en 22 minutes de temps de jeu.\\n\\nNul doute que lors des trois prochaines années sous les ordres du nouveau coach Dounia Issa, le joueur essaiera de prendre encore plus d’ampleur.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\n📄🖋 + 2ans\\n\\nValentin Bigote prolonge l'aventure avec nous jusqu'en 2⃣0⃣2⃣2⃣ ! 😃💯#ToujoursEnsemble pic.twitter.com/n3GwSv9O47\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 19, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Ivano Ballarini (directeur sportif des Bleues): «J’ai vu aussi des filles se mettre des tartes»" }, {"role": "assistant", "content":"Ivano Ballarini est le directeur sportif de l’équipe de France féminine. L’homme de l’ombre nous fait pénétrer dans les coulisses des Bleues et dans cette deuxième partie de l’interview, il nous parle des mentalités chez les garçons et chez les filles, du réservoir des jeunes et encore de la fragilité des corps due à la sédentarité.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis vingt ans, les mentalités ont-elles changé dans le basket féminin de haut niveau ?\\n\\nJe pense qu’au plus haut niveau, filles et garçons ne se différencient pas sur le plan des relations. J’ai vu par le passé, par exemple, deux filles qui ne se parlaient pas pendant deux mois et demi, trois mois, alors que sur le terrain ça ne se voyait absolument pas car elles jouaient ensemble, elles se faisaient des passes, elles se tapaient dans la main. Hors du terrain, silence radio. J’ai vécu ça aussi avec les garçons. Tu peux jouer avec un gars que tu considères comme le dernier des cons mais s’il est efficace au rebond, s’il t’envoie des balles, etc., très bien. Plus tu descends dans le niveau de pratique et plus il y a, je pense, des différences. Là, un groupe de filles ne fonctionne pas pareil qu’un groupe de garçons. De la même façon que je vois peu de différences entre un chef d’entreprise femme et un chef d’entreprise garçon. Ils ont les mêmes compétences et les mêmes façons d’attaquer les problèmes. Sans doute que lorsque l’on descend dans la hiérarchie professionnelle, il y a des différences entre un ouvrier et une ouvrière, je n’en sais rien. Il y a une époque, on disait « les mecs, c’est plus franc, si ça ne va pas, ils se mettent deux ou trois pains et ça va mieux ». Oui, mais j’ai aussi vu des filles qui ont fait la même chose, qui se sont mis des tartes (rires). Plus on va vers le haut et plus les différences sont individuelles et il y a autant de différences entre deux filles ou deux garçons qu’entre un garçon et une fille.\\n\\nVoyez-vous des différences de comportement vis-à-vis d’il y a vingt ans ?\\n\\nFinalement, pas tellement. Peut-être y avait-il une plus grande autonomie il y a vingt ans. Maintenant, elles sont tellement encadrées par l’agent, le préparateur physique individuel, le nutritionniste individuel. Encore une fois c’est un phénomène qui touche tout le haut niveau. Aujourd’hui, un joueur NBA a quelqu’un qui va s’occuper individuellement de lui sur un plan mental, physique, du tir, de la nutrition. Ça n’existait pas il y a quinze ou vingt ans et maintenant tout le monde a ça. Chez les filles, ça vient petit à petit. Sabine Juras (NDLR: la préparatrice physique de l’équipe de France qui fut celle de Valenciennes et de ekaterinbourg) était la préparatrice individuelle de Candace Parker, il y a cinq ou six ans. Elle allait pendant les vacances à Los Angeles lui faire un programme et la suivre pendant quelques semaines. Ça se généralise. A partir du moment où la sphère économique a une telle importance, je peux me payer, moi fille, telle ou telle aide sans problème.\\n\\nAvez-vous à gérer ça en équipe de France ?\\n\\nNon. En équipe de France, on a à gérer un groupe pendant trois, cinq, six semaines, et on n’a pas le temps de gérer ça. Je sais que des filles ont des préparateurs physiques personnalisés mais ils n’interviennent pas durant la période de l’équipe de France. Je sais toutefois que Sabine est en contact avec untel et untel pour savoir ce que les joueuses ont fait durant la période avril, mai. Elle se renseigne pour par exemple continuer un travail qui a déjà été fait. Dès que l’argent va être plus présent, ça va se généraliser.\\n\\nDe toute façon, le basket masculin français suit la trace de la NBA et les filles suivent les garçons ?\\n\\nBien sûr. Avec un bémol quand même. Sauf si le foot féminin va créer une brèche nouvelle, malgré tout, la puissance économique des garçons est encore incomparable avec celle des filles. Mais de toute façon, ça va venir. Aux Etats-Unis c’est déjà le cas pour les grandes stars et ça va se populariser.\\n\\n« Le réservoir des filles aujourd’hui est nettement inférieur à celui des garçons en France »\\n\\nLa grande nouveauté en vingt ans, c’est l’accumulation de médailles pour les équipes de France jeune. C’est la preuve que le réservoir est important ?\\n\\nQue ce soit en garçons et en filles, si l’on compare les médailles entre 1975 et 1995 et celles entre 1995 et 2015, on passe de 2-3 dans la première période à quarante dans la deuxième. Tout simplement en raison des pôles, du pôle France où l’on a regroupé les meilleurs, on les a entraînés et les équipes de France jeunes aussi. Il y a eu des médailles à partir de 1992 et Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : l’or à l’Euro juniors avec Laurent Sciarra en figure de proue). Ça a été un déclencheur et il y a eu des médailles à foison, or, argent, bronze, et ça a bénéficié aux garçons comme aux filles. Mais le réservoir des filles aujourd’hui est nettement inférieur à celui des garçons en France. Des garçons de 16, 18, 20 ans, il y en a énormément de bonne qualité alors que des filles des mêmes tranches d’âge, il y en a quelques-unes mais de toute façon moins que chez les garçons.\\n\\nCe n’est donc que dans la super élite, dans les équipes de France jeune, qu’elles sont vraiment performantes ?\\n\\nExactement. Toutes ces joueuses qui ont eu des médailles durant ces années-là jouent en première et deuxième division mais très peu arrivent en équipe de France A. Iliona Rupert et Marine Fauthoux sont les deux dernières arrivées si tôt en équipe de France, à 17-18 ans. En tous les cas, en volume, c’est incomparable avec les garçons.\\n\\nQuel a été votre moment de joie le plus fort au cours de ces vingt ans ?\\n\\nTout le monde dit, « c’est au moment des podiums ! » Je ne suis pas trop là-dedans. J’aime les moments que personne ne voit. Parfois ce sont des réunions improbables dans une salle ou ailleurs, des moments d’échanges que personne ne sait. Ce sont des moments super forts. Il y en a eu avec Alain Jardel, avec Valérie, avec les joueuses entre elles. On va me dire « 2001, c’était super, le premier titre... » Oui, mais les gens ne voient que la photo du podium avec les paillettes qui tombent. Il n’empêche que pour y arriver, il y a eu plein de moments super sympas dont je me souviens plus que celui du podium. Finalement, il y a plus de moments où tu es déçu que de moments où tu as gagné (sourire). En vingt ans, il n’y a pas eu tellement de titres que ça, il y a eu beaucoup de finales perdues, qui ne sont pas forcément des moments tristes mais là où il y a de l’émotion où tu vois la vraie personnalité des gens.\\n\\nJustement, les moments les plus durs, c’est quoi ? Une défaite ? Une joueuse qui se blesse ? Une joueuse qui apprend qu’elle n’est pas sélectionnée ?\\n\\nPour moi, une joueuse qui n’est pas sélectionnée, ce n’est pas un moment dur. Je sais que Valérie a beaucoup de mal, comme Alain Jardel d’ailleurs, a annoncé à quelqu’un qu’il n’est pas sélectionné mais tout le monde est au courant de la règle. Quand tu rentres dans le groupe France, il y a 16, 17, 18 joueuses et tu sais qu’il va y avoir un cut et que peut-être ça sera toi. De la même façon que dans une équipe de foot, si tu as les quatre meilleurs gardiens du monde et que tu dois en choisir deux, ce sont les deux autres qui pourraient jouer dans n’importe quelle équipe que tu vires. C’est comme ça, la règle veut que... Là, c’est pareil, si tu as cinq meneuses et que tu n’en gardes que trois, il faut en couper deux (NDLR : Ce fut le cas durant la préparation puisque Ingrid Tanqueray puis Romane Bernies ont été retirées du groupe, l’une après les matches à Mont-de-Marsan et l’autre après ceux à Rennes). C’est un moment dur pour la joueuse mais pas pour moi. En revanche, la blessure ou ce qui t’arrive sans que tu sois prévenu, ça c’est un moment dur. Par exemple lorsque Diandra (Tchatchouang) s’est blessée en équipe de France -20, ça c’était dur. C’est arrivé dans le rond central, en Lettonie. Je m’en souviens encore. On loupe un peu les matches suivant, évidemment.\\n\\nEt il a fallu l’accompagner ensuite moralement...\\n\\nOui. L’hôpital... C’est tout le reste. Le moral qui descend.\\n\\nEn vingt ans, le nombre de blessures n’a fait qu’augmenter, les genoux, les tendons d’Achille ?\\n\\nEt autres choses aussi. C’est le cheval de bataille de Sabine (Juras). On a augmenté le volume d’entraînement et le gamin de 16 ans s’entraîne 3, 4, 5 fois plus qu’il y a vingt ans. Sauf qu’aujourd’hui on a une population majoritairement sédentaire qui ne fait plus que des jeux vidéo. Une population qui en 50 ans est passée de 80% rurale à 80% urbaine ou péri-urbaine. Ce qui veut dire que l’on ne fait plus de vélo, on ne va plus dans les arbres, on ne joue plus dans la rue. Ce sont des sédentaires avec qui on ne fait qu’une activité. T’es grand, t’es bon, du basket, du basket, du basket. Ce qui fait que les usures et les blessures qu’elle constatait chez les pros à 25-35 ans, elle le constate aujourd’hui sur des gamins de 16-17 ans. Des usures de cartilages. Elle dit, « je n’ai jamais vu ça ». En plus, on a des grands qui grandissent à des vitesses extrêmes et on leur applique des volumes de travail sur des corps qui ne sont pas prêts à le subir. Et donc, blessures. A l’Insep et dans tous les pôles, ils font face à ces problèmes-là tous les jours. Pour ne pas être sédentaire, il faudrait faire entre 10 et 15 000 pas par jour. Soit environ une demi-heure de marche ou de course. Personne ne fait ça même les gamins qui sont censés s’entraîner tous les jours. Alors qu’il y a trente ans, quand tu habitais à la campagne, tu allais à l’école à vélo. Tu faisais du foot dans les champs, tu allais dans les arbres, tu faisais des cabanes. Tu faisais des expériences motrices différentes. Même moi qui étais un urbain étant gamin, on faisait plein d’activités. C’est ce que Sabine conseille de faire maintenant. Je la convoque souvent dans des stages d’entraîneurs pour porter la bonne parole. Elle leur dit « arrêtez de ne faire faire aux gamins que du basket ! Variez les activités, faites du foot, du tennis, emmenez-les à la piscine, faites-les courir en sous-bois. » Ce sont ces facteurs qui font que les blessures sont plus que fréquentes, c’est du quotidien alors qu’il y a vingt ans, ça n’existait pas. S’entraîner une heure ou une heure et demie par jour, ce n’est pas extrême si ton corps est capable de le supporter, ça passe tout seul. Sauf que l’on fait ça aujourd’hui sur un corps en train de grandir avec des gamins qui à 15 ans font deux mètres, qui sont encore plus fragiles, et qui ne sont pas prêts à encaisser ça. Le foot a fait pas mal d’études là-dessus et ils ont décidé que dès que le pic de croissance arrive chez un gamin, ils divisent la charge de travail par cinq ou six ! Et après, tu vas faire de la natation ou autre chose. Certains jeunes prennent trente centimètres en six mois et ils ne peuvent pas subir la même dose de travail que d’autres.\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis vingt ans, les mentalités ont-elles changé dans le basket féminin de haut niveau ?\\n\\nJe pense qu’au plus haut niveau, filles et garçons ne se différencient pas sur le plan des relations. 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Responsable Communication et Partenariats du Lille Métropole Basket en Pro B de 2009 à 2011, Mélanie Danna a émigré ensuite au Canada et elle a intégré le staff des Toronto Raptors champions NBA, il y a quelques jours.\\n\\nSon départ date d’il y a cinq ans et elle est arrivée à Ottawa sans objectif véritable et sans argent de côté. L’aventure. De fil en aiguille, elle a travaillé pour la fédération nationale de volley et y a rencontré son futur mari, un Français. Les Raptors?\\n\\n« Trois mois après mon arrivée au Canada, l’ancien manager général de Paris Levallois Basket (Ron Stewart) – avec qui j’avais gardé contact depuis mon passage à Lille- m’avait mis en relation avec son homologue Masai Ujiri (aujourd’hui président) », raconte t-elle. « J’ai fait de nombreux allers retours Ottawa-Toronto pour garder le contact, je suis allée voir pas mal de matchs... Un an plus tard, Masai m’a informé de la création d’un poste au sein des Raptors 905, l’équipe de développement des Raptors. Et ma candidature a été retenue. »\\n\\nSon job au sein de la franchise?\\n\\n« Depuis 2017, je suis en charge du développement personnel, social et professionnel des joueurs de l’équipe de G-League (les Raptors 905 représentent la couveuse des Raptors). Je suis une sorte de conseillère. Je prépare les joueurs à leur prochaine étape, que ce soit la NBA ou le monde du travail pour ceux qui ne feront pas carrière dans le basket. Ma mission est de les développer en tant que personnes et de gérer leurs apparitions publiques (écoles, hôpitaux, associations caritatives, etc.). »\\n\\nCharles Dubé-Brais, 37 ans, est, lui, Québécois. 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En seulement une année, le natif de l’Iowa est passé d’assistant chez les Raptors à coach titulaire pour mener la franchise canadienne à son premier titre NBA et sera sur le banc de Team Canada cet été durant la Coupe du Monde.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvant de remplacer Dwane Casey à la tête des Raptors de Toronto l’été dernier, il n’était que l’assistant de ce dernier pendant 5 saisons. Nombreux sont ceux qui croyaient que les dirigeants de la franchise faisaient une erreur incroyable en nommant à la tête de leur équipe, un homme qui n’avait jamais joué en NBA.\\n\\nEt pourtant... en seulement une année, Nick Nurse est passé de l’ombre à la lumière puisqu’au-delà d’être l’entraîneur qui a conduit la franchise canadienne à son premier trophée Larry O’Brien, il a également intégré un cercle très fermé de coach titulaire ayant réussi cette prouesse dès leur première année : de Pat Riley à Steve Kerr en passant par Tyronn Lue. Analyse d’une progression\\n\\n\\nL’expérience européenne\\n\\nNick Nurse est né à Carroll dans l’Iowa dans une famille modeste de neuf enfants. A 22 ans, alors qu’il n’a jamais évolué dans le basket de haut niveau, il devient l’assistant d’une équipe universitaire de sa région natale les Panthern de Nothern Iowa. Cette première expérience ainsi que les suivantes sur le sol américain ne se passent pas comme prévu.\\n\\nEn conséquence, il décide de partir en Europe et plus particulièrement dans les championnats belge et anglais pour acquérir plus d’expérience. Il passe la majorité de ces années, en Angleterre où il gagne des titres de champions : un avec les Birmingham Bullets en 1996 et un autre avec les Manchester Giants en 2000. Durant ces années passées en Grande-Bretagne, Nick Nurse aura le privilège de devenir l’assistant coach de la sélection britannique pendant trois ans de 2009 à 2012 jusqu’au Jeux Olympiques de Londres. Il a reconnu lors de sa première conférence de presse depuis son sacre, que c’est cette expérience avec la sélection britannique qui l’a poussé à accepter de coacher Team Canada :\\n\\n« Ma principale motivation est que j’ai travaillé avec l’équipe de Grande-Bretagne jusqu’aux JO de Londres et que j’ai beaucoup appris comme entraîneur durant cette période. J’espère que cette nouvelle expérience m’apportera la même chose »\\n\\nUn retour en D-League\\n\\nIl reste en Europe jusqu’en 2006 et plus de 10 ans après son départ des Etats-Unis, il y revient pour coacher l’équipe des Iowa Energy de 2007 à 2010 (elle fut la propriété des Bulls de Chicago jusqu’en 2008 puis des Suns de Phoenix jusqu’en 2011). En tant que coach de l’équipe, il gagne deux titres de division en 2008/2009 et en 2009/2010. L’année 2010/2011 est une année qui a un goût de consécration pour lui : ll remporte le titre national, toujours avec l’équipe des Iowa Energy et également le trophée Dennis Johnson, qui récompense le meilleur entraîneur de l’année. C’est simple, son équipe fut irrésistible cette année-là puisque celle-ci atteignit également un record de franchise en terme de bilan. Le chiffre ? 37 victoires pour 13 défaites avec une équipe aux moyens très limités.\\n\\nIl accepte avant le début de la saison 2011/2012, le poste de head coach des Rio Grande Valley Vipers, la franchise affiliée au Houston Rockets. En 2012/2013, Nick Nurse atteint, à nouveau, un record de bilan en compilant avec son équipes 35 victoires pour 15 défaites. Il explique, lors d’une interview, durant la mi-temps du Game 2 des Finals :\\n\\n« Tous ces endroits où je suis passé... et je ne sais même plus combien de temps ça a duré, 18 ans, peut-être 20 ans, à être coach dans des endroits reculés, ont été pour moi un apprentissage très utile ».\\n\\nLes années à Toronto\\n\\nLes Toronto Raptors avec leur nouveau président, Masai Ujiri qui vient de quitter son poste chez les Denver Nuggets, promeut Nick Nurse en tant qu’assistant de Dwane Casey. Le président et l’assistant se connaissent bien puisque le Nigérian de naissance a été coaché en Angleterre par ce même assistant. De 2013 à 2018, les saisons passent et se ressemblent du côté de la franchise canadienne. Souvent le bilan en fin de saison régulière est très bon (Toronto finit même premier de la conférence Est pour la première fois de son histoire lors de la saison 2017/2018) mais les résultats en playoffs ne suivent pas. De la saison 2015/2016 à la saison 2017/2018, l’équipe retrouve à chaque fois sur son chemin les Cleveland Cavaliers de LeBron James et l’équipe est systématiquement éliminée, jusqu’à l’humiliation subie lors de la campagne de 2018, quand l’équipe du King élimine sèchement 4 à 0, celle de Dwane Casey. À la suite de cet événement, ce dernier est viré, malgré son titre de coach de l’année et Masai Ujiri fait immédiatement confiance à Nick Nurse pour reprendre la suite, à la surprise générale.\\n\\n« Toutes ses équipes étaient dures », disait Masai Ujiri lors de l’intronisation de Nick Nurse comme coach officiel. « L’équipe de Birmingham était complètement différente des autres équipes de la ligue anglaise. C’est comme ça que les gens la qualifiaient, « différente » » lâchait-il à la suite de la nomination.\\n\\nLa suite tout le monde la connaît. Un été de trade conclu par l’arrivée de Kawhi Leonard et une saison régulière plus tard avec une deuxième place obtenue, derrière des Bucks impressionnants et voilà Nick Nurse qui entame sa première campagne de playoffs à la tête d’une équipe NBA. Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette campagne est réussie : ils battent successivement le Magic d’Orlando, les 76ers de Philadelphie et leur colossal pivot Joël Embiid (2,13m, 25 ans) et enfin les Bucks de Milwaukee du monstre grec Giannis Antetokounmpo (2,11m, 24 ans). Ils s’attaquent lors des finales NBA à l’ogre de la baie de San Francisco les Golden State Warriors de Stephen Curry (1,91m, 31 ans) et de l’absent Kevin Durant (2,06m, 30 ans).\\n\\nFinalement, les anciens champions subissent la loi de la bande à Kawhi Léonard, au sommet de son art. Un élément mis en lumière par les observateurs et autres analystes est le système défensif d’un nouveau genre mis en place par le coach Nurse : le Box-and-One. Une défense en zone et un chien de garde qui défend en individuel sur l’élément offensif principal adverse. Que ce soit le phénomène grec ou même Stephen Curry, tous ont fait les frais de ce système défensif fou.\\n\\n« J’ai juste essayé de trouver quelque chose pour stopper Golden State », ironisait-il à la fin du Game 2 à la ScotiaBank Arena. Nick Nurse\\n\\nFinalement, il aura réussi ce que personne n’imaginait : ramener le plus beau des trophées au Canada. Arrivera-t ’il à gravir un autre obstacle de taille qui se dresse devant lui : aller s’imposer avec sa nouvelle sélection à la Coupe du Monde (1) ? Rien ne semble impossible pour le coach tant tout ce qu’il touche semble se transformer en réussite. Tout est possible à la vue de ce qu’il a déjà vécu. En tout cas, il semble heureux de ce nouveau poste « Cela vient d’être finalisé », a déclaré Nurse, en conférence de presse, dimanche soir. « C’est quelque chose qui me rends extrêmement heureux. », a-t-il ajouté.\\n\\n(1) Les joueurs potentiels pour l’Équipe du Canada sont Kelly Olynyk (Miami Heat), Dwight Powell (Dallas Mavericks), RJ Barrett (Duke, qui va être drafté dans les premiers choix), Tristan Thompson (Cleveland Cavaliers), Jamal Murray (Denver Nuggets) et Andrew Wiggins (Minnesota Timberwolves).\\n\\n[armelse]\\n\\nAvant de remplacer Dwane Casey à la tête des Raptors de Toronto l’été dernier, il n’était que l’assistant de ce dernier pendant 5 saisons. 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Arrivé en France en 2016, le meneur américain est d’abord passé par Andrézieux et Blois avant de débarquer à Evreux en janvier 2018 pour terminer la saison.\\n\\nCette saison, Jerrold Brooks compilait en moyenne 13,2 points, 2,1 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 10,5.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Caen Basket Calvados" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Edouard Choquet prolonge deux ans à Fos" }, {"role": "assistant", "content":"Edouard Choquet (1,87m, 31 ans) a connu la montée en Jeep Elite avec Fos et plus récemment la descente en Pro B, mais il sera toujours au club la saison prochaine.\\n\\nSur son site, le Fos Provence Basket annonce que le champion de France 2016 avec l’ASVEL s’est engagé pour deux nouvelles saisons dans le Sud de la France. Déjà passé par Fos entre 2011 et 2015, il est revenu au club en 2017 et vivra donc sa septième saison avec les BYers la saison prochaine. Objectif numéro un, la remontée en Jeep Elite.\\n\\nCette saison, Edouard Choquet compilait en moyenne 7,3 points, 2,6 rebonds et 5,1 passes décisives pour une évaluation de 10,6.\\n\\nPhoto : Fos Provence Basket" }, {"role": "user", "content":"Mickey McConnell (Pau) vers une reconversion en tant qu’entraîneur ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur américain qui a fait les beaux jours de l’Elan béarnais cette saison, aurait informé le club de son désir de non-prolongation pour se lancer dans le coaching universitaire.\\n\\nMickey McConnell (1,83m, 30 ans) est arrivé à la mi-saison de l’exercice en cours pour remplacer Jerel Blassingame (1,75m, 37 ans) qui ne donnait pas satisfaction.\\n\\nUn peu à la manière de l’ancien Orléanais, Kyle McAlarney (1,83m, 31 ans), le meneur américain a décidé semble t-il d’arrêter sa carrière de joueur prématurément pour se lancer dans le coaching universitaire.\\n\\nUn choix surprenant au vu de ses récentes performances sous le maillot de l’EBPLO puisqu’il était un joueur majeur du coach Laurent Villa et compilait 13,1 points à 47,6%, 3,2 rebonds et 5,4 passes décisives en 36 minutes de temps de jeu pour un total de 15,4 d’évaluation." }, {"role": "user", "content":"La photo: Quand Sasa Obradovic (Monaco) s’adresse à ses joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Le Serbe de l’AS Monaco, Sasa Obradovic, est ce que l’on appelle un coach expressif -parfois ça lui joue des tours- et cette photo où il se retrouve face à ses joueurs assis sur le banc lors du Match 2 de la finale des playoffs de Jeep Elite face à l’Asvel, en est la parfaite représentation.\\n\\nPhoto: AS Monaco" }, {"role": "user", "content":"Jean-Pierre Siutat est le nouveau premier vice-président de FIBA Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de la fédération française, Jean-Pierre Siutat, 60 ans, a été élu premier vice-président de la FIBA Europe pour la période 2019-23.\\n\\nRéélu à la tête de la présidence de l’organisation internationale, le Turc Turgay Demirel sera donc épaulé, outre Jean-Pierre Siutat, par deux autres vice-présidents, Carmen Tocala (Roumanie) et John Goncalves (Gibraltar).\\n\\nLe Comité Exécutif sera composé du président, des trois vice-présidents et de Karl Thaller (Autriche), Jorge Garbajosa (Espagne), Natalia Galkina (Russie), Ivan Bodrogvary (Hongrie) et Asterios Zois (Grèce).\\n\\n–\\n" }, {"role": "user", "content":"Lancement de l’appel à candidatures pour la ligue professionnelle de 3×3" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence dans les locaux de la Fédération Française, le président Jean-Pierre Siutat a présenté le projet de la ligue européenne et professionnelle de 3×3. Un article complet avec tous les détails sera publié sur Basket Europe jeudi. En attendant, voici le communiqué de la FFBB.\\n\\nA l’occasion de la présence dans les locaux de la FFBB de nombreux représentants d’associations de collectivités territoriales, le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, a lancé officiellement l’appel à candidatures du futur circuit Pro Européen de basket 3×3 qui verra le jour à l’automne 2020.\\n\\nCe mardi 18 juin, au siège de la Fédération Française de BasketBall (FFBB), le président Jean-Pierre Siutat a lancé officiellement l’appel à candidatures pour le premier circuit pro Européen de basket 3×3.\\n\\nAprès avoir évoqué les modalités d’organisation aux différentes associations de collectivités territoriales, le président fédéral a présenté les contours du futur circuit professionnel européen de basket 3×3. Celui-ci verra le jour en 2020, se déroulera d’octobre à avril, et sera composé de « Team » incluant obligatoirement une équipe féminine et une équipe masculine. Cette mixité et cette parité assumées seront le socle de ce circuit professionnel, car ce sont les résultats des deux équipes cumulées qui constitueront le classement des « Teams ».\\n\\nPour la première saison, la FFBB souhaite retenir 8 « Teams » qui rejoindront le circuit professionnel européen. Les autres pays co-organisateurs sont à ce jour l’Allemagne, l’Italie, la Suisse, les Pays-Bas, Andorre et la Belgique. D’autres pays pourraient, par la suite, rejoindre cette « Ligue Régionale » selon l’appellation de la FIBA.\\n\\nCette « Ligue Régionale » s’intègre complètement dans l’organisation mondiale du basket 3×3 par la FIBA. 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Pas de doute le meneur international est en très grande forme." }, {"role": "user", "content":"L’ancien coach de Limoges Dusko Vujosevic va entraîner Cluj en Roumanie" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Emiliano Carchia de Sportando, l’ancien coach du Limoges CSP Dusko Vujosevic, 60 ans, va entraîner la saison prochaine le coach roumain du U-Banca Transilvania Cluj-Napoca.\\n\\nAprès son départ du Limousin à la fin de la saison 2016-17, le Serbo-Monténégrin a pris en mains la sélection nationale de Bosnie mais il a dû subir une greffe du rein, il y a un an, à Istanbul.\\n\\n\\nDusko Vujosevic is the new head coach of Romanian team U-Banca Transilvania Cluj-Napoca\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) June 18, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"C’est officiel, Nando De Colo quitte le CSKA Moscou – «Je veux atteindre d’autres objectifs»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est désormais officiel, après cinq saisons passées dans le club de la capitale russe, Nando De Colo (1,96m, 32 ans le 23 juin) quitte le CSKA Moscou.\\n\\nLe Nordiste aura tout gagné avec le CSKA notamment deux Euroleague (2016 et 2019), les trophées de MVP de l’Euroleague et du Final Four (2016) et à chaque fois la VTB League.\\n\\n« Cela faisait cinq ans que je jouais et vivais à Moscou, et la ville est devenue notre première maison familiale », a déclaré De Colo sur le site de l’Euroleague. « Quand [sa première fille] est née, ce fut la première ville dans laquelle elle s’est rendue. Nous sommes devenus une vraie famille ici. Quant à moi, ce n’est pas comme si je voulais me séparer du CSKA. Je veux seulement apparaître dans un endroit différent pour atteindre d’autres objectifs: j’ai joué cinq saisons extraordinaires ici, nous avons gagné deux Euroleague, nous avons dominé dans la Ligue VTB, nous avons montré à tous que le CSKA est le meilleur club du continent. J’étais vraiment fier de jouer pour lui. Je tiens à remercier notre entraîneur qui m’a donné l’occasion de jouer pour l’équipe en me donnant de plus en plus de responsabilités au jour le jour. Merci au président [Vatutin] de m’avoir laissé jouer ici, la direction, les médecins, le personnel et les fans. Et plus que quiconque, j’aimerais féliciter mes coéquipiers. Toutes ces années, nous avons eu d’excellents joueurs et personnalités, des gars qui me rendaient meilleur tous les jours, les meilleurs joueurs d’Europe qui m’ont fait progresser en rivalisant avec eux. C’était vraiment important de faire partie de ce groupe extraordinaire, qui était notre grande famille. Donc, comme je le disais, nous avons atteint tous les objectifs ici au CSKA, et j’ai l’envie de changer quelque chose, de trouver un autre défi, de me battre à nouveau sur la grande scène. «\\n\\nReste à savoir si l’international souhaite retourner en Espagne (le Real Madrid et Valence sont sur les rangs) ou en NBA." }, {"role": "user", "content":"Les équipes de France à la Coupe du Monde 3×3" }, {"role": "assistant", "content":"La Coupe du monde FIBA 3×3 2019 se tient à Amsterdam du 18 au 23. Ana Maria Filip (1,95m, 29 ans), Laétitia Guapo (1,83m, 23 ans), Marie-Eve Paget (1,70m, 24 ans) et Migna Touré (1,80m, 24 ans) composent l’équipe de France féminine, Lucas Dussoulier (2,04m, 26 ans), Dominique Gentil (1,97m, 31 ans), Charly Pontens (1,90m, 23 ans) et Mickael Var (2,05m, 29 ans) l’équipe de France masculine.\\n\\nLa phase de poules s’échelonnera du 18 au 21 juin. Les deux meilleures équipes de chaque groupe, hommes et femmes, se qualifieront pour les quarts de finale. Les quarts de finale auront lieu samedi 22 et les demi-finales et matchs pour les médailles dimanche 23. \\n\\nLes Serbes et les Italiennes tenteront de conserver le titre qu’ils ont remporté l’année dernière aux Philippines.\\n\\nCliquez sur les équipes ci-dessous pour voir les formations complètes.\\n\\nHOMMES\\nPoule A: Serbie , États-Unis , Pays – Bas , Turquie , Corée du Sud\\nPoule B: Russie , Mongolie , Ukraine , Estonie , Porto Rico Poule C: Slovénie , Chine , Qatar , Lituanie , France Poule D: Lettonie , Japon , Brésil , Pologne , Australie –\\n\\nFEMMES\\n\\nPoule A: Chine,Pays – Bas , Hongrie , Lettonie , Turkménistan\\nGroupe B: France , Japon , Suisse , Australie , Andorre\\nGroupe C: Mongolie , Roumanie , Iran , République tchèque , Espagne\\nGroupe D: Russie , Ukraine , Indonésie , Italie , Nouvelle-Zélande" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Essomé Miyem s’engage à la SIG Strasbourg pour 4 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Essomé Miyem (2,08m, 17 ans), le petit frère de l’internationale française Endy Miyem a décidé de commencer sa carrière à Strasbourg.\\n\\nC’est une belle arrivée que vient d’enregistrer le centre de formation du club alsacien. En effet, hier par l’intermédiaire d’un communiqué, il a annoncé l’arrivée d’Essomé Miyem pour 4 ans. Celui-ci intègre le centre de formation après une bonne saison en Nationale 1 avec le Centre Fédéral. Il compilait en moyenne 6,9 points, 4,9 rebonds pour 22 minutes de moyenne en Nationale 1.\\n\\nEssomé Miyem arrive, pour en premier lieu, faire partie des espoirs et être un partenaire d’entraînement puis, pourquoi pas par la suite, intégrer l’équipe professionnelle.\\n\\nLe directeur du centre formation Olivier Weissler commente cette venue :\\n\\n« Nous sommes très heureux et motivés de pouvoir continuer le développement d’Essome au sein de la SIG Strasbourg. Son arrivée conforte le projet du club en matière de formation. Il fait partie des joueurs français de grande taille à fort potentiel, membre de la génération championne d’Europe U16 et vice-championne du monde U17. Dans ce projet, l’amenant à devenir un joueur professionnel, Essome aura une année de transition dans le championnat de France Espoirs, tout en s’entraînant régulièrement avec l’équipe professionnelle ». SIG Strasbourg" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Adrien Moerman cartonne et Anadolu Efes mène 3 manches à 2" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 26 points (3/4 à trois-points), 8 rebonds et 4 passes, Adrien Moerman a réalisé une nouvelle performance de choix en finale du championnat turc et emmené Anadolu Efes vers une victoire 86-76 sur Fenerbahçe, ce qui lui permet désormais de mener 3 manches à 2.\\n\\nEfes avait une avance de sept points (27-20) après le premier quart mais Fenerbahce l’a réduit à deux points (39-37) à la mi-temps. C’est dans la troisième période que Efes a fait la différence avec un 27-10.\\n\\nLe match 6 de la série se jouera le 19 juin à Fenerbahce." }, {"role": "user", "content":"Ivano Ballarini (directeur sportif des Bleues): «Bria Hartley est modeste, super agréable à vivre»" }, {"role": "assistant", "content":"Ivano Ballarini est le directeur sportif de l’équipe de France féminine. L’homme de l’ombre nous fait pénétrer dans les coulisses des Bleues et dans cette première partie de l’interview, il nous parle des blessures à répétition de Diandra Tchatchouang, de la formule pour obtenir une qualification aux JO de Tokyo et de l’intégration réussie de Bria Hartley.\\n\\nQuel est votre parcours de coach professionnel ?\\n\\nJ’ai commencé par entraîner deux ans les filles du Racing Club de France dans les années quatre-vingts en étant deux fois vice-champion de France. J’ai été champion de France avec les Espoirs du Racing mais pas avec l’équipe première. J’ai ensuite été assistant d’Indulis Vanags puis j’ai entraîné en garçons Colombes, le LABC, qui allait devenir Levallois. C’était en Pro B en 91-92 et on a loupé la Pro A d’un rien, 2 à 1 contre Roanne. A l’époque on jouait contre les équipes qui descendaient de Pro A. Ensuite j’ai entraîné dans les divisions inférieures jusqu’à ce que Alain Jardel m’appelle pour être assistant en équipe de France féminine jusqu’en 1997. Je suis autour de cette équipe de France féminine depuis avec un arrêt lorsque Alain Jardel a stoppé en 2006. On a été entre autres champion d’Europe en 2001 ! J’étais aussi à la fédé celui qui arrangeait un peu les coups car tous les entraîneurs dont Alain étaient en province. A l’époque, il y avait moins de monde qu’aujourd’hui et je faisais tous les liens avec les fédés étrangères. J’étais CTR de l’Ile-de-France, je faisais aussi pas mal de choses pour la fédé comme de la formation. Je suis devenu CTN en 2009. Dès le printemps je m’occupais essentiellement de l’Ile-de-France car il y avait des contacts à prendre pour les tournois, etc. Quand Alain a été viré en 2006 par (Yvan) Mainini (NDLR : le président de la FFBB), j’ai arrêté pendant un an et on m’a demandé de venir faire la même chose avec les U20 et Alain pendant deux ans et d’être ensuite le « directeur sportif » avec Grégory Halin, toujours sur les U20 jusqu’à ce que en 2013 Valérie (Garnier) soit nommée et me demande d’être le directeur sportif de cette équipe de France.\\n\\nQuels sont les fonctions d’un directeur sportif d’une équipe nationale ?\\n\\nVous voyez un lavabo ? Sous le lavabo, il y a un siphon où s’accumulent tous les merdes qui vont dans le lavabo. Je suis ce siphon. C’est-à-dire que j’extraie tous les problèmes qu’il peut y avoir de tous ordres. Lorsqu’il y a besoin de quelqu’un sur le terrain, je donne un coup de main. Là, il y a un entraîneur et trois assistants donc ils n’ont pas besoin trop de moi mais parfois c’est le cas avec du travail individuel. Je m’occupe de tout ce qui est logistique, des contacts que l’on a en tournoi comme ici à Rennes pour régler les problèmes d’hébergement ou de matches, tout ce qui est en dehors du basket.\\n\\nVous remplacez le délégué bénévole ?\\n\\nEn gros. Avant, même sur les tournois en France, il y avait des délégués fédéraux qu’il n’y a plus. Ils ne viennent plus que sur les tournois à l’étranger. Je fais en plus un travail logistique très important.\\n\\nEtes-vous en relation avec les joueuses en cours de saison ?\\n\\nTrès peu même si parfois elles me téléphonent pour des raisons variées. Les coaches sont en contact avec elles parce qu’ils les entraînent. Olivier (Lafargue) entraîne à Bourges, Rachid (Méziane) à Villeneuve et avant c’était à Montpellier donc ils les voient au quotidien. Valérie (Garnier) les voit moins puisqu’elle est en Turquie mais ce sont eux qui sont essentiellement en contact avec elles.\\n\\nEtes-vous en relation avec les coachs d’autant que Valérie Garnier est donc à l’étranger, au Fenerbahçe ?\\n\\nOui. On se croise éventuellement sur les terrains mais c’est essentiellement au téléphone. On échange des informations sur les joueuses, sur les tournois à venir, sur le fait que l’on a été invité à tel endroit, alors faut-il y aller ou pas, etc. Ceci dit, on a une politique qui est impulsée par Jean-Pierre Siutat qui veut que la préparation se fait essentiellement dans le pays. On ne sort pratiquement plus jamais. C’est lui qui prend contact avec par exemple Rennes ou Mont-de-Marsan pour savoir s’ils veulent organiser un tournoi. Si Rennes dit oui, hop !, on va à Rennes. On invite les gens mais on ne va pas chez eux. C’est pour que l’équipe de France aille un peu partout notamment dans les endroits où elle n’est pas allée depuis de nombreuses années, qu’elle soit vu par les Français plus que par les étrangers.\\n\\nAvez-vous un rôle en amont des compétitions comme pour ce championnat d’Europe ?\\n\\nLa plupart du temps on visite l’endroit où on va aller, l’hébergement, etc. Je n’ai pas pu y aller cette année car j’étais pris par des formations. Il faut prendre contact avec les gens de la FIBA qui sont généralement toujours les mêmes avec toujours les mêmes règles, regarder les distances entre l’hébergement et les lieux de compétition, etc.\\n\\nFaites-vous partie avec les coaches du processus de sélection ?\\n\\nPas du tout. Ce sont les coaches qui font ça. Je donne mon avis sur les joueuses quand on me le demande -même quand on ne me le demande pas, je le donne- mais je me refuse à faire partie du processus. Ils sont quatre !\\n\\nScoutez-vous les équipes adverses en vous rendant sur place ou uniquement ou par le biais de vidéo ?\\n\\nC’est essentiellement Rachid qui récupère énormément de vidéos des différents tournois des équipes à partir de mai-juin. Il fait uniquement un travail sur vidéo. Il découpe les séquences les plus intéressantes et il les monte. Mais à part celles qui viennent ici, on ne va pas scouter les équipes sur le terrain. Ce sont uniquement des échanges vidéo. Avec les moyens modernes de communication, on peut récupérer des vidéos de n’importe où et n’importe quand. Tout le monde se connaît jusqu’à son troisième prénom et il y a peu de surprises.\\n\\n« Diandra (Tchatchouang) a un passé lourd en ce qui concerne les blessures »\\n\\nAvez-vous été surpris de découvrir que Héléna Ciak et Diandra Tchatchouang n’était pas apte à faire cette campagne ?\\n\\nSurpris non car on le savait déjà, notamment pour Diandra. Elle a un passé lourd en ce qui concerne les blessures. Elle est de l’Ile-de-France, de La Courneuve, et je la connais depuis qu’elle est benjamine, elle a été au pôle Ile-de-France, dans toutes les équipes de France jeune et elle a toujours été blessée. Pied droit, pied gauche, genou droit, genou gauche, la cuisse, sans arrêt.\\n\\nÇa l’avait notamment privé des Jeux Olympiques de Rio ?\\n\\nEntre-autre. A cause d’un genou. Je ne sais pas si c’est une faiblesse « héréditaire » mais elle a toujours eu des blessures avec la partie inférieure de son corps notamment quand elle était en U20. Je me souviens qu’elle s’est blessée au cours d’un match, elle avait la cheville à 90° par rapport à la jambe. L’âge et l’usure aidant, c’est encore une étape. On a essayé de lui faire comprendre qu’il valait mieux peut-être renoncer à cet Euro pour être prête en février au moment du TQO (Tournoi de Qualification Olympique) si on est qualifié et puis pour les Jeux. Dans la carrière d’une joueuse les Jeux Olympiques c’est généralement plus important qu’un championnat d’Europe. De toute façon, là, elle a mis les pieds sur le terrain dix minutes et elle ne pouvait plus jouer. Héléna Ciak n’a pas mis du tout les pieds sur le terrain. Elle est arrivée et elle a fait des examens et tout le monde a dit stop.\\n\\nElle n’aurait jamais dû participer à la finale des playoffs ?\\n\\nBien sûr. Jamais elle n’aurait dû reprendre. Je pense que le club voulait l’utiliser pour essayer de gagner une finale qui était à sa portée plus ou moins. De ce que j’ai compris, on lui avait donné six semaines d’arrêt et elle a repris au bout de deux et demi, trois et ça n’a fait qu’empirer. Quand elle est arrivée, elle ne pouvait pas jouer.\\n\\nOn peut parler du TQO. Quel est la formule ?\\n\\nIl va y avoir quatre fenêtres : novembre 2019, février 2020, novembre 2020 et février 2021. Trois de ces fenêtres ont pour but de qualifier au prochain championnat d’Europe et celle de février 2020 ce ne sera pas une fenêtre comme les autres puisque c’est le TQO. Il y aura quatre tournois dans le monde avec chacun quatre équipes pour qualifier douze équipes. On pourrait aller en Thaïlande pour gagner un match car quand tu en gagnes un généralement tu ne termines par dernier. Et cerise sur le gâteau, si tu es champion d’Europe, tu vas quand même au TQO comme le champion des Amériques et le champion d’Asie. Là, il faut être parmi les six premiers de l’Euro pour faire ce TQO.\\n\\nCombien de temps aurez-vous pour préparer ce TQO ?\\n\\nCe sera une fenêtre de dix ou douze jours comme d’habitude. Ça veut dire : tu mets un maillot sur le dos et tu pars (rires). Au milieu de la saison avec blessures éventuelles, etc.\\n\\nEtiez-vous en relation avec Bria Hartley lorsqu’elle a fait ces quelques matches avec le Liberty de New York ?\\n\\nPas du tout. Je ne suis pas seul à bosser à lé fédé. On a un gars, Jeremy Kovalchuk, qui est chargé entre autres de tout ce qui est logistique pour l’équipe de France féminine. Il l’a contacté pour savoir comment elle viendrait, quel jour, etc. On savait qu’elle viendrait au tournoi de Rennes et il lui a pris un billet, etc. Elle a fait New-York-Paris et Paris-Rennes et on l’a retrouvé ici.\\n\\nEt la négociation avec la franchise, le Liberty ?\\n\\nCe n’est pas moi qui le fais mais c’était prévu. Quand Marine Johannès a signé son contrat, elle a prévu de laisser sa place en équipe de France avant d’aller en WNBA. Bria, elle, avait déjà signé un contrat en WNBA avant d’intégrer l’équipe de France et il n’était pas stipulé dedans qu’elle devait avoir du temps pour nous rejoindre. Elle a dû faire la première partie du championnat et le Liberty l’a libérée uniquement le 10 juin pour venir ici le 11.\\n\\nComment avez-vous vécu son arrivée dans le groupe sachant qu’en amont plusieurs joueuses étaient pour le moins méfiantes ?\\n\\nC’est quelqu’un qui est vraiment très sympathique, très simple. Des joueuses étaient effectivement méfiantes mais cette méfiance est vite tombée car elle est super agréable à vivre. Elle n’a pas la grosse tête, elle est super modeste, discrète. En plus c’est une bonne joueuse qui sait faire des passes et tirer quand il faut. Elle s’est intégrée très facilement. Je lui ai appris deux ou trois phrases de français avec des gros mots, bien sûr ! Ce n’est pas l’image de la Ricaine qui arrive avec la grosse tête. Elle a un petit garçon qui est mignon comme tout. Je l’ai vu car j’étais à Istanbul avec le DES, on fait des formations un peu partout en France et on a profité que Valérie (Garnier) entraîne au Fenerbahçe pour faire un voyage là-bas. Bria m’a présenté son petit gamin qui est super gentil. Là, je pense que si vous interviewez les joueuses de l’équipe de France, aucune ne te dira rien de négatif sur elle. Elle est super intégrée. Toutes les équipes bénéficient d’une étrangère depuis trois ou quatre ans. On en avait une, Isabelle Yacoubou, qui était catégorisée comme étrangère même si elle avait une culture française (NDLR : la néo-Berruyère est à l’origine de nationalité béninoise). Il se trouve que Bria à une grand-mère française. Elle est française aux yeux de l’Etat, elle a un passeport français, mais pas aux yeux de la FIBA (1). Il a fallu faire tout un tas de démarches. Toujours est-il qu’elle a eu un passeport FIBA français. C’est elle qui a demandé à jouer en équipe de France car personne ne l’a connaissait.\\n\\nElle est française par filiation comme tout un chacun... Et vous ?\\n\\nMoi aussi. Mes deux parents sont italiens mais ma mère est née en France. En plus, ça serait quelqu’un de désagréable, de hautain, mais ce n’est pas du tout le cas, elle est super gentille, super agréable à vivre, ça ne pose aucun problème et en plus c’est une bonne joueuse.\\n\\n(1)Les joueurs/joueuses nés à l’étranger et ayant un lien de sang avec le pays qu’ils veulent représenter doivent prouver leur nationalité légale par le biais d’un passeport obtenu avant l’âge de 16 ans. Les joueurs/joueuses qui ont obtenu leur passeport par la suite -c’est le cas de Bria Hartley- peuvent toujours jouer, mais ils/elles sont considéré(e)s comme des joueurs/joueuses « naturalisé(e)s » par la FIBA. La FIBA permet à un seul joueur/joueuse naturalisé(e) de figurer sur la liste d’une équipe nationale à chaque match. C’est ainsi, par exemple, que Bria Hartley et Isabelle Yacoubou n’auraient pas pu jouer ensemble en équipe de France.\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre parcours de coach professionnel ?\\n\\nJ’ai commencé par entraîner deux ans les filles du Racing Club de France dans les années quatre-vingts en étant deux fois vice-champion de France. J’ai été champion de France avec les Espoirs du Racing mais pas avec l’équipe première. J’ai ensuite été assistant d’Indulis Vanags puis j’ai entraîné en garçons Colombes, le LABC, qui allait devenir Levallois. C’était en Pro B en 91-92 et on a loupé la Pro A d’un rien, 2 à 1 contre Roanne. A l’époque on jouait contre les équipes qui descendaient de Pro A. Ensuite j’ai entraîné dans les divisions inférieures jusqu’à ce que Alain Jardel m’appelle pour être assistant en équipe de France féminine jusqu’en 1997. Je suis autour de cette équipe de France féminine depuis avec un arrêt lorsque Alain Jardel a arrêté en 2006. On a été entre autres champion d’Europe en 2001 ! J’étais aussi à la fédé celui qui arrangeait un peu les coups car tous les entraîneurs dont Alain étaient en province. A l’époque, il y avait moins de monde qu’aujourd’hui et je faisais tous les liens avec les fédés étrangères. J’étais CTR de l’Ile-de-France, je faisais aussi pas mal de choses pour la fédé comme de la formation. Je suis devenu CTN en 2009. Dès le printemps je m’occupais essentiellement de l’Ile-de-France car il y avait des contacts à prendre pour les tournois, etc. Quand Alain a été viré en 2006 par (Yvan) Mainini (NDLR : le président de la FFBB), j’ai arrêté pendant un an et on m’a demandé de venir faire la même chose avec les U20 et Alain pendant deux ans et d’être ensuite le « directeur sportif » avec Grégory Halin, toujours sur les U20 jusqu’à ce que en 2013 Valérie (Garnier) soit nommée et me demande d’être le directeur sportif de cette équipe de France.\\n\\nQuels sont les fonctions d’un directeur sportif d’une équipe nationale ?\\n\\nVous voyez un lavabo ? Sous le lavabo, il y a un siphon où s’accumulent tous les merdes qui vont dans le lavabo. 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Comme nous l’avons appris, Axel Bouiteille arrive dans l’équipe de Bilbao, » écrit le site espagnol.\\n\\nL’international a tourné cette saison à 11,3 points et 3,1 rebonds en 27′ de temps de jeu moyen.\\n\\nBilbao Basket est l’ancien club d’un autre ex-Limougeaud, Frédéric Weis.\\n\\nPhoto: Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Euro Féminin: Les 12 Belges sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Philip Mestdagh a annoncé l’équipe belge pour l’EuroBasket et celle-ci fourmille de têtes connues en France.\\n\\nHatty Nawezhi et Laure Resimont ont été les deux dernières coupées et pour cette dernière cela constitue une surprise car la néo-Tarbaise a été deux fois élue joueuse belge de l’année. Une blessure au genou dès le premier match de préparation au Japon lui a coûté cher.\\n\\nBien que n’ayant pas joué de la saison en club pour soigner un genou douloureux, Ann Wauters fait toujours partie à bientôt 39 ans de la sélection belge qui est apte à viser le titre continental.\\n\\nLes Belgian Cats vont disputer pour terminer deux matches de préparation face à l’Italie.\\n\\n\\n5. Kim Mestdagh, ailière, 1,80m, 1990, Charleville-Mézières\\n6. Antonia Delaere, arrière, 1,82m, 1994, Nantes\\n9. Marjorie Carpreaux, meneuse, 1,65m, 1987, Malines\\n11. Emma Meesseman, intérieure, 1,93m, 1993, Ekaterinbourg/Russie\\n12. Ann Wauters, intérieure, 1,93m, 1980, sans club\\n13. Kyara Linskens, intérieure, 1,90m, 1996, Enisey Krasnoyarsk/Russie\\n22. Hanne Mestdagh, ailière, 1,78m,1993, Namur\\n23. Serena-Lynn Geldof, intérieure, 1,96m, 1997, Namur\\n32. Heleen Nauwelaers, ailiière, 1,80m, 1996, Bembibre/Espagne\\n35. Julie Vanloo, meneuse, 1,74m, 1993, Townsville Fire/Australie\\n42. Jana Raman, ailière forte, 1,86m, 1991, Valence/Espagne\\n55. Julie Allemand, meneuse, 1,74m, 1996, Lyon\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le spectaculaire 3-points de Jaycee Carroll qui offre la victoire au Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Le Real Madrid mène désormais 2-0 en finale des playoffs espagnols. Les Madrilènes ont terrassé le FC Barcelone grâce à une dernière offensive qui a vu l’Américain Jaycee Carroll conclure d’un superbe panier à trois-points, 81-80.\\n\\nLe meneur du Barça Thomas Heurtel a tout donné dans ce Match 2 scorant 30 points à 10/13 aux tirs du champ et 7/8 aux lancers-francs. Jaycee Carroll lui a répondu avec 25 points obtenus avec un 5/7 à trois-points dont ce triples décisif.\\n\\n\\nSin palabras. Esto es BALONCESTO.\\n¡Carroll da la victoria al @RMBaloncesto en un final de infarto!#PlayoffLigaEndesa pic.twitter.com/HgzfF2CntL\\n\\n— Basket en Movistar Plus+ (@MovistarBasket) June 17, 2019\\n\\n\\nPhoto: Jaycee Carroll (ACB)" }, {"role": "user", "content":"François Gomez a dévoilé la liste des 12 Suédoises pour l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach tarbais François Gomez a dévoilé la liste des 12 joueuses pour l’EuroBasket. La Suède sera l’un des adversaires de la France dans le groupe préliminaire.\\n\\nLes soeurs Elin et Frida Eldebrink seront deux des moteurs de la sélection avec l’intérieure Amanda Zahui, qui comme Bria Hartley et bientôt Marine Johannes, porte le maillot du New York Liberty en WNBA. Elle y joue un rôle majeur comme en atteste ses 37 points à 13/16 aux tirs et 7 rebonds face à Los Angeles.\\n\\nPrénom/NomTailleAnnée de N.Farhiya Abdi1881992Binta Drammeh1801992Elin Eldebrink1721988Frida Eldebrink1741988Louice Halvarsson1911989Danielle Hamilton Carter1911990Kalis Loyd1881989Prêt Lundquist1731999Regan Magarity1891996Ellen Nyström1831993Josefin Vesterberg1921993Amanda Zahui1951993-" }, {"role": "user", "content":"Vers une prolongation de deux ans pour Kyle Hines au CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Capitaine du CSKA Moscou, Kyle Hines (1,98m, 32 ans) serait sur le point de prolonger son contrat avec le club moscovite.\\n\\nD’après Eurohoops, la formation russe et le quadruple champion d’Euroleague auraient trouvé un accord pour continuer leur collaboration deux saisons de plus. Passé par Veroli, Bamberg et l’Olympiakos, le double meilleur défenseur d’Euroleague est arrivé au CSKA en 2013 et s’est imposé comme l’âme défensive de l’équipe.\\n\\nCette saison, Kyle Hines compilait en moyenne 7,3 points et 3,6 rebonds pour une évaluation de 8,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Finale, Episode 2 – L’Asvel repousse le retour de Monaco, 73-67" }, {"role": "assistant", "content":"L’Asvel a les cartes en mains pour remporter un 19e titre de champion de France après son deuxième succès à l’Astroballe sur Monaco, 73-67. Longtemps ballotée, la Roca Team a réalisé un formidable retour juste après l’exclusion de son coach, Sasa Obradovic, mais sans pouvoir aller au bout de son effort notamment en raison d’un énorme gâchis aux lancers (15/30).\\n\\nLe coach Sasa Obradovic est obligé de faire un choix dans ses étrangers pour chaque match et ce soir, il a privilégié l’arrière ukrainien Sergii Gladyr au pivot américain naturalisé hongrois Jarrod Jones.\\n\\nL’Asvel a tout de suite montré ses intentions avec trois paniers à trois-points d’affilée (9-2). Mais Monaco aussi. Pas question de se faire distancer car on connaît la difficulté de revenir d’un 0-2 dans une série en trois manches gagnantes. C’était un Roca Team toute en dureté que l’on voyait à l’oeuvre cette fois. 11-13. C’est toutefois l’Asvel qui redonnait un coup de collier grâce notamment à Amine Noua à la finition (10 points en 6′) même si trois lancers ratés sur quatre tentés l’empêchaient de concrétiser encore davantage. 25-17 (12e).\\n\\nLes Monégasques dévissaient derrière la ligne à trois-points (1/8 en première mi-temps) au contraire des Villeurbannais qui sur un triples de DeMarcus Nelson passaient la barre des 10 points d’avance (30-19). Puis 34-19 sur une interception de Théo Maledon suivie d’un dunk de celui qui est majeur depuis le 12 de ce mois. 13-2 dans le quart-temps sur 7’30. A l’évidence la défense étouffante de l’Asvel était la première cause des malheurs monégasques. Le airball de Yakuba Ouattara, tout seul, prouvait que le doute commençait à ronger les têtes des hommes d’Obradovic. L’écart montait même à +17 (38-21) et était encore à +16 (40-24) à la mi-temps sur un panier avec la planche au buzzer de Théo Maledon. Monaco n’avait mis que trois paniers sur les dix dernières minutes. On n’avait jamais vu ça depuis l’arrivée de Sasa Obradovic.\\n\\nPhoto: Théo Maledon (Hervé Bellenger/LNB)\\n\\nDu grand Théo Maledon\\n\\nThéo Maledon démontrait toute son... expérience en inscrivant sept points en une minute trente, en chipant une balle, en réussissant quelques dribbles. Quel sang froid ! +19 (45-26). Sasa Obradovic s’agitait sur le banc mais ses joueurs étaient pris dans la nasse. A l’image de ce bond de Adreian Payne pour empêcher Eric Buckner d’enfourner la balle dans le cylindre, les Villeurbannais se battaient sur chaque ballon et un peu plus tard c’est Livio Jean-Charles qui faisait un superbe contre sur Yakuba Ouattara.\\n\\nLa température montait de plusieurs degrés encore. Dee Bost écopait d’une technique et dans la foulée Sasa Obradovic pétait un plomb et se faisait expulser. Mais au lieu de déprimer, les Monégasques boostés par le fameux sentiment d’injustice, jetaient toutes leurs forces dans la bataille, les Villeurbannais perdaient plusieurs ballons, et d’une pénétration Paul Lacombe ramenait le score à 42-53 (30e).\\n\\nLes chocs étaient de plus en plus violents et on voyait souvent Sergii Gladyr dans les « bons » coups. Gerald Robinson sortait avec une cheville en vrac mais Monaco grignotait inexorablement son retard avec beaucoup de jeu en première intention. 59-54 à 5’13 de la fin. Puis 59-57 sur un trois-points de Lazeric Jones !\\n\\nLe final était de toute beauté. Un trois-points de Théo Maledon (12 points, 15 d’évaluation) paraissait donner un avantage décisif à l’ASVEL mais Paul Lacombe répliquait aussitôt. Beaucoup de munitions étaient gâchées sur la ligne des lancers. Eric Buckner en loupait deux comme Miro Bilan et encore un autre un peu plus tard.\\n\\nDavid Lighty réalisait une séquence défensive d’anthologie sur Gerald Robinson, Adreian Payne (7 rebonds, 2 contres) était le maître des airs et mettait trois lancers décisifs. L’ASVEL n’avait pas craqué.\\n\\nLa boxscore est ici.\\nLe programme: Épisode 3 : Monaco-Villeurbanne, jeudi 20 juin à 20h45. Épisode 4 : Monaco-Villeurbanne, samedi 22 juin à 20h30, si nécessaire. Épilogue : Villeurbanne-Monaco, mardi 25 juin à 20h45, si nécessaire.\\n\\nPhoto: Livio Jean-Charles (Hervé Bellenger/LNB)" }, {"role": "user", "content":"Amine Noua (ASVEL) : «Zvezdan Mitrovic a apporté cette exigence qui nous manquait»" }, {"role": "assistant", "content":"Après la victoire de l’ASVEL dans le match 1, Amine Noua (2,03m, 22 ans) s’est présenté en conférence de presse à un jour du deuxième épisode.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’international tricolore est notamment revenu sur le match 1 tout en restant vigilant sur la suite. Monaco aura, selon lui, le couteau entre les dents.\\n\\n« On a été minutieux sur les petits détails, le coach nous a dit que c’est ce qui allait faire la différence, qu’il fallait vraiment être lucide pendant 40 minutes et je pense que c’est ce qu’on a fait. On peut s’en féliciter mais ce n’est que l’épisode 1, il en reste deux autres si on veut être champions. Il faut qu’on regarde les erreurs qu’on a faites, qu’on corrige ça parce que ça peut être différent. Après avoir perdu quatre fois cette saison, en comptant l’épisode 1, Monaco va revenir avec le couteau entre les dents. A nous d’être prêts, à nous de faire ce qu’on a fait hier, de jouer juste, de mettre plus d’intensité en défense. En attaque on a plusieurs joueurs qui peuvent scorer dans différentes circonstances donc le plus important c’est vraiment notre défense. C’est ce qui fera la différence dans cette finale. »\\n\\nL’intérieur villeubannais a également souligné la qualité de l’effectif de l’ASVEL tout en gardant en tête que la Roca Team présente un profil similaire avec des armes redoutables à tous les postes.\\n\\n« On a des joueurs très intelligents, très matures. On ne sait pas qui peut apporter au scoring, on a vraiment un effectif très large, tout le monde peut marquer. C’est ce qui fait la différence pour nous cette année. Mais c’est sûr que Monaco a les armes pour répondre. Ils ont aussi un effectif très large. Quand tu vois que Gladyr n’est même pas sur le banc, c’est vraiment qu’ils ont des armes sur tous les postes. De notre côté, on sait que si le titulaire n’est pas au top, son remplaçant a le même niveau et peut apporter. Au match 1, on a vu que Charles (Kahudi) a eu le plus gros temps de jeu avec à peine 25 minutes. Ça montre vraiment la profondeur de notre effectif. C’est qui fait de nous une grosse équipe et qui fera de nous une grosse écurie dans les années à venir. Par exemple, dans la série contre Nanterre on a vu que Livio (Jean-Charles) fait un gros premier match, dans le deuxième il est moins bien et c’est moi qui apporte des points. Quand quelqu’un n’est pas bien on sait que son remplaçant sera là pour tout donner. »\\n\\nAmine Noua a aussi évoqué l’état d’esprit irréprochable de ses coéquipiers.\\n\\n« On voit que personne ne pense qu’à soi, tout le monde pense à l’équipe. On sait que les années précédentes c’était un peu dans l’individualisme, on n’arrivait pas trop à gérer. Mais là tout le monde est concentré, tout le monde veut la même chose. Ça fait plaisir de voir que tout le monde est sur la même longueur d’onde. C’est la patte Zvezdan Mitrovic. Il a apporté cette exigence qui nous manquait et on voit que ça fait la différence. »\\n\\nEnfin, il a évoqué la présence du président de l’ASVEL, Tony Parker, dans les tribunes pour soutenir ses joueurs.\\n\\n« Je n’en sors que du bon de sa présence. C’est vrai que ça peut amener un petit stress, mais c’est positif pour moi de le voir ici. Tu as envie de montrer que tu n’es pas dans l’équipe pour rien, t’as envie de te surpasser. Ça fait toujours du bien de le voir ici, derrière nous surtout qu’il ne peut pas être là toute l’année. C’est quand même particulier de le voir (sourire).\\n\\n\\n\\n[armelse]\\n\\nL’international tricolore est notamment revenu sur le match 1 tout en restant vigilant sur la suite. Monaco aura, selon lui, le couteau entre les dents.\\n\\n« On a été minutieux sur les petits détails, le coach nous a dit que c’est ce qui allait faire la différence, qu’il fallait vraiment être lucide pendant 40 minutes et je pense que c’est ce qu’on a fait. On peut s’en féliciter mais ce n’est que l’épisode 1, il en reste deux autres si on veut être champions. Il faut qu’on regarde les erreurs qu’on a fait, qu’on corrige ça parce que ça peut être différent. Après avoir perdu quatre fois cette saison, en comptant l’épisode 1, Monaco va revenir avec le couteau entre les dents. A nous d’être prêts, à nous de faire ce qu’on a fait hier, de jouer juste, de mettre plus d’intensité en défense. En attaque on a plusieurs joueurs qui peuvent scorer dans différentes circonstances donc le plus important c’est vraiment notre défense. C’est ce qui fera la différence dans cette finale. »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"A 37 ans, JP Batista (ex-Le Mans et Limoges), sacré MVP du champion brésilien" }, {"role": "assistant", "content":"A 37 ans, JP Batista, pivot du Mogi das Cruzes Basquete, a été élu MVP du championnat brésilien. Il a tourné cette saison à 16,9 points, 8,7 rebonds et 2,2 passes pour 21,4 d’évaluation en 32 matches joués. Le trophée de MVP porte le nom d’une célébrité du basket national, le « Troféu Wlamir Marques ».\\n\\nPour remporter ce trophée, JP Batista a été préféré aux Argentins Franco Balbi (Flamengo) et à l’Américain David Jackson (Sesi Franca Basquete), lors d’un vote réalisé auprès des entraîneurs, des assistants et des capitaines des 14 équipes ayant participé au championnat.\\n\\nJP Batista est bien connu en France pour avoir porté le maillot du Mans (2008 à 2014) et de Limoges (2014-15).\\n\\nLe palmarès:\\n\\n2018/2019 – JP Batista (Mogi)\\n2017/2018 – Marquinhos (Flamengo)\\n2016/2017 – Holloway (Pinheiros)\\n2015/2016 – Marquinhos (Flamengo)\\n2014/2015 – Alex Garcia (Bauru)\\n2013/2014 – David Jackson (Limeira)\\n2012/2013 – Marquinhos (Flamengo)\\n2011/2012 – Murilo Becker (São José)\\n2010/2011 – Guilherme Giovannoni (Brasília)\\n2009/2010 – Marcelinho Machado (Flamengo)\\n2008/2009 – Marcelinho Machado (Flamengo)" }, {"role": "user", "content":"Euro Féminin: Laia Palau, Cristina Ouvina et Queralt Casas avec les 12 Espagnoles" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe espagnole féminine a clôturé dimanche sa participation au trophée de Bruxelles, préparatoire à l’EuroBasket, avec une victoire convaincante contre le Canada, qui a été battu par un score net de 87-59.\\n\\nA cette occasion, Laia Palau a assuré 4 paniers à trois-points en autant de tentatives.\\n\\nCependant, les Espagnoles avaient subi auparavant la loi de la Belgique, 61-65. Emma Meesseman (18 points, 10 rebonds), Kyara Linskens (10 points, 6 rebonds) et la néo-Flammes Carolos de Charleville Kim Mestdagh (13 points, 4 passes) ont été les protagonistes belges.\\n\\nLe coach Lucas Mondelo a ensuite dévoilé la liste des 12 joueuses pour l’Euro: Silvia Domínguez, Cristina Ouviña, Laia Palau, Queralt Casas, Anna Cruz, Andrea Vilaró, María Pina, Marta Xargay, Tamara Abalde, Laura Gil, Astou Ndour et Laura Nicholls.\\n\\nPhoto: Laia Palau" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Romuald Morency rejoint les Sharks d’Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison 2018/2019 aboutie au sein de l’équipe de Vichy-Clermont, Romuald Morency (2,01m, 23 ans) a décidé de partir, direction l’un des deux relégués de Jeep Elite, Antibes.\\n\\nCet après-midi, les Sharks d’Antibes ont fait savoir, via leur compte Twitter, que Romuald Morency rejoignait l’équipe pour la saison à venir.\\n\\nAu sein d’une équipe auvergnate qui a réalisé, certainement, sa plus belle saison dans l’antichambre de l’élite depuis la fusion, l’ailier polyvalent (il peut évoluer sur les postes 3 et 4) a joué un vrai rôle dans le dispositif du coach Guillaume Vizade. Il compilait, en effet, sur la saison : 7,1 points, 3,7 rebonds et 1,2 passe décisive pour un total de 7,5 d’évaluation en (seulement) 20 minutes de temps de jeu.\\n\\nIl rejoint une équipe azuréenne, très active sur le marché en ce début de période des transferts puisqu’il est la cinquième recrue de la future cuvée 2019/2020 après les prolongations de Tim Blue (2,05m, 34 ans) et Fernando Raposo (2,08, 29 ans) ainsi que les signatures de Corentin Carne et Gédéon Pitard. Il apportera au Sharks sa polyvalence et sa dimension physique es espère bien progresser sous les ordres de Nikola Antic.\\n\\n\\n🖋️📃 Les @SharksAntibes ont le plaisir de vous annoncer la signature de Romuald Morency (2m01 – 23 ans) pour la saison 2019-20 ! Ce poste 3/4 très mobile et polyvalent apportera toute sa densité physique aux Sharks !\\n\\n📰 Le communiqué 👉 https://t.co/KqSVP7Vhli\\n\\n🦈 #SharksAttack pic.twitter.com/QFIiwVgH7a\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) June 17, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Les résultats de notre sondage sur l’Equipe de France" }, {"role": "assistant", "content":"Vendredi, nous vous posions la question, “Quels sont les trois joueurs qui ne participeront pas à la coupe du Monde ?”. Après plusieurs jours de sondage, voici les résultats.\\n\\nNous avons enregistré 1 037 votants et vous pensez que Timothé Luwawu-Cabarrot (216 voix), Amath Mbaye (211 voix) et Frank Ntilikina (148) seront les trois joueurs non conservés par Vincent Collet pour la Coupe du Monde. Verdict au mois d’août." }, {"role": "user", "content":"Officiel : Andrew Albicy quitte Andorre pour le Zénith Saint-Pétersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Le club russe, via son compte Twitter, a annoncé, ce matin, avoir mis la main sur le meneur international français, Andrew Albicy (1,78m, 29 ans).\\n\\nAprès avoir quitté le championnat de France il y a maintenant trois saisons pour venir s’installer en Andorre et après trois saisons pleines et notamment marquées cette année par une élimination en demie-finale de l’Eurocup, Andrew Albicy a décidé de quitter le club de la Principauté et de donner un nouveau tournant à sa carrière. Il vient de s’engager pour la saison prochaine pour le club de Saint-Pétersbourg après avoir annoncé qu’il quittait son précédent club, il y a maintenant un mois.\\n\\nLe meneur remplaçant de l’équipe de France va maintenant connaître le quatrième club de sa carrière après Levallois, Gravelines-Dunkerque et donc Andorre. Cette saison, le natif de Sèvres compilait en Liga Endesa 8,3 points à 37,8%, 1,8 rebond, 5,2 passes décisives pour un total de 9,7 d’évaluation en 25 minutes de temps de jeu.\\n\\n\\nЭндрю Альбиси — в «Зените»! Welcome to Zenit, Andrew Albicy! #Zenitbasket pic.twitter.com/IbBAM1JamP\\n\\n— Basketball club Zenit (@zenitbasket) June 17, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Finales Jeep Elite : l’épisode 1 vu de l’intérieur" }, {"role": "assistant", "content":"Si l’ASVEL est sortie victorieuse du match 1 des finales de Jeep Elite, les deux équipes se sont préparées à leur façon pour être au rendez-vous.\\n\\nLa RMC Sport a concocté une vidéo sur les coulisses de la préparation de ce match 1." }, {"role": "user", "content":"Rihards Lomazs à l’ASVEL, c’est comme si c’était fait" }, {"role": "assistant", "content":"Après Edwin Jackson et Jordan Taylor, l’ASVEL aurait trouvé sa troisième recrue estivale en la personne de Rihards Lomazs (1,90m, 23 ans).\\n\\nSelon Sportando, la signature de l’arrière du BK Ventspils est bouclée mais ne devrait être officialisée qu’après les finales de Jeep Elite. L’ASVEL, qui a indiqué ne pas vouloir communiquer sur la saison prochaine avant la fin des playoffs, devra payer un buyout au club pour faire venir l’international letton dans le Rhône.\\n\\nCette saison, Rihards Lomazs compilait en moyenne 14,6 points, 3 rebonds et 3,7 passes décisives entre le championnat letton et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Saint-Quentin revient au «paradis»" }, {"role": "assistant", "content":"200 supporters de SQBB ont fait le déplacement au Havre pour assister à la victoire de leur équipe, 57-58, qui s’est ainsi qualifiée pour la Pro B. Autre preuve que le basket dans la ville de l’Aisne est une affaire de la plus haute importance, Le Courrier Picard titre ce matin plein pot à la Une, « Le SQBB revient au paradis »\\n\\nCette remontée n’a tenu qu’à un fil puisque le Havrais Stephan Gauthier a eu le shoot de la gagne mais le ballon a rebondit sur le cercle. Ce succès est d’autant plus une performance que SQBB était privé de Jean-François Kebe, qui a été opéré ce week-end du péroné et les supporters ont brandi un portrait à son effigie avant le match.\\n\\nL’équipe de Jérôme Navier est allée au bout d’elle même pour arracher cette montée avec 45 matches officiels au programme.\\n\\n« On était quasiment mort il y a un an », savoure le président Laurent Prache dans le Courrier Picard. « Ce soir, celui qui en voulait le plus a gagné. C’est mérité pour tout le monde, pour ceux qui en crû en nous, en cette équipe, en notre résurrection. »\\n\\n\\nEn #ProB !! 🎉🏀\\n\\nGénial ! Bravo aux joueurs du @SQBB_Pro, à tout le club et aux supporters pour cette saison et cette montée ! pic.twitter.com/pwtTRXzp6r\\n\\n— Xavier Bertrand (@xavierbertrand) June 16, 2019\\n\\n\\n\\nFolie ce soir à #SaintQuentin pour le retour des joueurs du #SQBB pic.twitter.com/GKlPg8CGmb\\n\\n— Olivier De Saint Riquier (@O2SR) June 16, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Fenerbahçe ne va pas réduire sa voilure" }, {"role": "assistant", "content":"La dette du Fenerbahçe omnisports est de 530 millions d’euros, ce qui est une... amélioration vis à vis des 600 de l’an dernier rapporte Eurohoops.\\n\\nLe déficit de la section basket est pour l’instant de 17 millions d’euros mais devrait être au final un peu moins important lorsque tous les revenus seront enregistrés. Le président du club Ali Koc a voulu se montrer rassurant lors de l’assemblée générale:\\n\\n« La section basket du Fenerbahçe ne réduira pas son budget »\\n\\nCela concerne l’équipe masculine du coach Zeljko Obradovic et aussi la féminine de Valérie Garnier et Bria Hartley." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Deon Thompson quitte Kaunas pour Malaga" }, {"role": "assistant", "content":"Deon Thompson (2,03m, 30 ans) va continuer son chemin en Europe en Espagne. Il s’est engagé à Malaga.\\n\\nSur son site, le club andalou annonce l’arrivée de l’intérieur californien pour deux saisons. Après la Grèce, la Slovénie, l’Allemagne, la Chine, Israël, la Turquie, la Serbie et la Lituanie, l’ancien joueur du Bayern Munich va retrouver l’Espagne.\\n\\nIl s’agira de sa deuxième expérience sur la péninsule ibérique. En 2017 et 2019, il évoluait à Burgos avant de rejoindre le Zalgiris Kaunas en janvier dernier. Au cours de sa carrière, il a pu croiser la route de plusieurs Français. Cette saison Leo Westermann, Ali Traoré à l’ALBA Berlin (2012/13). et il en rencontrera peut-être un autre la saison prochaine si Mathias Lessort décide d’activer l’option lui permettant de prolonger son bail à Malaga.\\n\\nCette saison, Deon Thompson compilait en moyenne 6,7 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 8 en championnat, et 4,7 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le programme TV by TCL: Plein feux sur la Jeep Elite et la Pro B" }, {"role": "assistant", "content":"Les playoffs de Jeep Elite et de Pro B sont en phase de conclusion, tout comme la préparation des Bleues pour l’Euro avec un éclairage sur la TNT.\\n\\nLundi 17 juin\\n\\n20h45 – Asvel/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 19 juin\\n\\n20h45 – Rouen/Orléans – Pro B – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 20 juin\\n\\n20h45 – Monaco/Asvel – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 22 juin\\n\\n20h30 – Monaco/Asvel – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\nDimanche 23 juin\\n\\n16h30 – Orléans/Rouen – Pro B – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\n18h30 – France/Chine – EDF Fem. – RMC Story et RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Féminines: La Serbie à l’usure face à la France, 83-90" }, {"role": "assistant", "content":"Les 4 317 spectateurs bon enfant de l’aréna de Cesson-Sevigné ainsi que les téléspectateurs de RMC Story et de RMC Sport 2 ont eu l’occasion d’assister à un match France-Serbie engagé idéal pour préparer un EuroBasket. Les deux équipes voulaient marquer leur territoire à quelques jours de l’échéance et les Serbes ont prouvé qu’il fallait de nouveau compter avec elles dans la conquête du titre européen. Il faudra à l’avenir que le banc français apporte davantage pour être réellement compétitif.\\n\\nC’est donc presque dans sa configuration de l’Euro que l’équipe de France a disputé ce troisième match du tournoi de Rennes sinon que Marie-Michelle Milapie a remplacé pour faire le nombre Sandrine Gruda toujours en rééducation suite à sa blessure à la cuisse. On l’attend pour l’ultime match de prépa contre la Chine.\\n\\nSuivant une mauvaise habitude, la France a peiné au démarrage (2-9), les Serbes ayant une finisseuse hors paire en la personne de Aleksandra Crvendakic auteure de leurs 12 premiers points. Marine Johannès était beaucoup plus percutante que lors des deux premiers matches et tout rentrait dans l’ordre, du moins offensivement car de l’autre côté du terrain les Bleues encaissaient 29 points (11/15 aux tirs côté serbe) dans le premier quart-temps et c’est évidemment beaucoup, beaucoup trop.\\n\\nC’est ainsi que l’écart est monté à +12 (20-32) pour la Serbie et c’est forcément par une défense plus intensive que les Françaises ont réussi à faire tomber l’adresse serbe pour revenir au score et passer devant à 37-36 (16e). La présence de Bria Hartley sur le terrain n’était pas étrangère à cette remontée. Les Serbes n’avaient marqué que 18 points dans cette deuxième tranche de 10 minutes mais menaient tout de même 46-47.\\n\\nIl est évident que les Serbes possèdent un potentiel offensif de haut niveau et que la moindre inattention des Françaises se payaient au prix fort. On voyait ainsi à l’oeuvre la MVP du match, Jelena Brooks, qui n’est pas une naturalisée puisque son nom de jeune fille est Milovanovic; elle est tout simplement mariée avec un Américain. Malgré les 8 points d’Alexia Chatereau durant le quart-temps entachés de quatre fautes, les Bleues étaient menées 65-67 après 30 minutes.\\n\\nCa ne plaisantait pas sur le parquet de la Glaz Arena -il y avait autant de drapeaux bretons, le Gwenn ha Du, dans le public que de tricolores- et les Serbes demeuraient quatre minutes sans scorer. La future Berruyère Ana Dabovic et Jelena Brooks exposaient toute leur science du jeu et les Françaises peut-être un peu fatiguées par ces trois matches en trois jours à l’image de Bria Hartley, qui a du encaisser un décalage horaire suite à son retour de WNBA, baissaient pied dans le money time.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nDans l’autre match du tournoi, la Russie a battu la Turquie, 67-52.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Orléans a un pied en Jeep Élite" }, {"role": "assistant", "content":"La finale aller des playoffs d’accession se tenait se dimanche après-midi au Palais des Sports d’Orléans et opposait l’OLB à Rouen.\\n\\nPortés par l’inévitable Miralem Halilovic, les joueurs de Germain Castano ont pu faire la différence pour mettre une option sur la montée en Jeep Élite. Les Orléanais étaient menés au score à la fin des trois premiers quart-temps et c’est dans l’ultime période, remportée 24-17, qu’ils ont trouvé les ressources pour s’imposer 68-62.\\n\\nL’international bosnien a compilé 10 points, 9 rebonds, huit passes décisives et 5 interceptions pour une évaluation de 19.\\n\\nLa finale retour aura lieu mercredi soir à la Kindarena. Match à suivre en direct à 20h45 sur RMC Sport 2.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Finale N1: Saint-Quentin remonte en Pro B !" }, {"role": "assistant", "content":"En remportant la belle de la finale d’accession en Normandie (57-58), Saint-Quentin va effectuer sa remontée en Pro B alors que Le Havre demeure à quai.\\n\\nCela s’est joué sur trois fois rien. Notamment un tir à trois-points raté de Stephan Gautier à 11 secondes du buzzer, lui qui avait marqué 15 points jusque là mais avec seulement une réussite de 3/10 aux tirs.\\n\\nSQBB a dû tout donner dans le dernier quart-temps (17-13) pour forcer la porte du basket professionnel. Benoit Gillet a été une fois de plus l’homme de la situation avec 19 points (5/8 à trois-points).\\n\\nSaint-Quentin a été pensionnaire de la Pro A entre 1988 et 1993 et après une rétrogradation financière, le club de l’Aisne était remonté de Nationale 4 à la Pro B pour la quitter en 2015. SQBB est réputé pour la ferveur de ses supporters.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\nÀ Saint-Quentin aussi les supporters ont chaud pour cette fin de match très très serrée ! #SQBB – #STB pic.twitter.com/tzu4AUG488\\n\\n— France 3 Picardie (@F3Picardie) June 16, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Le bilan de la saison du SLUC Nancy vu par Christian Monschau" }, {"role": "assistant", "content":"Ce vendredi après-midi, le président Philippe Durst et l’entraîneur du SLUC Nancy Basket Christian Monschau avaient donné rendez-vous aux journalistes pour clore la saison 2018/2019 et se tourner vers la prochaine.\\n\\nC’est avec une mine souriante que les deux hommes sont entrés en salle de presse. Après un discours introductif du président pour remercier la venue des journalistes, la parole est venue au cadet des frères Monschau.\\n\\nDans un premier temps, il a dressé un rapide bilan de la saison qu’il qualifie de satisfaisante malgré le fait que le SLUC n’est pas parvenu à remonter en Jeep Elite, ce qui permet d’après lui de mettre en route un cycle vertueux et de garder une ossature « [...] qui a de la gueule », lâchait-il.\\n\\nSelon lui, son équipe jouait bien et peut-être même le meilleur basket de Pro B en début de deuxième partie de championnat et la blessure malheureuse de Mérédis Houmounou (1,90m, 30 ans) a représenté une véritable cassure, notamment au niveau mental pour son équipe. Vinrent ensuite de nombreux aléas, notamment sur les lignes arrières avec respectivement la non-aptitude puis l’aptitude pour Souleymane Diabaté (1,83, 31 ans) de jouer au basket de haut-niveau, la hernie au niveau du dos pour John Cox (1,94m, 37 ans), lequel a raté en conséquence des matchs à enjeu et notamment celui à Rouen où seul le meneur ivoirien était apte sur les lignes arrières. Il y eut également les blessures du jeune Enzo Goudou-Sinha (1,82m, 20 ans) absent une bonne partie de la phase retour de la Pro B et enfin la blessure de Marcellus Sommerville (2,00m, 37ans), dans les derniers matchs à Gentilly, qui se blessa à l’aine et qui donc explique son rendement moindre sur les derniers rendez-vous de l’équipe lorraine.\\n\\nNéanmoins, le coach a martelé qu’au-delà de l’échec de la non-montée, pourtant objectif premier et annoncé du club, il fallait retenir de cette saison beaucoup de positif et y voir un début de cycle vertueux pour les prochaines saisons. Le coach a d’ailleurs noté qu’en parcourant les effectifs en début de saison, il était étonné de voir combien les équipes qui avaient conservées une ossature de joueurs, avaient réalisé un début de championnat supérieur aux autres.\\n\\nEnfin, dans une dernière partie, Christian Monschau, suite aux questions des journalistes, a commencé a donné de très rapides éléments sur la prochaine saison en leur expliquant, en accord avec le président, que normalement les trois joueurs du centre de formation, que sont Enzo Goudou-Sinha, Williams Narace et Bastien Vautier, seraient là sauf en cas de grosses offres d’autres équipes. Des entretiens sont prévus la semaine prochaine avec l’ensemble des joueurs afin de mettre les choses au point avec eux. A cette-heure, le coach natif de Mulhouse n’a finalisé aucun recrutement et n’a pris contact qu’avec des agents.\\n\\nRappelons enfin, qu’au-delà de ses projections et de son désir ardent de continuer sa mission initiale, Christian Monschau n’est pas pour l’heure, officiellement, le futur entraîneur de la cuvée 2019/2020 du SLUC Nancy, puisque la question sur sa prolongation n’est pas encore totalement élucidée." }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine: Marine Fauthoux et Iliana Rupert parmi les 12 pour l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Avant même le dernier match du tournoi de Rennes en fin d’après-midi, la coach Valérie Garnier a livré sa sentence en rendant publique la liste des 12 joueuses retenues pour l’Euro (27 juin au 7 juillet en Lettonie et Serbie)\\n\\nOn remarque évidemment la présence des deux jeunettes, Iliana Rupert (17 ans) et Marine Fauthoux (18 ans). La pivot berruyère a profité à fond de l’absence de Helena Ciak, blessée, pour être productive lors du temps de jeu qu’elle a obtenu jusqu’ici en préparation. Quant à la meneuse tarbaise, elle a réussi le tour de force d’être préférée à la chevronnée Romane Berniès et sera en backup de Olivia Epoupa et Bria Hartley qui peut aussi être décalée au poste 2.\\n\\nLa surprise -davantage en amont de la préparation que durant celle-ci- est la sélection de Sara Chevaugeon, une excellente shooteuse, et de l’athlétique Ornella Bankole qui sont montées en grade suite aux forfaits de Diandra Tchatchouang et de Sarah Michel et qui ont rapidement été préférées à Magali Mendy.\\n\\nL’équipe de France a ainsi 24 ans de moyenne d’âge avec seulement deux joueuses qui ont plus de 26 ans.\\n\\nCe soir, Sandrine Gruda, en convalescence suite à une blessure à la cuisse, ne jouera pas face à la Serbie et sera remplacée par Marie-Michelle Milapie.\\n\\nRappelons que ce France-Serbie, comme le dernier match à Rouen face à la Chine le dimanche 23 juin, est diffusé en clair sur RMC Story (chaîne n°23 de la TNT), en plus d’être retransmis par RMC Sport 2.\\n\\nLa liste des 12 joueuses pour l’Euro :\\n\\nPrénomNomNais.TPSClub 2018/2019ValérianeAYAYI1994185390USK PragueMarièmeBADIANE19941904-556LyonOrnellaBANKOLE199718134MontpellierAlexiaCHARTEREAU1998191437BourgesSaraCHEVAUGEON199317525CharlevilleOliviaEPOUPA1994165176BesiktasMarineFAUTHOUX200117312TarbesSandrineGRUDA19871944-5183SchioBriaHARTLEY19921761-24FenerbahçeMarineJOHANNES1995177263BourgesEndyMIYEM19881884198MontpellierIlianaRUPERT200119454Bourges\\n\\nEntraîneur : Valérie Garnier\\nAssistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane\\n\\n\\nJoueuses blessées/non-retenues :\\n\\nPrénomNomNaiss.TPSClub 2018/2019RomaneBERNIES1993170126MontpellierHelenaCIAK1989197589MontpellierMagaliMENDY19901752–VilleneuveSarahMICHEL1989180277BourgesM.MichelleMILAPIE19961924-55Basket LandesIngridTANQUERAY1988166121LyonDiandraTCHATCHOUANG1991186383Montpellier\\n\\nPhoto: Marine Fauthoux (FFBB)\\n\\n\\n[COMMUNIQUE] Les 12 joueuses 🇫🇷 retenues pour l'Euro ont été dévoilées #WeCanBeEuro\\n➕ d'infos : https://t.co/hFMsL3r0w1\\n🇫🇷🇫🇷🇫🇷 pic.twitter.com/lEZtsWbY6B\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) June 16, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Un projet d’une aréna de 23 000 places à Francfort" }, {"role": "assistant", "content":"La ville de Francfort envisage de bâtir une salle multifonctionnelle de 13 000 places sur le Kaiserlei mais un autre projet d’une aréna de 23 000 places, « The Dome » mené par un investisseur privé est en cours.\\n\\nSelon l’équipe de planification, la nouvelle super salle serait la deuxième plus grande du genre en Europe et serait réservée pour des concerts et des événements sportifs majeurs. Le coût estimatif est d’environ 300 millions d’euros, entièrement financé par des fonds privés provenant de l’investisseur canadien Katz Group.\\n\\nLa ville et les promoteurs du « Dome » sont d’accord sur un point, presque mot pour mot: « En fin de compte, il n’y aura plus qu’une nouvelle et grande salle multifonctionnelle à Francfort. »" }, {"role": "user", "content":"Finales Jeep Elite : l’ASVEL s’empare de la première manche" }, {"role": "assistant", "content":"Meilleures équipes de la saison régulière au classement, l’ASVEL et Monaco disputaient hier soir le premier match des finales des playoffs de Jeep Elite.\\n\\nA domicile, les joueurs de Zvezdan Mitrovic ont fait régner l’ordre pour s’imposer 81-71 face à la Roca Team et restent pour l’instant invaincus en playoffs après six matchs. Devant de seulement quatre points après dix minutes de jeu, c’est dans le deuxième quart-temps que ce léger écart s’est créé. A la pause, les Villeurbannais avaient dix points d’avance et sont parvenus à conserver cette avance jusqu’au buzzer final.\\n\\nLes coéquipiers de Charles Kahudi ont notamment pu compter sur Livio Jean-Charles qui se révèle être très utile depuis plusieurs matchs. L’ancien joueur de Malaga a compilé 14 points, 7 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 19. En tout, ils sont six joueurs de l’ASVEL a avoir enregistré une évaluation de 10 ou plus. Boxscore ici.\\n\\nLe match 2 a lieu lundi soir à 20h45. Toujours à Villeurbanne et en direct sur RMC Sport 2.\\n\\nPhoto : LNB/LAFABREGUE" }, {"role": "user", "content":"Italie: La Virtus Bologne risque une amende de 250 000€ si elle s’engage en Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Virtus Bologne a fait selon Luca Muleo du Corriere dello Sport-Stadio une offre de deux ans pour un montant global de 2 à 2,5 millions d’euros au meneur serbe Milos Teodosic (1,96m, 32 ans). La présence comme coach de son compatriote Sasha Djordjevic pèse fortement dans la balance.\\n\\nParallèlement, la Virtus aurait l’intention de quitter la Basketball Champions League qu’elle vient de remporter pour s’engager en Eurocup dans le but à terme de rejoindre l’Euroleague et cela pourrait lui coûter cher. Gianni Petrucci, le président de la Fédération italienne a révélé au magazine Spicchi d’Arancia qu’une amende de 250 000 euros pourrait lui être infligée. La FIP a indiqué qu’elle avait déjà formalisé l’enregistrement de la Virtus pour la saison 2019-2020 en BCL et que la décision du club a provoqué un malaise, l’amende résultant du retrait de la compétition après l’inscription.Le Tribunal arbitral du sport (TAS) de Lausanne devrait à terme statuer sur un éventuel litige.\\n\\nLa FIP a également l’intention de retirer Bologne des villes proposées pour accueillir certains matchs du prochain EuroBasket, qui se déroulera du 17 au 29 août 2021.\\n\\nLa Virtus a nié dans un communiqué avoir signé un quelconque accord avec la Basketball Champions League ou l’Eurocup. Le club s’est également excusé d’avoir causé des désagréments à la fédération italienne." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Finale des playoffs – Madrid gagne la première bataille" }, {"role": "assistant", "content":"Thomas Heurtel (14 points, 3 passes) n’a pu empêcher le Barça de connaître une véritable déroute (87-67) pour le Match 1 de la finale des playoffs face au Real Madrid.\\n\\nLe meneur argentin du Real Facu Campazzo a été le meilleur marqueur du match avec 19 points et récolté quatre passes en 24 minutes. Sergio Llull (11 points, 4 passes), Anthony Randolph (11 points, 4 rebonds), Jeff Taylor (11 points), Rudy Fernandez (10 points) et Fabien Causeur (9 points, 3 passes) ont été les autres artisans de la victoire madrilène. Outre Thomas Heurtel, ce sont Pierre Oriola (13 points, 6 rebonds) et Victor Claver (7 points, 12 rebonds) qui ont été les principaux contributeurs de Barcelone.\\n\\nLes Blaugrana tenteront de rebondir lors du deuxième match qui se déroulera à Madrid, ce lundi.\\n\\n« Je pense que nous ne sommes pas entrés dans le match à aucun moment. Ils sont plus physiques et plus durs, et ont crû davantage en la victoire que nous », a déclaré Pierre Oriola. « Ce n’est que le premier match. Nous avons perdu la première bataille mais il en reste quatre. L’objectif est toujours présent, qui est de partir de Madrid avec une victoire. Mais il faut être capable de changer les choses, surtout de croire que nous pouvons gagner le match, sinon, c’est impossible. «\\n\\n\\nPhoto: Rudy Fernandez (Real)" }, {"role": "user", "content":"Eric Girard raconte la difficulté pour Le Portel de recruter" }, {"role": "assistant", "content":"Sur son site internet, l’ESSM Le Portel donne la parole au coach Eric Girard pour qu’il explique comme se fait le recrutement.\\n\\n« Cette année, c’est forcément un peu plus compliqué. Pour deux raisons : 1. On ne savait pas à quel niveau on allait continuer ; 2. On n’a pas eu le temps, vu le scénario des derniers mois, d’anticiper comme on a pu le faire lors des deux saisons précédentes. La première chose, c’est l’enveloppe. Je vais donc voir le président pour savoir ce dont je dispose. Cette année, bonne nouvelle, nous aurons un peu plus en termes de masse salariale. Il y a du boulot car nous ne gardons que deux joueurs sous contrat, Ben (Benoît Mangin) et Pierre-Etienne (Drouault) », explique en préambule Eric Girard.\\n\\nLe coach met l’accent sur le fait que l’ESSM possède des moyens financiers limités vis à vis des autres écuries de Jeep Elite et cela se ressent au moment de prendre des jeunes :\\n\\n« Le marché a beaucoup évolué. Leur cote a sensiblement augmenté. Le Portel ne peut pas se permettre de mettre un billet de 10.000 euros en prenant un pari. Quand on est en concurrence, généralement, l’espoir choisit une grosse équipe. On était sur le jeune Bouquet, un jeune prometteur d’Evreux, arrière de grande taille et esprit collectif rare. Eh bien il est parti à Nanterre. Après, quand le jeune perce, quand tu t’appelles Le Portel, tu le perds très vite. Un jeune JFL (joueur formé localement) au gros potentiel qui joue en Jeep Elite ça va chercher 250.000€. Faut-il faire un dessin ? »\\n\\nEric Girard insiste sur le fait qu’il faut faire preuve de patience quant au recrutement des étrangers:\\n\\n« Là encore, nous, c’est Le Portel. Tu ne peux pas dire que tu vas finaliser l’axe 1-5 (meneur-pivot) dès le départ. Tu fais les coups que tu peux si ça se présente, sinon, tu guettes l’évolution du marché. On regarde la valeur du joueur et bien sûr sa mentalité. Quand on s’est mis d’accord sur un profil avec Jacky (Périgois) et Bertrand (Van Butsele), on se renseigne chacun de notre côté. Il faut qu’on soit d’accord tous les trois pour commencer les démarches. J’appelle alors l’agent, je négocie et si c’est dans nos cordes, j’appelle le président pour lui présenter le profil et lui donner le coût. Pour les Américains, c’est compliqué, car le joueur doit également avoir son agent US. La com’ se répartit entre les deux. C’est 10% au total, mais sur certains coups, certains agents n’hésitent pas à baisser le tarif de leur joueur pour avoir 20% pour eux. En plus, avec l’Amérique, tu dois bosser en décalé à cause du décalage horaire. Généralement, tu appelles vers minuit pour avoir l’agent américain. »" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Manu Schmitt succède à Fabien Romeyer à Aix-Maurienne" }, {"role": "assistant", "content":"Emmanuel Schmitt, 52 ans, succède à Fabien Romeyer comme coach d’Aix-Maurienne annonce le club.\\n\\nAprès un long séjour en Suisse où il a pris en mains Genève, Neuchatel, et l’équipe nationale, l’Alsacien était revenu en France pour coacher Hyères-Toulon lors de la saison 2017-18. Il ne put empêcher la débandade; le HTV terminant bon dernier sportivement et fut rétrogradé administrativement en N3.\\n\\nLa saison dernière, Manu Schmitt était le coach du BBC Monthey Chablais mais il fut coupé en mars." }, {"role": "user", "content":"Une année de plus au Maccabi Tel-Aviv et 1,4M de dollars pour Tarik Black ?" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé en Europe lors de l’intersaison 2018, Tairk Black devrait rester sur le Vieux Continent la saison prochaine.\\n\\nSelon le journaliste israélien Roi Cohen, l’ancien joueur des Houston Rockets aurait une offre en or sur la table. Le Maccabi Tel-Aviv aurait proposé à son intérieur de prolonger une saison pour la somme de 1,4 million de dollars. S’il accepte cette offre, l’ancien joueur des Los Angeles Lakers aura néanmoins la possibilité de rejoindre une équipe NBA jusqu’au 15 juillet.\\n\\nCette saison, Tarik Black compilait en moyenne 9 points et 6 rebonds en championnat, et 11 points et 5,4 rebonds pour une évaluation de 13,8 en Euroleague.\\n\\n\\nMaccabi Tel Aviv's Tarik Black will extend his contract with the Israeli champs with a 1.4m deal. NBA out until July 15th\\n\\n— Roi Cohen (@RoiCohen99) June 14, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Mediapart évoque de possibles irrégularités à l’INSEP lorsque son DG était Jean-Pierre De Vincenzi" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un dossier intitulé « La justice enquête sur l’Insep, usine à champions du sport français », le pure player Mediapart révèle que le parquet de Paris enquête sur de possibles faits « d’abus de bien sociaux » à la tête de l’INSEP à l’époque où son directeur général était Jean-Pierre De Vincenzi, coach de l’équipe de France aux Jeux de Sydney en 2000, médaillée d’argent, et ancien DTN de la FFBB.\\n\\nCette enquête a été déclenchée à la suite d’un contrôle de la Cour des comptes sur les exercices allant de 2008 à 2017 et concerne notamment la revente de billets pour les JO de Rio en 2016.\\n\\n« La Cour des comptes met en lumière les pratiques de l’ancien directeur général de l’Insep, Jean-Pierre de Vincenzi, en poste de 2013 à 2017, avant de rejoindre, malgré les critiques sur sa gestion de l’établissement, l’Inspection générale de la jeunesse et des sports (IGJS) dans des conditions contestées, » écrit Mediapart. « En 2016, Jean-Pierre de Vincenzi a vendu, à des tarifs préférentiels, à huit de ses proches des « packages » comprenant billetterie, hébergement et voyage pour assister aux compétitions des JO de Rio, au Brésil. Comme l’avait révélé Le Canard enchaîné en octobre 2018, cinq « packages » ont été revendus à quatre de ses connaissances dans le monde du basket-ball. Les quatre autres « packages » ont profité à sa compagne et à ses deux filles ainsi qu’à la compagne de son chef de cabinet, explique la Cour. »\\n\\nSollicité par Mediapart, Jean-Pierre de Vincenzi nie toute irrégularité et déclare que l’INSEP a tenté en vain de transmettre auparavant ces packages au Comité National olympique et sportif français.\\n\\n« L’Insep avait alors deux solutions, soit perdre l’ensemble des packages, soit les vendre en acceptant une décote liée à la mise très tardive sur le marché. »\\n\\nLe rapport de la Cour des Comptes révèle d’autres faits de gestion douteuse.\\n\\n« La gestion de l’établissement est marquée par de nombreuses incohérences, une absence de rigueur et de professionnalisme qui expliquent des pratiques contestables en opportunité, voire irrégulières dans leur exécution », fait-elle remarquer en estimant même que ce climat « [fait] douter de la capacité actuelle de l’établissement à relever le défi de l’autonomie ».\\n\\nEn octobre 2016, Jean-Pierre De Vincenzi s’était présenté à l’élection au Comité Directeur de la FFBB mais avait été relégué en 41e position. Une humiliation." }, {"role": "user", "content":"Féminines: La France double la Russie en prolongation, 74-67" }, {"role": "assistant", "content":"On n’est pas privé de quatre joueuses cadres (Sandrine Gruda, Helena Ciak, Diandra Tchatchouang et Sarah Michel) sans conséquence. L’équipe de France est en pleine (re)construction et après ses deux victoires trop belles pour être vraies face à l’Ukraine, elle est confrontée à la réalité de la situation à ce tournoi de Rennes. Malmenée en première mi-temps par une bonne équipe russe, elle a eu le mérite de réagir fortement et Bria Hartley (22 points) a exposé alors toute sa classe pour une victoire en prolongation, 74-67.\\n\\nCette fois, c’est Romane Berniès qui demeurait sur la touche en compagnie de Sandrine Gruda, qui soigne toujours sa blessure à la cuisse, alors que l’autre meneuse Marine Fauthoux revenait en piste.\\n\\nBria Hartley a directement intégré le cinq de départ avec Marine Johannès, Valériane Ayayi, Endy Miyem et Marième Badiane. Comme hier, les Bleues se sont laissées déborder en début de match (9-19). La perle Maria Vadeeva faisait déjà des siennes dans une défense française peu rigoureuse.\\n\\nPar la suite les Bleues se trouvaient mieux en attaque et avec des coups de patte successifs de Sarah Chaveaugon, Alexia Chartereau et Olivia Epoupa, et aussi avec davantage d’engagement défensif, elles revenaient sur les traces des Russes (23-27). Seulement elles perdaient encore quantité de ballons et l’écart se creusait de nouveau (26-39, 18e). A la mi-temps, la différence dans la réussite aux tirs (37% contre 53) et aux interceptions (2 à 7) était significative.\\n\\nEn volant plusieurs ballons Olivia Epoupa imprimait davantage de dureté d’autant que la Parisienne concluait elle-même deux attaques. De quoi enchanter le public joyeux de Cesson-Sevigné -4 182 spectateurs- nourri à une ambiance de boite de nuit. Bria Hartley, déchaînée, prenait parfaitement son relais en scorant 15 points dans le quart-temps(!) et les Bleues passaient -enfin- en tête, 47-46, puis 53-46.\\n\\nLe principe d’un match de préparation c’est de faire tourner l’effectif pour tester joueuses et systèmes. Sans Bria Hartley, la France se faisait rattraper (55-56). Avec elle comme deuxième arrière et avec une Alexia Chartereau également très efficace (18 points et 8 rebonds), elle repartait de l’avant. Le sort du match se jouait dans le money time. A 61-61, Bria Hartley prenait à son compte le dernier play mais la balle ricochait sur le cercle. Prolongation. Un trois-points puis une pénétration de la Franco-Américaine donnaient trois points d’avance à la France et avec un panier et un lancer d’Alexia Chartereau, l’affaire était dans le sac.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Les records en finale" }, {"role": "assistant", "content":"D’où vient le trophée, quel est le programme de l’édition 2019 de la finale des playoffs de Jeep Elite et quels sont les records depuis la création de la LNB en 2017 ?\\n\\nLE TROPHEE\\n\\nDu haut de ses 70 cm et de ses 35 kg de bronze massif, le mythique Trophée de Champion de France Jeep® ÉLITE va de nouveau être attribué cette saison. Mais quelle est son histoire ?\\n\\nPour la création du Championnat de France de basketball en 1949, un concours auprès des Etudiants des Beaux-Arts à Paris avait été lancé. Son auteur resta inconnu malgré de nombreuses recherches effectuées jusqu’aux Archives Nationales. En juin 2013, une personne appela la LNB pour indiquer que son père artiste avait réalisé le trophée et qu’il était toujours en possession du ballon ayant servi de modèle. 65 ans après, le mystère est résolu et le nom de Jacques Bulot va être enfin associé à ce trophée qu’il avait conçu et réalisé à l’âge de 20 ans.\\n\\nLE PROGRAMME\\n\\nÉpisode 1 : Samedi 15 juin 2019 à 18h30\\nLDLC ASVEL / AS Monaco Basket\\nAstroballe, Villeurbanne\\nArbitres : Joseph BISSANG, Mehdi DIFFALAH, Hugues THEPENIER\\nCommissaire : Michel GILBERT\\nÉpisode 2 : Lundi 17 juin 2019 à 20h45\\nLDLC ASVEL / AS Monaco Basket\\nAstroballe, Villeurbanne\\nArbitres : Eddie VIATOR, Yohan ROSSO, Jean-Charles COLLIN\\nCommissaire : Goran RADONJIC\\nÉpisode 3 : Jeudi 20 juin 2019 à 20h45\\nAS Monaco Basket / LDLC ASVEL\\nSalle Gaston Médecin, Monaco\\nArbitres : Joseph BISSANG, Mehdi DIFFALAH, Hugues THEPENIER\\nCommissaire :\\nÉpisode 4 : Samedi 22 juin 2019 à 20h30 (si nécessaire)\\nAS Monaco Basket / LDLC ASVEL\\nSalle Gaston Médecin, Monaco\\nÉpilogue : Mardi 25 juin 2019 à 20h45 (si nécessaire)\\nLDLC ASVEL / AS Monaco Basket\\nAstroballe, Villeurbanne\\n\\nTous les matches sont diffusés sur RMC Sport 2.\\n\\nLES RECORDS EN FINALE\\n\\nPOINTS\\n40 Don Collins Limoges Retour’ 88\\n36 David Rivers Antibes Match 3 ’95\\n34 Chris Lofton Le Mans Episode 3’18\\n32 Michael Young Limoges Match 2 ’93\\n31 Don Collins Limoges Retour ’88\\n\\nREBONDS\\n19 Michael Brooks Limoges Aller ’90\\n16 Lee Johnson Antibes Retour ’90\\n15 Michael Brooks Limoges Retour ’91\\n15 Lee Johnson Antibes Belle’90\\nPASSES DECISIVES\\n13 Laurent Pluvy ASVEL Match 3 ’96\\n12 Frédéric Hufnagel Orthez Aller ‘89\\n12 Valéry Demory Cholet Retour ‘88\\n\\nINTERCEPTIONS\\n6 Didier Gadou Pau-Orthez Match 2 ‘96\\n5 Ricardo Greer Strasbourg Match 3 ‘13\\n5 Samuel Mejia Cholet Finale 2010\\n5 David Lighty Lyon-Villeurbanne Epilogue ‘16\\nBALLES PERDUES\\n8 Delaney Rudd ASVEL Match 3 ‘96\\nCONTRES\\n5 Gheorghe Muresan Pau-Orthez Match 3 ‘93\\n5 Bangaly Fofana Strasbourg Episode 4’16 7\\n2-POINTS TENTES\\n21 Don Collins Limoges Retour ‘88\\n20 Don Collins Limoges Aller ’89\\n3-POINTS TENTES\\n12 Lance Harris Chalon/Saône Episode 1’18\\n10 Jeff Greer Nancy Finale 2008\\n9 Delaney Rudd ASVEL Match 1\\nLANCER-FRANCS TENTES\\n14 David Rivers Antibes Match 2 ‘95\\n13 Justin Cobbs Le Mans Episode 2’18\\n13 Lee Johnson Antibes Aller ‘90\\n12 Stéphane Ostrowski Antibes Match 1 ‘95\\n\\n\\n2-POINTS REUSSIS\\n17 Don Collins Limoges Aller ‘89\\n13 Michel Brooks Limoges Retour ‘91\\n3-POINTS REUSSIS\\n7 Lance Harris Chalon/Saône Episode 1’18\\n6 Jeff Greer Nancy Finale 2008\\n6 Erving Walker Strasbourg Epilogue’18\\nLANCER-FRANCS REUSSIS\\n12 David Rivers Antibes Match 2 ‘95\\n10 David Rivers Antibes Match 3’ 95\\n10 Justin Cobbs Le Mans Episode 2’18\\n10 St. Ostrowski Limoges Retour ‘91\\n10 St. Ostrowski Limoges Aller ‘91\\nEVALUATION\\n46 Don Collins Limoges Aller ‘89\\n\\nPhoto ouverture: MSB" }, {"role": "user", "content":"Charles Kahudi (ASVEL) avant la finale : «Il va falloir jouer les yeux dans les yeux sans douter»" }, {"role": "assistant", "content":"Comme Amara Sy, Charles Kahudi est passé par la case conférence de presse d’avant match pour donner son ressenti à quelques heures de la première manche des finales de Jeep Elite.\\n\\n« C’est la dernière ligne droite, ça fait pas loin de dix mois qu’on s’entraîne, qu’on se prépare, qu’on joue des matchs, qu’on est tous ensemble pour le but ultime qui est d’avoir ce titre. On n’est pas loin, mais il y a l’obstacle Monaco devant nous donc c’est à nous d’être suffisamment forts et unis pour aller le chercher. Au niveau de la confiance on est bien, on n’a jamais vraiment douté de notre basket que ce soit contre Le Mans ou Nanterre. On a éliminé tout le monde mais on connaît nos forces et on s’est appuyé dessus. On travaille pour préparer un gros combat contre Monaco qui est une très bonne équipe. Il va falloir les jouer les yeux dans les yeux sans douter. Les playoffs c’est une autre compétition, tout le monde hausse son niveau de jeu. Ils vont être motivés, ils vont être prêts, mais nous aussi. Il n’y a pas de pression du tout. On a la chance d’être en finale, d’aller se battre pour un trophée, d’apprécier ce moment-là. La pression n’a pas de place là-dedans, c’est que du bonus. C’est du basket, c’est notre passion en premier lieu et notre métier donc à nous de faire notre job du mieux possible. »\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Chouchou du public des 24h du Mans, Tony Parker veut construire des salles de basket" }, {"role": "assistant", "content":"On évoque généralement le chiffre de 150 000 personnes qui assistent à la parade des pilotes des 24 heures du Mans qui se tient dans le centre-ville la veille du départ de la course. Hier, parmi les personnalités, figurait Tony Parker, le néo-retraité des parquets.\\n\\nComme on peut le constater sur cette vidéo du Maine Libre, le président de l’ASVEL a été chaleureusement applaudi sur les terres du MSB. C’est ce que confirme la journaliste du quotidien sarthois:\\n\\n« Tony Parker fait mentir l’adage. Le basketteur auréolé de ses quatre titres en NBA est bel et bien prophète en son pays. Son passage à la parade en témoigne. Prenant le pas sur les acteurs de la course, l’ex-meneur de Spurs fut le héros incontestable du cortège bariolé. »\\n\\nEn marge des festivités, le quadruple champion NBA a indiqué qu’il a le projet de construire en France des stades et des salles de baskets et il était invité par Patrice Lafargue, président du groupe immobilier IDEC, avec qui il compte faire des affaires.\\n\\n“Ce n’est pas un secret qu’il y a un sous-équipement en France. Pour mon sport, le basket, il y aurait toutes les salles dans toutes les villes de France à refaire. En foot, il y a aussi plein de choses à faire. Et avec les JO qui arrivent, on est sur une vague hyper-positive et il y a beaucoup de personnes en France qui vont vouloir investir dans ça », rapporte le Huffington Post.\\n\\nhttps://www.facebook.com/lemainelibre/videos/709303529522243/" }, {"role": "user", "content":"Amara Sy (Monaco) avant la finale : «Il y aura un match dans le match entre les coachs»" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques heures du premier match des finales de Jeep Elite qui opposent l’ASVEL à Monaco, l’ailier fort monégasque Amara Sy s’est présenté en conférence de presse.\\n\\nIl a d’abord fait l’état des lieux avant cette finale.\\n\\n« On est bien. On a eu une bonne semaine pour se préparer. On est tous très excités à l’idée de jouer cette finale, mais ce n’est pas très bien d’être trop impatients. Je pense que le fait d’avoir perdu trois fois contre l’ASVEL cette saison ça peut être une source de motivation supplémentaire puisqu’en championnat ce sont deux courtes défaites. Forcément, l’ASVEL est favorite mais je pense qu’on peut avoir notre mot à dire dans cette finale. On est tous très motivés. Ce sont deux équipes très fortes à tous les niveaux. Je pense que des joueurs peuvent faire la différence sur toutes les positions, sur les bancs aussi, au niveau des coachs aussi, je pense qu’il y aura un match dans le match. Il y a tous les ingrédients réunis pour avoir une belle finale. »\\n\\nL’ancien joueur d’Orléans s’est ensuite exprimé sur les deux coachs. Il a eu l’opportunité d’évoluer sous les ordres de Zvezdan Mitrovic pendant trois ans avant de rencontrer Sasha Obradovic cette saison.\\n\\n« Ce sont deux coachs très exigeants, ils ne sont pas plus tournés vers l’attaque ou la défense, ils attendent que leurs joueurs soient efficaces des deux côtés du terrain. Deux coachs qui s’adaptent, ce sont des sanguins, toujours à motiver leurs troupes, deux coachs d’expérience qui ont prouvé leurs qualités partout où ils sont passés et deux coachs qui n’ont pas encore gagné le championnat de France... Leurs différences peuvent se situer au niveau de la préparation des matchs ou des entraînements. Avec Sasha Obradovic, il y a beaucoup moins de relâchement. Il faut qu’on arrive 15 minutes avant l’entraînement, on n’a pas trop le droit de blaguer avant, pour les repas c’est pareil. Il veut qu’on soit concentré à partir du moment où on part de Monaco. Il veut qu’on soit vraiment dans notre match. Avec Zvezdan Mitrovic c’était différent. Il est tout autant exigeant mais il est beaucoup moins strict avant les matchs, mais une fois que le match commence ce sont les mêmes ! »\\n\\nSur la touche pendant la très grande majorité de la saison, l’ancien joueur du MSB conçoit que c’est un retour difficile pour lui, mais il pense d’abord à l’équipe.\\n\\n« Je suis de retour depuis un mois et demi. C’est compliqué de revenir après huit mois d’absence dans une équipe qui tourne à plein régime. C’est aussi difficile pour le coach de me trouver des minutes parce que je manque de rythme et j’arrive dans une équipe qui tourne super bien. Pour l’instant ça marche, il ne faut rien changer à ça. Moi, je suis là pour aider l’équipe, je suis à 70% de mes capacités physiques. J’essaye de donner ce que je peux avec les moyens que j’ai aujourd’hui. »\\n\\nNé à Paris, Amara Sy a été formé à l’ASVEL et a lancé sa carrière professionnelle dans ce club au point d’y vivre neuf saisons et d’y remporter deux fois le championnat de France.\\n\\n« Villeurbanne c’est mon club de coeur, j’ai été formé ici. J’ai toujours été bien accueilli à l’Astroballe. J’ai des amitiés d’ici qui ont plus de 20 ans maintenant. Il y a des gens qui ne viennent plus aux matchs et qui reviennent exprès pour me voir quand je joue ici. C’est toujours particulier de venir jouer ici. »\\n\\nEnfin, il a évidemment eu un mot pour Tony Parker, fraîchement retraité.\\n\\n« Ça ne me rajeunit pas parce que c’est quelqu’un de ma génération ! Tony... c’est quand même incroyable ce qu’il a fait pour nous tous, pour le sport français en général. Il a porté très, très haut les couleurs de la FrancE. Je le mets au même niveau que Zidane, même si le basket c’est moins populaire que le foot. Je me demande même si ce n’est pas pire que Zidane parce que, que ce soit sur le plan NBA ou international avec l’Equipe de France, c’est 10/10 à tous les niveaux. On n’est pas prêt de revoir un joueur comme ça en France. Nous, on a eu la chance d’en profiter, tant pis pour les générations futures, on leur racontera (rire). Je tiens à le féliciter, sa carrière fut incroyable. Il a marqué à jamais l’histoire du sport français. Je lui souhaite plein de réussite pour la suite, sauf pour les finales de Jeep Elite (rire). »\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jordan Taylor, de Limoges à Villeurbanne ?" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Limoges mi-novembre, Jordan Taylor (1,85m, 29 ans) pourrait rester en France la saison prochaine, mais pas à Limoges.\\n\\nSelon Sportando, le meneur limougeaud aurait trouvé un accord pour rejoindre l’ASVEL qui sera de retour en Euroleague à la rentrée. Passé par Roma, l’Hapoel Holon, l’ALBA Berlin et le Galatasaray, le vainqueur de la coupe d’Allemagne 2016 a connu quatre expériences en Eurocup, mais n’a encore jamais gouté à l’Eurolegaue.\\n\\nCette saison, Jordan Taylor compilait en moyenne 10 points et 6,8 passes décisives pour une évaluation de 11,3 en Eurocup, et 12,2 points, 2,5 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 15,8 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Mickey McConnell refuse la proposition de Pau" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Béarnais perd deux de ses cadres. Après Vitalis Chikoko, c’est le meneur de jeu américain Mickey McConnell (1,82m, 30 ans) qui a fait savoir qu’il refuse l’offre de prolongation de son contrat que le club lui avait fait.\\n\\nMickey McConnell était arrivé en tant que pigiste médical de Jerel Blassingame vieillissant et avait totalement reboosté l’équipe de Laurent Vila. Le staff de l’Elan avait ensuite mis la main au portefeuille afin de le re-signer jusqu’à la fin de la saison ponctuée par une place en playoffs et une qualification en coupe d’Europe.\\n\\nSes statistiques en 30 matches: 13,1 points, 5,4 passes et 3,2 rebonds.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Rick Pitino après le 38e titre du club: «si je reviens, c’est le Panathinaikos puis la mort»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Panathinaikos a remporté hier un 38e titre de champion de Grèce après son triomphe en finale face à Promitheas Patras, 3 manches à 0, et un score de 111 à 77 lors du dernier acte. Le forfait de l’Olympiakos avait tué tout suspense.\\n\\nAprès un quart-temps, le Pana menait 31-8, ce qui en dit long sur sa supériorité. Six joueurs de l’équipe championne ont marqué au moins 10 points avec 16 points et neuf rebonds pour George Papagiannis.\\n\\nA l’issue du match, les fans du Pana ont scandé le nom du coach américain Rick Pitino pour lui montrer qu’ils souhaitent qu’il soit encore à la tête de l’équipe la saison prochaine. Ce n’est pas impossible.\\n\\n\\n« Ils m’ont fait sentir comme des rois », a déclaré Pitino, propos rapportés par Eurohoops. «Je vais à New York. J’ai tout prévu, lundi, mardi, mercredi, jeudi pour parler à tous mes enfants. Si je peux les avoir à bord avec moi, je reviendrai. Si je ne peux pas tous les embarquer, je ne le ferai pas. C’est très simple. Nous sommes une famille très forte. Comme les familles grecques. Il faut que ce soit un pour tous et tous pour un. Il faut comprendre que si je reviens, je renonce définitivement au basket-ball universitaire. Cela ne pourra plus jamais arriver car je ne pourrais pas quitter le Panathinaïkos pour un college en mars ou avril. Si je reviens, c’est le Panathinaikos, puis la mort. »\\n\\nLors de la conférence de presse, Pitino a déclaré que ses chances de rester avec les « Verts » avaient augmenté ces deux derniers jours à la suite d’une rencontre avec le propriétaire du club, Dimitris Giannakopoulos.\\n\\n«Si vous me l’aviez demandé il y a quelques jours, je vous aurais dit qu’il n’y avait que 5% de chance que le reste avec Panathinaikos. Maintenant, c’est 50-50. Nous avons rencontré Dimitris et il m’a présenté le budget de la saison prochaine. J’ai pleuré. Et je lui ai demandé pourquoi tu fais ça, en mettant 10 ou 12 millions d’euros de ta poche? Il m’a dit: «Coach, c’est l’héritage de mon père. Et je sais que les autres peuvent vous payer plus cher, mais si je pouvais, je vous donnerais le triple de cet argent ». Tu sais que je suis vieux. Et cela a touché une corde sensible chez moi. Je suis à un moment de ma vie où le problème n’est pas l’argent. Et je n’ai jamais rien entendu de tel auparavant »." }, {"role": "user", "content":"Nationale 1: Le Havre égalise en finale contre Saint-Quentin, 1-1" }, {"role": "assistant", "content":"Le STB Le Havre a rétabli l’équilibre en finale des playoffs d’accession face à Saint-Quentin en s’imposant à domicile, 84-73.\\n\\nAvec une excellente adresse à 63%, le STB menait déjà 30-19 après dix minutes de jeu et encore 43-28 à la mi-temps. La tentative de remontée des Saint-Quentinois fut vaine.\\n\\nRomain Dardaine (18 points), Mikel Uriz Ancizou (13 points, 8 passes) et Demond Watt (12 points, 8 rebonds) ont formé un trio efficace côté normand alors que Benoit Gillet (11 points, 5 rebonds, 5 passes et 3 interceptions) a été une fois de plus très complet dans les rangs de SQBB.\\n\\nLa belle aura lieu demain, toujours au Havre." }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: L’équipe de France est sur orbite" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Vincent Collet a longuement commenté ses choix pour la Coupe du Monde qu’il a dévoilé mercredi.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est au China, un restaurant du 12e arrondissement parisien, clin d’œil évidemment au pays organisateur de cette 18e Coupe du Monde, qu’a été dévoilée mercredi en fin de matinée, la liste des pré-sélectionnés en équipe de France. Le lieu était privatisé et reconverti en studio de télévision afin de permettre aux équipes de RMC Sport News de retransmettre l’annonce en direct alors que les autres représentants des médias étaient confortablement assis dans des banquettes en cuir.\\n\\nLa plupart des joueurs étaient au courant de la décision du coach depuis plusieurs jours car Vincent Collet avait effectué ses arbitrages bien en amont de l’annonce :\\n\\n« Toute l’année avec mes assistants on a eu des rencontres et des échanges téléphoniques. Le 8 mai, on a fait une très longue réunion à la fédération au cours de laquelle on a affiné cette sélection avec bien sûr, les joueurs jouant encore, de potentiels soucis. Il en existe encore aujourd’hui puisqu’il y a des joueurs qui jouent encore qui sont dans cette sélection. On va encore craindre une éventuelle blessure. Mais donc depuis un mois cette liste est faite, » a-t-il révélé. « On n’a pas appelé les joueurs qui sont sélectionnés mais bien sûr certains le savent et d’autres vont avoir la bonne surprise aujourd’hui. Par contre, on a appelé un nombre assez important de ceux qui sont assez proches et qui ne sont pas sélectionnés. On a essayé là aussi de progresser même si ce n’est pas encore parfait. On en est conscient. Mais cette communication est importante mais moins que celle que l’on va essayer de mettre en place en début de préparation. C’est assez spécifique au basket, tous les sports ne le font pas. Pour bien connaître Claude Onesta, dans le handball, je sais qu’ils n’ont pas mis en pratique ce genre d’exercice. »\\n\\n\\n\\nDeux sparring-partners de Jeep Elite\\n\\nLa pré-sélection comporte 15 noms. Neuf joueurs évoluent en Europe, cinq en NBA et un seul en Jeep Elite. Sept joueurs ont été placés sur une liste de remplaçants. Et deux autres vont servir de partenaires d’entraînement, le meneur villeurbannais Théo Maledon et l’intérieur dijonnais Alexandre Chassang sans espoir d’être de l’expédition chinoise.\\n\\n« En préparation, il y a souvent des petits problèmes de blessures passagères. Ça permettra d’avoir moins de joueurs qu’à l’accoutumé et d’avoir un processus de sélection qui soit plus rapide et surtout plus simple et malgré tout de fonctionner durant cette courte période de préparation qui va être très intense. Théo Maledon et Alexandre Chassang étaient déjà avec nous en février et ont fait de très belles choses et présentaient le profil adéquat pour remplir cette mission d’être partenaires d’entraînement. Ils sont amenés dans un futur proche probablement à faire partie de cette équipe de France », explique Vincent Collet, qui précise : « Ce sont aussi de jeunes joueurs qui ont donné satisfaction dans l’investissement quand on les a appelés. On souhait des gens à la fois de qualité et qui sont proches de ce groupe France, qui offrent des perspectives d’avenir et aussi de qualité dans le travail. Ce sont deux joueurs très sérieux, très investis. Ce sont aussi deux joueurs issus de la Jeep Elite. Et ça a son importance vis-à-vis des fenêtres. On peut penser que ce seront des fers de lance de l’équipe qui fera la qualification pour l’Euro. »\\n\\nCar dès novembre, on va remettre en place ces fameuses fenêtres même si le conflit FIBA/Euroleague n’est toujours pas résolu, que les NBAers sont bien sûr indisponibles, et que ce système de qualification avec ces sélections tronquées est totalement injuste.\\n\\nDes réservistes prêt à venir à la rescousse\\n\\nLes réservistes sont ainsi clairement identifiés, ce qui n’a pas toujours été le cas. Et comme le groupe de pré-sélectionnés est un peu réduit, par le jeu des vases communicants, ils sont un peu plus nombreux qu’à l’habitude.\\n\\n« Malheureusement, on est toujours sous la menace de problèmes. L’expérience me fait dire que ça a été souvent le cas par le passé. Ces joueurs-là sont à même d’arriver très vite. Si par exemple l’un des joueurs intérieurs était blessé, Moustapha Fall serait le premier arrivé et pas Alexandre Chassang. Même chose pour les autres qui sont susceptibles de rejoindre très vite le groupe en cas de problème durant la préparation. Pour le tournoi en Chine, probablement que l’on emmènera un joueur supplémentaire. On a un dernier tournoi de préparation à Shenyang au nord de la Chine et malheureusement, durant ce tournoi il peut se passer encore des choses. »\\n\\nLe directeur de l’équipe de France, Patrick Beesley met l’accent sur le fait que chaque international potentiel doit être prêt à intégrer le groupe en cas de force majeur.\\n\\n« Quand on a créé le team France, on avait demandé du respect dans les deux sens. Donc j’ai tenu à ce que les joueurs qui ont participé à la qualification et qui ne sont pas sur la liste, soient prévenus. J’ai été surpris des messages que j’ai reçu car ils sont vraiment dans l’esprit des qualifications. Ils ont dit qu’ils sont derrière nous et prêts à revenir et ce n’est pas innocent puisqu’en novembre il y aura de nouveau des matches. »\\n\\nMais si jamais l’un d’entre-eux se faisait porter pâle uniquement sur un mouvement d’humeur, il pourrait être fait usage du bâton.\\n\\n«Tous les joueurs ont signé une charte. Cela sous-entend un engagement pour ce type de situation. Si quelqu’un ne venait pas, on en tirerait les conséquences. »\\n\\nVincent Collet donne l’exemple de Moustapha Fall qui est en tête de liste des pivots remplaçants en cas de défaillance.\\n\\n« Je l’ai rencontré il y a trois semaines en lui disant qu’il ne serait pas sur la liste mais qu’il est remplaçant et que si on a malheureusement un pépin concernait soit Vincent ou soit Rudy, il serait le premier sollicité. Ce n’est pas Alexandre Chassang qui partirait en Chine. La position des réservistes est un peu différente de ce qu’elle était sur d’autres campagnes où on partait avec un groupe plus élargi. On a même eu une réflexion où l’on serait parti avec douze joueurs mais au vu de ce qui s’est toujours passé lors des campagnes précédentes, ça nous est apparu suicidaire. On a essayé de le faire en 2011 et on avait été obligé de rappeler des joueurs car très vite on avait eu des problèmes de blessures en préparation. On a voulu couper la poire en deux. On a réduit notre groupe de préparation mais ça donne plus d’importance à nos réservistes qui doivent rester en vigilance. »\\n\\nPas de Fabien Causeur mais Frank Ntilikina sera là\\n\\nSi l’on étudie les pré-sélectionnés par poste, on constate prioritairement l’absence de Fabien Causeur qui s’est révélé avec le Real Madrid comme l’arrière parfait en sortant du banc. En fait, le Breton, qui était revenu discrètement en bleu en juillet, est le seul joueur avec Joffrey Lauvergne, à avoir refusé de candidater.\\n\\n« Je me suis entretenu avec Fabien il y a un certain temps avant le Final Four de l’Euroleague. Il ne souhaitait pas faire cette campagne. Il était un peu cramé à l’issue de deux grosses saisons européennes. J’ai été clair aussi en lui disant que sa sélection n’était pas garantie à 100% un peu à l’image de ce qui s’est passé dans le passé. L’entretien a été franc et très positif. On connait Fabien pour qui les valeurs n’ont jamais été démenties. Il a toujours été au service de cette équipe. Malheureusement, dans l’ensemble, il a souvent eu des problèmes de blessures ce qui fait qu’il n’a jamais pu véritablement disputer ses chances. Il aurait pu faire partie de cette sélection dans les postes à pourvoir au même titre que Lacombe et Luwawu-Cabarrot. »\\n\\nCharles Kahudi, qui fut un temps un ailier presque incontournable dans un rôle de spécialiste défensif physique, n’est pas non plus parmi les élus.\\n\\n« Pour Charles, de ma part c’est clairement un choix sportif. Cette année il est malgré tout moins performant que les années précédentes. Il est clair qu’il a aussi été très gêné par ses problèmes personnels qu’il faut respecter (NDLR : L’une de ses petites filles est malade). On a eu le bonheur d’avoir remporté ensemble plusieurs médailles et c’est clairement un absent de marque. On a la chance d’avoir aujourd’hui un réservoir très important d’autant plus, et contrairement à d’autres années, que l’on a très peu de forfaits. On a pu réellement choisir et il y a quelques joueurs de grande qualité qui n’ont font pas partie. »\\n\\nPour revenir aux meneurs, la présence de Frank Ntilikina est une demi-surprise sachant que le meilleur junior européen de sa génération n’a eu cette saison qu’un rôle accessoire aux New York Knicks (43 matches à 21’ de moyenne pour 5,7 points et 2,8 passes) et qu’il l’a terminée blessé à l’aine.\\n\\n« La logique c’est d’avoir trois meneurs car c’est une compétition qui est longue. En ce qui concerne Frank Ntilikina nous observerons le début de préparation pour deux raisons majeures. La raison basket. Il a peu joué cette année. C’est un joueur que je connais très bien puisque je l’ai eu sous ma direction plusieurs années à Strasbourg. Je connais ses qualités intrinsèques qui peuvent servir cette équipe de France, mais du fait qu’il a peu joué cette année, il y a le besoin de vérifier ce qu’il peut faire à ce niveau de compétition. Ce qui est un vrai souci c’est qu’il a été blessé en fin de saison. Je suis sa rééducation. Il est en net progrès. Mais on saura véritablement lorsque la préparation commencera à quel niveau il en est, s’il est totalement guéri ou pas. Ça déterminera en partie les choses. C’est aussi pour ça que l’on a convoqué d’autres joueurs qui pourraient pallier sa défection. »\\n\\nVincent Collet précise sa pensée :\\n\\n« On avait plusieurs choses qui nous taraudaient quand on a constitué la liste. La première d’entre elles c’est l’aspect défensif. On s’est beaucoup servi de l’Euro 2017 et ce qui nous semblait très important c’est d’avoir dans chaque ligne, à chaque poste, un véritable stoppeur. On a souffert dans cet aspect-là à l’Euro 2017 notamment en huitième de finale où on a été incapable d’arrêter (Dennis) Schröder en deuxième mi-temps. On sait que dans ce genre de compétition internationale toutes les équipes pratiquement sans exception et dès le premier tour -on n’est pas à l’abri contre la République Dominicaine, voire la Jordanie-, ont des joueurs qui prennent feu. On veut avoir dans toutes les lignes quelqu’un capable de ralentir, de stopper ces joueurs-là. On sait que Frank est d’abord un spécialiste défensif. Je me suis entretenu avec lui et il sait très bien que c’est à ce titre qu’il peut être retenu dans la sélection. On a retenu d’autres joueurs un peu avec la même idée. Axel Toupane est également là pour couvrir éventuellement le fait que l’on ne retienne pas Frank. Frank n’a pas sa place garantie contrairement à d’autres qui l’ont quasiment. »\\n\\nLes incontournables, les inconnus\\n\\nAu niveau des ailiers, la présence de Timothé Luwawu-Cabarrot est également intrigante car le Cannois de naissance n’a joué que quelques bouts de matches avec Oklahoma et un peu plus avec Chicago et comme Frank Ntilikina, il est vierge de toute sélection. Il représente une sorte de mystère.\\n\\n« On sait que deux leaders notamment offensifs de cette équipe de France sont Nando De Colo et Evan Fournier. Ce sont plus des postes 2 et même 2-1 pour Nando. C’est important d’avoir d’autres ailiers d’autant plus que Nicolas Batum, même s’il sera préférentiellement poste 3, sera également utilisé en poste 4. Je le (Timothé Luwawu-Cabarot) suivais déjà les années précédentes. Il avait été blessé lorsqu’on l’avait convoqué sur un rassemblement précédent. Il a un profil qui nous manque un peu car derrière Nicolas Batum, on n’a pas beaucoup d’ailiers très athlétiques assez polyvalents. C’est ça qui nous intéressait de mesurer. Il est dans la pré-sélection et pas encore à coup sûr partant pour la Chine. »\\n\\nUn autre poste est en balance, celui de power forward sachant que Adrien Moerman fait un retour en grandes pompes. La retraite de Boris Diaw l’a quasiment rendu indispensable car ce n’est pas un poste où la France est spécialement riche.\\n\\n« Ce que j’ai dit avant qu’il veuille bien venir, je le répète : c’est le poste 4 titulaire de cette équipe. Avant avec Boris Diaw et son parfait complément Flo Piétrus, le poste était très fourni. Aujourd’hui la situation est totalement différente et sur ce qu’il a montré ces dernières années, Adrien Moerman est le joueur qui s’impose à mes yeux sur cette position-là. »\\n\\nEn revanche, celui qui sera son backup n’est pas encore connu. Louis Labeyrie et Amath Mbaye sont en balance.\\n\\n« Tout à fait, » confirme Vincent Collet. « Thomas Heurtel est notre meneur titulaire. Andrew Albicy notre deuxième meneur. Il y aura probablement trois meneurs. J’ai parlé du cas Ntilikina. Sur le poste arrière, Nando, Evan et Nicolas sont incontournables. Pareil à l’intérieur pour Rudy Gobert, Vincent Poirier et Adrien Moerman et je pense aussi Mathias Lessort. Le processus de sélection concernera aussi les autres joueurs. On sera très vigilants sur les équilibres. C’est aussi quelque chose qui nous a pénalisé durant la campagne de 2017. On n’avait pas la même complémentarité, la même cohésion que lors des campagnes précédentes. Les rôles n’étaient pas aussi bien assimilés et surtout assumés par l’ensemble des joueurs. Ça me parait très important que les remplaçants soient vraiment à leur place. La chance que l’on a c’est d’avoir les titulaires dans leur grande majorité mais ce n’est pas suffisant pour avoir une forte équipe. Il faut aussi que les remplaçants soient à leur place. »\\n\\nDonc, en ce qui concerne les pivots, la hiérarchie est déjà bien établie :\\n\\n« Il y a deux pivots qui sont titulaires indiscutables. Rudy Gobert et Vincent Poirier. Le troisième qui est très proche, c’est Mathias Lessort, qui a un profil différent. L’idée est d’avoir deux pivots de grande taille. C’est une Coupe du Monde et on sait que toutes les grandes nations ont a minima deux pivots de grande taille. Mais ensuite d’avoir un pivot d’une taille moindre mais très explosif qui puisse quasiment jouer sur les deux positions, en tous les cas défendre sur les deux positions. Sans oublier que l’une des caractéristiques de cette équipe de France depuis une quinzaine d’années c’est cette capacité à pouvoir beaucoup changer. C’est aussi un élément d’explication de la présence de Frank Ntilikina en position 1. On imagine déjà des systèmes défensifs alternatifs en plus de l’homme à homme et il faut avoir les joueurs qui puissent le permettre de la façon la plus efficace possible. »\\n\\nVincent Collet fait un éclairage spécial sur Rudy Gobert qui n’est plus le rookie d’il y a quatre ans à la Coupe du Monde en Espagne, mais un ténor planétaire.\\n\\n« Il a été élu meilleur défenseur de la NBA. En 2017 en préparation, on marquait plus de 90 points de moyenne. Lorsque la compétition est arrivée notre attaque est un peu descendue mais elle restait à un niveau tout à fait cohérent et susceptible de nous permettre de performer mais notre défense n’a jamais été à la hauteur d’un évènement comme un championnat d’Europe. C’est la même chose et à plus forte raison pour la Coupe du Monde. Rudy Gobert est un ancrage défensif pour n’importe quelle équipe. Il l’est pour les Jazz et ça le sera aussi pour l’équipe de France. C’est forcément une très bonne nouvelle. »\\n\\nSi la pré-sélection ne comprend qu’un seul sociétaire de la Jeep Elite, on recense quatre joueurs qui étaient présents lors des fenêtres hivernales de qualification.\\n\\n« En ce qui concerne Andrew Albicy et Paul Lacombe c’était presque une évidence à la vue de ce qu’il avait fait en terme de qualité basket mais aussi de leadership et d’investissement. Les valeurs qu’ils ont montré durant toute cette campagne. Mathias Lessort sur ces derniers mois a fait un peu la même chose et surtout il a un profil qui me semble très complémentaire. C’est important dans une compétition comme la Coupe du Monde où l’on va jouer des adversaires très différents. Avant de se projeter sur le deuxième tour, il faut penser au premier tour avec des équipes un peu atypiques. Ce profil d’un petit pivot très dynamique et explosif c’est aussi très intéressant. Quant à Amath Mbaye, ça a été l’une des surprises de ces qualifications. Il n’est pas encore dans l’équipe finale mais il nous a semblé présenter un profil intéressant. »\\n\\nIl reste un élément à intégrer, le facteur blessures. Parfois les pépins physiques surgissent au dernier moment, y compris en tout début de préparation. Celles de Héléna Ciak et Diandra Tchachouang viennent ainsi de toucher de plein fouet l’équipe de France féminine. Vincent Collet est un coach suffisamment aguerri pour savoir que le pire est toujours possible. On se souvient de Tony Parker exclu au tout dernier moment du championnat du monde au Japon en 2006 en raison d’un doigt qui avait vrillé dans le maillot d’un joueur brésilien.\\n\\n« Il y a effectivement des joueurs qui ont eu des problèmes comme Frank Ntilikina, Adrien Moerman au tendon d’Achille. On est conscient de tout ça. A la fin des compétitions, il est prévu qu’il y ait des liens avec notre staff médical pour voir ce qui peut être fait en amont de cette préparation pour optimiser la forme physique des uns et des autres pour le début de cette préparation. »\\n\\nCommunication !\\n\\nL’équipe de France reste sur un échec majeur : une sortie de route en huitièmes de finale de l’EuroBasket 2017. La faute aux Allemands et tout autant à une alchimie défectueuse, à une défense pas aussi robuste que les années précédentes et aussi à une hiérarchie non établie entre Thomas Heurtel, Nando De Colo et Evan Fournier.\\n\\nUne évidence : les retours de Nicolas Batum et Rudy Gobert vont apporter un plus considérable. Vincent Collet a également pris soin en convoquant quelques spécialistes des tâches ingrates mais qui transforment une All-Star Team en équipe de guerriers.\\n\\nL’autre mot qui revient en boucle, c’est COMMUNICATION.\\n\\n« Il y a eu plus d’entretiens téléphoniques individuels. Patrick (Beesley) et Boris (Diaw) sont allés les voir. C’est quelque chose que Patrick faisait déjà par le passé. Ils ont fait ça en commun et moi je les ai eu par téléphone. On a évoqué les axes de travail, le fait que l’on devait progresser par rapport à 2017 pour performer. J’entends et je lis aussi ce qu’ils peuvent dire. J’essaye de baliser, de donner du sens à tout ça. C’est important d’avoir ce lien. Ce qui me semble vraiment très important c’est la communication que l’on va mettre en place en début de préparation. Il va falloir aussi que l’on évolue lorsqu’on va être rassemblé. On a besoin de mieux travailler ensemble que lors de la dernière campagne. C’est un nouveau groupe qui n’a pas encore totalement trouvé son équilibre contrairement au précédent. La communication va être un élément central de cette réussite. Il faut que dès le premier jour on puisse se parler et mettre les choses en place. Dans les choses que je leur ai communiqué pendant la saison il y a le fait de vouloir beaucoup les impliquer jusqu’au projet de jeu, qu’ils aient leur mot à dire dans la façon que l’on va jouer. On a une préparation qui est courte, qui ne nous permettra pas de faire tout ce que l’on veut faire. On est très contraint aujourd’hui, en particulier par la NBA. C’est vraiment au jour près. Le jour où on commence c’est celui où on peut le faire, on n’avait pas le droit avant. On a respecté à la lettre ces contraintes-là mais ça nous limite dans le temps de préparation. Il faut qu’ils s’approprient le jeu et le projet. On sait que l’on a la chance aujourd’hui de disposer de joueurs de très haut niveau mais c’est aussi le cas de nos principaux adversaires », reprend le coach. « Comme l’a dit Jean-Pierre Siutat (NDLR : le président de la FFBB), le chemin qui mène aux quarts-de-finale est déjà très relevé. On va jouer contre des équipes qui ont les mêmes qualités que nous. Au-delà des qualités individuelles, ce sont les qualités collectives qui vont faire la différence. Il faudra que cette préparation serve non seulement à installer les éléments basket mais aussi de créer une cohésion qui soit beaucoup plus forte que celle que l’on a pu afficher en 2017. Ce qui est fondamental c’est la capacité des uns et des autres à comprendre que parfois ils seront sur le devant de la scène et qu’à d’autres moments, ils devront s’effacer. Je crois que l’on n’était pas assez conscient de la qualité des copains, on n’a pas toujours travaillé pour les mettre en valeur. On doit progresser sur ces aspects-là. J’ai senti durant les discussions une avancée par rapport à ça. Il faut maintenant que ça se concrétise en acte. On a des joueurs qui montrent sur certaines séquences des flashes de très haut niveau mais c’est valable pour toutes les équipes et il faut que l’on soit capable d’utiliser ces forces-là mais en ayant aussi un sens du partage qui soit beaucoup plus développé qu’en 2017 où ce qui nous a manqué principalement c’est l’investissement défensif et le partage. On avait senti en attaque que lorsque l’adversaire nous pose problème, on a moins su partager. On savait le faire en préparation car tout était facile mais c’était plus compliqué dès que les difficultés sont arrivées. »\\n\\nNando De Colo 6e homme ?\\n\\nL’implication de chacun se fera y compris dans la désignation du capitaine. Celui qui doit reprendre les habits XXL -et pas seulement au sens propre- de Boris Diaw. Nicolas Batum, 30 ans, pourrait être celui-là.\\n\\n« C’est une possibilité mais ce n’est pas acté. Quand je parlais du fait que les joueurs s’approprient l’aventure, ça en fait partie. Je ne vais pas décider tout seul sur cet aspect-là. Mais c’est une possibilité car il s’en est plutôt bien acquitté lors du rassemblement de l’été dernier. Ce que j’attends de lui c’est ce qu’il a montré lors du tournoi de Paris où il avait eu un rôle de facilitateur comme on le sait capable mais qu’il n’a pas toujours montré. Il avait montré son côté altruiste mais il était aussi dans la prise de risques, dans les responsabilités, ce qui parfois lui manque. J’attends qu’il fasse ça. Je pense qu’il aura un rôle essentiel pour permettre aux autres d’exprimer toutes leurs qualités. J’attends aussi qu’il soit en grande forme comme il l’était l’an passé au rassemblement de septembre. »\\n\\nUn autre ajustement pourrait être la désignation de Nando De Colo comme sixième homme de luxe :\\n\\n« C’est possible sans que ce soit quelque chose de péjoratif, de négatif. L’une des choses qui m’y fait penser est que Nando l’a beaucoup fait en équipe de France et avec un grand succès. Lorsqu’on a eu des médailles, il avait ce rôle. Je n’oublie pas qu’en 2011 on était en difficulté contre la Grèce et en sortant du banc il a fait plus que nous tirer l’épine du pied pour nous qualifier. Il était à chaque fois un formidable joker dans le sens positif du terme pour faire basculer pas mal de situation. Je pense que c’est le joueur que j’ai le plus vu de la saison puisque j’ai beaucoup regardé le CSKA en Euroleague et très souvent Cory Higgins commençait les matchs et Nando arrivait derrière et ça ne l’a jamais empêché d’être performant. A 32 ans, il est arrivé à un niveau de maturité, d’excellence qui lui permettent d’être performant quelque soit la situation. Je sais que vous êtes friand de ce genre de débat et c’est légitime mais il faudra l’aplanir. Il faut que les uns et les autres comprennent que le fait d’être ou de ne pas être dans le cinq majeur n’est pas nécessairement la chose la plus importante. La plus importante c’est que l’équipe de France gagne. »\\n\\nEviter les Américains !\\n\\nOn reviendra plus tard plus longuement sur la qualité de l’adversité que les Bleus vont rencontrer en Chine. Beaucoup d’équipes sont en train de mobiliser de sacrés bataillons avec des généraux trois étoiles.\\n\\nEn résumé, la France aura l’Allemagne comme principal contradicteur au premier tour et -en cas de qualification- croisera avec l’Australie, le Canada ou la Lituanie. Sachant qu’il n’y aura ensuite que deux qualifiés et que le second se tapera très probablement les Etats-Unis en quart. L’horreur absolue.\\n\\n« Tous les matches vont être capitaux jusqu’à l’éventuel quart-de-finale. Il faut bien sûr se qualifier pour le second tour mais il faut y entrer avec une victoire contre l’équipe qui sera avec nous. L’Allemagne est favorite pour ça mais attention aux deux autres. La République Dominicaine en particulier est une forte équipe. Il faut être prêt et en l’occurrence on sera tout de suite dans le vif du sujet. La bande à Schroeder sera très dangereuse. Autour de lui il y a des joueurs qui ont également beaucoup progressé. L’équipe allemande en 2017 était jeune. On n’aura pas de temps de latence. Heureusement la préparation doit nous y préparer. On a la chance d’y rencontrer des pointures. Le croisement se fera ensuite avec des équipes qui sont des candidates au podium. Je ne suis pas sûr que la Lituanie y soit. Pour moi, sur le papier, l’Australie c’est la deuxième équipe au monde derrière les Etats-Unis. Et vous le savez comme moi, il faut non seulement se qualifier mais essayer d’être premier car si on est deuxième, on jouera les Américains en quart-de-finale et je ne sais pas si on peut faire le coup de l’Espagne en 2014.\\n\\nLes temps ont bien changé depuis les Jeux d’Athènes et le championnat du monde de Tokyo. C’était il y a 15 et 13 ans. Depuis les Américains se sont instruits de leurs erreurs. Alors, oui, ils sont quasiment insubmersibles et il faut éviter d’y être confronté trop tôt dans la compétition.\\n\\n« Répondre autre chose serait insensé. Si d’aventure on les jouait bien sûr que l’on ferait le maximum, on voudra les battre, mais malgré tout l’objectif c’est de les jouer le plus tard possible. Je rêve de les jouer mais pas en quart-de-finale. »\\n\\nLa préparation sera classique : des matches en France puis un tournoi sur place juste avant de monter au feu.\\n\\n« Je voulais sept, huit matches avec une forte partie en France. C’est toujours important de montrer l’équipe de France dans cette configuration-là. Le public a besoin de voir nos joueurs NBA. C’est le seul moment où on peut le faire. On ne savait pas que l’on serait aussi loin puisqu’à Shenyang on est loin de Shenzhen. On a des équipes qui viennent de différents continents aussi le fait de jouer le Brésil et l’Argentine ce n’est pas innocent. C’est souvent d’autres basket et au moins la moitié de ces équipes sont très référencées sur l’échiquier mondial. Je suis très content de terminer avec la Serbie quatre jours avant de jouer l’Allemagne. Ça nous permettra plus aisément de rentrer dans le vif du sujet. »\\n\\nL’objectif ? Rudy Gobert parle de médaille d’or. C’est évidemment très ambitieux. Une médaille serait déjà un sacré exploit. Ce qui serait très bien aussi c’est de se qualifier directement pour les Jeux de 2020 de Tokyo.\\n\\n« Il faut être dans les deux premiers européens. C’est forcément un objectif. Même si cette Coupe du Monde se suffit à elle-même l’objectif olympique est toujours derrière. En 2016, on sait très bien que le fait de devoir passer par Manille nous a beaucoup pénalisé, on a laissé beaucoup de gomme dans ce tournoi de qualification. Le meilleur chemin c’est la qualification directe. »\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est au China, un restaurant du 12e arrondissement parisien, clin d’œil évidemment au pays organisateur de cette 18e Coupe du Monde, qu’a été dévoilé mercredi en fin de matinée, la liste des pré-sélectionnés en équipe de France. Le lieu était privatisé et reconverti en studio de télévision afin de permettre aux équipes de RMC Sport News de retransmettre l’annonce en direct alors que les autres représentants des médias étaient confortablement assis dans des banquettes en cuir.\\n\\nLa plupart des joueurs étaient au courant de la décision du coach depuis plusieurs jours car Vincent Collet avait effectué ses arbitrages bien en amont de l’annonce :\\n\\n« Toute l’année avec mes assistants on a eu des rencontres et des échanges téléphoniques. Le 8 mai, on a fait une très longue réunion à la fédération au cours de laquelle on a affiné cette sélection avec bien sûr, les joueurs jouant encore, de potentiels soucis. Il en existe encore aujourd’hui puisqu’il y a des joueurs qui jouent encore qui sont dans cette sélection. On va encore craindre une éventuelle blessure. Mais donc depuis un mois cette liste est faite, » a-t-il révélé. « On n’a pas appelé les joueurs qui sont sélectionnés mais bien sûr certains le savent et d’autres vont avoir la bonne surprise aujourd’hui. Par contre, on a appelé un nombre assez important de ceux qui sont assez proches et qui ne sont pas sélectionnés. On a essayé là aussi de progresser même si ce n’est pas encore parfait. On en est conscient. Mais cette communication est importante mais moins que celle que l’on va essayer de mettre en place en début de préparation. C’est assez spécifique au basket, tous les sports ne le font pas. Pour bien connaître Claude Onesta, dans le handball, je sais qu’ils n’ont pas mis en pratique ce genre d’exercice. »\\n\\n\\n\\nDeux sparring-partners de Jeep Elite\\n\\nLa pré-sélection comporte 15 noms. Neuf joueurs évoluent en Europe, cinq en NBA et un seul en Jeep Elite. Sept joueurs ont été placés sur une liste de remplaçants. Et deux autres vont servir de partenaires d’entraînement, le meneur villeurbannais Théo Maledon et l’intérieur dijonnais Alexandre Chassang sans espoir d’être de l’expédition chinoise.\\n\\n« En préparation, il y a souvent des petits problèmes de blessures passagères. Ça permettra d’avoir moins de joueurs qu’à l’accoutumé et d’avoir un processus de sélection qui soit plus rapide et surtout plus simple et malgré tout de fonctionner durant cette courte période de préparation qui va être très intense. Théo Maledon et Alexandre Chassang étaient déjà avec nous en février et ont fait de très belles choses et présentaient le profil adéquat pour remplir cette mission d’être partenaires d’entraînement. Ils sont amenés dans un futur proche probablement à faire partie de cette équipe de France », explique Vincent Collet, qui précise : « Ce sont aussi de jeunes joueurs qui ont donné satisfaction dans l’investissement quand on les a appelés. On souhait des gens à la fois de qualité et qui sont proches de ce groupe France, qui offrent des perspectives d’avenir et aussi de qualité dans le travail. Ce sont deux joueurs très sérieux, très investis. Ce sont aussi deux joueurs issus de la Jeep Elite.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Dennis Schroeder (Allemagne): «Nous devrons tout faire pour nous imposer face à la France" }, {"role": "assistant", "content":"Pour Dennis Schröder (1,85m, 25 ans), les choses sont claires : l’Allemagne devra impérativement réussir son entrée en matière à la Coupe du Monde FIBA 2019. Et la tâche dans le Groupe G ne sera pas simple, puisque les Allemands débuteront avec un clash contre une France avide de revanche.\\n\\nÀ moins de 12 semaines de la compétition mondiale en Chine, Schröder se remet gentiment au travail après trois semaines de vacances prises à l’issue de sa sixième saison NBA. Le meneur de jeu de 25 ans estime que l’Allemagne a de bonnes chances de ressortir victorieuse de son groupe à Shenzhen.\\n\\n« C’est un bon groupe. Je pense que nous pouvons vraiment faire de belles choses, » a répondu Schröder lors d’une conférence de presse organisée par la fédération allemande de basketball quand on lui a demandé son avis sur le tirage au sort – avec la France, la République dominicaine et la Jordanie. « Le premier match contre la France sera la grosse affiche du groupe. Nous devrons tout faire pour nous imposer. »\\n\\nLe meneur du Oklahoma City Thunder sait que cette confrontation entre Européens du 1er septembre ne sera pas simple. La France est non seulement montée à quatre reprises sur le podium de tournois majeurs depuis 2011 – remportant l’EuroBasket 2013, prenant le 2e rang de l’EuroBasket 2011 et les 3es de la Coupe du Monde 2014 et de l’EuroBasket 2015, elle voudra aussi se venger de la défaite subie (84-81) en huitièmes de finale de l’EuroBasket 2017, les Bleus ayant dû s’avouer vaincus face à l’Allemagne de l’excellent Schröder, auteur de 21 points, 8 assists, 4 rebonds et 2 ballons récupérés ce jour-là.\\n\\n« Nous avons battu la France en Turquie, elle sera donc extrêmement motivée pour ce match. À nous d’aller chercher le même résultat, » dit Schröder, dont les performances ont permis aux Allemands de figurer dans le Top 8 de la compétition européenne pour la première fois depuis 2007.\\n\\nUn jour, une médaille\\n\\nL’Allemagne fait son retour en Coupe du Monde , elle qui a manqué l’édition 2014 en Espagne. 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Après, si c’est la Lituanie ou l’Australie qui passe, nous nous préparerons à ce moment-là, » ajoute-t-il.\\n\\nSchröder, pour sa part, ne cache pas ses intentions.\\n\\n« Je ne peux rien promettre, comme je le répète tout le temps, mais mon objectif personnel est de remporter une médaille dans les années à venir, » indique-t-il.\\n\\nSchröder, qui a tourné avec des moyennes de 23.5 points, 7.5 passes, 4.5 rebonds et 1.5 ballons récupérés en quatre matchs des Éliminatoires Zone Europe, se montre plutôt optimiste quant au futur de l’Allemange, surtout qu’il n’était qu’un parmi sept Allemands à fouler les parquets de NBA ou de NBA G-League la saison passée, avec le désormais retraité Dirk Nowitzki.\\n\\n\\n« Nous avons un tel potentiel. Nous n’avons jamais eu autant de joueurs NBA. C’était déjà du solide avec Dirk Nowitzki et les autres grands joueurs. Mais avec les jeunes que nous avons en ce moment, le futur s’annonce assurément prometteur. 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Les Bleues ont été servies ce soir face à la Turquie, une équipe homogène, très bien regroupée en défense, à l’évidence déjà prête pour l’Euro ce qui n’est pas le cas de la France.\\n\\nL’équipe de France était toujours privée de Sandrine Gruda (cuisse droite) et c’est Marième Badiane qui en son absence bénéficie d’une place dans le cinq de départ. Marine Fauthoux était mise en réserve pour ce premier match du tournoi de Rennes.\\n\\nIl y avait pas mal de grumeaux dans le début de match côté français alors que les Turques trouvaient des ouvertures à l’intérieur et menaient 13-21 à la 10e minute. Les Bleues étaient notamment aphones dans les shoots à trois-points. Pour sa troisième sélection en bleu, Bria Hartley alternait entre le poste 2 et celui de meneuse avec Marine Johannès à son côté.\\n\\nSur un 15-2, les Turques en pleine confiance creusaient l’écart, 15-32. Leur adresse était alors de 60% contre 32% pour les Françaises mal à l’aise face à la zone. 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C’est ce qu’indique son président Tony Parker à L’Equipe.\\n\\n«La saison prochaine, on va avoir une grosse baisse de la masse salariale joueurs. C’est voulu. On veut vraiment se concentrer sur bien structurer le club en mode Euroleague. C’est la première fois depuis que je suis président que l’on réduit la masse salariale. Mais à un moment donné, pour pérenniser le club, il faut le faire. »\\n\\nLe jeune retraité des parquets veut néanmoins maintenir les ambitions sportives à un niveau élevé :\\n\\n« On sera compétitif mais il va falloir être créatif. Il faudra qu’on soit intelligent dans notre recrutement, en sachant qu’en année 2 d’Euroleague, on appuiera un peu sur l’accélérateur. »" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : nouvelle identité visuelle pour Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Equipe surprise de la saison qui s’est hissée jusqu’à la dixième place du classement mais faisant longtemps la course pour les playoffs, le Boulazac Basket Dordogne fait peau neuve.\\n\\nLe club du Périgord vient de dévoiler sa toute nouvelle identité visuelle. Conçu par Pierrick Poncet, connu sous le nom de « L’ailier Volant » sur Twitter. C’est déjà lui qui était à l’origine du nouveau maillot à quatre couleurs du BBD.\\n\\nLe nouveau logo du club rajeunit complètement l’identité de la formation de Thomas Andrieux qui affichait l’un des moins agréables logos de Jeep Elite. Voici les explications données par le club concernant les détails de ce nouveau logo.\\n\\n« Les mentions Boulazac, pour l’appartenance historique et Périgord, pour le rayonnement, enserrent le logo, insufflant l’idée d’un club supporté par son département et au-delà.\\nLe noir, le blanc, le vert et le pourpre, rappellent chacune une zone géographique du Périgord et ses spécificités :\\n\\n– Le Périgord Blanc (où est situé le club) et ses plateaux calcaires.\\n– Le Périgord Noir et ses chênes truffiers.\\n– Le Périgord Vert et ses étendues de plaines et de forêts.\\n– Le Périgord Pourpre et ses vignobles.\\n\\nLe BBD rassemble ces diversités. C’est ce que symbolise le tracé circulaire.\\nDu cercle fédérateur, émane le « B.B.D ». Ces 3 lettres sont gravées dans la mémoire collective des Périgourdins. Elles constituent une appellation profondément ancrée et un signe de reconnaissance dans le monde du basket français.\\nAu cœur du logo, nous retrouvons le ballon de basket, entremêlé avec l’auroch, figure pariétale emblématique. Cet animal fier et indomptable portera les valeurs sportives de combativité et de travail, propre à l’équipe du BBD.\\nUn pictogramme « panier de basket » ajoute un clin d’œil à l’art rupestre qui fait la singularité et la renommée mondiale de la Dordogne. »" }, {"role": "user", "content":"Notre sondage : quels sont les trois joueurs de l’Equipe de France qui n’iront pas à la coupe du Monde ?" }, {"role": "assistant", "content":"Mercredi midi, Vincent Collet a dévoilé la liste des quinze joueurs qui prendront part à la préparation pour la coupe du Monde. Parmi ceux-ci, trois ne seront pas retenus pour la compétition. Selon-vous qui seront-ils ?\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Nikos Zisis quitte Bamberg" }, {"role": "assistant", "content":"A Bamberg depuis 2015, Nikos Zisis (1,97m, 35 ans) ne prolongera pas une fois de plus son contrat avec le club allemand.\\n\\nSur Twitter, la formation bavaroise vient d’annoncer que l’ancien international grec va partir. Passé par l’AEK Athènes, Trévise, le CSKA Moscou, Sienne, Bilbao, Kazan et Fenerbahce, le champion d’Euroleague 2008 arrive en fin de carrière. A 35 ans, le natif de Thessalonque va-t-il prendre sa retraite ou repartir pour un nouveau challenge ? L’ASVEL, qui prépare son retour en Euroleague, devrait-elle se mettre sur les rangs pour tenter de le recruter ?\\n\\nCette saison, Nikos Zisis compilait en moyenne 7,1 points, 2,4 rebonds et 4,2 passes décisives pour une évaluation de 9,3 en Bundesliga, et 7,2 points, 2,5 rebonds et 3,3 passes déicides pour une évaluation de 8,3 en Champions League.\\n\\n\\n151 @easyCreditBBL-Spiele, 98 Mal auf internationalem Parkett für Bamberg, vier Jahre, vier Titel, DER Gamewinner zum Pokalsieg 2019 und EINE Legende mehr in der Bamberger Basketball-Geschichte. Danke für ALLES, @nik683! 🙏 pic.twitter.com/jUjzoMydHE\\n\\n— Brose Bamberg (@BroseBamberg) June 13, 2019\\n\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Will Clyburn prolonge jusqu’en 2022 avec le CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Comme prévu, Will Clyburn (2,01m, 29 ans) vient de prolonger son contrat avec le CSKA Moscou, annonce le club.\\n\\nMVP du Final Four d’Euroleague, l’ancien joueur du Darussafaka s’est engagé pour trois nouvelles saisons avec le club moscovite, ce qui les lient jusqu’en juin 2022. Il a donné son ressenti sur sa prolongation à Moscou.\\n\\n« Je suis très excité à l’idée de continuer ma carrière ici. Evidemment, ces deux années m’ont appris beaucoup de choses. Cette année, nous avons gagné l’Euroleague et la VTB League. C’était une belle année, donc je suis content de pouvoir continuer à essayer de construire et réussir encore plus ici. Je suis heureux que le CSKA souhaite me garder. Je vais en profiter. »\\n\\nCette saison, Will Clyburn compilait en moyenne 13,2 points, 6,9 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 17,5 en Euroleague. En VTB League, il tourne à 10,6 points et 4,9 rebonds pour une évaluation de 12,9.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Germain Castano (Orléans) : «On a joué contre l’équipe qui joue le mieux au basket du championnat»" }, {"role": "assistant", "content":"Victorieux face à Saint-Chamond lors de la troisième manche décisive en demi-finale des playoffs de Pro B, Orléans s’est qualifié pour la grande finale. Les joueurs de Germain Castano affronteront Rouen.\\n\\nAprès la rencontre, le technicien orléanais est revenu sur la rencontre et a notamment longuement salué son adversaire.\\n\\n« Mission accomplie ! On est en finale et on est bien contents. On a joué cette demi-finale vraisemblablement contre l’équipe qui le mieux au basket de ce championnat. Très honnêtement. On ne peut pas enlever ça et celui qui pense que Saint-Chamond est là par hasard, ce n’est pas le cas et vous l’avez vu ce soir encore une fois. Ça joue bien au basket, ça fait 25 passes décisives, ça met le ballon où il faut et quand ils mettent leurs tirs ça se voit. Il faut tirer un vrai coup de chapeau sur le parcours de Saint-Chamond parce qu’encore une fois ils m’ont impressionné. Raison de plus pour être fier de ce qu’on fait les garçons. C’est une vraie victoire collective, mais il y a aussi eu des attitudes défensives incroyables. Je trouve qu’on a été sérieux. Avec une équipe comme ça tu n’as pas intérêt à fanfaronner ou faire le malin. »\\n\\nPhoto : Saint-Chamond" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Carl Ona Embo fait son retour à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Entre la deuxième division allemande et la Pro B, Carl Ona Embo (1,88m, 29 ans) fera son retour à Poitiers la saison prochaine.\\n\\nSur son site, le PB86 annonce la signature de l’ancien joueur de Cholet pour l’exercice 2019/20. Ce sera son troisième passage à Poitiers après les saisons 2010/11 et 2014/15.\\n\\nCette saison, Carl Ona Embo a tourné en moyenne à 15 points, 2,5 rebonds et 3,5 passes décisives en huit matchs de Pro B avec Caen.\\n\\nPhoto : Karlsruhe Lions" }, {"role": "user", "content":"Liga : Brandon Davies bientôt à Barcelone comme... Ougandais ?" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien joueur de Chalon-sur-Saône et Monaco devrait rallier la Catalogne pour la saison 2019/2020.\\n\\nC’était dans l’air depuis quelques temps, cela devrait désormais se faire officiellement : Brandon Davies (2,08m, 27 ans) sera un blaugrana la saison prochaine en tant que .... Cotonou. La fédération ougandaise de basket-ball a fait savoir sur le réseau social Twitter que le futur-ex joueur du Zalgiris Kaunas était sélectionné en vu d’un tournoi préliminaire à l’Afrobasket qui se tiendra du 26 juin au 1er juin à Kampala.\\n\\n\\nFULL Squads for the Silverbacks (men) and Gazelles (Women) 🏀🔥 that will take part in the preliminaries of the AfroCAN and AfroBasket WOMEN which will be held from 26th June – 01st July 2019 in Kampala\\ncc: @briantuka7@aakatabi @CapitalFMUganda @UrbanTVUganda @tuskerlite256 pic.twitter.com/EY9ryPeGG2\\n\\n— FUBA (@FubaBasketball) June 13, 2019\\n\\n\\nLe joueur élu dans le meilleur 5 de l’Euroleague cette saison (14,2 points, 5,5 rebonds, 2 passes décisives, 16,9 d’évaluation) arriverait au sein des Blaugrana pour les aider à briller à nouveau sur la scène européenne, eux qui n’ont pas franchi le stade des quarts de finale de la prestigieuse compétition depuis quelques saisons.\\n\\nAssurément, un renfort de poids quand on sait que le joueur tournait cette saison à 12 points, 4 rebonds et 1,8 passes décisives cette saison en 18 minutes de temps de jeu seulement au sein de l’équipe lituanienne.\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Orléans rejoint Rouen en finale" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir eu besoin d’aller se battre jusqu’au troisième match face à Saint-Chamond, Orléans a fait respecter la hiérarchie pour se qualifier en finale et y rejoindre Rouen, déjà qualifié.\\n\\nDans un match 3 plein de suspense (21-21 après 10 minutes ou encore 72-68 à la fin du troisième quart-temps), les joueurs de Germain Castano ont fait la différence dans l’ultime période (19-15) pour prendre dix points d’avance et s’imposer 93-83.\\n\\nUne nouvelle fois, c’est Miralem Halilovic qui termine MVP du match avec 16 points, 8 rebonds et 3 passes décisives pour 23 d’évaluation. Il a été bien aidé par ses coéquipiers puisqu’ils sont six à avoir dépassé les 13 d’évaluation sur la partie.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nMATCH 1\\nDimanche 16 juin 2019 à 16h30 – Orléans, Palais des Sports\\nOrléans Loiret Basket – Rouen Métropole Basket\\n\\nMATCH 2\\nMercredi 19 juin 2019 à 20h45 – Rouen, Kindarena\\nRouen Métropole Basket – Orléans Loiret Basket\\n\\nMATCH 3 (si nécessaire)\\nDimanche 23 juin 2019 à 16h30 – Orléans, Palais des Sports\\nOrléans Loiret Basket – Rouen Métropole Basket\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Rick Pitino (Panathinaïkos) : «Le basket grec a besoin de l’Olympiakos»" }, {"role": "assistant", "content":"A la tête du Panathinaïkos depuis janvier, Rick Pitino a pu gouter la saveur si particulière du championnat grec avec les conflits permanents entre son club et l’Olympiakos ou encore avec la ligue.\\n\\nA un match du titre national, l’ancien entraîneur de Louisville regrette néanmoins l’absence de l’éternel rival qui a déclaré forfait et fait savoir qu’il comptait quitter le championnat grec pour la ligue Adriatique. L’ancien coach des New York Knicks s’est exprimé sur l’absence du club du Pirée après le match 2 des finales grecques.\\n\\n« Voici mon sentiment, je l’ai répété sans cesse. L’Olympiakos a fait une grosse erreur. Après la saison, s’ils ont un problème ils doivent se battre pour le résoudre. Mais... et voilà le mais... c’est Rick Pitino qui parle, non pas Dimitris Giannakopoulos. Le basket grec a besoin de l’Olympiakos. Le basket grec a besoin d’eux. Si j’étais eux... vous savez quand je me sens le mieux dans la vie ? C’est quand je me rends compte que j’ai tort. Voilà quand je me sens le mieux. Debout l’Olympiacos !, dites que nous avions tort et revenez parce que toutes les autres équipes de la ligue grecque en ont besoin. Nous avons besoin d’eux, ils ont besoin de nous. Nous devrions tous être ensemble hors du terrain. Sur le terrain, nous voulons nous battre, mais la ligue grecque a besoin de l’Olympiacos. Ils devraient se lever et dire: ‘Nous avons commis une erreur, nous aurions dû résoudre ces problèmes après la saison’. Dans les tribunaux, où vous vouliez. J’ai beaucoup de respect pour eux et nous avons besoin d’eux dans la ligue grecque. Et je ne suis pas grec. Je parle juste de ce qui est le mieux pour le basket-ball. »\\n\\nPhoto : Panathinaïkos" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La mini-movie des Bleues à Mont-de-Marsan" }, {"role": "assistant", "content":"Voici la mini-movie qui raconte les deux larges victoires de l’équipe de France féminine à Mont-de-Marsan face à l’Ukraine en attendant le tournoi de Rennes qui commence ce soir.\\n\\nPhoto: Sarah Chevaugeon et Marième Badiane (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Gérald Ayayi, frère de Valériane, rejoint l’Elan Béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"A l’image de Yohan Choupas l’an dernier qui a quitté l’INSEP pour parfaire sa formation à l’Elan Béarnais, Gérald Ayayi (1,88m, 17 ans) passe de Bordeaux à l’EBPLO, annonce la formation bordelaise.\\n\\nFrère de l’international tricolore Valériane Ayayi, il évolue au sein des JSA Bordeaux depuis la catégorie U13 et a fait sa première entrée en NM2 la saison dernière alors qu’il n’avait que 16 ans. A Pau, il sera dans le groupe professionnel mais prendra avant tout part aux rencontres avec les espoirs.\\n\\nCette saison, Gérald Ayayi compilait en moyenne 2,1 points, 0,5 rebond et 0,7 passe décisive pour une évaluation de 1,6 en 7 minutes de jeu en NM1.\\n\\nPhoto : JSA Bordeaux" }, {"role": "user", "content":"Belgique: Un 20e titre de champion pour Ostende" }, {"role": "assistant", "content":"Avec sa victoire hier soir à Anvers (69-62) lors de la quatrième manche de la finale des playoffs, Ostende a remporté un vingtième titre de champion de Belgique, 3 manches à 1.\\n\\nJean-Marc Mwema, 18 points en 19 minutes, a été fondamental dans la victoire des Ostendais avec Shevin Thompson (7 points et 9 rebonds). Surtout les Anversois ont été limités à 37,5 % de réussite aux tirs.\\n\\nC’est aussi le 8ème titre consécutif des Ostendais quasi intouchables depuis que le coach croate Dario Gjergja est en place.\\n\\nOstende avait déjà gagné le titre national en 1981, 1982, 1983, 1984, 1985, 1986, 1988, 1995, 2001, 2002, 2006, 2007, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018. Au palmarès, il est numéro 1 devant Malines (15 titres), et le Spirou Charleroi (10 titres).\\n\\nOstende n’a toutefois pas réalisé le doublé coupe-championnat cette année puisque c’est son adversaire en playoffs qui avait remporté la finale en avril devant... Ostende.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Équipe de France féminine : Les Bleues ont mis le cap sur Rennes." }, {"role": "assistant", "content":"À quelques heures du début du tournoi de Rennes qui se déroulera sur 3 jours (14 au 16 juin), les Bleues sont bien arrivées à Rennes et y ont établies leur camp de base où elles disputeront un tournoi préparatoire à l’Euro 2019.\\n\\nCesson-Sévigné, en périphérie de Rennes, sera le théâtre, aujourd’hui jusqu’à jeudi, d’un rassemblement composé des équipes féminines de Serbie, Turquie, Russie et France et d’un tournoi préparatoire en vu de l’Euro 2019. L’occasion pour les spectateurs de la Glaz Arena de voir quatre demi-finalistes potentielles de la compétition, avec au programme deux matchs par jour, chaque équipe se rencontrant une fois. Les Bleues affronteront ainsi, successivement, la Turquie vendredi à 18h00, la Russie à 20h30 et enfin la Serbie, dimanche à 18h30.\\n\\nAvant d’entamer ce tournoi, les Françaises sont arrivées il y a deux jours en Bretagne afin de prendre leurs marques dans le stade où se déroulera le tournoi et ont pu rencontrer leurs fans le temps d’une après-midi (voir la vidéo).\\n\\nMalgré les très nombreuses absences au sein de la sélection française pour l’Euro (Héléna Ciak 1,97m, 29 ans, Diandra Tchatchouang 1,89m 28 ans et Sarah Michel 1,80m 30 ans), les supporters bretons pourront néanmoins assister à la troisième sélection de la meneuse franco-américaine Bria Hartley (1,73m 26 ans) qui reste sur une précédente sélection excellente face à la Slovénie en novembre dernier. Elle avait compilé ce soir-là 16 points à 7 sur 8 aux tirs, 5 passes décisives et 3 rebonds en seulement 20 minutes de temps de jeu pour un total de 23 d’évaluation.\\n\\nRappelons enfin que le match de dimanche face à la Serbie sera diffusé en clair sur RMC Story. Une bonne occasion de voir évoluer nos Bleues face à une autre bonne équipe." }, {"role": "user", "content":"Turquie: Anadolu Efes mène 2-1 en finale face à Fenerbahçe. 16 points et 13 rebonds pour Adrien Moerman" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce à sa large victoire sur Fenerbahçe, 74-57, Anadolu Efes mène désormais 2-1 en finale du championnat turc.\\n\\nRodrigue Beaubois s’est distingué en marquant 19 points tout comme Shane Larkin alors que Adrien Moerman a réussi un double-double avec 16 points et 13 rebonds. C’est Nikola Kalinic qui a été le top scoreur pour le Fener avec 17 points.\\n\\nLe quatrième match de la série au « meilleur des sept » se déroulera au Fener samedi." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Roanne confirme quatre joueurs pour la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Champion de France de Pro B à l’issue de la dernière journée de championnat après une saison remarquable, la Chorale de Roanne part avec une belle base de joueurs français pour son retour en Jeep Elite.\\n\\nSur son site, la formation roannaise a confirmé la prolongation de quatre de ses joueurs : Ferdinand Prénom (2,03m, 28 ans), Clément Cavallo (1,97m, 28 ans), Thomas Ville (1,88m, 24 ans) et Mathis Keita (1,96m, 27 ans).\\n\\nAncien joueur de Dijon, Antibes, Boulogne-sur-Mer, Hyères-Toulon et Orléans, le massif pivot Ferdinand Prénom va retrouver une division dans laquelle il a effectué la majorité de sa carrière. Il a déjà signé son nouveau contrat indique le club.\\n\\nDepuis trois ans au club le capitaine Clément Cavallo pourra à nouveau gouter à la Jeep Elite dans un rôle totalement différent puisqu’il était dans sa dernière année en Espoirs avec le HTV quand il a disputé ses premiers matchs dans l’Elite. A lire, notre interview de Clément Cavallo publiée ce jour.\\n\\nFormé à la Chorale, Thomas Ville va logiquement continuer avec son club de coeur. Arrière athlétique qui donne tout ce qu’il a en lui sur le terrain, il progresse d’année en année et pourra encore faire lever le public de la Halle Vacheresse la saison prochaine.\\n\\nArrivé en 2017, Mathis Keita a déjà signé son nouveau contrat pour une nouvelle saison alors qu’il a malheureusement été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou en toute fin de match lors de la 34e journée de championnat à Caen.\\n\\nDans un même temps, l’arrière Matt Carlino pourrait également prolonger son contrat indique le club tandis que Pierre Brun va re-signer avant d’être envoyé en Pro B pour gagner des minutes.\\n\\nEn ce qui concerne les départs, la Chorale de Roanne ne continuera pas avec David Jackson, Jason Williams, Alexis Tanghe, Robert Nyakundi, Ilian Evtimov et Ivan Février.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Chorale Roanne" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Mantas Kalnietis et Adas Juskevicius dans la pré-sélection lituanienne" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Dainius Adomaitis a révélé une liste de 24 pré-sélectionnés pour la Coupe du Monde en Chine.\\n\\nParmi ceux-ci on relève les noms du meneur de Villeurbanne Mantas Kalnietis et de l’arrière de Nanterre Adas Juskevicius et encore des pivots Jonas Valanciunas (Memphis Grizzlies) et Domantas Sabonis (Indiana Pacers).\\n\\nLa liste: Mantas Kalnietis, Lukas Lekavicius, Zygimantas Janavicius, Dovis Bickauskis, Marius Grigonis, Renaldas Seibutis, Adas Juskevicius, Arturas Milaknis, Jonas Maciulis, Arnas Butkevicius, Rokas Giedraitis, Edgaras Ulanovas, Domantas Sabonis, Eimantas Bendzius, Mindaugas Kuzminskas, Gytis Masiulis, Paulius Jankunas, Jonas Valanciunas, Martinas Geben, Martynas Echodas, Arturas Gudaitis, Antanas Kavaliauskas, Evaldas Kairys, Egidijus Mockevicius.\\n\\nPhoto: Jonas Valanciunas (FIBA)." }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (Monaco): «On s’attend à une chaude atmosphère à Dijon»" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa deuxième victoire lundi à Gaston-Médecin en demi-finale de playoffs de Jeep Elite, l’AS Monaco sera ce soir à Dijon et sait que l’atmosphère y sera brûlante.\\n\\n« On s’attend à une chaude atmosphère à Dijon, il y a eu quelques provocations en fin de match, c’est probablement dans l’idée de rendre le public plus remonté, il faudra vraiment rester calmes et concentrés « , recommande le coach serbe Sasa Obradovic... qui en a vu d’autres dans sa carrière de joueur et d’entraîneur.\\n\\nDe fait, il est à prévoir que l’ambiance à Dijon et aussi à Nanterre pour la venue de Villeurbanne sera davantage digne de playoffs que celles bien moroses que l’on a vu à Gaston-Médecin et à l’Astroballe.\\n\\nSasa Obradovic tire par ailleurs son chapeau à son meneur Dee Bost (8 passes) qui a tenu son rang malgré une cheville endolorie depuis le Match 1.\\n\\n« Avant tout je tiens à souligner la décision de Dee Bost de vouloir disputer ce match. Vu l’état de sa cheville samedi, cela montre la volonté et la dureté mentale du bonhomme. Sans lui, cela aurait été beaucoup plus difficile, ce caractère et cette attitude sont celles d’un leader. »\\n\\nPhoto: Sasa Obradovic (ASM)" }, {"role": "user", "content":"Rencontre avec Yunio Barrueta (Nancy), le Cubain qui a battu le record de tirs à trois points sur un match" }, {"role": "assistant", "content":"Il est arrivé en France il y a deux ans après une saison en Belgique, sa première en tant que professionnel. Yunio Barrueta (1,98m, 26 ans) a signé à Nancy l’été dernier, pour deux ans, et fait aujourd’hui partie des meilleurs shooteurs de Pro B à plus de 41% de réussite derrière la ligne à trois points. Plutôt réservé, cet ailier aux tatouages religieux sur les deux épaules nous a reçu à la sortie de l’entraînement matinal.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDébarqué aux Etats-Unis alors qu’il était très jeune, cet ailier cubain est tombé un peu par hasard dans le piège de la balle orange. Alors qu’il était enfant, beaucoup de ses amis jouaient déjà au basket et c’est tout naturellement que Yunio Barrueta a été initié. “Finalement, j’ai plutôt apprécié donc j’ai continué à jouer”. Mais loin de lui l’idée de faire le tour du monde pour jouer au basket. “Au début, c’était vraiment que pour le plaisir. C’est quand je suis arrivé au collège ou au lycée que je me suis rendu compte que je n’étais pas mauvais et qu’il y avait peut-être possibilité de devenir professionnel”.\\n\\n\\nLe shoot, son arme fatale\\n\\n« Je n’ai jamais été quelqu’un de très à l’aise balle en main. Depuis que j’ai commencé le basket, tout ce que je fais c’est shooter. Je n’ai jamais réellement fait autre chose à part shooter et prendre des rebonds ».\\n\\nLe décor est planté directement. N’allez pas demander à ce gaillard caribéen de partir dans des festivals de dribble pour se retrouver au cercle, il l’avoue lui-même, ce n’est pas son fort, mais si vous avez besoin d’une vraie menace de loin, c’est votre homme. Cette saison, il trouve la mire 41% des fois quand il shoote à trois points et depuis le début des playoffs, c’est 54% de réussite.\\n\\nC’est naturellement, à force de travail qu’il a développé ce bras. En même temps, avec Ray Allen comme modèle... « Devenir un shooteur était quelque chose de plutôt facile pour moi parce que c’est déjà dans ce compartiment du jeu que j’étais le meilleur. Tout ce que j’ai fait c’est travailler pour devenir le meilleur possible. J’ai toujours aimé regarder shooter Ray Allen. Il a une vitesse d’exécution vraiment impressionnante. Aujourd’hui, j’aime bien Stephen Curry parce qu’il shoot vraiment de très loin, mais Ray Allen était mon gars quand j’étais plus jeune ». C’est donc à l’université qu’il a trouvé la recette magique passant de 31% à 44% de réussite entre son entrée et sa sortie de la fac quatre ans plus tard. En Belgique pour sa première aventure professionnelle, au Okapi Aalstar, l’artilleur cubain repasse légèrement sous la barre des 40% (39%), certainement la faute à la découverte du monde pro, en Europe qui plus est. Depuis, il a retrouvé son rythme de croisière, 42% de réussite à Denain et 46% lors de la quête de la Leaders Cup Pro B.\\n\\n« Je ne savais même pas que le record de tirs à trois points marqués dans un match existait avant le match »\\n\\nLe 7 mai dernier, le numéro 23 du SLUC – qu’il porte sans grande raison même si l’influence Michael Jordan et LeBron James est présente – a fait parler la poudre. Sa plus grosse performance en pro. Alors que Nancy accueille Quimper au Palais des Sports Jean Weille, l’ancien pensionnaire de l’université de Barry était incandescent. Face aux Bretons, il inscrit 41 points pour une évaluation de 37 dans la victoire de son équipe. Pour aller chercher une telle stat au scoring, le serial shooteur cubain a usé de ce qu’il fait le mieux : tirer de loin. Sur 22 tentatives, Barrueta a marqué 13 tirs à trois points. C’est un nouveau record en LNB qu’a réalisé l’ailier nancéien, effaçant la performance de Karvel Anderson (BCM Gravelines-Dunkerque) datant de seulement deux semaines plus tôt mais en Jeep Elite (12/22 à trois points contre Fos).\\n\\n« Je ne savais même pas que ce record existait. Je suis sorti du match dans le quatrième quart-temps et nous étions déjà devant de 30 points ou quelque chose comme ça. Je me souviens que quelqu’un du staff m’a dit que j’avais déjà marqué 11 tirs et que le record était de 12. J’ai donc dit au coach que je devais retourner sur le terrain pour battre ce record (rires). Il m’a remis sur le terrain et j’ai mis deux shoots donc c’était parfait », lâche-t-il d’un timide sourire laissant échapper sa satisfaction.\\n\\n\\nLa découverte de l’Europe et de la France\\n\\nOn entend souvent que les Américains en général ne savent pas vraiment comment ça marche en dehors de leurs frontières. Dans le basket c’est pareil et ça se vérifie une nouvelle fois ici. A 23 ans, Barrueta débarque en France avec des images de salles NBA dans la tête, loin des standards européens. « Je m’attendais à ce que ça ressemble un peu plus à la NBA... Je ne savais pas comment c’était. J’ai ensuite appris que c’était un peu différent. J’ai découvert que les infrastructures n’étaient pas si récentes... », confie-t-il d’un sourire coupable avant de louer le professionnalisme du club qui l’a accueilli en premier. « Mais le professionnalisme était là ! Mais ma première année a été géniale ! J’ai adoré jouer en Belgique, la nourriture était bonne, tout était bien, ma femme aussi a aimé. Globalement, pendant ma première saison je me suis surtout familiarisé avec l’Europe. J’ai appris des joueurs, des coachs, j’ai appris sur le basket. C’était très bien ».\\n\\nC’est également lorsqu’il jouait en Belgique que Yunio Barrueta a découvert un pays éloigné de plus de 7 500 kilomètres de Cuba, la France. « J’ai visité Paris et Lille quand je jouais en Belgique. Je me suis directement dit que la France était un endroit incroyable et que j’aimerais jouer ici. J’ai de suite pensé que ça serait une très bonne opportunité pour moi de jouer en France et de faire venir ma femme ici ». Quelques mois plus tard, son souhait s’exauce et Denain lui propose un contrat d’une saison. Même si ce n’est pas une grande ville, Barrueta saisi l’opportunité et signe dans ce petit club basé une ville d’environ 20 000 habitants. « Vivre dans un pays comme la France c’est vraiment bien, il y a tellement de choses ici. Dès que j’ai reçu l’offre de Denain c’était évident pour moi d’accepter. C’est une petite ville, il n’y a pas grand-chose à faire. J’étais là pour le basket, après tout. C’était une petite ville, avec une petite communauté, mais les gens étaient extraordinaires là-bas, glisse-t-il avec sincérité. J’étais vraiment concentré sur le basket mais je n’étais pas trop loin des grandes villes. Paris était à un peu plus de deux heures et Lille à une heure ».\\n\\n« Je pourrais encore rester dix ans de plus en France si c’était possible. »\\n\\nAprès une saison dans le Nord de la France où il a remporté la Leaders Cup Pro B face à Orléans en finale, l’ancien joueur d’Alost signe à Nancy. Un contrat de deux ans dans un club qui vise la remontée en Jeep Elite le plus vite possible. « Je me sens vraiment très bien en France. Je pourrais encore rester dix ans de plus si c’était possible. Je me sens vraiment bien. Si un jour j’étais amené à quitter la France pour une meilleure opportunité, je le ferais, mais je suis vraiment bien ici. Je suis aussi très bien à Nancy ».\\n\\n\\nObjectif Euroleague\\n\\nQuatorzième meilleur shooteur de Pro B au terme de statistiques, Yunio Barrueta a soif de progression dans une division qu’il juge exceptionnelle pour son rang. « La Pro B mérite vraiment du respect. Ça pourrait être la première division de beaucoup de pays, c’est certain ! C’est un très bon niveau, les joueurs sont vraiment athlétiques et ont du talent. Particulièrement les jeunes, les jeunes français ». Pour la suite, il souhaiterait gouter à la Jeep Elite. « Ça serait cool ! J’ai regardé plusieurs matchs, notamment les playoffs. J’aime regarder ce championnat. J’essaye de comprendre les différences entre la Jeep Elite et la Pro B, c’est beaucoup autour du placement. C’est un objectif réalisable. Ce championnat est vraiment respectable, les équipes sont performantes en Champions League, en Eurocup ». Mais son rêve absolu reste l’Euroleague, sans hésiter. « Pour mon futur ? L’Euroleague ! J’adorerais jouer en Euroleague. Je sens que c’est un objectif atteignable pour moi, je pense que je pourrais servir en tant que shooteur dans cette compétition. Je sens que ça serait une incroyable opportunité. Ça serait énorme de jouer à ce niveau, de pouvoir disputer des matchs dans les plus grandes salles d’Europe ».\\n\\n\\nToujours Cuba dans un coin de la tête\\n\\nS’il a quitté Cuba à l’âge de 5 ans avec ses parents pour les Etats-Unis et plus précisément Miami, cet amoureux de sport – il adore pratiquer d’autres disciplines comme le kayak, le tennis de table ou le surf – est toujours attaché à son pays natal où se trouve une grande partie de sa famille. « Ma grand-mère et mes cousins et mes cousins sont toujours à Cuba, j’ai beaucoup de famille là-bas. Malheureusement, ils ne peuvent pas venir aux Etats-Unis ». Il regrette d’ailleurs de ne pas y avoir été depuis de longues années. « J’aimerais y aller l’été prochain pour rendre visite à ma famille ».\\n\\nNon qualifiée pour la coupe du Monde, mais présente sur les événements continentaux comme la AmeriCup, l’équipe nationale de Cuba ne s’est pas encore tournée vers Yunion Barrueta. « J’aimerais jouer pour l’Equipe nationale. S’ils m’appellent ça pourrait être cool, j’y réfléchirais. Pour l’instant la fédération n’est jamais entrée en contact avec moi mais ça serait super ».\\n\\n[armelse]\\n\\nDébarqué aux Etats-Unis alors qu’il était très jeune, cet ailier cubain est tombé un peu par hasard dans le piège de la balle orange. Alors qu’il était enfant, beaucoup de ses amis jouaient déjà au basket et c’est tout naturellement que Yunio Barrueta a été initié. “Finalement, j’ai plutôt apprécié donc j’ai continué à jouer”. Mais loin de lui l’idée de faire le tour du monde pour jouer au basket. “Au début, c’était vraiment que pour le plaisir. C’est quand je suis arrivé au collège ou au lycée que je me suis rendu compte que je n’étais pas mauvais et qu’il y avait peut-être possibilité de devenir professionnel ».\\n\\n\\nLe shoot, son arme fatale\\n\\n« Je n’ai jamais été quelqu’un de très à l’aise balle en main. Depuis que j’ai commencé le basket, tout ce que je fais c’est shooter. Je n’ai jamais réellement fait autre chose à part shooter et prendre des rebonds ». Le décor est planté directement. N’allez pas demander à ce gaillard caribéen de partir dans des festivals de dribble pour se retrouver au cercle, il l’avoue lui-même, mais si vous avez besoin d’une vraie menace de loin, c’est votre homme. Cette saison, il trouve la mire 41% des fois quand il shoote à trois points et depuis le début des playoffs, c’est 54% de réussite.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : SLUC Nancy" }, {"role": "user", "content":"Italie: l’international Christian Burns contrôlé positif aux anabolisants" }, {"role": "assistant", "content":"L’international italien d’origine américaine d’Armani Milan, Christian Burns (2,03m, 33 ans) a été suspendu à titre provisoire suite à un contrôle anti-dopage qui a été effectué le 12 mai après un match face à Trieste. La substance retrouvée est du clostbol, une synthèse des stéroïdes anabolisants-androgéniques.\\n\\nChristian Burns a joué dans différents pays européens. Il a fait ses débuts dans l’équipe nationale italienne en juillet 2017 avant de disputer l’EuroBasket cette année-là. Il n’a tenu qu’un rôle mineur cette saison avec Milan en Euroleague étant utilisé 3’ en moyenne par match." }, {"role": "user", "content":"Italie: Bologne veut faire de Milos Teodosic l’ambassadeur de la marque Segafredo" }, {"role": "assistant", "content":"Segafredo Virtus Bologne, qui s’est contenté de la 11e place du championnat italien avec un bilan tout juste équilibré de 15 victoires et 15 défaites, a pris la décision de demander une invitation (wild card) en EuroCup bien que sa place en Champions League soit garantie du fait d’avoir remporté l’édition 2019.\\n\\nPar ailleurs, le club de l’Emilie-Romagne est toujours en chasse du meneur serbe Milos Teodosic (ex-LA Clippers) et lui propose en bonus d’être l’ambassadeur de la marque de café Segafredo qui a été fondée dans la ville en 1973.\\n\\nToujours au rayon du recrutement, la Virtus va rapatrier de Udine l’ailier serbe Stefan Nikolic (2,03m, 22 ans) qui a été formé au club et est sur la piste d’un autre Serbe, le pivot Ognjen Kuzmic (2,13m, 29 ans) passé par plusieurs grands clubs européens et les Golden State Warriors. L’Etoile Rouge de Belgrade est également sur les rangs.\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Kappa nouvel équipementier du BCM Gravelines-Dunkerque" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir collaboré avec la marque de Fred Weis, Big Sports, pendant un an, le BCM Gravelines-Dunkerque s’engage avec un nouvel équipementier.\\n\\nLe club maritime a annoncé le début d’une collaboration avec la marque italienne, Kappa. Cet accord porte sur une durée de trois saisons. Kappa habillera l’équipe professionnelle, son staff, le Centre de Formation et la boutique officielle du club.\\n\\nPhoto : BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"NM1: Vincent Pourchot va quitter Lorient" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot Vincent Pourchot (2,22m, 26 ans) que nous vous avons présenté récemment dans un large dossier, va quitter le CEP Lorient où il était arrivé il y a deux ans. Le CEP a obtenu son maintien en Nationale 1 après avoir été pénalisé par la FFBB suite à des problèmes administratifs. La destination du pivot originaire de Lorraine n’est pas encore connue mais selon Ouest France, il devrait rejoindre un club de Pro B.\\n\\nLes Américains Jordan Semple et Zach Brown ainsi que Matthieu Missonnier vont également changer de club." }, {"role": "user", "content":"L’Equipe confirme que Alfred Julbe sera le coach de Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Selon L’Equipe, l’Espagnol Alfred Julbe, 58 ans, sera bien comme annoncé précédemment le coach du Limoges CSP la saison prochaine après que celui-ci se soit mis d’accord avec François Peronnet pour rompre son contrat.\\n\\nAlfred Julbe fut l’assistant de la légende Aito Garcia Reneses à la Joventut Badalona avant d’en prendre le coaching et d’être finaliste de la Coupe des Coupes (C2) en 1988 contre... Limoges. Il a ensuite entraîné Gérone, Saragosse, de nouveau Badalone avec qui il a gagné la Coupe du Roi, son seul trophée, Caceres, Saragosse (LEB), Andorre (LEB argent), Gérone, Andorre de nouveau, Léon au Mexique, puis il a pris en main la réserve du FC Barcelone qui opère en LEB Oro. Il a récupéré l’équipe première pour... un match d’Euroleague avant que le Barça ne signe Svetislav Pesic. Il est également le coach de la sélection nationale d’Egypte.\\n\\nL’Espagnol fut à Badalone et Caceres le coach de Crawford Palmer, le nouveau directeur du CSP. Ceci expliquant cela." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Emmanuel Macron: «On ne peut pas sacrifier notre modèle au bénéfice de quelques-uns»" }, {"role": "assistant", "content":"Cette phrase prononcée par le Président de la République et rapportée par L’Equipe ne concerne pas directement le basket-ball mais le football.\\n\\n« Je soutiens totalement le président Le Graët contre la réforme de la Ligue des champions de l’UEFA. Il faut défendre nos clubs, défendre le modèle qui est le nôtre. On ne peut pas sacrifier notre modèle au bénéfice de quelques-uns. »\\nTout ce qui touche au ballon rond que l’on manie avec les pieds est une affaire d’Etat et dans le conflit qui agite le football et le projet de la nouvelle ligue des champions, Emmanuel Macron soutient le modèle pyramidal du sport européen. Et donc par ricochet, même s’il ne s’est pas exprimé sur le basket, il soutient le modèle défendu par la FIBA qui est en conflit avec l’Euroleague et son championnat de plus en plus fermé et autonome.\\n\\nVoilà un soutien de poids pour le modèle européen du sport et dans le recours déposé à l’Union Européenne depuis le 23 mai pour la défense de ce modèle. Qu’en pensent les autres chefs d’Etat ?\\n\\n\\nPhoto: Elysée" }, {"role": "user", "content":"Obtenir un MBA Sports Business de l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"L’Euroleague Basketball Institute organise un MBA Sports Business qui propose aux étudiants d’assimiler toutes les connaissances nécessaires en matière de commerce, marketing, communication, gestion, économie et finance, droit et gouvernance. La formation se fait en 16 mois à partir de septembre prochain et s’adresse aux professionnels actuels et en devenir de l’industrie du sport.\\n\\nDes responsables de l’Université Vytutas Magnus et de l’Euroleague sont chargés d’établir les programmes avec le concours d’experts de l’Université de Bologne, de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et de La Salle.\\n\\nLes conférences sont enseignées en anglais et le coût de la formation est de 9 000 euros.\\n\\nTous les renseignements sont à découvrir ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Vitalis Chikoko quitte Pau pour Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"C’est un gros coup des Levallois Metropolitans qui sont parvenus à enrôler Vitalis Chikoko (2,08m, 28 ans).\\n\\nLe club des Hauts-de-Seine vient d’annoncer l’arrivée pour une saison du pivot international zimbabwéen de l’Elan Béarnais, qui a passé deux ans à Pau. Auteur d’une saison 2018-19 de haute volée, cet intérieur gaucher doté de mains de fée était en course pour être élu MVP de la saison. Il a terminé dans le cinq majeur de la saison.\\n\\nCette saison, Vitalis Chikoko tournait en moyenne à 15,3 points et 7,8 rebonds pour une évaluation de 18,6.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nhttps://twitter.com/LevalloisMetro/status/1136294012141416448\\n\\nPhoto : Eric Traversié" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Isaia Cordinier quitte Antibes et signe à Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"De retour à Antibes après avoir tenté sa chance à Evreux et Denain, Isaia Cordinier (1,91m, 22 ans) va continuer son chemin en Jeep Elite à Nanterre.\\n\\nSur son site, Nanterre annonce la signature du désormais ancien joueur des Sharks pour une durée de deux saisons. Drafté à 44e position par les Atlanta Hawks en 2016, le natif de Créteil était finalement resté en France pour continuer sa progression et gagner en maturité. Après une saison blanche en 2017/18 à cause d’une blessure au genou, la meilleure progression de Pro B en 2016 a fait son retour aux affaires avec Antibes cette saison.\\n\\nCette saison, Isaia Cordinier compilait en moyenne 10,6 points, 3,9 rebonds et 2,2 passes décisives pour une évaluation de 11,3.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"Tony Parker attendu au Mans pour... les 24 heures" }, {"role": "assistant", "content":"Tony Parker sera au Mans la semaine prochaine mais pas pour du basket puisque le MSB a été éliminé en quart-de-finale des playoffs par l’ASVEL, le club dont il est le président.\\n\\nC’est pour assister aux 24 Heures, la célèbre course automobile, que TP se rendra dans la Sarthe. C’est le compte Twitter officiel de l’organisation de la course qui l’annonce. L’ancien international est le parrain de l’écurie française d’endurance auto Idec Sport Racing. Il doit être présent dès le vendredi pour assister à la parade qui rassemble chaque année près de 150 000 spectateurs dans les rues du centre-ville. Cela va lui rappeler celles qui ont célébré les titres de champion NBA à San Antonio.\\n\\nhttps://twitter.com/24heuresdumans/status/1136199480104103942" }, {"role": "user", "content":"La photo : Youssoupha Fall est arrivé à Vitoria" }, {"role": "assistant", "content":"Champion de France avec Le Mans en 2018, Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) s’était engagé dans la foulée avec Vitoria avant d’être envoyé en prêt à Strasbourg.\\n\\nAlors que Strasbourg s’est fait éliminer d’entrée de jeu par Dijon en quart de finale des playoffs de Jeep Elite, le natif de Dakar a quitté Strasbourg pour aller prendre ses quartiers à Vitoria. Arrivé en plein coeur du Pays Basque mardi soir, le Franco-Sénégalais a déjà foulé le parquet de la Fernando Buesa Arena.\\n\\nL’ancien joueur du MSB a eu le droit à une série de tests physiques et médicaux afin de mettre en place un programme de travail personnalisé pour l’été. Le tout sous les yeux de Velimir Perasovic.\\n\\n\\n👋👋👋 Welcome! @youssou15fall\\n\\n🗞️ https://t.co/RpXGgk2EmT#GoazenBaskonia pic.twitter.com/Vqf8R4Rp3d\\n\\n— Baskonia (@Baskonia) June 5, 2019\\n\\n\\nPhoto : Baskonia" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : le CSKA Moscou viserait Kostas Sloukas" }, {"role": "assistant", "content":"Champion d’Euroleague en titre, le CSKA Moscou prépare sa rentrée 2019 et elle va surement devoir trouver un remplaçant à Nando De Colo qui est en fin de contrat.\\n\\nSelon George Zakkas de SDNA, le club moscovite, qui vient de prolonger son coach, songerait à s’attirer les services de Kostas Sloukas. Né à Thessalonique, le meneur de jeu a lancé sa carrière à l’Olympiakos en 2008, prête à l’aristocratisme en 2010/11, il est revenu au Pirée à la fin de la saison avant de s’engager avec le Fenerbahce en 2015.\\n\\nCette saison, Kostas Sloukas tournait en moyenne à 11,8 points, 2,2 rebonds et 4,8 passes décisives pour une évaluation de 15,2 en Euroleague.\\n\\n\\nSDNA source: After renewing Dimitris Itoudis' contract, CSKA Moscow are willing to go hard after Kostas Sloukas this summer. It is possible to see a Greek head coach with 2x Euroleague titles and a Greek guard with 3x Euroleague trophies in the same team next season.\\n\\n— George Zakkas (@ZakkasGeorge) June 4, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La mini-movie de Monaco-Dijon, acte 2 des demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"Cette mini-movie réalisée par l’AS Monaco revient sur la victoire de la Roca Team lors du Match 2 de demi-finale des playoffs contre la JDA Dijon." }, {"role": "user", "content":"L’Anadolu Efes propose plus d’un million d’euros à Johnny O’Bryant (Maccabi Tel-Aviv)" }, {"role": "assistant", "content":"Finaliste d’Euroleague il y a quelques semaines, l’Anadolu Efes commence à préparer la saison prochaine.\\n\\nA la recherche du remplaçant de Tibor Pleiss, la formation d’Ergin Ataman aurait jeté son dévolu sur l’actuel intérieur du Maccabi Tel-Aviv, Johnny O’Bryant (2,06m, 26 ans). Selon le journaliste israélien Roi Cohen, le club stambouliote aurait même transmis une offre de 1,1 million d’euros à l’ancien joueur des Milwaukee Bucks.\\n\\nCette saison, Johnny O’Bryant compilait en moyenne 10,6 points et 5,9 rebonds pour une évaluation de 9,8.\\n\\n\\nAnadolu Efes made a 1.1m deal to Maccabi Tel Aviv's Johnny O'bryant. He tends to move to Turkey\\n\\n— Roi Cohen (@RoiCohen99) June 4, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Ekpe Udoh de retour en Europe la saison prochaine ?" }, {"role": "assistant", "content":"Reparti aux Etats-Unis après avoir passé deux ans au Fenerbahce et y avoir remporté l’Euroleague (2017), Ekpe Udoh pourrait revenir en Europe.\\n\\nCantonné à quelques minutes par match en NBA avec le Utah Jazz depuis deux saisons, le MVP du Final Four d’Euroleague 2017 aurait reçu plusieurs offres venant d’Europe. Selon le Deseret News, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks aurait cinq propositions de contrat à plusieurs millions de dollars entre les mains en provenance d’Espagne, d’Italie et de Turquie.\\n\\nInterviewé en avril, le principal intéressé confiait ne pas avoir eu les opportunités qu’il espérait Outre-Atlantique.\\n\\n« Je n’ai pas eu les opportunités que j’espérais mais j’étais avec une bonne équipe, dans une bonne organisation et j’ai pu construire des relations qui vont durer à vie. Je vais donc juste continuer de pousser, de m’améliorer et on verra ce qui se passera cet été ».\\n\\nEn Euroleague, Ekpe Udoh tournait en moyenne à 12,1 points, 7,8 rebonds et 2,2 passes décisives pour une évaluation de 20,7 en 2016/17." }, {"role": "user", "content":"TV: Deux matches des Bleues sur RMC Story" }, {"role": "assistant", "content":"Comme le rédacteur en chef basket de RMC Sport Cyril Méjane l’annonçait, il y a quelques jours, dans un dossier sur la Ligue Féminine, deux matches de préparation à l’Euro des Bleues vont être diffusés sur une chaîne de la TNT, RMC Story. Il s’agit de France-Serbie le dimanche 16 juin et de France-Chine le 23 juin.\\n\\nRMC Story est l’ancienne Numéro 23, qui a déjà diffusé plusieurs rencontres de basket, et qui a vu le jour en septembre 2018. Elle vient de réaliser une bonne audience (1 482 000 téléspectateurs) avec la retransmission de la finale de la Ligue Europa de football, Chelsea-Arsenal.\\n\\nL’ensemble des matches de préparation de l’équipe de France est par ailleurs programmé sur RMC Sport 2. Pour les deux premiers matches contre l’Ukraine, Céline Dumerc servira de consultante." }, {"role": "user", "content":"Nouveauté : le point sur les transferts des GM et directeurs exécutifs" }, {"role": "assistant", "content":"En plus des joueurs et des coaches, ce sont les dirigeants des clubs, principalement de Jeep Elite, qui passent d’un club à un autre en cette fin de saison que ce soit des manager généraux, des directeurs exécutifs ou des directeurs sportifs. Nous vous offrons un état des lieux des va-et-vient à l’approche de l’intersaison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAlors que tous les clubs commencent à mieux se structurer, notamment avec le poste de Directeur Sportif qui deviendra obligatoire dans les années à venir, ils sont plusieurs à avoir trouvé un poste ou à avoir changé de club.\\n\\nLe plus célèbre, c’est Crawford Palmer. Ancien international français, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000, un temps directeur sportif auprès de l’équipe de France, le Franco-Américain est arrivé à l’Elan Chalon en juillet 2018 en tant que Directeur Sportif pour épauler Jean-Denys Choulet qui gérait quasiment seul le terrain. Alors que, selon nos informations, il n’allait pas être reconduit par Chalon, l’ancien joueur de Villeurbanne a répondu à l’appel de Céline Forte qui lui a proposé de remplacer Olivier Bourgain au poste de Directeur Sportif du Limoges CSP. Ils se connaissaient depuis l’époque où Frédéric Forte était son équipier à Strasbourg. Du côté de Chalon, Crawford Palmer ne sera pas remplacé. C’est Philippe Hervé, arrivé en tant que coach, qui aura en charge de tout le sportif.\\n\\nL’autre changement de taille a lieu au BCM Gravelines-Dunkerque. Alors que le club a remercié son coach Julien Mahé et son Directeur Sportif Arnaud Marius et que son Directeur Administratif et Financier Boris Luce est parti au Orléans football, il fallait trouver leurs remplaçants. Directeur Opérationnel du Paris Basketball, Romuald Coustre est celui qui a été choisi pour remplacer Arnaud Marius. Proche du Directeur Exécutif Hervé Beddeleem, le fondateur de What If ? va retrouver le club dans lequel il a été Général Manager entre 2004 et 2013. Au BCM, il reprendra également les fonctions de Boris Luce.\\n\\nChez les Levallois Metropolitans, qui deviendront les Metropolitans 92 à la rentrée suite au rapprochement entre les villes de Levallois et de Boulogne-Billancourt, Alain Weisz et Freddy Fauthoux auront un coup de main du côté de l’administratif. Jean-Charles Bregeon, Manager General de Nancy et au club depuis 2003, a côtoyé l’ancien sélectionneur de l’Equipe de France entre 2013 et 2016 au SLUC et aussi auparavant à Montpellier. Il quitte donc la Lorraine pour la région parisienne.\\n\\nAu Portel, après une saison compliquée qui s’est ponctuée par une seizième place au classement, les joueurs de l’ESSM ont frôlé la catastrophe et la relégation en Pro B. A sa tête depuis 2012, Eric Girard pourrait passer le flambeau à un nouvel entraîneur tout en restant au club. L’ancien coach de la SIG songe à prendre le poste de Directeur Sportif, qui n’existe pour le moment pas au Portel.\\n\\nEnfin, alors que l’ASVEL fera son retour en Euroleague à la rentrée, elle a changé de Manager General. Yohan Sangaré quitte le club pour une nouvelle fonction aux Etats-Unis et François Lamy arrive au club comme « Conseiller spécial ». Président du club villeurbannais, TP a pris conscience que l’ancien agent qui oeuvrait en France et en Lituanie pour You First lui sera plus utile que l’ancien joueur d’Orléans au moment de faire son entrée en Euroleague.\\n\\nEn plus de ces mouvements, ils sont plusieurs à être sur le marché et pour l’instant sans employeur. On pense d’abord à Olivier Bourgain, qui a été remercié par le CSP, tout comme son ancien président Youri Verieras. L’ancien bras droit de Frédéric Forte se serait, selon nos informations, notamment rapproché du SLUC Nancy. Audrey Sauret et Julien Monclar auraient aussi été approchés par le club nancéien, sans succès.\\n\\n[table id=173 /]\\n\\n[armelse]\\n\\nAlors que tous les clubs commencent à mieux se structurer, notamment avec le poste de Directeur Sportif qui deviendra obligatoire dans les années à venir, ils sont plusieurs à avoir trouvé un poste ou à avoir changé de club.\\n\\nParmi les plus célèbres il y a évidemment Crawford Palmer. Ancien international français, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000, l’ancien joueur de Strasbourg est arrivé à l’Elan Chalon en juillet 2018 en tant que Directeur Sportif pour épauler Jean-Denys Choulet qui gérait quasiment seul le sportif. Alors que, selon nos informations, il n’allait pas être reconduit par Chalon, l’ancien joueur de Villeurbanne a répondu à l’appel de Céline Forte qui lui a proposé de remplacer Olivier Bourgain au poste de Directeur Sportif du Limoges CSP. Du côté de Chalon, Crawford Palmer ne sera pas remplacé. C’est Philippe Hervé, arrivé en tant que coach, qui aura en charge tout le sportif.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Crawford Palmer Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Le Cedevita Zagreb et Olimpija Ljubljana fusionnent !" }, {"role": "assistant", "content":"C’est une grande première en Europe: deux clubs de haut niveau de deux pays différents fusionnent pour ne plus faire qu’une équipe. Il s’agit du KK Cedevita Zagreb de Croatie et d’Olimpija Ljubljana de Slovénie sachant que 150km séparent les deux villes qui appartenaient auparavant à l’ancienne Yougoslavie.\\n\\nLe nouveau club sera intégré à la Ligue ABA, la Ligue Adriatique et disputera l’Eurocup. Les matches à domicile se joueront dans la capitale slovène, dans la Stocize Arena où s’est déroulé l’Eurobasket 2013.\\n\\n» C’est la première fois que deux clubs professionnels de deux pays fusionnent. C’est une nouveauté en Europe. C’est pourquoi nous sommes particulièrement enthousiastes. Dans la NBA, il est courant que les franchises changent de siège mais ce mouvement est avant-gardiste en Europe. Rejoindre KK Petrol Olympia est une étape logique pour l’avenir », a déclaré le président du KK Cedevita, Emil Tedeschi, lors de la cérémonie de présentation de la nouvelle équipe qui, en outre, a fait réaliser un nouveau logo issu de la fusion des deux précédents." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Max Kouguere vers Roanne ?" }, {"role": "assistant", "content":"En pleine convalescence après une double fracture du poignet qui a mis fin à sa saison début avril, Max Kouguere (1,98m, 32 ans) ne devrait pas accompagner Antibes en Pro B.\\n\\nSelon Yann Ohnona, l’international centrafricain pourrait rebondir chez le champion de France Pro B et promu en Jeep Elite, Roanne. Il connaitrait ainsi son sixième club de Jeep Elite après, Gravelines-Dunkerque, Le Mans, Le Havre, Orléans, Pau et donc Antibes. Fort de neuf saisons au plus haut niveau français, il apporterait toute son expérience à un club qui fait son retour dans l’Elite après cinq saisons en Pro B.\\n\\nCette saison, Max Kouguere a compilé en moyenne 5 points, 2,7 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 5,1.\\n\\n\\nMax Kouguere (Antibes) proche de signer à Roanne pour la saison prochaine, en Jeep Elite. #LNB\\n\\n— Yann Ohnona (@yohnona) June 4, 2019\\n\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"Le site de la FFBB victime d’une cyber-attaque" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis plusieurs jours, le site de la FFBB est accessible, mais il est impossible de naviguer dessus.\\n\\nVia un communiqué, la Fédération Française de Basketball indique qu’il a été victime d’une attaque informatique qui bloque l’accès aux « différents serveurs de la FFBB, ses dossiers et son outil de gestion des championnats ». Le personnel de la FFBB et toutes les personnes ayant une adresse e-mail en ffbb.com ne peuvent pas non plus envoyer ni recevoir de mail.\\n\\nLe service informatique de la fédé est actuellement sur le pont et tente de régler le problème au plus vite." }, {"role": "user", "content":"Italie : Brad Wanamaker et Aaron White dans le viseur de Milan" }, {"role": "assistant", "content":"La saison étant prématurément terminée pour Milan, les dirigeants se tournent vers l’exercice 2019/20.\\n\\nVainqueur de l’Euroleague en 2018 avec le Fenerbahce, Brad Wanamaker (1,93m, 29 ans) ferait partie des cibles du club lombard, comme le rapporte Sportando. Passé par Limoges, Bamberg ou encore Darussafaka, le natif de Philadelphie a déjà séjourné en Italie, à Taramo en 2011, Forli en 2012 et Pistoia en 2013/14. Cette saison, il faisait partie de l’effectif des Boston Celtics dans lequel il n’a eu le droit qu’à une poignée de minutes.\\n\\nLa saison dernière, Brad Wanamaker tournait en moyenne à 11,3 points, 2,7 rebonds et 3,8 passes décisives pour une évaluation de 12,9.\\n\\nL’autre cible préférentielle de l’Olimpia Milano est Aaron White (2,06m, 26 ans). Ailier fort du Zalgiris Kaunas depuis 2017, il a lancé sa carrière à Bonn en 2015, avant de rejoindre le Zenith Saint Petersbourg un an plus tard. Coéquipier de Leo Westermann en Lituanie, il semblerait que les Washington Wizards aient un oeil sur lui. Une offre de Milan lui aurait été transmise, mais il pourrait faire de sa priorité la NBA.\\n\\nCette saison en Euroleague, il tournait à 8,2 points et 4,2 rebonds pour une évaluation de 10.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Russie : Le coach Dimitris Itoudis deux ans de plus au CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de l’Euroleague il y a quelques semaines et en lice pour le titre de VTB League, Dimitris Itoudis (48 ans) vient d’être reconduit à la tête du CSKA Moscou.\\n\\nArrivé au club en 2014, le double champion d’Euroleague a prolongé son contrat avec le club moscovite jusqu’à la fin de la saison 2020/21. Avant d’atterrir à Moscou, le technicien grec est passé par Zagreb, le Panathinaïkos en tant qu’assistant ou encore Banvit.\\n\\n\\nDimitris Itoudis to continue coaching CSKA!\\n\\nHead coach @ItoudisD signed the new contract with our club until the end of 2020-21 season.#CSKAbasket pic.twitter.com/t0hq7yMQD2\\n\\n— CSKA Moscow (@cskabasket) June 4, 2019\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"N3M & N3F: les plateaux des finales sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"Le week-end dernier se déroulaient à Bourges les dernières rencontres qualificatives pour les Finales à Six. Il manquai seulement à l’appel les trois clubs féminins métropolitains qui devaient gagner leur ticket pour Eaubonne lors d’un tournoi à quatre.\\n\\nL’équipe de ALPC Moulin Nantes Basket (44), après avoir dominé son mini-championnat lors de la deuxième phase a remporté son match de qualification en dominant l’AS Tullins Fures (38) dans une rencontre particulièrement serrée (74-67).\\nDans le deuxième match, l’E. Le Chesnay Versailles 78 a écarté l’Amicale Laïque Lons Le Saunier (39) de la plus petite des manières en s’imposant d’un point (52-51). Tout comme l’équipe nantaise, ces deux clubs avaient logiquement dominé leur mini-championnat lors de la deuxième phase.Pour la troisième et dernière place qualificative, les deux équipes perdantes lors des matchs du samedi se rencontraient avec l’espoir d’obtenir le dernier billet pour Eaubonne. Au terme d’une belle bataille, les\\njoueuses de Lons Le Saunier ont pris le meilleur sur l’AS Tullin Fures (67-56).\\nC’est à l’issue de ces Finales à Six qui se déroulent les 8,9 et 10 juin à Eaubonne et Saint-Gratien que les vainqueurs seront officiellement sacrés Champion de France de Nationale 3.\\nSamedi 8 juin :\\nNationale Féminine 3\\n15h00 : AS 6EME KM BB / AMICALE LAIQUE LONS LE SAUNIER\\n17H30 : LA TAMPONNAISE BB / ALPC MOULIN NANTES\\n20H00 : US SINNAMARY / LE CHESNAY VERSAILLES\\nNationale Masculine 3\\n15H00 : ETOILE DE L’OUEST POINTE NOIRE / LILLE METROPOLE BASKET CLUBS\\n17H30 : AS EXCELSIOR / HYERES TOULON VAR BASKET\\n20H00 : BASKET CLUB SAINT-PAUL / UNION POITIERS BASKET 86 – 2\\nDimanche 9 juin :\\n15H00 : CLASSEMENT 5ÉME/6ÉME PLACE FÉMININ ET MASCULIN\\n17H30 : DEMI-FINALE N°1 FÉMININE ET MASCULINE\\n20H00 : DEMI-FINALE N°2 FÉMININE ET MASCULINE\\nLundi 10 juin :\\n11H00 : PETITE FINALE FÉMININE ET MASCULINE\\n13H15 : FINALE FÉMININE\\n15H00 : FINALE MASCULINE" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Saint-Chamond gagne d’un point à Nancy et file en demi !" }, {"role": "assistant", "content":"Quel exploit ! Parmi les plus petits budgets de Pro B (16e sur 18), Saint-Chamond est allé l’emporter sur le parquet du SLUC Nancy, candidat à la montée, pour se qualifier en demi-finale des playoffs d’accession en Jeep Elite.\\n\\nBattus au match aller, les joueurs d’Alain Thinet avaient mis une rouste aux Nancéiens lors du match retour à Saint-Chamond. Pour la belle, les deux équipes avaient de nouveau rendez-vous au Palais des Sports Jean Weille de Nancy ce mardi soir.\\n\\nDevant 73-54 pour débuter le quatrième quart-temps, les joueurs de Christian Monschau regretteront longtemps cette dernière période qu’ils ont perdu 30 à 10 ! C’est le Tunisien Makram Ben Romdhane qui a donné la victoire à son équipe grâce à un panier à trois points inscrit à six secondes du buzzer final. MVP de la rencontre, Mathieu Guichard a compilé 12 points, 6 rebonds et 9 passes décisives pour une évaluation de 25. Boxscore ici.\\n\\nSaint-Chamond affrontera donc Orléans en demi-finale des playoffs de Pro B. Premier match vendredi soir à Orléans.\\n\\n\\nEt voici la panier à 3 pts de Makram Ben Romdhane qui donne la victoire et la qualification au @SCBVG à 6 sec de la fin sur le parquet du @SLUCbasketNancy !#playoffs pic.twitter.com/tTHUmjneL3\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 4, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Demi-finale Jeep Elite: Villeurbanne use Nanterre, 82-70" }, {"role": "assistant", "content":"Copieusement dominé au rebond (40 à 18!), empêché d’avoir des tirs libres, Nanterre s’est incliné une deuxième fois à Villeurbanne, 82-70. Avec l’appui de leur public chaleureux les Nanterriens pourront-ils éviter le coup de balai? Réponse vendredi.\\n\\nOn sentait dans les premiers échanges que Nanterre avait l’intention de ramener un succès de son séjour dans le Rhône. Avec l’Islandais Haukur Palsson à la finition (18 points et 20 d’évaluation au total) et Nick Johnson en parfait relais de Jeremy Senglin, les banlieusards parisiens prenaient la direction de la manœuvre (12-16). Seulement, l’ASVEL rendait coup sur coup et Miro Bilan faisait admirer sa clairvoyance.\\n\\nLe speaker de l’Astroballe et une grosse caisse tentaient de réveiller un public bien timoré alors que pourtant la bataille faisait rage. Dans son rôle de l’assassin silencieux, Amine Noua (14 points) était encore excellent. Les changements de leader au score se multipliaient. La pression défensive tout terrain de l’ASVEL s’intensifiait en fin de quart-temps, Nanterre perdait 6 ballons en dix minutes mais limitait l’écart à -3 à mi-parcours (44-41).\\n\\nLes athlétiques Villeurbannais cueillaient beaucoup de rebonds offensifs (15) et leur défense continuait d’être harassante. Ils menaient sans cesse au score dans ce troisième quart-temps mais ils ne parvenaient pas pour autant à décramponner les tenaces nanterriens.\\n\\nAvec son banc XXL et dans une Astroballe à la chaleur suffocante, l’ASVEL menait une guerre d’usure. A 6 minutes de la fin, elle prenait pour la première fois dix points d’avance (71-61). Ce n’était pas beau mais robuste, sans moments faibles. Mantas Kalnietis (14 points) contrôlait le tempo et envoyait quelques missiles en pleine cible. Finalement, il n’y a pas eu de suspense.\\n\\nLa boxscore est ici." }, {"role": "user", "content":"Rétro: Bill Sweek, le roman d’un gagneur" }, {"role": "assistant", "content":"Ancien discipline de John Wooden à UCLA où il fut l’équipier de Lew Alcindor, alias Kareem Abdul-Jabbar, Bill Sweek fut ensuite un coach étoilé en France, finaliste de la Coupe des Champions avec Clermont, deux fois champion avec Le Mans et qui imposa ensuite sa griffe à Monaco.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi vous allez un jour à Los Angeles, faites un tour jusqu’au village de Westwood, ce n’est pas très loin de la plage de Malibu, vous ne pouvez manquer le panneau indiquant UCLA. Garez votre voiture de location au parking de l’université, presque aussi spacieux que celui de la Tour Maine-Monparnasse, faites un peu de shopping à la boutique du campus\u2009; on y trouve à foison les maillots, shorts, chaussettes, et toutes sortes de bricoles, estampillées du sigle fameux, qui épateront vos petits camarades à votre retour en France. Allez humer l’odeur du Pauley Pavillion. Et surtout n’oubliez pas de visiter le Hall of Fame, le Musée du Sport de ce college californien pas comme les autres. Que dis-je, allez vous y recueillir\u2009!\\n\\nC’est sur deux étages. Sur des panneaux muraux sont affichées photos et coupures de presse relatant les exploits des Bruins dans toutes les disciplines\u2009; et puis des coupes, des trophées, des dizaines. Impressionnant. Le gros du butin a été ramené par les basketteurs. John Wooden est à la place d’honneur. Dix fois, lui et ses petits gars, ont raflé le titre NCAA. Inégalé, inégalable probablement.\\n\\nUn trophée en bois avec une photo légendée symbolise chaque titre. Approchez-vous. Sur trois d’entre eux on reconnait, maillot numéro 45, bien propre sur lui, le torse bombé, Bill Sweek. Faites maintenant un effort d’imagination. Plongez dans le Pacifique à la fin des années soixantes. L’eau y est tiède presque toute l’année. Les filles sont craquantes comme des chips Flodor. Les bagnoles sont plus grandes que le jardin de mon oncle. La vie est facile.\\n\\nPourtant en cette fin des années 60, part de Berkeley un immense courant de révolte, un véritable raz-de-marée qui va ébranler les institutions du pays. Les étudiants en ont marre d’obéir à leurs profs’ sans sourciller. Ils se sentent concernés de près par la politique menée à Washington. Tu parles\u2009! Au Vietnam, on joue Apocalypse Now, mais ce n’est pas du cinéma. Les jeunes californiens bronzés n’ont pas envie de partir à la guerre.\\n\\nIls se laissent pousser les cheveux, et accrochent des fleurs à leur collier de barbe. Peace and love. On va les appeler les hippies. Ils font des sit-in sur les pelouses des campus et goûtent à l’herbe. Ils mettent au rebut les disques aseptisés des Beach Boys et planent en écoutant Grateful Dead ou Jefferson Airplane.\\n\\nBill Sweek a encore les cheveux coupés courts et bien dégagés autour des oreilles. John Wooden, son coach, ne badine pas avec la bonne tenue de ses boys. Boys\u2009? Wooden a appris à ne plus appeler ainsi ses joueurs de race noire. Eux aussi sont en révolte. À commencer par son pivot filiforme et introverti, Lew Alcindor, qui dévore les bouquins de Malcolm X et s’initie à l’islam. Un peu plus tard, il se fera appeler Kareem Abdul-Jabbar.\\n\\nEn traînant les pieds\\n\\nBill Sweek est un veinard. Il joue avec le meilleur basketteur collégien de tous les temps, et il est coaché par John Wooden, qui est, lui, le meilleur entraîneur du monde.\\n\\nLes rapports de Bill avec ces deux-là n’ont pas toujours été sans nuage. La première fois que Sweek aborde Alcindor, c’est le jour de la traditionnelle séance de photos d’avant-saison. «\u2009Tu n’es qu’un petit blanc de classe moyenne, un raciste\u2009!\u2009», tonne Alcindor. «\u2009Qu’est-ce qui te permet de dire ça\u2009? Tu ne me connais même pas\u2009!\u2009», répond Sweek. Les deux hommes apprendront à s’apprécier, à devenir amis, au fil des semaines et des matches. Ils en gagneront tellement de matches ensemble. Et trois titres universitaires, en trois ans.\\n\\nDans son autobiographie, Giant Steps, Alcindor-Jabbar consacre un long paragraphe à Bill Sweek, qui permet d’avoir une première approche du personnage. Voici un extrait : «\u2009Sweek était un joyeux drille, typiquement Californien du sud, avec beaucoup de culot. Il voyait toujours le bon côté de la vie. Il était aussi un peu provocateur.... Lors d’un déplacement de l’équipe, Jim Nielsen mit Sweek au défi de piquer une tête dans la piscine de l’hôtel. On était en janvier à Oakland. Mais ça n’empêcha pas Sweek d’enlever ses chaussures et ses vêtements de sport et de plonger dans l’eau froide. Il gagna ses 20 $, et immédiatement s’attira la foudre du coach Wooden\u2009».\\n\\nSweek, c’était le boute-en-train de l’équipe. Un rebelle aussi. Ses rapports avec Wooden furent comme ceux d’un père avec un fils turbulent. Orageux. Wooden avait l’habitude. Avant Sweek, il avait déjà eu mal à partir avec des types comme Keith Erickson ou Johnny Green. «\u2009Des gars qu’il aimait beaucoup, mais avec qui il était spécialement dur\u2009», dit Sweek.\\n\\nAttention, Bill va en raconter une bonne. Sachez auparavant qu’il fut au cours de sa carrière à UCLA le 6e homme patenté de l’équipe. Un battant que Wooden lançait en piste dans les moments de haute tension. «\u2009C’était mon caractère. Et aussi pour moi le seul moyen de jouer. Je n’étais ni un shooteur ni un rebondeur. Mais j’avais du jus, j’étais plus agressif que Jabbar, par exemple, qui le devenait seulement quand il était vexé\u2009».\\n\\nAlors, cette anecdote\u2009? Voilà. Nous sommes en 69. C’est la dernière saison de Sweek à UCLA. Son 89e match sur les 90 qu’il a disputés avec les Bruins. Demi-finale NCAA contre Drake. Autant dire que ça chauffe, toute la presse, les télés, sont là.\\n\\n«\u2009Cette saison-là, j’étais dans le cinq majeur, mais un autre gars qui voulait jouer était allé pleurer dans les bras de Wooden. Je redeviens 6e homme. Le temps passe. Je finis par rentrer, je me suis retrouvé meneur. Je perds la balle une fois. Wooden me sort tout de suite, au bout de 2-3’. Je n’étais pas content, mais je n’ai rien dit. Deuxième mi-temps. Il me laisse toujours sur le banc. Vers la fin, il me fait signe. D’habitude, je rentrais toujours sur le terrain très motivé, mais pour lui montrer que je n’étais pas content, cette fois-là, j’y vais en traînant les pieds. Puisque c’est ça, me dit-il, tu n’as qu’à te rasseoir\u2009! Je dis, OK\u2009! Le match continue, nos deux arrières sont éliminés pour cinq fautes. Wooden a dû faire appel à un jeune qui ne jouait jamais. On gagne péniblement de trois points. Moi\u2009? Je suis parti avant la fin aux vestiaires, j’ai demandé la clé aux flics. On était dans le Kentucky, à 4\u2009000 km de Los Angeles, je voulais rentrer en stop\u2009! Quand Wooden a pénétré dans notre vestiaire, j’étais sous la douche. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Il avait les veines qui allaient éclater... tiou... tiou... J’ai cru qu’il allait me tuer\u2009! Je n’avais plus rien à perdre. Je lui ai dit tout ce que j’avais sur le cœur\u2009».\\n\\nVous imaginez Wooden. Lui faire ça le soir d’une demi-finale, alors qu’il était en train de battre tous les records. Ceux d’Adolph Rupp, de Kentucky, en particulier. «\u2009Il ne l’avait jamais dit, mais on savait qu’il n’aimait pas Rupp\u2009».\\n\\nÉvidemment, je n’ai pas pu résister à l’envie de lui poser LA question :\\n\\n— Dis donc, Bill, si un gars te faisait ça à ton tour le jour où Monaco se retrouve en demi-finale des playoffs\u2009?\\n\\n—J’aurais du mal à accepter. Peut-être que j’aurais la même réaction que Wooden (rires). Toutefois j’espère que je ne provoquerais pas chez mes joueurs l’attitude que j’ai eue. J’essaye de faire des efforts de communication avec eux, c’est ce qui faisait défaut à Wooden sur la fin. Il avait beaucoup de pression. Il avait de la réussite, et il voulait faire plus, toujours plus. Wooden disait, la 3e année, on ne joue pas pour gagner, mais pour éviter de perdre. C’est un autre état d’esprit\u2009».\\n\\nSweek n’est pas un ingrat, et sait tout ce qu’il doit au sorcier de Westwood. John Wooden était un ancien All America de Purdue (l’université de Bob Purkhiser et Tom Scheffler), qui prit en mains UCLA alors un sans-grade, et qui en fit une machine à gagner, sans super-joueur au début, le premier véritable de la liste étant Alcindor. «\u2009C’était un type très organisé, très fort psychologiquement. Une étude a été faite sur lui. Des psychologues sont venus nous suivre pendant huit jours pour faire un article. Ils ont noté tous les commentaires qu’il faisait aux joueurs. Quand il adressait une réprimande, l’instant d’après il expliquait ce qu’il fallait faire. On savait toujours ce qu’il attendait de nous. Tous ceux qui l’ont eu sont des adeptes de Wooden. Dix ans après, on s’est retrouvé entre anciens de UCLA pour des petits matches entre nous, et on appliquait tous ses systèmes. Et puis, ce qui était bien avec Wooden, c’est qu’il a su évoluer avec tout ça, la drogue, les manifs... ».\\n\\n(Les haut-parleurs du resto mexicain de Villefranche, tenu par un franco-américain originaire du Texas, déversent des flots de country-music. À cet instant-là, de la conversation, Debbie, la femme de Bill, une ancienne de UCLA, elle aussi, intervient. 🙂\\n\\n«\u2009Je remarque que lorsque nous avons quitté UCLA, Bill ne disait pas que Wooden était un super-coach comme maintenant. Il avait beaucoup de ressentiment contre lui. Il me disait que Wooden donnait carte blanche aux vedettes, mais qu’il était beaucoup moins souple avec ceux du banc, mais comme Bill a un peu vieilli, il voit ça différemment maintenant\u2009».\\n\\n«\u2009C’est vrai\u2009», reconnait Bill. «\u2009Quand j’ai plongé dans la piscine, ses adjoints ont trouvé ça drôle, mais pas Wooden. Il m’a puni pour 2-3 matches. La dernière année, c’était différent, il avait davantage besoin de moi. Larry Schofield conserve un souvenir amer de Wooden. Un jour, lui et moi, on avait fait une bataille de seaux d’eau, et on avait inondé notre chambre, Wooden l’avait appris. Schofield n’a plus joué. Wooden punissait les remplaçants, pas les titulaires\u2009».\\n\\nUne bataille de seaux d’eau... Dites donc, on ne s’ennuyait pas à UCLA en ces temps-là.\\n\\nEn finale de Coupe des Champions avec Clermont\\n\\nWilliam et Deborah Sweek quittent UCLA. Commence alors ce que Thierry Bretagne appela dans un article paru dans L’Équipe : «\u2009La vie tourmentée de Billy The Caïd\u2009».\\n\\nBill est recalé chez les pros. Il ne veut pas faire le Vietnam. Les Sweek envisagent de se réfugier au Canada. «\u2009C’était la première fois que les jeunes Américains se rebellaient contre l’armée. Les familles avaient du mal à comprendre ça. Mon père, qui est un type costaud, était Marine. Il a d’ailleurs été envoyé en Nouvelle-Calédonie, je lui ai dit à l’époque que je ferai tout pour éviter de me faire enrôler\u2009». Bill joue quelques matches dans une ancienne ligue semi-pro, l’Eastern League, tout en donnant des cours d’anglais. Il tourne un film avec Jack Nicholson, «\u2009Vas-y fonce\u2009!\u2009». Un pamphlet antimilitariste. Toujours pour éviter de recevoir des bombes sur la gueule, il s’engage dans les Peace Corps, ces bataillons de coopérants créés par John Kennedy. S’installe en Tunisie. Devient entraîneur-joueur d’un club local. Puis coach de la sélection nationale. Rencontre Jim Mc Gregor. S’inscrit dans les troupes de choc de l’Américain au crâne dégarni dont la seule mission était d’envoyer des gars envoyer des ballons de basket dans des paniers aux quatre coins de la planète. Puis se retrouve à Paris, au Stade Français, en Nationale 2. Tout en donnant des cours de sports au lycée américain de la capitale. Ça n’a qu’un temps. Debbie et lui retournent en Californie, à Santa Barbara, pour faire une 5e année universitaire et obtenir leur diplôme.\\n\\nLes Sweek pourraient être aujourd’hui des yuppies, ces paisibles quadragénaires, ces ex- révolutionnaires, qui sont rentrés de plain-pied dans le système. Comme le fameux Jerry Rubin, ou l’ex-pasionaria, l’actrice Jane Fonda devenue une redoutable femme d’affaires body-buildée, on peut imaginer Bill, qui a fait des études en sciences politiques, un attaché-case à la main, performant dans son business, effectuant un footing le dimanche pour garder la forme, propriétaire d’une petite maison en bois à Laguna Beach, là où il allait, gamin, passer ses vacances. Mais il était dit que sa destinée était marquée du sceau de l’aventure.\\n\\nBill en a vite sa claque des boulots à la petite semaine, barman, jardinier. Il reçoit deux propositions de job venues de France. Celle de Bagnolet le laisse froid. Il n’aime pas le côté bricolo du patron parisien. À celle du Clermont UC, à la surprise de sa femme, il répond : «\u2009j’arrive\u2009! ».\\n\\nEn trois saisons, il va faire sa réputation. Celle d’un winner.\\n\\nJacky Chazalon a pris sa retraite. Au CUC, Bill trouve une équipe qui s’est laissée peu à peu gagner par la routine. Il bouscule les valeurs établies, donne des tickets de jeu à Maryline Joly et Agnès Sainte-Croix, deux jeunes à qui le survêtement collait à la peau. Le CUC empoche un 10° titre, et va faire trembler Riga en finale de la Coupe d’Europe des Clubs Champions.\\n\\nSweek a offert aux Clermontoises les deux faces de sa personnalité. Il est le premier à apprécier la vie nocturne, il est copain-copain hors du terrain, mais en baskets, c’est lui le chef.\\n\\n«\u2009Ce n’était pas un inconvénient d’avoir le même âge que certaines joueuses. Elles étaient déjà habituées avec (Joe) Jaunay à la discipline. Les filles, elles sont plus malignes que les garçons. Quand elles font des conneries, on ne les remarque pas. Et puis, quand j’arrivais avec 5’ de retard à l’entraînement, je les voyais avec un ballon dans les mains, mais elles discutaient. Dans les mêmes circonstances au Mans, les gars avaient commencé à shooter. Ça m’a marqué ce truc-là”.\\n\\nLes méthodes américaines, nouvelles, avaient remotivé les Clermontoises. Ça ne suffira pas à expliquer les succès à répétition au Mans. Le SCM, à l’armada surpuissante, se languissait de décrocher le gros lot. La venue d’un premier coach américain, Bob Andrews, n’avait pas empêché les Manceaux de faire encore chou blanc.\\n\\nSweek, barbu, s’assoit pour la première fois sur le banc sarthois de la salle Gouloumès à l’occasion d’un trial, un essai d’une demi-douzaine d’Américains qui s’entrechoquent sous les panneaux pour empocher le morceau. “C’est celui-là que je veux\u2009!” dit Sweek en désignant un noir à barbichette, le plus discret de la bande. Celui, plutôt, qui a le moins joué à l’épate, un sobre, mais efficace, James Lister. Le frère ainé du professionnel de Seattle sera un centre catalyseur, le plus qui fait la différence.\\n\\nSweek fera d’un groupe de stars, parfois en bisbille, un bloc indestructible. Douze victoires d’affilée pour commencer. En employant la manière forte. Le soir du match à Antibes est entré dans l’histoire. Le Mans est à la peine. “Je m’en fous si vous prenez 50 points” hurle Sweek à la mi-temps. “En attendant, jouez comme je vous l’ai appris. Après je ferai mon autocritique”. Inutile, les Manceaux, de nouveau solidaires avec les idées de leur coach, gagneront de 4 points. In Sweek we trust.\\n\\nDeux titres nationaux seront à l’arrivée, en 77, et en 78 alors que Lister avait pourtant laissé sa place au fébrile Randy Gentry.\\n\\nBill Sweek est entré dans la légende.\\n\\nUn long intermède chez Adidas\\n\\nQui est Bill Sweek aujourd’hui\u2009? Docteur Jekill et Mister Hyde\u2009? Un peu, même si la référence parait excessive, Bill Sweek quand on l’approche comme ça, la première fois, dans le civil, à une soirée, c’est quelqu’un d’extrêmement réservé, pudique, pondéré. Clean, très BCBG même depuis qu’il a abandonné le look soixante-huitard californien.\\n\\nMais c’est de la lave en fusion qui se cache sous cette apparente tranquillité. Le Bill Sweek de 40 ans (bientôt...), c’est le même que celui de UCLA. Un type qui ne supporte pas l’injustice, l’autorité qui abuse de son autorité, un impulsif, un gagneur. Un passionné surtout. Un perfectionniste, qui accepte mal ceux qui trichent ou qui font leur boulot avec l’esprit fonctionnaire.\\n\\nSes commentaires sont parfois taillés au scalpel. Des exemples. “Au Mans, ils étaient deux surtout à être contents quand on avait gagné, Beugnot et Cain. Dubuisson, il s’en foutait. S’il marque son panier à trois points, s’il fait son smash, il est content. Hersin, il était comme ça. J’aime les gens qui font le maximum, qui ne se retiennent pas. Un type comme Hufnagel, par exemple. Il a du caractère, et en plus c’est un mec sympa, simple, honnête, quand j’ai pris Garnier, les gens en France disaient : il a du caractère. Pour eux, c’est négatif. Pour moi, c’est positif. Wooden m’avait dit la même chose : toi, tu as le spirit, j’aime beaucoup Christian. Je n’aime pas les mous, ceux qui ne veulent pas en faire plus. Ça m’énerve”.\\n\\nSweek qui n’a pas la langue dans sa poche, c’est aussi ce coach qu’on a entendu, récemment, interviewé par Bernard Père à la mi-temps d’Antibes-Monaco:\\n\\n—Alors, cette première mi-temps, aucun problème\u2009?\\n\\n— Non. Juste avec la table. Ce sont des gens qui sont proches de la retraite. Il faudrait mieux mettre des jeunes.\\n\\nCette impulsivité a conduit Bill à des excès qu’il réprouve. Son coaching fourmille d’anecdotes croustillantes.\\n\\nUn soir à Limoges, il a été viré de son banc. Il s’était levé, avait pris sa serviette blanche, et l’avait agitée comme pour dire “je me rends\u2009!\u2009». Le lendemain, il écrivait une lettre à Christian Marzin en s’excusant de son comportement.\\n\\nDernièrement, au Stade Louis II, inspiré par les All Blacks qu’il avait vus l’après-midi à la télévision, il s’est servi d’une bouteille d’eau minérale pour faire un joli drop en plein milieu du match.\\n\\n“J’étais en colère. Après mon équipe, l’arbitrage aussi, après le match, j’ai discuté avec les arbitres. C’était des types sympas, pas des fascistes, c’est pour ça que j’étais mal. Je manque de self-control. Et puis, ça me coûte cher ces histoires. Avec mon adjoint, Jean-Pierre Baldwin, on a instauré un système d’amendes pour les retards à l’entraînement, les fautes techniques, disqualifiantes...”.\\n\\nPour mieux comprendre le rôle de l’arbitre, pour se rendre utile aussi, Bill avait envisagé, du temps où il travaillait chez Adidas, de devenir, lui-même, arbitre. Mais, effrayé par la série d’examens indispensables, il avait abandonné le projet.\\n\\nBill a travaillé huit ans (entre 77 et 85) chez Adidas, comme directeur de la promotion basket, charge qu’il cumula ensuite avec le volley. Ces coups de gueule restent célèbres là-bas aussi. Quand, par exemple, il balança, justement, le dossier volley au nez de son chef.\\n\\nC’est marrant, parce que je suis sûr que si Bill Sweek avait été français, on aurait dit de lui que c’est un caractériel. Cela aurait été oublié qu’il fonctionne par passion, par émotions, qu’il se donne à fond, qu’il veut encore et toujours mieux faire, qu’il a le sens de l’humour, de l’autodérision. Mais comme il est américain, je n’ai jamais entendu quelqu’un dire que Bill Sweek est un caractériel....\\n\\nC’est le stress du coaching, tout autant que l’insécurité de l’emploi d’entraîneur en France, qui l’avait poussé à aller bosser chez Adidas. Les sensations du basket ont fini par trop lui manquer. Et pourtant. “Un gars comme Fisher, je ne sais pas comment il fait. George, il est coach depuis déjà tellement d’années. Moi, j’ai mal par moment. Je souffre. J’ai les boules (sic) toutes les semaines. C’est ce qui me... manquait chez Adidas. On ne se remettait pas en question. Je ne savais pas si je faisais du bon boulot. C’est difficile d’avoir tous les avantages. C’est bien d’être coach, éducateur, c’est passionnant. On a un rôle à jouer dans les vies des jeunes en dehors du terrain, on essaye de les motiver, de les pousser”.\\n\\nRetour en Californie\\n\\nSweek n’est pas du genre à s’encroûter. Huit ans au même endroit, dans la même boîte, ça semble beaucoup pour cet homme avide de nouvelles sensations. Au même endroit\u2009? Pas vraiment, remarquez. Il a fait le tour du monde jusqu’à plus soif. Un jour, il s’était retrouvé à Indianapolis pour le All Star Game. Le All Star Game\u2009! Eh bien, Bill en avait tellement ras le bol des chambres d’hôtel qu’il n’attendit pas l’heure du match pour reprendre l’avion pour la France. Le match, il le visionna en vidéocassette. Debbie en avait marre aussi de faire et défaire les valises. “Je recevais des coups de fil après minuit. Mon boulot prenait une ampleur incroyable dans ma vie. Je ne connaissais même pas mes enfants. Ils avaient peur de moi\u2009! ».\\n\\nChaque année se posait aux Sweek le même dilemme. Retourner aux États-Unis ou rester en France\u2009? Faire du coaching ou un job plus traditionnel\u2009? Quand Bill donne sa démission chez Adidas, il a pris sa décision : les States et un boulot de représentant. Un concours de circonstances va le retenir par la main en France. Un pote à lui, Ed Miller, veut se mettre en contact avec Monaco... mais c’est Bill Sweek que Yvan Quenin, le président de l’ASM, veut engager, et fait fléchir.\\n\\nQuenin, “un président honnête, on connait ceux qui le sont”, a su argumenter. Un bon contrat sur trois ans, un gros effort de recrutement en perspective. Les Sweek deviennent propriétaires d’une villa à Roquebrune. Ils ont pour la première fois un vrai Sweek home. “Avant, je signais toujours pour un an afin d’avoir les mains libres. Là, c’est la sécurité. L’âge, peut-être. C’est bien pour le recrutement, les joueurs savent à quoi s’en tenir. Maintenant, on a envie de rester en France. Si le basket, ça ne marche plus, on essayera de trouver quelque chose dans la région”.\\n\\nJe ne pense pas que Monaco ait à se plaindre de ses services. Il a complètement modifié l’image de marque de ce club qui semblait voué à l’anonymat. Monaco a du style, le style Sweek. Une défense qui force l’adversaire à la faute, et à l’admiration. Même que le public monégasque commence peu à peu à se rendre plus nombreux au somptueux complexe sportif Louis II.\\n\\nEt puis combien de présidents aimeraient le faire changer une fois encore d’adresse. N’est-ce pas Pierre Seillant, si des fois George Fisher s’en allait\u2009?\\n\\n“Quand nous sommes arrivés au Mans, on nous a prévenus : attention, les gens sont froids là-bas. En Alsace, pareil, on nous a dit que les Azuréens étaient comme-ci, comme-ça. Moi, j’ai constaté que nous avons été bien accueillis partout” confie Debbie, c’est quand elle replonge dans sa Californie natale que Mme Sweek est un peu paumée, “tout va tellement vite” dit-elle. Ses deux fils aussi sont dépaysés. Ne parlent-ils pas français quand ils sont tous les deux\u2009?\\n\\nEpilogue: Bill Sweek terminera sa carrière en France à Limoges et n’échappa pas à la machine à broyer du CSP qui le démis de ses fonctions au bout de neuf matches. Il retourna ensuite en Californie où il devint prof dans un lycée avant de prendre sa retraite.\\n\\nBILL SWEEK DIGEST\\n\\nNé le 9 janvier 1947, 72 ans.\\n\\nJoueur :\\n\\n1966-69 UCLA\\n\\n1969-70 Hamden Bics\\n\\n1971-72 CSC (Tunisie)\\n\\n1972-75 Stade Français Paris\\n\\nCoach :\\n\\n1971-72 EO Goulette Kram (Tunisie)\\n\\n1971-72 Equipe nationale de de Tunisie\\n\\n1972-75 Stade Français Paris\\n\\n1976-77 Clermont UC\\n\\n1977-79 SCM Le Mans\\n\\n1983-84 Equipe nationale de Hongrie\\n\\n1985-90 AS Monaco\\n\\n1990-91 Limoges CSP\\n\\nPalmarès Joueur :\\n\\nChampion NCAA : 67, 68 et 69.\\n\\nPalmarès Coach :\\n\\nChampion de France féminin : 77\\n\\nFinaliste Coupe des Champions féminin : 77\\n\\nChampion de France : 78 et 79.\\n\\n[armelse]\\n\\nPatrick Scudo, Christian Garnier, Philip Szanyiel et Robert Smith entourent leur coach. Tout à l’heure sur le terrain, ils seront plus respectueux. Si vous allez un jour à Los Angeles, faites un tour jusqu’au village de Westwood, ce n’est pas très loin de la plage de Malibu, vous ne pouvez manquer le panneau indiquant UCLA. Garez votre voiture de location au parking de l’université, presque aussi spacieux que celui de la Tour Maine-Monparnasse, faites un peu de shopping à la boutique du campus\u2009; on y trouve à foison les maillots, shorts, chaussettes, et toutes sortes de bricoles, estampillées du sigle fameux, qui épateront vos petits camarades à votre retour en France. Allez humer l’odeur du Pauley Pavillion. Et surtout n’oubliez pas de visiter le Hall of Fame, le Musée du Sport de ce collège californien pas comme les autres. Que dis-je, allez vous y recueillir\u2009!\\n\\nC’est sur deux étages. Sur des panneaux muraux sont affichées photos et coupures de presse relatant les exploits des Bruins dans toutes les disciplines\u2009; et puis des coupes, des trophées, des dizaines, impressionnants. Le gros du butin a été ramené par les basketteurs. John Wooden est à la place d’honneur. Dix fois, lui et ses petits gars, ont raflé le titre NCAA. Inégalé, inégalable probablement.\\n\\nUn trophée en bois avec une photo légendée symbolise chaque titre. Approchez-vous. Sur trois d’entre eux on reconnait, maillot numéro 45, bien propre sur lui, le torse bombé, Bill Sweek. Faites maintenant un effort d’imagination. Plongez dans le Pacifique vingt ans plus tôt. L’eau y est tiède presque toute l’année. Les filles sont craquantes comme des chips Flodor. Les bagnoles sont plus grandes que le jardin de mon oncle. La vie est facile.\\n\\nPourtant en cette fin des années 60, part de Berkeley un immense courant de révolte, un véritable raz-de-marée qui va ébranler les institutions du pays. Les étudiants en ont marre d’obéir à leurs profs’ sans sourciller. Ils se sentent concernés de près par la politique menée à Washington. Tu parles\u2009! Au Vietnam, on joue Apocalypse Now, mais ce n’est pas du cinéma. Les jeunes californiens bronzés n’ont pas envie de partir à la guerre.\\n\\nIls se laissent pousser les cheveux, et accrochent des fleurs à leur collier de barbe. Peace and love. On va les appeler les hippies. Ils font des sit-in sur les pelouses des campus et goûtent à l’herbe. Ils mettent au rebut les disques aseptisés des Beach Boys et planent en écoutant Grateful Dead ou Jefferson Airplane.\\n\\nBill Sweek a encore les cheveux coupés courts et bien dégagés autour des oreilles. John Wooden, son coach, ne badine pas avec la bonne tenue de ses boys. Boys\u2009? Wooden a appris à ne plus appeler ainsi ses joueurs de race noire. Eux aussi sont en révolte. À commencer par son pivot filiforme et introverti, Lew Alcindor, qui dévore les bouquins de Malcolm X et s’initie à l’islam. Un peu plus tard, il se fera appeler Kareem Abdul-Jabbar.\\n\\nEn traînant les pieds\\n\\nBill Sweek est un veinard. Il joue avec le meilleur basketteur collégien de tous les temps, et il est coaché par John Wooden, qui est, lui, le meilleur entraîneur du monde.\\n\\nLes rapports de Bill avec ces deux-là n’ont pas toujours été sans nuages. La première fois que Sweek aborde Alcindor, c’est le jour de la traditionnelle séance de photos d’avant-saison. «\u2009Tu n’es qu’un petit blanc de classe moyenne, un raciste\u2009!\u2009», tonne Alcindor. «\u2009Qu’est-ce qui te permet de dire ça\u2009? Tu ne me connais même pas\u2009!\u2009», répond Sweek. Les deux hommes apprendront à s’apprécier, à devenir amis, au fil des semaines et des matches. Ils en gagneront tellement de matches ensemble. Et trois titres universitaires, en trois ans.\\n\\nDans son autobiographie, Giant Steps, Alcindor-Jabbar consacre un long paragraphe à Bill Sweek, qui permet d’avoir une première approche du personnage. Voici un extrait : «\u2009Sweek était un joyeux drille, typiquement Californien du sud, avec beaucoup de culot. Il voyait toujours le bon côté de la vie. Il était aussi un peu provocateur.... Lors d’un déplacement de l’équipe, Jim Nielsen mit Sweek au défi de piquer une tête dans la piscine de l’hôtel. On était en janvier à Oakland. Mais ça n’empêcha pas Sweek d’enlever ses chaussures et ses vêtements de sport et de plonger dans l’eau froide. Il gagna ses 20 $, et immédiatement s’attira la foudre du coach Wooden\u2009».\\n\\nSweek, c’était le boute-en-train de l’équipe\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: (Ouverture) AS Monaco 1987-88. Bill Sweek est en haut à gauche. 2) UCLA Champion en 1969. Bill Sweek porte le N°45. 3) Clermont UC 1976-77. 4) Avec Bill Walton.\\n\\nArticle paru dans Maxi-Basket en janvier 1987" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Le SLUC Nancy confirme la venue de l’ancien président de Limoges, Youri Verieras comme Directeur Général" }, {"role": "assistant", "content":"Mis à l’écart par la nouvelle direction, l’ancien président du Limoges CSP, Youri Verieras, 29 ans, s’est retrouvé sur le marché du travail depuis sa démission le 1er mai. Le SLUC Nancy confirme ce soir dans un communiqué sa venue comme general manager. Une information que nous vous avions donnée en début d’après-midi.\\n\\n« Le SLUC Nancy Basket est heureux de vous annoncer l’arrivée de l’ancien Manager Général puis Président du LIMOGES CSP, l’expérimenté Monsieur Youri VERIERAS, en qualité de Directeur Général du SLUC Nancy Basket.\\n\\nYouri VERIERAS apportera toute son expérience et sera en grande partie en charge des sujets de développement du club, de la politique sportive et des questions marketing et commerciales au sein du SLUC Nancy Basket.\\n\\nDans la Gouvernance du club, il sera associé à Julien MARBOURE, Responsable du pôle Gestion/Logistique Sportive.\\n\\nPar ailleurs, nous accueillons également, Madame Marie GARCIA diplômée de Gestion du Sport, collaboratrice pendant 6 ans à la Ligue Nationale de Basket et plus particulièrement auprès de la DNCCG.\\n\\nElle rejoint le pôle Gestion/Logistique sportive dirigé par Julien MARBOURE.\\n\\nYouri VERIERAS arrivera ce jeudi 06 juin 2019 à Nancy »\\n\\nRetrouver notre point sur les mouvements des dirigeants de Jeep Elite ici.\\n\\nEt prenez dès aujourd’hui le réflexe de suivre l’ensemble des transferts de ProA / Jeep Elite sur notre tableaux récap.\\n\\nPhoto : Limoges CSP" }, {"role": "user", "content":"Cholet : Erman Kunter prolonge deux ans ; Jérôme Merignac nouveau président" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence de presse organisée ce midi à Cholet, CB a annoncé la prolongation de contrat de son coach Erman Kunter ainsi que l’arrivée de Jérôme Merignac en tant que nouveau président. Il prend la succession de Didier Barré à la tête du club.\\n\\nDe retour à Cholet fin novembre avec pour seule mission le maintien en Jeep Elite, Erman Kunter s’est engagé pour deux nouvelles saisons dans un club qu’il connait par coeur pour y avoir officié en 2003/04, puis entre 2006 et 2012.\\n\\nPour préparer l’exercice 2019/20, le club champion de France 2010 a annoncé un budget avoisinant les 4,2 millions d’euros ainsi qu’une masse salariale de 1,3 million d’euros. L’ancien entraîneur du Besiktas ne compte pas faire de paris sur les poste 1 et 5, mais il en fera sur d’autres postes et compte bien continuer à faire confiance aux jeunes Espoirs.\\n\\n\\n📰 Conférence de presse\\n\\nErman Kunter : \\On ne fera pas de pari sur les postes 1 et 5. Ensuite, on sera sans doute amené à faire des paris sur certains autres postes\\\\n\\n— Cholet Basket (@CB_officiel) June 4, 2019\\n\\n\\n\\n📰 Conférence de presse\\n\\nErman Kunter : \\Nous allons continuer à intégrer des jeunes dans le groupe pro comme Karlton, Quentin, Hugo...\\\\n\\n— Cholet Basket (@CB_officiel) June 4, 2019\\n\\n\\nPhoto : Cholet Basket" }, {"role": "user", "content":"Jacques Alingue (ex-Strasbourg), première recrue du Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Wilfried Yeguete devrait se rendre sous des cieux plus rémunérateurs, Le Mans Sarthe Basket enregistre la signature de Jacques Alingue (2,01m, 31 ans) pour les deux saisons à venir. Celui-ci reste sur une saison blanche après avoir été victime d’une rupture des deux tendons d’Achille à sept mois d’intervalle.\\n\\nJacques Alingue a été victime d’une rupture du tendon d’Achille droit le 12 mai, jour de sa signature avec la SIG Strasbourg. Son retour en Alsace différé, il reprend l’entraînement fin novembre, rejoue un match contre Nanterre pour finalement voir son tendon d’Achille gauche le lâcher le 7 décembre ! Remis d’aplomb et ayant reçu le feu vert du corps médical, il viendra néanmoins passer des tests au Mans pour confirmation.\\n\\nAvec Valentin Bigote, Antoine Eïto, Matthieu Gauzin et Terry Tarpey, Jacques Alingue est le cinquième joueur professionnel à être sous contrat avec le MSB pour la saison prochaine. Brahim Dohou et Jacques Eyoum, tous deux stagiaires, seront aussi appelés à intégrer le groupe dirigé par Dounia Issa dès la reprise fixée au 5 août.\\n\\n« Je suis heureux et impatient de rejoindre la grande famille du MSB », déclare le joueur. « Le club a prouvé à plusieurs reprises qu’il avait sa place dans le top des équipes de Jeep ÉLITE. Je tiens avant tout à remercier le club et Dounia Issa pour la confiance qu’ils me portent. Aussi, je souhaite rassurer les supporters sur ma condition physique. En effet, j’ai travaillé dur pour revenir à mon meilleur niveau pour mon retour suite à ma première blessure, et je me suis fixé le même objectif suite à la seconde. Je peux donc vous assurer de mon implication totale pour contribuer à la réussite de la saison à venir. J’ai hâte de retrouver les parquets. À bientôt et Go MSB. »\\n\\nQuant au nouveau coach, Dounia Issa, il se félicite de ce recrutement:\\n\\n« La signature de Jacques, un homme à la mentalité exemplaire, est une très bonne nouvelle pour débuter notre recrutement. Il possède un gros mental et j’apprécie son côté féroce compétiteur. Il a été l’un des artisans majeurs du beau parcours de Dijon en 2018 et ce n’est pas pour rien que Vincent Collet a souhaité l’intégrer à la SIG il y a un an. Je connais Jacques depuis de très longues années et je suis convaincu qu’il va faire autant de bien à notre raquette qu’à notre vestiaire. »\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Souffelweyersheim en 2010 (NM2), de 2011 à 2013 (NM1) et en 2014 (Pro B). Dijon (Jeep ÉLITE) puis Hyères-Toulon (Playoffs Pro B) en 2015. Dijon (Jeep ÉLITE) de 2016 à 2018. Strasbourg (Jeep ÉLITE) en 2019\\n\\nStatistiques 2018 (Jeep ÉLITE) : 9,4pts à 69.4% aux tirs et 50.0% aux lancers- francs, 5,6rbds 2,1pds, 1,7int, 0,8ctre et 15,6 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"3×3 : la coupe d’Europe 2021 organisée à Paris" }, {"role": "assistant", "content":"Après la coupe du monde de 3×3 en 2017, c’est la coupe d’Europe que la France organisera en 2021.\\n\\nLa FIBA vient d’annoncer que c’est à Paris qu’aura lieu la septième édition de la coupe d’Europe de 3×3. C’est sur le Parvis de La Défense que les douze meilleures équipes d’Europe, masculines et féminines, s’affronteront du 10 au 12 septembre 2021.\\n\\nJean-Pierre Siutat s’est exprimé suite à cette nouvelle.\\n\\n« Je suis particulièrement heureux que la FIBA nous ait choisis pour accueillir l’un des événements majeurs de la scène 3×3, juste après les Jeux de Tokyo. Cela valide tout le travail accompli par la FFBB pour développer la pratique du 3×3 en France. Je suis également ravi que cet événement se déroule dans un lieu emblématique comme La Défense. Cela correspond parfaitement à l’esprit dynamique et novateur d’une discipline urbaine comme le 3×3. Trois ans avant les Jeux de Paris, tous les ingrédients sont réunis pour que la FIBA 3×3 Europe Cup soit un événement marquant. »\\n\\n\\nMarie-Cécile Guillaume, Directrice Générale de Paris La Défense a ajouté:\\n\\n« Nous sommes particulièrement fiers d’accueillir cet événement sportif international. Il était évident pour nous que cette toute nouvelle discipline olympique avait sa place dans notre territoire. L’esprit urbain du quartier d’affaires et l’engouement de nos publics pour les événements sportifs font de Paris La Défense le lieu idéal pour l’organisation de cette coupe d’Europe. Bien plus qu’un quartier d’affaires, Paris La Défense devient une nouvelle destination sportive et de loisirs du grand Paris, comme en atteste la présence de Paris La Défense Arena, plus grande enceinte multimodale d’Europe. »\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Julien Monclar (GM de Blois) se félicite de la limitation à un seul Américain" }, {"role": "assistant", "content":"Dans La Nouvelle République, Julien Monclar, le général manager de l’ADA Blois commente deux mesures importantes qui vont changer la donne en Pro B la prochaine saison.\\n\\nPremièrement, le fait qu’il n’y aura qu’une seule montée au lieu de deux:\\n« On sera sur le même modèle que la Jeep Élite. Le champion de France sera le vainqueur des playoffs. Et c’est lui qui montera. L’équipe première à l’issue de la saison régulière aura juste l’avantage du terrain en playoffs. Après, les saisons suivantes, j’espère qu’il y aura à nouveau deux montées de Pro B en Jeep Élite parce qu’un championnat à vingt clubs avec une seule montée manquerait d’intérêt sportif et de suspense... »\\n\\nAutre changement fondamental, si les clubs pourront signer jusqu’à trois joueurs Bosman ou Cotonou (Afrique, Amérique du Sud, Amérique Centrale et anciennes colonies britanniques), ils n’auront plus droit qu’à un Américain au lieu de deux.\\n\\n« C’est un point que je trouve personnellement intéressant. Déjà, il faut savoir que les clubs ne doivent pas embaucher quatre étrangers mais ont la possibilité de le faire. De notre côté, nous allons prioriser les JFL (joueurs formés localement), c’est-à-dire des joueurs ayant un minimum de quatre ans de licences en France entre 12 et 20 ans, dans la mesure de nos possibilités. Maintenant, le fait de réduire à un joueur extra-communautaire (non-Européen et hors-Cotonou) devrait avoir pour effet de stimuler l’embauche de JFL. »" }, {"role": "user", "content":"Playoffs en Europe: Milan, Olympiacos et Vitoria, ces équipes d’Euroleague qui dévissent" }, {"role": "assistant", "content":"Trois des onze licences A d’Euroleague sont déjà sorties des playoffs. Avec des effets secondaires qui pose question sur ce que représentent désormais réellement les playoffs des ligues nationales.\\n\\n * \\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUn petit résumé de la saison 2018-19 de Milan, dont le budget est estimé par un confrère italien à deux fois et demi minimum celui de la concurrence. En coupe d’Italie ? Elimination en quart de finale par la Virtus Bologne, futur vainqueur de la BCL. En playoffs ? Elimination en demi-finale 3-0 par le Dinamo Sassari, vainqueur de la Fiba Europe Cup. En Euroleague ? Pas de playoffs. A ce jour, Milan est la seule équipe détentrice d’une licence A En Euroleague qui n’a jamais atteint le Final Four de l’Euroleague. Mais justement, Milan détient un long bail dans la compétition reine en Europe. Et peu importe ses résultats sur le terrain, peu importe le gâchis d’un budget colossal, aucune sanction ne tombe puisque le club jouera la saison prochaine l’Euroleague. Et tant pis aussi pour le mérite sportif des autres clubs italiens qui font mieux que l’ogre cette saison.\\n\\nLa situation n’est pas isolée en Europe. Si, en Grèce, Dimitris Giannakopoulos le président de l’Olympiakos se permet absolument tout et n’importe quoi dans son championnat, comme par exemple de ne pas se présenter aux matches de playoffs sous prétexte que l’arbitrage ne lui plait pas, c’est également parce qu’il sait que, comme l’a confirmé récemment Jordi Bertomeu, son engagement en Euroleague pour la saison prochaine n’est pas remis en cause. La licence A lui permet de facto de mener ce cirque qui jette l’absurde et le ridicule sur tout le championnat et les playoffs de la ligue grecque.\\n\\nEnfin, en Espagne, la victoire de Valencia en EuroCup et donc sa qualification pour l’Euroleague la saison prochaine alimente une polémique qui pourrait enfler en ACB. En effet, Vitoria, Barcelona et le Real Madrid disposent d’une licence A et la direction de l’Euroleague refuse d’avoir cinq clubs espagnols au sein de sa compétition. Or, aujourd’hui Saragosse est en demi-finale après avoir balayé Vitoria 2-0, et Malaga est à égalité 1-1 avec Valencia. En cas de victoire de Malaga, deux demi-finalistes se battraient donc en ACB pour le titre (sans être favoris, évidemment) mais sans espoir non plus de pouvoir rejoindre l’Euroleague en cas de victoire. Un cas d’école qui pose question. Une situation que vit assez mal l’ACB, la deuxième ligue nationale la plus puissante du monde et dont le championnat, sur le papier, pourrait ne plus qualifier aucun club pour l’Euroleague.\\n\\nEn France, si l’Asvel semble le grand favori pour le titre, le problème est finalement le même pour Nanterre, Dijon et surtout Monaco. Qui que soit le champion de France, Lyon-Villeurbanne sera la saison prochaine le représentant de la Jeep Elite en Euroleague. Par le choix d’un seul homme, le président de l’Euroleague Jordi Bertomeu. Pas sûr quoi qu’il arrive que Nanterre et Dijon aient été intéressés par le fait de jouer une compétition aussi relevée et exigeante (34 matches à jouer la saison prochaine contre des armadas aux ressources illimitées) mais Monaco a exprimé récemment son désir de rejoindre un jour la grande ligue européenne.\\n\\nQuoi qu’il arrive, il est évident, comme le disait récemment Alain Béral, mais également bien d’autres voix en Europe, que la fermeture de l’Euroleague via ces licences et non via le mérite sportif dans les ligues nationales dévalorise et parfois même perturbe fortement les playoffs des ligues domestiques en cours. Et le projet évoqué d’attribuer un deuxième ticket en Euroleague dans les années à venir pour le finaliste de l’EuroCup n’est qu’un pas de plus dans la relégation des ligues nationales à un statut de troisième chapeau continental.\\n\\n[armelse]\\n\\nUn petit résumé de la saison 2018-19 de Milan, dont le budget est estimé par un confrère italien à deux fois et demi minimum celui de la concurrence. En coupe d’Italie ? Elimination en quart de finale par la Virtus Bologne, futur vainqueur de la BCL. En playoffs ? Elimination en demi-finale 3-0 par le Dinamo Sassari, vainqueur de la Fiba Europe Cup. En Euroleague ? Pas de playoffs. A ce jour, Milan est la seule équipe détentrice d’une licence A En Euroleague qui n’a jamais atteint le Final Four de l’Euroleague. Mais justement, Milan détient un long bail dans la compétition reine en Europe. Et peu importe ses résultats sur le terrain, peu importe le gâchis d’un budget colossal, aucune sanction ne tombe puisque le club jouera la saison prochaine l’Euroleague.\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, »\\ntype= »show »][arm_setup id= »2′′\\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Mike James (Armani Milano)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Kevin Harley signe à Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Auteur d’une très belle saison en Pro B, Kevin Harley (1,96m, 25 ans) quitte Poitiers pour signer à Boulazac, en Jeep Elite. Sur son site, le BBD annonce l’arrivée du vainqueur du concours de dunks du All Star Game 2018.\\n\\nL’entraîneur de Boulazac, Thomas Andrieux, s’est exprimé sur cette arrivée.\\n\\n« Nous sommes ravis d’accueillir Kévin dans nos rangs la saison prochaine. Elu dans le meilleur 5 de la saison en Pro B, sa polyvalence et son état d’esprit seront de précieux atouts pour notre équipe. Défenseur réputé, il est capable d’apporter au scoring, mais aussi de créer pour ses coéquipiers. Au nom de tout le club, nous lui souhaitons la bienvenue ».\\n\\nCette saison, Kevin Harley a compilé en moyenne 14,7 points, 4,5 rebonds et 3,2 passes décisives pour une évaluation de 15,2. Il a été élu dans le cinq majeur de la saison de Pro B.\\n\\nPhoto : LNB / IS / BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"Le baromètre des jeunes pousses de Jeep Elite, épisode final" }, {"role": "assistant", "content":"Les onze dernières journées de saison régulière se sont déroulées depuis notre dernier baromètre. Il est donc l’heure de faire le bilan de celle-ci, de noter l’évolution des jeunes pousses de Jeep Élite puis, dans un second article, de jeter un nouveau regard sur cette saison 2018-2019.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nLa fin d’une saison régulière entraîne généralement une réduction du temps de jeu des jeunes joueurs (21 ans et moins) n’ayant pas encore réussi à se faire une véritable place dans la rotation de leur équipe. Ce qui fut une fois de plus le cas lors de cette saison 2018-2019 de Jeep Élite. Plusieurs joueurs ont totalement disparu des radars, comme Hugo Besson (Chalon-sur-Saône), Mbaye Ndiaye (Bourg-en-Bresse) qui plus est pénalisé par son statut de non-JFL, Melvin Govindy (Cholet) ou Thibault Daval-Braquet (Pau-Lacq-Orthez), plus jamais entré en jeu en saison régulière après sa blessure. En outre, à l’instar de Quentin Goulmy plus tôt dans la saison, deux autres U21 ont été prêtés par leur club à une équipe de ProB : Luc Loubaki (de Monaco à Lille) et Ivan Février (de Levallois à Roanne), alors que ce dernier avait paradoxalement montré quelques bonnes choses lors de ses dernières sorties avec les Metropolitans.\\n\\nA contrario, cinq nouveaux U21 ont eu droit à quelques miettes de temps de jeu pour la première fois depuis la journée 23 : Shawn Tanner (Antibes, 17 ans), Quentin Ruel (Cholet, 19 ans), Dimitri Stariniets (Limoges, 21 ans), Florent Pouayevoun (Pau-Lacq-Orthez, 19 ans, entré pour la première fois sur la J23 et nous ayant « échappé » lors de notre précédent baromètre) et Jayson Tchicamboud (Strasbourg, 17 ans, fils de Steed). Aucun n’a eu droit à plus de quelques minutes par-ci par-là.\\n\\nEn revanche, pour les équipes n’ayant plus d’enjeu, la dernière journée a été l’occasion d’accorder du temps de jeu à divers U21. Ainsi, Sekou Doumbouya (Limoges, déjà bien inséré dans la rotation du CSP) a-t-il pu profiter de ses 29 minutes face à un Levallois déjà en vacances pour enregistrer un magnifique 37 d’évaluation, mais guère significatif (du reste, en play offs, il a réalisé 2 puis 5 d’éval...). En face, Neal Sako (19 ans) a gambadé 31 mn sur le même match pour 24 d’éval. Il est par ailleurs à noter que ce jeune pivot a gagné en temps de jeu après le départ de Février, entrant sept fois en jeu lors des neuf dernières parties pour, hors ce dernier match, un total de 48 mn et 11 d’éval. D’autres joueurs peu vus lorsque cela comptait ont eu des responsabilités une fois leur équipe démobilisée (reléguée, sauvée, dans le ventre mou ou ayant une position assurée dans les huit premiers) : Isaac Mayembo (Antibes), qui n’avait plus vu le parquet depuis la J13, est entré deux fois en jeu sur les trois dernières journées ; Alexandre Aygalenq (Boulazac), limité jusqu’alors à des miettes de jeu, a pu jouer 38 mn sur les deux derniers matchs (7,5 d’éval) alors que son compère Dylan Affo Mama a joué 14 mn lors de la J34 ; Alan Dokossi (Fos-sur-Mer) a eu droit à 7 mn lors du dernier match, Samir Gbetkom (Le Portel) à 17 mn ; Khadim Sow (LDLC Asvel) a pu profiter de la mise au repos de David Lighty pour jouer 13 mn (2 d’éval). À noter aussi le cas particulier de Warren Woghiren (Cholet) : lui qui n’avait jusqu’alors eu droit qu’à une minute de jeu en tout et pour tout est entré deux fois sur le terrain lors des J27 et 34, pour 10 et 12 mn de temps de jeu (et respectivement 3 et 12 d’éval).\\n\\nDes « anciens » couci-couça\\n\\nIl y a donc eu des entrées, des sorties, des exploits, des disparitions... Mais la base de premiers rôles, autrement dit de U21 ayant un vrai temps de jeu, n’a quasiment pas évolué, seul Neal Sako étant venu s’ajouter aux 17 « privilégiés » s’exprimant jusqu’alors.\\n\\nDu côté des « anciens », ces U21 ayant déjà une expérience de la Jeep Élite, on ne peut pas dire que la fin de saison ait été très fructueuse – on a enregistré plus de baisses de temps de jeu et de performances que de progressions. Seul Sekou Doumbouya a continué à évoluer positivement : en 10 matchs, il a joué 23,2 mn pour 11,3 d’éval (8,7 si l’on met de côté le 37 du dernier match). Pour sa part, comme déjà dit, Ivan Février est parti à Roanne après avoir réalisé quelques bons matchs. Quant à Abdoulaye Ndoye (Cholet), il a connu une légère diminution de ses stats, à cause notamment d’une baisse de régime entre la J24 et la J28 (4,2 d’éval sur ces cinq matchs) avant de reprendre son rythme de croisière : 13,2 d’éval sur ses six derniers matchs. Amine Noua (LDLC Asvel) a lui alterné le bon (moins souvent) et le moins bon lors du sprint final, semblant marquer le coup physiquement. Jean-Marc Pansa (Nanterre), quant à lui, a pratiquement disparu de la rotation : entrant en jeu quasiment à chaque match jusqu’à la J21, il n’a depuis plus eu droit qu’à sept apparitions, pour 43 mn et 15 d’éval cumulée (à peine plus de 2 par match). Digué Diawara (Pau-Lacq-Orthez) a pour sa part confirmé son irrégularité, avec deux belles sorties à 11 et 12 d’éval (J24 et 25) suivies de deux autres à -5 et -3 d’éval avant de voir son temps de jeu réduire à mesure que la fin de saison approchait. Une constatation similaire s’impose pour Bathiste Tchouaffé (Bourg-en-Bresse), dont les apparitions se sont peu à peu réduites : depuis notre précédent baromètre, il a joué 9 parties pour 6,7 mn et 2,1 d’éval. Enfin, Alexandre Aygalenq (Boulazac) a joué plus régulièrement que lors de la première partie de la saison, pour un rendement très moyen : 41 mn sur 7 matchs (en excluant ses deux dernières parties, voir ci-dessus) pour 5 d’éval cumulée (0,7 de moyenne).\\n\\nLe sort variable des « novices »\\n\\nLa situation est à peu près semblable en ce qui concerne les « nouveaux », ces U21, très jeunes pour une bonne part d’entre-eux, qui ont découvert cette saison la Jeep Élite.\\n\\nTout en haut de l’affiche figurent encore et toujours les deux mêmes têtes, celles de Théo Maledon (LDLC Asvel) et Killian Hayes (Cholet). Avec une trajectoire assez semblable : de belles voire très belles performances (28 d’éval en J24 pour Hayes, 21 d’éval en J31 pour Maledon) mais un « creux » pour chacun (J26 à 28 pour Maledon – 2 d’éval cumulée sur trois matchs – et J27 à J30 pour Hayes – 5 d’éval cumulée en quatre matchs) avant un retour à des prestations plus conformes à leurs standards, voire au-dessus (14,5 d’éval moyenne pour Hayes sur les quatre derniers matchs, 13,8 pour Maledon sur la même période).\\n\\nVient ensuite Ludovic Beyhurst (Strasbourg), qui a joué 15 mn/match (sur 9 parties) pour 4,3 d’éval, des chiffres un peu supérieurs à sa moyenne sur l’année. Le jeune meneur est bien inséré dans la rotation d’une équipe qui a connu une saison plutôt agitée et décevante. Mais Beyhurst n’a rien à se reprocher sur le sujet. Pour sa part, Mathis Dossou-Yovo (Chalon-sur-Saône) peut certes se prévaloir d’avoir joué 11,2 mn sur 10 matchs (et 5,5 d’éval), mais il a connu un parcours en dents de scie et il semble avoir été quelque peu supplanté dans la rotation par Etienne Ca (voir ci-dessous).\\n\\nIl faut également noter deux joueurs qui, après avoir commencé la saison en tout ou partie sur le banc, ont résolument gagné leur place sur le terrain. À Chalon-sur-Saône, Etienne Ca n’avait joué que quatre fois sur les douze premières journées (et 3,5 mn en moyenne) avant de s’installer dans la rotation et de rentrer à chaque match, avec un impact de plus en plus important au fil des semaines : 13,7 mn et 6,0 d’éval sur les onze derniers matchs. Du côté de Levallois, Neal Sako, qui n’avait joué que deux parties avant la J26 (pour 6,5 mn et 4,5 d’éval) a profité du départ d’Ivan Février pour prendre sa place dans la rotation, avec un bonheur certain. Il a ainsi joué sept matchs depuis la J26, pour 11,3 mn et 5,0 d’éval (voir plus haut par ailleurs).\\n\\nCes six joueurs doivent être les seuls à pouvoir se satisfaire de leur sort. Pour les autres, c’est un peu la soupe à la grimace. À Cholet, Karlton Dimanche n’a fait que six entrées pour 41 minutes au total (et 2,8 d’éval), alors que Samir Gbetkom (Le Portel) a dû se contenter de sept apparitions en cumulant 26 mn et 9 d’éval(dont 17 mn pour 7 d’éval lors d’une J34 « pour du beurre ») et que Yohann Choupas entrait huit fois en jeu, mais pour 3,3 mn et 1,8 d’éval.\\n\\nPas la joie, mais d’autres sont encore moins bien lotis. À LDLC Asvel, Sofiane Briki (6 matchs, 3,8 mn, 2,0 d’éval) n’a jamais réussi à réellement s’imposer dans la rotation alors que Khadim Sow a pâti de son statut de non-JFL : il n’est entré en jeu que lorsque l’un des étrangers de Villeurbanne était blessé ou laissé au repos. Résultat, deux apparitions seulement sur les onze derniers matchs, pour 9,5 mn et 3,5 d’éval. Le Dijonnais Louis Weber a, lui, eu droit à quelques apparitions, dont l’une de 11 mn (et 8 d’éval) en J29. Mais pour le reste, il a dû se contenter de 14 mn et -6 d’éval cumulée... Du côté de Bourg-en-Bresse, Malcolm Cazalon n’a guère eu plus d’occasions de se réjouir. Six matchs, 3,2 mn, 0 d’éval, c’est la portion congrue. Et que dire d’Isaac Mayembo ? À Antibes, il a regardé ses coéquipiers lutter en vain pour éviter la relégation depuis la J13, avant de se voir offrir 7 mn en deux matchs (et 2,0 d’éval) une fois les espoirs de maintien envolés.\\n\\nDes clubs constants\\n\\nS’il y a eu des variations dans les prestations de certains joueurs, les clubs ont fait preuve d’une plus grande régularité. En bref, ceux qui font appel à des U21 ont continué à le faire, ceux qui les délaissent ont également continué à le faire. Ainsi, le BCM Gravelines-Dunkerque a offert trois entrées en jeu à deux de ses Espoirs (2 pour Basile David, une pour Mathias Flosse, 11 minutes au total) et Le Mans, qui n’avait plus fait entrer en jeu un U21 depuis la J21, a fort généreusement octroyé deux fois une minute en J34 à Brahim Dohou et Jacques Eyoum ! Cela pourrait changer la saison prochaine avec le passage chez les pros du meneur Matthieu Gauzin (1,85m, 18 ans), un réel espoir national.\\n\\nBref, comme tout au long de la saison, une élite U21 de très bon niveau mais très resserrée émerge d’un faible nombre de jeunes joueurs réellement impliqués et/ou offrant un rendement intéressant.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa fin d’une saison régulière entraîne généralement une réduction du temps de jeu des jeunes joueurs (21 ans et moins) n’ayant pas encore réussi à se faire une véritable place dans la rotation de leur équipe. Ce qui fut une fois de plus le cas lors de cette saison 2018-2019 de Jeep Élite. Plusieurs joueurs ont totalement disparu des radars, comme Hugo Besson (Chalon-sur-Saône), Mbaye Ndiaye (Bourg-en-Bresse) qui plus est pénalisé par son statut de non-JFL, Melvin Govindy (Cholet) ou Thibault Daval-Braquet (Pau-Lacq-Orthez), plus jamais entré en jeu en saison régulière après sa blessure. En outre, à l’instar de Quentin Goulmy plus tôt dans la saison, deux autres U21 ont été prêtés par leur club à une équipe de ProB : Luc Loubaki (de Monaco à Lille) et Ivan Février (de Levallois à Roanne), alors que ce dernier avait paradoxalement montré quelques bonnes choses lors de ses dernières sorties avec les Metropolitans.\\n\\nA contrario, cinq nouveaux U21 ont eu droit à quelques miettes de temps de jeu pour la première fois depuis la journée 23 : Shawn Tanner (Antibes, 17 ans), Quentin Ruel (Cholet, 19 ans), Dimitri Stariniets (Limoges, 21 ans), Florent Pouayevoun (Pau-Lacq-Orthez, 19 ans, entré pour la première fois sur la J23 et nous ayant « échappé » lors de notre précédent baromètre) et Jayson Tchicamboud (Strasbourg, 17 ans, fils de Steed). Aucun n’a eu droit à plus de quelques minutes par-ci par-là.\\n\\nEn revanche, pour les équipes n’ayant plus d’enjeu, la dernière journée a été l’occasion d’accorder du temps de jeu à divers U21. Ainsi, Sekou Doumbouya\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Killian Hayes (FIBA) et Bathiste Tchouaffé (JL Bourg)" }, {"role": "user", "content":"Laurent Legname (Dijon): «Monaco est de loin la meilleure équipe du championnat»" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa victoire sans contestation hier soir (84-75), le coach de la JDA Dijon, Laurent Legname, n’a pu que constater la supériorité de l’AS Monaco, qui mène désormais la série de demi-finale, 2 manches à 0.\\n\\n« Ils ont une dimension athlétique et physique à tous les postes supérieure à la nôtre, » a t-il commenté en conférence de presse, des propos rapportés par Le Bien Public. « Monaco est de loin la meilleure équipe du championnat et ils nous prennent très au sérieux. On n’est pas loin, mais pour gagner il faut quasiment faire le match parfait et on n’a pas réussi à le faire sur ces deux manches. La série n’est pas finie mais elle n’est pas bien engagée. Il y a des attitudes de certains joueurs de Monaco qui ne nous ont pas tellement plu tout au long du match, on verra bien au match 3... »\\n\\nLe coach serbe de la Roca Team, Sasa Obradovic sait toutefois qu’une ambiance des grands soirs attend son équipe à Dijon pour le Game 3:\\n\\n« On sait ce qui nous attend là-bas, une salle très chaude, où les Dijonnais exhortent leur public sans cesse. Il faudra garder la concentration, on a été très bon en défense dans les deux premiers matches, en les laissant sous les 80 points à chaque fois. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Ersan Ilyasova (Turquie): «J’aimerais encore au moins gagner une médaille»" }, {"role": "assistant", "content":"Cela fait neuf ans qu’Ersan Ilysasova (2,08m, 32 ans) et la Turquie ont accueilli la Coupe du Monde à Istanbul et atteint la finale, devant s’avouer vaincus devant les USA emmenés par Kevin Durant.\\n\\nIlyasova dit que cet événement avait été si spécial qu’en dépit de la défaite 81-64, il en garde un souvenir spécial.\\n\\n« En 2010, nous avions perdu en finale, mais cela reste l’un des plus beaux souvenirs de ma carrière, » déclare-t-il. « C’est la meilleure équipe du monde et je vis aux USA depuis un bon moment, alors c’est toujours particulier d’affronter les Américains. »\\n\\nIlysasova évolue depuis plusieurs saisons en NBA, passant par de nombreux clubs. Il vient d’achever une saison aux Milwaukee Bucks. Pour lui les 12 Géants auraient tort de ne pas être ambitieux.\\n\\n« J’aimerais au moins encore gagner une médaille avec l’équipe nationale avant de prendre ma retraite, » dit-il. « Je sais que c’est toujours compliqué d’obtenir une médaille, car il y a de plus en plus de nations qui peuvent prétendre à une place sur le podium des compétitions internationales. J’ai aussi comme objectif d’aider la Turquie à retrouver les JO, grâce à un beau parcours en Chine. »\\n\\nLa Turquie a pris part au tour de qualification des JO d’Helsinki en 1952, mais elle n’est depuis plus jamais retournée aux JO.\\n\\nLes deux équipes européennes qui termineront les mieux classées de la Coupe du Monde se qualifieront pour les JO de Tokyo 2020, et les 16 suivantes pourront participer à l’un des quatre Tournois de Qualification Olympique, où elles auront une seconde chance de se qualifier pour Tokyo.\\n\\nAu premier tour, la sélection coachée par Ufuk Sarica se mesurera aux USA, à la République tchèque et au Japon, pour le compte du Groupe E. Une des deux premières places du groupe sera synonyme d’avancée dans le Groupe K, contre les deux meilleures équipes du Groupe F, composé du Brésil, du Monténégro, de la Grèce et de la Nouvelle-Zélande.\\n\\n« C’est un groupe très difficile, très compétitif, » reconnaît Ilyasova. « Nous ne savons pas grand-chose du Japon, mais nous connaissons la République tchèque et les USA. Les Tchèques sont très solides, ils ont réussi de belles choses ces deux dernières années. Ils sont bons des deux côtés du terrain et certains d’entre eux, comme Tomas Satoransky et Jan Vesely, évoluent au plus haut niveau.Le Japon donnera le meilleur de lui-même, et il sort d’une remarquable campagne qualificative dans la Zone Asie. Les USA, tout le monde les connaît. Ils sont tellement talentueux et ils se rendront en Chine pour décrocher un autre titre. »\\n\\nLes USA, après avoir pris le 3e rang en 2006, n’ont perdu aucun match lors des éditions 2010 et 2014. Les Américains avaient toutefois été repoussés dans leurs derniers retranchements contre la Turquie il y a cinq ans à Bilbao. La Turquie avait été leur adversaire le plus coriace. Il s’attend à ce que les USA soient extrêmement compétitifs, comme à chaque fois.\\n\\n« Ce ne sera pas un match facile, car les USA ont l’équipe la plus talentueuse du monde et ils voudront conserver leur titre mondial. Mais nous jouerons avec beaucoup d’intensité, en essayant de leur compliquer le plus possible la tâche. Ce sera difficile, mais nous allons tout faire pour leur rendre la vie dure. »\\n\\nIlyasova estime que cette compétition à 32 équipes sera un sacré défi pour toutes les équipes engagées.\\n\\n« La course aux places dans le second tour sera très intense, de même que celle qui mène aux quarts de finale et aux demi-finales, » prévient-il. « Beaucoup de pays peuvent viser une médaille. 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J’espère que la situation sera claire bien avant le rassemblement de l’équipe nationale prévue pour le 25 juillet et que je pourrai informer le staff et le public de ma décision » , a déclaré le neveu du coach de la JL Bourg, Savo Vucevic, à « Dan ».\\n\\nNikola Vucevic pourrait demeurer à Orlando comme il le précise:\\n\\n«Officiellement, il n’y a rien encore de fait et je n’ai aucune information. La free agency commence le 1er juillet et jusque-là tout contact est interdit. Je suis satisfait à Orlando. C’était notre meilleure saison depuis mon arrivée. Nous avons atteint les playoffs, dépassant toutes les attentes et tout va bien de ce côté. J’ai aussi lu que beaucoup étaient intéressés, mais pour être honnête, je ne sais pas quelles équipes veulent de moi. Quand je verrai toutes les offres, je réfléchirai et déciderai » , a-t-il déclaré.\\n\\nNikola Vucevic, c’est 20,8 points, 12,0 rebonds et 3,8 passes par match en NBA. D’où l’importance de sa participation à la Coupe du monde. Ou pas." }, {"role": "user", "content":"Italie : trois coachs de renom sur les tablettes de Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Eliminé en demi-finale des playoffs de Serie A, Milan vit une fin de saison agitée. Le Directeur General Livio Proli s’en va et ça devrait également être le cas du coach Simone Pianigiani.\\n\\nPlusieurs noms circulent pour remplacer l’entraîneur italien. Selon Encestando, Ettore Messina, Xavi Pascual ou David Blatt pourraient remplacer le technicien en poste depuis 2017. Le premier est assistant de Gregg Popovich aux San Antonio Spurs depuis 2014, le second a été remercié par le PanathinaÏkos en décembre 2018 et est depuis sans club tandis que le dernier est toujours sous contrat avec l’Olympiakos avec qui il devrait continuer. Même s’il ne faut pas oublier l’état actuel dans lequel se trouve le club grec. Entre problème d’argent et extra-sportifs avec la ligue grecque, cela pourrait donner des idées à Blatt.\\n\\nL’été dernier, le club milanais a dépensé pas moins de 25 millions pour recruter de nouveaux joueurs alors qu’il s’est fait éliminer des playoffs de Serie A, n’a pas atteint l’objectif des playoffs d’Euroleague et s’est également fait éliminer de la coupe d’Italie en quart de finale." }, {"role": "user", "content":"La photo: au Havre, des poubelles en forme de panneaux de basket" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le STB est en lutte avec Saint-Quentin pour regagner sa place en Pro B, la ville du Havre a pris une initiative originale et qui fait une belle promo au basket...\\n\\nAfin d’inciter ses habitants à plus de propreté, la municipalité a installé des poubelles en forme de panneau de basket avec un mini terrain devant ! On peut donc tester son adresse tout en mettant ses ordures là où il faut." }, {"role": "user", "content":"Demi-finale Jeep Elite: Monaco double la mise face à Dijon, 84-75" }, {"role": "assistant", "content":"Avec sa paire d’extérieurs français, Yakuba Ouattara (23 points, 25 d’évaluation) – Paul Lacombe (22 points, 23 d’éval), l’AS Monaco n’a pas manqué d’infliger une deuxième défaite à la JDA Dijon (84-75) et d’aborder ainsi en position de force son déplacement en Bourgogne.\\n\\nSi Gerald Robinson était absent (douleurs au dos) remplacé par Sergii Gladyr, placé directement dans le cinq de départ, le meneur Dee Bost avait récupéré de sa cheville endolorie lors du Match 1 et était bien présent sur le terrain ce soir.\\n\\nComme lors de la première manche, les Dijonnais attaquaient mollement si bien qu’ils se faisaient vite déborder par l’AS Monaco (7-0 et 18-6 grâce notamment à 5 interceptions en 8’) et ils avaient droit à une remontée de bretelles de la part de leur coach, Laurent Legname. Seulement l’ASM multipliait les interceptions et avec un Paul Lacombe incisif (12 points et 15 d’évaluation en première mi-temps), elle portait son avantage à 30-16. Puis c’était à elle de perdre bêtement quelques ballons et la JDA en profitait pour lui infliger un 10-1 et revenir ensuite à 35-31 (19e). David Holston était évidemment passé par là.\\n\\nLa reprise de la deuxième mi-temps était pénible pour les Bourguignons qui se voyaient de nouveau renvoyés au large (55-41). Jarrod Jones expédiait notamment deux missiles très impressionnants alors que Paul Lacombe criait sa rage après un superbe alley hoop. Lequel Paul Lacombe (20 points à 9/12 et 25 d’éval à ce moment-là) s’occupait de maintenir les Dijonnais à distance (67-54, 30e).\\n\\nComme à son habitude et avec un très bon Gavin Ware (20 points, 6 rebonds) à l’intérieur, et à un Axel Julien (15 points, 7 passes) qui montait en régime, la JDA ne lâchait pas prise. Mais les Monégasques récupéraient quantité de rebonds offensifs (16 soit quatre fois plus que les Dijonnais) et Yakuba Ouattara tuait le match.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yakuba Ouattara (ASM)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Ruddy Nelhomme serait reconduit un an comme coach de Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Selon nos informations, le PB86 aurait re-signé son coach Ruddy Nelhomme, 47 ans, pour un an même si cette décision n’a pas fait l’unanimité au sein de l’équipe dirigeante. Certains lui reprochent de n’avoir amené l’équipe que deux fois en playoffs sur les cinq dernières saisons en ne remportant qu’un seul match.\\nRuddy Nelhomme est l’entraîneur du club depuis 2007. Le président Louis Bordonneau envisagerait de lui proposer de devenir par la suite directeur sportif.\\n\\nL’Antillais est par ailleurs l’adjoint de Vincent Collet en équipe de France.\\n\\nPhoto: PB86" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jaron Johnson quitte Levallois pour l’Elan Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé en France en fin de saison dernière, Jaron Johnson (1,98m, 27 ans) va quitter Levallois pour rejoindre Chalon-sur-Saône.\\n\\nA peine arrivé dans l’Hexagone, l’ancien pensionnaire de Louisiana Tech a vite réussi à se rendre indispensable dans l’effectif de Freddy Fauthoux. Sur son site, l’Elan Chalon rapporte que l’ailier texan est la première recrue de Philippe Hervé. Le nouvel entraîneur chalonnais s’est d’ailleurs exprimé sur cette signature.\\n\\n« Performant avec Levallois la saison dernière, Jaron est un joueur mobile et agressif, doté d’une bonne adresse à longue distance. Il formera avec Assane Ndoye une doublette complémentaire sur le poste 3, tous deux disposant d’une vraie marge de progression. »\\n\\nTrès athlétique, l’ancien joueur de l’Ironi Nes Ziona a notamment participé au concours de dunks du All Star Game 2018 à Bercy. Cette saison, Jaron Johnson compilait en moyenne 10,8 points et 3,2 rebonds pour une évaluation de 9,5 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Edwin Jackson, Kim Tillie et Andrew Albicy dans le viseur de l’ASVEL ?" }, {"role": "assistant", "content":"En cette fin de saison, les rumeurs vont bon train en Europe et l’ASVEL, qui va faire son retour en Euroleague, n’y échappe pas.\\n\\nSelon Basketballsphere, le club villeurbannais semblerait vouloir frapper fort sur le marché des internationaux français. Ainsi, Edwin Jackson (1,91m, 29 ans), Kim Tillie (2,11m, 30 ans) et Andrew Albicy (1,78m, 29 ans) serait dans le viseur des dirigeants.\\n\\nLes deux premiers, en plus d’avoir déjà vécu des expériences en Euroleague, ont aussi déjà porté le maillot de l’ASVEL. Edwin Jackson (11,5 points, 2,7 rebonds et 2,7 passes cette saison) a disputé l’Euroleague avec Barcelone, Malaga, puis cette saison à Podgorica, mais il a avant cela évolué à Villeurbanne entre 2007 et 2014 (il a été prêté deux fois, à Nanterre en 2008/09 et à Rouen en 2009/10). Kim Tillie (6,1 points et 2,5 rebonds cette saison), lui, joue en Euroleague depuis 2014 entre Vitoria, l’Olympiakos et Gran Canaria, mais c’est bien au bord du Rhône qu’il a lancé sa carrière professionnelle entre 2008 et 2010.\\n\\nDe son côté, Andrew Albicy (9,7 points et 5,4 passes décisives cette saison) n’a jamais joué pour l’ASVEL, mais il a d’ores et déjà annoncé qu’il quittait Andorre pour tenter sa chance en Euroleague après avoir été élu dans le cinq majeur de l’Eurocup.\\n\\nSelon le site serbe, l’ASVEL serait même intéressée par Nando De Colo tout en étant conscient de ne pas pouvoir lutter face au CSKA Moscou, ni même aux clubs espagnols qui l’approcheront. Le meneur français touche plusieurs millions d’euros par saison au CSKA, ce qui est donc hors de prix pour un club français.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La NBA ou l’Espagne pour Nando De Colo?" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de l’Euroleague avec le CSKA Moscou il y a quelques semaines, Nando De Colo (1,96m, 31 ans) arrive à la fin de son contrat avec le club moscovite et ne sait pas encore où il jouera à la rentrée.\\n\\nSelon Sportando, l’international tricolore pourrait quitter la Russie pour retourner en NBA à la fin de la saison. Alors que ses droits appartiennent toujours aux Toronto Raptors, il se pourrait que la franchise canadienne matche toutes les offres qui seront faites à l’ancien choletais.\\n\\nS’il ne reçoit pas d’offre provenant de la ligue américaine, l’ancien joueur des San Antonio Spurs pourrait se tourner vers l’Espagne. Un choix plein de logique pour le MVP de l’Euroleague en 2015/16. Il a déjà joué trois saisons à Valence, sa femme est originaire de cette ville et ses deux filles sont nées en Espagne. Nando avait confié que le fait de ne pas avoir l’Euroleague tous les ans est un problème pour Valence. Mais avant de penser à la saison prochaine, l’ancien joueur des Toronto Raptors a une finale de VTB League à jouer.\\n\\nCette saison, Nando De Colo compilait en moyenne 14,7 points, 2,5 rebonds et 3,4 passes déicisves pour une évalaution de 16,4 en Euroleague. 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Joueur de devoir et fort défenseur, il aura pour mission de mener la barque des Sharks qui ne comptent pas faire de vieux os en Pro B. Champion de France de Jeep Elite avec l’Elan Chalon en 2017, l’international camerounais va gouter à la Pro B pour la première fois de sa carrière.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Gédéon Pitard compilait en moyenne 4,8 points, 2,4 rebonds et 2,2 passes décisives pour une évaluation de 6,6.\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"La Tribune-Le Progrès publie un numéro spécial numérique gratuit pour fêter la remontée de la Chorale de Roanne en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"« C’est le bonheur total l’aboutissement de trois ans de travail avec Laurent (Pluvy). On avait fixé des objectifs sportifs. Avoir des joueurs depuis deux et trois ans avec 80 % de l’équipe conservée pendant deux saisons fait qu’on a un groupe qui s’entend bien, avec un Laurent (Pluvy) qui sait driver ses joueurs, leur parler, leur apporter ce dont ils ont besoin pour aller encore plus haut. Cela permet ce vrai bonheur même s’il y a toujours le stress quand on est premier avec une victoire d’avance. Mais ce n’est que du bonheur. »\\n\\nAinsi s’exprime le président de la Chorale de Roanne, Daniel Perez, après la (re)montée de son club en Jeep Elite dans La Tribune-Le Progrès. Le quotidien publie un numéro spécial numérique gratuit de 18 pages avec outre Daniel Perez des entretiens avec Alain Béral, Jacques Monclar, Laurent Pluvy, etc, des chiffres, des rétros et bien sûr plein de photos.\\n\\nDe la haute qualité, à télécharger ICI." }, {"role": "user", "content":"Italie: Sassari sort Milan 3-0. Gianmarco Pozzecco: «J’espère que mes joueurs ne vont pas rentrer avant 8 heures du matin»" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà vainqueur de la FIBA Eurocup, le Dinamo Sassari du coach Gianmarco Pozzecco s’est assuré une victoire à domicile en prolongation de 108 à 96 face à Olimpia Milan et s’est qualifié ainsi 3-0 pour la finale du championnat italien.\\n\\nJaime Smith a totalisé 29 points pour Sassari avec un exceptionnel 7/8 aux tirs à trois points et deux d’entre-eux ont été marqués en prolongation. Rashawn Thomas a suivi avec 22 points et huit rebonds en plus des 20 points de Jack Cooley.\\n\\nGianmarco Pozzecco s’est exprimé au micro d’Eurosport:\\n\\n« Écrivons-nous l’histoire? Non, nous l’avons déjà écrite. Incroyable. Je ne sais pas quoi dire, vraiment. Je ne sais pas, après un tel match, parler est la chose la plus stupide qu’on puisse faire. »\\n\\nMais en conférence de presse, l’électrique Pozzecco n’a pas retenu sa joie:\\n\\n« Je suis au basket depuis l’âge de quatre ans, j’ai passé mon enfance dans des salles de sport, j’ai vu tous les matches possibles mais je n’ai jamais rien vu de tel. Je ne dis pas que ça n’a jamais existé parce que je n’ai pas tout vu, mais depuis 42 ans, je n’ai jamais vu une telle équipe. Jamais (...) Une telle chose ne peut se vivre que dans certains endroits, il n’est pas possible de le vivre ailleurs si ce n’est dans un endroit semblable à celui-ci . (...) Tout est surréaliste (...) Je n’ai aucune idée de la façon dont ils parviennent à faire ressortir leur énergie. Je félicite Milan pour cette série très intense, c’est une équipe de douze lions et de vrais hommes (...) Nous n’avons rien gagné, mais c’est une chose épique qui restera dans l’histoire au-delà de la façon dont la finale se déroulera.« . Et à propos de son équipe: « J’espère que mes enfants ne rentreront chez eux pas avant huit heures du matin et qu’ils vont s’amuser, ils le méritent bien . «\\n\\nEn finale, Sassari affrontera le vainqueur du match entre Vanoli Cremona et Umana Reyer Venezia, actuellement à égalité 1-1." }, {"role": "user", "content":"Nationale 2: Dax-Gamarde est champion de France" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir remporté la Coupe des Landes pour la quatrième fois consécutive, Dax-Gamarde est devenu hier à Pessac champion de France de Nationale 2 grâce à sa victoire en finale sur Vanves, 78-65.\\n\\n« C’est quelque chose d’extraordinaire, les joueurs sont allés chercher au fond d’eux-mêmes dans les dernières forces qui leur restaient de la saison, » a commenté le coach Denis Mettay à France Bleu Gascogne. « C’est de la fierté, c’est un accomplissement pour le club. Gamarde c’est un petit village à la base et on arrive à monter en Nationale 1, à gagner un titre de champion de France. Se dire qu’il va y avoir la bannière de champion de France dans la salle de Gamarde, c’est tout simplement magique »\\n\\nGamarde-les-Bains est une commune de 1 270 habitants réputée pour son eau riche en soufre aux vertus dermatologiques, traitant notamment l’éczema et les psoriasis." }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Les 44 d’évaluation de Thomas Heurtel (Barcelone) contre Badalone" }, {"role": "assistant", "content":"Barcelone est allé s’imposer 86-107 à Badalone pour les demi-finales de la Ligue Endesa et s’est ainsi qualifié 2-0 pour les demi-finales. Ce match a donné lieu à un duel de toute beauté entre l’Argentin Nico Laprovittola et le Français Thomas Heurtel.\\n\\nLe premier, MVP de la saison, a cumulé 22 points et 11 passes pour 41 d’évaluation. Le second a fait encore mieux avec 32 points et 9 passes pour 44 d’éval. Selon les données d’ACB.com, Heurtel a égalé la septième meilleure performance de tous les temps en playoffs et battu le record du Barça détenu jusqu’ici par Arturas Karnisovas (43).\\n\\n\\n\\n\\n32 puntos, nueve asistencias y 44 créditos de valoración para una HISTÓRICA actuación en el #PlayoffLigaEndesa.\\n¡Así fue la exhibición de @MT28APRIL en Badalona! pic.twitter.com/SWm0zQA9uh\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) June 2, 2019" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3 U18: L’équipe de France féminine est en piste" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine participe du 3 au 7 juin à la Coupe du Monde 3 x 3 à Oulan-Bator, en Mongolie. Elle est composée de Maria Darami, Lisa Dufon, Axelle Fuentes et N’Dye Touré.\\n\\nLa phase de poule se déroule du 3 au 6 juin. Les deux meilleures équipes de chaque groupe, hommes et femmes, se qualifieront pour les quarts de finale. Les finales sont prévues le 7 juin.\\n\\nLes Argentins chez les hommes et les Américaines chez les femmes sont les tenantes du titre.\\n\\nHommes:\\n\\nGroupe A: Chine, Slovénie, Italie, Jordanie, Turquie.\\n\\nGroupe B: Russie, Ukraine, Turkmenistan, Kazakhstan, République Dominicaine.\\n\\nGroupe C: Lettonie, Etats-Unis, Biélorussie, Mongolie, Georgie.\\n\\nGroupe D: Roumanie, Estonie, Brésil, Kyrgystan, Argentine.\\n\\nFemmes:\\n\\nGroupe A: Chine, Sri Lanka, Ukraine, Mexique, Egypte.\\n\\nGroupe B: Russie, Hongrie, Nouvelle Zélande, Etats-Unis, Pologne.\\n\\nGroupe C: France, Pays-Bas, Mongolie, Philippines, République Tchèque\\n\\nGroupe D: Indonésie, Roumanie, Suisse, Japon, Belgique\\n\\nLundi 3 juin\\n17h10 : France – Philippines\\n20h00 : France – Pays-Bas\\n\\nMercredi 5 juin\\n18h40 : République Tchèque – France\\n20h40 : Mongolie – France" }, {"role": "user", "content":"Le programme TV by TCL: La suite des demi-finales de Jeep Elite et le début de la préparation des Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"La suite des demi-finales des playoffs de Jeep Elite sont diffusées sur RMC Sport 2, qui propose aussi les matches de préparation de l’équipe de France féminine alors que l’Euro sera sur... Canal+ Sport.\\n\\nLundi 3 juin\\n\\n20h45 – Monaco/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 4 juin\\n\\n20h45 – ASVEL/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 6 juin\\n\\n20h45 – Dijon/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 7 juin\\n\\n20h45 – Nanterre/ASVEL – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 8 juin\\n\\n18h30 – Dijon/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\nDimanche 9 juin\\n\\n18h30 – Nanterre/ASVEL – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\n20h30 – France/Ukraine – Amical Féminines – RMC Sport 2\\n\\nLundi 10 juin\\n\\n20h45 – Monaco/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\nMardi 11 juin\\n\\n20h45 – ASVEL/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\nPhoto: Haukur Palsson (Nanterre, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Roger Vermeil, le doyen des Eagles, le club des supporters du Limoges CSP" }, {"role": "assistant", "content":"France 3 Nouvelle Aquitaine a consacré un reportage à Roger Vermeil, 85 ans, qui a la particularité d’être le doyen du club des supporters des Eagles. Un fidèle parmi les fidèles du Limoges CSP. Il y raconte ses souvenirs." }, {"role": "user", "content":"Playoffs Jeep Elite: l’ASVEL remporte la première levée face à Nanterre, 91-72" }, {"role": "assistant", "content":"Comme Monaco hier mais sans jamais être vraiment inquiété, Villeurbanne a remporté le Match 1 de sa demi-finale face à Nanterre, qui nous a laissé sur notre faim. Avec cinq paniers à trois-points, le pivot Adreian Payne a bousculé la stratégie des Nanterriens. Le Match 2 est programmé pour mardi.\\n\\nGrâce à une défense serrée et à son pivot Adreian Payne qui a démontré toute l’étendue de sa panoplie (contres, shoots extérieurs et jeu dos au panier et même un floater), et qui a inscrit 15 points en 8 minutes, l’ASVEL a pris les devants (29-24) avant de se faire contester le leadership par Nanterre animé par son duo d’arrières Jeremy Senglin-Nick Johnson (24 des 42 points de leur équipe en première mi-temps).\\n\\nDeMarcus Nelson (14 points, 7 rebonds, 4 passes) était excellent des deux côtés du terrain et les Villeurbannais après avoir été menés de trois points, ont donné un nouveau coup de collier en fin de cette première mi-temps et sur un nouveau trois-points de Adreian Payne (le 4e sur 6 tentatives), ils obtenaient leur plus gros avantage à 52-42 (20e). Avec un 21/34 global, l’ASVEL avait fait preuve d’une belle adresse.\\n\\nAvec six points de suite de Livio Jean-Charles, Villeurbanne augmentait son avantage à 60-44. Suite à un temps-mort de Pascal Donnadieu, Nanterre retrouvait son agressivité, se retrouvait pas mal de fois sur la ligne des lancers, mais avec un cinquième panier à trois-points au buzzer d’Adreian Payne (21 points au total), l’ASVEL avait encore une confortable marge après 30′, 69-57.\\n\\nLe niveau de jeu avait baissé vis à vis de la première mi-temps et celui de Nanterre perdu de sa fluidité. Les Villeurbannais contrôlaient le tempo et verrouillaient leur défense. Avec ses jeunes l’ASVEL faisait monter l’addition à +19. Nanterre devra monter son intensité mardi pour ne pas revenir bredouille de son séjour dans le Rhône.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n\\n\\nRetrouvez le Top 5 du match 1 des demi-finales des #PlayoffsJeepELITE entre @LDLCASVEL et @Nanterre92 pic.twitter.com/5aDfSJUzDt\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 2, 2019\\n\\nPhoto: Adreian Payne" }, {"role": "user", "content":"Le Havre et Saint-Quentin se qualifient pour la finale des playoffs d’accession à la Pro B" }, {"role": "assistant", "content":"Le Havre et Saint-Quentin ont profité de l’avantage du terrain pour s’imposer respectivement à Boulogne (73-63) et Saint-Vallier (75-72) lors du match d’appui de demi-finale des playoffs d’accession à la Pro B. Les deux équipes se retrouveront ainsi en finale.\\n\\nLes Havrais ont pu compter sur l’abattage du trio composé de Demond Watt (18 points, 7 rebonds), Mikel Uriz-Ancizu (16 points, 9 passes) et Samir Mekdad (14 points). Saint-Vallier est revenu dans le dernier quart-temps (18-25) mais insuffisamment.\\n\\nC’est dans le dernier quart-temps (22-12) que SQBB a fait la décision. Benoit Gillet (18 points, 4 rebonds, 3 passes et 3 interceptions) et Bobby Walker en double double (11 points et 12 rebonds) ont sorti le grand jeu." }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Gries, Orléans et Rouen en demi-finale ; Saint-Chamond écrase Nancy et décroche un match 3" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la loi du plus fort avait été respectée en grande majorité lors de la première journée des playoffs d’accession, ça a été légèrement plus mitigé ce samedi soir.\\n\\nDe nouveau vainqueur face à Poitiers, Orléans s’est logiquement qualifié pour les demi-finales (74-64). Très discret deux jours plus tôt, Brandon Jefferson est ressorti de sa boite lors du match retour. Le MVP de la saison de Pro B planté 30 points, pris 3 rebonds et distribué 6 passes décisives pour une évaluation de 25 et a ainsi offert sa qualification à l’OLB. Boxscore ici.\\n\\nDéjà vainqueur au match aller, le Rouen Métropole Basket a dû lutter jusqu’en fin de match pour arracher sa qualification (72-70). Dans la salle du Jeu de Paume de Blois, les hommes d’Alexandre Menard se sont notamment reposés sur un trio Lasan Kromah, Zimmy Nwogbo et Jamar Diggs qui ont respectivement inscrit 20, 17 et 18 points. Boxscore ici.\\n\\nSurprise de la première journée, Gries avait été chercher une précieuse victoire au buzzer sur le parquet de Vichy-Clermont. Pour le deuxième match, le BCGO a terminé le travail en patron à domicile. Une deuxième victoire (90-85) synonyme donc de qualification pour le prochain tour pour ce modeste club situé à une petite trentaine de kilomètres de Strasbourg. Yann Siegwarth a terminé meilleur joueur avec 17 points, 3 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 17. Boxscore ici.\\n\\nVictorieux de seulement trois points à l’aller, le SLUC a subi une véritable correction à Saint-Chamond et s’est incliné 104-74. Les joueurs d’Alain Thinet se sont donné une nouvelle chance de s’imposer à Nancy pour espérer passer en demi-finale. Du côté du SLUC, il faudrait éviter de perdre une nouvelle fois pour ce club qui vise clairement la remontée en Jeep Elite depuis plusieurs saisons. Meilleur joueur de la rencontre, Bodian Massa a compilé 14 points, 8 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 23. Boxscore ici.\\n\\nAlors que Rouen et Gries-Oberhoffen savent déjà qu’ils s’affronteront en demi-finale, Orléans ne sait donc pas encore qui de Nancy ou Saint-Chamond sera son adversaire. Rendez-vous lundi soir.\\n\\nPhoto : Lasan Kromah (Rouen), Maéva Parmentier" }, {"role": "user", "content":"La places des U21 en Europe: les meilleurs joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Pour cet article final sur la place des U21 en Europe, voici le « palmarès » des meilleurs jeunes joueurs du continent.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès nous être intéressés aux championnats selon leur degré d’implication dans la formation des joueurs de 21 ans et moins puis aux équipes européennes faisant le plus confiance à ces mêmes U21, il est temps, pour conclure cette étude, de dresser un « palmarès » (basé sur l’étude statistique, il ne reflète pas forcément totalement le « potentiel » des uns et des autres) des meilleurs joueurs U21 évoluant en Europe.\\n\\nPour commencer, voyons par classe d’âge quels sont les meilleurs, espoirs en devenir ou joueurs déjà confirmés.\\n\\n2003\\n\\nQuatre joueurs seulement nés en 2003, et donc âgés de 15 à 16 ans au début de la saison 2018-2019, ont eu l’occasion d’entrer en jeu dans l’une ou l’autre des compétitions que nous avons étudiées. Aucun n’a eu plus de 4 matchs pour s’exprimer, mais deux ont eu droit à des minutes, dans des contextes différents. Dans le championnat serbe, Stefan Stefanovic (Beovuk, Serbe) a ainsi eu droit à 22,5 mn de jeu en quatre matchs, pour 8,0 pts et 5,8 d’éval. Remarquable même si la KLS n’est pas de très haut niveau dans sa première phase. Quant à Lefteris Mantzoukas (Patras, Grec), s’il présente des stats vierges en championnat grec (4,0 mn sur trois matchs), son coach lui a donné deux fois 14,4 mn en BCL, pour 3,5 pts et 3,0 d’éval. Pour sa part, Fedor Zugic (Buducnost, Monténégrin) n’est pas entré en jeu en Ligue Adriatique mais a eu droit à quelques secondes en Euroleague, sans apport statistique. Citons également Tomislav Ivicic (Sibenik, Croate) qui, en trois matchs de ligue croate et 5,2 mn de temps de jeu moyen, a généré 1,3 pt et 3,0 d’éval.\\n\\nEn se basant sur ces stats réalisées sur un très petit nombre de matchs, impossible de dégager une hiérarchie. D’autant que rien ne permet de prévoir comment évolueront ces adolescents dans les années à venir. Qu’ils aient déjà pu entrer en jeu est déjà en soi une forme d’exploit.\\n\\n2002\\n\\nDes joueurs de 16 ans (voire pour certains 15 en début de saison) capables de jouer dans un championnat professionnel, il n’y en a forcément pas beaucoup. Au total, sur l’ensemble des compétitions (championnats et coupes d’Europe) de notre étude, 16 de ces très jeunes gens ont eu droit à au moins une entrée en jeu. Et seuls trois d’entre-eux ont eu un minimum de temps de jeu, dont deux très gros prospects. Outre le Croate Filip Bjelanovic (Hermes, championnat croate, 7 matchs, 9,2 minutes, 7,3 points, 6,4 d’évaluation), prometteur mais se produisant dans un championnat mineur, les deux autres évoluent en effet dans de plus solides écuries et laissent déjà entrevoir les joueurs qu’ils seront sans doute dans le futur. Roko Prkacin (Cibona Zagreb, Croate, 8 matchs, 13,2 mn, 7,5 pts, 9,3 d’éval) réalise déjà de belles stats dans son championnat domestique mais a, logiquement, plus de mal en Ligue Adriatique : 8,0 mn, 2,2 pts, 2,8 d’éval en 5 matchs. Et il est le MVP du dernier championnat d’Europe U16. Quant à Usman Garuba, le phénomène espagnol qui a régné sur les compétitions U16 européennes (MVP en 2016, à... 14 ans !), ses rares apparitions au sein de l’équipe première du Real Madrid n’ont pas manqué d’impressionner : en 9 mn (2 matchs), il a produit 4,5 pts et 8,0 d’éval. On ne serait pas étonné qu’il occupe une place importante dans la rotation madrilène dès la prochaine saison...\\n\\nQuant à départager Prkacin et Garuba, cela semble pour l’heure impossible tant la façon dont les deux joueurs vont évoluer n’est pas prévisible. Ils devraient devenir très forts, mais jusqu’à quel point ? Donc, pour l’heure, ils sont à nos yeux ex-aequo.\\n\\nMVPs : Roko Prkacin (Cibona Zagreb) et Usman Garuba (Real Madrid)\\n\\n2001\\n\\nSi les générations 2002-2003 sont logiquement très peu représentées, leurs aînés nés en 2001 trouvent, pour certains, leur place dans les principaux championnats européens, même s’ils sont encore peu nombreux à bénéficier d’un temps de jeu intéressant. Après tout, ces joueurs ont commencé la saison à 16 ou 17 ans...\\n\\nAu total, ce sont 62 joueurs nés en cette année 2001 qui ont eu le droit d’entrer au moins une fois en jeu. Mais ils ne sont « que » 16 à avoir pu grappiller quelques responsabilités (voire plus). Selon les pays, ces U17 ont eu plus ou moins leur chance. Ainsi, en Italie, ce sont pas moins de 11 joueurs de 2001 qui sont entrés en jeu, mais aucun plus de 4 mn sur 4 matchs. De même, en Turquie, neuf 2001 ont subi un sort identique. À l’opposé, les clubs serbes ont aligné dix 2001, dont sept ont eu droit à un temps de jeu conséquent. Et, à un niveau plus élevé, deux des cinq Français de cette génération à être entrés en jeu ont pu montrer ce qu’ils savaient faire avec régularité, les bien connus Théo Maledon (LDLC Asvel) et Killian Hayes (Cholet, 26 matchs, 19,9 mn, 6,9 pts, 8,1 d’éval).\\n\\nSi l’on se concentre sur les cinq 2001 les plus « rentables » dès aujourd’hui, on constate que nos deux « petits » Français figurent dans le lot, accompagnés de l’Allemand Franz Wagner (Alba Berlin, 11,2 mn, 4,3 pts et 5,2 d’éval en 19 matchs de BBL allemande et 2,5 pts, 2,4 d’éval en 9,2 mn sur 20 matchs d’Eurocup), Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv), entré 20 fois en jeu en Winner League israélienne (9,4 mn, 2,4 pts, 1,3 d’éval) et 8 fois en Euroleague (6,2 mn, 3,9 pts, 3,0 d’éval) et Tarik Biberovic (Fener, Bosno-Turc, 5,5 mn, 3,2 pts et 2,8 d’éval en 5 matchs d’Euroleague).\\n\\nMais le MVP de cette classe d’âge est sans conteste Théo Maledon, devenu en quelques mois un joueur majeur du leader de la Jeep Élite et d’un quart de finaliste d’Eurocup : 16,9 mn, 7,2 pts et 8,1 d’éval en 25 matchs en France, 17,5 mn, 7,1 pts, 6,6 d’éval en 18 matchs européens.\\n\\nMVP : Théo Maledon (LDLC Asvel)\\n\\n2000\\n\\nPlus âgés, les joueurs nés en 2000 sont logiquement plus représentés que leurs cadets. Ainsi, ils ont été 116 à entrer au moins une fois en jeu et 34 à disposer d’un vrai temps de jeu. Avec une nouvelle fois un petit cocorico chauvin : hormis les championnats de l’ex-Yougoslavie (Croatie, Serbie et Ligue Adriatique, avec respectivement 6, 5 et 7 joueurs de cette classe d’âge ayant du temps de jeu), la Jeep Élite est le championnat qui donne le plus de possibilités à ces jeunes de 17-18 ans avec l’ACB espagnole : trois joueurs pour chacune de ces ligues (Mathis Dossou-Yovo, Karlton Dimanche et Sekou Doumbouya pour le championnat français).\\n\\nPlusieurs de ces joueurs bénéficient d’ores et déjà de responsabilités importantes, qu’ils rentabilisent au mieux. En Espagne, Carlos Alocen (Saragosse) passe 14,0 mn sur le terrain (24 matchs) pou 5,1 pts et 5,5 d’éval. En Lituanie, Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas) joue 12,2 mn (20 matchs) pour 5,5 pts et 5,1 d’éval ainsi que 6,3 mn (10 matchs) pour 2,9 pts et 2,3 d’éval en Euroleague. Son compatriote Deividas Sirvydis (Rytas Vilnius) affiche 15,0 mn (24 matchs) pour 5,5 pts et 5,0 d’éval en LKL et 14,1 mn (17 matchs) pour 5,4 pts et 4,8 d’éval en Eurocup. En VTB League, Nikita Mikhailovskii (Avtodor) a droit à 15,1 mn (23 matchs) pour 5,6 pts et 5,9 d’éval alors que Jonas Mattiseck (Alba Berlin, Allemand) joue peu en BSL (9 matchs, 13,3 mn, 3,8 pts et 3,6 d’éval) mais se rattrape en Eurocup : 14,1 mn (5 matchs), 7,4 pts et 8,0 d’éval. Citons également Luka Cerovina (OKK Belgrade en LKS serbe et MegaBemax en Ligue Adriatique, Serbe) : 21,5 mn (19 matchs), 9,3 pts et 10,5 d’éval en LKS, 13,8 mn (6 matchs), 4,5 pts et 5,2 d’éval en Ligue Adriatique. Ou Aleksander Balcerowski (Gran Canaria, Polonais) qui joue plus en Euroleague qu’en liga ACB ! : 12,2 mn (6 matchs) pour 3,0 pts et 3,0 d’éval en Europe contre 9,0 mn (4 matchs), 3,3 pts et 3,5 d’éval en ACB.\\n\\nRestent les deux joueurs les plus rentables, dans des contextes très différents. Le premier évolue en Ligue Adriatique et en BCL, Luka Samanic (Olimpija Ljubljana, Croate). Dans la première compétition, il joue 15,4 mn (20 m.) pour 6,4 pts et 7,3 d’éval et 19,4 mn (12 matchs) pour 8,2 pts et 8,9 d’éval dans la seconde. L’autre est bien sûr Sekou Doumbouya (CSP Limoges), qui réalise 6,5 pts et 7,1 d’éval en 17,5 mn (19 m.) en Jeep Élite et 6,9 pts, 5,8 d’éval en 14,5 mn (8 m.) en Eurocup. La comparaison entre les deux profils semblant difficile, nous les classons ex-aequo.\\n\\nMVPs : Sekou Doumbouya (CSP Limoges) et Luka Samanic (Olimpija Ljubljana)\\n\\n1999\\n\\nDrôle d’année que celle des 1999... Certes, ils sont plutôt nombreux à jouer (123 entrés en jeu, 58 ayant eu un vrai temps de jeu), mais cette classe d’âge n’a guère « inspiré » certaines compétitions : ils ne sont que deux 1999 à avoir des responsabilités en Allemagne contre trois 2000, un en Euroleague contre trois. Et, une fois ôtés les U20 qui évoluent dans les championnats de l’ex-Yougoslavie, ils ne sont plus que seize 1999 à entrer en jeu dans des championnats domestiques de manière régulière.\\n\\nAvec qui plus est un rendement pas folichon, au point qu’il nous a été difficile de rassembler suffisamment de noms pour composer un cinq majeur. Si l’on met de côté les Toni Nakic (Sibenik, Croate), Mihailo Jovicic (OKK Belgrade, Serbe), Tadija Tadic (KK Mladost) ou Filip Barna (KK Subotica) qui gambadent en ligues croate et serbe en générant de 10 à 16 d’éval dans ces faibles championnats, il ne reste guère que cinq joueurs un tant soit peu intéressants dans cette classe d’âge (dont aucun Français). Darko Bajo (Cedevita Zagreb, Croate) joue 24,1 mn (15 m.) pour 9,6 pts et 10,7 d’éval en championnat croate, 7,0 mn (10 m.) pour 1,2 pt et 0 d’éval en Ligue Adriatique et 9,5 mn (8 m.) pour 2,5 pts et 2,1 d’éval en Eurocup ; Nikola Miskovic (MegaBemax, Serbe) passe 23,0 mn sur le terrain (22 m.) pour 11,6 pts et 9,7 d’éval en Ligue Adriatique ; Sehmus Hazer (Banvit, Turc) joue 15,5 mn pour 5,1 pts et 4,0 d’éval en championnat turc et 18,8 mn pour 7,5 pts et 6,8 d’éval en BCL ; Onuralp Bitim (Anadolu Efes, Turc) bénéficie de 11,4 mn (10 m.) pour 6,0 pts et 5,2 d’éval en BSL (mais ne joue pas en Euroleague) ; Georgis Kalaitzakis (Pana, Grec) se contente de 8 mn/match (15 m.) pour 3,4 pts et 2,3 d’éval en ligue grecque (et une fois 2 minutes en Euroleague). Bref, rien de bien enthousiasmant.\\n\\nSi l’on s’arrêtait là, on pourrait parler de « classe d’âge perdue » pour les 1999. Mais il y a un joueur qui rattrape tout le reste, Goga Bitadze. Le Géorgien, prêté par le Mega Bemax à Buducnost Podgorica afin qu’il s’aguerrisse en Euroleague, a tout fracassé sur son passage, aussi bien en Ligue Adriatique (dont il a été élu MVP) que dans la meilleure coupe d’Europe (où il a été élu meilleur jeune). En ADA League (l’autre nom de la Ligue Adriatique), il « pèse » 15,6 pts et 19,0 d’éval en 23,8 mn sur 25 matchs, en Euroleague, il réalise 12,1 pts et 16,3 d’éval en 24,1 mn (13 m.) ! Bref, pas besoin de réfléchir, il est l’incontestable MVP de cette classe d’âge (mais pas seulement...).\\n\\nMVP : Goga Bitadze (Buducnost Podgorica et Mega Bemax)\\n\\n1998\\n\\nÂgés de 19 ou 20 ans au moment de démarrer la saison, les joueurs nés en 1998 sont pour la plupart dans cette période charnière qui sépare les « espoirs » des joueurs confirmés. Certains approchent de leur « plafond de verre », d’autres commencent à entrevoir sérieusement un avenir en tant que joueur professionnel de haut niveau. Ce qui, dans de nombreux championnats, se traduit par le fait que l’on trouve moins de 1998 que de 1999 entrés en jeu – un premier « écrémage » ayant eu lieu – mais que ceux qui jouent ont, dans l’ensemble, un rendement supérieur.\\n\\nAu total, 119 joueurs nés en 1998 sont entrés au moins une fois en jeu (123 de 1999) et 62 ont eu un véritable rôle (58 de 1999). En Espagne, ils ne sont que trois à être entrés en jeu (contre sept 1999) et un seul à avoir du temps de jeu (Nenad Dimitrijevic, Joventud Badalone, 15 mn, 6,3 pts, 6,1 d’éval) ; en France, ils ne sont que quatre à avoir du temps de jeu, contre cinq 1999 : Digué Diawara (Pau-Lacq-Orthez, 15,9 mn, 6,1 pts, 4,8 d’éval), Bathiste Tchouaffé (Bourg-en-Bresse, 10,9 mn, 3,3 pts, 3,2 d’éval), Samir Gbetkom (Le Portel, 5,5 mn, 0.9 pt, 0.9 d’éval) et Abdoulaye Ndoye (Cholet, 26,2 mn, 6,4 pts, 8,8 d’éval), le seul à avoir vraiment pris une place importante dans la rotation de son équipe.\\n\\nOutre Dimitrijevic et Ndoye, ils ne sont cependant pas bien nombreux à d’ores et déjà figurer dans la « caste » des joueurs « installés ». Mario Ihring (Osijek, Slovaque, 31,3 mn, 13,7 pts, 15,3 d’éval) et Novak Music (OKK Belgrade, Serbe, 27,2 mn, 14,6 pts, 18,3 d’éval), qui évoluent dans les championnats croate et serbe, produisent de belles stats, mais à un niveau moyen, ce qui demande confirmation à un étage supérieur. Borisa Simanic (Étoile Rouge, Serbe, 19,4 mn, 7,3 pts et 10,0 d’éval en Ligue Adriatique, 12,3 mn, 4,9 pts et 5,9 d’éval en Eurocup) s’affirme à un niveau supérieur alors que Matas Jogela (Alytus, Lituanien, 20,1 mn, 8,5 pts, 9,5 d’éval) a trouvé sa place en LKL lituanienne, tout comme Arturs Strautins (Trieste, Letton, 18,7 mn, 7,4 pts, 7,7 d’éval) en Italie.\\n\\nRestent les deux principaux joueurs de cette classe d’âge : Gytis Masiulis (Klaipeda, Lituanien, 20,3 mn, 9,9 pts, 12,4 d’éval en LKL, 18,0 mn, 6,8 pts, 7,1 d’éval en BCL) et, surtout, Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv, Israélo-Polonais, 26,0 mn, 7,9 pts et 9,2 d’éval en Winner League israélienne, 14,5 mn, 3,0 pts et 3,7 d’éval en Euroleague) qui disposent déjà d’un rôle important dans des équipes de haut niveau. Capable de tirer son épingle du jeu dans la plus forte compétition européenne, ce dernier fait un beau MVP pour cette classe d’âge.\\n\\nMVP : Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv)\\n\\n1997\\n\\nLes championnats de haut niveau n’en sont plus vraiment à l’heure des tests et de la patience avec les joueurs de 20 ans et plus : soit ils ont le niveau pour évoluer dans la compétition et ils jouent, soit ils se sont orientés vers des compétitions plus à leur portée. C’est le constat que l’on peut faire à regarder les effectifs des championnats étudiés ici : sur les 125 joueurs de 1997 entrés en jeu, 93 ont eu un temps de jeu conséquent, un nombre et une proportion bien plus importante que pour les classes d’âge précédentes.\\n\\nIl est intéressant de noter que quelques championnats privilégient fortement ces U21 à des joueurs plus jeunes. Ils sont ainsi 12 de 1997 à jouer en ACB espagnole, plus que toutes les autres classes d’âge réunies. C’est presque pareil en Allemagne (12 de 1997 contre 13 des autres générations). A contrario, d’autres compétitions font la part belle à de plus jeunes joueurs. Ainsi, en France, ils ne sont que sept 1997 à avoir du temps de jeu, contre 14 des années précédentes. Idem pour les championnats « ex-yougoslaves », avec notamment seulement cinq 1997 en Ligue Adriatique contre dix 1998 et autant de 1999.\\n\\nUne belle quantité de ces joueurs aujourd’hui âgés de 21 ou 22 ans sort du lot, méritant la mention. On pense ainsi à Stefan Peno (Alba Berlin, Serbe, 23,5 mn, 8,2 pts, 11,6 d’éval en BBL, 21,5 mn, 5,9 pts, 6,3 d’éval en Eurocup), Santiago Yusta (Real Madrid, Espagnol, 16,0 mn, 6,1 pts, 7,1 d’éval en ACB, 8,3 mn, 4,0 pts, 2,4 d’éval en Euroleague), Georgios Papagiannis (Pana, Grec, 11,7 mn, 6,6 pts, 9,9 d’éval en Grèce, 11,4 mn, 4,2 pts, 5,6 d’éval en Euroleague), Vanja Marinkovic (Partizan, Serbe, 27,7 mn, 12,2 pts, 9,2 d’éval en Ligue Adriatique, 29,1 mn, 12,4 pts, 8,0 d’éval en Eurocup) ou Marcel Ponitka (Gdynia, Polonais, 17,5 mn, 6,5 pts, 7,8 d’éval en Pologne, 30,2 mn, 7,9 pts, 10,9 d’éval en Eurocup).\\n\\nMais trois noms attirent encore plus l’attention : Martynas Echodas (Rytas Vilnius, Lituanien, 17,5 mn, 8,2 pts, 10,9 d’éval en LKL, 19,3 mn, 9,6 pts, 11,7 d’éval en Eurocup), Tamir Blatt (Hapoel Jérusalem, Israélien, 25,5 mn, 10,4 pts, 9,6 d’éval en Winner League, 24,8 mn, 10,1 pts, 13,1 d’éval en BCL) et Amine Noua (LDLC Asvel, Français, 22,8 mn, 9,9 pts, 10,4 d’éval en Jeep Élite, 25,3 mn, 10,8 pts, 10,7 d’éval en Eurocup).\\n\\nDifficile de départager ces trois joueurs mais, en tenant compte des championnats où ils évoluent, les deux derniers, Tamir Blatt et Amine Noua, méritent d’être nommés co-MVPs.\\n\\nMVPs : Tamir Blatt (Hapoel Jérusalem) et Amine Noua (LDLC Asvel)\\n\\nLes cinq majeur\\n\\nAprès ce panorama par classe d’âge, il est temps de s’intéresser aux « meilleurs des meilleurs », autrement dit les dix U21 les plus performants et prometteurs quelle que soit leur année de naissance.\\n\\nEn commençant par le deuxième cinq majeur :\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEv.\\nChampionnat\\n\\n\\n\\nThéo Maledon\\n1\\nLDLC Asvel\\nFrance\\n2001\\n25\\n16,9\\n7,2\\n8,1\\nFrance – Eurocup\\n\\n\\n\\nGeorgios Papagiannis\\n5\\nPana\\nGrèce\\n1997\\n19\\n11,7\\n6,6\\n9,9\\nGrèce – Euroleague\\n\\n\\n\\nStefan Peno\\n1\\nAlba Berlin\\nSerbie\\n1997\\n16\\n23,54\\n8,2\\n11,6\\nAllemagne – Eurocup\\n\\n\\n\\nGytis Masiulis\\n5\\nKlaipeda\\nLituanie\\n1998\\n29\\n20,3\\n9,9\\n12,4\\nLituanie – BCL\\n\\n\\n\\nVlatko Cancar\\n3\\nBurgos\\nSlovénie\\n1997\\n26\\n24\\n10,3\\n10,3\\nEspagne\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueur le plus dominant de sa classe d’âge et déjà plus rentable que bien des U21 plus expérimentés, Théo Maledon est accompagné dans ce deuxième cinq par le Slovène évoluant en ACB Vlatko Cancar, meilleur marqueur et meilleure éval U21 du championnat espagnol, par le Lituanien Gytis Masiulis, également meilleur marqueur et à l’éval U21 du championnat lituanien (et récent international), par le Serbe évoluant à l’Alba Berlin Stefan Peno, très prometteur mais freiné par les blessures et par le Grec Georgios Papagiannis, intéressant en Grèce comme en Euroleague.\\n\\nCes forts joueurs sont toutefois précédés par cinq autres joueurs présentant des stats encore meilleures dans des compétitions de même niveau. Ils forment le cinq majeur de notre étude :\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\nChampionnat\\n\\n\\n\\nTamir Blatt\\n1\\nH Jérusalem\\nIsrael\\n1997\\n24\\n25,5\\n10,4\\n9,6\\nIsraël – BCL\\n\\n\\n\\nYovel Zoosman\\n3\\nTelAviv Macc.\\nIsrael-Pologne\\n1998\\n24\\n26\\n7,9\\n9,2\\nIsraël – Euroleague\\n\\n\\n\\nAmine Noua\\n4\\nLDLC Asvel\\nFrance\\n1997\\n23\\n22,8\\n9,9\\n10,4\\nFrance – Eurocup\\n\\n\\n\\nMartynas Echodas\\n5\\nVilnius\\nLituanie\\n1997\\n28\\n17,5\\n8,2\\n10,9\\nLituanie – Eurocup\\n\\n\\n\\nGoga Bitadze\\n5\\nBuducnost\\nGéorgie\\n1999\\n25\\n23,8\\n15,6\\n19\\nLigue Adriatique – Euroleague\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTamir Blatt se montre très performant aussi bien en Winner League qu’en BCL, Yovel Zoosman est totalement intégré à la rotation du Maccabi en Euroleague, Amine Noua réalise des prestations quasi-identiques en Jeep Élite et en Eurocup, Martynas Echodas performe en LKL lituanienne comme en Eurocup ou en sélection nationale.\\n\\nLe MVP : Goga Bitadze\\n\\nReste le dernier membre de ce premier cinq majeur, et MVP indiscutable des U21 d’Europe, Goga Bitadze. Après avoir commencé la saison au Mega Bemax en Ligue Adriatique, où il a écrasé la compétition au point d’en remporter le titre de MVP, il a été prêté au Buducnost Podgorica afin de disputer l’Euroleague, où il a tourné à 12,1 points et 16,3 d’éval. Impressionnant pour un « gamin » d’à peine 20 ans. S’il n’a pu postuler au titre de MVP de la meilleure coupe d’Europe comme l’an dernier l’autre prodige de la même génération, Luka Doncic, Bitadze en a quand même été nommé le « Rising Star » (littéralement, « l’étoile montante », le meilleur jeune). Certainement pas encore aussi fort que Doncic et doté d’une bonne marge de progression, Bitadze attire l’attention des plus grosses écuries, que ce soit en Europe ou en NBA. Si son profil (grand pivot pas très vertical) semble mieux convenir à l’Euroleague qu’à la NBA, il figure d’ores et déjà aux alentours de la 20e place dans les « mock drafts » (prévisions de classement de la draft NBA réalisées par des sites spécialisés) et il pourrait partir dès la saison prochaine outre-Atlantique.\\n\\nL’Europe n’a guère le temps de profiter de ses prodiges...\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès nous être intéressés aux championnats selon leur degré d’implication dans la formation des joueurs de 21 ans et moins puis aux équipes européennes faisant le plus confiance à ces mêmes U21, il est temps, pour conclure cette étude, de dresser un « palmarès » (basé sur l’étude statistique, il ne reflète pas forcément totalement le « potentiel » des uns et des autres) des meilleurs joueurs U21 évoluant en Europe.\\n\\nPour commencer, voyons par classe d’âge quels sont les meilleurs, espoirs en devenir ou joueurs déjà confirmés.\\n\\n2003\\n\\nQuatre joueurs seulement nés en 2003, et donc âgés de 15 à 16 ans au début de la saison 2018-2019, ont eu l’occasion d’entrer en jeu dans l’une ou l’autre des compétitions que nous avons étudiées. Aucun n’a eu plus de 4 matchs pour s’exprimer, mais deux ont eu droit à des minutes, dans des contextes différents. Dans le championnat serbe, Stefan Stefanovic (Beovuk, Serbe) a ainsi eu droit à 22,5 mn de jeu en quatre matchs, pour 8,0 pts et 5,8 d’éval. Remarquable même si la KLS n’est pas de très haut niveau dans sa première phase. Quant à Lefteris Mantzoukas (Patras, Grec), s’il présente des stats vierges en championnat grec (4,0 mn sur trois matchs), son coach lui a donné deux fois 14,4 mn en BCL, pour 3,5 pts et 3,0 d’éval. Pour sa part, Fedor Zugic (Buducnost, Monténégrin) n’est pas entré en jeu en Ligue Adriatique mais a eu droit à quelques secondes en Euroleague, sans apport statistique. Citons également Tomislav Ivicic (Sibenik, Croate) qui, en trois matchs de ligue croate et 5,2 mn de temps de jeu moyen, a généré 1,3 pt et 3,0 d’éval.\\n\\nEn se basant sur ces stats réalisées sur un très petit nombre de matchs, impossible de dégager une hiérarchie. D’autant que rien ne permet de prévoir comment évolueront ces adolescents dans les années à venir. Qu’ils aient déjà pu entrer en jeu est déjà en soi une forme d’exploit.\\n\\n2002\\n\\nDes joueurs de 16 ans (voire pour certains 15 en début de saison) capables de jouer dans un championnat professionnel, il n’y en a forcément pas beaucoup. Au total, sur l’ensemble des compétitions (championnats et coupes d’Europe) de notre étude, 16 de ces très jeunes gens ont eu droit à au moins une entrée en jeu. Et seuls trois d’entre-eux ont eu un minimum de temps de jeu, dont deux très gros prospects. Outre le Croate Filip Bjelanovic (Hermes, championnat croate, 7 matchs, 9,2 minutes, 7,3 points, 6,4 d’évaluation), prometteur mais se produisant dans un championnat mineur, les deux autres évoluent en effet dans de plus solides écuries et laissent déjà entrevoir les joueurs qu’ils seront sans doute dans le futur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Sekou Doumbouya (CSP)" }, {"role": "user", "content":"Laurent Legname (coach Dijon): «Je suis très fier du coeur montré par mon équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Même si son équipe a perdu la première manche à Monaco (82-77 après prolongation), le coach de la JDA Dijon Laurent Legname ne pouvait que tresser des lauriers à ses joueurs pour leur performance défensive comme il l’a souligné en conférence de presse. Des propos rapportés par Le Bien Public:\\n\\n« Face à Monaco, on a besoin de nos neuf joueurs à leur meilleur. Certains ont péché en attaque, n’ont pas leur écot habituel, mais tous ont apporté défensivement. Les 72 points encaissés sont une performance énorme, et je suis très fier du cœur montré par mon équipe. Maintenant, il y a un 2e match qui arrive vite. Il faut bien récupérer, et trouver des adaptations. On a fait un bon match pour rivaliser avec Monaco, il faudra faire un très bon match, c’est comme ça.\u2009».\\n\\nPour la Roca Team, il s’agit d’une alerte à moindre frais:\\n\\n« Tous les acteurs du match étaient nerveux car le premier match est toujours très important. On mérite de gagner, même si Dijon a eu sa chance aussi à la fin. On a manqué de patience en attaque, et Dijon nous a punis là-dessus [...] Ce résultat est finalement parfait pour rester en alerte et on sera plus intelligent au prochain match,\u2009» a commenté le coach Sasa Obradovic.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le Real Madrid signe le MVP de la saison, Nico Laprovittola" }, {"role": "assistant", "content":"Nico Laprovittola (1,90m, 29 ans) portera le maillot du Real Madrid la saison prochaine. C’est ce qu’affirme Marca. Le meneur argentin de la Joventut Badalona vient d’être élu MVP de la Ligue Endesa après avoir tourné à 17,2 points (1er de la saison régulière) et 6,4 passes (2e) soit 17,2 d’évaluation (2e).\\n\\nLe Real avait déjà fait une offre à l’Argentin en cours de saison mais la Joventut avait demandé beaucoup trop d’argent pour le laisser partir. Maintenant que son contrat arrivait à son terme, le deal a pu être conclu.\\n\\nNico Laprovittola est arrivé en Europe en 2015 et a joué pour Lietuvos rytas, Estudiantes Madrid, Baskonia Vitoria et le Zénit Saint-Petersbourg avant de passer deux ans à Badalone. Il compte par ailleurs à son actif 18 matches avec les San Antonio Spurs en 2016-17." }, {"role": "user", "content":"Axel Julien (Dijon) explose ses stats en playoffs !" }, {"role": "assistant", "content":"On juge tout spécialement la valeur d’un joueur en playoffs quand se décide le sort d’une saison. Alors la côte d’Axel Julien (1,85m, 26 ans) est en train de monter en flèche. Qu’on en juge:\\n\\nDéjà, le combo guard dijonnais, qui doit partager une partie de son temps de jeu avec le MVP David Holtson (il est quand même entré 20 fois dans le cinq de départ en 34 matches) a accompli statistiquement la meilleure saison régulière de sa carrière avec 8,8 points (36,9% à trois-points), 2,4 rebonds et 4,6 passes pour 11,2 d’évaluation.\\n\\nMais cette éval fait plus que doubler si l’on prend en référence les trois matches de playoffs passant à 25,7 ! Par comparaison, elle fut de 4,5 la saison dernière en deux matches.\\n\\nAxel Julien turbine à 20,3 points (44,4% à trois-points), 4,3 rebonds, 8,0 passes et 1,3 interception...\\n\\nBien sûr, sa performance de très haute volée lors du match 2 face à Strasbourg (28 points, 5/10 à trois-points, 4 rebonds et 12 passes) pèse de tout son poids dans ces chiffres, mais hier soir le Dijonnais a encore rendu une excellente copie lors de la défaite de la JDA à Monaco (82-77): 19 points avec un 5/11 à trois-points dont deux plein de sang froid qui ont permis à son équipe d’arracher la prolongation, 3 rebonds et 5 passes pour 19 d’éval. Jusqu’où ira t-il?\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Lituanie: Le Zalgiris Kaunas de Léo Westermann remporte son neuvième titre national consécutif" }, {"role": "assistant", "content":"Pas de suspense en Lituanie. Zalgiris Kaunas a écrasé Rytas Vilnius, 92-54 dans le troisième match de la finale de LKL pour balayer la série. Il s’agit du neuvième titre consécutif et du 32e de l’histoire du club.\\n\\nEdgaras Ulanovas a marqué 15 points, Aaron White a ajouté 13 points et Brandon Davies 13 points et six rebonds pour Zalgiris. Le meneur international français Léo Westermann a pour sa part cumulé 5 points, 4 rebonds et 3 passes en 17′.\\n\\nMartynas Echodas (17 points, cinq rebonds) et Artsiom Parakhouski (14 points) ont été les plus efficaces pour Rytas. Leur équipe n’a jamais réussi à inquiéter Zalgiris qui menait20 à 9 à la fin du premier quart et n’a cessé d’augmenter son avantage au fur et à mesure du match.\\n\\nPhoto: LKL" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Quand un fan de l’AEK Athènes pénètre sur le terrain en plein match" }, {"role": "assistant", "content":"Il s’en passe toujours de bonnes dans le championnat grec. Cette fois, c’est un fan dépenaillé de l’AEK Athènes qui a pénétré sur le terrain au cours de la demi-finale face à Promitheas à Patras. On remarque que le service de sécurité a été prompt à l’entourer et à l’évacuer.\\n\\n\\n\\n\\nA half-naked fan of @aekbcgr invades court during the game of his team at Patras vs @promitheasbc for G2 of @esakegr semi-finals pic.twitter.com/H7ZkzIqVuQ\\n\\n\\n— Yannis Psarakis (@YPsar) June 1, 2019" }, {"role": "user", "content":"La photo: Quand c’est le club de Saint-Quentin qui lave les maillots de son adversaire boulonnais avant un match décisif !" }, {"role": "assistant", "content":"Aujourd’hui, c’est la belle des demi-finales d’accession à la Pro B. Saint-Quentin reçoit Boulogne. L’ambiance sera chaude mais ce match d’appui se présente sous le signe du fair-play entre les deux clubs. C’est SQBB qui a lavé les maillots du SOMB avec les siens comme l’a fait remarquer sur les réseaux sociaux Baptiste Piekacz, l’adjoint aux sports de la ville de l’Aisne. Bravo !\\n\\n\\n\\n\\nÀ 40 minutes d’une finale de play-offs de #NM1, on est à quel niveau de fair-play ? Le basket et ses valeurs ! 🏀🏀 pic.twitter.com/DZw0wqmXMV\\n\\n\\n— Baptiste PIEKACZ (@BaptPkz) June 1, 2019" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Jeep Elite: Monaco mate Dijon en prolongation mais Gerald Robinson et Dee Bost sont blessés" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir marqué... 4 points dans le premier quart-temps, la JDA Dijon à ce soir obtenu à Monaco une prolongation notamment grâce à deux trois-points dans le money time de son meneur Axel Julien (19 points à 5/11 derrière la ligne, le même total que David Holston). Les Dijonnais ont fini par céder handicapés par la sortie de trois joueurs pour cinq fautes, 82-72. Un trois-points de Yakuba Ouattara (19 points à 4/4 à plus de 6,75m) a fait la différence.\\n\\nDans une salle Gaston-Médecin pas remplie et peu enthousiaste, l’AS Monaco a donc assuré l’essentiel notamment grâce à 19 rebonds offensifs mais cette victoire est peut-être obtenue à la Pyrrhus. Gerald Robinson est sorti après quatre minutes sans réapparaître avec des douleurs au dos alors que Dee Bost s’est donné une entorse à la cheville à la fin du match en marchant sur le pied d’Alexandre Chassang. Un handicap certain dans une série en trois manches gagnantes même si l’ASM dispose de l’Ukrainien Sergey Gladyr en réserve.\\n\\nPhoto: Yakuba Ouattara" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Lille fait revenir Jean-Victor Traore (Le Portel)" }, {"role": "assistant", "content":"Le Lille Métropole Basket a confirmé l’arrivée de Jean-Victor Traore (2,03m, 34 ans) en provenance du Portel. Il s’agit en fait d’un retour puisque celui-ci a été l’ailier fort du club de 2014 à 2017. Il a signé un contrat de deux saisons plus une supplémentaire en option. Au Portel, il tournait à 7 points, 4,5 rebonds et 1,3 passe.\\n\\n» Quand nous avons su qu’il y avait une possibilité pour que Jean-Victor revienne, j’ai de suite été intéressé et j’ai manifesté cet intérêt auprès des dirigeants pour que l’on tente de trouver un accord, » a commenté le coach Jean-Marc Dupraz. « Il est très motivé à l’idée de revenir ici. C’est un joueur que j’ai toujours apprécié, je le suivais avant-même qu’il arrive au LMB en 2014. Son profil de stretch 4 est très intéressant pour nous. Il sait tout faire sur un terrain, marquer, prendre des rebonds, défendre et passer la balle. Il a une vraie polyvalence. Il s’est épaissi depuis son passage au Portel et a densifié son jeu. C’est une bonne recrue pour nous, il connaît la maison par cœur, a de l’expérience et du leadership. «" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Strasbourg lance son recrutement avec Jerai Grant" }, {"role": "assistant", "content":"Eliminé en quart de finale des playoffs par Dijon, Strasbourg prépare déjà son exercice 2019/20. Jerai Grant (2,06m, 30 ans) est la première recrue des dirigeants alsaciens, annonce le club.\\n\\nFormé à l’université de Clemson, cet ailier fort américain va vivre sa première expérience en France. Non drafté après son cursus universitaire, il a lancé sa carrière professionnelle en Australie avant de passer par l’Italie, Israël, la Lettonie, le Venezuela et la Lituanie. Cette saison, l’ancien joueur de Brindisi évoluait sous les couleurs de Klaipeda avec qui il a croisé l’équipe de Vincent Collet en Champions League. C’est le neveu du quadruple champion NBA, Horace Grant.\\n\\nCette saison, Jerai Grant a compilé en moyenne 11,7 points et 5,7 rebonds entre le championnat lituanien et la BCL.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Ann Wauters va faire son retour avec l’équipe de Belgique" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe féminine de Belgique est actuellement en tournée au Japon afin de préparer au mieux l’Euro (27 juin au 7 juillet). Pour leur premier match, les Belgian Cats ont été battues par les Atsuki Eyes, 91-75.\\n\\nLes Belges n’ont pu contenir la vitesse et la tonicité des Japonaises qui de leur côté préparent le championnat d’Asie. Elles avaient déjà encaissé 56 points à la mi-temps et l’écart maximal est monté à 26 points. A leur décharge, il leur fait défaut plusieurs joueuses majeures: Emma Meeseman et Kim Mestdagh (Charleville) sont actuellement en WNBA avec les Washington Mystics, alors que Julie Allemand (Lyon) a eu droit à une semaine de repos. Le trio sera de retour pour un tournoi à Saragosse la semaine prochaine. A noter que Antonia Delaere (Nantes) a marqué 10 points et Laure Resimont (Tarbes) 8.\\n\\nLa talentueuse Hind Ben Abdelkader (1,70m, 23 ans, ex-Nice) a déclaré forfait. L’arrière-shooteuse bruxelloise a émis quelques préalables à un retour au sein des Cats et le staff n’a pas accepté ses desiderata. Par ailleurs l’Américaine des Castors de Braine, au club depuis 2013, Céleste Trahan-Davis, qui a terminé meilleure scoreuse côté belge (12 points) dispute ces matches de préparation au Japon malgré son statut d’étrangère (!). Seulement son dossier de naturalisation n’a pas encore abouti et elle ne pourra pas disputer l’Euro.\\n\\nEn revanche, Ann Wauters (1,95m, ex-Valenciennes et Villeneuve d’Ascq) est bien présente au Japon mais ne doit faire son retour que la semaine prochaine en Espagne. La doyenne (39 ans en octobre) a passé une saison blanche pour soigner son genou et elle est proche de la guérison.\\n\\n« Cela va mieux, c’était un long cheminement depuis l’été dernier mais j’ai hâte de rejoindre l’équipe même si retrouver mon niveau ne va pas se faire du jour au lendemain. Mais je sens que je fais des progrès continus », a t-elle déclaré à La Dernière Heure.\\n\\nPhoto: Ann Wauters, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Nationale 1: Une belle pour chacune des deux demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"Saint-Quentin et Le Havre ont pris leur revanche sur respectivement Boulogne et Saint-Vallier et ainsi un match d’appui ce dimanche est nécessaire afin de départager les demi-finalistes des barrages d’accession à la Pro B.\\n\\nSQBB a vaincu le SOMB, 72-62, malgré la grosse partie de Sean Walker (16 points et 13 rebonds). Ryan Rhoomes a lui aussi réalisé un double double avec 15 points et 10 rebonds.\\n\\nEn Normandie, pour l’emporter 80-69, le STB Le Havre a compensé les 25 points de Derrick Barden par un collectif qui a amené huit joueurs à atteindre au moins huit d’évaluation, soit le double de son adversaire. Avec 16 points l’arrière espagnol Mikel Uriz Ancizu a été le plus prolixe." }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (coach Monaco) à propos de Dijon : «Ils nous ressemblent un peu»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est la première demi-finale de Jeep Elite. Monaco vs. Dijon. Interrogé par Nice Matin, le coach serbe de la Roca Team, Sasa Obradovic confie son respect pour la JDA.\\n\\n« Une équipe à gros caractère. Ils se battent sur chaque ballon et perturbent avec leurs rotations. Dès qu’ils ont le rebond, ils courent beaucoup. Ils nous ressemblent un peu, le coach Laurent Legname insuffle de l’agressivité. Dijon ne lâche rien. Il faut s’adapter, ne pas perdre patience, prendre les bonnes décisions. L’extra-passe peut s’avérer la solution pour les shoots ouverts ».\\n\\nLe coach monégasque se méfie évidemment particulièrement du MVP de la Jeep Elite, le meneur David Holtson:\\n\\n« Quand Dijon a battu l’ASVEL c’est lui qui avait fait basculer la rencontre en provoquant son vis-à-vis au poste de meneur, (Mantas) Kalnietis, pour le faire sortir du match. Cele fait partie du jeu et il faut s’adapter. Dijon possède de nombreux bons joueurs comme (Axel) Julien, qui a renversé la SIG au retour, (Ryan) Pearson, (Gavin) Ware, (Alexandre) Chassang, (Jérémy) Leloup... »\\n\\nEn saison régulière, l’ASM s’est imposé les deux fois, 89-71 et 81-84." }, {"role": "user", "content":"Vainqueur de la Coupe des Landes et finaliste du championnat de N2, Dax-Gamarde prépare sa montée en N1" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir gagné son billet pour la Nationale 1 et la Coupe des Landes, Dax-Gamarde est en mesure de faire le grand chelem puisqu’il s’est qualifié pour la finale du championnat de France de Nationale 2 où il va affronter Vanves aujourd’hui à Pessac.\\n\\nCe ne fut pas une mince affaire puisque les hommes de Denis Mettay ont du recourir à une prolongation pour venir à bout de Mulhouse-Pfastatt, 80-75, coaché par un certain Jean-Luc Monschau, qui les avait éliminé en Trophée Coupe de France. Les Dacquois peuvent remercier leur arrière espagnol Garcia Urbina auteur de 29 points.\\n\\nDax-Gamarde prépare déjà la saison prochaine et comme le dit le président Jean Lamaignière à France Bleu, il va falloir passer la surmultiplié au niveau du budget :\\n\\n« Je pense que pour atteindre la Nationale 1 avec un budget normal il faudrait tourner aux alentours de 500 000€, pour être dans le minimum syndical. Il faudrait donc rajouter environ 200 000€ par rapport à notre budget actuel de Nationale 2. On sait que l’engagement auprès de la Fédération Française de Basket est excessivement lourd : ça représente à peu près 30 000€. De plus, la partie salaire va augmenter sérieusement puisque les joueurs vont devenir quasiment professionnels. Il y aura des joueurs sous contrats donc forcément cela coûtera un peu plus cher. Pour exister en Nationale 1, sans flamber, juste pour exister, il faudra recruter en étant malin et prendre des joueurs qui ont envie de se refaire un nom dans cette division. Mais la grosse partie du budget reste les frais de déplacements et d’hôtellerie. »" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Saso Filipovski (ex-Monaco) pourrait rebondir à Ulm" }, {"role": "assistant", "content":"A Monaco en début de saison puis remplacé par Sasha Obradovic, Saso Filipovski (44 ans) serait sur le point de trouver un nouveau club.\\n\\nSelon Sportando, le coach de l’année en Pologne en2007 et 2008 serait sur les tablettes du Ratiopharm Ulm. Le club allemand est à la recherche du remplaçant de Thorsten Leibenath qui a cédé sa place pour devenir Directeur Sportif du club. Passé par Ljubljana, Rome ou encore Banvit, le technicien slovène n’a pas réussi a faire parler son expérience à Monaco. Malgré un bon départ en Eurocup, la Roca Team était sous pression en championnat et ne s’est même pas qualifiée pour la Leaders Cup alors qu’elle était la triple tenante du titre.\\n\\nMaurizio Buscaglia fait également partie des prétendants à la succession de Thorsten Leibenath.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Italie: Milan à 40 minutes d’une élimination en demi-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Représentant de l’Italie en Euroleague où il a effectué une saison correcte (12e à une victoire du top 8), Olimpia Milan est en grand danger dans les playoffs italiens puisqu’il est mené 2 manches à 0 par le Dinamo Sassari, qui lui a gagné la FIBA Cup et qui sera l’hôte du Match 3.\\n\\nSassari s’est imposé durant la prolongation, 101-112. Avec 29 points, Achille Polonara a été le meilleur marqueur de l’équipe sarde, mais ce sont les 17 rebonds jumelés à 14 points de Rashawn Thomas qui sont le plus impressionnant, alors que dans le camp des vaincus, Mike James a scoré 32 points avec un 8/12 à trois-points.\\n\\nDans l’autre demi-finale, Venise mène 1-0 contre Crémone.\\n\\nPhoto: Vladimir Micov (Milan)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand Gabby Williams, nouvelle recrue de Lattes-Montpellier, parle français" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailière Gabby Williams (1,80m) est la nouvelle américaine de Lattes-Montpellier. Américaine? Gabby est née dans le Nevada, il y a 22 ans, mais elle possède le passeport français et de la famille à Marseille. Voilà qui en fait une recrue de tout premier choix car après avoir été deux fois championne NCAA avec Connecticut, période durant laquelle elle s’est distinguée par ses qualités défensives, elle a enchaîné avec la WNBA -Chicago Sky- et une saison en Espagne où elle a cartonné avec Gérone.\\n\\nLe BLMA a publié cette vidéo où l’on voit et entend Gabby parler français -avec un fort accent américain certes-, ce qui prouve sa filiation...\\n\\n\\n\\n\\n🎙\\Je suis très heureuse, j’ai hâte de commencer. Je crois que notre équipe sera vraiment bonne et j’espère qu’on fera une super saison...\\#BLMA #GoGazelles🔵⚪️ pic.twitter.com/TIyN5n34Iw\\n\\n\\n— BLMA (@BasketLMA) May 31, 2019" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Zack Wright prolonge deux ans à Bourg-en-Bresse" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé l’été dernier en provenance de Strasbourg, Zack Wright (1,83m, 34 ans) va continuer son aventure à Bourg-en-Bresse.\\n\\nSur son site, la JL annonce la signature pour deux saisons de plus de l’ancien joueur de Monaco. Blessé depuis le mois de mars après une hernie discale, l’international bosnien n’a pas pu finir d’aider son équipe dans la course aux playoffs. En convalescence depuis plusieurs semaines, ce meneur de jeu texan est un véritable couteau suisse. Il fait partie des joueurs les plus polyvalents du championnat pouvant cocher toutes les cases statistiques dans un même un match et flirter avec le triple-double.\\n\\nCette saison, Zack Wright a compilé en moyenne 10,1 points, 5 rebonds et 6,2 passes décisives pour une évaluation de 16,4 en Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Zack Wright deux ans de plus à la JL !#GetRedy @LNBofficiel @Be_BasketFr @Bourg_en_Bresse pic.twitter.com/sDSwnuT0b6\\n\\n\\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) May 31, 2019\\n\\nPhoto :Guilherme Amorin" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter sera toujours le coach de Cholet la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Selon les informations du Courrier de l’Ouest, Erman Kunter, 62 ans, va demeurer le coach de Cholet Basket car il n’a pas activé sa clause de sortie.\\n\\n« Quant à la prolongation de contrat que le club des Mauges lui a proposée, Erman Kunter se laisse encore quelques jours de réflexion. Concrètement, il attend de connaître l’identité du nouveau président de Cholet Basket qui sera connu à l’issue du conseil d’administration qui se tiendra lundi 3 juin au soir. Si, comme c’est attendu, Jérôme Mérignac prend la suite de Didier Barré à la présidence de CB, Erman Kunter devrait, selon nos informations, prolonger son contrat d’au moins deux saisons dès mardi matin, » écrit le quotidien du Maine-et-Loire.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U18: Dix-neuf joueurs pour un premier stage à Voiron" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Lamine Kebe a sélectionné 19 joueurs U18 pour un stage à Voiron préparatif pour le Championnat d’Europe à Velos (Grèce) du 27 juillet au 4 août.\\n\\nThéo Maledon et Killian Hayes ne figurent pas dans cette liste.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nBatcho\\nDaniel\\n2,07m\\nPole France Basket\\n\\n\\nBarbitch\\nMilan\\n1,95m\\nPole France Basket\\n\\n\\nBegarin\\nJuhann\\n1,94m\\nPole France Basket\\n\\n\\nBesson\\nHugo\\n1,92m\\nElan Chalon\\n\\n\\nBillon\\nLéo\\n1,98m\\nPole France Basket\\n\\n\\nCarene\\nMaxime\\n2,08m\\nPole France Basket\\n\\n\\nCazalon\\nMalcom\\n1,97m\\nJL Bourg\\n\\n\\nCrusol\\nTimothé\\n1,93m\\nPole France Basket\\n\\n\\nDemahis Ballou\\nRudy\\n1,88m\\nPole France Basket\\n\\n\\nDiabate\\nMoussa\\n2,08m\\nMontverde (USA)\\n\\n\\nDiallo\\nVictor\\n2,00m\\nPole France Basket\\n\\n\\nEbonkoli\\nMelvin\\n2,01m\\nLe Mans\\n\\n\\nGauzin\\nMathieu\\n1,92m\\nLe Mans\\n\\n\\nKamagate\\nIsmael\\n2,09m\\nOrléans\\n\\n\\nMiyem\\nEssome\\n2,08m\\nPole France Basket\\n\\n\\nMoujib\\nBadr\\n2,04m\\nHermines de Nantes\\n\\n\\nOuedraogo\\nYvan\\n2,03m\\nPole France Basket\\n\\n\\nTanner\\nShawn\\n1,97m\\nAntibes\\n\\n\\nThirouard Samson\\nLorenzo\\n1,97m\\nPole France Basket\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Lamine Kebe\\nAssistants : Nicolas Absalon, Nicolas Corbé\\n\\nStage à Voiron du 25 juin au 4 juillet\\n\\nTournoi à Voiron du 5 au 7 juillet\\nEquipes participantes : Croatie, Angleterre, Russie, France\\n\\nTournoi à Lorgronio (Espagne) du 12 au 14 juillet\\n\\nStage à Bourges du 15 au 18 juillet\\n\\nStage en Serbie du 19 au 21 juillet\\n\\nStage à l’INSEP du 22 au 24 juillet\\n\\nStage à Volos (Grèce) du 24 au 26 juillet\\n\\nChampionnat d’Europe à Velos (Grèce) du 27 juillet au 4 août\\nSamedi 27 juillet à 13h30 : Slovénie – France\\nDimanche 28 juillet à 20h15 : France – Grèce\\nLundi 29 juillet à 15h45 : France – Lettonie\\n\\nPhoto: Malcolm Cazalon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Quels clubs français en BCL en 2019-20 ?" }, {"role": "assistant", "content":"La deadline pour déposer une demande d’inscription pour la saison prochaine en Basketball Champions League approche. Partout en Europe, et notamment en Espagne, les clubs commencent à regarder de plus près la dernière-née des compétitions européennes.\\n\\nEn Espagne, Malaga, Badalone, Mansera et Saragosse, d’après Marca et Mundo Deportivo, sont candidats pour la prochaine saison de BCL. En France aussi, les clubs bien classés en saison régulière doivent désormais envisager leur participation la saison prochaine dans une compétition européenne. L’Asvel sera engagée en Euroleague, c’est une certitude. Alain Béral, président de la Jeep Elite qui est actionnaire au sein de la BCL, a fait de la Basketball Champions League la destination soutenue par la ligue nationale française pour ses clubs. Qui va donc postuler parmi les équipes les mieux classées en saison régulière, condition indispensable pour gagner sa place via les performances en ligue nationale ?\\n\\nL’évolution de la BCL qui a bouclé sa troisième année d’existence seulement montre des signes très encourageants. Tout d’abord, le professionnalisme de l’équipe formée autour de Patrick Comninos, ancien directeur sportif de l’UEFA, est appréciée dans le travail au quotidien par les clubs engagés dans la compétition, comme l’ont affirmé cette saison, Christophe LeBouille du Mans, Jean-Louis Borg de Dijon ou encore Hervé Beddeleem de Gravelines, partageant les échanges qu’il avait pu avoir avec ses collègues présidents. Lors du Final Four à Anvers début mai, la BCL a frappé fort en démontrant ses qualités opérationnelles avec un événement très haut de gamme avec plus de 67 000 spectateurs sur quatre matches, et notamment 16 500 pour la finale qui s’est jouée sans le club hôte.\\n\\nEnsuite, si un peu partout en Europe, les clubs commencent à étudier sérieusement une participation en BCL, cela tient à plusieurs facteurs. Après Bamberg, l’Hapoël Jerusalem ou encore bien évidemment la Virtus Bologne, d’autres organisations d’envergure ont compris les arguments de la BCL. Tout d’abord, il s’agit de la plus courte des saisons européennes : à une période où la question de l’alourdissement du calendrier devient cruciale, Bologne n’a joué que 20 matches dans sa saison de BCL, soit moins que le champion d’EuroCup et évidemment bien moins que le CSKA qui a joué 37 matches en Euroleague. De plus, le calendrier de la BCL est compatible avec celui des fenêtres internationales. Ce qui permet donc aux clubs d’envoyer des joueurs en équipe de France, ce qui a été un accélérateur de confiance pour des garçons comme Paul Lacombe, Axel Julien, Louhaou Konate ou encore Amath Mbaye de Bologne. Et un vecteur de communication important pour les clubs concernés.\\n\\nEnsuite, la BCL offre un million de dollars au vainqueur et est plus rémunératrice que l’EuroCup à niveau égal de résultat dans la compétition (300 000 euros pour le vainqueur en EuroCup), en toute transparence. Les clubs savent avant le début de la saison ce qu’ils peuvent espérer toucher. Enfin, la BCL fournit des efforts particulièrement importants pour être une compétition en pointe au niveau de la présence digitale. Ses chiffres (près de 2 millions de fans sur Facebook contre 723 000 pour l’Euroleague par exemple) lui permettent d’obtenir une audience, notamment via sa capacité à développer des highlights personnalisés pour les clubs ou pour les joueurs très appréciés des acteurs sur le terrain et les fans.\\n\\nDerrière l’Asvel, Monaco, Dijon, Nanterre et Pau-Lacq-Orthez sont pour l’instant les mieux placés pour prétendre à une place pour la saison 2019-20. A suivre.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Germain Castano (Orléans) : «N’allez pas croire que Poitiers va se laisser battre comme ça, ça va être compliqué»" }, {"role": "assistant", "content":"Jeudi soir, Orléans (2e du classement) recevait Poitiers (9e du classement) dans le cadre du quart de finale aller des playoffs d’accession. Sans surprise, l’OLB s’est imposé mais a dû faire face à une vaillante équipe du PB86.\\n\\nAprès la rencontre, Germain Castano s’est exprimé sur cette première victoire.\\n\\n« Les playoffs c’est une autre compétition. Le match 1, il est important, en plus je connais cette équipe de Poitiers qui est accrocheuse, qui essaye des choses, qui est tout simplement dangereuse. Ils ont été plus qu’accrocheurs, mais malgré tout on a fait le boulot. Des mecs ont répondu présents parce qu’on avait besoin d’eux, d’autres un peu moins mais ça ne m’inquiète pas du tout. On est un peu comme ça, quand il y en a un qui n’est pas là, un autre prend le relais et c’est une très bonne chose. Attendons le deuxième match, mais n’allez pas croire que Poitiers va se laisser battre comme ça, ça va être très compliqué là-bas. »\\n\\nMême son de cloche pour son intérieur Junior Mbida qui félicite ses coéquipiers, mais qui connait l’importance du prochain match qu’il faut préparer dès maintenant.\\n\\n« On commence les playoffs de la meilleure des façons, même si on leur laisse 19 rebonds offensifs, on ne retient que la victoire à la fin. L’intensité a fait la différence. On voit qu’il ne marque que 67 points, c’est ça la clé du match. En défense on a fait le boulot, même si on a mal contrôlé le rebond. Quand on fait switchs en défense, on laisse le rebond à l’adversaire. C’est le point à travailler pour le prochain match. Maintenant, il faut oublier ce premier match très rapidement et il faut gagner le deuxième match. Ça sera un autre match là-bas, le scénario avait été le même l’année dernière sauf qu’on avait perdu les deux matchs suivants. Il ne faut vraiment pas faire les mêmes erreurs. Je pense qu’on est bien concentrés et il y a de quoi gagner la série dès samedi et c’est la mission. »\\n\\nFace à eux, Rudy Nelhomme a lui aussi félicité ses joueurs. Même si les Poitevins se sont inclinés, l’assistant de Vincent Collet en Equipe de France met en avant l’énergie qu’ont mis ses joueurs dans la partie.\\n\\n« Je trouve qu’on les a embêtés. C’est normal de débaucher de l’énergie dans un match de playoffs, sinon ça ne sert à rien. Il va falloir bien récupérer pour se préparer à jouer un autre match dans deux jours. Avec un peu plus d’adresse on les aurait embêté un peu plus, on fait 3/23 à trois points alors que d’habitude on en marque neuf ou dix. On a eu de bonnes possessions défensives, on laisse peut-être un ou deux rebonds à des moments donnés mais c’est une équipe qui a de la qualité. On a fait de bonnes choses, on a fait une prestation très cohérente. »\\n\\nToutes les réactions sont à retrouver sur la chaine Youtube de l’OLB.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Gries, seule surprise de la première journée" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la saison régulière est terminée et que Roanne a été sacré champion de France Pro B, huit autres équipes s’affrontent maintenant en playoffs d’accession. Qui accompagnera la Chorale en Jeep Élite ?\\n\\nLors de la première journée de playoffs qui se tenait jeudi soir, la loi du plus fort a, en grande majorité, été respectée. Seul Gries-Oberhoffen (8e du classement) a été surprendre la JAVCM (3e du classement) au buzzer, chez elle (93-91). Olivier Cortale a notamment sorti un gros match à 17 points et 7 rebonds pour une évaluation de 22, mais ils sont six à avoir dépassé la barre des 10 points marqués. Les 22 points David Denave n’ont donc pas suffi pour faire la différence.\\n\\nDans les autres matchs de la soirée, Rouen s’est largement imposé face à Blois (97-78) poussé par sept joueurs avec plus de 10 d’évaluation dont Carl Ponsar (22 points, 6 rebonds) et Zimmy Nwogbo (14 points, 6 rebonds, 3 passes) à 20.\\n\\nLeader du classement derrière Roanne, Orléans s’est également imposé, en toute logique, face à Poitiers 81-67. Miralem Halilovic a été le grand artisan de cette victoire avec 23 points, 9 rebonds, 4 passes décisives et 3 interceptions pour une coquette évaluation de 35.\\n\\nEnfin, le SLUC a mené toute la rencontre face à Saint-Chamond mais s’est fait peur dans les dernières minutes. En perdant le quatrième quart-temps (21-17), les joueurs de Christian Monschau ne sont pas passés loin de la catastrophe mais se sont finalement imposés 73-70. Bastien Vautier a été le meilleur Nancéien du match avec 12 points et 12 rebonds (20 d’évaluation).\\n\\nTous les matchs retour auront lieu samedi soir.\\n\\nPhoto : JAVCM" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La qualification de Nanterre aux demi-finales des playoffs" }, {"role": "assistant", "content":"Nanterre 92 a sorti cette vidéo pour célébrer sa qualification aux demi-finales des playoffs avec pas mal d’images inside.\\n\\nPhoto: Jeremy Senglin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Taylor Wurtz passe de Montpellier à Landerneau" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailière américaine Taylor Wurtz (1,83m, 28 ans), vice-championne de France et finaliste de l’Eurocup avec Lattes-Montpellier, a choisi de poursuivre sa carrière au Landerneau Bretagne Basket.\\n\\nTaylor Wurtz est passée par le Luxembourg (2014-2015 à Bertrange) et la Suède (à Ostersund entre 2015 et 2017 et à Telge en 2017-2018). Au BLMA, elle s’est fendue de 7,9 points et 3,2 rebonds pour 8,7 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Barrages N1: Saint-Quentin compte sur son public pour renverser Boulogne" }, {"role": "assistant", "content":"« La victoire ou la porte », résume dans son titre Le Courrier Picard. Saint-Quentin reçoit ce soir le SOM Boulogne en demi-finale retour des playoffs d’accession à la Pro B et n’a plus le choix après sa défaite à l’aller, 87-62. Une défaite très lourde mais peu importe puisqu’en cas de succès, il y aura une belle dimanche dans l’Aisne.\\n\\nSQBB est privé de Cheik Soumaoro alors que Desmond Quincy-Jones ne s’est pas entraîné de la semaine.\\n\\n« Sans être péjoratif avec nos jeunes joueurs, on n’est pas optimum au niveau de l’expérience », constate le coach Jérome Navier.\\n\\nBenoit Gillet compte sur un atout de poids: le public réputé ardent. Le palais des sports Pierre-Ratte est annoncé bondé avec de 250 à 300 supporters boulonnais.\\n\\n« Le public répondra présent comme à chaque fois. A nous de faire le travail sur le terrain, on sait qu’il sera avec nous, qu’il suivra. »\\n\\nDans l’autre demi-finale, Le Havre accueille Saint-Vallier qui s’est largement imposé à l’aller, 69-53." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Nayo Raincock-Ekunwe rejoint Orenbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Après trois saisons en France, Nayo Raincock-Ekunwe (1,88m, 27 ans) rejoint le puissant club russe d’Orenbourg.\\n\\nL’athlétique intérieure internationale canadienne a passé une année à Charleville, une autre à Nantes-Rezé où elle fut élue MVP de la Ligue Féminine et une troisième à Bourges où elle a tourné à 11,3 points et 6,2 rebonds en LFB.\\n\\nPhoto: Canada Basketball" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le titre de champion de France du Lyon ASVEL Féminin" }, {"role": "assistant", "content":"ASVEL Time revient en images sur le titre de championnes de France des Lionnes avec les commentaires de la présidente déléguée, Marie-Sophie Obama.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La visite de Céline Dumerc aux Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine est actuellement en stage à Anglet et elle a reçu la visite de son ancienne capitaine, Céline Dumerc. La « Minute Inside » était là pour capturer ce moment.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: le bilan des équipes" }, {"role": "assistant", "content":"Dans les coupes et championnats européens que nous avons étudié, 125 clubs ont fait jouer des U21 de manière régulière. Voici l’heure de mettre en avant ceux qui font le plus appel à cette jeune main-d’œuvre.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDans les quinze coupes d’Europe et championnats nationaux ou multi-nationaux (ligues Adriatique et VTB) que nous avons étudié lors des jours précédents, on dénombre pas moins de 125 clubs ayant fait jouer au moins un joueur de 21 ans ou moins de façon régulière (rappelons que nous avons pris pour critère de base une participation de 5 minutes/match en moyenne sur au moins un tiers des matchs joués par l’équipe pour « sélectionner » un U21). Un chiffre important, qui recouvre des réalités fort différentes, entre équipes faisant un petit peu jouer un seul jeune prometteur et clubs misant réellement sur la formation, sans même parler de cas exceptionnels comme « l’usine à jeunes » du Mega Bemax en Serbie.\\n\\nDans les championnats nationaux majeurs, l’Allemagne est le pays où le plus grand nombre de clubs a fait jouer au moins un U21 de manière régulière : 15. Suit juste derrière la France, avec 14, puis l’Espagne avec 10, la Grèce avec 9, Israël, l’Italie et la Turquie avec 8 et la Lituanie avec 6. Quant aux « pouponnières » serbe et croate, ce sont respectivement 14 et 12 clubs – soit 100 % des équipes dans les deux cas – qui font appel à ces U21. En Ligue Adriatique, 11 clubs sont dans le même cas (seul Mornar Bar n’a fait appel à aucun U21) mais ils ne sont que cinq en VTB League, réellement le parent pauvre de cette étude.\\n\\nDu côté des coupes d’Europe, l’Euroleague a vu 8 clubs mettre des U21 sur le terrain, un nombre qui monte à 14 en Eurocup et à 20 en BCL.\\n\\nDix clubs en pointe\\n\\nGlobalement, un grand nombre d’équipes européennes se sent donc concernée par l’éclosion de jeunes joueurs. Mais, nous l’avons déjà dit, cela n’empêche pas de grandes disparités entre toutes ces équipes, qui jouent plus ou moins le jeu. Nous avons donc dégagé 10 équipes qui nous semblent, pour diverses raisons, les plus intéressées par la formation des U21. Comme il est rationnellement impossible de comparer ces équipes, nous n’avons pas établi de hiérarchie entre elles, nous vous en proposons simplement la liste.\\n\\nMaccabi Tel-Aviv (Israël et Euroleague)\\n\\nOn pourrait s’étonner de trouver le « club nation » dans ce Top10 de notre étude puisqu’il fait jouer « seulement » deux U21. Mais ces jeunes joueurs (Yovel Zoosman et Deni Avdija) évoluent en Winner League israélienne et en Euroleague, 14,5 mn/match pour Zoosman. Les jeunes Israéliens les plus prometteurs peuvent donc se confronter au gratin européen avec le Maccabi.\\n\\nAlba Berlin (Allemagne et Eurocup)\\n\\nL’Alba Berlin, l’un des meilleurs clubs de la BBL allemande (3e de la saison régulière), n’hésite pas à faire appel à ses U21, que ce soit dans son championnat local ou en Eurocup. Dans les deux compétitions, elle met 4 jeunes joueurs sur le terrain avec régularité (entre 14 et 15 mn/match par joueur en moyenne), avec comme fer de lance le meneur serbe Stefan Peno (23,5 mn en BBL, 21,5 mn en Eurocup), tout en faisant confiance à deux très jeunes joueurs, Jonas Mattisseck (2000, 13,3 mn sur 9 matchs en BBL, 14,1 mn en 5 matchs en Eurocup) et Franz Wagner (2001, 11,2 mn en BBL, 9,2 mn en Eurocup). Le club travaille à son avenir.\\n\\nLDLC Asvel (France et Eurocup)\\n\\nLeader de la Jeep Élite française et quart de finaliste de l’Eurocup, le club du président Tony Parker est certainement le plus connu de nos lecteurs, et pour cause. Si, sur le seul championnat local, il est concurrencé par Cholet en termes d’engagement des jeunes sur le terrain, le club villeurbannais a aussi pour lui de faire également évoluer ses U21 en Eurocup, avec en têtes d’affiche Amine Noua (1997, 25,3 mn) et Théo Maledon (2001, 17,5 mn), qui génèrent à eux deux près de 18 points par match et plus de 17 d’évaluation. Un « projet jeunes » cohérent.\\n\\nZalgiris Kaunas (Lituanie et Euroleague)\\n\\nLe club coaché par la légende Sarunas Jasikevicius, quart de finaliste de l’Euroleague et leader incontesté de la LKL lituanienne, donne de belles responsabilités à ses jeunes pousses les plus prometteuses. Ainsi, Laurynas Birutis (1997, 14,2 mn en LKL, 7,0 mn en Euroleague) ou Rokas Jokubatis (2000, 12,2 mn en LKL, 6,3 mn en Euroleague). Comme la plupart des clubs lituaniens, le Zalgiris n’a pas trop de soucis à se faire pour le renouvellement de ses cadres, à court et plus long terme.\\n\\nNeptunas Klaipeda (Lituanie et BCL)\\n\\nLe club de Klaipeda peut se targuer d’avoir devancé le Rytas Vilnius en saison régulière de LKL lituanienne, ce qui situe le niveau de l’équipe. Pour l’obtenir, elle a fait appel à plusieurs jeunes nés en 1997 et 1998 (pas de très jeunes joueurs, donc) qui se montrent opérationnels en Lituanie. À l’échelon de la BCL, seul l’intérieur Gytis Masiulis (1998, 18,0 mn) tire réellement son épingle du jeu. Klaipeda sait faire progresser ses jeunes.\\n\\nRytas Vilnius (Lituanie et Eurocup)\\n\\nDernier membre du tiercé de tête lituanien, rival historique du Zalgiris, le Rytas Vilnius n’a rien à envier à ses deux principaux rivaux en matière d’attention portée aux U21. En LKL comme en Eurocup, quatre U21 se voient accorder un temps de jeu conséquent. Et savent rendre la confiance qui leur est accordée : Martynas Echodas (1997, 17,5 mn en LKL, 19,3 mn en Eurocup) est déjà international alors que les plus jeunes Deividas Sirvydis (2000, 15,0 mn en LKL, 14,1 mn en Eurocup) et Marek Blazevic (2001, 6,0 mn en LKL, 5,3 mn en Eurocup) semblent progresser régulièrement.\\n\\nMega Bemax (Ligue Adriatique)\\n\\nLe Mega Bemax, qui change à peu près tous les ans d’appellation (on l’a connu MegaLeks ou Mega Vizura, notamment), est un peu un OVNI en Europe. En effet, ce club serbe, qui ne participe qu’à la Ligue Adriatique (et aux phases finales du championnat serbe), est géré par Beobasket, une agence de joueurs qui a pour politique d’aligner un maximum de jeunes joueurs sur le terrain afin de les mettre en valeur et de leur faire signer des contrats alléchants, dans de grands clubs européens ou en NBA. Sont ainsi passés par le club Nikola Jokic, Vasilije Micic ou Thimotée Luwawu-Cabarrot. Cette saison, outre Kostja Mushidi, passé auparavant par Strasbourg mais qui n’a pas fini la saison en Serbie, deux noms retiennent l’attention des Français : Luka Asceric, passé notamment par Hyères-Toulon, et Adam Mokoka, parti du BCM Gravelines-Dunkerque pour gagner en exposition. Plus gros temps de jeu de l’équipe (27,1 mn), Mokoka a retrouvé pour les phases finales de la KLS, le championnat serbe, Goga Bitadze, prêté par le Mega Bemax à Buducnost Podgorica le temps de la saison régulière d’Euroleague. Beobasket va encore faire de bonnes affaires à l’inter-saison...\\n\\nPartizan Belgrade (Ligue Adriatique et Eurocup)\\n\\nClub historique de Serbie, le Partizan a toujours eu la réputation de beaucoup faire jouer ses meilleurs espoirs. Si elle a parfois été un peu exagérée (le Partizan ayant quelquefois simplement assuré la post-formation de joueurs ayant grandi dans d’autres clubs serbes), cette réputation est aujourd’hui confirmée. Certes, le club n’aligne que trois U21 régulièrement en Ligue Adriatique et en Eurocup, mais ce sont en fait quatre joueurs qui ont eu du temps de jeu, Marko Pecarski (2000, 7,8 mn en 8 matchs) n’étant intervenu qu’en Ligue Adriatique alors qu’Aleksandar Aranitovic (1998, 10,4 mn sur 4 matchs) n’entrait en jeu régulièrement qu’en Eurocup (il a aussi foulé 5 fois le parquet en Ligue Adriatique).\\n\\nLe Partizan n’est peut-être plus un vivier aussi vivace qu’à d’autres époques pour les U21, mais il reste malgré tout l’un des piliers de l’école ex-yougoslave.\\n\\nCedevita Zagreb (Croatie, Ligue Adriatique et Eurocup)\\n\\nGrand club croate de l’ère moderne, le Cedevita sévit sur trois fronts : le championnat croate (dont il va jouer la finale), la Ligue Adriatique (demi-finaliste) et l’Eurocup (éliminé au Top16). Le tout en s’appuyant sur une forte base U21 : 9 d’entre-eux sont entrés régulièrement en jeu en championnat croate. La Ligue Adriatique et, plus encore, l’Eurocup étant d’un niveau bien supérieur, seuls les plus performants de ces jeunes y ont fait des apparitions – Toni Perkovic (1998), Darko Bajo (1999) et Lovro Buljevic (1998). Et le Cedevita n’hésite pas à lancer les plus jeunes dans son championnat local, comme les 2001 Rok Radovic ou Karlo Matkovic. Un travail de fond sur la formation qui ne peut qu’être bénéfique au club.\\n\\nOlimpija Ljubljana (Slovénie, Ligue Adriatique et BCL)\\n\\nFinaliste du faible championnat slovène, bon dernier en Ligue Adriatique et dans son groupe en BCL, l’équipe de la capitale slovène n’est pas forcément d’un très gros calibre mais elle n’hésite pas à donner du temps de jeu à ses jeunes joueurs. Avec une originalité : sur les cinq qui entrent en jeu, un seul est slovène, entouré de deux Croates, d’un Monténégrin et d’un Ukrainien. En finale du championnat slovène, seuls deux de ces joueurs (Roko Badzim, 1997 et Marko Simonovic, 1999) sont entrés en jeu lors des deux premières parties (un autre, Luka Samanic, 2000, ayant brillé lors des tours précédents avant de disparaître de la rotation, blessé ?), signe que l’Olimpija resserre quelque peu sa rotation lors des matchs à enjeu tout en laissant leur chance aux meilleurs de ses U21.\\n\\n[armelse]\\n\\nDans les quinze coupes d’Europe et championnats nationaux ou multi-nationaux (ligues Adriatique et VTB) que nous avons étudié lors des jours précédents, on dénombre pas moins de 125 clubs ayant fait jouer au moins un joueur de 21 ans ou moins de façon régulière (rappelons que nous avons pris pour critère de base une participation de 5 minutes/match en moyenne sur au moins un tiers des matchs joués par l’équipe pour « sélectionner » un U21). Un chiffre important, qui recouvre des réalités fort différentes, entre équipes faisant un petit peu jouer un seul jeune prometteur et clubs misant réellement sur la formation, sans même parler de cas exceptionnels comme « l’usine à jeunes » du Mega Bemax en Serbie.\\n\\nDans les championnats nationaux majeurs, l’Allemagne est le pays où le plus grand nombre de clubs a fait jouer au moins un U21 de manière régulière : 15. Suit juste derrière la France, avec 14, puis l’Espagne avec 10, la Grèce avec 9, Israël, l’Italie et la Turquie avec 8 et la Lituanie avec 6. Quant aux « pouponnières » serbe et croate, ce sont respectivement 14 et 12 clubs – soit 100 % des équipes dans les deux cas – qui font appel à ces U21. En Ligue Adriatique, 11 clubs sont dans le même cas (seul Mornar Bar n’a fait appel à aucun U21) mais ils ne sont que cinq en VTB League, réellement le parent pauvre de cette étude.\\n\\nDu côté des coupes d’Europe, l’Euroleague a vu 8 clubs mettre des U21 sur le terrain, un nombre qui monte à 14 en Eurocup et à 20 en BCL.\\n\\nDix clubs en pointe\\n\\nGlobalement, un grand nombre d’équipes européennes se sent donc concernée par l’éclosion de jeunes joueurs. Mais, nous l’avons déjà dit, cela n’empêche pas de grandes disparités entre toutes ces équipes, qui jouent plus ou moins le jeu. Nous avons donc dégagé 10 équipes qui nous semblent, pour diverses raisons, les plus intéressées par la formation des U21. Comme il est rationnellement impossible de comparer ces équipes, nous n’avons pas établi de hiérarchie entre elles, nous vous en proposons simplement la liste.\\n\\nMaccabi Tel-Aviv (Israël et Euroleague)\\n\\nOn pourrait s’étonner de trouver le « club nation » dans ce Top10 de notre étude puisqu’il fait jouer « seulement » deux U21.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Adam Mokoka (ABA League)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U20 féminines: 20 joueuses en stage dont 8 en provenance des Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Cette année, le championnat d’Europe des U20 féminines aura lieu à Klatovy (République Tchèque) du 3 au 11 août. Vingt joueuses ont été retenues pour participer à des stages au Temple-sur-Lot et Bourg-en-Bresse où la France sera opposée au Japon, à la République Tchèque et à la Belgique. A noter la présence record de joueuses portant les maillots d’équipes de NCAA ou de Junior College.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNée le\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\nBREMAUD\\n\\n\\n\\n\\nCarla\\n\\n\\n\\n\\n27/12/1999\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nWICHITA STATE (NCAA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nDREANO-TRECANT\\n\\n\\n\\n\\nAdèle\\n\\n\\n\\n\\n30/10/1999\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nANGERS UFAB\\n\\n\\n\\n\\n\\nDROGUET\\n\\n\\n\\n\\nCamille\\n\\n\\n\\n\\n15/06/1999\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nLYON ASVEL\\n\\n\\n\\n\\n\\nFOFANA\\n\\n\\n\\n\\nNabala\\n\\n\\n\\n\\n20/01/2000\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nNANTES REZE\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRANCHELIN\\n\\n\\n\\n\\nColine\\n\\n\\n\\n\\n18/08/1999\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nLYON ASVEL FEMININ\\n\\n\\n\\n\\n\\nGNAGO\\n\\n\\n\\n\\nDaphné\\n\\n\\n\\n\\n18/05/1999\\n\\n\\n\\n\\n3-4\\n\\n\\n\\nUC RIVERSIDE (NCAA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nGURAMARE\\n\\n\\n\\n\\nMaria\\n\\n\\n\\n\\n20/09/2000\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nHARVARD (NCAA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nJAKOVLEVIC\\n\\n\\n\\n\\nHélène\\n\\n\\n\\n\\n05/10/2000\\n\\n\\n\\n\\n1-2\\n\\n\\n\\nVILLENEUVE D’ASCQ\\n\\n\\n\\n\\n\\nMANALA\\n\\n\\n\\n\\nSéréna\\n\\n\\n\\n\\n31/10/2000\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nLATTES MONTPELLIER\\n\\n\\n\\n\\n\\nMBANDU\\n\\n\\n\\n\\nNaomi\\n\\n\\n\\n\\n19/01/1999\\n\\n\\n\\n\\n3-4\\n\\n\\n\\nGULF COAST ST (JUCO)\\n\\n\\n\\n\\n\\nMENDY\\n\\n\\n\\n\\nRosette\\n\\n\\n\\n\\n11/11/1999\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nLANDERNEAU\\n\\n\\n\\n\\n\\nMONPIERRE\\n\\n\\n\\n\\nOcéane\\n\\n\\n\\n\\n31/10/2000\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nROCHE VENDEE\\n\\n\\n\\n\\n\\nNIANG\\n\\n\\n\\n\\nHaby\\n\\n\\n\\n\\n26/04/2000\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nLYON ASVEL\\n\\n\\n\\n\\n\\nPARISI\\n\\n\\n\\n\\nClaire\\n\\n\\n\\n\\n30/04/1999\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nBASKET LANDES\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOUYE\\n\\n\\n\\n\\nTima\\n\\n\\n\\n\\n07/04/1999\\n\\n\\n\\n\\n1-2\\n\\n\\n\\nTARBES\\n\\n\\n\\n\\n\\nSHEMATSI\\n\\n\\n\\n\\nSarah\\n\\n\\n\\n\\n12/06/1999\\n\\n\\n\\n\\n3-4\\n\\n\\n\\nSOUTH PLAINS (JUCO)\\n\\n\\n\\n\\n\\nSISSOKO\\n\\n\\n\\n\\nKadiatou\\n\\n\\n\\n\\n25/01/1999\\n\\n\\n\\n\\n3-4\\n\\n\\n\\nSYRACUSE (NCAA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nTAHANE\\n\\n\\n\\n\\nEmmanuelle\\n\\n\\n\\n\\n13/05/1999\\n\\n\\n\\n\\n3-4\\n\\n\\n\\nUNIV. OF MISSOURI (NCAA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nTRASI\\n\\n\\n\\n\\nAwa\\n\\n\\n\\n\\n23/04/1999\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nNW FLORIDA ST. JUCO)\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Jérôme Fournier\\nAssistants : Grégory Morata, Virgile Abel, John Delay\\n\\nStage au Temple-sur-Lot du 11 au 20 juin\\n\\nTournoi de Bourg-en-Bresse du 21 au 23 juin\\n\\nStage à Bourg-en-Bresse du 24 au 27 juin\\n\\nChampionnat d’Europe à Klatovy (République Tchèque) du 3 au 11 août\\n\\nPhoto: Kadiatou Sissoko" }, {"role": "user", "content":"Pau veut conserver Vitalis Chikoko et Mickey McConnell" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sud Ouest, le budget de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez devrait peu progresser la prochaine saison (5,1M€ pour l’exercice en cours) quand bien même il disputera une coupe d’Europe, Champions League ou Eurocup.\\n\\nLe staff béarnais va chercher à conserver son pivot zimbabwéen Vitalis Chikoko (2,08m, 28 ans) qui a encore un an de contrat mais avec une clause libératoire. Il aimerait tout autant poursuivre son aventure avec le meneur américain Mickey McConnell (1,83m, 30 ans) qui a boosté sa saison.\\n\\n« Mais le meneur est gourmand, très gourmand. Comme Juice Thompson ou DJ Cooper avant lui, il souhaite capitaliser sur ses bonnes performances », écrit Sud Ouest.\\n\\nCJ Harris, Donta Smith et Taqwa Pinero ne seraient pas conservés alors que Yannick Bokolo (34 ans dans quelques jours) devrait prendre sa retraite. A l’inverse, Léo Cavalière, Digué Diawara, Yohan Coupas et Thibaut Daval-Braquet sont toujours sous contrat. Le club béarnais aimerait attirer Isaia Cordinier (1,96m, 22 ans) auteur d’une excellente fin de saison avec Antibes... Il n’est pas le seul sur le coup.\\n\\nPhoto: Mickey McConnell (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Fabien Causeur (Real Madrid): «Tout le monde le sait bien: je suis heureux dans cette équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Fabien Causeur (1,95m, 31 ans) est actuellement à son meilleur niveau et il est pour le Real Madrid le joueur du banc idéal comme il l’a démontré lors des deux derniers Final Four de l’Euroleague. Lors des quatre derniers matches de l’ACB, il a obtenu une moyenne de 15 points et 17 d’évaluation en autant de minutes.\\n\\n« Cela s’est bien passé, avec une grande confiance en cette dernière partie de la saison. Les gens l’ont vu le mois dernier, je joue à un bon niveau et je profite des minutes dont j’ai besoin pour aider l’équipe. Je vais essayer de continuer dans cette dynamique », a déclaré le Breton.\\n\\nComme le Real a été tenu en échec en Coupe du Roi comme en Euroleague, seul le championnat peut lui permettre de remporter un trophée:\\n\\n« Nous sommes un peu frustrés par ces défaites, il est difficile de les accepter quand on a des matches aussi serrés. Je suis convaincu que nous pouvons gagner cette ligue. Dans ma carrière, j’ai vu des joueurs qui souhaitaient être en vacances en juin. Là, nous voulons tous relever le gant. Ne pas gagner serait très difficile, ce serait un été compliqué. Un coup dur pour nous et pour tout Madrid. Nous voulons gagner. »\\n\\nLe Français sera t-il toujours madrilène la saison prochaine?\\n\\n« Nous en reparlerons à la fin de la saison, mais tout le monde le sait bien: je suis heureux dans cette équipe. Mon rêve était de jouer ici, je voulais le faire tout au long de ma carrière. En tant qu’athlète, il n’y a rien de mieux. »" }, {"role": "user", "content":"VTB League: Le Khimki Moscou se qualifie pour la finale et l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce à sa victoire à domicile, 92-91, le Khimki Moscou a remporté la série de demi-finale de VTB League 3 manches à 1 sur Unics Kazan. En finale, le Khimki affrontera l’autre club de Moscou, le CSKA. Parallèlement, il s’est qualifié pour l’Euroleague 2019-20.\\n\\nLors de cette victoire décisive, Alexey Shved a marqué 25 points et fait neuf passes décisives tandis que Janis Timma a assuré 24 points. Jordan Mickey a inscrit 13 points et Stefan Markovic 11 points. Pour Unics, Raymar Morgan a inscrit 27 points, à ajouter aux 19 points de l’ancien Limougeaud Jamar Smith et aux 15 points de Trenton Lockett.\\n\\n«Le match ne s’est pas déroulé comme prévu, mais nous avons tout de même réussi à inverser la tendance et à remporter la victoire avec un effort colossal », a déclaré le coach lituanien du Khimki Rimas Kourtinaitis. « Nous allons maintenant jouer en Euroleague la saison prochaine. Mais la saison n’est pas encore terminée. Nous avons obtenu une très grosse victoire, mais comme mon camarade l’a dit, il fait de plus en plus sombre, mais ce n’est pas encore le soir. Pour être honnête, je comptais vraiment sur une victoire aujourd’hui et j’essayais de faire comprendre aux joueurs qu’il serait très difficile de revenir à Kazan pour un autre match. Je suis heureux que nous ayons réussi à le faire. »\\n\\nPhoto: Alex Shved" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Saint-Chamond va se doter d’une salle de 3 800 places et vise la montée en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"Le Saint-Chamond Basket Vallée du Gier ne manque pas d’ambition puisqu’il va se doter d’une salle de 3 800 places en forme d’ellipse disposant de deux terrains et d’espaces VIP pour un coût de 31 millions d’euros et qu’il envisage une montée en Jeep Elite.\\n\\n« C’est une salle de Pro A, ça c’est une certitude« , commente sur Radio Scoop le président Roger Paour. « Aux ambitions de structures vont suivre les ambitions sportives. On a le devoir de se maintenir dans le haut de la Pro B en attendant, mais le volet sportif, on ne le maîtrise pas« .\\n\\nDébut des travaux, au printemps 2020. L’architecte Nicolas Chabanne précise:« Cette salle va s’inscrire dans un écrin de verdure, au plein cœur des vallées du Gier. Le complexe sera vu de partout. On a donc fait une structure avec 2 anneaux. À l’intérieur, la salle principale est construite comme le Colisée de Rome. Ce sera un Chaudron (sic)« .\\n\\nSaint-Chamond est une commune de la Loire de 35 000 habitants proche de Saint-Etienne." }, {"role": "user", "content":"LFB: Villeneuve d’Ascq signe Keisha Hampton, l’une des meilleures joueuses d’Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Villeneuve d’Ascq a annoncé coup sur coup l’arrivée de l’Américaine Keisha Hampton (1,88m, 29 ans) et le retour de Lorraine Lokoka (1,84m, 29 ans).\\n\\nL’ailière Keisha Hampton a été formée à l’université de DePaul. Elle est passée ensuite par Dunkerque où elle a été élue MVP de Ligue 2 en 2015, la Lettonie, l’Allemagne, Israël et l’Espagne où elle a été sacrée championne nationale, il y a quelques jours avec Gérone. Elle a cumulé 14,4 points (40% à 3 points) et 5,6 rebonds en Liga Dia et 16,6 points et 5,4 rebonds en Eurocup, avec notamment 32 points et 21 points en demi-finale face à Montpellier. Elle compte également à son CV 46 matches en WNBA à 3,0 points et 0,5 rebond.\\n\\n« La venue de Keisha Hampton est un élément déterminant dans le projet du club. Alors qu’elle était très courtisée, notamment en Espagne, après sa saison couronnée du titre et de ses prestations en Eurocup, Keisha a choisi de venir à l’ESBVA-LM. Elle va amener son expérience, son altruisme et sa polyvalence. Nul doute que sa rage de vaincre sera appréciée par l’équipe et par les supporters », a déclaré le GM Christophe Vitoux.\\n\\nParallèlement, le club du Nord enregistre le retour de Lorraine Lokoka (1,84m, 29 ans) qui a déjà gagné avec lui l’Eurocup en 2015. Depuis, cette ailière native de Kinshasa en République Démocratique du Congo a porté le maillot de deux clubs de LF2, Aulnoye-Aymeries et Angers où elle évoluait depuis deux saisons avec pour le dernier exercice 13,1 points (dont 59% à 2 points) et 5,7 rebonds." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Jean-Luc Cadio démissionne de la présidence du Nantes Basket Hermine" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, Jean-Luc Cadio a annoncé qu’il ne sera plus à la fin du mois de juin le président du Nantes Basket Hermine qui a terminé 10e du championnat de Pro B:\\n\\n« La saison du Nantes Basket Hermine s’est achevée par une victoire à Denain qui ne lui permet malheureusement pas, pour la deuxième année consécutive, d’accéder aux playoffs alors qu’une qualification était l’objectif minimum au regard du budget initial. Après 4 années riches en émotions multiples, je tiens à vous informer que ma mission de Président du Nantes Basket Hermine s’achèvera au 30 juin 2019. Une assemblée générale extraordinaire devra être convoquée courant juin pour élire un nouveau Président pour le Nantes Basket Hermine. Je garderai les meilleurs souvenirs de cette expérience et je tenais à remercier les supporters, les bénévoles, les salariés, les dirigeants et les partenaires de m’avoir accompagné durant cette période. Je souhaite bonne chance à la nouvelle équipe dirigeante et que le NBH atteigne au plus vite ses objectifs. »" }, {"role": "user", "content":"Laurent Vila (coach de Pau): «On a fait une belle saison, vraiment»" }, {"role": "assistant", "content":"A l’issue de son élimination de son équipe, une manche à deux, en quart-de-finale des playoffs, le coach de Pau Laurent Vila s’est exprimé en conférence de presse mélangeant frustration et satisfaction:\\n\\n« Nous sommes très déçus, que ce soit pour l’équipe, chacun des joueurs et bien sûr notre club. On voulait faire beaucoup mieux que cela, c’est à dire gagner à la fin. A la vue des 3 premiers quarts, on mérite d’avoir une fin plus serrée mais au début du 4ème on a lâché. on a connu quelques errements défensifs et on les a laissés filer au score. Il y a un peu de tout pour expliquer cela : de la frustration, peut-être un manque de fraîcheur pour certains et puis de la précipitation. ll fallait être solide en défense, quoiqu’il arrive et malgré 2, 3 ballons perdus il fallait faire ces efforts-là. Ils ont su alterner leur jeu, trouver des solutions à chaque fois et on a pas su, malheureusement, faire face à cela. (à propos de la 4ème élimination consécutive en quart de finale des Playoffs) c’est la réalité, c’est comme ça. On avait à coeur encore une fois de passer une étape supplémentaire. Il ne faut pas que cette conclusion nous enlève le bon goût de ce que nous avons fait jusqu’à présent. On a fait une belle saison, vraiment. On a partagé beaucoup de choses cette année et on aurait voulu que cela se prolonge. C’est ainsi. »\\n\\nSon collègue de Nanterre, Pascal Donnadieu a savouré le moment:\\n\\n« Cela a été une belle série, âpre, disputée même si on avait fait un écart lors du match 1. Même avec des matches physiques, je trouve que les joueurs se sont extrêmement bien comportés. Effectivement on savait que l’aspect physique pouvait être un enjeu important. En l’occurrence, on peut considérer que sur le dernier quart-temps, Pau, avec des joueurs un peu plus âgés que nous, avec un peu moins de rotations aussi, a souffert et a explosé. Il fallait faire en sorte d’être dur, qu’il n’y ait rien de facile défensivement. Avec un gros parcours en Coupe d’Europe cette saison, cette qualification était un objectif majeur qu’on s’était fixé avec les joueurs car depuis notre titre en 2013 on avait régulièrement butté à ce stade de la compétition alors ce n’est pas une fin en soi et je ne vais pas dire que la saison est terminée car nous sommes des compétiteurs mais déjà, accéder à ce dernier carré cela nous fait passer d’une belle à une très belle saison et cela met en valeur le parcours des joueurs, du club. Ce soir, je savoure vraiment. On s’était donné les moyens de disposer de l’avantage du terrain, on a fait ce qu’ il fallait pour disputer cette belle et bien sûr c’était un avantage que de pouvoir la disputer à domicile. C’est une grande joie d’être où on est surtout liée à notre parcours en championnat et à nos 20 matches de Coupe d’Europe. Cela fait 60 matches alors il faut rendre hommage aux joueurs. »\\n\\nPhoto: Laurent Vila (Pau)" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Dounia Issa remplace Eric Bartecheky à la tête du Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’était plus un secret pour personne, le coach Eric Bartecheky en partance pour Gravelines, c’est son assistant Dounia Issa (37 ans) qui va reprendre les manettes du MSB.\\n\\nSur son site, le champion de France en titre annonce la signature de l’ancien international français jusqu’en juin 2021. Il est le troisième assistant du MSB à devenir entraîneur principal après Vincent Collet et JD Jackson. A ses côtés, Antoine Mathieu sera toujours assistant mais un deuxième assistant doit arriver. Du côté des joueurs, seuls Antoine Eito, Valentin Bigote, Matthieu Gauzin et Terry Tarpey sont toujours sous contrat.\\n\\nDounia Issa s’est exprimé sur sa montée en grade.\\n\\n« C’est à la fois une immense fierté personnelle et le sens du devoir qui m’animent. Avoir franchi toutes les étapes, obtenu les diplômes en fournissant le meilleur de moi-même pour bénéficier de l’opportunité de mener le MSB est un bel accomplissement. Tout le monde sait que je suis très attaché au club. J’y suis arrivé en 2012 et j’aime le MSB. Je veux qu’il continue à grandir et à demeurer compétitif. Comme toujours, je donnerai mon maximum. Au niveau du projet, passer après deux très belles années oblige à viser les playoffs mais pas seulement. Je souhaite relancer le projet jeunes, leur donner plus de places, charge à eux de saisir la chance accordée. Joueur, j’étais compétiteur, déterminé et à l’écoute, je le serai comme entraîneur. De beaux challenges nous attendent et je me projette déjà vers l’avant pour les réussir avec le staff et le club. »\\n\\nPhoto : Dominique Breugnot" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U16: 17 joueurs en stage en juillet" }, {"role": "assistant", "content":"Dix-sept U16 ont été retenus pour un stage à Petit-Couronne du 8 au 17 juillet. L’Euro de la catégorie se tiendra du 8 au 17 août à Udine en Italie.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nBAL\\nAdama\\n1,93\\nPole France Basket\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n2,14\\nPole France Basket\\n\\n\\nBENITEZ\\nElian\\n1,70\\nJL Bourg\\n\\n\\nDE SOUSA\\nNathan\\n1,82\\nCholet\\n\\n\\nDESSERT\\nBrice\\n2,07\\nPole France Basket\\n\\n\\nDIENG\\nOusmane\\n2,01\\nPole France Basket\\n\\n\\nHOUINSOU\\nKymany\\n1,92\\nASVEL\\n\\n\\nKASIAMA\\nKenny\\n2,03\\nPole France Basket\\n\\n\\nLOUART\\nFlorian\\n2,10\\nPole France Basket\\n\\n\\nLLAURY\\nThomas\\n1,92\\nCholet\\n\\n\\nMIENANDI\\nHugo\\n2,00\\nLe Mans\\n\\n\\nPALMER\\nNoah\\n1,98\\nElan Chalon\\n\\n\\nRAYNAUD\\nMaxime\\n2,10\\nSaint-Charles Charenton\\n\\n\\nSHAHRVIN\\nEnzo\\n2,00\\nÉlan béarnais Pau-Lacq-Orthez\\n\\n\\nTRAORE\\nArmel\\n1,98\\nPole France Basket\\n\\n\\nTRAORE\\nYohan\\n2,04\\nPole France Basket\\n\\n\\nWEMBANYAMA\\nVictor\\n2,15\\nNanterre\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Bernard Faure\\nAssistants : David Gallois, Eric Kehlhoffner, Ludovic Puigcerber\\n\\nDu 8 au 17 juillet : Stage à Petit-Couronne\\n\\nDu 18 au 21 juillet : Tournoi de la Pommeraye\\n\\nDu 25 au 29 juillet : Stage en Croatie\\n\\nDu 29 juillet au 2 août : Stage à Vernon\\n\\nDu 2 au 5 août : Matches au Monténégro\\n\\nDu 9 au 17 août : Championnat d’Europe à Udine (Italie)\\nVendredi 9 août à 18h45 : Bosnie-Herzégovine – France\\nSamedi 10 août à 18h45 : France – Serbie\\nDimanche 11 août à 14h15 : Grèce – France" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Svetislav Pesic (FC Barcelone) élu coach de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Coach du FC Barcelone entre 2002 et 2004, Svetislav Pesic (69 ans) a fait son retour en Catalogne en février 2018 après le départ de Sito Alonso pour reprendre la barre d’un navire à la dérive, surtout en Euroleague. Aujourd’hui, la Liga Endesa annonce qu’il a été élu entraîneur de la saison.\\n\\nAprès un peu plus d’un an, le technicien serbe a réussi sa mission. Deuxième de Liga Endesa cette saison (27v-7d), le Barça n’est devancé que par le Real Madrid qui ne compte qu’une seule petite victoire d’avance. C’est d’ailleurs face à ce même Real Madrid que la formation catalane a remporté deux fois de suite la Coupe du Roi (équivalent de notre Leaders Cup).\\n\\nC’est la première fois de sa carrière que Svetislav Pesic est élu meilleur entraider de la saison. Il devance Pablo Laso (Real Madrid) au classement.\\n\\nPhoto : FC Barcelone" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Nigel Hayes arrive au Zalgiris Kaunas" }, {"role": "assistant", "content":"Sacré champion de Lituanie il y a quelques jours, le Zalgiris Kaunas peut se tourner vers la saison prochaine et ça commence par le recrutement de Nigel Hayes (2,03m, 24 ans).\\n\\nLa formation lituanienne officialise la signature de ce poste 4 américain en provenance du Galatasaray. Il a paraphé un contrat 1+1 (une année plus une autre année en option). Formé à l’université de Winsconsin, le natif de Westerville a d’abord tenté de faire son trou en NBA avant d’atterrir en Turquie lors de l’intersaison 2018. Ce poste 4 moderne capable de shooter de loin, présente un profil semblable à celui d’Aaron White qui serait sur le point de quitter le Zalgiris.\\n\\nCette saison, Nigel Hayes compilait en moyenne 13 points, 5,3 rebonds et 2 passes décisives entre le championnat turc et l’Eurocup.\\n\\n« Je suis heureux de rejoindre une organisation du standing de celle du Zalgiris Kaunas. Je suis impatient à l’idée de jouer pour une si prestigieuse équipe et ce coach. Je n’ai entendu que du positif concernant l’organisation, les fans et la ville de Kaunas », a-t-il déclaré après avoir signé.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=HFcTKJka0qw\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Le coach de la Belgique, Philip Mestdagh prudent avant l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Aujourd’hui contre l’Espagne, samedi contre le Canada et dimanche contre la Chine, la Belgique dispute un tournoi des quatre Nations au Palais du Midi à Bruxelles. Les Belgian Cats ont récupéré Emma Meesseman, Kim Mestdagh, de retour des États-Unis et de WNBA, et Julie Allemand, qui avait eu droit à du repos après son titre de champion de France avec l’ASVEL et ainsi elles sont au complet pour la fin de la période de préparation avant l’EuroBasket.\\n\\n« On a de suite vu sur l’entraînement que leur apport permet d’augmenter terriblement le niveau. On va pouvoir travailler au complet, il nous reste quinze jours et cinq matches de préparation. Je pense que nous serons prêts », a confié Philip Mestdagh, le sélectionneur national à sudinfo.\\n\\nQuatrième à la Coupe du Monde la Belgique fait partie des équipes susceptibles de remporter ce championnat d’Europe mais Philip Mestdagh se montre très prudent:\\n\\n« Nous ne devons absolument pas croire qu’avec leur retour, tout va aller forcément de soi. Les autres joueuses ont eu l’occasion de montrer ce qu’elles savaient faire en leur absence. Certaines l’ont fait, d’autres pas encore assez. L’Euro sera très compliqué et il faut absolument que le niveau de toutes les joueuses grimpe. Sans cela, nous nous mettrons en difficulté. Les autres nations connaissent désormais nos joueuses, nos systèmes de jeu, et notre philosophie. On l’a déjà vu lors du match pour la troisième place contre l’Espagne à la Coupe du monde en septembre dernier. En imposant une grosse défense physique sur Emma Meesseman et de la pression sur Julie Allemand, cela nous oblige à nous adapter. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Jérôme Sanchez prolonge pour deux saisons à Boulazac." }, {"role": "assistant", "content":"Le club du Périgord souhaitait prolonger son capitaine et c’est désormais chose faite puisque le natif de l’agglomération lyonnaise a signé jusqu’en 2021.\\n\\nLe Boulazac Basket Dordogne avance bien dans son recrutement et notamment dans celui des JFL. En plus de Nanta Diarra, Rémi Lesca et Jean-Frédéric Morency, le club a mis sur la main sur l’ailier de Poitier Kévin Harley (1,96m, 25 ans) et prolonge donc Jérôme Sanchez (1,96m, 29 ans).\\n\\nCette saison, le rhodanien compilait 5 points à 43,9% aux tirs, 2,8 rebonds et 1,8 passes décisives pour un total de 7,4 d’évaluation en 18 minutes.\\n\\nLoué pour ses qualités sur et en dehors du terrain, nul doute que l’ailier jouera à nouveau un rôle important dans la future saison du BBD." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Fréjus Zerbo prolonge à Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"Le recrutement de Bourg-en-Bresse continue avec la prolongation de contrat de Fréjus Zerbo (2,08m, 30 ans) .\\n\\nPartenaire d’entrainement en début de saison, le pivot Ivoirien avait signé avec la JL Bourg en tant que pigiste de Youssou Ndoye avant de prolonger pour la fin de la saison après le départ de Kerem Kanter. La « Jeu » annonce aujourd’hui sa signature pour la saison 2019/20.\\n\\nCette saison, Fréjus Zerbo compilait en moyenne 0,7 point et 1,6 rebond pour une évaluation de 1,4 en 9 minutes de jeu.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Evreux lance son recrutement avec Antoine Wallez" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison à Angers, en NM1, Antoine Wallez (2,05m, 22 ans) s’engage à Evreux, en Pro B.\\n\\nSur son site, l’ALM annonce l’arrivée de l’ancien pensionnaire du centre de formation du MSB pour la saison 2019/20. Passé par Boulogne-sur-Mer et Denain en Pro B, il a franchi un vrai cap cette saison en NM1 pour devenir l’un des meilleurs poste 4 du championnat.\\n\\nCette saison, Antoine Wallez compilait en moyenne 11,1 points et 5,4 rebonds pour une évaluation de 13,2 en NM1.\\n\\nPhoto : Etoile Angers Basket" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Edwin Jackson va bien faire son retour à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Il se murmurait depuis de nombreux mois qu’Edwin Jackson (1,90m, 29 ans) pourrait faire son retour à l’ASVEL la saison prochaine et c’est maintenant chose faite selon L’Equipe.\\n\\nAlors qu’elle est engagée en finale de Jeep Elite, l’ASVEL prépare déjà sa saison prochaine et son retour en Euroleague. Pour ce faire, le club villeurbannais aurait trouvé un accord pour rapatrier Edwin Jackson. Toujours selon le quotidien sportif, il se serait engagé pour une durée de quatre ans, soit jusqu’en 2023.\\n\\nNé à Pau, l’international français n’a jamais caché l’amour qu’il éprouve pour le club qu’il a rejoint à sa sortie de l’INSEP en 2007. Cinq ans après l’avoir quitté pour tenter sa chance à l’étranger entre Barcelone, Malaga, l’Estudiantes et même la Chine, l’international français va donc faire son retour en France à l’ASVEL.\\n\\nCette saison, Edwin Jackson compilait en moyenne 9,8 points, 2,5 rebonds et 1,9 passe décisive en Euroleague, et 10,6 points, 2,7 rebonds et 2,4 passes décisives en Ligue Adriatique.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Yannis Morin rempile au CCRB" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé au CCRB après avoir disputé cinq matchs avec Nanterre, Yannis Morin (2,08m, 25 ans) vient de prolonger à Châlons-Reims.\\n\\nSur son site, le CCRB vient d’annoncer que son intérieur vient de s’engager pour la saison 2019/20. Passé par Cholet, Le Havre, Denain et Le Mans, le natif de Fort-de-France est d’abord arrivé en tant que pigiste médical de Pape Badji dans la Marne. Cette saison, Yannis Morin compilait en moyenne 8,6 points et 5,3 rebonds pour une évaluation de 11,7.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : CCRB" }, {"role": "user", "content":"Espagne : le FC Barcelone souhaite rapatrier Alex Abrines" }, {"role": "assistant", "content":"En NBA depuis 2016, Alex Abrines (1,98m, 25 ans) pourrait faire son retour en Espagne la saison prochaine.\\n\\nD’après Rac1, le FC Barcelone serait en discussion pour faire revenir son ancien joueur en Catalogne. Né à Palma, l’international espagnol a porté les couleurs du Barça entre 2012 et 2016 avant de tenter sa chance en NBA. En février dernier, il a été coupé par Oklahoma City et est depuis sans club.\\n\\nLes deux partis seraient loin d’avoir trouvé un accord, mais les discussions continuent. Avec les arrivées de Cory Higgins et Brandon Davies, le FC Barcelone veut frapper fort lors de cette intersaison et faire partie des favoris pour le sacre d’Euroleague.\\n\\nCette saison, Alex Abrines compilait en moyenne 5,3 points et 1,5 rebond en 31 matchs NBA.\\n\\n\\n!! US HO AVANÇA RAC1 | El Barça i Àlex Abrines ja han establert contactes per negociar el retorn del jugador al Palau. Les postures estan allunyades, però la predisposició és bona. pic.twitter.com/z7JnKtQwo4\\n\\n— Marc Mundet (@MarcMundet78) June 13, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Corentin Carne est le nouvel arrière des Sharks d’Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans l’air depuis quelques jours, c’est désormais officiel depuis hier soir, Corentin Carne (1,95m, 22 ans) rejoint les Sharks d’Antibes pour la saison 2019/2020.\\n\\nLe parcours de son ancien coéquipier et ami du centre de formation de l’Élan Béarnais, Lucas Dussoulier (22 ans, 2.03m) a peut-être donné des idées à Corentin Carne, eux qui avaient évolués ensemble, sous les couleurs de Charleville-Mézières lors de la saison 2017/2018. Lucas Dussoulier a décidé de continuer à faire ses armes en Pro B la saison passée du côté de Quimper et était un pion essentiel du dispositif du coach Laurent Foirest.\\n\\nEn revanche, son ex-coéquipier a décidé de sauter le pas et de plonger dans le bain de la Jeep-Elite au sein de l’équipe de Nanterre. Dans une équipe qui jouait le haut du tableau et une coupe d’Europe, le jeune arrière originaire de Lens n’a pas vraiment su imposer et ne valait qu’en 9 minutes de temps de jeu, 2 points à 45,4%, 0,9 rebond et 0,8 passe décisive pour un total de 2,8 d’évaluation en Jeep Elite.\\n\\nOn imagine donc aisément que l’arrière de grande taille a voulu redescendre d’un échelon afin d’avoir plus de responsabilités et montrer que, tout comme son ex-coéquipier, il est capable d’évoluer en Pro B. Il aura également à cœur de montrer tout son talent entrevu dans sa dernière saison en tant qu’espoir quand il était un pilier de l’équipe du Béarn et qu’il compilait 14,7 points, 3,9 rebonds et 2,9 passes décisives pour 14,3 d’évaluation en 32 minutes.\\n\\nPhoto: JF Nanterre" }, {"role": "user", "content":"Comment se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo" }, {"role": "assistant", "content":"Comment les Bleus peuvent se qualifier pour les Jeux Olympiques de Tokyo (24 juillet au 9 août 2020) ? Rappel du règlement:\\n\\nCette qualification passera par la Coupe du Monde qui qualifiera directement 7 équipes:\\n\\n-Les deux équipes européennes les mieux classées.\\n\\n-Les deux équipes américaines les mieux classées.\\n\\n-La meilleure équipe américaine classée.\\n\\n-La meilleure équipe asiatique classée.\\n\\n-La meilleure équipe océanienne classée.\\n\\nLes 16 équipes suivantes les mieux classées, accompagnées de 8 autres équipes (2 par région), seront reversées dans les 4 Tournois de Qualification Olympique (TQO). Les équipes victorieuses des TQO seront qualifiées pour participer aux JO.\\n\\nAvec le Japon (pays organisateur) déjà qualifié, ce sont 12 équipes qui disputeront les JO." }, {"role": "user", "content":"Espagne : A.J. Slaughter (ASVEL) en partance pour Séville ?" }, {"role": "assistant", "content":"A l’ASVEL depuis 2017, A.J. Slaughter (1,91m, 31 ans) ne devrait pas accompagner Villeurbanne en Euroleague la saison prochaine.\\n\\nSelon Chema de Lucas, l’arrière villeurbannais aurait déjà trouvé un accord pour rejoindre Séville en ACB la saison prochaine. Le club andalou évoluait cette saison en deuxième division espagnole et a remporté le championnat à quatre journées de la fin pour valider son retour en Liga Endesa. Passé par Cholet, Chalon, Strasbourg, Banvit, le Panathinaïkos ou encore Biella, l’international polonais n’a encore jamais joué en Espagne.\\n\\nCette saison, AJ Slaughter compilait en moyenne 11 points en championnat et 8,8 points en Eurocup.\\n\\n\\nMe dicen que esto está hecho ya 👇 https://t.co/cKxOzYdZrI\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) June 12, 2019\\n\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Limoges: Le nouveau coach Alfred Julbe parle français" }, {"role": "assistant", "content":"Le nouveau coach de Limoges, le Catalan Alfred Julbe parle français et c’est dans notre langue qu’il a répondu hier aux questions des journalistes lors de sa première conférence de presse comme le rapporte Le Populaire.\\n\\n« J’ai étudié cette langue lorsque j’étais jeune, je commence à le récupérer progressivement et je vais continuer à faire des efforts pour progresser. Mes enfants rient beaucoup quand mes paroles ne correspondent pas au contexte. Je vous demande donc de ne pas rire. »\\n\\nRappelons que les deux finalistes des playoffs de Jeep Elite, Zvezdan Mitrovic et Sasa Obradovic s’expriment uniquement en anglais.\\n\\nQuant à la priorité de Alfred Julbe, c’est la défense !\\n\\n« Cette saison, en Jeep Élite, seulement trois équipes ont fait preuve de régularité dans leur solidité défensive : Monaco, Villeurbanne et Dijon, observe-t-il. Je veux construite une équipe solide, dure, qui se bat et n’encaisse pas de point facile. Je pense que les gens apprécient ce genre de formation. On cherche des joueurs qui vont nous aider à obtenir une solidité défensive collective. La défense est comme une toile avec beaucoup de détails »\\n" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet: «J’ai comparé Tony Parker à Michel Platini»" }, {"role": "assistant", "content":"Hier, lors de la conférence de presse consacrée à l’équipe de France, le coach des Bleus, Vincent Collet, a rendu hommage à Tony Parker qui vient d’annoncer sa retraite:\\n\\n« J’ai eu beaucoup de chance de partager une partie de sa trajectoire. Quand je suis arrivé à la tête de l’équipe de France, j’ai eu le privilège de l’avoir à son meilleur niveau. Je pense qu’en 2010, il était si ce n’est le meilleur du moins l’un des deux meilleurs meneurs de jeu au monde. En 2011, il a fait un Euro extraordinaire. C’est lui qui nous a guidés vers cette médaille d’argent. Même si c’est (Juan Carlos) Navarro qui a été élu MVP de l’Euro, c’est Tony, je pense, qui était le vrai MVP de cet Euro. Il a continué sur toutes ses années à médailles. Je n’oublierai jamais ce qui s’est passé en 2013 contre l’Espagne. On a vu les deux Tony Parker. Celui d’avant, qui jouait parfois un peu trop seul, qui portait l’équipe. C’est vrai qu’à la mi-temps, il avait marqué 14 de nos 20 points, et en deuxième mi-temps après son fameux coup de gueule dans le vestiaire, il a su relancer ses coéquipiers pour leur permettre de revenir sur les Espagnols et les battre. Il appartient à la catégorie des plus grands champions du sport français. Je l’ai comparé à Michel Platini car il était un précurseur en tout. Il a toujours fait des choses avant les autres. Il a permis ensuite à beaucoup de réussir en NBA. Je crois que si lui n’avait pas fait les premiers pas, ce n’est pas sûr qu’il y en aurait eu autant derrière. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jorge Garbajosa, président de la fédération espagnole: «L’Euroleague ne peut pas prendre les décisions qui l’arrangent dans son coin»" }, {"role": "assistant", "content":"Le patron de la puissante fédération espagnole a donné une conférence de presse hier matin. La liste de la sélection espagnole pour la Coupe du Monde ne sera pas donnée avant la fin de la saison de ligue espagnole mais les sujets chauds du moment ont été abordés, notamment l’indispensable coordination entre les acteurs du basket européen et les problèmes de calendrier pour 2020.\\n\\nSon élection au bureau de FIBA Europe ?\\n\\nC’est un honneur et un privilège d’avoir été élu avec un haut pourcentage comme cela au bureau de la FIBA Europe. Les relations avec le nouveau secrétaire général de la FIBA Andreas Zagklis sont exceptionnelles. La cerise sur le gâteau, c’est que sa première visite officielle s’est faite chez nous, dans notre maison en Espagne. On travaille ensemble à défendre les ligues nationales et les équipes nationales. Notre objectif, c’est de continuer à travailler, à parler, à débattre et à négocier parfois, pour le bien du basket. Et on va continuer à travailler ainsi.\\n\\nLe problème de calendrier en 2020, avec notamment la fin des playoffs ACB, le tournoi préolympique et la saison d’Euroleague ?\\n\\nConcernant ce dossier, la FIBA a semble-t-il fait un premier pas dans l’intérêt général de tous en retardant la tenue des rassemblements des équipes nationales avant le tournoi préolympique (dont les dates sont définies par le Comité International Olympique) de façon à préserver à la fois les ligues nationales et les équipes nationales. Il y a de la place pour tout le monde. Et il s’agit d’une question qui ne concerne pas seulement l’Espagne mais toutes les sélections qui comptent sur des joueurs qui évoluent dans des équipes espagnoles. Je trouve que la FIBA et l’ACB ont montré de la bonne volonté dans la négociation. Pour s’asseoir et négocier, il faut avoir une certaine attitude, une véritable envie de trouver un terrain d’entente. Sans quoi c’est impossible. Or, le nouveau calendrier international a été approuvé à l’unanimité par toutes les organisations du basket, notamment européen, il y a déjà maintenant de nombreuses années.\\n\\nL’attitude de l’Euroleague ?\\n\\nIl y a de la place pour tout le monde, mais je n’ai pas du tout apprécié par exemple que le Final 4 de l’Euroleague s’installe au milieu des playoffs des ligues nationales. Moi, j’aime quand tout le monde travaille pour le bien du basket. L’Euroleague est une compétition qui, unilatéralement, sans demander à qui que ce soit, accroit le nombre de ses équipes, sans aucun critère connu. Elle doit absolument se coordonner avec les autres. L’Euroleague ne peut pas prendre les décisions qui l’arrangent seule dans son coin. L’ACB a une attitude positive et veut négocier, la FIBA a fait l’effort et les fans je crois comprennent qui fait quoi aujourd’hui. Il faut absolument une envie de coopérer et de travailler pour le bien des joueurs. Rappelez-vous par exemple ce qu’a dit Rudy (Fernandez) à propos du match pour la 3e place au Final 4 de l’Euroleague cette année." }, {"role": "user", "content":"Nationale 1 : Moustapha Diarra fait son retour à Chartres" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison au Paris Basketball Avenir, Moustapha Diarra fait son retour à l’UBCM Chartres, club où il a déjà évolué durant la saison 2017/2018.\\n\\nMoustapha Diarra (32 ans le 17 juin, 2m04) va faire son grand retour à l’UBCM Chartres pour une saison. La nouvelle devrait ravir les supporters Chartrains puisque cet intérieur pouvant évoluer sur les deux postes, avait été l’un des grands artisans de la montée du club en Pro B. Il compilait lors de cette saison 12 points à 62,9% et 6,5 passes pour 15,2 d’évaluation en seulement 22 minutes ! Il a été relégué à un rang de doublure (7,4 points, 3,9 rebonds pour 8,1 minutes en 16 minutes de temps de jeu) sous les ordres du coach Pratt la saison écoulée, dans une équipe où il n’a pas su pleinement confirmer sa belle saison entrevue l’année précédente. Il tentera de rééditer ses belles performances, dans un championnat qu’il a dominé et pourquoi pas de ramener l’équipe de Ludovic Lambert en Pro B. C’est donc tout naturellement que les deux parties sont retombés d’accord pour à nouveau s’unir suite à la relégation du club d’Eure-et-Loir en Nationale 1." }, {"role": "user", "content":"Attaque informatique à la FFBB: Les conséquences" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 juin, la Fédération Française de BasketBall a subi une attaque informatique. La FFBB n’était pas spécifiquement visée par cette attaque, celle-ci s’inscrivant dans une série d’actions similaires qui ont récemment frappé d’autres organisations françaises.\\n\\nDans l’état actuel des investigations, la FFBB a été victime d’un code malveillant de type rançongiciel dont l’objectif est de verrouiller les données en les chiffrant.\\n\\nUne partie du système d’information de la FFBB a été rendue indisponible par cette attaque, dont les services de courrier électronique, les serveurs de fichiers, ainsi que certaines des applications métiers, ralentissant considérablement l’activité interne. En revanche, les sites marchands ffbbstore.com et billetterie.ffbb.com ou encore les plateformes 3x3ffbb.com et eFFBB, l’extranet de la FFBB pour ses structures, n’ont pas été impactés par cette attaque.\\n\\nLes équipes de la Direction des Systèmes d’Information, épaulés par des experts en cybersécurité externes, sont mobilisées pour rétablir le fonctionnement normal et sécurisé de son système d’information au plus tôt.\\n\\nCe type d’attaque exige généralement plusieurs jours d’interruption, et, par précaution, le réseau informatique de la FFBB a été isolé d’internet.\\n\\nLa priorité a été donnée au rétablissement des services aux structures fédérales ; c’est à ce titre que le système de gestion des licences et des compétitions a été rétabli le mercredi 5 juin. Les services aux salariés, telle que la messagerie, sont en cours de reconstruction.\\n\\nSelon les premiers éléments de notre investigation il n’y aurait pas eu d’exfiltration de données.\\n\\nLes autorités compétentes ont été informées. Nous avons également pris et prenons soin de communiquer à l’ensemble de nos membres et partenaires, de l’évolution de la situation. Si vous souhaitez obtenir des informations complémentaires sur cette attaque, contactez-nous via le e-mail suivant : mesdonneesffbb@ffbb365.com" }, {"role": "user", "content":"Sarunas Jasikevicius (Zalgiris) : «C’est très difficile de trouver un meilleur endroit que Kaunas»" }, {"role": "assistant", "content":"Entraîneur principal du Zalgiris Kaunas depuis 2016, Sarunas Jasikevicius fait partie des techniciens les plus demandés à chaque intersaison mais une fois de plus il reste fidèle au club lituanien.\\n\\n« Il y a quelques équipes pour lesquelles je serais intéressé de travailler, mais je ne suis pas candidat pour ces postes. C’est très difficile de trouver un meilleur endroit que le Zalgiris Kaunas. Cependant, le Zalgiris n’est pas le seul endroit où c’est sympa de travailler. C’est très bien ici, mais dans le futur, on verra », a-t-il confié à Zalgiris TV.\\n\\nDès que sa saison avec le Zalgiris s’est terminée, l’ancien joueur du Panathinaïkos a directement été annoncé partant pour la NBA. Les Memphis Grizzlies ou encore les Toronto Raptors faisaient partie des candidats, mais le coach de Kaunas a expliqué pourquoi rien ne s’est concrétisé.\\n\\n« Cette année, il y a eu beaucoup de coups de téléphone, mais à partir du moment où j’ai voulu rester entraîneur principal, le nombre d’appels a chuté. »\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Milan : Ettore Messina vise Luigi Datome et Brad Wanamaker" }, {"role": "assistant", "content":"Nouvel entraîneur et nouveau directeur des opérations basket de l’Olimpia Milano, Ettore Messina a carte blanche pour monter la meilleure équipe possible en vue de la saison prochaine.\\n\\nSelon La Gazzetta Dello Sport, le club lombard serait sur les rangs pour recruter Luigi Datome (2,03m, 31 ans) et Brad Wanamaker (1,93m, 29 ans). Les deux hommes ont notamment joué ensemble au Fenerbahce en 2017/18.\\n\\nCette saison, Luigi Datome compilait en moyenne 9 points et 3,6 rebonds pour une évaluation de 8,4 en Euroleague tandis que Brad Wanamaker n’a eu le droit qu’à 9 minutes de jeu lors de 36 matchs NBA. En 2017/18, il tournait à 11,3 points, 2,6 rebonds et 3,8 passes décisives en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jamar Wilson fait son retour en France à Bourg-en-Bresse" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison en Lituanie, Jamar Wilson (1,85m, 35 ans) fait son retour en France à Bourg-en-Bresse.\\n\\nPassé par Nanterre en 2017/18, l’international finlandais vient de s’engager pour une saison à la JL Bourg, annonce le club. Sa première expérience en France date de 2014/15, quand il est venu prêté main forte à Rouen après sa saison en Australie. Aussi passé par la Serbe et l’Espagne, ce meneur vétéran a encore prouvé cette saison qu’il pouvait rendre de bons services alors qu’il approche de la retraite. Il sera associé à Zack Wright et Garret Sim sur la ligne arrière.\\n\\nCette saison, Jamar Wilson compile en moyenne 11,3 points, 2,9 rebonds et 3,2 passes décisives entre le championnat lituanien et la Champions League.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : l’ALBA Berlin prolonge le MVP de l’Eurocup Luke Sikma" }, {"role": "assistant", "content":"Qualifié pour la finale de Bundesliga, l’ALBA Berlin a composté son billet pour l’Euroleague la saison prochaine et pourra notamment compter sur son meilleur joueur, Luke Sikma (2,03m, 29 ans).\\n\\nArrivé à Berlin en 2017, l’ailier fort américain a prolongé jusqu’en juin 2023, annonce le club. Avant d’atterrir en Allemagne, il a d’abord évolué en deuxième division espagnole pendant deux ans entre 2011 et 2013 avant de découvrir la Liga Endesa à Tenerife. Champion d’Espagne en 2017 avec Valence, l’ancien pensionnaire de l’université de Portland a été élu MVP de Bundesliga la saison passée et MVP d’Eurocup cette saison.\\n\\nL’ancien joueur de Burgos a donné son ressenti sur sa prolongation de contrat.\\n\\n« Dès le premier jour, je me suis senti très à l’aise à l’ALBA et à Berlin. Le club a de grandes ambitions et récemment un grand développement, il était donc logique que je prolonge mon contrat ici. J’aime m’entraîner tous les jours et j’ai hâte de jouer en l’Euroleague avec les gars la saison prochaine. J’aime aussi la philosophie qui consiste à développer les jeunes joueurs tout en maintenant la continuité dans l’équipe. Je suis heureux de pouvoir faire partie de ce programme à long terme. «\\n\\nCette saison, Luke Sikma compilait en moyenne 11,3 points, 6,6 rebonds, 4,2 passes décisives et 1,5 interception pour une évaluation de 16,5.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Strasbourg, Pau et Villeurbanne: le trio de tête des affluences" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket n’a pas encore communiqué sur le sujet mais selon le club lui-même, la SIG Strasbourg est numéro 1 des affluences en Jeep Elite cette saison avec une moyenne de 5 741 spectateurs.\\n\\nLa SIG devance dans l’ordre Pau-Lacq-Orthez (5 558 spectateurs) et LDLC ASVEL (5 348 spectateurs) et peut bénéficier de 3 800 abonnés.\\n\\nLa moyenne de spectateurs en Jeep Elite s’établit à 3 566 spectateurs avec un remplissage moyen de 83%.\\n\\nLe total de spectateurs en saison régulière dépasse le million avec 1 091 106." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Limoges recrute Timothé Crusol et Maxime Carène en provenance de l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"Après son Directeur Sportif, Crawford Palmer, son coach, Alfred Julbe et Vincent Sanford, le Limoges CSP vient d’annoncer l’arrivée de Timothé Crusol (1,88m, 18 ans) et Maxime Carène (2,07m, 18 ans).\\n\\nLes deux joueurs évoluaient cette saison au Centre Fédéral et seront en stage avec l’Equipe de France U19 cet été. Le premier, meneur de jeu, rejoint l’effectif professionnel et pourra donner un coup de main à l’équipe espoirs lors de matchs importants tandis que l’intérieur sera exclusivement avec les espoirs.\\n\\nCette saison, Timothé Crusol et Maxime Carène tournaient respectivement à 12,2 points, 2,5 rebonds et 4,1 passes décisives en 32 minutes, et 3,8 points et 3,1 rebonds en 21 minutes de jeu.\\n\\n« Timothé était une priorité pour nous, il est un meneur taillé pour le jeu européen. Il a déjà un très bon sens du jeu, il peut de- venir un meneur très fort au niveau français et à terme européen, sachant quecela demandera beaucoup de travail mais c’est un jeune bosseur, ambitieux. Je pense qu’il a un profil compatible avec notre projet« , a déclaré Crawford Palmer à propos de Timothé Crusol.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Fondateur de l’événement, Hammadoun Sidibé raconte son Quai 54" }, {"role": "assistant", "content":"Interrogé par Lady MPee, Hammadoun Sidibé s’est complètement livré sur l’événement qu’il a créé, le Quai 54, à quelques jours de l’édition 2019 (22 et 23 juin).\\n\\nDepuis sa première édition en 2003, ce tournoi est devenu la référence du streetball dans le monde. Pour preuve, Leandro Barbosa, champion NBA 2015, sera même présent cette année autour des habitués de l’événement que sont Andrew Albicy, Mathias Lessort ou encore Amara Sy.\\n\\nMais avant de devenir une référence mondiale, le Quai 54 a traversé plusieurs épreuves et c’est donc le mieux placé, son fondateur, qui en parle avec sincérité. La venue de Ludacris, la performance surprise d’Usher, l’annulation de la venue de Michael Jordan ou encore les conflits avec Nike, tout y est." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : les 10 plus beaux alley-oops de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"La saison s’est terminée avec le sacre du CSKA Moscou, mais l’Euroleague continue de revenir sur les moments marquants de l’exercice 2018/19. Ici, le Top 10 des meilleurs alley-oops de la saison.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : les 15 joueurs présélectionnés par Vincent Collet pour la coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence de presse en direct du restaurant Le China, à Paris, Vincent Collet a dévoilé la liste des 15 présélectionnés pour la préparation à la coupe du Monde qui se tiendra du 31 août au 15 septembre.\\n\\nParmi ces joueurs, le sélectionneur des Bleus a notamment fait appel à Frank Ntilikina, qui a été très peu utilisé en NBA cette saison, ou encore Timothé Luwawu-Cabarrot qui a aussi vécu une saison sans vrai temps de jeu Outre-Atlantique. A noter également le retour d’Adrien Moerman qui sera le poste 4 titulaire de l’Equipe de France. Les absents de marque sont notamment Fabien Causeur et Charles Kahudi.\\n\\nEn plus de ces 15 joueurs, Vincent Collet pourra également compter sur deux partenaires d’entraînements, Alexandre Chassang et Theo Maledon, qui ont déjà occupé ce poste lors des dernières fenêtres internationales. Les sept réservistes sont Moustapha Fall, Edwin Jackson, Lahaou Konaté, Elie Okobo, Yakuba Ouattara, Léo Westermann et Guerschon Yabusele.\\n\\nVoici la liste complète. Elle sera affiné au moment d’arriver en Chine.\\n\\n * Thomas Heurtel\\n * Andrew Albicy\\n * Frank Ntilikina\\n * Nando De Colo\\n * Evan Fournier\\n * Paul Lacombe\\n * Nicolas Batum\\n * Timothé Luwawu-Cabarrot\\n * Axel Toupane\\n * Louis Labeyrie\\n * Amath Mbaye\\n * Adrien Moerman\\n * Rudy Gobert\\n * Mathias Lessort\\n * Vincent Poirier\\n\\nPour rappel, voici le programme de préparation des Bleus qui commencera à l’INSEP le 27 juillet. Les matchs de préparation seront retransmis sur RMC Sport.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Marcelinho Huertas quitte Vitoria" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux ans passés à Vitoria, Marcelinho Huertas (1,91m, 36 ans) quitte le Baskonia, annonce le club.\\n\\nNé à São Paulo, l’ancien international brésilien a passé la majorité de sa carrière en Europe et plus précisément en Espagne. Il est arrivé à Badalone en 2004, il a ensuite porté les couleurs de Bilbao, de Bologne (Italie), du FC Barcelone, des Los Angeles Lakers et donc de Vitoria à deux reprises (2009-11 puis 2017-19).\\n\\nA 36 ans et toujours rentable lorsqu’il est sur le terrain, l’ancien joueur du Club Athletico Paulistano va-t-il mettre un terme à sa carrière ou relever un nouveau défi en Europe ?\\n\\nCette saison, Marcelinho Huertas compilait en moyenne 7,8 points et 4,7 passes décisives pour une évaluation de 8,6 en Euroleague, et 7,8 points et 5 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en ACB.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Un terrain pour la future aréna de la JDA Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"France Bleu Côte d’Or nous en dit un peu plus sur le projet de la JDA Dijon, un « Village JDA ».\\n\\nLa municipalité a proposé un terrain de 33 000 mètres carrés à la Toison d’Or derrière l’actuel Zénith et c’est là que le club envisage la construction d’une aréna de 5 à 6 000 places avec l’ambition d’y accueillir la JDA Dijon Basket et aussi la JDA Dijon Handball et sans doute un club de basket féminin.\\n\\nDans ce Village, serait installé un centre de formation et d’hébergement pour des sportifs et aussi des entreprises.\\n\\n« Un modèle économique fort,« explique le président de la JDA Thierry Legorce. « Le coût du projet est estimé entre 27 et 30 millions d’euros, et plusieurs partenaires privés, dont certains locaux sont intéressés et pourrait donner leurs noms aux différents espaces du Village JDA. »\\n\\nUne livraison de l’aréna est envisagée pour septembre 2021.\\n\\n→\\n" }, {"role": "user", "content":"8 Français ont retiré leurs noms de la draft NBA" }, {"role": "assistant", "content":"47 joueurs « internationaux » ont retiré leurs noms de la prochaine draft. Parmi eux, on trouve huit Français:\\n\\nKevin Cham, Digue Diawara, Ivan Février, Abdoulaye NDoye, Neal Sako, Khadim Sow, Bastien Vautier et Warren Woghiren, auxquels il faut ajouter Killian Tillie (Gonzaga).\\n\\nAu final, il ne reste plus comme Français que Sekou Doumbouya, Jaylen Hoard et Adam Mokoka.\\n\\nLa liste des 12 joueurs étrangers hors NCAA :\\nSekou Doumbouya, Adam Mokoka, Goga Bitadze, Yago Dos Santos, Matas Jogela, Marcos Louzada Silva, William McDowell-White, Joshua Obiesie, David Okeke, Luka Samanic, Deividas Sirvydis et Yovel Zoosman\\n\\nPhoto: Ivan Février (Metropolitans)" }, {"role": "user", "content":"Andorre ou le Tofas Bursa pour Landing Sané ?" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison mouvementée partagée entre trois clubs, Landing Sané (2,07m, 28 ans) trouvera-t-il plus de stabilité la saison prochaine ? Arrivé à Andorre fin mars, l’ancien joueur du HTV a d’abord lancé sa saison 2018/19 à Levallois avant de rejoindre le Mornar Bar en novembre.\\n\\nSelon nos informations, l’ancien joueur de Levallois pourrait simplement rempiler à Andorre pour l’exercice 2019/20. Un club qu’il connaît bien pour y avoir passé six mois en 2018, puis quasiment trois mois cette saison. En plus de l’Espagne, l’ancien joueur de Reggio Emilia est surveillé en Turquie. Toujours d’après nos informations, le Tofas Bursa, adversaire de Limoges en Eurocup et demi-finaliste des playoffs turc, s’intéresserait à lui.\\n\\nAnnoncé sur les tablettes du Portel sur Twitter, le natif d’Ermont ne fera par contre pas son retour en France sur la Côte d’Opale. Son entourage nous a confié que si « Ada » devait rejouer en Jeep Elite à la rentrée, ça serait dans un club qui dispute une coupe d’Europe, et qu’il n’a pas été approché par l’ESSM.\\n\\nCette saison, Landing Sané a compilé en moyenne 6,3 points et 4,1 rebonds entre la Jeep Elite, la Ligue Adriatique, la Liga Endesa et l’Eurocup.\\n\\nPhoto : BC Morabanc Andorra" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Magali Mendy retourne à Gérone" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’elle a laissé le groupe France poursuivre sa préparation sans participer à l’un des deux matches face à l’Ukraine, Magali Mendy (1,75m, 29 ans) quitte Villeneuve d’Ascq pour retourner à Gérone dont elle a porté le maillot lors de la saison 2017-18.\\n\\nMagali Mendy a tourné à 14,1 points et 5,6 rebonds en Euroleague avec l’ESBVA.\\n\\n« C’est un grand défenseur, comme elle l’a montré pendant deux saisons, et une scoreuse qui a considérablement amélioré son pourcentage de réussite aux lancers, » a déclaré Pere Puig, le directeur sportif du club espagnol." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Pierre Brun (Roanne) prêté à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Intérieur formé à la Chorale de Roanne, Pierre Brun, 23 ans, vient compléter l’effectif de l’UJAP Quimper 29 suite à une entente entre les deux clubs pour un prêt annonce le club breton dans un communiqué.\\n\\nDu haut de ces 2,08m, Pierre Brun est capable d’évoluer sur les postes 4 et 5. Il s’est distingué en Pro B, les années précédentes, par la qualité de son tir extérieur.\\n\\nEn 2018/19, il jouait en moyenne 11 minutes par match pour 2,4 points et 2 rebonds, soit 2,9 d’évaluation.\\n\\n\\n« Je suis très excité à l’idée de rejoindre l’UJAP Quimper. Il est vrai que c’est un club qui m’a toujours attiré par son côté humain et familial. J’ai hâte de continuer mon développement au côté de Laurent (Foirest) et d’aider l’UJAP à atteindre la meilleure place possible, et pourquoi pas arriver à se qualifier pour les playoffs. Je mettrais toute l’énergie, l’intensité et la combativité possibles, des deux côtés du terrain, pour atteindre cet objectif, » déclare le joueur.\\n\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Ettore Messina est le nouvel entraîneur de Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Après cinq ans en NBA, Ettore Messina (59 ans) fait son retour en Europe à Milan. Le club, qui vient de remercier Simone Pianigiani, vient d’officialiser l’arrivée de son nouvel entraîneur.\\n\\nCe n’était plus qu’une question de temps avant de voir l’ancien sélectionneur de l’Italie faire son retour dans son pays natal. Passé par Bologne et Trévise, le technicien transalpin va vivre sa première expérience en Lombardie.\\n\\nAssistant de Gregg Popovich depuis 2014, l’ancien coach du CSKA Moscou a accepté de devenir Directeur des Opérations Basket et entraîneur principal de l’Olimpia Milano pour les trois prochaines années.\\n\\nEttore Messina possède l’un des palmarès les plus fournis d’Europe avec notamment quatre titres d’Euroleague, quatre championnats d’Italie, sept coupes d’Italie, cinq championnats de Russie, deux VTB League. Sur un plan personnel, il a été élu deux fois entraîneur de l’année en Euroleague, trois fois d’Italie et quatre fois de Russie.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Olivier Cortale quitte la Pro B et Gries pour Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Après une très belle saison en Pro B, à l’image de son club de Gries, Olivier Cortale (2,07m, 22 ans) va retrouver la Jeep Elite à Roanne. Il s’est engagé pour deux saisons, annonce le club.\\n\\nPassé par le l’INSEP entre 2012 et 2015, le natif de Clamart a rejoint Strasbourg en 2015. Après avoir marché sur le championnat Espoirs, c’est en 2017/18 qu’il connaît ses vraies premières entrées en pro. En tout, il a pris part à 24 matchs pour un peu plus de six minutes de jeu cette saison-là. Lors de la dernière intersaison, il est envoyé à Gries-Oberhoffen pour s’aguerrir et aller chercher des minutes à l’étage en dessous.\\n\\nLaurent Pluvy s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Olivier est le profil du jeune JFL à gros potentiel que l’on souhaite continuer à développer, très bon passeur, bon shooteur, bon rebondeur, mobile, capable de jouer sur les deux postes intérieurs, il a très vite pris la mesure du championnat Pro B dès sa première saison. Il est très à l’aise dans le jeu up tempo de Gries et devrait se fondre facilement dans notre philosophie de jeu. Je suis sûr qu’il va de nouveau passer le cap de la Jeep® ÉLITE et ainsi nous apporter toute son énergie et son envie de progression pour aller chercher le très haut niveau », a-t-il déclaré sur le site du club.\\n\\nCette saison, Oivier Cortale compilait en moyenne 10,2 points et 5,3 rebonds pour une évaluation de 11,1 en Pro B.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : BCGO" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Alpha Kaba, Xavier Gaillou et Mamadou Dia impliqués dans une affaire de paris illicites" }, {"role": "assistant", "content":"Ils savent qu’ils n’ont pas le droit de s’adonner aux paris sportifs dans le basket, Alpha Kaba (ASVEL), Xavier Gaillou et Mamadou Dia (Fos-sur-Mer) viennent pourtant d’être attrapés par la patrouille.\\n\\nL’Equipe révèle que les trois joueurs évoluant en Jeep Elite cette saison « font partie d’un groupe de joueurs convoqués en commission de discipline pour avoir placé des paris illicites« . Ils doivent comparaitre devant la commission de discipline de la LNB dans les prochains jours. D’après le quotidien sportif, « tous auraient placé des paris concernant leur équipe. Circonstance aggravante, au moins un aurait parié sur une défaite de sa propre formation lors d’un match à gros enjeu« .\\n\\nLes trois joueurs risquent un blâme, une suspension de plusieurs mois ou une amende. Les clubs concernés peuvent également licencier leurs joueurs pour faute grave.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Andrew Albicy serait très proche du Zénith Saint-Petersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncé dans le viseur de l’ASVEL, Andrew Abilcy (1,78m, 29 ans) pourrait finalement partir en Russie.\\n\\nSelon Sportando, l’international tricolore serait sur le point de s’engager en faveur du Zenith Saint-Pétersbourg. D’après le site italien, un accord aurait été trouvé et il ne manquerait plus que la signature du principal intéressé. Contacté par nos soins, l’ancien meneur du BCM Gravelines-Dunkerque est actuellement en vacances à Cuba et injoignable.\\n\\nEn annonçant son départ d’Andorre, l’ancien joueur du Paris-Levallois souhaitait rejoindre un club évoluant en Euroleague, mais c’est finalement toujours en Eurocup qu’il devrait jouer la saison prochaine.\\n\\nCette saison, Andrew Albicy compilait en moyenne 8,4 points, 1,7 rebond et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 10,1 en ACB, et 12,1 points, 1,6 rebond et 5,9 passes décisives pour une évaluation de 15,9 en Eurocup. Il a également été élu dans le cinq type de la saison en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Martial Bellon (Président Strasbourg) fait le bilan de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence de presse, le président de la SIG a fait le bilan de la saison strasbourgeoise. Entre déception et encouragement, le dirigeant alsacien ne jette pas tout à la poubelle.\\n\\n« C’est une saison mitigée. Je suis déçu de l’élimination en Playoffs et en BCL, de l’état d’esprit et du jeu affiché par l’équipe. Les objectifs n’ont pas été pas atteints, mais néanmoins ce n’est pas catastrophique : on termine 6ème et on a remporté un trophée. Cette saison, nous n’avions pas un jeu estampillé SIG Strasbourg et Vincent Collet. Nous reconnaissons que certaines choses n’ont pas marché, et nous allons reprendre nos fondamentaux qui nous ont permis d’être parmi les meilleurs depuis 2013. La SIG Strasbourg reste un club majeur du basket français même si la saison est moins bonne que les précédentes. Pour la deuxième année consécutive, nous enregistrons la meilleure affluence moyenne avec 5 741 spectateurs en Jeep Elite. Nous devons malgré tout rester objectifs. Remettons les choses dans la durée : nous sommes le seul club avec ASVEL à s’être qualifié 7 fois de suite en Playoffs. Nous sommes également qualifiés pour une Coupe d’Europe pour la 7ème saison consécutive. Cette équipe a été globalement performante à domicile (13/17), par contre elle a eu de grosses difficultés à l’extérieur résultant du manque de cohésion (7/17). Les nombreuses blessures tout au long de la saison n’ont pas permis de construire l’indispensable alchimie. »\\n\\nLe président de la SIG pointe notamment du doigt l’apport des leaders.\\n\\n« En début de saison, tous les suiveurs ont salué le recrutement. Force est de constater que cela n’a pas fonctionné. On s’est peut-être trompé dans les complémentarités et on n’a pas réussi à réajuster en cours de saison. Les leaders n’ont pas été au niveau escompté. Ce sont plutôt les joueurs du banc qui ont donné satisfaction tels que Nicolas (Lang), Ludovic (Beyhurst), et Quentin (Serron). Ali (Traore) a confirmé ses qualités sur le terrain mais a encore besoin de trouver de la sérénité pour gérer ses émotions. »\\n\\nSentiment partagé du côté de Vincent Collet qui déplore surtout le manque d’union dans son équipe. Pour lui, le plus dur est à venir avec la construction de l’équipe.\\n\\n« Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà eu une équipe qui se désunisse autant. On a assemblé un certain nombre de bons joueurs, mais on s’est trompé sur quelques associations et cela concernait les joueurs majeurs. J’ai été soulagé à Gravelines que l’équipe soit malgré tout qualifiée en Playoffs. C’est la 7ème année qu’on se qualifie. L’année a été difficile et la construction va l’être encore plus. C’est la 1ère fois que la SIG Strasbourg est confrontée à cette situation depuis ces 7 dernières années. On n’a pas réussi à redresser la barre. Même si c’est compliqué, il faut l’accepter, chercher à comprendre et faire ce qu’il faut pour éviter que cela se reproduise. »\\n\\nEn ce qui concerne le recrutement, Martial Bellon a d’abord confirmé Vincent Collet à la tête de l’équipe. Ça sera sa dernière saison en tant que coach du la SIG. Pour ce qui est des joueurs, le président strasbourgeois ne compte pas dépenser sans compter cet été alors que le budget du club sera équivalent à cette saison.\\n\\n« On va reprendre les fondamentaux qui ont fait notre force. Nous allons refaire confiance aux jeunes, arrêter de recruter et de surpayer des joueurs à long CV qui viennent terminer leur carrière à Strasbourg. Les joueurs suivants sont sous contrat : Nzeulie, Traoré, Serron, Collins, Grant. Beyhurst a été resigné pour deux ans, comme le prévoit son statut de joueur formé au club. Nous n’avons pas déterminé si il sera prêté ou non. Nous discutons avec Jarell depuis le mois de mars. Nous espérons le convaincre de rester. Pour Florent Pietrus, on ne peut pas vous répondre puisqu’on le verra dans les prochains jours. Pour son projet de reconversion, il n’a pas commencé sa formation et nous avons appris qu’il souhaitait plutôt poursuivre sa carrière. Pour Nicolas Lang, il est un peu tôt pour se prononcer. La priorité du moment en terme de recrutement est le poste de meneur. »\\n\\nAvec une sixième place au classement, Strasbourg s’est sportivement qualifié pour une coupe d’Europe. Il s’agira, pour la quatrième saison de suite, de la Champions League.\\n\\nIl y a 6 places qualificatives pour une Coupe d’Europe ( 3+1 en BCL, et 2 en Eurocup). Nous sommes 6ème, donc nous choisissons en dernier. Monaco et Nanterre ont choisi l’Eurocup. De facto, nous jouerons la Champions League », a déclaré Martial Bellon.\\n\\n\\nDébut de la conférence de presse « Bilan, perspectives et projections pour la @sigstrasbourg» avec Martial Bellon et Vincent Collet.\\n\\nÀ suivre sur notre live tweet ! pic.twitter.com/3inMISfNnY\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) June 11, 2019\\n\\n\\nPhoto : SIG Strasbourg" }, {"role": "user", "content":"Le projet d’aréna à Villeurbanne à bout de souffle, celui de l’OL avance" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le projet de l’aréna sur le site du Stade Georges-Lyvet de Villeurbanne est embourbé, celui de l’Olympique Lyonnais et de son président Jean-Michel Aulas avance, selon Le Progrès, à la vitesse Grand V.\\n\\nD’un coût d’environ 100M€ et implantée à Décines, à côté du Groupama Stadium, cette aréna devrait contenir de 17 à 18 000 places et être livrée entre 2022 et 2024.\\n\\n« Les discussions avec l’Asvel avancent aussi. Le club de Tony Parker pourrait jouer certains matchs d’Euroligue dans l’enceinte décinoise, restant à l’Astroballe pour les autres rencontres, » écrit le quotidien." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Cyrille Eliezer-Vanerot passe de Levallois au Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Après le retour d’Antonio Ballard, Le Portel vient d’annoncer l’arrivée de Cyrille Eliezer-Vanerot (2,02m).\\n\\nA seulement 22 ans, l’ancien pensionnaire de l’INSEP vient de boucler sa cinquième saison en Jeep Elite (!) et va donc continuer sa progression dans le Nord de la France. Victime d’une fracture au pied droit la saison dernière, Cyrille Eliezer-Vanerot a manqué le début de saison et n’a pu disputer que quinze matchs en 2018/19.\\n\\nEric Girard a donné son ressenti sur la nouvelle recrue de l’ESSM.\\n\\nCyrille est un joueur dont nous suivons l’évolution depuis deux ans maintenant. Jeune joueur qui aura 23 ans en août, avec déjà une belle expérience en Jeep Elite, il possède des qualités physiques exceptionnelles qui pourraient faire de lui l’un des meilleurs défenseurs du championnat tout en continuant de développer son potentiel offensif.\\n\\nCette saison, Cyrille Eliezer-Vanerot compilait en moyenne 4,1 points et 2,2 rebonds pour une évaluaiton de 3,7.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : dernière saison sur le banc de Strasbourg pour Vincent Collet" }, {"role": "assistant", "content":"A Strasbourg depuis 2011, Vincent Collet (56 ans) vivra sa dernière saison en tant que coach de la SIG en 2019/20.\\n\\nA l’occasion d’une conférence de presse de fin de saison, Martial Bellon a confirmé le sélectionneur de l’équipe de France à la tête de la formation strasbourgeoise pour une dernière saison. Il pourrait cependant occuper un autre poste au sein de l’organisation strasbourgeoise à partir de 2020.\\n\\n« Vincent sera le coach de la SIG Strasbourg la saison prochaine. Même si l’équipe a fait une saison mitigée, nous continuons à lui faire confiance. Ce sera sa dernière année en tant que coach à la SIG Strasbourg. On mesure ce que Vincent a apporté au club. On lui a proposé de poursuivre notre collaboration dans une autre fonction au sein de la structure dès l’été 2020. La décision lui appartiendra. On va déterminer les contours de cette fonction prochainement. »\\n\\nEntraîneur depuis 2000, Vincent Collet a d’abord été coach du Mans puis de l’ASVEL avant d’arriver à Strasbourg en 2011. Il a été la tête de a SIG entre 2011 et 2016 avant d’être remplacé par Henrik Dettman. Après un début de saison catastrophique (7 défaites en 8 matchs), l’entraîneur finlandais a été écarté et c’est le sélectionneur des Bleus qui a été rappelé en octobre. 2016.\\n\\nPhoto : BELLENGER / IS / LNB" }, {"role": "user", "content":"Italie : Ettore Messina proche d’accepter la proposition de Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Assistant de Gregg Popovich aux San Antonio Spurs depuis 2014, Ettore Messina serait de plus en plus proche de faire son retour en Europe la saison prochaine.\\n\\nEn négociation avec le club lombard depuis plusieurs jours, l’ancien sélectionneur de l’Italie serait, selon Sportando, enclin à accepter l’offre milanaise. La semaine dernière, l’ancien entraîneur du CSKA Moscou a eu un entretien avec les dirigeants de la formation transalpine à Milan. Il lui a été proposé de devenir le Directeur des Opérations Basket ainsi qu’entraîneurs de l’Olimpia Milano en échange d’un très beau contrat dans le but de le convaincre de quitter la NBA pour revenir en Série A.\\n\\nA 59 ans, le technicien italien a lancé sa carrière d’entraîneur en 1989 à la Virtus Bologne. Depuis, il est passé par la sélection italienne, Trévise, le CSKA Moscou, le Real Madrid, les Los Angeles Lakers (assistant) et donc San Antonio (assistant).\\n\\nIl possède également l’un des palmarès les plus fournis avec notamment quatre titres d’Euroleague, quatre championnats d’Italie, sept coupes d’Italie, cinq championnats de Russie, deux VTB League. Sur un plan personnel, il a été élu deux fois entraîneur de l’année en Euroleague, trois fois d’Italie et quatre fois de Russie." }, {"role": "user", "content":"Espagne : 10,5 millions de dollars brut pour Cory Higgins à Barcelone ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il vient d’annoncer officiellement qu’il quitte le CSKA Moscou après le titre de VTB League, Cory Higgins (1,96m, 29 ans) devrait bien rejoindre le FC Barcelone et devenir le deuxième joueur le mieux payé d’Espagne.\\n\\nSelon Eurohoops, le double champion d’Euroleague (2016 et 2019) est sur le point de signer un contrat de trois ans avec le club catalan pour un montant total brut de 10,5 millions de dollars. Ce qui donne environ 6 millions de dollars en net. Seul Sergio Llull est actuellement mieux payé en Espagne.\\n\\nCette saison, Cory Higgins compilait en moyenne 14,9 points, 2,2 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 14,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Alexis Tanghe de retour à Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Alexis Tanghe (2,07m, 28 ans) ne connaîtra pas la Jeep Elite avec Roanne puisqu’il est de retour à l’ADA Blois en Pro B, club dont il a porté le maillot de 2002 à 2005. C’est ensuite qu’il a rejoint le Centre Fédéral puis la JDA Dijon.\\n\\n« C’est un garçon super attachant et très professionnel qui est un vrai leader dans l’éthique de travail et dans la vie de groupe. Défenseur féroce sur l’homme et pilier indispensable de notre cohésion défensive, il est l’artisan numéro 1 de nos excellentes performances dans ce domaine, » dit de lui son ancien coach à la Chorale, Laurent Pluvy.\\n\\nL’ADA précise sur son site Internet qu’Alexis retrouve au club ses parents, Pascale et André, qui sont bénévoles ainsi que son frère Arnaud, qui évoluait cette saison dans l’équipe réserve en NM3.\\n\\n« Alexis est un joueur qui a fait plus que ses preuves en Pro B, il sait apporter à une équipe les petites choses qui permettent à tous de s’épanouir. Evidemment le fait de le retrouver 15 ans après son départ de l’ADA est un superbe symbole, il me disait s’être passionné pour le basket dans les travées du Palais des Sports en regardant la N2... Ça donne un supplément d’âme à cette aventure sportive ! », estime le GM, Julien Monclar." }, {"role": "user", "content":"Lahaou Konate (Nanterre): Ce public et ce club sont magnifiques»" }, {"role": "assistant", "content":"Lors du Match 3 de la demi-finale des playoffs face à l’ASVEL (56-99), Lahaou Konate (1,96m, 27 ans) a tiré hier soir sa révérence à Nanterre 92 après une saison brillante sur le plan individuel qui l’a vu être élu dans le cinq All-Star de la Jeep Elite et être considéré comme son meilleur défenseur. Il ne sait pas encore quelle sera sa prochaine destination.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre sentiment ce soir ?\\n\\nBeaucoup de déception car j’avais à cœur de bien finir ce soir devant notre public et prendre une grosse valise comme ça c’est difficile à encaisser. C’est le sport, c’est comme ça.\\n\\nVous avez souffert physiquement ?\\n\\nBien sûr. Dès le premier match nos joueurs ont eu des pépins physiques. Eux ont douze joueurs capables de jouer et d’envoyer du bois pendant quarante minutes. On sait que nos rotations sont limitées et en fin de saison ça se paye cash. Je pense que physiquement il y a une grosse différence. Dès le premier quart-temps on a vu qu’il y avait trop de un-contre-un qui étaient perdus facilement, on ne rentrait pas dans les rotations qu’il fallait. Et en attaque, on n’a pas joué comme Nanterre ce soir.\\n\\nVous avez cherché à reprendre du poil de la bête en deuxième mi-temps ?\\n\\nOn a essayé mais dès la première action, on voit (Adreian) Payne marquer à trois-points et je pense que ça nous assomme directement. Après, dans les têtes, on a lâché prise. Ce n’était pas facile !\\n\\nVous avez annoncé que ça serait votre dernier match à Nanterre. Savez-vous où vous allez ?\\n\\nJe ne sais pas encore du tout où je vais aller. Je vais prendre mon temps pour faire le meilleur choix possible et voir toutes les options que j’ai. Je n’ai pas envie de me précipiter.\\n\\nAvant la saison prochaine, il y a la coupe du Monde. Avez-vous un œil dessus ?\\n\\nNon, du tout. Je ne pense pas que je vais y être. Pour être honnête, je pense qu’il y a d’autres personnes qui vont y être avant moi. Si je suis appelé pour faire la prépa, ça serait déjà une énorme récompense. Et si je n’y suis pas, je serai le premier à supporter les Bleus en espérant qu’ils aillent le plus loin possible, qu’ils décrochent une médaille.\\n\\nLe bilan pour vous est très bon depuis que vous êtes sorti de la Pro B, en transitant par Le Mans ? Il y a eu une progression continue depuis votre arrivée à Nanterre ?\\n\\nC’est ça. J’ai fait les choix qu’il fallait. De venir ici à Nanterre 92 m’a permis de développer une partie de mon jeu que je n’avais par exemple pas au Mans. C’est une progression constante. J’étais allé au Mans avec un petit rôle derrière Michael Gelabale, j’ai eu un meilleur rôle par la suite. L’année dernière, je suis arrivé ici en étant sixième homme, au fil de la saison j’ai été starter et après capitaine. Et cette année j’ai été tout le temps starter. C’est la progression dont je rêvais et aujourd’hui elle est présente. Je suis satisfait de ça.\\n\\nCollectivement, un quart-de-finale de BCL et une demi-finale de playoffs, c’est quand même une très bonne saison ?\\n\\nC’est une très bonne saison et le coach nous l’a souligné dès que l’on s’est qualifié en demi-finale. J’avais à cœur de remplir au moins cet objectif-là, atteindre les demi-finales et d’aller le plus loin possible en BCL. C’est sûr que ce n’est pas la fin que je souhaitais. C’est dur à encaisser mais l’ASVEL était plus forte que nous et il faut savoir le reconnaître. On peut être très satisfait de cette saison et de pouvoir jouer avec des gars comme cette année, c’était un plaisir avant tout. C’était magique de jouer avec des gars qui sont humainement parlant très bons avant d’être très bons sur le terrain. Je remercie mes coéquipiers avant tout et le staff aussi.\\n\\n« La finale, ça va être une grosse bataille »\\n\\nVous étiez particulièrement ému à la fin du match...\\n\\nJ’ai joué deux ans à Nanterre mais j’ai l’impression d’avoir joué ici pendant 4-5 ans. J’avais à cœur de revenir ici pour me rapprocher de ma famille et profiter de ma mère. Aujourd’hui, j’ai beaucoup d’émotion. On a pris une grosse valise, je n’avais pas envie de perdre ainsi. Je savais que c’était mon dernier match et j’aurais préféré finir d’une autre manière. C’est ainsi. Beaucoup d’émotion car je tiens à ce maillot, j’avais à cœur de le mouiller, de donner le maximum de moi cette saison et l’année dernière. Et c’est sûr que de savoir que l’année prochaine je ne serai plus ici, j’ai un pincement au cœur. Ce public et ce club sont magnifiques. J’en retire que du bon et je leur souhaite le meilleur possible. J’espère qu’ils feront l’année prochaine une énorme saison.\\n\\nVous attendez déjà votre retour ici l’année prochaine...\\n\\nNon... On sait déjà que ce n’est pas facile de jouer ici. C’est une salle chaude, bouillante. J’y pense dans un coin de ma tête et je sais que ça sera un moment très fort émotionnellement. Mais je ne sais pas où je serai l’année prochaine, si ça se trouve je serai à l’étranger. Pour l’instant, je ne pense pas à mon retour. Déjà j’essaye de profiter de l’instant présent, des partenaires, des fans et de ma famille.\\n\\nUn mot sur la finale : comment la voyez-vous ?\\n\\nJ’ai dit au cours de la saison que c’est Monaco qui allait finir champion. Ils ont tenu tête à l’ASVEL en ne perdant qu’à la fin. Pour moi Monaco c’est un rouleau compresseur mais de ce que j’ai vu de l’ASVEL en demi-finale, ils m’ont fait mentir. Pour l’instant, je n’ai pas de pronostic. Je pense que ça va être une grosse bataille. Si Monaco arrive à en prendre un à l’ASVEL, ça va changer la donne. Ça va être un gros combat et ça va peut-être aller en cinq matches.\\n\\nOn voit que c’est la logique économique qui l’emporte ?\\n\\nOui, ce sont de gros budgets mais parfois ça ne fait pas la différence. Il y a l’exemple de Strasbourg qui avait un gros budget et qui finit par une remontada à domicile face à Dijon. Maintenant, c’est un peu logique de voir l’ASVEL et Monaco en finale mais j’aurais préféré être en finale plutôt que l’ASVEL.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous avez souffert physiquement ?\\n\\nBien sûr. Dès le premier match nos joueurs ont eu des pépins physiques. Eux ont douze joueurs capables de jouer et d’envoyer du bois pendant quarante minutes. On sait que nos rotations sont limitées et en fin de saison ça se paye cash. Je pense que physiquement il y a une grosse différence. Dès le premier quart-temps on a vu qu’il y avait trop de un-contre-un qui étaient perdus facilement, on ne rentrait pas dans les rotations qu’il fallait. Et en attaque, on n’a pas joué comme Nanterre ce soir.\\n\\nVous avez cherché à reprendre du poil de la bête en deuxième mi-temps ?\\n\\nOn a essayé mais dès la première action, on voit (Adreian) Payne marquer à trois-points et je pense que ça nous assomme directement. Après, dans les têtes, on a lâché prise. Ce n’était pas facile !\\n\\nVous avez annoncé que ça serait votre dernier match à Nanterre. Savez-vous où vous allez ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo rétro: Le premier All-Star Game... français de Tony Parker" }, {"role": "assistant", "content":"Pour rendre hommage à Tony Parker, qui vient d’annoncer sa retraite sportive, BballChanel a sorti de derrière les fagots les images de son premier All-Star Game français. C’était le 29 décembre 2000. Il avait donc 18 ans.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=8bAMOmrERqo&feature=youtu.be" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine: Départs de Magali Mendy et Ingrid Tanqueray" }, {"role": "assistant", "content":"À l’issue du match de préparation face à l’Ukraine ce lundi à Mont-de-Marsan (remporté par les Bleues 89 à 65), Valérie Garnier a décidé de réduire le Groupe France en passant de 16 à 14 joueuses. Magali Mendy et Ingrid Tanqueray ne feront pas la suite de la préparation à l’Euro, qui se déroulera du 27 juin au 7 juillet en Lettonie et en Serbie.\\n\\nLes Bleues voyageront ce matin pour Rennes et retrouveront le chemin de l’entraînement mercredi à la Glaz Arena, où elles disputeront en fin de semaine un nouveau tournoi de préparation face à la Turquie, la Russie et la Serbie (14 au 16 juin). En provenance des Etats-Unis, Bria Hartley rejoindra le groupe à cette occasion.\\n\\nLa liste des 14 joueuses :\\n\\n\\nPrénom\\n\\nNom\\nN. T. P. Club\\nValériane\\n\\nAYAYI\\n94\\n1,85\\n\\n3\\nPrague\\nMarième\\n\\nBADIANE\\n94\\n1,90\\n\\n4/5\\nLyon\\nOrnella\\n\\nBANKOLE\\n97\\n1,81\\n\\n3\\nMontpellier\\nRomane\\n\\nBERNIES\\n93\\n1,70\\n\\n1\\nMontpellier\\nAlexia\\nCHARTEREAU 98\\n1,91\\n\\n4\\nBourges\\nSara\\nCHEVAUGEO 93\\n1,75\\n\\n2\\nCharleville\\nOlivia\\n\\nEPOUPA\\n94\\n1,65\\n\\n1\\nBesiktas\\nMarine\\n\\nFAUTHOUX\\n01\\n1,73\\n\\n1\\nTarbes\\nSandrine\\n\\nGRUDA\\n87\\n1,94\\n\\n4/5\\nSchio\\nBria\\n\\nHARTLEY\\n92\\n1,76\\n\\n1/2\\nFenerbahçe\\nMarine\\n\\nJOHANNES\\n95\\n1,77\\n\\n2\\nBourges Marie-Mi.\\nMILAPIE\\n96\\n1,92\\n\\n4/5\\nB. Landes\\nEndy\\n\\nMIYEM\\n88\\n1,88\\n\\n4\\nCharleville\\nIliana\\n\\nRUPERT\\n01\\n1,94\\n\\n5\\nBourges\\n\\nEntraîneur : Valérie Garnier\\n\\nAssistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane\\n\\nJoueuses blessées/non-retenues :\\n\\n\\nPrénom\\n\\nNom\\nN. T. P. Club Helena\\nCIAK\\n89\\n1,97\\n\\n5\\nMontpellier\\nMagali\\n\\nMENDY\\n90\\n1,75\\n\\n2\\nVilleneuve\\nSarah\\n\\nMICHEL\\n89\\n1,80\\n\\n2\\nBourges\\nIngrid\\n\\nTANQUERAY\\n88\\n1,66\\n\\n1\\nLyon\\nDiandra\\n\\nTCHATCHOUANG\\n91\\n1,86\\n\\n3\\nMontpellier\\n\\nPhoto: Ingrid Tanqueray: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Pro B : Rouen en finale ; Saint-Chamond s’offre une belle contre Orléans" }, {"role": "assistant", "content":"C’est ce lundi soir que se tenaient les demi-finales retour des playoffs de Pro B. Rouen se déplaçait à Gries-Oberhoffen tandis qu’Orléans se rendait à Saint-Chamond.\\n\\nEn remportant les quatre quart-temps, Rouen n’a fait aucun cadeau au BCGO, même si les joueurs de Ludovic Pouillart ont fait trembler les hommes d’Alexandre Menard qui ne se sont imposés que de quatre points (78-74) pour se qualifier en finale des playoffs d’accession. Meilleur joueur de la rencontre, Jamar Diggs était au four et au moulin avec 20 points, 10 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 26.\\n\\nEn face, Saint-Chamond a une nouvelle fois surpris un gros dans sa halle André-Boulloche. Battus au match aller, les hommes d’Alain Thinet ont sorti les griffes pour s’offrir une belle décisive pour la qualification en finale des playoffs jeudi soir. Lucas Hergott a signé la plus belle performance de la soirée avec 14 points, 10 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 23.\\n\\nRouen est donc le premier qualifié pour la finale et devra attendre jeudi soir pour connaître son adversaire.\\n\\nPhoto : BELLENGER / IS / LNB" }, {"role": "user", "content":"VTB League: Un nouveau titre pour le CSKA Moscou et Nando De Colo" }, {"role": "assistant", "content":"Avec leur victoire hier 80 à 62 sur le Khimki Moscou, le CSKA Moscou et Nando De Colo sont champions 2018-2019 de la VTB United League. Ils ont remporté la série 3 manches à 0.\\n\\nIl s’agit du huitième titre consécutif de champion de la Ligue VTB et du dixième au total dans l’histoire du club.\\n\\nPour son dernier match avec le CSKA, Cory Higgins a marqué 23 points. Othello Hunter a ajouté 15 points et huit rebonds, tandis que Nikita Kurbanov a cumulé 12 points, six rebonds et cinq passes décisives. Avec 5 points, 3 passes et 3 interceptions, Nando De Colo, qui livrait probablement lui aussi son dernier match sous les couleurs du CSKA, a été plus discret.\\n\\nNikita Kurbanov a été élu MVP des playoffs après avoir compilé une moyenne de 8,7 points, 4,3 rebonds, 2,1 passes et une évaluation de 12,8.\\n\\n«Tout d’abord, mes félicitations à toute l’équipe! », a commenté le coach Dimitris Itoudis. « Deuxièmement, je tiens à remercier chaleureusement ce groupe de guerriers et de joueurs formidables. Je suis fier d’avoir l’occasion de les entraîner et de les mener aux victoires. Ils ont mérité tous les applaudissements des fans et de la direction. Ce fut une saison fantastique! Je tiens également à féliciter nos adversaires. Khimki s’est battu et a gagné une place en EuroLeague, ce qui est très difficile à accomplir. »\\n\\n\\nQuant au coach du Khimki Moscou, Rimas Kourtinaitis, il n’a pu que reconnaître la supériorité de l’autre équipe de la capitale russe:\\n\\n« Je pense que la fatigue et notre rotation, qui a été plus courte que celle du CSKA toute la saison, ont été un facteur. Nous l’avons vraiment ressenti en finale car le CSKA avait presque une équipe complète et son entraîneur à cet égard pouvait agir librement alors que nous étions limités et que nous avions perdu deux de nos joueurs principaux. Mais vous ne pouvez rien y faire. Le score est ce qu’il est. Sans aucun doute, le CSKA méritait de remporter la Ligue VTB et a joué à un niveau aussi élevé que lors de la finale de l’EuroLeague. Nous avons essayé, mais le CSKA est plus fort pour le moment. »\\n\\nPhoto: VTB League" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Malgré les forfaits, les Bleues sont deux tailles au-dessus de l’Ukraine, 89-65" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France s’est imposée ce soir une deuxième fois à l’Ukraine à Mont-de-Marsan (89-65) mais elle a actuellement bien des soucis, qui pourraient remettre en cause ses ambitions de médaille d’or.\\n\\nAvec les forfaits de Sarah Michel et Diandra Tchatchouang plus celui de Helena Ciak enregistré aujourd’hui, c’est fortement amoindrie que les Bleues se présenteront à l’EuroBasket. Avec le recul, on se rend compte que la MVP 2019 de la Ligue Féminine n’aurait jamais du reprendre dès le Match 4 de la finale des playoffs alors que son absence avait été envisagée quelques jours plus tôt à quatre à six semaines. Espérons que la scoumoune abandonne désormais l’équipe nationale.\\n\\nCe soir, Sandrine Gruda (cuisse) était toujours indisponible pour ce deuxième match face à l’Ukraine, et si Sara Chevaugeon avait pris la place dans l’équipe à la place d’Ingrid Tanqueray, Valérie Garnier n’avait pas fait appel tout comme hier dans les 12 à Magali Mendy ce qui indique qu’elle ne sera pas invitée à l’EuroBasket.\\n\\nAu prix d’une défense rigoureuse et d’un 11-0, les Bleues n’ont encaissé que 13 points dans le premier quart soit moitié moins vis à vis d’hier. Seulement elles se sont déconcentrées et les Ukrainiennes sont revenues un moment à deux points (24-22). Evidemment, Valérie Garnier procédait à des essais et ceci peut en partie expliquer cela. La circulation de balles (12 balles perdues) et l’adresse à trois-points (2/12) n’étaient pas top. Heureusement, Valériane Ayayi (19 points à 7/12 en 14′) mettait le feu à la défense adverse.\\n\\nAu train et toujours avec une Valériane Ayayi diabolique (25 points et 10 rebonds en 25′), la France a fait l’écart dans le troisième quart-temps (67-51). L’Ukraine souffrait de son manque de rotation et était conditionnée par les exploits de Alina Iagupova (27 points à 9/20 aux shoots, 5 passes, 5 interceptions et 6 balles perdues avec 40′ de présence sur le terrain).\\n\\nIliana Rupert, 17 ans, a maximisé son temps de jeu pour sa deuxième sélection: 12 points et 5 rebonds en 13 minutes.\\n\\nA Rennes avec Bria Hartley\\n\\nBria Hartley doit arriver demain en France et sera présente au tournoi de Rennes le week-end prochain où les Bleues auront droit à des adversaires plus consistants. La Franco-Américaine a accompli la nuit dernière son meilleur match avec le New York Liberty, qui a mis fin face aux Las Vegas Aces (88-78) à une série de 17 défaites de rang à cheval sur les deux étés. Elle a compilé 17 points, 6 rebonds et 6 passes en 31′ comme... small forward.\\n\\nBria Hartley est l’une des joueuses WNBA a interrompre sa saison pour participer à l’EuroBasket comme Alex Bentley (Biélorussie) Glory Johnson (Monténegro) Amanda Zahui (Suède), Yvonne Turner (Hongrie) et encore Maria Vadeeva (Russie). Elle devrait manquer 10 matches du Liberty.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLe programme:\\n\\nVendredi 14 juin à Rennes à 20h30 : France – Turquie\\nSamedi 15 juin à Rennes à 20h30 : France – Russie\\nDimanche 16 juin à Rennes à 18h30 : France – Serbie\\n\\nDimanche 23 juin à Rouen à 18h30 : France – Chine\\n\\nJeudi 27 juin au dimanche 7 juillet : Euro 2019 Riga (Lettonie) et Belgrade (Serbie)\\n\\nPremier tour (Riga -Lettonie)\\nJeudi 27 juin à 14h30 : France-République Tchèque\\nVedredi 28 juin à 14h30 : Monténégro-France\\nDimanche 30 juin à 20h00 : Suède-France\\nLundi 1er juillet : barrage quarts de finale\\n\\nPhase finale (Belgrade – Serbie)\\nJeudi 4 juillet : quart de finale\\nSamedi 6 juillet : demi-finale\\nDimanche 7 juillet : finale\\n\\nPhoto: Marine Fauthoux" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Une pré-sélection de 20 joueurs pour les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Jerry Colangelo, le directeur de la fédération américaine, a rendu publique une liste de 20 joueurs qui forment la pré-sélection de l’équipe des Etats-Unis pour la Coupe du Monde en Chine. Ils se retrouveront à Las Vegas du 5 au 9 août.\\n\\nMeneurs : Kyle Lowry (Toronto Raptors), Damian Lillard (Portland Trailblazers), Kemba Walker (Charlotte Hornets).\\n\\nExtérieurs : Brad Beal (Washington Wizards), James Harden (Houston Rockets), Khris Middleton (Milwaukee Bucks), Eric Gordon (Houston Rockets), Donovan Mitchell (Utah Jazz), Jayson Tatum (Boston Celtics), P.J. Tucker (Houston Rockets), Harrison Barnes (Sacramento Kings), C.J. McCollum (Portland Trailblazers).\\n\\nIntérieurs : Anthony Davis (New Orleans Pelicans), Andre Drummond (Detroit Pistons), Tobias Harris (Philadelphia Sixers), Kevin Love (Cleveland Cavaliers), Myles Turner (Indiana Pacers), Kyle Kuzma (Los Angeles Lakers), Brook Lopez (Milwaukee Bucks), Paul Millsap (Denver Nuggets).\\n\\nSeuls James Harden, Anthony Davis et Andre Drummond étaient présents lors de l’édition de 2014 au cours de laquelle les Etats-Unis sont devenus champions du monde.\\n\\nDans le programme, il est prévu un passage par Los Angeles du 13 au 15 août pour jouer face à l’Espagne. Ensuite, Team USA se rendra à Melbourne pour deux matchs face à l’Australie, les 22 et 24 août. Ils affronteront ensuite le Canada le 26 août à Sydney, avant de partir pour la Chine.\\n\\nPlus de renseignements sur la pré-sélection ici.\\n\\nPhoto: Basket USA" }, {"role": "user", "content":"Tony Parker annonce qu’il prend sa retraite" }, {"role": "assistant", "content":"Après 18 ans de NBA, Tony Parker, le plus grand basketteur français de tous les temps, a décidé de prendre sa retraite sportive.\\n\\n«Je vais prendre ma retraite», a déclaré Parker à The Undefeated. « J’ai décidé de ne plus jouer au basket. »\\n\\nTony Parker a disputé 1 254 matchs en NBA et terminé avec une moyenne en carrière de 15,5 points, 5,6 passes décisives et 2,7 rebonds.\\n\\nParker, 37 ans, a déclaré à The Undefeated qu’il se sentait assez bien physiquement pour disputer deux saisons supplémentaires, mais qu’il pensait qu’il était temps de partir.\\n\\n« La saison dernière était très différente pour moi. J’ai passé un bon moment à Charlotte. C’est très différent pour moi après 17 ans avec les Spurs. Je savais donc que l’époque avait changé et que j’étais très nostalgique. Et le fait d’être éloigné de la famille de retour à San Antonio a également joué un rôle dans la décision de cette retraite, et j’en ai conclu que le temps était venu de passer à autre chose. J’ai beaucoup de bonnes choses dans ma vie. Une belle famille, de beaux enfants. Et donc je voulais passer plus de temps avec eux. »\\n\\nA la question de savoir pourquoi il ne jouera pas 20 saisons en NBA comme il l’avait annoncé il y a quelques années, il répond:\\n\\n« Oui, bien sûr, je voulais jouer 20 saisons et je pense toujours pouvoir les jouer. J’ai passé une bonne saison avec les Hornets et j’étais en bonne santé. Mais en même temps, je ne vois aucune raison de jouer 20 saisons. »\\n\\nTony Parker a été quatre fois champion NBA (2003, 2005, 2007, 2014), il a été élu meilleur joueur de la finale en 2007 et All-Star à six reprises. Avec l’équipe de France, il a gagné quatre médailles dont un titre de champion d’Europe en 2013. Il avait pris sa retraite internationale après les Jeux Olympiques de Rio en 2016.\\n\\nParker envisage de vivre à San Antonio après sa retraite, mais sera tout autant en France en tant que propriétaire et président de l’Asvel. Il va ouvrir la Tony Parker Adequat Academy, une école internationale plus tard dans l’année et il est investi dans différentes affaires.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n🇫🇷 C’est avec une grande émotion que je mets un terme à ma carrière.\\nJ’ai beaucoup travaillé, énormément reçu, c’était une aventure incroyable!\\nMême dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais pensé vivre ces moments exceptionnels en équipe de France et en NBA.\\nMerci !\\n\\n— Tony Parker (@tonyparker) June 10, 2019\\n\\n\\n\\n-Européen le plus titré en NBA (4 fois).\\n-Premier Européen élu MVP des Finals (en 2007).\\n-49e marqueur et 17e passeur de l'histoire de la NBA en saison régulière.\\n-9e marqueur et 5e passeur de l'histoire de la NBA en playoffs.\\n\\nTony Parker = Hall of Fame à 100%.\\n\\n— Yann Casseville (@Kasvilovic) June 10, 2019\\n\\n\\n\\nMerci pour tout @tonyparker et notamment pour des moments comme ceux-là 🙏 @InterieurSport pic.twitter.com/VaJxrbESKz\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) June 10, 2019\\n\\n\\n\\nFélicitations pour ta carrière et tout ce que tu as accompli pour le basket et le sport français... Merci d’avoir été là pour moi depuis les premiers jours de ma carrière et de m’avoir toujours aidé. Tout commence maintenant pour toi ! À mercredi, réunion 11:30, don’t be late! 😉 pic.twitter.com/x3BKopOycL\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) June 10, 2019\\n\\n\\n\\n2013 Champion d'Europe\\nMerci TP\\n🇫🇷@FRABasketball pic.twitter.com/BVcot3hwMy\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) June 10, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Italie: Ettore Messina est en négociation avec Armani Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Ettore Messina est selon Eurohoops en négociation avec Armani Milan sans que l’on sache exactement à quel titre. Il pourrait néanmoins en cas d’accord être directeur des opérations basket et/ou coach de l’équipe d’Euroleague.\\n\\nEttore Messina, 59 ans, a été assistant aux Lakers et aux Spurs mais n’a toujours pas eu la confiance d’une franchise NBA pour devenir coach principal.\\n\\nEn Europe, l’Italien a été le coach de Bologne, Trévise, du CSKA Moscou et du Real Madrid et il est actuellement celui de l’équipe d’Italie." }, {"role": "user", "content":"Turquie – Egin Ataman (Anadolu Efes) refuse de participer au Match 2 de la finale" }, {"role": "assistant", "content":"C’est chaud dans la finale turque entre Fenerbahçe, qui mène 1-0, et Anadolu Efes.\\n\\nLe coach d’Anadolu Efes Egin Ataman a évoqué des menaces répétées du public de Fenerbahce, mentionnant le président Ali Koc comme le premier responsable.\\n\\n« J’ai reçu des centaines de menaces et d’insultes via les médias sociaux. J’ai entendu des blasphèmes et des paroles qui me faisaient honte de l’humanité elle-même. Et c’est Ali Koc qui a été l’instigateur de tout cela. Je n’irai pas à l’Ulker Arena ».\\n\\nLe Match 2 est programmé demain, à nouveau à Sinan Erdem. La série est au meilleur des sept matchs." }, {"role": "user", "content":"Helena Ciak est forfait pour l’EuroBasket" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’elle espérait encore hier que sa cheville soit guérie à temps, Helena Ciak (1,97m, 29 ans) vient de déclarer forfait pour l’EuroBasket, ce qui est un vrai coup dur pour la joueuse et aussi pour l’équipe de France puisqu’elle est la MVP 2018-19 de la Ligue Féminine. Il s’agit du troisième forfait majeur après ceux de Sarah Michel et Diandra Tchatchouang.\\n\\n« Arrivée en Équipe de France à l’issue de sa saison avec Lattes-Montpellier, Helena Ciak n’a pas été en mesure de participer à un entraînement depuis le début de la préparation. Malgré des examens complémentaires, des traitements médicaux appropriés et des soins de rééducation apportés par le staff médical de l’Équipe de France, l’évolution de sa blessure la contraint à renoncer à sa participation pour la suite de la campagne de préparation et à l’Euro 2019. La FFBB et le staff médical des Bleues accompagneront la joueuse tricolore dans son protocole de soins et de réathlétisation afin qu’elle puisse revenir à son meilleur niveau dans la perspective des prochaines échéances internationales, » communique la fédération.\\n\\nLa liste des 16 joueuses :\\n\\nPrénomNomAnn. N.T.P.Club2018/2019ValérianeAYAYI19941,853USK PragueMarièmeBADIANE19941,904-5LyonOrnellaBANKOLE19971,813MontpellierRomaneBERNIES19931,701MontpellierAlexiaCHARTEREAU19981,914BourgesSaraCHEVAUGEON19931,752CharlevilleOliviaEPOUPA19941,651BesiktasMarineFAUTHOUX20011,731TarbesSandrineGRUDA19871,944-5SchioBriaHARTLEY19921,761-2FenerbahçeMarineJOHANNES19951,772BourgesMagaliMENDY19901,752Villeneuve d’AscqMarie-MichelleMILAPIE19961,924-5Basket LandesEndyMIYEM19881,884MontpellierIlianaRUPERT20011,945BourgesIngridTANQUERAY19881,661Lyon\\n\\nJoueuses blessées/non-retenues :\\n\\nHelenaCIAK19891,975MontpellierSarahMICHEL19891,802BourgesDiandraTCHATCHOUANG19911,863Montpellier\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: La Belgique s’incline en Espagne mais a récupéré Ann Wauters" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe d’Espagne féminine a battu la Belgique pour la troisième et quatrième place du tournoi de Saragosse, préparatoire au Championnat d’Europe en Serbie et Lettonie, grâce à une excellente défense et à une domination écrasante au rebond (44 prises contre 27 pour la Belgique) .\\n\\nPrécision importante: Emma Meeserman, Julie Allemand et Kim Mestdagh étaient absentes côté belge, ce qui n’est pas rien. A l’inverse, Ann Wauters, qui a fait une saison blanche en raison de problèmes aux genoux, a joué 15 minutes et marqué 7 points.\\n\\nDes douze Espagnoles, seule l’ex-Berruyère Cristina Ouvina n’a pas marqué alors que la naturalisée Astou Ndour est déjà présente en préparation alors qu’en principe elle joue l’été en WNBA à Chicago.\\n\\nA noter que la veille, l’Espagne avait été battue par la Russie, 61-70. La perle Maria Vadeeva (1,93m, 20 ans) avait été la meilleure marqueuse russe avec 14 points.\\n\\nPhoto: Laura Nicholls (FEB)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Cory Higgins proche du FC Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"En fin de contrat avec le CSKA Moscou, Cory Higgins (1,96m, 29 ans) serait en partance pour Barcelone.\\n\\nSelon Sportando, le filleul de Michael Jordan serait sur le point de signer un contrat de trois ans avec le Barça. A Moscou depuis 2015, l’arrière californien a remporté trois fois la VTB League et deux fois l’Euroleague. Passé par la G-League, la NBA, la Turquie et la Russie, il vivrait sa première expérience en Espagne.\\n\\nCette saison, Cory Higgins compilait en moyenne 14,9 points, 2,2 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 14,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Cukurova, un nouveau club turc qui ferme boutique" }, {"role": "assistant", "content":"L’économie turque est mal en point et les clubs de basket féminin sont touchés de plein fouet. La saison dernière, c’est Yakin Dogu, le champion national, qui avait mis les clés sous la porte. Cette fois c’est Cukurova Basketbol, basé à Mersin, premier de la saison régulière et finaliste des playoffs.\\n\\nCukurova, c’est notamment le club de l’Ukrainienne Alina Iagupova, qui dispute actuellement deux matches de préparation à l’Eurobasket contre la France.\\n\\n‘Le fondateur et propriétaire de Cukurova Basketball Serdar Translator a annoncé sa décision de fermer. Çukurova Basketball, qui reprenait les droits de l’Université de Kyrenia, s’était battu pendant deux saisons en KBSL, avait terminé premier de la saison régulière en 2018-19 et avait disputé la dernière série avec Fenerbahçe », annonce le site basketfaul.com." }, {"role": "user", "content":"La photo: Léo Cavalière soigne son corps" }, {"role": "assistant", "content":"A peine cette saison est-elle achevée qu’il faut préparer la suivante. C’est le cas pour le Palois Léo Cavalière. L’Elan Béarnais a publié cette photo où on le voit soulever de la fonte avec l’aide de l’assistant Jimmy Verove et dévoiler un corps musculeux. Impressionnant." }, {"role": "user", "content":"Euroleague 2019-20: 17 équipes sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"En écartant Oldenbourg, 3 manches à 0, en demi-finale du championnat allemand, Alba Berlin a gagné son ticket pour l’Euroleague 2019-20.\\n\\nAnadolu Efes, Armani Milan, CSKA Moscou, FC Barcelone, Fenerbahce, Baskonia Vitoria, Maccabi Tel Aviv, Olympiacos, Panathinaikos, Real Madrid et Zalgiris Kaunas sont les titulaires d’une licence longue durée.\\n\\nValence a doit à une place en tant que vainqueur de l’Eurocup, Berlin en tant que finaliste en Allemagne, le Khimki Moscou en VTB League, et l’Etoile Rouge de Belgrade comme champion de l’ABA League. Le Bayern Munich et LDLC ASVEL disposent d’une wild card pour les deux saisons à venir.\\n\\nUne troisième wild card devrait être offert soit à Kazan soit au Partizan Belgrade." }, {"role": "user", "content":"Accession à la Pro B: Saint-Quentin prend l’avantage" }, {"role": "assistant", "content":"Saint-Quentin a remporté la première manche de la finale des playoffs d’accession à la Pro B (73-67). Le retour est prévu vendredi au Havre.\\n\\nAprès un deuxième quart-temps difficile (9-17), SQBB a su renverser la vapeur en deuxième mi-temps (44-34) grâce notamment à Benoit Gillet (12 points, 5 rebonds et 5 passes) et aussi une domination au rebond (45-35). Le trio Romain Dardaine (18 points), Demond Watt Jr (18), Samir Mekdad (11) lui a donné beaucoup de fil à retordre.\\n\\n« Quelques rotations n’ont pas apporté ce qu’on souhaitait », a constaté le coach havrais Hervé Coudray pour l’Aisne Nouvelle. « On a laissé Saint-Quentin revenir dans le match. On baisse un peu les bras. La confiance change de côté. On n’a pas fait le match qu’on voulait pendant 40 minutes. On sait qu’on a déjà renversé Saint-Valier, il faudra le refaire. »\\n\\nPour le retour, trois cars de supporters de Saint-Quentin feront le déplacement.\\n\\nMatch 2 : Vendredi 14 juin à 20h, au Havre\\nMatch 3 : Dimanche 16 juin à 15h30, au Havre, si nécessaire" }, {"role": "user", "content":"Le programme TV par TCL: Finale de Jeep Elite et de Pro B et préparation des Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"Si la saison se termine, la dernière ligne droite est toujours passionnante avec la finale de la Jeep Elite, Villeurbanne vs Monaco et celle de Pro B. Quant à l’équipe de France féminine, elle a droit à deux matches sur RMC Story, une chaîne de la TNT, dont le premier au tournoi de Rennes contre la Serbie.\\n\\nLundi 10 juin:\\n\\n20h45 – France/Ukraine – Préparation EDF féminine – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 14 juin:\\n\\n20h45 – France/Turquie – Préparation EDF Féminine – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 15 juin\\n\\n18h30 – Villeurbanne/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – France/Russie – Préparation EDF Féminine – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 16 juin\\n\\n16h30 – Finale Pro B – RMC Sport 2\\n\\n18h30 – France/Serbie – Préparation EDF Féminine – RMC Sport 2 et RMC Story\\n\\nLundi 17 juin\\n\\n20h45 – Villeurbanne-Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Théo Maledon (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Féminines: L’équipe de France punit l’Ukraine en préparation, 107-75" }, {"role": "assistant", "content":"C’est une équipe de France recomposée qui s’est présentée à Mont-de-Marsan face à l’Ukraine pour son premier match de préparation à l’EuroBasket. Aux forfaits définitifs de Sarah Michel et Diandra Tchatchouang ce sont ajoutés ceux temporaires de Sandrine Gruda (cuisse) et Helena Ciak (cheville), qui espère être prête à temps pour l’Euro, sans oublier celui de Bria Hartley qui, au même moment, jouait son dernier match en WNBA avant de prendre l’avion pour la France.\\n\\nC’est ainsi que Valérie Garnier a lancé dans le grand bain trois rookies: Iliana Rupert (17 ans), Marine Fauthoux (18 ans) et Ornella Bankole (21 ans). On notera que les deux premières sont encore plus précoces que Sandrine Gruda qui avait été intronisée en bleu à 19 ans et 1 mois. Marine Fauthoux (10 points à 100% et 4 interceptions), très à l’aise pendant toute la rencontre, a marqué son premier panier en arrachant la balle dans les mains d’une Ukrainienne et en traversant toute la moitié de terrain pour conclure en layup. Iliana Rupert (11 points à 100% aussi) inscrira le sien à la fin du troisième quart.\\n\\nLes absences au poste 5 ont par ailleurs obligé la coach à introduire dans le cinq de départ Marième Badiane qui au cours de ses 18 sélections précédentes s’était contentée d’un rôle mineur.\\n\\nComme prévu, la principale arme offensive ukrainienne était la puissante ailière Alina Iagupova vue à Villeneuve d’Ascq (27 points à 10/25 aux tirs). Mais le manque de rotation et la fatigue se sont vite fait sentir et des voies d’eau importantes sont apparues dans le deuxième quart. En accélérant la circulation de la balle, les Françaises ont scoré 58 points à 63% en 20 minutes pour en encaisser 37. Valériane Ayayi (11 points) et Marine Johannès (10) s’étaient montrées très incisives.\\n\\nL’écart n’a fait que croître dans le troisième quart-temps. Les Françaises multipliaient les contre-attaques alors que les Ukrainiennes se réfugiaient en vain dans le shoot à trois-points. 2/24 après 30 minutes ! Après avoir encaissé 26 points en 10′, les Bleues en ont juste pris 25 au total des deux suivants.\\n\\nLe jeu des Bleues était fluide et le match est vite tombé dans la démonstration. Les Ukrainiennes ont perdu 27 ballons et les Françaises ont scoré 37 points rien que sur des contres-attaques.\\n\\nL’équipe de France n’avait pas totalisé autant de points depuis les 131 face à la très faible Tunisie à la Coupe du Monde 2002. Il faudra une opposition plus costaude pour juger ce crû 2019 de l’équipe nationale.\\n\\nLa boxscore est ici\\n\\nPhoto: Iliana Rupert (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Chalon: Ousmane Camara signe une prolongation de deux ans" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Chalon et Ousmane Camara (2,02m, 30 ans) se sont liés pour deux saisons supplémentaires.\\n\\nL’international s’est fendu cette saison de 8,3 points et 6,6 rebonds pour 11,2 d’évaluation en 25 minutes de jeu.\\n\\n« Homme de confiance du titre avec le CSP Limoges en 2015, et très motivé à l’idée de faire un bon exercice avec l’Elan Chalon la saison prochaine, Ousmane nous apportera toute son expérience et sa combativité sur l’alternance des postes 4 et 5« , a commenté son coach Philippe Hervé.\\n\\n« Je suis très satisfait d’annoncer que je poursuis l’aventure avec l’Elan Chalon. Il y a 2 ans le club m’avait fait confiance en m’offrant un rôle majeur. Après ces saisons difficiles qui ont privé le club de Playoffs, j’aurai à cœur de montrer que l’Elan mérite le top 8 français et d’assumer mes nouvelles responsabilités sous la direction de Philippe, coach avec qui j’ai été champion de France. Merci à l‘Elan de me renouveler sa confiance », a ajouté le joueur.\\n\\nOusmane CAMARA en bref\\n\\nNé le 12 mai 1989 à Mont-Saint-Aignan -France\\n\\n2,02 m – Intérieur\\n\\nParcours\\n\\n2009-2012 : Le Havre (Jeep® ELITE)\\n\\n2012-2014 : BCM Gravelines (Jeep® ELITE)\\n\\n2014-2017 : CSP Limoges (Jeep® ELITE)\\n\\n2017 : Elan Chalon (Jeep® ELITE)\\n\\nPalmarès\\n\\nChampion de France 2015 (Limoges)\\n\\nLeaders Cup 2013 (Gravelines)\\n\\n4 sélections en équipe de France\\n\\nPhoto: FIBA\\n" }, {"role": "user", "content":"Le baromètre des non-JFL de Jeep Elite, le bilan (2e partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Suite et fin de notre bilan sur les non-JFL de Jeep Élite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès avoir examiné le rendement des non-JFL des équipes d’Antibes à Gravelines-Dunkerque, voici le bilan des NJFL de celles du Mans à Strasbourg.\\n\\nLe Mans (8e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : Demetrius Conger\\n\\n2 arrivées : Jonathan Tabu, Kendrick Ray\\n\\nAuréolé de son titre de champion de France, Le Mans a réalisé une saison mitigée, se qualifiant de justesse pour les play-offs et étant rapidement éliminé en quarts de finale.\\n\\nRançon du succès de l’année précédente, le MSB a été obligé de totalement revoir son contingent NJFL, les Justin Cobbs et autres Romeo Travis ayant si largement contribué à décrocher le titre étant parti sous d’autres cieux. Et leurs remplaçants n’ont pas forcément convaincu. La première « déception » a concerné Demetrius Conger, un ailier aux performances certes pas inintéressantes mais ne répondant visiblement pas à ce qu’attendait Eric Bartecheky. Résultat, Conger est parti au bout de 9 journées, remplacé par le combo belge Jonathan Tabu, capable de coups d’éclat mais proposant globalement un rendement assez moyen. La recrue phare de l’été avait été Michael Thompson, meneur référencé dans nos contrées. Et il a laissé un goût d’inachevé, ne se montrant pas assez souvent décisif et n’arrivant pas toujours à faire jouer l’équipe. En outre, jouant plus de 31 minutes par match, il a parfois connu des baisses de régime et s’est économisé en défense. Le Mans avait également parié sur une doublette intérieure de haut de gamme sur le papier, Cameron Clark et Richard Hendrix. Revenant de blessure à son arrivée au Mans, le premier a mis du temps à trouver la bonne carburation et il est resté loin de ses prestations chalonnaises de 2016-2017 (12,6 d’éval contre 19,2), sans parler de son manque d’implication défensive. Quant au second, au CV replet (Maccabi Tel-Aviv, Malaga...), il est resté une intrigue toute la saison : après des débuts de très bonne facture, il a paru ne pas trop savoir comment s’adapter aux spécificités de la Jeep Élite et son rendement a chuté à partir de la mi-saison avant de connaître un regain sur les derniers matchs. Mais il est sûr que le club espérait mieux de lui que ses 8,4 pts et 11,2 d’éval (en seulement 19,8 mn). Enfin, arrivé à la 21e journée, prêté par le Maccabi Tel-Aviv, Kendrick Ray s’est révélé un joueur vif et talentueux mais ayant du mal à s’insérer dans le collectif manceau. Avec au final des stats peu conformes à son standing : 9,2 pts à 37,7 % au shoot et 5,9 d’éval.\\n\\nLe Portel (16e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n3 départs : Robert Rothbart, Jeffrey Crockett, Moses Ehambe\\n\\n3 arrivées : OD Anosike, Paul Harris, DeVaughn Akoon-Purcell\\n\\nLe chaleureux public portelois a souffert toute l’année à voir ses favoris se battre pour éviter la relégation, ce que l’équipe d’Eric Girard a réussi à éviter en toute fin de saison.\\n\\nDès le démarrage de la saison, tout s’est mal goupillé pour le club nordiste. Déjà, Jeffrey Crockett est arrivé blessé – il ne mettra les pieds sur le parquet qu’à partir de la 12e journée pour le quitter définitivement après la J17, sans vraiment avoir convaincu qui que ce soit. De même, le grand pivot israélien Robert Rothbart n’a pas fait de vieux os au Portel, coupé après six matchs sans saveur. Quant au meneur Brandyn Curry, il avait plutôt bien commencé avant de se blesser (absent de la J5 à la J10), reprenant mezzo voce tout en étant supplanté par Benoît Mangin. De son côté, l’arrière Anthony Hilliard a réalisé une bonne première moitié de saison avant de réduire la voilure et de terminer sur quelques prestations sans relief. À l’intérieur, Darrell Williams a bien commencé la saison avant d’avoir visiblement du mal à se situer aux côtés d’OD Anosike (arrivé pour la J8) : pendant de longues semaines, lorsque l’un performait, l’autre passait à côté ; il faudra attendre la J26 pour que les deux se montrent rentables en même temps, heureusement pour Le Portel. C’est en effet avec son duo intérieur à plein régime que le club du nord a réussi à se maintenir, Anosike montant en puissance au fil des matchs. Le Portel a complété son effectif avec Paul Harris à partir de la J19, venu remplacer un Moses Ehambe qui n’a pas réussi à reproduire sa bonne fin de saison passée au club (5,6 d’éval contre 9,0). Mais la substitution n’a pas eu d’effet notable, l’ancien Gravelinois terminant la saison sur un piteux 5,0 d’éval (et 3,9 pts à 34,5 %). Le Portel a ensuite tenté le pari DeVaughg Akoon-Purcell, à partir de la J23, dans l’optique de renforcer ses lignes arrière. Pari raté, le joueur se révélant shooteur plus que scoreur (9,9 pts mais à 35,1 %, avec 10,4 tirs pris par rencontre), soliste et d’une mentalité qui a poussé Eric Girard à se passer de ses services lors de la dernière journée. Peu de satisfactions au final.\\n\\nLevallois (12e)\\n\\n6 joueurs non-JFL (7 sous contrat)\\n\\n1 départ : Julian Wright\\n\\n3 arrivées : Maalik Wayns, Nathan Jawai, Will Daniels\\n\\n1 blessé longue durée : Mouphtaou Yarou\\n\\n1 pigiste : Durand Scott (J12-J16)\\n\\nSaison galère pour l’équipe de Freddy Fauthoux, obligé de reconstruire sa raquette à mi-saison après le départ-surprise de son joueur majeur, Julian Wright, et la grave blessure de son pivot, Mouph’ Yarou.\\n\\nL’équipe altoséquanaise n’a pas été épargnée par les soucis sur son contingent non-JFL dès les premiers matchs. Avant de s’imposer comme un élément essentiel du secteur intérieur levalloisien, Ekene Ibekwe n’a pu démarrer la saison qu’en J4, abattant un solide job d’intérieur remplaçant jusqu’à la J20. Là, une fois Wright parti et Yarou HS, le Nigérian aux coudes pointus a pris les choses en main, s’imposant dans la raquette par sa dureté et sa défense. Pas le plus flashy mais un joueur de collectif intéressant. De son côté, Rasheed Sulaimon, au sortir d’une saison plutôt réussie à Dijon, a commencé de façon mitigée, avec une adresse en berne, avant de se blesser (out entre les J11 et J21, période pendant laquelle il a été suppléé par Durand Scott qui, après des débuts catastrophiques, a réussi deux belles prestations avant de conclure sa pige). Sulaimon a ensuite signé quelques sorties de bon standing avant de baisser à nouveau de pied et ne plus reparaître sur les quatre dernières journées, considéré comme le NJFL « en trop » dans un effectif comptant sept joueurs étrangers pour six places possibles sur la feuille de match. Fauthoux lui a souvent préféré Jaron Johnson qui, après un début de saison désastreux en termes d’adresse (0/12 cumulés à 3 pts en cinq matchs !), a retrouvé la mire et brillé pendant une dizaine de journées avant de connaître un trou d’air pendant une bonne période puis de retrouver des couleurs en fin de saison. Au final, il n’a pas démérité, affichant un 40,2 % à 3 pts plutôt intéressant au vu de ses débuts.\\n\\nMais, en début de saison, Levallois comptait surtout s’appuyer sur un axe 1-4-5 rutilant : Roko-Leni Ukic, Julian Wright, Mouphtaou Yarou. Le premier, meneur croate au CV long comme un bras de Youssoupha Fall, a montré qu’il n’était pas carbonisé à 34 ans malgré ses campagnes d’Euroleague ou de NBA, s’imposant comme le maître à jouer de la formation, avec une vista parfois trop aigue pour ses partenaires, même... Freddy Fauthoux fondait également de grands espoirs sur Julian Wright, joueur coté en Europe. Et le début de saison lui a donné raison. Adroit, complet, collectif, Wright a brillé : 19,4 d’éval en 19 matchs. Mais, sans que la raison réelle ait jamais filtré, le joueur est parti après la J19, laissant d’autant plus Levallois dans la peine que, le match suivant, son compère des raquettes Mouph’ Yarou se blessait gravement, out pour la saison. Et ce alors que lui aussi avait donné toute satisfaction jusqu’alors, apportant 12,9 pts, 6,5 rbds, 15,4 d’éval.\\n\\nCe scénario-catastrophe a obligé Levallois à recruter au plus vite, avec des bonheurs variés. Premier arrivé, pour la J20, le meneur-arrière Maalik Wayns, appelé à combler les blessures sur les lignes arrière (Eliezer-Vanerot en sus de Sulaimon, notamment). Son apport s’est révélé bien maigrelet, la faute notamment à une adresse désastreuse : 23,1 % au shoot. Arrivés pour la journée suivante, les intérieurs Will Daniels et Nathan Jawaiont connu des débuts bien différents : 35 d’éval pour le premier, -1 pour le second ! Le massif pivot australien n’a du reste jamais réussi à s’adapter aux spécificités de la Jeep Élite, la faute notamment à un manque flagrant de mobilité. Quant à l’intérieur fuyant déjà connu à Nanterre ou Limoges, ses débuts flamboyants n’ont guère eu de suite, Daniels n’atteignant ou ne passant plus que quatre fois la barre des 10 d’éval sur ses 13 derniers matchs.\\n\\nLa saison de Levallois aura donc été « pourrie » par les bouleversements de son effectif : à la J20, son bilan était équilibré (10 v. – 10 d.), avant de ne plus connaître que 4 victoires (et 10 défaites, dont 8 consécutives) sur les 14 derniers matchs.\\n\\nLimoges (7e)\\n\\n4 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : London Perrantes\\n\\n1 arrivée : Jordan Taylor\\n\\nSans ses habituels psychodrames (joueur sur la sellette plébiscité par les supporters puis hué par les mêmes, coach viré, gouvernance se mettant à dos le public avant d’être mise à la porte suite à une « révolution de palais » et on en oublie...), Limoges ne serait plus Dallas-sur-Vienne. Et cette saison agitée de multiples soubresauts s’est terminée en queue de poisson, au terme d’une saison régulière en-dessous des attentes (et des espoirs des supporters) avant une sèche élimination en quarts de finale de play-offs.\\n\\nIl faut dire que le petit (4 non-JFL alignés, pour faire place à une base JFL elle aussi quelque peu décevante) contingent NJFL a déçu, dans l’ensemble. Le premier à en pâtir a été London Perrantes. Le jeune meneur, tout frais émoulu de G-League, n’a pas réussi à s’imposer en terres limougeaudes, prenant la porte après la 10e journée (avant de montrer de bien meilleures choses à Cholet). Il a été remplacé par un meneur bien plus expérimenté, Jordan Taylor. Après des débuts mitigés en termes de rendement personnel, mais fructueuses sur le plan collectif (7 victoires d’affilée), Taylor a haussé le ton, produisant des performances de premier ordre entre la J22 et la fin de la saison régulière, au point de figurer parmi les meilleurs meneurs de la division. Sur les lignes arrière, Dwight Hardy n’a que moyennement justifié sa réputation de sniper, finissant toutefois avec 13,7 pts de moyenne (41,7 % à 3 pts) pour 12,0 d’évaluation. À l’intérieur, l’ailier-fort shooteur Isaiah Miles, déjà vu à Dijon, n’a que rarement brillé (deux matchs à plus de 20 d’éval sur les trois premiers, deux sur les trois derniers) et est trop souvent passé à travers : 15 matchs sur 32 à moins de 10 d’éval, le tout sans peser sur le jeu (3,8 rbds, 1,1 pd). Mais son cas n’est rien comparé à celui de Samardo Samuels, pivot jamaïcain passé par la NBA et Barcelone, entre autres. Dans le collimateur de son coach, Kyle Milling, après un début de saison en deça de ses prestations de l’année précédente, capable du meilleur (25 d’éval face à Levallois) comme du pire (-3 d’éval à 0/5 au shoot à Monaco), Samuels était proche de la sortie mais la pression populaire (entre autres) a fait que c’est l’entraîneur qui est parti et le joueur confirmé. Pour un résultat pas vraiment en faveur du ce dernier : sous les ordres de François Peronnet, il a vu son rendement et son temps de jeu graduellement baisser alors que son comportement prêtait à débat. Au final, il est aujourd’hui autant vilipendé par les supporters limougeauds que son ancien coach ou la direction qui l’avait maintenu (avant d’être obligée de démissionner...). Il n’y a qu’à Limoges que cela peut se passer ainsi !\\n\\nLyon-Villeurbanne (1e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n1 arrivée : Adreian Payne\\n\\n1 pigiste : Eric Buckner (J4-J11)\\n\\nLDLC Asvel a justifié son rang de favori en terminant premier de la saison régulière, sans vraiment forcer son talent. Et ce malgré les multiples blessures qui ont pénalisé son effectif (Kahudi, Jean-Charles, Kaba, Nelson...).\\n\\nTrès dense, cet effectif a permis à Zvezdan Mitrovic de ne pas « tirer » outre mesure sur ses joueurs, aucun ne passant plus de 25,9 mn sur le parquet (David Lighty). Ce qui fait que son contingent NJFL, pourtant assez rutilant pour la Jeep Élite, n’a pas atteint des sommets statistiques : avec 12,0 et 15,4 d’éval, Miro Bilan mène assez largement la troupe.\\n\\nMais la plupart de ces NJFL ont justifié leur CV. En premier lieu, à la mène, l’international lituanien Mantas Kalnietis, prêté par Milan. Certes, il n’affiche « que » 7,7 pts, 5,6 pds et 10,4 d’éval, mais il s’est installé comme le maître à jouer de l’équipe. Et son entente avec le pivot croate Miro Bilan a fait des ravages dans les défenses de Jeep Élite. Parfois capable de passer au travers d’un match, pas toujours fiable aux lancers francs (70,4 % sur la saison), d’une mobilité toute relative en défense, Bilan a toutefois su apporter sa science du jeu, son incroyable palette offensive et son sens du rebond (6,4 en 23,3 mn). Une valeur sûre. Tout comme le sont DeMarcus Nelson et David Lighty. Le premier, « amiral de la défense », véritable sangsue pour les extérieurs adverses, a produit une excellente saison, tout juste entachée par une adresse moyenne à 3 pts (34,5 % tout de même) et une blessure au visage qui lui a fait manquer quatre matchs. Quant à Lighty, il s’est imposé comme l’homme-orchestre de l’équipe, gros défenseur, adroit à 3 pts (46,3 %), entièrement dédié au collectif (« seulement » 11,7 d’éval). Moins en vue a été A. J. Slaughter. L’arrière shooteur américano-polonais a alterné matchs intéressants et autres totalement transparents selon son adresse et son implication défensive. Au total, il livre une saison moyenne, en-deça des attentes.\\n\\nLes multiples blessures subies par la raquette villeurbannaise (ainsi que les péripéties du bref passage d’Alexis Ajinça) ont poussé LDLC Asvel à signer le bondissant intérieur Eric Buckner comme pigiste en début de saison. Une intéressante trouvaille, qui a apporté son adresse et son sens du contre, au point de séduire Monaco, qui l’a signé pour le reste de la saison alors même que Villeurbanne souhaitait le prolonger. Le club s’est passé de lui ou d’un remplaçant pendant un bon moment avant de signer Adreian Payne, en échec au Pana, pour la J18. Installé en rotation de Miro Bilan ou, parfois, en poste 4 shooteur, l’ancien des Minessota Timberwolves a mis un peu de temps avant de trouver sa place dans la rotation villeurbannaise, mais il semble s’être désormais bien adapté, comme le montrent ses premières prestations en playoffs.\\n\\nMonaco (2e)\\n\\n6 joueurs non-JFL (7 sous contrat)\\n\\n2 départs : Derek Needham, Ian Hummer\\n\\n3 arrivées : Sergii Gladyr, Eric Buckner, Dee Bost\\n\\nPas vraiment à la fête sous les ordres de Sasa Filipovski, Monaco s’est transformé une fois Sacha Obradovic aux manettes en une redoutable machine de guerre, restée quasi-invaincue lors des matchs retour (une seule défaite, face à LDLC Asvel). Un candidat déclaré au titre.\\n\\nLe changement de coach s’est accompagné de plusieurs retouches de l’effectif NJFL aux alentours de la mi-saison. Le premier à partir a été Ian Hummer, intérieur besogneux pas très convaincant, remplacé avec bonheur par Eric Buckner, toujours à l’aise dans son rôle de pivot bondissant, contreur (0,9 contre en 20,0 mn) et adroit près du cercle. Le deuxième à avoir pris la porte est Derek Needham, meneur peu fiable en attaque (39,7 % au shoot) et assez dispendieux (2,5 balles perdues pour 4,2 passes). Il a été remplacé par un ancien de la maison en échec en Euroleague du côté du Khimki Moscou, Dee Bost. Dans un championnat plus à son niveau, Bost a montré l’étendue de son talent, prenant une part prépondérante à la remontée de l’ASM (14,9 d’éval). Autre joueur revenu au bercail, Sergii Gladyr n’avait pas vraiment quitté le Rocher, mais était sans club en début de saison avant de resigner à Monaco à l’occasion de la J13. Capable de coups d’éclat les soirs où il est bien luné en attaque, défenseur toujours aussi dur sur l’homme, l’Ukrainien s’est retrouvé dans le rôle du septième étranger de l’effectif, inscrit sur la feuille de match les soirs où Obradovic faisait souffler un autre NJFL ou compensant une blessure. Au total, Gladyr sera entré 12 fois en jeu pour 9,0 d’éval en 22,0 mn. Une saison dont il n’a pas à rougir.\\n\\nDans le clan des joueurs qui auront fait toute la saison, le meneur Lazeric Jones aura connu des périodes très satisfaisantes entrecoupées d’arrêts sur blessure et de séries de matchs bien plus ternes avant de terminer l’année sur plusieurs bonnes prestations. Un bon meneur remplaçant. Les blessures, ce sont également les éléments qui ont perturbé la saison de Gerald Robinson, l’élégant arrière. Avant la J21, il n’a pu pénétrer que huit fois sur le terrain, passant le reste du temps à l’infirmerie. Au final, il livre une saison très correcte, sans chiffres mirobolants mais tout de même très corrects au sein d’un effectif dense sur les lignes arrière (Paul Lacombe, Yakouba Ouattara, Sergii Gladyr). Signé pour ses qualités d’attaquant, le poste 4 Jarrod Jones n’a pas justifié tous les espoirs placés en lui, se montrant parfois indolent, réussissant quelques belles parties mais se montrant aussi capable d’un horrible 2/11 au shoot à Bourg-en-Bresse (pour -3 d’éval). Enfin, le pivot bosnien Emeldin Kikanovic a produit des stats quasiment identiques à celles de l’année précédente dans le même club, celles d’un pivot offensif de haut niveau (61,2 % sur 10,0 shoots par match) faisant aussi son possible de l’autre côté du terrain.\\n\\nNanterre (4e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n1 pigiste : Nick Johnson\\n\\nLe jeu tout feu tout flammes de Pascal Donnadieu s’est montré efficace, le club de la banlieue parisienne finissant la saison à une excellente quatrième place.\\n\\nLe tout avec un roster très stable tout au long de l’année, au point qu’aucun des NJFL de Nanterre 92 n’a quitté le club en cours de saison, seul Dominic Waters, blessé lourdement avant la J21 ayant dû laisser sa place au pigiste Nick Johnson. Avant cette blessure, Waters avait plutôt bien tenu son poste de meneur titulaire, faisant tourner presque seul la boutique avant que Jeremy Senglin récupère de sa blessure d’avant-saison. Une fois ce dernier rétabli, Waters a continué à assurer – souvent en doublette avec Senglin – son rôle, jusqu’à sa blessure. En dehors d’une courte période de moins bien (deux fois 0 d’éval sur les J10 et 11), le second s’est souvent montré décisif, moins distributeur que Waters mais meilleur attaquant. Un poison pour les défenses adverses. Pascal Donnadieu n’a pas traîné à trouver un remplaçant à Waters avec Nick Johnson, meneur vif mais peu adroit de loin (20,6 % à 3 pts), souvent remplaçant de Senglin mais capable de le suppléer lorsque celui-ci passe à travers.\\n\\nPour compléter les lignes arrière, Nanterre a fait appel à l’international lituanien Adas Juskevicius. Adroit de loin (44,3 % à 3 pts), doté d’un fort QI basket, l’élégant joueur ne souffre que d’un physique un peu léger pour la Jeep Élite, ce qui a nui à la régularité de ses productions. Nanterre s’est également intéressé à Haukur Palsson, plutôt brillant la saison précédente avec Cholet. Et l’Islandais, utilisé alternativement à l’aile et au poste 4, a mis un peu de temps avant de trouver ses marques. Très irrégulier jusqu’à la mi-saison, il a pris une nouvelle dimension ensuite (dont un très beau 32 d’éval en J23 contre Fos-sur-Mer) avant de connaître un petit coup de moins bien en fin de saison régulière par la faute d’une petite blessure. Les blessures, l’intérieur Demetrius Treadwell connaît aussi, lui qui a dû patienter jusqu’à la J6 pour fouler le parquet. Prévu pour être pivot remplaçant, il a accompli son rôle le plus souvent avec bonheur, tout en sachant parfois suppléer les errances du titulaire du poste, Julian Gamble. Celui-ci est longtemps resté une énigme pour les fans de Nanterre et les observateurs neutres. Après un bon début (16 d’éval à chacun des trois premiers matchs), le joueur passé par Villeurbanne a enchaîné ensuite des séries de deux matchs ratés puis deux matchs réussis avant de ne trouver une véritable régularité (dans les matchs réussis, heureusement !) à partir de la J21. Au final, Gamble n’aura pas toujours été le point d’ancrage intérieur attendu mais il s’est montré adroit (66 % au shoot mais un affreux 49,7 % aux lancers francs) et, dans les bons jours, combatif.\\n\\nPau-Lacq-Orthez (5e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : Jerel Blassingame\\n\\n1 arrivée : Mickey McConnell\\n\\n1 pigiste : AJ Pacher (J21-J30)\\n\\nUn seul être vous manque et tout est dépeuplé... C’est un peu le reflet de la saison de l’équipe de Laurent Vila : un meneur jouant blessé lors des quatre premiers matchs se soldant par trois défaites avant son remplacement et une dynamique totalement inversée ; un bilan juste à l’équilibre pendant la blessure de l’une de ses pierres angulaires (Donta Smith) mais une saison globalement réussie, jusqu’à des playoffs s’achevant sur une élimination en trois manches face à Nanterre.\\n\\nErreur de casting ou blessure trop pénalisante ? Toujours est-il que le bref passage de Jerel Blassingame à la mène de l’Élan Béarnais s’est révélé catastrophique. Et que son remplacement par Mickey McConnell a radicalement changé la face du club, sachant tirer le meilleur de ses coéquipiers et se montrer décisif à l’occasion. Un des meilleurs meneurs de Jeep Élite de la saison. À ses côtés, l’arrière CJ Harris s’est montré très constant sur la durée, apportant scoring (16,8 pts, 44,7 % à 3 pts) et création (3,4 pds). De son côté, Taqwa Pinero avait mal débuté la saison avant de se blesser (out de la J5 à la J13) puis de revenir sans briller, la faute notamment à une adresse à 3-points éloignée de ses standards habituels : 31,2 % contre 42,9 % et 40,5 % les deux saisons précédentes). Capable de jouer sur les postes 3 et 4, bénéficiant d’une belle expérience sur tous les continents, Donta Smith a rapidement dissipé les doutes liés à son âge (35 ans) : très talentueux, collectif et impliqué, le joueur s’est montré essentiel dans le dispositif palois. Et il est sans doute l’un des plus esthétiques à voir évoluer sur le terrain. Pour le faire souffler (ainsi que Vitalis Chikoko), Laurent Vila a choisi Akos Keller, costaud Hongrois jamais sorti de son pays natal jusque là. Et une sorte d’opposé de Smith : pas franchement élégant, doté d’un shoot peu orthodoxe, mais très combatif. Une sorte de « soutier » qui n’a pu commencer la saison qu’en J8, le temps de récupérer d’une appendicectomie l’ayant mis sur le flanc pendant la préparation. Pendant la blessure de Smith, Pau a fait appel à AJ Pacher qui, en dix matchs, n’aura pas laissé un souvenir impérissable malgré deux ou trois bons matchs. Enfin, Vitalis Chikoko a effectué une saison de toute beauté, symbolisant son énorme progression (18,6 d’éval contre 11,8 la saison précédente). Points, rebonds, contres, tous ses chiffres sont à la hausse et le Zimbabwéen s’est régulièrement montré dominant. Ce qui lui a valu une nomination dans le cinq majeur de la saison tout à fait justifiée.\\n\\nStrasbourg (6e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n3 arrivées : Jarrell Eddie, David Andersen, Nathan Sobey\\n\\nLa SIG n’a pas vécu une saison de tout repos, entre « altercations » entre joueurs et résultats en-deça des attentes, avec notamment quelques invraisemblables déculottées (55-80 à Dijon, 57-98 à Pau, etc.) et une élimination en playoffs à l’issue d’un match mené de 31 points avant de perdre en prolongations contre Dijon, encore !\\n\\nSi la saison de l’équipe de Vincent Collet n’a pas été très brillante, elle le doit en partie au rendement médiocre d’une bonne partie de son contingent NJFL. Le meneur Mike Green n’a jamais réellement donné l’impression de peser sur le collectif, tout en se montrant assez discret en défense. À l’arrière, le solide Quentin Serron a fait valoir ses qualités physiques, sa bonne vision du jeu et sa combativité, mais a manqué d’adresse (32,8 % de loin). L’erreur de recrutement la plus manifeste fut Mardy Collins qui, après une bonne entame de saison, s’est étiolé, entre blessures plus ou moins longues (six matchs manqués), adresse douteuse (38,0 % pour 9,1 shoots/match), motivation fluctuante et implication défensive très relative.\\n\\nÀ ces trois NJFL, les trois seuls à avoir débuté la saison, sont venus au fil des matchs s’ajouter trois nouveaux joueurs. Arrivé à la J9 comme intérieur shooteur, Jarrell Eddie s’est révélé être un sniper hors pair (47 % à 3 pts) mais être plus un ailier qu’un poste 4. Ce qui ne l’a pas empêché de faire preuve de motivation et d’être une des satisfactions de la saison. Pour leur part, les Australiens Nathan Sobey et David Andersen sont arrivés à l’occasion de la J21. Le premier, présenté comme « le Russell Westbrook australien », n’a pas franchement justifié ce surnom, tournant à 4,5 points (38,3 % au shoot) et 3,6 d’éval. Bien maigre. Pour sa part, David Andersen est venu pour compléter les lignes intérieures, apporter son expérience du plus haut niveau et son adresse sur de courtes périodes, ses 38 ans étant bien là. Dans l’ensemble, l’Australo-Danois à l’interminable palmarès (21 titres dont trois Euroleagues !) a apporté ce que l’on attendait de lui mais a parfois fait son âge. Pas une déception si l’on savait quoi en attendre, donc.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès avoir examiné le rendement des non-JFL des équipes d’Antibes à Gravelines-Dunkerque, voici le bilan des NJFL de celles du Mans à Strasbourg.\\n\\nLe Mans (8e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : Demetrius Conger\\n\\n2 arrivées : Jonathan Tabu, Kendrick Ray\\n\\nAuréolé de son titre de champion de France, Le Mans a réalisé une saison mitigée, se qualifiant de justesse pour les play-offs et étant rapidement éliminé en quarts de finale.\\n\\nRançon du succès de l’année précédente, le MSB a été obligé de totalement revoir son contingent NJFL, les Justin Cobbs et autres Romeo Travis ayant si largement contribué à décrocher le titre étant parti sous d’autres cieux. Et leurs remplaçants n’ont pas forcément convaincu. La première « déception » a concerné Demetrius Conger, un ailier aux performances certes pas inintéressantes mais ne répondant visiblement pas à ce qu’attendait Eric Bartecheky. Résultat, Conger est parti au bout de 9 journées, remplacé par le combo belge Jonathan Tabu, capable de coups d’éclat mais proposant globalement un rendement assez moyen. La recrue phare de l’été avait été Michael Thompson, meneur référencé dans nos contrées. Et il a laissé un goût d’inachevé, ne se montrant pas assez souvent décisif et n’arrivant pas toujours à faire jouer l’équipe. En outre, jouant plus de 31 minutes par match, il a parfois connu des baisses de régim\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, »\\ntype= »show »][arm_setup id= »2′′\\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: DeMarcus Nelson (ASVEL, Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France Féminine: Blessure bénigne pour Sandrine Gruda, plus sérieuse pour Helena Ciak" }, {"role": "assistant", "content":"Les deux intérieures de l’Équipe de France féminine, Helena Ciak (1,97m, 29 ans) et Sandrine Gruda (1,94m, 31 ans), sont préservées pour les deux matches de préparation face à l’Ukraine, aujourd’hui et demain à Mont-de-Marsan.\\n\\nSuite à son entorse de la cheville en fin de saison en Ligue Féminine, et malgré des examens complémentaires et les soins nécessaires apportés à cette blessure par le staff médical, Helena Ciak, qui n’a pas encore été en mesure de participer à un entraînement depuis le début de la préparation, ne pourra pas prendre part à ces deux premières rencontres à Mont-de-Marsan.\\n\\nDe son côté, Sandrine Gruda a contracté un problème musculaire bénin à la cuisse droite, l’empêchant également de tenir sa place pour ces deux matches face à l’Ukraine.\\n\\nRappelons que Diandra Tachatchouang est forfait pour l’Euro.\\n\\nLa liste des 12 joueuses qui participeront au premier match de préparation face à l’Ukraine (dimanche à 20h45 à Mont-de-Marsan):\\n\\nValériane Ayayi, Marième Badiane, Ornella Bankole, Romane Bernies, Alexia Chartereau, Olivia Epoupa, Marine Fauthoux, Marine Johannes, Marie-Michelle Milapie, Endy Miyem, Iliana Rupert et Ingrid Tanqueray.\\n\\nSara Chevaugeon et Magali Mendy sont donc en réserve.\\n\\nPar ailleurs, Valérie Garnier et le staff tricolore réduiront le Groupe France à l’issue des deux premiers matches de préparation. Une communication sera faite dans ce sens à l’issue de la deuxième rencontre face à l’Ukraine, ce lundi 10 juin dans la soirée.\\n\\nPhoto: Helena Ciak (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Philippe Durst (président Nancy): «Il vaut mieux mettre de l’argent sur un joueur que sur un directeur sportif»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’est pas cette année que le SLUC Nancy va remonter en Jeep Elite et son président Philippe Durst est prêt à remettre en cause certaines choses au sein de son club... mais pas tout comme il l’a confié à France Bleu.\\n\\nA propos de l’avenir du coach, Christian Monschau, il déclare:\\n\\n« La présence du président, la présence du coach, la présence de chacun d’entre nous dans la gouvernance, se pose. On a fauté ou on n’a pas fauté ? On va regarder ça froidement. J’ai passé plusieurs heures avec Christian, dans une ambiance de collaboration, de respect. Sa déception est immense. La déception des joueurs est immense. Certains joueurs ont fait leur dernier match. J’ai reçu beaucoup d’excuses des joueurs. Chacun a été exemplaire dans son attitude. »\\n\\nPhilippe Durst précise que le SLUC a attiré 4 800 spectateurs en moyenne -un record en Pro B- et qu’il est à son plus haut niveau historique en matière de revenus et d’évènements créés. A propos de la gouvernance du club, suite à l’embauche de Youri Verieras, l’ancien président du Limoges CSP, comme Directeur Général, il répond:\\n\\n« Ce qui est prévu, c’est un triumvirat coach-directeur général-président pour chacun des décisions importantes. Ce triumvirat a bien fonctionné donc le coach n’est pas laissé seul à son initiative. Le coach est quelqu’un qui respecte le président et le directeur général. Est-ce qu’on a les moyens d’avoir, en plus, un directeur sportif ? Là, je dirais qu’il vaut mieux mettre de l’argent sur un joueur que sur un directeur sportif. »" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: Le 1000e match de Felipe Reyes avec le Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"En entrant sur le terrain à cinq minutes de la fin du Match 2 de la demi-finale face à Valence, Felipe Reyes a atteint le cap des 1 000 matchs avec le Real Madrid. Un exploit peu ordinaire à une époque où les joueurs changent très souvent de maillot.\\n\\nLe décompte est le suivant: 591 matches en ligue ACB, 39 en Copa del Rey, 19 en Supercopa, 333 en Euroleague, 16 en Eurocup et 2 en Coupe Intercontinentale.\\n\\nLe capitaine du Real a eu le temps de marquer quatre points pour une large victoire de son équipe, 79-66, qui mène ainsi 2 manches à 0.\\n\\n« Je suis un grand défenseur de Reyes pour son travail quotidien, je suis très content de son record, mais l’essentiel est qu’il reste un joueur très important pour nous, » a déclaré le coach Pablo Laso.\\n\\nFabien Causeur a assuré 11 points à 4/5 aux shoots alors que l’Américano -Slovène Anthony Randolph a cartonné avec 24 points.\\n\\nLouis Labeyrie a marqué 2 points et pris 4 rebonds alors que Antoine Diot n’a eu droit qu’à 7 minutes pour prendre 1 rebond.\\n\\n\\nOvación a una leyenda del Real Madrid.\\nFelipe Reyes cumple 1.000 partidos. #PlayoffLigaEndesa pic.twitter.com/2VV9lqWH1K\\n\\n— #Vamos por Movistar Plus+ (@vamos) June 8, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"La FFBB alerte sur les conséquences de la cyber-attaque dont elle a été la victime" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué de son président Jean-Pierre Siutat, la Fédération Française alerte sur les conséquences qui pourraient survenir suite à la cyber-attaque dont elle a été la victime lundi dernier.\\n\\nMadame, Monsieur,\\n\\nLa FFBB est victime depuis lundi 3 juin à 2h00 du matin, d’une cyber-attaque d’ampleur qui paralyse une partie de nos serveurs, lesquels ont été initialement rendus vulnérables à cause d’une faille de sécurité du logiciel « BlueKeep », édité par Windows.\\n\\nLes cyber-attaquants ont pu infiltrer nos réseaux informatiques, et ainsi, chiffrer, modifier et/ou supprimer un grand nombre de fichiers.\\n\\nIl est possible que des informations telles que vos données d’identité, de sécurité sociale, vos coordonnées personnelles et celles de vos établissements bancaires aient été atteintes et/ou détériorées.\\n\\nLeur confidentialité, leur intégrité – c’est-à-dire notamment leur véracité et/ou leur disponibilité sont compromises. Il reste également possible qu’elles aient été divulguées à des personnes malveillantes, qu’elles soient traitées à des fins autres que celles pour lesquelles vos données nous ont été confiées ou encore qu’elles aient été modifiées et/ou supprimées.\\n\\nA ce titre, nous vous alertons particulièrement sur les risques liés à l’hameçonnage (« phishing ») ainsi qu’au harponnage (« spear phishing »), dont vous pourriez être la cible. Nous vous recommandons donc la plus grande vigilance vis-à-vis des messages d’un destinataire inconnu qui pourraient vous être adressés prochainement ou dont vous pourriez être l’expéditeur.\\n\\nVous pouvez transmettre une copie de ce courrier aux établissements qui pourraient être concernés et porter une vigilance particulière quant à vos différents comptes.\\n\\nNous vous remercions de nous rapporter toute suspicion d’utilisation frauduleuse de vos données, étant précisé que l’exfiltration des données semblerait contenue, aucune utilisation importante ou anormale de bande passante n’ayant été relevée à ce jour.\\n\\nLes services de la FFBB, entourés d’experts en cybercriminalité, travaillent activement à l’analyse de l’attaque, ainsi qu’au rétablissement des services aux utilisateurs, et ce notamment grâce à des sauvegardes de données intègres.\\n\\nPar ailleurs, à la suite d’une plainte déposée auprès de la Brigade d’Enquête sur les Fraudes aux Technologiques de l’Information (« BEFTI »), une enquête a été ouverte. L’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (« ANSSI ») a de plus été informée de cet incident, et une notification de violation de données est en cours d’instruction par la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (« CNIL »).\\n\\nVous pouvez obtenir des informations complémentaires en vous adressant à notre point de contact désigné et mobilisé à cet effet en lui écrivant par courriel à l’adresse suivante : mesdonneesffbb@ffbb365.com\\n\\nNous vous prions de croire que cet événement sans précédent est pris très au sérieux par l’ensemble des services de la FFBB, qui fait de la gestion de cet acte cybercriminel sa priorité et met tout en œuvre pour remédier à la situation dans les meilleurs délais.\\n\\nJean-Pierre SIUTAT\\n\\nPrésident\\nFédération Française de Basket-ball" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand Sekou Doumbouya enchaîne les trois-points" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien Limougeaud Sekou Doumbouya effectue actuellement des workouts en perspective de la draft NBA, qui se tiendra le jeudi 20 juin. Spécialiste en la matière chez ESPN, Mike Schmitz, a filmé cet exercice où on le voit aligner tranquillement 15 trois-points d’affilée lors d’une séance de 45 minutes et devant 10 General Managers.\\n\\n\\nSekou Doumbouya knocking down 15 threes in a row with close to 10 general managers on hand. Doumbouya certainly showed his talent during the 45-minute workout. 6-10 versatile athlete with skill potential. pic.twitter.com/qGZliNiV7S\\n\\n— Mike Schmitz (@Mike_Schmitz) June 8, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage sur Bria Hartley diffusé sur Canal+ Sport" }, {"role": "assistant", "content":"Canal+ Sport a diffusé hier soir un reportage sur la Franco-Américaine Bria Hartley réalisé à Istanbul et intitulé « La touche américaine » en amont de l’Euro qui se tiendra du 27 juin au 7 juillet en Lettonie et Serbie.\\n\\nLe New York Liberty a annoncé que Bria Hartley allait disputer cet après-midi son dernier match face aux Las Vegas Aces avant de s’envoler pour la France afin de rejoindre les Bleues à Rennes pour un stage et un tournoi préparatoire le week-end prochain." }, {"role": "user", "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre): «L’année prochaine, ça va être féroce»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est la première fois depuis 2014 que la finale des playoffs va opposer le premier de la saison régulière, Villeurbanne, à son dauphin, Monaco. Nanterre 92 aura tout tenté à l’Astroballe au cours des Matches 1 et 2 pour déjouer la hiérarchie, mais rien n’y a fait et hier soir lors du Match 3 à Maurice-Thorez, les hommes de Pascal Donnadieu étaient au bout du rouleau et ont subi une véritable déroute (56-99). Leur coach ne veut pas que celle-ci masque une saison réussie et il se projette sur la prochaine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nll n’y a pas pire façon de terminer la saison ?\\n\\nOui et c’est mon grand regret. Sur la série, on a vu que Villeurbanne était au-dessus et ce soir ils l’ont plus que largement démontré. On fera en sorte que les gens ne retiennent pas ce dernier match où je pense qu’il n’y avait plus du tout d’essence dans le moteur, et mental et physique et donc on a exposé en plein vol. C’est bien entendu dommage mais, si vous c’est votre travail, moi je n’ai pas spécialement envie de m’attarder sur le match de ce soir. Je pense plutôt à la saison que l’on a effectué qui nous permet de nous qualifier pour une septième année de suite en coupe d’Europe avec la possibilité d’en faire une plutôt prestigieuse (NDLR : l’Eurocup). Il faut savoir que l’on a été compétitif en Jeep Elite et en coupe d’Europe (NDLR : Nanterre a été la seule équipe française à parvenir en quart-de-finale de la Basketball Champions League). On a joué sur tous les fronts, on a mis beaucoup d’énergie dans tout ce que l’on faisait. J’ai senti lors des deux matches à Villeurbanne que l’on était touché physiquement et mentalement et ce soir c’est la conséquence de tout ça. On a tenu sur l’énergie les deux fois à Villeurbanne et ce soir il n’y a pas eu photo. C’est une grosse cylindrée et en enchaînant les matches comme ça sur des séries, le déficit physique se creuse à chaque confrontation.\\n\\nLa différence sur les trois matches se fait uniquement sur la fraîcheur physique ?\\n\\nNon, non. Quand vous voyez Villeurbanne et leur roster, il y a bien entendu la qualité de l’effectif. Il y a tous les ingrédients d’une équipe qui est largement supérieure à nous. Sur la saison régulière, on avait été capable de leur poser des problèmes comme à certaines équipes. Là, ils sont vraiment en mode playoffs. C’est un rouleau compresseur. Je pense que ça va faire une excellente finale contre Monaco. Ce sont deux équipes avec de gros effectifs qui mettent beaucoup d’intensité, qui peuvent faire beaucoup de changements. Je pense que ça va être une chance pour la Jeep Elite. On va assister à une belle finale avec Villeurbanne qui s’est imposé toute la saison et Monaco sur la deuxième partie et bien sûr sur les playoffs.\\n\\nCe qui faisait la particularité de la Pro A/Jeep Elite depuis l’époque de la domination de Pau, c’est que chaque année plusieurs équipes pouvaient être championnes. N’est-on pas passé dans une nouvelle ère où comme dans beaucoup de pays, les équipes aux plus gros budgets vont se retrouver en finale ?\\n\\nOui. En tous les cas ça se dessine comme ça. Il est sûr pour Villeurbanne que le fait qu’ils aient postulé et que maintenant ils soient en Euroleague -ça fait déjà quelques années qu’ils ont un budget et des moyens conséquents-, ça commence à porter ces fruits. Monaco c’est pareil. Et encore, on a réussi à se faufiler dans le dernier carré parce qu’il y a des équipes à plus gros budgets que nous qui se sont ratées. L’année prochaine ça va être féroce. A travers les premiers contacts que je peux avoir pour le recrutement, c’est la course à l’armement. Je m’aperçois que beaucoup de clubs ont des budgets conséquents pour pouvoir bâtir des équipes de haut niveau.\\n\\n« Comme souvent quand on a fait une très bonne saison, on repart devant une feuille blanche »\\n\\nIl y a une époque, dans les années soixante, où Villeurbanne avait la réputation de faire une OPA sur les meilleurs joueurs français. C’est un phénomène que l’on retrouve aujourd’hui ? Il n’y a pas cinquante JFL de haut niveau sur le marché. S’ils en prennent plus que la norme, il n’en restera plus beaucoup pour les autres ?\\n\\nC’est une logique économique et sportive et je crois qu’il ne faut pas être rageux par rapport à ça. Chacun doit trouver son créneau et c’est normal que les meilleurs joueurs JF soient contactés par Villeurbanne qui en plus va disputer l’Euroleague. Et c’est normal que les joueurs JFL qui sont plutôt dominants en Jeep Elite aient envie de tester la plus haute compétition en Europe et en l’occurrence c’est l’Euroleague. Bien sûr que c’est plus dur pour nous de bâtir des équipes derrière avec des budgets moins conséquents mais c’est la règle du sport professionnel. Je ne suis pas du tout aigri par rapport à ça. C’est pour ça que j’ai tenu à rendre un hommage appuyé à un garçon comme Lahaou Konate, à de jeunes Américains aussi, à travers la saison de Jeremy Senglin. De toutes façons, on sait où on est, on sait ce que l’on doit faire pour essayer de se maintenir dans la première partie de tableau. C’est faire en sorte que des joueurs franchissent le maximum de paliers dans notre club. Je ne sais pas où ira Lahaou l’année prochaine mais il le mérite tellement sur les deux saisons qu’il a fait chez nous... C’est toujours comme ça que ça a fonctionné à Nanterre et ça continuera de la même manière. On voudrait bien les garder les joueurs mais à un moment donné, économiquement, il y a des choses qui ne sont pas réalisables.\\n\\nPour remuer le couteau dans la plaie, il s’avère que c’est la plus grosse défaite de Nanterre en Pro A/Jeep Elite?\\n\\nOui (sourire). La deuxième mi-temps, c’était long pour vous, je pense, quand il n’y a pas de suspense avec un tel écart entre les deux équipes. J’aurais peut-être pu sauver les meubles en s’accrochant, en essayant de perdre de 20-25 points. Souvent on dit que dans un groupe les 9-10e sont des joueurs très importants et ces garçons là comme Corentin Carne ont été exemplaires tout au long de l’année, ils n’ont jamais pleuré sur leur temps de jeu et en plus, ils ont apporté à l’équipe. Je trouvais que c’était important que ces jeunes joueurs restent sur le terrain en deuxième mi-temps. Est-ce qu’on aurait pris beaucoup moins autrement ? Bien sûr que ça ne fait pas plaisir, c’est difficile d’encaisser un telle défaite mais je veux aussi me tourner vers le bilan de la saison et surtout à partir de demain construire l’équipe de l’année prochaine car malheureusement quand on fait une saison comme on en a fait une, à travers les matches de coupe d’Europe et de Jeep Elite, il y a des joueurs qui sont très convoités. Comme souvent quand on a fait une très bonne saison, on repart devant une feuille blanche. Ça, c’est problématique.\\n\\n[armelse]\\n\\nll n’y a pas pire façon de terminer la saison ?\\n\\nOui et c’est mon grand regret. Sur la série, on a vu que Villeurbanne était au-dessus et ce soir ils l’ont plus que largement démontré. On fera en sorte que les gens ne retiennent pas ce dernier match où je pense qu’il n’y avait plus du tout d’essence dans le moteur, et mental et physique et donc on a exposé en plein vol. C’est bien entendu dommage mais, si vous c’est votre travail, moi je n’ai pas spécialement envie de m’attarder sur le match de ce soir. Je pense plutôt à la saison que l’on a effectué qui nous permet de nous qualifier pour une septième année de suite en coupe d’Europe avec la possibilité d’en faire une plutôt prestigieuse (NDLR : l’Eurocup). Il faut savoir que l’on a été compétitif en Jeep Elite et en coupe d’Europe (NDLR : Nanterre a été la seule équipe française à parvenir en quart-de-finale de la Basketball Champions League). On a joué sur tous les fronts, on a mis beaucoup d’énergie dans tout ce que l’on faisait. J’ai senti lors des deux matches à Villeurbanne que l’on était touché physiquement et mentalement et ce soir c’est la conséquence de tout ça. On a tenu sur l’énergie les deux fois à Villeurbanne et ce soir il n’y a pas eu photo. 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Tout aussi étonnant, l’ancien ailier/pivot de Klaipedos Neptunas est venu faire en fin de semaine un crochet par l’Alsace, ce qui a permis au club de réaliser une première interview dans lequel l’Américain exprime sa gratitude envers la SIG de l’avoir sollicité si tôt.\\n\\n« Oui complètement ! Et c’est quelque chose de très important pour moi. Cela montre que ce club sait ce qu’il veut tant au niveau du management que pour le coach. C’est la chose la plus importante à mes yeux au moment de faire mon choix. J’ai très vite compris que nous avions un intérêt et un objectif commun. Il est clair que ce genre de considération de leur part m’a fait privilégier leur offre par la suite.«\\n\\nJerai Grant évoque son profil de joueur... Collectif.\\n\\n« Tout pour l’équipe, tout pour l’équipe toujours ! Vous pouvez en parler avec n’importe qui et n’importe où je suis passé, je place l’équipe, le collectif et l’objectif global comme la chose la plus importante. Il faut que tout le monde ait le même but. Coach Collet est l’un des meilleurs et est connu pour cela. A mes yeux c’est important car si le coach sait mettre en confiance tous ses joueurs vers un but unique, cela permet à chacun d’être encore meilleur car chacun sait ce qu’il a à faire. Moi je sais ce que je peux faire pour aider l’équipe, mais le coach aussi. Peu importe ce pourquoi je suis utilisé. Si je dois scorer, je prendrai mes responsabilités, si je dois jouer dur en défense, je le fais. En fait, c’est un tout, un ensemble de petites choses, qui, si chacun les applique permettent de faire avancer l’équipe.«\\n\\nIl raconte par ailleurs comment il a demandé la main de sa compagne... Original.\\n\\n« Ça c’était une sacrée expérience dans ma vie. Nous sommes ensemble depuis très longtemps. J’avais plus ou moins décidé du moment où j’allais lui faire ma demande. Nous venions de commencer les finales face à Kaunas. C’était lors du 2ème match et on jouait à domicile. C’était la folie dans la salle. Et j’avais dit à mes coéquipiers avant, que si on allait en finale, je ferai ma demande sur le terrain. Il y a eu l’hymne nationale et après ça tout est allé très vite. Elle est entrée sur terrain et j’ai vu son visage qui disait « mais qu’est-ce qui se passe ? » Il y avait ma fille aussi. C’était magnifique ... Et en prime on a battu le Zalgiris derrière, je finis à 6pts et 2rbs je crois mais ce n’était pas grave. C’était fou.«\\n\\nVoici comment cela s’est passé:\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Diandra Tchatchouang forfait pour l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la FFBB indique que gênée par un problème méniscal au genou gauche, et malgré les soins médicaux et les précautions prises depuis le début de la préparation, l’ailière tricolore Diandra Tchatchouang (1,86m, 28 ans) est contrainte de déclarer forfait pour l’Euro 2019 (27 juin au 7 juillet en Lettonie et en Serbie).\\n\\n« Cadre de l’Équipe de France féminine depuis de nombreuses années (83 sélections), Diandra Tchatchouang restera aux côtés du Groupe France lors des deux matches de préparation face à l’Ukraine à Mont-de-Marsan (10 et 11 juin).\\n\\nLa FFBB et le staff médical des Bleues seront ensuite à la disposition de la joueuse tricolore dans son protocole de soins et de réathlétisation afin qu’elle puisse revenir à son meilleur niveau, en particulier dans la perspective d’une participation au Tournoi de Qualification Olympique pour les J.O. de Tokyo 2020, » indique la FFBB.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"WNBA: 14 points pour Bria Hartley (New York) face à Washington" }, {"role": "assistant", "content":"La combo guard Bria Hartley (1,76m, 26 ans) doit rejoindre l’équipe de France pour le tournoi de Rennes le week-end prochain. En attendant, la Franco-Américaine a débuté la saison WNBA avec le New York Liberty et ses trois premiers matches avaient été sensiblement en deça de ses standards sur le plan offensif (7, 3 et 4 points).\\n\\nHier soir, face aux Washington Mystics, en sortant du banc, Bria Hartley a retrouvé sa verve avec 14 points à 4/10 aux shoots et aussi 6 rebonds, 5 passes et 1 interception.\\n\\nA noter qu’au Liberty figure également la Suédoise Amanda Zahui (1,96m, 25 ans) que les Bleues retrouveront à l’Euro au tour préliminaire et qui hier a marqué 6 points et pris 6 rebonds.\\n\\nMarine Johannès doit rejoindre la franchise de New York à l’issue de l’Euro." }, {"role": "user", "content":"Le Partizan Belgrade élit domicile à la Stark Arena, bientôt un retour en Euroleague ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il accueillait ses adversaires sur le parquet de la Aleksandar Nikolic Hall en Eurocup cette saison, le Partizan Belgrade vient de trouver un accord pour jouer au sein de la Star Arena pendant les cinq prochaines saisons, annonce le club. Suffisant pour obtenir une wild-card pour l’Euroleague ?\\n\\nL’ancienne salle du club serbe ne pouvant accueillir qu’un peu moins de 6 000 personnes, elle avait une capacité trop faible pour l’Euroleague. La Stark Arena, elle, fait état d’une capacité de 19 300 places. Elle accueillera d’ailleurs une partie du premier tour de l’Eurobasket féminin dans un mois.\\n\\nEliminé lors du Top 16 d’Eurocup cette saison, le Partizan n’a plus pris part à une campagne d’Euroleague depuis 2014 et à l’intention de demander une wild-card pour la saison prochaine. Mais le Partizan n’est pas le seul club sur les rangs, l’UNICS Kazan aussi a fait part de son souhait d’obtenir une wild-card pour l’Euroleague.\\n\\nLe président du club Ostoja Mijailovic s’est exprimé suite à cette annonce.\\n\\n« De cette façon, nous montrons qu’après la stabilisation et la mise en place d’un nouveau processus, nous sommes prêts à faire un pas en avant et nous sommes capable de réunir les conditions nécessaires à l’organisation de matchs dans les plus hautes compétitions d’Europe. Tout le monde sait que le club a dû payer de nombreuses pénalités lors des dernières années et cela a mis un gros coup au budget du club. Avec ce contrat, nous réglons ce problème et nous fournissons les conditions pour la sécurité de tous ceux qui veulent voir le Partizan jouer au plus haut niveau. 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Celui-ci confirme sur le site Internet du club que c’est le nouveau directeur sportif Crawford Palmer, qu’il a eu comme joueur à Badalone et Caceres qui est à la base de son engagement:\\n\\n« Dans une carrière d’entraîneur, il y a des joueurs avec qui les relations vont au-delà du sport. Quand il était dans mon équipe, j’ai tout de suite compris que Crawford était quelqu’un qui avait la faculté de partager, de former une équipe et de faire en sorte que les gens travaillent ensemble. Alors quand il m’a évoqué Limoges, j’ai tout de suite dit ‘’ok, on parle’’. »\\n\\nAlfred Julbe, qui compte 542 matches en Ligue ACB à son actif, a donné quelques précisions sur son style de jeu:\\n\\n« A Badalone, j’avais surtout un jeu basé sur la vitesse. Mais aujourd’hui, la priorité c’est d’avoir un collectif avec une grosse solidité défensive. J’ai déjà étudié le Championnat de France. Comme en Liga espagnole, les meilleures équipes ont cette solidité. Cela demande beaucoup de travail et un collectif très solide. Une fois que cela sera acquis, si on peut aussi produire de belles attaques, on ne se privera pas. Le club a déjà commencé à travailler sur l’effectif depuis quelques semaines. Il y a des discussions avec des joueurs que nous souhaitons conserver et nous avons déjà analysé de nombreux profils. Plus que le talent individuel, ce que nous recherchons ce sont des joueurs capables de s’intégrer dans un collectif. Comme dans un puzzle, toutes les pièces doivent s’imbriquer. Il faut des joueurs qui travaillent les uns avec les autres. » Avec forcément à l’esprit la volonté partagée par toute la nouvelle équipe du Limoges CSP. « Limoges est un club qui doit toujours viser le plus haut possible. Les dirigeants travaillent actuellement sur le budget. En fonction de ce budget, nous constituerons l’effectif le plus compétitif possible. Le CSP est un club qui doit regarder en haut. 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Orléans et Rouen ont fait régner l’ordre pour remporter la première manche.\\n\\nAu Palais des Sports d’Orléans, l’OLB a mené tout le long du match pour s’imposer 76-66 après 40 minutes. Les joueurs de Germain Castano ont pu se reposer sur leurs deux joueurs phares Miralem Halilovic et Brandon Jefferson qui ont respectivement compilé 25 points et 9 rebonds pour une évaluation de 31, et 22 points et 8 passes décisives pour une évaluation de 22. Le match retour aura lieu lundi soir à 20 heures à la Halle André Boulloche de Saint-Chamond.\\n\\nA la Kindarena de Rouen, Alexandre Menard et sa troupe ont confirmé leur statut de favori pour la montée en surpassant Gries-Oberhoffen (96-84) qui a pourtant éliminé Vichy-Clermont en seulement deux matchs en quart de finale. Jamal Diggs a été élu MVP de la rencontre avec 20 points, 5 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 27. Les deux équipes se retrouveront lundi soir à 20 heures à l’Espace Sport La Forêt de Gries pour la deuxième manche.\\n\\nOrléans et Rouen pourraient ainsi se qualifier pour la finale dès lundi soir.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Le baromètre des non-JFL: Le bilan, première partie" }, {"role": "assistant", "content":"La saison régulière est terminée, c’est l’heure de faire le bilan sur les non-JFL ayant animé la Jeep Élite tout au long de ces 34 journées. Aujourd’hui, la première partie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe rideau est tombé sur la saison régulière 2018-1019 de Jeep Élite, avec ses « couronnés », les huit équipes ayant accédé aux playoffs, ses « soulagés », celles qui se sont maintenues mais n’ont pas réussi à atteindre ces mêmes playoffs, et ses relégués, les deux équipes du sud-est, Fos-sur-Mer et Antibes.\\n\\nCes dix-huit équipes ont fait appel à un fort contingent étranger. Au total, sur la saison, entre départs, arrivées, blessures longue durée et piges plus ou moins rapidement achevées, ce sont pas moins de 127 joueurs non-JFL qui ont foulé les parquets de Jeep Élite, dont 50 disposant du statut « Bosman » ou « Cotonou », pour un bonne part des joueurs nord-américains évoluant avec un passeport « exotique », comme le « Polonais » A.J. Slaughter à LDLC Asvel ou le « Macédonien » Richard Hendrix au Mans, pour n’en citer que deux. Sans oublier les « vrais » Bosman/Cotonou comme Miro Bilan (LDLC Asvel), Olivier Troisfontaines (Cholet) ou Youssou Ndoye (Bourg-en-Bresse) pour être objectif.\\n\\nLors des dernières journées de la saison (en ne tenant pas compte de la dernière, jouée « pour du beurre » par certaines équipes qui n’ont pour l’occasion pas retenu tel ou tel joueur non-JFL ayant signé un contrat dans d’autres contrées), ils étaient 95 NJFL à arpenter les parquets, pour un maximum théorique de 108 (si toutes les équipes avaient atteint le quota maximal de quatre étrangers et de deux Bosman/Cotonou prévu par le règlement). Autrement dit, plusieurs équipes n’évoluaient pas avec 6 NJFL : à Limoges, à Boulazac, à Châlons-Reims et à Chalon, ils n’étaient que 4 (et encore, Juan Palacios étant blessé longue durée, Chalon a parfois joué avec seulement trois NJFL) ; quant à Dijon, Le Mans, Cholet, Le Portel et Fos, ce sont cinq NJFL que ces clubs ont aligné. En somme, la moitié des équipes de Jeep Élite a joué tout ou partie de la saison avec moins d’étrangers que ce qui lui était possible.\\n\\nRéussites et échecs de recrutement\\n\\nTout au long de la saison, notre « baromètre » a permis de suivre le rendement de ce contingent de non-JFL, avec ses hauts et ses bas. À la conclusion de cette saison régulière, nous vous présentons un bilan de ces joueurs étrangers, par club et par ordre alphabétique.\\n\\nAntibes (18e de la saison régulière)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n3 partis : Trevor Thompson, Danny Gibson, Louis Campbell\\n\\n3 arrivés en cours de saison : Chris Otule, Taurean Green, Jerrel Blassingame\\n\\nBon dernier de Jeep Élite, Antibes a tenté de rectifier le tir après ses erreurs de recrutement initiales (Thompson notamment). Pour un résultat neutre : rien n’a pu inverser la tendance.\\n\\nLe « général » Louis Campbell a d’abord fait son âge (40 ans) avant de disparaître de la rotation après la 18e journée, remplacé par un Jerrel Blassingamequi n’a pas plus brillé sur la Côte d’Azur que lors de son bref passage à Pau-Lacq-Orthez. Aigars Skele, lui, s’est montré plutôt consistant jusqu’à la 20e journée avant de progressivement disparaître de la rotation, supplanté par la montée en puissance d’Isaïa Cordinier. Arrivés pour les 9e et 10e journées, Chris Otule et Taurean Green ont d’abord montré de belles choses avant eux aussi de baisser doucement de pied. Le premier est parti après la 31ejournée, une fois la relégation assurée, alors que le second a réussi quelques belles perfs jusqu’au bout, mais sans effet sur les résultats de son équipe. Longtemps blessé (absent entre la J7 et la J16), Viktor Gaddefors a assuré de façon assez régulière son rôle d’homme de l’ombre ne lâchant rien. Pas une « star » mais un bon « soutier ». Quant à Tim Blue, l’âme de l’équipe, l’AVC qu’il a subi au cours de la saison précédente a laissé des traces, le joueur dominant des années passées ne se montrant que trop rarement. S’il n’a jamais rien lâché lui non plus (20 d’éval sur les cinq derniers matchs), il a tout de même vu ses stats baisser sensiblement par rapport aux précédentes saisons. Mais il n’est certainement pas à blâmer.\\n\\nBoulazac (10e)\\n\\n4 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : Lasan Kromah\\n\\n1 arrivée : Travis Leslie\\n\\nL’erreur de casting Lasan Kromah rapidement rectifiée par son remplacement par la valeur sûre Travis Leslie, Boulazac a connu une belle saison, pas bien loin des play-offs.\\n\\nOutre une base JFL de bonne qualité, le club doit ces bons résultats à un recrutement NJFL plutôt avisé (hormis Kromah, donc). Certes, Raymond Cowels n’a pas réédité ses prestations de la saison précédente avec Hyères-Toulon (9,4 points contre 15,2), constituant une véritable déception. Mais, à ses côtés, Kenny Cherry s’est imposé comme l’un des meneurs les plus rentables de la division, productif et régulier au point de prétendre à une place dans le très subjectif Top10 de la saison. Un statut auquel Travis Leslie peut lui aussi se montrer candidat, achevant la saison au 15e rang à l’évaluation de la division (et Chery à la 9e). L’intérieur Akil Mitchell a lui aussi bien répondu aux attentes, se montrant à la fois rentable et très complémentaire du pivot franco-néerlandais Nicolas De Jong.\\n\\nBourg-en-Bresse (9e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n2 départs : Kerem Kanter, Daniel Dixon\\n\\n2 arrivées : Mike Moser, Rob Gray (P)\\n\\n1 blessé longue durée : Zack Wright (J20 à J34)\\n\\n1 pigiste : Rob Gray\\n\\nL’équipe coachée par Savo Vucevic a réalisé une bonne saison, ne passant pas loin d’une qualification en playoffs. Et l’on peut supposer que sans la blessure de Zack Wright, la « Jeu » se serait montrée un postulant encore plus sérieux à une place dans le Top8.\\n\\nAprès avoir rapidement coupé ses deux erreurs de recrutement (Kerem Kanter et Daniel Dixon), Bourg a recruté Mike Moser pour épauler et suppléer ses deux intérieurs vedette, Zack Peacock et Youssou Ndoye. Une mission assumée très correctement, sans gros temps fort mais sans défaillance majeure. Pour sa part, Zack Wright, recrue majeure de l’intersaison passée, a montré à Bourg les mêmes qualités que précédemment à Strasbourg, assurant points, rebonds, passes et interceptions avec bonheur avant de se blesser gravement (hernie discale, absent depuis la J20). Arrivé pour la 25e journée, son remplaçant Rob Gray a réalisé de bonnes performances en attaque, mais sans apporter la même polyvalence ni la même emprise sur le jeu que son prédécesseur. Garrett Sim, l’autre meneur de la Jeu, a pour sa part tenu une place importante dans le dispositif pendant une bonne partie de la saison avant de baisser de pied dans les dernières journées. De son côté, après une bonne saison à Châlons-Reims, Lamonte Ulmer s’est montré un peu moins convaincant, alternant le bon et le moins bon dans une équipe orientée vers l’intérieur. Il faut dire que Bourg bénéficie d’une raquette XXL, avec Zack Peacock, MVP de la saison précédente, et Youssou Ndoye, pivot aux progrès constants. Un peu moins productif que l’année passée (17,8 pts contre 19,3), le premier fait tout de même toujours partie des meilleurs NJFL de Jeep Élite alors que le second a fortement amélioré toutes ses stats par rapport à la saison précédente, prenant la troisième place du classement des meilleures évaluations de Jeep Élite.\\n\\nChalon-sur-Saône (14e)\\n\\n4 joueurs non-JFL\\n\\n1 blessé longue durée : Juan Palacios (J26-J34)\\n\\n1 pigiste : Aaron Epps (J24 à J32)\\n\\nSaison décevante pour Chalon, marquée par bon nombre de blessures et un collectif qui n’a jamais donné sa pleine mesure.\\n\\nDe ce bilan morose, les NJFL recrutés à l’intersaison ne sont pas forcément responsables. Le meneur Justin Robinson finit meilleur passeur de la saison et 8e à l’éval. Mais il a parfois disparu et n’a pas réussi à sublimer son équipe. À ses côtés, l’arrière Vee Sanford s’est montré impeccable, produisant avec régularité des performances de très bon niveau. Juan Palacios, l’intérieur colombien, s’est pour sa part montré solide avant de se blesser et de ne plus reparaître en jeu depuis la J25. La déception provient de Mykal Ryley, ailier bien connu au Mans et à Nanterre, au rendement bien en deça de ses meilleures années (10,9 d’éval contre 12,9 l’an passé). Enfin, Aaron Epps, arrivé pour renforcer les lignes intérieures du club et suppléer aux blessures (Ousmane Camara et Palacios) n’aura fait qu’un court passage sans laisser un souvenir impérissable.\\n\\nChâlons-Reims (13e)\\n\\n4 joueurs non-JFL\\n\\n2 départs : Alex Abreu, Louis Adams\\n\\n1 arrivée : Zabian Dowdell\\n\\n1 blessé longue durée : Pape Badji (J5-J11 puis J14-J34)\\n\\nMi-figue, mi-raisin, la saison de Châlons-Reims n’a probablement pas provoqué d’autres réactions chez les supporters du club que le soulagement de n’avoir pas eu à lutter pour le maintien. Rien de bien enthousiasmant, donc.\\n\\nAu début de cette saison, le CCRB alignait six NJFL. Mais l’un, Louis Adams, était considéré comme un Espoir (avec le temps de jeu et les stats qui vont avec) alors que l’intérieur sénégalais Pape Badji s’est blessé trop rapidement pour être jugé. Ces deux-là n’ont pas été remplacés par d’autres NJFL (Yannis Morin a suppléé Badji), au contraire du décevant Alex Abreu, n’ayant pas réussi à franchir la marche entre ProB et Jeep Élite, remplacé par Zabian Dowdell à partir de la J12. Sauf rares exceptions (27 d’éval en J25, par exemple), ce dernier n’a pas révolutionné le jeu de son équipe, se contentant d’un rendement moyen (10,5 d’éval en 23 matchs). Sur les lignes arrières, le shooteur Jimmy Baron s’est montré intéressant, adroit de loin (44 % à 3 points) et assez complet. À ses côtés, le bien connu Blake Schilb a prouvé que l’âge ne l’avait pas encore rattrapé, réalisant sa meilleure saison en France depuis ses années chalonnaises (2009-2013). Quant à l’ex-Lakers Devin Ebanks, il restera plus dans les mémoires pour sa propension à scorer (18,8 points par match pour 13,2 shoots...) que pour son implication collective et défensive...\\n\\nCholet (15e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n3 départs : Jonathan Augustin-Fairell, Danny Gibson, Tywain McKee\\n\\n4 arrivées : Danny Gibson, Frank Hassell, London Perrantes, Anthony Goods\\n\\nAu terme d’une saison très laborieuse, Cholet a réussi à se maintenir, ce qui est sans doute la seule satisfaction de l’année dans les Mauges.\\n\\nCôté NJFL, les motifs de réjouissance sont également réduits. En début de saison, les recrutements de Jonathan Augustin-Fairell et Tywain McKee se sont révélés des échecs, alors que l’arrivée (J7) de Danny Gibson n’a pas été couronnée de succès (3,0 d’éval en deux matchs) avant que le joueur reparte suite à un imbroglio au sujet de son passeport camerounais. Le nouveau meneur NJFL de Cholet n’est arrivé que pour la J11 : London Perrantes, venu se relancer après son échec à Limoges. Une opération bénéfique pour les deux parties puisque le club a sauvé sa place en première division et que le joueur a montré qu’il valait mieux que ce que laissaient penser ses prestations limougeaudes. Cela étant, après des débuts pétaradants, Perrantes a alterné le bon et le moins bon lors de la dernière partie de la saison. Arrivé pour sa part lors de la 4e journée, Frank Hassell a prouvé qu’il restait une machine à statistiques mais sa défense semble ne pas avoir été au goût d’Erman Kunter. Un constat similaire peut être fait à l’égard de Michael Young qui, après un début de saison laborieux, est monté en puissance à partir de la J10 avant de s’étioler puis de connaître un regain de forme dans la dernière ligne droite, mais toujours en privilégiant le côté attaque du terrain. Pour sa part, Olivier Troisfontaines, Belge en provenance d’Alost, n’a pas fait honneur à sa réputation de shooteur : 36,3 % au tir. Autre déception, Antywane Robinson, qui n’a pas réussi à reproduire les belles saisons qu’il avait réalisées entre 2008 et 2011 dans les Mauges. Enfin, Anthony Goods est arrivé lors de la J23 pour étoffer le roster, mais Kunter ne s’attendait sans doute pas à des productions aussi discrètes : 3,3 pts et 3,1 d’éval en 12,2 minutes.\\n\\nDijon (3e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n1 départ : Robert Arnold\\n\\n1 arrivée : Tarence Kinsey\\n\\nLa JDA Dijon, c’est l’excellente surprise de la saison, finie en 3e position avant d’actuellement participer aux demi-finales de play-offs.\\n\\nEt le contingent NJFL bourguignon n’est pas pour rien dans cette réussite. Avec en tête d’affiche le meneur David Holston, très justement récompensé par le titre de MVP de la saison. Scoreur, passeur, régulier et décisif, le micro-meneur a accompli une saison au plus-que-parfait. Un qualificatif que n’est pas loin de mériter le surpuissant pivot Gavin Ware qui, sur un court temps de jeu (20,3 mn/match), a montré toutes ses qualités sauf quelques rares trous d’air. Son « collègue » de l’intérieur Ryan Pearson a pour sa part confirmé qu’il s’insérait très bien dans le collectif de Laurent Legname, se montrant productif en attaque (malgré un maigre 28,5 % à 3 pts) comme en défense. Quant à Obi Emegano, il a su sans briller mais avec abnégation passer de première gâchette en ProB à joueur de rôle en Jeep Élite, se concentrant sur le collectif plus que sur ses stats personnelles. Seul recrutement raté, Robert Arnold, semble-t-il blessé au coude, n’a pas convaincu et est reparti au bout de dix journées, pour être remplacé par Tarence Kinsey, qui n’a guère justifié son impressionnant pedigree (NBA, Fener, Malaga, Anadolu Efes, Partizan, etc.).\\n\\nFos-sur-Mer (17e)\\n\\n5 joueurs non-JFL\\n\\n2 arrivées : Jarvis Varnado, Giannis Athinaiou\\n\\n1 blessé longue durée : Jaraun Burrows (J8-J13 puis J16-J34)\\n\\n2 pigistes : Corey Fischer, Tyler Roberson\\n\\nFos-sur-Mer n’aura passé qu’une saison en Jeep Élite avant de devoir redescendre (sauf décision sur tapis vert, si Gries et Saint-Chamond venaient à s’affronter en finale des play-offs d’accession de ProB), la faute notamment à une défense trop permissive.\\n\\nAu départ de la saison, Fos faisait appel à six NJFL, mais le Bahaméen Jaraun Burrows n’a pu jouer que 9 matchs (J1-J7 puis J14-15) par la faute de blessures, non sans avoir réalisé deux très bons matchs lors de sa « première période ». Autre joueur à avoir longtemps été blessé (J23-J31), Marcus Dove a réalisé une saison moyenne, marquée par quelques coups d’éclat mais surtout par de nombreuses productions peu enthousiasmantes, avec 6,3 pts de moyenne au total. Seule « valeur sûre » du recrutement estival, Ron Lewis a longtemps porté à bout de bras l’attaque de Fos, avant de baisser de pied en fin de saison. L’autre extérieur recruté, Malik Hairston, était lui un pari : un joueur à gros CV (NBA, Milan, Galatasaray...) mais sortant d’une saison blanche. Au final, il a alterné entre blessures (4 matchs manqués), belles performances, matchs totalement ratés et autres corrects, entachés par une adresse médiocre : 41,1 % au shoot. Un pari à moitié réussi, donc, même si le joueur n’a jamais manqué de combativité. Pour compenser les manques de l’effectif, Fos a fait appel dès la J18 au meneur grec Giannis Athinaiou qui, après de bons débuts (deux matchs entre 15 et 24 d’éval), s’est peu à peu stabilisé dans un rendement moyen (6,9 d’éval, 34,8 % au shoot) en tant que doublure d’Edouard Choquet. Une journée plus tôt était arrivé le pivot Jarvis Varnado qui, après des débuts catastrophiques (deux matchs à 0 d’éval), a progressivement élevé son niveau pour devenir l’une des armes majeures du club. Pour leur part, les pigistes Corey Fischer (J6-J10) et Tyler Roberson (J25-J31) ont laissé des souvenirs opposés : le premier s’est montré plutôt convaincant à la mène alors que le second n’aura pas vraiment marqué son territoire à l’intérieur (3,9 d’éval en 16,1 mn).\\n\\nGravelines-Dunkerque (11e)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n1 blessé longue durée : Edgar Sosa\\n\\n1 arrivée : Kendall Anthony\\n\\nAnnoncé comme un prétendant aux play-offs, le BCM n’a pas justifié son rang, terminant à une 11eplace peu flatteuse pour un effectif séduisant sur le papier.\\n\\nAu premier rang de cet effectif se place un joueur qui n’a aucun reproche à se faire, Taylor Smith. Le petit pivot s’est montré impeccable, produisant des stats meilleures que celles de l’année précédente dans pratiquement tous les secteurs (à l’exception des contres, mais avec quand même 1,7 contre/match). En revanche, Karvel Anderson, auréolé d’une belle saison à Boulazac, n’a pas justifié tous les espoirs placés en lui. Certes, il s’est montré capable de très grosses parties (dont un 39 pts, 38 d’éval en J30 face à Fos) mais est souvent passé à travers, se montrant au final moins productif que dans le Périgord. Autre joueur à laisser une impression mitigée, Myles Hesson a réalisé de trop rares bons matchs, pour la plupart en fin de saison. Une saison moyenne, voire décevante. Signé pour son shoot à 3-points et son sens du collectif, Scott Wood a longtemps justifié sa réputation, avec notamment 44,3 % derrière l’arc. Mais il s’est montré plus à la peine en fin de saison, sans toutefois jamais faillir dans son rôle de « facilitateur ». À la mène, le Dominicain Edgar Sosa a vu sa saison perturbée par les blessures (J15-J21 puis J28-J34), proposant par moments de très belles choses avant de peiner à reprendre, de remonter en puissance et... de rechuter. Venu le suppléer lors de la J15, Kendall Anthony a d’abord effectué des débuts tonitruants (19,2 d’éval sur ses cinq premiers matchs) avant de petit à petit voir sa production chuter considérablement (3,8 d’éval sur les cinq derniers matchs).\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\nLe rideau est tombé sur la saison régulière 2018-1019 de Jeep Élite, avec ses « couronnés », les huits équipes ayant accédé aux playoffs, ses « soulagés », celles qui se sont maintenues mais n’ont pas réussi à atteindre ces mêmes playoffs, et ses relégués, les deux équipes du sud-est, Fos-sur-Mer et Antibes.\\n\\nCes dix-huit équipes ont fait appel à un fort contingent étranger. Au total, sur la saison, entre départs, arrivées, blessures longue durée et piges plus ou moins rapidement achevées, ce sont pas moins de 127 joueurs non-JFL qui ont foulé les parquets de Jeep Élite, dont 50 disposant du statut « Bosman » ou « Cotonou », pour un bonne part des joueurs nord-américains évoluant avec un passeport « exotique », comme le « Polonais » A.J. Slaughter à LDLC Asvel ou le « Macédonien » Richard Hendrix au Mans, pour n’en citer que deux. Sans oublier les « vrais » Bosman/Cotonou comme Miro Bilan (LDLC Asvel), Olivier Troisfontaines (Cholet) ou Youssou Ndoye (Bourg-en-Bresse) pour être objectif.\\n\\nLors des dernières journées de la saison (en ne tenant pas compte de la dernière, jouée « pour du beurre » par certaines équipes qui n’ont pour l’occasion pas retenu tel ou tel joueur non-JFL ayant signé un contrat dans d’autres contrées), ils étaient 95 NJFL à arpenter les parquets, pour un maximum théorique de 108 (si toutes les équipes avaient atteint le quota maximal de quatre étrangers et de deux Bosman/Cotonou prévu par le règlement). Autrement dit, plusieurs équipes n’évoluaient pas avec 6 NJFL : à Limoges, à Boulazac, à Châlons-Reims et à Chalon, ils n’étaient que 4 (et encore, Juan Palacios étant blessé longue durée, Chalon a parfois joué avec seulement trois NJFL) ; quant à Dijon, Le Mans, Cholet, Le Portel et Fos, ce sont cinq NJFL que ces clubs ont aligné. En somme, la moitié des équipes de Jeep Élite a joué tout ou partie de la saison avec moins d’étrangers que ce qui lui était possible.\\n\\nRéussites et échecs de recrutement\\n\\nTout au long de la saison, notre « baromètre » a permis de suivre le rendement de ce contingent de non-JFL, avec ses hauts et ses bas. À la conclusion de cette saison régulière, nous vous présentons un bilan de ces joueurs étrangers, par club et par ordre alphabétique.\\n\\nAntibes (18e de la saison régulière)\\n\\n6 joueurs non-JFL\\n\\n3 partis : Trevor Thompson, Danny Gibson, Louis Campbell\\n\\n3 arrivés en cours de saison : Chris Otule, Taurean Green, Jerrel Blassingame\\n\\nBon dernier de Jeep Élite, Antibes a tenté de rectifier le tir après ses erreurs de recrutement initiales (Thompson notamment). Pour un résultat neutre : rien n’a pu inverser la tendance.\\n\\nLe « général » Louis Campbell a d’abord fait son âge (40 ans) avant de disparaître de la rotation après la 18e journée, remplacé par un Jerrel Blassingame qui\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, »\\ntype= »show »][arm_setup id= »2′′\\nhide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Jeep Elite: L’ASVEL balaye Nanterre en trois manches et va défier Monaco en finale" }, {"role": "assistant", "content":"Comme Monaco, Villeurbanne va se présenter invaincu en playoffs ayant gagné ses deux matches contre Le Mans puis les trois contre Nanterre. Les deux premiers de la saison régulière sont encore montés d’un cran pour l’emballage final et l’ASVEL a étouffé dans l’oeuf tout espoir de survie de Nanterre pour s’imposer 99-56. La finale devrait générer davantage de suspense que les séries de demi-finales. Du moins faut-il l’espérer pour l’intérêt de ces playoffs de Jeep Elite 2019.\\n\\nDans un palais des sports Maurice-Thorez pas bien grand mais plein de 3 000 spectateurs et une ambiance XXL vis à vis celle de Monaco et Villeurbanne, c’est... l’ASVEL qui s’est sentie tout de suite pousser des ailes. 6-21 en moins de 6 minutes avec 14 points de la paire d’intérieurs Adreian Payne/Livio Jean-Charles. C’est sa puissance athlétique conjuguée à une belle adresse qui avait permis à l’ASVEL de faire ce premier break que l’on retrouvait à l’issue du premier quart-temps. Les Villeurbannais avaient empilé 32 points tout en défendant le plomb avec 18 points encaissés.\\n\\nCe n’est pas tant que l’ASVEL desserrait les crocs, c’est plutôt que Nanterre parvenait à jouer enfin sur le bon tempo mené par un Jeremy Senglin saignant comme un steak tartare (15 points sur ses 19 premières minutes de jeu). L’écart redescendait un temps à huit points (24-32) mais les Villeurbannais par leur défense sans temps faible interdisaient aux Nanterriens tout moment d’euphorie. Les hommes de Pascal Donnadieu dégustaient de tous les côtés et sur deux trois-points de Théo Maledon l’addition montait à 33-58 à la mi-temps. Réputés pour leur adresse à trois-points, les Nanterriens avaient réalisé un pathétique 1/12 dans l’exercice (contre 7/13 à l’ASVEL) et s’étaient fait dévorer tout crû au rebond (9 à 20). Autre chiffre cruel: Jeremy Senglin totalisait à lui seul 15 des 25 d’évaluation de son équipe. Beaucoup trop isolé.\\n\\nEt l’avalanche se poursuivait sans faiblir à la reprise. Un écart de trente points était enregistré dès la 22e minute, 33-63. L’ASVEL évoluait en totale confiance, un peu comme lors d’une exhibition. Les quarante points de marge était signalés dix minutes plus tard (44-84). Les Nanterriens n’aspiraient visiblement qu’à une chose: que le sacrifice se termine ! Mais rien ne leur était épargné, y compris que l’ASVEL se retrouve avec le double de points qu’eux (44-89) alors que Charles Galliou et Sofiane Briki étaient sur le terrain. L’évaluation finale n’était pas non plus belle à voir: 46 à 134 ! Au moins ont-ils évité d’en prendre 100.\\n\\nLe public avait le mérite de finir le match debout et les choeurs du kop de donner de la voix jusqu’au bout et de crier « Merci Nanterre » en guise de récompense d’une belle saison malgré tout.\\n\\nLes matches de la finale\\n\\n * Épisode 1 : samedi 15 juin à 18h30, Villeurbanne-Monaco\\n * Épisode 2 : lundi 17 juin à 20h45, Villeurbanne-Monaco\\n * Épisode 3 : jeudi 20 juin à 20h45, Monaco-Villeurbanne\\n * Épisode 4 : samedi 22 juin à 20h30, Monaco-Villeurbanne, si nécessaire\\n * Épilogue : mardi 25 juin à 20h45, Villeurbanne-Monaco, si nécessaire\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Livio Jean-Charles" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde 3×3 U18 : la France en bronze" }, {"role": "assistant", "content":"Si les Etats-Unis sont sortis vainqueurs de la coupe du Monde U18 en Mongolie chez les garçons et les filles, les Bleues ont remporté la médaille de bronze.\\n\\nAprès avoir battu les Philippines, les Pays-Bas, la République Tchèque et la Mongolie en phase de poules, les coéquipières de Lisa Dufon ont surclassé le Mexique avant de tomber sur un os en demi-finale face aux USA. Lors de la petite finale, les Françaises l’ont emporté 15-13 face aux Chinoises.\\n\\nL’Equipe de France masculine n’a pas participé à la compétition.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Interview Clément Cavallo (Roanne) : «Il y a des entraînements où on se mettait sur la gueule, on se criait dessus»" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Roanne en 2016 avec pour objectif de faire remonter la Chorale en Jeep Elite, Clément Cavallo termine l’exercice 2018/19 avec un titre de champion de France Pro B ainsi qu’une Leaders Cup Pro B. Capitaine de l’effectif de Laurent Pluvy, il revient avec nous sur cette saison forte en émotion. Il fait partie des quatre joueurs français de Roanne qui vivront la montée en Jeep Elite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nRacontez-nous votre saison, les moments forts.\\n\\nÇa a été une saison quand même assez longue parce qu’on a commencé par des matchs amicaux, on a enchaîné avec les matchs de poules de la Leaders Cup et du coup ça nous a quand même rajouté quelques matchs en plus de ceux de championnat. On a bien commencé la saison et on a eu un match un peu référence, comme le disait le coach, à Blois. Il a lancé un peu notre saison (ndlr, victoire de onze points et six joueurs au-dessus de 10 d’évaluation), même si avant on avait quand même fait le boulot. Se qualifier pour la finale de la Leaders Cup après avoir perdu la demi-finale aller contre Orléans c’était un gros moment de la saison. Ensuite, malheureusement, on a commencé à être touché par les blessures. On a perdu Mathis Keita, mais c’est pareil on tape Orléans à la maison en championnat sans Mathis et sans Matt (Carlino) mais avec Bryan (Pamba), pigiste médical de Mathis. Ça a été un moment fort parce que sans nos deux meneurs et avec un joueur qu’on venait de récupérer trois jours avant on tape Orléans, qui était un des favoris pour la première place cette année. Après ça, on termine bien l’année, on commence bien 2019, on gagne cette finale de Leaders Cup à Disney, on récupère Mathis, on ajoute Ilian Evtimov, on enchaîne les bonnes victoires, on perd Ferdi (Prénom) et là on se dit que ça risque quand même d’être un peu compliqué parce que Ferdinand c’est un point de fixation important dans notre attaque. Malgré tout on est resté soudés et certains joueurs comme Pierre Brun ont pu saisir leur chance en étant un peu plus souvent sur le terrain et en signant de très bons matchs. Après tout ça on perd Ilian Evtimov, on récupère Ivan Février pour cinq matchs. On perd à Griès, ça nous met un petit coup au moral, mais après on s’était dit qu’on avait un match de quart, une demi et une finale à jouer pour avoir le titre. On tape Blois et Vichy à la maison avec un public incroyable et on arrive à faire le boulot en restant concentré à Caen et voilà. Ça se termine en apothéose avec un titre et un doublé à la clé. Mentalement et physiquement c’était éprouvant même si le staff a fait en sorte qu’on puisse tourner à chaque fois. C’était une belle saison.\\n\\nUn mot sur Laurent Pluvy et votre relation avec lui?\\n\\nC’est ma troisième année avec lui. Je suis arrivé en même temps à Roanne et il m’avait fait signer trois ans, comme lui, pour le projet qui était de monter en Jeep Elite en trois ans. Avant cela je ne le connaissais pas personnellement, je le connaissais à la télé quand il jouait à l’ASVEL. Je l’avais juste rencontré en tant que coach adverse quand il entraînait Saint-Vallier ou Evreux. Avec Mathis (Keita), je suis le relais de l’équipe, on discute beaucoup. On a une relation qui est super, c’est vrai qu’il m’a directement mis en confiance et dans le bain. Ça m’a beaucoup aidé dans mon intégration à la Chorale.\\n\\nQuel était votre sentiment en début de saison ?\\n\\nJe sentais qu’il y avait quelque chose à faire. On a perdu en finale de playoffs l’année dernière mais on signe une très grosse saison. Comme cette année, on a terminé avec huit défaites mais Blois avait réussi à faire encore mieux. Il y avait encore la déception de la finale perdue mais en renouvellement le groupe, en ajoutant Matt (Carlino) et Ferdi (Prénom), avec le fait qu’on ait gardé cette ossature de huit joueurs et cette ambiance, parce qu’on s’entend vraiment bien, je me suis dit que ça pouvait le faire. On a eu les aléas des blessures mais on s’est dit « de toute façon il faut tout donner et on se serre les coudes ». C’est ce qui a fait notre force. J’espérais au début de saison qu’on réussisse à faire quelque chose d’énorme. Si on m’avait dit Leaders Cup et champion de France, j’aurais signé directement (sourire).\\n\\nQuelles ont été les forces de l’équipe ?\\n\\nL’ossature et l’ambiance dans l’équipe. Il n’y a pas un joueur qui a joué plus de 30 minutes de moyenne, on avait un cinq aussi talentueux sur le banc qu’au début du match. On a été solidaires, ce qui fait que quand on perdait un joueur sur blessure on se mobilisait tout de suite pour compenser l’absence de notre coéquipier. Vu qu’on se connaissait bien, on pouvait se dire les choses. Ce n’était pas tous les jours tout rose. Il y a des entraînements où on se mettait sur la gueule, on se criait dessus, mais vu qu’on se connaissait, on pouvait se dire les choses franchement sans se dire que c’était simplement pour descendre les uns ou les autres. C’était vraiment pour s’aider. Le fait d’accepter les critiques et les conseils ça nous a aussi aidé.\\n\\nLa Leaders Cup a dû aussi être un moment spécial avec tous les supporters qui ont fait le déplacement.\\n\\nC’est clair ! Avec Thomas (Ville), Pierre (Brun) et le staff on l’avait déjà vécu, ils étaient 500 supporters. C’était déjà incroyable. Mais oui ça l’était encore cette année. C’est toujours sympa de jouer dans le cadre de Disney, surtout pour moi qui suis un grand fan de tout ça. C’est toujours spécial parce qu’il y a un trophée à la clé. On voulait gagner le maximum de matchs donc cette finale on l’a joué pour la gagner, clairement, parce qu’on ne s’était pas cassé le cul à revenir en demi-finale. C’était un super moment et puis cette fois-ci on a vraiment pu profiter du truc et célébrer entre nous parce qu’il n’y avait pas de match la semaine qui a suivi.\\n\\nQue change le rôle de capitaine ?\\n\\nC’est la quatrième année de suite que je suis capitaine d’une équipe professionnelle. La pression je l’avais la première année à Toulon. J’ai pu m’habituer à ce rôle lors de cette année-là. J’ai pris ce rôle et j’espère de l’honorer au maximum, du mieux que je peux. J’essaye de faire au mieux pour les gars sur et en dehors du terrain. Mais ça ne change pas la manière de jouer. Ça complète mon rôle de joueur.\\n\\nC’est votre deuxième titre de champion de Pro B, lequel est votre préféré ?\\n\\nC’est différent parce qu’à Toulon on va dire que c’était surprenant. Personne, mais vraiment personne ne s’attendait à ce qu’on gagne et on le gagne surtout à quatre journées de la fin du championnat. Cette saison, on était attendus dès la pré-saison. On était annoncé parmi les favoris avec Orléans et Nancy. Le fait d’être attendu tous les week-ends, de gagner la Leaders Cup et de rester concentré, même le fait d’enchainer après une difficile saison l’année dernière et de se battre jusqu’à la dernière journée pour ce titre lui rajoute une saveur. Celui de cette saison est plus savoureux parce qu’on s’est battus pendant les 34 journées en plus des huit ou neuf matchs de Leaders Cup. En plus on fait le doublé. On va dire que le doublé l’emporte sur le titre de 2016. Même si celui de 2016 reste un souvenir assez incroyable dans mon club formateur.\\n\\nVous êtes en fin de contrat, souhaitez-vous prolonger avec Roanne ?\\n\\nBien sûr ! C’est mon souhait, mais je ne suis pas le seul à prendre une décision, il y a deux parties. On verra bien, l’important c’était déjà de tout donner à l’équipe, de bien finir le championnat et mon cas personnel passe après ça. J’aimerais bien accompagner Roanne en Jeep Elite. C’est aussi pour ça que j’ai signé il y a trois ans. C’est un grand club, le but était de remonter, c’est fait, continuer avec ce club serait la cerise sur le gâteau.\\n\\nVous pouvez donc re-gouter à la Jeep Elite avec un rôle plus conséquent que la première fois. A quoi vous attendez-vous ?\\n\\nC’est vrai que la dernière fois que j’ai joué en Jeep Elite ça s’appelait encore la Pro A. C’était lors de ma dernière année espoir. Si j’ai l’occasion d’y aller, je me dis juste que c’est un nouveau challenge. Je ferais tout pour m’y acclimater en continuant de jouer comme je joue. Le plus important sera d’aider l’équipe à gagner. Je continuerais de jouer mon jeu et ça passera peut-être en Jeep Elite, ce que j’espère. Continuer à progresser et prendre du plaisir en jouant en Jeep Elite.\\n\\nComment vous sentez-vous dans la ville de Roanne, le soutien des supporters ?\\n\\nJe me sens très bien. J’ai vraiment été très bien accueilli par tout le monde à Roanne. J’ai pu voir l’évolution du soutien du public choralien. Les supporters sont importants à chaque match, ils sont là, ils nous soutiennent. J’espère qu’on leur a bien rendu. Je me sens très bien ici. C’est une ville sympathique, ce n’est pas une grande ville mais moi ça me va. C’est une ville qui vit basket donc c’est plaisant.\\n\\nComment avez-vous vécu la fête pour le titre ?\\n\\nC’était super ! Il y avait à peu près 1 000 personnes qui nous attendaient place de l’hôtel de ville. C’était un moment de communion entre la ville, les supporters et nous. On a déjà savouré le retour en bus à Roanne, le samedi soir pareil. Pendant quatre jours ça a été un peu la fête et on essaye de savourer surtout les moments entre nous les joueurs parce que c’était surement notre dernier moment aux douze ensemble. L’important c’était de profiter des uns des autres pour fêter ce doublé. C’est historique et il faut prendre conscience de ce qu’on a fait.\\n\\nQui voyez-vous remporter les playoffs de Pro B?\\n\\nFranchement, je ne sais pas. Si je dois me mouiller je vois juste Orléans et Rouen en finale. C’est le plus simple. Gries peut faire la surprise aussi, c’est compliqué d’aller gagner là-bas. Je dis Orléans et Rouen en finale mais je ne suis même pas sûr de moi !\\n\\n[armelse]\\n\\nRacontez-nous votre saison, les moments forts.\\n\\nÇa a été une saison quand même assez longue parce qu’on a commencé par des matchs amicaux, on a enchaîné avec les matchs de poules de la Leaders Cup du coup ça nous a quand rajouté quelques matchs en plus de ceux de championnat. On a bien commencé la saison et on a eu un match un peu référence, comme le disait le coach, à Blois. Il a lancé un peu notre saison (ndlr, victoire de onze points et six joueurs au-dessus de 10 d’évaluation), même si avant on avait quand même fait le boulot. Se qualifier pour la finale de la Leaders Cup après avoir perdu la demi-finale aller contre Orléans c’était un gros moment de la saison. Ensuite, malheureusement, on a commencé à être touché par les blessures. 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La Roca Team s’est révélée un cran au-dessus sur la série.\\n\\nIl y a énormément de déception parce qu’on voulait vraiment prendre ce match-là. Ce n’est pas passé donc c’est vraiment frustrant parce qu’on a vraiment fait l’entame qu’il fallait. Ça s’est joué sur des détails et sur l’ensemble de la série ce sont ces petits détails qui ont fait la différence. Encore une fois, mes joueurs ont été fabuleux ce soir au niveau de l’énergie mais aussi au niveau basket. Sur l’ensemble de la série on s’est quasiment hissé au niveau de Monaco, mais pas assez pour prendre un match.\\n\\nMalgré tout, le technicien dijonnais a remercié les supporters présents dans la salle pour cette dernière sortie de la saison.\\n\\nLe public nous a poussé. Les joueurs méritaient que la salle soit pleine. Je pense que cette année les gens ont eu du caviar tout au long de la saison. L’engagement sur le terrain, les valeurs qu’on porté les joueurs et le jeu qui a été proposé ont ravi les amoureux de la JDA. Les joueurs ont été contents de voir cette salle pleine. Tout au long de l’année, le public a été vraiment présent. C’était très difficile de venir gagner ici et c’est aussi grâce aux supporters.\\n\\n\\n🎙️ Laurent Legname en conférence de presse après la rencontre d'hier#JDAASM #PlayoffsJeepELITE #Dijon pic.twitter.com/0HzSx7SyqP\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) June 7, 2019\\n\\n\\nPhoto : FOXAEP" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : vers une prolongation de deux ans pour Will Clyburn au CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"En fin de contrat à Moscou, Will Clyburn (2,01m, 29 ans) devrait continuer avec le CSKA.\\n\\nD’après Eurohoops, le natif serait sur le point de signer un nouveau contrat de deux ans la formation moscovite. Arrivé en Europe en 2013, l’ancien pensionnaire d’Iowa State n’a jamais cessé de monter en grade. 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Vous pouvez signer un contrat de dix mois, et si l’équipe ne joue pas les playoffs, vous perdez deux mois de salaire. Et tous les deux mois, le club peut vous remplacer. Pour ces raisons, je vais m’intéresser à un retour en Europe. Je ne peux pas retourner en Grèce parce que je n’ai pas d’offre. Je vais me tourner vers l’Espagne, un pays que j’aime. »\\n\\nEn Espagne, l’international grec a joué pour le FC Barcelone (2006), le Real Madrid (2013-15) et Vitoria (2015/16). Le double vainqueur de la coupe d’Espagne ressent d’ailleurs une affection particulière pour le club basque.\\n\\n« J’ai vécu une saison incroyable au Baskonia. Je les adore et je les apprécie vraiment. 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Après une finale qui est allée au bout des cinq manches possibles en l’Etoile Rouge de Belgrade et le Buducnost Podgorica, c’est le club serbe qui a remporté la mise (4e Ligue Adriatique de son histoire) et qui fera son retour en Euroleague après une saison en Eurocup. C’est Billy Baron, le frère de Jimmy (CCRB), qui a été élu MVP des playoffs.\\n\\n\\nBelgique\\n\\nLes playoffs sont bien avancés. La finale va débuter ce vendredi 7 juin. Elle opposera Anvers à Ostende qui ont fait respecter la hiérarchie ayant terminé respectivement à la première et deuxième place du classement au terme de la saison régulière. Cette finale se jouera, comme en France, au meilleur des cinq matchs. Anvers, demi-finaliste de Champions League, a éliminé Malines en quart puis Bruxelles en demi. Ostende s’est d’abord défait de Alost, puis Limbourg.\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nLes playoffs sont au même niveau qu’en Jeep Elite, c’est-à-dire en demi-finale. Le Bayern Munich (1er du classement) mène 2-0 face à Vechta (4e) tandis que l’ALBA Berlin (3e) mène également 2-0 face à Oldenbourg (2e). Les deux premiers à remporter trois manches se qualifient pour la finale. A noter que Bamberg s’est fait éliminer dès les quarts de finale par l’équipe surprise de la saison, Vechta.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nLes demi-finales viennent de commencer. Champion en titre, le Real Madrid (1er du classement) a reçu Valence (4e) pour le premier match ce jeudi soir pour un remake de la finale 2017 et s’est imposé. De l’autre côté, le FC Barcelone (2e) sera opposé à Saragosse (6e) qui, contre toute attente, a fait sortir Vitoria en deux manches sèches en quart. Saragosse est d’ailleurs la seule équipe de ce carré finale à ne jamais avoir remporté le moindre championnat.\\n\\n\\nItalie\\n\\nLes demi-finales se terminent vendredi soir avec l’ultime manche entre Crémone (3e du classement) et Venise (2e). Après avoir, à la surprise générale, éliminé Milan (1er) en seulement trois matchs, le Dinamo Sassari (4e) est dans l’attente de connaitre son adversaire en finale.\\n\\n\\nVTB League\\n\\nSans surprise ce sont les deux équipes de Moscou qui se retrouvent en finale, le CSKA (1er du classement) et le Khimki (3e). Après une première manche disputée mercredi soir, ce sont les coéquipiers de Nando De Colo qui mènent. Pour arriver en finale, le CSKA a éliminé Novgorod puis le Zenith Saint-Petersbourg, tandis que le Khimki a surpassé Astana et Kazan.\\n\\n\\nTurquie\\n\\nLes demi-finales sont actuellement en train de se jouer. L’Anadolu Efes (1er du classement) affronte le Galatasaray (4e) tandis que le Fenerbahce (2e) est opposé au Tofas Bursa (3e). L’Efes, finaliste d’Euroleague, mène pour l’instant 2-0, tout comme le Fenerbahce.\\n\\n\\nGrèce\\n\\nL’exercice 2018/19 a été particulièrement agité en raison des conflits entre l’Olympiakos, le Panathinaïkos et la ligue Grecque. Alors que le club du Pirée a déclaré forfait d’entrée de jeu, le Panathinaïkos (3e du classement) s’est qualifié pour les demi-finales et a infligé un 3-0 net à Peristeri (2e) pour se hisser en finale nationale. En face, son adversaire sera l’AEK Athènes (1er) ou Patras (4e). Ces deux équipes se rencontrent ce vendredi à l’OAKA pour une cinquième et ultime manche.\\n\\n\\nIsraël\\n\\nLes quarts de finale viennent de se terminer et laissent place aux demi-finales qui démarreront le 10 juin. Sont opposés le Maccabi Tel-Aviv (1er du classement) et l’Hapoel Eliat (4e) d’un côté, et l’Hapoel Jerusalem (2e) et le Maccabi Rishon (6e) de l’autre.\\n\\nPhoto : Crvena Zvezda Mts" }, {"role": "user", "content":"Les finales de NM3 et NF3 en direct et en clair sur Facebook" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end se tiennent à Eaubonne (95) les finales de N3 et tous les matchs seront à suivre en direct et en clair sur la page Facebook de la Ligue Ile de France.\\n\\nTous les qualités chez les hommes sont les Guadeloupéens de l’Étoile de l’Ouest Pointe Noire, le Lille Métropole BC, l’AS Excelsior (Tahiti), Hyères Toulon VB, les Réunionnais du BC Saint-Paul et le Poitiers Basket 86.\\n\\nChez les filles, l’ALPC Moulin Nantes, La Tamponnaise (La Réunion), le Chesnay-Versailles, le Guyannaises de l’US Sinnamary et l’AS 6ème KM (Nouvelle-Calédonie) sont les six équipes qualifiées.\\n\\nProgramme complet des finales des Championnats de France Nationale 3 :\\n\\nSamedi 8 juin\\nNationale Féminine 3 – Complexe du SIVOM à Saint Gratien (95)\\n15H00 : AS 6EME KM BB / LONS LE SAUNIER\\n17H30 : LA TAMPONNAISE / ALPC MOULIN NANTES\\n20H00 : US SINNAMARY / LE CHESNAY VERSAILLES\\n\\nNationale Masculine 3 – Complexe Luc Abalo à Eaubonne (95)\\n15H30 : ETOILE DE L’OUEST POINTE NOIRE / LILLE MBC – 2\\n17H30 : AS EXCELSIOR / HYERES TOULON VAR BASKET\\n20H00 : BASKET CLUB SAINT-PAUL / POITIERS BASKET 86 – 2\\n\\nDimanche 9 juin\\nNationale Féminine 3 – Complexe du SIVOM à Saint Gratien (95)\\n15H00 : Matches de classement 5e et 6e place\\n17H30 : Demi-finale n°1\\n20H00 : Demi-finale n°2\\n\\nNationale Masculine 3 – Complexe Luc Abalo à Eaubonne (95)\\n15H00 : Matches de classement 5e et 6e place\\n17H30 : Demi-finale n°1\\n20H00 : Demi-finale n°2\\n\\nLundi 10 juin\\nNationale Féminine 3 – Complexe du SIVOM à Saint Gratien (95)\\n11H00 : Match pour la 3e place\\n\\nNationale Masculine 3 – Complexe Luc Abalo à Eaubonne (95)\\n11H00 : Match pour la 3e place\\n\\nFinales – Complexe Luc Abalo à Eaubonne (95)\\n13H15 : Finale féminine\\n15H00 : Finale masculine\\n\\nPhoto : FFBB" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Nicolas De Jong toujours plus proche de l’Elan Béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"Après une saison en Espagne à Saragosse, Nicolas De Jong (2,09m, 31 ans) a fait son retour en France à Boulazac.\\n\\nAprès un exercice 2018/19 de qualité au sein d’une surprenante équipe du BBD portée par son nouvel entraîneur Thomas Andrieux, l’international néerlandais devrait rejoindre l’Elan Béarnais. Selon nos informations, la signature du pivot serait en très bonne voie même si rien n’a encore été signé à l’heure actuelle.\\n\\nDeuxième meilleur marqueur français de Jeep Elite derrière Youssoupha Fall, l’ancien joueur de Cholet a continué sa montée en puissance cette saison. Il a notamment haussé le ton au rebond pour enregistrer ses meilleurs chiffres en carrière avec 5,1 prises par rencontre.\\n\\nCette saison, Nicolas De Jong compilait en moyenne 13,5 points et 5,1 rebonds pour une évaluation de 13,4.\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Daniel Theis (Allemagne): «Nous aimerions de nouveau battre la France»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la phase de groupe à la Coupe du Monde, l’Allemagne sera l’adversaire majeur des Bleus. C’est elle qui avait éliminé la France, 84-81, en huitième de finale de l’Euro 2017. Daniel Theis (2,03m, 27 ans) des Boston Celtics était l’un des acteurs principaux de ce match.\\n\\nDaniel Theis sait ce que l’équipe nationale d’Allemagne devra réussir à faire cet été pour avoir du succès à la Coupe du Monde 2019 en Chine, afin de poursuivre sur sa belle dynamique affichée sous les ordres de Henrik Rödl tout au long des Éliminatoires Zone Europe.\\n\\nL’ailier de 27 ans, membre des sélections nationales qui se sont âprement battues aux EuroBaskets 2015 et 2017, dit en effet que les joueurs devront être concentrés dès le début de la préparation.\\n\\n« Nous travaillerons dur aux entraînements pour arriver en meilleure forme possible au tournoi, » a t-il dit-il à FIBA.basketball. « Cela va être très intense, nous devrons donc évoluer à notre meilleur niveau et afficher le même solide équilibre que lors des deux dernières compétitions auxquelles nous avons participé. Nous avons les moyens d’aller loin en Chine, comme beaucoup d’autres équipes, et nous avons à cœur de montrer que le basket allemand fait partie des plus compétitifs du monde. »\\n\\nTheis, qui a tourné à 10.9 points et 6.3 rebonds de moyenne pour aider son pays à atteindre les quarts de finale du FIBA 2017, était impliqué sur l’une des plus belles actions de l’Allemagne. Lors du triomphe en huitièmes de finale contre la France, il avait été à la réception d’une passe en contre-attaque de Dennis Schröder, ponctuant l’action d’un dunk puissant sur Boris Diaw.\\n\\nDeux saisons au sein des Boston Celtics plus tard, il semble évident que Theis a beaucoup mûri. Il pourrait faire la différence pour les Allemands au moment d’affronter la France, la République dominicaine et la Jordanie, dans le cadre du Groupe G.\\n\\n« Je joue collectif, donc ma priorité, mon approche, c’est de faire passer l’équipe d’abord, » note-t-il. « J’aime contribuer des deux côtés du terrain et c’est ce que je fais en sélection nationale depuis ma première convocation en senior il y a quelques années. Je donne toute mon énergie à l’équipe et j’aime avoir ce rôle avec l’Allemagne.C’est ma manière de jouer, j’essaie tout le temps d’avoir un impact positif sur le jeu et sur mon équipe – en défendant, en me battant au rebond, en marquant quand je peux et en étant un bon coéquipier. La victoire est la seule chose qui compte pour moi. J’apprécie de passer du temps avec les gars en sélection nationale, et je veux toujours amener quelque chose de positif, tant sur le terrain qu’en dehors. »\\n\\nQuant aux batailles qui attendent l’Allemagne, Theis n’estime pas que son pays aura un avantage psychologique sur la France malgré le succès 84-81 contre les Bleus à l’EuroBasket il y a deux ans en Turquie.\\n\\n« Oui, nous les avions battus, mais c’était en 2017, et nous sommes maintenant en 2019, » précise-t-il en souriant. « La vérité d’un match n’est pas forcément celle du suivant ; c’est la logique du sport. Tout le monde sait que la France a un groupe de joueurs extrêmement compétitifs et ils ont gagné plusieurs médailles ces dernières années. Mais nous aimerions de nouveau les battre cet été.Cette équipe aligne de nombreux joueurs talentueux, et avoir des gars comme Rudy Gobert, Nicolas Batum et Evan Fournier est un avantage indéniable pour leur équipe nationale. Ils ont une longue tradition dans le basket. Beaucoup d’entre eux évoluent dans les meilleures ligues et équipes du monde. Cette confrontation sera assurément très intense, nous devrons bien nous y préparer. »\\n\\nTheis insiste sur le fait que l’Allemagne devra impérativement se concentrer sur le moment présent et ne pas trop se projeter.\\n\\n« La France est une excellente équipe, mais la République dominicaine et la Jordanie sont aussi compétitifs, pour preuve leur qualification pour cette Coupe du Monde, » souligne-t-il. « Rien ne sera facile, et dans un tournoi comme celui-ci, chaque équipe peut gagner et se qualifier pour le tour suivant. Nous prendrons les matchs les uns après les autres, en essayant d’avancer avec un bon bilan. »\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Pologne : Aaron Cel donne la victoire à Torun à une seconde du buzzer" }, {"role": "assistant", "content":"En finale du championnat de Pologne, Aaron Cel (2,03m, 32 ans) a donné la victoire à Torun face à Anwil jeudi soir.\\n\\nAlors qu’il reste trois secondes à jouer, l’ancien joueur de Gravelines-Dunkerque hérite de la balle et envoie un tir à deux mètres derrière la ligne à trois points... ficelle ! L’international polonais donne la victoire (83-82) à son équipe qui revient à 2-2 dans la série.\\n\\nCette saison, Aaron Cel compile en moyenne 11,3 points et 5,5 rebonds en championnat.\\n\\nPhoto : Polski Cukier Toruń" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Voir la tête des joueurs du Real Madrid dans 30 ans !" }, {"role": "assistant", "content":"Quelles têtes auront Rudy Fernandez, Felipe Reyes, Klemen Prepelic et encore Fabien Causeur en 2059 ? C’est ce que propose de découvrir la ligue ACB. Le Français aura 62 ans. Alors, réaliste? Rendez-vous dans trente ans.\\n\\n\\n¿Os acordáis? Qué bien lo pasábamos jugando juntos...\\n\\nLos jugadores del @RMBaloncesto se reencuentran en 2059. pic.twitter.com/5yAhg6lif6\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) June 6, 2019\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: L’Unics Kazan veut une wild card" }, {"role": "assistant", "content":"Evgeny Bogachev, président d’Unics Kazan, a déclaré au site russe Izvestia qu’il allait demander une invitation (wild card) à l’Euroleague.\\n\\nSur le terrain, l’équipe russe n’a pas réussi à se qualifier suite à une défaite en demi-finale face au Khimki Moscou en VTB League (1/3) et à Valence en demi-finale de l’Eurocup (0/2).\\n\\n16 des 18 équipes de l’Euroleague 2019-20 sont déjà identifiées. Ce sont les 11 clubs avec la licence A (CSKA Moscou, Anadolu Istanbul, Real Madrid, Fenerbahce Istanbul, FC Barcelone, Baskonia Vitoria, Panathinaikos Athènes, Zalgiris Kaunas, Olympiacos Le Pirée, Maccabi Tel-Avic et Armani Milan), le vainqueur de l’Eurocup (Valence Basket), le vainqueur de la Ligue Adriatique (Etoile Rouge Belgrade), la deuxième équipe de la United League (Khimki Moscou) et le Bayern Munich et l’ASVEL qui ont une wild card pour deux ans. Une place sera attribuée au champion d’Allemagne et une autre par invitation.\\n\\nLa possibilité de voir cette demande aboutir dépend grandement de qui sera champion en Allemagne. En résumé, Kazan espère que le Bayern -qui possède une wild card- et Berlin -qui est finaliste de l’Eurocup et qui est quasi assuré d’avoir également une invitation pour cette raison- se retrouvent en finale afin de bénéficier -éventuellement- du 18e et dernier spot. Sinon, c’est Oldenbourg ou Vechta qui logiquement se verrait proposé de participer à la compétition reine. Ce qui, au passage, ferait que trois clubs allemands seraient engagés.\\n\\n« Pour décider qui obtiendra la wild card, vous devez attendre la fin de tous les championnats nationaux », a confirmé le président de l’EuroLeague, Jordi Bertomeu. « Ensuite, il nous faudra un peu de temps pour examiner toutes les candidatures, et nous organiserons l’assemblée générale de la ligue pour décider finalement. Autrement dit, il est physiquement impossible de le faire avant la mi-juillet. »\\n\\nEffectivement, tout cela parait très alambiqué. Quant au président de Kazan, il a prévenu:\\n\\n« Si les Unics ne jouent pas en EuroLeague, l’équipe participera à l’EuroCup. Nous avons signé un accord stipulant que, dans tous les cas, nous participerons à l’un des tournois de l’EuroLeague la saison prochaine. Nous avons refusé de participer à la Champions League de la FIBA. ”" }, {"role": "user", "content":"Sénégal: l’influence espagnole" }, {"role": "assistant", "content":"La fédération sénégalaise a communiqué une liste de 24 pré-sélectionnés à la Coupe du Monde U19 qui va se tenir en Grèce cet été.\\n\\nIl intéressant de remarquer que 18 d’entre-eux sont en formation à l’étranger. Un seul est aux Etats-Unis. Et un seul autre en France, Idrissa Pouye répertorié à la Kameet Basketball, alors que les liens historiques entre les deux pays sont forts.\\n\\nCe qui est impressionnant c’est le fort contingent en Espagne: 11 joueurs ! Et à la lecture du tableau, tous les grands clubs de la Péninsule ibérique défilent sous nos yeux. C’est une preuve supplémentaire et criarde que le basket espagnol investit énormément en Afrique, un continent où si les structures ne sont pas toujours à la hauteur, il existe un vivier de jeunes joueurs inquantifiable." }, {"role": "user", "content":"Demi-finale des playoffs de Jeep Elite: Dijon tombe les armes à la main face à Monaco, 78-81" }, {"role": "assistant", "content":"Les Dijonnais se sont battus ce soir comme des lions mais ils n’ont pas pu empêcher l’AS Monaco de réaliser le triplé dans cette série de demi-finale. Les Monégasques pourront ainsi re-tenter leur chance en finale après leur échec de 2018 contre Le Mans.\\n\\nDans une ambiance surchauffée -enfin!-, pas de round d’observation et un maître mot: défendre ! Pas question pour la JDA cette fois de se faire distancer d’entrée. Bien au contraire. Avec le général David Holston à la manoeuvre, à qui le public hurlait des « MVP... MVP... », les Dijonnais menaient 19-5 au bout de 5′ avec une marque bien répartie entre les membres du cinq de départ. Les Monégasques étaient pourtant prévenus que la JDA est transcendée dans son palais des sports. C’est par leur pivot Elmedin Kikanovic qu’ils limitaient les dégâts à 25-14 à la fin du premier quart-temps.\\n\\nEn pleine confiance et n’hésitant pas à utiliser des shoots en première intention, la JDA repartait à l’attaque. A l’inverse -et à l’image de Yakuba Ouattara qui ratait ses trois premiers shoots à trois-points-, la Roca Team déjouait complètement. Toutes les passes étaient contestées par les Dijonnais. Si discret en saison régulière, Tarence Kinsey sortait du bois (12 points et 17 d’éval en 16′). 32-14. Après un 2/11 initial à trois-points, l’ASM mettait 3’40 à marquer ses premiers points dans le deuxième quart sur un panier primé de Sergii Gladyr. Et Paul Lacombe avait trois fautes.\\n\\nC’est grâce à leur cueillette au rebond offensif (7 à 2), aux automatismes de Kikanovic (12 points à 5/6 aux tirs) et à une défense durcie que l’ASM reprenait des couleurs et réduisait son retard de 17 (37-20) à 11 points (45-34) à mi-chemin.\\n\\nC’était plus que jamais un combat d’hommes. Pas d’envolée, du corps à corps. Yakuba Ouattara retrouvait la mire, Elmedin Kikanovic était toujours intenable et l’AS Monaco grignotait son retard. Et à la faveur de deux trois-points de Sergii Gladyr (10 points dans le quart-temps), la voici qui se retrouvait dans la roue de la JDA, 58-57 (29e) avant de passer en tête juste après la reprise (58-60).\\n\\nAxel Julien marquait des paniers de fou et faisait des passes au cordeau pour permettre à Dijon de redonner un coup d’accélérateur mais... Gavin Ware prenait une cinquième faute sur une technique très mal venue. Le tout suivi d’une anti-sportive à David Holston. De quoi accroitre encore davantage la tension, si c’était possible.\\n\\nMonaco prenait l’ascendant avec un Yakuba Ouattara en feu (15 points) mais sans jamais s’échapper. La JDA n’abdiquait pas. Et hop! David Holtson, maître du jeu, égalisait à 78 et à 1’20 de la fin.\\n\\nCela s’est joué sur trois fois rien. Un trois-points de Lazeric Jones était importantissime. Surtout que Axel Julien ratait le sien. Sur l’attaque suivante, un rebond offensif de Paul Lacombe scellait le match.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yakouba Ouattara (ASM)\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1136718990401769473" }, {"role": "user", "content":"La composition du bureau et du comité directeur de la LNB pour 2019-2023" }, {"role": "assistant", "content":"A travers un communiqué, la Ligue Nationale de Basket a dévoilé son bureau et son comité directeur pour le nouveau mandat de quatre ans du président Alain Béral. Le voici dans son intégralité." }, {"role": "user", "content":"Un nouveau mandat de quatre ans pour Alain Béral à la présidence de la Ligue Nationale de Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Comme attendu, Alain Béral, qui aura 65 ans le 10 juin, a été reconduit à la présidence de la Ligue Nationale de Basket pour un troisième mandat de quatre ans.\\n\\nAlbigeois de naissance installé dans les Landes, vice-président des Opérations de KFC France, Alain Béral fut le président de l’Elan Béarnais Pau-Orthez de 2003 à 2008 puis de 2010 à 2011. Il est le président de la LNB depuis 2011.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Vincent Sanford première recrue du Limoges CSP ?" }, {"role": "assistant", "content":"Auteur d’une saison très intéressante sous le maillot de l’Elan Chalon, « Vee » Sanford (1,90m, 28 ans) pourrait continuer sa route en Jeep Elite au Limoges CSP.\\n\\nLe Populaire croit savoir que le club limougeaud va bientôt annoncer la signature de l’ancien joueur d’Antibes pour la saison prochaine. L’arrière américain était également dans le viseur de Bourg-en-Bresse et d’autres clubs de Jeep Elite à en croire le quotidien limougeaud. L’ancien pensionnaire de l’université de Dayton aurait accepté de signer un contrat 1+1 (une saison plus une autre saison en option).\\n\\nLe nouveau Directeur Sportif du Limoges CSP, Crawford Palmer, occupait le même poste à Chalon cette saison. Club où il a pu observer Sanford pendant toute la saison.\\n\\nCette saison, Vincent Sanford compilait en moyenne 15,3 points, 3,8 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 16,4.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Pro B : l’éternel Tim Blue prolonge à Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"A Antibes depuis 2012, Tim Blue (2,05m, 34 ans) prolonge encore avec les Sharks, annonce le club.\\n\\nIl n’a pas été pu empêcher la descente d’Antibes en Pro B, mais le pivot américain le plus fidèle du championnat de France sera toujours dans l’Hexagone la saison prochaine. Avec Antibes, le champion des Pays-Bas 2012 a connu deux montées en Jeep Elite (2013 et 2015) et il vit ici sa deuxième descente après celle de 2014.\\n\\nCette saison, Tim Blue compilait en moyenne 13,4 points et 4,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Jeep Elite.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\n\\nPhoto : Sharks Antibes" }, {"role": "user", "content":"Eric Bartecheky expulsé pour son dernier match avec Le Mans: «C’est l’accumulation de ce qui s’est passé sur les derniers matches»" }, {"role": "assistant", "content":"Cela s’est passé à 2’14 de la fin du match...\\n\\nJusque-là ce match retour de quart-de-finale de playoffs avait âpre et disputé. Dans une véritable ambiance de playoffs pas comme à l’Astroballe pour la manche aller où c’était davantage celle d’un salon de thé. Cinq milliers de Manceaux majoritairement en orange étaient revanchards après la finale de la Coupe de France où pour eux ils avaient été grugés par l’arbitrage. C’est pourquoi ils avaient dans leur cœur un sentiment d’injustice et qu’ils ont sifflé les Villeurbannais à chaque fois qu’ils avaient la balle, ce qui n’est pas à Antarès une tradition. On a entendu hier soir des « Villeurbanne protégé », le même refrain qu’à Bercy pour la finale de la Coupe. D’autant que les arbitres ont pris pas mal de décisions douteuses.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nZvzedan Mitrovic, dans la contestation permanente -ce qui n’est pas nouveau-, avait écopé d’une technique. Et aussi Eric Bartecheky dans le deuxième quart-temps.\\n\\nPrivé de Cameron Clark, dont le bilan au Mans est globalement négatif étant donné la réputation qu’il avait depuis sa saison de feu à Chalon et de Jonathan Tabu, le MSB a attaqué ce match retour à huit joueurs alors que Zvzedan Mitrovic en a utilisé onze et avait encore Sofiane Briki sous le coude. L’ASVEL a été appliquée et très tranchante tout au long du match. Elle a provoqué un premier écart (14-25, 14e) avec sa triplette d’intérieurs Miro Bilan (7 points, 5 rebonds et 2 passes à ce moment-là), Amine Noua et Adreian Payne et une forte domination au rebond (15-22 à la mi-temps).\\n\\nUne deuxième fois, elle a semblé prendre le large (44-52) suite à trois shoots dont deux à trois-points de très grande classe de son meneur international lituanien Mantas Kalnietis.\\n\\nA chaque fois, le MSB est revenu. Déjà parce que son pivot américano-macédonien Richard Hendrix, auteur de deux contres majestueux et d’un double double (11 points et 11 rebonds) a fait preuve d’une détermination rarement observée cette saison. Les Manceaux ont pu compter aussi sur un Kendrick Ray (16 points) au JUMP shoot insaisissable. Et sur un Wilfried Yeguete qui ne sait pas ce qu’est un économiseur d’énergie, ce qui en fait un joueur majeur sur le marché des transferts puisqu’il est en fin de contrat.\\n\\nLe MSB est même passé en tête à 3’19 de la fin sur un trois-points de... Richard Hendrix qui a levé son poing de rage. Le si sage public d’Antarès en saison régulière était debout, au taquet, applaudissant à tout rompre, sur le mode des playoffs 2018.\\n\\nEt... bing... Les arbitres ont alors décidé du sort du match sifflant une deuxième faute technique à Eric Bartecheky, qui est sorti du terrain en diagonale, sa plaquette à la main, visiblement en les maudissant. Une drôle de sortie de scène pour un coach qui a emmené le MSB au titre de champion de France en 2018 et qui, quelques minutes plus tard, a confirmé sa signature pour trois ans à Gravelines.\\n\\nCar les Manceaux sans leur chef, mais aussi usés par ce combat titanesque, ont lâché prise pour finir à sept points (63-70). Aucun doute : Villeurbanne, emmené par un Mantas Kalnietis de gala (8 points, 7 rebonds, 7 passes) mérite sa qualification en demi-finale mais un sentiment de malaise a parcouru les gradins d’Antarès comme, il y a quelques semaines, ceux de Bercy.\\n\\n« A la finale de la Coupe de France, Mitrovic qui dit « fuck you ! » à l’arbitre et il n’a rien après avoir pris une technique »\\n\\nEric Bartecheky, quel bilan faites-vous de cette soirée ?\\n\\nJe suis un peu partagé. L’équipe a montré un visage séduisant dans la combativité alors que l’on était amoindri avec Cameron (Clark) et Jo (Tabu) en moins. A huit contre une équipe qui dispose de tous ses joueurs et qui est physique, qui pose des problèmes, ce n’est pas facile d’attaquer. On marque 63 points. Même si nous sur la série on ne prend pas beaucoup de points. On est là à 70 et le match d’avant à 73. Arriver à les stopper c’est déjà une vraie satisfaction. Maintenant, ce n’est pas facile de trouver des solutions, on a été un peu mieux que le match d’avant. Forcément déçu d’être éliminé et de finir sur les deux matches si prêt. On est à la fois fier d’avoir vraiment résisté et déçu de sortir.\\n\\nEst-ce ça vous est déjà arrivé d’avoir deux fautes techniques et d’être ainsi expulsé ?\\n\\nNon ! Jamais. Je crois que c’est à un moment donné l’accumulation de ce qui s’est passé sur les derniers matches. A savoir, à la finale de la Coupe de France, Mitrovic qui dit « fuck you ! » à l’arbitre et il n’a rien après avoir pris une technique. (Laurent) Legname (NDLR : coach de Dijon), qui fait son cinéma à la mi-temps et qui n’a rien. Là, il y a un marché de Miro Bilan en début de match qui n’est pas sifflé quand il est trappé sous le cercle. Il y a des fautes qui ne sont pas sifflés sur Valentin (Bigote). C’est plein de petites choses comme ça et à un moment donné, il y en a marre.\\n\\nAvez-vous l’impression qu’il y a une forme d’indulgence pour l’ASVEL comme l’ont crié ce soir les supporters comme déjà en finale de Coupe de France ?\\n\\nJe me suis emporté mais je n’irai pas dans des scénarios comme ça en disant qu’ils sont protégés. C’est juste qu’à un moment donné, il y a des calls qui ne sont pas sifflés.\\n\\nOn a entendu exactement la même chose lors de la finale féminine entre Montpellier et Lyon ASVEL. C’est l’effet Tony Parker ?\\n\\nIl faut se poser des questions si tout le monde dit la même chose. Je ne sais pas mais ça été le cas à plusieurs reprises, la finale (NDLR : de la Coupe de France), là. Je ne veux pas aller dans des raisonnements comme ça mais je constate juste que sur le match pour moi il y a des calls qui ne sont pas sifflés et ça nous pénalise. Le match est tendu sur chaque possession. Chaque possession a son importance, ça fait basculer le match d’un côté ou de l’autre. Quand il y a le truc avec Wil (Yeguete), on est à égalité et au lieu d’avoir une action qui nous fait passer du bon côté, on se prend deux points de Slaughter. Quand (Mantas) Kalnietis lors de la finale fait une faute au milieu du terrain qui n’est pas sifflé, on est à égalité.\\n\\nSur l’ensemble de la saison, il y a eu des hauts et des bas, des blessures, des changements dans l’effectif. Considérez-vous être allé le plus loin possible avec cette équipe ou pouviez-vous espérer beaucoup mieux ?\\n\\nDans ces playoffs, on était présent, conquérants, on a tout fait pour passer le tour et on n’était pas très loin. Il y a le sentiment d’avoir en face une équipe qui est forte et nous il nous a manqué à chaque fois un petit quelque chose pour passer. Même en étant bon lors de la première mi-temps à l’ASVEL sur le premier match, on n’est qu’à +3. Là, on n’est qu’à 39% de réussite. C’est un peu le même scénario sur tous les matches avec un pourcentage plus élevé en première mi-temps et avec l’usure physique, on a des pourcentage qui finissent à 39%. On est un peu limité pour poser des problèmes en attaque. Il y a la défense adverse mais aussi notre petite limite pour aller plus loin.\\n\\nCette équipe manquait de joueurs de talent offensif ?\\n\\nNon. On a quand même des joueurs de talent mais c’est un ensemble. Si on prend les exemples de switchs sur les écrans, on n’a pas énormément de joueurs capables de faire la différence en iso sur les grands. On a Kendrik (Ray). A l’intérieur, des joueurs qui vont venir pénaliser quand il y a Kalnietis ou un petit qui défend dans la raquette pour aller chercher des ballons, on n’a pas forcément ces atouts-là. On a je pense des limites par rapport au profil de l’équipe. Après, il faut rendre aux joueurs ce qu’ils ont fait sur la fin de saison. On était quand même très mal embarqué quand on est allé à Gravelines et que l’on a commencé à faire une série de cinq victoires. Si on avait fait que 3/5 ou 4/5, on ne passait pas en playoffs. C’est cette série de cinq qui nous a permis de revenir et de passer au dernier moment à la huitième place. Depuis ce moment-là, l’équipe a montré un autre visage. Il y a eu le retour de Terry (Tarpey), le retour de Wil en 4, on a un peu modifié les choses. Ce n’est pas évident d’avoir des hauts et des bas dans une saison, d’être dans le ventre mou, et d’être capable de se re-mobiliser pour aller chercher une place en playoffs. A la huitième place certes mais à égalité avec Strasbourg et Limoges qui étaient à 20 victoires comme nous. Par rapport à l’année dernière, on n’a qu’une victoire de moins et on se retrouve huitième alors que l’année dernière, on était troisième.\\n\\nLa saison dernière lors de la série avec l’ASVEL en quarts-de-finale, c’était Amine Noua qui était absent. Cette fois, c’est vous qui aviez deux absents. Les blessures sont un facteur très important en playoffs. Etre à huit contre onze c’est pénalisant ?\\n\\nOui. Pour parler de Noua, il a été bon. Il a mis les trois-points à chaque fois. On avait effectivement un secteur intérieur à trois en utilisant un peu Terry sur le poste 4 au premier match mais pas beaucoup car il a mis Kahudi à un moment sur le poste 4. On a joué effectivement à trois et physiquement on s’use, on tire sur les gars. Et on a à la base le talent de Cameron (Clark) dans le secteur intérieur qui nous manque par rapport à ces défenses où ça change. On a fait un match à seulement huit alors qu’on a fait un match il y a deux jours. Encore une fois, on est déçu mais on est aussi fier d’avoir montré un visage conquérant. Les joueurs se sont battus.\\n\\nEtait-ce votre dernier match avec le MSB ?\\n\\nOui c’était mon dernier match avec le MSB. Vous le saviez plus ou moins tous.\\n\\nDonc vous serez à Gravelines la prochaine saison ?\\n\\nOui. Vous savez déjà tout. C’était important de ne pas en parler car il y a un respect par rapport à l’équipe, au club, au fait d’avoir une détermination intacte pour passer le tour même si malheureusement on n’y est pas arrivé (...) Je veux remercier le club pour m’avoir donné le job il y a deux ans. Ces deux années se soldent quand même par un titre l’année dernière et deux années de playoffs. Cette année on se fait éliminer au premier tour mais on a quand même réussi à se mettre dans les playoffs in-extremis. On a joué trois finales avec celle de Leaders Cup l’année dernière et une de Coupe de France. Je voudrais aussi remercier mon staff, Antoine (Mathieu), Dounia (Issa), Alex (Bertrand, le préparateur physique) qui ont été d’un soutien sérieux et irréprochable, et tout le club, tous les salariés. Ces deux années au MSB sont une expérience de plus pour moi pour encore grandir dans ma fonction.\\n\\nQu’est-ce qui vous a fait basculer alors que vous pouviez encore rester au Mans ? L’envie d’un autre challenge ?\\n\\nIl y a effectivement l’envie d’un challenge à relever et puis pour le dire franchement... Si dans votre fonction, on part du principe que vous êtes en CDD avec un an de contrat et que l’on vous en propose trois ailleurs, qu’est-ce que vous faites ? Je crois que quand on est coach -et il n’y a aucune animosité de ma part- il faut gérer une équipe et avoir les meilleurs résultats possibles et aussi voir quelles sont les perspectives du club, les intentions, les personnes en présence. Il faut faire des choix et j’ai fait celui-ci.\\n\\nFallait-il passer le cap de Villeurbanne pour que le MSB soit assuré de faire une Coupe d’Europe l’année prochaine ?\\n\\nOn en a parlé et on se disait que la huitième place normalement ne donne pas accès à la BCL ou l’Eurocup et que souvent c’est la FIBA Cup qui est proposée. Mais comme il y a l’ASVEL avec l’Euroleague, peut-être que oui... Je ne sais pas du tout.\\n\\n[armelse]\\n\\nCela s’est passé à 2’14 de la fin du match...\\n\\nJusque-là ce match avait âpre et disputé. Dans une véritable ambiance de playoffs pas comme à l’Astroballe pour la manche aller où c’était davantage celle d’un salon de thé. Cinq milliers de Manceaux majoritairement en orange étaient revanchards après la finale de la Coupe de France où pour eux ils avaient été grugés par l’arbitrage. C’est pourquoi ils avaient dans leur cœur un sentiment d’injustice et qu’ils ont sifflé les Villeurbannais à chaque fois qu’ils avaient la balle, ce qui n’est pas à Antarès une tradition. On a entendu hier soir des « Villeurbanne protégé », le même refrain qu’à Bercy pour la finale de la Coupe. D’autant que les arbitres ont pris pas mal de décisions douteuses.\\n\\nZvzedan Mitrovic, dans la contestation permanente -ce qui n’est pas nouveau-, avait écopé d’une technique. Et aussi Eric Bartecheky dans le deuxième quart-temps.\\n\\nPrivé de Cameron Clark, dont le bilan au Mans est globalement négatif étant donné la réputation qu’il avait depuis sa saison de feu à Chalon et de Jonathan Tabu, le MSB a attaqué ce match retour à huit joueurs alors que Zvzedan Mitrovic en a utilisé onze et avait encore Sofiane Briki sous le coude. L’ASVEL a été appliquée et très tranchante tout au long du match. Elle a provoqué un premier écart (14-25, 14e) avec sa triplette d’intérieurs Miro Bilan (7 points, 5 rebonds et 2 passes à ce moment-là), Amine Noua et Adreian Payne et une forte domination au rebond (15-22 à la mi-temps).\\n\\nUne deuxième fois, elle a semblé prendre le large (44-52) suite à trois shoots dont deux à trois-points de très grande classe de son meneur international lituanien Mantas Kalnietis.\\n\\nA chaque fois, le MSB est revenu. Déjà parce que son pivot américano-macédonien Richard Hendrix, auteur de deux contres majestueux et d’un double double (11 points et 11 rebonds) a fait preuve d’une détermination rarement observée cette saison. Les Manceaux ont pu compter aussi sur un Kendrick Ray (16 points) au JUMP shoot insaisissable. Et à un Wilfried Yeguete qui ne sait pas ce qu’est un économiseur d’énergie, ce qui en fait un joueur majeur sur le marché des transferts puisqu’il est en fin de contrat.\\n\\nLe MSB est même passé en tête à 3’19 de la fin sur un trois-points de... Richard Hendrix qui a levé son poing de rage. Le si sage public d’Antarès en saison régulière était debout, au taquet, applaudissant à tout rompre, sur le mode des playoffs 2018.\\n\\nEt... bing... Les arbitres ont alors décidé du sort du match sifflant une deuxième faute technique à Eric Bartecheky, qui est sorti du terrain en diagonale, sa plaquette à la main, visiblement en les maudissant. Une drôle de sortie de scène pour un coach qui a emmené le MSB au titre de champion de France en 2018 et qui, quelques minutes plus tard, a confirmé sa signature pour trois ans à Gravelines.\\n\\nCar les Manceaux sans leur chef, mais aussi usés par ce combat titanesque, ont lâché prise pour finir à sept points (63-70). Aucun doute : Villeurbanne, emmené par un Mantas Kalnietis de gala (8 points, 7 rebonds, 7 passes) mérite sa qualification en demi-finale mais un sentiment de malaise a parcouru les gradins d’Antarès comme, il y a quelques semaines, ceux de Bercy.\\n\\n« A la finale de la Coupe de France, Mitrovic qui dit « fuck you ! » à l’arbitre et il n’a rien après avoir pris une technique »\\n\\nEric Bartecheky, quel bilan faites-vous de cette soirée ?\\n\\nJe suis un peu partagé. L’équipe a montré un visage séduisant dans la combativité alors que l’on était amoindri avec Cameron (Clark) et Jo (Tabu) en moins. A huit contre une équipe qui dispose de tous ses joueurs et qui est physique, qui pose des problèmes, ce n’est pas facile d’attaquer. On marque 63 points. Même si nous sur la série on ne prend pas beaucoup de points. On est là à 70 et le match d’avant à 73. Arriver à les stopper c’est déjà une vraie satisfaction. Maintenant, ce n’est pas facile de trouver des solutions, on a été un peu mieux que le match d’avant. Forcément déçu d’être éliminé et de finir sur les deux matches si prêt. On est à la fois fier d’avoir vraiment résisté et déçu de sortir.\\n\\nEst-ce ça vous est déjà arrivé d’avoir deux fautes techniques et d’être ainsi expulsé ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: MSB et Kendrick Ray (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : vers une prolongation de trois ans au Real Madrid pour Jeffery Taylor" }, {"role": "assistant", "content":"Au Real Madrid depuis 2015 après trois ans en NBA, Jeffery Taylor (2,01m, 30 ans) devrait continuer pour un bon moment avec le club madrilène.\\n\\nSelon Chema de Lucas, la formation espagnole a convaincu l’international suédois à rempiler pour trois saisons. Joueur de devoir travaillant dans l’ombre, fort défenseur et plutôt adroit derrière la ligne à trois points, le double champion d’Espagne, qui avait pourtant l’opportunité de retourner en NBA, a préféré continuer à Madrid. Avec le Real, l’ancien joueur des Charlotte Bobcats a notamment remporté deux fois la coupe et le championnat d’Espagne ainsi que l’Euroleague la saison dernière.\\n\\nCette saison, Jeffery Taylor compile en moyenne 7,4 points et 1,8 rebond pour une évaluation de 6,3 en ACB, et 5,6 points et 1,6 rebond pour une évaluation de 4,9 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nÚLTIMA HORA: El Real Madrid ha cerrado la renovación de Jeffery Taylor (30 años; 2.01 m.) por tres temporadas.\\n\\n\\nEl internacional sueco, que lleva en el Madrid desde 2015, tenía alguna opción de recalar de vuelta en la #NBA.\\n\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) May 28, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Amine Noua (ASVEL): «Ce n’est pas pour rien que l’on est les leaders du championnat»" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 15 points dont un joli 4/5 à trois-points, Amine Noua fut le meilleur marqueur villeurbannais lors de la victoire hier soir au Mans (63-70), qui a qualifié l’ASVEL pour les demi-finales de playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe job est fait dans un match qui a été engagé ?\\n\\nC’était un peu comme le Match 1, ça s’est joué sur 40 minutes. Le Mans n’est pas facile à jouer, ils mettent vraiment de l’intensité, ils sont agressifs et ils ont une défense très compacte et ce n’est pas facile de les attaquer. On a su rivaliser avec les armes que l’on avait. On a été patient, on a su jouer quarante minutes. On mérite de gagner ce soir, je pense. La première partie du travail est faite et à nous de continuer ainsi, il reste les demis et les finales, notre objectif.\\n\\nVous avez fait le match que vous vouliez faire ?\\n\\nOui, je pense. On a su imposer notre rythme même s’il y a eu des hauts et des bas tout le match. Comme je l’ai dit, ils ne sont pas faciles surtout sur les postes extérieurs. Ils peuvent mettre des gros tirs. A l’intérieur aussi même s’il manque (Cameron) Clark, ils ont quand même de l’impact. Ce n’est pas pour rien que l’on est les leaders du championnat. On s’est bien battu ce soir, on mérite cette victoire et on peut s’en féliciter.\\n\\nÇa été bien mieux au rebond notamment en première mi-temps ?\\n\\nComme l’a dit le coach, les rebonds nous ont coûtés cher en première mi-temps lors du Match 1. Il a été vraiment précis sur cet aspect-là. On a su être plus lucide. Quand on impose notre rythme en défense, derrière on se passe le ballon en attaque, c’est plus facile pour nous. On joue dur, on sait sur qui se reposer.\\n\\nIl manquait deux joueurs majeurs au Mans, Cameron Clark et Jonathan Tabu, mais l’année dernière dans la série perdue face au MSB, c’est vous qui étiez absent. C’est important d’avoir un effectif intact quand on arrive en playoffs. L’année dernière c’était dur à avaler de ne pas être présent ?\\n\\nC’est sûr, tout donner toute la saison et arriver en playoffs, le moment le plus important, et être blessé, ce n’est pas facile. J’avais à cœur cette année d’être avec l’équipe et de pouvoir jouer ces playoffs à fond. Il manquait Clark au Mans et c’est un joueur important, c’est leur meilleur marqueur. C’est le basket, les blessures, ça arrive.\\n\\nAvez-vous entendu le public scander la même chose que lors de la finale de la Coupe de France « Villeurbanne protégé » ? Vous avez le plus gros budget, vous allez faire l’Euroleague sur invitation, avez-vous l’impression d’être désormais une cible, que les supporters adverses vous prennent un peu en grippe ?\\n\\nOn ne fait pas vraiment attention à ce que disent les supporters. On reste concentré sur notre match, on essaye de jouer notre jeu, d’écouter les consignes du coach. On essaye d’être dans notre bulle et de ne pas faire trop attention à ce qui se passe autour de nous.\\n\\nC’est un vrai luxe de passer la demi-finale en deux manches dans la perspective d’une demi-finale éventuellement en cinq manches ?\\n\\nBien sûr c’est mieux. Le coach a dit qu’il voulait terminer cette série ici car ça laisse plus de temps et c’est jamais facile un match 3 quand tu reviens à la maison. On a vécu ça l’année dernière. Il faut continuer ainsi, rien n’est fait pour l’instant, ce ne sont que les quarts. A nous de nous reposer et de faire attention aux petits pépins physiques.\\n\\n\\nZvezdan Mitrovic: « C’était un match de playoffs qui nous a demandé énormément d’énergie »\\n\\nQuant au coach Zvezdan Mitrovic, il n’a pas de préférence quant à l’adversaire de son équipe en demi-finale mais se félicite de bénéficier d’une période de repos supplémentaire grâce à cette qualification en deux manches :\\n\\n« C’était un match de playoffs qui nous a demandé énormément d’énergie. Ce n’était peut-être pas beau mais il y avait beaucoup de pression pour les deux équipes, beaucoup de combat, d’agressivité, de la bonne qualité pour un match de playoffs. Nous avons joué une défense agressive pendant quarante minutes et l’une des clés de ce match c’était le rebond ce soir. Nous avons dominé au rebond. Le Mans a joué sans deux joueurs importants, Clark et Tabu. Je respecte beaucoup Le Mans. Pour nous ce furent trois matches difficiles (NDLR avec la finale de la Coupe de France). Si vous vous souvenez, on a démarré l’Eurocup en jouant avec agressivité et nous étions la meilleure équipe défensive. Nous avons maintenant tout notre roster, DeMarcus (Nelson), Mantas (Kalnietis) et Théo (Maledon) comme meneurs et Adreian (Payne) et nous pouvons le faire de nouveau. Jouer agressivement est le seul moyen d’avoir de bons résultats. Peu importe l’adversaire en demi. Demain (aujourd’hui) je regarderai le match à la télé. Nanterre nous a battus deux fois cette saison et nous sommes 1-1 avec Pau. Pau fait une bonne saison et ils sont de retour, ils ont fait un super match chez eux. Mais à propos de Pau et Nanterre, ce sera à la prochaine conférence de presse... »\\n\\n[armelse]\\n\\nLe job est fait dans un match qui a été engagé ?\\n\\nC’était un peu comme le Match 1, ça s’est joué sur 40 minutes. Le Mans n’est pas facile à jouer, ils mettent vraiment de l’intensité, ils sont agressifs et ils ont une défense très compacte et ce n’est pas facile de les attaquer. On a su rivaliser avec les armes que l’on avait. On a été patient, on a su jouer quarante minutes. On mérite de gagner ce soir, je pense. La première partie du travail est faite et à nous de continuer ainsi, il reste les demis et les finales, notre objectif.\\n\\nVous avez fait le match que vous vouliez faire ?\\n\\nOui, je pense. On a su imposer notre rythme même s’il y a eu des hauts et des bas tout le match. Comme je l’ai dit, ils ne sont pas faciles surtout sur les postes extérieurs. Ils peuvent mettre des gros tirs. A l’intérieur aussi même s’il manque (Cameron) Clark, ils ont quand même de l’impact. Ce n’est pas pour rien que l’on est les leaders du championnat. On s’est bien battu ce soir, on mérite cette victoire et on peut s’en féliciter.\\n\\nÇa été bien mieux au rebond notamment en première mi-temps ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Derrick Williams (Bayern Munich) dans le viseur de l’Anadolu Efes" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé au Bayern Munich en octobre dernier, Derrick Williams (2,03m, 28 ans) pourrait prolonger son séjour en Europe et il serait sur les tablettes de l’Anadolu Efes.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien numéro 2 de la Draft NBA (2011) serait devenu l’une des cibles principales du club stambouliote. 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Un cadre prestigieux pour un évènement exceptionnel à la croisée des chemins du basketball, du hip-hop et de la culture urbaine internationale. Le Quai 54 proposera un show alliant compétition sportive de haut niveau avec les meilleurs mondiaux dont des joueurs NBA, mais aussi concerts hip-hop / afro / R&B, danse et animations participatives, fidèle à la formule qui fait son succès depuis 15 ans.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLa crème du streetball à Paris\\n\\n\\nThéâtre des rencontres les plus titanesques de la planète streetball, le Quai 54 réunit le temps d’un week-end la crème du basketball venue des quatre coins de la planète, dans la plus grande arène de streetball au monde. 16 équipes, constituées d’un mélange de professionnels et d’amateurs, se livreront à une série de matchs à élimination directe et se disputeront le titre de “Quai 54 Streetball World Champions”.\\n\\n\\nParmi les 16 équipes en lice, à noter la participation de:\\n\\n\\n–La Fusion(France), l’équipe la plus titrée du tournoi (Champions en 2008, 2009, 2010 et 2012), toujours pilotée par les deux légendes des playgrounds et du basket pro françaisAmara Sy(Monaco) etSacha Giffa,comptant cette année dans leurs rangs les joueursAndrew Albicy(Andorra Liga ACB),Georgi Joseph(Monaco),Nobel Boungou-coloetJerry Boutsiele(Limoges).\\n\\n\\n–Der Stamm(Allemagne), une équipe forte de 7 participations à la compétition et de deux participations aux demi-finales, menée par l’international angolaisJon Pedro Lopes, et sescoéquipiersVitalis Chikoko(évoluant en Jeep Elite à Pau Orthez) etZazai Achmadschah(Hamburg Towers Bundeslig)\\n\\n\\n– Hood Mix(France), les champions de l’édition 2014 qui pourront s’appuyer cette année sur les joueurs de la Pro A / Jeep EliteJacques Alingue(Strasbourg),Boris Dallo(Nancy) et l’intérieur contreur explosifEtienne Ca(Elan Chalon)\\n\\n\\n–El Palo(Espagne), comptant de nombreux joueurs de la prestigieuse Liga ACB espagnole dont le contreurJordan Sakho(Baxi Manresa)et le shooteurAlvaro Muñoz(Baxi Manresa)\\n\\n\\n–Le Cartel(France), la connexion des vétérans des playgrounds, avec la participation deJordan Aboudou(Champion Quai 54 en 2015 avec l’équipe La Relève),Fred Bourdillon(Hapoel Eilat, Israël),Mathias Lessort(LIga ACB) et l’ailierRon Mvouika(Bayer Leverkussen / Allemagne)\\n\\n\\n–Midnight Madness(U.K.), vétérans du tournoi avec 10 participations à leur actif dont de nombreuses participations aux 1⁄2 finales depuis 2006\\n\\n\\n–Lossa(France)\\n\\n\\n–Streetopiaen provenance du Brésil pour une première participation, avec la présence exceptionnelle au sein de leur équipe deLeandro Barbosa,Champion NBA en 2015 avec lesGolden State Warriors,arrière desPhoenix Sunspendant 7 saisons,ayant également joué auxSan Antonio Spurs, Boston Celtics, Toronto Raptorset auxIndiana Pacersainsi qu’en équipenationalebrésilienne.\\n\\n\\nSont également attendues une équipe en provenance de Russie et sept autres équipes qui émergeront des qualifications, organisées le 21 Juin au gymnaseHoops Factoryà Paris, et ouvertes à tous (Inscriptions:teams@quai54.com)\\n\\n\\n\\n\\n\\nUn dunk contest de haute volée\\n\\n\\nL’un des évènements les plus attendus du week-end est sans équivoque leQuai 54 Dunk Contest présenté́ par Jordan Bastille.Cet «évènement dans l’évènement» est désormais reconnu comme l’équivalent du Championnat du Monde de dunks, surpassant de l’avis de tous le concours de dunks de la NBA en termes de créativité́, de spectacle et d’énergie.\\n\\n\\nOrchestré par Quai 54 et coordonné par la légende internationale du dunk Kadour Ziani alias “The Dunk Father”, le Quai 54 Dunk Contest présenté par Jordan Bastille réunira cette année 4 des meilleurs dunkers du monde: le champion en titreGuy Dupuy (France)qui avait fait exploser les compteurs lors de la dernière édition avec des dunks totalement inédits dont les images ont fait le tour du monde via Bleacher Report, ESPN et autres médias US, ainsi que trois nouveaux prétendants au titre:Jordan Southerland (U.S.A.), Isaiah Rivera (Puerto Rico)etDaniel Kabeya (Congo)qui participeront à l’événement pour la première fois.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nUn week-end 100% culture & musique urbaine\\n\\n\\nLes deux jours de compétition seront ponctués de concerts d’artistes hip-hop, afro et R&B de renom, toujours très attendus au Quai 54 depuis les performances aux précédentes éditions d’artistes comme Ludacris, Usher, Fat Joe, Fabolous, Wiz Khalifa, French Montana, Mobb Deep, Tyga ou encore 2 Chainz, Young Thug, Ninho et Aya Nakamura l’année dernière.\\n\\n\\nCette année, pour célébrer son 15eanniversaire, chaque journée de compétition sera couronnée par un grand concert de clôture avec une programmation spéciale mixant artistes afro-caribéens et artistes rap français, avec notammentles rappeursNiskaetKoba La Dle 22 Juin, ainsi que la star de la musique nigérianeDavido(alias “The coolest kid in Africa”) le 23 Juin, avec des apparitions-surprise d’autres artistes au cours du week-end pour ce qui s’annonce déjà comme un des plus gros plateaux hip-hop, afro et R&B de l’été.\\n\\n\\nLes DJ’s officiels du Quai 54Lord Issa,Just Dizle, DJ Iso, DJ Pee, DJ Nasty Nas, DJ Ou-Mar, DJ AyaneetDJ Jacksofficieront derrière les platines tout au long du week-end, avec une programmation énergisante alternant hip-hop, R&B, musique africaine et dancehall.\\n\\n\\nL’animation sera assurée entre chaque match par le maître de cérémonieMokobé(du groupe 113), ainsi que par les commentateurs basketDuke TshombaetJamil Rouissiavec des shows surprise et des spectacles de danse.\\n\\n\\nDe nombreux invités de renom parmi lesquels musiciens, footballeurs, acteurs, humoristes et autres personnalités emblématiques de la culture urbaine sont attendus pour célébrer cet événement devenu une référence mondiale, et qui a hérité du surnom affectueux de “Roland-Garros de la street culture” aux cours de ses 15 années d’existence.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe Quai 54 sera à suivre en direct et en exclusivité sur la chaîne RMC Sport. Pour la première fois dans l’histoire du Quai 54, le partenaire TV RMC Sport diffusera les matchs le samedi et le dimanche ainsi que les concours dont celui de dunks en direct.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nInfo pratiques\\n\\nSite : Centre Sportif Emile Anthoine • Place de Sydney (Accès via Rue Jean Rey) • 75015 Paris\\n\\n\\nL’accès à l’évènement se fait exclusivement par billetterie.\\n\\n\\nHoraires : 10H00-22H00. Ouvertures des portes à 9H00.\\n\\nLes spectateurs sont invités à utiliser les transports en commun pour se rendre à l’évènement.\\n\\n\\nPLUS D’INFOS:quai54.com\\n\\nFacebook | Twitter | Instagram : @quai54wsc | #quai54\\n\\n\\nYoutube :@Quai54TV\\n\\n\\nLa billetterie est ouverte!\\n\\n\\n\\n\\n\\nPlaces disponibles surquai54.comet surdigitick.com\\n\\nà partir de 30€\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Wilfried Yeguete (Le Mans): «On est vraiment déçu car je pense qu’il y avait de la place»" }, {"role": "assistant", "content":"Wilfried Yeguete (2,03m, 27 ans) était avec Antoine Eito et Terry Tarpey -qui n’avait pas disputé les playoffs en raison d’une blessure-, le seul rescapé de l’équipe du Mans Sarthe Basket championne de France 2018. L’intérieur manceau a réalisé une saison épatante et fut encore hier soir d’une combativité exemplaire face à l’ASVEL, ce qui s’est traduit par 8 points et 9 rebonds pour 14 d’évaluation.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous avez mis du cœur, de l’engagement ce soir, mais ça n’a pas suffi ?\\n\\nOn s’est battu avec nos forces. On a fait beaucoup d’erreurs, des détails. Encore une fois ça ne se joue pas à grand-chose. C’est une grosse équipe physiquement. On était dans le match. Il y a deux shoots de (Mantas) Kalnietis après un temps-mort qui font très mal. Offensivement, on n’a pas réussi à trouver des solutions, à provoquer des fautes ou à marquer. Sur tout le match ils arrivent à trouver des ressources pour faire la différence.\\n\\nIls ont joué à onze et vous à huit seulement. En fin de match, ça pèse ?\\n\\nBien sûr. Si on a Cameron (Clark) et Jo (Tabu) qui sont avec nous ce soir, ça ne peut que nous aider surtout que leur impact physique est très impressionnant. Ils utilisent bien leurs rotations, leurs joueurs, à être intenses tout le match. Cameron et Jo en plus, ça aurait pu que nous aider.\\n\\nQuel est votre sentiment sur l’ensemble de la série ?\\n\\nOn est vraiment déçu car je pense qu’il y avait de la place. Là-bas, on ne perd aussi que de sept points. Villeurbanne est une très bonne équipe qui arrive à trouver le moyen de mettre des paniers en fin de match. Défensivement sur un match ils arrivent à avoir un impact physique qui est assez important. Quand on a moins de joueurs, en fin de match ça peut aussi causer un manque de lucidité. On a essayé d’être agressif mais on n’a pas réussi à provoquer des fautes. Ils ont mis des gros shoots, ils ont provoqué des fautes en fin de possession. AJ Slaughter met un floter, (Adreian) Payne sur son shoot provoque une faute. Ça nous tue.\\n\\nComment avez-vous pris l’expulsion de votre coach ?\\n\\nPersonnellement, j’ai été surpris. Je ne savais pas qu’il avait pris une faute technique. Il voulait vraiment tout faire pour gagner ce soir. Il a estimé à un moment que c’était un peu trop et il a préféré s’énerver. Le timing était un peu juste car on était sur une bonne dynamique. Ça fait partie d’un match, on s’énerve tous. Je pense qu’il en avait juste un peu marre de ce qui se passait et il a eu une technique.\\n\\nEtes-vous d’accord avec le public qui a crié « Villeurbanne protégé » comme lors de la finale de la Coupe de France déjà contre l’ASVEL ?\\n\\nPfff (sourire). Je vais laisser les autres faire leur propre opinion. On a essayé d’être agressif, Valentin (Bigote), Juice (Thompson), Kendrick (Ray) qui attaque beaucoup le panier et on n’a pas réussi à avoir les fautes qu’on aurait aimé avoir. Comme je l’ai dit, on a fait des erreurs : les trois-points de Kalnietis, les erreurs défensives, les rebonds offensifs qu’ils ont pris, l’impact physique qu’ils ont et qui nous coûte aussi en fin de match. Il faut vraiment faire un match parfait contre eux. Ça ne se joue pas à grand-chose mais c’est toujours une défaite.\\n\\nQuel est le regard que vous jetez sur cette saison où vous avez arraché les playoffs juste à la fin ?\\n\\nCe n’était pas une saison facile. Dès le début de la saison. Des joueurs n’étaient pas là, Mich (Demetrius Conger) est parti, on a pris d’autres joueurs, Antoine (Eito) était blessé, Cameron aussi, Terry (Tarpey) n’a pas trop joué avec nous. On s’est battu avec nos forces. On a réussi à se qualifier en huitièmes en BCL. Ce n’était pas facile cette année mais on a montré du caractère. C’était une équipe différente de l’année dernière avec beaucoup d’attente et on finit avec vingt victoires et on a deux joueurs qui nous manquent pour les playoffs. Cameron aurait pu apporter beaucoup dans une série contre l’ASVEL. Ça fait partie du boulot d’avoir des joueurs blessés, il faut jouer avec nos forces et on a continué à se battre.\\n\\nOn a vu le vrai Richard Hendrix ce soir. Celui que l’on attendait vu son CV. Son positionnement a été profitable ?\\n\\nIl faudrait lui demander. C’est un joueur qui est agressif, qui peut scorer, passer le ballon. Il y avait peut-être trop d’attente en début de saison parce que l’année dernière on avait un gros effectif avec un gros joueur à cette position-là. On pensait que c’était le nouveau Youssoupha Fall, ce sont simplement des joueurs différents. C’est vrai qu’il a un gros CV mais il a mis du temps à s’adapter au jeu français en Jeep Elite. Ce soir, il a été bon, solide. 11 points et 11 rebonds.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous avez mis du cœur, de l’engagement ce soir, mais ça n’a pas suffi ?\\n\\nOn s’est battu avec nos forces. On a fait beaucoup d’erreurs, des détails. 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Le club parisien, mené par Jean-Christophe Prat, qui aime faire jouer les jeunes, a terminé à la onzième place du classement et se battait un temps pour les playoffs. Cette saison en NM1, Milan Barbitch tournait à 9,7 points et 2,6 rebonds en 22 minutes de jeu en moyenne.\\n\\nComme son ancien coéquipier, le pivot Dylan Gory a rejoint le Centre Fédéral en 2016. Après trois ans à Vincennes, il a décidé de rejoindre le club de Roanne qui vient d’être sacré champion de France de Pro B et qui évoluera donc en Jeep Elite à la rentrée. 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Je fais les choses dans l’ordre. Je ne vois pas pourquoi cela ne se ferait pas. Pour Dounia, c’est une belle opportunité de lancer sa carrière de coach. Un poste assez exposé avec un club de haut de tableau avec des objectifs élevés. Forcément, la pression viendra assez vite. Antoine restera son adjoint et on voudrait conserver un staff à trois.\u2009»\\n\\nPar ailleurs, et alors que Antoine Eïto, Valentin Bigote, Terry Tarpey et Matthieu Gauzin sont sous contrat, le MSB a fait une « très grosse » offre à son intérieur Wilfried Yeguete mais l’absence de réponse n’est pas bon signe. Auteur d’une excellente saison, Yeguete intéresserait fortement Monaco. Formé au club, Petr Cornelie est également sur le départ.\\n\\nPhoto: Wilfried Yeguete (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le Portel : Eric Girard coach ou Directeur Sportif ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Le Portel a frôlé la relégation en Pro B terminant à une seule petite victoire de la zone rouge, il faut rapidement se mettre au travail pour préparer la saison prochaine et ne pas réitérer cette contre-performance.\\n\\nAu Portel depuis 2012, Eric Girard n’est pas sûr de continuer d’occuper le poste d’entraîneur à la rentrée. Sur Facebook, l’ESSM fait l’état des lieux de l’équipe à l’approche de l’été avec le coach.\\n\\n« Une vraie complicité existe entre le Président et moi. Notre collaboration en est le plus bel exemple. Je l’ai dit et répété : même si ces changements s’inscrivent dans un an, j’allais demander au « prési » de revoir la structure. On ne peut plus continuer comme ça. Quand on vit une saison aussi difficile que celle qui vient de se terminer, on n’a pas le temps de se consacrer à autre chose, d’anticiper et notamment à la recherche de joueurs potentiels pour la saison à venir ou en cas de blessure. C’est très, très frustrant. On n’a pas de scout, pas de manager, pas de kiné à temps plein, on doit vite remédier à ça.\\nLe « prési » a d’ores et déjà acté la venue dès cette année du fameux deuxième assistant. Il sera notamment chargé des montages vidéo, ce qui libèrera davantage Jacky (Périgois), très impliqué à mes côtés lors des séances, et s’occupera également du scouting. C’est vital pour nous car nous sommes et nous resterons forcément dans les plus petits budgets. Or, on l’a bien vu cette saison, les trois derniers étaient les plus petits budgets. »\\n\\nL’ancien entraîneur de Limoges songe à passer du côté des dirigeants.\\n\\n« Je me pose effectivement et logiquement beaucoup de questions, c’est normal après une telle année. On l’a vu cette saison : nos leviers sont limités dans la gestion de groupe, l’aspect le plus difficile de notre métier. Le basket, le terrain, ce n’est pas un problème. Et ce sera la même chose la saison prochaine, car que ce soit Roanne, Nancy ou Orléans, ce seront des clubs avec des budgets supérieurs au nôtre. Il faudra donc attaquer la saison avec l’objectif de ne pas descendre. C’est réducteur, très réaliste mais pas dans mon ADN de compétiteur. Beaucoup de gens ne comprennent pas ou ne comprennent plus ça depuis la montée. »\\n\\nDu côté de l’effectif, l’interrogation aussi est grande. Il n’y a que deux joueurs sous contrat alors que Jean-Victor Traoré est à moitié sur le départ.\\n\\n« Seuls, pour l’heure, sont Portelois, Ben (Mangin) et Pierre-Etienne (Drouault). Jean-Victor (Traoré), on voulait vraiment le garder, d’autant que l’homme est fabuleux donc nous lui avons fait une proposition de 2 ans mais il a un projet avec Lille de joueur puis reconversion à la clé, on comprend. Attention, dans ce dossier, nous sommes décideurs. Il est sous contrat. Il faudra donc qu’il y ait transaction. Nous ne sommes pas dans le monde des bisounours. Pour le reste, le seul avec lequel on discute, c’est O.D. (Anosike). Le problème, c’est que grâce aux progrès réalisés, il est devenu très gourmand. En plus, il a changé d’agent et on doit donc payer deux comm’. Sa stratégie, c’est d’attendre pour trouver le meilleur contrat. On cherche donc en parallèle de notre côté aussi. Hilliard, voir Purcell nous ont tous trahis. Pas question de les reprendre. Harris, c’est un super mec, mais qui n’a plus l’impact de ses meilleures années et il va prendre sa retraite. Même chose pour Curry, qui a bien fini, mais qui manque tout de même de caractère pour être le digne pendant d’un Benoît qui a encore fait une très belle saison. Quant à Williams, il a aussi fait des progrès, mais question travail et QI basket, cela ne correspond pas à la philosophie maison ! Donc, pas gardé. Quant à Samir (Gbetkom), il sera prêté en Pro B pour s’aguerrir. On aurait aimé le faire jouer davantage, mais le contexte très spécial a fait que... »\\n\\nPhoto : ESSM Le Portel" }, {"role": "user", "content":"L’Elan Béarnais disputera la Champions League la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce aux qualifications en demi-finale de Monaco et Dijon et aux éliminations de Limoges et Strasbourg, l’Elan Béarnais aura le droit de disputer la Basketball Champions League à la rentrée.\\n\\nLa loi du plus fort ayant été respectée et Limoges, septième du classement, et Strasbourg, sixième du classement, ayant été éliminés, les Palois, qui ont terminé cinquièmes de Jeep Elite cette saison, ont composté leur billet pour la BCL 2019/20. C’est la première fois depuis 2016/17 et sa campagne de FIBA Europe Cup, que le club béarnais va prendre part à une coupe d’Europe.\\n\\n\\n\\n\\n😃🏀 pic.twitter.com/L906zzvMP2\\n\\n\\n— Didier G (@DGadou) May 27, 2019\\n\\nPhoto : Eric Traversié" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France 3×3: Antoine Eito (Le Mans) parmi les 12 pré-sélectionnés" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Richard Billant a rendu publique la liste des 12 joueurs qui participeront à la préparation pour la Coupe du Monde qui aura lieu à Amsterdam (16 au 24 juin) et les Jeux Européens à Minsk (18 au 25 juin). Parmi eux, on remarque la présence du Manceau Antoine Eito.\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de naissance\\nClub\\n\\n\\nCHRISTOPHE\\nAnthony\\n04/03/1983\\nAS Monaco Basket\\n\\n\\nCORNELY\\nThomas\\n29/06/1991\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nDUSSOULIER\\nLucas\\n27/07/1996\\nUJAP Quimper\\n\\n\\nEITO\\nAntoine\\n06/04/1988\\nLe Mans SB\\n\\n\\nGENTIL\\nDominique\\n18/05/1988\\nVendée Challans Basket\\n\\n\\nGIRMA\\nSammy\\n12/09/1989\\n–\\n\\n\\nHARLEY\\nKevin\\n20/04/1994\\nPoitiers Basket 86\\n\\n\\nJOSEPH\\nMike\\n13/04/1994\\nToulouse BC\\n\\n\\nNEGROBAR\\nLudovic\\n01/09/1991\\nHermine de Nantes\\n\\n\\nPONTENS\\nCharly\\n13/07/1995\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nVAR\\nMickaël\\n08/02/1990\\nSLUC Nancy Basket\\n\\n\\nWILSON\\nRaphael\\n10/01/1989\\nCergy-Pontoise BB\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : FFBB/IS/Bellenger" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Rob Gray quitte Bourg-en-Bresse pour Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé fin mars à Bourg-en-Bresse après la blessure de Zack Wright, Rob Gray (1,85m, 25 ans) a rapidement montré ses qualités de joueur en Jeep Elite.\\n\\nAperçu le temps de dix matchs cette saison, le natif de Forest City vient de s’engager avec Levallois pour la saison 2019/20. Formé aux universités de Howard et Houston, il a lancé sa carrière professionnelle Fort Wayne Mad Ants, en G-League, la saison dernière avant de rejoindre la France.\\n\\nCette saison, Rob Gray compilait en moyenne 14 points, 3,8 rebonds et 3,9 passes décisives pour une évaluation de 15,7.\\n\\n\\n\\n\\n🚨[OFFICIEL] Rob GRAY rejoint l'effectif des #Metropolitans pour la saison 2019-2020 ! 🇺🇸🔥#JeepElite #recrutement pic.twitter.com/tpO2TCuOXe\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) May 28, 2019\\n\\nPhoto : Guilherme Amorin" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : la remontada de Dijon à Strasbourg en images" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir battu Strasbourg dans les grandes largeurs samedi soir, la JDA Dijon se déplaçait au Rhenus lundi.\\n\\nA Strasbourg, c’est le scénario inverse qui s’est déroulé. Du moins, en première mi-temps. Les Strasbourgeois comptaient 29 points d’avance à la mi-temps avant de voir leur avance s’envoler après un run incroyable des Dijonnais qui se sont finalement imposés en prolongation.\\n\\n\\n\\n\\n🎥 Retour en images sur ce match... QUEL MATCH ! #SIGJDA #PlayoffsJeepELITE #Dijon pic.twitter.com/XmQhaWfqrq\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) May 28, 2019" }, {"role": "user", "content":"Finales NM3/NF3 : tous les participants sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la saison 2018/19 se conclue dans toutes les divisions, les finales de Nationale 3 masculine et féminine se tiendront le week-end du 8, 9 et 10 juin à Eaubonne, dans le Val-d’Oise (95). La FFBB vient de communiquer le programme de cet événement qui décidera qui sera sacré champion de NM3 et de NF3.\\n\\nVoici le programme du week-end :\\n\\nSamedi 8 juin :\\n * Nationale Féminine 3\\n \\n * 15h00* : AS 6EME KM BB / ÉQUIPE CLASSÉE 3ÈME TOURNOI A 4\\n * 17H30* : LA TAMPONNAISE BB / VAINQUEUR R1 TOURNOI A 4\\n * 20H00* : US SINNAMARY / VAINQUEUR R2 TOURNOI A 4\\n \\n * Nationale Masculine 3\\n \\n * 15H00* : ETOILE DE L’EST POINTE NOIRE / LILLE METROPOLE BASKET CLUBS\\n * 17H30* : AS EXCELSIOR / HYERES TOULON VAR BASKET\\n * 20H00* : BASKET CLUB SAINT-PAUL / BASKET UNION POITIERS BASKET 86 – 2\\n \\n\\nDimanche 9 juin :\\n * 15H00* : CLASSEMENT 5ÉME/6ÉME PLACE FÉMININ ET MASCULIN\\n * 17H30* : DEMI-FINALE N°1 FÉMININE ET MASCULINE\\n * 20H00* : DEMI-FINALE N°2 FÉMININE ET MASCULINE\\n\\nLundi 10 juin :\\n * 11H00 : PETITE FINALE FÉMININE ET MASCULINE\\n * 13H15 : FINALE FÉMININE\\n * 15H00 : FINALE MASCULINE\\n\\nPhoto : HTV Basket" }, {"role": "user", "content":"Roanne : les champions de France fêtent leur retour en Jeep Elite avec leurs supporters" }, {"role": "assistant", "content":"Sacrés champions de France de Pro B et donc officiellement de retour en Jeep Elite après cinq ans en deuxième division, les joueurs de la Chorale de Roanne ont été fêter leur titre avec leur supporters devant la mairie de Roanne.\\n\\n\\n\\n\\n🎵 🙌💙 pic.twitter.com/v2OYDaXpXJ\\n\\n\\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) May 27, 2019\\n\\n\\n\\n\\nLa #choralenation en communion avec son équipe \u2066@ChoraleRoanne\u2069 ! #champions #proB pic.twitter.com/dRQYjxgXUI\\n\\n\\n— Roannais Agglo (@RoannaisAgglo) May 27, 2019\\n\\n\\n\\n\\nLes champions sont là ! #proB #choralenation pic.twitter.com/bswZbdIf7t\\n\\n\\n— Roannais Agglo (@RoannaisAgglo) May 27, 2019\\n\\n\\n\\n\\nClapping lancé par @OriskaOfficiel en direct de la place de l’hôtel de ville de ROANNE ! les champions de France pro B et leur public en communion ! #Choralenation #champions #proB pic.twitter.com/3RHS1J3wxP\\n\\n\\n— Roannais Agglo (@RoannaisAgglo) May 27, 2019\\n\\nPhoto : Chorale Roanne" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (Strasbourg) : «Cette équipe est restée fidèle à elle-même dans la connerie!»" }, {"role": "assistant", "content":"Largement battue au match aller à Dijon, la SIG avait soif de revanche au Rhenus ce lundi soir pour tenter d’aller jouer un match 3 décisif mercredi. Malheureusement pour les Strasbourgeois c’est le pire des scénarios qui s’est produit.\\n\\nAlors que Strasbourg a compté jusqu’à 31 points d’avance en première mi-temps et menait de 29 à la pause (51-22), les joueurs de Vincent Collet ont réalisé l’incroyable exploit de se faire remonter par une JDA combattante, rapidement privée de son MVP David Holston, sorti pour 5 fautes.\\n\\nAprès la rencontre, l’entraîneur strasbourgeois était remonté en conférence de presse.\\n\\n« Je ne comprends pas très clairement. Pour moi c’est impossible... Même pas improbable, c’est impossible à la condition d’être un minimum sérieux ce qu’on n’a pas été à l’entame de la 2ème mi-temps provoquant un rapproché. Ça peut arriver dans ce genre de situation mais après tu réenclenches et ça repart mais malheureusement on n’en a jamais vraiment été capable. On a perdu totalement le rythme. Là où on faisait voler la balle en 1ère mi-temps on a de nouveau ralenti les transmissions, trop dribblé... Alors que rien n’avait changé en défense de leur côté. En plus de l’autre côté on a commis une succession d’erreurs. On était partout en 1ère mi-temps et après on était en retard sur beaucoup de situations. On a laissé Pearson s’installer dans le confort puis ensuite Julien a fini le travail. »\\n\\nAlors qu’il pensait que le plus dur était fait à la mi-temps, le sélectionneur de l’Equipe de France déplore que son équipe n’ait pas su apprendre des erreurs du passé et a eu des mots durs contre elle.\\n\\n« C’est totalement incroyable et désolant...C’est à l’image de plein de choses. On avait montré dans l’année qu’on était capable de prendre 30pts sur un match, on a montré maintenant qu’on pouvait les prendre sur une mi-temps. C’est affligeant ! Je crois que ce n’est pas loin d’être la pire mi-temps de ma carrière. Le bilan des Playoffs est un cruel échec. On avait gagné le match à la mi-temps. Même si Dijon fait un retour fantastique, ils ne le font pas tout seul, c’est aidé par notre comportement. Même si on a fini 6ème et qu’on a gagné des matches, on n’a pas produit la même qualité de jeu que les années précédentes et surtout comparativement aux saisons précédentes, on n’a pas progressé. Ça faisait 6 ans qu’on était toujours meilleur à la fin qu’au début de saison, que l’équipe progressait, mais cette saison on n’a pas progressé d’un iota. Cette équipe est restée fidèle à elle-même dans la connerie ! »\\n\\nFort de quasiment 20 ans au plus haut niveau, Florent Pietrus affirme n’avoir que rarement vécu un pareil scénario et concède que la saison de son équipe est un échec.\\n\\n« Je voulais d’abord féliciter l’équipe de Dijon, qui n’a jamais baissé les bras même à 30 points. Ce match est à l’image de notre saison. Il ne fallait pas s’attendre à un grand miracle. On est vraiment déçu par rapport à ce qu’on a montré en 2ème mi-temps. C’est une saison compliquée à tous les niveaux. Si on fait le bilan complet, c’est un échec total. Il faut l’assumer et ne pas avoir peur de le dire. Je n’ai pas souvent connu de soirées comme celle-là, ça fait mal. On va faire le bilan, repartir du bon pied chacun de notre côté. Même si c’était une saison compliquée, on ne méritait pas de finir comme ça. C’est dans la difficulté qu’on construit de belles victoires. Il ne faut pas être pessimiste par rapport à l’avenir du club. Strasbourg a une belle structure, et ils ont tout pour continuer à grandir. »\\n\\nDe son côté, Laurent Legname ne peut qu’être fier de ses joueurs. Comme depuis le début de la saison, ils sont héroïques, repoussant un peu plus les limites du possible à chaque match.\\n\\n« Ce qui s’est passé ce soir marquera la carrière des joueurs de mon équipe. Faire ce qu’ils ont fait en 1/4 de finale de Playoffs face à une équipe revancharde, c’est incroyable ! Ça va marquer l’histoire du club. On s’est bien réveillé en 2ème mi-temps et on a enfin défendu comme on l’a fait tout au long de la saison. En 1ère mi-temps, on ne jouait pas trop mal offensivement, mais on n’avait pas de rythme donc on loupait trop paniers. On était en retard sur tout et Strasbourg en a profité allègrement. Il y a des aspects techniques qu’on a changé à la mi-temps, mais on ne peut pas vraiment l’expliquer de manière rationnelle. C’est la beauté du basket ! J’ai travaillé avec les joueurs toute l’année pour qu’on ait ce mental pour ne jamais abandonner. »\\n\\nPropos rapportés du site officiel de la SIG.\\n\\nPhoto : Nicolas Goisque" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Louis Labeyrie finit la saison sur un record" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-quatre joueurs répartis sur neuf pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment onze joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Pologne en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLouis Labeyrie finit la saison avec un carton !\\n\\nAvec seulement 6 matchs en double figure au scoring, sur 31 joués cette saison, Louis Labeyrie avait établi son record de la saison à 13 points. Un « petit » score offensif...\\n\\nMais pour la dernière journée du championnat, face à Vitoria et son grand pote Vincent Poirier, Labeyrie a remédié à tout ça en réussissant son meilleur match en carrière en Liga : 23 points, 9 rebonds et 34 d’évaluation !\\n\\nAdroit dans le périmètre et actif près du cercle, que ce soit au alley oop ou au contre, Labeyrie a signé un match plein. De quoi le lancer pour les playoffs ! Ce sera face à Malaga (et Mathias Lessort)...\\n\\n\\nFabien Causeur garde le rythme\\n\\nSi le Real Madrid a perdu sa couronne continentale en Euroleague, il semble bien déterminé à ne pas se laisser damer le pion en ACB. Derrière le Barça pendant toute la saison, le Real a finalement subtilisé la 1ère place de la saison régulière à son rival catalan sur cette dernière journée, avec notamment 18 points de Fabien Causeur pour battre San Sebastian.\\n\\nComme Labeyrie, l’arrière tricolore a fini à 8/11 aux tirs pour une soirée très efficace offensivement. Avec sa papatte gauche, il a encore fait très mal à son adversaire, sur le tir extérieur mais aussi en pénétration avec des changements de rythme bienvenus. Il y a ajouté 3 rebonds et 3 passes pour faire bonne figure. Le Real affrontera Manresa au 1er tour.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=PgiiEdHGT4A\\n\\n\\nL’Efes sur le point de conclure\\n\\nSans réussite non plus au Final Four Euroleague, l’Efes Istanbul se rabat sur le championnat pour cette fin de saison. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la troupe turque n’a pas fait dans le détail pour son 1er tour des playoffs ! Adrien Moerman (26 points, 10 rebonds, 4 passes) a été époustouflant lors de la 1ère levée, tandis que Rodrigue Beaubois (18 points, 5 passes, 4 rebonds) a maîtrisé le 2e match à l’extérieur.\\n\\nL’Efes n’est ainsi qu’à une encablure de la demi-finale, où il devrait rencontrer le vainqueur de la série entre Galatasaray et Gaziantep. Dans l’autre partie de tableau, le Fenerbahçe a déjà concédé un revers face à Turk Telekom au 1er tour...\\n\\nLes highlights du match 1 (le Moerman show)\\n\\nLes highlights du match 2 (le Beaubois show)\\n\\n\\nNando De Colo reprend du service\\n\\nLaissé au repos après le sacre en Euroleague pour le match 1, Nando De Colo a repris le boulot au match 2. Avec 10 points et 4 passes, il a été solide, mais sans vraiment d’adresse : 2/9 aux tirs.\\n\\nOn imagine que le shooteur patenté du CSKA va retrouver son rythme pour la suite des opérations. Le CSKA se dirige sereinement vers la finale de la VTB League, avec 5 victoires en 5 matchs (3-0 puis 2-0)...\\n\\n\\nLéo Westermann en finale\\n\\nEn Lituanie, les playoffs se jouent au meilleur des 3 manches et c’est donc assez expéditif pour les adversaires du tout-puissant Zalgiris Kaunas. La troupe de Léo Westermann a passé sans encombre le 1er tour (2-0 contre Dzukija) et voilà que la demi-finale est déjà terminée également après un nouveau 2-0 face à Lietkabelis cette fois.\\n\\nLéo Westermann a été solide, mais sans plus, sur ce run de playoffs. Il tourne en moyenne à 8 points, 3 passes et 3 rebonds sur ces 4 matchs, le tout à 6/8 à deux points et 5/9 à trois points.\\n\\n\\nEdwin Jackson bien lancé en finale\\n\\nAprès deux victoires nettes et sans bavure dans la finale de la ligue du Monténégro, Podgorica a laissé échapper une victoire à Mornar Bar. Ce n’est pas vraiment la faute d’Edwin Jackson (qui s’est fait la boule à zéro au passage) qui tourne pour le coup à 16 points de moyenne sur cette finale.\\n\\nOn peut néanmoins noter que Jackson, comme son équipe, a marqué le pas lors du match 3 avec une première fiche négative en adresse 5/13. Le Buducnost aura l’occasion de se venger, ou d’aller dans un match 5 à la vie à la mort, dès ce soir !\\n\\n\\nTorun déjà en finale\\n\\nTout va vite aussi en Pologne, pour Torun et Aaron Cel. Le Polski Cukier a déjà validé son billet pour la finale avec deux coups de balai en quart et en demi-finale.\\n\\nAaron Cel a vu son rayonnement décliner au fur et à mesure de la série, avec un ultime match raté à 2 points et 1 rebond. Mais Cel pourrait bien remporter son 2e titre de Pologne en fin de parcours..\\n\\n\\nEspagne\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 23 points (8/11 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes, 2 contres, 1 balle perdue en 24 minutes pour 34 d’évaluation (victoire 92-81 face à Vitoria)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 18 points (8/11 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 2 interceptions en 24 minutes (victoire 95-76 face à San Sebastian)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 15 points (5/9 aux tirs), 8 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 83-63 face à Obradoiro)\\n\\nNobel Boungou-colo (Badalone) : 6 points (3/5 à trois points), 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 13 minutes (victoire 86-78 face à Estudiantes)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (1/8 aux tirs), 5 passes, 5 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 24 minutes (défaite 72-66 face à Malaga)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 19 minutes (défaite 92-81 face à Valence)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception en 19 minutes (défaite 82-77 face à Murcia)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 1 point (0/1 au tir), 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 3 balles perdues en 13 minutes (victoire 92-81 face à Vitoria)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 0 point (0/7 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 20 minutes (victoire 72-66 face à Andorre)\\n\\nLanding Sane (Andorre) : 0 point (0/3 aux tirs), 1 rebond en 8 minutes (défaite 72-66 face à Malaga)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 6 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 25 minutes (victoire 96-89 face à Nes Ziona)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : saison terminée\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : saison terminée\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) :\\n\\n– 4 points (1/4 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 15 minutes (victoire 78-58 face à Lietkabelis)\\n– 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception en 14 minutes (victoire 84-63 face à Lietkabelis)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) :\\n\\n– 19 points (7/12 aux tirs), 5 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 102-68 face à Mornar Bar)\\n– 15 points (6/10 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 84-74 face à Mornar Bar)\\n– 15 points (5/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 4 balles perdues en 35 minutes (défaite 76-68 face à Mornar Bar)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) :\\n\\n– 14 points (4/7 aux tirs), 9 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 88-77 face à Zielona Góra)\\n– 11 points (3/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 24 minutes (victoire 81-67 face à Zielona Góra)\\n– 2 points (0/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 86-81 face à Zielona Góra)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) :\\n\\n– n’a pas joué (victoire 98-82 face à St Petersbourg)\\n– 10 points (2/9 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 83-81 face à St Petersbourg)\\n– match 3, mardi 28 à St Petersbourg\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : saison terminée\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 18 points (7/8 aux tirs), 8 passes, 4 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues pour 30 d’évaluation en 32 minutes (victoire 125-98 face au Dynamic Belgrade)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) :\\n\\n– 0 point (0/4 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 81-72 face à Banvit)\\n– 18 points (8/14 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes (victoire 87-77 face à Banvit)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) :\\n\\n– 26 points (9/17 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes, 1 interception, 1 contre en 34 minutes pour 31 d’évaluation (victoire 81-72 face à Banvit)\\n– 7 points (3/9 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 31 minutes (victoire 87-77 face à Banvit)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué – blessé\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Clap de fin pour Fall, Jaiteh et M’Baye\\n\\nCrédits photo : EFE\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLouis Labeyrie finit la saison avec un carton !\\n\\nAvec seulement 6 matchs en double figure au scoring, sur 31 joués cette saison, Louis Labeyrie avait établi son record de la saison à 13 points. Un « petit » score offensif...\\n\\nMais pour la dernière journée du championnat, face à Vitoria et son grand pote Vincent Poirier, Labeyrie a remédié à tout ça en réussissant son meilleur match en carrière en Liga : 23 points, 9 rebonds et 34 d’évaluation !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euro U21 en Europe: Le bilan par coupe d’Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Impossible d’établir une hiérarchie entre les diverses coupes d’Europe de clubs en matière de U21, tant elles sont différentes. Mais les trois coupes étudiées ici ont fait la part belle aux U21, chacune à sa façon.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nEuroleague\\n\\nS’ils ne sont pas bien nombreux à jouer régulièrement en Euroleague (10), les U21 présents à ce stade de la compétition forment en quelque sorte le gratin des jeunes pousses européennes. Ils ne jouent pas forcément très longtemps ni ne proposent un rendement très élevé, sauf exception, mais c’est la rançon à payer pour monter ses talents dans les plus grosses écuries d’Europe. L’Euroleague remplit là son rôle...\\n\\nLa stat « qui tue » : 5\\n\\nSur 10 joueurs U21 ayant un minimum de temps de jeu en Euroleague, cinq, soit la moitié, sont nés en 2000 ou après : Tarik Biberovic (Fener, 2001), Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas, 2000), Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv, 2001), Aleksander Balcerowski (Gran Canaria, 2000) et Mert Akay (Darussafaka, 2000). Aucun ne dépasse les 4 pts ou 3 d’éval moyenne, mais on devrait entendre parler d’eux dans le futur.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Maccabi Tel-Aviv\\n\\nDonner du temps de jeu à deux U21, dont l’un né en 2001, Deni Avdija (en plus de Yovel Zoosman), il n’y a que le Maccabi pour le faire dans une compétition aussi relevée que l’Euroleague.\\n\\nLe MVP : Goga Bitadze\\n\\n12,1 pts et 16,3 d’éval en moyenne en 24,1 mn, Goga Bitadze (Buducnost Podgorica, 1999) compile des stats de joueur majeur alors qu’il n’a pas encore 20 ans. Il est loin devant tous les autres, le second meilleur marqueur U21 (Georgios Papagiannis, Pana, 1997) émargeant à 4,2 points.\\n\\nLe joueur à suivre : Tarik Biberovic (Fener)\\n\\nFait insolite, Tarik Biberovic (2001) n’entre pas en jeu en championnat turc mais a eu droit à 5,5 mn en 5 parties lors de la saison régulière d’Euroleague (il est également entré en jeu lors de la finale pour la 3e place). Et il en profite pour scorer 3,2 pts et produire 2,8 d’éval. Le jeune Bosnien naturalisé Turc est certainement amené à gagner en responsabilités au fil des saisons.\\n\\nEurocup\\n\\nSi ce sont principalement les clubs allemands, français, lituaniens et serbes qui fournissent le principal contingent des U21 ayant un rôle en Eurocup, cette coupe d’Europe offre un terrain de jeu de haut niveau à un large éventail de ces jeunes joueurs, où les meilleurs d’entre-eux montrent de très belles choses. Une belle compétition pour exprimer ses capacités lorsqu’on est U21.\\n\\nLa stat « qui tue » : 18/30\\n\\nSur 30 U21 ayant un vrai temps de jeu en Eurocup, 18 évoluent pour seulement cinq clubs : les allemands Alba Berlin et Fraport, le français LDLC Asvel, le lituanien Rytas Vilnius et le serbe Partizan de Belgrade.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : LDLC Asvel\\n\\nAu jeu du meilleur rendement des U21 alignés, le club de Villeurbanne se distingue, grâce notamment à l’apport d’Amine Noua et de Théo Maledon. Un petit cocorico qui ne fait pas de mal !\\n\\nLe MVP : Martynas Echodas (Rytas Vilnius)\\n\\nDifficile de dégager un MVP, Marcel Ponitka (Gdynia, 1997), Amine Noua (LDLC Asvel, 1997) ou Vanja Marinkovic (Partizan, 1997) ayant eux aussi de solides arguments à faire valoir. Mais Echodas (1997, 19,3 mn, 9,6 pts, 11,7 d’éval) propose d’excellentes stats (meilleur à l’éval) pour un temps de jeu moindre que ses « concurrents ».\\n\\nLe joueur à suivre : Théo Maledon (LDLC Asvel)\\n\\nCe n’est pas par chauvinisme que nous évoquons ici Théo Maledon (2001, 17,5 mn, 7,1 pts, 6,6 d’éval) mais bien parce qu’il est tout simplement le meilleur jeune né en 2000 ou après de la compétition. Qui plus est dans une équipe qui est allée jusqu’en quarts de finale. Un challenge encore plus important l’attend l’année prochaine en Euroleague avec l’Asvel.\\n\\nBCL\\n\\nLa Basketball Champions League concerne un grand nombre de pays (15), ce qui permet à des U21 de nombreuses nationalités de se confronter à un haut niveau. Pratiquement aussi performants que leurs homologues évoluant en Eurocup, ils sont aussi plus nombreux : 37 à bénéficier d’un vrai temps de jeu contre 30. La BCL est une compétition taillée sur mesure pour les U21.\\n\\nLa stat « qui tue » : 16\\n\\nTchèques, roumains, français, lituaniens, russes, etc. En tout, 16 nationalités sont représentées par les 37 U21 disposant de temps de jeu en BCL. Difficile de faire plus varié !\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Olimpija Ljubljana\\n\\nBien sûr, l’équipe de la capitale slovène n’a pas vraiment brillé dans la compétition, terminant bonne dernière de son groupe. Mais elle s’est appuyée sur l’ensemble de cette phase de poules sur cinq U21 nés entre 1997 et 2000, issus de Slovénie mais aussi de Croatie (deux joueurs), du Monténégro et d’Ukraine. Et tous jouent entre 10 et 20 mn/match.\\n\\nMention à Banvit et Klaipeda, qui accordent eux aussi un temps de jeu non négligeable à leurs U21 (4 à Banvit, 3 à Klaipeda).\\n\\nLe MVP : Tamir Blatt (Hapoel Jérusalem)\\n\\nIl n’y a pas photo, Tamir Blatt (1997) est le meilleur jeune ayant évolué en BCL, avec ses 10,1 pts et 13,1 d’éval en 24,8 mn. Et il présente une meilleure évaluation dans cette coupe d’Europe qu’en championnat israélien (9,6). Les voyages forment vraiment la jeunesse !\\n\\nLe joueur à suivre : Luka Samanic (Olimpija Ljubljana)\\n\\nNé en 2000, l’intérieur croate de Ljubljana semble dopé par la BCL, où il présente de meilleures statistiques qu’en Ligue Adriatique : 8,2 pts et 8,9 d’éval en 19,4 mn contre 6,4 pts et 7,3 d’éval en 15,4 mn. Dans les deux cas, de belles stats pour un joueur de 18 ans, qui devrait rapidement intéresser des clubs plus huppés.\\n\\n[armelse]\\n\\nEuroleague\\n\\nS’ils ne sont pas bien nombreux à jouer régulièrement en Euroleague (10), les U21 présents à ce stade de la compétition forment en quelque sorte le gratin des jeunes pousses européennes. Ils ne jouent pas forcément très longtemps ni ne proposent un rendement très élevé, sauf exception, mais c’est la rançon à payer pour monter ses talents dans les plus grosses écuries d’Europe. L’Euroleague remplit là son rôle...\\n\\nLa stat « qui tue » : 5\\n\\nSur 10 joueurs U21 ayant un minimum de temps de jeu en Euroleague, cinq, soit la moitié, sont nés en 2000 ou après : Tarik Biberovic (Fener, 2001), Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas, 2000), Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv, 2001), Aleksander Balcerowski (Gran Canaria, 2000) et Mert Akay (Darussafaka, 2000). 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Toutes les conditions sont réunies pour optimiser ma progression. J’ai hâte que la saison commence et que l’on se mette au travail. »\\n\\nA noter que les deux hommes font partie de l’Equipe de France U18 qui disputera le championnat d’Europe en Grèce du 27 juillet au 4 aout 2019.\\n\\nPhoto :FIBA" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Philippe Hervé est le nouvel entraîneur de l’Elan Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines mais c’est désormais officiel, Philippe Hervé (56 ans) succède à Jean-Denys Choulet à la tête de l’Elan Chalon, annonce le club.\\n\\nPrésent ce week-end à Dijon pour voir les espoirs de l’Elan se hisser jusqu’en finale du Trophée du futur, l’ancien entraîneur du Limoges CSP a été officialisé ce lundi à l’occasion d’une conférence de presse. Il s’est engagé pour une durée de trois ans.\\n\\nPassé par Villeurbanne, Orléans, Limoges et Cholet, le natif de Fontainebleau a commencé sa carrière d’entraîneur à Chalon (1995-2002) après y avoir terminé sa carrière de joueur (1990-95).\\n\\n« C’est un plaisir d’être aujourd’hui à cette place et de revoir des visages connus. C’est même une fierté. J’ai à cœur de faire grandir toute l’organisation du club et tous les entraîneurs du club. J’ai le sentiment qu’il y a besoin de recréer du lien à tous les niveaux du club. C’est ce qui me motive à rejoindre l’Elan », a-t-il déclaré comme le rapporte le JSL." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : ménage de printemps dans la direction du BCM Gravelines-Dunkerque" }, {"role": "assistant", "content":"Si le Limoges CSP a occupé toute l’attention cette saison, l’exercice 2018/19 du BCM Gravelines-Dunkerque n’a pas non plus été de tout repos.\\n\\nAttendu comme un acteur majeur et candidat sérieux aux playoffs, le club nordiste a finalement terminé à une timide onzième place (16v-18) avec trois victoires de retard sur le premier playoffable, Le Mans. Les Maritimes ont notamment été longtemps privés de leur star américano-dominicaine, Edgar Sosa, fragile physiquement mais parmi les plus gros contrats du championnat cette saison.\\n\\nUn temps menacé, puis finalement confirmé, Arnaud Marius va, comme l’entraîneur Julien Mahé, être remercié par le BCM. La Voix du Nord révèle que le club aurait déjà trouvé son remplaçant au poste de Directeur Sportif en la personne de Romuald Coustre. Le fondateur de What If ? occupait cette saison le poste de Directeur Général Opérationnel du Paris Basketball, mais il connaît très bien Gravelines pour avoir occupé le poste de General Manager du club pendant près de dix ans (2004-2013), avant l’arrivée d’Arnaud Marius. Boris Luce, directeur administratif et financier part lui aussi. Le quotidien du Nord annonce qu’il rejoint le club d’Orléans football, en Ligue 2. Ses fonctions devraient être également reprises par Romuald Coustre.\\n\\nPrès du terrain, le club des Hauts-de-France prépare l’après Julien Mahé et l’arrivée d’Eric Bartecheky, champion de France en titre et qui est toujours en course en playoffs avec le MSB. En plus du coach et du Directeur Sportif, c’est le préparateur physique, Eric Lecomte qui fait ses valises. Il était en poste depuis 2012.\\n\\nPhoto : ArnaudMARIUS en discussion avec Edgar Sosa (Julie Dumélié/BCM Basket)" }, {"role": "user", "content":"Les U21 en Europe: Le bilan par pays" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir étudié quinze championnats dans toute l’Europe, l’heure est venue de faire la synthèse de toutes ces données. Dans cette première partie, nous dressons la hiérarchie de ces compétitions en matière de U21 et des équipes « où il fait bon être jeune ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDix championnats nationaux, deux autres « multi-nations », trois coupes d’Europe : vous avez pu au fil de ces derniers jours voir la place qui était accordée aux joueurs de 21 ans et moins dans ces compétitions, les plus relevées de l’Europe du basket.\\n\\nReste maintenant à dégager de cela une hiérarchie. En commençant par se poser une question : vaut-il mieux avoir dans son championnat peu de U21 mais de très haut niveau ou des joueurs peut-être un peu moins forts mais en plus grand nombre (l’idéal étant évidemment d’avoir les deux...) ? Pour le principe de cette étude, nous pensons qu’il est préférable de privilégier (un peu) la quantité à la qualité : une ligue qui bénéficie de deux ou trois « surdoués » mais ne fait peu jouer que quelques joueurs de faible rendement à leurs côtés n’assure pas le renouvellement de ses effectifs, au contraire d’une autre qui ne présente peut-être pas de star en devenir mais aligne un nombre suffisant de jeunes prometteurs, amenés à évoluer dans ce même championnat ou, pour ceux qui progresseront le plus, à des niveaux supérieurs.\\n\\nCe qui nous amène au classement suivant des dix ligues (les huit grands championnats nationaux en Europe ainsi que la Ligue Adriatique et la VTB League), sachant que les championnats nationaux croate et serbe sont « hors concours » (plus faibles que les grands championnats européens et pouvant être considérés comme des deuxièmes divisions de la Ligue Adriatique) alors que les coupes d’Europe (Euroleague, Eurocup, BCL) ne peuvent être comparées à ces championnats ni mêmes entre elles.\\n\\n10e : VTB League\\n\\nTout petit nombre de U21 alignés, faible temps de jeu, rendement (points et évaluation) tout aussi malingre, la VTB League est le championnat qui en fait le moins pour l’éclosion des jeunes pousses locales (multi-nationales en l’occurrence).\\n\\nLa stat « qui tue » : 6\\n\\nC’est le tout petit nombre de joueurs U21 ayant un rôle dans ce championnat.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Avtodor\\n\\nCertes, seuls deux U21 d’Avtodor ont pu grapiller un tant soit peu de temps de jeu, mais ils sont tous deux de 2000 et ont un vrai rôle dans la rotation. En outre, trois autres jeunes (dont deux de 2000 également) ont montré le bout de leur nez dans l’équipe.\\n\\nLe MVP : Nikita Mikhailovskii (Avtodor)\\n\\nIl joue 15,1 mn par match, marque 5,6 pts et produit 5,9 d’éval, le tout en étant né en 2000. Il n’a tout simplement pas de concurrence en VTB League.\\n\\nLe joueur à suivre : Anton Kvitkovskikh (Avtodor)\\n\\nNé la même année que son coéquipier Nikita Mikhailovskii, Kvitkovskikh n’a pour le moment pas encore le même rendement (2,5 pts et 1,6 d’éval en 9,4 mn) mais il est sans aucun doute le meilleur espoir russe pour les années à venir.\\n\\n9e : Italie\\n\\nTrès peu de U21 sur le terrain, un rendement très moyen malgré un temps de jeu important par rapport à d’autres championnats, la ligue italienne n’est pas tendre avec les jeunes joueurs. Et encore plus s’ils sont Italiens : ils ne sont que cinq à avoir du temps de jeu.\\n\\nLa stat « qui tue » : 2\\n\\nLes U21 italiens sont seulement deux dans le cinq majeur de la compétition, à côté d’un Serbe, d’un Letton et d’un Russe.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Pesaro\\n\\n« Jouer le jeu » est un terme un peu fort en ce qui concerne Pesaro, dont le seul Alexander Shashkov (Russie, 2000) bénéficie d’un tant soit peu de temps de jeu. Mais trois autres jeunes nés en 2000 ont fait leurs premiers pas sur le terrain professionnel cette saison. Et il n’y a guère de concurrence en la matière... Notons toutefois que Milan a accordé quelques minutes (13 en cumulé...) à six de ses jeunes nés en 2001 ou 2002. À voir s’ils joueront plus les prochaines saisons...\\n\\nLe MVP : Arturs Strautins (Trieste)\\n\\nProduisant 7,4 pts et 7,7 d’éval en 18,7 minutes, le Letton né en 1998 occupe d’ores et déjà une place importante dans une équipe de haut de tableau.\\n\\nLe joueur à suivre : Leonardo Candi (Reggio Emilia)\\n\\nLe meneur de Reggio Emilia (1997) n’est plus tout jeune mais c’est l’Italien qui génère les stats les plus importantes actuellement : 5,1 pts et 6,3 d’éval en 22 mn. Déjà un bon joueur de la Lega.\\n\\n8e : Grèce\\n\\nEn Grèce, les U21 ayant un rôle sont assez nombreux mais leur rendement est médiocre. Seules quelques rares têtes d’affiche surnagent.\\n\\nLa stat « qui tue » : 0\\n\\nLe nombre de U21 étrangers dans l’A1, le championnat grec.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Peristeri et Panionios\\n\\nÀ elles deux, les équipes de Peristeri et Panionios concentrent sept des 17 U21 ayant un temps de jeu important. Et une bonne part d’entre-eux joue une dizaine de minutes par match. À l’exception de Nikolaos Diplaros (Panionios, 1997, dans le cinq majeur) et de Vasileios Mouratos (Peristeri, 1997, 9,9 mn, 3,7 pts, 4,6 d’éval), aucun n’a toutefois un rendement important. Mais les deux clubs donnent leur chance à de très jeunes joueurs : Zois Karabelas (Peristeri, 2001, 11,3 mn, 2,2 pts, 3,0 d’éval) et Nikolaos Chougaz (Panionios, 2000, 6,9 mn, 2,4 pts, 1,0 d’éval).\\n\\nLe MVP : Vasilis Charalampopoulos (Lavrio) et Georgios Papagiannis (Pana)\\n\\nDifficile de privilégier l’un par rapport à l’autre : ces deux joueurs nés en 1997, évoluant l’un à Lavrio, l’autre au Pana, occupent déjà un rôle important dans la rotation de leur équipe lorsqu’ils sont valides (Charalampopoulos a été longtemps blessé). Tous deux sont des prospects NBA scrutés avec attention par les scouts.\\n\\nLe joueur à suivre : Georgis Kalaitzakis (Pana)\\n\\nNé en 1999, ce joueur qui évolue au Pana ne rentre pas toujours en jeu (15 matchs joués sur 24) et pas pour très longtemps (8 mn/match) mais il produit tout de même 3,4 pts et 2,3 d’éval dans une équipe de haut de tableau d’Euroleague. Tout sauf anodin...\\n\\n7e : Turquie\\n\\nLa BSL turque aligne un assez petit nombre d’U21 de manière régulière. Et ces joueurs se montrent assez limités dans leur production statistique. Quelques bons jeunes pointent toutefois le bout de leur nez.\\n\\nLa stat « qui tue » : 8\\n\\nSur quinze équipes ayant participé à la saison en BSL, seules 8 alignent de manière plus ou moins régulière au moins un U21 sur le parquet. Une bien faible proportion.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Sakarya\\n\\nEst-ce parce qu’elle a fait jouer tous ces jeunes qu’elle descend ou est-ce parce qu’elle allait descendre qu’elle a donné du temps de jeu à ses U21 ? Toujours est-il que l’équipe de Sakarya a fait entrer huit U21 en jeu sur la saison, dont six nés entre 2000 et 2002. Et trois d’entre-eux ont bénéficié d’un temps de jeu important, dont Huseyin Cevirgen (2000, 11,2 mn, 2,9 pts, 3,2 d’éval).\\n\\nLe MVP : Alp Karahan (Sakarya)\\n\\nAu sein d’une faible équipe (reléguée), Alp Karahan (1998) s’est imposé comme un joueur majeur : 8,7 pts et 7,0 d’éval en 25,5 mn.\\n\\nLe joueur à suivre : Onuralp Bitim (Anadolu Efes)\\n\\nNé en 1999, l’ailier de l’Anadolu Efes a eu droit à 11,4 mn de moyenne sur 10 matchs pour des stats intéressantes : 6,0 pts et 5,2 d’éval. Costaud, vu la concurrence dans l’effectif du finaliste de l’Euroleague.\\n\\n5e ex-equo : Israël\\n\\nPeu de jeunes joueurs présents sur le terrain, mais proposant un rendement plutôt satisfaisant, c’est la caractéristique principale de la Winner League israélienne. Une élite forte se dégage et la tendance est à l’accroissement du rôle des U21 dans le championnat. Pas encore une place forte en matière de formation, mais des espoirs pour l’avenir.\\n\\nLa stat « qui tue » : 3\\n\\nSi la Winner League n’accueille aucun U21 étranger, ils sont trois à disposer d’une double-nationalité : israélo-polonaise (Yovel Zoosman), israélo-serbe (Deni Avdija), israélo-slovaque (Tomer Levinson).\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Maccabi Tel-Aviv\\n\\nSi l’Hapoel Galil Gilboa et l’Hapoel Tel-Aviv donnent aussi régulièrement leur chance à deux U21, le « club nation » est celui qui confie le plus de responsabilités à deux joueurs qui figurent parmi les plus prometteurs de la ligue, Yovel Zoosman et Deni Avdija.\\n\\nLe MVP : Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv)\\n\\nTamir Blatt (Hapoel Jérusalem, 1997, 25,5 mn, 10,4 pts, 9,6 d’éval) aurait pu lui aussi prétendre à ce titre honorifique, mais Zoosman (1998, 26,0 mn, 7,9 pts, 9,2 d’éval) fait presqu’aussi bien statistiquement parlant au sein du Maccabi Tel-Aviv, le club majeur du championnat.\\n\\nLe joueur à suivre : Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv)\\n\\nNé en 2001, l’israélo-serbe du Maccabi Tel-Aviv bénéficie déjà d’un temps de jeu intéressant : en 20 matchs disputés, il passe 9,4 mn sur le terrain pour 2,4 pts et 1,3 d’éval. À voir s’il arrivera à faire son trou dans le riche effectif du Maccabi.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=o-On8LeVpQc\\n\\n5e ex-equo : Allemagne\\n\\nSymptômatique d’une ligue qui ne s’intéresse vraiment à la formation que depuis peu de temps, la BBL allemande offre du temps de jeu à de nombreux U21 (seule la Ligue Adriatique fait mieux) mais ceux-ci ont encore un rendement très moyen. Mais les plus jeunes, nés en 2000, 2001 ou même 2002, ont déjà leur place. L’avenir peut se révéler florissant...\\n\\nLa stat « qui tue » : 24\\n\\nHormis la Ligue Adriatique, aucun grand championnat n’aligne autant d’U21 de manière régulière. Revers de la médaille, ils jouent peu de temps : 11,3 mn/match.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Alba Berlin\\n\\nFigurant parmi les ténors de la BBL, l’Alba Berlin n’hésite pas à proposer du temps de jeu à quatre U21, dont deux nés en 2000 ou après, Jonas Mattisseck (2000, 13,3 mn, 3,8 pts et 3,6 d’éval sur 9 matchs) et Franz Wagner (2001, voir ci-dessous).\\n\\nLe MVP : Stefan Peno (Alba Berlin)\\n\\nAux portes de la très forte sélection serbe, le meneur Stefan Peno n’a plus rien d’un « espoir », c’est un joueur confirmé doté d’un rôle majeur dans une équipe de haut de tableau : 23,5 mn, 8,2 pts, 11,6 d’éval.\\n\\nLe joueur à suivre : Franz Wagner (Alba Berlin)\\n\\nNé en 2001, cet ailier a déjà droit à plus de 11 mn de temps de jeu par match (et sur 19 matchs), pour un rendement intéressant : 4,3 pts et 5,2 d’éval.\\n\\n4e : France\\n\\nDe nombreux U21 mais qui jouent peu, un rendement global plutôt moyen mais quelques très fortes « têtes d’affiche », la Jeep Élite aime les contrastes. On ne peut pas dire que « les jeunes ne jouent pas », la réalité est plus proche de « ne jouent que les jeunes qui ont le niveau, et ils le prouvent ». Reste aux clubs de Jeep Élite à produire en plus grand nombre ces U21 aptes à évoluer dans le championnat ou à des échelons supérieurs.\\n\\nLa stat « qui tue » : 9/21\\n\\nSur 21 U21 évoluant régulièrement sur le parquet, seuls 9 d’entre-eux y passent plus de 10 mn/match. Le symbole d’une élite U21 très resserrée...\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : LDLC Asvel et Cholet\\n\\nImpossible de dissocier ces deux clubs pourtant opposés dans leur trajectoire, l’un finissant premier de la saison régulière, l’autre ayant lutté jusqu’au bout pour éviter la relégation. Mais les deux donnent de grandes responsabilités à leurs U21, qu’ils soient déjà confirmés comme Amine Noua (1997) ou Abdoulaye Ndoye (Cholet, 1998) ou émergents, tels Théo Maledon (2001) ou Killian Hayes (Cholet, 2001).\\n\\nLe MVP : Amine Noua (LDLC Asvel)\\n\\nAu fil des saisons, l’intérieur villeurbannais s’installe dans le haut du panier de la Jeep Élite, ayant même décroché ses premières sélections nationales cette saison. Parfois irrégulier, il produit quand même 9,9 pts et 10,4 d’éval en 22,8 minutes.\\n\\nLe joueur à suivre : Théo Maledon (LDLC Asvel)\\n\\nTout comme son compère Killian Hayes à Cholet (19,9 mn, 6,9 pts, 8,1 d’éval), le meneur de la génération 2001 a fait ses premiers pas réguliers en Jeep Élite cette saison, avec bonheur : 16,9 mn, 7,2 pts, 8,1 d’éval et une place de plus en plus importante dans la dense rotation villeurbannaise.\\n\\n3e : Espagne\\n\\nCertes, la liga ACB donne à de nombreux U21 la possibilité de s’exprimer avec bonheur. Mais une bonne moitié d’entre-eux n’est pas espagnole. Et ce sont ces U21 étrangers qui dominent tous les classements. Mais de nombreux clubs commencent à faire plus facilement appel aux jeunes du cru. À voir si la tendance se confirme...\\n\\nLa stat « qui tue » : 8/16\\n\\nC’est le nombre d’U21 non-Espagnols qui ont joué de manière régulière en ACB. En outre, ils jouent plus que leurs homologues ibères (15,7 mn contre 11,0), pour un rendement supérieur (5,5 pts et 5,74 d’éval contre 3,4 pts et 3,44 d’éval)\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Joventud Badalone\\n\\nHistorique réservoir de jeunes joueurs de Catalogne, l’équipe de la banlieue de Barcelone a fait entrer 7 U21 sur le parquet à au moins une reprise, dont deux nés en 2000. Mais seulement trois Espagnols. Et un seul joueur de la péninsule ibérique dispose d’un temps de jeu régulier, contre deux étrangers, un Macédonien et un Suédois (qui de plus se montrent plus productifs).\\n\\nLe MVP : Vlatko Cancar (Burgos) et Santiago Yusta (Real Madrid)\\n\\nSi le Slovène Vlatko Cancar (1997, 24 mn, 10,3 pts, 10,3 d’éval) domine la situation en termes de statistiques sur les U21, Santi Yusta (1997, 16 mn, 6,1 pts, 7,1 d’éval) est, et de loin, l’Espagnol U21 le plus productif. Et ce au Real, grosse écurie s’il en est.\\n\\nLe joueur à suivre : Carlos Alocen (Saragosse) et Usman Garuba (Real Madrid)\\n\\nCarlos Alocen (2000, 14 mn, 5,1 pts, 5,5 d’éval) est déjà bien installé dans la rotation d’une équipe qui lutte pour se qualifier en play-offs. Pour sa part, Usman Garuba (2002, 2 matchs, 9 mn, 4,5 pts, 8,0 d’éval) n’a eu que très peu d’occasions de montrer ses phénoménales qualités. Mais il les a sacrément bien rentabilisées, montrant que sa domination en compétitions de jeunes pourrait rapidement se poursuivre à l’échelon supérieur.\\n\\n2e : Lituanie\\n\\nLe petit pays balte ne fait pas jouer énormément d’U21. Mais ils jouent longtemps. Et très bien. Le réservoir n’est pas immense mais il est d’une densité impressionnante à haut niveau. La Lituanie reste un grand pays de basket.\\n\\nLa stat « qui tue » : 12/14\\n\\nSur 14 U21 ayant eu quelques responsabilités en LKL lituanienne, ils sont 12 à avoir pu évoluer plus de 10 mn/match. En proportion, personne ne fait mieux en Europe.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Neptunas Klaipeda\\n\\nDeuxième du championnat devant un cador comme le Rytas Vilnius, Klaipeda s’appuie sur un quatuor né en 1997 ou 1998 qui produit 20,1 pts et 20,7 d’éval en 55,1 mn par match. Bien peu de clubs peuvent se targuer de tels chiffres...\\n\\nLe MVP : Martynas Echodas (Rytas Vilnius)\\n\\nSi Gytis Masiulis (Klaipeda, 1998, 20,3 mn, 9,9 pts et 12,4 d’éval) produit de meilleures stats en LKL, Martynas Echodas (1997, 17,5 mn, 8,2 pts, 10,9 d’éval) se « rattrape » en étant plus productif en Eurocup (Klaipeda évoluant pour sa part en BCL) et en sélection nationale (6 matchs, 14,9 mn, 8,3 pts, 11,7 d’éval).\\n\\nLe joueur à suivre : Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas)\\n\\nNé en 2000, l’arrière de l’équipe ayant participé aux play-offs d’Euroleague s’est installé dans la rotation tant en LKL (12,2 mn, 5,5 pts, 5,1 d’éval) qu’en Euroleague (10 matchs, 6,3 mn, 2,9 pts, 2,3 d’éval). Plus que prometteur.\\n\\n1e : Ligue Adriatique\\n\\nQuelque peu en recul ces dernières années, la Ligue Adriatique n’est sans doute pas le championnat de plus haut niveau en Europe. Mais les principaux clubs qui y évoluent restent forts (Buducnost Podgorica, Étoile Rouge et Partizan de Belgrade, Cedevita Zagreb) tout en accordant une place très importante aux U21. 22 jouent plus de 10 mn/match ! Le tout pour des stats replètes, avec quelques prospects de haut, voire très haut, niveau. En bref, il n’y a pas mieux en Europe.\\n\\nLa stat « qui tue » : 11,58\\n\\nC’est le nombre de points inscrits en moyenne par les membres du cinq majeur U21 de la compétition, sélectionné par nos soins. Loin devant le cinq lituanien, deuxième, avec 8,34 pts.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Mega Bemax et Partizan Belgrade\\n\\nPlusieurs équipes de Ligue Adriatique font lourdement appel aux U21, comme le FMP Belgrade ou l’Olimpija Ljubljana. Mais deux se distinguent encore plus, de façon différente. Au Partizan Belgrade, demi-finaliste de la compétition, six U21 ont peu entrer au moins une fois en jeu, dont trois avec du temps de jeu et des responsabilités (Vanja Marinkovic, Amar Gegic et Marko Pecarski). Quant au Mega Bemax, le jeune constitue le « fonds de commerce » de l’agence de joueurs qui gère le club : ils sont pas moins de 9 U21 à disposer de temps de jeu, entre 9 et 27,1 mn/match ! Et cette « nurserie » a quand même réussi à terminer 5e de la saison régulière.\\n\\nLe MVP : Goga Bitadze (Buducnost Podgorica)\\n\\nAprès avoir commencé la saison au Mega Bemax, qui ne dispute pas de coupe d’Europe, le pivot géorgien Goga Bitadze (1999) a été prêté au Buducnost Podgorica, la Ligue Adriatique se montrant trop petite pour lui. Du reste, il a été élu MVP de ce championnat. Et également meilleur espoir d’Euroleague. En bref, Bitadze est le meilleur jeune évoluant en Europe.\\n\\nLe joueur à suivre : Luka Samanic (Ljubljana) et Marko Pecarski (Partizan Belgrade)\\n\\nDeux joueurs intéressants au profil très différent. Le premier, Samanic (2000), joue dans une équipe de bas de tableau, avec des responsabilités : 15,4 mn/match pour 6,4 pts et 7,3 d’éval. Le second, gros prospect serbe (2000, MVP du dernier Euro U18), se plaint de manquer de temps de jeu au Partizan. Mais, en 8 matchs, à raison de 7,8 mn/partie, il génère 2,1 pts et 2,5 d’éval. La saison prochaine, en Serbie ou ailleurs, ce sera à lui de démontrer qu’il mérite plus que les minutes accordées cette saison.\\n\\n\\nLa Croatie et la Serbie\\n\\nCroatie\\n\\nD’un niveau inférieur à la Ligue Adriatique même si les plus fortes équipes locales y participent, la ligue croate met largement à contribution les U21, qui sont 48 à y évoluer régulièrement. Et les meilleurs d’entre-eux ont souvent plus de 30 mn/match pour s’exprimer. Une grande école de basket.\\n\\nLa stat « qui tue » : 2\\n\\nSeuls un Néerlandais (Maxwell Darling, Osijek, 2000) et un Slovaque (Mario Ihring, Osijek, 1998) figurent parmi les 48 U21 ayant du temps de jeu. Tous les autres sont Croates.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : Cedevita Zagreb\\n\\nSi quasiment toutes les équipes de la ligue croate font appel à de nombreux U21, le champion en titre et finaliste de cette saison (finale qui ne s’est pas encore jouée), le Cedevita Zagreb, s’appuie encore plus que les autres sur ses U21 : ils sont neuf à avoir du temps de jeu, produisant plus de 51 pts et de 50 d’éval par match.\\n\\nLe MVP : Nik Slavica (Sibenik)\\n\\nAprès avoir commencé la saison au Cibona Zagreb, où il ne s’est pas imposé (4,9 pts et 4,1 d’éval en 11,2 mn), Slavica (1997) s’est épanoui à Sibenik, dans une équipe moins forte. Et il y produit 20,8 pts et 19,8 d’éval. À confirmer à un niveau supérieur...\\n\\nLe joueur à suivre : Roko Prkacin (Cibona Zagreb)\\n\\nAprès avoir fait des ravages lors du dernier Euro U16, dont il fut MVP, Roko Prkacin (2002, 13,2 mn, 7,5 pts et 9,3 d’éval sur 8 matchs) montre le bout de son nez à l’étage supérieur. Et l’on n’a probablement pas fini d’entendre parler de lui.\\n\\nSerbie\\n\\nSi, à l’instar de la Croatie (exception faite, peut-être, de Prkacin), le championnat serbe ne semble pas receler en son sein de future pépite de niveau mondial, il n’en reste pas moins une formidable usine à joueurs pro de tous niveaux. Ils sont nombreux, les U21 à produire des stats de bon niveau, même si cette compétition reste d’un niveau peu élevé.\\n\\nLa stat « qui tue » : 4\\n\\nDe nombreux U21 provenant de pays de l’ex-Yougoslavie jouent en championnat serbe. Ils sont accompagnés par quatre joueurs issus de contrées plus « exotiques » : Aleksandar Davitkov (KK Mladost, Bulgarie, 2000), Pavel Lobarev (KK Subotica, Russie, 1997), Gracin Bakumanya (KK Subotica, Congo, 1997) et Zhao Xuxin (Beovuk, Chine, 1999). Mais seuls Lobarev et Xuxin ont un minimum de temps de jeu.\\n\\nL’équipe qui joue le jeu : KK Mladost\\n\\nDifficile de sortir du lot une seule équipe dans un championnat qui fait autant la part belle aux U21. Mais Mladost fait quand même jouer 7 U21 de façon régulière, qui assurent plus de 58 pts et 66 d’éval par match. Propre.\\n\\nLe MVP : Novak Music (OKK Belgrade)\\n\\nNé en 1998, ce meneur assure 14,6 pts et 18,3 d’éval en 27,2 mn/match. On le reverra sans doute dans une équipe plus huppée dans les années qui viennent.\\n\\nLe joueur à suivre : Uros Trifunovic (KK Mladost)\\n\\nParmi les nombreux très jeunes joueurs évoluant en championnat serbe (12 ayant du temps de jeu), Trifunovic (2000) se distingue déjà comme un joueur majeur de son club : 13,8 pts et 11,4 d’éval en 31,8 mn. Club qui a terminé 11e du championnat (sur 14). Il lui faudra démontrer qu’il peut continuer à produire à un échelon supérieur.\\n\\n[armelse]\\n\\nDix championnats nationaux, deux autres « multi-nations », trois coupes d’Europe : vous avez pu au fil de ces derniers jours voir la place qui était accordée aux joueurs de 21 ans et moins dans ces compétitions, les plus relevées de l’Europe du basket.\\n\\nReste maintenant à dégager de cela une hiérarchie. En commençant par se poser une question : vaut-il mieux avoir dans son championnat peu de U21 mais de très haut niveau ou des joueurs peut-être un peu moins forts mais en plus grand nombre (l’idéal étant évidemment d’avoir les deux...) ? Pour le principe de cette étude, nous pensons qu’il est préférable de privilégier (un peu) la quantité à la qualité : une ligue qui bénéficie de deux ou trois « surdoués » mais ne fait peu jouer que quelques joueurs de faible rendement à leurs côtés n’assure pas le renouvellement de ses effectifs, au contraire d’une autre qui ne présente peut-être pas de star en devenir mais aligne un nombre suffisant de jeunes prometteurs, amenés à évoluer dans ce même championnat ou, pour ceux qui progresseront le plus, à des niveaux supérieurs.\\n\\nCe qui nous amène au classement suivant des dix ligues (les huit grands championnats nationaux en Europe ainsi que la Ligue Adriatique et la VTB League), sachant que les championnats nationaux croate et serbe sont « hors concours » (plus faibles que les grands championnats européens et pouvant être considérés comme des deuxièmes divisions de la Ligue Adriatique) alors que les coupes d’Europe (Euroleague, Eurocup, BCL) ne peuvent être comparées à ces championnats ni mêmes entre elles.\\n\\n10e : VTB League\\n\\nTout petit nombre de U21 alignés, faible temps de jeu, rendement (points et évaluation) tout aussi malingre, la VTB League est le championnat qui en fait le moins pour l’éclosion des jeunes pousses locales (multi-nationales en l’occurrence).\\n\\nLa stat « qui tue » : 6\\n\\nC’est le tout petit nombre de joueurs U21 ayant un rôle dans ce championnat.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Amine Noua (Asvel), Arturs Strautins (Trieste), Théo Maledon (ASVEL), Martynas Echodas (Rytas Vilnius)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Nicolas Laprovittola dans le viseur du Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"A Badalona cette saison, Nicolas Laprovittola (1,93m, 29 ans) pourrait grimper dans la hiérarchie espagnole. Le Real Madrid serait sur les rangs pour l’engager cet été selon Basquet Plus.\\n\\nPassé par Lanús, Flamengo, l’Estudiantes, Vitoria ou encore le Zenit Saint-Petersbourg, l’international argentin est un serial scoreur. Fin janvier, il avait notamment inscrit 40 points face à Gran Canaria. Le coéquipier de Nobel Bounoug-Colo a également terminé meilleur marqueur de l’exercice 2018/19 et devrait, toujours selon Basquet Plus, être élu MVP de la saison de Liga Endesa.\\n\\nCette saison, Nicolas Laprovittola compile en moyenne 17,2 points, 2,5 rebonds et 6,4 passes décisives pour une évaluation de 17,2.\\n\\nPhoto : Joventut Badalona" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Louis Labeyrie (Valence), Joueur de la Journée en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"L’international français de Valencia Basket Louis Labeyrie (2,08m, 27 ans) a été désigné Joueur de la Journée 34 de la Ligue Endesa après avoir contribué à la victoire sur Baskonia Vitoria (92-81) avec 23 points (6/8 à deux points, 2/3 à trois-points), 9 rebonds et 34 d’évaluation.\\n\\n« Je me sentais très bien tout au long du match », a t-il déclaré. « J’ai essayé de donner de l’énergie et mes coéquipiers ont réussi à me trouver dans de bonnes positions. Mon bon match a été la conséquence d’un bon match de toute l’équipe. »" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Barcelone également à la poursuite de Brandon Davies" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncé très proche du Real Madrid, Brandon Davies (2,08m, 27 ans) pourrait finalement atterrir au FC Barcelone.\\n\\nAuteur d’une saison remarquable sous les couleurs du Zalgiris Kaunas, l’ancien joueur de l’AS Monaco et de l’Elan Chalon est encore sous contrat pour un an avec le club lituanien. Malgré cela, il fait partie des joueurs les plus convoités d’Europe. Selon Chema de Lucas, l’intérieur américain aurait reçu une offre de Barcelone. Le club catalan aurait proposé un contrat 2+1 ainsi que 300 000 euros de plus que les autres clubs qui l’ont approché à l’ancien joueur de Pro A.\\n\\nCette saison, Brandon Davies a compilé en moyenne 14,2 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 16,9.\\n\\n\\n\\n\\nRespecto a esto, a día de hoy la oferta mejor es la del Barça entorno a 300.000 euros más que las demás. Veremos cómo acaba https://t.co/FAazSkIsyq\\n\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) May 25, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Les chiffres: 1 et -1 d’évaluation pour Samardo Samuels (Limoges) face à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"L’AS Monaco a étrillé le Limoges CSP à Beaublanc, 62-90. Cela fait donc -48 sur l’ensemble des deux matches. Les Limougeauds sortent sans gloire des playoffs.\\n\\nEn Principauté, Samardo Samuels n’avait eu droit qu’à 9 minutes de jeu pour 1 d’évaluation. Hier soir le pivot jamaïcain s’est vu offrir davantage de minutes (16) et cela s’est traduit par quatre tirs ratés, deux rebonds, une passe, une interception, un contre sur la figure, une balle perdue et trois fautes. Bilan général: -1 d’éval. En saison régulière, six fois Samuels n’a pas obtenu une évaluation positive.\\n\\nSur l’ensemble de la saison, Samardo Samuels (2,04m, 30 ans) s’est fendu de 9,6 points et 3,9 rebonds pour 9,5 d’éval. Qu’il est loin le pivot de Cleveland et Milan... Alessandro Gentile le considérait alors comme le meilleur pivot avec qui il avait joué.\\n\\nCette année, Samuels s’est embrouillé avec le coach Kyle Milling puis une autre fois est arrivé en retard à l’échauffement avant de se blesser aux ischio-jambiers deux minutes après son entrée en jeu.\\n\\nIl lui reste en principe un an de contrat avec le CSP.\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Trophée du Futur : Le tableau final et le palmarès" }, {"role": "assistant", "content":"Suite à la victoire de Cholet Basket au Trophée du Futur, la LNB a envoyé un communiqué de presse avec le tableau final et le palmarès de la compétition. Le voici.\\n\\nPhotos: Cholet Basket et Quentin Ruel (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Une JDA Dijon taille patron pour lancer ses playoffs" }, {"role": "assistant", "content":"Jusqu’où peut se hisser la JDA Dijon ? C’est la question qui peut venir à l’esprit quand on voit la performance qu’elle a livré face à l’armada strasbourgeoise composée, entre autres, de Mike Green, Jeremy Nzeulie, Youssoupha Fall ou encore Quentin Serron.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa Jeanne réalise tout simplement la meilleure saison de son histoire. Troisième de saison régulière, elle a fait mieux que la saison passée lorsqu’elle a terminé cinquième après 34 journées de Jeep Elite. Cette troisième place, les joueurs de Laurent Legname l’ont amplement mérité et ils ont d’ores et déjà tiré profit de l’avantage du terrain en s’imposant dans la première manche des playoffs face à une équipe de la SIG a priori puissamment armée.\\n\\n« Même l’avantage du terrain et malgré le classement, on s’attendait un match beaucoup plus difficile. C’est clairement mieux que ce qu’on espérait. On a su jouer de la bonne façon avec la bonne énergie, malgré qu’ils nous aient beaucoup embêté en début de match. On a fait le break avant la mi-temps et je pense que c’est ce qui leur a fait le plus mal. C’est une très, très bonne note pour démarrer ces playoffs. Ce n’est pas facile de faire ce qu’on a fait contre Strasbourg, malgré les pépins qu’ils ont connu cette année. On a été très sérieux, mais il va falloir continuer parce que c’est loin d’être terminé. »\\n\\nVoilà les premiers mots d’Axel Julien, MVP du match aller des quarts de finale (14 points, 6 rebonds, 3 interceptions et 7 passes décisives pour une évaluation de 23). Survolté dès les premières secondes de la rencontre et ce pendant tout le match, l’international français est très vite redescendu de son petit nuage pour se concentrer sur la prochaine manche.\\n\\n« En playoffs, il faut gagner tous les matchs. On ne va pas là-bas pour revenir. On a dépensé beaucoup d’énergie et c’est compliqué de remettre la même intensité quand on joue tous les deux jours. Se relâcher, ça serait l’erreur la plus débile à faire. »\\n\\nParmi les trois finalistes pour le titre de meilleur entraîneur de l’année, Laurent Legname est parfaitement conscient de la performance réalisée par son équipe, même s’il n’a laissé transparaitre aucune joie en conférence de presse d’après-match. L’ancien coach du HTV est déjà concentré sur le match retour de lundi.\\n\\n« Je ne sas pas si c’est la soirée rêvée. Ce qui est sur c’est que ça fait 1-0. Il en faut une autre », a-t-il simplement conclu. « On a vraiment ce qu’on voulait faire. Je félicite les joueurs parce qu’ils ont vraiment été à l’écoute. On a contrôlé le rebond, ce qui n’est pas notre force cette saison. C’est une des clés du match. Les neuf joueurs ont apporté. C’est ce qui a fait qu’on a pu mettre en difficulté l’attaque de Strasbourg avoir un jeu de relance. On a gagné c’est très bien, mais il faut oublier ce match immédiatement parce qu’on a un match retour qui nous attend et on peut s’attendre à une soif de revanche exacerbée de leur part. On va essayer de vite travailler la vidéo et de nous adapter parce qu’on sait très bien qu’ils vont réagir. Quand on voit l’équipe, ce sont eux les favoris, ils ont une armada. A nous d’être prêts et lucides, comme ce soir, et d’essayer de faire le maximum pour aller chercher la victoire là-bas, même si je pense que ça sera très dur. »\\n\\nL’autre clé du match, c’est l’identité de la JDA, sa force : la défense. Ce n’est pas coach Legname qui dira le contraire.\\n\\n« Sur la globalité du match on a été présent défensivement, ce qu’on sait faire depuis le début de la saison. Notre problème, c’est qu’on laisse souvent trop de seconde chance. Ça leur laisse des tirs, mais même si ce sont des shoots simples, à première vue, il faut quand même les mettre. L’impact de notre défense fait qu’ils doivent prendre les tirs rapidement, ce qui les complique. »\\n\\n\\nDavid Holston, le retour du MVP à la maison\\n\\nElu MVP de Jeep Elite et récompensé lundi lors de la soirée du basket à Paris, David Holston faisait son retour sur le parquet du Palais des Sports de Dijon pour la première fois avec cette couronne. S’il a démarré la rencontre discrètement, laissant notamment la vedette à Axel Julien, le meneur de poche est monté en température jusqu’à atteindre l’apothéose dans le troisième quart-temps.\\n\\n« Je n’avais pas peur qu’il passe a coté de son match », rassure Axel Julien. « Même quand il n’est pas bien, il apporte toujours quelque chose à l’équipe. Il a fait ce qu’il sait faire et le public l’a remercié. Je ne sais pas si un public français a crié des « MVP » pendant un match. Aux Etats-Unis ça se voit souvent, mais en France je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vécu en tout cas. Je pense qu’il a adoré sa soirée et qu’il s’en souviendra longtemps. »\\n\\nEn 25 minutes de jeu, David Holston a compilé 15 points, 3 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 18. En fin de troisième quart-temps, le meneur américain a fait parler la poudre en enchainant plusieurs tirs à trois points, notamment un avec la faute qui a fait se lever la salle.\\n\\n\\nPanique à Strasbourg\\n\\nQuintuple finaliste de Pro A entre 2012 et 2017, la SIG réalise une saison très mitigée. Eliminés de Champions League sans passer la phase de poules, les Strasbourgeois n’ont terminé qu’à la sixième place du classement de Jeep Elite alors qu’ils étaient deuxièmes la saison dernière après 34 journées. Pour la première fois depuis bien longtemps (2013), les SIGmen lancent même leur campagne de playoffs sans l’avantage du terrain. La fin d’un cycle au sein du club alsacien ?\\n\\nLoin de son Rhenus, Strasbourg n’a joué qu’un quart d’heure face à Dijon. Après un premier éclat en fin de première mi-temps et u nouveau coup de massue au retour des vestiaires, les joueurs de Vincent Collet n’ont pas longtemps existé dans ce match.\\n\\n« Quinze minutes de bien, mais sans adresse. J’ai qu’un seul regret, c’est celui-là. On était à 1/8 à la fin du premier quart-temps et six d’entre eux étaient bons « , déplorait l’entraîneur de la SIG après le match.\\n\\nAprès dix minutes, la SIG est à 1/8 à trois points. Jarell Eddie est le seul à avoir marqué dans ce quart-temps (1/4). Pire, Strasbourg termine à 4/27 de loin...\\n\\n« J’aurais aimé qu’on mette quelques-uns des tirs ouverts qu’on a eu. Au début de match, c’est ce qui a fait qu’au lieu d’avoir un peu d’avance on était avec eux. Ensuite, ils ont augmenté leur intensité et... on a perdu ce qu’on avait bien fait avant, faire bouger la balle, trouver des bons tirs. On s’est mis à vouloir jouer vite, sans résultat. L’écart a enflé et on n’a pas bien repris en deuxième mi-temps non plus. On l’a très vite su qu’il y avait 1-0. »\\n\\nFace à une JDA des grands soirs, les Strasbourgeois n’ont pas su répondre et ont même encaissé un 34-4.\\n\\n« Je n’ai jamais vu un 34-4. Avec cette équipe-là j’ai déjà vu beaucoup de choses que je n’avais jamais vues auparavant. On a perdu ce qu’on voulait faire et qu’on a bien fait au début. Quand tu perds des balles tu alimentes le jeu rapide et le trou est devenu béant. Ça montre la fragilité de notre équipe. Pourtant on a des gars qui sont capables de faire des choses. Flo, Mardy, Mike, ce sont des compétiteurs. C’est pour ça que par moments ils joue des coudes. On a senti toute la semaine qu’il y avait une hausse dans les efforts, dans l’intensité. On espérait autre chose. Quand ça nous a totalement échappé, on n’a pas su faire front. »\\n\\nMaintenant, il faut se re-mobiliser et préparer le match retour de lundi qui aura lieu au Rhenus à 20h30.\\n\\n« On a un autre match lundi et à nous de voir si on est capable de répondre dans un autre contexte.Bien sûr c’est inquiétant de ne pas pouvoir faire front malgré notre équipe. Par habitude, je sais que le basket est parfois bizarre donc on va essayer de faire ce qu’on peut chez nous. Et si par bonheur on s’impose, on reviendra mercredi pour jouer la belle ici, dont on ne sera pas favori. Comme ce soir.A nous de nous appuyer sur ce qu’on a fait de bien au départ. On ne peut pas battre Dijon si on ne marque pas au moins huit ou neuf tirs à trois points, on le sait. C’est ce que leur défense nous donne. Et on a les joueurs qui peuvent mettre les shoots. »\\n\\nRendez-vous donc lundi pour savoir si la JDA Dijon se qualifiera pour les demi-finales ou si Strasbourg aura l’occasion d’avoir un match 3 décisif mercredi prochain, à Dijon.\\n\\nA Dijon,\\n\\n[armelse]\\n\\nLa Jeanne réalise tout simplement la meilleure saison de son histoire. Troisième de saison régulière, elle a fait mieux que la saison passée lorsqu’elle a terminé cinquième après 34 journées de Jeep Elite. Cette troisième place, les joueurs de Laurent Legname l’ont amplement mérité et ils ont d’ores et déjà tiré profit de l’avantage du terrain en s’imposant dans la première manche des playoffs face à une équipe de la SIG a priori puissamment armée.\\n\\n« Même l’avantage du terrain et malgré le classement, on s’attendait un match beaucoup plus difficile. C’est clairement mieux que ce qu’on espérait. On a su jouer de la bonne façon avec la bonne énergie, malgré qu’ils nous aient beaucoup embêté en début de match. On a fait le break avant la mi-temps et je pense que c’est ce qui leur a fait le plus mal. C’est une très, très bonne note pour démarrer ces playoffs. Ce n’est pas facile de faire ce qu’on a fait contre Strasbourg, malgré les pépins qu’ils ont connu cette année. On a été très sérieux, mais il va falloir continuer parce que c’est loin d’être terminé. »\\n\\nVoilà les premiers mots d’Axel Julien, MVP du match aller des quarts de finale (14 points, 6 rebonds, 3 interceptions et 7 passes décisives pour une évaluation de 23). 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Boudé par de nombreux supporters en raison de ses choix et hué lors de la présentation des équipes lors du dernier match, il a notamment déclaré avoir été reçu par Yves Martinez (Président) et Pierre Fargeaud (Directeur administratif, juridique et financier) mercredi 22 mai. Les deux hommes ont notifié à l’ancien entraîneur de Châlons-en-Champagne que le club ne souhaitait plus continuer avec lui.\\n\\nSi le calvaire de la saison 2018/19 est terminé, l’été va être long à Limoges...\\n\\n\\n\\n\\nFrançois Peronnet : \\J'ai été reçu par messieurs Martinez et Fargeaud mercredi 22. Ils m'ont exprimé leur désir de ne plus poursuivre notre collaboration. Personnellement, j'ai la volonté de continuer à m'investir pour le Limoges CSP.\\\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) May 26, 2019" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Andrew Albicy va quitter Andorre" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le Morabanc Andorra a perdu son dernier match de la saison face à Malaga hier midi et que sa saison est terminée, Andrew Albicy (1,78m, 29 ans) a annoncé qu’il allait quitter le club.\\n\\nElu dans le cinq type de la saison d’Eurocup, l’ancien du BCM Gravelines-Dunkerque est arrivé dans les Pyrénées en 2016 via un contrat de deux ans. L’ancien joueur du Paris-Levallois avait ensuite signé pour une année supplémentaire à l’intersaison 2018, mais il a indiqué aux supporters andorrans a travers une vidéo que cette fois-ci c’est bel et bien terminé.\\n\\nMeneur titulaire de l’équipe de France pendant toute la campagne de qualification pour la coupe du Monde, l’ancien meilleur défenseur de Pro A peut prétendre à aller chercher plus haut chez un candidat au titre de l’Eurocup ou une écurie d’Euroleague. Pour l’instant, le natif de Sèvres ne sait pas encore quelle direction il prendra cet été.\\n\\nCette saison, Andrew Albicy a tourné en moyenne à 8,4 points, 1,7 rebond et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 10,1 en ACB, et 12,1 points, 1,6 rebond et 5,9 passes décisives pour une évaluation de 15,9 en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n☝️🏀@andrewalbicy ha explicat que el seu futur no passa per seguir al @morabancandorra\\n\\A Andorra he evolucionat, sempre portarè aquest club al meu cor\\.\\nPotser més d'un i més de dos ho esperàven i ell ho ha volgut dir avui al vestidor després del partit.#MaiPor #MerciAndrew pic.twitter.com/P3GvWwSlt3\\n\\n\\n— MoraBancAndorra (@morabancandorra) May 26, 2019\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Quand Nikola Jokic joue avec ses potes" }, {"role": "assistant", "content":"Un playground à Sombor, une ville de 50 000 habitants située dans la Province de Voïvodine. Une bande de potes joue au basket. Parmi eux un grand type qui apparait un peu grassouillet en marcel... Il s’agit de Nikola Jokic (2,13m, 112kg), né dans la ville il y a 24 ans, la star des Denver Nuggets, qui a promis de faire la Coupe du monde avec l’équipe nationale.\\n\\n\\n\\n\\nNikola Jokić, the best center of the NBA this season, playing offseason basketball with his friends in his hometown of Sombor. #yugobasket pic.twitter.com/ZoW6IWXwRj\\n\\n\\n— Yugobasket (@yugobasket) May 26, 2019" }, {"role": "user", "content":"Canada: Le coach des Toronto Raptors, Nick Nurse, sera aussi probablement celui de l’équipe nationale" }, {"role": "assistant", "content":"Nick Nurse, 51 ans, le coach américain des Toronto Raptors aurait accepté de devenir l’entraîneur de l’équipe nationale canadienne, au minimum pour la Coupe du monde 2019. Une source a donné cette information à la presse canadienne sous le couvert de l’anonymat, la fédération canadienne ne l’a pas confirmée pour l’instant.\\n\\nNick Nurse a été le coach de plusieurs équipes de D-League mais aussi d’Ostende et en Grande-Bretagne. 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Dont trois inscrits par le seul Quentin Ruel (sur quatre tentatives), qui était en difficulté la veille avec un 3/11 sur l’ensemble du match. Après 10 minutes, Cholet est devant 22-17, avec une claquette au buzzer de Leopold Delaunay.\\n\\nDe retour sur le parquet, les deux équipes continuent de se rendre les coups. Quentin Ruel poursuit son festival (21 points, à 7/11 aux tirs dont 5/8 à trois points, et 6 rebonds en première mi-temps) et permet à CB de mener 36-27 à cinq minutes de la pause. Seulement, l’Elan ne se laisse pas marcher dessus. Très important dans le dispositif de Romain Chenaud, Babacar Niasse continue de mettre son intensité dans le jeu et aide son équipe à rester à distance raisonnable des Choletais. Chalon profite notamment des problèmes de fautes de Mathis Dossou-Yovo et Etienne Ca (trois chacun) pour revenir à hauteur à trois minutes de la mi-temps (36-36). Après 20 minutes de jeu, Cholet ne mène que d’une petite unité, 43-42.\\n\\nDès les premières minutes du troisième quart-temps, Cholet met un gros coup d’accélérateur et assomme les Chalonnais à l’image du gros alley-oop entre Karlton Dimanche et Yoan Makoundou. Après trois quart-temps, CB mène largement 71-51 et se dirige tout droit vers le doublé championnat-trophée du futur. Malgré un magnifique retour à moins deux (80-78) à une minute du buzzer final, l’Elan Chalon chute tout près du but. C’est notamment Karlton Dimanche qui a pu sceller le sort du match grâce à un shoot plein de sang-froid à moins d’une minute de jeu. S’en est suivie une série de trois stops consécutifs pour les joueurs de Sylvain Delorme qui n’ont eu qu’à assurer sur la ligne des lancers-francs en fin de rencontre pour assurer leur succès.\\n\\nVictorieux 86-78, Cholet Basket remporte son deuxième Trophée du futur de suite, le cinquième de son histoire. Elu MVP du Trophée du futur, Quentin Ruel a compilé 24 points et 11 rebonds pour une évaluation de 23 en finale. A noter que cinq joueurs de l’effectif choletais ont enregistré une évaluation supérieure à 10 sur la finale.\\n\\nLa boxscor est ici.\\n\\nA Dijon,\\n\\nPhoto : JDA Dijon" }, {"role": "user", "content":"Affluences en Euroleague: Une baisse de 5,7% à 8 282 spectateurs" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la saison 2018-19 d’Euroleague s’est achevée le week-end dernier, voici les affluences par club. A noter une baisse générale de 5,7%. Le top 10 des affluences de la saison confirme l’attractivité du Zalgiris Kaunas et du Panathinaikos d’Athènes.\\n\\n\\n\\n\\nRang\\nEquipe\\nTotal\\nHaut\\nBas\\nMoy.\\nEvol.\\n\\n\\n\\n\\n\\n2019 Final Fourgames\\n52,955\\n13,470\\n12,866\\n13,239\\n−16.9%\\n\\n\\n1\\nŽalgiris\\n251,742\\n15,517\\n13,569\\n14,808\\n+9.2%\\n\\n\\n2\\nPanathinaikos\\n200,473\\n18,182\\n7,487\\n12,530\\n−3.7%\\n\\n\\n3\\nBaskonia Vitoria\\n189,352\\n12,847\\n9,743\\n11,138\\n−1.9%\\n\\n\\n4\\nFenerbahçe\\n182,529\\n12,821\\n7,380\\n10,737\\n−7.2%\\n\\n\\n5\\nMaccabi Tel Aviv\\n157,826\\n11,060\\n9,476\\n10,522\\n−1.9%\\n\\n\\n6\\nReal Madrid\\n166,457\\n12,749\\n7,328\\n9,792\\n−2.4%\\n\\n\\n7\\nArmani Milan\\n127,402\\n11,851\\n6,343\\n8,493\\n+13.7%2\\n\\n\\n8\\nAnadolu Efes\\n148,452\\n15,249\\n3,153\\n8,247\\n+111.5%\\n\\n\\n9\\nOlympiacos\\n123,042\\n11,107\\n4,136\\n8,203\\n−8.0%\\n\\n\\n10\\nCSKA Moscou\\n122,369\\n12,341\\n4,473\\n7,198\\n−12.3%\\n\\n\\n11\\nFC Barcelone\\n98,487\\n7,311\\n4,372\\n5,793\\n+2.0%\\n\\n\\n12\\nKhimki Moscou\\n82,529\\n7,151\\n3,259\\n5,502\\n−8.6%\\n\\n\\n13\\nGran Canaria\\n72,348\\n7,430\\n3,648\\n4,823\\n+18.9%1\\n\\n\\n14\\nBudućnost Voli\\n71,877\\n5,260\\n4,081\\n4,792\\n+67.2%1\\n\\n\\n15\\nBayern Munich\\n65,233\\n5,809\\n3,259\\n4,349\\n−20.4%1\\n\\n\\n16\\nDarüşşafaka\\n40,372\\n4,204\\n1,011\\n2,691\\n+3.1%1\\n\\n\\n\\nTotal Euroleague\\n2,153,445\\n18,182\\n1,011\\n8,282\\n−5.7%\\n\\n\\n\\n\\nLe top 10 des affluences\\n\\n\\n\\n\\nRang\\nTour\\n\\nEquipe hôte\\nVisiteur\\nAffl.\\n\\n\\n\\n1\\nPlayoffs\\n\\nPanathinaikos\\nReal Madrid\\n18,182\\n\\n\\n\\n2\\nSaison R.\\n\\nPanathinaikos\\nReal Madrid\\n18,003\\n\\n\\n\\n3\\nSaison R.\\n\\nPanathinaikos\\nOlympiakos\\n17,345\\n\\n\\n\\n4\\nSaison R.\\n\\nPanathinaikos\\nBaskonia\\n16,513\\n\\n\\n\\n5\\nSaison R.\\n\\nPanathinaikos\\nCSKA Moscou\\n15,733\\n\\n\\n\\n6\\nSaison R.\\n\\nŽalgiris\\nFenerbahçe\\n15,517\\n\\n\\n\\n7\\nPlayoffs\\n\\nAnadolu Efes\\nFC Barcelona\\n15,249\\n\\n\\n\\n8\\nSaison R.\\n\\nŽalgiris\\nCSKA Moscou\\n15,205\\n\\n\\n\\n9\\nSaison R.\\n\\nŽalgiris\\nDarüşşafaka\\n15,178\\n\\n\\n\\n10\\nPlayoffs\\n\\nŽalgiris\\nFenerbahçe\\n15,177\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Le Serbe Vasilije Micic prolonge à Anadolu Efes Istanbul" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière serbe Vasilije Micic (1,97m, 25 ans) va demeurer à Anadolu Efes Istanbul alors qu’il était annoncé avec insistance au Real Madrid. Bien qu’aucun détail concernant son contrat ne soit officiellement dévoilé, l’accord devrait inclure des clauses de sortie pour la NBA au cas où les Philadelphia Sixers l’appelleraient. Cependant, il est prévu que Micic passe au moins la saison prochaine en tant que membre d’Anadou Efes.\\n\\nVasilije Micic a transité auparavant par le Bayern Munich, l’Etoile Rouge de Belgrade, Tofas Bursa et le Zalgiris Kunas. Il a terminé la saison en EuroLeague avec une moyenne de 12,4 points et 5,5 passes par match (3e de l’Euroleague) et il a été élu dans la deuxième équipe All-EuroLeague.\\n\\nLa signature de Micic suit celles de Krunoslav Simon, de Bryant Dunston et de l’entraîneur Ergin Ataman – moins d’une semaine après la première participation de l’équipe au Final Four- montrant que Efes mise sur la continuité pour conserver sa place durement gagné parmi les meilleures équipes d’Euroleague.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Sous les yeux de Antoine Griezmann, Charnay accède à la Ligue Féminine" }, {"role": "assistant", "content":"Les Bourguignonnes de Charnay n’ont pas manqué l’occasion. Sous les yeux de 1 200 spectateurs dont ceux de la star du football, Antoine Griezmann, fan de basket, originaire de Mâcon et invité par le Conseil Départemental, elles ont remporté la belle de la finale de la Ligue 2 au détriment de Toulouse (66-53) et ainsi elles vont découvrir pour la première fois la Ligue Féminine la saison prochaine.\\n\\nDéjà vainqueur de la saison régulière, les Pinkies ont mené 22-13 après un quart-temps et grâce au duo Laëtitia Guapo (18 points, 5 rebonds)-Mélanie Devaux (17 points), elles ont réussi à maintenir une avance suffisante pour ne pas être inquiété malgré les efforts de Svenja Greunke (17 points, 7 rebonds).\\n\\nCharnay-lès-Mâcon est une commune de 7 300 habitants située juste à l’ouest de Mâcon, la préfecture de Saône-et-Loire.\\n\\n\\n\\n\\nUn grand bravo aux Pinkies de Charnay-lès-Mâcon qui montent en @basketlfb, avec le soutien d’@AntoGriezmann ce soir.\\n\\n\\nFélicitations @cbbs_basket 👏👏👏\\n\\n\\nCc @ffbasketball #LFB pic.twitter.com/EpnQ4sjIkP\\n\\n\\n— Mâcon (@VilleDeMacon) May 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Tony Parker (président ASVEL): «Il va falloir s’inspirer de cette deuxième mi-temps»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que les trois autres équipes visiteuses ont pris des roustes lors de la première manche de quarts-de-finale de playoffs (-36 pour Pau, -20 pour Limoges et -32 pour Strasbourg), Le Mans Sarthe Basket, privé de son meilleur marqueur Cameron Clark (cuisse), a fait de la résistance à Villeurbanne (73-67).\\n\\nLes Champions de France en titre menaient 36-39 à la mi-temps avant que l’ASVEL durcisse sérieusement sa défense. Les arbitres ont distribué 40 lancers et ni l’ASVEL (10/19) ni le MSB (13/21) n’ont été adroits dans l’exercice. Avec 15 points et 7 rebonds, le pivot Adreian Payne a dominé à l’intérieur alors que du côté manceau, c’est Kendrick Ray qui a flambé (22 points à 8/11 aux tirs, 27 d’évaluation.)\\n\\n« Pas facile comme match ! », a reconnu le président de l’ASVEL, Tony Parker. « On savait que ça serait difficile contre Le Mans. Comme on vient de les battre en Coupe de France, on savait qu’ils allaient être motivés et nous rendre la tâche difficile. On a eu une belle réaction de l’équipe en deuxième mi-temps. On a joué beaucoup plus dur, on a monté le niveau. Il va falloir s’inspirer de cette deuxième mi-temps. On sait très bien qu’au Mans, ils ont une super salle, un super public et ça va être difficile de gagner là-bas.\\n\\n\\n\\n\\n💬 @tonyparker : \\On a eu une belle réaction d'équipe en seconde période, on a monté le niveau. Il faudra s'inspirer de cette 2ème mi-temps pour le match 2 !\\#LDLCASVEL #PlayoffsJeepELITE pic.twitter.com/56igw9yYth\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) May 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"Dax-Gamarde et Mont-de-Marsan remportent la Coupe des Landes" }, {"role": "assistant", "content":"Epargnée par la pluie, la Coupe des Landes a vu hier soir le triomphe de Dax-Gamarde en garçons et de Mont-de-Marsan chez les filles dans les Arènes de Dax.\\n\\nC’est après deux finales consécutives perdues que le Stade Montois s’est imposé 56-46 face aux Espoirs de Basket Landes. Du côté des garçons, Dax-Gamarde a remporté sa quatrième coupe d’affilée en battant le Real Chalossais, 85-66, une équipe de Nationale 3 alors que les joueurs de Denis Metay viennent d’obtenir leur accession en Nationale 1.\\n\\nhttps://www.facebook.com/cd40basket/videos/464150131013833/\\n\\nPhoto: Dax Gamarde" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Lattes-Montpellier pourra compter sur la Franco-Américaine Gabby Williams" }, {"role": "assistant", "content":"C’est une équipe de Lattes-Montpellier très différente de celle qui a été finaliste du championnat de France et de l’Eurocup que l’on découvrira à la rentrée. Le BLMA perd deux de ses pièces maîtresses, la MVP Helena Ciak (ASVEL) et Endy Miyem (Charleville) ainsi que la Serbe Ana Dabovic (Bourges), Marielle Amant, Taylor Wurtz et Tina Trebec.\\n\\nLe Belge Thinaut Petit qui a été confirmé à son poste pourra compter sur quatre nouvelles joueuses:\\n\\nTout d’abord Stephanie Mavunga (1,90m, 24 ans), une intérieure américaine, qui arrive de Enesiv en Russie où elle tournait à 24,8 points et 12,4 rebonds en Eurocup. Dans la peinture, elle sera secondée par la néo-internationale française Marie-Michelle Milapie (1,92m, 23 ans) en provenance de Basket Landes qui a affiché 7,2 points et 5,7 rebonds en Ligue Féminine.\\n\\nA la mène, on retrouvera la jeune internationale suédoise Klara Lundquist (1,73m, 20 ans), qui s’est fendue de 20,1 points, 6,7 rebonds et 4,7 passes dans le championnat suédois avec Telge. A l’arrière, c’est Gabby Williams (1,80m, 22 ans) qui a été recrutée. Curiosité: née aux Etats-Unis, elle possède le passeport français grâce à une filiation maternelle. Elle portait en fin de saison le maillot de Gérone et a été championne d’Espagne tournant à 11,6 points et 5,2 rebonds. Comme une autre Franco-américaine, Bria Hartley, Gabby Williams a été formée à l’université de Connecticut avec laquelle elle a été deux fois championne NCAA, en 2015 et 2016, et elle était appréciée pour sa défense. L’été 2018 avec le Chicago Sky, elle a tourné à 7,3 points et 4,3 rebonds en WNBA.\\n\\nLe BLMA pourra toujours compter par ailleurs sur Ornella Bankole, Romane Bernies, Alix Duchet, Diandra Tchatchouang et Sami Whitcomb." }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: La Basketball Champions League à la hauteur" }, {"role": "assistant", "content":"Très internationale, la Basketball Champions League de la FIBA permet à des jeunes joueurs de nombreux pays de se montrer sur la scène européenne, avec un certain bonheur.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nDeuxième coupe d’Europe « bis », troisième coupe d’Europe ? Toujours est-il que la Basketball Champions League (ou BCL) organisée par la FIBA (contrairement à l’Euroleague et à l’Eurocup, organisées par l’ECA privée) croît régulièrement depuis ses débuts il y a maintenant trois ans. Elle oppose désormais 32 clubs issus de 15 pays européens (y compris Israël, pour les raisons géopolitiques que l’on connaît) et, si sa première phase n’est pas d’un niveau mirobolant du fait de la variété de pays représentés et de la concurrence de l’Eurocup, sa phase finale – avec la Virtus Bologne, Bamberg, Anvers et Ténérife au Final Four – n’a pas grand-chose à envier à celle de sa concurrente organisée par ECA.\\n\\nDans le cadre qui nous intéresse, les joueurs âgés de 21 ou moins, la BCL ne manque pas d’intérêt, permettant de mettre en lumière de jeunes garçons évoluant dans des championnats dits de « seconde catégorie » (parfois de façon abusive...) comme en Belgique, en République Tchèque ou en Suisse. Et ce d’autant plus que nombreux sont les clubs de BCL à jouer le jeu des U21. Seules trois équipes, Anwil, Nymburk et Venise, n’en ont pas aligné un seul sur la durée de la compétition alors que les 29 autres ont permis à pas moins de 77 jeunes joueurs de passer au moins quelques secondes sur le parquet.\\n\\nCela étant, ils n’ont été « que » 37 à bénéficier d’un véritable rôle dans leur équipe, rentrant au moins cinq fois en jeu pour au moins 5 minutes en moyenne (selon le stade qu’elles ont réussi à atteindre dans la compétition, les équipes ont disputé entre 14 et 18 matchs au moment où nous avons arrêté nos statistiques). Un chiffre important, supérieur à celui enregistré en Eurocup (30), enrichi par le fait que 22 de ces U21 ont passé plus de 10 mn/match sur le terrain. En outre, pour un temps de jeu inférieur à celui accordé aux U21 en Eurocup (12,1 minutes en moyenne contre 13,6), les jeunes de BCL produisent des statistiques assez équivalentes : 3,76 points (contre 4,38) et 4,26 d’évaluation (contre 4,0). Autant dire que, globalement, les U21 sont aussi bien lotis en BCL qu’en Eurocup.\\n\\nUn constat qui se révèle moins vrai si l’on se concentre sur les plus jeunes, nés en 2000 ou après : s’ils sont 19 à être entrés au moins une fois en jeu, seuls deux ont bénéficié d’un vrai rôle, Quirin Emanga (Riesen, Allemand, 2000, 8 matchs joués, 9,5 minutes, 1,8 point, 2,0 d’évaluation) et Luka Samanic (Olimpija Ljubljana, Croate, 2000, stats plus loin).\\n\\nEn revanche, la BCL est la plus internationale des coupes d’Europe en matière de U21 : les 77 jeunes entrés sur le terrain sont de 22 nationalités différentes, un chiffre qui se réduit à 16 pour les 37 U21 ayant bénéficié d’un véritable temps de jeu (les Suisses, Espagnols, Lettons, Bosniens, Sénégalais et Brittaniques n’ayant fait que passer). Et, cocorico, ce sont de jeunes Français qui sont en plus grand nombre : 5 ont eu du temps de jeu – Louis Weber à Dijon, Armand Mensah et Jean-Marc Pansa pour Nanterre, Ludovic Beyhurst et Quentin Goulmy du côté de Strasbourg. À égalité viennent les Turcs alors que les Allemands sont au nombre de 4, tout comme les Lituaniens. Suivent 3 Tchèques, 2 Grecs, 2 Belges, 2 Israéliens, 2 Russes et 2 Croates puis, à raison d’un par nation, des Slovène, Italien, Danois, Ukrainien, Monténégrin et Roumain.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nCosmopolite, le cinq majeur de la compétition l’est également, avec un Israélien, un Grec, deux Croates et un... Roumain, évoluant à Murcie, en Espagne, Emanuel Cate. S’ils passent un peu moins de temps sur le terrain que leurs homologues d’Eurocup (19,4 minutes contre 24,3), leur rendement n’en est pas moins très honorable : 7,94 pts et 9,60 d’éval (qu’il faut comparer avec précautions avec celle d’Eurocup, la FIBA utilisant le même mode de calcul que la Jeep Élite pour l’évaluation, qui ne tient pas compte des contres subis et des fautes – commises ou provoquées – au contraire de l’Eurocup et de bon nombre d’autres championnats, ce qui fausse quelque peu la comparaison).\\n\\nToujours est-il que Tamir Blatt (Hapoel Jérusalem, 1997) a brillé en BCL (10,1 pts, 13,1 d’éval) alors que Luka Samanic (Olimpija Ljubljana, 2000) y a étalé toutes ses promesses (8,2 pts, 8,9 d’éval).\\n\\nCes jeunes sont-ils aussi forts que les U21 du cinq majeur d’Eurocup ? S’ils produisent des stats similaires dans des compétitions différentes, on peut constater que si tous ceux qui ont été mentionnés en Eurocup font également partie du cinq majeur U21 de leur championnat domestique, il n’en va pas de même en BCL. Ni Roko Badzim (Ljubljana, 1997) ou Luka Samanic en Ligue Adriatique, ni Emanuel Cate en Liga ACB espagnole n’ont cette chance, au contraire de Tamir Blatt et d’Antonis Koniaris (PAOK, 1997).\\n\\nUne explication à cet état de fait : tous les membres de ce cinq majeur de BCL produisent de meilleures stats dans cette coupe d’Europe que dans leur championnat local (6,46 pts et 6,90 d’éval en moyenne). Leur temps de jeu est plus important en BCL, leur production suit la même voie.\\n\\nL’intérêt porté par leurs équipes à la BCL n’entre pas vraiment en ligne de compte sur la production de ces U21 (si l’on supposait que des équipes peu concernées fassent souffler leurs joueurs majeurs au profit de ces jeunes) : si Ljubljana a terminé bon dernier de son groupe, les trois autres équipes se sont qualifiées pour les phases finales, Jérusalem atteignant même les quarts de finale.\\n\\nC’est donc bien par leur valeur intrinsèque que ces cinq joueurs ont justifié le temps passé sur le parquet.\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nTamir Blatt\\n1\\nH Jérusalem\\nIsrael\\n1997\\n17\\n24,8\\n10,1\\n13,1\\n\\n\\nAntonis Koniaris\\n1\\nPAOK\\nGrèce\\n1997\\n16\\n17,9\\n5,7\\n7,6\\n\\n\\nLuka Samanic\\n4\\nLjubljana\\nCroatie\\n2000\\n12\\n19,4\\n8,2\\n8,9\\n\\n\\nRoko Badzim\\n2\\nLjubljana\\nCroatie\\n1997\\n10\\n16,5\\n8,4\\n7,5\\n\\n\\nEmanuel Cate\\n5\\nMurcie\\nRoumanie\\n1997\\n15\\n18,2\\n7,3\\n10,9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMoyenne\\n\\n1997,60\\n14,00\\n19,36\\n7,94\\n9,60\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nLa BCL n’est peut-être pas encore tout à fait au niveau de l’Eurocup, mais elle permet d’ores et déjà à de nombreux jeunes joueurs de pays très variés de montrer leur talent au grand jour. Ne serait-ce que pour cela, elle justifie déjà pleinement son existence.\\n\\nReste à voir comment évoluera le temps de jeu de ces U21 dans les années à venir.\\n\\n[armelse]\\n\\nDeuxième coupe d’Europe « bis », troisième coupe d’Europe ? Toujours est-il que la Basketball Champions League (ou BCL) organisée par la FIBA (contrairement à l’Euroleague et à l’Eurocup, organisées par l’ECA privée) croît régulièrement depuis ses débuts il y a maintenant trois ans. Elle oppose désormais 32 clubs issus de 15 pays européens (y compris Israël, pour les raisons géopolitiques que l’on connaît) et, si sa première phase n’est pas d’un niveau mirobolant du fait de la variété de pays représentés et de la concurrence de l’Eurocup, sa phase finale – avec la Virtus Bologne, Bamberg, Anvers et Ténérife au Final Four – n’a pas grand-chose à envier à celle de sa concurrente organisée par ECA.\\n\\nDans le cadre qui nous intéresse, les joueurs âgés de 21 ou moins, la BCL ne manque pas d’intérêt, permettant de mettre en lumière de jeunes garçons évoluant dans des championnats dits de « seconde catégorie » (parfois de façon abusive...) comme en Belgique, en République Tchèque ou en Suisse. Et ce d’autant plus que nombreux sont les clubs de BCL à jouer le jeu des U21. Seules trois équipes, Anwil, Nymburk et Venise, n’en ont pas aligné un seul sur la durée de la compétition alors que les 29 autres ont permis à pas moins de 77 jeunes joueurs de passer au moins quelques secondes sur le parquet.\\n\\nCela étant, ils n’ont été « que » 37 à bénéficier d’un véritable rôle dans leur équipe,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Jean-Marc Pansa (Nanterre)" }, {"role": "user", "content":"La mini-movie de Monaco-Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"L’AS Monaco s’est largement imposée au CSP Limoges lors de la première manche des quarts-de-finale de playoffs, 93-73. Voici la mini-movie du match.\\n\\nPhoto: Gerald Robinson (ASM)" }, {"role": "user", "content":"La photo: Evan Fournier et Lahaou Konate au temps de l’adolescence" }, {"role": "assistant", "content":"Evan Fournier et Lahaou Konate sont des potes d’enfances et le NBAer ne manque pas de saluer la saison exemplaire du Nanterrien en sortant de ses archives ces photos culte.\\n\\n\\n\\n\\nQuelques photos collectors avec le défenseur de l'année en Jeep Élite.\\nLa famille pour de vrai. 94 à jamais. @lahaouKonate pic.twitter.com/d9QSkmHY61\\n\\n\\n— Evan Fournier (@EvanFourmizz) May 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Dijon écrase Strasbourg en quart de finale aller des playoffs !" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir terminé troisième du classement de Jeep Elite, soit le meilleur résultat de son histoire, la JDA Dijon avait l’avantage du terrain et recevait la SIG Strasbourg pour le premier match des playoffs 2019. L’occasion de voir s’opposer le MVP de Jeep Elite, David Holston, et le MVP du Final Four de BCL 2018, Mike Green.\\n\\nDevant 4 700 supporters habillés en blanc pour l’occasion, les Dijonnais entrent immédiatement dans leur match, survoltés, à l’image des tribunes et d’Axel Julien auteur de sept points en moins de cinq minutes. En face la marque est très rapidement répartie avec déjà quatre joueurs à plus de trois points dans le premier quart-temps, même si l’Américain Mike Green fait sentir qu’il a élevé son niveau de jeu avec l’arrivée des playoffs. Après dix minutes de jeu dans l’irrespirable Palais des Sports, Dijon mène 21-19. Axel Julien a bien failli rajouter trois nouveaux points au buzzer de la période avec un shoot à huit mètres qui fait gamelle.\\n\\nDe retour sur le parquet, la Jeanne continue d’agresser la troupe de Vincent Collet et prend cinq points d’avance sur un gros dunk en contre-attaque d’Obi Emegano avant que le technicien strasbourgeois demande un temps mort. La SIG se reprend. D’abord en défense avec Youssoupha Fall au contre, qui s’attire les sifflets du public en demandant plus de bruit, puis en attaque grâce à un tir de Florent Pietrus dans le corner. L’ancien international tricolore permet même à son équipe de repasser devant (29-28) à quatre minutes de la mi-temps.\\n\\nLe plaisir n’est que de courte durée pour les SIGmen qui se retrouvent à nouveau derrière en raison de la grosse défense dijonnaise. La JDA reprend les devants, notamment grâce à Ryan Pearson en contre-attaque puis au poste bas (36-29). A la pause, la JDA s’offre un matelas confortable de 13 points (42-29) après un nouvel gros dunk d’Obi Emegano, mais rien n’est encore joué alors qu’il reste encore 20 minutes à jouer. A noter tout de même la peine d’adresse à trois points des Strasbourgeois qui ne comptent qu’une seule réussite sur quatorze tentatives. Jarell Eddie est le seul à avoir trouvé la mire de loin (1/4). En face, Axel Julien est au four et au moulin avec 9 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions et 4 passes décisives pour une évaluation de 13.\\n\\n\\n\\n\\nMVP David Holston à trois points avec la faute 😱 pic.twitter.com/Z1ag3znJdd\\n\\n\\n— Dylan De Abreu (@DylanDA_) May 25, 2019\\n\\nEn manque d’adresse en première période, Jarell Eddie lance le troisième quart-temps par une flèche de loin. Cela ne suffit pas pour Strasbourg qui déjoue, asphyxié par la défense de Dijon. Contrairement à son adversaire, la JDA continue de scorer et fait grimper l’écart. Les Dijonnais prennent 23 points après un peu plus de trois minutes de jeu (56-33) sur un shoot à trois points de David Holston, acclamé par des « MVP ! MVP ! MVP ! » venus des tribunes. Les joueurs de Laurent Legname sont sur un nuage ! A trois points avec la faute, puis après une série de lancers francs, David Holston donne 32 points d’avance à son équipe (65-33, plus gros écart du match). Après 30 minutes de jeu, Strasbourg est largement mené 71-40.\\n\\nLa dernière période commence de la meilleure des manières pour Dijon: David Holston envoie Abdoulaye Loum en orbite pour le alley-oop (73-40). Le reste du quatrième quart-temps n’est qu’une formalité pour la JDA qui consolide sa victoire. Avec les Espoirs dans l’après-midi, Louis Weber, Nicolas Dorez et Damien Archinard ont, eux aussi, pu prendre part à la fête et disputer quelques minutes de jeu dans le très large succès des leurs (94-62). MVP du match, Axel Julien a compilé 14 points, 6 rebonds, 3 interceptions et 7 passes décisives pour une évaluation de 23.\\n\\nMatch retour, lundi à 20 heures au Rhenus de Strasbourg.\\n\\n\\n\\n\\n@jdadijonbasket pic.twitter.com/m6wOM3Zbbu\\n\\n\\n— Dylan De Abreu (@DylanDA_) May 25, 2019\\n\\nA Dijon,\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"WNBA: Bria Hartley a joué la nuit dernière avec le New York Liberty" }, {"role": "assistant", "content":"Attendue en équipe de France pour le stage de Rennes début juin, Bia Hartley a (re)joué la nuit dernière avec le New York Liberty et perdu face aux Indiana Fever, 81-80. Il s’agissait d’un face à face entre les deux équipes qui ont obtenu le plus faible pourcentage de victoires la saison dernière.\\n\\nLa meneuse franco-américaine a joué 17 minutes pour 7 points (2/9 aux shoots), 4 rebonds et 4 passes. La Canadienne Nayo Raincock (ex-Bourges) a eu droit à seulement 4′ de jeu. Marine Johannès est prévue dans l’effectif du Liberty après le championnat d’Europe.\\n\\n\\n\\n\\nBria Hartley with a stepback 3! https://t.co/gCYzvZtUgf\\n\\n\\n— Dime (@DimeUPROXX) May 25, 2019\\n\\n\\n\\n\\nBria Hartley with the and-1! pic.twitter.com/xcGt4c6Msk\\n\\n\\n— Justin Carter (@juscarts) May 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"Trophée du futur : Cholet tremble face à Dijon mais ira bien défendre son titre face à Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Après s’être respectivement imposés face à Gravelines-Dunkerque et à l’Elan Béarnais en quart de finale vendredi, Cholet et Dijon se retrouvaient cet après-midi en demi-finale du Trophée du Futur.\\n\\nDouble champion de France en titre et vainqueur du Trophée du futur en 2018, CB se présentait en grand favori de la compétition. Vainqueurs avec difficultés face au BCM la veille, les joueurs de Sylvain Delorme n’étaient pas les ogres attendus en demi-finale. En tout cas, pas en première mi-temps.\\n\\nA trois heures du premier match des playoffs de Jeep Elite entre Dijon et Strasbourg, les Espoirs dijonnais avaient comme responsabilité de bien chauffer la salle et réaliser la performance d’éliminer Cholet à domicile. Portées par les spectateurs présents au Palais des Sports, les jeunes pousses de la JDA étaient percutants d’entrée de jeu et comptaient bien faire douter le champion de France. A l’image du meneur de jeu Louis Weber qui a mis Karlton Dimanche sur les fesses avec un cross avant de marquer son shoot. Après dix minutes de jeu et alors que la tension monte après quelques coups de sifflet – ou non coups de sifflet -, Dijon mène 21-17 et joue avec autorité, comme le montre l’évaluation des équipes (17-1 pour la JDA).\\n\\nDe retour sur le terrain, les deux équipes continuent de faire monter l’intensité, surtout en défense. Dijon continue de contrôler le match et prend jusqu’à onze points d’avance. Du côté de Cholet, le doute s’installe, les shooteurs choletais ne trouvent pas la mire derrière l’arc et peinent à s’installer dans la peinture notamment face à l’activité de Gary Berchel. A la pause, Dijon mène 37-32 face à Cholet qui est parvenu à effacer la moitié de son déficit grâce à un tir à trois points de Karlton Dimanche dans la dernière minute.\\n\\nAprès la pause, Cholet ne présente plus du tout le même état d’esprit. Les joueurs de l’Academie Gautier resserrent les rangs et retrouvent surtout un peu d’adresse à longue distance à l’image de Quentin Ruel, un habitué de l’exercice. A force d’envie et de caractère, les Choletais se rapprochent jusqu’au point de passer devant par l’intermédiaire de Karlton Dimanche (41-39) alors qu’il reste sept minutes dans le troisième quart-temps. CB prend alors le contrôle du match et retrouve son rang de champion de France. Les joueurs de Sylvain Delorme prennent de l’avance et montrent les crocs, à l’image de Yoan Makoundou qui s’en va mettre un gros dunk dans le trafic pour prendre onze points d’avance. De leur côté, les Dijonnais ne s’en sortent pas sur la défense de zone choletaise. A la fin du troisième quart-temps, Cholet mène 58-48.\\n\\nDevant leur public et sous les yeux attentifs de Ryan Pearson et David Holston, les coéquipiers de Nicolas Dorez reviennent petit à petit notamment grâce à Damien Arnichard à trois points par deux fois et l’activité de Liroyd Alexis très précieux sur le jeu à mi-distance. Le Palais des Sports s’enflamme. Louis Weber permet à la JDA de revenir à moins deux avec un shoot plein de sang-froid dans le corner (62-60). Malheureusement pour Dijon, le 26-11 du troisième quart-temps a été fatal malgré une dernière flèche à trois points de Weber pour revenir à trois points (68-65). Finalement, Cholet s’impose 72-65. Hugo Robineau a enregistré 13 points, 4 passes décisives et 6 fautes provoquées pour une évaluation de 19 tandis que Karlton Dimanche a compilé 11 points, 12 rebonds, 3 interceptions, 2 passes décisives et 6 fautes provoquées pour une évaluation de 17.\\n\\nLa finale du Trophée du futur 2019 opposera donc l’Elan Chalon à Cholet, tenant du titre, dimanche à 15 heures.\\n\\nA Dijon,\\n\\nPhoto : LNB" }, {"role": "user", "content":"Playoffs Jeep Elite: Nanterre a mis ce Pau en mille morceaux" }, {"role": "assistant", "content":"101-65. Trente-six points d’écart. C’est l’une des plus grandes déculottées de l’histoire moderne des playoffs. C’est d’autant plus inattendu que ce quart-de-finale opposait le quatrième au cinquième et que l’Elan Béarnais était venu bousculer ces mêmes Nanterriens il y a tout juste une semaine pour le compte de la dernière journée de saison régulière, 74-82, avec un Donta Smith rayonnant (19 points, 7 rebonds, 6 passes). On croyait Nanterre au bout du rouleau après 54 matches dont 20 de Champions League et ils se sont bien amusés dans la fraîcheur et la bonne humeur contagieuse du palais des sports de Maurice-Thorez. Les voies d’eau qui sont apparues très vite dans la coque béarnaise se sont vite transformées en torrent. Les hommes de Laurent Vila n’ont jamais été en mesure de faire front.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« C’est ce que l’on attend toujours sur les matches de playoffs, cette différence d’intensité et de dureté. Ce soir on a été complètement dominé par Nanterre dès l’entame du match. Malgré l’envie que l’on avait de bien faire, mentalement on n’a pas tenu et on n’a pas pu dérouler notre jeu que ce soit en attaque ou en défense », déplore le coach. « Chacun a cherché des solutions individuelles et c’est l’erreur à ne pas faire. Il faut rester solidaire malgré l’adversité et la dureté. On aurait dû réagir mais je crois qu’il y avait une telle envie et une telle désillusion sur cette entame de match... On n’a vu que du jeu direct, il n’y avait plus de circulation de balle même si forcément Nanterre a bien défendu. Défensivement, on n’a pas été capable de faire les efforts à tout moments et quand il fallait réagir en équipe sur certaines situations de drives ou autres, on a regardé le ballon au lieu de faire les efforts. Je pense que mentalement on a lâché trop vite. »\\n\\nLes Nanterriens ont fait une démonstration de jeu rapide, de circulation de balle bien huilée et forcément d’efficacité à trois-points avec un magnifique 15/26 dont un parfait 6/6 pour ce diable de Lituanien Adas Juskevicius qui ne sort pas d’une salle de bodybuilding mais dont le QI Basket fait référence. Seul bémol, leur maladresse sur la ligne des lancers (6/14) qui en d’autres circonstances aurait pu être pénalisante. Sont-ce les Nanterriens qui ont été tout spécialement brillants ou les Palois apathiques et qui ont lâché dès les premiers remous ?\\n\\n« C’est un peu des deux », estime Pascal Donnadieu. « Nous, on n’a pas lâché car je ne voulais pas qu’il y ait de relâchement. On est resté très concentré pendant quasiment toute la durée du match. J’aurais été dans leur situation, je pense que j’aurais fait pareil. Quand au quatrième quart-temps on est très loin, je pense que ça ne sert à rien de prendre des risques inutiles quand on joue un match deux jours après. L’écart est très important mais c’est dû à leur relâchement et au fait que l’on a su rester sérieux avec une qualité d’adresse exceptionnelle qui est du à nos timings et à nos exécutions de forme de jeu. Je nous ai trouvé aussi très bien placés défensivement. Il y a une semaine c’était l’inverse. »\\n\\nEvidemment, durant la semaine, Pascal Donnadieu a agi sur les ressorts psychologiques de ses joueurs pour les faire réagir après leur déconvenue en saison régulière.\\n\\n« Psychologiquement, c’était certainement plus facile pour nous comme ça va l’être pour Pau dimanche. Dimanche dernier, on a fait un match qui était très peu abouti des deux côtés du terrain et on a été très permissifs. On a fait beaucoup de vidéos et j’étais sans doute dans un rôle plus facile que le coach de Pau. J’en suis conscient et maintenant ça va s’inverser. On sait très bien que dans le sport de haut niveau, il y a souvent l’orgueil, la fierté qui peuvent être touchés. On a joué un peu là-dessus cette semaine. Malheureusement vu l’écart, j’ai peur que dans l’enfer palois ça soit un peu inversé mais encore une fois je préfère me dire que quoiqu’il arrive on aura un troisième match ici. »\\n\\n« Ça faisait longtemps que l’on n’avait pas vu une telle ambiance. » Hugo Invernizzi\\n\\nTout s’est donc joué dès les premières minutes après une remise de leurs trophées devant leur public à Pascal Donnadieu -coach de la saison- et Lahaou Konate -dans le cinq all-star. Lequel Konate a été l’auteur d’une statistique impressionnante : durant son séjour sur le terrain (33’), Nanterre a eu un total positif de 42 points. C’est vous dire son impact. C’est une marée de T.shirts verts qui avait envahie Maurice-Thorez, une couleur qui est bien portée dans le basket français même si l’ASVEL a renié cette évidence. Les deux rebonds offensifs initiaux dans le paquet suivis d’un dunk rageur de Vitalis Chikoko n’ont été qu’illusion. Il y avait déjà 20-6 après un peu plus de six minutes après un step back et un panier intérieur de Jeremy Senglin puis un trois-points de Konate. Pau avait loupé sept de ses dix shoots et leur jeu d’attaque avait été brouillé par les aides défensives des Nanterriens.\\n\\nUn match de basket ne ressemble jamais à un autre ou, autre poncif, on apprend toujours de ses échecs. N’est-ce pas Hugo Invernizzi ?\\n\\n« On ne pouvait pas se permettre de jouer de la même façon que la semaine dernière. On n’avait pas été assez agressif, on s’était laissé manger sur l’intensité. On sait que face à ce genre d’équipe qui déroule son basket, si on ne met pas de pression et si on ne joue pas plus dur, on a peu de chances de gagner. On a essayé de travailler dur toute la semaine pour se mettre en condition de playoffs. On sait que les matches y sont encore plus durs, plus intenses et qu’il faut toujours donner un peu plus. On a vraiment travaillé sur notre agressivité. Les dernières semaines, on était trop relâché que ce soit en défense et en attaque. Quand on joue mieux en attaque, quand on fait bouger la balle, quand on enchaîne deux, trois passes, par des situations de contre-attaques ou de jeu rapide, on est toujours plus adroit, plus dans le rythme. Ça s’est vu aujourd’hui que l’on était bien plus en rythme que sur les derniers matches où on dribblait beaucoup plus. »\\n\\nEn première mi-temps, on a beaucoup vu à la manoeuvre l’Islandais Haukur Palsson qui, par la suite, s’est blessé à la cheville ce qui a nécessité un passage au stand.\\n\\n« Hauk, on connaît son potentiel, son niveau. Ca ne nous étonne pas que ce soir il ait fait une première mi-temps comme ça. Ça nous a énormément aidé à nous lancer. J’espère que ça va aller pour sa cheville. On sait que si au prochain match ça ne sera pas lui, un autre va prendre son relais », prévient Invernizzi.\\n\\nC’est sur une contre-attaque rondement menée que Nanterre a atteint la barre des 20 points (24e) et sur trois bombes successives à angles variés de Adas Jasikevicus, l’écart était porté à 90-53 à trois-minutes de la fin. Le jeu palois était en totale décomposition. C’est Julian Gamble qui a eu le privilège de marquer le 100e point. Encaisser 100 points dans un match de playoffs, c’est presque indécent ! Plutôt que de chambrer son adversaire en piteux état, le public de Nanterre -pas le plus nombreux de France mais parmi les tout meilleurs au niveau de l’ambiance festive- a préféré envoyé des « mercis » à son équipe. Ce public est joyeux comme le style de jeu de la JSF. Et inversement.\\n\\n« Ça faisait longtemps que l’on n’avait pas vu une telle ambiance. On a ça deux ou trois fois dans l’année. Cette année, ça nous avait un peu manqué. C’est depuis la Champions League qu’on n’en avait pas eu une comme ça. Ça fait plaisir », reconnait Hugo Invernizzi.\\n\\n« On a vu de tels retournements dans des séries courtes de playoffs que je suis très lucide sur le fait que l’on a fait un très petit bout de chemin. » Pascal Donnadieu\\n\\nLa stat la plus incroyable c’est que Nanterre n’avait pas gagné un match de playoffs depuis 2013 et Pau représentait une sorte de bête noire. Mais si la série de quart-de-finale est plus courte que les autres -à ce sujet, la prochaine évolution nécessaire sera de la faire porter à 5 manches même si le calendrier est déjà surchargé-, elle n’est pas plié pour autant.\\n\\n« On sait qu’ils vont réagir. Ils sont dos au mur. On sait que chez eux ça va être plein, que ça va être dur et qu’ils vont augmenter leur agressivité. Maintenant, en deux jours, on ne peut pas non plus faire énormément d’ajustements. Ça va être à nous de produire la même chose à l’extérieur. Ce n’est jamais évident »,estime Hugo Invernizzi. « Gagner par un tel écart, c’est bon pour la confiance car tout le monde a réussi à produire du beau basket, tout le monde a réussi à mettre ses paniers, à retrouver un peu d’adresse. Donc forcément c’est bon pour la confiance mais ça peut aussi être un contre coup avec une sur-confiance. Se relâcher au prochain match, c’est ce qu’il va falloir que l’on ne fasse pas. »\\n\\nLe toujours très prudent Pascal Donnadieu ne manquera pas d’alerter ses joueurs ce phénomène dangereux d’excès de confiance.\\n\\n« Je reste très mesuré par rapport à cette victoire. Ça ne fait malheureusement qu’1-0 quelque soit l’écart. On a vu de tels retournements dans des séries courtes de playoffs que je suis très lucide sur le fait que l’on a fait un très petit bout de chemin. On se donne quoiqu’il arrive l’opportunité de terminer le travail chez nous si on perd à Pau. C’est surtout ça que je vois comme satisfaction (...) On sait que Pau est capable de gagner ici. Ils l’ont montré les deux dernières saisons. C’est donc beaucoup de prudence par rapport à mon discours ce soir. En plus, on a pas mal de petites blessures (NDLR : la cheville d’Haukur Palsson et la cuisse de Demetrius Treadwell) et on sait que sur les séries, deux ou trois joueurs diminués, ça peut tout inverser. »\\n\\nLa deuxième manche, c’est dès demain au palais des sports de Pau et Laurent Vila veut se rassurer après la débâcle en se disant que si son équipe avait perdu d’un point, le résultat aurait été le même. Il reste tout de même à mettre au point une stratégie plus pertinente et à soigner les maux cérébraux.\\n\\n« Déjà chacun doit bien parlé. Je vais demander aux joueurs ce qui s’est passé pour eux individuellement, ce qu’ils ont ressenti sur le terrain. Le staff va le faire aussi. On va mettre tout ça dans un pot commun et trouver des solutions. On a sûr la possibilité de mieux faire. Gagner ou pas, on verra à la fin du match. En tous les cas on ne peut pas vivre un deuxième match de playoffs avec cette façon de jouer. Malgré ce match-là, on va avoir tout le palais des sports tourné vers nous et prêt à nous supporter quoi qu’il arrive. On le sait, on leur doit bien ça aussi car ils ont été là toute l’année. Il faut une réponse basket et si c’est difficile il faut quand même être vaillants, se battre, avoir confiance dans notre jeu et être fiers. »\\n\\nIl va falloir que les joueurs palois réagissent sérieusement car après ce qu’ils ont vu à Nanterre, les plus inconditionnels de leurs supporters ne doivent pas donner très cher de leur peau.\\n\\n[armelse]\\n\\n« C’est ce que l’on attend toujours sur les matches de playoffs, cette différence d’intensité et de dureté. Ce soir on a été complètement dominé par Nanterre dès l’entame du match. Malgré l’envie que l’on avait de bien faire, mentalement on n’a pas tenu et on n’a pas pu dérouler notre jeu que ce soit en attaque ou en défense », déplore le coach. « Chacun a cherché des solutions individuelles et c’est l’erreur à ne pas faire. Il faut rester solidaire malgré l’adversité et la dureté. On aurait dû réagir mais je crois qu’il y avait une telle envie et une telle désillusion sur cette entame de match... On n’a vu que du jeu direct, il n’y avait plus de circulation de balle même si forcément Nanterre a bien défendu. Défensivement, on n’a pas été capable de faire les efforts à tout moments et quand il fallait réagir en équipe sur certaines situations de drives ou autres, on a regardé le ballon au lieu de faire les efforts. 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A la pause, les coéquipiers de Babacar Niasse, qui a inscrit 17 de ses 21 points en première mi-temps, étaient devant 47-36.\\n\\nAu retour des vestiaires, les jeunes hommes de Jean-Luc Tissot ont tenté de montrer un autre visage en se reposant notamment sur Joanny Cretinon (23 points et 6 passes sur le match) pour recoller au score. Les Burgiens remportent la troisième période (20-18) mais sont toujours derrière au score. Les joueurs de la JL s’imposent également dans le quatrième quart-temps (11-10), seulement les Chalonnais ont bien leur match en mains et ne faiblissent pas et confirment leur supériorité sur ce match. Porté par leur MVP Babacar Niasse tout en maitrise (21 points, 6 rebonds, 5 passes décisives, 24 d’évaluation), l’Elan Chalon l’emporte 84-69 et se qualifie pour la finale du Trophée du futur lors de laquelle il affrontera Dijon ou Cholet dimanche à 15 heures. Boxscore ici.\\n\\nA noter qu’après 23 ans à la JL Bourg, Jean-Luc Tissot vivait sa dernière rencontre à la tête de l’équipe Espoirs ce samedi.\\n\\nA Dijon,\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Adriatic League: L’Olympiakos et le Panathinaikos devront patienter pour savoir s’ils sont acceptés" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Adriatique (ABA) a commencé vendredi à étudier les demandes des équipes grecques d’Olympiakos et Panathinaikos et israélienne de Bnei Herzliya de se joindre à la compétition pour la prochaine saison.\\n\\n« L’Assemblée a examiné les demandes d’acceptation de l’Olympiakos, du Panathinaïkos et de Bnei Herzliya. L’assemblée a conclu que, pour que ce sujet soit traité, il est avant tout nécessaire que ces clubs présentent une documentation complète, conformément aux actes constitutifs de la ligue ABA, qui requiert également l’approbation de leurs fédérations nationales de basket-ball auquel ils appartiennent », peut-on lire sur le site Internet de la ligue.\\n\\nSelon le portail sportif serbe « Sportski zurnal », les responsables de l’ABA pourraient prendre une décision la semaine prochaine lors d’une réunion de l’Assemblée de cette ligue qui doit encore se réunir. Pour le moment, il a été décidé d’inviter les trois équipes candidates à envoyer des délégués à cette réunion.\\n\\nRappelons que l’Olympiakos est relégué en deuxième division de la Ligue grecque pour ne pas avoir déclaré forfait à deux matches en protestation de leur désaccord avec l’arbitrage.\\n\\nDans la Ligue Adriatique, douze clubs de pays de l’ex-Yougoslavie s’affrontent cette saison." }, {"role": "user", "content":"Le Turc Turgay Demirel réélu à la tête de FIBA Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Le Turc Turgay Demirel conserve son poste de président de FIBA Europe après sa réélection aujourd’hui et son mandat va jusqu’en 2023. Il avait pourtant à craindre de l’opposition de l’ancien international serbe Dejan Tomajevic, président de la fédération de son pays, soutenu par un autre Turc, l’ancien international, Hidayet Turkoglu, lui-même président de la fédération de Turquie.\\n\\nEn définitive, Demirel a recueilli 22 voix au premier tour, et le vice-président de la FIBA Europe, le Belge Cyriel Coomans 17 contre seulement 11 à Tomasevic. 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Quand on parle du club il y a une aura qu’aucun autre club français ne possède. Avec tout le respect que j’ai pour les autres clubs historiques, Limoges est à part. Son public est à part aussi, extraordinaire et fidèle. En tant qu’adversaire, j’ai vécu cette ambiance unique. Venir jouer à Limoges c’est toujours spécial. Limoges c’est Limoges. C’est un club particulier en France mais également à l’étranger grâce à son passé en Euroleague. Ce sont des clubs avec des supporters qui vivent le basket et qui vivent à fond cette passion. Ça dépasse le basket, c’est quelque chose qu’on doit respecter et qu’on doit honorer. Personnellement, cette particularité m’inspire dans ma nouvelle mission. Pour Limoges, pour le club, pour l’équipe et pour tous ces supporters passionnés. »\\n\\nLe projet : « Avant toute chose, c’est une grande fierté. Je suis en même temps conscient des responsabilités que cela induit. Le club m’a confié la charge du sportif. Cette mission ne peut se faire qu’en collaboration avec un entraîneur à la tête d’une équipe qui lui correspond. Nous devrons avoir une ligne directrice définie par le directoire du club. Nous avons la chance que ce soit une équipe constituée de personnes qui ont la fibre limougeaude et qui connaissent très bien le basket. C’est essentiel de bien connaître ce contexte. Avec le staff, nous travaillerons dans la collaboration, la discussion et quand il faudra trancher, je le ferai. Sportivement, il est prématuré de parler de l’avenir car la saison n’est pas terminée. Il y a des gens qui travaillent et nous devons leur laisser finir ce travail. Nous devons encore faire le bilan de pas mal de choses. Il y a de bons joueurs dans cette équipe. Nous souhaiterions en garder quelques-uns mais on sait bien qu’il y a souvent pas mal de mouvements dans les équipes du Championnat de France où les clubs ont parfois du mal à rivaliser économiquement avec d’autres pays. Mais nous avons la volonté de construire quelque chose de fort et pérenne pour viser le plus haut possible. Lors de mon premier contact avec les dirigeants, la formation a également été mise en avant. Limoges souhaite redevenir un club formateur, référent dans ce domaine, avec des joueurs qui comprennent ce qu’implique de porter le maillot limougeaud. C’est une forte responsabilité et c’est inspirant. C’est un grand défi. Mais quand on fait du sport de haut-niveau, on aime forcément ce type de défi. À Limoges, ça ne peut pas être autrement. »\\n\\nCrawford Palmer en bref\\n\\n. En 1993, Crawford Palmer arrive en France avec déjà sur sa carte de visite une victoire en NCAA, en 1991, sous les couleurs de l’université de Duke (deux autres Final Four en 1989 et 1990).\\n. Il effectue ses débuts en France à Fos-Sur-Mer (Nationale 2) de 1993 à 1996, avant de partir à Bourg-en-Bresse (saison 1996-97), puis à Villeurbanne (1997 à 1999). Après trois saisons en Espagne à Badalone et Caceres, il revient en France sur le parquet de Strasbourg. Lors de la saison 2002-2003, il joue notamment aux côtés de Frédéric Forte. Il y reste quatre saisons et remporte le titre de Champion de France, en 2005, un an avant de mettre un terme à sa carrière.\\n\\nAu niveau international, Crawford Palmer a porté le maillot de l’équipe de France à 47 reprises, avec notamment la médaille d’argent aux Jeux olympiques de Sydney, en 2000. En 2007, il rejoint le Centre de Droit et Economie du Sport de Limoges, aux côtés de deux « limougeauds » : Stéphane Ostrowski et Jim Bilba. Il obtient en 2009 le diplôme universitaire de manager général de club sportif. De 2008 à 2011, il est Manager Sportif de l’équipe de France, et liaison avec les franchises NBA.\\n\\nCette saison, Crawford Palmer était le Directeur Sportif de l’Élan Chalon.\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: Eurocup, la rampe de lancement" }, {"role": "assistant", "content":"Deuxième coupe d’Europe des clubs, l’Eurocup fait la part belle aux joueurs de 21 ans et moins. Mais certains pays jouent plus le jeu que d’autres...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi la Basketball Champions League organisée par la FIBA monte en puissance et attire de plus en plus de clubs renommés, l’Eurocup mise sur pied par l’organisme « dissident » qu’est l’ECA – également organisateur de l’Euroleague – constitue encore ce que l’on peut considérer comme la deuxième coupe d’Europe des clubs en terme de niveau des équipes alignées.\\n\\nEn cette saison 2018-2019, ce sont 24 clubs de 11 pays (13 si l’on prend en compte Monaco et Andorre, qui évoluent respectivement dans les championnats français et espagnol) qui s’y sont affrontés. Et les joueurs de 21 ans et moins ont eu de nombreuses occasions de s’y illustrer. Au total, ce sont en effet 56 U21 qui ont foulé au moins une fois le parquet, bien que six clubs – Galatasaray, Brescia, Mornar Bar, Turk Telecom Ankara, Unics Kazan et Zenit Saint-Petersburg – n’aient jamais fait appel à l’un d’eux tout au long de la compétition (les clubs ont joué entre 10 et 22 matchs d’Eurocup suivant leur évolution dans la coupe).\\n\\nSi l’on se concentre sur ceux qui ont eu un rôle réel, à savoir a minima 5 minutes en moyenne sur un tiers ou plus des matchs joués par leur équipe, on dénombre alors 30 U21. De jeunes joueurs au rendement intéressant : en 13,6 minutes de jeu, ils ont produit 4,38 points et 4,0 d’évaluation, des chiffres similaires à ceux réalisés par les U21 d’Euroleague, mais avec un temps de jeu moindre (10,6 mn/match). Il est par ailleurs remarquable que 22 de ces U21 d’Eurocup aient bénéficié d’un temps de jeu supérieur à 10 mn/matchs, un chiffre équivalent à la Ligue Adriatique ou à la BCL.\\n\\nDu fait de la variété de nations représentées en Eurocup, on constate une tout aussi grande variété de nationalités des jeunes joueurs alignés. Si deux Russes et un Congolais n’ont eu qu’une présence anecdotique (respectivement au Lokomotiv Kuban et à Malaga), ce sont pas moins de douze nationalités qui sont représentées dans le panel des U21 ayant eu un rôle dans la compétition. Par nombre de joueurs, on trouve 9 Allemands, 5 Serbes, 4 Français, 4 Lituaniens et, avec un représentant par pays, un Polonais, un Croate, un Italien, un Suédois, un Sénégalais, un Bosnien, un Turc et un Espagnol.\\n\\nEn revanche, si l’on se penche sur la provenance des clubs faisant le plus appel à des U21, on constate une grande disparité. Les clubs russes et monténégrin (Mornar Bar) n’ont pas confié de minutes à de jeunes joueurs, ceux de Pologne, Croatie, Italie, Turquie et Espagne n’ont donné un tant soit peu de temps de jeu qu’à un seul U21, alors que les clubs allemands (Alba Berlin, Fraport, Ulm) en ont aligné 11 régulièrement, les français (LDLC Asvel, Monaco, Limoges) 5, tout comme les clubs serbes (Étoile Rouge et Partizan) et 4 pour le club lituanien de Rytas Vilnius. En somme, les U21 d’Eurocup qui jouent le font dans des clubs participant à des championnats nationaux faisant la part belle aux U21 – le constat fait au niveau de ces compétitions « locales » se retrouve pleinement à l’échelon européen (sauf en ce qui concerne la Croatie).\\n\\nUn parallèle qui existe également en ce qui concerne les très jeunes joueurs, nés en 2000 ou après. Au total, ils sont 13 à être entrés au moins une fois en jeu et 6 à avoir bénéficié d’un temps de jeu « réel » : deux Allemands de l’Alba Berlin, Jonas Mattiseck (2000, 5 matchs, 14,1 mn, 7,4 pts, 8,0 d’éval) et Franz Wagner (2001, 20 matchs, 9,2 mn, 2,5 pts, 2,4 d’éval), deux Lituaniens de Vilnius, Marek Blazevic (2001, 6 matchs, 5,3 mn, 1,7 pt, 1,8 d’éval) et Deividas Sirvydis (2000, 17 matchs, 14,1 mn, 5,4 pts, 4,8 d’éval) ainsi que le Limougeaud Sekou Doumbouya (2000, 8 matchs, 14,5 mn, 6,9 pts, 5,8 d’éval) et le Villeurbannais Théo Maledon (voir plus loin).\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nPlus fort encore, l’un de ces « minots », bien connu dans nos contrées, figure dans le cinq majeur de la compétition : Théo Maledon. Plus gratifiant encore pour la Jeep Élite, il est accompagné dans cette sélection des meilleurs U21 d’Eurocup par Amine Noua, qui évolue lui aussi à LDLC Asvel. Et nos deux jeunes pousses sont en belle compagnie, avec des joueurs produisant déjà de très belles statistiques comme Marcel Ponitka, Vanja Marinkovic et Martynas Echodas.\\n\\nPar ailleurs, il est intéressant de noter que ces joueurs présentent en Eurocup des statistiques assez proches, voire supérieures, à celles qu’ils produisent dans leur championnat « local » (si l’on considère la Ligue Adriatique comme telle pour Marinkovic), jouant tous plus dans cette coupe d’Europe que « à la maison ». Ainsi, en championnat polonais, Ponitka a joué 35 matchs pour 17,5 mn, 6,5 pts et 7,8 d’éval. Quant aux quatre autres, ils figurent dans le cinq majeur des championnats français, lituaniens et de Ligue Adriatique, étudiés par ailleurs.\\n\\nEt ces stats sont plutôt flatteuses : à eux cinq, ces jeunes joueurs passent en moyenne 24,3 mn/match sur le terrain pour 9,56 points et 9,58 d’éval, les meilleures performances globales de toute notre étude.\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nThéo Maledon\\n1\\nLDLC Asvel\\nFrance\\n2001\\n18\\n17,5\\n7,1\\n6,6\\n\\n\\nMarcel Ponitka\\n1\\nGdynia\\nPologne\\n1997\\n10\\n30,2\\n7,9\\n10,9\\n\\n\\nAmine Noua\\n4\\nLDLC Asvel\\nFrance\\n1997\\n15\\n25,3\\n10,8\\n10,7\\n\\n\\nVanja Marinkovic\\n3\\nPartizan\\nSerbie\\n1997\\n16\\n29,1\\n12,4\\n8\\n\\n\\nMartynas Echodas\\n5\\nVilnius\\nLituanie\\n1997\\n18\\n19,3\\n9,6\\n11,7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMoyenne\\n\\n1997,80\\n15,40\\n24,28\\n9,56\\n9,58\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nLes clubs évoluant en Eurocup y appliquent globalement la même démarche que dans leur championnat domestique : ceux de certains pays les mettent peu en avant alors que d’autres jouent à fond la carte jeunes. Et il est plaisant de constater que la France fait partie de ces derniers.\\n\\nEn outre, l’Eurocup est visiblement considérée par les clubs de ces pays (Allemagne, France, Lituanie, Serbie principalement) comme un bon moyen d’aguerrir leurs jeunes pousses, qui jouent beaucoup et pour un rendement très satisfaisant. Quant à ces U21, ils trouvent dans l’Eurocup un parfait théâtre pour exposer potentiel et qualités et ainsi attirer l’attention de clubs européens plus huppés ou de scouts NBA.\\n\\nCompétition de haut niveau, l’Eurocup est donc également une rampe de lancement idéale pour ces jeunes joueurs.\\n\\n[armelse]\\n\\nSi la Basketball Champions League organisée par la FIBA monte en puissance et attire de plus en plus de clubs renommés, l’Eurocup mise sur pied par l’organisme « dissident » qu’est l’ECA – également organisateur de l’Euroleague – constitue encore ce que l’on peut considérer comme la deuxième coupe d’Europe des clubs en terme de niveau des équipes alignées.\\n\\nEn cette saison 2018-2019, ce sont 24 clubs de 11 pays (13 si l’on prend en compte Monaco et Andorre, qui évoluent respectivement dans les championnats français et espagnol) qui s’y sont affrontés. Et les joueurs de 21 ans et moins ont eu de nombreuses occasions de s’y illustrer. Au total, ce sont en effet 56 U21 qui ont foulé au moins une fois le parquet, bien que six clubs – Galatasaray, Brescia, Mornar Bar, Turk Telecom Ankara, Unics Kazan et Zenit Saint-Petersburg – n’aient jamais fait appel à l’un d’eux tout au long de la compétition (les clubs ont joué entre 10 et 22 matchs d’Eurocup suivant leur évolution dans la coupe).\\n\\nSi l’on se concentre sur ceux qui ont eu un rôle réel, à savoir a minima 5 minutes en moyenne sur un tiers ou plus des matchs joués par leur équipe, on dénombre alors 30 U21.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Théo Maledon (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Les chiffres: 55-33 à la mi-temps pour Monaco face à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"11-0 pour commencer. Six minutes d’attente pour marquer les premiers points dans le deuxième quart-temps. 55-33 à la mi-temps avec 77-28 à l’évaluation et pas un joueur au-dessus de six points.\\n\\nFace à une équipe monégasque qui n’a perdu qu’une fois depuis la phase retour de la saison régulière, à Villeurbanne et d’un seul point (92-91), les Limougeauds n’ont pas fait le poids au cours de ce match aller des quarts-de-finale de playoffs même s’ils ont limité les dégâts au final à 93-73. C’est pourquoi on vous propose ci-dessous les stats à la mi-temps plus significatives.\\n\\nL’attitude bras croisés durant le match du coach François Perronet a interpellé car dans la tempête, il n’a pas commandé de temps-mort pour tenter de stopper l’hémorragie.\\n\\n« Je suis quelqu’un qui utilise très très peu de temps-mort. La domination était sur le plan physique à ce moment-là. Je n’ai pas pensé à cet instant qu’un temps-mort aurait changé la donne », a t-il déclaré en conférence de presse rapporte le journaliste du Populaire, Mathieu Marot." }, {"role": "user", "content":"La photo: Roanne champion de France de Pro B" }, {"role": "assistant", "content":"Tout était prévu pour célébrer le tire de champion de France de Pro B de la Chorale de Roanne. Le président de la LNB, Alain Béral, s’était déplacé à Caen avec le trophée. Fallait-il encore que les Choraliens fassent le travail face au CBC. Ca n’a pas fait un pli avec une large victoire, 51-95. Place à la célébration..." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le classement final officiel et le tableau des playoffs" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket en envoyé un communiqué où figurent le classement final et le tableau des playoffs de Pro B. Le voici:" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Katherine (Bourges) et Michelle (Lyon) Plouffe prennent leur retraite internationale" }, {"role": "assistant", "content":"Les jumelles Katherine et Michelle Plouffe, 1,91m et 26 ans, ont annoncé qu’elles mettaient un terme à leur carrière avec l’équipe nationale du Canada et ainsi ne se retrouveront plus face à la France dans les compétitions internationales.\\n\\nMichelle faisait partie de l’équipe canadienne en 2012 quand elle s’est qualifiée pour les Jeux Olympiques de Londres, une première en 12 ans, et elle a été rejointe par Katherine lors des Jeux Olympiques de Rio 2016.\\n\\n“C’était incroyable d’avoir pu partager mon expérience en tant que membre de l’équipe du Canada avec Katherine,” a déclaré Michelle. “Je sais que c’était dur pour elle de me regarder à Londres, mais sa progression et son parcours m’ont inspirée. Pour moi, avoir pu participer aux Jeux Olympiques de Rio 2016 avec ma meilleure amie était un rêve absolu.”\\n\\nLe parcours au sein de Canada Basketball a commencé il y a une dizaine d’années pour Michelle, lors des Championnats du Monde U19 de 2009 en Thaïlande. Katherine a fait ses débuts internationaux l’année suivante lors des Championnats des Amériques U18, qui fut l’un des nombreux événements auxquelles les deux sœurs ont participé ensemble pour porter les couleurs de leur pays, comme notamment les Championnats du Monde U19 de 2011 et les Championnats du Monde de 2014.\\n\\n“Michelle et Katherine sont deux joueuses impressionnantes que j’ai eu le privilège d’entraîner », a déclaréLisa Thomaidis, coach de l’Equipe Nationale Senior féminine. “Des sœurs jumelles jouant ensemble au plus haut niveau de leur sport est quelque chose de vraiment extraordinaire. L’ensemble de leurs compétences, capacités physiques, endurance et surtout leur caractère ont été la recette de leur réussite dans tous les aspects de leur vie.“\\n\\nMichelle a exprimé tout ce que sa carrière internationale lui a apporté:\\n\\n“Le basketball m’a donné, et me donne toujours, tellement d’opportunités d’apprendre et de progresser. J’ai eu l’occasion de voyager dans le monde et de rencontrer des gens de différents parcours. Cela m’a permis de voir le monde d’une manière différente, grâce à l’expérience humaine et l’interaction. Voyager et vivre à l’étranger et jouer avec différentes coéquipières m’a donné des expériences de vie qui ont beaucoup de valeur et je compte bien m’en servir. »\\n\\nMichelle continuera la saison prochaine de porter le maillot de Lyon alors que Katherine a choisi de signer à Basket Landes.\\n\\nPhoto: LNB/LFB" }, {"role": "user", "content":"Une fiction sur le basket: «Markovic par Jean-Christophe, dans les coulisses du sport business»" }, {"role": "assistant", "content":"Le livre « Markovic par Jean-Christophe, dans les coulisses du sport business » de l’acteur, réalisateur et scénariste Florian Hessique, qui fait suite à son film « La légende » est sorti en librairie aux Editions de l’Harmattan. Son originalité: il tourne autour du basket !\\n\\nEn fait, acteur, réalisateur et scénariste, Florian Hessique est un amoureux de la balle orange, univers dans lequel il a gravité plusieurs années par le passé. C’est en 2018 qu’il a signé le long métrage La Légende (MC4 Distribution), sélectionné lors du festival de Cannes comme film d’ouverture de la compétition dans la section « Cannes écrans juniors ».\\n\\nRésumé: Au travers de cette fiction, nous pénétrons dans la vie de Jean-Christophe Markovic et explorons les abysses du quotidien d’un basketteur professionnel français devenu presque malgré lui l’un des meilleurs de sa génération. Dopage, manipulations, guerres d’égo, transferts, intermédiaires sulfureux... Les coulisses du sport de haut niveau fascinent tant elles regorgent de pratiques nauséabondes.Du corps médical aux médias, en passant par certaines instances dirigeantes, l’inarrêtable machine à faire et à défaire les athlètes n’aura plus aucun secret pour vous.\\n\\nExtrait: « L’être humain est complexe. Quelques semaines auparavant je n’imaginais pas faire une carrière dans ce sport. J’étais simplement content de pouvoir goûter l’espace de quelques instants au haut niveau qui ne m’avait pourtant jamais fait rêver. Et voilà que tout d’un coup, je n’ai plus qu’une obsession: devenir le meilleur! Cette idée m’obnubile. Elle ne me sort plus de la tête. Moi qui n’ait jamais travaillé plus qu’il ne faut, me voici à penser basket, à manger basket, respirer basket et même dormir basket. Ce sport est devenu bien plus qu’un métier : une philosophie de vie ».\\n\\n19 euros. 196 pages. Groupe L’Harmattan." }, {"role": "user", "content":"Féminines – Lucas Mondelo (Coach Espagne): On ne se lasse pas de gagner, mais cela devient chaque année plus difficile»" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de l’EuroBasket qui se tiendra en Lettonie et en Serbie entre le 27 juin et le 7 juillet, l’Espagne cherchera à conquérir sa septième médaille consécutive, toutes obtenues depuis l’arrivée de l’entraîneur Lucas Mondelo: or au Championnat d’Europe 2013, argent à la Coupe du monde 2014 , bronze au Championnat d’Europe de 2015, argent aux Jeux Olympiques de 2016, or au Championnat d’Europe de 2017 et bronze à la Coupe du monde l’an dernier à Tenerife.\\n\\n« Notre objectif est d’aller aux Jeux Olympiques, mais nous savons que l’Euro sera plus difficile que la qualification olympique. Comme le dit le slogan «Nous voulons plus», nous voulons une médaille, ce qui sera le meilleur moyen d’atteindre les Jeux. Et à partir de là, le ciel est la limite (...) On ne se lasse pas de gagner, mais cela devient chaque année plus difficile, car tous les rivaux grandissent », analyse Mondelo avant d’expliquer les difficultés supplémentaires à cet Euro: « Nous défendons le titre obtenu il y a deux ans sans le meilleur centre de ce championnat d’Europe (Sancho Lyttle) et sans la MVP de l’époque (Alba Torrens). Nous avons ajouté et soustrait des joueuses, mais je ne veux pas parler d’Alba, elle est si différente qu’il est impossible de la remplacer. Nous avons déjà déploré son absence, nous l’avons digéré et maintenant nous devons tous faire un pas en avant. «\\n\\nLaia Palau, la capitaine incombustible, qui aura 40 ans en septembre, sera donc la partie et ne parle toujours pas de retraite :\\n\\n« Si je vais bien et qu’ils m’appellent, je viendrai. Pendant l’année, Mondelo m’envoie des messages et à la fin, je suis toujours là. «\\n\\nL’équipe espagnole va disputer neuf matches amicaux pour préparer le Championnat d’Europe, à Burgos (les 1er et 2 juin), Saragosse (les 8 et 9 juin), Wevelgem (Belgique, les 14, 15 et 16 juin) et Fuenlabrada (les 21 et 23 juin).\\n\\nLas 17 joueuses: Andrea Vilaró, Georgina Bahi, Nogaye Lo, María Araújo, María Conde, María Pina, Tamara Abalde, Queralt Casas, Astou Ndour, Cristina Ouviña, Leo Rodríguez, Laura Gil, Marta Xargay, Anna Cruz, Silvia Domínguez, Laura Nicholls et Laia Palau." }, {"role": "user", "content":"La Chorale de Roanne fait son retour en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"C’est fait: la Chorale de Roanne retourne en Jeep Elite. Il fallait pour cela que les joueurs de Laurent Pluvy sortent victorieux de leur déplacement à Caen et ils ont littéralement exécuté leurs hôtes: 51-95.\\n\\nAprès un premier quart-temps équilibré (13-13), les Roannais ont creusé un écart décisif dans le deuxième, 28-12. Matt Carlino a été le top-scoreur du match (19 points) mais en fait six Choraliens ont obtenu au moins 10 d’évaluation contre seulement deux au CBC.\\n\\nLa Chorale avait été reléguée en Pro B en 2014 après 12 ans dans l’élite et un titre de champion de France en 2007." }, {"role": "user", "content":"Championnat Espoirs: Karlton Dimanche (Cholet) MVP, Jean-Luc Tissot (Bourg) Meilleur Entraîneur" }, {"role": "assistant", "content":"Un trophée de MVP Espoir de la saison 2018-19 est venu récompenser ce soir à Dijon le Choletais Karlton Dimanche. Le Cinq All-Star a été complété par Théo Rey (Bourg), Mbaye Ndiaye (Bourg), Warren Woghiren (Cholet) et Matthias Flosse (Gravelines).\\n\\nPour sa part, le Burgien Jean-Luc Tissot a reçu le trophée de coach de la saison, ce qui permet au club de réaliser un joli tir groupé.\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine: Les finalistes du championnat de France et Bria Hartley dispensées du premier stage" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine est rassemblée à partir d’aujourd’hui à Anglet afin de préparer l’EuroBasket qui se tiendra du 27 juin au 7 juillet en Lettonie et en Serbie.\\n\\nHuit joueuses ne sont pas présentes pour ce premier stage. Il s’agit des sept finalistes du championnat de France, les Lyonnaises Marième Badiane et Ingrid Tanqueray et les Lattoises Ornella Bankole, Romane Bernies, Helena Ciak, Endy Miyem, Diandra Tchatchouang), qui bénéficient d’un peu de repos et seront sur le pont lundi prochain.\\n\\nQuant à Bria Hartley, elle est retenue par sa franchise WNBA du New York Liberty et rejoindra les Bleus pour le début du stage à Rennes prévu en juin.\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaiss.\\nTaille\\nPoste\\nSél\\nPts\\nClub\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1,85\\n3\\n86\\n467\\nPrague\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1,9\\n4/5\\n18\\n26\\nASVEL\\n\\n\\nOrnella\\nBANKOLE\\n17/09/1997\\n1,81\\n3\\n–\\n–\\nBLMA\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1,7\\n1\\n23\\n58\\nBLMA\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1,91\\n4\\n33\\n228\\nBourges\\n\\n\\nSara\\nCHEVAUGEON\\n12/02/1993\\n1,75\\n2\\n2\\n9\\nCharleville\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1,97\\n5\\n89\\n511\\nBLMA\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1,65\\n1\\n72\\n349\\nBesiktas\\n\\n\\nMarine\\nFAUTHOUX\\n23/01/2001\\n1,73\\n1\\n–\\n–\\nTarbes\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1,97\\n4/5\\n183\\n2369\\nSchio\\n\\n\\nBria\\nHARTLEY\\n30/09/1992\\n1,76\\n1/2\\n2\\n25\\nFenerbahçe\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1,77\\n2\\n59\\n498\\nBourges\\n\\n\\nMagali\\nMENDY\\n06/02/1990\\n1,75\\n2\\n–\\n–\\nVilleneuve\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1,92\\n4/5\\n1\\n2\\nB.Landes\\n\\n\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1,88\\n4\\n194\\n1719\\nBLMA\\n\\n\\nIliana\\nRUPERT\\n12/07/2001\\n1,94\\n5\\n–\\n–\\nBourges\\n\\n\\nIngrid\\nTANQUERAY\\n25/08/1988\\n1,66\\n1\\n20\\n48\\nASVEL\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1,86\\n3\\n83\\n488\\nBLMA\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Valérie Garnier\\nAssistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane\\n\\nJoueuses blesssées/non-retenues :\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél\\nPts\\nClub 2018/2019\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1,8\\n2\\n77\\n349\\nBourges\\n\\n\\n\\n\\nProgramme de l’Équipe de France féminine – Préparation Euro 2019\\n\\nSamedi 25 au vendredi 31 mai : Stage Anglet\\n\\nDimanche 9 juin à Mont de Marsan à 20h30 : France – Ukraine\\nLundi 10 juin à Mont de Marsan à 20h45 : France – Ukraine\\n\\nVendredi 14 juin à Rennes à 20h30 : France – Turquie\\nSamedi 15 juin à Rennes à 20h30 : France – Russie\\nDimanche 16 juin à Rennes à 18h30 : France – Serbie\\n\\nDimanche 23 juin à Rouen à 18h30 : France – Chine\\n\\nJeudi 27 juin au dimanche 7 juillet : Euro Riga (Lettonie) et Belgrade (Serbie)\\n\\nPremier tour (Riga -Lettonie)\\nJeudi 27 juin à 14h30 : France-République Tchèque\\nVedredi 28 juin à 14h30 : Monténégro-France\\nDimanche 30 juin à 20h00 : Suède-France\\nLundi 1er juillet : barrage quarts de finale\\n\\nPhase finale (Belgrade – Serbie)\\nJeudi 4 juillet : quart de finale\\nSamedi 6 juillet : demi-finale\\nDimanche 7 juillet : finale\\n\\nPhoto: Bria Hartley (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le sacre de Lyon ASVEL Féminin" }, {"role": "assistant", "content":"Lyon ASVEL Féminin a remporté hier soir le titre de champion de France et la LFB propose cette vidéo du sacre. Images et montage : Julien Bacot" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: Euroleague, la crème de la crème ?" }, {"role": "assistant", "content":"Les plus fortes équipes d’Europe font-elles jouer les meilleurs joueurs de 21 ans et moins dans la compétition la plus huppée ? Pas facile de répondre. Une chose est sûre, un nouveau phénomène a remplacé Luka Doncic !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa saison dernière, un jeune Slovène de 19 ans planait sur l’Euroleague, décrochant le titre de MVP et étant sacré dans la compétition avec le Real Madrid après avoir remporté l’Euro 2017 en compagnie de ses acolytes de sélection : Luka Doncic, parti depuis faire les beaux jours des Dallas Mavericks en NBA, pour qui il devrait, sauf scandale, être élu « rookie of the year ». Un extra-terrestre comme l’on n’en voit pas tous les jours, un phénomène pas prêt de se reproduire. Du moins c’est ce que l’on pouvait penser à l’entame de la saison.\\n\\nEt puis... Et puis, en décembre dernier, après avoir tout écrasé l’espace de onze matchs en ligue Adriatique (27,9 minutes, 20,2 points, 24,6 d’évaluation) avec son club, le Mega Bemax, Goga Bitadze (Géorgie, 1999) est prêté au Buducnost Podgorica, club monténégrin participant à la même ligue Adriatique mais également à l’Euroleague. Une marche trop haute pour le jeune pivot de 2,12 m ? Pas vraiment. En treize rencontres, dans une équipe certes en difficulté dans la ligue (avant-dernière avec 6 victoires et 24 défaites), le jeune géant géorgien s’est fendu de 12,1 pts, 6,4 rebonds, 2,3 contres, 16,3 d’évaluation. Ce qui, s’il avait joué plus de matchs, l’aurait classé premier aux contres, quatrième aux rebonds et huitième à l’évaluation. À défaut, les coachs d’Euroleague l’ont logiquement nommé « Rising Star » (meilleur jeune) de la compétition. Un espoir de haut vol, donc, peut-être pas tout à fait aussi précoce que Doncic, mais déjà très impressionnant. Cela dit, les fans d’Euroleague ont probablement fini d’en profiter, Bitadze ayant inscrit son nom à la draft NBA, où il est attendu dans les « mock drafts » (les prévisions de drafts) aux alentours de la 20e place (seulement, pourrait-on dire...).\\n\\nEn deux saisons, l’Euroleague a donc vu passer deux jeunes joueurs d’un niveau incroyable pour leur âge – et même quelle que soit leur date de naissance. Est-ce à dire que cette compétition, qui rassemble le fin du fin du basket européen, propose aussi ce qu’il se fait de mieux en matière de jeunes joueurs de 21 ans et moins ?\\n\\nLa réponse à cette question n’est pas simple. Tout d’abord parce que certains des U21 qui ont évolué au moins une fois sur un parquet d’Euroleague n’ont jamais mis les pieds sur le terrain lors d’une rencontre de leur championnat « local » (en prenant en compte les ligues Adriatique et VTB) ! C’est ainsi le cas de Tarik Biberovic (Fener, 2001), d’Alexander Khomenko (CSKA Moscou, 1999), d’Aleksej Pokusevski (Olympiakos, 2001), de Fedor Zugic (Buducnost Podgorica, 2003 !), de Khalifa Diop et Jovan Kljajic (Gran Canaria, respectivement 2002 et 2001). De très jeunes joueurs (Zugic a 15 ans !) donc, à l’exception de Khomenko. A contrario, un joueur comme Onuralp Bitim (Anadolu Efes, 1999), qui figure dans le cinq majeur de notre étude sur la Turquie, n’a pas eu droit à une seule seconde en Euroleague.\\n\\nEnsuite, il est intéressant de constater que quatre des membres du cinq majeur des U21 de l’Euroleague font également partie du cinq majeur de leur compétition locale : Santi Yusta (Real Madrid) en Espagne, Georgios Papagiannis (Panathinaikos) en Grèce, Yovel Zoosman (Maccabi Tel-Aviv) en Israël et Goga Bitadze en ligue Adriatique. Ce qui va plutôt dans le sens d’une concentration en Euroleague des meilleurs U21.\\n\\nMais une analyse plus globale montre que la situation n’est pas si claire. En effet, si 26 joueurs U21 sont entrés au moins une fois en jeu, seuls 10 d’entre-eux ont eu un peu de temps de jeu. Et encore avons-nous dû assouplir nos critères : nous avons retenu les joueurs ayant foulé le parquet au moins 5 minutes en moyenne sur seulement 5 matchs des 30 disputés au moment de la compilation de ces statistiques. Si nous avions pratiqué le schéma utilisé pour les autres championnats (1/3 des matchs disputés), seuls cinq joueurs auraient été retenus. Autant dire que les U21 jouent peu, en Euroleague. Et pour un rendement passable : en 10,6 minutes, ces dix joueurs cumulent 4,20 pts et 4,23 d’évaluation. Ce qui semble très correct. Mais, une fois ôtées les performances de Bitadze, qui est un peu l’arbre qui cache la forêt, les chiffres plongent : 9,2 minutes, 3,32 pts et 2,89 d’éval. Et ils ne sont que trois (toujours hormis Bitadze) à jouer plus de 10 mn/match : Papagiannis, Zoosman et Aleksander Balcerowski (Gran Canaria, 2000) mais sur seulement 6 matchs pour ce dernier (12,2 mn, 3,0 pts, 3,0 d’éval). N’atteint pas le sommet de l’Europe qui veut...\\n\\nÀ défaut, l’Euroleague se montre très cosmopolite en matière d’U21. Ainsi, les 26 jeunes entrés en jeu représentent pas moins de 13 pays : Turquie (4 joueurs), Russie (3), Espagne (2), Grèce (2), Lituanie (5), Monténégro (2), Israël (2 dont un israélo-serbe), Suède, Bosnie, Serbie, Pologne, Sénégal et Géorgie.\\n\\nPar ailleurs, 12 des 26 joueurs ayant fait au moins une apparition sont nés en 2000 ou après, dont cinq disposant d’un temps de jeu un tant soit peu conséquent : Tarik Biberovic (Fener, voir plus loin), Rokas Jokubaitis (Zalgiris Kaunas, 2000, 6,3 mn, 2,9 pts, 2,3 d’éval), Deni Avdija (Maccabi Tel-Aviv, 2001, 6,2 mn, 3,9 pts, 3,0 d’éval), Aleksander Balcerowski (Gran Canaria) et Mert Akay (Darussafaka, 2000, 11,0 mn, 3,0 pts, 1,3 d’éval).\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nDerrière Bitadze, les coachs d’Euroleague ont nominé Yovel Zoosman et Georgios Papagiannis dans leur vote pour les meilleurs jeunes de la compétition. Ils figurent logiquement aussi dans notre cinq majeur, en compagnie de deux joueurs qui ne sont apparus qu’à cinq reprises sur le parquet mais y ont offert des prestations correctes, Santi Yusta et Tarik Biberovic.\\n\\nEnsemble, ces cinq U21 totalisent en moyenne 12,8 mn/match pour 5,30 pts et 6,16 d’éval. Des chiffres apparemment très corrects pour une compétition aussi relevée. Mais qui doivent être nuancés : une fois retirés les 24,1 mn, 12,1 pts et 16,3 d’éval de Bitadze, on tombe à 9,9 mn, 3,6 pts et 3,6 d’éval pour les quatre autres, ce qui n’a plus tout à fait la même allure. Encore une fois, le pivot géorgien est l’arbre qui cache la forêt...\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAn.\\nM\\nMin\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nSanti Yusta\\n3\\nReal M.\\nEspagne\\n1997\\n5\\n8,3\\n4\\n2,4\\n\\n\\nTarik Biberovic\\n4\\nFener\\nTurquie\\n2001\\n5\\n5,5\\n3,2\\n2,8\\n\\n\\nGeorgios Papagiannis\\n5\\nPana\\nGrèce\\n1997\\n23\\n11,4\\n4,2\\n5,6\\n\\n\\nYovel Zoosman\\n3\\nMaccabi\\nIsrael\\n1998\\n30\\n14,5\\n3\\n3,7\\n\\n\\nGoga Bitadze\\n5\\nBuducnost\\nGéorgie\\n1999\\n13\\n24,1\\n12,1\\n16,3\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nPas facile de s’imposer en Euroleague lorsque l’on est un jeune joueur. Certes, quelques surdoués, Luka Doncic hier, Goga Bitadze aujourd’hui, arrivent à y prendre une place importante. Mais même des prospects NBA comme Georgios Papagiannis ou Yovel Zoosman ou de très bons joueurs de Liga ACB comme Santi Yusta peinent à voir le jour alors même qu’ils sont âgés de 20 ou 21 ans. Dans une compétition d’un tel niveau, les coachs font logiquement confiance à leurs joueurs confirmés, ne tentant que rarement des « expériences » avec leurs jeunes joueurs.\\n\\nPour ceux qui ont quand même la chance de pouvoir entrer sur le parquet, ce sera parfois l’occasion de montrer sa valeur et de se servir de l’Euroleague comme tremplin vers la NBA, pour d’autres un souvenir à conserver toute la vie.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa saison dernière, un jeune Slovène de 19 ans planait sur l’Euroleague, décrochant le titre de MVP et étant sacré dans la compétition avec le Real Madrid après avoir remporté l’Euro 2017 en compagnie de ses acolytes de sélection : Luka Doncic, parti depuis faire les beaux jours des Dallas Mavericks en NBA, pour qui il devrait, sauf scandale, être élu « rookie of the year ». Un extra-terrestre comme l’on n’en voit pas tous les jours, un phénomène pas prêt de se reproduire. Du moins c’est ce que l’on pouvait penser à l’entame de la saison.\\n\\nEt puis... Et puis, en décembre dernier, après avoir tout écrasé l’espace de onze matchs en ligue Adriatique (27,9 minutes, 20,2 points, 24,6 d’évaluation) avec son club, le Mega Bemax, Goga Bitadze (Géorgie, 1999) est prêté au Buducnost Podgorica, club monténégrin participant à la même ligue Adriatique mais également à l’Euroleague. Une marche trop haute pour le jeune pivot de 2,12 m ? Pas vraiment. En treize rencontres, dans une équipe certes en difficulté dans la ligue (avant-dernière avec 6 victoires et 24 défaites), le jeune géant géorgien s’est fendu de 12,1 pts, 6,4 rebonds, 2,3 contres, 16,3 d’évaluation. Ce qui, s’il avait joué plus de matchs, l’aurait classé premier aux contres, quatrième aux rebonds et huitième à l’évaluation. À défaut, les coachs d’Euroleague l’ont logiquement nommé « Rising Star » (meilleur jeune) de la compétition.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Thomas Heurtel et Vincent Poirier dans le deuxième 5 all-stars de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Nico Laprovittola (Joventut Badalone), Facu Campazzo (Real Madrid), Stan Okoye (Tecnyconta Saragosse), Bojan Dubljevic (Valencia Basket) et Walter Tavares (Real Madrid ) ont été choisis par les fans, les médias, les joueurs et les entraîneurs pour composer l’All-ACB First Team pour la saison 2018-19. .\\n\\nDeux Français figurent dans le deuxième Cinq: Thomas Heurtel (FC Barcelone, 11,5 points et 5,6 rebonds) et Vincent Poirier (Baskonia Vitoria, 9,2 points et 6,3 rebonds), qui sont aux côtés de Jaime Fernandez (Estudiantes Madrid), Javier Beiran (CB Canarias) et Tornique Shengelia (Baskonia Vitoria)." }, {"role": "user", "content":"La superstar serbe de NBA Nikola Jokic veut disputer la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"La superstar serbe des Denver Nuggets Nikola Jokic (2,13m, 24 ans) vient de déclarer à l’agence d’information serbe Tanjung qu’il jouerait avec son équipe nationale à la Coupe du Monde FIBA cet été.\\n\\n« Je suis très heureux de tout ce que j’ai fait cette saison en NBA. J’ai bouclé une grand saison, j’ai été sélectionné pour le All-Star Game, je fais partie de la All-NBA First Team. Pour moi, la cerise sur le gâteau pour la saison serait une médaille avec l’équipe nationale. Et je pense que la Serbie peut en gagner une cet été en Chine à la Coupe du Monde. Je suis complètement préparé à donner le meilleur de moi-même pour qu’on puisse atteindre cet objectif, a-t-il déclaré. »\\n\\nNikola Jokic a quasiment tourné cette saison en triple double avec 20,1 points, 10,8 rebonds et 7,3 passes.\\n\\nLa Serbie sera de fait un outsider dans la course à la médaille d’or derrière le favori américain." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le match décisif de Roanne à Caen sur écran géant" }, {"role": "assistant", "content":"L’équation est simple: la Chorale de Roanne possède une victoire d’avance sur Rouen et Orléans et il ne reste plus qu’un match à jouer pour chacun. Donc si les Choraliens s’imposent ce soir à Caen, ils accèderont à la Jeep Elite cinq ans après l’avoir quitté.\\n\\nC’est l’effervescence à Roanne, au point que Roannais Agglomération et l’association Chorale Roanne Basket organisent la retransmission sur écran géant du match à la Halle André-Vacheresse. Mais si l’entrée sera gratuite, le nombre de places sera limité à 1 500 spectateurs pour des raisons de sécurité.\\n\\nLes Roannais sont forcément favoris mais, attention, même très diminué le CBC veut aussi cette victoire synonyme de 17e place et d’un éventuel repêchage.\\n\\n« C’est forcément le match le plus important car la montée est derrière si on l’emporte. On a fait un bout de chemin ensemble avec ce projet », commente le coach Laurent Pluvy dans Le Progrès. « Le vécu, on l’a. On s’est entraîné avec une grande qualité cette semaine. Les joueurs, n’ont pas traîné après le derby aux VIP... Ils sont très responsables, très lucides... Ils sont dedans, veulent finir le travail. »\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne" }, {"role": "user", "content":"LFB: C’est officiel, Endy Miyem rejoint Charleville" }, {"role": "assistant", "content":"C’était un secret de Polichinelle, c’est désormais officiel, la capitaine de l’Equipe de France, Endy Miyem (1,83m, 31 ans), portera le maillot des Flammes de Charleville-Mézières la saison prochaine.\\n\\nC’est une recrue de premier choix pour le club des Ardennes tant la Rémoise est une intérieure expérimentée qui a encore prouvé toute sa valeur en finale des playoffs face à Lyon. Elle a tourné à 12,1 points (34/78 à trois-points) et 4,3 rebonds en saison régulière avec le BLMA.\\n\\nAvant de stationner une saison à Montpellier, l’internationale avait longtemps séjourné à Bourges puis était passée par Koursk et Schio avec une expérience en WNBA à l’été 2018. Avec 175 sélections son palmarès épouse celui de l’équipe de France depuis dix ans avec notamment un titre de champion d’Europe en 2009 et une médaille d’argent olympique en 2012.\\n\\n« C’est une joueuse qui maîtrise parfaitement son poste de jeu. Nous allons tout mettre en œuvre pour qu’elle puisse retrouver un rôle majeur à la hauteur de son profil », a commenté le coach Romuald Yernaux.\\n\\nAutre bonne nouvelle pour les Flammes, l’arrivée de l’intérieure Fatimatou Sacko (1,83m, 34 ans), qui vient d’être sacrée championne de France avec l’ASVEL, et qui a tourné à 6,6 points et 3,3 rebonds en LFB." }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: La billetterie pour le tournoi de Lyon-Villeurbanne est ouverte" }, {"role": "assistant", "content":"la FFBB annonce que la billetterie est ouverte pour le tournoi de Lyon-Villeurbanne à l’Astroballe au cours duquel l’Equipe de France jouera, du 15 au 17 août, l’Argentine, le Brésil et le Monténégro.\\n\\nToutes les offres sont disponibles ICI.\\n\\nLe programme de préparation à la Coupe du Monde\\n\\n\\n\\n\\nDate\\nMatch\\nLieu\\n\\n\\nMardi 30 juillet au dimanche 4 août\\nStage\\nPau\\n\\n\\nLundi 5 août 2019 à 20h30\\nFrance –Turquie\\nPau – Palais des Sports\\n\\n\\nMercredi 7 août 2019 à 20h30\\nFrance – Tunisie\\nToulouse – Palais des Sports\\n\\n\\nDimanche 11 au mercredi 14 août\\nStage\\nVilleurbanne – Astroballe\\n\\n\\nJeudi 15 août 2019 à 20h30\\nFrance – Monténégro\\nVilleurbanne – Astroballe\\n\\n\\nVendredi 16 août 2019 à 20h30\\nFrance – Brésil\\nVilleurbanne – Astroballe\\n\\n\\nSamedi 17 août 2019 à 20h30\\nFrance – Argentine\\nVilleurbanne – Astroballe\\n\\n\\nMardi 20 août 2019\\nDépart de l’Équipe de France pour la Chine\\n\\n\\nSamedi 24 août 2019\\nFrance – Nouvelle Zélande\\nShenyang (Chine) – Liaoning Gymnasium\\n\\n\\nDimanche 25 août 2019\\nFrance – Italie\\nShenyang (Chine) – Liaoning Gymnasium\\n\\n\\nLundi 27 août 2019\\nFrance – Serbie\\nShenyang (Chine) – Liaoning Gymnasium\\n\\n\\n31 août au 15 septembre 2019\\nCoupe du Monde 2019\\nChine\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL: La couverture complète des quarts-de-finale de playoffs de Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"L’ensemble des matches de playoffs de Jeep Elite est diffusé sur RMC Sport.\\n\\nVendredi 24 mai:\\n\\n19h30 – Monaco/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – Nanterre/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 25 mai:\\n\\n20h00 – Villeurbanne/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h30 – Dijon/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport Live 6\\n\\nDimanche 26 mai:\\n\\n18h30 – Limoges/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Pau/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 27 mai:\\n\\n20h00 – Strasbourg/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Le Mans/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\nMardi 28 mai\\n\\n20h00 – Monaco/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport Live 5, si nécessaire\\n\\n20h45 – Nanterre/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2, si nécessaire\\n\\nMercredi 29 mai\\n\\n20h00 – Dijon/Strasbourg – RMC Sport Live 5, si nécessaire\\n\\n20h00 – Villeurbanne/Le Mans – RMC Sport Live 6, si nécessaire\\n\\nLes rencontres des Quarts de Finale sauf Nanterre-Pau sont disponibles :\\n\\n * sur RMC Sport Live (canaux 316 à 327)\\n * sur l’Application RMC Sport pour iPhone et Android\\n * sur l’Appli RMC Sport pour les Smart TV\\n * ou sur l’Application SFR TV (onglet Sport) pour iPhone et Android\\n\\nPhoto: Jeremy Senglin (Nanterre, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Les records de tous les temps du MSB au rebond" }, {"role": "assistant", "content":"Suite à notre article annonçant que Wilfried Yeguete avait battu face à Chalon son record personnel de rebonds avec 20 prises, le site Mr Stats nous a fait remarquer qu’il a égalé par la même occasion le record du club détenu par Rashon Turner depuis 2003.\\n\\nVous pouvez en profiter pour prendre connaissance des autres records par catégorie statistiques. Attention: il s’agit uniquement des performances établies depuis la saison 1993-94, qui correspond à la création du MSB et il ne comprend donc pas celles réalisées du temps du SC Moderne.\\n\\n\\n\\n\\nJOUEURS\\nREBONDS\\nDATE\\nMATCH\\n\\n\\n1\\nRAHSHON TURNER\\n20\\n13/12/2003\\nJDA DIJON- MSB\\n\\n\\n–\\nWILFRIED YEGUETE\\n20\\n18/05/2019\\nMSB – CHALON/SAONE\\n\\n\\n2\\nBRUNO COQUERAN\\n19\\n18/11/1998\\nMSB – MACCABI RISHON (Coupe Europe Korac)\\n\\n\\n3\\nPAUL FORTIER\\n18\\n21/10/1995\\nMSB – PITCH CHOLET\\n\\n\\n4\\nPAUL FORTIER\\n17\\n13/10/1995\\nMSB – BESANCON BC\\n\\n\\n–\\nDWAYNE SCHOLTEN\\n17\\n14/09/1996\\nMSB – STRASBOURG IG\\n\\n\\n–\\nDWAYNE SCHOLTEN\\n17\\n05/04/1997\\nMSB – OLYMPIQUE ANTIBES\\n\\n\\n–\\nRAHSHON TURNER\\n17\\n05/03/2005\\nMSB – BCM GRAVELINES\\n\\n\\n–\\nSAM CLANCY\\n17\\n06/10/2007\\nMSB – HYERES TOULON VB\\n\\n\\n–\\nALAIN KOFFI\\n17\\n11/10/2008\\nMSB – CHALON SUR SAONE\\n\\n\\n–\\nMOUPHTAOU YAROU\\n17\\n06/02/2016\\nMSB – ANTIBES SHARKS\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: A l’occasion du J-100, lancement du Trophy Tour qui fera escale à Paris" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA et le Comité local d’organisation (LOC) de la Coupe du Monde FIBA 2019 ont marqué jeudi à Pékin l’entrée dans les 100 derniers jours jusqu’au coup d’envoi de la Coupe du Monde FIBA 2019 en lançant le ‘Trophy Tour’, présenté par Aeroflot.\\n\\nLe ‘Trophy Tour’ voit le ‘FIBA Basketball World Cup Naismith Trophy’ – nommé ainsi en l’honneur du Dr James Naismith, inventeur du basketball – s’embarquer pour son premier voyage à travers le monde, avec des arrêts prévus sur tous les continents dans un total de 24 pays. Il fera notamment escale à Paris les 13 et 14 juin.\\n\\nLe trophée le plus important du basket mondial sera exposé dans des endroits emblématiques et apparaîtra à la télévision. Les fans auront l’occasion de se faire prendre en photo avec cette récompense que la meilleure équipe du monde et les plus grands joueurs peuvent soulever en cas de victoire finale dans la compétition mondiale.\\n\\nLa cérémonie a rassemblé des hauts responsables de la FIBA, du LOC, ainsi que des représentants de la ville. Yao Ming, l’un des trois ambassadeurs mondiaux de la Coupe du Monde FIBA 2019 et directeur de la CBA, était également présent pour le lancement de ce Trophy Tour.\\n\\nCette initiative cherche à faire connaître davantage la prochaine édition de l’événement majeur de la FIBA, qui réunira pour la première fois 32 équipes nationales. Celles-ci seront à la lutte dans huit villes, du 31 août au 15 septembre.\\n\\nElle s’inscrit dans la volonté à long terme de la FIBA de faire de sa Coupe du Monde l’un des cinq événements sportifs les plus connus au monde. Elle a l’ambition que ce tournoi soit l’événement le plus commenté, vu et partagé de l’année sportive 2019.\\n\\nLe Trophy Tour servira aussi à susciter un intérêt grandissant autour du basket à l’échelle mondiale et à intensifier l’excitation – des fans et des médias – à l’approche du début de la compétition en Chine, tout en offrant à son partenaire Aeroflot une visibilité accrue.\\n\\nCliquez ici pour consulter le programme complet du Trophy Tour.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Lyon ASVEL Féminin champion de France pour la première fois de son histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Au bord de la Ligue 2 il y a deux ans, Lyon ASVEL Féminin est parvenu ce soir à être couronné champion de France grâce à une victoire 75-61 dans le Match 5 de la finale des playoffs contre Lattes-Montpellier. Les Lionnes sont ainsi assurées d’une qualification directe pour l’Euroleague alors que le BLMA se contentera du tour de qualification. Le plan du président Tony Parker se concrétise encore plus vite que prévu. C’est aussi un succès personnel pour le coach Valéry Demory, l’ancien coach du BLMA, qui a incontestablement posé sa patte sur ces cinq matches de la finale.\\n\\nOn pensait que Helena Ciak apporterait un plus décisif au BLMA mais c’est l’autre grande blessée, la Lyonnaise Clarissa Dos Santos, qui a fait étalage de son talent. Sur l’ensemble de la finale, Alysha Clark, grande absente du 5 All-Stars de la saison et qui a maintenant un titre à défendre en WNBA avec Seattle et Marième Badiane, en pleine confiance (13 points et 8 rebonds ce soir) ont été les deux plus fortes individualités, sans oublier la meneuse belge Julie Allemand rusée comme si elle avait dix ans de plus que son âge (22 ans) ni la Canadienne Michelle Plouffe (10 points, 7 rebonds et 6 passes pour ce match 5). Et plus encore c’est l’énergie collective des Lionnes qui leur a permis de dévorer les Gazelles.\\n\\nL’ASVEL démarrait en trombe avec un panier à huit mètres de Ingrid Tanqueray suivi d’un autre un peu plus tard. Le match était tout de suite placé sous haute tension avec des défenses énergiques. Thibaut Petit avait injecté Helena Ciak dans le jeu dès la quatrième minute et bien servie, son impact était immédiat. Le petit pécule des Lionnes (10-5) disparaissait aussi vite qu’il était venu (12-12).... pour réapparaître sous une forme plus volumineuse en fin de quart-temps (24-16) avec l’Américaine Alysha Clark en sniper et malgré trois lancers vendangés.\\n\\nA l’image des tirs précipités de Samantha Whitcomb et Taylor Wurtz, le BLMA avait du mal à poser son jeu oubliant trop souvent de servir à l’intérieur, à l’inverse des Lyonnaises qui jouaient vite et parfaitement le pick and roll. A son tour Valéry Demory faisait entrer son « arme secrète », Clarissa Dos Santos sur la touche lors des quatre premiers matches en raison d’une blessure à la cuisse gauche. Et la Brésilienne se montrait tout de suite efficace. Quant à Marième Badiane, elle était une fois de plus épatante (8 points et 6 rebonds en 11′). A cinq minutes de la fin du deuxième quart-temps, Montpellier était dans les cordes, 36-21. A 33% de réussite dont un 2/10 à trois-points, pas facile d’être compétitif. Le 51-22 à l’évaluation était cruel.\\n\\nAu prix d’une défense plus intense, le BLMA faisait toutefois un peu fondre son retard juste avant la mi-temps (de 41-24 à 44-32).\\n\\nLe retour de Clarissa Dos Santos représentait un bonus des deux côtés du terrain pour l’ASVEL tant sa puissance physique est impressionnante. Son shoot à 4-5 mètres est aussi mortel. Les aides défensives de Alysha Clark étaient un régal tout comme les fondamentaux gracieux de Marième Badiane et plus généralement la circulation de balle des Lionnes. L’écart oscillait entre 9 et 15 points. C’est au moment où le BLMA semblait à même de revenir au score que l’ASVEL, impeccable en défense, donnait un nouveau coup d’accélérateur, 59-43.\\n\\nLattes-Montpellier n’a jamais été en mesure de se refaire dans la dernière tranche de dix minutes. Au contraire. L’écart montait à 71-52. L’ASVEL a maîtrisé ce Match 5 de A à Z à l’image du contre de Paoline Salagnac sur Endy Miyem. Le jeu du BLMA (9/28 à trois-points) a été trop unidimensionnel.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nMatch 1 – Lundi 6 mai\\nLyon – Lattes Montpellier: 71-60\\n\\nMatch 2 – Mercredi 8 mai\\nLyon – Lattes Montpellier: 77-69\\n\\nMatch 3 – Mardi 14 mai\\nLattes Montpellier – Lyon: 72-61\\n\\nMatch 4 – Jeudi 16 mai\\nLattes Montpellier – Lyon: 91-85\\n\\nMatch 15- Jeudi 23 mai\\nLyon – Lattes Montpellier: 75-61\\n\\n\\nLe palmarès du championnat de France\\n\\nDepuis 1999 – LIGUE FÉMININE DE BASKET\\n\\n * 2019 LYON ASVEL FEMININ\\n * 2018 TANGO BOURGES BASKET\\n * 2017 ESB VILLENEUVE D’ASCQ-LM\\n * 2016 LATTES MONTPELLIER\\n * 2015 TANGO BOURGES BASKET\\n * 2014 LATTES MONTPELLIER\\n * 2013 BOURGES BASKET\\n * 2012 BOURGES BASKET\\n * 2011 BOURGES BASKET\\n * 2010 TARBES GESPE BIGORRE\\n * 2009 BOURGES BASKET\\n * 2008 BOURGES BASKET\\n * 2007 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2006 BOURGES BASKET\\n * 2005 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2004 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2003 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2002 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2001 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2000 C.J.M. BOURGES\\n * 1999 C.J.M. BOURGES\\n\\n1951-1998 – NATIONALE FÉMININE 1A\\n\\n * 1998 C.J.M. BOURGES\\n * 1997 C.J.M. BOURGES\\n * 1996 C.J.M. BOURGES\\n * 1995 C.J.M. BOURGES\\n * 1994 U.S. VALENCIENNES-ORCHIES\\n * 1993 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1992 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1991 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1990 B.A.C. MIRANDE\\n * 1989 B.A.C. MIRANDE\\n * 1988 B.A.C. MIRANDE\\n * 1987 STADE FRANCAIS-VERSAILLES\\n * 1986 STADE FRANCAIS-VERSAILLES\\n * 1985 STADE FRANCAIS\\n * 1984 STADE FRANCAIS\\n * 1983 STADE FRANCAIS\\n * 1982 ASNIERES SPORTS\\n * 1981 CLERMONT U.C.\\n * 1980 STADE FRANCAIS\\n * 1979 CLERMONT U.C.\\n * 1978 CLERMONT U.C.\\n * 1977 CLERMONT U.C.\\n * 1976 CLERMONT U.C.\\n * 1975 CLERMONT U.C.\\n * 1974 CLERMONT U.C.\\n * 1973 CLERMONT U.C.\\n * 1972 CLERMONT U.C.\\n * 1971 CLERMONT U.C.\\n * 1970 CLERMONT U.C.\\n * 1969 CLERMONT U.C.\\n * 1968 CLERMONT U.C.\\n * 1967 Gerbe MONTCEAU LES MINES\\n * 1966 Gerbe MONTCEAU LES MINES\\n * 1965 PARIS U.C.\\n * 1964 PARIS U.C.\\n * 1963 PARIS U.C.\\n * 1962 A.S. MONTFERRAND\\n * 1961 PARIS U.C.\\n * 1960 PARIS U.C.\\n * 1959 A.S. MONTFERRAND\\n * 1958 A.S. MONTFERRAND\\n * 1957 PARIS U.C.\\n * 1956 U.S. IVRY\\n * 1955 S.E. PAVILLON\\n * 1954 PARIS U.C.\\n * 1953 F.S. MONTPELLIER\\n * 1952 C.S. CHATEAU THIERRY\\n * 1951 C.S. CHATEAU THIERRY\\n\\n1937-1950 – EXCELLENCE\\n\\n * 1950 C.S. CHATEAU THIERRY\\n * 1949 GRENOBLE O.U.\\n * 1948 A.S. STRASBOURG\\n * 1947 U.S. METRO\\n * 1946 F.S. PARIS\\n * 1945 St MARSEILLE U.C.\\n * 1944 Linnets SAINT MAUR\\n * 1943 NICE SPORTS\\n * 1942 C.O. PERIGUEUX OUEST\\n * 1940-41\\n * 1939 NICE SPORTS\\n * 1938 Linnets SAINT MAUR\\n * 1937 C.A. MULHOUSE\\n\\n\\n\\n\\nQuelle ambiance à Mado Bonnet pour ce dernier match des Finales LFB ! Let’s go 🔥🔥 #ASVElles #FinalesLFB pic.twitter.com/VIBjJSNc94\\n\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) May 23, 2019\\n\\n\\n\\n\\nEt... QUI NE SAUTE PAS N'EST PAS LYONNAIS !!! #ASVElles #FinalesLFB pic.twitter.com/Xqe6xXvBml\\n\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) May 23, 2019\\n\\nPhoto: LFB" }, {"role": "user", "content":"LFB: Katie Lou Samuelson signe à Charleville" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière/ailière Katie Lou Samuelson (1,90m, 21 ans) va remplacer Kaleena Mosqeda-Lewis à Charleville-Mézières annonce le club.\\n\\nLa Californienne sort de l’usine à championnes qu’est Connecticut (Diana Taurasi, Sue Bird, Brenna Stewart et encore Bria Hartley) avec qui elle a été championne NCAA en 2016. Elle a la particularité avec sa grande taille de pouvoir jouer en 2 comme en 3. Elle s’est fendue de 18,5 points et 6,3 en senior cette saison.\\n\\nKatie Lou Samuelso a remporté par ailleurs cinq médailles d’or pour l’équipe américaine (Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2014, Championnat du monde U17 en 2013, championnat des Amériques U16 en 2013, championnat du Monde 3×3 en U18, et championnat des Amériques 3×3 U18 en 2013).\\n\\nCet été, elle va rejoindre la WNBA et l’équipe du coach franco-américain James Wade, le Chicago Sky." }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: 9 joueurs de NBA et Nathan Sobey (Strasbourg) parmi la pré-sélection australienne" }, {"role": "assistant", "content":"Basketball Australia a annoncé une pré-sélection de 17 joueurs pour la Coupe du Monde en Chine. Au programme également quatre matches de préparation contre le Canada à Perth les 16 et 17 août et les Etats-Unis,à Melbourne les 22 et 24 août.\\n\\nAprès une année record en NBA en termes de représentation australienne, neuf NBAers ont été pré-sélectionnés dans l’équipe ainsi que sept joueurs qui ont mené les Boomers à une quatrième place aux Jeux olympiques de 2016 à Rio.\\n\\n«Le peu de temps que nous avons à consacrer à la préparation signifie que nous avons dû limiter le nombre de joueurs participant au camp afin que nous puissions utiliser ce camp pour le développement de l’équipe, et pas uniquement pour la sélection, » commente le coach Andrej Lemanis.\\n\\nNick Kay, Mitch McCarron et Nathan Sobey ont représenté l’Australie dans 10 des 12 matches de qualification à la Coupe du monde, ce qui a permis aux Boomers d’être le pays le mieux classé en Asie.\\n\\n« La perspective de voir Ben Simmons et ses amis australiens affronter les géants de l’USA Basketball au Marvel Stadium a captivé les fans à travers le pays, » a déclaré le Ministre victorien du tourisme, des sports et des grands événements, Martin Pakula.\\n\\n\\n\\n\\nNoms\\nClubs\\n\\n\\nDeng Adel\\nCleveland Cavaliers (NBA)\\n\\n\\nAron Baynes\\nBoston Celtics (NBA)\\n\\n\\nTodd Blanchfield\\nIllawarra Hawks\\n\\n\\nAndrew Bogut\\nSydney Kings\\n\\nGolden State Warriors (NBA)\\n\\n\\nJonah Bolden\\nPhiladelphie 76ers (NBA)\\n\\n\\nMitch Creek\\nSouth East Melbourne Phoenix\\n\\n\\nMatthew Dellavedova\\nCleveland Cavaliers (NBA)\\n\\n\\nCameron Gliddon\\nBrisbane Bullets\\n\\n\\nChris Goulding\\nMelbourne United\\n\\n\\nJoe Ingles\\nUtah Jazz (NBA)\\n\\n\\nNicholas Kay\\nWildcats de Perth\\n\\n\\nJock Landale\\nPartizan Belgrade (Serbie)\\n\\n\\nMitch McCarron\\nMelbourne United\\n\\n\\nPatty Mills\\nSan Antonio Spurs (NBA)\\n\\n\\nBrock Motum\\nAnadolu Efes (Turquie)\\n\\n\\nBen Simmons\\nPhiladelphie 76ers (NBA)\\n\\n\\nNathan Sobey\\nBrisbane Bullets, SIG Strasbourg\\n\\n\\n\\n\\nCalendrier des matches de préparation\\n16 août: Boomers contre Canada\\nle 17 août: Boomers vs Canada\\nle 22 août: Boomers vs USA\\nle 24 août: Boomers vs USA\\n\\nCalendrier des baby-boomers australiens pour la Coupe du monde FIBA 2019 (à confirmer):\\n1er septembre: Boomers vs Canada\\n3 septembre: Boomers vs Sénégal\\n5 septembre: Boomers vs Lituanie\\n\\nPhoto: Ben Simmons (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : Playground 3, Le plus beau playground de France est à Voiron (Episode 4/5)" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir fait un tour de France dans « Playground Vol.1 » puis un tour de Mayotte dans « Playground Vol.2« , Julien Bonnet revient avec un nouvel opus.\\n\\nAlors que les deux premiers volets ont duré une cinquantaine de minutes, Playground Vol.3 part sur une nouvelle formule. Chaque lundi, un épisode d’une petite dizaine de minutes sera à retrouver sur Youtube, et ça pendant cinq semaines.\\n\\nAccompagné par Souleymane Diallo, Clément Leotard, Maxime Ouheirerre, Icheme Heddouche, Daniel et Amon Yobou derrière la caméra, Julien Bonnet se lance dans un tour des playgrounds du Sud Est de la France. Après avoir pris la température à Montpellier, puis lancé son road trip à Marseille, cette équipe s’est attaquée à Toulon avant de prendre la direction de Voiron où se trouve le plus beau terrain extérieur de France.\\n\\nRendez-vous lundi prochain pour l’épisode 5. Revoir l’épisode 3 ici." }, {"role": "user", "content":"Nando De Colo à propos d’un retour en Espagne: «Ce qui manque à Valence, c’est d’avoir l’Euroleague chaque année»" }, {"role": "assistant", "content":"Nando De Colo (1,96m, 32 ans en juillet) ne veut pas évoquer son avenir en club et il l’a fait savoir après avoir gagné une deuxième fois l’Euroleague avec le CSKA Moscou:\\n\\n«Jusqu’à la fin de la saison, je ne veux pas parler de mon avenir. J’ai souvent répété que j’aime Valence, mais je ne pense toujours pas à ce qui va se passer. Je préfère me concentrer pour bien finir la saison et nous verrons plus tard. «\\n\\nMais les journalistes espagnoles sont tenaces et Las Provincias a voulu en savoir davantage sur un possible retour au Valencia BC, un club qu’il a fréquenté de 2009 à 2012 avant de partir en NBA. Si Valencia Basket vous appelle, êtes-vous prêt à vous asseoir et à parler ?, a demandé le journaliste espagnol.\\n\\n«Oui bien sûr, Valence est très spéciale dans ma vie. Le fait que Valencia Basket joue l’Euroleague est un fait important mais le problème est qu’ils ont un an. C’est ce dont j’ai toujours dit aux dirigeants, ce qui manque à Valence, c’est d’avoir l’Euroleague chaque année. C’est une ville merveilleuse, avec un très bon club, un passe-temps qui remplit la Fonteta et ils le méritent. Le problème, c’est qu’une année sur deux est en Eurocup et que ce n’est pas facile ».\\n\\nFacteur très important: la femme de Nando Colo est originaire de Valence et c’est dans cette ville de 800 000 habitants qu’elle a accouché il y a quelques jours de sa deuxième fille.\\n\\n« La famille est très importante pour prendre des décisions quant à l’avenir », a lâché le Nordiste dans un sourire sibyllin." }, {"role": "user", "content":"Finales Coupe des Landes: 7 000 places vendues mais des risques de pluie" }, {"role": "assistant", "content":"Les finales de la Coupe des Landes vont opposer le Stade Montois (NF2) aux Espoirs de Basket Landes (NF2) chez les filles, et le Real Chalossais (NM3) à Dax-Gamarde (NM2) chez les garçons.\\n\\nL’évènement doit se tenir samedi dans les magnifiques Arènes de Dax et connait déjà un succès populaire avec plus de 7 000 billets vendus. Seulement, les prévisions météos sont couci-couça. Hier soir, les organisateurs (Comité des Landes de basket, Ville de Dax, office de tourisme...) ont décidé de ne pas changer leur fusil d’épaule.\\n\\n« Il faudra tout de même un petit coup de pouce venu du ciel, puisque ce mercredi soir, les prévisions de Météo France indiquaient pour samedi des éclaircies en fin de journée mais des averses en soirée, avec 50% de chances de précipitation », avertit Sud Ouest.\\n\\nUne bâche a été disposée sur l’aire de jeu qui a été installée sur la piste des arènes cette semaine afin de la protéger d’éventuelles intempéries jusqu’à samedi." }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: VTB League, le désert" }, {"role": "assistant", "content":"S’il est un championnat où il ne fait pas bon être âgé de 21 ans ou moins, c’est bien la VTB League. Les U21 n’y ont droit qu’à quelques miettes de temps de jeu, pour une production anecdotique.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa VTB League est en quelque sorte un « championnat des pays de l’ex-URSS », opposant des équipes de Russie, de Bélarussie, du Kazakstan, d’Estonie et de Lettonie ainsi que le club polonais de Zielona Gora. On y retrouve le haut du panier, avec des clubs comme le CSKA Moscou, Unics Kazan, Khimki, Lokomotiv Kuban, Zenit Saint-Petersburg, Astana ou VEF Riga. Bref, que du beau linge.\\n\\nEt une compétition de haut niveau, où les jeunes joueurs, de 21 ans ou moins, ont bien du mal à se faire une place. Déjà, sur quatorze équipes, trois (Unics, Kalev/Cramo et Enisey) n’ont aligné aucun U21 lors des 25 matchs pris en compte au moment de la compilation de nos données. Quant aux onze autres équipes, elles n’ont aligné au moins une minute que 24 de ces jeunes joueurs. Le tout pour une production des plus faibles : 5,2 minutes par match, 1,62 point et 1,35 d’évaluation. Il est par ailleurs à noter qu’à de rares exceptions (un Kazak, deux Lettons, deux Polonais et un Bélarus), tous ces joueurs sont russes.\\n\\nS’ils ne sont pas bien nombreux à avoir pointé le bout du nez sur le parquet, ces jeunes de l’Est le sont encore moins à avoir passé un tant soit peu de temps sur le terrain : seuls six joueurs ont en effet pu participer à plus de 7 matchs pour au moins 5 minutes de temps de jeu moyen. Et encore, seuls deux d’entre-eux cumulent plus de 10 mn/match en moyenne – aucune compétition européenne ne fait « pire » en la matière... Question rendement, ces six jeunes Russes n’ont guère eu le loisir de se mettre en valeur : avec 10,1 mn de temps moyen de jeu, c’est là aussi la plus mauvaise marque de notre étude, et il en va de même (à égalité avec la Grèce) en ce qui concerne les moyennes aux points (3,50) et à l’éval (3,37).\\n\\nLa VTB League se rattraperait-elle en faisant jouer de très jeunes pousses, nées en 2000 ou après ? Même pas. Ils ne sont que 8 de ces classes d’âge à être entrés sur le parquet, dont deux à avoir un tant soit peu de temps de jeu, tous les deux jouant à Avtodor (Anton Kvitkovskikh, 2000, et Nikita Mikhailovskii, 2000).\\n\\nIl ne fait donc pas spécialement bon être U21 lorsque l’on fait partie d’une équipe de VTB League. Cela étant, cette structure organise également la VTB Youth League, où les équipes russes de la « grande » ligue (complétées par d’autres équipes russes comme Samara) font évoluer leurs U21, en somme l’équivalent du championnat Espoirs de la LNB. Mais il s’avère qu’il existe une sorte de plafond de verre entre les deux championnats (ce qui est également vrai en France...) : des joueurs comme Alexandr Shcherbenev (Lokomotiv Kuban, 2000, 28,4 mn, 15,4 pts, 16,2 d’éval en VTB Youth, 5,3 mn sur 4 matchs, 1,8 pt, 0 d’éval en VTB), Kirill Popov (Lokomotiv, 1998, 28,5 mn, 21,8 pts, 23,3 d’éval en VTB Youth, 1 match, 1,5 mn, 0 pt et 0 d’éval en VTB) ou Konstantin Shevchuk (Zenit Saint-Petersburg, 2000, 34,2 mn, 17,6 pts, 18,6 d’éval en VTB Youth, 1,1 mn en 2 matchs, 0 pt et 0 d’éval en VTB) dominent en jeunes mais n’existent pratiquement pas chez les « grands ». À voir si ces jeunes visiblement prometteurs gagneront en temps de jeu dans les années qui viennent...\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nAvec seulement six U21 réellement impliqués en VTB League, il n’est pas très difficile de dégager un cinq majeur, seul Anton Kvitkovskikh passant à la trappe à cause de son rendement : 2,5 pts et 1,6 d’éval en 9,4 mn). Cela dit, ce cinq majeur l’est par défaut. Hormis Nikita Mikhailovskii, aucun autre joueur ne dépasse les 4 points ou les 4 d’évaluation en moyenne. Ce qui fait du reste de ce cinq majeur le plus faible de notre étude, et de loin : 10,2 mn/match, 3,70 pts, 3,72 d’éval.\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nAndrey Lopatin\\n3\\nCSKA\\nRussie\\n1998\\n16\\n7,4\\n3,3\\n3,4\\n\\n\\nTimofey Yakushin\\n2\\nKhimki\\nRussie\\n1997\\n8\\n8,5\\n3,4\\n3,6\\n\\n\\nGeorgy Zhbanov\\n3\\nNovgorod\\nRussie\\n1997\\n20\\n10,5\\n3,5\\n3,1\\n\\n\\nNikita Mikhailovskii\\n4\\nAvtodor\\nRussie\\n2000\\n23\\n15,1\\n5,6\\n5,9\\n\\n\\nAleksandr Platunov\\n2\\nPerm\\nRussie\\n1997\\n23\\n9,5\\n2,7\\n2,6\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nC’est un fait entendu, la VTB League accorde bien peu de place aux U21. Parce que le niveau de compétition est relevé ? L’argument n’est pas suffisant, de plus nombreux U21 peuvent s’exprimer en Euroleague (aucun des équipes russes, du reste) alors qu’il s’agit de la compétition reine en Europe. Il semblerait qu’il s’agisse plutôt d’un désintérêt des clubs russes (notamment) pour la formation, ce que tendrait à prouver les faibles résultats obtenus par les sélections russes dans les championnats d’Europe de jeunes – lorsque ces sélections sont qualifiées (la Russie ne participe plus au championnat d’Europe U20 depuis 2015 et l’a fait une seule fois pour les U16 sur la même période).\\n\\nL’avenir n’est peut-être pas radieux pour la sélection nationale russe...\\n\\n[armelse]\\n\\nLa VTB League est en quelque sorte un « championnat des pays de l’ex-URSS », opposant des équipes de Russie, de Bélarussie, du Kazakstan, d’Estonie et de Lettonie ainsi que le club polonais de Zielona Gora. On y retrouve le haut du panier, avec des clubs comme le CSKA Moscou, Unics Kazan, Khimki, Lokomotiv Kuban, Zenit Saint-Petersburg, Astana ou VEF Riga. Bref, que du beau linge.\\n\\nEt une compétition de haut niveau, où les jeunes joueurs, de 21 ans ou moins, ont bien du mal à se faire une place. Déjà, sur quatorze équipes, trois (Unics, Kalev/Cramo et Enisey) n’ont aligné aucun U21 lors des 25 matchs pris en compte au moment de la compilation de nos données. Quant aux onze autres équipes, elles n’ont aligné au moins une minute que 24 de ces jeunes joueurs. Le tout pour une production des plus faibles : 5,2 minutes par match, 1,62 point et 1,35 d’évaluation. Il est par ailleurs à noter qu’à de rares exceptions (un Kazak, deux Lettons, deux Polonais et un Bélarus), tous ces joueurs sont russes.\\n\\nS’ils ne sont pas bien nombreux à avoir pointé le bout du nez sur le parquet, ces jeunes de l’Est\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nNikita Mikhailovskii (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Privé de Coupe du monde, Pau Gasol veut disputer les Jeux Olympiques de Tokyo" }, {"role": "assistant", "content":"Pau Gasol (2,13m) a confirmé par le biais d’une vidéo qu’il ne pourra pas participer à la prochaine Coupe du monde mais qu’il a l’intention de prolonger sa carrière internationale jusqu’aux Jeux de Tokyo en 2020.\\n\\n«J’ai déjà subi le pire moment de l’opération. Je suis maintenant impatient de récupérer et de commencer à travailler à la salle. Cependant, ma blessure ne me permettra pas de faire partie de l’équipe nationale espagnole en Chine pour la Coupe du monde. Je souhaite la meilleure des chances à l’équipe nationale. Cet été va être difficile, car j’aurais préféré faire partie de l’équipe nationale. Pour moi, l’équipe nationale a toujours été importante. Je suis toujours très fier de faire partie de l’équipe nationale et de réussir. J’espère que nous nous qualifierons pour les Jeux Olympiques, afin que je puisse être avec l’équipe nationale. En raison de mon âge, il est normal que les gens spéculent que je ne pourrai pas continuer. J’aime ce que je fais. J’adore jouer et je souhaite prolonger ma carrière. C’est pourquoi j’ai subi une opération chirurgicale pour continuer à jouer au plus haut niveau et être prêt pour la saison suivante », a-t- il déclaré.\\n\\nPau Gasol aura 40 ans à l’été 2020.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Belgique: Ismael Bako et Laure Resimont sont les joueurs belges de l’année" }, {"role": "assistant", "content":"Ismaël Bako (2,08m, 23 ans) a été élu hier soir Joueur belge de l’année aux EuroMillions Basketball Awards tandis que son équipier d’Anvers, l’Américain Paris Lee (1,83m, 24 ans) a reçu le trophée de MVP et leur coach, Roel Moors, celui de meilleur entraîneur.\\n\\n«J’ai vraiment percé cette saison, j’avais vraiment l’impression de grandir. L’année dernière, j’étais un joueur normal, maintenant j’ai un rôle important à jouer. J’ai reçu la confiance et les occasions du staff et j’en ai profité aussi. Le lien avec le distributeur Paris Lee a également joué un rôle», a expliqué Bako cité par Le Soir.\\n\\nIsmaël Bako va t-il faire comme les autres vainqueurs des cinq dernières années qui ont quitté le plat pays pour l’étranger?\\n\\n«Si Anvers est la meilleure option, je resterai. S’il y a une très bonne opportunité à l’étranger dans un club où je peux grandir davantage, alors bien sûr, je devrai prendre cette décision. Cela peut être en France, en Allemagne ou en Espagne, mais c’est surtout l’équipe qui est importante. Je ne m’en occupe pas pour l’instant.»\\n\\nL’espoir de l’année est Tito Casero-Ortiz (1,84m, 22 ans) de Okapi Aalstar, qui possède les nationalités cubaine et belge.\\n\\nChez les féminines, Laure Resimont (1,85m, 21 ans) de Wavre Sainte-Catherine a été élue Joueuse belge de l’année comme en 2018 mais aussi MVP. Elle renforcera Tarbes à la prochaine saison. Son équipière Becky Massey (1,86m, 19 ans) a été saluée comme l’espoir de l’année alors que le coach national et aussi celui de Namur Philip Mestdagh a été nommé entraîneur de l’année.\\n\\nPhoto: Ismal Bako (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Helena Ciak, élue MVP de la Ligue Féminine: «Je me suis souvenue d’où je viens»" }, {"role": "assistant", "content":"Demain soir, cinquième match de la finale de Ligue Féminine entre Lyon ASVEL féminin et Lattes-Montpellier. Décisif. Les Héraultaises pourront compter sur une arme supplémentaire qui peut faire des dégâts irréparables dans la peinture : Helena Ciak (1,97m, 29 ans). La MVP de la saison. 13,6 points, 7,1 rebonds et 0,8 contre en moyenne par match. La pivot internationale s’est remise plus vite que prévu d’une entorse à la cheville. Interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est votre première distinction individuelle ?\\n\\nJe suis très émue. En Ligue 2, j’ai eu un trophée de MVP du Final Four lors de ma première année à Perpignan. Les distinctions personnelles, ce n’est pas ce que je recherche à la base, ce sont les titres avec l’équipe. Là c’est la première fois. Il y a toutes ces années où j’ai galéré et où j’ai travaillé d’arrache-pied, j’ai eu des moments difficiles, de doute. Je n’avais pas confiance, j’avais l’impression que l’on ne me faisait pas confiance*. C’est ça qui m’a émue car je me suis souvenue d’où je viens. Je suis vraiment contente.\\n\\nIl y avait une grosse concurrence. Qu’est-ce qui fait que vous avez pu passer devant par exemple Marine Johannès ?\\n\\nC’est ça qui a fait que j’ai été surprise. Les quatre autres (NDLR : du Cinq majeur) le méritaient tout autant. Moi, je me suis éclatée cette année, j’ai eu des coéquipières en or, des coaches qui m’ont fait confiance. J’ai juste voulu prendre du plaisir et c’est ce qui me manquait les années précédentes. Je me suis lâchée. Je suis animée par la gagne et c’est ce qui me fait lever tous les matins.\\n\\nVous allez jouer le Match 5 de la finale ?\\n\\nJe pense. Quand j’ai eu mon entorse, ça a été un coup de massue. Je ne me suis pas fait ça en marchant sur un pied. C’est lors d’un entraînement, j’ai eu un contact dans le dos, je suis partie en dribbles, j’ai voulu aller au panier sur un pas et en fait mon pied est parti vers l’intérieur et j’ai senti tout le poids de mon corps sur cet appui. Ça m’a fait vraiment très mal sur le moment et dans ma tête je me suis dit que c’était mort. A deux jours du premier match, c’était pas possible ! Et la violence du choc... Je me suis dit oh là, là... Dans ma tête c’était hors de question que ce soit la fin de saison. J’ai fait des soins à gogo, je ne sortais même plus de chez moi. Je marchais le moins possible. Mon but c’était de faire au moins un match, le match 5. J’ai voulu jouer le match 4 car les filles m’ont clairement donnée envie après leur performance au match 3. Je me sentais mieux. Je n’étais pas rétablie à 100% mais j’avais envie de serrer les dents pour l’équipe.\\n\\nComment vous êtes-vous senti lors de ce match de reprise ?\\n\\nAvant le match 4, je me sentais bien. Comme je n’étais pas rétablie à 100%, j’avais une appréhension. Mais dans ma tête j’étais 100% sûre de ce que je faisais. J’avais vraiment envie d’être sur le terrain pour le dernier match à domicile. C’était impensable de le passer sur le banc.\\n\\nL’impression de l’extérieur c’est que le niveau de ces quatre premiers matches de la finale était très élevé. Avez-vous eu la même sensation sur le banc et ensuite de l’intérieur ?\\n\\nOui ! Pour le coup, on a une vraie finale. On a deux grosses équipes, des scenarii improbables, des prolongations, un truc de fous. Le niveau est super intense et on fait une remontada en passant de 0 à 2-2. C’est super.\\n\\nCe n’est pas un problème ce temps d’attente d’une semaine entre le Match 4 et le Match 5 ?\\n\\nPersonnellement, je suis contente car ça fait reposer ma cheville (sourire). Ça fait une petite coupure mais pas tant que ça. Ça va être une finale, on va la jouer à 100%, peu importe le jour\\n\\nC’est agréable d’être ici pour cette remise des trophées ou auriez-vous préféré continuer les soins et l’entraînement ?\\n\\nJe suis contente, ça permet de couper même si un aller-retour à deux jours de la finale ce n’est pas simple. Je suis hyper honorée, super contente, et je voulais venir. Ça permet de revoir des gens.\\n\\nVous faites toujours des soins ?\\n\\nToujours. Je suis venue en avion et j’ai ramené mes bottes de pressothérapie, des bottes qui compressent. Je les ai mises après le voyage et je vais les remettre après la soirée. Je fais tout pour me soigner et l’évolution est belle vue l’entorse que je me suis faite. Je ne pensais pas que ça guérirait comme ça.\\n\\n« La WNBA n’a jamais été mon rêve »\\n\\nC’est spécial de jouer en finale contre l’équipe que l’on va rejoindre ensuite ?\\n\\nJ’ai toujours dit : peu importe l’adversaire. J’ai beau avoir signé là-bas, pour le moment mon cœur et mon corps sont à Montpellier. Que ce soit Lyon en face ou un autre, j’ai envie de gagner avec Montpellier.\\n\\nAu moins le résultat de cette finale n’est pas décisive dans l’attribution d’une place en Euroleague ?\\n\\nLe vainqueur de la saison est en Euroleague et le perdant de la finale aux préliminaires.\\n\\nC’est plus confortable ?\\n\\nC’est ça.\\n\\nQu’est-ce qui vous a incité à rejoindre l’ASVEL ? La longueur du contrat est un facteur important ?\\n\\nC’est un tout. C’est un projet européen à long terme, les ambitions qu’ils ont. Ce n’est pas que la longueur du contrat même si c’est important.\\n\\nCa prouve aussi que vous préférez jouer en France plutôt qu’à l’étranger ?\\n\\nOn ne sait pas ce que l’avenir réserve (sourire). Franchement, je vis vraiment saison après saison. Je ne sais pas. Après, c’est sûr, en France on est bien. Le niveau est d’une intensité extrême et encore plus l’année prochaine. On verra !\\n\\nVous n’avez pas des envies de WNBA ?\\n\\nCe n’est pas quelque chose qui m’attire, je ne m’y suis jamais intéressée, je n’ai jamais suivi une saison. Après, pourquoi ne pas faire comme Céline (Dumerc) ? Tenter un été, juste pour voir, pour l’expérience. Après, ça n’a jamais été mon rêve. C’est plus leur monde et en fait je ne me vois pas dedans.... Mais bon pourquoi pas ?\\n\\nLà vous êtes en robe et on découvre dans le haut du dos les anneaux olympiques. Ça prouve que ça c’est votre rêve ?\\n\\nJe suis déjà allée à Rio en 2016 ! J’ai fait ça juste en rentrant car c’était juste énorme. J’ai envie d’y retourner, c’est le rêve de tout sportif.\\n\\nPartagez-vous l’ambition de la fédération et de son président Jean-Pierre Siutat d’être championne d’Europe ?\\n\\nOui, bien sûr. C’est ce qui me manque (rires). L’or avec l’équipe de France c’est le but de cet été. On va tout faire pour aller chercher ça. Je sais aussi que le championnat d’Europe c’est le plus intense si on compare avec le championnat du monde. Dès les matches de poule c’est un truc de fous. Il y a des équipes qui montent en régime comme la Slovénie et il y a toujours l’Espagne, la Serbie. On verra match après match.\\n\\n*Helena a comme particularité d’avoir eu une éclosion tardive, ce qui explique qu’elle ne fut pas sélectionnée en équipe de France jeune et qu’elle a découvert la Ligue Féminine à 23 ans.\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est votre première distinction individuelle ?\\n\\nJe suis très émue. En Ligue 2, j’ai eu un trophée de MVP du Final Four lors de ma première année à Perpignan. Les distinctions personnelles, ce n’est pas ce que je recherche à la base, ce sont les titres avec l’équipe. Là c’est la première fois. Il y a toutes ces années où j’ai galéré et où j’ai travaillé d’arrache-pied, j’ai eu des moments difficiles, de doute. Je n’avais pas confiance, j’avais l’impression que l’on ne me faisait pas confiance*. C’est ça qui m’a émue car je me suis souvenue d’où je viens. Je suis vraiment contente.\\n\\nIl y avait une grosse concurrence. Qu’est-ce qui fait que vous avez pu passer devant par exemple Marine Johannès ?\\n\\nC’est ça qui a fait que j’ai été surprise. Les quatre autres (NDLR : du Cinq majeur) le méritaient tout autant. Moi, je me suis éclatée cette année, j’ai eu des coéquipières en or, des coaches qui m’ont fait confiance. J’ai juste voulu prendre du plaisir et c’est ce qui me manquait les années précédentes. Je me suis lâchée. Je suis animée par la gagne et c’est ce qui me fait lever tous les matins.\\n\\nVous allez jouer le Match 5 de la finale ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Kariata Diaby (Landerneau), Marine Johannès (Bourges), Helena Ciak (Lattes-Montpellier) et Julie Allemand (Lyon), LNB/LFB. Avec le maillot de Montpellier, FIBA." }, {"role": "user", "content":"Brandon Jefferson (Orléans), MVP de Pro B : «On est prêts, on veut le titre !»" }, {"role": "assistant", "content":"Brandon Jefferson (1,75m, 27 ans) a rejoint Orléans lors de la dernière intersaison et suite à sa première expérience en France, il a été élu MVP de Pro B. Avec 16,7 points, 3,1 rebonds et 5,4 passes décisives pour une évaluation de 17,4 en moyenne, il a réalisé un exercice 2018/19 de très haute volée. Présent à la salle Gaveau lundi soir pour se voir remettre son titre de meilleur joueur du championnat, le micro-meneur de l’OLB nous a glissé quelques mots sur ses ambitions pour la fin de saison et son envie de jouer en Jeep Elite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue représente ce trophée pour vous ?\\n\\nJe veux juste remercier Dieu. Ça représente tout le travail que j’ai mis sur le terrain à travers tous ces étés. Mes amis et ma famille m’ont aidé à progresser, mon père m’a poussé quand j’étais un enfant. Je remercie mes coéquipiers et le staff technique, c’est vraiment un trophée d’équipe. Ça ne voudra rien dire tant que l’on n’aura pas remporté le championnat.\\n\\nA quoi vous attendiez-vous en signant en France ?\\n\\nJe ne m’attendais à rien en venant en France. Je savais juste que j’allais devoir réaliser une grosse saison. Mon agent m’a dit que ça serait une bonne chose pour moi de rejoindre Orléans.\\n\\nQue pensez-vous du niveau de la Pro B ?\\n\\nLa Pro B, c’est dur mec ! Les gens pensent que ce n’est pas un bon niveau, mais chaque match est compliqué. Nous devons être prêts à chaque fois que l’on va sur le parquet. J’ai beaucoup appris dans le passé, mais pas autant que cette année. Maintenant, il faut que l’on continue d’avoir le momentum en notre faveur pour aller chercher le titre.\\n\\nComment s’annoncent les playoffs ?\\n\\nNous sommes prêts ! Tout le monde est en bonne santé, on veut ce titre. On doit jouer notre dernier match de championnat vendredi, on verra ensuite ce qui se passe. On est prêts.\\n\\nSouhaitez-vous jouer en Jeep Elite à la rentrée ?\\n\\nJ’ai envie de jouer en Jeep Elite, bien sûr ! C’est mon principal objectif. Si c’est avec Orléans ça serait un réel plaisir, mais c’est mon premier objectif. Je veux jouer au plus haut niveau.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue représente ce trophée pour vous ?\\n\\nJe veux juste remercier Dieu. Ça représente tout le travail que j’ai mis sur le terrain à travers tous ces étés. Mes amis et ma famille m’ont aidé à progresser, mon père m’a poussé quand j’étais un enfant. Je remercie mes coéquipiers et le staff technique, c’est vraiment un trophée d’équipe. Ça ne voudra rien dire tant que l’on n’aura pas remporté le championnat.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédit photos : LNB/K.MANDAU" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket féminin: La France favorite pour le site de la Fédération Internationale" }, {"role": "assistant", "content":"Le site de la FIBA classe l’équipe de France numéro 1 dans ses pronostics pour l’EuroBasket (27 juin au 7 juillet). Les Bleues devancent ainsi la Belgique et -curieusement- la Suède de François Gomez. L’Espagne n’apparait qu’à la quatrième place.\\n\\n« La France doit être favorite pour remporter son premier titre en dix ans, » écrit le site. « Après trois (médailles d’) argent d’affilée, il est temps d’être la mariée au lieu de la demoiselle d’honneur. Elles ont un jeu intérieur élégant et profond avec Sandrine Gruda, Helena Ciak, Alexia Chartereau et Endy Miyem en tête. Marine Johannès a un talent spécial, alors que Valériane Ayayi est en feu, elle a a des prospects incroyables. De plus la nouvelle venue Bria Hartley vient de remporter le titre turc avant de faire ses débuts dans le tournoi final. »\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"U16 Féminine: 18 joueuses convoquées pour un stage à l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"18 joueuses ont été convoquées du 16 au 21 juin pour un stage à l’INSEP.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDEBROISE\\n\\n\\n\\n\\nInes\\n\\n\\n\\n\\n17/09/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (BC Ermont)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDJOKO\\n\\n\\n\\n\\nClara\\n\\n\\n\\n\\n28/07/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (S.I. Graffenstaden)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFAILLOT\\n\\n\\n\\n\\nEva\\n\\n\\n\\n\\n27/10/2003\\n\\n\\n\\n\\nCercle Jean Macé Bourges B\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nHIRSCH\\n\\n\\n\\n\\nMaia\\n\\n\\n\\n\\n13/11/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (Roannais Basket Féminin)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKAPINGA\\n\\n\\n\\n\\nLeya\\n\\n\\n\\n\\n08/06/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (Tarbes Gespe Bigorre)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKIAVI\\n\\n\\n\\n\\nElyah\\n\\n\\n\\n\\n11/08/2003\\n\\n\\n\\n\\nBasket Lattes Montpellier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKOMARA\\n\\n\\n\\n\\nHawa\\n\\n\\n\\n\\n22/08/2003\\n\\n\\n\\n\\nCercle Jean Macé Bourges B\\n\\n\\n\\n\\n\\nLE BRUN\\nMaylis\\n22/08/2003\\nLanderneau Bretagne Basket\\n\\n\\nLACAN\\nLeila\\n02/06/2004\\nAS Tournefeuille\\n\\n\\n\\n\\n\\nLANDURE\\n\\n\\n\\n\\nAdele\\n\\n\\n\\n\\n29/09/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (Landerneau BB)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMARMILLOD\\n\\n\\n\\n\\nJade\\n\\n\\n\\n\\n08/11/2003\\n\\n\\n\\n\\nBasket Lattes Montpellier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPRENEAU\\n\\n\\n\\n\\nLouise\\n\\n\\n\\n\\n27/11/2003\\n\\n\\n\\n\\nLa Roche Vendée BC\\n\\n\\n\\n\\n\\nRIVIERE\\nCélia\\n06/08/2003\\nMarne La Vallée Val Maubuée\\n\\n\\n\\n\\n\\nROUMY\\n\\n\\n\\n\\nSara\\n\\n\\n\\n\\n07/11/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (Basket Landes)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSALAHY\\n\\n\\n\\n\\nIbtissem\\n\\n\\n\\n\\n09/03/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (AS Horbourg-Wihr)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSENE\\n\\n\\n\\n\\nN’Deye\\n\\n\\n\\n\\n25/04/2003\\n\\n\\n\\n\\nCFBB (Cavigal Nice Basket)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSYLLA\\n\\n\\n\\n\\nYaye Daba\\n\\n\\n\\n\\n09/10/2003\\n\\n\\n\\n\\nUSO Mondeville\\n\\n\\n\\n\\n\\nTRAORE\\nAmina\\n06/02/2004\\nMarne La Vallée Val Maubuée\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Julien Egloff\\nAssistants : Thomas Gioguitti et Charlène Collette" }, {"role": "user", "content":"La photo – La nouvelle barbe de Antoine Rigaudeau" }, {"role": "assistant", "content":"C’est LA photo qui fait actuellement le tour des réseaux sociaux et qui a été postée par Nando De Colo lui-même. On y voit le vainqueur de l’Euroleague 2019 au côté d’un autre ancien choletais méconnaissable...\\n\\nOui, il s’agit bien d’Antoine Rigaudeau, 47 ans, lui-même vainqueur de l’Euroleague en 1998 et 2001 avec Bologne, et qui s’est offert une barbe épaisse digne du rugbyman Sébastien Chabal !\\n\\n\\n\\n\\nRencontre à l’aéroport ! 😉\\n🏆🏆 + 🏆🏆 @EuroLeague @CB_officiel @valenciabasket @FRABasketball pic.twitter.com/VCmhWnCCRA\\n\\n\\n— Nando De Colo (@NandoDeColo) May 22, 2019" }, {"role": "user", "content":"Eric Barteckeky (Le Mans) devrait prendre la direction de Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket souhaite conserver son coach Eric Bartecheky arrivé dans la Sarthe à l’été 2017 et qui l’a emmené au titre de champion de France dès la première saison mais celui-ci a jusqu’au 31 mai pour donner sa réponse et il semble qu’elle sera négative. La Voix du Nord indique que l’ancien coach du Havre et de Pau prendra à la prochaine rentrée la direction de Gravelines.\\n\\n« Pour moi, ce n’est pas le sujet du moment. Je sais que c’est la période qui veut ça, que ça parle beaucoup. Mais il n’y a qu’une chose qui m’intéresse pour le moment, c’est la défense de notre titre qui commence avec ce quart de finale contre Villeurbanne », a botté en touche le coach du MSB à une question du Maine Libre.\\n\\nLa Voix du Nord est donc plus affirmative. Le président Christian Devos et le Directeur Exécutif Hervé Beddelem vont recevoir prochainement Julien Mahé pour lui signifier qu’il ne sera plus à la tête de l’équipe du BCM pour la saison 2019-20. Et c’est donc Eric Bartecheky qui serait son successeur avec comme adjoint le Belge Eric Struelens déjà en poste et peut-être Christophe Millois.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine 2: Un match d’appui pour savoir qui de Charnay ou de Toulouse va monter en LFB" }, {"role": "assistant", "content":"Un match d’appui sera nécessaire samedi en Bourgogne entre Charnay et Toulouse pour désigner l’équipe qui va accéder à la Ligue Féminine après la victoire au Match 2 des Toulousaines, 76-61, en Haute-Garonne.\\n\\nC’est dans le deuxième quart-temps que Toulouse a fait la différence en contraignant Charnay à ne marquer que cinq points. Les Toulousaines ont ensuite remporté les deux autres périodes de dix minutes. La future retraitée Sylvie Gruszcynski a été la plus efficace sur le plan de l’évaluation (17) dans le camp des vainqueurs avec 7 points, 8 passes, 3 rebonds et 2 interceptions.\\n\\nPhoto: Sylvie Gruszcynski (LFB)" }, {"role": "user", "content":"Le Mans: L’espoir Matthieu Gauzin signe trois ans avec les pros" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket enregistre la signature pour trois années de Matthieu Gauzin (1,88m, 18 ans). Le meneur titulaire du groupe Espoirs est le plus jeune joueur issu du centre de formation à devenir professionnel depuis Nicolas Batum.\\n\\nMembre de la génération 2001, celle exceptionnelle des Théo Malédon (ASVEL), Killian Hayes (Cholet) et Malcolm Cazalon (Bourg-en-Bresse) pour ne citer que les plus médiatisés, Matthieu Gauzin a connu les honneurs de l’équipe de France l’été 2018. En Argentine, il glane la médaille d’argent au championnat du Monde U17, invaincu jusqu’en finale face aux USA. Cette exposition lui vaut les honneurs d’être invité dans la foulée par la NBA au camp Basketball Without Borders à Belgrade, puis encore en février dernier à l’occasion du All-Star Game NBA. A Charlotte, devant de nombreux scouts, il y brille au point de figurer dans la All-Tournament Team. Sauf contretemps, il sera de la campagne européenne des U18 cet été en Grèce.\\n\\nAvec Valentin Bigote, Antoine Eïto et Terry Tarpey, Matthieu Gauzin est le quatrième joueur professionnel à être sous contrat avec le MSB pour la saison prochaine.\\n\\nStatistiques Espoirs 2019 : 17,1 pts à 38.8% aux tirs, 5,4 pds, 5,3 rbds, 2,9int., 3,7 bps et 16,8 d’évaluation en 26 matches (32 min/m)\\n\\n« Les trois années passées au SCM/MSB m’ont appris à développer mon jeu, à corriger mes erreurs, à me forger un caractère plus affirmé, en un mot à grandir. Pour la saison prochaine, mon objectif personnel est d’apprendre du milieu professionnel, de me développer physiquement et techniquement, avec pour ambition collective d’aider l’équipe à gagner le plus de matches possibles. Evidemment, je me projette comme étant le petit jeune qui doit apprendre et écouter les conseils prodigués par les joueurs les plus aguerris et expérimentés, » déclare le joueur.\\n\\nQuant à Philippe Desnos, il précise:\\n\\n« Lorsque nous avons recruté Matthieu, c’est sa très grande vitesse balle en main et son adresse à longue, voire même très longue distance, qui m’avait étonné, puis franchement séduit. Ensuite, découvrant le personnage, son caractère, sa détermination pour son projet sportif, j’ai réellement pensé qu’il pourrait, en développant d’indispensables qualités physiques, gravir assez rapidement les échelons vers le haut-niveau. Trois années à peine se sont écoulées et il a pleinement rempli son contrat, validant les espoirs placés en lui. Sur ce poste de jeu où faire sa place au plus haut-niveau national reste un sacré challenge, Matthieu doit savoir que le chemin à parcourir ne sera pas simple. Mais il possède le potentiel pour le relever, le tempérament pour résister et la passion pour réussir. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"16 joueuses retenues en équipe de France U15" }, {"role": "assistant", "content":"16 joueuses plus 3 autres à l’issue du Tournoi Inter-Ligues sont appelées en équipe de France U15 pour un stage du 16 au 21 juin à l’INSEP. Le groupe passera ensuite à 15 joueuses qui prendront part à l’OFAJ à Mulhouse du 1er au 7 juillet. C’est à l’issue de ce stage que la liste des 12 participantes au Tournoi de l’Amitié à Udine (Italie) se connue.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de Naissance\\nClub\\n\\n\\nAMANING\\nLinda\\n25/05/2004\\nBC Chenove\\n\\n\\nBARBITCH\\nThelma\\n20/09/2004\\nAS Orly\\n\\n\\nBLEIN\\nMaëlle\\n21/04/2004\\nGolgoths 13\\n\\n\\nBOUCAUD\\nSarah\\n03/10/2004\\nBasket Landes\\n\\n\\nCISSE\\nManoé\\n08/05/2004\\nParis Basket 18\\n\\n\\nCLUZEAU\\nLisa\\n19/01/2004\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nDIBANZILUA\\nDaniela\\n13/12/2004\\nBesançon BC\\n\\n\\nKANE\\nAdja\\n30/03/2005\\nUSM Olivet\\n\\n\\nLARCHEVEQUE\\nCélia\\n23/06/2005\\nPays Voironnais BC\\n\\n\\nLE SEYEC\\nRosanna\\n05/03/2004\\nES Saint Ave Basket\\n\\n\\nMALONGA\\nDominique\\n16/11/2005\\nMont Valérien\\n\\n\\nMASSE\\nCharlotte\\n04/07/2004\\nArras Pays d’Artois\\n\\n\\nSOOSOVA\\nSimona\\n07/09/2004\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nTOURE\\nFatoumata\\n09/02/2004\\nUSM Saran\\n\\n\\nTSHIBUABUA\\nMary Kate\\n19/06/2005\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nZEMOURA\\nElena\\n21/02/2004\\nAil de Rousset\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Vincent Bourdeau\\nAssistants : Pierre Laurent Baliello et Elise Prodhomme\\n\\nStage à l’INSEP du 16 au 21 juin\\n\\nOFAJ à Mulhouse du 1er au 7 juillet\\n\\nStage à Mulhouse du 8 au 12 juillet\\n\\nTournoi de l’Amitié à Udine (Italie) du 13 au 17 juillet" }, {"role": "user", "content":"Pierre Pelos (ex-Fos) retourne à la JL Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur de Fos, Pierre Pelos (2,05m, 26 ans) retourne à la JL Bourg indique le club dans un communiqué.\\n\\nL’Agenais est l’auteur de deux belles saisons à Fos. La première s’était conclue par un titre de MVP en playoffs de Pro B et une montée en Jeep Elite et cette saison, il a assuré 12,7 points et 5,4 rebonds pour 15,5 d’évaluation.\\n\\nFormé à Pau et après des passages à Tarbes-Lourdes et Saint-Chamond, Pierre Pelos avait déjà porté le maillot de la JL lors de la saison 2016-17.\\n\\nPhoto: Fos" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: Ligue Adriatique, usine à champions" }, {"role": "assistant", "content":"Le « championnat de l’ex-Yougoslavie », comme on pourrait qualifier la Ligue Adriatique, est un formidable tremplin pour les jeunes talentueux, qu’ils soient issus des pays des Balkans ou d’ailleurs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa Ligue Adriatique, ou Adriatic League, ou ABA League, regroupe les meilleurs clubs de plusieurs pays de l’ex-Yougoslavie : Serbie, Croatie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine, Slovénie. Elle a même un temps abrité le Maccabi Tel-Aviv et va peut-être l’an prochain accueillir l’Olympiakos, signe que ce championnat n’est pas circonscrit aux frontières de l’ancien pays balkanique.\\n\\nChampionnat multi-national, la Ligue Adriatique propose un bon niveau de jeu : l’une des équipes de son Top 4 a évolué en Euroleague (Buducnost Podgorica), sans trop de réussite toutefois, les trois autres (Partizan et Étoile Rouge de Belgrade, Cedevita Zagreb) ont atteint le Top16 de l’Eurocup, mais sans parvenir à se qualifier pour les quart de finale de la compétition.\\n\\nIl est donc loin le temps où ces clubs, ainsi que le Cibona Zagreb ou Split, faisaient trembler tous les grands d’Europe. Guerre civile puis crise économique « aidant », de nombreux joueurs de talent se sont exportés très jeunes vers d’autres contrées plus calmes et plus rémunératrices. Pour autant, ces pays, Croatie et Serbie en tête, continuent à produire une invraisemblable quantité de jeunes joueurs de haut niveau. Pour s’en convaincre, un chiffre : les onze clubs de Ligue Adriatique ont aligné des joueurs de 21 ans et moins (Mornar Bar étant l’exception) en ont fait entrer 44 au moins une minute en jeu, soit plus de quatre joueurs par club en moyenne !\\n\\nEt la plupart de ces U21 jouent : sur les 22 à 25 matchs joués au moment où nous avons arrêté les statistiques, ils étaient 32 à avoir joué au moins 5 minutes/match sur au moins 6 matchs. Plus fort encore, ils étaient 22 à afficher plus de 10 mn/match en moyenne ! Le tout pour un rendement des plus solides : en 15,1 mn/match, ces U21 produisent 5,71 points et 5,15 d’évaluation, des chiffres équivalents à ceux observés en Lituanie et à peine inférieurs à ceux des championnats serbe et croate, pourtant plus faibles.\\n\\nCe caractère « d’usine à champions » de l’ABA League n’a pas manqué d’attirer de jeunes joueurs souhaitant se mettre en évidence tout en bénéficiant des bienfaits de l’école à la dure qu’est la formidable formation « ex-yougoslave ». C’est ainsi que six joueurs issus de pays hors de l’ex-Yougoslavie sont entrés en jeu, en ayant un temps de jeu intéressant. Ils viennent de Géorgie (Goga Bitadze, Mega Bemax puis Buducnost), de France (Adam Mokoka, Mega Bemax, et Luka Asceric, Franco-Serbe au Mega Bemax également), d’Allemagne (Filip Stanic et Kostja Mushidi, Mega Bemax également, ce dernier ayant quitté l’équipe) et d’Ukraine (Issuf Vladlen Sanon, Ljubljana).\\n\\nDans une récente interview, Marko Pecarski (2000, Partizan Belgrade, 8 matchs, 7,8 mn, 2,1 points, 2,5 d’éval) se plaignait de son temps de jeu en ces termes : « l’Europe n’est pas forcément un bon endroit pour les jeunes joueurs. Dans mon expérience du moins... Il n’y a pas beaucoup de temps de jeu pour les jeunes joueurs car seuls les résultats comptent ! Il n’y a pas beaucoup de patience avec les jeunes joueurs. Et il n’y a de plan mis en place pour les jeunes. »\\n\\nPourtant, lorsque l’on regarde la date de naissance des jeunes de Ligue Adriatique, on s’aperçoit que ceux nés en 2000 et après, comme Pecarski donc, sont 10 à être entrés au moins une fois en jeu et 7 à avoir un rôle intéressant : sur 12 matchs joués en moyenne, ces sept U19 ont joué 10,6 minutes pour 3,31 points et 3,41 d’évaluation. Avec une pointe à 15,4 minutes pour Luka Samanic (2000, Croate, Ljubljana, 6,4 pts, 7,3 d’éval). Pas sûr, donc, que la complainte de Pecarski soit totalement exempte d’une certaine frustration personnelle... Mais en Ligue Adriatique comme partout ailleurs, jouent d’abord ceux qui le méritent !\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nC’est du reste ce que démontre le cinq majeur des U21 de la compétition : avec 24,2 mn/match en moyenne, ce cinq joue plus que n’importe quel cinq majeur d’un grand championnat national (la Jeep Élite étant 1e avec 23,8 mn/match). Et son rendement est incomparablement supérieur : 11,58 pts et 11,24 d’éval !\\n\\nAutant dire que ces cinq U21 peuvent être considérés comme des joueurs majeurs de leur équipe, bien qu’un seul d’entre-eux (Vanja Marinkovic, Partizan) soit né en 1997, les autres ayant vu le jour en 1998 ou 1999.\\n\\nPar ailleurs, ce cinq majeur possède deux particularités. La première, c’est que trois de ces U21 évoluent dans les principaux clubs de la compétition (Étoile Rouge, Partizan, Buducnost) alors que les deux derniers s’activent au sein du Mega Bemax, club géré par une agence de joueurs qui met l’accent sur les U21, peu importe leur provenance, dans le but de les « monnayer », en NBA ou dans de grands clubs européens (il y a ainsi neuf U21 disposant d’un temps de jeu entre 9 et 27 minutes par match au Mega Bemax).\\n\\nL’autre particularité, c’est qu’en sus de trois Serbes, ce cinq majeur comporte un Géorgien, le golgoth Goga Bitadze (qui fait des ravages en ABA – 15,6 pts et 19,0 d’éval – au point d’en être élu le MVP- comme en Euroleague – 12,1 pts, 16,3 d’éval !) et... un Français, Adam Mokoka (1998, Mega Bemax), parti de Gravelines-Dunkerque pour acquérir du temps de jeu. Ce qu’il a fait, puisqu’il joue 27,1 mn/match pour 11,2 pts mais seulement 8,3 d’éval, la faute à une adresse toujours perfectible (38,2 % au shoot dont 31,9 % à trois points).\\n\\nBref, la plupart de ces joueurs (cela ne fait aucun doute pour Bitadze) sont destinés à évoluer à un niveau bien supérieur dans les années à venir...\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nBorisa Simanic\\n4\\nEtoile Rouge\\nSerbie\\n1998\\n23\\n19,4\\n7,3\\n10\\n\\n\\nGoga Bitadze\\n5\\nBuducnost\\nGéorgie\\n1999\\n25\\n23,8\\n15,6\\n19\\n\\n\\nVanja Marinkovic\\n2\\nPartizan\\nSerbie\\n1997\\n23\\n27,7\\n12,2\\n9,2\\n\\n\\nNikola Miskovic\\n4\\nMegaBemax\\nSerbie\\n1999\\n22\\n23\\n11,6\\n9,7\\n\\n\\nAdam Mokoka\\n2\\nMegaBemax\\nFrance\\n1998\\n18\\n27,1\\n11,2\\n8,3\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nÀ l’examen de toutes ces données, difficile d’être d’accord avec Marko Pecarski : en Ligue Adriatique, les jeunes jouent ! Et ils jouent longtemps et bien. Sans doute, seule une petite proportion de ces U21 évoluera un jour dans de grands clubs d’Euroleague ou en NBA, mais une grande partie d’entre-eux rejoindra certainement l’énorme contingent de joueurs issus de l’ex-Yougoslavie évoluant dans les meilleurs championnats européens. Des départs réguliers vers d’autres contrées qui créent un « appel d’air » et permettent aux générations suivantes de se frotter au haut niveau en Ligue Adriatique.\\n\\nLe réservoir des Balkans ne semble pas prêt à se tarir !\\n\\n[armelse]\\n\\nLa Ligue Adriatique, ou Adriatic League, ou ABA League, regroupe les meilleurs clubs de plusieurs pays de l’ex-Yougoslavie : Serbie, Croatie, Monténégro, Bosnie-Herzégovine, Slovénie. 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Le vice-président des opérations basket des Memphis Grizzlies, Tayshaun Prince, est même venu le voir à Kaunas, alors que les Cleveland Cavaliers auraient également montré de l’intérêt pour Jasikevicius pour leur poste d’entraîneur en chef vacant avant d’embaucher John Beilein." }, {"role": "user", "content":"Point de vue: Nando De Colo, le numéro 3 français de tous les temps" }, {"role": "assistant", "content":"Nando De Colo est homme le plus heureux du monde. Alicia, sa deuxième fille, est née le 13 mai et six jours plus tard il a été sacré champion d’Europe avec son club prenant soin de prendre dans ses bras son aînée Lola sur l’estrade à l’heure des récompenses et de lui faire lever les deux doigts pour symboliser les deux Euroleague remportées par papa. Il s’agit du huitième titre européen du CSKA Moscou. Probablement le dernier du trio Dimitris Itoudis, Kyle Hines, Nando De Colo.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« C’est la meilleure semaine de ma vie », a déclaré le Nordiste joueur et homme comblé. Sur les cinq dernières saisons, Nando De Colo est le meilleur marqueur de l’Euroleague avec 16,7 points en moyenne et à L’Equipe, l’Américain Joe Arlauckas, lui-même vainqueur avec le Real Madrid en 1995, faisait remarquer que « quand il marque 18 points, Nando De Colo cause souvent plus de dommage à l’adversaire qu’un joueur à 30 points. Il dérègle les défenses en provoquant les fautes. »\\n\\nStatistiquement, le Français a été en légère baisse cette saison mais à la lecture de ses chiffres, on s’aperçoit que c’est tout relatif : 14,5 points, 42,6% à trois-points, 94,6% aux lancers-francs et 3,4 passes en 24 minutes en moyenne. Et quand il a senti l’odeur du sang, il a retrouvé toutes ses sensations avec 55 points en deux matches au Pabellon de Vitoria pour sortir l’équipe de Vincent Poirier en quart-de-finale. En demi-finale, c’est son ultra-précision aux lancers-francs qui a fait une fois de plus merveille : 13/14. Comme l’ancienne star de la NBA, George Gervin, il mérite le surnom de l’homme de glace. En cinq saisons d’Euroleague, son taux de réussite a été compris entre 90,8 et 95,9% ! En finale, avec quelques fautes personnelles handicapantes sur le dos, c’est lui qui a donné le coup d’accélérateur décisif en compilant sept points en deux coups de cuillère à pot pour un total de 15 points, 4 rebonds et 4 passes en 21’. Ses fondamentaux sont un régal de sobriété et d’efficacité. Il est là où il faut, quand il faut. Au millimètre, au dixième de seconde près.\\n\\nNando De Colo a ainsi rejoint Antoine Rigaudeau au palmarès franco-français avec deux trophées d’Euroleague. Mais il y a déjà un certain temps qu’il a dépassé l’impact du Roi en Europe. A quoi mesure t-on la valeur d’un joueur à travers les générations ? Aux performances et trophées individuels sur la durée. Et encore plus aux titres collectifs et à l’influence du joueur pour les obtenir. La collection personnelles de trophées de Nando De Colo est un musée à elle seule. On peut en extraire outre ses deux Euroleague, une Eurocup (avec Valence) plus une finale et une autre d’EuroChallenge avec Cholet et Rodrigue Beaubois, cinq VTB League -et sans doute bientôt une sixième-, trois médailles à l’Euro avec l’équipe de France de chacun des métaux, un trophée de MVP de la saison d’Euroleague et de son Final Four, etc.\\n\\nLe leader d’une génération en or en Euroleague\\n\\nOn disait les Français étaient formatés pour la NBA en raison de leurs qualités athlétiques supérieures. Sous-entendu, courir, sauter, dunker, ça ils savaient, mais en ce qui concerne le jeu international supposé plus cérébral, c’était une autre paire de manches. Tony Parker a définitivement renvoyé ce genre de détracteurs à leurs caricatures en prouvant avec l’équipe de France en complément de ses titres NBA qu’il est le meilleur meneur de jeu du continent de tous les temps. Quant à Boris Diaw, son QI Basket supérieur à 200 a converti même les plus sceptiques. On se souvient aussi des fulgurances de Nicolas Batum avec le SLUC Nancy en Euroleague.\\n\\nLongtemps, le basket français a été le parent pauvre du basket continental. Qui placer aux premiers rangs des basketteurs européens d’élite ? Les Berckois du début des années soixante-dix deux fois classés dans le carré d’as ? Honnêtement, non. Alain Gilles et Bob Purkhiser -un Américain naturalisé- à l’époque où l’ASVEL était également dans le top 4 de la poule finale de la Coupe des Champions ? Sans doute mais ce fut éphémère. Et puis l’équipe nationale prenait à cette époque gamelle sur gamelle et c’est elle l’étalon or. Les Limougeauds de 1993, Richard Dacoury et Jim Bilba en tête ? En fait, c’est la force collective qui se dégageait du groupe qui était impressionnante davantage que ses individualités sinon l’Américain Michael Young voire le Slovène Jurij Zdovc. C’est en fait en s’exportant dans les plus grands clubs européens que les joueurs français se sont affirmés comme des caïds du milieu, à commencer par Antoine Rigaudeau, Laurent Foiest et Stéphane Risacher. La génération des vice-champions olympiques de 2000. Mais les contemporains sont encore plus impressionnants. Chaque semaine BasketEurope vous conte leurs exploits et ceux de Vincent Poirier à Vitoria ne sont pas les moins impressionnants.\\n\\nIl y avait cinq Français qualifiés pour la Final Four sachant que Joffrey Lauvergne, blessé, est demeuré sur la touche. Si Adrien Moerman et Rodrigue Beaubois sont restés en-dedans de leurs performances habituelles, Fabien Causeur a prouvé en demi-finale (18 points en 15’) et encore lors de la finale pour la 3e place -superfétatoire au demeurant- (13 points) que son exploit de l’an passé n’était pas un one shot. Le Breton est le parfait joueur sortant du banc, le micro-onde qui n’a pas besoin de chauffer pendant dix minutes pour être brûlant, d’une équipe riche en individualités, comme le Real Madrid et... l’équipe de France.\\n\\nDerrière Tony Parker et Boris Diaw\\n\\nIl y a encore quelques petites années avec leur irrésistible montée en puissance, on s’imaginait à tort que les joueurs de NBA investiraient totalement l’équipe de France. Le niveau sportif de l’Euroleague étant croissant comme la place qu’y occupent nos meilleurs joueurs -avec des règles communes à celles des compétitions FIBA- ceux-ci partagent globalement les mêmes responsabilités en bleu que les NBAers avec une pincée éventuellement de joueurs d’Eurocup (Andrew Albicy, Moustapha Fall...) et de Jeep Elite (Charles Kahudi, Paul Lacombe...). Qui peut prétendre que Frank Ntilikina ou Elie Okobo, sous prétexte qu’ils ont toute l’année un habit de lumière, sont plus efficaces que Fabien Causeur et Andrew Albicy habitués aux matches à la vie, à la mort ? D’ailleurs Vincent Collet va avoir un double challenge difficile à mener : premièrement, sélectionner les bons joueurs pour former la meilleure équipe et pas une All-Star Team, deuxièmement, les faire bien jouer ensemble. La complémentarité du trio Thomas Heurtel, Nando De Colo, Evan Fournier n’avait pas été évidente il y a deux ans à l’Euro. Il n’y a qu’un seul ballon, comme on dit.\\n\\nL’équipe de France. Nando De Colo a été champion d’Europe en 2013 mais ne fut pas de l’aventure en Coupe du monde l’année suivante et de la médaille de bronze en raison d’une fracture à la main. Si l’édition en Chine se traduit cet été par des résultats positifs sur le plan collectif et individuel, qui osera s’insurger sur le fait que le Nordiste soit placé définitivement en numéro 3 dans la hiérarchie des meilleurs basketteurs français de tous les temps derrière Tony Parker et Boris Diaw ? C’est déjà le cas sans attendre à notre humble avis. Sa non réussite en NBA (119 matches à 3,8 points en moyenne) n’a finalement que peu d’emprise dans notre jugement.\\n\\n[armelse]\\n\\n« C’est la meilleure semaine de ma vie », a déclaré le Nordiste joueur et homme comblé. Sur les cinq dernières saisons, Nando De Colo est le meilleur marqueur de l’Euroleague avec 16,7 points en moyenne et à L’Equipe, l’Américain Joe Arlauckas, lui-même vainqueur avec le Real Madrid en 1995, faisait remarquer que « quand il marque 18 points, Nando De Colo cause souvent plus de dommage à l’adversaire qu’un joueur à 30 points. Il dérègle les défenses en provoquant les fautes. »\\n\\nStatistiquement, le Français a été en légère baisse cette saison mais à la lecture de ses chiffres, on s’aperçoit que c’est tout relatif : 14,5 points, 42,6% à trois-points, 94,6% aux lancers-francs et 3,4 passes en 24 minutes en moyenne. Et quand il a senti l’odeur du sang, il a retrouvé toutes ses sensations avec 55 points en deux matches au Pabellon de Vitoria pour sortir l’équipe de Vincent Poirier en quart-de-finale. En demi-finale, c’est son ultra-précision aux lancers-francs qui a fait une fois de plus merveille : 13/14. Comme l’ancienne star de la NBA, George Gervin, il mérite le surnom de l’homme de glace. En cinq saisons d’Euroleague, son taux de réussite a été compris entre 90,8 et 95,9% ! En finale, avec quelques fautes personnelles handicapantes sur le dos, c’est lui qui a donné le coup d’accélérateur décisif en compilant sept points en deux coups de cuillère à pot pour un total de 15 points, 4 rebonds et 4 passes en 21’. Ses fondamentaux sont un régal de sobriété et d’efficacité. Il est là où il faut, quand il faut. Au millimètre, au dixième de seconde près.\\n\\nNando De Colo a ainsi rejoint Antoine Rigaudeau au palmarès franco-français avec deux trophées d’Euroleague. Mais il y a déjà un certain temps qu’il a dépassé l’impact du Roi en Europe.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Euroleague et FIBA" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet): «J’ai pris beaucoup de cachetons pour dormir»" }, {"role": "assistant", "content":"Même s’il dispose d’une clause de sortie jusqu’au 31 mai, Erman Kunter devrait demeurer en poste à Cholet. Sur le site du Courrier de l’Ouest, le coach franco-turc s’est exprimé sur son opération de sauvetage du club:\\n\\n« Quand je suis arrivé, je savais que la mission du maintien serait compliquée, » dit-il. « Mais voir la situation de loin est une chose. La vivre de l’intérieur en est une autre. Notre gros problème cette saison aura été défensif. Les joueurs perdaient tous leurs duels en un contre un. A partir de là... Finalement, ils manquaient tous de caractère, à l’exception de Frank (Hassell) dont l’ego est très important. Prenez London (Perrantes), c’est un bon meneur. Mais, sur un terrain, il est capable de ne pas parler. Mike (Young) aussi avait des qualités, mais il n’aimait pas s’entraîner dans la même équipe que les jeunes. A son sujet, nous avons travaillé plusieurs mois pour que ses partenaires ne lui donnent pas le ballon loin du cercle. Sinon, il partait dans ses grigris tout seul vers le panier et perdait le ballon... A l’arrivée, le groupe ne vivait pas suffisamment bien ensemble. Quand les liens ne sont pas assez forts, les joueurs ont du mal à répéter les efforts pour les autres. Il nous aura donc manqué un leader. Dans ces conditions, le maintien est un miracle. Nous avons réussi quelques matchs incroyables (Villeurbanne, Pau), mais la plupart du temps, les gars respectaient parfaitement les consignes pendant six ou sept minutes avant de s’effondrer complètement. Heureusement que d’autres équipes étaient plus faibles que nous. Personnellement, ce fut compliqué à vivre. J’ai pris beaucoup de cachetons pour dormir. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne: La signature de l’ancien pivot de Kaunas, Chalon et Monaco, Brandon Davies, confirmée au Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncée par le quotidien As, la signature du pivot Brandon Davies (2,08m, 27 ans) au Real Madrid pour la prochaine saison a été confirmée.\\n\\nL’Américain sort d’une saison excellente avec le Zalgiris Kaunas (14,2 points, 5,5 rebonds pour 16,9 d’évaluation) et il figure ainsi dans le Cinq idéal de la saison d’Euroleague. Il avait marqué les esprits madrilènes en assénant 27 points et 10 rebonds au Real lors du dernier match de saison régulière.\\n\\nComme le joueur avait encore un an de contrat, le Real devra verser une indemnité au Zalgiris. Le club de la capitale espagnole a été déçu par le Mexicain Gustavo Ayon (2,06m, 34 ans) qui a fait preuve d’irrégularité cette saison et a mis fin à son contrat.\\n\\nBrandon Davies a joué 14 matches à Chalon en 2014-15 pour 9,1 points et 4,5 rebonds ainsi que 27 autres en 2016-17 à Monaco pour 9,1 points et 4,5 rebonds." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Ruben Guerrero, un pivot de 2,13m, signe à Malaga après six saisons aux Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Unicaja Malaga a officialisé la signature Ruben Guerrero, un pivot de 2,13m et 23 ans qui a la particularité d’avoir passé six ans aux Etats-Unis.\\n\\nEn Amérique du Nord, il a porté les maillots de la Sunrise Christian Academy (High School) et ceux des universités de South Florida et de Samford. Au cours de la dernière saison, il a disputé 29 matchs avec une moyenne de 13,5 points, 8,5 rebonds et 2,2 contres par match.\\n\\nRubén Guerrero a été international avec l’Espagne dans les catégories de jeunes. En 2015, il a remporté la médaille d’argent à l’Euro U20 après celle de bronze obtenue en U18. A l’été 2017, il a même joué deux fois avec les A.\\n\\n« Je viens avec beaucoup d’espoir, je viens pour tout donner, pour rejouer avec mes couleurs, avec beaucoup de désir et très heureux d’être ici », a déclaré le nouveau centre d’Unicaja." }, {"role": "user", "content":"Le communiqué officiel du Limoges CSP présentant son nouveau directoire" }, {"role": "assistant", "content":"\\n\\n\\nDans un communiqué, le Limoges Cercle Saint-Pierre explique que la nouvelle équipe dirigeante est désormais en place pour mettre en œuvre «un projet ambitieux pour le club, dans le respect de son histoire, mais avec une vision résolument tournée vers l’avenir» et donne le CV de chacun des membres de son directoire. Le voici dans son intégralité:\\n\\n\\n«Alors que sur le parquet, le Limoges CSP s’apprête à entamer les play-offs de la Jeep Elite avec un beau challenge à relever dès les quarts de finale face à Monaco, la nouvelle équipe dirigeante du club a été présentée ce mardi au Palais des Sports de Beaublanc. Le 18 mai, l’Assemblée Générale avait acté le nouveau directoire et le nouveau conseil de surveillance désormais présidé par Céline Forte.\\n\\n\\n\\n\\nAux côtés de son époux Frédéric Forte, président du club depuis 2004, tragiquement disparu le 31 décembre 2017, Céline Forte avait déjà largement contribué au redressement du CSP après le dépôt de bilan du 8 juillet 2004. Relégué en Nationale 1, le club avait alors su remonter les échelons jusqu’aux titres de Champion de France de Pro B en 2012 et ceux de Champions de France de Pro A en 2014 et 2015.\\n\\n\\nLa nouvelle équipe, forte de ses multiples compétences que ce soit dans le domaine sportif ou dans celui de l’entreprise, a désormais pour priorité de proposer au Limoges CSP un futur à la hauteur d’un passé qui l’a notamment vu offrir à la France son premier titre européen dans un sport collectif (Coupe d’Europe, en 1993).\\n\\n\\n«Ce moment est important pour nous tous», confie-t-elle.«Une nouvelle page du grand livre CSP s’ouvre. Nous aurons besoin de toutes les forces du club: son public avec ses fidèles supporters qui ont toujours joué un rôle déterminant, dans chaque victoire du CSP mais aussi dans chaque difficulté traversée; ses partenaires institutionnels ou privés, sans eux aucune perspective de développement n’est possible, ses bénévoles, le staff et les salariés du club bien évidemment. Nous voulons avancer et construire avec le respect de ce qu’est le club du Limoges CSP, de ses fondations, de ce qui fait aujourd’hui que chacun doit être fier de ce maillot, l’un des plus beau du sport français.»\\n\\n\\nOfficiellement en place depuis l’Assemblée générale du 18 mai, les membres du directoire ont néanmoins commencé leur travail. Que ce soit dans le domaine sportif avec la volonté de bâtir une équipe compétitive dès la saison prochaine, ou dans tous les aspects plus administratifs, financiers, marketing ou encore communication, les différents chantiers ont d’ores et déjà été lancés.\\n\\n\\nPour permettre au Limoges CSP d’ajouter de nouveaux chapitres à son histoire et continuer à faire vibrer, tout un club, toute une ville, toute une région et tout un pays.»\\n\\n\\n\\n\\nLES MEMBRES DU DIRECTOIRE :\\n\\n. Yves Martinez – Président\\n\\nFort d’une carrière internationale qui l’a vu parcourir le monde pour le groupe limougeaud Legrand, Yves Martinez présidera le nouveau directoire du club. Attaché au Limoges CSP depuis de très nombreuses années, toujours au plus près des entreprises de la région, ce grand dirigeant du monde professionnel aura pour vocation d’optimiser les compétences afin d’améliorer les performances du club dans tous les domaines.\\n\\n. Richard Dacoury – Vice-président\\n\\nAvec 18 saisons effectuées sous les couleurs du Limoges CSP, Richard Dacoury en est un des plus beaux étendards. Son expérience du très haut niveau sportif, mais aussi du monde de l’entreprise avec une riche carrière chez Coca-Cola constitueront de gros atouts pour le futur du club. Vice-président du directoire, il jouera également un rôle d’ambassadeur pour permettre au club de rayonner en France mais aussi au-delà des frontières.\\n\\n. Pierre Fargeaud – Directeur administratif, juridique et financier\\n\\nA 42 ans, il a choisi d’abandonner son métier d’avocat pour se consacrer pleinement au Limoges CSP. Il s’attachera à gérer toute la partie administrative, juridique et financière du club, rôle clé dans un contexte professionnel où les règlements, les lois et les contraintes du monde professionnel exigent aujourd’hui une grande rigueur.\\n\\n. Stéphane Ostrowski – Responsable des partenariats\\n\\nPrésent au club depuis près de 20 ans, d’abord sur le parquet avec une carrière exceptionnelle, puis auprès des partenaires, l’ancien international (193 sélections) poursuivra sa mission. Une mission qui depuis 12 ans lui a permis de créer un lien particulièrement fort auprès de nombreuses entreprises et institutions dont la fidélité est essentielle pour le développement du club.\\n\\n. Claude Bolotny – Responsable du centre de formation\\n\\nFigure emblématique du club depuis plus de 40 ans, celui que l’on a surnommé « le vieil Apache » aura un œil avisé sur le domaine sportif avec une attention particulière sur la formation, domaine où il a depuis de nombreuses années démontré toute son expertise.\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"La photo: La nouvelle direction du Limoges CSP" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’une conférence de presse est apparue cet après-midi la nouvelle direction du Limoges CSP.\\n\\nLes membres du directoire sont désormais Yves Martinez (Président), Richard Dacoury (Vice-président), Pierre Fargeaud (Directeur administratif, juridique et financier), Stéphane Ostrowski (Responsable des partenariats), Claude Bolotny (Responsable du centre de formation).\\n\\nPar ailleurs, Céline Forte a confirmé que le vice-champion olympique de Sydney, Crawford Palmer (ex-Chalon) était le nouveau directeur sportif du club alors que l’actuel coach François Péronnet bénéficie d’une prolongation de contrat de deux ans signée par... l’ancienne équipe.\\n\\n\\n\\n\\nCéline Forte : «@CrawfordPalmer3 va venir travailler avec nous comme directeur sportif. François Peronnet a signé une prolongation de deux ans en février 2019».\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) May 21, 2019\\n\\nPhoto: CSP\\n\\nPhoto: Limoges CSP" }, {"role": "user", "content":"Jonas Valanciunas: «Avec le maillot de la Lituanie sur les épaules, j’ai la chair de poule»" }, {"role": "assistant", "content":"Cela avait semblé marquer la fin d’une ère. Après sept années passées aux Raptors, Jonas Valanciunas a été échangé. Mais cet échange lui a été bénéfique, car il lui a permis de faire le plein de confiance avant un été chargé avec la Lituanie.\\n\\nL’intérieur de 27 ans a posé ses valises à Memphis, aidant les Grizzlies à reconstruire après le départ de Marc Gasol à Toronto. Et même s’il n’a joué que 19 matchs, le changement apparaît évident, Valanciunas affichant des moyennes de 19,9 points et 10,7 rebonds par match dans son nouveau club. Il donne l’impression de pouvoir devenir un joueur ’20-10 (points-rebonds)’ la saison prochaine. Plus important encore pour son équipe nationale, il se pourrait bien qu’il soit au sommet de sa forme lorsque la sélection lituanienne arrivera en Chine pour y disputer la Coupe du Monde FIBA 2019.\\n\\n« Tout joueur désireux d’avoir une belle carrière souhaite bénéficier de beaucoup de temps de jeu, toucher beaucoup de ballons. Avoir un rôle majeur pour son équipe. Ma situation après l’échange s’est avérée bonne pour moi, car les Grizzlies avaient l’habitude d’axer leur jeu vers l’intérieur. J’étais donc très heureux de me retrouver dans ce genre d’environnement, » commente Valanciunas au sujet de son nouveau club.\\n\\nCette nouvelle étape dans sa carrière lui rendra également de nombreux services à la Coupe du Monde. Le désormais très offensif joueur pourra pleinement s’exprimer si ses coéquipiers parviennent à le trouver sur le terrain en Asie.\\n\\n« (À Memphis), je me suis retrouvé plusieurs fois avec le ballon dans les mains lors des derniers instants d’un match, avec la responsabilité de faire les bons choix pour mon équipe. C’est dans des moments comme ça que tu apprends le plus. Pas quand tu regardes ça depuis le banc ou sur des vidéos faites par le staff de scouts, » explique-t-il.\\n\\nEn Chine, la Lituanie pourrait aligner l’un des duo d’intérieurs les plus impressionnants du tournoi. Domantas Sabonis a également réussi ses meilleures stats cette saison – sa 3e en NBA – tant aux points qu’aux rebonds et aux assists. Les deux compatriotes ont évolué côte à côte lors de deux matchs des Éliminatoires Zone Europe pour la Coupe du Monde FIBA 2019, la Lituanie s’imposant confortablement les deux fois.\\n\\n« Jouer avec Domantas était vraiment sympa. Même si sous le nouveau système nous n’avons eu qu’une semaine de préparation pour les deux matchs et que le format était plutôt inhabituel pour nous tous, je me réjouis de rejouer ensemble. Ce d’autant que cette fois, nous aurons un mois entier pour nous préparer et pour trouver notre équilibre, » indique Valanciunas.\\n\\nLa Lituanie se trouve dans le “groupe de la mort” à Dongguan, avec le Sénégal, l’Australie et le Canada, pays d’adoption de Valanciunas.\\n\\n« Ce match sera spécial, après avoir représenté durant tant d’années à Toronto le Canada en NBA. Mais en même temps, nous ferons de notre mieux pour botter les fesses des Canadiens ! », s’exclame-t-il en éclatant de rires. « J’ai énormément de respect pour Toronto, tant la ville que la franchise. Et pas seulement Toronto – je pense que les Raptors représentent le Canada dans son ensemble, les gens m’y ont très bien traité pendant ces 7 années. Après tout, c’est là-bas que ma carrière NBA a pris son envol. Je suis très reconnaissant pour tout, mais nous lutterons avec acharnement pour essayer de gagner ce match. »\\n\\nLa Lituanie devra également viser des victoires dans les deux autres matchs du groupe, contre le Sénégal et l’Australie.\\n\\n« Le groupe est très relevé, c’est le moins que l’on puisse dire. Tout le monde parle du Canada et de l’Australie, à raison. Ces équipes peuvent aligner des effectifs de haut niveau. Mais n’oublions pas le Sénégal. Il peut être extrêmement dangereux. Comme le dit notre coach Dainius Adomaitis, dans un groupe comme celui-ci, tu n’as pas le temps de chercher tes marques. Tu dois être au meilleur de ta forme dès le début. »\\n\\nLa motivation ne devra pas être un souci pour la Lituanie, pays où le basket règne en maître. Pour preuve : le pays balte n’a jamais manqué les JO depuis l’obtention de son indépendance au début des années 1990.\\n\\nLa route qui mène à Tokyo passe par la Chine et, avec les JO et l’héritage historique à l’esprit, les sentiments que l’équipe nationale inspirent en Valanciunas sont évidents. Peu importe quand et où vous lui en parlez.\\n\\n« À chaque fois que je pénètre sur le terrain avec le maillot de la Lituanie sur les épaules, j’ai la chair de poule. Cela a toujours été comme ça et j’espère que ça restera ainsi,” déclare-t-il. “Jouer en équipe nationale est pour moi la plus belle reconnaissance, comme joueur et comme personne. Je suis un patriote, avoir la chance de jouer pour mon pays donne un certain sens à ma vie. »\\n\\nEn Chine, la Lituanie tentera de décrocher une 3e participation aux demi-finales de la Coupe du Monde consécutive. Elle a pris le 3e rang de l’édition 2010 en Turquie et le 4e de celle de 2014 en Espagne. Leur bilan dans les Éliminatoires Zone Europe (11-1) démontre, s’il le fallait encore, que les Lituaniens sont prêts à aller chercher une place sur le podium en 2019.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Un record de spectateurs sur la saison à 3 769 à Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne annonce une moyenne de spectateurs de 3 769 pour la saison régulière, ce qui constitue un record depuis l’agrandissement de la Halle André-Vacheresse à 5000 places en 2011. Le club de la Loire est en tête de Pro B à une journée de la fin.\\n\\nLe précédent record datait de la saison 2013/14, la dernière en Pro A, avec 3 465 spectateurs en moyenne.\\n\\n« Depuis l’arrivée de Laurent Pluvy en 2016, le public était revenu avec une affluence moyenne de près de 3 200 spectateurs, au niveau des années Pro A 2011/2013. Ce regain d’intérêt faisait suite à la désaffection post relégation, qui s’était matérialisée par des affluences moyenne de 2 700 spectateurs de 2014 à 2016 », indique le club.\\n\\nLes derbies contre Saint-Chamond et Vichy-Clermont ont rempli la Halle alors que les rencontres face à Orléans (4 500) et Nancy (4 400) ont également enregistré de très bonnes affluences.\\n\\nPhoto: Chorale Roanne" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde : Comment supporter l’équipe de France en Chine" }, {"role": "assistant", "content":"Gate-One Voyages et la FFBB organisent le voyage supporters pour pour suivre l’Équipe de France durant la Coupe du Monde FIBA en Chine.\\n\\nQuatre séjours sont proposés:\\n\\n› Séjour 1er Tour Shenzhen du 30 août au 6 septembre\\n› Séjour Semaine Shenzhen (1er Tour + 1 match USA) du 30 août au 9 septembre\\n› Séjour Shenzhen / Nanjing (1er et 2ème Tours) du 30 août au 10 septembre\\n› Séjour Shenzhen / Nanjing / Shanghai (1er Tour à 1/4) du 30 août au 12 septembre\\n› Séjour Nankin / Shanghai (2ème Tour et 1/4) du 5 septembre au 12 septembre\\n› Séjour Beijing du 11 septembre au 16 septembre\\n\\nPlus d’infos en téléchargeant la plaquette (cliquer ici) ou en vous rendant sur le site de Gate One (cliquer ici)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Voir la finale de l’Euroleague au ralenti" }, {"role": "assistant", "content":"Le solo motion ou ralenti est toujours impressionnant en sport et plus particulièrement au basket. Voici un résumé de la finale de l’Euroleague entre le CSKA Moscou et Anadolu Efes Istanbul avec ce procédé." }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe: Turquie, petite cuvée" }, {"role": "assistant", "content":"Certes, la ligue BSL, le championnat turc de première division, n’est pas la meilleure place pour jouer au basket lorsque l’on a 21 ans ou moins. Mais la situation n’est pas si noire qu’elle pourrait le sembler.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPas forcément réputée pour être un championnat qui laisse beaucoup de place aux jeunes joueurs du cru, la ligue BSL turque n’est effectivement pas une terre très accueillante pour les basketteurs de 21 ans et moins. Certes, lorsque l’on examine le nombre de joueurs étant entrés au moins une fois sur le parquet, on constate que la BSL se classe au 4e rang des grands championnats européens avec 41 joueurs dans ce cas (d’après le site de la BSL, on pourrait même en relever 42, mais nous avons du mal à croire que le Darussafaka ait pu faire jouer 7’30 à un certain Demir Demir, né le 29 janvier 2006, soit 13 ans au moment du match où il aurait marqué 2 points ! Et ce d’autant plus que le club a dans ses rangs un certain Berk Demir, né en 1995, qui serait entré en jeu à tous les matchs (pour presque 9 mn/match et 3,12 points) sauf à celui où son hypothétique petit frère a « joué »...).\\n\\nMais les choses se gâtent lorsque l’on s’intéresse uniquement aux U21 ayant passé un tant soit peu de temps de manière régulière sur le parquet, à savoir au moins 5 minutes de moyenne sur au moins 7 matchs (stats arrêtées au soir de la 24e journée) : dans ce cas de figure, ils ne sont plus que 16 à être concernés (dont 11 jouant plus de 10 mn/match), soit le 5e meilleur total de notre étude.\\n\\nDans ces seize U21, un seul est étranger (c’est même le seul U21 à être entré en jeu), le Bulgare Yordan Dinkov Michev (1998, Istanbul BBSK). Quant aux très jeunes joueurs, nés en 2000 ou après, ils ne sont que deux à arpenter régulièrement le parquet (sur 14 entrés au moins une fois en jeu), Efe Ergi Tirpanci (2000, Fenerbahce, 9 matchs, 6,3 mn, 2,2 pts, 2,7 d’éval) et Huseyin Cevirgen (2000, Sakarya, 10 matchs, 11,2 mn, 2,9 pts, 3,2 d’éval). Autant dire que les clubs de BSL font surtout appel à des joueurs déjà expérimentés, de 20 ans et plus (et il est à noter que trois clubs, le Galatasaray, TT Ankara et le Bahcesehir Koleji Istanbul, n’ont fait jouer aucun U21).\\n\\nQuel est l’apport de ces 16 U21 ? Globalement, assez moyen : ils marquent 4,09 pts et produisent 3,91 d’évaluation en 11,9 minutes. S’il s’agit là de la 3e moyenne de points de notre étude (derrière la Lituanie et l’Espagne), cinq championnats font « mieux » en matière d’évaluation et la BSL prend la 5e place en termes de temps de jeu.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLe tableau ne s’éclaircit guère lorsque l’on regarde le cinq majeur des U21 de BSL. Si l’on peut saluer le fait qu’une aussi grosse écurie que l’Anadolu Efes – quand même qualifiée pour le Final Four de l’Euroleague ! – ait un joueur faisant partie de ce cinq majeur, Onuralp Bitim, on constate qu’un seul de ces jeunes passe plus de 20 mn/match sur le terrain (Alp Karahan). En outre, si ce dernier produit 8,7 points et 7,0 d’évaluation, il est un peu l’arbre qui cache la forêt, le rendement moyen de ce cinq majeur figurant parmi les plus faibles de notre étude : 6,14 points (5e de l’étude) et 5,82 d’éval (7e) en 16,7 minutes (6e).\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\nClub\\nNat.\\nAnn.\\nM.\\nMin.\\nPts\\nEval.\\n\\n\\nOnuralp Bitim\\n3\\nAnadolu Efes\\nTurquie\\n1999\\n10\\n11,4\\n6\\n5,2\\n\\n\\nBerkan Durmaz\\n4\\nTofas Bursa\\nTurquie\\n1997\\n24\\n12,1\\n4,2\\n5,7\\n\\n\\nRidvan Oncel\\n2\\nBanvit\\nTurquie\\n1997\\n22\\n19\\n6,1\\n4,8\\n\\n\\nYordan Dinkov Michev\\n3\\nIstanbul BBSK\\nBulgarie\\n1998\\n21\\n15,3\\n5,7\\n6,4\\n\\n\\nAlp Karahan\\n2\\nSakarya\\nTurquie\\n1998\\n19\\n25,5\\n8,7\\n7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMoyenne\\n\\n1997,80\\n19,20\\n16,66\\n6,14\\n5,82\\n\\n\\n\\n\\nEn conclusion\\n\\nPour autant, y a-t-il de quoi faire grise mine pour la BSL ? Peut-être un peu moins que ce que tous ces chiffres peuvent laisser croire. En effet, si Banvit (8e au classement du championnat turc) et Sakarya (dernier) font régulièrement jouer trois U21, des clubs de haut de classement comme l’Anadolu Efes et le Fener donnent du temps de jeu à deux joueurs chacun, ce qui n’a rien d’anodin pour des équipes à l’effectif aussi dense (comprenant chacun une quinzaine de joueurs pro). De sorte qu’il est permis de penser que, si la BSL ne produit pas énormément de jeunes joueurs, elle va en produire suffisamment de très bonne qualité pour assurer la relève en équipe nationale. Ce qui est déjà un moindre mal.\\n\\n[armelse]\\n\\nPas forcément réputée pour être un championnat qui laisse beaucoup de place aux jeunes joueurs du cru, la ligue BSL turque n’est effectivement pas une « terre » très accueillante pour les basketteurs de 21 ans et moins. Certes, lorsque l’on examine le nombre de joueurs étant entrés au moins une fois sur le parquet, on constate que la BSL se classe au 4e rang des grands championnats européens avec 41 joueurs dans ce cas (d’après le site de la BSL, on pourrait même en relever 42, mais nous avons du mal à croire que le Darussafaka ait pu faire jouer 7’30 à un certain Demir Demir, né le 29 janvier 2006, soit 13 ans au moment du match où il aurait marqué 2 points ! Et ce d’autant plus que le club a dans ses rangs un certain Berk Demir, né en 1995, qui serait entré en jeu à tous les matchs (pour presque 9 mn/match et 3,12 points) sauf à celui où son hypothétique petit frère a « joué »...).\\n\\nMais les choses se gâtent lorsque l’on s’intéresse uniquement aux U21 ayant passé un tant soit peu de temps de manière régulière sur le parquet\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Alp Karahan" }, {"role": "user", "content":"LNB: Un point sur les compétitions des espoirs" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket a envoyé un communiqué qui fait le point sur les compétitions des espoirs (saison régulière, Trophée du Futur, Trophée Coupe de France) et aussi sur le Camp LNB. Le voici." }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U16: 14 joueurs retenus pour deux matches en Allemagne" }, {"role": "assistant", "content":"Quatorze joueurs U16 ont été retenus pour participer du 22 au 29 juin prochain à l’OFAJ (Office Franco-Allemand de la Jeunesse) à Grünheide (Allemagne) avec deux matches contre le pays hôte.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nBAL\\nAdama\\n1,92m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n2,14m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nBENITEZ\\nElian\\n1,70m\\nJL Bourg\\n\\n\\nDE SOUSA\\nNathan\\n1,82m\\nCholet Basket\\n\\n\\nDESSERT\\nBrice\\n2,07m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nDIENG\\nOusmane\\n2,00m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nKASIAMA\\nKenny\\n2,01m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nLLAURY\\nThomas\\n1,92m\\nCholet Basket\\n\\n\\nMIENANDI\\nHugo\\n2,00m\\nLe Mans SB\\n\\n\\nRAYNAUD\\nMaxime\\n2,10m\\nSC Charenton Basket\\n\\n\\nSHAHRVIN\\nEnzo\\n2,00m\\nEB Pau-Lacq-Orthez\\n\\n\\nTRAORE\\nArmel\\n1,96m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nTRAORE\\nYohan\\n2.04m\\nPôle France Basket\\n\\n\\nWEMBANYAMA\\nVictor\\n2.15m\\nJSF Nanterre\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\nAssistants : David Gallois et Eric Kehlhoffner\\n\\nDu 22 au 29 juin : OFAJ à Grünheide (Allemagne)\\nDimanche 26 juin à 17h30 : France – Allemagne\\nMardi 28 juin à 17h30 : France – Allemagne" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: L’élection du meilleur 6e homme de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket et son partenaire DLSI organisent l’élection du meilleur sixième homme de la saison. Six candidats ont été retenus et ce sont les internautes qui doivent faire le choix.\\n\\nVous pouvez voter ICI.\\n\\nAlain KOFFI (Gravelines-Dunkerque)\\n\\n9,7 PTS / 5,3 REB / 12,4 EVAL\\n\\nÉlu DLSIxièmeHomme à 2 reprises lors des J12 et J16\\n\\nEric BUCKNER (Monaco)\\n\\n9,5 PTS / 4,2 REB / 11,9 EVAL\\n\\nDavid MICHINEAU (Levallois)\\n\\n10,1 PTS / 2,6 REB / 9,1 EVAL\\n\\nÉlu DLSIxièmeHomme à 2 reprises lors des J24 et J26\\n\\nMyles HESSON (Gravelines-Dunkerque)\\n\\n9,5 PTS / 4,1 REB / 9,5 EVAL\\n\\n Beijing\\n * Groupe B -> Wuhan\\n * Groupe C -> Guangzhou\\n * Groupe D -> Foshan\\n * Groupe E -> Shanghai\\n * Groupe F -> Nanjing\\n * Groupe G -> Shenzhen\\n * Groupe H -> Dongguan\\n\\nCliquez ici pour de plus amples informations sur le système de compétition de la Coupe du Monde FIBA 2019.\\n\\nLe tirage au sort officiel sera diffusé en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA." }, {"role": "user", "content":"Interview Mickael Mokongo (Poissy) : «Un bon projet en N2 ou N1 pour boucler la boucle»" }, {"role": "assistant", "content":"Meilleur espoir de Pro A en 2005, Mickael Mokongo (1,80m, 32 ans) est aujourd’hui en Nationale 2, à Poissy.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue faites-vous aujourd’hui ?\\n\\nJ’ai repris au mois de novembre avec le Poissy Basket, en Nationale 2. J’ai signé jusqu’à la fin de la saison mais je dispose d’une clause dans mon contrat me permettant de quitter le club à tout moment si j’ai une meilleure option. Le but c’était, après une longue période d’absence suite à ma blessure à la coupe d’Afrique, de reprendre dans un niveau un peu bas pour retrouver des sensations et reprendre confiance en moi sur mon genou. C’est ce que je suis en train de faire, mais mon ambition c’est d’essayer d’aller chercher quelque chose un peu plus haut. En parallèle de tout ça je passe mon diplôme d’entraîneur, le BPJEPS.\\n\\nComment vous sentez-vous physiquement ?\\n\\nJe me sens bien, j’ai eu le feu vert du médecin, je n’ai aucun problème particulier.\\n\\nQue voyez-vous pour la suite, toujours des ambitions de Pro B ou Jeep Elite ?\\n\\nMon objectif n’est plus du tout d’essayer de rejouer en Pro B ou en Jeep Elite parce que je suis plus près de la fin de ma carrière que du début. Je prépare aussi ma reconversion donc ça me prend vachement de temps. Le plus important pour moi aujourd’hui c’est de trouver un bon projet soit dans un club bien structuré en Nationale 2 ou alors en Nationale 1. Mais ça ne sera pas plus haut parce que j’aurai besoin de temps pour continuer à bosser à côté sur ma reconversion et sur tout ce que j’essaye de faire en Afrique. J’essaye de développer mon camp de basket là-bas.\\n\\nQuel est le but de ce diplôme de coach ?\\n\\nCe qui m’intéresse le plus c’est de travailler sur les fondamentaux, perfectionner les jeunes qui ont envie de progresser sur le jeu techniquement. Que ce soit sur les appuis, sur le shoot, sur le dribble, sur la lecture du pick and roll. Toutes ces choses-là. Je ne veux pas vraiment entraîner, je suis plus dans le perfectionnement individuel.\\n\\n« Le but c’est de développer les jeunes talents africains parce que je pense qu’il y a énormément de bons joueurs en Afrique qui ont juste besoin d’un encadrement »\\n\\nVous cherchez à faire quelque chose à la Joseph Gomis ?\\n\\nOui c’est un peu ça. Pour ma part, j’ai envie de travailler plus en Afrique dans un premier temps et après on verra comment ça se passe. Le but c’est d’essayer de travailler avec les jeunes talents là-bas. Je suis allé en Afrique l’été dernier, au Sénégal et en Centrafrique. Le but c’est de développer les jeunes talents africains parce que je pense qu’il y a énormément de bons joueurs en Afrique qui ont juste besoin d’un encadrement. Ça m’intéresse beaucoup de faire ça de cette façon parce qu’en France il y a déjà beaucoup de personnes qui font ce que je suis en train d’essayer de faire donc le faire sur mon continent je pense que ça serait plus intéressant.\\n\\nQuand vous vous êtes blessé au genou, ce fut une période compliquée ?\\n\\nJ’ai eu deux grandes blessures dans ma carrière, là c’était plutôt un nettoyage articulaire. Ce n’est pas une blessure dont j’ai eu du mal à me remettre, j’ai connu des blessures plus dur à gérer. Le plus important c’était d’être patient et de faire les choses correctement. Ça faisait un petit moment que j’étais prêt à rejouer avant de signer à Poissy, c’est juste que je n’ai pas trouvé de contrat tout de suite.\\n\\nVous avez connu beaucoup de clubs, presque un par an, comment expliquez-vous cela ?\\n\\nCe n’est jamais facile de rester longtemps dans un club pour plusieurs raisons. Que ce soit un changement d’entraîneur, l’offre qui n’est pas à la hauteur financièrement, le manque de la famille... J’ai quand même pu rester quelque temps à Chalon, je suis aussi resté quelques années à Monaco, j’en suis d’ailleurs parti parce que j’étais blessé. Sans cela, j’aurais pu rester parce que j’avais un contrat de longue durée avec le club. Il y a beaucoup de paramètres, mais je ne regrette pas du tout parce que j’ai quand même joué dans des bons championnats, des championnats intéressants. Mais maintenant c’est sûr qu’à mon âge, pour finir, le plus intéressant c’est de trouver un projet en Nationale 2 ou Nationale 1 sur deux ou trois ans pour boucler la boucle.\\n\\nVous vous donnez cette deadline ?\\n\\nOui, je me vois jouer encore deux ou trois ans.\\n\\nPour parler un peu de l’équipe nationale, vous n’étiez pas présent lors des dernières fenêtres de qualification pour la coupe du Monde. C’est un choix de votre part ?\\n\\nIl y a plusieurs raisons. Comme je m’étais blessé la dernière fois que j’y suis allé et que je venais de reprendre avec mon club, je ne voulais pas précipiter les choses et je voulais me concentrer avec mon équipe. En plus, les choses ne sont pas toujours bien organisées et structurées donc je n’ai pas forcément voulu trop prendre de risques.\\n\\nAvez-vous toujours l’envie de jouer pour la Centrafrique ou pensez-vous que c’est terminé ?\\n\\nJ’ai toujours envie de jouer pour mon pays, mais ça dépend toujours de la structure et de comment c’est organisé. Ça dépend toujours de ces paramètres, mais si les choses sont bien en place, bien sûr que j’aimerais finir sur une dernière campagne. Une coupe d’Afrique ça serait l’idéal.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue faites-vous aujourd’hui ?\\n\\nJ’ai repris au mois de novembre avec le Poissy Basket, en Nationale 2. J’ai signé jusqu’à la fin de la saison mais je dispose d’une clause dans mon contrat me permettant de quitter le club à tout moment si j’ai une meilleure option. Le but c’était, après une longue période d’absence suite à ma blessure à la coupe d’Afrique, de reprendre dans un niveau un peu bas pour retrouver des sensations et reprendre confiance en moi sur mon genou. C’est ce que je suis en train de faire, mais mon ambition c’est d’essayer d’aller chercher quelque chose un peu plus haut. En parallèle de tout ça je passe mon diplôme d’entraîneur, le BPJEPS.\\n\\nComment vous sentez-vous physiquement ?\\n\\nJe me sens bien, j’ai eu le feu vert du médecin, je n’ai aucun problème particulier.\\n\\nQue voyez-vous pour la suite, toujours des ambitions de Pro B ou Jeep Elite ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : JL Bourg et FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Deux billets pour la France pour la saison 2019-20" }, {"role": "assistant", "content":"Hier, les représentants de l’ULEB et de ligues nationales (Biélorussie, Estonie, Kazakhstan, Lettonie, Pologne, Russie, Bosnie, Croatie, Monténégro, Serbie, Slovénie, Allemagne, Espagne, France, Grèce, Israël, Italie, Lituanie) se sont réunis à Barcelone.\\n\\nIl a été notamment confirmé que l’EuroLeague comptera 18 équipes pour la saison 2019-2020. Des équipes de quatre ligues nationales auront un accès direct à la compétition (Ligue Adriatique, Ligue Allemande, Ligue Espagnole et VTB League), rejoignant 11 clubs licenciés (Anadolu Efes Istanbul, CSKA Moscou, AX Armani Exchange Olimpia Milan, FC Barcelone Lassa, Fenerbahce Beko Istanbul, KIROLBET Baskonia Vitoria-Gasteiz, Maccabi FOX Tel Aviv, Olympiacos Le Pirée, Panathinaikos OPAP Athènes, Real Madrid et Zalgiris Kaunas), le nouveau champion de l’EuroCup ainsi que deux wild cards pour le FC Bayern Munich et LDLC ASVEL Villeurbanne. Ces équipes participeront à la première édition avec 18 équipes.\\n\\nL’accès proposé pour l’EuroCup à 24 équipes mettra en course trois clubs de la Ligue ABA, de la VTB League et de l’Espagne; deux originaires d’Allemagne, de France, d’Italie et de Turquie, un de Grèce, de Lituanie et de Pologne, et un soit de Belgique, d’Israël ou des Pays-Bas; plus trois jokers. Toutes les propositions seront présentées au Directoire des actionnaires de ECA et soumises à l’approbation officielle lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires de ECA.\\n\\nCette saison, la France était représentée par Limoges, Monaco et Villeurbanne." }, {"role": "user", "content":"Belgique: Anvers et Pierre-Antoine Gillet (ex-Chalon) qualifiés pour les quarts-de-finale de BCL" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa victoire surprise en finale de la Coupe de Belgique face à Ostende, Anvers a réussi un autre exploit. Grâce à leur succès à l’aller en Belgique, 75-67, les Giants se sont qualifiés pour les quarts de finale de la Champions League en limitant leur défaite à Murcie à un point (78-77). Murcie est actuellement à la traîne dans le championnat espagnol pointant à la 17e place sur 18 équipes.\\n\\nLes meilleurs marqueurs anversois ont été Tyler Kalinoski (16 points), Ismael Bako (15 points) et Paris Lee (14).\\n\\nL’équipe de Roel Moors jouera les quarts de finale contre les Russes Nizhny Novgorod, match aller le 26 mars en Russie et le retour le 2 avril à Anvers.\\n\\nUn autre Belge s’est qualifié pour ces quarts-de-finale, l’ancien Chalonnais Pierre-Antoine Gillet (2,06m, 27 ans), qui porte désormais le maillot de Iberostar Tenerife. L’équipe espagnole a battu Patras de 22 points (79 à 57) après avoir perdu de 12 points en Grèce (69-57). Le Liégeois a joué 14 minutes pour marquer 3 points et capter 4 rebonds.\\n\\nHabituellement, les productions de Pierre-Antoine Gillet sont de meilleures qualités puisqu’il tourne à 7,6 points (43,2% à trois-points) et 3,9 rebonds en 17′ en BCL.\\n\\nPhoto: Pierre-Antoine Gillet (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Olympiakos refuse de jouer contre le Pana et la menace de quitter la Ligue se précise" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le journal grec Live Sport, l’Olympiacos a contacté des responsables de la Ligue Adriatique afin d’obtenir des informations sur les règles et les conditions pour rejoindre la ligue à partir de la saison prochaine. Kresimir Novosel, PDG de la ligue ABA a confirmé à Yannis Psarakis de Live Sport que les Reds avaient eu des discussions préliminaires avec elle.\\n\\n«C’est vrai que l’Olympiacos nous a contactés. Nous avons été informés de l’intérêt de rejoindre notre ligue, qui a été formalisée avec la lettre que nous avons reçue. Le club grec a demandé à être informé du fonctionnement de la Ligue, de la composition de ses actionnaires, des règles de concurrence et des autres caractéristiques de notre Ligue », a déclaré au journal Kresimir Novosel\\n\\nUn peu plus tard dans la journée, après que le comité central d’arbitrage ait annoncé le nom des trois arbitres grecs (Koromilas, Karakatsounis, Papapetrou) pour le prochain match de championnat entre l’Olympiacos et le Panathinaikos, prévu pour dimanche, l’Olympiakos a confirmé qu’il ne le jouerait pas puisque la ligue n’a pas accédé à son souhait de faire appel à des arbitres étrangers.\\n\\nLe Panathinaïkos s’est fermement opposé à la demande de l’Olympiacos lors de la récente réunion du conseil de la ligue et a accusé hier les Reds de faire du « chantage » tout en étant un « navire en perdition » qui tente de brutaliser le reste de la ligue. En raison d’exigences similaires dans la ligue de football grecque, des arbitres non grecs sont nommés lors de grands matchs de football. Donc, cette pratique n’est pas étrangère au pays, même s’il est inhabituel que les règles de la ligue changent en milieu de saison.\\n\\nSi l’Olympiakos quittait la Ligue grecque ce serait évidemment une catastrophe pour la crédibilité de celle-ci." }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Mathias Lessort (Malaga) cartonne face à Berlin, en vain" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son équipe de Unicaja Malaga a été éliminée par l’Alba Berlin en quarts-de-finale de l’Eurocup, Matthias Lessort a cartonné hier soir: 18 points à 7/8 aux tirs, 6 rebonds pour 29 d’évaluation.\\n\\nSur l’ensemble des deux matches, cela donne 15,7 points à 80%, 6 rebonds, 1,7 contre, 1,3 interception pour 24,7 d’évaluation en 23 minutes.\\n\\nAprès ce qu’il a démontré lors des qualifications, Mathias Lessort est un candidat sérieux à la Coupe du monde en Chine.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Avant le tirage au sort, la France à la Coupe du Monde en chiffres" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort pour la Coupe du Monde FIBA 2019 a lieu samedi, le 16 mars, en Chine. La France tête de série après une brillante campagne de qualification va bientôt connaitre ses adversaires. Pour patienter, quelques chiffres marquants sur l’histoire des Bleus lors de la compétition.\\n\\n0\\n\\nJamais les Bleus n’ont concédé plus de 100 points sur aucun de leurs 55 matches joués lors d’une coupe du monde. Un record. Un marqueur de l’identité défensive d’excellence du pays.\\n\\n3\\n\\nTroisième est le meilleur classement jamais obtenus par les Français dans la compétition. Les coéquipiers de Boris Diaw ont remporté le bronze en 2014 lors de l’édition en Espagne, sans Tony Parker. Son plus mauvais classement a été la 13e place, en 1986 et en 2010.\\n\\n4\\n\\nPour la quatrième fois de suite, l’équipe de France se qualifie pour la coupe du monde. Il s’agit de la plus longue série de l’histoire des Bleus dans l’épreuve.\\n\\n8\\n\\nIl s’agit de la huitième participation de la France à l’épreuve. 1950, 1954, 1963, 1986, 2006, 2010, 2014, 2019.\\n\\n13,3\\n\\nL’écart moyen entre les points marqués (78,1) et encaissés (64,8) par les Bleus lors de leurs 12 matches de qualification pour la coupe du monde 2019.\\n\\n21,7\\n\\nLa moyenne de passes décisives par match pour l’équipe de France lors de la campagne de qualification pour la coupe du monde 2019, la meilleure en Europe.\\n\\n23\\n\\nAvec 23 interceptions lors de la campagne de qualification pour la coupe du monde 2019, Paul Lacombe et Andrew Albicy sont les Européens leaders au nombre de ballons volés sur la campagne.\\n\\n24\\n\\nLe plus grand nombre de matches à la coupe du monde joué par un Bleu, record détenu par Boris Diaw et Mickael Gelabale.\\n\\n50,9\\n\\nLe pourcentage de victoires de la France à la coupe du monde. 28 victoires, 27 défaites.\\n\\n55\\n\\nLe nombre de matches disputés par la France à la coupe du monde\\n\\n64,5\\n\\nMoyenne de points marqués par les Bleus à la coupe du monde. Chiffre à relativiser car lors de la première édition en 1950, les Bleus tournaient à 38,8 points de moyenne en 6 matches !\\n\\n66,1\\n\\nMoyenne de points encaissés par les Bleus à la coupe du monde. Il s’agit de la meilleure défense pour les équipes européennes qui ont participé à au moins 10 rencontres dans leur histoire.\\n\\n83,3\\n\\nPourcentage de matches gagnés (10/12) par l’équipe de France lors des qualifications pour la coupe du monde 2019.\\n\\n241\\n\\nLe plus grand nombre de points marqués à la coupe du monde par un Bleu, record détenu par Boris Diaw.\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Quarts de finale Basketball Champions League : Nanterre, notre dernier représentant encore en lice" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’élimination du Mans, en BCL, et de Villeurbanne, en Eurocup, Nanterre devient le seul représentant français en coupe d’Europe et rencontrera la Virtus Bologne en quarts-de-finale de la Champions League. Ce ne sera pas coton puisque les Italiens viennent de sortir les Manceaux sans ménagement et bénéficieront de l’avantage de la salle au retour.\\n\\nA noter que le champion en titre, l’AEK Athènes, est toujours en course malgré sa courte défaite à domicile et que Iberostar Tenerife a renversé la vapeur face à Patras.\\n\\nLes quarts de finale se dérouleront les 26 mars et 3 avril.\\n\\nHuitièmes de finale :\\n\\nBesiktas Sompo Japon – Nanterre 92 119-130 (59-68, 60-62)\\n\\nUmana Reyer Venezia – Nijni Novgorod 156-161 (72-95, 84-66)\\n\\nBanvit – Brose Bamberg 164-169 (79-81, 85-88)\\n\\nAEK – PAOK 146-138 (84-75, 62-63)\\n\\nHapoel Bank Yahav Jérusalem – Neptunas Klaipeda 170-138 (86-74, 84-64)\\n\\nIberostar Tenerife – Promitheas Patras 136-126 (57-69, 79-57)\\n\\nSegafredo Virtus Bologne – Le Mans 155-132 (74-74, 81-58)\\n\\nUCAM Murcia – Telenet Giants Antwerp 145-152 (67-75, 78-77)\\n\\nQuarts de finale:\\n\\nHapoel Bank Yahav Jérusalem – Iberostar Tenerife\\n\\nNizhny Novgorod – Telenet Giants Anvers\\n\\nNanterre 92 – Segafredo Virtus Bologne\\n\\nBrose Bamberg – AEK Athènes\\n\\nPhoto: Haukur Palsson (Nanterre, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Bourg: Zack Wright out pour le reste de la saison !" }, {"role": "assistant", "content":"Coup (très) dur pour la JL Bourg. Son meneur Zack Wright (1,88m) qui, était absent pour les matches contre Dijon et Antibes, a subi à Lyon des examens qui ont démontré qu’il souffre d’une hernie discale. L’Américano-Bosnien sera opéré lundi prochain.\\n\\nZack Wright est l’un des principaux responsables de la belle saison de la JL Bourg prouvant une fois de plus qu’il a un don d’ubiquité (10,1 points, 5,0 rebonds, 6,2 passes, 16,4 d’évaluation). Le club est à la recherche d’un pigiste médical. A 34 ans, cela signifie peut-être une fin de carrière pour l’ancien joueur de Chalon, Le Mans, Limoges, Monaco et Strasbourg, qui est devenu un personnage apprécié de la Jeep Elite.\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"FIBA Europe Cup: Au stade des quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Aucun club français n’a participé cette saison à la FIBA Europe Cup qui en est arrivée aux quarts-de-finale avec sept pays représentés, sachant que seule l’Italie a encore deux équipes dans la compétition.\\n\\nVoici l’ordre des quarts-de-finale qui se disputeront suivant la formule des matches allers-retours. La première manche se tiendra le 20 mars et la deuxième une semaine plus tard.\\n\\nAlba Fehervar (HUN) v UNET Holon (ISR)\\nDinamo Sassari (ITA) v Pinar Karsiyaka (TUR)\\ns.Oliver Wurzburg (GER) v Bakken Bears (DEN)\\nPallacanestro Varese (ITA) v Filou Oostende (BEL)\\n\\nPhoto: Yannick Desiron (Ostende, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Une première demi-finale européenne pour Lattes-Montpellier" }, {"role": "assistant", "content":"Lattes-Montpellier va disputer la première demi-finale européenne de son histoire. Après sa large victoire dans les Ardennes (75-91), personne n’en doutait. Le BLMA a récidivé hier soir face aux Flammes (67-58) qui ne se sont pas laissées marcher sur les pieds cette fois.\\n\\nLa solidité défensive affichée par son équipe a plu au coach belge Thibaut Petit comme le rapporte Le Midi Libre:\\n\\n« C’est une satisfaction, le contrat a été atteint à ce niveau, même si on a encaissé un 10-0 dès le début du deuxième quart et un 8-0 au troisième. En revanche, on n’a pas été assez efficace en attaque. »\\n\\nSi le BLMA n’a shooté qu’à 40,6%, il a pu compter sur Samantha Whitcomb (18 points, 4/9 à trois-points) à l’extérieur et Helena Ciak (14 points, 7/10 aux tirs plus 7 rebonds) à l’intérieur pour faire avancer ses pions. Avec 16 points, Sara Chevaugeon a été la top-scoreuse du côté de Charleville.\\n\\nPhoto: Ana Dabovic (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Joueur du banc au Panathinaikos, Adreian Payne en renfort à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Eliminée de l’Eurocup et sans grandes ressources dans la peinture suite à la blessure d’Alpha Kaba et l’éviction d’Alexis Ajinça, l’ASVEL se renforce avec l’arrivée de l’ailier-fort Adreian Payne (2,08m, 28 ans).\\n\\nSorti de Michigan State et drafté au premier tour de la NBA par Atlanta en 2014, Adreian Payne a joué 107 matches dans la ligue américaine dans un rôle mineur (4,0 points, 2,9 rebonds). Il a fréquenté ensuite la Chine, aux Nanjing Monkey Kings, et ces deux dernières saisons le Panathinakos mais là aussi en étant très peu utilisé: 4,6 points et 2,9 rebonds au cumul de 20 matches d’Euroleague et du championnat grec.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=cGDim7jgjsk" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Andorre sort l’ASVEL en quart-de-finale, 80-82" }, {"role": "assistant", "content":"AJ Slaughter a eu la balle de match au buzzer mais son shoot à trois-points a heurté l’arceau. L’ASVEL est éliminée de l’Eurocup par Andorre, 1 manche à 2.\\n\\nUn panier au buzzer de Dylan Ennis avait donné huit points d’avance aux Andorrans à la mi-temps (39-48) prouvant que les Villeurbannais n’avaient pas retrouvé leurs vertus défensives qui ont longtemps fait leur force cette saison. Tout avait pourtant bien commencé pour l’ASVEL qui menait 19-9, mais Andorre augmenta alors son intensité faisant tomber l’adresse française à 39% avec 7 balles perdues. De l’autre côté du terrain, Jerome Jordan avait inscris 12 points.\\n\\nAvec un David Lighty très actif et en profitant à fond de son cinq majeur performant, l’ASVEL retrouvait tous ses sens et passait en tête à 56-55 (25e). Mais trois tirs à trois-points en fin de quart-temps, notamment dus au laxisme de AJ Slaughter, permettaient aux Andorrans de mener 61-67 à la 30e.\\n\\nVilleurbanne revenait au score et le dernier quart-temps était haletant. Une cinquième faute était sifflée à Miro Bilan, le meilleur joueur de l’ASVEL de la soirée (19 points, 8 rebonds). Dylan Ennis scorait en un-contre-un et donnait l’avantage à Andorre, 80-81. Mantas Kalnietis loupait un tir à trois-points mais sur l’action suivante Moussa Diagne se faisait une entorse à la cheville. L’ASVEL pouvait passer devant sur une pénétration de Charles Kahudi, qui s’ouvrait le chemin du cercle mais le capitaine en mettait un peu trop sur sa main gauche. Andrew Albicy ne transformait qu’un seul de ses deux lancers ce qui permettait à Villeurbanne d’avoir le ballon de la gagne. Zvezdan Mitrovic faisait entrer en jeu AJ Slaughter, bien pâle jusque là (2 points). Après une série de dribbles et une passe l’Américano-polonais trouvait enfin l’ouverture pour un shoot. Pour rien...\\n\\nAndorre rencontrera l’Alba Berlin en demi-finale avec un match d’appui éventuel en Allemagne.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Dylan Ennis et Miro Bilan (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"BCL: Le Mans éliminé par Bologne après sa lourde défaite en Italie, 81-58" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans n’a jamais été en course lors de ce match retour de huitièmes de finale de Basketball Champions League perdant tout espoir de qualification puisque les deux équipes avaient été à égalité à l’aller (74-74).\\n\\nA la mi-temps, la messe était déjà dite puisque le MSB était mené 43-25. La défense oppressante des Italiens avaient contraint les Manceaux à 30,3% de réussite aux shoots soit deux fois moins que leurs adversaires, 50,8%. Le nouvel arrivant, Kendrick Ray avait ainsi à peu près tout loupé (1/8 aux tirs).\\n\\nLa Virtus n’a pas lâché sa proie dans la deuxième période de vingt minutes. Antoine Eito, Jonathan Tabu, Richard Hendrix, Cameron Clark et Kendrick Ray ont cumulé un très vilain 5/28 aux shoots.\\n\\nBologne affrontera Nanterre en quarts-de-finale.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Antoine Eito (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"USA-Espagne en préparation à la Coupe du monde, à Anaheim, le 16 août" }, {"role": "assistant", "content":"Les Etats-Unis ont choisi l’Espagne comme seul adversaire sur leur sol avant le championnat du monde en Chine et ce match de préparation se tiendra au Honda Center d’Anaheim, le 16 août prochain.\\n\\nA ce jour, Gregg Popovich et son staff ont établi une pré-sélection de 35 joueurs.\\n\\nPhoto: Stephen Curry (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\nPoste\\nTaille\\nPoids\\nAge\\nEquipe\\n\\n\\n\\n\\nHarrison Barnes\\nF\\n2,04\\n102\\n25\\nKings\\n\\n\\nBradley Beal\\nG\\n1,95\\n94\\n24\\nWizards\\n\\n\\nDevin Booker\\nG\\n1,98\\n95\\n21\\nSuns\\n\\n\\nJimmy Butler\\nG\\n2,01\\n108\\n28\\nSixers\\n\\n\\nMike Conley Jr.\\nG\\n1,86\\n80\\n30\\nGrizzlies\\n\\n\\nDeMarcus Cousins\\nC\\n2,11\\n125\\n27\\nWarriors\\n\\n\\nStephen Curry\\nG\\n1,90\\n86\\n30\\nWarriors\\n\\n\\nAnthony Davis\\nF/C\\n2,08\\n117\\n25\\nPelicans\\n\\n\\nDeMar DeRozan\\nG\\n2,01\\n100\\n28\\nSpurs\\n\\n\\nAndre Drummond\\nC\\n2,11\\n120\\n24\\nPistons\\n\\n\\nKevin Durant\\nG\\n2,07\\n100\\n29\\nWarriors\\n\\n\\nPaul George\\nF/G\\n2,06\\n100\\n27\\nThunder\\n\\n\\nEric Gordon\\nG\\n1,92\\n97\\n29\\nRockets\\n\\n\\nDraymond Green\\nF\\n2,01\\n105\\n28\\nWarriors\\n\\n\\nBlake Griffin\\nF\\n2,08\\n116\\n29\\nPistons\\n\\n\\nJames Harden\\nG\\n1,95\\n100\\n28\\nRockets\\n\\n\\nTobias Harris\\nF\\n2,06\\n108\\n25\\nSixers\\n\\n\\nGordon Hayward\\nF\\n2,04\\n103\\n28\\nCeltics\\n\\n\\nKyrie Irving\\nG\\n1,90\\n87\\n26\\nCeltics\\n\\n\\nLeBron James\\nF\\n2,04\\n115\\n33\\nCavaliers\\n\\n\\nDeAndre Jordan\\nC\\n2,11\\n122\\n29\\nKnicks\\n\\n\\nKawhi Leonard\\nF\\n2,01\\n105\\n26\\nRaptors\\n\\n\\nDamian Lillard\\nG\\n1,90\\n88\\n27\\nBlazers\\n\\n\\nKevin Love\\nF\\n2,10\\n116\\n29\\nCavaliers\\n\\n\\nKyle Lowry\\nG\\n1,83\\n92\\n32\\nRaptors\\n\\n\\nCJ McCollum\\nG\\n1,90\\n85\\n26\\nBlazers\\n\\n\\nKhris Middleton\\nF\\n2,04\\n107\\n26\\nBucks\\n\\n\\nVictor Oladipo\\nG\\n1,92\\n95\\n25\\nPacers\\n\\n\\nChris Paul\\nG\\n1,83\\n78\\n32\\nRockets\\n\\n\\nIsaiah Thomas\\nG\\n1,77\\n81\\n29\\nNuggets\\n\\n\\nKlay Thompson\\nG\\n2,01\\n97\\n28\\nWarriors\\n\\n\\nMyles Turner\\nC\\n2,10\\n116\\n22\\nPacers\\n\\n\\nKemba Walker\\nG\\n1,85\\n82\\n27\\nHornets\\n\\n\\nJohn Wall\\nG\\n1,92\\n95\\n27\\nWizards\\n\\n\\nRussell Westbrook\\nG\\n1,90\\n90\\n29\\nThunder\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Vivre de l’intérieur la qualification de Nanterre aux quarts-de-finale de la Basketball Champions League" }, {"role": "assistant", "content":"Ce reportage de 7’30 réalisé par le club permet de vivre de l’intérieur la qualification de Nanterre 92 pour les quarts-de-finale de la Basketball Champions League.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"D’après le site emarketing.fr, 80% des médias utilisent l’appellation Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"Les ventes de Jeep ont quadruplé entre 2009 et 2016 et sur le site emarketing.fr. Guillaume Defoulounoux, directeur ventes et marketing de Jeep France, explique pourquoi la marque s’est associée avec la Ligue Nationale de Basket et a donné son nom au championnat de première division, ex-Pro A.\\n\\n« Notre histoire avec le basket avait déjà commencé par la NBA et les Detroit Pistons. Avec cette discipline, nous nous retrouvons sur certains points : liberté, authenticité, aventure, passion et origine américaine. »\\n\\nEmarketing.fr indique que quatre médias sur cinq reprennent aujourd’hui le terme Jeep Elite quand il parle du championnat.\\n\\n« La marque automobile peut se réjouir des nombreuses retombées induites, qui se traduisent par un ROI de 6,6 sur la période février-juin 2018. De par son envergure, une audience basket puissante (14 millions de fans, mais aussi 2,5 millions de joueurs loisirs et 668 312 licenciés en France) dégageant une image sympathique et dynamique, la balle orange est une formidable caisse de résonance pour Jeep. »En France, la marque est passée de 2 300 ventes en 2013 à 15 000 en 2008, soit une hausse de 23% vis à vis de 2017.\\n\\n« Nous ne sommes qu’au début du chapitre, mais nous avons déjà beaucoup avancé en notoriété. De nombreuses opérations, notamment drive-to-store, verront le jour cette année pour poursuivre sur notre lancée. Car notre objectif à terme est bien d’augmenter les passages en concession », explique Guillaume Defoulounoux.\\n\\n*Un ROI est un acronyme utilisé pour le terme anglais « Return On Investment » ou retour sur investissement en français. Le ROI s’exprime souvent de façon un peu simpliste à l’aide du chiffre d’affaires généré (exemple: 1€ investi a rapporté 5€ de chiffre d’affaires)." }, {"role": "user", "content":"Avant le tirage au sort, la Coupe du monde en chiffres" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort pour la coupe du Monde FIBA 2019 de basket a lieu samedi, le 16 mars, en Chine. La France tête de série après une brillante campagne de qualification va bientôt connaitre ses adversaires. Pour patienter, quelques chiffres marquants sur l’histoire de la compétition.\\n\\n1\\n\\nLes Etats-Unis, vainqueurs en 2010 et 2014, vont tenter de devenir la première équipe de l’histoire à remporter la compétition trois fois d’affilée. Le Brésil (1959 et 1963) et la Yougoslavie (1998 et 2002) n’y sont pas parvenus.\\n\\n2\\n\\nLe nombre de pays qualifiés qui vont participer à leur première coupe du monde : République Tchèque et Monténégro. Il s’agit aussi du nombre de pays qui ont participé aux 18 éditions : Etats-Unis et Brésil.\\n\\n3\\n\\nTroisième fois que la coupe du monde se tient en Asie, après l’édition aux Philippines (1978) et celle au Japon (2006).\\n\\n4\\n\\nPlus grand nombre de victoires à la coupe du monde pour un même pays, record partagé entre les Etats-Unis (1954, 1986, 1994, 2010, 2014) et l’ex-Yougoslavie (1970, 1978, 1990, 1998, 2002).\\n\\n6\\n\\nLe nombre de pays à avoir remporté l’épreuve. Etats-Unis et ex-Yougoslavie (5), ex-Union Soviétique (3), Brésil (2), Argentine (1), Espagne (1).\\n\\n8\\n\\nLe nombre d’équipes qui ont réussi une compétition parfaite sans perdre le moindre match. L’Argentine en 1950, les Etats-Unis en 1954, 1994, 2010 et 2014, le Brésil en 1963, la Yougoslavie en 1978 et l’Espagne en 2006.\\n\\n14\\n\\nLe nombre de participations à la coupe du monde pour Canada et Porto-Rico. Il s’agit du plus grand nombre de participations à l’épreuve sans l’avoir remportée.\\n\\n18\\n\\nLe nombre d’éditions de la coupe du monde disputées depuis 1950.\\n\\n32\\n\\nNombre d’équipe engagées dans cette édition 2019, le plus grand de l’histoire de la compétition. C’est en 1986 en Espagne que la Coupe du monde avait accueilli pour la première fois 24 équipes.\\n\\n52\\n\\nLe nombre d’années depuis la dernière participation de la Pologne (1967) à la coupe du monde. Il s’agit de la plus longue période d’attente entre deux participations pour tous les participants à l’édition 2019.\\n\\n54\\n\\nNombre de points marqués par la Coréen Jae Hur contre l’Egypte le 18 octobre 1990, record de points marqués sur un match.\\n\\n92\\n\\nPlus gros écart de points sur un match de la coupe du monde, en 1974, quand l’Union Soviétique a battu la République de Centrafrique sur le score de 140-48.\\n\\n337\\n\\nLe nombre de points marqués par le Grec Nikos Galis sur l’édition 1986, record pour une coupe du monde.\\n\\n573\\n\\nLe nombre de points marqués à la coupe du monde par l’Argentin Luis Scola, en 33 matches. Avec 22 points de plus, Scola deviendra le deuxième meilleur marqueur de l’histoire de la compétition devant Andrew Gaze l’Australien (594 en 29 matches).\\n\\n906\\n\\nLe nombre de points marqués par le Brésilien Oscar Schmidt à la coupe du monde, record absolu. Le tout en 34 matches.\\n\\n1 000\\n\\nSeules deux équipes sont parvenues à marquer au moins 1 000 points sur une coupe du monde. Les Etats-Unis en 1978 (1 033) et l’Union Soviétique en 1986 (1 044)\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le Mans: Terry Tarpey de nouveau sur le flan pour un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Pour Terry Tarpey (1,96m, 25 ans), 2019 ressemble à 2018. Victime l’an dernier d’une grosse contusion osseuse au genou qui l’avait privé de playoffs puis aux ischios et aux cervicales, le Franco-Américain avait vu son rendement sérieusement chuter (de 10,7 à 6,7 à l’évaluation). Cette fois c’est une déchirure du quadriceps qui lui interdit toute pratique sportive.\\n\\n« Situé dans la loge antérieure de la cuisse, le muscle le plus volumineux du corps humain supporte en grande partie le poids du corps. Nouveau coup dur pour Terry Tarpey. Physique et moral, » indique Ouest France.\\n\\nTerry Tarpey ne sera évidemment pas présent ce soir à Bologne pour le huitième de finale retour de BCL et devrait être absent un bon mois.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"En Direct avec David Andersen (Strasbourg) : «Le meilleur exemple dont je me souviens en étant jeune c’est Antoine Rigaudeau»" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en France deux ans après son dernier passage à Strasbourg, David Andersen (2,13m, 38 ans) revient à Strasbourg un club qu’il connait bien pour avoir porté le maillot de la SIG lors de la saison 2013/14. Triple champion d’Euroleague, passé par le CSKA Moscou, Barcelone, Bologne, Houston ou encore le Fenerbahce, le pivot australien répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne pense pas m’en souvenir vraiment, mais c’était en Australie. Je ne peux même pas dire contre qui c’était ou même si nous avions gagné ou pas car c’était il y a très longtemps maintenant... C’est dur de s’en rappeler. (Nldr, David Andersen a commencé sa carrière en 1998 aux Wollongong Hawks).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y a beaucoup de joueurs qui m’ont aidé à travers les années mais le meilleur exemple dont je me souviens en étant jeune c’est Antoine Rigaudeau. J’ai joué avec lui au Kinder Bologna et j’ai beaucoup appris à ses côtés. C’est un mec qui ne parle pas beaucoup, mais qui est un exemple pour une équipe. Il essayait toujours d’être dur, de jouer dur. C’était un exemple pour moi.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJ’ai toujours aimé Hakeem Olajuwon. Il était pour moi l’un des meilleurs joueurs au poste. Il n’était pas hyper musculeux, il ne dominait pas parce qu’il était très puissant, mais il avait une technique incroyable. Il avait un fade-away, il avait du touché, il avait des moves au poste bas en plus d’être un très bon défenseur. Il était vraiment ce à quoi je voulais ressembler. Malheureusement je ne l’ai jamais rencontré. Je l’ai vu à un match des Houston Rockets, mais je ne l’ai jamais rencontré personnellement.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJ’ai croisé beaucoup de bons coachs. De Brian Goorjian et Brett Brown en Australie, à Ettore Messina en Italie. De tous, je dirais sans doute que Messina est celui qui m’a donné le plus parce que nous avons gagné beaucoup de trophées durant nos six ou sept années passées ensemble. C’était un coach dur, c’était très dur de jouer pour lui à l’époque, mais après j’ai réfléchi et je me suis rendu compte qu’il m’a apporté de la concentration et il m’a permis de passer au niveau supérieur.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nLes blessures, bien sûr. Pour moi, la pire ça a surement été de me casser la cheville contre le Real Madrid en janvier 2006. Nous jouions à Madrid, nous étions en train de gagner et je crois que nous avons gagné à la fin (ndlr, victoire du CSKA Moscou 80-71, David Andersen compilait 15 points et 3 rebonds pour une évaluation de 14 en 35 minutes), j’ai été poussé par plusieurs joueurs alors que j’étais en l’air et je me suis tordu la cheville. Ça a marqué la fin de ma saison et j’ai dû travailler dur pour me remettre de cette blessure.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nJe pense aux Jeux Olympiques, c’est vraiment une aventure particulière, mais je dirais plutôt gagner l’Euroleague après m’être cassé la cheville. Je me suis cassé la cheville et un an après nous avons remporté le titre à Madrid, en 2008. C’était spécial pour moi. Nous avons battu le Maccabi Tel-Aviv, j’ai beaucoup joué et j’ai été utile à l’équipe donc pour moi c’est marquant parce que je revenais de blessure et j’ai pu prouver aux gens que j’allais bien. Gagner l’Euroleague avec le CSKA c’est un grand sentiment. C’était un gros accomplissement.\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nJe pense le titre d’Euroleague 2008 justement. Il y en a un autre à mentionner quand même, le Grand Chelem réalisé en Italie lors de ma deuxième année en Europe, en 2000/01. Avec Manu Ginobili, Marko Jaric, Rashard Griffith et Antoine Rigaudeau, nous avons remporté la Coupe d’Italie, le championnat italien et l’Euroleague.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nEn Europe, je dirais Manu Ginobili. L’année où il est venu et où il a été élu MVP il commençait déjà à faire des choses incroyables. En Italie il a élevé son niveau de jeu, mais il est resté la même personne, il n’a pas changé et il nous a beaucoup aidé. Et j’ai beaucoup appris de lui aussi.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nJe vais parler de joueurs que j’ai rencontrés en Europe parce qu’aux Etats-Unis c’est différent. Je dirais Pau Gasol, j’ai joué contre lui pas mal de fois, son jeu n’a cessé d’évolué, il est complet et très difficile à défendre. Je pense aussi à Luis Scola. On s’est livré de nombreuses batailles en Europe.\\n\\nLe match qui vous a le plus marqué :\\n\\nJe pense au match de demi-finale d’Euroleague en 2009 à Berlin contre le CSKA Moscou alors que je jouais pour Barcelone. Je me souviens avoir fait un bon match même si malheureusement nous avons perdu (ndlr, défaite 82-78 et David Andersen a enregistré 24 points, 4 rebonds, 2 passes et 27 d’éval). Je me souviens aussi du match pour le titre à Madrid contre le Maccabi en 2008 (ndlr, 13 points et 5 rebonds). Plus récemment, je me souviens du match pour la médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Rio en 2016. Nous avons perdu seulement d’un point contre l’Espagne, c’était un match incroyable, j’ai eu une plutôt bonne contribution et nous étions à rien de battre l’Espagne pour la première médaille australienne (ndlr, défaite 89-88 et 15 points, 5 rebonds, 3 passes et 18 d’évaluation pour Andersen).\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJe l’ai déjà un peu fait avec le fadeaway de Hakeem Olajuwon ! Je pense aussi aux shoots de Dirk Nowitzki. Ce sont pour moi de très gros shoots sur lesquels il est très dur de défendre si tu les marques. C’est ce que je voulais ajouter à mon jeu, je me suis beaucoup entraîné pour. Certains coachs n’aiment pas ça parce que les pourcentages ne sont pas forcément bons, mais pour moi ce sont des bons shoots.\\n\\nPourquoi le numéro 13 :\\n\\nCe chiffre a toujours été vu comme portant malchance pour les gens superstitieux. Sauf que je ne crois pas en tout ça et j’ai donc choisi le chiffre dont tout le monde parle comme été porteur de malchance. Et pour moi, il a plutôt été bénéfique. J’ai toujours été fier et heureux de porter ce numéro.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nOuh... J’ai beaucoup d’amis... Les années passent et ça change, avec des nouveaux coéquipiers, nouvelles équipes... C’est impossible pour moi d’en choisir un.\\n\\nSi vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nChris Paul au poste 1, j’ai joué avec lui à New Orleans, en poste 2 je prendrais mon ami Rigaudeau, Ginobili au poste 3, je me mets au poste 4 et je prendrais mon pote Andrew Bogut au poste 5.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nSurement Barcelone. C’est une superbe ville, on peut tout y faire. C’est au bord de la mer, il y a de très bons restaurants, des bars à tapas, c’est international, il y a des boites de nuit, des cafés, il y a tout.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nJ’essaye de jouer de plus en plus au golf mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai beaucoup joué aux jeux vidéo sur ordinateur, mais plus maintenant en raison de ma famille. J’aime bien sortir avec mes amis, aller manger et passer du bon temps. Je suis un garçon discret, j’aime passer beaucoup de temps chez moi à me reposer.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nJe n’ai jamais pensé à ça auparavant... Peut-être l’horloge des 24 secondes. Je raccourcirais le temps pour que le jeu aille plus vite et nous force à prendre des décisions plus vite.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe pense que je serais maçon en Australie. Avant de prendre sa retraite mon père construisait des maisons. Il a arrêté et mon frère a pris le relais et je pense que j’aurais fait la même chose.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe ne sais pas... (soupir) J’ai une ferme en Australie (rires)... Peut-être que j’irai prendre en main quelques business là-bas mais je ne suis pas encore sûr pour l’instant. Beaucoup de gens me demandent de me tourner vers le coaching, mais je ne sais pas car c’est une vie difficile d’être coach.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne pense pas m’en souvenir vraiment, mais c’était en Australie. Je ne peux même pas dire contre qui c’était ou même si nous avions gagné ou pas car c’était il y a très longtemps maintenant... C’est dur de s’en rappeler. (Nldr, David Andersen a commencé sa carrière en 1998 aux Wollongong Hawks)\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y a beaucoup de joueurs qui m’ont aidé à travers les années mais le meilleur exemple dont je me souviens en étant jeune c’est Antoine Rigaudeau. J’ai joué avec lui au Kinder Bologna et j’ai beaucoup appris à ses côtés. C’est un mec qui ne parle pas beaucoup, mais qui est un exemple pour une équipe. Il essayait toujours d’être dur, de jouer dur. C’était un exemple pour moi.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Philippe Gigon/FIBA/Euroleague" }, {"role": "user", "content":"L’ancien Limougeaud Jerome Allen risque dix ans de prison" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien meneur du Limoges CSP, Jerome Allen (saisons 1997-99), âgé aujourd’hui de 46 ans, est dans la tourmente. Il a reconnu lors d’un procès au pénal fédéral avoir accepté environ 300 000 dollars de pots-de-vin versés par un homme d’affaires de Floride afin d’aider le fils de celui-ci à entrer à Pennsylvania avec une place dans l’équipe de basket dont il était le coach. Il risque dix ans de prison.\\n\\nJerome Allen a derrière lui une longue carrière en Europe à Ulker Istanbul, Virtus Rome, Vitoria, Udine, Saint-Pétersbourg, Naples et encore au PAOK Salonique. Il a ensuite été coach à Pennsylvania et assistant aux Boston Celtics." }, {"role": "user", "content":"Amar’e Stoudemire va obtenir le passeport israélien et veut jouer pour l’équipe nationale" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot de l’Hapoel Jérusalem Amar’e Stoudemire (2,08m, 36 ans) va obtenir la citoyenneté israélienne. C’est le ministre israélien de l’Intérieur, Aryeh Deri, qui a pris cette décision. Le sextuple all-star NBA avait souhaité se rendre en terre sainte après avoir appris qu’il avait des racines juives et il s’est converti ensuite au judaïsme.\\n\\n« La contribution d’Amar’e au sport israélien est indiscutable », a déclaré Deri dans une annonce officielle. «Il est l’un des plus grands athlètes à avoir jamais joué en Israël et il souhaite connecter son destin à Israël. Par conséquent, j’ai décidé d’utiliser mon autorité conformément à la règle de citoyenneté et de lui donner le statut de citoyen israélien. Je souhaite à Stoudemire de continuer sur sa lancée et d’apporter de la joie aux amateurs de basket-ball en Israël, en particulier à ceux de Hapoel Jerusalem. «\\n\\nSelon des sources israéliennes d’Eurohoops, Stoudemire souhaite faire partie de l’équipe nationale israélienne. Comme il a déjà joué avec l’équipe des États-Unis dans des tournois majeurs notamment aux Jeux olympiques de 2004, il doit d’abord obtenir un passe-droit de la part de la FIBA.\\n\\nPhoto: Amare Stoudemire avec Shimon Peres" }, {"role": "user", "content":"Laurent Pluvy (Roanne): «Une large victoire c’est sympa pour tout le monde, mais il ne faut pas se leurrer...»" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne a repris la tête de la Pro B, à égalité de points avec Orléans, grâce à son large succès (90-63) hier soir sur Nantes. Cinq joueurs de la Chorale ont marqué entre 12 et 17 points et obtenu entre 13 et 20 à l’évaluation. De quoi satisfaire le coach Laurent Pluvy qui s’est exprimé en conférence de presse:\\n\\n«Ça aide quand on rentre dans un match dans les bonnes dispositions. Il faut retrouver les vertus qu’on avait la saison passée, du don de soi, de la cohésion, pour compenser ce manque avec l’absence de Ferdi (Prénom) sur le rebond et le point de fixation. Il faut qu’on trouve d’autres armes, ça va prendre un peu de temps peut-être. Il va falloir faire beaucoup plus en équipe. Une large victoire c’est sympa pour tout le monde, mais il ne faut pas se leurrer face à Nantes sans Davis et Ekperigin. Quand les équipes sont au complet, c’est moins évident. On avait besoin de retrouver de la vie. Je suis très content de Pierre (Brun), il a donné le ton dès le début de match. Il nous lance bien. Alexis (Tanghe) avait de la réserve avec son dos, après plus d’une semaine sans s’entrainer. On a fait les efforts en équipe pour compenser l’absence de Ferdi. Sans lui, on rentre dans le rang. On pourra pas la compenser cette absence au plus vite, les équipes de Jeep Elite ne vont pas nous donner leurs joueurs comme ça, et encore plus sur un poste 5 français. On prendra un joueur quand on aura la possibilité si on l’a, mais on fait avec nos armes. Si on doit faire comme ça jusqu’au bout on fera comme ça jusqu’au bout. En enchainant les matchs, il faut pas se leurrer, ce sera difficile. Mais ça ne nous empêche pas d’être ambitieux : on va tenter de finir premiers, on de jouer les Playoffs. On ne vas surtout pas baisser les bras. On n’a plus à se poser de questions. Ce groupe a toujours tout donné jusqu’au bout, avec ses moyens. Ils ont de la qualité et une grosse cohésion.»\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Kevin Séraphin en grande forme" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-six joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nKevin Séraphin dominateur\\n\\nFace à Augusto Lima qui n’est pas le premier venu, Kevin Séraphin a été dominateur pour une sortie à 17 points en 18 minutes dans la victoire du Barça. En pleine forme, le pivot tricolore a une dimension physique supérieure en Europe. Et ça se sent à l’impact !\\n\\nAvec 17 points, il signe sa 3e meilleure performance de la saison, et la 2e sur ses 3 dernières journées. Encore inconstant d’un match à l’autre, Séraphin a une sacrée fin de saison à jouer avec le Barça en Liga comme en Euroleague. Il faudra tenir le choc...\\n\\n\\nMam Jaiteh surnage dans un naufrage\\n\\nSi ça continue de marcher fort individuellement pour Mam Jaiteh, à 15 points et 6 rebonds, son club de Turin a encaissé une nouvelle défaite face à Brindisi. C’est la 12e défaite que connait le jeune Français depuis son arrivée en Italie (pour 4 victoires seulement). Avec un 6e match en double figure, Jaiteh fait en tout cas ce qu’il peut pour arrêter cette série noire...\\n\\n\\nDéfaite rageante pour Bologne\\n\\nÇa ne va pas très fort pour Bologne non plus en Lega, sur 4 défaites en 5 matchs... Le club d’Amath M’Baye s’est incliné sur le fil contre Cantu ce week-end, pour un 3e revers de rang (96-94). M’Baye a pourtant été très bon pour la Virtus avec 13 points et des tirs importants pour revenir au score dans la fin de match.\\n\\n\\nLéo Westermann en solide titulaire\\n\\nFace à Rytas qui est en plein playoffs EuroCup, le Zalgiris Kaunas a fait l’écart en 2e mi-temps pour s’imposer largement. Mais ne vous fiez pas au score, la 1ère mi-temps a été accrochée et les hommes de Jasikevicius ont dû batailler pour reprendre les commandes du match.\\n\\nLéo Westermann a été excellent dans son rôle de titulaire. Il a encore été très adroit à trois points pour 14 points, 5 passes et 2 rebonds. Sur ses 5 derniers matchs de championnat, Westermann tourne à 14 points et 4 passes, complètement revenu de sa saison malheureuse du côté de Moscou.\\n\\n\\nPodgorica sans trembler\\n\\nPour son retour à Sremska Mitrovica, Goga Bitadze voulait frapper fort. Mission accomplie puisque le pivot géorgien a réussi 22 points, 8 rebonds, 3 contres dans la victoire de Podgorica (77-70). A ses côtés, Edwin Jackson termine parmi les 4 joueurs en double figure, avec 12 points et 4 rebonds.\\n\\nEn face, Adam Mokoka continue de souffrir en adresse, avec 6 points à 3/13 aux tirs. Le jeune Français était bien revenu après son absence sur blessure la semaine passée, avec 15 points mais ce weekend, la défense supérieure du Buducnost l’a ramené sur terre.\\n\\n\\nLanding Sané à 5 contres\\n\\nAvec 7 points, 5 rebonds, 5 contres, 2 passes et 1 interception, pour 21 d’évaluation en 18 minutes, Landing Sané a été parfait dans son rôle, établissant pour le coup un nouveau record au contre. Son équipe de Mornar Bar s’est imposé contre le FMP Belgrade (79-69) et Sané a tout simplement réussi son meilleur match depuis deux mois.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 17 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 18 minutes(victoire 97-88 face à Burgos)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 13 points (4/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 89-65 face à Murcia)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 9 points (2/7 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 87-69 face à San Sebastian)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 8 points (3/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 2 balles perdues en 18 minutes (victoire 83-74 face à Badalone)\\n\\nNobel Boungou-colo (Badalone) : 7 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 22 minutes (défaite 83-74 face au Real)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception en 28 minutes (victoire 90-86 face à Tenerife)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 2 points (1/4 aux tirs), 8 rebonds, 3 contres, 2 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 27 minutes (victoire 90-72 face à Lugo)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 2 points (1/5 aux tirs), 7 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 17 minutes (victoire 97-88 face à Burgos)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 0 point (0/5 aux tirs), 5 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 89-88 face à Fuenlabrada)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 3 points (1/4 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 20 minutes (défaite 81-75 face à Rhodes)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/1 aux tirs), 1 rebond en 7 minutes (victoire 81-76 face à Lavrio)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 2 points (1/3 aux tirs), 3 interceptions, 2 passes en 21 minutes (victoire 107-74 face à Galil)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 15 points (7/8 aux tirs), 6 rebonds, 3 balles perdues en 21 minutes (défaite 96-89 face à Brindisi)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 13 points (4/11 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 interception en 32 minutes (défaite 96-94 face à Cantu)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 14 points (5/8 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 1 interception en 21 minutes (victoire 85-59 face à Vilnius)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 5 balles perdues en 25 minutes (victoire 77-70 face au Mega)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 7 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 5 contres, 3 passes, 1 interception en 18 minutes (victoire 79-69 face au FMP)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 16 points (6/13 aux tirs), 8 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 94-80 face au Legia Varsovie)\\n\\n\\nRussie\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : pas de match\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 6 points (3/13 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes (défaite 77-70 face à Podgorica)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (1/5 aux tirs), 6 rebonds, 4 passes, 1 contre en 22 minutes (victoire 67-57 face à Aleksandrovac)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 8 points, 3 passes, 2 contres, 1 rebond en 31 minutes (victoire 84-76 face à Turk Telekom)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Vincent Poirier et Mam Jaiteh à 34 d’éval’ !\\n\\nCrédits photo : ACB\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nKevin Séraphin dominateur\\n\\nFace à Augusto Lima qui n’est pas le premier venu, Kevin Séraphin a été dominateur pour une sortie à 17 points en 18 minutes dans la victoire du Barça. En pleine forme, le pivot tricolore a une dimension physique supérieure en Europe. Et ça se sent à l’impact !\\n\\nAvec 17 points, il signe sa 3e meilleure\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"BCL: Vainqueur de Besiktas, 62-60, Nanterre se qualifie pour les quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une salle du Besiktas peu remplie, juste animée par un kop vigoureux et avec la présence dans les gradins de son ancien joueur Adrien Moerman, Nanterre 92 s’est qualifié pour les quarts-de-finale de la Champions League en battant une deuxième fois l’équipe turque (60-62), ce qui lui donne un avantage de onze points sur l’ensemble des deux rencontres (130-119).\\n\\nCinquième du championnat turc, Beiktas était privé de Jason Rich et de l’Allemand Robin Benzing et n’a pas su contenir en première mi-temps Jeremy Senglin (18 points au total). S’ils n’ont marqué que 8 paniers à trois-points (c’est plus que les 5 turcs) en 24 tentatives, les hommes de Pascal Donnadieu ont pu compter sur leurs deux intérieurs américains pour être compétitifs dans la peinture. Demetrius Treadwell a assuré 10 rebonds en plus de ses 6 points et Julian Gamble 5 points, 5 rebonds et 4 passes. L’Islandais Haukur Palsson a cumulé 11 points et 5 rebonds et s’est fait remarquer par sa hargne dans le money time et il a aussi converti 3 lancers sur 4.\\n\\nNanterre rencontrera en quarts-de-finale le vainqueur du match Bologne-Le Mans qui se déroulera demain.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Jeremy Senglin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le portrait de Jean-Baptiste Maille, le meneur de Rouen" }, {"role": "assistant", "content":"A la découverte de Captain America, alias Jean-Baptiste Maille (1,90m, 25 ans), le meneur de jeu du Rouen Métropole Basket." }, {"role": "user", "content":"Italie: Reggio Emilia piste Alexis Ajinça" }, {"role": "assistant", "content":"Grissin Bon Reggio Emilia cherche un joueur communautaire athlétique. Aussi après avoir écarté la possibilité d’enrôler le Grec Dimitris Mavroeidis, le club italien est selon nos informations sur la piste de Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans), qui vient d’effectuer un court séjour à l’ASVEL (6,0 points et 3,2 rebonds en 6 matches de Jeep Elite).\\n\\nAvec 5 victoires et 16 défaites, Reggio Emilia est actuellement 15e sur 16 de Serie A1 et donc sérieusement menacé par une relégation.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Jean-Denys Choulet: «Je n’ai pas un mauvais moral du tout...»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que l’Elan Chalon, par la voix de son président Dominique Juillot, a annoncé hier officiellement qu’il ne sera plus le coach du club la saison prochaine, Jean-Denys Choulet a écris ce matin un message sur sa page facebook pour expliquer quel est à l’heure actuelle son état d’esprit.\\n\\n« Bonjour à tous.\\nJe voudrais par ce petit message remercier toutes les personnes qui ont une pensée pour moi en ces jours.\\nJe n’ai pas un mauvais moral du tout et même si je ne serai plus à Chalon la saison prochaine j’ai a cœur de finir cette saison le mieux possible.\\nCette une décision partagée et non pas un renvoi... J’ai passé de très bons moments dans ce club et j’espère en passer encore pendant quelques mois.\\nJe ne ferai pas d’autres commentaires il y a un joueur à trouver un maintien à obtenir et une saison à terminer.... Le reste n’a pas grande importance.... J’aime le basket.... J’aime mon métier.. J’aime travailler dans la confiance et dans la bonne humeur.... J’aime partager de bons moments avec mes joueurs et j’aime aussi me bagarrer dans l’adversité...\\nJe vous demande juste de soutenir cette équipe qui traverse quelques moments délicats mais qui n’ à jamais lâchée quoique ce soit..\\nLes joueurs sont à l’écoute du coach il y a du travail aux entraînements personne ne lâche seulement l’effectif est un peu juste en ce moment et certains ont un petit coup de moins bien... Cela fait partie de la vie d’une équipe de haut niveau... Nous ferons tout et moi le premier pour maintenir Chalon dans le haut niveau du Basket Français.... Après la vie reprendra son cours et il est sur que si je reviens à Chalon cela ne sera pas du même côté du banc.. 😊 Mais je vous remercie tous pour vos messages et vous savez que je me battrai jusqu’au bout sans aucun calcul et avec le plus grand professionnalisme... J’ai au moins cette qualité et ce respect du métier. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"N1: Le CEP Lorient accepte un retrait de trois points" }, {"role": "assistant", "content":"C’est confirmé: après un ultime recours infructueux auprès du CNOSF, le CEP Lorient a accepté les décisions de la commission de contrôle et de gestion, puis de la chambre d’appel de la FFBB pour des manquements constatés dans la gestion du club en 2017/2018. Le club breton est condamné à 1 500 euros d’amende et à un retrait de trois points.\\n\\nLorient tombe ainsi de la 9e à la 12e place au classement de la première phase du championnat de Nationale 1 et sera ainsi intégré à la poule de relégation (playdowns). Le CEP retrouvera GET Vosges, Andrézieux, Récy Saint-Martin, Aubenas, Tarbes et le Centre Fédéral, qui statutairement ne peut pas descendre alors que Brissac, qui a déposé son bilan, est hors circuit. Les Bretons démarreront cette deuxième phase avec une pénalité de deux points." }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet): «Je cherche un joueur, mais il n’y en a pas...»" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré une réaction choletaise en fin de match, la JDA Dijon s’est imposée dans le Maine-et-Loire sur un score étriquée, 61-66. Le pivot dijonnais Gavin Ware a pris une part prépondérante dans ce succès avec 17 points et 9 rebonds.\\n\\n« Fatigué, on est vraiment fatigué après un match comme ça. Une équipe comme ça c’est très fort en transition. Oui, c’est une grosse victoire et à l’extérieur en plus. Obi et Abdou.. hm.. sont des Africains (rire) non, je suis content pour eux, car ils ont bien joué ce soir et ils méritent ça, » a t-il déclaré en conférence de presse parlant de Obi Emegano (14 points) et Abdoulaye Loum (10 points, 6 rebonds).\\n\\nLe coach Laurent Legname a apprécié la performance de son équipe.\\n\\n« Une victoire arrachée peut-être pas quand même, mais on n’a pas su se mettre à l’abri avant. Dans l’ensemble du match, on a quand même plutôt maîtrisé ce match. J’avais demandé qu’on retrouve notre défense et on a plutôt bien réussi. On a été plutôt cohérent. Il faut mettre au crédit de Cholet une plus grosse agressivité en deuxième mi-temps. Ce que je retiens, c’est qu’on a battu Cholet chez eux, mais avec ces paniers faciles manqués, on aurait eu un plus gros écart. On reste dans le bon côté même si on sait que c’est très serré, chaque match va être une finale pour tout le monde. »\\n\\nQuant à son homologue de Cholet Basket, Erman Kunter, il estime que les lacunes de son équipes sont un peu partout !\\n\\n« Depuis la fin de la trêve, déjà, on ne s’entraîne pas bien. Mais cette semaine vraiment, on n’était pas bien. Le problème, c’est qu’on prend l’eau partout, mais à chaque match l’intérieur adverse nous fait très mal. Quand tu regardes les stats les extérieurs ont a fait le job, Holston seulement 5 points, Julien 0 point. Aujourd’hui, on a un problème à la mène, (London) Perrantes, il ne fait pas un bon match, on a essayé avec Killian (Hayes), mais lui non plus. Aujourd’hui, il nous manque des renforts. Je cherche un joueur, mais il n’y en a pas. Le problème, c’est qu’on a besoin de beaucoup de choses (rire). Ce n’est pas vraiment le bon moment pour construire une équipe, on est en mars, c’est en juillet-aout normalement, on est en retard là. Je pense qu’il nous manque un petit peu d’expérience, il reste 1’30 a la fin si London marque son 3 points, on revient dans le match. On va faire une coupure, après on reprend et on va travailler mieux. Un cinquième Américain, c’est dans les plans, après ce match-là, après ce soir, je ne sais pas encore si ce sera un extérieur ou un intérieur. »" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Zackery Jones (Bourg-en-Bresse) élu Joueur du mois de février" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot américain de la JL Bourg Zachery Peacock (2,03m, 31 ans) a été élu haut la main Joueur du mois de février obtenant 53% des suffrages. Il devance ainsi son compatriote, meneur du Mans, Michael Thompson du Mans (25%) et l’arrière international de Monaco Yakuba Ouattara (22%).\\n\\n\\n\\n\\nTROPHÉE SFR RMC SPORT DU JOUEUR DU MOIS\\n\\n\\nMois\\nLauréat\\n2ème\\n3ème\\n\\n\\nFévrier 2019\\nZachery PEACOCK (Bourg)\\nMichael THOMPSON (Le Mans)\\nYakuba OUATTARA (Monaco)\\n\\n\\nJanvier 2019\\nJerry BOUTSIELE (Limoges)\\nDavid HOLSTON (Dijon)\\nTravis LESLIE (Boulazac)\\n\\n\\nDécembre 2018\\nVitalis CHIKOKO (Pau)\\nMiro BILAN (Villeurbanne)\\nPaul LACOMBE (Monaco)\\n\\n\\nNovembre 2018\\nLahaou KONATE (Nanterre)\\nYoussou NDOYE (Bourg)\\nYoussoupha FALL (Strasbourg)\\n\\n\\nOctobre 2018\\nJustin ROBINSON (Chalon)\\nAli TRAORE (Strasbourg)\\nDevin EBANKS (Châlons-Reims)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand Bria Hartley est devenue championne du monde 3×3 avec les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA a sorti de ses archives cette vidéo datant de 2012. On y voit la néo-internationale française de 5×5 Bria Hartley devenir championne du monde sous le maillot des Etats-Unis mais en 3×3. Bria était alors étudiante aux Huskies de Connecticut.\\n\\nSkylar Diggins (University of Notre Dame), Chiney Ogwumike (Stanford University) et Ann Strother (Castle Rock, Colorado.) étaient les équipières de la Newyorkaise. En finale, les Américaines avaient battu... la France, 17-16.\\n\\nPhoto: USA Basketball" }, {"role": "user", "content":"Italie: Aleksandar Djordjevic nouveau coach de Bologne" }, {"role": "assistant", "content":"Segafredo Virtus Bologne a annoncé s’être séparé de son entraîneur Stefano Sacripanti et que le poste de coach sera pourvu par la légende serbe Aleksandar Djordjevic, 52 ans.\\n\\nDjordjevic était libre depuis mars 2018, après avoir été limogé par le Bayern après son élimination en demi-finale de l’EuroCup. Auparavant, il a été entraîneur du Panathinaïkos, de Trévise et de Milan, alors qu’il est à la tête de l’équipe nationale serbe depuis 2013 et qu’il a remporté des médailles d’argent aux Jeux olympiques, à la Coupe du monde et à l’EuroBasket. Il avait été au préalable multi-médaillé comme joueur.\\n\\nLes adjoints de Stefano Sacripanti ont également été limogés et Aleksandar Djordjevic sera assisté de Goran Bjedov et du préparateur physique Mladen Mihajlovic.\\n\\nBologne est actuellement à la peine dans la Ligue italienne avec de 10 victoires pour 11 défaites, ce qui le place à la 10ème place. Demain les Italiens disputeront la manche retour des 16es de finale de la Basketball Champions League contre Le Mans. Le premier match s’est terminé par une égalité (74-74) et le vainqueur se qualifiera pour les quarts de finale." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Quentin Goulmy, de Strasbourg à Caen" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une communiqué, la SIG Strasbourg annonce avoir libéré son intérieur Quentin Goulmy pour lui permettre de s’exprimer en Pro B, au Caen BC, à qui il est prêté jusqu’à la fin de saison.\\n\\n« Arrivé à l’été 2015 à Strasbourg en provenance du centre fédéral, Quentin Goulmy (2m07 – 21 ans) a porté le maillot de la SIG Strasbourg en Espoirs durant 103 matches (10,5pts-5,7rbs-12,3 d’éval), mais également à 32 reprises avec les Pros. Au regard de l’effectif qui vient d’être renforcé, et des perspectives limitées de temps de jeu pour la fin de saison, le club a été amené à proposer un bon de sortie à Quentin Goulmy. Cette opportunité doit lui offrir la possibilité d’évoluer dans un rôle plus en adéquation avec son développement et lui permettre d’avoir un temps de jeu plus conséquent. La SIG Strasbourg est fière d’avoir accompagné Quentin Goulmy lors de sa formation et le remercie pour l’investissement dont il a fait preuve durant ses quatre années de présence au club. L’ensemble des acteurs du club lui souhaitent une bonne continuation pour la suite de sa carrière. »\\n\\nPhoto: SIG" }, {"role": "user", "content":"Chalon confirme la fin de la collaboration de Jean-Denys Choulet en fin de saison mais pas la venue de Philippe Hervé" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, Dominique Juillot, le président de l’Elan Chalon confirme que Jean-Denys Choulet ne sera plus le coach du club la saison prochaine mais n’annonce pas pour autant son remplacement par Philippe Hervé.\\n\\n« Compte tenu des commentaires pour le moins hasardeux et hâtifs, dont l’origine ne provient pas officiellement du club, je souhaite préciser la situation contractuelle de l’ELAN avec Jean-Denys CHOULET, qui prévoyait pour chacune des parties la possibilité d’arrêter leur collaboration en fin de saison par l’intermédiaire d’une clause.\\n\\nJ’ai donc décidé après échange avec celui-ci d’activer cette clause dont la date butoir était fixée au 15 février 2019.\\n\\nIl s’agit d’une disposition extrêmement courante dans les milieux sportifs et qui n’appelait pas de commentaires particuliers à l’époque. Aujourd’hui si je peux comprendre que la situation sportive du club interpelle et moi le premier, j’entends que chacun respecte le travail qui est fait à l’Elan CHALON depuis longtemps et s’unisse autour d’un seul objectif, tout faire pour inverser cette spirale négative et nous permettre de terminer cette saison honorablement.\\n\\nEnsuite, sauf obligation sportive impérieuse, il sera temps de nommer le coach correspondant à un nouveau cycle. »\\n\\nPhoto: Jean-Denys Choulet, FIBA" }, {"role": "user", "content":"TV : Suivez gratuitement le match Cholet-Dijon sur BasketEurope" }, {"role": "assistant", "content":"RMC Sport retransmet le match de Jeep Elite de la soirée, Cholet-Basket vs Dijon et vous pouvez le suivre ci-dessous.\\n\\nLes Choletais veulent échapper aux deux dernières places synonymes de descente en Pro B, alors que les Dijonnais sont plus que jamais en course pour les playoffs.\\n\\nVictoire de Dijon 67 – 61 face à Cholet. Rendez-vous lundi prochain pour suivre Levallois – JL Bourg gratuitement sur BasketEurope.com\\n\\nPhoto: Axel Julien (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"LFB: Avec 115 points face à Villeneuve d’Ascq, Lattes-Montpellier a égalé le record de Valenciennes" }, {"role": "assistant", "content":"En battant samedi Villeneuve d’Ascq, 115 à 81, Lattes-Montpellier a officiellement égalé le record de points sur un match de Valenciennes qui date du 15 février 2003 face à Reims\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n🧐 On a fouillé dans nos archives, record de pts marqués sur 1 match #LFB ⤵️\\n115 ➡️ Valenciennes (c. @RBF_Officiel 15/2/03) & @BasketLMA (c. @ESBVALM 9/3/19)\\n113 ➡️ @BasketLandes (c. @COBCalais 13/4/16)\\n112 ➡️ @BourgesBasket (c. @COBCalais 19/3/16) & @usombasket (c. BLMA 7/4/07) pic.twitter.com/0xpBtcHlGb\\n\\n\\n— LFB (@basketlfb) March 11, 2019" }, {"role": "user", "content":"Italie: Plus de deux mois sans paye pour les joueurs de Turin dont Mam Jaiteh" }, {"role": "assistant", "content":"Fiat Turin a été battu ce week-end à Brindisi, 96-89, et occupe une peu reluisante 14e place au classement et est donc sous la menace d’une relégation. Mais c’est pire encore sur le plan économique pour le club de Mam Jaiteh.\\n\\nSelon le quotidien Tuttosport, les joueurs ne sont plus payés depuis deux mois et bientôt trois et l’abstinence est encore plus longue pour le personnel administratif.\\n\\nIl y a quelques semaines, Torino Today expliquait:\\n\\n« Pour mettre fin à la saison de manière régulière, c’est-à-dire pour payer joueurs, fournisseurs et employés, la famille Forni a besoin d’environ 2 millions d’euros. Un manque de fonds qui, ajouté aux 8 millions d’euros versés par les principaux actionnaires ces dernières années, a convaincu Forni de rechercher de nouveaux actionnaires ou un nouvel acheteur à qui vendre ses actions en échange du paiement des dettes. À l’heure actuelle, plusieurs négociations sont en cours, notamment avec le fonds d’investissement Leonis, mais aucune n’a encore abouti. »\\n\\nSelon nos informations, une réunion se tiendra ce mercredi pour faire avancer le dossier.\\n\\nPhoto: Mam Jaiteh\\n\\n\\n\\n\\nFiat Torino players have not been paid the past two months (they are close to the third month without getting salary), as reported by Tuttosport.\\n\\n\\nEven more months for the people that work in club office, as Tuttosport said\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) March 11, 2019" }, {"role": "user", "content":"Aréna à Lyon: Une union Jean-Michel Aulas – Tony Parker ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de l’Olympique Lyonnais, Jean-Michel Aulas, est décidé à construire une aréna de 12 000 places autour du Groupama Stadium d’un coût compris entre 70 et 100 millions d’euros et on sait qu’il est en discussion à ce sujet avec Tony Parker, son homologue de l’ASVEL. Chacun aura noté que Aulas était présent pour le match aller d’Eurocup ASVEL-Andorre et aussi pour ASVEL-Girone en Eurocup féminine.Selon BFM avec RMC Sport, la piste est très chaude:\\n\\n« Le timing est parfait pour Jean-Michel Aulas mais aussi pour Tony Parker qui, en dépit de son attachement à Villeurbanne, pense aussi au business et au retour de son club en Euroleague. Sous fond de luttes politiques à Lyon et à Villeurbanne où on ne veut pas voir l’ASVEL quitter la ville, la bataille pour trouver un terrain s’annonce féroce. JMA veut profiter des difficultés financières des projets de Villeurbanne pour faire bouger les lignes. Il veut aller vite, que le dossier avance alors que les élections se profilent. »\\n\\nBFM émet une hypothèse, que la future aréna accueille les matches d’Euroleague et les principaux de Jeep Elite et que le tout venant reste à l’Astroballe." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Vers un retour de Philippe Hervé à Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Différentes sources dont le consultant de RMC Sport, Frédéric Weis, annonce un retour de Philippe Hervé, 56 ans, actuellement sans club, à Chalon.\\n\\nPhilippe Hervé fut joueur à l’Elan Chalonnais de 1990 à 95 avant d’en être le coach de la montée de 1995 à 2002 avec notamment une finale de Saporta (C2) en 2001.\\n\\nChampion de France en 2017, l’Elan Chalon a connu de grosses difficultés à se maintenir en Jeep Elite la saison dernière et avait du recourir au meneur américain Nate Wolters pour y parvenir. Cette année, après un bon départ, les Bourguignons sont dans une mauvaise passe (12 défaites sur les 15 derniers matches) et n’ont plus que deux victoires d’avance sur Cholet, Le Portel et Fos.\\n\\nJean-Denys Choulet est sous contrat jusqu’en 2020 et son remplacement ne devrait intervenir que cet été, mais qui sait si la situation s’envenimait...\\n\\n\\n\\n\\nPhilippe Hervé et MC Solaar devraient avoir un point commun l'année prochaine , l'expression :\\ Prendre de l'avance en prenant du recul , c'est prendre de L'ÉLAN!\\\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) March 10, 2019" }, {"role": "user", "content":"Germain Castano (Orléans): «L’investissement de mes joueurs, ce n’est pas du cinéma»" }, {"role": "assistant", "content":"En attendant le déplacement de Roanne à Paris, l’Orléans Loiret Basket s’est emparé de la première place de la Pro B, en venant à bout de Nancy dans son palais des sports (82-71), une victoire due principalement à la défense de l’OLB, qui a provoqué 19 pertes de balle du côté du SLUC.Marcellus Sommerville, intérieur américain de Nancy, l’a d’ailleurs reconnu en conférence de presse:\\n\\n« La défense est ce qui leur a aidé à remporter le match, particulièrement au poste de meneur de jeu. Le fait qu’on n’ait marqué que 71 points est la preuve d’une soirée difficile pour nous. Les pertes de balles ne nous ont pas aidés, on en a 19 pour seulement 14 interceptions. C’est à la fois notre faute et la leur, on leur a donné plusieurs fois le ballon, mais on a également galéré en transition. C’était serré à la fin du troisième quart-temps, on a eu la possibilité de revenir dans le match mais Brandon Jefferson leur a permis de prendre le large, et donc de gagner de la confiance. »Rappelons que l’Américain a porté trois saisons le maillot de l’OLB et qu’il effectuait ce week-end son retour dans le Loiret:\\n\\n« C’est une bonne année pour mon retour à Nancy, cela fait plaisir de revenir sur le terrain et revoir tout le monde, c’est un super environnement. La saison est encore longue, on doit vite oublier cette défaite bien que cette dernière nous affecte psychologiquement. »Christian Monschau, l’entraîneur lorrain, à mis l’accent sur ce qui a fait défaut au SLUC tout au long de la partie: le jeu intérieur.\\n\\n« On n’a pris que 10 tirs dans la raquette, ce qui n’est pas beaucoup mais je pense que Orléans à fait un grand match, ils étaient intenses et adroits et ils méritent la victoire. On n’était pas loin, on pensait même renverser le match mais ils nous ont jamais laissé l’opportunité. Orléans a mérité de prendre ce match, ils ont mieux joué que nous et ont été plus adroits, ils mettent des tirs que nous ne mettons pas dans le troisième quart-temps. Beaucoup de joueurs d’Orléans ont été adroits, comme Giovan Oniangue ou Brandon Jefferson qui fait un grand match. »Et de poursuivre:\\n\\n« En fin de match on prend également trop de points pour pouvoir conserver le point average, sachant qu’on avait gagné de 5 points à l’aller, mais si on avait eu que 4 points de retard en fin de match on aurait joué la victoire jusqu’au bout. Mon équipe partait de trop loin pour faire quelque chose, vu qu’on était a -12 à 40 secondes de la fin. Beaucoup de balles nous ont échappés aussi en fin de possession. On va revoir à la vidéo toutes ces situations qui nous ont causé problème. Ils ont mis des tirs difficiles mais aussi des tirs où on n’était pas assez près pour les gêner, si on était bien on les aurait forcer à driver et les rotations défensives qu’on travaille à l’entraînement les auraient gênés davantage. Le peu qu’on l’ai fait ça s’est vu en les emmenant en fin de possession, mais faut le faire jusqu’au bout. »Miralem Halilovic, l’intérieur bosnien de l’OLB, a tenu à remercier le public orléanais pour l’ambiance mise tout au long de la rencontre:\\n\\n« Nous voulions avant ce match continuer notre belle série, nous restions sur cinq victoires consécutives donc nous partions avec beaucoup de confiance pour ce match. On a vraiment bien joué en première mi-temps, on shootait bien tout en défendant bien malgré qu’on ait pris quelques mauvaises décisions en contre-attaque. Ces quelques erreurs ne nous ont pas permis d’avoir un écart plus grand que trois points à la mi-temps. En deuxième mi-temps on a continué à bien jouer en défense et on a commencé à mettre des gros tirs, Brandon Jefferson en particulier, il a vraiment des tirs difficiles. Un très gros match venant de lui et pareil pour Giovan (Oniangue), qui a mis trois shoots à 3-points. C’est un très bon match et une victoire d’équipe, tout le monde a bien défendu, tout le monde a mis beaucoup d’énergie, on a fait ce que le coach nous a dit de faire. On a fait preuve de tactique mais le plus important était l’intensité et l’énergie que l’on a mis en défense (...) J’ai adoré le public, il faisait du bruit à chaque écart, à chaque temps mort ou à chaque highlight. Cela nous transcende d’avantage nous les joueurs, tout le monde était unis. »Germain Castano, coach de l’OLB, était également pleinement satisfait de cette victoire:\\n\\n« J’ai envie très sincèrement de tirer un vrai coup de chapeau a mes joueurs pour l’engagement et pour l’intensité qu’ils ont mis parce qu’il y a quatre jours de ça on a dit que mes joueurs était des tricheurs, des comédiens, et qu’ils faisaient un peu de cinéma. Quand on attaque mes joueurs on m’attaque moi aussi et tout l’investissement que je vois tous les jours à l’entrainement. Et encore l’investissement du match ce soir ce n’est pas du cinéma et c’est pour ça je voudrais les féliciter. «\\n\\nPhoto: Germain Castano (OLB)" }, {"role": "user", "content":"Belgique: Anvers met Ostende au tapis et remporte la Coupe de Belgique" }, {"role": "assistant", "content":"Evénement en Belgique puisque Ostende, qui avait remporté les six dernières éditions, a été battu hier en finale de la Coupe, à Forest-National, par Anvers, 70-76. Ostende a par ailleurs gagné les sept derniers titres de champion de Belgique.\\n\\nL’équipe des Giants coachée par l’ancien meneur international Roel Moors a bénéficié des 17 points d’Ismael Bako (2,08m, 23 ans), élu MVP de cette finale, et des 15 points de l’Américain Tyler Kalinoski, alors que c’est Loic Schwartz, qui était le meilleur marqueur côté ostendais avec 26 points.\\n\\nC’est la troisième Coupe de Belgique d’Anvers après 2000 et 2007 et ils prennent ainsi leur revanche suite aux échecs en finale en 2012, 2014 et 2016.\\n\\n« Cette victoire ne va pas changer notre manière de travailler ou de jouer, mais elle nous apporte une nouvelle crédibilité. Pour le club, les joueurs et moi- même, c’est un pas déterminant », a commenté au Soir Roel Moors. « Notre explosion de joie fut à la hauteur du respect que nous portons à Ostende et de la difficulté du défi relevé. Je suis fier de mes joueurs, qui ont de nouveau réussi à élever leur niveau et qui, affamés, étaient prêts. »\\n\\nLes Giants sont en pleine forme puisque mercredi, en huitièmes de finale aller de la Champions League, ils ont battu les Espagnols de Murcie, 75-67, et sont donc à même de se qualifier pour les quarts de finale.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Un record à 13 472 spectateurs en Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"Le match Estudiantes Madrid vs Magec Tias a permis, hier lors de la Journée de la Femme, d’établir un nouveau record impressionnant de spectateurs de la ligue féminine de basket espagnol : 13 472. C’est le WiZink Center qui a servi de cadre à ce record, là où jouent parfois le Real et Estudiantes en ACB et en Euroleague et qui compte près de 15 000 places.\\n\\nLes précédents records en Espagne sont:\\n\\n7 800 à La Fuente de San Luis (Valence); Euroleague, Ros Casares – Spartak Moscou 2009-10.\\n\\n7 500 au Palacio Vistalegre (Madrid); pré-Européen, Espagne-Israël, 2001-2002\\n\\n6 516 à La Fuente de San Luis (Valence): Euroleague, Ros Casares- Spartak Moscou, 2008-09.\\n\\n6 200 à La Fuente de San Luis (Valence); Liga Femenina 2, Valencia Basket. 2017-18." }, {"role": "user", "content":"BCL: Le Mans devra se méfier de Kevin Punter (Bologne), auteur de 36 points contre Cantu ce weed-end" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans s’est offert hier soir à Antarès face à l’ASVEL une victoire (89-83) très précieuse pour gagner son ticket en playoffs. On a pu apprécier l’intensité de Will Yeguete (12 points, 9 rebonds) bien secondé par son désormais backup Richard Hendrix(17 d’évaluation en 18′), alors que la paire Juice Thompson/Kendrick Ray assurait 35 points.\\n\\nLa première partie du contrat des Manceaux est donc réalisée. La deuxième s’annonce encore plus difficile. Après leur nul à Antarès (74-74), les hommes d’Eric Bartecheky se doivent de gagner à Bologne contre la Virtus s’ils veulent se qualifier pour les quarts-de-finale de la Champions League.\\n\\nCe week-end, Bologne était confronté à un autre club prestigieux, Mia-Ro Cantu et la Virtus a échoué, 96-94. Le match a donné lieu à un sacré duel de pistoleros entre Davon Jefferson de Cantu, qui a mis 27 points à 10/17 aux tirs et pris 9 rebonds et Kevin Punter, le combo guard de Bologne (1,90m, 25 ans) qui a atteint 36 points en 25′ ! Le détail de sa prestation: 7/10 à deux-points, 4/6 à trois-points et 10/11 aux lancers ! Le tout lui a donné 38 d’évaluation.\\n\\nKevin Punter, qui portait la saison dernière le maillot de l’AEK Athènes (16 points en finale), vainqueur de cette même Basketball Champions League, se devait de se racheter de sa prestation au Mans où il avait gâché la marchandise avec un vilain 2/11 qui l’avait amené à ne marquer que 6 points et obtenir un 0 à l’éval. C’est bien cette sortie qui était l’exception pour l’Américain dont la moyenne en BCL est de 15,7 points avec un joli 52,2% à trois-points.\\n\\nVoici les Manceaux prévenus.\\n\\nPhoto: Kevin Punter (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Lyon chute à domicile face à Landerneau mais conserve la tête" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours sans Alysha Clark (genou), Fati Sacko (pied) et Clarissa Dos Santos (ischio-jambier), l’ASVEL a subi sa troisième défaite de la saison plus inattendue car infligée par le promu, Landerneau, et qui plus est à domicile (86-87).\\n\\nKariata Diaby a fait un véritable chantier à l’intérieur (30 points à 13/18) bien aidée par Marissa Coleman (19 points). Les Bretonnes ont dominé au rebond, 33-25. Le coach lyonnais Valéry Demory a beaucoup sollicité son cinq majeur (Michelle Plouffe et Marième Badiane ont joué 40′) donnant moins de 22′ à son banc.\\n\\n« On a pas de poste 5 en ce moment, alors à l’intérieur, c’est dur. Mais on s’est battu, ça s’est joué à rien. La chance ne nous sourit pas en ce moment. C’est rageant. On ne va pas se lamenter sur notre sort, c’est une mauvaise période, ça arrive. Et on est toujours premier avec un joker. Je remercie tout le monde, sur le terrain et le public qui était derrière nous, » a commenté Valéry Demory en conférence de presse.\\n\\nDe fait, l’ASVEL est toujours en pole position mais Bourges n’est plus qu’à une victoire et Lattes-Montpellier à deux.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LyonASVELFeminin/videos/2059079227542198/?__tn__=kCH-R&eid=ARDgkTl3i7r4mrBUS4g-VR2mrBEZBcQyErDlQ4YAzMIoVbvDqYktjcp77K7SgLoroezSUivsjr1LGRmO&hc_ref=ARTFT80kE0s5c901PJwUZKCJBVKhaOJbwmJtc3LAlDThlNNB18mMqgGWyVWHB0qJkL0&fref=nf&__xts__[0]=68.ARARBWmaduxRwF-li-_U83DcCvPCoyXE2DgRBGreEMN3U4dFG0qncGhi6b6kBK7-n-P5e5Zh3Kheg7rRKfhWXwoUlC9zC3Bl9fR6_SnImjysgQjNfxvIfnMCnwBvhAz92pyVElwNwwUTkGd9NanYm4JMS4BIosfqqyZGIoUXhPYqWtiqwRJAojlqaFYI8BreMwGXgdVWHFIDe7EGXxvBzYt1IgqaCu5WJQAl9Mt64HH90wRqxYehnbzRw8_vXy6D2slE2sNBaRsbIgKvm2Uc6oqnhITUhWw4STJ6U_uT4Z9NG9kzx_Aenem1WIIyaipnpc01_kdjgZm0OiQ_El4OSQFWToTmpllZWjs79QUFbHv6KlUCXvW0trfE7LBy\\n\\nPhoto: Michelle Plouffe (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Coupes d’Europe, Coupe de France et même de la Pro B !" }, {"role": "assistant", "content":"Voici une semaine TRES variée avec notamment des matches décisifs pour Le Mans, Nanterre et Villeurbanne sur le front européen, une large couverture du top 8 de Coupe de France et Paris-Roanne en Pro B.\\n\\nLundi 11 mars:\\n\\n20h45 – Cholet/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nMardi 12 mars:\\n\\n18h30 – Besiktas/Nanterre – BCL – Canal+ Sport\\n\\nMercredi 13 mars:\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Andorre – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Bologne/ Le Mans – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 14 mars:\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Madrid – Euroleague\\n\\n19h00 – Kaunas/Munich – Euroleague\\n\\n20h00 – Tel Aviv/Efes Istanbul – Euroleague\\n\\n20h45 – Milan/Olympiakos – Euroleague\\n\\n21h30 – Gran Canaria/Darussafaka – Euroleague\\n\\nVendredi 15 mars:\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h45 – Fenerbahçe Istanbul/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Pau/Boulazac – Jeep Elite – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 16 mars:\\n\\n15h30 – Nanterre/Levallois – Coupe de France – RMC Sport 1\\n\\n18h00 – Dijon/Le Mans – Coupe de France – RMC Sport 1\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Monaco – Coupe de France – RMC Sport 1\\n\\nDimanche 17 mars:\\n\\n14h30 – Demi-finale – Coupe de France – RMC Sport 2\\n\\n17h00 – Demi-finale – Coupe de France – RMC Sport 2\\n\\nLundi 18 mars:\\n\\n20h45 – Paris/Roanne – Pro B – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Lahaou Konate (Nanterre, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Julian Wright explique les raisons et les circonstances de son départ de Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Joueur majeur des Levallois Metropolitains cette saison, Julian Wright (2,03m, 31 ans) a quitté la formation de Freddy Fauthoux juste avant la Leaders Cup pour des raisons qui restent encore un peu floues.\\n\\nSur LinkedIn, celui qui compilait en moyenne 13,5 points, 8,4 rebonds et 2,5 passes décisives pour une évaluation de 19,4, a donné plus de détails sur son départ.\\n\\n« J’ai décidé d’enregistrer cette vidéo aujourd’hui avec tout mon « temps libre » en raison du départ de mon employeur pour un traitement contraire à l’éthique. J’ai signé un contrat avec le club français de première division, les Levallois Metropolitans, pour la saison 2018-2019, valable jusqu’au 30 juin 2019.\\n\\nLe club a choisi une école internationale de français à mon insu avant mon arrivée (ma fille est en sixième). Après avoir rencontré le directeur de l’école et informé le directeur général que cela n’allait pas fonctionner et que nous pouvions résilier mutuellement le contrat, ils ont accepté d’inscrire ma fille dans une école internationale où l’anglais était leur programme d’études principal.\\n\\nCinq mois plus tard, après avoir aidé le club à devenir une équipe « playoffable », à être un All Star et à obtenir le plus grand nombre cumulatif d’évaluation des joueurs de la ligue (je dis cela non pas pour me vanter, mais pour montrer comment ils ont bénéficié économiquement de mes services dans la vente de billets et le marketing), ma femme découvre que ma fille ne peut pas obtenir son bulletin de notes en raison de frais de scolarité impayés et qu’elle ne pourrait alors pas retourner à l’école.\\n\\nDonc, après avoir dit au club qu’ils doivent payer ou nous résilions le contrat, le président du club, Jean-Pierre Aubry, a agité mon contrat devant mon visage comme si j’étais un chien ... disant qu’il n’y avait pas de preuve ..\\n\\nJ’ai des preuves et je ne joue plus une minute. »\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Les chiffres: 1000e match du MSB et 136e clasico contre l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Né en 1993, Le Mans Sarthe Basket fête ce soir face à l’ASVEL son 1 000e match. S’agit-il du 79e match contre l’ASVEL comme l’indique le club?\\n\\nOui et non. Le MSB a pris la suite du Sporting Club Moderne qui avait accédé à la première division en 1962 et qui n’est descendu en Pro B que trois saisons. L’ASVEL, elle, est fidèle au poste sans interruption depuis 1948. Aussi, en fait, il s’agit du 136e match entre les deux clubs, toutes compétitions confondues (merci à OBuzzer de nous en avoir récemment informé). On peut même considérer ce face à face comme le véritable clasico du basket français mais il est loin d’avoir la ferveur et le prestige du Limoges-Pau." }, {"role": "user", "content":"Italie: La déchéance de Mens Sana Siena" }, {"role": "assistant", "content":"Il fut une époque pas si lointaine où Mens Sana Siena faisait une razzia en Italie et parlait les yeux dans les yeux avec les grands d’Europe. Soutenue par la banque Monte dei Paschi di Siena, l’équipe toscane a remporté un total de huit titres de champion d’Italie, dont sept consécutifs -certains ont été annulés par la fédération italienne-, cinq coupes d’Italie et sept SuperCoupe, plus une Coupe Saporta (C2) en 2002 et des participations au Final Four de l’Euroleague (2004, 08 et 11).\\n\\nDepuis, c’est la déchéance. La banque Monte dei Paschi di Siena a été au cœur de différents scandales et l’équipe de basket, descendue en Série A2 vient d’annoncer qu’elle ne participerait pas au match contre Axpo Legnano, prévu pour aujourd’hui.\\n\\nSiena, qui a déjà débuté la saison avec -3 au classement général, perdra le match 0 à 20, se verra infliger une double amende et pourrait se voir retirer un point supplémentaire au classement. L’équipe toscane est actuellement 13e au classement.\\n\\nEn fait, Carlos Morais, A.J. Pacher, Tommaso Marino, Roberto Prandin et Ion Lupusor sont partis en raison de salaires impayés. Alex Ranuzzi, Gabriele Sanguinetti et Todor Radonjic sont toujours sous contrat mais ne veulent plus jouer à cause de retards de paiement." }, {"role": "user", "content":"Limoges – Monaco : Sekou Doumbouya bat son record de points en Jeep®ÉLITE" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la défaite de Limoges face à Monaco (85-73), Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) s’est illustré en battant son record de points et de minutes jouées dans un match.\\n\\nEn 29 minutes, l’ancien joueur de Poitiers a compilé 14 points (6/11 aux tirs) et 5 rebonds pour une évaluation de 13. Cette saison, Sekou Doumbouya tourne en moyenne à 6,3 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 6,9 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Vitoria s’envole sur un 3e quart record" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’on arrive à 5 journées de la fin de la saison régulière, il y a encore 6 équipes en course pour les 3 derniers tickets de playoffs. Grâce à une nouvelle prestation offensive historique, avec 31 passes décisives notamment, Vitoria a engrangé une victoire importante. Tout comme l’Olympiakos qui met fin à une série de 5 revers à Podgorica. Milan, le Maccabi, le Pana et le Bayern sont également en embuscade, plus ou moins bien placés...\\n\\nL’Efes Istanbul a également fait une très belle opération derrière un Shane Larkin déchaîné, à 37 points à 12/15 aux tirs et Adrien Moerman (22 points, 11 rebonds) actif contre son ancien club du Barça, dépossédé de la 4e place. Encore plus haut dans le classement, le CSKA Moscou s’est assuré l’avantage du terrain en playoffs avec une 7e victoire de suite, implacable contre Milan.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVitoria écrabouille le Khimki\\n\\nAu contact en 1ère mi-temps, le Khimki Moscou a explosé en 3e quart avec un 16-0 de Vitoria qui a ensuite fait cavalier seul pour une 6e victoire de suite à la maison (104-86). Avec 38 points en 3e quart, Vitoria a établi un nouveau record du club, tout comme avec ses 31 passes. Le pivot Johannes Voigtmann termine ainsi à quelques encablures du triple double à 16 points, 9 rebonds et 9 passes (nouveau record perso).\\n\\nVincent Poirier (18 points, 11 rebonds) n’a pas été en reste, en grande forme avec des finitions de très haut niveau, bien servi par Marcelinho Huertas (7 points, 9 passes) aux alley oops. Dans ce festival offensif, 7 joueurs du Baskonia terminent en double double, contre 3 au Khimki. L’évaluation finale : 144-84 !\\n\\n\\nL’Efes éclipse Barcelone\\n\\nDepuis la victoire contre Gran Canaria début février et une perf à 18 points, 7 passes, Shane Larkin a retrouvé du clinquant. L’ancien des Nets a confirmé sa montée en puissance avec 37 points à 12/15 aux tirs, en 28 minutes, la meilleure performance offensive en 6 ans (depuis les 41 points de Bobby Brown avec Sienne) ! Plus vivace que jamais, Larkin a dégoûté la défense catalane à l’envi.\\n\\nContre son ancien club, Adrien Moerman (22 points, 11 rebonds) y est allé de son double double et l’Efes Istanbul a complètement éclipsé une équipe de Barcelone qui arrivait pourtant sur une grosse dynamique, et ce depuis son succès en Copa del Rey. Séraphin et Heurtel ont très peu joué et Barcelone a fort probablement perdu la 4e place au dépens de son adversaire du soir.\\n\\n\\nLe CSKA Moscou en toute logique\\n\\nQuand ce n’est pas l’un, c’est l’autre au CSKA Moscou. Le col bleu Othello Hunter a réussi son meilleur match offensif en carrière à 19 points et le CSKA enquille une 7e victoire de rang pour assurer officiellement l’avantage du terrain en playoffs (101-95). Milan s’est bien défendu avec Nemanja Nedovic (16 points) qui remet le nez à la fenêtre, mais sa série de 5 victoires est bel et bien abimée.\\n\\nNando De Colo (14 points) a fait l’essentiel de ses dommages en 1ère mi-temps, bien relayé par la suite par Will Clyburn, 16 points en 2e mi-temps. Moscou a fait le spectacle avec un sacré concours de dunks improvisé par Hunter donc, mais aussi Hines et Kurbanov, qui s’est illustré par deux fois à la claquette !\\n\\n\\nOlympiakos à la relance\\n\\nEn chute libre avec 5 revers d’affilée, l’Olympiakos a évité la correctionnelle, à savoir le record de la pire série de son histoire à 6, en battant Podgorica (89-76). L’Oly a fait parler sa puissance sous les panneaux avec Nikola Milutinov (15 points, 12 rebonds) qui finit en double double et Georgios Printezis (19 points) qui défie toujours le temps.\\n\\nSasha Vezenkov (12 points, 5 rebonds) a également été très bon pour sa 3e titularisation. En sortie de banc quant à lui, Axel Toupane a été étincelant avec 13 points en 15 minutes, à 5/6 aux tirs dont 3/3 à trois points. En face, Edwin Jackson termine également à 13 points (plus 7 passes) mais son équipe a coulé à pic en 2e mi-temps. Et ça fait 6 défaites de suite.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 22 points (7/13 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 3 balles perdues en 37 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 18 points (8/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 25 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 14 points (4/6 aux tirs), 2 rebonds, 4 balles perdues en 22 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 13 points (5/8 aux tirs), 7 passes, 3 rebonds, 3 interceptions, 2 balles perdues en 31 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 13 points (5/6 aux tirs) en 15 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 9 points (3/6 à trois points), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/9 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 5 points (2/4 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 2 points (0/2 aux tirs) en 7 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 0 point (0/1 au tir) en 8 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAuteur de 15 points en 8 minutes en 1ère mi-temps, Shane Larkin a mis le feu au parquet de l’Efes Istanbul avec ses dribbles et ses relances supersoniques. Sur cette action, il mystifie par deux fois Jaka Blazic avant de déposer Pierre Oriola dans la victoire nette et sans bavure de son club.\\n\\n\\n\\n\\nWhat are you doing to them @ShaneLarkin_3?\\n\\n\\nWhat a PLAY!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/FbKbBPz9iS\\n\\n\\n— EuroLeague (@EuroLeague) March 8, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 25e journée\\n\\nJeudi 7 mars :\\nDarussafaka – Panathinaikos (67-91)\\nZalgiris Kaunas – Gran Canaria (98-64)\\nBayern Munich – Maccabi Tel Aviv (70-77)\\nReal Madrid – Fenerbahçe (101-86)\\n\\nVendredi 8 mars :\\nCSKA Moscou – Milan (101-95)\\nEfes Istanbul – Barcelone (92-70)\\nPodgorica – Olympiakos (76-89)\\nVitoria – Khimki Moscou (104-86)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 26e journée\\n\\nJeudi 14 mars :\\nKhimki Moscou – Real Madrid (18h)\\nZalgiris Kaunas – Bayern Munich (19h)\\nMaccabi Tel Aviv – Efes Istanbul (20h05)\\nMilan – Olympiakos (20h45)\\nGran Canaria – Darussafaka (21h30)\\n\\nVendredi 15 mars :\\nCSKA Moscou – Panathinaikos (18h)\\nFenerbahçe – Barcelone (18h45)\\nVitoria – Podgorica (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nVitoria écrabouille le Khimki\\n\\nAu contact en 1ère mi-temps, le Khimki Moscou a explosé en 3e quart avec un 16-0 de Vitoria qui a ensuite fait cavalier seul pour une 6e victoire de suite à la maison (104-86). Avec 38 points en 3e quart, Vitoria a établi un nouveau record du club, tout comme avec ses 31 passes. Le pivot Johannes Voigtmann termine ainsi à quelques encablures du triple double à 16 points, 9 rebonds et 9 passes (nouveau record perso).\\n\\nVincent Poirier (18 points, 11 rebonds) n’a pas été en reste, en grande forme avec des finitions de très haut niveau, bien servi par Marcelinho Hu\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Teaser: Le documentaire sur les meneurs qui sera diffusé sur RMC Sport le 27 mars" }, {"role": "assistant", "content":"Le 27 mars, dans l’émission Transversales sur RMC Sport, vous pourrez découvrir un sujet très intéressant sur les meneurs de jeu. Le journaliste Nicolas Baillou a effectué des tournages à Madrid, Valence, Istanbul, Athènes et bien sûr en France pour rencontrer les acteurs du documentaire. Parmi les intervenants : Pablo Laso, Sergio Lull, Sasha Filipovski, Nick Calathes, Antoine Diot, Roko Leni Ukic, Jacques Monclar et Théo Maledon...\\n\\nEn voici le teaser.\\n\\n\\n/content/media/wp-content/uploads/2019/02/meneur-de-jeu-teaser.mp4\\n\\nPhoto: Antoine Diot (Valence)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Malgré Milos Teodosic, la Serbie tombe en Estonie et jouera à quitte ou double face à Israël" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré la présence de Milos Teodosic (16 points, 10 passes) de retour de NBA, l’équipe de Serbie n’a pas réussi à s’imposer à l’Estonie dans la salle comble du Saku Surhol à Tallinn, 70-71. Pour se qualifier à la Coupe du monde, les Serbes devront absolument battre Israël dimanche à Belgrade dans leur salle Aleksandar Nikolic.\\n\\nMenés à un moment, de huit points, les Estoniens ont réussi à égaliser à 59 puis à passer devant à 62-59 pour la première fois du match. Ce fut ensuite un chassé-croisé et c’est Sander Raieste qui leur a donné un avantage décisif d’un trois-points à dix secondes du buzzer. Milos Teodosic n’a pas transformé la balle d’égalisation. Stevan Jelovac a retenté un tir à trois-points et obtenu des lancers. Il a manqué le troisième. Dragan Milosavljevic a pu récupérer le ballon et tenté un dernier shoot dans une position très difficile, mais il a échoué.\\n\\nAvec 18 points chacun, Kristian Kullamae et Kristjan Kitsing ont été les deux principaux artilleurs estoniens alors que c’est Stevan Jelovac (19 points et 8 rebonds) qui a été le plus efficace chez les Serbes.\\n\\nC’est une vive désillusion pour la Serbie et son coach Aleksandar Djordjevic.\\n\\n« Nous accusons le coup après cette défaite, bien sûr ... Nous avons fait de notre mieux, mais le basket-ball est un jeu d’automatisme, parfois de chance, toujours mémorable ... Je pense que nous avons eu beaucoup trop de ballons facilement perdues. (Miroslav) Raduljica a eu un problème de fautes, et c’est pourquoi nous n’avons pas eu de jeu intérieur. Nous avons pris quelques tirs rapides au quatrième quart-temps qui n’ont pas été construits. Par contre, le jeu des Estoniens a été extrêmement rapide, ils passent bien le ballon pour des tirs ouverts, et nous leur avons permis trop de rebonds offensifs qui nous ont causés des dommages, surtout en première période... »\\n\\nLa Serbie était évidemment privée de quantité de joueurs NBA et d’Euroleague mais devrait recevoir du renfort pour le match décisif avec Israël:\\n\\n« Avec Israël, nous sommes confrontés au match le plus important. Dans le passé, la même chose s’est déjà produite contre la même équipe. Nous savons à quoi nous attendre, ce sera certainement un match difficile. Ils se surpassent en équipe nationale et ont des joueurs de très haute qualité. Nous devons retrouver notre calme, analyser le match du mieux que nous pouvons, voir qui nous rejoindra parmi les joueurs qui ont disputé les matchs de l’Euroleague aujourd’hui ... (Vasilije) Micić s’est blessé contre Fenerbahce, (Stefan) Jović est blessé aussi, (Vladimir) Lučić et (Nikola) Milutinov devraient nous rejoindre ... »\\n\\nLe dirigeant de la fédération Dragan Milosavljevic a fait un appel au public:\\n\\n« Nous savons ce qui nous attend dimanche contre Israël, nous sommes absolument prêts à donner le maximum. Nous avons besoin de l’appui des supporters, la salle sera pleine. Nous aurons une meilleure équipe et nous ferons de notre mieux pour gagner. »\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Quand la joueuse du Sparta Prague Blanka Tomsova a demandé l’asile politique en France" }, {"role": "assistant", "content":"« Récemment opérée du genou, je me rééduque tranquillement chez mes parents dans la Loire. Le téléphone sonne, c’est pour moi. On m’apprend que 2 joueuses du club tchèque du Sparta de Prague souhaitent faire défection lors du match de leur équipe à Clermont-Ferrand et demander l’asile politique en France. Je saute dans ma voiture avec ma patte folle et fonce pied au plancher pour essayer d’arriver à temps au traditionnel banquet d’après match. J’ai 200 kilomètres à parcourir et pour ceux qui la connaissent, la 2CV n’est pas un bolide, le trajet me parait très très long mais j’arrive à temps ! Tout a été organisé. Edith Tavert, alors présidente du club, a prévenu les services de sécurité et des amies ont discrètement récupéré dans l’après-midi les affaires des joueuses à l’hôtel et prévu un hébergement d’urgence. La stratégie est bien définie : quand je quitte la table, Blanka et Ivana doivent me suivre, naturelles et décontractées. Nous sortons tranquillement, avec quand même la peur au ventre. Les dirigeants tchèques, qui connaissent mes liens avec les 2 joueuses, ne s’en formalisent pas. Ils doivent penser que je les emmène boire un pot quelque par. On apprend que le lendemain matin, stupéfaits de trouver la chambre vide, ils préviennent l’Ambassade de Tchécoslovaquie que 2 joueuses de l’effectif ont disparu (droguées, enlevées ?). On leur répond qu’elles ont demandé à être sous protection de l’État français. Que faire d’autre que repartir sans elles ! Cachées encore quelques jours par mesure de sécurité, elles demandent officiellement l’asile politique à la France. »\\n\\nC’est ainsi que l’ancienne internationale Cathy Malfois raconte sur BasketRétro une histoire un peu folle: comment Blanka Tomsova et son équipière Ivana Tresnak ont décidé en 1982 de plaquer leur équipe, le Sparta Prague, et leur pays, la Tchécoslovaquie, alors sous le joug des communistes, pour demander l’asile politique en France. Digne d’un roman d’espionnage de John Le Carré!\\n\\nUne réfugiée politique, Blanka Tomsova ? Dans un article que nous lui avions consacré dans Maxi-Basket, en mars 1984, intitulé » Prague-Clermont, un aller simple », elle nous avait dit:\\n\\n« Je pensais que nous allions parler basket, pas politique. Je veux tout oublier... J’ai quitté mon pays pour mon problème... Je ne veux pas parler de ça... » Et à propos des VRAIS réfugiés politiques: « Ces gens-là parlent très mal de notre pays. Ils disent que là-bas ça ne marche pas du tout. Ce n’est pas vrai. Les Tchèques ont deux mains, deux pieds comme vous. Ils peuvent aussi être heureux. La Tchéco, c’est un beau pays, tu sais... Je voulais vivre en France, pas ailleurs... »\\n\\nLe 31 décembre 1992, la Tchécoslovaquie a été dissoute et sur ses cendres sont nées la République Tchèque et la Slovaquie. Trente-sept ans plus tard, Blanka Tomsova, qui a fondé une famille vit toujours en France comme le raconte Cathy Malfois.\\n\\n« Après deux saisons au SLUC, pour des problèmes récurrents au genou, Blanka met définitivement un terme à sa carrière de basketteuse, obtient avec succès le diplôme d’entraîneure (BEES 1er degré) et s’occupe des garçons en Excellence Régionale à Vandoeuvre, dans le club de Jean-Pierre Mougeolle. A ce jour, elle occupe toujours son poste d’assistante sociale mais a pris du recul avec le basket. La vie suit son cours, les chemins se séparent, les années passent, les souvenirs affleurent et notre amitié est restée intacte. »" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France – Vincent Collet après la défaite en Finlande: «En attaque, on n’a jamais trouvé de rythme»" }, {"role": "assistant", "content":"En déplacement en Finlande mercredi soir pour l’avant-dernier match de qualification, l’Equipe de France, déjà qualifiée pour la coupe du Monde, s’est inclinée 76-69 à Espoo. La boxscore est ici.\\n\\nAprès la rencontre, Vincent Collet est revenu sur cette défaite et a notamment pointé du doigt les pertes de balles françaises.\\n\\n« On savait que la Finlande jouait son va-tout sur ce match et nous nous attendions à ce niveau d’agressivité. Nous ne sommes pas déçus parce qu’ils étaient déjà hauts en première mi-temps et ils ont remis un coup en deuxième mi-temps. Malheureusement, nous n’avons pas été capables de gérer cette agressivité. Surtout parce qu’on a perdu trop de ballons. Quand on perd plus de 20 ballons sur un match international, les chances de gagner sont très proches de zéro. Je pense c’est là qu’on a perdu le match. Défensivement on contrôlait plutôt bien en première mi-temps, un peu moins en deuxième. C’est notamment en fin de match que Jamal Wilson a pu faire la différence en trouvant le chemin du panier. Mais on a continué de se battre, l’esprit que je voulais était là. Nous avons fait des efforts, mais ce n’était pas assez pour gagner ce match. »\\n\\nEn clair, pour le sélectionnait tricolore, la défaite est due à deux facteurs.\\n\\n« Il y a deux raisons pour cette défaite : l’agressivité défensive finlandaise et de notre côté un peu de nonchalance. Parfois nous mettions trop de temps à mettre les systèmes en place, nous ne faisions pas assez d’efforts pour être ouverts, ou encore on se précipitait trop à l’intérieur à vouloir jouer sur un, deux voire trois joueurs au lieu de ressortir la balle. Je savais que notre défense était capable de leur poser des problèmes, ce fût le cas en première mi-temps, mais en attaque on n’a jamais trouvé de rythme. »\\n\\nDimanche, les Bleus ont rendez-vous à Nantes dimanche (17h) pour jouer la première place du groupe K face à la République Tchèque.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du Monde: La France tombe en Finlande (69-76) et jouera la première place de son groupe dimanche face à la République Tchèque" }, {"role": "assistant", "content":"Amputée de ses joueurs de NBA, d’Euroleague, de Paul Lacombe, de Alain Koffi, et encore de Moustapha Fall, l’équipe de France est tombée en Finlande à qui faisaient également défaut quelques joueurs majeurs. L’ancien meneur de Rouen et de Nanterre Jamar Wilson (29 points) a été son bourreau alors qu’elle a fait de son côté un énorme gâchis de ballons (21 pertes de balles contre 10 à son adversaire).\\n\\nRappelons qu’avec des joueurs d’Euroleague et Nicolas Batum, la France s’était imposée 83-67 à Montpellier lors du match aller. Elle compte désormais 9 victoires et 2 défaites. Pour clôturer le cycle des matches de qualification, les Bleus vont affronter dimanche, à 17h, la République Tchèque à Nantes. Afin d’assurer la première place du groupe, il leur suffira de perdre de moins de 14 points puisqu’ils avaient remporté la manche aller à Pardubice, 65-79.\\n\\nLe tirage au sort de la Coupe du monde est programmé le 16 mars.\\n\\nLe total des sélections des Français étaient de 92 dont... 44 pour le seul Andrew Albicy. Pour sa première cape et à 17 ans, le Villeurbannais Théo Maledon intégrait le cinq de départ avec Andrew Albicy -deux meneurs de métier-, Axel Bouteille, Amath Mbaye et Mathias Lessort.\\n\\nDans une salle d’Espoo très chaleureuse, les Bleus manquaient leurs six premiers shoots mais les Finlandais, dominés physiquement notamment par Mathias Lessort puis Ousmane Camara au rebond offensif, ne faisaient pas mieux. Le score était encore à 3-3 au bout de 4 minutes. C’est par une série de paniers à trois-points, dont l’un de Théo Maledon après 4’30 pour son premier shoot de sa carrière internationale, que la France parvenait à mener 12-6. C’est aussi essentiellement par des paniers primés que la Finlande égalisait à la 10e minute, 14-14. Un mélange de bonne défense et de maladresse offensive.\\n\\nIl fallait attendre la 14e minute pour que les Français, par Amine Noua, inscrivent leur premier panier à deux-points après 7 échecs! C’est dire que les points arrivaient au compte-gouttes. 21-22 après 15′. Sachant qu’il leur fallait absolument une victoire pour croire encore en leur qualification avant de se rendre en Russie, les Finlandais s’engageaient à fond, n’hésitant pas à jouer à la limite des règles. C’est grâce à une interception suivi d’un dunk de Yakuba Ouattara que la France menait 33-31 à la mi-temps... et plus généralement par le biais de 7 paniers à trois-points (sur 17) et sans tête qui dépasse: 8 joueurs entre 2 et 6 points.\\n\\nAmine Noua très tranchant\\n\\nla deuxième mi-temps repartait sur les mêmes bases, c’est à dire DEFENSE! La finlandaise montait durement sur les porteurs de balle français. Rien n’était donné, des deux côtés du terrain. Un peu crispant. 39-44 pour la Finlande à la 27′. Cette équipe de France souffrait de l’absence d’un scoreur chevronné. C’est Amine Noua qui était le premier à atteindre le cap des 10 points en cette fin de troisième quart-temps.\\n\\nPortés par un public enthousiaste et des paniers intérieurs de Mikael Jantunen, les Finlandais comptaient un moment un bonus de 7 points mais les Bleus égalisaient très vite à 48... avant de prendre cinq points de retard après trois périodes. Ils avaient beaucoup de mal à tenir Jamar Wilson -qui fêtera ce vendredi ses 35 ans- en un-contre-un alors que Mathias Lessort manquait beaucoup d’occasions sous le cercle (3/10).\\n\\nMenée 52-62 à six minutes, la France tentait un dernier rush amorcé par Amine Noua qui battait son record de points en bleu (19 points à 7/11) et deux paniers de suite de Lahaou Konate mais celui-ci ne réussissait pas à contenir son ancien équipier Jamar Wilson éblouissant en deuxième mi-temps.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhotos: Andrew Albicy et Théo Maledon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"CSKA Moscou : Nando de Colo absent contre Gran Canaria" }, {"role": "assistant", "content":"Avec un bilan de 17 victoires pour 5 défaites et une deuxième place en EuroLeague, le CSKA Moscou est quasiment qualifié pour les playoffs. Cependant, la fin de saison n’est pas à négliger, les Moscovites voudront chercher la meilleure place possible pour avoir l’avantage du terrain pendant ces playoffs.\\n\\nLe CSKA va devoir faire avec des blessures. Déjà absent lors du All-Star Game de la VTB League, Nando de Colo sera forfait pour le match de ce jeudi contre Gran Canaria comptant pour la 23ème journée. Parmi ses coéquipiers, le combo-guard Mikhail Kulagin est toujours blessé, tandis que l’intérieur Andrey Vorontsevich sera de retour.\\n\\nDe l’autre côté, Gran Canaria devra faire sans pas moins de six joueurs: Albert Oliver, Luke Fischer, Eulis Baez, Luke Nelson, Nikola Radicevic et Anzejs Pasecniks." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Jordi Bertomeu: «Nous pensons qu’une équipe peut jouer l’Euroleague sans plus jouer dans sa ligue nationale»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’en Espagne, la crise fait rage, ouverte par le Real Madrid, mécontent de l’arbitrage -alors que les trois arbitres qui ont dirigé ce match sont également des arbitres d’Euroleague- en finale de la Coupe du Roi et qui menace de ne plus jouer dans la ligue espagnole, le patron d’ECA, Jordi Bertomeu, intervient dans le quotidien sportif AS en jetant de l’huile sur le feu.On sent bien que la tentation pour les plus grands clubs de se couper des ligues nationales est grande et que l’Euroleague pousse dans cette direction. Une décision qui menace directement toutes les ligues nationales, Marca estimant ainsi dans cette article que la ligue espagnole, l’ACB, perdrait 50% de ses audiences télés si le Real quittait son giron. Après les équipes nationales, dont les rassemblements sont perturbés en raison des calendriers, ce sont désormais les ligues nationales qui sont sur le point d’être menacés par la compétition reine du vieux continent." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Maalik Waynes devrait terminer la saison à Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé en tant que pigiste médical de Jaron Johnson début février, Maalik Wayns (1,85m, 27 ans) devrait finalement passer le reste de la saison à Levallois.\\n\\nTouché par les blessures et les départs, le club des Hauts-de-Seine aurait, selon Le Parisien, décidé de prolonger le contrat de son nouveau meneur jusqu’à la fin de la saison. Passé par Varese, Badalone ou encore Trévise en Europe, il vit sa première expérience en France.\\n\\nSur les deux matchs de Leaders Cup, Maalik Wayns a tourné en moyenne à 14,5 points, 2 rebonds et 4,5 passes décisives pour une évaluation de 14.\\n\\n\\n\\n\\nBasket: Le club des @LevalloisMetro va prolonger le contrat de Maalick Wayns (27 ans), arrivé début février en tant que pigiste médical de Jaron Johnson, jusqu'à la fin de la saison de #JeepELITE @LNBofficiel\\n\\n\\n— Le Parisien | sport IDF (@parisienspo_idf) February 20, 2019\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (16 février)" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Philippe Gautier (URB Rennes, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un tir à trois points dans les derniers instants du match qui donne la victoire à son équipe face à Fougères." }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du Monde: Jamar Wilson (ex-Nanterre) parmi les 12 Finlandais ce soir contre la France" }, {"role": "assistant", "content":"Pour le match de ce soir à Espoo contre la France (18h sur Canal+ Sport), la Finlande sera privée de ses principaux joueurs : Lauri Markkanen (Chicago Bulls), Petteri Koponen (Bayern Munich), Erik Murphy (Manresa) et Alex Murphy (Olaj).\\n\\nLa moitié de l’équipe est constituée de joueurs opérant à l’étranger avec comme atouts majeurs, Sasu Salin (14,0 points, 4,2 rebonds), Shawn Huff (11,2 points, 4,1 rebonds, ex-Le Portel) et l’Américain naturalisé Jamar Wilson (14,1 points, 7,0 passes) bien connu en France pour avoir porté les maillots de Rouen (2015) et Nanterre (2017-18).\\n\\nPar ailleurs, Lassi Tuovi, adjoint de Vincent Collet à Strasbourg, est toujours celui de Henrik Dettmann en sélection nationale.\\n\\n\\n\\n\\nN0\\nPrénom/Nom\\nTaille\\nA. Naissance\\n\\n\\n3\\nAntti KANERVO\\n192\\n1989\\nKK Stjarnan (ISL)\\n\\n\\n4\\nMikko KOIVISTO\\n194\\n1987\\nSalon Vilpas\\n\\n\\n7\\nShawn HUFF\\n198\\n1984\\nFraindes Skyliners (GER)\\n\\n\\n9\\nSasu SALIN\\n191\\n1991\\nUnicaja Malaga (ESP)\\n\\n\\n10\\nTuukka KOTTI\\n205\\n1981\\nMouettes d’Helsinki\\n\\n\\n18\\nMikael JANTUNEN\\n204\\n2000\\nHBA-Märsky, Helsinki\\n\\n\\n20\\nAlexander MADSEN\\n207\\n1995\\nCB Gran Canaria (ESP)\\n\\n\\n22\\nCarl LINDBOM\\n206\\n1991\\nRosa Radom (POL)\\n\\n\\n25\\nJuho NENONEN\\n202\\n1987\\nSalon Vilpas\\n\\n\\n31\\nJamar WILSON\\n185\\n1984\\nBC Rainbow (LTU)\\n\\n\\n35\\nIlari SEPPÄLÄ\\n188\\n1993\\nKataja Basket, Joensuu\\n\\n\\n41\\nTopias PALMI\\n194\\n1994\\nKataja Basket, Joensuu\\n\\n\\n\\n\\n * Coach: Henrik DETTMANN\\n * Assistant: Jukka TOIJALA\\n * Assistant: Lassi TUOVI\\n * Assistant: Mikko LARKAS\\n * Assistant: Jussi HIRVONEN\\n\\nPhoto: Jamar Wilson (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Mamoutou Diarra (Directeur des Opérations Paris Basketball) : «Des gens pensent qu’on ne devrait pas être là parce qu’on a acheté le club»" }, {"role": "assistant", "content":"Ancien joueur professionnel qui a effectué quinze ans à haut niveau, Mamoutou Diarra (2m, 38 ans) est passé de l’autre côté de la barrière. Joueur au Paris Basket Avenir en Nationale 2 en 2017/18, l’ancien international s’est progressivement mué en dirigeant et a pris la casquette de Directeur des Opérations du Paris Basketball à l’été 2018 lors de la création du club. Installé au bord du parquet de la Halle Carpentier et accompagné par les cris des lycéens qui suivent un cours de tennis de table dans le gymnase, ce Parisien de naissance nous explique quel est son rôle dans l’organigramme du club.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre poste dans l’organisation du Paris Basketball ?\\n\\nJe suis Directeur des Opérations Sportives. Normalement, le directeur des opérations dans une entreprise sert à aider au développement de l’entreprise que ce soit au niveau marketing ou au niveau du chiffre d’affaires. Dans mon cas, je suis plutôt dans tout ce qui se rapporte à la partie sportive. Je suis un mélange de Directeur Technique, de Directeur Sportif et, de par la formation de Manager General que je fais en parallèle à Limoges, je commence aussi à entrer dans l’administratif. Je suis plutôt axé sur le sportif, mais j’ai aidé à constituer la cellule médicale, je vois aussi ce qui se passe au niveau marketing, j’essaye de développer l’arrivée de quelques partenaires. Je commence juste à découvrir le côté administratif et juridique du club. Vu que tout s’est créé rapidement j’ai été plus axé sur le sportif, mais maintenant qu’on commence à prendre nos marques je commence aussi à aller voir ce qui se passe de l’autre côté.\\n\\nY a-t-il une journée type pour vous ?\\n\\nNon et justement c’est ce qui est la force et l’avantage de ça. Il n’y a pas de base encore établie et je peux donner l’orientation que je veux à ma fonction. C’est être présent à l’entraînement tout le temps, sauf quand je suis en rendez-vous, c’est aussi faire les déplacements avec l’équipe. J’apporte une expertise à ce qu’ils font. Je peux corriger des détails techniques et je peux conseiller certains joueurs. Quand ils ont des besoins extra-sportifs, je fais le lien avec la direction. Nos bureaux sont ici à Carpentier. Je fais aussi le lien avec le secteur amateur, c’est-à-dire la partie Nationale 2 et U18. J’ai aussi un travail de prospection à faire. Il y a deux semaines, on a été à l’INSEP pour voir quelques joueurs, j’ai aussi eu un rendez-vous avec une école dernièrement dans le cadre de leur projet d’école de basket. Il n’y a pas de journée type et c’est plaisant.\\n\\nComment en êtes-vous arrivé à prendre cette fonction ?\\n\\nQuand je pensais à la reconversion, je me voyais rester dans le sport. Je pense que j’ai donné en tant que joueur, même si parfois ça me manque un petit peu, mais j’ai eu mes années de transition donc je n’éprouve pas le manque dont tout le monde me parle. La seule chose c’est que je ne savais pas comment j’allais rester dans le sport. Ensuite ça fait naturellement, déjà en créant mon académie. J’ai démarré l’année dernière où tous les dimanches je prenais des jeunes pour les développer individuellement. Mon premier projet c’était celui-là, développer l’académie et les jeunes talent d’Ile de France pour limiter le gâchis. J’avais un problème d’infrastructure donc j’ai mis ce projet en stand-by en attendant de le résoudre. Je me suis ensuite inscrit à une formation pour être capable de gérer mon académie de A à Z. Il s’avère que dans le club où je jouais, le Paris Basket Avenir, il y avait un projet de Nationale 1, mais il n’y avait pas de Manager General donc je me suis dit pourquoi pas. Petit à petit je me suis mis dans la peau d’un manager général dans un club qui tend à aller en Nationale 1 et mon dossier a été basé sur ça. Je jouais avec la Nationale 2 l’année dernière, ce n’est pas considéré comme professionnel donc j’avais du temps pour développer des choses dans l’académie et en même temps me lancer dans le projet de manager général. Pour l’instant je suis plus Directeur Sportif que Manager General mais j’apprends le métier.\\n\\nIl n’a pas été question que vous soyez joueur comme Victor Samnick ?\\n\\nIl ne reste que deux joueurs de l’année dernière, Benjamin Obouh Fegue et Victor Samnick. Me concernant, ils m’ont posé la question mais en vue du timing ce n’était pas possible. Ça allait décaler tous mes autres projets. Mon corps commençait aussi à me parler un petit peu donc j’ai pris la sage décision d’arrêter.\\n\\nQuelle formation êtes-vous en train de suivre ?\\n\\nC’est le CDES (Centre de droit et d’économie du sport) de Limoges pour être Manager General. C’est une formation de renom qu’ont Fait Zinedine Zidane ou Laurent Blanc. C’est sur deux ans avec une fréquence de 3 à 4 jours par mois où l’on est en séminaire à différents endroits. C’est très enrichissant dans le sens où il y a beaucoup d’intervenants. On apprend beaucoup de choses, on nous transmet beaucoup d’outils pour pouvoir bien se former et mettre en application ce qu’on nous apprend là-bas. C’est une formation que je recommande parce qu’elle est très qualitative. J’apprends beaucoup de choses. Je suis avec l’ancienne basketteuse, Krissy Badé, et Yann Bonato. Mais il n’y a pas que des basketteurs, il y a des footballeurs, des rugbymen...\\n\\nComment s’est passé votre été, le timing était serré ?\\n\\nC’était un apprentissage un peu accéléré parce que tout s’est décidé très tard et vite. Jusqu’en milieu de saison dernière on ne se savait toujours pas si le club allait rester en Nationale 2, monter en Nationale 1 ou aller en Pro B. Fin juin, début juillet on a su que ça allait être la Pro B donc le choix du coach s’est fait très tard, donc le choix des joueurs aussi. Je savais plus ou moins que j’allais être dans le projet mais je ne savais pas sous quelles conditions, dans quelle fonction.\\n\\nIntervenez-vous dans le recrutement ?\\n\\nLà, je ne suis pas intervenu parce que le coach (NDLR: Jean-Christophe Prat) a été connu très tard donc il avait déjà sûrement une liste de joueurs dans sa tête pour sa saison. Il a fait un beau travail avec le temps qui lui était imparti pour créer une équipe. Mais pour la saison je vais intervenir sur le recrutement. On commence d’ailleurs déjà à discuter avec le coach.\\n\\nAvez-vous eu des retours des autres clubs quant à votre arrivée en Pro B ?\\n\\nJ’ai pu discuter avec la plupart des autres dirigeants. Pour eux c’est une bonne chose parce que ça manquait dans le paysage français de ne pas avoir une équipe de basket à Paris. Pour beaucoup c’est une bonne chose, mais pour une autre partie ils ne le voient pas d’un bon œil. Mais on le savait en arrivant, ça fait partie du « package ». Des gens veulent voir cette équipe, d’autres ne veulent pas pour d’autres raisons. J’ai vu beaucoup de projets ici et j’ai toujours prôné qu’il fallait une équipe à Paris. Il y a des gens qui ne veulent pas nous voir parce que ça peut leur nuire, d’autre pensent qu’on ne devrait pas être là parce qu’on a acheté un club. On dit beaucoup que Paris a racheté les droits de Hyères-Toulon pour exister donc ils sont montés économiquement et pas sportivement, mais on ne parle pas du fait que s’il n’y avait pas eu ce rachat Hyères-Toulon n’existerait plus aujourd’hui alors que le club continue finalement à exister et peut remonter dans les divisions supérieures. C’est bien de le préciser et de le rappeler parce que tout le monde n’est pas au courant de ça. Ça parle aussi beaucoup du fait que Blois n’est pas monté en Jeep Elite. On est tributaire de ça alors qu’on en est complètement indépendants. Mais ça fait partie du jeu.\\n\\nFaites-vous les déplacements avec l’équipe ?\\n\\nJe fais tous les déplacements, je pars la veille avec eux. Je fais partie intégrante du staff sportif. Sauf réunion ou rendez-vous, je suis toujours avec l’équipe.\\n\\nAprès un peu plus d’une demi-saison au Paris Basketball quel bilan faites-vous de votre expérience ? Est-ce que c’est ce à quoi vous vous attendiez ?\\n\\nOui et non parce que c’était un peu flou donc je ne m’attendais pas spécialement à quelque chose. Je m’attendais à découvrir beaucoup de choses, ce qui est le cas. Au niveau sportif je connais plus ou moins le métier, mais je continue malgré tout à apprendre Quand tu es joueur, on te demande juste de venir et de jouer, mais quand tu es là, tu apprends qu’il y a des OTMs (officiels de table de marque), qu’il y a des arbitres qu’il faut aller chercher, qu’il faut loger, il y a des statisticiens. Il y a des chartes terrain, il y a plein de choses avec lesquelles il faut être en accord pour faire en sorte qu’un club vive. C’est très intéressant de découvrir tout ça. C’est une année de prise de marque, au même titre que le club. Je connais Paris et je voulais apprendre à faire venir un public, à intéresser les gens. Faire venir un public à Paris et faire venir un public pour du basket c’est compliqué parce qu’il y a tellement de choses à faire. Ce n’est pas dans la culture des gens. Comment fait-on pour faire venir des gens à un match de basket alors que ce n’est pas dans leur culture ? Il faut créer des choses autour du sportif pour que ça devienne, par exemple, un événement familial et que les gens ne soient pas rattachés qu’au sportif et au résultat. Ce sont des stratégies, ce sont des questions très intéressantes.\\n\\nQuelles sont vos ambitions pour la suite ?\\n\\nJe veux déjà obtenir mon diplôme, ça devrait être pour cette année. Je veux continuer à apprendre parce que c’est une bonne formation mais ça reste de la théorie donc je veux au fur et à mesure essayer de pratiquer ce que j’ai appris. Ce n’est pas dit que je vais devenir Manager General l’année prochaine ni dans deux ans mais au moins j’aurais le diplôme et des outils que je pourrais essayer d’appliquer. On verra ce que ça va donner. Peut-être que j’aurai le diplôme mais que je ne serai jamais Manager General. Au moins j’aurai les outils pour gérer quelque chose et en l’occurrence un club. Mais ce n’était pas une vocation de départ.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre poste dans l’organisation du Paris Basketball ?\\n\\nJe suis Directeur des Opérations Sportives. Normalement, le directeur des opérations dans une entreprise sert à aider au développement de l’entreprise que ce soit au niveau marketing ou au niveau du chiffre d’affaires. Dans mon cas, je suis plutôt dans tout ce qui se rapporte à la partie sportive. Je suis un mélange de Directeur Technique, de Directeur Sportif et, de par la formation de Manager General que je fais en parallèle à Limoges, je commence aussi à entrer dans l’administratif. Je suis plutôt axé sur le sportif, mais j’ai aidé à constituer la cellule médicale, je vois aussi ce qui se passe au niveau marketing, j’essaye de développer l’arrivée de quelques partenaires. Je commence juste à découvrir le côté administratif et juridique du club. Vu que tout s’est créé rapidement j’ai été plus axé sur le sportif, mais maintenant qu’on commence à prendre nos marques je commence aussi à aller voir ce qui se passe de l’autre côté.\\n\\nY a-t-il une journée type pour vous ?\\n\\nNon et justement c’est ce qui est la force et l’avantage de ça. Il n’y a pas de base encore établie et je peux donner l’orientation que je veux à ma fonction. C’est être présent à l’entraînement tout le temps, sauf quand je suis en rendez-vous, c’est aussi faire les déplacements avec l’équipe. J’apporte une expertise à ce qu’ils font. Je peux corriger des détails techniques et je peux conseiller certains joueurs. Quand ils ont des besoins extra-sportifs, je fais le lien avec la direction. Nos bureaux sont ici à Carpentier. Je fais aussi le lien avec le secteur amateur, c’est-à-dire la partie Nationale 2 et U18. J’ai aussi un travail de prospection à faire. Il y a deux semaines, on a été à l’INSEP pour voir quelques joueurs, j’ai aussi eu un rendez-vous avec une école dernièrement dans le cadre de leur projet d’école de basket. Il n’y a pas de journée type et c’est plaisant.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Paris Basketball" }, {"role": "user", "content":"Boulogne-Levallois: Ce seront les Metropolitans 92 !" }, {"role": "assistant", "content":"Pour le bien de l’équipe de Jeep Elite, Levallois va fusionner avec Boulogne mais le nom des deux villes n’apparaîtra pas dans la nouvelle appellation du club. Ce seront les Metropolitans 92.\\n\\n92 comme le département des Hauts-de-Seine qui est également accolé au club de Nanterre.\\n\\nC’est la révélation faite dans Le Parisien par Jean-Pierre Aubry, l’actuel président, qui va quitter ses fonctions à la fin de la présente saison mais qui souhaite conserver un poste dans la nouvelle structure.\\n\\n« Dans les faits, Boulogne va racheter les actions des actionnaires du club et devenir majoritaire. Dans la foulée, les droits sportifs de Levallois pour jouer en Jeep Elite seront transférés à l’ACBB, club omnisports de Boulogne. Quant au budget, il s’annonce conséquent », explique Le Parisien.\\n\\nMême si son équipe professionnelle déménage, le LSC Basket demeure fort de 800 licenciés.\\n\\n« L’objectif est de la faire grimper jusqu’à la Pro B afin que les jeunes joueurs du centre de formation des Metropolitans puissent évoluer à un haut niveau », indique Jean-Pierre Aubry.\\n\\nA lire à ce sujet en Premium l’interview du vice-président Alain Weisz." }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Nate Wolters (Zalgiris Kaunas) out pour 2-3 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach du Zalgiris Kaunas Sarunas Jasikevicius a annoncé au site 24sek.lt que son meneur Nate Wolters (1,93m, 27 ans) sera privé de compétition pour deux à trois semaines.\\n\\nCette absence serait due à une blessure à l’aine qui s’est aggravée lors de la finale de coupe de Lituanie, que le Zalgiris a perdu (67-70). Un coup dur pour l’ancien joueur de Châlon-sur-Saône, qui tournait cette saison à 12,2 points, 3,3 rebonds et 4,6 passes décisives de moyenne par match.\\n\\nPour ce qui est du retour de son ailier-fort Brandon Davies, le coach lituanien s’est montré optimiste : « Il est dans de bonnes conditions, trois jours d’entraînement lui ont fait du bien »." }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Bourges face aux Hongroises de Sopron en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de Villeneuve d’Ascq, 74-78, Bourges n’a pu accrocher sur le fil la deuxième place du Groupe A car pendant ce temps, Prague est allé s’imposer à Polkowice, 74-79.\\n\\nCristina Ouvina (19 points) a été la meilleure marqueuse berruyère avec Alexia Chartereau (17) et Marine Johannès (16) alors que Laetitia Kamba (13 points, 4 rebonds, 3 passes) a été la plus complète côté villeneuvois. L’ESBVA rate ainsi son reversement en Eurocup, au contraire de Charleville qui a réalisé l’exploit de tomber Fenerbahçe, 94-92.\\n\\nLes quarts-de-finale de l’Euroleague se disputeront au meilleur des trois matches (5, 8 et si nécessaire 13 mars). Les matches 1 et 2 se joueront chez l’équipe la mieux classées en saison régulière.\\n\\nUMMC Ekaterinburg vs TTT Riga; Sopron Basket vs Bourges Basket; ZVVZ USK Prague vs Fenerbahce; Dynamo Koursk vs CCC Polkowice.\\n\\nLes principales armes de Sopron sont ses deux Américaines, la meneuse Yvonne Turner (1,78m, 31 ans, 13,6 points, 5,9 passes) et l’ailière Candice Dupree (1,87m, 34 ans, 14,1 points, 6,5 rebonds), ainsi que l’ailière suédoise Amanda Zahui (1,96m, 25 ans, 11,6 points, 7,7 rebonds) et l’ailière espagnole Queralt Casas (1,80m, 26 ans, 9,0 points, 5,2 rebonds, 3,3 passes) qui a commencé la saison à Charleville.\\n\\nEn terminant cinquième et sixième de leur groupe, Nadezhda, Famila Schio, Perfumerias Avenida et Charleville sont donc reversés en quart-de-finale de l’Eurocup. Les autres qualifiés seront connus aujourd’hui et le tirage au sort se tiendra demain à Munich. Les quarts de joueront par matchs allers-retours les 7 et 14 mars.\\n\\nPhoto: Cristinia Ouvina (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B: Un rappel des conditions de recrutement" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la Ligue Nationale de Basket rappelle les conditions de recrutement pour la Jeep Elite et la Pro B.\\n\\n« La date butoir du 28 février relative au libre recrutement de joueurs professionnels et de mutation entre clubs au sein de la même division approche. Ainsi, nous souhaitons vous rappeler les dispositions règlementaires concernant les règles de mutation applicables aux clubs et aux joueurs engagés au sein des Championnats PRO A et PRO B pour la saison 2018/2019\\n\\n• La date butoir pour recruter librement des joueurs dans la limite des 16 contrats et pour muter au sein d’une même division ainsi que pour recruter un joueur qui évolue en NM1 lors de la saison 2017-18 est fixée au 28/02/2018. Les dossiers complets (lettre de sortie comprise) devront être déposés/réceptionnés à cette date auprès des services de la LNB.\\n\\n• A compter du 1er mars de la saison en cours et jusqu’à la fin de la saison régulière, les clubs auront la possibilité d’effectuer uniquement deux recrutements de pigistes médicaux, conformément et selon les dispositions de l’article 115, dans la limite maximum de 16 contrats de joueurs. Du fait de l’article 114 des règlements, ce pigiste ne pourra évoluer au sein d’un club de la même division ou de NM1 (sauf exception joueur non rémunéré).\\n\\n• Pour rappel, le recrutement, l’homologation des contrats, et les qualifications des joueurs devront respecter les principes définis aux articles 113,115 et 131 des règlements de la LNB. »\\n\\nNOMBRE DE CONTRATS PROFESSIONNELS UTILISES A CE JOUR\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJEEP ELITE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nANTIBES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBOULAZAC\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBOURG EN BRESSE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHALONS-REIMS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHALON-SUR-SAONE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHOLET\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDIJON\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFOS-SUR-MER\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGRAVELINES-DUNKERQUE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLE MANS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLE PORTEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLEVALLOIS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLIMOGES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLYON-VILLEURBANNE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMONACO\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNANTERRE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPAU-LACQ-ORTHEZ\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSTRASBOURG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPRO B\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAIX-MAURIENNE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBLOIS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCAEN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHARTRES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDENAIN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEVREUX\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGRIES-OBERHOFFEN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLILLE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNANCY\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNANTES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nORLEANS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPARIS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOITIERS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nQUIMPER\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nROANNE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nROUEN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSAINT-CHAMOND\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVICHY-CLERMONT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Léo Westermann (Zalgiris) : «Nous avons des fans comme nulle part en Europe»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview accordée à la chaîne YouTube du Zalgiris Kaunas, le meneur tricolore Léo Westermann (1,97m, 26 ans) est revenu sur sa saison 2017-2018 au CSKA Moscou minée par les blessures, son retour dans l’équipe lituanienne ainsi que sur sa longue période sans club cet été.\\n\\nA propos de son été, l’ancien Limougeaud raconte avoir été assez pragmatique:\\n\\n« J’ai travaillé tout l’été sur mon corps. J’ai eu quelques blessures au dos en avril, ce qui m’a privé de trois à quatre mois de compétition, c’est pour ça que j’ai décidé de beaucoup travailler mon physique afin d’être prêt pour la saison suivante, avant même de retrouver une équipe c’est ça qui m’importait le plus. Je n’ai quasiment jamais joué a 100% la saison passée et je ne prenais pas de plaisir. J’ai beaucoup été touché par les blessures tout au long de ma carrière, je savais à quoi m’attendre, je connaissais le processus. Je me sentais prêt à revenir, la rééducation s’est bien passée. Je me suis entraîné avec l’ASVEL et Mantas Kalnientis pendant un mois. Ce sont des moments difficiles mais j’essaie de voir le positif partout. »\\n\\nSur son retour au Zalgiris Kaunas, il déclare :\\n\\n« Je suis venu ici en juillet pour passer différents examens, pour voir comment était mon corps, mon dos particulièrement. Et je n’ai pas eu de nouvelles pendant un mois et demi. Un mois et demi sans appel c’est très long, personne m’a parlé et j’ai été surpris. Comme je l’ai dit à (Paulius) Jankunas (le capitaine du club) et Antanas Kavaliauskas, je m’attendais à ce qu’on me dise « désolé on veut quelqu’un d’autre », ce que j’aurais compris, cela ne m’aurais pas posé de problème. Comme je vous l’ai dit précédemment, j’avais pour idée de revenir au Zalgiris, et cela est arrivé (rires), ils m’ont appelé et j’ai dit oui. »\\n\\nL’Alsacien n’oublie pas d’encenser le public du club, qui est considéré comme l’un des meilleurs d’Europe :\\n\\n« Comme j’ai pu le voir la saison dernière, le public donne beaucoup, nous avons des fans qui voyagent avec nous, qui viennent partout. Il y a deux ans, on jouait à domicile quasiment tous les matchs. Les gens étaient vraiment fiers de la performance de la saison dernière (où le club avait atteint le final four de l’EuroLeague), c’était un vrai accomplissement pour le coach et les joueurs présents l’année dernière. C’est super, comme vous le dites, on a des super supporters à chaque match. Je pense que l’année dernière a maqué beaucoup de supporters à Kaunas, nous devons nous battre pour eux, ils viennent à 15 000 à chaque match, ce sont des fans comme il y en a pas d’autres en Europe ».\\n\\nIl n’est pas non plus avare en compliments au sujet de Rokas Jokubaitis (1,93 m, 18 ans) nouvelle pépite du basket lituanien :\\n\\n« Il est super, les joueurs les plus expérimentés essayent de l’aider et il redonne ce qu’on lui apprend. J’essaie de l’aider du mieux que je peux, il a super potentiel et c’est un super gamin. C’est un basketteur de haut niveau avec un très gros QI Basket. Il est déjà très bon mais il sait qu’il doit progresser. Il a mérité plus de minutes et il n’y a pas débat à ce sujet. Il s’entraîne très sérieusement et très régulièrement. Il sera un très bon joueur, il n’y a pas de doute à ce sujet. »\\n\\nIl conclut avec la fin de saison de son club en EuroLeague, qui tient à disputer les playoffs :\\n\\n« Nous avons besoin de tous nous joueurs, il faut que tous le monde soit concerné. La moindre blessure est un gros manque pour l’équipe, même si on a une bonne profondeur d’effectif, on a eu pas mal de joueurs blessés. Ce n’est pas facile. L’année dernière, le club était plutôt épargné par les blessures, ils pu jouer à haut niveau, avec une haute intensité et sans trop de blessures. Malheureusement, on ne peut rien faire contre ça, il faut continuer à s’entraîner dur et bien se préparer. Les préparateurs physiques font déjà un super boulot pour nous, mais c’est une partie de notre carrière, de notre vie en général. A nous de bien nous remettre de nos blessures afin de finir la saison de la meilleure des manières. Nous parlons beaucoup ensemble, ces derniers temps on a eu deux défaites où l’on perd de très peu. Nous restons cependant une bonne équipe qui peut battre tout le monde en EuroLeague. Si on joue en respectant les systèmes et si tout le monde joue ensemble, on sait où on peut aller. Beaucoup de matchs vont arriver, on a un plutôt bon calendrier, mais je pense qu’on peut aller en playoffs si on se bat. Je pense qu’on peut le faire si tout le monde est en bonne santé. »" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Jacob Wiley signe à Gran Canaria" }, {"role": "assistant", "content":"Quasiment éliminé de l’EuroLeague et à la peine en Liga ACB avec une piètre 16ème place, Gran Canaria a décidé de se renforcer pour la fin de saison. Le combo-forward Jacob Wiley (2,03m, 24 ans) s’est engagé avec le club des Canaries jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nAperçu la saison dernière en Allemagne du côté de Ludwigsbourg, il jouait cette saison aux Adelaide 36ers dans le championnat australien, où il tournait à 12,3 points et 5 rebonds de moyenne par match. Il apportera ses qualités athlétiques à une équipe qui désormais lutte pour son maintien dans le championnat espagnol." }, {"role": "user", "content":"EuroLeague : Le logo du Final Four dévoilé" }, {"role": "assistant", "content":"Le logo du Final Four 2019 de l’EuroLeague a été révélé sur les réseaux sociaux.\\n\\nOrganisatrice, la ville de Vitoria-Gasteiz est fortement représentée dans ce logo, avec notamment les quatre tours situées dans les vieux quartiers, qui sont les monuments les plus connus.\\n\\nLe Final Four se jouera du 17 au 19 mai prochains et sera le premier gros événement basket organisé dans le Pays Basque, dont le club de Baskonia est un fort représentant de l’identité, arborant le drapeau basque à la place du drapeau espagnol au dos de leur maillot." }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Vainqueur de Fenerbahçe, Charleville se qualifie pour les quarts de finale de l’Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une aréna en feu, les Flammes de Charleville-Mézières ont réussi l’exploit de vaincre le Fenerbahçe après prolongation, 94-92, et ainsi de se qualifier pour les 1/4 de finale de l’Eurocup.\\n\\nAvec 26 points et 8 rebonds, l’Américaine Hailey Peters a mené les Flammes dans la bonne direction. Autres chiffres significatifs, les 14 passes d’Amel Bouderra (plus 18 points) et les 9 rebonds d’Ana Filip.\\nDans l’équipe turque coachée par Valérie Garnier, l’internationale française Bria Hartley a flirté avec le triple double avec 18 points, 8 passes et 7 rebonds.\\n\\nPhoto: Amel Bouderra (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"LFB: Meilleure joueuse de l’Euro 2015, la Serbe Ana Dabovic signe à Lattes-Montpellier" }, {"role": "assistant", "content":"Afin de faire face au départ d’Olésia Malashenko et palier différentes blessures, Lattes-Montpellier fait fort sur le marché des transferts en signant la Serbe Ana Dabovic (1,89m, 29 ans) jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLe principal titre de gloire d’Ana Dabovic est d’avoir gagné l’Euro 2015 avec la Serbie et d’avoir été élue MVP du tournoi. Elle avait scoré 25 points en finale face à la France. Elle a également remporté une médaille en bronze aux JO de Rio après une victoire lors du match pour la troisième place de nouveau au détriment de la France.\\n\\nAna est la soeur cadette de Milica, qui a porté les maillots de Mondeville et Lyon. Elle a joué à Novossibirsk et le Dynamo Moscou (Russie), Cracovie (Pologne), Yakin Dogu, Ankara, Ormanspor et Fenerbahçe (Turquie).\\n\\nElle fut également championne WNBA en 2016 avec les Los Angeles Sparks (6,0 points en moyenne sur deux saisons et 36 matches) et elle gagné l’EuroCup en 2014 avec le Dynamo Moscou." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : l’Elan Béarnais perd Donta Smith pour un mois et demi" }, {"role": "assistant", "content":"Mauvaise nouvelle pour l’Elan Béarnais, deuxième de Jeep Elite (14v-6d), qui perd l’un de ses joueurs majeurs en la personne de Donta Smith (2,01m, 35 ans).\\n\\nSur son site, la formation paloise indique que son joueur souffre d’un traumatisme de l’auriculaire de la main droite et qu’il sera indisponible pour une durée allant de cinq à six semaines. Le week-end passé à la Leaders Cup, l’ancien joueur l’Hapoel Jerusalem s’était déjà présenté sur le parquet avec un large bandage à la main droite.\\n\\nCette saison, Donta Smith compile en moyenne 12,3 points, 6,6 rebonds et 4,5 passes décisives pour une évaluation de 16,5.\\n\\nPhoto : Hervé Bellenger / IS / LNB – Disneyland" }, {"role": "user", "content":"La photo: Boris Diaw est de retour avec les Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"Boris Diaw est de retour en équipe de France, laquelle est arrivée à Helsinki où elle doit disputer demain un match contre l’équipe de Finlande dans le cadre des qualifications à la Coupe du monde en Chine. C’est le président fédéral Jean-Pierre Siutat qui a réalisé ce cliché-document.\\n\\nMais pas de fausse information. L’ancien capitaine est bien à la retraite sur le plan du jeu et pas question de prendre place comme durant quinze ans au poste 4. Il est désormais adjoint au general manager Patrick Beesley. Il va cependant pouvoir continuer à faire profiter la bleusaille de son immense expérience.\\n\\n\\n\\n\\n@theborisdiaw le retour 😊👍 @FRABasketball pic.twitter.com/ldBTf1XPa5\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) February 20, 2019" }, {"role": "user", "content":"Alessandro Gentile casse le basket italien : «J’ai pensé à la retraite après Milan»" }, {"role": "assistant", "content":"International italien passé par Trévise, Milan et Bologne en Serie A, Alessandro Gentile (2,01m, 26 ans) en veut au basket italien.\\n\\nComme le rapporte Sportando, l’actuel ailier de l’Estudiantines Madrid (14,4 points, 4,5 rebonds, 11,7 d’évaluation en Liga Endesa) n’a pas été tendre avec son pays d’origine.\\n\\n“L’Italie est perdante dans tout : les salles, les installations et l’organisation des clubs. En ACB, les joueurs espagnols jouent vraiment, contrairement à la Serie A où il est presque impossible de voir deux ou trois Italiens sur le terrain en même temps. En Espagne, il existe une culture différente. En Italie, les gens aiment détester, certains joueurs sont détruits. Je ne dis pas ça parce que ça m’est arrivé. Ça touche presque tout le monde. J’ai eu une période difficile, je suis sûr qu’un grand nombre de joueurs aurait pris leur retraite. J’ai pensé à arrêter de jouer au basket après Milan. Mais ma famille et mon agent, Riccardo Sbezzi, m’ont aidé à redécouvrir l’amour pour une équipe. Le basket c’est ma vie. Aujourd’hui, je peux dire que je revis. »\\n\\nNéanmoins, l’ancien joueur de l’Hapoel Jerusalem a confié ne pas exclure un retour en Italie dans le futur...\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Marissa Coleman, nouvelle ailière américaine de Landerneau" }, {"role": "assistant", "content":"Sur sa page Facebook, le Landerneau Bretagne Basket annonce la venue de Marissa Coleman (1,85m, 32 ans). Il s’agit de la troisième ailière américaine du club cette saison puisque Shayla Cooper et Bria Holmes sont partis prématurément.\\n\\nLanderneau est le troisième club de Ligue Féminine de Marissa Coleman après Lyon (2011 et 12) et Bourges (2012-13) avec qui elle fut sacrée championne de France. Elle a également joué en Euroleague avec Schio, Sopron, Salamanque et Fenerbahçe. L’ancienne Terrapin du Maryland a par ailleurs au compteur 319 matches en 10 étés en WNBA pour 6,7 points et 3,1 rebonds. Elle fut sélectionnée pour le All-Star Game 2015. Une pointure, assurément." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde U19 : La France avec la Chine, Porto Rico et la Serbie" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort de la coupe du monde U19 s’est déroulé ce mercredi en Grèce à Heraklion, ville hôte du tournoi.\\n\\nTirées par Manolis Papamakarios, ancien international grec, et les internationaux en exercice, Ioannis Boroussis et Panagiotis Vasilopoulos, les boules ont décidé que les Bleuets affronteront au premier tour la Chine, Porto Rico et la Serbie. 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A Nanterre pour le rassemblement de l’Equipe de France, le sélectionneur tricolore a répondu aux questions des médias.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour commencer, le technicien strasbourgeois a évoqué l’état d’esprit de sa sélection alors que la France est déjà qualifiée pour la compétition finale et affrontera en premier la Finlande à Espoo qui est toujours à la recherche de son billet pour le Chine, puis la République Tchèque à Rezé.\\n\\n« On a toujours essayé de séparer chaque fenêtre et de se mettre un challenge sur chacune d’entre elles, même s’il y a d’autres d’aspects du fait qu’on soit qualifiés. On joue contre une des équipes qui sont encore engagées dans un processus de qualification, la Finlande. Si on perd contre la Finlande, elle jouera « une finale » contre la Russie. On sait qu’on a un rôle à jouer. Gagner en Finlande, je ne l’ai jamais fait depuis que je suis entraîneur de l’Equipe de France donc c’est aussi un petit challenge personnel. Mais je crois qu’on est dans une configuration encore différente et l’absence de Paul Lacombe risque de nous être préjudiciable. On va essayer de faire comme d’habitude, être les meilleurs possibles avec un état d’esprit qui, je l’espère, sera à la hauteur de ce qu’il était lors de dernières fenêtres. Contre la Finlande on a gagné le match aller de 20 points en septembre, mais malgré tout c’est une équipe qui joue très bien au basket. C’est un peu une équipe de club dans les sélections nationales. Pendant les fenêtres estivales, ils ont eu un temps de préparation beaucoup plus long que toutes les autres équipes parce que les joueurs ont accepté de faire des semaines supplémentaires. Ce qui leur permet d’avoir une qualité de jeu vraiment intéressante. Les joueurs se connaissent depuis très longtemps, l’ossature est la même depuis une dizaine d’années. C’est une équipe qui est très difficile à jouer. Il faudra qu’on s’adapte et qu’on soit notamment capable de beaucoup changer sur leurs joueurs en défense. »\\n\\nLe coach des Bleus a également évoqué le cas du meneur de l’ASVEL Théo Maledon qui pourrait, à 17 ans, connaitre sa première sélection en Equipe de France ce jeudi face à la Finlande.\\n\\n« Il me donne une très bonne impression, il est très à l’aise. On sent que mois après mois il gagne en confiance et en maturité. C’est aussi l’intérêt de cette fenêtre, de pouvoir tester des joueurs et les mettre vraiment en situation de jeu. Il s’est entraîné avec nous il y a deux mois, mais là c’est encore mieux qu’il puisse jouer. On ne s’interdit rien, on va observer. La saison n’est pas terminée, ce qu’on voit c’est qu’il progresse. On va voir comment ça se passe dans un contexte difficile. Je pense que le match va vraiment être dur parce que la Finlande va jouer son va-tout. Ils ont encore des espoirs de qualification. C’est une nation qui progresse et ça va être un match forcément compliqué pour nous jeudi. Voir Théo dans ce contexte-là ça va être une source d’enseignements. Sur ce qu’il montre, il est tellement calme et mature dans le jeu pour un joueur de cet âge-là, il faut juste qu’il soit lui-même. Il doit, bien sûr, être respectueux du jeu des autres mais pas non plus dans la timidité. Dans les deux jours qui viennent, je vais essayer de l’accompagner pour le libérer. Même si pour l’instant il a toujours montré une certaine confiance en lui, notamment avec Villeurbanne, là c’est encore une étape supplémentaire. C’est l’Equipe de France. Je vais essayer de l’aider pour qu’il puisse jouer justement sans stress. Dans le groupe son intégration se passe très bien. On le sent, le groupe est relativement jeune, ils se connaissent, ils sont tous un peu copains. Ça se passe très bien. »\\n\\nIl y a été de sa petite comparaison avec un autre joueur qui s’est montré très tôt avec la SIG, sous les ordres de... Vincent Collet.\\n\\n« J’ai eu la chance de coacher Ntilikina qui était aussi assez étonnant et impressionnant, mais Frank avait moins d’assurance. Ce qui m’impressionne avec Théo c’est qu’il n’est pas simplement respectueux des anciens et du jeu, il est aussi capable de s’affirmer, de prendre des initiatives. »\\n\\n[armelse]\\n\\nPour commencer, le technicien strasbourgeois a évoqué l’état d’esprit de sa sélection alors que la France est déjà qualifiée pour la compétition finale et affrontera en premier la Finlande qui joue toujours sa qualification.\\n\\n« On a toujours essayé de séparer chaque fenêtre de se mettre un challenge sur chacun d’entre elles, même s’il y a d’autres d’aspects du fait qu’on soit qualifiés. On joue contre une des équipes qui sont encore engagées dans un processus de qualification, la Finlande. 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Bien que sélectionné pour ces trois matches, Maurice Ndour est forfait comme le Strasbourgeois Youssoupha Fall.\\n\\n“Il ne s’agit pas d’un refus catégorique. Je crois que c’est juste parce qu’il n’a pas pu se libérer avec son club. La période est un peu chargée pour toutes les équipes et ce n’est pas vraiment évident de faire le voyage. Je crois qu’il sera là si le Sénegal se qualifie pour le mondial”, estime une source fédérale citée par Thieydakar.\\n\\nLe Sénégal présente actuellement un bilan de sept victoires pour deux défaites, et une seule victoire lors de ces trois derniers matchs enverront les Lions de la Teranga en Chine.\\n\\nhttps://twitter.com/TooHotFiDem/status/1097647779269300224" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup Pro B – Chorale de Roanne: Et maintenant, la remontée en Jeep Elite !" }, {"role": "assistant", "content":"En s’imposant en finale à Rouen (66-60) la Chorale de Roanne a remporté sa deuxième Leaders Cup Pro B en deux ans mais pour elle l’objectif principal est d’assurer sa remontée en Jeep Elite dès cette saison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCette Leaders Cup, c’est le septième titre de la Chorale de Roanne, toutes générations confondues. C’est un club mythique qui fut champion de France une première fois il y a soixante ans et qui en 2007 réalisa un doublé légendaire (championnat de France, Semaine des As) avec Jean-Denys Choulet aux manettes et sur le terrain le trio américain boulimique, Dee Spencer, Marc Salyers et Aaron Harper.\\n\\nIl y a deux ans, la Chorale, déjà coachée par Laurent Pluvy, soufflait sur un gâteau d’anniversaire avec dix bougies en s’offrant sa première Leaders Cup de Pro B. Six cent supporters l’avaient accompagnée à Disneyland Paris et ce week-end encore ils se sont montrés de très loin les plus nombreux et les plus festifs dans les tribunes. Il faut se souvenir que quand la Chorale avait organisé feu La Semaine des As en 2012, 5 001 spectateurs avaient, en moyenne, investi la Halle André-Vacheresse et seuls Nancy et le palais des sports de Gentilly ont fait mieux dans cette compétition.\\n\\nPour cette finale, Laurent Pluvy avait récupéré son meneur Mathis Keita, après une indisponibilité lié à une lésion musculaire à la cuisse et l’ancien joueur de Gravelines a joué 18 minutes et pris un rebond chaud à la fin. Ce n’était pas de trop face à une équipe de Rouen qui sortait de cinq victoires d’affilée en championnat dont trois probantes à l’extérieur face à Orléans (+20), Lille (+10) et Evreux (+12).\\n\\nLes Choraliens ont mené toute la première mi-temps sans pour autant être dans une douce quiétude. A 3’52 de la fin du troisième quart-temps, les Normands égalisèrent à 44 sur un dunk de Zimmy Nwogbo. Et si Roanne reprit un moment ses aises (55-44 sur un trois-points d’Alexis Tanghe à 8’32 de la fin), il lui fallut compter de nouveau sur un retour de son adversaire parfaitement drivé par son meneur Jean-Baptiste Maille. La fin du match fut tendue, un tantinet cacophonique avec les arbitres qui consultent les images de la télé, qui pénalisent Rouen d’une anti-sportive, qui refont shooter des lancers car ce n’est pas le bon joueur (Matt Carlino) qui s’était présenté sur la ligne, et Alexis Tanghe qui refuse ostensiblement de serrer la main de Jean-Baptiste Maille. C’est l’intérieur XXXXL Ferdinand Prénom qui a mis la dernière touche à la victoire choralienne.\\n\\nLe fonds de commerce de Roanne, sa défense\\n\\n« On est à 34% aux shoots mais eux à 35% », commenta Jean-Baptiste Maille, constatant que ce n’est pas que la maladresse qui a coûté la victoire à son équipe. « C’est un ensemble de petits détails qui sur une finale fait la différence. Aujourd’hui c’est tombé de leur côté. Ils ont été devant tout le match. A un moment donné dans le troisième quart-temps, on revient à égalité mais on n’arrive pas à faire la bascule pour leur mettre le doute dans la tête. Ce sont des momentums dans un match qui sont importants. Il faut les féliciter, ils scorent beaucoup sur des rebonds offensifs, ils mettent des gros tirs avec leurs postes 4 mais on peut avoir des regrets car on est tout le temps dans le match et on aurait pu le prendre. »\\n\\nSur un plan individuel, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 25 ans) a fait une superbe impression avec 16 points, 6 rebonds et 6 passes. Privé la saison dernière d’une expérience complète à Limoges en raison d’une rupture des ligaments croisés du genou, le Manceau d’origine peut revenir en Jeep Elite dès qu’il en a envie.\\n\\nSon coach Alexandre Ménard a commencé par féliciter l’équipe lauréate, a congratulé ses joueurs mais n’avait visiblement pas apprécié toutes les décisions d’arbitrage.\\n\\n« Je crois que ça a été un peu une guerre de tranchées. Nous, on n’était pas attendu à ce niveau-là, on était la victime un peu attendu et on a tout fait pour ne pas l’être. On est revenu à égalité sans avoir jamais la possibilité de passer devant. J’aurais voulu aussi que l’on nous donne un peu plus de chances. Je trouve bizarre que l’on nous donne que deux lancers-francs en deuxième mi-temps alors que l’on a tous vu qu’il y a eu beaucoup de contacts. On en a eu 17 en première mi-temps et il ne me semble pas que la deuxième mi-temps ait été moins âpre que la première. Ça a été une belle bataille. Les joueurs ont mis du cœur à l’ouvrage. Roanne a donné une belle opposition. On a peut-être manqué parfois de lucidité, on est à 17 balles perdues et certaines auraient pu être facilement évitées. Ce ne sont pas des balles perdues provoquées. Il nous a manqué un peu d’adresse. Un ou deux tirs à trois-points, évidemment ça peut changer le match. On a senti que parfois il y avait un peu de flottement en terme de gestion du match. Pas des coaches plutôt des arbitres. C’était la table de marque qui décidait un peu à leur place. Un peu bizarre. Mais encore une fois, Roanne mérite sa victoire. »\\n\\nPour son confrère de la Chorale, Laurent Pluvy, le Rouen Métropole Basket était un opposant redoutable.\\n\\n« C’est une équipe qui propose beaucoup de choses, qui change beaucoup, il y a beaucoup de dynamisme, d’enthousiasme. On savait que c’est un match qui se jouerait dans ce secteur-là. Je suis ravi de la défense que l’on a pu faire ce soir. On était vraiment focus sur la réussite qu’ils pouvaient avoir sur le secteur extérieur sur trois, quatre joueurs. On a contrôlé ces garçons là sur le tir, même s’il y a eu deux ou trois oublis. On a globalement été très bons défensivement. On a revu cette semaine nos fondamentaux avec l’arrivée d’Ilian (Evtimov) et ça a fait du bien à tout le monde. On savait que ça ne serait pas un match où l’on marquerait 80 points. Il fallait les laisser en-dessous de 70, on les laisse à 60. Dès que l’on est un peu amoindri, dans le doute, on revient à nos fondamentaux, c’est-à-dire faire une grosse défense comme on l’a fait la saison dernière. On se repose là-dessus quand on a besoin d’aller chercher un match important. »\\n\\nEn fait, si Roanne possède la troisième défense de Pro B derrière Nancy et... Rouen, la Chorale en est aussi la troisième attaque après Griès et Orléans. Et si David Jackson (16 points, 5 rebonds) a été élu MVP de la soirée, il n’a pas voulu tirer la couverture à lui :\\n\\n« C’est assurément une victoire d’équipe. On était au point aussi bien offensivement que défensivement, on a mis des big shoots, on a pris des rebonds offensifs, chacun a apporté sa part à cette victoire. »\\n\\nLes bienfaits de la Leaders Cup\\n\\nNe dite pas à Laurent Pluvy que son équipe a gagné une sous-coupe, une vulgaire breloque d’un tournoi départemental.\\n\\n« Pour nous, c’est très important. J’ai dit aux garçons que je suis hyper heureux parce que ça marque un an et demi de travail avec un groupe. A part trois joueurs dont Ilian (Evtimov) qui vient d’arriver, ça fait un an et demi que l’on est ensemble. On a fait une saison incroyable l’année dernière et on n’a pas réussi à monter et on est reparti cette saison sur les chapeaux de roue. Cette équipe-là avait besoin de gagner quelque chose pour s’en rappeler. Quand ils se retrouveront dans le futur, qu’ils auront arrêté leurs carrières, ils se rappelleront de ce moment-là. Je suis ravi pour eux car ce n’est pas une petite coupe, la Leaders Cup. Il y en a deux dans la saison, la Leaders Cup et le championnat. On en a déjà un et ça laisse des traces. C’est un trophée supplémentaire pour le club. On écrit son histoire avec ce groupe là et c’est hyper important. Ce sont des garçons qui donnent énormément et ils ont la reconnaissance des gens, des supporters, des partenaires, de tous ceux qui nous suivent régulièrement. »\\n\\nD’ailleurs, les deux parties se rejoignent sur un constat : la Leaders Cup est bénéfique pendant et après sachant que pour triompher la Chorale a joué 9 matches et perdu une seule fois, à Orléans. Rouen est sur un rythme encore plus soutenu puisque toujours qualifié en Coupe de France, le RMB sera la seule équipe de Pro B présente au top 8 de Trélazé.\\n\\n« C’est vrai que ça fait beaucoup plus de matches », soulignait Jean-Baptiste Maille. « On en discutait avec le coach, ça donne un rythme de coupe d’Europe puisqu’on joue quasiment tous les trois jours depuis le mois de septembre. En tant que joueur, on préfère bien sûr jouer des matches, c’est très positif, et en plus on a la chance d’avoir un groupe étoffé de dix joueurs qui peuvent apporter leur pierre à l’édifice. On créé aussi de la confiance comme ça, engranger de la victoire dans toutes les compétitions c’est forcément du positif. »\\n\\nAlexandre Ménard a tenu le même discours :\\n\\n« On a des joueurs qui veulent beaucoup donner, qui ont de l’énergie, qui sont revanchards, qui sont ici pour se montrer ou se relancer comme Jessy Begarin, Jean-Baptiste Maille, des jeunes qui ont les crocs, un joueur étranger qui arrive de Nationale 1, Zimmy Nwogbo. Pour eux c’est très positif de jouer des matches et je pars du principe que on acquiert de l’expérience dans la compétition et pas qu’en s’entraînant. Il faut rappeler que l’on a joué mercredi (NDLR : victoire en coupe de France à Souffelweyersheim) mais on a su se remobiliser et mettre ce qu’il faut comme énergie dans cette finale. C’est notre marque de fabrique. On mouille le maillot, on essaye d’être sur tous les ballons. On n’est pas l’équipe la plus adroite à trois-points, la plus grande mais par contre on se veut être l’équipe la plus hyper active. Je suis excessivement fier de mes joueurs. »\\n\\nLaurent Pluvy a raconté que son équipe a compris tout de suite l’intérêt de jouer à fond cette Leaders Cup. Tout comme en 2017.\\n\\n« On avait été concentré de la même façon, on avait perdu beaucoup de matches de très peu derrière il y a deux ans. Mais cette année c’était très important pour nous de bien démarrer. On avait un groupe quasiment inchangé et il fallait qu’on se serve de nos automatismes, de nos connaissances pour démarrer fort, pour prendre confiance, impacter, et envoyer des messages à tout le monde que l’on était de nouveau là. On a pris ces matches avec le plus grand des sérieux quand on était dans la phase de poule. On était en préparation et on sait bien qu’à ce moment-là on a de petites blessures et qu’il faut remettre tout le monde à niveau physiquement. On a voulu vraiment la jouer à partir des quarts-de-finale parce que justement on avait besoin de gagner quelque chose ensemble déjà pour nous. »\\n\\nAprès le reflux, la renaissance\\n\\nAprès le fabuleux doublé de 2007 et une participation très honorable à l’Euroleague, la Chorale de Roanne avait plongé. Les principes de jeu hyper contrôlé du coach monténégrin Luka Pavicevic n’avaient pas été appréciés ni par ses joueurs ni par le public gâté sous l’ère Choulet. Avant-dernière de Pro A, la Chorale était descendu d’une division avec une situation financière dans le rouge vif suite au départ de partenaires, des contrôles URSSAF et un certain désamour du public. C’est grâce à la mairie et à l’agglomération -l’adjoint du président de celle-ci, Daniel Perez, devint président du club- qu’un plan de sauvetage fut mis sur pied et réalisé en effaçant en trois ans l’endettement.\\n\\n« Avec l’apport des collectivités de près de 400 000€, il a fallu trouver 400 000€ de résultat positif en trois ans. C’était la priorité en se disant aussi qu’il ne fallait pas qu’on descende plus bas que la Pro B », commentait il y a deux ans Daniel Perez dans Basket Le Mag.\\n\\nLa venue de Laurent Pluvy, ancien meneur de l’ASVEL, et qui avait fait du bon boulot avec l’ALM Evreux, a permis à la Chorale de retrouver sportivement une forme conforme à son statut dans une ville où football et rugby ne sont pas des cadors. Aujourd’hui, le club de la Loire possède le deuxième budget (2,7M€) et la deuxième masse salariale (952 000€) de Pro B derrière Orléans. Même si l’aire urbaine n’est forte que de 100 000 habitants, la Chorale est profilée pour la Jeep Elite. La saison dernière, elle était la favorite des playoffs pour la (re)montée, mais Fos-sur-Mer lui a coupé l’herbe sous le pied en finale.\\n\\n« Elle ne peut être que bénéfique cette victoire. On aurait dédramatisé si on avait perdu ce qui aurait pu arriver car Rouen a fait un fantastique match dans l’engagement. Si on en avait encore besoin, cette victoire nous conforte encore sur nos fondamentaux défensifs, c’est notre fonds de commerce. Mine de rien, ce groupe a gagné quelque chose alors que l’année dernière, il avait été meurtri de perdre la finale. De gagner ça enlève une grosse épine du pied mais ça n’enlève pas la priorité qui est d’aller chercher cette première place.\\n\\nAprès 18 journées et 14 victoires, les Roannais sont leaders de la Pro B. Evidemment, rien n’est acquis. Nancy, Orléans et Vichy-Clermont n’en comptent qu’une en moins. Et à la faveur de ses derniers résultats, Rouen est monté à la cinquième place en compagnie de Saint-Chamond et Gries-Oberhoffen. On ne va pas s’ennuyer d’ici le 24 mai.\\n\\n\\nIlian Evtimov (Chorale Roanne)\\n\\n\\n« Je joue au basket pour le plaisir »\\n\\n« J’avais dit à mon fils que je venais ici pour gagner la Coupe de Mickey. En fait, je lui ai dit que je jouais contre Mickey ! Il était très content que je vienne ici et là je vais lui dire que c’est fait. »\\n\\nIl n’est pas fréquent qu’un joueur gagne un trophée dès sa première apparition sous un nouveau maillot. C’est l’exploit réalisé par le Franco-Bulgare Ilian Evtimov qui a marqué 6 points et pris 2 rebonds en 14’.\\n\\nAprès 241 matches de saison régulière et 22 de playoffs en Pro A/Jeep Elite, deux All-Star Games, des trophées gagnés avec Chalon, des passages en NCAA, Italie, Espagne, Allemagne et Chypre, le frère cadet de Vasco s’était retrouvé à l’arrêt.\\n\\n« J’étais à Vienne, en France, avec mes parents et quelque fois je suis allé voir ma famille en Bulgarie ou ils sont venus me voir. Je m’entraînais pour l’option de jouer. » Peu importe le niveau, dit-il. « Aujourd’hui, je joue au basket pour le plaisir. Quand une opportunité s’est présentée, on a réfléchit avec mon épouse et on a décidé que j’y aille, que je me fasse plaisir »\\n\\nC’est ainsi que Ilian a fait une pige de 10 matches à Lille avant de rebondir à Roanne. Il a évidemment apprécié le déroulé de la finale.\\n\\n« C’était une véritable bataille. Le score n’était pas très haut et c’était vraiment l’équipe qui en voulait le plus qui allait gagner. Les joueurs se jetaient sur tous les balles qui trainaient, à droite, à gauche. Il y avait une intensité de très haut niveau et je pense que l’on méritait entièrement la victoire. On ne les a jamais laissé prendre les devants du match. On a été à +10 et ils sont revenus pratiquement à égalité mais même avec ça on a réussi à être sereins, à faire des stops défensifs et ensuite à marquer des paniers. On a gagné un titre magnifique. Il ne faut pas utiliser ça comme quelque chose d’acquis mais construire dessus. Je pense que ce groupe a la tête sur les épaules. Aujourd’hui c’est mon premier match avec eux, j’ai vraiment senti des joueurs qui sont ensemble et qui veulent gagner un titre. J’ai fait partie d’équipes qui ont gagné des titres et je ressens dans celle-ci quelque chose de spécial. »\\n\\nIlian Evtimov ne sait pas encore de quoi demain sera fait.\\n\\n« Après la carrière, je ne sais pas. J’ai des choses planifiées pour les Etats-Unis. Nous avons aussi un appartement en Bulgarie et à Lyon. Je ne sais pas comment sera fait le futur. Une chose est sûre c’est que je joue au basket pour le plaisir et que j’en profite tous les jours car quand on aime ce que l’on fait comme métier, c’est une chance car ce n’est pas tout le monde qui aime son métier. »\\n\\n[armelse]\\n\\nCette Leaders Cup, c’est le septième titre de la Chorale de Roanne, toutes générations confondues. C’est un club mythique qui fut champion de France une première fois il y a soixante ans et qui en 2007 réalisa un doublé légendaire (championnat de France, Semaine des As) avec Jean-Denys Choulet aux manettes et sur le terrain le trio américain boulimique, Dee Spencer, Marc Salyers et Aaron Harper.\\n\\nIl y a deux ans, la Chorale, déjà coachée par Laurent Pluvy, soufflait sur un gâteau d’anniversaire avec dix bougies en s’offrant sa première Leaders Cup de Pro B. Six cent supporters l’avaient accompagnée à Disneyland Paris et ce week-end encore ils se sont montrés de très loin les plus nombreux et les plus festifs dans les tribunes. Il faut se souvenir que quand la Chorale avait organisé feu La Semaine des As en 2012, 5 001 spectateurs avaient, en moyenne, investi la Halle André-Vacheresse et seuls Nancy et le palais des sports de Gentilly ont fait mieux dans cette compétition.\\n\\nPour cette finale, Laurent Pluvy avait récupéré son meneur Mathis Keita, après une indisponibilité lié à une lésion musculaire à la cuisse et l’ancien joueur de Gravelines a joué 18 minutes et pris un rebond chaud à la fin. Ce n’était pas de trop face à une équipe de Rouen qui sortait de cinq victoires d’affilée en championnat dont trois probantes à l’extérieur face à Orléans (+20), Lille (+10) et Evreux (+12).\\n\\nLes Choraliens ont mené toute la première mi-temps sans pour autant être dans une douce quiétude. A 3’52 de la fin du troisième quart-temps, les Normands égalisèrent à 44 sur un dunk de Zimmy Nwogbo. 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C’est l’intérieur XXXXL Ferdinand Prénom qui a mis la dernière touche à la victoire choralienne.\\n\\nLe fonds de commerce de Roanne, sa défense\\n\\n« On est à 34% aux shoots mais eux à 35% », commenta Jean-Baptiste Maille, constatant que ce n’est pas que la maladresse qui a coûté la victoire à son équipe. « C’est un ensemble de petits détails qui sur une finale fait la différence.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Jean-Baptiste Maille, David Jackson, Jayson Williams, Ilian Evtimov (LNB, Hervé Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Milos Teodosic : «Je vais retrouver la forme avec l’équipe nationale»" }, {"role": "assistant", "content":"Coupé le 7 février dernier par sa franchise NBA des Los Angeles Clippers, le meneur serbe Milos Teodosic (1,96m, 31 ans) va enfiler pour la première fois de ces qualifications le maillot de sa sélection nationale.\\n\\nIl sera sur le terrain demain et dimanche pour les deux derniers matchs contre l’Estonie et Israel. Teodosic n’a pas été avare en compliments envers ses coéquipiers qui ont joué les précédentes fenêtres lors d’une interview donnée au site de la FIBA.\\n\\n« Je trouve que les gars qui ont porté cette équipe tout au long des Éliminatoires méritent que la Pionir Arena soit pleine, indépendamment de ma présence. Ce pourrait être un match extrêmement important et j’espère que les gens se déplaceront en masse. »\\n\\nLa Serbie aura besoin d’une victoire face à l’Estonie pour définitivement assurer son billet pour la Chine. Le meneur a également confirmé au site de la FIBA que ces deux matchs seront ses deux derniers de la saison 2018-2019.\\n\\n« Je ne jouerai plus cette saison, mon intention est de retrouver la forme pour la prochaine saison en m’entraînant cet été avec l’équipe nationale. Je vais me reposer, travailler de manière individuelle et me préparer d’abord pour la sélection et ensuite pour la saison à venir. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : bientôt une nouvelle salle pour le Bayern Munich" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en Euroleague cette saison, le Bayern Munich est sur le point de se doter d’une toute nouvelle aréna dernier cri.\\n\\nSeptième du classement d’Euroleague, le club munichois compte bien s’installer dans la compétition reine. Et pour cela, le club vient d’annoncer qu’une nouvelle salle devrait sortir de terre pour septembre 2021. Elle devrait pouvoir accueillir 11 500 spectateurs. L’actuel Audi Dome dont le Bayern Munich est le club résident peut contenir 6 700 spectateurs en configuration basket.\\n\\nEn plus des rencontres de basket, cette salle, qui sera construite dans le parc olympique de Munich, accueillera les matchs de hockey sur glace du Red Bull Munich.\\n\\n\\n\\n\\nAlles zur zukünftigen Heimstätte des #FCBayernBasketball.\\n\\n\\n▶ https://t.co/Pf5BcKuUy1@olympiapark #FCBB @sapsports #Arena pic.twitter.com/57n5xNfEp4\\n\\n\\n— FC Bayern Basketball (@FCBBasketball) February 17, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Slovénie: Jurij Zdovc de retour comme coach de Olimpia Ljubljana" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien champion d’Europe avec Limoges en 1993, Jurij Zdvoc, 52 ans, fait son retour à Petrol Olimpia Ljubljana qu’il a déjà coaché de 2009 à 2011.\\n\\nLe Slovène a effectué sa carrière à Krka Novo mesto (2003), Split (2003-04), Geoplin Slovan (2004), Iraklis Salonique (2005-06), Bosna Sarajevo (2007-08), Union Olimpija Ljubljana (2009-11), Spartak Saint Peterbourg (2011-13) -il fut à cette époque élu meilleur entraîneur de l’Eurocup-, Royal Hali Gaziantep (2013-15), AEK Athènes (2015-2017), et Cedevita Zagreb (2017-18). Il a aussi eu la responsabilité de l’équipe nationale de Slovénie en 2009 et de 2014 à 2016.\\nJure Zdovc est le troisième coach de Ljubljana après Zoran Martic et Saso Nikitovic à qui l’élimination en demi-finale de la coupe de Slovénie a coûté la place. L’équipe est actuellement troisième du championnat avec 10 victoires et 8 défaites alors qu’elle a été 17 fois championne de son pays depuis sa création en 1991 dont les deux dernières années.\\n\\n« Je suis très heureux de rentrer chez moi. Je me rends compte que beaucoup de travail difficile m’attend. Coacher le club le plus titré de l’histoire du basket slovène est une lourde responsabilité, car Petrol Olimpija a normalement l’obligation d’être champion à chaque fois. Notre objectif principal cette saison est sûrement de retrouver la mentalité de la gagne », a déclaré Zdovc." }, {"role": "user", "content":"Retour d’Adrien Moerman en équipe de France? «Je n’ai pas encore pris de décision»" }, {"role": "assistant", "content":"Pendant quinze ans, c’était simple: Boris Diaw était inamovible au poste 4 en équipe de France et Florent Pietrus était son backup attitré complémentaire. Aujourd’hui Babac est retraité et se pose sa succession.\\n\\nAdrien Moerman (2,03m, 30 ans) a longtemps attendu que son heure vienne et elle a été longtemps repoussée. Malgré sa valeur reconnue en Euroleague, le joueur d’Anadolu Efes Istanbul ne compte que 9 sélections en équipe de France. Une en 2014 et huit en 2016. Et s’il participa à Manille au tournoi qualificatif pour les Jeux Olympiques de Rio, il fut débarqué avant que l’avion des Bleus s’envole pour le Brésil.\\n\\nIl y a plusieurs candidats au poste d’ailier-fort chez les Bleus mais aucun ne s’impose, aussi le coach Vincent Collet ne cache pas son intérêt pour l’ancien limougeaud. Mais lui a t-il envie de revêtir le maillot national? C’est la question que lui a posé RMC Sport.\\n\\n« Oui, j’ai envie de revenir en équipe de France. J’ai cette volonté-là. Mais je n’ai pas encore pris de décision car cela dépend d’un premier temps de ma santé avec mon tendon d’Achille (gauche) qui qui me fait très mal. Actuellement, je dois faire de nombreux soins avec les kinés de mon club (Efes Istanbul). En fin de saison, nous discuterons tous ensemble avec les kinés et les médecins de mon club pour savoir si je peux participer à la Coupe du monde. Et il y a aura aussi un choix familial puisque je souhaite avoir un autre enfant avec ma femme. Donc cela va dépendre du calendrier des stages. »\\n\\nAdrien Moerman confie par ailleurs ne pas encore avoir eu Vincent Collet au téléphone:\\n\\n« J’ai parlé avec Patrick Beesley (manager général du Team France) lorsqu’il est venu voir Fabien Causeur pour faire le point, mais c’était encore trop tôt pour prendre une décision pour la Coupe du monde. Il faudra faire le point en fonction de ma santé en fin de saison. J’avais déjà raté une compétition à cause d’un problème de genou. Patrick m’a dit de me concentrer sur mon objectifs avec l’Efes. J’espère avoir Vincent au téléphone. Ce n’est pas à moi de l’appeler mais j’espère qu’il va le faire suite à ses déclarations. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Chine : Malcolm Delaney (ex-Chalon) agent libre" }, {"role": "assistant", "content":"Leader de la CBA avec les Guangdong Southern Tigers avec un bilan de 36 victoires pour 4 défaites, le meneur Malcolm Delaney (1,91m, 29 ans) ne finira pas la saison avec l’équipe chinoise. L’ancien joueur de l’Elan Chalon est désormais agent libre et souhaite finir la saison soit en EuroLeague soit en NBA, qui reste sa priorité.\\n\\nCette saison, le joueur tournait à 19,4 points, 5,6 rebonds et 6,1 passes décisives en 40 matchs disputés et 32 minutes de temps de jeu en moyenne. Pour l’équipe qui a gagnée le plus de titres en CBA, son remplaçant est déjà trouvé puisqu’il s’agit de Michael Beasley, aperçu cette saison en NBA avec les Los Angeles Lakers.\\n\\n\\n\\n\\n36-4, first place in CBA, best numbers of my career... I appreciate the opportunity to get healthy and get my confidence back... on to the next chapter #freeagency im excited 🙌🏽🙌🏽🙌🏽 https://t.co/A6oGYAeijY\\n\\n\\n— malcolm delaney (@foe23) February 19, 2019" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: Le Dijonnais Alexandre Chassang remplace Alain Koffi, blessé" }, {"role": "assistant", "content":"Appelé comme sparring partner pour le stage à Nanterre, Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans) nous disait avoir comme objectif d’être sélectionné un jour en équipe de France pour de vrai... C’est fait beaucoup plus vite que prévu!Le Dijonnais remplace Alain Koffi (2,06m, 35 ans), blessé à l’épaule droite au cours du dernier entraînement ce mardi et qui est contraint de déclarer forfait pour les deux prochains matches de qualification à la Coupe du Monde.\\n\\n« J’ai d’abord une pensée pour Alain Koffi, exemplaire depuis le début de cette campagne de qualification à la Coupe du Monde 2019, et qui doit déclarer forfait pour les deux derniers matches contre la Finlande et la République Tchèque. Il passera dès demain mercredi des examens médicaux à Paris. À quelques heures de notre départ pour la Finlande et compte tenu de cette situation, nous avons décidé avec le staff de l’Équipe de France de retenir de manière exceptionnelle, Alexandre Chassang pour ces deux rencontres, bien que ne faisant pas partie du Team France Basket, » a déclaré Patrick Beesley, GM du Team France Basket.\\n\\nCette saison, en Champions League, Alexandre Chassang s’est fendu de 9,4 points et 4,0 rebonds avec la JDA.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nDate de N.\\nTaille\\nP.\\nSél.\\nPts\\nClub\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\n1\\n44\\n99\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n14/04/1995\\n1,97\\n3\\n4\\n29\\nLimoges\\n\\n\\nOusmane\\nCAMARA\\n12/05/1989\\n2,02\\n4\\n2\\n10\\nChalon\\n\\n\\nAlexandre\\nCHASSANG\\n22/11/1994\\n2,04\\n4\\n–\\n–\\nDijon\\n\\n\\nWilliam\\nHOWARD\\n25/10/1993\\n2,02\\n3\\n3\\n12\\nLimoges\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,84\\n1\\n9\\n28\\nDijon\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,96\\n2\\n8\\n15\\nNanterre\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\n4\\n7\\n45\\nMalaga\\n\\n\\nThéo\\nMALEDON\\n12/06/2001\\n1,91\\n1\\n–\\n–\\nASVEL\\n\\n\\nAmath\\nM’BAYE\\n14/12/1989\\n2,03\\n3\\n2\\n24\\nBologne\\n\\n\\nAmine\\nNOUA\\n07/02/1997\\n2\\n4\\n5\\n15\\nASVEL\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1992\\n1,91\\n2\\n8\\n30\\nMonaco\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : les affiches des quarts de finale sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"Comme la saison dernière, les quarts et les demis-finales de coupe de France se tiendront à l’Aréna Loire de Trélazé les 16 et 17 mars 2019. Ce mardi soir a eu lieu le tirage au sort des quarts de finale.\\n\\nAlors que les sur les huit équipes en course il en restait sept de Jeep Elite et une de Pro B, le hasard à bien fait les choses en nous offrant peut-être les meilleures affiches possibles avec notamment un savoureux Monaco – ASVEL ou encore un derby du 92 délocalisé en Maine-et-Loire entre Nanterre et Levallois. La troisième rencontre opposera Dijon au Mans et la dernière place pour la demi-finale se jouera entre Rouen (Pro B) et Antibes.\\n\\nLa compétition sera retransmise sur les antennes de RMC Sport. Sous réserve de modification TV, voici le programme de ce Top 8.\\n\\nSamedi 16 mars 2019\\n13h00 : Quart de finale n°1 : Rouen – Antibes\\n15h30 : Quart de finale n°2 : Nanterre – Levallois\\n18h00 : Quart de Finale n°3 : Dijon – Le Mans\\n20h30 : Quart de finale n°4 : Monaco – ASVEL\\n\\nTirage au sort des demi-finales à l’issue du 4e quart de finale\\n\\nDimanche 17 mars 2019\\n14h30 : Demi-finale n°1\\n17h00 : Demi-finale n°2" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Le Sénégal en préparation à Dakar sans Youssoupha Fall" }, {"role": "assistant", "content":"Sous la conduite de Abdou Ndiaye, l’équipe du Sénégal a effectué hier sa première séance d’entraînement à la Dakar Arena. C’est la première fois que les Lions s’entraînent dans ce nouveau stade de 15 000 places.\\n\\nLe Sénégal va affronter du 22 au 24 février le Rwanda, le Mali et le Nigeria mais ce sera sans Maurice Ndour (UNICS Kazan) et Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans). Vainqueur de la Leaders Cup avec Strasbourg ce week-end, le géant a prétexté une tendinite pour ne pas se rendre à la convocation de l’équipe du Sénégal. Naturalisé français, Fall est au centre d’une polémique entre son pays d’origine et la France qui veulent tous les deux qu’il rejoigne leur équipe nationale respective.\\n\\nDans une récente interview à Wiwsport, Me Babacar Ndiaye président de la fédération sénégalaise s’est montré irrité par l’insistance de la FFBB:\\n\\n« Le problème est réglé par la FIBA qui a jugé que Youssoupha Fall est qualifié pour jouer avec le Senegal et non avec la France. L’instance mondiale a tranché cette affaire en disant que ça pourrait être un précédent dangereux. Ce serait la porte ouverte à l’exode des joueurs africains vers les pays occidentaux. Suite à la décision de la FIBA, la France avait introduit un recours pour une révision. Cela ne mérite pas de polémique car le joueur est qualifié pour le Senegal, il a été convoqué pour le tournoi d’Abidjan. »\\n\\nYoussoupha Fall est un produit du centre de formation du Mans... mais pas seulement:\\n\\n« Il ne peut pas être formé en France. Il a joué en U18 avec le Sénégal. C’est un produit de Seed Academy et du basket sénégalais. Je ne comprends pas pourquoi les Français s’acharnent à vouloir le prendre au détriment des Sénégalais. »\\n\\nBabacar Ndiaye avait prévenu:\\n\\n« S’il ne vient pas pour le tournoi d’Abidjan, on fera tout pour qu’il puisse être là pour la coupe du monde. »\\n\\n\\n\\n\\nTOURNOI D'ABIDJAN DU 22 AU 24 FÉVRIER\\n\\n\\nLES LIONS ONT COMMENCÉ LES PRÉPARATIFS SANS @youssou15fall #kebetu #BASKETBALLNONSTOP #ThisIsMyHouse\\n🇸🇳🏀🇸🇳🏀🇸🇳🏀 pic.twitter.com/Wysrmucdbl\\n\\n\\n— FSBB 🇸🇳🏀 (@FSBBOFFICIEL) February 19, 2019\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde – Jimmy Djimrabaye (Quimper): «En Centreafrique le basket est le sport roi»" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur de l’UJAP Quimper Jimmy Djimrabaye (2,03m, 26 ans) va participer avec la République Centrafricaine à la sixième fenêtre de qualifications pour la coupe du monde 2019.\\n\\nLa Centre Afrique affrontera le Mali, le Nigeria et le Rwanda du 22 au 24 février au palais des sports de Triechville, en Côte d’Ivoire. Lors des précédents matchs de qualifications, l’ancien joueur d’Orléans a tourné à 6,3 points et 4,3 rebonds de moyennes sur 9 rencontres disputées.\\n\\nLa Centrafrique a encore un (très) maigre espoir de se qualifier pour le Mondial. Pour cela, il lui faudra remporter ses trois matchs avec un écart cumulé de... +120 (soit de +40 en moyenne par match). Sur le site de l’UJAP, Jimmy Djimrabaye fait part de son rêve:\\n\\n« C’est de se qualifier, aller à la Coupe du Monde, ce serait vraiment bien parce qu’on a tous un truc dans la tête. Si on va à la Coupe du Monde ça va nous faire un bien fou à nous déjà et aussi au peuple centrafricain, parce qu’au Centrafrique les gens adorent le foot mais le basket c’est le sport roi. C’est-à-dire que quand il y a des petites compétitions de sous-régions ou régionales, ils sont à fond dedans, même pour les matchs amicaux pendant les matchs préparatifs, ils sont accrochés, donc je pense que si on est qualifié ce serait faire plaisir à nous-même et faire plaisir aussi peuple centrafricain. »\\n\\nCela fait désormais plus de quatre décennies que la Centreafrique n’est plus réapparue dans la compétition mondiale." }, {"role": "user", "content":"Trois questions à Alexandre Chassang (Dijon) : «Je vais travailler pour être vraiment en Equipe de France»" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons profité du passage de la Dijon à la Disneyland Paris Leaders Cup pour poser trois questions à Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans) sur la première partie de la saison 2018/19 de la JDA Dijon.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel bilan tirez-vous de la première partie de saison ?\\n\\nOn a fait une très bonne première partie de saison, très correcte. On a répondu aux attentes des dirigeants et aussi à nos attentes. On a peut-être laissé passer un ou deux matchs, mais le plan comptable c’est très bien de finir troisième, surtout avec la meilleure défense du championnat.\\n\\nN’est-ce pas une déception d’avoir été éliminé en Champions League ?\\n\\nNon, on a pu entendre qu’on était dans « le groupe de la mort » face à des équipes qui peuvent jouer en Eurocup. Ce n’est pas une déception, c’est bien d’avoir joué contre des grosses équipes pour voir ce qu’il faut faire pour être meilleur.\\n\\nComment vous sentez-vous personnellement, c’est la meilleure saison de votre carrière ?\\n\\nPour l’instant ça va plutôt bien même si j’ai un petit coup de mou sur les derniers matchs. Il faut que je reste concentré et que je continue mon travail en défense parce que je pense que c’est grâce à ça que j’arrive à être bon en attaque. C’est une grande reconnaissance d’être appelé pour rejoindre l’Equipe de France, même en tant que partenaire d’entraînement. Je vais continuer à travailler pour être appelé vraiment et faire partie de la liste des « vrais » joueurs la prochaine fois.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel bilan tirez-vous de la première partie de saison ?\\n\\nOn a fait une très bonne première partie de saison, très correcte. On a répondu aux attentes des dirigeants et aussi à nos attentes. On a peut-être laissé passer un ou deux matchs, mais le plan comptable c’est très bien de finir troisième, surtout avec la meilleure défense du championnat.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le conflit entre le Real Madrid et la Liga ACB toujours intense à la suite de l’erreur d’arbitrage en finale de la Coupe du Roi" }, {"role": "assistant", "content":"A la suite de la finale de la coupe du roi, où le Real Madrid a perdu sur un contre litigieux, le club a menacé de quitter le championnat espagnol si l’erreur d’arbitrage n’est pas reconnue. Depuis, la ligue et le club se sont répondus par communiqués interposés.\\n\\nSuite à une erreur d’arbitrage lors de la finale de la Coupe du Roi, le conflit entre le Real Madrid et la ligue ACB se poursuit en Espagne à coup de communiqués entre les différentes parties.\\n\\nSelon El Mundo, le département juridique du Real étudie la possibilité de quitter l’ACB à l’issue de la présente saison alors qu’un cabinet spécialisé se penche sur les conséquences d’une telle décision.\\n\\nLe Real Madrid estime ainsi que la ligue et l’association des arbitres sont trop évasives.\\n\\n« À la suite des déclarations de l’ACB et de l’AEBA relatives aux événements qui se sont déroulés lors la finale de la Copa del Rey, le Real Madrid tient à exprimer que, compte tenu de la gravité des événements, les explications et les déclarations des deux associations sont honteuses.\\n\\nBien sûr, le Real Madrid comprend que des erreurs humaines peuvent survenir dans tous les sports, mais le club demande une réponse claire à propos de ce qui est arrivé lors d’une action qui a été passée en revue par une équipe de trois arbitres lors du replay vidéo et dont la décision va étonnamment à l’encontre de ce qui est stipulé dans le règlement, malgré la clarté offerte par les images de télévision disponibles pour les arbitres et que tout le monde a pu voir.\\n\\nLe Real Madrid défend pleinement l’utilisation de la technologie pour améliorer l’arbitrage, l’équité et la propreté du sport. C’est pourquoi le club ne comprend pas l’application du règlement que les trois professionnels de l’arbitrage ont appliqué à un moment crucial de la finale, après avoir omis de prendre en compte toutes les images disponibles.\\n\\nÀ la lumière de la publication des deux déclarations et de l’absence de réponse précise concernant cette décision incompréhensible prise par les arbitres, le Real Madrid continuera d’étudier les mesures à prendre face au caractère extrêmement grave des événements. »\\n\\nLe président de la ligue ACB, Antonio Martin, a dressé dans un communiqué un bilan officiel de la Coupe du roi 2019 et évoqué la controverse de la dernière action. Il a commencé par faire l’éloge de la compétition en la qualifiant de:\\n\\n«succès organisationnel avec un excellent niveau sportif, les meilleures retransmissions télévisées que nous ayons jamais vues dans l’histoire de la compétition et des huit matchs dans une ambiance géniale ».\\n\\nCependant, Antonio Martin a également admis que dans la finale:\\n\\n« Il y a eu plusieurs graves erreurs d’arbitrage à la fin du match », avant d’expliquer davantage sa position sur la situation. «Pour la première fois, nous avons mis le replay vidéo à la disposition de tout le monde. Par conséquent, toute action dans un match est publique et les fans ont pu voir en direct cette action et la décision prise par les arbitres... D’autre part, il y a eu également des actions qui, en fonction du règlement, ne peuvent pas être revues par le replay vidéo. Chaque fois nous avons des progrès technologiques et nous devons les utiliser de la bonne manière pour aider le corps arbitral à prendre les bonnes décisions, sachant que l’erreur humaine existera toujours. Pour améliorer cet aspect de manière pertinente, la formation technique continue tout au long de la saison et est une priorité pour nous dans les mois à venir. Nous allons le faire avec le collectif d’arbitres », a-t-il conclu.\\n\\nL’AEBA, l’association des arbitres espagnols, a également répondu à la polémique dans une communiqué :\\n\\n« Face aux situations créées lors du dernier match de la Copa del Rey qui s’est tenu ce dimanche, l’Association des arbitres tient à préciser:\\n\\n1) Que nous reconnaissons l’existence d’erreurs graves à la fin du match.\\n\\n2) Que nous acceptons et respectons les décisions que l’ACB pourrait prendre concernant ces erreurs.\\n\\n3) Que nous donnons à la Liga ACB l’entière volonté de continuer à collaborer à notre formation technique continue pendant la saison pour le meilleur arbitrage possible.\\n\\n4) Que nous exprimons notre confiance maximale dans le collectif d’arbitres. Nos arbitres de Liga ACB sont au plus haut niveau technique dans le monde et cela est reconnu internationalement dans toutes les compétitions auxquelles nous participons, mais cela nous empêche pas d’être humains et de faire des erreurs. Les erreurs qui nous font mal et qui nous touchent, et c’est pourquoi nous travaillons et continuerons à le faire toutes les semaines pour essayer de les éviter.\\n\\nCela nous fait mal, en tant qu’amoureux de ce sport comme nous tous, d’être dans tous les médias pour cette circonstance et d’en être coupable. Cela nous concerne, car nous respectons chaque club, chaque équipe et chaque supporter, et derrière chaque erreur, il y a un arbitre qui est une personne et qui souffre comme la plupart d’entre eux à cause de l’erreur commise. Nous travaillons étroitement et quotidiennement avec le service technique de la Liga ACB, qui, avec tous les moyens à sa disposition, nous aide à nous développer en tant qu’arbitres à tous les niveaux (connaissance du jeu, technique d’arbitrage, règles et gestion émotionnelle) et ainsi à être mieux préparés pour la plupart des 300 décisions que chaque arbitre doit prendre à chaque match, pour la fin des matches avec autant de tension et de stress, comme hier, mais qui ont toujours été et sont l’essence de notre sport que nous aimons tant.\\n\\nNous souhaitons sincèrement que rien de tel ne se reproduise afin que nous puissions profiter de ce qui nous unit, notre sport, le BASKETBALL. »" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Will Hanley, Américain au passeport irlandais, à Caen" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement 17e de Pro B (5 victoires, 13 défaites), le Caen Basket Calvados a embauché Will Hanley (2,04m, 28 ans), un ailier-fort, qui a séjourné en Espagne (Oviedo, Valence et Tenerife) ainsi qu’au Portugal (Porto), et qui arrive en provenance du Japon (Passlab Yamagata Wyverns).\\n\\nNé dans le Connecticut, Will Hanley a la particularité de posséder un passeport irlandais. Le CBC était en défaillance à ce poste suite à la blessure à l’aponévrose plantaire d’Aurélien Salmon mais il compte désormais un joueur européen/Cotonou en trop et Marc-Eddy Norelia devrait être libéré.\\n\\n« Entamées, les grandes manœuvres devraient se poursuivre dans les jours à venir. Pas satisfaits du rendement de Pavel Marinov, blessé en prime, les dirigeants caennais espèrent enrôler un ailier shooteur. Ils cherchent également une porte de sortie à Jerrold Brooks, désormais barré à la mène par Johnathan Hudson », précise Ouest France." }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Finlande-France à guichets fermés" }, {"role": "assistant", "content":"Jeudi, l’équipe de France livrera à Espoo, la deuxième ville de Finlande, qui borde la capitale Helsinki, son avant-dernier match de qualification à la Coupe du Monde. Si les Bleus (9 victoires, 1 défaite) ont déjà leur billet en poche pour la Chine, ils se doivent de se maintenir à la première place du groupe K afin d’être parmi les têtes de série lors du tirage au sort. Pour ce, ils leur suffit de remporter l’un des deux matches à venir face à la Finlande ou la République Tchèque, dimanche à Rezé.\\n\\nA l’inverse, l’équipe de Finlande est en posture délicate (4e, 5-5) et une victoire face à la France lui est indispensable pour espérer supplanter la Russie à laquelle elle se mesurera dimanche à Perm.\\n\\nC’est à la Espoo Metro Areena que les Finlandais vont accueillir les Français. Il s’agit d’une patinoire essentiellement consacrée au hockey-sur-glace localisée dans un centre de foire, qui a ouvert en 1999, et qui est sponsorisée par la plus grande chaîne de restauration rapide finlandaise, Hesburger. La fédération finlandaise a annoncé que les 7 000 places ont été vendues.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"Création d’une ligue des clubs en Afrique: la NBA et la FIBA veulent en faire une référence" }, {"role": "assistant", "content":"La NBA et la FIBA ont annoncé samedi le lancement de la Basketball Africa League (BAL), une nouvelle ligue professionnelle composée de 12 clubs africains.\\n\\nLa NBA et la FIBA ont l’intention d’organiser des tournois de qualification cette année pour déterminer les 12 équipes qui représenteront les différents pays africains, notamment l’Afrique du Sud, l’Angola, l’Égypte, le Kenya, le Maroc, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal et la Tunisie, avec un maximum de deux équipes par pays.\\n\\nLe président de la NBA Afrique, Amadou Gallo Fall, a explicité le projet devant la presse. Premier élément important, il n’y aura pas de concurrence avec ce qui existe actuellement :\\n\\n« Ce partenariat va travailler avec la Fiba pour vraiment déboucher sur un seul modèle de ligue », rapporte Sudonline. « Ce n’est pas quelque chose que nous créons en parallèle, mais c’est quelque chose qui va venir s’ajouter, améliorer et vraiment vendre ce produit qui existe, comme l’a dit Andreas Zagklis (Secrétaire général FibaMonde, Ndlr) tout à l’heure (samedi, Ndlr). Nous venons de créer quelque chose de nouveau, d’innovant et de très très attrayant pour les fans de basket. Alors, ce ne seront pas deux ligues différentes mais une seule ligue. Nous allons travailler la main dans la main avec la Fiba Basketball African league. »\\n\\nAmadou Gallo Fall estime que la BAL doit participer à l’exploitation du vivier africain dont chacun s’accorde à reconnaître qu’il est immense :\\n\\n« Absolument ! Lorsque nous avons ouvert nos bureaux en 2010 (NDLR : à Johannesburg en Afrique du Sud), notre objectif était vraiment de faire du basketball un sport d’élite ou mondial en termes de participation et en termes de popularité sur le continent. Nous nous sommes attelés d’abord à travailler à la base pour donner à des jeunes, l’opportunité de participer, à travailler avec les Fédérations de tous les pays. Vous avez vu qu’on a lancé NBA League. Maintenant, avec l’académie NBA Africa basée à Saly où nous identifions des talents de beaucoup de pays d’Afrique pour en faire des basketteurs d’élite. Je pense que ce maillon maintenant, avec une ligue professionnelle, va pouvoir absorber tout cet immense talent qui va être produit sur le continent, on ne va plus compter que sur l’exportation de ce talent soit en Europe ou même dans les universités américaines. Certainement, ces opportunités vont toujours exister. Même ces jeunes, j’en connais des milliers, qui sont venus jouer en Amérique, qui ont leurs diplômes universitaires et qui arrêtent de jouer au basket à l’âge de 24, 25 ans. Maintenant, tous ces jeunes vont avoir l’opportunité de retourner chez eux, sur le continent, monnayer leur talent mais surtout participer au développement des compétitions internationales. Je pense que les équipes nationales des différents pays vont en bénéficier parce que les ligues locales vont être plus fortes, mieux organisées et nous sommes là pour travailler avec la Fiba pour que ce produit, vraiment soit un modèle sur l’échiquier du basket-ball mondial. »" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Thomas Heurtel remet ça pour la Copa !" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\nCette semaine, c’est une avalanche de matchs qui a dégringolé sur l’Europe avec les Coupes nationales à l’honneur !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nThomas Heurtel, double MVP de la Copa del Rey\\n\\nComme l’an passé, Thomas Heurtel a fait la nique au Real Madrid en finale de la Copa del Rey, avec 22 points et 6 passes et un nouveau trophée de MVP de la compétition. Il faut dire qu’à 16 points, 4 passes et 2 rebonds de moyenne (pour 16 d’évaluation), Heurtel a été le joueur le plus constant pour le Barça.\\n\\nEn grande forme, le meneur tricolore a plané sur la finale avec plusieurs layups après un vol plané plein de maîtrise... tout comme ce panier plus la faute du vétéran Reyes. Félicité par coach Pesic après avoir reçu le trophée de MVP, Heurtel a encore prouvé qu’il n’avait pas peur des grands moments !\\n\\n« Je suis très heureux ! Il n’y a pas d’autres mots pour décrire mes émotions... On a montré beaucoup de caractère. Cette équipe a une âme et on ne veut pas s’arrêter là, on veut encore gagner », a réagi le Français. « Je n’ai pas peur de prendre mes responsabilités. On était à -15 à un moment donné, il fallait réagir. »\\n\\n\\nNobel Boungou-colo de retour en Liga\\n\\nRevenu furtivement sur la scène française à Levallois, qu’il quitte sur un carton à 39 d’évaluation, Nobel Boungou-colo a trouvé un accord avec le club de Badalone pour un contrat jusqu’à la fin de saison.\\n\\nAu sein de la Joventut, l’ailier tricolore va notamment côtoyer Nicolas Laprovittola, le meneur argentin et magicien ; et jouer pour un club dans la course aux prochains playoffs en Liga. On suivra évidemment sa deuxième expérience espagnole de très près !\\n\\n\\nUn exploit sans lendemain pour Bologne\\n\\nVainqueur de Milan, la tête de série n°1, dès les quarts de finale au terme d’une fin de match folle, Bologne n’a malheureusement pas réussi à enchaîner contre Cremona, qui finira par remporter ce Final Eight.\\n\\nAmath M’Baye avait pourtant sorti le grand jeu contre Milan avec un match à 14 points, 6 rebonds et 2 contres. L’ailier français a fait le spectacle avec une claquette dunk monstrueuse au dessus de la raquette milanaise. Il termine à 9 points et 7 rebonds dans la défaite contre le futur vainqueur, Cremona.\\n\\n\\nEdwin Jackson ajoute un nouveau trophée à la collection\\n\\nDéjà MVP et meilleur scoreur en France mais aussi (beaucoup plus difficile) en Espagne, ou encore médaillé de bronze en 2014, Edwin Jackson a ajouté une nouvelle ligne à son palmarès en remportant la Coupe du Monténégro 2019 avec Podgorica. C’est la 12e Coupe remportée par le Buducnost en 13 ans !\\n\\nL’arrière français a terminé à 16 points et 5 rebonds en finale contre Sutjeska, après avoir cumulé 11 points, 8 rebonds et 5 passes en demie face à Mornar Bar. Jackson a été solide de bout en bout pour Podgorica qui a monté un effectif paré pour défendre son titre en Adriatique... à défaut d’avoir pu jouer les playoffs en Euroleague.\\n\\n\\nBandja Sy remporte une 2e Coupe Korac\\n\\nDéjà victorieux la saison passée, Bandja Sy a de nouveau soulevé la Coupe Korac (la coupe de Serbie). Comme toujours face au rival de l’Etoile Rouge, le match a été tendu jusqu’au bout. Ça se jette de toutes parts et c’est finalement Sy qui rentre un trois points dans le coin.\\n\\nLe Partizan a fait la différence sur deux lancers de son pivot Jock Landale, malgré l’égalisation à 74 partout de l’Etoile Rouge par Dobric au rebond offensif à une seconde la fin. Andrea Trinchieri peut souffler, il a remporté la Coupe !\\n\\n\\nLe Fener bat l’Efes en finale de Coupe\\n\\nC’était un autre classique parmi les classiques en finale de Coupe en Turquie. Et le Fener a de nouveau eu raison de l’Efes (80-70) derrière Luigi Datome élu MVP à 22 points. En face, Adrien Moerman n’a pas ménagé ses efforts avec un match à 18 points et 8 rebonds en finale. Avant ça, il avait placé 29 points pour se défaire de Besiktas.\\n\\nBlessé en demi-finale, Joffrey Lauvergne n’a malheureusement pas pu prendre part à la finale, tandis que Rodrigue Beaubois est lui passé à côté de son match à 5 points à 1/9 aux tirs. Tenant du titre, l’Efes cède donc la Coupe à son rival du Fener pour cette année...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=UWBRVETMwpk\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) :\\n– 17 points (7/13 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 86-79 face à Valence)\\n– 11 points (4/9 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 92-86 face à Tenerife)\\n– 22 points (8/13 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 22 minutes (victoire 94-93 ap face au Real Madrid)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) :\\n– 0 point (0/1 au tir) en 5 minutes (victoire 86-79 face à Valence)\\n– 10 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds en 16 minutes (victoire 92-86 face à Tenerife)\\n– 6 points (2/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 12 minutes (victoire 94-93 ap face au Real Madrid)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) :\\n– 5 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 10 minutes (victoire 94-63 face à Estudiantes)\\n– 2 points (1/2 aux tirs), 1 passe, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 93-81 face à Badalone)\\n– 14 points (5/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 23 minutes (défaite 94-93 ap face à Barcelone)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 15 points (7/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 passes, 1 contre, 3 balles perdues en 30 minutes (défaite 98-89 face à Badalone)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds en 12 minutes (défaite 86-79 face à Barcelone)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 3 points (1/2 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 88-78 face à Tenerife)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : weekend de coupe\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : weekend de coupe\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 0 point (0/4 aux tirs), 3 rebonds en 16 minutes (défaite 82-70 face à l’Hapoel Jérusalem)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) :\\n– 14 points (6/9 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 37 minutes (victoire 86-84 face à Milan)\\n– 9 points (4/10 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 25 minutes (défaite 102-95 face à Cremona)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : pas de Final Eight\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 11 points (2/6 à trois points), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes (défaite 70-67 face à Vilnius)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) :\\n– 11 points (3/8 aux tirs), 8 rebonds, 5 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 28 minutes (victoire 92-82 face à Mornar Bar)\\n– 16 points (4/9 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 85-71 face à Sutjeska)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) :\\n– n’a pas joué (défaite 92-82 face à Podgorica)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 2 points (1/7 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe en 23 minutes (défaite 80-89 face à Wloclawek)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué – blessé\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : All Star Weekend\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) :\\n– 9 points (3/4 à trois points), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 102-72 face à Novi Pazar)\\n– 8 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 29 minutes (victoire 83-71 face au FMP Belgrade)\\n– 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 28 minutes (victoire 76-74 face à l’Etoile Rouge)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) :\\n– 7 points (2/9 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 3 balles perdues en 30 minutes (victoire 73-69 face à Borac)\\n– 5 points (2/3 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 23 minutes (défaite 92-73 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) :\\n– 9 points (3/9 aux tirs), 2 passes, 1 interception en 13 minutes (victoire 78-70 face à Besiktas)\\n– 5 points (1/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 30 minutes (défaite 80-70 face à Fenerbahçe)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) :\\n– 9 points (4/6 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 19 minutes (victoire 73-65 face à Turk Telekom)\\n– n’a pas joué – blessé à la cheville (victoire 80-70 face à Efes)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) :\\n– 29 points (12/18 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre en 21 minutes (victoire 78-70 face à Besiktas)\\n– 18 points (7/11 aux tirs), 8 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 39 minutes (défaite 80-70 face à Fenerbahçe)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Léo Westermann en shooteur d’élite\\n\\nCrédits photo : ACB\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nThomas Heurtel, double MVP de la Copa del Rey\\n\\nComme l’an passé, Thomas Heurtel a fait la nique au Real Madrid en finale de la Copa del Rey, avec 22 points et 6 passes et un nouveau trophée de MVP de la compétition. Il faut dire qu’à 16 points, 4 passes et 2 rebonds de moyenne (pour 16 d’évaluation), Heurtel a été le joueur le plus constant pour le Barça.\\n\\nEn grande forme, le meneur tricolore a plané sur la finale avec plusieurs layups après un vol plané plein de maîtrise... tout comme ce panier plus la faute du vétéran Reyes. 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Yao Ming -ambassadeur de la Coupe du Monde, à l’instar de Bryant – sera également présent parmi ce panel de stars et d’invités de marque qui viendront assister à cette étape importante de la ‘Road to China 2019’, qui conduira les 32 équipes participantes jusqu’au titre de championne du monde. Les modalités du tirage au sort seront rendues publiques dans les jours qui précèdent l’événement.\\n\\nAvant le tirage au sort, il reste encore à disputer la sixième et ultime fenêtre des Éliminatoires, qui se déroulera entre le 21 et le 26 février. 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Suite à une sérieuse blessure à la cheville, sa précieuse américaine Briana Day (11,4 points et 8,7 rebonds en 13 matches) a été remplacée par sa compatriote Rachel Hollivay (1,95m, 25 ans) jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSpécialiste du contre, Rachel Hollivay a derrière elle 39 matches en WNBA à 1,2 point et 1,9 rebond. Elle a porté par ailleurs les maillots de Kyrenia (Turquie), de Hola (Espagne), de Buducnost (Monténégro), de Riobamba (Equateur) et de Liaoning (Chine) où elle a assuré 10,8 points et 9,4 rebonds.\\n\\nEt voici que c’est Maud Medenou (9,3 points et 6,4 rebonds en 12 matches) qui doit également déclarer forfait pour tout le reste de l’exercice. D’après le site Postup, l’intérieure nantaise souffre d’une fracture de fatigue aux deux chevilles.\\n\\nPhoto: Maud Medenou (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Strasbourg se renforce avec Nathan Sobey" }, {"role": "assistant", "content":"Vincent Collet avait annoncé après la finale de la Leaders Cup que la SIG était sur le point d’officialiser la signature d’un nouveau meneur et c’est chose faite avec l’arrivée de Nathan Sobey (1,93m, 28 ans).\\n\\nFormé à Cochise College puis à l’université de Wyoming, ce poste 1/2 australien arrive en provenance de son pays natal où il évoluait pour les Adelaide 36ers. A Strasbourg, il va vivre sa deuxième expérience européenne après avoir porté les couleurs du PAOK le temps de dix matchs en 2017. Cette saison, il compilait en moyenne 16 points, 5 rebonds et 5,2 passes décisives dans le championnat australien.\\n\\nVincent Collet s’est exprimé sur sa nouvelle recrue sur le site du club.\\n\\n« Nathan Sobey est un joueur pouvant évoluer sur les postes de meneur et d’arrière. Il est surtout connu comme étant un joueur d’une grande activité. On parle de lui comme le Westbrook Australien. Il a des qualités athlétiques étonnantes. Son profil va nous donner un surcroît de dynamisme car c’est un joueur qui est très actif et qui sait faire beaucoup de choses. Il peut scorer, faire des passes et est très percutant. Par conséquent il devrait pouvoir aider l’équipe. Ça fait plus d’un mois que l’on espérait qu’il ne fasse pas les Playoffs pour le récupérer parce que je trouve qu’il a un profil qui va très bien compléter les joueurs que l’on a déjà ».\\n\\nPhoto : Adelaide 36ers" }, {"role": "user", "content":"Milos Teodosic ne signera nulle part avant la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Laissé libre par les Los Angeles Clippers il y quelques jours, Milos Teodosic a pris la décision de ne signer nulle part avant la saison 2019/20.\\n\\nTout juste papa d’une petite Petra, le meneur serbe a décidé qu’il représenterait son pays lors des deux matchs de la prochaine fenêtre internationale face à l’Estonie et Israël. Ensuite, l’ancien joueur du CSKA Moscou prendra quelques mois de repos avant de s’engager avec un nouveau club.\\n\\nCette saison en NBA, Milos Teodosic n’a disputé que 15 matchs pour 3,2 points et 2,1 passes décisives.\\n\\n\\n\\n\\nIts official: Miloš #Teodosić has decided not to sign with any organization! He will play next two games for Serbian NT and afterwards he will have some rest until summer. https://t.co/JziK5UBdLB\\n\\n\\n— Nikola Stojković (@nikolaS_msport) February 18, 2019" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Mécontent d’une décision arbitrale, le Real Madrid menace de quitter la Liga ACB !" }, {"role": "assistant", "content":"Selon l’émission « El Partizado » de la radio espagnole Cope, le Real Madrid menace de quitter la Liga ACB si cette dernière ne reconnait pas l’erreur d’arbitrage survenue lors de la dernière action de la finale de la Coupe du Roi contre le FC Barcelone, ce dimanche (93-94).\\n\\nUn panier a été accordé au Barcelonais Ante Tomic après un contre jugé illégal de l’intérieur madrilène Anthony Randolph, alors que le Real menait 93-92 en fin de prolongation. Les arbitres ont pris cette décision après avoir consulté le replay vidéo.\\n\\nLa menace du Real n’est pas sans rappeler le caprice de l’Olympiakos dont on dit qu’il pourrait quitter la ligue grecque pour rejoindre la Ligue Adriatique." }, {"role": "user", "content":"VTB League : La Team World remporte le All-Star Game, Sergio Rodriguez MVP" }, {"role": "assistant", "content":"Le All Star game de la VTB United League a eu lieu ce dimanche et c’est la Team World qui s’est imposée face à la Team Russe (118-115), grâce à un tir à 10 secondes de la fin du joueur du Nizhny Novgorod, Kendrick Perry.\\n\\nSergio Rodriguez, le meneur du CSKA Moscou, a été élu MVP du match avec 20 points, 5 passes décisives et 2 rebonds. On notera que son coéquipier Nando de Colo n’a pas joué. De l’autre côté, Andrey Vorontsevich est le meilleur marqueur de la partie avec 30 points.\\n\\nPour ce qui est des différents concours, le meneur du Khimki Moscou Viacheslav Zaitcev a remporté celui de dunks tandis que le combo guard du Lokomotiv Kuban Vitaly Frizdon celui à 3 points.\\n\\nPhoto: Sergio Rodriguez" }, {"role": "user", "content":"Trois questions à Jeremy Nzeulie (Strasbourg) : «Le tournant ça a été la défaite contre Ostende»" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons profité du passage de la SIG à la Disneyland Paris Leaders Cup pour poser trois questions à Jeremy Nzeulie sur la première partie de la saison 2018/19.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show\\n\\nQuel bilan faites-vous de la première partie de saison ?\\n\\nC’est très mitigé. On sait que la SIG c’est top 2 ou top 3 de Jeep Elite alors qu’actuellement on est sixième ex-aequo avec pas mal d’équipes. Ce n’est même pas mitigé en fait, c’est plutôt un mauvais bilan. En plus on rate la qualification pour le deuxième tour de Champions League.\\n\\nComment expliquez-vous l’élimination en Champions League ?\\n\\nJe pense qu’on avait un groupe assez serré. On a perdu quelques matchs clé. Perdre le match retour face au Neptunes Klaipeda ça nous a fait très mal. Pour moi, tout a commencé lors de la défaite chez nous face à Ostende. C’est à partir de là que les choses ont commencé à mal se passer, ça a été un tournant. Je n’ai pas d’explication concrète mais c’est une grosse déception et un énorme échec.\\n\\nQu’attendez-vous pour le reste de la saison ?\\n\\nJe me dis qu’on devrait normalement avoir des renforts. On a plus qu’une seule compétition sur laquelle se concentrer. On a quand même un effectif assez pléthorique, il faut se le dire, donc je pense que si on est tous concentrés de maintenant jusqu’à la fin ça va nous aider à arriver au meilleur de notre forme pour les playoffs.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel bilan faites-vous de la première partie de saison ?\\n\\nC’est très mitigé. On sait que la SIG c’est top 2 ou top 3 de Jeep Elite alors qu’actuellement on est sixième ex-aequo avec pas mal d’équipes. Ce n’est même pas mitigé en fait, c’est plutôt un mauvais bilan. En plus on rate la qualification pour le deuxième tour de Champions League.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Kappa nouvel équipementier de Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"Equipé par Nike depuis la saison 2017/18, Nanterre 92 a annoncé que c’est Kappa qui se chargera d’habiller la formation des Hauts-de-Seine à partir du 1er juillet 2019.\\n\\nLa marque qui équipe déjà Le Mans, Châlons-Reims et Le Portel en Jeep Elite, sera en charge d’équiper « de manière exclusive l’ensemble des équipes (Equipe pro, Espoirs, Association) sur toutes ses gammes « Sport » & « Lifestyle » sur et en dehors des terrains ». Le club francilien indique que ce partenariat court sur trois saisons.\\n\\nJean Donnadieu, le président du club, s’est exprimé sur l’arrivée d’un nouvel équipementier.\\n\\n« C’est avec un grand plaisir que nous accueillerons la marque Kappa comme nouvel équipementier de nos équipes, à partir du 1er juillet 2019. Kappa est devenu l’un des acteurs incontournables du marché du basket grâce à sa volonté d’innovation, tout comme Nanterre 92 a su justifier sa place dans l’élite du basketball français par sa recherche de nouveauté. Nous avons la conviction de nous être associés à une marque dont nous partageons la motivation, ainsi que les valeurs. Cette signature est le point de départ d’une relation qui devrait nous permettre d’écrire, ensemble, de nouvelles pages de notre Histoire. Cette Histoire, ces histoires, nous allons les raconter ensemble. »" }, {"role": "user", "content":"Officiel : trois ans de plus au Fenerbahce pour Jan Vesely" }, {"role": "assistant", "content":"Souvent annoncé proche de revenir en NBA, l’intérieur tchèque Jan Vesely (2,13m, 28 ans) a prolongé pour 3 saisons supplémentaires avec le Fenerbahçe selon un communiqué publié par le club ce mardi. Il est par conséquent lié au club turc jusqu’en 2022.\\n\\nAu Fener depuis 2014, Jan Vesely est l’un des palmarès les plus impressionnants du basket européen. Avec notamment un titre en Euroleague en 2017, deux sélections dans la all-EuroLeague first team en 2016 et 2018 et trois titres de champion de Turquie entre 2016 et 2018. Actuellement blessé au genou, l’international tchèque tourne cette saison à 14,4 points et 5,6 rebonds de moyenne en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nHello, this is your admin speaking. Please buckle up your seat belts. Our flight with Vesely Airlines will last until 2022. ✈✍🏻#NeverEnough pic.twitter.com/LTPiwgj6ia\\n\\n\\n— Fenerbahçe Beko (@FBBasketbol) February 18, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Europe: Le week-end des finales de Coupe, 7e trophée en 8 ans pour la Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"Parallèlement à la Leaders Cup qui a donné la victoire à Strasbourg sur Bourg-en-Bresse (98-97), d’autres finales de coupe se sont joués ce week-end en Europe.\\n\\nEquivalent espagnol de la Leaders Cup, la Copa del Rey s’est jouée tout le week-end et la finale a opposé ce dimanche le Real Madrid au FC Barcelone. Ce sont les Catalans, leaders en championnat, qui se sont imposés après prolongation (93-94). Avec ses 22 points et ses 6 passes décisives en finale, le Français Thomas Heurtel a été élu MVP de cette compétition. En ce qui concerne les autres Français en piste, Kevin Séraphin a été discret pour le Barca avec 6 points et 1 rebond en 12 minutes, tandis que de l’autre côté, Fabien Causeur a marqué 14 points à 5/9 aux tirs.\\n\\nLa finale de la coupe de Turquie a opposé deux équipes évoluant en EuroLeague, le Fenerbahce et l’Anadolu Efes. Ce sont les bleus et jaunes du Fener qui se sont imposés (80-70), malgré la blessure à la cheville de Joffrey Lauvergne pendant la demi-finale. Le quasi double-double d’Adrien Moerman (18 points et 8 rebonds), n’a pas empêché la défaite de son équipe. Auteur d’un match complet avec 22 points, 7 rebonds et 4 passes décisives, l’Italien Luigi Datome a été élu MVP du tournoi.\\n\\nSurprise en finale de la coupe de Serbie où c’est le Partizan qui est venu à bout de l’Etoile Rouge dans le derby de Belgrade (76-74). Auteur d’un match complet avec 18 points, 7 rebonds et 10 passes, l’Américano-bosnien Alex Renfroe a été élu MVP de cette finale. Seul Français présent sur le terrain, Bandja Sy a réalise une production discrète avec 5 points et 3 rebonds en 28 minutes de temps de jeu.\\n\\nLe Zalgiris Kaunas mord la poussière\\n\\nAutre surprise en finale de la coupe de Lituanie, le Rytas Vilnius s’est imposé en finale contre le Zalgiris Kaunas, qui était pourtant grand favori (67-70). Menés durant les trois premiers quarts-temps, le club de la capitale a infligé un écart de 11 points dans la dernière période à son adversaire pour arracher la victoire (16-27). Dans la défaite, le Français Léo Westermann a inscrit 11 points et délivré 5 passes décisives tandis que de l’autre côté, l’Américain Chris Kramer, plutôt connu comme spécialiste de la défense, à été le meilleur scoreur de son équipe avec 15 points.\\n\\nLe Bayern Munich ayant été éliminé en quart de finale, la finale de la coupe d’Allemagne a opposé le Brose Bamberg à ALBA Berlin. Et c’est Bamberg, qui jouant à domicile, s’est imposé malgré un retour de l’ALBA dans le dernier quart-temps (83-82). Dans la défaite, l’international lituanien Rokas Giedraitis a marqué 23 points tandis que le meilleur scoreur du côté des vainqueurs est le MVP du Final Four de l’EuroLeague 2014, Tyrece Rice, qui a compilé 20 points.\\n\\nOn a beaucoup parlé ces derniers jours de la demi-finale en Grèce entre le Panathinaikos et l’Olympiakos, au cours de laquelle les Reds, se sentant lésés par l’arbitrage, ont refusé de revenir sur le terrain pour la deuxième mi-temps. La finale s’est déroulée ce dimanche et a vu le Panathinaikos venir à bout du PAOK Salonique (79-73). MVP de la finale avec 19 points, 5 rebonds et 5 passes décisives, Nick Calathes a été bien assisté par Keith Langford, auteur de 17 points. Meilleur scoreur du match avec 23 points, le meneur du PAOK William Hatcher a brillé dans la défaite. C’est la septième coupe remporté sur les huit dernière années pour le Pana.\\n\\nAffiche surprise en finale de la coupe d’Italie, avec Cremona et Brindisi, et c’est Cremona qui s’est imposé (83-74). La différence s’est faite grâce à une meilleure adresse extérieure (43,3% à 3-points) et par un duo Wesley Saunders/Drew Crawford, tous les deux auteurs de 18 points. Dans la défaite, John Brown a marqué 21 points et pris 8 rebonds.\\n\\nAucune surprise en finale de la coupe de Croatie, la Kresimir Cosic Cup, où entre équipe de Zagreb, c’est le Cedevita qui a remporté son sixième trophée consécutif en venant à bout du Cibona, 89-74.\\n\\nPhoto: Nick Calathès (PAOK)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Jarell Eddie, MVP de la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"La LNB a réalisé un best of des actions du Strasbourgeois Jarell Eddie (2,01m, 27 ans), qui a été élu MVP de la Leaders Cup.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/LNB" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (Strasbourg) : «J’espère que ce trophée sera un socle pour un nouveau départ»" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de la troisième édition de la Leaders Cup en 2015, Strasbourg a remporté son deuxième trophée ce dimanche en renversant (98-97) une JL Bourg-en-Bresse qui avait également tout d’un champion.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, Vincent Collet a analysé la victoire de son équipe.\\n\\n« On a eu des difficultés parce qu’on a joué contre une équipe magnifique. L’entame de match de Bourg a été très bonne. On a fait certaines erreurs, mais ils avaient une adresse très largement supérieure à la moyenne. On a eu la bonne idée de ne pas se précipiter. L’écart était logique en première mi-temps. De notre côté, on était moins bien en place que les deux jours précédents. On savait qu’il fallait contrôler le rebond. Mais on n’a pas été mieux que les deux autres jours. A la fin du troisième quart-temps on s’est dit qu’il fallait enfoncer le clou parce qu’on était fatigué mais j’ai dit aux gars qu’ils l’étaient davantage. J’espère que ce trophée sera un socle pour un nouveau départ. Le prochain match contre Le Mans va être décisif. On s’est prouvé des choses, les joueurs savent qu’en respectant certaines conditions on peut faire de belles choses. On a jamais montré autant d’engagement collectif et de solidarité offensive que sur ces trois jours. Le fait que Jarell Eddie soit MVP ça montre aussi des choses parce qu’il a besoin des autres pour mettre ses flèches à trois points. J’ai aussi vraiment apprécié ce qu’a fait Mike Green qui aurait aussi pu être MVP. Surtout qu’il était grippé. Une heure trente avant le match, il était allongé dans le vestiaire et on se demandait ce qu’il allait faire. Si tout le monde accepte son rôle on peut faire de bonnes choses. Je crois que le groupe a compris un certain nombre de choses. Des points, on en a toujours marqué cette année. »\\n\\nAvant de rejoindre l’Equipe de France pour la dernière fenêtre internationale avant la coupe du Monde, l’entraîneur strasbourgeois a évoqué les prochains renforts de la SIG.\\n\\n« Le problème est plutôt défensif. Si on veut prétendre à quelque chose, il faut que ce qu’on a commencé à voir en défense se perpétue. C’est pour ça qu’on va accueillir de nouveau joueurs. On va renforcer l’équipe avec Mardy Collins déjà, et l’arrivée d’un joueur et peut-être d’un autre. On va être mieux armés pour mieux performer en deuxième partie de saison. Le joueur qui doit arriver (l’Australien Nathan Sobey, 1,93 m, 28ans), on le piste avec Lasso Tuovi depuis très longtemps. On était conditionné au fait qu’il ne dispute pas les playoffs d’Australie. Malheureusement pour lui, mais tant mieux pour nous ils ne se sont pas qualifiés. On cherche aussi un poste 4 de complément. On a besoin de se renforcer d’autant plus qu’on est en difficulté en championnat. La parenthèse Leaders Cup est enchantée, mais la situation ne change pas. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, Vincent Collet a analysé la victoire de son équipe.\\n\\n« On a eu des difficultés parce qu’on a joué contre une équipe magnifique. L’entame de match de Bourg a été très bonne. On a fait certaines erreurs, mais ils avaient une adresse très largement supérieure à la moyenne. On a eu la bonne idée de ne pas se précipiter. L’écart était logique en première mi-temps. De notre côté, on était moins bien en place que les deux jours précédents. On savait qu’il fallait contrôler le rebond. Mais on n’a pas été mieux que les deux autres jours. A la fin du troisième quart-temps on s’est dit qu’il fallait enfoncer le clou parce qu’on était fatigué mais j’ai dit aux gars qu’ils l’étaient davantage. J’espère que ce trophée sera un socle pour un nouveau départ. Le prochain match contre Le Mans va être décisif. 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A l’inverse, Samantha Whitcomb (1/8 aux shoots) n’a pas été fidèle à sa réputation.\\n\\nIl s’agit de la cinquième défaite de la « Dream Team » de l’Hérault, qui se fait ainsi décramponner par Lyon (14-2) et Bourges (12-4).\\n\\nPhoto: Samantha Whitcomb (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"L’AEK Athènes vainqueur de la Coupe Intercontinentale" }, {"role": "assistant", "content":"L’AEK Athènes a remporté cette nuit la Coupe Intercontinentale en battant en finale les Brésiliens de Flamengo, 86-70.\\n\\nAuteur de 22 points, 5 passes et 3 interceptions, l’arrière américain du club grec Jordan Theodore a été élu MVP du tournoi. Son compatriote Delroy James a ajouté 12 points et 7 rebonds.\\n\\nPar ailleurs, les Argentins de San Lorenzo se sont imposés aux Austin Spurs de G-League, 77-59, dans la quête de la troisième place.\\n\\nPhoto: AEK (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Nathan Jawai en renfort à Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’arrivée de Will Daniels, Levallois vient d’annoncer la signature de Nathan Jawai (2,09m, 32 ans) qui arrive en provenance Cairns dans le championnat australien.\\n\\nBrièvement passé par la NBA (Toronto et Minnesota), ce massif intérieur australien (140 kilos) a également porté les couleurs du Partizan Belgrade, de Kazan, du FC Barcelone ou encore Galatasaray et Andorre en Europe. À Levallois, il va vivre sa première expérience en Jeep Elite.\\n\\nCette saison, Nathan Jawai compilait en moyenne 10,1 points et 5,1 rebonds par match en Australie.\\n\\n\\n\\n\\n🚨[OFFICIEL]\\nLes Levallois Metropolitans renforcent leur secteur intérieur en signant l'australien @Natejawai.\\nNous lui souhaitons la bienvenue !! #GoLM #JeepElite pic.twitter.com/2700gws7XH\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) February 17, 2019\\n\\nPhoto : Cairn Taipans" }, {"role": "user", "content":"Copa del Rey : le Barça fait le doublé dans un finish rocambolesque" }, {"role": "assistant", "content":"C’est dans un finish incroyable après la prolongation arrachée par Sergio Llull sur le gong, avec un dernier contre invalide d’Anthony Randolph sur Ante Tomic, que Barcelone a remporté sa 2e Copa del Rey consécutive face au Real Madrid (94-93).\\n\\nAuteur de 22 points et 6 passes, Thomas Heurtel a été élu MVP de la compétition, là encore pour la 2e fois de suite. Mais pas d’air de déjà vu à Madrid car ce match a été fou de bout en bout, marqué notamment par un 17-0 du Barça en moins de 3 minutes pour renverser la vapeur en fin de match.\\n\\n\\n\\nLe Barça fait le doublé\\n\\nDans un match compétitif de bout en bout, les deux équipes ont eu leur moment. Mais sans entrer dans le détail de la fin de match (voir plus bas), c’est le Barça qui décroche à nouveau la timbale avec un excellent Thomas Heurtel (22 points, 6 passes) et Ante Tomic (14 points, 7 rebonds) solide sous les panneaux.\\n\\nBousculé à l’image de Walter Tavares qui se fait bâcher par Adam Hanga, le Real a pourtant été la première équipe à prendre un avantage net dans cette finale. Avec un bon Fabien Causeur en sortie de banc, auteur d’un panier acrobatique malgré la faute d’Hanga, les madrilènes ont effectivement passé un 14-0 pour mener de 17 longueurs en fin de 3e quart.\\n\\nMais Barcelone a du répondant ! Heurtel en tête, mais aussi avec Victor Claver, les catalans sont revenus piqués au vif avec un 17-0 encore plus saignant à l’approche du crunch time. Avec ce momentum, le Barça semblait sur le point de l’emporter. Mais sur la dernière action du temps réglementaire, c’est nul autre que Llull qui surgit pour planter le coup de poignard, pile poil sur le buzzer !\\n\\nEn prolongation, Barcelone frappe en premier avec Tomic qui met un bon dunk sur la truffe de Gustavo Ayon. A +5 sous les 20 secondes à jouer, Randolph rentre un trois points, et les arbitres avalent leur sifflet sur une faute du même Randolph qui sprinte en défense face à Singleton qui partait au layup.\\n\\nDans la continuité, Jaycee Carroll rentre le panier plus la faute pour repasser devant ! La suite, on la connaît... Le Barça s’impose sur le fil après ce contre qui fait déjà scandale !\\n\\n\\nUne fin de match très litigieuse\\n\\nDégoûté en rentrant aux vestiaires, Felipe Reyes peste : « C’est du vol ! Et deux ans de suite ! ». Le Real Madrid vient effectivement de lâcher une deuxième finale de suite à son éternel ennemi catalan. Et selon Eurohoops, cette défaite pourrait avoir des conséquences : le Real ayant menacé de quitter la ligue en absence d’excuses de la Ligue... Une sacrée menace quand on parle du champion d’Europe en titre !!\\n\\nLe contre d’Anthony Randolph sur le layup décisif de Tomic est effectivement considéré invalide car intervenu après que le ballon ait touché le cercle... Mais ce dernier n’avait aucune chance de rentrer, Randolph gobant donc un rebond en quelque sorte. Même après le ralenti, les arbitres ont maintenu leur décision.\\n\\nUne décision évidemment litigieuse mais qui semble surtout en compenser une autre sur l’action précédente. Chris Singleton est effectivement lancé seul en contre-attaque, sur une remise en jeu ligne de fond, et Randolph contre (et manque de décapiter) Singleton. Une faute évidente non-sifflée.\\n\\n\\nThomas Heurtel remet ça !\\n\\nA 16 points, 4 passes et 2 rebonds de moyenne (pour 16 d’évaluation), Thomas Heurtel a été le joueur le plus constant pour Barcelone sur cette Copa del Rey.\\n\\nComme l’an passé, Heurtel a su monter en température pour les moments importants, essentiel dans le retournement de situation en finale notamment. En grande forme, il a placé plusieurs layups après un vol plané plein de maîtrise... tout comme ce panier plus la faute du vétéran Reyes.\\n\\nAvec deux Copa del Rey de suite et deux titres de MVP qui vont avec, plus une place dans le 2e cinq ACB l’an passé, Thomas Heurtel commence à se constituer un sacré palmarès outre-Pyrénées.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=75-PJWwCJ3A\\n\\n\\nLa perf’ de la Copa del Rey : Nicolas Lapprovitola\\n\\nComment évoquer cette édition 2019 de la Copa del Rey sans mentionner l’incroyable prestation du meneur argentin, Nicolas Lapprovitola ? Le meneur de Badalone a tout simplement dégoûté la défense de Vitoria avec une note finale à 36 points (12/17 aux tirs dont 4/6 à trois points), 7 passes, 4 rebonds, 4 interceptions pour 50 d’évaluation !\\n\\nAvec une adresse affolante, dont deux tirs à trois points insensés sous la pression défensive, Lapprovitola a frappé un grand coup, prouvant à nouveau qu’il aurait mérité mieux en NBA chez les Spurs.\\n\\n\\nLes Français de la Copa del Rey :\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) :\\n– 17 points (7/13 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes\\n– 11 points (4/9 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes\\n– 22 points (8/13 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 22 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) :\\n– 0 point (0/1 au tir) en 5 minutes\\n– 10 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds en 16 minutes\\n– 6 points (2/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) :\\n– 5 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 10 minutes\\n– 2 points (1/2 aux tirs), 1 passe, 1 balle perdue en 10 minutes\\n– 14 points (5/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 23 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 15 points (7/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 passes, 1 contre, 3 balles perdues en 30 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds en 12 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 3 points (1/2 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\n\\nLes quarts de finale :\\n\\nTenerife – Malaga (88-78)\\nBarcelone – Valence (86-79)\\nVitoria – Badalone (89-98)\\nReal Madrid – Estudiantes (94-63)\\n\\n\\nLes demi-finales :\\n\\nBarcelone – Tenerife (92-86)\\nReal Madrid – Badalone (93-81)\\n\\n\\nLa finale :\\n\\nReal Madrid – Barcelone (94-93 ap)" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Oui, Strasbourg est une équipe qui gagne !" }, {"role": "assistant", "content":"Sa victoire sur l’ASVEL en quart-de-finale n’était pas un one shot, la JL Bourg 2019 est une vraie et belle équipe et elle restera dans la légende de la Leaders Cup. Elle a aussi son héros, Zack Peacock, le véritable MVP de cette compétition -Jarell Eddie a été élu car il est dans l’équipe victorieuse-, auteur en finale de 28 points avec un 6/8 à trois-points dont un dernier alors qu’il boitait bas. La JL est apparue comme une équipe parfaitement hiérarchisée où chacun connait son rôle et l’exécute parfaitement.\\n\\nQuant à la SIG Strasbourg, qui l’imaginait gagner trois matches à la suite alors qu’elle claudiquait en championnat, en Coupe de France comme en Champions League? Qui a dit que les Alsaciens perdaient toujours en finale? Après celle de 2015, c’est leur deuxième Leaders Cup à ajouter à deux Coupe de France gagnées sous l’ère Vincent Collet. C’est aussi le dixième titre majeur -équipe de France compris- remporté par le coach avec Le Mans, Villeurbanne et donc Strasbourg.\\n\\nEn finale, la SIG a pu compter sur un trio choc avec le meneur Mike Green (17 points, 7 fautes provoquées), Jeremy Nzeulie (16 points) et donc le MVP Jarell Eddie.\\n\\nBien sûr, l’histoire de la Leaders Cup incite à la prudence pour la suite de la saison. Aucun de ses vainqueurs n’a été couronné champion de France en juin. En attendant, les Strasbourgeois peuvent savourer le chemin parcouru en quelques jours.\\n\\nPremier fait du match: après 2’30, Youssoupha Fall sortait avec deux fautes sur le paletot après avoir donné un coup de machette à la gorge de son compatriote Youssou Ndoye. Deuxième fait: après 4′, la JL, qui possède l’un des tout meilleurs cinq majeurs de Jeep Elite, menait 14-4. Vincent Collet plaçait Florent Pietrus comme chien de garde de Zach Peacock pour calmer ses ardeurs.\\n\\nC’est par ses shooteurs extérieurs notamment les 9 points de Jarell Eddie, les 7 de Quentin Serron et un 8/11 global aux tirs que la SIG parvenait à remonter une partie de son handicap avant la fin de la première période de dix minutes: 28-24. Respirer son bon air parisien -il est originaire du Val de Marne- faisait visiblement beaucoup de bien à Jérémy Nzeulie (12 points, 14 d’évaluation) très en vue dans cette première mi-temps, dans les bonds comme dans les tirs extérieurs, tout comme l’homme au bandeau blanc, Jarell Eddie (12 points réussis avec un 4/5 à trois-points). Seulement après être revenue à 40-41, la SIG subissait de nouveau des vents contraires et était menée 42-50 à la mi-temps.\\n\\nLes Burgiens défendaient parfaitement sur Youssoupha Fall. C’est Youssou Ndoye et aussi Zach Peacock qui s’en chargeaient. Mais c’est à trois-points que les Alsaciens continuaient de faire feu. A la 28e, sur trois lancers, le meneur Mike Green permettait à la SIG de passer en tête (68-67), ce qui n’était pas arrivé depuis les premières secondes. C’était un vrai retournement de situation car Strasbourg avait cinq points d’avance (72-67) après trois quart-temps.\\n\\nUne anti-sportive n’arrangeait pas les affaires de la JL décramponnée à l’amorce de la quatrième période (77-68). Jarell Eddie était très, très chaud, et le meneur Mike Green était sérieusement monté en pression et avait cette agressivité tant attendue depuis sa venue de l’AEK Athènes.\\n\\nLes carottes paraissaient cuites pour les Bressans lorsqu’à 5′ de la fin, Zachery Peacock sortait en grimaçant bientôt suivi par Zack Wright qui écopait d’une cinquième faute. Pourtant la JEU ressortait la tête hors de l’eau sur des trois-points de Garrett Sim et Mike Moser. 86-88. Savo Vucevic remettait Zach Peacock en jeu.\\n\\nAu final, deux paniers de Jarell Eddie, un rebond offensif de Ali Traore et un lancer de Quentin Serron éloignaient le danger mais quelle résistance de la JEU !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Jeremy Nzeulie et Lamonte Ulmer (LNB, Hervé Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Villeneuve d’Ascq vs Bourges ce soir sur YouTube" }, {"role": "assistant", "content":"L’un, Bourges, veut obtenir la deuxième place du groupe, afin d’avoir un adversaire moins huppé en quart-de-finale -il faut aussi que Prague chute à Polkowice. L’autre, Villeneuve d’Ascq, cherche à se qualifier pour l’Eurocup. Le duel fratricide comptant pour la dernière journée d’Euroleague vaut donc cher. Il sera visible sur Youtube à partir de 20h.\\n\\nA l’aller, les Berruyères s’étaient imposées au Prado, 83-62.\\n\\nPhoto: Christelle Diallo et Alexia Chartereau (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Victorieuse face à Rouen, la Chorale Roanne remporte sa deuxième Leaders Cup en trois ans !" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà vainqueur de l’édition 2017, Roanne, leader de Pro B (14v-4d), se présentait à Disney avec un clair statut de favori. De son côté, Rouen, sixième de Pro B, sortait d’une victoire en huitième de finale de coupe de France face à Souffelweyersheim (NM1) plus tôt dans la semaine.\\n\\nEncouragés par les supporters venus en nombre de la Halle André-Vacheresse, les Roannais entrent tout de suite dans leur match en proposant un combat physique et une grande intensité à leur adversaire du jour. À l’image de l’explosif Thomas Ville (4 points et 3 rebonds pour 7 d’évaluation après 10 minutes). Après un peu moins de cinq minutes, les Choraliens sont devant (10-3) et mènent largement aux rebonds avec sept prises contre deux pour les Rouennais. Les Normands répondent sur la durée et se refont en passant notamment par leur meneur Jean-Baptiste Maille (5 points, 3 passes, 7 d’évaluation). A la fin du premier quart-temps, la Chorale est devant 21-16.\\n\\nDe retour sur le parquet, J-B Maille continue de garder les siens au contact, bien aidé par le feu follet Jamar Diggs qui n’hésite pas à dégainer derrière l’arc. Le Rouen Métropole Basket se rapproche et ne compte plus que deux petits points de retard sur Roanne quand il reste encore 6 minutes 30 à jouer dans la deuxième reprise (27-25). L’écart se stabilise alors autour des cinq points. La Chorale met un dernier coup d’accélérateur en fin de période pour conforter son avance et mener 40-33 à la pause. A noter qu’en première mi-temps, Roanne a shooté davantage à trois points qu’à deux, avec une adresse similaire (7/15 à deux points et 7/18 à trois points), et a mené au score pendant les 20 minutes.\\n\\nAprès la mi-temps, Rouen lance sa période à l’image de son match, hésitant. Il faut compter sur Jamar Diggs pour relancer la machine grâce à un panier à trois-points plein de sang froid. A quatre minutes de la sirène, le RMB égalise (44-44) grâce à un dunk de Zimmy Nwogbo sur un service de l’inévitable Jean-Baptiste Maille et après un contre de Diggs sur David Jackson. L’intensité monte alors encore d’un cran, l’enjeu de cette finale se fait ressentir sur le parquet de la Disney Events Arena. Seul grand absent de cette finale, Matt Carlino, meilleur joueur de la Chorale (16,1 points par match en championnat) ne parvient pas à trouver la mire et inscrit ses deux premiers – sur trois au total – points au buzzer du quart-temps. Après 30 minutes, Roanne est toujours devant 50-44.\\n\\nAlors que Rouen pensait être complètement de retour dans ce match et avoir fait le plus dur en égalisant, la Chorale reprend le contrôle de la rencontre d’entrée de quart-temps en enregistrant une avance de onze points (le plus gros total de la partie), 55-44. Mais comme depuis le début du match, Rouen ne lâche rien et revient très vite au contact jusqu’à passer devant après cinq minutes de jeu sur un trois points de Jean-Baptiste Maille, encore lui. Cette saison, l’ancien limougeaud tourne à 30% de réussite derrière l’arc et était à 0/3 avant ce tir. C’est par son MVP David Jackson que la Chorale se redonne un peu d’air et prend sept d’avance. Il reste un peu moins de quatre minutes sur l’horloge (60-53). A six points de moyenne en Leaders Cup cette saison, JB Maille ne s’arrête plus dans cette finale (16 points au total) et ramène encore le RMB à trois longueurs à deux minutes de la fin (60-57). Dans une dernière minute pour le moins tendue, c’est Ferdinand Prénom qui donnera le coup de grâce dans la peinture (64-57).\\n\\nAprès 40 minutes de haut intensité, c’est bien Roanne qui s’impose 66-60 face à une vaillante équipe de Rouen qui a pu y croire, même si elle n’a jamais mené au score dans la rencontre. La Chorale a donc fait respecter la hiérarchie du championnat, succède à Denain, et remporte sa deuxième Leaders Cup Pro B en trois ans.\\n\\nMeilleur marqueur côté choralien, David Jackson a été élu MVP du match avec 16 points et 5 rebonds pour une évaluation de 14. Il succède à Lance Goulbourne qui avait obtenu les honneurs l’année dernière lors de la victoire de Denain face à Orléans.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto : Hervé Bellenger / IS / LNB – Disneyland" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: A revivre, la journée de samedi de la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"La LNB nous invite à travers cette vidéo à revivre la journée de samedi de la Leaders Cup avec les demi-finales.\\n\\nPhoto: Ludovic Beyhurst (Strasbourg, LNB)" }, {"role": "user", "content":"Limoges : Une précision de Stéphane Ostrowski" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons indiqué dans un article que « France Bleu Limousin nous apprend que Stéphane Ostrowski, joueur emblématique du CSP des années 80 devenu directeur du club et... membre du directoire, attaque l’actuelle équipe dirigeante au tribunal des Prud’hommes sachant qu’il s’est rangé publiquement du côté de la veuve de Frédéric Forte, Céline, qui cherche à prendre le pouvoir. »\\n\\nStéphane Ostrowski nous demande de préciser le point suivant:\\n\\n« Je m’inscris totalement en faux sur cette affirmation, je ne me suis jamais rangé publiquement du côté de Céline Forte, la veuve de Frédéric. Les procédures que j’ai engagées sont dissociées du dossier de Céline Forte ».\\n\\nDont acte." }, {"role": "user", "content":"Finale Leaders Cup: Une récidive pour Strasbourg ou une grande première pour Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"À l’issue de deux matchs au scénario relativement similaire, la JL Bourg-en-Bresse et la SIG Strasbourg ont gagné le droit de s’affronter en finale pour remporter la Disneyland Paris Leaders Cup 2019. Quelles sont leurs atouts respectifs ? Quel match vont-ils nous offrir ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUne équipe qui démarre pied au plancher alors que son adversaire peine à rentrer dans la partie au point de se retrouver décroché au score avant de se ressaisir, de durcir le jeu et de tenter un rapproché qui s’avère au final insuffisant pour repasser devant au tableau d’affichage, c’est en résumé le scénario qu’ont déroulé les deux matchs des demi-finales de la Disneyland Paris Leaders Cup 2019.\\n\\nFace à un Bourg-en-Bresse tout de suite en place, comme sur sa lancée de son succès face à LDLC Asvel, les Metropolitans de Levallois ont semblé avoir du mal à démarrer le match. Un peu comme si la grinta qui leur avait permis de battre Pau-Lacq-Orthez avait disparu. Le résultat de ce départ un peu « molasson », c’est un 24-9 à l’avantage de la JL à la fin du premier quart-temps. Un écart que jamais Levallois ne parviendra à combler, malgré des vertus de hargne et de combativité retrouvées. Outre une fatigue mentale bien compréhensible, la troupe de Freddy Fauthoux a aussi pâti d’un match terne de Nobel Boungou-colo (2 points à 0/4 au tir), complètement cadenassé par la défense burgienne. Mais les Metropolitans n’ont surtout pas à rougir de leur défaite (86-79).\\n\\nPour sa part, Limoges était présenté comme le favori de la seconde demi-finale. Mais, pour la remporter, il aurait fallu que le CSP montre dès le début du match l’intensité dont il a su faire preuve en défense lors de la deuxième partie du match. En effet, le 44-28 inscrit au tableau d’affichage à la fin du deuxième quart-temps montrait un écart trop important pour que les hommes de François Péronnet, handicapés par l’absence de Samardo Samuels, puissent le combler face à un adversaire qui ne s’est jamais désuni. Maladroit (37,5 % au tir), gêné par la défense strasbourgeoise (seulement 12 passes décisives pour 16 balles perdues), le CSP a dû céder face à un adversaire qui a su exploiter ses points forts (l’adresse d’Eddie, la taille de Fall, la densité de Serron et Nzeulie) tout en jugulant ceux de Limoges (Hardy à 5/14, Boutsiele et Bouteille à 8 points, Howard à 3 points). L’équipe la plus solide l’a emporté.\\n\\nLa finale sera donc inédite, opposant un ancien vainqueur de la compétition, Strasbourg, à une équipe de Bourg pour qui cette finale fera office de première. Sur le papier, la SIG ferait figure de grand favori. Mais le contexte pousse à nuancer le jugement. D’abord parce que l’équipe de Vincent Collet, même si elle montre des signes encourageants de regain de cohésion et de motivation, n’est pas encore guérie de tous ses maux – notamment dans la gestion du jeu (encore 15 balles perdues ce samedi soir, après les 20 de vendredi). Ensuite, il faudra gérer la fatigue d’un troisième match en trois jours – Bourg est logé à la même enseigne mais a joué plus tôt dans la journée, quelques heures de repos supplémentaires qui peuvent peser dans la balance. Reste que chaque équipe dispose d’atouts qu’elle ne manquera pas de jouer au meilleur moment.\\n\\nJL Bourg-en-Bresse (86-79 contre Levallois Metropolitans)\\n\\nLa « Jeu » n’est pas en finale de la Leaders Cup par hasard, loin s’en faut. Sur ses deux matchs, elle a montré un excellent niveau de jeu, tant en attaque qu’en défense, s’appuyant sur quelques remarquables fers de lance – notamment les « deux Zack », Peacock et Wright – épaulés par un groupe aux multiples compétences, capables de prendre feu l’un après l’autre. Arthur Rozenfeld s’était rappelé au bon souvenir de l’Asvel en quarts de finale (c’est son club formateur), Lamonte Ulmer a pris le relais en demi-finale, marquant 20 points à 8/12, dont deux alley oop stratosphériques tout en contribuant largement à la mise sous l’éteignoir de Nobel Boungou-colo. Avec un Garrett Sim toujours juste, un Mike Moser sobre et efficace, un Youssou Ndoye pas encore revenu au top de sa forme mais donnant de bonnes minutes, un Maxime Courby dévolu aux tâches obscures, Bourg-en-Bresse dispose d’un effectif équilibré, qui gagne en densité lorsque Bathiste Tchouaffé se montre rentable. Et le tout est magistralement orchestré par un Savo Vucevic qui sait tirer parti des qualités de ses joueurs et en masquer les faiblesses. Reste qu’il faudra que tout le monde soit à son meilleur tant en attaque qu’en défense pour enrayer la machine strasbourgeoise. Et, bien sûr, résoudre l’équation Youssoupha Fall. Ce que Bourg n’avait réussi à faire en championnat (76-71 pour la SIG, avec 17 points et 11 rebonds de Fall), en l’absence de Ndoye blessé.\\n\\nEn tout cas, la JL n’a rien à perdre, elle jouera sans aucun doute sa chance à fond.\\n\\nSIG Strasbourg (72-63 contre le CSP Limoges)\\n\\nIl y a un mois, Strasbourg aurait certainement explosé en vol au cours du troisième quart-temps, lorsque la pression défensive de Limoges est brutalement montée de plusieurs crans. Ce samedi soir, la SIG a su rester solidaire, ne pas paniquer, hausser elle aussi son niveau défensif lorsque les paniers ne rentraient plus, résister au retour des Limougeauds.\\n\\nCet état d’esprit est symbolisé par un Ludovic Beyhurst qui, s’il perd encore des ballons bêtement, a réussi à écoeurer Jonathan Rousselle ou par un Ali Traoré qui s’est arraché en défense (2 interceptions, 2 contres) même s’il a eu du mal à contenir un Damien Inglis l’emmenant au large. Outre cette défense « barbelés », Strasbourg a mis en avant, au moins lors de la première période, son jeu collectif léché, se traduisant par 25 passes décisives pour 25 paniers (rappelons que lorsqu’une faute se traduit par des lancers francs réussis, une passe décisive est attribuée au passeur, ce qui explique qu’une équipe peut réaliser plus de passes décisives qu’elle ne marque de paniers).\\n\\nS’il a été moins en verve contre Limoges qu’au tour précédent contre Dijon, Mike Green a su faire tourner son équipe (9 passes) malgré un déchet important (6 balles perdues). À l’arrière, Quentin Serron et Jérémy Nzeulie ont réalisé deux belles prestations aussi bien offensives que défensives, compensant bien l’absence de Mardy Collins. Comme Jarrell Eddie se montre de plus en plus à l’aise dans son rôle d’intérieur fuyant (mais présent au rebond, 7 prises ce samedi) tout en conservant une adresse redoutable à 3 points (3/8) et que Flo Piétrus rentabilise au maximum ses minutes, le secteur intérieur de la SIG reste son point fort, d’autant que Youssoupha Fall et Ali Traoré, chacun dans son registre, continuent de peser énormément sur les raquettes adverses.\\n\\nDésormais, après avoir battu un adversaire « huppé » tel que Limoges, le risque pour Strasbourg est de ne pas montrer la même détermination face à Bourg-en-Bresse, a priori moins coté. En outre, même s’ils ne tombent pas dans la suffisance, les Strasbourgeois auront à gérer un autre paramètre, la fatigue : ils vont devoir repartir « à la mine » moins de 20 heures après un match harassant contre Limoges.\\n\\nNos pronostics : JL Bourg-en-Bresse 45 % – SIG Strasbourg 55 %\\n\\nLa fatigue se fait toujours sentir lorsqu’il faut jouer un troisième match en trois jours. Ce qui peut se traduire par une adresse incertaine, une équipe qui lâche mentalement ou par un match un peu « tout fou » dans lequel les attaques prennent le pas sur des défenses épuisées.\\n\\nQuel que soit le scénario qui sera proposé ce dimanche à 17 heures, il sera écrit par deux équipes qui ont prouvé leur détermination à gagner ce tournoi. Pour la SIG, il faudra surtout juguler Zach Peacock, étincelant sur les deux premiers matchs, et limiter l’impact de Zack Wright, au four et au moulin tout au long du match. De son côté, Bourg-en-Bresse devra réussir à « casser » le jeu collectif de Strasbourg et tenter de minimiser l’impact de la paire de pivots XXL de la SIG.\\n\\nC’est peut-être sur ce point que la balance penche pour Strasbourg, Youssou Ndoye ne semblant pas encore complètement revenu en pleine forme après sa blessure. Mais s’il se sublime pour l’occasion, Bourg conserve ses chances.\\n\\n[armelse]\\n\\nUne équipe qui démarre pied au plancher alors que son adversaire peine à rentrer dans la partie au point de se retrouver décroché au score avant de se ressaisir, de durcir le jeu et de tenter un rapproché qui s’avère au final insuffisant pour repasser devant au tableau d’affichage, c’est en résumé le scénario qu’ont déroulé les deux matchs des demi-finales de la Disneyland Paris Leaders Cup 2019.\\n\\nFace à un Bourg-en-Bresse tout de suite en place, comme sur sa lancée de son succès face à LDLC Asvel, les Metropolitans de Levallois ont semblé avoir du mal à démarrer le match. Un peu comme si la grinta qui leur avait permis de battre Pau-Lacq-Orthez avait disparu. Le résultat de ce départ un peu « molasson », c’est un 24-9 à l’avantage de la JL à la fin du premier quart-temps. Un écart que jamais Levallois ne parviendra à combler, malgré des vertus de hargne et de combativité retrouvées. Outre une fatigue mentale bien compréhensible, la troupe de Freddy Fauthoux a aussi pâti d’un match terne de Nobel Boungou-colo (2 points à 0/4 au tir), complètement cadenassé par la défense burgienne. Mais les Metropolitans n’ont surtout pas à rougir de leur défaite (86-79).\\n\\nPour sa part, Limoges était présenté comme le favori de la seconde demi-finale. Mais, pour la remporter, il aurait fallu que le CSP montre dès le début du match l’intensité dont il a su faire preuve en défense lors de la deuxième partie du match.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Zachery Peacock (Bourg) et Youssoupha Fall (Strasbourg). Hervé Bellenger/LNB" }, {"role": "user", "content":"La finale de la Leaders Cup, Bourg vs Strasbourg en direct sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Bonne nouvelle pour ceux qui ne possèdent pas RMC Sport: la finale de la Leaders Cup qui va opposer à partir de 17h la JL Bourg à la SIG Strasbourg sera diffusé sur la chaîne Dailymotion de RMC Sport.\\n\\nLe lien est ICI.\\n\\nIl sera actif à partir de 16h30." }, {"role": "user", "content":"Ligue 2 féminine: Charnay prend seul la tête" }, {"role": "assistant", "content":"Charnay-lès-Mâcon est une commune de Saône-et-Loire de 7 000 habitants qui se met définitivement sur la carte du basket féminin en prenant seule la tête de la Ligue 2 à l’issue de la 15e journée.\\n\\nLes Bourguignonnes ont été vaincre hier soir La Glacerie dans la Manche, 68-85. Le suspense n’aura duré qu’une huitaine de minutes. Didier Godefroy, l’entraîneur glacérien n’a pu qu’admettre la supériorité adverse:\\n\\n« Il y a eu des bonnes choses dans cette rencontre mais nous avons manqué de trois ingrédients pour pouvoir tenir tête à Charnay : la taille, la fraîcheur et la lucidité. »\\n\\nLes joueuses du Charnay Basket Bourgogne Sud sont surnommés les Pinkies. L’ailière Laétitia Guapo (16,2 points, 5,3 rebonds ) et le pivot américain Keyona Hayes (13,5 points, 8,1 rebonds) en sont les joueuses les plus performantes.\\n\\nCharnay bénéficie du faux-pas de Chartres à domicile face à Reims, 75-82. Mais attention: leur suprématie ne tient qu’à une victoire sur Chartres, Reims, Toulouse et Angers. Sachant que Montbrison est deux rangs derrière.\\n\\nPhoto: Charnay BBS" }, {"role": "user", "content":"Afrique: Création d’une ligue professionnelle sous l’égide de la NBA" }, {"role": "assistant", "content":"Avec l’accord de la FIBA, la NBA va lancer bientôt la Ligue Africaine de Basket (Basketball Africa League) a confirmé le Commissioner de la ligue américaine Adam Silver à l’occasion du All-Star Game. C’est la première fois que la NBA va organiser un championnat hors des frontières des Etats-Unis.\\n\\nLa compétition se tiendra de janvier à mars et débutera en 2020. Elle réunira 12 équipes du continent qui seront issues des éliminatoires qui vont se tenir cette année. La phase éliminatoire sera gérée par la FIBA et la phase finale par la NBA. Un pays ne pourra pas présenter plus de deux équipes.\\n\\n« Nous avons toutes les garanties. Nous voulons bâtir un produit qui va être un modèle sur la scène mondiale. 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Le choc le plus inattendu vient d’Italie avec Happy Casa Brindisi vs Vanoli Cremona. Armani Milan a été éliminé en quart-de-finale par Segafredo Virtus Bologne (84-86) lequel est passé à la trape au tour suivant face à Cremona (91-102). En 25′, Amath Mbaye a compilé 9 points et 7 rebonds pour les vaincus. Brindisi-Cremona, c’est tout de même le 4e contre le 3e de la saison régulière." }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (Strasbourg) : «C’est la meilleure mi-temps de notre saison»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une mauvaise passe après, notamment, son élimination en Champions League, la SIG réagi en Leaders Cup. Après avoir maitrisé Dijon en quart de finale, Strasbourg l’a emporté en demi face à Limoges, qui sortait d’un match euphorique contre Nanterre.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès le match, Vincent Collet a souligné l’effort dont ont fait preuve ses joueurs qui ont, selon lui, livré leur meilleure mi-temps de la saison dans les 20 premières minutes.\\n\\n« On a fait une très belle première mi-temps, au-delà de ce que je pouvais espérer. C’est notre meilleure mi-temps de la saison pour l’instant, des deux côtés du terrain. Défensivement on a été très présents. L’objectif était de gêner le jeu de passes. On voulait limiter leur rythme. En attaque, on a vraiment baissé le pied en deuxième mi-temps, ce qui a permis à Limoges de revenir. Mais on a trouvé le courage et le cœur pour conserver le match en main. Ça aurait été un crève-cœur de ne pas aller au bout. On a retrouvé un état d’esprit qui est digne de la Leaders Cup. Du sens collectif, de l’engagement. Ce n’est pas les 3/4 entraînements qu’on a fait cette semaine qui ont tout changé. On sait d’où l’on vient, on a morflé. On a joué avec notre cœur et notre intelligence, j’en suis content. On a encore un match, qui va être surement plus dur que les précédents. On a une rotation limitée et demain il faudra refaire pareil face à une équipe de Bourg qui est arrivée en finale en éliminant l’ASVEL, qui était favori, au premier tour. Ils sont prêts. Ça sera, pour le moins, aussi difficile qu’hier et aujourd’hui. Ça fait toujours plaisir de bien jouer au basket, mais en deuxième mi-temps c’est vraiment au courage qu’on a fait la différence. Il pouvait y avoir une inversion mais on est allé arracher les actions décisives et ça montre de la force de caractère. On était dans une situation plus que délicate avant ce tournoi. »\\n\\nMême constat de la part du meneur du CSP, Jonathan Rousselle, qui met en évidence la première mi-temps manquée de ses partenaires.\\n\\n« On paye notre première mi-temps, on a pris un mur. Il y a eu un défi physique de proposé. C’est souvent ce qui se passe quand tu as une équipe avec de forts attaquants. On s’y attendait mais ça nous a quand même peut-être un peu surpris. On était peut-être aussi en sur-confiance suite au match d’hier contre Nanterre. On a vraiment eu une fenêtre de tir à la fin qu’on a pas su saisir. On reste avec des regrets même si on n’a pas lâché. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès le match, Vincent Collet a souligné l’effort dont ont fait preuve ses joueurs qui ont, selon lui, livré leur meilleure mi-temps de la saison dans les 20 premières minutes.\\n\\n« On a fait une très belle première mi-temps, au-delà de ce que je pouvais espérer. 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Cela n’empêchait pas la SIG, avec un Jarell Eddie qui faisait admirer la précision de son shoot longue distance, de se dégager temporairement au score: 17-10.\\n\\nAprès un retour du CSP, la SIG repartait de plus belle. Jérémy Nzeulie faisait péter un dunk à ébranler la structure de la Disney Arena. Le cap des 10 points d’avance (28-17) était atteint à la 12e. La SIG défendait le plomb et sur un trois points en bout de chaîne de Florent Pietrus, le score montait à 33-19 puis à 38-22 et encore à 44-28 à la mi-temps. L’heure était grave pour Limoges qui ne trouvait pas le bon rythme offensif et d’antidote à Youssoupha Fall. 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Jérémy Nzeulie (15 points, 6 rebonds, 17 d’éval) réalisait l’un de ses meilleurs matches sous les couleurs alsacienne et la SIG cimentait suffisamment sa défense pour s’imposer sur un dernier triplé de Quentin Serron.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Nicolas Lang (Strasbourg, Hervé Bellenger/LNB)" }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (Bourg-en-Bresse) : «Zachery Peacock est unique»" }, {"role": "assistant", "content":"Remarquable hier face à l’ASVEL, la JL Bourg a confirmé en demi-finale en s’imposant face à Levallois pour se qualifier en finale de la Leaders Cup.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, Savo Vucevic a, une nouvelle fois, félicité son équipe, salué ses joueurs et le club.\\n\\n« C’est la première finale du club en Leaders Cup de Jeep Elite. C’est un grand moment pour le club, la ville et pour nous. Encore une fois c’est grâce aux joueurs qu’on a fait cet exploit. C’est une immense satisfaction. On a essayé de jouer un match très engagé pour éviter le piège. On sait que Levallois était diminué, ce n’est pas facile de jouer contre une équipe qui joue quasiment avec cinq extérieurs, mais on a bien réagi. Et malgré une équipe au complet pour nous, on a toujours joueurs qui reviennent de blessure. Il fallait gérer tout ça, essayer de gagner et garder de l’énergie pour demain. On a fait quelques erreurs, mais c’est normal dans une compétition de ce format où il y a un match chaque jour. Le plus important aujourd’hui c’était la victoire, même si le match n’était pas aussi qualitatif qu’en quart face à l’ASVEL. Maintenant, une finale, ça ne se joue pas, ça se gagne. Même si on a perdu beaucoup d’énergie. Demain on aura besoin de mental. On veut gagner cette finale, quelles que soient les conditions. »\\n\\nL’entraîneur burgien a également souligné la progression de son club et le dévouement de ses joueurs au quotidien.\\n\\n« Le club progresse. C’est une grande fierté parce qu’on travaille dur au quotidien. Ce club, je n’arrête pas de le répéter parce que c’est la vérité, est peut-être le mieux structuré de tous les clubs pour lesquels j’ai travaillé. Les joueurs jouent vraiment pour ce maillot. C’est de plus en plus difficile de voir ça de nos jours. C’est quelque chose qui nous est très cher. On essaye de recruter des joueurs qui seraient susceptibles de se rapprocher de notre façon de faire. »\\n\\nPour finir, l’ancien coach du Spirou Charleroi a fait une déclaration d’amour à son intérieur et MVP Zachery Peacock.\\n\\n« J’ai une très bonne relation avec Zachery Peacock. Il est adorable. C’est un bonheur pour un coach d’avoir un joueur comme lui. Il est unique... J’ai eu beaucoup de joueurs, mais je crois que je n’ai jamais eu un joueur comme Zach, même si j’ai eu des joueurs de top niveau. Et je ne sais pas si j’aurai un autre joueur comme ça dans le peu de temps qu’il me reste à coacher. Il n’y a jamais eu aucun problème avec lui et c’est très rare. Si on est dans cette forme, c’est grâce à Zach. C’est beaucoup plus facile avec un joueur comme lui parce que c’est un vrai exemple pour tout le monde. Ce fut difficile de le garder cet été, mais il est resté fidèle et ça montre sa personnalité. On va pas se mentir, ce qui compte de nos jours c’est l’argent, mais il a choisi de rester malgré d’autres propositions. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, Savo Vucevic a, une nouvelle fois, félicité son équipe, salué ses joueurs et le club.\\n\\n« C’est la première finale du club en Leaders Cup de Jeep Elite. C’est un grand moment pour le club, la ville et pour nous. Encore une fois c’est grâce aux joueurs qu’on a fait cet exploit. C’est une immense satisfaction. On a essayé de jouer un match très engagé pour éviter le piège. On sait que Levallois était diminué, ce n’est pas facile de jouer contre une équipe qui joue quasiment avec cinq extérieurs, mais on a bien réagi. 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Zack Wright manque le triple double d’un souffle" }, {"role": "assistant", "content":"Après 2006 et la Semaine des As à Dijon, la JL Bourg s’offre une deuxième finale dans une compétition majeure. A remarquer les 25 points de Zach Peacock et tout autant la performance du meneur Zack Wright qui a frôlé le triple double avec 11 rebonds, 10 passes et seulement 9 points.\\n\\nLes artilleurs burgiens sortaient du bois dès les premiers échanges et grâce à un 3/3 à trois-points, la JEU marquait son territoire, 15-8, obligeant Freddy Fauthoux a commander son premier temps-mort. La JEU était dans une tenue inhabituelle à ce niveau pour elle, celui du favori en raison de l’épidémie de défections côté levalloisien et même si les Metropolitains avaient prouvé face à Pau qu’ils avaient du répondant dans cette période troublée.\\n\\nOutre leur belle adresse, les hommes de Savo Vucevic étaient très concentrés en défense. C’était déjà l’état d’urgence pour Levallois après un quart-temps: 9-24 ! Ou encore 5-34 à l’évaluation qui démontrait une domination totale des rouge et blanc avec un 14 rien que pour l’étoile de l’Ain, Zach Peacock, artificier, rebondeur, chapardeur de ballons.\\n\\nFrédéric Fauthoux tentait de recoller les morceaux avec cinq... extérieurs. La méthode ne payait pas réellement. 16-33 (25e). C’est avec le retour de Ekene Ibekwe et Ivan Février que Levallois limitait un peu la casse avant la mi-temps (28-39). Son 9/24 aux shoots et ses 10 balles perdues étaient trop pénalisants.\\n\\nAprès avoir été maintenu au-dessus de la douzaine de points de retard, Levallois pointait à 43-50, ce qui avait le don d’exciter et de faire brayer son meneur croate Roko Ukic. Seulement autour Zach Peacock, toujours aussi productif, la JL indiquait aux Metropolitains qu’il n’était pas question de les laisser revenir. 65-46 (30e).\\n\\nLevallois est une équipe qui ne renonce jamais et profitant que Savo Vucevic fasse entrer ses jeunes Bathiste Tchouaffé et Malcolm Cazalon, David Michineau and Co divisaient leur retard par deux, 61-71, et faisait un forcing de fou dans les deux dernières minutes. Mais la JEU qui avait contrôlé le match de bout en bout ne se faisait pas désarçonner.\\n\\nA 14 secondes de la fin, Zack Wright loupait le dernier de ses deux lancers-francs et ainsi un triple double. Mais quelle activité !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Zack Wright (Bourg, LNB/Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Une rumeur court que l’Olympiakos pourrait rejoindre la Ligue Adriatique ! Les Reds sont sanctionnés de 6 points dans le championnat national" }, {"role": "assistant", "content":"La décision de l’Olympiakos de renoncer à participer à la deuxième mi-temps de la demi-finale de Coupe de Grèce contre le Panathinaikos a conduit la ligue a pénaliser le club du Pirée de 6 points, ce qui fait qu’il dégringole ainsi de la 1ère à la 6e place.\\n\\nIl apparaît que la décision des Reds était préméditée car ils considèrent que le trio arbitral (Panagiotis Anastopoulos, Tasos Manos et Christos Panagiotou) était favorable à leurs adversaires honnis qui a pour eux de meilleures relations avec la fédération grecque, qui contrôle de par la loi les arbitres et leurs nominations aux matches.\\n\\nSelon les statuts de la Ligue grecque, si l’Olympiacos boycottait un match où officierait ce trio d’arbitres, il pourrait même être relégué en deuxième division. 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Et l’auteur de ces lignes n’a certainement pas été le moins mauvais, avec un seul pronostic réalisé...\\n\\nMais c’est là toute la particularité d’une compétition par élimination directe, qui plus est n’octroyant qu’un titre somme toute honorifique : chacun a des chances égales sur la ligne de départ mais ce sont souvent ceux qui en veulent le plus qui l’emportent. Un constat que l’on a surtout vérifié lors des deux premiers matchs d’hier, où les Metropolitans et les Burgiens ont joué en « morts de faim » face à des équipes apparemment peu concernées ou moyennement concentrées. Strasbourg l’a pour sa part emporté (au terme du moins bon match de la journée) face à une équipe de Dijon tout aussi motivée que la SIG mais ayant buté sur la défense proposée par Vincent Collet et ses hommes, hormis un exceptionnel David Holston (35 points à 12/21). Et Limoges a pris Nanterre à son propre jeu (12/24 à 3 points pour le CSP contre 16/30 pour Nanterre) tout en sachant profiter de son avantage à l’intérieur pour décrocher une victoire facile (+23).\\n\\nÀ l’issue de ces quatre matchs, le verdict est tombé : les demi-finales opposeront Levallois à Bourg-en-Bresse et Strasbourg à Limoges. Qu’attendre de ces rencontres ?\\n\\n\\nLevallois-Bourg-en-Bresse (18 heures)\\n\\nLevallois Metropolitans (94-87 contre Pau-Lacq-Orthez)\\n\\nQui l’eut cru ? Donné perdant certain au vu de son effectif dépeuplé, Levallois a renversé l’Élan Béarnais au terme d’une rencontre où l’ensemble des joueurs a su afficher la gnac et l’envie transmises par leur coach, Freddy Fauthoux. L’on a ainsi pu voir un jeune joueur comme Neal Sako donner 15 très bonnes minutes (7 points, 4 rebonds, 1 contre, 11 d’évaluation), un Roko-Leni Ukic surpasser la douleur (une entorse à la cheville aurait dû l’immobiliser pour deux ou trois semaines) pour délivrer 7 passes en 15 minutes, un Maalik Wayns fraîchement arrivé se dépouiller en défense et artiller de loin (4/9 à trois points), un Nobel Boungou-colo en partance pour Badalone accomplir un match énorme (32 points, 13 rebonds, 4 passes, 39 d’évaluation). Et tous leurs coéquipiers ont été à l’unisson dans leur engagement.\\n\\nUne chose est sûre : l’investissement des banlieusards parisiens sera tout aussi important pour la demi-finale. Pour parvenir à l’emporter, il faudra au moins cela, ainsi qu’une défense contre les intérieurs burgiens tout aussi efficace que celle développée contre Vitalis Chikoko. L’adresse à trois points sera sans doute aussi déterminante.\\n\\nEn tout cas, plus personne ne peut croire que Levallois part perdant...\\n\\nLes objectifs : Réaliser un nouvel exploit, bien sûr !\\n\\nJL Bourg-en-Bresse (88-86 contre LDLC Asvel)\\n\\nLes dirigeants de LDLC Asvel avaient affiché leur ambition de remporter la Leaders Cup. Pourtant, leurs joueurs n’ont pas forcément toujours donné l’impression d’être très concernés par la compétition, notamment en défense. La raison en incombe en grande partie à une équipe de Bourg-en-Bresse agressive dès l’entame du match, adroite (50,8 % au tir) et collective (21 passes décisives). Et si Youssou Ndoye, toujours en phase de reprise, a réalisé un petit match statistique pour lui (6 d’évaluation), il a été présent en défense et complémentaire des fers de lance de l’équipe, les « deux Zack », Peacock et Wright, mais aussi Garrett Sim, Mike Moser ou Arthur Rozenfeld, excellent à la réalisation (10 points) et à la création (7 passes). En somme, la « Jeu » n’a pas volé son succès, loin s’en faut, montrant un visage très séduisant.\\n\\nPour vaincre Levallois, il lui faudra montrer les mêmes atours. L’équipe de Savo Vucevic est prévenue, les Metropolitans ne sont pas là pour faire de la figuration. La mission des Burgiens consistera à juguler Nobel Boungou-colo et Maalik Wayns, à s’appuyer sur une raquette intrinsèquement supérieure à celle de Levallois et à pratiquer l’alternance intérieur-extérieur qui leur a si bien réussi contre Villeurbanne.\\n\\nLes objectifs : Continuer à ne pas « faire de tourisme », pour paraphraser Savo Vucevic !\\n\\nNos pronostics : Levallois Metropolitans 45 % – JL Bourg-en-Bresse 55 %\\n\\nLa motivation des Levalloisiens ne fait désormais aucun doute. Mais arriveront-ils à surmonter la fatigue du premier match ? Les jeunes, Ivan Février et Neal Sako, réaliseront-ils d’aussi belles prestations qu’hier ? Roko-Leni Ukic pourra-t-il continuer à donner de bonnes minutes malgré sa blessure ? Si c’est le cas, et si Boungou-colo et Wayns arrivent à réitérer leur prestation d’hier, Levallois a toutes ses chances.\\n\\nMais Bourg-en-Bresse est prévenu et s’est montré tout aussi motivé que Levallois, hier. Avec son secteur intérieur haut de gamme, son « zébulon » Zack Wright et une probable plus grande variété de menaces offensives, la « Jeu » part favorite. De peu. Et il lui faudra ne surtout pas sous-estimer la grinta des hommes de Freddy Fauthoux.\\n\\n\\nSIG Strasbourg-CSP Limoges (20 heures 30)\\n\\nSIG Strasbourg (89-79 contre la JDA Dijon)\\n\\nLe « malade » n’est pas encore guéri, mais il va mieux, c’est ainsi que l’on pourrait synthétiser la prestation strasbourgeoise d’hier soir. Toujours diminuée par l’absence de Mardy Collins et avec un Flo Piétrus en phase de reprise, la SIG a su montrer des vertus d’abnégation et d’altruisme que l’on ne lui avait pas trop vues ces derniers temps. Symbole de ce regain de forme, Mike Green, fort décrié dans les semaines précédentes, a livré un match plein – 22 points, 7 rebonds, 6 passes –, même si sa défense n’est toujours pas optimale. Avec une ligne arrière (Quentin Serron et Jérémy Nzeulie en premier lieu) efficace, un Jarrell Eddie capable de donner beaucoup comme ailier-fort fuyant et un Ali Traoré faisant plus que compenser la prestation moyenne de Youss’ Fall, l’équipe de Vincent Collet a montré un visage assez séduisant, même si le match ne fut pas d’excellente facture et si l’équipe a encore du déchet à son passif (20 balles perdues).\\n\\nFace à Limoges, la SIG devra encore hausser son niveau de jeu, réduire les approximations, défendre fort sur tous les postes, savoir s’appuyer sur les hommes en forme. Ce sont les conditions sine qua non pour s’imposer face à un effectif dense et talentueux comme celui du CSP.\\n\\nLes objectifs : Continuer à progresser sur le chemin du retour vers le meilleur niveau.\\n\\nCSP Limoges (98-75 contre Nanterre 92)\\n\\nLimoges l’a démontré, on peut battre un Nanterre « en feu » à trois points (16/30). Pour cela, il faut savoir rendre la pareille (12/24 dans le même exercice pour le CSP) tout en proposant plus d’alternance dans le jeu que les banlieusards parisiens, en s’appuyant notamment sur des intérieurs efficaces (Jerry Boutsiele et Isaiah Miles en premier lieu) et un Axel Bouteille de gala (9/14 au shoot, dont 5/9 à trois points). Et comment ne pas mentionner la superbe performance collective de l’équipe : 32 passes décisives pour 36 tirs réussis, dont 9 pour Jonathan Rousselle et 6 pour Damien Inglis ! De quoi faire oublier l’absence de dernière minute du meneur de jeu Jordan Taylor, dont la participation au match de ce soir reste incertaine.\\n\\nCe soir, l’équipe de François Péronnet devra se montrer capable de réitérer cette prestation collective, de défendre efficacement le chemin de son cercle face à Youssoupha Fall et Ali Traoré, de continuer à limiter le déchet offensif (seulement 8 balles perdues hier), bref de faire preuve d’intensité et de cohésion.\\n\\nLes objectifs : Réussir une nouvelle belle prestation collective et compenser l’absence possible de Jordan Taylor.\\n\\nNos pronostics : SIG Strasbourg 48 % – CSP Limoges 52 %\\n\\nLa SIG a montré du mieux dans son jeu, notamment en termes d’engagement et de défense. Mais son collectif manque encore de fluidité, en témoignent ses 20 balles perdues d’hier. En face, Limoges n’a guère souffert de l’absence de son meneur de jeu titulaire et a offert une démonstration de jeu complet. La fraîcheur des uns et des autres pourrait bien faire la différence entre deux équipes très proches sur le papier et sur ce qu’elles ont montré hier. Limoges part avec un petit a priori favorable, surtout si Axel Bouteille réitère sa performance d’hier.\\n\\n[armelse]\\n\\nSale soirée pour les pronostiqueurs que ce vendredi de quarts de finale de Disneyland Paris Leaders Cup 2019 ! Et l’auteur de ces lignes n’a certainement pas été le moins mauvais, avec un seul pronostic réalisé...\\n\\nMais c’est là toute la particularité d’une compétition par élimination directe, qui plus est n’octroyant qu’un titre somme toute honorifique : chacun a des chances égales sur la ligne de départ mais ce sont souvent ceux qui en veulent le plus qui l’emportent. Un constat que l’on a surtout vérifié lors des deux premiers matchs d’hier, où les Metropolitans et les Burgiens ont joué en « morts de faim » face à des équipes apparemment peu concernées ou moyennement concentrées. Strasbourg l’a pour sa part emporté (au terme du moins bon match de la journée) face à une équipe de Dijon tout aussi motivée que la SIG mais ayant buté sur la défense proposée par Vincent Collet et ses hommes, hormis un exceptionnel David Holston (35 points à 12/21). Et Limoges a pris Nanterre à son propre jeu (12/24 à 3 points pour le CSP contre 16/30 pour Nanterre) tout en sachant profiter de son avantage à l’intérieur pour décrocher une victoire facile (+23).\\n\\nÀ l’issue de ces quatre matchs, le verdict est tombé : les demi-finales opposeront Levallois à Bourg-en-Bresse et Strasbourg à Limoges. Qu’attendre de ces rencontres ?\\n\\n\\nLevallois-Bourg-en-Bresse (18 heures)\\n\\nLevallois Metropolitans (94-87 contre Pau-Lacq-Orthez)\\n\\nQui l’eut cru ? Donné perdant certain au vu de son effectif dépeuplé, Levallois a renversé l’Élan Béarnais au terme d’une rencontre où l’ensemble des joueurs a su afficher la gnac et l’envie transmises par leur coach, Freddy Fauthoux.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos, de haut en bas: Isaiah Miles (Limoges), Nobel Boungou-colo (Levallois), Zach Peacock (Bourg), Mike Green (Strasbourg) et Axel Bouteille (Limoges). LNB/Hervé Bellenger" }, {"role": "user", "content":"Coupe Intercontinentale: Flamengo en finale face à l’AEK Athènes après avoir dominé le champion de G-League" }, {"role": "assistant", "content":"Les Grecs de l’AEK Athènes et les Brésiliens de Flamengo vont se retrouver demain en finale de la Coupe Intercontinentale organisée par la FIBA.\\n\\nL’AEK a dominé 86 à 64 le club argentin de San Lorenzo avec 15 points et 8 rebonds de Delroy James.\\n\\nL’équipe des Austin Spurs, représentant la G-League n’a pas pesé lourd face à Flamengo: 58-90 ! Les Brésiliens ont tout de suite pris les affaires en mains et ont remporté les quatre quarts-temps. Franco Balbi a été l’homme de la soirée avec 19 points et 6 passes.\\n\\nIl s’agit d’une grosse désillusion pour la franchise affiliée aux Spurs, championne de G-League en 2018 mais qui est actuellement à la traîne de la Western Conference (9e sur 13).\\n\\nLa finale se tiendra demain à la Carioca Arena de Rio de Janeiro.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Mb4tP1mabxQ\\n\\nPhoto: Deryk Ramos (Flamengo, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Italie: Cantu va changer de propriétaire" }, {"role": "assistant", "content":"Selon La Provincia di Como, sauf rebondissement de dernière minute, le Pallacanestro Cantu va changer de propriétaire.\\n\\nLe millionnaire russe Dimitri Gerasimenko va le céder pour 800 000 euros à un groupe italo-américain. 350 000 seront versés au moment de la signature et le restant sur une période allant probablement de 5 à 9 ans. L’acheteur fait également l’acquisition de l’emplacement où doit être construit une aréna mais il s’est engagé par ailleurs à effacer 1,6M€ de dettes.\\n\\nClub glorieux qui a dans son armoire à trophées les trois coupes européennes majeures des années 70-90 (Coupe des Champions, Coupe des Coupes et Coupe Korac), Cantu est actuellement 10e du championnat italien avec 9 victoires pour 10 défaites.\\n\\nPhoto: Dimitri Gerasimenko" }, {"role": "user", "content":"Retour en France de Will Daniels pour renforcer Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Pour pallier le départ de Julian Wright, les Levallois Metropolitans font appel à Will Daniels (2,03m, 32 ans), un ailier-fort américain bien connu en France pour avoir porté les maillots de Nanterre (2010-12 puis 2013-14) et Limoges.\\n\\nLors de la saison 2015-16, Will Daniels avait apporté 8,3 points et 3,5 rebonds au CSP. Depuis, il a fréquenté Porto Rico (Quebradillas), Israël (Hapoël Eilat), le Liban (Tripoli) et la saison dernière Porto Rico de nouveau (Fajardo) et la deuxième division turque (Selkuklu) où ses statistiques se sont établies à 21,8 points et 6,0 rebonds.\\n\\nIl a oeuvré en début de saison à Incheon en Corée du Sud pour 14,6 points et 6,2 rebonds." }, {"role": "user", "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre) : «On ne peut qu’admettre la supériorité de Limoges»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour conclure la première journée de Leaders Cup, le Limoges CSP a maitrisé Nanterre 92, l’emportant largement 98-75 pour se qualifier en demi-finale où il rencontrera la SIG Strasbourg.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, Pascal Donnadieu n’a pu que constater le niveau exceptionnel auquel les Limougeauds ont joué ce vendredi soir.\\n\\n« On ne peut qu’admettre la supériorité de Limoges qui a fait un excellent match des deux cotés du terrain. On a fait illusion dans le premier quart-temps mais c’est tout. On a trop reculé, on a trop baissé la tête. Il y avait deux classes d’écart et à partir du moment où on leur a permis d’être en confiance, ils ont eu une adresse insolente. On a des manques aujourd’hui. Il y a un trop gros déséquilibre entre le jeu intérieur et le jeu extérieur. Il faut trouver les solutions pour avoir de l’alternance. On demande beaucoup trop à nos joueurs extérieurs par rapport à ce qui se passe dans le jeu intérieur. Souvent on doit jouer smal-ball avec les limites que ça impose, et parfois on peut se faire avoir comme face à une équipe de Limoges qui nous a bien ciblé. »\\n\\nDe son côté, François Peronnet a souligné le coeur que son équipe a mis sur le terrain. Cette même équipe qui s’était inclinée plus tôt dans la semaine face à Monaco en Coupe de France et en inscrivant que 59 points.\\n\\n« L’équipe a fourni un bel effort collectif défensif, notamment dans la défense du pick and roll. On est la même équipe qu’il y a quelques jours. Une équipe qui a chuté à Monaco avec 36% de réussite donc ça change. C’est les mêmes joueurs et les mêmes systèmes. Par contre, on a retrouvé un mouvement du ballon plus important. C’est là-dessus qu’on voulait travailler. Sur les mois de janvier et février on a utilisé des joueurs de façons trop importantes. Ce sont des hommes et il y a des fois où les jambes sont un peu plus lourdes que d’habitude. Des fois, il n’y a plus d’essence dans le moteur et la bonne volonté ne peut pas combler le manque d’énergie. Ce qui est appréciable c’est la concentration des joueurs. Ils restent concentrés sur le moment présent. C’est une qualité qu’ils ont démontrée ce soir. »\\n\\n[armelse]\\n\\nDe son côté, François Peronnet a souligné le coeur que son équipe a mis sur le terrain. Cette même équipe qui s’était inclinée plus tôt dans la semaine face à Monaco en Coupe de France et en inscrivant que 59 points.\\n\\n« L’équipe a fourni un bel effort collectif défensif, notamment dans la défense du pick and roll. On est la même équipe qu’il y a quelques jours. Une équipe qui a chuté à Monaco avec 36% de réussite donc ça change. C’est les mêmes joueurs et les mêmes systèmes. Par contre, on a retrouvé un mouvement du ballon plus important. C’est là-dessus qu’on voulait travailler. Sur les mois de janvier et février on a utilisé des joueurs de façons trop importantes. Ce sont des hommes et il y a des fois où les jambes sont un peu plus lourdes que d’habitude. Des fois, il n’y a plus d’essence dans le moteur et la bonne volonté ne peut pas combler le manque d’énergie. Ce qui est appréciable c’est la concentration des joueurs. Ils restent concentrés sur le moment présent. C’est une qualité qu’ils ont démontrée ce soir. »[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Hervé Bellenger / IS / LNB – Disneyland" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Vassilis Spanoulis (Olympiakos) out pour 15 jours" }, {"role": "assistant", "content":"Touché en demi-finale de la coupe de Grèce contre le Panathinaikos, où son club de l’Olympiakos a déclaré forfait à la mi-temps, Vassilis Spanoulis (1,93m, 36 ans) sera absent pour les deux prochaines semaines. Au moins.\\n\\nLe combo-guard, qui est devenu le meilleur passeur de l’histoire de la ligue grecque, est absent au pire des moments pour le club qui se déplace à l’Anadolu Efes le 21 février et reçoit le CSKA Moscou le 1er mars.\\n\\nCette saison, l’international Grec tourne à 10,1 points et 5,2 passes décisives entre le championnat grec et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup : Jordan Taylor (Limoges) incertain face à Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Absent lors du quart de finale de Leaders Cup qui opposait Limoges à Nanterre, Jordan Taylor (1,85m, 29 ans) est touché à la cuisse. Il pourrait également manquer la demi-finale face à Strasbourg.\\n\\nEn conférence de presse d’après match, son coach François Peronnet a indiqué qu’aucun risque ne sera pris le concernant.\\n\\n« Il s’est blessé aux ischio-jambiers pendant l’entraînement de jeudi soir. On a fait des tests avec lui jusqu’à quelques minutes avant le match. Il est arrêté et on verra comment il se sent pour la demi-finale. S’il peut jouer sans prendre de risque, il jouera, sinon il restera assis comme hier soir. »\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Jordan Taylor tourne à 8,8 points, 2,2 rebonds et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 11,1.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Limoges s’invite en demi-finale après sa large victoire sur Nanterre, 98-75" }, {"role": "assistant", "content":"Privé tout le match de son meneur titulaire Jordan Taylor alors que le pivot jamaïcain Samardo Samuels n’a passé que cinq minutes sur le terrain, Limoges a avalé sans difficulté majeur l’obstacle Nanterre démontrant sa puissance et sa forme actuelle. Avec 28 points (9/14 aux tirs du champ, 5/5 aux lancers), Axel Bouteille s’est régalé. La deuxième demi-finale l’opposera donc demain à Strasbourg et peut faire des étincelles.\\n\\nAu fur et à mesure de la journée, on montait en intensité et ce Limoges-Nanterre démarrait sur les chapeaux de roue. Les Nanterriens faisaient apprécier la qualité de leurs shooteurs, évidemment. 20-15. Mais le CSP possède un effectif étoffé avec de la masse musculaire dans la peinture (Jerry Boutsiele, Samardo Samuels, Damien Inglis, Isaiah Miles), la faiblesse de l’équipe des Hauts-de-Seine qui en l’absence de Demetrius Treadwell n’a que Julian Gamble et Jean-Marc Pansa comme vrais intérieurs. Et hop!, 21-20 pour l’équipe de François Peronnet après un quart-temps.\\n\\nAlors que le jeu offensif de Nanterre reposait essentiellement sur l’apport de ses shooteurs Dominic Waters et Hugo Invernizzi (20 points à eux deux), Limoges disposait d’une plus grande variété et menait 44-35 à la mi-temps.\\n\\nLe CSP démarrait en trombe la deuxième mi-temps et l’écart grimpait à +18 (53-35) sur un magnifique jeu de passes conclu par un trois-points d’Axel Bouteille. Puis à +21 (58-37) sur un autre de Jonathan Rousselle. Limoges était efficace à tous les postes. Le dossier était clos. Julian Gamble et Sekou Doumbouya se chauffaient un peu dans le dernier quart-temps, c’est à peu près tout ce qu’il faut en retenir sinon que le CSP a un peu freiné sa fringale offensive dans les dernières minutes et Nanterre a ainsi évité de justesse d’en prendre 100.\\n\\nQuestion: Jordan Taylor et Samardo Samuels seront-ils d’aplomb demain?\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Jerry Boutsiele (CSP)" }, {"role": "user", "content":"Monaco : Sasa Filipovski sur le départ, Sasa Obradovic pour le remplacer ?" }, {"role": "assistant", "content":"Neuvième du classement de Jeep Elite, non-qualifié pour la Leaders Cup et éliminé de l’Eurocup, Monaco songerait à un changement d’entraîneur. Sasa Filipovski (44 ans) serait donc prier de faire ses valises.\\n\\nSelon RMC Sport, la Roca Team serait à la recherche d’un point de chute pour son entraîneur afin que son départ soit moins couteux. Pour le remplacer, les dirigeants monégasques seraient sur la piste de Sasa Obradovic, qui est sans club depuis son départ de Krasnodar en novembre. « Son arrivée est conditionnée par l’obtention d’une équivalence de diplôme par la FFBB et le fait que Filipovski trouve un nouveau club« , indiquent nos confrères.\\n\\nAncien joueur professionnel passé notamment par Limoges en 1993, Obradovic est une pointure du coaching européen. A l’ALBA Berlin entre 2012 et 2016, le technicien serbe a mené le Lokomotiv Kuban jusqu’en finale d’Eurocup la saison dernière. Compétition de laquelle il a été élu meilleur entraîneur en 2017/18. Il est également passé par Kiev (2008/09) et Donetsk (2010-12) où officiait à l’époque Oleksiy Yefimov, l’actuel Directeur Général de l’AS Monaco, comme le rappelle L’Equipe.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Strasbourg maîtrise Dijon, 89-79" }, {"role": "assistant", "content":"Sérieux candidat au titre de MVP de la saison, David Holston (1,73m, 33 ans) a battu avec 35 points le record en Leaders Cup que venait d’établir plus tôt dans la journée le Levalloisien Nobel Boungou-colo mais il s’est retrouvé trop esseulé offensivement et la SIG Strasbourg a bien maîtrisé cette troisième demi-finale.\\n\\nLes deux équipes posaient les principes du match: LA DEFENSE. 13-10 pour la SIG après 10 minutes. L’ensemble des points dijonnais (5/18 aux shoots) étant réparti entre Gavin Ware (6) et Jérémy Leloup (4). A l’inverse des deux premières demi-finales, Strasbourgeois et Dijonnais démarraient avec beaucoup d’intensité.\\n\\nOutre la défense, il y avait aussi une maladresse généralisée qui empêchait le score de monter à une allure normale. 19-18 pour la JDA après 16 minutes, c’est maigre. Aussi quand la SIG a mené 30-21 sur deux paniers à trois-points de son meneur controversé Mike Green, on a senti que c’était une belle marge. Il fallait toute la maestria de l’autre meneur, celui de la JDA, David Holston, qui s’était tue jusque là, pour que cet écart soit réduit de moitié à la mi-temps (32-27).\\n\\nEn attaque, les Dijonnais étaient victimes d’anémie alors que la SIG trouvait par séquences des scoreurs. C’était au tour de l’arrière belge Quentin Serron d’avoir la bonne distance et il enchaînait deux et trois-points pour porter l’avantage de son équipe à 42-29. Laurent Legname demandait un temps-mort pour décréter l’état d’urgence. Le petit général David Holston retrouvait ses vertus de scoreur (25 des 50 points marqués par son équipe à la 30e) pour tenter un rapproché mais quelques missiles de Jarel Eddie (4/7 à trois-points) maintenaient la SIG en tête (56-50).\\n\\nLa palette offensive des Alsaciens étaient sensiblement plus large que celle de son adversaire bourguignon et quand David Holston baissait pied c’est toute la JDA qui se retrouvait à sec. Et c’est quand son meneur refaisait feu que Dijon croyait de nouveau en son étoile mais il lui aurait fallu davantage de soutien notamment de la part de Ryan Pearson transparent (2 points, 0/4 aux shoots).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Yannis Morin avec le CCRB jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"A Nanterre en début de saison avant d’arriver à Châlons-Reims, en tant que pigiste médical, Yannis Morin vient de s’engager pour de bon avec le CCRB.\\n\\nAprès trois contrats de joker médical, le champion de France en titre a trouvé un accord avec le club marnais. Très rentable depuis son arrivée, cet intérieur français passé par Cholet, Denain, Le Mans ou encore Le Havre devrait continuer à être utile dans l’effectif de Cedric Heitz qui cherche toujours à s’assurer son maintien. Après 20 journées de Jeep Elite, Châlons-Reims pointe à la quatorzième place (8v-12d).\\n\\nEn treize matchs avec le CCRB, Yannis Morin tourne en moyenne à 7,5 points et 3,8 rebonds pour une évaluation de 10,4.\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Yannis Morin prolonge jusqu’à la fin de la saison 🚨\\nLe contrat de pigiste médical arrivant à son terme aujourd’hui, Yannis et le CCRB ont trouvé un accord pour prolonger le contrat du joueur jusqu’à la fin de la saison. #GoCCRB pic.twitter.com/fUlUaqgLAH\\n\\n\\n— Champagne Basket 🧙\u200d♂️ (@ChampBasketOff) February 15, 2019\\n\\nPhoto : CCRB\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (JL Bourg) : «Cette équipe n’a peur de rien»" }, {"role": "assistant", "content":"Comme Levallois un peu plus tôt, la JL Bourg a fait sensation en l’emportant face à l’ASVEL en quart de finale de la Leaders Cup (88-86).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, le coach burgien Savo Vucevic a grandement félicité ses joueurs pour cette performance et pour leur force de caractère depuis le début de la saison.\\n\\n« Si je dis qu’on est venus ici pour gagner c’est un peu prétentieux, mais chaque match est un objectif. On veut toujours gagner. J’ai en tout cas dit aux joueurs qu’on ne venait pas à Paris en touristes. Cette fois, on était prêts à tous les niveaux pour aborder un gros match. Même si l’on avait perdu, je n’aurais pu qu’être fier de mes joueurs. On a beaucoup parlé du match contre l’ASVEL en championnat. Ce match nous a inspiré pour ce soir. On a fait tout ce qu’il fallait. La défense était la clé. Il fallait fermer la raquette et contrôler le rebond, si possible parce qu’ils sont très athlétiques. Il y a eu des passages à vide, mais c’est normal. Quand l’ASVEL met une pression tout terrain avec une intensité sans équivalent dans ce championnat, c’est compliqué de jouer. A chaque fois on a rebondit, c’est le signe d’une équipe qui n’a peur de rien. Ce soir, on a fait un match plein, c’est une belle victoire et ça fait plaisir. Notre objectif c’est de bien jouer au basket et je pense qu’une nouvelle fois ce soir on a montré que ce n’est pas un hasard si l’on était là l’année dernière et si l’on encore là cette saison. Notre équipe joue un bon basket. Je suis d’autant plus fier parce que les joueurs ont surmonté beaucoup d’épreuves pour en être là. Cette équipe à quelque chose. Je suis fier de ces joueurs. Ce soir ils ont vraiment été au top à tous les niveaux. Défensivement aussi. Battre une équipe comme l’ASVEL, si on ne réfléchit pas au bon moment et si on ne prend pas les bonnes décisions au bon moment, c’est vraiment difficile. Pour le club c’est énorme d’être ici. »\\n\\nDu côté de l’ASVEL c’est forcément une déception. Leader incontesté du championnat et qualifié pour les quarts de finale d’Eurocup, le club villeurbannais était logiquement vu en favori dans cette Leaders Cup.\\n\\n« On a été en panne d’adresse », a déclaré Amine Noua après le match. « Défensivement on n’a pas fait le travail, on les a laissé prendre confiance. On ne peut s’en prendre qu’à nous-mêmes. Tout le monde nous attendait, on était les favoris donc on est forcément déçu par ce résultat. On doit se remettre au travail pour corriger le tir. On paye aussi peut-être notre début de saison en trombe. On a tellement bien démarré... On savait qu’à un moment ça irait moins bien. On reste les favoris (NDLR: du championnat), mais on est de plus en plus attendus donc on doit être aussi agressifs et lucides que depuis le début de saison. On n’a jamais été au complet mais ce n’est pas une excuse, on a toutes les armes pour réussir. On n’a pas d’autre choix que de se remettre au travail. On fait beaucoup d’erreurs et les adversaires le voient de plus en plus. C’est mieux que ce soit maintenant qu’en playoffs, mais on voulait remporter ce tournoi et le coach aussi. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, Savo Vucevic a grandement félicité ses joueurs pour cette performance et pour leur force depuis le début de la saison.\\n\\n« Si je dis qu’on est venu ici pour gagner c’est un peu prétentieux, mais chaque match est un objectif. On veut toujours gagner. J’ai en tout cas dit aux joueurs qu’on ne venait pas à Paris en touristes. Cette fois on était prêt à tous les niveaux pour aborder un gros match. Même si l’on perd, je ne peux qu’être fier de mes joueurs. On a beaucoup parlé du match contre l’ASVEL en championnat. Ce match nous a inspiré pour ce soir. On a fait tout ce qu’il fallait. La défense était la clé. Il fallait fermer la raquette et contrôler le rebond, si possible parce qu’ils sont très athlétiques. Il y a aussi eu des passages à vide, mais c’est normal. Quand l’ASVEL met une pression tout terrain avec une intensité sans équivalent dans ce championnat, c’est compliqué de jouer.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Christelle Gouttefarde / JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Exploit de Bourg qui sort l’ASVEL, 88-86 !" }, {"role": "assistant", "content":"Enorme surprise lors de cette deuxième demi-finale avec l’élimination de l’ASVEL qui avait la faveur du pronostic étant donné sa position de leader du championnat. Plus que les absences de DeMarcus Nelson et Alpha Kaba, c’est sa gabegie à trois-points (4/26 dont un 0/10 pour la paire Kalnietis-Slaughter !) qui a coûté très cher aux Villeurbannais. A l’image de Levallois, les Burgiens sont entrés sans complexe dans le match et autour du MVP 2018, Zachery Peacock (23 points, 27 d’évaluation), ils ont fait front durant quarante minutes. On prévoyait un ASVEL-Elan Béarnais en demi-finale, ce sera un Metropolitans-JL. C’est ça la Jeep Elite.\\n\\nPremière action spectaculaire du match: Remise en jeu de Zack Wright en ligne de fond. Pas de partenaire démarqué? Pas grave. Il lance la balle dans le dos d’Alexis Ajinça qui est en position défensive tourné vers l’attaque adverse. La sphère rebondit parfaitement et le meneur burgien peut la récupérer, se retourner, et l’envoyer d’une pichenette dans le cercle.\\n\\nLe moins que l’on puisse dire c’est que Bourg, qui mettait tout de suite l’intensité nécessaire, cadenassait l’accès à son panier. L’ASVEL n’avait ainsi marqué que 7 points en un peu plus de 7 minutes. A l’inverse, avec une paire de meneurs Zack Wright-Arthur Rozenfeld pleine d’énergie, la JL carburait à une vitesse disons normale, si bien qu’elle menait 20-11 à la 10e.\\n\\nLes Villeurbannais retrouvaient tous leurs sens dans le deuxième quart et pressaient le porteur du ballon burgien. Aussi d’un écart maximal à 25-13 pour la JL, on passait à un premier avantage pour l’ASVEL à la 17e (32-31). Un temps, les Burgiens reprenaient leurs aises (55-44) mais l’ASVEL n’avait pas envie de passer à la trappe comme Pau et remettait la sauce (59-61, 28e) avec un Théo Maledon qui optimisait son temps de jeu (15 points en 22′).\\n\\nTout s’est joué dans le money time. Les Villeurbannais ont eu un très court instant l’avantage (82-80) mais c’est bien Bourg qui a eu la maîtrise du jeu. Un trois-points de Garrett Sim puis une interception de Zack Wright et un rebond offensif converti en panier par Maxime Courby ont donné cinq points de marge à la JL (87-82). Suite à un lancer raté de Zach Peacock, l’ASVEL a eu la main sur la dernière action. Avec un culot fou, Théo Maledon l’a joué pour lui mais s’est embourbé dans la défense adverse et a perdu la balle.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: JL" }, {"role": "user", "content":"Freddy Fauthoux (Levallois) : «Beaucoup pensaient qu’on rentrerait en RER ce soir, mais ça sera demain ou dimanche»" }, {"role": "assistant", "content":"En ouverture de la Leaders Cup 2019, les Levallois Metropolitans ont créé la surprise en l’emportant face au seul deuxième du championnat, l’Elan Béarnais (94-87). En demi-finale, les Franciliens affronteront l’ASVEL ou Bourg-en-Bresse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, Frédéric Fauthoux, l’entraîneur levalloisien est revenu sur la rencontre. Une rencontre qui se jouait face à son club de coeur, Pau.\\n\\n« Je fais vraiment l’abstraction sur Pau, on n’en est plus là. Avec le groupe actuel, on doit changer des choses. On ne peut plus jouer comme on jouait il y a encore 15 jours. On n’a plus les même forces, mais on en a d’autres. Il faut s’adapter par rapport au groupe que l’on a aujourd’hui et aussi par rapport à l’équipe adverse. Il a fallut tenir le coup face à la remontée des Palois parce qu’ils ne sont pas deuxièmes de Jeep Elite par hasard. On avait une faiblesse au poste de pivot –au moins de kilos – donc on a décidé de faire des traps. Ils ont perdu beaucoup de ballons et on en a profité pour marquer. Cette défense nous a aussi permis de nous mettre dans le rythme en attaque. Avant le match, on a surtout parlé d’état d’esprit. On nous a fait remarquer qu’on allait surement rentrer en RER ce soir. Ça sera plutôt demain... ou dimanche. Le ballon n’a jamais aussi bien bougé que depuis les deux derniers matchs. Pourvu que cette belle aventure continue. »\\n\\nSur cette rencontre, les jeunes joueur de Levallois ont dû sortir de leur boite et palier l’absence de Julian Wright, Rasheed Sulaimon, Jaron Johnson et Mouph Yarou.\\n\\n« Depuis qu’on a repris l’équipe avec Sacha Giffa et Jean-Pierre Aubry, les jeunes sont l’ADN de l’équipe. Il y a Neal Sacko mais aussi Ivan Février qui a fait une très belle première mi-temps. Ils sont là depuis le début, ce soir ils ont super bien répondu présent, maintenant il faut confirmer. Le travail paye et on en est encore plus satisfait parce que la Fédération permet à ces deux joueurs d’avoir une licence S et donc de jouer en Nationale 1. Ils peuvent donc se frotter à des hommes toute la saison. »\\n\\nPour conclure, le technicien des Hauts-de-Seine a souligné l’investissement de son capitaine Roko Ukic ainsi que la performance de Noble Bungou-Colo (32 points et 13 rebonds).\\n\\n« Notre capitaine a montré l’exemple. Apres les examens passés en début de semaine, le médecin du club me dit qu’il lui faut entre deux semaines et trois d’arrêt. Après ça, il a appelé son docteur en Croatie qui lui a dit « si tu n’as pas mal, tu joues ». Je crois qu’ils ne passent pas les mêmes diplômes là-bas (rires). Il a été important et a pu gérer les moments chauds. Avec Nobel, on s’est mutuellement rendu service, on cherchait un joueur pour renforcer notre équipe et ça faisait sept mois qu’il n’avait pas joué au basket. Il est avec nous au moins jusqu’à dimanche soir, la frustration de son départ ça sera après. »\\n\\nDe son côté, le double champion de France remercie le club d’avoir fait appel à lui.\\n\\n« Je voulais revenir et montrer que je suis toujours là, que j’ai progressé même. C’était le bon jour pour jouer comme ça. J’ai passé sept mois sans jouer, Levallois m’a fait une belle proposition, même si ce n’est qu’une pige, parce qu’ils ont réalisé un très bon début de saison. Je sentais que c’était une bonne offre pour moi, pour me relancer. En connaissant Alain Weisz, que j’ai eu à Toulon, et un peu le coach, même s’il est palois...(rires). C’est un bon groupe pour moi, ça me fait plaisir d’être avec eux – parce que je ne suis pas encore parti – et de pouvoir les aider. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, Frédéric Fauthoux, l’entraîneur levalloisien est revenu sur la rencontre. Une rencontre qui se jouait face à son club de coeur, Pau.\\n\\nJe fais vraiment l’abstraction sur Pau, on n’en est plus là. Avec le groupe actuel, on doit changer des choses. On ne peut plus jouer comme on jouait il y a encore 15 jours. On a plus les même forces, mais on en a d’autres. Il faut s’adapter par rapport au groupe que l’on a aujourd’hui et aussi par rapport à l’équipe adverse. On a fallu tenir le coup face à la remontée des Palois parce qu’ils ne sont pas deuxièmes de Jeep Elite par hasard. On avait une faiblesse au poste de pivot –au moins de kilos – donc on a décidé de faire des traps. Ils ont perdu beaucoup de ballons et on en a profité pour marquer. Cette défense nous a aussi permis de nous mettre dans le rythme en attaque. Avant le match, on a surtout parlé d’état d’esprit. On nous a fait remarquer qu’on allait surement rentrer en RER ce soir. Ça sera plutôt demain... ou dimanche. Le ballon n’a jamais aussi bien bougé que depuis les deux derniers matchs. 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En fin de quart-temps, Quimper prenait un net avantage grâce à deux gros paniers à trois points inscris dans la dernière minute (22-30). On notera que pendant ce premier quart-temps, les Bretons n’ont pas manqué un seul tir, que ce soit à 2 points, 3 points où aux lancers francs (11/11).\\n\\nLe deuxième quart-temps commençait comme le premier, c’est a dire avec une maladresse globale des Parisiens, qui petit à petit tentaient de réduire l’écart avec une grosse défense. Ils revenaient à seulement trois points à deux minutes de la fin du quart-temps (38-41), avant que deux paniers marqués à l’intérieur renforcent l’avantage de Quimper à la mi-temps (39-45).\\n\\nLes Parisiens commençaient mieux le troisième quart-temps que les Bretons, ce qui leur permettait de réduire le score, revenant même à 2 points de l’UJAP en milieu de troisième quart-temps (54-56). C’est grâce à un panier à trois points plus la faute de Nick Kellogg que le Paris Basketball reprenait l’avantage (57-56), mais c’est bien Quimper qui entamait le dernier quart-temps avec une légère avance (60-62).\\n\\nParis reprenait immédiatement les devants grâce un tir de Kris Joseph avant que Sylvain Francisco ne mette un panier plus la faute qui faisait lever la Halle Carpentier. Un autre tir de Kris Joseph permettait aux Parisiens de démarrer le dernier quart-temps par un 11-0 tandis que Quimper ne marquait pas un seul panier sur les quatre premières minutes de la dernière période. Paris continuait de creuser l’écart tout au long de la période pour arracher une victoire, pas si évidente que le résultat final (93-74).\\n\\nL’homme de cette dernière période était clairement le meneur parisien Sylvain Francisco (1,85m, 21 ans) qui a beaucoup apporté offensivement, étant adroit de loin mais se montrant également capable d’attaquer le cercle et de provoquer des lancers francs, tout en distribuant pour les shooteurs ouverts qu’étaient Kris Joseph et Daniel Dillon.\\n\\n« C’était de mieux en mieux en deuxième mi-temps, parce que c’est là que nous avons trouvé le rythme. Il fallait avoir plus d’intensité que l’équipe adverse. C’est comme ça qu’on a gagné notre match. On est resté concentré jusqu’au bout. On n’a pas vraiment joué 40 minutes, je dirais qu’on a joué 25 minutes, dont les 20 dernières qui était les plus importantes. On a réussi à tenir le score et à remporter le match », a déclaré Sylvain Francisco après le match.\\n\\nGrace à cette victoire, Paris revient à une victoire des play-offs, tandis que Quimper se retrouve à une victoire de la zone de relégation.\\n\\nPhoto : Paris Basketball" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Première surprise avec Levallois qui élimine Pau, 94-87. Record de points (32) en Leaders Cup pour Nobel Boungou-colo" }, {"role": "assistant", "content":"Est-ce la programmation inhabituelle du match (13h), le fait d’avoir à faire à une équipe lourdement handicapée et de croire à la victoire avant même de combattre? En tous les cas, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, deuxième de Jeep Elite, s’est fait déborder par Levallois (94-87) qui a mené tout au long de ce premier quart-de-finale de la Leaders Cup et qui a trouvé en Nobel Boungou-colo un fameux artilleur. Le futur ex-Levalloisien en partance pour Badalone, avec 32 points, a battu le record de Jamal Schuler dans la compétition. Il a aussi ajouté 13 rebonds et 4 passes pour monter à 39 d’évaluation.\\n\\nLa surprise fut la présence du meneur croate Roko Ukic, qui devait être indisponible pour deux à trois semaines en raison d’une entorse à la cheville. Sans intérieurs de métier avec le départ de Julian Wright et la blessure de Mouph Yarou, les Metropolitans se sont jetés avec coeur dans la bataille et après un 7-0 initial, ils ont réalisé un premier quart très offensif (27-22) avec une belle adresse (10/18) et 12 points du seul Nobel Bougou-colo.\\n\\nFreddy Fauthoux était obligé d’envoyer au feu et en duo sa bleusaille à l’intérieur, Ivan Février (2,04m, 20 ans) et Neal Sako (2,07m, 19 ans) et l’ensemble levalloisien évoluait en pleine confiance, si bien qu’il menait 57-38 à la 22e. Qui l’eût cru?\\n\\nMalgré un CJ Harris incisif (13 points en première mi-temps), les Palois étaient toujours à la ramasse dans la première partie du troisième quart (66-47). Il fallait tout la science de leur meneur de jeu Mickey McConnell pour qu’ils ne goupillent pas puis dans un bel effort qu’ils reviennent à 64-70 à la fin de la troisième période.\\n\\nEn s’appuyant sur Nobel Boungou-colo, au lieu de s’écrouler, Levallois repartait de l’avant, 82-70 (35e). Ni le retour un moment des Palois (82-80), ni la sortie pour cinq fautes de son intérieur Ekene Ibekwe ne déstabilisaient les Metropolitans, à l’image de Neal Sako plein de maîtrise pour son deuxième match en pro.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Nobel Boungou-colo" }, {"role": "user", "content":"Levallois, 4e partie – Maxime Roos, un produit du terroir" }, {"role": "assistant", "content":"Maxime Roos (2,02m, 24 ans en mars) est un pur parisien. Après un retard à l’allumage, il a connu une progression fulgurante.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe site de la Fédération Internationale détecte plusieurs Roos en Europe, des Néerlandais, des Finlandais et des Estoniens mais Maxime n’a pas étudié son arbre généalogique. Pour lui, il est Parisien. Natif de Clamart dans une clinique spécialisée car il est né prématurément à six mois, son fief c’est Maurepas dans les Yvelines. C’est là qu’il a commencé le basket, au sein du BCM, avant de passer à Versailles.\\n\\nLe basket pour lui, c’était un plaisir entre potes. Ses longs segments n’ont été repérés qu’à 18 ans par le bouche à oreille alors qu’il était junior en troisième division régionale et qu’il faisait le banc en N3. Un entraînement avec les espoirs du Paris-Levallois entre les mains de Emmanuel Panda et sa vie a changé.\\n\\n« J’étais venu pour me jauger, me comparer à des mecs qui étaient dans ma tranche d’âge mais qui avaient été minimes et cadets France. Ça super bien passé et j’ai été pris », raconte t-il.\\n\\nOn comprend pourquoi Maxime n’a jamais fait les équipes de France U16 et U18. C’est ensuite qu’il a connu son éclosion. Fulgurante. En 2015, il est le meilleur marqueur de l’équipe espoir du PL (14,4 points) et élu dans le Cinq All-Stars du championnat en compagnie de Anthony Labanca (Strasbourg), William Mensah (Nanterre), Alpha Kaba (Pau) et Youssoupha Fall (Le Mans), lequel dépasse d’une demi-tête Rudy Gobert venu poser en photo à Cholet avec les récipiendaires. Cette année-là, Paris-Levallois est finaliste du Trophée du Futur et l’année suivante, avec l’avantage du terrain, les Metropolitans décrochent le pompon.\\n\\nMaxime Roos aurait pu être récompensé par une sélection nationale en U20 mais il connaît sa première alerte au niveau physique.\\n\\n« J’ai fait une pré-sélection U20 suite à la finale perdue face à Strasbourg mais j’avais déjà joué blessé, une douleur musculaire, et quand on a fait le regroupement à l’INSEP, on a eu le check médical et comme j’avais plusieurs petites liaisons musculaires, j’ai loupé le coche. J’ai fait des soins et je suis revenu au deuxième rassemblement mais c’était des déchirures et le laps de temps était trop court pour être rétabli. »\\n\\nLes pépins ne vont pas cesser. Après avoir signé un contrat pro de trois ans, le Levalloisien est prêté à Blois, en Pro B, mais il ne fait que la pré-saison et un match de Leaders Cup. Le motif : une pubalgie aux adducteurs qui va éterniser son immobilisation.\\n\\n« On a fait plusieurs protocoles. Un premier d’un mois et demi pour éviter l’opération car on savait que c’était un minimum de trois mois d’absence. Je suis allé à Clairefontaine car il y a des spécialistes de la pubalgie pour les footballeurs. Ça n’avait rien donné. J’ai fait un deuxième protocole qui m’aurait fait revenir si tout se passait bien après la trêve de fin d’année. Ça allait mieux, j’ai fait une séance d’entraînement progressif et le jour où j’ai repris les entraînements à temps complet avec l’équipe, deux dans la journée, le soir, à cinq minutes de la fin, j’ai fait un appui en défense et c’est reparti. Pas le choix, je me suis fait opérer fin janvier. »\\n\\nC’est pourquoi la première véritable saison professionnelle de Maxime Roos n’est intervenue qu’en 2017-18.\\n\\nAux côtés de Cyrille Eliezer-Vanerot\\n\\nMaxime Roos est un peu l’alter ego de Cyrille Eliezer-Vanerot, né tout près de Clamart, à Chantenay Malabry, qui lui a eu un développement plus précoce transitant par l’INSEP. Les deux jeunes hommes se sont retrouvés sur le même poste ensemble en espoirs et y ont appris la gagne et à s’apprécier. Pour Maxime, c’est important d’avoir ainsi deux Parisiens dans un club de la capitale, même si Levallois est légèrement à l’extérieur du périphérique.\\n\\n« A Paris et dans l’Ile-de-France, il y a énormément de jeunes et le fait de se retrouver dans un club parisien, c’est un plaisir et c’est une fierté car on vient des banlieues parisiennes et c’est mieux d’être là plutôt que d’aller jouer dans le Sud ou dans le Nord où on n’a pas d’attaches spéciales. C’est aussi plus facile pour la famille de venir voir les matches. »\\n\\nPour son media day de début de saison, c’est à Maxime que la Ligue Nationale de Basket a fait appel pour représenter les Metropolitans. Une sollicitation qui l’a touché.\\n\\n« Carrément car je n’avais qu’une année de pro mais avec Cyrille on était les seuls à être passés par le cursus des espoirs qui pouvaient montrer la qualité de la formation du club. J’ai pris ça comme un honneur. C’était vraiment sympa surtout de retrouver un mec comme Rémy Lesca avec qui j’ai joué l’année dernière. Tu peux parler aussi avec les autres joueurs sur ce qui a pu se passer l’été. »\\n\\nC’était une plongée dans un univers que Maxime connaissait peu. Ainsi, il n’a pas vécu en direct les aventures paloises de son coach, Freddy Fauthoux.\\n\\n« J’ai découvert le haut niveau du basket quand je suis arrivé ici à Levallois à 18 ans. Basketteur c’était un rêve de gosse mais plus je vieillissais et plus j’abandonnais l’idée d’y arriver. Je jouais avec mes potes mais étant jeune je n’ai pas réellement suivi le championnat de France. C’était plus la NBA... comme tout le monde. Après quand on en parle et que l’on regarde un peu les vidéos, on voit que le coach qu’il est et le joueur qu’il a été, c’est un peu la même chose. »\\n\\nEn revanche, il connaissait évidemment qui était Boris Diaw quand le capitaine de l’équipe de France est venu inopinément renforcer les Metropolitans la saison dernière.\\n\\n« Quand on est jeune comme moi on ne s’attend pas à avoir Boris Diaw dans son équipe en championnat. Babac c’est Babac. C’est un leader sur le terrain comme en dehors. C’est un personnage à lui tout seul. Ce fut bénéfique pour moi et toutes les personnes qui étaient là autant dans l’approche du terrain qu’en dehors, savoir se changer l’esprit en pensant à autre chose. Il est riche d’expérience. On a eu droit à pas mal de petites anecdotes sur lui, sa carrière, ses voyages. Il parle pas mal encore aujourd’hui avec Ivan Février qu’il a pris sous son aile l’année dernière. Ils ont un peu le même cursus avec le passage à l’INSEP, ils jouent sur le même poste et Ivan c’était le jeune de l’équipe.\\n\\nDans le rôle du sage, c’est le meneur croate Roko Ukic qui a pris le relais de Boris Diaw.\\n\\n« Il a une grosse expérience au niveau de l’Euroleague. Il a une grosse anticipation sur le jeu placé. On apprend pas forcément sur la communication mais simplement en le regardant jouer, par exemple sur les prises de pick and roll. »\\n\\nDétente et manque de kilos\\n\\nDepuis le début de saison, Maxime Roos est apparu 12 fois en 19 matches dans le cinq de départ avec 19’ de temps de jeu moyen et des statistiques qui ont presque doublées. Il est donc dans les pas de son comparse Cyrille Eliezer-Vanerot et quand on demande à leur coach s’il estime qu’ils peuvent former un duo d’avenir pour les Metropolitans, il est direct :\\n\\n« Carrément. Ce sont deux profils de joueurs différents. Ce sont des mecs à qui j’ai vraiment fait confiance. Cyril c’est la troisième année. Malheureusement le pauvre est toujours embêté par des pépins physiques et il ne peut pas faire des saisons entières. Ce sont des choses que l’on ne peut pas toujours maîtriser. Maxime a besoin de prendre plus confiance en lui et dans son corps. Il est invité au prochain rassemblement de l’équipe de France. C’est déjà une réelle satisfaction car on s’est accroché pour le faire signer. Tout le monde dans son entourage n’était pas forcément d’accord au début. Je suis heureux de les avoir dans l’équipe et il ne manque vraiment pas grand-chose pour qu’ils éclatent encore plus. »\\n\\nCe qui manque notamment à Maxime, c’est de la constance. Face à Fos, il a cartonné : 25 points. Seulement, trois matches auparavant à Boulazac, il avait rendu copie blanche.\\n\\n« C’est mon gros axe de travail. C’est plus de la confiance, du ressenti au niveau de l’équipe, comment ça peut se passer. Mais en ce qui concerne cette irrégularité, je ne peux même pas répondre au pourquoi du comment. »\\n\\nQuand on l’observe, ce qui saute aux yeux, c’est sa détente. Maxime ne l’a jamais mesuré mais en sautant il atteint assez facilement le dessus du petit carré de la planche et Freddy Fauthoux juge ses qualités athlétiques....\\n\\n« Impressionnantes. C’est un pied... C’est peut-être lui qui va le plus haut de l’équipe sinon (Ekene) Ibekwe qui est peut-être un peu au-dessus parce qu’il est plus long. C’est un shooteur, un talentueux. Il faut qu’il apprenne à jouer avec ses qualités, c’est-à-dire sa vitesse, son amplitude et non pas forcer sur ses manques aujourd’hui, c’est-à-dire le physique. Quand les mecs jouent trop physiques sur lui, à la limite, de suite son apport diminue. Je lui dis de regarder des matches de (Juan Carlos) Navarro. Navarro, personne n’arrive à le toucher. Il shoote, il pénètre en évitement. Il faut qu’il se dise qu’il peut faire plein de choses dans le jeu mais qu’il y a des paliers. Maxime a franchi un gros palier en début de saison. Là il est en train de plafonner sur celui-là. J’attends le dernier déclic. Cyrille et lui sont des garçons plutôt réservés, pas des expansifs. »\\n\\nLe manque de physique, de poids, c’est aussi l’un des caractéristiques de Maxime Roos qui est long comme un jour sans internet.\\n\\n« Ce n’est pas un problème car il a les qualités de sa corpulence », estime le vice-président Alain Weisz. « Il est agile, rapide, il a un pied formidable. C’est vrai que l’on souhaiterait qu’il ait plus de carrosserie. Il n’est quand même pas épais. Est-ce que ça l’empêche de jouer plus près du panier ? Je ne sais pas mais si j’avais un conseil à lui donner ce n’est pas de simplement de se centrer sur le tir extérieur. Il a éclaté cette année, il a montré qu’il est véritablement un joueur de Jeep Elite. C’est déjà pas mal. Pour aller plus haut, il faut qu’il diversifie réellement son jeu d’attaque. Sauf si on est Hervé Dubuisson -et encore, il faisait tellement d’autres choses-, on ne peut pas faire carrière uniquement sur la spécialité du tir. »\\n\\nPour gagner en muscle, et faire que son corps soit mieux protégé, Maxime suit un programme spécifique l’été. Alain Weisz fait un parallèle avec l’ancien international Yann Bonato qui n’était pas rembourré et qui pourtant supportait les chocs.\\n\\n« Quand je suis arrivé au club, on m’a dit qu’il était toujours blessé », rapporte Weisz. « Ce n’est pas vrai, les faits le montrent. Mais je pense qu’il s’est mis dans la tête qu’il est fragile. Je ne trouve pas qu’il le soit tant que ça. Je pense qu’il s’est mis dans un confort qui lui fait éviter les coups. Mais à partir du moment où l’on joue avec de la vitesse, on peut faire beaucoup de choses même si on n’a pas une carrosserie extraordinaire. La vitesse permet d’éviter bien des chocs et de la fragilité supposée. Il faut qu’il prenne conscience que ce qu’il fait très bien aujourd’hui n’est pas suffisant. Il vient d’être appelé comme sparring partner en équipe de France. Le chemin est encore long. Il est bosseur, perfectionniste, il n’y a pas de problème là-dessus. Il faut qu’il prenne conscience qu’il n’est plus un gamin. A 23 ans, Michael Jordan était déjà champion olympique ! (Rires)\\n\\nUn derby pas anodin\\n\\nLe 9 mars, ce sera le moment du derby Levallois-Nanterre, qui devient peu à peu un clasico en attendant peut-être en Jeep Elite une rivalité triangulaire avec le Paris Basketball. La saison dernière, Maxime Roos a marqué 14 points en 18 minutes avec un 4/6 à trois-points participant largement au succès de son équipe et comme le match était retransmis sur SFR Sport, il a contribué à le faire connaître sur un plan national. Cela veut-il dire qu’il est tout spécialement motivé pour l’occasion ?\\n\\n« On sait que c’est un match pas comme les autres que ce soit au niveau basket, économique, politique, puisqu’on est Parisiens et moi j’en avais déjà joué durant mes trois années d’espoir. Neuf jusqu’à présent au total. Tout le monde en a conscience car le mot passe entre nous et le staff fait aussi son job en nous disant qu’un derby c’est un derby. Plus motivé ? je ne pense pas. Ça reste un match de basket qu’il faut gagner de toutes manières même s’il y a d’autres enjeux que pour nous et notre classement. J’étais content de cette performance car il y a eu la victoire avec. »\\n\\nY a-t-il davantage de frictions que pour un match ordinaire ?\\n\\n« Oui. Même si on connait tous les mecs adverses. Une fois sur le terrain, il n’y a plus de connaissances. C’est le match ! Après on se serre la main, on se fait des calins (sourire). Freddy Fauthoux nous a parlés de ses clasicos Pau-Limoges. Pour moi c’est un plus ces matches-là. » Et aussi sur le plan financier. « Généralement, on a un petit quelque chose. On a droit à un speech du président avant chaque derby. C’est ancré dans le club. »\\n\\nEn résumé, dans un basket devenu cosmopolite, pour Maxime Roos ce n’est pas neutre de porter le maillot bleu des Metropolitans.\\n\\n« Je suis Parisien, j’ai fait ma formation ici. Il y a Nanterre à côté, Paris maintenant en Pro B, on sait que ça va parler maintenant de ces trois clubs-là au niveau parisien. Si je peux mettre le club de Levallois sur un pied d’Estale, ça serait parfait. Jouer dans l’aréna, pourquoi pas. J’ai encore deux années de contrat ici qui devraient m’amener... juste avant. On verra, on ne sait pas ce qui va se passer mais j’aimerais gagner quelque chose avec ce club en pro. »\\n\\n[armelse]\\n\\nLe site de la Fédération Internationale détecte plusieurs Roos en Europe, des Néerlandais, des Finlandais et des Estoniens mais Maxime n’a pas étudié son arbre généalogique. Pour lui, il est Parisien. Natif de Clamart dans une clinique spécialisée car il est né prématurément à six mois, son fief c’est Maurepas dans les Yvelines. C’est là qu’il a commencé le basket, au sein du BCM, avant de passer à Versailles.\\n\\nLe basket pour lui, c’était un plaisir entre potes. Ses longs segments n’ont été repérés qu’à 18 ans par le bouche à oreille alors qu’il était junior en troisième division régionale et qu’il faisait le banc en N3. Un entraînement avec les espoirs du Paris-Levallois entre les mains de Emmanuel Panda et sa vie a changé.\\n\\n« J’étais venu pour me jauger, me comparer à des mecs qui étaient dans ma tranche d’âge mais qui avaient été minimes et cadets France. Ça super bien passé et j’ai été pris », raconte t-il.\\n\\nOn comprend pourquoi Maxime n’a jamais fait les équipes de France U16 et U18. C’est ensuite qu’il a connu son éclosion. Fulgurante. En 2015, il est le meilleur marqueur de l’équipe espoir du PL (14,4 points) et élu dans le Cinq All-Stars du championnat en compagnie de Anthony Labanca (Strasbourg), William Mensah (Nanterre), Alpha Kaba (Pau) et Youssoupha Fall (Le Mans), lequel dépasse d’une demi-tête Rudy Gobert venu poser en photo à Cholet avec les récipiendaires. Cette année-là, Paris-Levallois est finaliste du Trophée du Futur et l’année suivante, avec l’avantage du terrain, les Metropolitans décrochent le pompon.\\n\\nMaxime Roos aurait pu être récompensé par une sélection nationale en U20 mais il connaît sa première alerte au niveau physique.\\n\\n« J’ai fait une pré-sélection U20 suite à la finale perdue face à Strasbourg mais j’avais déjà joué blessé, une douleur musculaire, et quand on a fait le regroupement à l’INSEP, on a eu le check médical et comme j’avais plusieurs petites liaisons musculaires, j’ai loupé le coche.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ligue Adriatique : Devin Williams arrive au Buducnost" }, {"role": "assistant", "content":"Alen Omic étant parti à Milan et Goga Bitadze étant blessé, le Buducnost Podgorica devait se renforcer à l’intérieur. C’est désormais chose faite avec l’ailier fort Devin Williams (2,06m, 24 ans) qui s’est engagé pour le reste de la saison.\\n\\nL’ancien de West Virginia tournait à 17,7 points et 11,9 rebonds de moyenne par match à Buyukcekmece (première division turque), où il a démarré la saison 2018/19. Ce qui faisait de lui le meilleur rebondeur de la ligue turque.\\n\\nPhoto : NBL" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: La présentation complète des quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Ce vendredi 15 février se tiennent les quarts de finale de la Disneyland Paris Leaders Cup. Ces quatre matchs au profil bien différent opposent les huit meilleures équipes de Jeep Élite de la première moitié du championnat. Quelles sont les forces en présence, leurs objectifs, nos pronostics ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour sa septième édition, la Disneyland Paris Leaders Cup va connaître un vainqueur inédit, sauf à ce que Strasbourg l’emporte. En effet, outre Gravelines-Dunkerque (vainqueur en 2013) et Le Mans (victorieux en 2014), le lauréat des trois dernières éditions, Monaco, ne participera pas, lui non plus, à la compétition.\\n\\nEt les huit clubs en lice cette année connaissent une actualité très variée, d’équipes au complet comme à Dijon ou Pau-Lacq-Orthez, à des situations très compliquées comme à Strasbourg (blessure de Mardy Collins, arrivée avortée de Stéphane Lasme) ou plus encore à Levallois, littéralement décimé.\\n\\nA priori, cet état de fait devrait déboucher sur des rencontres en grande partie favorables, au moins sur le papier, à certaines équipes. Mais la réalité du terrain tend souvent à faire mentir les pronostics. Pour autant, quelles tendances se dégagent pour chaque match ?\\n\\nLevallois-Pau-Lacq-Orthez (13 heures)\\n\\nLevallois (10 v. – 10 d.)\\n\\nUkic-Sulaimon-Johnson-Wright-Yarou : tel était en début de saison le cinq majeur des Metropolitans. Il s’agit aujourd’hui du « cinq majeur des absents »... Sulaimon est out depuis la 11e journée, Johnson depuis la 18e. Et les catastrophes s’enchaînent pour le club entraîné par Freddy Fauthoux : Rono-Leni Ukic s’est blessé à la cheville lors de la dernière journée, Mouph’ Yarou s’est rompu le tendon d’Achille (saison terminée) lors du même match au Mans et Julian Wright a claqué la porte avant ce même match pour des raisons « administratives » !\\n\\nCerise sur le gâteau, si l’on peut dire, Nobel Boungou colo, plutôt à son avantage sur les trois matchs de Jeep Élite qu’il a disputés (11,7 pts, 12 d’éval) partira pour Badalone après la Leaders Cup.\\n\\nC’est donc fort démunie que l’équipe de la banlieue de Paris va aborder la compétition, en s’appuyant sur ses quelques « rescapés » (David Michineau, Ekene Ibekwe, Maxime Roos, le jeune Ivan Février et le revenant de blessure (lui aussi !) Cyrille Eliezer-Vanerot) ainsi que sur le dernier arrivé Malik Wayns et sur l’intérieur de 19 ans Neal Sako, auteur de bonnes sorties en Jeep Élite (4 pts et 8 d’éval en 11 min lors de la 20e journée de Jeep Élite, 3 pts et 3 d’éval en près de 19 min contre Vichy-Clermont en coupe de France). Pour compléter la feuille de match, Levallois devra faire appel à ses jeunes pousses.\\n\\nDans de telles circonstances, difficile d’espérer concurrencer un Élan Béarnais en pleine bourre. D’autant que les Metropolitans auront surtout à cœur de se préserver pour la suite du championnat, en attendant l’arrivée d’indispensables renforts.\\n\\nLes objectifs : Surtout, surtout, éviter de nouveaux blessés !!!\\n\\nPau-Lacq-Orthez (14 v. – 6 d.)\\n\\nDepuis l’arrivée de Mickey McConnell à la place de Jarrell Blassingame, l’Élan Béarnais pète la forme, occupant seul la deuxième place du championnat à une petite victoire de LDLC Asvel. Et l’équipe de Laurent Vila devrait se présenter au complet à Disneyland Paris, sans « gros bobo » à déplorer.\\n\\nRestant sur trois victoires de suite en championnat, Pau-Lacq-Orthez tourne bien, sous la houlette d’un McConnell étincelant (12,3 pts, 5,7 pds, 17,0 d’éval en 16 matchs), et avec des cadres comme CJ Harris, Vitalis Chikoko ou Donta Smith (même s’il connaît un « coup de moins bien » dernièrement) aussi fiables que réguliers, sans oublier les « soldats » Léo Cavalière, Akos Keller ou Yannick Bokolo pour encadrer la jeune garde incarnée principalement par Digué Diawara et Thibault Daval-Braquet.\\n\\nDe quoi voir venir si l’équipe ne prend pas son adversaire de vendredi à la légère...\\n\\nLes objectifs : Passer le premier tour puis, éventuellement, aller au bout.\\n\\nNos pronostics : Levallois 10 % – Pau-Lacq-Orthez 90 %\\n\\nEntre une équipe au complet et qui surfe sur une belle dynamique d’un côté, et une autre décimée, notamment à l’intérieur, difficile de ne pas accorder nos faveurs à l’Élan Béarnais. Sur un coup d’orgueil, Levallois pourrait faire mentir ces pronostics, mais les Metropolitans n’auront-ils pas surtout en tête de se préserver pour d’autres échéances, la qualification pour les playoffs de Jeep Élite notamment ?\\n\\nLDLC Asvel-JL Bourg-en-Bresse (15 heures 30)\\n\\nLDLC Asvel (15 v. – 5 d.)\\n\\nMême si elle présente l’effectif le plus dense de la Jeep Élite, l’équipe du président Tony Parker n’en va pas moins se présenter affaiblie à Disneyland Paris. Si Théo Maledon devrait être en tenue, rétabli de son problème à l’épaule, Alpha Kaba (cheville) et Demarcus Nelson (commotion) sont absents, le second ayant environ un mois à attendre avant de reprendre alors que le premier est a priori out pour la saison.\\n\\nCela étant, LDLC Asvel continue à présenter un effectif impressionnant, mené de main de maître par Zvezdan Mitrovic, vainqueur des trois dernières éditions de la Leaders Cup à la tête de l’ASM Monaco. Autant dire qu’une passe de quatre ne serait pas pour déplaire au coach monténégrin, même si Villeurbanne ne s’est pas montré au mieux de sa forme ces dernières semaines, entre défaite étonnante à Ulm en Eurocup, victoire sans relief à Strasbourg en coupe de France et parcours mitigé sur les dernières journées de Jeep Élite (trois défaites, dont un -17 à Dijon, suivies de deux victoires dont l’une étriquée à Boulazac).\\n\\nSi les Villeurbannais veulent l’emporter, il faudra que leurs cadres – Mantas Kalnietis, AJ Slaughter, Charles Kahudi, David Lighty – soient à leur meilleur, tout comme les jeunes Amine Noua (un peu en dedans ces derniers temps) et Théo Maledon, en espérant également qu’Alexis Ajinça continue à progresser sur le chemin vers un retour en pleine forme.\\n\\nLes objectifs : « Remporter la Leaders Cup » (LDLC Asvel)\\n\\nJL Bourg-en-Bresse (11 v. – 9 d.)\\n\\nÀ défaut d’être un véritable « invité surprise », la JL Bourg fête cette année sa première participation à la Leaders Cup. Ce qui, au regard de l’effectif constitué par Savo Vucevic, ne constitue pas à proprement parler une surprise. À une ossature ayant largement fait ses preuves – Zack Peacock (MVP de la saison passée), Garrett Sim, Youssou Ndoye, Maxime Courby –, la « Jeu » a ajouté de l’expérience avec Zack Wright, de la gnac avec Arthur Rozenfeld, de la jeunesse avec Bathiste Tchouaffé et Malcolm Cazalon, de la polyvalence avec Lamonte Ulmer et Mike Moser.\\n\\nBref, un effectif équilibré et performant. Seules ombres au tableau, Zack Wright est toujours incertain après sa blessure à l’épaule (il a manqué le dernier match de championnat), Youssou Ndoye revient de blessure et Lamonte Ulmer (lui aussi blessé en début de saison) peine à retrouver son niveau de l’an dernier à Châlons-Reims.\\n\\nMalgré ces quelques pépins, Bourg peut envisager de créer la surprise face à des Villeurbannais quelque peu amoindris et au calendrier chargé, entre Jeep Élite, coupe de France et Eurocup. La cote n’est pas en faveur de l’équipe de l’Ain mais, sur un malentendu...\\n\\nLes objectifs : Créer la surprise et voir match après match.\\n\\nNos pronostics : LDLC Asvel 60 % – Bourg-en-Bresse 40 %\\n\\nSur le papier, Villeurbanne devrait vaincre. Mais, entre blessures et fatigue liée à l’enchaînement des matchs, la motivation sera-t-elle au rendez-vous malgré les déclarations d’intention ? Si la paire intérieure Peacock-Ndoye est au top, que Zack Wright répond présent, que Rozenfeld et Cazalon se rappellent au bon souvenir d’un club où ils ont évolué, Bourg peut envisager la surprise. Cela fait beaucoup de « si ». Mais rien ne leur sera impossible, surtout si Villeurbanne ne se montre pas plus conquérant que ces derniers temps.\\n\\nJDA Dijon-SIG Strasbourg (18 heures)\\n\\nJDA Dijon (12 v. – 8 d.)\\n\\nCes dernières semaines, Dijon a alterné le chaud et le froid en Jeep Élite, se montrant capable de passer 25 points à Strasbourg (comme on se retrouve...) ou 17 à Villeurbanne tout en perdant entre temps de 24 points au Mans. Au total, sur ces cinq derniers matchs, la JDA a gagné trois fois à domicile et perdu deux fois à l’extérieur. Reste à voir quelle configuration l’équipe présentera à Disneyland Paris, celle conquérante à domicile ou celle moins performante en déplacement.\\n\\nToujours est-il que l’équipe de Laurent Legname se présentera au complet, l’arrière-ailier Tarence Kinsey ayant repris mardi en coupe de France après cinq matchs d’absence. Avec l’ancien de NBA et du Fenerbahce, Dijon présente un effectif complet, dominé par la vista de David Holston et un collectif huilé, très concerné par la défense et aux compétences complémentaires.\\n\\nDe quoi espérer un bon résultat, surtout face à un adversaire pas au mieux, mais qui aura à cœur d’effacer la déroute subie lors de la 16e journée.\\n\\nLes objectifs : « Nous voulons aller le plus loin possible, tout en regardant match après match. Il faut d’abord gagner le premier match, mais j’imagine que Strasbourg sera revanchard. Ensuite, nous espérons aussi éviter les blessures. » (Laurent Legname, coach)\\n\\nSIG Strasbourg (11 v. – 9 d.)\\n\\nEncore une équipe pour qui la vie est tout sauf un long fleuve tranquille. Présentée comme l’une des favorites de la saison, l’équipe de Vincent Collet s’est enrayée depuis le début de l’année 2019, connaissant cinq fois la défaite en Jeep Élite sur les sept derniers matchs, dont deux naufrages à Dijon (-25) et à Pau (-41 !).\\n\\nLa faute à une accumulation de blessures (notamment celles de Mardy Collins et Flo Piétrus) mais aussi à des « remous » en interne (altercation Green-Collins-Traoré) et, surtout, à un jeu collectif en berne, tant en attaque qu’en défense.\\n\\nPour apporter de la dureté à l’ensemble et combler un manque à l’intérieur (Jarrell Eddie, signé comme poste 4 en novembre étant en fait un pur ailier), la SIG avait jeté son dévolu sur Stéphane Lasme, intérieur au CV long comme le bras mais recalé hier à la visite médicale. Strasbourg reste donc à la recherche d’un meneur (pour épauler ou remplacer Green) et d’un poste 4. Et c’est donc avec une formation diminuée que l’équipe va se présenter à la Leaders Cup. Si Youssoupha Fall devrait être présent (son alerte au mollet ne devrait pas entraîner d’absence) et Flo Piétrus faire son retour, Mardy Collins est cloué sur le banc pour encore un moment.\\n\\nMalgré cela, la SIG présente un effectif de très bon niveau. Reste à voir si tout ce beau monde aura la motivation de jouer en équipe, de défendre et d’aller chercher un trophée déjà remporté par Strasbourg en 2015. La question est posée, la réponse n’a rien d’évident...\\n\\nLes objectifs : Prendre sa revanche contre Dijon peut être une motivation pour la SIG, lui permettant de regagner en cohésion. Si cela se concrétise, pourquoi ne pas viser plus haut ?\\n\\nNos pronostics : JDA Dijon 51 % – SIG Strasbourg 49 %\\n\\nA priori, il s’agit du quart de finale le plus équilibré. Sur le papier, Strasbourg ferait figure de grand favori. Sur la dynamique des dernières semaines, on n’accorderait pas grandes chances à la SIG. Surtout face à une JDA Dijon sachant tirer la quintessence de ses joueurs et défendre le plomb. Dijon jouera sa chance à fond, avec ses armes. Quelle SIG lui fera face ? La tendance actuelle fait que, pour notre part, nous penchons un (tout petit) peu du côté de Dijon.\\n\\nCSP Limoges-Nanterre 92 (20 heures 30)\\n\\nCSP Limoges (12 v. – 8 d.)\\n\\nUn entraîneur coupé (Kyle Milling, remplacé par son assistant François Péronnet), un meneur (Jordan Taylor) qui en remplace un autre (London Perrantes) jugé décevant, un « clash » du coach (Milling) avec Samardo Samuels, un pivot surnuméraire envoyé en Italie (Mam’ Jaiteh), un conflit entre la gouvernance du club et la veuve de Frédéric Forte : somme toute, le CSP vit une saison « normale » pour une ville que l’on surnomme souvent Dallas-sur-Vienne.\\n\\nHormis ces réguliers soubresauts, sans lesquels Limoges ne serait pas Limoges, l’équipe montre un visage plutôt séduisant depuis l’arrivée de François Péronnet et de Jordan Taylor, s’affichant à la 3e place ex-equo (avec Dijon et Nanterre) de la Jeep Élite. Certes, l’équipe a dû faire sans sa pépite Sekou Doumbouya pendant quatre matchs alors que Damien Inglis a effectué son retour en coupe de France après avoir manqué deux matchs de championnat. Certes également, le rendement d’Isaiah Miles et, plus encore, de Samardo Samuels prête souvent à question. Mais le CSP affiche généralement un visage conquérant, alternant entre coups d’éclat sur les ailes par Axel Bouteille, William Howard ou Dwight Hardy et performances intérieures de Jerry Boutsiele (et Samuels lorsqu’il est bien luné), le tout orchestré par une doublette Taylor-Rousselle efficace et complémentaire.\\n\\nSi tous les joueurs se mettent au diapason, le CSP peut viser loin dans la compétition. Mais il faudra d’abord arriver à juguler les « artilleurs fous » de Nanterre et la pluie de shoots à trois points qui ne va pas manquer de leur tomber sur la tête. À l’aller, à domicile, Limoges avait accompli cette tâche avec brio, l’emportant de 18 points. Il faudra réitérer ce vendredi, tout en se montrant plus adroit que mardi soir contre Monaco en coupe de France (défaite 59-62 avec 35 % de réussite aux tirs).\\n\\nLes objectifs : Sevrée de titres depuis deux ans, l’équipe peut avoir la motivation de remporter une coupe qui manque à son épais palmarès.\\n\\nNanterre 92 (12 v. – 8 d.)\\n\\nDeux défaites d’affilée en Jeep Élite (contre Monaco et à Dijon), une victoire sans trembler à Holon pour se qualifier en huitièmes de finale de BCL, une autre victoire en coupe de France contre le pensionnaire de ProB Gries-Oberhoffen (89-70), le Nanterre 92 de ces dernières semaines souffle le chaud et le froid.\\n\\nComme souvent, tout dépend de l’adresse à trois points des multiples shooteurs coachés par Pascal Donnadieu. Lorsque la balle rentre, Nanterre devient difficile à jouer. En cas contraire, l’équipe de la banlieue parisienne peine à trouver de l’alternance, d’autant plus que son supposé point d’ancrage, le pivot Julian Gamble, alterne lui aussi, entre le très mauvais (2 d’évaluation à Dijon, -2 et 0/6 au tir à Limoges...) et le très satisfaisant (23 d’éval à Monaco, 24 à Strasbourg...). La paire de meneurs Jeremy Senglin-Dominic Waters se montrant à peine plus régulière, les vraies satisfactions nanterriennes s’appellent Lahaou Konaté, Hugo Invernizzi et Haukur Palsson, qui arrivent toujours à apporter même lorsque l’adresse est en berne.\\n\\nSe présentant a priori au complet et sans joueur souffrant de « bobos » handicapants, Nanterre dispose d’atouts solides pour apporter la contradiction à un CSP Limoges à l’effectif sans doute plus étoffé quantitativement. La victoire peut se profiler, si les trois points rentrent...\\n\\nLes objectifs : Finaliste en 2014 de la Leaders Cup, Nanterre peut viser le titre. Il faut d’abord passer l’obstacle limougeaud...\\n\\nNos pronostics : CSP Limoges 55 % – Nanterre 92 45 %\\n\\nPour peu que Limoges se montre réellement intéressé par une victoire en Leaders Cup et que n’éclate pas un énième psychodrame, le CSP actuel a les ressources pour venir à bout de Nanterre. Mais, une nouvelle fois, si les trois-points commencent à rentrer pour les hommes de Pascal Donnadieu, la partie risque d’être serrée...\\n\\n[armelse]\\n\\nPour sa septième édition, la Disneyland Paris Leaders Cup va connaître un vainqueur inédit, sauf à ce que Strasbourg l’emporte. En effet, outre Gravelines-Dunkerque (vainqueur en 2013) et Le Mans (victorieux en 2014), le lauréat des trois dernières éditions, Monaco, ne participera pas, lui non plus, à la compétition.\\n\\nEt les huit clubs en lice cette année connaissent une actualité très variée, d’équipes au complet comme à Dijon ou Pau-Lacq-Orthez, à des situations très compliquées comme à Strasbourg (blessure de Collins, arrivée avortée de Stéphane Lasme) ou plus encore à Levallois, littéralement décimé.\\n\\nA priori, cet état de fait devrait déboucher sur des rencontres en grande partie favorables, au moins sur le papier, à certaines équipes. Mais la réalité du terrain tend souvent à faire mentir les pronostics. Pour autant, quelles tendances se dégagent pour chaque match ?\\n\\nLevallois-Pau-Lacq-Orthez (13 heures)\\n\\nLevallois (10 v. – 10 d.)\\n\\nUkic-Sulaimon-Johnson-Wright-Yarou : tel était en début de saison le cinq majeur des Metropolitans. Il s’agit aujourd’hui du « cinq majeur des absents »... 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Lyon-Villeurbanne vs Bourg-en-Bresse\\n * 18h00 : Dijon vs Strasbourg\\n * 20h30 : Nanterre vs Limoges\\n\\nSamedi 16 février 2019 : Demi-finales\\n\\n * 18h00 : Vainqueur Pau-Lacq-Orthez – Levallois vs Vainqueur Lyon-Villeurbanne – Bourg-en-Bresse\\n * 20h30 : Vainqueur Dijon – Strasbourg vs Vainqueur Nanterre – Limoges\\n\\nDimanche 17 février 2019 : Finales\\n\\n * 14h30 – Finale Leaders Cup Pro B : Roanne vs Rouen\\n * 17h00 – Finale Leaders Cup : Vainqueur DF1 vs Vainqueur DF2\\n\\nL’ensemble des matchs sera diffusé en direct sur RMC Sport.\\n\\n\\nLES EQUIPES\\n\\nJL BOURG EN BRESSE\\n\\nPrésident : Julien DESBOTTES – Entraîneur : Savo VUCEVIC\\nSaison 2018-19 : 11 victoires – 9 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Deuxième participation (Quart de Finaliste en 2018)\\nDisneyland® Paris Leaders Cup PROB : Deux participations (Vainqueur en 2016 – Demi-finaliste en 2017)\\n\\nPalmarès : Championnat de France PROB : vainqueur en 2000 et 2017\\nDisneyland® Paris Leaders Cup PROB : Vainqueur en 2016 – Semaine des As : Finaliste en 2006\\n\\nJDA DIJON\\n\\nPrésident : Thierry DEGORCE – Entraîneur : Laurent LEGNAME\\nSaison 2018-19 : 12 victoires – 8 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Quatrième participation (Demi-finaliste en 2015 – Quart de Finaliste en 2014 et 2016)\\n\\nPalmarès : Semaine des As : Vainqueur en 2004\\nCoupe de France : Vainqueur en 2006 – FIBA Europe Cup : Finaliste en 2004 Coupe de la Ligue : Vainqueur en 1993\\nMatch des Champions : Vainqueur en 2006\\n\\nLEVALLOIS METROPOLITANS\\n\\nPrésident : Jean-Pierre AUBRY – Entraîneur : Frédéric FAUTHOUX\\nSaison 2018-19 : 10 victoires – 10 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Cinquième participation (Demi-finaliste en 2013 et 2014 – Quart de Finaliste en 2015 et 2017 sous le nom du Paris-Levallois)\\n\\nPalmarès :\\n\\n * Sous le nom de Levallois : Championnat de France PROB : Vainqueur en 1992 et 1998 – Coupe de France : Finaliste en 1996 et 1998\\n * Sous le nom de Paris-Levallois : Coupe de France : Vainqueur en 2013 – Match des Champions : Vainqueur en 2013\\n\\nLIMOGES CSP\\n\\nPrésident : Youri VERIERAS – Entraîneur : François PERONNET\\nSaison 2018-19 : 12 victoires – 8 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Quatrième participation (Quart de finaliste en 2014, 2015 et 2018)\\n\\nPalmarès : Champion d’Europe en 1993\\nCoupe des Coupes : Vainqueur en 1988 – Coupe Korac : Vainqueur en 1982 et 1983\\nChampionnat de France : Vainqueur en 1983, 1984, 1985, 1988, 1989, 1990, 1993, 1994, 2000, 2014 et 2015 – Finaliste en 1982, 1987, 1991, 1992 et 1998\\nChampionnat de France PROB : Vainqueur en 2001 et 2012\\nCoupe de France : Vainqueur en 2000, Finaliste en 2011 et 2012 – Match des Champions : Vainqueur en 2012 – Finaliste en 2014 et 2015 – Tournoi des As : Vainqueur en 1988 et 1990 – Coupe Robert Busnel : Vainqueur en 1994 et 1995\\nCoupe de la Fédération : Vainqueur en 1982, 1983 et 1985\\n\\nLDLC ASVEL\\n\\nPrésident : Tony PARKER – Entraîneur : Zvezdan MITROVIC\\nSaison 2018-19 : 15 victoires – 5 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Cinquième participation (Finaliste en 2017 – Demi-finaliste en 2016 et 2018 – Quart de Finaliste en 2013)\\n\\nPalmarès : Championnat de France : Vainqueur en 1949, 1950, 1952, 1955, 1956, 1957, 1964, 1966, 1968, 1969, 1971, 1972, 1975, 1977, 1981, 2002, 2009 et 2016 – Finaliste en 1954, 1958, 1965, 1967, 1976, 1978, 1985, 1986, 1996, 1997, 1999, 2000, 2001 et 2003 – Coupe des Vainqueurs de Coupe : Finaliste en 1983\\nSemaine des As : Vainqueur en 2010 – Coupe de France : Vainqueur en 1953, 1957, 1965, 1967, 1996, 1997, 2001 et 2008 – Finaliste en 1954, 1955, 1959, 2002 et 2016 – Match des Champions : Vainqueur en 2009 et 2016 – Finaliste en 2008\\n\\nNANTERRE 92\\n\\nPrésident : Jean DONNADIEU – Entraîneur : Pascal DONNADIEU\\nSaison 2018-19 : 11 victoires – 6 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Sixième participation (Finaliste en 2014 – Demi-finaliste en 2017 et 2018 – Quart de Finaliste en 2015 et 2016)\\n\\nPalmarès : Vainqueur de la FIBA Europe Cup en 2017 – Vainqueur de l’Eurochallenge en 2015 Championnat de France : Vainqueur en 2013 – Championnat de France PROB : Vainqueur en 2011 Coupe de France : Vainqueur en 2014 et 2017 – Finaliste en 2007 et 2013\\nMatch des Champions : Vainqueur en 2014 et 2017 – Finaliste en 2013\\n\\nELAN BEARNAIS PAU-LACQ-ORTHEZ\\n\\nPrésident : Didier REY – Entraîneur : Laurent VILA\\nSaison 2018-19 : 14 victoires – 6 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Deuxième participation (Demi-finaliste en 2017)\\n\\nPalmarès : Coupe Korac : Vainqueur en 1984\\nChampionnat de France : Vainqueur en 1986, 1987, 1992, 1996, 1998, 1999, 2001, 2003 et 2004 – Finaliste en 1989, 1993, 1995 et 2002\\nChampionnat de France PROB : Vainqueur en 2010\\nSemaine des As : Vainqueur en 2003 – Tournoi des As : Vainqueur en 1991, 1992 et 1993\\nCoupe de France : Vainqueur en 2002, 2003 et 2007 – Finaliste en 1995, 2001 et 2004 – Coupe de la Ligue : Finaliste en 1995 – Match des Champions : Vainqueur en 2007\\n\\nSIG STRASBOURG\\n\\nPrésident : Martial BELLON – Entraîneur : Vincent COLLET\\nSaison 2018-19 : 11 victoires – 9 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup LNB : Septième participation (Vainqueur en 2015 – Finaliste en 2013 – Demi-finaliste en 2014 et 2016 – Quart de Finaliste en 2017 et 2018)\\n\\nPalmarès : Championnat de France : Vainqueur en 2005, finaliste en 2013, 2014, 2015, 2016 et 2017 Championnat de France PROB : Vainqueur en 1999\\nCoupe de France : Vainqueur en 2015 et 2018 – Finaliste en 1994 et 1999\\nMatch des Champions : Vainqueur en 2015 – Finaliste en 2005\\n\\nClassement pour la Disneyland Paris Leaders Cup* LNB 2019 après 17 journées (Rappel : Pour désigner les équipes qualifiées pour la Leaders Cup, les équipes à égalité sont départagées par le Goal-Average général)\\n\\n\\nFINALISTES LEADERS CUP PRO B\\n\\nCHORALE ROANNE\\n\\nPrésident : Daniel PEREZ – Entraîneur : Laurent PLUVY\\nSaison 2018-19 : PROB : 14 victoires – 4 défaites – Leaders Cup PROB : 7 victoires – 1 défaite\\nDisneyland® Paris Leaders Cup PROB : Cinquième participation (Vainqueur en 2017 – Quart de Finaliste en 2015- Eliminé en phase de poule en 2016 et 2018)\\nDisneyland Paris Leaders Cup LNB : Une participation (Quart de Finaliste en 2013)\\n\\nPalmarès : Championnat de France : Vainqueur en 1959 et 2007 – Finaliste en 2008 Championnat de France PROB : Vainqueur en 2002\\nSemaine des As : Vainqueur en 2007 – Coupe de France : Finaliste en 1964\\nMatch des Champions : Finaliste en 2007\\n\\nDisneyland Paris Leaders Cup PROB : Vainqueur en 2017\\n\\nROUEN METROPOLE BASKET\\n\\nPrésident : Yvan GUEUDER – Entraîneur : Alexandre MENARD\\nSaison 2018-19 : PROB : 11 victoires – 7 défaites – Leaders Cup PROB : 5 victoires – 3 défaites\\nDisneyland® Paris Leaders Cup PROB: Troisième participation (Eliminé en phase de poule en 2017 et 2018)\\n\\nPalmarès : Championnat de France NM1 : Vainqueur en 2003 – Championnat de France NM2 : Vainqueur en 2000 – Championnat de France NM2 : Vainqueur en 1998\\n\\nLE PALMARES\\n\\n\\n\\n\\nAnnée\\nVainqueur\\n\\n\\nTournoi des As\\n\\n\\n1988\\nLimoges CSP\\n\\n\\n1989\\nMulhouse BC\\n\\n\\n1990\\nLimoges CSP\\n\\n\\n1991\\nEB Pau-Orthez\\n\\n\\n1992\\nEB Pau-Orthez\\n\\n\\n1993\\nEB Pau-Orthez*\\n\\n\\nSemaine des AS\\n\\n\\n2003\\nEB Pau-Orthez\\n\\n\\n2004\\nJDA Dijon\\n\\n\\n2005\\nSLUC Nancy\\n\\n\\n2006\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2007\\nChorale de Roanne\\n\\n\\n2008\\nCholet Basket\\n\\n\\n2009\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2010\\nAsvel\\n\\n\\n2011\\nBCM Gravelines-Dunkerque\\n\\n\\n2012\\nChalon-sur-Saône\\n\\n\\nLeaders Cup\\n\\n\\n2013\\nBCM Gravelines-Dunkerque\\n\\n\\n2014\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2015\\nStrasbourg IG\\n\\n\\n2016\\nAS Monaco\\n\\n\\n2017\\nAS Monaco\\n\\n\\n2018\\nAS Monaco\\n\\n\\n\\n\\nLES MVP\\n\\n\\n\\n\\n\\nAnnée\\nJoueurs\\nClub\\n\\n\\n2006\\nEric Campbell\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2007\\nMarc Salyers\\nChorale Roanne Basket\\n\\n\\n2008\\nNando de Colo\\nCholet Basket\\n\\n\\n2009\\nDavid Bluthenthal\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2010\\nMindaugas Lukauskis\\nASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\n\\n2011\\nYannick Bokolo\\nBCM Gravelines Dunkerque\\n\\n\\n2012\\nBlake Schilb\\nES Chalon-sur-Saône\\n\\n\\n2013\\nLudovic Vaty\\nBCM Gravelines-Dunkerque\\n\\n\\n2014\\nJoão Paulo Batista\\nLe Mans SB\\n\\n\\n2015\\nAntoine Diot\\nStrasbourg IG\\n\\n\\n2016\\nJamal Shuler\\nAS Monaco\\n\\n\\n2017\\nSergii Gladyr\\nAS Monaco\\n\\n\\n2018\\nD.J. Cooper\\nAS Monaco\\n\\n\\n\\n\\nLES CHIFFRES DE LA LEADERS CUP\\n\\n1 Seul des anciens vainqueurs Strasbourg est présent à cette édition 2019. Gravelines, Le Mans et Monaco n’ont pas réussi à se qualifier.\\n\\n4 Bourg, Limoges, Strasbourg et Villeurbanne étaient déjà présents en 2018.\\n\\n5 Sont présents à cette édition 2019, Yannick Bokolo (Gravelines, 2013), Charles Kahudi (Le Mans, 2014), Jérémy Leloup (Strasbourg, 2015), Ali Traore (Strasbourg, 2015 et Monaco, 2018) et Zack Wright (Monaco, 2017) ont déjà gagné la Leaders Cup).\\n\\n7 Le nombre d’interceptions de Zach Moss (Dijon). C’était en quart-de-finale en 2014.\\n\\n10 Cinq joueurs ont fait 10 passes dans un match : Edwin Jackson (Villeurbanne), Kevin Lisch (Nanterre), John Roberson (Chalon), DJ Cooper (Monaco) et Walter Hodges (Villeurbanne)\\n\\n14 Le nombre de matches dont 4 finales sifflés par l’arbitre Eddie Viator en 6 participations.\\n\\n14 Le nombre de rebonds de Mathias Lessort (Chalon). C’était en demi-finale en 2016.\\n\\n31 Le nombre de points de Jamal Schuler (Monaco). C’était en finale en 2017.\\n\\nLES CHIFFRES DE LA SEMAINE DES AS/LEADERS CUP\\n\\n3 Le nombre de trophées du Mans (2006, 2009 et 2014) et Monaco (2016, 2016 et 2017).\\n\\n14 Le nombre de participations du Mans\\n\\n40 L’écart entre Chalon et Nancy en 2012 (106-66).\\n\\n21 671 Le nombre de spectateurs à Nancy en 2007.\\n\\nPhoto: AS Monaco, vainqueur en 2018 (LNB)\\n\\n * " }, {"role": "user", "content":"Copa del Rey : Thomas Heurtel guide le Barça vers la demi-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Premier de la Liga, Barcelone n’a pas forcément rassuré ses fans dans un premier temps. Mais, derrière un bon match de Thomas Heurtel (17 points, 4 passes), le Barça a su accélérer dans le money time, infligeant un 13-0 fatal à Valence (86-79).\\n\\nAuparavant, Tenerife a créé une petite surprise en venant à bout de Malaga (88-78).\\n\\nCe vendredi, le Real Madrid de Fabien Causeur entre en piste contre Estudiantes et le Vitoria de Vincent Poirier affrontera Badalone.\\n\\n\\n\\nBarcelone en patron\\n\\nMal parti en 1er quart, le Barça a dû attendre la dernière période pour faire la différence contre Valence (86-79). Derrière les 17 points et 4 passes de Thomas Heurtel, Barcelone a surtout passé un 13-0 fatal à son adversaire dans les 3 dernières minutes.\\n\\nMalgré le travail de sape de Bojan Dubljevic (13 points, 5 rebonds), Valence doit s’incliner sur le tard... Le talent catalan a tout simplement été supérieur, avec Ante Tomic à 21 d’évaluation pour 14 points et 8 rebonds, ou encore Chris Singleton à 11 points et 7 rebonds.\\n\\nCriblé de 3 fautes rapides, Kevin Séraphin n’a même pas pu inscrire le moindre panier alors qu’à l’inverse Louis Labeyrie a été très efficace avec 10 points en 12 minutes.\\n\\n\\nTenerife refait le coup\\n\\nComme l’an passé (c’était contre Valence), Tenerife verra les demi-finales ! Opposés à Malaga, les coéquipiers d’un excellent Colton Iverson (19 points à 7/7 aux tirs, 5 rebonds) ont imposé leur agressivité défensive, empêchant les Andalous de mettre leur jeu offensif en place (88-78).\\n\\nA part Dragan Milosavljevic (16 points), Malaga a peiné tout au long du match. Mathias Lessort (3 points, 7 rebonds) aura ainsi été bien tenu, ou peu servi, c’est au choix... A l’inverse, Tenerife a fait la course en tête de bout en bout avec un Tim Abromaitis au diapason d’Iverson : 12 points (5/5 aux tirs), 5 rebonds.\\n\\n\\nLes Français de la Copa del Rey :\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 17 points (7/13 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds en 12 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 3 points (1/2 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 0 point (0/1 au tir) en 5 minutes\\n\\n\\nLes quarts de finale :\\n\\nTenerife – Malaga (88-78)\\nBarcelone – Valence (86-79)\\nVitoria – Badalone (19h)\\nReal Madrid – Estudiantes (21h30)\\n\\n\\nLes demi-finales :\\n\\nBarcelone – Tenerife (19h ce samedi)\\n2e demi-finale à déterminer (21h30 ce samedi)\\n\\nBonus – les highlights de Thomas Heurtel :\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=MqWubThF9Fc&t=20s\\n\\nCrédits photo : ACB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Haukur Palsson (Nanterre) et sa copine Sara. Qui connaît le mieux l’autre?" }, {"role": "assistant", "content":"Nanterre 92 nous emmène dans cette vidéo à la découverte de l’Islandais Haukur Palsson et de sa girlfriend Sara. Qui connait le mieux l’autre? C’est en anglais -à croire que c’est la langue officielle de leur pays tant leur accent est bon- et c’est traduit en français." }, {"role": "user", "content":"Sarunas Jasikevicius (Zalgiris Kaunas) : «Nous n’avons pas aussi faim que la saison dernière»" }, {"role": "assistant", "content":"Quasiment éliminé de la course aux playoffs d’Euroleague, le Zalgiris Kaunas (13e à 9v-15d) est pourtant l’équipe qui a fait sensation la saison dernière, se hissant jusqu’au Final Four et terminant au pied du podium après avoir battu le CSKA Moscou dans la petite finale.\\n\\nAprès la défaite de son équipe face à Vitoria dans le cadre de la 24e journée de championnat, Sarunas Jasekevicius a pointé du doigt l’envie de son équipe.\\n\\n« On manque de leaders et de leadership. Nous n’avons pas aussi faim que l’année dernière. On pense plus à nous qu’à l’équipe. C’est notre plus gros problème cette saison. »\\n\\nComme rapporte le journaliste Donatas Urbonas, le technicien lituanien souligne également le fait que son équipe est particulièrement touchée par les blessures, mais que ce n’est pas une raison et que ses joueurs font toujours les mêmes erreurs et que seuls les adversaires changent.\\n\\n\\n\\n\\nJasikevicius mentioned that injuries affected Zalgiris badly this year. However, Saras told his players are making same game plan mistakes, that he even didn’t put it on video 2 games in a row, because it’s the same thing every time. ”The same mistakes, just different opponent.”\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) March 1, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le Mans: Antoine Eito prolonge pour trois saisons, «je suis plus qu’heureux de pouvoir continuer à porter ce maillot»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il arrivait en juin en fin de contrat, le combo guard Antoine Eito (1,86m, 31 ans en avril) vient de re-signer pour trois saisons au Mans Sarthe Basket annonce le club. Il sera ainsi manceau jusqu’en 2022.\\n\\nLe séjour dans la Sarthe du natif de Charente a connu trois épisodes, en 2012, puis pour les saisons 2013-15, et de nouveau à partir de 2017. Les deux fois ils ont été entrecoupés par des passages à Orléans.\\n\\nIl a été champion de France avec l’ASVEL en 2009 et Le Mans en 2018.\\n\\nAntoine Eito est connu pour sa forte personnalité, sa défense et sa capacité à hausser son jeu dans les moments chauds. Il tourne actuellement à 8,6 points (35,5% à trois-points), 4 passes et 2,8 rebonds en Jeep Elite.\\n\\n« Mai/Juin 2012... Jamais je n’aurais pu penser qu’à peine un mois passé dans un club pouvait être le début de quelque chose d’unique. Et finalement, si ! Ma famille et moi-même sommes très heureux de pouvoir continuer à vivre au Mans pour les trois prochaines années. Je suis plus qu’heureux de pouvoir continuer à porter ce maillot et d’en défendre les couleurs pour encore un bon moment. Gagner bien sûr, mais aussi transmettre les valeurs du club aux plus jeunes et aux nouveaux venus. Et surtout, continuer à écrire l’histoire MSB comme ont pu le faire mes ainés manceaux. Merci aux supporters pour le soutien quotidien, j’espère que cela continuera. Merci également au président et au staff de me faire confiance encore une fois. GO MSB GO », lance le joueur.\\n\\nQuant au président Christophe Le Bouille, il se félicite que les deux parties se soient très vite entendus.\\n\\n« Le MSB est évidemment ravi de pouvoir continuer sa belle aventure avec Antoine. Les discussions ont été très faciles, tant la volonté des deux parties était évidente. Antoine incarne parfaitement les valeurs que le club souhaite mettre en avant: fidélité, combativité, émotion, sans oublier l’exigence du haut niveau. Cela fait maintenant quelques années que nos destins sont liés, et je pense que personne ne s’en plaindra. »\\n\\nAvec Valentin Bigote et Terry Tarpey, Antoine Eito est le troisième joueur du groupe professionnel actuel à être sous contrat avec le MSB pour la saison prochaine.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Vitoria se remet la tête à l’endroit" }, {"role": "assistant", "content":"Défait pour la 5e fois de suite en déplacement, le Zalgiris Kaunas a cette fois mordu la poussière en Pays Basque contre Vitoria qui, de son côté, se replace bien dans la course aux playoffs. Pris dans la nasse, Léo Westermann et ses coéquipiers ont essuyé une pluie de alley oops de la part d’un Baskonia qui a retrouvé un peu de son identité lors d’un 15-0 explosif en 3 minutes et demie !\\n\\nPar ailleurs, le Fenerbahçe a facilement eu raison de l’Efes Istanbul dans le derby stambouliote. Cette 21e victoire en 24 matchs assure le club turc de finir dans le Top 4 et donc d’avoir l’avantage du terrain en playoffs. Avec un 5e succès de rang, Milan est l’autre grand gagnant de cette première partie de la 24e journée d’Euroleague.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVitoria se replace\\n\\nRepoussé à -15 à la pause, le Zalgiris a réussi une belle 2e mi-temps, remportant même l’affaire au global (48-40). Mais le déficit de la 1ère mi-temps était trop grand, surtout après un 15-0 explosif en 3 minutes et demie (80-73) ! C’est sur un dernier dunk renversé de Vincent Poirier (13 points) tout seul en contre-attaque que Vitoria a terminé ce match important dans la course aux playoffs. Pour Kaunas, ça se complique sérieusement...\\n\\nShavon Shields (14 points, 10 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) et Luca Vildoza (16 points) ont été les principaux artificiers pour Vitoria, avec une belle performance all around du premier et une montée en température du second à trois points qui a fait craquer les Baltes pour de bon. Dans la défaite, Léo Westermann (5 points, 5 passes, 4 balles perdues) a été actif mais sans pouvoir inverser la tendance...\\n\\n\\nLe Fener dominateur dans le derby d’Istanbul\\n\\nSans Joffrey Lauvergne blessé à la cheville, le Fenerbahçe n’a pas eu trop de peine à repousser le rival de l’Efes Istanbul (84-66). A part pour un 10-0 en 1er quart, l’Efes a été rapidement mis à mal, dès le 2e quart, avec Kostas Sloukas (17 points) qui a passé pour l’occasion la barre mythique des 1 000 points en carrière.\\n\\nAuteur d’un tir insensé au buzzer du 3e quart (voir plus bas), Adrien Moerman finit à 18 points et 5 rebonds tandis que Rodrigue Beaubois (5 points) ne sort toujours pas la tête de l’eau offensivement. A l’inverse, tout roule pour le Fener qui engrange un 12e succès à la maison en shootant à 14/25 à trois points tout en tenant son adversaire à moins de 20 points par quart temps !\\n\\n\\nMilan reçu 5/5\\n\\nMalgré le retour en action d’Alexey Shved, qui n’a rien perdu avec un double double à 23 points et 11 passes, Khimki Moscou a dû s’incliner à domicile face à Milan (90-88). Les hommes de Simone Pianigiani ont parfaitement joué le coup en revenant tambour battant en dernier quart (25-15) pour s’imposer sur le fil et empocher une 5e victoire d’affilée.\\n\\nLargués à 11 points en 1ère mi-temps puis 14 en 2e, les Milanais ont complètement renversé la vapeur derrière Nemanja Nedovic et Mindaugas Kuzminskas qui ont alimenté un 16-1 en dernier quart. Mike James (16 points) a ensuite terminé le travail malgré les efforts de Shved qui rate son ultime lancer mais en vain. Kaleb Tarczewski (15 points, 6 rebonds) le gobe et assure le succès lombard. Milan\\n\\n\\nThanasis Antetokounmpo MVP\\n\\nPendant que son frangin vise le titre de MVP en NBA, Thanasis Antetokounmpo poursuit son petit bonhomme de chemin du côté du Pana. Face à Gran Canaria, il a réussi la meilleure performance de sa saison, et de sa carrière, avec 16 points à 8/9 aux tirs, plus 4 rebonds, 2 interceptions et 2 contres pour 20 d’évaluation.\\n\\nNick Calathes (17 points, 9 passes) et Keith Langford (18 points) ont aussi rempli leur fiche statistique respective alors que Georgios Papagiannis (14 points) montre enfin des signes de progression depuis son départ de NBA. Dans la défaite, Kim Tillie frôle le double double avec 8 points et 9 rebonds.\\n\\n\\nLe Maccabi fait le métier\\n\\nLe Maccabi a démarré sur un 12-2 propulsé par Tarik Black, qui score 9 de ses 17 points sur ce début en fanfare, et Tel Aviv ne s’est plus jamais retourné. Face au dernier de la classe, le Darussafaka, le Club Nation s’est imposé sans sourciller pour rester dans la course aux playoffs (77-58).\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 18 points (7/14 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 26 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 13 points (6/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 8 points (3/12 aux tirs), 9 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 5 points (1/4 aux tirs), 5 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 18 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 5 points (2/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nSi le Baskonia a délivré un clinic de alley oop avec Johannes Voigtmann et Vincent Poirier comme cibles mouvantes, l’action de la soirée est définitivement l’oeuvre d’Adrien Moerman. En plus de planter 18 points contre le Fener, l’ailier fort de l’Efes a réussi ce tir miraculeux du milieu du terrain au buzzer du 3e quart.\\n\\n\\n\\n\\n.@moerman42 beats the buzzer from HALF-COURT! #7DAYSMagicMoment🔥 pic.twitter.com/DlQzTvUHHW\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 28, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 24e journée\\n\\nJeudi 28 février :\\nKhimki Moscou – Milan (88-90)\\nFenerbahçe – Efes Istanbul (84-66)\\nMaccabi Tel Aviv – Darussafaka (77-58)\\nVitoria – Zalgiris Kaunas (80-73)\\nGran Canaria – Panathinaikos (80-99)\\n\\nVendredi 1er mars :\\nPodgorica – Bayern Munich (19h)\\nOlympiakos – CSKA Moscou (20h30)\\nBarcelone – Real Madrid (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 25e journée\\n\\nJeudi 7 mars :\\nDarussafaka – Panathinaikos (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Gran Canaria (19h)\\nBayern Munich – Maccabi Tel Aviv (20h30)\\nReal Madrid – Fenerbahçe (21h)\\n\\nVendredi 8 mars :\\nCSKA Moscou – Milan (18h)\\nEfes Istanbul – Barcelone (18h30)\\nPodgorica – Olympiakos (19h)\\nVitoria – Khimki Moscou (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nVitoria se replace\\n\\nRepoussé à -15 à la pause, le Zalgiris a réussi une belle 2e mi-temps, remportant même l’affaire au global (48-40). Mais le déficit de la 1ère mi-temps était trop grand (80-73) ! C’est sur un dernier dunk renversé de Vincent Poirier (13 points) tout seul en contre-attaque que Vitoria a terminé ce match important dans la course aux playoffs. Pour Kaunas, ça se complique sérieusement...\\n\\nShavon Shields (14 points, 10 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) et Luca Vildoza (16 points) ont été les principaux artificiers pour Vito\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : A.J Pacher en renfort à l’Elan Béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"Privé de Donta Smith, touché au doigt, encore un bon mois, l’Elan Béarnais est allé chercher son joker médical en Italie, à Mens Sana Siena. Il s’agit d’A.J. Pacher (2,08m, 27 ans).\\n\\nSur son site, l’EBPLO annonce l’arrivée de cet intérieur américain qui tournait en moyenne à 13,7 points et 6,8 rebonds en deuxième division italienne cette saison. Passé par la Suisse, l’Italie et la Hongrie, il va vivre sa première expérience en France dans le Béarn.\\n\\nL’entraîneur Laurent Vila a donné son ressenti sur cette nouvelle recrue.\\n\\n« Compte tenu des absences cumulées de Donta et Thibault, nous nous sommes orientés sur le recrutement d’un poste 4. À la différence de Léo et Donta, qui possèdent tous les deux une réelle polyvalence, nous aurons un poste 4 shooteur, capable de créer du jeu par sa qualité de passe, tout en venant nous apporter sous le cercle au niveau du rebond. Bien sûr notre jeu, il va falloir s’adapter. Il est évidemment impossible de remplacer un joueur aussi talentueux que Donta à ce stade de la saison. Nous allons sûrement être amenés à voir Léo évoluer au poste 3 par moment, ce qui nous permettra d’avoir une intensité défensive encore plus importante et une meilleure maîtrise du rebond. A.J. arrivera pour préparer le match du Portel (J22/Samedi 9 mars) en début de semaine et nous pourrons donc compter sur lui dès le week-end prochain. »\\n\\nPhoto :Mens Sana Basket 1871" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Limoges en Jeep Elite après 20 journées" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP a réuni dans une vidéo d’un peu plus de deux minutes les meilleures actions de son équipe après 20 journées en Jeep Elite." }, {"role": "user", "content":"ASVEL : DeMarcus Nelson toujours absent pour la venue du Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Touché à la pommette depuis le déplacement de l’ASVEL à Ulm en EuroCup, il y trois semaines, et annoncé proche du retour, l’arrière DeMarcus Nelson (1,93m, 33 ans) sera finalement forfait ce vendredi pour la réception du Portel en JeepElite.\\n\\nDepuis le début de la saison, l’ancien Monégasque apporte en sortie de banc des Villeurbannais, avec sa défense et ses 6,9 points, 2,8 rebonds et 3,3 passes passes décisives de moyenne par match en JeepElite.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Italie : le double champion NBA Mario Chalmers vers Bologne" }, {"role": "assistant", "content":"Sans club depuis le début de saison, Mario Chalmers (1,88m, 32 ans) serait sur le point d’être officialisé par Bologne.\\n\\nDouble champion NBA avec le Miai Heat aux côtés de Dwyane Wade et LeBron James, l’ancien pensionnaire de l’université de Kansas aurait trouvé un accord avec le club italien, selon Sportando. Après neuf saisons en NBA, l’ancien joueur des Memphis Grizzlies vivrait sa première expérience en Europe et évoluerait donc aux côtés de l’international français Amath M’Baye. Bologne est toujours en course en Champions League et affrontera Le Mans en 16e de finale aller le mardi 5 mars à Antarès.\\n\\nLa saison dernière, Mario Chalmers a tourné en moyenne à 7,6 points, 2,3 rebonds et 2,9 passes décisives en 66 matchs NBA. En carrière, il a compilé en moyenne 8,8 points, 2,4 rebonds et 3,7 passes décisives en 646 matchs dans la Grande Ligue." }, {"role": "user", "content":"Europe : Les joueurs des championnats de France qui ont représenté leurs pays durant la fenêtre internationale de février" }, {"role": "assistant", "content":"Durant un peu plus d’une semaine, une trentaine de joueurs étrangers -dont plusieurs possèdent aussi le passeport français- évoluant dans les championnats de France étaient aux quatre coins du monde pour représenter leur sélection nationale. La plupart officiaient dans le cadre des qualifications pour la coupe du Monde, et une poignée de joueurs disputaient les matchs de préqualification pour l’Eurobasket 2021.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nContrairement aux joueurs africains qui se répartissent principalement entre la Pro B, la NM1 et la NM2, les joueurs d’origine européenne se retrouvent essentiellement en Jeep Elite avec seulement deux joueurs sur treize qui viennent de Pro B. Voici la liste complète avec leurs statistiques sur les deux matchs disputés lors de cette fenêtre internationale ainsi que quelques informations sur chaque joueur.\\n\\nQualification coupe du Monde 2019 :\\n\\n * Bosnie :\\n \\n * Miralem Halilovic (Orléans, Pro B) – 2,08m – 27 ans – 9 points, 10,5 rebonds, 3,5 passes, 14,5 d’évaluation\\n \\n * Après avoir commencé sa carrière en Bosnie, puis en Croatie, Lituanie et Slovénie, cet intérieur costaud est arrivé en Pro B par la grande porte en signant pour Orléans. Blessé pour les playoffs d’accession l’année dernière, il nous avait confié qu’il ne savait pas que le niveau de la Pro B était aussi bon et qu’il espère jouer en Jeep Elite avec l’OLB. Il a participé une fois à l’Eurobasket avec son pays.\\n \\n \\n * Bulgarie :\\n \\n * Pavel Marinov (Caen, Pro B) – 1,99m – 30 ans – 13,5 points, 2 passes, 8,5 d’évaluation\\n \\n * Essentiellement passé par la Bulgarie, il a découvert la France en 2017 par une pige à Lille. Il s’était alors fait remarquer pour ses qualités de scoreur et notamment de shooteur à longue distance (45% de loin). Cette saison à Caen, c’est plus compliqué pour l’ancien joueur de Sofia qui est deux fois moins efficace qu’il ne l’avait été avec le LMBC. Il a disputé un Eurobasket.\\n \\n \\n\\n * Croatie :\\n \\n * Miro Bilan (LDLC ASVEL, Jeep Elite) – 2,13m – 29 ans – 11 points, 6,5 rebonds, 10,5 d’évaluation\\n \\n * Poste 5 titulaire du leader de Jeep Elite, l’ancien joueur du Cedevita Zagreb est un pivot à l’ancienne très terrestre, très technique et particulièrement dangereux près du cercle. Lui qui a déjà pris part à un Eurobasket et aux Jeux Olympiques ne découvrira pas sa première coupe du Monde cette année.\\n \\n \\n * Grèce :\\n \\n * Ioannis Athinaiou (Fos Provence Basket, Jeep Elite) – 1,94m – 30 ans – 9 points, 2 passes, 7 d’évaluation\\n \\n * Fraichement arrivé à Fos en provenance du PAOK, il est passé par l’Aris Salonique, l’AEK Athènes, Milan ou encore l’Olympiakos. Champion de Grèce en 2016, ce meneur/arrière d’expérience découvre la France pour la première fois cette saison.\\n \\n \\n * Hongrie :\\n \\n * Akos Keller (Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Jeep Elite) – 2,08m – 29 ans – 7,5 points, 6 rebonds, 8 d’évaluation\\n \\n * Ecarté des parquets en début saison en raison d’une appendicite, le quintuple champion de Hongrie fait ses premiers pas en Jeep Elite sous les ordres de Laurent Vila dans le rôle de doublure de Vitalis Chikoko. Costaud. International depuis 2010, il a participé deux fois à l’Eurobasket.\\n \\n \\n\\n * Lettonie :\\n \\n * Aigars Skele (Antibes Sharks, Jeep Elite) – 1,92m – 26 ans – 18 points, 8 rebonds, 3 passes, 24 d’évaluation contre l’Espagne\\n \\n * En pleine mission maintien avec Antibes, le scoreur letton n’a participé qu’à une seule rencontre sur cette fenêtre internationale. En partie formé à Fuenlabrada (Espagne), il a en revanche passé l’intégralité de son début de carrière professionnelle dans son pays d’origine avant de s’engager avec les Sharks l’été dernier. Il a disputé une fois l’Eurobasket.\\n \\n \\n * Lituanie :\\n \\n * Adas Juskevicius (Nanterre 92, Jeep Elite) – 1,94m – 30 ans – 4 points, 2,5 passes, 4,5 d’évaluation\\n \\n * Shooteur attitré de l’effectif de Pascal Donnadieu, il a même participé au concours de tirs à trois points du All Star Game LNB en décembre. Formé à Kaunas, il a débuté sa carrière dans son pays (champion en 2013) avant de s’aventurer en Allemagne, en Espagne ou encore en Turquie.Médaillé d’argent au championnat d’europe U20 en 2008, il a participé à un Eurobasket, une coupe du Monde et aux Jeux Olympiques avec la Lituanie.\\n \\n \\n * Pologne :\\n \\n * AJ Slaughter (LDLC ASVEL, Jeep Elite) – 1,91m – 31 ans – 12 points, 2,5 rebonds, 5,5 passes, 4,5 ballons perdus, 11,5 d’évaluation\\n \\n * International polonais né à Louisville (Etats-Unis), il est bien connu en France pou avoir évolué sous les couleurs de pas moins de quatre clubs (Cholet, Chalon, Strasbourg et Villeurbanne). Passé également par l’Italie, la Belgique, la Grèce et la Turquie, ce scoreur fait partie des gâchettes du championnat.Il a participé deux fois l’Eurobasket et pourrait connaitre sa première coupe du Monde en septembre.\\n \\n \\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WgVYZLvH-es\\n\\n * République Tchèque :\\n \\n * Blake Schilb (Champagne Châlons-Reims Basket, Jeep Elite) – 2m – 35 ans – 5,5 points, 2 passes, 4,5 rebonds, 7 d’évaluation\\n \\n * Dans la liste des tous meilleurs Américains passés par la Pro A/Jeep Elite, il faisait partie de l’aventure chalonnaise lors du triplé historique de 2012. Marié à une femme tchèque, il nous avait confié comprendre la langue de son pays d’adoption et même être capable d’un peu la parler. Il a déjà joué un Eurobasket et pourrait vivre, lui aussi, sa première coupe du Monde.\\n \\n \\n\\nPréqualifications Eurobasket 2021\\n\\n * Suède :\\n \\n * Viktor Gaddefors (Antibes Sharks) – 2,01m – 26 ans – 10,5 points, 5 rebonds, 6,5 d’évaluation\\n \\n * Dans la course au maintien en Jeep Elite avec Antibes aux côtés du Letton Aigars Skele cité plus haut, il a lancé sa carrière dans son pays natal. Après deux ans à Uppsala, il a rejoint l’Italie où il a évolué pendant huit ans entre Bologne, Avellino ou encore Caserte.Il a participé à l’Eurobasket 2013 et la Suède a obtenu son laissez-passer pour les qualifications à l’Eurobasket 2021.\\n \\n \\n\\n * Grande-Bretagne :\\n \\n * Myles Hesson(BCM Gravelines-Dunkerque) – 1,95m – 28 ans – 18 points, 7,5 rebonds, 15 d’évaluation\\n \\n * Bien plus discret avec son club (7,8 d’évaluation par match en Jeep Elite), il fait partie des leaders de sa sélection. Passé par Dijon, Nanterre et plusieurs clubs allemands, il a participé à l’Eurobasket 2013. La Grande-Bretagne a terminé deuxième de son groupe et devra participer aux troisième tour de préqualification pour tenter d’atteindre le stade des qualifications pour l’Euro.\\n \\n \\n * Macédoine :\\n \\n * Richard Hendrix (Le Mans) – 2,03m – 32 ans – 8 points, 9 rebonds, 13 d’évaluation contre Roumanie\\n \\n * Gros CV de Jeep Elite passé par plusieurs écuries d’Euroleague, il a renforcé le secteur intérieur du MSB cet été après les départs de Roméo Travis et Youssoupha Fall, même s’il ne répond pas forcément toujours aux attentes de son coach. Né dans l’Alabama (Etats-Unis) et qualifié pour les qualifications à l’Eurobasket 2021, il n’a pas encore disputé de grande compétition avec son pays d’adoption.\\n \\n \\n\\n[armelse]\\n\\nContrairement aux joueurs africains qui se répartissent principalement entre la Pro B, la NM1 et la NM2, les joueurs d’origine européenne se retrouvent essentiellement en Jeep Elite avec seulement deux joueurs sur treize qui viennent de Pro B. Voici la liste complète avec leurs statistiques sur les deux matchs disputés lors de cette fenêtre internationale ainsi que quelques informations sur chaque joueur.\\n\\nQualification coupe du Monde 2019 :\\n\\n * Bosnie :\\n \\n * Miralem Halilovic (Orléans, Pro B) – 2,08m – 27 ans – 9 points, 10,5 rebonds, 3,5 passes, 14,5 d’évaluation\\n \\n * Après avoir commencé sa carrière en Bosnie, puis en Croatie, Lituanie et Slovénie, cet intérieur costaud est arrivé en Pro B par la grande porte en signant pour Orléans. Blessé pour les playoffs d’accession l’année dernière, il nous avait confié qu’il ne savait pas que le niveau de la Pro B était aussi bon et qu’il espère jouer en Jeep Elite avec l’OLB. Il a participé une fois à l’Eurobasket avec son pays.\\n \\n \\n * Bulgarie :\\n \\n * Pavel Marinov (Caen, Pro B) – 1,99m – 30 ans – 13,5 points, 2 passes, 8,5 d’évaluation\\n \\n * Essentiellement passé par la Bulgarie, il a découvert la France en 2017 par une pige à Lille. Il s’était alors fait remarquer pour ses qualités de scoreur et notamment de shooteur à longue distance (45% de loin). Cette saison à Caen, c’est plus compliqué pour l’ancien joueur de Sofia qui est deux fois moins efficace qu’il ne l’avait été avec le LMBC. 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Alex Tyus (2,03m, 30 ans), le pivot du Maccabi, s’est exprimé à ce sujet\\n\\n« La ligue israélienne continue à nous donner deux matchs de championnat avant des matchs d’EuroLeague. Je ne sais pas comment cela se passe dans d’autres pays. C’est malheureux, mais nous devons nous concentrer sur le jeu et pas trop penser à l’avenir »\\n\\nMême son de cloche pour l’arrière DeAndre Kane (1,96m, 29 ans):\\n\\n«Je sais que c’est vraiment important. Mais je pense que nous disputons trop de matchs de la Ligue israélienne en cette période où nous avons d’importants matches de EuroLeague. C’est comme ça que se passe dans la ligue ».\\n\\nDe quoi renforcer la tension entre certains clubs d’EuroLeague et leurs championnats locaux, comme on peut le voir en Espagne où un club comme le Real Madrid menace de quitter la Liga ACB tandis que le FC Barcelone exige moins de matchs par saison.\\n\\nPhoto: Alex Tyus (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 3 600 abonnés à Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’un point-presse sur le projet 3.0, le président du Limoges CSP, Youri Verieras, a annoncé que son club compte à ce jour 3 600 abonnés, partenaires et particuliers, avec un taux de remplissage de 92,5%.\\n\\nYouri Verieras s’est par ailleurs félicité du succès de l’application du CSP comme le rapporte Le Populaire:\\n\\n« L’application nous a permis de générer près de 65.000 euros hors taxe de revenus supplémentaires. Elle nous permet de dépasser les frontières. »\\n\\nCette application compte 6.000 abonnés Premium et a été téléchargée 15.500 fois. 2.500 supporters limougeauds y sont connectés les soirs de match." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B : toutes les nouvelles recrues qualifiées" }, {"role": "assistant", "content":"Toutes les équipes de LNB avaient jusqu’à ce jeudi 28 février pour recruter des nouveaux joueurs dans la limite des seize contrats disponibles par an et par équipe. Ce règlement ne s’appliquant pas pour les pigistes médicaux.\\n\\nLa LNB a communiqué sur les nouvelles qualifications et tous les joueurs recrutés ces derniers jours ont été qualifiés pour la prochaine journée de championnat. Voici la liste complète.\\n\\nJeep Elite :\\n\\n * Guy Landry Edi, 1,98m, 30 ans, Châlons-Reims\\n * Kendrick Ray, 1,88m, 25 ans, Le Mans\\n * Will Daniels, 2,02m, 31 ans, Levallois\\n * Nathan Jawai, 2,09m, 31 ans, Levallois\\n * Dee Bost, 1,88m, 29 ans, Monaco\\n * David Andersen, 2,13m, 38 ans, Strasbourg\\n * Nathan Sobey, 1,90m, 28 ans, Strasbourg\\n * Yannis Morin, 2,08m, 25 ans, Châlons-Reims (transformation de contrat pour le reste de la saison)\\n * Paul Harris, 1,95m, 32 ans, Le Portel (transformation de contrat pour le reste de la saison)\\n\\nPro B :\\n\\n * Ryan Brooks, 1,93m, 30 ans, Aix-Maurienne\\n * Yllyes Berbar, 1,95m, 17 ans, Aix-Maurienne\\n * Will Hanley, 2m, 28 ans, Caen\\n * Bryan Pamba, 1,84m, 27 ans, Caen\\n * Tiegbe Bamba, 2,04m, 28 ans, Chartres\\n * Aubrey Coleman, 1,93m, 31 ans, Chartres\\n * Patrick Clerence, 2,05m, 30 ans, Chartres (transformation de contrat pour le reste de la saison)\\n * Chima Moneke, 1,90m, 23 ans, Denain (jusqu’au 18 mars 2019)\\n * Drissa Ballo, 2,03m, 23 ans, Evreux (jusqu’au 15 mars 2019)\\n * Aurélien Rigaux, 1,76m, 30 ans, Gries-Oberhoffen\\n * Soriah Bangura, 1,96m, 25 ans, Lille\\n * Antoine Mendy, 1,98m, 35 ans, Lille\\n * Marcellus Sommerville, 2m, 37 ans, Nancy (transformation de contrat pour le reste de la saison)\\n * Mickael Var, 2,05m, 28 ans, Poitiers\\n * Rokas Uzas, 2,02m, 30 ans, Saint-Chamond\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"David Blatt (Olympiakos) : «Les fenêtres qualificatives nous affectent et ce n’est pas la première fois»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview accordée à Eurohoops, l’entraîneur de l’Olympiakos David Blatt à émis son avis sur les fenêtres de qualifications de la FIBA.\\n\\n« J’en ai parlé plus d’une fois. C’est un problème qui peut toucher toutes les équipes en Europe. Dans ce cas, cela nous affecte et ce n’est pas la première fois (en parlant de la blessure de Janis Strelnieks). Ce qui me dérange le plus, c’est que nous avons laissé nos joueurs partir dans leur équipes nationales, sachant que ces matchs sont importants pour les joueurs eux-mêmes. Nous envoyons des joueurs dans leurs sélections et nous les voyons tout à coup jouer 38 ou 39 minutes par match, ce qu’ils ne font même pas dans un match d’EuroLeague ».\\n\\nEn conclusion, il a déclaré:\\n\\n« Vous vous demandez alors quel genre de respect et quelle compréhension nous avons pour nous les clubs. Je pense que c’est terriblement irresponsable, c’est dangereux aussi bien pour les joueurs que pour les équipes. Je ne peux rien faire à ce sujet, sauf de vous dire que je pense que c’est une chose moche. Ceux qui en sont responsables doivent le savoir »." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Des images du titre de la Chorale de Roanne en 1959" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a tout juste 60 ans, le 28 février 1959, la Chorale de Roanne remportait le titre de champion de France. A cette occasion, le club de la Loire a ressorti ce document: la finale contre l’ASVEL (victoire 67-52) qui s’était tenue au palais des sports de Tours. Rares sont les images du basket français de cette époque.\\n\\nPhoto: André Vacheresse\\n\\n\\n\\n\\nIl y a 60 ans jour pour jour, la Chorale montait sur le toit du basket français 🔝🏆\\nVacheresse, Rhodamel, Guillaume, Villecourt, Chaptard, Ré : à jamais les premiers 🙌🙏#ChoraleNation pic.twitter.com/izY0z7PoTW\\n\\n\\n— Chorale Roanne Basket (@ChoraleRoanne) February 28, 2019" }, {"role": "user", "content":"Affluences en Pro B: 1 841 spectateurs à mi-parcours, le SLUC Nancy largement numéro 1" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’est pas une surprise: le SLUC Nancy est en tête des affluences de Pro B à l’issue des matches allers avec 4 623 spectateurs en moyenne. C’est un résultat supérieur au chiffre final de la saison écoulée: 4 391.\\n\\nLe SLUC devance ainsi deux autres clubs qui ont connu récemment la Pro A/Jeep Elite, la Chorale de Roanne et Orléans Loiret Basket. On remarque que l’écart entre les trois membres du podium est significatif.\\n\\nC’est évidemment le SLUC qui détient aussi le record sur un match: 5 625 contre Denain.\\n\\nLa moyenne nationale en Pro B s’établit à 1 841. Elle était de 1 948 en fin de saison dernière." }, {"role": "user", "content":"La FFBB bien positionnée sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"Une étude réalisée par Sportricolore.fr démontre que la FFBB est bien placée vis à vis des autres fédérations sportives en ce qui concerne les réseaux sociaux.\\n\\nElle se positionne à la troisième place sur facebook, à la quatrième sur twitter et à la cinquième sur Instagram. Pas de clubs de Jeep Elite à l’horizon dans les top 10 squattés par le foot (beaucoup) et le rugby (un peu). Sur un plan individuel, Tony Parker surnage dans un océan de footballeurs; c’est du meneur des Hornets dont on parle, pas du président de l’ASVEL. Son comparse Nicolas Batum est l’autre basketteur à apparaître, à la 10e place sur twitter." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Marcellus Sommerville reste à Nancy jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Appelé en renfort pour pallier l’absence d’Anthony Goods, Marcellus Sommerville (2m, 37 ans), qui avait signé pour deux mois, prolonge son aventure avec le SLUC jusqu’à la fin de la saison 2018/19.\\n\\nEn début de saison en Israël, l’ancien joueur d’Orléans a fait son retour à Nancy sept ans après son premier passage (2012/13). Très vite indispensable dans l’effectif de Christian Monschau, c’est tout naturellement que le vétéran a trouvé un accord pour continuer avec l’ambitieuse formation nancéienne qui pointe aujourd’hui à la deuxième place du classement (13v-5d), ex aequo avec Orléans et Vichy-Clermont.\\n\\nCette saison en Pro B, Marcellus Sommerville tourne à 16,8 points et 7,5 rebonds pour une évaluation de 19,3.\\n\\n\\n\\n\\nMarcellus Sommerville (@bubraves15) poursuit l’aventure au @SLUCbasketNancy jusqu’à la fin de la saison 2018-2019 ! 🏀💪🏼#GoSLUC pic.twitter.com/Ihp6TA8riG\\n\\n\\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) February 28, 2019\\n\\nPhoto : SLUC Nancy" }, {"role": "user", "content":"Champions League : les 10 meilleurs contres de saison régulière" }, {"role": "assistant", "content":"A une semaine du début des 16es de finales de Champions League, le top 10 des meilleurs contres de la saison régulière est sorti, juste après celui des meilleures passes.\\n\\nA la huitième place, le Nanterrien Julian Gamble fait bonne figure avec son gros contre sur le meneur de jeu du PAOK, William Hatcher. Seul représentant français de ce top 10, Amath M’Baye est classé quatrième après avoir réussi la performance d’aller contrer e géant Youssoupha Fall en très haute altitude.\\n\\nLe Mans et Nanterre sont les deux derniers clubs français encore en course dans la compétition. Le MSB recevra Bologne le 5 mars, et Nanterre accueillera le Besiktas le lendemain.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Solo Diabate est revenu au SLUC Nancy après sa qualification à la Coupe du monde: «C’est une sacrée performance»" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur du SLUC Nancy Solo Diabate est revenu HEUREUX du tournoi qualificatif à la Coupe du Monde de la zone Afrique qui s’est tenu le week-end dernier à Abidjan. La Côte d’Ivoire a battu ses trois adversaires avec un point average de +73 nécessaire pour gagner un ticket pour la Chine au détriment du Cameroun. Il s’est confié à L’Est Républicain:\\n\\n« C’était un moment spécial que j’ai savouré tranquille avec mes amis. Mais, j’étais cuit après trois matchs en trois jours sous la chaleur. Il faisait entre 37 et 40° à Abidjan, le week-end dernier. Lundi, on a été reçu par le Ministre des Sports. On a tous espéré être reçu par le Président de la République (rires), c’était dans les tuyaux mais finalement, ça ne s’est pas fait (...) C’est une sacrée performance. J’en suis très fier d’autant que j’ai joué devant toute ma famille. C’est magnifique pour le basket ivoirien qui en a besoin. Cette participation à la Coupe du Monde va donner un second souffle à notre sport, dans notre pays. Pour moi, je vous le répète, ça a été un moment très spécial. »\\n\\nEn attendant la Coupe du Monde, Solo Diabaté va enchaîner directement avec demain la réception de Caen.\\n\\n« Je ne voulais pas couper car j’avais besoin de travailler et de jouer. N’oubliez pas que je n’ai pas eu de préparation avec le SLUC cette année. Franchement, physiquement, ça m’a fait du bien et j’ai bien récupéré. Je ne me sens pas du tout fatigué... »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Champions League : les 10 meilleures passes de la saison régulière" }, {"role": "assistant", "content":"A une semaine du début des 16es de finales de Champions League, le top 10 des meilleures passes de la saison régulière est sorti.\\n\\nSi Khalif Wyatt culmine en haut du classement avec une magnifique passe dans le dos pleine d’inspiration, on retrouve deux représentants des clubs français dans ce top. D’abord Richard Hendrix pour Le Mans à la neuvième place, puis Mike Green pour Strasbourg à la huitième place.\\n\\nLe Mans et Nanterre sont les deux derniers clubs français encore en course dans la compétition. Le MSB recevra Bologne le 5 mars, et Nanterre accueillera le Besiktas le lendemain.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Afrique: Les joueurs des championnats de France qui ont représenté leurs pays durant la fenêtre internationale de février" }, {"role": "assistant", "content":"Durant un peu plus d’une semaine, une trentaine de joueurs étrangers -dont plusieurs possèdent aussi le passeport français- évoluant dans les championnats de France étaient aux quatre coins du monde pour représenter leur sélection nationale. La plupart officiaient dans le cadre des qualifications pour la coupe du Monde, et une poignée de joueurs disputaient les matchs de pré-qualification pour l’Eurobasket 2021.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est sur le continent africain que l’on trouve le plus de joueurs évoluant dans les championnats français. Rien qu’en Côte d’Ivoire, ils étaient sept joueurs de LNB lors du tournoi d’Abidjan. Ils étaient également six pour la Centrafrique et cinq pour le Sénégal. Voici la liste complète avec leurs statistiques sur les deux matchs disputés lors de cette fenêtre internationale ainsi que quelques informations sur chaque joueur.\\n\\n * \\n \\n \\n \\n Côte d’Ivoire :\\n \\n \\n * Solo Diabaté (SLUC Nancy, Pro B) – 1,82m – 31 ans – 12,5 points, 2,5 passes, 1,5 rebond, 10 d’évaluation\\n \\n * Meneur de jeu référencé en Jeep Elite passé par Dijon, Roanne ou encore Gravelines, il a également tenté sa chance en Macédoine et en Chine. Cette saison, il est à la barre du SLUC Nancy malgré quelques problèmes de santé à son arrivée.Il a participé six fois à l’Afrobasket, et une fois à la coupe du Monde, et il nous a confié vouloir demander la nationalité française.\\n \\n * Guy-Landry Edi (Poitiers Basket 86, Pro B) – 1,96m – 30 ans – 10 points, 3,5 passes, 5,5 rebonds, 11 d’évaluation\\n \\n * Formé aux Etats-Unis entre les universités de Midland College et Gonzaga, il fait carrière en France depuis 2013 entre Châlons-Reims, Le Havre, Saint-Chamond, Nantes et Poitiers (contrat terminé le 25/02/19) et de nouveau Châlons-Reims. En début de saison, il a tenté sa chance en Finlande, au Kataja Basket.Il possède la double nationalité franco-ivoirienne et a pris part à une fois à la coupe du Monde et deux fois à l’Afrobasket.\\n \\n \\n\\n * Vafessa Fofana. (Nantes, Pro B) – 1,98m – 26 ans – 15 points, 1,5 passe, 2,5 rebonds, 17 d’évaluation\\n \\n * Leader de la sélection, ce Franco-ivoirien joue actuellement le meilleur basket de sa carrière sous le maillot de Nantes, en Pro B. Passé par Saint-Vallier et Denain, il a connu sa première expérience en Jeep Elite la saison dernière avec Hyères-Toulon. En 2012, il a été présélectionné avec l’Equipe de France U20. A 25 ans, il n’a encore jamais participé à une compétition internationale avec son pays.\\n \\n * Jean-François Kebe (Saint-Quentin, NM1) – 1,85m – 24 ans – 8 points, 4,5 passes, 2 rebonds, 10,5 d’évaluation\\n \\n * Plus jeune et moins connu que ses autres compatriotes présents dans cette liste, il est passé par Nantes et Orchies pour une poignée de minutes en moyenne. Il vit actuellement sa deuxième saison à Saint-Quentin qu’il a rejoint après une première saison en Nationale 1, au GET Vosges.\\n \\n * Mohamed Kone (Vichy-Clermont, Pro B) – 2,11m – 37 ans – 8 points, 1,5 passe, 8 rebonds, 11 d’évaluation\\n \\n * Deuxième joueur le plus âgé de sa sélection (38 ans le 24 mars), il est passé par la France, la Turquie, l’Espagne, l’Iran, le Liban et le Qatar. Il fait le bonheur de Guillaume Visage à Vichy-Clermont depuis 2017. Il possède la double nationalité franco-ivoirienne. Avec la Côte d’Ivoire il a disputé trois foisl’Afrobasket et une coupe du Monde.\\n \\n\\n * Bryan Pamba (Chorale Roanne, Pro B) – 1,87m – 27 ans – 14 points, 2,5 passes, 2,5 rebonds, 11 d’évaluation\\n \\n * Il sort d’une pige de deux mois à Roanne et vient de rebondir à Caen. Vainqueur de la Leaders Cup Pro B, l’ancien Lillois est d’abord connu pour ses qualités défensives, mais c’est au scoring qu’il s’est illustré avec la Côte d’Ivoire sur cette fenêtre internationale.\\n \\n * Fréjus Zerbo (JL Bourg-en-Bresse, Jeep Elite) – 2,10m – 29 ans – 1 passe, 1,5 rebond, 1 d’évaluation\\n \\n * Double champion de France avec Limoges, il est bien connu en France car c’est dans l’Hexagone qu’il a toujours fait carrière entre Le Havre, Gravelines, Limoges, Antibes et Bourg-en-Bresse. Alors qu’il a disputé un Afrobasket avec la Côte d’Ivoire ce colosse de 29 ans est né au Burkina Faso et possède la double nationalité.\\n \\n\\n * \\n \\n \\n \\n Mali :\\n \\n \\n * Souarata Cissé (Brissac Anjou Basket, NM1) – 1,96m – 33 ans – 2,5 points, 2 passes, -3 d’évaluation\\n \\n * Né à Montreuil, il est le plus français des Maliens de son équipe. A Brissac depuis 2017, il est actuellement sans club après que le BAB ait fait banqueroute il y a quelques mois. Avant cela, il est passé par Pau, Nanterre, Lille, Nantes ou encore Orchies.Il a participé à un Afrobasket avec le Mali, mais en sélections jeunes c’est le maillot de l’Equipe de France qu’il portait. En 2004, il a même décroché la médaille de bronze avec les U18 au championnat d’Europe aux côtés de Johan Petro et Charles Kahudi.\\n \\n \\n\\n * Nianta Diarra (Boulazac Basket Dordogne, Jeep Elite) – 2,05m – 25 ans – 8 points, 4 rebonds, 6,5 d’évaluation\\n \\n * Le Havre, Hyères-Toulon, Souffelweyersheim, Antibes puis Boulazac. Voilà les clubs par lesquels est passé cet ailier fort de 25 ans après avoir fait sa formation au STB. Natif de Bamako, il n’a encore jamais disputé la moindre compétition internationale avec son pays.\\n \\n * Mahamadou Drame (Feurs, NM1) – 1,85m – 32 ans – 4,5 points, 1,5 rebond, 3,5 d’évaluation\\n \\n * Cette saison à Feurs, ce poste 2 né à Paris est passé par la Pro B (Levallois, Aix-Maurienne, Clermont, Nantes, Souffelweyersheim) et la Suisse (Lausanne) plus tôt dans sa carrière, après avoir été formé à Roanne et Clermont. Avec le Mali, il a participé à un Afrobasket.\\n \\n\\n * \\n \\n \\n \\n Nigéria :\\n \\n \\n * Obi Emegano (Dijon, Jeep Elite) – 1,90m – 25 ans – 7,5 points, 3 rebonds, 3,5 d’évaluation\\n \\n * Il s’est fait remarquer en Pro B avec Rouen la saison dernière pour ses grosses qualités de scoreur (47 points en playoffs contre Orléans). Avant cela, il a lancé sa carrière en seconde division italienne avant de terminer la saison en Pologne. Cet été, il s’est engagé en faveur de la JDA Dijon et possède aussi un passeport britannique.\\n \\n \\n\\n * Ekene Ibekwe (Levallois Metropolitans, Jeep Elite) – 2,06 – 33 ans – 0,5 rebond\\n \\n * Champion de France de Pro B en 2008 puis de Pro A en 2017 et champion d’Australie en 2015, il fait partie des anciens de la sélection nigériane avec un Afrobasket (médaille de bronze), une coupe du Monde et deux Jeux Olympiques à son actif. Aujourd’hui à Levallois, il n’a été que très peu utilisé lors de cette fenêtre (5 minutes par match).\\n \\n\\n * \\n \\n \\n \\n Centrafrique :\\n \\n \\n * Destin Damachoua (SO Pont de Cheruy, NM2) – 1,85m – 32 ans – 12 points, 2,5 rebonds, 4 passes, 8 d’évaluation\\n \\n * Né à Paris, puis formé aux Etats-Unis, il est passé par la NM1 à Bordeaux et Lorient, mais c’est aujourd’hui une division en-dessous qu’il évolue. Alors qu’il a toujours vécu en France, il a participé trois fois à l’Afrobasket. Il confiait il y a quelques années que les préparations d’avant compétitions sont réduites au strict minimum en raison des conflits présents dans le pays.\\n \\n \\n\\n * Jimmy Djimrabaye (Quimper, Pro B) – 2,03 – 26 ans –7,5 points, 6 rebonds, 9 d’évaluation\\n \\n * Sans club à la reprise 2018, il a été engagé en octobre par Quimper en tant que joker médical. Avec quatre participations à l’Afrobasket à son actif, il fait partie des joueurs expérimentés de l’effectif. Passé par Vichy, Denain, Le Portel, Gravelines ou Orléans, il évolue en France depuis dix ans.\\n \\n * William Kossangue (Stade de Vanves, NM2) – 1,96m – 32 ans – 4 points, 2,5 passes, 3,5 d’évaluation\\n \\n * Habitué des divisions nationales françaises, cet athlétique ailier a passé le plus clair de son temps en Nationale 2 après avoir été formé aux Etats-Unis. Né à Bangui, il compte quatre Afrobasket disputés à son actif.\\n \\n * Max Kouguere (Antibes Sharks, Jeep Elite) – 1,99m – 31 ans – 6 points, 2,5 passes, 2,5 rebonds, 6 d’évaluation\\n \\n * Dans sa dixième saison en LNB, il est à la lutte pour le maintien en Jeep Elite avec Antibes après être notamment passé par Gravelines, Le Mans ou encore Le Havre. Né en République Démocratique du Congo où il a commencé le basket dans la rue, et c’est bien en faveur de la Centrafrique que l’ancien joueur de l’Elan Béarnais a disputé sept l’Afrobasket.\\n \\n * Yannick Zachée(Le Cannet Côte d’Azur Basket, NM2) – 1,94m – 32 ans – 1,5 point, 2,5 passes, 3 d’évaluation\\n \\n * Bien connu dans les divisions nationales françaises, cet arrière tonique franco-centrafricain est né dans les Yvelines. Formé à Roanne, il est passé par Fos, Roanne – avec qui il a été champion de France en 2007 -, Vichy, Genève ou encore Charleville-Mézières. En mars 2018, il a été victime d’une rupture du tendon d’Achille. Cette saison, il évolue aux côtés de son compatriote Max Zianveni, au Cannet. Il a participé trois fois à l’Afrobasket.\\n \\n\\n * Maxime Zianveni (Le Cannet Côte d’Azur Basket, NM2) – 1,98m – 39 ans – 1,5 point, 4 rebonds, 6 d’évaluation\\n \\n * Aujourd’hui au Cannet, en quatrième division nationale, le double All Star de Pro A est bien connu en France. Passé par Nancy, Chalon, Le Havre, Strasbourg, Châlons-Reims, Charleville-Mézières et Boulazac, l’ancien joueur de l’APOEL Nicosie a été quatre fois finaliste de Pro A(trois fois avec le SLUC et une fois avec la SIG). Il a également remporté une Coupe Korac et une Semaine des As. Avec la Centrafrique, il a pris part à un Afrobasket.\\n \\n\\n * \\n \\n \\n \\n Sénégal :\\n \\n \\n * Xane Dalmeida (Charleville-Mézières, NM1) – 1,83m – 36 ans – 7 points, 4 rebonds, 7 passes, 13 d’évaluation contre le Nigéria\\n \\n * Formé à Pau après être né à Paris, ce meneur franco-sénégalais est passé par l’Elan Béarnais, Limoges et Dijon en Pro B et Pro A. Depuis 2013, ce très bon passeur souvent en vedette des Top 10 CourtCuts, ravi les spectateurs de Nationale 1. Triple champion de France Espoirs avec l’EBPLO, il a aussi été champion de France en 2004 et vainqueur de la coupe de France en 2007. Avec le Sénégal, il a pris part à deux Afrobasket et une coupe du Monde.\\n \\n \\n\\n * Moïse Diame (Saint-Vallier, NM1) – 2,06m – 32 ans – 5 points, 5,5 rebonds, 10 d’évaluation\\n \\n * Parmi les tous meilleurs intérieurs de Nationale 1, le natif de Dakarfait partie des rares basketteurs qui continuent d’allier basket et métier ordinaire. Depuis qu’il a obtenu son diplôme en 2010, il officie en tant qu’ingénieur en parallèle de sa vie de basketteur. Passé par Rueil et Blois, il a payé la liquidation de Brissac cette saison et vient de trouver un point de chute à Saint-Vallier. Il a participé à un Afrobasket.\\n \\n * Lamine Sambe (Rueil, NM1) – 1,88m – 29 ans – 12 points, 2 passes, 8 d’évaluation\\n \\n * Né à Orléans, il a été formé à Pau où il a ensuite signé en pro et avec qui il a été champion de Pro B en 2010. Egalement passé par Antibes et Evreux en Pro B, il est ensuite parti en NM1, à Cognac. En 2015, il s’engage avec le club de Rueil pour lequel il joue toujours. Il a disputé une fois l’Afrobasket, mais il a porté le maillot de l’Equipe de France en U16, U18 et U20 avant cela pour deux médailles d’argent.\\n \\n\\n * Youssou Ndoye (JL Bourg-en-Bresse, Jeep Elite) – 2,11m – 27 ans – n’a pas joué\\n \\n * Finaliste de la Leaders Cup il y a un peu moins de deux semaines, il a été laissé au repos mais était tout de même présent sur le banc sénégalais lors des deux rencontres. Pivot dominant, il a toujours des rêves de NBA après avoir été formé à l’Université de St. Bonaventure à New York, puis passé par les Spurs d’Austin, en G-League. Depuis deux saisons, il forme une paire de très haut niveau avec Zachery Peacock dans la raquette de Bourg-en-Bresse. Il a participé une fois à l’Afrobasket.\\n \\n * Djibril Thiam (SO Pont de Cheruy, NM2) – 2,06m – 32 ans – 6,5 points, 3 rebonds, 5,5 d’évaluation\\n \\n * Né à Dakar, il évolue en club aux côtés du Centrafricain, Destin Damachoua, et est arrivé en provenance des Plano Mighty Kings. Club évoluant en ABA (American Basketball Association), une ligue mineure américaine. Avec son pays natal, ila disputé une fois l’Afrobasket et une fois la coupe du Monde.\\n \\n\\n[armelse]\\n\\nC’est sur le continent africain que l’on trouve le plus de joueurs évoluant dans les championnats français. Rien qu’en Côte d’Ivoire, ils étaient sept joueurs de LNB lors du tournoi d’Abidjan. Ils étaient également six pour la Centrafrique et cinq pour le Sénégal. Voici la liste complète avec leurs statistiques sur les deux matchs disputés lors de cette fenêtre internationale ainsi que quelques informations sur chaque joueur.\\n\\n * \\n \\n \\n \\n Côte d’Ivoire :\\n \\n \\n * Solo Diabaté (SLUC Nancy, Pro B) – 1,82m – 31 ans – 12,5 points, 2,5 passes, 1,5 rebond, 10 d’évaluation\\n \\n * Meneur de jeu référencé en Jeep Elite passé par Dijon, Roanne ou encore Gravelines, il a également tenté sa chance en Macédoine et en Chine. Cette saison, il est à la barre du SLUC Nancy malgré quelques problèmes de santé à son arrivée.Il a participé six fois à l’Afrobasket, et une fois à la coupe du Monde, et il nous a confié vouloir demander la nationalité française.\\n \\n * Guy-Landry Edi (Poitiers Basket 86, Pro B) – 1,96m – 30 ans – 10 points, 3,5 passes, 5,5 rebonds, 11 d’évaluation\\n \\n * Formé aux Etats-Unis entre les universités de Midland College et Gonzaga, il fait carrière en France depuis 2013 entre Châlons-Reims, Le Havre, Saint-Chamond, Nantes et Poitiers (contrat terminé le 25/02/19). En début de saison, il a tenté sa chance en Finlande, au Kataja Basket.\\n \\n \\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : FIBA" }, {"role": "user", "content":"La LNB et DLSI se mobilisent pour l’emploi" }, {"role": "assistant", "content":"Du 1er au 11 mars, la LNB et son partenaire DLSI se mobilisent pour l’emploi avec les Journées de l’Emploi DLSI, sur l’ensemble des rencontres de Jeep Élite et de PRO B. Cette initiative va permettre à chacun d’envoyer son CV par mail à des experts du recrutement.\\n\\n\\nLors de ces Journées de l’Emploi, les CV envoyés seront analysés par DLSI et feront l’objet d’un retour.\\n\\nChaque club de la LNB relaiera cette opération dans les salles en communiquant via leurs panneaux LED et des annonces sonores dédiées.\\n\\nUne adresse email spécifique a été mise en place pour l’envoi des CV : lnb@groupedlsi.com\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/2187839958100011/UzpfSTEyMzc4NDYwNDMyNzQ3MDoyMjI4Nzk0MjgzODI2NDgx/" }, {"role": "user", "content":"Officiel : six semaines d’absence pour Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque)" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le meilleur des cas il devait manquer un mois de compétition, ça sera finalement deux semaines de plus pour Alain Koffi (2,07m, 35 ans).\\n\\nLa Voix du Nord rapporte que le diagnostic des trois spécialistes est tombé, ça sera six semaines d’arrêt pour l’international tricolore. Touché à l’épaule à l’entraînement la veille du départ pour la Finlande avec l’Equipe de France, l’ancien joueur de Rouen souffre d’une lésion musculaire et tendineuse. Son retour est espéré le 6 avril pour le match face à Pau, son ancien club. Cette saison, Alain Koffi compile en moyenne 10,2 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 13,2.\\n\\nPendant l’absence de son vétéran, le BCM Gravelines-Dunkerque n’engagera pas de joker médical.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Russie: Andrew Harrison remplace Dee Bost au Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Fraîchement séparé de Dee Bost qui va s’engager avec l’AS Monaco, le Khimki Moscou semble avoir déjà trouvé son remplaçant puisque selon Emiliano Carchia de Sportando, l’arrière Andew Harrison (1,93m, 24 ans) a signé un contrat avec le club moscovite jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nCe sera la première expérience en Europe pour celui qui fut 44ème choix de la draft 2015, et qui a alterné depuis entre la NBA et la G-League. Ce sera aussi son quatrième club cette saison après les Memphis Grizzlies (1 match), les Cleveland Cavaliers (10 matches) et les New Orleans Pelicans (6 matches)." }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (23 février)" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Jordan Henaff et Michel Nsimba (Rezé Basket 44, NM2) qui pointent à la première place du classement grâce à une contre-attaque tonitruante." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le Barça ne veut pas quitter l’ACB mais exige moins de matches" }, {"role": "assistant", "content":"Selon un article paru dans Mundo Deportivo, le FC Barcelone ne souhaite pas quitter l’Asociación de Clubs de Baloncesto (ACB) mais met une forte pression sur l’ensemble des clubs qui la compose.\\n\\nLe Barça infirme une information du quotidien qui avait écris que si le Real Madrid quittait l’ACB, Baskonia Vitoria et Barcelone l’accompagneraient dans sa démarche.\\n\\n« En fait, à l’heure actuelle, le Barça est plus proche des positions de l’ACB que du Real Madrid dans le conflit ouvert par le club à la suite de la résolution controversée de la finale de la Copa del Rey au cours de laquelle le Barça a remporté le trophée (93-94) après deux erreurs criantes du corps arbitral, une contre chaque équipe », rectifie Mundo Deportivo.\\n\\nLe Real Madrid, le Barça et Baskonia avaient envisagé ensemble il y a deux ans la possibilité de quitter l’ACB et de créer un championnat national alternatif mais cela aurait constitué un casse-tête juridique. En outre, depuis lors, l’ ACB a changé de président (Antonio Martín) et une grande partie de sa direction et les frictions avec les «grands» s’étaient considérablement adoucies jusqu’à l’épisode de la finale de la Coupe du Roi.\\n\\nMais avec la multiplication des matches en Euroleague en 2019-20 dû au passage à 18 clubs dont l’ASVEL, le Barça souhaite que l’ACB réduise sa voilure :\\n\\n« Le Barça n’envisage pas aujourd’hui de quitter l’ACB, nous ne participons à aucune menace de ce type. En tant que club, nous attendons avec impatience la réduction du nombre de matches, un sujet sur lequel nous travaillons. C’est ce qui attire notre attention. Et ce sera notre position jusqu’à ce que nous sachions comment résoudre ce problème « , a communiqué le club catalan." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage de France 3 sur Sasa Obradovic, le nouveau coach de Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"La venue de Sasa Obradovic comme coach de l’AS Monaco est un évènement en Principauté et aussi pour toute la France du basket. France 3 Alpes-Provence Côte d’Azur lui consacre ce reportage.\\n\\nPhoto: Manuel Vitali (AS Monaco)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre – 8 000 spectateurs attendus à Dax pour les finales de la Coupe des Landes" }, {"role": "assistant", "content":"La Coupe des Landes est un évènement XXL dans le département. Cette année, le Comité départemental a décidé d’apporter une dimension encore supérieure aux finales. Elles ne se dérouleront pas à Gamarde-les-Bains mais aux arènes de Dax, le 25 mai. Celles-ci peuvent accueillir jusqu’à 8 000 spectateurs.\\n\\nSur ces 8.000 places, 1.500 ont été offertes à des jeunes et les licenciés landais ont droit à une prévente à un tarif préférentiel avant que la billetterie soit ouverte au grand public le 1er mars.\\n\\nAttention: les arènes de Dax ne sont pas couvertes et si la météo n’est pas bonne, les finales seront décalées au 1er juin.\\n\\nhttps://www.facebook.com/cd40basket/videos/306494336679372/" }, {"role": "user", "content":"Patricio Garino (Vitoria) : «J’ai voulu pendant un moment arrêter le basket»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à Eurohoops, l’ailier argentin de Baskonia Vitoria Patricio Garino (1,98m, 25 ans) a avoué avoir songé à stopper sa carrière ces derniers mois, à cause de blessures à répétitions.\\n\\n« Mentalement, je suis passé par toutes les émotions, à cause d’une rechute, j’ai voulu pendant un moment rentrer en Argentine, arrêter le basket et repartir sur de nouvelles bases ».\\n\\nIl est vrai que l’international argentin n’a pas été épargné par les blessures tout au long de sa carrière. La saison dernière, il a en a connu plusieurs à la jambe et à la mâchoire, alors que cette saison, il a manqué neuf matchs d’EuroLeague à cause d’une rupture du ligament collatéral fibulaire en novembre, puis d’une déchirure musculaire à la jambe droite contractée en janvier.\\n\\n«Mais maintenant, c’est parti. Avec l’aide de nombreuses personnes, j’ai pu aller de l’avant et je suis maintenant dans une attitude positive. La vérité est que mon désir de jouer est très difficile à décrire avec des mots. J’ai eu tellement de temps libre, tant de problèmes. J’ai vraiment envie de jouer. J’essaie de contrôler mes émotions, le désespoir et l’anxiété parce que j’ai traversé beaucoup de difficultés », a également déclaré Garino dans cette interview." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand l’ancienne joueuse Katia Clanet raconte son désamour avec les Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Kadia Clanet est une ancienne joueuse de Ligue Féminine, qui a passé quatre saisons à Nantes-Rezé jusqu’en juin dernier. C’est aussi la fille de l’ancienne superstar du basket soviétique et russe, Elena Koudashova et de l’ex-président de Challes, Jean-Claude Clanet.\\n\\nEtudiante en Langues étrangères appliquées, en anglais, russe et japonais, Katia a fait une pause dans sa carrière sportive pour partir à Atlanta dans le cadre d’un programme d’échanges. Elle a créé sa chaîne YouTube et dans cette épisode elle nous parle du choc de culture qu’elle a subi en entrant en contact avec l’Amérique profonde. A l’heure où de nombreux jeunes basketteurs/ses ont en tête le rêve américain, son témoignage sonne comme un avertissement.\\n\\n« Le programme d’échange m’a fait réaliser que je n’ai pas envie de vivre aux Etats-Unis. Je trouve ce pays très bien pour voyager, les vacances pour deux mois max... Même si je ne me vois pas repartir aux Etats-Unis pour deux mois. Non, non, non... (...) Je suis bien en France malgré ce qui se passe en ce moment. C’est un pays où il fait bon vivre », conclue t-elle." }, {"role": "user", "content":"Italie : Carlos Delfino à Bologne, en deuxième division" }, {"role": "assistant", "content":"En conflit avec son club de Turin, Carlos Delfino (1,98m, 36 ans) vient de rebondir au Fortitudo Bologne, en deuxième division italienne.\\n\\nSur son site, le club annonce l’arrivée de l’ancien international argentin qui devrait disputer son premier match vendredi en coupe d’Italie. C’est un retour aux sources pour l’ancien joueur des Houston Rockets qui a déjà porté le maillot de Bologne entre 2002 et 2004 avant de s’envoler pour la NBA, il y a quinze ans.\\n\\nEn douze matchs de Serie A cette, Carlos Delfino compilait en moyenne 7,7 points et 3,2 rebonds pour une évaluation de 7,9.\\n\\nPhoto : FIAT Torino" }, {"role": "user", "content":"Libéré par le Khimki Moscou, Dee Bost vers Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Nice Matin, le meneur américano-bulgare Dee Bost (1,89m, 29 ans) se serait engagé ce mercredi avec l’AS Monaco jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nAu Khimki Moscou Moscou depuis le début de la saison, l’ancien joueur de Strasbourg tournait à 7,3 points et 3 passes décisives de moyenne en EuroLeague. Après l’arrivée de Sasa Obradovic, ce recrutement est une nouvelle preuve des ambitions du club monégasque, seulement neuvième de Jeep Elite à l’heure actuelle (11v-9d).\\n\\nIl s’agirait du deuxième passage sur le Rocher pour Dee Bost qui tournait à 13 points, 3 rebonds et 5,6 passes décisives de moyenne par match en 2016-2017.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Guy Landry Edi va finir la saison à Châlons-Reims" }, {"role": "assistant", "content":"Fraîchement qualifié pour la coupe du Monde avec la sélection ivoirienne, Guy Landry Edi (1,98m, 30 ans) va terminer la saison avec Châlons-Reims. Ce sera un retour au CCRB pour cet ailier qui a évolué dans ce club entre 2013 et 2015.\\n\\nLe Franco-Ivoirien va connaître son troisième club cette saison après l’avoir commencé en Finlande avant d’arriver à Poitiers en tant que pigiste médical de Kevin Mendy. Lors de ses deux matchs dans la Vienne, il a tourné à 9,5 points, 2,5 rebonds et 2,5 passes décisives avec cependant une adresse faible (29,4% de réussite aux tirs).\\n\\nRéputé pour ses qualités défensives, son arrivée fera du bien au CCRB, qui est actuellement la pire défense de Jeep Elite avec 88,2 points encaissés par match et qui pointe à une timide 14e place au classement (8v-12d).\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Une nouvelle recrue au CCRB 🚨\\n\\n\\nLe CCRB vient de renforcer son effectif, avant la date limite de recrutement du 28 février, en engageant Guy Landry EDI jusqu'à la fin de saison !\\n\\n\\nPlus d'infos ici: https://t.co/Ff5ajFuRrz pic.twitter.com/5u2ZyuoMhU\\n\\n\\n— Champagne Basket 🧙\u200d♂️ (@ChampBasketOff) February 27, 2019\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Fenerbahce : Joffrey Lauvergne out contre l’Anadolu Efes" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours touché à la cheville depuis 15 février et la demi-finale de la coupe du Turquie, Joffrey Lauvergne (2,11m, 27 ans) sera absent lors du derby contre l’Anadolu Efes en EuroLeague ce jeudi, à annoncé le club dans un communiqué.\\n\\nRevenu en EuroLeague après trois saisons en NBA, l’international Français tourne à 8,5 points et 3,6 rebonds de moyenne en sortie de banc.\\n\\nLe Fenerbahce a déjà obtenu sa qualification en playoffs et n’a plus que pour objectif de s’assurer l’avantage du terrain en quarts de finale." }, {"role": "user", "content":"Vidéo : «Team France Basket – Episode 10 | Mission Accomplie»" }, {"role": "assistant", "content":"Comme après chaque échéance, la FFBB sort un épisode de sa web-série dans les coulisses de la sélection française.\\n\\nDéjà qualifiée pour la coupe du Monde, l’Equipe de France jouait la première place de son groupe lors de cette dernière fenêtre de qualification. Et comme l’annonce le titre de cette vidéo, mission accomplie pour les Bleus.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: La Côte d’Ivoire qualifiée à domicile, Camerounais et Centrafricains crient au scandale" }, {"role": "assistant", "content":"La Côte d’Ivoire s’est qualifiée pour la Coupe du monde en Chine mais le fait que le dernier round décisif ait été organisé à Abidjan reste en travers de la gorge des fédérations camerounaise et centrafricaine.\\n\\nLa Fédération centrafricaine estime par ailleurs que le Nigeria, qualifié au préalable, n’a pas joué son rôle d’arbitre, comme le rapporte RFI. Les Ivoiriens ayant passé une trempe (72-46) aux Nigérians alors que les Centrafricains ont été battus 59-72.\\n\\n« Le Nigeria [...] a choisi la Côte d’Ivoire comme 5e pays africain devant prendre part à cette compétition mondiale. Pour que la Côte d’ivoire puisse se qualifier, il ne fallait pas que la RCA gagne contre le Nigeria, d’où ce match dur, accroché avec de mauvaises décisions d’arbitrages (...) La RCA s’est inclinée contre le Nigeria ouvrant la voie royale à la Côte d’Ivoire, qui n’avait qu’à gagner de 28 points contre le Nigeria, de 27 points contre le Rwanda et de 20 points contre le Mali pour combler son goal average déficitaire avec le Cameroun [...]. En jouant à domicile c’était plus facile à réaliser, » estime la fédération centrafricaine dans un communiqué.\\n\\nLes Lions Indomptables du Cameroun, qui étaient exempts puisque le dernier tour éliminatoire s’était tenu pour eux le 2 décembre à Luanda, Angola, et qui concourraient pour l’obtention d’un dernier ticket attribué au « meilleur troisième » (une formule qui provoque souvent des injustices) ont décidé de faire part de leur mécontentement à la FIBA.\\n\\n« Tous les observateurs de la balle orange ont assisté à une mascarade ou plus précisément à une parodie de basket, a déclaré le Secrétaire général de la Fédération camerounaise Camille Njoh Ekindi à RFI. « Pour les amoureux de ce sport, c’est une honte. Nous pensons que nous méritions sportivement notre qualification (...) Il est inimaginable qu’une puissance offensive comme le Nigeria soit incapable de marquer plus de 46 points durant un match sur le continent africain. Il faut savoir que nous avons déjà joint les haut-dirigeants de la Fédération internationale ».\\n\\nOn voit mal celle-ci remettre en cause les résultats obtenus ce week-end.\\n\\nVafessa Fofana et Jean-François Kebe (Côte d’Ivoire, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"FIBA : Marco Belinelli (Italie) veut jouer la coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"Sous contrat avec les San Antonio Spurs, Marco Belinelli (1,96m, 32 ans) n’a pas pu disputer les matchs de qualification pour la coupe du Monde.\\n\\nMême privée de ses joueurs NBA et Euroleague, la Squadra Azzurra est parvenue à composter son billet pour les championnats du Monde qui auront lieu en Chine en septembre. Interrogé par la Gazette Dello Sport, l’ancien joueur des Chicago Bulls a confié vouloir y participer.\\n\\n« Je suis là. J’en ai aussi discuté avec Danilo Gallinari: nous sommes heureux. Je n’ai pas encore parlé avec coach Sacchetti, mais la coupe du Monde est un événement extraordinaire auquel j’aimerais participer. »\\n\\nCe ne serait pas une première pour Belinelli qui a porté le maillot de sa sélection la dernière fois que l’Italie a disputé la coupe du Monde, en 2006.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les Strasbourgeois racontent leur victoire à la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a une dizaine de jours, la SIG Strasbourg remportait la Leaders Cup. Ses acteurs racontent leur victoire dans cette vidéo réalisée par le club.\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (Hervé Bellenger/LNB)" }, {"role": "user", "content":"Dusan Ivkovic: «Notre ligue de basket en Serbie a atteint un niveau très bas. Nous devons produire des joueurs»" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraineur serbe Dusan Ivkovic, désormais âgé de 75 ans et à la retraite, ancien sélectionneur de la Yougoslavie entre 1988 et 1996 puis de la Serbie entre 2008 et 2013 (7 médailles internationales dont 4 en or) est revenu sur le nouveau format de qualifications à la Coupe du Monde à la suite de victoire de la Serbie lors du dernier match à domicile contre Israël qui lui donne son billet pour la Chine.\\n\\nLa Serbie n’a pas tremblé sur son dernier match contre Israël. Mais ce bastion du basket européen a vécu une campagne de qualifications délicates et a dû attendre le coup de sifflet final pour gagner sa place à la grande coupe du monde qui se profile en Chine cet été. Le nouveau format de qualifications a fait couler beaucoup d’encre, notamment en raison du boycott de l’Euroleague refusant d’adapter son calendrier à celui des sélections nationales, mais au terme de cette première campagne, de nombreux acteurs et observateurs, dont Vincent Collet et Jean-Pierre Siutat notamment, s’accordent sur un point : chaque pays doit désormais travailler sur la profondeur de son réservoir. Il est impératif de former un nombre de joueurs suffisant capable de porter le maillot de la sélection et qui en retour, profitent de ces fenêtres pour grandir plus vite et briller ensuite de retour dans leurs clubs et dans leurs ligues nationales. Une excellente nouvelle pour le basket européen.\\n\\n« Ces fenêtres, du point de vue des calendriers, ont été compliquées », note Ivkovic. « Mais c’est très bon que trente joueurs aient été impliqués durant ces qualifications. C’est très bien pour la discipline, pour sa popularité, sa visibilité, avec tant de joueurs impliqués, tant de matches joués à domicile. C’est bien de ne pas avoir à attendre trente ans pour voir sa sélection jouer des matches officiels à domicile. L’ambiance ce soir (contre Israël) était magnifique. Les gens doivent comprendre que nous ne sommes qu’un petit pays ce qui nous oblige à travailler extrêmement bien. Quand nous produisions, nous avions une des ligues nationales les plus fortes d’Europe. Aujourd’hui, notre ligue de basket a atteint un niveau très bas. Nous devons produire des joueurs. »" }, {"role": "user", "content":"3×3: L’équipe de France ira chercher à Porto Rico son billet pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"8 équipes masculines et 8 équipes féminines de 3×3 s’affronteront pour les trois derniers billets en jeu – dans chaque catégorie – pour la Coupe du monde FIBA 2019 lors d’un tournoi qualificatif à San Juan, Porto Rico, les 4 et 5 mai.\\n\\nL’équipe de France masculine, médaillée de bronze de la Coupe du monde 3×3 en 2016, affrontera dans le Groupe A l’Allemagne, l’Italie et le Nigeria, vainqueur de la Coupe d’Afrique 2017.\\n\\nLes gagnants de chaque groupe seront directement qualifiés pour les demi-finales et les équipes aux 2e et 3e places de chaque groupe disputeront un quart de finale; les vainqueurs passeront aux demi-finales. Les vainqueurs des demi-finales seront qualifiés directement pour la Coupe du Monde, tandis que les perdants des demi-finales disputeront un dernier match pour le troisième billet en jeu.\\n\\nL’équipe de France féminine est déjà qualifiée pour la Coupe du Monde 3×3 2019, qui aura lieu à Amsterdam, aux Pays-Bas du 18 au 23 juin." }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Toujours 3e au ranking FIBA, la France sera tête de série" }, {"role": "assistant", "content":"La France conserve sa troisième place au ranking (classement) mondial FIBA Hommes, qui a été mis à jour après la fenêtre du mois de février qui a mis fin aux qualifications pour la Coupe du Monde.\\n\\nCette dernière édition du classement sert de base pour déterminer les têtes de série pour le tirage au sort de la toute première Coupe du monde à 32 équipes. La Chine et les sept équipes qualifiées les mieux classées, à savoir les États-Unis, l’Espagne, la France, la Serbie, l’Argentine, la Lituanie et la Grèce, seront les premières têtes de série. Les procédures complètes de tirage au sort, basées sur le classement et les principes géographiques, seront publiées au cours de la semaine précédente.\\n\\nLe top 9 reste inchangé, avec la Russie (525,3 points) pour compléter le top 10. Ceci est en partie dû au fait que l’équipe de Sergey Bazarevich s’est imposée lors de ses deux derniers matchs des qualifications pour assurer son retour à la Coupe du monde. Le Sénégal gagne deux places au 37e rang après avoir remporté ses trois derniers matchs de qualifications pour gagner sa place en Coupe du monde.\\n\\nVoir ici le ranking complet.\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Prêté par le Maccabi Tel-Aviv, Kendrick Ray arrive au Mans" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket annonce la signature, ce jour, de Kendrick Ray (1,88 m, 25 ans) jusqu’à la fin de la saison. Juste avant la date butoir du 28 février fixée par la LNB pour engager un nouvel élément, le club s’adjoint les services, sous forme de prêt, d’un arrière américain lié encore une saison avec le prestigieux Maccabi Tel Aviv.\\n\\nNatif du Bronx à NYC, le petit frère de Allan Ray (ex-Pau) a connu une carrière en mode crescendo depuis son entrée à l’université. Toujours considéré comme un attaquant de race, ce combo guard est sorti de l’université de Kennesaw State avec des statistiques ronflantes en 2017 : 21,2pts de moyenne et 39.4% à 3-pts en 7 tentatives par match. Passé hors des radars de la NBA, c’est en République Tchèque, au CEZ Nymburk, qu’il effectue ses débuts professionnels. En fanfare ! Lancé dans un rôle de joker offensif, Kendrick ne va pas tarder à faire parler la poudre, tant en championnat (13,6 pts et 39.2% à 3-pts en 18min/m) qu’en BCL (15,3 pts et 36.0% à 3-pts en 20min/m). Et ce sont justement ses performances dans la compétition continentale, tout particulièrement dans un quart de finales à l’étouffé contre le futur champion AEK Athènes (48 points, 13 rebonds, 8 passes sur les deux confrontations), qui vont lui permettre de faire le grand saut. Dès le mois de mai, le Maccabi Tel Aviv acquiert ses services pour deux ans.\\n\\nUtilisé dans la seule Euroleague, Kendrick y voit son temps de jeu réduit à la portion congrue (4,8 pts à 45.8% à 3-pts en 10 min/m), raison pour laquelle toutes les parties ont trouvé un accord pour qu’il rejoigne le MSB.\\n\\nSous réserve d’un avis médical favorable et de l’homologation de son contrat par la LNB, Kendrick sera aligné face à Strasbourg ce samedi." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Une moyenne de 3 454 spectateurs, Strasbourg n°1" }, {"role": "assistant", "content":"La LNB vient de révéler quelques chiffres d’affluences en Jeep Elite sur les réseaux sociaux.\\n\\nLa moyenne générale s’élève à 3 454 spectateurs pour un taux de remplissage de 81% et une affluence totale de 528 579 spectateurs.\\n\\nLes meilleures affluences sont pour Strasbourg (5 688), Villeurbanne (5 308) et Pau (5 096) et les meilleurs taux de remplissage sont constatés à Bourg (97,56%), Villeurbanne (95,56%) et Le Portel (95,11%). 13 matches ont été disputés à guichets fermés depuis le début de saison.\\n\\nLe record d’affluence sur un match a été enregistré au palais des sports de Pau pour la venue de Nanterre: 7 614 spectateurs.\\n\\nL’affluence générale s’était établie à 3 673 spectateurs en fin de saison dernière.\\n\\nPhoto: Quentin Serron (Strasbourg, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"L’AEK Athènes condamné à verser 50 000€ à Roko Ukic (Levallois)" }, {"role": "assistant", "content":"Passé par l’AEK Athènes en 2016/17, Roko Ukic (1,96m, 34 ans) n’a pas quitté le club avec la totalité de la somme qu’il devait percevoir.\\n\\nAujourd’hui à Levallois, le capitaine de la formation de Freddy Fauthoux avait signé un contrat de 250 000 euros nets (mensualités de 25 000 euros) dans lequel figuraient également deux primes de 5 000 euros pour avoir terminé à la troisième place du classement du championnat grec et pour avoir atteint le deuxième tour de Champions League. Le club devait également lui donner 20 000 euros pour son loyer et autres dépenses.\\n\\nSelon le joueur, le club n’a pas versé les 20 000 euros correspondants au salaire de juin, ni les 10 000 euros de bonus, ni l’intégralité des 20 000 euros prévus pour le loyer. L’AEK Athènes a donc été condamné par le tribunal de la FIBA à régler 50 000€ à l’ancien international croate, ce qui est égal à la totalité de la somme impayée. Agent de l’ancien joueur du Fenerbahce à l’époque, Bill Duffy, n’en est pas à son coup d’essai avec l’AEK. Le club athénien avait déjà eu beaucoup de retard sur les 16 000 euros de commission pour la signature de Josh Owens, ainsi que les 30 000 euros de commission du coach Jure Zdovc.\\n\\nPour cette saison, nous avons estimé à 135 000 euros le contrat de Roko Ukic avec les Levallois Metropolitans. Notre magazine sur tous les salaires de Jeep Élite, coachs et joueurs, est toujours disponible à la commande ici.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Antoine Mendy en renfort à Lille" }, {"role": "assistant", "content":"Amputé par l’indisponibilité de Thomas Ceci-Diop, Lille a décidé de faire appel à Antoine Mendy (1,98m, 35 ans) pour le reste de la saison.\\n\\nSans club depuis le début de saison, le champion de France Pro B 2010 a officié en tant que partenaire d’entraînement de Challans (NM1) puis du CCRB en Jeep Elite. Passé par Dijon, Pau, Reims ou Orléans, il évoluait la saison dernière à Bourg-en-Bresse avant d’être victime d’une rupture du tendon d’Achille, fin 2017, seulement quelques jours après son arrivée au club.\\n\\nSur le site du club, le coach Jean-Marc Dupraz a donné son ressenti suite à l’arrivée de sa nouvelle recrue.\\n\\n« La perte de Thomas Ceci-Diop a laissé un vide sur les postes 3 et 4 (ndlr : l’ailier lillois sera opéré du genou ce mercredi 27 février). Nous avons comblé un manque au poste 4 avec l’arrivée de Soriah (Bangura). La venue d’Antoine est là pour palier à un manque à l’aile et densifier l’effectif jusqu’à la fin de la saison. Antoine est un joueur qui a connu les deux divisions et qui a l’expérience de la gagne avec Pau (un titre de Pro B). Il va nous apporter dans la communication tant en attaque qu’en défense. C’est un joueur assez complet, qui a une belle main et qui joue dur. Il va nous faire progresser au rebond, nous aider à tenir des postes 3 costauds. Il lui faudra un peu de temps pour retrouver toutes ses sensations mais sur ce qu’on a vu, je pense qu’il va pouvoir de suite apporter à l’équipe. »\\n\\nPhoto : JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Pro B : après Roanne, Bryan Pamba rebondit à Caen" }, {"role": "assistant", "content":"En pleine course au maintien en Pro B, Caen (17e, 5v-13d) enregistre l’arrivée de Bryan Pamba (1,85m, 27 ans) jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nEn pige médicale à Roanne où il a passé les deux premiers mois de 2019, l’ancien lillois n’est pas resté longtemps sans club. Tout juste qualifié pour la coupe du Monde avec la Côte d’Ivoire, il portait le maillot de sa sélection le week-end dernier à l’occasion du tournoi d’Abidjan qui offrait les derniers tickets pour la coupe du Monde aux équipes africaines. Passé par Orléans, Lille, Evreux, Nantes et donc Roanne, ce Parisien de naissance est un habitué de la Pro B, notamment connu pour ses grosses qualités défensives.\\n\\nLa saison dernière en Pro B, Bryan Pamba tournait en moyenne à 4,7 points, 1,8 rebond et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 3,9 avec Nantes.\\n\\n\\n\\n\\nBIENVENUE DANS LA #CBCNation 😀 pic.twitter.com/4nvG6n2dfs\\n\\n\\n— Caen Basket Calvados (@CaenBC14) February 26, 2019\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic, nouveau coach de Monaco: «Quand je m’énerve, il n’y a rien de personnel, c’est ma façon de travailler»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à Nice Matin, le coach Serbe Sasa Obradovic, 50 ans, explique pourquoi il a choisi de devenir coach de Monaco, lui qui est passé notamment par le BC Donetsk, l’ALBA Berlin et le Lokomotiv Kuban Krasnodar.\\n\\n« L’une des raisons principales concerne les personnes qui m’ont fait venir. J’ai remporté le titre de champion d’Ukraine en 2012 avec le président Sergey Dyadechko (le président de l’ASM Basket aujourd’hui). Quand j’étais joueur et que je choisissais une équipe, je pensais toujours à me retrouver dans une situation où les gens m’apprécient et me font confiance. C’est la même chose en tant qu’entraîneur. Il y avait une option aussi pour moi avec des équipes d’Euroleague, mais le plus motivant à mes yeux est de construire quelque chose sur la durée. Comme ce fut le cas à Donetsk, et ensuite à Berlin, durant quatre ans. Au Lokomotiv Kuban, je peux dire fièrement que le travail a été bien fait. On n’a pas remporté le titre, mais on a gagné la Coupe et on a atteint la finale de l’EuroCup. J’aurai la même ambition à Monaco, je ferai tout pour ne pas décevoir les gens. Durant toute ma carrière, j’ai toujours supporté beaucoup d’attente et de pression. Pour moi, ce n’est pas un problème. Si vous rencontrez la pression, c’est que votre job est important. »\\n\\nA propos de son tempérament volcanique, le Serbe avoue:\\n\\n« Je pense que l’énergie et la passion sont liées, et c’est ma façon de fonctionner. Parfois, quand je me vois à la télé, je suis un peu gêné... Il faut que je prépare mes joueurs à ma façon de coacher. Quand je m’énerve, il n’y a rien de personnel, c’est ma façon de travailler. Honnêtement, la plupart du temps, j’ai de bonnes relations avec mes joueurs. »" }, {"role": "user", "content":"La Ligue Nationale de Basket conclue un partenariat avec la marque chinoise TCL" }, {"role": "assistant", "content":"La marque chinoise TCL s’est engagée avec la Ligue Nationale de Basket indique le site spécialisé Sportbuzzbusiness. La LNB a ensuite confirmé cet accord dans un communiqué.\\n\\nBasé à Hong Kong et comptant 13 500 employés, TCL Corporation est un fabricant de matériel électronique qui produit notamment des téléphones mobiles, des téléviseurs et des ordinateurs. TCL a déjà conclu des partenariats avec la FIBA, la star grecque Giannis Antetokounmpo (Milwaukee Bucks) et le footballeur brésilien du PSG, Neymar.\\n\\nTCL va donner son nom au Trophée de MVP des finales de Jeep Elite (MVP TCL) ainsi qu’au trophée du meilleur joueur de chaque journée.\\n\\n« Nous nous engageons jusqu’à la fin de la saison, c’est un premier essai et nous ne sommes pas fermés aux discussions pour la suite, » commente Marie Legrand, Responsable Marketing France TCL sur Sportbuzzbusiness. « Ce type de partenariat est une première pour la marque en France (...) Nous avons gagné 5 points en notoriété assistée en un an entre juillet 2017 et juillet 2018 en France, nous avons encore un grand chemin à parcourir. TCL est le numéro 3 de la télévision dans le monde et numéro 3 en France. Nous avons de fortes ambitions pour accélérer notre développement en Europe. La marque est également numéro 2 aux Etats-Unis et a vendu entre 5 et 6 millions de TV là-bas en 2018 ».\\n\\nCet accord a été négocié par Sport&Co, la régie de la LNB.\\n\\n« Une fois de plus, l’arrivée d’un nouveau très beau partenaire aux côtés de la LNB est une belle preuve de la dynamique du basket professionnel », s’est félicité son président Alain Béral. « Je suis fier d’accueillir TCL, marque mondiale forte, pour namer le dispositif de MVP et nous accompagner dans la valorisation de nos joueurs et de nos clubs. Je suis persuadé que les valeurs que nous partageons prendront tout leur sens sur le terrain et que TCL trouvera, à travers ce partenariat, une réponse à ses objectifs de communication. »" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Mickaël Var (Nancy) prêté à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"De moins en moins utilisé par Christian Monschau sur les dernières journées de championnat, Mickaël Var (2,05m, 29 ans) vient d’être prêté à Poitiers.\\n\\nSur son site, le PB86 annonce donc l’arrivée de l’ancien joueur du Portel jusqu’à la fin de la saison. Originaire de la Réunion, l’ancien palois est loin d’être un inconnu à Poitiers puisque c’est là-bas qu’il a été formé et qu’il a vécu ses premières minutes en pro (2009/10). Il a également passé l’exercice 2016/17 au PB86.\\n\\nCette saison, Mickaël Var compile en moyenne 3,2 points et 4,6 rebonds pour une évaluation de 5,9.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Salaires non versés, deux joueurs du PAOK Salonique refusent de revenir au club" }, {"role": "assistant", "content":"Les fenêtres internationales peuvent permettre aux Américains de rentrer chez eux auprès de leur famille. Seulement, censés être de retour pour l’entraînement de ce mardi, deux joueurs du PAOK Salonique, Phil Goss (1,88m, 35 ans) et Will Hatcher (1,88m, 34 ans) ne sont pas rentrés et ne comptent pas retourner en Grèce tant que leurs retards de salaires ne seront pas réglés.\\n\\nCe n’est pas la première fois que des joueurs quittent le club de Salonique à cause de difficultés financières. Le mois dernier, le combo-guard Ioannis Athinaiou a rejoint la JeepElite et Fos-sur-Mer pour ce motif.\\n\\nMalgré les problèmes économiques, le club réalise une bonne saison d’un point de vue sportif, étant qualifié pour les huitièmes de finale de la Basketball Champions League et ayant atteint la finale de la coupe de Grèce pour la première fois depuis 20 ans.\\n\\nPhoto: Phil Goss (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Zvezdan Mitrovic (coach du Monténégro): «Nous sommes vraiment très, très heureux»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Monténégro, petit pays des Balkans de 600 000 habitants, a réussi à se qualifier pour la Coupe du monde malgré sa défaite 74-80 au Sports Center Moraca de Podgorica face à la Lettonie grâce à l’avantage de 8 points obtenus lors du match aller. Deux personnages de la Jeep Elite ont tenu un rôle fondamental dans cette qualification: le coach Zvezdan Mitrovic de Villeurbanne et le meneur de Monaco Derek Needham.\\n\\nCar si le Monténégro bénéficie de la formidable formation et plus généralement de l’engouement pour le basket qui a cours dans l’ensemble des Etats nés de l’ancienne Yougoslavie, il a été fort aise de pouvoir compter sur ce point guard qui a porté lors de la saison 2017-18 le maillot de Mornar Bar, un club du pays. Needham a marqué 22 points et sur l’ensemble de ses 9 matches, il s’est fendu de 12,1 points, 2,2 passes et 1,9 rebond.\\n\\n« C’était un match difficile. Nous savions que cette équipe était différente de la rencontre précédente, avec la présence de cinq joueurs qui n’étaient pas encore apparus dans ces Éliminatoires. Nous nous attendions à une partie délicate, parce que ces joueurs sont des excellents tireurs et qu’il n’est pas facile de défendre sur eux. Nous sommes parvenus à réaliser notre rêve et nous avons accompli quelque chose d’historique pour le basket et le sport en général au Monténégro, » a commenté l’ailier Blagota Sekulic.\\n\\n\\nCoach Z était visiblement ému, lui qui est natif de Podgorica, capitale du pays où s’est déroulé le match.\\n\\n« Il est difficile de trouver les mots pour exprimer mon sentiment ce soir, surtout parce que je me souviens très bien de nos débuts il y a une année. Nous n’avions pas même l’ambition d’aller à la Coupe du Monde. Nous nous sommes battus pour nous qualifier pour le second tour, c’était l’objectif que nous nous étions fixé. Ce soir, je suis extrêmement heureux car tous ceux qui ont joué pour nous méritent ce qui nous arrive. Comme Blagota (Sekulic) n’avait cesse de le dire, nous sommes vraiment très, très, très heureux. Aussi pour notre pays. Vous avez vu cette ambiance, c’était absolument incroyable ce soir. Félicitations à tous. »\\n\\nAvant le voyage en Chine, Mitrovic a plusieurs missions à accomplir avec l’ASVEL: gagner le titre de champion de France, la coupe de France -Monaco sera l’adversaire des Villeurbannais au top 8 de Trélazé- et pourquoi pas l’Eurocup. Il enchaînera ensuite Mondial et Euroleague. Joli programme.\\n\\nPhoto: Zvezdan Mitrovic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Alexey Shved (Khimki Moscou) enfin de retour" }, {"role": "assistant", "content":"Après trois longs mois de convalescence, Alexey Shved (1,98m, 30 ans) va enfin faire son retour sur les parquets.\\n\\nTouché au doigt le 23 novembre dernier face au Zalgiris Kaunas (fracture de l’auriculaire gauche), l’ancien joueur des Minnesota Timberwolves était attendu début janvier mais il a finalement dû voir sa durée d’indisponibilité se rallonger. Il fera donc son retour jeudi 28 février en coupe d’Europe, face à Milan. A l’heure actuelle, le Khimki Moscou pointe à la douzième place du classement d’Euroleague avec 9 victoires pour 14 défaites.\\n\\nLors des huit matchs d’Euroleague qu’il a disputé cette saison, Shved compilait en moyenne 25,3 points, 3 rebonds et 7,4 passes décisives. En VTB c’était similaire avec 22,3 points, 3,2 rebonds et 7 caviars par rencontre.\\n\\n\\n\\n\\nОн возвращается! / @Shved23 is back! @EuroLeague @VTBUL pic.twitter.com/cZST8duW0q\\n\\n\\n— BC Khimki (@Khimkibasket) February 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"Andrei Kirilenko (président de la fédération de Russie): «Dmitrii Kulagin est la révélation de cette campagne»" }, {"role": "assistant", "content":"La Russie est revenue de l’enfer et s’est qualifiée pour la Coupe du monde. Elle était menée de 12 points face à la Finlande après un quart-temps, de 7 après la troisième période, et elle a réussi à totalement inverser le cours du match dans le dernier quart-temps (33-11) pour s’imposer 91-76.\\n\\nIl faut remonter à 2002 pour retrouver la Russie dans un Mondial. L’équipe alignait alors la star en devenir de 21 ans Andrei Kirilenko, qui a repris les commandes de la fédération russe de basket-ball depuis qu’il a décidé de mettre un terme à sa carrière de joueur.\\n\\n« Je n’ai pris part qu’à une seule Coupe du Monde, en 2002, et la Russie n’y est plus retournée depuis 2010. Je suis convaincu que notre équipe appartient aux 32 meilleures du monde et je suis content d’y faire notre retour, en ayant une chance de nous battre pour les médailles et pour une place aux JO de 2020 à Tokyo, » indique-t-il. « Aujourd’hui, notre équipe n’appartient pas au groupe des favoris pour gagner la Coupe du Monde, mais c’est OK. Peu importe. Je me souviens de l’EuroBasket 2017, les gens avaient des doutes sur la sélection russe avant le tournoi, ils ne pensaient pas que nous arriverions jusqu’à la phase finale du tournoi. »\\n\\nCette année-là, la Russie est devenue championne d’Europe bénéficiant du concours efficace de l’Américain naturalisé JR Holden.\\n\\nLa qualification pour la Coupe du Monde en Chine n’est pas l’unique motif de satisfaction pour Kirilenko au terme de ces Éliminatoires, il y a aussi l’émergence de Dmitrii Kulagin (26 ans), qui incarne le futur de cette équipe.\\n\\n« Pour tout le monde, y compris pour moi, je crois qu’il a été la révélation de cette campagne qualificative, » dit Kirilenko au sujet de l’arrière de 1.97m qui a tourné à 12.9 points, 4.5 rebonds et 4.4 assists de moyenne en 12 apparitions. « Andrey Vorontsevich a été énorme [contre la Finlande] et Dmitry Khvostov est le moteur de cette équipe. Je ne suis évidemment pas surpris par leurs performances, car je les connais tous très bien. Mais je suis juste content qu’ils aient été à la hauteur des attentes placées en eux. »\\n\\nPhoto: Dmitrii Kulagin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Olympiakos : Le Letton Janis Strelnieks indisponible un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Revenu de Lettonie où il à disputé la dernière fenêtre internationale avec sa sélection, l’arrière Letton Janis Strelnieks (1,91m, 29 ans) est annoncé forfait pour au moins un mois à la suite d’une déchirure musculaire à la jambe gauche.\\n\\nUn vrai souci pour le club, lui qui reste sur quatre défaites consécutives en EuroLeague et qui voit la neuvième place synonyme de non participation aux playoffs s’approcher dangereusement.\\n\\nLa blessure du joueur tombe également au pire des moments, car le règlement stipule qu’un club ne peut pas faire appel à un pigiste médical passé la 24ème journée d’EuroLeague, qui a lieu le 28 février. C’est à dire demain...En Euroleague, Janis Strelnieks tourne à 8,8 points de moyenne avec 45,5% de réussite à trois-points." }, {"role": "user", "content":"Défaite de Basket Landes face à Lyon, Céline Dumerc : «Je ressens forcément de la déception parce qu’on n’était pas loin»" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur d’une courte tête de Basket Landes (64-69), l’ASVEL Féminin conforte sa première place au classement de la la ligue féminine. Un résultat aussi bien encourageant que décevant pour les Landaises.\\n\\nCéline Dumerc, capitaine de Basket Landes, qui s’est révélée très maladroite (2/14 aux tirs) ne cachait pas sa frustration.\\n\\n« Je ressens forcément de la déception parce que on n’était pas loin. On y a cru, on s’est donné les moyens d’essayer d’accrocher cette victoire mais Lyon a été plus fort que nous ce soir, félicitations à elles. Il y a quand même de la déception parce qu’on est vraiment pas loin. Il y a des situations qui font qu’on a l’impression qu’on se bouffe un peu les doigts, mais c’est un peu à l’image de notre état d’esprit depuis un mois où avait pas la tête très à l’endroit. Il y a des choses qui se passent et qui nous affectent, et c’est vrai qu’il y a des doutes dans nos têtes et que ça se ressent en attaque. Le basket est un jeu d’adresse, donc il faut marquer des paniers. On avait des tirs ouverts et on ne les a pas pris, à un moment il y avait un doute qui était dans nos têtes. Maintenant on a montré des choses, j’espère que le public continuera à nous supporter parce qu’on s’est donné. J’ai plein d’image dans la tête où on se bat. Lyon est une grosse armada donc on n’a pas à rougir de notre défaite. Il faut relever la tête, on a des grosses échéances qui nous attendent très bientôt. »\\n\\nCathy Melain, coach de Basket Landes, a également exprimé sa déception :\\n\\n« Elles (NDLR ses joueuses) ont proposées quelque chose qui tenait la route avec des intentions qui étaient plutôt bonnes. On est à la fois satisfaites du match mais déçues par le résultat final. A un moment donné dans le match, elles ont commencé a avoir le doute qui s’est installé dans leur tête et malgré leurs tirs ouverts, le doute fait que les tirs ne rentrent pas alors que l’on fait tout pour. Je suis partagée, c’est nettement mieux que le match contre Charleville, elles ont été présentes, elles ont été concentrées, il faut gommer le doute qui s’est installé ces derniers temps, il manque ce déclic, cette croyance en nos capacités et plus particulièrement quand on est dans le dur. C’est dommage. »\\n\\nMarieme Badiane (12 points, 9 rebonds), l’intérieure de l’ASVEL, considère que la défense et le collectif ont pesé pour beaucoup dans la victoire lyonnaise.\\n\\n« C’était un match compliqué, on était diminués avec des joueuses majeures qui étaient absentes (NDLR: Alysha Clark et Fatimatou Sacko). C’est clair que le début de match a été compliqué, malgré ça je trouve qu’on est restées sereines, on n’a pas paniqué et on a joué ensemble, je pense que c’est pour ça qu’on gagne le match. Je pense qu’on a loupé beaucoup de paniers faciles, qui nous ont manqué en début de match. Après je trouve qu’on a plus calmé le jeu, et du coup on a plus pris notre temps sur des choses simples. Ca et notre meilleure défense nous permettent de remporter le match. »\\n\\nPhoto: Céline Dumerc (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde, Amériques: Porto Rico dernier qualifié, les Etats-Unis devancent l’Argentine" }, {"role": "assistant", "content":"Porto Rico a subtilisé le dernier billet disponible pour la Coupe du Monde en venant à bout de l’Uruguay, 65-61, dans un Colisée Roberto Clemente regorgeant de fans de la capitale portoricaine. Ce sera la 14e participation des Boricuas depuis 1959.\\n\\n« Le match a été comme prévu, il a été durement disputé. Il y avait beaucoup d’émotions, beaucoup d’intensité. Nous avons un manque de réussite dans certains tirs. Ils ont fait un très bon boulot et nous avons tardé à nous mettre en rythme. Nous savions que nous gagnerions à la fin mais ce n’était pas facile », a déclaré l’entraîneur de Porto Rico, Eddie Casiano, lors de la conférence de presse.\\n\\nLes meilleurs marqueurs ont été Gary Browne avec 16 points, Gian Clavell 13 et John Holland 11. Le joueur le plus remarquable de l’Uruguay a été Esteban Batista (19 points et 9 rebonds), tandis que Gustavo Barrera a ajouté 14 points pour les Sud-Américains, mais ils n’ont pas réussi à se qualifier pour l’événement mondial sachant que leur dernière apparition remonte à 1986.\\n\\nPar ailleurs, les Etats-Unis (10 victoires, 2 défaites) ont obtenu le leadership dans leur groupe E en prenant le meilleur sur l’Argentine (9-3) à Greensboro. Ce fut laborieux. Ils le doivent à Reggie Hearn (1,96m, 27 ans), qui avait déjà représenté les Etats-Unis à la FIBA AmeriCup en 2017, qui a réussi un panier à longue distance au buzzer sur une passe de Travis Trice.\\n\\nMichael Frazier II (1,93m, 24 ans), un shooting guard habitué à la G-League, a réalisé un match extrêmement complet avec 23 points, 5 rebonds, 3 passes et 5 interceptions.\\n\\nPour se qualifier, les Etats-Unis ont eu recours à pas moins de 52 joueurs (30 pour la France) ; ce pays possède il est vrai un réservoir inépuisable.\\n\\n« C’est l’un des grands honneurs de toute une vie de pouvoir coacher une équipe des Etats-Unis avec cet USA sur la poitrine », a déclaré Jeff Van Gundy.\\n\\nPhoto: Michael Frazier (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Un an de plus pour Céline Dumerc à Basket Landes" }, {"role": "assistant", "content":"Comme elle nous le laissait entendre dans une longue interview, il y a quelques jours, Céline Dumerc va prolonger sa carrière d’une saison à Basket Landes. C’est ce qu’elle a confirmé hier soir sur RMC Sport après le match face à Lyon.\\n\\nA 36 ans, repositionnée en deuxième arrière, l’ancienne capitaine des Bleues effectue statistiquement la meilleure saison de sa carrière avec 11,4 points, 4,1 rebonds, 5,2 passes et 1,9 interception pour 15,9 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: les 32 équipes sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"Les 32 équipes qui participeront à la Coupe du Monde 2019 en Chine cet été (31 août-15 septembre) sont connues après la conclusion hier de la sixième et dernière fenêtre des qualifications.\\n\\nLes qualifiés sont :\\n\\nHôtes du tournoi: Chine\\n\\nAfrique (5): Angola, Côte d’Ivoire, Nigéria, Sénégal, Tunisie\\n\\nAmériques (7): Argentine, Brésil, Canada, République dominicaine, Etats-Unis, Porto Rico, Venezuela\\n\\nAsie (7): Australie, Corée, Iran, Japon, Jordanie, Nouvelle-Zélande et Philippines\\n\\nEurope (12): Allemagne, Espagne, France, Grèce, Italie, Lituanie, Monténégro, Pologne, République Tchèque, Russie, Serbie, Turquie\\n\\nLe secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis, a déclaré:\\n\\n« Ces qualifications – les premières du genre pour la Coupe du monde de basket-ball de la FIBA - ont permis à 80 équipes nationales du monde entier de disputer régulièrement des matchs officiels devant leurs fans pour obtenir le droit de concourir. Rien de tout cela n’aurait été possible sans l’appui et la collaboration de nos fédérations nationales affiliées, de leurs ligues et de leurs clubs respectifs, c’est pourquoi, au nom de la FIBA, nous souhaitons remercier toute la famille du basketball pour son aide, transition vers une nouvelle ère pour le basketball mondial. «\\n\\nLa prochaine étape est prévue le samedi 16 mars avec le tirage au sort qui aura lieu à Shenzhen, l’une des huit villes hôtes de la compétition. L’évènement sera animé par Kobe Bryant, le chanteur-compositeur américain à succès, Jason Derulo, et l’ambassadeur de la Coupe du monde, Yao Ming." }, {"role": "user", "content":"Les Philippines veulent faire jouer ensemble deux naturalisés, Jordan Clarkson (Cleveland Cavaliers) et Andray Blatche" }, {"role": "assistant", "content":"Qualifiées pour la Coupe du monde, les Philippines espèrent pouvoir aligner en même temps en Chine Andray Blatche (2,11m, 32 ans) ET Jordan Clarkson (1,96m, 26 ans).\\n\\nAndray Blatche est un naturalisé et chaque équipe nationale ne peut en aligner qu’un seul à la fois. Suivant les règlements de la FIBA, Jordan Clarkson aussi. Celui-ci est né en Floride, à Tampa, il y a 26 ans. Il a obtenu le passeport philippin mais après ses 16 ans et c’est pourquoi il est considéré comme naturalisé par la fédération internationale.\\n\\n« Nous avons essayé de convaincre la FIBA et nous allons en discuter avec elle », a déclaré le président du SBP, Al Panlilio, à l’AFP. « Tout le monde travaille sur le sujet et nous ferons tout notre possible pour y arriver. D’après notre constitution, il est philippin. Il a un passeport. Mais il l’a obtenu après l’âge de 16 ans », a ajouté Panlilio.\\n\\nLa fédération des Philippines ne veut pas lâcher le morceau car Jordan Clarkson en est actuellement à 16,9 points de moyenne avec les Cleveland Cavaliers. Il a déjà représenté les Philippines en septembre dernier aux Jeux Asiatiques engrangeant 26,0 points, 6,5 rebonds, 5,5 passes et 1,0 interception. C’est du lourd ! Mais la FIBA qui veut éviter une épidémie de naturalisations bidons a tout intérêt à se montrer inflexible sur le sujet.\\n\\nFox Sports Asia croit bon donner comme exemple de passe-droit... Tony Parker.\\n\\n« Tony Parker est né en Belgique d’une mère hollandaise et d’un père américain, mais a grandi en France. Parker a été reconnu comme un citoyen malgré le fait qu’il n’ait pas une goutte de sang français. »\\n\\nPeut-être, mais Tony Parker Sr est arrivé en France, à Denain, alors que son fils avait trois semaines et TP, qui a toujours vécu dans l’Hexagone, a choisi la nationalité française à 15 ans. Dura lex sed lex." }, {"role": "user", "content":"La photo: Le retour de Sasa Obradovic dans le basket français" }, {"role": "assistant", "content":"Vingt-six ans plus tard, Sasa Obradovic est de retour en France.\\n\\nEn 1993, à sa sortie de l’Etoile Rouge de Belgrade, et âgé seulement de 24 ans, il portait le maillot du Limoges CSP, qui venait d’être couronné quelques mois auparavant champion d’Europe pour 8 matches pas très concluants: 7,6 points, 41,2% aux shoots, et 3,6 passes.\\n\\nA 50 ans, le voici devenu coach de l’AS Monaco en remplacement de Saso Filipovski, débarqué pour résultats insuffisants. Le Serbe a effectué hier son premier entraînement avec la Roca Team.\\n\\nPhoto: AS Monaco" }, {"role": "user", "content":"Le Monténégro de Zvezdan Mitrovic se qualifie dans la douleur pour la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"Le Monténégro du coach villeurbannais Zvezdan Mitrovic s’est qualifié pour la Coupe du monde mais que ce fut dur! Les Monténégrins devaient perdre au maximum de 8 points contre la Lettonie et ils ont concédé... 6 points (74-80). De plus le Letton Dairis Bertrans a eu la balle de la gagne mais a échoué dans sa tentative à trois-points.\\n\\nLes Monténégrins peuvent remercier leur Américain naturalisé, le meneur de Monaco, Derek Needham qui a mis 3 lancers sur 4 dans les 16 dernières secondes et un total de 22 points.\\n\\nPhoto: Derek Needham (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque) sur la touche au moins un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours très bon cette saison en Jeep Elite, Alain Koffi (2,07m, 35 ans) va connaitre un coup d’arrêt puisqu’il rejoint l’infirmerie de Gravelines-Dunkerque pour au moins un mois.\\n\\nAlors qu’il avait été appelé par Vincent Collet pour rejoindre l’Equipe de France en stage de préparation à Nanterre pour la dernière fenêtre internationale de la saison, l’intérieur tricolore s’est blessé. Mardi soir, la veille du départ en Finlande pour les Bleus, l’ancien pivot de l’Elan Béarnais a été touché à l’épaule. Double peine donc pour l’ancien joueur de Rouen qui n’a pas pu disputer les deux matchs internationaux avec la France et qui en plus va observer plusieurs semaines d’indisponibilité.\\n\\nLa Voix du Nord rapporte que son absence est, pour le moment, estimée entre quatre et six semaines, au minimum. Le club attend le retour d’un spécialiste pour connaitre la durée exacte et savoir s’il doit trouver un joker médical ou non. A quelques jours de la 21e journée de Jeep Elite, le BCM est dixième du classement (11v-9d) et est toujours en course pour une place en playoffs.\\n\\nCette saison, Alain Koffi compile en moyenne 10,2 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 13,2.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié / BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Sasa Obradovic est le nouvel entraîneur de Monaco !" }, {"role": "assistant", "content":"Annoncé ciblé par Monaco il y a dix jours, Sasa Obradovic (50 ans) est bien le nouvel entraîneur de la Roca Team.\\n\\nLe journaliste David Cozette annonce sur Twitter que l’ancien joueur du Limoges CSP est arrivé en France pour prendre la fonction d’entraîneur du club monégasque et qu’il sera même sur le plateau de Buzzer ce lundi soir pour évoquer sa signature et ses ambitions.\\n\\nSans club depuis son départ de Krasnodar en novembre dernier, le technicien serbe est une pointure du coaching en Europe. Passé par Cologne, Kiev et Donetsk, il a officié pendant quatre saisons à l’ALBA Berlin (2012-16) avant de s’engager avec le Lokomotiv Kuban. Elu coach de l’année en Eurocup la saison dernière, il a remporté une fois le championnat et quatre fois la coupe d’Allemagne. Il compte également une coupe de Russie et un championnat ukrainien à son palmarès.\\n\\nSon arrivée à Monaco était dépendante du fait qu’il obtienne une équivalence de diplôme par la FFBB et que son prédécesseur, Sasa Filipovski, trouve un point de chute.\\n\\n\\n\\n\\nINFO : on vous l’annonçait comme probable il y a huit jours, c’est maintenant officiel, Sasha Obradovic est le nouveau coach de Monaco. Et il sera sur le plateau de @RMCSportBuzzer ce soir en direct à 22H30 pour évoquer ses ambitions avec sa nouvelle équipe ! Cc @RMCsport\\n\\n\\n— David Cozette (@DavidCozette) February 25, 2019\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Espagne : En danger, Gran Canaria signe Cory Jefferson" }, {"role": "assistant", "content":"A la peine aussi bien en championnat qu’en EuroLeague, Gran Canaria a décidé de recruter massivement afin de se maintenir en Liga ACB.\\n\\nCinq jours après Austin Wiley, c’est sur l’intérieur Cory Jefferson (2,06m, 28 ans) que le clubs des Canaries a jeté son dévolu. 60ème choix de la draft NBA 2014, passé par Brooklyn et Phoenix, il a déjà joué en EuroLeague dans sa carrière, c’était lors de la saison 2017-2018 avec l’Olimpia Milan, où il a tourné à 3,3 points et 1,7 rebond de moyenne entre le championnat italien et l’EuroLeague. Il a signé avec le club espagnol jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nCette saison, Cory Jefferson jouait en Chine chez chez les Guangzhou Long-Lions, douzième du championnat chinois avec un bilan de 20 victoires pour autant de défaites.\\n\\n\\n\\n\\n👋 @CoryJay34 pic.twitter.com/aRsTjB0UBq\\n\\n\\n— CB Gran Canaria (@GranCanariaCB) February 22, 2019" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (Equipe de France) : «Les fenêtres ne faisaient pas rêver grand monde, mais nous on a vraiment apprécié travailler avec ces mecs-là»" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifiée pour la coupe du Monde avant cette dernière fenêtre internationale, l’Equipe de France a conclu sa campagne par une bonne note en surclassant la République Tchèque (82-66) pour terminer première de son groupe.\\n\\nAprès la rencontre, Vincent Collet est passé en conférence de presse. Au-delà du succès, le sélectionneur tricolore est revenu sur la qualification globale de son équipe pour la coupe du Monde qui aura lieu en Chine en septembre.\\n\\n« Je ne crois pas que ce soit dur de dire à la plupart d’entre eux que ça se termine parce que ça a été fixé avant même la première des fenêtres. Les remercier pour les résultats et pour le travail qu’ils ont fait ça me parait être une évidence et le président aussi l’a fait. Par contre ce que je leur ai dit dans le vestiaire c’est qu’on les a remercié pour le plaisir qu’on a eu, le staff, à travailler avec eux. Et je leur ai dit qu’on aura le même dans quelques mois pour les qualifications pour le championnat d’Europe. Les fenêtres ne faisaient pas rêver grand monde à la base, mais nous en tant que coach et je pense que c’est pareil pour le staff médical, on a vraiment apprécié travailler avec ces mecs-là. C’était un vrai plaisir et il ne faut pas le bouder parce que c’est quelque chose qui a de la valeur à mes yeux. »\\n\\nL’entraîneur de la SIG s’est aussi brièvement tourné sur la prochaine fenêtre qui aura lieu en novembre et sur laquelle il pourrait retrouver le même groupe de joueurs.\\n\\n« L’un des éléments-clés de la réussite de cette qualification c’est le Team France et ses nombreux joueurs qui ont souvent répondu présent. Malgré tout, il faut qu’on continue à bosser. Ce qui est arrivé aux Russes et aux Serbes qui ont dû se battre jusqu’au dernier match pour leur qualification, ça peut nous arriver à nous aussi. Il n’y a rien de donner donc il faudra qu’on ait la même attitude, humilité et détermination pour faire la même chose lors des fenêtres de qualification pour le championnat d’Europe. »\\n\\nAprès le coach de l’Equipe de France, c’est le président de la Fédération, Jean-Pierre Siutat, qui a pris la parole pour féliciter cette équipe et son entraîneur.\\n\\n« On connait notre position depuis le début, on sait qu’on était très sceptique quant à ces fenêtres internationales. Elles ont été décidées puis actées donc on a ensuite fait le maximum pour organiser les choses sur deux points. Premier points, la création du Team France Basket a été une très, très bonne idée. On le voit avec le recul. On a sollicité plus d’une trentaine de joueurs donc ce n’est quand même pas rien d’organiser les choses pour que douze joueurs puissent être là, efficaces, répondent présent et gagnent les matchs. Le deuxième point c’est tout le travail que l’on a fait pour remplir les salles. On a fait six rencontres en France avec quasiment six guichets fermés. On doit être à 95% de remplissage donc c’est quand même une très belle réussite. Je voulais profiter de ça pour dire deux choses. Premièrement je voulais remercier Vincent Collet. Il prend la parole pour remercier son staff et ses joueurs, mais je pense que ça nous appartient, la Fédération, de le remercier. C’est quelqu’un que l’on a depuis 2009 et que l’on apprécie énormément. Je voulais remercier Vincent Collet, son staff, tous les gens qui travaillent à la Fédération, Patrick Beesley, la Direction Technique Nationale et l’arrivée de Boris Diaw – qui va jouer un rôle de plus en plus important. La deuxième chose c’est que l’on n’oubliera pas tout ce qui a été fait pendant ces rencontres et il faut absolument que la flamme dure d’une certaine manière. C’est le message que j’ai fait passer à Vincent et son staff. Je pense qu’au travers de ce qu’on a vu, il y a des cas qui ont montré qu’ils peuvent tout à fait faire partie de l’équipe. On a besoin de résultat pour rester une grande nation – on est la troisième mondiale actuellement. »\\n\\nPour lui, l’objectif est plutôt clair, même s’il préfère d’abord parler de la qualification pour la coupe du Monde.\\n\\n« On est une nation olympique donc à la base l’objectif c’est de se qualifier pour les Jeux. C’est aller chercher les premiers tickets gagnants et si on ne peut pas avoir les tickets directs c’est aller chercher une place sur les TQO. Aujourd’hui on en est là et je pense qu’on va déjà savourer une qualification avec beaucoup de succès et après on rebondira sur les objectifs. »\\n\\nLes fenêtres internationales qualifiant pour l’EuroBasket 2021 sont prévues:\\n\\n * 25 Novembre – 3 Décembre 2019\\n * 17-25 Février 2020\\n * 23 Novembre – 1er Décembre 2020\\n * 15-23 Février 2021" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Lattes-Montpellier n’est pas serein" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a des défaites qui valent (presque) des victoires et des victoires qui peuvent être inquiétantes. C’est le cas de celle obtenue par Lattes-Montpellier à domicile face à Mondeville, 68-64.\\n\\nMondeville, c’est la lanterne rouge de la Ligue Féminine, une victoire à son actif en 17 journées. Lattes-Montpellier, c’est l’équipe qui a défrayé la chronique cet été avec un recrutement XXL.\\n\\nLes Normandes ont tenu tête aux Héraultaises sans craquer et se sont même permis de remporter le dernier quart-temps, 25-19. Avec 21 points, Assitan Kone s’est montrée particulièrement en verve ainsi que Kristen Mann, 13 points, 6 rebonds et 8 passes. Deux anciennes du BLMA.\\n\\nToujours privées de Endy Miyem, Lattes-Montpellier a shooté à 35% avec notamment un vilain 1/13 pour Diandra Tchatchouang.\\n\\n« Il faut retenir le résultat. On a été très maladroits alors que les tirs se présentaient à nous. Les filles sont fatiguées mais l’on aura fait un match correct en défense au moins malgré trois oublis sur du jeu de transition », a commenté le coach belge Thibaut Petit au Midi Libre.\\n\\nOn espère beaucoup mieux à l’avenir du BLMA et de sa « Dream Team », troisième de Ligue Féminine et qualifiée pour les quarts-de-finale de l’Eurocup.\\n\\nPhoto: Taylor Wurtz (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde : La performance XXL de Andray Blatche pour les Philippines" }, {"role": "assistant", "content":"En grande difficulté dans ces qualifications à la Coupe du monde, les Philippines ont réussi à retourner la situation en s’imposant face au Kazakhstan (75-93) et ont par conséquent validé leur billet pour le mondial chinois.\\n\\nLes Gilas Pilipinas ont pu compter sur un Andray Blatche (2,11m, 32 ans) de gala. Naturalisé philippin depuis 2014, l’ancien joueur des Washington Wizards a porté à bout de bras son équipe avec 41 points, 13 rebonds, 3 passes décisives, 4 interceptions et 2 contres. Sa suspension de trois matchs à la suite de la bagarre générale contre l’Australie semble désormais lointaine. Cette bagarre avait lourdement pénalisé la sélection philippine pour ces qualifications avec 10 joueurs suspendus.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Rwanda: Le nom le plus improbable apparu dans le basket international..." }, {"role": "assistant", "content":"NSHOBOZWABYOSENUMUKIZA... C’est à notre connaissance le nom de famille le plus improbable apparu dans le basket international. 12 consonnes et 10 voyelles. La hantise des journalistes TV mais aussi écrits qui vont employer un bon vieux copier/coller plutôt que de reproduire son nom avec un haut risque d’inverser les lettres.\\n\\nIl s’agit du meneur de jeu du Rwanda, 1,82m, 20 ans, qui a participé à Abidjan au tournoi qualificatif pour la Coupe du monde. 3,8 points et... 2,8 interceptions de moyenne. Son pays ne s’est pas qualifié pour la Chine.\\n\\nDe toute façon, on préfère l’appeler par son prénom: Jean-Jacques !\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Sasha Djordjevic (coach de la Serbie): «Je suis vraiment reconnaissant envers Dragan Milosavljevic»" }, {"role": "assistant", "content":"Après la Slovénie, cela aurait fait désordre que la Serbie, vice-championne olympique, du monde et d’Europe en titre soit exclue de la Coupe du monde en Chine. Heureusement pour le basket -et pardon à Israël-, elle s’est largement imposée hier dans un match couperet, 97-76.\\n\\nEn conférence de presse, le coach Sasha Djordjevic a voulu tout spécialement rendre hommage à Dragan Milosavljevic (1,98m, 29 ans), l’arrière-ailier de Malaga, auteur de 20 points, 4 rebonds et 4 passes.\\n\\n« Félicitations aux joueurs, qui ont dû s’employer jusqu’au bout de ces Éliminatoires. Ce n’était pas évident pour eux, car il y avait beaucoup d’interrogations autour de ce groupe, à chaque fenêtre qualificative, mais ils ont vraiment fait parler leur cœur. Ce n’est pas un hasard si j’ai choisi d’avoir Dragan Milosavljevic à mes côtés, comme la plupart du temps. Il apporte tellement à notre équipe, par son énergie, par son cœur. Il est le parfait exemple du futur du basket serbe, et ce qu’il a déjà accompli dans sa carrière est remarquable. Je lui suis vraiment reconnaissant, comme je le suis envers tous ceux qui ont porté le maillot de la Serbie pendant ces Éliminatoires. Je tiens à féliciter Israël pour sa performance. Ils ont réussi à gagner le match en Israël pour nous mettre sous pression, mais ce soir, je n’avais aucun doute sur l’issue de cette rencontre. Je savais qui allait la gagner et encore une fois, je suis extrêmement reconnaissant envers tous nos gars. »\\n\\nDragan Milosavljevic avait les yeux tourné vers la Chine où la Serbie, comme l’Espagne et la France, présentera une équipe fondamentalement différente:\\n\\n« Tout d’abord, je veux féliciter l’équipe pour cette belle victoire. C’était un match délicat pour nous, nous avions beaucoup de pression et nous étions vraiment très nerveux avant la partie. Merci à tout le monde, les fans ont été géniaux ce soir. L’ambiance était formidable et c’est un succès extrêmement important pour nous. L’équipe a joué avec beaucoup d’énergie et elle a été impeccable en défense. Tous les joueurs présents sur le terrain ont apporté quelque chose. C’est véritablement une chose très, très importante pour nous, car l’été s’annonce passionnant pour notre sélection. J’espère que tout le monde sera en bonne santé et pourra venir. »\\n\\n\\nPhoto: Dragan Milosavljevic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du monde: Zvezdan Mitrovic et le Monténégro à un pas de la qualification" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach villeurbannais Zvezdan Mitrovic et le Monténégro sont à même d’obtenir leur première participation à la Coupe du Monde. Ce serait un exploit pour ce petit pays de 660 000 habitants issu de l’ancienne Yougoslavie et qui est devenu indépendant de la Serbie en juin 2006.\\n\\nLe Monténégro a fait un grand pas en battant la Lettonie à Riga, 84-75, et le match retour ce lundi à Podgorica est décisif\\n\\n * si le Monténégro gagne, il ira en Chine.\\n * si la Lettonie gagne de 8 points ou moins, le Monténégro se qualifiera à la faveur de l’avantage aux confrontations directes.\\n * si la Lettonie gagne de 9 points ou plus, c’est elle qui se rendra à la Coupe du Monde.\\n\\nLes Monténégrins sont méfiants car à l’Euro 2017 les Lettons les avaient balayés: 100-68. Il est vrai qu’ils comptaient en leur centre la star de NBA, Kristaps Porzingis qui avait compilé 19 points, 7 rebonds, 3 passes et 2 contres en 22 minutes de jeu. Cette fois Porzingis ne sera et ça change tout, même si Janis Timma, meilleur marqueur en 2017 avec 21 points, fera son retour.\\n\\n« Nous nous sommes entraînés (à Riga), ce n’était pas long, mais c’était intense et nous avons réussi à faire tout ce que nous avions prévu de faire, » a commenté le coach letton Arnis Vecvagars à la veille du match. « Nous avons mis à l’épreuve certains schémas joués par le Monténégro, et nous aurons encore deux séances d’entraînement à Podgorica, en prenant soin de ne pas divulguer trop d’informations aux curieux qui nous observeront. »\\n\\nL’arrière monténégrin Nemanja Vranjes (1,87m, 30 ans) est confiant:\\n\\n« Nous sommes à un pas de la Coupe du Monde, ce genre d’occasion ne se présente qu’une seule fois dans une vie. C’est un match couperet, » dit-il. « Mais j’espère que nous rendrons heureux les fans et que nous pourrons fêter une qualification, que nous méritons vraiment. »\\n\\nPhoto: Zvezdan Mitrovic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Afrique: Portée par un trio de joueurs de Pro B, la Côte d’Ivoire se qualifie pour la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"C’est fait: la Côte d’Ivoire a gagné le droit d’aller en Chine. Pour cela les Eléphants ont dominé le Mali, 69-49, et ils devancent au classement le Cameroun en tant que meilleur troisième avec un point-average favorable : 86 contre 78.\\n\\nC’est grâce à leur défense que les Ivoiriens ont réussi à sauter l’obstacle puisque les Maliens se sont contentés de 15, 11, 10 puis 13 points par quart-temps avec comme meilleur marqueur Mahmadou Drame avec seulement 9 points.\\n\\nTrois joueurs de Pro B ont joué un rôle majeur dans cette victoire, à commencer par le meneur de Nancy, Solo Diabate (1,83m, 31 ans) auteur de 16 points avec un bon 4/7 à trois-points, bien aidé par l’arrière-ailier de Poitiers Guy Landri Edi (1,93m, 30 ans), 13 points, 4 rebonds, 2 passes et 2 interceptions et l’ailier de Nantes Vanessa Fofana (2,00m, 26 ans) 9 points, 2 rebonds et 2 passes.\\n\\nSouleyman « Solo » Diabate et Guy Landri Edi sont tous les deux nés en Côte d’Ivoire. Le premier a principalement joué à Dijon, Roanne et Gravelines. Le second a suivi une formation complète aux Etats-Unis notamment à Gonzaga. Vanessa Fofana est né à Paris et a été formé à Levallois puis à Cholet.\\n\\nA lire en Premium l’interview de Solo Diabate.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Strasbourg vs Le Mans et Nanterre vs Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Retour cette semaine de la Jeep Elite avec deux affiches majeurs et de l’Euroleague avec le clasico espagnol, Barça-Real.\\n\\nLundi 25 février:\\n\\n20h45 – Basket Landes/Lyon – Ligue Féminine – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 28 février:\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00- Tel-Aviv/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h45 – Fenerbahçe/Efes – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Vitoria/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Gran Canaria/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nVendredi 1er mars:\\n\\n21h00 – Barcelone/Madrid – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 2 mars:\\n\\n18h30 – Strasbourg/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 3 mars:\\n\\n18h30 – Nanterre/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 4 mars:\\n\\n20h45 – Monaco/Cholet – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Ali Traore (Strasbourg, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"L’Equipe de France à la Coupe du monde: Le récapitulatif des résultats et les commentaires" }, {"role": "assistant", "content":"Jean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française, Patrick Beesley, General Manager du Team France Basket et le coach des Bleus Vincent Collet se sont exprimés à l’issue de la victoire de l’équipe de France sur la République Tchèque, ce qui clos la phase de qualification à la Coupe du Monde.\\n\\n« Je tiens d’abord à féliciter notre Équipe de France pour cette qualification à la Coupe du Monde 2019, et à remercier l’ensemble des 30 joueurs ayant participé à cette campagne ainsi que l’ensemble du staff », a commenté Jean-Pierre Siutat. « C’est une fierté et un accomplissement pour le basket français, de nous qualifier pour une compétition aussi importante que la Coupe du Monde dans un sport, comme le basket, où tant de nations sont très compétitives. Je suis également satisfait du succès populaire autour des six rencontres que nous avons jouées à domicile (ndlr, Rouen, Strasbourg, Nancy, Montpellier, Limoges et Nantes), que nous avons disputées dans des salles pleines avec un taux de remplissage record de 94,4%. Je remercie également nos partenaires et l’ensemble des bénévoles de nos structures qui ont participé à ces six belles organisations ».\\n\\nAprès le Japon en 2006, la Turquie en 2010 et l’Espagne en 2014, l’équipe de France sera présente en Chine, c’est ce que souligne Patrick Beesley:\\n\\n« Cette campagne réussie et cette qualification symbolise la réussite du Team France Basket. Lancé en 2017. Il a démontré toute la richesse de notre réservoir de joueurs français, dont un grand nombre évolue en Jeep Elite. J’adresse mes félicitations aux joueurs et au staff de notre Équipe de France, qui permettent au basket français de participer à la compétition mondiale pour la quatrième fois de suite ».\\n\\nVincent Collet fait remarquer que deux grandes nations européennes sont passées à la trappe:\\n\\n« C’est une grande satisfaction d’avoir rempli notre objectif et d’être allé chercher notre ticket pour la Coupe du Monde 2019 en Chine, qui plus est en terminant premier de la poule. Je tiens à féliciter l’ensemble des joueurs et les membres du staff, qui ont tous apporté leur pierre à l’édifice pour permettre au basket français de participer à cet événement d’ampleur. L’état d’esprit de chacun a été exemplaire depuis le début de notre premier rassemblement en novembre 2017, et nous a permis de valider notre billet pour la Chine. La mission était périlleuse, notamment au regard aujourd’hui des équipes européennes qui sont éliminées comme la Slovénie, championne d’Europe en titre, ou la Croatie. Nous pouvons être heureux et fier que notre mission soit accomplie ».\\n\\nLe programme du 1er tour des qualifications à la Coupe du Monde 2019 – Groupe E\\n\\n\\n\\n\\nPremier tour\\nMatch\\nLieu (Ville – Salle)\\n\\n\\nVendredi 24 novembre 2017 à 20h30\\nBelgique – France (59-70)\\nAnvers (Lotto Arena)\\n\\n\\nLundi 27 novembre 2017 à 20h30\\nFrance – Bosnie (84-65)\\nRouen (Kindarena)\\n\\n\\nVendredi 23 février 2018 à 20h30\\nFrance – Russie (75-74)\\nStrasbourg (Rhénus)\\n\\n\\nDimanche 25 février 2018 à 15h00\\nFrance – Belgique (64-49)\\nNancy (Palais des Sports)\\n\\n\\nVendredi 29 juin 2018 à 20h30\\nBosnie – France (52-102)\\nTuzla (Tuzla Mejdan)\\n\\n\\nLundi 2 juillet 2018 à 19h00\\nRussie – France (78-84)\\nKrasnodar (Basket Hall Krasnodar)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nÉquipe\\nMJ\\nV\\nD\\nPour\\nContre\\n+ / –\\n\\n\\nFrance\\n6\\n6\\n0\\n479\\n377\\n102\\n\\n\\nRussie\\n6\\n3\\n3\\n458\\n428\\n30\\n\\n\\nBosnie-Herzégovine\\n6\\n2\\n4\\n400\\n481\\n-81\\n\\n\\nBelgique\\n6\\n1\\n5\\n392\\n443\\n-51\\n\\n\\n\\n\\nLe programme du 2e tour des qualifications à la Coupe du Monde 2019 – Groupe K\\n\\n\\n\\n\\nDeuxième tour\\n\\n\\nJeudi 13 septembre 2018\\nBulgarie – France (74-68)\\nBotevgrad (Bulgarie)\\n\\n\\nDimanche 16 septembre 2018 à 17h00\\nFrance – Finlande (83-67)\\nMontpellier (Sud de France Arena)\\n\\n\\nVendredi 30 novembre 2018 à 18h00\\nRép. Tchèque – France (65-79)\\nPardubice (Rép. Tchèque)\\n\\n\\nLundi 3 décembre 2018 à 19h00\\nFrance – Bulgarie (77-53)\\nLimoges (Beaublanc)\\n\\n\\nJeudi 21 février 2019 à 18h00\\nFinlande – France (76-69)\\nEspoo (Finlande)\\n\\n\\nDimanche 24 février 2019 à 17h00\\nFrance – Rép. Tchèque (82-66)\\nNantes (Trocardière)\\n\\n\\n\\n\\nLes trois premiers du groupe K se qualifient pour la Coupe du Monde 2019 qui se déroulera en Chine du 31 août au 15 septembre 2019.Les équipes conservent tous leurs résultats du premier tour. Les équipes qui se sont déjà jouées au premier tour ne se rencontrent plus au second tour.\\n\\nGroupe K\\n\\n\\n\\n\\nÉquipe\\nMJ\\nV\\nD\\nPour\\nContre\\n+ / –\\n\\n\\nFrance*\\n12\\n10\\n2\\n937\\n778\\n63\\n\\n\\nRussie*\\n12\\n8\\n4\\n966\\n853\\n85\\n\\n\\nRépublique Tchèque*\\n12\\n8\\n4\\n890\\n889\\n23\\n\\n\\nFinlande\\n12\\n6\\n6\\n913\\n927\\n 23\\n\\n\\nBulgarie\\n12\\n4\\n8\\n882\\n971\\n 17\\n\\n\\nBosnie Herzégovine\\n12\\n3\\n9\\n871\\n957\\n-80\\n\\n\\n\\n\\n*équipes qualifiées pour la Coupe du Monde 2019\\n\\n\\n\\n\\nJournée du 21 février 2019:\\n\\n\\n\\n\\n– République Tchèque – Bosnie-Herzégovine (69-64)\\n\\n\\n– Bulgarie – Russie (60-104)\\n\\n\\n– Finlande – France (76-69)\\n\\n\\nJournée du 24 février 2019 :\\n\\n\\n\\n\\n– France – République Tchèque (82-66)\\n\\n\\n– Russie – Finlande (91-76)\\n\\n\\n– Bosnie-Herzégovine – Bulgarie (87-67)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"A 38 ans, David Andersen revient à la SIG Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"A 38 ans -il est né le 23 juin 1980-, l’intérieur australien David Andersen (2,13m) va revenir à la SIG Strasbourg indique le club dans un communiqué.\\n\\nFort d’une carrière très riche en clubs d’Euroleague et de NBA (Houston, Toronto et New Orleans), et de 4 Jeux olympiques, David Andersen a déjà porté la tunique de la SIG en 2014 avant de faire de même à l’ASVEL en 2014-16 avec qui il a été champion de France puis en 2017.\\n\\nIl jouait cette année pour son club formateur des Illawara Hawks et en 28 matches, il a assuré 8,5 points et 3,6 rebonds pour une temps de jeu moyen de 18 minutes.\\n\\n« Ayant pris un meneur australien, on avait l’obligation de trouver un joueur Bosman ou Cotonou, et en l’occurrence David a un passeport danois », a commenté le coach Vincent Collet. « Il remplit cette condition et il connaît la maison. Il a un profil 5/4, et c’est cette capacité de jouer sur les deux positions qui nous intéressait. Le fait d’avoir une rotation de plus permet aussi de nous prémunir de potentielles blessures et le fait qu’il puisse jouer en 5 et 4 est un avantage supplémentaire de ce point de vue aussi. Avec ces deux derniers recrutements, on a une équipe plus complète. J’espère que ces deux joueurs s’intégreront vite. Concernant David, ça devrait le faire car il connaît le club et notre championnat. On est à la recherche depuis longtemps, mais la Leaders Cup a montré certaines choses et a donné des indications. Il faut capitaliser sur ce que le groupe actuel a fait sans l’abîmer. On voulait des joueurs qui complètent l’effectif. On ne voulait pas tout chambouler. Je pense que ce sont des joueurs qui peuvent s’intégrer et se satisfaire de ce qu’on va leur donner. L’objectif est maintenant le long sprint de quatorze matches vers les Playoffs. Il faudra qu’on en gagne au moins huit mais il vaut mieux prévoir neuf pour être qualifié. Nous avons huit réceptions en quatorze rencontres, mais ce sont de gros matches à venir »." }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: La France fait le job contre la République Tchèque (82-66) et termine première de son groupe" }, {"role": "assistant", "content":"Même si les Tchèques bénéficiaient avec six joueurs du club de Nymburk d’un collectif mieux rodé, ils n’ont pas tenu physiquement la distance face à l’équipe de France qui a gagné tous les quarts-temps et donné un coup d’accélérateur en fin de match. Les Bleus se sont principalement appuyés sur leur meneur Andrew Albicy (8 points, 6 passes) et les deux pivots, Mathias Lessort (18 points, 10 rebonds) et Alexandre Chassang (13 points à 6/7 aux tirs et 4 rebonds), qui n’a pas eu froid aux yeux pour sa première entrée en piste avec la sélection nationale.\\n\\nAvec ce succès, les Bleus terminent en tête du Groupe K avec 10 victoires et 2 défaites. Forts de leur troisième place au ranking FIBA, ils seront têtes de série lors du tirage au sort (16 mars, à Shenzhen). Le bilan de ces fenêtres internationales très controversées est très positif puisque la qualification fut obtenue sans trembler avec l’utilisation de pas moins de 30 joueurs qui ont chacun apporté leur pierre à l’édifice. Seul le meneur de Andorre, Andrew Albicy, a été présent pour les 12 matches. Ainsi Rudy Gobert et Evan Fournier n’ont pu se libérer que pour deux rencontres, Nando De Colo pour quatre. A Pardubice, à la fin novembre, Paul Lacombe et Alain Koffi étaient aptes lors de la victoire contre cette même République Tchèque, 65-79, ce qui n’était pas le cas cette fois.\\n\\nLe coach Vincent communiquera une liste de 16 joueurs fin mai, début juin, alors que la Coupe du Monde se tiendra en Chine sur huit sites du 31 août au 15 septembre avec pour la première fois un plateau de 32 équipes.\\n\\nLes 4 100 places -ce n’est pas beaucoup!- de la salle de la Trocardière à Rezé, dans la banlieue de Nantes, étaient -comme pour chaque représentation de l’équipe nationale sur le territoire -toutes occupées pour ce dernier acte. Vincent Collet choisissait Andrew Albicy, Lahaou Konate, Yakuba Ouattara, Amath Mbaye et Mathias Lessort pour composer son starting five. On retrouvait un peu le même schéma que face à la Finlande, c’est à dire une domination athlétique notamment de Mathias Lessort mais une finition très imparfaite. 13-8 au bout de sept minutes sur deux trois-points de Andrew Albicy, véritable patron de cette équipe et qui paraît un candidat très sérieux à la sélection pour la Chine, et un de Lahaou Konate. Le score indiquait 16-15, ce qui prouvait que si la défense était de qualité, le manque de fluidité était criard en attaque.\\n\\nVincent Collet prenait un temps-mort pour sonner les cloches à ses ouailles mais ce sont les Tchèques, maîtres du rebond offensif, qui provoquaient une échappée: 16-25, sur un panier à 3-pts de Blake Schilb par ailleurs discret (5 points, 5 rebonds). C’est le rookie dijonnais Alexandre Chassang (6 points de suite), qui a remplacé Alain Koffi blessé au pied levé, qui initiait un retour pour sa rentrée en jeu et ainsi la France recollait les morceaux et passait en tête momentanément, 28-25. Lahaou Konate était très actif sur chaque latte du parquet et sur le huitième point de la première mi-temps de Alex Chassang, les Bleus prenaient un avantage à 37-32 à la 20e minute.\\n\\nFaute de scoteur patenté, la France ne parvenait pas à prendre plus d’une douzaine de points d’avance. Et malgré l’abattage de Mathias Lessort sous le cercle (14 points, 6 rebonds et... 3 balles perdues dans le quart-temps), le score n’était que de 58-50 à la fin de cette troisième tranche de dix minutes.\\n\\nSi, en fait, cette équipe de France avait en son sein un scoreur né, Axel Bouteille qui inscrivait quelques paniers et la République Tchèque, usée par les qualités athlétiques et la détermination des Bleus, décrochait peu à peu 63-51, 70-57, 79-62 -écart maximal- et donc 82-66.\\n\\nThéo Maledon faisait de parfaites lectures du jeu qui lui permettaient de finir avec 8 points à son actif pour sa deuxième sélection en bleu, à 17 ans. A 20 secondes de la fin, d’un panier comme il les aime à huit mètres, William Howard était le 12e Bleu à scorer. Ces Bleus et les 18 autres qui ont participé à ces fenêtres internationales méritaient bien la standing ovation du public nantais.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n\\n\\n\\L'ambiance du groupe est vraiment bonne\\\\n\\n\\nRéaction de @ThiasLsf le MVP de ce #FRAREP !\\n\\n\\nLe meilleur de la @FIBAWC est sur @myCANAL ▶️ : https://t.co/3pNjtCrC8M pic.twitter.com/ySLeNOrxuD\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) February 24, 2019\\n\\nPhotos: Lahaou Konate et Andrew Albicy (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Large vainqueur d’Israël, la Serbie ira en Chine" }, {"role": "assistant", "content":"La Serbie aura attendue la dernière journée des fenêtres FIBA pour valider sa qualification à la Coupe du monde en Chine mais elle l’a fait avec la manière contre Israël, 97-76.\\n\\nLes Serbes menaient 49-33 à la mi-temps et s’épargnaient ainsi des frayeurs. Avec respectivement 22 et 20 points, Vladimir Lucic et Dragan Milosavljevic ont été les top scoreurs dans le camp des vainqueurs, Milos Teodosic réalisant 11 points et 9 passes.\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: la Finlande s’écroule dans les 10 dernières minutes, la Russie qualifiée" }, {"role": "assistant", "content":"La Finlande a longtemps crû réaliser un exploit en Russie et ainsi se qualifier pour la Coupe du monde en Chine. Les hommes de Erik Dettmann menaient 65-58 après trois-quarts temps. Seulement ils ont été ensevelis par un tsunami dans les dix dernières minutes (33-11) et se sont inclinés au final, 91-76. C’est donc bien la Russie qui ira en Chine.\\n\\nComme contre la France, c’est le naturalisé Jamar Wilson (18 points, 5/9 à trois-points) qui a été le top scoreur finlandais alors que les Russes ont réalisé un bon 12/26 au-delà de la ligne à 6,75m avec Dmitrii Kulagin à 22 points.\\n\\nLa Russie peut encore terminer deuxième du groupe K si la France bat la République Tchèque en fin d’après-midi à Rezé.\\n\\nPhoto: Dmitrii Kulagin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Blake Schilb avec les Tchèques ce soir contre la France" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Ronen Ginzburg fera confiance en fin d’après-midi (17h à la Trocardière de Rezé, diffusé sur Canal+ Sport) aux 12 Tchèques qui ont battu la Bosnie-Herzégovine jeudi à Pardubice (69-64) dont l’Américain naturalisé par mariage Blake Schilb (2,00m, 35 ans), l’ailier de Châlons-Reims.\\n\\nBlake Schilb (13,0 points, 3,7 rebonds, 2,2 passes en 9 matches) reste le joueur le plus expérimenté de l’équipe tchèque et a démontré, lors de plusieurs matches de qualification, son importance dans les moments-clé. Il avait manqué le match aller face à la France en raison d’une blessure mais cette fois il sera bien présent.\\n\\n« C’est toujours un honneur pour moi de jouer pour l’équipe nationale tchèque. Et peu importe si c’est contre la France. Bien sûr, j’ai passé plusieurs années ici et c’est un peu différent, mais quand je porte un maillot de la République tchèque, c’est le plus grand honneur », a-t-il déclaré à la presse du pays.\\n\\nBien que sa famille habite avec lui en Champagne, elle ne sera pas présente dans le chef-lieu de la Loire-Atlantique:\\n\\n« Malheureusement, ils ne seront pas ici car le trajet dure cinq heures et ma femme et mes enfants sont allés à Paris pour rendre visite à des amis que nous avons rencontré durant mes fiançailles à Paris. Ce sont des Tchèques », dit-il.\\n\\nVainqueur à l’aller 65-79, l’équipe de France conservera la première place du groupe à condition de concéder une défaite de moins de 14 points.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLes 12 Tchèques contre la France\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom-Nom\\nPoste\\nTaille\\nAnnée N.\\nClub\\n\\n\\nPatrik Auda\\nPivot\\n206\\n1989\\nPistoia 2000 (ITA)\\n\\n\\nJaromír Bohačík\\nAilier\\n197\\n1992\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\nVojtech Hruban\\nAilier\\n202\\n1989\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\nVít Krejčí\\nMeneur\\n200\\n2000\\nOlivar / Zaragoza (ESP)\\n\\n\\nMartin Kříž\\nPivot\\n200\\n1993\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\nLukáš Palyza\\nAilier\\n202\\n1989\\nBK Olomoucko\\n\\n\\nMartin Peterka\\nPivot\\n205\\n1995\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\nViktor Půlpán\\nMeneur\\n195\\n1996\\nBK JIP Pardubice\\n\\n\\nPavel Pumprla\\nAilier\\n198\\n1986\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\nŠimon Puršl\\nPivot\\n204\\n1997\\nDEKSTONE Tuřice Svitavy\\n\\n\\nBlake Schilb\\nAilier\\n201\\n1983\\nChampagne Chalons-Reims (FRA)\\n\\n\\nTomáš Vyoral\\nMeneur\\n190\\n1992\\nČEZ Basketball Nymburk\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Afrique: Cameroun ou Côte d’Ivoire, qui va empocher le dernier billet pour la Coupe du monde?" }, {"role": "assistant", "content":"La Côte d’Ivoire a son destin entre ses mains. Vainqueur du Nigeria vendredi (72-46) puis du Rwanda samedi (87-60), les Eléphants doivent maintenant vaincre le Mali par au moins 13 points.\\n\\nBénéficiant du soutien de leur public, les Eléphants ont réalisé un authentique exploit en bousculant le Nigéria qui avait jusque-là gagné ses 9 matches de qualification et qui était déjà assuré de se rendre en Chine à la fin août. Malgré les 8 points et 11 rebonds du pivot de Levallois Ikene Ibekwe, les Eléphants ont remporté les quatre quart-temps et limité leurs adversaires à 19 points à la mi-temps. Le Poitevin Guy Landry Edi (1,96m, 30 ans), qui possède la double nationalité, a effectué un match très complet avec 15 points, 5 rebonds, 5 passes et 2 interceptions alors que Solo Diabate (Nancy) a cumulé 6 points, 4 rebonds et 3 passes.\\n\\nPour subtiliser la troisième « meilleure place » de la zone Afrique au Cameroun, qui concourrait dans l’autre groupe, la Côte d’Ivoire se devait de gagner ensuite ses deux derniers matches avec un écart maximal. Les Eléphants ont réussi la première moitié du chemin avec un bonus de 27 points face au Rwanda. Le Palais des sports de Treichville d’Abidjan va connaître aujourd’hui une folle excitation car l’équipe nationale est bien placée pour battre le Mali d’au moins 13 points sachant que celui-ci vient de se faire dominer par la République Centreafrique (-18) et le Sénégal (-24). Les Camerounais Gédéon Pitard (Châlons-Reims) et Jérémy Nzeulie (Strasbourg) vont attendre le résultat du match avec anxiété.\\n\\nPhoto: Solo Diabate (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Sénégal: Youssou Ndoye (Bourg): «Cette qualification pour la Coupe du Monde est mon plus bel accomplissement»" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot de la JL Bourg, Youssoupha Ndoye (2,11m, 27 ans) est heureux. Le Sénégal s’est qualifié pour la Coupe du monde en Chine et il a apporté une contribution importante avec 12,3 points, 6,4 rebonds et 1,3 passe dans les Éliminatoires de la Zone Afrique. Vendredi, il a martyrisé le Rwanda avec 18 points et 9 rebonds.\\n\\n« Jouer pour le Sénégal est toujours quelque chose d’incroyable. Toute ma vie, j’ai souhaité devenir basketteur, et revêtir le maillot de mon équipe nationale est un sentiment fantastique. C’est la raison pour laquelle j’essaie constamment de me montrer à la hauteur de l’occasion, » a t-il déclaré à FIBA.basketball. “Nous voulions nous qualifier pour cette toute première Coupe du Monde à 32 équipes et nous l’avons fait. Je suis très heureux. Avoir fait partie de cette aventure est très important pour moi, il ne fait aucun doute que cette qualification pour la Coupe du Monde est mon plus bel accomplissement.\\n\\nYoussou Ndoye estime que cette cinquième participation à la Coupe du Monde va être bénéfique pour tout le basket sénégalais.\\n\\n“Je sais que beaucoup d’enfants vont commencer à s’entraîner car ils savent que c’est quelque chose qu’ils pourront réussir à faire eux-mêmes. Nous sommes évidemment conscients de l’importance de cette qualification pour notre pays.Peut-être que plus de gens auront envie d’investir dans le basket et que ceci permettra au Sénégal de se montrer davantage, ce qui est important pour notre développement. »\\n\\nLe Sénégal va livrer aujourd’hui un match décisif pour la première place du groupe face au Nigeria et le pivot burgien a déjà le regard tourné vers la Chine.\\n\\n« Nous, les joueurs, nous sommes des ambassadeurs de notre pays. Nous irons en Chine avec le grand honneur de représenter le Sénégal. Nous voulons gagner des matchs et aller le plus loin possible. Nous n’allons pas en vacances là-bas, tout le monde dans l’équipe le sait bien. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: La bonne opération de Landerneau" }, {"role": "assistant", "content":"Après cinq défaites de rang, les Bretonnes de Landerneau ont renoué avec la victoire et celle-ci compte en quelque sorte double. Elle a été obtenue à Saint-Amand Le Hainaut (52-77) face à une équipe qu’elles pourraient retrouver en playdowns et on sait que les résultats acquis en saison régulière y seront comptabilisés.\\n\\nLanderneau a pris l’avantage à la 13e minute (21-22) et ne l’a plus lâché jusqu’à la fin. Avec 23 points, l’Américaine Maggie Lucas a été la plus efficace offensivement, l’Ivoirienne Kariata Daby a apporté 16 points et 6 rebonds et la nouvelle Américaine Marissa Coleman 15 points, 6 rebonds et aussi 3 interceptions. Dans le camp du Hainaut, Ashley Bruner a été limitée à 5 points.\\n\\nLes deux équipes sont aujourd’hui à égalité avec 6 victoires et 11 défaites.\\n\\nPhoto: Maggie Lucas (LFB)" }, {"role": "user", "content":"En Direct avec Amath M’Baye (Equipe de France) : «Le plan A c’est d’être à la retraite et ne rien faire»" }, {"role": "assistant", "content":"Très utile au poste 4 lors de la fenêtre internationale précédente, Amath M’Baye (2,06m, 29 ans) avait notamment inscrit 18 points dans la victoire face à la République Tchèque qui a officialisé la qualification de l’Equipe de France pour la coupe du Monde. L’intérieur du Virtus Bologne a une nouvelle fois été appelé par Vincent Collet pour les deux derniers matches face à la Finlande et à la République Tchèque. Il répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nMa première fois en pro c’était au Japon. Mon premier match a été frustrant, je n’avais pas bien joué. Mais ce qui est bien au Japon c’est qu’on jouait le samedi et le dimanche donc j’ai eu la chance de pouvoir rejouer et me rattraper le lendemain. Cette fois ça s’était bien passé.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nTrès bonne question, j’ai croisé beaucoup de bons joueurs qui m’ont fait progresser... Je dirais mon meneur à Brindisi Nic Moore, qui a d’ailleurs joué à Nanterre. Notre relation sur et en dehors du terrain était tellement bonne que ça m’a apporté beaucoup, beaucoup de confiance lors de cette saison, qui reste l’une de mes meilleures.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJe pense à mon coach en Prep School, Babacar Sy. C’est quelqu’un avec qui je suis en contact en permanence, on se parle quasiment tous les jours alors que ça doit faire une dizaine d’années qu’on se connait maintenant. Il m’a beaucoup marqué et il continue à le faire.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nIl n’y en a pas vraiment, mais il y des clubs mythiques qui font les choses vraiment très bien. Celui qui me vient en premier en tête c’est le Real Madrid. C’est une très grosse organisation. Il y a un staff, que ce soit au niveau des coachs ou de l’administration qui est énorme, tout comme l’effectif. Si je devais en choisir un, je dirais le Real Madrid.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJe dirais ma salle actuelle à Bologne, qui est très bien, le PalaDozza. L’ambiance est super pour quasiment tous les matchs et encore plus pour les grosses affiches.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nJ’ai eu la chance de ne pas en avoir de trop mauvais. Je dirais que ma saison dernière était un peu frustrante par moments. Mais c’est une expérience qui m’a quand même appris beaucoup de choses évidemment, donc j’en tire aussi beaucoup de positif. Je n’ai pas eu de grosse déception jusqu’à maintenant.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nC’est quelque chose auquel je n’ai jamais pensé (rires). Déjà avoir été appelé en Equipe de France ça été vraiment un immense plaisir.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nIl y en a eu beaucoup ! Déjà Buddy Hield. On était à l’université d’Oklahoma ensemble et aujourd’hui il joue pour les Sacramento Kings, en NBA. A l’époque il était déjà impressionnant.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nJe me souviens de l’année où j’ai participé au Adidas Nations quand j’étais en high school. J’avais joué contre Tristan Thompson (ndlr, évolue aux Cleveland Cavaliers actuellement) et il m’avait cassé la gueule (rires). Je pense que c’est lui.\\n\\nVotre move préféré :\\n\\nJe pense que c’est le jab step. Tout le monde le dira (sourire). Jab step à gauche, puis départ à droite. Après on voit ce qui se passe en fonction de la défense, soit le shoot soit aller au panier. Mais je commence souvent avec un jab step... je dirais même 99,999% du temps !\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nÇa serait un floater, c’est sûr. Mais je ne sais pas de quel joueur. Si j’avais quelque chose à rajouter à ma panoplie c’est ça.\\n\\nPourquoi le numéro 24 :\\n\\nEn club, je porte le 24 pour l’anniversaire de ma grand-mère qui est née le 24 juillet. Et le 2 en Equipe de France parce que je ne pouvais pas avoir le 24 (rires). J’ai cherché autre chose et le 2 j’ai trouvé ça bien.\\n\\n« Mais ce qui me prend beaucoup, beaucoup, beaucoup trop de temps c’est les jeux vidéo ! »\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nJ’en ai un qui joue à Cergy-Pontoise, Pierrick Moukenga, et un autre qui joue à Sorgues, Babacar Diouf. C’est les deux joueurs avec lesquels je suis le plus proche. Mais je pense que mon ancien coéquipier de Brindisi, Nic Moore est vraiment devenu l’un de mes meilleurs potes.\\n\\nSi vous deviez choisir quatre potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nJe prendrais Andrew Albicy au poste 1, Curtis Jerrells au poste 2, Vlado Micov en 3, je me mets au poste 4 et je prends Mathias Lessort au poste 5.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nMilan ! C’était super, la ville est énorme.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nJ’aimerais bien dire que je lis beaucoup, ce qui est vrai mais je ne lis pas assez, même si j’ai commencé « Jocks reads » qui est une recommandation de livres pour les athlètes. Ça me prend pas mal de temps. Mais ce qui me prend beaucoup, beaucoup, beaucoup trop de temps c’est les jeux vidéo ! Je joue beaucoup trop à Call of Duty. Ils ont sorti un bon jeu donc résultat je suis dans le dur (rires).\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nLe marcher, ça me fatigue (sourire) ! Je les garderais mais je ne les ferais pas aussi stricts qu’ils le sont en Europe. Ici c’est un petit peu chiant dès que tu fais un départ c’est marcher direct. Surtout pour les intérieurs. Les arrières on les laisse tranquille, mais dès que tu joues un peu au poste c’est foutu.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe n’en ai aucune idée... J’aime bien tout ce qui est web design donc j’en fais déjà un peu sur le côté. Je pense que c’est quelque chose qui m’aurait surement accroché. J’ai commencé à y toucher pendant ma première année pro.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJ’aimerais bien être à la retraite et ne rien faire ! Ça c’est le plan A (rires). Mais si ça ne se passe pas, je pense aller vers le web design ou quelque chose comme ça.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nMa première fois en pro c’était au Japon. Mon premier match a été frustrant, je n’avais pas bien joué. Mais ce qui est bien au Japon c’est qu’on jouait le samedi et le dimanche donc j’ai eu la chance de pouvoir rejouer et me rattraper le lendemain. Cette fois ça s’était bien passé.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nTrès bonne question, j’ai croisé beaucoup de bons joueurs qui m’ont fait progresser... Je dirais mon meneur à Brindisi Nic Moore, qui a d’ailleurs joué à Nanterre. Notre relation sur et en dehors du terrain était tellement bonne que ça m’a apporté beaucoup, beaucoup de confiance lors de cette saison, qui reste l’une de mes meilleures saisons.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Italie: L’ailier des Milwaukee Bucks, Donte DiVicenzo, bientôt titulaire d’un passeport italien?" }, {"role": "assistant", "content":"Le rookie des Milwaukee Bucks Donte DiVicenzo (1,93m, 22 ans) est proche d’obtenir le passeport italien a déclaré le président de la fédération, Gianni Petrucci à Sportando.\\n\\nCela fait plusieurs mois déjà que cette possibilité a été rendu publique.\\n\\n« Mon père travaille ces derniers mois à la sécurisation des documents pour un passeport italien », a déclaré il y a quelque temps le joueur: « Je ne parle pas italien, mais je me sens italien. Mon grand-père ne parle que l’italien. L’été prochain, je visiterai l’Italie avec mon père pour la première fois. Nous obtiendrons la citoyenneté et cela me rend fier, ainsi que ma famille ».\\n\\nDonte DiVicenzo est sorti de Villanova en 2008 pour être drafté en 17e position par les Bucks. En 23 matches de NBA, il tourne à 4,8 points et 2,4 rebonds.\\n\\nSelon les règles de la FIBA, il ne peut y avoir qu’un seul « naturalisé » par équipe. Or l’équipe nationale utilise actuellement les services de Jeff Brooks (2,03m, 29 ans), l’ailier de Milan.\\n\\n\\n\\n\\nMilwaukee Bucks rookie Donte DiVincenzo is close to getting the Italian passport, Italian Basketball Federation president Gianni Petrucci told Sportando.\\nNot sure if he can get on time for the next FIBA Basketball World Cup in China\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) February 23, 2019" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: Il reste encore trois billets en jeu pour l’Europe" }, {"role": "assistant", "content":"L’Allemagne, l’Espagne, la France, la Grèce, l’Italie, la Lituanie, la Pologne, la République Tchèque, et la Turquie ont obtenu leur billet pour la Coupe du monde en Chine. Il en reste trois autres à délivrer lors de la dernière journée des qualifications.\\n\\n-La Russie (7-4) et la Finlande (6-5) s’affrontent cet après-midi. Suite à leur victoire en prolongation en Finlande, les Russes peuvent même se permettre une défaite mais avec deux points au maximum. Cela signifie aussi que la Finlande doit gagner au moins de trois points pour se qualifier.\\n\\n-Un peu plus tard, la Serbie (6-5) et Israël (5-6) entreront en lice dans le groupe L. Le match entre la Géorgie (5-6) et l’Estonie (3-8), qui se joue en même temps, peut également influencer le résultat final. Israël a remporté le match aller 83-74. Les scénarios sont les suivants:\\n\\nLa Serbie se qualifiera si elle gagne ou si elle ne perd de pas plus de 21 points et que la Géorgie bat l’Estonie.\\n\\nIsraël se qualifie si elle bat la Serbie d’au moins 22 points ou s’il elle gagne et que l’Estonie bat la Géorgie.\\n\\n-Le dernier billet en jeu, lundi, est dans le groupe I entre le Monténégro (7-4) et la Lettonie (6-5). Le Monténégro a remporté le premier match en Lettonie 84-75, ce qui leur permet de perdre le prochain match avec un maximum de huit points. Donc si la Lettonie parvient à gagner d’au moins neuf points, ce seront ceux qui se rendront en Chine pour la Coupe du monde.\\n\\nAvec 27 points, le meneur de Monaco Derek Needham a été le meilleur marqueur du Monténégro lors de sa victoire vendredi sur l’Ukraine, 74-76.\\n\\nPhoto: Dmitrii Kugalin (Russie)" }, {"role": "user", "content":"Italie: Confirmé à la tête de l’équipe nationale, la semaine en or de Romeo Sacchetti" }, {"role": "assistant", "content":"Quelques heures après la qualification pour la Coupe du Monde en Chine obtenue avec un succès sur la Hongrie (75-41), Romeo Sacchetti, 65 ans, a été officiellement confirmé en tant qu’entraîneur à temps partiel de l’équipe nationale d’Italie. Le contrat avec la fédération italienne sera joint à celui de Vanoli Cremona, qui court jusqu’en 2022. Mais comme l’a précisé le président fédéral, Giovanni Petrucci, la confirmation de l’entraîneur « avait déjà été décidée avant la qualification »\\n\\nMeo Sacchetti a réussi dans la même semaine à gagner la Coupe d’Italie, renouveler son contrat avec Cremona, être déclaré citoyen honoraire de la ville de Varèse -il y a joué de 1984 à 92-, obtenir un laissez-passer pour la Coupe du monde en Chine et renouveler son bail avec la l’équipe nationale.\\n\\n« J’ai une grande confiance en Meo et dans le travail accompli jusqu’à présent avec l’équipe », a ajouté Petrucci. « L’objectif le plus immédiat est la Coupe du monde en Chine, mais notre attention est également portée sur les Jeux olympiques (NDLR: qualifications à travers la Coupe du monde ou le tournoi pré-olympique) et l’EuroBasket 2021 que nous espérons co-organiser « .\\n\\nEn attendant, l’Italie jouera lundi à Klaipeda son dernier match de qualification à la Coupe du monde face à la Lituanie.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Théo Maledon dans le top 10 des internationaux français les plus précoces" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur villeurbannais Théo Maledon doit honorer en fin d’après-midi face à la Finlande sa première sélection en équipe de France. Il n’a que 17 ans et s’inscrit dans le top 10 des plus jeunes internationaux français de tous les temps. Qui sont les autres phénomènes de précocité ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1 Hervé Dubuisson, le recordman toutes catégories\\n\\nDub a fait en France une razzia sur les records individuels. Sa première sélection face à la République Fédérale d’Allemagne date du 22 mai 1974. Il va en totaliser 259. C’est aussi un record. Et scorer 3 921 points. C’est une marque d’extra-terrestre sachant que le deuxième au classement, Jacques Cachemire, est loin derrière, 2 843. Il se souvient avoir débuté sa carrière à haut niveau avec Denain... en Coupe d’Europe contre le Steinsel du Luxembourg le 23 janvier 1973. Il avait alors 15 ans et 5 mois ! Il faut l’avoir vu en coupe de France cadets ou juniors pour comprendre combien il était dominateur sur les joueurs de sa génération. Le Nordiste était un esthète, doté d’une détente à un pied fantastique et d’une parfaite maîtrise de son corps dans l’air. Un as du dunk après arabesques. Un poignet fantastique qui lui permettait de marquer sans forcer des paniers du milieu du terrain... assis sur un chaise. 8 fois meilleur marqueur français de première division et recordman français sur un match en LNB avec 55 points. Recordman de points sur un match en équipe de France : 51, le 21 novembre 1985, face à la Grèce et avec le bénéfice de trois prolongations. Ce qui est épatant avec lui, c’est qu’il a aussi battu des records de longévité. Il fut le héros et le MVP du All-Star Game à Tours en 1994. Il était coach à Montpellier quand il eut l’autorisation de jouer le dernier match de la saison 1996-97 face à Besançon et de porter le numéro 25 pour symboliser son nombre de saisons en première division. Il scora ce soir-là 30 points avec un 4/9 à trois-points et un passage de la balle entre ses jambes en contre-attaque ! Mais Dub, pas encore rassasié, joua 14 matches supplémentaires deux ans plus tard à 5,1 points en moyenne. Il avait donc près de 42 ans. Sa faiblesse dans le palmarès ? Les titres collectifs. Rien avec les Bleus et juste deux trophées de champion avec Le Mans en 1978 et 79.\\n\\n2 Jean-Pierre Galais, le mini meneur\\n\\nAlors qu’il ne jouait pas en première division, le Normand fut un temps le plus jeune international français grâce à une sélection pour un match amical contre la Finlande... qui n’eut pas de suite. Avec son 1,69m, il demeure le plus petit international par la taille -du moins après la deuxième guerre mondiale car c’est invérifiable au préalable- et ce record n’est pas prêt d’être battu. Sinon une saison en Nationale 2 à Dammarie-les-Lys, il fit toute sa carrière à l’AL Montivilliers, à une quinzaine de kilomètres du Havre, le club d’André Collet -70 ans de présence !- et de son fils Vincent. Il fut d’ailleurs surnommé le « Kopa de Montivilliers », en référence à l’étoile du football français des années 50-60, lui-même de petite taille. Selon la presse de l’époque, c’était un feu-follet, bon passeur et fort shooteur à mi-distance. Depuis dix ans, il est le président de son club de -presque- toujours.\\n\\n3 Philip Szanyiel et sa patte gauche\\n\\nUn jeu atypique de gaucher, sous le cercle comme au post, pour ce descendant d’émigré hongrois qui doit son prénom raccourci à... une boulette de l’officier d’Etat Civil. L’entraîneur de Manosque expédia aux responsables fédéraux son CV à l’occasion d’une opération grands gabarits. La carrière de ce grand garçon (1,90m en minimes) pas complexé pour un sou était lancée. Il fut licencié à Antibes en cadet et prépara un CAP de menuisier afin de prendre un jour la succession de son père, ébéniste à La Bastide-des-Jourdans. C’est sous le maillot d’Avignon qu’il a fait connaissance avec le haut niveau. Intérieur instinctif porté sur l’attaque, en juniors deuxième année, il était déjà à 19,3 points de moyenne en première division. Il lui fallut tout de même attendre sa sixième sélection en bleu pour marquer son premier panier. Sza-Sza s’est bien rattrapé ensuite avec 2 359 points en carrière, le sixième score all-time. Sa dernière sélection fut face à la Dream Team américaine de Magic Johnson, Michael Jordan et Larry Bird, en 1992 à Monaco. Pas mal comme baisser de rideau. Entre-temps, il a gagné un titre de champion et disputé une finale de Coupe des Coupes (C2) avec l’ASVEL mais son talent aurait davantage rapporté s’il avait fait partie d’une génération plus performante.\\n\\n4 Jean Pernicini, le Parisien\\n\\nEbéniste de son métier. On le décrivait comme un joueur solide sur ses jambes avec un buste puissant, vif, bon dribbleur, drivant à travers les défenses et doté d’un sourire... ironique. Impulsif, théâtral, il fut la tête de Turc du public parisien. Né à Bagnolet, il a joué à Charonne, l’Avia Club et le Racing, trois clubs de la capitale, mais aussi à l’AS Monaco, au Stade Malherbe de Caen et à Charleville-Mézières aux côtés des frères Beugnot, Jean-Paul et Robert. Ailier de 1,83m, il fut quatre fois champion de France, médaillé d’argent au championnat d’Europe de 1949 au Caire et de bronze en 1951 et 53. Il a participé également aux JO de 1952 à Helsinki et au championnat du monde de 1950 et 54. Un record de 24 points cette année-là contre la Suisse.\\n\\n5 Jean-Claude Bonato et son bras roulé\\n\\nLe père de Yann, l’ancien international et auteur d’un célèbre triplé avec Limoges en 2000. Jean-Claude est né à Hayange où son père était mineur et il hérita de la grande taille de son grand-père (2,05m). Il a joué à Nilvange et Nantes -pour se rapprocher de Paris où il effectuait son service militaire- et en fin de carrière à Nice, mais c’est à l’Olympique d’Antibes qu’il a effectué l’essentiel de sa carrière (1962-64 et 1965-79) en faisant la paire avec l’Antillais Jacques Cachemire. Surnommé Chouchou. Célèbre pour son bras roulé auquel il n’y avait pas d’antidote. Il a disputé son premier championnat d’Europe à Wroclaw en 1963 à 17 ans en profitant de nombreux forfaits. Deux fois meilleur marqueur du championnat de France en 1969 (26,8 points) et 1972 (27,4). Un record de 35 points avec les Bleus en 1971 contre la Finlande.\\n\\n6 Alain Gilles, le numéro 1 du XXe siècle\\n\\nComme Hervé Dubuisson son nom est synonyme de talent et de précocité. Comme Hervé Dubuisson, il n’a pas pu exprimer totalement son potentiel car l’équipe de France était sur le déclin quand il y a mis ses baskets. C’est lors d’un match de coupe de France, Roanne-Villeurbanne -les deux seuls clubs de sa carrière- qu’il a fait ses débuts à haut niveau à 15 ans, 8 mois et 2 jours. Il boucla la boucle à 41 ans et 5 jours. Un jury d’experts le désigna comme le meilleur basketteur français du XXe siècle. Sur un terrain, Gillou était hyper actif, roi de la contre-attaque, passeur dans le timing et il donna un coup de fouet à sa légende avec des paniers du milieu du terrain. Il fut le premier basket de l’Hexagone à avoir bénéficié des retransmissions télévisées et c’est ainsi qu’il a marqué profondément toute une génération de téléspectateurs. Huit fois champion de France, huit fois élu meilleur joueur de première division, huit fois meilleur marqueur français, finaliste de la Coupe des Coupes (C2) comme meneur de jeu titulaire à 38 ans. 14,1 points en moyenne avec les Bleus. Il a avoué lui-même que son hygiène de vie n’était pas idéale. Il était toutefois capable de courir comme un lapin après une nuit blanche ou après avoir mangé un couscous. Il était très endurant contrairement à ce que pouvait faire croire son allure chétive. Décédé en 2014.\\n\\n7 Théo Maledon, attendu en haut de la draft NBA\\n\\nContrairement à ses aînés, il a connu sa première sélection dans une compétition officielle en Finlande même s’il ne s’agit pas véritablement de l’équipe de France A... et en étant introduit dans le cinq de départ pour 15′ de jeu, 3 points et 3 rebonds. Comme Tony Parker, Thé Maledon est né en Normandie -à Rouen et il a porté le maillot du SPOR dans les catégories de jeune- et il est passé par l’INSEP- mais son CV est beaucoup plus épais que son président à l’ASVEL au même âge. Il est entré pour la première fois en Pro A/Jeep Elite à 16 ans, 3 mois et 18 jours. Champion d’Europe U16 en 2017, il a cumulé 20 points, 8 rebonds, 4 passes et 6 interceptions en finale face au Monténégro. L’été suivant, il est vice-champion du monde avec des moyennes de 11,1 points, 6,1 rebonds et 4,1 passes. Sa maturité, son QI basket, sa capacité à driver ou à shooter à distance et encore son excellence aux lancers-francs ont épaté durant la première moitié de la saison. 6,8 points, 2,5 rebonds et 1,9 passe en Eurocup dans une équipe, l’ASVEL, qui gagne. Il est annoncé tout en haut de la draft NBA en 2020 et pas impossible qu’il soit convoqué pour la « vraie » équipe de France pour la Coupe du Monde en Chine cet été.\\n\\n8 Michel Le Ray, l’homme qui a vu Bob Cousy et les Celtics\\n\\nIl fit équipe à Nantes avec son frère Marcel et c’est grâce à eux que l’ABC devint une place forte du basket français. Major de la promotion en 1959 des camps Gilette, alors qu’il était international junior, il fut invité à un voyage exceptionnel à l’époque : trois semaines aux Etats-Unis, au cœur des Boston Celtics, où il fut guidé par la superstar Bob Cousy, né de parents français. C’est André Buffière qui lui offrit sa première sélection en équipe de France. Michel choisit ensuite de rejoindre son copain Alain Gilles à Villeurbanne. De chaudronnier, il devint dessinateur industriel, commercial, puis chef d’entreprise. A cette époque, pas question de vivre du basket ! Après plusieurs titres nationaux avec l’ASVEL, un titre de meilleur joueur français en 1966 et deux trophées de meilleur marqueur, il suivit un autre pote, Alain Durand, chez les Lyonnais de la Croix Rousse. C’est ensuite, comme entraîneur, qu’il donna sa chance à un certain Richard Dacoury. Mais il revint à l’ASVEL dans les années quatre-vingt comme directeur sportif et vice-président avant de devenir le président de l’Amicale des Anciens du club.\\n\\n9 Claude Peter, de Mulhouse au Mans\\n\\nFrère de l’internationale Danielle Tognarini-Peter, vice-championne d’Europe en 1970, décédée prématurément. C’est à l’AS Mulhouse que cet ailier alsacien devenu arrière reconnaissable à sa chevelure blonde (en haut à droite sur la photo) connu sa première sélection et il participa notamment comme joueur du banc au championnat d’Europe de 1967. C’est au Mans qu’il fit l’essentiel de sa carrière. Il tourna à une douzaine de points de moyenne lors de ses premières années sous le maillot tango avec une pointe à 13,0 points en 1969-70 mais fut handicapé par des tendinites aux deux genoux. Champion de France au soir de sa carrière, en 1978 et 79, il fut aussi l’entraîneur éphémère du club de la Sarthe. Il avait par ailleurs pignon sur rue en ville en étant directeur d’une boîte de travail intérimaire.\\n\\n10 Jean Degros, un sacré caractère\\n\\nSa coupe en brosse était aussi célèbre sur les parquets français que le nez de Cléopâtre dans l’ancienne Egypte. Jean Degros a fait ses gammes dans la cour de l’Ecole Voltaire à Denain où son père était instituteur. C’est sa mère qui tintait en rouge dans une bassine les maillots de corps personnels des joueurs qui servaient le week-end pour les matches et les numéros étaient découpés dans du drap blanc. C’est avec des joueurs du même établissement scolaire ou du voisinage que le club accéda à la Nationale 1... La Jeep Elite de l’époque. Ses titres de gloire : la Coupe de France en 1960 et le titre de champion cinq ans plus tard. Denain fut le club de lancement de Jean-Pierre Staelens, Hervé Dubuisson et Valéry Demory. Jean Degros était un meneur de caractère, adulé chez lui, haï ailleurs. Le Nordiste a connu le meilleur avec les Bleus à ses débuts : une médaille de bronze à l’Euro en 59, une participation aux JO de 1960 et au championnat du monde en 1963 ; l’année où il fut élu Meilleur Basketteur de France. Il refusa une offre du Real Madrid pour raisons familiales.\\n\\n[table id=172 /]\\n\\n[armelse]\\n\\n1 Hervé Dubuisson, le recordman toutes catégories\\n\\nDub a fait en France une razzia sur les records individuels. Sa première sélection face à la République Fédérale d’Allemagne date du 22 mai 1974. Il va en totaliser 259. C’est aussi un record. Et scorer 3 921 points. C’est toujours un record sachant que le deuxième au classement, Jacques Cachemire, est loin derrière, 2 843. Il se souvient avoir débuté sa carrière à haut niveau avec Denain... en Coupe d’Europe contre le Steinsel du Luxembourg le 23 janvier 1973. Il avait alors 15 ans et 5 mois ! Il faut l’avoir vu en coupe de France cadets ou juniors pour comprendre combien il était dominateur sur les joueurs de sa génération. Le Nordiste était un esthète, doté d’une détente à un pied fantastique et d’une parfaite maîtrise de son corps dans l’air. Un as du dunk après arabesques. Un poignet fantastique qui lui permettait de marquer sans forcer des paniers du milieu du terrain... assis sur un chaise. 8 fois meilleur marqueur français de première division et recordman français sur un match en LNB avec 55 points. Recordman de points sur un match en équipe de France : 51, le 21 novembre 1985, face à la Grèce et avec le bénéfice de trois prolongations. Ce qui est épatant avec lui, c’est qu’il a aussi battu des records de longévité. Il fut le héros et le MVP du All-Star Game à Tours en 1994. Il était coach à Montpellier quand il eut l’autorisation de jouer le dernier match de la saison 1996-97 face à Besançon et de porter le numéro 25 pour symboliser son nombre de saisons en première division. Il scora ce soir-là 30 points avec un 4/9 à trois-points et un passage de la balle entre ses jambes en contre-attaque ! Mais Dub, pas encore rassasié, joua encore 14 matches deux ans plus tard à 5,1 points en moyenne. Il avait donc près de 42 ans. 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On a l’assurance d’avoir le soutien des trois collectivités (municipalité, conseil départemental et conseil régional) ainsi que celui de la Fédération française. Accueillir le Final Four à Bourges, ce serait bien pour la ville, le club, nos équipes sportives ou administratives. Tout le monde au club n’attend que ça. »\\n\\nLe club du Cher possède un record d’Europe puisque c’est la 21e fois en 24 ans qu’il va participer aux quarts de finale de l’Euroleague. 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Les Italiens ont assuré leur ticket grâce à une très large victoire sur la Hongrie, 75-41. De son côté, la Pologne a vaincu la Croatie, 77-69, laquelle sera avec sa voisine la Slovénie l’une des grandes absentes de la compétition mondiale.\\n\\nLa Hongrie a été étouffée par la défense italienne et n’a marqué que 15 points en première mi-temps. Amedeo Della Valle a été le plus prolifique côté italien avec 15 points.\\n\\n« Mes joueurs ont fait preuve de détermination », a commenté le coach italien Meo Sacchetti. « Ils ont pratiqué une défense très, très agressive en première mi-temps et la Hongrie n’a réussi à marquer que 15 points. Les cinq premières minutes de la seconde mi-temps ont été importantes et elles nous ont permis de conserver une avance de 17-20 points. Plus le match avançait, plus l’écart se creusait. Amedeo a scoré 15 points, mais tous les joueurs ont réalisé du bon travail. Je tiens à mentionner Jeff Brooks, qui n’a pris aucun tir en première mi-temps, mais qui a capté 7 rebonds et a été exemplaire en défense. Il a aussi pris 4 rebonds offensifs. Il joue pour l’équipe et ce genre de joueurs est extrêmement précieux. »\\n\\nLa Pologne a été menée 0-14 mais elle a su renverser la vapeur grâce notamment à Mateusz Ponitka qui a assuré 20 points, 8 rebonds et 2 contres, tandis que le Villeurbannais A.J. Slaughter a inscrit 15 points et le Franco-Polonais Aaron Cel a pris 3 rebonds. Cela faisait 52 ans que les Polonais ne s’étaient pas qualifiés pour cette compétition.\\n\\n« Je veux juste dire à quel point je suis fier de notre équipe. Ce qui me plaît le plus, c’est que ceci nous unira pour toujours, tous les joueurs, les coachs, le staff, les gars. Notre détermination, notre cœur, par exemple Mateusz Ponitka qui revient en défense pour contrer, les plongeons, les paniers cruciaux », s’est réjouit Mike Taylor, leur coach.\\n\\nPhoto: AJ Slaughter (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Afrique: Le Sénégal a validé sa qualification à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Le Sénégal est devenu vendredi la quatrième nation africaine à se qualifier pour la Coupe du Monde 2019. Pour se faire, l’équipe de Abdou Ndiaye a été sans pitié pour le Rwanda, 81-41. Ce sera la cinquième participation des Lions au rendez-vous mondial et la deuxième consécutive après l’édition de 2014 où ils avaient réussi l’exploit de vaincre la Croatie.\\n\\nAvec 18 points et 9 rebonds, le pivot de la JL Bourg Youssou Ndoye a été le plus productif des joueurs sénégalais.\\n\\nLe Sénégal a rejoint l’Angola, le Nigeria et la Tunisie pour représenter l’Afrique en Chine. L’identité du dernier représentant continental sera connue d’ici dimanche. La Côte d’Ivoire, la République centrafricaine et le Cameroun sont les trois équipes encore en course pour finir meilleure troisième des Groupes E et F.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nÉLIMINATOIRES COUPE DU MONDE #CHINE2019\\n\\n\\nQUALIFICATION VALIDÉ\\nCHINE NOUS VOILÀ.\\nBRIEFING DU COACH ABDOURAHMANE NDIAYE ADIDAS APRÈS LE MATC#ThisIsMyHouse #FIBAWC #kebetu #Tl221 #Basketball #SEN\\n🇸🇳🏀🇸🇳🏀🇸🇳🏀 pic.twitter.com/4DAhrLCh3n\\n\\n\\n— FSBB 🇸🇳🏀 (@FSBBOFFICIEL) February 22, 2019" }, {"role": "user", "content":"Pro B : L’ex-Dijonnais Ryan Brooks arrive à Aix-Maurienne" }, {"role": "assistant", "content":"Brandon Peterson ayant quitté le club ce jeudi et la blessure de DJ Richardson se prolongeant, Aix-Maurienne a décidé de faire appel à un pigiste médical afin qu’il aide le club dans sa course au maintien en Pro B. Et c’est sur Ryan Brooks (1,93m, 30 ans), que le club savoyard a jeté son dévolu.\\n\\nPoste 2/3 réputé pour ses qualités défensives, le joueur a déjà évolué en France durant sa carrière, c’était à la JDA Dijon entre 2015 et 2017. Avec le club bourguignon, il tournait à 9,4 points et 2,9 rebonds de moyenne sur 64 matchs disputés." }, {"role": "user", "content":"Russie : La VTB League inaugure son Hall of Fame" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le cadre de son All-Star Game, la VTB League a annoncé la première cuvée de son Hall of Fame. Sept joueurs et trois entraîneurs seront honorés pour leur contribution à la ligue, qu’ils soient russes ou étrangers.\\n\\nLes joueurs prochainement intronisés sont Milos Teodosic (Serbie), Andrei Kirilenko (Russie), Victor Krryapa (Russie), E.J Rowland (Etats-Unis, Bulgarie), Gregor Arbet (Estonie), Keith Langford (Etats-Unis) et Jerry Johnson (Etats-Unis, Kazakhstan). Tandis Ettore Messina (Italie), Rimas Kurtinaitis (Lituanie) et Evgeny Pashutin (Russie) inaugureront le Hall of Fame des entraîneurs.\\n\\nPhoto: Andrei Kirilenko" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Milan se replace avec un 4e succès de rang" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le sprint final se prépare gentiment en Euroleague, cette 23e journée à pu éclaircir la situation dans le Top 8 avec quatre victoires à domicile pour quatre écuries en course pour les playoffs. Et le grand gagnant de la soirée est Milan qui bat non seulement le Maccabi qui revenait fort, mais récupère également le tie break sur son adversaire (87-83).\\n\\nSans Nando De Colo, le CSKA Moscou n’a pas fait dans la dentelle contre Gran Canaria en passant son meilleur score de la saison (107-85). En pleine réussite, Barcelone a plié le match dès le 1er quart face à Vitoria alors que l’Efes Istanbul a su contenir l’Olympiakos pour une belle opération au classement.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMilan à la puissance 4\\n\\nFort de 5 victoires en 6 matchs, le Maccabi Tel Aviv arrivait sur une belle dynamique en Lombardie. Et, à l’image de Scottie Wilbekin (20 points) qui profite des ultimes secondes de la 1ère mi-temps pour égaliser à la pause à très longue-distance, le Maccabi s’est bien battu. Mais la dynamique milanaise a été plus forte, avec une 4e victoire de rang sur les épaules de Mike James (19 points, 5 rebonds, 5 passes).\\n\\nLe retour de Kaleb Tarczewski a fait le plus grand bien à la raquette milanaise, avec 7 contres au total pour Milan, dont 3 dès les 3 premières minutes pour Tarczewski. Jeff Brooks (15 points, 7 rebonds) et Curtis Jerells (16 points) ont équilibré l’attaque de Milan, avec James Nunally également à 13 unités. Le Maccabi a craqué sur un 10-0 à quelques encablures de la ligne d’arrivée (87-83)...\\n\\n\\nBarcelone ne perd plus\\n\\nTout frais champion de la Copa del Rey, le Barça restait dans les confrontations nationales avec la réception de Vitoria pour cette 23e journée d’Euroleague. Et le Baskonia n’a pas résisté longtemps à la furia catalane. Un 19-3 initial (et 22-9 sur le 1er quart) a brisé les pattes basques qui ne s’en remettront pas au final (77-67).\\n\\nKevin Séraphin (15 points, 6 rebonds, 2 contres) a livré une très belle partition, bien orchestrée également par Thomas Heurtel au bord du double double à 11 points et 9 passes. Respectivement à 19 et 21 d’évaluation, le duo tricolore a été au diapason pour faire la leçon à Vitoria qui sort en l’occurrence du Top 8. Vincent Poirier termine à 5 points, 8 rebonds dans la triste prestation offensive du Baskonia...\\n\\n\\nL’Efes Istanbul brise sa série noire\\n\\nOlympiakos est dans le creux de la vague en ce moment, et ce n’est pas du côté d’Istanbul qu’ils ont pu sortir la tête de l’eau ! Sans son totem Vassilis Spanoulis, l’Oly a chuté pour la 4e fois de suite, contre l’Efes qui a de son côté confirmé son regain de forme avec un 6e succès sur ses 8 derniers matchs (75-65). Pris par l’agressivité des Reds qui ont passé un 17-0 en 2e quart, Istanbul a réagi par la suite, avec 30 points concédés en 2e mi-temps notamment.\\n\\nAvec 12 points et 8 rebonds, et un gros tir à trois points sur le buzzer de la possession en tout début de match, Moerman a parfaitement exemplifié les dernières louanges de Vincent Collet, le sélectionneur des Bleus, à son égard. A l’inverse, Rodrigue Beaubois reste la tête dans le sot avec un nouveau match à 0 pointé, le 2e de suite.\\n\\n\\nLe CSKA à la parade\\n\\nL’écart est monté jusqu’à 22 unités et Gran Canaria n’a tout simplement pas pu tenir le rythme imposé par le CSKA (107-85). Moscou réalise son meilleur match offensif de la saison. Et ce, sans Nando De Colo ni Cory Higgins soit 30 points de moyenne.\\n\\nWill Clyburn (17 points, 7 rebonds) et Sergio Rodriguez (18 points, 8 passes) ont assuré l’essentiel pour l’armada moscovite. En face, Kim Tillie n’a pas démérité avec une belle sortie à 13 points et 18 d’éval’, meilleur score de son équipe. C’est la 8e défaite de rang de GranCa !\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 15 points (6/10 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres en 17 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 13 points (5/8 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions en 29 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 12 points (5/11 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 31 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/7 aux tirs), 9 passes, 5 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 21 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 5 points (2/5 aux tirs), 8 rebonds, 2 contres, 1 interception en 30 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 2 points (0/3 à trois points), 1 rebond en 11 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 0 point (0/5 aux tirs), 1 passe en 14 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nKevin Séraphin et Thomas Heurtel ont eu le réconfort de la victoire donc on offre l’action de la soirée à Vincent Poirier qui se paye justement le French Savage... sur un dunk qui ne l’est pas moins ! Poirier réussit un bon dribble en pivot et finit avec une main gauche puissante pour aller au bout malgré Séraphin et Singleton sur le paletot. Gros degré de difficulté !\\n\\n\\n\\n\\n.@viinze_17P with the spin and HAMMER 🔨\\n\\n\\nBarcelonas lead has been cut to 10 👀#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/btDMsHyudd\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 21, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 23e journée\\n\\nJeudi 21 février :\\nCSKA Moscou – Gran Canaria (107-85)\\nEfes Istanbul – Olympiakos (75-65)\\nMilan – Maccabi Tel Aviv (87-83)\\nBarcelone – Vitoria (77-67)\\n\\nVendredi 22 février :\\nDarussafaka – Fenerbahçe (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Podgorica (19h)\\nPanathinaikos – Khimki Moscou (20h)\\nReal Madrid – Bayern Munich (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 24e journée\\n\\nJeudi 28 février :\\nKhimki Moscou – Milan (18h)\\nFenerbahçe – Efes Istanbul (18h45)\\nMaccabi Tel Aviv – Darussafaka (20h05)\\nVitoria – Zalgiris Kaunas (20h30)\\nGran Canaria – Panathinaikos (21h)\\n\\nVendredi 1er mars :\\nPodgorica – Bayern Munich (19h)\\nOlympiakos – CSKA Moscou (20h30)\\nBarcelone – Real Madrid (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMilan à la puissance 4\\n\\nFort de 5 victoires en 6 matchs, le Maccabi Tel Aviv arrivait sur une belle dynamique en Lombardie. Et, à l’image de Scottie Wilbekin (20 points) qui profite des ultimes secondes de la 1ère mi-temps pour égaliser à la pause à très longue-distance, le Maccabi s’est bien battu. Mais la dynamique milanaise a été plus forte, avec une 4e victoire de rang sur les épaules de Mike James (19 points, 5 rebonds, 5 passes).\\n\\nLe retour de Kaleb Tarcz\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Jan Vesely de retour avec Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"Après quatre semaines d’absence à la suite d’une blessure, l’intérieur tchèque du Fenerbahçe, Jan Vesely (2,13m, 28 ans) fera son retour sur les terrains ce vendredi lors du derby contre Darussafaka en EuroLeague.\\n\\nA l’entraînement depuis le début de la semaine, ce match semble pour lui idéal pour reprendre la compétition, le Fener étant qualifiés pour les playoffs tandis que leurs adversaires sont déjà éliminés.\\n\\nSon retour fera du bien aux jaunes et bleus, Joffrey Lauvergne étant toujours indisponible à cause d’une blessure à la cheville et Tyler Ennis est absent depuis quasiment le début de la saison.\\n\\nJan Vesely, le 6ème choix de la draft 2011, tourne à 14,4 points et 5,6 rebonds de moyenne en EuroLeague." }, {"role": "user", "content":"EuroCup féminine: Lattes-Montpellier vs Charleville et ASVEL vs Girone en quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"En confirmant leurs succès des matches allers, Lyon et Lattes-Montpellier se sont qualifiés pour les quarts de finales de l’Eurocup où les rejoint Charleville-Mézières en provenance de l’EuroLeague. Le BLMA y affrontera les Flammes et l’ASVEL les Espagnoles de Girone.\\n\\nBien que privées de deux joueuses, les Lyonnaises se sont imposées à Tarbes avec la manière : 65-44 sous la direction de la meneuse belge Julie Allemand (25 points à 9/11 aux tirs). Pendant ce temps, les Héraultaises ont vaincu Galatasaray 70-57. Oleshia Malashenko a assuré 15 points.\\n\\nLes quatre équipes des huitièmes de finale, classées selon la saison régulière, sont:\\n\\n 1. BLMA Lattes-Montpllier (FRA)\\n 2. Cukurova Basketbol (TUR)\\n 3. Spar Citylift Girone (ESP)\\n 4. Lyon ASVEL Féminin (FRA)\\n\\nElles sont rejointes en quarts de finale par les équipes terminant cinquième et sixième dans leurs groupes respectifs d’EuroLeague. Ces équipes, classées selon leur résultat de la saison régulière, sont:\\n\\n 1. Parfumeria Avenida (ESP)\\n 2. Nadezhda (RUS)\\n 3. Famila Schio (ITA)\\n 4. Carolo Basket Charleville-Mézières (FRA)\\n\\nLes quarts-de-finale sont:\\n\\nLattes-Montpellier/Charleville, Avenida/ Nadezhda, Cukurova/Schio, Girone/ASVEL.\\n\\nLes quarts de finale se disputeront sous forme de match aller-retour, les deux manches étant prévues pour les 7 et 14 mars.\\n\\nPhoto: Diandra Tchatchouang (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Après l’Australie, Demitrius Conger (ex Le Mans) file en Israël" }, {"role": "assistant", "content":"Laissé libre par Le Mans mi-novembre, Demitrius Conger (1,98m, 28 ans) s’était engagé en faveur des Adelaide 36ers, en Australie, dans la foulée. La saison de NBL terminée, l’ancien manceau vient de trouver un nouveau refuge en Israël.\\n\\nSur son site, l’Hapoel Jerusalem annonce l’arrivée de New-yorkais pour un mois et demi avec possibilité de prolongation jusqu’à la fin de la saison. Passé par Trikala, la G-League ou encore Badalone, l’ancien joueur de l’Hapoel Tel Aviv va vivre sa deuxième expérience en Israël.\\n\\nCette saison, Demitrius Conger compilait en moyenne 10,9 points et 3,2 rebonds pour une évaluation de 11,2 en Jeep Elite, et 8,6 points et 3 rebonds pour une évaluation de 7,8 en Champions League. En Australie, il tournait à 11,7 points, 4,8 rebonds et 2,2 passes décisives." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Finlande-France" }, {"role": "assistant", "content":"Les meilleurs moments du match Finlande-France qui a vu la victoire des Finlandais, 76-69, à Espoo.\\n\\nPhoto: Mathias Lessort (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde: La République Tchèque peut toujours devancer la France dans le groupe K" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà assurée de sa qualification à la Coupe du Monde, la République Tchèque a obtenu hier soir à Pardubice, devant 2 821 spectateurs, une victoire sur la Bosnie-Herzégovine (69-64) et conserve ainsi une chance de terminer première du groupe K. Il lui faudra pour cela vaincre la France d’au moins 15 points dimanche à Rezé.\\n\\nJaromír Bohačík a été le meilleur marqueur tchèque avec 17 points, Vojtech Hruban a cumulé 13 points et 9 rebonds alors que l’Américain naturalisé de Châlons-Reims Blake Schilb s’est contenté de 6 points, 4 rebonds et 3 passes en 26′. Dans le camp de la Bosnie, l’Orléanais Miralem Halilovic a réussi un double double avec 10 points et 10 rebonds.\\n\\n« C’est une victoire importante que nous voulions pour récompenser les fans qui étaient présents. La Bosnie a très bien défendu, nous créant une grande pression, mais l’équipe a montré son caractère et a remporté la victoire, sans jouer pour autant son meilleur match « , a déclaré l’entraîneur Ronen Ginzburg.\\n\\nLes principaux joueurs tchèques, Tomas Satoransky (Washington Wizards), Jan Veselý (Fenerbahçe) et Ondřej Balvín (Gran Canaria) faisaient évidemment défaut comme Jusuf Nurkic (Portland Trailblazers), Dzanan Musa (Brooklyn Nets) et Elmedin Kikanovic (Monaco) dans les rangs de la Bosnie.\\n\\nPhoto: Blake Schilb (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Leandro Barbosa envoie le Brésil à la Coupe du monde" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur des Iles Vierges Américaines (80-104), le Brésil s’est qualifié pour la prochaine Coupe du monde qui se tiendra en Chine du 31 août au 15 septembre prochains.\\n\\nSi Anderson Varejao n’a pas joué, son compère Leandro Barbosa (1,90m, 36 ans) a brillé avec ses 19 points à 5/11 aux tirs. Le MVP de la rencontre est cependant son coéquipier Marquinhos (2,06, 24 ans), le joueur de Flamengo a été omniprésent dans la peinture avec ses 22 points et 9 rebonds.\\n\\nAvec sa dix-huitième participation à la coupe du monde, le Brésil est la seule nation (avec les Etats-Unis) à avoir assuré sa présence a toutes les éditions du Mondial.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le nouveau boss de la FIBA, Andreas Zagklis, serait prêt à négocier avec l’Euroleague pour mettre fin au conflit" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au site russe Izvestia, Kosta Iliev, directeur des sports de la FIBA Europe, a déclaré que le secrétaire général de la FIBA, le Grec Andreas Zagklis, venait de prendre des mesures en vue de résoudre le conflit de la Fédération avec ECA, l’organisme qui gère l’Euroleague et l’Eurocup.\\n\\n“Je sais qu’Andreas Zagklis est prêt à négocier avec les représentants de l’Euroleague. Il veut régler ce conflit qui dure depuis plusieurs années. En principe, c’est possible. Mais d’abord, nous devons nous asseoir à la table des négociations et convenir d’un calendrier. Tant que l’Euroleague ne reconnaît pas les «fenêtres» des équipes nationales, elle ne peut pas appartenir à la famille de la FIBA. Si nous sommes d’accord, nous pourrons alors examiner la question de la représentation. »\\n\\nEn tous les cas, le système des fenêtres internationales n’est pas négociable :\\n\\n«Nous précisons que le système des fenêtres pour les équipes nationales restera dans tous les cas. Les qualifications pour la Coupe du monde 2019 ont prouvé que ce calendrier fonctionnait très bien. Presque tous les matches ont été vendus, il y avait un intérêt énorme de la télévision. De façon générale, la popularité du basket-ball a augmenté. J’insiste sur le fait que nous pouvons être d’accord avec l’Euroleague sur la manière de modifier les dates des matchs, mais le système devrait rester le même. «\\n\\nPar ailleurs, Kosta Iliev s’est dit certain du succès populaire de la Coupe du Monde en Chine :\\n\\n« Tout se passe comme prévu. Nous travaillons depuis longtemps en contact étroit avec les autorités chinoises et nous avons créé une structure spéciale pour la FIBA dans ce pays. Je suis sûr que nos efforts communs aboutiront au fait que ce sera le meilleur championnat du monde de basket-ball de l’histoire. Tous les facteurs de réussite sont là : arènas modernes, infrastructure nécessaire, logistique réfléchie, afflux de spectateurs complètement fous. Vous avez probablement entendu dire que les 10 000 billets pour le tirage au sort ont été vendus en quelques jours seulement. L’intérêt pour le basket-ball en Chine est fantastique et, après la Coupe du monde 2019, il ne fera que croître. »\\n\\nPhoto: Andreas Zagklis (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Maxime Zianveni en N2 au Cannet et international avec la République Centrafrique" }, {"role": "assistant", "content":"Maxime Zianveni (1,98m), qui a eu 39 ans le 29 décembre, possède un CV long comme ses bras, avec comme point de départ le club de sa ville de naissance, le SLUC Nancy. Après un passage à Chypre, il est revenu en Pro A et en Pro B et sa carrière professionnelle a pris fin en 2017, à Boulazac.\\n\\nMais le basket fait toujours partie de sa vie puisqu’il opère en Nationale 2 au Cannet CA Basket avec une belle moyenne de points: 18,3. Basketball Magazine l’a interviewé dans sa dernière mouture et le vainqueur de la Coupe Korac (C3) en 2002 explique comment il s’est retrouvé là.\\n\\n« Mes filles résident dans les Alpes-Maritimes et quelques mois avant ma retraite, j’étais déjà venu m’entraîner au Cannet. J’avais bien accroché avec le club et le coach qui était en place. Quand j’ai vraiment pensé à arrêter ma carrière, j’ai demandé si je pouvais signer ici. Ca s’est fait comme ça. Sur cette deuxième année, j’aurais voulu avoir un autre rôle. J’aimerais avoir un jeune à qui passer le relais... Je joue 30-35 minutes, je préférerais me concentrer sur la relève. »\\n\\nLe plus surprenant, c’est que Maxime Zianveni poursuit parallèlement une carrière internationale avec la République Centrafrique. A ce titre, il a participé aux fenêtres internationales en compagnie de Max Kouguère (Antibes), Jimmy Djimrabaye (Quimper) et l’ancien joueur d’Euroleague Romain Sato qui a repris le collier à cette occasion après un an d’inactivité.\\n\\nSi la RCA ne s’est pas qualifiée pour la Coupe du Monde, elle a tout de même remporté la moitié de ses 12 matches avec des succès de prestige face au Sénégal et deux fois face à la Côte d’Ivoire, qui ont obtenu tous les deux leur ticket pour la Chine. Sur 9 matches, Zianveni a été utilisé près de 15′ en moyenne et n’a pas gâché les ballons puisqu’il a transformé 12 de ses 17 shoots pour 3,1 points et 2,3 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Les Français de Pro B: Bilan à la trêve" }, {"role": "assistant", "content":"Après la Jeep Élite, place à la Pro B pour le bilan des joueurs français à l’occasion de la trêve liée aux fenêtres internationales. Quel est l’impact de ces joueurs sur le championnat ? Quels clubs font le plus appel à des joueurs français ? Quelles sont les têtes d’affiche ? Voici toutes les réponses.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe championnat de Pro B est reparti après la trêve liée aux fenêtres internationales, sur les chapeaux de roue avec trois journées en l’espace de huit jours. Ce qui n’empêche pas de pouvoir établir un bilan de ce que les joueurs français de la deuxième division professionnelle de LNB ont pu accomplir lors des dix-huit premières journées de ce championnat.\\n\\nLe premier constat est que 148 joueurs français (un peu plus de 8 par équipe) ont foulé au moins une fois le parquet lors d’un match. Si l’on se concentre sur les joueurs « effectifs », ceux qui ont une présence régulière sur le parquet, on arrive au nombre de 109 (environ 6 par équipe). Un contingent plutôt important, qui correspond bien à la structure de l’effectif de la plupart des clubs de ProB : six Français (ou plutôt JFL) à côté de quatre non-JFL.\\n\\nUn impact important\\n\\nEt quel est le « poids » de ces joueurs sur le terrain ? Environ la moitié des joueurs français « effectifs » passe plus de 20 minutes par match sur le terrain, soit 53 (grosso modo trois par club). Ils sont même 96 à évoluer plus de 10 minutes par rencontre. Autant dire que, même si les non-JFL sont le plus souvent les joueurs majeurs de leur équipe, les Français bénéficient d’une exposition importante en ProB. Ce qui ne se traduit pas forcément dans les statistiques, bien souvent « squattées » par les non-JFL : 79 joueurs français ont marqué plus de 5 points par match en moyenne, mais seulement 15 plus de 10 points. De même, à l’évaluation, ils sont 82 à 5 ou plus et 27 à 10 ou plus. Ce qui amène à conclure qu’à défaut de scorer, ces joueurs français se concentrent sur d’autres aspects du jeu, création (passes décisives) ou défense (rebonds, contres, interceptions). Un rôle « de l’ombre », certes, mais essentiel à la bonne carburation d’une équipe.\\n\\nDisparités entre clubs\\n\\nSi tous les clubs font peu ou prou appel au même nombre de joueurs français lors d’un match (entre 5 et 7 de manière régulière), l’écart entre ceux où ces mêmes joueurs passent le plus de temps sur le terrain et ceux où ils sont moins présent est assez important : à Evreux, un joueur français évolue 20,2 minutes par match (dont trois plus de 27 minutes, Théo Léon, Damien Bouquet et Steeve Ho You Fat) alors qu’à l’autre bout de l’échelle Nantes n’accorde que 12,3 minutes par match à ses joueurs français (mais plus de 23 minutes à Vafessa Fofana et Gary Chatuant). Parmi les équipes qui font le plus jouer (en moyenne) des joueurs français, on citera également Denain (18,4 minutes) et Vichy-Clermont (18,3 minutes) alors qu’Orléans ne leur accorde que 12,8 minutes (mais avec cinq joueurs à plus de 18 minutes par match) et Roanne 13,8 minutes (avec là aussi cinq joueurs à plus de 18 minutes).\\n\\nSi l’on se concentre sur les Français « majeurs », évoluant plus de 15 minutes par match, c’est à Nancy, Evreux et Poitiers qu’il faut aller chercher les équipes faisant appel au plus grand nombre de joueurs français dans ce cas : six pour chacun de ces clubs (et cinq pour Roanne, Orléans, Vichy-Clermont, Gries-Oberhoffen, Lille, Quimper, Aix-Maurienne et Caen). À l’autre bout du spectre, Denain et Chartres ne font appel qu’à trois joueurs français plus de 15 minutes par match.\\n\\nLa problématique des U23\\n\\nLa Pro B a pour particularité de plus ou moins imposer quatre joueurs JFL de moins de 23 ans (les U23) aux clubs ne disposant pas d’un centre de formation. Cela étant, tous les clubs de la division font appel à ces jeunes joueurs, dans des proportions variables, de deux pour Vichy-Clermont et Lille à cinq pour Nancy et Paris. Au total, ils sont 65 U23 à avoir évolué au moins une fois en ProB. Mais seuls 37 d’entre-eux sont entrés au moins 9 fois en jeu (la moitié des matchs). Et ils ne sont que 22 à jouer plus de 10 minutes par match, 14 scorant plus de 5 points ou enregistrant plus de 5 d’évaluation par rencontre.\\n\\nLe U23 le plus « assidu » est Lucas Dussoulier (Quimper), qui passe 27,8 minutes par match sur le terrain. Le meilleur marqueur est Olivier Cortale (Gries-Oberhoffen), avec 11,5 points. À l’évaluation, ils sont trois à se distinguer : Bastien Vautier (Nancy, 1998, 14,4), Lucas Dussoulier (1996, 13,5) et Olivier Cortale (1997, 12,7).\\n\\nOutre ces trois « têtes d’affiche », plusieurs U23 sortent du lot, apportant une contribution notable à leur équipe. On peut citer Williams Narace (Nancy), Lucas Hergott (Saint-Chamond), Carl Ponsar (Rouen), Ywen Smock (Gries-Oberhoffen), Sylvain Francisco et Gauthier Denis (Paris), Jean-Philippe Dailly (Denain) et Stéphane Gombauld (Chartres). Si la plupart devrait pouvoir s’installer en ProB, quelques-uns (on pense à Vautier, Cortale, Dussoulier, Ponsar, notamment) peuvent espérer faire leur trou en Jeep Élite dans les années à venir.\\n\\nLes « têtes d’affiche »\\n\\nQuels sont les joueurs français majeurs de la ProB ? À la consultation des statistiques, ils sont huit à pouvoir être qualifiés de « tête d’affiche ». Le premier nom n’est pas forcément le plus évident à ainsi classifier : en effet, Ferdinand Prénom (Roanne) passe moins de 20 minutes par match sur le terrain (19,6’) mais pour 10,6 points et 13,1 d’évaluation, un rendement important rapporté à son temps de jeu. Pour leur part, Bastien Vautier (Nancy, 14,4 d’évaluation), Mathieu Guichard (Saint-Chamond, 13,8 d’éval) et Benjamin Monclar (Blois, 12,6 d’éval) sont indiscutables. Tout comme Jérôme Cazenobe (Denain, 15,2 d’éval). Quant à Kevin Harley (Poitiers, 17,0 d’éval) et Damien Bouquet (Evreux, 14,8 d’éval), cette saison semble être celle de « l’explosion ». Mais le MVP de cette première partie de saison est sans conteste Steeve Ho You Fat, leader français aux minutes jouées (33,6’), points (17,3) et évaluation (18,6).\\n\\nIls émergent\\n\\nSi l’on recense une bonne cinquantaine de joueurs français que l’on pourrait qualifier de « valeurs sûres » de la ProB (en vrac, Clément Cavallo, Junior Mbida, Mo Koné, David Denave, Jean-Baptiste Maille, Vafessa Fofana, Nicolas Taccoen, Karim Atamna ou Gaétan Clerc pour n’en citer que quelques-uns), on peut également en citer une petite vingtaine qui commence à pointer le bout de son nez ou à confirmer à ce niveau. En plus des U23 déjà cités (Lucas Hergott, Carl Ponsar, Ywen Smock, Sylvain Francisco, Gauthier Denis, Lucas Dussoulier, Stéphane Gombauld), on peut avancer les noms de Enzo Goudou-Sinha (Nancy), Mehdy Ngouama (Vichy-Clermont), Matteo Legat et Bodian Massa (Saint-Chamond), Ervin Bassoumba (Rouen), Thibault Desseignet (Nantes), Tim Eboh (Blois), Théo Bouteille et Valentin Chery (Paris), Yannick Blanc (Poitiers), Maxence Dadiet (Denain) et Kevin Lavielle (Evreux). S’ils continuent à progresser, tous devraient s’installer durablement à ce niveau, voire au-dessus.\\n\\nEn faire plus\\n\\nVient enfin la catégorie des joueurs dont on attend plus, qu’ils aient du mal à revenir de blessure (c’est le cas de Jean-Stéphane Rinna, de Babacar Niang ou de Kevin Dinal) ou que leur rendement sur la première partie de saison ne corresponde pas à leur statut. Ainsi, Mickaël Var a vécu une première partie de saison pénible à Nancy (5,9 d’éval) mais il semble retrouver des couleurs depuis qu’il a rejoint Poitiers. Pour sa part, Marc Judith (Orléans) est tombé à un niveau très faible (1,3 d’éval) pour un ancien joueur de ProA , la faute sans doute à la blessure qui a mis un terme à sa saison. De son côté, Giovan Oniangue (Orléans) n’a sur ses premiers matchs pas apporté ce qu’un ancien de Jeep Élite est censé donner en ProB. Quant à Thomas Cornely (Blois, 6,7 d’évaluation) et Maxime Choplin (Quimper, 8,3 d’éval), ils peinent à reproduire leurs performances de la saison passée, 13,9 d’éval pour le premier, 10,4 pour le second. Tous deux ont le même profil : des meneurs ayant performé en Nationale 1 avant d’effectuer une excellente première saison en ProB – et de peiner la deuxième. Confirmer est toujours le plus difficile. Gageons qu’ils redresseront la barre.\\n\\nPour conclure, on notera que la ProB reste la division dense que l’on connaît, qui donne sa chance à de nombreux joueurs français, barrés au niveau supérieur, redescendus d’un échelon pour trouver du temps de jeu ou que l’on retrouvera un jour en Jeep Élite. Et ils contribuent à rendre cette deuxième division passionnante.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe championnat de Pro B est reparti après la trêve liée aux fenêtres internationales, sur les chapeaux de roue avec trois journées en l’espace de huit jours. Ce qui n’empêche pas de pouvoir établir un bilan de ce que les joueurs français de la deuxième division professionnelle de LNB ont pu accomplir lors des dix-huit premières journées de ce championnat.\\n\\nLe premier constat est que 148 joueurs français (un peu plus de 8 par équipe) ont foulé au moins une fois le parquet lors d’un match. Si l’on se concentre sur les joueurs « effectifs », ceux qui ont une présence régulière sur le parquet, on arrive au nombre de 109 (environ 6 par équipe). Un contingent plutôt important, qui correspond bien à la structure de l’effectif de la plupart des clubs de ProB : six Français (ou plutôt JFL) à côté de quatre non-JFL.\\n\\nUn impact important\\n\\nEt quel est le « poids » de ces joueurs sur le terrain ? Environ la moitié des joueurs français « effectifs » passe plus de 20 minutes par match sur le terrain, soit 53 (grosso modo trois par club). Ils sont même 96 à évoluer plus de 10 minutes par rencontre. Autant dire que, même si les non-JFL sont le plus souvent les joueurs majeurs de leur équipe, les Français bénéficient d’une exposition importante en ProB. Ce qui ne se traduit pas forcément dans les statistiques, bien souvent « squattées » par les non-JFL : 79 joueurs français ont marqué plus de 5 points par match en moyenne, mais seulement 15 plus de 10 points. De même, à l’évaluation, ils sont 82 à 5 ou plus et 27 à 10 ou plus.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Kevin Harley (Poitiers, LNB/Hervé Bellenger) et Bastien Vautier (Nancy, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Mondeville reprend vie à Nantes, 76-55" }, {"role": "assistant", "content":"Son coach Romain Lhermitte nous avait dit combien ce déplacement à Nantes était important pour son équipe. Le moins que l’on puisse dire c’est que les Mondevillaises l’ont très bien négocié s’imposant 76-55, récupérant ainsi le point-average. Très précieux si les deux formations -et c’est probable- se retrouvent en playdowns. Il s’agit de la deuxième victoire de Mondeville de la saison après celle obtenue face à Basket Landes.\\n\\nLongtemps menées, les Normandes ont fait preuve d’une adresse euphorique dans le dernier quart-temps gagné 30 à 9. Leur efficacité à trois-points (8/21) contraste avec celle des Nantaises (0/12 !). Individuellement c’est la meneuse anglo-canadienne Shona Thoburn (1,78m, 36 ans) qui a été la plus en verve avec 13 points, 7 passes et 6 rebonds." }, {"role": "user", "content":"Bourg: Zack Wright absent jusqu’aux playoffs?" }, {"role": "assistant", "content":"On ne reverra pas le meneur de jeu de la JL Bourg Zack Wright (1,88m, 34 ans) jusqu’aux playoffs... C’est en tous les cas ce que laisse entendre Le Progrès.\\n\\nL’Américano-Bosnien n’est pas apparu en tenue depuis la Leaders Cup en raison d’une blessure au dos survenue le 2 mars.\\n\\n« Croisé samedi matin, Zack Wright, qui porte une ceinture pour soulager le bas de son dos, a confié avoir rendez-vous la semaine prochaine à Lyon avec un spécialiste », indique le quotidien qui ajoute que le joueur espère donc revenir pour les playoffs.\\n\\nAvec 16,4, Zack Wright possède la deuxième évaluation de la JL pour 10,1 points, 6,2 passes et 5 rebonds.\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: 115 points pour Montpellier, 35 d’évaluation pour Helena Ciak" }, {"role": "assistant", "content":"Le très probable seul représentant français en demi-finale de l’Eurocup, Lattes-Montpellier, a cartonné hier soir contre Villeneuve d’Ascq: 115 points marqués, 81 encaissés. Il s’agit du record de la saison que détenait jusqu’ici avec 108 points Bourges contre Nantes. Plus impressionnant encore, les Héraultaises ont scoré 74 points au total des troisième et quatrième quart-temps.\\n\\n6 joueuses du BLMA ont marqué au-dessus de 11 points avec un record pour la pivot internationale, Héléna Ciak: 28 points à 11/15. Ajoutez 8 rebonds, 1 contre, 2 interceptions, pas de passe mais pas non plus de balle perdue, et cela donne 35 d’évaluation.\\n\\nPhoto: Helena Ciak (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Freddy Tacheny, président d’Antibes, à propos du licenciement de Julien Espinosa: «Il y avait tellement de tensions dans le vestiaire»" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis la victoire, 76-71, de son équipe sur Bourg, Julien Espinosa n’est plus le coach des Sharks d’Antibes. Il est remplacé par Nikola Antic. Dans les colonnes de Nice Matin, le président antibois Freddy Tacheny s’exprime à propos du licenciement de celui qui avait remplacé tour à tour Alain Weisz et Jean-Aimé Toupane comme entraîneur principal.\\n\\n« Cela a été une décision extrêmement difficile à prendre. Je suis très proche de Julien. Mais il y avait tellement de tensions dans le vestiaire, le dialogue avec les joueurs était devenu difficile, c’est pourquoi j’ai été amené à prendre cette décision douloureuse. »\\n\\nSous contrat jusqu’en 2020, Julien Espinosa devient le... conseiller du président. Le coach de Bourg, Savo Vucevic était celui d’Antibes lorsque Espinosa entra dans le staff technique comme assistant, il y a dix ans.\\n\\n« Je n’ai aucun doute sur le fait qu’il va rebondir », a-t-il déclaré. « C’est un coach de qualité et un garçon intelligent, travailleur. J’ai beaucoup d’affection pour lui. Comme je dis souvent, quand tu restes longtemps quelque part, au début tu es le meilleur et à la fin, les gens ne voient plus que tes défauts. »\\n\\nPhoto: Julien Espinosa (Sharks)" }, {"role": "user", "content":"Le coach Romain Lhermitte raconte l’US Mondeville, club formateur de Marine Johannès, mais menacé de descente en Ligue 2" }, {"role": "assistant", "content":"En première division depuis 1996 -c’est la doyenne après Bourges-, l’USO Mondeville est lanterne rouge de Ligue Féminine avec une seule victoire au compteur. La menace d’une descente est très présente même si les playdowns peuvent éventuellement lui servir de filet de sauvetage. Son coach Romain Lhermitte tient des propos rassurants : même si son équipe disparait provisoirement de l’élite, le centre de formation qui a produit des joueuses d’excellence demeurera une priorité absolue. Il nous parle dans cette interview de ses jeunes pousses actuelles et aussi de Marine Johannès et Lisa Berkani qu’il a eu plusieurs années sous sa direction puisque cela fait dix ans qu’il est au sein du club normand. Après avoir débuté avec les minimes, Romain Lhermitte fut deux ans assistant d’Hervé Coudray et c’est sa sixième saison comme coach principal.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUne victoire en 17 journées, dans vos pires cauchemars, vous pensiez que c’était possible ?\\n\\nAu tout début de saison, non, mais quand j’ai su que Kim Gaucher serait blessée pendant quelques mois, je savais que ce serait très dur de gagner nos premiers matches. C’est plus une surprise que l’on ait gagné contre Basket Landes !\\n\\nLa blessure de votre internationale canadienne et son absence ont posé un problème de confiance pour l’équipe qui est composée majoritairement de jeunes ?\\n\\nOn est tous des compétiteurs et en début de saison, on a tous envie de gagner le plus de matches possibles et sa blessure nous a empêchés de faire ce que l’on fait d’habitude et là où je me suis peut-être trompé au début c’est que j’ai voulu gagner des matches. On a cherché tout de suite des solutions pour le faire alors qu’il aurait fallu que l’on travaille plus que ça, que l’on aille au fond des choses comme on le fait en ce moment pour arriver le plus tôt possible avec un bon collectif. On a voulu faire comme les autres mais avec cinq joueuses pros, on ne peut pas battre n’importe quel adversaire dans le championnat qui est sans doute aujourd’hui le plus relevé de l’histoire de la Ligue Féminine.\\n\\nAucune de vos jeunes joueuses françaises n’a le statut de pro ?\\n\\nEwl Guennoc est sous convention de formation comme Louise Bussière, Aminata Gueye, Myriam Djekoundade et Kenza Salgues. On a juste Ana Tadic, Assita Kone et les quatre étrangères -mais Courtney Hurt n’était pas là au début- qui sont pros. Ce sont des joueuses qui en fait payent le centre de formation tous les mois pour manger, dormir, comme dans tous les centres de formation. Elles ne sont pas du tout rémunérées pour jouer au basket, ce sont même elles qui donnent des sous ! Je pense que l’on a le meilleur rapport qualité-prix (rires).\\n\\nMarine Fauthoux est performante à 18 ans à Tarbes mais c’est quand même très rare en Ligue Féminine alors que vous avez des joueuses qui ont 18, 17 et même 16 ans ?\\n\\nLe souci que l’on a cette année c’est que nos jeunes sont un peu trop jeunes. C’est pour ça que si on ne s’en sort pas, il n’y a pas mort d’hommes car en Ligue 2 on aura une excellente génération qui monte et si on se maintient, on sait que l’année prochaine on sera d’autant plus fort car elle aura un an de plus en Ligue Féminine et on saura comment fonctionner. Même Marine Johannès au même âge que Ewl Guennoc, elle avait fait ses deux premières apparitions en Ligue Féminine et c’est tout. Alors que Ewl Guennoc est notre première meneuse à 35’ de temps de jeu. Ewl et Marine Fauthoux sont de la même année et elles ont d’ailleurs fait un beau duel à Tarbes et c’est une génération exceptionnelle en France. Sur les cinq derniers matches, Ewl n’a pas grand-chose à envier à Marine.\\n\\nCe sont des vice-championnes du monde U17...\\n\\nExactement. Je pense que Ewl est sans doute moins mature que Marine et c’est pour ça qu’elle a eu cette petite marge de progression sur les cinq dernières semaines.\\n\\n« J’ai envie de dire qu’être en Ligue 2 ça donnera encore plus de place pour des jeunes Françaises puisqu’on a le droit à seulement deux étrangères »\\n\\nA l’inverse, vous avez souligné aussi que Kim Gaucher (bientôt 35 ans), Kristen Mann (35 ans) et Shona Thorburn (36 ans) ont dépassé la trentaine et qu’elles n’ont pas ou plus de super qualités athlétiques dans une ligue qui l’est de plus en plus ?\\n\\nNombre d’agents ont du mal à comprendre comment on fonctionne et ils nous disent qu’on pourrait avoir des joueuses plus performantes qu’une Shona Thoburn ou que Kristen Mann. Déjà, une joueuse plus performante que Kristen Mann avec notre enveloppe financière, j’attends de voir car il y a une vraie joueuse et ça se voit sur ses stats encore cette année (NDLR= 14,3 points à 50% et 4,1 rebonds). Et ce sont des joueuses qui accompagnent nos jeunes. C’est l’écosystème mondevillais. Aujourd’hui, notre préparateur physique de notre équipe s’appelle Kristen Mann. Notre entraîneur qui fait du travail individuel avec nos meneuses de jeu et nos arrières s’appelle Shona Thorburn. Celle qui fait l’entraînement individuel avec nos ailières c’est Kim Gaucher. J’ai vu Shona faire des séances vidéo avec Ana (Tadic) pour essayer de lui donner confiance. Où est-ce que l’on voit ça ? Kristen, Kim et Shona font partie intégrante du staff et c’est un plus monstrueux. C’est génial. Et elles aiment ça. Oui, on est dernier du championnat mais quand je vois que Ewl Guennoc est en train de sortir... L’année dernière, on trichait pour gagner un ou deux matches, elle ne montait pas la balle. Cette année, on ne triche pas, on la laisse se débrouiller. Elle est là pour mener le jeu et depuis cinq matches elle le fait à merveille. Pour nous c’est une victoire et c’est l’objectif de la saison, sortir encore des joueuses pour le haut niveau.\\n\\nVous vous êtes renforcés il y a quelques semaines avec Courtney Hurt dans le but de vous maintenir. Dans quel état physique avez-vous trouvé son genou ? Elle est à 3,5 points et 3,7 rebonds. Un si faible rendement était attendu même après un an d’inactivité ?\\n\\nOn va parler de finances et il nous fallait un passeport européen et par chance Courtney en a un (NDLR : elle est naturalisée bosnienne) et c’est une joueuse capable d’impacter un peu physiquement car c’est ce qu’il faut aujourd’hui en Ligue Féminine et c’est ce qui manque dans notre équipe. Mais elle revient des croisés sachant que c’est une joueuse qui joue avant tout sur son physique. Evidemment, c’est compliqué et on le savait. Le pari c’est de la retaper petit à petit et qu’elle soit prête samedi (NDLR : demain) contre Nantes et les playdowns. Tous les autres matches c’était pour la remettre dedans, qu’elle reprenne confiance. Aujourd’hui, elle retrouve des capacités physiques intéressantes mais on sait que l’on ne revient pas d’une blessure comme ça du jour au lendemain. De toute façon, ce qu’il faut c’est être prêt au bon moment.\\n\\nVous avez la masse salariale la plus faible de la Ligue ?\\n\\nDe loin.\\n\\nAutant la LNB donne les budgets et les masses salariales des clubs de Jeep Elite et de Pro B, autant en LFB, ce n’est pas encore le cas ?\\n\\nEn fait, on n’est pas en société, on n’est pas dans une vraie ligue pro et on n’a pas à donne de chiffres. Alors qu’en LNB, comme pour n’importe quelle entreprise, on connaît le chiffre d’affaires, les bénéfices.\\n\\nMondeville était un club qui avait un certain standing, qui jouait l’Euroleague. Ça fait combien de temps que vous êtes financièrement en-deça de la moyenne ?\\n\\nDepuis que j’ai pris l’équipe, il y a six ans avec le départ de Hervé Coudray (sourire). On avait un mécène, qui ramenait beaucoup de partenaires. Ils sont partis au CBC (NDLR : Caen BC, en Pro B) et ça nous a mis en difficulté. Mais en même temps ça nous a permis d’avoir de nouveaux dirigeants et de construire de nouvelles choses qui sont très encourageantes pour le futur. On commence à avoir un réseau de partenaires vraiment super qui est derrière notre projet de formation avec des valeurs mondevillaises. C’est d’ailleurs pour ça que mes dirigeants -et je les en remercie- m’ont resigné en décembre pour trois ans alors que j’avais gagné zéro match. Ils estiment que je suis la personne qui peut réaliser cet objectif de formation et j’adore ça.\\n\\nÇa vous a enlevé un poids personnellement cette prolongation de contrat ? Généralement, mérité ou pas, quand un coach perd beaucoup de matches, il a la tête sur le billot ?\\n\\nÇa ne m’a pas enlevé vraiment un poids car en fait à Mondeville on a une très grande confiance les uns envers les autres. C’est ma façon de manager avec les jeunes filles et aussi celle des dirigeants avec les salariés du club. Je n’ai pas douté un seul instant que j’allais resigner. Maintenant, une fois que c’est signé c’est quand même plus confortable. Et si on arrivait à se maintenir ça serait un joli cadeau et surtout un joli pied de nez à tous ces clubs qui pensent que c’est en virant un coach que ça ira mieux alors que je ne le crois pas un seul instant. C’est vrai aussi qu’à Mondeville, on a des jeunes, on a une façon de jouer qui prend du temps à assimiler. Chez les garçons, on vire un coach mais on remplace cinq joueurs derrière (sourire). Je regarde ce qui se fait dans les plus grands clubs avec les plus grands coaches. Gregg Popovitch n’a pas gagné que des titres ; il a eu aussi des années galère, il a failli ne pas se qualifier en playoffs avec une très bonne équipe qui avait été championne. A Manchester, Alex Ferguson n’a pas été finaliste de la Ligue des Champions tous les ans. Parfois, ils ne se qualifiaient pas pour la Ligue des Champions et ils le gardaient. Ce sont de vrais exemple de continuité qui aide à travailler, à construire. Mondeville a vécu de très belles années mais aussi d’autres très difficiles. Quand j’étais assistant d’Hervé Coudray, on s’est maintenu une fois à trois journées de la fin avec une masse salariale qui était cinq ou six fois plus grosse que celle d’aujourd’hui. Mais ça n’empêchait pas les dirigeants à continuer à faire confiance à Hervé et l’année suivante, ils se qualifiaient pour l’Euroleague. C’est déjà ma sixième année, ça permet de créer du lien avec les partenaires, ça aide à nous en sortir. Les gens ont besoin d’avoir un référent, quelqu’un qui se bouge pour eux et je ne suis pas sûr que ça soit bon de changer de coach chaque année.\\n\\nVotre seule victoire a été obtenue à la maison face à Basket Landes et vous avez fait ensuite de très bons matches contre Bourges (-15) et à Montpellier (-4), deux cadors du championnat. Ça prouve que vous êtes sur la bonne voie ?\\n\\nQuitte à descendre ce sera avec mes principes. Je me suis dit qu’il fallait arrêter de changer les choses, d’essayer de trouver des solutions qui n’existent pas. On va jouer à la mondevillaise comme il y a deux ans où tout le monde nous craignait, un vrai jeu collectif, de passes. Notre objectif n’est pas que Kristen Mann ou Kim Gaucher marquent 30 points. Il faut que tout le monde soit acteur. C’est toute une philosophie collective que l’on veut mettre en place en défense et en attaque que l’on avait un peu oublié à un moment donné en se disant, « Courtney arrive, on va essayer de jouer un peu pour elle... Kristen est en forme cette année, on va jouer un peu pour elle... » alors que notre jeu c’est de jouer à cinq, de se battre tout le temps à cinq. On a retrouvé ça et ça change un peu tout. C’est plus facile de le faire contre Bourges, Basket Landes et Montpellier. Et il y a deux ans quand on était cinquième c’était plus facile de gagner contre Bourges -et on l’avait fait- que contre Nantes ou Tarbes qui étaient dans le bas du tableau car quand on se sent dominant, on oublie le collectif. Alors que quand on joue contre Bourges on n’est pas dominant et on s’appuie sur le collectif. Et quand on s’appuie sur le collectif, on est très fort. C’est ça qui est très difficile à obtenir dans le basket aujourd’hui.\\n\\nLe système des playdowns est spécial car les résultats en saison régulière comptent. Une seule équipe descendra. Avez-vous ciblé les trois équipes que vous devriez rencontrer ?\\n\\nSamedi, Nantes, ça en est un, c’est sûr (sourire). Après, il y aura deux places en playdowns entre Hainaut, Tarbes, et Landerneau. La Roche est aujourd’hui en position favorable mais il faut qu’ils aillent encore chercher deux matches.\\n\\nContre Bourges, Montpellier et Basket Landes, vos joueuses ont peut-être rien à perdre alors elles sont plus sereines, tandis que ce n’est pas le cas face aux équipes que vous pourriez retrouver en playdowns ?\\n\\nC’est exactement ça. Quand on a en défense de grandes joueuses, des internationales, on sait que l’on ne va pas pouvoir dominer en un-contre-un alors on s’appuie sur le jeu de passes, le collectif. Ça met du rythme dans les passes et donc ça donne de l’adresse. C’est ce qui est arrivé à Montpellier. On s’est toujours battu en mettant une grosse énergie depuis le début de la saison. Ce qu’il ne faut pas se dire face à des équipes que l’on va jouer en playdowns, c’est « je vais réussir à mettre 25 points ou 5 shoots à trois-points, et vous allez voir, les filles, on va se maintenir... » Ce n’est pas une solution et ce n’est pas ma façon de voir le basket.\\n\\nOn peut se mettre à la place de vos adversaires qui doivent se dire, « ce match contre Mondeville, il faut le gagner car comme ça on est sûr de notre maintien » ?\\n\\nC’est sûr que Nantes sait que s’ils nous battent, ils sont quasiment maintenus en Ligue Féminine car ils auraient déjà quatre victoires en attaquant les playdowns alors que si on les bat, ils en auront peut-être que trois et nous peut-être deux. Et probablement sans le goal average puisqu’ils nous ont battus d’un point à l’aller. Après, on peut revenir très vite. Ce sont nos playoffs. Si on se maintient, on est champions de France ! Chacun son budget, sa place, si on se maintien ça sera notre titre à nous et on le fêtera avec autant sinon plus d’enthousiasme que si on était champions de France.\\n\\nSi vous descendez en Ligue 2, ça ne remettra pas en cause la qualité du centre de formation ?\\n\\nNon. On a une chance c’est d’avoir de très bonnes joueuses. Il faudra juste expliquer aux gens qu’être en Ligue 2 ou en Ligue Féminine ça ne change pas grand-chose. On a la chance que notre équipe de N2 puisse se maintenir sportivement et donc notre équipe de centre de formation ne peut pas descendre. Et j’ai envie de dire qu’être en Ligue 2 ça donnera encore plus de place pour des jeunes Françaises puisqu’on a le droit à seulement deux étrangères. Du coup on fonctionnerait un peu comme l’INSEP mais en se disant qu’il faut essayer de remonter dans l’élite le plus rapidement possible.\\n\\nCombien de joueuses passées à Mondeville sont pros aujourd’hui ?\\n\\nJe ne me suis pas amusé à calculer ça mais il est sûr qu’on est le centre de formation numéro 1 pour le nombre de joueuses qui ont après des contrats en Ligue Féminine ou en Ligue 2.\\n\\nPour le centre de formation, votre recrutement est plutôt régional ou national ?\\n\\nNational. On a la chance d’être proche de Paris par rapport aux autres et on a énormément de joueuses qui viennent de la région parisienne. On a bien sûr du recrutement local, Ingrid Tanqueray, Marine Johannès. Mais on n’en a pas tous les ans des comme ça (sourire). Par exemple, Louise Bussière, qui est la joueuse la plus performante de sa génération, une scoreuse incroyable avec une main gauche en or et... qui shoote à deux mains, elle vient du sud-ouest, elle était au pôle de Mont-de-Marsan.\\n\\n« Quand on me demande la différence entre Marine Johannès et Lisa Berkani, c’est qu’il y en a une qui est dans la vie comme sur le terrain et l’autre qui est l’inverse dans la vie que sur le terrain »\\n\\nRécemment, votre centre de formation est assimilé à Marine Johannès d’autant qu’elle est Normande, née à Lisieux et passée par Pont-l’Evêque...\\n\\nEt elle n’est pas sortie de l’INSEP...\\n\\nEt elle est blonde comme on s’imagine les Vikings !\\n\\nOn a eu la chance aussi d’avoir Nico Batum qui sort de notre région et ils viennent tous les deux de Pont-l’Evêque. Nico Batum s’est intéressé un peu à nous. Il est venu nous voir sur des matches amicaux de début de saison, ça a fait un peu de buzz.\\n\\nIls font un camp ensemble ?\\n\\nOui, c’était à Pont-l’Evêque, j’étais d’ailleurs le directeur du camp.\\n\\nAvez-vous toujours des relations soutenues avec Marine Johannès ?\\n\\nEnormément. Je lui ai encore envoyé un message hier soir (NDLR : l’interview s’est déroulé mercredi). J’ai même été un peu ironique sur le fait d’avoir fait la passe plutôt que de prendre le tir (rires). J’ai aussi encore beaucoup de relation avec Lisa Berkani et KB Sharp qui est beaucoup plus vieille. C’est une vraie famille à Mondeville et en plus avec Marine on s’est connu, elle avait 13 ans, elle était avec moi en minimes France quand je suis arrivé. On s’entend très bien et dès que l’on peut se voir, on le fait, même avec ses parents.\\n\\nOn savait que c’était une artiste, extraordinairement esthétique avec des gestes fabuleux, mais là elle a passé une dimension supérieure dans la régularité, la rigueur, même si elle a un peu loupé son championnat du monde ?\\n\\nElle a plus de régularité... Hier, on ne voit pas la première mi-temps car on était à l’entraînement, c’était le milieu du troisième quart-temps. Et au bout de deux actions, je dis « Ou là... Marine a marqué combien de points ? » 19. Elle n’avait pas encore tiré que je l’ai vu: on a vu une Marine agressive avec la tête levée, la Marine des grands jours que je connais bien. Malheureusement, elle a encore un manque de confiance en elle qui fait que parfois elle n’arrive pas à flasher comme elle devrait le faire tout le temps mais le jour où elle le fera ce sera la meilleure joueuse du monde ! (sourire) Mais aujourd’hui elle arrive déjà à performer très fort, elle met quasiment 15 points à tous les matches. Elle le faisait déjà à Mondeville mais c’était avec 40 minutes de temps de jeu. Là, c’est à Bourges avec moins de temps de jeu et avec plus d’exigence, même en Euroleague où c’est l’une des meilleures scoreuses... Sauf à Mondeville où elle n’a pas trop performé. J’ai l’impression qu’elle n’a pas trop envie de nous humilier alors elle va doucement (rires).\\n\\nIl y a peu d’exemples de joueuses ou de joueurs aussi timides dans la vie de tous les jours et aussi efficaces sur un terrain où elle n’a pas froid aux yeux ?\\n\\nQuand on me demande la différence entre Marine Johannès et Lisa Berkani, je réponds qu’il y en a une qui est dans la vie comme sur le terrain et l’autre qui est l’inverse dans la vie et sur le terrain. Quand Marine rentre dans le rectangle, elle est transfigurée. Et quand on la voit comme hier où elle monte tout de suite en température, on se dit « whaou !, ça va être costaud. »\\n\\nCertaines comédiennes sont comme ça, différentes sur les planches que dans la vie de tous les jours ?\\n\\nExactement. Des boxeurs aussi. Parfois, on ne s’imagine pas notre prof de maths faire une grosse soirée en famille ou avec des amis alors qu’il est très sérieux à l’école.\\n\\nPour finir, que pensez-vous du fait que votre ancienne joueuse, Lisa Berkani, ait quitté Bourges en pleine saison pour rebondir à Villeneuve d’Ascq ?\\n\\nJe pense que parfois les agents, les joueuses ne devraient pas griller les étapes trop vite. Oui, il y a des Luka Doncic, des Sandrine Gruda, mais pas à tous les coins de rue. Et ce n’est pas parce que l’on est très fort à 18 ans comme Luka Doncic qu’on le sera à 28 ans, on n’en sait rien. Souvent les meilleurs joueurs ont galéré avant et n’ont pas été tout de suite mis sur le devant de la scène. Je pense que parfois, il faut faire un an, deux ans de plus et quelque part je me dis que Lisa aurait dû faire encore un an à Mondeville. Comme Marième Badiane. Pour Marième, il y avait le projet Parker, je comprends, mais il lui manque aussi un an. Aujourd’hui c’est une bonne joueuse (NDLR : à Lyon) mais -c’est peut-être prétentieux de ma part de dire ça-, en restant un peu à Mondeville, ça lui aurait permis de performer encore plus. Les meilleurs joueurs ont besoin d’engranger de la confiance pour arriver dans un club avec un vrai statut. C’est « ils ont réussi à faire ça à Mondeville, on va la mettre là en espérant qu’elle fasse pareil ». Non, Lisa n’est pas encore prête. Chez nous, elle l’a fait uniquement sur certains matches et pas la deuxième année où ça a été très compliqué, uniquement la première. Prenons Ewl Guennoc. Des clubs lui proposent aujourd’hui un contrat pro. Très bien... Mais si elle part, je pense que c’est deux, trois ans trop tôt. Elle n’est pas encore prête. Nous, on fait aussi attention au contenu de ses études -elle est en Terminale. Tout est fait pour nos étudiantes. On peut entraîner dix heures à la salle avec mon assistant car on fait de l’adaptation à tout le monde. Le mardi, Ewl arrive une heure et demie avant l’entraînement et on fait de l’entraînement individuel juste avec elle. Le lundi, elle reste après l’entraînement et on fait de la musculation avec elle. C’est pareil avec Myriam Djekoundade mais pas les mêmes jours. Parfois nos plages d’entraînement, c’est quatre heures et demi sur une soirée, à deux, et on adore ça ! Il faut qu’elles sortent d’ici aguerries et si elles doivent gagner de l’argent, pas de soucis, elles le gagneront. C’est un peu de notre faute aussi. Par exemple, quand Bourges a demandé Lisa, je me suis dit « c’est génial, on met encore un joueuse à Bourges. » Et en fait, je ne pense pas que ce soit un échec à Bourges, c’est qu’elle est partie un an trop tôt. Ce qui lui manque à Lisa Berkani, c’est de la maturité, énormément.\\n\\n[armelse]\\n\\nUne victoire en 17 journées, dans vos pires cauchemars, vous pensiez que c’était possible ?\\n\\nAu tout début de saison, non, mais quand j’ai su que Kim Gaucher serait blessée pendant quelques mois, je savais que ce serait très dur de gagner nos premiers matches. C’est plus une surprise que l’on ait gagné contre Basket Landes !\\n\\nLa blessure de votre internationale canadienne et son absence ont posé un problème de confiance pour l’équipe qui est composée majoritairement de jeunes ?\\n\\nOn est tous des compétiteurs et en début de saison, on a tous envie de gagner le plus de matches possibles et sa blessure nous a empêchés de faire ce que l’on fait d’habitude et là où je me suis peut-être trompé au début c’est que j’ai voulu gagner des matches. On a cherché tout de suite des solutions pour le faire alors qu’il aurait fallu que l’on travaille plus que ça, que l’on aille au fond des choses comme on le fait en ce moment pour arriver le plus tôt possible avec un bon collectif. On a voulu faire comme les autres mais avec cinq joueuses pros, on ne peut pas battre n’importe quel adversaire dans le championnat qui est sans doute aujourd’hui le plus relevé de l’histoire de la Ligue Féminine.\\n\\nAucune de vos jeunes joueuses françaises n’a le statut de pro ?\\n\\nEwl Guennoc est sous convention de formation comme Louise Bussière, Aminata Gueye, Myriam Djekoundade et Kenza Salgues. On a juste Ana Tadic, Assita Kone et les quatre étrangères -mais Courtney Hurt n’était pas là au début- qui sont pros. Ce sont des joueuses qui en fait payent le centre de formation tous les mois pour manger, dormir, comme dans tous les centres de formation. Elles ne sont pas du tout rémunérées pour jouer au basket, ce sont même elles qui donnent des sous ! Je pense que l’on a le meilleur rapport qualité-prix (rires).\\n\\nMarine Fauthoux est performante à 18 ans à Tarbes mais c’est quand même très rare en Ligue Féminine alors que vous avez des joueuses qui ont 18, 17 et même 16 ans ?\\n\\nLe souci que l’on a cette année c’est que nos jeunes sont un peu trop jeunes. C’est pour ça que si on ne s’en sort pas, il n’y a pas mort d’hommes car en Ligue 2 on aura une excellente génération qui monte et si on se maintient, on sait que l’année prochaine on sera d’autant plus fort car elle aura un an de plus en Ligue Féminine et on saura comment fonctionner. Même Marine Johannès au même âge que Ewl Guennoc, elle avait fait ses deux premières apparitions en Ligue Féminine et c’est tout. Alors que Ewl Guennoc est notre première meneuse à 35’ de temps de jeu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Shona Thoburn (FFBB/Hervé Bellenger), Ewl Guennoc (FIBA), Romain Lhermitte (FFBB/Hervé Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine: Six matches de préparation à l’EuroBasket, tous en France" }, {"role": "assistant", "content":"Afin de préparer l’EuroBasket, l’équipe de France féminine disputera six matches de préparation sur le territoire dans trois lieux différents, Mont-de-Marsan (Espace François-Mitterrand), Rennes (Cesson-Sévigné, Glaz Arena) et Rouen (Kinder Arena), notamment contre la Russie et la Serbie qui seront candidates à une médaille.\\n\\nProgramme de l’Équipe de France féminine\\n\\n\\n\\n\\nDates\\nMatch\\nLieu\\n\\n\\nSamedi 25 au vendredi 31 mai\\nStage\\nAnglet\\n\\n\\nDimanche 9 juin\\nFrance – Ukraine\\nMont de Marsan\\n\\n\\nLundi 10 juin\\nFrance – Ukraine\\nMont de Marsan\\n\\n\\nVendredi 14 juin\\nFrance – Turquie\\nCesson-Sévigné\\n\\n\\nSamedi 15 juin\\nFrance – Russie\\nCesson-Sévigné\\n\\n\\nDimanche 16 juin\\nFrance – Serbie\\nCesson-Sévigné\\n\\n\\nDimanche 23 juin\\nFrance – Chine\\nRouen\\n\\n\\nJeudi 27 juin au dim. 7 juillet\\nEuro 2019\\nRiga (Lettonie) et Belgrade (Serbie)\\n\\n\\n\\n\\nLes horaires des rencontres de préparation seront communiqués ultérieurement; Les billetteries pour les matches de préparation ouvriront fin mars/début avril\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Les dérapages financiers des grands clubs européens" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un article critique, le site Eurohoops traite d’un sujet qui n’a plus de secrets pour le lecteur de BasketEurope et que nous avons exposé notamment cette semaine dans notre dossier sur l’ASVEL, en trois parties (1, 2, 3). A savoir que les clubs d’Euroleague ne sont pas rentables et qu’ils vivent sous perfusion des sections football ou de mécènes.\\n\\nEurohoops prend l’exemple du Real Madrid qui a dépensé 44,3 M €, taxes et frais d’exploitation compris pour devenir champion d’Europe alors que ses revenus furent de 15M€.\\n\\n« Néanmoins, une équipe peut-elle perdre 30 millions d’euros et être opérationnelle? », s’interroge le site. « La réponse est à peu près oui et la raison en est simple. Le Real Madrid en tant que club peut payer cette somme, ce qui représente des cacahuètes par rapport au total des revenus générés principalement par le football. Comme le club l’a officiellement annoncé: «Les revenus d’exploitation pour l’exercice 2017-2018, sans tenir compte des gains obtenus grâce aux transferts de joueurs, ont atteint 750,9 millions d’euros, soit une hausse de 11,3% par rapport à l’année précédente. Ce chiffre représente une augmentation de 76,3 millions d’euros, la plus forte augmentation enregistrée par le club au cours d’un exercice depuis 2000 ».\\n\\nAutre cas, celui du Fenerbahçe qui a annoncé une dette totale de 621 M € ! A l’évidence les pertes du basket sont... dérisoires : 8,49 M €, comme l’a admis le président du club, Ali Koc (1), qui est l’une des personnes les plus riches d’Europe et une de ses sociétés, Beko, est devenue le sponsor principal de Fenerbahce. CQFD.\\n\\n« Le modèle du président qui paie de sa poche la perte financière de son équipe est très populaire, notamment en Europe de l’Est. Des propriétaires tels que les frères Aggelopoulos de l’Olympiacos, la famille Giannakopoulos du Panathinaikos et Giorgio Armani de Milan sont fiers de financer leurs équipes avec leur propre argent. C’est le cas dans la plupart des clubs européens où le propriétaire doit payer des dommages et intérêts. Et si le propriétaire fait faillite ou ne veut plus payer, il doit vendre, comme ce fut le cas récemment en Italie avec Cantu en milieu de saison. »\\n\\nVoici donc comment un club comme Khimki Moscou peut offrir un contrat de 4M€ à Alexey Shved, qui correspond à... 10 millions de dollars en NBA.\\n\\n« C’est pourquoi, si vous voulez le comparer à un contrat avec la NBA, vous devez doubler le montant (du salaire en Europe) afin de prendre en compte les impôts. Et c’est là que les choses se compliquent en Europe. En fonction du pays et de l’argent versé à chaque joueur, la fiscalité peut être très différente, allant d’un simple 10% au double de la valeur du contrat, comme ce fut le cas en Grèce et en Espagne pendant la crise. Gardez cela à l’esprit lorsque vous lisez des chiffres sur les budgets des équipes d’EuroLeague, car la fiscalité peut changer la donne, en fonction du pays d’origine de chaque équipe. »\\n\\nEurohoops tire la sonnette d’alarme :\\n\\n« La triste vérité est que le modèle économique est défaillant à tous les niveaux de la compétition et que les retards de paiement peuvent être la norme pour de nombreux joueurs de presque toutes les ligues européennes. L’affaire la plus récente qui a été rendue publique concerne les problèmes financiers entre l’Olympiacos et leur joueur vedette, Giorgos Printezis (...) Printezis, bien qu’il possède beaucoup d’argent, n’a pas encore plaidé sa cause devant le BAT (NDLR: Le tribunal du sport à Genève) et il en va de même pour de nombreux autres joueurs, tout simplement parce que les retards de paiement ne sont pas inhabituels à presque tous les niveaux du basket-ball européen. Cela étant dit, de nombreux joueurs américains ont pris des précautions contre ce «mondus operandi», ajoutant des clauses à leur contrat selon lesquelles ils peuvent être libérés à tout moment en raison de retards de paiement, ou des intérêts sont inclus pour chaque jour de retard. »\\n\\nDans ce contexte de course à l’armement sans foi ni loi, la France, avec ses règles sociales, son contrôle de gestion, et pour tout dire sa raison gardée fait figure de vilain petit canard.\\n\\n(1) Yildirim Ali est le plus jeune membre de la troisième génération de la famille Koc, qui compte 6 membres milliardaires.En 2012, il est\\ndevenu président du conseil d'administration de Ford Otosan, en remplacement de son père, Mustafa, qui était à la barre ces 40 dernières\\nannées. Son père, Mustafa Rahmi Koc, ses tantes Semahat Arsel et Suna Kirac ainsi que ses frères Mustafa Vehbi et Mustafa Omer sont\\négalement des milliardaires." }, {"role": "user", "content":"Pro B: 28 d’évaluation pour Théo Léon (Evreux) face à Denain" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur de l’ALM Evreux Théo Léon (1,80m, 26 ans) a réalisé un match extrêmement complet lors de la victoire face à Denain (68-65) avec 21 points (9/12 aux tirs), 6 passes, 4 interceptions et 3 rebonds.\\n\\nIl s’agit de la deuxième saison en Normandie pour ce joueur formé à l’ASVEL et qui est passé précédemment par Fos, Aix-Maurienne et Roanne.\\n\\nCe n’est qu’à 6’45’’ de la fin du match que les Ebroiciens ont pris les commandes avant que Manny Atkins leur apporte le succès sur des lancers-francs.\\n\\n« Cette salle c’est une vraie arène : le public attend un beau combat et en deuxième mi-temps, il l’a eu... Et c’est devenu compliqué pour nous », a commenté le capitaine de Denain, Pierric Poupet, à La Voix du Nord.\\n\\nCuriosité du match, Théo Léon a en quelque sorte suppléé son équipier Steeve Ho You Fat, qui est le joueur français le plus complet de Pro B (16,8) et le sixième au scratch et qui, hier soir, s’est contenté d’un 1 à l’éval pou avoir commis 5 fautes et 2 balles perdues en 25′.\\n\\nPhoto: ALM" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : pour la première fois de sa carrière Zeljko Obradovic a encaissé 100 points dans une défaite" }, {"role": "assistant", "content":"Non seulement le match de jeudi soir entre le Real Madrid et Fenerbahce opposait les deux leaders du classement d’Euroleague, mais il a marqué l’histoire de la carrière de l’entraîneur Zeljko Obradovic (58 ans).\\n\\nAlors que les Turcs se sont inclinés 101-86, ce qui en fait la plus grosse défaite de leur saison, c’est la première fois que le technicien serbe encaisse 100 points dans une défaite sans prolongation. A noter qu’il a débuté sa carrière de coach en 1991 au Partizan Belgrade.\\n\\nIl faut dire que les Madrilènes ont été irrésistibles en affichant des pourcentages de très haut niveau, avec 20/43 à deux points (69%), 7/20 à trois points (33%) et 20/26 aux lancers (76%).\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Antibes surprend Bourg mais le coach Julien Espinosa cède sa place à Nikola Antic" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 14 points et 6 rebonds de Isaia Cordinier, 17 points de Tim Blue, et Julien Espinosa sur le banc, les Sharks d’Antibes sont venus à bout de la JL Bourg (76-71) et se redonnent ainsi une chance de sauver leur place dans la division. Pourtant, comme annoncé, il s’agissait du dernier match de Julien Espinosa comme coach de l’équipe azuréenne et il est bel et bien remplacé par Nikola Antic, 59 ans, comme l’a confirmé le club dans un communiqué.\\n\\nElu Meilleur coach de Pro B en 2013, le Franco-Monténégrin a coaché Charleville-Mézières (2008-10) puis Châlons-Reims (2010-17) et sera accompagné du trio d’assistants, Marc Berjoan, Jade Sage et Kenny Grant. Il a signé jusqu’en juin 2020.\\n\\n\\n\\n\\nFernando #Raposo au sujet du départ de Julien #Espinosa : \\ Le coach quitte l'équipe et aujourd'hui on se sent tous responsables. Si ça nous a surpris ? Oui, un peu. J'ai eu peur que l'équipe soit endormie, triste. Mais on a montré un beau visage et ça a payé ce soir \\ #JeepElite pic.twitter.com/qhTYyuaPQS\\n\\n\\n— Vivien Seiller (@VSeiller) March 8, 2019\\n\\nPhoto: Sharks" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Un joueur de première division grecque dans le Shaqtin a Fool" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis sa retraite en 2011, la légende NBA Shaquille O’Neal anime sur TNT le Shaqtin a Fool, un bêtisier hebdomadaire des pires actions de la NBA (Marchers non sifflés, défenses hasardeuses,...). Si la quasi-totalité des actions est l’oeuvre de joueurs NBA (dont certaines superstars), il se peut que quelques actions venues de l’étranger viennent garnir le bêtisier du Shaq.\\n\\nCertains se rappelleront du dunk sur la planche de Luigi Datome où le dunk contre son camp de Garlon Green. Cette semaine, c’est Elijah Jonhson, meneur du club de Rethymno Cretan Kings en première division grecque, qui apparaît dans l’émission à ses dépens.\\n\\nLe joueur s’est fait.... baisser le short après une acrobatie d’une cheerleader lors d’un temps mort. Ce n’est cependant pas l’action la plus cocasse de la semaine, cet « honneur » revient à la perte de balle de LeBron James lors d’un match contre les Phoenix Suns." }, {"role": "user", "content":"Comment l’ASVEL prépare son entrée en Euroleague (3): Sans aréna rien n’est possible" }, {"role": "assistant", "content":"Pendant deux ans l’ASVEL Lyon-Villeurbanne va bénéficier d’une invitation en Euroleague avec l’ambition de décrocher ensuite une Licence A synonyme de participation assurée pour une longue durée. Voici comment. En trois épisodes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl existe des plans de l’Aréna de 10 à 12 500 places qui doit se construire en principe à Villeurbanne, en face de l’actuelle Astroballe sur le site du stade Georges-Lyvet donc proche de la ligne de métro A et du périphérique avec 2 000m2 de commerces et de restaurants. Sur le site de DCB International, qui doit constituer la société d’exploitation avec TGL Group, l’ASVEL et des exploitants privés, il est même noté :\\n\\n« A Villeurbanne (69), la nouvelle salle multi-fonctionnelle accueillera en 2020 l’équipe de Tony Parker (ASVEL). »\\n\\nCe ne sera pas en 2020. Le rendez-vous pour l’ouverture de l’aréna a été décalé à la rentrée de la saison 2021-22. C’est un interminable feuilleton car il n’est jamais simple de construire un tel édifice en France. Il y a eu des projets qui étaient sur le point d’aboutir qui se sont écroulés souvent pour des raisons « politiques », comme à Dunkerque et à Orléans. Celui de l’ASVEL a déjà connu moult rebondissements, le dernier en date étant la volonté de l’Olympique Lyonnais d’édifier dans les deux à trois ans dans l’Est lyonnais une aréna de 12 à 15 000 places pouvant accueillir des concerts, des séminaires et des activités sportives comme... du basket. Un projet en plus de celui de Villeurbanne ou à sa place ? L’avenir nous le dira.\\n\\nCe qui est certain, c’est que l’ensemble de la stratégie de l’ASVEL de Tony Parker est bâti autour de cette aréna. C’est avec cette perspective que ECA lui a ouvert pour deux ans les portes de l’Euroleague et c’est quand les grues seront en train de l’édifier qu’elle pourra se voir octroyer la fameuse licence A. C’est aussi grâce à un aréna que l’ASVEL pourra envisager de passer de 10 à 15 millions d’euros de budget.\\n\\n« C’est un tout. Le but c’est de s’appuyer sur l’aréna, sur le développement des ressources en ticketting , sponsoring et merchandising, en ventes d’hospitalité, de loges, lors des matches. Et de bénéficier d’autres subsides de la marge qui sera effectuée sur d’autres opérations que les matches de basket, » explique Alain Cloux.\\n\\nL’ASVEL devra remplir le double de sièges, se mettre dans la moyenne élevée de l’Euroleague, qui sera pourquoi pas de 10 000 spectateurs dans trois, quatre ans, et ça sera une grande première en France où aucun sport de salle n’a plus approcher jusqu’ici une telle performance.\\n\\n« Le but c’est de développer les ressources sur tous les aspects commerciaux. Il faut la remplir donc c’est avoir obligatoirement une politique commerciale qui soit encore plus pointue que celle que l’on a aujourd’hui. Qui dit exploitation d’une salle multifonctions dit qu’il y aura une société d’exploitation qui soit mise en œuvre par rapport à la vente de l’ensemble de la salle pour les matches, concerts, spectacles, séminaires. Le Groupama Stadium vit tous les jours. Ils essaient de remplir au maximum leurs espaces. On va changer de planète avec une aréna de 10 000 places. »\\n\\nAvec une Licence A, l’ASVEL bénéficiera d’une manne un peu supérieure de la part de la télévision. La somme est liée au montant du contrat avec le télédiffuseur de chaque pays et si le pays en question compte une seule ou plusieurs équipes en Euroleague. A court terme, l’ASVEL est certaine de ne pas partager la manne avec un autre club français. Cette manne devrait se situer entre un et deux millions. Encore une fois, on est très loin du foot.\\n\\nComme autre piste pour accroître les ressources, l’ASVEL pense au trading, un mot à l’apparence barbare, qui correspond en fait aux indemnités que versent les clubs, actuellement les franchises NBA, pour transférer des joueurs sous contrat.\\n\\n« Vu nos contraintes fiscales et sociales en France, l’idée de départ -et on essaye de travailler là-dessus- c’est de s’appuyer sur une base de joueurs expérimentés et aussi d’avoir des jeunes que l’on a formé ou post formés. Ainsi Théo Maledon a fait l’INSEP et il est resté un an au centre de formation avant de véritablement éclore cette année. C’est une sorte de post formation même s’il est jeune. Après qu’ils aient passé un, deux, trois années ici, c’est d’envisager que les joueurs partent dans un autre club européen plus huppé s’ils sont super performants, ou bien s’ils en ont les caractéristiques, qu’ils soient draftés et partent dans un club NBA. Aujourd’hui, en France, on intègre ça à la marge notamment parce qu’il n’y a pas de marché en Europe ou très peu. Peut-être qu’avec l’évolution de l’Euroleague et des compétitions européennes un marché va se créer et à ce moment-là je pense qu’on aura notre place. Ça peut constituer une forme de nouvelle ressource. L’idée, c’est aussi de pouvoir s’appuyer sur l’Académie (NDLR: plus de 350 jeunes se sont inscrits pour la rentrée) qui va ouvrir l’été prochain pour aussi constituer un vivier de ce type-là pour apporter des performances et dans un deuxième temps des ressources supplémentaires au club. On a parlé du trading mais il y a peut-être d’autres formes de ressources qui ne sont pas encore identifiées aujourd’hui et vers lesquelles on pourra peut-être se tourner. »\\n\\nLes dés sont-ils pipés?\\n\\nL’ASVEL est prévenue : la Ligue Nationale de Basket et son organisme de contrôle de gestion ne tolèreront pas de dérapages financiers. Malgré tout, le représentant français en Euroleague doit donc être un minimum compétitif dans une compétition où règnent des clubs alimentés par les sections football (le Real, le Barça) ou par des richissimes hommes d’affaires (Panathinaikos (1), Olympiakos (2)) et qui ne regardent pas à la dépense. Le staff villeurbannais a évidemment conscience de la problématique. Quand on prend en compte les ressources propres du Real Madrid (13,1 millions d’après le quotidien AS), on s’aperçoit qu’elles sont grosso-modo équivalentes au... budget que l’ASVEL espère avoir avec une Licence A. C’est la richissime section football qui règle le reste de l’addition.\\n\\n« C’est une autre planète. C’est d’autres moyens dont ils peuvent disposer sur l’aspect financier mais aussi des structures. C’est aussi très clairement sur eux que la notoriété de la compétition est assise et doit aussi sa popularité. On ne peut pas lutter contre ça. Ils apportent du renom, de l’histoire, des titres, du prestige à tous les clubs. On sait qu’on ne part pas avec les mêmes moyens. Si on ne veut pas jouer dans cette cours-là, on fait autre chose. Il ne faut pas s’arrêter à ça. »\\n\\nOn le sait depuis des années, les clubs français sont doublement handicapés puisque les règles sociales sont ici beaucoup plus contraignantes que dans les autres pays européens, y compris en Allemagne. D’après une étude de l’Expansion, on peut en conclure que si l’ASVEL était basée en Turquie sa masse salariale actuelle passerait de 2,6 à 6,1 millions ! De quoi s’offrir deux à trois joueurs à 1 million la saison.\\n\\nTout en rappelant qu’en France on ne paye pas les impôts des joueurs alors que c’est une pratique commune à beaucoup de pays, Alain Cloux donne un autre exemple, avec les réserves d’usage :\\n\\n« On a obtenu des éléments vis-à-vis de la Russie. Si on additionne le salaire net d’un joueur à qui vous donnez 100 euros nets dans sa poche avec les charges sociales salariales, patronales et l’impôt sur le revenu, en France on arrive grosso-modo à 225. En Russie, vous arrivez à 111. C’est parlant. Ça mériterait une étude faite par un institut spécialisé mais il y a quelques pays où la comparaison est complètement disproportionnée. Sans même parler du budget. Il n’y a pas que le taux qui compte, il y a aussi le plafond. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous sommes si fortement taxés sur les charges sociales et sur les impôts. »\\n\\nRécemment, les carambolages financiers des principaux clubs européens ont fait les choux gras des médias spécialisés. Le Real Madrid et le FC Barcelone ont bâti cette saison des budgets prévisionnels avec des déficits envisagés de 28,2 millions pour l’un et de 24,9 millions pour l’autre. En juin 2017, Fenerbahçe, alors vainqueur de l’Euroleague, annonçait un déficit de 18M€ sur un budget de 30. Un partenariat -le plus important de l’histoire du basket européen- signé pour trois ans avec le Groupe Dogus devait couvrir la moitié de ce budget. Sauf qu’un an plus tard, le géant turc qui gère plus de 300 entreprises et qui compte 35 000 salariés, arrêtait les frais minés par les problèmes économiques qui ont affaibli la Turquie. Quelques mois plus tard, Beko, une marque d’électroménagers, prenait le relai sans que le montant du sponsoring soit dévoilé.\\n\\nCes exemples de gestions financières olé-olé apportent de l’eau au moulin de ceux qui pensent que l’Euroleague ne possède pas de véritable économie et que les dés y sont pipés. Aussi, l’ASVEL a-t-elle une voie de navigation dans ce maelström ?\\n\\n« On espère bien. A nous d’analyser les choses et de faire les choix qui seront liés aux réalités et aux contraintes. On a deux ans pour prouver sur le plan sportif aussi des ressources, les moyens que l’on va mettre à tous les niveaux, que l’on a la possibilité d’avoir une licence A, de s’inscrire sur le long terme. L’économie, comme on vient de le dire, n’est pas la même pour un club que pour un autre en fonctions de sa réalité et de ses actionnaires. A nous d’essayer de trouver un modèle vers lequel on peut tendre pour faire que ce soit équilibré, développer des ressources pour avoir des performances respectables dans cette compétition. Tout en s’inspirant de certains clubs, on va essayer d’inventer un modèle, le nôtre et surtout de s’inscrire dans la durée. C’est l’objectif qui a été fixé par nos dirigeants et que l’on essaye de s’imposer au quotidien. »\\n\\nUn autre danger, c’est celui de la scission entre certains seigneurs d’Euroleague et leurs ligues nationales. Récemment, le Real Madrid et Olympiakos ont laissé planer cette menace. Le Maccabi Tel-Aviv s’est plaint récemment d’un calendrier trop dense et avait envisagé, il y a quelques mois, d’aligner deux équipes différentes sans passer aux travaux pratiques. De plus, on soupçonne l’Euroleague de vouloir planifier des matchs le week-end, plus lucratifs en terme télévisuel, qui les confronteraient frontalement à ceux des championnats domestiques.\\n\\n« Obligatoirement vous réfléchissez sur le fait de participer concomitamment à l’Euroleague et à la Jeep Elite par rapport au nombre de matches que ça impose. On n’a pas du tout envie de quitter notre championnat national. Notre produit de base est là. Il y a pas mal de clubs qui travaillent bien pour améliorer la Jeep Elite et faire progresser le championnat. On est un des membres de ce produit-là. On ne s’est pas inscrit dans l’idée de ne pas participer à ce championnat national... Même si arriver à mener de front les deux, c’est un challenge ! »\\n\\nL’Euroleague a l’intention à plus long terme d’accroître encore le nombre de ses clubs mais jusqu’à quel point une formule par matches allers-retours avec tout le plateau est-elle tenable ?\\n\\n« Ce qui est sûr c’est que le nombre de matches de Jeep Elite va diminuer en 2020-21 (NDLR: le championnat repassera à 16 clubs). On ne va pas répondre à leur place. On peut tout envisager à terme comme des conférences comme en NBA. Mais continuer sous forme d’un championnat à plus de 18, ça ferait encore plus de matches... »\\n\\nLutter sur deux fronts\\n\\nLe fan n’a pas les yeux rivés dans les coulisses mais sur le terrain. C’est la vérité qui l’intéresse. Les dernières saisons des clubs français ont été frustrantes, lassantes, car les défaites s’accumulaient brisant l’espoir de voir la lumière du top 16. Sans jouer les oiseaux de mauvais augure, il faut bien constater que les trois dernières places du classement actuel de l’Euroleague sont occupées par des novices : Buducnost, Gran Canaria (6 victoires et 18 défaites) et Darussafaka (3-21). De plus, exténués par leurs efforts européens, les Canariens ont plongé dans le fort championnat espagnol (16e, 6-14) au point de risquer la descente en LEB.\\n\\n« On a à l’esprit ces exemples-là, on a regardé de près », confie Alain Cloux. « On s’est tout de suite rendu compte des difficultés qu’ils pouvaient rencontrer en particulier Gran Canaria. On en parlait avec Yohan Sangaré la semaine dernière : l’idée c’est de tout mettre en œuvre pour bien débuter. Il faut déjà se rassurer sur le championnat national dès le départ. Et essayer dès les premières journées d’Euroleague de décrocher les bonnes perfs. Ça doit faire quatre matches de Jeep Elite avant de commencer l’Euroleague. Ces quatre journées-là, il faut essayer de s’appuyer dessus pour créer de la confiance. Cette année, par exemple, le Maccabi a eu du mal à débuter. Tout va dépendre du tirage au sort et du calendrier. En étant invité, je ne suis pas certain que l’on sera favorisé ! On va prendre ce qu’il y a... Le Bayern a parfaitement géré la transition entre l’Eurocup et l’Euroleague et la Bundesliga. On a l’impression qu’ils ont toujours été là. C’est difficile de s’inscrire dans des certitudes quand on voit Kaunas l’année dernière et Kaunas cette année. On sait que ça va être dur. »\\n\\n(1) Décédé en juin dernier, Pavlos Giannakopoulos était avec son frère Thanasis propriétaire de l’empire pharmaceutique grecque Vianex, créée en 1924 par leur père Dimitrios. Vianex fabrique et commercialise actuellement, en Grèce et ailleurs, divers produits, en collaboration avec de grandes entreprises internationales. La société a déclaré un chiffre d’affaires net de 240,2 millions d’euros en 2012. En 2006, la fortune personnelle de Pavlos était estimée à 450 millions d’euros, soit la moitié de l’empire commercial des frères Giannakopoulos (975 millions d’euros). C’est en 2012 que Dimitris a succédé à son père à la tête du Panathinaikos.\\n\\n(2) L’Olympiakos est entre les mains de la dynastie Angelopoulos. Le grand-père Panayotis était un industriel, le père Constantine un magnat de l’acier et des transports maritimes. Ses fils, Giorgios et Panayotis Angelopoulos sont les propriétaires d’une société de transports de pétrole et de produits pétroliers et de l’Olympiakos. La fortune des Angelopoulos est estimée à environ un milliard d’euros.\\n\\nPhotos: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : il y aura une belle entre l’ASVEL et Andorre !" }, {"role": "assistant", "content":"Victorieuse mardi lors de la première manche des quarts de finale de l’Eurocup, l’ASVEL est tombée dans le piège andorran ce vendredi (98-79) et devra attendre mercredi 13 mars pour arracher sa place en demi-finale.\\n\\nInviolé en Eurocup avant cette rencontre, le Poliesportiu d’Andorra a une nouvelle fois tenu son rang face à la formation de Zvezdan Mitrovic. Portés par Dylan Ennis à 23 points, 6 rebonds, 3 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 23 et Rafa Luz à 17 points, 4 rebonds et 4 passes pour une évaluation de 22, les joueurs d’Ibon Navarro ont surpris les Villeurbannais, toujours privés d’Alpha Kaba et DeMarcus Nelson et qui ont enregistré le départ d’Alexis Ajinça cette semaine.\\n\\nDu côté lyonnais, Théo Maledon (16 points, 5 passes), AJ Slaughter (14 points) et Miro Bilan (12 points, 8 rebonds) sont les trois joueurs à avoir surnagé tandis que Charles Kahudi (4 passes) et le meneur lituanien Mantas Kalnietis (4 points, 2 rebonds, 2 passes, 3 pertes de balle) sont passés à côté de son match, souvent mis sous pression par Andrew Albicy toujours très (très) agressif en défense.\\n\\nLes deux équipes se retrouveront la semaine prochaine pour la troisième et dernière manche de la série. A l’aller, l’ASVEL s’était imposée de quatre petits points (79-75) dans son antre.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Vainqueur au Prado 64-74, Sopron sort Bourges en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Contrairement au match aller, Bourges n’a jamais été à même de remporter cette deuxième manche au Prado et Sopron l’élimine en quart-de-finale, 2-0, après cette victoire, 64-74.\\n\\nLes Hongroises ont maîtrisé la situation de bout en bout en déréglant l’attaque des Tango limitée à 40% avec Marine Johannès à 4/14 aux shoots. On n’a pas vu seulement les Américaines Yvonne Turner (8 points) et Candice Dupree (13 points) mais un effectif profond avec notamment Tina Jovanovic (18 points, 10 points), Aleksandra Crvendakic (16 points, 11 rebonds) et l’Espagnole Queralt Casas (5 points, 6 rebonds, 9 passes).\\n\\nBourges ne s’est visiblement pas remis de son court échec en Hongrie (66-65) et rappelons que Sopron est finaliste en titre de cette Euroleague. Au Final Four, les Hongroises retrouveront Koursk, Prague et Ekaterinbourg.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Lu8WDwm-8R0\\n\\nPhoto: Marine Johannès (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Prague au Final Four, Valériane Ayayi cartonne" }, {"role": "assistant", "content":"L’USK Prague s’est qualifiée pour le Final Four de l’Euroleague féminine avec une deuxième victoire, celle-ci acquise sur le terrain du Fenerbahçe, 77-65.\\n\\nL’internationale française Valériane Ayayi s’est particulièrement mise en évidence avec 25 points avec 8/13 aux shoots plus cinq rebonds. Dans l’autre camp, Bria Hartley a failli offensivement avec 5 points à 2/9 aux tirs.\\n\\nPhoto: Valériane Ayayi (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Real Madrid abat le Fener" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifié, Fenerbahçe se déplaçait à Madrid pour y affronter un de ses dauphins. Et le Real a pour le coup réservé un accueil houleux à son adversaire. Sergio LLull (17 points, 10 passes) a réussi son 2e double double de la saison pour faire tomber le premier du classement et se qualifier officiellement pour les playoffs (101-86).\\n\\nPlus tôt dans la soirée, le Bayern Munich a dû s’avouer vaincu à domicile contre un adversaire direct dans la course aux playoffs, le Maccabi Tel Aviv (77-70). Derrière, le Zalgiris Kaunas et le Panathinaikos ont également engrangé des succès qui leur laissent encore un mince espoir de qualification.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Real frappe fort\\n\\nBattu deux fois sur ses trois dernières sorties, par le CSKA Moscou puis par Barcelone, le Real Madrid a frappé un grand coup pour cette 25e journée en se vengeant de Fenerbahçe (101-86), qui l’avait aussi battu à l’aller (lors de la 15e journée). Sergio Llull (17 points, 10 passes) et Anthony Randolph (21 points) ont porté l’attaque rutilante de la maison madrilène.\\n\\nA l’image de ce gros contre de Walter Tavares sur Jan Vesely, le Real a été au-dessus physiquement. Largué à -16 en fin de 3e quart, le Fener n’a pas pu tenir la comparaison avec ce Real remonté comme un coucou et collectif comme jamais avec 29 passes (contre 14) pour un record de la saison, tous clubs confondus cette saison. Fabien Causeur termine à 7 points et 3 passes dans ce succès de prestige.\\n\\n\\nLe Maccabi fait la belle opération\\n\\nEn mode diesel en début de 2e et 3e quart, le Bayern Munich a payé cher sa lente mise en marche contre le Maccabi. Malgré 17 points, 7 rebonds de Derrick Williams et 16 points, 6 rebonds de Danilo Barthel, le Bayern a manqué de solutions offensives face à un Maccabi en résurgence (77-70).\\n\\nTarik Black (14 points, 7 rebonds) a terminé le travail entamé par Scottie Wilbekin (19 points, 6 passes). En empochant ce nouveau succès contre Munich, le Maccabi aura l’avantage en cas d’égalité avec le club bavarois au classement final.\\n\\n\\nKaunas garde encore espoir\\n\\nRestant sur 4 revers lors de ses 5 derniers matchs, le Zalgiris Kaunas a fait feu de tout bois contre Gran Canaria avec une victoire sous forme d’un cavalier seul, de bout en bout (98-64). Et ça commence sur les chapeaux de roue avec Léo Westermann qui envoie Aaron White dans les étoiles. Ce dernier place un nouveau dunk et Kaunas laisse déjà les insulaires dans le vent avec un 1er quart à sens unique : 25-10.\\n\\nLa suite a été du même acabit malgré les efforts de Marcus Eriksson (13 points). Gran Canaria encaisse bien une 10e défaite de suite. A l’inverse, Kaunas garde encore un petit espoir de qualification pour les playoffs, mais il faudra jouer serré contre des rivaux directs à jouer les semaines à venir (Olympiakos, Bayern, Maccabi). Léo Westermann a été solide pour Kaunas avec 9 points et 2 passes.\\n\\n\\nLe Pana enchaîne à Istanbul\\n\\nAvec Jérémy Evans à la réception de plusieurs alley oops de haute voltige, ou encore Michael Eric qui fait parler la foudre, le Darussafaka assure toujours le spectacle. Mais pour ce qui est des victoires, c’est une autre histoire... Le Panathinaikos a ainsi profité de sa visite à Istanbul pour engranger un 2e succès de rang à l’extérieur (91-67).\\n\\nEn contrôle de bout en bout, les coéquipiers de Nick Calathes, encore en double double à 10 points et 11 passes, n’ont pas été véritablement inquiétés du match. Titulaire, Georgios Papagiannis a signé un gros match à 14 points et 12 rebonds (nouveau record perso). Ioannis Papapetrou finit meilleur scoreur à 18 points, dont un dunk aérien après une belle feinte de passe.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 9 points (3/6 à trois points), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/9 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLa description de la vidéo est à peine mensongère avec un moulin à vent inexistant. Mais le dunk de Derrick Williams vaut tout de même son pesant de pretzels avec l’ancien des Cavs qui s’envole pour enfourner un alley oop très longue distance avec une belle férocité !\\n\\n\\n\\n\\n.@DWXXIII with the WINDMILL DUNK 🔥#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/PMY1jLBUQZ\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 7, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 25e journée\\n\\nJeudi 7 mars :\\nDarussafaka – Panathinaikos (67-91)\\nZalgiris Kaunas – Gran Canaria (98-64)\\nBayern Munich – Maccabi Tel Aviv (70-77)\\nReal Madrid – Fenerbahçe (101-86)\\n\\nVendredi 8 mars :\\nCSKA Moscou – Milan (18h)\\nEfes Istanbul – Barcelone (18h30)\\nPodgorica – Olympiakos (19h)\\nVitoria – Khimki Moscou (20h30)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 26e journée\\n\\nJeudi 14 mars :\\nKhimki Moscou – Real Madrid (18h)\\nZalgiris Kaunas – Bayern Munich (19h)\\nMaccabi Tel Aviv – Efes Istanbul (20h05)\\nMilan – Olympiakos (20h45)\\nGran Canaria – Darussafaka (21h30)\\n\\nVendredi 15 mars :\\nCSKA Moscou – Panathinaikos (18h)\\nFenerbahçe – Barcelone (18h45)\\nVitoria – Podgorica (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Real frappe fort\\n\\nBattu deux fois sur ses trois dernières sorties, par le CSKA Moscou puis par Barcelone, le Real Madrid a frappé un grand coup pour cette 25e journée en se vengeant de Fenerbahçe (101-86), qui l’avait aussi battu à l’aller (lors de la 15e journée). Sergio Llull (17 points, 10 passes) et Anthony Randolph (21 points) ont porté l’attaque rutilante de la maison madrilène.\\n\\nA l’image de ce gros co\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"La photo – Les joueurs de Monaco s’engagent à promouvoir l’égalité des sexes" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le cadre de la Journée Internationale des Droits des Femmes, l’A.S. Monaco Basket soutient l’opération #8MarsMonaco. Par ce geste, les joueurs s’engagent à promouvoir l’égalité entre les sexes. C’est l’artiste Mr OneTeas qui a réalisé ces portraits." }, {"role": "user", "content":"Alexis Ajinça et l’ASVEL: le clap de fin" }, {"role": "assistant", "content":"Comme attendu, l’ASVEL et Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) se séparent. Le club n’a donc pas passé l’éponge sur les échanges verbaux musclé que le Stéphanois a eu avec le coach Zvezdan Mitrovic.\\n\\nLe communiqué de séparation tient dans deux phrases:\\n\\n« Suite aux communications publiées ces derniers jours et en conclusion, LDLC ASVEL déclare avoir trouvé un accord amiable avec les représentants d’Alexis AJINÇA pour mettre immédiatement un terme à son contrat, dans les meilleurs intérêts du club et afin qu’Alexis puisse rapidement relever un nouveau challenge. Le club lui souhaite bonne chance pour la suite de sa carrière. »\\n\\nAlexis Ajinça n’aura disputé que 5 matches en Jeep Elite et en 11′ de moyenne, il s’est fendu de 6 points et 3,2 rebonds. Sollicité par ses équipiers en équipe de France, Tony Parker et Nicolas Batum, alors qu’il n’avait pas joué depuis plusieurs mois, il aura fait preuve au final d’ingratitude à leur égard. Cette sortie peu glorieuse laisse présager qu’on ne le reverra pas de sitôt sous un maillot français.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Jeep® ÉLITE : minimum un mois d’absence pour Ousmane Camara (Chalon)" }, {"role": "assistant", "content":"Touché à la cheville dans la défaite de l’Elan Chalon face à Boulazac en début de semaine, Ousmane Camara rejoint l’infirmerie du club pour une durée plus ou moins déterminée.\\n\\nLe JSL indique que les examens passés par le joueur ont révélé qu’il souffre d’un arrachement cartilagineux de la cheville. Son absence est estimée à un au moins un mois mais il faudra d’abord « soigner son inflammation avant de connaître la durée exacte de son indisponibilité qui pourrait aller bien au-delà d’un mois ». Le journal annonce ensuite que le club est donc à la recherche d’un pigiste médical, JFL ou non, pour combler l’absence de l’international français.\\n\\nCette saison, Ousmane Camara tourne en moyenne à 9 points et 6,9 rebonds pour une évaluation de 11,7.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray" }, {"role": "user", "content":"Roanne : Ferdinand Prénom absent pour un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Touché au ménisque lors de la lourde défaite de Roanne face à Rouen (78-104), le pivot de la Chorale Ferdinand Prénom (2,03, 28 ans) a été annoncé via un communiqué officiel du club absent pour les quatre prochaines semaines. Ferdinand Prénom a apporté jusqu’ici beaucoup en sortie de banc avec 10,7 points et 5,3 rebonds de moyenne par match, le tout à un impressionnant 69,6% aux tirs.\\n\\nL’entraîneur Laurent Pluvy et son staff sont actuellement à la recherche d’un pigiste médical pour pallier son absence. Mais cela semble compliqué, non seulement du fait que le marché est restreint, mais également en raison d’un règlement qui interdit de recruter un joueur ayant joué cette saison en Pro B où en Nationale 1." }, {"role": "user", "content":"Basket Landes: Deux saisons de plus pour Miranda Ayim bientôt française" }, {"role": "assistant", "content":"Après Céline Dumerc, Basket Landes a fait re-signer l’internationale canadienne Miranda Ayim (1,91m, 30 ans) pour deux saisons supplémentaires.\\n\\nAprès la Turquie et deux ans à Toulouse, l’ailière originaire de l’Ontario est arrivée à Basket Landes en 2015 et c’est donc actuellement sa quatrième saison dans l’effectif de Cathy Melain laquelle selon France Bleu devrait également prolonger son séjour dans les Landes.\\n\\nMiranda Ayim, qui a participé à la Coupe du monde l’été dernier, tourne à 13,8 points et 5,2 rebonds cette saison en Ligue Féminine. Elle est en passe d’obtenir la nationalité française.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: L’ASVEL débordée par Girone" }, {"role": "assistant", "content":"Privé de Alysha Clark, Fatou Sakho et Clarissa Dos Santos, Lyon ASVEL Féminin a été débordé sur son terrain par Girone, le leader du championnat d’Espagne (57-80) emmené par Laia Palau, perdant ainsi ses chances de qualification aux demi-finales de l’Eurocup féminine.\\n\\nLes Espagnoles menaient déjà 13-3 après 5 minutes et elles ont remporté les quatre quart-temps. Avant le match, le staff lyonnais avait annoncé qu’étant donné les blessures sa priorité est désormais le championnat où l’équipe de Valéry Demory figure en tête.\\n\\nRien n’a fonctionné au cours de cette soirée, y compris... la prise des stats.\\n\\nLyon : Ingrid TANQUERAY (15), Michelle PLOUFFE (11), Marième BADIANE (9), Marie PARDON (8), Kendra CHERY (6), Julie ALLEMAND (4), Paoline SALAGNAC (4).\\n\\nGirona : Gabby WILLIAMS (17), Nadia COLHADO (17), Keisha HAMPTON (14), Nuria MARTINEZ (11), Laila PALAU (10), Roso BUCH (5), Helena OMA (4), Beatriz SANCHEZ (2).\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"En direct avec Will Felder (Chartres, Pro B) : «La montée avec Chartres c’était mon tout premier trophée»" }, {"role": "assistant", "content":"Formé aux Etats-Unis puis lancé dans le bain professionnel aux Pays-Bas, Will Felder (2,01m, 28 ans) vit sa quatrième saison en France. Après la Hollande, le natif de Cleveland est arrivé à Challans, il a ensuite rejoint Rueil et il s’est finalement engagé avec Chartres. Après trois ans en NM1, il a vécu la montée en Pro B avec Chartres. Nous avons profité de la venue du CCBM à Nancy pour aller à la rencontre du leader chartrain (18,2 d’évaluation par match).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne me rappelle pas de mon tout premier match en tant que pro, mais je me souviens de la saison. J’étais à Leiden, en Hollande. C’est une équipe qui disputait l’Eurochallenge l’année précédant mon arrivée, c’était une très bonne équipe. Le coach était Eddy Casteels, l’ancien coach de la sélection belge. Je ne me souviens vraiment pas de mon premier match, mais c’était une bonne saison pour un début en professionnel. En Hollande tout le monde parle anglais, il y avait quatre Américains dans l’équipe. Il y avait plusieurs équipes en Eurochallenge dans la division donc le niveau était plutôt bon. C’était également bien en dehors du parquet. C’était un bon pays pour commencer.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe ne me souviens pas d’un joueur, mais plutôt d’un coach. C’est justement Eddy Casteels. Il est vraiment dans le développement individuel des joueurs et il m’a beaucoup aidé dans ma saison de rookie en Europe. Essentiellement sur mon jeu de jambes parce que quand je suis arrivé je ne faisais que des marchers, les moves que j’utilisais à l’université n’étaient pas légaux en Europe. Il m’a donc vraiment aidé à comprendre comment utiliser mon explosivité.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJe n’en ai pas un en particulier mais il y a des joueurs que j’aime bien regarder jouer, auxquels j’aime bien tenter de voler des moves. En vérité, j’aime bien les joueurs plus anciens, comme Hakeem Olajuwon. Il est plus grand que moi, nous n’avons pas le même profil, mais son style de jeu, sa façon de jouer face au panier, ses feintes au poste, tout ça me font l’apprécier particulièrement.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nEddy Casteels, sans hésiter.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Pro B :\\n\\nIl y a pas mal de bons joueurs, c’est compliqué. Je ne peux pas dire moi ? Je plaisante. Je ne vais pas dire le meilleur joueur, mais celui qui m’a le plus impressionné jusqu’à maintenant. Je dirais Matt Carlino de Roanne. Il est arrivé je crois qu’il a mis quelque chose comme 20 points en 20 minutes. C’était impressionnant. J’ai aussi joué contre Tyren Johnson en Leaders Cup avant qu’il se blesse, c’est un joueur solide.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJe crois que le public le plus chaud devant lequel j’ai joué était à Groninguen. J’ai joué là-bas et c’était une atmosphère très intense, leurs fans étaient très regroupés. En France c’était il y a deux ans. En playoffs avec Rueil j’ai joué contre Challans et c’était très chaud aussi.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nJe ne pense pas avoir de mauvais souvenirs, mais je vais parler de mon arrivée en Europe qui était une période difficile. Ce n’est pas vraiment lié au basket, mais c’est tous les problèmes hors du terrain que peuvent rencontrer un Américain en arrivant ici. Il a fallu s’adapter au style de vie, le langage. C’était une saison difficile pour moi en dehors du terrain. A Challans aussi c’était difficile parce que c’est une petite ville française. Personne n’y parle anglais, il n’y a pas beaucoup de choses à faire.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nC’est, sans hésiter, la saison dernière quand on a remporté le championnat. C’était le premier trophée que je remportais dans ma carrière.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nC’est compliqué. Je dirais Evan Turner. J’ai joué contre lui lors de mon année freshman à l’université. Il était senior à Ohio State, c’était un match compliqué pour nous. J’ai dû défendre sur lui quelques fois et c’était compliqué pour moi (sourire)\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nJ’ai joué en AAU avec CJ McCollum. Il vient aussi de l’Ohio, nous avons joué en AAU ensemble et il était vraiment impressionnant à regarder, même à cette époque, notamment grâce à ses qualités de shooteur. C’est probablement le joueur le plus technique que j’ai pu rencontrer. Dans ma carrière professionnelle, je dirais Worthy De Jong, avec qui j’ai joué en Hollande.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nJ’ai joué mon meilleur match contre Rennes alors que je jouais à Rueil. Ils venaient de monter de Nationale 2, on était en déplacement chez eux et le match s’est terminé après trois prolongations. J’ai mis 39 points, c’est mon plus gros total en un match et je pense que c’est le meilleur match que j’ai produit. En plus nous avions gagné.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJe pense que je volerais le step back de James Harden.\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nJe payerais pour voir LeBron James. Je payerais pour voir jouer les Golden State Warriors. Je ne suis pas un fan de cette équipe, je n’aime pas cette équipe, je viens de Cleveland, mais si tu me demandes où ça vaudrait le coup de dépenser mon argent j’irais voir Kevin Durant et son équipe.\\n\\nPourquoi le numéro 4 :\\n\\nC’est juste que j’aime le numéro. Il n’y a pas d’histoire, c’est un nombre avec un seul chiffre, je préfère ça à deux chiffres. Je ne sais pas, je sens bien ce numéro, ça me fait penser à quelque chose d’équilibré, comme un carré qui a quatre côtés...\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nMon meilleur ami dans le basket a joué jusqu’en université, mais il n’est pas passé professionnel même si c’était un plutôt bon joueur. Il a toujours été impliqué dans mes toutes premières aventures liées au basket. Nous avons vécu nos premières expériences ensemble. Il s’appelle Paul McQueen, il a joué à l’université de Clarion.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJe pense que c’est Rueil-Malmaison. C’était une belle expérience de vie.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nEn vérité pas grand-chose...Je me relax beaucoup. J’aime regarder du basket, regarder des joueurs desquels je peux apprendre quelque chose, j’aime regarder les équipes de ma division qui jouent un bon basket, j’aime regarder mes matchs pour voir mes erreurs et essayer de les corriger. J’aime étudier le basket.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nJe changerais juste la règle du marcher ici. Je la changerais pour pouvoir faire les mêmes départs qu’aux Etats-Unis.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe veux devenir coach. Je peux me voir être coach. Je pense que je peux aider des joueurs, je pense que j’ai le cœur d’un coach, comme les gens aiment dire. J’essaye déjà de donner des conseils à mes coéquipiers sur des choses que je vois sur le terrain. Bien souvent, j’ai joué avec des joueurs qui étaient bien plus vieux que moi. Jusqu’à maintenant il y a toujours eu des joueurs de six ou sept ans de plus que moi donc j’étais en réalité celui qui apprenait.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne me rappelle pas de mon tout premier match en tant que pro, mais je me souviens de la saison. J’étais à Leiden, en Hollande. C’est une équipe qui disputait l’Eurochallenge l’année précédant mon arrivée, c’était une très bonne équipe. le coach était Eddy Casteels, l’ancien coach de la sélection belge. Je ne me souviens vraiment pas de mon premier match, mais c’était une bonne saison pour un début en professionnel. En Hollande tout le monde parle anglais, il y avait quatre Américains dans l’équipe. Il y avait plusieurs équipes en Eurochallenge dans la division donc le niveau était plutôt bon. C’était également bien en dehors du parquet. C’était un bon pays pour commencer.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe ne me souviens pas d’un joueur, mais plutôt d’un coach. C’est justement Eddy Casteels. Il est vraiment dans le développement individuel des joueurs et il m’a beaucoup aidé dans ma saison de rookie en Europe. Essentiellement sur mon jeu de jambes parce que quand je suis arrivé je ne faisais que des marchers, les moves que j’utilisais à l’université n’étaient pas légal en Europe. 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La saison dernière avec les Bakken Bears, il tournait à 18,1 points, 4,9 rebonds et 3,8 passes entre le championnat danois et la FIBA Europe Cup.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=uMHm928Nxg8\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Edgar Sosa enfin de retour pour le BCM ce week-end" }, {"role": "assistant", "content":"21 décembre. C’est la dernière fois qu’Edgar Sosa (1,88m 31 ans) a porté le maillot de son club en compétition, c’était face à Pau. Entre-temps, le meneur de jeu gravelinois s’est blessé à la cuisse et a dû purger une suspension après avoir bousculé un arbitre. Ce week-end face à Châlons-Reims, il sera enfin de retour.\\n\\n« Son retour est évidemment une bonne nouvelle. C’est surtout un grand créateur pour lui et les autres. C’est un danger de plus, il va ouvrir des espaces et vraiment nous aider. 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Le club est actuellement à la recherche d’un pigiste médical pour pallier cette absence, même si ce dernier ne pourra pas jouer les matchs de Basketball Champions League à cause du règlement.\\n\\n\\n\\n\\nDonnadieu : \\Pour Dominic Waters c'est au moins 6 semaines, un point est prévu dans 3 semaines\\ #BasketballCL\\n\\n\\n— Barbara Youinou (@BarbaraYouinou) March 6, 2019" }, {"role": "user", "content":"3 questions à Amine Noua (ASVEL) : «On ne va pas en Euroleague pour faire de la figuration»" }, {"role": "assistant", "content":"Enfant de l’ASVEL, Amine Noua (2,03m, 22 ans) fait partie des éléments importants de la formation de Zvezdan Mitrovic. On lui a posé trois questions sur la début de saison du club, l’Eurocup et l’Euroleague à venir.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre bilan sur la première partie de saison ?\\n\\nLe bilan ne peut être que positif comme on est premiers partout. On est qualifiés pour les quarts de l’Eurocup, mais comme je l’ai toujours dit, on n’a rien gagné pour l’instant donc on garde la tête sur les épaules. Certains peuvent nous voir comme les favoris incontestables mais on sait qu’il nous reste encore beaucoup de travail. Par moments on a eu des petits trous d’air, mais on veut finir du mieux possible et être capable de jouer sur tous les fronts.\\n\\nVous attendiez-vous à avoir d’aussi bons résultats d’entrée, surtout en Eurocup ?\\n\\nOn avait des ambitions claires, je dirais. On a l’autorisation de jouer l’Euroleague directement la saison prochaine, mais même avec ça, on veut vraiment gagner l’Eurocup. On a le potentiel pour. Tout le monde a été surpris, mais au vu du travail, au vu de l’investissement de chacun et au vu de l’intensité, je ne suis pas surpris de nos résultats jusqu’à maintenant. A cela, on rajoute le fait que l’on a toujours des blessés, on n’est jamais au complet. Pour l’instant c’est très positif, mais on est qu’à mi-chemin.\\n\\nQue représente pour vous l’Euroleague à Villeurbanne ?\\n\\nÇa représente énormément pour moi. Je suis un enfant du club. J’ai vu l’Euroleague des tribunes, mais ça me tenait vraiment à cœur de pouvoir jouer l’Euroleague avec le maillot de l’ASVEL. C’est une opportunité, je ne sais pas ce qui va se passer entre-temps mais j’espère vraiment pouvoir jouer l’Euroleague. C’est la meilleure compétition après la NBA, je pense qu’on mérite amplement d’y être en vue des ambitions qu’on a. Surtout, on n’y va pas pour faire de la figuration, on veut faire du mieux possible, construire la meilleure équipe possible. On a tout ce qui faut pour atteindre nos objectifs, même dans les années à venir. Je pense que le club va continuer de grandir et devenir une grosse écurie en Euroleague.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre bilan sur la première partie de saison ?\\n\\nLe bilan ne peut être que positif comme on est premiers partout. On est qualifiés pour les quarts de l’Eurocup, mais comme je l’ai toujours dit, on n’a rien gagné pour l’instant donc on garde la tête sur les épaules. Certains peuvent nous voir comme les favoris incontestables mais on sait qu’il nous reste encore beaucoup de travail. Par moments on a eu des petits trous d’air, mais on veut finir du mieux possible et être capable de jouer sur tous les fronts.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Basket Europe Tour : étape numéro six, Zagreb !" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir parcouru les rues ensoleillées de Madrid et Barcelone, (re)découvert le patrimoine gastronomique italien et dévoré des yeux la belle Ljubljana, je m’apprête à vous emmener dans la capitale croate, Zagreb. Avant-garde de la langue et de la culture croate, c’est le centre administratif du pays. Charmeuse, vivante et accueillante je vous emmène dans l’antre du Cibona et du Cedevita Zagreb.\\n\\nIl est aux alentours de 17h lorsque j’arrive à la gare d’autobus de Zagreb. Nous avons environ 20 minutes de marche, ma valise cassée et moi, pour rejoindre l’auberge de jeunesse qui sera notre repère pour ces quelques jours. Après avoir traîné la gardienne de mes effets jusqu’à l’auberge, je range celle-ci dans le dortoir et je file découvrir cette ville pleine de promesses.\\n\\nMa visite se porte tout de suite vers le parc Zrinjevac, à deux rues de mon auberge, c’est un des plus beaux parcs de la ville. Officiellement appelé Nikola Zrinski le Leonidas local, ce parc est bordé du musée d’archéologie de la ville de Zagreb et du pavillon des arts croates. Un lieu idéal pour qui veut se ressourcer dans la capitale croate. Qui plus est à la mi-septembre, où chaque année se déroule le Food and film festival, un événement incroyable pour découvrir la richesse culinaire des Balkans. C’est donc tout naturellement que je suis resté une bonne demi-heure à humer les délicieux parfums qui m’environnaient. Puis, caméra et Kürtőskalács en main (sorte de brioche caramélisée de forme cylindrique, cuite à la broche et enrobée de cannelle), je me dirige vers le centre de la ville.\\n\\nEt notamment la Place Ban Jelačić, place centrale de Zagreb. Elle est nommée en l’honneur du Ban Josip Jelačić, militaire et comte croate, dont une statue équestre trône fièrement sur la place. La place est située juste en dessous de la ville haute, ce qui lui donne un statut central et explique le nombre incroyable de manifestations qui se déroulent ici. La manifestation de ce jour est un magnifique marché eco-responsable. L’endroit est animé et les exposants bavards, c’est donc tout naturellement que j’ose goûter toute sorte de spécialités végétariennse et me sensibilisent à de nouvelles pratiques de consommation.\\n\\nUne fois mon petit tour terminé je décide de monter vers la ville haute. Au nord-est de la place Ban Jelačić j’aperçois la cathédrale de la ville et je décide de m’y rendre. Plusieurs fois détruite, reconstruite et réaménagée, aujourd’hui elle se refait une beauté, ce qui me permet uniquement d’imaginer la tour jumelle couverte pour cause de ravalement. Puis je me perds avec plaisir dans les rues étroites de Kaptol jusqu’à arriver à l’église Saint Marc, une Eglise médiévale ornée de tuiles colorées. En sortant de ce lieu incontournable, je décide d’aller parcourir des yeux la ville depuis le belvédère situé non loin.\\n\\nUne fois cette petite balade terminée je décide de diner au « Food and film festival », là-bas je rencontre Mario, francophile et bavard. Il me présente le Balkan Burger que je décide de commander. Appelé Pljeskavica (prononcez Pliss-ka-vee-tsa) ici, il s’agit d’un hamburger avec un pain à pita tartiné d’une préparation à l’aubergine, des oignons, des tomates, de la salade et un steak composé d’un mélange d’agneau et de bœuf. La bière étant offerte avec, me voilà installé, prêt à déguster mon délicieux repas face à « Paris can wait », un film portant sur l’art de vivre à la française. Heureux et ému par un si beau film, je décide d’aller me coucher pour être prêt le lendemain à découvrir un des plus grands clubs du basket croate, le Cibona Zagreb.\\n\\nAprès avoir passé la journée à capturer avec ma caméra les plus beaux profils de cette magnifique ville, c’est vers 18 heures que d’un pas affirmé je m’élance en direction de la tour Cibona où se trouve le musée Drazen Petrovic. Collée à la salle qui porte le même nom, c’est ici que l’équipe bleue évolue à domicile. A 19 heures, j’ai rendez-vous avec Iva, mon contact au club de la capitale. Déjà à l’extérieur de la salle, les graffitis en disent long sur l’époque dorée du club. Les années 1980 où il remporta deux coupes des clubs champions en 1985 et 1986 et une coupe Korac en 1972. Terminant finaliste en 1980 et 1988. Tandis qu’en 1982 et 1987 le club remporta la Coupe des Coupes. Des graffitis des coupes remportées et de Drazen Petrovic se dressent autour de la salle, avertissant le visiteur qu’ici plus qu’ailleurs le basket est important.\\n\\nTel Barrès devant la colline de Sion, je prends conscience qu’ « il est des lieux où souffle l’esprit ». L’esprit basket de cet endroit est impressionnant, il vous fait frissonner et vous comprenez qu’en tant que fan de basket vous êtes au bon endroit. Une fois une entrée dérobée passée, je rejoins Iva, mon contact. Dans le hall principal et les escaliers, de magnifiques dessins des gloires passés du club transportent le visiteur vers une époque glorieuse.\\n\\nIva, enjouée à l’idée de me faire découvrir le club pour lequel elle travaille, décide de commencer par la visite par les bureaux du club. Les fanions de nombreux clubs étrangers sont représentés et témoignent des nombreuses rencontres disputées par le Cibona les deux siècles derniers. Puis nous passons à la salle des trophées. La pièce d’une taille importante ne peut pas mettre en valeur tous les trophées qu’elle contient. Nombreux sont ceux qui se trouvent par terre sur un tapis tandis que certains sont collés les uns aux autres. Je fais donc connaissance de très près avec une coupe Adriatique, une coupe Saporta ou encore une coupe des coupes des clubs champions. Ce moment magique à la découverte des différents honneurs du club et de ses membres revêt des airs de retour dans le passé. Les noms prestigieux s’enchainent sous mes yeux, Korać, CSP Limoges, Partizan, Etoile Rouge, FC Barcelone, Krešimir Ćosić, Zalgiris Kaunas, Virtus Bologne et j’en passe.\\n\\nPuis nous remontons pour nous retrouver dans la rangée la plus haute de la Dražen Petrović Basketball Hall. Construite en 1987, puis renommée à son nom lors du décès du champion, elle a une capacité de 4 500 places en configuration basket. Tout comme Petrović, les maillots retirés de Mihovil Nakić et Andro Knego sont fièrement abrités par un dôme monumental. Bouche bée d’émerveillement, je me laisse guider par Iva dans l’antre du loup (le nouveau logo du club), les pros terminent leur entraînement tandis que les espoirs du club azur se préparent au leur.\\n\\nJe profite de ce ballet de joueurs pour capturer quelques images de l’arène puis interviewer le coach du club, Ivan Velić, qui ne parle pas anglais, Iva me fait donc la traduction. Une interview agréable dans laquelle transparaît la collusion entre le basket et la discipline yougoslave. Puis, les espoirs passant, je décide d’interviewer une des nouvelles perles du club, Karlo Uljarević. Lorsque je l’interroge sur « l’identité basket » de son pays, le jeune homme évoque le « balkanic spirit » que possèdent les joueurs ex-yougoslaves.\\n\\nIl est suivi par son coach, Ante Samac, homme dans la fleur de l’âge charismatique et bavard. Nous en venons à discuter des viviers de joueurs du jeune continent. Il me concède que la France possède un vivier impressionnant de joueurs de talent qui s’exportent très bien, notamment en NBA. Puis nous revenons à discuter du « balkanic spirit » évoqué par son joueur :\\n\\n« La caractéristique principale des joueurs yougoslaves est qu’ils sont prêts à tout donner sur un terrain. Si tu vas à la guerre, il vaut mieux prendre des Yougoslaves avec toi, Serbes, Croates, Bosniens, etc. Ils te suivront jusqu’au bout » ! Ça a le mérite d’être clair, puis nous venons à parler de nos parcours respectifs et de ce qui m’a poussé à me lancer dans pareille entreprise. Puis forcément vient le temps des comparaisons, et question à laquelle je ne peux couper, mon cinq majeur idéal actuel. Ma réponse fut immédiate : « Sergio Llull, quand tu le regardes jouer, il est extraordinaire, complet et il défend » ! Pas étonnant quand on regarde les performances sur les dernières années du Monsieur. La réponse d’Ante me surpris, lui préférait choisir le classieux serbe Milos Teodosić. Je lui réponds immédiatement qu’il ne défend pas assez à mon goût. Puis le coach me laissa avec une phrase courte mais efficace : « si tu marques 20-25 points et que tu délivres une dizaine de passes décisives, peu importe que tu ne défendes pas ».\\n\\nHeureux de cet échange, Iva me dirige donc, vers Brandis Raley-Ross, très enthousiaste à l’idée de répondre à mes questions. C’est un solide gaillard de 1,91m pour 91 kg souriant et bavard. L’ancien de South Carolina University entame sa première année en Croatie après avoir parcouru nombre de pays d’Europe de l’Est comme le Monténégro, la Lituanie, l’Estonie ou encore la Grèce. Enchanté de faire ma connaissance, il laissa une trace indélébile dans ma mémoire en répondant la question :\\n\\n« Quels joueurs prendrais-tu avec toi pour gagner un match du dimanche sur un playground ? »\\n\\nPar : « Evident mes coéquipiers du Cibona, qui d’autres ? On essayerait de gagner ce match tous ensemble ! Let’s go Cibona ! »\\n\\nD’ailleurs vous pourrez retrouver l’interview de cet attachant personnage dans une prochaine vidéo.\\n\\nHeureux de cette rencontre, je me laisse porter par Iva dans les entrailles de la salle, laissant la place à l’équipe espoirs, il faut bien que les jeunes pousses s’entrainent ! Et croyez-moi, ils s’exécuteront avec application, conscient de l’héritage qu’ils portent sur leurs épaules en évoluant dans une salle comme celle-ci. Une fois la visite terminée, Iva, toujours prévenante à mon égard, m’accompagnera jusqu’à ma ligne de tramway.\\n\\nRedescendu de mon petit nuage, je décide de rentrer déposer mes affaires pour me délester de mon matériel multimédia. Une fois ma douche prise je décide d’aller faire un tour rapide au « Food and film festival » pour manger et file me coucher. La journée du lendemain s’annonce incroyable.\\n\\nEn effet, aujourd’hui j’ai programmé une visite des locaux du Cedevita Zagreb, la visite du musée Drazen Petrovic et enfin d’aller « tâter le ballon » sur les playgrounds zagrébois.\\n\\nFrais et dispo après une belle nuit, je prends au saut du lit le tramway pour me rendre à Novi Zagreb, au sud du fleuve Sava, que l’on retrouvera plus tard... Ce quartier diffère grandement de l’autre rive, plus ancienne. Depuis les années 2000, beaucoup de projets changent peu à peu le paysage de ce quartier. Gros commerces et tours s’élèvent désormais autour de l’Arena Zagreb et du musée d’art moderne. C’est là que le « KK Cedevita » s’entraine. Perdu parmi les grandes devantures et les entrepôts, j’interroge les passants pour leur demander l’entrée du centre d’entraînement du club orange.\\n\\nAu bout de 15 minutes de recherches, c’est sous un beau soleil, transpirant et au pas de course que je découvre le centre d’entraînement de l’équipe dirigée par Sito Alonso. Je me présente à l’accueil et après quelques minutes, Igor, personnage souriant et bavard se présente à moi. Content de me recevoir, il me présente l’histoire du club. Un club jeune, qui a vu le jour en 1991. Un club jeune certes mais avec beaucoup d’ambition, comme l’illustrent les propos d’Igor :\\n\\n« Nous disposons d’une trentaine de salles à Zagreb et nous donnons à environ 800 enfants une école de basket. Nos jeunes ont d’ailleurs eu de grands succès. Nous sommes champions de Croatie de U11 jusque U19 à l’exception des U15 qui sont vice-champions. C’est une base jeune que nous souhaitons conserver et faire fructifier. Nous recherchons constamment la stabilité dans le succès de nos équipes. Bien sûr, le succès de notre équipe première est notre principal objectif. Celle-ci a conquis de nombreux titres ces dernières années, mais notre objectif avoué est d’accrocher le titre de champion de la Ligue Adriatique ou d’Eurocoupe pour retourner en Euroligue ».\\n\\nIgor, au club depuis de nombreuses années attire mon attention sur le fait que même si le club a une réputation de « fils de riches », notamment par rapport au voisin du Cibona, ses moyens sont modestes :\\n\\n« Cedevita c’est le nom de notre sponsor principal. C’est une boisson vitaminée, tu mélanges la poudre à l’eau et hop ! C’est magique ! Goûte, c’est délicieux » ! dit-il en me tenant une bouteille de la fameuse boisson. « La marque Cedevita appartient à l’Atlantic Grupa, un immense groupe qui s’est développé dans toute l’ex-Yougoslavie dans les secteurs de l’agroalimentaire, pharmaceutique et de l’hygiène. C’est notre principal sponsor mais malgré ce qui est dit sur nous, notre budget est bien inférieur au gagnant de la Ligue Adriatique par exemple. Le Buducnost Podgorica a un budget de 4,5 millions et nous 2,5 millions. »\\n\\nNous continuons la visite : vitrine des trophées, infirmerie, salle des kinés et enfin terrain d’entraînement. Avant de rencontrer l’équipe, Igor me donne une information intéressante :\\n\\n« Cette année nous avons deux équipes. L’équipe réserve, dirigée par Slaven Riac (ancienne star du basket croate, notamment passé par l’Elan Béarnais) qui participe au championnat et à la coupe de Croatie. Elle est composée de nos jeunes joueurs les plus prometteurs. Et l’équipe première, dirigée par Sito Alonso qui joue l’Eurocoupe et la Ligue Adriatique. Tu sais nous avons sorti des jeunes prometteurs de nos académies. Notamment deux Bosniens qui sont en NBA actuellement, Jusuf Nurkic (Portland Trail Blazers) et Dnazan Musa (Brooklyn Nets). Après bien sur, il y a Miro Bilan qui a beaucoup gagné avec le club et qui joue désormais chez toi, en France, à l’ASVEL ! »\\n\\nEn effet, Bilan est partout sur les murs du club. Des murs qui me mènent tout droit vers le terrain d’entraînement de l’équipe. Où j’aperçois le tout fraîchement champion de France, Justin Cobbs. Il s’entraine avec l’équipe première sous les cris de Sito Alonso. Le temps d’échanger avec Matej Mamić, ancien international croate et joueur de certaines grosses écuries européennes, que Sito Alonso nous rejoint pour discuter. C’est donc avec plaisir que je vais l’interviewer avec beaucoup d’émotions.\\n\\nUne des plus belles interviews de cette aventure se termine, puis vient le temps de saluer le staff de l’équipe et de filer vers la vieille ville. Je m’arrête en route pour déguster un burger zagrébois et je file vers le monumental musée Drazen Petrović situé en face de la salle du Cibona Zagreb.\\n\\nA peine arrivé, je dégaine ma caméra pour filmer cette riche exposition de maillots, médailles et autres souvenirs du champion parti bien trop tôt. Chaque détail, distinction et honneur y est exposé. Le musée est divisé par période chronologique Šibenka Šibenik, Cibona Zagreb, Real Madrid, Trail Blazers de Portland et enfin Nets du New Jersey. Impressionnant et bien documenté il permet d’avoir une belle idée du monument que représente Drazen pour les Croates et les amateurs de basket en général. Le gardien du musée me confia d’ailleurs que comme pour le 11 septembre 2001, « tout le monde se souvient ce qu’il faisait lors de l’annonce de la mort de Drazen ».\\n\\nEncore tout émerveillé de cette visite je me dirige vers le stade du NK Zagreb aux alentours duquel on m’a indiqué un terrain où pratiquer le basket. Pourtant j’ai beau tourner et retourner la carte, demander aux passants et m’engager dans de longues rues, rien n’y fait, pas de terrain de basket à l’horizon. Ayant la ferme conviction de vouloir pratiquer le basket dans chaque ville je me tourne donc vers ma dernière option, un simple panier de basket dans le parc Opatinova niché entre les rues commerçantes à proximité de la cathédrale.\\n\\nFatigué mais heureux des rencontres faites ce jour, je décide donc d’aller chercher à manger puis me coucher. Le lendemain je m’envolerai vers Belgrade, la capitale serbe voisine. Un trajet qui risque d’être une épreuve compte tenu du fait que ma valise surchargée a deux roues inopérantes. Mais le but final de cet itinéraire est énorme ! A bientôt !" }, {"role": "user", "content":"Sept révélations des qualifications à la Coupe du Monde" }, {"role": "assistant", "content":"C’est une constatation qui revient souvent avec les équipes nationales : les joueurs parviennent à se surpasser quand ils défendent les couleurs de leurs pays et leur niveau de performance aiguise en général l’intérêt des recruteurs de clubs plus prestigieux. La FIBA a dressé une liste de sept joueurs qui se sont illustrés durant le second tour des Éliminatoires pour la Coupe du Monde dont Solo Diabate (Nancy) et Bryan Pamba (Caen).\\n\\n\\nCameron Reynolds (2,03m, 24 ans, USA)\\n\\nStockton Kings ➡ Minnesota Timberwolves \\nIl apparaît évident que la performance de Reynolds dans le triomphe 111-80 des USA contre le Panama le 22 février n’a pas laissé indifférents les Minnesota Timberwolves. La franchise NBA a même souligné sa prestation dans son communiqué de presse du 27 février, dans lequel elle annonçait la signature de l’ailier de 24 ans pour un contrat de 10 jours : « ... Reynolds a scoré 26 points, à 10-sur-17 aux tirs, dont un 6-sur-11 à trois points. Il a établi le record individuel de points pour les USA dans cette campagne qualificative, de tirs tentés et marqués, y compris à trois points. » Reynolds a impressionné et il a reçu en récompense une chance de se faire une place dans l’effectif des Timberwolves.\\n\\n\\nDairis Bertans (1,93m, 29 ans, Lettonie)\\n\\nOlimpia Milan ➡ New Orleans Pelicans\\n\\nLes New Orleans Pelicans ont eu une chance de voir à l’œuvre Bertans à l’occasion du match de la Lettonie au Monténégro (gagné 80-74) le 25 février. Tandis que Bertans a dû encaisser une élimination rageante de la Lettonie dans la course à la compétition mondiale à 32 équipes, s’inclinant à la différence de points aux confrontations directes, il a pu se réjouir peu de temps après en recevant une offre des Pelicans. Le 2 mars, le meneur de 29 ans a paraphé une entente avec l’équipe NBA. Bertans a déjà prouvé depuis longtemps qu’il avait le niveau pour la ligue américaine, notamment tout au long de l’EuroBasket 2017. Dans le premier match du tournoi contre la Serbie, Bertans avait compilé 23 points, 6 passes et 5 rebonds. Il avait bouclé le tournoiavec un 12-sur-29 (41.4 %) à trois points.\\n\\n\\nJanari Joesaar (1,98m, 25 ans, Estonie)\\n\\nKalev Cramo ➡ Iberostar Tenerife\\n\\nSi quelqu’un avait encore besoin d’une confirmation de l’importance des Éliminatoires pour la Coupe du Monde pour les joueurs qui méritent une grande exposition pour s’illustrer, il lui suffit de se pencher sur le cas de l’Estonien Joesaar. L’ailier de 1.98m, du club de Kalev Cramo en Estonie, a réussi un énorme match pour aider son pays à renverser la Serbie 71-70le 21 février à Tallinn. Le joueur de 25 ans a comptabilisé 8 points, 9 rebonds, 2 ballons récupérés et 2 contres en 24 minutes de jeu, forçant ainsi la Serbie à lutter pour sa qualification jusqu’au tout dernier match des Éliminatoires. La formation d’Iberostar Tenerife, engagée en Liga Endesa (ACB) espagnole et en Basketball Champions League, a annoncé trois jours plus tard la signature de Joesaar pour une durée d’une année et demie.\\n\\n\\nYuta Watanabe (2,06m, 24 ans, Japon)\\n\\nMemphis Hustle ➡ Memphis Grizzlies \\n\\n\\nLe Japon s’est rapidement trouvé dos au mur dans les Éliminatoires Zone Asie avec quatre défaites consécutives au début de la campagne qualificative. Le joueur de 24 ans Watanabe, un ailier de 2.06m, a tourné à 17.5 points de moyenne pour les ‘Akatsuki Five’ lors de leurs victoires contre le Kazakhstan et l’Iran (13 et 15 septembre). Dès son retour aux USA, Watanabe a alors eu une chance de jouer pour les Memphis Grizzlies à l’occasion de la rencontre de pré-saison face aux Atlanta Hawks, le 5 octobre. Il a ensuite pu faire ses débuts officiels en NBA le 27 octobre contre Phoenix.\\n\\n\\nKristian Kullamae (1,90m, 19 ans, Estonie)\\n\\nBaunach Young Pikes ➡ Brose Bamberg\\nSon passage sous les couleurs nationales n’est certainement pas étranger à son transfert de Baunach Young Pikes à Brose Bamberg. L’Estonien Kullamae a scoré trois tirs longue distance et 18 points lors de la victoire 71-70 contre la Serbie – un match au cours duquel il a également cumulé 4 assists, 1 ballon récupéré et 1 contre. Le joueur de 19 ans a enchaîné le 24 février avec 18 points et 5 assists lors du triomphe 84-77 de l’Estonie contre la Géorgie, dans le cadre de l’ultime journée des Éliminatoires Zone Europe.\\n\\n\\nSouleyman Diabate (1,83m, 31 ans, Côte d’Ivoire)\\n\\nLevicki Patrioti ➡ SLUC Nancy\\n\\nL’un des plus grands accomplissements de la carrière de Diabate en équipe de Côte d’Ivoire a certainement été sa contribution à la qualification de son pays pour la Coupe du Monde FIBA en Chine. Même lors de l’unique défaite du second tour, le 14 septembre à Lagos contre le Nigeria (84-73), son haut niveau de performance et son leadership ont été remarquables, comme tout au long de cette campagne qualificative. Il faudra garder un œil sur ce joueur au tournoi mondial de cet été. En dépit de la défaite ce soir-là des ‘Éléphants’ contre les ‘D’Tigers’, Diabate avait été formidable, cumulant 11 points, 9 assists, 6 ballons récupérés et 5 rebonds. Le meneur de 1.82m a rejoint le club français du SLUC Nancy en janvier et il a grandement contribué à la remontée jusqu’au deuxième rang du classement de Pro B.\\n\\n\\nBryan Pamba (1,86m, 27 ans, Côte d’Ivoire)\\n\\nRoanne ➡ Caen\\nLes ultimes matchs des Éliminatoires Zone Afrique du mois dernier à Treichville (Côte d’Ivoire) sont arrivés à point nommé pour Pamba, qui a signé à Caen, en Pro B française, juste après. L’Ivoirien de 27 ans a marqué 7 de ses 13 premiers tirs au cours de la dernière fenêtre et il a tourné à 14 points de moyenne sur l’ensemble des trois matchs, tous victorieux. Il a notamment scoré 14 points dans l’impressionnant succès des ‘Éléphants’ contre le Nigeria (72-46) et 18 contre le Rwanda.\\n\\nPhotos: Ouverture: Bryan Pamba ,toutes FIBA" }, {"role": "user", "content":"Canada : L’ancien joueur de Pro A Rowan Barrett nommé GM de l’équipe nationale" }, {"role": "assistant", "content":"Passé par le championnat de France, à Chalon-sur-Saône, Dijon et l’ASVEL, le père de la pépite RJ Barrett, Rowan Barrett, 46 ans, a été intronisé ce mardi General Manager de l’équipe du Canada. Il remplace la légende Steve Nash, le double MVP de la NBA (2005 et 2006) qui était en poste depuis 2012, ce dernier devient désormais conseiller spécial.\\n\\n« Rowan a démontré sa capacité à créer un programme qui nous amènera des médailles. Il sera désormais chargé de former un staff et une équipe d’entraîneurs, ce qui donnera au Canada la meilleure chance d’atteindre notre objectif de médaille à la Coupe du Monde et aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 », à déclaré le président de la fédération canadienne Glen Grunwald.\\n\\nQualifié pour la prochaine coupe du monde cet été après avoir manqué celle de 2014, le Canada présente un effectif avec énormément de potentiel, grâce aussi bien à des joueurs de NBA (Andrew Wiggins, Kelly Olynyk, Shai Gilgeous-Alexander,...) que des joueurs opérant dans les championnats européens (Kevin Pangos, Kyle Wiltjer,...)" }, {"role": "user", "content":"BCL- Nanterre se rendra en Turquie avec un avantage de neuf points" }, {"role": "assistant", "content":"Sera-ce suffisant? En tous les cas, Nanterre se présentera mardi à Istanbul avec une avantage de neuf points après sa victoire à Maurice-Thorez, 68-59, sur Besiktas.\\n\\nLes garçons de Pascal Donnadieu ont élevé leur défense afin de limiter les Turcs à 36,7%. Ils avaient déjà sept points d’avance (34-27) à la mi-temps et autour de Lahaou Konate (13 points, 6 passes, 5 rebonds) et sans leur meneur Dominic Waters, ils ont conservé leur petit capital. S’ils ont profité une fois de plus de leur artillerie (11 paniers à trois-points contre 4 aux Turcs), ils ont aussi bénéficié d’un Julien Gamble (8 points, 5 rebonds) très ardent en défense." }, {"role": "user", "content":"La photo – Le père de Rudy Gobert" }, {"role": "assistant", "content":"Reconnaissez-vous le joueur à la droite de Francis Jordane, qui fut l’entraîneur de l’équipe de France de 1988 à 1993?\\n\\nSa morphologie vous rappelle quelqu’un? Normal. Il s’agit du père de l’actuelle superstar des Utah Jazz, Rudy Gobert, le Guadeloupéen Rudy Bourgarel, qui mesurait 2,13m.\\n\\nNé en 1965, Rudy Bourgarel fit ses débuts en métropole au Stade Français avant de rejoindre l’université de Marist. Annoncé un temps comme un potentiel 1er tour de la draft NBA, il ne réalisa jamais son rêve mais porta tout de même 19 fois le maillot de l’équipe de France entre mai et juillet 1988. D’où la photo." }, {"role": "user", "content":"Comment l’ASVEL prépare son entrée en Euroleague (2) – Deux ans pour séduire" }, {"role": "assistant", "content":"Pendant deux ans l’ASVEL Lyon-Villeurbanne va bénéficier d’une invitation en Euroleague avec l’ambition de décrocher ensuite une Licence A synonyme de participation assurée pour une longue durée. Voici comment. En trois épisodes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe cahier des charges de l’Euroleague, en anglais, fait 416 pages, raison pour laquelle Alain Cloux, le conserve sur son ordinateur sans l’avoir imprimé. Après en avoir pris connaissance, il l’a transmis à chacun des collaborateurs du club avec pour mission d’étudier les chapitres qui les concernent spécifiquement. Le Directeur Général adjoint du club est confiant en ce qui concerne la capacité à présenter une Astroballe conforme aux exigences de la compétition numéro un d’Europe.\\n\\n« L’Euroleague a fait évoluer les choses en matière technologique, tout ce qui concerne les échanges de données entre la prise de la feuille de marque et le tableau d’affichage, c’est assez élaboré. Et tout ce qui concerne le marketing, la communication, les réseaux sociaux, le digital. Il y a des contraintes au niveau de la salle par rapport à la charte du terrain. Ca correspond à ce qui va être fait en Jeep Elite et en FIBA avec des zones de couleurs plus ou moins claires ou foncées. La ville a prévu de faire des travaux pendant l’été. Pour le reste, la sono a été refaite il y a trois ans, et il y a deux ans, la ville a changé l’éclairage avec des LED. Il est suffisamment puissant pour correspondre aux normes modernes. L’Astroballe a 24 ans mais elle a été modernisée et on n’a pas énormément de choses à faire pour respecter le cahier des charges. Ils sont venus inspecter la salle la semaine dernière, on y a passé cinq heures, on a ouvert toutes les portes afin qu’ils connaissent tous les espaces de l’Astroballe. Ils ont tout mesuré, les superficies, les niveaux d’éclairage de toutes les pièces, de tous les vestiaires, de toutes les salles. On attend les conclusions de l’inspection mais je pense qu’on est plutôt pas mal. Ça nous conforte dans les efforts et les travaux qui ont été faits et ça nous oblige à nous améliorer sur certains points. »\\n\\nAlain Cloux ayant œuvré plusieurs saisons à l’AS Monaco, qui a connu la Champions League de foot, il est intéressant de lui demander de comparer les deux organisations.\\n\\n« Ce qui est impressionnant, c’est ce qu’ils mettent en œuvre les jours de match par rapport à la puissance de feu médiatique de la Champions League. Mais je trouve qu’au niveau de leurs structures, de l’exigence de leur cahier des charges, toutes proportions gardées, l’Euroleague s’en rapproche pas mal. La différence se fait vis-à-vis de la culture du basket et aussi au positionnement de l’Euroleague, qui est dans le sud de l’Europe, en Espagne, alors que l’UEFA est en Suisse. Il y a des choses qui sont différentes (sourire). Pour l’avoir vécu, l’UEFA est une énorme machine très structurée, mais aussi avec une forme de rigueur... pour ne pas dire de rigidité. Ça ne veut pas dire que l’on n’entretient pas de bonnes relations avec les représentants de l’UEFA, mais à l’Euroleague s’ils sont très rigoureux, il y a plus de culture latine, de chaleur dans la relation. Ça n’empêche pas qu’ils soient intransigeants sur l’application du cahier des charges. »\\n\\nPuisque l’on évoque la Champions League, il faut savoir que le Paris Saint-Germain perçoit une somme de 26,6M€ pour ses performances historiques dans l’épreuve -il est classé au 9e rang sur ce critère d’après Ecofoot.fr- et s’il va loin dans la compétition, il pourrait recevoir une dotation globale supérieure à 100 M€ ! On est à des années-lumière de ces chiffres en Euroleague. Comme invitée, l’ASVEL se verra verser 200 000 euros en droits TV plus des primes à la victoire autour de 35 000 euros. Des bonus sont accordés aux équipes participant aux playoffs mais Villeurbanne n’a pas cette prétention à court terme.\\n\\nL’an I en Euroleague va-t-elle modifier en profondeur les structures de l’ASVEL ? Pas vraiment.\\n\\n« Tout dépend de la manière dont on va faire avancer notre mutualisation. Si on prend en compte le nombre de matches des garçons et que l’on peut envisager que les filles fassent aussi l’Euroleague, ça va générer pas mal de matchs en plus. Sur l’organisation des matches, il va sans doute falloir y ajouter des moyens et certainement faire évoluer notre structure commerciale même si elle est déjà bien en place, notamment sur le ticketting et la vente de produits de sponsoring et d’hospitalité. »\\n\\nEn fait, le train de vie lui-même va peu varier puisque l’objectif est de réaliser aux alentours de 10M€ de budget. Une performance puisque c’est multiplier quasiment par deux celui de 2014 (5,2M) mais à l’échelle continentale, c’est peanuts puisque d’après une estimation de Basket Le Mag, le budget moyen cette saison en Euroleague est à peine inférieur à 22 millions d’euros alors que la masse salariale s’établit à 12,6M€ soit quatre fois plus que celle de l’ASVEL. Sachant que les charges sociales et fiscales sont autrement plus élevées en France que dans les autres pays d’Europe. La différence est donc encore plus abyssale. Et d’ajouter que la totalité de la masse salariale de l’ASVEL ne couvrirait pas le seul salaire du Gréco-Américain du Panathinaikos, Nick Calathès, aux émoluments annuels en net supérieurs à 2M€.\\n\\nFaut-il rappeler que si le club français peut s’offrir cette saison le meneur international lituanien Mantas Kaltnietis, c’est que Olimpia Milan avec qui il est toujours sous contrat paye la moitié de son salaire annuel de 650 000 euros ? Et que si l’accord a été conclu c’est que l’ASVEL n’est pas cette saison un concurrent direct au club italien.\\n\\nPremière mission : remplir l’Astroballe\\n\\nL’une des plus belles réussites de l’Euroleague, c’est son impact populaire dans les salles. Une toute autre dimension que la Basketball Champions League et l’Eurocup car si aucun chiffre officiel n’est communiqué pour ses deux compétitions, il suffit de jeter un œil sur les matches télévisés pour être convaincu qu’il y a rarement foule.\\n\\nL’affluence moyenne pour la saison 2017-18 s’est établie à 8 780 spectateurs. Soit davantage que la capacité maximale du palais des sports de Pau, l’enceinte la plus vaste de Jeep Elite. Et seul Anadolu Efes avec 3 900 spectateurs en moyenne a présenté une affluence inférieure à la capacité de l’Astroballe ! Et cette saison, il n’y a que Darussafaka pour présenter une enceinte inférieure à 6 000 places assises.\\n\\nMathématiquement, l’ASVEL ne rentrera donc pas dans ces normes élevées mais avec un œil positif, on peut dire aussi que son enceinte devrait continuer à bien se remplir.\\n\\n« Si on se projette avec les affluences actuelles sur les 34 matches de garantie de la saison prochaine, Jeep Elite et Euroleague, ça fait 180 000 personnes. Faut-il encore maintenir la même moyenne mais ici il y a une vraie attente », annonce Alain Cloux. « On écoute nos supporters, les gens qui viennent à la salle, nos partenaires et même s’il y a une difficulté de lisibilité du basket en Europe avec la FIBA et l’Euroleague, il y a le prestige de certains noms des équipes contre lesquelles tu joues qui parlent aux gens. Il y a les fers de lance en Europe comme notamment les clubs omnisports. Même le Bayern Munich, qui n’a pas d’histoire en Euroleague, ça fait parler les gens. C’est un club qui a une vraie notoriété partout en Europe ; on voit ça vis-à-vis des attentes, des réactions des gens. Je ne suis pas en mesure de l’évaluer aujourd’hui, on verra l’année prochaine mais c’est peut-être un nom plus fort que celui du Zalgiris Kaunas. On se rend compte aussi sur un match de coupe d’Europe quand on a une ville qui est connue, même si le club ne l’est pas, sachant que l’on est dans une métropole de 1,3 million de personnes et qu’il y a beaucoup de gens qui ne viennent pas à tous les matches, il y a beaucoup de turnovers. L’avantage avec l’Euroleague c’est qu’il y a de grandes villes et des noms connus de clubs. On sait que l’on va devoir travailler d’arrache-pied pour remplir à chaque fois sachant que l’on n’a pas une salle de 10 000 places. L’avantage c’est qu’on a 5 560 places à l’Astroballe. Par rapport au potentiel, et notamment sportif-basket, autour de nous, on va aller au taquet sur chacun des matches que l’on va jouer sachant qu’il y aura peut-être une ou deux affiches en retrait. Tout va dépendre aussi de la manière dont on se comporte. On est en train de constituer notre offre pour la saison prochaine entre les abonnements et le type de produit que l’on est capable de proposer à la fois au public et aux partenaires sur un mixte entre le championnat de France et l’Euroleague. L’idée c’est de rester sur une base solide sachant que l’on aura beaucoup plus de matches. 34 matches garantis en Euroleague contre 26 cette année pour l’instant. Il va falloir trouver un nouveau public que l’on n’a peut-être pas attiré et surtout faire en sorte que les gens puissent revenir régulièrement. 34 matches, c’est déjà beaucoup si l’on compare avec du foot et du rugby en particulier. Pour des fondus ça va mais en revanche pour des gens qui apprécient mais qui ne sont pas des fans-fans, c’est beaucoup. On se donne les moyens d’aller chercher du nouveau public et de fidéliser. »\\n\\nLes plus anciens se souviennent que du temps de la Maison des Sports, une grande affiche nationale -le derby face au SA Lyon, la venue de Limoges- ou européenne -un match légendaire face au Zalgiris Kaunas d’Arvidas Sabonis- pouvait remplir exceptionnellement le Palais des Sports de Gerland qui, à une époque où les conditions de sécurité étaient moins strictes, était à même d’accueillir plus de 10 000 personnes. Un match d’Euroleague surtout quand l’adversaire est prestigieux peut connaître un retentissement que n’aura jamais un match franco-français.\\n\\n« Il y a vraiment un potentiel qui est présent. Il y a aussi la région qui va de l’Auvergne jusqu’aux Alpes. On peut toucher aussi la Bourgogne et le Nord de PACA. Avec ces noms-là, s’il y a une dynamique un peu positive, ça peut attirer du monde. Sachant que pour l’instant, on est à l’Astroballe et que le nombre de places à remplir reste raisonnable. On a deux ans pour s’installer dans la compet », résume Alain Cloux.\\n\\nLes joueurs, les transports et la récupération\\n\\nUne fois la découverte du produit, l’intérêt du public local et régional se confirmera à la condition que les résultats sportifs soient disons décents. Aucun public européen s’enthousiasme pour des défaites à répétition. C’est la quadrature du cercle pour l’ASVEL. Comment avoir une équipe compétitive quand on a moins d’argent que les autres à mettre sur les joueurs ? Le staff Villeurbanne a construit une alléchante ossature française avec deux jeunes très prometteurs, Théo Maledon et Amine Noua, mais aucun n’a la moindre expérience de l’Euroleague, de son jeu, de sa férocité, de son exigence dans la durée. Les joueurs vont être assignés aux travaux forcés. Entre le championnat national, les playoffs, la Coupe de France et l’Euroleague, et sans comptabiliser la préparation, la saison 2018-19 promet aux Villeurbannais plus de 80 matches ! L’ASVEL a utilisé à ce jour 15 joueurs sachant que la limite en Jeep Elite est de 16. Faut-il s’attendre à une augmentation du contingent quitte à ce que certains ne soient qualifiés que pour l’Euroleague ?\\n\\n« En Euroleague, vous pouvez en avoir 20 dans l’année mais pas plus de 16 à la fois. Réglementairement, on ne peut prendre certains joueurs que pour l’Euroleague et c’est déjà le cas pour l’Eurocup. Ils peuvent être qualifiés pour l’Eurocup et pas la Jeep Elite contrairement à une compétition FIBA. Là, pour jouer, il suffit d’avoir une lettre de sortie ou une lettre de mutation s’il est dans le même pays et un contrat, » explique Alain Cloux. Cela pourrait être une vraie stratégie? « Oui. Après, il faut trouver l’équilibre entre le nombre de joueurs dont on a besoin, les moyens dont on peut disposer, et aussi l’équilibre sportif de l’équipe sur le partage du temps de jeu, faire souffler les joueurs, et remplacer les blessés s’il y en a. C’est une équation qu’il faut poser et c’est la réflexion que mène actuellement Yohann (Sangaré) avec Tony, Nicolas et le coach. Je ne pense pas que l’on ait les moyens de faire deux équipes comme l’envisageait le Maccabi ! Dès la première année, il va falloir prendre une option. Quelle sera-t-elle? Je ne sais pas, mais je ne suis pas certain que l’on ait plus de 16 joueurs. »\\n\\nEn fait, avec 15-16 joueurs, l’ASVEL ferait comme près de la moitié des seize équipes actuelles de l’Euroleague, sachant que si Buducnost a déjà fait appel à 20 joueurs, Barcelone, Efes et Olympiakos se sont contentés pour l’instant de 13.\\n\\nZvezdan Mitrovic faisait remarquer que pour aller au Portel son équipe a fait deux heures de train puis trois heures de bus. Une sorte de déplacement à l’ancienne. Comme en NBA, la plupart des équipes d’Euroleague bénéficient d’avions privés. L’ASVEL utilisera-t-elle ce moyen de transport plus commode mais aussi plus couteux ?\\n\\n« Pour l’instant ce ne sont que des avions de ligne. On a fait un déplacement en avion privé pour aller à Krasnodar le 2 janvier. Le matin pour rentrer le soir. Il y a eu quelques soucis par rapport à la météo, je crois que l’espace aérien russe a été fermé pendant un petit moment. Il a fallu patienter alors que l’on voulait voyager rapidement. L’Euroleague sera peut-être plus facile que l’Eurocup dans le sens où il n’y a que des grandes villes. C’est assez facile par rapport à Lyon et à Genève qui est aussi à côté de chez nous. Prendre des avions privés, je n’en suis pas certain, par contre il va falloir mettre des moyens supplémentaires sur la récup entre les matches. Aujourd’hui, il y a une réflexion générale sur la constitution de l’équipe et les moyens alloués au mode de déplacement et de récupération et on en revient au paramètre que constitue le nombre de joueurs. 10M€ c’est une somme importante pour un club de basket en France mais pas gigantesque pour un club d’Euroleague. Il faut équilibrer tout ça pour qu’à la fin on puisse respecter le budget. »\\n\\nL’ASVEL a deux ans pour séduire. Son public, ses partenaires, la France du basket. Et l’Euroleague.\\n\\nLa suite demain.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe cahier des charges de l’Euroleague, en anglais, fait 416 pages, raison pour laquelle Alain Cloux, le conserve sur son ordinateur sans l’avoir imprimé. Après en avoir pris connaissance, il l’a transmis à chacun des collaborateurs du club avec pour mission d’étudier les chapitres qui les concernent spécifiquement. Le Directeur Général adjoint du club est confiant en ce qui concerne la capacité à présenter une Astroballe conforme aux exigences de la compétition numéro un d’Europe.\\n\\n« L’Euroleague a fait évoluer les choses en matière technologique, tout ce qui concerne les échanges de données entre la prise de la feuille de marque et le tableau d’affichage, c’est assez élaboré. Et tout ce qui concerne le marketing, la communication, les réseaux sociaux, le digital. Il y a des contraintes au niveau de la salle par rapport à la charte du terrain. 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Au final, le BLMA a gagné les quatre quart-temps. Pour sa première, la Serbe Ana Dabovic a eu droit à 10′ de temps de jeu pour 2 points.\\n\\nDans le camp carolo, c’est comme souvent l’Américaine Haley Peters qui a été la plus en vue avec 28 points, 6 rebonds et 5 passes pour 33 d’évaluation. 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Il va falloir qu’on se redise les choses, on a toujours fonctionné comme ça avec ce groupe. Depuis janvier on est un peu bancal, il y a plein de signes qui font qu’on n’est pas sur le bon chemin depuis un petit moment. On a toujours su rebondir, mais c’est difficile pour tout le monde, c’est un moment douloureux. Il y a urgence à retrouver une plénitude physique, on peine athlètiquement, on prend de pleine face leur agressivité ce soir.»\\n\\nLes Normands ont été très dominateurs dans l’adresse (63,2% de réussite contre 42 à la Chorale) et le coach Alexandre Ménard a pu compter sur Carl Ponsar (2,03m, 21 ans, 20 points, 8 rebonds, 4 passes, 30 d’évaluation) au four et au moulin et bien secondé par Lasan Kromah (28 points).\\n\\n«On a fait quelques adaptations après le match de Leaders Cup, mais il faut être très humbles dans cette victoire : il y a forcément une décompression après un titre, Alexis Tanghe est aussi une pièce essentielle pour eux et Ferdinand Prénom était sur une jambe. C’était le meilleur moment de prendre cette Chorale, car ils valent bien mieux que ça, c’était un jour sans. Nous on avait un peu de réussite. Je remercie le club d’avoir été humble dans la célébration du titre, ça nous a touché. J’ai un groupe de compétiteurs. L’objectif c’est les Playoffs, on n’est pas dans les calculs, on profite peut-être de prendre les équipes au bon moment, chaque chose en son temps. Il y a forcément un projet avec une belle salle comme le Kindarena, avec un parrain comme Ian Mahinmi. La saison dernière a provoqué les choses, il y a plus de gens à la salle, il y a de l’ambition. Je sais pas où on s’arrêtera mais on ne se fixe pas de limites.»\\n\\nAu classement, Roanne se fait ainsi reprendre par Nancy et Orléans alors que Rouen est plus que jamais à l’affût à deux victoires du trio de tête.\\n\\nPhoto: Jessie Begarin (Rouen, Hervé Bellenger, LNB)" }, {"role": "user", "content":"Après le nul face à Bologne, Valentin Bigote (Le Mans): «Ce sont des matches couperets et tout le monde est excité»" }, {"role": "assistant", "content":"Situation peu orthodoxe à Antarès où Le Mans Sarthe Basket et la Virtus Bologne se sont quittés sur un score de parité (74-74). Malmènes tout au long de la rencontre, les Manceaux ont pris l’avantage dans le dernier quart temps avant que le pivot angolais Yanick Moreira (2,11m, 27 ans) n’arrache l’égalisation dans les derniers instants.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPietro Aradori, international italien de Bologne, attend le match retour avec impatience :\\n\\n« Notre objectif en venant ici était de faire un bon match. Nous aurions pu aussi bien gagner comme perdre de deux points ce soir, mais vu comment le match a évolué nous sommes déçus, car nous avons gâché l’opportunité de gagner. Maintenant nous avons fait match nul, notre objectif lors du match retour est de gagner, on est dans une bonne situation mais ce ne sera pas facile, mais notre public sera derrière nous. Le Mans a mieux défendu et a pris de bon tirs en attaque. Je pense que nous avons bien défendu, mais ce n’était pas suffisant pour gagner et on fera mieux au match retour. »\\n\\nStefano Sacripanti, l’entraîneur de Bologne, a critiqué le manque de construction de jeu de son équipe dans le dernier quart-temps :\\n\\n« Nous avons joué un match difficile. Pendant le match on a essayé de construire des actions via le pick and roll, du post-up, de prendre des tirs faciles et nous avons arrêté de faire ça dans le dernier quart-temps. Nous avons arrêté de bien faire bouger le ballon et de prendre des tirs faciles. Kendrick Ray est un bon joueur, il a trouvé beaucoup de solutions à nos défenses, il sait jouer aussi bien le pick and roll que le 1 contre 1, il a une palette offensive très large. Le match à Bologne se jouera comme si ce match n’avait pas existé, l’engagement sera dès le coup d’envoi, ce sera un super match ».\\n\\nValentin Bigote, auteur d’un match à 25 points, n’a pas caché sa déception après l’égalisation des Italiens\\n\\n« C’est assez décevant car nous aurions pu gagner ce match, mais nous avons fait un bon comeback dans le dernier quart-temps. Maintenant notre objectif est de gagner au match retour. Nous avons fait un bon match défensivement, surtout en deuxième mi-temps. Nous savons que leur arrières gardent beaucoup le ballon et qu’ils aiment jouer le 1 contre 1, nous avons réussi à les contenir et c’est une vraie satisfaction. Je me suis senti bien ce soir, j’ai beaucoup joué et j’étais dans le rythme, avec la victoire cela aurait été encore mieux (...) On joue tous les matchs de la même façon, nous sommes des compétiteurs, on a plus d’ouvertures peut-être sur certains matchs où simplement on sent mieux certains matchs que d’autres, tout dépend du style de jeu de l’équipe, ce soir ça s’est bien passé. J’espère que l’on va continuer à jouer ce genre de match. C’est excitant en tant que joueur, ce sont des matchs couperets et tout le monde est motivé. On savait que les extérieurs attaquaient beaucoup, et même si en début de deuxième mi-temps le meneur adverse nous à fait du mal sur pick and roll, on a fait quelques erreurs qui ont été corrigées par la suite. »\\n\\nEric Bartecheky, quant à lui, souligne le calendrier ardu que le MSB va avoir tout au long du mois de mars.\\n\\n« On n’était pas loin de gagner le match, on était à +2 à la dernière possession mais on a fait un erreur sur le switch, on aurait du switcher et ne pas donner le shoot à Punter, mais ça a permis à Yanick Moreira de prendre le rebond offensif et d’égaliser. Mais le résultat est le même, nous devons gagner la semaine prochaine à Bologne. Nous nous attendons à un match compliqué là bas, avec l’atmosphère, mais c’est à la fois excitant de se dire qu’on va jouer ce match, le tout après un match de championnat contre l’ASVEL ce week-end. Je pense que c’est une bonne situation d’enchaîner les gros matchs, ca nous permet d’élever le niveau défensivement, de faire plus d’efforts pour contenir les efforts adverses, cela nous force à progresser car l’intensité y est plus forte et cela nous permet à chaque fois de préparer le match suivant. Nous devons bien récupérer de ce match car on enchaîne donc un match contre l’ASVEL ce dimanche et nous n’aurons donc que deux jours afin de préparer ce match retour, analyser ce qui va et ce qui ne va pas. »\\n\\n« Pendant le deuxième quart-temps, pendant qu’on était au coude à coude, on a eu plusieurs pertes de balle de suite qui nous ont forcément handicapés, mais à chaque fois qu’on a été malmenés, on a fait preuve de caractère afin de ne pas prendre l’eau et de ne pas se laisser distancer. A chaque fois on est revenu, et ça c’est quelque chose de très positif. On réussit même à passer devant avant qu’une erreur défensive nous condamne à l’égalisation. On aurait pu prendre le match de deux points, ça aurait été préférable, mais il faudra gagner le match retour d’au moins un point à Bologne, ce ne sera pas facile mais très excitant. Sur des matchs de ce niveau là, l’intensité est nécessaire sur chaque possession. On a été en difficulté face à des joueurs de grand talent ou des joueurs agressifs sur des duels, mais les joueurs ont fait des efforts et c’est vrai que l’intensité y est plus haute et c’est intéressant. C’est là où on voit l’importance d’avoir un effectif plus profond afin que chacun puisse souffler et être bon sur le terrain.\\n\\nLe coach manceau a par ailleurs confié sa satisfaction à propos de sa nouvelle recrue américaine, Kendrick Ray, auteur de 21 points alors que ses deux meneurs, Juice Thompson et Antoine Eito ont rendu copie blanche:\\n\\n« Kendrick Ray apporte d’autres atouts à l’équipe, c’est un joueur qui va très vite avec un très bon ball handling pour changer de direction et changer de rythme, il élargit notre palette offensive. Il vient seulement d’arriver et si on arrive à l’intégrer d’une meilleure façon cela peut être encore plus dangereux. Lui et Valentin (Bigote), se sont partagés le scoring mais l’ensemble de l’équipe a fait des efforts défensifs. Certains joueurs sont en difficulté à cause l’intensité mise sur chaque possession, il y a peu de tirs ouverts, il faut travailler sur chaque possession afin de marquer. On a également eu affaire à une bonne équipe, qui a fini première de sa poule et qui a des joueurs de renom, avec du physique et de l’intensité ».\\n\\n« Il y a des choses positives, on aurait préféré gagner même si cela n’aurait pas énormément changé la donne. Indépendamment du résultat ce sont des choses qui doivent nous servir pour progresser et travailler pour les autres rencontres, que ce soit l’ASVEL, le match retour à Bologne ou encore Monaco. On joue des matchs de haut niveau contre des grosses équipes et c’est intéressant. Pour le match retour, on va chercher à corriger les erreurs du match aller, comme les trois 3-points marqués par Amath M’Baye en première mi-temps. On doit résoudre également le problème d’agressivité des joueurs en face qui sont forts sur les duels et provoquent beaucoup de lancers francs -24 lancers pour Bologne dans le match, c’est trop. Il faudra donner beaucoup moins de paniers intérieurs au match retour. Je suis content de ma défense extérieure pendant ce match, on sait qu’avec des joueurs comme Punter ou Taylor les défenses trop basses sont souvent sanctionnées d’un tir à trois points, nos intérieurs comme Richard Hendrix et Will Yeguete les ont fait reculer. »\\n\\n« On a eu le sentiment, comme le public, d’avoir des coups de sifflet un peu litigieux, quand on a écopé de fautes offensives alors que les adversaires avaient la faute quand ils faisaient la même chose avec nous. Après l’histoire et le palmarès de la Virtus Bologne peuvent influencer l’arbitrage, mais je ne pense pas que cela a influé sur le match. »\\n\\nTout reste à faire dans cette double-confrontation, où chaque avantage pris au PalaDozza de Bologne peut faire la bascule pour l’une où l’autre équipe. »\\n\\n[armelse]\\n\\nPietro Aradori, international italien de Bologne, attend le match retour avec impatience :\\n\\n« Notre objectif en venant ici était de faire un bon match. Nous aurions pu aussi bien gagner comme perdre de deux points ce soir, mais vu comment le match a évolué nous sommes déçus, car nous avons gâché l’opportunité de gagner. Maintenant nous avons fait match nul, notre objectif lors du match retour est de gagner, on est dans une bonne situation mais ce ne sera pas facile, mais notre public sera derrière nous. Le Mans a mieux défendu et a pris de bon tirs en attaque. Je pense que nous avons bien défendu, mais ce n’était pas suffisant pour gagner et on fera mieux au match retour. »\\n\\nStefano Sacripanti, l’entraîneur de Bologne, a critiqué le manque de construction de jeu de son équipe dans le dernier quart-temps :\\n\\n« Nous avons joué un match difficile. Pendant le match on a essayé de construire des actions via le pick and roll, du post-up, de prendre des tirs faciles et nous avons arrêté de faire ça dans le dernier quart-temps. Nous avons arrêté de bien faire bouger le ballon et de prendre des tirs faciles. Kendrick Ray est un bon joueur, il a trouvé beaucoup de solutions à nos défenses, il sait jouer aussi bien le pick and roll que le 1 contre 1, il a une palette offensive très large. Le match à Bologne se jouera comme si ce match n’avait pas existé, l’engagement sera dès le coup d’envoi, ce sera un super match ».\\n\\nValentin Bigote, auteur d’un match à 25 points, n’a pas caché sa déception après l’égalisation des Italiens\\n\\n« C’est assez décevant car nous aurions pu gagner ce match, mais nous avons fait un bon comeback dans le dernier quart-temps. Maintenant notre objectif est de gagner au match retour. Nous avons fait un bon match défensivement, surtout en deuxième mi-temps.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Valentin Bigote (Le Mans)" }, {"role": "user", "content":"8e de finale de BCL – Le Mans 74, Bologne 74: Tout reste à faire" }, {"role": "assistant", "content":"Avec un score de parité à 74, tout reste à fait entre Le Mans et Segafredo Virtus Bologne sauf que ce sont les Italiens qui auront l’avantage du terrain au retour.\\n\\nCes Italiens qui ont d’ailleurs mené l’essentiel de la rencontre à Antarès avec le meneur américain Tony Taylor (1,83m, 28 ans), passé par Strasbourg en 2016, comme joueur le plus efficace: 13 points et 20 d’évaluation. Ils ont cependant pêché dans l’adresse à trois-points (4/21) et le rebond (35-46).\\n\\nDeux Manceaux ont porté sur leurs épaules leur équipe en attaque: le nouvel Américain Kendrick Ray (21 points, 5 rebonds, 4 passes) et Valentin Bigotte qui a prouvé que sa valeur nationale peut s’exporter (25 points à 10/14 aux shoots, 8 rebonds). Ce qui peut laisser de l’espoir au Mans? Antoine Eito, Jonathan Tabu, Terry Tarpey et surtout... Michael « Juice » Thompson n’ont pas marqué un seul point avec 11 tirs ratés pour le quatuor.\\n\\nPhoto: Kendrick Ray (Le Mans, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Affaire Youssoupha Fall – Le président de la fédération sénégalaise: «Il peut choisir de ne pas jouer pour le Sénégal, mais il ne peut pas jouer pour la France»" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot de la SIG Strasbourg Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) a beau souhaiter jouer pour l’équipe de France, Babacar Ndiaye, le président de la fédération sénégalaise n’en démord pas: ce sera avec l’équipe nationale du Sénégal ou avec personne. C’est ce qu’il a déclaré lors de l’émission Sports à la Une sur TFM.\\n\\n« Il (Youssoupha Fall) peut choisir de ne pas jouer pour le Sénégal, mais il ne peut pas jouer pour la France parce qu’il est qualifié pour jouer avec le Sénégal. (...) On avait d’abord reçu une première correspondance de la fédération française, j’ai dit non. Son agent a écrit, j’ai dit non. Quand le joueur avait écrit personnellement pour dire qu’il choisissait la France au détriment du Sénégal, en réunion de bureau fédéral nous avons décidé de le libérer en disant qu’un joueur qui ne veut pas jouer pour le Sénégal on n’en veut pas. La France a présenté un dossier de naturalisation au niveau de la FIBA. Cette demande a été rejetée par la FIBA pour plusieurs raisons : il est né de père et de mère sénégalais, il est né au Sénégal, il a appris le basket au Sénégal et il a été champion d’Afrique U18 avant de partir en France. Et que ce serait un précédent dangereux de laisser aux grandes puissances la possibilité de récupérer nos meilleurs éléments. A partir de ce moment là, la question était définitivement close. (...) Youssoupha Fall, il a été convoqué, il était qualifié même pour ce tournoi d’Abidjan. Il n’a pas donné les raisons de son absence. Je ne peux pas tout expliquer, mais il y a beaucoup d’intérêts en jeu, beaucoup de manipulations autour de sa personne. »\\n\\nBabacar Ndiaye est prêt à lancer une nouvelle offensive dans les semaines à venir:\\n\\n« Nous on ne le rejette pas. On va essayer de reprendre contact avec son agent à qui on demande de tout faire pour faire revenir Youssoupha Fall au Sénégal, parce qu’il ne peut pas jouer pour la France. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : l’ALM Evreux s’est fait voler ses maillots et a lancé un «Alerte Enlèvement» sur Facebook !" }, {"role": "assistant", "content":"Situation cocasse à Evreux. Le sac de sport contenant les maillots, les sur-maillots et les serviettes du club a été volé hier après-midi avant le déplacement pour Caen, dans le cadre de la 20ème journée de Pro B. Le sac se trouvait dans la soute du bus et a été subtilisé avant le départ pour la Basse-Normandie.Le club ébroïcien a lancé un appel sur Facebook afin de retrouver le sac disparu et éventuellement le coupable.\\n\\n« Nous en appelons à la solidarité Ebroïcienne pour retrouver le sac, ce n’est pas une blague !!! N’hésitez pas à PARTAGER pour toucher un maximum de monde, merci ! »" }, {"role": "user", "content":"LFB : Les Tango lancent un maillot pour le printemps de Bourges" }, {"role": "assistant", "content":"Si la ville de Bourges est connue pour son équipe de basket, elle l’est tout autant par son festival de musique, « Le Printemps de Bourges ».\\n\\nPour la première fois, ces deux éléments se sont associés afin de créer un maillot inédit que les coéquipières de Marine Johannes porteront le 17 avril prochain, jour de lancement du festival. Les couleurs du maillot représentent celles du Printemps de Bourges 2019.\\n\\nLe maillot est déjà en vente sur la boutique en ligne du club à un stock très limité et il ne sera disponible qu’a partir du 17 avril au Prado. Il le sera aussi le même jour sur le site du Printemps de Bourges." }, {"role": "user", "content":"Eurocup : l’ASVEL renverse Andorre et met une option sur la demi-finale !" }, {"role": "assistant", "content":"Menée quasiment toute la première mi-temps, l’ASVEL a renversé Andorre en deuxième mi-temps et plus particulièrement dans le troisième quart-temps (30-18) pour s’imposer 79-75 dans ce match aller des quarts de finale d’Eurocup.\\n\\nA l’image de Charles Kahudi qui n’a pas inscrit le moindre point en première mi-temps et qui en a scoré 21 (record en carrière en coupe d’Europe) à 7/9 dont 4 paniers à trois points pour une évaluation de 26 en deuxième, les Villeurbannais ont montré un tout autre visage sur les vingt dernières minutes.\\n\\nLa formation de Zvezdan Mitrovic a maintenant rendez-vous vendredi 8 mars pour le match retour au Poliesportu d’Andorra qui reste encore inviolé en Eurocup cette saison.\\n\\nAprès la rencontre, David Lighty s’est exprimé au micro de Stephen Brun sur RMC Sport.\\n\\n« On sait que ça va être un combat de chiens. Ce sont des guerriers, comme nous. En deuxième mi-temps on a montré ce qu’on pouvait faire et à l’extérieur on ne pourra pas commencer le match comme on l’a fait ce soir. »\\n\\nLa boxscore complète est ici.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media\\n\\n\\n\\n\\n🎥 Hier soir, @CKahudi5 a marqué 18 points dans le 3ème quart-temps, oui, 18 !! 😮#LDLCASVEL #FindYourGreatness #RoadToGreatness pic.twitter.com/LH5SVyCwcN\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) March 6, 2019" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Vincent Poirier et Mam Jaiteh à 34 d’éval’ !" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-six joueurs répartis sur dix pays avec l’arrivée cette semaine de Nobel Boungou-colo à Badalone, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVincent Poirier, MVP en Liga\\n\\nRevenu en double figure lors de la dernière levée ACB, après quatre matchs en-deçà de ses standards, Vincent Poirier a encore fait mieux ce weekend avec une performance record à 34 d’évaluation ! Le pivot tricolore a été parfait aux tirs avec 8/8, plus 4 contres, 3 interceptions et 2 passes.\\n\\nImmense défensivement et offensivement, Poirier a été un élément moteur de la 3e meilleure performance de l’histoire en Liga en termes de jeu collectif avec 33 passes délivrées par Vitoria.\\n\\n« C’est fantastique », a réagi Poirier sur ACB.com. « Je suis très heureux d’être élu meilleur joueur de la journée. J’ai pu aider l’équipe dans un match qui était très important, on devait gagner ! J’ai essayé d’être agressif au rebond offensif pour récupérer des paniers faciles. »\\n\\n\\nMam Jaiteh, la machine à double double\\n\\nPromu titulaire pour la première fois lors de la 15e journée de Lega italienne, Mam Jaiteh avait été discret avec 2 points et 3 rebonds contre Cantu. Depuis la 17e journée, Jaiteh tourne à 15 points (à 67% aux tirs) et 10 rebonds de moyenne (pour 26 d’évaluation) sur 5 nouvelles titularisations !\\n\\nHier contre Milan, le jeune international tricolore n’a pu empêcher la défaite de Turin mais il s’est montré à nouveau sous son meilleur jour avec un nouveau double double, 16 points et 11 rebonds, plus 4 passes, 4 interceptions, 2 contres pour 34 d’évaluation en 26 minutes ! A 7/10 aux tirs, il perpétue aussi sa fantastique efficacité offensive. Mam Jaiteh produit son meilleur basket en carrière en ce moment !\\n\\n\\nNobel Boungou-colo débute bien avec Badalone\\n\\nQuittant la France et le Paris Levallois sur une grosse perf, Nobel Boungou-colo a débuté le nouveau chapitre de sa carrière à Badalone sur une bonne note. Avec 11 points à 3/4 aux tirs en 18 minutes, NBC a parfaitement réussi ses débuts avec sa nouvelle équipe.\\n\\nPar ailleurs en Espagne, le leader barcelonais a mordu la poussière contre Murcie alors que le Real Madrid s’est lui vengé de son revers contre le Barça en Euroleague contre Andorre.\\n\\n\\nAxel Toupane clutch pour l’Oly\\n\\nTrès discret ces derniers temps, avec une seule performance à 10 points en 6 journées depuis son record à 17, Axel Toupane a retrouvé la lumière ce dimanche soir dans la victoire en prolongation contre l’Aris Salonique de Boris Dallo (10 points, 3 rebonds).\\n\\nAvec une nouvelle sortie à 17 points, Toupane a non seulement égalé son record en carrière en Grèce mais il a également rentré des tirs décisifs pour se défaire de l’Aris en prolongation.\\n\\n(vidéo à venir)\\n\\n\\nLéo Westermann brille dans la défaite\\n\\nDans le dur en Euroleague, le Zalgiris semble aussi accuser le coup en championnat lituanien. Ce weekend, et malgré un gros match de Léo Westermann à 17 points, Kaunas s’est à nouveau incliné contre le Neptunas de Klaipeida.\\n\\nLe meneur alsacien a pourtant délivré une deuxième partition de haut niveau en LKL. Après ses 20 points, il a remis ça avec 17 unités à un très bon 6/10 aux tirs. Mais ça n’a pas suffi...\\n\\n\\nL’Efes Istanbul tape le Fener !\\n\\nPour la deuxième fois en une semaine, les deux poids lourds du basket turc se rencontraient. Après la rouste reçue en Euroleague, l’Efes Istanbul a pris sa revanche en championnat en battant le Fener sur le fil (67-65).\\n\\nSans Lauvergne et Beaubois, Adrien Moerman a sauvé l’honneur tricolore avec un quasi double double à 8 points et 9 rebonds. C’est la 3e défaite de la saison pour le Fener qui dispose désormais du même bilan que son rival de l’Efes...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 18 points (8/8 aux tirs), 8 rebonds, 4 contres, 3 interceptions, 2 passes en 29 minutes pour 34 d’évaluation (victoire 112-95 face à Malaga)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 15 points (4/9 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 22 minutes (défaite 112-95 face à Vitoria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 13 points (5/14 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 71-70 face à Murcie)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 12 points (5/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 67-66 face à San Sebastian)\\n\\nNobel Boungou-colo (Badalone) : 11 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 18 minutes (victoire 106-74 face à Fuenlabrada)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 7 points (3/9 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 contre en 19 minutes (défaite 89-87 face à Burgos)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (1/3 à trois points), 5 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 87-66 face au Real Madrid)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 4 points (2/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 balles perdues en 15 minutes (défaite 71-70 face à Murcie)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 18 minutes (victoire 87-66 face à Andorre)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 0 point (0/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe, 1 rebond, 1 balle perdue en 8 minutes (victoire 67-66 face à San Sebastian)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 17 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception en 20 minutes (victoire 76-67 ap face à Aris)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 10 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 19 minutes (défaite 76-67 ap face à Olympiakos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 13 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 21 minutes (victoire 102-77 face à Ashdod)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 16 points (7/10 aux tirs), 11 rebonds, 4 passes, 4 interceptions, 2 contres, 2 balles perdues en 26 minutes pour 34 d’évaluation (défaite 110-91 face à Milan)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 7 points (3/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 passe, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 77-76 face à Venise)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 17 points (6/10 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes (défaite 81-71 face à Klaipeida)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (3/8 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 31 minutes (victoire 75-69 face à Zadar)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 0 point (0/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 17 minutes (défaite 81-60 face à Aleksandrovac)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 13 points (6/11 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 29 minutes (victoire 87-85 face à Radom)\\n\\n\\nRussie\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 9 points (3/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre en 12 minutes (victoire 79-67 face à Enisey)\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 3 points (1/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 24 minutes (défaite 73-72 ap face au Khimki)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 15 points (5/11 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception, 4 balles perdues en 30 minutes (défaite 89-71 face au Cibona)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (0/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 18 minutes (défaite 70-68 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 8 points (3/8 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 33 minutes (victoire 67-65 face à Fenerbahçe)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Thomas Heurtel remet ça pour la Copa\\n\\nCrédits photo : ACB\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nVincent Poirier, MVP en Liga\\n\\nRevenu en double figure lors de la dernière levée ACB, après quatre matchs en-deçà de ses standards, Vincent Poirier a encore fait mieux ce weekend avec une performance record à 34 d’évaluation ! 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Sur l’ensemble du match, c’est Marine Johannès qui a réalisé la meilleure production offensive avec 24 points à 10/18 aux shoots et quelques prouesses gestuelle. En face, comme prévu, ce sont les deux Américaines, Yvonne Turner (22 points, 4 rebonds et 3 passes) et Candice Dupree (16 points, 6 rebonds et 5 passes) qui ont fait l’essentiel du travail avec un bon soutien de l’Espagnole Queralt Casas (10 points, 6 rebonds, 3 passes).\\n\\nLes Berruyères n’ont plus d’autres choix que de gagner le retour au Prado vendredi puis la belle de nouveau en Hongrie pour se qualifier au Final Four.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau (FIBA)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Tkmr1mxvdMs\\n\\n\\n\\n\\nBetween the legs 🏀.\\nStepback 🔥.\\n🗣 Dirk! #EuroLeagueWomen@marineJ5 @BourgesBasket\\n\\n\\n📺 https://t.co/TT0ctpn8xy\\n📲 https://t.co/ClSDJJid5P\\n📝 https://t.co/AZ1aNBPXWi pic.twitter.com/VhdyUg0LO8\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) March 5, 2019" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Charleville-Montpellier sur YouTube" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, à 19h, le duel fratricide en quart-de-finale aller d’Eurocup féminine, Charleville-Montpellier, est en accès libre sur Youtube. Ce sont les débuts au BLMA de la Serbe Ana Dabovic, championne d’Europe 2015, qui remplace l’Ukranienne Olesya Malashenko.\\n\\nPhoto: Helena Ciak (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Giannis Antetokounmpo élu joueur européen de l’année par La Gazzetta dello Sport" }, {"role": "assistant", "content":"Auteur d’une saison à 27 points, 12,6 rebonds et 6 passes avec les Milwaukee Bucks, l’ailier grec Giannis Antetokounmpo (2,11, 24 ans) a été élu joueur européen de l’année par le quotidien sportif italien, La Gazzetta dello Sport. Le trophée existe depuis 1979. The Greek Freak a été élu devant le rookie des Mavs Luka Doncic et le pivot serbe des Denver Nuggets Nikola Jokic.\\n\\nGiannis Antetokounmpo succède au Slovène du Miami Heat Goran Dragic, champion d’Europe en 2017. C’est le premier joueur depuis Dirk Nowitzki en 2004 à recevoir cette récompense sans avoir participé à une compétition internationale avec son pays durant l’année écoulée. C’est aussi le deuxième Grec élu joueur européen de l’année dans l’histoire de ce trophée, le premier étant Nikos Galis, légende de l’Aris Salonique, en 1987." }, {"role": "user", "content":"Comment l’ASVEL prépare son entrée en Euroleague (1) – Un club en pointe... en France" }, {"role": "assistant", "content":"Pendant deux ans l’ASVEL Lyon-Villeurbanne va bénéficier d’une invitation en Euroleague avec l’ambition de décrocher ensuite une Licence A synonyme de participation assurée pour une longue durée. Voici comment. En trois épisodes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nChouette, la France est de retour en Euroleague en octobre prochain pour au moins deux saisons ! Limoges et Strasbourg avaient été nos représentants en 2015-16 et après, écran noir. Les clubs français ont été les victimes collatérales de la guerre intestine entre ECA -la société qui gère l’Euroleague- et la Fédération Internationale. Mais pas que... Le volume pris par les clubs d’Euroleague fait que nos deux derniers champions de France, Chalon et Le Mans, n’auraient pas eu la carrure nécessaire pour éviter de se retrouver d’emblée sur le tapis tout en risquant d’être défigurés dans le championnat national, d’autant que c’est arrivé à l’Elan Chalonais bien qu’il n’ait participé qu’à la plus modeste Basketball Champions League.\\n\\nDurant notre absence, l’Euroleague a considérablement pris de l’ampleur et est devenue un spectacle cinq étoiles. ECA a signé un contrat avec IMG qui apportera au minimum 630M€ sur dix ans avec l’ambition d’atteindre les 900M€, réduit le plateau à 16 clubs qui se rencontrent tous par matches allers-retours avec ensuite des playoffs, et donné des licences A -c’est-à-dire la garantie de participation- pour dix ans à onze clubs (1). Des clubs puissants financièrement même si c’est souvent artificiellement, de capitales ou de grandes métropoles, et qui ont tous une longue tradition d’excellence sportive en Europe. Ne faisons pas l’autruche : la culture de la balle orange made-in-Europe à Tel-Aviv, Kaunas ou Milan est bien supérieure à celle que nous avons en France où la NBA cannibalise les esprits. Cette saison, ECA a par ailleurs invité cinq clubs au mérite sportif mais rien pour ceux de Jeep Elite (2).\\n\\nLe Bayern Munich -qui est déjà en piste par le biais de son titre de champion d’Allemagne- et LDLC ASVEL seront les deux wild cards pour les deux saisons à venir. L’ASVEL Lyon-Villeurbanne, c’est le club le plus pérenne dans la première division française puisqu’elle y siège depuis sa création en 1948 avec un record de 18 titres de champion de France, trois fois dans le carré d’as européen en 1976, 78, et 97 (3), situé au cœur d’une métropole de plus de 1,3 million d’habitants, qui bénéficie d’un budget prévisionnel de 9,2M€, qui a signé un partenariat de naming avec LDLC pour dix ans et 10M€, qui va ouvrir son académie cet été, qui a l’intention de se doter d’une aréna, et dont le propriétaire et président est l’une des plus grandes figures du basket européen, Tony Parker. Aucun autre club français ne peut prétendre à l’instant T à un calibre équivalent.\\n\\nQuelles sont aujourd’hui les structures de l’ASVEL ? Quelles seront-elles demain sur la ligne de départ de la compétition reine d’Europe et après-demain si une aréna -enfin !- est construite ? Son Directeur Général Adjoint (4) Alain Cloux, va nous guider dans le tour du propriétaire. Alain Cloux est arrivé au club lorsque Tony Parker l’a racheté, au 30 juin 2014. Il avait été notamment auparavant Directeur Administratif à la FFBB (10 ans), Directeur Général du Limoges CSP (4 ans) puis Directeur Administratif, Juridique et Financier à l’AS Monaco football (5 ans).\\n\\nChouette, la France est de retour en Euroleague. ECA ne pouvait ignorer la troisième puissance économique d’Europe, toute proche du Royaume Uni et la quatrième en terme de population, si l’on veut bien prendre en compte la Turquie, avec une très forte base de pratiquants... mais son club phare est encore un nain à l’échelle du continent et le chemin qui mène à la réussite sera parsemé d’embuches !\\n\\nTony Parker et Nicolas Batum en figures de proue\\n\\nPas un club d’Euroleague n’a actuellement comme propriétaire un NBAer comme l’ASVEL avec Tony Parker qui a fait entrer comme actionnaire et comme Directeur des Opérations basket son équipier aux Charlotte Hornets, Nicolas Batum. Pas fréquent qu’un président soit éloigné ainsi par plusieurs milliers de kilomètres de son club. Durant la saison, les contacts sont téléphoniques entre les différentes composantes du club et les deux têtes de l’exécutif mais, en décembre, ceux-ci ont fait profiter durant un séminaire de trois jours du savoir-faire de la franchise de Caroline du Nord à huit membres du club -dont Yohann Sangaré, le manager général, et Marie-Sophie Obama, la président de Lyon ASVEL féminin.\\n\\nAvoir deux célébrités mondiales en haut de son organigramme ne peut suffire à convaincre ECA de fournir une invitation de deux ans à l’ASVEL en Euroleague et plus si affinités.\\n\\n« Il y a l’ensemble des projets du club qui leur ont été présentés depuis quatre ans et pour lesquels ils voient qu’il y a des choses qui se mettent en place concrètement », explique Alain Cloux. « Il y a quatre ans, il y avait beaucoup d’annonces mais il fallait montrer que l’on pouvait avancer sur le développement interne du club, la salle qui s’est beaucoup améliorée techniquement et technologiquement. Le fait qu’un club féminin ait été repris par notre actionnaire. Le fait qu’à la tête du club il y a des dirigeants qui sont connus dans le monde du basket et ont fait ce qu’ils ont dit depuis bientôt cinq ans. Je pense que l’image de Tony et Nicolas jouent aussi vis-à-vis des dirigeants de l’Euroleague. Ils savent que ce sont des images sur lesquelles ils vont aussi pouvoir s’appuyer. C’est un peu gagnant-gagnant. Et aussi les garanties que ces actionnaires peuvent leur apporter dans le fait d’avoir un budget cohérent. Il y a aussi la confiance qui se créer par rapport aux échanges que l’on a pu constituer avec les différents services dans le sens où depuis cinq ans on est en contact régulier avec eux. A tous les niveaux, que ce soit à celui du CEO que des responsables de secteurs de l’Euroleague, par le biais de la participation à l’Eurocup et aussi du fait que les dirigeants sont allés leur présenter leur projet et, régulièrement, son évolution. Par exemple, la semaine dernière deux personnes sont venues inspecter la salle et l’organisation du club notamment l’adjoint de Jordi Bertomeu, Eduard Scott, et un des responsables des compétitions. Déjà, on se connait. Et on a commencé à bâtir une forme d’échanges de confiance. On le ressent et on fait tout pour leur prouver qu’ils ont raison de nous faire confiance. »\\n\\nUn budget qui a fait en deux ans un bond de 2M€ est forcément un argument pour démontrer que l’ASVEL est en croissance. Il tournera autour de 9,2M€ en fin d’exercice selon jusqu’où l’équipe de Zvezdan Mitrovic ira en playoffs de la Jeep Elite et de l’Eurocup.\\n\\n« Sachant que l’Eurocup, c’est immédiat alors que les primes de résultats de la Jeep Elite sont reportés sur la saison suivante. Ça n’impacte pas le réalisé de la saison en cours. Alors que l’Eurocup ça impacte immédiatement les recettes et éventuellement les charges », précise Alain Cloux.\\n\\nDes forces regroupées\\n\\nDans les années soixante et soixante-dix, l’ASVEL fut dominante en France avec comme président le paternaliste Raphaël De Barros. Il y eu ensuite la crise, la mort aux trousses, et la résurrection avec le trio Marc Lefèbvre, Greg Beugnot, Delaney Rudd et un Final Four de l’Euroleague en 1997. Après l’éphémère épisode Michel Reybier, un millionnaire local, le club fut marqué par la présidence de l’ancien tennisman Gilles Moretton, spécialiste en licenciement express et des effets d’annonce non concrétisés (« Un Final Four de l’Euroleague en 2008 », « Une nouvelle aréna »), mais qui eut le mérite de professionnaliser le club, de considérer que l’argent ne devait pas être entièrement placé sur la masse salariale des joueurs.\\n\\nAujourd’hui, le périmètre de l’ASVEL c’est son équipe masculine, l’équipe féminine en tête de son championnat et capable de faire un coup en Eurocup, la Tony Parker Adéquat Académie, qui sera ouverte cet été et réservée aux garçons et filles de plus de 15 ans pour pratiquer le basket et en même temps suivre des études avec la promesse d’un job à la clé, et aussi Infinity Nine Media, une société de 14 salariés que Tony Parker a racheté en septembre 2017 et qui gère des manifestations sportives, d’entreprises, des salons professionnels et encore des événements institutionnels. Pour l’instant, tout le monde est regroupé sur un même plateau Cours Emile-Zola à Villeurbanne.\\n\\nPas un autre club de Jeep Elite n’est ainsi aussi fortifié que l’ASVEL. Alain Cloux en décortique les contours :\\n\\n« Il faut considérer d’un côté le sportif et de l’autre le hors sportif. Avec notre mode d’organisation, les filles, l’Académie et Infinity Nine Media, il y a une forme de mutualisation qui a commencé à s’instaurer depuis la saison dernière. Infinity Nine Media est indépendant mais intervient au quotidien sur toutes nos actions de communication, le digital, tout ce que l’on peut mettre en œuvre en terme de promotion. On a un plateau et on est tous les uns à côté des autres. ll y a quatre personnes qui sont au quotidien sur l’Académie qui sont actuellement dans nos locaux et qui vont migrer l’été prochain. Les filles ont apporté pas mal de fraîcheur. Leur vision des choses nous permet quelque part de nous remettre en question. L’idée c’est que l’on avance d’une manière collective. Il faut rassembler des gens qui viennent d’horizons différents et créer une émulation. Quand il y en a un qui gagne, ça fait du bien à tout le monde et quand il y en a un qui perd, les autres viennent le soutenir. C’est une autre approche que celle que l’on avait quand il n’y avait que les garçons. Ça amène un côté famille auquel Tony (Parker) et Nicolas (Batum) sont très attachés. Au niveau du staff, hors sportif et pour les garçons, on a 15 personnes sur l’administration, les finances, l’organisation logistique des matches, les événements citoyens ou liés aux partenaires. Sur l’aspect commercial, ticketting, marketing, relations publiques, ventes de produits, merchandising, on a 7 personnes. On a aussi un chargé de mission sur des aspects de développement sportif, Nordine (Ghrib), qui est un ancien assistant et coach du club. Il intervient sur l’Académie et aussi sur d’autres missions ponctuelles qui peuvent avoir un caractère assez spécifique notamment les échanges que l’on peut avoir avec d’autres clubs autour de nous, sur la représentation du club dans son environnement. On a vocation à être plus présent dans notre environnement géographique, la Métropole et la Grande Région. Au niveau du sportif, il y a Yohann Sangaré qui est Manager Général, un coach qui a quatre assistants, un préparateur physique, un kiné et un intendant. Au centre de formation, on a trois entraîneurs, et on a deux personnes qui sont chargées de faire vivre la maison qui accueille, héberge et restaure les jeunes qui sont mineurs. Et bien sûr on fait appel à des vacataires en complément qui ne sont pas salariés du club, essentiellement médecins, ostéos et kinés. »\\n\\nLe Bayern Munich comme exemple\\n\\nUn autre aspect fondamental, initié à l’époque de Gille Moretton par Antony Thiodet, ce sont les moyens mis en œuvre pour aller chercher spectateurs et sponsors dans une agglomération à la fois vaste -la deuxième de France- mais avec une forte concurrence notamment l’Olympique Lyonnais et le LOU rugby.\\n\\n« On a deux seniors qui travaillent à la fois sur le ticketting et le sponsoring et la vente de produits d’hospitalité et aussi deux juniors qui travaillent sur l’entertainment et notamment sur la vente aux groupes de jeunes. On a une personne qui travaille sur les groupes, clubs, comités d’entreprise, etc, et qui fait beaucoup de phoning. Et on a une autre personne qui fait de l’administration des ventes, de la billetterie et qui s’occupe au niveau commercial de gérer les contrats de partenariats et le recouvrement des versements. En plus, il y a un responsable merchandising/boutique pour les jours de match et aussi pour les points de vente que l’on a dans un certain nombre de grandes surfaces et aussi sur le site en ligne où l’on peut acheter des produits dérivés. Ça représente au total sept personnes dont trois qui sont mutualisées avec les filles, sur la billetterie, l’organisation des matches et le merchandising », détaille Alain Cloux.\\n\\nL’Astroballe et ses 5 560 places sont devenues depuis de nombreuses années l’une des salles les plus fréquentées de France. Avec 5 497 spectateurs en moyenne, l’ASVEL est apparue la saison dernière en deuxième position derrière Strasbourg (5 748 spectateurs) qui dispose avec le Rhénus (6 166 places) d’une enceinte un peu plus vaste.\\n\\n« Actuellement, Jeep Elite et Eurocup cumulées, on est sur une moyenne de 5 291 spectateurs sur 5 560 places, ce qui fait 95% de remplissage. Si on laisse les playoffs de côté, c’est-à-dire en prenant en compte des saisons régulières de Jeep Elite et d’Eurocup plus top 16 de l’Eurocup, ça fait un total de 132 000 personnes, » a comptabilisé Alain Cloux.\\n\\nL’ASVEL a souvent été moquée car elle n’obtenait pas sur le terrain des résultats en conformité avec ses moyens financiers, ses ambitions déclarées, son histoire. Ce fut encore le cas la saison dernière avec un parcours poussif en saison régulière et une peu glorieuse élimination en quarts-de-finale des playoffs par Le Mans, futur champion de France. Le staff a visiblement tiré les leçons de ses échecs et en enrôlant le Monténégrin Zvzedan Mitrovic, élu deux fois de suite Coach de l’Année de la Jeep Elite, l’ASVEL s’est donnée un boss et un style à la hauteur de son projet européen. Les Villeurbannais ont dominé nationalement le dernier trimestre 2018 et malgré quelques faiblesses inattendues, notamment une défaite à domicile face à Cholet et une élimination en quart-de-finale de la Leaders Cup par Bourg, ils sont en tête du championnat, qualifiés pour le top 8 de la Coupe de France, et affrontent Andorre en quarts-de-finale de l’Eurocup après avoir terminé premier du Groupe F au top 16 grâce notamment à deux victoires sur le Lokomotiv Kuban Krasnodar. Cela donne de la crédibilité à toute la stratégie.\\n\\nL’ASVEL s’est évidemment renseignée ces derniers mois sur son futur environnement comme le confirme Alain Cloux.\\n\\n« On a commencé à prendre des contacts avec quelques clubs et on a des visites qui sont prévues sur la fin de saison. C’est peut-être le modèle allemand qui se rapproche le plus du notre. On a aussi prévu une visite à Milan mais qui est un peu particulier avec son actionnaire (NDLR : Le styliste Giorgio Armani apporte 7 à 8 millions d’euros sur les 25 de budget du club) et aussi à Kaunas pour d’autres raisons, parce qu’on a des portes qui peuvent s’ouvrir facilement. C’est vrai que le modèle français est particulier ! Par rapport à leur structuration, au fait qu’ils vont créer une nouvelle aréna, même si la consommation du sport en Allemagne est différente de celle en France -on est très spécifiques par rapport aux autres pays européens-, c’est plus vers le Bayern que l’on peut rechercher des points communs qui peuvent nous permettre d’apprendre davantage sur ce que l’on peut être demain. On a de bonnes relations avec le Real et le Barça, Valence aussi -on y est déjà allé- mais ils sont environnés différemment avec un club de foot omniprésent. Sachant que leur modèle n’est pas équilibré ! Ils ont besoin du foot. »\\n\\nC’est véritablement dans un autre monde que l’ASVEL va se jeter à la rentrée prochaine. On découvrira comment demain.\\n\\n(1) Anadolu Efes Istanbul, Baskonia Vitoria, CSKA Moscou, FC Barcelone, Fenerbahçe Istanbul, Maccabi Tel Aviv, Olimpia Milan, Olympiacos Le Pirée, Panathinaikos Athènes, Real Madrid, Zalgiris Kaunas.\\n\\n(2) Le champion de l’Adriatic League (Buducnost Podgorica), d’Allemagne (Bayern Munich), de la VTB League (Khimki Moscou, finaliste), d’Espagne (Gran Canaria suite à sa participation à la demi-finale de l’ACB) et le vainqueur de l’Eurocup (Darussafaka Istanbul).\\n\\n(3) C’est souvent ignoré, Villeurbanne a été en 1976 demi-finaliste de la Coupe des Champions, l’équivalent de l’Euroleague, battu en deux manches par le Real Madrid. Puis 4e de la poule finale de cette même Coupe des Champions en 1978 derrière le Real Madrid, Mobilgirgi Varese et le Maccabi Tel-Aviv. Le coach était André Buffière et l’ASVEL était animée par la paire d’arrières Alain Gilles-Bob Purkhiser.\\n\\n(4) Alain Cloux est donc le bras droit du président délégué de l’ASVEL, Gaétan Muller, le copain d’enfance de TP, champion d’Europe junior à Zadar en 2000, qui a monté GM Sports Consulting, une startup qui a connu ces dernières années une forte croissance aussi bien dans l’organisation événementielle que dans l’accompagnement de marques désirant communiquer via le sport, et qui a fusionné en 2015 avec Sport Plus Conseil de Pascal Biojout\\n\\nA suivre demain.\\n\\n[armelse]\\n\\nChouette, la France est de retour en Euroleague en octobre prochain pour au moins deux saisons ! Limoges et Strasbourg avaient été nos représentants en 2015-16 et après, écran noir. Les clubs français ont été les victimes collatérales de la guerre intestine entre ECA -la société qui gère l’Euroleague- et la Fédération Internationale. Mais pas que... Le volume pris par les clubs d’Euroleague fait que nos deux derniers champions de France, Chalon et Le Mans, n’auraient pas eu la carrure nécessaire pour éviter de se retrouver d’emblée sur le tapis tout en risquant d’être défigurés dans le championnat national, d’autant que c’est arrivé à l’Elan Chalonais bien qu’il n’ait participé qu’à la plus modeste Basketball Champions League.\\n\\nDurant notre absence, l’Euroleague a considérablement pris de l’ampleur et est devenue un spectacle cinq étoiles. ECA a signé un contrat avec IMG qui apportera au minimum 630M€ sur dix ans avec l’ambition d’atteindre les 900M€, réduit le plateau à 16 clubs qui se rencontrent tous par matches allers-retours avec ensuite des playoffs, et donné des licences A -c’est-à-dire la garantie de participation- pour dix ans à onze clubs (1). Des clubs puissants financièrement même si c’est souvent artificiellement, de capitales ou de grandes métropoles, et qui ont tous une longue tradition d’excellence sportive en Europe. Ne faisons pas l’autruche : la culture de la balle orange made-in-Europe à Tel-Aviv, Kaunas ou Milan est bien supérieure à celle que nous avons en France où la NBA cannibalise les esprits. Cette saison, ECA a par ailleurs invité cinq clubs au mérite sportif mais rien pour ceux de Jeep Elite (2).\\n\\nLe Bayern Munich -qui est déjà en piste par le biais de son titre de champion d’Allemagne- et LDLC ASVEL seront les deux autres wild cards pour les deux saisons à venir. L’ASVEL Lyon-Villeurbanne, c’est le club le plus pérenne dans la première division française puisqu’elle y siège depuis sa création en 1948 avec un record de 18 titres de champion de France, trois fois dans le carré d’as européen en 1976, 78, et 97 (3), situé au cœur d’une métropole de plus de 1,3 million d’habitants, qui bénéficie d’un budget prévisionnel de 9,2M€, qui a signé un partenariat de naming avec LDLC pour dix ans et 10M€, qui va ouvrir son académie cet été, qui a l’intention de se doter d’une aréna, et dont le propriétaire et président est l’une des plus grandes figures du basket européen, Tony Parker. Aucun autre club français ne peut prétendre à l’instant T à un calibre équivalent.\\n\\nQuelles sont aujourd’hui les structures de l’ASVEL ? Quelles seront-elles demain sur la ligne de départ de la compétition reine d’Europe et après-demain si une aréna -enfin !- est construite ? Son Directeur Général Adjoint (1), Alain Cloux, va nous guider dans le tour du propriétaire. Alain Cloux est arrivé au club lorsque Tony Parker l’a racheté, au 30 juin 2014. Il avait été notamment auparavant Directeur Administratif à la FFBB (10 ans), Directeur Général du Limoges CSP (4 ans) puis Directeur Administratif, Juridique et Financier à l’AS Monaco football (5 ans).\\n\\nChouette, la France est de retour en Euroleague. ECA ne pouvait ignorer la troisième puissance économique d’Europe, toute proche du Royaume Uni et la quatrième en terme de population, si l’on veut bien prendre en compte la Turquie, avec une très forte base de pratiquants... mais son club phare est encore un nain à l’échelle du continent et le chemin qui mène à la réussite sera parsemé d’embuches !\\n\\nTony Parker et Nicolas Batum en figures de proue\\n\\nPas un club d’Euroleague n’a actuellement comme propriétaire un NBAer comme l’ASVEL avec Tony Parker qui a fait entrer comme actionnaire et comme Directeur des Opérations basket son équipier aux Charlotte Hornets, Nicolas Batum.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Astroballe, Tony Parker et Alain Cloux (Infinity Nine Media), Miro Bilan (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Enzo Goudou-Sinha (Nancy) indisponible huit semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Grosse tuile pour le meneur de jeu nancéien Enzo Goudou-Sinha (1,82m, 20 ans) qui rejoint l’infirmerie du SLUC.\\n\\nTouché au genou dimanche à l’entrainement, l’ancien pensionnaire du centre de formation du SLUC s’est blessé au ménisque droit et la formation nancéienne annonce une durée d’indisponibilité d’environ huit semaines. 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Et ils partent tous favoris même si le duel russe devrait être indécis jusqu’au bout...\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAlba Berlin – Malaga\\n\\n\\nLes forces en présence\\n\\nEntre Berlin et Malaga, il faut s’attendre à du basket champagne ! Les deux équipes font partie du Top 3 des attaques d’EuroCup et avec Rokas Giedraitis (15 points de moyenne au Top 16, n°1), Martin Hermannsson (15 points) ou encore Luke Sikma (18 d’évaluation), l’Alba ne manque pas de scoreurs. De plus, Berlin tourne à 23 passes de moyenne, ce qui est un record en EuroCup, et pointe à la 1ère place aux interceptions avec 9 par match.\\n\\nMalaga a donc du mouron à se faire défensivement car Berlin aime frapper en transition, et derrière l’arc. Mais les coéquipiers de Mathias Lessort ont également leurs atouts, et précisément, leur force de frappe dans la peinture. Avec Lessort, Shermadini et Wiltjer, le trident intérieur aura la lourde charge de porter l’attaque andalouse. Malaga est privée de Jaime Fernandez à l’arrière.\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nPeyton Siva – Brian Roberts. Deux anciens et fugace NBAers se retrouvent en quart de finale de l’EuroCup. Et le premier sera en fait le facteur X de son équipe. S’il parvient à bien revenir de sa longue blessure, Siva sera un vrai bonus pour l’Alba. A l’inverse, il ne doit pas pénaliser son équipe non plus... Car Roberts, c’est solide cette saison à 11 points, 3 passes et 50% derrière l’arc.\\n\\n\\nLe calendrier\\n\\nMardi 5 mars à 19h à Berlin\\nVendredi 8 mars à 20h45 à Malaga\\nMardi 13 mars à 19h30 à Berlin (si nécessaire)\\n\\n\\nASVEL – Andorre\\n\\n\\nLes forces en présence\\n\\nMême si l’affaire Ajinça vient soudainement assombrir le ciel lyonnais, l’Asvel arrive en quart de finale avec une belle dynamique créée en Top 16. Avec moins de 72 points concédés, Villeurbanne est la meilleure défense de la saison et, pour ne rien gâcher, elle figure aussi sur le podium (2e) au rebond offensif et aux contres. Véritable citadelle avec une seule défaite à la maison, l’Asvel sera difficile à prendre avec l’avantage du terrain...\\n\\nMais Andorre est un assaillant à prendre au sérieux ! Même si ses membres ont pour ainsi dire zéro expérience des playoffs, la troupe hétéroclite menée par Andrew Albicy et Dylan Ennis a plus d’un tour dans son sac. Sans véritable star à proprement parler, Andorre la joue collectif pour construire son succès. Autour d’un basket offensif fait de relance, Andorre était ainsi la seule équipe du Top 16 à avoir un trident au-dessus des 12 points de moyenne, avec Albicy, Ennis et John Shurna. Là où le bat blesse pour les Andorrans, c’est leur incapacité à gagner à l’extérieur...\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nAndrew Albicy – Théo Maledon. C’est un beau duel de générations entre deux meneurs tricolores, sur la scène d’un quart de finale européen, que demande le peuple ? On met Albicy face à Maledon mais, par la force des choses, on sera plutôt amené à voir Albicy opposé à Mantas Kalnietis également. Dans les deux cas, la vitesse de percussion d’Albicy sera son argument majeur face à la taille de ses adversaires. Et dans les deux cas, plus l’impact défensif du duo de l’Asvel sera grand sur Albicy, moins Andorre aura de chances de s’imposer.\\n\\n\\nLe calendrier\\n\\nMardi 5 mars à 19h à Villeurbanne\\nVendredi 8 mars à 20h45 à Andorre\\nMardi 13 mars à 20h30 à Villeurbanne (si nécessaire)\\n\\n\\nValence – Vilnius\\n\\n\\nLes forces en présence\\n\\nDernière équipe qualifiée pour les quarts,Vilnius débarque sans pression. Et au contraire, avec un beau vécu collectif pour en arriver jusque là. Meilleure équipe de la saison aux rebonds avec 37 par match, le club balte a pu compter sur un Artsiom Parakhouski (15 points, 9 rebonds en Top 16) de gala, auteur du tir décisif pour se qualifier. De retour en quart de finale pour la première fois depuis 2012, Vilnius jouera crânement sa chance avec ses shooteurs et le vétéran Rok Stipcevic à la mène (auteur notamment de 31 points en début de saison).\\n\\nPremière de son groupe, Valence arrive favori dans ce duel, cela est incontestable. Avec un effectif au-dessus de son adversaire lituanien, Valence doit s’imposer en puissance avec son MVP Dubljevic mais aussi en vitesse avec Matt Thomas et Sam Von Rossom. On espère également que nos Français, Louis Labeyrie et Antoine Diot, pourront ajouter leur grain de sel sachant que ce dernier revient tout juste de plusieurs absences. Avec son jeu collectif léché et beaucoup de passes décisives (22), Valence aura pour objectif d’emballer le rythme, alors que Vilnius voudra le ralentir... Dans ce contraste des baskets, Valence arrive aussi sur une série de 10 victoires de rang, une belle petite lancée...\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nBojan Dubljevic – Artsiom Parakhouski. Après deux duels de meneurs, on arrive enfin à du concret ! Dubljevic et Parakhouski, c’est du très solide sous les panneaux avec d’une part, le MVP du Top 16 qui a porté Valence avec 13 points, 7 rebonds et 3 passes de moyenne et d’autre part, Parakhouski qui a fait encore mieux au niveau statistique avec 15 points et 9 rebonds en Top 16. Tandis que le vétéran de Valence peut s’écarter, le pivot de Vilnius est lui plutôt ancienne école et près du cercle. Un duel qui pèsera lourd dans le résultat final.\\n\\n\\nLe saviez-vous ?\\n\\nValence et Vilnius représentent cinq titres d’EuroCup à eux deux. Le club espagnol a remporté la compétition à trois reprises (2003, 2010, 2014) tandis que Vilnius a soulevé deux fois le trophée (2005, 2009). On a donc à faire avec un duel d’habitués, car outre Valence et Vilnius, seul le Khimki Moscou peut aussi se targuer de plusieurs titres d’EuroCup.\\n\\n\\nLe calendrier\\n\\nMardi 5 mars à 20h45 à Valence\\nVendredi 8 mars à 18h à Vilnius\\nMardi 13 mars à 20h45 à Valence (si nécessaire)\\n\\n\\nKazan – Krasnodar\\n\\n\\nLes forces en présence\\n\\nPour leur dernier match en Top 16, Kazan et Krasnodar ont respectivement tenu leur adversaire à 53 points (Andorre) et 58 (Francfort)... Cela donne une bonne idée générale du bras de fer défensif que devraient se livrer les deux prétendants russes. Habitués de longue date à se jouer l’un l’autre, ces deux clubs ont pas mal de vétérans du circuit dans leurs rangs, dont trois anciens vainqueurs (Erick McCollum, Maksim Sheletko, Jamar Smith).\\n\\nDe plus, ils ont réalisé des saisons très similaires en termes de bilan, à la différence près que pour une défaite de plus, le Loko devra s’imposer à l’extérieur pour survivre. Ce n’est pas grave : Krasnodar a le meilleur bilan à l’extérieur parmi les quarts de finaliste ! Et avec le retour en action progressif de Moustapha Fall, on voit bien le Loko piquer la première manche à Kazan. Il faut dire qu’avec le pivot tricolore installé dans une série de playoffs, la défense du Loko peut encore hausser le ton et créer la surprise.\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nRaymar Morgan – Jamel McLean. Dans le genre des petits pivots boule de nerfs (dans la veine de Kyle Hines du CSKA), Raymar Morgan et Jamel McLean ont chacun réussi à faire leur trou en Europe. Après l’Allemagne et la Turquie, Morgan s’est parfaitement adapté à la Russie tandis que McLean poursuit sa tournée après l’Italie et la Grèce notamment (en Euroleague). A 2m02 sous la toise pour les deux hommes, il s’agira d’apporter l’énergie nécessaire et de gagner le duel psychologique entre ces deux panzers.\\n\\n\\nLe calendrier\\n\\nMardi 5 mars à 20h45 à Kazan\\nVendredi 8 mars à 18h à Krasnodar\\nMardi 13 mars à 17h à Kazan (si nécessaire)\\n\\nPour se mettre dans l’ambiance...\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLes forces en présence\\n\\nEntre Berlin et Malaga, il faut s’attendre à du basket champagne ! Les deux équipes font partie du Top 3 des attaques d’EuroCup et avec Rokas Giedraitis (15 points de moyenne au Top 16, n°1), Martin Hermannsson (15 points) ou encore Luke Sikma (18 d’évaluation), l’Alba ne manque pas de scoreurs. De plus, Berlin tourne à 23 passes de moyenne, ce qui est un record en EuroCup, et pointe à la 1ère place aux interceptions avec 9 par match.\\n\\nMalaga a donc du mouron à se faire défensivement car Berlin aime frapper en transition, et derrière l’arc. 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En février, l’arrière monégasque a tourné en moyenne à 20 points, 7,5 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 22." }, {"role": "user", "content":"VTB League : Le Khimki remporte le derby de moscou avec un Alexey Shved en mode record" }, {"role": "assistant", "content":"Le derby de Moscou s’est déroulé ce mardi en VTB League et c’est le Khimki qui s’est imposé après prolongation face au CSKA (73-72). Et c’est l’inévitable Alexey Shved (1,98m, 30 ans) qui a porté les jaunes et bleus.\\n\\nAbsent pendant une partie de la saison à cause d’une blessure au doigt, l’international russe a été étincelant. En 40 minutes de jeu, l’ancien joueur des Minnesota Timberwolves a compilé 37 points, 2 rebonds, 2 passes et 11 fautes provoquées. L’ancien joueur du CSKA Moscou a inscrit le panier à trois points qui permet à son équipe de passer devant (72-69) à 35 secondes de la fin de la prolongation. Il a donc marqué plus de la moitié des points de son équipe et c’est aussi son record en carrière. Le dernier était de 36 points marqués en juin 2018.\\n\\nDu côté du CSKA Moscou, l’intérieur Will Cyburn (2,01m, 28 ans) à fait un gros double-double avec 17 points et 16 rebonds. Seul Français présent sur le terrain, Nando de Colo a été inexistant avec 2 points à un piètre 1/9 aux tirs.\\n\\nCette défaite n’a pas énormément de conséquences pour le CSKA Moscou, toujours leader de la VTB League avec trois victoires d’avance sur le deuxième, l’UNICS Kazan. Le Khimki (13v-5d), lui, grimpe à la quatrième place du championnat en passant devant Astana.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Jonathan Jeanne 10e homme à Prat, en deuxième division" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end, le CB Prata a vaincu Palma, 83-85, ce qui est un rayon de soleil pour le dernier de la classe en LEB Gold -l’équivalent de notre Pro B- qui compte désormais 5 victoires en 24 matches.\\n\\nPourquoi s’intéresser au Club Bàsquet Prat basé à El Prat de Llobregat, en Catalogne? Parce que depuis janvier il s’agit du deuxième club espagnol de Jonathan Jeanne (2,17m, 21 ans) après Iberojet Palma qui l’a coupé en décembre.\\n\\nAprès que les médecins américains lui aient diagnostiqué le Syndrome de Marfan et une saison blanche, le Guadeloupéen a donc relancé sa carrière. Ou lancé c’est selon puisqu’il n’avait pas eu droit au préalable à beaucoup de temps de jeu au Mans comme à Nancy. Après 8 matches, pas de miracle, Jonathan Jeanne n’apparait qu’en 10e position au temps de jeu de l’équipe et se contente de 6,1 points et 3,1 rebonds. Dur." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La mixtape de Migna Touré, joueuse de Basket Landes et internationale de 3×3" }, {"role": "assistant", "content":"Cette semaine, Migna Touré (1,83m, 24 ans), membre de l’équipe de France, a les honneurs de la FIBA avec cette mixtape qui a pour titre: « La joueuse la plus spectaculaire du 3×3 féminin? ».\\n\\nMigna Touré est par ailleurs une excellente joueuse de 5×5 qui avec Basket Landes tourne à 12,2 points, 1,9 rebond et 2,1 passes en Ligue Féminine. Elle a obtenu pas moins de cinq médailles en 5×5 avec les différentes équipes de France en jeune dont deux d’or en U18 et U20 et fut l’été dernier championne d’Europe en 3×3 et MVP de la compétition.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Nando De Colo devient le 9e meilleur marqueur de l’histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le CSKA Moscou est deuxième du classement d’Euroleague (19v-5d) et déjà qualifié pour les playoffs, Nando De Colo (1,96m, 31 ans) continue de marquer la compétition de son empreinte.\\n\\nPassé par Valence en 2010/11 et au CSKA Moscou depuis 2014, l’international français fait partie des meilleurs joueurs d’Europe. Après la 24e journée de championnat d’Euroleague, l’ancien joueur de Cholet est devenu le neuvième meilleur marqueur de l’histoire de la compétition avec 2548 unités au compteur. Il est passé devant Jaka Lakovic au classement et il lui manque maintenant 192 points pour passer devant Marcus Brown (2739 points).\\n\\nCette saison, Nando De Colo compile en moyenne 14,9 points, 2,7 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 16,7.\\n\\n\\n\\n\\n9th and still counting, congratulations @NandoDeColo 👏#GameON pic.twitter.com/KwHKCvCFog\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 4, 2019" }, {"role": "user", "content":"Euroleague Féminine: Bourges face à Sopron pour un billet pour le Final Four. Attention à Yvonne Turner et Candice Dupree !" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, Bourges aborde son quart-de-finale d’Euroleague en Hongrie face au Sopron Basket de la star mondiale Candice Dupree et de sa compatriote américaine, la meneuse Yvonne Turner, qui possède le passeport hongrois.\\n\\nAlors que Bourges se qualifiait ce week-end pour la finale de la Coupe de France, son adversaire en quarts-de-finale de l’Euroleague, le Sopron Basket remportait la Coupe de Hongrie en battant en finale à Gyor le KCC Szekszard, 81-72. Sopron n’a fait ainsi que de confirmer sa suprématie nationale puisque l’équipe est invaincue en championnat en 18 journées !\\n\\nAvec 20 points, la meneuse américaine Yvonne Turner (1,78m, 31 ans) a été la meilleure marqueuse de Sopron. En Euroleague, Turner a prouvé qu’elle possède un registre complet avec 13,6 points, 5,9 passes, 3,9 rebonds et 1,7 contre en moyenne. Avant la Hongrie, l’Américaine a bourlingué en Australie, Allemagne, Russie, Équateur, Turquie, Espagne et Pologne. Sa compatriote Candice Dupree (1,88m, 34 ans) possède un CV encore plus complet avec des passages au Spartak Moscou, à Koursk et encore à Prague, 412 matches en WNBA à 14,7 points et 6,7 rebonds, un titre de championne et six All-Star Game ! Sa valeur lui a permis d’intégrer Team USA et d’être championne du monde en 2010 et 2014. Elle a par ailleurs assumée son homosexualité en épousant sa compagne et ancienne équipière, DeWanna Bonner. Au soir de sa carrière, Candice Dupree assure 14,1 et 6,5 rebonds en Euroleague.\\n\\nQueralt Casas, de Charleville à Sopron\\n\\nLes autres joueuses clés de Sopron sont l’intérieure suédoise Amanda Zahui (1,96m, 25 ans, 11,6 points, 7,7 rebonds), l’ailière serbe Alekandra Crvendakic (1,87m, 22 ans, 11,6 points, 4,5 rebonds) et aussi l’Espagnole Queralt Casas (1,78m, 26 ans, 9,0 points, 5,2 rebonds et 3,3 passes) bien connue en France, puisqu’elle a porté les maillots de Nantes et Basket Landes avant de commencer la saison à Charleville. Sopron a par ailleurs la particularité d’avoir comme pivot remplaçante, la Hongroise Bernadette Hatar... 2,08m... Mais au rendement limité à 10’ par match et à 4,7 d’évaluation.\\n\\nC’est à la faveur du point average que les Hongroises se sont classées deuxièmes de leur groupe avec 8 victoires pour 6 défaites et on peut observer qu’elles avaient chuté lors de la première journée à Charleville (80-74) avant de se reprendre en Hongrie et d’infliger une correction aux Flammes (80-52). Leur plus bel exploit fut de s’imposer à Koursk (83-93 !) avec 21 points et 10 passes de Yvonne Turner et 24 points et 8 rebonds de Candice Dupree, alors qu’elles venaient de céder deux fois à domicile face à Fenerbahçe (80-84) et Salamanque (66-68).\\n\\nBourges, qui n’aura pas l’avantage du terrain en cas de belle, n’aura évidemment pas la partie facile mais se qualifier pour un Final Four est forcément au prix d’un exploit.\\n\\n« Nous sommes très heureuses de récupérer la coupe! », a commenté Zsófia Fegyverneky après le succès de son équipe. « Nous l’avons fait après une série de trois jours très difficile. Nous étions fatiguées physiquement, mais j’espère que ce succès donnera à l’équipe un regain d’énergie qui nous permettra de nous régénérer sous tous les aspects jusqu’à mardi, afin que nous puissions nous battre pour une place au Final Four. »\\n\\nAller: mardi 5 à Sopron. Retour: vendredi 8 à Bourges. Belle: mercredi 13 à Sopron.\\n\\nPhoto: Candice Dupree (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4 Fegyverneky Zsófia 1-2 178 HUN 1984\\n\\n9 Weninger Virág 2 178 HUN 1997\\n\\n10 Queralt Casas 2-1 180 ESP 1992\\n\\n11 Aleksandra Crvendakic 3-4 186 SRB 1996\\n\\n12 Czukor Dalma 3 183 HUN 1999\\n\\n13 Varga Kamilla 1-2 182 HUN 1999\\n\\n14 Határ Bernadett 5 208 HUN 1994\\n\\n15 Tina Jovanovic 5-4 192 SRB 1991\\n\\n17 Amanda Zahui 4-5 196 SWE 1993\\n\\n22 Turner Yvonne 2-1 178 HUN/EUR 1987\\n\\n35 Candice Dupree 4-5 188 USA 1984\\n\\n41 Dubei Debóra 3 183 HUN 1997\\n\\n\\nHeadcoach: Roberto Iniguez\\n\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"La photo: Le maillot du Carnaval de Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"Ceci n’est pas une pub! Mais le maillot Spécial Carnaval du BCM Gravelines-Dunkerque est suffisamment chatoyant pour qu’on le mette en exergue. Il est proposé à 45 euros (enfants) et 59 euros (adultes) dans la boutique du club. C’est beaucoup, beaucoup plus original qu’un jersey NBA et vous ne laisserez personne indifférent dans la rue et sur la plage !" }, {"role": "user", "content":"ASVEL: Alexis Ajinça est «en dehors de l’équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) ne devrait pas faire long feu à l’ASVEL. Suite à son altercation avec l’ancien international à la mi-temps du match du Portel, le coach Zvezdan Mitrovic a déclaré au Progrès que celui-ci est « en dehors de l’équipe ».\\n\\nPar la voix de son Directeur Général Adjoint, Alain Cloux, l’ASVEL a pour l’instant officiellement une position prudente:\\n\\n« Le club est en train de réfléchir, avec ses conseils, à la suite qui va être donnée à cette affaire. Le joueur ne fait pas, à ce jour, l’objet d’une procédure disciplinaire. Sa présence, ou son absence, est donc uniquement liée à des aspects sportifs. La meilleure des choses est qu’il ne participe pas à l’entraînement, mais nous ne lui avons pas imposé, de manière officielle, de ne pas participer aux entraînements. Aujourd’hui, tout est possible, » indique t-il au quotidien lyonnais.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Mike James (Milan) élu MVP du mois de février" }, {"role": "assistant", "content":"Meilleure évaluation, meilleur marqueur et deuxième meilleur passeur, Mike James (1,83m, 28 ans) pouvait difficilement être plus dominant en Euroleague. Il a logiquement été élu MVP du mois de février.\\n\\nSur cette période, l’ancien joueur du Panathinaïkos a tourné à 18,8 points (60% de réussite à deux points), 4,5 assists, 3,8 rebounds et 6,3 fautes provoquées pour une évaluation de 21,8. En plus d’avoir affolé les compteurs, le meneur milanais a marqué l’histoire de son club. Il a mené la formation lombarde à son premier mois sans défaite (4v-0d) en Euroleague depuis cinq ans et il est le premier joueur à obtenir cette distinction depuis quinze ans. Avec 479 points à son actif, l’ancien joueur de Vitoria est également le meilleur marqueur de l’histoire de l’Armani Milano sur une saison en Euroleague.\\n\\nActuellement, Milan pointe à la sixième place du classement avec treize victoire et onze défaites après 24 journées.\\n\\nPhoto :Ivan Mancini / Ciamillo / Armani Milano" }, {"role": "user", "content":"Espagne: l’édition 2020 de la Coupe du Roi à Malaga" }, {"role": "assistant", "content":"La Liga ACB a annoncé ce lundi sur les réseaux sociaux que c’est la ville de Malaga qui accueillera la prochaine édition de la coupe du Roi; le président Antonio Martin ayant finalisé le contrat entre la ligue espagnole et les autorités locales. Cette annonce indique également que l’Unicaja Malaga est d’ores et déjà qualifiée pour cette compétition en tant que club hôte.\\n\\nMalaga avait déjà été la ville organisatrice en 2001, 2007 et 2014.\\n\\n« Pour nous, c’est un plaisir d’être de nouveau ici, car c’est une ville qui porte le basket-ball au fond de son ADN », a déclaré Antonio Martín.\\n\\nEquivalent espagnol de la Leaders Cup, la Copa del Rey est un tournoi qui rassemble les sept meilleures équipes de la phase aller plus le club de la ville hôte. Cette année, la compétition s’est tenue à Madrid et a vue la victoire du FC Barcelone contre le Real Madrid à la suite d’une action finale très controversée...\\n\\n\\n\\n\\nAntonio Martín, presidente de la ACB: \\Es una alegría volver a estar aquí. Agradecemos el apoyo e interés de todas las instituciones implicadas en traer la próxima #CopaACB a Málaga. Es una ciudad que lleva el baloncesto muy dentro, en su ADN\\\\n\\n\\n➡️https://t.co/zPdMMgW7iG pic.twitter.com/SoagzdKVyc\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) March 4, 2019\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (Barcelone)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Hoopsidia défie le Dijonnais Axel Julien aux trick-shots" }, {"role": "assistant", "content":"Sur sa chaîne YouTube du nom de Hoopsidia, Valentin de son prénom, défie régulièrement des grands noms de la balle orange, que ce soit au HORSE où en 1 contre 1. Parmi les célébrités passées sur sa chaîne, on peut notamment mentionner l’arrière du Orlando Magic Evan Fournier ou encore George Eddy, commentateur culte sur Canal+.\\n\\nCette fois ci, c’est le meneur de la JDA Dijon Axel Julien (1,85m, 26 ans), connu pour ses tirs improbables, qui s’est prêté au jeu. Dans le palais des sports de Dijon, les deux hommes se sont défiés dans deux HORSE à coup de trick-shots qui n’ont rien à envier aux célèbres Dude Perfect." }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (Monaco) : «Je mérite d’avoir une chance ici»" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques heures de son premier match à la tête de l’AS Monaco face à Cholet, même s’il n’a pas encore été qualifié par LNB, Sasa Obradovic s’est livré sur son arrivée en Principauté sur le site du club.\\n\\n« L’une des raisons principales concerne les personnes qui m’ont fait venir. J’ai remporté le titre de champion d’Ukraine en 2012 avec le président Sergey Dyadechko (le président de l’ASM Basket aujourd’hui). Je suis en relation avec le directeur exécutif, Oleksiy Yefimov, depuis de nombreuses années (les deux hommes ont travaillé ensemble au BC Kiev en 2008/09). Quand j’étais joueur et que je choisissais une équipe, je pensais toujours à me retrouver dans une situation où les gens m’apprécient et me font confiance . C’est la même chose en tant qu’entraîneur. Il y avait une option aussi pour moi avec des équipes d’Euroligue, mais le plus motivant à mes yeux est de construire quelque chose sur la durée. Comme ce fut le cas à Donetsk, et ensuite à Berlin, durant quatre ans. Au Lokomotiv Kuban, je peux dire fièrement que le travail a été bien fait. On n’a pas remporté le titre, mais on a gagné la Coupe et on a atteint la finale de l’EuroCup. J’aurai la même ambition à Monaco, je ferai tout pour ne pas décevoir les gens. Durant toute ma carrière, j’ai toujours supporté beaucoup d’attente et de pression. Pour moi, ce n’est pas un problème. Si vous rencontrez la pression, c’est que votre job est important. »\\n\\nComme indiqué plus tôt, l’ancien coach de l’ALBA Berlin ne sera pas renseigné sur la feuille de match en tant qu’entraîneur principal de la Roca Team. Néanmoins, il aura quand même le droit d’être présent sur le banc monégasque.\\n\\n« Je n’ai rien à ajouter à ce que j’ai déjà dit : je ferai mon travail au mieux et le respect parlera de lui-même. Je suis très heureux d’être ici et totalement investi dans le challenge avec l’équipe. J’ai vraiment été touché par l’accueil chaleureux de tout le monde, les fans, les collègues, les joueurs, et je me sens déjà comme chez moi avec les joueurs et le staff. Je mérite d’avoir une chance ici. Et je suis sûr que tôt ou tard cette chance me sera donné. »\\n\\nMeilleur entraîneur d’Eurocup la saison dernière alors qu’il officiait au Lokomotiv Kuban, le technicien serbe s’est également exprimé sur sa vision du métier de coach.\\n\\n« En tant que coach, vous dépendez aussi du talent des joueurs. Parfois, les joueurs les plus talentueux ne sont pas les plus disciplinés, mais il y a des aspects incontournables selon moi. La discipline, c’est de respecter les autres dans le groupe, d’être professionnel, d’arriver à l’heure, de respecter vos partenaires, le coach, les adversaires.. A Monaco, l’une de mes premières phrases aux joueurs a été : je ne vais pas vous apprendre à jouer, mais là où je vais pouvoir vous rendre meilleurs, c’est au niveau de l’attitude, sur et en dehors du parquet, et l’on verra où cela va nous mener. Ce n’est pas un secret que la discipline et l’organisation, dans tous les domaines, sont les bases du succès. Je dirais que je suis un petit peu plus calme aujourd’hui. Mais toute l’énergie que vous insufflez à vos joueurs, à l’entraînement, et puis ensuite en match, il faut qu’ils la ressentent et qu’ils en prennent exemple. Je pense que l’énergie et la passion sont liées, et c’est ma façon de fonctionner. Parfois, quand je me vois à la télé, je suis un peu gêné... Il faut que je prépare mes joueurs à ma façon de coacher. Quand je m’énerve, il n’y a rien de personnel, c’est ma façon de travailler. Honnêtement, la plupart du temps, j’ai de bonnes relations avec mes joueurs. »\\n\\nEn plus de retrouver des dirigeants qu’il connait à Monaco, Sasa Obradovic récupère Elmedin Kikanovic avec lequel il a déjà travaillé à Berlin. L’ancien coach de Kiev a aussi souligné l’importance de Paul Lacombe.\\n\\n« Je me félicite de le retrouver et de pouvoir encore compter sur son talent. Avec Kikan, nous avons remporté la Coupe d’Allemagne. C’était un beau trophée, notre adversaire Munich, notamment, était une équipe d’Euroligue. L’Alba a été une période importante de ma vie. J’ai pu travailler quatre saisons là-bas, quatre années intenses. Sincèrement, j’attends beaucoup de Paul. C’est un très bon joueur, un gars que j’espère nous serons en mesure de garder à l’avenir. Il doit être le joueur qui identifie l’AS Monaco, un élément très important de notre construction. »\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Espagne : 34 d’évaluation pour Vincent Poirier, MVP de la 21e journée de championnat" }, {"role": "assistant", "content":"Au duel face à son compatriote Mathias Lessort lors du match entre Vitoria et Malaga, Vincent Poirier (2,13m, 25 ans) est sorti grand vainqueur de cette confrontation.\\n\\nAvec 18 points (8/8 aux tirs et 2/4 aux lancers), 8 rebonds et 4 contres, l’international français a compilé 34 d’évaluation dans la victoire des Basques (112-95), ce qui lui a valu d’être nommé MVP de la 21e journée de Liga Endesa. Il égale ainsi sa meilleure note à l’évaluation en carrière. En 2015/16, il avait déjà enregistré 34 d’évaluation avec le maillot du Paris-Levallois.\\n\\nCette saison, Vincent Poirier tourne en moyenne à 8,4 points et 5,4 rebonds en ACB, et 11 points et 7,3 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Baskonia" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : les 29 points et 35 d’évaluation de Will Daniels pour son retour en France" }, {"role": "assistant", "content":"De retour en France, à Levallois, quatre ans après son aventure avec le Limoges CSP, Will Daniels (2,03m, 32 ans) a bien fait comprendre aux clubs de Jeep Elite qu’il a toujours du basket plein les mains.\\n\\nDans la courte victoire des Metropolitans face à Châlons-Reims (83-78), l’ancien joueur de Nanterre, appelé en renfort notamment suite au départ de Julian Wright, a fait trembler les filets du Palais des Sports Marcel Cerdan. Pour son premier match sous les ordres de Freddy Fauthoux, l’ancien pensionnaire de l’université de Rhode Island a compilé 29 points, 5 rebonds et 3 interceptions pour une évaluation de 35.\\n\\nLa saison dernière en Turquie, Will Daniels tournait à 21,2 points et 5,7 rebonds.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Nationale 3 : Hyères-Toulon promu en nationale 2" }, {"role": "assistant", "content":"Rétrogradé en nationale 3 l’été dernier à la suite du rachat de ses droits sportifs par le Paris Basketball, Hyères-Toulon a franchi ce week-end la première étape de son processus de reconstruction.\\n\\nVainqueur de Menton ce samedi (76-68), le club varois a définitivement assuré la première place de la poule A, synonyme de montée en nationale 2 pour la saison prochaine. Un exercice 2018-9 pour le moment dominé de bout en bout par le HTV avec seulement une défaite en 17 matchs joués et ainsi une montée acquise à cinq journées de la fin du championnat.\\n\\nhttps://www.facebook.com/htvbasket/videos/367189083872854/" }, {"role": "user", "content":"Nanterre: Le panier incroyable de Lahaou Konate, la blessure du meneur Dominic Waters" }, {"role": "assistant", "content":"Hier soir, dans son palais des sports Maurice-Thorez, Nanterre a totalement jugulé Limoges et grâce à un panier incroyable de Lahou Konate au buzzer, l’équipe de Pascal Donnadieu a même récupéré le point-average: 86-65.\\n\\nSeulement, les Nanterriens déplorent par ailleurs la blessure à la cuisse de leur meneur de jeu Dominic Waters (1,85m, 32 ans), qui est survenue à l’entraînement de samedi. L’Américain doit passer des examens aujourd’hui. Le coach craint une absence longue durée et est parti en chasse d’un pigiste alors que son équipe doit affronter les Turcs de Besiktas mercredi en Champions League.\\n\\nPhoto: Dominic Waters (Nanterre 92)\\n\\n\\n\\n\\n🚨🚨 ALERTE BUZZER BEATER🚨🚨@lahaouKonate inscrit un panier du milieu de terrain pour parachever le succès de @Nanterre92 face au @limogescsp #JeepELITE pic.twitter.com/4hnbLPgXPd\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) March 3, 2019" }, {"role": "user", "content":"ASVEL: Alexis Ajinça va être reçu cette semaine par ses dirigeants" }, {"role": "assistant", "content":"Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) va rencontrer ses dirigeants dans la semaine, entre mardi et jeudi, indique L’Equipe dans sa livraison du jour. La convocation fait suite à son altercation avec le coach Zvezdan Mitrovic à la mi-temps du match contre Le Portel alors qu’il venait d’écoper d’une faute technique.\\n\\n« Sans entrer dans les détails, c’est contraire à ce qu’on attend dans le comportement de nos joueurs à l’ASVEL. Et très clairement, oui, on déplore ce genre d’attitude. On a déjà échangé à ce sujet avec Tony (Parker), on réfléchit sur les suites à donner. Oui, il peut être sanctionné », commente le président délégué Gaétan Muller dans le quotidien sportif." }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Eurocup et BCL, c’est du sérieux !" }, {"role": "assistant", "content":"Ce sont les playoffs en Eurocup et Basketball Champions League pour Villeurbanne, Le Mans et Nanterre. C’est sur Canal+ Sport. Par ailleurs, RMC Sport propose quantité de matches de Jeep Elite sur ses différents canaux. Rappelons que désormais les matches de Jeep Elite du lundi soir sont visibles gratuitement sur rmcsport.fr et sur l’application gratuite RMC Sport.\\n\\nLundi 4 mars:\\n\\n20h45 – Monaco/Cholet – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 5 mars:\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Andorre – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Le Mans/Bologne – BCL – Canal+ Sport\\n\\nMercredi 6 mars:\\n\\n20h30 – Nanterre/Besiktas – BCL – Canal+Sport\\n\\nJeudi 7 mars:\\n\\n18h15 – Darussafaka/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live\\n\\n19h00 – Kaunas/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live\\n\\n20h30 – Munich/Tel-Aviv – Euroleague – RMC Sport Live\\n\\n21h00 – Madrid/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\nVendredi 8 mars:\\n\\n18h00 – Moscou/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Efes/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Podgoricia/Olympiakos – Euroleague- RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Châlons-Reims/Gravelines – Jeep Elite – RMC Sport Live 8\\n\\n20h00 – Antibes/Bourg – Jeep Elite – RMC Sport Live 9\\n\\n20h30 – Vitoria/Khimki – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h45 – Andorre/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\nSamedi 9 mars:\\n\\n18h30 – Nanterre/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Le Portel/Pau – Jeep Elite – RCM Sport Live 5\\n\\n20h00 – Chalon/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Boulazac/Fos – Jeep Elite – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Cholet/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport Live 8\\n\\nDimanche 10 mars:\\n\\n18h30 – Le Mans/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 11 mars:\\n\\n20h45 – Cholet/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Haukur Palsson (Nanterre), FIBA" }, {"role": "user", "content":"Monaco-Cholet: Le lien pour suivre gratuitement le match à 20h45" }, {"role": "assistant", "content":"[arm_restrict_content type= »hide »]\\n[armelse]\\n[/arm_restrict_content]\\n\\nLe match Monaco-Cholet, ce soir à 20h45, comptant pour la 21e journée de Jeep Elite, est diffusé en direct et en clair sur le site et l’application gratuite de RMC Sport, qui en fera de même pour toutes les rencontres du lundi soir jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nIl s’agit du premier match pour la RocaTeam avec Sasa Obradovic comme coach et elle a bien l’intention d’intégrer rapidement le top 8 alors que Cholet est prêt à réaliser un exploit comme à Villeurbanne pour assurer son maintien.\\n\\nLe lien est ICI.\\n\\nPhoto: Sasa Obradovic." }, {"role": "user", "content":"Monaco: Non qualifié pour le match contre Cholet, le coach Sasa Obradovic aura le droit d’être sur le banc !" }, {"role": "assistant", "content":"Selon un communiqué de l’AS Monaco, le coach serbe Sasa Obradovic, non qualifié pour le match contre Cholet demain aura... le droit d’être sur le banc !\\n\\n\\n« Monaco le, dimanche 3 mars 2019\\n\\nNous avons été notifiés vendredi 1er mars 2019 en fin d’après midi par la LNB :\\n\\n– de l’homologation du contrat de Sasa Obradovic en qualité d’entraineur professionnel;\\n– de la non qualification de Sasa Obradovic en qualité d’entraîneur de l’AS Monaco.\\n\\nNous savons pouvoir compter sur les règles et les règlements de la LNB, de la FFBB, et sommes confiants que Sasa Obradovic aura la chance qu’il mérite, non seulement du fait de son palmarès, mais aussi en raison de ses qualifications qui répondent aux critères requis par le basket français.\\n\\nNéanmoins, nous espérons la confirmation de la date à laquelle se réunira la Commission nationale d’équivalence des diplômes (qui agira pour le compte et sous la juridiction du Ministère français des sports), dans l’attente que celle-ci puisse examiner le dossier de notre entraîneur.\\n\\nPour le match de Jeep Élite contre Cholet, Sasa Obradovic aura le droit d’être présent sur le banc et d’encadrer son équipe.\\n\\nToutefois, afin de respecter pleinement le règlement, Olivier Basset et Johann Boscher, tous deux entraîneurs diplômés, seront à ses côtés. »\\n\\nPhoto: AS Monaco" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le panier de la victoire de Gary Florimont (Paris) face à Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Le Paris Basketball a mis en ligne le panier de la victoire réalisé par Gary Florimont (2,02m, 31 ans) face à Blois, 84-82. Le Guadeloupéen a transformé 5 de ses 7 essais au cours de la soirée.\\n\\nhttps://www.facebook.com/ParisBasketball/videos/561716527572716/?__tn__=kC-R&eid=ARDrB2qMUXpAt7J8PVrvGPrzxQ5vRKauBzUMQ0sGKfqTs4lvcsYtgthBxUmh_8MnydIwaka9Y7M6sgei&hc_ref=ARTh1D27uEyjXcoDoaXX876rGWpK-Bw0DJSGPXy9Mwm5r_rhxvyd88SBI4WgU-HfgKk&fref=nf&__xts__[0]=68.ARA3UBVuT0JVAOEtnRXVRt3IzWJ6AgrC2YXAdmF7D-OAnlNiRCVY5ZAZYllV5rgIKgol0u14MYcP4JuScJJOsy2lp8pUX8tRs2PqvROExaZ9aReLgo2fF9hgCe0fzHNG9-Fui-khK6FCLn6T4csflvgUCUJ_8vGDcxynVr5fipVe95RvtKughuSrZD9GDrINMOUGn8DsFekg2t5gEIKoc6OjE6xltaHalJXHieliYitMQC8sSZv4E2REu6GHVYtKzyMdiL2T_dqkiOA8Te3w99xjqxkZNxuKrIqobYP5gk1yiWsyC8S_WSiiEgBN-5wgesoqvZCGOZXk2Prv8ggKNG70-pcN7CuvqlSlJpdv64oce7ETHe9hpwqpPBpB6GBb-Q\\n\\nPhoto: Paris Basketball" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le chiffre: 2/9 pour Gries face aux équipes du top 8" }, {"role": "assistant", "content":"Ce sont les DNA qui le rappellent dans leur édition du jour: Gries n’a gagné que deux matches sur neuf face à des équipes du top 8 actuel de la Pro B: Vichy-Clermont et Saint-Chamond.\\n\\nAlors comment les Alsaciens peuvent-ils se retrouver septièmes avec 11 victoires en 19 journées?\\n\\nC’est que pendant ce temps, le BCGO n’a échoué qu’une fois -contre Quimper- face à une équipe classée entre la 9e et la 18e place.\\n\\n« Il ne faut ni oublier qui on est ni d’où l’on vient », commente le coach Ludovic Pouillart à propos des résultats du promu face aux cadors de la division. « La réalité, c’est que ces équipes ne baissent jamais d’intensité, y compris lorsqu’elles effectuent des rotations. 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Un victoire acquise au mental pour les Bressans, qui se sont appuyés sur un cinq majeur, Youssou Ndoye (24 points, 14 rebonds), Sim Garrett (20 points, 5 passes), Zachery Peacock (17 points, 6 rebonds), Mike Moser (13 points, 7 rebonds), Maxime Courby (9 points), qui a réalisé 102 des 107 points de l’évaluation !\\n\\nEn conférence d’après-match, Maxime Courby, a salué le mental dont ont fait preuve ses coéquipiers pour aller chercher cette victoire.\\n\\n« On a été mené une bonne partie du match, on est allé la chercher avec les tripes, on a tout donné et au final c’est payant. On est très contents, on revient de loin quand même. Ce n’est pas un hold up, mais on n’a pas maîtrisé ce match, on est allé le chercher au courage et à l’envie. C’est toujours plaisant de faire ça, encore plus à domicile. On tient avec cette victoire à rendre hommage à Didier, un bénévole du club qui nous a quittés le 25 février dernier. »\\n\\nJulien Desbottes, président de la JL Bourg, a tenu à rendre lui aussi hommage à ce bénévole:\\n\\n« C’est la victoire du cœur, le cœur de notre bénévole, c’était l’un des piliers de notre club. Il nous a toujours aidés, il avait un cœur énorme avec beaucoup de volume dans le club, et l’on l’adorait pour ça. Je suis tellement fier qu’un de nous joueurs lui ait dédicacé la victoire, car il fallait un cœur de lion pour aller chercher cette victoire contre une équipe de Dijon rompue au joutes de la coupe d’Europe. C’est bien de les battre deux fois car ces dernières années Dijon était un peu devenu notre bête noire. »\\n\\nLaurent Legamme, coach de Dijon, a pointé du doigt les erreurs défensives de son équipe, qui lui ont coûté le match selon lui :\\n\\n« Il ne manquait pas grand chose, mais on ne peux pas gagner en laissant Bourg marquer 90 points. C’était dans l’ensemble un très beau match de basket entre deux très bonnes équipes. On a plutôt bien maîtrisé le match sur une bonne partie de la rencontre. On fait une excellent première mi-temps défensivement (35 points encaissés). On loupe l’occasion de faire le break par manque d’efficacité. On trouve moyen de le faire en début de deuxième mi-temps avec de l’adresse mais on oublie complètement de défendre. On encaisse 8 points dans les deux premières minutes de la deuxième mi-temps, et également 15 points entre la vingt-cinquième et la trentième minute. Et ça continue dans le dernier quart temps. Il y a certes des gros shoots de Zack Peacock, mais sur d’autres choses on n’y est pas, notamment sur les drives et les décalages sur Ndoye. On a eu également un gros problème sur pick-and-roll avec Sim et Peacock sur les sept dernières minutes. Quand une équipe met 55 points en deuxième mi-temps, c’est impossible de gagner, surtout au vue des qualités offensives de Bourg-en-Bresse ».\\n\\nPhoto: Julien Desbottes (JL Bourg)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le match du Carnaval à Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"Le match du Carnaval à Gravelines est l’assurance d’avoir du spectacle haut en couleurs dans les tribunes. Alors quand en plus il y a la victoire au bout (88-71) face aux Sharks d’Antibes, c’est le bonheur total. Reportage vidéo du BCM." }, {"role": "user", "content":"Les Français de Jeep Elite: Bilan à la trêve (2e partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir analysé l’impact des joueurs français de Jeep Élite sur le championnat, il est maintenant temps de s’intéresser aux « noms » : quelles sont les têtes d’affiche, les valeurs sûres, ceux qui émergent, les joueurs de complément, ceux dont on attend plus ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi 131 joueurs français ont foulé à au moins une reprise le parquet lors d’une des vingt premières journées de Jeep Élite, tous n’ont pas le même statut, n’ont pas montré les mêmes qualités. De ceux qui sont passés comme des « courants d’air » (le plus souvent des Espoirs présents sur la feuille de match pour faire le nombre et grappillant quelques maigres minutes) à ceux qui se révèlent être le meilleur joueur de leur équipe, l’amplitude est importante.\\n\\nLes têtes d’affiche\\n\\nSans conteste, quelques joueurs français règnent sur leur équipe, voire vont concourir pour le titre de MVP de Jeep Élite en fin de saison. Le premier d’entre-eux est Lahaou Konaté (Nanterre 92), au four et au moulin dans l’équipe de Pascal Donnadieu, pour qui il joue 31,5 minutes par match avec un rendement sans faille : 13,2 points, 16,5 d’évaluation. De son côté, Youssoupha Fall (Strasbourg) domine les raquettes du championnat de France : 19,8 d’évaluation en 23 minutes. On pourra certes lui reprocher de manquer de régularité, de faire trop de fautes et de parfois sortir de son match, mais lorsqu’il est à son meilleur, il est tout simplement inarrêtable. Pour sa part, Paul Lacombe (Monaco) se démène semaine après semaine pour maintenir son équipe hors de l’eau avec son habituelle générosité et un jeu qui se polit (malgré encore quelques scories), d’où une superbe évaluation de 17,4. Quant à Jerry Boutsiele (CSP Limoges), il n’en finit plus de surprendre, ayant même supplanté un joueur du calibre de Samardo Samuels dans la rotation. Alors certes, il n’affiche « que » 7,8 points et 10,7 d’évaluation, mais en 20,5 minutes et en prenant toujours plus de poids dans l’effectif limougeaud.\\n\\nLes valeurs sûres\\n\\nSans être la « première gâchette » de leur équipe, de nombreux joueurs français disposent d’un rôle très important dans leur effectif. Ils jouent longtemps, ont un réel impact sur le collectif, affichent des statistiques replètes, pour la plupart.\\n\\nAmine Noua (LDLC Asvel) est l’un d’eux : à tout juste 22 ans, il fait déjà partie des joueurs majeurs de l’effectif à rallonge de la meilleure équipe de cette première partie de saison. Dans le même ordre d’idée, Jérémy Leloup et Axel Julien sont indispensables au bon fonctionnement du collectif de la JDA Dijon. À Limoges, Axel Bouteille score encore et toujours alors que, à Nanterre, Hugo Invernizzi assume de mieux en mieux son passage du poste 3 au poste 4, avec une rentabilité certaine. Pour sa part, Ali Traoré (Strasbourg) montre qu’il reste un pivot attaquant de haut niveau, capable de prendre le relais de Youss’ Fall lorsque ce dernier est blessé ou hors du coup. À Bourg-en-Bresse, Maxime Courby ne brille pas par ses stats (9,3 d’éval) mais Savo Vucevic ne le fait pas jouer près de 23 minutes par match sans raison : défense, « huilage » du collectif, shoot à 3 points, il se montre précieux dans tous les secteurs. Au Mans, le collectif est porté par plusieurs joueurs contribuant régulièrement à la bonne marche de l’équipe : Antoine Eito, Valentin Bigote, Petr Cornélie et Will Yeguete. De son côté, Yakouba Ouattara (Monaco) montre de belles choses lorsqu’il est en bonne santé, tout comme Benjamin Séne et Alain Koffi à Gravelines-Dunkerque. Le pivot franco-néerlandais de Boulazac, Nicolas De Jong, continue pour sa part à démontrer qu’il reste un attaquant racé (14,1 points). Ousmane Camara et Mike Gelabale sont de leur côté indispensables au collectif de Chalon-sur-Saône, tout comme Johan Passave-Ducteil – et dans une moindre mesure Yannis Morin – dans celui de Châlons-Reims. À Cholet, Abdoulaye Ndoye ne peut plus être considéré comme un « jeune » (même s’il n’a que 21 ans) : il est un joueur majeur de l’effectif, évoluant 25,7 minutes par match pour 8,5 d’éval. Et son coéquipier Pape Sy tient un rôle similaire. Jean-Victor Traoré et Benoît Mangin font pour leur part tout ce qu’ils peuvent pour améliorer les résultats du Portel, tout comme Edouard Choquet à Fos-sur-Mer.\\n\\nOn en attend plus\\n\\nQu’ils reviennent de blessure, qu’ils soient encore jeunes ou que l’on soupçonne que leur potentiel leur permettrait de faire mieux, un certain nombre de joueurs (14) laissent un peu l’observateur sur sa faim. En bref, on attend d’eux qu’ils fassent mieux.\\n\\nÀ Villeurbanne, c’est le cas de Livio Jean-Charles, Alexis Ajinça et Charles Kahudi. Resté sans jouer pendant un long bail, Ajinça est en phase de « remise en route » alors que les deux autres voient leurs performances pénalisées par un état de santé pas toujours au top. Du côté de Limoges, les blessures n’y sont pour rien, mais Jonathan Rousselle, Damien Inglis et William Howard, sans pour autant démériter, laissent à penser qu’ils pourraient apporter plus à leur équipe. C’est également le cas de Jérémy Nzeulie à Strasbourg, qui semble avoir perdu la mire en venant de Chalon. Terry Tarpey (Le Mans) ne montre pas le même volume de jeu que l’année dernière, les blessures paraissant le handicaper. À Fos-sur-Mer, Xavier Gaillou est un remplaçant qui devrait pouvoir apporter un peu plus alors que Tariq Kirksay doit remettre en route sa « vieille carcasse » après sa longue absence pour blessure. Même s’il est beaucoup plus jeune, Isaia Cordinier vit la même situation, et Antibes espère qu’il va monter en puissance au fil des matchs. Enfin, cette catégorie regroupe aussi quelques jeunes joueurs qui ne montrent pas encore toutes leurs qualités : Jean-Marc Pansa (Nanterre), Bathiste Tchouaffé (Bourg) et Ivan Février (Levallois). Mais le temps joue en leur faveur.\\n\\nIls émergent\\n\\nCertains sortent juste de centre de formation, d’autres montrent un niveau qu’on ne leur connaissait pas jusqu’alors, bref, ils sont les bonnes surprises de la première partie de saison.\\n\\nÀ LDLC Asvel, Théo Maledon n’en finit pas d’épater en s’imposant dans la rotation (et même parfois dans le cinq majeur) alors qu’il n’a toujours que 17 ans. Du côté de Pau-Lacq-Orthez, le guerrier Léo Cavalière fait de plus en plus sa place dans la rotation alors que Digué Diawara montre de belles choses. Le constat est identique pour Alexandre Chassang à Dijon, où il s’affirme comme un intérieur rentable et combatif. Du côté de Limoges, Sekou Doumbouya montre par intermittence pourquoi il est un prospect NBA alors qu’à Bourg-en-Bresse Arthur Rozenfeld assimile de mieux en mieux la méthode de son coach et gagne en régularité. À Chalon-sur-Saône, ce sont deux jeunes joueurs, Etienne Ca et Mathis Dossou Yovo, qui pointent le bout de leur nez, tout comme Louis Cassier à Châlons-Reims. Après un début de championnat en dessous des attentes, Killian Hayes (Cholet) commence à montrer pourquoi tant d’espoirs ont été placés en lui, tandis que Ludovic Beyhurst s’installe dans la rotation strasbourgeoise, même s’il doit encore faire plus dans la gestion de l’équipe et la menace offensive. Enfin, à Fos-sur-Mer, Pierre Pelos n’en finit pas de surprendre : Nationale 1, ProB ou Jeep Élite, il affiche toujours peu ou prou les mêmes statistiques, scorant 12,3 points et affichant un joli 15,1 d’évaluation.\\n\\nLes joueurs de complément\\n\\nReste, enfin, la catégorie des joueurs dits « de complément » – ils ne figurent pas parmi les joueurs majeurs de l’effectif mais apportent qui de la défense, qui du rebond, qui du scoring, permettent à un titulaire de souffler sans que le collectif n’en pâtisse, en somme apportent leur pierre à l’édifice. En vrac, ils sont une grosse vingtaine à correspondre à l’un ou l’autre de ces critères : Alpha Kaba et Charles Galliou (Asvel), Yannick Bokolo (Pau-Lacq-Orthez), Abdoulaye Loum (Dijon), Corentin Carne (Nanterre), Flo Pietrus et Nicolas Lang (Strasbourg), Georgi Joseph, Rémy Barry et Luc Loubaki (Monaco), Bangaly Fofana et Jean-Michel Mipoka (Gravelines-Dunkerque), Cyrille Eliezer-Vanerot, David Michineau et Maxime Ross (Levallois), Jérôme Sanchez, Jean-Frédéric Morency et Rémi Lesca (Boulazac), Bastien Pinault (Chalon), Gédéon Pitard et Sadio Doucouré (Châlons-Reims), Romain Duport (Cholet), Pierre-Etienne Drouault (Le Portel), Abdoulaye Mbaye et Mamadou Dia (Fos-sur-Mer), Paul Rigot et Fernando Raposo (Antibes).\\n\\nEn conclusion, la Jeep Élite donne à chaque supporter la chance de voir évoluer des joueurs français de bon, voire de très bon, niveau. Ce serait dommage de ne pas en profiter !\\n\\n[armelse]\\n\\nSi 131 joueurs français ont foulé à au moins une reprise le parquet lors d’une des vingt premières journées de Jeep Élite, tous n’ont pas le même statut, n’ont pas montré les mêmes qualités. De ceux qui sont passés comme des « courants d’air » (le plus souvent des Espoirs présents sur la feuille de match pour faire le nombre et grappillant quelques maigres minutes) à ceux qui se révèlent être le meilleur joueur de leur équipe, l’amplitude est importante.\\n\\nLes têtes d’affiche\\n\\nSans conteste, quelques joueurs français règnent sur leur équipe, voire vont concourir pour le titre de MVP de Jeep Élite en fin de saison. Le premier d’entre-eux est Lahaou Konaté (Nanterre 92), au four et au moulin dans l’équipe de Pascal Donnadieu, pour qui il joue 31,5 minutes par match avec un rendement sans faille : 13,2 points, 16,5 d’évaluation. De son côté, Youssoupha Fall (Strasbourg) domine les raquettes du championnat de France : 19,8 d’évaluation en 23 minutes. On pourra certes lui reprocher de manquer de régularité, de faire trop de fautes et de parfois sortir de son match, mais lorsqu’il est à son meilleur, il est tout simplement inarrêtable. Pour sa part, Paul Lacombe (Monaco)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Léopold Cavalière, Pau (LNB/Hervé Bellenger), Yakuba Ouattara, Monaco (Eurocupbasketball), Jean-Marc Pansa, Nanterre (FIBA), Arthur Rozenfeld, Bourg (LNB/Hervé Bellenger), Abdoulaye Loum, Dijon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Rick Pitino (Panathinaikos): «Le jeu en Euroleague est plus physique qu’en NBA»" }, {"role": "assistant", "content":"Embauché comme coach du Panathinaikos, Rick Pitino a maintenant du recul pour dresser des comparaisons entre la NBA et l’EuroLeague. Interrogé par La Provincia, Pitino a répondu:\\n\\n«Le style de jeu en EuroLeague est ce qui se rapproche le plus de ce que l’on appelle le « basketball ». Ce que vous apprenez depuis votre enfance. Mais cela se produit avec tous les joueurs de la compétition, qu’ils aient 25 ou 35 ans (...) Le jeu en EuroLeague est plus physique qu’en NBA. »\\n\\nRick Pitino a dû également se familiariser avec les moeurs européens et plus particulièrement avec ceux qui ont cours en Grèce :\\n\\n« Je dois être un entraîneur différent ici. En Europe, le style de vie est très différent de celui que j’avais aux États-Unis. J’ai même appris la rivalité qui existe entre les fans. Quelque chose que je n’ai pas vu aux États-Unis. Pour moi, maintenant, c’est envers l’Olympiacos que je dois avoir une véritable haine, parce que le Panathinaikos doit toujours les battre», a-t-il plaisanté.\\n\\nPitino a également commenté la saison de rookie du Slovène Luka Doncic aux Dallas Mavericks :\\n\\n« C’est un joueur fantastique et ce n’est que sa première année. Il est clair qu’il peut faire tout ce qu’il a démontré à Dallas parce qu’il a un grand talent. Je pense que les bons joueurs d’EuroLeague peuvent bien se comporter en NBA. Et ceux qui n’atteignent pas ce niveau peuvent toujours profiter de cette compétition [l’EuroLeague] qui est la NBA en Europe. 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Je n’avais jamais eu d’appel du Sénégal avant, alors que la France, où je vis depuis des années, s’est intéressée à moi dès le début. J’ai fait beaucoup de démarches, de tests de français, pour obtenir ma naturalisation. Alors je préfère ne plus penser à ça, me concentrer sur mon développement en tant que joueur et laisser mes agents (Bouna Ndiaye, l’agence ComSport) gérer cela. Et on verra bien ce qui se concrétisera... Ou pas. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Barça se paye encore le Real Madrid !" }, {"role": "assistant", "content":"Thomas Heurtel aime les gros matchs. Et le meneur tricolore l’a encore prouvé hier soir face au Real Madrid. Il a signé un double double à 17 points et 10 passes pour complémenter parfaitement le travail de son pivot croate, Ante Tomic (22 points, 13 rebonds). Et comme à la Copa del Rey, le Barça se joue du Real (77-70).\\n\\nPlus tôt dans la soirée, le CSKA Moscou n’a pas fait dans les sentiments pour la 300e de Vassilis Spanoulis avec une victoire conclue en boulet de canon face à l’Olympiakos (97-81). Nando De Colo (16 points) et les siens conservent leur place sur le podium. Le Bayern s’est quant à lui imposé à Podgorica pour garder le rythme du train des playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nThomas Heurtel, l’antidote\\n\\nAprès leur victoire en Copa Del Rey, les Barcelonais ont de nouveau eu la peau du Real Madrid. Et c’est encore Thomas Heurtel (17 points, 10 passes) et Ante Tomic (22 points, 13 rebonds) qui ont été les principaux artisans du succès catalan, lors de la soirée hommage à Juan Carlos Navarro qui voyait son maillot retiré officiellement. Cela a été fait dans les règles de l’art avec un succès de plus en Clasico et Heurtel qui est décidément l’antidote contre le Real (77-70).\\n\\nMadrid s’est accroché jusqu’au bout, avec Facundo Campazzo qui a réduit la distance à 5 longueurs en fin de match, mais face à Kyle Kuric (15 points en 17 minutes) et un large déficit aux rebonds (43-32), les coéquipiers de Rudy Fernandez (15 points) ont dû s’incliner à la loyale. Ce n’est finalement que la première fois qu’ils perdent contre leur rival depuis l’intronisation du nouveau format Euroleague...\\n\\n\\nLe CSKA Moscou étrille l’Olympiakos\\n\\nL’Olympiakos aura tenu trois quarts temps avant de craquer définitivement dans le dernier, au cours d’un 26-7 fatal. C’est la 6e victoire de suite du CSKA et à l’inverse, la 5e défaite de rang de l’Olympiakos (97-81). Zach LeDay (21 points, 9 rebonds) aura été bon pour les locaux mais le CSKA a su serrer sa défense dans le crunch.\\n\\nNando De Colo (16 points) termine dans le tir groupe du CSKA avec Sergio Rodriguez à 15 points et 12 passes ou Cory Higgins à 18 points. Pour sa 300e apparition en Euroleague, le 5e joueur de l’histoire après Juan Carlos Navarro, Felipe Reyes, Paulius Jankunas et Nikos Zisis, Vassilis Spanoulis termine à 14 points, 7 passes et 4 balles perdues. Axel Toupane est discret avec 4 points...\\n\\n\\nLe Bayern mate Podgorica\\n\\nEdwin Jackson aura eu beau être étincelant derrière l’arc avec un magnifique 5/7 pour 19 points au total, Podgorica n’a pas réussi à résister à la puissance du Bayern Munich en 2e mi-temps (89-75). Vladimir Lucic (18 points, 7 rebonds) et Danilo Barthel (16 points) ont porté l’attaque bavaroise qui met fin à une série de 2 défaites de rang.\\n\\nPour le retour de Dejan Radonjic à Podgorica où il a été joueur et entraîneur, le Bayern a parfaitement récité sa partition, terminant à 68% de réussite à deux points. Nemanja Dangubic (13 points) et Petteri Koponen (11 points) ont complété l’effort avec un ultime 8-0 pour décrocher les locaux.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 19 points (6/11 aux tirs dont 5/7 à trois points), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception en 26 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 18 points (7/14 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 26 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 17 points (6/8 aux tirs), 10 passes, 3 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 24 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 16 points (6/13 aux tirs), 4 passes, 1 rebond en 21 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 13 points (6/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 8 points (3/12 aux tirs), 9 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 5 points (1/4 aux tirs), 5 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 18 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 5 points (2/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 4 points (1/2 aux tirs), 1 balle perdue en 9 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 3 points (1/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre, 2 balles perdues en 6 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/5 aux tirs), 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 10 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nPour l’ensemble de son oeuvre sur cette saison en Euroleague, et les précédentes, Will Clyburn mérite bien qu’on se penche sur son cas. L’arrière du CSKA Moscou a pris part intégrante dans la démonstration offensive de l’armada moscovite avec un dunk planant pour conclure l’affaire !\\n\\n\\n\\n\\nOH MY GOODNESS @Da_Thrill21 😱#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/RrEb744E4O\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 1, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 24e journée\\n\\nJeudi 28 février :\\nKhimki Moscou – Milan (88-90)\\nFenerbahçe – Efes Istanbul (84-66)\\nMaccabi Tel Aviv – Darussafaka (77-58)\\nVitoria – Zalgiris Kaunas (80-73)\\nGran Canaria – Panathinaikos (80-99)\\n\\nVendredi 1er mars :\\nPodgorica – Bayern Munich (75-89)\\nOlympiakos – CSKA Moscou (81-97)\\nBarcelone – Real Madrid (77-70)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 25e journée\\n\\nJeudi 7 mars :\\nDarussafaka – Panathinaikos (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Gran Canaria (19h)\\nBayern Munich – Maccabi Tel Aviv (20h30)\\nReal Madrid – Fenerbahçe (21h)\\n\\nVendredi 8 mars :\\nCSKA Moscou – Milan (18h)\\nEfes Istanbul – Barcelone (18h30)\\nPodgorica – Olympiakos (19h)\\nVitoria – Khimki Moscou (20h30)\\n\\nA lire aussi : Vitoria se remet la tête à l’endroit\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nThomas Heurtel, l’antidote\\n\\nAprès leur victoire en Copa Del Rey, les Barcelonais ont de nouveau eu la peau du Real Madrid. Et c’est encore Thomas Heurtel (17 points, 10 passes) et Ante Tomic (22 points, 13 rebonds) qui ont été les principaux artisans du succès catalan, lors de la soirée hommage à Juan Carlos Navarro qui voyait son maillot retiré officiellement. Cela a été fait dans les règles de l’art avec un succès de plus en Clasico et Heurtel qui est décidément l’antidote contre le Real (77-70).\\n\\nMadrid s’est accroché jusqu’a\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine: Bourges-Charleville de nouveau à l’affiche en finale" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la troisième fois consécutive, Bourges-Charleville sera à l’affiche de la finale de la Coupe de France féminine à l’AccorHôtel Arena de Paris, le samedi 11 mai.\\n\\nEn demi-finale, les Berruyères ont pris leur revanche (79-60) face aux Lyonnaises qui les avaient battues deux fois en championnat et qui peuvent avancer comme circonstances atténuantes les absences de Alysha Clark, Fati Sacko et Lidija Turcinovic. Avec une défense oppressante (8 points encaissés), les Tango ont fait une différence définitive dans le deuxième quart-temps. La paire Alexia Chartereau (19 points, 7/9 aux shoots, 4 rebonds)-Marine Johannès (17 points mais 0/7 à trois-points, 3 rebonds et 4 passes) a été offensivement la plus prolixe, alors qu’en face si la Canadienne Michelle Plouffe a scoré 14 points et 5 rebonds, elle a aussi commis 6 des 21 balles perdues de l’ASVEL.\\n\\nPendant ce temps là, Charleville a dominé Tarbes (65-55) qui a marqué presque autant dans le dernier quart-temps (27) que durant les trois premiers (28), Marine Fauthoux, 18 ans, confirmant avec 16 points sa capacité à scorer. Dans le camp carolo, l’Américaine Haley Peters a réalisé un joli double double avec 16 points et 14 rebonds.\\n\\nLe programme*:\\n\\nVendredi 10 mai 2019\\n18h00 : Finale Trophée féminin\\n20h30 : Finale Trophée masculin\\n\\nSamedi 11 mai 2019\\n11h30 : Finale U18 féminines\\n14h00 : Finale U17 masculins\\n16h30 : Finale Pro féminines – Trophée Joë Jaunay*\\nBourges Basket – Flammes Carolo\\n19h00 : Finale Pro masculins – Trophée Robert Busnel*\\n\\n*sous réserve de modification TV" }, {"role": "user", "content":"David Andersen (Strasbourg): «Youssoupha (Fall) est impressionnant!»" }, {"role": "assistant", "content":"La SIG Strasbourg a contrôlé tout le match et pourtant un dernier tir -en déséquilibre- au buzzer du nouvel arrière du Mans, Kendrick Ray, aurait pu tout gâcher. Le missile a manqué sa cible. 77-75. Et voici les Alsaciens qui se détachent de leurs adversaires du soir au classement:\\n\\n« C’était un match charnière parce qu’on est dans les matches retour et que cette équipe était à égalité avec nous », a résumé le coach Vincent Collet en conférence de presse. » Le fait de gagner une 2de fois contre Le Mans nous permet d’avoir une victoire d’avance plus le panier average. Dans l’optique des Playoffs c’est quelque chose qui compte forcément. On aurait pu le regretter amèrement si on avait perdu au final, parce que malgré tout on l’avait plutôt contrôlé sur la durée. Mais c’est le basket, et on sait que tout peut arriver jusqu’au dernier moment si tu n’as pas fait ce qu’il faut pour terminer (...) Là où je suis satisfait c’est qu’on a intégré deux joueurs en quatre jours. Cela n’a pas remis en cause le travail de la semaine et nous avons eu de la qualité à l’entraînement et on l’a vu ce soir. Il y a eu une belle générosité mais cela explique aussi, peut-être, quelques retards mais ça n’explique pas qu’on se soit fait écraser au rebond, et en particulier en 1ère mi-temps, ce qui permet au Mans de rester dans ce match. Seize rebonds offensifs à la mi-temps c’est du jamais vu. Ce soir c’était vraiment le tendon d’Achille de la SIG Strasbourg. Mais, même si tout était loin d’être parfait, on a encore montré ce soir du jeu de passes, de la qualité, de l’effort et les joueurs ont joué ensemble ».\\n\\nAvec 6 points et 6 rebonds et quelques moves dont il a le secret, David Andersen (2,13m, 38 ans) a fait un bon retour sous les couleurs de la SIG. Il a été épaté par son nouvel équipier Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) qui a été décisif avec ses 15 points et 7 rebonds et aussi la frousse qu’il provoque dans les rangs adverses quand il est planté dans la peinture.\\n\\n« Je me sens très bien ! On se sent toujours bien après une victoire, surtout que c’était un match compliqué contre une bonne équipe. Commencer par une équipe comme Le Mans, être diffusé à la télé ce n’est pas facile et ça met la pression. Je trouve qu’on a montré du caractère ce soir. A la fin, Le Mans est revenu, ils ont eu de très bons tirs et on en a manqué certains qu’on aurait pu réussir. (...) Youssoupha est impressionnant ! Je n’ai jamais joué avec un gars aussi si grand. Il rend le jeu plus facile. Je suis content d’être revenu à Strasbourg. Quand mon agent m’a appelé au milieu de mon dîner en me proposant d’aller à Strasbourg, je lui ai dit « ok, laisse-moi juste finir de dîner et on peut en parler ! » Je suis parti le jour d’après. C’est une bonne équipe, et je pense vraiment qu’on peut aller loin ensemble« .\\n\\nQuant à Eric Bartecheky, il ne pouvait que déplorer le gâchis en attaque de son équipe -l’adresse du MSB est remontée à 36,3% après avoir connu pire- mais voulait positiver:\\n\\n« On est déçu puisqu’à la fin on revient dans la partie, mais sur l’ensemble on a été dominé. Le plus flagrant c’est de voir qu’ils sont à 23/31 à l’intérieur. On a pris énormément de points dans la raquette. On n’a pas été assez dur défensivement, on a été trop permissif. En attaque, ce n’était pas terrible en fluidité, mais on perd seulement 7 ballons. On a vu aussi que c’était un match après un break, car il y a eu quelques ratés. On a vraiment eu le sentiment de ne pas avoir été assez bon et de pouvoir faire mieux. On n’est pourtant pas si loin. On savait que ce serait difficile de gagner à Strasbourg. Par rapport à la course aux playoffs, on est en plein dedans. Pour l’instant, on a aucune assurance d’y être, mais on n’est pas condamné du tout pour autant. Au-delà du résultat, on était content de recommencer le Championnat par Strasbourg, sans manquer de respect aux autres équipes. Ils sont dans une bonne dynamique avec leur victoire à la Leaders Cup, et ils ont des joueurs talentueux. Cela nous permet de travailler l’exigence nécessaire pour les prochains matches : Bologne et Asvel. On va s’appuyer sur ce match pour progresser« .\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Nobel Boungou-colo : «C’est une revanche pour moi de retourner en Espagne»" }, {"role": "assistant", "content":"En pige à Levallois depuis mi-janvier pour remplacer Rasheed Sulaimon, Nobel Bougnou-colo (2,02m, 30 ans) s’est relancé dans le club des Hauts-de-Seine avant de signer en Espagne jusqu’à la fin de la saison à la Joventut Badalone (7e de l’ACB avec 11 victoires et 8 défaites), une fois la Leaders Cup terminée. Nous avons profité du passage des Metropolitans à la Disneyland Paris Leaders Cup pour poser quelques questions à l’ancien limougeaud sur la première partie de la saison 2018/19.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nN’était-ce pas trop compliqué d’arriver à Levallois en cours de saison et de ne pas avoir joué avant ?\\n\\nCompliqué non parce que j’ai quand même réussi à me mettre en forme juste avant mon arrivée. J’ai repris avec le Paris Basketball. Je me suis entraîné avec eux, ils se sont très bien occupés de moi, comme si j’étais un de leurs joueurs sous contrat sauf que je ne jouais pas les matchs. Ça m’a permis d’arriver en forme à Levallois et de ne pas être à la rue physiquement, ou presque (sourire).\\n\\nN’avez-vous pas été tenté de signer au Paris Basketball ?\\n\\nC’est vrai que Paris m’a fait des clins d’œil, mais pour moi c’était difficile de signer en Pro B mais je suis ouvert à la discussion donc on a quand même pris le temps de parler. C’était difficile d’accepter une offre en Pro B.\\n\\nVous m’aviez dit vous sentir bien à Turin, il n’y avait pas de possibilité de prolongation ?\\n\\nOn s’est parlés au moment où on gagne la coupe d’Italie, c’était un peu l’euphorie à Turin. Tout se passait très bien, on était cinquième du classement, mais on a très mal terminé. Juste après on enchaîne les défaites. On passe de cinquième à dixième. Et surtout, à Turin j’étais bien et j’étais parti pour jouer 3 et 4, et je me suis retrouvé à jouer uniquement 4 alors que mon poste de prédilection c’est le 3. J’ai eu un petit désavantage là-dessus. Ça s’est mal terminé malheureusement mais on a quand même pris la coupe d’Italie donc je retiens ça. Leur saison actuelle est d’ailleurs à l’image de la fin de saison dernière, c’est un club qui a besoin de progresser sur plein de points.\\n\\nQu’attendez-vous de votre fin de saison en Espagne ?\\n\\nJ’ai envie de racheter mon image en Espagne parce qu’à Séville ça ne s’est pas très bien passé (ndlr, il a disputé neuf matchs pour 13 points et 4 rebonds). Le club a un peu essayé de salir mon image donc c’est un peu une revanche de retourner en Espagne. C’est un bon un challenge. Je pense que je serai dans de bonnes conditions parce qu’un de mes anciens coéquipiers du Khimki Moscou est là-bas (ndlr, Marko Todorovic). Je pense que ça sera bénéfique pour moi d’essayer de bien jouer dans le meilleur championnat d’Europe.\\n\\nNobel Boungou-colo va faire ses débuts ce soir avec la Joventut à Fuenlabrara.\\n\\n[armelse]\\n\\nN’était-ce pas trop compliqué d’arriver à Levallois en cours de saison et de ne pas avoir joué avant ?\\n\\nCompliqué non parce que j’ai quand même réussi à me mettre en forme juste avant mon arrivée. J’ai repris avec le Paris Basketball. Je me suis entraîné avec eux, ils se sont très bien occupés de moi, comme si j’étais un de leurs joueurs sous contrat sauf que je ne jouais pas les matchs. Ça m’a permis d’arriver en forme à Levallois et de ne pas être à la rue physiquement, ou presque (sourire).[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"Yakhouba Diawara poursuit sa carrière.... aux Emirats Arabes Unis" }, {"role": "assistant", "content":"Aperçu en début de saison du côté du Portel en JeepElite, le vétéran Yakhouba Diawara (2,01m, 36 ans) va poursuive sa saison dans une destination pour le moins exotique.\\n\\nSelon Sportando, l’international français (44 sélections) s’est engagé avec le Al Nasr Dubai, situé aux Emirats Arabes Unis. Ce sera la première expérience en Asie pour le joueur, lui qui a connu pendant quatre saisons la NBA (Denver Nuggets et Miami Heat), mais a également souvent alterné entre la JeepElite et le championnat italien (Venise, Varese, Pistoia,..) tout au long de sa carrière.\\n\\nAu Portel, ses statistiques étant assez anecdotiques (4,6 points et 1,7 rebonds de moyenne par match)." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Le Fenerbahçe de Valérie Garnier et Bria Hartley remportent la Coupe de Turquie" }, {"role": "assistant", "content":"Le Fenerbahçe Istanbul de Valérie Garnier et Bria Hartley a remporté la Coupe du Turquie en venant à bout dans l’ordre de Galatasaray, Mersin et Botas.\\n\\nLa Franco-Américaine Bria Hartley n’a pas pris part au quart-de-finale mais lors de la large victoire sur Mersin, complètement dépassé, elle a assuré 16 points et 6 rebonds. En finale, cet après-midi, elle a cumulé 10 points et 7 rebonds alors que Kia Vaughn a été élue MVP avec 10 points et 14 rebonds.\\n\\nLa surprise a été l’élimination en demi-finale de Cukurova, invaincue en championnat après 20 journées, par Botas.\\n\\nQuarts-de-finale:\\n\\n\\n\\n\\nBotas\\nOrmanspor\\n78-58\\n\\n\\nCukurova Basketbol\\nBesiktas\\n77-66\\n\\n\\nHatay\\nMersin\\n76-79\\n\\n\\nFenerbahçe\\nGalatasaray\\n71-56\\n\\n\\n\\n\\nDemi-finales:\\n\\n\\n\\n\\nCukurova Basketbol\\nBotas\\n63-66\\n\\n\\nMersin\\nFenerbahçe\\n36-60\\n\\n\\n\\n\\nFinale:\\n\\n\\n\\n\\nBotas\\nFenerbahçe\\n53-60\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet, à propos du nouvel américain du Mans, Kendrick Ray: «C’est un danger public»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son équipe accueille ce soir à 18h30 (sur RMC Sport 2) Le Mans, sur le site de la SIG Strasbourg, le coach Vincent Collet est louangeur sur Kendrick Ray (1,88m, 25 ans), le nouvel arrière de son adversaire.\\n\\nCelui-ci est prêté par le Maccabi Tel-Aviv, qui ne le faisait que très peu jouer et surtout il était le meilleur joueur la saison dernière du CEZ Nymburk, qui n’avait été éliminé que d’un point en huitième-de-finale de la Champions League par l’AEK Athènes, le futur vainqueur. En BCL, Kendrick Ray s’était fendu de 14, 3 points, 4,8 rebonds et 2,6 passes en seulement 21′ de temps de jeu moyen.\\n\\n« Ils viennent de signer un joueur d’exception, que j’aurais bien aimé faire venir l’année dernière. On le suivait et on s’était penché sur son cas, mais il avait choisi d’aller au Maccabi. C’est un joueur que j’avais trouvé très impressionnant et qui, à mon sens, va devenir un des meilleurs extérieurs du championnat de France. C’est un danger public à coup sûr »\\n\\nEt à propos de l’ensemble du groupe manceau, privé de Leaders Cup, le coach de la SIG commente:\\n\\n« Ils sont là. Ça reste Le Mans, il faut se méfier. Ils ont une qualité offensive qui est forte. On sait que ce match va être compliqué. Juice Thompson, Valentin Bigote, Antoine Eito, leurs arrières sont tous bons shooteurs. Il y a aussi Cameron Clark et Will Yeguete qui font une bonne saison. C’est une équipe qui est complète. Ils sont un candidat très clair aux Playoffs ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"ASVEL- Le Portel : Alexis Ajinça privé de deuxième mi-temps par Zvezdan Mitrovic" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL a fait le job face au Portel (91-73) et Charles Kahudi a été resplendissant (20 points, 9 rebonds et 28 d’évaluation), ce qui n’a pas été le cas d’Alexis Ajinça (2,13m, 30 ans) qui s’est contenté de 2 points à 1/5 aux tirs, 4 rebonds et 2 passes en 10 minutes.\\n\\n10 minutes? L’ancien NBAer n’est pas réapparu sur le terrain après la pause et Le Progrès croit savoir pourquoi:\\n\\n« A la mi-temps, son coach a en effet décidé d’exclure son joueur du match. Cette décision aurait été prise après une altercation verbale qui aurait opposé les deux hommes dans le couloir qui mène au vestiaire (...) Le néo-Villeurbannais venait de prendre une faute technique parfaitement évitable juste avant la mi-temps. C’est ce dernier fait de jeu qui a peut-être mis le feu aux poudres... Son entraîneur a d’ores et déjà prévenu qu’Ajinça » jouera mardi » en Eurocup face à Andorre. »\\n\\nDepuis son arrivée à l’ASVEL et en 5 matches, Alexis Ajinça tourne à 6 points et 3,2 rebonds en 11′ de moyenne.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Fos: Pierre Pelos, 4e joueur français à l’évaluation" }, {"role": "assistant", "content":"Pour sa victoire sur Chalon (76-73) si importante pour sa survie en Jeep Elite, Fos-sur-mer a pu compter sur un Pierre Pelos (2,05m, 25 ans) au mieux de sa forme. Le Provençal a réussi son deuxième double-double de la saison (et de sa carrière) avec 20 points et 11 rebonds; le premier avait été réalisé face à son club formateur, Pau avec 15 points et 11 rebonds.\\n\\nSes stats après 19 matches sont remarquables pour un rookie: 12,7 points, 5,6 rebonds et 15,7 d’évaluation.\\n\\nPremier constat: elles sont très sensiblement supérieures à celles obtenues la saison dernière en Pro B: 7,8 points, 3,2 rebonds et 8,9 d’éval.\\n\\nDeuxième constat: Pierre Pelos est le quatrième joueur français à l’évaluation du championnat puisqu’il vient de doubler Ali Traore à la faveur de sa performance. Il est seulement devancé par Youssoupha Fall (19,8), Lahou Konate (16,5), Paul Lacombe (16,4). Des joueurs au statut bien plus affirmé.\\n\\nCe ne serait pas étonnant de découvrir son visage en équipe de France à la faveur d’une prochaine fenêtre internationale." }, {"role": "user", "content":"Levallois: Pour son retour en Jeep Elite, Will Daniels a battu son record d’évaluation" }, {"role": "assistant", "content":"Retour de Will Daniels (2,03m, 32 ans) en France, à Levallois, et premier match hier face à Chalons-Reims. Une ligne de stats offensive presque parfaite : 29 points à 9/11 aux tirs du champ dont 3-4 à trois-points et 8/8 aux lancers. Le tout agrémenté de 5 rebonds, 3 interceptions, 1 passe pour une seule balle perdue. Additionnez, cela donne un excellent 35 d’évaluation. Il s’agit pour les points et l’évaluation du record de la soirée. En prime, victoire des Metropolitans, 83-78.\\n\\nL’ailier américain a déjà passé trois saisons en France, deux à Nanterre (2011-12 et 2013-14) et une à Limoges (2015-16). C’était son 85e match en Jeep Elite et il s’agit de son record d’évaluation mais pas de points. Il en avait inscrit 31 contre Chalon, au Colisée, le 6 avril 2012, mais avec un peu moins d’adresse (11/21 aux tirs) si bien qu’il n’avait atteint « que » 34 d’éval malgré 6 rebonds, 4 passes et 2 interceptions.\\n\\nDepuis son départ de Limoges, Will Daniels a beaucoup bourlingué : Caneros de la Romana (République Dominicaine), Al Moutahed (Liban), Hapoel Eilat (Israël), Piratas de Quebradillas (Porto Rico), Selkuklu BLD (Turquie-D2), Cariduros de Fajardo (Porto Rico) et Inchon ET Land Elephants (Corée du Sud) !\\n\\nPhoto: Levallois Metropolitans" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Marc Judith (Orléans) indisponible trois mois" }, {"role": "assistant", "content":"Très peu utilisé par Germain Castano cette saison, Marc Judith (1,93m, 32 ans) va en plus être rejoindre l’infirmerie orléanaise.\\n\\nSur son site, Orléans annonce que son ailier est touché au genou et va devoir subir une intervention chirurgicale qui va l’écarté des parquets pour une durée d’environ trois mois. Passé par Challans, Nanterre et Dijon, le champion de France 2013 vit sa dixième saison en LNB.\\n\\nCette saison, Marc Judith compile en moyenne 1,6 point pour 1,3 d’évaluation en moins de 7 minutes.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket" }, {"role": "user", "content":"Les Français de Jeep Elite: Bilan à la trêve (1ère partie)" }, {"role": "assistant", "content":"On s’intéresse souvent aux non-JFL du championnat de France de basket. Mais que représentent les Français dans cette Jeep Élite ? Quelle est réellement leur place dans cette division ? Quelles équipes font le plus confiance à des joueurs « du cru » ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa trêve liée aux fenêtres internationales est une bonne occasion de faire le point sur l’impact des joueurs français (nous parlons bien de joueurs français et non de JFL) en Jeep Élite.\\n\\nLe premier constat est qu’ils ont été 131 à fouler les parquets du championnat (contre 117 non-JFL), parfois pour quelques minutes, d’autres « à temps plein ». Ainsi, 71 joueurs sont apparus 15 fois ou plus, 34 ayant joué les 20 matchs déjà déroulés. Un chiffre qui ne doit pas faire oublier que certains ont été blessés de longs moments (Sekou Doumbouya par exemple) alors que d’autres sont arrivés après le début de la compétition (comme Damien Inglis).\\n\\nIl est également à noter que sept joueurs (Mam’ Jaiteh, Yannis Morin, Nobel Boungou-colo, Langing Sané, Stéphane Gauthier, Yakhouba Diawara et Jordan Aboudou) ont quitté leur équipe, soit qu’ils soient arrivés en fin de contrat (Boungou-colo, Sané, Diawara), soit qu’ils aient été libérés par leur club (Jaiteh, Gauthier, Aboudou), soit encore qu’ils aient changé de club (Morin, passé de Nanterre à Châlons-Reims).\\n\\nDe manière plus générale, on recense 84 joueurs français disposant d’un véritable rôle dans leur équipe, par leur temps de jeu et leur impact chiffré. Soit une moyenne de 4,6 par club. Avec d’assez fortes disparités, une fois de plus. Le club qui met le plus à contribution des joueurs français est LDLC Asvel, avec sept Français (Maledon, Kaba, Galliou, Noua, Jean-Charles, Ajinça, Kahudi) qui oscillent entre « joueur de complément » et « tête d’affiche » de l’effectif. Limoges et Chalon-sur-Saône en alignent pour leur part six chacun, Le Mans, Monaco, Levallois, Châlons-Reims cinq par équipe. À l’autre bout du spectre, trois clubs ne font régulièrement appel qu’à trois Français : Pau-Lacq-Orthez, Le Portel et Antibes (pour ces clubs, un ou plusieurs Espoirs rentrant très rarement en jeu complètent la feuille de match afin de satisfaire les contraintes réglementaires – quatre JFL minimum sur la feuille de match).\\n\\nQuel impact ?\\n\\nUne fois établi ce constat quantitatif, qu’en est-il au niveau qualitatif ? Le premier critère intéressant est celui du temps de jeu. À ce niveau, ils sont 81 à évoluer 10 minutes par match ou plus, dont 35 jouant 20 mn ou plus, soit environ deux joueurs par équipe disposant d’un rôle majeur. Si l’on s’intéresse aux points marqués, on remarque que 53 joueurs ont une moyenne supérieure à 5 points, mais seulement 12 de plus de 10 points.\\n\\nUn chiffre qui peut sembler faible mais qui doit être pondéré par celui de l’évaluation : ils sont 58 à avoir une évaluation moyenne de 5 ou plus et 26 à être au-dessus de 10. Autrement dit, si le « joueur français moyen » marque peu (un rôle souvent dévolu aux non-JFL), il shoote à bon escient, prend des rebonds, fait des passes, des interceptions ou des contres. En somme, souvent, pas une « première gâchette » mais un joueur de collectif.\\n\\nUn poids variable\\n\\nLorsque l’on se penche sur l’impact des joueurs français par équipe, on constate d’importantes disparités. En moyenne globale, ces joueurs « pèsent » 38,9 % du temps de jeu total, 34,5 % des points marqués et 35,9 % de l’évaluation.\\n\\nMais les situations varient du tout au tout d’un club à l’autre. À l’heure actuelle, le club dans lequel les Français ont l’impact le plus important est Strasbourg. Les neuf Français entrés au moins une fois en jeu (on aura une pensée pour le pauvre Jacques Alingué...) représentent 58,2 % du temps de jeu total de l’effectif, 59,6 % des points et 62,7 % de l’évaluation. De l’intérêt de bénéficier de fers de lance comme Ali Traoré ou Youssoupha Fall (qui dispose de la nationalité française en plus de la sénégalaise).\\n\\nDeuxième de ce classement, Limoges octroie 55,9 % du temps de jeu global à ses joueurs français, qui marquent 55,5 % des points de l’équipe et représentent 55,7 % de l’évaluation totale du club.\\n\\nCe sont les deux seules équipes où les Français représentent plus de 50 % des critères retenus. Quatre équipes se situent au-dessus de la barre des 40 % pour ces trois critères : LDLC Asvel, Le Mans, Chalon-sur-Saône et Fos-sur-Mer (sauf pour les points marqués pour ces derniers).\\n\\nQuant aux clubs où les joueurs français ont le moins d’impact, il s’agit de Pau-Lacq-Orthez (23,7 % du temps de jeu, 20 % des points, 20,4 % de l’éval), de Bourg-en-Bresse (respectivement 27,1 %, 19 % et 18,1 %) et d’Antibes (25,2 %, 18,3 % et 17,4 %).\\n\\nOn s’aperçoit que le poids des Français n’a pas forcément d’impact sur les résultats sportifs d’un club. Fos-sur-Mer se bat pour éviter la relégation tout en ayant des Français rentables alors que Pau et Bourg figurent en haut de tableau en confiant une très large part des responsabilités à leurs joueurs étrangers. Quant à Antibes, le peu d’impact de sa base française n’est pas compensée par ses non-JFL, d’où la dernière place des Sharks en Jeep Élite.\\n\\nEn conclusion, s’il est clair que la Jeep Élite reste une ligue dominée par les joueurs étrangers (notamment Américains), les joueurs français arrivent à se faire une place non négligeable sur le terrain. Ce grâce, notamment, à une belle brochette de joueurs de haut niveau, nous y reviendrons dans notre prochain article.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa trêve liée aux fenêtres internationales est une bonne occasion de faire le point sur l’impact des joueurs français (nous parlons bien de joueurs français et non de JFL) en Jeep Élite.\\n\\nLe premier constat est qu’ils ont été 131 à fouler les parquets du championnat (contre 117 non-JFL), parfois pour quelques minutes, d’autres « à temps plein ». Ainsi, 71 joueurs sont apparus 15 fois ou plus, 34 ayant joué les 20 matchs déjà déroulés. Un chiffre qui ne doit pas faire oublier que certains ont été blessés de longs moments (Sekou Doumbouya par exemple) alors que d’autres sont arrivés après le début de la compétition (comme Damien Inglis).\\n\\nIl est également à noter que sept joueurs (Mam’ Jaiteh, Yannis Morin, Nobel Boungou-colo, Langing Sané, Stéphane Gauthier, Yakhouba Diawara et Jordan Aboudou) ont quitté leur équipe, soit qu’ils soient arrivés en fin de contrat (Boungou-colo, Sané, Diawara), soit qu’ils aient été libérés par leur club (Jaiteh, Gauthier, Aboudou), soit encore qu’ils aient changé de club (Morin, passé de Nanterre à Châlons-Reims).\\n\\nDe manière plus générale, on recense 84 joueurs français disposant d’un véritable rôle dans leur équipe, par leur temps de jeu et leur impact chiffré. Soit une moyenne de 4,6 par club.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: William Howard, Limoges (LNB/Hervé Bellenger) et Ali Traore, Strasbourg (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Italie: Dairis Bertans quitte officiellement l’Olimpia Milan pour les New Orleans Pelicans" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis plusieurs jours et c’est confirmé: Dairis Bertans (1,93m, 29 ans) a officiellement quitté ce vendredi l’Olimpia Milan pour s’engager avec les New Orleans Pelicans en NBA. Dans un communiqué adressé au club, l’international letton a exprimé toute sa gratitude envers l’écurie lombarde.\\n\\n« Je tiens à remercier l’Olimpia de m’avoir donné l’occasion de réaliser un rêve que j’avais depuis que je suis enfant. Je ne peux même pas commencer à décrire la fierté que j’ai ressenti pendant deux ans dans un club aussi historique. Toutes les personnes que j’ai rencontrées au cours de ces deux années sont des membres de ma famille. J’espère qu’un jour, je porterai à nouveau le magnifique maillot de l’Olimpia. »\\n\\nDairis Bertrans a participé, il y a quelques jours, à la victoire de la Lettonie au Monténégro (74-80) qui ne fut pas suffisante pour qualifier le pays balte à la Coupe du monde. A cette occasion, il a raté ses 9 shoots!" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine: Les demi-finales ce soir sur YouTube" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, à 20h, les demi-finales de la Coupe de France féminine qui vont opposer Bourges à Lyon et Tarbes à Charleville-Mézières seront diffusées sur la chaîne Youtube de la FFBB.\\n\\nD" }, {"role": "user", "content":"Monaco: Le nouveau coach Sasa Obradovic pas qualifié pour le match de Cholet pour des raisons administratives" }, {"role": "assistant", "content":"Signé par l’AS Monaco, le Serbe Sasa Obradovic ne pourra pas officier lundi sur le banc pour la venue en principauté de Cholet; la Ligue Nationale de Basket a refusé de le qualifier pour l’instant.\\n\\nDans un communiqué, la LNB apporte les explications suivantes:\\n\\n« Le justificatif de la qualification professionnelle de l’entraîneur telle que définie par les articles 184 et 185 du statut de l’Entraîneur fédéral n’a pas été transmis. Le statut du technicien fédéral prévoit que tout technicien non ressortissant de l’UE ou de l’UEE et titulaire d’un diplôme obtenu hors de cet espace économique devra déposer une demande d’équivalence de qualification auprès de l’autorité compétente afin d’exercer sur le territoire. A ce jour, le club de Monaco a fourni uniquement le diplôme du technicien serbe et la DRJCS n’a pas statué sur la demande d’équivalence de qualification émise pas l’intéressé. »\\n\\nPhoto: Manuel Vitali/AS Monaco" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le match du lundi soir en clair sur rmcsport.fr !" }, {"role": "assistant", "content":"Très bonne nouvelle pour les fans de Jeep Elite, RMC Sport va rendre disponible en clair et en intégralité le match du lundi soir.\\n\\nLa chaîne vient d’annoncer que jusqu’à la fin de la saison, le match de Jeep Elite prévu le lundi soir sera disponible via l’application RMC Sport ou sur le site internet de la chaine, rmcsport.fr. Ce dispositif commence lundi 4 mars avec la 21e journée de championnat. Monaco accueille Cholet à 20h45.\\n\\nVoici le communiqué de la chaîne:\\n\\n« RMC Sport, détenteur exclusif des droits de diffusion de la Jeep® ÉLITE, continue d’innover pour promouvoir le basket français. En accord avec la Ligue Nationale de Basket (LNB), la chaîne a décidé de proposer une rencontre de championnat en clair par journée jusqu’à la fin de saison. Chaque lundi, le match sera donc disponible en accès gratuit via son site internet rmcsport.fr et sur l’application gratuite RMC Sport.\\n\\nAinsi, RMC Sport rebondit sur le succès de l’opération menée en mai 2018, qui avait offert l’accès gratuit aux matchs des Playoffs de Jeep®ÉLITE. Cette nouvelle innovation marque la volonté de la chaîne de continuer en 2019 à permettre au plus grand nombre de découvrir le basket français et les émotions qu’il procure.\\n\\nRMC Sport donne donc rendez-vous aux amateurs de basket dès ce lundi 4 mars à 20h45 sur rmcsport.fr et sur l’application gratuite RMC Sport, avec l’affiche Monaco v Cholet, commentée par Alexandre Biggerstaff avec le membre de la Dream Team RMC Sport Basket Raphaël Desroses. »\\n\\nPhoto : Hervé Bellenger / IS / LNB – Disneyland" }, {"role": "user", "content":"Israel : l’Hapoel Jérusalem remporte la coupe" }, {"role": "assistant", "content":"L’Hapoel Jérusalem a remporté ce jeudi la cinquième coupe d’Israel de son histoire en venant à bout du Maccabi Rishon LeZion (82-67) en finale dans leur antre du Pais Arena.\\n\\nAprès une première mi-temps équilibrée (40-42), les coéquipiers d’Amar’e Stoudemire (qui ne jouait pas) ont infligé un ravageur 29-8 à leurs adversaires, qui tua le match. Parmi les meilleurs joueurs de la partie, l’ailier-fort TaShawn Thomas (2,03, 25 ans) a brillé avec un double-double, 15 points et 10 rebonds. Il a été élu MVP.\\n\\nDominant en première phase de Champions League avec 12 victoires pour 2 défaites et actuel troisième du championnat à une victoire des co-leaders que sont le Maccabi Tel-Aviv et l’Hapoel Holon, le club de Jérusalem s’impose de plus en plus comme un adversaire sérieux dans la course au titre.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Lisa Berkani, de Bourges à Villeneuve d’Ascq, ou comment chercher le bon endroit au bon moment" }, {"role": "assistant", "content":"Comment être une des grandes espoirs du basket français, dans le groupe des internationales A -même si elle ne compte que 5 sélections-, être une joueuse flashy draftée par le Minnesota Lynx, mais se retrouver sur le bout du banc en club, au point de ne jouer que 6′ en moyenne en Euroleague et encore sur 9 des 13 matches? C’est la mésaventure qui est arrivée cette saison à Bourges à Lisa Berkani (1,76m, 21 ans) en provenance de Mondeville.\\n\\nEn Normandie, Lisa Berkani avait la bride sur le cou. A Bourges, elle a appris la rigueur et aussi à vivre avec une très forte concurrence. L’internationale Cristina Ouvina et la Franco-Américaine KB Sharp à la mène, les internationales Marine Johannès et Sarah Michel au poste 2. C’est forcément très frustrant pour cette joueuse aussi talentueuse que fantasque qui ne peut contester les choix stratégiques du coach Olivier Lafargue puisque Bourges est qualifié pour les quarts-de-finale de l’Euroleague.\\n\\nAlors Lisa a demandé la permission d’être transférée à Villeneuve d’Ascq où l’équipe est moins fournie. Les changements d’équipe en cours de saison sont une relative nouveauté en Ligue Féminine. Ils permettent aux joueuses d’augmenter leur temps de jeu, à certains clubs de se renforcer mais pourraient nuire à la lisibilité du championnat en cas de surabondance. La LFB a mis deux gardes-fous: la deadline est fixée à la huitième journée retour -en l’occurence le 16 mars- et les clubs ne peuvent signer que 14 contrats professionnels dans une saison contre 16 en Jeep Elite. Les jokers médicaux n’existent plus sauf si une internationale se blesse sous le maillot de l’équipe de France.\\n\\nChoisir le bon club au bon moment est un élément fondamental dans une carrière surtout quand celle-ci prend son essor. Pour Lisa Berkani, le maillot tango de Bourges -son club formateur- était visiblement trop grand. On verra si celui de Villeneuve d’Ascq est parfaitement adapté à sa taille.\\n\\nPhoto: Bourges Basket" }, {"role": "user", "content":"Photos: Les équipes de la Leaders Cup à Disneyland Paris" }, {"role": "assistant", "content":"Les 8 huit équipes qualifiées sont arrivées à Disneyland Paris pour la Disneyland Paris Leaders Cup LNB 2019. Elles se sont succédé dans le Parc Walt Disney Studios hier pour le traditionnel Media Day et ont pris part à un entraînement dans la Disney Events Arena qui accueillera l’événement, à partir d’aujourd’hui et ce pendant 3 jours.\\n\\n\\nLa Saison des Super Héros Marvel étant de retour au Parc Walt Disney Studios à partir du 23 mars, la journée était dédiée à l’univers Marvel, les joueurs et leurs entraîneurs ont pu rencontrer : Captain America, Black Widow et Black Panther. Un moment... héroïque avant de profiter de la célèbre attraction Tour de la Terreur. Les équipes se sont ensuite rendues à la Disney Events Arena pour un entrainement.\\n\\nPhotos: de haut en bas: Pau, Bourg, Dijon, Levallois, Limoges, Nanterre et Villeurbanne (Hervé Bellenger, LNB)" }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (9 février)" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Elio Sadiku (HTV Hyères-Toulon , NM3) qui pointe à la première place du classement grâce à un tir à trois points avec la faute qui donne la victoire à son équipe face à Saint-Chamond." }, {"role": "user", "content":"Carnet rose : Sans club, le Serbe Milos Teodosic va pouvoir pouponner" }, {"role": "assistant", "content":"Sans club après avoir été libéré par les Los Angeles Clippers, Milos Teodosic vient de devenir papa pour la première fois de sa vie.\\n\\nSur Twitter, son ancien club du CSKA Moscou annonce que sa femme Jelisaveta a donné naissance à une petite fille. Le prénom choisi par les heureux parents est « Petra ». L’ancien joueur de l’Olympiakos a été convoqué par Sasa Djordjevic pour représenter la Serbie lors de la fenêtre internationale de février.\\n\\n\\n\\n\\nCongratulations on your newborn, Milos!\\n\\n\\nOur team’s legend @MilosTeodosic4 has become a father! His wife Jelisaveta gave birth to a girl today.\\n\\n\\nHappy parents gave their daughter a name Petra. We wish good health to the whole family! pic.twitter.com/gK6fko1no0\\n\\n\\n— CSKA Moscow (@cskabasket) February 13, 2019\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Turquie : Joffrey Lauvergne brille en quart de finale de la coupe" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur du derby d’Istanbul contre le promu Bahcesehir (78-70), le Fenerbahce de Joffrey Lauvergne (2,11m, 27 ans) s’est qualifié pour le Final Four de la coupe de Turquie.\\n\\nLe Français s’y est particulièrement illustré avec un double-double avec 11 points et 10 rebonds. Les Italiens Nicolo Melli et Luigi Datome ont également porté l’attaque des jaunes et bleus, avec respectivement 20 et 15 points.\\n\\nEn demi-finale, le Fener affrontera Turk Telekom, hôtes de la phase finale de cette coupe de Turquie.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Levallois sur la piste de Shawn Long ?" }, {"role": "assistant", "content":"Touchés par les blessures de Rasheed Sulaimon, Jaron Johnson, Mouphtaou Yarou et Roko Ukic, ainsi que par les départs de Julian Wright et Nobel Boungou-Colo, les Levallois Metropolitans sont dans la quasi-obligation de se renforcer.\\n\\nSelon Sportando, le club francilien aurait approché Shawn Long (2,06m, 26 ans). Formé à l’université de Louisiana, cet ailier fort bondissant a lancé sa carrière en G-League avant d’être appelé pour disputer 18 matchs avec les Philadelphie Sixers en 2016/17. La saison dernière, il a signé un contrat de deux mois en Chine avant de retourner porter les couleurs des Delaware 87ers, en G-League. Cette saison, l’ancien joueur des Xinjiang Flying Tigers évoluait aux côtés de l’ancien villeurbannais Thomas Abercrombie au sein des New Zealand Breakers.\\n\\nEn Australie, Shawn Long compilait en moyenne 18 points et 8,8 rebonds.\\n\\nPhoto :SKYCITY Breakers NZ\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup : la finale diffusée en clair sur Youtube et Facebook" }, {"role": "assistant", "content":"De vendredi 15 février à dimanche 17 se déroule la maintenant traditionnelle Leaders Cup à la Disney Events Arena du célèbre parc d’attractions francilien.\\n\\nCette saison, la compétition sera couverte et diffusée en intégralité par RMC Sport. Mais en plus de ce dispositif, la grande finale de la Leaders Cup (17 heures) sera à suivre en clair et en direct sur le site RMCSport.fr, sur l’application RMC Sport ainsi que sur la page Facebook de la chaine et sur Youtube.\\n\\nPour rappel, voici les affiches des quarts de finale :\\n\\n * 13h00 : Pau-Lacq-Orthez vs Levallois\\n * 15h30 : Lyon-Villeurbanne vs Bourg-en-Bresse\\n * 18h00 : Dijon vs Strasbourg\\n * 20h30 : Nanterre vs Limoges\\n\\n\\n\\n\\nLa finale sera à suivre également sur le site https://t.co/AtCcMjY6DF et l’application blanche RMC Sport ainsi que sur notre page Facebook et notre YouTube !!!\\n\\n\\n— Cyril Méjane (@CyrilMejane) February 14, 2019" }, {"role": "user", "content":"Levallois, 3e partie – Freddy Fauthoux, coach de tempérament et fier papa de Marine" }, {"role": "assistant", "content":"De Landais Freddy Fauhoux a été naturalisé Levalloisien et de shooteur de légende de Pau il est devenu un coach qui compte en Jeep Elite. Il est aussi le fier papa de Marine, 18 ans, petite prodige du basket féminin et meneuse titulaire à Tarbes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’histoire est connue et même légendaire : Frédéric Fauthoux a porté exclusivement le maillot de l’Elan Béarnais Pau-Orthez durant dix-huit saisons et fut de toutes les campagnes européennes, de tous les trophées nationaux. Il est originaire d’Horsarrieu, un village au cœur des Landes de 660 habitants et il a façonné son shoot sur les paniers faits maison par le père ou le grand-père en dribblant sur la terre ou les cailloux. Son président à l’Elan Pierre Seillant l’avait surnommé affectueusement Petitou mais derrière le sourire d’ange et le chic type se révélait les soirs de match un tempérament volcanique, un fier guerrier, un malin, qui a si bien incarné le club avec les deux frangins Gadou. Avec l’équipe de son patelin, il a gagné la Coupe des Landes, un trophée qui là-bas vaut le Larry O’Brien Trophy de la NBA.\\n\\nFreddy Fauthoux devint ensuite adjoint aux sports de la mairie de Pau et de l’agglomération tout en travaillant vaguement le matin pour une compagnie d’assurances. Un peu las après sa carrière de joueur, il n’a pas enchaîné directement sur le coaching professionnel mais continuait à fréquenter régulièrement le palais. Il a mis son savoir-faire au service des jeunes, des séniors, de ses camps de basket, tout en suivant toujours attentivement l’Euroleague à la télévision. Il a ensuite véritablement mis le pied à l’étrier en prenant en mains l’équipe réserve de l’Elan Béarnais, en NM2 et NM3, à Pau Nord-Est. Un bon apprentissage. En août 2014, il est devenu parallèlement l’adjoint de Bernard Faure en équipe de France U16.\\n\\nSeulement l’Elan ne lui a jamais proposé d’intégrer le staff de l’équipe pro et Freddy en conserve toujours une pointe d’amertume. C’est ainsi qu’il est devenu un expat et le milieu, les médias, le public sans doute, ont eu du mal à s’y faire tant il était estampillé sud-ouest et son accent caractéristique le rappelle à chaque mot.\\n\\n« C’était normal. Je suis né là-bas, j’ai fait toute ma carrière de basketteur là-bas, j’étais adjoint aux sports là-bas. Je peux donc comprendre que les gens aient cette idée en tête. Par contre, on ne peut pas remettre en cause mon intégrité de switcher et de m’investir à 100% dans un autre club comme Levallois. Avant de replonger dans ce métier, je savais très bien que je ne pourrai pas faire ma carrière d’entraîneur comme celle de basketteur, c’est-à-dire rester dans le même club des années et des années dans celui où j’ai commencé puisqu’en plus ils ne m’ont pas donné l’opportunité. Je voulais rester à Pau car il y avait tout un cadre, le basket bien sûr, familial. J’ai joué 14 ans l’Euroleague sur 18 de carrière. On jouait le titre chaque année. Je n’avais aucun intérêt à partir. »\\n\\nLes Landes, Freddy n’y retourne qu’à Noël et durant les vacances estivales encore que l’été dernière il a assisté à la Summer League de Las Vegas, une ville de frime, de lumière et du jeu qui est l’exact contraire de son village. Mais il se plaît à Paris où il peut voir des matches de rugby et de foot et jusqu’à l’année dernière il était prêt de sa fille Marine alors à l’INSEP.\\n\\n« C’est dû à mon évolution personnelle. J’ai 45 ans, j’ai fait plein de choses et j’avais envie d’en découvrir d’autres. C’était le bon moment de vivre un peu à Paris. Je ne dis pas que j’y vivrai toute ma vie. Je n’en sais rien en fait. C’est sûr qu’à 25 ou 30 ans je ne m’y voyais pas du tout. Levallois, c’est la Petite Couronne, on y vient en métro. C’est une ville très calme. J’ai la Seine à côté et je peux aller courir. Je profite de Paris : théâtre, cinéma et tout simplement me promener, manger, boire un coup. »\\n\\nAvec son pote Sacha Giffa\\n\\nFreddy a donc fait le grand saut en 2015. Il a fait jouer son réseau en téléphonant à son ancien équipier Juan Aisa devenu agent à YouFirst qui l’a dirigé vers François Lamy son représentant en France et pris contact avec Jacques Monclar, qui fut son coach à Pau, et qui était alors conseiller du président Jean-Pierre Aubry au Paris-Levallois. C’est ainsi qu’il lui a été proposé de devenir l’adjoint d’Antoine Rigaudeau, lui aussi un ancien équipier, qui se lançait dans le coaching. Rigaudeau qui se sentant mal à l’aise dans son nouveau costume démissionna quelques semaine plus tard. C’est ainsi que le Landais bénéficia d’une promotion express. Et il a connu un succès immédiat lui qui s’imaginait demeurer assistant pour un temps indéfini.\\n\\n« Ce n’est pas quelque chose qui m’aurait posé problème. J’étais parti pour passer des années et des années avec Antoine à mes côtés. Je voulais retrouver le haut niveau. Entraîner, c’est le Graal bien sûr mais assistant c’est aussi intéressant. Pour ma conscience, vu que c’est Antoine qui a voulu arrêter et non pas du fait qu’il ait été coupé par les dirigeants et que je sois mis à sa place, c’était plus simple de prendre la suite. »\\n\\nEn vert et blanc, Freddy Fauthoux était connu pour ses montées d’adrénaline. En a t-il toujours autant depuis qu’il est devenu coach ?\\n\\n« Non. Il y en a malheureusement moins. C’est plus contenu et c’est plus des pics quand tu es entraîneur. On réagit sur une belle action mais comme on doit se re-concentrer sur ce qu’on doit faire après, quelle stratégie les autres mettent en place, on est toujours dans la réflexion. Alors que quand on est joueur, c’est plus spontané. On a parfois deux ou trois secondes pour se libérer parce qu’on a marqué un beau panier, on a fait une belle passe. Tu peux parler avec les autres joueurs, se taper dans les mains s’il y a des lancers-francs. Quand tu es entraîneur, il peut y avoir une montée, de joie, rare, de colère, oui, car on est toujours en train de les re-mobiliser. Ce ne sont pas du tout les mêmes émotions. Aux temps-morts, je ne ne sais pas comment sont les autres mais moi ce sont de vraies colères. J’ai été joueur et quand on démarre un match et je sens qu’ils ne sont pas dedans, qu’ils ne donnent pas tout ce qu’ils peuvent, et que toi ton tempérament c’était 100% tous les jours, oui, ça te met en colère. Tu veux les piquer, les faire réagir et tu le fais suivant ton tempérament. »\\n\\nDes vrais colères Freddy Fauthoux en a parfois lors des conférences d’après-match quand il est mécontent de l’arbitrage mais d’autres fois, avoue-t-il, elles sont un peu feintes et servent à envoyer un message. En octobre 2017, à l’issue d’un match à Dijon, il a un peu dérapé et après un rapport du commissaire du match, il fut condamné à un match de suspension avec sursis et à un Travail d’Intérêt Général ; une peine qu’il n’a pas effectuée.\\n\\nUne des autres caractéristiques du Landais, c’est de parler français aux temps-morts. Un processus que partage Pascal Donnadieu, le collègue de Nanterre. C’est son adjoint Sacha Giffa qui fait la traduction. Un homme qu’il a pu apprécier lors de son séjour de quelques mois à Pau et aussi en équipe de France lorsqu’ils ont fait ensemble les qualifs de 2004 et le championnat d’Europe l’année suivante à Belgrade. Pour parler plus vite ?\\n\\n« Déjà. Et surtout on fait passer plus d’émotions et on fait mieux comprendre les choses. Dans les temps-morts, les mêmes mots reviennent souvent. Je pars du principe que les joueurs ne sont pas bêtes. La semaine, on parle mi-français, mi-anglais. Les mots reviennent durant les temps-morts. Pour moi c’est déjà plus simple en français et en plus, même s’ils n’ont pas compris les mots, les joueurs ressentent ce que tu dis. Comme ça revient souvent, je pense qu’ils comprennent. Et en plus comme Sacha traduit ça colle de suite. »\\n\\nDe Bastien Pinault à Maxime Roos en passant par Pierre Pelos\\n\\nSa réussite instantanée avec les Metropolitans a suscité l’intérêt du Mans qui lui a proposé de succéder à Erman Kunter. Il a refusé. Il ne se voyait pas lâcher aussi vite un club et un président, Jean-Pierre Aubry, qui lui avait fait confiance, lui le novice, et qu’il compare à Pierre Seillant, le gardien du temple béarnais. Dans sa bouche, c’est le compliment ultime. Le cadre levalloisien lui convenait si bien qu’il a re-signé pour quatre saisons et son contrat se terminera ainsi en 2021. Découvrir la nouvelle arèna qui sera édifiée à Boulogne est un objectif à plus long terme. Comme de profiter davantage du formidable vivier de jeunes talents de l’Ile-de-France.\\n\\n« Pour moi c’est super important. Il y a eu un travail fait auparavant par Thomas Drouot que l’on a fait aboutir avec Sacha. La génération Andrew Albicy, Vincent Poirier, Louis Labeyrie, Landing Sane, Giovan Oniangue, tous des Parisiens que l’on a mis sur le terrain. Mais après il y a un creux qui n’est pas du tout normal alors qu’on est dans le bassin du sport français. On n’a pas réussi à les repérer et les attirer. On s’attelle à redorer la formation ici à Levallois. C’est un club qui a toujours aimé faire jouer les jeunes. Boulogne a aussi cet objectif-là. Tout le monde est connecté là-dessus. On va mettre les bouchées doubles pour dénicher les futurs talents et les former. »\\n\\nFreddy Fauthoux a déjà dans ce domaine un CV abondant. A Pau Nord-Est sont passés, dans le désordre, Pierre Pelos (Fos), Bastien Pinault (Chalon), Paul Turpin (Challans), Thomas Séguéla (Berck) et encore Sébastien Cape (Bordeaux). A Levallois, ses deux principales réussites sont Louis Labeyrie (Valence), qui sous sa coupe a donné un coup d’accélérateur à sa carrière et surtout Vincent Poirier (Vitoria) qui est en quelques semaines est sorti de l’ombre pour s’exposer à la lumière alors que Antoine Rigaudeau ne lui avait pas fait confiance.\\n\\n« Turpin va être MVP de N1 cette année, je pense, et il peut jouer en Pro B sans problème. C’est une satisfaction... tu ne peux même pas imaginer. A part Louis qui est un peu spécial, dans la minute où tu leur envoies un message, ils te répondent, ça fait toujours plaisir. Oui c’est une fierté parce que tu as participé à leur éclosion. Je ne pars pas du principe que c’est moi qui les ai formés. Ils ont commencé le basket sans moi et ils le finissent sans moi et je ne les ai eu que deux ou trois ans. Il y a eu un super travail de fait. J’ai eu la vision de les mettre sur le terrain quand il le fallait, de les défendre dans certaines situations car pour arriver au haut niveau, c’est dur. Quand il y a des coups de moins bien, il faut les défendre car tu sais qu’il faut en passer par là pour arriver au top niveau. Il faut aussi les secouer. Alors les voir sortir à quasiment leur maximum, c’est une réelle satisfaction. Pierre Pelos c’est comme Vincent Poirier. L’Elan Béarnais n’a pas voulu le garder quand il a fini sa formation. On a fait le forcing avec son beau-père pour que l’Elan le prenne le matin à l’entraînement des pros. Il était pion le soir et il dormait dans un dortoir pour se faire 600 balles par mois. Et il jouait avec moi en N2 en s’entraînant trois fois par semaine. Je voulais absolument le garder car sa formation n’était pas du tout terminé et il aurait pu partir en N2 dans des clubs qui ne l’auraient peut-être pas fait jouer. Là il a joué 30-35 minutes, ça lui a permis de s’émanciper, de devenir plus un homme. C’est une réelle satisfaction.... Ma grande déception, c’est de ne pas avoir réussi encore à sortir un meneur ! (rires) »\\n\\nMaxime Roos, 23 ans, Cyrille Elitzer-Vanerot, 22 ans et aussi Neal Sako, 18 ans, qui a fait sa première apparition sans complexe samedi au Mans, sont actuellement sur la rampe de lancement. Mais le souci immédiat du coach c’est de dénicher dans l’urgence et en plein février des remplaçants à Mouph Yarou, victime d’une rupture du tendon d’Achille, et à Julian Wright parti sans sommation, et qui donnaient entière satisfaction sur le terrain malgré une légère chute de tension ces dernières semaines, et aussi à Nobel Bougou-colo, pigiste de luxe, qui a rejoint l’Espagne plus rémunératrice. Pour le recrutement, Freddy Fauthoux est désormais épaulé par Alain Weisz qui a pris la direction du secteur sportif du club.\\n\\n« Avant je le faisais avec Sacha. Maintenant, je décide en dernier. Alain est quelqu’un que je ne connaissais pas bien comme on n’a jamais eu trop l’occasion de partager des choses. C’est quelqu’un de facile à vivre. On a plus ou moins les mêmes visions des choses. Son poste soulage beaucoup de choses qui parfois parasitent le quotidien : recevoir les joueurs, leurs demandes, parler avec les agents quasi au quotidien parce qu’il faut toujours être prêt à dégainer pour avoir un joueur. Il s’occupe de cette partie-là et met en place la partie centre de formation avec Guillaume Quintard. Ça me dégage du temps pour m’occuper davantage du terrain. Il y a beaucoup de joueurs, beaucoup d’agents et les joueurs demandent beaucoup de choses et c’est une sorte de filtre. Et en plus avec l’expérience qu’il a, il peut donner l’avis sur un joueur que j’écoute forcément avec attention. Je ne pense pas que cette année on se soit trompé sur beaucoup de joueurs... malheureusement ils se blessent. »\\n\\n« Lui, c’est un paysan, il a l’accent landais ! »\\n\\nSon fils Baptiste appartenait aux espoirs de l’Elan Béarnais mais sur le banc. Il a préféré tirer un trait sur une éventuelle carrière professionnelle et a replongé dans les études à Bordeaux et joue avec la N3 à Pau Nord-Est en s’entraînant avec l’équipe le jeudi. Chez les Fauthoux, l’as des as, c’est Marine, dix-huit ans, et presque aussi grande que papa avec son 1,76m. Osons la comparaison : Marine est considérablement en avance sur les temps de passage du paternel puisqu’elle est championne d’Europe U16, vice-championne du monde U17 et déjà meneuse de jeu titulaire à Tarbes. En quart de finale de la coupe de France face à Basket Landes, elle a scoré 14 points en 30 minutes.\\n\\n« Le papa est très fier et surtout très heureux parce que elle prend ça du bon côté avec le sourire, la joie de jouer au basket. Et moi j’ai toujours insisté là-dessus. »\\n\\nMarine ne se souvient pas d’avoir vu jouer son père ni à Pau ni même à Horsarrieu. Trop jeune à l’époque. Elle a bien sûr maté des vidéos mais ne pense pas s’en être inspiré.\\n\\n« Je suis différente de lui, on n’a pas le même registre. Lui c’était un gros shooteur. Moi, je suis plus dans la dextérité, un peu dans le fun, pour créer pour moi ou pour les autres. On n’a pas le même style. »\\n\\nD’ailleurs, il ne faut pas sous-estimer l’ADN maternel puisque sa maman, Marie, a joué en NF3 avec Monségur, autre haut lieu du basket de la Chalosse, et gagné elle aussi la Coupe des Landes. Par contre, Marine est une citadine et elle ne se prive pas de le faire remarquer avec un accent du sud-ouest beaucoup plus léger que celui de son père.\\n\\n« Je suis née à Pau et j’ai toujours joué à Pau avant d’aller à l’INSEP. En fait, je ne suis pas Landaise même si j’ai du sang landais puisque mes deux parents sont landais. Je connais le milieu mais je ne suis pas Landaise. Lui c’est un paysan, il a l’accent landais ! », glisse t-elle avec malice.\\n\\nMais comme papa, Marine est une sanguine. Elle a parfois de grosses bouffées d’adrénaline et n’a peur de rien.\\n\\n« Ça se voit peut-être moins parce que j’ai appris à contrôler tout ça avec un préparateur mental mais au fond je suis comme lui. Dès qu’il y a une de mes coéquipières qui est attaquée, j’arrive direct ! »\\n\\nEvidemment, on lui rappelle sans cesse qu’elle est la fille d’un monument du basket landais mais cela a cessé de l’irriter. D’ailleurs les relations entre eux sont permanentes et intenses, par textos ou même par vidéo de basket que le père nous a montré avec délice.\\n\\n« C’est mon père ! Je suis encore jeune, j’ai encore besoin de lui. On s’appelle souvent », confirme t-elle.\\n\\nSon père qui l’a entraîné une année, en minimes quand avec deux filles de Pau, elle jouait à l’US Orthez. Ses parents servent bien entendu de conseillers sur le basket et notamment quand l’été dernier à la sortie de l’INSEP, Marine a choisi son premier club professionnel.\\n\\n« On a beaucoup échangé », indique Freddy. « Elle nous fait beaucoup confiance à la maman et à moi. Elle aime avoir notre avis. Je regarde ses matches. Je lui dis « il faudrait que tu progresses sur ça, sur ça... Pourquoi tu ne fais pas ça ? » Mais je ne bourrine pas, elle doit apprendre par elle-même car à un moment-donné, il n’y a qu’elle qui est sur le terrain et elle a un entraîneur qui lui fait énormément confiance. Je ne suis pas du tout un mec envahissant. Mais je suis admiratif de sa maturité et même stupéfait des performances qu’elle fait. »\\n\\nL’entraîneur, c’est François Gomez. Elu meilleur coach de la Ligue féminine pour la saison 2017-18, coach de l’équipe nationale de Suède, vice-champion de France 2018 avec une équipe tarbaise constituée avec une masse salariale bien plus faible que les autres ténors, et réputé pour ses compétences de formateur.\\n\\n« Mes parents m’ont dit, « fais ton propre choix et après on te donnera notre avis ! » Ils voulaient que ça parte de moi-même », confirme Marine. « J’ai fait mon choix, je leur ai dit Tarbes et eux ont alors dit ce qu’ils pensaient et ils penchaient pour Tarbes. Ils m’ont expliqué pourquoi mais ils voulaient vraiment que le choix vienne de moi. Ce n’est pas forcément la région qui a fait pencher la balance, mais le projet basket, le coach. Déjà quand il est venu me voir à l’INSEP, il m’a dit, « je ne recrute pas une jeune joueuse mais une joueuse, je ne fais pas attention à l’âge ». Ça m’a marquée car les autres coaches me parlaient toujours d’âge et même de physique car pour l’instant on sait que je ne suis pas encore développée. Il m’a dit, « tant que tu es sur le terrain et que tu fais le boulot, avec moi tu y resteras » et c’est ce qui se passe aujourd’hui. En fait, mon choix était entre Tarbes et Basket Landes. J’en aurais fait abstraction mais ça aurait été la fille de... qui revient au pays alors que je ne suis pas Landaise ! », insiste t-elle. « C’était peut-être une atmosphère qui n’allait pas me convenir alors qu’à Tarbes personne ne dit que je suis la fille de Fred, etc. »\\n\\nSûr qu’aujourd’hui dans la Ligue Féminine, le nom Fauthoux est associé au prénom Marine. La Paloise a donc pris la place de meneuse titulaire à Tima Pouye, de deux ans son aînée, et assemble 5,1 points, 3,5 rebonds et 3,1 passes en 26’. Elle est bien en avance sur ses camarades de promo de l’équipe de France U17 en ce qui concerne les minutes à disposition.\\n\\n« Iliana Rupert et sa grande copine Kendra Chery sont dans de gros clubs (NDLR : Bourges et Lyon) et elles s’entraînent avec les meilleures. Donc quelque part tu progresses aussi. Après il faut des entraîneurs qui les mettent sur le terrain », analyse Freddy. « A Marine, je lui dis, peu importe le choix que tu fais, du moment que c’est ton choix, c’est le bon. Après il ne faut pas se dire « si j’avais su... ». C’est ça qui est le pire. Je me doutais qu’en fille elle pouvait jouer. Elle a du culot et elle sait faire pleine de choses sur le terrain. Physiquement, une fille est plus vite mature. Pour un garçon jouer contre des mecs de 30 ans qui sont bâtis comme des fous, tu as dix-huit ans, tu passes à la moulinette. Je pense que François Gomez lui a donné plus de responsabilités que ce qu’il imaginait. On ne sait pas comment les jeunes vont intégrer leur nouveau statut. Il a mis Marine titulaire depuis cinq, six matches. C’est abusé ! Elle est super heureuse donc je suis heureux. »\\n\\nLa génération 2001 de Marine Fauthoux est juste exceptionnelle. Peut-être la meilleure de tous les temps en France. Et comme les deux ont eu des pères basketteurs internationaux, Marine et Iliana Rupert se sont connues dans le bac à sable.\\n\\n« On se connaît depuis l’âge de trois ans car nos pères étaient ensemble sur des campagnes équipe de France. Et après, on a commencé ensemble à Pau à 6 ou 7 ans pendant un an, je crois. Et après sur le terrain, on s’est retrouvé à l’INSEP. De bien se connaître, ça facilite les choses. Avec cette génération des 2001, on a créé quelque chose de fort. On est toutes en contact toute l’année. C’est un peu comme une famille. Quand on se retrouve l’été, on sait ce que l’on veut faire. Nous, c’est gagner, tout le temps gagner. L’été prochain, on veut aller rechercher un titre de championne d’Europe en U18. Comme on est vraiment toutes proches, ce sont des moments inoubliables. L’équipe de France A, j’y pense. Le plus tôt possible, ça serait le mieux, » dit-elle avec sa voix d’adolescente. « On va continuer à travailler pour. Et les Jeux Olympiques de 2024, on y pense forcément aussi car c’est bientôt et c’est à Paris mais avant il y a beaucoup d’échéances. Mais c’est dans un coin de la tête... »\\n\\nEn attendant, ce qui importe à Marine et... ses parents, c’est qu’elle passe le bac d’abord !\\n\\n« Je le passe en juin et j’ai des cours entre les entraînements avec des profs qui viennent à domicile car suivre avec une classe au lycée c’est trop dur. J’essaye de caler des cours entre les entraînements et les déplacements, le championnat, la Coupe d’Europe, c’est un peu dur, mais bon il faut avoir le bac ! »\\n\\n[armelse]\\n\\nL’histoire est connue et même légendaire : Frédéric Fauthoux a porté exclusivement le maillot de l’Elan Béarnais Pau-Orthez durant dix-huit saisons et fut de toutes les campagnes européennes, de tous les trophées nationaux. Il est originaire d’Horsarrieu, un village au cœur des Landes de 660 habitants et il a façonné son shoot sur les paniers faits maison par le père ou le grand-mère en dribblant sur la terre ou les cailloux. Son président à l’Elan Pierre Seillant l’avait surnommé affectueusement Petitou mais derrière le sourire d’ange et le chic type se révélait les soirs de match un tempérament volcanique, un fier guerrier, un malin, qui a si bien incarné le club avec les deux frangins Gadou. Avec l’équipe de son patelin, il a gagné la Coupe des Landes, un trophée qui là-bas vaut le Larry O’Brien Trophy de la NBA.\\n\\nFreddy Fauthoux devint ensuite adjoint aux sports de la mairie de Pau et de l’agglomération tout en travaillant vaguement le matin pour une compagnie d’assurances. Un peu las après sa carrière de joueur, il n’a pas enchaîné directement sur le coaching professionnel mais continuait à fréquenter régulièrement le palais. Il a mis son savoir-faire au service des jeunes, des séniors, de ses camps de basket, tout en suivant toujours attentivement l’Euroleague à la télévision. Il a ensuite véritablement mis le pied à l’étrier en prenant en mains l’équipe réserve de l’Elan Béarnais, en NM2 et NM3, à Pau Nord-Est. Un bon apprentissage. En août 2014, il est devenu parallèlement l’adjoint de Bernard Faure en équipe de France U16.\\n\\nSeulement l’Elan ne lui a jamais proposé d’intégrer le staff de l’équipe pro et Freddy en conserve toujours une pointe d’amertume. C’est ainsi qu’il est devenu un expat et le milieu, les médias, le public sans doute, ont eu du mal à s’y faire tant il était estampillé sud-ouest et son accent caractéristique le rappelle à chaque mot.\\n\\n« C’était normal. Je suis né là-bas, j’ai fait toute ma carrière de basketteur là-bas, j’étais adjoint aux sports là-bas. Je peux donc comprendre que les gens aient cette idée en tête. Par contre, on ne peut pas remettre en cause mon intégrité de switcher et de m’investir à 100% dans un autre club comme Levallois. Avant de replonger dans ce métier, je savais très bien que je ne pourrai pas faire ma carrière d’entraîneur comme celle de basketteur, c’est-à-dire rester dans le même club des années et des années dans celui où j’ai commencé puisqu’en plus ils ne m’ont pas donné l’opportunité. Je voulais rester à Pau car il y avait tout un cadre, le basket bien sûr, familial. J’ai joué 14 ans l’Euroleague sur 18 de carrière. On jouait le titre chaque année. Je n’avais aucun intérêt à partir. »\\n\\nLes Landes, Freddy n’y retourne qu’à Noël et durant les vacances estivales encore que l’été dernière il a assisté à la Summer League de Las Vegas, une ville de frime, de lumière et du jeu qui est l’exact contraire de son village.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Freddy Fauthoux (Karen Mandau), Marine Fauthoux (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe Intercontinantale – DeJuan Blair (Austin Spurs) : «On ne représente pas que notre équipe, on représente la NBA»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end à Rio de Janeiro aura lieu la Coupe Intercontinentale FIBA et pour la première fois depuis 40 ans un champion américain sera présent. Les Austin Spurs, champion de G League en 2017-2018, représenteront l’Oncle Sam lors de ce tournoi.\\n\\n« C’est très important pour notre culture et l’organisation, on ne représente pas que notre équipe, on représente la NBA », estime DeJuan Blair (2,01m, 29 ans), joueur de l’effectif texan.\\n\\nCe dernier fait partie des rares joueurs de la ligue de développement a avoir connu une expérience à l’étranger, étant respectivement passé par la Russie, la Chine, et l’Argentine durant sa carrière.\\n\\nLes demi-finales auront lieu demain vendredi et auront pour match d’ouverture AEK Athènes contre San Lorenzo de Almagro, un club argentin. Les Austin Spurs, quant à eux, affronteront les Brésiliens de Flamengo, hôtes de la compétition. La petite finale ainsi que la finale se joueront le dimanche.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=SaIb_98VbEQ" }, {"role": "user", "content":"Vitalis Chikoko : «Tout le monde à Pau veut gagner, il n’y a pas plus clair comme objectif»" }, {"role": "assistant", "content":"Le ton est donné. Deuxième du championnat, à une seule petite victoire de l’ASVEL (14v-6d), l’Elan Béarnais n’était peut-être pas attendu si haut. Pourtant, le pivot titulaire de l’effectif de Laurent Vila, Vitalis Chikoko (2,11m, 28 ans) y croyait.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Nous avons de très bons joueurs. Nous nous attendions à être performants, je ne suis pas surpris. J’en connaissais beaucoup avant cette saison donc je savais que nous aurions une belle équipe. Nous jouons un bon basket en équipe, c’est une bonne chose. Nous allons essayer de remporter le plus de matchs possibles, nous qualifier pour les playoffs évidemment. Tout le monde à Pau veut gagner donc il n’y a pas plus clair comme objectif. »\\n\\nMais avant de penser à l’après saison régulière, place à la traditionnelle Leaders Cup à Disneyland Paris. Avoir un Mickey (McConnell) dans son équipe aidera-t-il le club palois à remporter l’édition 2019.\\n\\n« C’est ma deuxième fois à la Leaders Cup, je l’ai joué il y a deux ans. C’est bien, nous sommes prêts ! Nous pouvons surprendre beaucoup d’équipes. Nous allons jouer notre premier match contre Levallois, nous allons essayer de gagner. »\\n\\nEn quarts de finale de la Leaders Cup, Pau affronte les Levallois Metropolitans à 13h15. Match à suivre en direct sur RMC Sport 2.\\n\\n[armelse]\\n\\n« Nous avons de très bons joueurs. Nous nous attendions à être performants, je ne suis pas surpris. J’en connaissais beaucoup avant cette saison donc je savais que nous aurions une belle équipe. Nous jouons un bon basket en équipe, c’est une bonne chose. Nous allons essayer de remporter le plus de matchs possibles, nous qualifier pour les playoffs évidemment. Tout le monde à Pau veut gagner donc il n’y a pas plus clair comme objectif. »[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Richard Solomon (ex-Gravelines) signe un contrat NBA" }, {"role": "assistant", "content":"Passé par le BCM Gravelines-Dunkerque en 2016-2017, l’ailier fort Richard Solomon (2,11m, 26 ans) vient de parapher un contrat de 10 jours avec l’Oklahoma City Thunder, selon le fameux insider américain Shams Charania.\\n\\nNon drafté à sa sortie de la fac de California en 2014, l’intérieur athlétique a fait plusieurs saisons à l’étranger, que ce soit en France, au Japon et en Turquie. Cette saison, il évoluait en G League avec l’Oklahoma City Blue, où il tournait à 13,6 points, 8,6 rebonds, 1,8 passe décisive et 1,3 interception de moyenne par match." }, {"role": "user", "content":"Qualifications Coupe du monde : La Croatie avec le Villeurbannais Miro Bilan pour l’opération de la dernière chance" }, {"role": "assistant", "content":"Pour cette dernière fenêtre qualificative pour la Coupe du monde 2019, le sélectionneur croate Drazen Anzulovic a convoqué 24 joueurs dont le pivot de l’Asvel, Miro Bilan, pour les deux derniers matchs contre la Pologne (le 22 février) et la Hongrie (le 25 février).\\n\\n * Luka Babic (Istanbul BB)\\n * Miro Bilan (ASVEL)\\n * Josip Bilinovac (Cibona)\\n * Domagoj Bosnjak (Cedevita)\\n * Luka Bozic (Zadar)\\n * Martin Junakovic (Nevezis)\\n * Mate Kalajzic (Split)\\n * Toni Katic (Cedevita)\\n * Filip Kruslin (Cedevita)\\n * Krešimir Ljubisic (Cibona)\\n * Pavle Marcinkovic (Split)\\n * Jakov Mustapic (Cedevita)\\n * Toni Nakic (Sibernik)\\n * Hrvoje Peric (Trieste)\\n * Toni Perkovic (Cedevita)\\n * Darko Planinic (Zielona Gora)\\n * Roko Prkacin (Cibona)\\n * Ivan Ramljak (Cedevita)\\n * Roko Rogic (Cibona)\\n * Luka Samanic (Olimpija Ljubjana)\\n * Karlo Uljarevic (Skrljevo)\\n * Domagoj Vukovic (Zadar)\\n * Karlo Zganec (Cedevita)\\n * Tomislav Zubcic (Manresa)\\n\\nLa sélection au damier n’a pas son destin entre les mains. Les Croates devront impérativement remporter leurs deux derniers matchs tout en espérant des défaites de la Pologne et de la Hongrie, qui sont devant eux au classement.\\n\\nPhoto: Miro Bilan (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de Grèce : dégoûté par l’arbitrage, l’Olympiakos s’arrête à la mi-temps !" }, {"role": "assistant", "content":"En 43 ans de carrière, Rick Pitino n’avait jamais vu ça...\\n\\nAlors que le score affichait 40-25 à la mi-temps de la demi-finale de la Coupe de Grèce entre les deux rivaux historiques du Pana et de l’Olympiakos, l’équipe du Pirée a décidé de ne pas revenir sur le terrain pour la 2e mi-temps.\\n\\nSelon les règles de la FIBA, le Panathinaikos remporte donc la partie sur forfait, sur le score de 20-0 et devrait donc affronter le PAOK en finale.\\n\\nMais l’Olympiakos ne devrait pas en rester là, ayant déjà envoyé un courrier à la FIBA, en la personne de son secrétaire général, Andreas Zagklis, afin que celui-ci revoit le match en détails...\\n\\n« On est dégoûté », a réagi le GM de l’Olympiakos, Christos Stavropoulos. « On ne peut pas participer à cette mascarade. On ne peut plus supporter ça, les autorités doivent faire quelque chose. »\\n\\nIl faut dire que le ton a été donné d’entrée de jeu avec 3 fautes sifflées contres l’Olympiakos dès les 28 premières secondes de jeu !\\n\\nDe son côté, et comme à son habitude, Dimitris Giannakopoulos a ajouté de l’huile sur le feu. Le propriétaire du Pana a ainsi été déposer une petite culotte sur le banc de l’Olympiakos pour signifier son sentiment.\\n\\n« C’était quelque chose de prévu », proteste-t-il. « On dirait bien qu’ils ne peuvent pas payer leurs joueurs, ils ont abandonné et maintenant, ils viennent nous dire que c’est de la faute des arbitres. Peut-être que la famille Aggelopoulos veut quitter l’Olympiakos et remet la faute sur les arbitres. C’est inacceptable. On perd et on gagne sur le terrain. »\\n\\nDans le même esprit d' »apaisement », le Pana a également envoyé un tweet reproduisant une alerte enlèvement... La description du disparu indique des yeux « en pleurs » et un poids « plume » entre autres...\\n\\n\\n\\n\\n40-25 ή 20-0 ακόμα τους ψάχνουμε! pic.twitter.com/RSlpusWqsi\\n\\n\\n— Panathinaikos BC (@paobcgr) February 13, 2019" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: Le Mans et Rouen derniers qualifiés pour les quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Bien que finaliste en 2018, Boulazac n’a pas pesé lourd face au Mans à Antarès (81-97) tandis que Rouen est allé gagner à Souffelweyersheim (77-81), le dernier club de N1 encore en course.\\n\\nPhoto: Antoine Eito (Le Mans, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: C’est fait, Bourges est en quarts de finale !" }, {"role": "assistant", "content":"Le Tango Bourges Basket a rempli son contrat en dominant les Castors de Braine dans le Cher (83-55) et se sont ainsi qualifiées pour les quarts-de-finale de l’Euroleague.\\n\\nCe sont dans les deuxième (22-11) et quatrième quart-temps (22-10) où les Françaises ont fait une vraie différence. 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Non comme coach mais comme vice-président en charge du sportif des Levallois Metropolitans. L’ancien coach de l’équipe de France nous explique dans cette interview ce qui l’a poussé à redevenir un acteur du basket pro et le projet du déménagement à Boulogne avec la construction d’une aréna de 5 000 places.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès Nancy, avez-vous envisagé de rebondir ailleurs pour finir votre carrière sur une note positive ?\\n\\nNon. Les entraîneurs qui mènent une carrière longue ne traversent pas que des périodes idylliques. Selon les périodes plus ou moins fastes, ils peuvent être affublés de toutes les qualités ou de tous les défauts. Sans vraiment de nuances. Les coaches se doivent de rester très lucides sur leur valeur et ne pas se laisser griser ou abattre en fonction des circonstances. Cela demande un gros travail sur soi-même afin de mettre une distance entre les résultats et les évaluations quels qu’ils soient et l’estime que l’on se porte. Alors que signifie bien finir une carrière, sachant qu’il est rare qu’un coach s’arrête de lui-même. Un contrat non renouvelé, un limogeage ou une séparation dite à l’amiable sont autant de douleurs pour un coach. Mais afin de ne pas aller jusqu’à la souffrance, il faut bien savoir qu’en grande majorité, les départs des coaches où ils exercent se passent mal. Et à 63 ans j’étais quand même averti.\\n\\nQuand vous parlez à votre propos d’une carrière de coach de trente ans, vous incluez le PUC féminin ?\\n\\nNon. En fait, j’ai toujours entraîné de par mon métier puisque j’étais responsable d’une section sport-études depuis l’âge de 24 ans. Après, il y a eu les filles du PUC, de Sceaux, Chatou, Sceaux, etc. Quand on a passé autant de temps, on ne se centre pas sur le fait de finir bien ou pas. Ça fait partie des péripéties d’une carrière. C’est une période de la carrière où on est très apaisé. Il y a eu des période où j’ai eu besoin, envie, de montrer que j’existais. Et là c’est un besoin qui ne m’est jamais passé par la tête de reprendre le coaching. J’avais complètement arrêté le basket. J’étais à Marseille et je n’avais aucune velléité de me remettre dans un club ni comme coach, ni en tant qu’autre chose.\\n\\nN’avez-vous pas eu la frustration de ne pas avoir eu une fois une équipe dimensionnée pour le titre, pour l’Europe ?\\n\\nJ’ai eu des opportunités, je ne l’ai jamais cherché. J’ai toujours privilégié le fait d’être dans un confort avec des gens que je sentais bien, que j’aimais bien. J’ai été souvent champion de France au niveau où j’entrainais, jamais en Pro A, mais ça ne me pose vraiment aucun problème. Il m’est arrivé de refuser des équipes de premier plan car je ne sentais pas le truc. L’aventure humaine était pour moi plus importante que le fait de chercher à avoir un titre. Ça n’a jamais été une obsession pour moi.\\n\\nEtes-vous fier d’avoir été le mentor de Vincent Collet ?\\n\\n(Rires) Ce n’est pas de la fierté. Je suis content de l’avoir rencontré, d’avoir entretenu avec lui de très bonnes relations et elles perdurent. De voir tout le chemin qu’il a fait par rapport à ce premier jour où on était rassemblé chez Christian Baltzer (NDLR : président du MSB de l’époque), dans sa salle à manger avec son épouse, et où il m’avait dit « dis-moi à qui tu penses pour être ton assistant et je te dirai à qui je pense. » On avait tous les deux le même nom. Je suis content pour Vincent mais je ne me suis jamais positionné comme un mentor. On a travaillé ensemble quelques années puisqu’il a été aussi mon assistant en équipe de France. Vincent a toute sa science, il n’a pas fait du Alain Weisz derrière. Il a fait du Vincent Collet avec un positionnement qui correspond à sa personnalité et à ses connaissances. Je faisais partie du jury du Brevet d’Etat et je l’ai noté à la « démonstration commentée ». On était deux et on lui a mis 20/20.\\n\\nIl avait été Major de la Promotion ?\\n\\nOui. A cette époque-là, il n’était pas du tout mon assistant. C’était l’époque où il passait ses diplômes. Vincent n’aurait pas eu besoin de moi pour réussir mais c’est une grande rencontre pour moi. J’avais un positionnement au-dessus de lui puisqu’il a été mon assistant à deux reprises mais je ne l’ai jamais vécu comme ça. On était tous les deux passionnés du jeu et même après s’être séparés, pendant des années, on s’est téléphoné, en se disant « tu as vu, untel a fait ça ? Tu as vu ce qu’a fait telle équipe ? » Par amour du basket.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=aJlPq0f7sXI\\n\\n« Aux JO de Munich, j’ai eu des places pour tous les matches sauf la finale »\\n\\nVous avez longtemps donné des cours à Marseille. Vous avez repris après Nancy ?\\n\\nLorsque je suis allé à Nancy, j’ai démissionné de l’Education Nationale. A mon retour, on a fait appel à moi pour donner des cours mais je n’étais plus en poste à la fac. C’était uniquement en tant que vacataire. Jusqu’à Nancy, et à partir de 2004, j’avais comme spécialités la communication du sport de haut niveau et l’Histoire du sport. Quand on fait l’Histoire du sport, il y a tout un aspect théorique à traiter mais j’ai grandi avec la lecture de L’Equipe, tous les résultats des clubs et des sélections nationales. Il n’y en avait pas beaucoup dans les années 60, 70 !\\n\\nVous êtes allés à 19 ans aux Jeux Olympiques de Munich en 1972 ?\\n\\nC’était une aventure. On était cinq et on était parti en 4L sans aucune organisation, en camping, et après c’était la démerde pour avoir des places.\\n\\nAvez-vous assisté à la finale du basket, à la mémorable victoire de l’URSS sur les Etats-Unis ?\\n\\nNon. Je n’ai pas pu car je n’ai pas eu de places. J’ai eu des places pour tout jusqu’à la demi-finale et la finale, je l’ai vu à la télévision au camping dans une caravane avec des Américains. C’est inoubliable ! Entre le moment où les Etats-Unis croient avoir gagné et où on remet en jeu avec le panier d’Alexandre Belov et le changement de vainqueur, il s’est passé du temps avec des émotions extraordinaires dans cette caravane d’Américains. Et moi j’étais pour les Russes ! Pas pour des raisons politiques mais les Américains avaient toujours gagné et ils étaient un peu arrogants. Ils étaient arrivés avec le grand (Tom) Burleson qui mesurait 2,23m... Les Russes avaient des joueurs extraordinaires avec Sergüei Belov, (Modestas) Paulauskas, (Ivan) Edechko, qui fait la fameuse passe à Alexandre Belov (NDLR : L’URSS a remporté la finale 51-50. Les « trois dernières secondes » du match ont été rejouées trois fois avant que Edechko lance la balle de derrière son panneau jusqu’à l’autre bout du terrain, que Alexandre Belov la récupère entre deux joueurs américains et marque le panier de la victoire). Je n’ai jamais eu d’idole mais pour moi c’était un rêve de cette compétition à dix-neuf ans. On était parti sans fric mais les places étaient données à cette époque-là. Pour assister à toute une journée d’un match de basket, on payait 5 Marks. C’est-à-dire 7,50F.\\n\\nVous aviez assisté à d’autres sports ?\\n\\nA l’athlétisme, à un match magnifique de volleyball entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est. A un grand match de handball avec la Roumanie de (Ghorghe) Gruia, qui était le grand champion de l’époque. C’était la première fois que le handball apparaissait aux Jeux Olympiques. Je m’intéressais à tous les sports et je connaissais plus que maintenant les sportifs de haut niveau, tout me parlait.\\n\\n« Comme le dit souvent Baguet, il y a un alignement des planètes qui fait qu’il se sent aujourd’hui avoir les épaules assez larges pour créer un palais des sports et entretenir une équipe de basket professionnel »\\n\\nC’est le maire de Boulogne Billancourt, Pierre-Christophe Baguet, qui vous a décidé de venir ici à Levallois ?\\n\\nOui. Je le connais depuis l’âge de vingt ans, depuis que j’ai rencontré ma femme puisque la sienne et la mienne allaient à l’école ensemble en Primaire. Chaque fois que l’on était ensemble il me parlait de basket car à l’origine, il est basketteur. Et partout où je suis allé, ils sont toujours venus voir des matches, à Strasbourg, au Mans, partout, ou quand je passais à Paris. En plaisantant, je lui disais, qu’attends-tu pour faire une équipe à Boulogne ? Quand il a été maire, ça a été encore plus ça. Et puis en 2017, il m’appelle et il me dit, « on y va ! ». J’ai dit, « on va où ? » Il me répond, « je monte une équipe de basket !... Mais je la monte que si tu viens avec moi. » Les choses se sont enchaînées comme ça et depuis maintenant quinze mois, on n’arrête pas pour faire en sorte que Boulogne travaille avec Levallois et prenne le relai à terme. Je ne sais pas quand ça va exactement se faire mais je dirai que c’est éminent.\\n\\nSon plan c’était une association avec Levallois ?\\n\\nPrendre une équipe amateur, c’était possible mais j’ai connu ça. On l’a fait avec Sceaux. Avec une réussite formidable et une organisation extraordinaire, on est passé de l’Excellence Régionale et on est monté en Pro A en quinze ans. Même avec beaucoup d’argent c’est très aléatoire. Pierre-Christophe Baguet avait dans l’idée de faire la promotion du club de Vanves et à un moment donné, il y a eu un coup de fil entre lui et Jean-Pierre Aubry (NDLR : président des Métropolitans) et les choses ont démarré comme ça avec un alignement des planètes. Au départ, je voulais bien l’aider sur Vanves et je m’étais occupé de l’arrivée de deux joueurs mais sans avoir l’intention le moins du monde de vouloir quitter Marseille. C’était juste par sympathie. L’opportunité Levallois s’est greffée très vite. Je pense que Jean-Pierre a eu vent que Boulogne et Baguet voulaient se mettre dans le basket. Il y a eu les premiers échanges entre eux et comme je connaissais Jean-Pierre depuis des lustres, j’ai été dans le tour de table à chaque fois.\\n\\nParallèlement, il y a eu l’ambition de construire une aréna ?\\n\\nL’Aréna, pour lui c’est en premier. Je construis une aréna et il faut que j’y mette une équipe de basket. Boulogne est une ville qui fonctionne super bien, qui a un passé sportif avec l’ACBB qui remonte à très longtemps. Ils ont eu des champions olympiques, des sections qui marchaient très bien. Mais les choses ont changé et il voulait s’inscrire dans le sport professionnel. Ce n’est pas qu’une obsession de basketteur, c’est un projet de maire de construire un palais des sports à Boulogne.\\n\\nUn palais des sports multifonctionnel ?\\n\\nIl ne savait pas. Il se trouve que ce sera un palais des sports basket.\\n\\nQui devait être construit sur l’Ile Seguin mais ça ne sera pas le cas...\\n\\nNon. Il se fait dans un endroit qui s’appelle Le Triangle. Ça ne sera pas périphérique, c’est dans Boulogne.\\n\\nC’est à combien de temps d’ici (NDLR : l’entretien s’est déroulé à Levallois dans les bureaux des Métropolitans, au palais des sports Marcel-Cerdan) ?\\n\\nJe mets huit minutes, c’est à six kilomètres en passant par le périph. C’est à côté de TF1, RMC... Boulogne, c’est 120 000 habitants et 12 000 sièges d’entreprises. C’est la ville de 100 000 habitants la mieux gérée. Ils ont eu le label cette année. Ils ont une demande immobilière colossale. Les gens quittent Paris pour venir habiter Boulogne. Comme le dit souvent Baguet, il y a un alignement des planètes qui fait qu’il se sent aujourd’hui avoir les épaules assez larges pour créer un palais des sports et entretenir une équipe de basket professionnel.\\n\\nLa capacité sera de 5 000 places ?\\n\\nOui avec 300 places de loges. Il y aura restaurations et des surfaces commerciales.\\n\\nL’échéance ?\\n\\n 2022. C’est rapide...\\n\\nVous êtes rentré en même temps au Directoire du club ?\\n\\nC’est une demande de Jean-Pierre qui m’a demandé d’intégrer le Directoire et de m’occuper du secteur sportif de l’équipe pro, de travailler avec les coaches, avec Freddy (Fauthoux), du recrutement que j’ai pris en cours de route et il y avait beaucoup de choses qui étaient faites. J’ai intégré le club à partir du juin et je suis attaché à l’équipe première.\\n\\nVous vivez encore partiellement à Marseille ?\\n\\nOui. Ma femme est toujours à Marseille et on n’était pas organisé pour en partir. J’ai un pied à terre ici mais j’ai ma maison personnelle à Marseille. Je suis là les 4/5e du temps et le week-end en déplacement. Je ne vais pas m’installer définitivement mais le temps de monter l’opération.\\n\\nDans votre idée, votre fonction prendra fin à l’arrivée dans la salle ?\\n\\nOn verra... C’est une mission du côté de Boulogne et de Levallois.\\n\\nLe club, c’est une entité Levallois-Boulogne même s’il ne porte que le nom de Levallois ?\\n\\nOui mais prochainement ça sera Métropolitans Levallois-Boulogne. Metropolitans pour que ça soit aussi Paris.\\n\\nLe rôle de Directeur sportif est relativement nouveau en France. Il demande que les attributions entre lui et le coach soient claires ?\\n\\nOui. Ça demande une très bonne entente par obligation. Je suis là pour aider et pas pour marquer mon territoire en disant, « j’ai fait ci, j’ai fait ça. » C’est fini. Les coaches sont en première ligne, Freddy (Fauthoux) est en première ligne et je suis là pour faire en sorte que son travail soit facilité. Ça se voit surtout au moment du recrutement et des changements de joueurs car il y en a beaucoup en cours d’année, trop même !\\n\\nC’est vous qui avez les rapports permanents avec les agents ?\\n\\nOui. Je les connais bien, ils savent comment je travaille. Il y a un prix, je ne négocie pas et ça simplifie les choses. Lorsque je m’occupais du recrutement de mes équipes, j’ai toujours travaillé comme ça. J’avais un budget et je ne négociais pas. Si c’est trop cher, on passe à quelqu’un d’autre. Je me suis toujours refusé à jouer les marchands de tapis pour recruter des basketteurs.\\n\\n« On n’a jamais parlé de l’Euroleague. 5 000 places, c’est déjà considérable pour la région parisienne »\\n\\nL’un de vos objectifs est de développer le centre de formation et profiter du vivier de l’Ile de France ?\\n\\nC’est fondamental. Si il y a un axe directeur donné par Pierre-Christophe Baguet -et je sais que Jean-Pierre (Aubry) en est tout à fait d’accord- c’est la formation. Faire en sorte d’utiliser ce vivier parisien dans lequel tout le monde vient se servir et qui est gigantesque. Il y a énormément de jeunes joueurs qui ont des capacités athlétiques formidables. Le basket parisien n’est pas ridicule. Il y a des entraîneurs, des jeunes minimes qui sont des pépites en perspective. Je découvre le club cette année mais je pense qu’il n’a pas assez utilisé ce vivier. Pour une équipe professionnelle, le premier axe de travail c’est de gagner des matches mais après il faut absolument que la formation du club utilise au maximum le vivier parisien.\\n\\nC’est important d’avoir dans l’équipe des gens du 92 comme Maxime Roos et Cyrille Elietzer-Vanerot ?\\n\\nOn peut faire encore plus. Il faut que le centre de formation soit reconnu pour faire en sorte que les jeunes joueurs parisiens se disent « tiens, là c’est bien. » On peut y aller. Ce qu’a réussi à faire Le Mans, Cholet, Dijon et Pau à une époque.\\n\\nLe fait d’avoir des joueurs parisiens peut-il plus facilement amener du public ?\\n\\nJe n’y crois pas une seconde. Paris a toujours connu ce problème du public. Il y a eu une seule année avec du public, celle de la saison avec (Hervé) Dubuisson, (Dragan) Kicanovic et (Ratko) Radovanovic (NDLR : 1983-84 au Stade Français). C’était plein à Coubertin toute l’année. Parce que c’était beau. Ce n’est pas original ce que je dis mais à Paris il y a tellement de choses à faire que les gens sont là pour voir un spectacle de qualité. La notion de supporter une équipe comme on peut la trouver à Cholet, au Portel ou à Bourg-en-Bresse n’existe pas ici. Par contre en proposant un beau spectacle, je suis sûr que l’on remplit un palais des sports même sans être en Euroleague. En championnat de France et dans une coupe d’Europe que jouent les clubs français aujourd’hui. Après cette fameuse année avec Dubuisson, Kicanovic et Radovanovic, Coubertin a été sporadiquement rempli notamment avec le Paris champion de France de Laurent Sciarra et de Canal. Mais c’était pour les playoffs ou un match particulier. Avoir un public fidélisé véritablement par le nom du club, je n’ai jamais vu à Paris.\\n\\nVous viserez un public généraliste parisien plutôt qu’un public autour de Boulogne ?\\n\\nGénéraliste parisien, tout à fait. Ça sera Boulogne et Levallois mais dans notre esprit ça sera Paris. Ce n’est pas un problème d’aller voir un match de basket à Boulogne. On peut y venir de Paris en métro. Boulogne, c’est Paris.\\n\\nComment considérez-vous la concurrence avec Nanterre qui est dans le 92 comme vous et avec le Paris Basketball ?\\n\\nFranchement, pour ce qui me concerne, c’est le cadet de mes soucis. Paris c’est 12 millions d’habitants. Ne peut-il pas y avoir deux équipes de basket en Jeep Elite et même trois ? Il faudra du temps pour ça, que Paris Basketball monte en Jeep Elite. Il peut se passer des tas de choses, les clubs ne sont pas éternels. Ce n’est pas un problème puisque les publics ne se chevauchent pas. Nanterre ne pique aucun spectateur à Levallois qui n’en pique aucun à Nanterre ainsi de suite jusqu’au Paris Basketball.\\n\\nAvec une capacité de 5 000 places, vous ne serez pas candidat à l’Euroleague ?\\n\\nJe ne sais pas. On ne s’est pas posé ce problème-là, on n’a jamais parlé de l’Euroleague. 5 000 places, c’est déjà considérable pour la région parisienne. Il faut savoir qu’il n’existe rien à Paris sinon Bercy mais personne n’y joue. Je crois qu’il ne faut pas être trop exigeant et se dire « L’Euroleague, l’Euroleague, l’Euroleague... » Il faut y aller step by step (NDLR : pas à pas). Faire en sorte que dans trois ans le basket se développe dans ce nouveau palais des sports et après on verra. Je sais que David Khan (NDLR : le président du Paris Basketball) a dit que son objectif est de gagner l’Euroleague. Que ce soit avec Jean-Pierre Aubry ou avec Pierre-Christophe Baguet, on en a jamais parlé. Jamais. On a vu que Jordi Bertomeu (NDLR : le directeur de l’Euroleague) disait que s’il y avait deux équipes françaises ça serait l’ASVEL et puis une équipe de Paris, on a souri car pour moi elle n’existe pas cette équipe de Paris. Honnêtement, la concurrence parisienne ne me pose aucun problème.\\n\\nMais il existe un derby des Hauts-de-Seine avec Nanterre à l’instar du derby Chalon-Dijon ou Gravelines-Le Portel ?\\n\\nIl y a une histoire de voisinage comme il existait dans les années 90 un derby entre Sceaux et Levallois. Ça c’est bien, c’est sain. Et vingt ans plus tard après ce derby, je suis à Levallois (rires).\\n\\nLe fait que ce soit Paris a-t-il joué dans le recrutement de Roko Ukic et Julian Wright?\\n\\nC’est clair. Ils se sont renseignés sur le club et le club a une très bonne image auprès des agents. Il a toujours été réglo, un club familial sans problème de retards de paiement. Et puis Paris. Ce qui a été déterminant c’est l’école internationale pour les enfants. C’est à Neuilly, c’est à 4-600m, ils y vont à pieds. Tous les cours sont en anglais. Roko Ukic est passé dans plusieurs pays et le fil rouge c’est l’anglais même s’ils ont l’oreille pour l’italien et peut-être d’autres langues.\\n\\nJulian Wright a-t-il failli partir en fin d’année* ?\\n\\nC’est faux. C’est moi qui a fait le contrat. Il fallait que le club qui l’accueille joue en Euroleague et qu’il paye un buyout de 150 000 dollars. Il avait donc effectivement une porte de sortie qui nous aurait permis de nous retourner s’il était parti mais il ne l’a jamais utilisé. Il n’a pas eu de demandes. Ses agents l’ont fait savoir qu’il avait une porte de sortie mais le niveau de l’Euroleague c’est très haut et il n’y a pas toujours joué. Personne n’a fait de folies sur Julian Wright, ce qui nous sert bien car on est content de l’avoir.\\n\\nVous avez fait confiance à Mouph Yarou en estimant qu’il ne risquait pas une rechute de ses problèmes physiques ?\\n\\nLa garantie, c’était la saison qu’il a fait avec Antibes. Il y a fait une bonne saison en étant le meilleur rebondeur de la ligue. Je suis en contact permanent avec Julien Espinosa qui savait très bien qu’il ne le garderait pas. Il m’a dit « top ! » sans aucun bémol. Mouph n’a pas raté un entraînement, n’est pas sorti dix minutes pour soigner un bobo depuis le 15 août.\\n\\nC’est une opportunité d’avoir un joueur calibré comme Nobel Boungou-colo en pleine saison. Il s’entraînait avec le Paris Basketball ?\\n\\nOui. Nobel a mené sa barque toute l’année en essayant d’aller ailleurs et finalement il s’est retrouvé sans équipe et c’est pour ça qu’on l’a sollicité. Pour le moment il fait une pige de deux mois et après on verra ce qu’on peut faire avec Nobel car on souhaite le garder. Mais je ne sais pas si ça sera possible. Pour l’instant il est en pigiste médical.\\n\\n * L’interview a eu lieu juste avant le départ de Julian Wright, la rupture du Tendon d’Achille de Mouphtaou Yarou, sur le carreau toute la saison, l’entorse à la cheville de Roko Ukic qui sera indisponible deux à trois semaines, et l’annonce que Nobel Boungou-colo va quitter le club pour Badalone après la Leaders Cup.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès Nancy, avez-vous envisagé de rebondir ailleurs pour finir votre carrière sur une note positive ?\\n\\nNon. Les entraîneurs qui mènent une carrière longue ne traversent pas que des périodes idylliques. Selon les périodes plus ou moins fastes, ils peuvent être affublés de toutes les qualités ou de tous les défauts. Sans vraiment de nuances. Les coaches se doivent de rester très lucides sur leur valeur et ne pas se laisser griser ou abattre en fonction des circonstances. Cela demande un gros travail sur soi-même afin de mettre une distance entre les résultats et les évaluations quels qu’ils soient et l’estime que l’on se porte. Alors que signifie bien finir une carrière, sachant qu’il est rare qu’un coach s’arrête de lui-même. Un contrat non renouvelé, un limogeage ou une séparation dite à l’amiable sont autant de douleurs pour un coach. Mais afin de ne pas aller jusqu’à la souffrance, il faut bien savoir qu’en grande majorité, les départs des coaches où ils exercent se passent mal. Et à 63 ans j’étais quand même averti.\\n\\nQuand vous parlez à votre propos d’une carrière de coach de trente ans, vous incluez le PUC féminin ?\\n\\nNon. En fait, j’ai toujours entraîné de par mon métier puisque j’étais responsable d’une section sport-études depuis l’âge de 24 ans. Après, il y a eu les filles du PUC, de Sceaux, Chatou, Sceaux, etc. Quand on a passé autant de temps, on ne se centre pas sur le fait de finir bien ou pas. Ça fait partie des péripéties d’une carrière. C’est une période de la carrière où on est très apaisé. Il y a eu des période où j’ai eu besoin, envie, de montrer que j’existais. Et là c’est un besoin qui ne m’est jamais passé par la tête de reprendre le coaching. J’avais complètement arrêté le basket. J’étais à Marseille et je n’avais aucune velléité de me remettre dans un club ni comme coach, ni en tant qu’autre chose.\\n\\nN’avez-vous pas eu la frustration de ne pas avoir eu une fois une équipe dimensionnée pour le titre, pour l’Europe ?\\n\\nJ’ai eu des opportunités, je ne l’ai jamais cherché. J’ai toujours privilégié le fait d’être dans un confort avec des gens que je sentais bien, que j’aimais bien. J’ai été souvent champion de France au niveau où j’entrainais, jamais en Pro A, mais ça ne me pose vraiment aucun problème. Il m’est arrivé de refuser des équipes de premier plan car je ne sentais pas le truc. L’aventure humaine était pour moi plus importante que le fait de chercher à avoir un titre. Ça n’a jamais été une obsession pour moi.\\n\\nEtes-vous fier d’avoir été le mentor de Vincent Collet ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nMercredi: Freddy et Marine Fauthoux\\n\\nPhoto: Karen Mandau, Metropolitans" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : recalé aux tests médicaux, Stephane Lasme ne jouera pas pour la SIG" }, {"role": "assistant", "content":"C’est un gros poisson qu’avait ferré la SIG en la personne Stephane Lasme (2,03m, 35 ans). Malheureusement pour le club et la Jeep Elite, le vainqueur de l’Eurocup 2016 ne portera pas le maillot strasbourgeois cette saison.\\n\\nSur son site, le club alsacien informe que l’ancien intérieur du Panathinaïkos est arrivé à Strasbourg mardi, qu’il a passé les examens médicaux mais que les médecins ont décidé de ne pas délivrer le certificat médical. Sans club depuis fin janvier après son départ du Pana, l’ancien joueur de Galatasaray ne jouera donc pas pour Strasbourg cette saison et le club indique être déjà à la recherche d’un nouveau renfort.\\n\\nEn 18 matches d’Euroleague et 16′ de moyenne, Stéphane Lasme a tourné à 5,1 points et 2,8 rebonds cette saison.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : William Howard remplace Paul Lacombe pour la fenêtre de février" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifiée pour la coupe du Monde qui aura lieu en Chine en septembre, l’Equipe de France devra composer sans Paul Lacombe pour la dernière fenêtre internationale.\\n\\nBlessé, l’arrière monégasque est laissé au repos et c’est le Limougeaud William Howard qui est appelé à la rescousse par le sélectionneur tricolore pour les matchs face à la Finlande (21 février à 18h à Espoo) et la République Tchèque (24 février à 17h à Nantes).\\n\\nVoici la liste des joueurs qui représenteront la France pour la fenêtre de février. A noter que, comme en novembre dernier, Vincent Collet et son staff ont décidé de faire appel, à deux joueurs, partenaires d’entrainement. Il s’agit d’Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans – Dijon) et Maxime Roos (2,02m, 23 ans – Levallois).\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\n\\nNaissance\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSélections\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoints\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAndrew\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nALBICY\\n\\n\\n\\n\\n\\n21/03/1990\\n1,78\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n44\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n99\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAndorre\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAxel\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBOUTEILLE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14/04/1995\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,97\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n29\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLimoges\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOusmane\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCAMARA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12/05/1989\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,02\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4/5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nChalon\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nWilliam\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nHOWARD\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n25/10/1993\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,02\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLimoges\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAxel\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJULIEN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n27/07/1992\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,84\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n28\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDijon\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAlain\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKOFFI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n23/11/1983\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,06\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4/5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n47\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n213\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGravelines\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLahaou\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKONATE\\n\\n\\n\\n\\n\\n17/11/1991\\n1,96\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n8\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNanterre\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMathias\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLESSORT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n29/09/1995\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,05\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n45\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMalaga\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nThéo\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMALEDON\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12/06/2001\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,91\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nASVEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAmath\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nM’BAYE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14/12/1989\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,03\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n24\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBologne\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAmine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOUA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n07/02/1997\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,00\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nASVEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nYakuba\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOUATTARA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n24/01/1992\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,91\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n8\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n30\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMonaco\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague Féminine: Bourges joue sa qualification face à Braine, en direct sur YouTube" }, {"role": "assistant", "content":"Les Tango de Bourges seraient bien inspirées de sortir victorieuses, ce soir, au Prado, de leur affrontement avec les Castors de Braine.\\n\\nUne victoire et c’est la qualification dans la poche pour les huitièmes de finale. Mieux: les filles d’Olivier Lafargue prendraient une sérieuse option sur la troisième place. Une situation indispensable pour éviter les ogres russes de Koursk au tour suivant.\\n\\nIl y a deux semaines, la défaite au Prado face aux Italiennes de Schio (70-75) a un peu refroidi les esprits mais le souvenir du succès en Belgique contre les Castors (78-65) est rassurant.\\n\\nLe match est diffusé en direct sur YouTube.\\n\\nUn dernier match de phase de groupe est programmé pour les Berruyères la semaine prochaine à Villeneuve d’Ascq.\\n\\nPhoto: Sarah Michel (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: 5 311 spectateurs à Nancy pour voir Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a les chiffres qui tuent dont la victime est le SLUC Nancy, l’assassin les Sharks d’Antibes et le cadre les huitièmes de finale de la Coupe de France.\\n\\n-0/14 aux shoots pour les Lorrains dans le quatrième quart-temps, qui se sont contentés de 4 lancers-francs.\\n\\n-1/13 aux tirs pour le seul Marcellus Sommerville avec une évaluation de -4.\\n\\n-48 à 35 pour les Antibois au rebond.\\n\\nOn n’est donc pas étonné qu’Antibes se soit imposé 65-52. On a beau être lanterne rouge de Jeep Elite, on demeure coriace pour une équipe classée 5e en Pro B.\\n\\nEt puis, il y a le chiffre qui donne du baume au coeur: 5 311 spectateurs pour un match de Coupe de France, de plus un lundi soir, c’est re-mar-qua-ble! Ou « inespéré » comme le souligne L’Est Républicain.\\n\\n« Mais la vente flash organisée le jour du match a cartonné... »\\n\\nUn bon tuyau pour les autres clubs?" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: François Gomez à propos de l’ASVEL: «Elle est partie pour être la locomotive du basket français»" }, {"role": "assistant", "content":"L’Eurocup féminine est ainsi faite que dans son groupe préliminaire, Lyon ASVEL féminin a ferraillé avec Lattes-Montpellier et Tarbes avec Basket Landes. Et les deux équipes se retrouvent face à face en huitièmes de finale dont la manche aller est programmée à 20h dans la capitale des Gaules.\\n\\nDans Le Progrès, François Gomez, coach du TGB, est louangeur sur son adversaire, qui est leader de Ligue Féminine, invaincu en 10 matches en 2019, et qui a baladé son équipe par deux fois en championnat (68-40 et 89-48).\\n\\n« Lyon a, avec (Alysha) Clark, la meilleure étrangère du championnat, la meilleure poste 4 (Michelle Plouffe), une Julie Allemand qui a énormément progressé, un effectif de très grande qualité et équilibré et un coach qui a l’un des plus beaux palmarès de France. Ce n’est absolument pas une surprise de la retrouver en aussi bonne position. Elle est partie pour être la locomotive du basket français. »\\n\\nPhoto: Alysha Clark (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : l’ALBA Berlin prochaine destination de Derrick Walton ?" }, {"role": "assistant", "content":"Remercié par le Zalgiris Kaunas il y a quelques heures, Derrick Walton (1,85m, 23 ans) ne devrait pas rester au chômage bien longtemps.\\n\\nSelon Sportando, l’ALBA Berlin serait sur les rangs pour enrôler l’ancien meneur du Miami Heat. Troisième de Bundesliga, le club allemand est également toujours en course en Eurocup et affrontera Malaga en quart de finale. Il souhaite donc combler la longue absence de Stefan Peno, out pour le reste de la saison, et rester compétitif sur les deux tableaux.\\n\\nCette saison, Derrick Walton compilait en moyenne 8,4 points, 3 rebonds et 4,4 passes décisives de moyenne en championnat lituanien et 4,6 points et 2,5 passes décisives en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Guershon Yabusele (Boston Celtics): «J’espère jouer à Paris»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien intérieur de Roanne et Rouen, Guershon Yabusele (2,03m, 21 ans), aujourd’hui aux Boston Celtics, rêve de jouer avec son équipe à Paris. C’est ce qu’il a déclaré lors du NBA All-Star Week-end.\\n\\nIl y aurait des discussions autour d’un match de NBA à Paris l’année prochaine, comment le percevez-vous ?\\n\\nCe serait génial. J’espère vraiment qu’il y aura effectivement un match à Paris, et je croise les doigts pour que ce soit nous qui y allions. Ce serait super pour le pays et les fans qui y sont, de pouvoir avoir la NBA à Paris, parce que beaucoup de Français ne peuvent pas faire le déplacement jusqu’aux Etats-Unis pour assister à un match. Je pense que ce serait incroyable et que le match serait super.\\n\\nPensez-vous qu’il y aurait beaucoup d’engouement et d’excitation autour de ce match ?\\n\\nC’est évident que le match se jouerait à guichets fermés. Si cela arrive réellement, tous les billets seront écoulés le jour où ils seront mis en vente, parce qu’il y a énormément de fans qui veulent que la NBA vienne en France.\\n\\nEst-ce que cela serait un rêve pour vous d’être de la partie ?\\n\\nOui, cela signifierait énormément de choses pour moi de jouer en France. J’espère vraiment que les Celtics auront l’opportunité de jouer là-bas. J’habite à moins d’une heure de Paris, ma famille pourrait venir voir le match, et j’ai beaucoup d’amis qui y viendraient également. Donc cela serait vraiment incroyable que ce soit les Celtics, si match il y a.\\n\\nGuershon Yabusele est né et a grandi à Dreux, en Eure-et-Loire. Il a débuté le basket à l’Alliance de Dreux Basket avant de porter le maillot de l’Amicale de Lucé Basket en minimes France.\\n\\nPhoto: NBA" }, {"role": "user", "content":"Strasbourg: L’IRM passée par Youssoupha Fall n’a rien révélé de grave" }, {"role": "assistant", "content":"Eliminée de la Champions League et de la Coupe de France, sept défaites en onze matches en 2019, un meneur, Mike Green, à la ramasse, des blessés, la SIG Strasbourg n’est pas dans son assiette actuellement. Heureusement, l’IRM que son pivot Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) a passé en raison d’un mollet douloureux n’a rien révélé de grave.\\n\\nEt le coach Vincent Collet positive dans les DNA:\\n\\n« On a eu au moins le mérite de se battre, de s’arracher et d’essayer de compenser », dit-il à propos de la sortie de son équipe face à l’Asvel. « Mais tu ne peux que compenser jusqu’à un certain point... C’était notre troisième match en cinq jours, en ayant joué une prolongation à Ostende en plus. Face à une équipe aussi athlétique que l’Asvel, des costauds comme Mardy Collins ou Flo Piétrus nous auraient fait du bien. Mais ils sont blessés... »\\n\\nVincent Collet compte sur sa nouvelle recrue Stéphane Lasme, 36 ans, réputé pour l’intransigeance de se défense, pour apporter expérience et dureté physique et mentale à son groupe.\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualification coupe du monde : L’Espagne annonce une liste de novices" }, {"role": "assistant", "content":"Avec quatre clubs en EuroLeague et de nombreux joueurs en NBA, l’Espagne a joué les six fenêtres qualificatives avec des équipes constituées de joueurs moins référencés qu’à l’accoutumée. Jorge Garbajosa, le président de la fédération espagnole, avait même qualifié ces fenêtres de « plus grande crise de l’histoire du basket espagnol ».\\n\\nCela n’a pas empêché l’Espagne d’être qualifiée depuis novembre. Le sélectionneur italien de la Roja, Sergio Scariolo, a annoncé la liste des joueurs pour les matchs contre la Lettonie (le 22 février) et la Turquie (le 25 février). Une sélection avec beaucoup de jeunes et peu d’expérience. Deux joueurs sont appelés pour la première fois en équipe nationale (Pere Tomas et Carlos Alacen) et seulement trois joueurs ont dépassé les 10 capes (Quino Colom, Jaime Fernandez et Sebas Saiz)." }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Léo Westermann en shooteur d’élite" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLéo Westermann claque 20 points en 16 minutes\\n\\nAuteur d’un bon match à 7 points et 8 passes pour son retour de blessure la semaine dernière, Léo Westermann a confirmé qu’il allait bien dans le nouveau succès du Zalgiris en championnat ce weekend.\\n\\nAvec un 7/8 aux tirs dont 6/7 à trois points, Westermann a improvisé son propre concours de tirs pour 20 points en 16 minutes de jeu seulement. Il a pour le coup été élu MVP de la 22e journée, pour ce qui est sa meilleure performance en carrière en LKL, au scoring, à trois points et à l’évaluation (22).\\n\\n\\nKevin Séraphin frappe fort à 30 d’éval’ !\\n\\nUn homme parmi des enfants... Telle a été l’impression dégagée par Kevin Séraphin dans la victoire facile de Barcelone contre Fuenlabrada (106-76).\\n\\nAvec 20 points et 7 rebonds, à 9/10 aux tirs, l’ancien NBAer a complètement dominé ses adversaires directs dans la peinture, établissant au passage ses records en carrière aux points et à l’évaluation (30). Et le Barça reste plus que jamais souverain en Liga !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=9d4JvItNxjQ\\n\\n\\nThomas Heurtel frôle le double double\\n\\nDans le même match, Thomas Heurtel a pleinement participé au festival offensif catalan avec 15 points et 9 passes. Après trois matchs d’absence en Liga, le meneur tricolore n’a donc pas perdu de temps pour retrouver son rythme de saison : 11 points, 5 passes et 2 rebonds de moyenne.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=RifL0cTU3iM\\n\\n\\nMam Jaiteh enchaîne un nouveau double double\\n\\nAprès son premier double double de la saison la semaine passée dans un succès contre Reggio Emilia, Mam Jaiteh a remis le couvert dans une nouvelle victoire contre Sassari (102-83). Avec 18 points et 12 rebonds, le jeune intérieur français a encore été redoutable d’efficacité à 7/11 aux tirs.\\n\\n\\nBeaubois et Lauvergne efficaces dans la victoire\\n\\nSans Adrien Moerman laissé au repos, Efes Istanbul a tout de même vaincu un de ses anciens clubs, Banvit (93-85). Rodrigue Beaubois a répondu présent avec 19 points et 4 passes, le tout à 7/11 aux tirs.\\n\\nFenerbahçe et Joffrey Lauvergne n’ont pas non plus rencontré de problèmes majeurs pour sauter l’obstacle Büyükcekmece (107-70). L’intérieur international termine à 13 points et 4 rebonds à un très bon 5/6 aux tirs. Le Fener (15-2) reste toujours un poil au-dessus de l’Efes (14-3) au classement.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_qW92N1oAD0\\n\\n\\nBandja Sy et le Partizan attrapent le champion\\n\\nSi Podgorica a dû s’avouer vaincu contre le Partizan Belgrade, Edwin Jackson (19 points) a encore été le meilleur scoreur de son équipe avec un parfait 6/6 à deux points. En face, Bandja Sy a joué les Robins des Bois des parquets avec 6 interceptions, un record personnel, pour compléter ses 9 points, 5 rebonds, 2 passes et 1 contre.\\n\\nAvec ce succès de 9 points, le Partizan se qualifie d’ores et déjà pour les playoffs en Ligue Adriatique, et reprend l’avantage sur le champion en titre au point average, détail important.\\n\\n\\nLe CSKA tombe dans le piège tatar\\n\\nEn contrôle pendant trois quarts temps, le CSKA Moscou est tombé dans la capitale tatare (71-68). Le CSKA s’incline pour la 2e fois de la saison au terme d’un dernier quart furibard de Kazan (30-20).\\n\\nNando De Colo aura eu beau alimenter l’attaque moscovite avec 19 points à 7/11, le CSKA s’est fait manger par la pression défensive de l’Unics, perdant beaucoup trop de ballons (19). C’est la première victoire de Kazan contre le CSKA depuis 2016 ! Et la troisième seulement en 20 tentatives historiquement...\\n\\n\\nMoustapha Fall est de retour !\\n\\nAprès quasiment trois mois et demi sans jouer, Moustapha Fall est de retour. Comme il nous l’a confié récemment, Fall n’a pas précipité son retour et ce dernier a été plutôt convaincant.\\n\\nLe pivot tricolore a effectivement repris l’activité en VTB League avec une apparition intéressante à 9 points, 8 rebonds – nouveau record – et 3 passes en 19 minutes. Surtout, son club de Krasnodar a vaincu le Khimki sur le fil (84-82) pour un succès important.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 20 points (9/10 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 106-76 face à Fuenlabrada)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 15 points (5/9 aux tirs), 9 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 20 minutes (victoire 106-76 face à Fuenlabrada)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 12 points (4/7 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 27 minutes (défaite 82-76 face au Real Madrid)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 12 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 99-97 face à Manresa)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 7 points (2/4 aux tirs), 1 rebond en 13 minutes (défaite 94-87 face à Obradoiro)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (2/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 82-76 face à Vitoria)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 3 points (1/5 aux tirs), 7 passes, 7 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 28 minutes (défaite 91-90 face à Estudiantes)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/2 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 14 minutes (défaite 90-85 face à San Sebastian)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 16 points (6/10 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes en 25 minutes (All Star Game)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : All Star Weekend\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : pas de match\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 18 points (7/11 aux tirs), 12 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 27 minutes (victoire 102-83 face à Sassari)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 10 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 contres, 2 balles perdues en 34 minutes (défaite 87-70 face à Cremona)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 20 points (7/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 90-75 face à Dzükija)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 19 points (8/15 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 3 balles perdues en 34 minutes (défaite 76-67 face au Partizan)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 0 point (0/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 17 minutes (défaite 90-57 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : match le 15 février prochain contre Dabrowa Gornicza\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 19 points (7/11 à trois points), 3 passes, 1 rebond, 3 balles perdues en 27 minutes (défaite 71-68 face à Kazan)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 9 points (4/7 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 84-82 face au Khimki Moscou)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (3/6 aux tirs), 6 interceptions, 5 rebonds, 2 passes en 29 minutes (victoire 76-67 face à Podgorica)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : n’a pas joué\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 19 points (7/11 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 contre en 21 minutes (victoire 93-85 face à Banvit)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 13 points (5/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 107-70 face à Büyükcekmece)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – au repos\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : la Dolce Vita pour M’Baye et Jaiteh\\n\\nCrédits photo : LKL\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLéo Westermann claque 20 points en 16 minutes\\n\\nAuteur d’un bon match à 7 points et 8 passes pour son retour de blessure la semaine dernière, Léo Westermann a confirmé qu’il allait bien dans le nouveau succès du Zalgiris en championnat ce weekend.\\n\\nAvec un 7/8 aux tirs dont 6/7 à trois points, Westermann a improvisé son propre concours de tirs pour 20 points en 16 minutes de jeu seulement. 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Je ne suis pas venu en touriste », a t-il déclaré au Progrès.\\n\\nPhoto: Cholet Basket\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"8e de finale Coupe de France: Limoges passe à la trappe à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son meneur Jordan Taylor au la balle de match entre les mains, le Limoges CSP s’est incliné à Monaco dans ce qui était l’affiche de ces huitièmes de finales où il n’y a pas eu de surprises même si Levallois, fortement handicapé, a dû cravacher pour s’imposer à Vichy-Clermont alors qu’il comptait un temps une belle avance.\\n\\nFin des huitièmes ce soir avec deux derniers matches.\\n\\nHuitièmes de finale\\n\\nLundi 11 février\\nNancy (Pro B) – Antibes (Jeep Elite) : 52-65\\nStrasbourg (Jeep Elite) – Lyon Villeurbanne (Jeep Elite) : 78-86\\n\\nMardi 12 février\\nMonaco (Jeep Elite) – Limoges (Jeep Elite) : 62-59\\nVichy-Clermont (Pro B) – Levallois (Jeep Elite) : 78-80\\nDijon (Jeep Elite) – Chalon (Jeep Elite) : 85-72\\nGries-Oberhoffen (Pro B) – Nanterre (Jeep Elite) : 70-89\\n\\nMercredi 13 février\\n20h00 : Souffelweyersheim (NM1) – Rouen (Pro B)\\n20h00 : Le Mans (Jeep Elite) – Boulazac (Jeep Elite) – En direct sur Youtube\\n\\nProchains tours :\\nSamedi 16 et dimanche 17 mars : Top 8 à l’Arena Loire (49) – Réservez vos places\\nSamedi 11 mai : Finale à l’AccorHotels Arena (75) – Réservez vos places\\n\\nFINALES ACCORHOTELS ARENA À PARIS\\n\\nLe programme*:\\n\\nVendredi 10 mai 2019\\n18h00 : Finale Trophée féminin\\n20h30 : Finale Trophée masculin\\n\\nSamedi 11 mai 2019\\n11h30 : Finale U18 féminines\\n14h00 : Finale U17 masculins\\n16h30 : Finale Pro féminines – Trophée Joé Jaunay*\\n19h00 : Finale Pro masculins – Trophée Robert Busnel*\\n\\n*sous réserve de modification TV\\n\\nRéservez vos places sur : billetterie.ffbb.com" }, {"role": "user", "content":"Italie : Vladimir Micov se voit prolonger à Milan" }, {"role": "assistant", "content":"A Milan depuis la saison dernière, Vladimir Micov (2,01m, 33 ans) semble parti pour rester en Lombardie la saison prochaine.\\n\\nSportando rapporte que l’ancien joueur du CSKA Moscou serait sur le point de signer un nouveau contrat de deux ans. Interrogé par le journaliste Luca Guazzoni, l’ancien joueur du Galatasaray a été très élogieux envers le club champion d’Italie en titre.\\n\\n« Je suis prêt à prolonger mon contrat avec Milan. Je vais rester ici parce que je veux gagner autant de trophées possibles et aider le club et mes coéquipiers à atteindre de gros objectifs en Euroleague. Milan est l’une des meilleures organisations en Euroleague. CSKA était « l’équipe NBA de l’Europe », mais maintenant beaucoup de clubs ont progressé. Et je peux dire que Milan n’est pas loin de ce niveau. »\\n\\nCette saison, Vladimir Micov compile en moyenne 8,2 points, 2,2 rebonds et 2,1 passes décisives en Serie A, et 14,6 points, 3,2 rebonds et 2,6 passes décisives pour une évaluation de 14,2 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La liste des 20 joueuses et des 19 joueurs pour les tests d’entrée à l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a rendu publique la liste des 20 joueuses et des 19 joueurs qui participeront aux tests d’entrée au Pôle France Basketball Yvan Mainini, qui se dérouleront du lundi 11 au vendredi 15 mars à l’INSEP.\\n\\nLes 20 filles convoquées :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nNaissance\\nPoste\\nClub\\nTaille\\nPôle\\n\\n\\nAmaning\\nLinda\\n25/05/2004\\n3/4\\nChenove\\n184\\nBourgogne\\n\\n\\nBarbitch\\nThelma\\n20/09/2004\\n2\\nOrly\\n178\\nÎle de France\\n\\n\\nBlein\\nMaelle\\n21/04/2004\\n2\\nGolgoths 13\\n178\\nProvence\\n\\n\\nBoucaud\\nSarah\\n03/102004\\n2\\nBasket Lan.\\n174\\nAquitaine\\n\\n\\nCisse\\nManoé\\n08/05/2004\\n1\\nParis 18\\n160\\n\\n\\n\\nCluzeau\\nLisa\\n19/01/2004\\n2\\nMondeville\\n172\\nLimousin\\n\\n\\nDibanzilua\\nDaniela\\n13/12/2004\\n2\\nBesançon\\n171\\nFranche-Comté\\n\\n\\nKane\\nAdja\\n30/03/2005\\n4\\nOlivet\\n186\\nCentre\\n\\n\\nLacan\\nLeila\\n02/06/2004\\n1\\nTournefeuille\\n174\\nPyrénées\\n\\n\\nLarcheveque\\nCélia\\n23/06/2005\\n5\\nVoiron\\n194\\nAlpes\\n\\n\\nLe Seyec\\nRosanne\\n05/03/2004\\n5\\nSaint Ave\\n193\\nBretagne\\n\\n\\nMalonga\\nDominique\\n16/11/2005\\n5/4\\nRueil\\n194\\n\\n\\n\\nMasse\\nCharlotte\\n04/07/2004\\n1\\nArras\\n167\\nNord PDC\\n\\n\\nRiviere\\nCélia\\n06/08/2003\\n4\\nMarne La V.\\n185\\nÎle de France\\n\\n\\nSaulnier\\nYsaline\\n24/06/2005\\n2/3\\nVoiron\\n179\\nAlpes\\n\\n\\nSoosova\\nSimona\\n07/09/2004\\n4\\nSIG\\n187\\n\\n\\n\\nToure\\nFatoumata\\n09/02/2004\\n1/2\\nSaran\\n169\\nCentre\\n\\n\\nTraore\\nAmina\\n06/02/2004\\n4\\nMarne La V.\\n190\\n\\n\\n\\nTshibuabua\\nKate\\n19/06/2004\\n3/4\\nASVEL\\n186\\n\\n\\n\\nZemoura\\nEléna\\n21/02/2004\\n3\\nAil De Rousset\\n184\\nProvence\\n\\n\\n\\n\\nLes 19 garçons convoqués :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nNaissance\\nPoste\\nClub\\nTaille\\nPôle\\n\\n\\nAnnerose\\nEthan\\n11/02/2004\\n2\\nCharenton\\n192\\nÎle de France\\n\\n\\nBordes\\nMateo\\n31/01/2004\\n2\\nDax\\n187,5\\nAquitaine\\n\\n\\nBouzidi\\nAlexandre\\n02/02/2004\\n2\\nASVEL\\n192\\nLyonnais\\n\\n\\nBrena Chemille\\nAurele\\n14/04/2004\\n1\\nCTC Union\\n184\\nPyrénées\\n\\n\\nCamara\\nDramane\\n24/01/2004\\n1\\nMarne V.\\n187\\nÎle de France\\n\\n\\nCorrea\\nSimon\\n16/04/2004\\n4\\nNancy\\n200\\nLorraine\\n\\n\\nDe Almeida\\nFelix\\n01/01/2005\\n3\\nVoiron\\n195\\nAlpes\\n\\n\\nDicko\\nMoussa\\n16/06/2004\\n4\\nLevallois\\n199,5\\nÎle de France\\n\\n\\nDjopmo Komguep\\nSven\\n29/02/2004\\n1\\nChalons-R.\\n183,5\\nChampagne\\n\\n\\nDzellat\\nHalvine\\n29/01/2004\\n5\\nBlois\\n198\\nCentre\\n\\n\\nGatera\\nChristian\\n10/01/2004\\n5\\nCTC Sud 93\\n198\\nÎle de France\\n\\n\\nHamon Crespin\\nMaël\\n03/09/2004\\n4\\nNancy\\n202,5\\nLorraine\\n\\n\\nHanifi\\nBenali\\n09/03/2004\\n3\\nToulouse\\n199,5\\nPyrénées\\n\\n\\nJacques\\nWilson\\n10/04/2005\\n5\\nDenain\\n203\\nNord PDC\\n\\n\\nJullien\\nNoe\\n06/05/2004\\n3\\nSMUC\\n196\\nProvence\\n\\n\\nMalwaya\\nKillian\\n04/08/2005\\n2\\nMarne V.\\n191,5\\nÎle de France\\n\\n\\nMevegue\\nSweny\\n23/01/2004\\n3\\nCTC Sud\\n197\\nÎle de France\\n\\n\\nProt\\nImanol\\n11/06/2004\\n2\\nPoitiers\\n193\\nPoitou-Ch.\\n\\n\\nRaphanel\\nIlan\\n22/03/2004\\n4\\nLyon So\\n198\\nLyonnais\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Derrick Walton quitte le Zalgiris Kaunas" }, {"role": "assistant", "content":"Signé en octobre 2018 par le Zalgiris Kaunas, le joueur Derrick Walton (1,85m, 23 ans) et le club lituanien du Zalgiris Kaunas ont décidé de se séparer d’un commun accord.\\n\\nLa nouvelle a été annoncée hier sur Twitter par le journaliste Donatas Urbonas. Cette saison, l’ancien joueur du Miami Heat a tourné à 8,4 points, 3 rebonds et 4,4 passes décisives de moyenne en championnat lituanien et 4,6 points et 2,5 passes décisives en EuroLeague.\\n\\n\\n\\n\\nZalgiris Kaunas will part ways with Derrick Walton, according to sources.\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) February 12, 2019" }, {"role": "user", "content":"Killian Hayes (Cholet), Matthieu Gauzin (Le Mans) et Zoe Wadoux (INSEP) au Basketball Without Borders de Charlotte" }, {"role": "assistant", "content":"Killian Hayes (Cholet), Matthieu Gauzin (Le Mans) et Zoe Wadoux (INSEP) seront présents à Charlotte le week-end prochain pour le Basketball Without Borders.\\n\\nLa NBA et la Fédération Internationale ont dévoilé aujourd’hui la liste des 63 filles et garçons venant de 31 pays qui se rendront à Charlotte pour le cinquième rassemblement mondial annuel Basketball Without Borders (Basketball Sans Frontières). Le camp se déroulera du vendredi 15 février au dimanche 17 février à la Queens University de Charlotte Levine Center for Wellness and Recreation, dans le cadre du NBA All-Star 2019. NIKE en sera le partenaire officiel.\\n\\nLes NBA All-Stars 2019 Nikola Jokić (Nuggets de Denver ; Serbie) et Nikola Vučević (Magic d’Orlando ; Monténégro), le premier pick de draft 2018 et ancien participant au BWB Deandre Ayton (Suns de Phoenix ; Bahamas ; BWB Global 2016), et le membre de la All Rookie Second Team 2017-2018 Bogdan Bogdanović (Kings de Sacramento ; Serbie) coacheront les meilleurs jeunes venant d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Europe.\\n\\nJokić, Vučević, Ayton et Bogdanović seront accompagnés du vétéran NBA Festus Ezeli (Nigéria), des anciens joueurs NBA Adonal Foyle (Saint-Vincent-et-les-Grenadines) et Michal Ray Richardson (Etats-Unis), de la membre du Women’s Basketball Hall of Fame Jennifer Azzi (Etats-Unis), des anciennes joueuses WNBA Allison Feaster (Etats-Unis et France, ex-Valenciennes et Aix), Ashley Battle (Etats-Unis), Taj McWilliams-Franklin (Etats-Unis), Astou N’Diaye (Sénégal) et Andrea Stinson (Etats-Unis), ainsi que de quelques joueurs participant au NBA All-Star 2019. Les entraîneurs adjoints des Hornets de Charlotte Dutch Gaitley (Etats-Unis), Nate Mitchell (Canada) et Ronald Nored (Etats-Unis), accompagnés de l’entraîneur adjoint des 76ers John Bryant (Etats-Unis) et de l’entraîneur adjoint des Lakers de Los Angeles Mark Madsen (Etats-Unis), officieront également en tant que coachs lors de cet événement.\\n\\nParmi le nombre record de 27 anciens participants BWB dans les effectifs NBA au début de la saison 2018-2019, neuf d’entre eux ont participé au rassemblement mondial BWB, dont Ayton ; le membre de la NBA All-Rookie First Team 2017-2018, Lauri Markkanen (Bulls de Chicago ; Finlande ; BWB Europe 2014 ; BWB mondial 2015) ; et le 7ème choix de la draft 2016 Jamal Murray (Nuggets de Denver ; Canada ; BWB mondial 2015).\\n\\nLes joueurs et les coachs accompagneront les jeunes à travers de nombreuses activités, sur le parquet et en-dehors, avec notamment des ateliers sur l’efficacité du mouvement, le développement de compétences, des compétitions de shoot, du 5-contre-5, et des conférences quotidiennes mettant l’accent sur la santé, l’encadrement et la communication. Une fille et un garçon seront désignés MVP de ce rassemblement mondial BWB à l’issue des trois jours.\\n\\nNIKE, partenaire Mondial du BWB depuis 2002, équipera les jeunes et les coachs avec des vêtements et des chaussures.\\n\\nLe programme de sensibilisation et de développement du basket mondial mené par BWB, la NBA et la FIBA a rassemblé plus de 3 300 participants venant de 129 pays et territoires depuis 2001, avec plus de 55 anciens participants draftés en NBA ou signés en tant que free agents. La NBA et la FIBA ont organisé 56 rassemblements BWB dans 35 villes à travers 28 pays et six continents. Plus de 290 joueurs de NBA, de WNBA et de la FIBA, en activité ou retraités, se sont ralliés aux plus de 225 salariés d’équipes de NBA venant des 30 équipes de la ligue, pour promouvoir BWB de par le monde.\\n\\nPhoto: Killian Hayes (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Youssoupha Fall (Strasbourg) touché au mollet" }, {"role": "assistant", "content":"Update :\\n\\nplus de peur que de mal pour Youssoupha Fall. La SIG vient d’annoncer que l’IRM passée ne montre pas de lésion inquiétante et qu’il pourrait reprendre l’entraînement prochainement.\\n\\nCe lundi, dans la défaite de la SIG contre l’ASVEL en Coupe de France (86-78), le pivot Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) n’a pas pu finir la rencontre.\\n\\nLe géant Strasbourgeois s’est blessé tout seul au mollet à deux minutes de la fin de la rencontre. Cette déconvenue peut être annonciatrice d’une nouvelle absence pour le Franco-Sénégalais, qui avait raté un mois de compétition en début de saison pour une entorse du ligament collatéral médial (genou).\\n\\n« Ce qui est à craindre c’est que Youssoupha ne puisse pas jouer vendredi. Avec le problème qu’il a eu au mollet en fin de match on craint que ça puisse être sérieux. On verra bien après les examens », a déclaré l’entraîneur Vincent Collet lors de la conférence de presse d’après match.\\n\\nLe champion de France en titre rejoindrait donc à l’infirmerie Flo Piétrus (tendon d’Achille) et Mardy Collins (ischio-jambiers). A noter que la SIG vient de se renforcer avec Stephane Lasme.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Selon Le Populaire, Yves Martinez pourrait être le futur président du Limoges CSP si Céline Forte obtient gain de cause" }, {"role": "assistant", "content":"Yves Martinez, 70 ans, sera-t-il le futur président du Limoges CSP ?\\n\\nAlors que sur le terrain, l’équipe de François Peronnet est devenue redoutable et redoutée, dans les coulisses la bataille fait toujours rage dans la conquête du pouvoir.\\n\\nSelon Le Populaire, Céline Forte, la veuve de Frédéric, aurait déjà choisi son président si jamais la procédure engagée pour déloger Youri Verieras aboutie. Il s’agit de Yves Martinez, un retraité, qui a contribué au développement de la société Legrand à l’étranger et ancien basketteur.\\n\\n« Si Céline Forte parvenait à ses fins en reprenant le contrôle du Limoges CSP, elle pourrait entourer Yves Martinez de Richard Dacoury, dont le nom circule toujours avec insistance. La veuve de Frédéric Forte pourrait pour sa part siéger au conseil de surveillance. »\\n\\nYves Martinez estime qu’il est encore prématuré de le mettre à la tête de cette nouvelle gouvernance, et il est certain que les rebondissements ne vont pas manquer à Dallas-sur-Vienne." }, {"role": "user", "content":"FIBA : une liste de 14 joueurs pour la Grèce pour la fenêtre de février" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifiée pour la coupe du Monde qui aura lieu en Chine en septembre, la Grèce ne jouera pas grand chose sur cette dernière fenêtre internationale, si ce n’est la première place du groupe L qu’elle occupe ex-aequo avec l’Allemagne.\\n\\nPour cette fenêtre, les stars sont au repos, mis à part Ioannis Bourousis. Le sélectionneur Thanasis Skourtopoulos n’a fait appel à aucun joueur d’Euroleague pour préparer les deux matchs face à la Georgie le 21 février, et en Allemagne le 24.\\n\\n * Giannis Athinaiou (Fos Provence Basket)\\n * Lefteris Bochoridis (Aris Salonique)\\n * Giannis Bourousis (Zhejiang Lions)\\n * Linos Chrysikopoulos (PAOK)\\n * Nikos Gkikas (Promitheas Patras)\\n * Dimitris Kaklamanakis (Lavrio)\\n * Leonidas Kaselakis (Promitheas Patras)\\n * Dimitris Katsivelis (Promitheas Patras)\\n * Antonis Koniaris (PAOK)\\n * Giannoulis Larentzakis (AEK Athènes)\\n * Vangelis Margaritis (PAOK)\\n * Dimitris Mavroeidis (Rhodes)\\n * Christos Saloustros (Promitheas Patras)\\n * Panagiotis Vasilopoulos (Peristeri)\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Turquie : vers une prolongation de Jan Vesey et Zeljko Obradovic au Fenerbahce" }, {"role": "assistant", "content":"Premier du classement d’Euroleague, déjà qualifié pour les playoffs et premier du championnat turc, le Fenerbahce prépare déjà la saison prochaine. Les deux premiers à recevoir une proposition de prolongation devraient être Jan Vesely et le coach Zeljko Obradovic.\\n\\nEurohoops rapporte que Semih Ozsoy, le vice-président de la formation turque, s’est exprimé sur les souhaits du club pour le futur en ce qui concerne les deux hommes. Au Fenerbahce depuis 2014, l’ancien joueur des Washington Wizards va se voir proposer une prolongation de contrat de trois ans alors que « tout le monde lui court après » selon le dirigeant turc. Cette saison, Jan Vesely compile en moyenne 14,4 points, 5,6 rebonds et 2,6 passes décisives pour une évaluation de 21,2 en Euroleague, et 13,2 points et 6,5 rebonds en championnat.\\n\\nDe son côté, Zeljko Obradovic va avoir 59 ans en mars prochain et le Fener compte bien le garder jusqu’à la retraite. Considéré comme l’un des – si ce n’est le – meilleurs entraîneurs de l’histoire du basket européen, il compte neuf titres d’Euroleague avec cinq clubs différents et 17 Final Four à son actif. Il est arrivé en 2013 au Fenerbahce.\\n\\n« Il a encore une année de contrat. Les rumeurs concernant un départ sont toutes fausses. En fait, nous avons déjà commencé à préparer la saison prochaine. Nous voulons qu’il soit avec nous jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite », a annoncé le vice-président du Fenerbahce.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Levallois : Roko Ukic absent trois semaines ; Nobel Boungou-Colo en route pour l’Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"Les mauvaises nouvelles s’accumulent du côté de Levallois qui avait réalisé une très bonne première moitié de saison. Déjà handicapée par les absences de Rasheed Sulaimon et Jaron Johnson, la formation des Hauts-de-Seine vient de perdre coup sur coup Mouphtaou Yarou et Julian Wright. Liste à laquelle s’ajoute aujourd’hui Roko Ukic, qui sera bientôt rejoint par Nobel Boungou-Colo.\\n\\nLe meneur croate souffre d’une entorse de la cheville et va manquer entre deux et trois semaines, a indiqué Jean-Pierre Aubry, le Président du club, à l’Equipe. Cette saison, Roko Ukic compile en moyenne 13,5 points et 6,6 passes décisives pour une évaluation de 14,6.\\n\\nDe son côté, Nobel Boungou-Colo, va quitter le club. Arrivé en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon il y a quelques semaines, l’ancien Limougeaud a reçu et accepté une proposition de Badalone, en Espagne, pour le reste de la saison.\\n\\n« On lui avait fait une proposition pour poursuivre avec nous. Mais celle de Badalona était plus intéressante. Il va jouer en Coupe de France ce soir (mardi) à Vichy (Pro B). Il disputera aussi la Leaders Cup (vendredi à Disneyland Paris) », a précisé le président levalloisien à l’Equipe.\\n\\nDepuis son arrivée, le double champion de France Pro A a disputé trois matchs pour 11,7 points et 7,3 rebonds pour une évaluation de 12.\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"La photo – Le maillot du Paris Basketball pour le Nouvel an chinois" }, {"role": "assistant", "content":"Le 14 février, le Paris Basketball va jouer son match en retard de la 10ème journée de Pro B contre Quimper. En ce jour de Saint Valentin, le club parisien a décidé de célébrer.... le nouvel an chinois.\\n\\nEn plus des couleurs rouges et jaunes rendant hommage au drapeau chinois (le club joue principalement en noir et blanc), le maillot a pour inscription la ville de Paris en mandarin. Ce match du nouvel an chinois est en réalité une allusion au fait que le Paris Basketball joue ses matchs à domicile à la Halle Carpentier dans le XIIIème arrondissement, à proximité du plus grand quartier chinois de la capitale." }, {"role": "user", "content":"Bojan Dubljevic (Valence) MVP du top 16 de l’EuroCup" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur monténégrin de Valence Bojan Dubljevic (2,05m, 27 ans) a été élu MVP du top 16 de l’EuroCup. Dans cette phase, le Valencian a tourné à 13,2 points, 7,3 rebonds et 2,8 passes de moyenne, pour un total de 19,5 d’évaluation.\\n\\nAu-delà de ces stats, il s’est aussi illustré par une excellente adresse extérieure (46,7% à trois-points sur l’ensemble des six matchs), mais également par son sang froid dans les moments décisifs. Valence, actuel 6ème de Liga ACB, est la seule équipe invaincue de cette phase du top 16, ayant battu Malaga, l’Etoile Rouge de Belgrade et Limoges." }, {"role": "user", "content":"Officiel : KC Rivers signe à l’Etoile Rouge de Belgrade" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Belgrade il y a deux jours, ce n’était quasiment plus qu’une question de temps avant que KC Rivers (1,96m, 31 ans) trouve un accord avec l’Etoile Rouge.\\n\\nSur son site, le club serbe indique que le champion d’Europe 2015 avec le Real Madrid a passé les examens médicaux et signé son contrat lundi. Il s’est engagé jusqu’à la fin de la saison. Passé Roanne, Bologne, Krasnodar ou encore le Khimki Moscou, l’ancien pensionnaire de l’université de Clemson n’a jamais porté le maillot du Red Star.\\n\\nEn Italie, KC Rivers compilait en moyenne cette saison 15,6 points, 4,9 rebonds and 2,4 passes décisives avec Reggio Emilia.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage de France 3 sur le derby normand Evreux-Rouen" }, {"role": "assistant", "content":"Le reportage de France 3 Normandie sur le derby entre Evreux et Rouen de ce week-end avec la victoire des visiteurs, 76-88. Il s’agit de la 4ème défaite à la maison de l’ALM qui est descendue à la 14e place de Pro B." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Romain Hillotte (Gries): «Pour des Parisiens ou Américains qui débarquent, ça peut secouer»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour sa première saison en Pro B, Gries-Oberhoffen se débrouille fort bien occupant la septième place avec 11 victoires et 7 défaites.\\n\\n20 minutes profite de la venue ce soir de Nanterre pour les huitièmes de finale de la Coupe de France pour faire une visite de ce village alsacien de 2 800 habitants situé entre Strasbourg et Hagueneau, qui possède une salle de 1 300 places.\\n\\nFils de paysans en Chalosse, l’arrière Romain Hillotte (1,95m, 28 ans) se sent à l’aise dans cet endroit campagnard mais avoue en se marrant :\\n\\n« Pour des Parisiens ou Américains qui débarquent, ça peut secouer. »\\n\\nPhoto: Romain Hilotte (BCGO)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Jerry Boutsiele (Limoges) élu Joueur du Mois de Janvier" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur limougeaud Jerry Boutsiele (2,07m, 26 ans) a été élu Joueur du mois de Janvier avec 47% des voix. Il précède le Dijonnais David Holston (32%) et le Boulazacois Travis Leslie (21%).\\n\\n\\n\\n\\nTROPHÉE SFR RMC SPORT DU JOUEUR DU MOIS\\n\\n\\nMois\\nLauréat\\n2ème\\n3ème\\n\\n\\nJanvier 2019\\nJerry BOUTSIELE (Limoges)\\nDavid HOLSTON (Dijon)\\nTravis LESLIE (Boulazac)\\n\\n\\nDécembre 2018\\nVitalis CHIKOKO (Pau)\\nMiro BILAN (Villeurbanne)\\nPaul LACOMBE (Monaco)\\n\\n\\nNovembre 2018\\nLahaou KONATE (Nanterre)\\nYoussou NDOYE (Bourg)\\nYoussoupha FALL (Strasbourg)\\n\\n\\nOctobre 2018\\nJustin ROBINSON (Chalon)\\nAli TRAORE (Strasbourg)\\nDevin EBANKS (Châlons-Reims)\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"8e de finale de Coupe de France: L’ASVEL passe l’obstacle alsacien" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré les 20 points et 11 rebonds de son pivot Youssoupha Fall, la SIG Strasbourg s’est fait éliminer des huitièmes de finale de la Coupe de France, 78-86, au Rhénus, par l’ASVEL .\\n\\nAvec 17 points et 5 passes, le meneur lituanien Mantas Kalnietis a été à la fois le meilleur marqueur et passeur des Villeurbannais.\\n\\n« J’ai vu une équipe solidaire ce soir », s’est félicité le coach alsacien Vincent Collet en conférence de presse. « On faisait face à une forte équipe qui maîtrise bien son basket. Malgré tout on est revenu plusieurs fois. On était tout proche mais quand on était tout près, il y a eu deux ou trois décisions qui sont lourdes de conséquences. Ça ne me parait pas possible que Youssoupha Fall ne tire que deux lancers-francs ce soir. On ne peut pas lui sauter dessus à chaque fois et ne pas être sanctionné. Mais Villeurbanne a su mettre des paniers importants. De notre côté il nous manquait de la densité athlétique avec les absences de Mardy et Flo et en attendant l’arrivée de Stephane Lasme. »\\n\\nDe son côté, Antibes a fait respecter la hiérarchie à Nancy avec 21 points et 5 rebonds de son pivot Tim Blue.\\n\\nLundi 11 février\\nNancy (Pro B) – Antibes (Jeep Elite) : 52-65\\nStrasbourg (Jeep Elite) – Lyon Villeurbanne (Jeep Elite) : 78-86" }, {"role": "user", "content":"Levallois, 1ère partie – Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille" }, {"role": "assistant", "content":"Les Levallois Metropolitans furent l’une des équipes en vue du dernier trimestre 2018. Cela s’est gâté par la suite avant que la défection de Julian Wright et la grave blessure de Mouphatou Yarou survenue au Mans les obligent à recomposer toute leur ligne d’intérieurs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès deux minutes de jeu, Mouphtaou Yarou s’est tenu la cheville des deux mains et s’est affalé sur le sol de tout son poids. Il a été reconduit sur le banc par ses équipiers avant qu’une civière vienne l’évacuer sous les applaudissements du public manceau d’autant plus attristé que le pivot béninois a passé trois saisons sous les couleurs du MSB. Mouph est revenu dans la salle au cours du deuxième quart-temps en s’appuyant sur des béquilles et le verdict que l’on craignait est tombé : rupture totale du tendon d’Achille du pied droit. Opération programmée dès lundi. Saison terminée pour celui qui est sous contrat jusqu’en juin 2020. Mouphtaou Yarou, c’était une puissance rassurante dans la peinture, des qualités exceptionnelles de rebondeur.\\n\\nJuste auparavant, on avait appris que l’autre intérieur titulaire des Metropolitans, Julian Wright était aux abonnés absents. Le club allait nous confirmer dans la soirée la rumeur qui courait sur la table de presse : l’Américain a un contentieux administratif et fiscal avec lui. Conclusion : il est très improbable que l’on revoit à l’œuvre sous le maillot levalloisien celui qui possède une dextérité phénoménale pour un intérieur, capable de faire face à l’ASVEL un dribble dans le dos en pleine contre-attaque et qui apportait à l’équipe la meilleure évaluation (19,5) avec 13,5 points et 8,4 rebonds.\\n\\nFaut-il rappeler que le club est déjà privé depuis quelque temps de l’arrière Rasheed Sulaimon (cuisse) et de l’ailier Jaron Johnson (ischios-jambiers). Si Neal Sako, intérieur de 2,10m, appelé au front au Mans pour la première fois à 19 ans, portait un masque de protection, c’est qu’il avait été victime dans la semaine d’une fracture du nez suite à un coup de coude.\\n\\n« Les coaches m’avaient prévenu d’être prêt puisque Julian Wright n’était pas présent ce soir. Dans ma tête, je l’étais. Quand tu rentres sur le terrain, il faut passer à l’action. Avec la blessure de Mouph, je voulais, entre guillemets, jouer pour lui car ce qui lui est arrivé ce n’est pas facile. Le voir comme ça, ça m’a motivé », a-t-il commenté.\\n\\nAjoutons que le maître à jouer croate Roko Ukic s’est fait mal à la cheville gauche en cours de match. Comme disait l’ancien président de la République, Jacques Chirac :\\n\\n« Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille. »\\n\\nLevallois n’abandonne jamais\\n\\nNeal Sako est entré dès le premier quart pour se retrouver face à face avec le vétéran Richard Hendrix et il s’est plutôt bien sorti d’affaire durant les onze minutes passées sur le terrain. Le coach Freddy Fauthoux a aussi fait appel à Ivan Février (2,04m et tout juste 20 ans) pour faire équipe avec Ekene Ibekwe à l’intérieur. Dans ce contexte, on comprend pourquoi Levallois a décroché pour se retrouver mené 10-19 après dix minutes. Le 0/10 aux tirs de la paire David Michineau/Nobel Boungou-colo n’arrangeait pas ses affaires. Un écart maximal à treize points (19-32) était noté dans le deuxième quart-temps. Mais Le Mans, en mal alors de finisseur (2/9 pour Cameron Clark) n’est pas parvenu à faire une vraie différence.\\n\\n« Pour une équipe qui est privée d’un joueur majeur, c’est pénalisant mais d’un autre côté, ça la ressert toujours un peu, ça donne du temps de jeu aux autres », analysait le coach manceau Eric Bartecheky. « Quand j’ai appris ça, je n’étais pas forcément rassuré. Après, ils ont encore eu de la malchance avec Yarou qui se blesse au début du match. Le match aurait été différent quand on connait la difficulté de le contenir. On l’avait vu au match aller, que ce soit sur les post up, le rebond. C’est l’une des équipes du championnat qui utilisent le plus les post up avec Ukic qui est grand, Boungou-colo en 3, Yarou quand il est là. Vu leur situation, ils ont multiplié les défenses en en faisant où ils changeaient sur tout. Ça, on a l’habitude. Par contre, ils ont fait de la zone, 2-3, 3-2 beaucoup et ça on ne le rencontre pas souvent. On a trouvé des solutions mais ça nous a fait un peu déjouer. »\\n\\nL’Américano-nigérian Ikene Ibekwe a longtemps sauvé les meubles (10 des 27 points de son équipe à la mi-temps) avant que les Metropolitans, avec un cinq expérimenté, retrouve le fil du match après ce moment de flottement compréhensible. Roko Ukic a alors prouvé qu’il est un meneur de grande classe. Ses paniers à trois-points sans bavure ont fait trembler Antarès. Levallois a égalisé à 59 mais comme souvent, revenir au score est une chose, passer devant son adversaire en est une autre. Le MSB a pu compter sur un Juice Thompson (24 points avec un 5/7 à trois-points) qui a retrouvé depuis quelques semaines toutes ses sensations offensives et... ça change tout. C’est sur la ligne que les Manceaux ont repoussé les derniers assauts levalloisien (80-69) parvenant même à égaliser au point-average sur l’ensemble des deux matches.\\n\\n« Quand on a eu de l’avance, ils sont revenus. On est bien content de le prendre », a avoué Eric Bartecheky. « Ce sont toujours des matches particuliers. Levallois a cette capacité à ne jamais abandonner. A l’ASVEL, ils étaient à -25 et ils perdent de six. Quand ils ont perdu chez eux contre Boulazac ça s’est joué à rien. C’est ce que j’ai dit quand on était à +8, à l’entame du dernier quart-temps : on est loin d’être rassuré. On n’a pas trouvé de solutions en attaque pendant un moment et Ukic a mis à trois-points si bien qu’ils sont vite revenus dans la partie. »\\n\\nAu cours de sa courte apparition en conférence d’après-match, Freddy Fauthoux était évidemment dépité.\\n\\n« C’est rare mais... Ça fait très mal. Les mecs ont été super. On s’est battu avec nos armes. Wright était déjà pas là. Malheureusement on perd Mouph après trois minutes. A un moment donné, il faut des soldats. On aurait même pu le gagner. On a un tir ouvert à trois-points à 64 partout. On le marque, peut-être que ça pouvait mettre le doute à cette équipe-là. Je veux retenir la combattivité et l’abnégation de mon équipe... C’est compliqué car il faut que l’on se mette à la recherche de deux joueurs en février... »\\n\\n10 pros sans Coupe d’Europe\\n\\nTout avait démarré en septembre comme sur des roulettes avec une victoire à Marcel-Cerdan sur... Le Mans, champion de France en titre. Les Métropolitans avaient débuté sur le terrain avec succès leur association en coulisses avec la ville de Boulogne en intégrant, au Directoire et comme vice-président en charge du sportif, l’ancien coach de l’équipe de France, Alain Weisz. Une augmentation de la masse salariale -la septième de Jeep Elite, juste devant celle de leurs rivaux de Nanterre- leur avait permis de constituer une bien belle équipe.\\n\\n« Ça a permis de faire une équipe qui, dans un premier temps, va se maintenir sans frayeur. Je ne fais pas du Guy Rouy ! On ne sait jamais ce qui va se passer », nous disait Alain Weisz dans la semaine faisant preuve d’une prudence prémonitoire. « Ça, c’est le premier objectif. Après, si on peut tirer un bilan de ce qui s’est passé cette année, on a réussi à recruter trois joueurs qui ont été distingués comme All-Stars : Mouph Yarou, Julian Wright et Roko Ukic. Même si ce n’est pas le seul critère d’évaluation qui soit valable, ça veut dire qu’il y a des joueurs de qualité qui sont arrivés. Sur le plan collectif, l’équipe après un très bon départ s’est qualifiée pour la Leaders Cup, ce qui n’est pas évident. Et après il y aura ce qui est le juge de paix de la saison, les playoffs. Ce n’est pas acquis. Jusqu’au 12e les équipes sont toutes concernées par les playoffs et peuvent toutes être secondes. C’est tellement serré. »\\n\\nSi Alain Weisz n’était pas euphorique, c’est qu’avant les coups du sort de cette fin de semaine, son équipe avait montré récemment des signes de faiblesses.\\n\\n« L’équipe marque le pas puisqu’on était à 7 victoires sur les 10 premiers matches et que l’on est à 3 sur 9 (avant Le Mans). On est passé de 70 à 30% de victoires. Y a-t-il des explications ? On le verra mais les faits sont là. Ce n’est pas une chute libre. L’équipe n’est pas du tout démembrée. Le dixième match où l’on est à 7-3, il y a la blessure de Rasheed Sulaimon, qui n’a pas fait un début de saison formidable mais l’équipe avait une forme d’équilibre avec lui. Il n’y a pas de problèmes de blessures véritablement. Il y a eu des performances moins bonnes. L’équipe avait été tirée par le haut par Ukic, Wright et Yarou mais les trois joueurs ont marqué le pas depuis la dixième journée. »\\n\\nQuand Alain Weisz avait pris en charge le MSB dans la deuxième moitié des années quatre-vingt dix, il avait obtenu d’excellents résultats en tirant le maximum d’un effectif minimaliste. Certains de ses cadres jouaient même parfois les quarante minutes disponibles. Les temps ont changé. Les joueurs s’entraînent plus souvent et plus durement et le championnat de France est extrêmement athlétique. Chacun laisse de la gomme et les risques de blessures se sont démultipliées. Il suffit de constater en la matière les avatars subits par les trois plus gros budgets, Villeurbanne, Strasbourg et Monaco. Levallois avait a priori pris ses précautions en embauchant 10 joueurs alors qu’il n’était pas qualifié pour une coupe d’Europe.\\n\\n« Pour faire les deux compétitions, il faut aujourd’hui douze pros », estime Alain Weisz. « Et encore en Euroleague c’est quinze ou seize. Le coût athlétique de ce métier aujourd’hui a augmenté de façon gigantesque. Sans avoir de la malchance aujourd’hui, tu as des blessés. On ne va pas comparer au rugby où ils se blessent comme jamais car leurs corps sont des armes, au basket ce n’est pas la même chose, mais les joueurs sont tellement athlétiques, ça va beaucoup plus vite. Je ne dis pas que des joueurs comme Delaney Rudd, David Rivers ou Josh Grant n’auraient pas pu jouer mais les équipes sont plus athlétiques. Cette identité du basket français dont tout le monde se glorifie fait que la charge athlétique est de plus en plus grande à supporter. »\\n\\nLa scoumoune continue\\n\\nSommes-nous le chat noir des Métropolitans ? En tous les cas, mercredi dernier, dans l’antre de Marcel-Cerdan, nous avons notamment évoqué deux sujets d’actualité avec Freddy Fauhoux : la fragilité de son équipe à domicile et... le fait que la scoumoune s’est abattue sur son équipe ces dernières années.\\n\\n« Je ne parle même pas de Châlons-Reims là-bas mais si on gagne les deux matches face à Fos et Boulazac -même si ils ont été très bons-, on est second. Je ne suis pas trop du genre à stresser quand on peut sentir le côté négatif. Ça me donne plutôt de l’espoir, de chercher des solutions, de savoir ce qui manque pour passer ce petit palier. Malheureusement, cette année comme l’année dernière, on perd beaucoup de matches à domicile. J’essaye de savoir pourquoi. A part Antibes et Fos on est l’équipe qui perd le plus à domicile et de très loin. Les blessures c’est pareil pour tous les clubs. Il faudrait que l’on ait tous les bilans statistiques de la ligue. Tous les clubs ont des préparateurs physiques, le nôtre travaille très bien et je me demande s’il ne travaille pas trop bien. Les mecs sont toujours à la limite physique d’être au taquet et le moindre relâchement, clac. Ce sont des athlètes. Tous les ans ici on n’est pas gâté. Il y a des joueurs qui s’arrêtent longtemps. La première année, Giovan Oniangue qui se pète les ligaments croisés sur le premier match de la saison. Cyrille Elitzer, c’est une fracture de fatigue au pied en fin de saison et ça avait duré huit mois. Louis Labeyrie, qui la première année loupe les trois ou quatre premiers matches parce que il n’y avait pas le truc bleu de protection derrière le panneau, il a failli s’arracher l’index. Etc. On n’a pas de chance ! »\\n\\nLa chance... C’est un facteur incontestablement nécessaire pour performer. Eric Bartecheky compatissait avec son confrère malheureux :\\n\\n« Effectivement, l’équilibre d’une équipe est fragile, ça ne tient à rien. Quand il faut remplacer un joueur majeur à ce moment-là de l’année, c’est loin d’être évident. On le voit tous les ans. Le côté négatif ou parfois positif quand une équipe ajoute un joueur de qualité à un moment donné. Même si on dit qu’une hirondelle ne fait pas le printemps, parfois un joueur de plus au bon poste ça transforme une équipe. On l’a vu avec l’ASVEL quand ils ont rajouté leur meneur de jeu Casper Ware et qu’ils sont devenus champions. »\\n\\nAlors que Le Mans est entré dans le top 8 de la Jeep Elite à la faveur de sa victoire de samedi soir, Levallois en est sorti. Mais c’est lui qui va disputer la Leaders Cup en fin de semaine. Très diminué. Il faudra que la paire Freddy Fauthoux-Alain Weisz ait le nez creux pour dénicher des successeurs dignes sportivement de Mouph Yarou et Julian Wright. Et comme le dit le coach, ce n’est pas la bonne période pour recruter.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès deux minutes de jeu, Mouphtaou Yarou s’est tenu la cheville des deux mains et s’est affalé sur le sol de tout son poids. Il a été reconduit sur le banc par ses équipiers avant qu’une civière vienne l’évacuer sous les applaudissements du public manceau d’autant plus attristé que le pivot béninois a passé trois saisons sous les couleurs du MSB. Mouph est revenu dans la salle au cours du deuxième quart-temps en s’appuyant sur des béquilles et le verdict que l’on craignait est tombé : rupture totale du tendon d’Achille du pied droit. Opération programmée dès lundi. Saison terminée pour celui qui est sous contrat jusqu’en juin 2020. Mouphtaou Yarou, c’était une puissance rassurante dans la peinture, des qualités exceptionnelles de rebondeur.\\n\\nJuste auparavant, on avait appris que l’autre intérieur titulaire des Metropolitans, Julian Wright était aux abonnés absents. Le club allait nous confirmer dans la soirée la rumeur qui courait sur la table de presse : l’Américain a un contentieux administratif et fiscal avec lui. Conclusion : il est très improbable que l’on revoit à l’œuvre sous le maillot levalloisien celui qui possède une dextérité phénoménale pour un intérieur, capable de faire face à l’ASVEL un dribble dans le dos en pleine contre-attaque et qui apportait à l’équipe la meilleure évaluation (19,5) avec 13,5 points et 8,4 rebonds.\\n\\nFaut-il rappeler que le club est déjà privé depuis quelque temps de l’arrière Rasheed Sulaimon (cuisse) et de l’ailier Jaron Johnson (ischios-jambiers). Si Neal Sako, intérieur de 2,10m, appelé au front au Mans pour la première fois à 19 ans, portait un masque de protection, c’est qu’il avait été victime dans la semaine d’une fracture du nez suite à un coup de coude.\\n\\n« Les coaches m’avaient prévenu d’être prêt puisque Julian Wright n’était pas présent ce soir. Dans ma tête, je l’étais. Quand tu rentres sur le terrain, il faut passer à l’action. Avec la blessure de Mouph, je voulais, entre guillemets, jouer pour lui car ce qui lui est arrivé ce n’est pas facile. Le voir comme ça, ça m’a motivé », a-t-il commenté.\\n\\nAjoutons que le maître à jouer croate Roko Ukic s’est fait mal à la cheville gauche en cours de match. Comme disait l’ancien président de la République, Jacques Chirac :\\n\\n« Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille. »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Cyrille Elitzer-Vanerot, Mouph Yarou et Julian Wright, David Michineau (Karen Mandau), Jaron Johnson (Hervé Bellenger, LNB)\\n\\nMardi : Interview Alain Weisz" }, {"role": "user", "content":"Turquie : sept joueurs d’EuroLeague pour la dernière fenêtre" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifiée pour la prochaine coupe du monde 2019, la Turquie se doit comme la France d’avoir le meilleur classement possible dans l’optique du tirage au sort et c’est pourquoi la dernière fenêtre internationale n’est pas à négliger.\\n\\nUfuk Sarica, le sélectionneur des 12 Dev Adam (les 12 Géants, surnom de la sélection), a mis dans sa sélection sept joueurs évoluant en Euroleague sur les quatorze appelés pour les matchs contre la Slovénie le 22 février, et contre l’Espagne le 25 février.\\n\\nParmi ces sept joueurs, il y a quatre joueurs de l’Anadolu Efes (Balbay, Sanli, Birsen, Tencer), deux de Darussafaka (Gezim, Ozmizrak) et un du Fenerbahce (Guler). La sélection italienne a également convoqué certains joueurs d’EuroLeague pour cette dernière fenêtre, mais ils ne joueront qu’un seul match. On ne sait pas s’il en sera de même pour les Turcs.\\n\\n\\n\\n\\nDünya Kupası elemelerinin son iki maçında Slovenya ve İspanya ile karşılacak olan A Milli Erkek Takımımızın 14 kişilik kadrosu belli oldu! pic.twitter.com/3rPvxiCNHK\\n\\n\\n— TBF (@TBF) February 11, 2019" }, {"role": "user", "content":"Qualifications coupe du Monde : Milos Teodosic avec la Serbie pour la fenêtre de février" }, {"role": "assistant", "content":"A quelques jours de la prochaine fenêtre internationale, Sasa Djodjevic vient de dresser une liste de 19 joueurs appelés pour représenter la Serbie.\\n\\nTroisièmes du groupe L avec six victoires et quatre défaites, les Serbes ne sont pas encore assurés de se rendre à la coupe du Monde en septembre, même s’ils sont en plutôt bonne posture avec une victoire d’avance sur la Géorgie. 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A noter que les joueurs qui évoluent en Euroleague (Vasilije Micic, Vladimir Lucic, Nikola Milutinov et Ognjen Kuzmic) pourraient manquer le premier match, qui coïncide avec une journée de coupe d’Europe.\\n\\nLa liste complète :\\n\\n * Milos Teodosic\\n * Vasilije Micic (Anadolu Efes)\\n * Ilija Djokovic (Borac)\\n * Stefan Pot (FMP)\\n * Milenko Tepic (PAOK)\\n * Dragan Milosavljevic (Unicaja Malaga)\\n * Aleksa Avramovic (Varese)\\n * Branko Lazic (Etoile Rouge)\\n * Ivan Paunic\\n * Ognjen Dobric (Etoile Rouge)\\n * Marko Simonovic (Zenit Saint Petersbourg)\\n * Vladimir Lucic (Bayern Munich)\\n * Stefan Bircevic (Bonn)\\n * Stevan Jelovac (Gaziantep)\\n * Miroslav Raduljica (Jiangsu Dragons)\\n * Nikola Jovanovic (Trento)\\n * Djordje Gagic (Partizan Belgrade)\\n * Nikola Milutinov (Olympiakos)\\n * Ognjen Kuzmic (Real Madrid)\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : L’ancien joueur du Panathinaikos Stephane Lasme arrive à Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Sans club depuis fin janvier après avoir quitté le Panathniaïkos, Stephane Lasme (2,03m, 36 ans) a signé en faveur de Strasbourg.\\n\\nSur son site, la SIG annonce l’arrivée de l’ancien joueur de NBA et d’Euroleague, qui s’est engagé jusqu’à la fin de la saison. Passé par Golden State, Miami, le Partizan Belgrade, le Maccabi Tel-Aviv, UNICAS Kazan ou encore l’Anadolu Efes, cet intérieur gabonais fait partie des joueurs reconnus en Europe. Professionnel depuis 2002, le natif de Port-Gentil s’est construit un palmarès long comme le bras avec notamment, deux titres de champion de Grèce, deux coupes de Grèce, un titre de Ligue Adriatique ou encore un titre de champion d’Israël. Il a aussi été élu meilleur défenseur d’Euroleague en 2013.\\n\\nStephane Lasme a également déjà croisé la SIG dans sa carrière. C’était en finale d’Eurocup, en 2016. 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Après, sa femme est enceinte de leur premier enfant et il veut le meilleur pour sa famille, le basket n’est pas la seule chose dans sa vie. »\\n\\nLe président du club moscovite est également revenu sur la décision à l’été 2017 du meneur serbe de quitter le CSKA pour rejoindre la NBA :\\n\\n« C’est un grand meneur, mais en en NBA vous devez être jeune et en forme. Il n’a pas eu de chance avec les blessures sur sa saison et demie NBA, mais il a fait le travail et a fait de son mieux. S’il n’était pas parti en NBA, il l’aurait regretté toute sa vie »." }, {"role": "user", "content":"Olivier Lafargue (entraîneur de Bourges) : «Quand on est capable de montrer un niveau de basket comme ça, c’est un régal»" }, {"role": "assistant", "content":"Impitoyable face à Roche Vendée (82-55), le Tango de Bourges reste à égalité avec Lattes Montpellier à la deuxième place de la ligue féminine. Une victoire satisfaisante malgré un relâchement en seconde période.\\n\\nAlexia Chartereau, a mis en avant la superbe première mi-temps de son équipe:\\n\\n« On a produit un bon basket en première mi-temps, on était plutôt satisfaites. Après en deuxième mi-temps on s’est plutôt relâchées, il faut qu’on arrive à jouer 40 minutes, mais on est contentes d’avoir gagnés avec la manière ce soir. Je pense qu’on est encore fatiguées de notre déplacement (NDLR: à Ekaterinbourg mercredi en EuroLeague), mais on n’y pense pas quand on rentre sur le terrain et qu’on joue, on oublie, on savait qu’il fallait qu’on commence tout de suite, qu’on les éteigne de suite car on sait que c’est une équipe qui peut prendre vite feu. C’était le plus important et c’est ce qu’on a réussi à faire en première mi-temps. »\\n\\nLa meneuse KB Sharp, de retour après avoir manqué les deux derniers matchs a apprécié de rejouer:\\n\\n« C’est mieux comme ça, j’ai raté deux matchs et ça m’a manqué. C’est pas facile quand je vois mes coéquipières qui se battent sur le terrain, c’est bien de les retrouver. Ca a mis dedans tout de suite, mais c’est notre basket qui veut ça. J’ai eu des tirs ouverts et je les ai pris quand je les avais. C’est vrai que notre attaque était très bonne en première mi-temps mais c’est surtout grâce à notre défense aussi. On a bien fait bouger la balle pour avoir des tirs ouverts. »\\n\\nOlivier Lafargue, l’entraîneur des Berruyères, était satisfait de la victoire malgré le relâchement en deuxième mi-temps:\\n\\n« Quand on est capable de montrer un niveau de basket comme ça c’est un régal, et de savoir qu’on peut le faire c’est rassurant (...) Mais on ne peut pas être hyper satisfait du fait qu’on se relâche en deuxième mi-temps, on a marqué que 4 points au bout de sept minutes dans le troisième quart-temps. Ce n’est pas que de notre faute, mais ça vient de nous un peu quand même, on joue moins en rythme, on joue moins bien ensemble tout simplement. La problématique c’est quand en première mi-temps tu récites ton basket de manière incroyable avant de te relâcher. Encore une fois gagner de 27 points face à Roche Vendée, je prends, on va encore travailler derrière pour les échéances importantes à venir. Cette large victoire nous a permis de faire tourner tout le monde, il faut qu’on se repose et qu’on prépare le match contre Brême en EuroLeague, car on sait qu’elle seront là pour nous bousculer. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jean-Jacques Maleval, le journaliste qui a amené la NBA en France" }, {"role": "assistant", "content":"Le jour de Noël, délaissant très exceptionnellement le football et son PSG, L’Equipe a offert sa couverture à Stephen Curry et LeBron James pour présenter le match Golden State Warriors vs Los Angeles Lakers. Et à l’intérieur du journal, six pages supplémentaires de NBA ont été proposés aux lecteurs.\\n\\nQue les temps ont changé ! Dans les années soixante, le sigle même NBA était totalement inconnu en France. Le journaliste qui a apporté la bonne parole est Jean-Jacques Maléval qui a éclairé toute une génération de fans de basket. Voici son interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment devient-on fan de basket américain, il y a cinquante ans, alors que personne ne s’y intéresse en France ?\\n\\nJ’étais en fac, à la fin des années soixante, je ne peux pas dire la date exacte. En fait, j’avais un copain en Californie, qui l’est toujours d’ailleurs. J’avais entendu parlé du basket NBA et je lui ai demandé s’il pouvait m’envoyer une K7. Il l’a fait mais comme c’était du NTSC, j’ai dû m’acheter un magnétoscope NTSC lorsqu’ensuite, je suis allé aux Etats-Unis. Et en France je me suis acheté un moniteur Sony qui était multistandards. En fait, mon copain m’envoyait deux ou trois K7 par semaine.\\n\\nEn 1970, des joueurs, des entraîneurs, des dirigeants, des journalistes spécialisés avaient-ils une connaissance du basket américain ?\\n\\nJe n’ai rencontré personne... Sauf qu’à L’Equipe Marcel Hansenne (NDLR : ancien coureur international de demi-fond après avoir été basketteur. Il fut ensuite journaliste et auteur du livre « Le Basket » en 1963) avait fait des papiers sur le basket américain. Il a dû aller là-bas pour d’autres raisons et il en profité pour voir des matches et faire quelques articles. Il s’y connaissait un peu. C’est lui qui était rédacteur en chef à L’Equipe quand j’y étais et c’est avec lui que j’ai eu quelques problèmes*.\\n\\nDe quand date votre premier voyage là-bas ?\\n\\nJe crois que la première fois que je suis allé aux Etats-Unis, c’est durant l’été 68. J’avais pris un pass d’un mois en bus pour 100$ et avec ça, tu pouvais te promener partout aux Etats-Unis. Et en plus du pass, j’avais un dollar par jour ! J’ai vécu avec ça, parfois c’était un peu l’horreur. Ma mémoire est un peu floue. Je sais que j’ai vu UCLA. Ensuite, j’y suis retourné pratiquement tous les ans, notamment pour le bouquin, mais en fait L’Equipe ne m’a jamais payé le voyage. Et après, j’ai continué à y aller pour mon boulot dans l’informatique. Pendant vingt, vint cinq ans... La plus grande exposition d’informatique était le Comdex à Las Vegas.\\n\\nVous avez donc assuré des chroniques et des articles dans le quotidien L’Equipe et dans le mensuel L’Equipe Basket Magazine ?\\n\\nThierry Bretagne et moi, on était tous les deux à l’Université de Paris II Assas et on jouait dans l’équipe de basket universitaire. On voulait être journalistes sportifs et plus spécialement de basket. Un jour, on passe devant L’Equipe, rue du Faubourg Montmartre, et on se dit, « on va monter, pour voir... ». On rentre dans la salle de rédaction du basket, il n’y avait personne. On frappe à la porte à côté et on tombe sur Jacques Marchand, en charge du BHV (Basket Handball, Volley) mais aussi du cyclisme et de la boxe, et on lui parle de notre envie d’être journalistes. C’est lui qui nous a mis le pied à l’étrier. Il nous a demandé ce qu’on lui proposait comme article. Un sur le basket universitaire... Il nous a répondu que, justement, il cherchait quelqu’un pour faire un article là-dessus. Voilà comment ça a commencé. En fait, on a fait un article pour L’Equipe Basket Magazine presque sur nous-mêmes puisqu’on était sur la photo. Avec Bretagne, on a été ensemble vice-champion universitaire (...) En finale en face avec Nantes, il avait Carmine Calzonetti, meilleur marqueur de première division, pas plus grand que moi, mais qui nous a massacré. On avait des bons retours de la part des lecteurs sur le basket américain. Ce que l’on racontait, ils n’y croyaient pas ! Tout était démesuré par rapport au basket français, les gestes, le fric, l’environnement. C’était à des années-lumière. Les seuls que l’on connaissait en France, c’étaient les Harlem Globe Trotters. On n’avait ni texte, ni image.\\n\\n« On avait des bons retours de la part des lecteurs sur le basket américain. Ce que l’on racontait, ils n’y croyaient pas ! »\\n\\nEn 1972, vous écrivez ensemble avec Thierry Bretagne « Ce Fabuleux Basket Américain », un livre mythique, le premier sur le sujet. Comment est né ce livre ?\\n\\nDirecteur de la rédaction de l’Equipe, Edouard Seidler dirigeait chez Calmann-Lévy une édition dans laquelle il y avait une série sur le sport. C’est lui qui nous a proposé de faire un bouquin sur le basket américain. On était très jeunes. On a été payé une misère mais de toute façon, on l’aurait même fait gratuitement. Il y a eu un petit incident au niveau du titre. Ils voulaient qu’il s’appelle « Ce Fabuleux Basket Américain » car ils faisaient « Ce Fabuleux... » dans différents sports. Nous on voulait, « Le basket est américain ». Pour la photo de couverture, on en voulait absolument une de Sports Illustrated avec Jabbar qui fait un bras roulé sur Wilt Chamberlain. Ils nous ont dit « c’est trop cher » mais finalement, ils l’ont quand même prise. Le bouquin s’est assez vite vendu mais ils ne l’ont jamais réédité. Bretagne n’était pas encore allé là-bas à cette époque, moi, oui, et j’avais énormément de documentation, des journaux, des bouquins. J’ai donné tout ça depuis à Gérard Bosc et à son musée. Les 4/5e de ce que l’on écrivait, c’était à partir de ce que l’on avait lu et pas vu. Si, j’ai fait un reportage sur le basket à Harlem et j’étais allé au Rucker Park, j’avais même fait les photos. J’y avais joué et je m’étais fait ridiculiser par des gamins qui avaient cinq ans de moins que moi. En fait, dans la salle de presse du Madison Square Garden, je m’étais retrouvé à côté d’un journaliste sportif qui commentait le match pour une chaîne new-yorkaise. Il m’a dit « vous êtes un Français, on n’en voit jamais ici », et il m’a proposé de m’interviewer à la mi-temps. Je lui ai expliqué qu’en France, on ne connaissait que les Harlem Globe Trotters et que la NBA c’était bien supérieur. A la fin, je lui ai fait part de mon désir de voir du basket dans Harlem et c’est lui qui m’a emmené dans une petite salle là-bas. On était les deux seuls Blancs et dans l’une des équipes, il y avait Nate Archibald (joueur de NBA de 1970 à 1984). Je me souviens d’une action : il a pris le ballon sous son panier, il a dribblé, il n’a jamais regardé sur le côté gauche, et en arrivant sous le panier adverse, il a fait une passe aveugle à gauche. Et il y avait un mec qui était là, qui a marqué... Sans doute l’avait-il entendu courir à ses côtés en traversant le terrain. Je n’avais jamais vu ça.\\n\\nEn 1972, Vous commentez un reportage sur la NBA dans les Coulisses de l’Exploit, à partir d’un match Houston Rockets – Golden Sate Warriors, l’émission sportive de référence de 1961 à 1972. Comment ça s’est fait ?\\n\\nUn mec de l’émission m’avait appelé en me disant, « on a une K7 noir et blanc de NBA, on ne sait pas ce que c’est, voulez-vous la voir pour la commenter ? » C’était un vulgaire match de saison régulière (Ndlr : il datait de février de l’année précédente !) et je suis allé à la bibliothèque américaine à Paris et j’ai retrouvé trace de ce match avec les joueurs et le score, ce qui m’a permis de faire le commentaire. USA Today n’existait pas encore, c’était peut-être dans l’Herald Tribune. Il y avait aussi la possibilité d’acheter Sports Illustrated à Paris chez Brentano’s. Plus tard j’avais été voir un entraînement des Warriors avec Al Attles à Oakland et fait un papier là-dessus.\\n\\nQuelle était à l’époque l’ambiance dans les salles NBA ?\\n\\nIl y avait davantage de supporters populaires. Je me souviens qu’à Chicago ou à New York, en haut de la salle, il y avait plein de jeunes Blacks. Les prix ont augmenté, c’est comme le foot en Angleterre, les mecs ne peuvent plus y aller. Et au niveau de la presse, pour moi c’était le jour et la nuit. Je prévenais avant le club que j’étais journaliste et je n’ai quasiment pas eu de problèmes pour voir les matches. La presse aux Etats-Unis est beaucoup plus respectée qu’en France. Avant les matches, tu pouvais déjà bouffer sur place. Je faisais aussi des photos et je me souviens que dans chaque salle, en fonction de l’éclairage, une pancarte te disait par exemple « vous prenez du 800 ASA au 200e à 5.6 et c’est bon ». Déjà le professionnalisme. Les joueurs étaient relativement accessibles. Ce qui m’a surpris, c’est la façon dont travaillaient les journalistes. En France, ils étaient avec le calepin alors qu’aux Etats-Unis, ils avaient tous l’enregistreur et quand ils passaient l’interview dans le journal, c’était au mot à mot ce que le joueur avait dit. Et si le mec parlait mal l’anglais, la faute de grammaire y était. Pour moi, ce fut une bonne école de voir comment ils travaillaient.\\n\\n« Je n’ai jamais rencontré un Français, ni même un Européen, ça m’aurait marqué »\\n\\nA cette époque, vous êtes tombé sur des confrères européens en NBA ?\\n\\nNon. Ceux qui connaissaient bien le basket américain, c’était Noah Klieger, le correspondant de L’Equipe en Israël (NDLR : un temps président du Maccabi Tel-Aviv décédé récemment) et Vicente Salaner (NDLR: Correspondant de L’Equipe puis de Maxi-Basket) en Espagne. Je n’ai jamais rencontré un Français, ni même un Européen, ça m’aurait marqué. Il faut savoir qu’il fallait se battre en interne à L’Equipe pour faire passer une brève de dix lignes sur le basket américain alors que maintenant ils font des double pages ! Il est vrai qu’à l’époque, Pierre Tessier et Jean-Pierre Dusseaulx en charge du basket, ne parlaient pas anglais. Je crois aussi qu’en plus du basket américain, avec Bretagne, on a peut-être amené un certain style d’écriture.\\n\\nQuel est le joueur mythique que vous avez interviewer à cette époque ?\\n\\nKareem Abdul-Jabbar (NDLR : 2, 18m. En NBA de 1969 à 1989, six fois MVP). Marcel Hansenne, le rédacteur en chef de L’Equipe me convoque dans son bureau et me dit, « Jabbar vient à Paris. Ça t’intéresse de le voir ? » Tu parles ! Je suis allé le chercher à l’aéroport, mais il avait mal à la tête. Affreux. Je suis allé avec lui à la Mosquée de Paris. On me voit d’ailleurs en photo à côté de lui. Je fais 1,86m mais je suis un nain. Je fais l’article. Le rédacteur en chef me dit, «c’est bien mais il faut citer Adidas, c’est eux qui l’ont amené. » Je dis non ! Il me propose de mettre la photo et de faire une légende en citant Adidas. Je dis non ! L’article est passé sans la mention d’Adidas et il y a eu une note à toute la rédaction le lendemain, « Maleval ne travaille plus avec nous. » J’ai été foutu à la porte de L’Equipe pour ça... Le titre que j’avais mis, c’était « Jabbar à côté de ses pompes », ce qui était vrai car il n’était pas dans son assiette (sourire). Il faut dire qu’à l’époque Adidas était le plus gros sponsor de L’Equipe, et quand les trois bandes n’étaient pas assez visibles sur les photos à la Une, quelqu’un les retouchait avec du blanc pour qu’on les voit mieux (...) Mais pour moi le meilleur joueur de NBA ou plus exactement celui qui a eu le plus d’impact sur son époque, c’est Wilt Chamberlain. Personne ne dit qu’une saison, c’était même lui le meilleur de la saison aux assists, en 1967-68, je crois (NDLR : exact !). Même s’il n’a pas eu beaucoup de titres, c’est le mec qui était le plus fort en son temps, même Jordan je le mets derrière. Je me demande même s’il n’aurait pas sa place aujourd’hui.\\n\\nVous êtes aussi à l’origine de l’arrivée des statistiques en France ?\\n\\nC’était Jacques Marchand qui avait trouvé l’idée intéressante. Je m’étais beaucoup inspiré de la NBA, de la façon dont ils travaillaient. On avait contacté chaque club de Nationale 1 (NDLR : la Pro A actuelle) pour leur demander de trouver trois mecs pour prendre les statistiques. On leur avait envoyé toutes les définitions. Ils nous transmettaient les stats après chaque match au téléphone. Au début, parfois, c’était la catastrophe et quand il nous manquait un match, on prenait la moyenne générale de tout et on faisait les deux équipes avec ça (sourire). Par contre Marchand ne voulait pas que l’on note les balles perdues. Ce n’est pas positif, disait-il (rires). Et après, ça s’est fait. On a passé ça dans L’Equipe Basket Hebdo puis dans Micro Basket (NDLR : Lettre de basket publié de 1977 à 1979 par Micro Journal, l’entreprise de Jean-Jacques Maleval). En fait, je suis le premier à avoir fait un programme pour les statistiques du basket français. Ça calculait les moyennes, celui qui avait marqué le plus de points, etc. Ce programme, je l’avais fait sur cartes perforées ! (sourire).\\n\\nEt aujourd’hui ?\\n\\nJe n’ai pas décroché du basket. J’ai coaché quelques années une équipe de mon quartier du 18ème à Paris. J’avais choisi le nom, Périphériques All Star. On avait de superbes maillots mais peu de victoires. Depuis l’âge de dix-huit ans, je regarde au moins un match par jour. Je suis tout ce qui est NBA, NCAA, Pro A et même les femmes. Par contre, je ne mets plus les pieds à Coubertin. Je n’ai jamais supporté la clique parisienne.\\n\\n* Quelques articles initiatiques sont apparus à cette époque, notamment dans la magazine Sport, qui dans son numéro 6 daté du 17 mars 1971, réalisa un dossier complet sur le basket américain avec en couverture Lew Alcindor/Kareem Abdul-Jabbar, alors à Milwaukee. Il était signé de Connie Ryan.\\n\\n\\nLa NBA en clair à la TV\\n\\nAvant Canal +, la télévision française a offert quelques gouttelettes de NBA à ses téléspectateurs.\\n\\nD’après nos recherches, la première apparition de la NBA à la télévision française date probablement du 3 février 1958 au Journal Télévisé de 13h avec quelques brefs extraits du match Philadelphia Warriors-Boston Celtics. La RTF récidiva plusieurs fois dans les années soixante avec des commentaires en studio, notamment du chantre du football, Thierry Roland, qui a toujours apprécié la NBA.\\n\\nEn 1972, Jean-Jacques Maleval décortique donc avec pertinence une dizaine de minutes de Houston-Golden State. Il faut attendre encore quelques années pour suivre sur Antenne 2 des matches NBA sinon dans leur entier, du moins une mi-temps, mais en large différé, en juillet-août, dans les Jeux du Stade ou Sports Eté : Washington-San Antonio et Washington-Seattle (1979), Los Angeles Lakers-Philadelphie (1980), Boston-Philadelphie (1981). Les journalistes paraissaient peu documentés ! Plus tard, en 1991, FR3 diffusa des matches de la ligue américaine pendant une saison avec Tony Parker Sr. en consultant.\\n\\nInterview paru dans BasketHebdo en 2015.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment devient-on fan de basket américain, il y a cinquante ans, alors que personne ne s’y intéresse en France ?\\n\\nJ’étais en fac, à la fin des années soixante, je ne peux pas te dire la date exacte. En fait, j’avais un copain en Californie, qui l’est toujours d’ailleurs. J’avais entendu parlé du basket NBA et je lui ai demandé s’il pouvait m’envoyer une K7. Il l’a fait mais comme c’était du NTSC, j’ai dû m’acheter un magnétoscope NTSC lorsqu’ensuite, je suis allé aux Etats-Unis. Et en France je me suis acheté un moniteur Sony qui était multistandards. En fait, mon copain m’envoyait deux ou trois K7 par semaine.\\n\\nEn 1970, des joueurs, des entraîneurs, des dirigeants, des journalistes spécialisés avaient-ils une connaissance du basket américain ?\\n\\nJe n’ai rencontré personne... Sauf qu’à L’Equipe Marcel Hansenne (NDLR : ancien coureur international de demi-fond après avoir été basketteur. Il fut ensuite journaliste et auteur du livre « Le Basket » en 1963) avait fait des papiers sur le basket américain. Il a dû aller là-bas pour d’autres raisons et il en profité pour voir des matches et faire quelques articles. Il s’y connaissait un peu. C’est lui qui était rédacteur en chef à L’Equipe quand j’y étais et c’est avec lui que j’ai eu quelques problèmes*.\\n\\nDe quand date votre premier voyage là-bas ?\\n\\nJe crois que la première fois que je suis allé aux Etats-Unis, c’est durant l’été 68. J’avais pris un pass d’un mois en bus pour 100$ et avec ça, tu pouvais te promener partout aux Etats-Unis. Et en plus du pass, j’avais un dollar par jour ! J’ai vécu avec ça, parfois c’était un peu l’horreur. Ma mémoire est un peu floue. Je sais que j’ai vu UCLA. Ensuite, j’y suis retourné pratiquement tous les ans, notamment pour le bouquin, mais en fait L’Equipe ne m’a jamais payé le voyage. Et après, j’ai continué à y aller pour mon boulot dans l’informatique. Pendant vingt, vint cinq ans... La plus grande exposition d’informatique était le Comdex à Las Vegas.\\n\\nVous avez donc assuré des chroniques et des articles dans le quotidien L’Equipe et dans le mensuel L’Equipe Basket Magazine ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Walt Frazier (NY Knicks)" }, {"role": "user", "content":"8e de finale Coupe de France: Ouverture ce soir avec le choc Strasbourg-Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"Les huitièmes de finale de la Coupe de France débutent aujourd’hui avec le choc entre le tenant, Strasbourg, et le leader du championnat, Villeurbanne.\\n\\nPhoto: AJ Slaughter (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Italie : Michael Dixon (ex SIG) vers Reggio Emilia" }, {"role": "assistant", "content":"A Bnei Herzliya depuis le début de la saison, Michael Dixon (1,86m, 28 ans) a quitté le club israélien et serait très proche de Reggio Emilia, en Italie.\\n\\nSelon Sportando, le meneur de jeu américain, passé par Strasbourg en 2017, aurait trouvé un accord avec le club transalpin qui est mal embarqué en Série A pointant à la seizième et dernière place du classement (5v-14d). En signant au Pallacanestro Reggiana, l’ancien pensionnaire de l’université de Memphis vivrait sa première expérience en Italie après avoir évolué en Lituanie, en République Tchèque, en Grèce, en France, en Turquie et en Israël.\\n\\nCette saison, Michael Dixon compilait en moyenne 12 points, 2,2 rebonds et 4,3 passes décisives en Israël.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Anthony Randolph (Real Madrid) brille dans le choc face à Baskonia" }, {"role": "assistant", "content":"Le Real Madrid a remporté le choc de ce week-end en Liga ACB en venant à bout de Baskonia Vitoria (82-76), dans un match aux faux airs d’EuroLeague. Anthony Randolph à particulièrement brillé avec ses 18 points, dont un 5/6 à trois-points qui a compensé un faible 25% à deux-points.\\n\\nDu point de vue des Français, Fabien Causeur a été peu en vue pour les Madrilènes avec seulement 4 points à 2/9 aux tirs en 18 minutes de temps de jeu. Vincent Poirier, de son côté, a été le meilleur scoreur des Basques avec 12 points accompagnés de 4 rebonds.\\n\\nGrâce à cette victoire, le club de la capitale grimpe à la deuxième place du championnat espagnol devant ses adversaires du soir." }, {"role": "user", "content":"Serbie : KC Rivers vers l’Etoile Rouge de Belgrade ?" }, {"role": "assistant", "content":"Libre de tout contrat après avoir quitté Reggio Emilia, KC Rivers (1,96m, 31 ans) serait proche de l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nEurohoops rapporte que l’ancien joueur du Panathinaïkos a atterri à Belgrade dimanche dans l’optique de trouver un deal avec le Red Star. A l’aéroport, le natif de Charlotte a confié au média local Telegraf qu’il allait voir son agent et discuter des options disponibles en espérant que l’Etoile Rouge en fasse partie. Passé par Roanne, Bologne, Krasnodar ou encore le Khimki Moscou et champion d’Europe avec le Real Madrid en 2015, l’ancien pensionnaire de l’université de Clemson n’a jamais porté le maillot de la Crvena Zvezda.\\n\\nEn Italie, KC Rivers compilait en moyenne cette saison 15,6 points, 4,9 rebonds and 2,4 passes décisives.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Russie : Alexey Shved (Khimki Moscou) absent encore quelques semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Indisponible depuis plusieurs mois, Alexey Shved (1,98m, 30 ans) va encore manquer quelques semaines, annonce le Khimki Moscou.\\n\\nSur son site, le club russe indique que son meilleur joueur ne s’est toujours pas complètement remis de sa fracture à l’auriculaire gauche et voit sa convalescence se prolonger alors que son retour était attendu courant janvier. Sélectionné pour le All Star Game de VTB League, l’international russe ne pourra donc pas y participer.\\n\\nAvant sa blessure, Alexey Shved tournait à 25,3 points, 3 rebonds et 7,4 passes décisives en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Place à la Leaders Cup !" }, {"role": "assistant", "content":"Semaine allégée quantitativement puisque sans coupes d’Europe mais phare puisque les huit meilleures équipes françaises sont réunies à la Disney Arena pour la Leaders Cup avec en prime la finale de Pro B. RMC Sport retransmet le tout.\\n\\nLundi 11 février\\n\\n20h45 – Strasbourg/Villeurbanne – Coupe de France – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 15 février:\\n\\n13h00 – Pau/Levallois – Leaders Cup – RMC Sport 2\\n\\n15h30 – Villeurbanne/Bourg – Leaders Cup -RMC Sport 2\\n\\n18h00 – Dijon/Strasbourg – Leaders Cup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Nanterre/Limoges – Leaders Cup – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 16 février:\\n\\n18h00 – Demi-finale – Leaders Cup -RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Demi-finale – Leaders Cup – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 17 février\\n\\n14h30 – Roanne/Rouen – Leaders Cup Pro B – RMC Sport 2\\n\\n18h00 – Finale – Leaders Cup – RMC Sport 2" }, {"role": "user", "content":"ASVEL: Théo Maledon et la concurrence de Mantas Kalnietis: «A l’entraînement, j’essaye d’être meilleur que lui»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans sa dernière livraison, la revue fédérale Basketball consacre un portrait au prodige de l’ASVEL, Théo Maledon, 17 ans.\\n\\nSon coach en équipe de France U17, Lamine Kébé, avec qui il fut vice-champion du monde cet été est ainsi interrogé sur son éthique de travail:\\n\\n« Certains joueurs, lui notamment, ne se sentent pas bien quand ils ne travaillent pas assez. Ce n’est pas que pour se rassurer. C’est pour maîtriser. Il est très comparable à Evan Fournier sur ce plan. Evan est presque fou. Et Théo n’en est pas loin. Il arrive à l’entraînement 30 minutes avant, part une heure après. On est obligé de l’arrêter. »\\n\\nLamine Kébé évoque par ailleurs la personnalité du jeune homme qui paraît introverti et peu disert lors des interviews:\\n\\n« Il a beaucoup évolué. Je le connais depuis 2014 puisque je coachais contre lui en minimes. Il a toujours été timide et réservé. C’est une façon de se protéger vis à vis de l’extérieur, ce qui pourrait être en contradiction avec son poste, mais il s’est transformé. Avec les U17 il était capitaine et très écouté. Il n’hésite pas à prendre la parole régulièrement dans le vestiaire et désormais, il échange également avec les coaches. »\\n\\nL’intéressé, qui joue 16′ en moyenne par match en Jeep Elite, parle de la concurrence interne à l’ASVEL avec Mantas Kalnietis, le meneur de l’équipe nationale de Lituanie.\\n\\n« L’année dernière, j’étais en observation, en retrait. Mais j’ai changé. Ce n’est pas que je voulais être sur le côté mais mais attentes ont grandi. J’ai toujours eu l’envie de jouer. A aucun moment je me suis dit que l’arrivée de Kalnietis était dangereuse. Je ne cherche pas à me cacher. C’est un très bon joueur et à l’entraînement j’essaye d’être meilleur que lui. Il me parle des situations, du tempo. Il a l’expérience et j’ai tout à apprendre de lui. »" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Germain Castano (coach Orléans): «C’est la meilleure performance à domicile qu’on ait pu faire défensivement»" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de Gries-Oberhoffen au palais des sports d’Orléans (91-73), l’OLB revient a une victoire du leader roannais.\\n\\n« On a eu une période de 10 à 15 minutes où on a été très solides défensivement », a commenté le coach Germain Castano. « C’est la meilleure performance à domicile qu’on ait pu faire défensivement. On les a gênés, on les a poussés, c’est une équipe qui a besoin de rythme et d’espace, et on les a empêchés de bouger le ballon et j’avoue que les 15 premières minutes ont été assez impressionnantes. On n’a encaissé que 10 points dans le troisième quart-temps, et on n’a pas non plus beaucoup encaissé de points en début de partie. Ils ont commencé à lâcher, ce qui est normal. Pour ce qui est de pourquoi on n’a pas tué le match plus tôt c’est que je préfère quitte à choisir, qu’ils reviennent tout de suite plutôt qu’en fin de troisième quart-temps, là le doute se serait installé dans l’équipe. Ce que je reproche au joueurs lors de ce match, c’est qu’on a pris un panier sur quasiment chaque possession dans la deuxième moitié du premier quart-temps, alors qu’on a encaissé que 5 points sur les cinq premières minutes, principalement sur des exploits individuelles et des erreurs défensives de notre part. Heureusement qu’on rectifie le tir en deuxième mi-temps. »\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Roanne engage Ilian Evtimov en provenance de Lille" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale Roanne Basket vient d’engager l’intérieur franco-bulgare Ilian Evtimov (2,01m, 35 ans) jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nIlian Evtimov portait ces deux dernières saisons le maillot de Cholet, et il a effectué une pige de deux mois à Lille qui a pris fin vendredi soir (8 points à 47% aux tirs et 1,5 passe décisive en 17′ en moyenne). Il possède derrière lui une longue carrière aussi bien en France que dans plusieurs championnats étrangers.\\n\\n«Ilian va nous permettre de ne pas baisser de niveau en termes d’adresse sur le poste 4 lorsque Robert Nyakundi est absent comme ce sera le cas ces prochaines semaines», commente le coach roannais Laurent Pluvy sur le site du club «Il a un profil identique à celui de Robert, un poste 4 avec une grosse qualité de tir, une expérience et aussi une capacité à faire les efforts défensivement, car c’est un bagarreur.»\\n\\nLa Chorale espère pouvoir l’aligner dimanche prochain en finale de la Leaders Cup Pro B contre Rouen.\\n\\nPhoto: Cholet Basket" }, {"role": "user", "content":"Espagne : la grosse performance des Français de Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la victoire éclatante du FC Barcelone contre Fuenlabrada ce samedi en liga ACB (106-76), les deux Français évoluant dans le club catalan ont brillé. Kevin Séraphin a dominé à l’intérieur avec 20 points et 7 rebonds en 21 minutes de temps de jeu. Thomas Heurtel, quant à lui, a assuré la mène avec 15 points et 9 passes décisives.\\n\\nAvec un bilan de 17 victoires pour 3 défaites, les Blaugrana sont leaders du championnat espagnol avec 3 victoires d’avance sur Baskonia et le Real Madrid. La saison des Catalans est très satisfaisante entre le championnat espagnol et l’EuroLeague, eux qui sont dans le top 5 de la compétition européenne reine après deux saisons sans playoffs." }, {"role": "user", "content":"Sondage: Le basket en 8e position des sports féminins suivis par les Français à la télévision" }, {"role": "assistant", "content":"Selon un sondage réalisé par Odoxa pour RTL et Groupama, 63% des Français disent regarder du sport féminin à la télévision. Ce qui représente une augmentation de 10% en... 6 mois !\\n\\nLes Français l’estiment aussi intéressant (83%) et spectaculaire (73%) que le sport masculin mais pas suffisamment médiatisé (88%) et encouragé (78%) par la société française. Ils réclament plus de sport féminin (78%) et plus de journalistes sportives (74%). Et n’ayez pas de préjugés, ce sont les hommes (75%) qui regardent plus le sport féminin que les femmes (53%).\\n\\nEn ce qui concerne les disciplines les plus suivies, c’est le football qui arrive en tête (52%). La raison à notre avis? Il bénéficie depuis quelques années d’un battage médiatique sans équivalent et la perspective de la Coupe du monde en France (7 juin au 7 juillet) n’a fait qu’accentuer le phénomène. Le handball arrive en deuxième position avec 41% soit une progression de 15 points vis à vis de juin dernier. L’explication? TF1 a diffusé la finale victorieuse du championnat du monde à mi-décembre et 5,4 millions de téléspectateurs étaient devant leurs postes.\\n\\nSuivent les sports d’hiver (39%), le tennis et l’athlétisme (38%), la natation (33%), la gymnastique (27%) et le basket (17%).\\n\\nIl est certain que quelques semaines après les JO de Londres en 2012, la place du basket aurait été sensiblement supérieure partant du principe que les Français regardent... ce qu’on leur propose. Or, seuls RMC Sport, Canal+ Sport et BeIN SPORTS pour la WNBA ont diffusé des matches de basket en 2018. Et ce ne sont pas des chaînes en clair." }, {"role": "user", "content":"17 points. Record en carrière pour Killian Hayes (Cholet) face à Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"Erman Kunter a incontestablement boosté Cholet Basket qui vient d’obtenir sa troisième victoire en quatre matches. Après l’ASVEL et Le Mans, c’est Bourg-en-Bresse qui est passé à la casserole: 89-82. Et c’est tout bénéf pour les Choletais puisque dans le même temps Antibes, Fos et Le Portel ont mordu la poussière.\\n\\n«Le match était serré. Avant cela, la semaine a été difficile: Killian (Hayes) ne s’est pas entraîné pendant deux jours, Pape (Sy) est absent pendant quinze jours, London (Perrantes) a ressenti des douleurs après un choc reçu lors du match à Lyon-Villeurbanne... », a énuméré Erman Kunter. « Le fait que ce sont trois joueurs du secteur extérieur nous a un peu inquiété. Ce soir, c’est une victoire importante, car nos adversaires directs ont perdu. On va pouvoir donner du repos aux joueurs. Généralement, quand nous sommes bons en attaque, alors la défense va bien. La deuxième mi-temps était meilleure que la première. On a fait des erreurs sur les sorties d’écran. On a joué, par moment, avec deux poste 4 sur le terrain. On n’a donné aucun tir ouvert. »\\n\\nSi Michael Young a été le meilleur marqueur (18 points), Killian Hayes (1,96m, 17 ans) a été tout près (17) -il s’agit de son record en carrière- avec la meilleure évaluation de l’équipe (18) au même niveau que Frank Hassell. Ce qui n’a pas empêché le coach de relever quelques faiblesses.\\n\\n« Killian a fait les efforts en défense, mais il a aussi commis quelques erreurs en attaque, avec notamment trois ballons perdus. On a su trouver du rythme, mais on s’est aussi trop précipités par moment. Il y a des choses positives, comme les 50% d’adresse, ou encore le ratio de 10 balles perdues pour 17 passes décisives. On va désormais devoir trouver des matches amicaux pour organiser notre période de trêve.»\\n\\nLe vice-champion du monde U17 a bien conscience de son rôle à Cholet:\\n\\n« J’ai essayé d’être plus agressif. En deuxième période, on a été plus agressifs en défense. Nous, les jeunes, devons apporter plus au groupe.»\\n\\nPhoto: CB" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Nando De Colo royal pour abattre le Real" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le duel au sommet de cette 22e journée, le CSKA Moscou a battu le Real Madrid pour un 4e succès consécutif qui lui permet de récupérer la 2e place au classement (82-78). Nando De Colo (21 points, 4 passes) a été impérial avec une 3e sortie consécutive au-dessus des 20 pions, bien aidé par 15 points du revenant Cory Higgins.\\n\\nDans le même temps, Fenerbahçe n’a pas fait dans la dentelle contre le Panathinaikos (85-66) pour devenir la première équipe officiellement qualifiée pour les playoffs. La logique a également été respectée dans les succès de Vitoria et Milan qui se placent également dans la course à la qualification.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe CSKA se replace en 2e position\\n\\nSur un nuage depuis plusieurs semaines, Nando De Colo n’a pas ralenti la cadence face aux champions en titre. Dans un duel au sommet contre le Real, De Colo termine à 21 points et 4 passes dans une victoire arraché au bout d’un duel de gros bras (82-78). Il aura fallu attendre les 3 dernières minutes du dernier quart pour voir le CSKA prendre un écart définitif contre le Real bien emmené par Anthony Randolph (20 points).\\n\\nCory Higgins (15 points) est revenu à point nommé après ses 3 rencontres ratées sur blessure. C’est lui qui plante le trois points qui met le Real à -7 dans le crunch. Sans Sergio Llull, Madrid a manqué de peps offensif avec 3 joueurs seulement en double figure.\\n\\n\\nVitoria prend le dessus sur le Bayern\\n\\nAvec son 11e point et son 11e rebond sur le buzzer final, Vincent Poirier a peut-être bien rendu un service immense à son club de Vitoria, victorieux contre le Bayern Munich (76-68). Avec cet ultime panier accordé après vérification du corps arbitral, la troupe basque tient effectivement le point average sur son concurrent bavarois.\\n\\nVitoria a fait la différence en dernier quart, passant un 8-0 suffisant pour repousser le Bayern définitivement. Derrick Williams (18 points) et Danilo Barthel (11 points) ont été les seuls à surnager pour Munich alors que Vitoria a pu compter sur une attaque équilibrée autour de 5 joueurs à 10 points ou plus. Ça fait 4 victoires en 5 matchs pour Vitoria qui s’est résolue à jouer sans Shengelia jusqu’aux playoffs.\\n\\n\\nFener déjà en playoffs\\n\\nLe match était plié à la mi-temps pour le Fenerbahçe, auteur d’un 24-11 cinglant dès le 2e quart. Avec ce succès qui intervient après la défaite inattendue de la semaine passée contre le Bayern, les hommes de Zeljko Obradovic sont d’ores et déjà qualifiés pour les playoffs (85-66).\\n\\nNicolo Melli (14 points, 7 rebonds, 4 passes) a été impeccable avec 27 d’évaluation, bien soutenu par son compatriote Luigi Datome à 12 points, tout comme Marko Guduric et Erick Green. Joffrey Lauvergne apporte quant à lui 8 points et 4 passes. De l’autre côté, Rick Pitino encaisse une 5e défaite en 8 matchs, malgré 19 points du récent transfuge, Sean Kilpatrick.\\n\\n\\nMilan fait la passe de trois\\n\\nPour son premier match sans son pivot balte, Arturas Gudaitis, Milan n’a pas flanché contre le dernier de la classe du Darussafaka (90-78). Mindaugas Kuzminskas (19 points, 8 rebonds) et Mike James (18 points, 5 passes) ont propulsé l’attaque lombarde, mais c’est bien Curtis Jerrells, avec 11 de ses 16 points en dernier quart, qui a offert le coup de rein décisif. C’est la 3e victoire de rang de Milan !\\n\\nJames Nunally (10 points) a également été essentiel pour se débarrasser du Darussafaka qui reste bon dernier avec un 19e revers en 22 tentatives. Toney Douglas (21 points) termine à nouveau meilleur scoreur du Dacka mais sans réussite...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 21 points (8/12 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 27 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 12 points (5/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 balle perdue en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/10 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 11 points (5/7 aux tirs), 11 rebonds, 1 passe, 1 contre en 25 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 10 points (3/8 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 9 points (4/6 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes en 33 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 9 points (4/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (4/10 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 8 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 12 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 3 points (1/3 à trois points), 1 rebond en 6 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 0 point (0/3 aux tirs), 1 passe, 3 balles perdues en 13 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : 0 point (0/1 à trois points), 2 passes en 11 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAuteur d’un double double à 11 points et 11 rebonds, Vincent Poirier a bien rebondi après deux prestations offensives sous ses standards. Dans un classique de Vitoria cette saison, Lucas Vildoza envoie Poirier dans les étoiles pour un alley oop puissant à deux mains !\\n\\n\\n\\n\\n.@viinze_17P with the ALLEY-OOP 💥#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/dFhABisNmI\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 8, 2019\\n\\nEn bonus, ce petit bijou de Nando De Colo sur la truffe d’Anthony Randolph au@ buzzer du 1er quart !\\n\\n\\n\\n\\nNot a bad way to end the first quarter @NandoDeColo 😏#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/AgtQiGRc3W\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 8, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 22e journée\\n\\nJeudi 7 février :\\nEfes Istanbul – Gran Canaria (93-74)\\nPodgorica – Khimki Moscou (90-98)\\nMaccabi Tel Aviv – Olympiakos (65-64)\\nBarcelone – Zalgiris Kaunas (78-72)\\n\\nVendredi 8 février :\\nCSKA Moscou – Real Madrid (82-78)\\nFenerbahçe – Panathinaikos (85-66)\\nVitoria – Bayern Munich (76-68)\\nMilan – Darussafaka (90-78)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 23e journée\\n\\nJeudi 21 février :\\nCSKA Moscou – Gran Canaria (18h)\\nEfes Istanbul – Olympiakos (18h30)\\nMilan – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\nBarcelone – Vitoria (21h)\\n\\nVendredi 22 février :\\nDarussafaka – Fenerbahçe (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Podgorica (19h)\\nPanathinaikos – Khimki Moscou (20h)\\nReal Madrid – Bayern Munich (21h)\\n\\nA lire aussi : le Maccabi Tel Aviv renaît tel le Phénix\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe CSKA se replace en 2e position\\n\\nSur un nuage depuis plusieurs semaines, Nando De Colo n’a pas ralenti la cadence face aux champions en titre. Dans un duel au sommet contre le Real, De Colo termine à 21 points et 4 passes dans une victoire arraché au bout d’un duel de gros bras (82-78). Il aura fallu attendre les 3 dernières minutes du dernier quart pour voir le CSKA prendre un écart définitif contre le Real bien emmené par Anthony Randolph (20 points).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le coast to coast rugissant de Sekou Doumbouya (Limoges)" }, {"role": "assistant", "content":"Pour son retour à la compétition, l’ailier Limougeaud Sekou Doumbouya (2,06m, 18 ans) nous a gâtés avec ce coast to coast ponctué d’un dunk. Somptueux.\\n\\nPhoto: CSP\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1094295811524050945" }, {"role": "user", "content":"Après le revers de Strasbourg à Limoges (76-90), Nicolas Lang»: Quelques minutes moins concentrés peuvent être fatales»" }, {"role": "assistant", "content":"Après trois succès d’affilée, on pouvait croire que Strasbourg avait retrouvé son allant mais Limoges a exposé de nouveau ses travers en lui infligeant une belle correction, 90-76.Diminuée par les absences de Mardy Collins et Florent Pietrus, la SIG n’a guère compté que sur ses artilleurs Jarell Eddie (20 points) et Nicolas Lang (18) pour faire de la résistance. C’est un 20-5 dans le deuxième quart-temps qui a provoqué l’échappée des Limougeauds (31-20).\\n\\n« Il y a eu deux trous d’air », a analysé le coach Vincent Collet en conférence de presse. « Le 1er sur les rotations, mais on était obligé de faire tourner vu les circonstances. On ne pouvait pas jouer avec les mêmes pendant tout le match. C’est ce qui explique qu’on ne soit pas en tête à la fin du 1erquart-temps. Normalement on doit être capable de l’être. On mène 18 à 13 et on prend un 9 à 0 pour finir en 1’30. Et il y a surtout les trois dernières minutes de la fin de la première mi-temps. Sur l’ensemble du match ce n’est pas une rechute, mais en revanche, sur cette période, ça l’est ! On a eu trois minutes très mauvaises. On a de nouveau baissé les bras à ce moment, ce qui explique l’écart à la mi-temps. Ces trois minutes nous plombent le match. Après on s’est battu, beaucoup mieux. On était plus consistant sur l’ensemble de la 2ème période, ce qui nous permet de conserver le panier-average, mais, quand tu rejoins la mi-temps à moins 20... Et surtout beaucoup par notre faute. »\\n\\nA Limoges, Axel Bouteille (20 points) et Jerry Boutsiele (10 points et 11 rebonds) ont été impeccables tout comme Sekou Doumbouya qui pour son retour de blessure a assuré 9 points et 5 rebonds, un coast to coast rugissant et un contre dantesque sur Youssoupha Fall et ses 2,21m.\\n\\n« J’aurai une meilleure visibilité de l’ensemble du match à la séance vidéo, mais je reconnais personnellement que je n’ai pas été assez bon », s’est auto-critiqué Nicolas Lang. « On sent dans notre niveau d’énergie et d’implication qu’il y a des sautes de concentration. Il faut qu’on arrive tous à avoir cette concentration pendant 40 minutes, surtout avec un effectif réduit. Quelques minutes moins concentrées et moins intenses peuvent être fatales. Je ne cherche pas d’excuses par rapport aux absences. On doit être capable d’avoir ce niveau de concentration, même avec un effectif réduit. C’est bien de jouer dès lundi. On aura qu’un jour de récupération, mais au moins on passera vite à autre chose. On ne va pas faire comme si ce match n’avait pas existé, puisqu’il faut en tirer des enseignements pour rebondir lundi »." }, {"role": "user", "content":"Quand George Eddy a proposé ses services de shooting coach à l’équipe de France" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview donnée à BasketUSA, essentiellement tournée vers la NBA, le journaliste George Eddy évoque le moment où il a souhaité apporter sa contribution aux Bleus. Il faut savoir qu’il fut un shooteur exceptionnel -même si c’était les pieds dans le ciment !- grâce à un tir construit lorsqu’il était en Floride.\\n\\n« J’avais très sérieusement proposé mes services à l’Equipe de France à l’époque de Claude Bergeaud », raconte t-il. « Surtout qu’à cette période, on disait qu’on n’avait pas assez de shooteurs, on était toujours l’équipe la plus maladroite aux lancers-francs et à 3-points. Donc j’ai pensé qu’en tant que consultant extérieur je pourrais apporter un petit quelque chose à certains joueurs en manque de confiance. Mais bon, ils m’ont un peu ri au nez. C’est un peu ce qu’on dit, que le collège des entraîneurs de très haut niveau peut être un peu fermé vis à vis des intervenants extérieurs. J’ai quand même eu une lettre du président de la Fédération Yvan Mainini pour me remercier de ma proposition. Ils ne m’ont pas pris au sérieux, peut-être aussi que je me surestime totalement ! C’est fort possible. Mais j’ai déjà aidé plein de jeunes avec leur mécanique de tir. Je pense avoir pas mal d’expérience sur le sujet. Ce que je dis toujours, c’est que si j’arrivais à battre tous les joueurs du PSG Basket au HORSE à Coubertin, presque systématiquement, j’estime que j’avais peut-être quelque chose à leur apporter. Ce n’est pas très grave. Heureusement, je n’ai pas fait ça pour gagner ma vie ! »\\n\\nGeorge Eddy sort « Mon histoire avec la NBA » en collaboration avec Jonathan Demay." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’Opalico Le Portel vs Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"A revivre en images le derby entre l’ESSM Le Portel et le BCM Gravelines-Dunkerque vainqueur 87-82 après prolongation.\\n\\nPhoto: Jean-Michel Mipoka (BCM)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Rouen remporte le derby normand contre Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"La logique a été respectée dans le derby normand ou Rouen, qui est dans la course aux playoffs, a vaincu Evreux qui lutte pour son maintien (76-88), dans un match maîtrisé de bout en bout par les Seinomarins.\\n\\nAprès un début de premier quart-temps où les deux équipes ont peiné, les Rouennais ont commencé à se constituer des petits écarts et finit le premier quart-temps avec 8 points d’avance (13-21). Si le début du deuxième quart-temps est demeuré sur la même dynamique que le premier, le deuxième moitié a tourné complètement à l’avantage des Ebroiciens qui sont parvenus à revenir à égalité à la mi-temps (44-44).\\n\\nAu retour des vestiaires, une légère avance pour le RMB s’est créé avant de s’accentuer avant le début du dernier quart-temps, qui a été porté vers l’attaque et qui a fini de conclure la victoire des Rouennais.\\n\\nEvreux a payé sa maladresse globale (38,9% aux tirs) contre une équipe de Rouen au contraire très adroite (plus de 50% aux tirs dont 39% à trois-points). Le meneur Jamar Diggs (1,88m, 30 ans) a fait un match très complet côté Rouen avec 19 points (à 7/10 aux tirs), accompagnés de 5 rebonds et 6 passes décisives. Le RMB prépare au mieux sa finale de la Leaders Cup contre Roanne du 17 février et renforce également ses chances d’aller en playoffs. Quant aux Ebroiciens, ils ont toujours à leurs trousses le premier relégable, Caen, sur qui ils ont deux victoires d’avance." }, {"role": "user", "content":"Cedric Heitz (Châlons-Reims): «C’est un vrai soulagement pour nous»" }, {"role": "assistant", "content":"Chalons-Reims, en gagnant chez lui contre la lanterne rouge Antibes (91-80), s’est donné un peu d’air dans la course au maintien en JeepElite.\\n\\n« C’est un vrai soulagement pour nous, on montre ce dont on est capable », s’est félicité le coach Cédric Heitz. « On ne va pas se mentir: Antibes a pas mal changé de joueurs depuis le début de la saison, ils ont beaucoup travaillé défensivement pour être efficace. Il est devenu très dur de s’imposer surtout quand ils sont à domicile. Chez nous on a réussi à imprimer notre rythme et a monter en puissance défensivement et dans l’intensité. On a certes fait des erreurs et on continuera a travailler dessus et voir les ajustements à faire. En tout cas on est vraiment heureux de s’en sortir comme ça, on a réussi a atteindre plusieurs objectifs mais surtout les joueurs, qui étaient peu nombreux ce soir, ont pris le match à bras le corps, avec fierté, ils sont vraiment partis comme des battants. C’était dur de contenir une équipe qui est une très bonne équipe à 3-points, mais on ne s’est pas désolidarisés, on a fait preuve de beaucoup d’unité et les changements ont permis de garder l’intensité et c’est une très bonne chose pour nous. »\\n\\nAvec 24 points dont un 5/9 à trois-points, Jimmy Baron a joué un rôle clé :\\n\\n« Chaque match est important mais vu la situation dans laquelle nous sommes celui là l’était d’autant plus. On a bien démarré. Je pense que nous avons fait du bon travail sur les rebonds, qui était l’une de nos faiblesses. Nous avons bien joué ensemble, j’ai eu quelques shoots, les autres gars aussi. Le rythme a été ralenti en deuxième mi-temps mais nous sommes restés unis. Nous avons mieux défendu qu’en première mi-temps. C’est un bon match, on a redressé la barre. On a eu une bonne semaine d’entrainement et ça se voit. En deuxième mi-temps particulièrement, nous avons mieux défendu. Chaque victoire et différente, dans certains matchs il faut faire la différence quand tu ne scores pas, et d’autres jours tout rentre. Mais c’était d’abord une grosse victoire d’équipe. »" }, {"role": "user", "content":"Italie : L’ex-Strasbourgeois David Logan signe en deuxième division" }, {"role": "assistant", "content":"Excellente opération de l’équipe de Trévise qui récupère l’Américano-polonais David Logan (1,85 m, 36 ans) jusqu’à la fin de la saison. Un pays qu’il connait bien car il a déjà évolué en première division avec Avellino et Sassari, jouant même l’EuroLeague en 2014-2015 avec ce dernier.\\n\\nDavid Logan sort d’une première moitié de saison dans le championnat coréen où il a tourné à 17,5 points de moyenne avec les KT Sonicboom de Busan.\\n\\nPassé par Strasbourg la saison dernière, l’ancien du Maccabi Tel-Aviv a tourné en Jeep Elite à 14,9 points, 1,9 rebond et 2,3 passes décisives par match. Son adresse extérieure (38,1% à trois points) lui avait à l’époque permis de participer au concours à trois-points du All-Star Game à l’AccorHotels Arena.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: 9 paniers à trois-points pour Arnauld Thinon (Poitiers) contre Chartres" }, {"role": "assistant", "content":"Le Poitiers Basket 86 a interrompu une série de quatre défaites en s’imposant à Chartres, 94-79. Les retours sur blessures de Kevin Mendy et JR Reynolds ont fait du bien mais c’est le combo guard Arnauld Thinon (1,78m, 31 ans) qui a été le grand artisan de la victoire.\\n\\nL’ancien joueur de Challans, La Rochelle et Sorgues avait déjà inscris 12 points après dix minutes de jeu. Il en a enfilé 31 au total et c’est la manière qui est tout particulièrement remarquable: 9 sur 12 à trois-points ! Il s’agit dans les deux cas de ses records en carrière alors que le cap des 9 paniers primés avait déjà été atteint au club par Rasheed Wright en 2009 contre Hyères-Toulon.\\n\\nOn remarque que Arnauld Thinon réalise actuellement ses meilleures performances chiffrées pour sa septième saison à Poitiers avec 11,7 points et un remarquable 45,4% de réussite à trois-points, 2,2 passes et 10,3 d’évaluation.\\n\\nhttps://www.facebook.com/poitiersbasket86/videos/1981036572192752/\\n\\nPhoto: PB86" }, {"role": "user", "content":"LFB: Le Hainaut Basket a conquis un public" }, {"role": "assistant", "content":"Le Hainaut Basket, qui joue à Saint-Amand-les-Eaux, 16 000 habitants, non loin de la frontière belge, est sur l’arbre généalogique l’héritier de la glorieuse US Valenciennes Olympique. Mais longtemps l’équipe n’a pas déplacé les foules à la salle Maurice-Hugot. Ce n’est plus le cas. Les 1 500 places sont désormais prises d’assaut à chaque match et les fans font la queue une heure avant pour s’asseoir aux meilleures places.\\n\\n« Quand on a un coup de mou, ils nous encouragent ; quand on marque un panier, ils crient » commente l’intérieure Ludivine Marie à France Bleu. « Notre victoire contre Basket Landes est bien sûr liée, si le stade avait été vide, ça aurait été différent« , lance la meneuse Hortense Limouzin.\\n\\nLe secret du Hainaut? Le Nord est une terre de basket qui a connu de nombreux clubs féminins de première division à travers les âges. Les dirigeants ont incité les autres clubs départementaux à venir encourager les filles du coach Fabrice Fernandez et des partenariats ont été noués avec des associations et des entreprises.\\n\\nC’est ainsi que le Hainaut Basket occupe actuellement une très honorable huitième place en Ligue Féminine (6 victoires et 8 défaites) et que la venue ce soir de Charleville-Mézières promet une ambiance bouillante." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Luka Doncic (Dallas Mavericks): «C’est plus facile de scorer en NBA qu’en Europe»" }, {"role": "assistant", "content":"Luka Doncic (2,01m) ne cesse d’épater en NBA après avoir enchanté le Real Madrid et toute l’Europe. Il a récemment fait preuve de sa précocité en réussissant son troisième triple double à moins de 20 ans; il les fêtera le 28 de ce mois. Ses statistiques sont actuellement de 20,6 points (34,6% à trois-points), 7,1 rebonds et 5,5 passes.\\n\\nSa parole est d’or, aussi ce que l’ailier Slovène a déclaré à la chaîne de télévision espagnole Movistar+ est accueilli avec intérêt:\\n\\n«Ici (en NBA), c’est plus facile de scorer en comparaison avec l’Europe, bien entendu. En Europe, le terrain est plus petit et il y a la règle des trois secondes. Je pense que c’est plus facile de marquer ici.»\\n\\nPhoto: Chris Elise/BasketUSA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Vainqueur à Paris, le Caen BC reprend des couleurs" }, {"role": "assistant", "content":"D’un côté, le Paris Basketball sur une pente ascendante. De l’autre, le Caen BC à la traîne de la Pro B. Match à la Halle Carpentier. Qu’est-il arrivé? Ce sont les Normands qui ont triomphé, 78-64.\\n\\nUne victoire sans tête qui dépasse puisque cinq joueurs ont scoré plus de dix points du côté du CBC avec un record à juste 13. Et c’est Gaétan Clerc (1,89m, 28 ans) qui a été élu Homme du match avec seulement 9 points plus 5 passes et 3 rebonds. De quoi réjouir le nouveau coach Fabrice Courcier comme le rapporte Actu.fr.\\n\\n« En plus de la victoire, on a fait un beau match. On a été dans ce qu’on avait prévu de faire, et les joueurs ont mis le combat que j’avais demandé. Offensivement, quelques notions ont bien été intégrées. Il y a eu de l’investissement. C’est une vraie victoire collective. Tout le monde a su hausser son niveau de jeu. J’ai vu de la solidarité et de la cohésion en défense, du partage et du mouvement en attaque. Cette victoire nous permet de recoller un peu aux équipes devant nous. La trêve va changer un peu la donne, mais on valide le nouveau basket qu’on avait aperçu contre Rouen et Orléans. »\\n\\nPhoto: Gaétan Clerc (CBC)" }, {"role": "user", "content":"Le Portel-Gravelines: Avec sept pros, les Portelois ont craqué" }, {"role": "assistant", "content":"Le problème quand vous avez moins d’argent que les autres, c’est que vous avez aussi moins de joueurs, or le basket de haut niveau est de plus en plus éprouvant et exige la qualité ET la quantité. L’ESSM Le Portel en a fait l’amère expérience hier soir lors de l’Opalico face à Gravelines.\\n\\nAnthony Hilliard, son scoreur, a été victime d’une béquille sur la jambe gauche et il n’a pu jouer que cinq minutes. Comme Moses Ehambe s’en est allé en deuxième division russe quelques jours auparavant, les Portelois se sont retrouvés à sept pros plus Samir Gbetkom qui avait déjà beaucoup payé de sa personne juste avant avec les espoirs.\\n\\nLe problème, c’est que le match a duré 45 minutes puisque Jean-Victor Traoré avait réussi à accrocher la prolongation (75-75). Les Gravelinois étaient plus frais et ils ont fait alors la différence: 87-82. Le trio américain Karvel Anderson (22 points et 5 passes), Taylor Smith (14 points et 10 rebonds) et Kendall Anthony (24 points) a été particulièrement saignant.\\n\\nAprès sa débâcle face à Chalon, Gravelines se repositionne dans la lutte pour un spot en playoffs alors que Le Portel est bel et bien concerné par celle qui va livrer deux condamnés à la Pro B.\\n\\nJean-Victor Traore (ESSM)" }, {"role": "user", "content":"En direct avec Miro Bilan (ASVEL) : «Je suis fan de Tim Duncan»" }, {"role": "assistant", "content":"Quadruple champion de Croatie, MVP de la Ligue Adriatique ou encore cinq fois vainqueur de la coupe de Croatie, Miro Bilan (2,13m, 29 ans), qui a disputé plusieurs campagnes d’Euroleague, fait partie des gros CVs de notre championnat. A l’issue de la victoire de l’ASVEL face au Lokomotiv Kuban en Eurocup, l’international croate, avec son très jeune fils sur les genoux, a répondu aux questions du « En direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nC’était pour le club de ma ville natale, Sibenik. Plusieurs vétérans ont quitté le club donc le staff a dû mettre les jeunes, dont je faisais partie, sur le terrain. C’était la fin de la saison donc ils nous ont donnés une chance de nous rendre compte et de goûter au basket professionnel. J’avais 16 ans, je pense que je m’en souviendrai toute ma vie. Première fois en pro sur un terrain de basket, dans ma ville natale, devant mes amis et ma famille, c’est un sentiment particulier.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nC’est difficile à dire. On essaye toujours d’apprendre au contact des anciens parce qu’ils ont toujours des tonnes de bons conseils à donner. Il suffit de les suivre, d’être à l’écoute pour devenir meilleur.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJ’ai toujours eu un faible pour Tim Duncan depuis 15 ou 20 ans maintenant. Et parce que je suis de Sibenik, comme lui, je dirais aussi Drazen Petrovic. C’était un joueur incroyable, il vient de la même ville que moi et il a eu une carrière incroyable. Ça a été une vraie tragédie quand il est décédé. Il n’est plus là, mais c’est toujours un modèle pour les gens de notre ville.\\n\\n« J’ai pu évoluer avec Bojan Bogdanovic qui est l’un des meilleurs joueurs que la Croatie a connu »\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nQuestion difficile... C’est difficile à dire parce que je n’ai pas l’impression qu’il y ait quelqu’un qui soit vraiment au-dessus des autres. Il y a de très bons joueurs, mais personne n’est meilleurs que les autres. Parfois, on peut voir des joueurs marquer 30 points et le week-end suivant c’est quelqu’un d’autre. Je ne pense pas qu’il y ait un joueur dominant qui se démarque plus que les autres en Jeep Elite.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJ’ai appris de tous les coachs que j’ai rencontré. J’ai toujours écouté pour devenir le meilleur possible. Ils m’ont tous aidé à devenir le joueur que je suis aujourd’hui. Je les remercie et j’essaye d’apprendre de chaque coach.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nLa salle du Panathinaïkos à Athènes, celle du Fenerbahce... Aussi jouer à Belgrade contre le Partizan ou l’Etoile Rouge c’est toujours compliqué, encore plus pour des joueurs croates.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nPerdre en finale, c’est toujours dur à encaisser. Heureusement, je n’ai jamais eu de grave blessure donc je dirais plus les défaites en finales. Ce sont de très mauvais souvenirs. Après le match on se sent mal et même des mois et des mois après on y pense encore.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nGagner un trophée. C’est le meilleur sentiment du monde de gagner un titre. Surtout après une compétition difficile, de longue durée, c’est le meilleur sentiment et de loin ! Mais je n’ai pas un trophée dont je suis plus fier que les autres, ils ont tous une histoire et sont tous importants pour moi.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nOuh... C’est compliqué... J’ai joué avec la sélection croate donc j’ai pu évoluer avec Bojan Bogdanovic qui est l’un des meilleurs joueurs que la Croatie a connu. Il y a aussi Dario Saric. Il vient aussi de Sibenik, je l’apprécie énormément, c’est comme un frère pour moi. Quand j’avais 17 ou 18 ans j’ai pu jouer avec Matjaž Smodiš. Il a joué au CSKA pendant six ans et il a remporté trois titres d’Euroleague. Il avait beaucoup d’expérience et il était très bon.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nJe dirais Dirk Nowitzki et Pau Gasol. Ce n’est pas mal...\\n\\n« Je ne payerais pas pour voir un basketteur jouer... Peut-être dans le foot, Cristiano Ronaldo »\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nJ’espère qu’il ne s’est pas encore produit... J’ai déjà mis 30 points ou pas loin, mais j’attends toujours ce match au-dessus des autres... A l’époque j’avais marqué quelque chose comme 32 points dans le championnat croate en 17 minutes et pour environ 49 d’évaluation. C’était un record mais l’équipe n’était pas si bonne, mais si l’on regarde les points, c’est mon meilleur match.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLe jeu de Tim Duncan. Je l’ai toujours regardé et j’ai toujours été fan de ce qu’il faisait au poste bas, il était si dominant. J’ai toujours essayé de reproduire ce qu’il faisait. Malheureusement je n’ai jamais joué contre lui.\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nJe ne payerais pas pour voir un basketteur jouer... Peut-être dans le foot, Cristiano Ronaldo. J’espère pouvoir le faire cette saison surtout parce que je suis un supporter de la Juventus de Turin depuis 20 ans. Il joue pour mon club préféré donc c’est spécial.\\n\\nPourquoi le numéro 15 :\\n\\nC’est une drôle d’histoire. A l’époque avec la sélection croate U16 ou U18, nous ne pouvions pas choisir nos maillots donc le numéro 4 était le plus petit et le numéro 15 était le plus grand. Depuis, j’ai toujours pris le 15. Mais à l’époque de Sibenik, je prenais le 8 qui est mon numéro préféré. Quand je suis arrivé au Cedevita Zagreb, le 8 était déjà pris donc on m’a proposé le 21. J’ai dit « donnez-moi le 15 » et depuis je le garde.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nUn très bon ami à moi joue actuellement en Croatie, Fran Pipelic. Je suis le parrain de son fils donc je pense que je peux dire qu’il est mon meilleur ami dans le basket.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nSi on enlève Sibenik, je pense que Zagreb est une très bonne ville où vivre et où jouer au basket. Lyon n’est pas mal non plus. La saison dernière, j’étais à Strasbourg, c’était bien. Jusqu’à maintenant, c’est toujours été dans des endroits plaisants.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nMaintenant, je passe le plus clair de mon temps avec mon fils qui va bientôt avoir un an (sourire). Quand je suis en déplacement, je regarde des films, des séries et je joue aux jeux vidéo.\\n\\nVotre compagnon de chambre en déplacement :\\n\\nMantas Kalnietis.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\n(Rires) je ne sais pas... Peut-être appliquer le fait qu’il y ait bien un pas avant de faire marcher. Mais déjà, ça serait bien que tout le monde joue avec les mêmes règles dans le monde et qu’il n’y ait pas de différence selon le championnat dans lequel on joue. Je pense que ça serait bien plus facile.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nPeut-être que j’aurais fait du tennis.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe ne sais toujours pas... J’y pense tout le temps parce que je vieillis, mais je ne sais pas encore.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nC’était pour le club de ma ville natale, Sibenik. Plusieurs vétérans ont quitté le club donc le staff a dû mettre les jeunes, dont je faisais partie, sur le terrain. C’était la fin de la saison donc ils nous ont donné une chance de nous rendre compte et de goûter au basket professionnel. J’avais 16 ans, je pense que je m’en souviendrai toute ma vie. Première fois en pro sur un terrain de basket, dans ma ville natala, devant mes amis et ma famille, c’est un sentiment particulier.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nC’est difficile à dire. On essaye toujours d’apprendre au contact des anciens parce qu’ils ont toujours des tonnes de bons conseils à donner. Il suffit de les suivre, d’être à l’écoute pour devenir meilleur.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJ’ai toujours eu un faible pour Tim Duncan depuis 15 ou 20 ans maintenant. Et parce que je suis de Sibanik, comme lui, je dirais aussi Drazen Petrovic. C’était un joueur incroyable, il vient de la même ville que moi et il a eu une carrière incroyable. Ça a été une vraie tragédie quand il est décédé. Il n’est plus là, mais c’est toujours un modèle pour les gens de notre ville.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Inifnity Nine Media/FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Rick Pitino jette des fleurs à Zeljko Obradovic" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Rick Pitino du Panathinaikos n’est pas avare de compliments avec les acteurs du basket européen depuis son arrivée sur le continent. Après avoir déclaré que Nick Calathès est meilleur passeur que Magic Johnson and Co, il a complimenté son homologue serbe du Fenerbahçe, Zeljko Obradovic, 58 ans.\\n\\n« J’ai coaché contre les grands coaches de NBA, les grands coaches des colleges. Je le mets au même niveau. Que ce soit Pat Riley, Phil Jackson, Coach K (Mike Krzyzewski). Il est aussi bon qu’eux tous. Parce que tout ce que son équipe fait est fondamentalement sain. C’est ce qui fait le bon entraîneur », a affirmé Pitino devant la caméra de Euroleague TV.\\n\\nZeljko Obradovic est généralement considéré comme le meilleur coach de l’histoire du basket européen. Il a remporté neuf fois l’Euroleague avec cinq clubs différents et cinq coupe Saporta, quantité de trophées nationaux, et il a été champion du monde, d’Europe et médaillé d’argent aux Jeux Olympiques." }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Maccabi Tel Aviv renaît tel le Phénix" }, {"role": "assistant", "content":"Débarqué le 18 novembre dernier au Maccabi Tel Aviv après son éviction de l’Olympiakos en fin de saison précédente, Ioannis Sfairopoulos n’a pas mis longtemps à renverser une saison bien mal embarquée en Terre Sainte. Avec 9 victoires pour 6 défaites, et une série en cours de 6 victoires de rang à domicile, le Maccabi revient fort dans la course aux playoffs.\\n\\nDans le même temps, l’Efes Istanbul et Barcelone maintiennent leur positionnement dans le premier wagon de l’Euroleague. Par contre, après sa série positive de trois succès de rang, Podgorica vient de concéder un 2e revers de suite, cette fois contre le Khimki Moscou à domicile...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Maccabi sur le fil du rasoir !\\n\\nEn rentrant deux tirs à trois points, dont un dernier bien veinard à 14 secondes de la fin du match, Vassilis Spanoulis a de nouveau ajouté à son incroyable légende européenne. Mais la star de l’Olympiakos n’a pas pu empêcher le dernier panier, celui de la gagne, de son adversaire, Scottie Wilbekin qui rentre un petit tir en ligne de fond (65-64).\\n\\nAvec ce 6e succès de rang à domicile, le Maccabi reste dans la course aux playoffs. L’arrivée de Coach Sfairopoulos a fait le plus grand bien au Club Nation avec 9 victoires et 6 défaites depuis son arrivée à la mi-novembre dernier. Tarik Black (19 points, 7 rebonds) et Scottie Wilbekin (17 points) ont été les deux éléments moteur pour Tel Aviv.\\n\\n\\nAdam Hanga décisif\\n\\nDominateur face à l’Olympiakos la semaine passée, le Barça a pour le coup dû s’employer pour se défaire des vaillants hommes de main de Sarunas Jasikevicius (78-72). Porté par un trident Wolters – Milaknis – White, le Zalgiris a longtemps fait jeu égal avec les Catalans sur leur terrain mais Adam Hanga (14 points) a été décisif avec une interception et un layup à l’arrache.\\n\\nA +7 à une grosse minute de la fin, Barcelone ne sera plus rejoint, bien propulsé également par 12 points et 6 rebonds de Kevin Séraphin. De retour à l’action, Thomas Heurtel a lui apporté 10 points et 4 passes. Ante Tomic (11 points, 6 rebonds) et Pierre Oriola (10 points, 7 rebonds) ont également été solides pour contenir les assauts lituaniens. Léo Westermann termine avec 2 passes en un petit passage.\\n\\n\\nL’Efes se remet la tête à l’endroit\\n\\nAprès un début de match qui tourne au duel entre Krunoslav Simon et Kim Tillie, tous deux à 8 points en 4 minutes, l’Efes Istanbul a frappé en 3e quart avec un 15-2 qui a décroché pour de bon Gran Canaria (93-74). Simon termine à 25 points à 8/9 aux tirs, avec Shane Larkin qui place aussi son meilleur score de la saison à 18 points, plus 16 pour Vasilije Micic.\\n\\nDans ce cadre-là, ni Adrien Moerman (9 points, 6 rebonds) ni Rodrigue Beaubois (capot) n’ont vraiment eu à briller pour Efes. En face, Clevin Hannah (16 points, 5 passes, 6 balles perdues) et Marcus Eriksson (13 points) ont fait ce qu’ils ont pu mais Gran Canaria a craqué en 2e mi-temps (28 points seulement)... Après deux défaites de suite, l’Efes se remet la tête à l’endroit !\\n\\n\\nKhimki Moscou garde un petit espoir de playoffs\\n\\nLe petit prodige géorgien, Goga Bitadze, avait un beau défi à relever contre Jordan Mickey du Khimki Moscou. Et si le pivot de Podgorica a fait bonne figure avec 17 points, 7 rebonds et 2 contres, c’est bien Mickey qui emporte le duel avec 25 points en un peu plus de 19 minutes de jeu ! A 9/12 aux tirs et avec deux paniers plus la faute de Bitadze, Mickey a fait la différence dans un match serré de bout en bout (98-90).\\n\\nL’adresse de Charles Jenkins (17 points à 5/8 à trois points) a également été essentielle au moment où Podgorica prenait ses aises. Les coéquipiers d’Edwin Jackson (12 points) voient ainsi s’arrêter leur série de 3 victoires de suite à domicile tandis que le Khimki peut encore croire aux playoffs. Mais c’est un long shot !\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 12 points (5/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 balle perdue en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/10 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 10 points (3/8 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 9 points (4/6 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes en 33 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 8 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 12 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 3 points (1/3 à trois points), 1 rebond en 6 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 0 point (0/3 aux tirs), 1 passe, 3 balles perdues en 13 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : 0 point (0/1 à trois points), 2 passes en 11 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nPersonne ne veut se retrouver sur le passage de Kevin Séraphin qui arrive lancé pleine balle ! En l’occurrence, le pivot tricolore du Barça écrabouille le cuir dans le cercle face à deux joueurs du Zalgiris qui ont préféré s’écarter.\\n\\n\\n\\n\\n.@french_savage THROWS it down with authority 💥#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/1eOJYd9X4p\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 7, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 22e journée\\n\\nJeudi 7 février :\\nEfes Istanbul – Gran Canaria (93-74)\\nPodgorica – Khimki Moscou (90-98)\\nMaccabi Tel Aviv – Olympiakos (65-64)\\nBarcelone – Zalgiris Kaunas (78-72)\\n\\nVendredi 8 février :\\nCSKA Moscou – Real Madrid (18h)\\nFenerbahçe – Panathinaikos (18h45)\\nVitoria – Bayern Munich (20h30)\\nMilan – Darussafaka (20h45)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 23e journée\\n\\nJeudi 21 février :\\nCSKA Moscou – Gran Canaria (18h)\\nEfes Istanbul – Olympiakos (18h30)\\nMilan – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\nBarcelone – Vitoria (21h)\\n\\nVendredi 22 février :\\nDarussafaka – Fenerbahçe (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Podgorica (19h)\\nPanathinaikos – Khimki Moscou (20h)\\nReal Madrid – Bayern Munich (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Maccabi sur le fil du rasoir !\\n\\nEn rentrant deux tirs à trois points, dont un dernier bien veinard à 14 secondes de la fin du match, Vassilis Spanoulis a de nouveau ajouté à son incroyable légende européenne. Mais la star de l’Olympiakos n’a pas pu empêcher le dernier panier, celui de la gagne, de son adversaire, Scottie Wilbekin qui rentre un petit tir en ligne de fond (65-64).\\n\\nAvec ce 6e succès de rang à domicile, le Maccabi reste dans la course aux playoffs. L’arrivée de Coach Sfairopoulos a fait le plus grand\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo rétro – Milan vs. Salonique de 1986 : Quand l’Olimpia Milano a réalisé l’impossible" }, {"role": "assistant", "content":"Le 8 novembre 1986 à Milan s’est déroulé le match qui a changé l’histoire du basket-ball italien et de l’Olimpia Milano. La nuit où l’entraîneur du Tracer, l’Américain Dan Peterson, et son trio légendaire Mike D’Antoni, Dino Meneghin et Bob Mc Adoo ont reversé un écart de 31 points subi au match aller en allant s’imposer au PalaTrassurdi (83-49) contre l’Aris Salonique et ainsi se qualifier pour la phase finale de la Coupe des champions qu’ils remporteront à la fin de la saison.\\n\\nAujourd’hui, il est impossible de vraiment faire le distinguo entre légende et réalité, en particulier pour les plus jeunes qui n’ont pas vécu ces années et le basket de l’époque. Le scouting n’existait pas et on ne connaissait que très peu de choses sur les équipes étrangères et leurs joueurs. Il n’y avait pas de matchs télévisés en Italie et seuls les experts savaient qui était exactement Nikos Galis, la star de l’Aris et de l’équipe de Grèce.\\n\\nMilan, à cette époque, était une équipe solide, favorite pour le championnat italien, mais considérée comme vieillissante avec Meneghin et D’Antoni, tous les deux âgés de 36 ans, et McAdoo, plutôt en forme à 35 ans, parti finir sa carrière en Italie après 13 saisons en NBA couronnées de succès; il avait été trois fois meilleur marqueur de la ligue et son MVP en 1975. Parmi les plus jeunes joueurs, il y avait notamment Gallinari, mais Vittorio, le père de Danilo, qui naîtra deux ans plus tard.\\n\\n« Ce soir-là, je n’avais que 13 ans. J’avais une télévision noir et blanc dans la chambre à coucher, et j’ai suivi le match mais légèrement en différé, je pense de quelques minutes. En bref, le match était à la télévision, ce qui était incroyable à l’époque ! » raconte un journaliste de Superbasket.it.\\n\\nAu micro, il y avait le légendaire Tullio Lauro, un personnage très populaire dans le monde de la balle orange en Italie, qui a raconté l’exploit des Lombards:\\n\\n« Milan défend du feu de Dieu et à 44-30 à la mi-temps, on commence à y croire. A la 35ème minute Dino Meneghin met un panier qui porte le score à 76-44. Pour la première fois, Milan a l’avantage sur les deux matchs et est sur la route de son authentique exploit. Cinq minutes plus tard, le match se termine et Milan gagne par 34 points d’écart (83-49), et se qualifient pour la suite de la compétition« .\\n\\nLe lendemain matin, la capitale lombarde se réveillait dans l’indifférence, sans savoir ce qui était arrivé au PalaTrussardi. Ce jour-là, le basket-ball italien, qui commençait à faire son entrée à la télévision, transforma Olimpia Milan en mythe du championnat italien -alors qu’avant les Milanais avaient déjà remporté 21 championnats et une coupe des champions en 1966- en devenant une sorte de 28ème franchise NBA.\\n\\nCe même journaliste raconte l’impact de cette victoire:\\n\\n» J’ai commencé à jouer au basket dans ces mois-là, et cinq ans plus tard, j’ai entamé ma modeste carrière en tant que journaliste de basket-ball. Mon premier rédacteur en chef, chez Giganti del Basket, était le légendaire Tullio Lauro, que je remercierai toujours, et qui nous a malheureusement quitté trop tôt. Le reste appartient à l’histoire et à la vie et aujourd’hui, je suis honoré d’être membre de Superbasket. Mon rédacteur en chef est Dan Peterson, l’entraîneur de cette nuit légendaire et de ce légendaire Milan. La boucle est bouclée. »" }, {"role": "user", "content":"Limoges : Sekou Doumbouya sera de retour samedi face à Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Indisponible depuis fin décembre, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) sera en tenue samedi face à Strasbourg.\\n\\nFin décembre, l’ancien joueur de Poitiers s’était blessé au pouce lors d’un entraînement et avait été opéré d’un problème ligamentaire dans la foulée. Après de longues semaines de convalescence, l’ailier limougeaud va pouvoir faire son retour à la compétition, indique le club. Cette semaine, l’ancien pensionnaire de l’INSEP a d’ailleurs commencé à réintégrer le groupe en effectuant le déplacement à Valence avec le CSP pour la dernière journée du Top 16 d’Eurocup.\\n\\nCette saison, Sekou Doumbouya compile en moyenne 5,2 points et 2,6 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Jeep Élite, et 6,9 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Jordi Bertomeu (Président de l’EuroLeague) : «Nous ne changerons pas le format dans les 3-4 prochaines années»" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’une conférence de presse organisée ce vendredi à Pogdorica, le PDG de l’EuroLeague Jordi Bertomeu a abordé différents sujets, comme le format actuel de l’EuroLeague, l’EuroCup et le conflit avec la FIBA qui dure depuis bientôt quatre ans.\\n\\nSur la question d’ajouter de nouvelles équipes venant d’autres ligues comme la ligue Adriatique à l’EuroLeague, Jordi Bertomeu a répondu:\\n\\n« Nous n’allons faire aucun changement dans les trois où quatre prochaines années. Si la porte entre l’EuroCup et l’EuroLeague est ouverte, nous regarderons les options pour intégrer plus d’équipes pour ce championnat à l’avenir, c’est une région très importante pour nous. L’EuroLeague va rester à 18 équipes dans les 5 prochaines années. Je pense que c’est le bon compromis entre la qualité de jeu et la diversité des équipes dans l’Europe entière. Et ces 18 clubs jouent également dans leurs championnats respectifs, ce qui est important pour nous. L’addition du Bayern et de l’ASVEL pour la saison prochaine va nous aider à gagner des parts sur les deux gros marchés que sont la France et l’Allemagne. »\\n\\nPar rapport à une éventuelle expansion au Royaume-Uni, il a précisé:\\n\\n« Ce n’est pas facile, c’est un vrai challenge qui demande beaucoup de boulot. On ne peut pas comparer avec l’expérience des London Towers, qui a joué l’EuroLeague en 2001. »\\n\\nEt au sujet du conflit avec la FIBA :\\n\\n« A l’été 2015, la FIBA a présenté à nos clubs une offre avec une banque d’investissement et ces derniers l’ont rejeté parce que les clubs sont propriétaires de l’EuroLeague. Je ne sais pas ce que la FIBA va faire dans le futur, elle entre dans une nouvelle ère avec le triste décès de Patrick Baumann (le secrétaire général de la FIBA en octobre dernier). Je pense que notre relation va être meilleure à l’avenir. Nous avons deux visions différentes du basket, que ce soit dans les structures et l’organisation, mais je pense qu’on peut avancer main dans la main dans le futur ».\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Champions League : Amath M’Baye élu MVP de la semaine" }, {"role": "assistant", "content":"C’est en beauté que Amath M’Baye (2,06m, 29 ans) a conclu la quatorzième et dernière journée de saison régulière de Champions League, en étant élu MVP de la semaine.\\n\\nDans la victoire de Bologne face au Promitheas Patras (98-91), l’international français a été omniprésent en compilant 20 points (6/13 aux tirs donc 4/9 à trois points) et 10 rebonds pour 27 d’évaluation. Cette saison en Champions League, l’ancien joueur de Milan tourne en moyenne à 11,5 points et 3,9 rebonds pour une évaluation de 12,7.\\n\\nQualifié pour les huitièmes de finale de BCL, Bologne affrontera le champion de France en titre Le Mans. Les matchs se dérouleront en deux tours (5/6 mars et 12/13 mars) sur un format de matchs aller-retour.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Italie : Ike Udanoh (Cantu) capitaine et coach lors du prochain match de Serie A ?" }, {"role": "assistant", "content":"Faisant face à des problèmes financiers depuis plusieurs mois, Cantu est sur le point de se retrouver dans une situation inédite. Le club pourrait voir son capitaine, Ike Udanoh (2,03m, 29 ans), endosser également le rôle de coach principal de l’équipe lors du prochain match de championnat face à Reggio Emilia, annonce Sportando.\\n\\nSuite au départ de son coach Evgeny Pashutin, la formation transalpine a tenté de modifier le contrat de son assistant Nicola Brienza pour qu’il devienne entraîneur principal de l’équipe. Seulement, Cantu est toujours interdit de recrutement. La Lega, équivalent de la LNB, a donc refusé la demande du club, alors que la FIP, équivalent de la FFBB, avait autorisé cette manoeuvre.\\n\\nPar conséquent, c’est Ike Udanoh qui pourrait être entraîneur principal de l’équipe en raison de son statut de capitaine si aucune solution n’est trouvée d’ici samedi 20 heures.\\n\\nVoici le genre de situation que l’on ne voit que le dimanche matin au niveau amateur...\\n\\nPhoto : Pallacanestro Cantu" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : l’ancien palois Kyan Anderson quitte le Kosovo et retourne à Bayreuth" }, {"role": "assistant", "content":"A l’Elan Béarnais lors de l’exercice 2017/18, Kyan Anderson (1,80m, 26 ans) va connaitre son deuxième club de la saison en quittant le club kosovar de Pristina pour Bayreuth, en Allemagne.\\n\\nSur son site, la formation allemande annonce l’arrivée de l’ancien pensionnaire de l’université de TCU pour le reste de la saison. C’est en fait un retour au club pour celui qui a déjà porté le maillot de Bayreuth en 2016/17, la saison avant son arrivée en France. Actuellement, Bayreuth pointe à la septième place du classement de Bundesliga avec neuf victoires et huit défaites.\\n\\nCette saison, Kyan Anderson compilait en moyenne 11,9 points, 3,4 rebonds et 5,9 passes décisives entre le championnat kosovar et la FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Champions League : les adversaires de Nanterre et Le Mans en huitièmes de finale sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"Suite à la quatorzième et dernière journée de la saison régulière de Champions League, plus que deux clubs français sur quatre sont encore en course et disputeront les huitièmes de finale. Il s’agit de Nanterre et Le Mans, tandis que Dijon et Strasbourg ont été éliminés.\\n\\nCe vendredi à midi au siège de la FIBA, en Suisse, s’effectuait le tirage au sort des huitièmes de finale de la BCL. Nanterre, qui était dans le pot 3, a été tiré au sort pour affronter le Besiktas, qui était dans le pot 2. Dans le groupe D, celui de Strasbourg, le club turc a terminé deuxième derrière Bologne avec un bilan de neuf victoires pour quatre défaites. Dans ses rangs, la formation de Dusko Ivanovic compte l’ancien NBAer Phil Pressey, l’ancien gravelinois Kyle Gibson ou encore l’ancien levalloisien Jason Rich. Dans le championnat turc, le Besiktas pointe à la septième place du classement (8v-8d).\\n\\nPour Le Mans, champion de France en titre, il faudra se défaire de la Virtus Bologne en huitième de finale afin de pouvoir atteindre les quarts de finale. Premier du groupe D, le club italien n’a perdu que quatre matchs en Champions League cette saison. De son côté, le MSB s’est qualifié lors de la dernière journée de compétition dans un match a très gros suspens face à Anwil. En Italie, Bologne figure à la sixième place de Série A (10v-8d).\\n\\nLes matchs se dérouleront en deux tours (5/6 mars et 12/13 mars) suivant un format de match aller-retour.\\n\\nNanterre et Le Mans pourraient ensuite s’affronter en quart de finale, à condition de remporter leur huitième de finale respectif.\\n\\n\\nToutes les rencontres des huitièmes de finale de Champions League :\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Afrique : Une nouvelle compétition pour les clubs avec l’appui de la NBA" }, {"role": "assistant", "content":"L’ AfroLeague, c’est le nouveau nom de la nouvelle coupe d’Afrique des clubs champions de basket-ball qui débute au Caire ce vendredi 8 février.\\n\\nDe nombreux changements sont à prévoir pour cette nouvelle compétition. A l’issue de qualifications régionales, les 16 équipes restantes vont se disperser en quatre groupes de quatre, qui auront pour sites Le Caire (du 8 au 10 février), Antananarivo (du 15 au 17 février) Salé (du 1 au 3 mars) et Cotonou (du 8 au 10 mars). A l’issue de ces quatre poules les deux premiers disputeront les quarts de finale avec des rencontres aller-retour. Les vainqueurs de ces confrontations prendront part, eux, au Final Four prévu début mai 2019 en Angola.\\n\\n« On veut améliorer la qualité de nos compétitions de clubs champions », explique le Secrétaire général de la confédération africaine de basket-ball (FIBA Afrique), Alphonse Bilé sur RFI via Yahoo. « Pour que les clubs jouent davantage, pour leur amener un peu plus de confort financier, et pour qu’ils aient davantage de visibilité, nous avons cherché des partenaires et nous avons travaillé avec les équipes. L’idée est, d’une part, de permettre aux clubs de jouer ce tournoi sur une durée plus longue et, d’autre part, que les équipes puissent jouer dans leurs propres pays ».\\n\\nLa NBA dans le processus\\n\\n« Nous menons des discussions presque finalisées avec la NBA », explique Alphonse Bilé. « On changerait complètement l’Afroleague l’année prochaine, pour qu’elle devienne la compétition phare du basket-ball sur le continent africain. Nous souhaitons que la NBA devienne partenaire de cette compétition et qu’elle nous aide à organiser l’Afroleague. Elle resterait une compétition de clubs champions, mais avec beaucoup plus de rigueur au niveau de l’organisation, comme sait le faire la NBA. Ce serait un championnat d’élite. La NBA est partante, pratiquement. Ça nous permettrait, d’un point de vue visibilité et d’un point de vue ressources, d’aider le basket africain. »\\n\\nOn aura plus de renseignements à ce sujet à la fin du NBA All-Star Weekend le 17 février. Pour le moment, il est envisagé que la FIBA Afrique gère les éliminatoires et que la NBA s’occupe de la phase finale de l’AfroLeague." }, {"role": "user", "content":"Interview (2) Céline Dumerc (Basket Landes): «Pourquoi ne pas continuer encore un peu?»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est comme une discussion au coin du feu avec Céline Dumerc, ancienne meneuse de jeu de l’équipe de France, idole des Jeux Olympiques de Londres -elle compte 153 000 followers sur twitter et 17 900 abonnés sur Instagram, reconvertie en deuxième arrière cette saison à Basket Landes et qui à 36 ans est encore la joueuse la plus complète de la Ligue Féminine.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’entretien\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue pensez-vous de l’évolution du niveau de la Ligue Féminine ces dernières années ?\\n\\nStructurellement, c’est de mieux en mieux car je pense que chaque club a beaucoup évolué, avec une certaine stabilité qui permet aux joueuses d’accomplir leurs missions le mieux possible. Le débat c’est toujours « c’était mieux avant ? » Non, ce n’était pas mieux avant. Le niveau a beaucoup évolué car il y a de meilleures joueuses, il y en a plus. A une époque, il y avait en gros deux matches dans l’année, Bourges-Valenciennes. Ces deux équipes gagnaient de 20 points contre les autres. C’était moins homogène, moins kiffant. Je préfère jouer des matches comme Mondeville cette année. Chaque match c’est la croix et la bannière. Ses propres résultats sont importants bien sûr mais il faut aussi regarder les résultats des autres matches car tout le monde peut battre tout le monde. C’est génial. Ça tire les gens vers le haut. Peut-être qu’il y a un regroupement au milieu...\\n\\nBourges est quand même deuxième de son groupe d’Euroleague ?\\n\\nTout à fait. Il y a des signes qui montrent que l’on est loin d’être des quiches. Ça fait des années que l’équipe de France a des résultats au niveau européen, des médailles. Ça veut dire que le championnat est super relevé. Il y a une vraie évolution dans le bon sens.\\n\\nQu’en pensent les joueuses étrangères qui ont fait plusieurs ligues auparavant ?\\n\\nElles disent souvent que le championnat français est très relevé. Quand j’étais en Russie, il y avait Ekaterinbourg, le Spartak Moscou et Orenbourg. Contre le reste on gagnait de 30 points en jouant 10 minutes chacune. Ce que j’aime dans notre ligue c’est que c’est d’un très bon niveau avec beaucoup de Françaises même s’il y a quatre étrangères. C’est important pour le futur de l’équipe de France. Pourquoi l’équipe nationale russe s’est cassée la gueule ? Ils ont appelé toutes les étrangères et il n’y avait plus qu’elles qui jouaient. Et quand elles arrivaient dans les compétition internationales avec l’équipe nationale, les Russes n’avaient pas joué de l’année et leur niveau a baissé. En Turquie, pareil, il y a de bonnes équipes mais ils sont en train de tuer l’équipe nationale car les Turques ne jouent plus. C’est compliqué d’avoir le niveau si tu ne joues que 5’ lorsqu’il y a +20. Nous, en France, c’est important de continuer à avoir cet état d’esprit, cette identité, en se disant qu’il y a un fief de joueuses françaises qui doivent jouer. C’est génial d’avoir eu le retour de Endy (Miyem), Helena (Ciak), ça prouve que le niveau de la Ligue Féminine est important.\\n\\nDans le championnat russe, n’y avait-il pas une règle qui imposait un quota de joueuses russes ?\\n\\nIl y avait une limite d’étrangères, six je crois. Depuis que je suis partie, pour la Coupe de Russie, ce ne sont que les Russes qui jouent. Tant mieux pour elles.\\n\\nLes médailles obtenues chaque année en jeune atteste d’une production très importante pour alimenter les clubs de la Ligue Féminine ?\\n\\nC’est ça qui est génial mais il y a le problème de celles qui veulent aller aux Etats-Unis. Pour les joueuses qui n’aspirent pas au très haut niveau, à l’équipe de France séniors, partir aux Etats-Unis, je comprends. Ça peut être un rêve, c’est une expérience. Mais les joueuses qui ont un profil très intéressant dans le futur, pour moi c’est une perte de temps. Elle ne m’en voudra pas mais j’ai toujours pensé que Diandra (Tchatchouang) a fait une bêtise de partir aux Etats-Unis alors qu’elle aurait pu tout de suite intégrer l’équipe de Bourges avec Pierre Vincent qui allait la mettre dans le jeu direct. Elle est partie aux Etats-Unis, elle a joué poste 4, elle a perdu du temps.\\n\\nLe niveau est plus fort en Euroleague qu’en NCAA...\\n\\nTout simplement et les joueuses à très fort potentiel sont assez grandes, athlétiques, ils vont les mettre à l’intérieur aux Etats-Unis alors qu’elles seront ailières dans le futur. Ils les utilisent comme ils ont envie de les utiliser mais pas du tout dans le développement de la joueuse comme nous on pourrait faire à l’INSEP. Certes c’est bien de gagner les matches le week-end mais ce qu’il faut c’est le développement à long terme pour lorsque la joueuse sera professionnelle. Le fait que Marine Fauthoux soit déjà en ligue féminine, qu’elle ait un vrai temps de jeu, c’est un vrai plus. C’est une vraie opportunité pour elle car elle se confronte au niveau adulte, en coupe d’Europe. C’est du temps de gagné. Malheureusement il y a une sélection naturelle qui se fait avec les blessures qui coupent parfois un peu les trajectoires des jeunes, mais si le corps tient, il peut y avoir de très belles joueuses très vite.\\n\\nL’impression, c’est qu’il y a de plus en plus de joueuses qui sont blessées sur de longues durées ?\\n\\nMalheureusement, oui, il y en a beaucoup. Plus qu’avant ? Statistiquement, je ne m’en rends pas compte. L’intensité est plus forte, il y a plus d’engagement, plus d’adversité en face avec des joueuses plus solides. Tu es obligée de te renforcer. La génétique fait que certaines personnes ne sont pas prêtes physiquement à encaisser la charge de travail, l’intensité des matches et des entraînements. Du coup ça peut être malheureusement un vrai frein.\\n\\n« Ce qui m’éclate c’est plutôt le nombre de victoires et de défaites. Et je me rends compte que malgré ces très bons chiffres, mon équipe ne gagne pas tous les matches »\\n\\nVous êtes en fin de contrat en fin de cette saison avec Basket Landes. Une reconduction est-elle envisagée ?\\n\\nOui, forcément, j’y pense. Je m’étais donnée comme deadline la première partie de saison pour savoir comment j’allais encaisser, après mes grandes vacances, le retour sur le terrain, l’enchaînement. Vu que physiquement je me sens bien, je me dis « pourquoi pas continuer encore un peu ? » Rien n’est fait, établi, signé mais c’est sûr que l’envie d’arrêter n’est pas encore clair dans ma tête.\\n\\nC’est rare que l’on arrête une carrière quand ses stats sont meilleures que l’année d’avant ?\\n\\nJe ne suis pas dans la normalité (sourire). Après, tu te dis « ne fais-je pas l’année de trop ? » On peut tourner le problème dans tous les sens. Ce que je sais, c’est que je suis aussi passionnée, j’ai autant envie qu’en fin de saison dernière, alors pourquoi arrêter ? J’aime ça, je me sens bien. Ce n’est pas juste une date de naissance qui me fera arrêter. Aujourd’hui, tous les paramètres sont au vert.\\n\\nVous êtes la première de la Ligue Féminine à l’évaluation...\\n\\nLà, je me pense que j’ai bien chuté ! (rires) (NDLR : en fait, avec 18,7, Céline a conservé sa place de numéro 1 devant l’Américaine du Hainaut Ashley Bruner).\\n\\nDéjà, une shooting guard c’est rare et en plus c’est normalement réservé aux gens de 30-32 ans maximum ?\\n\\nLes chiffres qui permettent l’évaluation me sont favorables. Au niveau rebonds, passes décisives, c’est moi qui créé. Soit je fais un tir, soit je fais une passe. Au final, j’ai toujours une chance sur deux d’avoir un point. J’ai de l’énergie pour aller au rebond, je fais l’effort d’y aller. Voilà, ça fait un point de plus. Mon re-positionnement à ce poste de jeu-là fait que je suis un peu plus présente sur tous les chiffres. Mais encore une fois, ce n’est pas ce qui m’éclate. Ce qui m’éclate c’est plutôt le nombre de victoires et de défaites. Et je me rends compte que malgré ces très bons chiffres, mon équipe ne gagne pas tous les matches.\\n\\nÇa a été une déception d’être éliminé rapidement de l’Eurocup ?\\n\\nOn n’a pas été éliminé tout de suite mais en fait ça aurait très bien pu être le cas. On a fini troisième de la première poule et on a été sauvé en faisant partie des meilleurs troisièmes. Si on ne s’était pas qualifié, j’aurais vraiment eu les boules. Après, on est tombé face à Venise qui pour moi normalement n’était pas aussi bien que l’année dernière mais qui a foutu 20 points à Montpellier (NDLR : au retour le BLMA s’est qualifié en gagnant le match 83-60). Donc, je me dis que l’on a fait notre bonhomme de chemin. Le Venise d’aujourd’hui a énormément évolué son niveau de jeu depuis les qualifs et tu tombes contre plus fort. Ce que je n’aime pas, c’est de tomber sur une équipe française dans ton groupe. C’est nul. Lyon-Montpellier et Tarbes-Basket Landes. Bon, c’est comme ça. Il faut toujours qu’il y ait une équipe que l’on se tape dix fois dans l’année et cette fois c’est Tarbes ! C’est bien, ça fait des économies au niveau de l’hôtel et des déplacements mais ce n’est pas très révélateur car il y a des poules qui n’étaient pas très homogènes alors que nous le niveau était pas mal. Ce n’était pas un objectif primordial pour le club même si je préfère jouer des matches que faire des entraînements. Avoir deux matches par semaine c’est sympa et aussi pour le club vu que l’on est très soutenu et ça fait des recettes en plus. Mais autant le match aller contre Venise on peut se mordre les doigts, autant le match retour il n’y a pas photo.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BlxoOffFX7y/\\n\\n« Parfois, on me dit que je ne fais rien pour les réseaux mais je n’ai pas envie d’exposer ma vie »\\n\\nQuand vous vous déplacez avec l’équipe, vous êtes toujours l’objet de sollicitations comme après les Jeux de Londres ?\\n\\nUn petit peu mais beaucoup moins. Généralement, j’ai les journalistes qui m’appellent pour préparer les matches lors de notre venue. Je réponds généralement favorablement et puis là, pour celui de Mondeville, j’en ai eu marre, je me suis dit qu’il pouvait appeler d’autres personnes, il n’y a pas que moi et du coup... on a perdu ! Comme quoi il faudrait que je réponde à chaque fois (sourire). Il y a des endroits... A Landerneau, le fait de ne jamais avoir été en Bretagne, il y a eu pas mal de gens. C’est rigolo parce que maintenant ce sont les mamans ou les grands-mères qui me font signer. Ce ne sont plus les enfants malheureusement ! (rires)\\n\\nÇa fait déjà six ans et demi...\\n\\nOui. Les petites gamines de 17 ans ne m’ont jamais vu jouer ! Il faut que je m’adapte à ce genre de réflexion, « c’est une photo pour ma maman ». Ça m’a fait mourir de rire.\\n\\nOn vous a vu faire un mini spot contre les bouteilles en plastique. Vous faites d’autres actions de ce genre ? Votre image est-elle encore utilisée ?\\n\\nMoins que lorsque j’étais en équipe de France et sous les feux des projecteurs mais un petit peu encore. Les Jeux ça m’a ancrée dans un certain statut au niveau des sportifs. Après, quand on ne passe plus à la télé, tout doucement on vous oublie. C’est normal. Mais j’ai encore pas mal de sollicitations de ce genre-là.\\n\\nPour Elle.fr vous faites partie des 40 sportives qui ont marqué l’Histoire du sport ?\\n\\nJe n’ai pas vu ça. Ça ne change rien mais forcément c’est plaisant. Quand tu arrives à la fin de ta carrière, que ta vie va changer, qu’on t’oubliera, c’est cool de te dire qu’à un moment il y a eu ça. C’est plutôt flatteur mais je ne m’accroche pas à ça. Parfois, on me dit que je ne fais rien pour les réseaux mais je n’ai pas envie d’exposer ma vie. Les gens aiment ça, on est populaire parce qu’on est accessible. Je l’ai été après les Jeux parce que à la limite on m’a forcé et il y avait beaucoup trop de demandes pour refuser. Aujourd’hui, je continue mon petit bonhomme de chemin sans forcément faire attention à ça.\\n\\nLe nombre de followers sur twitter est toujours en augmentation ?\\n\\nJe pense que ça stagne. Les gens qui sont abonnés se désabonnement rarement. Je regarde de temps en temps mais je suis aussi dans un mode où les réseaux sociaux m’énervent. Tu deviens complètement accro à ça. Je me bride par rapport à ça, je m’interdit de prendre mon téléphone. Il y a tellement de choses à faire dans le présent sans ce putain de téléphone. Donc je me restreint même si je mets de temps en temps des petites choses quand je le sens mais ce n’est pas comme ça que j’ai envie de « vivre ». J’ai mis la bouteille sur Instagram car ça me tient à cœur et je l’ai partagé. Mais il y a beaucoup de choses qui me tiennent à cœur et que je ne partage qu’avec mes proches. Je sais qu’en faisant ça je dois fermer certaines portes et certaines personnes me disent que je devrais utiliser ça. C’est vrai, mais on n’a qu’une vie et j’ai envie de la vivre comme je la vis.\\n\\nAvez-vous une idée de ce que vous allez faire après votre carrière de joueuse ? Une carrière à la Yannick Souvré, qui est Directrice Générale de la Ligue de Volley, ou à la Audrey Sauret, qui est Manager Général d’un club de Pro B (Nantes Basket Hermine) ou Laure Savasta, qui est coach d’une équipe masculine (Tarbes-Lourdes), ça vous plairait ?\\n\\nCoach, pas du tout. Après sincèrement, je ne sais pas. J’y pense, je n’y pense plus, j’y pense, je n’y pense plus. Je suis quelqu’un d’assez pragmatique qui vit dans l’instant présent. J’ai beaucoup de mal à me projeter. Tant que je serai engagé en tant que joueuse, je pense que j’aurai du mal à complètement planifier mon futur. J’ai des pistes, des discussions, je mets en place certaines choses mais honnêtement rien d’établi. Je veux me laisser le temps de réfléchir. Depuis que je suis rentrée dans la vie active, je suis à fond dedans. Pourquoi pas une fois que je mettrai un arrêt à ma carrière ne pas prendre le temps de vraiment savoir où je veux vraiment orienter ma vie ? Il n’y a rien de précis et en même temps ça me va très bien !\\n\\nVous faites des interventions à la télévision comme consultante, ça vous plaît ?\\n\\nJ’ai une opportunité avec l’équipe de France pour les matches de qualif, dès que je peux, j’accepte. Ça me plaît. On est au plus près de l’action et de toutes façons je regarde les matches chez moi et autant dire que je les commente aussi ! Si j’ai des opportunités c’est peut-être des choses que je serai amené à faire.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue pensez-vous de l’évolution du niveau de la Ligue Féminine ces dernières années ?\\n\\nStructurellement, c’est de mieux en mieux car je pense que chaque club a beaucoup évolué, avec une certaine stabilité qui permet aux joueuses d’accomplir leurs missions le mieux possible. Le débat c’est toujours « c’était mieux avant ? » Non, ce n’était pas mieux avant. Le niveau a beaucoup évolué car il y a de meilleures joueuses, il y en a plus. A une époque, il y avait en gros deux matches dans l’année, Bourges-Valenciennes. Ces deux équipes gagnaient de 20 points contre les autres. C’était moins homogène, moins kiffant. Je préfère jouer des matches comme Mondeville cette année. Chaque match c’est la croix et la bannière. Ses propres résultats sont importants bien sûr mais il faut aussi regarder les résultats des autres matches car tout le monde peut battre tout le monde. C’est génial. Ça tire les gens vers le haut. Peut-être qu’il y a un regroupement au milieu...\\n\\nBourges est quand même deuxième de son groupe d’Euroleague ?\\n\\nTout à fait. Il y a des signes qui montrent que l’on est loin d’être des quiches. Ça fait des années que l’équipe de France a des résultats au niveau européen, des médailles. Ça veut dire que le championnat est super relevé. Il y a une vraie évolution dans le bon sens.\\n\\nQu’en pensent les joueuses étrangères qui ont fait plusieurs ligues auparavant ?\\n\\nElles disent souvent que le championnat français est très relevé. Quand j’étais en Russie, il y avait Ekaterinbourg, le Spartak Moscou et Orenbourg. Contre le reste on gagnait de 30 points en jouant 10 minutes chacune. Ce que j’aime dans notre ligue c’est que c’est d’un très bon niveau avec beaucoup de Françaises même s’il y a quatre étrangères. C’est important pour le futur de l’équipe de France. Pourquoi l’équipe nationale russe s’est cassée la gueule ? Ils ont appelé toutes les étrangères et il n’y avait plus qu’elles qui jouaient. Et quand elles arrivaient dans les compétition internationales avec l’équipe nationale, les Russes n’avaient pas joué de l’année et leur niveau a baissé. En Turquie, pareil, il y a de bonnes équipes mais ils sont en train de tuer l’équipe nationale car les Turques ne jouent plus. C’est compliqué d’avoir le niveau si tu ne joues que 5’ lorsqu’il y a +20. Nous, en France, c’est important de continuer à avoir cet état d’esprit, cette identité, en se disant qu’il y a un fief de joueuses françaises qui doivent jouer. C’est génial d’avoir eu le retour de Endy (Miyem), Helena (Ciak), ça prouve que le niveau de la Ligue Féminine est important.\\n\\nDans le championnat russe, n’y avait-il pas une règle qui imposait un quota de joueuses russes ?\\n\\nIl y avait une limite d’étrangères, six je crois. Depuis que je suis partie, pour la Coupe de Russie, ce ne sont que les Russes qui jouent. 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Renseignements et inscriptions au 06 14 11 62 25.\\n\\nLes intervenants :\\n\\n– George Eddy (Journaliste Canal +)\\n\\n– Anthony Stanford (Assistant coach Chalon-Reims)\\n\\n– Medhy Mary (Ex coach Espoirs CSP, Villeurbanne désormais à Neuchatel)\\n\\n– Frank Khun (Préparateur physique de l’équipe de France)\\n\\n– Virginie Bissuel (Psychothérapeute)\\n\\n– Jean-Philippe Heuzé (Enseignant-chercheur au Staps de Grenoble)\\n\\n– Cédric Civade (Professeurs d’anglais et coach U17)\\n\\nPhoto: Frank Khun (Limoges CSP)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications coupe du monde : La Lituanie avec Adas Juskevicius (Nanterre)" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà qualifiée pour la pour la coupe du monde 2019, la Lituanie a encore deux matchs à jouer contre les Pays-Bas (le 22 février) et l’Italie (le 25 février). 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Il nous reste donc pas mal de tricolores encore engagés dans la compétition, et un duel sympa à venir entre Andrew Albicy le vétéran et Théo Maledon le rookie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 5ème journée\\n\\nDragan Apic (18 points à 7/8 aux tirs, 6 rebonds)\\n\\nSigné en cours de Top 16 par le Lokomotiv Krasnodar, Dragan Apic a déjà apporté de sacrés dividendes. Pour sa 3e apparition avec sa nouvelle équipe, le jeune intérieur serbe de 23 ans a réussi un match quasi-parfait à 18 points à 7/8 aux tirs plus 6 rebonds, 3 passes et 3 interceptions pour 30 d’évaluation (des records individuels de partout évidemment).\\n\\nAvec sa mimine gauche, il a été le tortionnaire de Francfort, scorant 15 de ses 18 points dans une 2e mi-temps à sens unique pour le Loko lancé pleine balle. Ancien de l’Etoile Rouge et du FMP Belgrade, Apic commence donc sa carrière à l’internationale sur de bonnes bases.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nAndrew Albicy (10 points à 4/6 aux tirs, 8 passes)\\n\\nSes statistiques sur ce dernier match ne font évidemment pas se soulever les foules mais, blessé en cours de route, Andrew Albicy a parfaitement su boucler son Top 16 avec Andorre. Et c’est donc sur l’ensemble de son oeuvre qu’on récompense le meneur tricolore\\n\\nAvec 10 points et 8 passes dans la défaite contre Kazan, Albicy termine le Top 16 avec des moyennes de 15 points et 6 passes qui auraient encore pu être meilleures s’il avait pu garder son rythme initial (22 points, 8 passes puis 21 points, 4 passes lors de ses 2 premiers matchs)... Il est 2e à l’évaluation à 21 pour quelques dixièmes derrière le pivot de Vilnius, Artsiom Parakhouski.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n109-48\\n\\nCapot après 5 journées, Francfort a encaissé un dernier revers lors de la 6e journée et le Lokomotiv Krasnodar n’y est pas allé de main morte (avec le retour de Moustapha Fall). Avec une évaluation finale de 109 à 48, soit un +61 dans les gencives, Francfort termine donc son Top 16 avec un bilan dans le rouge intégral : 0 victoire pour 6 défaites. Les Skyliners se consoleront en se disant qu’ils ne sont pas les seuls dans le cas, le Cedevita Zagreb finissant aussi à 0-6 !\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nLimoges s’incline une dernière fois\\n\\nAu contact en fin de 3e quart derrière un très bon Axel Bouteille (16 points, 6 rebonds), le CSP Limoges a finalement décroché en dernier quart sur le parquet de Valence. Matt Thomas et le vétéran Fernando San Emeterio ont cumulé 11 des 15 points d’un 15-0 fatal aux Limougeauds. Le CSP s’incline donc pour la 5e fois en 6 journées de Top 16 (91-84).\\n\\nAvec 8 points et 4 rebonds de Louis Labeyrie (violemment bâché par Miles), Valence reste la seule équipe invaincue dans ce Top 16. Et de la sorte, pourra profiter de l’avantage du terrain pendant tous les playoffs. Avec 20 balles perdues dont 5 pour le seul Samardo Samuels, Limoges a été très gênée par la défense espagnole.\\n\\nL’Asvel encaisse une 1ère défaite\\n\\nDéjà qualifiée, l’Asvel a concédé sa première défaite du Top 16 contre Ulm (86-68). Malgré 16 points et 7 passes de Mantas Kalnietis et 10 points par tête pour Livio Jean-Charles et Alexis Ajinça, Villeurbanne n’a pas fait le poids contre une équipe allemande remontée. Le 45-29 dans la bataille du rebond donne un bon aperçu de la combativité d’Ulm.\\n\\nA l’inverse, l’Asvel a été un peu trop mollassonne, surprise par un Javonte Green (17 points) bondissant au alley oop et au dunk à une main. Ismet Akpinar (17 points, 7 passes, 5 rebonds) a pour le coup été le bourreau de l’Asvel avec un match des plus complets et une influence de tous les instants sur ce match. A 7/25 à trois points, Villeurbanne ne pouvait pas espérer grand-chose en déplacement...\\n\\nMonaco coule à pic !\\n\\nDans la fournaise de la capitale balte à Vilnius, Monaco a subi la loi du Rytas (90-68). Elu MVP la semaine passée, Artsiom Parakhouski a encore délivré avec un double double de patron à 18 points et 11 rebonds. DJ Seeley (21 points) et Rok Stipcevic (11 points) se sont occupés d’équilibrer le scoring de Vilnius qui a mené de bout en bout.\\n\\nRelégué à 20 longueurs en dernier quart, Monaco n’a jamais vraiment pu rivaliser malgré de bons matchs de Sergii Gladyr (16 points) et Elmedin Kikanovic (17 points). Sans Paul Lacombe, la Roca Team a manqué de cohésion en attaque et quitte l’EuroCup sur un Top 16 au goût amer...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 16 points (6/9 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 32 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 13 points (4/5 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 interception, 1 contre, 3 balles perdues en 21 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (4/6 aux tirs), 8 passes, 1 interception, 1 rebond, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nAlexis Ajinça (Asvel) : 10 points (4/9 aux tirs), 5 contres, 3 rebonds, 1 passe, 1 interception 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nLivio Jean-Charles (Asvel) : 10 points (4/10 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 contre, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 9 points (3/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 9 points (2/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 32 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 8 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 10 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 6 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 11 minutes\\n\\nJonathan Rousselle (Limoges) : 5 points (2/3 à trois points), 2 passes, 2 rebonds, 1 interception en 14 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 5 points (2/9 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 31 minutes\\n\\nJerry Boutsiele (Limoges) : 4 points (2/4 aux tirs), 1 passe, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (1/3 à trois points), 2 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 23 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 2 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : n’a pas joué\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 6e journée\\n\\nGROUPE E\\nAlba Berlin – Partizan Belgrade (97-74)\\nVilnius – Monaco (90-68)\\n\\nGROUPE F\\nUlm – ASVEL (86-68)\\nKrasnodar – Francfort (84-68)\\n\\nGROUPE G\\nEtoile Rouge Belgrade – Malaga (105-89)\\nValence – Limoges (91-84)\\n\\nGROUPE H\\nKazan – Andorre (72-53)\\nZagreb – Zenit St Petersbourg (75-79)\\n\\n\\nLes quarts de finale\\n\\n\\nLe classement final\\n\\n\\nLes bilans du Top 16 :\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 5ème journée\\n\\nDragan Apic (18 points à 7/8 aux tirs, 6 rebonds)\\n\\nSigné en cours de Top 16 par le Lokomotiv Krasnodar, Dragan Apic a déjà apporté de sacrés dividendes. Pour sa 3e apparition avec sa nouvelle équipe, le jeune intérieur serbe de 23 ans a réussi un match quasi-parfait à 18 points à 7/8 aux tirs plus 6 rebonds, 3 passes et 3 interceptions pour 30 d’évaluation (des records individuels de partout évidemment).\\n\\nAvec sa mimine gauche, il a été le tortionnaire de Francfort, scorant 15 de ses 18 points dans une 2e mi-temps à sens unique pour le Lok\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le Portel : Moses Ehambe quitte le club" }, {"role": "assistant", "content":"En difficulté cette saison, l’ailier Moses Ehambe (1,97 m, 33 ans) à quitté Le Portel ce jeudi pour s’engager avec un club de deuxième division russe. Eric Girard, l’entraîneur Portelois, s’est exprimé sur ce sujet dans La voix du nord.\\n\\n« Il s’en va demain (vendredi). À un moment il faut qu’on puisse compter sur des joueurs motivés à 100 %. Il a trouvé un autre club et nous a demandés de le laisser partir, cela signifie qu’il n’était déjà plus dans notre projet. On ne s’est donc pas opposé à son départ ».\\n\\nCette saison, l’Américano-congolais tourne à 7,6 points et 1,4 rebond en 17 minutes de moyenne par match. Cependant son temps de jeu ainsi que son influence sur le parquet baissait de plus en plus chaque semaine pour le désormais ex-vice capitaine de l’ESSM.\\n\\nPhoto: ESMM" }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (1er février)" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Rodney Williams Jr (GET Vosges , NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros dunk en contre attaque." }, {"role": "user", "content":"Andreas Zagklis (secrétaire général FIBA): «Nous devons livrer une coupe du monde de top niveau»" }, {"role": "assistant", "content":"Le nouveau secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis, 38 ans, élu à l’unanimité en décembre suite au décès tragique de Patrick Baumann a tenu sa première table ronde mercredi 6 février au siège de la fédération, la maison du basket à Mies en Suisse. Après un court propos introductif, il a répondu à des journalistes venant de toute l’Europe. L’occasion pour lui de développer sa vision, d’aborder les points sensibles et le calendrier à venir avec en ligne de mire la coupe du Monde 2019 qui s’annonce comme une édition historique à tous points de vue.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJe veux rendre notre sport plus populaire, le faire connaitre, le rendre accessible et faire grandir la communauté autour du basket. Notre mission est de faire de la communauté basket la plus grande communauté sportive du monde. On a tous les bons ingrédients pour le faire. La démographie va dans notre sens, on a un sport passionnant avec deux disciplines olympiques, nous sommes populaires sur la planète entière, présent sur les cinq continents.\\n\\nJ’ai travaillé plusieurs années en étant très proche de Patrick (Baumann). Nous l’avons perdu dans des circonstances que nous n’oublierons jamais. La fin de l’année 2018 a un été un grand huit émotionnel pour nous. Mais c’est dans ce genre de moments cruciaux qu’il est très important d’avoir une bonne équipe de managers et surtout un bon conseil d’administration. Et ça a été le cas, avec notre président, notre trésorier et notre Chief Operating Officer qui ont tenu la barre. Et en décembre j’ai reçu un mandat unanime du CA pour poursuivre la mission. Et mettre en place de nouveaux projets. Nous sommes à la fin d’un cycle de cinq ans. D’ordinaire, nous connaissons des cycles de quatre là, mais nous avons changé le rythme des coupes du Monde. On passe de 2014 à 2019. Cette année, nous devons livrer une coupe du Monde excellente, une coupe du Monde de top niveau avec 32 équipes, dans un pays, la Chine, qui a investi beaucoup – vous le verrez – dans cet événement.\\n\\nDes inquiétudes se sont exprimés sur le futur des fenêtres de qualification pour les grandes compétitions. Qu’en est-il ?\\n\\nLes fenêtres sont une composante d’un nouveau système de compétition. Le principe de ce format, c’est que les équipes nationales jouent à domicile, et à l’extérieur. Le fait d’avoir les équipes nationales exposés de façon régulière sur les territoires nationaux devant leur audience naturelle, et le fait d’avoir ouvert la phase de qualification à un plus grand nombre de pays sont les éléments qui gouvernent la nouvelle approche de la FIBA, la façon dont on organise les choses. On a reçu un mandat très clair de la part des fédérations nationales. Les fenêtres, malheureusement, ont fait les gros titres par rapport à ce nouveau format, en raison de la non-mise à disposition de joueurs par certains clubs. Mais les fenêtres existent en novembre, en février, en juin-juillet et en août-septembre. Ce qu’il faut comprendre, c’est que le nouveau système de compétition donne un et parfois deux étés de repos aux joueurs. C’est une décision étudiée très en profondeur par la famille basket, qui remonte à 2010-11 quand on a lancé les études. En 2012, les premières décisions ont été prises, en 2014, la décision formelle a été prise. Les fenêtres constituent un pilier de notre stratégie. Pourquoi ? Parce que cela nous permet d’avoir accès à une audience qui dépassent l’audience des fans qui assistent aux matches des ligues nationales. L’équipe nationale attire d’autres fans. Et c’est très important pour développer notre sport. Et avec les synergies appropriées, cela va également permettre de développer la popularité des ligues, nationales ou européennes. Quand l’équipe nationale joue le lundi ou le mardi et que des matches suivent, en championnat ou en coupe d’Europe, deux ou trois jours après, on peut maintenir l’intérêt de nouveaux fans, pour toute la saison. Voilà la réponse. Les principes resteront les mêmes. Maintenant, est-ce qu’on va bouger le calendrier d’une semaine avant ou après, qu’on garde, une, deux, trois, quatre, cinq, six ou sept fenêtres, nous sommes très ouverts, très transparents. Nous discutons partout sur la planète avec les fédérations. Après la sixième fenêtre de février 2019 et ce premier cycle, nous allons faire le bilan. Est-ce que tout s’est passé comme nous l’espérions ? Non, parce que tous les joueurs qui devaient être disponibles ne l’étaient pas. Mais pour répondre à la question, nous avons investi dans ce projet. Comme dans tout investissement le retour n’est pas immédiat, encore que, en dépit du fait qu’au cours de certaines fenêtres, la voiture ne roulait que sur trois roues, et pourtant elle allait déjà très vite ! Je dois dire qu’on a vu des signes très positifs. Et cela sera porté au bilan. Nous n’avons pas de tabous, en dehors des principes énoncés plus tôt. Mais nous devons nous laisser un peu de temps. Le nouveau système n’a qu’un été derrière lui.\\n\\nQuel est votre relation avec Jordi Bertomeu, le patron de ECA, l’entité qui gère l’Euroleague ?\\n\\nTout d’abord, je tiens à dire que la FIBA a apprécié la présence de Jordi Bertomeu aux funérailles de Patrick (Baumann) le 2 novembre. Il m’a envoyé une lettre de félicitations très cordiale à laquelle j’ai répondu tout à fait cordialement également. Pour le reste, je ne débarque pas. J’ai été partie prenante de toutes les dernières discussions qui ont eu lieu jusque-là. Au niveau personnel, j’ai une histoire commune avec lui, nous sommes tous les deux d’anciens avocats, nous sommes donc collègues. Je n’en dirai pas plus. Même si je ne peux pas dire que nous ayons de bonnes relations, nous ne pouvons pas nous permettre d’en avoir de mauvaises. Nous devons trouver un niveau de collaboration. Il existe aujourd’hui, sur des sujets de base. Mais nous devons collaborer à un niveau supérieur. Cela arrivera avec du dialogue.\\n\\n« Un jour viendra où il faudra nous asseoir autour d’une table et discuter. Et nous verrons si nous pouvons trouver une solution qui amène deux éléments : le premier est un équilibre entre les clubs. Deux, une synergie entre les compétitions de clubs et les compétitions des équipes nationales. »\\n\\nEst-ce que tout cela ne se résume pas à une question de calendrier ? La saison prochaine, la majeure partie des ligues nationales compteront 18 équipes, 18 en Euroleague aussi, soit 68 matches de saison régulière pour les équipes d’Euroleague, plus le tournoi olympique, peut être le tournoi olympique... Comment faire face à autant de matches ?\\n\\nNous avons un principe : les ligues nationales, en accord avec les lois de leurs pays, bénéficient d’un certain niveau d’autonomie. Même si je peux avoir mes propres opinions à propos de la bonne taille pour une ligue, ce n’est pas à la FIBA de dire par exemple à la ligue italienne combien d’équipe elle devrait avoir. C’est une discussion qui appartient aux Italiens. Quel est le projet de la ligue, des clubs de la fédération ? Pour la saison prochaine, il y a un événement pour lequel nous ne contrôlons pas les dates, ce sont les Jeux Olympiques et un dont on ne contrôle pas totalement les dates, qui est le tournoi préolympique. On doit l’organiser avec les instructions du CIO. On a lancé des discussions avec les ligues pour aligner proprement les calendriers des ligues et des équipes nationales pour la saison prochaine. C’est un dialogue qui a été facilité par l’ULEB. C’est en cours, et c’est une façon très positive de regarder les choses. Ça montre que lorsqu’on s’assoit autour de la table et qu’on met le calendrier à plat, des solutions s’esquissent sans que qui ce soit n’ait à concéder des compromis majeurs. Mais chacun en fait pour le bien du basket.\\n\\nQue pouvez-vous nous dire sur les procédures légales qui ont été déposées auprès de l’Union Européenne ?\\n\\nMon intention n’est pas d’alimenter une atmosphère de polémiques. Les procédures légales existent, sont en cours, la commission européenne travaille à son propre rythme. Il y a deux plaintes, ce n’est pas un sujet passionnant, notamment pour le grand public. Je le sais, je me suis occupé de ces dossiers jusqu’en décembre. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Je lis les rapports qu’on me donne. Mais je l’ai dit lors de mon élection. Nous devons avant tout chercher des solutions, voilà ce qui devrait nous animer. Ce n’est pas un outil que je veux utiliser contre ECA. Un jour viendra où il faudra nous asseoir autour d’une table et discuter. Et nous verrons si nous pouvons trouver une solution qui amène deux éléments : le premier est un équilibre entre les clubs. Deux, une synergie entre les compétitions de clubs et les compétitions des équipes nationales. Selon moi, c’est la seule méthode pour faire grossir le gâteau. Et si le gâteau grossit, il y en a assez pour tout le monde. Nous devons respecter la volonté des meilleurs clubs de jouer plus de matches entre eux, nous devons respecter la volonté de développement de ceux qui deviendront les meilleurs clubs de demain et de rejoindre l’élite, et donc d’attirer des investisseurs. Et les investisseurs seront attirés seulement s’il existe un chemin clair vers l’élite. Et nous devons respecter tous les autres clubs, qui constituent le moteur de notre système. Ce sont eux qui produisent les joueurs. Il faut un équilibre en les intérêts de ces trois groupes de clubs. Et dans le calendrier on doit trouver une synergie où les uns aident les autres au lieu d’en avoir un qui dérange tous les autres. Voilà comment je réfléchis de façon générale. Pour le reste, je ne veux pas envoyer de messages précis à travers les médias. Je veux m’adresser en personne aux intéressés. Cela viendra. Nous avons un conseil d’administration en Europe et un au niveau mondial en mars. Evidemment nous aborderons la question. Ce n’est pas une question qui passionne le reste de la planète.\\n\\nDans votre esprit, quand est-ce qu’une solution pourra arriver ?\\n\\nJe n’ai pas de date en tête. Mais pour danser le tango, il faut être deux. Que puis-je dire de plus ? Sachez que je vais essayer.\\n\\nQuelles sont vos priorités ?\\n\\nLa première est un objectif désormais à très court terme : la coupe du monde. On doit être d’excellents organisateurs d’événement. On fait des choses pour cette coupe du monde qu’on n’avait jamais fait avant. Je peux vous donner un exemple : on va avoir un manager dédié exclusivement à l’expérience des joueurs pendant cette compétition. On veut que les joueurs aient la meilleure expérience possible et on va prendre très au sérieux tous leurs retours. Vous allez le voir également sur la promotion de l’événement. Vous allez voir l’attrait que va développer l’événement, on part du principe que cela va aider le développement du basket, aider les fédérations à attirer plus de jeunes enfants et aider nos clubs à avoir plus de fans dans leurs salles. Voilà le premier objectif. Le deuxième ? Deux jours avant la coupe du monde, nous tenons notre congrès et le congrès décide de la stratégie de la FIBA pour les quatre années à venir. Nous avons un processus d’ici là pour définir les priorités pour le prochain cycle. C’est là que s’intègre notre plan et notre vision pour le futur.\\n\\n[armelse]\\n\\nJe veux rendre notre sport plus populaire, le faire connaitre, le rendre accessible et faire grandir la communauté autour du basket. Notre mission est de faire de la communauté basket la plus grande communauté sportive du monde. On a tous les bons ingrédients pour le faire. La démographie va dans notre sens, on a un sport passionnant avec deux disciplines olympiques, nous sommes populaires sur la planète entière, présent sur les cinq continents.\\n\\nJ’ai travaillé plusieurs années en étant très proche de Patrick (Baumann). Nous l’avons perdu dans des circonstances que nous n’oublierons jamais. La fin de l’année 2018 a un été un grand huit émotionnel pour nous. Mais c’est dans ce genre de moments cruciaux qu’il est très important d’avoir une bonne équipe de managers et surtout un bon conseil d’administration. Et ça a été le cas, avec notre président, notre trésorier et notre Chief Operating Officer qui ont tenu la barre. Et en décembre j’ai reçu un mandat unanime du CA pour poursuivre la mission. Et mettre en place de nouveaux projets. Nous sommes à la fin d’un cycle de cinq ans. D’ordinaire, nous connaissons des cycles de quatre là, mais nous avons changé le rythme des coupes du Monde. On passe de 2014 à 2019. Cette année, nous devons livrer une coupe du Monde excellente, une coupe du Monde de top niveau avec 32 équipes, dans un pays, la Chine, qui a investi beaucoup – vous le verrez – dans cet événement.\\n\\nDes inquiétudes se sont exprimés sur le futur des fenêtres de qualification pour les grandes compétitions. 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Théo Maledon étant également blessé, Mantas Kalnietis sera le seul meneur pour ces deux matchs ainsi que pour la Leaders Cup.\\n\\nLe retour de Nelson est attendu pour le quart de finale de l’EuroCup, face a Andorre au début du mois de mars.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"BCL: Les modalités du tirage au sort des huitièmes de finale de demain" }, {"role": "assistant", "content":"A l’issue de la saison régulière de la Basketball Champions League ce mercredi, 16 clubs (les 4 premiers clubs de chaque groupe) se sont qualifiés pour les Playoffs. Le tirage au sort de cette deuxième phase de la compétition aura lieu le vendredi 8 février, à 12h00, à la Maison du Basketball à Mies, en Suisse. Il concernera Le Mans et Nanterre.\\n\\nCet événement sera retransmis en direct sur championsleague.basketball et tirera au sort les deux prochaines étapes de la compétition, constituant les Playoffs : les huitièmes de finale et les quarts de finale.\\n\\nEn vue du tirage au sort des Playoffs, les 16 clubs qualifiés ont été classés en fonction de leur position finale au sein de leur groupe de saison régulière respectif et leur place dans le tirage au sort sera basée sur ce classement. Les équipes ayant terminé 1ère de leur groupe de saison régulière sont placées au Pot 1, les équipes ayant terminé 2ème de leur groupe de saison régulière sont placées au Pot 2, etc.\\n\\n * Chapeau 1 : Murcie (Espagne), AEK Athènes (Grèce), Tenerife (Espagne), Virtus Bologne (Italie)\\n * Chapeau 2 : Venise (Italie), Banvit (Turquie), Hapoel Jérusalem (Israël), Besiktas Istanbul (Turquie)\\n * Chapeau 3 : Nanterre (France), Klaipeda (Lituanie), Bamberg (Allemagne), Nijni Novgorod (Russie)\\n * Chapeau 4 : Patras (Grèce), Le Mans (France), Anvers (Belgique), PAOK Salonique (Grèce)\\n\\n\\nTirage au sort des huitièmes de finale\\n\\nLes matchs se dérouleront en deux tours (5/6 mars et 12/13 mars) suivant un format de match aller-retour.\\n\\nLes équipes ayant terminé 1ère (Pot 1) et 2ème (Pot 2) de leur groupe de saison régulière seront têtes de série et joueront la deuxième manche des huitièmes de finale à domicile. Les équipes ayant terminé 3e (Pot 3) et 4e (Pot 4) de leur groupe de la saison régulière ne seront pas têtes de série et joueront la première manche des huitièmes de finale à domicile.\\n\\nLe tirage au sort commencera avec le Pot 3 contre le Pot 2. Un club non tête de série sera d’abord tiré du pot 3, puis une tête de série du pot 2 sera tirée en second. La paire formera le match 1. Le processus sera suivi jusqu’à ce que les 4 premiers matchs des huitièmes de finale aient été tirés au sort.\\n\\nLe tirage au sort se poursuivra avec le Pot 4 contre le Pot 1. Un club non tête de série sera d’abord tiré du pot 4, puis une tête de série du pot 1 sera tirée en second. La paire formera le match 5. Le processus sera répété jusqu’à ce que les 4 derniers matchs des huitièmes de finale aient été tirées au sort.\\n\\nRestrictions concernant le tirage au sort\\nLes clubs ne peuvent pas être tirés au sort contre des clubs du même groupe de la saison régulière. Il n’y a pas de protection par nation. Ainsi, deux clubs de la même nation peuvent s’affronter en huitièmes de finale.\\n\\n\\nTirage au sort des quarts de finale\\n\\nLes matchs se dérouleront en deux tours (26 et 27 mars et 2/3 avril) suivant un format de match aller-retour.\\n\\nLes duos 5-8 (Pot 4 vs Pot 1) seront tête de série et joueront la deuxième manche des quarts de finale à domicile. Les duos 1-4 (Pot 3 vs Pot 2) ne seront pas tête de série et joueront la première manche des quarts de finale à domicile.\\n\\nUne paire non tête de série (paires 1-4) sera d’abord tirée au sort, puis une paire tête de série (paires 5-8) sera tirée au sort en second. Ceci formera alors le quart de finale 1. Le processus sera répété jusqu’à ce que les 4 matchs des quarts de finale aient été tirés au sort.\\n\\nRestrictions concernant le tirage des quarts de finale\\nIl n’y a pas de restriction de tirage pour ce tirage.\\n\\nLe lieu du Final Four sera annoncé à la fin des quarts de finale, à la fin de la première semaine d’avril. Un tirage au sort supplémentaire déterminera les demi-finales et aura lieu dans la ville hôte du Final Four la semaine suivante." }, {"role": "user", "content":"Laurent Legname (Dijon) : «Notre travail n’est pas respecté»" }, {"role": "assistant", "content":"Mercredi soir, la JDA Dijon accueillait l’Hapoel Jérusalem pour le compte de la quatorzième et dernière journée de saison régulière en Champions League. Même si les Dijonnais étaient déjà éliminés et le savaient, ils ont fait trembler jusqu’au bout le club israélien, étant même à deux points d’envoyer le match en prolongation (85-83).\\n\\nAprès le match, Laurent Legname est revenu sur la rencontre.\\n\\n« Ce match résume parfaitement la saison de BCL. Mes joueurs ont mis une grosse pression sur le terrain tout le match. C’était très bien contre une belle équipe. En première mi-temps c’était compliqué pour nous parce que Jérusalem a un bon mouvement de balle, rapide et nous n’étions pas assez actifs en défense. En deuxième mi-temps on a retrouvé notre défense et on a trouvé des solutions pour revenir dans le match. C’était un bon match, comme 90% des matchs en BCL. Nous étions dans un groupe difficile et comme je l’ai dit aux joueurs on s’est très bien débrouillé et c’est bien de finir comme ça. Il fallait élever notre niveau de jeu défensif. On a fait une très belle deuxième mi-temps, tous les joueurs étaient au diapason et c’est bien de finir comme ça. On est tombé face à une équipe très, très adroite qui a fait la différence sur les individualités.\\n\\nIl s’est également exprimé sur l’arbitrage, en réaction à la dernière action du match où Axel Julien tente d’aller au lay-up mais manque son tir avec contestation qui aurait pu envoyer le match en prolongation. Faute ou pas ? Le corps arbitral a jugé que non.\\n\\n« Il y a tellement de choses à dire et rien à dire à la fois. Comment se fait-il que David Holston ne soit qu’à deux lancers francs tentés par match ? Cette question répond à toutes les autres questions. Et pour Axel Julien c’est pareil. On ne nous respecte pas et on ne respecte pas le travail des joueurs, c’est aussi simple que ça. Les joueurs se mettent minables à tous les entraînements et ils ont la sensation – et tout le club a cette sensation-là – qu’on n’est pas respectés. Il y a des joueurs, moi-même et mon staff on en arrive à être dégoutés du basket. On passe des heures à travailler. Les joueurs s’investissent et ce travail n’est pas respecté. A chaque fois. C’est un manque de respect et j’en suis dégoûté par rapport à l’investissement de mes joueurs. »\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Le Mans: Valentin Bigote rêve d’Espagne" }, {"role": "assistant", "content":"A l’instar du Limougeaud William Howard, le Manceau Valentin Bigote (1,96m, 27 ans) a la faculté de shooter de loin. Et de faire mouche. Il a aligné 3 paniers à trois-points pour 5 shoots mardi face aux Polonais du Anvil Wloclawek. Il n’est pas pour autant unidimensionnel et il fait aussi apprécier ses pénétrations tranchantes et d’autres actions positives dans différentes secteurs d’activité. Il a largement contribué à la qualification du MSB aux huitièmes de finale de la Basketball Champions League scorant 23 points, plus 4 rebonds, 6 passes et 1 interception.\\n\\nSi ses Américains n’ont pas toujours été à la hauteur de leur réputation, les Français du MSB sont globalement satisfaisants depuis septembre et en BCL Valentin Bigote est le meilleur marqueur d’entre-eux avec 9,3 points à 31,9% à trois-points confirmant les qualités entrevues à Nantes en Pro B puis à Dijon.\\n\\nFils d’un coach en N3 à Gravelines et d’une mère joueuse de N2, frère de Mathieu, qui porte actuellement le maillot de Lorient en N1 et de Marine joueuse de Région, cousin par alliance du Limougeaud Jonathan Rousselle, Valentin Bigote n’a pas échappé à la balle orange.\\n\\n« Je suis un attaquant mais je ne me considère pas comme un strict shooteur », analyse-t-il dans un long portrait que vient de lui consacrer Le Maine Libre.\\n\\nEt en ce qui concerne sa carrosserie d’apparence un peu frêle, il répond :\\n\\n« Je me souviens que l’on disait que (Stephen) Curry allait physiquement se faire tuer en NBA. 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Le challenge est relevé mais qui pouvait deviner que le natif de Grande-Synthe, formé à Gravelines, serait un vrai candidat au Team France pour de futures échéances quand il apprenait le métier en Pro B à Boulogne, à Denain, puis en Pro A à Nancy ?\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"BCL – Vincent Collet (Strasbourg) : «Je comprends la déception de mes joueurs»" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré sa victoire en Belgique à Ostende (94-100 a.p), Strasbourg ne verra pas la suite de la Champions League à cause de la victoire de Klaipeda face à Bayreuth (83-73). La déception était présente dans les rangs alsaciens, aussi bien chez les joueurs que chez l’entraîneur Vincent Collet.\\n\\nQuentin Serron, auteur d’un tir clutchissime à 4 secondes de la fin pour envoyer les deux équipes en prolongation est revenu sur son action.\\n\\n» C’était un match difficile, on vu de bonnes choses et on n’a jamais abandonné (...) Je n’étais pas surpris de prendre le dernier tir, c’est le basket qui veut ça. Il ne restait que 4 secondes et on était menés de 3 points, j’étais ouvert donc je l’ai tenté. C’est très décevant de ne pas se qualifier alors qu’on a rempli notre part du marché « .\\n\\nVincent Collet a voulu se montrer positif:\\n\\n» On a choisi de rester concentré sur le match, on savait avant qu’il n’y avait que peu de chances que Bayreuth l’emporte à Klaipeda, mais bon on ne sait jamais. Regardez les deux tirs à trois-points (NDLR: d’Antoine Eito) en toute fin de match qui a permis au Mans d’aller en prolongations et de se qualifier pour les huitièmes de finale, un peu comme Quentin (Serron) à mis ce soir. Je comprends la déception de mes joueurs, ça aurait pu être une superbe performance de se qualifier. On a une bonne équipe, je sais que ce n’est pas à cause de ce match qu’on loupe la qualification. On était à 6 victoires pour 3 défaites en décembre avant de connaître une très mauvaise passe mais on a également été très bons sur les deux derniers mois. Cela doit être également décevant pour Ostende, eux qui se seraient qualifiés peu importe le résultat de Klaipeda « .\\n\\nPhoto: Jeremy Nzeulie (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : les affiches de quarts de finale sont connues, l’ASVEL face à Andorre" }, {"role": "assistant", "content":"Après la saison régulière et le Top 16, il est maintenant temps de se tourner vers les quarts de finale en Eurocup. Ils commenceront le 5 mars prochain.\\n\\nDu côté des Français, Monaco et Limoges ont été éliminés alors que l’ASVEL, en bon leader de son groupe et leader de Jeep Elite, est toujours en course. Si Limoges est au courant de son élimination depuis plusieurs semaines, les Monégasques avaient leur destin entre leurs mains et jouaient leur avenir face à Vilnius mercredi soir. Leur déroute en Lituanie (90-68) a été fatale.\\n\\nPour le club villeurbannais, il faudra se défaire d’Andorre s’il veut la demi-finale de l’Eurocup. Deuxième du groupe H, les coéquipiers d’Andrew Albicy ont enregistré le même bilan que l’ASVEL dans ce Top 16 avec cinq victoires et une seule défaite.\\n\\nVoici les affiches des quarts de finale de l’Eurocup :\\n\\n * ALBA Berlin – Malaga\\n * ASVEL – Andorre\\n * Valence – Vilnius\\n * Kazan – Krasnodar\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"RMC Sport et le basket désormais disponibles sur Molotov.TV" }, {"role": "assistant", "content":"Aujourd’hui, 7 février, les 5 chaînes du bouquet RMC Sport: RMC Sport 1, RMC Sport 2, RMC Sport 3, RMC Sport 4 et RMC Sport News arrivent sur Molotov TV.\\n\\nMolotov TV est une plateforme aux sept millions d’utilisateurs et elle a conclu un accord avec Altice France et le bouquet RMC Sport qui y est désormais disponible sans engagement pour 18,99 euros par mois. L’offre RMC Sport donne également accès à RMC Sport 1 UHD, la première chaîne de sport 100% UHD en France.\\n\\nMolotov TV a été co-fondé en 2016 par Jean-David Blanc, créateur d’Allociné, Pierre Lescure (ex-Canal+) et Jean-Marc Denoual (ex-TF1) et se donne pour mission de permettre de regarder la télévision sous toutes ses formes avec une seule interface: direct, replay et enregistrements de ses programmes préférés dans le cloud de Molotov." }, {"role": "user", "content":"Pas de clubs français en huitièmes de finale de la FIBA Europe Cup" }, {"role": "assistant", "content":"Les équipes pour les huitièmes de finale de la FIBA Europe Cup ont été confirmées à l’issue de la conclusion du deuxième tour de la FIBA Europe Cup et de la saison régulière de la Basketball Champions League.\\n\\nLes équipes première et deuxième de chacun des quatre groupes du deuxième tour de la FIBA Europe Cup ont été qualifiées directement pour les playoffs.\\n\\nSur les neuf clubs de la Champions League à avoir signé leur adhésion à la FIBA Europe Cup, quatre ont terminé à la cinquième ou sixième place de leur groupe respectif et poursuivront leur campagne internationale dans les 16es de la FIBA Europe Cup. Eliminés en phase de poule, la JDA Dijon et la SIG Strasbourg ont refusé d’être introduit en FIBA Europe Cup.\\n\\nLes quatre places vacantes ont été occupées par les équipes classées troisièmes du deuxième tour de la FIBA Europe Cup, Alba Fehervar, Donar Groningue, Z Mobile Prishtina et ZZ Leiden.\\n\\nDouze pays au total seront représentés lors des huitièmes de finale, Prishtina étant la première équipe du Kosovo à se qualifier pour les play-offs d’une compétition européenne.\\n\\nLes 12 équipes issues de la FIBA Europe Cup, classées en fonction des résultats de leur deuxième tour, sont:\\n\\n 1. s.Oliver Wurzburg (GER)\\n 2. Avtodor Saratov (RUS)\\n 3. Dinamo Sassari (ITA)\\n 4. Pallacanestro Varese (ITA)\\n 5. Ironi Ness Ziona (ISR)\\n 6. Bakken Bears (DEN)\\n 7. Alba Fehervar (HUN)\\n 8. Pinar Karsiyaka (TUR)\\n 9. Balkan BC (BUL)\\n 10. Donar Groningen (NED)\\n 11. Z Mobile Prishtina (KOS)\\n 12. ZZ Leiden (NED)\\n\\nLes quatre équipes de la Basketball Champions League, classées en fonction de leurs résultats de la saison régulière, sont: 1. UNET Holon (ISR) 2. Filou Ostende (BEL) 3. Ventspils (LAT) 4. Telekom Baskets Bonn (GER).\\n\\nLes huitièmes de finale se disputeront sous la forme de matches allers et retours, les deux manches étant prévues pour les 6 et 13 mars.\\n\\nLe tirage au sort se tiendra dans les bureaux de la FIBA Europe à Munich le jeudi 7 février à 11h00." }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Bourges a résisté au monstre Ekaterinbourg et Iliana Rupert a marqué son territoire" }, {"role": "assistant", "content":"Chahuté en championnat de France par Lyon et Montpellier, Bourges réalise de superbes performances en Euroleague. S’incliner de cinq points seulement à Ekaterinbourg (65-70), leader du groupe avec une seule défaite, est même une prouesse quand on sait qu’il y avait trois absentes (KB Sharp, Lisa Berkani et Elodie Godin) dans les rangs des Françaises.\\n\\nLes Russes ont toujours mené au score mais Bourges n’était qu’à un point à la 33e minute (53-54). Une razzia de rebonds offensifs (16 dont 10 pour la paire Emma Meesseman/Brittney Griner) a permis à Ekat de faire la différence.\\n\\nAvec 16 points, la Canadienne Katherine Plouffe s’est révélée la meilleure marqueuse et la meilleure rebondeuse tango (8 prises) avec sa compatriote Nayo Raincock-Ekunwe. Surtout, en l’absence de Elodie Godin, Iliana Rupert (1,93m, 17 ans) a eu davantage de temps de jeu (20’) qu’à l’accoutumée et en a bien profité : 10 points à 5/7 aux tirs, 3 rebonds, 1 passe et 1 interception signant la troisième évaluation de son équipe (13) face à ce qui se fait de mieux au monde (16 point et 12 rebonds pour Brittney Griner).\\n\\nLes Berruyères doivent maintenant assurer leur billet pour les quarts-de-finale face à Braine et Villeneuve d’Ascq et Iliana Rupert confirmer à chaque sortie qu’elle est de la graine des super championnes.\\n\\n\\n\\n\\n📊 @Iliana_rups : 10pts à 5/7, 3rbds, 0 balle perdue en 20min face à Brittney Griner & Ekaterinburg en #EuroleagueWomen.\\n\\n\\nÀ 17 ans.#FiertéTango pic.twitter.com/bi4FzABxmT\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) February 6, 2019\\n\\nPhoto: Iliana Rupert et Emma Meesseman (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : la Dolce Vita pour M’Baye et Jaiteh" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAmath M’Baye place son meilleur score\\n\\nA une semaine du Final Eight, la version italienne de la Semaine des As, les deux représentants français en Lega ont signé de belles performances.\\n\\nAmath M’Baye a ainsi obtenu son meilleur score de la saison avec 19 points dont un excellent 5/6 à trois points. Contre Avellino, la Virtus Bologne s’est baladée et se prépare bien pour son duel contre Milan au Final Eight...\\n\\n\\nMam Jaiteh pour un premier double double\\n\\nDans le même temps, Mam Jaiteh a placé son premier double double de la saison avec Turin. L’ancien de Limoges finit pour le coup à 10 points et 13 rebonds dans la facile victoire de Turin contre Reggio Emilia. Et Jaiteh tourne à 7 points et 5 rebonds pour 11 d’évaluation en moyenne pour sa première saison à l’étranger. Plutôt pas mal !\\n\\n\\nAdrien Moerman toujours aussi important\\n\\nAprès un match de retour à 25 pions et 6 rebonds le weekend passé, Adrien Moerman ne baisse toujours pas le pied avec l’Efes Istanbul. Il a encore été très productif pour se défaire de Darussafaka en prolongation, avec un double double à 20 points – 13 rebonds.\\n\\nA ses côtés, Rodrigue Beaubois (12 points, 3 passes) a fait le métier sans trop de réussite aux tirs pendant que Joffrey Lauvergne (9 points, 5 rebonds) a aussi apporté son écot dans la facile victoire du Fenerbahçe contre Turk Telekom.\\n\\n\\nEdwin Jackson enchaîne\\n\\nPodgorica s’est pas mal renforcé ces dernières semaines en recrutant Norris Cole à la mène, Goga Bitadze dans la peinture ou encore en débauchant James Bell du Cedevita. Ça se ressent dans les résultats avec une série de 3 victoires consécutives des plus inattendues en Euroleague, mais surtout 5 succès de rang en Ligue ABA.\\n\\nEt comme la semaine passée, Edwin Jackson termine meilleur marqueur de son équipe avec 18 points. Podgorica tourne mieux et Jackson n’y est pas innocent avec plus de 16 points et 5 passes sur ces 5 derniers succès en Adriatique.\\n\\n\\nBon petit retour pour Léo Westermann\\n\\nSur la touche depuis les Fêtes de fin d’année en championnat, Léo Westermann a retrouvé les planches ce weekend pour une bonne petite remise à niveau. Dans une victoire aisée du Zalgiris, le meneur alsacien a repris le rythme sereinement avec un bon match à 7 points et 8 passes.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 12 points (3/6 aux tirs), 7 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 102-89 face à Badalone)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes (victoire 103-102 face au Real Madrid)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/6 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 25 minutes (défaite 103-102 face à Malaga)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (2/6 aux tirs), 7 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 4 balles perdues en 25 minutes (défaite 63-57 face à Tenerife)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 6 points (2/5 aux tirs) en 11 minutes (défaite 101-83 face à Vitoria)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 2 points (1/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 balle perdue en 11 minutes (victoire 101-83 face à Gran Canaria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 5 points (2/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 13 minutes (victoire 79-56 face à Panionios)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 2 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes (victoire 73-53 face à Lemnos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 12 points (5/10 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 passe, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 82-80 face à Nes Ziona)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 19 points (7/10 aux tirs), 4 rebonds, 1 contre, 4 balles perdues en 29 minutes (victoire 88-66 face à Avellino)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 10 points (3/6 aux tirs), 13 rebonds, 2 contres, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 29 minutes (victoire 77-58 face à Reggio Emilia)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 7 points (2/6 aux tirs), 8 passes, 2 interceptions en 17 minutes\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 18 points (5/12 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds en 27 minutes (victoire 102-71 face à Mornar Bar)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 9 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 102-71 face à Podgorica)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 17 points (8/14 aux tirs), 5 rebonds, 1 contre, 1 interception en 26 minutes (victoire 85-75 face à Spojnia)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 16 points (4/11 à trois points), 4 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 32 minutes (victoire 70-57 face à Krasnodar)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué – pubalgie\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 5 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 83-59 face au Cibona)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : n’a pas joué\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 20 points (6/10 aux tirs), 13 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 40 minutes (victoire 95-86 ap face à Darussafaka)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 12 points (4/10 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 35 minutes (victoire 95-86 ap face à Darussafaka)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 9 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 87-64 face à Turk Telekom)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Adrien Moerman garde la pêche\\n\\nCrédits photo : FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAmath M’Baye place son meilleur score\\n\\nA une semaine de leur Final Eight, la version italienne de la Semaine des As, les deux représentants français en Lega ont signé de belles performances.\\n\\nAmath M’Baye a ainsi signé son meilleur score de la saison avec 19 points dont un excellent 5/6 à trois points. Contre Avellino, la Virtus Bologne s’est baladée et se prépare bien pour son duel contre Milan au Final Eight...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Champions League : Dijon fait trembler Jérusalem et sort avec les honneurs" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà éliminée de la Champions League, la JDA Dijon accueillait l’Hapoel Jérusalem, mené par l’ancienne star NBA Amar’e Stoudemire, dans le cadre de la quatrième et dernière journée de saison régulière de BCL.\\n\\nQualifié avant la rencontre, le club israélien domine rapidement et logiquement les débats en menant 16-6. Parties sur des bases très offensives, les deux équipes approchent les 30 points après dix minutes de jeu (29-23 pour les visiteurs). Laissé sur le banc en début de partie, Stoudemire entre en jeu en fin de quart-temps et inscrit un tir au buzzer de la période.\\n\\nAlors que deux minutes sont passées dans le deuxième quart-temps, Laurent Legname lance le jeune Louis Weber qui fera très bonne impression tout le long du match avec 6 points, 1 rebond et 1 passe en 7 minutes de jeu. Du côté de Jérusalem, les pertes de balles s’accumulent, mais la JDA ne peut que limiter la casse face à la force de frappe israélienne qui passe par James Feldeine, Amar’e Stoudemire, TaShawn Thomas ou encore Yogev Ohayon. A la pause, Dijon est derrière 50-38.\\n\\nDe retour sur le terrain revanchards, les joueurs de Laurent Legname retrouvent leur identité défensive et déroulent en attaque en trouvant des solutions faciles. Notamment grâce au soldat Alexandre Chassang (7 points dans la période) qui met toute son envie sur le terrain pour permettre aux siens de revenir. Après 30 minutes de jeu, la JDA est totalement relancée et n’est plus menée que de 3 points, 66-63.\\n\\nPlus que dix minutes de jeu, et Axel Julien égalise d’entrée de jeu à trois points. Amar’e Stoudemire répond dans la foulée en provoquant deux fautes d’Alex Chassang de suite et en refaisant passer son équipe devant. C’est le moment que choisit le lutin dijonnais David Holston pour faire passer Dijon devant grâce à un trois points dont il a secret après une petite démonstration de dribbles. Malheureusement pour son équipe, il commet sa cinquième faute sur la défense suivante et doit rejoindre le banc de touche. Dijon est devant 76-75 alors qu’il ne reste plus que 4 minutes 30 à jouer et le Palais des Sports sort de son silence. Axel Julien avait la balle de match en main, mais manque le lay-up avec contestation et l’Hapoel Jerusalem s’impose finalement 85-83.\\n\\nMeilleur Dijonnais de la partie, David Holston a compilé 20 points, 3 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 26. Boxscore complète ici.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"BCL : Strasbourg l’emporte mais est éliminé de la compétition" }, {"role": "assistant", "content":"Troisième budget de Jeep Elite, la SIG Strasbourg ne verra pas les playoffs de Champions League cette saison.\\n\\nEn ballotage avec Patras et Klaipeda avant la quatorzième journée de BCL avec sept victoires et six défaites, les joueurs de Vincent Collet n’avaient pas leur destin entre leurs mains même s’ils se devaient avant tout de l’emporter sur le parquet d’Oostende. Pour la victoire ça passe, mais pour la qualification ça casse.\\n\\nVictorieuse en prolongation (100-94) grâce à un panier à trois points de Quentin Serron à sept secondes de la sirène pour envoyer tout le monde au-delà du temps règlementaire, la SIG échoue aux portes de la qualification en récupérant seulement la cinquième place du groupe D. De leur côté, le Neptunas Klaipeda et le Promitheas Patras ont fait le boulot pour s’assurer la qualification pour le tour suivant.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet souligne l’importance de poursuive sur la même lancée avec les Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France a déjà sa qualification en poche pour la Coupe du Monde FIBA de cet été en Chine, mais le coach Vincent Collet veut absolument éviter tout relâchement de la part de ses joueurs lors de la sixième et ultime fenêtre des Éliminatoires Zone Europe.\\n\\nDans le Groupe K, la France (9-1) compte deux victoires de plus que la République tchèque. Elle se déplacera en Finlande (4ème avec un bilan de 5-5) le 21 février, avant de conclure sa campagne qualificative à domicile le 24 février contre les Tchèques.\\n\\nAvec quel état d’esprit la France aborde-t-elle ces deux dernières rencontres des Éliminatoires ?\\nMalgré notre qualification, nous devons rester concentrés. Nous voulons jouer ces matchs avec la même détermination et le même altruisme que jusqu’à présent. Ces deux rencontres sont importantes, car le classement mondial aura une influence lors du tirage au sort de la Coupe du Monde (les huit meilleures équipes du ‘FIBA World Rankingseront les premières têtes de série). Nous voulons donc tout faire pour gagner, et pour également de toute façon montrer notre niveau. Nous allons préparer ces confrontations de la même manière que lors des fenêtres précédentes, avec la victoire comme seul objectif.\\n\\nQuel a été le plus grand enseignement de ces Éliminatoires pour la France ?\\n\\nJe pense que nous avons bien réussi à ajuster notre effectif d’une fenêtre à l’autre, puisque tous les joueurs n’étaient pas toujours disponibles tout au long de la campagne. Le plus grand enseignement, c’est que nous avons su afficher un parfait état d’esprit, en dépit d’avoir dû recourir à un plus large cadre de joueurs que lors des campagnes qualificatives précédentes. Tous ceux qui sont venus n’avaient qu’une idée en tête : bien faire leur travail et placer l’intérêt de l’équipe avant tout, ce qui est très important pour le groupe et le coaching staff. Chacun d’entre eux voulait aider la sélection d’une manière ou d’une autre, et ils l’ont très bien fait jusqu’à maintenant. À ceux qui viennent disputer l’ultime fenêtre de finir le job du mieux possible. Je suis convaincu qu’ils feront preuve de détermination.\\n\\nQuel a été votre meilleur moment des Éliminatoires ?\\n\\nJe crois que notre meilleure performance jusqu’ici a eu lieu en Russie (victoire 84-78). Nous avions réalisé un excellent match. Les Russes sont toujours difficiles à battre. Nous avions présenté notre meilleur visage et nous avions tous été très heureux de remporter ce succès en Russie. Il n’est jamais facile de gagner là-bas. La Russie aligne constamment une très bonne équipe et elle défend son territoire comme une forteresse. Ce match nous a donné la mesure de notre potentiel et il nous a maintenu dans notre dynamique victorieuse. Dans un autre contexte, nous n’aurions peut-être pas gagné en Russie, mais nous étions vraiment allés chercher cette victoire.\\n\\nQu’est-ce que la France peut espérer à la Coupe du Monde?\\n\\nNous avons beaucoup d’ambition et nous devons tout mettre en œuvre pour la transposer sur le terrain, de sorte à réussir un beau parcours en Chine. Par exemple, lors du FIBA EuroBasket 2017 en Finlande et en Turquie, nous avions joué avec moins de hargne et de manière plus individuelle qu’à l’occasion des tournois précédents. Nous devons afficher une mentalité de gagneurs et nous sommes dans l’obligation de faire mieux en termes d’unité, de solidarité et de concentration. Si nous y parvenons, et je suis sûr que nous avons les moyens de le faire, nous avons toutes les raisons de nous montrer ambitieux. La sélection française qui prendra part à cette compétition aura le potentiel pour réussir quelque chose de grand.\\n\\nVous avez dit récemment que le réservoir de joueurs de la France était l’un des plus profonds jamais constitués.\\nOui, le réservoir de joueurs qui peuvent jouer en sélection nationale est très profond et c’est une excellente nouvelle pour le basket français. Je suis très content de le voir, mais notre objectif pour le prochain tournoi est le même que d’habitude : bâtir l’équipe la plus compétitive possible, afin d’atteindre nos objectifs. C’est plaisant d’entendre que de nombreux joueurs souhaitent être là cet été. Nous allons tâcher de rassembler le meilleur effectif possible.\\n\\nAvec des équipes comme l’Australie, le Canada et bien d’autres encore aux quatre coins du monde qui ont été performantes durant les Éliminatoires, à quoi pouvons-nous nous attendre en Chine ?\\nCela va être un fantastique tournoi, il y aura tant d’équipes compétitives. La lutte pour les médailles et pour le titre sera acharnée. Ceci dit, nous savons que nous avons le potentiel pour réussir de belles choses en Chine. Nous le voyons comme une excellente nouvelle pour le basket en général, puisque le niveau global ne cesse d’augmenter. Nous voulons nous concentrer sur nous-mêmes, notre talent et notre potentiel. Les autres pays ont réalisé du très bon travail ces dernières années, mais nous estimons que notre niveau de compétitivité est très élevé et qu’avec notre effectif, si notre mentalité est la bonne, nous avons les armes pour accomplir un fantastique tournoi cet été.\\n\\nPhoto: FIBA:" }, {"role": "user", "content":"Qualifications coupe du Monde : des joueurs de Milan avec l’Italie pour la dernière fenêtre" }, {"role": "assistant", "content":"En raison du conflit entre la FIBA et l’EuroLeague, les joueurs évoluant en Euroleague ne sont généralement pas libérés pour disputer les fenêtres internationales avec leur sélection.\\n\\nMais pour ses deux derniers matchs, contre la Hongrie (le 22 février) et la Lituanie (le 25 février), la fédération italienne a convoqué trois joueurs de l’Olimpia Milano. Ces trois joueurs sont Jeff Brooks, Andrea Cinciarini et Amedeo Della Valle. Cependant, le club lombard a demandé à ce qu’ils ne jouent pas le premier match contre la Hongrie, car ils ont une échéance le même jour en Euroleague à domicile face au Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nDeuxième de leur poule de qualification derrière la Lituanie, les transalpins n’auront besoin que d’une victoire pour composter leur billet pour la Chine et se qualifier pour leur première coupe du Monde depuis 2006.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : effectif réduit pour Bourges à Ekaterinburg" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours en course pour se qualifier pour les quarts de finale de l’Euroleague féminine, le Tango de Bourges devra faire sans trois de ses joueuses pour le déplacement en Russie de ce mercredi.\\n\\nDéjà absentes du déplacement en coupe de France à Chartres ce week-end, KB Sharp (1,78 m, 37 ans) et Lisa Berkani (1,76 m, 21 ans) seront toujours indisponibles pour cause de maladie. Tandis que Elodie Godin (1,90 m, 32 ans), touchée au talon, est également forfait pour cette rencontre.\\n\\nPhoto : LFB" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Briante Weber arrive à l’Olympiakos" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis hier et c’est désormais officiel, le meneur américain Briante Weber (1,88m, 26 ans) rejoint l’Olympiakos, annonce le club.\\n\\nPassé par la G League et cantonné à des contrats de dix jours dans divers franchises NBA (Heat, Grizzlies, Warriors...), il vivra sa première expérience à l’étranger en Grèce. Cette saison, il tournait à 15,1 points, 4,5 rebonds et 6,2 passes décisives de moyenne avec les Sioux Falls Skyforce. Il apportera son shoot extérieur à l’équipe de David Blatt, lui qui tournait 42,5% à trois points cette saison dans la ligue de développement américaine.\\n\\n\\n\\n\\nH KAE Ολυμπιακός ανακοινώνει την απόκτηση του Αμερικανού γκαρντ, Μπριάντε Αλεξάντερ Γουέμπερ. #OlympiacosBC #WeAreOlympiacos https://t.co/YBpjNdEfL1\\n\\n\\n— Olympiacos B.C. (@olympiacosbc) February 6, 2019" }, {"role": "user", "content":"Pologne : Mathieu Wojciechowski élu joueur du mois de janvier" }, {"role": "assistant", "content":"A la recherche de temps de jeu et de responsabilités, Mathieu Wojciechowski (2,03m, 26 ans) a quitté la Jeep Elite cet été, alors qu’il lui restait un an de contrat à Bourg, pour tenter sa chance dans le pays de ses origines, la Pologne.\\n\\nTrès bon depuis le début de la saison avec le MKS Dabrowa Gornicza, l’ancien joueur du Limoges CSP vient même d’être récompensé de ses efforts en étant élu joueur du mois de janvier du championnat polonais. Sur quatre matchs dont trois victoire, l’ancien portelois a tourné à 17,5 points, 6,8 rebonds et 2,3 passes pour une évaluation de 19.\\n\\nDepuis le début de saison Mathieu Wojciechowski compile en moyenne 12,9 points, 5,5 rebonds et 1,5 passe décisive.\\n\\nPhoto :MKS Dabrowa Gornicza" }, {"role": "user", "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre) : «Je pense que nous avons réalisé un véritable exploit»" }, {"role": "assistant", "content":"En l’emportant face à l’UNET Holon mardi soir en Champions League, Nanterre a composté son billet pour le tour suivant de la compétition.\\n\\nAprès la rencontre, Pascal Donnadieu était particulièrement satisfait de cette qualification, mais surtout de ses joueurs qui ont, selon lui, réalisé un véritable exploit en venant s’imposer en Israël.\\n\\n« Je pense que ce soir nous avons réalisé un véritable exploit parce qu’aller s’imposer face à cette redoutable équipe d’Holon, devant leur public, je tire un coup de chapeau à mes joueurs. On a été chercher cette qualification vraiment avec les tripes, avec le coeur et avec un plan de jeu défensif qui a été très bien respecté. On a fait un match stratégiquement de très haut niveau avec ce qu’il fallait comme ingrédients pour ne pas craquer tout au long du match avec cette avance de 10 points. Ça fait partie de l’ADN du club de Nanterre de réaliser des exploits en coupe d’Europe, c’est ce que j’ai dit aux joueurs avant le match et encore une fois on a réussi à faire cet exploit. Je suis très, très heureux du visage que l’on a montré ce soir. »\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"La Basketball Champions League en pleine progression sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"Selon une étude publiée par Sportsvenuebusiness, le deuxième saison de la Basketball Champions League a permis d’augmenter sa popularité de 115% sur les réseaux sociaux.\\n\\nLa compétition organisée par la FIBA a donné lieu chez les fans à beaucoup d’interactions. Au total, cette deuxième saison de la BCL a enregistré 44 millions de vues toutes vidéos confondues et plus de 120 millions de personnes ont été « touchés » par cette compétition. Que ce soit les fans des clubs où des téléspectateurs. Preuve de cette progression, le Final Four qui s’est déroulé en mai 2018 a Athènes a eu des vidéos 94% plus visionnées que pour celui de la saison 2016-2017.\\n\\nPatrick Comninos, PDG de la Basketball Champions League, a déclaré :\\n\\n« Nous sommes ravis de voir la compétition confirmer le succès massif de sa première saison sur les réseaux sociaux. Nous avons maintenant près de 2 000 000 adeptes de la BCL sur les médias sociaux. Le succès numérique des deux premières saisons est impressionnant et nous sommes fiers de ce succès. La Champions League a été crée afin de développer le basket-ball à travers l’Europe. Elle est basée sur les principes d’inclusion par le mérite plutôt que de la valeur de la marque commerciale. Nous sommes extrêmement heureux de constater que les fans et les équipes participantes ont apprécié les deux premières saisons de la compétition »." }, {"role": "user", "content":"Vidéos : les highlights du Mans et de Nanterre en BCL" }, {"role": "assistant", "content":"Mardi soir en Champions League, Le Mans et Nanterre disputaient deux matchs décisifs qui pouvaient décider de leur futur dans la compétition. Finalement c’est un deux sur deux pour nos représentants tricolores qui prendront part au tour suivant de BCL. Victoire 88-79 pour le MSB et 74-62 pour Nanterre 92.\\n\\nNotamment grâce à Antoine Eito (15 points, 7 rebonds, 6 passes, 18 d’évaluation) froid comme une lame et très clutch dans les dernières secondes du quatrième quart-temps, les joueurs d’Eric Bartcheky sont allés chercher leur victoire en patron en remportant la prolongation 12 à 3. Avec 23 points, 6 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 23, c’est Valentin Bigote qui a livré la meilleure copie pour Le Mans. Boxscore complète ici.\\n\\nPour Nanterre a été un peu moins compliquée à aller chercher. Après le premier quart-temps, les joueurs de Pascal Donnadieu menaient 27-15. Ils sont parvenus à garder leur avance toute la rencontre et ont donc enregistré leur huitième victoire de la saison en Champions League. Meilleur joueur de la rencontre, Julian Gamble a compilé 15 points et 9 rebonds pour une évaluation de 23.\\n\\nPhoto : Champions League" }, {"role": "user", "content":"Jordi Bertomeu (Directeur de l’Euroleague) estime la capacité de la future aréna à Paris insuffisante" }, {"role": "assistant", "content":"Cela fait plusieurs mois que nous mettons en doute la suffisance de la capacité prévue de l’Arena qui sera construite Porte de La Chapelle (7 à 8 000 places) dans le cadre des Jeux Olympiques de Paris’24. Dans une interview à L’Equipe, le patron de l’Euroleague, Jordi Bertomeu va dans ce sens.\\n\\n« A ce jour, il n’y a rien de concret, et cela ne changera pas avant des années », dit-il à propos du projet du Paris Basketball. « Tout sera connecté à l’aréna de la Porte de la Chapelle. Nous avons proposé à la ville de partager notre expertise sur le sujet. Mais on ne pourra discuter que quand on aura la certitude que la structure, le management et son modèle économique sont adéquats. Nous nous interrogeons sur la capacité de 8 000 places, qui semble insuffisante. Mais on garde l’esprit ouvert. »" }, {"role": "user", "content":"Le président de l’AEK Athènes critique l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de l’AEK Athène, Makis Angelopoulos, n’en démord pas: le système de l’Euroleague n’est pas adapté à l’Europe.Au moment où Jordi Bertomeu vient d’expliquer sur le plateau de RMC Sport que, par exemple en France, si une deuxième équipe devait rejoindre l’Euroleague, ce serait Paris et une décision « basée uniquement sur le business », le président du club grec donne une interview où il critique le système de ligue fermée choisi par la compétition majeure du Vieux Continent.\\n\\n« Honnêtement, même si on offrait une place en Euroleague à mon club, je ne la prendrai pas. Mon désaccord est structurel. Imaginez un investisseur qui dépense 1 million de dollars, il invite dix coureurs pour un 100 mètres. Et le vainqueur est considéré comme le champion olympique du 100 mètres. Les ligues fermées sont une erreur alors que de l’Oural au Portugal, 650 équipes et des milliers de joueurs suent sang et eau chaque année. Les coupes d’Europe doivent reposer sur des critères sportifs et non être des privilèges garantis pour quelques uns. [...] Le sport repose sur la surprise. Une eau qui tourne en circuit fermé finit par devenir de l’eau croupie. Le modèle dans son ensemble est un échec. Mais le véritable objectif de l’Euroleague est de faire disparaître les ligues nationales pour s’accaparer les créneaux du week-end. »" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Stefan Peno (ALBA Berlin) out pour la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur serbe de l’ALBA Berlin Stefan Peno (1,98m, 21 ans) a été annoncé out pour le reste de la saison à la suite d’une blessure au genou contractée ce week-end en championnat contre Bayreuth. Un vrai coup d’arrêt pour ce jeune meneur qui était déjà un bon contributeur en sortie de banc avec 5,9 points et 4,8 passes décisives par match.\\n\\nUn coup dur aussi pour le club berlinois, qui joue cette saison les premiers rôles en EuroCup en étant qualifié pour les quarts de finale et qui est également une équipe du premier plan en Bundesliga, pointant à la quatrième place au classement." }, {"role": "user", "content":"Russie : Une fausse alerte à la bombe interrompt l’entraînement du Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Plus de peur que de mal. L’entrainement de ce mardi du Khimki Moscou a été interrompu à la suite d’une alerte à la bombe qui s’est révélée fausse. Une centaine d’immeubles auraient été évacués dans les environs de la capitale russe à la suite de fausses alertes à la bombe selon l’AFP.\\n\\n« Les autorités sont venues à notre centre d’entrainement et nous ont annoncé qu’il devait être évacué en urgence et que l’entrainement devait se terminer immédiatement », a déclaré Pavel Astakhov, le GM du club, à RIA Novosti, l’une des plus grandes agences de presse russe. Astakhov a également ajouté que: « on a eu de la change que l’entrainement allait bientôt finir quand on a été prévenus, tout le monde s’est changé rapidement et ont quitté les lieux. »" }, {"role": "user", "content":"Interview (1) Céline Dumerc (Basket Landes): «En ce moment, je m’éclate sur un terrain»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est comme une discussion au coin du feu avec Céline Dumerc, ancienne meneuse de jeu de l’équipe de France, idole des Jeux Olympiques de Londres -elle compte 153 000 followers sur twitter et 17 900 abonnés sur Instagram-, reconvertie en deuxième arrière cette saison à Basket Landes et qui à 36 ans est encore la joueuse la plus complète de la Ligue Féminine.\\n\\nL’entretien est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuand vous voyez vos performances actuelles, n’avez-vous pas de regrets d’avoir pris si tôt votre retraite internationale ?\\n\\nNon, non, non. C’est un choix et quand on fait un choix, on est obligé de laisser des choses. Peut-être que j’aurais pu continuer mais être sur les deux tableaux aurait fait que j’aurais eu moins de performance, je n’aurais pas été au niveau auquel je suis aujourd’hui. La fatigue aurait été trop importante et je n’aurais pas eu l’énergie que j’ai en ayant eu de grandes vacances cet été. Ça m’a redonné un peu de boost. Il n’y a pas de regrets et puis, voilà, la vie passe. J’ai fait un choix, je l’assume et je suis contente avec ce choix-là. Je passe à autre chose.\\n\\nIl y a d’autres joueuses qui vont vers les 40 ans, l’Espagnole Laia Palau et la Grecque Evina Maltsi, et qui sont toujours en équipe nationale. Il n’y a pas d’équivalent chez les garçons. A quoi tient cette longévité ?\\n\\nCe qui nous anime, c’est la passion. C’est difficile d’arrêter de jouer quand tu aimes ça, que ça t’éclate d’aller à l’entraînement, de jouer les matches. Si physiquement on tient le coup, pourquoi vouloir arrêter quelque chose qui nous passionne ? Si on commençait à avoir des pépins, à être blessées la moitié de la saison, des blessures dues à l’enchaînement de toutes les saisons en pro, s’il y avait ton corps qui te lâchait, je comprendrais que l’on passe à autre chose. Il y a souvent des joueuses qui ont décidé de mettre un terme à leur carrière parce que physiquement elles n’en pouvaient plus. Ces filles-là sont toujours animées de la même passion et physiquement elles tiennent le coup. Si tu n’es pas trop dégueulasse sur un terrain, que tu arrives à y faire encore des choses, alors pourquoi arrêter ? Il y a aussi différentes raisons d’arrêter de jouer. As-tu envie de construire une nouvelle vie notamment en fondant une famille ? Je trouve qu’aujourd’hui on joue de plus en plus âgé. Je pense que pour ma part j’ai une bonne hygiène de vie. J’ai aussi à la base des aptitudes qui m’ont permis de ne jamais être trop blessée, de pouvoir encaisser les saisons, les rythmes. C’est ça qui fait que l’on tient encore debout. Quand tu te sens bien, tu t’éclates sur un terrain. Moi, en ce moment, je m’éclate sur un terrain. Si j’ai un petit pépin, je vais couiner un peu plus vite et le plaisir sur le terrain sera moins important. Ça s’enchaîne très vite (...) Pour l’anecdote, quand Laia (Palau) est partie de Bourges en 2006 pour aller à Valence pour ne pas heurter les gens -ce n’est pas évident de quitter un club quand on est bien-, elle avait dit qu’elle allait arrêter après !\\n\\nÇa fait quel effet de se retrouver face à Ewl Guennoc de Mondeville qui a 18 ans ?\\n\\n(Rires) Souvent on charrie quand on évoque l’âge des adversaires notamment à Mondeville où il y avait pas mal de jeunes en raison des blessées et on dit qu’elles ont 15 et 16 ans, que l’on pourrait être leur mère. Après, une fois que tu es sur le terrain, peu importe. A la limite, elles vont plus vite que toi alors tu es concentrée, tu prends au sérieux ton adversaire et peu importe l’âge qu’elle a. Qu’elle ait 18 ans ou 32, une fois sur le terrain, on n’y pense plus. En amont, oui, c’est rigolo et je me dis « mais tu es vraiment un extraterrestre ! »\\n\\nComment avez-vous suivi la Coupe du Monde l’été dernier ? Vous étiez consultante pour une chaîne de TV ?\\n\\nNon. On me l’avait demandé mais j’avais repris les entraînements avec Basket Landes. Je ne pouvais ni aller sur le site ni faire de petits commentaires à la télé. J’ai regardé devant ma télé les matches de l’équipe de France et les autres aussi. J’ai suivi ça de près car ça m’intéresse et je connais encore beaucoup de monde dans ces équipes nationales.\\n\\n« Ce qu’elle (Bria Hartley) a montré durant les matches de qualif, c’est génial et tant mieux pour nous ! »\\n\\nQue pensez-vous de la venue de Bria Hartley en équipe de France ?\\n\\nJe suis mitigée car depuis tant d’années on n’aime pas qu’il y ait des joueuses naturalisées dans les autres équipes et pour moi c’est à moitié de la tricherie. Alors, certes, elle a vraiment un lien avec la France, sa grand-mère. Je veux bien le croire. Mais elle n’a jamais vécu en France et elle ne parle pas français même si elle veut l’apprendre. Maintenant, ce qu’elle a montré durant les matches de qualif, c’est génial et tant mieux pour nous ! Il nous faut une joueuse comme ça et elle va faire du bien à l’équipe de France pour gagner des matches. Je suis mitigée car j’ai envie que l’équipe de France gagne et avec elle il peut y avoir une plus-value mais j’aurais préféré qu’elle sorte du fin fond de la France et qu’elle ait fait un cursus normal avec centre de formation, INSEP, et compagnie. Maintenant, elle est là, on ne va pas l’enlever, c’est un plus.\\n\\nVous m’aviez dit que durant votre formation, sur le plan individuel, il y a des choses que vous n’apprenez pas, les dribbles dans le dos, des choses comme ça. Sachant que Marine Johannès est un contre-exemple... Et Bria Hartley, quand on la voit jouer, on se dit « ah ! oui, elle est d’une formation américaine, elle a des gestes en plus ». C’est votre impression ?\\n\\nTout à fait. On sent une certaine maîtrise, on n’a peut-être pas ses fondamentaux. Marine, c’est une extraterrestre, il n’y en a qu’une Marine et elle n’a pas fait l’INSEP, elle n’a pas suivi le vrai cursus que 80% des joueuses de l’équipe nationale ont suivi. Et c’est vrai que l’on se rend compte que Hartley a des bases que l’on n’a pas forcément. Ça va au-delà de la formation. C’est une culture que les Américains ont et que l’on n’a pas. Quand je suis allée en WNBA, c’est ce qui m’a marquée dans la mentalité de ces joueuses-là, c’est qu’elles pensaient savoir tout faire. Pour certaines c’était vrai, pour d’autres pas forcément. Si je ne sais pas dribbler main droite, elles pas plus mais elles y croyaient. Nous, on se met des limites alors que les Ricains ne se mettent aucune barrière. Et en y croyant, tu te donnes plus d’option d’y arriver. En plus de tout le cursus et de l’apprentissage qu’elles ont.\\n\\nIl y a une telle sélection aux Etats-Unis qu’il faut absolument avoir une confiance en soi extraordinaire ?\\n\\nC’est certain quand on voit le nombre de joueuses qui aspirent au haut niveau, l’aspect confiance, mental, a un vrai poids dans tout ça. Et c’est vrai que ça peut être un vrai plus pour nous, l’équipe de France, d’avoir une joueuse comme ça qui a une certaine sérénité et confiance qui feront qu’elle ne doutera pas.\\n\\nSavez-vous pourquoi Bria Hartley n’a pas joué les premiers matches d’Euroleague avec Fenerbahçe ?\\n\\nElle attendait son visa français. Il fallait qu’elle entre dans la compétition comme française. Si elle commençait à jouer avec un passeport américain, elle allait jouer toute l’année comme Américaine.\\n\\n« Je ne fais pas les bringues après les matches ! C’est banni de mon vocabulaire. Je l’ai fait quand j’étais jeune, tant mieux, j’en n’ai plus envie maintenant »\\n\\nCette saison, vous jouez deuxième arrière. Ça vous a donné une nouvelle motivation ?\\n\\nPas une nouvelle motivation mais une nouvelle perspective dans le sens que c’est un poste de jeu complètement différent. Comme on avait deux meneuses, quand j’ai commencé la saison, j’étais poste 2. Point barre. Pas 2-1. Mon rôle c’est ailière, je me suis totalement détachée du poste de meneur de jeu. Je me rends compte de deux choses : le poste de meneur de jeu est hyper important et hyper contraignant et au poste d’ailier, la vie est belle (rires). Je me sens bien et mes performances sont bonnes car en ailier on ne fait pas grand-chose. Quand on a le ballon, on est là pour créer, c’est tout. Avec du recul, je me dis que quand j’étais meneuse de jeu mon cerveau était toujours en train de penser et ça pompe de l’énergie. Là, je me mets dans un coin, j’attends que la meneuse annonce un système, je sais ce que j’y fais, clac-clac-clac, et je reviens en défense. Il y a un aspect énergétique que j’ai récupéré en jouant à l’aile car je me suis enlevée ce côté un peu cérébral qui te pompe de l’énergie. Le jeu à Basket Landes est aussi tourné vers ça cette année. J’ai beaucoup de ballons pour créer et ça m’éclate. Ça me permet de faire des choses que j’avais moins l’habitude de faire ou du moins tout au long d’un match.\\n\\nC’est votre meilleure moyenne de points depuis dix ans. C’est quand même étonnant à 36 ans ?\\n\\nÇa ne m’étonne pas. J’ai plus d’options de tirs, j’en prends plus. Avant, je n’ai jamais été une meneuse de jeu scoreuse. J’étais une meneuse de jeu organisatrice. Les points que je marquais, en gros, c’était sur des fins de possession ou des choix. J’étais plus dans l’organisation et la distribution. Marquer des points ce n’était pas du tout ma priorité. Là en poste 2 et dans la physionomie de l’équipe que l’on a à Basket Landes, il faut aussi que je marque plus de points. J’ai peut-être aussi plus de réussite parce que j’ai une meilleure sélection de tirs. Les chiffres sont meilleurs cette année mais ce qui m’importe c’est le nombre de victoires et le nombre de défaites et j’ai beaucoup trop de défaites à mon actif cette année. Je suis satisfaite et en même temps frustrée par des défaites comme celle à Mondeville. Jusqu’à présent je faisais une très bonne saison, et j’ai été nulle à chier à Mondeville et maintenant je ne pense qu’à ça. C’est dingue qu’à 36 ans j’arrive encore à... me tirer une balle dans le pied.\\n\\nA culpabiliser ?\\n\\nOui, à mort ! C’est ça qui me fait dire que j’aime encore ce sport et que je pense que j’ai encore envie de continuer parce que je suis impliquée à 300%. Quand je suis bien et que l’on gagne, je suis contente mais quand je suis nulle ou même quand je suis bonne et que l’on perd, je ne suis pas contente. Ce qui m’importe toujours c’est le collectif, l’esprit d’équipe que l’on a dans ce club. J’aimerais que l’on gravisse des montagnes avec Basket Landes.\\n\\nLes jambes sont-elles plus lourdes le matin au réveil ?\\n\\nÇa dépend. J’ai la chance d’avoir des coaches qui, lorsqu’on avait deux matches par semaine, m’enlevaient un petit entraînement, de perfectionnement individuel, ce genre de chose. J’étais un peu ménagée. Mais, honnêtement, ça va. Je pense que je joue plus que les années précédentes mais le fait que je ne joue plus à la mène fait que je ne me sens pas plus fatiguée à la fin des matches. Encore une fois, ça n’a rien à voir au niveau de la dépense énergétique. Physiquement, je me sens bien, je n’ai pas de pépins. L’année dernière, j’ai eu quelques problèmes au dos mais c’était un excès de fatigue. Après, je fais attention. Je ne fais pas les bringues après les matches ! C’est banni de mon vocabulaire. Je l’ai fait quand j’étais jeune, tant mieux, j’en n’ai plus envie maintenant. Je ne pourrais pas faire trop de bêtises car la récupération est un peu plus longue avec les gens plus âgés.\\n\\nCraignez-vous les conséquences physiques une fois la carrière terminée ?\\n\\nDu tout. Je n’y pense pas car je n’ai pas eu de gros pépins, d’opérations. La seule chose que j’ai eu ce sont des entorses aux chevilles. Alors, oui, j’aurai de l’arthrose, le dos, tout ça. Forcément, on est un peu abimée... Mais je suis un petit gabarit et je ne pense pas qu’il y ait de vraies séquelles dans ma vie future. J’y pense nullement.\\n\\n« Au final, on s’en fiche que ce soit un homme ou une femme. Ce qu’il faut c’est que les gens soient compétents »\\n\\nAvoir comme coaches (Cathy Melain et Julie Barennes) et comme présidente une femme (Marie-Laure Lafargue), c’est l’avenir du basket féminin ou juste un concours de circonstances ?\\n\\nParfois j’ai envie d’être féministe et parfois non. Au final, on s’en fiche que ce soit un homme ou une femme. Ce qu’il faut c’est que les gens soient compétents. Je pense que dans le sport en général et dans le sport féminin, il y a peu de femmes parce qu’il y en a peu qui veulent aller vers ce métier-là. Quand on me demande si je veux être coach, je réponds « jamais de la vie ! » On ne peut pas être féministe en disant « il faut des femmes » si personne ne revendique l’envie d’être coach. Il ne faut pas faire une fixation sur ça. Moi, ma coach, c’est Cathy, en plus c’est une amie, quelqu’un qui connaît le très haut niveau, qui sait vers où il faut aller pour performer. C’est peut-être un plus mais il y a aussi des mauvais côtés. C’est la personne qui est importante. C’est pareil pour notre présidente Marie-Laure qui s’investit dans Basket Landes depuis des années. Ils ont un fonctionnement particulier avec un groupe, les quatre Mousquetaires, pour faire une sorte de tournantes pour être le plus efficace au poste de président. Un homme ou une femme à partir du moment où il y a la compétence et le même projet, ça ne change rien. Il faut des gens passionnés, c’est la clé.\\n\\nBasket Landes, c’est l’anti-Ekaterinbourg comme club et comme cadre de vie ?\\n\\nTout à fait ! (sourire) C’est ça qui est génial dans le sport. Il y a parfois des clubs très riches qui n’arrivent pas à accéder à leur Graal. On voulait être championnes d’Europe et je n’y suis pas arrivée en deux ans. Et il y a des clubs qui sont moins riches, qui bataillent et qui font de super perfs. La première année où je suis arrivée à Basket Landes, on venait de perdre le titre avec Bourges contre Montpellier, et on a gagné Montpellier. Je me suis dit « c’est dingue, je n’ai pas besoin d’être à Bourges pour gagner Montpellier ! ». Au final ce n’est pas Basket Landes qui est champion de France mais ce sont ces petites victoires qui sont importantes. C’est vrai qu’à Basket Landes, il y a une vraie passion pour ce sport. Il y a 2 000-2 500 personnes à chaque match avec pas toujours des résultats satisfaisants pour eux mais on peut avoir de très belles choses avec d’autres moyens. Encore une fois, c’est la passion.\\n\\nVous vous êtes adapté au cadre et aux ambitions de chacun de vos clubs ? Bourges avait des ambitions un peu moins forte qu’Ekaterinbourg et Basket Landes que Bourges ?\\n\\nTout à fait. Après les ambitions demeurent toujours les mêmes, c’est gagner le plus de matches possible. Et effectivement, plus tu en gagnes et plus tu vas loin et tu peux aller chercher un titre. Et j’ai envie de dire que ce qui importe, c’est de gagner tous les matches tous les jours. A l’entraînement, tous les jours j’ai envie de faire un truc bien, de faire mon job, de donner, d’être meilleure que la veille. C’est ça qui m’anime depuis vingt ans que je suis sur les terrains, que je sois à Ekat, Bourges ou Basket Landes. Parfois, hé !, on ne va pas aussi loin que l’on aimerait mais l’objectif est toujours de gagner le match même si tout le monde nous annonce perdantes. Parfois tu vas gagner contre Charleville et perdre contre Mondeville. C’est la loi du sport.\\n\\nA suivre demain.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuand vous voyez vos performances actuelles, n’avez-vous pas de regrets d’avoir pris si tôt votre retraite internationale ?\\n\\nNon, non, non. C’est un choix et quand on fait un choix, on est obligé de laisser des choses. Peut-être que j’aurais pu continuer mais être sur les deux tableaux aurait fait que j’aurais eu moins de performance, je n’aurais pas été au niveau auquel je suis aujourd’hui. La fatigue aurait été trop importante et je n’aurais pas eu l’énergie que j’ai en ayant eu de grandes vacances cet été. Ça m’a redonné un peu de boost. Il n’y a pas de regrets et puis, voilà, la vie passe. J’ai fait un choix, je l’assume et je suis contente avec ce choix-là. Je passe à autre chose.\\n\\nIl y a d’autres joueuses qui vont vers les 40 ans, l’Espagnole Laia Palau et la Grecque Evina Maltsi, et qui sont toujours en équipe nationale. Il n’y a pas d’équivalent chez les garçons. A quoi tient cette longévité ?\\n\\nCe qui nous anime, c’est la passion. C’est difficile d’arrêter de jouer quand tu aimes ça, que ça t’éclate d’aller à l’entraînement, de jouer les matches. Si physiquement on tient le coup, pourquoi vouloir arrêter quelque chose qui nous passionne ? Si on commençait à avoir des pépins, à être blessées la moitié de la saison, des blessures dues à l’enchaînement de toutes les saisons en pro, s’il y avait ton corps qui te lâchait, je comprendrais que l’on passe à autre chose. Il y a souvent des joueuses qui ont décidé de mettre un terme à leur carrière parce que physiquement elles n’en pouvaient plus. Ces filles-là sont toujours animées de la même passion et physiquement elles tiennent le coup. Si tu n’es pas trop dégueulasse sur un terrain, que tu arrives à y faire encore des choses, alors pourquoi arrêter ? Il y a aussi différentes raisons d’arrêter de jouer. As-tu envie de construire une nouvelle vie notamment en fondant une famille ? Je trouve qu’aujourd’hui on joue de plus en plus âgé. Je pense que pour ma part j’ai une bonne hygiène de vie. J’ai aussi à la base des aptitudes qui m’ont permis de ne jamais être trop blessée, de pouvoir encaisser les saisons, les rythmes. C’est ça qui fait que l’on tient encore debout. Quand tu te sens bien, tu t’éclates sur un terrain. Moi, en ce moment, je m’éclate sur un terrain. Si j’ai un petit pépin, je vais couiner un peu plus vite et le plaisir sur le terrain sera moins important. Ça s’enchaîne très vite (...) 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Le match est ce soir à 18h30 sur Dailymotion.\\n\\nSi le MSB est en échec, il lui faudra espérer une défaite du Nijni Novgorod à Ludwigsbourg.\\n\\nPhoto: Richard Hendrix (Le Mans, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le maire croit toujours à la construction d’une aréna à Villeurbanne pour l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré le désir de Jean-Michel Aulas, président de l’Olympique Lyonnais, de construire une salle multifonction à côté du Groupama Stadium, le maire de Villeurbanne, Jean-Paul Bret, croit toujours à l’édification d’une aréna pour l’ASVEL sur le territoire de Villeurbanne. C’est ce qu’il a déclaré au quotidien Le Progrès.\\n\\n« Je sais avant tout que l’ASVEL travaille sur la salle, et que nous, à la mairie, on a tout fait pour que le projet aboutisse. »\\n\\nL’aréna devrait revenir à 60M€ et serait financée grâce à des fonds privés. 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Content de pouvoir s’exprimer un peu en français loin de la Russie, l’international tricolore a répondu à nos questions.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé votre intersaison, vous avez longtemps été annoncé proche de l’ASVEL, qu’est-ce qui a fait pencher la balance ?\\n\\nJ’ai été en contact avec l’ASVEL pendant plusieurs semaines, mais certains points n’ont pas été finalisés donc c’est pour ça que ça a tardé. Entre-temps, Krasnodar m’a approché en me proposant un contrat d’un an plus une autre année en option si on joue l’Euroleague l’année prochaine. Vu que de toute façon les deux équipes étaient en Eurocup, j’ai préféré signer à Krasnodar.\\n\\nÇa reste une option pour vous pour l’ASVEL l’année prochaine avec l’Euroleague ?\\n\\nL’Euroleague avec l’ASVEL ça peut évidemment être une opportunité pour moi. J’avoue que pour l’instant mon objectif premier est de me soigner et de bien revenir à la compétition pour voir ce qui s’offre à moi. Ma priorité de la saison prochaine sera de jouer l’Euroleague, mais je ne sais pas encore où ça sera. Actuellement mon contrat se transformera automatiquement en un contrat de deux ans si Krasnodar va en Euroleague. Si le club ne va pas en Euroleague, je dispose d’options pour partir, tout comme le club peut se séparer de moi.\\n\\nL’an dernier avant de signer en Turquie vous étiez aussi courtisé par le Barça, pourquoi avez-vous finalement choisi Sakarya ?\\n\\nA ce moment-là j’étais blessé donc c’était compliqué à la base. En plus, Barcelone me proposait un rôle de troisième pivot, ce qui ne me convenait pas du tout. Je n’avais tout simplement pas envie de m’embarquer là-dedans. J’ai préféré privilégier mon temps de jeu et je ne regrette toujours pas mon choix à l’heure actuelle. C’était ma première année à l’étranger donc c’est toujours un peu compliqué de s’adapter quand on quitte ses habitudes. Mais je pense que si j’avais tenté pour la première fois d’aller à l’étranger et qu’en plus je ne jouais pas ça m’aurait vraiment énervé. J’ai préféré jouer la sureté et aller là-bas. Le choc culturel en Turquie n’a pas été trop important. Il y a une grosse différence par rapport à la France, mais ça se rapproche des pays africains que je connais. Je ne me suis pas senti si déboussolé que ça.\\n\\n« Ça se passait très bien avant que je me blesse en tout cas. Quant à ma blessure, je n’ai pas de date précise de retour mais dans deux semaines ça devrait être bon »\\n\\nVous êtes arrivé à Krasnodar qui est taillé pour l’euroleague, que pensez-vous de l’organisation ?\\n\\nC’est une très bonne organisation. Ils ont des moyens élevés, ça se voit dans les déplacements par exemple. Mais le revers de la médaille c’est la position géographique parce que c’est un peu isolé et on est toujours obligés de faire des longs déplacements. C’est un club très professionnel qui, on le voit, a l’habitude du haut niveau. On a une belle salle, c’est celle où on a joué avec l’Equipe de France l’été dernier. Malheureusement, elle n’est pas souvent remplie parce qu’il y a beaucoup de trafic et c’est difficile de se rendre à la salle. Ce n’est pas non plus la NBA, mais on a tout ce qu’il faut. On est mis dans des conditions qui font en sorte qu’on ait à penser qu’au basket.\\n\\nComment est la vie à Krasnodar ?\\n\\nJe m’adapte. En ce moment c’est un peu compliqué parce que je suis blessé donc je m’ennuie un peu, surtout que j’ai voyagé tout seul, mais en temps normal j’avais mes petites routines. J’allais à l’entraînement, j’allais au restaurant, je voyais les gars de l’équipe.\\n\\nSi vous deviez comparer la Jeep Elite et la VTB League que diriez-vous ?\\n\\nJe pense qu’en VTB League, il y a cinq équipes qui ont vraiment un gros budget et qui peuvent ramener des gros joueurs, mais je pense qu’en-dessous c’est un peu plus faible qu’en France. C’est surtout dû aux JFL. Je pense que les JFL français sont meilleurs que les JFL russes. Mais les grosses équipes font venir des gros étrangers donc ça compense. Au niveau du jeu, c’est plus réfléchi mais moins athlétique qu’en France.\\n\\nQue pensez-vous de votre rôle cette saison ?\\n\\nÇa va, on a un gros roster donc tout le monde joue entre 15 et 25 minutes. Depuis ma blessure on a changé de coach donc je n’ai pas encore joué pour le nouveau coach (ndlr, Vlada Jovanovic) donc je ne sais pas ce qui m’attend. Ça se passait très bien avant que je me blesse en tout cas. Quant à ma blessure, je n’ai pas de date précise de retour mais dans deux semaines ça devrait être bon. J’ai déjà repris la course, je n’ai encore repris à 100% mais ça ne devrait pas tarder.\\n\\n« Je pense que sur la première fenêtre à laquelle j’ai participé j’ai pu montrer ce dont j’étais capable »\\n\\nComment voyez-vous la suite de votre carrière ?\\n\\nHonnêtement, je ne me projette pas du tout sur la suite de ma carrière. Peut-être que je vais aller en Euroleague ou peut-être qu’un jour j’en aurais marre d’être à l’étranger et je vais rentrer en France. Je ne sais pas, je fais ça au feeling.\\n\\nPensez-vous que la NBA est encore accessible ?\\n\\nJe ne pense pas vraiment à la NBA. Ça fait longtemps que ce n’est plus vraiment dans ma tête. S’il y a une opportunité on ne sait pas ce qui peut se passer, tout va très vite dans le basket, mais ce n’est pas dans ma tête à l’heure actuelle. En plus quand on va en NBA on sait jamais ce qu’on y trouve. Des grands joueurs peuvent se retrouver sans club. En NBA tu ne peux pas prévoir ce qui va t’arriver. Ça dépend de ta chance, d’où tu tombes, du coach, ça dépend de trop de trucs. Ce n’est pas comme on France où tu as des garanties en fonction de ton salaire. Là-bas tu ne sais pas si tu vas jouer ou pas.\\n\\nIl y aussi l’équipe de France à laquelle vous avez gouté l’année dernière, c’est un objectif la coupe du monde ?\\n\\nTout de suite, je ne pense pas trop à la coupe du Monde parce que je suis vraiment focalisé sur mon rétablissement. Mais en fonction de comment je reviens, c’est sûr que ça sera un objectif. Je pense que sur la première fenêtre à laquelle j’ai participé j’ai pu montrer ce dont j’étais capable. En septembre j’avais déjà ma pubalgie donc j’étais diminué et Vincent Collet m’a très bien géré pour me ménager. Je pense que j’ai réussi à me montrer, je pense que le coach est satisfait de ce qu’il a pu voir. Je pense que d’autres joueurs ont saisi leur chance donc c’est une « compétition » totalement ouverte. On verra qui sera en forme au bon moment, c’est surtout ça.\\n\\n« Youssoupha Fall, je pense qu’il n’est pas vraiment dans le même registre que moi »\\n\\nQue pensez-vous de la concurrence à votre poste ?\\n\\nIl y a plein de joueurs. Rudy Gobert, je pense, qu’il a déjà sa place plus ou moins assurée. Il y a Vincent Poirier qui fait une très bonne saison avec Vitoria, Mathias Lessort est très bon avec Malaga. On a tous des rôles et des profils différents donc ça dépendra de ce que le coach veut aussi à ce moment-là. Mais je pense que tout le monde a sa chance et que peu importe ce qui se passera, il n’y aura pas de scandale.\\n\\nSuivez-vous toujours la Jeep Elite et votre homonyme Youssoupha Fall ?\\n\\nOui je suis toujours la Jeep Elite. Youssoupha Fall, je pense qu’il n’est pas vraiment dans le même registre que moi. Il y a beaucoup de similitudes du fait qu’on soit grands et qu’on ait le même nom de famille mais je pense que lui c’est surtout un très bon rebondeur et un très bon finisseur alors que moi je suis plus dans le post-up, je suis plus dans la création que lui. Ça dépend aussi des joueurs autour, on n’a pas vraiment le même registre, mais c’est un très bon joueur, il apporte énormément. L’année dernière au Mans et cette année à Strasbourg. La SIG est dans une mauvaise période mais il fait une très bonne saison. Je ne pense que du bien de lui.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé votre intersaison, vous avez longtemps été annoncé proche de l’ASVEL, qu’est-ce qui a fait pencher la balance ?\\n\\nJ’ai été en contact avec l’ASVEL pendant plusieurs semaines, mais certains points n’ont pas été finalisés donc c’est pour ça que ça a tardé. Entre-temps, Krasnodar m’a approché en me proposant un contrat d’un an plus une autre année en option si on joue l’Euroleague l’année prochaine. Vu que de toute façon les deux équipes étaient en Eurocup, j’ai préféré signer à Krasnodar.\\n\\nÇa reste une option pour vous pour l’année prochaine avec l’Euroleague ?\\n\\nL’Euroleague avec l’ASVEL ça peut évidemment être une opportunité pour moi. J’avoue que pour l’instant mon objectif premier est de me soigner et de bien revenir à la compétition pour voir ce qui s’offre à moi. Ma priorité de la saison prochaine sera de jouer l’Euroleague, mais je ne sais pas encore où ça sera. Actuellement mon contrat se transformera automatiquement en un contrat de deux ans si Krasnodar va en Euroleague. 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L’ailier de la SIG Strasbourg sera ainsi indisponible un mois minimum indique le club.\\n\\nLes Alsaciens vont livrer demain un match capital à Ostende dans la course à la qualification aux huitièmes de finale de la Champions League.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine: Bourges vs ASVEL en demi-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France féminine, Trophée Joë Jaunay, a été effectué ce matin au siège de la fédération à Paris et offre un choc entre Bourges et Lyon ASVEL féminin. 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Plongez au cœur de Madrid, la capitale espagnole, avec Corentin.\\n\\nMadrid est une ville surprenante. Malgré le fait qu’elle soit assez administrative, elle garde un style hors du temps, ses grandes avenues dénotent d’un grand sens de l’esthétisme. On passe tour à tour des arts décoratifs à l’art nouveau, en transitantpar l’art andalou. Et même si parfois on sent la foule active qui se presse vers ses activités, on devine que certains endroits comme le parc d’El Retiro ou le Parc Sabatini dénotent d’une volonté de tranquillité de ses habitants. C’est ce qui rend cette ville unique. Sorte de capitale unique. 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Dans un entretien à Buzzer sur RMC Sport, le boss de l’Euroleague, Jordi Bertomeu a confirmé qu’une place pourrait être réservée à l’avenir à un club de la capitale en l’occurence le Paris Basketball.\\n\\n« Je pense qu’on ne peut pas attendre de deuxième équipe à moyen terme dans les trois-quatre ans, ça n’arrivera pas. Mais, à plus long terme, la ligue a prouvé qu’elle était flexible. L’évolution de la ligue l’amènera vers de nouveaux marchés. De gros marchés... »\\n\\nOn sait qu’une aréna de 7-8 000 places (ce qui à l’échelle de l’Euroleague est d’une capacité très restreinte, ceci dit en passant) sera construite Porte de la Chapelle dans le cadre des Jeux Olympiques de Paris’2024.\\n\\nCette déclaration peut par ailleurs doucher les espoirs de la SIG Strasbourg qui envisage d’être candidate à la compétition reine d’Europe une fois sa nouvelle aréna construite.\\n\\nMais l’Euroleague nous a habitué dans le passé à de moult rebondissements.\\n\\nEn attendant, un Final Four devrait être programmé de nouveau rapidement dans la capitale française.\\n\\n\\n\\n\\n🏀 \\Un deuxième club français ne fera sens que si il est à Paris quand nous aurons un projet solide avec une Arena\\\\n\\n\\nJordi Bertomeu (Président EuroLeague), revient sur la présence d'une deuxième équipe française en Euroleague pic.twitter.com/szaluKYV1s\\n\\n\\n— RMC Sport Basket (@RMCSportBasket) February 4, 2019" }, {"role": "user", "content":"Joueur du mois de janvier en Jeep Elite: Travis Leslie, Jerry Boutsiele ou David Holston" }, {"role": "assistant", "content":"Travis Leslie, Jerry Boutsiele et David Holston sont proposés pour l’élection du joueur du mois de Janvier en Jeep Elite. Pour voter, cliquez-ici.\\n\\nTravis LESLIE (1,93 m, 28 ans, Boulazac)\\n\\n16,3 points / 8 rebonds / 2,6 passes / 23,3 d’évaluation\\n\\nSon meilleur match : 23 points, 9 rebonds, 3 passes pour 32 d’évaluation dans la victoire à Cholet\\n\\nJerry BOUTSIELE (2,07 m, 26 ans, Limoges)\\n\\n14 points / 7 rebonds / 3 passes / 20 d’évaluation\\n\\nSon meilleur match : 15 points et 8 rebonds pour 23 d’évaluation dans la victoire à Châlons-sur-Saône\\n\\nDavid HOLSTON (1,73 m, 33 ans, Dijon)\\n\\n17 points / 8 passes / 1,3 rebonds / 17,6 d’évaluation\\n\\nSon meilleur match : 18 points, 3 rebonds, 9 passes, 2 interceptions pour 23 d’évaluation dans la victoire face à Strasbourg" }, {"role": "user", "content":"BCL: Le calvaire d’Opava va enfin prendre fin" }, {"role": "assistant", "content":"Le calvaire va prendre fin en Basketball Champions League pour les Tchèques d’Opava. Ils n’ont gagné qu’un seul de leurs 13 matches. Malheureusement, c’était contre Nanterre 92 (74-62), ce qui risque de coûter cher aux hommes de Pascal Donnadieu.\\n\\nRécemment, les Tchèques ont pris de sacrées dégelées: -37 à Bonn, -46 à Nanterre qui s’était vengé de l’affront de l’aller, -33 à domicile face à Holon, -50 au PAOK Salonique et... -59 à Tenerife.\\n\\nCe soir là en Espagne, les Tchèques ont marqué 38 points. Soit par quart-temps: 8, 11, 10 et 9. Ils ont shooté à 21,5% (14/65 aux tirs). Seulement quatre joueurs ont obtenu une évaluation positive avec la « meilleure » performance pour Jakub Sirina avec 7.\\n\\nLa réception de ce soir des Allemands de Bonn laisse peu d’espoirs.\\n\\nPrécision importante: cette équipe qui occupe actuellement la 7e place du championnat national ne comporte aucun joueur étranger.\\n\\nOn fait l’histoire de la BCL comme on peut.\\n\\nPhoto: Jan Svandrilk (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: La fanfare et les supporters de SQBB dans les rues de Saint-Quentin avant le choc face à Souffel" }, {"role": "assistant", "content":"Saint-Quentin, qui a connu de nombreuses saisons en Pro A et en Pro B, est une ville de basket. A ceux qui en doutent, voici comment la fanfare et près de deux cent supporters ont investi les rues de la ville avant le choc de la Nationale 1 face à Souffelweyersheim, en partant de l’Hotel de Ville jusqu’au Palais des Sports.\\n\\n2 720 spectateurs attendaient SQBB à l’intérieur de l’enceinte et ont poussé leur équipe qui a fait la différence dans la dernière minute. Score: 70-65.\\n\\n« Tous les ingrédients étaient réunis pour gagner. Le public nous a bien aidés. Je pense que c’était un très bon match de basket, un bon petit match de Pro B », a déclaré Lamine Kanté à L’Aisne Nouvelle.\\n\\nLes Axonais sont désormais en tête de la poule A et ont hâte de revenir dans le circuit professionnel.\\n\\nhttps://www.facebook.com/MATELE.TV/videos/385919768885703/UzpfSTEwMDAwMzI3ODYxMjQwMToyMTA1MTAzNTcyOTQyMjQz/?q=patrick%20leroy&epa=SEARCH_BOX\\n\\nhttps://www.facebook.com/eric.jonneau/videos/10215995838521925/UzpfSTEwMDAwMzI3ODYxMjQwMTpWSzoxOTk5OTgzNTkwMTIwMzAy/" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Un reportage sur Antibes-Le Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Des images de jeu, d’ambiance, inside et de la conférence de presse du match Antibes-Le Portel avec la victoire des Sharks (78-63)." }, {"role": "user", "content":"Yannick Bokolo: «Le plus important c’est de gagner, de rester en haut du classement»" }, {"role": "assistant", "content":"Avec sa victoire (63-59) sur Dijon à l’issue d’un match très chaotique voici l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez seul à la deuxième place de la Jeep Elite, à une seule victoire de Villeurbanne et avec une d’avance sur Nanterre.\\n\\n« On avait eu un match référence face à Strasbourg tout en sachant aussi que la SIG avait mal joué également. Ce soir, on tombait face à la meilleure défense du championnat alors même si on a bien débuté le match en attaque, on savait qu’à un moment donné cela deviendrait compliqué et c’est ce qui est arrivé », a analysé Yannick Bokolo en conférence de presse. « On a manqué de lucidité et d’énergie par moment en attaque, c’était très dur avec beaucoup de fautes non sifflées et de nombreuses balles perdues. On a réussi à retrouver heureusement un peu d’adresse en fin de match. Holston est petit, il était difficile à tenir, même si on a essayé de l’isoler et de le fatiguer. On a essayé de jouer avec ce que Dijon nous proposait ce soir, à savoir la défense. Le plus important c’est de gagner, de rester en haut du classement. On arrive en plus à récupérer le point average, c’est important car ainsi c’est presque deux matches gagnés face à Dijon. Il faut prendre tout ce que l’on peut prendre car à la fin cela comptera beaucoup. On peut encore progresser et c’est ça le plus important, de toujours regarder vers le haut. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Levallois : Jaron Johnson blessé, Maalik Wayns en renfort" }, {"role": "assistant", "content":"Mauvaise nouvelle du côté de Levallois. Après la blessure de Rasheed Sulaimon, c’est maintenant Jaron Johnson (1,98m, 26 ans) qui rejoint l’infirmerie du club. Il est remplacé par Maalik Wayns (1,85m, 27 ans).\\n\\nAbsent de la feuille de match face à l’ASVEL samedi, l’ancien pensionnaire de l’université de Louisiana Tech s’est blessé à la cuisse nous a indiqué le club. Arrivé en tant que pigiste médical de Rod Odom en mars 2018, l’arrière texan avait donné pleine satisfaction au staff levalloisien et s’est vu offrir un contrat en fin de saison pour l’exercice 2018/19. Cette saison, Jaron Johnson tourne à 10,2 points et 3,3 rebonds par match.\\n\\nFormé à l’Université de Villanova, Maalik Wayns est un meneur de jeu scoreur. Brièvement passé par la NBA entre 2012 et 2014, il a traversé l’Atlantique en 2015 pour lancer sa carrière en Europe. Passé par Varese, Krasnoïarsk ou encore Badalone, il évoluait depuis le début de saison à Trévise pour des moyennes de 11,4 points, 1,8 rebond et 3,4 passes décisives en deuxième division italienne.\\n\\n\\n\\n\\n🚨OFFICIEL🚨\\n@MaalikWayns2 est le pigiste médical de Jaron Johnson, blessé pour le moment.\\nPassé par la @NBA, nous lui souhaitons la bienvenue parmi les @LevalloisMetro !!️\\n\\n\\n#GoLM #JeepElite pic.twitter.com/LR15gVFrQf\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) February 4, 2019\\n\\nPhoto : Karen Mandau" }, {"role": "user", "content":"ASVEL : Théo Maledon forfait à Ulm" }, {"role": "assistant", "content":"Touché à l’épaule gauche en championnat vendredi contre Levallois (81-75), Théo Malédon (1,92m, 17 ans) ne sera pas présent pour le prochain match de l’ASVEL ce mardi en EuroCup face à Ulm, selon le site Obuzzer. Le joueur doit passer dans l’après-midi des examens complémentaires pour connaître la durée de son indisponibilité.\\n\\nEn revanche, après une semaine de repos, le lituanien Mantas Kalnientis est de retour et Livio Jean-Charles revient également dans l’effectif villeurbannais. Ce match est sans enjeu pour les hommes de Zvendan Mitrovic déjà assurés de leur qualification pour les quarts de finale de l’EuroCup avec la première place de leur groupe à la clé.\\n\\n\\n\\n\\nTouché à l’épaule gauche contre Levallois, Théo Maledon n’effectue pas le déplacement à Ulm avec @LDLCASVEL. Il doit passer dans l’après-midi des examens complémentaires pour connaître la durée de son indisponibilité. En revanche, Livio Jean-Charles et Mantas Kalnietis sont aptes\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) February 4, 2019" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Alain Thinet prolongé à la tête de Saint-Chamond" }, {"role": "assistant", "content":"Chef d’orchestre de Saint-Chamond depuis 2010, faisant monter le club de la Nationale 1 à la Pro B, Alain Thinet (65 ans) vient de prolonger son contrat.\\n\\nSixième du classement de Pro B (11v-6d), le SCBVG sort d’une victoire face au Paris Basketball et annonce la resignature de son entraîneur qui s’est engagé pour deux saisons de plus. Coach professionnel depuis 1988, Alain Thinet est passé par Roanne, Vichy, Cholet, Châlons-en-Champagne, Bourg-en-Bresse, Dijon, Saint-Etienne, Besançon et Nyon (Suisse).\\n\\n\\n\\n\\nL'histoire continue entre le @SCBVG et notre coach Alain Thinet✌️\\n📃Alain a prolongé son contrat de deux ans et permet ainsi au club de se projeter sereinement, avec en ligne de mire le projet \\Horizon 2022\\ et cette nouvelle salle qui arrive prochainement... 🏗Félicitations !! pic.twitter.com/jANsnf45sU\\n\\n\\n— Saint-Chamond Basket Vallée du Gier (@SCBVG) February 4, 2019\\n\\nPhoto : Laurent Peigue" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Sterling Gibbs arrive à Nantes" }, {"role": "assistant", "content":"Le Nantes Basket Hermine a annoncé ce lundi via un communiqué l’arrivée du combo guard américain Sterling Gibbs (1,88m, 25 ans) pour la deuxième partie de saison.\\n\\nAyant eu un parcours universitaire mouvementé entre les universités du Texas, de Seton Hall et du Connecticut, il a également beaucoup bougé pendant sa carrière professionnelle, l’Hermine étant son sixième club en trois ans. Etant passé entre autres par la Hongrie, la République Dominicaine, la Russie et la Grèce, l’Américain sort d’une saison 2017-18 à 21,5 points de moyenne à Kaposvari en première division hongroise.\\n\\nSerling Gibbs apportera ses qualités de scoreur aussi bien dans la raquette qu’à trois-points dans une écurie nantaise qui a perdu son meilleur scoreur Jermaine Marshall décédé mi-janvier." }, {"role": "user", "content":"Après Cholet, Tywain McKee remercié par son club polonais" }, {"role": "assistant", "content":"L’exercice 2018/19 de Tywain McKee (1,88m, 32 ans) ne restera pas dans les mémoires pour sa qualité statistique.\\n\\nAprès avoir été très vite remercié par Cholet pour mauvaise conduite, le natif de Philadelphie avait trouvé refuge en dans le club polonais de Szczecin fin décembre. Un peu plus d’un mois plus tard, l’ancien joueur du MSB a quitté le club, rapporte la formation polonaise sur son site sans pour autant s’étendre sur les raisons de ce départ.\\n\\nIl a compilé en moyenne 6,4 points et 2,8 passes en cinq matchs de première division polonaise.\\n\\nPhoto :King Szczecin" }, {"role": "user", "content":"Interview Jean-Louis Borg (manager général JDA Dijon): «La BCL, une très agréable surprise»" }, {"role": "assistant", "content":"Avant le choc contre Pau, nous en avons profité pour faire le point avec Jean-Louis Borg, ancien entraineur devenu manager général du club, notamment sur le retour de la JDA sur la scène européenne et la façon dont le club a pu profiter de ce marche pied pour progresser à tous les niveaux.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDijon de retour en 2018-19 en coupe d’Europe, c’était important pour la JDA Dijon ?\\n\\nD’abord, il y avait au club une vraie volonté, une vraie envie de renouer avec la coupe d’Europe, en raison de notre parcours la saison dernière en Jeep Elite, de nos bons résultats. C’est quelque chose de très important pour un club. Que les bons résultats d’une année permettent de décrocher quelque chose pour la saison suivante. Donc pour nous, c’était déjà une vraie satisfaction de retrouver l’échelon européen. On ne connaissait pas la BCL, qui n’existait pas la dernière fois que Dijon était européen.\\n\\nComment vous évaluez cette première saison en Basketball Champions League ?\\n\\nCela a été une très agréable surprise. Dès le tirage au sort, on a pu se rendre compte de la qualité d’organisation de cette compétition, à la fois au niveau de la structure mais aussi au niveau de l’équipe qui travaille au quotidien pour la BCL. On a toujours eu des interlocuteurs privilégiés pour nous permettre d’avancer sur ce dossier. Parce qu’il faut voir qu’on partait presque de zéro par rapport à l’organisation de matches de coupe d’Europe. C’est déjà un aspect qui a été énormément apprécié au niveau du club. On s’est rendu compte que c’était sérieux, organisé, structuré. Ça nous a facilité la tâche pour rentrer de plein pied dans la compétition, d’abord à domicile par rapport à toute l’organisation avec le cahier des charges à respecter.\\n\\n« On a un effectif assez réduit et on savait que l’enchaînement des matches Jeep Elite et BCL pouvait nous poser problème »\\n\\nEst-ce que cela a été un challenge au niveau du club de s’adapter ?\\n\\nLes exigences cohérentes de la BCL nous ont obligé à booster tout le monde au club, niveau administratif et organisationnel. A la fois cette rigueur sur les retransmissions télé par exemple, ce qui est très important aux yeux de la BCL – et à juste titre. Une grosse nouveauté pour nous a été au niveau de la communication numérique et digitale parce que vraiment la BCL est très performante à ce niveau là et ils passent beaucoup d’énergie dans ce registre. Ça nous a obligé à nous mettre au niveau. Je suis persuadé que le fait de participer à cette compétition a participé à l’amélioration de tous nos réseaux sociaux. Ils sont très compétents et ça a été une prise de conscience pour nous. Cela devient un élément incontournable. Mais la Jeep Elite a aussi la même démarche. La manière dont on nous a demandé de gérer cette compétition a été très bénéfique pour notre organisation de club au quotidien. C’est aussi par ce genre d’étapes qu’un club progresse. Mais je le répète, ce qui m’a plu dans cette compétition, c’est qu’il y avait vraiment une démarche de nous aider à répondre au cahier des charges, à commettre le moins d’erreurs possible. On a trouvé une vraie tolérance et un vrai accompagnement pour nous permettre d’être au niveau. C’est ça qui est intéressant. Parce que sur une première saison, on découvre beaucoup de choses. Surtout pour nous qui partageons notre salle avec le handball par exemple. On a vraiment apprécié cet accompagnement, énormément en début de saison. L’équipe de la BCL est venue nous rendre visite, Emmanuel [Julien, chef des opérations de la BCL] avec Joshua [Landicho, membre du staff de la BCL]. On est rentré dans les détails des mises en place avec tout le monde. Ils ont aussi un employé spécialisé pour les retransmissions, donc au final, on aborde les jours de matches avec énormément de préparation.\\n\\nSportivement, comment jugez-vous la saison ?\\n\\nLe tirage au sort ne nous a pas gâté. De l’avis général, nous sommes tombés dans la poule la plus relevée sans doute depuis la création de la compétition. L’AEK Athènes tenant du titre, l’Hapoel Jérusalem qui clairement veut aller au bout, Bamberg qui arrive de l’Euroleague. Nymburk, l’équipe tchèque a une belle tradition européenne depuis des années, Fuenlabrada, on connait la force du basket espagnol et Panevezys, c’est la Lituanie, un autre grand pays de basket. Ça faisait un peu lourd. Alors, le côté positif, c’est qu’on a eu des matches supers, des belles équipes, mais sur la première partie de saison, on n’a pas été trop loin, même face aux grosses écuries. Malheureusement, on n’a pas su accrocher certaines victoires. On a un effectif assez réduit et on savait que l’enchaînement des matches Jeep Elite et BCL pouvait nous poser problème. Mais ce choix était lié à la massa salariale, avec 9 pros et 2 espoirs pour compléter. Mais on a lutté de manière cohérente avec les trois équipes qui étaient à notre niveau. Il aurait fallu accrocher un match ou deux sur les grosses écuries, ce qu’on n’a pas été capables de faire. On apprend beaucoup de cette première expérience, sportivement.\\n\\nEst-ce que vous pouvez détailler cet apport sportif qu’amène le fait d’évoluer en BCL ?\\n\\nC’est toujours bien de renouer avec des cultures de basket différentes selon les pays. C’est toujours très enrichissant. Après, l’enchainement des matches de haut niveau, même si ça laisse des traces au niveau de la fatigue et de l’état physique, c’est bénéfique et on en récolte les fruits en championnat. C’est clair pour moi. Pour toutes ces raisons-là, c’est un vrai plus d’avoir participé à cette BCL et ça donne envie d’y retourner le plus rapidement possible.\\n\\nAvec des jeunes à fort potentiel comme Axel Julien ou Alex Chassang, c’est particulièrement important pour leur développement ?\\n\\nRien ne remplace la compétition. Seule la compétition et l’adversité fait progresser. Axel et Alex sont dans cette démarche-là, même si ce sont déjà des joueurs confirmés, ils cherchent toujours à progresser et là, on sent qu’ils progressent. Alors, il n’y a pas que la BCL qui l’explique. Ils travaillent au quotidien et ils sont récompensés : Axel est presque systématiquement dans le groupe de l’équipe de France et Chass’ va être partenaire d’entraînement sur la prochaine fenêtre internationale de février. Donc ce sont des garçons qui travaillent bien et que la BCL leur permet de progresser par rapport à l’adversité qu’ils rencontrent.\\n\\nEst-ce que le processus de qualification de la BCL, qui se joue au mérite sportif dans le championnat, avec une transparence sur les finances aussi, est-ce un système qui vous convient ?\\n\\nOui. La récompense vient du sportif. C’est quand même l’essence de la compétition. Être récompensé pour ses résultats. Mais la lisibilité qu’on a au niveau du budget et ce que cela représente, la transparence de la BCL à ce niveau-là, pour mon président (Thierry Degorce) qui est un chef d’une grosse entreprise, donc très attaché à la gestion du club, c’est important de savoir comment on part dans l’aventure. Donc à la fois sur le sportif et sur le financier, cette transparence est appréciable.\\n\\n[armelse]\\n\\nDijon de retour en 2018-19 en coupe d’Europe, c’était important pour la JDA Dijon ?\\n\\nD’abord, il y avait au club une vraie volonté, une vraie envie de renouer avec la coupe d’Europe, en raison de notre parcours la saison dernière en Jeep Elite, de nos bons résultats. C’est quelque chose de très important pour un club. Que les bons résultats d’une année permettent de décrocher quelque chose pour la saison suivante. Donc pour nous, c’était déjà une vraie satisfaction de retrouver l’échelon européen. On ne connaissait pas la BCL, qui n’existait pas la dernière fois que Dijon était européen.\\n\\nComment vous évaluez cette première saison en Basketball Champions League ?\\n\\nCela a été une très agréable surprise. Dès le tirage au sort, on a pu se rendre compte de la qualité d’organisation de cette compétition, à la fois au niveau de la structure mais aussi au niveau de l’équipe qui travaille au quotidien pour la BCL. On a toujours eu des interlocuteurs privilégiés pour nous permettre d’avancer sur ce dossier. Parce qu’il faut voir qu’on partait presque de zéro par rapport à l’organisation de matches de coupe d’Europe.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Axel Julien, JDA et Alexandre Chassang (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Sekou Doumbouya s’envole pour un dunk de la ligne des lancers francs" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours en convalescence après s’être blessé au poignet fin décembre, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) prépare son retour à la compétition.\\n\\nA l’occasion d’une séance d’entraînement à Beaublanc, l’ancien joueur de Poitiers a montré que ses qualités athlétiques lui permettent de faire des très belles choses. Après quelques mètres d’élan, la pépite limougeaude a pris appui sur la ligne des lancers francs pour aller récupérer un alley-oop.\\n\\nObservé par le spécialiste de la Draft NBA de ESPN, Mike Schmitz, ce lundi, l’ancien pensionnaire de l’INSEP pourrait faire son retour avec le CSP samedi 9 février à l’occasion de la réception de Strasbourg.\\n\\nVidéo du dunk ici.\\n\\nhttps://twitter.com/Mike_Schmitz/status/1092356054955032576\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Gravelines: Retour de Benjamin Sène après deux mois d’absence" }, {"role": "assistant", "content":"Blessé au pied le 8 décembre à Chalon, Benjamin Sene va reprendre la compétition contre la même équipe ce soir à Sportica.\\n\\nAvant cette blessure, le meneur du BCM Gravelines tournait à 8,2 points et 5,0 passes en 22 minutes. Le problème, c’est que le BCM a engagé depuis comme pigiste l’Américain Kendall Anthony, qui devrait rester au club jusqu’à la fin de saison, sachant que le meneur numéro 1 est Edgar Sosa qui cumule blessure et suspension. Comment la ligne arrière va t-elle désormais s’articuler?\\n\\n« On verra, on n’a pas encore joué ensemble », répond Benjamin Sène à La Voix des Sports, qui en parlant de Kendall Anthony, dit: « C’est un très fort attaquant, très rapide avec des changements de vitesse et de direction impressionnants et un très fort scoreur. Moi, il faut que je joue mon jeu, c’est ce qu’on attend, que je remette mes qualités sur le terrain. Après, sur la façon dont ce sera géré quand Edgar reviendra, on verra à ce moment-là. »\\n\\nPhoto BCM" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Felipe Reyes (Real Madrid) nouveau recordman de matches joués en Liga ACB" }, {"role": "assistant", "content":"Avec son 779ème match en Liga ACB, Felipe Reyes (2,06, 38 ans) a battu ce dimanche le record du plus grand nombre de matches joués en championnat espagnol. Il était auparavant à égalité avec Joan Creus.\\n\\nCe record s’est malheureusement soldé par une défaite des Madrilènes en prolongation face à Malaga (103-102).\\n\\nA l’aube de ses 39 ans (il les aura le 18 mars prochain), l’intérieur possède l’un des palmarès les plus importants de l’histoire du basket européen avec 6 titres de champion d’Espagne, 2 EuroLeague et deux titres de MVP de la Liga ACB. Son palmarès en sélection est tout aussi garni avec 3 Eurobasket (2009, 2011 et 2015), une Coupe du Monde en 2006 et deux médailles d’argent aux Jeux Olympiques en 2008 et 2012.\\n\\nIl n’a connu que deux clubs dans sa carrière, l’Estudiantes Madrid avec qui il a joué entre 1998 et 2004, et le Real Madrid avec qui il est actuellement en train de boucler sa quinzième saison." }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Verdict attendu pour les clubs français en BCL" }, {"role": "assistant", "content":"Si la JDA Dijon est hors course, Le Mans, Nanterre et Strasbourg jouent cette semaine leur qualification en huitièmes de finale de la Basketball Champions League.\\n\\nLundi 4 février:\\n\\n20h45 – Gravelines/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nMardi 5 février:\\n\\n18h45 – Ulm/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Le Mans/Anvil – BCL – Basket+\\n\\n21h00 Hapoel Holon/Nanterre – BCL – Canal+ Sport\\n\\nMercredi 6 février:\\n\\n18h30 – Ostende/Strasbourg – BCL – Basket +\\n\\n20h30 – Dijon/Hapoel Jerusalem – BCL – Canal + Sport\\n\\n20h40 – Valence/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n23h45 – Vilnius/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 7 février:\\n\\n19h00 – Podgorica/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n21h00 – Barcelone/Kaunas – Euroleague – RMC Sort 2\\n\\nVendredi 8 février:\\n\\n20h30 – Vitoria/Bayern – Euroleague – RCM Sport Live 5\\n\\nSamedi 9 février:\\n\\n18h30 – Limoges/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 10 février:\\n\\n18h30 – Chalon/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Julian Gamble, Nanterre (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Le Bayern Munich toujours invaincu après 18 journées" }, {"role": "assistant", "content":"Cumuler championnat d’Allemagne et Euroleague n’est pas un problème pour le Bayern Munich. Deux jours après leur spectaculaire victoire face à Fenerbahçe (90-86), les Bavarois ont largement pris le dessus sur Jena: 103-71. Ils sont ainsi toujours invaincus en Bundesliga après 18 journées. Oldenburg et l’Alba Berlin -qui compte deux matches en moins- ont déjà quatre défaites à leur passif, Bamberg et Vechta cinq.\\n\\nLes 5 100 spectateurs de l’Audi Dome ont d’abord constaté que leurs joueurs montraient des signes de fatigue mais ceux-ci ont pris les commandes dans le troisième quart-temps pour ne plus les lâcher. Preuve de la robustesse de son effectif, les 11 joueurs du Bayern ont scoré et 6 en double figure avec un record pour Nihad Djedovic (16). C’est d’autant plus remarquable que Maodo Lo, Devin Booker, Stefan Jovic et Leon Radosevic étaient forfait pour différentes raisons.\\n\\n« Félicitations à Dejan pour sa victoire et son anniversaire », a commenté le coach de Jena, Björn Harmsen, à propos de son collègue Dejan Radonjic. « Pour ce match contre le Bayern, nous avons décidé de faire preuve de beaucoup d’énergie et de perturber leur rythme en raison de leur match de jeudi. Nous avons très bien joué au premier quart. Par la suite, l’avantage du terrain et la qualité du Bayern ont prévalu. Je souhaite au FCBB tout le meilleur possible pour la BBL et l’Euroleague et que l’équipe atteigne ses objectifs dans les deux compétitions. «\\n\\nLe Bayern est septième en Euroleague avec 11 victoires pour 10 défaites. Sa réussite actuelle peut être une source d’espoir pour l’ASVEL qui comme lui va bénéficier de deux ans garantis en Euroleague. C’est possible de tenir la cadence effrénée imposée par les deux compétitions. A condition d’avoir l’effectif adéquat.\\n\\nPhoto: Alex King (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Pau-Dijon: Vidéo gag et remontée de bretelles" }, {"role": "assistant", "content":"Pau-Dijon. C’était un match prestigieux pour l’attribution de la deuxième place de la Jeep Elite et on a assisté à une parodie car n’allez pas croire que ce sont des défenses en acier qui ont amené ce score étriqué (63-59). Ce sont les deux équipes qui se sont données la main pour réaliser une sorte de vidéo gag ou de bloopers (gaffes) comme disent les Américains quand ils réalisent un best of de tirs trop courts, trop longs, trop à gauche, trop à droite, de passes mal ajustées, de glissades, d’initiatives malheureuses.\\n\\n« Avec toutes ses briques, Trump pourrait le construire, son mur », a lancé le journaliste de RMC Sport David Cozette un peu dépité.\\n\\nAprès trois quarts-temps, Pau menait 17 à 16 aux... balles perdues. Les deux équipes vont d’ailleurs réussir à en additionner davantage que de paniers !\\n\\nSoyons honnête, ça s’est un peu amélioré dans le dernier quart. Jusque-là tenu à deux points, le meneur de la JDA David Holtson a envoyé deux flèches de très loin pour remettre une première fois son équipe dans la course (54-55) et une autre un peu plus tard pour lui donner une seconde chance (59-61). Cependant, ce même David Holston, sur la balle de match, tentait une passe trop audacieuse à son compatriote Ryan Pearson, qui en perdait le contrôle. Le symbole de quarante minutes pathétiques.\\n\\nL’Elan Béarnais, qui a tout le temps mené s’est ainsi imposé 63-59. Le pire match de l’année, peut-être, mais qui a tout de même donné lieu à un temps-mort culte du coach Laurent Legname qui a réalisé une remontée de bretelles XXL dont il a le secret.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/419436038812182/\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine: Bourges, Charleville, Lyon et Tarbes en demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"Bourges, Charleville Mézières, Lyon ASVEL féminin et Tarbes sont les quatre qualifiés pour les demi-finales de la Coupe de France féminine dont le tirage au sort aura lieu demain au siège de la FFBB à Paris.Les statistiques les plus impressionnantes ont été l’oeuvre de la meneuse de Charleville, Amel Bouderra auteure de 16 passes -plus 13 points- face à Roche Vendée, et de la Brésilienne de l’ASVEL, Clarissa Dos Santos (18 points et 13 rebonds) face à Villeneuve d’Ascq. Par ailleurs, Basket Landes a eu jusqu’à 9 points d’avance avant de voir Tarbes lui filer devant dans le derby du sud ouest.\\n\\nSamedi 2 février\\nC’Chartres BF (LF2) – Bourges Basket (LFB) : 45-104\\n\\nDimanche 3 février\\nCharleville-Mézières (LFB) – Roche Vendée (LFB) : 99-89 a.p.\\nLyon ASVEL Féminin (LFB) – Villeneuve d’Ascq (LFB) : 82-62\\nBasket Landes (LFB) – Tarbes GB (LFB) : 60-66" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: La tentative de dunk de Kendra Chery (ASVEL)" }, {"role": "assistant", "content":"Ce dimanche, lors du match de Coupe de France que son équipe a largement remporté face à Villeneuve d’Ascq (82-62), la Lyonnaise Kendra Cherry (1,88m, 17 ans), l’une des pépites du basket féminin français, a tenté un dunk en contre-attaque. Et d’après les témoins, elle n’était pas loin de le réussir. Voici deux vidéos qui nous donnent une idée de sa performance. En attendant le geste totalement accompli.\\n\\nhttps://twitter.com/tom_thuillier/status/1092131360175767554\\n\\nhttps://twitter.com/ASVEL_Feminin/status/1092140568514359296\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Soupçonné de triche aux paris lors d’un match face à Dijon, le Lituanien Vaidas Kariniauskas a trouvé refuge dans un club grec" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière lituanien Vaidas Kariniauskas (1,98m, 25 ans) a fait ses débuts hier soir dans la Ligue Grecque avec Kymis face au Kolossos Rhodes. Il a marqué 14 points et fait 4 passes en 20 minutes. Anecdotique ? Pas tant que cela.\\n\\nVaidas Kariniauskas est soupçonné d’être impliqué dans un scandale de paris dans son pays d’origine après qu’un de ses amis ait misé 2 000 euros sur le lui lors d’un match de Champions League opposant Lietkabelis (l’ancienne équipe de Kariniauskas) et... la JDA Dijon. Cette connaissance du joueur a parié sur une « piètre » performance du joueur et ce soir-là, le Lituanien s’est contenté de 2 points à 1/6 aux tirs.\\n\\n« Nous avons reçu des informations sur le comportement potentiellement frauduleux du basketteur Vaidas Kariniauskas. Cette information a été fournie par l’une des sociétés de jeux sous licence en Lituanie », a déclaré un responsable de l’organisme qui contrôle les paris dans un communiqué. « À notre connaissance, les sociétés de paris sportifs Betsafe et Top Sport ont reçu des paris exceptionnellement importants et récurrents liés aux performances de Kariniauskas. »\\n\\nSuite à ce scandale nationale, le club et le joueur ont pris la décision de se séparer mais il y a quelques jours, la Fédération lituanienne a annoncé qu’elle n’enverrait pas de lettre de sortie pour que Kariniauskas puisse jouer avec sa nouvelle équipe grecque en raison de l’enquête menée à son sujet. Mais visiblement elle l’a fait ou alors le club a passé outre...\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 5 609 spectateurs à Nancy pour la venue de Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Le SLUC Nancy manque à la Jeep Elite ! C’est à la fois un cri du coeur et un fait objectif. On parle d’un club cinq fois finaliste de la Pro A de 2005 à 2011 et deux fois champion de France. On parle aussi d’un club qui dans les années 2000 -Pau faisant des passages en Pro B- fut celui qui mobilisa le plus de public. Mais c’est dans les traversés du désert que l’on compte ses véritables amis et le SLUC en compte toujours des milliers en Lorraine même s’il est tombé dans la deuxième division d’élite. Hier, ils étaient 5 609 à Gentilly pour encourager leur équipe face au leader, la Chorale de Roanne.\\n\\nLeur équipe les a gâtés. Large victoire: 86-70. Contenir les Roannais à si peu de points, c’est fort. Et il y a aussi quelques autres chiffres remarquables concernant des performances individuelles :\\n\\n-Les 20 points à 7/11 aux tirs du Cubain Yunio Baruetta.\\n\\n-Les 23 points de l’increvable John Cox, 37 ans.\\n\\n-Les 11 points, 5 rebonds et 3 passes de Marcellus Sommerville, qui lui aussi aura 37 ans à la fin du mois.\\n\\n-Et aussi côté jeunesse, le double double (12 points, 11 rebonds) de Bastien Vautier (2,10m, 20 ans).\\n\\n« À l’unisson et dans l’euphorie générale, Patrick Hurni, le légendaire fantassin du kop nancéien, lança un clapping digne des grandes soirées islandaises à l’Euro de foot en France. Fous de bonheur, les 5.609 spectateurs se mirent à savourer sans modération, évacuant au passage des mois et des mois de frustration. Il y a très longtemps que le SLUC, dans un match au sommet et au parfum de Jeep Élite, n’avait pas procuré autant d’émotions », a écrit L’Est Républicain, lui aussi un fidèle du SLUC même dans l’adversité. »\\n\\nEn compagnie de Orléans et Vichy-Clermont, le SLUC n’est plus qu’à une victoire de la Chorale au classement.\\n\\nPhoto: John Cox (SLUC)" }, {"role": "user", "content":"Kevin Séraphin (FC Barcelone) : «Je suis vraiment confiant sur nos chances d’aller en playoffs»" }, {"role": "assistant", "content":"Le FC Barcelone a beaucoup progressé cette saison en EuroLeague par rapport à l’an dernier et Kevin Séraphin (2,06m, 29 ans) a un avis particulier sur la raison de cette progression. Si le club catatan a fait cet été un recrutement XXL avec l’arrivée de Kevin Pangos et de Chris Singleton, les plus gros progrès viennent de l’entraîneur Svetislav Pesic selon l’international français. Dans son interview accordée à Eurohoops, le Guyanais revient également sur la saison du Barca, de son rôle au sein de l’équipe, et de sa saison 2017-2018 gâchée par une blessure au genou.\\n\\nA propos de la saison de son club, actuel cinquième de l’EuroLeague avec 12 victoires pour 9 défaites :\\n\\n« Je suis vraiment confiant sur nos chances d’aller en playoffs, mais je ne veux pas parler trop tôt, quand je suis sur qu’on ira en playoffs, on en parlera. Tout peut se passer, comme des blessures ou d’autres choses dans le genre, on pourrait se retrouver dans une situation difficile. On veut prendre les matchs les uns après les autres, c’est pour ça que je ne veux pas parler trop tôt. Une fois qu’on aura garanti la place en playoffs, le prochain objectif est la quatrième place »\\n\\nKevin Seraphin est désormais un joueur en sortie de banc et il comprend sa mission:\\n\\n« Je n’étais pas sur du résultat au début, maintenant je réalise le bien que ça fait. Bien évidemment que j’aimerais prendre plus de shoots mais je comprends que ce que je dois faire c’est défendre. Tu dois faire des sacrifices quand tu es dans une grande équipe, tu dois accepter ton rôle. Ma manière de penser est différente, je suis plus concentré sur les rebonds et la défense. En attaque je fais comme je fais d’habitude, je n’ai jamais eu de problèmes offensivement, mais les efforts que je fais en défense est ce dont l’équipe a besoin ».\\n\\nAu sujet de son coach, le serbe Svietislav Pesic, le Français n’est pas avare en compliments :\\n\\n« C’est fou, il rassemble tout le monde. Et c’est encore plus fou qu’il arrive à maintenir cette alchimie, pour être honnête. C’est quelqu’un de drôle, mais parfois il est fou, vous ne savez jamais à quoi vous attendre avec lui. »\\n\\nLe Français revient aussi sur sa première saison à Barcelone gâchée par les blessures :\\n\\n« J’ai beaucoup été blessé l’an dernier, et je ne savais pas que je serai blessé bien sûr, c’est le genre de chose qu’on ne peut pas prévoir. Je vais essayer de me concentrer sur ce que je fais tous les jours, prendre soin de mon genou. prendre soin de mon basket, me concentrer sur la défense et sur ce que l’entraîneur me demande. »" }, {"role": "user", "content":"Nick Calathès meilleur passeur que Magic, Bird et Thomas? Faut-il croire Rick Pitino?" }, {"role": "assistant", "content":"« J’ai coaché contre Magic Johnson, Larry Bird et Isaiah Thomas. Nick Calathès est le meilleur passeur que je n’ai jamais vu de ma vie. »\\n\\nLa phrase choc de Rick Pitino, coach du Panathinaikos, qui a oeuvré en NCAA et en NBA, fait le tour des réseaux sociaux européens. Pas de doute le Gréco-Américain Nick Calathès (1,98m, 29 ans) est un excellent passeur qui tourne à 8,2 passes par match. Mais quand même...\\n\\nPour les plus anciens, il y a les souvenirs de Magic aux Lakers, Bird aux Celtics et Thomas aux Pistons. Pour les plus jeunes, il y a ces milliers de vidéos d’il y a une trentaine d’années disponibles sur Internet. Visiblement la mémoire de Rick Pitino est altérée ou alors il a voulu exagérément faire plaisir à son meneur.\\n\\nAu fait, Rick, en 129 matches de NBA, Nick a tourné à 2,7 assists en moyenne...\\n\\n\\n\\n\\nMagic Johnson 🤔\\nLarry Bird 🤔\\n\\n\\nIs @Nick_Calathes15 one of the best passers ever?#GameON pic.twitter.com/EmHuH71lGj\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 1, 2019" }, {"role": "user", "content":"Thibault Daval-Braquet, le dernier fruit du centre de formation de Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Il s’appelle Thibault Daval-Braquet. Il mesure 2,10m et porte le maillot de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. Né à Nice, il a fêté ses 22 ans en octobre dernier. Il joue peu (3′ en moyenne) mais a déjà prouvé dans la peinture notamment face à Strasbourg qu’il a du coeur. Sud Ouest Dimanche lui donne la parole et la comparaison avec Léo Cavalière est inévitable. Pourtant les deux joueurs n’ont pas suivi le même chemin:\\n\\n« C’est vrai. Léo a suivi le cursus normal, centre de formation, équipes de France jeunes... Moi je viens de plus loin. J’ai commencé le basket à Toulouges et je ne pense pas que beaucoup de monde aurait misé sur moi, même quand je suis arrivé ici à 19 ans. Même pour moi c’était un rêve. Je me voyais rester en Prénationale à Toulouges, au mieux dans un club de N2. »\\n\\nLes big men murissent plus lentement mais Thibault Daval-Braquet est-il patient ou pas?\\n\\n« Un peu des deux », répond le Palois au quotidien. « Je sais que le temps est mon allié parce que je vois que j’apprends chaque jour, que je progresse chaque jour, que le travail paie, mais je suis aussi vraiment impatient de jouer plus. Le temps que j’ai passé sur le terrain contre Strasbourg, c’était bien... Mais on veut toujours plus. »\\n\\nOù se situent à son avis ses progrès ?\\n\\n« Un peu partout. Le jeu d’équipe, le physique aussi puisque j’ai pris du volume ces derniers mois. Je suis plus lourd, plus fort. Je suis monté à 110kg et je sens que ça me permet de mieux tenir le choc au poste 5 qu’en début de saison, quand je me retrouvais face à des gars très lourds. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Fos: 15 d’évaluation face à Limoges, Tariq Kirksay est de retour !" }, {"role": "assistant", "content":"Tariq Kirksay est dans sa 40e année. Même s’il lui reste un peu de temps pour être un quadra -son anniversaire est en septembre-, le Franco-Américain fait partie des vénérables de la Jeep Elite. Le doyen du championnat, c’est son équipier au Fos Provence Basket, Mamadou Dia, qui va fêter ses 41 ans le 28 mars.\\n\\nLe Newyorkais possède par la force des choses une longue carrière derrière lui qui l’a emmené en France en 2001, par le sas de la Pro B, à Besançon. Il fut trois fois finaliste du championnat avec Nancy, international français, et il a ensuite monnayé son talent en Russie, en Espagne, en Italie et en Angola. Tariq Kirksay est arrivé à Fos en Pro B en 2007.\\n\\nOn a crû qu’il allait être contraint à une retraite forcée en raison d’une blessure au dos qui l’a privé de basket durant tout le dernier trimestre de l’année 2018. Mais l’homme au bandeau a retrouvé les parquets et sa compétitivité. Hier soir face à Limoges et pour son troisième match de reprise, il a aligné 10 points, 4 rebonds, 2 passes et 2 interceptions (sa grande spécialité) en 17 minutes. Avec 15, il a obtenu la troisième évaluation de son équipe. Et surtout il a aidé les BYers a faire chuter Limoges, invaincu sur les 7 derniers matches de Jeep Elite, et largement, 87-72.\\n\\nAvec les renforts de l’Américain Jarvis Varnado et du Grec Giannis Athinaiou (10 points et 9 passes face au CSP), Fos n’a pas la tête d’un condamné à la descente en Pro B. Comme Cholet a enchaîné deux succès sur Villeurbanne et Le Mans, qu’Antibes a mis Le Portel au Pilori, et que Châlons-Reims est dans une mauvaise passe (3 revers de rang), cinq équipes se tiennent en trois victoires. Même Chalon serait bien avisé de réaliser une perf à Gravelines lundi pour éviter de se retrouver dans une situation inconfortable.\\n\\nPhoto: Fos Provence Basket" }, {"role": "user", "content":"Limoges: Quand François Peronnet s’est retrouvé coach au Japon" }, {"role": "assistant", "content":"François Peronnet, 45 ans, a remplacé Kyle Milling comme head coach du Limoges CSP le 8 décembre. Depuis, les Limougeauds qui étaient alors mal en point, ont enchaîné 7 victoires de suite en Jeep Elite. Ils se sont aussi qualifiés pour le top 16 de l’Eurocup même si la tâche s’y est révélée très ardue (1 victoire et 4 défaites) dans un groupe aux noms qui claquent : Valence, Malaga et Etoile Rouge de Belgrade. Qui est François Peronnet dont la carrière est fait de va et vient entre la fonction d’assistant et celle de coach principal et qui a alterné la Pro A/Jeep Elite avec la Pro B ?\\n\\nIl évoque dans ce deuxième chapitre son aventure au Japon, il y a deux ans. Une expérience riche humainement et originale. Vous pouvez lire ICI la première partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment vous êtes-vous retrouvé au Japon en 2016 ? Vous souhaitiez vivre une expérience à l’étranger ?\\n\\nLa réflexion était de se dire qu’après un certain nombre d’années dans le championnat de France, il fallait se remettre en question en vivant quelque chose de différent. Le hasard a voulu qu’il y ait une opportunité au Japon et j’ai pris l’avion.\\n\\nVous n’avez pas hésité car entre vivre une expérience en Europe ou en Amérique du Nord et une au Japon, il y a une marge ?\\n\\nIl faut savoir qui ont est. Je n’aurais jamais eu d’opportunités en Amérique du Nord (sourire). Au regard de ma carrière, les opportunités étaient davantage sur des pays plus exotiques ou d’un niveau basket inférieur.\\n\\nLes Tokyo Hachioji Trains était dans la troisième division nationale ?\\n\\nCe qui s’est passé c’est que juste l’année d’avant, il y avait deux premières divisions qui étaient en concurrence et il y avait une deuxième division. La FIBA ou ses représentants ont fait comprendre au Japon qu’il fallait arrêter cette concurrence et donc la décision a été prise de regrouper ces deux ligues qui étaient en concurrence comme l’Euroleague et la FIBA Basketball Champions League. En regroupant les deux premières divisions et la deuxième, ça faisait 48 équipes qu’ils ont réparti en fonction de critères sportifs, financiers et d’infrastructures. Le club qui m’a embauché n’avait qu’une année d’existence et donc c’était effectivement de la troisième division.\\n\\nLe premier obstacle, c’est donc la barrière de la langue ? Vous aviez un traducteur en permanence ?\\n\\nLes gens parlent peu anglais et de mon côté je ne parle pas du tout japonais, aussi dans toutes les équipes japonaises il y a un interprète. La plupart du temps ce sont des Japonais qui ont fait une ou deux années de college aux Etats-Unis. J’ai eu deux interprètes pour traduire en anglais.\\n\\nLes joueurs japonais parlent-ils anglais comme en Europe ?\\n\\nDans mon équipe, très peu. Il y avait un joueur qui avait un très bon niveau d’anglais car il avait vécu en Nouvelle-Zélande. Pour le reste c’était extrêmement limité.\\n\\nC’est possible de faire passer des consignes, des sentiments par l’aide d’un traducteur ?\\n\\nIl y a forcément de la perte dans les deux sens. Le traducteur fait le tampon entre le message que vous envoyez et la personne qui va le recevoir. Au-delà de ça vous ne maîtrisez en rien le niveau de la traduction. Par exemple, à l’entraînement, après tel mouvement, vous dites « tu vas te placer à 45° », le traducteur va dire « tu vas te placer là-bas », on en avait aucune connaissance de cette traduction approximative. Ça amène des incompréhensions plus ou moins importantes. La mécanique est d’être le plus synthétique possible, précis, d’employer les mêmes mots le plus souvent possible pour essayer de réduire cette distorsion dans la traduction. En ce qui concerne les sentiments, bien évidemment ils ne passent pas à travers la traduction mais à travers de la forme de votre discours et de votre langage corporel.\\n\\n« Le sourire que vous allez lire comme narquois, chez eux c’est que l’individu se retrouve en difficulté et c’est quelque part l’expression de la fuite »\\n\\nVous disiez que les mimiques des Japonais n’ont pas la même signification qu’en occident ?\\n\\nIls ont un langage corporel différent du nôtre et par exemple quand vous êtes dans un vestiaire pour faire un briefing d’avant ou d’après-match et qu’un individu baisse la tête, ça n’a pas la même signification chez eux que chez nous. Chez nous, on peut avoir l’impression qu’il n’est pas attentif ou abandonne, chez eux c’est une forme de respect. Donc dans votre vestiaire, vous avez vos joueurs américains et vos joueurs japonais qui, pour la même situation, vont avoir un langage corporel différent. De la même manière, le sourire que vous allez lire comme narquois, chez eux c’est que l’individu se retrouve en difficulté et c’est quelque part l’expression de la fuite.\\n\\nOn vous avait prévenu de ça ou vous avez dû le découvrir sur le tas ?\\n\\nJe savais que ça allait être différent mais on n’acquière les codes qu’avec le temps. C’est en faisant des erreurs que je me suis rendu compte de certaines choses. Typiquement ce sourire que j’estimais narquois de la part de mon capitaine, qui avait une grosse éthique de travail et que je reprenais très rarement, a fait que j’ai accentué ma pression sur lui alors qu’il était déjà en difficulté. J’ai mal analysé ce que son visage me laissait transparaître. A la sortie de l’entraînement, je suis allé le voir avec mon joueur japonais qui parlait anglais et pas mon traducteur qui était trop faible, on a conversé et c’est là que j’ai compris mon erreur, à la fois dans l’analyse et dans la réaction. On regarde de notre côté en disant « c’est dur pour nous » mais c’est aussi dur pour les joueurs qui sont en face.\\n\\nPour vos joueurs, vous étiez le premier coach étranger ?\\n\\nPour la moitié, oui. Au Japon, il y a quelques coaches étrangers, espagnols, américains, sud-américains Un coach féminin danois de première division, l’année où j’y étais.\\n\\nAvez-vous connu le même choc culturel avec l’entourage, les dirigeants ?\\n\\nLa façon dont les Japonais établissent la relation humaine avec la personne qui est face à eux est différente de chez nous. Ce sont des gens très réservés, qui ont du mal à dire non lors d’une réunion. Ils vont passer par quelqu’un d’autre a posteriori pour faire passer le message. C’est leur façon de faire. Mais par contre mon président était différent. L’année précédente, il jouait dans l’équipe et il était à l’opposé des Japonais classiques avec qui il n’y a pas de contacts physiques. Lui, le deuxième jour, il vous fait un hug à l’américaine. Le jour d’Halloween, je crois, il s’est déguisé en Minnie ! Sur les 48 clubs, il devait y en avoir un comme ça. Il avait une façon d’établir la relation humaine qui était plus dans le contact et dans l’échange que la majorité des autres Japonais.\\n\\nOn a du vous traduire le règlement pour que vous sachiez par exemple, que si vous aviez droit à 3 joueurs étrangers, ils ne pouvaient pas être présents en même temps sur le terrain et que vous étiez limité à 1 aux 1er et 3e quart-temps, et 2 aux 2e et 4e quart-temps ?\\n\\nJe l’ai su à l’arrivée dans le pays. C’était un règlement qui avait été unifié pour les trois divisions. Par contre, je n’ai découvert d’autres éléments du règlement que lorsque la compétition était déjà lancée. Ce n’est pas la faute des Japonais, c’est moins qui ne suit pas en situation de comprendre l’ensemble du truc. Le premier match, on a un temps-mort télé et je ne savais pas qu’il y en avait. Je ne pouvais pas discuter avec les arbitres car ces trois-là ne parlaient pas anglais.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ALWjOk5rhbY\\n\\n« C’est plus un basket qui est dans l’évitement à la fois en défense et en attaque. Ils sont moins dans les bumps et plus dans la capacité à éviter un écran pour rester avec le gars »\\n\\nLa différence de niveau est très importante entre les Américains de l’équipe et les Japonais ?\\n\\nOui, il y a un décalage. Pour donner une idée, dans mon équipe de troisième division, il y avait un joueur américain qui la saison d’avant avait joué en coupe d’Europe contre Châlon-sur-Saône dans une équipe d’un pays de l’Est. J’avais des enveloppes budgétaires supérieures à tous les clubs de Pro B, en troisième division. En première division, sur certains contrats, ils sont capables de mettre 350 000 dollars nets d’impôts sur les joueurs étrangers. Mes huit Japonais étaient pros. Je pense que d’une manière générale le décalage de niveau est un peu moins de manière générale car il y a des joueurs japonais qui jouent au basket. Il y a des gens qui ont une certaine valeur athlétique, certains qui ont quand même un peu de taille. Le style de jeu est différent de l’européen. C’est plus un basket qui est dans l’évitement à la fois en défense et en attaque. Ils sont moins dans les bumps et plus dans la capacité à éviter un écran pour rester avec le gars. La création du mouvement dans le jeu offensif est plus dans le changement de direction et le changement de rythme, dans l’exploitation de l’écran ou de la prise de position préférentielle.\\n\\nC’est un jeu de passes avec une capacité de scorer à trois-points importante ?\\n\\nChez nous, en caricaturant, vous avez trois joueurs et demi qui sont des shooteurs dans une équipe de dix. Eux en ont six et demi, sept sur tous les postes. Ils ont cette culture du shoot, du travail du shoot, qui font que la majorité des joueurs sont des dangers à minima à mi-distance quelque soit leur poste. La contrepartie de ça, et c’est étonnant au regard de leur culture qui est plutôt dans la mesure du risque, c’est qu’ils ont un rapport à la prise de risque sur le tir qui est différent de ce que l’on a chez nous. Ils ont une vraie capacité à tirer et ils vont prendre des tirs que l’on va qualifier de difficile de façon plus importante au niveau de leur récurrence que chez nous.\\n\\nQuelle est l’importance populaire et médiatique du basket au Japon ?\\n\\nC’est bien évidemment en-deca des sports individuels de combat comme le judo ou collectifs comme le baseball et le football mais je crois que l’approche des Jeux Olympiques a fait que, à la fois le gouvernement et la ligue, ont eu une volonté de mettre en avant ce sport-là. Mais il ne sera jamais au niveau du football, du baseball ou du judo et compagnie.\\n\\nIl y a du monde dans les salles ?\\n\\nC’est très variable. Vous pouvez jouer de temps en temps devant 200 personnes comme devant 3 000. Comme c’était l’année où ils venaient de faire la répartition entre les trois divisions, dans ma division, il y avait une équipe qui l’année d’avant était dans la première division, avec des joueurs à 150 ou 180 000 dollars, qui se déplaçait en avion dans tout le Japon. Ça n’avait rien à voir avec le petit club de quartier comme le nôtre ou un ou deux autres dans notre division. Il avait certainement été mis en troisième division pour des problématiques financières passées.\\n\\nVous, c’était un club de quartier ?\\n\\nLe quartier Hachioji est lié à la culture universitaire. Il y avait des équipes universitaires et équivalentes aux high schools qui avaient des résultats mais pas d’équipe professionnelle et c’est pour ça qu’ils avaient fondé celle-ci à cet endroit-là. Ils estimaient qu’il y avait un creuset de spectateurs potentiels au regard du basket universitaire et de high school de cet endroit-là.\\n\\nParfois vos matches étaient regroupés, vous jouiez contre la même équipe le lendemain ?\\n\\nOn jouait toujours deux matches, le vendredi et le samedi ou le samedi et le dimanche. Et parfois c’était à 20h et le lendemain à midi. Pareil en première division. Ça amène une préparation de match différente mais qui est la même pour tous.\\n\\n« Les Japonais arrivent une heure et demie avant à la salle. Les cherleaders font quelques danses mais surtout elles leur apprennent le chant qu’ils vont avoir à utiliser pendant le match »\\n\\nPour faire des économies de déplacement ?\\n\\nD’un côté vous faites des économies de déplacement et de l’autre c’est difficile d’attirer le public pour deux matches identiques à même pas vingt-quatre heures d’intervalle. Les gens n’ont pas forcément les moyens de se payer deux matches dans le week-end et en plus c’est la même affiche donc ce n’est pas très attrayant surtout si la veille il y a eu de l’écart. On ne peut pas avoir d’avis négatif sur ça, c’est leur façon de faire. Il y a certainement à l’origine une histoire de coût de déplacement mais je ne pense pas qu’elle soit à elle seule la raison de ce principe. Pour revenir au public, un autre exemple qui est marquant pour moi, c’est que les Japonais arrivent une heure et demie avant à la salle. Les cherleaders font quelques danses mais surtout elles leur apprennent le chant qu’ils vont avoir à utiliser pendant le match. Ce rapport à la discipline est incroyable. De la même manière, nous, en France ou en Eurocup, on a la même routine avant le match : échauffement puis présentation des équipes à six minutes avant l’entre-deux. Là-bas c’est au bon vouloir de chaque club. Vous recevez le planning quarante-huit heures à l’avance. Il est arrivé parfois que vingt minutes avant le coup d’envoi, la présentation des équipes s’est déroulée et... on n’a plus eu accès au terrain ! Il y a les cheerleaders, le maire qui prend la parole, une présentation de je ne sais quoi et vous arrivez à l’entre-deux.\\n\\nIl y a tout le temps de refroidir !\\n\\nExactement. Encore une fois, la première façon pour nous de réagir c’est d’avoir une certaine résistance au changement sauf que c’est ce qu’ils font depuis des années. C’est à nous de trouver la capacité d’adaptation. Je sais que dans mon recrutement j’avais orienté mes choix sur des joueurs étrangers qui avaient déjà joué au Japon et comme ça ils n’étaient pas surpris par ce type de modalité d’avant-match.\\n\\nÇa veut dire qu’ils se sont moins américanisés que nous, Européens, puisqu’on a quasiment repris tous les us et coutumes qui existent dans le basket américain ?\\n\\nTrès certainement mais je ne sais pas si c’est en lien avec le fait de ne pas vouloir copier les Etats-Unis ou si c’est simplement la façon dont sont organisées les choses dans leur pays. Mais par contre, tout est très bien organisé. Comme je le disais, on recevait un planning quarante-huit heures à l’avance. A 43’ du match vous devez être dans le vestiaire, à -25, il se passera ça, etc. Seulement la routine d’échauffement variait de semaine en semaine. Et à la fin du match à domicile, toute l’équipe se met en ligne et salue le public aux quatre coins de la salle et ensuite le coach prend la parole pour remercier le public. On était en troisième division et à chaque fin de match des gens offraient aux joueurs des cadeaux. Ça pouvait être des gâteaux, des bouquins. C’est différent de chez nous. Quand vous vous déplacez à Tokyo pour un match, ça vous arrive de le faire en métro.\\n\\nEn dehors du basket, ça doit être une expérience fantastique à vivre ? Vous êtes restés combien de temps ?\\n\\nSept mois, du 1er juillet à la fin janvier. C’est un pays où il y a de la qualité de vie et où vous êtes certain de toucher votre salaire. J’étais tout à fait ouvert à y repartir en tant qu’assistant en première division mais j’ai finalement signé à Limoges. Je n’avais jamais mis les pieds en Asie et je n’ai pas eu une vie d’expatrié qui travaille chez IBM et qui va dans un autre IMB au Japon. Là c’est dans une très petite entreprise et vous êtes le seul expatrié avec une barrière de la langue évidente qui pose problème simplement pour lire les panneaux. J’étais évidemment incapable de lire le GPS. C’est ce que je disais tout à l’heure, la façon dont se déroule les réunions, la façon de dire non face aux gens, c’est quelque chose qui de notre côté paraît surprenant parce qu’on n’est pas habitué à ça mais à l’opposé, quand ils nous voient dire de façon parfois brutale « non », ça les surprend tout autant. C’est intéressant dans la capacité à s’adapter en se disant qu’il y a bien d’autres façons de faire, d’être et d’aborder les choses.\\n\\n« Il nous est arrivé de nous entraîner aves des pongistes au milieu et des gens qui faisaient du sabre à côté. Il y a même un jour où on s’est entraîné avec notre adversaire du week-end sur le terrain du milieu »\\n\\nDans pratiquement tous les pays occidentaux il y a les mêmes repères dans le basket, ce qui n’était pas le cas pour vous ?\\n\\nQuand je suis arrivé au mois de juillet, alors que les joueurs américains arrivent à la mi-août comme chez nous, les joueurs japonais s’entraînaient tout seul dirigés par leur capitaine et un autre joueur. Vous rentriez dans la salle, vous entendiez les baskets crissés, ils étaient concentrés. Ils faisaient pendant une heure et demie ou deux heures des exercices qui étaient différents de ce que vous aviez l’habitude de faire. Ils travaillaient en totale autonomie. Dans un club comme le nôtre, vous vous entraîniez dans plein de salles différentes et parfois on avait une salle où, comme aux Etats-Unis, il y a trois terrains les uns à côté des autres. Il nous est arrivé de nous entraîner aves des pongistes au milieu et des gens qui faisaient du sabre à côté. Il y a même un jour où on s’est entraîné avec notre adversaire du week-end sur le terrain du milieu.\\n\\nNous, en France, on se plaint qu’il faille partager une salle avec d’autres disciplines, eux c’est pendant l’entraînement de l’équipe de basket !\\n\\nAutre exemple qui m’a frappé : quand vous allez dans les vestiaires, les boissons énergétiques, les céréales et tout ça sont à l’extérieur. En Europe, on ne ferait jamais ça. On aurait trop peur que l’on mette des produits dedans ou que les choses disparaissent.\\n\\nY avait-il une communauté française qui vous permettait de temps en temps de parler français et d’échanger vos impressions ?\\n\\nSur Tokyo, c’est facile de retrouver des expats. A côté de Tokyo Station, qui est dans le centre-ville, il y a une grande librairie sur plusieurs étages et une partie des expatriés se retrouvent au dernier étage où il y a les livres en langues étrangères. C’est là où on fait connaissance, on prend un café. Ceux qui sont dans des boîtes où il y a plusieurs expatriés, c’est différent. Il y a énormément d’expatriés dans les compagnies d’assurance, financières, de construction de tous les pays. C’était sympa.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment vous êtes-vous retrouvé au Japon en 2016 ? Vous souhaitiez vivre une expérience à l’étranger ?\\n\\nLa réflexion était de se dire qu’après un certain nombre d’années dans le championnat de France, il fallait se remettre en question en vivant quelque chose de différent. Le hasard a voulu qu’il y ait une opportunité au Japon et j’ai pris l’avion.\\n\\nVous n’avez pas hésité car entre vivre une expérience en Europe ou en Amérique du Nord et une au Japon, il y a une marge ?\\n\\nIl faut savoir qui ont est. Je n’aurais jamais eu d’opportunités en Amérique du Nord (sourire). Au regard de ma carrière, les opportunités étaient davantage sur des pays plus exotiques ou d’un niveau basket inférieur.\\n\\nLes Tokyo Hachioji Trains était dans la troisième division nationale ?\\n\\nCe qui s’est passé c’est que juste l’année d’avant, il y avait deux premières divisions qui étaient en concurrence et il y avait une deuxième division. La FIBA ou ses représentants ont fait comprendre au Japon qu’il fallait arrêter cette concurrence et donc la décision a été prise de regrouper ces deux ligues qui étaient en concurrence comme l’Euroleague et la FIBA Basketball Champions League. En regroupant les deux premières divisions et la deuxième, ça faisait 48 équipes qu’ils ont réparti en fonction de critères sportifs, financiers et d’infrastructures. Le club qui m’a embauché n’avait qu’une année d’existence et donc c’était effectivement de la troisième division.\\n\\nLe premier obstacle, c’est donc la barrière de la langue ? Vous aviez un traducteur en permanence ?\\n\\nLes gens parlent peu anglais et de mon côté je ne parle pas du tout japonais, aussi dans toutes les équipes japonaises il y a un interprète. La plupart du temps ce sont des Japonais qui ont fait une ou deux années de college aux Etats-Unis. J’ai eu deux interprètes pour traduire en anglais.\\n\\nLes joueurs japonais parlent-ils anglais comme en Europe ?\\n\\nDans mon équipe, très peu. Il y avait un joueur qui avait un très bon niveau d’anglais car il avait vécu en Nouvelle-Zélande. 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Patrick Chêne n’a pas caché sa joie sur les réseaux sociaux qualifiant la rencontre de « What a f... match » et reprenant le slogan de son compère Gérard Holtz « Vive le basket!!! ». A l’époque c’était sur Antenne 2.\\n\\n\\n\\n\\n1200 spectateurs a Avignon pour prendre la tête en N 2 et viser bientot le haut niveau. Vive le basket!!! pic.twitter.com/nnvY6aOhwQ\\n\\n\\n— Patrick Chêne (@patrickchene) February 2, 2019\\n\\n\\n\\n\\nVous êtes bien en nationale 2 de basket avec l USAP Avignon!!! 1200 personnes pour le duel pour la 1ere place...\\nLe basket à Avignon vise le haut niveau. Avec de belles valeurs pic.twitter.com/LB9ybmhzRD\\n\\n\\n— Patrick Chêne (@patrickchene) February 2, 2019\\n\\n\\n\\n\\nVictoire 87 73. L USAP Avignon est leader!!!! What a f...match. pic.twitter.com/NOWU7deAFw\\n\\n\\n— Patrick Chêne (@patrickchene) February 2, 2019" }, {"role": "user", "content":"Vainqueur de Cholet, Strasbourg retrouve des couleurs et cherche en renfort un arrière et un ailier-fort" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa victoire sur la Virtus Bologne (83-80) mardi en Champions League, la SIG Strasbourg a enchaîné avec un succès en Jeep Elite sur Cholet Basket (96-82), qui sortait de deux exploits face à Villeurbanne et au Mans, ce qui lui donne du baume au coeur après toutes les avanies de ces dernières semaines.\\n\\nSi Youssoupha Fall (15 points, 13 rebonds) a été une nouvelle fois l’homme du match, le shooteur Jarrel Eddie a trouvé la cible: 20 points avec un 5/7 à trois-points.\\n\\n« C’était un beau match ce soir », a déclaré l’Américain en conférence de presse. « Surtout la manière dont on a joué ensemble et réuni notre énergie pour revenir dans la 2ème période. Le mois de janvier était très compliqué. C’est important de réagir pour finir la saison encore plus fort ! Ce qui a changé depuis Pau ? Juste l’esprit d’équipe ! On joue beaucoup plus les uns pour les autres. On est plus rapide, on bouge plus la balle et on défend mieux. Dans le troisième quart-temps, je me suis senti vraiment bien. Mon équipe m’a mis dans de bonnes positions pour shooter. Plus je shootais, plus j’étais confiant ! »\\n\\nLe coach Vincent Collet s’est évidemment félicité du rebond de son Américain:\\n\\n« L’équipe dans son ensemble a travaillé pour mettre en position Jarell, et c’est pour moi la définition même d’une équipe. Jarell est un joueur particulier. Il est en apprentissage, c’est un rookie. Défensivement, il a encore des difficultés. On a besoin de l’utiliser en attaque ! Ce qui est bien, c’est qu’il fait beaucoup d’efforts, et s’entraîne bien. Il est volontaire et veut bien faire. Il est arrivé seulement en novembre, il lui faut encore un peu de temps pour progresser dans les aspects défensifs. «\\n\\nDans le concert de louanges, Vincent Collet a mis en exergue Jérémy Nzeulie qui n’a pas été toujours dans son assiette depuis qu’il a enfilé le maillot alsacien:\\n\\n« Je suis très satisfait ! Certains chiffres ne trompent pas dans l’engagement, dans la volonté de se passer la balle. Il y a un chiffre en particulier, qui peut être insignifiant pour certains mais qui est très important pour moi : on a fait 10 interceptions ce soir et ça ne nous est jamais arrivé depuis le début de la saison. C’est la preuve d’une grande agressivité. Pour cela, la palme revient à Jérémy Nzeulie qui en a fait cinq à lui seul ! Pour moi, c’est son meilleur match car à ses interceptions il a rajouté six passes. Il a symbolisé les deux aspects : le regain d’agressivité et d’altruisme de notre équipe. »\\n\\nVincent Collet a également confirmé que le club est à la recherche de deux renforts:\\n\\n« C’était un match capital pour nous. On enchaîne avec Limoges qui, à l’image de Cholet en ce moment, joue son meilleur basket et après on reçoit Le Mans. Ce sont des adversaires directs, donc on va vite arriver dans le « sprint final » puisque tout va devenir très important. La semaine a été bonne pour nous, elle a commencé par la discussion qu’on a eu, enchaîné par la victoire face à Bologne, de bons entrainements et une nouvelle victoire à domicile ce soir ! Il faut qu’on capitalise et qu’on continue à monter. On travaille toujours autant sur la recherche de joueurs. On espère avoir très rapidement deux renforts : un arrière et un poste 4 ».\\n\\nPhoto: Jarell Eddie (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Tony Parker à propos de l’aréna: «Moi, j’ai envie de rester à Villeurbanne»" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion du dixième anniversaire de sa venue à l’ASVEL, le président Tony Parker a donné une interview au Progrès.\\n\\n« Je me suis rendu compte, entre 2009 et 2014, que tant que je ne serai pas président, le club n’avancerait pas, » y déclare t-il.\\n\\nL’objectif du président Parker est d’obtenir l’Euroleague à vie et de construire la fameuse aréna. A ce propos de celle-ci, il précise:\\n\\n« Beaucoup de choses ont été dites ces derniers temps. Moi, j’ai envie de rester à Villeurbanne. C’est notre fief, et la ville et Monsieur Bret (NDLR: le maire) nous ont toujours soutenus de façon incroyable. J’espère que nous allons réussir et faire une des plus belles salles d’Europe. » Et à propos d’une collaboration avec l’OL de Jean-Michel Aulas, « nous discutons régulièrement. Et avançons. »\\n\\nEn ce qui concerne les filles qui sont en tête de la Ligue Féminine, l’objectif prioritaire est de jouer l’Euroleague la saison prochaine avec un budget identique de 2,5 millions d’euros, d’investir le palais des sports de Gerland, et de faire resigner toutes les joueuses y compris si possible la meneuse belge Julie Allemand. TP confie par ailleurs être en contact avec Sandrine Gruda, actuellement à Schio, en Italie, et qui a déjà fait une courte pige au club la saison passée.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Des prolongations et Nando De Colo en lévitation" }, {"role": "assistant", "content":"Cette 21e levée aura donc été emplie de suspense avec deux rencontres qui se sont décidées en prolongation et notamment un incroyable match entre le Bayern Munich et le Fenerbahçe qui s’est fini au bout de deux prolongations, et en faveur du Bayern ! De même, c’est Milan qui est venu à bout de Gran Canaria malgré un étincelant Marcus Eriksson.\\n\\nDe son côté, Nando De Colo continue d’enchaîner les performances de très haut niveau, plaçant cette semaine une évaluation record (de saison) à 38 grâce à un match à 26 points, 7 rebonds et 7 passes. Barcelone et Vitoria ont aussi engrangé des victoires pour rester dans le premier wagon.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nNando De Colo reste sur son nuage\\n\\nAvec 38 d’évaluation pour une copie à 26 points, 7 rebonds et 7 passes, Nando De Colo confirme qu’il revient à son tout meilleur niveau en ce début d’année 2019. Depuis une sortie à 21 points contre Efes Istanbul juste avant Noël, De Colo tourne à plus de 17 points, 4 passes et 3 rebonds de moyenne.\\n\\nSurpris par Podgorica à l’aller, le CSKA n’a pas fait dans le détail cette fois avec une victoire nette et sans bavure : +30 (99-69). Edwin Jackson termine à 7 points dans la défaite, le premier match compliqué pour Goga Bitadze qui finit capot : 0/4 aux tirs et 0/4 aux lancers ! Par contre, Kyle Hines s’est bien amusé avec 11 points et 7 passes, son record en carrière.\\n\\n\\nLe Bayern se paye le Fener en double prolongation !\\n\\nDans un match haut en couleurs, le Bayern a fini par s’imposer au bout de deux prolongations et un sacré bras de fer (90-86). Si Joffrey Lauvergne aurait pu faire la différence en fin de 1ère prolongation aux lancers, c’est bien le Bayern qui s’est fait justice lui-même en 2e prolongation, avec Nemanja Dangubic (11 points) qui rentre le trois-points qui a fait basculer le match pour de bon.\\n\\nDerrick Williams termine à 19 points, tout comme Stefan Jovic. Avec son 7/7 aux tirs, Danilo Barthel a également été fondamental dans cette fin de match à couteaux tirés. En face, Ali Muhammed (23 points) a sorti des tirs venus d’ailleurs mais le Fener a fini par craquer avec un ultime ballon perdu de Luigi Datome.\\n\\n\\nMilan gagne... mais perd Arturas Gudaitis !\\n\\nAvec un gros match à 28 points, dont 5/10 à trois points et celui qui a arraché la prolongation, Marcus Eriksson a hérité du dernier ballon. Mais son ultime tir pour la gagne rebondit sur le cercle et échoue à l’extérieur : Gran Canaria doit encaisser sa 6e défaite de suite (106-104).\\n\\nMilan remporte à l’inverse une victoire très importante dans la course aux playoffs... mais a aussi perdu son pivot titulaire, Arturas Gudaitis, touché au genou gauche, probablement pour toute la fin de saison. Mike James termine à 22 points, 6 rebonds et 5 passes tandis que Vladimir Micov (24 points) a inscrit le panier clutch en fin de prolongation. Pour son retour en Europe, James Nunnally réalise un bon match à 22 points.\\n\\n\\nBarcelone mate l’Olympiakos\\n\\n27-6 : c’est le score hallucinant du 1er quart en faveur de Barcelone... sur le parquet de l’Olympiakos ! Les Reds se sont pris les pieds dans le tapis comme il faut, en encaissant un 12-4 puis un 13-0 en l’espace de dix minutes. Malgré les efforts de Nikola Milutinov (13 points, 8 rebonds, 3 passes) qui termine meilleur scoreur, rebondeur et passeur de son équipe.\\n\\nKevin Séraphin (8 points, 4 rebonds) et Thomas Heurtel (7 points, 3 passes) n’ont pas eu besoin de trop forcer sur ce match qui égale un triste record pour le plus petit score de l’Oly à domicile. Un record déjà établi par le Barça de Pesic (tiens, tiens) en 2003... Axel Toupane (4 points en 25 minutes) a eu droit à un gros temps de jeu mais peu d’efficacité malheureusement.\\n\\n\\nVitoria calme le Maccabi\\n\\nSur une série positive de 4 victoires de rang, le Maccabi n’a pas fait le poids contre Vitoria (97-73). A +13 à la pause, les Basques ont accentué leur avantage en fin de 3e quart pour arriver à +24 et mettre le Maccabi définitivement hors d’état de nuire...\\n\\nJohannes Voigtmann (20 points) et Darrun Hilliard (19 points) ont été les plus féroces scoreurs contre le Maccabi, avec Luca Vildoza (16 points) et Shavon Shields (13 points) également très en verve. Sous les panneaux, Vincent Poirier a aussi fait son travail avec sérieux en cumulant 7 points et 10 rebonds.\\n\\n\\nLe Pana à la relance\\n\\nDéclarant qu’il n’a jamais vu de meilleur passeur dans sa carrière que Nick Calathes, Rick Pitino a envoyé une sacrée fleur (un tantinet exagérée) à son meneur du Pana. Il faut dire que Calathes a réalisé une performance de tout premier plan avec 20 points, 13 passes et 8 rebonds dans un succès qui brise une série de 3 défaites de suite (88-75).\\n\\nContre l’Efes Istanbul, DeShaun Thomas (14 points, 6 rebonds) a également été excellent pour le Pana qui a fait la différence avec un 14-2 en fin de match. Rodrigue Beaubois (15 points) et Adrien Moerman (10 points) terminent tous deux en double figure mais en vain...\\n\\n\\nLe Real s’arrache mais gagne\\n\\nDarussafaka a été le bon dernier de la classe pendant toute la saison pour ainsi dire mais ça ne veut pas dire pour autant que jouer contre lui s’apparente à une promenade de santé. Le champion en titre du Real en a fait l’expérience en devant s’arracher jusqu’au bout pour l’emporter de peu (86-82).\\n\\nRepoussé à -13, le Dacka est effectivement revenu à -5 derrière Toney Douglas (27 points) et Jérémy Evans (18 points, 12 rebonds) mais Madrid n’a pas paniqué et a su redresser la barre. Anthony Randolph et Trey Thompkins finissent tous deux à 15 points pour équilibrer l’attaque madrilène.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 26 points (7/11 aux tirs), 7 rebonds, 7 passes, 1 interception, 4 balles perdues en 28 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 15 points (5/13 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 12 points (5/12 aux tirs), 6 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 31 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 12 points (6/8 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre en 27 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 10 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 33 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 8 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 7 points (3/6 aux tirs), 10 rebonds, 3 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 7 points (3/7 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 7 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 13 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 4 points (1/7 à trois points), 3 rebonds, 2 passes, 1 contre 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nC’est l’un des plus grands showmen de la planète et Facu Campazzo l’a encore prouvé cette semaine. Il enchaîne pour le coup le petit pont, entre les guiboles de Savas avant de délivrer le caviar à Fabien Causeur d’une passe dans le dos.\\n\\n\\n\\n\\nAnother week, another @facucampazzo show!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/LyqTtALx7n\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) February 1, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 21e journée\\n\\nJeudi 31 janvier :\\nKhimki Moscou – Zalgiris Kaunas (74-64)\\nOlympiakos – Barcelone (55-76)\\nBayern Munich – Fenerbahçe (90-86 ap)\\nVitoria – Maccabi Tel Aviv (97-73)\\n\\nVendredi 1er février :\\nCSKA Moscou – Podgorica (99-69)\\nDarussafaka – Real Madrid (82-86)\\nPanathinaikos – Efes Istanbul (88-75)\\nGran Canaria – Milan (104-106 ap)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 22e journée\\n\\nJeudi 7 février :\\nEfes Istanbul – Gran Canaria (18h30)\\nPodgorica – Khimki Moscou (19h)\\nMaccabi Tel Aviv – Olympiakos (20h05)\\nBarcelone – Zalgiris Kaunas (21h)\\n\\nVendredi 8 février :\\nCSKA Moscou – Real Madrid (18h)\\nFenerbahçe – Panathinaikos (18h45)\\nVitoria – Bayern Munich (20h30)\\nMilan – Darussafaka (20h45)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nNando De Colo reste sur son nuage\\n\\nAvec 38 d’évaluation pour une copie à 26 points, 7 rebonds et 7 passes, Nando De Colo confirme qu’il revient à son tout meilleur niveau en ce début d’année 2019. Depuis une sortie à 21 points contre Efes Istanbul juste avant Noël, De Colo tourne à plus de 17 points, 4 passes et 3 rebonds de moyenne.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (Bourg-en-Bresse) après la victoire sur Boulazac : «Mes joueurs ont fait ce qu’il fallait»" }, {"role": "assistant", "content":"Surpris lors du dernier match à domicile face à Fos (75-93), la JL Bourg s’est rattrapée en s’imposant à Ekinox contre Boulazac (93-75). Une victoire dans le sillage d’un Zachery Peacock en mode MVP avec ses 33 points et 7 rebonds.\\n\\nAuteur de 7 points et 3 rebonds en 14 minutes, Baptiste Tchouaffé n’a pas caché sa satisfaction en conférence de presse :\\n\\n« Content de la victoire! », a t-il lancé. « Contre Fos on s’est fait humilier. Quand tu es sportif tu as beaucoup de fierté, encore plus quand tu joues à domicile donc on ne voulait pas que cela se reproduise. On a vraiment fait une très très grosse semaine d’entraînement, et on n’y retient que du positif. Le coach m’a fait jouer et je voulais lui rendre la confiance qu’il m’a accordé. Je suis aussi bien content pour moi que pour l’équipe ».\\n\\nLe ton de la satisfaction était aussi celui du coach Savo Vucevic :\\n\\n« Comme toujours je suis fier de mes joueurs, je sais que ce qu’il font au quotidien et la semaine dernière ils me demandaient après la défaite si j’étais en colère contre eux, je leur ai répondu « pourquoi ? ». En tant que coach, je sais mieux pourquoi il y a un jour avec et un jour sans. Ils ont fait ce qu’il fallait après Fos en étant engagés durant 40 minutes, ils ont su construire cette victoire avec du jeu et de la défense. On a fait quatre entrainement au quasi-complet cette semaine, il ne nous manque que Youssou Ndoye, mais on a fait un très bonne semaine avec beaucoup de vidéos. On a beaucoup parlé et revu le match contre Fos. »\\n\\nA propos de son capitaine Zachery Peacock, auteur de 33 points, à une unité de son record, Savo Vucevic a commenté:\\n\\n« C’est la grandeur d’un joueur, il n’a pas cherché a battre son record. C’est un joueur d’équipe comme tous les autres, et lui donne l’exemple. Et c’est bien »\\n\\nSon homologue du BBD, Thomas Andrieux, ne pouvait que faire le constat de la supériorité de son adversaire du soir :\\n\\n« C’est notre quatrième match en onze jours. Je pense que physiquement on était en grande difficulté. On est tombés face à une équipe de Bourg-en-Bresse qui était survoltée ce soir. Quand vous les voyez la semaine dernière contre Fos-sur-Mer et que vous les voyez ce soir, vous avez l’impression d’avoir affaire à deux équipes différentes. Malheureusement c’est tombé sur nous ce soir. Le score est sévère sur la fin de la rencontre malgré qu’on ait tenté de revenir dans le troisième quart-temps. On a eu le droit aussi à un excellent Zachery Peacock, qui n’a pas eu besoin de gros systèmes offensifs pour marquer. C’était surtout du un contre un. Félicitations à cette équipe de Bourg qui était très agressive ce soir dans le bon sens du terme ».\\n\\nPhoto: Zachery Peacock (JL)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Orléans remporte le choc des extrêmes contre Caen" }, {"role": "assistant", "content":"Pas de surprise à Caen où Orléans est venu à bout du CBC dans un match où l’équipe du Loiret s’est retrouvée en tête de bout en bout (58-74).\\n\\nLe premier quart temps a été marqué par une maladresse globale et des fautes de part et d’autres, l’avantage variant par périodes mais l’OLB était devant d’une courte tête après dix minutes (15-17). Le deuxième quart s’est déroulé sur le même rythme que le premier et Orléans est rentré aux vestiaires avec un léger avantage (34-37).\\n\\nOrléans a continué ensuite de résister aux tentatives de retour du CBC en maintenant le même écart qu’en fin de deuxième quart temps (48-51). Le 5-0 de l’OLB obtenu en début de la quatrième période finira d’achever sa victoire face au 17ème de Pro B (58-74). Le pivot bosnien de l’OLB Miralem Halilovic a été logiquement élu meilleur joueur du match avec son double-double (17 points et 10 rebonds).\\n\\n« Je ne suis pas transcendé par la performance qu’on a faite, mais l’essentiel est pris. La victoire a été longue à se dessiner. Je félicite Caen, qui a fait un match solide et courageux malgré quelques défaillances individuelles. C’est normal qu’ils aient un peu craqué sur la fin. Le résultat est généreux pour nous. Cela ne méritait pas un tel écart. On a été très moyen en attaque mais plutôt bon en défense, » a déclaré le coach de l’OLB, Germain Castano en conférence de presse, propos rapportés par Actu.fr." }, {"role": "user", "content":"D’après L’Equipe, Youssoupha Fall ne devrait pas répondre favorablement à la convocation du Sénégal" }, {"role": "assistant", "content":"Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) a été convoqué par la fédération sénégalaise pour rejoindre l’équipe nationale de son pays d’origine à l’occasion du tournoi d’Abidjan (22-24 février) qualificatif pour la Coupe du monde en Chine. Seulement, d’après les informations de Lequipe.fr, le pivot de la SIG Strasbourg ne devrait pas répondre favorablement à la demande du coach Abdou Ndiaye.\\n\\nYoussoupha Fall, dont le coach en club, Vincent Collet, est également celui des Bleus, est par ailleurs membre avec son plein accord du Team France mais la fédération sénégalaise ne veut pas lui donner son indispensable feu vert car le natif de Dakar a déjà porté le maillot sénégalais en jeune.\\n\\n« C’est la première fois qu’ils l’appellent », explique Patrick Beesley, manager général du Team France Basket sur Lequipe.fr « Nous étions au courant car ils nous avaient prévenus via un courrier. C’est une manière d’affirmer leur position. Dans un premier temps – mais cela remonte -, ils étaient d’accord pour le libérer, puis ils s’y sont finalement opposés. «\\n\\nLa FIBA attend que les différentes parties trouvent un terrain d’entente pour rendre son verdict. La guerre des nerfs continue.Photo: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: Un Basket Landes vs Tarbes pour la 4e fois de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Mis à la même sauce que Lattes-Montellier et Lyon et après deux affrontements en Eurocup et un en saison régulière du championnat, Basket Landes et Tarbes vont s’affronter une quatrième fois depuis la rentrée pour le compte de la Coupe de France et à Mont-de-Marsan cette fois. Jusqu’ici, Basket Landesa gagné le derby du sud ouest du championnat (78-58) et le TGB les européens (71-69 et 84-73).\\n\\n«Tarbes n’est plus la même équipe qu’il y a deux mois, il y a du nouveau dans la raquette et à l’aile, mais il faut s’attendre à une grosse bagarre », indique la néo-internationale Marie-Michelle Milapie au quotidien Sud-Ouest.\\n\\nDe fait, l’arrière américaine dotée d’un passeport ukranien D’Andra Moss (1,80 m, 30 ans), a remplacé la Suédoise Nathalie Fontaine et assure 8,1 points, 3,1 rebonds, et 2,3 passes de moyenne en 7 matchs, alors que la pivot US Cierra Bravard, bien connue dans les Landes, est out pour six semaines, et c’est Devereaux Peters (1,86m, 29 ans), 160 matches de WNBA au compteur, qui a été appelée à la rescousse.\\n\\nToujours en course en Eurocup, Tarbes est moins à son affaire en championnat (9e, 5 victoires pour 9 défaites) et les Landaises, qui y sont davantage performantes (4e, 8-6) mais qui sortent d’un revers à Mondeville, se demandent quel type d’équipe périgourdine elles vont avoir en face d’elles. La principale arme du TGB est l’Américaine Alexis Prince (1,88m, 25 ans), deuxième scoreuse de la LFB (16,3 points) et qui surtout a atteint un record de 41 points (13/21 aux shoots dont un 5/7 à trois-points) face à Basket Landes le 5 décembre et qui a additionné 34 points et 16 rebonds cette semaine face aux Slovaques de Ruzomberok.\\n\\nPhoto: Alexis Prince (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"François Peronnet (coach Limoges): «On verra quand on aura perdu quelques matches...»" }, {"role": "assistant", "content":"François Peronnet, 45 ans, a remplacé Kyle Milling comme head coach du Limoges CSP le 8 décembre. Depuis, les Limougeauds qui étaient alors mal en point, ont enchaîné 7 victoires de suite en Jeep Elite. 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J’ai voulu tenter de devenir entraîneur très jeune et pour se faire j’ai eu de la chance de rencontrer des personnes qui m’ont à la fois donné l’opportunité de l’exercer sur le terrain et aussi de découvrir ce qu’était ce métier-là. J’avais envie de le faire mais je n’avais aucune connaissance de ce que ça nécessitait. Après Chaumont, je suis allé à Nancy pour faire des études en Licence de Production Industrielle qui étaient un alibi pour pouvoir observer un club professionnel au quotidien, le SLUC Nancy. Le choix du lieu de la fac était lié au fait qu’il y avait un club professionnel à Nancy. A l’époque c’était Olivier Veyrat qui était le coach. L’autre intérêt de Nancy, c’était que Roger Tank m’a donné l’opportunité de devenir entraîneur dans ses camps et il était aussi directeur technique dans un club de la banlieue de Nancy, à Laxou. Il fait partie de ces personnes qui m’ont donné l’opportunité d’exercer ce métier-là.\\n\\nVous alliez voir les entraînements du SLUC en observateur libre où étiez-vous affilié au club ?\\n\\nNon, non. Je n’avais aucune capacité à aller sur le terrain. Tous les jours, quand je le pouvais, je m’asseyais dans les gradins, j’observais les entraînements et je prenais des notes. J’ai appris en observant et aussi grâce à Roger, qui avait ses camps en France mais aussi aux Etats-Unis l’été. J’ai encadré ses stagiaires et on allait d’université en université chaque semaine. J’ai appris là aussi en regardant d’autres personnes travailler.\\n\\nVous avez passé vos diplômes en même temps ?\\n\\nLorsque je suis parti avec Roger, j’avais 18-19 ans et j’ai passé mon BE1, BE2 après. Ensuite j’ai travaillé avec le SLUC Nancy sur les espoirs en étant assistant au centre de formation pendant trois ans. J’ai fait mon service militaire à Nancy et le soir j’étais avec les espoirs. Et ensuite ils m’ont permis de trouver un emploi à la Caisse d’Epargne de Nancy. J’ai discuté avec le président (Jean-Jacques) Eisenbach en lui disant que j’étais tenté de faire ce métier-là à plein temps. Est-ce que le SLUC était prêt à créer un plein temps ? La réponse a été « non » et c’est pourquoi j’ai postulé à Chalon-sur-Saôsne et ça a été ma deuxième rencontre marquante avec Philippe (Hervé). Il fait partie de ces personnes qui m’ont appris ce métier-là et qui m’ont donné l’opportunité de l’exercer.\\n\\nC’était le début de la professionnalisation des entraîneurs au-delà des head coaches ?\\n\\nJe suis arrivé à Chalon en 1998 et c’était l’époque des emplois jeunes. J’avais été embauché une année pour travailler sur les cadets de l’association. Et c’est à l’issue de cette année que Philippe m’a proposé de venir travailler avec lui sur les pros.\\n\\nEst-ce un handicap au début de sa carrière de coach de ne pas avoir été joueur de haut niveau ?\\n\\nJe pense que c’est un handicap même après. Si on n’a pas vécu les situations en tant que joueur, il va nous manquer la perception de certaines choses. On ne peut pas se mettre à la place d’un joueur qui va prendre une décision dans l’instant dans une salle pleine avec du stress. Ça, on ne peut pas le remplacer. Nous, on apprend le métier en observant mais on n’aura jamais vécu les situations. Par exemple, celle de la frustration par rapport à son temps de jeu, les choix du coach. Si on a vécu ça, je ne dis pas que c’est indispensable -la preuve en est, il y a des coaches qui le font sans l’avoir vécu- mais c’est bien évidemment un plus de l’avoir vécu en tant que joueur. Par exemple, le rapport à la blessure, c’est une chose différente si on l’a vécu en tant que joueur.\\n\\nLongtemps les présidents ont davantage fait confiance aux anciens joueurs plutôt qu’à un coach qui n’avait pas de nom dans le basket. C’est ce que m’avait dit, à son époque de Sceaux, Alain Weisz qui n’avait pas été joueur en première division. Est-ce encore le cas ?\\n\\nC’est un peu différent car lui était sur un poste de coach de haut niveau alors que moi je suis rentré par les cadets, les espoirs, le centre de formation avant d’avoir la responsabilité principale d’une équipe. C’est normal lorsque l’on est dirigeant de club et que l’on fait des choix de ressources humaines de chercher à réduire les incertitudes, comme nous quand on recrute des joueurs. On va chercher des gens qui ont de l’expérience, du vécu, c’est tout à fait normal.\\n\\n« J’ai eu le privilège en tant qu’assistant de travailler avec Philippe (Hervé) pendant de très nombreuses années et c’est quelqu’un qui permettait à son assistant de s’exprimer sur le terrain »\\n\\nEn 2017, vous choisissez d’être assistant de Kyle Milling à Limoges. Assistant et coach principal, ce n’est pas le même métier.\\n\\nC’est une réalité, ce sont deux métiers totalement différents.\\n\\nCe n’est pas un problème pour son égo de passer de l’un à l’autre, ce que vous avez fait plusieurs fois ?\\n\\nLe moteur principal est-il l’égo ?\\n\\nÇa dépend des gens...\\n\\nExactement. Vous avez une partie de la réponse. J’ai la chance depuis vingt ans d’exercer ce métier, d’être sur un terrain de basket face aux joueurs tous les jours, en position de numéro 2 la plupart du temps et de temps en temps en numéro 1. Je suis dans une situation où je peux essayer de transmettre et c’est ce qui m’anime plus que la position.\\n\\nLe rapport avec les joueurs, le club, l’entourage est-il différent quand on passe d’assistant à coach principal ?\\n\\nSur le plan du rapport avec l’environnement, sa direction, forcément puisque l’entraîneur est la liaison entre le terrain et tous les environnements d’une équipe de basket alors que l’assistant est « protégé ». Son job est autour du terrain et dans le bureau. Il n’a pas à être confronté avec l’extérieur. Sur la partie cœur de métier qui est d’être face aux joueurs pour entraîner, ça dépend car le rôle de l’assistant est dépendant de ce que lui donne le numéro 1. Les missions qui lui sont données et la place qu’il a sur le terrain ou dans le bureau sont dépendantes de la personne avec qui il travaille. J’ai eu le privilège en tant qu’assistant de travailler avec Philippe (Hervé) pendant de très nombreuses années et c’est quelqu’un qui permettait à son assistant de s’exprimer sur le terrain.\\n\\nIl déléguait certaines attributions que d’autres gardent pour eux ?\\n\\nIl donnait des responsabilités sur le terrain qui étaient plus ou moins bien remplis. C’était un privilège et c’est pour cela que j’ai souhaité poursuivre dans cette voie-là. C’était ce qui m’intéressait, transmettre quelque chose sur le terrain.\\n\\nComment ça se passe quand l’assistant remplace le coach principal. Y a-t-il une rencontre entre vous, un peu comme les présidents de la République qui se voient le jour de la passation de pouvoir pour la transmission des codes nucléaires ?\\n\\nChaque situation est unique. Il y a des endroits où ça se fait et d’autre pas, des gens qui se croisent ou pas. Il n’y a pas une règle.\\n\\nEt en l’occurrence avec Kyle Milling ?\\n\\nOn travaillait ensemble auparavant. Lorsqu’il lui a été notifié sa mise à l’écart, on a été tout de suite en contact. Après, il y a eu le fait que l’on me mette en situation de le remplacer, la deuxième étape, et on était bien évidemment encore en contact. Ça dépassait la relation d’assistant à coach. On a travaillé un an et demi ensemble. Il m’a donné l’opportunité de venir travailler ensemble à Limoges alors qu’on ne l’avait jamais fait auparavant. Il a pris ce pari de me faire confiance et à ce moment de rupture l’aspect humain prend le dessus sur tout le reste.\\n\\nEn 2015, vous avez été remplacé à Orléans par Pierre Vincent après 9 défaites sur 10 rencontres. Vous connaissez donc cet type de situation ? C’est pour ça que vous êtes resté très prudent, très modeste durant la série de victoires du CSP ?\\n\\nNon, pas du tout. La réalité de ce métier, c’est que chaque coach essaye de réduire les incertitudes dans sa préparation, son travail quotidien avec les joueurs. Les quelques années dans ce milieu-là me laissent à penser que la partie que vous ne maitrisez pas vous envoie au-dessus de votre niveau et de temps en temps, elle vous envoie en-dessous. Un exemple : la première année où je suis à Châlons-en-Champagne et que l’équipe fait une bonne saison, ce n’est pas grâce à ce que j’ai produit sur le terrain en tant qu’entraîneur débutant. C’est parce qu’il y a eu une cohésion d’équipe avec des gens qui se sont entendus au-delà de ce que l’on pouvait espérer, et qui ont été un des facteurs qui ont amené la réussite. Je sais que dans notre métier la réussite ne dépend pas uniquement de l’investissement au travail et de votre expertise.\\n\\n« Si les joueurs du Mans avaient mis dedans ce soir-là, on aurait peut-être pris 75 points, on aurait eu une défaite et on aurait peut-être pas enchaîné sur Tofas et la suite »\\n\\nAprès la mise à l’écart de Kyle Milling, il y a eu une prise de conscience au niveau du groupe de joueurs ?\\n\\nIl y avait des choses pour lesquelles les individus n’étaient pas responsables comme un certain déséquilibre dans la construction de l’équipe et qui a eu un impact sur la confiance, les résultats. La période de fin novembre a amené une prise de conscience de l’ensemble des individus qui a été bonifiée par une chose, encore une fois que l’on ne maîtrise pas. C’est-à-dire qu’au-delà de l’investissement des gars sur la première semaine, on va jouer au Mans et ce jour-là Le Mans est maladroit. Ce n’est pas grâce à nous, on en a bénéficié. L’investissement défensif a été bonifié par la maladresse ponctuelle du Mans. Ça a validé globalement les efforts que les individus avaient fait mais si les joueurs du Mans avaient mis dedans ce soir-là, on aurait peut-être pris 75 points, on aurait eu une défaite et on n’aurait peut-être pas enchaîné sur Tofas et la suite. Ce sont des facteurs que l’on ne maîtrise pas, qui nous ont envoyés du bon côté mais qui auraient pu très bien nous envoyer du mauvais.\\n\\nUn meneur de jeu c’est très important notamment en Jeep Elite. L’arrivée de Jordan Taylor a-t-elle complètement changé la donne ?\\n\\nJe fais partie des gens qui se sont trompés dans le recrutement et le changement de meneur de jeu a eu bien évidemment un impact à la fois offensif et défensif sur la rentabilité de l’équipe sur les dernières semaines.\\n\\nC’est un bon défenseur, aussi il doit donner davantage envie aux autres d’aller dans ce sens-là ?\\n\\nSes quatre partenaires voient le meneur de jeu de dos, aussi s’il est en attitude, dans le combat et en compétitivité, ça a une valeur importante d’exemple pour l’ensemble du groupe.\\n\\nSamardo Samuels a déclaré dans Le Populaire que vous avez apporté la rigueur et la discipline. Vous confirmez ?\\n\\nQuand il y a un changement, de faire les choses différemment, amène une énergie nouvelle. Quelque soit la personne qui passe derrière, les individus qui ont été en difficulté vont analyser la situation comme « c’est mieux aujourd’hui ». Ça n’a pas plus de valeur que ça puisqu’on était les mêmes une semaine auparavant et en plus je faisais partie de l’équipe qui était là auparavant. Je ne suis pas un nouveau élément qui est arrivé au mois de décembre.\\n\\n« Il faut souligner l’investissement et le travail fait par les clubs français mais le niveau de concurrence en dehors de nos frontières est un cran au-desssus. On peut parler de Samardo Samuels. Quand il était à Barcelone, il y avait deux autres postes 5 »\\n\\nLe top 16 de l’Eurocup est une marche trop haute pour une équipe comme Limoges surtout dans le groupe où vous étiez qui était assez chargé ?\\n\\nOn ne peut pas nier la réalité du terrain ; la marche était trop élevée pour nous bien que l’investissement des joueurs, leur combativité jusqu’à maintenant ait été irréprochable. On a eu sur le premier match de ne pas être très loin mais on n’a pas réussi à faire la bascule avec la victoire et ce n’est pas le fait du hasard. Il y a une constance dans la production de nos adversaires et dans leurs choix qui fait la différence sur la durée. Et encore une fois, je dois souligner que lorsque la semaine dernière l’équipe joue contre Malaga, ils font un match à sept qui est remarquable d’engagement et de combativité mais ça ne suffit pas.\\n\\nVous n’avez pas été épargné par les blessures alors que les gros clubs européens ont plus d’effectif ?\\n\\nCe n’est pas parce qu’on a eu des blessés qu’on n’a pas réussi à transformer certaines défaites en victoires. C’est qu’au top 16 en général et dans notre groupe en particulier, il y a une marche qui est importante. Ça ne veut pas dire que vous ne commencez pas un match avec l’ambition de le gagner mais par exemple, Antoine Diot était dans le top 3 du championnat de France il y a quatre ans joue 16-18’ à Valencia. Même quand il n’est pas en retour de blessure. Il y a (Sam) Van Rossom et (Guillem) Vives avec lui. Dans le même ordre d’idée, (Louis) Labeyrie qui était dans le top 5 du championnat de France l’année dernière n’est qu’une rotation à 15’ à Valencia. Devant, il y a (Boban) Dubljevic et compagnie. Au-delà du soir de match où il y a une différence de roster entre les équipes, je pense que le quotidien d’entraînement n’a rien à voir parce qu’il y a une émulation -par exemple sur le poste 1 quand vous avez trois joueurs de ce niveau-là- qui est totalement différente de celle que nous, les clubs français, on va mettre en place à l’entraînement.\\n\\nValencia est formatée Euroleague ?\\n\\nOui et pareil pour Malaga. Il suffit de regarder les effectifs et des statistiques très simples. Vous allez par exemple sur les temps de jeu et vous voyez que le joueur qui joue le plus est à 25 minutes. Ça veut dire qu’ils sont capables de mettre une intensité forte et d’être efficace sur un temps de jeu plus réduit. C’est la réalité de leur composition d’équipe. C’est aussi le fait que dans le quotidien, ils ont un niveau d’émulation supérieure à celui que l’on peut produire. Autre conséquence, nous, à l’entraînement, on est parfois obligé d’économiser certains de nos individus alors qu’eux ils peuvent au contraire les pousser à aller plus loin dans leurs limites puisque le jour du match, il y a la capacité de switcher dans la profondeur de l’effectif avec des joueurs de niveau équivalent. C’est une grosse différence avec ce qui se passe chez nous. Ça ne veut pas dire que chez nous les gens ne travaillent pas mais le niveau d’émulation et de concurrence au quotidien n’a rien à voir.\\n\\nCes équipes de top niveau Eurocup ont-elles un staff technique numériquement supérieur à celui du CSP ?\\n\\nOui même si au CSP et dans d’autres clubs français les staffs se développent. Ce sont des pas qui se font dans la même direction mais ça n’a rien à voir avec nos concurrents sportifs européens.\\n\\nOn a l’impression que quand on fait un pas en avant, eux en font un aussi, si bien que l’on a toujours un pas de retard ?\\n\\nOui. Il faut souligner l’investissement et le travail fait par les clubs français mais le niveau de concurrence en dehors de nos frontières est un cran au-desssus. On peut parler de Samardo Samuels. Quand il était à Barcelone, il y avait deux autres postes 5. J’ai eu la chance de les voir s’entraîner et de les voir faire du 5 contre 5 contre 5. Ça permet d’avoir un niveau d’intensité bien évidemment supérieur. Et quand vous avez un joueur qui un jour est un peu moins bien pour une raison physique ou mentale, la réalité de la concurrence des deux autres qui sont face à lui le rappelle à l’ordre de façon naturelle.\\n\\nVotre vie au quotidien à Limoges a-t-elle changé depuis que vous êtes passé du statut à celui de coach de principal ?\\n\\nPas trop, non. Je croise toujours avec plaisir les supporters à la sortie de la salle à l’entraînement ou en ville quand on va acheter son journal. Maintenant, on verra quand on aura perdu quelques matches, ça sera certainement différent.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment peut-on se retrouver dans le basket de haut niveau quand on nait à Chaumont, qui n’est pas une ville basket et que l’on n’est pas grand dans un sport où c’est un élément déterminant ?\\n\\nJ’aimais ce sport quand j’étais jeune et je me suis vite rendu compte que je n’avais pas le talent pour l’exercer à haut niveau. J’ai voulu tenter de devenir entraîneur très jeune et pour se faire j’ai eu de la chance de rencontrer des personnes qui m’ont à la fois donné l’opportunité de l’exercer sur le terrain et aussi de découvrir ce qu’était ce métier-là. J’avais envie de le faire mais je n’avais aucune connaissance de ce que ça nécessitait. Après Chaumont, je suis allé à Nancy pour faire des études en Licence de Production Industrielle qui étaient un alibi pour pouvoir observer un club professionnel au quotidien, le SLUC Nancy. Le choix du lieu de la fac était lié au fait qu’il y avait un club professionnel à Nancy. A l’époque c’était Olivier Veyrat qui était le coach. L’autre intérêt de Nancy, c’était que Roger Tank m’a donné l’opportunité de devenir entraîneur dans ses camps et il était aussi directeur technique dans un club de la banlieue de Nancy, à Laxou. Il fait partie de ces personnes qui m’ont donné l’opportunité d’exercer ce métier-là.\\n\\nVous alliez voir les entraînements du SLUC en observateur libre où étiez-vous affilié au club ?\\n\\nNon, non. Je n’avais aucune capacité à aller sur le terrain. Tous les jours, quand je le pouvais, je m’asseyais dans les gradins, j’observais les entraînements et je prenais des notes. J’ai appris en observant et aussi grâce à Roger, qui avait ses camps en France mais aussi aux Etats-Unis l’été. J’ai encadré ses stagiaires et on allait d’université en université chaque semaine. J’ai appris là aussi en regardant d’autres personnes travailler.\\n\\nVous avez passé vos diplômes en même temps ?\\n\\nLorsque je suis parti avec Roger, j’avais 18-19 ans et j’ai passé mon BE1, BE2 après. Ensuite j’ai travaillé avec le SLUC Nancy sur les espoirs en étant assistant au centre de formation pendant trois ans. J’ai fait mon service militaire à Nancy et le soir j’étais avec les espoirs. Et ensuite ils m’ont permis de trouver un emploi à la Caisse d’Epargne de Nancy. J’ai discuté avec le président (Jean-Jacques) Eisenbach en lui disant que j’étais tenté de faire ce métier-là à plein temps. Est-ce que le SLUC était prêt à créer un plein temps ? La réponse a été « non » et c’est pourquoi j’ai postulé à Chalon-sur-Saôsne et ça a été ma deuxième rencontre marquante avec Philippe (Hervé). Il fait partie de ces personnes qui m’ont appris ce métier-là et qui m’ont donné l’opportunité de l’exercer.\\n\\nC’était le début de la professionnalisation des entraîneurs au-delà des head coaches ?\\n\\nJe suis arrivé à Chalon en 1998 et c’était l’époque des emplois jeunes. J’avais été embauché une année pour travailler sur les cadets de l’association. Et c’est à l’issue de cette année que Philippe m’a proposé de venir travailler avec lui sur les pros.\\n\\nEst-ce un handicap au début de sa carrière de coach de ne pas avoir été joueur de haut niveau ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: François Peronnet (CSP), William Howard, Jordan Taylor et Samardo Samuels (FIBA)\\n\\nLa suite demain." }, {"role": "user", "content":"EuroCup – Top 16 : Limoges s’offre une victoire pour l’honneur" }, {"role": "assistant", "content":"Beaublanc a encore vibré cette semaine : un 3e quart cauchemar a finalement ouvert la voie à un final en trombes, un 21-7 pour la première victoire de Limoges, sur le fil contre l’Etoile Rouge de Belgrade (72-71). Jonathan Rousselle a été clutch avec un trois points puis un layup pour la gagne.\\n\\nDans le même temps, Artsiom Parakhouski (22 points, 8 rebonds) a aussi joué les héros pour Vilnius qui sera l’adversaire de Monaco mercredi prochain, pour l’ultime ticket à composter pour les quarts de finale de l’EuroCup. Les Monégasques ont chuté lourdement à domicile cette semaine contre Berlin (75-61).\\n\\nL’Asvel a quant à elle poursuivi sa série d’invincibilité contre Krasnodar (72-61) pour le retour d’Alexis Ajinça sur la scène européenne, qui fait partie d’un beau tir groupe de 6 joueurs tricolores en double figure sur cette avant-dernière journée de Top 16.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 5ème journée\\n\\nArtsiom Parakhouski (22 points à 10/11 aux tirs, 8 rebonds, 3 contres)\\n\\nSi Tyler Larson a frappé fort avec 24 points à 7/10 aux tirs plus 9 rebonds, 3 passes et 2 interceptions, le titre honorifique de MVP revient au pivot biélorusse de Vilnius, Artsiom Parakhouski. Il a non seulement réussi un match plein à 22 points à 10/11 aux tirs, assortis de 8 rebonds et 3 contres, mais il a surtout inscrit le panier de la gagne contre le Partizan.\\n\\nGrâce à ce tir décisif, Rytas garde encore une chance de qualification, ce qui n’est plus le cas du Partizan, éliminé au point average. Après deux saisons en Euroleague entre Kazan et le Maccabi Tel Aviv, Parakhouski a bien fait de descendre d’un étage. Il tourne à un excellent 14 points et 8 rebonds de moyenne pour la 3e meilleure évaluation (20) sur ce Top 16.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nJerry Boutsiele (13 points, 13 rebonds)\\n\\nAprès son match à 20 points et 5 rebonds la semaine passée, Jerry Boutsiele a remis le couvert ce mercredi pour le CSP avec un double double de costaud : 13 points, 13 rebonds. Il n’a malheureusement pas été aussi efficace que la semaine précédente en terminant à 5/13 (contre 9/13) mais il a été exemplaire dans la bataille aux rebonds.\\n\\nEt puis cette fois au moins, la victoire est au bout. Après une saison régulière dans un rôle mineur (4 points, 3 rebonds), Boutsiele a pour le coup réalisé un joli Top 16 à 10 points et 8 rebonds de moyenne pour 15 d’évaluation. Pour une première campagne en EuroCup, l’ancien choletais a progressivement su élever son niveau de jeu.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n21-7\\n\\nC’est le run final du CSP qui a réussi le hold up à la maison pour une victoire qui fait le plus grand bien au moral des troupes de coach Perronet. Jonathan Rousselle a ponctué cette série avec son trois points clutch et un layup encore plus décisif.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nLimoges sauve l’honneur\\n\\nEncore capot, le CSP Limoges s’est arraché pour remporter sa première victoire du Top 16 contre l’Etoile Rouge de Belgrade (72-71). Après un 3e quart complètement foiré (25-8), Limoges a su trouver les ressources nécessaires pour revenir sur un 21-7 avant que Jonathan Rousselle (9 points) ne conclut l’affaire avec un trois points puis un layup très contesté, au bout du suspense.\\n\\nMaladroits avec un 14/43 aux tirs, les Limougeauds ont compensé par un effort valeureux sous les panneaux (40-31) et une bonne adresse de loin (11/25). Outre le double double de Jerry Boutsiele (13 points, 13 rebonds), Axel Bouteille termine aussi à 7 points et 10 rebonds, avec un 3/11 aux tirs plutôt amer. Littéralement revenu du diable vauvert (-13 à 8 minutes de la fin), le CSP peut être satisfait de cette victoire méritée sur l’ensemble du Top 16.\\n\\nL’Asvel reste invaincue\\n\\nMalgré le vilain coup d’arrêt subi par Alpha Kaba, qui évoluait à son meilleur niveau de retour de blessure, l’Asvel ne ralentit toujours pas la cadence. Villeurbanne a de nouveau battu Krasnodar (72-61), au terme d’une 2e mi-temps maîtrisée défensivement.\\n\\nNext man up, comme on dit ! En l’occurrence, c’est Alexis Ajinça qui a effectué son retour sur la scène européenne avec un match solide pour des débuts : 10 points, 4 rebonds. Avec 7 points d’affilée en 3e quart, il a donné et Charles Kahudi (13 points, 10 rebonds) et Amine Noua (11 points, 7 rebonds) ont parfaitement pris le relais pour une fin de match sereine.\\n\\nÇa passe ou ça casse pour Monaco\\n\\nDéfaits sur leur parquet par l’Alba Berlin (75-61), les Monégasques n’ont pas tellement rassuré en vue d’un match à la vie à la mort la semaine prochaine contre Vilnius... à Vilnius ! A part pour un gros passage défensif en 2e quart ou un retour à -4 en fin de 3e, Monaco a subi la loi de l’Alba et surtout de Rokas Giedraitis (19 points, 6 rebonds).\\n\\nL’ailier balte a fait très mal à la Roca Team en 2e mi-temps, qui de son côté n’a pas trouvé de liant en attaque, à l’image de Paul Lacombe à 5 points à 1/10 aux tirs, plus 4 passes décisives mais moins 3 balles perdues. Elmedin Kikanovic (6 points) et Yakuba Ouattara (8 points à 4/9) n’ont pas non plus été dans leurs standards de la saison. Il faudra un tout autre match mercredi prochain à Vilnius...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nJerry Boutsiele (Limoges) : 13 points (5/13 aux tirs), 13 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 3 balles perdues en 32 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 13 points (6/12 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 13 points (5/6 à trois points), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception en 29 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 11 points (4/9 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 contre, 3 balles perdues en 23 minutes\\n\\nAlexis Ajinça (Asvel) : 10 points (4/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (2/5 aux tirs), 4 passes, 3 interceptions, 1 rebond, 4 balles perdues en 25 minutes\\n\\nJonathan Rousselle (Limoges) : 9 points (3/7 à trois points), 2 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 8 points (3/4 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 1 passe en 24 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 8 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds en 17 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 7 points (3/11 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 6 points (2/4 aux tirs), 9 rebonds, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 32 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 6 points (2/5 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 5 balles perdues en 20 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 5 points (1/10 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 contre, 3 balles perdues en 27 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : n’a pas joué\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 5e journée\\n\\nGROUPE E\\nMonaco – Alba Berlin (61-75)\\nPartizan Belgrade – Vilnius (77-78)\\n\\nGROUPE F\\nFrancfort – Ulm (68-83)\\nASVEL – Krasnodar (72-61)\\n\\nGROUPE G\\nLimoges – Etoile Rouge (72-71)\\nMalaga – Valence (69-72)\\n\\nGROUPE H\\nZenit St Petersburg – Kazan (67-82)\\nAndorre – Zagreb (87-81)\\n\\n\\nLes quarts de finale :\\n\\nAlba Berlin – Malaga\\nASVEL – Andorre ou Kazan\\nValence – Vilnius ou Monaco\\nAndorre ou Kazan – Krasnodar\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLes bilans du Top 16 :\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\nArtsiom Parakhouski (22 points à 10/11 aux tirs, 8 rebonds, 3 contres)\\n\\nSi Tyler Larson a frappé fort avec 24 points à 7/10 aux tirs plus 9 rebonds, 3 passes et 2 interceptions, le titre honorifique de MVP revient au pivot biélorusse de Vilnius, Artsiom Parakhouski. 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A savoir :\\n\\n * Une interview du président Youri Verieras.\\n * Le best of des interviews que Frédéric Forte, le président décédé, et Olivier Bourgain, le directeur sportif, nous avaient accordé la saison dernière.\\n * Un portrait de Jonathan Rousselle.\\n * Une interview de Sekou Doumbouya.\\n * Une interview de Axel Bouteille.\\n * Une interview de Jean-Louis Chanier, le président des Eagles, qui a le CSP collé à la peau.\\n * La rencontre avec Franck Butter, l’un des champions d’Europe de 1993 qui vit toujours à Limoges et qui souffre dans sa chair.\\n * Un reportage rétro sur le voyage des supporters à Grenoble pour la finale de la Coupe des Coupes en 1988.\\n * Un éclairage sur Le Populaire, le quotidien de Haute-Vienne qui colle à l’actualité du CSP.\\n\\nUn numéro UNIQUE !\\n\\nVous pouvez commander le magazine ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Louis Adams quitte Châlons-Reims" }, {"role": "assistant", "content":"Sans surprise, le CCRB annonce s’être séparé de Louis Adams (1,93m, 22 ans) qui ne portera donc plus le maillot de Châlons-Reims cette saison.\\n\\nTrès peu utilisé par Cédric Heitz jusqu’au point d’être dépassé dans la rotation par certains Espoirs, l’ancien pensionnaire de l’université de Wyoming n’avait pas vraiment d’avenir dans l’effectif marnais et est parvenu à trouver un accord avec le club pour être libéré.\\n\\nCette saison, Louis Adams compilait en moyenne 0,6 point, 0,4 rebond et 0,3 passe en 3 petites minutes de jeu en Jeep Elite. La saison dernière en NCAA, il tournait à 9,7 points et 2,6 rebonds.\\n\\n\\n\\n\\n🚨 LOU ADAMS QUITTE LE CCRB 🚨\\n\\n\\nLou ADAMS et le @CCRBASKET ont trouvé un accord pour libérer le joueur US de son contrat à partir du 1er Février. Le @CCRBASKET lui souhaite bonne chance pour la suite de sa carrière. pic.twitter.com/fslTTUjbrT\\n\\n\\n— Champagne Basket 🧙\u200d♂️ (@ChampBasketOff) February 1, 2019\\n\\nPhoto : Champagne Châlons Reims Basket" }, {"role": "user", "content":"Quatre mois après son arrivée en Euroleague l’ancien NBAer Derrick Williams s’est-il acclimaté au jeu européen ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le Bayern Munich commence à croire en ses chances de qualification pour les playoffs d’Euroleague à neuf journées de la fin de la saison régulière (7e avec 11 victoires et 9 défaites), un joueur est particulièrement en forme. Il s’agit de l’Américain Derrick Williams (2,03m, 28 ans).\\n\\nIndésirable en NBA depuis 2017, il a tenté sa chance en Chine avant de revenir forcer son destin aux Etats-Unis en signant un contrat de dix jours avec les Los Angeles Lakers. Non prolongé, l’ancien joueur des Minnesota Timberwolves s’est finalement tourné vers l’Europe et l’Euroleague. « Un pas en avant » selon ses dires à son arrivée en Allemagne. Jamais passé par le Vieux Continent, le Californien s’est engagé en début de saison avec le Bayern Munich pour tout l’exercice 2017/18. Un peu de stabilité pour montrer qu’avoir été sélectionné en deuxième position de la Draft 2011 n’était pas un hasard.\\n\\nDécrié pour son inconstance Outre-Atlantique, l’ancien pensionnaire de l’université d’Arizona est en train de prouver semaine après semaine que le club bavarois a bien fait de parier sur lui. Capable de coup d’éclat comme ses 27 points (35 d’évaluation) face au Zalgiris Kaunas mi-décembre, cet ailier fort très aérien montre surtout que c’est la continuité qu’il est bel et bien présent. Remplaçant de luxe dans la rotation de Dejan Radonjic mais avec temps de jeu de titulaire (un peu plus de 26 minutes), l’ancien des Knicks s’est très vite rendu indispensable. En 20 matchs, il a prouvé qu’il est capable de tirer son épingle du jeu dans un basket très réfléchi où les déplacements sans ballon et les systèmes de jeu sont mis en avant, tout en profitant de ses qualités athlétiques pour régaler les fans européens. En Euroleague, l’ancien du Midi Heat tourne en moyenne à 14,3 points (53% à deux points et 41% à trois points) et 4,3 rebonds pour une évaluation de 15,8 dans la compétition qui est considérée comme la meilleure derrière la NBA.\\n\\nAvec de tels chiffres, il ne serait pas étonnant de voir Derrick Williams être rappelé par une écurie NBA, mais ne serait-il pas plus judicieux pour lui de rester en Europe et de rejoindre un vrai concurrent au titre suprême l’an prochain ?\\n\\n\\nLes statistiques de Derrick Williams en Euroleague cette saison :" }, {"role": "user", "content":"Tournoi U16 de Sakarya : Un bilan contrasté" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France U16 a participé cette semaine au tournoi de Sakarya en Turquie. Un tournoi amical regroupant plusieurs sélections de jeunes. Les Bleuets ont fini la compétition avec deux victoires (contre la Serbie et la Turquie U15) pour trois défaites (contre la Turquie, la Croatie et la Lituanie).Les Français ont fait preuve tout au long de ce tournoi d’irrégularité, avec aussi bien des victoires au forceps comme des matchs où ils n’ont pas existé (notamment contre la Turquie que la France a perdu de 33 points). Malgré ce bilan négatif, des signes encourageants ont été aperçus en vue du prochain Euro U17 qui se tiendra début août à Udine, en Italie.Les meilleurs marqueurs français durant de tournoi sont l’arrière du Mans Hugo Mienandi (1,94m, 15 ans) avec 10,4 points par match et l’ailier tourangeau Yohan Traoré (1,97, 15 ans) avec 10,2 points par match.\\n\\nPoints des Français\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nSerbie\\nTurquie\\nTurquie U15\\nCroatie\\nLituanie\\nMoy.\\n\\n\\nMeniandi\\n13\\n10\\n3\\n21\\n5\\n10,4\\n\\n\\nY. Traoré\\n7\\n15\\n9\\n12\\n8\\n10,2\\n\\n\\nBal\\n9\\n3\\n16\\n12\\n7\\n9,4\\n\\n\\nA. Traoré\\n6\\n2\\n15\\n0\\n8\\n6,2\\n\\n\\nBalfourier\\n4\\n4\\n10\\n5\\n6\\n5,8\\n\\n\\nDessert\\n5\\n4\\n7\\n6\\n6\\n5,6\\n\\n\\nDieng\\n0\\n0\\n14\\n5\\n7\\n5,2\\n\\n\\nKasiama\\n9\\n2\\n12\\n0\\n2\\n5,0\\n\\n\\nManet\\n8\\n2\\n8\\n2\\n3\\n4,6\\n\\n\\nDesseignet\\n7\\n0\\n6\\n3\\n2\\n3,6\\n\\n\\nCrespin\\n2\\n5\\n4\\n1\\n0\\n2,4\\n\\n\\nRupert\\n2\\n0\\n6\\n0\\n2\\n2,0\\n\\n\\nTotal\\n72\\n47\\n110\\n67\\n56\\n70,4\\n\\n\\n\\n\\nFrance – Serbie : 72-66\\nFrance – Turquie : 47-80\\nTurquie U15 – France : 49-110\\nCroatie – France : 71-67\\nLituanie – France : 75-56" }, {"role": "user", "content":"VTB League All-Star Game : les joueurs et les coaches sont connus" }, {"role": "assistant", "content":"Une semaine après les équipes, les coaches du All-Star Game viennent d’être officiellement annoncés ce vendredi par la VTB League. Ce sont donc Oleg Okulov, le coach d’Enisey Krasnoyarsk et Dimitris Prifitis, coach de l’UNICS Kazan, qui auront l’honneur d’entraîner lors de ce match de gala. Le premier coachera l’équipe russe tandis que le second s’occupera de la sélection étrangère.\\n\\nOkulov et Priftis vont annoncer leurs cinq de départ le 8 février, le match aura quant à lui lieu le 17 février à la VTB Arena de Moscou, dont la configuration basket est de 12 770 places, et comptera dans ses rangs le Français Nando de Colo (1,96m, 31 ans).\\n\\nRussian Stars: Vitaly Fridzon, Dmitry Kulagin, Dmitry Khvostov (Lokomotiv-Kuban), Ivan Strebkov (Nizhny Novgorod), Evgeny Voronov (Zenit), Alexey Shved, Sergey Monia (Khimki), Joel Bolomboy, Andrey Vorontsevich, Nikita Kurbanov (CSKA), Artem Klimenko (UNICS), Artem Zabelin (Avtodor).\\n\\nWorld Stars: Sergio Rodriguez, Nando De Colo (CSKA), Jamar Smith, Maurice Ndour (UNICS), Kendrick Perry (Nizhny Novgorod), Anthony Clemmons (Astana), Perrin Buford (Avtodor), Jalen Reynolds (Zenit), Jordan Mickey (Khimki), Dorell Wright (Lokomotiv-Kuban), Rashard Kelly (PARMA), D’Angelo Harrison (Enisey).\\n\\nPhoto: Nando De Colo" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Denis Schröder (Oklahoma Thunder): «Dirk Nowitzki fait probablement partie du top 3 des meilleurs joueurs européens de tous les temps»" }, {"role": "assistant", "content":"En marge du NBA Sundays de ce week-end, Denis Schröder (1,85m, 25 ans), meneur de jeu du Oklahoma Thunder, s’est exprimé notamment sur son compatriote Dirk Nowitzki (2,13m, 40 ans) des Dallas Maverick qui est à la fin de sa carrière.\\n\\n« Dirk est un garçon unique. Il a changé le basket-ball. Ce qu’il a fait pour l’Allemagne, la communauté allemande, tout a beaucoup changé depuis qu’il a commencé à jouer. Sans parler de sa fantastique carrière et de son titre de champion NBA. Il fait probablement partie du top 3 des meilleurs joueurs européens de tous les temps ! »\\n\\nDenis Schröder, qui fait partie des candidats au trophée de Meilleur Sixième Homme de la NBA, a pris la succession de Dirk Nowitzki comme leader de l’équipe nationale allemande et a annoncé sa participation à la prochaine Coupe du monde.\\n\\nElu Meilleur Basketteur européen en 2005 et 2011, Dirk Nowitzki a pour lui d’être le seul Européen à avoir été élu MVP de NBA. C’était en 2007.\\n\\nL’Espagnol Pau Gasol, le Lituanien Arvidas Sabonis et le Croate Drazen Petrovic sont les trois autres noms généralement avancés quand on demande aux experts de désigner le numéro 1 européen de tous les temps.\\n\\nPhoto: Dirk Nowitzki (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Nantes : une cagnotte lancée pour la famille de Jermaine Marshall" }, {"role": "assistant", "content":"Les joueurs ainsi que le staff du Nantes Basket Hermine ont lancé ce jeudi soir une cagnotte en ligne pour aider la famille de Jermaine Marshall, le joueur américain disparu le 18 janvier dernier à l’âge de 28 ans.\\n\\nEn plus de son numéro 6 retiré, c’est un nouvel hommage fait par le club pour un joueur souriant et qui faisait l’unanimité au sein du vestiaire de l’Hermine. A l’heure où nous écrivons ces lignes, plus de 1 200 euros ont déjà été récoltés.\\n\\nVoici le lien si vous souhaitez y participer :\\n\\nPhoto: Nantes Basket Hermine\\n\\n\\n\\n\\n🎥 Retour sur l'hommage à Jermaine Marshall lors de la rencontre entre le #NBH et @SLUCbasketNancy 🙏#TributeToJermaineMarshall pic.twitter.com/FMEnUR9Rfr\\n\\n\\n— Nantes Basket Hermine (@NantesBasket44) January 31, 2019" }, {"role": "user", "content":"Video : quand Sarunas Jasikevicius enchaîne les shoots avant l’entraînement du Zalgiris" }, {"role": "assistant", "content":"Coach principal du Zalgiris Kaunas depuis 2016, l’ancien joueur du Panathinaïkos a encore de beaux restes. En déplacement à Moscou avec son équipe, l’entraîneur de la formation lituanienne a profité de l’entraînement pour prendre quelques shoots.\\n\\nRetraité depuis 2014, Sarunas Jasikevicius a vécu l’une des plus belles carrières du basket européen avec un palmarès long comme le bras, mêlant quatre titres d’Euroleague, trois championnats de Grèce, deux championnats d’Espagne ou encore un Eurobasket avec la Lituanie.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"3×3: Le World Tour prend du volume dans la perspective des Jeux Olympiques de Tokyo" }, {"role": "assistant", "content":"La huitième édition du FIBA 3×3 World Tour, compétition phare de la saison professionnelle du 3×3, comportera 11 étapes en 2019, avec un lancement à Doha (Qatar) à la mi-avril et avec en apogée la finale d’Utsunomiya. au Japon début novembre.\\n\\nLe système de compétition du 3×3 apparaît encore complexe pour un profane mais, en résumé, on peut dire que le FIBA 3×3 World Tour est fondamental pour les qualifications aux JO de Tokyo en 2020.\\n\\n« La Finale du Tour du Monde FIBA 3×3 sera un bon avant-goût du tournoi olympique 3×3 », commente Alex Sanchez, le directeur du 3×3 à la FIBA. « En fait, le World Tour jouera un rôle clé en aidant les joueurs à se préparer pour les Jeux. En outre, en participant au World Tour et aux Challengers associés, les joueurs professionnels 3×3 aideront leur pays d’origine à grimper dans le classement et à maximiser leurs chances de se rendre aux Jeux Olympiques « .\\n\\nC’est pourquoi la Fédération Internationale a pris la décision d’étendre le World Tour sur huit mois, soit une durée deux fois plus longue que l’édition 2018, qui s’est déroulée de juillet à octobre. Cette année, le circuit mondial comportera des étapes dans quatre nouvelles villes: Doha, Los Angeles, Montréal et Nanjing.\\n\\nLancé en 2012, le World Tour annuel permet à des équipes représentant des villes du monde entier de se qualifier pour dix Masters et une finale via un réseau mondial de tournois de qualification, tels que les Challengers, et via le classement FIBA 3×3 par équipe. La finale d’Utsunomiya aura lieu au Japon, neuf mois à peine avant que le 3×3 fasse ses débuts olympiques dans le même pays pour les Jeux olympiques de Tokyo.\\n\\nC’est une équipe serbe, le Novi Sad Al Wahda qui a gagné la dernière édition du World Tour en demeurant invaincue en 32 matches. Alors que les Bleues sont individuellement dominantes en 3×3 au niveau mondial, ce n’est pas du tout le cas chez les hommes puisque le premier Français au ranking est Charly Pontens, qui est seulement 63e. Les Serbes squattent les sept premières places.\\n\\nPhoto: Novi Sad Al Wahda (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Freddy Fauthoux (Levallois), Alexandre Ménard (Rouen) et Savo Vucevic (Bourg): Paroles d’experts (2)" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons demandé à trois coaches de nous apporter leur expertise sur quelques sujets concernant leur activité ou l’actualité.\\n\\nFreddy Fauthoux, 46 ans, a eu une longue carrière de joueur à Pau-Orthez avant de prendre le coaching de Levallois en décembre 2015. Originaire du Monténégro, oncle de Nikola Vucevic (Orlando Magic), Savo Vucevic, 62 ans, est en France depuis bientôt trente ans et coache Bourg depuis 2016. Alexandre Ménard, 42 ans, est l’entraîneur de Rouen en Pro B après avoir été assistant plusieurs années au Mans et son coach principal à la fin de la saison 2016-17.\\n\\nIl s’agit de la deuxième partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPouvez-vous nous faire une comparaison entre Théo Maledon (Villeurbanne), Killian Hayes (Cholet) et aussi Frank Ntilikina (New York Knicks) ?\\n\\nFF : Les deux premiers ont le même âge que ma fille ! (NDLR : sa fille Marie, meneuse de jeu à Tarbes, a eu 18 ans le 23 janvier). Frank est un joueur très intelligent, Hayes est un joueur flashy avec un talent brut et Maledon est, je pense, le plus complet des trois. Je connaissais bien le joueur pour l’avoir vu un an à l’INSEP mais je suis très surpris par sa maturité. Il a le physique, c’est un joueur qui est de plus en plus adroit, qui est très technique mais qui en plus est très mature par rapport à son âge et de la façon dont il a de conduire une équipe de Jeep Elite et d’Eurocup.\\n\\nSV : A la différence de tout le monde, Maledon explose cette année. Il joue et bien. On voit tout chez lui. Il a un physique qui lui permet de jouer à ce niveau. Il connaît déjà le basket, il a le talent, il a un shoot et surtout du caractère. Mais il faut faire attention : ce n’est qu’un gamin à 17 ans. J’ai vu plein d’exemples différents notamment dans ma famille qui n’ont rien à voir. On est tous un peu différents. Certains sont mûrs plus tôt, physiquement, mentalement, techniquement. Il n’y a pas de règles et on compare. Non. A 17 ans mon neveu jouait avec les cadets et à ce moment-là, il n’y avait pas beaucoup de gens qui croyaient en lui sauf la famille. A 14 ans, il était grand mais il jouait comme 2-3. Heureusement, c’est son père qui était son coach (NDLR : Borislav Vucevic fut international yougoslave) et qui lui a sorti tous les secrets de ce métier. Parfois ça ne marche pas avec un parent. On ne peut pas comparer Théo Maledon avec par exemple mon neveu. A 17 ans, on ne le connaissait pas alors que Maledon tout le monde le connaît en Europe. Nous les coaches, on doit bien sûr être entraîneur, technicien, psychologue, et connaître aussi la physiologie, l’anatomie, et il faut faire attention avec les jeunes joueurs. Il y a parfois de mauvaises surprises. Il ne faut pas les surcharger. Patience, patience. Ceux qui sont prédestinés vont y arriver. Il vaut mieux faire des petits pas en avant que courir et parfois faire de grands pas en arrière.\\n\\nAM : Killian Hayes, c’est du talent brut avec des choses qu’il n’a pas forcément travaillé. C’est la génétique qui a parlé en terme de toucher, de patte gauche, d’audace. Théo Maledon a un jeu plus orienté vers le demi-terrain et le côté QI basket. Killian Hayes est un talent brut plus individuel là où Théo Malédon est quelqu’un de plus exploitable pour une équipe. Ntilikina est un peu un mixte des deux avec du talent pur mais aussi cette faculté à penser pour cinq. Là où Killian Hayes est très fort à penser pour lui ou pour deux et où Théo Maledon va penser d’abord pour les autres avant de penser pour lui.\\n\\nA propos de l’ASVEL, avez-vous des craintes ou des espoirs du fait qu’elle va disputer deux saisons au moins l’Euroleague ?\\n\\nFF : J’ai beaucoup d’espoirs là-dessus. C’est hyper important pour le basket français et pour notre championnat d’avoir une tête d’affiche. Ça ne peut que stimuler, motiver tout le monde pour tenter d’accrocher ces équipes-là. Ils vont avoir une nouvelle salle... Il faut prendre ça comme une locomotive qui tire des wagons et il faut s’y accrocher.\\n\\nSV : Ni l’un, ni l’autre. Je pense qu’à l’ASVEL il y a des gens intelligents qui savent ce qu’ils veulent, qui ont un projet, et surtout une vision : comment ça doit se passer ? Ils savent où ils se lancent, ils ont du temps pour se préparer. Il y a des clubs qui gagnent le titre en mai ou juin et ils ont deux mois pour se préparer à l’Euroleague. J’ai le club de mon pays d’origine, le Monténégro (NDLR : Buducnost Podgoricia). Ils n’avaient même pas la salle qui était adaptée et ils ont du tout faire en deux mois, le budget qu’ils ont dû doubler, tripler... Aujourd’hui, ils ne sont pas ridicules. A Villeurbanne, il y a des hommes qui connaissent leur métier. Je pense que l’ASVEL fera de bonnes choses en Euroleague et nous on a besoin d’avoir une fenêtre plus grande pour le basket français. Je connais bien le basket européen et pour moi, à tort, on regarde le basket français un peu de haut alors que comme je le disais, on a un très bon championnat.\\n\\nAM : J’espère vraiment que ça va permettre de booster un budget afin qu’il y ait une locomotive pour le basket français, un peu à l’exemple d’un Maccabi Tel-Aviv, d’un Partizan Belgrade à une époque, d’un Alba Berlin du temps où c’était le vrai club en Allemagne, il y a dix ans. J’espère que ça va amener un club au plus haut niveau durant plusieurs années sur un lieu constant. Je ne dis pas que je souhaite que l’ASVEL soit championne de France tous les ans mais j’espère que ça va lui donner les moyens, non seulement de ne pas être ridicule en Coupe d’Europe, mais de pouvoir rester au plus haut niveau français le plus longtemps possible. On a trop vu souvent où l’Euroleague rinçait...\\n\\n« Je regarde beaucoup l’Euroleague, j’essaye de regarder un match d’Eurocup que ce soit l’ASVEL, Monaco, Limoges. Je ne regarde pas la Champions League, je n’ai pas la chaîne qu’il faut (rires) ». Freddy Fauthoux\\n\\nSur le plan national pensez-vous qu’ils vont être injouables ou au contraire que ça va leur être fatal de jouer autant de matches car ils seront rincés ?\\n\\nFF : On verra. A nous aussi de travailler pour les accrocher sur le plan sportif. Perdront-ils beaucoup de forces en Euroleague ? Les équipes qui veulent réussir en Euroleague voire en haut de l’Eurocup doivent avoir un effectif pour réussir aussi en championnat. On n’y part pas avec neuf joueurs mais douze ou quatorze. Je ne suis pas inquiet par rapport à tout ça. Gran Canaria a des problèmes mais eux ont gagné leur place sportivement (NDLR : en parvenant en demi-finale des playoffs ACB en battant Valence, le champion en titre), comme Buducnost qui a gagné l’Adriatic League et Darussafaka qui a gagné l’Eurocup. Ces équipes-là avaient-elles vraiment le but d’aller en Euroleague ? L’ASVEL s’est fait inviter et je pense qu’ils ont des garanties pour survivre à tout ça. Pour moi, ils n’ont pas les mêmes effectifs à long terme.\\n\\nSV : On va voir. Tout le monde joue deux compétitions. Le CSKA en joue trois : Euroleague, VTB League, Russie. Il faut s’armer pour ça.\\n\\nAM : Milan a mal vécu ça en étant faible en Euroleague et ils étaient aussi cahin-caha par rapport à leur championnat domestique. Ça dépend de la structuration de leur équipe, de comment ils mettent l’argent. En Euroleague, toutes les équipes ont 15 joueurs et quand on en a 15, il faut les manager. S’ils ont des salaires très importants, ils vont accepter de partager les temps de jeu. Un Fabien Causeur joue moins de 20 minutes par match au Real Madrid. (Klemen) Prepelic ne joue pas du tout. Auront-ils les moyens d’avoir ce genre de joueurs pour garder une qualité à l’entraînement et les choisir pour un match ou l’autre. C’est là où est la vraie question. Monaco a 15 joueurs en prenant des joueurs sous-côtés ou pas du niveau par rapport à un club comme ça. Je me rappelle, quand on jouait les Lettons de Riga qui jouaient l’Eurocup, leur championnat plus la VTB League. On se rendait compte dans les statistiques que les joueurs domestiques jouaient beaucoup leur propre ligue, les joueurs étrangers beaucoup plus en VTB. Ils étaient capables d’avoir une équipe un peu polymorphe en fonction de la compétition et par rapport aussi aux intérêts des uns et des autres. C’est sans doute plus intéressant de s’exposer dans son championnat. C’est peut-être une des pistes à explorer pour l’ASVEL. Le Maccabi Tel-Aviv s’est posé la question la saison dernière de savoir s’ils n’allaient pas aligner deux équipes, l’une pour l’Euroleague et l’autre pour le championnat national. Peut-être que le joueur qui gagne un million de dollars et qui peut se servir de l’ASVEL pour aller ensuite dans une grosse équipe, le championnat de France ça ne le fait pas rêver. Et peut-être qu’un très bon joueur français, qui sait que sa place est de rester à l’ASVEL, sait qu’il faut qu’il soit bon dans le championnat de France. Il faut mettre en corrélation les motivations des uns et des autres par rapport à la compétition jouée.\\n\\nCombien de matches regardez-vous chaque semaine, à la TV, en vrai, et lesquels ?\\n\\nFF : Si je regarde les miens ça fait au moins six matches. Je regarde beaucoup l’Euroleague, j’essaye de regarder un match d’Eurocup que ce soit l’ASVEL, Monaco, Limoges. Je ne regarde pas la Champions League, je n’ai pas la chaîne qu’il faut (rires). Et trois matches de mes adversaires du prochain match. Plus les matches de ma fille sur lfbtv. Pas le temps d’en voir d’autres dans les salles.\\n\\nSV : Beaucoup. Depuis des années, à l’époque il y avait des antennes paraboliques. Je regarde tous les matches d’Euroleague, Eurocup, Champions League, j’ai des chaînes yougos. J’en regarde une dizaine par semaine peut-être plus. Tous les matches d’Euroleague sont retransmis à la télé ; je n’ai pas envie de les regarder sur une tablette.\\n\\nAM : Je regarde évidemment énormément de Pro B, au minimum cinq matches. Je regarde toute la Pro A à la télé. L’Euroleague quand on est en déplacement. De temps en temps de l’Eurocup. Je regarde en coupes d’Europe les clubs où jouent mes anciens joueurs comme Dijon avec Obi Emegano. Parfois je n’ai pas envie d’en regarder et c’est ma femme qui me dit, « tiens, il y a du basket à la télé, si tu le regardais ? » Parfois je me freine moi-même. Il y a peut-être un soir ou deux dans la semaine où je ne regarde pas de basket. Et je regarde beaucoup Le Mans !\\n\\nAvez-vous beaucoup de sollicitations médiatiques dans une semaine ?\\n\\nFF : Non. Un coup de fil quand c’est un match à domicile, deux quand on se déplace avec un journaliste de l’équipe adverse.\\n\\nSV : Oui. Il y a des sollicitations des journalistes locaux mais c’est un club extrêmement bien organisé. C’est un phénomène pas seulement dans la ville mais aux alentours, dans tout le département. On joue tous les matches à guichets fermés. On est beaucoup sollicité et avec les joueurs on y répond avec plaisir.\\n\\nAM : En Pro B, c’est beaucoup moins qu’en Pro A surtout à Rouen où il n’y a qu’un seul journal (NDLR : Paris Normandie) et je ne suis en relation qu’avec eux. Il y a quelques radios, NRJ, Tendance Ouest. Je suis souvent plus sollicité par les journalistes des clubs adverses que par les locaux comme Roanne où c’est vraiment super, Blois, Orléans, Nancy, des villes qui ont déjà connu la Pro A.\\n\\nQue pense votre femme ou votre compagne du fait que vous êtes coach de basket ?\\n\\nFF : Joker ! Elle pense que c’est un métier qui accapare...\\n\\nSV : J’ai de la chance parce que ma femme est une grande sportive. Elle a été championne olympique dans son sport et c’est mon premier supporter (NDLR : Sa femme, Ljiljana, a été championne olympique de handball en 1984 à Los Angeles avec la Yougoslavie, ainsi que sa belle-sœur Svetlana). Les enfants ont tous été sportifs ou y sont toujours. On est une famille sportive et de ce côté-là, je n’ai que des encouragements.\\n\\nAM: J’ai la chance d’avoir une épouse qui a joué au basket à très bon niveau, à l’époque en N2, ce qui correspond aujourd’hui à la NF1, du côté de La Rochelle. On s’est rencontré relativement tard et j’avais déjà eu des séparations dues au basket. Donc, dès le début ça a été très clair. Elle entraîne, mes trois enfants font du basket, de leur propre choix, ils regardent les matches avec moi. Ceux de 12-13 ans me disent, « tiens, tu as vu, eux , ils ont switché en défense ? » « C’est quoi switcher ? » « C’est quand ils changent de défenseur ! » Alors qu’il y a des coaches qui ne savent pas ce que c’est ! Pas en LNB, évidemment. Ils sont forcément baignés dans ce milieu-là. Et c’est donc ma femme qui me propose parfois de regarder des matches. Je ne suis pas sûr que ça lui fasse toujours plaisir mais elle sait que je suis heureux qu’elle me le propose... C’est arrivé tellement de fois où l’on regardait soit disant une série ensemble alors qu’en fait j’avais mon ordinateur à côté pour regarder un match ! Pour clôturer la question : je crois que la vie de coach de basket est difficilement compatible avec une personne qui ne comprend pas la situation et j’ai la chance de vivre avec quelqu’un qui a très bien mesurer ce que ça pouvait être et qui continue de le faire et je l’en remercie.\\n\\n[armelse]\\n\\nPouvez-vous nous faire une comparaison entre Théo Maledon (Villeurbanne), Killian Hayes (Cholet) et aussi Frank Ntilikina (New York Knicks) ?\\n\\nFF : Les deux premiers ont le même âge que ma fille ! (NDLR : sa fille Marie, meneuse de jeu à Tarbes, a eu 18 ans le 23 janvier). Frank est un joueur très intelligent, Hayes est un joueur flashy avec un talent brut et Maledon est je pense le plus complet des trois. Je connaissais bien le joueur pour l’avoir vu un an à l’INSEP mais je suis très surpris par sa maturité. Il a le physique, c’est un joueur qui est de plus en plus adroit, qui est très technique mais qui en plus est très mature par rapport à son âge et de la façon dont il a de conduire une équipe de Jeep Elite et d’Eurocup.\\n\\nSV : A la différence de tout le monde, Maledon explose cette année. Il joue et bien. On voit tout chez lui. Il a un physique qui lui permet de jouer à ce niveau. Il connaît déjà le basket, il a le talent, il a un shoot et surtout du caractère. Mais il faut faire attention : ce n’est qu’un gamin à 17 ans. J’ai vu plein d’exemples différents notamment dans ma famille qui n’ont rien à voir. On est tous un peu différents. Certains sont mûrs plus tôt, physiquement, mentalement, techniquement. Il n’y a pas de règles et on compare. Non. A 17 ans mon neveu jouait avec les cadets et à ce moment-là, il n’y avait pas beaucoup de gens qui croyaient en lui sauf la famille. A 14 ans, il était grand mais il jouait comme 2-3. Heureusement, c’est son père qui était son coach (NDLR : Borislav Vucevic fut international yougoslave) et qui lui a sorti tous les secrets de ce métier. Parfois ça ne marche pas avec un parent. On ne peut pas comparer Théo Maledon avec par exemple mon neveu. A 17 ans, on ne le connaissait pas alors que Maledon tout le monde le connaît en Europe. Nous les coaches, on doit bien sûr être entraîneur, technicien, psychologue, et connaître aussi la physiologie, l’anatomie, et il faut faire attention avec les jeunes joueurs. Il y a parfois de mauvaises surprises. Il ne faut pas les surcharger. Patience, patience. Ceux qui sont prédestinés vont y arriver. Il vaut mieux faire des petits pas en avant que courir et parfois faire de grands pas en arrière.\\n\\nAM : Killian Hayes, c’est du talent brut avec des choses qu’il n’a pas forcément travaillé. C’est la génétique qui a parlé en terme de toucher, de patte gauche, d’audace. Théo Maledon a un jeu plus orienté vers le demi-terrain et le côté QI basket. Killian Hayes est un talent brut plus individuel là où Théo Malédon est quelqu’un de plus exploitable pour une équipe. Ntilikina est un peu un mixte des deux avec du talent pur mais aussi cette faculté à penser pour cinq. Là où Killian Hayes est très fort à penser pour lui ou pour deux et où Théo Maledon va penser d’abord pour les autres avant de penser pour lui.\\n\\nA propos de l’ASVEL, avez-vous des craintes ou des espoirs du fait qu’elle va disputer deux saisons au moins l’Euroleague ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Savo Vucevic (JL Bourg), Freddy Fauthoux (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Antibes: Les anciens sont pessimistes quant au maintien des Sharks en Jeep Elite" }, {"role": "assistant", "content":"Les Sharks d’Antibes sont actuellement lanterne rouge de la Jeep Elite avec seulement 3 victoires en 18 journées. Fos en possède 5, Cholet et Le Portel 6. Châlons-Reims parait inaccessible avec 7.\\n\\nLes Antibois reçoivent Le Portel ce soir à l’Azur Arena. Une sorte de quitte ou double. Ils se déplaceront ensuite à Châlons-Reims. Le derby du Sud face à Fos est programmé le 29 mars. Il faudra attendre le 19 avril pour la réception de Cholet.\\n\\nNice Matin interroge dans son édition du jour quelques anciens et ils ne sont pas optimistes. Ainsi, Jacques Monclar, qui fut double champion de France comme coach avec l’OAJLP, est tranchant:\\n\\n« La situation n’est pas bonne, on va appeler un chat un chat. On n’a pas le sentiment qu’Antibes progresse. Il y a eu des ajustements avec un effet direct autour de Tim Blue mais il va falloir neuf ou dix victoires pour se maintenir. »\\n\\nSoit trois fois plus que ce qui a été acquis lors du cycle aller. Jean-Claude Bonato, père de Yann, figure locale dans les années 60-70, fait un constat identique:\\n\\n« Ca va être difficile de se maintenir. Ca a été le cas l’année dernière mais ils ont perdu cinq joueurs majeurs qui n’ont pas été remplacés par des joueurs équivalents (...) Quand l’effectif est moins fort on ne peut pas tricher. Il n’y a pas de miracle. »\\n\\nEt à propos du turnover effectué à l’inter-saison et depuis la rentrée, Jacques Cachemire, le complice de Jean-Claude Bonato il y a une cinquantaine d’années, est critique:\\n\\n« Ce n’est pas bon pour le public, quand il n’y a pas d’âme il ne peut pas apporter sa touche. On ne s’attache pas aux joueurs. »\\n\\nCachou lance comme un message de désespoir:\\n\\n« Je n’ai pas envie de voir descendre Antibes »." }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Lyon, Montpellier et Tarbes en huitièmes de finale" }, {"role": "assistant", "content":"On croyait l’exploit impossible. Et pourtant... Lattes-Montpellier a surmonté les 19 points concédés à l’aller en Italie en battant Venise dans l’Hérault de 23 points: 83-60 !\\n\\nSans Endy Miyem, l’affaire n’était pas bien engagée à la mi-temps puisque le BLMA était mené 33-34. C’est dans le troisième qu’il a commencé à renverser la table (26-11) avant de sprinter jusqu’au bout. Le plus étonnant dans l’histoire, c’est que la MVP du match a été Ornella Bankole (1,81m, 21 ans) avec 25 points et 5 rebonds. Une résurrection quand on sait que l’Auxerroise a été victime deux fois d’une rupture des ligaments du genou durant sa courte carrière.\\n\\nPlus tôt dans la journée, Lyon s’était qualifié à Gorzow (90-82) alors que Tarbes a passé un savon à Ruzomberok (62-48) qui n’a plus sa splendeur passée. Alexis Prince (34 points, 16 rebonds) était déchaînée. Dommage que les deux équipes s’affrontent en quarts.\\n\\nA l’inverse, et comme attendu, Nantes-Rezé a cédé à Cracovie mais en opposant une belle résistance (56-64).\\n\\nLes huitièmes de finale seront disputés les 14 et 21 février. Les quatre vainqueurs seront rejoints en quarts-de-finale par les équipes classées cinquièmes et sixièmes dans les deux groupes d’Euroleague. Ces quarts sont programmés les 7 et 14 mars.\\n\\n(1) Lattes-Montpellier vs (9) Galatasaray\\n\\n(2) Cukurova Basketbol vs (7) Wisla CANPACK Krakow\\n\\n(3) Spar Citylift Girona vs (6) KSC Szekszard\\n\\n(4) Tarbes GB vs (12) Lyon ASVEL Feminin\\n\\nPhoto: Romane Bernies (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Les bons chiffres de la FIBA sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons déjà indiqué que la FIBA est l’une des fédérations les plus en forme sur les réseaux sociaux à l’échelle mondiale comme chinoise. D’autres chiffres viennent confirmer sa position privilégiée.\\n\\nEn 2018, le chiffre record de 10 milliards d’impressions a été atteint sur les réseaux sociaux de la FIBA, soit une augmentation massive de 7,5 milliards par rapport à 2017. Une grande partie de cet énorme succès est le fruit de la campagne #ThisIsMyHouse, créée pour les Éliminatoires pour la Coupe du Monde, qui a rassemblé plus d’un milliard de fans au total.\\n\\nDans l’ensemble, 1.9 milliard de visionnages vidéo ont été enregistrés l’an dernier sur les diverses plateformes digitales de la FIBA, avec la présentation de Kobe Bryant comme ambassadeur mondial de la Coupe du Monde FIBA 2019 générant plus de 700 millions de visionnages. Pour comparaison, le nombre total de visionnages vidéo pour 2017 était de 643 millions.\\n\\nEn 2018, les efforts continus consentis par la FIBA pour diffuser des matchs en direct sur YouTube.com/FIBA ont été dûment récompensés, avec plus de 60 millions de visionnages vidéo, soit une augmentation de 48 % par rapport à l’année précédente.\\n\\nLa popularité des réseaux sociaux de la FIBA s’est renforcée en 2018, avec 8 millions de followers de plus qu’en 2017. 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Les filles de Valéry Demory ont fait la différence en deuxième mi-temps: +15.\\n\\nAvec 16 points et 16 rebonds, plus 3 passes et 3 interceptions, l’intérieure brésilienne Clarissa Dos Santos a atteint les 30 d’évaluation.\\n\\nLes huitièmes de finale auront lieu les 14 et 21 février.\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : qualifié par la LNB, Jerel Blassingame fera ses débuts avec Antibes vendredi soir" }, {"role": "assistant", "content":"De retour à Antibes depuis quelques jours, Jerel Blassingame (1,78m, 37 ans) vient d’obtenir le feu vert de la LNB pour retrouver les parquets de Jeep Elite dès vendredi.\\n\\nFace à l’ESSM Le Portel, le natif de Brooklyn, qui tournait à 8,5 points et 4,5 passes avec Pau, va faire ses débuts sous le maillot antibois qu’il a déjà porté entre 2017 et 2018. Dernière du classement du championnat, la formation de Julien Espinosa est en pleine mission maintien.\\n\\nRecruté par l’Elan Béarnais l’été dernier en provenance des Sharks, Jerel Blassingame n’a d’abord pas eu l’impact attendu par le staff palois. Il s’est ensuite blessé au genou et a été remplacé, en tant que pigiste médical, par Mickey McConnell qui a donné une pleine satisfaction et qui a donc prolongé pour le reste de la saison aux dépens de l’ancien joueur du Cibona Zagreb.\\n\\n\\n\\n\\n✅ Jerel Blassingame est qualifié par la @LNBofficiel ! Il fera son grand retour à l'Azurarena #An demain soir pour un match qui s'annonce explosif: @SharksAntibes / @ESSMbasket ! 💥\\n_______________\\n\\n\\n💳 BILLETTERIE\\n\\n\\n👉 Réservez vos places en ligne: https://t.co/RfXkaNRgyD pic.twitter.com/ONM194iLtE\\n\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) January 31, 2019\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Charles Kahudi en vedette du Top 10 de la semaine" }, {"role": "assistant", "content":"Meilleur joueur de la rencontre face au Lokomotiv Kuban mercredi soir avec 13 points et 10 rebonds, Charles Kahudi a aussi été l’auteur d’une action défensive de haute volée qui figure en tête du Top 10 de la 5e journée du Top 16 d’Eurocup..\\n\\nAuteur de l’interception sur l’international français, Trevor Lacey pensait avoir fait le plus dur, mais c’était sans compter sur le retour de « l’Homme » qui est monté au contre. Résultat, une grosse planche pleine de rage. Dans ce top 10 on retrouve aussi les coéquipiers de Kahudi DeMarcus Nelson et David Lighty, les Monégasques Sergii Gladyr et Eric Buckner, ou encore le Français Bandja Sy.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : La série Time Out de Bourg-en-Bresse avec Bathiste Tchouaffé et Arthur Rozenfeld" }, {"role": "assistant", "content":"Time out est une web série où les joueurs de Bourg-en-Bresse répondent à des questions sur eux ou leurs coéquipiers afin que le public puisse mieux connaître l’intimité du vestiaire bressan.\\n\\nDans le deuxième épisode, Bathiste Tchouaffé et Arthur Rozenfeld qui se sont pris au jeu et les questions y sont souvent décalés et l’autodérision dans les réponses est très présente. On y apprend notamment que Arthur Rozenfeld prend extrêmement soin de ses cheveux ou que Zack Wright amène une télé dans le bus pour jouer à Red Dead Redemption 2 lors des longs trajets.\\n\\nCette vidéo est représentative de la politique réseaux sociaux de la JL, qui est l’une des meilleures en France.\\n\\nOn vous met en bonus la première partie." }, {"role": "user", "content":"Monaco : Sergii Gladyr reste jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Revenu à Monaco en décembre 2018 en tant que pigiste médical d’Amara Sy, Sergii Gladyr (1,96m, 30 ans) va rester sur le Rocher jusqu’à la fin de la saison. 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Michael Thompson et Eric Bathechéky ont tous les deux salué la défense et le mental des joueurs, qui ont du jouer à seulement sept à cause des blessures de Jonathan Tabu et Terry Tarpey.\\n\\n« Je pense qu’on a fait du bon boulot, on a joué avec énergie, on a fait un bon mouvement de balle, avec une défense où on s’est beaucoup aidé les uns les autres avec beaucoup de rotations », a ainsi déclaré Michael « Juice » Thompson. « Ce n’était pas facile avec la blessure le jour même d’un de nos joueurs mais je suis très fier de l’effort que nous avons donné avec cette victoire à l’extérieur. »\\n\\nComme tous les coaches, Eric Bartecheky était très satisfait du minimum de pertes de balle de son équipe:\\n\\n« Nous sommes très contents de l’avoir emporté parce qu’Avellino est une grosse équipe où il est dur de s’imposer. Ce match s’est joué dans des conditions difficiles avec deux joueurs en moins, Jonathan Tabu, touché aux ischio-jambiers et Terry Tarpey, à eu hier un problème à l’entraînement avec son épaule. Avec seulement sept joueurs professionnels ce soir, l’équipe a fait un bon travail, à mis de l’énergie sur le terrain et a bien contrôlé le jeu en attaque avec seulement quatre pertes de balle. Nous sommes contents d’être à une journée de la fin encore en course pour la qualification. Il nous reste un match contre Anwil que nous devons gagner pour avoir une chance de qualification. On était contents d’être proche à la mi-temps, en deuxième période nous avons réussi à mettre des stops défensifs et en attaque on a bien réussi à contrôler le jeu avec aucune perte de balle en deuxième mi-temps. C’est surtout la défense qui nous a servi à prendre l’avantage face à Avellino. »\\n\\nAvec cette victoire, le MSB est quatrième de sa poule avec six victoires et a son destin entre les mains avant d’affronter mardi prochain à Antares les polonais d’Anwil déjà éliminés de la compétition.\\n\\nPhoto: Juice Thompson (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Freddy Fauthoux (Levallois), Alexandre Ménard (Rouen) et Savo Vucevic (Bourg): Paroles d’experts (1)" }, {"role": "assistant", "content":"Nous avons demandé à trois coaches de nous apporter leur expertise sur quelques sujets concernant leur activité ou l’actualité.\\n\\nFreddy Fauthoux, 46 ans, a eu une longue carrière de joueur à Pau-Orthez avant de prendre le coaching de Levallois en décembre 2015. Originaire du Monténégro, oncle de Nikola Vucevic (Orlando Magic), Savo Vucevic, 62 ans, est en France depuis bientôt trente ans et coache Bourg depuis 2016. Alexandre Ménard, 42 ans, est l’entraîneur de Rouen en Pro B après avoir été assistant plusieurs années au Mans et son coach principal à la fin de la saison 2016-17.\\n\\nCes interviewes sont en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA la fin des matches allers, dix équipes se tenaient en deux victoires, alors que ni le triple vainqueur, Monaco, ni les deux derniers champions, Chalon et Le Mans ne sont présents à la Leaders Cup. A quoi attribuer ce phénomène quasi unique en Europe ?\\n\\nFreddy Fauthoux : Déjà par rapport à Monaco, il n’y a plus (Zvezdan) Mitrovic. Je ne sais pas s’il y a une relation de cause à effet mais Monaco a beaucoup changé son effectif et son staff. Pour ce qui est du global, je pense que le championnat s’est très densifié vers le haut. Ça se voit par les très bons résultats des clubs français dans les coupes d’Europe. Quand on est compétitifs en coupes d’Europe c’est que l’on a un certain niveau basket. Il y a dix, douze équipes qui ont de gros effectifs, qui jouent bien au basket, et je pense que le championnat de France a tout simplement augmenté de niveau.\\n\\nSavo Vucevic : Ça tient au fait que d’une année à l’autre, on a un championnat qui est beaucoup plus fort, plus compact. J’ai l’occasion de regarder pas mal de matches des autres championnats, en Turquie, en Grèce, en Italie, en Espagne et franchement si le championnat de France n’est pas le meilleur, c’est le plus compact, le plus imprévisible. Chez nous, les salles sont pleines alors que, par exemple, dans le championnat turc c’est vide. On peut encore progresser mais on a un beau championnat et c’était déjà le cas d’une année à l’autre. On joue un basket un peu à part. C’est athlétique. C’est difficile de gagner des matches car il n’y a pas de favoris. C’est intéressant et ça attire les gens dans les salles.\\n\\nAlexandre Ménard : Ça tient parfois à des dynamiques économiques. Chalon a peut-être mal géré l’après titre. Le Mans a peut-être aussi eu des difficultés dans ce domaine-là. Il y a aussi le fait qu’il n’y a pas de gros budgets qui se détachent vraiment un peu comme en Israël avec le Maccabi Tel-Aviv, en Espagne c’est toujours les mêmes qui sont dans le top 4 parfois dans le désordre. En France, à part l’ASVEL et Strasbourg qui sont en train de se détacher mais c’est encore en construction, il n’y en a pas. Monaco, je dirai que c’est encore en gestation et c’est dépendant d’investisseurs plus ou moins uniques. Pour Le Mans et Chalon, ce sont des modèles économiques qui sont bien pour la stabilité des clubs mais ils n’ont pas vocation à se développer dans des proportions aussi importantes que pourront faire Strasbourg avec l’agrandissement de sa salle et l’ASVEL avec une nouvelle salle et des investisseurs plus réguliers et qui vont les amener dans des dimensions que les autres clubs bientôt ne pourront plus toucher.\\n\\nPour vous, le plus important ça serait de gagner la Leaders Cup ou la Coupe de France ?\\n\\nFF : (Il réfléchit) Il faut vraiment être catégorique ? Je dirai peu importe, l’important c’est de gagner des trophées. On va les mettre à égalité sachant que le plus beau évidemment c’est le titre de champion. On ne peut pas avoir une coupe d’Europe en gagnant la Leaders Cup et la Coupe de France et il n’y a pas de prime pour l’un ou l’autre. Ce ne sont que des titres honorifiques et c’est pour ça que je n’en ressors pas un vis-à-vis de l’autre. Pour moi, c’est pareil que les trophées que j’ai gagné comme joueur, Tournoi des As, Coupe de France. C’est de l’événementiel et c’est bien pour la promotion du basket. Je regrette que ces trophées n’amènent pas une récompense suprême, une coupe d’Europe, car ça c’est la vraie récompense du travail d’un groupe.\\n\\nSV : Je ne sais pas, je ne peux pas vous répondre. C’est bien les deux. On est éliminé en Coupe de France... La Leaders Cup, ce sont les huit meilleures équipes du moment mais d’un autre côté le vainqueur ne gagne rien. On ne peut pas jouer en Europe grâce à ça. La Coupe de France, la coupe d’un pays, c’est quelque chose de vraiment important. Je dirai 50-50. C’est vrai que ce qui est un avantage c’est que les supporters viennent en grand nombre à Bercy pour la finale de la Coupe de France. Ils peuvent préparer ça pendant quinze jours alors que pour la Leaders Cup, on ne sait pas si on va être éliminé au premier tour ou si on va aller en finale. Il y a des avantages et des inconvénients.\\n\\nAM : (Il a gagné deux fois les deux avec le MSB comme assistant). Pour moi c’est la Leaders Cup car ça veut dire que l’on est dans le top 8 à la mi-saison. Ce qui n’est pas le cas de la Coupe de France. Et la gagner à mi-saison ça démontre un certain niveau. En 2009 quand on gagne la Semaine des As au Havre puis la Coupe de France, on est sur une dynamique telle qu’on envisage très fortement de faire le triplé. Quand il y a deux ans, je reprends l’équipe du Mans et que l’on joue la finale de la Coupe de France, c’est l’année où on n’a pas fait la Leaders Cup ni les playoffs. La Leaders Cup, c’est trois matches de très haut niveau alors que pour aller en finale de Coupe de France, ce n’est pas toujours des matches de très haut niveau. Pour un club de Pro B, c’est bien pour la notoriété de faire la finale de la Leaders Cup et en cas de victoire il y a un ticket pour les playoffs et ça peut rapporter des sous, ce qui n’est pas le cas pour la Coupe de France qui coûte des sous plus que ça en rapporte. Par contre la Coupe de France permet d’avoir des underdogs, d’avoir le sentiment de prouver à tout le monde que sur un match on peut rivaliser avec une équipe de Pro A, ce que l’on a fait contre Cholet. Ça décuple les ambitions des joueurs qui veulent prouver à tout le monde qu’ils peuvent jouer à un niveau supérieur. Le fait de disputer la finale de la Leaders Cup provoque une émulation au niveau des supporters. C’est déjà la première fois que Rouen passe le premier tour et joue les quart-de-finale et donc la demi-finale et la finale. C’est la première finale du club. Quand ils sont montés, c’est Poitiers qui a gagné la finale d’accession ; Rouen était déjà qualifié en finissant premier. Et la deuxième fois c’est à la faveur du wild card. Je sais qu’il y a déjà deux cars de prévu pour venir et ils sont en train de remplir le troisième. Ça amène une dynamique. Les dirigeants sont contents que l’on parle de Rouen sur le site de la LNB, ce qui n’a pas été forcément beaucoup le cas par le passé.\\n\\nQue préférez-vous jouer, l’Eurocup ou la Champions League ?\\n\\nSV : Pour un club comme Bourg, si on peut être qualifié, on préfère jouer la Champions League. Il y a beaucoup de matches alors que dans deux ans, il y aura 16 clubs dans le championnat de France et donc moins de matches, moins de matches à domicile. Déjà, la Champions League c’est une compétition de grande qualité mais pour un club comme Bourg c’est plus facile à aborder car elle a un niveau inférieur à l’Eurocup. Pour une équipe d’un pays qui n’a pas un bon rating européen, c’est facile de monter une bonne équipe en BCL. Il y a quinze ans, j’ai joué avec Charleroi contre Lukoil (NDLR : Levski, Bulgarie) en 8e de finale. Un match que l’on a gagné mais ce fut difficile. En BCL, il y a des groupes de huit équipes, on sait que l’on va jouer 14 matches dont 7 à la maison, il y a plus de stabilité. Pour l’instant, pour mon club, la Champions League c’est top.\\n\\nAM : Je préfère jouer l’Eurocup. Le niveau est plus fort que la BCL avec beaucoup d’équipes qui ont fait l’Euroleague. Ce n’est pas forcément le cas pour la BCL. J’en veux pour preuve la poule de Limoges où on a Valence et Malaga, de très grosses équipes. Et ce sont malheureusement des choses dont on est encore très loin en terme de structuration et de budget. En Eurocup, il y a des salaires à 500 000€ net dans la plupart des clubs. En France c’est encore pour l’instant très difficile à avoir. Economiquement parlant c’est largement au-dessus de la BCL. Il y a quand même de très belles équipes sur la BCL. Je pense que dans l’ordre il y a l’Eurocup, au-dessus la VTB League et encore au-dessus l’Euroleague.\\n\\n« Les fenêtres internationales, c’est perturbant dans l’organisation de la semaine mais d’un autre côté j’aime bien car ça permet de travailler des choses que l’on a peu le temps de travailler depuis la pré-saison ». Alexandre Ménard\\n\\nEn tant que coach, que pensez-vous des fenêtres internationales ?\\n\\nFF : Je ne trouve pas ça super. Ça ne donne pas toujours une bonne image de nos équipes nationales puisqu’on n’a pas les meilleurs joueurs dedans même si c’est super intéressant pour ceux qui y vont de découvrir le basket international. Ça casse le championnat. On joue huit matches, on s’arrête quinze jours, il y a aussi la trêve de Noël. Il y a toujours des breaks et c’est très compliqué de réinstaller les joueurs physiquement et mentalement sur les objectifs que l’on s’est fixé. Ça ne donne pas une super visibilité pour nos équipes nationales parce que comme je le disais, il n’y a pas les meilleurs. Moi, j’aurais pu avoir (Roko) Ukic puisqu’il était sélectionné (NDLR : par la Croatie) mais il n’a pas voulu y aller et j’ai (Ekene) Ibekue qui va partir avec le Nigéria. Ce n’est pas un problème puisqu’il continuera à s’entraîner mais, oui, puisque ça ne sera pas avec le groupe. Mais d’une façon générale, tu t’entraînes pendant ces fenêtres mais sans avoir d’objectifs à court et moyen terme pour préparer un match. Donc dans le quotidien, c’est un peu complexe.\\n\\nSV : Comme coach, ça me gène énormément. Durant la préparation de la saison, j’ai eu un joueur, Youssoupha Ndoye, qui a été pris par le Sénégal. Pareil l’année dernière. Il arrive pas prêt. Mettre en forme un joueur c’est extrêmement difficile surtout au niveau de la cohésion avec le groupe. Et après, on règle la forme, on fait de bons matches et il y a coupure et il y a des joueurs qui partent. Pour nous les coaches, c’est extrêmement difficile à gérer. C’est le basket qui est perdant dans cette situation. Et pour les clubs qui ne jouent pas la Leaders Cup, c’est trois semaines sans jouer. Vous croyez que c’est facile pour eux de gérer cette période ? Les joueurs veulent jouer. C’est pour ça qu’avec la Champions League, on sait que jusqu’au mois de février, on va jouer et après il y a le championnat et les playoffs. C’est bien. Quand il y a des coupures, on doit recommencer un mini-stage, une mini-préparation physique et c’est ça qui gène le plus les joueurs. Psychologiquement, mentalement et physiquement.\\n\\nAM : Ça permet d’avoir un break et des semaines où l’on travaille des choses plus spécifiques avec notre équipe. Ça permet aussi à certains joueurs de vivre des choses un peu différentes, de sortir du train-train de leur équipe. Ça peut perturber des équipes de Pro B qui ont parfois des internationaux Cotonou ou Bosman. J’en n’ai pas cette année mais j’avais Obi Emegano (NDLR : arrière du Nigeria de 2,00m, 25 ans, aujourd’hui à Dijon), Rémi Dibo (NDLR : ailier de 2,01m et 27 ans) et Manu Monceau (arrière de 1,95m et 23 ans) qui étaient avec l’équipe de France de 3×3 qui faisait des rassemblements en même temps. Cette année, j’ai la chance ou la malchance de ne pas avoir de joueurs internationaux. Les fenêtres internationales, c’est perturbant dans l’organisation de la semaine mais d’un autre côté j’aime bien car ça permet de travailler des choses que l’on a peu le temps de travailler depuis la pré-saison.\\n\\nSi vous en aviez la possibilité, quel joueur actuel de la Jeep Elite recruteriez-vous ?\\n\\nFF : Je n’ai pas réfléchi à la question car je suis trop content de mes joueurs (rires). J’aime beaucoup Paul Lacombe. Son énergie, son talent, son apport dès qu’il rentre sur le terrain. C’est l’esprit qu’il véhicule qui est très positif au-delà de son niveau basket.\\n\\nFF : (Sans hésiter) Paul Lacombe ! Dans mon équipe, il manque un joueur comme ça. D’abord c’est un Français et il a le niveau de n’importe quel étranger. Il est très complet, il peut jouer plusieurs postes, il peut défendre et attaquer de différentes manières. Il a du caractère, un mental. Il a des défauts bien sûr comme tout le monde mais beaucoup de qualités. Il irait parfaitement dans mon équipe et ma façon de jouer au basket.\\n\\nAM : Le joueur que je prendrais de suite est Youssoupha Fall, à cause de mon histoire avec lui et parce que toutes les équipes par lesquelles il passe gagnent.\\n\\n[armelse]\\n\\nA la fin des matches allers, dix équipes se tenaient en deux victoires, alors que ni le triple vainqueur, Monaco, ni les deux derniers champions, Chalon et Le Mans ne sont présents à la Leaders Cup. A quoi attribuer ce phénomène quasi unique en Europe ?\\n\\nFreddy Fauthoux : Déjà par rapport à Monaco, il n’y a plus (Zvezdan) Mitrovic. Je ne sais pas s’il y a une relation de cause à effet mais Monaco a beaucoup changé son effectif et son staff. Pour ce qui est du global, je pense que le championnat s’est très densifié vers le haut. Ça se voit par les très bons résultats des clubs français dans les coupes d’Europe. Quand on est compétitifs en coupes d’Europe c’est que l’on a un certain niveau basket. Il y a dix, douze équipes qui ont de gros effectifs, qui jouent bien au basket, et je pense que le championnat de France a tout simplement augmenté de niveau.\\n\\nSavo Vucevic : Ça tient au fait que d’une année à l’autre, on a un championnat qui est beaucoup plus fort, plus compact. J’ai l’occasion de regarder pas mal de matches des autres championnats, en Turquie, en Grèce, en Italie, en Espagne et franchement si le championnat de France n’est pas le meilleur, c’est le plus compact, le plus imprévisible. Chez nous, les salles sont pleines alors que, par exemple, dans le championnat turc c’est vide. On peut encore progresser mais on a un beau championnat et c’était déjà le cas d’une année à l’autre. On joue un basket un peu à part. C’est athlétique. C’est difficile de gagner des matches car il n’y a pas de favoris. C’est intéressant et ça attire les gens dans les salles.\\n\\nAlexandre Ménard : Ça tient parfois à des dynamiques économiques. Chalon a peut-être mal géré l’après titre. Le Mans a peut-être aussi eu des difficultés dans ce domaine-là. Il y a aussi le fait qu’il n’y a pas de gros budgets qui se détachent vraiment un peu comme en Israël avec le Maccabi Tel-Aviv, en Espagne c’est toujours les mêmes qui sont dans le top 4 parfois dans le désordre. En France, à part l’ASVEL et Strasbourg qui sont en train de se détacher mais c’est encore en construction, il n’y en a pas. Monaco, je dirai que c’est encore en gestation et c’est dépendant d’investisseurs plus ou moins uniques. Pour Le Mans et Chalon, ce sont des modèles économiques qui sont bien pour la stabilité des clubs mais ils n’ont pas vocation à se développer dans des proportions aussi importantes que pourront faire Strasbourg avec l’agrandissement de sa salle et l’ASVEL avec une nouvelle salle et des investisseurs plus réguliers et qui vont les amener dans des dimensions que les autres clubs bientôt ne pourront plus toucher.\\n\\nPour vous, le plus important ça serait de gagner la Leaders Cup ou la Coupe de France ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Freddy Fauthoux (Karen Mandeau, Levallois Metropolitans) et Alexandre Ménard (Rouen Metropole Basket)\\n\\nA suivre demain." }, {"role": "user", "content":"Vidéo rétro: Sept minutes d’un quart-de-finale Berck-Maccabi Tel-Aviv en 1974" }, {"role": "assistant", "content":"Les souvenirs vont remonter à la tête des anciens et les jeunes vont découvrir l’univers légendaire de Berck en 1974. Il s’agit d’un quart-de-finale de la Coupe des Champions -l’Euroleague d’aujourd’hui- face au Maccabi Tel-Aviv avec une victoire des Nordistes 115-86... On ne lésinait pas sur les points à l’époque.\\n\\nC’est la deuxième mi-temps qui fut retransmise en direct sur la Première Chaîne de l’ORTF. Les images sont en noir et blanc et c’est Jean Raynal, le M. Basket de l’époque, qui est aux commentaires. La salle est bondée et surchauffée.\\n\\nLe match fut également diffusé en Israël et c’est ainsi que cet extrait de sept minutes s’est retrouvé sur les réseaux sociaux. Curiosité: c’est Ken Gardner, 69 ans aujourd’hui, joueur berckois de l’époque, l’une des meilleurs joueurs américains de l’histoire du basket-ball français, toujours en relation avec ses anciens équipiers et très actif sur facebook, qui l’a propagé.\\n\\nUn vrai document.\\n\\nCette année-là, Berck parvint en demi-finale où il fut éliminé par le Real Madrid.\\n\\nPhoto: Au premier plan, le coach Jean Galle. En arrière plan, Pierre Galle et Ken Gardner." }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: 24 points pour Bria Hartley (Fenerbahçe) contre Koursk" }, {"role": "assistant", "content":"Hier, le Fenerbahçe de Valérie Garnier et Bria Hartley recevait la Dream Team du Dynamo Koursk, invaincue après 11 journées. Les Russes sont reparties avec la victoire (71-75) mais la néo-internationale française a réalisé une performance de choix: 24 points (5/8 à trois-points), 5 rebonds et 2 passes.\\n\\nC’est la meilleure joueuse du monde, l’Américaine Breanna Stewart qui a fait la différence avec 33 points et 9 rebonds pour 27 d’évaluation.\\n\\nProuvant sa forte capacité de scoreuse, en Euroleague, avec 15,3 points (42,9% à trois-points), Bria Hartley est la meilleure marqueuse de l’équipe turque -à égalité avec l’internationale américaine Kelsey Plum- qui est deuxième du groupe B.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Les highlights de Avellino-Le Mans et Nanterre-Venise" }, {"role": "assistant", "content":"Sans Terry Tarpey et Jonathan Tabu, Le Mans a réalisé un véritable exploit à Avellino contrôlant toute la deuxième mi-temps (27-10 dans le troisième quart-temps) pour s’imposer 81-68.\\n\\nAntoine Eito a donné le ton défensif avec 5 interceptions plus 9 points, 6 rebonds et 5 passes, tandis que Juice Thompson scorait 19 points.\\n\\nLes Manceaux sont ainsi aujourd’hui quatrièmes de leur groupe et une victoire la semaine prochaine à Antarès face aux Polonais de Anwil, qui n’ont plus rien à gagner dans l’histoire, leur permettrait de se qualifier pour les huitièmes de finale.\\n\\nEn revanche, en s’inclinant à domicile face à Reyer Venise, Nanterre est à égalité avec Holon et devra s’imposer en Israël la semaine prochaine pour se tirer d’affaire. Hier, les 25 points de Jeremy Senglin n’auront pas été suffisants.\\n\\nPhoto: Antoine Eito (Le Mans, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague Féminine: La mauvaise affaire de Bourges" }, {"role": "assistant", "content":"Pierre Vincent a joué un bien vilain tour à son ancienne équipe. Vainqueur à l’aller en Italie, le Tango Bourges Basket s’est incliné hier soir au Prado après avoir couru après son adversaire (70-75, 33-45 à la mi-temps).\\n\\nC’est une Française qui a été particulièrement saignante dans le camp de Schio, Sandrine Gruda auteure de 14 points et 7 rebonds. Une autre internationale, qui porte le maillot berruyer, a également été efficace, Alexia Chartereau, avec 20 points à 8/13 aux shoots.\\n\\nAutre mauvaise nouvelle: USK Prague, adversaire direct des Tango pour l’obtention de la deuxième place du groupe s’est imposé à Ekaterinbourg, 82-73, qui était invaincu jusqu’ici. Les deux équipes sont à égalité au classement mais Bourges possède un point-average particulier favorable. Seulement les filles de Olivier Lafargue se rendent à Ekat la semaine prochaine...\\n\\nPendant ce temps, Charleville s’est payé Riga (100-75) avec 26 points, 9 passes et 6 rebonds de Hailey Peters, tandis que Villeneuve d’Ascq échouait dans les grandes largeurs à Polkowice (66-86).\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : l’ASVEL surpasse une nouvelle fois le Lokomotiv Kuban et s’assure la première place de son groupe !" }, {"role": "assistant", "content":"Ce mercredi soir à l’Astroballe c’est un défi de taille qui attendait l’ASVEL lors de la réception du Lokomotiv Kuban alors que la formation villeurbannaise était exceptionnellement privée de son maitre à jouer Mantas Kalnietis et toujours sans son aérien Alpha Kaba. Au match aller, l’ASVEL était allée s’imposer en Russie en ouverture du Top 16 d’Eurocup.\\n\\nD’entrée de jeu, les joueurs de Zvezdan Mitrovic compensent leurs absences par une agressivité défensive importante au dépit du nombre de fautes sifflées (sept au total dans la période). Intronisé dans le cinq de départ, Alexis Ajinça trouve rapidement sa place en marquant les deux premiers points de son équipe. Malgré quelques entraînements de plus dans les jambes, l’ancien joueur de la SIG commet deux fautes en moins de 3 minutes 30 et est donc rappelé sur le banc par son coach.\\n\\nPrésents sous le cercle au rebond offensif (8 dans le premier quart-temps contre 0 pour Krasnodar) – à défaut de jouer du jeu rapide malgré les demandes soutenues de relance de Zvezdan Mitrovic – , les Villeurbannais profitent de cette faille pour inscrire des points et garder le contrôle du match. Grâce à Théo Maledon au buzzer à trois points, l’ASVEL mène 22 à 16 après dix minutes. Déjà en forme sur le banc, Zvezdan Mitrovic n’a eu besoin que de sept minutes pour être déjà dans le collimateur des arbitres qui le préviennent qu’à la prochaine remarque ça sera faute technique.\\n\\nBien lancée dans le premier quart-temps, l’ASVEL peine à trouver des solutions quand elle fait son retour sur le parquet. Les joueurs sont plus hésitants et la défense moins dense, ce qui provoque le retour du Lokomotiv Kuban qui termine par passer devant à trois minutes de la mi-temps (36-33) malgré deux temps morts pris par coach Mitrovic pour trouver des solutions. Après 20 minutes de jeu, Krasnodar est devant de trois unités (40-37).\\n\\nDe retour des vestiaires après quinze minutes de repos, les Villeurbannais sont mobilisés et motivés à faire donner au public ce qu’il veut, une victoire à domicile face à un ogre de l’Eurocup. Dès la reprise, Alexis Ajinça est relancé et remet son équipe sur de bons rails avec sept points de suite dont un panier à trois points qui permet aux siens de repasser devant (41-40). Menée par Theo Maledon auteur de quelques petites erreurs de jeunesse, les coéquipiers DeMarcus Nelson resserrent la vis en défense et reprennent le match en main. Alors qu’il ne reste qu’une poignée de secondes, Theo Maledon remonte le terrain à toute vitesse, attire toute l’attention et laisse Amine Noua se faire oublier à l’opposée. Le meneur fait la passe à son compatriote et ficelle, derrière l’arc. L’international français exulte et l’ASVEL mène de huit points après 30 minutes de jeu (58-50).\\n\\nDans la lignée de leur troisième quart-temps, les locaux imposent leur loi dans une Astroballe assez timide jusque dans les derniers instants du match, malgré le talent présent sur le parquet. Tout en maitrise, l’ASVEL se dirige tout droit vers un nouveau succès de prestige face à une équipe taillée pour l’Euroleague. Charles Kahudi à trois points enfonce le clou à moins de trois minutes de jeu pour donner onze points d’avance à son équipe (67-56). Miro Bilan avec un gros dunk dans le trafic conclu l’affaire (69-61). Après 40 minutes de jeu, la formation de Zvezdan Mitrovic s’impose donc une deuxième fois de suite cette saison face au Lokomotiv Kuban, sur le score de 72-61.\\n\\nMeilleur joueur de la rencontre, Charles Kahudi a compilé 13 points et 10 rebonds pour une évaluation de 18.\\n\\nAvec cette cinquième victoire de rang dans ce Top 16, l’ASVEL est assurée de terminer première de son groupe. Elle disputera son dernier match du tour à Ulm, le mardi 5 février, avant de s’attaquer aux quarts de finale de la compétition.\\n\\nPhoto Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Mantas Kalnietis forfait de dernière minute face au Lokomotiv Kuban" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL nous a informé que Zvezdan Mitrovic va devoir composer sans Mantas Kalnietis (1,95m, 32 ans) ce mercredi soir face au Lokomotiv Kuban, dans le cadre de la cinquième journée du Top 16 d’Eurocup.\\n\\nPrésent à l’entraînement ce matin, l’international lituanien souffre des cervicales. Il a tenté de s’échauffer avant la rencontre mais a senti qu’il n’était pas en capacité de jouer. Il sera donc au repos dans ce match où le club villeurbannais est opposé à un concurrent direct dans la quête à la première place du groupe F. A noter que les coéquipiers de Charles Kahudi sont déjà privés d’Alpha Kaba, touché à la cheville gauche et qui sera absent trois mois, tandis qu’Alexis Ajinça est toujours en phase de reprise.\\n\\nCette saison, Mantas Kalnietis est particulièrement en forme en Eurocup où il compile en moyenne 10,9 points, 2,8 rebonds et 5,8 passes décisives pour une évaluation de 14,6.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Fenerbahçe : Jan Vesely absent 6 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, Fenerbahçe a annoncé que l’intérieur tchèque Jan Vesely (2,13m, 28 ans) sera indisponible pour 6 semaines à la suite d’une opération au ménisque du genou droit.\\n\\nUn coup dur pour le joueur qui sortait d’une saison à 14,4 points à 67,1% de réussite aux tirs et 5,6 rebonds en EuroLeague. Cette blessure sera probablement sans conséquence pour le club d’Istanbul quasiment qualifiés pour les playoffs avec 9 victoires d’avance sur la neuvième place occupée par Baskonia Vitoria." }, {"role": "user", "content":"BCL: Avellino-Le Mans en direct sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Le groupe Canal+ annonce que le match de Basketball Champions League Avellino-Le Mans va être diffusé sur Dailymotion.\\n\\nHier, Novgorod a battu Ventspils, 82-73, et le MSB a la quasi obligation de s’imposer en Italie pour croire toujours en une qualification aux huitièmes de finale. A l’aller, les Sarthois s’étaient inclinés 74-77.\\n\\nPhoto: Cameron Clark (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le Mans : Jonathan Tabu absent un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Touché aux ischio-jambiers face à Cholet, l’international belge Jonathan Tabu (1,90m, 33 ans) a été annoncé indisponible pour les quatre prochaines semaines, ce qui le priverait de compétition jusqu’au début du mois de mars. Les supporters manceaux peuvent cependant se rassurer en se disant que leurs joueurs ont un mois de février « léger », entre la non-participation à la Leaders Cup et la fenêtre internationale à la fin du mois de février.\\n\\nCette blessure conforte également le désir commun du président Christophe Le Bouille et du coach Eric Bartecheky, qui est d’ajouter un arrière supplémentaire à l’effectif sarthois.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Youssoupha Fall (Strasbourg) convoqué par l’équipe nationale du Sénégal !" }, {"role": "assistant", "content":"Abdou Ndiaye, le sélectionneur de l’équipe nationale du Sénégal, a convoqué 16 joueurs pour la fenêtre de février comptant pour les qualifications à la Coupe du monde 2019.\\n\\nParmi ceux-ci on remarque la présence de cinq joueurs portant le maillot d’un club français dont le Strasbourgeois Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans).\\n\\nYoussoupha Fall a obtenu la nationalité française en 2017 et la FFBB l’a inclus dans le Team France mais elle n’a pas reçu le feu vert obligatoire de la fédération sénégalaise ni de la FIBA.\\n\\nQuestion: le pivot de la SIG va -t-il accepter l’offre de son pays d’origine plutôt que de patienter pour éventuellement porter les couleurs de son pays d’adoption?\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Aréna de l’ASVEL: Quand certains riverains à Villeurbanne préfèrent le projet de l’OL" }, {"role": "assistant", "content":"La France est sous-équipée en matière d’arénas. C’est un fait. En France, il y a moins de projets que dans la majorité des autres pays européens. C’est un autre fait. En France, il y a très souvent des opposants politiques, des associations, des comités, ou autres, qui les font capoter. C’est encore un fait.\\n\\nL’ASVEL de Tony Parker veut construire une salle de 10 000 places sur le territoire de Villeurbanne, à la place d’un stade de rugby. Mais comme l’indique Le Progrès, une association est vent debout contre le projet.\\n\\n« La salle que veut l’ASVEL est surdimensionnée pour notre quartier et va générer nombre de nuisances », estime les membres du comité de quartier.\\n\\nCeux-ci sont favorables à une aréna... ailleurs ! Et donc au projet du président Jean-Michel Aulas qui veut en construire une de 15 000 places à côté du Groupama Stadium, à Décines ou à Meyzieu." }, {"role": "user", "content":"BCL: Strasbourg vainqueur de Bologne. Vincent Collet : «C’est le jour et la nuit par rapport à samedi»" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur au Rhénus de la Virtus Bologne ce mardi (83-80), la SIG Strasbourg conserve une chance de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Champions League. Cette victoire pourrait aussi servir d’élément déclencheur de la saison des Alsaciens.\\n\\n» C’était un bon match et c’est une bonne victoire pour nous, elle nous permet de rester en vie, »a commenté Nicolas Lang. « On a mis des gros tirs, on a été bons défensivement et on a joué comme si on n’avait rien à perdre. On a eu quelques pertes de balle mais au final nous sommes contents de la victoire. »\\n\\nL’Alsacien est revenu sur les discussions en interne après les défaites et aussi les incidents entre joueurs (Ali Traore, Mike Green et Mardy Collins).\\n\\n« Il y a se parler et se parler. Certaines équipes font des réunions pour se re-mobiliser et dire qu’il faut mieux jouer, mais ça on le sait déjà. Je pense que c’était important et très constructif. Je pense que même si on avait perdu ça aurait été constructif, ça s’est vu à l’intensité qu’on a mis face à cette équipe de Bologne, qui est la meilleure équipe qu’on ait affronté jusqu’à présent. Maintenant il ne faut pas baisser le pied, on ne peut pas avoir battu une équipe comme ça puis lâcher des matchs à domicile comme ça nous est arrivé cette saison (...) On a été consistants pendant 40 minutes et c’est bon pour nous, on ne voulait pas forcément gagner mais faire une bonne performance. Maintenant il faut penser au match de samedi contre Cholet, on ne peut pas se permettre de penser à deux où trois après, il faut prendre les matchs les uns après les autres ».\\n\\nVincent Collet n’a pas caché son soulagement après toutes les péripéties vécues par son équipe :\\n\\n« Premièrement c’est une grosse victoire pour nous, on était vraiment dans une position inconfortable avant ce match, on ne sait pas si cette victoire va nous aider pour la qualification, car il faut gagner à Ostende la semaine prochaine tout en espérant que Patras gagne face à Klaipeda demain. Mais peu importe c’est un bon résultat et un bon match après une période très difficile, la période la plus difficile depuis très longtemps. Ce soir, on a affronté le leader de la poule, une très bonne équipe, mais nous nous sommes battus de la première à la dernière minute et avec notre coeur on a réussi à arracher cette victoire. Nous sommes très heureux. »\\n\\nLe coach de la SIG a tenu à souligner la valeur de l’adversaire du soir:\\n\\n« Dans d’autres situations le fait de ne pas avoir été récompensé aurait pu être un nouveau coup d’arrêt. La victoire récompense la manière dont nous nous sommes investis. C’est plus un changement, c’est une métamorphose par rapport au match de samedi contre Pau, c’est le jour et la nuit. Quand on donne tout, la réussite finit forcément par nous sourire, on a fait le décrochage, on a mis des gros shoots, et puis on a eu des joueurs qui ont joué a un excellent niveau, qui se sont aidés. Même quand on a eu des périodes plus difficiles, on n’a pas sombré en étant resté solidaires. On a continué a défendre dur et à jouer en attaque, et au final on a été récompensés en faisant le break dans le troisième quart puis en le maintenant dans le quatrième. On s’est fait peur a la fin mais parce que les adversaires sont de vrais clients et le shoot que Kevin Punter qui met à -4 n’est pas un shoot que tout le monde peut mettre. Il avait mis le même au match aller et c’est ça qui nous avait battus (...) Tout n’a pas été parfait, notre énergie s’est vu avec notamment notre domination au rebond. Youssoupha Fall fait son match le plus abouti de la saison au rebond (17 !) même si il a raté des paniers faciles et qu’il s’est fait contrer dessous. Notre domination au rebond était l’une des clés du match, mais par contre on a perdu 17 ballons et eux 2, c’est exceptionnel vu l’intensité défensive qu’on a mis. Sur les 10 derniers matchs c’est celui où a pourtant le mieux défendu, c’est remarquable. »\\n\\nVincent Collet a également détaillé la prestation individuelle de ses joueurs:\\n\\n» On a été porté durant ce match par nos deux Américains dans la gestion du jeu, Mardy Collins (20 points, 6 rebonds, 4 passes) a été excellent alors que Mike Green a été rassurant, il a tenu la balle et a provoqué des fautes. Jarrell Eddie a fait son match, Nicolas Lang n’a joué que 15 minutes mais il été très bon, Quentin Serron a été très bon sur Punter, qui a certes marqué 22 points mais quand un joueur est aussi chaud que ce dernier on aurait pu s’attendre à 30 où 35 points. Jeremy Nzeulie nous à fait du bien avec ses deux 3-points marqués dans des moments importants. Même Quentin Goulmy qui a joué une minute a été important par son stop défensif. Tout le monde a été important »\\n\\nLes SIGmen auront un nouveau test ce samedi contre Cholet, un équipe qui reste sur deux victoires consécutives (Villeurbanne et Le Mans) et qui lutte pour sa survie en JeepElite.\\n\\nPhoto: Mardy Collins (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"L’Islandais Haukur Palsson (Nanterre) parle de son amour de la pêche" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un portrait qui lui est consacré, Le Parisien nous informe que l’ailier de Nanterre Haukur Palsson (1,98m, 26 ans) est fan de la pêche. Ce qui ne surprendra personne puisqu’il est natif de l’Islande. La pêche et ses débouchés comptent pour près de 60 % des revenus à l’exportation de cette île située entre le Groenland et la Norvège.\\n\\n« J’ai toujours aimé la pêche mais j’ai commencé à la pratiquer sérieusement quand j’ai rencontré mon amie (Sara). Dans sa famille, ils sont tous pêcheurs. Depuis j’y vais tous les étés, dès que je peux (...) La pêche à la mouche est un vrai sport, il faut lancer la ligne en permanence pour attirer le poisson et avoir une stratégie. C’est aussi un vrai combat physique car les saumons sont intelligents et puissants, ils se rapprochent des pierres pour couper les lignes. J’avoue, je ne suis pas un grand pêcheur et cela m’arrive de finir dans l’eau (rires). »" }, {"role": "user", "content":"Interview Pierre Rondeau, économiste du sport : «Euroleague: que va faire l’ASVEL dans cette galère ?»" }, {"role": "assistant", "content":"Pierre Rondeau est professeur d’Economie à la Sport Management School de la Défense à Paris et à l’Université Paris 1 Sorbonne. Il intervient également dans de nombreux médias, notamment Slate.fr et le groupe RMC. Il est enfin co-directeur de l’Observatoire sport de société de la fondation Jean Jaurès. Interrogé en décembre dans l’émission Buzzer sur RMC sur la situation de l’ASVEL en Euroleague la saison prochaine, nous l’avons contacté pour prolonger la discussion.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment faire pour un club français comme l’ASVEL, soumis au contrôle de gestion imposé par la Jeep Elite – 1 euro dépensé = 1 euro de recette – pour exister dans une Euroleague où une dizaine de clubs invités pour dix ans dépensent sans compter des sommes folles chaque année ?\\n\\nC’est toute la question que devraient se poser les dirigeants de l’Asvel. L’Euroleague est une compétition extrêmement inégalitaire avec des écarts de masses salariales et de budget astronomiques, et avec des clubs étrangers, espagnols ou russes qui nourrissent saison après saison des endettements colossaux pour maintenir leur position de domination. C’est sûr qu’on se demande : mais que va bien faire l’ASVEL dans cette galère ? Je ne peux pas croire, malheureusement, que l’ASVEL ait des ambitions sportives. Le Final Four est absolument hors d’atteinte, mais juste une saison où le club serait correctement placé ne semble pas accessible.\\n\\nPourquoi accepter l’invitation dans ces conditions ?\\n\\nCela a été dit par Gaétan Muller, directeur général du club : ils sont là pour prendre de l’expérience, il s’agit quand même de la deuxième compétition continentale au monde, derrière la NBA. C’est un gain d’expérience sportive, c’est sûr. Après, le club entend développer les recettes de billetterie, et la billetterie est très importante dans l’économie du basket comme l’a montré le récent rapport en la matière de la Jeep Elite, présenté par Alain Béral. Les recettes de jour de match représentent 20% des budget des clubs, ce qui est important. Donc de bonnes recettes de jour de match pour les rencontres d’Euroleague, c’est effectivement intéressant avec des grosses affiches. Ça pourrait donc être porteur à plus ou moins long terme. Mais par contre, je surligne ça, vraiment je le répète, sportivement ça me semble très compliqué de vouloir exister dans cette compétition. En France, on est contraint financièrement au niveau des dépenses et des investissements et en face, les clubs s’autorisent à de l’endettement au-delà de toute raison. L’intérêt n’est absolument pas du tout d’ordre sportif. Après, je comprends l’argument de l’expérience, pour la billetterie et également aussi pour la visibilité que cela peut amener.\\n\\n« Pour exister, un budget de 20, 25, 30 millions d’euros est le seul moyen de faire bonne figure »\\n\\nUn scénario de petit poucet est-il envisageable ?\\n\\nMalheureusement quand on étudie la corrélation entre masse salariale, budget et classement sportif, elle est très élevée. Même en Jeep Elite, la corrélation est de 82%. En Euroleague, vu les écarts, c’est encore plus important. Pas forcément proche des 100% mais un chiffre très élevé quand même. Pour exister, un budget de 20, 25, 30 millions d’euros est le seul moyen de faire bonne figure. L’intérêt sportif est très faible. Il y a toujours l’exception qui confirme la règle, évidemment, mais... même si le club atteint les 14 millions, mobjectif fixé par Tony Parker, vue la réglementation française, les impôts, on reste bien loin des ténors.\\n\\nComment comprendre la stratégie de l’Asvel alors ?\\n\\nIl faut voir cette participation à l’Euroleague non pas comme un challenge sportif mais comme un intérêt économique. La visibilité, la notoriété, la réputation, plus de matches donc plus de recettes billetterie. Cela permet aussi de crédibiliser et de mettre la pression sur les partenaires pour le projet d’Arena qui, si elle sortait de terre mais cela a toujours l’air compliqué, permettrait effectivement de bonifier considérablement les recettes. Cela peut permettre aussi de renégocier des partenariats à la hausse. Mais le challenge n’est que financier.\\n\\nEst-il possible, face aux difficultés sportives que vous annoncez, de tirer des bénéfices économiques avec une invitation pour deux saisons seulement ?\\n\\nC’est tout le challenge ! Il va falloir que l’ASVEL tente de garantir une pérennisation de sa présence, que ces deux ans deviennent quatre ou huit ans, qui devrait permettre d’obtenir des bénéfices financiers tout en résistant au challenge sportif. Il y aura une corrélation, de la part des dirigeants de l’Euroleague, entre la performance sportive du club et la durée de l’invitation. Si le club ne fait pas bonne figure et enchaîne les défaites calamiteuses et piteuses, il est évident que les deux ans prendront fin. Il faut essayer de tirer son épingle du jeu, se maintenir en milieu de tableau, gagner en expérience, réaliser de bons matches, faire parler de soi en évitant la catastrophe industrielle. C’est très intéressant pour les dirigeants du club. On met de côté l’aspect sportif et on met en avant la stratégie financière. Ils vont dire : on a signé un contrat de deux ans, mais on espère, parce qu’on va avoir une nouvelle Arena, parce qu’on va enclencher une politique de développement économique assez ambitieuse, parce qu’on va essayer de devenir le plus grand club de basket en France, et à partir de tous ces points, essayer de s’installer en Euroleague. Leur pari va se jouer au niveau de la réputation. Les dirigeants de l’Euroleague pourraient également l’évaluer comme ça. Pour eux, c’est très intéressant d’avoir un club français qui amène un public et des consommateurs. Quand bien même le club perdrait tous ces matches, si ça fonctionne au niveau de l’audimat, de la billetterie, des recettes de jour de match, qu’il y a une ferveur nationale populaire, ils ne vont pas s’autoriser à retirer l’invitation à un club français parce que sportivement, ça ne passerait pas. Dans un système de ligue semi-fermée sur invitation, tout ça est très compliqué. L’intérêt économique prime sur l’intérêt sportif ou sur la défaite sportive. S’il y a des spectateurs, des recettes, de la billetterie, des annonceurs, des partenaires, ça compte aussi. Et la France est une grande puissance économique. L’intérêt est très très fort pour l’Euroleague.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment faire pour un club français comme l’ASVEL, soumis au contrôle de gestion imposé par la Jeep Elite – 1 euro dépensé = 1 euro de recette – pour exister dans une Euroleague où une dizaine de clubs invités pour dix ans dépensent sans compter des sommes folles chaque année ?\\n\\nC’est toute la question que devraient se poser les dirigeants de l’Asvel. L’Euroleague est une compétition extrêmement inégalitaire avec des écarts de masses salariales et de budget astronomiques, et avec des clubs étrangers, espagnols ou russes qui nourrissent saison après saison des endettements colossaux pour maintenir leur position de domination. C’est sûr qu’on se demande : mais que va bien faire l’ASVEL dans cette galère ? Je ne peux pas croire, malheureusement, que l’ASVEL ait des ambitions sportives. 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L’international italien Awudu Abass a été par exemple candidat sur une liste indépendante aux élections municipales de Côme en 2012; il avait seulement 19 ans.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le basket sport numéro 2 derrière le foot au niveau mondial ?" }, {"role": "assistant", "content":"Quel est le sport numéro 2 au niveau planétaire étant acquis que le football est sur tous les plans en tête d’affiche? Si l’on en croit cette étude, c’est... le basket.\\n\\n« Pour nous, l’audience télévisée n’est pas le seul critère pour une popularité sportive, mais plutôt le nombre d’autres facteurs combinés pour obtenir le meilleur classement de popularité », est-il écrit en préambule.\\n\\nLes critères? Le public, les téléspectateurs, le nombre de ligues pros, les droits TV, les contrats pub et les parrainages, les salaires dans les ligues supérieures, le nombre de pays représentés, la présence dans les médias sociaux, les titres des journaux, TV, radio et web, l’accessibilité au public, l’égalité des sexes, la constance durant l’année, la dominance régionale...\\n\\nEvidemment, la très puissante NBA pèse énormément dans la popularité du basket-ball.\\n\\n« Le basketball compte plus d’un milliard d’adeptes. C’est un sport important aux Etats-Unis avec la NBA générant plus de 4,75 milliards de dollars par an en revenus. Des ligues professionnelles établies en Espagne, en Grèce, en Turquie, en Italie, en France, en Argentine, en Chine et d’autres ligues qui se préparent chaque année en font le sport qui connaît la croissance la plus rapide au monde », est-il notamment commenté.\\n\\nDominant dans les pays du Commonwealth, le cricket est toujours selon l’étude l’autre sport sur le podium devant le tennis, l’athlétisme, le rugby, la Formule 1, la boxe, le hockey-sur-glace et le volley.\\n\\nIl est évident qu’au niveau franco-français, même si le basket compte 681 000 licenciés, que les équipes nationales sont performantes et que la NBA y a un fort impact, il n’a pas le retentissement médiatique qui lui est donné à l’échelle mondiale. Si sa croissance continue cela viendra inexorablement." }, {"role": "user", "content":"En direct avec Arthur Rozenfeld (JL Bourg) : «Mon premier match référence, c’était une semaine après l’attentat du Bataclan»" }, {"role": "assistant", "content":"Formé à l’ASVEL, Arthur Rozenfeld (1,81m, 23 ans) s’est forgé en Pro B, d’abord à Boulogne-sur-Mer (2015-16) puis à Roanne où Laurent Pluvy lui avait confié les clés de la boutique à seulement 20 ans, avant de remonter en Jeep Elite et s’y faire une place. Aujourd’hui meneur back-up à Bourg-en-Bresse, l’ancien villeurbannais répond aux questions du « En direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne peux pas l’oublier ! C’était en playoffs, mais je ne me souviens plus quand. J’ai un problème avec les dates (ndlr, c’était en 2013). On s’était fait éliminer par la SIG à l’Astroballe, j’étais entré en fin de match et en plus j’avais marqué deux lancers. Je me souviens qu’Aymeric Jeanneau avait dû faire faute exprès parce qu’il n’y avait pas de raison de faire faute et j’avais donc mis mes deux lancers. C’était l’époque où Alexis Ajinça était à Strasbourg. De notre côté, il y avait Juice Thompson, Uche Nsonwu, Tim Abromaitis, Amara Sy, il y avait encore Edwin Jackson...\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJ’ai forcément eu une relation particulière avec les meneurs que j’ai côtoyé parce qu’on discutait beaucoup comme on était sur le même poste. Chacun à sa manière m’a appris quelque chose. Cette année, j’ai Zack Wright qui a une vraie expérience et qui a joué dans de gros championnats. Il m’apporte de l’expérience, il me donne des conseils. Je pense aussi à Trenton Meacham qui était un grand professionnel. Ils m’ont tous apporté quelque chose de différent, je ne saurais pas vraiment l’expliquer mais j’ai appris plein de choses à leur contact, rien qu’à l’entraînement.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nIl y en a beaucoup... Ça c’est vraiment compliqué. J’aurais une préférence pour aller voir du côté de l’ASVEL parce que c’est impressionnant ce qu’ils font, que ce soit sur le plan collectif ou individuel. Forcément, j’aime beaucoup un mec comme Mantas Kalnietis. Je ne pense pas que ce soit spécialement le meilleur joueur du championnat, mais il facilite tellement le jeu de son équipe... Il fait toujours le bon choix dans le jeu, c’est un atout majeur pour l’ASVEL. Il y a aussi Miro Bilan... Il y a tellement de bons joueurs, je n’arrive pas à sortir un nom. A Levallois il y a Roko Ukic, Julian Wright. Cette année il y a vraiment un très gros niveau et de très beaux CV.\\n\\nCelui qui parle/râle le plus :\\n\\nDans ceux que j’ai croisé, Edwin Jackson c’est un gros râleur ! Mais plus dans le tempérament, parce qu’il est comme ça, il a envie de réussir et de gagner. C’est pas du tout négatif. Il est comme moi, moi aussi je râle beaucoup, tiens !\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nC’est un peu comme les meneurs que j’ai côtoyé, ils m’ont tous marqué à leur manière. Quand j’étais plus jeune, il y a mes entraîneurs en catégories jeunes qui m’ont amené vers le haut niveau donc je ne peux que les remercier. Quand j’étais en Espoirs à l’ASVEL, c’est Pierre Vincent qui était là et qui m’a beaucoup appris sur comment le basket doit se jouer. Il connait très, très bien le basket. Mon entraîneur qui m’a donné un vrai rôle c’est Germain Castano que j’ai eu à Boulogne-sur-Mer. On avait une très bonne relation, c’est un très bon gars sur le plan humain et il m’a bien fait bosser. Il m’a donné beaucoup de responsabilité alors que j’avais 19 ans. A Roanne, Laurent Pluvy m’a donné les clés de l’équipe en fait. J’étais meneur titulaire à 20 ans. Ça m’a permis de passer de vrais caps. C’est ce que j’attendais et tout ce qu’il m’a dit, j’ai travaillé pour l’avoir et je l’ai eu. Il y a ensuite eu l’année un peu compliqué avec Jean-Denys Choulet mais c’était sur le plan collectif. C’est un coach qui a une philosophie que j’aime bien. C’est un jeu ouvert et offensif où l’on prend du plaisir. Et cette année avec Savo Vucevic, c’est un peu pareil. Il y a un cadre, mais on joue beaucoup à l’instinct.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nJ’aimerais un club espagnol. Le Real Madrid. J’ai aussi un lien particulier avec l’ASVEL parce que c’est mon club formateur et je suis né à Lyon. J’aimerais bien le Maccabi Tel-Aviv aussi, pourquoi pas. Ce sont les trois clubs où j’aimerais jouer. L’ASVEL parce que j’ai un lien particulier avec, le Real Madrid pour la grandeur du club et le style de jeu, et le Maccabi Tel-Aviv parce qu’il y a un vrai engouement et une vraie ambiance dans cette salle.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJe suis obligé de citer Limoges. Il y a de l’ambiance quand tu vas là-bas. Au niveau européen, je suis allé au PAOK avec Chalon l’année dernière. Ce n’était pas plein, mais quand c’était serré ça commençait à chauffer et à crier, c’était pas mal. En plus les gens fumaient dans la salle, c’était assez particulier.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nLes non-médailles en Equipe de France en jeunes. J’ai fait deux fois quatrième, en U16 et en U20. C’est très frustrant parce que tu termines la saison avec ton équipe, tout l’été tu bosses et tu finis tout près d’une médaille. C’est très frustrant d’autant plus qu’on avait une super génération. Echouer deux fois aux portes d’une médaille c’est rageant. J’ai un petit gout d’inachevé quand je pense aux Equipes de France jeunes.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nJ’ai plein de bons souvenirs. Bien sûr, mon premier match en pro. Il y a aussi la saison avec Roanne où on gagne la Leaders Cup. C’est un événement spécial et on a mené du plaisir et de la joie à Roanne qui voulait un titre depuis longtemps. On voit qu’ils veulent remonter au plus vite. Voilà mes souvenirs les plus marquants.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nIl y en a pas mal. Déjà, Edwin Jackson. Gros, gros talent, gros scoreur. Mike Gelabale aussi, Zachery Peacock avec qui je suis actuellement. Il y aussi un mec comme Zack Wright qui est ultra complet. Il arrive à compiler, les rebonds, les points, les passes. J’ai joué avec des bons joueurs.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nLes petits gabarits, les mecs comme David Holston. Il est chiant parce qu’il est très, très bas que ce soit en attaque ou en défense. C’est très dur parce qu’en plus il a un bras donc il peut tirer. Tu sais que s’il drive il va rarement finir, mais il est tellement rapide qu’il arrive quand même à te passer. DeMarcus Nelson aussi est très fort. C’est un tel gros défenseur. A l’époque Marc-Antoine Pellin était chiant aussi parce qu’il était très bas.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nIl y en a deux ou trois qui m’ont marqué. L’année où j’étais à Boulogne (2015/16), c’était à domicile juste après l’attentat du Bataclan. J’avais sorti mon premier vrai match référence, en 20 minutes j’avais dû mettre 22 points pour 25 ou 26 d’évaluation (ndlr, 22 points, 8 passes et 4 rebonds en 19 minutes dans la victoire face à Lille). C’était mon premier vrai match abouti en pro. Avec Roanne, j’ai fait quelques gros matchs avec plusieurs fois 29 d’évaluation, je me souviens de Lille (ndlr, 27 points, 10 passes décisives et 5 rebonds), premier match de la saison, il y avait aussi contre Boulazac (ndlr, 31 points, 6 passes décisives et 4 rebonds).\\n\\nVotre move préféré :\\n\\nJ’aime bien le floater, sinon le step back en partant à gauche.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nTout ce qui se rapporte au post-up ! J’aimerais bien poster (rires).\\n\\nPourquoi le numéro 4 :\\n\\nC’est mon numéro depuis que je suis tout petit. Il n’y a pas de vraie signification. C’était un peu le symbole du meneur, le plus petit maillot, c’était un peu ça au début (rires). Et puis après je l’ai gardé.\\n\\nLe mec le plus drôle de l’équipe :\\n\\nC’est moi ! C’est vrai que j’aime bien déconner. Mais sinon c’est Zack Wright ! Il est énorme. On se marre beaucoup avec lui, il est beaucoup dans la déconne.\\n\\nLes principaux sujets de discussions dans le vestiaire :\\n\\nOn parle évidemment de basket. On parle aussi des voyages... C’est varié, on parle de tout.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nBastien Pinault, on a une bonne relation !\\n\\nSi vous deviez choisir trois potes pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nBastien Pinault pour shooter... C’est dur. Moi, Bastien... Je prendrais Georgi Joseph à l’intérieur pour ses écrans (rires), et Zack Wright.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nLyon ! Sans hésitation.\\n\\nPrincipale occupation en dehors du basket :\\n\\nJ’aime bien voyager, profiter de la vie, aller boire des verres. Je pense que tout le monde aime faire ça. J’aime beaucoup la mode aussi, c’est comme une deuxième passion.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nQu’on enlève le flopping (rires) ! Chaque faute provoquée c’est un point de plus... Ah non ! Que chaque faute provoquée rajoute un point à l’évaluation (rires) ! Ça existe ailleurs, mais pas en France.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe pense que j’aurais créé ma boite. Je ne sais pas dans quel domaine mais j’aurais voulu être mon propre patron.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe me vois créé mon truc je pense. Je ne sais pas encore dans quel domaine, mais j’ai envie de monter mon truc.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nJe ne peux pas l’oublier ! C’était en playoffs, mais je ne me souviens plus quand. J’ai un problème avec les dates (ndlr, c’était en 2013). On s’était fait éliminer par la SIG à l’Astroballe, j’étais entré en fin de match et en plus j’avais marqué deux lancers. Je me souviens qu’Aymeric Jeanneau avait dû faire faut exprès parce qu’il n’y avait pas de raison de faire faute et j’avais donc mis mes deux lancers. C’était l’époque où Alexis Ajinça était à Strasbourg. De notre côté, il y avait Juice Thompson, Uche Nsonwu, Tim Abromaitis, Amara Sy, il y avait encore Edwin Jackson...\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJ’ai forcément eu une relation particulière avec les meneurs que j’ai côtoyé parce qu’on discutait beaucoup comme on était sur le même poste. Chacun à sa manière m’a appris quelque chose. Cette année, j’ai Zack Wright qui a une vraie expérience et qui a joué dans de gros championnats. Il m’apporte de l’expérience, il me donne des conseils. Je pense aussi à Trenton Meacham qui était un grand professionnel. Ils m’ont tous apporté quelque chose de différent, je ne saurais pas vraiment l’expliquer mais j’ai appris plein de choses à leur contact, rien qu’à l’entraînement.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche / Guilherme Amorin / Christelle Gouttefarde" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Alexis Ajinça (ASVEL): «Le fait qu’on vive tous à Charlotte et qu’on ne se parle pas, ça faisait con»" }, {"role": "assistant", "content":"La dernière apparition furtive d’Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) en équipe de France en 2016 et les commentaires acides de Tony Parker avaient laissé des traces comme le révèle le nouveau pivot de l’ASVEL dans L’Equipe. Aussi quand le président et son directeur des opérations basket, Nicolas Batum, ont souhaité enrôler le Stéphanois il a fallu, selon l’expression de celui-ci, mettre les points sur les i:\\n\\n« Il s’est excusé disant qu’il avait un peu exagéré, qu’il aurait dû respecter mes choix. Une fois passé ce cap, je ne voyais pas l’intérêt de se faire la gueule toute une vie. »\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: Boulazac dernier qualifié pour les huitièmes de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Le Boulazac Basket Dordogne est le dernier qualifié pour les huitièmes de finale de Coupe de France après sa tranquille victoire hier à Poitiers (100-76) confirmant sa forme actuelle démontrée en championnat.\\n\\nLes huitièmes se tiendront les 11, 12 et 13 février et seront qualificatifs pour le Top 8 à l’Arena de Trélazé (16 et 17 mars) avant la finale à l’AccordHotels Arena de Paris le samedi 11 mai.\\n\\nRésultats des 16e de finale :\\n\\nMardi 22 janvier\\nSorgues (NM1) – Nancy (Pro B) : 77-92\\nBlois (Pro B) – Rouen (Pro B) : 88-92\\nVichy-Clermont (Pro B) – Caen (Pro B) : 86-73\\nSouffelweyersheim (NM1) – Aix Maurienne (Pro B) : 79-60\\nChallans (NM1) – Gries Oberhoffen (Pro B) : 78-100\\n\\nMercredi 23 janvier\\nLe Portel (JEEP Elite) – Antibes (JEEP Elite) : 72-79\\nPau-Lacq Orthez (JEEP Elite) – Chalon-sur-Saône (JEEP Elite) : 88-92\\nLevallois (JEEP Elite) – Châlons-Reims (JEEP Elite) : 82-69\\n\\nMardi 29 janvier\\n20h00 : Poitiers (Pro B) – Boulazac (JEEP Elite) : 76-100\\n\\nRéservez vos places sur : billetterie.ffbb.com" }, {"role": "user", "content":"Mikhail Kulagin (CSKA Moscou) out pour une durée indéterminée" }, {"role": "assistant", "content":"Touché lors du deuxième quart-temps contre le FC Barcelone vendredi en EuroLeague, le combo guard du CSKA Moscou Mikhail Kulagin (1,92m, 24 ans) est annoncé out par son club pour une durée indéfinie à la suite d’un os brisé à son pied gauche.\\n\\nCette saison, l’international Russe tourne à une production discrète avec 2,3 points de moyenne par match en seulement sept rencontres disputées." }, {"role": "user", "content":"Giovan Oniangue (Orléans) : «J’ai été intéressé par l’objectif de monter en Jeep Elite»" }, {"role": "assistant", "content":"Signé récemment par Orléans, Giovan Oniangue (1,97m, 27 ans) s’est prêté au jeu des présentations sur la chaîne Youtube du club.\\n\\nDans cette vidéo, on peut entendre l’entraîneur Germain Castano dire à son sujet:\\n\\n« A la fin de l’année 2018, on s’est rendu compte qu’on souffrait à chaque fois qu’on avait un ou plusieurs blessés. En mettant un joueur de plus dans l’effectif on risque moins de souffrir, c’est la principale raison de sa venue. Parmi tous les JFL disponibles sur le marché, c’était celui qui correspondait le plus au besoin du club, pouvant aussi bien switcher entre les postes extérieurs et les postes intérieurs. C’est quelqu’un d’expérience, quelqu’un qui a faim et qui avait très envie de venir. »\\n\\n« Sa principale qualité est qu’il est dur et intense, en Pro B ces deux qualités comptent vraiment. Il est capable de défendre aussi bien sur des postes 2 que des postes 4, tout en pouvant prendre des rebonds et être un point de fixation près du panier. 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C’est un plaisir, c’est des gars avec qui j’ai grandi en espoirs, je pense que les meilleures années sont celles en jeunes, avec des moments qui restent en tête ».\\n\\nJunior Mbida et Malela Mutuale, ex-coéquipiers d’Oniangue en espoirs à Levallois, présentent aussi le personnage:\\n\\n« C’est un gars super, avec beaucoup d’énergie, tout le temps le sourire et plein d’enthousiasme. Il va apporter quelque en chose en plus à l’équipe et c’est quelqu’un de très cool en dehors du terrain ».\\n\\n« Junior a très bien résumé la chose, il va nous apporter aussi bien sur qu’en dehors du terrain. Ce n’est pas facile d’arriver dans un club dans cette situation, et Giovan sera un très bon élément qui va nous apporter. »" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Jerel Blassingame fait son retour à Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Remercié début janvier par l’Elan Béarnais suite à la prolongation pour toute la saison de Mickey McConnell, Jerel Blassingame (1,78m, 37 ans) était retourné s’entretenir à Antibes où il vient de s’engager pour le reste de la saison.\\n\\nSur leur site, les Sharks annoncent le retour de celui qui a porté le maillot azuréen un peu plus d’un an avant de rejoindre Pau à l’intersaison 2018. Toujours dernier du classement (3v-15d), le club antibois est en pleine lutte pour le maintien en Jeep Elite.\\n\\nCette saison, Jerel Blassingame compilait en moyenne 8,5 points et 4,5 passes avant de se blesser au genou droit. La saison dernière, l’ancien palois avait terminé meilleur passeur (7,18) de Jeep Elite." }, {"role": "user", "content":"Officiel : trois mois d’absence pour Alpha Kaba (ASVEL)" }, {"role": "assistant", "content":"Gros coup dur pour l’ASVEL et Alpha Kaba (2,08m, 23 ans) qui va de nouveau devoir être écarté des parquets pour de longues semaines.\\n\\nSur son site, le club villeurbannais indique que son joueur souffre d’une « sévère luxation de la cheville gauche ». Il échappe à l’opération mais devra être immobilisé pendant six semaines et être au repos trois mois, minimum. C’est la deuxième fois de la saison que l’ancien joueur de Mega Leks va être absent pour une longue durée. Il avait manqué les trois premiers mois de compétition en raison d’une blessure au coude.\\n\\nIl semblerait logique de voir l’ASVEL se mettre à la recherche d’un pigiste médical le temps de cette absence compte tenu des fortes ambitions du club que ce soit en Jeep Elite ou en Eurocup.\\n\\nCette saison, Alpha Kaba tourne en moyenne à 6,3 points et 6,1 rebonds entre l’Eurocup et la Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Adrien Moerman garde la pêche" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAdrien Moerman clutch\\n\\nEn gala la semaine passée pour le weekend banalisé du All Star Game, Adrien Moerman et Rodrigue Beaubois ont repris du service en championnat pour l’Efes Istanbul. Et les deux Français ont répondu présent avec 25 points et 6 rebonds pour le premier et 18 points et 5 passes pour le second.\\n\\nSi Galatasaray a bien commencé le match, l’Efes a graduellement repris le contrôle derrière son duo tricolore, Beaubois à l’interception et Moerman à la conclusion au dunk à deux mains. Beaubois a également redonné l’avantage d’un gros tir à trois points en tête de raquette. Moerman a été encore plus clutch avec deux trois points dans le coin pour repousser définitivement le Gala (92-82).\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne, meilleur joueur du Fener\\n\\nTout comme ses compatriotes de l’Efes, Joffrey Lauvergne a repris contre Besiktas ce weekend. Et comme Moerman et Beaubois, il a brillé avec le meilleur total de son équipe à 15 points et 5 rebonds. Il a aussi délivré une superbe passe au cordeau pour Marko Guduric !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KF_PfWkb9YI\\n\\n\\nBandja Sy établit son record à 17 points\\n\\nAvec un 6/6 aux tirs dont une bonne paire de dunks autoritaires, Bandja Sy a réussi ce weekend son meilleur match en carrière avec le Partizan. Super actif, il a terminé à 17 points, 5 rebonds et 4 passes. S’il obtient seulement 17 d’évaluation, c’est à cause de 7 balles perdues (!)\\n\\n\\nEdwin Jackson en record aussi !\\n\\nAprès un petit coup de mou de deux matchs sous les double figure, Edwin Jackson vient de placer 18 points ce weekend contre Ljubljana pour une 3e sortie consécutive au-dessus des 10 points.\\n\\nL’arrière français a été le plus régulier de bout en bout pour son équipe, lui qui a également signé un beau match en Euroleague (10 points, 4 rebonds, 4 passes). Il établit au passage sa meilleure marque en Ligue Adriatique, avec un solide 7/12 aux tirs.\\n\\n\\nKevin Séraphin en puissance\\n\\nBarcelone est décidément maitre de son sujet en Liga. Après avoir tapé Vitoria et Vincent Poirier, les Catalans enchaînent une sixième victoire de rang contre Malaga, même sans Thomas Heurtel laissé au repos.\\n\\nIl faut dire que Barcelone avait une revanche à prendre contre Malaga, qui lui a fait souffrir sa dernière défaite en date à la mi-décembre. Kevin Séraphin a pour le coup pris les choses en main avec 13 points et 6 rebonds en 22 minutes de jeu. Contre Mathias Lessort comme contre Georgio Shermadini, le « Sauvage français » a dominé en puissance !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4N_ndNsDNBM\\n\\n\\nLe CSKA écrabouille Minsk : +40 !\\n\\nBattu pour la première fois de la saison la semaine passée, par le Zenit Saint Pétersbourg, le CSKA Moscou a passé ses nerfs contre Minsk : +40 (101-61). La troupe moscovite n’a pas eu à forcer son talent dans cette démonstration de force durant laquelle Nando De Colo apporte 10 points et 6 passes en 11 petites minutes de jeu.\\n\\n\\nMam Jaiteh toujours aussi efficace\\n\\nSi Turin a encore dû s’incliner, cette fois en prolongation contre Trieste, les coéquipiers de Mam Jaiteh se rapprochent. Et l’intérieur français continue quant à lui d’être irréprochable avec une belle copie à 14 points et 6 rebonds. A 6/10 aux tirs, il garde son efficacité sous les panneaux.\\n\\nPar ailleurs, dans une preview du quart de finale de la semaine des As en Italie, Bologne a mangé chaud contre Milan (94-75). Amath M’Baye (8 points, 5 rebonds) et son équipe auront de sacrés ajustements à faire pour espérer rivaliser avec l’ogre milanais...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (5/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 1 contre en 22 minutes (victoire 94-83 face à Malaga)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (4/9 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes en 24 minutes (défaite 88-75 face à Badalone)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 8 points (3/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (défaite 94-83 face à Barcelone)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 11 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 72-63 face à Obradoiro)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 89-79 face à Fuenlabrada)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/1 au tir), 2 rebonds en 12 minutes (victoire 94-92 face à Burgos)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 2 points (1/5 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 94-92 face à Burgos)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : n’a pas joué – blessé\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 10 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception en 23 minutes (victoire 92-69 face à Khymis)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 9 points (3/6 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 20 minutes (défaite 85-65 face au Panathinaikos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 11 points (4/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 96-81 face à Rishon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 14 points (6/10 aux lancers), 6 rebonds, 2 balles perdues en 29 minutes (défaite 115-110 ap face à Trieste)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 8 points (3/10 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe en 30 minutes (défaite 94-75 face à Milan)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 18 points (7/12 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 31 minutes (victoire 77-72 face à Ljubljana)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 4 points (2/3 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception en 14 minutes (victoire 91-78 face au Cibona Zagreb)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : pas de match\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points (2/2 à trois points), 6 passes, 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 11 minutes (victoire 101-61 face à Minsk)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué – pubalgie\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 17 points (7/8 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 1 interception, 7 balles perdues en 32 minutes (victoire 98-86 face à Mega)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : n’a pas joué\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 25 points (10/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 38 minutes (victoire 92-82 face à Galatasaray)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 18 points (6/13 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 28 minutes (victoire 92-82 face à Galatasaray)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 15 points (6/7 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 79-58 face au Besiktas)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Mam Jaiteh place un nouveau record en Italie\\n\\nCrédits photo : Anadolu Efes Istanbul\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAdrien Moerman clutch\\n\\nEn gala la semaine passée pour le weekend banalisé du All Star Game, Adrien Moerman et Rodrigue Beaubois ont repris du service en championnat pour l’Efes Istanbul. Et les deux Français ont répondu présent avec 25 points et 6 rebonds pour le premier et 18 points et 5 passes pour le second.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le basket 4e activité sportive la plus pratiquée chez les 16-25 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Selon une enquête réalisée par par le CREDOC (Centre de Recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de Vie) auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 jeunes de 16 à 25 ans, le basket-ball arrive en quatrième position des activités sportives les plus pratiquées derrière la musculation, le fitness et le football.\\n\\nCette enquête bouscule pas mal d’idées reçues car si l’on prend en compte uniquement les sports olympiques, le basket est donc deuxième derrière le foot dans cette catégorie d’âge et devant la natation (6e), l’athlétisme (7e), le tennis (8e), ...la boxe (9e) et le VTT (10e). Le handball et le rugby n’apparaissent pas dans ce top 10." }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: 29 joueurs séniors et U23 convoqués pour un stage à Voiron" }, {"role": "assistant", "content":"Richard Billant, le sélectionneur des équipes de France 3×3, a appelé 17 joueurs séniors et 12 joueurs U23 pour un stage à Voiron, les 22 et 24 février.\\n\\nL’équipe de France doit passer par un tournoi de qualification à Porto Rico pour obtenir l’un des trois billets pour la Coupe du Monde 2019 qui se tiendra les 4 et 5 mai prochains, également à Porto-Rico.\\n\\n« Le problème c’est que le tournoi de qualification à la Coupe du Monde a lieu les 4 et 5 mai, ce qui nous coupent de presque tous les joueurs de Jeep Elite, Pro B et NM1. C’est d’autant plus compliqué que cela nécessitera une préparation. Cela veut dire qu’on mobilisera les joueurs une quinzaine de jours avec le tournoi à Porto Rico », explique Richard Billant sur le site fédéral.\\n\\nC’est ainsi que dans la liste on retrouve des habitués du 3×3 au niveau international comme Anthony Christophe, Dominique Gentil et Charly Pontens mais aussi des joueurs pros de 5×5 et encore Raphaël Desroses qui est consultant sur RMC Sport.\\n\\nLa liste des 17 joueurs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de naissance\\nClub\\n\\n\\nBRONCHARD\\nCharles H.\\n15/11/1982\\nJeanne d’Arc de Vichy\\n\\n\\nCHRISTOPHE\\nAnthony\\n04/03/1983\\nAS Monaco Basket\\n\\n\\nCORNELY\\nThomas\\n29/06/1991\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nDESROSES\\nRaphael\\n18/10/1980\\nStade de Vanves\\n\\n\\nDIBO\\nRémi\\n23/05/1991\\n–\\n\\n\\nGENTIL\\nDominique\\n18/05/1988\\nVendée Challans Basket\\n\\n\\nGIAIMO\\nRaphael\\n30/12/1989\\nMulhouse Pfastatt Basket\\n\\n\\nGIRMA\\nSammy\\n12/09/1989\\n–\\n\\n\\nLANDU BONGO\\nJean-Paul\\n30/01/1985\\n–\\n\\n\\nLAURENT\\nThomas\\n20/03/1990\\nSapela Basket 13\\n\\n\\nMOBISA\\nThomas\\n23/07/1990\\nLe Cannet Côte d’Azur Basket\\n\\n\\nNEGROBAR\\nLudovic\\n01/09/1991\\nHermine de Nantes\\n\\n\\nPONTENS\\nCharly\\n13/07/1995\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nRIGOT\\nPaul\\n10/02/1995\\nOlympique Antibes Basket AMA\\n\\n\\nVAR\\nMickaël\\n08/02/1990\\nSLUC Nancy Basket\\n\\n\\nVIALARET\\nAlex\\n15/12/1994\\nJSA Bordeaux Basket\\n\\n\\nWILSON\\nRaphael\\n10/01/1989\\nCergy-Pontoise BB\\n\\n\\n\\n\\nLa liste des 12 joueurs U23\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de naissance\\nClub\\n\\n\\nCHERY\\nValentin\\n24/09/1997\\nParis Basketball\\n\\n\\nDUSSOULIER\\nLucas\\n27/07/1996\\nUJAP Quimper\\n\\n\\nEBOH\\nTim\\n12/11/1997\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nFORTAS\\nFlorian\\n06/02/2000\\nJSF Nanterre\\n\\n\\nLEGAT\\nMatteo\\n08/05/1996\\nSaint Chamond\\n\\n\\nPLAUCOSTE\\nSya\\n17/07/2001\\nCFBB (Le Havre)\\n\\n\\nPONSAR\\nCarl\\n02/04/1997\\nSPO Rouen Basketball\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n06/04/1998\\nReims Champagne Basket\\n\\n\\nREGINA\\nMickael\\n28/04/1996\\nSaint Vallier Basket\\n\\n\\nSEGUELA\\nFranck\\n30/05/1997\\nC’Chartres Basket\\n\\n\\nSEYMOUR\\nJim\\n29/05/1998\\nCEP Poitiers\\n\\n\\nVERGIAT\\nTimothe\\n07/03/1998\\nSO Maritime Boulogne\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur national : Richard BILLANT\\nStaff technique : Gwenaël PESTEL, Karim SOUCHU, Yann JULIEN, Sylvain\\nMAURICE, Anthony PLOYEZ et Thibaut PINSON\\n\\nPhoto: Charly Pontens (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"La FIBA troisième organisation sportive au monde sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"A huit mois de la coupe du monde 2019, la FIBA se porte bien sur les réseaux sociaux. Et pas seulement en Chine.Selon une étude du cabinet de conseil international Burson Cohn & Wolfe Sports Practice, qui a référencé les organisations sportives selon leur popularité sur les principaux réseaux sociaux en occident (Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, Périscope et Youtube), l’instance dirigeante du basket-ball est la troisième la plus suivie au monde avec 9 millions de fans au total. Un score très honnête, mais loin derrière les deux premiers au classement : le Comité International Olympique (36 millions de fans) et la FIFA (33 millions de fans).Malgré cet écart, la FIBA est la seule organisation avec le CIO à être dans les quatre premiers sur tous les réseaux sociaux présents dans cette étude. On notera également l’absence dans le décompte des réseaux sociaux chinois (Weibo,...) , qui auraient sûrement réduit l’écart sachant que le basket reste beaucoup plus populaire que le football dans l’Empire du Milieu." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Dans les coulisses de Chalon face au Portel" }, {"role": "assistant", "content":"« Je ne suis pas venu depuis plus d’un an, alors ce soir on gagne. »\\n\\nLes propos de l’acteur Medi Sadoun avant le match se sont révélés prémonitoires; les Chalonnais ayant dominés Le Portel (92-70) ce samedi dans leur Colisée.\\n\\nDans une vidéo de la série Immersion postée par Elan TV sur Dailymotion, on peut y voir de multiples highlights des deux camps, mais également y entendre un discours dans le vestiaire en anglais de l’entraîneur Jean-Denys Choulet où il salue l’investissement de ses joueurs :\\n\\n« Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent, mais c’est du bon travail. A chaque passage sur le terrain, vous avez aidé l’équipe, que vous ayez joué une minute, trente secondes où trente minutes »." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: 20 millions d’euros ou 3 ans de prison pour Stephen Brun ?" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien international Stephen Brun, désormais consultant sur RMC Sport, est face à un pari dingo. Il doit mettre au moins un panier sur dix tentatives du milieu du terrain. S’il réussit, il gagne 20 millions d’euros. S’il perd, c’est 3 ans de prison.\\n\\nSuspense...\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1090019930576224256\\n\\nPhoto: RMC Sport" }, {"role": "user", "content":"Bilan et perspectives 2019: Recruter toujours plus d’abonnés !" }, {"role": "assistant", "content":"BasketEurope couvre sa troisième saison dans sa nouvelle version et nous proposons nos abonnements Premium depuis bien tôt deux ans.\\nCette année 2019 sera capitale pour notre projet puisqu’il marque la fin de la première phase de notre plan de développement; notre étudiant journaliste Dylan De Abreu termine son cursus cet été et a pour objectif de nous rejoindre à plein temps.\\n\\nAux côtés de Pascal Legendre, l’équipe rédactionnelle se renforce et notre ambition est d’investir l’essentiel de nos revenus sur le contenu, donc nos journalistes ainsi que pour les déplacements sur les événements en France comme en Europe.\\n\\nL’autre axe de développement est clairement notre plateforme web qui permet à nos abonnés d’accéder aux contenus Premium. A l’heure actuelle, nous utilisons une solution externe qui nous a permis à moindre coût de lancer notre offre. Nous sommes arrivés au moment où cette solution n’est plus optimale et empêche parfois une bonne expérience utilisateur pour nos abonnés. Nous avons donc commencé l’étude d’un nouveau système de gestion que nous espérons pouvoir exploiter cet été.\\n\\nEn terme de visibilité et d’abonnés, nous sommes globalement satisfaits et nos premiers objectifs sont atteints. La notoriété de BasketEurope est en hausse même si nous avons conscience qu’il reste un long chemin avant d’être connu et reconnu par le plus grand nombre. Sur cet aspect, l’impact en baisse des réseaux sociaux (Facebook en particulier et son nouveau algorithme défavorable aux médias) est négatif et ne nous permet plus d’atteindre rapidement de nouvelles audiences. Le bouche à oreille reste le moyen le plus efficace pour nous faire connaître et cela appartient à vous, lecteurs, d’informer autour de vous de la qualité de notre site et notre projet.\\n\\nEn janvier 2018, nous étions à la recherche d’un chargé de développement. Recrutement qui n’a pas été aisé et qui a finalement débouché sur un contrat avec l’agence de développement commerciale Audigo. Notre modèle économique fait ses preuves et reste selon moi l’avenir de la presse pour rester indépendant et surtout viable. Notre référencement sur Google monte en flèche et j’accorde cela au fait que notre site est rapide à se charger en comparaison avec d’autres médias en ligne qui se chargent en deux voir trois fois plus de temps à cause des publicités.\\n\\nPour valider complètement notre projet nous voulons augmenter de 30% notre portefeuille d’abonnés d’ici la fin de saison. Entre autres, nous ferons le choix de réserver notre magazine à nos abonnés (il est actuellement disponible à l’achat à l’unité sur notre boutique en ligne) après notre numéro Magazine 13, édition spéciale 100% Limoges CSP.\\n\\nLa bonne santé financière du basket français passe par des réformes et du travail de structuration. Côté réforme, je pense que nous payons notre écot en proposant le premier média sportif web et print payant (mise à part L’Equipe qui est multisports). L’une de nos fiertés est d’avoir obtenu la Commission Paritaire et ainsi d’être reconnu par la profession et légalement comme un véritable organe de presse avec toutes les conséquences positives qui en découlent. Notre équipe est numériquement réduite mais grande par sa capacité de travail, son expérience et les prochains développement que nous avons à faire seront sans doute fondamentaux.\\n\\nSi vous faites partie de nos abonnés, un grand merci et n’hésitez pas à nous faire remonter vos suggestions à redaction@basketeurope.com. Si vous n’êtes pas encore abonné, profitez de notre offre 1 web + magazine avec le 1er mois offert !\\n\\nIl est encore temps de vous souhaiter une bonne et heureuse année 2019 que nous espérons passer ensemble." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Pero Antic a récemment refusé une offre de Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Tout juste retraité, Pero Antic (2,10m, 36 ans) aurait pu continuer de jouer au plus haut niveau européen à en croire ce que rapporte Novosti. Comme l’indique le quotidien serbe, l’ancien joueur du Fenerbahce a déclaré qu’il aurait pu continuer sa carrière, au moins cette saison.\\n\\n« Il y a quelques semaines, j’ai rejeté l’offre d’Armani Milano parce qu’à ce moment-là, j’avais envie de penser à autre chose. »\\n\\nAu cours de cette interview, l’ancien joueur des Atlanta Hawks a confirmé qu’il y aura bien un jubilé en son honneur à Skopje, en Macédoine, sa ville natale. Luka Doncic et Al Horford devraient faire partie des invités de marque. Ils devraient être accompagnés par d’autres grands noms du basket européen qui ont côtoyé Pero Antic pendant sa carrière.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Sito Alonso retrouve un job à Murcie" }, {"role": "assistant", "content":"Remercié fin octobre par le Cedevita Zagreb, Sito Alonso (43 ans) vient de retrouver un job à Murcie, en Espagne.\\n\\nPassé par Badalone, Vitoria, Bilbao et Barcelone, entre autres, en Espagne, le technicien madrilène va découvrir un nouveau club en Liga Endesa. Sur son site, l’UCAM annonce que l’ancien sélectionneur de l’équipe d’Espagne U20 s’est engagé pour le reste de la saison." }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : face à l’ASVEL, Gavin Ware (Dijon) signe son match référence cette saison" }, {"role": "assistant", "content":"Si l’on place un cran en dessous le match face au CCRB, en raison de la différence de niveau entre le club de la Marne et l’ASVEL, lors duquel Gavin Ware (2,06m, 25 ans) a compilé 20 points et 7 rebonds pour une évaluation de 26, l’intérieur dijonnais a livré son match référence cette saison, dimanche soir.\\n\\nFace au prétendant numéro un pour le titre de champion de France 2019, l’ancien intérieur de Levallois s’est montré très à son avantage. Opposé à des cadors du championnat que sont Miro Bilan, Alexis Ajinça (toujours diminué) ou encore Amine Noua, l’ancien pensionnaire de Mississippi State a livré son meilleur match de la saison avec 25 points (10/17 à deux points, 1/1 à trois points et 4/4 aux lancers), 4 rebonds et 2 interceptions pour une évaluation de 23.\\n\\nPrésent sur le parquet lors de 23 des 40 minutes du match, l’ancien pivot d’Anvers a étalé toute sa palette offensive allant du shoot en tête de raquette, du tir crochet sur un défenseur au poster dunk, en passant par un shoot à trois points, il faut le dire, un peu chanceux. Il a logiquement été élu homme du match dans la grosse victoire de la JDA face à Villeurbanne (94-77).\\n\\nAprès la rencontre, Gavin Ware est revenu sur son match.\\n\\n« Le coach avait insisté sur l’importance de bien démarrer en première et en deuxième mi-temps, et on savait qu’il fallait mettre l’énergie et l’intensité pour avoir une chance (...) J’avais connu des matches frustrants où je ne trouvais plus mon shoot à mi-distance, mais l’entraîneur m’a dit de continuer à travailler avant les entraînements, de rester concentré. Partout, ici ou en NBA, on se prend parfois des murs, mais tout le challenge est de réagir dans l’adversité. Et ce soir, j’ai escaladé ce mur, et c’était un bon match », a-t-il déclaré au Bien Public.\\n\\nPhoto : FOXAEP" }, {"role": "user", "content":"ASVEL : Alpha Kaba indisponible plusieurs semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Coup dur pour l’ASVEL. Victime d’une luxation du pied gauche ce dimanche à Dijon, Alpha Kaba (2,08m, 103kg), qui va fêter demain son 23e anniversaire, devrait être indisponible pendant plusieurs semaines. Ce serait la deuxième absence longue de l’intérieur franco-guinéen cette saison après une blessure au coude lui ayant coûté les trois premiers mois de la saison.\\n\\n« Alpha a été victime d’un blessure quasiment similaire à celle qu’il a eue en août. C’était une luxation du pied très impressionnante et il a beaucoup souffert. Je l’ai accompagné au CHU de Dijon, où les médecins ont dû l’endormir durant la nuit de dimanche à lundi pour le lui remettre en place. Il n’y a pas eu besoin de l’opérer, il n’y a pas de fracture et nous attendons maintenant des examens complémentaires pour connaître la nature exacte de sa blessure, et pour savoir si des ligaments sont touchés. Alpha est évidemment touché moralement, parce qu’il revenait bien et avait beaucoup d’objectifs, avec l’équipe et sur un plan personnel », a déclaré Yohann Sangaré, Manager Général du club, au journal lyonnais Le Progrès.\\n\\nDeux solutions d’offrent au leader de JeepElite, précipiter le retour d’Alexis Ajinça à la compétition en lui donnant davantage de temps de jeu, (7′ hier contre la JDA) où faire appel à un pigiste médical, ce qui serait le quinzième contrat signé par le club cette saison sur les 16 maximum autorisés par la LNB." }, {"role": "user", "content":"A 36 ans, le pivot macédonien Pero Antic prend sa retraite" }, {"role": "assistant", "content":"Sans club depuis son passage à l’Etoile Rouge de Belgrade la saison dernière, Pero Antic (2,11m, 36 ans) a décidé de prendre sa retraite.\\n\\nC’est sur la radio macédonienne Antena5 que Pero Antic a annoncé qu’il ne jouera plus à un niveau professionnel et qu’un jubilé en son honneur aura lieu à Skopje, la capitale de son pays, sans qu’on en connaisse la date.\\n\\nVainqueur de l’EuroLeague en 2012, 2013 (avec l’Olympiakos) et 2017 (avec le Fenerbahce), le pivot macédonien a disputé 162 matchs d’EuroLeague (à 5,6 points et 3,3 rebonds de moyenne) et 135 de NBA avec les Atlanta Hawks (6,3 points et 3.5 rebonds en moyenne par match)." }, {"role": "user", "content":"Grèce : Stéphane Lasme quitte le Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"A la suite de l’arrivée de Adriean Payne (2,08m, 27 ans), il se murmurait depuis quelques semaines qu’un étranger allait quitter le Panathinaikos car la ligue grecque n’en autorise pas plus de six par équipe.\\n\\nC’est chose faite puisque dans un communiqué du club publié ce lundi sur les réseaux sociaux, on apprend que c’est Stéphane Lasme (2,03m, 36 ans) qui a fait ses valises. L’écurie athénienne a cependant tenu à remercier le joueur pour sa contribution. Cette saison, l’intérieur gabonais tournait à 5,7 points, 3,5 rebonds et 1,1 contre par match entre le championnat grec et l’EuroLeague." }, {"role": "user", "content":"Chine: La Coupe du Monde provoque le buzz sur le principal réseau social du pays" }, {"role": "assistant", "content":"Avec une population supérieure à 1,4 milliard d’habitants, la Chine est un pays où les chiffres générés dans quantité de domaines sont forcément impressionnants vus à l’échelle française.\\n\\nAinsi Sina Weibo est le réseau social numéro 1 en Chine et il compte plus de 500 millions d’utilisateurs dont un dixième est actif tous les jours. D’autre part, le nombre de pratiquants et de fans du basket-ball se mesure en Chine en dizaine et même en centaine de millions.\\n\\nLa convergence de ces deux phénomènes fait que Sina Weibo a désigné la Fédération Internationale de Basket (FIBA) comme l’une de ses 10 organisations sportives les plus influentes de l’année 2018. Cette présence est due surtout à la célébration de plusieurs événements en vue de la Coupe du Monde 2019 dans le pays. Le nombre de followers de la FIBA sur les comptes Weibo a franchi un cap en 2018, Weibo.com/FIBAofficial atteignant les 3 millions de fans et Weibo.com/FIBAWC 1 million de fans. La Coupe du Monde et les différents Éliminatoires ont été une source constante de discussions, le hashtag officiel #FIBAWC (#篮球世界杯#) générant plus de 330 millions de commentaires.\\n\\nLa nouvelle qui a fait le plus grand buzz sur Weibo en 2018 a été l’introduction de Kobe Bryant comme ambassadeur mondial de la Coupe du Monde FIBA, rejoingnant ainsi Yao Ming dans cette prestigieuse mission. Bryant était l’une des personnalités sportives les plus aimées en Chine lorsqu’il a représenté les USA aux JO de 2008 à Pékin et il est encore aujourd’hui extrêmement populaire. La vidéo présentant Bryant comme second ambassadeur de la Coupe du Monde FIBA, sur le compte @FIBAWC, a été vue plus de 7.4 millions de fois et elle a provoqué énormément de réactions.\\n\\nDes preuves supplémentaires au fait que la Coupe du Monde va bénéficier en Chine cet été d’un énorme retentissement.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : le shoot du week-end, Mickey McConnell (Elan Béarnais) du milieu du terrain" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la démonstration de l’Elan Béarnais face à Strasbourg (98-57), Mickey McConnell a été le chef d’orchestre parfait de la formation de Laurent Vila.\\n\\nEn 30 minutes de jeu, le meneur palois a compilé 20 points avec des pourcentages plus que bons (8/12 à deux points et 4/6 à trois points), plus 3 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 25. Mais c’est surtout à la fin du premier quart-temps que l’ancien joueur du CCRB a marqué les esprits. Alors qu’il ne reste qu’une poignée de secondes, l’ancien meneur d’Oldenburg shoote du milieu de terrain : ficelle !\\n\\nEn enregistrant son douzième succès de la saison, l’EBPLO est seul deuxième du classement (12v-6d), derrière l’ASVEL. Mickey McConnell est d’ailleurs loin d’être étranger à la forme actuelle du club béarnais.\\n\\nPhoto : Eric Traversié" }, {"role": "user", "content":"Espagne : 40 points à l’actif de Nicolas Laprovittola (Badalone), du jamais vu depuis plus de 20 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Bonne surprise de la saison en Liga ACB, la Joventut Badalone s’est imposé contre Gran Canaria ce week-end en championnat (88-75). Au-delà d’avoir réussi cet exploit contre une équipe jouant l’EuroLeague, c’est la performance du meneur Nicolas Laprovittola (1,93m, 28 ans) qui a marqué les esprits.\\n\\nL’international argentin a inscris 40 points, le tout avec une adresse insolente (7/10 à 2-points, 7/10 à 3-points et 5/7 aux lancers francs). Il faut remonter à 1995 et les 47 points de Randy White, également avec Badalone, pour voir quelqu’un dépasser les 40 points dans un match du championnat espagnol.\\n\\nGrâce à cette victoire, le club catalan se maintient à la septième place au classement avec 11 victoires pour 7 défaites, avec deux victoires d’avance sur la neuvième place occupée par Andorre.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"VTB League : Dimitris Itoudis (CSKA Moscou) devient le coach le plus victorieux de l’histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Victorieux avec le CSKA Moscou ce week-end face au Tsmoki-Minsk, Dimitris Itoudis (48 ans) est entré dans l’histoire de la VTB League.\\n\\nGrâce à ce match de championnat, le technicien grec a remporté son 141 succès dans la ligue russe, créée en 2008. Ce qui fait de lui, l’entraîneur le plus prolifique de l’histoire de cette compétition. Il a dépassé Evgeny Pashutin qui compte 140 victoires à son actif.\\n\\nDans la tourmente la semaine dernière et annoncé sur la sellette, l’ancien coach de Banvit retrouve des couleurs après avoir enregistré deux victoires de suite avec le club moscovite.\\n\\n\\n\\n\\nДимитрис Итудис стал самым побеждающим тренером в истории Лиги!\\n\\n\\nDimitris Itoudis became the winningest coach in VTB League history! pic.twitter.com/SHhiNeTGhA\\n\\n\\n— VTB League (@VTBUL) January 27, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La photo rétro – L’équipe de l’Elan Béarnais qui a accédé en première division" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Béarnais qui jouait à Orthez dans le marché couvert appelé La Moutète est montée en première division en 1973. Les Anciens de l’Elan Béarnais ressortent des archives de véritables trésors comme cette photo où l’on voit justement l’équipe qui a permis cette ascension.\\n\\nEn haut, de gauche à droite : Pierre Seillant (président), Henri Manoux, Jean Jacques Convert, Roger Duquesnoy, Steeve Schmitt, Mathieu Bisseni et Jean Luent (coach).\\nEn bas, de gauche à droite : Bernard Lamarque, René Page, Claude Carrasse, Jean Noël Perpère, Alain Larrouquis, et Bernard Lolo.\\n\\nL’Elan Béarnais avait la réputation de ne pas fournir à cette époque les mêmes shorts à tous ses joueurs. C’est confirmé avec l’Américain Steeve Schmit et l’international français Mathieu Bisseni.\\n\\nPhoto: Les Anciens de l’Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Erik Murphy (Francfort) vers Manresa" }, {"role": "assistant", "content":"Aperçu en début de saison du côté de Francfort, avec qui il jouait le championnat allemand (12,4 points, 4,9 rebonds en 14 matches) et l’EuroCup, Erik Murphy (2,08m, 28 ans) va finir la saison à Manresa, actuellement huitième de Liga ACB.\\n\\nPassé notamment par Nanterre et Strasbourg au cours de sa carrière, l’international finlandais a une réputation d’excellent shooteur malgré sa grande taille. Il culmine en effet à un excellent 67,7% de réussite à trois-points depuis le début de la saison en EuroCup !\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: C’est fait, Mondeville n’est plus capot !" }, {"role": "assistant", "content":"A la 14e tentative, l’US Mondeville a réussi à décrocher la queue du Mickey. C’est Basket Landes qui a fait les frais en Normandie de cette première victoire (57-51).\\n\\nLe plus étonnant, c’est que ce n’est pas sa Canadienne Kim Gaucher (4 points), loin de ses standards habituels qui l’a porté vers ce succès mais deux jeunes, sa meneuse Ewl Guennoc (17 ans, 10 points, 7 rebonds, 4 passes) et son intérieure Ana Tadic (20 ans, 14 points, 5 rebonds).\\n\\nSur un plan comptable, cela ne change pas grand chose. Les Normandes ne vont pas éviter les playdowns où elles ne retrouveront pas les Landaises. Mais évidemment, comme le souligne le coach Romain Lhermitte pour Actu.fr, ça va apporter une bonne dose de confiance au groupe:\\n\\n« Pour moi, ça ne change pas grand-chose. Pour les joueuses, ça change beaucoup de choses. Les voir sourire, ça fait tellement plaisir ! Je leur ai dit avant le match : « vous savez, moi j’en ai des victoires. Quand Myriam (Djekoundadé) marque 18 points, c’est une victoire pour moi. Quand Louise Bussière met un trois points sur la tête de Whitcomb à Montpellier, c’est une victoire pour moi. Quand Kim est leader du championnat au scoring, c’est une victoire pour moi. » Mais cette victoire contre Basket Landes, c’est une vraie victoire pour les filles. On sait qu’on en a besoin. Ça va nous permettre d’avoir de la confiance. Surtout, on a une référence. Ce sera un tout autre match contre Tarbes (le prochain match de Mondeville dans deux semaines, ndlr), mais on sait qu’on peut le faire. C’est vraiment important. »" }, {"role": "user", "content":"+ 17 face à l’ASVEL, Laurent Legname (Dijon): «C’est fabuleux !»" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir haché menu Strasbourg deux semaines auparavant (80-55), la JDA Dijon a pulvérisé hier soir Villeurbanne en Bourgogne (94-77), prouvant que sa glissade au Mans était bien un incident de parcours et que son palais des sports est inexpugnable.\\n\\nSon coach Laurent Legname était aux anges comme le rapporte Le Bien Public :\\n\\n« L’Asvel n’était pas venue pour rigoler, pour jouer en marchant, cela s’est vu. Il faut vraiment rendre l’hommage que méritent mes joueurs, qui ont battu la meilleure équipe en France, une des meilleures d’EuroCup... En deuxième mi-temps, on a continué à s’appuyer sur notre défense et en plus, on a eu une grosse réussite. C’est fabuleux! »\\n\\nIndividuellement, le meneur David Holston (19 points, 8 rebonds) et le pivot Gavin Ware (25 points, 4 rebonds) ont été performants tout au long du match mais chacun a mis la main à la pâte, chacun a joué avec énormément d’intensité, comme Ryan Pearson (16 d’évaluation) et Axel Julien (14) ou encore Abdoulaye Loum qui a utilisé à fond les 17 minutes que lui a donné son coach. Réputée pour l’intransigeance de sa défense, l’ASVEL a ramassé 58 points en deuxième mi-temps!\\n\\nLe Bien Public a résumé l’exploit en titrant ce matin « Monumental » à sa Une des sports.\\n\\nDe don côté le coach villeurbannais Zvezdan Mitrovic a balancé sa fléchette habituelle contre les arbitres avant de reconnaître la supériorité d’un soir de son adversaire:\\n\\n« C’était un match difficile, et félicitations à Dijon qui a joué avec tout son cœur jusqu’au bout. On a plutôt bien démarré en défense, mais dans le troisième quart, ça s’est moins bien passé. On a la meilleure défense d’Eurocoupe, mais quand on revient aux matches de Jeep Elite, il faut qu’on se remette dans une autre optique, car on ne sait pas trop comment défendre. Il y a des contacts qui sont sifflés différemment, des changements de décision avec la réaction du public, mais ce n’est pas la raison de la défaite ce (dimanche) soir car Dijon a été meilleur que nous. »" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: ASVEL-Krasnodar mercredi" }, {"role": "assistant", "content":"Qui va s’approprier la première place du Groupe A du Top 16 de l’Eurocup? Vainqueur à l’aller en Russie, l’ASVEL reçoit le Lokomotiv Kuban Krasnodar pour un match décisif.\\n\\nLundi 28 janvier:\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 29 janvier:\\n\\n19h00 – Monaco/Berlin – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Anvers/Dijon – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Strasbourg/Bologne – BCL – Basket+\\n\\n21h00 – Limoges/Etoile Rouge Belgrade – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 30 janvier:\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Krashnodar – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Nanterre/Venise – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Avellino/Le Mans – BCL- Basket +\\n\\nJeudi 31 janvier:\\n\\n20h00 – Olympiakos/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Vitoria/Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\nVendredi 1er février:\\n\\n18h00 – Darussafaka Istanbul/Real – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Panathinaikos/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nSamedi 2 février:\\n\\n18h30 – Villeurbanne/Levallois – Jeep Elite – RCM Sport 2\\n\\n20h00 – Strasbourg/Cholet – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Le Mans/Châlons-Reims – Jeep Elite – RMC Sport Live 7\\n\\nDimanche 3 février:\\n\\n18h30 – Pau/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 4 février:\\n\\n20h45 – Gravelines/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: David Lighty (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: L’ASVEL assoit sa position de leader" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir mené l’essentiel du match, Lyon ASVEL féminin s’est imposé dans une salle Madot-Bonnet pleine à Lattes-Montpellier et conserve ainsi le leadership de la Ligue Féminine avec deux victoires d’avance sur Bourges -et le point average- et sur son adversaire du jour -mais sans le point average.\\n\\nLa Brésilienne Clarissa Dos Santos a été maîtresse dans la peinture avec 25 points (11/14 aux shoots), 9 rebonds et 4 interceptions pour 31 d’évaluation. La meneuse belge Julie Allemand a pour sa part confirmé sa classe internationale avec 15 points et 7 passes. Quant à l’Américaine Alyssa Clark, elle a réalisé l’ébauche d’un triple double avec 9 points, 8 rebonds et 6 passes.\\n\\nLes 16 points (7/8 aux tirs) et 9 rebonds de Helena Ciak n’ont donc pas été suffisants pour permettre aux Héraultaises de rivaliser. L’Australienne Samantha Withcomb (15 points mais à 3/11) a été bien tenue comme Endy Miyem et Diandra Tchatchouang (1 d’évaluation chacune) alors que le BLMA a concédé 18 balles perdues.\\n\\n\\n\\n\\n💬 Valery Demory #ASVElles #LFB pic.twitter.com/aiq37UguLR\\n\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) January 27, 2019" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Nando De Colo chirurgical à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"L’image a de la gueule... Dejan Bodiroga puis Juanca Navarro puis Thomas Heurtel d’un côté ; JR Holden puis Trajan Langdon puis Nando De Colo de l’autre. L’Euroleague a mis les tricolores à l’honneur pour cette rencontre au sommet entre Barcelone et le CSKA Moscou.\\n\\nEt le duel a tenu ses promesses avec 22 changements de leaders et 10 égalités au score. Nando De Colo (25 points) s’en tire par contre avec la victoire contre Thomas Heurtel (5 points). Le CSKA Moscou s’impose à l’expérience et conforte sa place sur le podium.\\n\\nDans les autres matchs de la soirée, les mal classés Podgorica et Darussafaka se sont offerts une victoire, dont une belle boulette pour Vitoria à Istanbul. Un revers qui pourrait coûter cher à Vincent Poirier et les siens dans la course aux playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nNando De Colo en mode sniper\\n\\nDans ce qui était un bon test pour eux à domicile, et une rencontre très disputée, les Barcelonais ont raté leur fin de match contre le CSKA Moscou (84-76). Nando De Colo n’a lui pas raté le train en se montrant décisif lors d’un 13-2 en fin de 3e quart qui a brisé les pattes catalanes. Après un petit match la semaine passée, De Colo a livré un match plein à 25 points, 5 rebonds et 3 passes, dont un excellent 7/10 à trois points.\\n\\nCôté catalan, Kevin Séraphin a aussi été très efficace à 14 points en 12 minutes, mais aussi 5 fautes ! Thomas Heurtel à quant à lui été plutôt bien tenu avec 5 points, 4 passes avec un 2/6 aux tirs. Avec ses 7 tirs à trois points, De Colo établit non seulement un record personnel mais il égale aussi un record du club (avec Trajan Langdon et Milos Teodosic).\\n\\n\\nPodgorica fait la passe de trois\\n\\nDans le dur depuis le début de saison, contraint d’y sacrifier son coach au passage, Podgorica a retrouvé des couleurs sous la houlette de Jasmin Repesa. Avec un succès arraché en fin de match contre Gran Canaria, la troupe monténégrine engrange un 3e succès d’affilée (75-70). Norris Cole (20 points, 5 rebonds, 5 passes) a été décisif dans un 7-0 fatal à GranCa dans le money time.\\n\\nDu haut de ses 19 ans, et pour ses premiers pas en Euroleague, Goga Bitadze a également participé à ce run décisif et n’en finit plus d’impressionner avec une sortie à 16 points, 7 rebonds, 3 contres, 2 passes. Le tout à 5/7 aux tirs. Edwin Jackson a également été solide avec 10 points, 4 rebonds et 4 passes. En face, Kim Tillie reste capot malgré 5 tentatives...\\n\\n\\nLe faux pas de Vitoria\\n\\nCette défaite pourrait bien faire tâche en fin de parcours pour Vitoria. Mal parti en début de saison, le club basque avait bien redressé la barre avec victoires de rang mais il semble en payer le prix actuellement. Contre les bons derniers du Darussafaka, Vitoria a mordu la poussière (80-75).\\n\\nToney Douglas (21 points, 6 rebonds, 5 passes) et Micael Eric (18 points, 5 rebonds, 2 contres) ont effectivement joué un bien vilain tour à Vitoria. Les Basques ont plusieurs fois eu le match en mains, avant d’accuser -8 à 4 minutes de la fin... Vincent Poirier (6 points, 5 rebonds) n’a pas pesé comme à son habitude face au tonique Eric.\\n\\n\\nLe Bayern retourne Khimki\\n\\nMené de 18 points après un départ cata, le Bayern a peu à peu redressé la barre pour finir en boulet de canon contre le Khimki Moscou (71-60). Avec 20 points marqués en 2e mi-temps, Khimki a été littéralement étouffé par la défense bavaroise menée par Danilo Barthel (7 points, 7 rebonds, 2 contres, 2 interceptions).\\n\\nDerrick Williams (20 points, 5 rebonds) et Vladimir Lucic (15 points) ont été les leaders dans cette révolte de 2e mi-temps. A 3/21 à trois points, les joueurs de coach Kurtinaitis ne pouvaient pas vraiment aller bien loin... Ce dernier devra donc repasser pour sa première victoire de retour aux manettes.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 25 points (8/12 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 33 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 14 points (6/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/10 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 contre en 25 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 8 points (2/3 à trois points), 2 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (2/5 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 27 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 5 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 5 points (2/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 0 point (0/5 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 17 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLe Barça a dû s’incliner face au réveil de Nando De Colo (25 points). Mais Adam Hanga a livré une belle bataille, avec un gros dunk et ce tir venu d’ailleurs sur le gong des 24. Que de la filoche pour un tir déclenché en un rien de temps !\\n\\n\\n\\n\\nSWISH!@HangaAdamOnline beats the shot clock from DISTANCE!@FCBbasket | #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/kYKbFPvO9V\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 25, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 20e journée\\n\\nJeudi 24 janvier :\\nFenerbahçe – Olympiakos (90-75)\\nMaccabi Tel Aviv – Panathinaikos (84-75)\\nMilan – Zalgiris Kaunas (80-70)\\nReal Madrid – Efes Istanbul (92-84)\\n\\nVendredi 25 janvier :\\nKhimki Moscou – Bayern Munich (60-71)\\nDarussafaka – Vitoria (80-75)\\nPodgorica – Gran Canaria (75-70)\\nBarcelone – CSKA Moscou (76-84)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 21e journée\\n\\nJeudi 31 janvier :\\nKhimki Moscou – Zalgiris Kaunas (18h)\\nOlympiakos – Barcelone (20h)\\nBayern Munich – Fenerbahçe (20h30)\\nVitoria – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\n\\nVendredi 1er février :\\nCSKA Moscou – Podgorica (18h)\\nDarussafaka – Real Madrid (18h15)\\nPanathinaikos – Efes Istanbul (20h30)\\nGran Canaria – Milan (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nNando De Colo en mode sniper\\n\\nDans ce qui était un bon test pour eux à domicile, et un match qui a vu 22 changement de leaders au score et 10 égalités, les Barcelonais ont raté leur fin de match contre le CSKA Moscou (84-76). Nando De Colo n’a lui pas raté le train en se montrant décisif lors d’un 13-2 en fin de 3e quart qui a brisé les pattes catalane. Après une période délicate, De Colo a livré un match plein à 25 points, 5 rebonds et 3 passes, dont un excellent 7/10 à trois points.\\n\\nCôté catalan, Kevin Séraphin a aussi été très efficace à 14 points en 12 minutes, mais aussi 5 fautes ! Thomas Heurtel à quant à lui été plutô\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"BCL: Strasbourg-Bologne en direct sur Dailymotion à 20h30" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement dans une très mauvaise passe, la SIG Strasbourg doit jeter ce soir toutes ses forces dans la bataille pour la réception du Segafredo Virtus Bologne, le leader du groupe D. A l’aller, les Alsaciens avaient échoué 81-87 en Italie. Ils ont rétrogradé à la sixième place du classement et une victoire est obligatoire pour toujours croire à une qualification aux huitièmes de finale.\\n\\nLe match est diffusé sur la chaîne Dailymotion de Canal+ à partir de 20h30.\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall et Amath Mbaye (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Edouard Choquet (Fos) : «C’est notre meilleur match de la saison»" }, {"role": "assistant", "content":"Mal en point en championnat, Fos-sur-Mer s’est largement imposé à Bourg-en-Bresse (75-93). Au-delà de la victoire éclatante, c’est de la confiance qui a été retrouvée dans les rangs des sudistes, portés dans ce match par un adresse étincelante (48,4% à 3-points).\\n\\n« Très belle victoire et très importante psychologiquement vu la mauvaise passe qu’on traverse à l’heure actuelle », s’est félicité en conférence de presse le coach Rémi Giuitta. « Elle récompense les efforts, on a bien travaillé aux entraînements. On a très bien démarré avec -on ne va pas se mentir- une adresse insolente. On a fait la course en tête tout au long malgré qu’on se soit fait peur au troisième quart-temps. Pour préparer ce genre de rencontre il faut toujours être derrière, c’est beaucoup d’investissement et de fatigue psychologique. Mes cheveux blancs à 40 ans ne sont pas là pour rien. Après les joueurs sont concernés, on a toujours joué les match à fond malgré les blessés, on a toujours essayé de se vendre au mieux et on a été efficace des deux côtés du terrain. Cette victoire nous relance psychologiquement. C’est pas le classement qui compte pour ce match, ce qui était important c’est qu’on ait retrouvé une cohésion d’équipe, avec le banc qui se levait à chaque panier marqué. Tout le monde est concerné par notre situation, le retour de suspension de Malik Hairston va nous faire du bien et on va enfin être dix joueurs pour la première fois de l’année. »\\n\\nLe meneur Edouard Choquet était également satisfait de la tournure des événements:\\n\\n« Cette victoire fait du bien, ça n’allait pas depuis quelques semaines et notre classement s’en ressent, on a retrouvé des joueurs mais on a surtout retrouvé un bon état d’esprit, dès le début de match on a été plutôt agressifs défensivement, et en plus on a été particulièrement adroit à l’image de Ron Lewis qui a super bien démarré le match. Dans notre quête du maintien cette victoire à Bourg fait du bien et on ne pensait pas le gagner. Ca nous redonne un coup de confiance pour la suite de la saison. C’est notre meilleur match de la saison et de très loin. »\\n\\nA l’inverse, le pivot sénégalais de la JL Bourg, Youssou Ndoye, qui fut contraint de rester scotcher sur le banc, accusait le coup:\\n\\n« C’est un lourde défaite pour nous. Je pense que Fos a fait le meilleur match de sa saison. Ils ont mis beaucoup de shoots et nous ont dominé en première mi-temps. On a fait une bonne deuxième mi-temps mais c’était trop tard vu le retard pris (+26 à la mi-temps pour les Provençaux). On sait que c’était un match dur entre nos blessés et nos joueurs qui ne sentent pas bien. Personnellement je vais beaucoup mieux par rapport à la semaine dernière, bientôt je vais recommencer à m’entraîner avec l’équipe. »\\n\\nEvidemment, le coach Savo Vucevic a déploré de ne pas avoir un effectif au complet:\\n\\n« Depuis la reprise, on ne s’entraîne jamais au complet, même avant. Notre niveau de travail n’est pas ce que j’attends, ce que je voudrais mettre en place. Garrett (Sim) ne s’est entraîné qu’une fois. Il faut toujours tirer sur les mêmes joueurs. Je craignais cette période qui nous pose beaucoup de problèmes. Mais pas de colère ce soir. Je croise les doigts pour être au complet le plus rapidement possible. »" }, {"role": "user", "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon) : «On n’a pas un effectif pour jouer le haut de tableau»" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré la victoire de Châlon-sur-Saône à domicile face au Portel (92-70), Jean-Denys Choulet a tenu à rappeler l’objectif principal de l »équipe. C’est-à-dire le maintien en JeepElite.\\n\\n« Ce soir c’est un prestation correcte contre une équipe qui change beaucoup de défense, on connait le travail d’Eric Girard. +22 sur un premier match de la phase retour à domicile c’est encourageant. Je pense qu’il faut continuer comme ça, on a un objectif de maintien et de progrès des jeunes, dans ce match ils ont prouvé qu’ils peuvent apporter. On sait qu’on n’a pas un effectif pour jouer le haut de tableau. Il faut que tout le monde soit conscient qu’on n’est pas une équipe pour jouer le titre même si on va essayer de jouer le meilleur maintien possible et si on le fait on aura rempli notre objectif. Il faut arrêter de penser qu’avec notre gros début de saison (l’Elan a été a un moment donné deuxième) on peut rivaliser avec les grosses équipes de notre championnat. »\\n\\nA propos de l’évolution de jeu de son équipe.\\n\\n« On s’est orienté, on fait un peu plus de défense de zone et ça marche, quand nos adversaire se seront adaptés on fera autre chose. J’ai des joueurs qui sont assez réceptifs, ce qui est plus pratique qu’avec des joueurs qui n’ont pas de tête. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Fos: Large victoire à Bourg, suspension réduite pour Malik Hairston, les bonnes nouvelles s’accumulent" }, {"role": "assistant", "content":"Les Provençaux de Fos-sur-Mer peuvent se frotter les mains.\\n\\nUn, ils ont remporté hier soir à Bourg une victoire à la fois inattendue et avec une marge étonnante: 93-75 ! Ron Lewis (28 points) a fait parler la poudre. Un succès d’autant plus indispensable que pendant ce temps Cholet s’est imposé au Mans à La Meilleraie. C’est Antibes, débordé à Limoges, qui fait les frais de la soirée et qui compte désormais trois victoires en moins que Cholet et Le Portel, les deux derniers non-relégables. Or quand on sait que les Antibois n’ont justement remporté jusqu’ici que trois matches...\\n\\nDeux, leur recrue grec Giannis Athinaiou (1,94m, 30 ans) a réalisé une entrée correcte en Jeep Elite avec 9 points et 4 rebonds en 22 minutes. L’autre récent renfort, l’Américain Jarvis Varnado (2,06m, 30 ans) a été plus discret avec 4 points en 13 minutes.\\n\\nTrois, l’Américain Malik Hairston (1,98m, 31 ans) a vu sa peine réduite de moitié comme l’indique La Provence. Après en être venu au mains avec le Manceau Cameron Clark, l’ailier provençal avait été suspendu six matches. La commission d’appel de la FFBB a donc été plus clémente et il pourra être aligné dès le week-end prochain pour la réception à Marseille du Limoges CSP. Or, Malik Hairston est le deuxième marqueur (14,4 points), rebondeur (4,3) et le troisième passeur (3,1) de l’équipe.\\n\\nPhoto: Malik Hairston (Fos)" }, {"role": "user", "content":"Ali Traore (Strasbourg) après la déroute à Pau: «Ce n’est pas la faute du coach, ce sont les joueurs qui jouent»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce n’est pas une défaite que la SIG Strasbourg a subi hier à Pau mais une déroute (57-98). Les Alsaciens n’ont gagné qu’un seul de leurs sept derniers matches si l’on prend en compte la Champions League. Dramatique pour le troisième budget français. On peut penser que des remaniements dans l’effectif ne vont pas tarder... Le meneur Mike Green pourrait en faire les frais.\\n\\n« Il y a eu la domination d’une équipe par une autre qui était inexistante », a commenté le coach Vincent Collet en conférence d’après-match. « Voilà pourquoi il y a 40 points d’écart. Pau a fait un très grand match. Que ce soit dans l’intensité défensive, où ils ont été intenses et généreux pendant 40 minutes, mais aussi dans la réussite. On a fait une entame plutôt courageuse mais durant laquelle on était déjà très maladroit, 3/14 à la fin du premier quart, on ratait même les lancers-francs... Et après tout est parti à vau-l’eau au fur et à mesure du match. On a baissé la tête. Il y avait une énorme différence de vitesse entre leur grande agressivité et notre lenteur à nous pour tout faire. On a été mauvais. On sentait que certain étaient inhibés par l’enchainement des difficultés et d’autres ne sont pas au niveau escompté très clairement. Il faudrait que je sois fou pour ne pas être inquiet. Je n’ai pas attendu ce soir pour l’être, mais là c’est un degré supplémentaire ».\\n\\nMême si c’est relatif, Ali Traore (12 points et 6 rebonds) a été l’un des seuls Alsaciens à ne pas sombrer:\\n\\n« Je suis un peu sonné. Il y avait une vraie différence de vitesse dans le jeu, dans l’exécution, en défense et en attaque. J’avais l’impression qu’ils étaient deux fois plus rapides que nous. Ils étaient prêts à faire un gros match et ils l’ont fait, pas nous ! C’est une défaite qui fait très très mal parce qu’elle est un peu honteuse : +40 ! Et en plus face à un concurrent direct, et quand je dis concurrent il faut mettre des guillemets, car ils étaient vraiment au-dessus de nous. Je ne sais pas quelles en seront les conséquences mais c’est clair que... Ça fait mal ! Ce n’est pas la faute du coach, ce sont les joueurs qui jouent. Le staff prépare les matches et les prépare bien. A nous de faire le travail après. J’ai vécu tous les scénarios dans ma vie, les plus glorieux comme les pires comme actuellement. Comment l’équipe va réagir ? J’espère que l’on va réagir en compétiteurs, en champions. On a des champions dans cette équipe. Il faut une réaction dès mardi ».\\n\\nPhoto: Ali Traore (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet): «Le Mans n’a marqué que 26 points en deuxième période, la clé était la défense»" }, {"role": "assistant", "content":"Après son exploit à Villeurbanne, Cholet Basket a confirmé son très net regain de compétitivité face au Mans qui sortait pourtant de deux matches pleins face à Dijon et en BCL face aux Russes de Novgorod. Menés de 4 points à la mi-temps, les Choletais l’ont emporté de 6 (70-64).\\n\\n«Le Mans n’a marqué que 26 points en deuxième période, la clé était en défense », a insisté le coach choletais Erman Kunter en conférence de presse. « On est en train de mettre en place notre défense. Les débuts de matches sont trompeurs. On a vraiment su résister dans le money-time. Il y avait des grosses possessions des deux côtés. Les joueurs ont tout donné. On ne le voit pas dans les statistiques, mais l’intensité mise par les joueurs était importante. La semaine prochaine, on va à Strasbourg, qui a perdu largement ce soir (57-98 à Pau, NDLR ). Tous les matches sont importants. Il y a depuis la deuxième mi-temps à Lyon-Villeurbanne, une grosse gnaque, une grosse agressivité. »\\n\\nAvec 17 points, 6 passes et 4 rebonds, le meneur London Perrantes a confirmé qu’il est d’une autre stature depuis qu’il est passé de Limoges au Maine-et-Loire. Ses stats sont montées de 5,7 points et 8,8 d’évaluation à 16,4 points et 17,6 d’éval !\\n\\n« J’ai demandé à la mi-temps à London de prendre ses responsabilités en attaque. Je voulais qu’il aille plus vers le cercle. Il a aussi fait deux interceptions très importantes. On a essayé de donner du temps de jeu à tout le monde. Tous ont donné 100% de ce qu’ils pouvaient. Il faut déjà oublier le match de ce soir. Il ne faut pas s’enflammer. Il faut aussi aller à la bagarre. Je vais demander aux joueurs de continuer à aller au combat. On cherche toujours un renfort. On peut encore défendre mieux. Il nous faut un joueur qui soit un guerrier. Ce qui m’intéresse, c’est la dureté, l’intensité. Le Mans serait sans doute mieux classé s’il ne jouait pas en Coupe d’Europe. On a été chercher la victoire, on a combattu, c’est le principal ce soir.»\\n\\nQuant à Eric Bartecheky, le coach manceau il faisait remarquer que Cameron Clark (11 points à 4/13) a été loin de rééditer sa performance de la semaine face à Novgorod.\\n\\n«On maintient Cholet à 70 points, mais il faut donner du crédit à leur défense. On entame mal la deuxième mi-temps. On n’était pas prêt à répondre à leur défi physique. On leur laisse des rebonds offensifs, c’est ainsi qu’ils passent devant. On était au coude à coude, mais on manque le shoot pour repasser devant au score. On a eu des difficultés pour attaquer. En deuxième mi-temps, suite à la blessure de Jonathan (Tabu, NDLR), on a dû beaucoup tirer sur la corde pour exister physiquement. Jonathan se blesse aux ischios-jambiers, ça ne nous a pas aidé. On a manqué d’intensité. On est venu ici dans un contexte pas facile. Concernant le début du troisième quart-temps, on regrette de n’avoir pas été prêt physiquement. On perd huit ballons en deuxième mi-temps, on aurait dû être plus patients avec le ballon. Il y avait la possibilité de gagner ici. Le fait que Cameron (Clark, NDLR) ait moins marqué a eu un impact. Le fait qu’il n’ait pas été dans son meilleur jour a compté. Il aurait fallu s’adapter, changer notre fusil d’épaule, car on a manqué de réussite.»\\n\\nPhoto: London Perrantes (CB)" }, {"role": "user", "content":"Pour Elle.fr, Céline Dumerc fait partie des 40 femmes qui ont marqué le sport féminin" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancienne capitaine de l’équipe de France et actuellement à Basket Landes, Céline Dumerc, fait partie des 40 femmes qui ont marqué le sport féminin selon le site internet du magazine féminin de référence, ELLE. Un honneur qu’elle doit à ses prestations et à sa médaille d’argent aux Jeux de Londres en 2012.\\n\\nFigurent dans ce Panthéon très subjectif beaucoup de Françaises comme Aurélie Mauresmo (tennis), Laure Manaudou (natation), Jeannie Longo (cyclisme), Surya Bonaly (patinage artistique), Marie-Jo Pérec (athlétisme) et aussi quelques étrangères comme l’Américaine Billy-Jean King (tennis) et la Roumaine Nadia Comaneci (gymnastique).\\n\\n« Elles ont brillé ces dernières années ou nous ont fait rêver enfant. Ces super championnes entraînent aujourd’hui encore dans leur sillage des milliers de filles. Parce qu’au-delà de leurs prouesses sportives, elles brillent par leur détermination et leur mental d’acier. Parce qu’elles nous prouvent qu’il faut croire en nos rêves, et qu’être une championne ne se conjugue pas qu’au masculin », écrit Elle.fr.\\n\\nA découvrir ici." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Hervé Beddeleem (Gravelines): «Il ne faut pas que du basket dans les grandes métropoles»" }, {"role": "assistant", "content":"Suite aux chiffres révélés la semaine dernière par la Ligue Nationale de Basket sur ses clubs et sur elle même, La Voix du Nord a interrogé pour les commenter Hervé Beddeleem, le directeur exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque et Yann Rivoal, le président de l’ESSM Le Portel.\\n\\n« On veut atteindre les 3M€ de sponsoring (2,6 actuellement). C’est une perf’ d’obtenir un tel résultat quand on est dos à la mer et avec la Belgique à 20 kilomètres », lance tout d’abord Hervé Beddeleem.\\n\\nLe directeur exécutif du BCM craint un championnat à deux vitesses sachant que son club possède avec 5 837 000 euros le sixième budget prévisionnel de Jeep Elite.\\n\\n« Nous, on bosse bien mais notre salle nous pénalise pour les labels. Si on n’aide que les riches, le fossé va se creuser. Le Portel et nous méritons de vivre. Il ne faut pas que du basket dans les grandes métropoles. »\\n\\nLe Portel compte 9 200 habitants et Gravelines 11 400. La construction d’une nouvelle salle pour le BCM est toujours pour l’instant un serpent de mer." }, {"role": "user", "content":"Strasbourg: -41 à Pau. Le pire match de la SIG de l’ère Vincent Collet" }, {"role": "assistant", "content":"Première question: A-t-on assisté à Pau à la pire mi-temps de la SIG Strasbourg de l’ère Vincent Collet ? C’est plus que probable.\\n\\nEn face, il y avait une équipe paloise conquérante menée de main de maître par son point guard américain Mickey McConnell (20 points et 25 d’évaluation au total) qui a donné confiance à tout le monde -rien à voir sa prestation transparente lors du clasico à Limoges- et qui s’est permis, après slalom, un panier acrobatique du milieu de terrain au buzzer. Léo Cavalière (11 points, 9 rebonds) a confirmé qu’il est un formidable guerrier et Thibault Daval-Braquet, 21 ans, s’est jeté dans la bataille avec une formidable ardeur quand il s’est agit de suppléer des titulaires criblés de fautes.\\n\\nLes Strasbourgeois ont proposé une bouillie de basket. Mike Green, Jarell Eddie et Mardy Collins étaient amorphes. Ridicules. Des abandons de poste qui posent question sur leur implication dans l’équipe. Pas de révolte, une détresse collective. Seul un temps Youssoupha Fall a fait front. Un temps seulement.\\n\\nLa fiche de statistiques ci-dessous capturée à la mi-temps résume tout. 48-23. 60 à 18 à l’évaluation.\\n\\nMême si l’addition n’a pas été aussi salée en deuxième mi-temps, le match a suivi son cours. Mickey McConnell s’est permis une passe dans le dos à Vitalis Chikoko lancé dans la raquette, Yannick Bokolo a marqué deux trois-points, Digué Diawara a battu ses records de points (15) et à l’évaluation en carrière (19). Les 30 points d’écart ont été atteints à 73-43 et les 40 à 90-50. Les Palois ont défendu jusqu’au bout. La SIG a juste évité une humiliation supplémentaire, l’Elan Béarnais a loupé les 100 points. Score final : 98-57. Heureusement pour les Alsaciens que les matches FIBA ne durent pas 48 minutes comme en NBA.\\n\\nDeuxième question qui s’impose tout autant: A t-on assisté à Pau au pire match de la SIG Strasbourg de l’ère Vincent Collet? C’est plus que probable aussi. Une certitude: Il s’agit du plus gros différentiel : -41. Et ce n’est pas un simple accident de parcours. Il y a visiblement gros malaise.\\n\\nSelon les informations de RMC Sport, une altercation a eu lieu cette semaine à l’entraînement entre Ali Traoré et Mike Green. Mardy Collins s’en est mêlé. Ceci explique peut-être cela." }, {"role": "user", "content":"Salle Salusse-Santoni : Le temple d’Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"La salle Salusse-Santoni d’Antibes, alias salle Foch, est un haut lieu de pèlerinage pour qui aime les bâtisses historiques du basket français. Elle servit de cadre aux titres de champion de France de l’OAJLP version Jacques Cachemire, Jean-Claude Bonato et Henry Fields en 1970 et du coach Jacques Monclar en 1991 et 1995. L’équipe antiboise y revint même il y a une huitaine d’années, le temps de faire la transition entre l’Espace Piscine et l’Azur Arena.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1991, L’Olympique d’Antibes abandonne Salusse-Santoni et prend ses aises dans la salle Jean-Bunoz, alias l’Espace Piscine, une immense tente qui peut abriter 4\u2009500 spectateurs.\\n\\nSeptembre 2009, L’OAJLP revient à Salusse-Santoni. C’est comme si l’ASVEL était retournée à la Maison des Sports, Le Mans à Gouloumès et le Paris Levallois à Japy. Rembobinons le film en noir et blanc pour mieux comprendre.\\n\\nNous sommes en janvier 1950. Dans le journal du club, Bleu et Blanc, vendu 10 (anciens) francs, un édito parle d’un bon exemple à suivre. Celui de Pont-l’Évêque, ville de 2\u2009500 habitants ravagée par les bombardiers alliés, qui vient de se doter d’une salle de 1\u2009200 places. «\u2009Comme toujours, Antibes se doit d’être la première du département à posséder son terrain couvert\u2009», écrit l’éditorialiste. À cette époque, les Antibois jouent sur un terrain en plein air du Stade Foch, qui deviendra «\u2009préau\u2009», puis «\u2009salle\u2009» quand on y ajoutera quatre murs en 1954. Salusse-Santoni fut alors aligné contre une salle de cinéma dont certains fauteuils furent d’ailleurs longtemps présents dans les tribunes.\\n\\nSalusse-Santoni, c’est une chapelle qu’un pèlerin de la balle orange se doit de visiter. En tendant l’oreille, on entendra peut-être encore les clameurs qui saluèrent les pirouettes de Dan Rodriguez, un meneur de jeu portoricain binocleux de la fin des années soixante, où les performances des Antibois deux fois demi-finalistes de la Coupe Korac, en 1984 et 86. La première fois, cela donna lieu à un affrontement franco-français puisqu’en face, c’était le Orthez de Mathieu Bisseni qui filait tout droit vers la victoire finale. 2\u2009500 personnes s’étaient entassées, paraît-il, dans le sanctuaire. Ça dégorgeait de partout, on avait refusé deux milliers de prétendants et ça faisait un boucan du diable.\\n\\nDes poêles pour réchauffer la salle\\n\\nIl existait une atmosphère magique à Salusse-Santon propre à ces enceintes minuscules remplies comme un bus égyptien. « Il y a eu des tonnes de matches couperet où la salle nous a portés, surtout lors de la belle de la finale face à Limoges en 1991. Des gens étaient installés partout. On ne pouvait pas les empêcher de rentrer. Personne ne pouvait se targuer de s’imposer chez nous. La température montait rapidement, » s’est souvenu dans Nice Matin Alain Trichot qui fut le président du club lors des titres nationaux de 1991 et 1995. Des propos repris par l’international Georgy Adams qui fut l’un des acteurs de l’époque. « Il y avait une ambiance de folie. Pour les adversaires, c’était mission impossible. On connaissait tous les spectateurs et on les entendait parler ou nous gueuler dessus pendant les matches. Cette proximité me faisait un peu penser aux stades de foot anglais. C’était convivial et bon enfant. »\\n\\nAutre témoignage, toujours dans Nice Matin, celui de Jacques Monclar qui y fut joueur puis entraîneur: « En frappant avec les pieds les gradins en bois, les spectateurs donnaient un souffle terrible sur le terrain. On a connu deux envahissements de terrain mémorables, en 1989 lors des barrages et en 1991 avec le titre. » Jacques Monclar évoquait cette invraisemblable retournement de situation. Vaincus de 38 points à l’aller à Toulouse, les Antibois s’imposèrent de 39 au retour avec un panier au buzzer de l’Américain Norris Coleman. Salusse-Santoni, c’était le pendant de La Moutète à Orthez. « On y a affronté le grand Barcelone durant l’automne 1991 en Euroleague. Quand les joueurs ont vu les vestiaires, ils étaient ahuris. L’hiver, il y faisait un froid de gueux. On a du mettre des poêles aux extrémités du terrain. »\\n\\nSalusse-Santoni était depuis longtemps totalement inadaptée, dépassée par les exigences du basket spectacle. En allongeant leurs jambes, les spectateurs du premier rang pouvaient faire trébucher les arbitres. La table de presse était réduite comme s’il s’agissait de couvrir des matches de promotion départementale. La place 11bis était rarement vendue, car son possesseur avait le droit d’admirer... un poteau pendant tout le match avec le son et la lumière\u2009! La télévision s’était juré de ne plus mettre de nouveau ses caméras après quelques après-midi passés à filmer sans recul le mur d’en face : le gros des spectateurs étant regroupé derrière les panneaux. Il lui fallut pourtant y revenir puisque l’OALJP s’est retrouvée en finale du championnat en mai 90. Une finale cauchemardesque pour Antenne 2, car un orage fit sauter les plombs de la salle et interrompit le match et le direct\u2009! «\u2009Sur une salle de 1\u2009686 places assises, on a fait... 1\u2009938 spectateurs de moyenne avec sept matches à guichets fermés, » déplora le manager général Bernard Gaume. Le manque à gagner fut évalué à 3,5 millions de francs. Le double l’année suivante.\\n\\nUn millier de fidèles\\n\\nLe transfert à l’Espace Piscine fut donc une bénédiction. L’OAJLP y gagna un autre titre national, y joua la Coupe des Champions et y organisa un All-Star Game. C’était du provisoire qui se prolongea deux décennies. La bâtisse fut démolie pour faire place à une salle de spectacle. Et comme la future aréna ne devait être livré qu’en septembre 2011, les basketteurs n’eurent pas d’autres choix que de revenir à leur camp de base. “Le maire aurait aimé qu’on fasse le transfert dès l’été 2008, mais ça posait d’énormes problèmes. Par un effet dominos, le club amateur aurait été pénalisé. Il a fallu lui construire une petite salle pour jouer les matches. Le maire a accepté le délai”, commenta le président Jean-Marc Casabo.\\n\\nL’aménagement de Salusse-Santoni se fit en deux temps. La municipalité avait tout d’abord consolidé la toiture, intensifié l’éclairage et dépoussiéré les bureaux. Elle a ensuite installé de nouvelles issues de secours, des toilettes, refait les vestiaires, apporté l’un des deux panneaux de marque de l’Espace Piscine, donné un bon coup de peinture et agrandi les tribunes. “En Nationale 1, nous avions touché le fond avec 500 spectateurs par match”, expliquait le président. “Mais lorsque les résultats sont venus, on est monté à 3 500/4 000 avec une pointe à 4 100 pour le dernier match. Comme quoi, c’est le plaisir de gagner qui compte. Un argument qui a convaincu le maire d’agrandir un peu Salusse-Santoni.”\\n\\nCeci dit, une fois les abonnés et les partenaires satisfaits, il ne restait plus que 471 places à vendre. “À vue de nez, on fait un millier de spectateurs de moyenne. Déjà, il y a un problème de stationnement puisque seuls les VIP ont accès au parking du stade. Et pour avoir une place en ville pour sa voiture, c’est comme partout, c’est la croix et la bannière. On escomptait que les gens du centre-ville aillent à la salle à pied. C’était vrai à l’époque, ça ne se vérifie plus. Les anciens ne viennent plus, ils ont peut-être trop vieilli\u2009! C’est vrai aussi que les résultats ne plaident pas en notre faveur.”\\n\\nMiloud Doubal, qui est né à Antibes, était lui ravi de ce retour aux sources. Ses parents habitaient à cinq minutes de la salle et, gamin du temps de Robert Smith, il allait aux matches des pros avec sa sœur. “C’est sûr qu’en termes d’infrastructures, on était mieux à Jean-Bunoz, il y avait plus de monde, mais moi, j’ai appris à jouer au basket dans cette salle, à partir de la catégorie benjamin. Ce sont les mêmes paniers, les mêmes repères, et j’étais plutôt content d’y retourner. C’est un petit chaudron et c’est un avantage pour nous de jouer là, les gens sont proches du terrain.”\\n\\nL’avenir valait de toute façon de petit sacrifice. L’OAJLP bénéficia quelques mois plus tard d’un nouvel écrin. L’Azur Arena d’une contenance de 5 000 places fut l’oeuvre d’un groupement d’architectes allemands, celui-là même qui avait édifié les installations des jeux Olympiques de Munich en 1972. Elle fut inaugurée le 15 août 2013 à l’occasion d’un match France-Serbie et ce sont bien les Sharks qui en sont depuis le club résident. “On a essayé d’argumenter sur le fait que l’on ferait plus facilement de l’événementiel avec une salle de 7\u2009000 places”, estimait le président Jean-Marc Casabo. “C’est vrai qu’il faut trouver de l’argent, et qu’en ces temps de crise, c’est encore plus difficile. On n’a pas réussi à les faire fléchir, mais il y aura un superbe espace VIP qui sera directement relié aux loges.”\\n\\nEn 2019, Salusse-Santoni est une salle encore bien vivante mais on n’y reverra plus de matches de Jeep Elite. Espérons le.\\n\\n[armelse]\\n\\n1991, L’Olympique d’Antibes abandonne Salusse-Santoni et prend ses aises dans la salle Jean-Bunoz, alias l’Espace Piscine, une immense tente qui peut abriter 4\u2009500 spectateurs.\\n\\nSeptembre 2009, L’OAJLP revient à Salusse-Santoni. C’est comme si l’ASVEL retournait à la Maison des Sports, Le Mans à Gouloumès et le Paris Lavallois à Japy. Rembobinons le film en noir et blanc pour mieux comprendre. Nous sommes en janvier 1950. Dans le journal du club, Bleu et Blanc, vendu 10 (anciens) francs, un édito parle d’un bon exemple à suivre. Celui de Pont-l’Évêque, ville de 2\u2009500 habitants ravagée par les bombardiers alliés, qui vient de se doter d’une salle de 1\u2009200 places. «\u2009Comme toujours, Antibes se doit d’être la première du département à posséder son terrain couvert\u2009», écrit l’éditorialiste. À cette époque, les Antibois jouent sur un terrain en plein air du Stade Foch, qui deviendra «\u2009préau\u2009», puis «\u2009salle\u2009» quand on y ajoutera quatre murs en 1954. Salusse-Santoni fut alors aligné contre une salle de cinéma dont certains fauteuils furent d’ailleurs longtemps présents dans les tribunes.\\n\\nSalusse-Santoni, c’est une chapelle qu’un pèlerin de la balle orange se doit de visiter. 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Mais ce sont les Périgourdins qui sont repartis de l’île-de-France avec la victoire (66-69), dans un match marqué par une maladresse notable de parts et d’autres (39,3% de réussite aux tirs pour le BBD et... 33,3 pour les Metropolitans).\\n\\nDans un premier quart-temps déjà assez pauvre offensivement (16-13), David Michineau (1,91m, 24 ans) s’est particulièrement illustré au scoring côté levalloisien avec ses 9 points, répondant aux 7 points du Boulazacois Travis Leslie (1m93, 28 ans) marqués en tout début de match. Le deuxième quart temps a vu les deux équipes se rendre coup pour coup au point de se repartir aux vestiaires avec un score de parité (37-37). Un second quart-temps marqué par deux fautes antisportives (une de chaque côté), mais également par un gros coup de chaud de Ray Cowels auteur de 13 points pour les Boulazacois.\\n\\nArrivé en temps que pigiste médical de Rasheed Sulaimon, Nobel Boungou-Colo (2,02m, 30 ans) s’est illustré en rentrant deux trois-points dans le troisième quart-temps ayant permis le premier écart du match en faveur de Levallois (48-41), mais le BBD est revenu au score et les deux équipes entamaient le dernier dernier quart temps avec seulement 4 points d’écart (54-50). Un dernier quart-temps qui tournait en faveur de Boulazac avec des actions mieux construites en attaque et un panier clutchissme de Kenny Chery à trois-points, qui tuait les Metropolitans (66-69).\\n\\n« Ce match là on s’est rendu coup pour coup on va dire, on a eu le mérite de ne pas rompre quand Levallois à eu +7 pendant le troisième quart-temps. On a réussi à faire preuve de ressources mentales face à une équipe de Levallois qui était montée en très forte pression défensive. Aujourd’hui on est à 10 victoires pour 8 défaites, c’es assez surprenant par rapport à ce qui était envisagé en début de saison, à nous de rester dans le travail et évidemment notre qualité défensive qui nous permet d’assurer la fin de championnat de manière correct », a confié le coach de Boulazac Thomas Andrieux après la rencontre.\\n\\n« On n’a pas su gérer la fin de match, mais après on n’a pas été mauvais en défense, c’est juste qu’on a manqué de réussite en attaque. On leur a laissé beaucoup de deuxième chance », a exprimé de son côté un David Michineau frustré.\\n\\nQuant au coach levalloisien Freddy Fauthoux, il était très en colère après la défaite:\\n\\n« C’est un coup dur de perdre ce match là, je pense qu’on avait plutôt bien fait les choses jusqu’à le 35ème minute. Ils ont eu des deuxième chances (au rebond) qu’ils n’auraient pas du avoir. Je suis très en colère. C’est la première fois que l’on passe à côté en attaque, on n’a pas su provoquer des lancers francs (13 pour Levallois contre 29 pour Boulazac) et ça me fait râler. La défaite est du à pas mal de joueurs qui n’ont pas su faire des efforts jusqu’au bout. »\\n\\nUn seul exemple de la gabegie offensive des Metropolitans: le 2/12 aux shoots de Julian Wright.\\n\\nPhoto: Julian Wright (Metropolitans)" }, {"role": "user", "content":"Euro 2021: En Allemagne et en Italie ?" }, {"role": "assistant", "content":"Afin de célébrer comme il se doit son centenaire, la fédération italienne (FIP) a décidé de se porter candidate à l’organisation d’un groupe de l’Eurobasket 2021. C’est Milan et son Mediolanum Forum (12,700 places) qui devraient alors être retenus. Le dernier évènement international organisé par l’Italie est un Tournoi de Qualification Olympique à Turin pour les Jeux de Rio en 2016.\\n\\nComme pour les deux précédentes éditions, le championnat d’Europe 2021 aura comme cadre plusieurs pays. L’Allemagne pourrait être choisi comme site à la fois d’un groupe préliminaire et de la phase finale.\\n\\nRappelons que l’EuroBasket est désormais organisé tous les quatre ans.\\n\\nPhoto: Mediolanum Forum" }, {"role": "user", "content":"Pro B: A bientôt 35 ans, le fidèle Pierre-Yves Guillard pourrait poursuivre son aventure avec Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Pierre-Yves Guillard (2,00m) est un cas à part dans le basket professionnel français. Né à Poitiers, il a toujours joué à Poitiers. Un peu au CEP. Beaucoup au PB 86. En N2, en N1, en Pro B et en Pro A.\\n\\nIl tourne actuellement à 5,1 points et 4,3 rebonds en 22′ de temps de jeu moyen. La Nouvelle République lui a demandé de tirer un premier bilan de sa saison:\\n\\n« Il y a des moments où je me sens bien, d’autres où c’est plus compliqué. Mais je dois toujours apporter à l’équipe, en étant irréprochable défensivement. Il faut que je sois plus consistant en attaque. J’ai vraiment envie de faire une belle fin de saison car j’arrive en fin de contrat et c’est peut-être ma dernière année. Si je dois m’arrêter, je veux que ce soit sur une bonne note. »\\n\\nDonc, à bientôt 35 ans (il est né le 27 mai 1984), Pierre-Yves Guillard envisage t-il de remise les baskets au placard? Pas si sûr:\\n\\n« Je réfléchis sans me poser trop de questions pour que cela n’influe pas sur mon jeu. Physiquement, je me sens bien. Pourquoi ne pas continuer ? Mais, avant cela, j’ai envie de réaliser de belles choses, individuellement et collectivement. 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Seulement le Californien a déjà prouvé son efficacité en Europe principalement à Avellino où il fut élu MVP du championnat d’Italie puis au Fenerbahçe avec qui il fut champion d’Euroleague en 2017 (9,3 points à 54,0% de réussite en 2018).\\n\\nJames Nunnnaly sera le 10e étranger du club lombard ! En plus de cinq Américains, il compte en effet dans son effectif deux Lituaniens, un Slovène, un Serbe et un Letton, S’il n’y a pas de règles restrictives en Euroleague, quand il récupéra le Serbe Nemanja Nedovic et l’Américain Kaleb Tarczewski, le staff devra laisser pas moins de quatre de ceux-ci en tribune pour les matches domestiques. Voici comment les riches gèrent la participation aux deux compétitions." }, {"role": "user", "content":"La photo: Le maillot de Jermaine Marshall suspendu à La Trocardière" }, {"role": "assistant", "content":"Le Nantes Basket Hermine a rendu hommage à son joueur américain Jermaine Marshall retrouvé mort il y a une semaine dans son appartement. Hier soir, avant le match face au SLUC Nancy, ses coéquipiers portaient un T-shirt à son effigie et le public l’a longuement applaudi. Par ailleurs son maillot a été suspendu au plafond de La Trocardière et son numéro 6 ne sera plus jamais porté.\\n\\nMais Jermaine Marshall a manqué sur le terrain et les Nantais ont été battus par le SLUC, 68-79.\\n\\nPhoto: Nantes Basket Hermine\\n\\n\\n\\n\\n@NantesBasket44 rend hommage à son joueur Jermaine Marshall décédé la semaine dernière Staff et joueur portent un t-shirt à son effigie avant le match face à Nancy pic.twitter.com/zSGksjA7nH\\n\\n\\n— Télénantes (@telenantesinfo) January 25, 2019" }, {"role": "user", "content":"Gravelines veut conserver son meneur Kendall Anthony" }, {"role": "assistant", "content":"Venu comme joker médical remplacer les blessés, Benjamin Sène (pied) et Edgar Sosa (cuisse) et pour le deuxième en plus suspendu, le micro meneur américain Kendall Anthony (1,73m, 26 ans) donne entière satisfaction au BCM Gravelines-Dunkerque au point que celui-ci souhaite le conserver au-delà de sa pige. Il tourne à 21,0 points et 7,5 passes en 2 matches.\\n\\n« Je ne veux pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, mais c’est fort possible qu’on y arrive », a confirmé le directeur exécutif Hervé Beddeleem à Nord Littoral.\\n\\nL’intéressé, qui a débuté la saison en Islande, est plus que partant:\\n\\n« Je me sens bien ici et c’était important pour moi de retrouver un championnat plus important en Europe. Franchement, j’aimerais rester ici. Finir la saison à Gravelines ? Évidemment que je le ferai si c’est possible. »\\n\\nIl restera alors au coach Julien Mahé à faire le job... Faire cohabiter les trois joueurs, gérer les temps de jeu, les faire jouer parfois ensemble.\\n\\nPhoto: BCM" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Monaco, Le Portel et Le Mans ont fidélisé le plus de fans sur Facebook en deux ans" }, {"role": "assistant", "content":"Selon une étude réalisée par Aredi Agency, l’AS Monaco est le club de Jeep Elite qui a fidélisé le plus de followers sur Facebook entre le 1er janvier 2017 et le 1er janvier 2019. Il faut dire que le club de la Principauté partait de loin.\\n\\nL’ESSM Le Portel et Le Mans SB complètent le podium. Voici le top 10.\\n\\nPhoto: Eric Buckner (ASM)" }, {"role": "user", "content":"Fos-sur-Mer veut battre son record de spectateurs à Marseille pour la venue de Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Les BYers ont fait guichets fermés pour la troisième fois consécutive à l’occasion de la venue de Gravelines. Il faut dire que la Halle Parsemain de Fos-sur-Mer est étroite et avec 1 387 places sa capacité est de loin la plus faible des dix-huit salles de la Jeep Elite.\\n\\nPour la venue de Limoges, le 2 février, le club provençal va investir le palais des sports de Marseille. C’était déjà le cas pour le derby face à Antibes et un peu plus de 2 500 spectateurs avaient pris place dans l’enceinte situé dans le 9e arrondissement de la citée phocéenne à proximité du Stade Vélodrome. Inauguré en décembre 1988, le palais des sports peut accueillir de 4 200 à 7 200 personnes suivant la nature de l’évènement et est ainsi en configuration 5 668 places pour le basket. Le Fos Provence Basket a bien l’intention de battre son record d’affluence à cette occasion.\\n\\nSur le site du palais des sports, on peut y lire ce petit point d’histoire à propos du CSP:\\n\\n« Le club mythique du basket français qui va se rendre dans nos belles terres phocéenne est riche d’un palmarès à n’en plus finir, dont un titre Euroligue quelques jours avant la victoire de l’OM en ligue des champion en 1993. A cela s’ajoute 11 titres de champion de France, 6 coupes de France et plusieurs titres européens. »" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Keith Langford (Panathinaikos) out pour la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Sur la touche depuis plus d’un mois à la suite d’une blessure aux adducteurs, Keith Langford (1,93m, 35 ans) présenterait également les symptômes d’une hernie.\\n\\nSelon le coach Rick Pitino, l’ancien joueur du Maccabi Tel-Aviv serait out pour le reste de la saison à cause de cette blessure. Ce qui serait une deuxième fin de saison dans l’effectif du Pana après celle de Nikos Pappas à la suite d’une rupture des ligaments croisés subie la veille.\\n\\nActuellement, le club athénien est 12ème en EuroLeague avec un bilan de 8 victoires pour 12 défaites, à seulement une victoire derrière la huitième place occupée par le Bayern Munich." }, {"role": "user", "content":"Isaia Cordinier (Antibes) : «Je suis déjà content de jouer au basket»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview parue dans le magazine Soir de Match, l’arrière d’Antibes Isaia Cordinier (1,96m, 22 ans) s’est exprimé sur la saison actuelle du club et ses anciens pépins de santé.\\n\\nSur son retour chez les Sharks après une saison blanche à cause d’une blessure au genou:\\n\\n« Je suis déjà content de jouer au basket. Mais revenir ici dans un contexte que je connais avec les coachs, mes coéquipiers que je connaissais par le passé, ma famille, mes amis... tout est réuni pour que je me sente vraiment très bien ici à Antibes. Je me sens très bien physiquement, je n’ai plus de douleur. Je suis très satisfait de l’opération et de ce qui a été mis en place pendant ma longue rééducation. Ça a porté ses fruits et ça faisait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi bien physiquement. »\\n\\nSur la première partie de saison de son équipe, actuelle lanterne rouge de JeepElite:\\n\\n« Sur cette première moitié de saison : frustrante. On a les moyens et on a les joueurs pour y arriver, mais on a eu ces petits manques de confiance en début de championnat qui ont fait qu’on a raté quelques matchs qu’on aurait pu prendre. C’est aussi pour ça que je suis confiant pour la suite de la saison, car je sais qu’on en est capables. Il manque une petite confiance supplémentaire qu’on essaie de construire à l’entraînement, et c’est ça qui va nous aider pour la suite. »\\n\\nCette saison, le 44ème choix de la draft 2016 tourne à 7,8 points et 2,8 rebonds de moyenne en 21 minutes par match.\\n\\nPhoto: Sharks" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Dominique Sutton (ex-SLUC) file à Burgos" }, {"role": "assistant", "content":"Suspendu par son club du Lietuvos rytas Vilnius pour avoir partagé sur les réseaux sociaux des commentaires contre l’entraîneur du club, Dominique Sutton (1,96m, 32 ans) va finir sa saison en Espagne.\\n\\nLe club de Burgos, actuel 13ème (sur 18) de Liga ACB, vient de le signer pour le reste de la saison. Cette saison, l’éphémère joueur de Nancy (il n’y est resté que deux mois entre novembre 2016 et janvier 2017) tournait à 11,6 points et et 5,2 rebonds de moyenne entre le championnat Lituanien et l’EuroCup.\\n\\nDes fans du club de Vilnius, assez rancuniers contre le joueur, ont modifié sa page Wikipédia, le qualifiant de « pleurnichard » et de « non-professionnel »." }, {"role": "user", "content":"Italie : Augmentation de 6% du public dans les salles" }, {"role": "assistant", "content":"La ligue italienne vient de publier les chiffres des spectateurs présents dans les salles lors de la phase aller 2018-2019 et les résultats sont plutôt encourageants.\\n\\nEn effet, les salles transalpines attirent en moyenne 3 964 spectateurs par match, ce qui est une augmentation de 6% par rapport à la saison dernière à la même période (3 740 spectateurs contre 3 673 en Jeep Elite).\\n\\nParmi les audiences les plus importantes, l’Olimpia Milano est leader avec 7 929 spectateurs de moyenne, suivi par le promu Trieste (5 720 spectateurs) et le Vitus Bologne (5 000 spectateurs). On notera également les progressions des clubs de Brescia et de Cantu, qui ont vu leurs audiences augmenter de 8,7% et 15,5% par rapport à l’an dernier.\\n\\n« C’est un résultat important », a déclaré le président de la ligue italienne Egidio Bianchi », qui confirme la montée de l’intérêt autour du basket-ball dans le pays. Le mérite revient aussi bien aux clubs que à la LBA, que nous entendons confirmer et renforcer en améliorant la convivialité des installations de la Série A, non seulement en terme de capacité, mais également en termes d’accueil et de services au public. «" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Dans les coulisses de Nanterre à Fribourg" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une vidéo postée sur la chaîne YouTube du club, on peut y voir les coulisses d’un déplacement de Nanterre à Fribourg, en Suisse, pour la coupe d’Europe.\\n\\nLe trajet en train, l’entrainement avec les différents systèmes, le scouting des joueurs à surveiller et le travail de l’équipe médicale du club font partie des éléments visibles de ce « vlog ». Au-delà des highlights de la victoire, on peut également y voir des scènes de vestiaires où l’entraîneur Pascal Donnadieu exprime ses directives et son discours en français tandis que l’un des adjoints, Philippe Da Silva, s’occupe de la traduction en anglais pour les non-francophones de l’équipe.\\n\\nPhoto: Jeremy Senglin (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Real Madrid se remet dans le droit chemin" }, {"role": "assistant", "content":"Pas de mauvaise surprise cette fois-ci pour le Real Madrid. Sergio Llull (19 points, 8 rebonds, 5 passes) s’est assuré personnellement que le champion en titre ne connaîtrait pas une seconde déconvenue de suite, se montrant décisif avec deux tirs à trois points clutchs... et un record en carrière aux rebonds !\\n\\nUn peu plus tôt, Fenerbahçe a appuyé encore sa domination sur la compétition avec une victoire imparable contre l’Olympiakos. Le Maccabi Tel Aviv continue quant à lui à engranger les victoires, avec un 4e succès de rang soit la meilleure série du Club Nation depuis 2015 !\\n\\nEnfin, Milan a mis fin à sa série noire de 3 revers d’affilée en venant à bout du Zalgiris Kaunas. Une fois n’est pas coutume : petite fournée pour nos cinq Français engagés, avec aucune sortie en double figure...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nSergio Llull s’occupe de tout\\n\\nBien que finissant à 3/12 à trois points, Sergio Llull n’a pas tremblé dans le money time. Il a rentré deux tirs à trois points au cours d’un 9-0 fatal à l’Efes Istanbul (92-84). Llull termine avec une ligne statistique de gala : 19 points, 8 rebonds (record en carrière), 5 passes et 2 interceptions. Il s’est même permis un petit pont avant d’aller conclure au layup (alors que Fabien Causeur était tout seul)...\\n\\nAnthony Randolph (24 points à 5/6 à trois points) et Edy Tavares (13 points, 7 rebonds, 3 contres) ont aussi été excellents dans la victoire des champions en titre qui voulaient rebondir après leur revers surprise contre Podgorica. Rodrigue Beaubois (8 points) et Adrien Moerman (5 points) ont été bien gardés par la garde royale madrilène. Vassilije Micic (21 points) a encore été le plus solide pour l’Efes.\\n\\n\\nLe Fener cadenasse Olympiakos\\n\\nA domicile contre l’Olympiakos, Fenerbahçe n’a pas vraiment eu à forcer pour s’imposer dans une victoire cavalier seul (90-75). Le Fener a mené de bout en bout en creusant l’écart en 2e quart au cours d’un 17-4 qui a mis l’Oly KO. Ancien gros scoreur avec Valence, Erick Green (17 points) a retrouvé de sa splendeur d’antan avec son meilleur match de la saison.\\n\\nAli Muhammed (13 points, 10 passes) et Nikola Kalinic (16 points) l’ont parfaitement épaulé pour tenir les Reds à distance tout du long. Coach Obradovic a salué en post-game l’agressivité défensive de ses ouailles qui ont laissé Georgios Printezis capot, Nigel Williams-Goss à 3 points et Nikola Milutinov à 11 points... et autant de rebonds que de balles perdues (4) !\\n\\n\\nMilan rebondit contre Kaunas\\n\\nSur une série de trois revers de rang, Milan a profité de la venue du Zalgiris Kaunas pour retrouver le chemin de la victoire (80-70). Mike James (20 points, 8 passes) et Vladimir Micov (17 points, 6 rebonds) ont encore été fidèles au poste, bien assistés cette fois de Dairis Bertans (17 points) et un ancien de Kaunas, Mindaugas Kuzminskas (14 points).\\n\\nKaunas a lâché dans le sprint final, malgré la belle copie rendue par Nate Wolters (17 points, 5 rebonds, 5 passes). C’est une défaite qui fait aussi mal à Kaunas qu’elle fait du bien à Milan au classement. Dans le dur, les Lombards vont désormais devoir enchaîner pour rester dans la course aux playoffs.\\n\\n\\nQuatre à la suite pour le Maccabi\\n\\nEn galère derrière l’arc (4/22), le Panathinaikos est bien revenu à -4 en fin de match après un panier à l’arracher de Nick Calathes malgré deux défenseurs. Mais c’est bien le Maccabi Tel Aviv qui s’impose pour une 4e victoire de rang, plus longue série de victoire du club depuis 2015 (84-75) !\\n\\nAngelo Caloiaro (20 points, 11 rebonds) a été le héros de la partie pour le Club Nation, bien aidé par Alex Tyus (8 points, 4 rebonds, 2 contres) toujours là pour faire le sale boulot. Nick Calathes engrange un nouveau double double avec 14 points et 10 passes mais le Pana perd à l’extérieur pour la 7e rencontre de suite...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/10 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 contre en 25 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 8 points (2/3 à trois points), 2 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 5 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nCelle-ci n’est pas du tout conventionnelle, en fait à l’image de son auteur, Facundo Campazzo. Sous la pression du chrono, et d’une prise à deux, il perd l’équilibre mais parvient tout de même à glisser une passe aveugle à une main en tombant à la renverse ! Un trait de génie !\\n\\n\\n\\n\\nWhat... 👀@facucampazzo 🎩#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/KmZw540SJr\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 24, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 20e journée\\n\\nJeudi 24 janvier :\\nFenerbahçe – Olympiakos (90-75)\\nMaccabi Tel Aviv – Panathinaikos (84-75)\\nMilan – Zalgiris Kaunas (80-70)\\nReal Madrid – Efes Istanbul (92-84)\\n\\nVendredi 25 janvier :\\nKhimki Moscou – Bayern Munich (18h)\\nDarussafaka – Vitoria (18h15)\\nPodgorica – Gran Canaria (19h)\\nBarcelone – CSKA Moscou (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 21e journée\\n\\nJeudi 31 janvier :\\nKhimki Moscou – Zalgiris Kaunas (18h)\\nOlympiakos – Barcelone (20h)\\nBayern Munich – Fenerbahçe (20h30)\\nVitoria – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\n\\nVendredi 1er février :\\nCSKA Moscou – Podgorica (18h)\\nDarussafaka – Real Madrid (18h15)\\nPanathinaikos – Efes Istanbul (20h30)\\nGran Canaria – Milan (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Real se remet à l’endroit\\n\\nBien que finissant à 3/12 à trois points, Sergio Llull n’a pas tremblé dans le money time. Il a rentré deux tirs à trois points au cours d’un 9-0 fatal à l’Efes Istanbul (92-84). Llull termine avec une ligne statistique de gala : 19 poi\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Pau Gasol veut jouer la Coupe du monde !" }, {"role": "assistant", "content":"Vous pensiez être débarrassé de lui ? Alors que Tony Parker a pris sa retraite internationale après les Jeux Olympiques de Rio, Pau Gasol de deux ans son aîné -il est né le 6 juillet 1980- n’a pas du tout l’intention de rendre son maillot sang et or.\\n\\n« Si je suis en bonne santé, mon intention est de jouer à la Coupe du Monde », a t-il déclaré à la presse espagnole. « J’aimerais rejoindre mes coéquipiers et participer à cette grande Coupe du Monde, me battre pour tenter de se qualifier une fois de plus pour les Jeux Olympiques. C’est mon souhait, mais aujourd’hui, la santé est pour moi ce qui compte le plus et j’aurai 39 ans l’été prochain. Ce sont les faits, mais mon voeu, mon désir, est de rejoindre mon équipe nationale pour faire de grandes choses pour mon pays. »\\n\\nIl faut noter tout de même que le vétéran espagnol réalise actuellement avec les Spurs ses statistiques en NBA les plus faibles de sa carrière, et de loin: 4,4 points, 5,2 rebonds en 14′ de moyenne après 18 matches.\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Finances: Ce que le titre de champion de France a changé pour Le Mans Sarthe Basket" }, {"role": "assistant", "content":"La semaine dernière, lors d’une conférence de presse organisée à la Ligue Nationale de Basket, Christophe Le Bouille, le président du Mans Sarthe Basket, a effectué une intervention pour expliquer les conséquences d’un titre de champion de France sur son club.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Vous savez que les clubs français, et particulièrement le MSB, ont la réputation d’être prudents sur leurs prévisionnels. Ce qui ne veut pas dire que nous ne sommes pas ambitieux. Sur la saison du titre, pour arrondir, nous étions à 5,5M€ et nous sommes passés à 6,3M€ avec des recettes supplémentaires générées par rapport au prévisionnel : les playoffs -13 matches de playoffs, ça génère quelques charges mais aussi beaucoup de recettes supplémentaires avec des salles pleines, avec des partenaires qui évidemment ne vont pas vous lâcher à ce moment-là et qui trouvent des budgets supplémentaires qui n’existaient pas trois mois avant. Ça a été une aventure assez incroyable et ça explique en grande partie les 800 000 euros supplémentaires générés.\\n\\nSi on compare avec le budget prévisionnel cette année, il y a une hausse de près de 1,1M€ vis-à-vis de celui de l’année dernière. Il n’y a pas beaucoup d’écart avec le réalisé de l’année dernière. Je reviens sur la prudence de base. Je n’ai pas inscris dans mon prévisionnel une finale de playoffs ! J’espère qu’on y retournera... J’ai inscris une participation aux playoffs, tout simplement.\\n\\nSur les recettes prévisionnels, il est important de distinguer ce qui est recettes exceptionnelles vis à vis des recettes naturelles que l’on doit être capable de générer chaque saison obtenues par le travail fait au club. Dans les recettes exceptionnelles, il y a l’apport de la ligue pour le titre de champion qui n’est pas neutre, loin de là. Et puis le transfert de Youssoupha Fall (NDLR : à Vitoria). Ça génère quasiment 700 000 euros de recettes supplémentaires que je considère comme exceptionnelles car je ne suis pas sûr d’être de nouveau champion et de recevoir encore un gros chèque de la ligue l’année prochaine et je ne suis pas sûr d’avoir un nouveau joueur transférable dans les mêmes eaux.\\n\\n« Maintenant vous allez être très riche et un joueur qui en valait 100 en vaut maintenant 150 ou un joueur qui est présenté à 100 à un autre club vous est présenté à 150 »\\n\\nDu côté des nouvelles charges, il y a de la masse salariale supplémentaire. On n’est pas actuellement dans une bonne situation sportive ni en championnat ni en BCL (NDLR: depuis l’intervention, le MSB a battu samedi Djon mais ne s’est pas qualifié pour autant à la Leaders Cup et mardi Novgorod et s’est positionné à la quatrième place de son groupe de BCL à deux journées de la fin reprenant ainsi son destin en mains) mais l’idée c’est d’être concurrentiel sur toutes les compétitions et c’est pour ça qu’il y a eu un effort sur la masse salariale sportive, joueurs et entraîneurs. Il y a des frais supplémentaires liés à la Coupe d’Europe, évidemment, qui, je le précise, est neutre économiquement. La BCL ne coûte pas d’argent au club et elle est même censé en rapporter si on est un peu plus performant que ce que l’on fait aujourd’hui. Ce qui est important c’est qu’il y a des investissements qui étaient programmés avant le titre de champion. Et en dehors de la masse salariale joueurs, il y a la structure. Le projet de développement qui a été mis en place il y a un an, au niveau de la structure administrative et commerciale, vise à générer de nouvelles recettes.\\n\\nOn m’a demandé d’évoquer les pièges à éviter. Quand vous êtes champion, il y a en premier la surenchère des joueurs de la part des agents qui considèrent que maintenant vous allez être très riche et un joueur qui en valait 100 en vaut maintenant 150 ou un joueur qui est présenté à 100 à un autre club vous est présenté à 150. Il faut être très vigilant là-dessus et avoir une structure capable de résister à ça. Il ne faut pas faire n’importe quoi et je crois que l’on n’est pas connu pour ça. Mais c’est un vrai problème au niveau du recrutement. Ce n’est pas valable que pour le champion. Je pense que Villeurbanne et Strasbourg ont les mêmes problématiques. Il y a aussi une pression du public, même si elle est sympa. Le public dans le sens large : vos spectateurs, vos partenaires, les médias et les élus locaux. Il faut être capable de résister à ça.\\n\\nSuite à ce titre de champion, le maître mot c’est la fidélisation. Je le dis souvent, pour le MSB, ce qui m’intéresse c’est la pérennité du club. Ce qui n’empêche pas l’ambition. Nous sommes le club qui a disputé le plus de finale (Leaders Cup, Coupe de France, championnat de France) sur les quinze dernières saisons (15). Comment on essaye de fidéliser plus encore nos spectateurs et nos partenaires ? D’abord, on est raisonnable en terme de tarifs. C’est un choix que l’on a fait au niveau local. Ce n’est pas parce qu’on est championnat et que l’on va faire sept matchs supplémentaires que l’on va matraquer les abonnés. On a besoin d’eux même dans les moments difficiles, ce qui était le cas l’année précédente. Je vous rappelle que l’on sortait d’une année difficile sportivement et les gens nous avaient soutenu quand même (NDLR: pas de playoffs depuis 20 ans). C’est un juste retour. C’est un grand mot, mais on essaye de développer l’expérience client avec des fans zone et une relation digitale beaucoup plus forte qui va avec le projet global de la ligue sur le numérique.\\n\\nSur les partenaires privés, il y a une chose : on est au Mans, c’est une ville formidable, un département fantastique, mais ça manque un peu de sièges sociaux. On n’est pas une capitale régionale. On n’est pas à Nantes ni même à Angers. On a beaucoup d’entreprises qui se portent bien en Sarthe et l’idée c’est qu’elle reste avec nous. Il y a de la concurrence au Mans. Il y a « les 24 Heures » et ce n’est pas qu’un un évènement dans l’année, c’est au moins le même budget que pour le MSB pour assister aux « 24 Heures » sur une semaine. C’est une autre échelle. Il y a le foot qui va sûrement revenir (NDLR : Relégué en Division d’Honneur en 2013 suite à une liquidation judiciaire, Le Mans FC est actuellement leader en Nationale 1). L’idée c’est donc de fidéliser au maximum nos partenaires. Le titre m’a clairement rendu plus à l’aise pour aller négocier auprès des partenaires principaux un petit bonus. Ça ce sont les entreprises qui ont les moyens et qui ont apporté ce bonus non pas par mécénat mais je crois pour récompenser le travail effectué par le club et la relation que l’on a su construire avec eux. Mais surtout, là où je me suis servi -et je vais m’en servir encore- de ce titre, c’est sur la négociation de contrats pluriannuels. On en n’avait pas assez et on me l’a fait assez remarquer, à juste titre. Même si je ferai remarquer que mes trois partenaires maillot sont les mêmes depuis plus de quinze ans. Mais ils font à chaque fois des contrats annuels. Au moins là j’ai pu obtenir des contrats sur trois ans pour la plupart et pas seulement avec les partenaires maillot. Sur les collectivités, c’est stable. On est un des rares clubs à être encore en SEM (Société d’Economie Mixte) en Jeep Elite. Il n’y a pas eu de véritables effets avec ce titre. Je ne suis pas allé négocier une augmentation des budgets. C’est plutôt tendu et l’idée est déjà de conserver la même chose, que l’on soit champion, que l’on soit en coupe d’Europe ou pas ou que l’on ne fasse pas de playoffs. Ça a simplement servi à renforcer la confiance qu’il y a entre les actionnaires et le directoire.\\n\\n« La salle principale a un nouveau parquet cette année et l’éclairage va être totalement revu l’été prochain avec le noir salle »\\n\\nLe projet de développement n’a pas évolué avec le titre de champion mais vous avez un titre de champion parce que vous avez un projet. Ce titre est venu crédibiliser le travail fait par tout un club depuis des années. Il y a des aléas sportifs qui nous ont souri l’année dernière, un peu moins cette année et ça nous sourira peut-être mieux en fin d’année ou l’année prochaine mais ce qui est important c’est que le titre permet de poursuivre le projet qui a été initié il y a un an et demi. Il y avait deux grandes étapes. L’année dernière c’était surtout le renforcement du ticketing et de notre présence sur le digital. Il y a eu des résultats significatifs sur notre présence sur les réseaux sociaux en peu de temps. La deuxième étape, c’est la modernisation de nos outils de travail. Pour moi, il y en a trois. C’est le siège social. Cela passe par une extension financée totalement par le club. On commençait à être à l’étroit. Le siège actuel a été construit en 2005 et il manquait un peu d’espaces de vie et de bureau. On a pu installer une boutique. On s’est fait aussi plaisir avec une vitrine à trophées. On en a quelques-uns maintenant et c’est important de les exposer aux abonnés, aux supporters, aux partenaires qui viennent au siège. Et surtout l’idée c’était de créer un espace pour être capable d’accueillir des séminaires et de générer de nouvelles recettes hors match. On n’a rien inventé, on est juste en retard là-dessus comme beaucoup de clubs en Jeep Elite. C’est développer ces recettes hors match soit par des team bulding soit des plans de formation professionnelle. C’est très basique : vous venez avec vos commerciaux pour être immergé au sein du MSB, parler de la motivation, etc .Sauf que nous on couple ça avec un entraînement et une visite de la salle. Il y a un autre aspect, une formation sur du management pur dispensée par un professionnel. C’est plutôt réservée aux cadres et si c’est demandé je fais une intervention ou le coach. Le deuxième espace de vie, c’est celui dont se servent les joueurs au quotidien : les vestiaires, salle de soin, de musculation. On était un peu à l’étroit à Antarès. Je rappelle que l’on n’est pas chez nous et que l’on ne fait pas ce que l’on veut. On s’est battu pour ça et je crois que l’on a maintenant un espace digne d’un club champion avec des passerelles entre la salle d’entraînement, la salle de musculation, la salle de soin et le vestiaire. Et en ce qui concerne l’outil de travail qui intéresse le plus de monde, la salle principale, elle a un nouveau parquet cette année et l’éclairage va être totalement revu l’été prochain avec le noir salle. Ça fait des années qu’on le réclame, on a fini par l’avoir. Je le rappelle, tout ça a été décidé avant le titre, ce n’est pas une conséquence.\\n\\nEn conclusion, on continue la structuration du club sans prendre de risques inconsidérés, en visant la pérennité du club.\\n\\n[armelse]\\n\\n« Vous savez que les clubs français, et particulièrement le MSB, ont la réputation d’être prudents sur leurs prévisionnels. Ce qui ne veut pas dire que nous ne sommes pas ambitieux. Sur la saison du titre, pour arrondir nous étions à 5,5M€ et nous sommes passés à 6,3M€ avec des recettes supplémentaires générées par rapport au prévisionnel : les playoffs -13 matches de playoffs, ça génère quelques charges mais aussi beaucoup de recettes supplémentaires avec des salles pleines, avec des partenaires qui évidemment ne vont pas vous lâcher à ce moment-là et qui trouvent des budgets supplémentaires qui n’existaient pas trois mois avant. Ça a été une aventure assez incroyable et ça explique en grande partie les 800 000 euros supplémentaires générés.\\n\\nSi on compare avec le budget prévisionnel cette année, il y a une hausse de près de 1,1M€ vis-à-vis de celui de l’année dernière. Il n’y a pas beaucoup d’écart avec le réalisé de l’année dernière. Je reviens sur la prudence de base. Je n’ai pas inscris dans mon prévisionnel une finale de playoffs ! J’espère qu’on y retournera... J’ai inscris une participation aux playoffs, tout simplement.\\n\\nSur les recettes prévisionnels, il est important de distinguer ce qui est recettes exceptionnelles vi à vis des recettes naturelles que l’on doit être capable de générer chaque saison obtenues par le travail fait au club. Dans les recettes exceptionnelles, il y a l’apport de la ligue pour le titre de champion qui n’est pas neutre, loin de là. Et puis le transfert de Youssoupha Fall (NDLR : à Vitoria). Ça génère quasiment 700 000 euros de recettes supplémentaires que je considère comme exceptionnelles car je ne suis pas sûr d’être de nouveau champion et de recevoir encore un gros chèque de la ligue l’année prochaine et je ne suis pas sûr d’avoir un nouveau joueur transférable dans les mêmes eaux.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Petr Cornelie (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: L’ASVEL sauve l’honneur des clubs français" }, {"role": "assistant", "content":"On a longtemps crû que l’ASVEL serait le quatrième club français à mordre la poussière cette semaine en Eurocup après Lattes-Montpellier, Nantes-Rezé et Tarbes mais les Lionnes ont rugi dans le dernier quart (30-16) pour s’imposer finalement 90-82. Huit points, ça ne sera pas de trop pour se qualifier la semaine prochaine en Pologne face à cette coriace équipe de Gorzow.\\n\\nL’ASVEL doit une fière chandelle à son internationale canadienne Michelle Plouffe auteure de 31 points, 8 rebonds, 7 passes et 2 interceptions ! La Brésilienne Clarissa Dos Santos (16 points et 13 rebonds) et Ingrid Tanqueray (18 points à 6/9 à trois-points) ont également apporté une solide contribution.\\n\\n« Nous avons mal démarré la rencontre. On a été dominé au rebond et sur l’adresse. Nous avons dû changer de défense pour trouver notre rythme, faire des stops. L’adresse à longue distance nous a permis de bien terminer. Mais 82 points encaissés, c’est beaucoup trop et nous allons devoir corriger ça », a déclaré le coach Valéry Demory en conférence d’après match.\\n\\nPhoto: Michelle Plouffe (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Villeneuve d’Ascq a fait un pas décisif vers un reversement en Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"En s’imposant, 75-81, à Schio en Italie, Villeneuve d’Ascq a fait une bonne affaire car les Nordistes consolident ainsi leur sixième place dans le Groupe A d’Euroleague qui permet d’être ensuite reversé en Eurocup. C’est d’autant plus méritoire que deux de ses intérieures lui ont fait défaut, Mame-Marie Sy-Diop (ischios) qui était forfait et Christelle Diallo (genou) qui n’a joué que 8 minutes.\\n\\nAvec 16 points, 6 rebonds, 5 passes et 3 interceptions, Magali Mendy a été une fois de plus la joueuse la plus complète dans le camp villeneuvois (19). En face, Sandrine Gruda a été limitée à 2 points et 4 rebonds et les efforts de Jantel Lavender (26 points et 12 rebonds) n’ont pas été suffisants.\\n\\nA l’inverse, Charleville s’est incliné, 66-74, en Turquie face à Hatay et est positionné à la septième place du groupe B.\\n\\nPhoto: Angela Bjorklund (Villeneuve, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U20 féminine: 20 joueuses appelées en stage" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Jérôme Fournier a appelé 20 joueuses pour un stage au Temple-sur-Lot du 25 au 28 février, ceci dans le cadre de la préparation de l’équipe de France U20 féminine au Championnat d’Europe qui aura lieu du 3 au 11 août en République Tchèque.\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de N\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nARMANT\\nMorgane\\n22/09/1999\\n1.90\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nBROCHANT\\nNoémie\\n25/10/1999\\n1.80\\nToulouse Métropole Basket\\n\\n\\nDE FREITAS\\nMargot\\n02/04/2000\\n1.88\\nToulouse Métropole Basket\\n\\n\\nDREANO\\nAdèle\\n30/10/1999\\n\\n\\n\\n1.83\\n\\n\\n\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nDROGUET\\nCamille\\n15/06/1999\\n\\n\\n\\n1.78\\n\\n\\n\\nLyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nFOFANA\\nNabala\\n20/01/2000\\n1.92\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\nFRANCHELIN\\nColine\\n18/08/1999\\n\\n\\n\\n1.68\\n\\n\\n\\nLyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nHUET\\nMathilde\\n29/03/1999\\n\\n\\n\\n1.88\\n\\n\\n\\nBC Saint Paul Rezé\\n\\n\\nJAKOVLJEVIC\\nHelena\\n05/10/2000\\n\\n\\n\\n1.77\\n\\n\\n\\nESB Villeneuve d’Ascq\\n\\n\\nJEANNEAUX\\nRomane\\n16/05/2000\\n\\n\\n\\n1.74\\n\\n\\n\\nCharnay Basket Bourgogne Sud\\n\\n\\nMACQUET\\nSixtine\\n05/12/2000\\n\\n\\n\\n1.96\\n\\n\\n\\nCharnay Basket Bourgogne Sud\\n\\n\\nMANALA\\nSerena\\n31/10/2000\\n\\n\\n\\n2.02\\n\\n\\n\\nBasket Lattes Montpellier\\n\\n\\nMARTINET\\nMaelys\\n03/10/1999\\n\\n\\n\\n1.87\\n\\n\\n\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nMEHADJI\\nSirine\\n11/08/2000\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\nBasket Landes\\n\\n\\nMONPIERRE\\nOcéane\\n31/10/2000\\n\\n\\n\\n1.70\\n\\n\\n\\nRoche Vendée BC\\n\\n\\nNIANG\\nHaby\\n26/04/2000\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\nLyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nPOUYE\\nTima\\n07/04/1999\\n\\n\\n\\n1.76\\n\\n\\n\\nTarbes Gespe Bigorre\\n\\n\\nSALGUES\\nKenza\\n18/05/2000\\n\\n\\n\\n1.75\\n\\n\\n\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nSANOGO\\nFanta\\n26/04/1999\\n\\n\\n\\n1.81\\n\\n\\n\\nCôte d’Opale Basket Calais\\n\\n\\nWOUTS\\nPaloma\\n08/02/2000\\n\\n\\n\\n1.79\\n\\n\\n\\nCôte d’Opale Basket Calais\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Tima Pouye (Tarbes, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Trevor Thompson (Antibes) prêté à Anvers" }, {"role": "assistant", "content":"Signé à l’été 2018 pour deux ans par les Sharks d’Antibes, le pivot américain Trevor Thompson (2,13m, 24 ans) va finir sa saison loin de la Côte d’Azur.\\n\\nEn effet, Chris Otule ayant été engagé jusqu’à la fin de la saison, le club antibois avait un étranger de trop dans son effectif, et plutôt que de couper le joueur, la lanterne rouge de JeepElite a décidé de le prêter jusqu’à la fin de la saison à Anvers, actuel cinquième du championnat belge et participant à la Basketball Champions League.\\n\\nCette saison, l’ancien d’Ohio State tournait à 9,5 points et 5,3 rebonds en JeepElite." }, {"role": "user", "content":"CSKA Moscou : le coach Dimitris Itoudis sur la sellette ?" }, {"role": "assistant", "content":"Pour le journal catalan Sport, la place du coach du CSKA Moscou, le Grec Dimitris Itoudis, 48 ans, se joue sur le match contre le FC Barcelone ce vendredi en EuroLeague.\\n\\nSelon l’article, la direction du club ne serait pas satisfaite des récents résultats de l’équipe moscovite, qui à perdu cinq de ses onze derniers matchs en EuroLeague et qui a vu son invincibilité en VTB League rompue ce week-end par le Zénith Saint-Petersburg (93-87). Actuellement, le club de Nando de Colo est troisième en EuroLeague avec 14 victoires pour 5 défaites.\\n\\nSi Itoudis venait à se faire licencier, ce serait le huitième coach viré depuis le début de la saison en EuroLeague." }, {"role": "user", "content":"Tirage au sort de la Leaders Cup: Pau-Levallois, ASVEL-Bourg, Nanterre-Limoges et Dijon-Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"C’est ce midi au Lucky Nugget Saloon de Disney Paris qu’a été procédé au tirage au sort des quarts-de-finale de la Leaders Cup par l’humoriste Sami Ameziane, dit le comte de Bouderbala, qui a été lancé dans le basket de haut niveau à Bondy par... Savo Vucevic, l’actuel coach de Bourg.\\n\\n\\nLaurent Vila, le coach de Pau, s’est dit ravi de retrouver Freddy Fauthoux. Et celui-ci de répondre que ce match permettra à Levallois de prendre sa revanche vis à vis d’il y a deux ans.\\n\\n« On n’a pas de chance au tirage au sort, j’espère qu’on en aura en ne jouant pas comme l’année dernière à 13h », a commenté Savo Vucevic. « Ca ne sera pas facile, typiquement un match piège », a prévenu Yoann Sangaré, le GM de l’ASVEL qui a ajouté que l’objectif du club est de gagner cette Leaders Club.\\n\\n« C’est une équipe en pleine forme... », a souligné le GM de Nanterre, Frédéric Donnadieu à propos de Limoges. La leaders Cup, c’est LE trophée qui manque au club. « On est déjà content d’être là. On jouera le premier match pour le gagner et après on verra », a lancé François Peronnet, le coach limougeaud rappelant que le CSP a devancé Gravelines d’une demi-poitrine.\\n\\n« Content ce n’est pas le mot que j’emploierai. La dernière fois on a pris 20 points contre Dijon », a rappelé Jacques Alingue qui représentait Strasbourg. « 25! », a précisé le coach dijonnais Laurent Legname, qui a ajouté: « Strasbourg, c’est l’équipe que je ne voulais pas jouer », craignant que la SIG veuille prendre sa revanche à Disneyland.\\n\\n« Nous sommes en avance sur les réservations », a informé Alain Béral, le président de la LNB.\\n\\n\\n\\n\\nVendredi 15 février\\n\\n\\n\\n13h00\\nQuart de finale\\nPau-Levallois\\n\\n\\n\\n\\n15h30\\nQuart de finale\\nVilleurbanne-Bourg\\n\\n\\n\\n\\n18h00\\nQuart de finale\\nDijon-Strasbourg\\n\\n\\n\\n\\n20h30\\nQuart de finale\\nNanterre-Limoges\\n\\n\\n\\nSamedi 16 février\\n\\n\\n\\n\\n\\n18h\\nDemi-finale\\n\\n\\n\\n\\n\\n20h30\\nDemi-finale\\n\\n\\n\\n\\nDimanche 17 février\\n\\n\\n\\n\\n\\n14h30\\nFinale Pro B\\nRoanne-Rouen\\n\\n\\n\\n\\n17h\\nFinale\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhotos: LNB" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: De belles affiches en 8e de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Les 8e de finale de la Coupe de France vont proposer quelques belles affiches: le derby bourguignon, Dijon Chalon, Monaco-Limoges et Strasbourg-ASVEL.\\n\\n:" }, {"role": "user", "content":"VTB League : Nando de Colo au all-star game" }, {"role": "assistant", "content":"A la suite d’un premier vote de fans n’ayant conservé que 66 joueurs, les médias ont pioché parmi ses derniers pour déterminer qui participera au All-Star game de la VTB League, qui se tiendra à Moscou le 17 février prochain. Comme pour le All-Star Game français, cette rencontre de gala opposera les meilleurs joueurs russes aux meilleurs joueurs étrangers. Pour des raisons de représentation, aucune des deux équipes all-stars ne comporte plus de deux joueurs de la même équipe.\\n\\nAll-Stars russes : Vitaly Fridzon (Lokomotiv Kuban), Dmitry Kulagin (Lokomotiv Kuban), Ivan Strebkov (Nizhny Novgorod), Evgeny Voronov (Zenith Saint-Petersbourg), Joel Bolomboy (CSKA Moscou), Andrey Vorontsevich (CSKA Moscou), Artem Klimenko (UNICS Kazan), Artem Zabelin (Avtodor), Alexey Shved (Khimki Moscou) et Sergey Karasev (Zenith Saint-Petersbourg).\\n\\nAll-Stars étrangers: Sergio Rodriguez (CSKA Moscou), Nando De Colo (CSKA Moscou), Jamar Smith (UNICS Kazan), Kendrick Perry (Nizhny Novgorod), Anthony Clemmons (Astana), Perrin Buford (Avtodor), Jalen Reynolds (Zenith Saint-Petersburg), Maurice Ndour (UNICS Kazan), Jordan Mickey (Khimki Moscou) et Anthony Gill (Khimki Moscou).\\n\\nDeux autres joueurs par équipe vont être ajoutés par les coachs qui décideront par la suite des différents cinq de départ." }, {"role": "user", "content":"Angelo Tsagarakis, l’amour du 3×3 et de son Equipe de France" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques jours, Angelo Tsagarakis (1,90m, 34 ans) a annoncé mettre un terme à sa carrière internationale. Depuis 2012, l’arrière franco-grec, redouté pour son shoot extérieur, portait fièrement le maillot de l’Equipe de France de 3×3. Après six ans de bons et loyaux services, il est temps de tirer le bilan de cette expérience et de ce qui l’attend par la suite alors qu’il est toujours « au top de sa forme » dans sa carrière pro en 5×5.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nUne histoire d’amour inattendue\\n\\n« Quand j’ai découvert la discipline, je suis tout de suite tombé sous le charme« . Professionnel depuis 2008, c’est quatre ans plus tard, en 2012, que « Le Tsar » a fait connaissance avec cette nouvelle discipline grâce à Jamil Rouissi, connu pour son rôle de speaker du All Star Game LNB ou des salles de Nanterre et Levallois, et Richard Billant, son ancien entraîneur en sélection nationale. « C’est en 2012 que tout a vraiment commencé. Jamil Rouissi m’a appelé parce qu’il travaillait en étroite collaboration avec Richard Billant pour trouver les profils intéressants sur ce dossier-là. Ils ont vite pensé à moi. J’avais déjà collaboré avec Richard Billant en 2003 sur la campagne de l’Equipe de France U20. On avait très bien accroché à cette époque ».\\n\\nEn 2012, le basket 3×3 est loin d’être aussi démocratisé et populaire qu’il l’est actuellement puisque c’est en 2011 que la FIBA a décidé de s’y lancer en mettant en place tout un système de compétitions internationales à travers, dans un premier temps, les équipes jeunes. « A l’époque, le 3×3 en France n’existait pas au niveau fédéral. Il n’y avait pas d’équipe nationale, il n’y avait pas de structures. La FIBA a commencé à motiver les fédérations et à leur demander de se plonger vraiment dans cette discipline-là. J’avais vu que la FIBA communiquait sur les championnats du monde U18. Ils avaient commencé par les sections jeunes donc cette histoire de 3×3 m’intriguait un petit peu, mais je n’avais pas plus de connaissances que ça sur les règles, sur le développement de ce sport ou sur les compétitions disponibles ou pas. Ça m’était totalement inconnu donc à aucun moment c’était dans un coin de ma tête. La FIBA avait communiqué qu’elle avait clairement l’intention de faire en sorte que cette discipline alternative devienne un sport olympique. Quand il a été question pour moi de porter le maillot de l’Equipe de France que j’avais déjà porté en jeunes, il n’y a même pas eu besoin de discuter (sourire). C’était une évidence. C’était un grand honneur pour moi d’avoir la possibilité de porter de nouveau le maillot de l’Equipe de France. Ce fût une belle rencontre inattendue qui a donné lieu à une belle histoire d’amour ».\\n\\n« Je suis en train de monter des projets parallèlement au basket qui sont très ambitieux, qui demandent beaucoup de temps et beaucoup d’énergie. Par exemple j’ai mon camp de basket en Californie pour les jeunes francophones qui aura lieu en juillet. A ce moment-là, le calendrier 3×3 n’est jamais totalement établi et définitif, mais généralement à cette période-là il y a soit le championnat d’Europe, à la toute fin juin il y a toujours le qualifyer de Poitiers pour le championnat d’Europe, le championnat du Monde. »\\n\\nUn jeu fait pour lui\\n\\nSniper attitré de toutes les équipes par lesquelles il est passé depuis dix ans avec des pourcentages navigants aux alentours de 38% derrière la ligne à trois points – une pointe à 44% en 2012/13 avec Châlons-Reims -, le double champion de France Pro B (2009, 2014) aime évidemment le tir et les espaces créés par le jeu. L’environnement 3×3 lui offre tout ce qu’il apprécie, lui permettant de mettre encore un peu plus en valeur son bras derrière l’arc et de faire jouer sa créativité. « Le 3×3 permet de vraiment laisser la place à sa créativité et ça te permet en tant que joueur de pouvoir utiliser toute la panoplie de fondamentaux qui fait partie de notre sport. C’est-à-dire que déjà le shoot est vraiment mis en valeur parce qu’il prend une dimension supplémentaire car en 5×5 tu as le ratio deux points-trois points alors qu’au 3×3, le shoot derrière l’arc vaut double c’est-à-dire deux points contre un point pour un panier à la l’intérieur. La valeur du shoot à longue distance est encore plus prononcée. A partir de ce principe-là, cette possibilité d’avoir plus d’espace, de jouer les un contre un, cette créativité, cette utilisation de la panoplie complète du basketteur qui est vraiment attrayante à mes yeux et on repart dans une perspective de playground où c’est le duel autant en attaque qu’en défense. » Si Richard Billant a fait appel à lui pour lancer la première équipe de France officielle de 3×3, les équipes ne disposent pas de coach pendant le match. Les joueurs sont en autogestion, ils gèrent eux-mêmes les changements et les temps morts. « Il y a aussi cette autonomie parce que, même quand dans les compétitions internationales on a un staff technique qui nous encadrait, lors des matchs on est vraiment en autonomie totale. C’est quand même quelque chose de très sympa à ce niveau-là aussi. »\\n\\nL’ancien joueur du Paris-Levallois a pris tellement de plaisir à jouer au 3×3 qu’il envisage même d’y revenir un jour ou l’autre. « J’imagine bien que le 3×3 pourrait être une alternative une fois ma carrière dans le 5×5 terminée« .\\n\\nL’apothéose lors du championnat du Monde 2017 à Nantes\\n\\nIl le clamait haut et fort avant la compétition, c’était la médaille ou rien lors de la coupe du Monde à domicile en 2017. « C’était en plus l’année où le 3×3 est devenu olympique. La médaille était notre seule ambition donc je suis ravi qu’on ait pu réussir ça. C’était une expérience humaine extraordinaire. Déjà, le soutient populaire était super et puis de pouvoir représenter son pays sur son territoire, c’est toujours une émotion particulière. Le public a bien répondu présent, l’événement était magnifique. Il y avait tout un tas d’activité, c’était au moment de l’événement The Bridge qui fêtait les 100 ans de l’amitié franco-américaine. C’était vraiment un très, très bel événement, l’emplacement... Fantastique... On avait vraiment été en immersion totale, séparés de tout, éloignés de tout pendant un mois et demi. On avait peut-être eu que trois ou quatre jours de repos, on avait enchaîné préparation à l’étranger, préparation à Voiron, compétition, qualifyer européen, championnat d’Europe. On avait tout fait en un mois et demi. Ça avait été très éreintant physiquement et mentalement. Sachant que tu sors d’une saison 5×5 où tu fais dix mois et demi, voire onze mois de compétition et après tu passes tout l’été en Equipe de France et tu dois rester au taquet physiquement et psychologiquement. Il y a énormément de pression et d’enjeu. D’avoir pu ramener cette médaille, qui est la deuxième médaille du palmarès français, c’était génial. A titre personnel, d’avoir pu être impliqué dans ces deux médailles-là en 2012 et en 2017, c’était un peu comme boucler la boucle. C’est pour ça aussi que je me suis dit que le timing était bon pour arrêter. »\\n\\nSix ans de bons et loyaux services\\n\\nAprès six ans d’exercice, celui qui évolue en Grèce depuis 2016 peut être fier de son parcours en Bleu. Médaillé de bronze au championnat du Monde, double vainqueur de l’Open de France, vainqueur du concours de tirs à trois points du championnat du Monde et d’Europe ou encore joueur français numéro un en 2015, l’ancien pensionnaire de l’université d’Oregon State tire sa révérence après une « mure réflexion » et surtout au bon moment, selon lui. « Je suis encore au top physiquement, je me sens bien, j’aurais très bien pu repartir pour une campagne avec l’Equipe de France cet été, mais je pense qu’à un moment donné, il est important de faire un travail d’introspection et de se dire « ok. Quels sont vraiment les projets qui me tiennent à cœur, quelles sont les choses qui sont en train de se mettre en place qui nécessitent toute mon énergie et mon investissement ? ». Je suis en train de monter des projets parallèlement au basket qui sont très ambitieux, qui demandent beaucoup de temps et beaucoup d’énergie. Par exemple j’ai mon camp de basket en Californie pour les jeunes francophones qui aura lieu en juillet. A ce moment-là, le calendrier 3×3 n’est jamais totalement établi et définitif, mais généralement à cette période il y a le championnat d’Europe et à la toute fin juin il y a toujours le qualifyer de Poitiers pour le championnat d’Europe... Pour vraiment réussir dans tous les projets qu’on se donne, et j’inclus le 3×3 là-dedans, il faut pouvoir être pleinement investi et complètement disponible. Il faut savoir sacrifier tout son temps et donner toute son énergie. Si tu es dispersé et que tu donnes un peu ici et un peu là, tu ne te mets pas dans les meilleures conditions pour réussir. Pendant six ans, je me suis pleinement investi et sacrifié pour le 3×3, mes étés y étaient consacrés, au détriment de mes vacances, de mon repos et même de ma famille. J’ai pu réussir de belles choses, on a écrit certaines des plus belles pages de l’histoire avec mes coéquipiers en Equipe de France donc ces sacrifices et cet investissement ont été récompensés. Mais maintenant que j’ai aussi d’autres projets ambitieux, au même titre que ceux j’avais dans le 3×3, ne pouvant pas me démultiplier, j’ai pris cette décision« .\\n\\n« C’est plus qu’une simple activité sportive »\\n\\nMalgré tous ces étés de bonheur avec les Bleus du 3×3, Angelo Tsagarakis a un regret, un seul. Ne pas avoir obtenu de médaille européenne avec la Team France. En juillet 2017, l’Equipe de France est arrivée cinquième du classement lors du championnat d’Europe d’Amsterdam. En septembre 2018, c’est une timide septième place qui attendait les Français en Roumanie.\\n\\n« On a, part deux, fois échoué en quart de finale sur des matchs qui étaient à notre portée mais qui surtout, je pense, qu’on aurait dû gagner. En 2016, on perd contre le futur champion d’Europe, la Lettonie donc au minimum tu te dis qu’on aurait pu avoir une finale ou une médaille de bronze. L’année dernière, on perd contre la Russie, une bévue totale. On maitrise le match de bout en bout et puis on perd en fin de match, on se prend un shoot à trois points avec la planche au buzzer. Ça fait mal aux fesses... C’est le seul regret que j’ai. Ramener une médaille européenne, qui est la seule chose qui manque au palmarès. Au-delà de ça, je n’ai pas envie de dire que tout a été fait, mais pas loin... »\\n\\nEvidemment, l’arrière français a pesé le pour et le contre. Il a bien sûr pensé aux Jeux Olympiques 2020 qui se profilent à Tokyo et lors desquels le basket 3×3 fera ses grands débuts aux JO. Mais c’est dans un an et demi, avant cela il y a une autre campagne à l’été 2019 et comme il aime le répéter, il faut s’investir complètement dans le 3×3 et cela demande du temps, de l’énergie et de l’argent pour rester compétitif, faire partie des meilleurs joueurs français et être éligible. « Je n’allais pas être capable de faire ça, je pense que ça aurait impacté nos ambitions et nos résultats. Je n’ai pas envie de mettre l’Equipe de France dans cette situation. »\\n\\nOn garde tout ?\\n\\nIl s’en passe des choses en six ans avec l’Equipe de France 3×3. Entre médailles, blessures, nouvelle équipe ou encore préparation à l’étranger, l’ancien joueur de Boulogne-sur-Mer n’était que l’été avec les Bleus mais il en a vécu des choses. Mais si on devait garder un moment ? « J’ai vraiment envie de mettre toutes ces années ensemble parce que j’ai vécu des moments difficiles et j’ai vécu des moments particulièrement beaux. Ma blessure à quelques semaines du premier championnat du Monde qui, en plus de ça, se déroulait à Athènes... C’est quelque chose qui m’avait énormément détruit le moral. Il y a aussi eu quelques années de vide où l’Equipe de France n’était même pas active, où il n’y avait pas de compétition et puis en 2015 on reforme le groupe mais il n’y a pas de compétition. En 2016, le groupe est officiel et on repart à la conquête des compétitions internationales. Déchirure abdominale juste avant le championnat d’Europe 2016 donc là, une fois de plus, je rate une grande compétition avec l’Equipe de France. Mais pour avoir pu aller au bout de cette aventure, de faire les championnats d’Europe, du Monde, et d’avoir vécu cette aventure humaine pendant six ans j’ai envie de tout mettre dans le même sac parce que le 3×3 c’est plus qu’une simple activité sportive. Il y a toute une dynamique humaine qui est impliquée dans cette histoire-là. Il y avait l’équipe masculine et l’équipe féminine qui étaient en communion tout le temps, on faisait toutes les compétitions ensemble, on voyageait ensemble, on était en autarcie, on s’entraînait ensemble donc tu crées des liens avec des gens que tu ne connaissais pas mais que tu apprends à connaitre et ce sont des amitiés qui, je pense, resteront sur le long terme. Ça va au-delà des résultats sportifs, c’est aussi une aventure humaine. »\\n\\nA 34 ans, Angelo Tsagarakis évolue actuellement en deuxième division grecque, dans le club de l’Ionikos Le Pirée. En pratiquement 20 minutes de jeu, il tourne à 9 points, 2,5 rebonds et 1,6 passe décisive. S’il dit au revoir au 3×3, la retraite du 5×5 ce n’est pas pour tout de suite.\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nUne histoire d’amour inattendue\\n\\n« Quand j’ai découvert la discipline, je suis tout de suite tombé sous le charme« . Professionnel depuis 2008, c’est quatre ans plus tard, en 2012, que « Le Tsar » a fait connaissance avec cette nouvelle discipline grâce à Jamil Rouissi, connu pour son rôle de speaker du All Star Game LNB ou des salles de Nanterre et Levallois, et Richard Billant, son ancien entraîneur en sélection nationale. « C’est en 2012 que tout a vraiment commencé. Jamil Rouissi m’a appelé parce qu’il travaillait en étroite collaboration avec Richard Billant pour trouver les profils intéressants sur ce dossier-là. Ils ont vite pensé à moi. J’avais déjà collaboré avec Richard Billant en 2003 sur la campagne de l’Equipe de France U20. On avait très bien accroché à cette époque ».\\n\\nEn 2012, le basket 3×3 est loin d’être aussi démocratisé et populaire qu’il l’est actuellement puisque c’est en 2011 que la FIBA a décidé de s’y lancer en mettant en place tout un système de compétitions internationales à travers, dans un premier temps, les équipes jeunes. « A l’époque, le 3×3 en France n’existait pas au niveau fédéral. Il n’y avait pas d’équipe nationale, il n’y avait pas de structures. La FIBA a commencé à motiver les fédérations et à leur demander de se plonger vraiment dans cette discipline-là. J’avais vu que la FIBA communiquait sur les championnats du monde U18. Ils avaient commencé par les sections jeunes donc cette histoire de 3×3 m’intriguait un petit peu, mais je n’avais pas plus de connaissance que ça sur les règles, sur le développement de ce sport ou sur les compétitions disponibles ou pas. Ça m’était totalement inconnu donc à aucun moment c’était dans un coin de ma tête.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : FIBA" }, {"role": "user", "content":"EuroCup – Top 16 : la French Team en quart !" }, {"role": "assistant", "content":"Ça se décante sérieusement à deux journées de la fin du Top 16. Quatre clubs sont effectivement qualifiés pour les quarts de finales : l’Asvel, Andorre, Krasnodar et Valence. A l’inverse, quatre équipes sont d’ores et déjà hors de course : Limoges, Francfort, Zagreb et Vilnius.\\n\\nDans l’entre-deux, Monaco a malheureusement dû s’incliner sur le fil contre le Partizan. Dans son malheur, la Roca Team se consolera d’un point average favorable d’un tout petit point. Paul Lacombe (23 points, 7 rebonds) a pour le coup été le meilleur Français de cette 4e journée d’EuroCup, juste devant Mathias Lessort (14 points, 8 rebonds, 3 passes) très actif.\\n\\nSachez par ailleurs qu’Antoine Diot n’est plus qu’à une interception du Top 10 All Time de la compétition.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 4ème journée\\n\\nBojan Dubljevic (24 points, 8 rebonds, 5 passes, 1 interception)\\n\\nLe pivot monténégrin a donné le ton d’entrée avec deux bombes de loin. Il finira à 4 au total, record personnel égalé. Mais il échouera par contre à 2 unités de son record aux points : 24, plus 8 rebonds et 5 passes. Avec 29 d’évaluation, Dubljevic a en tout cas dominé les débats contre l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nIl a été le parfait stabilisateur du jeu valencian dans la tempête. Avec sa vista et ses bonnes mains, il a servi Will Thomas pour deux gros dunks en ligne de fond. Et avec son adresse diabolique, il a fini par dégoûter la défense serbe avant le coup de poignard de Sam Van Rossom pour la gagne...\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nMathias Lessort (14 points, 8 rebonds, 3 passes, 2 contres)\\n\\nToujours aussi actif, Mathias Lessort a visiblement pris plaisir à retrouver le sol français à Limoges. D’autant plus dans l’antre de Beaublanc où il a brillé avec Malaga, auteur de 14 points, 8 rebonds plus 3 passes et 2 contres. Il réussit pour le coup son meilleur match en carrière en EuroCup, tout comme Paul Lacombe et ses 28 d’évaluation.\\n\\nMention spéciale à Martin Hermansson qui a non seulement été clutch avec les lancers de la gagne pour Berlin mais qui a également établi son nouveau record personnel avec 25 points dont un excellent 6/8 à trois points. L’ancien de Châlons-Reims réalise une grande saison à 14 points, 4 passes et 2 rebonds de moyenne.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n13-3\\n\\nC’est le run qui s’est avéré fatal au Zenit St Petersbourg contre Andorre. Privés d’Andrew Albicy et David Jelinek, les Andorrans ont fait front avec Dylan Ennis et David Walker à 20 points chacun. Et donc ce 13-3 dans le dernier quart, impulsé par Michele Vitali et Walker.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nLa French Team en quart !\\n\\nLa fête a été totale à l’Astroballe avec Théo Maledon qui conclut la soirée d’un gros dunk après une interception. Juste avant, il avait glissé un ballon parfait pour le dunk d’Alpha Kaba dans une victoire cavalier seul de l’Asvel contre Francfort (75-52). Avec ce 5e succès de suite, l’Asvel est déjà qualifié pour les quarts de finale !\\n\\nLe match a débuté sur un 24-7 des locaux et Francfort n’a jamais pu revenir, avec Jason Clark (13 points) seul joueur en double figure pour les Allemands. Côté villeurbannais, AJ Slaughter (15 points) mène la danse avec Maledon à 12 points et Noua à 11 points, tandis que Kaba apporte 8 points et 10 rebonds. La French Team confirme semaine après semaine ses belles promesses !\\n\\nLe CSP défait sur le fil\\n\\nLes efforts de Jerry Boutsiele, auteur d’un super match à 20 points dont un 6/6 en 1ère mi-temps, n’auront pas suffi face au savoir faire andalou. Brian Roberts (20 points) et Mathias Lessort (14 points, 8 rebonds) ont été importants, tout comme cette interception du Finlandais Sasu Salin pour transpercer le coeur des fans limougeauds.\\n\\nLeur équipe aura pourtant livré un formidable combat avec Boutsiele mais aussi Rousselle à 9 points et 5 passes et Damien Inglis à 7 points, 7 rebonds et 5 passes en sortie de banc. Devant à l’entame du dernier quart, le CSP a longtemps tenu tête à Malaga mais Roberts a fini le travail aux lancers, avec les 8 derniers points de son équipe... Limoges a encore 2 journées pour sauver l’honneur.\\n\\nMonaco aurait pu tout perdre\\n\\nBattus sur le fil, et sur son terrain, par le Partizan (71-68), Monaco se consolera avec le point average sur le club serbe. Surtout après avoir laissé filer un ultime rebond offensif heureusement sans conséquence ! Alex Renfroe (20 points, 6 rebonds, 5 passes) a été clutch pour le Partizan alors que Paul Lacombe (23 points, 7 rebonds) a longtemps gardé l’espoir pour Monaco.\\n\\nC’est dommage car la Roca Team avait fait le spectacle, notamment lors d’un énorme passage en 2e quart avec un alley oop atomique de Buckner servi par Ouattara, et un nouveau dunk de Buckner cette fois caviarisé par Robinson dans le dos ! Largués à – 7 en dernier quart, Robinson réduit la distance mais trop peu trop tard...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 23 points (8/12 aux tirs), 7 rebonds, 4 passes, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nJerry Boutsiele (Limoges) : 20 points (9/13 aux tirs), 5 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 35 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 14 points (5/6 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 2 contres, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 12 points (5/9 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 11 points (4/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 11 points (5/6 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 31 minutes\\n\\nJonathan Rousselle (Limoges) : 9 points (3/6 à trois points), 5 passes, 2 interceptions en 18 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 9 points (4/6 aux tirs), 3 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (M0naco) : 9 points (3/6 aux tirs), 2 passes en 24 minutes\\n\\nAlpha Kaba (Asvel) : 8 points (2/7 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (3/6 à trois points), 7 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 26 minutes\\n\\nDamien Inglis (Limoges) : 7 points (3/8 aux tirs), 7 rebonds, 5 passes en 23 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 7 points (2/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 28 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 4 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 1 point (0/2 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 1 passe, 1 balle perdue en 23 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 4e journée\\n\\nGROUPE E\\nMonaco – Partizan Belgrade (68-71)\\nAlba Berlin – Rytas Vilnius (87-85)\\n\\nGROUPE F\\nAsvel – Francfort (75-52)\\nKrasnodar – Ulm (88-76)\\n\\nGROUPE G\\nEtoile Rouge Belgrade – Valence (81-82)\\nLimoges – Malaga (77-78)\\n\\nGROUPE H\\nCedevita Zagreb – Kazan (83-100)\\nAndorre – Zenit St Petersbourg (86-74)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLes bilans du Top 16 :\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 4ème journée\\n\\nBojan Dubljevic (24 points, 8 rebonds, 5 passes, 1 interception)\\n\\nLe pivot monténégrin a donné le ton d’entrée avec deux bombes de loin. Il finira à 4 au total, record personnel égalé. Mais il échouera par contre à 2 unités de son record aux points : 24, plus 8 rebonds et 5 passes. Avec 29 d’évaluation, Dubljevic a en tout cas dominé les débats contre l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"BCL – Pascal Donnadieu (Nanterre) : «On a encore deux finales à jouer»" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de Fribourg en Suisse (81-92), Nanterre se donne encore une chance de qualification pour le top 16 de la Basketball Champions League. Un sentiment de devoir accompli s’est dégagé d’Hugo Invernizzi et de Pascal Donnadieu, tout deux concentrés sur la suite de la saison.\\n\\nHugo Invernizzi :\\n\\n« C’était un match compliqué pour nous, on savait qu’il n’avaient rien à perdre, donc il a fallu qu’on soit sérieux du début à la fin. Je pense qu’on a fait une première mi-temps sérieuse, on était bien agressifs, mais dans le troisième quart-temps on a eu ce manque d’agressivité qui leur a permis de revenir. Mais heureusement on a réussi a bien contrôler les choses afin de ne pas les laisser jamais revenir totalement. »\\n\\n« On a des bons shooteurs, je pense quand on se passe la balle et qu’on a bon rythme, c’est de suite plus facile pour chacun d’entre nous. On a cette capacité a accélérer le ballon et de trouver plus facilement le joueur ouvert, c’est ce qui nous permet de trouver le shoot ouvert. C’est notre style de jeu, on sait que quand on arrive à le développer c’est dur à arrêter. Je sais qu’on est tous en confiance quand il s’agit de prendre un shoot. »\\n\\nEn parlant des objectifs de cette saison :\\n\\n« Déjà on va essayer de se qualifier pour les playoffs du championnat de France, c’est très serré, ça se joue à 1-2 victoires sur les 10 équipes capables de se qualifier, donc ça va être un gros combat jusqu’à la fin de la saison. On va essayer de se qualifier pour les huitièmes en champions League, ce n’est pas du tout fait encore. On va essayer de se qualifier sur tous les tableaux et c’est assez passionnant. »\\n\\nPascal Donnadieu :\\n\\n« Déjà je considère que c’est un très belle performance car bien évidemment, on avait beaucoup observé cette équipe de Fribourg qui avait fait de très gros matchs à domicile. On les a vu à domicile contre Tenerife et Venise, des équipes plus fortes que nous, donc on a essayé de bien préparer le match, de bien les respecter, et ça a été comme je le craignais un match très compliqué. Je crois que même si Fribourg n’a que 3 victoires il faut souligner leurs parcours, qui est un parcours de qualité, ça fait honneur au basket suisse qui progresse d’année en année. Sur les deux matchs contre Fribourg, je peux vous garantir qu’on a souffert, on est tombé sur de très bons joueurs, un équipe qui joue très bien au basket, donc c’est une fierté de s’en être sorti, encore plus ce soir qu’au match aller. »\\n\\n« On va essayer de progresser comme l’a dit Hugo, je ne sais pas si en Europe il y a un championnat plus serré que le notre, entre 3 journées on peut passer de la troisième à la douzième place, c’est très âpre, très disputé, il n’y a rien de fait, on a fini la phase aller avec 11 victoires et 6 défaite, ce qui est un bon parcours. Par contre en BCL on a eu du retard à l’allumage à cause des blessés de début de saison (Senglin, Treadwell,...), on traîne comme un boulet la défaite contre Opava et on perd injustement contre le PAOK sur un coup de sifflet litigieux sur 3-points et depuis on pédale pour rattraper. On est encore en ballotage légèrement défavorable, on a encore deux finales à jouer, à domicile contre Venise et un déplacement à Holon, on sait que chaque défaite nous éliminerait, on essaye de repousser l’échéance en espérant qu’on arrive à se qualifier et rester en vie. »\\n\\nEt à propos d’une non participation à la FIBA Europe Cup en cas d’élimination en BCL:\\n\\n« Je pense, et ce n’est pas un manque de respect pour le FIBA Europe Cup qu’on ne la disputera pas. Les raisons sont assez simples : C’est une compétition qu’on a gagné deux fois, c’est une compétition qu’on connait. Nous on a fait le tour de cette compétition, on a plus a perdre qu’a gagner en jouant cette compétition avec le championnat. »\\n\\nPhoto: Hugo Invernizzi (Nanterre)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Les trois équipes françaises en échec" }, {"role": "assistant", "content":"Les trois clubs français, Lattes-Montpellier, Nantes-Rezé et Tarbes, engagés hier soir en 16e de finale de l’Eurocup féminine ont été battus.\\n\\nLa défaite la plus prometteuse est celle de Tarbes, qui n’a succombé que de trois points à Ruzemberok (65-68). En l’absence de l’intérieure américaine Cierra Bravard, Aby Gaye (18 points, 13 rebonds, 4 passes, 4 contres, 30 d’évaluation) a réalisé une performance de choix.\\n\\nL’intérieure américaine de Nantes-Rezé Briana Day a une fois de plus livré un match épatant (24 points, 18 rebonds) mais son équipe a craqué dans le deuxième quart-temps (17-39) face à Cracovie alors que dans le quatrième, parole a été donnée à la défense (8-7) pour un score final (67-87) qui ne laisse que très peu de chance pour le retour en Pologne.\\n\\nLa mauvaise surprise est venue d’Italie où la « Dream Team » de Lattes-Montpellier s’est vu infliger une gifle par Venise (64-83). La meneuse Debora Carangelo a été présente partout sur le terrain (26 points, 6 rebonds, 5 passes, 6 interceptions!) et les 18 points et 9 rebonds de l’Australo-Américaine Samantha Whitcomb n’ont pas compensé les manques de ses équipières (notamment 2/15 aux shoots pour Helena Ciak). Les Héraultaises devront se démultiplier pour renverser la table au retour!\\n\\nSuite et fin des ces 1/16e aujourd’hui avec Lyon ASVEL féminin vs Gorzow.\\n\\nPhoto: Endy Miyem (Lattes-Montpellier, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"David Blatt (Olympiakos) parle des licenciements de coachs en EuroLeague" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur de l’Olympiacos, David Blatt, a exprimé sa colère du fait que sept entraîneurs (sur seize) ont été licenciés depuis le début de la saison en EuroLeague. On récapitule:\\n\\nBaskonia : Pedro Martinez (Espagnol), licencié le 16 novembre 2018, remplacé le jour même par le Croate, Velimir Perasovic.\\n\\nMaccabi Tel-Aviv : Neven Spahija (Croate), licencié le 18 novembre 2018, remplacé le jour même par le Grec Ioannis Sfairopoulos.\\n\\nGran Canaria : Salva Maldonado (Espagnol), licencié le 5 décembre 2018, remplacé le jour même par l’Espagnol Víctor García.\\n\\nDarüşşafaka : Ahmet Caki (Turc), licencié le 5 décembre 2018, remplacé le jour même par le Turc Selçuk Ernak.\\n\\nPanathinaikos : Xavi Pascual (Espagnol), licencié le 20 décembre 2018, remplacé le 28 décembre 2018 par l’Américain Rick Pitino.\\n\\nBudućnost Podgorica: Alexandar Dzikic (Serbe), licencié le 29 décembre 2018, remplacé le lendemain par le Croate Jasmin Repesa.\\n\\nKhimki Moscou : Georgios Bartzokas (Grec), licencié le 22 janvier 2018, remplacé le jour même par le Lituanien Rimas Kurtinaitis.\\n\\nL’ancien entraîneur du Maccabi Tel-Aviv et des Cleveland Cavaliers a donc réagi vertement:\\n\\n« Je ne pense pas que ce soit respectable. Évidemment, je ne prends pas les décisions. Ce n’est pas à moi de décider. Il me semble qu’il y a quelque chose de très faux dans la façon dont les entraîneurs des équipes de haut niveau sont traités. Je vis parmi ces gars-là, je sais qu’ils sont de grands entraîneurs, comment ils travaillent et ce qu’ils font. Comment est-ce possible que 50% des personnes dans votre travail soient renvoyées dans deux ou trois mois? Cela n’a aucun sens pour moi. Je ne peux pas le comprendre, je n’aime pas ça », a déclaré l’Américano-Israélien, lui qui s’était fait licencier par la franchise de l’Ohio en 2016 alors qu’il était au sommet de la conférence Est.\\n\\nPhoto: David Blatt (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet) : «La clé, c’est la défense»" }, {"role": "assistant", "content":"Invité du podcast sport de Hitwest, l’entraîneur Choletais Erman Kunter est revenu sur plusieurs points importants de la saison du club des Mauges.\\n\\nA propos de la victoire face à l’ASVEL, il a commenté :\\n\\n« On a bien joué, surtout en deuxième mi-temps, on a bien très défendu et on n’a pas laissé d’espaces. C’est une victoire très importante car je sais que Villeurbanne n’en lâchera pas beaucoup à domicile, c’est du bonus pour nous. La clé c’est la défense. Au début de la saison on était la pire défense du championnat, depuis on défend un peu mieux et ça se voit sur les deux matchs gagnés à domicile, si on peut baisser encore un peu plus le nombre de points encaissés, il y aura plus de victoires. »\\n\\nAvec 86,8 points encaissés en moyenne, Cholet Basket possède actuellement la 17e défense de Jeep Elite. Seul Châlons-Reims (87,8) fait pire.\\n\\nA propos du jeune prodige Killian Hayes (17 ans), qui tourne à 6,0 points (36,6% aux shoots) et 3,0 passes, le coach franco-turc est réservé :\\n\\n« Il est un peu jeune par rapports aux autres jeunes que j’ai connu (en faisant allusion à Nando de Colo, Kevin Séraphin, Rodrigue Beaubois, Rudy Gobert...), il ne faut pas brûler les étapes et le faire avancer petit à petit. »\\n\\nIl a également parlé du derby de ce week-end contre Le Mans :\\n\\n« Déjà c’est un derby, chaque match que l’on joue est une finale, on va essayer de mettre la même philosophie que contre Villeurbanne. Je n’attends pas que mes joueurs soient à 100%, mais à 110%. »" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: L’ASVEL qualifiée, Limoges éliminé" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL est désormais assurée de participer aux quarts-de-finale de l’Eurocup. Alors qu’elle a largement vaincu mardi Francfort (75-52), en s’imposant à Ulm (88-76), Krasnodar a fait pour elle le reste du travail. Les Villeurbannais recevront la semaine prochaine les Russes afin de conquérir la première place.\\n\\nA l’inverse, Limoges est éliminé après sa défaite (77-78) à Beaublanc face à Malaga. Privés de trois joueurs majeurs (Sekou Doumbouya, Samardo Samuels et Isaiah Miles), les Limougeauds ont offert une très belle résistance aux Espagnols. Avec 20 points, Jerry Boutsiele a été le top marqueur du CSP alors qu’en face c’est Mathias Lessort qui avec 14 points et 8 rebonds obtient la meilleure évaluation (26).\\n\\nPhoto: Mathias Lessort et Axel Bouteille (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"16e de finale Coupe de France: Exploits pour Antibes et Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Trois matchs de 16e de finale de Coupe de France concernant des équipes de Jeep Elite avaient lieu hier soir. Antibes et Chalon se sont qualifiés en gagnant à l’extérieur alors que Levallois a profité de l’avantage du terrain." }, {"role": "user", "content":"Où en sont les clubs d’Euroleague dans leurs championnats nationaux ?" }, {"role": "assistant", "content":"Si l’EuroLeague est la compétition reine en basket européen, il ne faut pas oublier que les équipes participant à celle-ci sont également en compétition dans les championnats nationaux de leurs pays respectifs. Zoom sur leurs performances a l’échelle nationale.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCeux qui cartonnentLeader en EuroLeague, le Fenerbahce l’est également en championnat turc où les coéquipiers de Joffrey Lauvergne sont triples champions en titre. Ils affichent actuellement un bilan de 12 victoires pour seulement 2 défaites dont une après prolongation. On notera cependant une légère baisse de régime ces dernières semaines car ces deux défaites ont eu lieu sur les quatre derniers matchs, dont une contre le rival Galatasaray (84-74). Le Fener est talonné par l’Anadolu Efes, qui reste à l’affut du leader avec seulement une victoire de retard. Après une année galère qui a vu les Stambouliotes finir derniers de l’EuroLeague, l’Anadolu Efes revient en force sur la scène européenne avec une surprenante 4ème place à quasiment les deux tiers de la saison.Déjà leaders en football et en handball, le FC Barcelone occupe également la première place de la Liga ACB avec un bilan de 13 victoires pour 2 défaites. Les Catalans sont dans une forme étincelante, ayant gagné leurs 5 derniers matchs dont le choc contre Baskonia Vitoria à l’extérieur ce dimanche (73-82). Ils sont devant deux autres participants de la Liga ACB à l’EuroLeague, le Real Madrid et Baskonia Vitoria, qui sont respectivement à une et deux victoires du leader barcelonais.\\n\\nCela commence à faire longtemps que le CSKA Moscou n’a pas eu une concurrence sérieuse en dehors de l’EuroLeague, et cela semble être toujours le cas cette année. Les coéquipiers de Nando de Colo sont encore une fois leader de la VTB League avec seulement une défaite en 14 matchs joués. Peu d’équipes semblent en mesure cette saison de priver les Moscovites de remporter leur huitième titre de suite. A moins que l’autre club de Moscou, le Khimki, arrive à les faire tomber lors du Final Four. Le Khimki, actuellement privé de sa star Alexey Shved à cause d’une blessure au doigt, essaye de suivre le rythme de son rival mais accuse deux victoires de retard sur le vainqueur de l’EuroLeague 2016. Participant surprise aux play-offs de l’EuroLeague l’an passé, les jaunes et bleus sont rentrés dans le rang cette saison avec une 11ème place au classement.Les deux clubs grecs présents en EuroLeague, l’Olympiakos et le Panathinaikos, sont également ceux qui surdominent le championnat local. L’Olympiakos est leader avec 13 victoires pour une défaite (face au Pana, évidemment, 70-79) tandis que le Panathinaikos est encore invaincu après 12 matchs. Les Verts comptent un match en retard. Les deux ténors grecs possèdent cependant des fortunes diverses sur la scène européenne : si l’Olympiakos est 5ème aux classement et semble en très bonne voie pour participer aux playoffs, le Pana est plus en difficulté cette saison avec une piètre 12ème place. Ces mauvais résultats européens ont eu raison de l’entraîneur Xavi Pascual, remplacé en fin d’année 2018 par la légende du coaching universitaire américain Rick Pitino.Ayant fait un recrutement à très gros budget pour participer à nouveau aux playoffs d’EuroLeague, l’Olimpia Milano est en tout cas leader du championnat italien après 14 journées avec une avance confortable de trois victoires sur leur dauphin Avellino. Le club italien est cependant dans une mauvaise passe en EuroLeague, restant sur trois défaites consécutives dont deux contre des concurrents directs (Baskonia Vitoria et le Bayern Munich).Bonne surprise cette saison en EuroLeague, le Bayern Munich est encore invaincu en Bundesliga au bout de 15 matchs. Détenteur avec l’ASVEL d’une présence garantie en EuroLeague pour les deux prochaines saisons, le club bavarois est en train de se créer une vraie légitimité aussi bien sur la scène locale qu’européenne, profitant du déclin de Bamberg (10 victoires, 5 défaites) pour devenir la nouvelle place forte du basket allemand.Comme à son habitude, le Zalgiris Kaunas domine le championnat Lituanien avec un bilan de 17 victoires pour deux défaites. Comme pour le CSKA Moscou, aucune équipe de semble pouvoir faire le poids vis à vis des coéquipiers de Léo Westermann sur la scène locale, leur vraie concurrence se trouve à échelle européenne. Invités surprise du Final Four l’an passé, les hommes de Šarūnas Jasikevičius sont encore en course pour les playoffs avec seulement une victoire de retard sur la huitième place occupée par le Bayern Munich. Mais là où les Lituaniens sont au dessus du lot, c’est au niveau du public: 14 813 spectateurs en moyenne sont présents toutes les semaines à la Zalgiris Arena pour assister à leur matchs d’EuroLeague, soit environ 3 000 de plus que la deuxième meilleure affluence, le Panathinaikos.\\n\\nDes équipes à la peinePlus gros budget, et de loin le club le plus titré du championnat israélien avec ses 52 titres, le Maccabi Tel-Aviv ne domine plus autant son championnat national qu’auparavant. Cette saison illustre parfaitement le renouveau que connait la Super League israélienne ces dernières années. Le Maccabi est toujours en course pour le titre et il lui suffit de remporter ses deux matchs en retard pour revenir en tête du classement, mais il doit désormais subir la concurrence d’autres clubs comme l’Hapoel Holon et l’Hapoel Jérusalem, qui privent le « club nation » de multiples titres consécutifs comme c’était le cas avant. Et ce phénomène a une influence sur les résultats du club en EuroLeague, pointant cette saison à la dixième place et se dirigeant vers une nouvelle saison sans playoffs.Gran Canaria, le quatrième participant espagnol à l’EuroLeague, a clairement plus de difficultés que ses trois autres camarades en championnat, stationnant à une faible 12ème place avec 3 victoires de retard sur la huitième place qualificative pour les playoffs. Ses résultats européens ne sont pas non plus au beau fixe avec une 14ème place (sur 16) en EuroLeague.Vainqueur surprise de la ligue adriatique l’an passé, les Monténégrins du Buducnost Podgorica voient l’effet de surprise s’estomper avec une quatrième place en ligue adriatique, derrière les cadors, Partizan Belgrade, Etoile Rouge de Belgrade et Cedevita Zagreb. La réalité du terrain se voit également en EuroLeague, étant avant-derniers devant les Turcs de Darussafaka.En queue de peloton en EuroLeague avec seulement 2 victoires pour 17 défaites, le Dassusafaka Istanbul patine également en championnat turc où il pointe à une surprenante 11ème place. Cependant cette place dans le ventre mou est à relativiser, car il n’est qu’à une victoire de la 8ème place qualificative pour les playoffs, place occupée par le Bahcesehir Istanbul, qui a un bilan de 7 victoires pour 7 défaites.\\n\\n[armelse]Leader en EuroLeague, le Fenerbahce l’est également en championnat turc où les coéquipiers de Joffrey Lauvergne sont triples champions en titre. Ils affichent actuellement un bilan de 12 victoires pour seulement 2 défaites dont une après prolongation. On notera cependant une légère baisse de régime ces dernières semaines car ces deux défaites ont eu lieu sur les quatre derniers matchs, dont une contre le rival Galatasaray (84-74). Le Fener est talonné par l’Anadolu Efes, qui reste à l’affut du leader avec seulement une victoire de retard. Après une année galère qui a vu les Stambouliotes finir derniers de l’EuroLeague, l’Anadolu Efes revient en force sur la scène européenne avec une surprenante 4ème place à quasiment les deux tiers de la saison.Déjà leaders en football et en handball, le FC Barcelone occupe également la première place de la Liga ACB avec un bilan de 13 victoires pour 2 défaites. Les catalans sont dans une forme étincelante, ayant gagné leurs 5 derniers matchs dont le choc contre Baskonia à l’extérieur ce dimanche (73-82). Ils sont devant deux autres participants de la Liga ACB à l’EuroLeague, le Real Madrid et Baskonia Vitoria, qui sont respectivement à une et deux victoires du leader barcelonais.Cela commence à faire longtemps que le CSKA Moscou n’a pas eu une concurrence sérieuse en dehors de l’EuroLeague, et cela semble être encore le cas cette année.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: CSKA et Scottie Wilbekin (Maccabi)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Bourges s’impose à Prague (+11) et se positionne à la 2e place de son groupe" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur de Prague (81-70), le Tango Bourges Basket est désormais seul deuxième du groupe A de l’Euroleague. Les Berruyères ont même récupéré le point-average sur les Tchèques puisqu’elles s’étaient inclinées de huit points à l’aller. Un rebond défensif d’Alexia Chartreau sur un lancer-franc volontairement loupé par Valériane Ayayi a été déterminant.\\n\\nAlexia Charteau est par ailleurs meilleure marqueuse berruyère avec 21 points. Sept joueuses de Bourges terminent avec une évaluation située entre 10 et 20.\\n\\nDans le troisième quart-temps, les filles de Olivier Lafargue ont eu jusqu’à 15 points d’avance. Les Tchèques sont revenues ensuite à la charge mais sans pouvoir opérer la jonction. Alyssa Thomas (18 points) et Valériane Ayayi (16) ont été les deux meilleures marqueuses de Prague.\\n\\nIl reste encore 4 matches au programme. Bourges recevra Schio, ira à Ekaterinbourg, recevra Braine et finira par un déplacement à Villeneuve d’Ascq. Se classer à la deuxième place est important afin d’éviter le deuxième du groupe B qui pourrait être le Fenerbahçe de Valérie Garnier et Bria Hartley.\\n\\nPhoto: Katherine Plouffe (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Bourges-Prague à 20h sur YouTube" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque semaine les matches d’Euroleague féminine sont à suivre sur la chaîne YouTube de la FIBA. Ce soir, au programme, une rencontre spécialement intéressante: Bourges Basket-USK Prague.\\n\\nActuellement UMMC Ekaterinbourg est le leader invaincu (10-0) du Groupe A alors que Berruyères et Pragoises se partagent la deuxième place (6-3) suite à la défaite surprise de ces dernières la semaine dernière face aux Italiennes de Schio qui n’avaient jusqu’ici qu’une victoire à leur crédit. Une victoire par plus de 8 points (80-88) permettrait en outre aux équipières de Marine Johannès de récupérer le point-average. C’est aussi l’occasion du retour de Valériane Ayayi (12,2 points, 5,4 rebonds et 4,2 passes) au Prado.\\n\\nPhoto: Valériane Ayayi (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"3×3: Les lieux des Open Plus dévoilés" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Française de BasketBall (FFBB) a dévoilé ce mercredi 23 janvier 2019 les sites qui accueilleront les tournois « Open Plus » de la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF.\\n\\nAxe de développement majeur du plan FFBB 2024, le 3×3 a connu une refonte de son système de compétition cette saison avec l’idée de proposer une nouvelle pratique sportive à un public en quête de plus de flexibilité.\\n\\nC’est dans cette optique que la Fédération Française de BasketBall a réorganisé la Superleague autour d’un classement individuel, le ranking FIBA 3×3. Deux nouvelles catégories de tournois ont été créées : les Opens Start et les Opens Plus. Ces derniers sont regroupés dans un circuit qui se déroule de fin mai à fin juillet, avec comme point d’orgue, le tournoi final du circuit : l’Open de France 3×3 présenté par GRDF.\\n\\nCalendrier 2019 des Opens Plus\\n\\n\\n\\n\\nDate\\nVille\\nRégion\\nOrganisateur Local\\n\\n\\n25 et 26 mai\\nNiort\\nNouvelle Aquitaine\\nAS Niort Basket\\n\\n\\n29 et 30 Mai\\nHyères\\nProvence Alpes CA\\nFrench Riviera 3×3\\n\\n\\n31 mai et 1 Juin\\nPorto Vecchio\\nCorse\\nLigue Corse\\n\\n\\n1 et 2 Juin\\nFécamp\\nNormandie\\nMairie Fécamp\\n\\n\\n1 et 2 Juin\\nRoanne\\nAuvergne Rhône Alpes\\nRoannais Basket Féminin\\n\\n\\n08 et 09 Juin\\nVoiron\\nAuvergne Rhône Alpes\\nTSF Voiron\\n\\n\\n8 et 9 juin\\nMassy\\nIle de France\\nDreals Paris\\n\\n\\n15 et 16 Juin\\nSaverne\\nGrand Est\\nComité Bas-Rhin\\n\\n\\n21 et 22 Juin\\nSaint-Paul\\nHauts de France\\nBasket Never Dies\\n\\n\\n22 et 23 Juin\\nVilleurbanne\\nAuvergne Rhône Alpes\\nASVEL\\n\\n\\n28 et 29 Juin\\nPoitiers\\nNouvelle Aquitaine\\n3zéro5\\n\\n\\n28 et 29 Juin\\nRezé\\nPays de la Loire\\nLigue Pays de la Loire\\n\\n\\n29 et 30 Juin\\nBourg-En-Bresse\\nAuvergne Rhône Alpes\\nComité Ain\\n\\n\\n5 et 6 Juillet\\nOrléans\\nCentre Val de Loire\\nComité Loiret\\n\\n\\n6 et 7 Juillet\\nSaint-Quentin\\nHauts de France\\nBasket Fever\\n\\n\\n6 et 7 Juillet\\nBiscarosse\\nNouvelle Aquitaine\\nBiscarosse Ol. / Comité Landes / Ligue Aquitaine\\n\\n\\n6 Juillet\\nVaulx-en-Velin\\nAuvergne Rhône Alpes\\nVaulx Basket Club\\n\\n\\n12 et 13 Juillet\\nMontreuil\\nIle de France\\nLe 3×3 est à Noue\\n\\n\\n\\n\\n\\nLa Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF\\n\\nLes Opens Start\\n\\nC’est le point d’entrée de la Superleague 3×3 FFBB. Les Opens Start ont lieu toute l’année et sont organisés sur tout le territoire par des structures publiques ou privées, affiliées à la FFBB. Chacun peut s’inscrire quel que soit son ranking individuel. Les participants accumulent des points au ranking FIBA qui peuvent leur permettre à terme de participer aux Opens Plus et à l’Open de France.\\n\\nLes Opens Plus\\n\\nLe circuit des Opens Plus se déroule de mai à mi-juillet. Un minimum de points au ranking FIBA est nécessaire pour y participer. A la fin de la saison, les meilleures équipes se qualifient pour le tournoi final : l’Open de France.\\n\\nL’Open de France 3×3 présenté par GRDF\\n\\nIl a lieu fin juillet en France et regroupe les meilleures équipes masculines et féminines du circuit Open Plus. Les gagnants du tournoi masculin sont invités à un Master du World Tour FIBA 3×3. Un prix récompense chaque équipe gagnante.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Nikos Pappas (Panathinaïkos) out pour la saison" }, {"role": "assistant", "content":"En difficulté cette saison en EuroLeague avec une piètre 12ème place, le Panathinaïkos vient de perdre pour la saison l’arrière international grec Nikos Pappas (1,95m, 98 kg) à la suite d’une rupture des ligaments croisés.\\n\\nLa blessure s’est produite ce mercredi à l’entrainement à Tel-Aviv où le club Grec doit affronter le Maccabi pour le compte de la 20ème journée d’EuroLeague. C’est la deuxième fois de sa carrière que le joueur se fait cette blessure après mai 2015.\\n\\nCette saison, le joueur tournait à 8,5 points, 1,2 rebond et 1,7 passe de moyenne (à 41% aux tirs dont 36% à trois points) entre le championnat grec et l’EuroLeague." }, {"role": "user", "content":"BCL: Cameron Clark (Le Mans): «Je veux montrer ce que je vaux à chaque match désormais»" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur Mike Green et l’entraîneur de le SIG Strasbourg Vincent Collet sont apparus déçus après la défaite à Patras en Basketball Champions League (77-64), défaite qui les force à remporter leurs deux derniers matchs pour se qualifier pour la suite de la compétition.\\n\\nMike Green :\\n\\n« C’était un match difficile, on savait qu’on allait avoir des difficultés après le match aller. Nous avons été bons pendant les 20-25 premières minutes mais ce n’est pas suffisant quand tu joues à un tel niveau. Ils ont joué plus dur en deuxième mi-temps et on n’était pas prêts, on doit garder la même intensité qu’on avait en première mi-temps tout le match. »\\n\\nVincent Collet :\\n\\n« Comme Mike a dit, on a bien joué pendant la première mi-temps, on aurait du prendre une avance plus importante à la mi-temps, mais on les a trop laissé dominer au rebond en fin de deuxième quart temps. En deuxième mi-temps, on aurait du être plus intenses et agressifs et on a perdu le contrôle du match qu’on avait en première mi-temps. On a commencé à jouer moins intelligemment et en plus on a manqué quelques tirs ouverts qui auraient pu tuer le match. Et au final ils ont pris l’avantage au troisième quart-temps pour ne plus le perdre »\\n\\nLes réactions de Cameron Clark et d’Eric Bartecheky, après la victoire contre Nijni Novgorod (89-74), qui les relance dans la course à la qualification étaient évidemment beaucoup plus positives.\\n\\nCameron Clark :\\n\\n« On s’est entraîné dur défensivement, C’est une grosse victoire pour nous, on savait que c’était une grosse équipe en face. On franchit des étapes ces derniers jours ensemble pour devenir une meilleure équipe, et c’est ce dont on a besoin. Tout le monde progresse, on fait de mieux en mieux bouger le ballon, on est plus agressifs et concentrés en défense, il n’y a aucune pensée individualiste. »\\n\\nA propos de sa performance (24 points et 9 rebonds) :\\n\\n« J’ai été agressif, mes coéquipiers m’ont permis d’être ouvert, on a fait de très bons mouvements de ballon, beaucoup de gars ont rentré des tirs »\\n\\nSur son retour en forme après un début de saison timide suite à une saison 2017-18 blanche :\\n\\n« Je me sens en forme, je me sens mieux, j’ai envie de donner un second souffle à l’équipe. Je veux montrer ce que je vaux à chaque match désormais »\\n\\nEric Bartecheky :\\n\\n« Un peu dans la même continuité que Dijon. J’ai beaucoup aimé l’attitude et la solidité de la défense en deuxième mi-temps. Chacun se met au service du collectif et cela me fait plaisir parce c’est la direction où je souhaite qu’ils aillent et cela me rend fier d’eux. On a encaissé 41 points en première mi-temps parce qu’on leur a laissés trop de paniers faciles, en deuxième mi-temps on n’a encaissé que 32 points grâce a l’effort et à solidarité donnés en défense.\\nEn tout cas des choses sont apparues dans ce match, contre Dijon aussi mais là avec encore plus de force, que l’on a pas vu beaucoup depuis le début, cette solidarité, avec un engagement total. Il y a une attitude qui vient dans le bon timing, l’aide est là, les rotations ne s’arrêtent pas, même quand ils ont mis des gros shoots en fin de possessions, on ne s’est pas arrêtés de défendre. En attaque aussi il y a eu des gros shoots, je pense à ceux de Cameron Clark ou d’Antoine Eito, mais il y a eu également des shoots bien construits, donc oui c’est très positif depuis deux matchs. On a également récupéré le point average, cela ne garantit pas la qualification, il reste encore deux matchs, et on va tout faire pour les gagner. Il n’y a jamais rien d’acquis, mais je pense que l’on est en train de passer un cap, chose que j’espère car l’objectif du club est de progresser. Il faut être ni pessimiste, ni optimiste, on est contents mais il reste beaucoup de travail à faire, il faut continuer sur cette voie, continuer à construire et tout de suite se focaliser sur Cholet, qui a battu l’ASVEL chez eux. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=TvX6JeHm-Ew&feature=youtu.be\\n\\nPhoto: Mike Green et Cameron Clark (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Démission d’André Rostol, président de l’ALM Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de l’ALM Evreux, André Rostol, 71 ans, en poste depuis neuf ans a démissionné et il s’en explique dans Paris Normandie:\\n\\n« On ne peut plus travailler dans ces conditions avec la municipalité. On nous demande d’atteindre des objectifs qui ne sont pas abordables. J’ai sollicité le maire pour que l’on organise des réunions, afin de discuter, de voir ce qu’il est possible de faire... mais je n’ai jamais eu de réponse. C’était un plaisir pour moi d’assumer la fonction de président. J’aime travailler dans une bonne ambiance, dans le partage, pas sous pression comme c’est le cas depuis quelque temps. Le maire prend des décisions, comme ça, sans anticiper ni consulter qui que ce soit (...) Les rapports sont tellement difficiles avec la municipalité que je préfère arrêter maintenant, je ne veux pas pénaliser le club. »\\n\\nLes objectifs irréalisables?\\n\\n« Monter en Pro A... », répond André Rostol. « Moi je veux bien, mais avec quels moyens ? C’est le budget qui mène la danse et, actuellement, il est d’1,8 million d’euros. Or pour pouvoir évoluer, et surtout rester, à l’échelon supérieur il faut un budget qui avoisine les 4 millions. Pour nourrir de telles ambitions, il est indispensable d’établir un programme. On a l’avantage, avec le basket, d’avoir l’autorisation de renouveler entièrement une équipe d’une saison à l’autre... Mais cela nécessite, encore une fois, de l’argent. Si l’on veut faire connaître Evreux via ce sport, on doit avancer avec des projets réalisables et, surtout, ensemble. »\\n\\nLa mairie d’Evreux devrait « communiquer » sur le sujet plus tard.Photo: ALM" }, {"role": "user", "content":"La LNB veut encore augmenter le nombre de matches de Jeep Elite à la télévision" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket a quitté l’immeuble de la FFBB rue du Château-des-Rentiers pour s’installer dans un espace deux fois plus vaste, pas loin de là, rue Albert, toujours dans le 13e arrondissement de Paris.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme pour les clubs de Jeep Elite et de Pro B, par le biais de son président Alain Béral, la LNB a disséqué ses propres comptes. Le chiffre sans doute le plus important à retenir, c’est que la maison mère reverse 197,1% de plus d’argent à ses clubs qu’il y a sept ans grâce notamment au contrat TV avec RMC Sport, au naming avec Jeep et avec le partenariat avec Amazon.\\n\\nAvec 10M€ annuel, le contrat TV avec Altice/RMC Sport négocié pour cinq ans en 2015 est le plus lucratif obtenu par le basket en France, mais s’il est sensiblement supérieur à celui du handball (4M€ avec BeIN SPORTS), il est loin d’atteindre les chiffres faramineux du foot et même du rugby. A son renouvellement, tout laisse à penser que RMC Sport et la LNB repartiront ensemble pour un nouveau bail. Mais à quel montant ? Et aussi pour quelle diffusion ? Alain Béral a évoqué quelques pistes :\\n\\n« Si les droits TV ou de marketing augmentent, il y en aura plus pour les clubs puisque c’est ce que l’on a choisi comme modèle pour la ligue. Faire du résultat pour la ligue ça n’a pas trop d’intérêt pour le basket professionnel français. Comment faire pour augmenter les droits TV ? Tout d’abord, il faut le mériter. La TV a besoin d’avoir des choses de qualité. Avant d’aller pleurer dans toutes les chaumières notre travail est d’abord de se dire, « que peut-on faire pour mériter des droits de télévision ? » Il faut avoir une bonne qualité de ses actifs. On a travaillé sur la qualité des salles, du rendu, du parquet, des couleurs, de la sobriété. On travaille sur la lumière, le son, le spectacle autour du basket. On va faire bientôt un inventaire de nos actifs de façon à voir surtout ce qui ne va pas. A partir de là, on se met face à la télévision et on dit : « voilà ce que l’on a à vendre. » Est-ce que ça vaut plus ou moins qu’avant ? Ça dépend aussi du marché et on ne peut pas maîtriser le marché de la télévision qui est aujourd’hui en pleine mutation. Effectivement, on est loin du foot et du rugby mais par rapport à ce qui se passe pour les autres ligues de basket en Europe, je suis désolé de vous dire que l’on est plutôt en avance. La seule qui était devant nous c’est l’Espagne et aujourd’hui elle cale un peu pour d’autres raisons. Historiquement, on parle beaucoup des droits de télévision. Je pense qu’aujourd’hui c’est une erreur. Le monde a changé. Il n’y a pas que la télévision qui diffuse. Je rappelle que tous les matches de la Ligue Nationale de Basket sont filmés et tous ceux de Pro B sont diffusés par la ligue. Il y a trois matches de diffusés (NDLR : le samedi, dimanche et lundi sur RMC Sport) et nous travaillons pour qu’il y en ait encore plus. On veut être exposé pour nos sponsors car derrière il y a du marketing. »\\n\\nUn projet numérique ambitieux\\n\\nL’exposition sert tout autant à satisfaire les fans -sans qui rien n’est possible- et aussi à en convertir d’autres hors les chapelles du basket français, c’est-à-dire là où il n’y a pas de clubs de Jeep Elite -ce qui est le plus difficile. S’il y a eu un raz-de-marée de nouveaux adeptes dans les années quatre-vingts et au début des années quatre-vingt dix, c’est bien parce que le basket était diffusé sur le service public et même parfois sur TF1 et La 5. Des chaînes hertziennes. Pas de nostalgie : le paysage médiatique a été chamboulé depuis avec un émiettement de l’offre dans tous les domaines.\\n\\nLa Pro A/Jeep Elite a refait son apparition récemment sur L’Equipe 21 puis Numéro 23 mais de façon éphémère et peu structurée. La saison dernière le diffuseur et la ligue avaient préféré en proposer sur des plateformes digitales au niveau des quarts de finale de playoffs. Récemment, Alain Béral a annoncé un accroissement de la visibilité de la Jeep Elite. Nous lui avons demandé quelques éclaircissements et si une échéance est prévue :\\n\\n« On espère avant la fin de la saison. Ça peut être de la diffusion en clair ou en général. On veut encore plus de match à la télévision pour que le produit soit adopter. Il y a aussi Internet comme visibilité. Le projet numérique qui est le projet le plus lourd et le plus cher de la ligue doit servir à avoir plus de visibilité. C’est difficile car historiquement, dans tous les sports, celui qui achetait les droits voulait garder ce qu’il ne voulait pas diffuser. Il faut discuter pour dire qu’il faut nous en laisser un petit peu pour que l’on puisse nourrir nos 36 clubs donc 36 sites internet avec souvent des talents dans les clubs pour mettre en scène ces images. Ça aussi c’est de la visibilité. Deuxièmement, proposer des matches entiers à la télévision de type national. Troisièmement, dire que si vous voulez regarder un match de basket, vous pouvez aller sur lnb.tv. On travaille sur tous ces sujets-là. Ce n’est pas encore assez structuré pour qu’on en parle mais nos ventes à l’étranger augmentent aussi. Un peu partout dans le monde, aux Etats-Unis, en Europe de l’Est... »\\n\\n« La ligue n’est pas là pour gagner de l’argent mais pour être équilibrée. Le principe pour l’instant est de redistribuer tout ce qui est redistribuable aux clubs qui sont les ambassadeurs. Les droits TV sont fixes, tout le reste évolue dans le bon sens. C’est le travail de l’équipe d’un peu plus de 20 personnes qui est ici (à la Ligue) qui est au service des clubs et de l’évolution générale. On était très en retard au niveau des droits marketing et on a fait une grosse évolution depuis 2016-17. »\\n\\n« Il y a le naming avec Jeep, les partenariats techniques qui sont liés à l’éclairage, au son et au parquet. L’essentiel vient évidemment des droits TV bruts même s’il y a une baisse en pourcentage qui vient de l’augmentation du marketing. C’est une bonne chose. L’un est lié à l’autre et on travaille évidemment sur les deux sujets. »\\n\\n« L’essentiel pour nous des charges, c’est le reversement aux clubs. On participe bien à l’évolution du basket en général puisqu’il y a 8 millions de redistribués aux clubs ou à la fédération. Pour le reste du budget, c’est essentiellement pour le personnel et les événements que nous produisons. »\\n\\n« Pour la saison en cours, le reversement a encore augmenté. Le reste est plutôt stable y compris au niveau du personnel même si on a des projets sur le sujet notamment une restructuration pour le développement des clubs. Ces chiffres sont les témoins de la stratégie qui est mis en place. »\\n\\n« Le montant des versements des clubs à la LNB est en augmentation en raison de la facturation pour le troisième arbitre pour la Pro B. Il faut savoir que les clubs de Jeep Elite ont accepté d’être solidaires de la Pro B en payant pour elle. Mais la ligue rembourse. Il y aura beaucoup plus en fait que 6,3M€ selon plusieurs critères. En dehors des répartitions fixes, ce sont les labels qui décident des répartitions. Si le club fait des efforts pour se professionnaliser, dans sa gouvernance, sa recherche de partenaires, dans l’hospitalité, dans la qualité de la salle, etc, il touche un label bronze, argent et or, et un nouveau niveau va apparaître. Selon le niveau du label, le chèque est évidemment beaucoup plus gros. Les clubs de Pro B participent aussi à ces labels. Il ne faut pas oublier que chaque année deux clubs de Nationale 1 montent et la marche devient de plus en plus haute et quand ils se retrouvent en Pro B, ils se disent « ce n’est pas le même monde ! » C’est pour cela que l’on a décidé de leur donner un peu plus de temps pour se mettre en œuvre. Mais s’ils ne se mettent pas à jour dans les deux ans, ils ne pourront pas rester. On veut que tout le monde comprenne que le mot professionnel, ça veut dire quelque chose. On a conscience que la ligue est très exigeante vis-à-vis des clubs mais par contre ces clubs reconnaissent qu’elle est très accompagnatrice de façon vertueuse. On encadre la gestion mais aussi parce qu’on les emmène vers de l’excellence qui en Europe est maintenant reconnue. »\\n\\n[armelse]\\n\\nComme pour les clubs de Jeep Elite et de Pro B, par le biais de son président Alain Béral, la LNB a disséqué ses propres comptes. 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Championnat italien qu’il connait bien puisqu’il a été MVP en 2015-2016 quand il jouait à Avellino.\\n\\nLe coach de la franchise texane, Mike D’Antoni, a déclaré selon le journaliste d’ESPN Tom Bontemps que « ce n’était pas juste », et qu’il voulait profiter du trade de Carmelo Anthony pour le reprendre dans l’effectif.\\n\\nPar ailleurs, l’ailier Jalen Jones (2,01m, 100 kg), qui a alterné tout au long de sa carrière entre la NBA et la G League, va découvrir sa première expérience européenne. En effet l’ancien de Texas A&M, coupé le 15 janvier dernier de son Two-Way contract avec les Cavaliers, s’est engagé jusqu’à la fin de la saison avec Baskonia Vitoria, a annoncé le club sur les réseaux sociaux. 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Ce sera donc sans Hind Ben Abdelkader (13,6 points et 2,7 passes) et sa joueuse la plus performante Courtney Paris (11,8 points et 10,0 rebonds).Laquelle Hind Ben Abdelkader n’a pas tardé à dégotter un nouvel employeur avec le Dynamo Koursk.\\n\\nPhoto: Courtney Paris (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Opalico et Clasico" }, {"role": "assistant", "content":"Cette semaine, on a droit à la fois à l’Opalico (Gravelines/Le Portel) et au Clasico (Limoges/Pau).\\n\\nLundi 14 janvier:\\n\\n20h45 – Gravelines/Le Portel – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 15 janvier:\\n\\n18h00 – Ventspils/Le Mans – BCL – Canal+Sport\\n\\n19h00 – Partizan Belgrade/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Strasbourg/Klaipeda – BCL – Canal+ Sport\\n\\n21h00 – Malaga/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 16 janvier:\\n\\n18h30 – AEK Athènes/Dijon – BCL – Canal+ Sport\\n\\n19h30 – Francfort/ASVEL – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Nanterre/PAOK Salonique – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 17 janvier:\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Olympiakos /Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Gran Canaria/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 18 janvier:\\n\\n18h00 – Efes Istanbul/Darassafaka – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Podgoricia/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Kaunas/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Vitoria/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 19 janvier:\\n\\n18h30 – Le Mans/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 20 janvier:\\n\\n18h30 – Limoges/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 21 janvier:\\n\\n20h45 – Boulazac/Châlons-Reims – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Isaiah Miles (Limoges, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"David Holston (Dijon), un candidat au titre de MVP de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"On ne pouvait pas trouver hier soir plus heureux que le coach de la JDA Dijon, Laurent Legname, après le triomphe des siens face à la SIG Strasbourg, 80-55. Une différence inattendue d’autant que Tarence Kinsey et Ryan Pearson faisaient défaut dans les rangs dijonnais.\\n\\n« C’est plus que de la satisfaction, c’est magnifique ce qu’ont fait les joueurs ce soir, surtout avec deux absents et donc sept pros, dans un match avec un réel enjeu pour la Leaders Cup. Ce qu’ont mis les joueurs sur le terrain en termes de basket, mais aussi de cohésion et d’intensité, c’est incroyable. Quand on est le coach d’une équipe comme ça, on ne peut qu’être heureux. C’est même une des plus belles victoires depuis que je coache, dans la manière, dans l’exécution de ce que j’avais mis en place, » rapporte Le Bien Public.\\n\\nIl s’agit d’une victoire collective mais une mention particulière doit être donnée au petit meneur de la JDA David Holston (1,73m, 22 ans) auteur de 21 points et 9 passes pour 26 d’évaluation. A comparer avec la production médiocre de son collègue américain de la SIG Mike Green, 4 points et 2 passes pour 5 d’éval.\\n\\nDavid Holston (13,1 points, 6,5 passes en 15 matches) se pose en candidat au titre de MVP de la saison. Disputer la Basketball Champions League tout en étant compétitif en Jeep Elite était un pari pour la JDA. Elle est aujourd’hui ex-aequo à la troisième place avec Bourg et Nanterre. Son général en est pour beaucoup responsable.\\n\\nPhoto: JDA" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «On a eu une maladresse incroyable»" }, {"role": "assistant", "content":"La SIG Strasbourg a été prise hier soir dans le tourbillon dijonnais et s’est vu infliger une véritable correction: 80-55. En deuxième mi-temps, les Alsaciens étaient incapables de scorer: 11 points dans le troisième quart-temps, 10 dans le dernier. 31,3% aux tirs, 4/26 à trois-points ! Même Ali Traore (3/12) a failli à la finition !\\n\\n« Je considère qu’on a fait une première mi-temps correcte, même si on a un peu gâché à la fin » a analysé Vincent Collet en conférence de presse. « On pouvait être devant à la pause. Globalement on était dans nos objectifs. On n’était déjà pas très adroit, mais défensivement on était en place en étant globalement correct. Après que dire sur la deuxième mi-temps ? On s’est effondré ! On a eu une maladresse incroyable. On a été en position ouverte à de très nombreuses reprises avec nos meilleurs shooteurs...Sans avoir la capacité à convertir un seul tir. C’est en partie la conséquence d’une perte de confiance oui, mais ça a été aussi et surtout aggravé par une baisse de régime dans les moments difficiles. Au lieu de se battre encore plus, on s’est moins battu, et c’est ce qui a permis à Dijon de creuser cet écart. C’est surtout cela qu’il faut corriger. La confiance on ne peut pas décréter comme ça qu’on va la trouver. Donc il faut que l’on soit beaucoup plus combatif ensemble, et beaucoup plus solidaire ! Dès qu’on a été en difficulté on n’arrivait pas à faire corps et ça partait un peu dans tous les sens avec, en plus, une réussite qui nous fuyait et trop d’actions individuelles. Je suis toujours inquiet quand on perd. Mais là ce n’est pas une seule défaite, c’est une grosse baisse de régime donc c’est forcément très inquiétant ».\\n\\nA ce jour, la SIG n’est pas certaine de se retrouver dans le top 8 à l’issue de la saison régulière et ainsi de jouer la Leaders Cup.\\n\\n« Le plus grave dans ce qui nous arrive c’est qu’on était l’équipe avec le meilleur goal average de celles en course pour la Leaders Cup. Là forcément il va baisser mais dans l’immédiat il faudra que l’on batte Bourg chez nous. Car, au-delà de la Leaders Cup c’est le classement que je regarde en pensant aux Playoffs à la fin. On était à 9 victoires en 13 matches il y a trois semaines, et maintenant 9 victoires en 16 matches. Ce n’est plus pareil, c’est surtout ça qui est embêtant ! Ça fait trois défaites de suite en championnat ça demande une réaction bien entendu ! »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Bourg-Le Mans" }, {"role": "assistant", "content":"A voir, les meilleurs moments de la victoire de la JL Bourg sur Le Mans SB, 83-77." }, {"role": "user", "content":"Rémi Giuitta (Fos): «Tout le monde pensait qu’on en prendrait 40 ou 50 ce soir vu le contexte»" }, {"role": "assistant", "content":"Etant donné les absences, les Provençaux de Fos-Mer auraient sans doute signé en amont pour une aussi honorable défaite à Pau (77-84) mais à attendre Pierre Pelos et le coach Rémi Guitta en conférence de presse, il y a même du regret de ne pas s’être approprié le gain du match.\\n\\n« Ce match ne tient à rien quand je vois les stats », estime Pierre Pelos. « On manque aussi cruellement d’adresse, moi le premier. Cela nous a coûté cher dans les dernières minutes, on aurait pu revenir à 2 ou 3 points et les faire douter un peu plus. Nous sommes quand même satisfaits du match, nous nous sommes battus avec les armes qu’on avait pendant 40 minutes. On l’a « un peu de travers » quand même car on ne meurt qu’à 7 points. A -17 c’était compliqué, on a eu des trous d’air, mais nous sommes toujours restés ensemble, nous n’avons jamais lâché. Content d’être revenu à Pau bien sûr, 4 ans après, mais amer aussi car ma prestation n’est pas celle que j’aurais voulu. Je passe un peu au travers, je ne vais pas le cacher mais collectivement, on a réglé certains problèmes durant la trêve et on a pris plus de plaisir à jouer ensemble ce soir. »\\n\\nRémi Giuitta se félicite de la hargne manifestée par ses joueurs:\\n\\n« J’ai dit aux joueurs qu’il fallait sortir la tête haute de ce match car tout le monde en France pensait qu’on en prendrait 40 ou 50 ce soir vu le contexte, chez une super équipe qui n’a pas usurpé sa place au classement. Mettant de côté le résultat brut de la rencontre, je suis assez fier des joueurs qui, à l’image de la dernière action du match, ont continué à se jeter sur tous les ballons. On n’a pas abdiqué, pas lâché, au contraire peut-être d’autres groupes dans le même contexte. Ce n’est pas facile pour le staff mais pour les joueurs non plus. On voit qu’on va vendre chèrement notre peau quelles que soient les tuiles qu’on accumule et ce jusqu’à la dernière seconde de chaque match. Cela fait plaisir de voir ce type de comportement car cela fait partie de l’ADN de notre club. Ce soir, je n’ai pas grand-chose à reprocher à mes joueurs si ce n’est deux petits moments clés qu’on ne gère pas très bien et qui aurait pu faire douter encore plus les Palois mais s’incliner comme cela, encore une fois dans le contexte, ce n’est malheureusement déjà pas mal. »" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Bourges chute en prolongation à Charleville" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’elles ont mené l’essentiel du match, les Berruyères se sont fait surprendre à Charleville dans le money time -fin du temps réglementaire et prolongation-, un moment où la meneuse carolo Amel Bouderra (17 points, 7 passes) un joué un rôle décisif. Elodie Godin a eu la possibilité d’égaliser sur deux lancers-francs mais elle a raté involontairement le premier et sciemment le second dans l’espoir d’un rebond favorable, en vain.\\n\\nL’inusable Géraldine Robert (11 points, 5 rebonds) a joué également un rôle décisif alors que côté tango ce sont Marine Johannès (18 points, 6 passes, 4 rebonds et 4 interceptions) et Nayo Raincock Ekunwe (20 points) qui se sont mis particulièrement en évidence.\\n\\nComme dans le même temps, Lattes-Montpellier et Lyon se sont nettement imposés à Nantes (102-75) et à Tarbes (89-48), Bourges réalise la mauvaise affaire du jour avec cette troisième défaite de la saison et dégringole ainsi à la troisième place. A l’inverse, Charleville équilibre ses comptes (6 victoires, 6 défaites) et quitte ainsi la zone dangereuse pour occuper un rang plus conforme à son statut.\\n\\nPhoto: Sarah Michel et Cristina Ouvina (Bourges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo rétro: Limoges-Split de mars 1990" }, {"role": "assistant", "content":"C’est l’une des vidéos qui circulent sur Internet et on a décidé de vous en faire profiter.\\n\\nC’est le match Limoges CSP vs. Jugoplastika Split du 1 mars 1990 en Coupe des Champions.\\n\\nC’est l’époque où le service public retransmettait des matches de basket, même tard le soir. Commentaires de Patrick Chêne et Bernard Père. Au CSP, il y avait Don Collins et Michael Brooks. A Split, Toni Kukoc et Dino Radja. Un match renversant. Et quelle ambiance à Beaublanc!" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Basket Landes se sort du piège breton" }, {"role": "assistant", "content":"C’était un match important concernant le ventre mou du championnat et Basket Landes a réalisé une bonne opération en s’imposant à Landerneau en Bretagne, 54-53. Le dernier quart-temps a été spécialement défensif. Les Landaises ont été tenues à 7 points mais les Bretonnes en n’ont marqué que 8.\\n\\nDans ce contexte la Canadienne Miranda Ayim a réalisé des prouesses offensives avec 20 points à 9/16 aux shoots alors que ses équipières se sont contentées d’un 14/44. Céline Dumerc a livré pour sa part encore une fois un match très complet avec 12 points, 7 rebonds et 4 passes.\\n\\n« Quand on voit les joueuses de Bourges ou Lyon jouer, on a l’impression que c’est facile. Quand on est un peu en-dessous de ces équipes, il faut s’arracher à chaque fois », a commenté la coach landaise, Cathy Melain, rapporte Le Télégramme. Celle-ci a rendu hommage à son adversaire du jour: « Il a largement sa place (en playoffs) mais il y en a d’autres. Chaque journée, ça bouge et ça bougera jusqu’à la fin. Un peu moins en haut. Mais cette équipe n’a pas le profil d’un promu, elle joue. »\\n\\nPhoto: Miranda Ayim (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Valentin Bigote (Le Mans): «On doit se concentrer sur la Basketball Champions League»" }, {"role": "assistant", "content":"Les champions de France absents de la Leaders Cup? C’est possible sinon probable. Les Manceaux devront s’imposer obligatoirement à la JDA Dijon le week-end prochain mais ça ne sera peut-être pas suffisant. Auteur de 23 points lors de la défaite à Bourg (77-83), Valentin Bigote était évidemment déçu de la tournure des événements :\\n\\n» C’est dommage, cela nous pénalise beaucoup pour la Leaders cup, » a t-il commenté en conférence de presse. « On commence très mal le match avec un 13-0. On les laisse prendre confiance, et nous de notre côté on ne met pas nos paniers. Et derrière on court au score tout le match. Surtout quand on sait que Bourg est une très bonne équipe et encore plus à domicile. Il y avait largement la place. On perd plein de matchs bêtes dont Limoges chez nous. On peut s’en vouloir qu’à nous même. Ce soir Bourg était une très bonne équipe. On ne perd pas non plus la Leaders Cup ici. Mais on savait que dans les deux derniers matchs aller il fallait en gagner deux pour être sûr. On doit se concentrer pour la Basketball Champions League mardi où la victoire sera plus qu’importante également. Il faut essayer au moins d’avoir cet objectif là et pour la suite aller en playoffs bien sûr. Après une entame de match très compliqué on est bien revenu sur le 2ème quart temps, en 2ème mi-temps également. Mais on est toujours resté à 5 ou 6 points. De leur côté ils ont aussi des joueurs capables de mettre des gros tirs. Je pense que le match se perd au début. On ne doit pas prendre un écart comme ça car après on le traîne tout le match, et c’est compliqué même si on fait les efforts pour revenir. Ça n’a pas suffi. L’absence de Cameron (Clark) a forcement pesé mais ce n’est pas une excuse, il y avait largement la place de se s’imposer «\\n\\nLe Mans (4 victoires, 6 défaites en BCL) sera mardi en Lettonie pour affronter Ventspils (3-7) et n’a plus de joker s’il veut se qualifier pour le tour suivant.Photo: FIBA" }, {"role": "user", "content":"La phrase: «Mickey assure le billet pour Disney»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce bon titre est à mettre au crédit de Sud Ouest dans son édition de dimanche. Il concerne Richard Barton McConnell surnommé « Mickey », le meneur de jeu de l’Elan Béarnais qui a dû prendre à un moment les affaires en main (6 points mais 7 passes) pour que son équipe repousse les assauts d’une équipe de Fos/Mer handicapée mais tenace (84-77).\\n\\nSi l’Elan Béarnais a gagné sa place pour la Leaders Cup ce ne fut pas sans mal. Fos a toujours été dans la course notamment grâce à 16 rebonds offensifs et aussi à l’endurance de Edouard Choquet et Ron Davis qui ont joué les 40 minutes disponibles. Heureusement pour les Palois, leur Américain C.J. Harris a été encore une fois très solide (23 points, 25 d’évaluation).\\n\\n« La manière dont a joué ce soir n’est pas inquiétante parce que ce match intervient après une longue trêve », a estimé Yannick Bokolo. « Et il faut tirer un coup de chapeau à Fos. Avec seulement sept joueurs, ils se sont donnés à fond, jusqu’au bout »." }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (Bourg): «Youssou (Ndoye) a fait un énorme match»" }, {"role": "assistant", "content":"Avec sa victoire sur Le Mans (83-77), Bourg-en-Bresse fait coup double en éloignant un adversaire direct du top 8 et en accrochant la troisième place à égalité avec Nanterre, en attendant le match Dijon-Strasbourg de ce dimanche. Leur démarrage de feu a permis aux Bressans de mener 13-0 et ils ont su ensuite repousser les assauts des Sarthois.\\n\\n« La reprise est toujours difficile surtout dans les conditions où on a abordé le match avec beaucoup de petits problèmes », a commenté le coach Savo Vucevic au micro de Radio Scoop. « Pour moi, c’était le match le plus difficile à domicile, Le Mans était la meilleure équipe que l’on ait joué ici. Si on déduit les 7-8 premières minutes où l’on a bien joué et où ils ont tout raté, j’ai vu une équipe qui était très difficile à manoeuvrer. Quand on avait quinze points d’avance, j’ai dit à mes assistants que je n’aimais pas ce résultat. L’équipe n’était pas encore dans un bon rythme et à ce moment-là, il y a eu un relâchement avec un manque d’agressivité en défense, la balle ne circulait pas en attaque. On encaisse les paniers faciles et c’est toujours un problème. Je n’aime pas ça notamment à une période où on n’est pas au top au niveau collectif. »\\n\\nLe pivot Youssou Ndoye a joué un rôle fondamental avec 17 points, 9 rebonds et 2 passes pour 23 d’évaluation.\\n\\n« On ne pouvait pas espérer gagner de 15, 20, 30 points. Le Mans, c’est une très belle équipe avec des joueurs qui ont beaucoup de qualités individuelles surtout sur les positions extérieures avec des malins, des shooteurs. Et puis un joueur comme (Will) Yeguete qui est partout, en défense, en attaque, il ramasse toutes les balles qui traînent et ça a posé beaucoup de problèmes. On a fait une énorme deuxième mi-temps avec un effectif réduit. Max Courby n’a fait qu’un entraînement avec nous, jeudi soir. Ndoye n’était pas sûr de jouer ce soir. Ce n’était pas un match pour (Fréjus) Zerbo car ils jouent small ball avec des joueurs très mobiles. Mais Youssou a fait un énorme match aussi défensivement, en aide, au rebond. Malheureusement pour lui j’ai été obligé de l’utiliser un peu plus que prévu. C’est dû à la blessure de Mike Mozer. On n’était pas en mesure de jouer avec une rotation plus importante. »\\n\\nPhoto: Youssou Ndoye (JL)" }, {"role": "user", "content":"Qui sont les meilleurs marqueurs des 10 grands championnats européens et des 4 coupes d’Europe ?" }, {"role": "assistant", "content":"La moitié de saison approche à grands pas et les leaders de chaque championnats sont identifiés. Pour vous, nous avons recensé les meilleurs marqueurs des dix principaux championnats en Europe (Allemagne, Belgique, Espagne, Grèce, Israël, Italie, Ligue Adriatique, Lituanie, Turquie et VTB League) et des quatre coupes d’Europe.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n * Allemagne\\n\\nJohn Bryant – 2,11m – 31 ans – Poste 5 – Américain – Giessen – 20,3 points\\n\\nFormé à l’Université de Santa Clara, ce lourd intérieur n’est jamais plus performant que lorsqu’il joue en Allemagne. En trois ans passés à Ulm puis trois ans au Bayern Munich, le Californien a notamment été sacré champion en 2014, puis deux fois élu MVP de Bundesliga. Il a signé une pige à Monaco en 2016/17 avant de prendre la direction de Giessen où il s’épanouie particulièrement. Il a inscrit 30 points contre le Bayern Munich cette saison.\\n\\n * Belgique\\n\\nCarrington Love – 1,86m – 24 ans – Poste 1 – Américain – Mechelen – 15,8 points\\n\\nAprès avoir fait ses gammes en deuxième division allemande puis aux Pays-Bas, le natif de Milwaukee a rejoint le championnat belge qui se veut un cran au-dessus des deux autres. Formé à Green Bay, il a réalisé une saison pleine à Leiden en 2017/18 en étant élu dans le meilleur cinq de la saison, le meilleur cinq défensif de la saison et en terminant l’exercice meilleur passeur du championnat. Cette saison, il a marqué 24 points face à Bruxelles.\\n\\n * Espagne\\n\\nDario Brizuela – 1,88 m – 24 ans – Poste 2 – Espagnol – Estudiantes Madrid – 16 points\\n\\nA l’Estudiantes depuis 2012 (prêté à Huesca en 2014/15), il a plus que doublé son rendement en Liga Endesa depuis la saison dernière (7,7 points par match). Menace derrière l’arc et joli manieur de ballon, il aime se créer son propre tir après le dribble. Né à San Sebastian, il a été médaillé d’argent au championnat d’Europe U20 en 2014. Il a inscrit 31 points face à Valence.\\n\\n * Grèce\\n\\nDavion Berry – 1,93m – 27 ans – Poste 2 – Américain – Panionios – 18,8 points\\n\\nGros scoreur à l’université de Weber State (17 points de moyenne en deux ans), la même que Damian Lillard, il a lancé sa carrière à Turin avant de s’aventurer en Corée du Sud. Habitué de la G-League, il est aussi passé par Rhodes, en Grèce, et Tubingen, en Allemagne. Cette saison, il a marqué 27 points contre Peristéri.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Iys4cXqb4JM\\n\\n * Israël\\n\\nElijah Bryant – 1,96m – 23 ans – Poste 2 – Américain – Hapoel Eliat – 20 points\\n\\nSorti de l’université de BYU en 2018, il vit sa première expérience professionnelle en Israël après avoir gouté à la Summer League NBA en juillet. Il est aussi bien une menace près du cercle que derrière la ligne à trois points. Il a marqué 28 points face à l’Hapoel Galil Gilboa.\\n\\n * Italie\\n\\nJames Blackmon – 1,93m – 23 ans – Poste 2 – Américain – Pesaro – 19,6 points\\n\\nPur arrière shooteur attiré par le cercle, il vit sa première expérience professionnelle en Italie après avoir fait son cursus universitaire à Indiana. Ce Chicagoan a récupéré le flambeau de meilleur marqueur de Serie A après le départ de Ricky Ledo en Turquie, qui tournait à plus de 23 points par rencontre sous le maillot de Reggio Emilia. Il devance d’une courte tête son coéquipier à Pesaro Erik McCree (19,2 points par match). Cette saison, Blackmon a marqué 35 points face à Brescia.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=P6UUZ9gvCfY\\n\\n * Ligue Adriatique\\n\\nDragan Apic – 2,06m – 23 ans – Poste 4/5 – Serbe – KK FMP – 20,9 points\\n\\nSous contrat avec l’Etoile Rouge de Belgrade depuis 2015 et jusqu’en juin prochain, il a été directement prêté au FMP qui est comme le centre de formation du Red Star. Né à Novi Sad, il a été champion d’Europe U20 avec la Serbie en 2015. Il a marqué 27 points face à Mega Bemax cette saison.\\n\\n * Lituanie\\n\\nKen Brown – 1,80m – 29 ans – Poste 1 – Américain – Alytus – 14,2 points\\n\\nMeneur de jeu complet, il est passé par la Lettonie, la Suède, la Pologne, les Pays-Bas ou encore le Liban, où il a été champion, dans sa carrière. Cette saison, il a marqué 26 points contre Klaipeda.\\n\\n * Turquie\\n\\nSylven Landesberg – 1,98m – 28 ans – Poste 2/3 – Américain, Autrichien, Israélien – Ankara – 22,2 points\\n\\nChampions d’Euroleague et d’Israël en 2014 avec le Maccabi Tel-Aviv, ce néo-international autrichien a terminé meilleur marqueur d’Espagne et cinquième aux votes de MVP de Liga Endesa la saison dernière sous les couleurs de l’Estudiantes. Il a notamment marqué 48 points face au Barça à 8/11 à trois points. Cette saison, il a marqué 37 points (10/18 aux tirs et 15/15 aux lancers) contre Izmir.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Pa7PPB-9fbM\\n\\n * VTB League\\n\\nAlexey Shved – 1,98m – 30 ans – Poste 2/1 – Russe – Khimki Moscou – 22,3 points\\n\\nLe meilleur marqueur d’Europe. Capable d’artiller d’un peu partout et dans toutes les positions, il a été élu MVP de VTB League l’année dernière et était meilleur scoreur d’Eurocup en 2016/17. Passé plusieurs saisons par la NBA, il n’est nulle part meilleur qu’en Europe. Son record en 2018/19 est de 34 points contre l’Olympiakos.\\n\\n\\nCoupes d’Europe :\\n\\n * Euroleague\\n\\nAlexey Shved – 1,98m – 30 ans – Poste 2/1 – Russe – Khimki Moscou – 25,2 points\\n\\n * Eurocup\\n\\nDiante Garrett – 1,93m – 30 ans – Poste 1/2 – Américain – Tofas Bursa – 18,4 points\\n\\nA Nanterre en 2011/12, le natif de Milwaukee est également passé par la G-League, la NBA, Israël, le Japon et l’Italie, il a rejoint le Tofas Bursa cet été. Scoreur polyvalent, il est aussi bien à l’aise près du panier que derrière la ligne à trois points, voire très loin derrière. Cette saison, il a marqué 25 points contre le Lokomotiv Kuban.\\n\\n * Champions League\\n\\nKhalif Wyatt – 1,93m – 27 ans – Poste 2/1 – Américain – Hapoel Holon – 18,9 points\\n\\nFormé à Temple, il a lancé sa carrière en 2013/14 en Chine avant de terminer l’exercice en G-League. Depuis, cet arrière ordinaire de la Pennsylvanie a uniquement évolué en Israël, à Eilat, Holon et Ness Ziona. Il a inscrit 35 points face à Venise avec huit paniers à trois points sur seize tentés.\\n\\n * FIBA Europe Cup\\n\\nDarius Thompson – 1,93m – 23 ans – Poste 2 – Américain – ZZ Leiden – 22,8 points\\n\\nTout juste diplômé de Western Kentucky après être également passé par Tennessee et Virginia, il vit sa première expérience professionnelle à Leiden, aux Pays-Bas. Face à Sakarya, il a marqué 36 points à 13/18 aux shoots dont 6/9 à trois points.\\n\\n[armelse]\\n\\n * Allemagne\\n\\nJohn Bryant – 2,11m – 31 ans – Poste 5 – Américain – Giessen – 20,3 points\\n\\nFormé à l’Université de Santa Clara, ce lourd intérieur n’est jamais plus performant que lorsqu’il joue en Allemagne. En trois ans passés à Ulm puis trois ans au Bayern Munich, le Californien a notamment été sacré champion en 2014, puis deux fois élu MVP de Bundesliga. Il a signé une pige à Monaco en 2016/17 avant de prendre la direction de Giessen où il s’épanouie particulièrement. Il a inscrit 30 points contre le Bayern Munich cette saison.\\n\\n * Belgique\\n\\nCarrington Love – 1,86m – 24 ans – Poste 1 – Américain – Mechelen – 15,8 points\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet) après la rouste contre Boulazac: «C’est inquiétant»" }, {"role": "assistant", "content":"Douche glacée à Cholet. CB comptait réaliser la passe de trois à La Meilleraie face à Boulazac après ses victoires sur Nanterre et Chalon et en fait il n’a jamais été dans la course. Menés 14-22 après dix minutes, les Choletais étaient largués à 32-51 à la mi-temps ! Au final, ils se sont inclinés 77-92.\\n\\n« Cette semaine, on a fait beaucoup d’entraînements et de réunions. Les joueurs pensaient gagner après les matches contre Nanterre (98-92 a.p., le 15 décembre) et Chalon (98-94 a.p., le 27 décembre). On n’encaisse pas 92 points par hasard », a commenté le coach Erman Kunter en conférence de presse. « Il va falloir que certains joueurs travaillent dur en défense. C’est inquiétant. On encaisse des points, on tient un peu, mais ça craque très vite ensuite. Ils nous ont dicté tout ce qu’il faut faire pour gagner un match. On a travaillé à la vidéo, les joueurs étaient prévenus, mais il a manqué de l’agressivité défensive. J’ai senti cette semaine que les joueurs ont cru avoir passé un cap. Le calendrier à venir s’annonce difficile, avec des matches contre l’ASVEL, Le Mans, Strasbourg et Bourg-en-Bresse. Si on ne défend pas lors de ces matches-là, on va se faire marcher dessus. »\\n\\nLe coach choletais a ajouté qu’il y avait urgence à recruter un joueur aussi fort défenseur qu’attaquant.\\n\\nBien que maladroit (3/11), Nicolas De Jong s’est félicité du travail d’équipe du BBD sur le plan défensif notamment du sien sur le pivot choletais Frank Hassell (10 points) :\\n\\n«Après nos deux défaites fin décembre, il fallait prendre d’entrée Cholet à la gorge. Dans le troisième quart-temps, la réaction de Cholet est logique. Nous sommes satisfaits du résultat. On a su bloquer Hassell, les efforts ont payé. Tout s’est bien goupillé pour nous. On savait que Cholet avait une bonne attaque, mais on a su respecter notre plan de jeu. On savait que Hassell marque généralement très vite, il fallait donc le bloquer dès le début du match. Pour nous, l’objectif c’est le maintien. Au vu de nos résultats, il nous faut assurer cela le plus vite possible, avant de peut-être nous projeter plus loin. La trève nous a fait du bien. Nous sommes capables de mettre une grosse pression sur l’adversaire. Ce soir, me concernant, j’avais une mission en défendant sue Frank Hassell. La soirée a été plutôt sympathique. J’ai apprécié les applaudissements à la présentation. Cholet est dans une mauvaise passe, je leur souhaite le meilleur pour la suite. »" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 12. La fin de série des défaites de Limoges à Chalon" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP a signé à Chalon sa cinquième victoire consécutive, 77-73. L’Elan est la bête noire du CSP puisqu’il n’avait pas gagné en Bourgogne depuis le 15 avril 2000 soit une série de 12 défaites consécutives.\\n\\nAvec 20 points, Dwight Hardy a été le meilleur scoreur limougeaud et avec le meneur de jeu Jordan Taylor (10 points, 14 passes dont 13 en première mi-temps) et l’intérieur Jerry Boutsiele (15 points, 7/9 aux tirs, 8 rebonds), ce sont eux qui ont le plus pesé sur le match. Une bonne défense a par ailleurs limité les Chalonnais à 40% de réussite aux shoots.\\n\\nAlors que Pau s’est qualifié pour la Leaders Cup, le clasico de dimanche prochain ne va pas manquer de piquant. Le CSP va y jouer sa qualification à la Leaders Cup. Nous allons vous en parler toute cette semaine.\\n\\nPhoto: Jerry Boutsiele (CSP)" }, {"role": "user", "content":"L’hommage de Jean-Denys Choulet à Frédéric Forte" }, {"role": "assistant", "content":"Avant la réception de Limoges, le coach de l’Elan Chalon, Jean-Denys Choulet s’est confié aux JSL à propos de feu Frédéric Forte.\\n\\n« J’aimerais profiter de la venue de Limoges pour vous faire une confidence, »a t-il déclaré. « Il y a un personnage avec lequel j’ai toujours eu des relations un peu mitigées à Limoges. C’était Fred Forte », déclare Jean-Denys Choulet. « On a souvent discuté ensemble pour que je vienne à Limoges, notamment du temps de Giannakis. Finalement, cela ne s’est pas fait, peut-être par peur des étincelles que cela aurait pu faire entre nos deux personnages. Mais par contre, j’ai été comme rarement touché dans ma vie de coach par le message de soutien qu’il m’avait envoyé la saison dernière (le 17 novembre 2017), un peu plus d’un mois avant de mourir (le 31 décembre 2017). Il me disait que ce n’était pas une tempête comme ça qui allait faire chavirer le bateau et que je m’en sortirai. On peut dire ce que l’on veut sur notre relation. On s’est souvent chambré. Mais le respect, il est là. Ce qu’il a fait à ce moment-là, il n’était pas obligé de le faire. Ça m’a touché. Et plus jamais, je ne verrais Fred Forte comme je le voyais avant. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Heurtel et Séraphin s’occupent cette fois du Pana" }, {"role": "assistant", "content":"On approche du cap des 10 dernières journées à disputer et le paysage se dessine : Fenerbahçe et Real Madrid sont au-dessus du lot. Ensuite vient un groupe de poursuivants aux dents longues composé du CSKA, d’Efes, de l’Olympiakos et du Barça.\\n\\nPour les deux derniers tickets de playoffs, ça va se disputer entre 8 équipes si on inclut Gran Canaria un peu à la traîne. Le Bayern et Vitoria sont pour le moment dans le coup mais Milan et le Pana sont à l’affût. Le Maccabi, Kaunas et Khimki Moscou devront quant à eux jouer très serrés pour espérer passer le cut.\\n\\nSinon, cette 18e journée a encore livré son lot de performances tricolores dont le duo Heurtel – Séraphin encore au top et Vincent Poirier dominateur avec Vitoria. Edwin Jackson finit aussi à 18 points dans une rare victoire de Podgorica.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe duo Heurtel – Séraphin a encore frappé\\n\\nAprès avoir battu Milan avec un gros match pour l’un et pour l’autre, Thomas Heurtel (23 points) et Kevin Séraphin (14 points à 5/5 aux tirs, 7 rebonds) ont remis le couvert pour dégoûter le Panathinaikos de Rick Pitino (79-68). Les Catalans ont fait la différence sur un 9-2 à 4 minutes de la fin, avec Heurtel qui filoche de loin.\\n\\nC’est la 5e victoire d’affilée pour le Barça qui conforte sa place dans la première partie du classement (voir plus bas). Avec 70% de réussite à deux points et un +20 aux rebonds (39-19), Barcelone a dominé son sujet. Ioannis Papapetrou (17 points, 4 interceptions) a été bien esseulé au scoring...\\n\\n\\nPodgorica brise sa série sur le fil\\n\\nPour Jasmin Repesa, la troisième tentative a été la bonne. Le nouveau coach de Podgorica a effectivement remporté son premier succès en Euroleague face au Darussafaka (75-74). Il s’en est fallu d’un tir pour la gagne de Norris Cole (17 points).\\n\\nAvec 18 points, Edwin Jackson a aussi été fondamental pour rester au contact. Podgorica brise ainsi sa série noire de 6 défaites consécutives. A l’inverse, Darussafaka encaisse un 3e revers de rang.\\n\\n\\nLe CSKA chute à domicile\\n\\nLe CSKA avait pourtant démarré sur les chapeaux de roue avec un 16-4 conclu par Nando De Colo qui a bien suivi son rebond offensif. Mais c’est bien le Maccabi Tel Aviv qui est venu s’imposer dans la capitale russe (93-76). Et ce pour la première fois depuis 2004 !\\n\\nAlex Tyus (12 points, 6 rebonds, 4 contres) et le jeune Yovel Zoosman (15 points, 6 rebonds) ont été héroïques pour abattre le CSKA sur ses terres. Comme De Colo, Will Clyburn a apporté 16 points mais ça n’a pas suffi face au jeu rapide du Maccabi.\\n\\n\\nLe Bayern rebondit\\n\\nDans le dur avec 2 défaites de suite, le Bayern a retrouvé le chemin de la victoire contre Milan (93-87). Les Bavarois ont rentré 9 de leurs 10 premiers tirs à trois points, ce qui aide à faire la course en tête et aussi à repousser les assauts de Mike James (29 points, 5 passes).\\n\\nL’attaque du Bayern a été impeccablement équilibré avec Nihad Dedovic et Maodo Lo à 18 points, et Petteri Kopponen et Stefan Jovic à 14 points. Pour Milan, ça commence à faire beaucoup de défaites dans la course aux playoffs après un bon début de saison...\\n\\n\\nLe Fener se remet dans le droit chemin\\n\\nDéfait pour la deuxième fois de la saison plus tôt dans la semaine, Fenerbahçe a renoué avec la victoire face au Zalgiris Kaunas (78-61).\\n\\nLa troupe de Jasikevicius tire un peu la tronche ces derniers temps avec une 4e défaite de suite. Joffrey Lauvergne termine à 8 points et 5 passes.\\n\\n\\nLe Real garde le cap\\n\\nPas de souci non plus pour le Real qui abat Olympiakos pour une 2e victoire en 2 matchs cette semaine (94-78).\\n\\nAnthony Randolph (16 points, 8 rebonds) a été le grand bonhomme de la rencontre pour le Real qui a bien partagé le cuir derrière la vista de Facundo Campazzo (13 points, 5 passes). Malgré un doigt cassé, Vassilis Spanoulis termine en double double : 12 points, 11 passes.\\n\\n\\nVincent Poirier toujours plus haut\\n\\nEn tête à la pause, Gran Canaria s’est fait prendre dans une bonne vieille embuscade fomentée par Vitoria. un 16-9 en 3e quart a effectivement eu raison des insulaires (83-66).\\n\\nAux côtés d’un Marcelinho Huertas vintage à 24 points et 6 passes, Vincent Poirier (20 points) continue d’enchaîner les performances de très haut niveau.\\n\\n\\nExploit sans lendemain pour Khimki\\n\\nL’Efes Istanbul n’a pas laissé le temps au Khimki Moscou de penser à un nouvel exploit. Après avoir fait tomber le Fener, Moscou a été battu par l’Efes Istanbul (81-72).\\n\\nAdrien Moerman (11 points, 9 rebonds) et Rodrigue Beaubois (5 points, 6 passes) ont été les coéquipiers modèles dans ce succès collectif.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 23 points (8/12 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 4 balles perdues en 26 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 20 points (8/10 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 18 points (6/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 contre en 27 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 16 points (6/14 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 3 balles perdues en 32 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 14 points (5/5 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 16 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 11 points (4/8 aux tirs), 9 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (3/6 au tirs), 3 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (3/8 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 5 points (2/7 aux tirs), 6 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/2 aux tirs) en 4 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point en 4 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris Kaunas) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAuteur de 20 points dans la victoire de son équipe, Vincent Poirier a aussi assuré le spectacle avec un dunk tonitruant. Bien servi par Darun Hillard, le pivot tricolore a sorti la main gauche pour un coup de hache. Kim Tillie n’a pu qu’observer la scène...\\n\\n\\nLes résultats de la 18e journée\\n\\nJeudi 10 janvier :\\nEfes Istanbul – Khimki Moscou (81-72)\\nFenerbahçe – Zalgiris Kaunas (78-61)\\nReal Madrid – Olympiakos (94-78)\\n\\nVendredi 11 janvier :\\nCSKA Moscou – Maccabi Tel Aviv (76-93)\\nPodgorica – Darussafaka (75-74)\\nBayern Munich – Milan (93-87)\\nVitoria – Gran Canaria (83-66)\\nBarcelone – Panathinaikos (79-68)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 19e journée\\n\\nJeudi 17 janvier :\\nCSKA Moscou – Bayern Munich (18h)\\nOlympiakos – Khimki Moscou (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Barcelone (20h05)\\nGran Canaria – Fenerbahçe (21h)\\n\\nVendredi 18 janvier :\\nEfes Istanbul – Darussafaka (18h30)\\nPodgorica – Real Madrid (19h)\\nZalgiris Kaunas – Panathinaikos (19h)\\nVitoria – Milan (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe duo Heurtel – Séraphin a encore frappé\\n\\nAprès avoir battu Milan avec un gros matchs pour l’un et pour l’autre, Thomas Heurtel (23 points) et Kevin Séraphin (14 points à 5/5 aux tirs, 7 rebonds) ont remis le couvert pour dégoûter le Panathinaikos de Rick Pitino (79-68). Les Catalans ont fait la différence sur un 9-2 à 4 minutes de la fin, avec Heurtel qui filoche de loin.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"ASVEL: Débuts différés pour Alexis Ajinça" }, {"role": "assistant", "content":"Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) ne fera pas ses débuts ce soir à Nanterre indique Le Progrès. Une décision prise en commun par le staff technique et le staff médical de l’ASVEL.\\n\\nLe Stéphanois sera opérationnel pour le samedi 19 janvier à Villeurbanne contre Cholet.\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Italie: Yakhouba Diawara ne portera pas finalement le maillot de Baltur Cento" }, {"role": "assistant", "content":"Yakhouba Diawara (1,98m, 36 ans) ne portera pas le maillot de Baltur Cento. Alors qu’il a pourtant joué 9 matches cette saison avec l’ESSM Le Portel, l’ancien international a été jugé inapte lors des tests médicaux.\\n\\nPour remplacer James White, le club de Serie A2 italienne pourrait faire venir le shooteur letton Rihards Kuksiks qui est actuellement en deuxième division grecque." }, {"role": "user", "content":"N1: Une cagnotte sur leetchi pour venir en aide au club de Saint-Quentin" }, {"role": "assistant", "content":"C’est actuellement à la mode... Et un supporter du club, Cédric Dupront, a lancé une cagnotte en ligne sur leetchi pour venir en aide à SQBB car il n’imagine pas la ville de Saint-Quentin sans lui.\\n\\nA cette heure, un peu plus de 600 euros ont été récoltés et les supporters ont jusqu’à la fin du mois pour verser leur obole.\\n\\nA l’annonce de cette initiative, Laurent Prache, président de SQBB a réagi en s’adressant aux fans:\\n\\n« Chers supporters,\\n\\nTout d’abord je tiens à remercier chacun d’entre vous pour le soutien sans faille que vous nous apportez en ces moments difficiles pour le club.\\n\\nVoici quelques précisions :\\n\\n1/ La sanction de la CCG\\n\\nJe comprends que la perte de points révolte beaucoup d’entre vous, mais la CCG ne fait que remplir sa mission, les points qui sont reprochés au club sont incontestables.Une sanction était de toute évidence inévitable, comment la blâmer ?La procédure d’appel de la décision est en cours, nous espérons une minoration de la sanction...je vous tiendrai au courant de la suite donnée à notre requête.\\n\\n2/L’affaire opposant le club à Thomas Larrouquis\\n\\nCe dossier étant en cours, nous avons un devoir de réserve quant à la suite qui sera donnée au dossier.\\n\\n3/ La cagnotte des supporters\\n\\nNous sommes tous très touchés par cet élan de solidarité, bien qu’il me semble injuste que ce soit aux supporters d’assumer une partie des erreurs de gestion du passé.Néanmoins s’il est important pour vous de venir en aide au SQBB, nous ne pourrons qu’être fiers et honorés d’être à ce point soutenus et je ne manquerai pas d’en faire part lors de l’audition en Chambre d’Appel de la FFBB.\\n\\nUne chose est sûre, à Saint-Quentin, entre le SQBB et son public, c’est une histoire d’amour qui dure depuis des dizaines d’années et qui n’est pas près de s’arrêter 💙⚪️💙\\n\\nMerci à tous\\n\\nVive SQBB!!!!\\n\\nLaurent PRACHE »" }, {"role": "user", "content":"Fos/Mer: Une suspension et des blessés, les Provençaux sont dans une mauvaise passe" }, {"role": "assistant", "content":"Les nuages noirs s’accumulent au-dessus du Fos Provence Basketball. Premier point, la suspension pour six matches fermes (plus deux avec sursis) pour Malik Hairston suite à son altercation avec le manceau Cameron Clark. Or l’ailier américain est avec 14,4 points le meilleur marqueur de l’équipe.\\n\\nSecond dossier, les blessures. L’international bahaméen Jaraun Burrows (8,5 points et 3,3 rebonds) est sur le flan suite à une entorse à la cheville qui va probablement nécessiter une intervention chirurgicale. L’ailier Xavier Gaillou (2,2 points et 2,6 rebonds) souffre également au niveau de la cheville. Il ne faut pas oublier l’absence continue de Tariq Kirksay en raison de douleurs dorsales. Le vétéran n’est pas encore apte à reprendre la compétition.\\n\\nLe match de ce soir à Pau ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices et le coach Rémy Giuitta est en éveil.\\n\\n« Le technicien fosséen active depuis quelques jours son réseau pour enrôler un nouveau meneur et un nouvel intérieur. Mais pour l’heure, rien de neuf à l’ouest de l’étang. Fos PB, n’aura d’autre résolution que de s’accrocher dans le Béarn pour signer un exploit », écrit La Provence.\\n\\nRappelons que Fos est actuellement avant-dernier au classement en compagnie de Cholet avec une victoire en plus vis à vis d’Antibes.\\n\\nPhoto: Xavier Gaillou (Fos)" }, {"role": "user", "content":"Laurent Pluvy (Roanne): «Un grand match pour une reprise»" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne ne s’est pas laissé faire à la Halle André-Vacheresse face à Lille l’emportant 90-81 même si l’adversaire a été collant toute la partie.\\n\\n«Après 10 jours d’arrêt, il fallait retrouver du physique, du dynamisme, c’était pas facile car ils nous ont mis en difficulté, ils ont fait un bon match. Collectivement on a réussi à faire la différence en deuxième mi-temps. Quand on a commencé à défendre dur à cinq, on avançait sur eux, c’est à ce moment là qu’on a fait une petite différence. Tout le monde a participé à cette victoire. On se connait, on sait qu’il ne faut pas s’affoler, on joue à domicile, le public nous a aidés aussi. On est en confiance, il y a de la sérénité entre nous », a commenté Ferdinand Prénom en conférence de presse.\\n\\nAvec 16 points, 5 rebonds et 5 passes, l’arrière américain David Jackson (1,92m, 32 ans) s’est montré le Choralien le plus complet. Le coach Laurent Pluvy s’est félicité de la bonne tenue de son équipe:\\n\\n« Ca a été un grand match de basket pour un match de reprise, du très haut niveau avec une équipe de Lille très en rythme. Même s’ils ont eu un début de saison difficile, ils sont revenus à un super niveau. S’imposer comme on l’a fait ce soir, sans paniquer, je suis extrêmement satisfait. On a été solide même si on prend 81 points, c’est dans la lignée d’Orléans et de Rouen face à une forte opposition. On sait que le mois de janvier est hyper exigeant. On a très bien défendu demi-terrain, mais on n’avait pas prévu que Taccoen (NDLR: 14 points et 10 rebonds) nous fasse la chanson comme ça en première mi-temps. Globalement, on a été là dans leur passing game, mais on n’a pas tenu le poste bas, ce qui est rarissime chez nous cette saison. Il a fallu s’adapter.\\n\\nLe coach roannais a déjà le derby de la Loire dans sa ligne de mire:\\n\\n« Je suis satisfait d’avoir livré une bataille comme ça, car on sait que ce sera la même chose à Saint-Chamond mardi. Ils nous punissent régulièrement, mais Lille nous a bien préparés. La préparation va être la même, mais il faut que mentalement on vienne avec le couteau entre les deux. Il faut qu’on soit conquérent là-bas. Cette année ils ont un effectif de très très haut niveau, ils feront top 3, ils sont du niveau d’Orléans. Il va falloir être très très fort. Mais au moins on est sur nos gardes, plus que les saisons précédentes où on pensait qu’on était supérieur.»\\n\\nPhoto: David Jackson (Chorale)" }, {"role": "user", "content":"Turquie : Adrien Moerman, Rodrigue Beaubois et Joffrey Lauvergne sélectionnés pour le All Star Game" }, {"role": "assistant", "content":"Le dimanche 20 janvier aura lieu au Sinan Erdem Dome d’Istanbul le All Star Game turc et la France sera plutôt bien représentée avec trois joueurs. La ligue turque vient de dévoiler les noms des joueurs convoqués.\\n\\nDu côté de l’équipe dite européenne, coachée par Ergin Ataman (Anadolu Efes), Adrien Moerman sera dans le cinq de départ tandis que son coéquipier à l’Anadolu Efes sera également présent sur le banc de cette sélection. Aux côtés de l’ancien limougeaud dans le cinq : Dogus Balbay (Anadolu Efes), Emir Preldzic (Bahçeşehir Koleji), Kartal Özmızrak (Darüşşafaka Tekfen) et Semih Erden (İstanbul BBSK). Sur le banc avec Rodrigue Beaubois on pourra retrouver Devin Williams (Arel Üniversitesi Büyükçekmece), Quino Colom (Bahçeşehir Koleji), Jason Rich (Beşiktaş Sompo Japan), Robin Benzing (Beşiktaş Sompo Japan), Aaron Harrison (Galatasaray) et Göksenin Köksal (Galatasaray).\\n\\nEn ce qui concerne le troisième français qui sera présent au All Star Game il s’agit de Joffrey Lauvergne (Fenerbahce). L’ancien joueur du Partizan Belgrade démarrera la rencontre sur le banc aux côtés de Cevher Özer (Afyon Belediyespor), Marko Guduric (Fenerbahçe Beko), Shaq McKissic (Gaziantep Basketbol), Berk Uğurlu (Pınar Karşıyaka), Berkan Durmaz (Tofaş) et Sylven Landesberg (Türk Telekom). Alp Karahan (Adatıp Sakarya BŞB), Şehmus Hazer (Banvit), Ali Muhammed (Fenerbahçe Beko), Assem Marei (Pınar Karşıyaka) et Kenny Gabriel (Türk Telekom) composent le cinq de départ. Cette sélection sera coachée par Burak Gören (Turk Telekom).\\n\\nCette saison en championnat, Adrien Moerman, Rodrigue Beaubois et Joffrey Lauvergne compilent respectivement 16,1 points et 10 rebonds, 12,7 points, 2 rebonds et 2,5 passes décisives, et 13,5 points et 6,4 rebonds.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: Gédéon Pitard (Châlons-Reims) rêve d’une qualification du Cameroun et d’y emmener Joël Embiid" }, {"role": "assistant", "content":"Le Cameroun est dans une situation originale. Il ne va pas participer le mois prochain à la seconde manche du Groupe F -le Sénégal sera l’hôte du Nigeria, de la République centrafricaine, de la Côte d’Ivoire, du Rwanda et du Mali-, mais il peut quand même se qualifier pour la Coupe du monde.\\n\\nComment ? Grâce à leur victoire sur l’Egypte en décembre, les Lions Indomptables sont au troisième rang du Groupe E avec 7 victoires et 5 défaites, ce qui peut être suffisant pour prendre le meilleur troisième rang des Éliminatoires Zone Afrique et décrocher ainsi un ticket pour la Chine. Ils auront ainsi les deux yeux braqués sur Dakar espérant que derrière le Nigeria, déjà qualifié, et le Sénégal, probable deuxième, la Côte d’Ivoire et/ou la République Centre Africaine ne vont pas leur couper l’herbe sous le pied.\\n\\nInterrogé par le site de la FIBA, le meneur de Châlons-Reims, Gédéon Pitard, est impatient d’en savoir plus :\\n\\n« Je me réjouis de regarder ces matchs à la TV en février. Je sais que c’est dur d’attendre les résultats des autres équipes, mais comme je l’ai dit à mes coéquipiers : « Nous ne sommes pas encore qualifiés, nous devons faire preuve de patience et rester calmes ». Je ne serai soulagé que quand je lirai les nouvelles sur internet qui confirmeront notre participation à la Coupe du Monde en Chine. Ce serait probablement le plus grand moment de l’histoire du basket masculin de notre pays. Jouer sur la scène mondiale est une opportunité unique, et si nous avons la chance de le faire, nous ferons tout pour que les gens autour de nous soient fiers et nous nous battrons à chaque match pour montrer que nous avons notre place à ce si haut niveau. »\\n\\nGédéon Pitard a disputé 11 des matches de qualification pour 4,8 points et 1,7 rebond. L’autre figure bien connue de la Jeep Elite à prendre part à ses qualifs est le Strasbourgeois Jérémy Nzeulie qui est le deuxième scoreur de la sélection avec 12,1 points plus 2,7 passes et 2,4 rebonds.\\n\\n« Nous aurons une sélection très compétitive en Chine, qui ne sera pas là pour faire du tourisme, mais plutôt pour rivaliser avec tous ses adversaires et montrer ce que notre talentueuse équipe est capable de réussir. »\\n\\nEn fait, Gédéon Pitard espère qu’une qualification au Mondial convaincra trois Camerounais d’envergure mondiale de rejoindre les Lions indomptables : Pascal Siakam (2,06m, 24 ans, Toronto Raptors), Luc Mbah a Moute (2,03m, 32 ans, Los Angeles Clippers) et celui qui est l’un des meilleurs joueurs de NBA et qui a par ailleurs des contacts avec les Bleus, Joël Embiid (2,13m, 24 ans, Philadelphia Sixers), qui tourne à 26,9 points et 11,1 rebonds dans la ligue américaine.\\n\\n« Ajouter du talent à l’équipe est ce que chaque pays essaiera de faire. Luc a déjà joué en sélection nationale senior, et Joël et Pascal sont extrêmement talentueux, donc oui, les avoir avec nous serait évidemment une excellente chose pour nous. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Sergii Gladyr (Monaco) avant le derby face à Antibes: «Ce n’est jamais un rendez-vous comme les autres»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASM Monaco et les Sharks d’Antibes s’affrontent ce soir en Principauté pour le premier derby azuréen de la saison.\\n\\nLanterne rouge de Jeep Elite, les Sharks restent sur une défaite à domicile face à Gravelines-Dunkerque (66-78). Pour ce derby, le coach Julien Espinosa pourra compter sur son duo incontournable : Taurean Green (12,2 points, 3 rebonds et 5,3 passes) / Tim Blue (14,1 points, 5 rebonds et 2,2 passes). Arrivé début novembre dans le club azuréen, Green a récemment prolongé son contrat jusqu’en juin 2020. L’intérieur américano-nigérian Chris Otule (2,11m, 28 ans) en a fait de même.\\n\\nLes Roca Boys, de leur côté, restent sur une victoire à l’arrachée mardi dernier en EuroCup, 75 à 70. Face au Rytas Vilnius, Elmedin Kikanovic (15 points) et les siens ont vraiment tout donné, notamment dans le dernier quart temps où ils ont infligé un +9 aux Lituaniens (28 à 19).\\n\\nIl s’agit du septième derby de la Côte d’Azur depuis 2015 entre les deux équipes. À ce jour, le bilan penche nettement pour l’équipe du Rocher avec 5 victoires pour 1 défaite. Seul joueur des deux camps, ce samedi, à avoir disputé la totalité des derbys, Sergii Gladyr (1,96m, 30 ans, qui a vu son contrat prolongé jusqu’à la fin du mois, explique comment aborder ce match particulier :\\n\\n« Un derby, à la base, il n’y a que deux options : le gagner, ou le gagner. Ce n’est jamais un rendez-vous comme les autres. Les fans l’attendent avec impatience. Les deux équipes le ressentent et mettent beaucoup de fierté sur le parquet. En temps normal, déjà, la Jeep Elite est une Ligue où tout peut arriver... Le derby, c’est le degré au-dessus, le classement ne compte pour rien au coup d’envoi. Les compteurs sont remis à zéro ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"EuroCup – Top 16 : l’Asvel parmi les trois équipes invaincues" }, {"role": "assistant", "content":"Valence, Andorre et l’Asvel : les trois dernières équipes invaincues après deux journées seulement comportent toutes trois de belles connexions avec la France. Et pour cause, Valence a même battu Limoges pour s’offrir ce bilan de 2 victoires en 2 matchs. Et Andrew Albicy (21 points, 4 passes) a encore été diabolique derrière l’arc pour porter son équipe d’Andorre à un 2e succès de rang.\\n\\nQuant à l’Asvel, elle s’est imposée non sans avoir douté avec un très bon Amine Noua (16 points) et Théo Maledon et Charles Kahudi (11 points) au soutien. Par ailleurs, Mathias Lessort (16 points et 25 d’éval’) s’est lui aussi bien éclaté dans la victoire de Malaga avec un dunk et un contre à retrouver dans le Top 10... tout comme une finition spectaculaire de Bandja Sy !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nJamel McLean (19 points, 4 interceptions, 3 rebonds)\\n\\nFacile vainqueur de Francfort en Allemagne (après sa défaite initiale contre l’Asvel), le Lokomotiv Krasnodar peut pour le coup remercier Jamel McLean. L’ancien de Milan et de l’Olympiakos n’a pas raté grand-chose avec 19 points à 5/6 aux tirs et un parfait 9/9 aux lancers.\\n\\nAvec un record en carrière aux interceptions (4) pour ne rien gâcher, McLean a été au coeur d’un 18-2 qui s’est avéré fatal à Francfort. A 31 d’évaluation au final, McLean égale son record en carrière établi plus tôt cette saison.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nMathias Lessort (16 points, 4 rebonds, 2 interceptions)\\n\\nAvec la 3e meilleure évaluation à 25, Mathias Lessort se voit récompensé de sa belle saison avec Malaga. Toujours aussi féroce au dunk, l’intérieur tricolore a encore été ultra efficace dans la victoire de son club face à l’Etoile Rouge de Belgrade, son ancien club !\\n\\nIl a inscrit 16 points en tentant 6 tirs seulement... et en en réussissant 5 ! Avec un 6/9 aux lancers, Lessort a aussi été solide mentalement. Ce ne sont que deux petits matchs, mais à 14 points et 7 rebonds de moyenne sur ce Top 16, Lessort sait se montrer à son avantage.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n9 points en 10 minutes\\n\\nCe sont les stats d’Antoine Diot pour sa 1ère titularisation de l’année dans la victoire de Valence à Limoges. Le meneur international a enfin retrouvé quelques sensations sur les planches, avec une interception conclue au layup et un trois points juste à la fin du 3e quart.\\n\\n« Diot a montré beaucoup de confiance ces dernières semaines à l’entraînement et on voulait le titulariser, » a expliqué Jaume Ponsarnau après le match. “Il ne peut pas encore jouer beaucoup de minutes mais il a déjà montré qu’il pouvait beaucoup aider l’équipe. Pas seulement par son talent offensif mais aussi défensif. »\\n\\n\\n\\n\\n.@albertoabalde6 comes up with a steal and @DiotAntoine punishes @limogescsp with a quick transition triple to end the third!@valenciabasket | #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/X5lxl2xpRw\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) January 9, 2019\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’Asvel tient bon\\n\\nUlm déboulait en surnombre en contre attaque avec David Kraemer qui hérite du cuir à l’approche du cercle. Mais DeMarcus Nelson (14 points, 4 rebonds) a sorti les biscotos avec un contre énormissime. Bousculée jusqu’au bout avec un trois points (qui aurait pu entrainer un lancer supplémentaire) de Katin Reinhardt (14 points) dans les dernières secondes, l’Asvel a tenu bon pour un 2e succès en 2 matchs (93-89).\\n\\nCette fois-ci, c’est un effort collectif bien emmené par Amine Noua (16 points) qui a permis à la troupe de Coach Mitrovic de garder la bonne dynamique. Théo Maledon et Charles Kahudi apportent chacun 11 points, comme Miro Bilan en double double, 11 points, 11 rebonds.\\n\\nLe CSP chute à domicile\\n\\nRelégué à 14 longueurs en début de dernier quart, le CSP Limoges a poussé avec son public et un bon William Howard (15 points) dans le final, mais c’est bien Valence qui s’impose à Beaublanc (79-74). C’est la 6e victoire de suite de Valence avec 15 points de Will Thomas et un double double de Bojan Dubljevic (12 points, 12 rebonds).\\n\\nAntoine Diot (9 points) a également profité d’un retour dans l’Hexagone pour réaliser sa meilleure sortie depuis son retour de blessure. Louis Labeyrie est lui resté muet alors que Axel Bouteille a de nouveau été fidèle au poste avec 12 points. Le CSP en est donc à 2 défaites en 2 matchs...\\n\\nMonaco redresse la barre\\n\\nMalgré un déficit hallucinant de 20 rebonds, Monaco a réussi à s’imposer sur le fil contre Vilnius pour s’offrir la première victoire de son histoire en Top 16 EuroCup (75-70). Paul Lacombe et Yakuba Ouattara dans le dur en adresse, la Roca Team a compté sur ses intérieurs, Jarrod Jones (15 points, 8 rebonds) et Elmedin Kikanovic (15 points), pour se défaire d’accrocheurs Baltes.\\n\\nIl faut dire que Rytas a perdu 20 ballons, soit 10 de plus que Monaco... Le jeune pivot lituanien, Martynas Echodas (13 points, 5 rebonds) a été le meilleur joueur de Vilnius. Après son calvaire de la semaine passée (2/20), Monaco finit à 5/23 à trois points. Du progrès mais encore beaucoup de marge !\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 21 points (6/13 aux tirs), 4 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 16 points (5/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 16 points (6/11 aux tirs), 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 15 points (5/7 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 26 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 12 points (5/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 contre en 26 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 11 points (3/4 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 11 points (3/8 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds en 25 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 10 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 interception en 23 minutes\\n\\nAlpha Kaba (Asvel) : 9 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 passe, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 9 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception en 10 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 4 points (1/8 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 5 balles perdues en 31 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (M0naco) : 2 points (0/4 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 18 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 0 points (0/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 14 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 2e journée\\n\\nGROUPE E\\nMonaco – Vilnius (75-70)\\nPartizan Belgrade – Alba Berlin (78-66)\\n\\nGROUPE F\\nFrancfort – Krasnodar (69-92)\\nASVEL – Ulm (93-89)\\n\\nGROUPE G\\nMalaga – Etoile Rouge (79-74)\\nCSP Limoges – Valence (74-79)\\n\\nGROUPE H\\nSt Pétersbourg – Zagreb (98-84)\\nAndorre – Kazan (86-80)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLes bilans du Top 16 :\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nJamel McLean (19 points, 4 interceptions, 3 rebonds)\\n\\nFacile vainqueur de Francfort (après sa défaite initiale contre l’Asvel), le Lokomotiv Krasnodar peut pour le coup remercier Jamel McLean. L’ancien de Milan et de l’Olympiakos n’a pas raté grand-chose avec 19 points à 5/6 aux tirs et un parfait 9/9 aux lancers.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Malik Hairston (Fos), 6 matches, Edgar Sosa (Gravelines), 3 matches, et Cameron Clark (Le Mans), 1 match, sanctionnés par la LNB" }, {"role": "assistant", "content":"La Commission Juridique et de Discipline de la LNB a frappé fort lors de sa séance du jeudi 10 janvier.\\n\\nMalik HAIRSTON (FOS) écope de 6 matches fermes de suspension assortis de 2 matches avec sursis pour un début de bagarre avec Cameron CLARK (LE MANS) qui lui se voit infliger 1 match ferme et un autre avec sursis.\\n\\nCes suspensions prennent effet pour le prochain match.\\n\\nEdgar SOSA (GRAVELINES) prend 3 matches fermes plus 1 match avec sursis et 2 000 euros fermes.\\n\\nLa suspension du Gravelinois prendra effet quand il sera remis de sa blessure.\\n\\nD’autres amendes mineures ont également été distribuées.\\n\\nVoir les détailes ICI.\\n\\nPhoto: Malik Hairston (Fos)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : l’incroyable passe de Marine Johannes pour Cristina Ouviña" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la victoire de Bourges face à Polkowice (76-65) en Euroleague féminine, deux joueuses se sont particulièrement montrée du côté Tango, il s’agit de Marine Johannes et Cristina Ouviña.\\n\\nCe sont ces deux joueuses-là que l’on retrouve d’ailleurs sur les images de l’action du match. 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Une passe à la cuillère pour passer la moitié du terrain et envoyer sa coéquipière au lay-up en contre-attaque.\\n\\nSur le match, Marine Johannes et Cristina Ouviña ont respectivement compilé 25 points et 5 passes pour une évaluation de 25, et 20 points, 7 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation 29.\\n\\n\\n\\n\\n😱 La passe \\à la cuillère\\ incroyable de @MarineJ5 en #EuroleagueWomen ! #ActionDuMatchIntersport #FiertéTango pic.twitter.com/KGzamNE9G7\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) January 11, 2019\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Georgios Printezis devient le 5e meilleur scoreur de l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la défaite de l’Olympiakos sur le parquet du Real Madrid (94-78), Georgios Printezis (2,06m, 33 ans) a un peu plus écrit sa légende dans la compétition.\\n\\nAvec 12 points en 26 minutes de jeu, l’international grec a atteint les 2812 points marqués en carrière en Euroleague, dépassant ainsi Milos Teodosic pour prendre la cinquième place du classement. 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Ils et elles sont les Bleu(es) à suivre tout particulièrement en 2019. Dans cinq ans ce sont les Jeux Olympiques à Paris et ils et elles sont à même d’être les piliers de nos sélections nationales.\\n\\nVoici la deuxième partie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJaylen Hoard\\n\\n2,03m – 1999 – Poste 3-4 – Wake Forest (NCAA)\\n\\n10 novembre. Son premier match universitaire face à North Carolina A&T : 19 points, 13 rebonds et 3 passes alors que son compatriote et équipier Olivier Sarr assurait 12 points et 9 rebonds. Alors que celui-ci rentrait un peu dans le rang (6,2 points et 5,4 rebonds), Jaylen a suivi le même sillon jusqu’au début de l’année : 15,3 points (49,1% de réussite) et 7,8 rebonds avec un record de 23 points et 15 rebonds face à Cornell le 3 janvier. Impressionnant pour un freshman dans une conférence très réputée, l’ACC. Fils d’un Américain, Antown, qui a fait l’essentiel de sa carrière en France dans différentes divisions et de Katia Foucade, vice-championne d’Europe en 1993, et frère de Anaïa, championne d’Europe U16, alors que sa marraine est Edwige Lawson et son parrain James Wade, Jaylen, né au Havre, a commencé par l’INSEP avant de bifurquer vers les Etats-Unis par le biais d’une high school de Caroline du Nord. Un prospect 5 étoiles en Europe et aux USA attendu au premier tour de la prochaine draft.\\n\\nMarine Johannès\\n\\n1,77m – 1995 – Poste 2 – Tango Bourges\\n\\nLa basketteuse la plus excitante jamais produit par le basket français. Des gestes uniques. Le shoot, la passe, tout est majestueux. Une ballerine qui sautille gracieusement. Celui ou celle qui n’aime pas le jeu de Marine Johannès n’aime pas le basket. La Normande née à Lisieux et qui a joué à Pont-l’-Evêque tout comme Nicolas Batum n’est plus seulement une artiste, elle est devenue très rentable en se forgeant un nouveau statut à Bourges et en Euroleague. En deux ans, elle est passée de 7,7 à 14,0 aux points et de 6,6 à 12,8 à l’évaluation avec une adresse à trois-points qui tourne chaque année autour des 43%. Elle a réduit sa dose de déchets dans le jeu tout en conservant une certaine insouciance, elle qui est si culottée sur un terrain alors qu’elle est très timide en dehors (mais elle se soigne). Dans le Cinq idéal de la LFB en 2018, elle peut décrocher cette fois le trophée de MVP. Un bémol : sa production à la Coupe du monde (10,6 points, 40% de réussite aux tirs) n’a pas été à la hauteur des espérances qui sont évidemment très élevées.\\n\\nMatthias Lessort\\n\\n2,05m – 1995 – Poste 5 – Unicaja Malaga (Espagne)\\n\\nLes quatre matches qu’il a disputé lors des fenêtres internationales lui ont permis de marquer des points dans la quête d’une place sur le banc à la Coupe du monde en Chine. Il y a les stats (8,8 points, 5,8 rebonds, 15 d’évaluation) et aussi l’impression de puissance et de dons athlétiques au-dessus de la moyenne. Visiblement coach Vincent Collet considère avec attention son profil différent, tonique, agressif, altruiste, donc complémentaire des 7 pieds (Gobert, Fall, Poirier). Mathias Lessort, qui est aussi une sorte d’ « ambianceur » dans un groupe, est l’un des nombreux produits du centre de formation de l’Elan Chalon mais c’est à Nanterre puis à l’étranger que le Martiniquais a décollé. En Euroleague à l’Etoile Rouge de Belgrade et à Malaga en Eurocup (9,7 points et 4,9 rebonds). Peut-être pas une étoile, mais une équipe nationale a besoin aussi de joueurs plus obscurs, de soutiers.\\n\\nThéo Maledon\\n\\n1,92m – 2001 – Poste 1 – LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\nLa hype en décembre autour de ce jeune homme de 17 ans est sans précédent... Y compris à l’époque pour Tony Parker. Son QI basket, ses choix judicieux, ses fondamentaux, l’ont placé dans la lignée des joueurs français les plus précoces de l’histoire : Alain Gilles, Hervé Dubuisson, Antoine Rigaudeau et donc TP. Alors qu’il avait eu droit à une poignée de minutes la saison dernière, il est passé à 17’ de temps de jeu moyen en Jeep Elite alors que le meneur titulaire, Mantas Kalnietis, est celui de l’équipe nationale de la Lituanie. De plus, il opère dans l’équipe qui domine le championnat de France et qui peut prétendre à aller très loin en Eurocup. Le Normand est devenu le plus jeune all-star de tous les temps. Le tout sans esbroufe, avec le plus grand naturel. Son sang-froid est caractérisé par sa réussite aux lancers-francs : 48/52 si l’on cumule les deux compétitions. On attendait Killian Hayes, c’est donc son équipier en équipe de France U17 vice-championne du monde Théo Maledon que l’on voit en pleine lumière. Avoir Zvezdan Mitrovic comme coach est pour lui une bénédiction. On l’imagine très bien entrer chez les Bleus à la prochaine fenêtre de février. Et ensuite ? Le ciel est la limite comme disent les Américains.\\n\\nAmine Noua\\n\\n2,03m – 1997 – Poste 4 – LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\nLa retraite de Boris Diaw laisse un trou béant au poste 4 en équipe de France, au point que coach Collet envisage sérieusement d’y installer à temps partiel Nicolas Batum. Louis Labeyrie ? Joffrey Lauvergne ? Amath Mbaye ? Adrien Moerman ? Personne ne s’impose vraiment, tout le monde à sa chance. Bien qu’il n’ait aucune expérience en NBA ou en Euroleague et qu’il ne compte que cinq sélections, le Villeurbannais pourrait être l’homme de la situation. Intérieur sérieux, capable d’aller au large, il n’aura que 22 ans en février. Bref, encore du temps devant lui. Jusque-là ce Lyonnais pure souche, qui n’a connu que l’ASVEL, a mené sa barque dans la discrétion mais en équipe de France jeune il était toujours le numéro 1 de l’équipe à l’évaluation, termina 4e marqueur au championnat du monde U17 en 2014, et trois ans plus tard, il était inclus dans le Cinq Majeur de l’Euro U20. Pas mal, non ? Il doit tout de même soigner son adresse au-delà de la ligne à trois-points (23,9%).\\n\\nFrank Ntilikina\\n\\n1,98m – 1998 – Poste 1-2 – New York Knicks (NBA)\\n\\nSa draft en 2017 avait fait un buzz incroyable. Il faut dire que son aventure avait tout pour plaire. Un jeune homme bien sous tous rapports qui remercie sa maman au moment de recevoir un prix à la Soirée de la Ligue, une famille qui a fui la guerre au Rwanda, un exil à Bruxelles puis à Strasbourg, MVP à l’Euro juniors, meneur mature à Strasbourg, intelligent, grand et avec des bras immenses (2,13m d’envergure), 8e choix de la draft, New York, un aller-retour pour continuer de jouer la finale de Pro A, des débuts prometteurs dans la ligue américaine. Une très belle success story. Après une saison de rookie d’adaptation, The French Prince était attendu pour élever son niveau. Seulement son coach David Fizdale lui reproche un manque d’agressivité offensive -il tourne à un médiocre 34,9% de réussite aux tirs- et pour les matches de Noël, il s’est retrouvé cloué sur le banc alors qu’il était entré 14 fois dans le Cinq de départ. C’est donc un point d’interrogation qui est suspendu au-dessus de sa tête. Mais il n’a que 20 ans... Dommage par ailleurs qu’il n’était pas disponible pour les Bleus lors de la fenêtre international estival.\\n\\nElie Okobo\\n\\n1,88m – 1997 – Poste 1-2 – Phoenix Suns (NBA)\\n\\nIl y a un an à même époque, soyons honnête, on n’imaginait pas le Bordelais là où il en est. Son culot, son sens du panier, sa vision du jeu, sa vitesse ont fait de ce gaucher un international. Son coup d’éclat face à Monaco en playoffs -44 points, la deuxième performance de l’histoire- a projeté définitivement sur lui la lumière avant qu’il ne se fasse drafter par les Suns... Juste un rang (31e) derrière ce qu’aurait souhaité Pau, son club formateur, pour empocher un beau chèque mérité. Etre sélectionné au deuxième tour ne garantit pas de contrat en NBA mais trois jours plus tard, Elie Okobo en signait un de quatre ans -les deux dernières années sont optionnelles- pour six millions de dollars. Depuis, c’est le zig-zag. Le côté pile, c’est 24 matches en NBA, 4 fois dans le Cinq, 6,2 points et 2,3 passes en moyenne. Le côté face, c’est le rejet en D-League pour 7 matches mais avec des stats fumeuses : 18,6 points, 7,9 passes, 4,6 rebonds. Une stratégie qui échappe à la logique européenne.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=MG53ZbJH-nA\\n\\nVincent Poirier\\n\\n2,13m – 1993 – Poste 5 – Baskonia Vitoria (Espagne)\\n\\nLorsqu’il était encore le DTN, Patrick Beesley était fier de son coup car Vincent Poirier moisissait sur le banc de Levallois lui qui avait été le meilleur rebondeur (10,8) du championnat espoir puis prêté à Hyères-Toulon. Grâce à une licence AS Haut Niveau, il a eu l’autorisation de jouer avec le Centre Fédéral en Nationale 1. Il en a profité pour se faire les dents (15,3 points et 9,3 rebonds en 9 matches). Le vrai déclic, c’est lorsque Freddy Fauthoux, qui venait de remplacer Antoine Rigaudeau, lui fit d’entrée confiance décelant qu’il avait sous la main une pépite. A partir de là, quelle réussite ! Le natif de Clamart aux bras couverts de tatouages, puissant, technique, déterminé, fait actuellement sa place dans une bonne équipe d’Euroleague (10,6 points, 7,4 rebonds). C’est encore la preuve que les big men ont besoin d’un peu plus de temps pour s’épanouir. La NBA peut être sa prochaine étape... après avoir gagné sa place pour la Coupe du monde.\\n\\nIliana Rupert\\n\\n1,93m – 2001 – Poste 5 – Tango Bourges\\n\\nLa prochaine Sandrine Gruda ? C’est comme ça que l’on peut aborder le dossier concernant la fille de Thierry Rupert disparu en 2013 avec la tentation de répondre instantanément : oui. La néo-Berruyère possède d’énormes qualités techniques, un gros QI basket. Elle passe le ballon comme une 4, peut tirer à trois-points, elle possède un sens inné de l’anticipation. MVP de l’Euro U16 puis dans le Cinq idéal du Mondial U17 alors qu’elle était gênée par des douleurs aux adducteurs. Iliana est passée sans transition de la Nationale 1 à l’Euroleague dans une équipe compétitive. Elle est donc dans une phase de transition. En 11’ de moyenne, elle en est à 2,1 points et 2,1 rebonds mais face à Braine avec davantage de temps de jeu, elle a démontré son savoir-faire. A 17 ans, elle est forcément encore tendre physiquement. Pourra t-elle gagner sa place comme cinquième intérieure pour le prochain Euro ? On prend au moins le pari qu’elle sera aux JO de Tokyo si la France s’y qualifie. Anecdote : Iliana a été formée dans le même club que Alexia Chartereau, aux JS Coulaines près du Mans.\\n\\nKillian Tillie\\n\\n2,08m – 1998 – Poste 3-4 – Gonzaga (NCAA)\\n\\nSi sa carrière comporte des pages blanches, c’est que Killian Tillie n’a pas été épargné par les grosses blessures. La dernière, une fracture de fatigue à la cheville droite, l’a privé de compétition pour tout le quatrième trimestre 2018. Le fils de l’entraîneur de l’équipe de France de volley, Laurent, et d’une internationale de volley néerlandaise, Caroline, frère du basketteur Kim et du volleyeur Kevin, a quand même réussi à être MVP de l’Euro U16 en 2014 et finaliste du Final Four NCAA en 2017 (9 rebonds en finale contre North Carolina). Il a manqué en 2018 le Final 16 en raison d’une blessure à la hanche après avoir démontré son expertise à trois-points (47,9% de réussite) pour 12,9 points en moyenne. Un bel athlète avec un gros moteur, du jump façon volleyeur qu’il fut avec succès à l’adolescence, pas encore assez costaud. Alors que les pros lui tendaient les bras, il a donc préféré accomplir son année de junior à Gonzaga. Croisons les doigts pour que ses pépins physiques soient derrière lui. La réussite de sa carrière dépend beaucoup de ça.\\n\\nEN BONUS\\n\\nAttention, c’est le dernier été avant les Jeux Olympiques et à Tokyo le 3×3 y sera pour la première fois convié. Pour y être sélectionné, il faut avoir un maximum de points au ranking FIBA et les filles ont actuellement un très net avantage sur les garçons. C’est simple, les Bleues squattent 6 des 10 premières places mondiales ; les Chinoises se partageant le reste. Toutes sont des joueuses de Ligue Féminine et n’y sont pas des figurantes: Marie-Eve Paget (1ère , Charleville) Caroline Hériaud (3e, La Roche/Vendée), Marie Mané (4e, Lattes-Montpellier), Mamignan Touré (5e, Basket Landes), Assitan Koné (7e, Mondeville) et Victoria Majekodunmi (9e, Landerneau). Quelques autres ne sont pas loin : Alice Nayo (19e, Chartres, LF2), Jenny Fouasseau (29e, Saint-Amand) et Ana Maria Filip (34e, Charleville). Pour décrocher l’une des trois places, la concurrence interne va être terrible. En ce mois de janvier 2019, le 3×3 n’est pas encore très exposé et les performances des Bleues pas encore vraiment appréciées. Mais quand au petit matin elles apparaitront sur les écrans en direct de Tokyo, leur labeur durant plusieurs mois dans l’obscurité aura payé.\\n\\n[armelse]\\n\\nJaylen Hoard\\n\\n2,03m – 1999 – Poste 3-4 – Wake Forest (NCAA)\\n\\n10 novembre. Son premier match universitaire face à North Carolina A&T : 19 points, 13 rebonds et 3 passes alors que son compatriote et équipier Olivier Sarr assurait 12 points et 9 rebonds. Alors que celui-ci rentrait un peu dans le rang (4,2 points et 3,6 rebonds), Jaylen a suivi le même sillon jusqu’au début de l’année : 15,2 points (50,4% de réussite) et 7,7 rebonds avec un record de 23 points et 15 rebonds face à Cornell le 3 janvier. Impressionnant pour un freshman dans une conférence très réputée, l’ACC. 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Une mesure punitive... le jour de son anniversaire et alors que sa mère était dans les tribunes.Pourquoi le coach François Peronnet l’a t-il laissé languir sur le banc? Il dit ne pas savoir au Populaire.\\n\\n« Mercredi (hier), c’était mon anniversaire et c’est la seule chose dont je veux me souvenir. J’essaie d’effacer ce match de ma mémoire parce que je ne peux pas expliquer ce qu’il s’est passé. Je ne peux pas vous donner d’explication. Je joue au basket depuis un long moment à travers le monde. J’ai joué à un haut niveau. Je suis un homme respectueux de tout le monde. Je n’ai jamais connu un tel manque de respect de la part du basket, un sport pour lequel je donne beaucoup d’énergie tous les jours aux entraînements. (...) J’ai eu quelques pépins physiques au tendon d’Achille le week-end dernier. Mais cela n’explique pas pourquoi je n’ai pas joué parce que mercredi, j’étais à 100 %. Ces dernières semaines, mon temps de jeu a beaucoup diminué. »\\n\\nEvidemment Samardo Samuels goûte peu à la situation:\\n\\n« Je m’interroge beaucoup. Il faut que quelqu’un me dise quel est le problème avec moi depuis ces dernières semaines. Je peux peut-être trouver le moyen de l’arranger. Si ce n’est pas possible, je ne veux pas, de nouveau, me retrouver dans une situation où le coach me parle mal. Je ne veux pas que les gens disent que Samardo est un mauvais gars. D’autant plus que j’adore jouer pour les fans d’ici. Ils me soutiennent énormément. »\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Un-contre-un Zachery Peacock (Bourg)-Mike Gelabale (Chalon)" }, {"role": "assistant", "content":"Le un-contre-un du jour proposé par la LNB oppose le MVP de Jeep Elite en titre Zachery Peacock (Bourg) et Mike Gélabale (Chalon). Rassurez-vous, c’est en anglais sous-titré pour l’Américain." }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Lyon, Montpellier, Nantes et Tarbes en huitièmes de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce à une courte défaite à Torun (77-81 avec 24 points et 22 rebonds pour l’Américaine Briana Day!), Nantes-Rezé s’est qualifié pour les huitièmes de finale de l’Eurocup où la France aura également Tarbes -qui était exempté du tour précédent-, l’ASVEL et Lattes Montpellier comme représentants.\\n\\nVoici les affrontements des huitièmes.\\n\\n(1) Lattes-Montpellier v (16) Reyer Venise\\n\\n(2) Cukurova Basketbol v (18) Besiktas JK\\n\\n(3) Spar Citylift Girone v (19) MBA Moscou\\n\\n(4) Tarbes GB v (20) MBK Ruzomberok\\n\\n(5) InvestInTheWest ENEA Gorzow v (12) Lyon ASVEL Feminin\\n\\n(6) KSC Szekszard v (11) Artego Bydgoszcz\\n\\n(7) Wisla CANPACK Cracovie v (23) Nantes-Rezeé\\n\\n(8) DVTK Miskolc v (9) Galatasaray\\n\\nLa manche aller se jouera les 23 et 24 janvier et le retour une semaine plus tard. Les quarts sont prévus les 14 et 21 février.\\n\\nPhoto: Amandine Michaud (Nantes-Rezé, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Heurtel et Séraphin à la parade à Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Le spectacle d’Euroleague ne s’arrête pas cette semaine, et alors que ça enchaîne aujourd’hui et demain, c’est Barcelone qui a fait la bonne affaire de cette fin de 17e journée. Thomas Heurtel (21 points, 6 passes) et Kevin Séraphin (16 points, 4 rebonds) ont effectivement brillé dans la 4e victoire de rang de la troupe catalane à Milan.\\n\\nPar ailleurs, la logique a été respectée avec des succès pour le CSKA Moscou, le Panathinaikos et le Maccabi Tel Aviv. Le clan tricolore a quant à lui régalé avec 7 joueurs en double figure dont 5 au-dessus des 16 points.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nBarcelone en impose\\n\\nEn déplacement à Milan, Barcelone enchaîne un 4e succès de rang (90-85). Avec Thomas Heurtel (21 points, 6 passes) qui termine meilleur scoreur et meilleur passeur de son équipe et Kevin Séraphin qui cumule 16 points et 4 rebonds, la paire française du Barça a fait le métier pour décrocher les Milanais en début de dernier quart, avec un trois points de Heurtel en première intention qui fait monter l’écart à +12.\\n\\nAdam Hanga (15 points, 5 rebonds, 3 interceptions) confirme également qu’il retrouve toutes ses aptitudes avec plusieurs dunks pour conclure ses interceptions. Pour Milan, Mike James a eu beau cumuler 20 points, 8 passes, 7 rebonds ; son équipe continue de chuter au classement (ça fait désormais 7 défaites sur leurs 9 derniers matchs)...\\n\\n\\nLe CSKA facile\\n\\nDans un duel d’extrêmes, le CSKA Moscou a facilement dominé son sujet contre Darussafaka (80-65). Un 15-4 initial aura pour ainsi dire suffi à écarter la troupe turque qui reste donc au fin fond du classement.\\n\\nNando De Colo (17 points en 19 minutes) a retrouvé toute son efficacité en sortie de banc et il meène un bel effort collectif fort de 5 performances en double figure. Preuve de la facilité du CSKA : un joli 70% de réussite à deux points !\\n\\n\\nLe Pana rebondit\\n\\nAprès sa défaite dans le derby contre Olympiakos, Panathinaikos a redressé la barre contre le Bayern Munich (77-67). Avec un record en carrière au scoring, Ioannis Papapetrou (18 points, 8 rebonds) et Nick Calathes (14 points, 11 passes) ont été les grands artisans d’une victoire qui s’est dessinée en 1ère mi-temps, avec un 16-2 à cheval sur les deux premiers quarts.\\n\\nDerrick Williams (21 points) a été bien esseulé du côté du Bayern, seul joueur à finir en double figure. Pana et Bayern en sont du coup au même point avec 8 victoires pour 9 défaites au bilan.\\n\\n\\nLe Maccabi garde espoir\\n\\nMalgré 25 points de Norris Cole, dont 18 en 1ère mi-temps contre son ancien club, Podgorica n’a pas résisté au Maccabi Tel Aviv (81-76). Au contact jusqu’en dernier quart, le Buducnost a pu compter sur un très bon Goga Bitadze (8 points, 8 rebonds) et 10 points d’Edwin Jackson.\\n\\nMais en fin de compte, Johnny O’Bryant et Scottie Wilbekin ont rentré les deux tirs à trois points qui ont tué les derniers espoirs de Podgorica. Le meneur termine à 16 points, meilleur scoreur de son équipe qui garde encore bon espoir de rallier les playoffs.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 23 points (9/17 aux tirs), 6 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 34 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 21 points (7/12 aux tirs), 6 passes, 1 rebond, 1 balle perdue\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 17 points (8/9 aux tirs), 12 rebonds en 29 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (6/8 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 16 points (7/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 12 points (5/11 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 16 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (3/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 2 points (1/1 au tir), 2 rebonds en 11 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 12 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 interception en 7 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris Kaunas) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAprès deux premiers matchs de folie pour commencer sa carrière Euroleague (17 points, 7 rebonds et 23 points, 8 rebonds), le pivot géorgien de 19 ans, Goga Bitadze (2m12, 112kg) est un peu retombé de son nuage mais il cumule tout de même 8 points et 8 rebonds. Et ce dunk de mammouth !\\n\\n\\n\\n\\nGoga Bitadze rolls off to throw down a MONSTROUS 'Dunk of the Night' 😤 pic.twitter.com/FjYyQ0YQzb\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 10, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 17e journée\\n\\nMardi 8 janvier :\\nKhimki Moscou – Fenerbahçe (84-78 ap)\\nZalgiris Kaunas – Efes Istanbul (58-79)\\nOlympiakos – Vitoria (91-87 ap)\\nGran Canaria – Real Madrid (67-75)\\n\\nMercredi 9 janvier :\\nDarussafaka – CSKA Moscou (65-80)\\nPanathinaikos – Bayern Munich (77-67)\\nMaccabi Tel Aviv – Podgorica (81-76)\\nMilan – Barcelone (85-90)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 18e journée\\n\\nJeudi 10 janvier :\\nEfes Istanbul – Khimki Moscou (18h)\\nFenerbahçe – Zalgiris Kaunas (18h45)\\nReal Madrid – Olympiakos (21h)\\n\\nVendredi 11 janvier :\\nCSKA Moscou – Maccabi Tel Aviv (18h)\\nPodgorica – Darussafaka (19h)\\nBayern Munich – Milan (20h30)\\nVitoria – Gran Canaria (20h30)\\nBarcelone – Panathinaikos (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nBarcelone en impose\\n\\nEn déplacement à Milan, Barcelone enchaîne un 4e succès de rang (90-85). Avec Thomas Heurtel (21 points, 6 passes) qui termine meilleur scoreur et meilleur passeur de son équipe et Kevin Séraphin qui cumule 16 points et 4 rebonds, la paire française du Barça a fait le métier pour décrocher les Milanais en début de dernier quart, avec un trois points de Heurtel en première intention qui fait monter l’écart à +12.\\n\\nAdam Hanga (15\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Jonathan Jeanne rebondit dans un autre club de LEB Oro" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son contrat avec Iberojet Palma a été rompu en décembre, Jonathan Jeanne (2,15m, 21 ans) a signé pour un autre club de la LEB Oro espagnol, le CB Prat.\\n\\nLe CB Prat est lanterne rouge du championnat, soit 18e avec 2 victoires et 14 défaites.\\n\\nJonathan Jeanne, qui souffre du syndrome de Marfan, a tourné à 4,3 points et 3,1 rebonds en 14 minutes et 14 matches avec Palma." }, {"role": "user", "content":"Alain Béral (président de la LNB) annonce un nouveau mercato, une nouvelle salle pour la Leaders Cup en 2020 et une meilleure visibilité TV à venir" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à lnb.fr, Alain Béral, le président de la Ligue Nationale de Basket aborde plusieurs dossiers majeurs concernant la Jeep Elite.\\n\\nAinsi, il évoque la médiocre qualité du match du dernier All-Star Game et son envie d’y remédier :\\n\\n« Les non spécialistes ont passé un très bon moment, l’animation et l’ambiance étaient au rendez-vous. Mais pour ce qui concerne le match, cela ne va plus du tout. Il n’y a plus du tout d’engagement des joueurs malgré notre briefing. Il faut trouver des solutions pour qu’on ait un intérêt sportif et qu’il soit aussi intéressant que le sont les concours de dunks, de trois-points et de meneurs. Il faut trouver la bonne formule pour palier ce problème du match. »\\n\\nDes projets de salle sont en cours aussi bien en Jeep Elite qu’en Pro B:\\n\\n« Il y a une grosse réflexion à Dijon sur un modèle privé-public. Des salles vont sortir comme à Chartres en centre-ville. Quimper a un projet. Cela prouve qu’ils ont confiance et qu’ils sont prêts à investir. Il ne faut pas oublier la salle de la Chapelle qui aura pour résident le club de Paris Basketball s’il arrive à monter en Jeep® ÉLITE. Autre bonne nouvelle, j’ai appris la semaine dernière que le club de Rouen allait intégrer la Kindarena en tant que club résident. »\\n\\nAlain Béral insiste sur le fait que les 23 résolutions qui font partie du plan stratégique de la LNB ont été lancées et que le développement du numérique est une priorité:\\n\\n« Des choses ont déjà été votées, comme le mercato (qui aura lieu sur deux périodes distinctes), et seront effectives à partir de la saison prochaine. D’autres prendront du temps, comme l’aspect de la formation du joueur et des centres de formation. On a lancé la consultation du marché pour mettre en place un socle numérique commun à l’ensemble des clubs et les accompagner dans leur stratégie digitale. On travaille sur la création d’autres journées thématiques comme les Journées de Noël pour permettre de rythmer la saison régulière et de poursuivre notre engagement sociétal. Bref, aucune des 23 résolutions ne sera mise en standby. »\\n\\nLe contrat avec Altice, maison mère de RMC Sport, court jusqu’en 2020 et le président Béral s’en dit très satisfait et une amélioration devrait intervenir au niveau de la visibilité:\\n\\n« Des discussions, il y en a tout le temps. On discute avec notre partenaire de la visibilité parce que cela fait partie du plan stratégique. Il y aura de bonnes nouvelles sur ce point, très vite dans le courant de cette saison. Le contrat prend échéance à la fin de la saison prochaine. On commence à se mettre en route, à recenser nos actifs, pour savoir ce qu’on veut mettre sur le marché. Il faut préciser qu’on est très satisfait du diffuseur actuel. Il fait très bien son travail. Les images sont belles, les commentaires sont bons. Il y a un gros suivi, une belle implication. Tout cela est un bien précieux pour nous. J’entends par là qu’on ne cherchera pas à casser quelque chose qui marche bien. On n’est pas agressif sur le sujet. »\\n\\nEnfin, Alain Béral annonce que la saison prochaine, pour la huitième édition de la Disneyland Paris® Leaders Cup LNB, une salle plus grande pourra accueillir équipes et spectateurs.\\n\\n« Aujourd’hui, on est très en avance sur les réservations pour l’édition à venir. Là aussi il y a un bon partenaire. Cet événement est bien ancré pour tout le monde. Les présidents de clubs tiennent à cet événement. »\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Vitoria sans Jayson Granger pour trois ou quatre mois" }, {"role": "assistant", "content":"Encore une mauvaise nouvelle du côté de Vitoria. Après avoir perdu Tornike Shengelia pour trois mois, c’est maintenant Jayson Granger (1,89m, 29 ans) qui rejoint l’infirmerie.\\n\\nSur son site, le Baskonia annonce que son meneur de jeu doit se faire opérer le jeudi 17 janvier d’une blessure à la cheville. Suite à cette opération, l’ancien joueur de l’Anadolu Efes sera indisponible entre trois et quatre mois. Ce milieu de saison est compliqué pour Vitoria, qui organise le Final Four d’Euroleague et qui voit ses chances de qualification s’amoindrir avec une timide dixième place au classement (7v-10d).\\n\\nCette saison, Jayson Granger compile en moyenne 6,9 points, 2,8 rebonds et 4,6 passes décisives pour une évaluation de 10,2 en ACB, et 7,2 points et 2,4 passes pour une évaluation de 5,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Céline Dumerc (Basket Landes), joueuse la plus complète de Ligue Féminine à 36 ans !" }, {"role": "assistant", "content":"Quel âge à Céline Dumerc? D’après sa date de naissance, le 9 juillet 1982, 36 ans.Mais en réalité ?\\n\\nA l’issue des matches allers de Ligue Féminine, la Landaise est première à l’évaluation, la donnée qui détermine statistiquement la joueuse la plus complète. Stupéfiant.\\n\\nAvec 20,3, Céline Dumerc, qui a abandonné son poste habituel de meneuse pour celui de shooting guard devance la révélation de la saison, Magali Mendy de Villeneuve d’Ascq (19,09) et l’Américaine du Hainaut Ashley Bruner (19,0).\\n\\nSes statistiques se composent en 14,5 points, 17/43 à trois-points, 4,3 rebonds, 5,7 passes, 2,0 interceptions pour 2,4 balles perdues.\\n\\nPour situer ces performances vis à vis des saisons antérieures, notons qu’il s’agit de sa meilleure moyenne de points en carrière et aussi de son meilleur pourcentage de réussite à trois-points depuis 2011-12 -la LFB ne publie pas les stats des saisons précédentes-, et de la deuxième au rebond.\\n\\nAlors, oui, on se demande si elle n’a pas falsifiée sa carte d’identité et si elle n’est pas née en fait en 1992 ! Plus sérieusement, ça mérite bien un bouquet de fleurs.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le coast to coast de Bria Hartley (Fenerbahçe)" }, {"role": "assistant", "content":"Lors du match face à l’Olympiakos, la meneuse française de Fenerbahçe Bria Hartley a réussi à grand renfort de dribbles un coast to coast, ce qui lui a permis de marquer au buzzer du premier quart-temps.\\n\\nBria Hartley a inscris un total de 21 points (7/13 aux tirs) et les Turques ont battu les Grecques, 76-68.\\n\\n\\n\\n\\nCoast to coast ✅\\nAnkle breaker ⛸\\nBuzzer Beater 🚨.@Breezyyy14 @fbkadinbasket @WNBA @nyliberty #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/7RCXbTzpxG\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) January 9, 2019" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde: En organisant la fenêtre de février, le Sénégal se donne un maximum de chances de décrocher un billet" }, {"role": "assistant", "content":"C’est le Sénégal qui a organiser du 22 au 24 février à la Dakar Arena la sixième et dernière fenêtre du Groupe F de la zone africaine.\\n\\nAlors que la Tunisie, le Nigéria et l’Angola sont déjà qualifiés pour la prochaine Coupe du monde en Chine, le Groupe F comprend le Nigeria (9 victoires, 0 défaite), le Sénégal (7-2), la République Centre Africaine (4-5), La Côte d’Ivoire (4-5), le Rwanda (3-6) et le Mali (3-6).\\n\\nLe Sénégal doit affronter le Rwanda, le Mali et le Nigéria et se donne ainsi le maximum de chances d’obtenir un sésame pour la Coupe du monde. Coaché par Abdou Ndiaye (ex-Villeneuve d’Ascq et Lille), les Lions ont comme forces majeures le meneur de Charleville Xave Dalmeida (8,2 points et 5,4 passes) et le pivot de Bourg Youssoupha Ndoye (11,7 points, 6,1 rebonds) sachant que le pivot des Minnesota Timberwolves Gorgui Dieng (18,3 points, 8,5 rebonds) n’est évidemment pas disponible.\\n\\nA noter que le capitaine de l’équipe, Maleye Ndoye (2,02m, 38 ans) s’est engagé avec le club suisse du BBC Nyon jusqu’à la fin de la saison 2019-20. Il était la saison dernière à Rueil en N1.\\n\\nPhoto: Youssoupha Ndoye (Bourg)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Basket Landes n’a pas fait d’exploit à Venise" }, {"role": "assistant", "content":"Comme malheureusement prévu, Basket Landes a été éliminé hier soir de l’Eurocup. Déjà battues à l’aller dans les Landes (68-77), les filles de Cathy Melain ont de nouveau subi la loi de Venise, 78-58.\\n\\nA remarquer que c’est encore une fois Céline Dumerc qui s’en est sortie le mieux du côté des Françaises avec le plus grand nombre de points de son équipe (16) et la meilleure évaluation (18).\\n\\nNantes-Rezé, vainqueur à l’aller 86-79, est ce soir à Torun, en Pologne, alors que Lyon reçoit le Spartak Vidnoje avec la qualification quasi en poche après son triomphe en Russie, 83-52.\\n\\nPhoto: Mamignan Toure (Basket Landes, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Equipes de France: Les 20 joueurs et joueuses à suivre en 2019 (1ère partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Ils et elles sont nées en 1992 et après. Ils et elles sont les Bleu(es) à suivre tout particulièrement en 2019. Dans cinq ans ce sont les Jeux Olympiques à Paris et ils et elles sont à même d’être les piliers de nos sélections nationales.\\n\\nVoici la première partie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nValériane Ayayi\\n\\n1,85m – 1994 – Poste 3 – USK Prague (République Tchèque)\\n\\nLa Bordelaise a pris deux décisions importantes l’été dernier. Un, elle a signé un contrat avec Las Vegas mais n’est pas allée en WNBA. Une ligue qu’elle connaît un peu pour y avoir joué 16 matches en 2013. Deux, après Basket Landes, Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Asq et Bourges, elle a choisi de s’expatrier en République Tchèque. On a l’impression de la voir à l’œuvre depuis des années alors qu’elle n’a que 24 ans. C’est qu’en 2013 après la médaille d’argent au championnat du monde U19, elle a enchaîné directement sur l’Euro des adultes en France. Athlétique, elle peut tout dynamiter dans un match comme passé parfois à travers. Mais deux signes sont révélateurs : Un, elle était la saison dernière dans le Cinq idéal de la Ligue Féminine avec comme seules autres Françaises Amel Bouderra et Marine Johannès et deux, elle a été championne les trois dernières saisons avec trois clubs différents. A Prague, dans une équipe qui n’a perdu qu’un seul de ses sept matches d’Euroleague, elle possède la troisième à évaluation avec 10,1 points, 5,3 rebonds, 4,3 passes et 2,3 interceptions. Complète !\\n\\nAlexia Chartereau\\n\\n1,91m – 1998 – Poste 4 – Tango Bourges\\n\\nVingt ans depuis septembre et c’est déjà sa troisième saison en Euroleague. Cette fille de basketteurs -sa mère Sylvie Chiron a joué un peu en Ligue Féminine- avait déjà fait sensation dans les catégories de jeunes : dans le meilleur cinq du tournoi à l’Euro U18 et championne du monde en 3×3 en 2016, championne d’Europe U18 l’année suivante en étant élue Meilleure Joueuse. Elle est aussi deux fois MVP Espoirs de LFB et médaillée d’argent avec les A à l’Euro 2017. Ce n’est qu’un début. Son QI basket et son shoot à trois-points sont cinq étoiles. Elle est à 10,0 points et 10,3 d’évaluation de moyenne cette saison en Euroleague. Doit encore durcir son jeu. Son entente avec Marine Johannès est parfaite sur et en dehors du terrain.\\n\\nSekou Doumbouya\\n\\n2,05m – 2000 – Poste 3 – Limoges CSP\\n\\nProbablement le plus fantastique potentiel jamais vu en France. Mais juste encore un potentiel. Vitesse, détente, coordination, etc. S’il est originaire de Conakry, en Guinée, et qu’il n’a obtenu la nationalité française qu’en novembre 2016, toute sa formation a été effectuée ici : pôle espoirs d’Orléans, INSEP qu’il quittera pour raisons disciplinaires, avant de rejoindre pour deux ans Poitiers et Rudy Nelhomme qui a eu aussi entre ses mains Evan Fournier et Moustapha Fall. Dommage qu’on ne l’ait plus vu en équipe de France jeunes depuis le titre européen U18 en décembre 2016 où il fut élu dans le cinq idéal du tournoi alors qu’il avait deux ans de moins que les autres. Limoges est pour lui une étape avant la draft. Il est annoncé au premier tour par les Mock Draft. Ca sera dur de patienter davantage même s’il a besoin encore de beaucoup progresser.\\n\\nOlivia Epoupa\\n\\n1,65m – 1994 – Poste 1 – Besiktas Istanbul (Turquie)\\n\\nJamais basketteur ou basketteuse française n’a gagné en jeune autant de trophées individuelles et collectifs que la Parisienne. MVP des Euro U16, U18 et U20. Complètement atypique. Pas une vraie menace extérieure mais très forte sur jeu rapide, en pénétration, et grâce à son sens de l’anticipation et sa vitesse pour prendre des rebonds face à des filles avec une taille de vingt ou trente centimètres de plus. L’avoir sur le paletot quand on a la balle est un calvaire. Olivia remplit toutes les cases statistiques sans forcément marquer beaucoup de points mais elle a semblé un temps ne pas confirmer totalement à l’âge adulte et sa saison à Villeneuve d’Ascq fut une sorte de fiasco. Elle a retrouvé son allant en Turquie, tout d’abord avec Galatasaray avec qui elle a remporté l’Eurocup, puis avec Besiktas. 11,6 points, 7,5 rebonds et 5,5 passes dans le championnat turc. Au point que le site spécialisé Eurobasket.com la considère comme la meilleure meneuse européenne en 2018.\\n\\nMoustapha Fall\\n\\n2,18m – 1992 – Poste 5 – Lokomotiv Kuban Krasnodar (Russie)\\n\\nSon coach à Chalon, Jean-Denys Choulet le voyait partir en NBA. Il s’est contenté pour sa première aventure à l’étranger d’un club turc qui montait en première division. Cet été, l’ASVEL croyait le tenir dans ses filets mais finalement Moustapha Fall a préféré Krasnodar, ses dollars, et une équipe qui peut envisager de gagner l’Eurocup... Même si Villeurbanne l’a mis à terre en Russie. C’est une araignée en défense mais aussi un big man extrêmement mobile. Tout le monde se souvient de son coast to coast ponctué d’un double pas de triple sauteur du temps de Chalon. Très fort en attaque en poste bas. La vérité, c’est qu’il joue peu avec Krasnodar (13’ en Eurocup, malgré un hallucinant 19/20 aux tirs, moins de 15 en VTB League) et une opération à l’hernie discale n’a rien arrangé. C’est davantage avec les Bleus qu’il a fait impression lors des fenêtres internationales : 7,1 points (74,2%), 3,5 rebonds et 1,5 contre en 8 matches, là aussi avec une temps de jeu réduit à 16’. Idéal pour la Coupe du Monde si Vincent Collet choisit une vraie doublure à Rudy Gobert.\\n\\nYoussoupha Fall\\n\\n2,21m – 1995 – Poste 5 – SIG Strasbourg\\n\\nNaturalisé français en mars 2017 mais la question majeure qui se pose à son sujet quant à son destin international est : la fédération sénégalaise et la FIBA vont-elles lui donner le feu vert pour porter le maillot de l’équipe de France ? Les fenêtres internationales auraient constitué un bon test. En signant à Strasbourg, le super géant a déjà le coach des Bleus à domicile. Ses progrès sont constants depuis sa sortie des espoirs du Mans. Son immense taille n’est pas handicapante quant à sa mobilité et sa dextérité n’est pas mauvaise. C’est une chance pour sa carrière sportive qu’il n’ait pas été happé comme certains par la NBA au plus jeune âge. Jouer le championnat espagnol et l’Euroleague avec Vitoria sera la prochaine étape. En Jeep Elite, il est proprement injouable à moins de deux mètres du cercle (74,1% aux shoots). Bonne nouvelle : son adresse aux lancers-francs (59,5%) est revenue dans ses standards à Poitiers après plusieurs changements de style. Par contre, il n’a aucun shoot face au panier et il en aura sans doute jamais un.\\n\\nEvan Fournier\\n\\n2,01m – 1992 – Poste 1-2 – Orlando Magic (NBA)\\n\\nTout le monde se souvient de son show en huitièmes de finale de l’Euro 2017 face à l’Allemagne, quand déchaîné, frustré, affamé, il inscrivit 18 points dans le dernier quart-temps. Seulement le dernier shoot de Nando De Colo au buzzer échoua et la France passa à la trappe. Evan Fournier est un formidable scoreur, de loin, de près, en contorsion, et plus spécialement dans le money time. Le panier, c’est une idée fixe. Pour parfaire son jeu, l’enfant de la Saint Charles de Charenton possède une éthique de travail exemplaire. Son mental en acier a été mis à l’épreuve cette saison. Pour la première fois depuis son entrée en NBA -c’est sa septième saison- sa moyenne de points est en baisse : 15,0 contre 17,8. C’est surtout son taux de réussite qui est insuffisant (43,2%) alors qu’à l’inverse sa moyenne de passe est en hausse à 3,7. Autre facteur très important : Orlando pourrait revenir en playoffs ce que ce féroce compétiteur n’a pas connu depuis 2013 avec Denver !\\n\\nRudy Gobert\\n\\n2,15m- 1992 – Poste 5 – Utah Jazz (NBA)\\n\\nRudy Gobert a réalisé le rêve de son père Rudy Bourgarel et plus encore. Non seulement il est pivot titulaire en NBA mais en plus il a été élu meilleur défenseur la saison dernière, ce qui est une sacrée performance. Sa seule présence dans la peinture donne des sueurs froides et sa capacité de contrer dans la stratosphère est connue de tous. On ne peut pas lui reprocher de manquer d’ambition puisqu’il veut devenir pourquoi pas le meilleur défenseur de tous les temps (c’est qui ? Bill Russell ?), gagner des titres et marquer l’histoire de la ligue. En ce qui concerne le basket international, tout reste à faire. En 2016, il n’avait pas participé au TQO à cause de la signature de son fabuleux contrat, puis fut quelconque aux Jeux de Rio. L’année suivante, il déclara forfait pour l’Euro. Par contre, chacun a apprécié qu’il se rende avec les Bleus en juin à Bosnie et en Russie, ce qui a dû le changer des conditions matérielles habituelles. Et maintenant ? Même si le jeu FIBA a quelques variantes avec celui de la NBA, on ne voit pas pour quelle raison il ne constituerait pas pour les Bleus un formidable point d’ancrage à l’intérieur comme jamais pivot n’a pu le faire y compris Joakim Noah en 2011. Rudy Gobert en NBA actuellement, c’est 14,8 points, 66,2% de réussite aux tirs (11e de la ligue), 12,2 rebonds (10e) et 2,1 contres (5e). What else ?\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=neYkiE_ClyQ\\n\\nBria Hartley\\n\\n1,76m – 1992 – Poste 1-2 – Fenerbahçe Istanbul (Turquie)\\n\\nAprès moult péripéties administratives, la Newyorkaise s’est fait reconnaître sa nationalité française qu’elle doit à sa grand-mère maternelle. Ses deux productions lors de la fenêtre de novembre face à la Roumanie et la Slovénie ont fait taire la polémique sur le plan sportif : oui, Bria Hartley apporte un bonus considérable à un poste (meneuse capable de jouer shooting guard et d’avoir du leadership) demeuré un peu en jachère avec la retraite internationale de Céline Dumerc. La meneuse titulaire du New York Liberty fait tout plus vite que tout le monde : course, pénétrations, shoots, passes, et elle défend. En club, elle a changé de statut puisque passée de Mersin avec qui elle fut la top-scoreuse de la Ligue Turque à Fenerbahçe et ses stars. 15,3 points de moyenne en Euroleague -juste derrière l’internationale US Kelsey Plum- et 4,3 passes. Considérée comme une fille sympa déjà bien intégrée dans le groupe France, qui était plutôt méfiant avant son arrivée, il ne lui reste plus qu’à apprendre le français. Un club de Ligue Féminine peut-elle la convaincre de jouer dans son deuxième pays ?\\n\\nKillian Hayes\\n\\n1,95m – 2001 – Poste 1-2 – Cholet Basket\\n\\nCela fait déjà plusieurs mois que le fils de DeRon -cinq saisons à Cholet Basket- est sous les radars. Quand on est MVP d’un Euro cadets, on est forcément repéré par les scouts du monde entier. Les trophées, Killian les cumule. Il est né avec un ballon, a été initié par papa, et il est d’une très grande précocité. Ses drives, toute sa panoplie technique, sa fluidité, son sang-froid font merveille. Sa double culture franco-américaine implique aussi un comparatif avec Tony Parker. Cet été, il a été élu dans le 5 idéal du Mondial U19. Personne ne doute qu’il rejoindra bientôt la NBA surtout pas Ludwigsburg, Turin, Partizan Belgrade et Vienne qui ont cherché à l’enrôler. Une fois écrit tout cela, voici pourquoi on est encore sur notre faim. Il en est pour l’instant à 5,8 points, 35,1% de réussite et 3,0 passes en 20’. Dans son éclosion, Killian s’est fait dépasser pour l’instant par son copain de promo, Théo Maledon. Il a des circonstances atténuantes : Cholet s’est embourbé tout l’automne, a changé de coach et deux fois de meneur. Le petit prodige s’est retrouvé dans le dur comme jamais auparavant. Probablement pour mieux rebondir.\\n\\n[armelse]\\n\\nValériane Ayayi\\n\\n1,85m – 1994 – Poste 3 – USK Prague (République Tchèque)\\n\\nLa Bordelaise a pris deux décisions importantes l’été dernier. Un, elle a signé un contrat avec Las Vegas mais n’est pas allée en WNBA. Une ligue qu’elle connaît un peu pour y avoir joué 16 matches en 2013. Deux, après Basket Landes, Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Asq et Bourges, elle a choisi de s’expatrier en République Tchèque. On a l’impression de la voir à l’œuvre depuis des années alors qu’elle n’a que 24 ans. C’est qu’en 2013 après la médaille d’argent au championnat du monde U19, elle a enchaîné directement sur l’Euro des adultes en France. Athlétique, elle peut tout dynamiter dans un match comme passé parfois à travers. Mais deux signes sont révélateurs : Un, elle était la saison dernière dans le Cinq idéal de la Ligue Féminine avec comme seules autres Françaises Amel Bouderra et Marine Johannès et deux,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Evan Fournier (FIBA). Toutes les photos FIBA sauf Sekou Doumbouya (Limoges CSP)." }, {"role": "user", "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (5 janvier)" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, ce sont Willy Berquier et Jermel Kennedy (KABCA Kaysesberg , NM1) qui pointent à la première place du classement grâce à un énorme alley-oop en contre attaque." }, {"role": "user", "content":"Jeep® ÉLITE : le Top 10 DLSI du mois de décembre" }, {"role": "assistant", "content":"Comme chaque mois, la LNB présente le Top 10 de Jeep Elite du mois écoulé. Et pour commencé 2019, voici le top 10 du mois de décembre 2018.\\n\\nA la première place, le meneur dijonnais Axel Julien, qui d’autre ? Avec un énorme poster dunk sur Maxime Roos, le néo-international se place tout en haut de ce qui s’est fait de plus spectaculaire en France au mois de décembre.\\n\\nPhoto : FOXAEP" }, {"role": "user", "content":"Italie: Yakhouba Diawara rejoint Baltur Cento en deuxième division" }, {"role": "assistant", "content":"Yakhouba Diawara (2,01m, 36 ans) va repartir dans son pays d’adoption, l’Italie. L’ancien NBAer va remplacer James White au Baltur Cento, un club de deuxième division, d’après Sportando.\\n\\nDiawara a déjà porté les maillots du Fortitudo Bologne, Brindisi, Varèse (deux fois), Venise, Caserte et Pistoia. Il a effectué au dernier trimestre 2018 une pige de 9 matches au Portel pour 4,6 points en moyenne." }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Bourges et Marine Johannès se rebiffent" }, {"role": "assistant", "content":"Humiliées au Prado par Lattes-Montpellier dimanche en championnat (65-89), les Berruyères ont prouvé qu’elles ont de la ressource en battant une deuxième fois en Euroleague les Polonaises du CCC Polkowice: 76-65.\\n\\nCe sont deux arrières qui ont fait exploser les compteurs: la meneuse espagnole Cristina Ouvina (20 points, 7 rebonds et 5 passes) et la shooting guard Marine Johannès (25 points et 5 passes).\\n\\nLes Tango rejoignent ainsi Prague à la deuxième place (6 victoires et 2 défaites); les Tchèques ont failli à domicile face à Nadezhda (86-90). Leurs deux prochains rendez-vous sont fondamentaux: à Nadezhda, en Russie, puis la réception de Prague.\\n\\nPhoto: Marine Johannes (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Les highlights du Mans et de Nanterre en BCL" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans et Nanterre peuvent toujours croire à leur qualification suite à leur victoire, hier soir, sur deux clubs allemands, respectivement le MHP Riesen Ludwigsburg (73-68) et Telekom Baskets Bonn (103-56).\\n\\nLes Manceaux ont su bien négocier le money time au contraire des Allemands qui ont loupé deux layups au plus mauvais moment. Cameron Clark (21 points, 6 rebonds) et Richard Hendrix (11 points, 8 rebonds) ont été impeccables.\\n\\n26, 28, 24 et 25 points. Les hommes de Pascal Donnadieu ont été très réguliers dans chaque quart-temps et ils ont fait subir aux Allemands un déluge à trois-points: 19/37 ! Huit d’entre-eux ont obtenu au moins 11 d’évaluation.\\n\\nPhoto: Hugo Invernizzi" }, {"role": "user", "content":"Italie : viré par Turin, Carlos Delfino va faire appel de cette décision" }, {"role": "assistant", "content":"C’est après une nouvelle défaite de Turin, face à Avellino, fin décembre que Carlos Delfino (1,98m, 36 ans) a été écarté de l’équipe, tout comme son coach Larry Brown.\\n\\nD’après le vice-président du club, Francesco Forni, l’ancien joueur NBA se serait montré violent alors que ce même dirigeant serait venu mettre les joueurs face à leurs responsabilités. Suite à cette altercation, le club a décidé de couper immédiatement l’ancien joueur des Houston Rockets. Aujourd’hui, Sportando rapporte que l’agent et le joueur ont décidé de faire appel de cette décision.\\n\\nToujours selon le quotidien italien, la décision finale sera rendue dans un délai de deux semaines alors que des réunions vont avoir lieu concernant le futur de Carlos Delfino mais également du club puisque les parts de la famille Forni pourrait être vendues au groupe Leonis.\\n\\nPhoto : Fiat Torino" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Alex Acker quitte déjà Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Après seulement trois matchs sous les couleurs de l’ALM Evreux, Alex Acker (1,95m, 35 ans) va quitter la Normandie.\\n\\nSur son site, la formation de Fabrice Lefrançois indique que le club et le joueur ont décidé de mettre un terme à leur collaboration alors que le contrat de pigiste de l’ancien joueur de l’ASVEL courait jusqu’au 10 février. Lors de son passage en Pro B, Alex Acker a compilé 5,7 points et 2,3 rebonds pour une évaluation de 1,3.\\n\\nDans un même temps, le club ébroïcien s’est séparé de Fabien Paschal et Bambale Osby, qui sont arrivés au terme de leur pige, tandis que Théo Léon, Ruphin Kayembe, Kévin Lavieille, Kévin Dinal et Drake Reed font, eux, leur retour dans l’effectif.\\n\\nPhoto : ALM Evreux / Sabine De Leest" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Le Khimki Moscou fait enfin chuter Fenerbahçe !" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis 12 journées, on se demandait qui allait bien pouvoir faire tomber le Fenerbahçe, auteur d’un début de saison record avec 15 victoires sur ses 16 premiers matchs. Peu aurait misé sur le Khimki Moscou, 12e du classement, sans son scoreur Alexey Shved mais c’est bien la troupe de Coach Bartzokas qui s’impose en prolongation dans un match fermé à double tour (84-78).\\n\\nPar ailleurs, le Real Madrid a survécu à son déplacement insulaire à Gran Canaria, ce qui n’a pas été le cas de Kaunas qui a coulé à pic contre l’Efes Istanbul d’un grand Moerman. Enfin, dans un autre match épique terminé en prolongation, Olympiakos a arraché un succès important contre Vitoria avec un Kostas Papanikolaou très inspiré.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Khimki tape le leader !\\n\\nPorté par Jan Vesely (17 points, 5 interceptions, 4 rebonds) intenable sur le un contre un, Fenerbahçe avait pourtant pris le meilleur départ. Mais au physique, en défendant dur, Moscou est revenu au contact, avec Anthony Gill (12 points, 7 rebonds) et Jordan Mickey (9 points, 5 rebonds, 4 passes) qui ont bien répondu dans la peinture, dunks à l’appui.\\n\\nMalgré des tirs plus fous les uns que les autres de Melih Mahmutoglu (18 points, 4/7 de loin), le Khimki n’a pas craqué, à l’image de Stefan Markovic qui rentre de très loin lui aussi. Nicolo Melli égalisera aux lancers pour la prolongation mais Moscou en voulait davantage avec Bost et Mickey qui terminent le travail (84-78).\\n\\n\\nKostas Papanikolaou en état de grâce\\n\\nLuca Vildoza (19 points, 4 passes) et Marcelinho Huertas (17 points, 5 passes) auront eu beau livrer de magnifiques prestations dans l’antre de l’Olympiakos, c’est un Kostas Papanikolaou (22 points, 6 rebonds) en état de grâce qui a arraché la prolongation et a porté l’estocade avec Zach LeDay (23 points, 9 rebonds) pour une victoire héroïque (91-87).\\n\\nSans Nikola Milutinov fiévreux, l’Olympiakos a dû sortir ses tripes pour cette victoire. Avec un trois points de très haut niveau, Vildoza avait placé la barre haut. Et Vitoria aura mené une bonne partie du match, avec Vincent Poirier très solide à nouveau, avec 17 points et 12 rebonds. Mais c’était le soir de Papanikolaou !\\n\\n\\nLe Kaunas coule à Istanbul\\n\\nToujours sans Léo Westermann, Kaunas a de nouveau trébuché, pour la 3e journée de suite. L’Efes Istanbul a été maître de son sujet de bout en bout, avec un Adrien Moerman (23 points, 6 rebonds) de gala. Moerman a notamment été l’instigateur d’un 12-0 fatal au Zalgiris en 2e quart !\\n\\nRodrigue Beaubois (12 points en 16 minutes) a également participé la fête, une démonstration défensive au final. Kaunas n’a jamais scoré plus de 16 points en un quart temps... Le -54 de l’évaluation globale résume la Bérézina balte.\\n\\n\\nLe Real renverse Gran Canaria\\n\\nGran Canaria menait de 10 points dans le 3e quart, et avec 3 balles perdues seulement, les Canariens ont établi un nouveau record. Mais Sergio Llull (16 points, 4 passes) est passé par là. Avec notamment Gustavo Ayon (10 points,6 rebonds), le meneur espagnol a mené la révolte royale pour un dernier quart maîtrisé (23-11) et un succès somme toute logique (75-67).\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 23 points (9/17 aux tirs), 6 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 34 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 17 points (8/9 aux tirs), 12 rebonds en 29 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 12 points (5/11 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 16 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 2 points (1/1 au tir), 2 rebonds en 11 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 12 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 interception en 7 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris Kaunas) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nCelui-ci est le plus important car il permet d’arracher la prolongation, mais Kostas Papanikolaou a été une machine à highlights pour les Reds. Avec un autre tir à trois points à 45 degrés, l’ailier grec tir en déséquilibre à une main pour la filoche ! Il a également brillé au contre pour prouver sa polyvalence.\\n\\n\\n\\n\\n🏧🏧\\n\\n\\nKostas Papanikolaou BANKS it in for a dramatic game-levelling 👌!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/8iFr9Y0dpu\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 8, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 17e journée\\n\\nMardi 8 janvier :\\nKhimki Moscou – Fenerbahçe (84-78 ap)\\nZalgiris Kaunas – Efes Istanbul (58-79)\\nOlympiakos – Vitoria (91-87 ap)\\nGran Canaria – Real Madrid (67-75)\\n\\nMercredi 9 janvier :\\nDarussafaka – CSKA Moscou (18h15)\\nPanathinaikos – Bayern Munich (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)\\nMilan – Barcelone (20h45)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 18e journée\\n\\nJeudi 10 janvier :\\nEfes Istanbul – Khimki Moscou (18h)\\nFenerbahçe – Zalgiris Kaunas (18h45)\\nReal Madrid – Olympiakos (21h)\\n\\nVendredi 11 janvier :\\nCSKA Moscou – Maccabi Tel Aviv (18h)\\nPodgorica – Darussafaka (19h)\\nBayern Munich – Milan (20h30)\\nVitoria – Gran Canaria (20h30)\\nBarcelone – Panathinaikos (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nKhimki Moscou tape le leader !\\n\\nPorté par Jan Vesely (17 points, 5 interceptions, 4 rebonds) intenable sur le un contre un, Fenerbahçe avait pourtant pris le meilleur départ. 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Eurocup, les matchs du Top 16 sont tous extrêmement importants, surtout ceux à la maison. En ce qui concerne la qualité de notre jeu, comme vous l’avez vu il y a eu des hauts des bas. A six ou sept minutes de la fin nous avons cru que le match était déjà gagné et alors nous avons commencé à faire des erreurs de débutants, nous avons manqué des lay-ups, nous avons pris des tirs après seulement quatre secondes d’attaque. Je pense que la vraie différence est d’environ dix points, mais nous terminons avec seulement quatre points de plus. Avec cette nouvelle victoire, nous avons fait un bon pas vers la prochaine étape de l’Eurocup. Nous sommes premiers partout ! Ce n’est pas facile de jouer l’Eurocup et la Jeep Elite, les mecs mettent vraiment beaucoup d’énergie, ils courent, ils sautent, ils prennent des rebonds, mais parfois nous faisons des erreurs, mais c’est comme ça. Si quelqu’un m’avait dit en septembre qu’on en serait là, j’aurais été très heureux. »\\n\\nEn ce qui concerne la nouvelle recrue de l’ASVEL, Alexis Ajinça, qui n’était pas en tenue face à Ulm, il pourrait jouer samedi.\\n\\n« Il faut voir comment il commence à travailler, il faut voir son état de forme. C’est un joueur d’expérience dont on peut attendre beaucoup, c’est pour ça qu’on l’a signé, donc, évidemment, s’il est en état de jouer, il pourra jouer quelques minutes à Nanterre samedi. »\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"BCL: Ludwigsburg-Le Mans, à 20h en clair sur Dailymotion" }, {"role": "assistant", "content":"Le match de Basketball Champions League opposant les Allemands de Ludwigsburg au Mans Sarthe Basket sera diffusé sur Dailymotion en clair ce soir à partir de 20h.\\n\\nPhoto: Valentin Bigote (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Laurent Legname (JDA Dijon) après la victoire à Fuenlabrada : «Il faut espérer la même performance défensive pour battre Strasbourg»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour son premier match de 2019, Dijon se rendait en périphérie de Madrid, à Fuenlabrada, pour le compte de la dixième journée de Champions League. En limitant son adversaire à 59 points, la JDA l’a logiquement remporté, enregistrant ainsi un troisième succès dans la compétition lui permettant ainsi de toujours être à la course d’un spot pour le deuxième tour de BCL.\\n\\nAprès la rencontre, Laurent Legname s’est exprimé sur cette victoire.\\n\\n« Je me suis vraiment concentré sur mon équipe pour ce retour à la compétition après une semaine de pause. On a repris l’entraînement jeudi et on a vraiment que travaillé sur la défense parce que notre dernier match en championnat avant la trêve était très mauvais. J’ai vraiment apprécié l’intensité et l’agressivité défensive de mes joueurs ce soir car nous avons laissé Fuenlabrada à seulement 59 points. C’est une très belle performance, j’ai aimé l’esprit d’équipe. »\\n\\nSuite à cette grosse victoire, le coach dijonnais se concentre sur le match de dimanche face à Strasbourg.\\n\\n« C’est une bonne préparation pour nous car on a un gros match dimanche face à Strasbourg. C’est toujours bien de reprendre avec un bon match comme on l’a fait ce soir. Mais chaque match est une histoire différente. Nous sommes concentrés sur Strasbourg et j’espère vraiment que l’on pourra réaliser la même performance défensive parce qu’on a besoin de ça pour espérer battre Strasbourg dimanche, en plus sans Ryan Pearson. »\\n\\nPhoto : FOXAEP" }, {"role": "user", "content":"Interview: Régis Bardera, arbitre et préparateur mental des Bleues" }, {"role": "assistant", "content":"Régis Bardera, 45 ans, est une figure de la Jeep Elite puisqu’il y arbitre depuis 18 ans. Il a aussi officié à l’international et depuis quelque temps se consacre au 3×3. Il est parallèlement préparateur mental au sein de l’équipe de France féminine.\\n\\nCe sont les expériences dans ces domaines qu’il nous raconte ici.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous dites que vous avez un père qui vous a abandonné enfant et qui ne respectait pas la loi et que c’est pour ça que l’arbitrage vous convenait ?\\n\\nJ’ai été abandonné à l’âge de cinq ans par mon père et avec ma maman on s’est retrouvés seuls. Elle m’a transmis une leçon de courage comme quoi dans la vie il faut batailler pour réussir, pour réaliser ses rêves. J’ai commencé le basket quand j’avais dix ans car j’avais une voisine qui y jouait. Je trouvais ce sport passionnant, je n’étais pas un shooteur, un grand joueur mais j’aimais faire des passes pour les autres, je me régalais de défendre ensemble. Dès l’âge de 12-14 ans, j’ai ressenti l’envie d’arbitrer. J’avais la force de prendre des décisions rapidement, je n’avais pas peur d’assumer de suite les erreurs. J’aimais la notion de diriger. Au fur et à mesure de gravir des échelons, j’ai réfléchi au pourquoi je suis devenu arbitre. Une activité où on a des règles, où l’on fait respecter la loi. J’avais eu un père qui ne respectait pas du tout la loi et moi j’ai choisi une activité où il fallait être le plus proche de la loi. Dans ma façon d’être, je suis très sensible à la notion d’honnêteté et au respect des règles, que ce soit dans la vie de tous les jours, le code de la route. Cela m’a permis d’être très tôt sensible dans mon activité d’arbitre à la gestion des personnalités. On a les fautes, les fautes techniques pour sanctionner les joueurs mais j’ai toujours préféré l’humain (...) Et d’être au milieu avec un sifflet ça m’a permis de prendre confiance en moi, de diriger à ma façon et j’ai travaillé tous les jours. J’ai assisté à des camps, à des stages, je suis allé à l’encontre de coaches de première division pour les questionner pour apprendre ce qui se fait au plus haut niveau. Tous les jours c’est chercher pour apprendre et apprendre sur moi. Pourquoi je suis là ? Dès que quelqu’un me parle de basket, Chantal Julien (NDLR : responsable des arbitres français de haut niveau), un coach, un joueur, j’écoute car il y a toujours quelque chose à retenir même et surtout à 45 ans. C’est essentiel de ne pas penser détenir la vérité. En trente ans d’arbitrage, j’ai toujours évolué.\\n\\nQuand on est arbitre international, arbitre t-on de la même façon un joueur suivant sa nationalité, son origine ?\\n\\nLorsque j’ai commencé à voyager, j’ai arbitré des joueurs plus ou moins connu et la première chose que j’ai tenu à faire, c’est au maximum d’avoir une connaissance du joueur et de sa personnalité. Et éventuellement de connaître un ou deux mots dans sa langue pour qu’il y ait un premier lien de confiance. « Bonjour ». « Au revoir ». « Merci ». « Comment allez-vous ? » « Bon match ! » Afin de créer un climat essentiel entre un joueur, un coach et un arbitre. Et encore plus au niveau international où au début les joueurs, les joueuses et les coaches ne vous connaissent pas. Avoir des informations sur eux à travers les vidéos ou ce que je peux lire. La deuxième étape, c’est toujours de dissocier la personne et le joueur. Qu’il soit Français, Américain, Serbe, Espagnol ou Italien, il n’y avait pas de différence. La seule difficulté que j’ai pu rencontrer c’est la barrière de la langue. D’où l’intérêt d’être le plus performant possible en anglais. La règle numéro 1, c’est d’être le plus respectueux et le plus poli possible. La politesse est universelle.\\n\\nOn voit sur les photos que vous affichez souvent un sourire ?\\n\\nOui car je suis très heureux d’être sur un terrain de basket... et je suis souriant dans la vie de tous les jours. Pour moi, le sourire et le regard sont l’un des moyens de communication les plus puissants au monde. Hier soir, j’étais à Strasbourg et on m’a demandé « commente allez-vous ? » « Comment voulez-vous que je n’aille pas bien ? Je suis en pleine santé, je fais une activité que j’aime, je suis à un super niveau, je ressens du respect, je me donne les moyens d’être le plus performant possible. » Mettre ma tenue d’arbitre ne change pas l’homme que je suis. Je fais en sorte d’être le plus proche possible de ce que je suis dans ma vie de tous les jours. J’essaie d’être le plus compétent possible et pour ça je travaille tous les jours depuis que j’ai 16 ans. C’est un travail personnel, technique, physique, de communication. Oui, souriant, même s’il y a des moments où on ne peut pas l’être. Mais sourire ça permet tellement d’apaiser, de rapprocher, de comprendre. Je suis aussi capable de fermer mon visage quand c’est nécessaire. Mon sourire se ferme quand je sens qu’il y a un manque de respect à mon égard. Je dis souvent aux joueurs : « vous pouvez me contester, ne pas être d’accord avec ma décision, marché, faute... Sur la partie technique, vous êtes bien meilleurs que moi, les coaches et les joueurs, mais par contre sur la forme, l’attitude, je suis irréprochable, toujours poli, respectueux. » Je dis aux coaches, « sur le fond vous avez probablement raison mais sur la forme, il y a moyen de faire autrement. »\\n\\nA partir de quand vous estimez qu’un coach va trop loin ?\\n\\nAvec mes années d’expérience, dix-sept, dix-huit ans que je suis en Pro A, je ressens énormément de respect à mon égard et je ne peux pas dire qu’il y a eu des coaches irrespectueux. L’expérience de gérer ses émotions, l’approche vis-à-vis des coaches, le fait qu’ils vous connaissent, ça aide. Un coach m’a dit, « quand tu arrives sur le terrain, déjà on a confiance. On sait que 80% des décisions vont être correctes. » La priorité de l’arbitre c’est de juger le plus juste possible. Je ne donne aucune opportunité d’être irrespectueux envers moi. Lorsque c’est arrivé c’est que j’ai entendu des propos qui touchaient mes valeurs. Où on a pu imaginer un manque d’honnêteté. Ça me blesse. Une erreur que j’ai pu faire peut être liée à un mauvais placement, une absence de courage à un moment donné quand j’étais un peu plus jeune. Par contre, elle n’est jamais liée à ce que je suis. Je suis profondément honnête, juste. Ce que je peux trouver irrespectueux c’est lorsqu’on vous tourne le dos. On vous parle et on s’éloigne. Ça m’était arrivé quand j’étais jeune arbitre avec un coach un peu connu. Je n’avais pas su quoi faire...\\n\\nAvez-vous des discussions avec les coaches en dehors du terrain ? Certains vous appellent-ils ?\\n\\nNon. La règle, c’est de ne pas avoir de contacts directs avec les coaches. C’est Chantal (Julien) qui est notre interlocutrice avec eux. Par contre c’est arrivé de se rencontrer dans des stages, des colloques, en début de saison, on peut se croiser dans les couloirs. A force on se connaît. Ça nous est arrivé d’échanger. Comme je suis allé plusieurs fois en équipe de France garçons, j’ai pu échanger avec les coaches qui étaient présents.\\n\\n« Je me souviens une fois d’avoir été abattu à la fin d’un entraînement et c’est Rony Turiaf qui est venu me réconforter, me remotiver. C’est quelqu’un de très humain. Boris Diaw a été un vrai gentlemen, Tony Parker très respectueux »\\n\\nVous avez eu des contacts avec les supporters, à Nanterre ?\\n\\nUn soir, après un match de Nanterre, il y avait des supporters dans un restaurant. Très sympa, très aimable. Un couple qui dirigeait le club de supporters m’a sollicité pour venir les rencontrer un soir. C’est ce que j’ai fait, il y a deux ans. J’ai partagé mon expérience, ma relation avec les coaches. Pascal Donnadieu et Franck Le Goff (NDLR : son adjoint) avaient fait un passage. Comment je gérais les personnalités, comment je vivais de l’intérieur mon activité. On a passé deux heures et demies super chouette.\\n\\nAujourd’hui les relations entre le public et les arbitres sont extrêmement apaisées si l’on compare avec les décennies précédentes ?\\n\\nOui. Je ressens dans toutes les salles de France du respect de la part de tous les spectateurs. On ne sent pas d’insécurité. C’est très bien organisé.\\n\\nCela vous est arrivé d’avoir de l’insécurité à l’étranger ?\\n\\nNon. Ce sont des faits rares qui arrivent malheureusement mais moi j’en n’ai jamais vécu. Je présume que dans les championnats régionaux ça ne doit pas être tout le temps facile pour les jeunes arbitres.\\n\\nIl existe beaucoup de codes de bonne conduite dans le basket entre les joueurs et les arbitres. Comme le fait de lever la main quand il y a faute et aussi les joueurs viennent vous saluer avant l’entre-deux ?\\n\\nA deux minutes du début du match, on a l’opportunité de saluer les coaches pour se souhaiter un bon match. J’ai toujours le souvenir des joueurs qui viennent nous saluer. On fait partie du jeu. Ça me semble normal comme de se saluer à la fin des matches au milieu du terrain par les coaches et l’ensemble des joueurs.\\n\\nVous avez arbitré des entraînements de l’équipe de France de 2009 à 2014 pour réhabituer les joueurs aux règles internationales. Cela leur prend du temps à chaque fois ?\\n\\nQuand Vincent est arrivé en équipe de France, il a été souhaité qu’un arbitre soit présent en préparation surtout pour permettre aux coaches de se concentrer sur les entraînements. On a ponctuellement travaillé avec des joueurs NBA sur quelques règles. A l’époque, c’était par exemple l’utilisation de l’avant-bras et forcément la règle du marché. Les joueurs étaient en capacité de très vite s’adapter, ils retrouvent très vite les règles internationales et sur les compétitions nos internationaux n’ont jamais été en délicatesse par rapport à la règle. C’est pourquoi mon travail était surtout axé sur les phases de jeu, les joueurs avaient besoin d’un arbitre pour pouvoir évoluer dans les meilleures conditions. Ça allait très vite et très haut, ça poussait, c’était physique. C’était pour moi hyper enrichissant de côtoyer tous ces grands joueurs et le staff. Au début, j’étais seul, la première année je suis parti les six semaines avec eux, et après on est venu à deux. Je me souviens une fois d’avoir été abattu à la fin d’un entraînement et c’est Rony Turiaf qui est venu me réconforter, me remotiver. C’est quelqu’un de très humain. Boris Diaw a été un vrai gentlemen, Tony Parker très respectueux. Je ne peux même pas décrire ce que j’ai vécu, c’était grandiose. Et comme par hasard, c’est ensuite que j’ai commencé à arbitrer le plus loin en playoffs, quelques finales. Ça m’a énormément aidé à améliorer ma compétence. La vitesse...\\n\\nLa vitesse, c’est être placé au cœur de l’action ?\\n\\nLa première fois que j’ai arbitré l’équipe de France en amical, c’était encore Claude Bergeaud le coach. C’était à l’Alpe d’Huez et il y avait Michael Pietrus. Je me souviens d’avoir dit à la sortie du match à Claude Bergeaud, « il va trop vite ! » (sourire). La vitesse d’exécution de Tony (Parker) fait qu’il a fallu du temps pour s’adapter. Je suis d’une nature discrète et en équipe de France, il faut être discret. Il y a une notion de confidentialité. Ça m’a touché car on savait que l’on pouvait me faire confiance. Chaque fois que je partais à l’étranger, je représentais ma fédération, mon président, les dirigeants qui nous dirigent, mon pays et je me devais d’être exemplaire en terme de comportement et de relation à l’autre.\\n\\n« Je me suis dit « tu ne parles pas anglais donc tu vas partir en stage en Angleterre. » Je suis parti dans un camp d’arbitre puis dans une famille, j’ai embauché une prof d’anglais pendant un mois »\\n\\nVous avez arbitré la Coupe du monde 3×3 à Nantes. L’arbitrage y est-il différent qu’en 5×5 ?\\n\\nIl y a sept ou huit ans, Nicolas Maestre était sur le 3×3 et il n’a pas pu se rendre disponible pour un compet à Lausanne, une étape de la World Cup. On m’a appelé un mois et demi avant alors que je ne connaissais pas du tout le 3×3. On ne dit jamais non ! J’ai regardé des vidéos, je me suis entraîné et j’ai vécu un truc génialissime. Je l’ai fait chaque année, j’ai passé la licence 3×3 jusqu’au jour où on m’a désigné pour la Coupe du monde à Nantes. Un super niveau de jeu avec un quart-de-finale Serbie-USA qui était un très grand match.\\n\\nC’est différent d’arbitrer le 3×3 ?\\n\\nOui et sur plusieurs choses. Une qui est essentielle c’est qu’en 3×3 on a encore moins droit à l’erreur car elle a vraiment une incidence car on va très vite en 21 points. Ça demande de retarder au maximum son coup de sifflet et c’est ce que j’aime. Il faut faire la différence entre laissez jouer et laissez faire comme au 5×5. Il faut aussi être exigeant sur la technique basket, c’est loin d’être un combat de rues. C’est physique mais ça ne doit pas être agressif, violent. Ce qui est différent aussi c’est dans la relation aux joueurs. Il y a moins de contestations car les joueurs ont moins le temps de contester ! Avec des attaques en douze secondes, à chaque panier ça repart. Quand je fais une erreur en 5×5, je me dis que ça me sert pour le quart-temps suivant mais je m’interdit d’en faire une dans les cinq dernières minutes. En 3×3, il n’y a pas de money time. Une erreur a d’entrée un gros impact. La fédé met beaucoup l’accent sur le 3×3 et ça développe beaucoup de joueurs, de joueuses. C’est fun, hyper athlétique, c’est très spectaculaire, c’est passionnant avec des équipes pros. On est trois en France à arbitrer au niveau international. L’année dernière, j’étais aux Jeux Méditerranéen. Je me suis retiré du 5×5 international l’année dernière et je continue sur le 3×3.\\n\\nÇa peut vous amener jusqu’aux Jeux Olympiques de Tokyo ?\\n\\nJe ne fonctionne pas comme ça... Quand j’étais à Alès, j’avais 16 ans, j’allais plusieurs fois par semaine voir les entraînements de l’équipe Pro A de Montpellier. Le coach était Sylvain Lauthié. J’étais avec mon copain Nico Maestre et je voulais juste arbitrer les espoirs. Et après, si je pouvais arbitrer la NM1, et puis la Pro B, et puis la Pro A. Et puis à l’international. La question c’est, que dois-je mettre en œuvre pour y arriver ? En 2001, j’ai été pré-sélectionné pour être arbitre international. Je me suis dit « tu ne parles pas anglais donc tu vas partir en stage en Angleterre. » Je suis parti dans un camp d’arbitre puis dans une famille, j’ai embauché une prof d’anglais pendant un mois. Tous les matins et tous les soirs en me brossant les dents, je me disais « que dois-tu faire aujourd’hui pour te rapprocher de ton rêve ? » C’était l’anglais, la partie technique, tout. En 2004, avec David Chambon on est partis à Las Palmas pour un clinic, et pendant les trois mois qui ont précédé on se parlait anglais. On s’est interdit de se parler français. Mon objectif chaque saison c’est d’arbitrer le plus loin possible puisque c’est ainsi que l’on se rapproche des meilleurs matches. J’ai arbitré hier à Strasbourg, j’ai quinze jours de repos et je vais faire le nécessaire pour être en forme le 11 à Orléans puis pour le match de Pro A qui suit, et faire partie des arbitres sélectionnés pour les playoffs. Etc. Chaque fois qu’il m’est arrivé un truc de chouette dans ma carrière d’arbitre, je me suis dit que je le méritais. Et quand je n’y arrive pas, c’est que je n’ai pas le niveau. C’était le cas quand je ne faisais pas les playoffs ou les finales. Je n’ai pas fait de championnat du monde ou de JO, c’est que je n’avais pas le niveau. Oui, quand j’étais jeune arbitre, j’avais envie d’arbitrer Pau-Limoges ou les leaders du championnat. Et quand j’y suis arrivé, j’ai estimé que je le méritais car je me donne tous les jours les moyens d’y arriver. Donc les JO en 3×3, je n’y pense pas. Je pense aux 2, 3 compets de l’année prochaine en me disant, que vais-je faire pour être le meilleur possible ? Je fais ça pas à pas, ça ne m’empêche pas d’être ambitieux. Et quand ça ne se passe pas très bien, l’utiliser comme une bonne expérience pour le futur. Chaque jour se demander, qu’est-ce que j’ai appris sur moi ? Hier soir à Strasbourg, avec David Chambon, qui a été arbitre en Euroleague, qui a fait une carrière internationale monstrueuse, on s’est assis et on s’est demandé, « qu’est-ce qu’on a fait de bien et qu’est-ce que l’on peut améliorer pour le prochain match ? » Un réflexe permanent.\\n\\nVous êtes en fait votre propre coach mental ?\\n\\nC’est une bonne remarque. J’ai travaillé sur moi durant beaucoup d’années. C’est ce que j’ai raconté, ça m’a aidé sur mon histoire de vie. Ça laisse forcément des traces et pour prendre de la distance sur cette violence-là que l’on vit quand on est gamin. Il y a quatre ans je suis parti chez Denis Troch, un préparateur mental connu dans le milieu (NDLR : ancien joueur et entraîneur notamment du PSG et qui en 2010, a créé l’entreprise H-Cort Performance spécialisée dans l’entraînement, le management et la préparation mentale). L’année de formation m’a permis de faire un gros travail d’introspection, ça a complété mon travail personnel. On a tendance à regarder ce qui ne fonctionne pas au lieu de regarder d’abord ce qui a fonctionné. Il faut faire le contraire et après voir ce que l’on peut améliorer. Hier soir encore j’ai utilisé une méthode pour vite switcher d’une émotion à une autre. J’ai aussi autour de moi des gens beaucoup plus compétents que moi et quand j’ai des difficultés, je partage avec eux.\\n\\nCoach mental est votre profession depuis quatre ans ?\\n\\nJe suis toujours salarié du Conseil départemental et j’ai cette activité en parallèle que je pratique auprès de managers, je fais beaucoup de conférences dans le milieu de l’entreprise. J’accompagne aussi quelques start-ups. Je travaille avec des arbitres de rugby, un club professionnel de hand et l’équipe de France féminine de basket. Cette formation m’a permis de comprendre que toutes les portes que je veux ouvrir, je les ouvre. C’est précieux. Prendre conscience en quoi on est unique, croire en soi et s’appuyer sur ses forces.\\n\\nLa finalité du coach mental, c’est de donner confiance aux gens ?\\n\\nC’est ce que disent Denis Troch et Christian Target, qui sont des référents dans notre pratique : la préparation mentale permet de tirer la quintessence de la préparation physique et de la préparation technique, d’être le plus aligné possible entre le cerveau, le cœur et le corps. Elle permet de transformer une émotion négative en émotion positive. Elle permet d’impliquer tous les jours à l’entraînement un geste le plus juste et le plus régulièrement possible. Elle permet d’apprendre à se connaître, à communiquer, à valoriser ce que l’on fait. Elle aide à trouver ses propres solutions. Avoir une préparation mentale permet forcément d’avoir à vos côtés une personne qui vous écoute. Alors forcément ça joue sur la confiance. La gestion d’émotion est un gros travail. J’aime travailler sur la seconde de doute. Tout athlète comme tout chef d’entreprise à un moment donné a un doute. Comment arriver à le surmonter, à carrément la supprimer ? Ce que j’aime aussi dans la préparation mentale c’est comment réussir à découvrir l’autre, comprendre ce dont il a besoin. Dans une équipe, arriver à faire une place de plus, un encouragement de plus, mettre un lancer-franc de plus, c’est déjà une belle étape.\\n\\nDe plus en plus de sportifs ont des préparateurs mentaux ?\\n\\nOui. Beaucoup d’équipes sont accompagnées par des préparateurs mentaux. Il faut intégrer un travail quotidien. Je travaille avec un joueur de hand qui a un travail au quotidien depuis septembre, avant et après les entraînements, avant de se coucher, avant et après les matches. Je dis toujours dans les conférences que je suis latin, je suis du sud, j’ai toujours envie de créer du lien, de partager comme lorsque j’arbitre. J’essaye d’utiliser le moins possible la règle pour privilégier l’humain et c’est ce qui m’a permis d’arriver au plus haut niveau. J’en suis très fier.\\n\\nQu’est-ce qui vous a amené à devenir le préparateur mental de l’équipe de France féminine ?\\n\\nJ’ai rencontré Valérie Garnier et elle avait le souhait de se rapprocher de la préparation mentale. On a travaillé sur un projet que l’on a présenté à la fédération qui a été validé. Je suis intervenu lors de la première fenêtre internationale à Brest puis durant la préparation à la Coupe du monde et j’y ai assisté. Il y avait différents travaux collectifs et individuels. Je n’ai pas du tout de contacts avec les joueuses en dehors des fenêtres internationales.\\n\\nLe mental des basketteuses est-il différent de celui des basketteurs ?\\n\\nLe mental, en fait, c’est quelque chose que tout le monde a. Par contre, ça ne s’achète pas. Il faut le travailler tous les jours, le développer. Il faut répéter les choses les plus justes possible et parvenir à retenir des aspects positifs. C’est ça qui permet d’avoir un mental dans les moments cruciaux. Je ne vois donc pas de différence entre un homme, une femme, un joueur, une joueuse. C’est vous seul qui décidé ce que vous voulez réaliser et pour ça il faut travailler au quotidien avec au départ un travail d’introspection. Qui je suis ? De quoi je me nourris ? Quels sont mes besoins, mes valeurs ? Vers quoi je veux aller ? Qu’est-ce que je mets en œuvre pour y arriver ? Je travaille beaucoup sur la visualisation mentale, être prêt à appréhender les situations qui peuvent arriver, avoir une réponse, une solution.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous dites que vous avez un père qui vous a abandonné enfant et qui ne respectait pas la loi et que c’est pour ça que l’arbitrage vous convenait ?\\n\\nJ’ai été abandonné à l’âge de cinq ans par mon père et avec ma maman on s’est retrouvés seuls. Elle m’a transmis une leçon de courage comme quoi dans la vie il faut batailler pour réussir, pour réaliser ses rêves. J’ai commencé le basket quand j’avais dix ans car j’avais une voisine qui y jouait. Je trouvais ce sport passionnant, je n’étais pas un shooteur, un grand joueur mais j’aimais faire des passes pour les autres, je me régalais de défendre ensemble. Dès l’âge de 12-14 ans, j’ai ressenti l’envie d’arbitrer. J’avais la force de prendre des décisions rapidement, je n’avais pas peur d’assumer de suite les erreurs. J’aimais la notion de diriger. Au fur et à mesure de gravir des échelons, j’ai réfléchi au pourquoi je suis devenu arbitre. Une activité où on a des règles, où l’on fait respecter la loi. J’avais eu un père qui ne respectait pas du tout la loi et moi j’ai choisi une activité où il fallait être le plus proche de la loi. Dans ma façon d’être, je suis très sensible à la notion d’honnêteté et au respect des règles, que ce soit dans la vie de tous les jours, le code de la route. Cela m’a permis d’être très tôt sensible dans mon activité d’arbitre à la gestion des personnalités. On a les fautes, les fautes techniques pour sanctionner les joueurs mais j’ai toujours préféré l’humain (...) Et d’être au milieu avec un sifflet ça m’a permis de prendre confiance en moi, de diriger à ma façon et j’ai travaillé tous les jours. J’ai assisté à des camps, à des stages, je suis allé à l’encontre de coaches de première division pour les questionner pour apprendre ce qui se fait au plus haut niveau. Tous les jours c’est chercher pour apprendre et apprendre sur moi. Pourquoi je suis là ? Dès que quelqu’un me parle de basket, Chantal Julien (NDLR : responsable des arbitres français de haut niveau), un coach, un joueur, j’écoute car il y a toujours quelque chose à retenir même et surtout à 45 ans. C’est essentiel de ne pas penser détenir la vérité. En trente ans d’arbitrage, j’ai toujours évolué.\\n\\nQuand on est arbitre international, arbitre t-on de la même façon un joueur suivant sa nationalité, son origine ?\\n\\nLorsque j’ai commencé à voyager, j’ai arbitré des joueurs plus ou moins connu et la première chose que j’ai tenu à faire, c’est au maximum d’avoir une connaissance du joueur et de sa personnalité. Et éventuellement de connaître un ou deux mots dans sa langue pour qu’il y ait un premier lien de confiance. « Bonjour ». « Au revoir ». « Merci ». « Comment allez-vous ? » « Bon match ! » Afin de créer un climat essentiel entre un joueur, un coach et un arbitre.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et FFBB\\n\\n * " }, {"role": "user", "content":"Officiel : Sean Kilpatrick signe au Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"Comme pressenti, Sean Kilpatrick (1,93m, 29 ans) est la nouvelle recrue du Panathinaïkos.\\n\\nSur son site, le club grec annonce l’arrivée de l’ancien pensionnaire de Cincinnati jusqu’à la fin de la saison. 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Il y a eu plus d’engagement ».\\n\\nLa contre-performance offensive de son meneur de jeu Mike Green, qui a déjoué dans le money time, a coûté cher à la SIG:\\n\\n« C’était un vrai match de coupe d’Europe. On savait que Besiktas avait fait des meilleurs matches ces derniers temps, ils l’ont confirmé. Mais je pense que l’on a su réagir à cela en 1ère mi-temps mais pas dans la durée. On a fléchi en attaque en perdant le rythme et la mobilité. On n’avait plus de vitesse. On a beaucoup travaillé défensivement avant ce match, ils ont montré qu’ils avaient envie mais il faut un peu plus que ça. Le symbole pour moi est Mike Green qui avait fait une première mi-temps plutôt correcte. 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Alors qu’ils ne comptabilisent que 5 victoires pour autant de défaites, les Lituaniens coachés par l’ancien joueur de Gravelines et sélectionneur national, Dainius Adomaitis, restent sur une série de trois victoires consécutives.\\n\\nVictorieux du Partizan Belgrade (80 à 74), jeudi dernier lors de la première journée, le Rytas Vilnius peut compter sur quelques joueurs de poids. Ainsi, en Serbie, l’ailier américain Dominique Sutton (1,96m, 32 ans) a brillé en inscrivant 21 points et interceptant 5 ballons. Ce soir, Lietuvos rytas bénéficiera par ailleurs du retour sur blessure de l’arrière Chris Kramer (1,91m, 30 ans).\\n\\n« Rytas est une équipe qui combine talent et expérience. Ils ont des meneurs adroits à 3-points et ils jouent vite en contre. (Dennis) Seeley et Sutton sont forts en 1 contre 1. Ils possèdent le puissant (Artsiom) Parakhousky (2,11m) sous les cercles et de jeunes shooteurs lituaniens à 3-points. Il faudra bien défendre et se montrer efficace en attaque. 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Selon le journaliste turc Ismail Senol, l’ancien joueur de l’Hapoel Tel Aviv aurait trouvé un accord avec Izmir pour le reste de la saison.\\n\\nCette saison avec Gran Canaria, Chris Evans compilait en moyenne 9 points et 3,2 rebonds en Liga Endesa, et 10,2 points et 2,5 rebonds en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nPınar Karşıyaka, Gran Canaria’dan Chris Evans ile sezon sonuna kadar anlaşmaya vardı.\\n\\n\\n— İsmail Şenol (@ismailsenol) January 8, 2019\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : l’ASVEL sans Ajinça et Jean-Charles, mais avec Kahudi contre Ulm" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa belle et précieuse victoire face au Lokomtiv Kuban (67-65) en ouverture du Top 16 d’Eurocup, l’ASVEL reçoit le Ratiopharm Ulm ce mardi à l’Astroballe.\\n\\nPour cette rencontre qui a pour but de confirmer la forme actuelle de la formation villeurbannaise, L’Equipe annonce que Zvezdan Mitrovic pourra compter sur le retour de Charles Kahudi qui était absent depuis quelques semaines en raison d’une légère hernie discale.\\n\\nEn revanche, les coéquipiers de Mantas Kalnietis devront composer sans Livio Jean-Charles, qui souffre d’une élongation aux ischio-jambiers, et leur dernière recrue Alexis Ajinça qui est toujours en phase de reprise, mais qui pourrait être en tenue samedi à Nanterre.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Nanterre sans Julian Gamble pour les deux prochaines semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Mauvaise nouvelle pour Nanterre qui perd son pivot Julian Gamble (2,08m, 29 ans) sur blessure.\\n\\nSur son site, Nanterre 92 annonce que son joueur sera indisponible pour une durée de deux semaines, sans indiquer la nature de sa blessure. Cette saison Julian Gamble compile en moyenne 9,5 points et 5,1 rebonds entre la Champions League et la Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Poirier et Lessort brillent en Liga" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\nOn peut le dire : on a vécu une nouvelle année record pour les Français qui évoluent dans les championnats européens en termes de performances. Du début à la fin, 2018 a délivré chez les Français de l’Étranger. Et 2019 ne devrait pas décevoir, avec la Coupe du Monde en point de mire...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVincent Poirier à maturité\\n\\nAuteur de 15 points et 6 rebonds dans la semaine dans le revers contre Fenerbahçe, Vincent Poirier n’a pas baissé le pied ce weekend. Avec 18 points, 6 rebonds et 2 contres, il a été le fer de lance de Vitoria qui s’impose facilement face à Manresa. Mieux, il a réalisé son meilleur score offensif de la saison !\\n\\nInfatigable poseur d’écrans et rouleur vers le cercle, Poirier confirme qu’il est un des meilleurs intérieurs de Liga cette année, avec 9 points et 5 rebonds en moyenne sur la saison. Avec ses bonnes mains et un physique désormais à maturité, Poirier peut lutter les yeux dans les yeux avec les babars du Vieux Continent.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KoVMA704tfA\\n\\n\\nMathias Lessort encore à 100%\\n\\nC’est la deuxième semaine de suite que Mathias Lessort termine son match de Liga à 100% de réussite aux tirs. Apres une sortie à 14 points à 7/7 la semaine dernière, le Tricolore a cette fois placé 12 points à 4/4 dans contre Tenerife... mais Malaga a dû s’incliner !\\n\\nA 9 points et 5 rebonds de moyenne, comme Vincent Poirier, Lessort est finalement plus constant que son compatriote avec 7 sorties en double figure (contre 5 à Poirier). En EuroCup, Lessort tourne dans les mêmes eaux avec 10 points et 5 rebonds de moyenne, avec un jeu toujours aussi spectaculaire.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=YulYux0gDUU\\n\\n\\nLe Fener chute pour la 2e fois\\n\\nL’enchainement des matchs n’eépargne personne, même pas l’équipe qui domine le continent avec une seule défaite en Euroleague ! Fenerbahçe a effectivement dû s’incliner pour la 2e fois de la saison seulement en championnat turc ce weekend, contre Banvit (83-78).\\n\\nTitulaire, Joffrey Lauvergne termine à 10 points et 5 rebonds dans ce revers surprenant... mais logique, somme toute, avec Jan Vesely ou encore Marko Guduric qui étaient au repos. Avec 3 défaites en 29 rencontres, le Fener garde un bilan largement positif !\\n\\n\\nAmath M’Baye enchaine\\n\\nEn double double la semaine passée, Amath M’Baye a de nouveau réussi une belle prestation contre Brescia, avec 14 points et 9 rebonds. S’il a été maladroit à 4/11 aux tirs, l’intérieur français de Bologne a grandement participé à la victoire de son équipe qui rentre à nouveau dans le Top 8 en Italie.\\n\\n\\nAdam Mokoka fait du chiffre\\n\\nAvec un gros contre sur Jacob Pullen ou un bon dunk en contre attaque, Adam Mokoka continue de se mettre en valeur en Liga ABA. Avec 18 points, 4 passes et 2 rebonds ce weekend pour abattre le Cedevita Zagreb, le jeune tricolore a encore fait du chiffre... mais il a aussi perdu 6 ballons !\\n\\nN’empêche, Mokoka tourne en moyenne à 12 points, 4 rebonds et 4 passes, plus 1 interception et 3 balles perdues cette saison. A 46% de réussite aux tirs dont 33% à trois points, le puissant arrière a encore du pain sur la planche mais sa courbe de progression est plus qu’encourageante.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 18 points (8/11 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 26 minutes (victoire 82-66 face à Manresa)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 12 points (4/4 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 3 interceptions, 1 balle perdue en 27 minutes (défaite 78-61 face à Tenerife)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (5/10 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe, 3 balles perdues en 27 minutes (victoire 85-80 face à Burgos)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 7 points (3/6 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception en 13 minutes (victoire 91-75 face à Fuenlabrada)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (1/7 aux tirs), 4 passes, 3 interceptions, 2 balles perdues en 22 minutes (défaite 69-68 face à Obradoiro)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 14 minutes (défaite 83-74 face à Badalone)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 8 minutes (victoire 85-80 face à Burgos)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 0 point (0/1 au tir), 1 passe en 6 minutes (défaite 83-74 face à Badalone)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 points (0/1 au tir), 1 balle perdue en 4 minutes (défaite 93-88 face à Estudiantes)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 contre en 10 minutes (victoire 101-75 face à l’AEK)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 4 points (1/6 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 65-54 face à Prometheus)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) :\\n– 12 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 31 minutes (victoire 95-89 face à l’Hapoel Tel Aviv)\\n– 11 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 29 minutes (défaite 101-91 face au Maccabi Tel Aviv)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 14 points (4/11 aux tirs), 9 rebonds, 1 interception, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 35 minutes (victoire 88-80 face à Brescia)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 2 points (1/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre en 10 minutes (défaite 106-96 face à Cantu)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 9 points (3/4 aux tirs), 6 rebonds, 3 interceptions, 1 contre, 3 balles perdues en 26 minutes (défaite 75-73 face au Partizan)\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 8 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 96-70 face à Aleksandrovac)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 13 points (5/7 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 contre, 3 balles perdues en 24 minutes (victoire 96-73 face à Gdynia)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué (victoire 92-66 face à Riga)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 18 points (6/14 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 contre, 6 balles perdues en 31 minutes (défaite 107-101 face à Zagreb)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 13 minutes (victoire 75-73 face à Mornar Bar)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 10 points (5/8 aux tirs), 5 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 2 balles perdues en 33 minutes (défaite 83-78 face à Banvit)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 93-80 face à Istanbul)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 93-80 face à Istanbul)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Kevin Séraphin finit 2018 en boulet de canon\\n\\nCrédits photo : ACB\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nVincent Poirier à maturité\\n\\nAuteur de 15 points et 6 rebonds dans la semaine dans le revers contre Fenerbahçe, Vincent Poirier n’a pas baissé le pied ce weekend. Avec 18 points, 6 rebonds et 2 contres, il a été le fer de lance de Vitoria qui s’impose facilement face à Manresa. Mieux, il a réalisé son meilleur score offensif de la saison !\\n\\nInfatigable po\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : début de bagarre en Turquie entre Ankara et le Darussafaka" }, {"role": "assistant", "content":"Lundi soir dans la victoire du Darussafaka face à Ankara (94-87), les esprits se sont échauffés.\\n\\nL’intérieur du Dacka Tekfen a d’abord tapé la balle sur le torse d’Ender Arslan avant de mettre un coup de tête à Metin Turen qui était venu d’un pas décidé défendre son coéquipier. Après ces vilains gestes, l’ancien joueur de Bilbao s’est excusé sur Twitter.\\n\\n« Je voudrais m’excuser auprès du Turk Telekom Ankara, de la Ligue et de la fédération turque pour mon acte antisportif pendant le match d’aujourd’hui. C’était le résultat d’un mélange d’un haut niveau de compétitivité et de victoire. Mais j’ai fait le mauvais choix. Une nouvelle fois désolé pour mes agissements, ce n’était pas mon intention. »\\n\\n\\n\\n\\nDaçka-Telekom arasındaki keyifli maçta resmen beklenmedik kavga çıktı.\\nEric niye böyle şeyler yaptı gerçekten anlayamadım pic.twitter.com/jbEjhvZIbj\\n\\n\\n— Yasin Yıldırım (@Yasinyay) January 7, 2019\\n\\n\\n\\n\\npic.twitter.com/NXafGPEqfb\\n\\n\\n— Micheal Eric (@MEasy_50) January 7, 2019\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Sean Kilpatrick vers le Panathinaïkos" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Athènes depuis quelques jours pour prendre le poste d’entraîneur du Panathinaïkos, Rick Pitino devait renforcer son équipe.\\n\\nSelon Eurohoops, Sean Kilpatrick (1,93m, 29 ans) aurait trouvé un accord avec le club grec et devrait prendre l’avion en direction d’Athènes dans les heures à venir. Formé à l’université de Cincinnati, cet arrière new-yorkais n’a jamais évolué ailleurs qu’aux Etats-Unis et est donc sur le point de connaitre sa première expérience européenne dans un l’un des clubs les plus prestigieux du continent.\\n\\nLa saison dernière, Sean Kilpatrick a connu pas moins de quatre franchises NBA avec Milwaukee, Brooklyn, Chicago et les Los Angeles Clippers. Il tournait en moyenne à 6,3 points et 1,6 rebond par match." }, {"role": "user", "content":"N1: Saint-Quentin lourdement sanctionné pour des dérapages financiers" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement leader de la poule A de Nationale 1 à égalité avec Souffelweyersheim (16 victoires, 1 défaite), Saint-Quentin BB vient d’être lourdement puni par la FFBB.\\n\\nLa commission de contrôle de gestion a sanctionné le club d’une amende de 1 500 € et surtout de trois points de pénalité sur la première phase et de deux points lors de la seconde. Motif: une mauvaise gestion financière.\\n\\nSQBB doit notamment 177 000 euros à son ancien joueur, Thomas Larrouquis.\\n\\n« Une goutte d’eau qui fait déborder le vase des problèmes du club. La commission fédérale a noté, entre autres, « le dépassement de l’encadrement des charges de personnel » ainsi que l’absence d’un fonds de réserve pourtant obligatoire. Vu que les problèmes n’arrivent jamais seuls, le SQBB a aussi reçu un redressement Urssaf de 11 725 € pris en compte par la CCG », écrit L’Aisne Nouvelle.\\n\\nLe club de l’Aisne va prendre rendez-vous avec le maire de la ville et faire appel arguant que la nouvelle direction va tenir le budget (1,3M€) de la saison en cours." }, {"role": "user", "content":"Eric Girard (Le Portel): Les résultats d’analyse sont bons !" }, {"role": "assistant", "content":"La bonne nouvelle est livrée ce matin dans La Voix du Nord: les résultats d’analyse suite à son intervention chirurgicale n’ont pas révélé de conséquences fâcheuses. Aussi Eric Girard va pouvoir poursuivre son travail de coach avec l’ESSM Le Portel.\\n\\nEric Girard, 54 ans, a déjà été victorieux deux fois d’un cancer des cordes vocales.\\n\\nLe Portel est actuellement 15e de Jeep Elite avec 5 victoires et 10 défaites.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne : le Barça retirera le maillot de Juan-Carlos Navarro le 1er mars" }, {"role": "assistant", "content":"Quoi de plus prestigieux que de voir son maillot monté au plafond du Palau Blaugrana juste avant un Clasico ?\\n\\nLe premier mars, Juan-Carlos Navarro verra son mythique numéro onze être retiré par le FC Barcelone avant la rencontre d’Euroleague qui l’opposera au Real Madrid, annonce le Barça. Un geste logique quand l’ont se rappelle de la carrière qu’a eu « La Bomba » lors de ses 21 années passées chez les pros en Catalogne.\\n\\nLe maillot de l’ancien international espagnol aurait dû être retiré le 25 novembre 2018, mais la tragique disparition de son père à logiquement retardé la cérémonie.\\n\\nLes quatre joueurs dont le maillot a été retiré par le FC Barcelone sont :\\n\\n * Andrés Jiménez (4) : 1986-98\\n * Nacho Solozabal (7) : 1978-94\\n * Robert Dueñas (12) : 1996-2005\\n * Juan Antonio San Epifanio (15) : 1979-95\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"David Lighty revient sur les coulisses de l’exploit de l’ASVEL en EuroCup" }, {"role": "assistant", "content":"L’Asvel a commencé son chemin au Top 16 de l’EuroCup par une grosse victoire à l’extérieur contre le Lokomotiv Krasnodar la semaine dernière.\\n\\nSelon David Lighty, cet exploit l’est d’autant plus si l’on se plonge dans les coulisses d’un voyage pas comme les autres...\\n\\n« Arriver au match a été une aventure en soi ! », détaille Lighty sur le site de l’EuroCup. « Je ne sais pas trop ce qui s’est passé en détails car j’essayais de rattraper un peu de sommeil... Mais on s’est retrouvé à la salle à 5h du matin. Notre vol était censé décoller à 6h30 mais on a attendu une heure à l’aéroport et on a fini par partir à 7h30. Ensuite, on a atterri pour faire le plein et on nous a dit qu’on ne pouvait pas voler au-dessus de l’Ukraine. On a donc dû attendre encore deux heures pour savoir quel itinéraire on prendrait. On devait arriver à midi mais au lieu de ça, on est arrivé à 17h, soit trois heures avant le match ! »\\n\\nCe n’est évidemment pas le plan idéal pour attaquer un match de haut niveau, mais les joueurs villeurbannais n’ont pas bronché.\\n\\n« Dès qu’on est arrivé, on est allé à l’hôtel, on a mangé et on a filé à la salle. On est arrivé juste à temps. Normalement, on a un shootaround, on mange notre déjeuner, on se repose et on fait de la vidéo... Mais là, on n’a rien eu de tout ça ! On est sorti de l’avion, on a mangé et on s’est dépêché d’aller au match. »\\n\\nAu total, ce voyage en Russie a été un sacré périple qui a duré moins de 24 h ! Un véritable tourbillon !\\n\\n« On est parti juste après le match et on est arrivé chez nous autour de 3h du matin. Le voyage a donc duré moins de 24h ! On a dû être en Russie pendant sept heures, pas plus ! Et rien que pour y arriver, on était dans l’avion pendant huit heures. Ça montre à quel point ce voyage était dingue ! »\\n\\nCe soir, Lighty et ses coéquipiers n’auront à craindre que d’éventuels bouchons à l’approche de l’Astroballe car ils reçoivent Ulm sur leur parquet pour confirmer leur excellent début de Top 16.\\n\\nCrédits photo : EuroCup – Alexia Leduc" }, {"role": "user", "content":"Amath M’Baye: «Je suis très fier d’être un Bleu»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au site de la FIBA, Amath M’Baye (2,06m) revient sur ses débuts en équipe de France à 29 ans, à l’occasion de la cinquième fenêtre internationale pour les qualifications à la Coupe du monde 2019 avec une performance de choix pour sa première sélection face à la République Tchèque: 18 points, 5 passes et 2 rebonds.\\n\\n« J’étais un peu nerveux, mais en même temps très content d’avoir cette chance de porter ce maillot national pour la première fois. Je n’aurais pas pu rêver d’un meilleur début en équipe nationale senior. J’ai juste fait mon boulot et donné mon meilleur pour l’équipe, et je suis content de l’impact que j’ai eu lors de ces deux matchs. C’est clair, celui en République Tchèque a été très spécial pour moi et je ne l’oublierai jamais. Je voulais aider l’équipe à gagner, c’était ça la priorité. Je voulais aussi leur montrer qu’ils avaient fait un bon choix en me donnant cette chance de figurer dans l’équipe. »\\n\\nA noter que s’il a fait l’essentiel de sa carrière aux Etats-Unis, au Japon et en Italie, Amath Mbaye avait disputé l’Euro U20 en 2009 avec un temps de jeu limité à moins de 5 minutes par match.\\n\\n« Je n’avais pas beaucoup été aligné, mais cette expérience à l’échelle internationale, contre les meilleurs joueurs de ma génération, m’avait fait du bien. Le niveau avait été très bon et nous avions réussi un beau parcours, je me rappelle de tout le positif. J’avais énormément appris au contact de gars comme Thomas Heurtel, Antoine Diot, Edwin Jackson et Kevin Seraphin, qui faisaient partie des basketteurs les plus talentueux du continent à cette époque-là. »\\n\\nAmath Mbaye sera probablement de nouveau convoqué pour la dernière fenêtre en février pour des matches face à la Finlande et la République Tchèque. Et pourquoi pas pour la Coupe du monde en Chine sachant que depuis la retraite de Boris Diaw, il y a beaucoup d’incertitudes qui entourent le poste 4.\\n\\n« J’étais impatient de me retrouver dans cette équipe et j’ai pu compter sur le soutien de nombreuses personnes, mais je veux continuer à travailler dur pour revivre ce genre de moments. Je suis fier d’être désormais un Bleu et d’avoir enfilé ce maillot pour la première fois. C’est si spécial de le faire. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Romain Lhermitte (Mondeville): «On ne va pas lâcher, on va se battre»" }, {"role": "assistant", "content":"Zéro victoire en onze journées. Quatre victoires de retard sur Nantes et Tarbes. La situation de Mondeville est peu enviable. Bien sûr, tout se jouera en playdowns mais faut-il encore ne pas y arriver dépourvu sachant que les résultats obtenus lors de la saison régulière face aux trois autres équipes seront conservés.\\n\\nL’USOM peut désormais compter sur son pivot américain Courtney Hurt (1,85m, 28 ans) mais celle-ci manque de souffle étant donné qu’elle sort d’une longue période d’inactivité consécutif à une opération au genou.\\n\\n« On a besoin d’une Courtney à 30 minutes pour faire souffler tout le monde », analyse le coach Romain Lhermitte sur Actu.fr. « Aujourd’hui, elle ne le peut pas. Cela s’est vu. Si elle avait eu un genou à 100 %, elle aurait attaqué fort. Là, elle était dans le tir extérieur. Il faut du temps. C’est un peu notre problématique depuis le début de la saison. Il fallait du temps pour que Kim (Gaucher) revienne, du temps pour trouver notre collectif... Mais aujourd’hui, du temps, on n’en a plus. Ou plus beaucoup. En playdowns, on pourrait rencontrer des équipes à trois ou quatre victoires*. Nous, on en aura trois au maximum. Ça va être difficile mais on ne va pas lâcher, on va se battre. »\\n\\nLe club normand connu pour la qualité de son centre de formation utilise beaucoup de jeunes, encore des pieds tendres.\\n\\n« Elles sont talentueuses, mais ce ne sont pas Luka Doncic. Aujourd’hui, il faut se maintenir. Je vais mettre cette responsabilité sur les joueuses professionnelles plus que sur les petites jeunes du centre de formation. Ce sont les joueuses professionnelles qui vont faire en sorte qu’on puisse se maintenir. Sans Kim, on souffrait énormément. Depuis qu’elle est revenue, les matchs se jouent à une ou deux possessions. Ça change la donne. »\\n\\nPhoto: LFB" }, {"role": "user", "content":"BCL : Fuenlabrada – Dijon en direct et en clair sur Daylimotion" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Dijon joue sa survie en Champions League face à Fuenlabrada ce mardi soir, la rencontre sera à suivre en direct et en clair sur Daylimotion.\\n\\nSeptième du groupe C de BCL avec deux victoires et sept défaites, la JDA compte trois victoires de retard sur le quatrième et dernier qualifiée du groupe qui est pour l’instant Anvers. De son côté Fuenlabrada pointe à la sixième place du groupe avec une seulement petite victoire d’avance sur les Dijonnais.\\n\\nEntre deux à 20h30.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Soriah Bangura pigiste de Norville Carey à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir libéré Brandon Brown qui est arrivé au terme de son contrat d’un mois, Poitiers vient d’engager Soriah Bangura (1,96m, 25 ans).\\n\\nSur son site, le PB86 annonce l’arrivée l’intérieur français en tant que pigiste médical de Norville Carey qui est indisponible depuis le 22 décembre et jusqu’à fin janvier. Formé au Mans, le nouveau Poitevin est passé par Lille, Orchies, Rouen et Evreux.\\n\\nLa saison dernière, Soriah Bangura compilait en moyenne 4,1 points et 2,6 rebonds pour une évaluation de 4,4 en Pro B.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest/ALM Evreux" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Isaiah Whitehead quitte le Lokomotiv Kuban" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le groupe de l’ASVEL pour le Top 16 d’Eurocup, le Lokomtiv Kuban vient de se séparer d’Isaiah Whitehead (1,91m, 23 ans).\\n\\nFormé à Seton Hall, ce poste 1/2 new-yorkais vivait sa première expérience loin des Etats-Unis après deux ans passés entre les Brooklyn Nets et son équipe de G-League, les Long Island Nets. Sur Twitter, le club russe a annoncé que les deux parties ont décidé de se séparer d’un commun accord. Nul doute que la formation de Vlada Jovanovic, calibrée pour l’Euroleague, va engager un joueur pour pallier ce départ d’autant plus qu’elle a perdu son premier match du Top 16, face à l’ASVEL.\\n\\nCette saison, Isaiah Whitehead tournait en moyenne à 11,6 points et 3,3 passes décisives pour une évaluation de 9 en VTB League, et 11 points, 3,3 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 10,3 en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n⚠🇬🇧Lokomotiv Kuban and @isaiahwhitehead parted ways by mutual agreement. Thanks for your contribution and good luck in your future career!\\n\\n\\n🇷🇺«Локо» и Айзея Уайтхед расторгли контракт по обоюдному согласию сторон. Благодарим защитника и желаем удачи в будущем! #локосемьянавсегда pic.twitter.com/QEsbg5wZtK\\n\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) January 7, 2019\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le BCM Gravelines se renforce avec Kendall Anthony" }, {"role": "assistant", "content":"Edgar Sosa et Benjamin Sene sur le flanc pour plusieurs semaines, le BCM Gravelines-Dunkerque vient de faire appel à Kendall Anthony (1,73m, 25 ans).\\n\\nInconnu des championnats de France, l’ancien pensionnaire de l’université de Richmond arrive du championnat islandais ou il a passé deux mois. Passé par la deuxième division turque, la République Tchèque et le Brésil avant cela, l’ancien joueur de Bauru (Sao Paolo) a été engagé en tant que pigiste médical, indique le club.\\n\\nAprès sept matchs dans le championnat islandais, Kendall Anthony tournait à 30,6 points, 9 passes décisives et 3,9 rebonds pour une évaluation de 36,1.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Brian Roberts réclamerait environ 95 000€ à l’Olympiakos" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’est pas rare de voir des joueurs lancer des procédures auprès de la FIBA pour des salaires impayés et c’est souvent le cas en Grèce, mais moins dans les locomotives comme le Panathinaïkos ou l’Olympiakos, qui est aujourd’hui visé.\\n\\nSelon Sportando, Brian Roberts (1,85m, 33 ans) aurait décidé de s’en référer à la FIBA après plusieurs mois de négociations. Passé par l’Olympiakos en 2017/18, l’ancien joueur des Charlotte Hornets réclamerait environ 95 000€ de salaires impayés à la formation du Pirée.\\n\\nActuellement à Malaga, l’ancien meneur de Bamberg aurait essayé, via ses agents, de régler ce problème avec l’Olympiakos durant les derniers mois, en vain.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : le Zalgiris Kaunas se renforce avec Deon Thompson" }, {"role": "assistant", "content":"En Espagne depuis 2017, Deon Thompson (2,03m, 30 ans) quitte Burgos pour rejoindre le Zalgiris Kaunas.\\n\\nSur son site, le club lituanien annonce l’arrivée de l’ancien joueur de l’Etoile Rouge de Belgrade qui s’est engagé pour le reste de la saison. Cette signature fait suite à la blessure à l’abdomen d’Antanas Kavaliauskas, qui va être absent au moins cinq semaines. Jamais passé par Kaunas, cet intérieur californien a connu le Bayern Munich, l’ALBA Berlin, Milan, l’Hapoel Jerusalem ou encore le Galatasaray.\\n\\nPartout où il a évolué, il a quasiment toujours gagné un trophée. Son palmarès affiche un championnat d’Allemagne, d’Israël et de Serbie, une Ligue Adriatique, une coupe de Slovénie ou encore le titre NCAA en 2009 avec North Carolina.\\n\\nCette saison, Deon Thompson compilait en moyenne 12,2 points et 5,5 rebonds en Liga Endesa.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Vassilis Spanoulis est devenu le meilleur passeur de l’histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà élevé au rang de légende vivante du basket européen, Vassilis Spanoulis (1,93m, 36 ans) marque encore un peu plus le basket grec de son empreinte.\\n\\nAvec quatre passes décisives dans la victoire de l’Olympiakos face à l’AEK Athènes (101-75), l’ancien international grec a atteint la barre des 2 145 caviars dans le championnat grec, dépassant ainsi Dimitris Diamantidis pour devenir le meilleur passeur de l’histoire du championnat grec.\\n\\nCette saison, Vassilis Spanoulis compile en moyenne 9,1 points, 2,3 rebonds et 5,7 passes décisives en championnat.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Angelo Tsagarakis met fin à sa carrière d’international en 3×3" }, {"role": "assistant", "content":"A 34 ans, Angelo Tsagarakis (1,90m) a décidé de mettre fin à sa riche carrière de joueur de 3×3. Il a été médaillé de bronze à la Coupe du Monde 2017 à Nantes et gagné plusieurs concours de tirs à trois-points à l’occasion de compétitions de 3×3. Angelo Tsagarakis était ainsi devenu l’une des figures de l’équipe de France dans une discipline en pleine expansion.\\n\\n« Je prends donc la décision après 6 ans de loyaux services avec la sélection nationale seniors 3×3 de prendre ma retraite internationale », écrit-il sur sa page facebook. « Je n’en ai pas encore terminé avec le basket de haut niveau, mais à ce stade de ma carrière, et après de longs étés entièrement consacrés à l’écriture de certaines des plus belles pages de l’histoire du basket 3×3 français, il est temps de laisser ma place à la nouvelle génération qui portera à son tour fièrement nos couleurs et de préparer ma vie loin des parquets. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le passé Euroleague des joueurs de Jeep Elite: de mieux en mieux !" }, {"role": "assistant", "content":"Ils sont vingt-deux joueurs non-JFL de Jeep Élite à avoir évolué une saison ou plus en Euroleague. Qui sont-ils ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl y a un peu moins d’un an, nous vous avions présenté les non-JFL ayant évolué en Euroleague et présents en Jeep Élite pendant la saison 2017-2018. D’une année sportive à l’autre, quelles sont les évolutions ?\\n\\nTout d’abord, il faut noter que, bien que 14 joueurs présents la saison passée sont partis sous d’autres cieux, ils sont comme l’année dernière 22 à posséder un « CV Euroleague » (en tenant compte de Jerel Blassingame, qui vient tout juste de quitter Pau-Lacq-Orthez – et en nous concentrant sur les joueurs qui ont évolué en Euroleague dans des clubs étrangers et non uniquement des clubs français). Autrement dit, ce sont 14 nouveaux arrivants, effectuant pour certains leur retour en France (Juan Palacios et Blake Schilb), qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière foulé les parquets d’Euroleague. Avec succès ?\\n\\nLe portrait-robot\\n\\nLe joueur de Jeep Élite au passé Euroleague est très majoritairement américain : seuls cinq joueurs (Miro Bilan, Jonathan Tabu, Roko-Leni Ukic, Mantas Kalnietis et Adas Juskevicius étant Européens, auxquels on pourrait adjoindre Juan Palacios, Colombien). Et son passé Euroleague est plus « dense » que la saison passée : 3,3 saisons (contre 2,3 en 2017-2018) pour 47 matchs (contre 31,2) avec un rendement de 8,0 points (contre 7,3), 2,8 rebonds (contre 2,4) et 2,0 passes (contre 1,6). Globalement, ces joueurs présentent donc un meilleur cursus que la saison passée. Quant à la répartition par poste, elle « penche » toujours autant vers l’extérieur : 14 meneurs et arrières, 3 ailiers, 5 intérieurs (contre 14, 2 et 6 l’an dernier).\\n\\nDe « vrais » joueurs d’Euroleague\\n\\nOutre un rendement moyen en hausse, l’autre constatation tient au fait que si seulement 5 joueurs avaient l’an dernier plus de 50 matchs d’Euroleague à leur actif, ils sont aujourd’hui 7, dont notamment Mantas Kalnietis (174 matchs en 11 saisons) et Roko-Leni Ukic (154 matchs en 9 saisons). Le tout avec un rendement de joueur majeur : 6,8 points et 2,9 passes pour le Lituanien, 8,6 points et 2,6 passes pour le Croate (et notamment 12,4 points pour ses 30 matchs en trois saisons avec le Fenerbahce.\\n\\nDerrière ces deux meneurs en terme de nombres de matchs d’Euroleague joués, on trouve le Dijonnais Tarence Kinsey (94 matchs en 7 saisons pour 10,9 pts et 3,5 rbds – Etoile Rouge, Fenerbahce, Anadolu Efes, Partizan, Novgorod) et le Manceau Richard Hendrix (91 matchs en 5 ans pour 8,0 pts et 5,6 rbds – Maccabi, Milan, Krasnodar, Malaga).\\n\\nPlus généralement, 6 joueurs ont moins de 20 matchs à leur actif (contre 8 la saison passée) et 11 ont joué plus de 30 parties (contre 7).\\n\\nEt, globalement, ils performent : 15 ont enregistré plus de 7 points par match (contre 14 en 2017/18) et, plus encore, 9 sont au-dessus des 9 points de moyenne (contre 5 l’an dernier), dont 5 à plus de 10 points : Miro Bilan (12,1 pts), Blake Schilb (11,2 pts), Tarence Kinsey (10,9 pts), Edgar Sosa (10,4 pts sur 10 matchs), Malik Hairston (10,1 pts). Des joueurs qui ont donc eu un rôle majeur dans leur équipe.\\n\\nBelles écuries\\n\\nEn outre, nombre de ces joueurs ont fréquenté des équipes huppées. Le Panathinaïkos a ainsi vu passer 5 joueurs (Demarcus Nelson, AJ Slaughter, Roko-Leni Ukic, Zack et Julian Wright). À Malaga, ils sont 4 à avoir joué l’Euroleague : Demarcus Nelson encore, Taqwa Pinero, Zabian Dowdell et Richard Hendrix. Milan a vu passer Samardo Samuels, Malik Hairston, Richard Hendrix et Mantas Kalnietis. Au Fenerbahce ont évolué Roko-Leni Ukic et Tarence Kinsey alors qu’à Barcelone ce sont Samardo Samuels et Ukic qui ont joué. Kaunas a, logiquement, accueilli les Lituaniens Mantas Kalnietis et Adas Juskevicius alors que l’Olympiakos a été le terrain de jeu de Dominic Waters et Mardy Collins. Bref, des écuries prestigieuses.\\n\\nFin de parcours ?\\n\\nComme l’an dernier, se pose la question de savoir ce qui peut amener ces joueurs au CV replet vers le championnat de France, qui n’offre évidemment pas les émoluments qu’ils ont pu toucher dans ces grandes écuries. La première réponse émerge d’une statistique : le « joueur moyen » passé par l’Euroleague est né en 1985 (comme l’an dernier). Il a donc 33-34 ans. Pas un jeune joueur, mais pas « bouilli » non plus, a priori. D’autant que s’il y a aujourd’hui un seul joueur de moins de 30 ans à évoluer en Jeep Élite (Juskevicius) contre 7 la saison passée, ils ne sont que trois à avoir plus de 35 ans (contre 8 l’an passé).\\n\\nLa Jeep Élite n’est donc pas à proprement parler une « maison de retraite » mais plutôt un championnat où un joueur vient se relancer, comme Samardo Samuels l’an dernier ou Malik Hairston après une saison blanche cette année. Elle permet aussi à de forts joueurs comme Mantas Kalnietis ou Roko-Leni Ukic de montrer qu’ils restent tout à fait compétitifs. Et, surtout, pour tous ces joueurs ayant pour partie dépassé l’optimum de leur carrière, la Jeep Élite présente un avantage non-négligeable : ils ont la garantie d’être payés, ce qui n’a pas forcément toujours été le cas pour eux... En outre, le salaire moyen est plutôt à la hausse en France, et l’on n’oubliera pas de mentionner l’attrait de notre pays, que ce soient les lumières de Paris ou les multiples spécialités de nos belles régions.\\n\\nNon pas que ces joueurs soient venus en France faire du tourisme et se remplir la panse. À quelques rares exceptions près (Tarence Kinsey, Jonathan Tabu, Taqwa Pinero ou Dominic Waters à divers degrés), tous ont un rôle majeur dans leur équipe et un rendement important en Jeep Élite.\\n\\nEnfin, si l’an dernier l’Asvel a déçu malgré son trio estampillé Euroleague (Ligthy, Slaughter, Nelson), l’ajout de Bilan et Kalnietis (sans compter d’autres apports comme celui de coach Mitrovic) a rendu LDLC Asvel quasi-irrésistible (au moins pour l’instant). Et Levallois (Ukic et Julian Wright) comme la SIG (Zack Wright et Collins) profitent de leurs joueurs Euroleague pour figurer en bonne position. Cela dit, la « recette » n’est pas sans faille, Le Mans (Tabu et Hendrix) ou Nanterre (Waters, Juskevicius) produisant des résultats mitigés malgré ces joueurs de standing.\\n\\nToujours est-il que, cette étude le montre, la Jeep Élite est un championnat de plus en plus attractif pour des joueurs de très bon niveau. Certes, il est encore loin d’attirer de fortes pointures comme, par exemple, Alexey Shved, Cory Higgins, Sergio Llull, Ante Tomic ou autres joueurs payés un ou plusieurs millions d’euros par an. Mais la tendance est plutôt encourageante. Reste à voir quel sera l’an prochain l’impact de la participation de LDLC Asvel à l’Euroleague sur son évolution.\\n\\n[armelse]\\n\\nIl y a un peu moins d’un an, nous vous avions présenté les non-JFL ayant évolué en Euroleague et présents en Jeep Élite pendant la saison 2017-2018. D’une année sportive à l’autre, quelles sont les évolutions ?\\n\\nTout d’abord, il faut noter que, bien que 14 joueurs présents la saison passée sont partis sous d’autres cieux, ils sont comme l’année dernière 22 à posséder un « CV Euroleague » (en tenant compte de Jerel Blassingame, qui vient tout juste de quitter Pau-Lacq-Orthez – et en nous concentrant sur les joueurs qui ont évolué en Euroleague dans des clubs étrangers et non uniquement des clubs français). Autrement dit, ce sont 14 nouveaux arrivants, effectuant pour certains leur retour en France (Juan Palacios et Blake Schilb), qui ont à un moment ou à un autre de leur carrière foulé les parquets d’Euroleague. Avec succès ?\\n\\nLe portrait-robot\\n\\nLe joueur de Jeep Élite au passé Euroleague est très majoritairement américain : seuls cinq joueurs (Miro Bilan, Jonathan Tabu, Roko-Leni Ukic, Mantas Kalnietis et Adas Juskevicius étant Européens, auxquels on pourrait adjoindre Juan Palacios, Colombien). 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Ce n’était pas arrivé depuis décembre 2014 avec 7 défaites d’affilée entre-temps.\\n\\nUne énorme surprise puisque le Real était avec 11 victoires et 3 défaites le leader de la Liga Endesa à égalité avec le Barça alors qu’Estudiantes était dans la zone rouge (4-10).\\n\\nCe sont l’Italien Alessandro Gentile (25 points, 5 rebonds et 19 d’évaluation) et l’Américain Shayne Whittington (16 points et 6 rebonds) qui ont joué un rôle majeur dans cette victoire. Trois trois-points consécutifs de Sergio Llull (18 points) dans le money time ont semé quelques doutes dans les esprits mais les « Etudiants » ont réussi à conserver le gain du match.\\n\\nCette victoire est la 1000e d’Estudiantes dans le championnat espagnol; un record que seuls le Real, le Barça et la Joventut Badalone ont atteint avant lui." }, {"role": "user", "content":"La photo: Boris Diaw dans son nouveau rôle pour l’équipe de France" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis sa retraite sportive, Boris Diaw ne se contente pas de voguer sur les mers chaudes, il sert aussi d’interface entre le staff de l’équipe de France, les franchises NBA et les internationaux en tant que general manager adjoint. Ainsi, à l’occasion du match Phoenix Suns vs Charlotte Hornets, il a retrouvé Nicolas Batum, Elie Okobo, Tony Parker et aussi en guest star un autre francophone, le Congolais Bismack Biyombo." }, {"role": "user", "content":"Pour Eurobasket.com, l’ASVEL est la 18e équipe européenne" }, {"role": "assistant", "content":"Le site Eurobasket.com fait un classement permanent des équipes européennes et l’ASVEL apparaît ainsi à la 18e place.\\n\\nCe classement est basé sur les résultats obtenus dans les ligues nationales -les pays sont classés en fonction des résultats des saisons précédentes-, la participation et les résultats dans les coupes d’Europe -les coupes ont un coefficient différent-, et les résultats sur les cinq dernières semaines.\\n\\nLes équipes d’Euroleague se taillent évidemment la part du lion et Fenerbahçe est numéro 1 devant le Real Madrid et le CSKA Moscou. Les équipes françaises sont larguées: Strasbourg (27e), Nanterre (50e), Dijon (57e), Limoges (70e), Pau (71e), Gravelines (87e), Bourg (88e), Levallois (89e) et Monaco (90e). Le champion de France, Le Mans, n’apparait pas dans ce top 100.\\n\\nLe top 10\\n\\n\\n\\n\\n1.\\nFenerbahce(Turquie)\\n\\n\\n183\\n\\n\\n2.\\nReal Madrid(Espagne)\\n\\n\\n170\\n\\n\\n3.\\nCSKA(Russie)\\n\\n\\n165\\n\\n\\n4.\\nOlympiacos(Greece)\\n\\n\\n156\\n\\n\\n5.\\nAnadolu Efes(Turquie)\\n\\n\\n155\\n\\n\\n6.\\nFC Barcelona(Espagne)\\n\\n\\n153\\n\\n\\n7.\\nAEK(Grèce)\\n\\n\\n145\\n\\n\\n8.\\nPanathinaikos(Grèce)\\n\\n\\n143\\n\\n\\n9.\\nTenerife(Espagne)\\n\\n\\n142\\n\\n\\n10.\\nB.Munich(Allemagne)\\n\\n\\n141\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Programme TV: La semaine de l’Opalico, Gravelines-Le Portel" }, {"role": "assistant", "content":"Avec le retour de la Jeep Elite après un court break et notamment le derby de la Côte d’Opale entre Gravelines et Le Portel, c’est de nouveau une semaine très riche qui nous attend.\\n\\nMardi 8 janvier:\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h15 – Gran Canaria/Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n19h00 – Kaunas/Efes – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Vitoria – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h30 – Strasbourg/Beisktas – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Fuenlabrada/Dijon – BCL – Basket+\\n\\n20h45 – ASVEL/Ulm – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 9 janvier\\n\\n18h15 – Darussafaka/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Monaco/Vilnius – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Ludwigsburg/Le Mans – BCL – Basket+\\n\\n20h00 – Panathinaikos/Bayern – Euroleague – SFR Sport Live 6\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Podgoricia – Euroleague – SFR Sport Live 7\\n\\n20h30 – Nanterre/Bonn – BCL – Basket+\\n\\n20h45 – Milan/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n21h00 – Limoges/Valence – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 10 janvier\\n\\n18h00 – Efes/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Vitoria/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Madrid/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 11 janvier\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Tel-Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Podgoricia/Darussafafa – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Munich/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Barcelone/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nSamedi 12 janvier\\n\\n18h30 – Nanterre/ASVEL – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 13 janvier\\n\\n18h30 – Dijon/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 14 janvier\\n\\n20h45 – Gravelines/Le Portel – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: BCM" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 14 à 2 à trois-points pour Montpellier face à Bourges" }, {"role": "assistant", "content":"S’il y a un chiffre à retenir -en plus du score final- du clasico de Ligue Féminine, Bourges-Montpellier, c’est le différentiel dans l’adresse à trois-points. 2/17 pour les Tango, 14/31 pour les Gazelles et encore, leur pourcentage s’est un peu détérioré sur la fin.\\n\\nLes deux marqueuses berruyères sont Alexia Chartereau (1/4) et Sarah Michel (1/3). La plus belle gabegie est venue de Marine Johannès (0/5) et Lisa Berkani (0/4).\\n\\nCôté héraultais, 6 joueuses ont scoré au-delà de la ligne à 6,25m avec un 4/6 pour l’Ukrainienne Olesia Malashenko.\\n\\nIl ne faut pas oublier pour autant que le BLMA a mis tout de suite la tête sous l’eau à Bourges avec l’emprise à l’intérieur d’Helena Ciak. Très agressives, les Héraultaises menaient 53-32 à la mi-temps. Les Berruyères ont tenté ensuite un come back mais qui a été repoussé et le score final est lourd: 89-65.\\n\\nCe soir, à l’issue du cycle aller, Bourges, Lyon et Montpellier sont au même niveau et on remarquera que les Berruyères ont également échoué dans les grandes largeurs dans le Rhône, 53-67, lors de la deuxième journée. La concurrence n’a jamais été aussi forte.\\n\\nPhoto: Samatha Whitcomb (BLMA)" }, {"role": "user", "content":"La photo: Helena Ciak et Lisa Berkani, retrouvailles heureuses" }, {"role": "assistant", "content":"Avant de se rencontrer en fin d’après-midi, joueuses de Bourges et de Lattes-Montpellier étaient visiblement heureuses de se retrouver à l’image de Helena Ciak et Lisa Berkani. Il faut dire que plusieurs d’entre-elles ont déjà joué sous le même maillot, dans un camp comme dans l’autre. Et aussi en équipe de France.\\n\\nPhoto: Tango Bourges" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Hoopsidia au All-Star Game LNB" }, {"role": "assistant", "content":"Avec Brisco, CODJordan, Léa François et Sebastien Abdelhamid, Hoopsidia est membre du « 5 Majeur » des influençeurs de la LNB et à ce titre il a invité deux de ses abonnés à l’événement parisien annuel.\\n\\nAu programme, visite de l’Accor Arena, Skills Challenge et 3-points contest." }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Mondeville termine la phase aller sans victoire" }, {"role": "assistant", "content":"Une fois encore les Mondevillaises ont été courageuses, une fois encore elles ont échoué de peu. Leur onzième défaite en onze journées, ce qui fait qu’elles sont toujours à sec à la fin de la phase aller.\\n\\nDans La Cimenterie de Landerneau, elles ont tenu bon 36 minutes à 71 partout. La Canadienne Kim Gaucher (24 points et 6 rebonds) et l’Américaine Kristen Mann (17 points et 7 rebonds) se sont déchaînées en attaque. Myriam Djekoundade a apporté des rebonds (11) et Shona Thoburn des passes (8). Mais l’USOM a fini par craquer: 72-77.\\n\\nPour son retour à la compétition la pivot US Courtney Hurt a joué 17 minutes pour 7 points et 4 rebonds.\\n\\nDans les rangs bretons, deux joueuses, Joyce Cousseins-Smith et Kariata Daby finissent avec 17 points.\\n\\nIl est urgent pour l’USOM de gagner des matches surtout face aux équipes qu’elle va retrouver en playdown. Sauf que la situation est si confuse (8 équipes avec entre 3 et 5 victoires avant les matches de ce dimanche) qu’il est impossible de dire qui ce sera.\\n\\nPhoto: Kim Gaucher (LFB)" }, {"role": "user", "content":"Helena Ciak (Montpellier) à propos de son retour en France: «J’avais le mal du pays»" }, {"role": "assistant", "content":"Bourges-Montpellier. Ce soir, c’est le choc de Ligue Féminine, que l’on peut appeler un clasico même s’il n’a pas l’antériorité d’un Limoges-Pau chez les garçons ou d’un feu Bourges-Valenciennes. Avec sa kyrielle d’internationales, le BLMA a monté une équipe capable de reprendre le sceptre national. Parmi celles-ci, Helena Ciak (1,97m, 29 ans) qui va jouer devant toute sa famille y compris son père Piotr, 2,18m, un ancien international polonais.\\n\\nHelena Ciak a donc fait le choix de revenir en France en quittant le Dynamo Kourks avec qui elle fut championne d’Europe en 2017. Elle s’en explique dans Le Midi Libre:\\n\\n« J’étais esseulée dans un appartement, personne ne parlait anglais, ça n’a pas été drôle tous les jours. La seconde saison a été compliquée à la fois sur le plan sportif (NDLR: 3e du Final Four d’Euroleague, vice-championne de Russie, ce qui pour les ambitions du club n’était pas suffisant) avec l’absence d’osmose dans le groupe, et humain aussi. La Russie c’est spécial, et j’avais le mal du pays. »\\n\\nLa Montpelliéraine ne dira pas pour autant forcément non à un nouvel appel de l’étranger. En attendant, comme Endy Miyem, Diandra Tcharchouang et Romane Bernies, elle va retrouver une salle qu’elle connaît bien, le Prado, puisqu’elle a porté deux saisons le maillot tango. Avec 12,6 points et 6,7 rebonds, la pivot de l’équipe nationale fait une saison de bonne facture mais comme le BLMA compte déjà deux défaites en championnat (plus une élimination en coupe de France), il serait bon de revenir du Cher avec la victoire pour ne pas se laisser décrocher par les Tango.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Alors qu’il a signé à l’ASVEL pour le reste de la saison, Alexis Ajinça a toujours des envies de NBA" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un entretien avec RMC Sport, Alexis Ajinça (2,18m, 30 ans), qui vient de signer avec l’ASVEL jusqu’à la fin de la saison, indique que ses genoux « vont très bien » mais l’ancien pivot des New Orleans Pelicans ne sait pas quand il va reprendre la compétition. La Leaders Cup n’est pas forcément l’échéance.\\n\\n« Personnellement, je ne me suis pas fixé de date. Ca peut être avant, ça peut être après. Honnêtement, je ne sais pas du tout. Ca fait un an que j’étais blessé, c’est sûr que ça va prendre un peu de temps. Mais hier (NDLR: vendredi), ça faisait du bien de se remettre dans le bain, je n’étais pas trop à la rue. »\\n\\nSi la perspective de jouer l’Euroleague lui plaît, le Stéphanois n’a pas tiré pour autant une croix sur la NBA où il a passé sept saisons pour 5,3 points et 3,9 rebonds en 293 matches.\\n\\n« Oui, l’envie de NBA est encore là. Il faut savoir que ma femme est américaine et ma vie est aux Etats-Unis. Ne pas avoir la NBA dans la tête, ça serait difficile. Cette saison, ma famille ne sera pas là, je ne vais pas faire beaucoup de saisons comme ça, enfin je n’espère pas. On verra ce qui va se passer. »" }, {"role": "user", "content":"Il leur manque 1 200 euros pour faire le voyage de leur rêve à New York" }, {"role": "assistant", "content":"« Au collège Gérard Philipe, à Fontaine, près de Grenoble en Isère, on joue au basket. Et au collège Gérard Philipe il y a 9 élèves, 9 jeunes filles de 3ème qui ont un rêve. Le rêve de concrétiser leur passion du basket dans un voyage inoubliable : NEW YORK. Moi je suis leur prof d’eps et aussi entraineur de basket, je suis accompagné de ma collègue d’anglais et nous avons eu la folie de penser que nous pourrions le faire. »\\n\\nLe but de la visite à New York: aller à la rencontre d’une équipe de basket féminine d’un collège de Brooklyn, jouer un match amical contre elles, et passer une journée avec elles dans leur école afin de vivre comme de vraies New Yorkaises l’espace d’une journée.\\n\\n« Les élèves ont lu comment on entrait à New York il y a 100 ans, Ellis Island, La vie d’un migrant dans les quartiers de Manhattan à cette époque. Ce sera incroyable de visiter ces endroits en vrai. Elles mèneront également des entretiens individuels avec chaque basketteuses américaines afin de connaitre l’histoire de leur famille. Comment leur famille est elle arrivée à New York, à quelle époque, quelle origine. Autant de choses qui viendront illustrer à merveille le projet autour de l’exil. »\\n\\nLe voyage est programmé du 28 mars au 3 avril 2019. Il est d’ores et déjà faisable puisque les organisateurs disposent d’une somme de 10 000 euros.\\n\\n« Grâce à ces 10 000 euros nous pouvons prendre l’avion et nous loger sur place. Mais bien évidemment cela ne suffit pas, il va falloir quand même manger une fois sur place, se déplacer en métro car même si nous sommes sportifs, Manhattan c’est grand donc une carte de métro pour chacun ne sera pas un luxe. Enfin nous souhaitons pouvoir emmener les élèves à Ellis Island et au sommet de l’Empire State building. Pour tout cela nous estimons que 1 200 euros nous permettra d’assurer le minimum, sans faire de folies bien sûr mais avoir à faire la manche non plus. »\\n\\nAlors pour trouver les 1 200 euros manquants, les organisateurs se sont inscrits sur le site de financement participatif Ulule en espérant que la communauté du basket se montrera suffisamment généreuse." }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : l’Olympiakos se venge du Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"Défait lors de la première confrontation entre les deux équipes, l’Olympiakos s’est vengé de l’affront du Panathinaikos avec un Nikola Milutinov dominateur (18 points, 18 rebonds). Jamais inquiété, David Blatt l’emporte donc dans son duel de coachs US face à Rick Pitino.\\n\\nPar ailleurs, les gros bras n’ont pas tremblé avec la victoire du Fener contre Vitoria ; celle du Barça contre Darussafaka et enfin celle du CSKA à Kaunas. Dans ce dernier cas en l’occurrence, il y a eu du stress jusqu’aux deux tirs salvateurs de Daniel Hackett (19 points).\\n\\nDans notre clan tricolore, Thomas Heurtel (18 points, 4 rebonds, 4 passes) et Vincent Poirier (15 points, 6 rebonds) ont été les plus productifs avec cinq joueurs en double figure.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nNikola Milutinov domine le derby\\n\\nAuteur de 8 des 16 premiers points de son équipe, Nikola Milutinov (18 points, 18 rebonds) a été monstrueux dans le derby grec entre l’Olympiakos et le Panathinaikos (79-65). Derrière leur pivot serbe intenable, les Reds ont contrôlé ce match de bout en bout, comptant également sur Janis Strelnieks à 18 points aussi.\\n\\nLa troupe de Coach Pitino aura clairement manqué d’inspiration offensive, avec un pauvre 8/23 à trois points et le seul Nick Calathes (13 points) au-dessus des 10 points ! Mené de 20 points en 3e quart, le Pana n’a tout simplement pas fait le poids. Pour la 2e fois cette saison, le derby historique du basket grec a accouché d’une victoire à sens unique...\\n\\n\\nBarcelone fait le show\\n\\nAprès une mauvaise passe et 4 défaites de suite, Barcelone est maintenant en grande forme avec un 3e succès de rang. La troupe catalane n’a fait qu’une bouchée de Darussafaka (97-65) avec un Thomas Heurtel de gala : 18 points, 4 rebonds, 4 passes. A ses côtés, Kevin Séraphin ajoute 12 points et 5 rebonds dans une victoire aisée.\\n\\nLe Barça a fait le trou en 2e quart au moyen d’un 17-2 et a pu ensuite faire le show avec Kevin Pangos qui sert par exemple Séraphin pour un coup de hache dont il a le secret ; ou plus tard, Pierre Oriola sur la contre-attaque pour le dunk. Toney Douglas (26 points) est le seul joueur en double figure pour Darusssafaka.\\n\\n\\nLe Fener pour la 12e\\n\\nVitoria aura bien essayé avec un retour à -1 en dernier quart mais Fenerbahçe est resté maître à la maison et enchaîne ainsi un 12e succès d’affilée (96-87). Nicolo Melli (19 points) termine meilleur scoreur du match pour le Fener mais ce sont surtout Marko Guduric (14 points) et Kostas Sloukas (13 points, 6 passes) qui ont offert cette victoire au public turc dans la dernière ligne droite.\\n\\nJoffrey Lauvergne (3 points) n’aura pas eu droit à beaucoup de temps de jeu, la faute à une maladresse étonnante de sa part (1/7) et une soufflante de Zeljko Obradovic après une action forcée. Pour Vitoria qui évolue désormais sans son leader, Tornike Shengelia, Vincent Poirier a encore livré une belle bataille face à la raquette garnie du Fener : 15 points, 6 rebonds, 2 contres.\\n\\n\\nLe CSKA évite le piège balte\\n\\nFidèle à sa réputation, le Zalgiris Kaunas se sera battu jusqu’au bout, reprenant notamment le contrôle au terme d’un 3e quart dominé de la tête et des épaules. Mais c’est bien le CSKA Moscou qui sort vainqueur de ce duel nordique (84-79). Daniel Hackett (19 points) est le héros de la partie avec deux tirs à trois points décisifs dans le même coin dans les ultimes secondes.\\n\\nSans Léo Westermann blessé, Nando De Colo a réalisé un solide petit match avec 13 points, 3 passes et 3 interceptions. Outre Will Clyburn (19 points), il fallait bien le sang-froid (et le sang neuf) de Daniel Hackett qui n’avait pas souvenir des deux dernières défaites du CSKA l’an passé dans la Zalgirio Arena... Pour Kaunas justement, Brandon Davies (19 points, 7 rebonds) a été le meilleur joueur.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 18 points (8/11 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 15 points (6/9 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 1 interception en 26 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 14 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 13 points (5/11 aux tirs), 3 passes, 3 interceptions, 2 rebonds en 29 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 12 points (5/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 contre, 4 balles perdues en 22 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (3/4 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 10 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 3 points (1/7 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds en 10 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 14 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris Kaunas) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAuteur d’un double double de mammouth à 18 points et 18 rebonds pour 41 d’évaluation, Nikola Milutinov confirme qu’il a changé de dimension cette saison au sein des Reds. Le jeune pivot serbe s’impose ici tout en puissance avec le rebond offensif, un dribble fort pour se remettre bien sur ses appuis et un gros dunk à deux mains par-dessus toute la défense ! Imparable !\\n\\n\\n\\n\\n.@NMilutinov is a BEAST in the paint!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/w6KQb8Qs2j\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 4, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 16e journée\\n\\nJeudi 3 janvier :\\nEfes Istanbul – Bayern Munich (92-77)\\nMilan – Podgorica (111-94)\\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (91-79)\\nGran Canaria – Khimki Moscou (99-70)\\n\\nVendredi 4 janvier :\\nFenerbahçe – Vitoria (96-87)\\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (79-84)\\nOlympiakos – Panathinaikos (79-65)\\nBarcelone – Darussafaka (97-65)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 16e journée\\n\\nMardi 8 janvier :\\nKhimki Moscou – Fenerbahçe (18h)\\nZalgiris Kaunas – Efes Istanbul (19h30)\\nOlympiakos – Vitoria (20h)\\nGran Canaria – Real Madrid (21h30)\\n\\nMercredi 9 janvier :\\nDarussafaka – CSKA Moscou (18h15)\\nPanathinaikos – Bayern Munich (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)\\nMilan – Barcelone (20h45)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nNikola Milutinov domine le derby\\n\\nAuteur de 8 des 16 premiers points de son équipe, Nikola Milutinov (18 points, 18 rebonds) a été monstrueux dans le derby grec entre l’Olympiakos et le Panathinaikos (79-65). Derrière leur pivot serbe intenable, les Reds ont contrôlé ce match de bout en bout, comptant également sur Janis Strelnieks à 18 points aussi.\\n\\nLa troupe de Coach Pitino\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Anthony Goods au repos, Nancy fait revenir Marcellus Sommerville" }, {"role": "assistant", "content":"En raison d’une pubalgie, Anthony Goods est mis au repos pour deux mois. Un coup dur car l’Américain était jusqu’ici le meilleur marqueur de l’équipe (12,9 points). Pour le remplacer comme pigiste médical, le SLUC fait appel à un joueur qu’il connaît bien comme toute la France du basket: Marcellus Sommerville (2,02m, 36 ans).\\n\\nMarcellus Sommerville est passé par la Lorraine en 2012-2013 et il a aussi fréquenté, dans l’ordre, Angers, Le Havre, Roanne, Chalon, Cholet, Levallois, Le Mans et Orléans où il est demeuré trois saisons ! Il a joué au total dans sept pays différents.\\n\\n« En 2018, il a eu le malheur de perdre sa maman en février juste avant la finale de la Leaderscup avant que sa maison en Caroline du Nord ait été en partie détruite par l’ouragan Florence, est ravi de revenir en Lorraine. Par le hasard du calendrier, il jouera vraisemblablement son premier match contre...Orléans samedi prochain à Gentilly, son contrat étant en cours d’homologation à la LNB. Lundi matin, il passera la traditionnelle visite médicale avant de participer avec ses nouveaux coéquipiers à l’entraînement, » indique L’Est Républicain.\\n\\nMarcellus Sommerville a passé le dernier trimestre 2018 en deuxième division israélienne, à Elitzur Netanya, où en 11 matches il possédait la meilleure évaluation de l’équipe (23,7) avec 19,6 points et 9,8 rebonds.\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen" }, {"role": "user", "content":"L’interview du shooteur avec Scott Wood (Gravelines-Dunkerque) : «Je ne serais pas fan d’une ligne à quatre points»" }, {"role": "assistant", "content":"Participant du concours de tirs à trois points du All Star Game, Scott Wood (2,00m, 28 ans) fait apprécier ses qualités de shooteur à trois-points depuis ses années universitaires à North Carolina. Passé par Murcie, Santa Cruz et Sakarya, il tournait à plus de 45% à derrière l’arc la saison dernière en Turquie. Avec le BCM Gravelines-Dunkerque, le vainqueur du concours de tirs à trois points du All Star Game 2017 de D-League enregistre 41,5% de réussite de loin. Il a répondu à son tour à nos « questions spéciales shooteurs ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nJuste beaucoup de travail. Quand j’étais petit je passais beaucoup de temps dehors pour shooter autant de shoots que je pouvais. Ça a marché, j’ai continuellement progressé. C’est beaucoup de travail.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nJe dirais le catch and shoot en mouvement. J’aime bien bouger, je n’aime pas juste être là debout, attendre la balle et shooter. Après, à chaque fois que tu es ouvert ça aide quand même.\\n\\nLe tir le plus compliqué :\\n\\nJe ne sais pas, c’est un peu facile partout pour moi. Il faut être confiant et prendre quelques shoots pour voir comment tu te sens.\\n\\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\\n\\nJe dois dire Reggie Miller ou Larry Bird. Evidemment Stephen Curry, Klay Thompson et Ray Allen sont de magnifiques shooteurs, mais j’ai grandi avec Reggie Miller. Il a passé sa carrière à Indiana, état dont je suis originaire. Comme Larry Bird, donc je choisis ces deux-là.\\n\\nVotre shooteur préféré :\\n\\nProbablement Klay Thompson. J’aime sa façon de jouer, sa façon de bouger pour obtenir un tir. Il sait aussi très bien défendre. C’est un très bon shooteur et un très bon joueur.\\n\\nUn shooteur sous côté :\\n\\nJe ne sais pas trop, mais je dirais quand même Klay Thompson parce qu’il a Stephen Curry et Kevin Durant autour de lui qui attirent le plus la lumière. Il est peut-être un peu moins considéré qu’il ne devrait l’être.\\n\\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\\n\\nJe pense à CJ Williams. C’est un bon shooteur à trois-points mais surtout un très bon shooteur à mi-distance. Il a toujours été très régulier quand j’étais avec lui à l’université de North Carolina State.\\n\\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\\n\\nIl y en a beaucoup... Bryn Forbes des Spurs, Seth Curry... Ils sont vraiment nombreux. À l’entraînement j’ai aussi rencontré Stephen Curry, Klay Thompson et Kevin Durant quand je jouais pour les Santa Cruz Warriors.\\n\\nUn shooteur qui vous inspire :\\n\\nQuand j’étais plus jeune, Reggie Miller. Il passait toujours à la télé. Toutes les personnes qui travaillent dur me motivent à faire pareil pour continuer à progresser.\\n\\nLes secrets d’un bon tir :\\n\\nLa confiance ! C’est tout. Tu t’entraînes, tous les jours du travailles dur pour gagner de la confiance et croire au fait que tu vas marquer.\\n\\nSi vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\\n\\nCelui de Klay Thompson. Il est esthétique et c’est toujours le même.\\n\\nQue pensez-vous d’une ligne à quatre points ?\\n\\nJe ne suis pas un gros fan. Je préfère le règlement actuel. Les trois points sont suffisants parce que déjà maintenant tout le monde veut shooter à trois points et beaucoup sont de très bons shooteurs. Si on ajoute une ligne à quatre points, tout le monde voudra arriver à marquer de cette distance au lieu de jouer normalement.\\n\\nUn tir en carrière ?\\n\\nJ’ai marqué quelques shoots importants dans ma carrière. Mais je m’en rappelle d’un à l’université qui nous a fait gagner un match face à Clemson. J’ai aussi marqué une fois des trois quarts du terrain à l’Oracle Arena. Il y a beaucoup de shoots qui j’ai mis qui ont aidé à gagner un match, comme il y en a aussi beaucoup que j’ai raté. Il faut garder confiance.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nJuste beaucoup de travail. Quand j’étais petit je passais beaucoup de temps dehors pour shooter autant de shoots que je pouvais. Ça a marché, j’ai continuellement progressé. C’est beaucoup de travail.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nJe dirais le catch and shoot en mouvement. J’aime bien bouger, je n’aime pas juste être là debout, attendre la balle et shooter. Après, à chaque fois que tu es ouvert ça aide quand même.\\n\\nLe tir le plus compliqué :\\n\\nJe ne sais pas, c’est un peu facile partout pour moi. Il faut être confiant et prendre quelques shoots pour voir comment tu te sens.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : LNB/IS/BELLENGER" }, {"role": "user", "content":"C’est officiel: Pau se sépare de Jerel Blassingame" }, {"role": "assistant", "content":"Signer jusqu’à la fin de la saison Mickey McConnell était une chose, mais il fallait aussi que Pau règle le dossier de son prédécesseur au poste de meneur, Jerel Blassingame (1,75m, 37 ans). C’est fait comme l’indique l’Elan Béarnais dans un communiqué:\\n\\n« Le Club de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez et Monsieur Jerel Blassingame ont mis fin au 31 décembre dernier au contrat de travail qui les liait. Cette décision a été prise d’un commun accord entre les parties. Le Club de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez tient à remercier le joueur pour sa volonté à aboutir à cet accord dans les meilleures conditions et ce, afin que le club puisse continuer la belle aventure qu’il est en train de vivre. Maintenant qu’il en a fini avec sa blessure, le club lui souhaite le meilleur pour exprimer son talent avec une nouvelle équipe ».\\n\\nEn 4 matches, Jerel Blassingame avait tourné à 8,5 points et 4,5 passes.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Chris Lofton (ex-Le Mans) reprend la compétition en Corée du Sud" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il devait resigner au Mans, Chris Lofton (1,88m, 32 ans) avait préféré prendre quelques mois de repos. On apprend qu’il vient de signer en Corée du Sud, au Séoul SK Knights.\\n\\nChris Lofton est l’un des plus formidables shooteurs jamais vus en France, au MSB, par deux fois (2015-16 et 2017-18). Handicapé plusieurs semaines par une entorse à la cheville, l’arrière américain avait donné sa pleine mesure lors des playoffs 2018 avec 12,4 points en moyenne et quelques passages saisissants, prenant une part importante dans la conquête du titre de champion de France.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\n2004 Kentucky Mr. Basketball Chris Lofton (@clofton606) will be playing professionally in South Korea! https://t.co/jPiXroCHK6\\n\\n\\n— Kentucky All-Stars (@KYAllStarGame) January 5, 2019" }, {"role": "user", "content":"Italie: Mam Jaiteh (Turin): «Je voulais savoir si j’étais capable d’évoluer dans un championnat étranger»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au Populaire, Mam Jaiteh (2,08m, 24 ans) revient sur son départ en novembre du Limoges CSP.\\n\\n« Cela a été une épreuve vraiment difficile à vivre. Je suis quelqu’un qui aime profondément le terrain et se sentir utile. J’ai tout fait pour que la situation ne prenne pas le pas sur ma personnalité. Je me suis efforcé de rester moi-même et de ne pas mettre de l’huile sur le feu. Je ne voulais pas être un poids supplémentaire alors que l’équipe enchaînait les défaites. »\\n\\nMam Jaiteh ne s’était engagé que pour un mois et demi avec Turin mais le club lombard l’a confirmé depuis jusqu’à la fin de la saison:\\n\\n« Je voulais savoir si j’étais capable d’évoluer dans un championnat étranger. Turin était un test parfait pour savoir ce dont j’étais capable au niveau de la dureté et de l’intensité. Le coach a également été un facteur important. J’ai senti qu’il me voulait. C’est une légende. Je n’ai jamais rencontré un coach avec autant de maîtrise et de recul. Il voulait me faire avancer (...) J’en suis très satisfait. Certaines personnes en France se sont fait plaisir à me coller une image de joueur trop soft depuis mes débuts professionnels. Elle restait éternellement collée à ma peau. Ici, j’ai pu recommencer d’une page blanche. Même si je suis toujours la même personne, les gens me voient différemment. »Alors qu’il a été balayé en Eurocup (aucune victoire) Fiat Turin est 12e dans le championnat italien avec 4 victoires en 13 journées. Larry Brown, 78 ans, a été démis de ses fonctions en fin d’année. L’international envisage t-il de demeurer pour autant au club au-delà de son contrat?\\n\\n« Turin est satisfait de moi et envisage même de me conserver la saison prochaine mais rien n’est décidé. Pour le moment, je n’ai pas un énorme temps de jeu (12,5 minutes) mais je suis plutôt rentable (6 points et 4,4 rebonds pour 9,3 d’évaluation). Ici, je suis seul face à moi-même alors dès que je mets un pied sur le terrain, je fais tout pour être productif. Collectivement, tout n’est pas parfait mais individuellement, ça se passe bien et je veux faire en sorte que cela continue. »" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Patras-Strasbourg et Le Mans-Novgorod" }, {"role": "assistant", "content":"Strasbourg a subi à Patras sa troisième défaite consécutive en Basketball Champions League (77-64) malgré les efforts de son pivot Youssoupha Fall (12 points, 7 rebonds). Décidemment, la SIG n’est pas à son meilleur en ce mois de janvier, elle qui s’est qualifiée in-extremis à la Leaders Cup.\\n\\nEn revanche, Le Mans a réalisé l’un de ses meilleurs matches de la saison en écartant les Russes de Novgorod (89-74). Après une impressionnante série de Cameron Clark (24 points), Valentin Bigote (15 points), Antoine Eito (13 points) et Wilfried Yeguete (8 rebonds) ont démontré leur punch. Le MSB intègre la quatrième place de son groupe et a donc désormais son sort entre ses mains.\\n\\nPhoto: Cameron Clark (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le décès de Jermaine Marshall (Nantes) serait dû à une cause naturelle" }, {"role": "assistant", "content":"«\u2009La cause violente\u2009a été écartée. Nous nous orientons vers une mort naturelle ».\\n\\nC’est l’indication donnée par le parquet de Nantes à propos de Jermaine Marshall, 28 ans, le joueur de l’Hermine de Nantes qui a été retrouvé mort dans son appartement de Rezé. Aucune lésion traumatique n’a été constatée sur le corps a précisé le médecin légiste.\\n\\nEn revanche, des anomalies cardiaques ont été observées sans qu’il soit encore possible d’affirmer qu’elles sont à l’origine du décès. Des analyses toxicologiques ont par ailleurs été effectuées et les résultats vont être connus prochainement." }, {"role": "user", "content":"16e de finale de la Coupe de France: Rouen vainqueur à Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Cinq rencontres de 16e de finale de Coupe de France avaient lieu hier soir et Rouen s’est notamment imposé à Blois. Six équipes de Jeep Elite -celles qui n’étaient pas en playoffs la saison dernière- entrent en piste ce soir." }, {"role": "user", "content":"Philippe Bana (DTN du hand): «Un grand Yalta du basket ?»" }, {"role": "assistant", "content":"Philippe Bana, DTN du hand français depuis 20 ans porte un regard très intéressant sur la différence de structuration au niveau internationale entre le handball et le basket. Comment le hand envie la situation du basket à bien des égards ? En retour, le basket peut-il s’inspirer de ce qu’a fait le hand pour sortir de la menace qui pèse aujourd’hui sur les équipes nationales, composante essentielle du développement d’une discipline ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDans une interview récente pour Ouest-France, vous avez pointé des manques de la fédération internationale de handball avec laquelle vous n’êtes pas tendre, en prenant pour exemple la FIBA, fédération internationale de basket. Que fait le basket que ne fait pas le hand ?\\n\\nCe qui est étonnant dans la fédération internationale de basket, ce qui explique en partie son universalité, c’est sa capacité à être sur tous les continents en direct. Sa capacité à avoir modernisé la gestion de son activité, ses aspects sportifs, d’avoir modernisé le marketing, d’avoir pris conscience des aspects sportifs de marketing et de communication dans une dimension mondiale. Leur structure de 250 employés répartis sur les cinq continents, c’est quelque chose de surréaliste par rapport aux 20 salariés de la fédération internationale de hand sur notre site de Bâle. En termes de machine, de structure, d’organisation, de formation, de développement, de présence continentale sur chaque continent et leur capacité à être sur le terrain, la fédération de basket est vraiment très très forte. Très impressionnante. Après, évidemment chacun a ses points forts et ses faiblesses. Le handball n’a clairement pas ce que je viens de décrire.\\n\\nQuels sont les atouts du handball à l’inverse ?\\n\\nLe handball a réussi à maintenir ses grandes compétitions internationales sur un calendrier très présent. On a un mondial tous les deux ans, on a pu maintenir des compétitions continentales l’année des Jeux Olympiques donc finalement, le hand est de sortie tous les ans en garçons et en filles. Une présence que n’a pas forcément le basket aujourd’hui. Il y a aussi un équilibre dans le handball qui n’existe pas dans le basket. Tout est sous contrôle dans le hand de la fédération internationale et des fédérations continentales, y compris les plus grandes compétitions de clubs, les coupes d’Europe notamment pour nous. On voit comment cette question en ce moment handicape le basket. Pour nous, c’est une vraie force, notamment pour les équipes nationales. Or les équipes nationales sont le moteur pour des disciplines comme les nôtres, il ne faut pas se tromper. Il faut à tout prix les préserver. Le basket souffre des concurrences de calendrier, souffre des concurrences de multi-organisateurs. Et nous on a réussi, malgré un poids inférieur à la fédération de basket, à passer un deal avec les acteurs internationaux du hand qui garantisse que le championnat du monde tous les deux ans, est la vitrine, comme les tournois continentaux. La force du handball a été cette force de négociation. Mais le basket a une immense avance structurelle. On n’a pas encore réussi notre universalité en tant que sport, on n’a pas pénétré l’univers anglo-saxon, on n’a pas pénétré les grands marchés internationaux, USA, Chine. Notre développement en Afrique pourrait être plus élaboré. Il y a là des contrastes très saisissants entre une extraordinaire force de la FIBA, structurelle et organisationnelle et l’extraordinaire faiblesse de la fédération de handball à ce point de vue. Et même temps, le hand a su assurer les conditions de son exposition. La comparaison est intéressante.\\n\\nQuel regard vous portez sur le nouveau calendrier de compétition internationales de la FIBA qui a pour objectif de faire jouer plus souvent les équipes nationales sur leur territoire, pour des matches à enjeux ?\\n\\nLa volonté va dans la bonne direction. Je suis très au contact avec Jean-Pierre Siutat de la fédération française de basket. Je suis très d’accord avec lui. Autant la volonté est bonne et affirmée, autant dans la construction des calendriers, on voit bien que la concurrence des différents acteurs, l’Euroleague ou même la NBA, créé des conflits dans la capacité à libérer les joueurs pour les équipes nationales. C’est une limite. Même s’il y a une volonté, il n’y a pas les conditions qu’on peut avoir au handball. Au hand, si on prévient d’un match de l’équipe nationale dans les soixante jours, les clubs ont l’obligation de libérer dans le monde entier. Il y a des sanctions sinon, mais il y a aussi des compensations financières, des assurances qui existent. Donc oui, le projet de la FIBA va dans le bon sens, mais concrètement dans le calendrier qui est le cœur de l’activité sportive, on voit bien que d’autres acteurs ne veulent pas jouer le même jeu. C’est paradoxal.\\n\\nQuelle serait la solution ?\\n\\nComment on y est arrivé ? Dans mon livre Le roman du hand tricolore (éditions Marabout), un chapitre est consacré à ça. Je l’ai intitulé Yalta, en référence à la grande conférence après la seconde guerre mondiale. La mise à table de tous les participants. Trouver ensemble des solutions gagnants-gagnants. Cette affaire-là n’est pas une affaire de règlements, de force. C’est la capacité à collaborer pour produire un produit unique, universalisé, standardisé où on respecte les espaces de chacun. C’est un peu un travail zoologique. Est-ce qu’on peut imaginer aujourd’hui un grand Yalta du basket ? Moi, c’est ce que j’ai conduit avec le président de la fédération internationale de handball de 2007 à 2009. En deux ans, on a réussi ce pari assez curieux avec les acteurs continentaux, les syndicats de joueurs qui ont poussé une gueulante pour rappeler que les sélections nationales sont très importantes, on a trouvé des solutions avec tous le monde. Des deals financiers, des deals sur les calendriers, des deals sur la quantité de matches. On s’est assis tous pour une grande concertation apaisée. On a eu la chance d’assister à une paix de tous les acteurs. Aujourd’hui les tensions reviennent avec la pression de l’argent mais je ne sais pas s’il existe une autre solution. Et ce n’est pas facile à faire.\\n\\n[armelse]\\n\\nDans une interview récente pour Ouest-France, vous avez pointé des manques de la fédération internationale de handball avec laquelle vous n’êtes pas tendre, en prenant pour exemple la FIBA, fédération internationale de basket. Que fait le basket que ne fait pas le hand ?\\n\\nCe qui est étonnant dans la fédération internationale de basket, ce qui explique en partie son universalité, c’est sa capacité à être sur tous les continents en direct. Sa capacité à avoir modernisé la gestion de son activité, ses aspects sportifs, d’avoir modernisé le marketing, d’avoir pris conscience des aspects sportifs de marketing et de communication dans une dimension mondiale. Leur structure de 250 employés répartis sur les cinq continents, c’est quelque chose de surréaliste par rapport aux 20 salariés de la fédération internationale de hand sur notre site de Bâle. En termes de machine, de structure, d’organisation, de formation, de développement, de présence continentale sur chaque continent et leur capacité à être sur le terrain, la fédération de basket est vraiment très très forte. Très impressionnante. Après, évidemment chacun a ses points forts et ses faiblesses. Le handball n’a clairement pas ce que je viens de décrire.\\n\\nQuels sont les atouts du handball à l’inverse ?\\n\\nLe handball a réussi à maintenir ses grandes compétitions internationales sur un calendrier très présent. 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Il a été signé pour compenser la blessure du meneur Xavier Gaillou, blessé à la cheville et indisponible pour une durée indéterminée.\\n\\nLes Fosséens sont actuellement 17ème et relégable en JeepElite, à une victoire du premier non-relégable, Cholet." }, {"role": "user", "content":"Yoann Cabioc’h, un entraîneur de NF1 assistant en WNBA" }, {"role": "assistant", "content":"Yoann Cabioc’h, entraîneur de l’équipe du Poinçonnet en Nationale féminine 1, a été recruté par le coach des Chicago Sky en tant que coordinateur vidéo pour la future saison WNBA à l’été 2019.\\n\\nUn coach bien connu dans l’hexagone puisqu’il s’agit de James Wade, ancien joueur notamment du GET Vosges et de Vitré, actuellement assistant à Ekaterinbourg, par ailleurs le mari d’Edwige Lawson, ancienne internationale française et ancienne joueuse WNBA. Si on ne lui accorde sa chance que cet été, James Wade a déjà passé beaucoup de temps a se former auprès de franchises WNBA (San Antonio Silver Stars, Washington Mystics, Minnesota Lynx,...).\\n\\n« L’occasion s’est présentée assez spontanément, on vient du même endroit avec Edwige Lawson et je la connais elle et James Wade depuis plus de dix ans », nous explique Yoann Cabioc’h. « On était régulièrement en contact et quand James Wade s’est fait embaucher comme assistant à San Antonio et Minnesota, j’ai fait quelques sessions avec lui pour voir ce que c’est. Quand il s’est fait embaucher comme entraîneur principal à Chicago, l’idée de collaborer ensemble est venue. Mon rôle en tant que coordinateur vidéo consistera dans l’analyse des matchs de nos adversaires, leurs différents systèmes, les différents écrans, les placements offensifs,... »\\n\\nSon futur poste en WNBA n’occulte absolument pas sa mission d’entraîneur en France, les deux saisons ne se jouant pas sur les mêmes périodes. Actuellement, le club poinçonnois pointe à la huitième de sa poule (sur douze) et devrait tranquillement assurer son maintien en Nationale 1." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Fabrice Courcier nouveau coach de Caen" }, {"role": "assistant", "content":"Antoine Michon ayant été mis à pied depuis le 16 Janvier dernier, les dirigeants Caennais ont trouvé leur nouvel entraîneur.\\n\\nC’est Fabrice Courcier, 50 ans, notamment ancien coach de Gravelines, Bourg-en-Bresse, Denain et d’Orchies, qui prendra les rênes du club normand jusqu’à la fin de la saison avec pour objectif le maintien en Pro B. Il prendra ses fonctions le 24 janvier prochain et mettra donc fin au court intérim de Michaël Dejardin, qui coachera pour la dernière fois le CBC ce mardi en coupe de France contre Vichy-Clermont. Actuellement, Caen est relégable en Pro B, occupant la 17ème place à une victoire du premier non-relégable, Quimper.\\n\\nPhoto: US Orchies" }, {"role": "user", "content":"Plongée dans les finances des clubs de Jeep Elite et de Pro B" }, {"role": "assistant", "content":"La Jeep Elite -tout comme sa deuxième division, la Pro B- n’est pas dans l’esbroufe avec des salaires mirobolants comme on peut en avoir dans d’autres ligues européennes et notamment en Euroleague. C’est une ligue pas -encore- XXL mais saine, vertueuse, et transparente, qui n’hésite pas à mettre l’ensemble de ses chiffres économiques sur la table.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« On sait que l’on a un produit intéressant mondialement. On a des contacts fréquents avec les acteurs du basket européen et on sait que l’on parle de nous, Ligue Française», se félicite le président de la LNB, Alain Béral.\\n\\nLa Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP), mise en place en 2003 autour de Cyrille Muller a tenu un rôle fondamental dans l’assainissement des clubs sachant que dans les années 80, 90 et même 2000, plusieurs ont rejoint la fosse commune et d’autres sont passés tout près du couperet, tels Le Mans, le champion de France, l’ASVEL actuellement le plus riche, ou encore Limoges, le champion d’Europe.\\n\\n« Depuis quelques années, on n’a pas eu de clubs qui ont défrayé la chronique par des liquidations. Ça a favorisé le respect de l’équité sportive et c’était pour nous un objectif constant et aussi contribuer à la régulation économique des compétitions », commente Cyrille Muller.\\n\\nDes primes en Pro B pour les clubs qui mettent des (bons) jeunes sur le terrain\\n\\nLongtemps présentée comme la NBA à l’Européenne, l’Euroleague dont personne ne conteste la suprématie sportive sur le continent, a depuis quelques mois exposé à travers interviewes d’acteurs européens et enquêtes de presse, le fait qu’elle n’a pas réellement de modèle économique sinon que ses clubs sont renfloués par les sections football, des mécènes ou autres artifices.\\n\\n« Même l’Euroleague aurait aimé en mettre une (DNCCGCP) en place mais il n’y arrive pas. Vous avez lu dans la presse la publication des finances des clubs d’Euroleague. Vous avez remarqué quelques anomalies par rapport à ce que l’on peut imaginer d’une entreprise normale et privée en terme de résultat. Ce n’est pas le cas chez nous. On ne peut pas avoir un budget de 27 millions et en perdre 15. On ne veut pas ça, on veut autre chose », assène Alain Béral.\\n\\nPour autant, il n’est pas question de se satisfaire de la situation présente. Débordée il y a une vingtaine d’années par la ligue de rugby, le basket pro a vu arriver ensuite le handball comme un concurrent aux dents longues. Afin de passer la vitesse supérieure, la LNB a entamé un vaste chantier qui est entré dans sa phase de concrétisation.\\n\\n« On a engagé une réflexion en invitant des gens qui sont intéressés sur le sujet mais qui ne sont pas forcément dedans pour nous expliquer ce qu’ils pensent de notre action et ce qu’on doit faire », explique Alain Béral. « Il y a des acteurs du sport professionnel et du basket, des politiques. On les a réunis pendant un an, on a discuté et quand on a vu qu’il nous manquait des choses, on les a rectifiées. On a fait une enquête sur 3 500 personnes en France, ce qui est significatif, qui sont des clients ou juste des consommateurs pas forcément engagés dans le basket pour savoir comment ils sentaient les choses et pour savoir comment ils voyaient le basket. On a demandé à des groupes de travail de nous donner des propositions pour pouvoir être plus grand, plus fort, plus haut. Ces groupes nous ont proposés 23 choses qui couvraient beaucoup de domaines. Nous avons accepté ces 23 propositions. Nous, ce sont les clubs. Je ne dis pas qu’il n’y a pas eu de débats. Pas une n’a été supprimée, pas une a été rajoutée. C’est la feuille de route de la Ligue Nationale de Basket. Il y a des choses qui sont votées et qui seront effectives. C’est le cas de la réduction de 18 à 16 clubs. Ca sera effectif pour la saison prochaine (NDLR : il y aura 16 clubs lors de la saison 2020-21). Il faut mettre en chantier tout le reste notamment celui sur le numérique. On s’entoure des meilleurs spécialistes. Il y a des demandes sur la rotation des joueurs, les périodes de recrutement, etc. Et aussi sur la gouvernance de la ligue elle-même. »\\n\\nUn œil attentif est porté sur les clubs aux possibilités financières les plus importantes, notamment l’ASVEL et Strasbourg.\\n\\n« On veut garder nos meilleurs joueurs et pour ça il faut développer l’économie des clubs. On s’y attache. C’est une question de budgets par rapport aux budgets européens. Un budget SAIN et plus important. On sent qu’il y a une hiérarchie de budget dans les clubs. On le sent depuis deux ans et on le sentira encore plus l’année prochaine. On a des clubs avec des budgets équilibrés, qui produisent du résultat mais qui vont passer les 10M€ assez rapidement. Comme ça des joueurs pourront choisir de rester en France, en Jeep Elite, et ne pas aller dans des clubs européens où ils ne sont pas forcément payés. Malgré le retrait progressif des collectivités, les budgets augmentent car le boulot est fait. On les accompagne pour ça, en terme de gouvernance, de formation pour aller recruter régionalement des sponsors et aussi du capital pour pouvoir structurer les clubs. C’est comme pour les entreprises, il faut continuer à avancer et être si possible propriétaire et gestionnaire de son outil de travail. Et pas seulement avec du basket à l’intérieur. Nous avons des clubs qui sont très sains. Et quand nous disons ça à des investisseurs français ou étrangers, ils nous répondent que ce n’est pas possible, que ça n’existe pas. Et si, ça existe. On peut faire du sport en ne perdant pas d’argent et même en en gagnant comme une entreprise. Et là, d’un seul coup, s’ouvre des portes. Et des investisseurs peuvent amener encore plus de professionnalisme au service du basket. »\\n\\nLa Pro B n’est pas mise de côté dans les nouvelles actions :\\n\\n« La Pro B doit avoir une identité. C’est un bon championnat. Les autres pays disent que la Pro B française est au-dessus de toutes les autres. Les joueurs le disent aussi. Ça nous a obligé de mettre un troisième arbitre et c’est bien car ça va très, très vite. C’est ce que l’on peut appeler une ligue de développement des talents. Nous avons besoin de former des joueurs et le meilleur moyen c’est de les faire jouer. Nous avons mis en place beaucoup de mesures pour ça. Comme nous sommes professionnels, nous avons mis en place des primes pour rémunérer les clubs qui à la minutes mettront sur le terrain des joueurs ciblés comme étant de gros potentiels. »\\n\\nLa semaine dernière, lors de sa désormais conférence de presse traditionnelle sur sa situation financière et celle de ses clubs, la LNB a publié un maximum de chiffres qui ont été commentés par son président, ainsi que par Cyrille Muller, le président de la DNCCGCP et Philippe Ausseur qui est membre de la Commission de Contrôle de Gestion.\\n\\n« Depuis 2009, les clubs de Jeep Elite ont toujours été en situation nette positive et celle-ci n’a fait que progresser. Elle pourrait être meilleure car parmi les clubs il y a Hyères-Toulon qui présentait au 30 juin 2018 un déficit d’un million. Au 5,7 millions, il faudrait ajouter 1,6 million, ce qui amène à 7,3M€ de situation nette. » Cyrille Muller.\\n\\n« Il a fallu un peu plus de temps, huit ans, pour sortir la Pro B d’une situation nette qui était plus mauvaise que celle de la Jeep Elite. Elle a progressé de 5,6M€ en quinze ans. Depuis 2010, la situation nette a toujours été positive. » Cyrille Muller.\\n\\n« On a une division qui est bien dans son modèle différent de celui de la Jeep Elite mais également avec des chiffres très intéressants. Ce qui fait qu’une entreprise soit saine c’est quand son exploitation, c’est-à-dire la gestion courante, dégage du bénéfice. Le résultat d’exploitation de la Pro B sur la saison passée est bénéficiaire de 316 000€. On a une situation excédentaire pour la quatrième année consécutive. Le bénéfice de l’année est déficitaire. Il est dû à quatre clubs qui présentent un résultat exceptionnel déficitaire. Pour être transparent, des aléas du type URSSAF ou Prud’homme qui demeurent en Pro B notamment un point de vigilance pour nous. Une bonne gestion ça permet d’encaisser des aléas. » Philippe Ausseur.\\n\\n« Le souci de la Pro B, c’était de se demander si elle était ou pas trop dépendante des subventions. Elles baissent un petit peu alors que le sponsoring reste stable. Il n’y a pas de dépendance trop forte par rapport aux collectivités territoriales où on est aujourd’hui dans un monde de contrainte. Il n’y a que 2% pour les droits TV si l’on compare avec le football ou le rugby, il y a de la place pour que les diffuseurs fassent plus. » Philippe Ausseur.\\n\\nDe fait, les droits de diffusion de la Ligue 2 ont été vendus à Mediapro et beIN Sports pour 64 million d’euros par saison. On n’est pas dans le même monde! La Pro D2 de rugby est sur la dernière année d’un contrat de 5 saisons qui rapporte un total de 31 millions d’euros, soit un montant annuel de 6,2 millions d’euros.\\n\\nOn remarque que le Fos Provence Basket qui a accédé à la Jeep Elite avait la saison dernière les recettes sponsoring les plus faibles de toute la Pro B. Il n’y a pas en LNB de contraintes règlementaires drastiques à ce niveau qui puissent empêcher un club d’accéder à la division supérieure. C’est ce que confirme Alain Béral:\\n\\n« Nous ce que l’on veut c’est que les comptes soient équilibrés. Si un club demain vient et nous dit qu’il est subventionné à 100% par les collectivités, on va lui donner toutes les raisons de se méfier mais si c’est garanti, on l’accepte. Ou si un propriétaire dit « je ne veux pas de sponsor, je mets tous les ans 10 millions sur la table « , pourquoi on dirait non ? On n’a pas le droit. Ce que l’on veut quand même leur dire c’est qu’il y a danger. Ça s’est passé à l’étranger, à Bologne et autre. Quand le gars s’en va, il n’y a plus de club. Fos travaille sur le sujet et c’est mieux cette année que la précédente mais effectivement ils viennent de loin. Ça serait mieux s’ils étaient à Marseille en terme de surface de recrutement de sponsors. »\\n\\n« La masse salariale progresse dans ce développement mesuré et maîtrisé de la Pro B. C’est une bonne chose. » Philippe Ausseur\\n\\n« Dans un certain nombre de sports, l’écart entre les deux divisons s’est accru. Il est compensé par des droits TV très élevés. On est ici à une différence de 41,7%. Ce n’est pas l’Everest. On peut se préparer et faire un passage de la Pro B et la Jeep Elite sans se dire que l’on est condamné à jouer les derniers rôles. On a une Pro B qui a un modèle vertueux, qui s’appuie beaucoup sur des ressources propres, équilibrées entre les grands postes, et qui arrivent néanmoins à se développer. » Philippe Ausseur\\n\\n« Le résultat d’exploitation déficitaire tient à deux clubs dans des situations totalement différentes. Le premier est l’ASVEL et le deuxième, Hyères-Toulon. L’ASVEL est bénéficiaire à la fin avec un résultat exceptionnel très important. L’ASVEL est dans une phase d’investissement par rapport à l’Euroleague et a donc du mal à ce stade à dégager une exploitation bénéficiaire mais compense notamment à travers ses actionnaires pour remettre à l’équilibre. C’est une garantie que l’on souhaite avoir. En dehors de ces deux clubs, l’exploitation de la Jeep Elite est bénéficiaire. Si l’on compare à d’autres grands sports collectifs en France, il n’y a pas d’équivalent. Si vous regardez le nombre de clubs qui sont à l’équilibre ou qui dégage du bénéfice, on est sur 14 clubs sur 18. » Philippe Ausseur\\n\\nLe résultat net cumulé des deux divisions de football, au 30 juin dernier, dégageait un solde négatif de 101 millions d’euros dont 93 millions d’euros pour la seule Ligue 1 contre 8 millions de déficit en Ligue 2.\\n\\nDe 13,9 millions d’euros de pertes en 2015-2016, les quatorze clubs de Top 14 sont passés à 24 millions d’euros en 2016-17. Huit clubs cumulaient 27,5 millions d’euros de pertes, tandis que les six autres étaient bénéficiaires.\\n\\n« Les subventions sont plus basses que la Pro B et ne représentent que 20%. C’est encore plus sain que sur la Pro B. La part des droits TV n’est que de 4% ; il y a la place effectivement pour encore un peu plus. Le football ça représente 50% en mettant les transferts de côté. Je pense que lorsqu’on aura les prochains rapports du foot et du rugby, on restera encore une fois les très bons élèves de la classe. »\\n\\n« La faiblesse de ses recettes de sponsoring explique en grande partie les problèmes de Hyères-Toulon. C’est compliqué avec 13% de s’inscrire dans la durée. Pour Monaco, on met dans sponsoring le mécénat qui est une ressource privée. » Philippe Ausseur\\n\\n« Si vous rajoutiez les transferts, le ratio augmenterait énormément pour le football. C’est intéressant de ne pas avoir que de la masse salariale car dans « autres achats et charges externes », il y a des choses qui concourent au développement des clubs. » Philippe Ausseur\\n\\n« On est sur une progression de 9% dans une gestion saine et équilibrée. Donc si on dépense 9% de plus c’est qu’on les a financés. On est sur un basket pro qui maîtrise son destin. Il n’y a pas de bulles, de montants de transferts faramineux où l’on peut se poser des questions à terme de la pérennité. On n’est pas sur une dépendance par rapport à des diffuseurs trop importante. On est sur un équilibre de ressources avec du sponsoring à 60%, des recettes de match de 16%, de la subvention de 20%. C’est une place rêvée pour faire venir des investisseurs que ce soit sur la Jeep Elite et la Pro B avec des profils différents. » Philippe Ausseur\\n\\n[armelse]\\n\\n« On sait que l’on a un produit intéressant mondialement. 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On a fait une enquête sur 3 500 personnes en France, ce qui est significatif, qui sont des clients ou juste des consommateurs pas forcément engagés dans le basket pour savoir comment ils sentaient les choses et pour savoir comment ils voyaient le basket. On a demandé à des groupes de travail de nous donner des propositions pour pouvoir être plus grand, plus fort, plus haut. Ces groupes nous ont proposés 23 choses qui couvraient beaucoup de domaines. Nous avons accepté ces 23 propositions. Nous, ce sont les clubs. Je ne dis pas qu’il n’y a pas eu de débats. Pas une n’a été supprimée, pas une a été rajoutée. C’est la feuille de route de la Ligue Nationale de Basket. Il y a des choses qui sont votées et qui seront effectives. C’est le cas de la réduction de 18 à 16 clubs. Ca sera effectif pour la saison prochaine (NDLR : il y aura 16 clubs lors de la saison 2020-21). Il faut mettre en chantier tout le reste notamment celui sur le numérique. On s’entoure des meilleurs spécialistes. 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Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Barça soumet Vitoria\\n\\nBien parti sur son parquet avec un 14-5 sur les 7 premières minutes du match, Vitoria n’a pas pu finir la partie aussi fort contre Barcelone. La faute à des problèmes de fautes, et à la montée en puissance inéluctable des Catalans, à l’image des 8 point en 12 minutes de Kevin Séraphin qui écrabouille Illimane Diop avec son physique de panzer.\\n\\nDe même, Thomas Heurtel (11 points, 7 passes) a encore été métronomique dans la victoire du Barça, plus que jamais leader de la Liga. Limité par les fautes rapides, Vincent Poirier lâche un match bateau pour lui à 6 points et 4 rebonds. Ante Tomic (17 points, 9 rebonds) a cette fois eu raison du tricolore dans la peinture...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=72eoXLbADW4\\n\\n\\nFabien Causeur en grande forme\\n\\nDans cette période où les matchs s’enchaînent les uns après les autres, le Real Madrid fait bien tourner son effectif, et Fabien Causeur en profite pour se mettre en lumière. Après leur défaite surprise à Podgorica en Euroleague, les Madrilènes ont redressé la barre derrière 17 points et 3 passes de leur arrière français.\\n\\nAuteur d’un excellent 5/7 à trois points, Causeur a fini meilleur scoreur de son équipe et a rentré des tirs fondamentaux dans ce succès étriqué contre Manresa. C’est lui qui rentre effectivement le tir qui tue à 1 minute de la fin, après avoir bien pris son temps pour sanctionner derrière l’arc !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=iurlCV303N4\\n\\n\\nAndrew Albicy touché à la main\\n\\nAu sommet de son art, comme on vous le racontait la semaine passée, Andrew Albicy a malheureusement dû quitter ses partenaires en cours de route contre Saragosse. Le meneur tricolore a effectivement été touché à la main droite.\\n\\nSelon les dernières informations du club andorran, il n’y aurait pas de fracture à l’annulaire, un signe positif pour la suite... Même s’il faudra attendre jusqu’au bout mercredi pour savoir si Albicy pourra défendre ses chances en EuroCup (contre le Zenit en plus, tombeur du CSKA, voir plus bas).\\n\\n\\n\\n\\nEncara no m’explico com @andrewalbicy s’ha pogut fer un tall en un dit de la mà dreta en aquesta acció del partit d’avui a Saragossa 🤷🏻\u200d♂️. Tant de bo que pugui estar per jugar aquest dimecres davant del @zenitbasket pic.twitter.com/zAZRiYl8Hz\\n\\n\\n— Òscar Merino 🎙🏀 (@OMerinoG) January 20, 2019\\n\\n\\nMam Jaiteh améliore encore son score\\n\\nLarry Brown a fait ses valises depuis un petit moment à Turin mais le club galère encore et toujours en Lega. Ce n’est pas à cause de Mam Jaiteh qui a réalisé son meilleur match de l’année avec 25 d’évaluation, avec 16 points et 8 rebonds, le tout à 7/8 aux tirs.\\n\\nPour info, son précédent record était établi à 18, lors d’une prestation à 14 points, 4 rebonds contre Pistoia. Par ailleurs, Amath M’Baye (11 points) enchaîne un 4e match de suite en double figure, sa plus longue série de la saison... et avec la victoire au bout pour Bologne.\\n\\n\\nFin de match de folie à Podgorica\\n\\nAprès avoir tapé le Real Madrid, le champion d’Europe en titre, cette semaine, Podgorica a de nouveau dû s’arracher en Ligue Adriatique ce weekend. Contre le Cedevita Zagreb de Jacob Pullen et Justin Cobbs, le Buducnost a réussi à s’en sortir in extremis derrière les exploits de Coty Clarke et Norris Cole.\\n\\nMais Edwin Jackson (11 points, 4 rebonds, 4 passes) a également été très actif dans le succès de son équipe. Un succès arraché au bout d’une fin de match à rebondissements. Voyez-par vous-mêmes !\\n\\n\\nLe Zenit fait chuter le CSKA\\n\\nC’est la première défaite du CSKA Moscou cette saison en championnat, et il aura donc fallu attendre la 14e journée de compétition en VTB League pour que l’ogre moscovite chute, contre le Zenit St Pétersbourg (93-86). Nando De Colo (13 points) n’a pas pu faire grand-chose face au show Jalen Reynolds (21 points, 8 rebonds).\\n\\n\\nWeekend All Star en Turquie\\n\\nNos trois Français étaient tous trois de la fête du All Star Game en Turquie ce weekend. Comme en France, le match des étoiles s’est résumé à un attaque – défense... sans défense ! Adrien Moerman s’est en tout cas mis en lumière avec 34 points et 5 rebonds dans cet événement marqué par Kenny Gregory (44 points), élu MVP de la rencontre.\\n\\nRodrigue Beaubois (12 points) et Joffrey Lauvergne (10 points) n’ont pas été en reste non plus. Par ailleurs, Beaubois termine 5e sur 7 au concours à trois points, avec un premier tour insuffisant à 14 points (et notamment un manque de réussite sur les ballons bonus de fin de rack)... Dommage, ce n’était « pas son soir » comme il le dira à la journaliste après-coup.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=f4VX7ptRxiI\\n\\n\\nEspagne\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 17 points (6/11 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 3 balles perdues en 27 minutes (victoire 83-78 face à Manresa)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (5/7 aux tirs), 7 passes, 3 rebonds, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 82-73 face à Vitoria)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 10 points (3/5 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 25 minutes (défaite 89-86 face à Obradoiro)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 8 points (4/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 12 minutes (victoire 82-73 face à Vitoria)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 25 minutes (défaite 82-73 face à Barcelone)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 6 points (1/4 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe, 1 rebond en 17 minutes (victoire 90-82 face à Murcie)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 5 points (2/4 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 77-65 face à Lugo)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 17 minutes (victoire 97-77 face à Saragosse)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 4 points (2/2 aux tirs), 3 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 77-65 face à Lugo)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 4 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 3 balles perdues en 14 minutes (victoire 84-70 face à Lavrio)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 3 points (1/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception en 21 minutes (victoire 73-68 face à Holargos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 14 points (5/8 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 100-81 face à Herzliya)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 16 points (7/8 aux lancers), 8 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 30 minutes (défaite 73-66 face à Venise)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 11 points (3/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 2 balle perdue en 25 minutes (victoire 82-74 face à Trieste)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 passes, 4 rebonds en 26 minutes (victoire 80-78 face au Cedevita)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 2 points (1/6 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 26 minutes (défaite 82-80 face à Mega Bemax)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 11 points (4/7 aux tirs), 9 rebonds, 5 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 90-83 face à Trefl)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 13 points (4/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (défaite 93-86 face au Zenit)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué – pubalgie\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (4/8 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 34 minutes (victoire 97-92 face à Zadar)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : n’a pas joué (victoire 82-80 face à Mornar Bar)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : weekend All Star\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : weekend All Star\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : weekend All Star\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Andrew Albicy au sommet de son art\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Barça soumet Vitoria\\n\\nBien parti sur son parquet avec un 14-5 sur les 7 premières minutes du match, Vitoria n’a pas pu finir la partie aussi fort contre Barcelone. La faute à des problèmes de fautes, et à la montée en puissance inéluctable des Catalans, à l’image des 8 point en 12 minutes de Kevin Séraphin qui écrabouille Illimane Diop avec son physique de panzer.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"JeepElite : Vitalis Chikoko (Pau) joueur du mois de décembre" }, {"role": "assistant", "content":"Le Zimbabwéen de Pau-Lacq-Orthez Vitalis Chikoko (2,08m, 27 ans) a été élu joueur du mois de décembre par le public sur la page Facebook de la LNB avec 47% des voix. Il devance d’une courte tête le pivot croate de LDLC ASVEL Miro Bilan, qui finit avec 44% des suffrages. Le Monégasque Paul Lacombe, quant à lui, ferme la marche avec 6%.\\n\\nSur le mois de décembre, l’ancien du Bayern Munich tournait à 19,3 points, 5,5 rebonds et et 1,3 contre de moyenne, dont un match à 24 points 10 rebonds et 3 contres à domicile face au Mans le 16 décembre dernier. Le Palois succède à Lahaou Konaté (Nanterre), élu joueur du mois de novembre avec des moyennes de 17,8 points, 6,4 rebonds et 2,2 passes de moyenne.\\n\\nSes highlights du mois de décembre :" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France: Les 16e de finale démarrent ce soir" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est Coupe de France. Cinq matches vont se tenir pour le compte des 16e de finale. Trois autres matches auront lieu demain avec trois chocs entre formations de Jeep Elite et un autre mardi de la semaine prochaine. Les équipes de Jeep Elite qui ont participé aux playoffs 2018 sont exemptées de ce tour." }, {"role": "user", "content":"Cédric Heitz (Châlons-Reims): «Il faut arrêter de penser que le talent suffit»" }, {"role": "assistant", "content":"Mener de 13 points (54-41) à la mi-temps ne suffit pas forcément pour gagner un match. Le CCRB en a fait la douloureuse expérience lui qui avait pu compter sur une adresse à 70% durant les vingt premières minutes avec un Devin Ebanks irrésistible: 23 points à 8/10 aux tirs du champ et 6/6 aux lancers.\\n\\nL’Américain n’a mis que cinq points par la suite et c’est toute l’équipe marnaise qui a sombré face à un BBD qui a pu compter sur huit joueurs entre 9 et 17 points. Après trois-quart-temps, il était revenu dans la roue de son adversaire (66-67) qu’il a allègrement dépassé par la suite (98-86).\\n\\n« Il semblerait qu’on ait beaucoup de confiance dans notre potentiel offensif mais on s’appuie trop dessus », a analysé le coach Cédric Heitz en conférence de presse, propos rapportés par L’Union-L’Ardennais. « Il fallait avoir un minimum de consistance défensive. Il faut se rendre compte des choses de manière concrète et arrêter de penser que le talent suffit, en respectant les règles, en faisant preuve d’un minimum de fierté défensive et d’abnégation sur l’homme de manière individuelle. »\\n\\nCette victoire des Boulazacois provoque un mini-chamboulement en milieu de tableau puisqu’à l’issue des matches allers voici Boulazac toujours à la hauteur du Mans à la 10e place alors que Châlons-Reims rejoint l’anonymat du peloton." }, {"role": "user", "content":"Programme TV: 6 matches de Jeep Elite en 4 jours" }, {"role": "assistant", "content":"En combinant avec ses chaînes annexes, RMC Sport propose six matches de Jeep Elite du vendredi au lundi.\\n\\nLundi 21 janvier:\\n\\n20h45 – Boulazac/Châlons-Reims – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 22 janvier:\\n\\n18h30 – Patras/Strasbourg – BCL – Canal+ Sport\\n\\n19h00 – Monaco/Partizan Belgrade – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Le Mans/Novgorod – BCL – Canal+ Sport\\n\\n21h00 – Villeurbanne/Francfort – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\nMercredi 23 janvier:\\n\\n20h00 – Fribourg/Nanterre – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Limoges/Malaga – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Dijon/Lietkabelis – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 24 janvier\\n\\n18h30 – Fenerbahçe/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h35 – Tel-Aviv/Panathinakos – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – Milan/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Madrid/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 25 janvier\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Munich – Euroleague – RMC Live 5\\n\\n18h15 – Darussafaka/Vitoria – Euroleague – RMC Live 6\\n\\n19h00 – Gran Canaria/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Levallois/Boulazac – Jeep Elite – RMC Sport Live 8\\n\\n21h00 – Barcelone/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 26 janvier\\n\\n18h30 – Pau/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Chalon/Le Portel – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Limoges/Antibes – Jeep Elite – RMC Sport Live 6\\n\\nDimanche 27 janvier\\n\\n18h30 – Dijon/ASVEL – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 28 janvier\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2" }, {"role": "user", "content":"Richard Hendrix (Le Mans): Une erreur de casting ?" }, {"role": "assistant", "content":"Richard Hendrix n’a joué que sept minutes face à Dijon. L’explication est toute trouvée.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Il est malade », révèle le coach Eric Bartecheky. « Jeudi soir il a participé à l’entraînement, il n’était pas très en forme. Vendredi, il est venu me voir en me disant qu’il ne se sentait pas bien, il ne s’est pas entraîné. Aujourd’hui, ça allait un peu mieux mais vu son état, on a logiquement fait appel à Wil (Yeguete). Je ne vais pas vous le cacher : quand il rentre, il n’est pas productif aussi on a fait appel à Peter (Cornelie) en 5, à Wil, et à partir du moment où ça marchait, il n’y avait pas de raisons de changer. »\\n\\nOK pour cette fois. Seulement, nous sommes à la moitié de la saison régulière et le constat est parfaitement claire. Voici un pivot de 2,06m, compact, dans la force de l’âge (32 ans) référencé Euroleague : 91 matches dans quatre équipes, Maccabi, Milan, Krasnodar et Malaga. Pas des stats à tomber à la renverse mais tout de même 8,0 points et 5,6 rebonds en 91 matches dans la reine des compétitions européennes. En plus, l’Américain, qui bénéficie d’un précieux passeport macédonien, a gagné l’Eurocup en 2013 en étant élu MVP de la finale.\\n\\nOn pouvait donc se dire que le MSB s’était offert ce qu’il y a de mieux et son salaire de 240 000 euros -le troisième des pivots de Jeep Elite derrière ceux du Villeurbannais Miro Bilan et du Monagasque Elmedin Kikanovic– se justifiait. Seulement donc, Richard Hendrix déçoit. Terriblement.\\n\\nSes stats (9,0 points et 6,1 rebonds) sont finalement les mêmes en Jeep Elite qu’en Euroleague. Hendrix, qui est un pivot « au sol » est-il mal à l’aise dans un championnat réputé pour sa verticalité ? On peut juste noter que ses chiffres (10,6 points et 6,8 rebonds) sont les mêmes en Champions League. A l’évidence, l’Américano-macédonien n’est pas un leader mais a-t-il plus globalement un problème de caractère, de personnalité ? Il faut remarquer que son body language ne plaide pas pour lui. Il est toujours stoïque pour ne pas dire indifférent aux éléments extérieurs. Une sorte d’anti Antoine Eito. Même s’il est jugé en dehors du terrain comme quelqu’un de bon contact.\\n\\n« Qu’il ne soit pas un leader ce n’est pas trop gênant », estime Eric Bartecheky. « Etre un leader ça ne s’invente pas. J’en n’ai pas eu beaucoup. J’ai eu la chance d’avoir Ricardo Greer, JK Edwards, même Romeo (Travis) l’année dernière dans un style différent. On ne peut pas s’improviser leader, ça demande des qualités innées. Par contre, effectivement, montrer une envie de gagner, les poings rageurs, un état d’esprit sur le terrain, c’est ce que je lui reproche un peu. Et puis, il y a le profil, forcément. On essaye d’utiliser au maximum son profil mais quand il faut rouler au panier et absorber les défenses comme Peter l’a fait ce soir, si le joueur n’a pas les qualités intrinsèques pour rouler vite, il n’y peut rien. Si en plus il ne fait pas d’efforts, ça se complique. »\\n\\nLe même temps de jeu que Wilfried Yeguete\\n\\nEric Bartecky utilise Richard Hendrix un peu moins de 22 minutes par match, soit le même temps de jeu que son backup supposé, Wilfried Yeguete, au demeurant très bon et qui donne toujours l’impression, lui, d’être à 100%. L’ancien étudiant d’Alabama n’est pas le joueur que le coach aurait aimé avoir. Il n’y a pas pour autant de conflit.\\n\\n« Il n’y a pas de punition vis-à-vis de lui. Le constat que je fais ne doit pas non plus me faire adopter des positions radicales. On a besoin de lui et on doit tout faire pour qu’il soit le meilleur possible. Faire un constat comme je l’ai fait et être dans ma fonction d’entraîneur au quotidien avec l’équipe qui est présente aujourd’hui pour en tirer le maximum, ce sont deux choses différentes. Si le joueur avait été bon, il aurait joué et s’il est bon demain, il jouera. »\\n\\nMais sans qu’on ait à le pousser, Eric Bartecheky plaide coupable dans le recrutement de son pivot.\\n\\n« Quand je parlais de ma responsabilité, elle est totale dans le sens où je n’ai pas été assez vigilant. J’ai fait confiance sur des propositions qui ont été amenées et j’aurais dû creuser davantage les choses. Après, des entraîneurs bien plus expérimentés que moi, tous les ans, font des erreurs de casting, réajustent, changent, quatre, cinq, six joueurs. Je sais qu’ici ce n’est pas trop la mentalité et puis il y a des contraintes financières, etc, je le comprends tout à fait. Jusque-là je me faisais une fierté de ne pas m’être trop trompé, que ce soit à Pau, au Havre. L’année dernière, c’était un contexte différent car j’arrivais et le club avait aligné des joueurs qui étaient très bons, et moi j’avais amené Justin Cobbs. Ça faisait que l’équipe avait ses atouts-là. (Youssoupha) Fall qui roulait... Cette année c’est moins le cas. Je ne peux que m’en prendre à moi-même. Ça me servira de leçon pour la suite. Ça ne veut pas dire que l’on ne peut pas être performant... »\\n\\nRichard Hendrix a encore une moitié de saison pour démontrer qu’il est digne de son CV et qu’il mérite son argent.\\n\\n[armelse]\\n\\n« Il est malade », révèle le coach Eric Bartecheky. « Jeudi soir il a participé à l’entraînement, il n’était pas très en forme. Vendredi, il est venu me voir en me disant qu’il ne se sentait pas bien, il ne s’est pas entraîné. Aujourd’hui, ça allait un peu mieux mais vu son état, on a logiquement fait appel à Wil (Yeguete). Je ne vais pas vous le cacher : quand il rentre, il n’est pas productif aussi on a fait appel à Peter (Cornelie) en 5, à Wil, et à partir du moment où ça marchait, il n’y avait pas de raisons de changer. »\\n\\nOK pour cette fois. Seulement, nous sommes à la moitié de la saison régulière et le constat est parfaitement claire. Voici un pivot de 2,06m, compact, dans la force de l’âge (32 ans) référencé Euroleague : 91 matches dans quatre équipes, Maccabi, Milan, Krasnodar et Malaga. Pas des stats à tomber à la renverse mais tout de même 8,0 points et 5,6 rebonds en 91 matches dans la reine des compétitions européennes. En plus, l’Américain, qui bénéficie d’un précieux passeport macédonien, a gagné l’Eurocup en 2013 en étant élu MVP de la finale.\\n\\nOn pouvait donc se dire que le MSB s’était offert ce qu’il y a de mieux et son salaire de 240 000 euros -le troisième des pivots de Jeep Elite derrière ceux du Villeurbannais Miro Bilan et du Monagasque Elmedin Kikanovic– se justifiait. 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Malheureusement, l’équipe ne répond pas aux attentes des sponsors et des fans. Georgios Bartzokas sera toujours un grand ami de la grande famille du Khimki. »\\n\\nSous sa coupe, les coéquipiers d’Alexey Shved ont participé deux fois à l’EuroLeague et se sont qualifiés pour la première fois de leur histoire en playoffs. Son remplaçant est déjà trouvé puisqu’il s’agit du Lituanien Rimas Kurtinaitis, ancien champion olympique comme joueur en 1988 avec l’URSS, qui revient dans le club après l’avoir l’avoir entraîné entre 2011 et 2016. Une période dorée pour les Jaunes et Bleus avec une victoire en VTB League en 2011 et deux victoires en EuroCup en 2012 et 2015." }, {"role": "user", "content":"Bourges 3e club féminin mondial sur twitter en décembre !" }, {"role": "assistant", "content":"Une enquête réalisée par le site espagnol Deportes & Finanza exprime une nouvelle fois le formidable dynamisme du club de Bourges sur les réseaux sociaux. Le Tango Bourges Basket est classé en décembre troisième club de basket féminin sur le plan mondial au niveau des interactions sur twitter.\\n\\nSi le club champion de France est loin derrière Fenerbahçe, qui est un club omnisports avec une forte section de basket masculin, et un peu en retrait du Seattle Storm, champion WNBA, il se range devant Avenida (Espagne), le Minnesota Lynx (WNBA), le Phoenix Mercury (WNBA), le Atlanta Dream (WNBA), les Los Angeles Sparks (WNBA), le Chicago Sky (WNBA) et Spar Girone (Espagne).\\n\\nCela mérite des applaudissements..." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Derby madrilène en Coupe du Roi" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort de la Coupe du Roi (Copa del Rey), l’équivalent espagnol de notre Leaders Cup, s’est tenu ce lundi midi.\\n\\nElle aura lieu du 15 au 17 février 2019 au WiZink Center de Madrid. Cette compétition aura pour premières affiches FC Barcelone-Valence, Tenerife-Malaga, Baskonia Vitoria-Badalone et se terminera par un derby de Madrid entre le Real et l’Estudiantes. 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Au delà de la victoire, Kevin Séraphin a fait un match correct avec 8 points et deux rebonds en un peu plus de 12 minutes de jeu, tandis que Thomas Heurtel a bien distribué le ballon en témoigne les 7 passes décisives qui ont accompagné ses 11 points à 4/6 aux tirs. Même si il s’est malheureusement plus fait remarquer pour un geste d’agacement envers un supporter de Baskonia, chose qui lui a attiré les huées de son ancien public. Vincent Poirier, dans la défaite, a compilé 6 points et 4 rebonds en plus de 25 minutes de jeu.\\n\\n\\n\\n\\nHola @ACBCOM @BasketatodoRitm @planetacb alguien me puede decir que significa ese gesto de heurtel? pic.twitter.com/zh6AFhwULd\\n\\n\\n— Óscar Varón (@dewer85) January 20, 2019\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel" }, {"role": "user", "content":"Les Little Big Men de Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"Sa lourde défaite hier soir au Mans (57-81) ne remet pas en cause une évidence : la JDA Dijon, à la voilure d’apparence légère, a réalisé une belle première moitié de saison. Et c’est elle qui a gagné son billet pour la Leaders Cup. Pas le champion de France.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes chiffres ne mentent pas. Avec le 12e budget et la 13e masse salariale de Jeep Elite, la JDA Dijon a gagné son sésame pour la Leaders Cup. Une performance d’autant plus remarquable que les Bourguignons ont dû se farcir quatorze matches de Basketball Champions League et s’ils sont d’ores et déjà éliminés à trois journées de la fin, ils n’ont pas à se flageller. Trois victoires à ce stade c’est correct vu le plateau du groupe C.\\n\\nLe crû 2018-19 de la JDA perpétue une tradition, à savoir que les résultats au final démentent les prévisions. Il ne faut pas oublier que l’équipe dijonnaise a perdu durant l’inter-saison ses deux joueurs français phare, l’intérieur Jacques Alingue (9,4 points, 5,5 rebonds et surtout la clé de voûte du système défensif) parti à Strasbourg et l’ailier Valentin Bigote (10,0 points plus des playoffs de feu) au Mans, et qu’avec ses moyens financiers limités, la JDA est contrainte de recruter malin en enrôlant des joueurs que les « gros » délaissent. Seul David Holston peut être considéré comme une star dans un effectif numériquement réduit.\\n\\n« La BCL, c’est très éprouvant », confirme le coach Laurent Legname. « On a un effectif de neuf. J’avais dit que jusqu’à la fin février ça allait nous coûter 3-4 matches. Je ne me suis pas trompé. Ça nous a notamment coûté deux matches à domicile contre Gravelines et Bourg où on perd de deux points à chaque fois. Les deux fois on a un blessé. Contre Gravelines David (Holtson) ne joue pas, et contre Bourg, Ryan (Pearson) joue sur une jambe. Ce sont les aléas. On a fait plus de la moitié des matches à 8 ou 7 joueurs. En ce qui concerne le bilan pour cette première partie de saison, en tant que coach, je veux toujours plus même si je connais les contraintes de masse salariale, etc. Si on m’avait dit que je finirai à 10 victoires et 7 défaites, j’aurais été très content et je le suis vu le nombre de blessés, mais j’ai une petite amertume dans la bouche car on aurait pu en battre une ou deux... Tout coach en veut toujours plus. On va dire que c’est déjà bien. Le bilan est plus que satisfaisant pour ces matches allers. »\\n\\nLa plus belle perf a été accomplie la semaine dernière face à Strasbourg qui a été atomisé en Bourgogne : 80-55. Laurent Legname a véritablement utilisé... 6 joueurs puisque Ryan Pearson, suspendu, et Tarence Kinsey, élongation, n’étaient pas opérationnels et que Gavin Ware n’a joué que huit minutes. Axel Julien a passé 38 minutes sur le terrain, Jérémy Leloup 37, David Holston 35 et... Abdoulaye Loum 34.\\n\\nPour ses retrouvailles hier soir avec la JDA, Valentin Bigote estime que le style de la maison est toujours le même. Et c’est un compliment.\\n\\n« Ça n’a pas trop changé depuis l’année dernière. C’est une équipe très ordonnée, très structurée avec un très bon coach qui sait toujours faire jouer les joueurs ensemble. Ça ne m’étonne pas trop. L’année dernière, on avait déjà fait une bonne saison, c’est vrai que cette année ils font encore mieux et ils vont faire la Leaders Cup. C’est très bien pour eux, ça m’a fait plaisir de revoir tout le monde et de les battre surtout (sourire). Ça fait toujours plaisir de battre son ancien club surtout avec un écart comme ça. J’étais motivé de jouer contre eux, forcément. Je leur souhaite de réussir la fin de saison parce que c’est un club qui travaille vraiment bien et qui mérite. »\\n\\nQuand l’oxygène n’arrive plus au cerveau\\n\\nLe Mans avait beaucoup de choses à se faire pardonner avec un besoin urgent d’une victoire encore davantage pour la course aux playoffs que pour une qualification très compromise à la Leaders Cup. On a senti tout de suite que la JDA n’était pas dans le coup, que les remontées de bretelles de coach Legname n’avaient qu’une portée éphémère, que les Manceaux se faisaient rarement prendre en tenaille par les prises à deux dijonnaises. Au bout d’un quart-temps, le MSB avait totalisé le double de points (22-11) et seul l’opportuniste Alexandre Chassang (6 points) avait représenté un danger offensif.\\n\\n« Les six premières minutes n’étaient pas la meilleure entame possible », euphémisait Jérémy Leloup. « Derrière, on a réussi à être mieux défensivement. En attaque, on a eu des tirs ouverts et on ne les a pas mis alors qu’eux ont mis des gros shoots. Ils ont quelqu’un sur eux et ils les mettent. On a manqué un peu de réussite en première. On n’a pas su garder la même défense. Les petits ballons qui traînent sont pour eux... Il y a des matches où tout va dans un sens. »\\n\\nLes commentaires du coach étaient de la même veine que ceux de son joueur :\\n\\n« On a vu dès le premier quart-temps que Le Mans a réussi des tirs très difficiles, soit en fin de possession ou soit à très longue distance. On avait de la volonté, de l’engagement, peut-être pas suffisant par rapport à la fatigue des déplacements. On a vu deux ou trois situations dans le premier quart-temps, surtout sur les 6-7 premières minutes, où on fait des erreurs, c’est une chose, et la deuxième c’est que Le Mans a été en pleine réussite. Ils sont à 65% à la mi-temps avec de gros tirs, quand on est sur le mec, (Cameron) Clark, (Antoine) Eito mettent des shoots à trois-points, on ne peut rien faire d’autre. Oui, dès le début on se dit que la soirée va être très longue et elle l’a été. On a été courageux, on a tout donné. On va vu dès le premier quart-temps que l’on avait de la fatigue de notre côté. Il ne faut pas oublier que l’on est que huit, que Tarence (Kinsey) est toujours blessé. Offensivement, je pense que l’on a plutôt construit nos attaques mais on a manqué terriblement de réussite sur les shoots. Sur les gamelles notamment de Jérémy (Leloup) au début qui changent un peu la donne. »\\n\\nSinon en fin de match où il a trouvé quelques ouvertures et mis des paniers acrobatiques de grande classe, David Holtson a été admirablement tenu par Antoine Eito aidé de Jonathan Tabu. Mais les manques ont été collectifs. Avec 14 points, Holston est le seul Dijonnais a avoir marqué en double figure contre six Manceaux. Ainsi Ryan Pearson a été complètement à côté de la plaque face à son ancienne équipe. Témoin un magnifique airball à trois-points. Gavin Ware a été dépassé. La JDA a shooté à 37,1% sur le match.\\n\\nA l’inverse, Will Yeguete (10 points, 9 rebonds, 5 passes) a fait un gros chantier à l’intérieur alors que Petr Cornelie (16 points, 6 rebonds), par ses trois-points et ses alley-oop fut une sorte d’assassin silencieux. Le MSB n’a pas connu un seul creux en quarante minutes et n’a cessé d’enfoncer le couteau dans la plaie. Le cap des vingt points a été atteint à la 37e minute et sur un 2+1 de Juice Thompson, Le Mans a obtenu la plus grosse marge du match au buzzer.\\n\\nLa fatigue des matches à répétition sachant que la JDA a livré et perdu mercredi une bataille à Athènes face à l’AEK en BCL est-elle une explication majeure ?\\n\\n« Non, ce n’est pas ça puisque Le Mans est parti cette semaine à Ventspils », a répondu Jérémy Leloup « Le basket est un sport d’adresse. Il y a des soirs où ça rentre et des soirs où on ne met rien. On a eu de bons tirs et c’est donc que l’on a trouvé des solutions en attaque mais on ne les a pas mis dedans. On manque aussi de dureté quand eux augmentent leur agressivité défensive. A ce moment là, on recule un peu. C’est à nous de travailler, d’être cohérent quarante minutes sur l’agressivité défensive puisqu’on sait que ça nous donne derrière du rythme en attaque. Ils ont re-scoré tout de suite sur des rebonds offensifs. C’est un problème que l’on a aussi assez souvent. Il faut que l’on se concentre sur ses points là. »\\n\\nCe qui a surtout déplu à Laurent Legname, c’est que ses joueurs se sont encore davantage enfoncés dans les derniers échanges.\\n\\n« Ça plus ça plus ça fait que l’écart est là. Même si 24 points ça ne reflète pas l’écart du match. A la rigueur, là où je suis le plus déçu c’est sur les cinq dernières minutes. Je prends temps-mort à 5’30 de la fin quand on est à -18 pour leur expliquer que le goal average est important par rapport à la Leaders Cup et que l’on a encore une place à jouer dans le top 4 et qu’il faut perdre de 10-12 points et là ils sont partis en saucisse. Ce sont des joueurs intelligents qui normalement ont conscience des choses mais là... La seule explication, peut-être, c’est la fatigue quand l’oxygène n’arrive plus au cerveau. On ne peut pas laisser un goal average comme ça. Ça me rend fou. »\\n\\nFou sur le moment... Mais, comme exprimé plus haut, Laurent Legname sait que ses garçons ont fait depuis octobre un super taf et que cette embardée au Mans est juste à mettre au rayon des accidents de parcours. Les sept autres équipes sont au courant qu’il ne fera pas bon affronter la JDA en quart-de-finale de la Leaders Cup.\\n\\n[armelse]\\n\\nLes chiffres ne mentent pas. Avec le 12e budget et la 13e masse salariale de Jeep Elite, la JDA Dijon a gagné son sésame pour la Leaders Cup. Une performance d’autant plus remarquable que les Bourguignons ont dû se farcir quatorze matches de Basketball Champions League et s’ils sont d’ores et déjà éliminés à trois journées de la fin, ils n’ont pas à se flageller. Trois victoires à ce stade c’est correct vu le plateau du groupe C.\\n\\nLe crû 2018-19 de la JDA perpétue une tradition, à savoir que les résultats au final démentent les prévisions. Il ne faut pas oublier que l’équipe dijonnaise a perdu durant l’inter-saison ses deux joueurs français phare, l’intérieur Jacques Alingue (9,4 points, 5,5 rebonds et surtout la clé de voûte du système défensif) parti à Strasbourg et l’ailier Valentin Bigote (10,0 points plus des playoffs de feu) au Mans, et qu’avec ses moyens financiers limités, la JDA est contrainte de recruter malin en enrôlant des joueurs que les « gros » délaissent. Seul David Holston peut être considéré comme une star dans un effectif numériquement réduit.\\n\\n« La BCL, c’est très éprouvant », confirme le coach Laurent Legname. « On a un effectif de neuf. J’avais dit que jusqu’à la fin février ça allait nous coûter 3-4 matches. Je ne me suis pas trompé. Ça nous a notamment coûté deux matches à domicile contre Gravelines et Bourg où on perd de deux points à chaque fois. Les deux fois on a un blessé. Contre Gravelines David (Holtson) ne joue pas, et contre Bourg, Ryan (Pearson) joue sur une jambe. Ce sont les aléas. On a fait plus de la moitié des matches à 8 ou 7 joueurs. En ce qui concerne le bilan pour cette première partie de saison, en tant que coach, je veux toujours plus même si je connais les contraintes de masse salariale, etc. Si on m’avait dit que je finirai à 10 victoires et 7 défaites, j’aurais été très content et je le suis vu le nombre de blessés, mais j’ai une petite amertume dans la bouche car on aurait pu en battre une ou deux... Tout coach en veut toujours plus. On va dire que c’est déjà bien. 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Un All-Star Game avec quelques différences par rapport au All-Star Game Français.Le All-Star Game Turc n’oppose pas une sélection de joueurs turcs à une sélection de joueurs étrangers, mais une sélection de joueurs issus de la partie européenne du pays (6 clubs) contre une sélection de joueurs issus de la partie asiatique (9 clubs). Comme beaucoup de All-star Game, la défense était aux abonnés absents et la part belle a été donnée au spectacle comme en témoigne le score.Trois Français ont participé à ce All-Star Game, Rodrigue Beaubois (12 points), Joffrey Lauvergne (10 points) et Adrien Moerman (34 points), qui a été le deuxième meilleur scoreur de la partie derrière l’Américain Kenny Gabriel (2,05 m, 29 ans), MVP de ce All-Star Game avec ses 44 points.Marko Guduric de Fenerbahçe, Kenny Gabriel de Türk Telekom et Doğuş Özdemiroğlu de Darüşşafaka ont respectivement remporté les concours à trois points, le concours de dunks et le concours de meneurs. 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On savait que l’on aurait fort à faire ce soir et on a répondu présent. Quand elles sont revenues on n’a pas paniqué et on a réussi à décrocher cette victoire qui est très importante pour nous. »\\n\\nValéry Demory (ASVEL):\\n\\n« Ce genre de match-là, on risque de le revivre en fin de saison avec la même intensité défensive, la même rugosité mais sans mauvais gestes. Ce sont des matches de demi-finale ou de finale. »\\n\\nKB Sharp (Bourges):\\n\\n« Les tirs que l’on a raté sont des tirs que d’habitude on marque. Il ne manque vraiment pas grand chose. C’est rageant, décevant mais la saison n’est pas finie. C’est très, très tôt. Montpellier a perdu chez elles contre Charleville. Il va y avoir des soirées comme ça. Il faut continuer à croire en nous. Le travail va finir par payer un jour. »\\n\\nElodie Godin (Bourges):\\n\\n« C’est rageant parce que ça commence à faire beaucoup et Bourges n’a pas l’habitude de perdre. Je n’ai pas l’habitude de perdre. C’est difficile mais on n’est pas championne de France ce soir, ça reste très long. C’est ce que je leur ai dis: pour être championne de France, il faut terminer dans le top 8. L’année dernière, Tarbes a terminé septième et elles sont allées en finale. Maintenant il va falloir gagner un peu de confiance car l’année 2019 a mal commencé pour nous. On ne peut pas dire que l’on est fatigué. On peut se trouver des excuses mais ça ne sert à rien. »\\n\\nOlivier Lafargue (Bourges):\\n\\n« Beaucoup de fierté vis à vis de ce que l’on est capable d’aller chercher, de caractère, comme identité. Quand on est dans le dur, à -13 à la mi-temps, tu peux avoir des gens qui regardent par terre. Et on a vraiment eu un caractère très fort pour revenir et ré-attaquer cette deuxième mi-temps. 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En effet, l’ancien du Orlando Magic rejoint à l’infirmerie le Géorgien Tornike Shengelia, l’Uruguayo-italien Jayson Granger et le Lituanien Tadas Sedekerskis." }, {"role": "user", "content":"Les modalités du tirage au sort de la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nA l’issue de la rencontre Limoges CSP vs EB Pau-Lacq-Orthez disputée aujourd’hui comptant pour la 17ème journée de Jeep ÉLITE, les huit équipes qualifiées pour la Disneyland Paris Leaders Cup* 2019sont maintenant connues.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLes deux chapeaux qui seront utilisés pour le tirage au sort des quarts de finale sont déterminés dela manière suivante:\\n\\n\\nChapeau N°1 : Lyon-Villeurbanne- Pau-Lacq-Orthez – Nanterre – Dijon\\n\\n\\nChapeau N°2 : Strasbourg – Limoges – Bourg-en-Bresse – Levallois\\n\\n\\nLe Tirage au Sort de la Disneyland Paris Leaders Cup* LNB 2019 aura lieu le jeudi 24 janvier 2019 à 12h00 à Disneyland Paris et sera effectué par le Comte de Bouderbala, humoriste et ancien basketteur professionnel.\\n\\n\\nLe Tirage au sort sera retransmis en Facebook Live sur la page de RMC Sport.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe classement à l’issue de la 17ème Journée de Jeep® ELITE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe classement est effectué en fonction du nombre de victoires / défaites. En cas d’égalité, il est tenu compte de la différence générale\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDécouvrez des offres inédites vous permettant de combiner matchs de basket et accès aux 2 Parcs Disney® et également réserver votre hôtel.\\n\\nPar Internet : www.leaderscup.fr et www.digitick.com\\n\\nPar téléphone : 0 892 700 840 (0,34€/min)Infos pratiques\\n\\n\\n\\n\\nDisneylandParis Leaders Cup* LNB 2019\\n\\nDu 15 au 17 février 2019\\n\\nLieu : Disney Events Arena, Disneyland Paris\\n\\n\\nProgramme des rencontres\\n\\n\\nDisneyland Paris Leaders Cup LNB\\n\\nVendredi 15 février 2019 (Quarts de finale) : 13h00 – 15h30 – 18h00 – 20h30\\n\\nSamedi 16 février 2019 (Demi-finales) : 18h00 – 20h30\\n\\nDimanche 17 février 2019 : Finale PROB : 14h30 – Finale : 17h00\\n\\n\\nToutes les rencontres seront retransmises en direct sur RMC SPORT 2.\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: L’ASVEL seule en tête après sa victoire à Bourges (67-63)" }, {"role": "assistant", "content":"Emmenée par sa meneuse belge Julie Allemand (15 points, 6 rebonds, 7 passes) qui a dominé sa vis-à-vis espagnole Cristina Ouvina (24 contre 4 à l’évaluation), l’ASVEL a vaincu Bourges sur ses terres (67-63) après s’être déjà imposée à l’aller dans le Rhône. 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C’est par ailleurs la sixième victoire successive en Jeep Elite depuis l’arrivée de François Peronnet\\n\\nLa tradition à Beaublanc a été respectée avec à leur présentation des huées pour les Palois et un tifo géant pour les Limougeauds. Motivé par le contexte, Léopold Cavalière (10 points et 10 rebonds au total), opportuniste, a tenu un temps son équipe à bout de bras mais celle-ci a fait preuve tout au long du match d’une maladresse chronique à trois-points (4/24). Elle n’a pas non plus disposé de la maestria habituelle de son meneur Mickey McConnell totalement à côté de la plaque et qui est sorti du terrain avec un très inhabituel -3 d’évaluation -bravo à la défense de Jordan Taylor. D’autant plus préjudiciable pour l’Elan Béarnais qu’il ne dispose pas d’un vrai backup à ce poste.\\n\\nL’écart n’a cessé de gonfler au fil du match. De +6 (26-20) après un quart-temps à +10 (39-29) à la mi-temps. 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Les dernières minutes étaient du garbage time, ce qui a permis à Pau -et c’est anecdotique- d’effacer une partie de son retard.\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1087048098004783105\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1087063537984458752\\n\\nPhoto: William Howard (CSP)" }, {"role": "user", "content":"Audio: Le clasico verbal entre Captain Bretzel et Dropdutalon sur France Bleu Limousin" }, {"role": "assistant", "content":"France Bleu Limousin a réuni dans un reportage audio deux « amis »: Manu, alias Captain Bretzel sur twitter, un supporter du Limoges CSP, et Dropdutalon, un supporter de Pau. Ca fait monter la sauce à quelques heures du clasico. Et c’est... très drôle.\\n\\nC’est ICI.\\n\\n\\n\\n\\nEn espérant que @dropdutalon ait des notions de lecture. pic.twitter.com/W55d8hZPuS\\n\\n\\n— Captain Bretzel TM©® (@Captain_Bretzel) January 20, 2019\\n\\n\\n\\n\\nSympa le nom des rues dans Limoges...#FadeawayEnTerreInconnue#CSPEBPLO pic.twitter.com/sXLXkp0r1H\\n\\n\\n— dropdutalon (@dropdutalon) January 20, 2019" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Orléans sombre face à Rouen et ne profite pas ainsi de la défaite de Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Orléans a raté une belle occasion de recoller à Roanne en tête du classement en s’inclinant lourdement à domicile contre Rouen dans le cadre de la 15ème journée de Pro B (66-86).\\n\\nL’OLB n’est jamais rentrée dans son match et a souffert tout le long de la partie d’un manque d’adresse flagrant (38,2% aux tirs et 53,8% aux lancers francs). 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Ce dernier a bien été accompagné au scoring par l’intérieur Darrell Williams (2,03m, 29 ans), qui s’est parfaitement illustré avec ses 25 points et 7 rebonds, le tout à 8/12 aux tirs (et 9/12 aux lancers francs). Ce dernier a gagné son duel dans la peinture face au Monégasque Jarrod Jones, auteur d’un deuxième double-double consécutif après celui contre le Partizan Belgrade mardi en EuroCup (15 points et 11 rebonds). Avec cette victoire, les nordistes se donnent un peu d’air sur la zone de la relégation, tandis que la Roca Team, avec cette défaite, a définitivement dit adieu à la Leaders Cup, elle qui était triple tenante du titre dans cette compétition.Alexis Ajinça très discretExploit de Cholet qui renverse le leader villeurbannais à l’Astroballe après une deuxième mi-temps à sens unique (68-76). Le premier revers cette saison de l’ASVEL à domicile en Jeep Elite.Pour son premier match en JeepElite sous ses nouvelles couleurs, Alexis Ajinça (2,13m, 30 ans) a eu du mal à trouver ses marques avec seulement 2 points (à 1/5 aux tirs) en 4 petites minutes. Coté choletais, les deux principaux artisans de la victoire ont été London Perrantes (1,88m, 23 ans) et Frank Hassell (2,05m, 30ans). Le premier a compilé 20 points et a provoqué 10 fautes tandis que le second a frôlé le double-double avec ses 18 points et 9 rebonds (dont 5 offensifs). Dans le duel à distance entre les deux pépites Théo Malédon et Kilian Hayes, c’est le Villeurbannais et néo-international qui rend la meilleure copie avec 8 points et 4 passes décisives en 19 minutes de temps de jeu, tandis que Hayes a marqué 5 points a 2/5 aux tirs avec un temps de jeu équivalent. Cette victoire, combinée aux défaites de Fos-sur-Mer et Antibes, font sortir des Choletais de la zone de relégation.Kendall Anthony cartonneAyant encore un mince espoir de participer à la Leaders Cup, Gravelines a mis toutes les chances de son côté en battant largement Fos-sur-Mer sur son terrain (62-88). L’écart s’est fait dans la première période et les nordistes l’ont creusé au fur et à mesure du match avant de tuer celui-ci dans le dernier quart-temps avec un 15-29. Mal engagé dans la course à la Leaders Cup, le BCM est pour l’instant à la huitième et dernière place qualificative en attendant le résultat du clasico entre Limoges et Pau-Lacq-Orthez.Engagé en qualité de pigiste médical pour faire face aux blessures sur le poste 1, Kendall Anthony (1,73m, 26 ans) a écoeuré la Halle Parsemain avec ses 27 points (à 10/13 aux tirs) et ses 9 passes décisives. Il a livré un duel au scoring avec Ron Lewis, l’ancien joueur du Havre a marqué 21 points à 6/4 aux tirs pour essayer de maintenir son équipe à flot.Photo: Taylor Smith (BCM)" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Podgorica punit le Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Après la belle prestation du Maccabi Tel Aviv qui a fait chuter le Barça jeudi soir, c’est le Buducnost Podgorica qui a créé la grosse surprise de la soirée de vendredi en venant à bout du champion en titre, le Real Madrid (73-60). Les coéquipiers d’Edwin Jackson (10 points) ont monté les barbelés en défense pour faire chuter le grand Real, avec le seul Sergio Llull en double figure !\\n\\nPar ailleurs, Vitoria est venu à bout de Milan grâce à une grosse 2e mi-temps et un nouveau match de mammouth de Vincent Poirier (17 points, 8 rebonds). Kaunas a battu le Pana pour mettre fin à sa série noire de 4 défaites de suite alors que l’Efes Istanbul a tranquillement disposé du Darussafaka pour engranger une 4e victoire de rang !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nPodgorica écrase le champion\\n\\n37% à deux points et 27% à trois points : le Real Madrid a mordu la poussière contre Podgorica (73-60) dans ce qui a probablement été la plus grosse démonstration défensive de la saison en Euroleague. Derrière un excellent Coty Clarke (12 points, 12 rebonds) et Goga Bitadze (10 points, 12 rebonds) qui termine aussi en double double, Podgorica a su, à chaque virage, ralentir le Real Madrid.\\n\\nLa preuve : seul Sergio Llull atteint les double figures, et ce, à 10 points tout pile ! En forçant 18 balles perdues des champions en titre, Podgorica a mis le Real à genoux. A l’image d’un layup plein de culot de Bitadze qui plane sur la raquette madrilène, ou de ce tir impossible au buzzer de Nemanja Gordic au buzzer, Podgorica avait la baraka !\\n\\n\\nVitoria enfonce Milan\\n\\nL’hiver est décidément bien long pour Milan... En déplacement dans le Pays Basque, la troupe de Mike James (27 points) a encore été défaite derrière un retour fantastique de Vitoria mené par Marcelinho Huertas dans les ultimes minutes (80-75).\\n\\nVincent Poirier (17 points, 8 rebonds) est le meilleur scoreur de son équipe dans cette victoire à l’arrachée, marquée également par les 12 passes de Luca Vildoza. Ce dernier perd un ballon dangereux devant Mike James mais l’ancien NBAer fera 1/3 aux lancers, condamnant définitivement Milan à une 3e défaite de suite (et une 9e sur leurs 11 derniers matchs)...\\n\\n\\nZalgiris retrouve la victoire\\n\\nRick Pitino était heureux de pouvoir découvrir la Lituanie... Il n’a certainement pas apprécié autant la performance de ses joueurs contre le Zalgiris de Sarunas Jasikevicius ! Kaunas a effectivement retrouvé le chemin de la victoire après 4 revers d’affilée (82-69). Avec un 13-0 en 3e quart puis un 10-2 en dernier quart, la troupe balte a fait le nécessaire pour s’offrir une fin de match sans encombre.\\n\\nAaron White a scoré 13 de ses 15 points dans la résurgence du Zalgiris, avec également une belle partition du shooteur Marius Grigonis. En attendant de réintégrer Adreian Payne, revenu de Chine, le Pana encaisse donc sa 2e défaite de suite.\\n\\n\\nL’Efes facile\\n\\nDans ce duel de clubs stambouliotes, l’Efes a facilement dominé son comparse du Darussafaka. A +20 à la pause (45-25), la messe était déjà dite pour les coéquipiers d’Adrien Moerman (15 points, 6 rebonds, 4 interceptions).\\n\\nRodrigue Beaubois (10 points, 1 passe) et consorts n’ont ainsi pas eu à forcer leur talent, s’imposant largement au final (82-68). C’est la 4e victoire de rang de l’Efes qui reste au contact des trois ogres : Fener, Real et CSKA, au classement.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 21 points (7/9 aux tirs), 3 interceptions, 2 rebonds, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 17 points (8/10 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 15 points (7/11 aux tirs), 6 rebonds, 4 interceptions, 2 passes en 21 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (3/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 15 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (4/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 26 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 10 points (4/8 aux tirs), 1 passe en 18 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (4/7 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 4 balles perdues en 19 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 5 points (1/4 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 4 balles perdues en 24 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 7 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/1 au tir), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 8 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLuca Vildoza a régalé ses coéquipiers de 12 gourmandises dans la victoire de Vitoria contre Milan. Et Vincent Poirier, lui aussi auteur d’un super match (17 points, 8 rebonds), en a bien profité sur le coup. Un gros dunk à deux mains !\\n\\n\\n\\n\\n👀🚀 @viinze_17P #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/9XyiixKyNa\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 18, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 19e journée\\n\\nJeudi 17 janvier :\\nCSKA Moscou – Bayern Munich (77-70)\\nOlympiakos – Khimki Moscou (71-57)\\nMaccabi Tel Aviv – Barcelone (99-83)\\nGran Canaria – Fenerbahçe (64-82)\\n\\nVendredi 18 janvier :\\nEfes Istanbul – Darussafaka (82-68)\\nPodgorica – Real Madrid (73-60)\\nZalgiris Kaunas – Panathinaikos (82-69)\\nVitoria – Milan (80-75)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 20e journée\\n\\nJeudi 24 janvier :\\nFenerbahçe – Olympiakos (18h30)\\nMaccabi Tel Aviv – Panathinaikos (20h30)\\nMilan – Zalgiris Kaunas (20h45)\\nReal Madrid – Efes Istanbul (21h)\\n\\nVendredi 25 janvier :\\nKhimki Moscou – Bayern Munich (18h)\\nDarussafaka – Vitoria (18h15)\\nPodgorica – Gran Canaria (19h)\\nBarcelone – CSKA Moscou (21h)\\n\\nA lire aussi : le Maccabi Tel Aviv donne une leçon à Barcelone\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPodgorica écrase le champion\\n\\n37% à deux points et 27% à trois points : le Real Madrid a mordu la poussière contre Podgorica (73-60) dans ce qui a probablement été la plus grosse démonstration défensive de la saison en Euroleague. Derrière un excellent Coty Clarke (12 points, 12 rebonds) et Goga Bitadze (10 points, 12 rebonds) qui termine aussi en double double, Podgorica a su, à chaque virage, ralentir le Real Madrid.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Nouvel exploit de Charleville à Montpellier, double double pour Amel Bouderra" }, {"role": "assistant", "content":"Après Bourges la semaine dernière dans les Ardennes, Charleville s’est payé la tête de Lattes-Montpellier dans l’Hérault (77-80) démontrant son très net regain de forme.\\n\\nLes Gazelles ont été très longtemps en tête (21-15, 10′ et 66-62, 30′) et ce n’est qu’à 2’16 du final que les Flammes sont passées devant pour la première fois sur un panier de l’Américaine Haley Peters.\\n\\nLa meneuse ardennaise Amel Bouderra a réussi un double double (12 points, 10 passes) alors que Kaleena Leewis (16 points) a été la meilleure réalisatrice de l’équipe. A l’image de Samantha Whitcomb (22 points mais à 7/18), les Héraultaises ont globalement fait preuve de maladresse (29/71).\\n\\nAvec le choc de cet après-midi, Bourges-ASVEL, deux solutions: soit Bourges, l’ASVEL et Montpellier se retrouveront à égalité au classement soit les Lyonnaises seront seules numéro 1 de la Ligue Féminine.\\n\\nPhoto: Amel Bouderra (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Strasbourg: Une septième participation d’affilée à la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"Le job est fait même si tout n’est pas rose. La SIG Strasbourg s’est qualifiée pour la septième fois d’affilée à la Leaders Cup et a interrompu une vilaine série de cinq défaites. L’écart final (76-71) n’est pas mirobolant vis à vis d’une équipe bressane privée en dernière minute de son pivot sénégalais Youssou Ndoye, sa tour infernale, en plus du forfait prévu de Mike Moser.\\n\\n« On s’est trop relâché à la fin », a lancé Vincent Collet en conférence de presse. « Je trouve ça dommage qu’on n’ait pas réussi à garder notre sérieux. Au début du match, l’entame défensive était très intéressante, mais on manque de constance dans l’effort. On a perdu trop de balles, alors qu’on savait que contre Bourg c’était ce qu’il fallait à tout prix éviter. Quoiqu’il en soit, le plus important, était de regagner ce soir pour pouvoir faire mieux la prochaine fois. »\\n\\nContrairement au Mans et Monaco, Strasbourg a donc assumé son rang et va se retrouver comme chaque fois à Disneyland Paris.\\n\\n« La Leaders Cup est une compétition qui tient à cœur tous les clubs, et le tirage a son importance. En poussant un peu plus ce soir, on aurait pu aller dans le top 4 puisqu’on avait un goal-average assez élevé avant de commencer. Hormis l’ASVEL, toutes les équipes sont assez proches. La Leaders Cup est dans moins d’un mois. D’ici là, j’espère qu’on sera bien meilleur qu’aujourd’hui et qu’on gagnera nos prochains matches. Bien sûr, aujourd’hui on avait la qualification en tête, mais avant la Leaders Cup, je pense aux prochaines échéances et au fait que l’équipe remonte. Le niveau de ce soir n’est pas suffisant par rapport à ce qu’on ambitionne ».\\n\\nC’est encore Youssoupha Fall -surtout avec l’absence de Ndoye- qui a fait la différence avec 17 points et 11 rebonds pour 29 d’évaluation alors que pour son retour au Rhénus le meneur Zack Wright a démontré qu’il est toujours un couteau suisse: 12 points, 7 rebonds et 6 passes.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le clasico Limoges-Pau (5) – Léopold Cavalière, le nouveau gardien du temple béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"Du Sud-Ouest et du centre de formation palois, il est le fil ténu qui relie sur le terrain l’Elan Béarnais avec son histoire. Pour Léopold Cavalière (2,01m, 22 ans), le clasico est un moment important de la saison et il le fait savoir y compris aux supporters limougeauds. C’est aussi quelqu’un ouvert au monde.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn tant que albigeois et toulousain, alliez-vous parfois, jeune, au palais des sports de Pau ?\\n\\nJe ne suis jamais venu à Pau avant de faire les tests à l’âge de 14 ans pour entrer au centre de formation. C’est vrai que l’histoire de Pau et des clasico me touchaient en région toulousaine car c’était un grand club européen à une époque et proche en terme géographique. Ça m’est arrivé de voir des clasico à la télé mais c’était rare.\\n\\nEtes-vous issu d’une famille de basketteurs ou de sportifs ?\\n\\nMa mère était volleyeuse au niveau régional et mon père professionnel de handball mais il a eu une courte carrière.\\n\\nA partir du moment où vous avez intégré le centre de formation de l’Elan, vous a-t-on parlé de ce moment spécial ?\\n\\nDéjà en cadets on savait que contre Limoges c’était un match important. Et oui quand tu arrives au club, on t’imprègne un peu de l’histoire, de ce que ce match représente alors on l’attend avec impatience, que ce soit en tant que spectateur quand on n’est pas encore rentré dans le monde pro et après en tant qu’acteur c’est encore plus intéressant.\\n\\nAujourd’hui, en parle t-on dans l’équipe, dans le club, dans l’entourage dans les jours qui précèdent le match ? Avez-vous un rôle pour en parler aux Américains qui débarquent et qui ne connaissent pas l’importance du clasico ?\\n\\nOn n’en a pas encore parlé car ça serait le meilleur moyen de louper le match contre Fos (NDLR : l’interview a eu lieu un peu avant la venue des Provençaux), il faut rester professionnels et être concentré sur le prochain match. Mais déjà l’année dernière mon rôle était de faire comprendre aux Ricains que ce match a de l’importance pour les fans, le club, au niveau de la ligue. Il a une portée médiatique assez importante et ça serait bien de faire un bon match et d’emporter ce clasico.\\n\\nQuand vous étiez plus jeune au club, qui répandait la bonne parole ? Freddy Fauthoux, qui était le coach des N2/N3, Rémi Lesca ?\\n\\nFreddy n’était pas trop avec le groupe pro et on n’avait pas l’occasion d’en parler mais Rémi était très clasico. Il disait que lorsque le calendrier sortait, il regardait quand on jouait Limoges. C’était particulier car il était bien aimé des supporters limougeauds... Je dis ça ironiquement. Il savait nous faire part de ce que c’était.\\n\\nVous avez déclaré : « Le scenario vraiment sympa serait de gagner là-bas et de priver Limoges de Leaders Cup. Ce serait la cerise sur la gâteau » C’est que vous êtes particulièrement motivé ?\\n\\nOui. Je pense aussi que j’ai un certain statut auprès des supporters limougeauds et j’ai dit ça en pensant que ça leur ferait plaisir que je pense à eux. Je suis très motivé mais comme je l’ai dit, il y a le match contre Fos qui si on le gagne pourrait entériner notre qualification à la Leaders Cup et c’est déjà très important. Ensuite, il y aura le déplacement à Limoges qui, malgré le fait que j’ai fait cette déclaration, sera un match compliqué. Ils ont une très belle équipe. Ils étaient un peu en doute, en manque de confiance en début de saison mais en ce moment ils sont pas mal.\\n\\nRémi Lesca était motivé de se faire siffler à Limoges. C’est pareil pour vous ?\\n\\nCarrément. J’adore. A un moment donné je me suis demandé si je ne préférais pas jouer les clasico à Limoges plutôt qu’à Pau. Mais quand je pense au 100e clasico à Pau avec un palais qui était blindé avec une ambiance folle, j’ai ressenti des choses que je n’ai jamais ressenti depuis car tout le public était derrière nous. Mais c’est vrai que l’accueil des Limougeauds, j’adore ça et c’est pour ça que je fais ce genre de déclaration.\\n\\nElle a touché de plein fouet les supporters limougeauds. On a pu lire des réactions comme au bon vieux temps !?\\n\\nOui, sur les réseaux, j’ai lu quelques mots d’amour. Ça peut arriver mais pour l’instant ce n’est pas déplacé. C’est de bonne guerre et j’aime bien.\\n\\nChacun constate que ce clasico n’a plus la même intensité que dans les années 80-90 notamment avec la bagarre en 1987. Comment aviez-vous réagi en la voyant ?\\n\\nQuand je dis que l’on t’imprègne de l’histoire en arrivant à Pau, c’est qu’on te montre cette vidéo. Ça part de là.\\n\\nLes anciens vous en parlent-ils ?\\n\\nL’ancien que l’on croise le plus, c’est Didier Gadou (NDLR : le directeur exécutif de l’Elan Béarnais). Il en parle un peu mais ce n’est pas non plus la priorité. On n’en parle pas comme le match de l’année ; on n’y est pas encore en fait.\\n\\n« Je ne suis pas du tout contre signer encore pour plusieurs années »\\n\\nPour vous personnellement, c’était une évidence de devenir professionnel de basket à Pau ?\\n\\nEn fait, j’ai eu la chance de faire quelques sélections en équipe de France jeune et j’ai fait des tests pour entrer au Centre Fédéral. En même temps, il fallait faire des tests pour entrer dans les centres de formation. Mon père m’a dit : « soit tu es pris à l’INSEP et au niveau des infrastructures, des sélections en équipe de France jeune, tu iras là-bas. Si tu n’es pas pris, tu iras à Pau. » Je n’ai pas été pris à l’INSEP et je n’avais fait des tests qu’à Pau. Mon père a commencé à flipper en se disant « s’il n’est pas pris à Pau, comment on fait ? » Finalement, j’ai été pris à Pau et j’en suis très content. C’est une magnifique région, c’est un club super avec une belle histoire, j’ai de la famille qui vient me voir de temps en temps puisqu’ils sont dans la région toulousaine. On peut aussi parler du côté loisir. On a la mer et la montagne à une heure et dès que l’on a une journée je vais marcher un peu en montagne.\\n\\nUne question que l’on vous a certainement déjà posé cent fois : avec votre gabarit, vous n’étiez pas tenté de faire du rugby ?\\n\\nNon, non. Quand j’ai commencé à fréquenter les rugbymen dans le Sud-Ouest, je me suis dit que ce n’était pas tout à fait mon style de vie. Je suis très bien dans le basket, j’y ai rencontré des gens formidables qui me correspondent et j’ai la chance d’avoir aujourd’hui des amis pour la vie grâce à ça. En plus, je ne sais pas si j’aurais été bon au rugby !\\n\\nC’est une satisfaction pour vous d’être passé directement du centre de formation et pas par le biais de la N1 ou de la Pro B comme par exemple Pierre Pelos et Corentin Carne ?\\n\\nC’est une énorme fierté de faire partie de cette équipe. Quand tu arrives au centre de formation, c’est l’objectif ultime de porter ce maillot avec ton nom derrière. Je me rappellerai toujours de mes premiers matches et de mes premiers points avec le maillot. Je suis très content aussi de ne pas être passé par la N1 ou la Pro B même si ça a réussi à certains. J’ai réussi à tirer mon épingle du jeu directement dans ce club, c’est une chance énorme.\\n\\nVous souvenez-vous du match, au Mans, lors de la saison 2015-16. Il y avait des blessés et vous avez joué beaucoup et bien ?\\n\\nPour Eric Bartecheky c’est très compliqué de faire jouer les jeunes et là il était obligé, il y avait des blessés de partout. J’avais joué 30 minutes et marqué 10 points. C’était mon record à l’époque. Et presque à 100% même si je n’avais pas mis mes trrois-points. Le seul souci c’est que j’avais loupé un layup important. Personne ne pouvait m’en vouloir car j’avais fait un bon match et personne ne s’attendait à ce que je sois à ce niveau-là. Mais ce layup aurait pu faire basculer le match. J’ai lu plus tard une interview d’Eric Bartecheky où il disait « ah ! Il a raté ce layup important ». Je crois que c’est resté quand même en travers de la gorge de certains joueurs et du coach (NDLR : Pau s’était incliné 73-76. Léopold Cavalière a joué moins de 5’ en moyenne cette saison-là.) Même moi j’avais été surpris de ma prestation. C’est un souvenir fort car j’avais été performant. Et j’ai mis beaucoup de temps pour être de nouveau aussi performant sur un match de Pro A.\\n\\nEt d’avoir resigné en juin pour deux années supplémentaires, c’est déjà une forme de reconnaissance ?\\n\\nOui, je pense que c’est dans la continuité. Le club m’a proposé un projet sportif très intéressant. Je suis très content de ma situation et je travaille beaucoup pour progresser et apporter toujours plus à ce club. C’était une suite logique et on verra dans deux ans où j’en suis. Je ne suis pas du tout contre signer encore pour plusieurs années.\\n\\nÇa vous tenterait de faire une carrière à la Didier Gadou ?\\n\\nSans parler de faire vingt ans dans le même club, faire toute sa carrière dans le même c’est incroyable aujourd’hui. Les choses ont changé. Je ne l’exclus pas mais peut-être qu’à un moment donné j’aurai envie ou besoin d’aller voir ailleurs. Peut-être qu’à un moment donné on ne s’entendra plus avec le club. Pour l’instant, on est loin de ça.\\n\\nQuels sont pour vous les points forts et les points faibles ?\\n\\nLes points forts c’est l’énergie, l’intensité que je peux apporter. J’ai aussi une forme d’opportunisme qui me permet d’être dangereux des deux côtés du terrain. Je suis capable de défendre sur pas mal de joueurs et pas mal de postes. Et j’adore défendre, faire des stops. La faiblesse, c’est tout ce qui est technique, dribbles, shoots. Je suis un peu en retard vis-à-vis de certains joueurs à ce niveau-là. Je travaille tous les jours pour ça et je fais des progrès. Ça se voit surtout aux entraînements, un peu moins en match. Ça va venir et je pense que j’en étonnerai plus d’un dans les prochaines années.\\n\\n« Mon père était la personne au monde que j’avais envie le plus de rendre fier »\\n\\nVous avez vécu deux fois six mois en République Dominicaine. Ca vous a permis d’avoir une meilleure ouverture d’esprit ? Pourquoi là-bas ?\\n\\nMon père achetait des maisons, les retapait, on y habitait un peu dedans, les revendait et quand la plus-value était belle on partait six mois. Ce n’était pas des vacances pour moi car j’allais à l’école française mais mes parents ne travaillaient pas. C’est un peu particulier comme mode de vie et je me souviens la deuxième fois avoir dit à mes parents que je ne voulais pas y aller car je ne voulais pas quitter mes amis. Mais j’ai pris goût aux voyages grâce à ça et ça vous donne une grande ouverture d’esprit. Et je vis pour ça : voyager, découvrir de nouvelles cultures, des nouvelles personnes complètement différentes de moi. Mes parents m’ont inculqué ça et je les en remercie énormément car je pense que c’est une très belle valeur. La République Dominicaine est une magnifique pays !\\n\\nVous détonnez vis-à-vis de la majorité des joueurs qui de l’étranger connaissent l’aéroport, la salle et l’hôtel. Vous n’êtes pas frustré quand vous partez en déplacement de ne pas visiter ?\\n\\nCe sont des pays où j’irai peut-être plus tard en tant que touriste pour visiter un peu. J’étais à Prague pour le Nouvel An, l’année d’avant j’étais à Berlin. L’été, j’essaye même d’aller un peu plus loin. Je suis parti en Colombie, en Indonésie. Il y a plein de choses magnifiques à voir. Il faut parfois bouger pour les voir. En déplacement pour le basket, c’est l’obligation qui fait que l’on ne visite pas. Le timing aussi parfois quand on arrive la veille au soir, le lendemain matin on a shooting et il vaut mieux faire une sieste en début d’après-midi plutôt que de se balader en ville pour être en forme le soir. Si on arrivait la veille au matin, on aurait le temps de se balader mais la plupart du temps les timings sont réglés pour que l’on reste le moins de temps possible sur place.\\n\\nDans une interview vous dites que vous devez beaucoup à votre père qui est décédé quand vous aviez 17 ans ?\\n\\nMon père était la personne au monde que j’avais envie le plus de rendre fier. C’est bête à dire mais une mère est tout le temps fière de vous. Mon père savait me dire : « Léo, tu n’as pas fait un bon match. » Il pouvait être un peu dur avec moi mais c’était positif et j’adorais le rendre fier. Quand il est décédé, je n’avais plus de raison de rendre fier quelqu’un. J’ai dû retrouver des sources de motivation et c’était très compliqué pour moi. C’était une épreuve. Je pensais que je m’en relèverai pas mais la vie continue. Vous n’avez pas vraiment le choix et au final je m’en suis plutôt bien sorti. Mais encore aujourd’hui, quand il y a des moments de doute ou que je suis performant, j’aimerais qu’il soit là. Pour discuter, me conseiller, même s’il n’y connaissait pas grand-chose au basket.\\n\\n[armelse]\\n\\nEn tant que albigeois et toulousain, alliez-vous parfois, jeune, au palais des sports de Pau ?\\n\\nJe ne suis jamais venu à Pau avant de faire les tests à l’âge de 14 ans pour entrer au centre de formation. C’est vrai que l’histoire de Pau et des clasico me touchaient en région toulousaine car c’était un grand club européen à une époque et proche en terme géographique. Ça m’est arrivé de voir des clasico à la télé mais c’était rare.\\n\\nEtes-vous issu d’une famille de basketteurs ou de sportifs ?\\n\\nMa mère était volleyeuse au niveau régional et mon père professionnel de handball mais il a eu une courte carrière.\\n\\nA partir du moment où vous avez intégré le centre de formation de l’Elan, vous a-t-on parlé de ce moment spécial ?\\n\\nDéjà en cadets on savait que contre Limoges c’était un match important. Et oui quand tu arrives au club, on t’imprègne un peu de l’histoire, de ce que ce match représente alors on l’attend avec impatience, que ce soit en tant que spectateur quand on n’est pas encore rentré dans le monde pro et après en tant qu’acteur c’est encore plus intéressant.\\n\\nAujourd’hui, en parle t-on dans l’équipe, dans le club, dans l’entourage dans les jours qui précèdent le match ? 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Sans faire dans la dentelle.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA titre personnel, depuis avril 1975 et vos douze ans, vous avez manqué combien de matches du CSP à Beaublanc?\\n\\nMoins de cinq. Même avec 40° de fièvre j’y allais. Sur les onze dernières années soit depuis la création des Eagles, j’en n’ai pas raté un. J’ai un doute sur la période 2003-04 quand le club allait très mal juste avant que Fred (Forte) décide de le reprendre. Mais même en Nationale 1, je faisais les déplacements à Autun, Blois, Saint-Vallier. Mais moins de cinq, c’est sûr.\\n\\nVous étiez à toutes les finales du CSP : Padoue en 1982, Berlin en 83, Barcelone 87, Grenoble en 88, Athènes en 83, Malaga 2000 ?\\n\\nPour vous dire, tous les fanions qui sont à Beaublanc, j’ai vu toutes les finales. Que ce soit les coupe de France, Coupe de la Fédération, Tournoi des As, finales du championnat, j’en n’ai pas raté une. Je suis même allé à Rome contre Banco Di Roma en 84 ou 85. On y était allé à cinq dans une R5 TS !\\n\\nVous êtes le seul à en avoir vu autant de matches ?\\n\\nPeut-être pas. J’ai des vieux compagnons de route qui en ont vu beaucoup aussi. Peut-être que c’est moi qui en a vu le plus mais je ne l’affirmerai pas car il y a des gens qui sont là comme moi depuis très, très longtemps.\\n\\nLes clasico, vous les avez donc tous vus à Limoges. Et à Orthez et Pau ?\\n\\nC’est le 104e qui arrive. J’ai dû en faire 98 ou 99. J’ai vu les premiers à l’époque où Orthez nous mettaient la branlée sur des gros scores car ils étaient un peu plus en avance que le CSP à cette époque-là. Le clasico n’existait pas puisqu’il date de 84 ou 85 quand ce sont devenus les deux clubs phare du championnat.\\n\\nUn jour, Ben Kaba d’Orthez vous a couru après. Pourquoi ?\\n\\nJe crois que c’était sur un lancer-franc. Je ne m’en souviens pas textuellement mais je crois qu’on lui avait donné des noms d’oiseaux (rires). Il nous avait regardés, repérés, et comme on attendait les joueurs du CSP à la sortie des vestiaires, il a voulu régler ses comptes à ce moment-là. Les noms d’oiseaux ont volé de nouveau, il s’est très énervé et on s’est mis à courir car on a bien compris qu’il allait se passer quelque chose. Je ne dis pas qu’il en serait venu aux mains, il ne faut pas exagérer, mais dans le doute on s’est enfuit (rires).\\n\\nEtiez-vous à Orthez en 1987 l’après-midi de la fameuse bagarre ?\\n\\nOui. J’en n’ai pas de souvenirs particuliers. Pas plus que pour certaines confrontations où ça s’était bien passé. Ce jour-là ça a dégénéré mais ce n’était guère plus chaud que certains matches.\\n\\nA cette époque-là, y a-t-il eu des incidents avec des supporters d’Orthez ?\\n\\nC’était surtout pendant les matches. Parce que avant les matches, on allait dans un bar...\\n\\nChez Moulia ?\\n\\nC’est ça ! On allait y boire des canons avec les supporters d’Orthez. Il y avait juste ces quarante minutes de match qui étaient... hors d’atteinte. Après le match, c’était forcément compliqué car une des deux équipes avaient perdu et on avait pas vraiment envie de se voir car on savait que ça allait se chambrer. On évitait les après-matchs alors que les avant-matchs se passaient souvent très, très bien. Mais il n’y a jamais eu de trucs... catastrophiques.\\n\\nRien de comparable entre supporters de l’OM et du PSG ?\\n\\nSur la violence, non. Le basket a été jusqu’à présent épargné par tout ça et tant mieux. Au niveau de l’association, tous les ans j’exclue des gens qui ne sont pas adéquates avec le basket.\\n\\n« Je ne peux pas me permettre d’avoir des gens qui arrivent au match de Pau avec trois grammes »\\n\\nVous êtes devenu président des Eagles dès sa création ?\\n\\nOui, en 2007.\\n\\nQu’est-ce qui a amené le schisme avec les Ultra Green ?\\n\\nÇa vient à ce que je disais. A un moment donné, j’ai ma responsabilité, je sais par où je suis passé et j’ai mis des règles strictes qui sont à la limite de la dictature, on est bien d’accord. Ça ne me pose pas de problèmes d’en parler. Je suis un grand dictateur et c’est comme ça que ça marche. Je ne peux pas me permettre d’avoir des gens qui arrivent au match de Pau avec trois grammes. C’est arrivé au moment où on a ouvert un bar associatif qui fait 120m2 et qui accueille tous les avant et les après matchs. On a la validation de la Préfecture pour faire brasserie. C’est une usine ! J’ai 400 adhérents et 160 abonnés.\\n\\nVous êtes face à face avec les Ultra Greens dans Beaublanc ?\\n\\nOn est à l’angle opposé des Ultras. Ils sont à la travée 2 et 4 et nous les travées 13 et 15. On est toujours dans la même travée car à l’époque Fred (Forte) m’avait demandé où je voulais aller et c’était pour moi un signe obligatoire d’être à la porte 13 en hommage à mes potes grecs du Panathinaikos qui sont aussi à la Gate 13.\\n\\nComment vous entendez-vous avec les Ultras Green?\\n\\nEn deux mots : On s’entend. On est supporters mais on n’a pas la même vision. On a peut-être moins de ferveur mais on a toujours un kapo et des chants. Le mot « violence » me gêne mais si nous on peut chanter « arbitres de merde », c’est tout. Je ne veux pas entendre des « enc... » ou des machins comme ça dans ma tribune. Je ne veux pas de dérapages. J’ai une très belle association avec un club de supporters, un bar-brasserie et deux équipes de basket qui sont engagées dans les championnats d’entreprise et ça fait deux années de suite que les Eagles sont champions. J’ai tout pour que l’on soit extrêmement bien donc je ne peux pas tolérer le moindre dérapage. Tolérance zéro !\\n\\n« Je ne hais plus les Palois. Je joue sur les mots, je ne les hais plus, je les déteste »\\n\\nLe clasico est-il pour vous un moment d’excitation comme il y a 20 ou 30 ans ?\\n\\nPas du tout. Je ne vais pas dire que c’est un match comme un autre, ça serait mentir car ce sont toujours nos meilleurs ennemis. Peut-être que cette année, au niveau sportif on va s’y retrouver car Pau a une belle équipe et Limoges aussi. On peut peut-être se retrouver dans les phases finales et avec le sportif la rivalité reviendra mais elle est tombée bien bas depuis quelques années quand même.\\n\\nLe Limoges-Pau de Pro B à Beaublanc en 2010 a-t-il remis au goût du jour les clasico ?\\n\\nL’ambiance sera là surtout que l’on sait que le match sera à guichets fermés avant que la location ne soit commencée. Ça explique tout. Mais c’est juste dans la tête des gens mais aussi bien à Pau qu’à Limoges ce n’est plus ce que c’était. Pour moi, c’est un clasico sans saveur. J’ai des amis qui sont à Pau et je sais que leur club de supporters, les Péones, existe encore mais ils sont vingt-cinq et ils sont extrêmement vieillissants. Pffft... Impossible d’avoir une rivalité. Quand il y en avait une, les gars avaient tous vingt-cinq ans. Tu chantais facilement « les Palois sont des pédés... » Aujourd’hui, aucun intérêt.\\n\\nAu plus jeune, vous leur racontez comment c’était autrefois ?\\n\\nBien sûr car les jeunes sont demandeurs. On ne leur raconte pas tout car on ne vit plus dans la même société. Ce qui était possible il y a trente ans ne l’est pas aujourd’hui. A cause des réseaux sociaux, tu ne peux même pas recevoir des joueurs sans que tout le monde le sache. Il faudrait parfois un peu plus d’intimité, de respect des gens et ça se passerait mieux. J’ai des anecdotes extraordinaires dans les années quatre-vingts avec Stéphane Ostrowski, Greg Beugnot, Jacques Monclar, du temps où les joueurs faisaient autant de conneries que les supporters. Aujourd’hui, les joueurs ne font plus de connerie. Ils jouent à la PS4 et rentrent chez eux à la fin du match. Ce n’est plus comme avant parce que la vie sociale a changé.\\n\\nA propos de réseaux sociaux, comment expliquez-vous que l’on y trouve un nombre considérable de Limougeauds, beaucoup plus que des fans d’autres clubs, très actifs, souvent caustiques, alors que dans la salle, il n’y a pas 10 000 personnes à chaque match ?\\n\\nJe pense que Limoges a beaucoup d’expats. Si je prends le cas de mon assos, j’ai des membre à Clermont, à Paris, à Brest, un peu partout en France, qui sont Limougeauds. Pour avoir des infos, être à l’heure de leur club, ces gens-là utilisent les réseaux sociaux. Ce que je vis à 2 ou 3% au niveau de mon assos, je pense que c’est le cas pour tout le monde. Et les gens de Clermont, de Paris, de Brest sont capables d’être là juste pour le match contre Pau. C’est peut-être le seul match de l’année où ils vont venir.\\n\\nComment peut-on encore haïr Pau alors qu’il n’y a plus Pierre Seillant, les frères Gadou et Freddy Fauthoux, ni même Claude Bergeaud et Rémi Lesca ?\\n\\nC’est ce que je disais. Pour moi, personnellement, il n’y a plus de haine. Il y a une espèce de rancœur si on peut utiliser ce mot-là, le clasico existe, mais je ne hais plus les Palois. Je joue sur les mots, je ne les hais plus, je les déteste. On n’a plus Xavier Popelier et Pierre Seillant.\\n\\nLéopold Cavalière peut-il encore représenter pour vous le Palois ?\\n\\nC’est le seul.\\n\\nIl a déclaré qu’il aimerait bien vous battre car en plus ça vous éliminerait de la Leaders Cup...\\n\\nJe suis entièrement d’accord avec lui ! S’ils gagnent à Limoges ça nous ferait chier mais ça nous évitera d’aller à Mickey. On n’a pas du tout envie, nous supporters, d’aller à Mickey et allez juste voir la coupe à Alain Béral, le Landais (...) Il y en aura six ou sept qui monteront à Mickey, pas plus, et les Ultras Green, c’est pire que nous. Nous, on ira pour voir le Parc. C’est la coupe en carton ! C’est la coupe de la Ligue en football. Je suis cash !\\n\\n« J’ai fait des milliards de kilomètres »\\n\\nY a-t-il parfois des supporters palois qui viennent à Beaublanc ?\\n\\nÇa arrive. Je ne sais pas s’il y en aura cette fois et si c’est le cas, tant mieux. Avec un dimanche à 18h, ça peut peut-être leur permettre de monter et de repartir pas trop tard pour être au boulot le lendemain.\\n\\nComment allez-vous les recevoir ?\\n\\nÇa sera au minimum le sifflet. Je ne serai absolument pas capable de recevoir les Palois au bar. Ça c’est pas possible. Je reçois Chalon, Le Portel, Nanterre, qui tu veux à part qu’il y a deux ou trois interdits de séjour dont les Palois.\\n\\nA propos du Portel, je suppose que vous vous êtes déjà déplacé là-bas ?\\n\\nOui et en plus Eric Girard -et je suis très fier de ça- est un ami et je vais au Portel rien que par plaisir de le voir pour lui faire la bise et discuter avec lui.\\n\\nQue pensez-vous de l’ambiance au Chaudron ?\\n\\nC’est une ambiance de merde. Si tu leur enlèves la musique, il n’y a plus rien. Pendant tout le match ils jouent de la musique. Ils chantent « ici, ici c’est Le Portel », « les yeux d’Emilie » et c’est fini. Ils n’ont pas de chants, rien. Si on leur supprime les trompettes, c’est la cata. Après c’est sympa car les Musicos entraînent la salle mais ce n’est pas une vraie ambiance. C’est une ambiance du Nord, de carnaval. Au demeurant je préfère qu’il y ait une ambiance carnavalesque comme dans le Nord plutôt qu’une ambiance feutrée, morte, comme à Villeurbanne ou à Fos/Mer ou mon pote Alain Desssene à Strasbourg.\\n\\nCette culture des chants à Limoges a été acquise dans les années quatre-vingts, quatre-vingt dix lorsque les supporters se sont déplacées dans les places fortes du basket européen ?\\n\\nJ’ai donné ma référence tout à l’heure avec la porte 13 de Beaublanc et la Gate 13 du Pana. Je suis allé voir Galis et Yannakis à l’Aris de Salonique. Je suis allé quatre fois dans la salle de Salonique pour l’Aris et le PAOK. J’ai fait des milliards de kilomètres ! J’ai beaucoup plus traîné mes guêtres que maintenant où c’est plus compliqué. J’ai fait toute l’Italie, le Virtus Bologne, Banco Di Roma, Le Benetton Trévise, je suis allé dans toutes les salles et la plupart du temps en voiture. Pareil pour les salles espagnoles. Je suis allé deux fois à Belgrade et une seule fois en 91 à Tel-Aviv et j’ai promis de ne plus y retourner de ma vie. Je ne vais pas supporter mon équipe dans des endroits comme ça. Je ne suis pas sûr que Israël soit en Europe comme Monaco en France.\\n\\n[armelse]\\n\\nA titre personnel, depuis avril 1975 et vos douze ans, vous avez manqué combien de matches du CSP à Beaublanc?\\n\\nMoins de cinq. Même avec 40° de fièvre j’y allais. Sur les onze dernières années soit depuis la création des Eagles, j’en n’ai pas raté un. J’ai un doute sur la période 2003-04 quand le club allait très mal juste avant que Fred (Forte) décide de le reprendre. Mais même en Nationale 1, je faisais les déplacements à Autun, Blois, Saint-Vallier. Mais moins de cinq, c’est sûr.\\n\\nVous étiez à toutes les finales du CSP : Padoue en 1982, Berlin en 83, Barcelone 87, Grenoble en 88, Athènes en 83, Malaga 2000 ?\\n\\nPour vous dire, tous les fanions qui sont à Beaublanc, j’ai vu toutes les finales. Que ce soit les coupe de France, Coupe de la Fédération, Tournoi des As, finales du championnat, j’en n’ai pas raté une. Je suis même allé à Rome contre Banco Di Roma en 84 ou 85. On y était allé à cinq dans une R5 TS !\\n\\nVous êtes le seul à en avoir vu autant de matches ?\\n\\nPeut-être pas. J’ai des vieux compagnons de route qui en ont vu beaucoup aussi. Peut-être que c’est moi qui en a vu le plus mais je ne l’affirmerai pas car il y a des gens qui sont là comme moi depuis très, très longtemps.\\n\\nLes clasico, vous les avez donc tous vus à Limoges. Et à Orthez et Pau ?\\n\\nC’est le 104e qui arrive. J’ai dû en faire 98 ou 99. J’ai vu les premiers à l’époque où Orthez nous mettaient la branlée sur des gros scores car ils étaient un peu plus en avance que le CSP à cette époque-là. Le clasico n’existait pas puisqu’il date de 84 ou 85 quand ce sont devenus les deux clubs phare du championnat.\\n\\nUn jour, Ben Kaba d’Orthez vous a couru après. 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Sinon place au BCM.\\n\\nLe Mans, champion de France en titre, et Monaco vainqueur des trois dernières éditions se voient donc refouler aux portillons de la Disneyland Arena.\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\nVilleurbanne\\n76.5%\\n17\\n13\\n4\\n1401\\n1259\\n82.4\\n74.1\\n\\n\\n2\\n\\nPau\\n68.8%\\n16\\n11\\n5\\n1293\\n1219\\n80.8\\n76.2\\n\\n\\n3\\n\\nNanterre\\n64.7%\\n17\\n11\\n6\\n1390\\n1338\\n81.8\\n78.7\\n\\n\\n4\\n\\nLevallois\\n58.8%\\n17\\n10\\n7\\n1395\\n1370\\n82.1\\n80.6\\n\\n\\n5\\n\\nDijon\\n58.8%\\n17\\n10\\n7\\n1307\\n1252\\n76.9\\n73.6\\n\\n\\n6\\n\\nBourg\\n58.8%\\n17\\n10\\n7\\n1381\\n1352\\n81.2\\n79.5\\n\\n\\n7\\n\\nStrasbourg\\n58.8%\\n17\\n10\\n7\\n1376\\n1329\\n80.9\\n78.2\\n\\n\\n8\\n\\nGravelines\\n58.8%\\n17\\n10\\n7\\n1391\\n1381\\n81.8\\n81.2\\n\\n\\n9\\n\\nLimoges\\n56.3%\\n16\\n9\\n7\\n1321\\n1300\\n82.6\\n81.3\\n\\n\\n10\\n\\nLe Mans\\n52.9%\\n17\\n9\\n8\\n1395\\n1340\\n82.1\\n78.8\\n\\n\\n11\\n\\nBoulazac\\n50%\\n16\\n8\\n8\\n1233\\n1242\\n77.1\\n77.6\\n\\n\\n12\\n\\nMonaco\\n47.1%\\n17\\n8\\n9\\n1344\\n1303\\n79.1\\n76.6\\n\\n\\n13\\n\\nChâlons\\n43.8%\\n16\\n7\\n9\\n1320\\n1395\\n82.5\\n87.2\\n\\n\\n14\\n\\nChalon\\n41.2%\\n17\\n7\\n10\\n1478\\n1418\\n86.9\\n83.4\\n\\n\\n15\\n\\nLe Portel\\n35.3%\\n17\\n6\\n11\\n1363\\n1446\\n80.2\\n85.1\\n\\n\\n16\\n\\nCholet\\n29.4%\\n17\\n5\\n12\\n1354\\n1475\\n79.6\\n86.8\\n\\n\\n17\\n\\nFos-sur-Mer\\n23.5%\\n17\\n4\\n13\\n1303\\n1445\\n76.6\\n85\\n\\n\\n18\\n\\nAntibes\\n17.6%\\n17\\n3\\n14\\n1274\\n1455\\n74.9\\n85.6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe @BCMBasket peut toujours espérer se qualifier pour la #LeadersCup. Grâce à sa victoire à @FosProvenceBB, le BCM est toujours en course mais devra espérer une défaite du @limogescsp dans le classique demain. Si le CSP s'impose, Gravelines ne verra pas Disney !#JeepELITE pic.twitter.com/deMMH7HJge\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) January 19, 2019" }, {"role": "user", "content":"Clasico Limoges-Pau: Les Ultras Green remettent aux joueurs et au staff une lettre de motivation !" }, {"role": "assistant", "content":"Les Ultras Green, l’un des clubs de supporters du CSP Limoges, ont remis à Olivier Bourgain, le directeur sportif du club, une lettre de... motivation à transmettre aux joueurs et au staff avant le clasico contre Pau de demain après-midi. 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Ce qui lui laisse une belle marge pour au moins conserver le point average particulier.\\n\\nC’est la paire constituée de la Canadienne Michelle Plouffe (17 points, 7 rebonds) et de l’Américaine Alysha Clark (16 points, 6 rebonds) qui avait fait mal aux Tango. D’une manière générale, ces deux-là font partie du quatuor majeur des Lionnes. Alysha Clark, championne WNBA cet été avec le Seattle Storm possède la meilleure évaluation de l’équipe (16,9) avec 13,9 points, 5,0 rebonds et 3,3 passes alors que Michelle Plouffe cumule 11,8 points, 5,8 rebonds et 3,8 passes. La troisième membre de ce carré d’as est une ancienne Berruyère, la pivot brésilienne Clarissa Dos Santos (12,3 points et 8,3 rebonds) et elles ont été rejoints par la meneuse de l’équipe de Belgique, Julie Allemand, qui depuis son retour de blessure est à 7,9 points et 5,8 passes en 8 matches.\\n\\nSix Françaises sont par ailleurs sollicitées par Valéry Demory pour faire de l’ASVEL avec 59,9 points encaissés en moyenne, la meilleure défense de Ligue Féminine.\\n\\nCe match comme l’ensemble de ceux de la 13e journée est diffusé sur Lfbtv.\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Manny Atkins en renfort à Evreux" }, {"role": "assistant", "content":"Drake Reed toujours sur la touche à la suite d’une commotion cérébrale, les dirigeants de l’ALM Evreux ont décidé de recruter un nouvel ailier de la personne de Manny Atkins (2,01 m, 27 ans).\\n\\nL’ailier américain, réputé pour son shoot extérieur, a commencé la saison en deuxième division israélienne à l’Hapoel Afula où il tournait à 17,9 points et 7,6 rebonds par match sur les sept rencontres jouées avec le club. Durant sa carrière, l’ancien pensionnaire de Georgia State est un habitué des deuxièmes divisions, étant également passé par la deuxième division turque du côté de Bakirkoy en 2017-2018, avec des moyenne de 17,6 points et 9 rebonds de moyenne. Un recrutement intelligent pour les Eurois dans l’optique de remonter au classement, eux qui sont à une piètre 15ème place." }, {"role": "user", "content":"L’ancien joueur du CSP Alhajii Mohammed en guest star au clasico Limoges-Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Le joueur de l’ADA Blois, Alhaji Mohammed (1,92m, 37 ans), sera présent ce dimanche à Limoges pour assister au clasico contre Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nPassé par le CSP entre 2008 et 2010, le frère de Nazr Mohammed, qui a joué une quinzaine d’années en NBA, était devenu l’un des chouchous du public de Beaublanc de part sa capacité à scorer (19,2 points de moyenne en 2008-2009). 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Sa seule façon aussi d’espérer un salut.\\n\\nUn joueur est plus particulièrement ciblé mais pour d’autres raisons, Jeffrey Crockett (2,02m, 27 ans, 8,8 points, 5,4 rebonds). L’Américain peine à retrouver ses moyens physiques.\\n\\nL’ESSM reçoit ce soir l’AS Monaco. Avec seulement 5 victoires jusqu’ici les Portelois ne sont pas du tout à l’abri d’un retour à leur niveau de Cholet et Fos qui en ont 4. Seulement déborder la Roca Team (8 victoires, 8 défaites) ne sera pas simple. Celle-ci a également besoin de succès pour être digne de son statut et avoir une (mince) chance de se qualifier à la Leaders Cup.\\n\\nPhoto: ESSM" }, {"role": "user", "content":"Pro B: On n’arrête plus Paris vainqueur à Roanne du leader" }, {"role": "assistant", "content":"Cinquième victoire de suite pour le Paris Basketball et cette fois chez le leader ! La Chorale de Roanne a mordu la poussière, 75-99, après avoir été devancée à chaque quart-temps.\\n\\n«Ce qui a fait la différence c’est que c’était peut-être le bon moment de jouer à la Chorale », a estimé le coach parisien Jean-Christophe Prat en conférence de presse faisant référence au match livré par les Choraliens à Saint-Chamond. « Les derbies prennent une énergie particulière. Peut-être que les joueurs n’ont pas été tout de suite dans la bonne intensité. On a réussi nos stop défensifs, on est restés calmes et constants, on a bien maitrisé le tempo. Il faut jouer cette équipe sur demi-terrain, c’est ce qu’on a fait en deuxième mi-temps. C’était plutôt cohérent. C’est notre match le plus abouti. Ce qui nous a aidés aussi, c’est que c’est la troisième fois qu’on jouait Roanne. A 1-8, le groupe est resté ensemble, on sait d’où on revient, et on ne veut plus y retourner, je n’avais jamais vécu ça dans ma carrière.»\\n\\nAvec 16 points, 7 passes et 5 rebonds le meneur parisien Daniel Dillion (1,93m, 32 ans) a effectué un match très complet et les efforts de Robert Nyakundi (20 points et 7 rebonds) dans le camp adverse n’ont pas été suffisants.\\n\\n«Tous les matchs sont difficiles dans ce championnat », a commenté celui-ci. « Paris a une nouvelle équipe par rapport à la Leaders Cup. Ils sont en confiance, ils ont bien joué, c’est une vraie équipe. Pour nous, c’est difficile car on était fatigué après les gros matchs contre Lille et Saint-Chamond, ce sont des matchs qui ont demandé beaucoup d’énergie et de concentration. Les grandes équipes gagnent les matchs comme ce soir à la maison, avec le public. Mais ce n’est pas non plus possible de gagner tous les matchs, c’est la troisième défaite, la première à la maison. On doit apprendre de cette expérience. Une saison c’est très long, il faut qu’on récupère pour revenir la semaine prochaine avec un nouvel état d’esprit. C’est juste une défaite.»\\n\\nLa Chorale conserve tout de même son fauteuil de leader alors que le Paris Basketball fait un bond à la 11e place.\\n\\nPhoto: Daniel Dillion (Paris Basketball)" }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Deux extraits de match des années 60 de l’Alsace de Bagnolet" }, {"role": "assistant", "content":"Ces deux vidéos proviennent de la collection personnelle de Christian Berté, un ancien joueur de l’Alsace de Bagnolet. Les cadrages sont disons hésitants, il n’y a pas de son et les actions de jeu sont floues. Mais... c’est en couleur.\\n\\nCe sont de courts extraits des matches SCM Le Mans/Bagnolet et Bagnolet/ASVEL de la saison 1966-67. C’est très instructif. On y découvre de magnifiques survêtements, la petitesse des salles -la salle Gouloumès au Mans est loin d’être pleine à cette occasion- et encore la façon dont les joueurs s’avançaient timidement à la présentation des équipes. Pas de high five ! C’était avant l’arrivée massive des joueurs américains. Les « vedettes » des équipes étaient Alain Gilles, Maxime Dorigo et Christian Baltzer.\\n\\nCe sont de véritables documents." }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Maccabi Tel Aviv donne une leçon à Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Victorieux de leurs 5 derniers matchs, les Barcelonais arrivaient avec le vent en poupe à Tel Aviv, mais le Maccabi les a vite calmés ! Le club nation a fait front pour creuser un écart maximal de 38 points et s’imposer avec autorité (99-83).\\n\\nDans les autres matchs du soir, les favoris ont fait honneur à leur statut. Fenerbahçe a su se débarrasser de Gran Canaria sans trop d’encombres, tout comme Olympiakos à domicile contre le Khimki Moscou. Ce fut plus compliqué pour le CSKA en déplacement en Bavière mais ça passe tout de même avec un Nando De Colo discret.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Barça surpris à Tel Aviv\\n\\nDans un des matchs les plus décousus de la saison, le Maccabi Tel Aviv a fait exploser Barcelone, qui restait pourtant sur 5 victoires de rang (99-83). Les Catalans ont eu beau passer un 20-0 pour débuter le dernier quart, ils ne reviendront pas sous les -13 au score. C’est dire l’écart creusé au préalable ! Avec un 8/12 à trois points, Tel Aviv a flambé en 2e quart pour un 34-15 cinglant sur la période.\\n\\nThomas Heurtel (11 points) a fait partie d’un quintet en double figure mais le Barça était largué avant le dernier quart (85-52). Tarik Black (16 points, 6 rebonds) et Johnny O’Bryant (15 points, 7 rebonds) ont dominé la peinture tandis que la jeune pépite Yovell Zoosman a apporté 7 points, 3 passes, 3 interceptions et 2 rebonds.\\n\\n\\nKim Tillie brille en vain\\n\\nCoupé dans son élan de 12 victoires de rang il y a deux semaines, le Fener a depuis retrouvé la victoire contre Kaunas. Et en fait à nouveau une série avec un 2e succès dominateur contre Gran Canaria hier (82-64). Auteur de son 1er tir à trois points depuis deux ans, Jan Vesely (13 points, 7 rebonds, 3 contres) a encore plané sur la rencontre et Nikola Kalinic (16 points) a été très en vue côté turc.\\n\\nOn soulignera quant à nous, et malgré la défaite, la belle performance de Kim Tillie à 21 points à 7/9 aux tirs. C’est le meilleur match, et de loin, du Tricolore cette saison en Euroleague avec 24 d’évaluation (contre 14 son précédent record). En face, Joffrey Lauvergne cumule 8 points, 6 rebonds, 3 passes... mais 4 balles perdues !\\n\\n\\nJoel Bolomboy sauve le CSKA\\n\\nAncien du Jazz en NBA, Joel Bolomboy a dû se montrer patient en attendant de recevoir son passeport russe mais le pivot est désormais apte à jouer. Encore discret depuis ses débuts en novembre dernier, Bolomboy a été décisif contre le Bayern, avec ses 9 points en dernier quart et un trois points très improbable qui a lancé un 10-0 fatal.\\n\\nLe Bayern avait pourtant pris le taureau par les cornes avec un 19-6 pour ouvrir les débats. Mais derrière les 20 points et 8 rebonds de Will Clyburn, le CSKA a peu à peu grignoté son retard. A l’expérience avec Sergio Rodriguez aux manettes dans le sprint final, le CSKA s’impose en Bavière (77-70). Nando De Colo a peu shooté avec 5 points, 4 passes... et aussi 4 balles perdues.\\n\\n\\nOly sans souci\\n\\nLe stade de la paix et de l’amitié est une antre imprenable en ce moment. L’Olympiakos vient pour le coup d’empocher une 7e victoire de suite sur son terrain, et facilement contre Khimki Moscou (71-57). Les Reds ont pris le meilleur départ avec un 20-9 initial, répondu par Khimki... mais ce sera la seule réponse russe de la soirée.\\n\\nCar derrière, l’Olympiakos a déroulé, encaissant 22 points seulement en 1ère mi-temps ! Nikola Milutinov (13 points, 7 rebonds) et Kostas Papanikolaou (14 points, 6 rebonds) sont les grands bonhommes de la victoire hellène. Jordan Mickey (21 points, 9 rebonds) est par contre tout seul pour Moscou...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 21 points (7/9 aux tirs), 3 interceptions, 2 rebonds, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (3/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 15 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (4/7 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 4 balles perdues en 19 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 5 points (1/4 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 4 balles perdues en 24 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 7 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nIl y a bien eu ce petit bijou de passe de Kostas Sloukas pour Joffrey Lauvergne, mais on donne la part belle au jeu de passes de Gran Canaria dans le même match. Et ce d’autant plus que c’est Kim Tillie qui conclut l’action d’un gros dunk ! Tillie place surtout son meilleur match de la saison à 21 points à un excellent 7/9 aux tirs.\\n\\n\\n\\n\\nThat @GranCanariaCB ball movement 👏#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/Ft9X4yUSU3\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 17, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 19e journée\\n\\nJeudi 17 janvier :\\nCSKA Moscou – Bayern Munich (77-70)\\nOlympiakos – Khimki Moscou (71-57)\\nMaccabi Tel Aviv – Barcelone (99-83)\\nGran Canaria – Fenerbahçe (64-82)\\n\\nVendredi 18 janvier :\\nEfes Istanbul – Darussafaka (18h30)\\nPodgorica – Real Madrid (19h)\\nZalgiris Kaunas – Panathinaikos (19h)\\nVitoria – Milan (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 20e journée\\n\\nJeudi 24 janvier :\\nFenerbahçe – Olympiakos (18h30)\\nMaccabi Tel Aviv – Panathinaikos (20h30)\\nMilan – Zalgiris Kaunas (20h45)\\nReal Madrid – Efes Istanbul (21h)\\n\\nVendredi 25 janvier :\\nKhimki Moscou – Bayern Munich (18h)\\nDarussafaka – Vitoria (18h15)\\nPodgorica – Gran Canaria (19h)\\nBarcelone – CSKA Moscou (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Barça surpris à Tel Aviv\\n\\nDans un des matchs les plus décousus de la saison, le Maccabi Tel Aviv a fait exploser Barcelone, qui restait pourtant sur 5 victoires de rang (99-83). Les Catalans ont eu beau passer un 20-0 pour débuter le dernier quart, ils ne reviendront pas sous les -13 au score. C’est dire l’écart creusé au préalable !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Jermaine Marshall (Nantes) retrouvé mort dans son appartement" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste italien Guido Guida, a annoncé que le joueur américain du Nantes Basket Hermine Jermaine Marshall (1,93m, 28 ans) a été retrouvé mort dans son appartement à Nantes.\\n\\nDans un communiqué, le club a confirmé la triste nouvelle quelques minutes plus tard:\\n\\n« Le NBH a le regret de vous annoncer la disparition brutale de Jermaine MARSHALL. Le Club s’associe à la douleur de sa famille et de ses proches et leur apporte tout son soutien pour faire face à cette terrible épreuve. Le NBH se voit dans l’incapacité de disputer sa rencontre contre l’ADA Blois le samedi 19 janvier et a demandé à la LNB et à l’ADA Blois de reporter ce match à une date ultérieure. »\\n\\nLa Commission Sportive a donné son accord pour que le match soit reporté. Une minute de silence sera observé ce week-end dans toutes les salles de Jeep Elite et de Pro B.\\n\\n\\n\\n\\nSad news: 6-4 shooting guard Jermaine Marshall (Arizona State '14) has been found dead at 28 in his apartment in Nantes where he was playing in French Div. 2. He had pro stints in Italy, Greece, Holland and Finland before.\\n\\n\\n— Guido Guida (@GuidoGuida) January 18, 2019" }, {"role": "user", "content":"Monaco: Une dernière chance de décrocher une place à la Leaders Cup pour le triple vainqueur" }, {"role": "assistant", "content":"Triple tenant du titre, l’AS Monaco risque bien de ne pas participer à la Leaders Cup cette saison. Tombeur du Partizan Belgrade en EuroCup ce mardi en Serbie (68-72) avec un très bon Jarrod Jones (16 points, 11 rebonds à 4 sur 7 à 3 points), la Roca Team va devoir composer avec un autre ambiance bouillante avec le déplacement au chaudron du Portel ce vendredi.\\n\\n« On savait que ce serait une bataille toute la soirée. La salle était pleine ce soir... Il ne fallait pas laisser le Partizan prendre les devants d’entrée, sinon ils pouvaient être galvanisés par leurs fans. C’est pourquoi il fallait être agressif dès le début, jouer un basket intelligent et ne pas les laisser installer leur jeu de contre-attaque », a expliqué l’ailier américain à l’issue de la rencontre en Serbie.\\n\\nHandicapés au classement par un début de saison plombé par les blessures, les Monégasques reviennent en force avec le retour des blessés et l’arrivée d’Erik Buckner en provenance de l’ASVEL. Une victoire dans le nord est impérative si les monégasques veulent rejoindre Mickey en février et ça ne sera pas forcément suffisant.\\n\\nLes Portelois, perdants de l’opalico contre le voisin Gravelinois ce lundi (86-71), devront également s’imposer pour ne pas voir la zone de relégation s’approcher dangereusement.\\n\\nPhoto: Jarrod Jones (Matuel Vitali, ASM)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: Théo Maledon avec les 12 sélectionnés pour les matches face à la Finlande et la République Tchèque" }, {"role": "assistant", "content":"Sa progression se confirme: à 17 ans, le meneur de jeu villeurbannais Théo Maledon est inclus dans la liste de 12 joueurs qui vont participer aux deux derniers matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 contre la Finlande la République Tchèque. Ce sera ainsi ses deux premières sélections en bleu.\\n\\nD’ores et déjà qualifiée pour la Coupe du Monde 2019, l’Équipe de France masculine aura comme objectif de remporter ses deux derniers matches de qualification afin d’être dans une position idéale en vue du tirage au sort de la Coupe du Monde (16 mars prochain à Shenzen en Chine).\\n\\nPour leur dernier rassemblement dans le cadre de ces qualifications, les Bleus seront réunis à Paris le lundi 18 février avant de décoller le mercredi 20 pour la Finlande. Ils rencontreront les Finlandais le jeudi 21 février à Espoo (18h00). Ils rejoindront ensuite Nantes pour préparer la réception de la République Tchèque à la salle sportive métropolitaine de la Trocardière à Nantes, le dimanche 24 février (17h00).\\n\\nComme en novembre dernier, Vincent Collet et son staff ont décidé de faire appel, à deux joueurs, partenaires d’entrainement. Il s’agit d’Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans, Dijon) et Maxime Roos (2,02m, 23 ans, Levallois).\\n\\n\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\n1\\n44\\n99\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n14/04/1995\\n1,97\\n3\\n4\\n29\\nLimoges\\n\\n\\nOusmane\\nCAMARA\\n12/05/1989\\n2,02\\n4/5\\n2\\n10\\nChalon\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,84\\n1\\n9\\n28\\nDijon\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,06\\n4/5\\n47\\n213\\nGravelines\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,96\\n2\\n8\\n15\\nNanterre\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,9\\n2\\n12\\n115\\nMonaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\n4\\n7\\n45\\nMalaga\\n\\n\\nThéo\\nMALEDON\\n12/06/2001\\n1,91\\n1\\n–\\n–\\nASVEL\\n\\n\\nAmath\\nM’BAYE\\n14/12/1989\\n2,03\\n3\\n2\\n24\\nVirtus Bologne\\n\\n\\nAmine\\nNOUA\\n07/02/1997\\n2\\n4\\n5\\n15\\nASVEL\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1992\\n1,91\\n2\\n8\\n30\\nMonaco\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Théo Maledon (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France U19: 16 joueurs en stage à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Frédéric Crapez et son staff ont retenu 16 joueurs pour participer à un premier stage de l’équipe de France U19 qui se déroulera à Poitiers du 17 au 22 février. La Coupe du monde de la catégorie aura lieu du 29 juin au 7 juillet 2019 à Héraklion (Grèce).\\n\\nPhoto: Mathis Dossou Yovo (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de N.\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBAPTISTE\\nKenny\\n24/01/2000\\n\\n\\n\\n2.00\\n\\n\\n\\nLE MANS SB\\n\\n\\nBOURHIS\\nLucas\\n09/02/2000\\n\\n\\n\\n1.78\\n\\n\\n\\nBCM GRAVELINES\\n\\n\\nCHOUPAS\\nYohan\\n11/03/2000\\n\\n\\n\\n1.93\\n\\n\\n\\nEB PAU LACQ ORTHEZ\\n\\n\\nDIMANCHE\\nKarlton\\n05/03/2000\\n\\n\\n\\n1.93\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nDOSSOU YOVO\\nMathis\\n06/11/2000\\n\\n\\n\\n2.05\\n\\n\\n\\nELAN CHALON\\n\\n\\nEYOUM\\nJacques\\n03/02/2000\\n\\n\\n\\n1.95\\n\\n\\n\\nLE MANS SB\\n\\n\\nHAWMMOND\\nSydney\\n10/02/2000\\n\\n\\n\\n2.14\\n\\n\\n\\nLIMOGES CSP\\n\\n\\nKLINGELSCHMITT\\nQuentin\\n02/08/2000\\n\\n\\n\\n2.07\\n\\n\\n\\nSIG STRASBOURG\\n\\n\\nLEOPOLD\\nFlorian\\n28/07/2000\\n\\n\\n\\n2.02\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nMAKOUNDOU\\nYoan\\n09/08/2000\\n\\n\\n\\n2.07\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nMEYNIEL\\nGaëtan\\n15/07/2000\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\nROANNE CHORALE\\n\\n\\nMOREL\\nClément\\n26/02/2000\\n\\n\\n\\n1.94\\n\\n\\n\\nEB PAU LACQ ORTHEZ\\n\\n\\nNIASSE\\nBabacar\\n30/04/2000\\n\\n\\n\\n1.95\\n\\n\\n\\nELAN CHALON\\n\\n\\nRANDRIAMANANJARA\\nJohan\\n09/01/2000\\n\\n\\n\\n2.00\\n\\n\\n\\nJL BOURG\\n\\n\\nREY\\nThéo\\n04/01/2000\\n\\n\\n\\n1.93\\n\\n\\n\\nJL BOURG\\n\\n\\nROBINEAU\\nHugo\\n27/02/2000\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Le Mans cherche à se renforcer dans le secteur extérieur" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il est en mauvaise posture, à la fois pour participer à la Leaders Cup et au tour suivant de la Champions League, Le Mans Sarthe Basket ne reste pas les bras croisés. Alors qu’il déplore un manque de supplément d’âme dans l’équipe, le président Christophe Le Bouille annonce un prochain recrutement dans Le Maine Libre.\\n\\n« La volonté de recruter un joueur extérieur existe, oui. On en a déjà discuté, Éric (NDLR: Bartecheky, le coach) a mon feu vert, il a d’ailleurs une enveloppe pour ça. Et cela fait un moment car le secteur extérieur s’avère insuffisant malgré l’ajustement avec Jonathan Tabu... Éric doit trouver le bon profil et le joueur qui sera en mesure de bien s’intégrer au groupe, la balle est dans son camp. »" }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: 10 équipes pour les 6 derniers billets, les multiples possibilités" }, {"role": "assistant", "content":"Si Pau-Lacq-Orthez et LDLC ASVEL sont déjà qualifiés pour la Leaders Cup, pas moins de 10 équipes vont se battre lors de cette 17ème journée pour atteindre les six dernières places qualificatives pour DisneyLand Paris.Pour les équipes ayant 10 victoires et 6 défaites (Dijon, Nanterre et Bourg-en-Bresse), une victoire sera suffisante sans se soucier des résultats des autres équipes. En cas de défaite, elles seront également qualifiées si au moins l’une des quatre équipes présentant un bilan de 9 victoires pour 7 défaites (Strasbourg, Limoges, Levallois et Gravelines) s’incline ce week-end.Pour ces dernières, il faudra commencer à sortir la calculette : Strasbourg à le point-average le plus avantageux et une victoire contre Bourg-en-Bresse les enverrait directement chez Mickey. Les défaites des autres équipes les qualifierait également. Limoges et Levallois sont peu ou prou dans le même cas de figure, une victoire leur assurerait quasiment la qualification tandis qu’une défaite contrarierait grandement leur chance de participer à cette compétition. La seule différence est que Limoges affronte les deuxièmes au classement, Pau-Lacq-Orthez, tandis que les Levalloisiens se déplaceront à Antibes, la lanterne rouge. Le mauvais point-average de Gravelines les poussent à l’emporter le plus largement possible à Fos tout en espérant de multiples faux pas des équipes devant. Un peu comme les équipes avec un bilan équilibré (8 victoires pour 8 défaites). En effet, Le Mans, Monaco et Boulazac ne peuvent plus se qualifier sans espérer une victoire conséquente et/où de larges revers de leurs concurrents directs.Pour de plus amples détails sur les point-average et les conditions de qualification pour chacune des équipes concernées, allez sur le site de la LNB." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Jean-Marc Dupraz (Lille): «Les statistiques c’est comme les strings, ça montre beaucoup de choses mais pas tout»" }, {"role": "assistant", "content":"« Les statistiques c’est comme les strings, ça montre beaucoup de choses mais pas tout. »\\n\\nC’est à propos de son intérieur Nicolas Taccoen (2,05m, 32 ans) que le coach lillois Jean-Marc Dupraz a cette formule imagée pour expliquer que son protégé vaut plus que son rendement chiffré (5,2 points, 5,9 rebonds). Il défend, il intimide, il fait des écrans.\\n\\n« C’est pour tout ce qu’il fait sur le terrain qu’il a autant de temps de jeu (22′). Et il me le rend bien. Il y a des choses qui ne sont pas quantifiables de manière statistique », explique t-il à La Voix du Nord.\\n\\nJean-Marc Dupraz n’est pas l’auteur de la citation. Elle revient au serbe Bozidar Maljkovic, champion d’Europe en 1993 avec le Limoges CSP et qui avait au bout du bout du banc, Jean-Marc Dupraz... qui a bien retenu la leçon." }, {"role": "user", "content":"Pro B: Quimper a toujours comme objectif un maintien tranquille" }, {"role": "assistant", "content":"Après que l’UJAP Quimper soit descendu à la seizième place de Pro B à la suite de la défaite à domicile contre la lanterne rouge caennaise (79-85), l’équipe dirigeante bretonne a décidé de prendre la parole.\\n\\nCe jeudi, le président du club Bernard Kervarec a accompagné l’entraîneur Laurent Foirest au point presse du club. Le président du club breton va également s’entretenir avec chaque joueur en tête à tête ce vendredi. L’entraîneur a rappelé pendant ce point presse qu’il n’avait aucun doute sur la qualité de son effectif par rapport à l’objectif du club cette saison, c’est à dire « un maintien tranquille » en Pro B. Cependant, le club n’exclut pas de faire des changement dans son effectif d’ici le 28 février, date limite pour modifier son effectif en LNB.\\n\\n« Toutes les options sont sur la table. Mais pour l’heure, aucune décision n’est prise», a déclaré le président au site Côté Quimper.\\n\\nPour conclure ce point presse, Laurent Foirest a tenu à relativiser sur la forme actuelle du club, en la comparant par rapport à la saison dernière, où le club se trouvait dans une bien moins bonne posture:\\n\\n« L’an dernier, nous étions dans une situation bien pire. Ce match contre Aix Maurienne est important car nous devons rester dans notre objectif de début de saison. C’est-à-dire l’obtention d’un maintien facile. Et nous n’en sommes qu’au tiers du championnat. »" }, {"role": "user", "content":"Interview Nicolas Batum : «On veut redonner leur chance aux jeunes Français à l’Asvel»" }, {"role": "assistant", "content":"Première de son groupe en EuroCup et en Jeep Elite, l’Asvel réalise une formidable saison pour la première campagne de Zvezdan Mitrovic aux manettes. Depuis Charlotte où Tony Parker et Nicolas Batum observent l’évolution des choses, le plan se déroule pour le moment sans accrocs.\\n\\nC’est le discours que nous a tenu Nico Batum concernant le projet de l’Asvel. Il s’est agi l’été passé de trouver le parfait meneur européen pour encadrer les jeunes Français du crû. Et on peut dire que c’est mission accomplie !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« J’étais fan de la French Team de Pau Orthez «\\n\\n« Cette saison se passe bien. On a vraiment repris les choses en mains cet été avec Tony. On a vraiment voulu se focaliser sur un effectif qui ait une forte base française et un meneur européen. C’était notre projet, notre objectif. A vrai dire, moi, je voulais déjà changer ça la saison dernière mais ça ne s’était pas fait. »\\n\\nPour Batum, le modèle a été la French Team de Pau Orthez, avec Rigaudeau, les frères Gadou ou encore Fabien Dubos et Freddy Fauthoux. Il fallait donc trouver le Dragan Lukovski de l’Asvel, et c’est Mantas Kalnietis qui a obtenu le rôle.\\n\\n« Cet été, notre priorité était de prendre un meneur européen capable de gérer l’équipe. Ça n’avait pas marché l’été dernier mais cette année, on a eu l’option Kalnietis et on a sauté dessus. On a failli trouver un accord avec Martin Hermannson aussi. Notre cible était un meneur européen capable de changer les choses. Moi, j’étais fan de la French Team de Pau Orthez quand j’étais jeune. Et c’était Dragan Lukovski qui était le meneur de cette équipe. Moi, j’ai dit à Tony : il faut qu’on fasse la même chose. Ils avaient dominé avec un meneur à l’européenne. Après, on n’avait pas pensé que Théo allait faire ça aussi [rires]. »\\n\\n« Dès qu’un joueur français peut jouer, il faut le mettre sur le terrain »\\n\\nDe fait, Théo Maledon vient bousculer un tantinet les plans des deux Hornets. Mais c’est un changement dans le bon sens, avec un nouveau talent qui se révèle. Là aussi, c’était une volonté affirmée de la nouvelle présidence.\\n\\n« C’est un truc qu’on voulait faire aussi, ça me tient à coeur, à Tony aussi. Et on s’est mis d’accord avec le coach : dès qu’un joueur français peut jouer, il faut le mettre sur le terrain. Moi, c’est ce que j’ai vécu à l’époque, c’est ce que Tony a vécu à l’époque. Donc, nous on veut transmettre ça. C’est pour ça aussi qu’on a repris l’Asvel, pour redonner leur chance aux jeunes Français. On le voit en Coupe d’Europe, le coach est vraiment dans le projet. Tous les trois, on discute beaucoup et ça se passe bien. »\\n\\nTrès impliqué au quotidien, Nicolas Batum semble prendre plus de plaisir avec sa casquette de dirigeant de Jeep Elite que de joueur NBA ces temps-ci. Mais à voir les résultats et la dynamique de l’Asvel, on peut le comprendre...\\n\\nPropos recueillis à Portland\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n« J’étais fan de la French Team de Pau Orthez «\\n\\n« Cette saison se passe bien. On a vraiment repris les choses en mains cet été avec Tony. On a vraiment voulu se focaliser sur un effectif qui ait une forte base française et un meneur européen. C’était notre proje\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"La vidéo: Nando de Colo est Ringo Starr, le batteur des Beatles" }, {"role": "assistant", "content":"« I Want to hold your hand ». Une chanson de John Lennon et Paul McCartney écrite en 1964 interprétée par les Beatles, le plus grand groupe de l’histoire de la musique. Dans la version de 2019, ce sont quatre joueurs du CSKA Moscou qui sont en scène et Nando De Colo est Ringo Starr, le batteur ! On ne manque pas d’imagination au CSKA Moscou.\\n\\nLes trois autres Beatles sont Nikita Kurbanov, Mike Kulagin et Alec Peters.\\n\\nPhoto: CSKA\\n\\nhttps://www.facebook.com/NandoDeColo.Official/videos/935397340002764/" }, {"role": "user", "content":"U18: Avec Killian Hayes et Tom Digbeu, sans Théo Maledon" }, {"role": "assistant", "content":"Le Championnat d’Europe U18 masculin aura lieu du 27 juillet au 4 août 2019 à Velos en Grèce. Pour préparer 18 joueurs ont été sélectionnés en Equipe de France U18 pour participer à un premier stage qui se déroulera à Voiron du 18 au 22 février prochains. A noter la présence de Killian Hayes (Cholet), de Malcolm Cazalon (Bourg) et de Tom Digbeu (Barcelone) mais pas de Théo Maledon qui est sur déjà sur deux fronts avec l’Eurocup et qui pourrait être appelé par Vincent Collet en équipe de France A pour la dernière fenêtre avec des matches contre la Finlande et la République Tchèque.\\n\\nEntraineur : Lamine Kebe\\n\\nAssistants : Nicolas Absalon, Nicolas Corbe\\n\\nPhoto: Killian Hayes (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de N.\\nClub\\n\\n\\nBARBITCH\\nMilan\\n12/10/2001\\nCFBB\\n\\n\\nBEGARIN\\nJuhann\\n07/08/2002\\nCFBB\\n\\n\\nBESSON\\nHugo\\n26/04/2001\\nElan Chalon\\n\\n\\nBILLON\\nLéo\\n05/01/2001\\nCFBB\\n\\n\\nCARENE\\nMaxime\\n07/06/2001\\nCFBB\\n\\n\\nCAZALON\\nMalcolm\\n27/08/2001\\nJL Bourg\\n\\n\\nCRUSOL\\nTimothé\\n05/04/2001\\nCFBB\\n\\n\\nDIALLO\\nVictor\\n09/02/2001\\nCFBB\\n\\n\\nEBONKOLI\\nMelvyn\\n11/04/2001\\nLe Mans SCM\\n\\n\\nEYANGO-DINGO\\nSamuel\\n16/05/2001\\nJSF Nanterre\\n\\n\\nGAUZIN\\nMatthieu\\n27/02/2001\\nLe Mans SCM\\n\\n\\nHAYES\\nKillian\\n27/07/2001\\nCholet\\n\\n\\nKAMAGATE\\nIsmael\\n17/01/2001\\nOrléans\\n\\n\\nMARNETTE\\nLouis\\n22/04/2001\\nGravelines\\n\\n\\nMIYEM\\nEssome\\n15/07/2001\\nCFBB\\n\\n\\nOUEDRAOGO\\nYvan\\n22/03/2002\\nCFBB\\n\\n\\nTANNER\\nShawn\\n22/09/2001\\nAntibes\\n\\n\\nDIGBEU\\nTom\\n24/09/2001\\nFC Barcelone\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Marie-Bernadette Mbuyamba en renfort à Basket Landes" }, {"role": "assistant", "content":"A la recherche d’une joueuse depuis la blessure au pied de l’estonienne Mailis Pokk, Basket Landes a engagé l’internationale A’ Marie-Bernadette Mbuyamba (1,84 m, 26 ans) jusqu’à la fin de la saison. Sans contrat après deux saisons à Saint-Amand, elle apportera ses qualités athlétiques et sa combativité à une formation landaise récemment éliminée de l’EuroCup à la suite d’une double confrontation contre les italiennes de Venise (155-126 sur l’ensemble des deux matchs).\\n\\n« Mailis n’est pas formellement arrêtée, on espère pouvoir compter sur elle pour la suite, mais il y encore deux jours, elle ne pouvait pas posé le pied par terre », souligne Marie-Laure Lafargue, la présidente directrice générale de Basket Landes à Sud-Ouest. « Afin de prévenir tout risque, on a préféré prendre une joueuse supplémentaire, en complément de Mailis, qui comme elle, pourra aussi faire souffler Miranda par séquences ».\\n\\nMbuyamba retrouvera dans les Landes son ancienne coach en équipe de France jeunes Cathy Melain, ainsi que des anciennes coéquipières de Saint-Amand et d’équipe de France A’ et 3×3, entre autres Romana Hejdova, Migna Touré et Marie-Michelle Milapie.La nouvelle recrue de Basket Landes sera normalement qualifiée pour la prochaine rencontre du club a domicile ce samedi. Une rencontre à fort intérêt sportif car les Landaises, actuellement quatrième, affrontent La Roche-sur-Yon, qui sont elles septièmes à une victoire d’écart au classement. Les Yonnaises qui ont accueilli elle aussi une nouvelle recrue en la personne de Aishah Sutherland ce jeudi même.Photo: LFB" }, {"role": "user", "content":"La FIBA va organiser un tournoi avec le vainqueur de la BCL et le champion de G-League" }, {"role": "assistant", "content":"Après une année de pause, la FIBA interncontinental Cup revient en force avec un invité particulier. Les Austin Spurs, champions de G League 2017-2018 et franchise affiliée aux San Antonio Spurs, fera partie des quatre équipes participant à ce tournoi qui aura lieu à Rio de Janeiro du 15 au 17 Février 2019.\\n\\nParmi les visages connus évoluant dans cette franchise, on peut citer entre autres DeJuan Blair, qui a été all-star pour sa seule saison en France avec Gravelines en 2012. Les autres équipes participantes sont l’AEK Athènes, vainqueur de la dernière Basketball Champions League, et le club argentin de San Lorenzo, vainqueur de la FIBA Americas league et comptant dans ses rangs Joel Anthony, double champion NBA avec le Miami Heat en 2012 et 2013. La dernière équipe participant à cette compétition est le club Brésilien de Flamengo, qui représente le pays hôte, son joueur le plus célèbre est Anderson Varejao, ancien joueur des Cleveland Cavaliers entre 2004 et 2016." }, {"role": "user", "content":"Le clasico Limoges-Pau (3): Quand Beaublanc a ensorcelé les Béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"Le 29 janvier 2010, après cinq ans d’abstinence, Beaublanc servait de nouveau de cadre au clasico. En Pro B. Au prix d’un final ahurissant, le CSP se payait la tête de l’Elan Béarnais (85-80 en prolongations) et les deux vieux rivaux se retrouvaient ainsi co-leaders, à égalité parfaite. Nous étions sur place. Récit en direct d’une journée qui a perpétué le mythe.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMinuit – Rumeur en ville\\n\\nLes plus radicaux des supporters limougeauds avaient pour habitude d’aller à l’hôtel des joueurs palois afin de perturber leurs nuits. La rumeur court en ville que le coach Didier Dobbels, bien au courant de la tradition, a choisi un hébergement à Angoulême afin que la troupe soit au calme. En fait, l’Elan Béarnais s’est installé tout naturellement au Novotel de Limoges.\\n\\n6h15 – ici France Bleu Limousin\\n\\nTous les matins depuis lundi, France Bleu Limousin propose des face à face entre des personnalités historiques du CSP et de l’Elan Béarnais. Stéphane Ostrowski vs Paul Henderson, André Sardin vs Pierre Seillant, et même Jacques Deglane du Populaire du Centre vs Marc Duthu de Sud Ouest. Sont également appelés à la barre, Michel Gomez, qui a coaché avec brio les deux équipes, et les supporters. Frédéric Forte, président en exercice du CSP, est l’invité d’honneur du journal de ce vendredi.\\n\\nLa station couvre la Haute-Vienne et la Corrèze, mais elle est aussi disponible pour la diaspora sur le site Bleulimousin.com. En juin, le nombre de connexions pour la finale de Pro B avait été si important que le serveur n’avait pas tenu le choc.\\n\\nLa « voix » enthousiaste du basket à Limoges, c’est Jean-François Maison. Il a concocté pour l’occasion un dispositif de marathonien : prise d’antenne à 19h avec des commentaires truffés d’interviewes, le match en live comme à l’ordinaire avec Michel Gomez comme consultant, et des prolongations jusqu’à 22h45 environ. « On ne m’a jamais autant parlé de basket que cette année alors que c’est notre quatrième saison en Pro B, et c’est Pau qui veut ça », dit-il. « Et on ne m’a jamais autant sollicité pour avoir des places que pour ce match. C’est un peu un OM-PSG. A la radio, on reçoit toutes les listes des Régionales, et ils me demandent tous, « on va les battre, on va les battre ou pas ? » Et en plus, ce sentiment est exacerbé par le fait que si Pau gagne, ils seront à deux victoires plus le point-average. Les gens disent : déjà, on en chie depuis trois ans, et c’est eux qui risquent de nous empêcher de montant ! Alors, il faut absolument les flinguer ! ».\\n\\nJacques Deglane, chef des Sports au Populaire du Centre, annonce une trentaine de journalistes à la table de presse. « Un engouement jamais vu depuis le triplé de 2 000. Même si Limoges n’est pas une ville exubérante, tout le monde t’en parle, tout le monde cherche des places depuis longtemps et il devrait y avoir un peu de marché noir ». Le Popu a réalisé depuis lundi une page quotidienne sur le clasico et quatre dans l’édition de ce jour de match. « Ce qui s’est fait auparavant, ce n’est pas notre histoire. Commençons à écrire une petite ligne de notre histoire à nous, ici, cette année », annonce le coach Eric Girard.\\n\\nEt puis, donné en direct sur Sport+, le clasico est aussi rediffusé à 23h sur France 3 Limousin qui a, en prime, programmé une émission spéciale demain après-midi.\\n\\n19h30 – Etudiant le jour, Eagle la nuit\\n\\nHugo Blondeau est étudiant en Histoire et sa spécialité, c’est celle du Limoges CSP. C’est même une véritable passion. Comme travaux pratiques, Hugo est l’un des trois contributeurs majeurs de Encyclocsp.com qu’il se charge d’alimenter en coupures de journaux, extraits de magazines et photographies datant des trois décennies précédentes. Il a notamment retrouvé et mis en ligne l’article du Popu datant de 1981 annonçant la venue au club d’un certain Ed Murphy.\\n\\nIl juge que les rivalités Roanne-Vichy ou Strasbourg-Nancy sont fadasses alors que pour Limoges-Pau, il y a là quelque chose de « sacré ». Pour faire partager sa foi et ses connaissances, il a créé une page sur Facebook dédiée au clasico à laquelle ont notamment adhéré Jimmy Verove et Franck Butter. « La rivalité existaient entre supporters, dirigeants, et même certains journalistes se détestaient entre eux » comment-t-il. Hugo n’a pas encore 21 ans, mais il s’est informé à la source. « A Limoges, on parle des équipes des années 80 encore plus que de celles des années 90. Et si la rivalité existe encore, c’est bien qu’elle a été transmise de génération en génération ».\\n\\nHugo Blondeau s’affiche comme « cercliste », « anti-Seillant », « anti-Fauthoux » et « anti-Bergeaud ». A Pierre Seillant, il reproche d’avoir influé en coulisses pour faire dégringoler le CSP de son piédestal, oubliant un peu vite que le club était rongé par les dettes et que les fonds chinois ne sont jamais sortis des tuyaux. A Freddy Fauthoux d’avoir nargué les supporters limougeauds lorsque l’Elan est venu scalper les Limougeauds à Beaublanc, en 98. A Claude Bergeaud, d’avoir traité, paraît-il, les fans de Limoges présents un soir à Boulazac de « Hooligans ».\\n\\nNotre supporter historien était présent lors du match aller à Pau, et lui et ses collègues s’étaient vu offrir par leurs hôtes quelques sandwiches. Encore sous le coup de la stupéfaction, il s’étonne presque que ceux-ci n’aient pas été... empoisonnés.\\n\\nHugo a pris place tout là-haut, dans le kop avec les Eagles, dont on va vite s’apercevoir qu’ils sont le cœur et le poumon de Beaublanc.\\n\\n20h05 – Juste un match de Pro B ?\\n\\nAurélien Salmon, qui réalise sa troisième saison à Limoges, pense aussi que les mentalités ont changé en terre béarnaise. Pour la manche aller, il était blessé, inactif, mais il se souvient que l’on avait annoncé « un public hostile contre nous », mais que l’ambiance avait fait un peu pschitt...\\n\\nD’ailleurs le vaisseau palois n’était même pas comble. Incroyable, non ? « J’ai l’impression que les spectateurs limougeauds ont plus à cœur ce match-là ». Explication : les fans de l’Elan sortaient alors tout juste d’une saison en Pro A qui avait été une longue purge, alors que le public limougeaud est en manque de sa drogue dure. Et cette fois, le matche est « importantissime » comme dirait David Cozette. « On en a parlé entre nous, même s’il y a beaucoup d’engouement, ce n’est qu’un match de Pro B », relativise Aurélien. « Et s’il est super important, c’est que Pau est premier et nous deuxièmes, et qu’il faut le gagner pour recoller à leur niveau ».\\n\\nSans doute pour éviter d’entendre les hurlements de la foule, Antoine Mendy a choisi de s’échauffer avec un casque blanc sur les deux oreilles.\\n\\n20h20 – Apollo compte sur McCord\\n\\n« C’est comme le Sud contre le Nord, le Général Lee contre le Général Grant. Même quand il n’y aura plus d’équipes, on en parlera encore », rigole Apollo Faye. Jamais, depuis la création de ce jeu, un basketteur français n’aura été aussi populaire dans sa ville que l’ancien international, étendard avec Richard Dacoury, du CSP Limoges version vert et blanc.\\n\\nApollo est désormais commercial et il rayonne sur cinq départements. Partout, on lui demande de signer des autographes, et lui aussi se sert de Facebook pour envoyer des photos à des fans de différentes générations.\\n\\nA 58 ans et depuis son retour en ville, il y a onze ans, Apollo est un fidèle Beaublanc. Il a pris place dans son fauteuil rouge central, au premier rang, au milieu d’une pléiade de célébrités locales, Claude Bolotny, Jean-Michel Sénégal, Yann Bonato, Hugues Occansey, Pierre Dao, Michel Gomez, les deux anciens présidents Xavier Popelier et Jean-Claude Biojout, leur successeur dans la ligné Frédéric Forte, le responsable du marketing Stéphane Ostrowski, sans oublier Jacques Monclar au micro de Sport+.\\n\\nApollo connaît parfaitement la génération 2010. « L’année dernière, on a vu contre Poitiers que certains joueurs ne supportent pas la pression », comment-t-il. « Mais cette année, on a nos deux pivots, le capitaine McCord et Ford, plus Karim Souchu, qui ont de l’expérience, qui motivent l’équipe. Tout le monde est derrière eux. Si McCord avait été là l’année dernière contre Poitiers, la situation aurait été différente. Il les aide beaucoup moralement, physiquement et il va tout faire pour les motiver, pour que les joueurs n’aient pas le trac ».\\n\\n20h25 – Pierre Seillant est resté au Palais\\n\\nSoirée paella au club house du « Palais » de Pau. Les nombreux téléviseurs vont permettre aux invités de regarder le match en dînant. Pierre Seillant, président séculaire du club, est au milieu des VIP. Limoges, il s’y est rendu une quarantaine de fois. « Lorsqu’on jouait contre l’ASPTT, c’était déjà chaud. »\\n\\nCe n’est pas un secret, c’est par Pierre Seillant, fameux guerrier, fin stratège, toujours un peu provocateur, et qui avait l’art de captiver l’attention des médias et des foules, qu’est née la rivalité entre Orthez et Limoges. Sans lui, on se serait tellement ennuyé. Déjà, lors de la saison inaugurale (1981-82) de Beaublanc, Seillant s’était plaint du clown au micro qui chauffait, disait-il, exagérément la salle. « La rivalité a pris naissance quand on a gagné la Coupe Korac après eux en 84. Et quand on a gagné le titre de champion de France en 87, avec la bagarre au match retour et les deux lancers-francs de Freddy Hufnagel lors de la belle. A partir de là, c’était la guerre », rappelle-t-il. « On gagne 18 titres à deux en 22 ans. On les a privés d’une saga extraordinaire. Si on ne s’était pas dressé face à eux, ils auraient été champions pendant vingt ans. Et puis il y a un haut dirigeant de Limoges, je tairai son nom, qui avait dit à une haute sommité de la fédération: « Orthez, c’est trop petit, ils vont disparaître » et c’est ce jour-là que ça m’a choqué et motivé pour trouver une solution. C’est comme ça que plus tard, on est parti à Pau ».\\n\\n« Ailleurs, je n’ai jamais eu de soucis », poursuit-il. « C’est la seule salle où j’ai été malmemé. Entre le vestiaire et le bus, il faut monter les escaliers, il y avait quelques spectateurs fanatiques, les Yellow, ils te crachaient dessus, ils t’envoyaient des trucs. J’ai dû aller deux ou trois fois chez le teinturier. Quand on perdait, on entendait « Seillant, une chanson »... Il fallait bien quelqu’un soit là pour les empêcher de tourner en rond. Aujourd’hui, tout est lisse, poli. Une bonne rivalité, ça ne fait pas de mal. Mais, j’ai désormais passé l’âge de me faire malmener ».\\n\\n20h27 – C’est ça, la culture\\n\\nRien n’a changé depuis dix ans, pas une latte de bois, pas une vis. Les 14 bannières vertes et les 10 jaunes sont toujours suspendues avec fierté même si l’équipe joue désormais en noir. Depuis l’ouverture, les gens qui ont arraché les derniers billets sont debout entre les deux niveaux de tribune comme pour un match de Coupe d’Europe. Un quart d’heure avant l’entre-deux, la salle est déjà pleine. Six milliers de privilégiés. Toutes les strates de la société limougeaude sont représentées. Dehors, la ville est si calme. Dedans, c’est un volcan.\\n\\nBeaublanc résonne comme une grotte et chaque clameur est démultipliée. De jolies blondes se trémoussent ostensiblement en brandissant une écharpe. A Beaublanc, on vit son match avec extraversion. Les Z’abonnés sont les plus paisibles des trois groupes de supporters. Placés derrière un panneau, les Phénix sont les héritiers des célèbres Yellow. Ils déploient une gigantesque banderole sur toute la largeur de la tribune, mais ce ne sont plus eux qui donnent le tempo. En juin 2007, les plus fervents ont créé les Eagles. « Les jeunes ne se reconnaissaient plus dans ce groupe de supporters », explique Jean-Louis Chanier, le président qui, du temps de sa jeunesse, s’est rendu à Rome, en R5, pour voir en Coupe Korac Appollo Faye transformer deux lancers décisifs. « Dans les deux groupes confondus, une quarantaine de personnes est allée à Padoue (lieu de la finale de la Korac en 82). Mais arrêtons de vivre avec le passé. On est une nouvelle équipe avec de nouvelles couleurs. Il faut avancer ! ». Certainsn Eagles étaient si pressés d’assister à ce clasico qu’ils avaient installé sur leur ordinateur un compte à rebours pour savoir combien de temps il leur fallait patienter.\\n\\nA l’entrée des Limougeauds, c’est un tonnerre d’applaudissements. Pour les Béarnais, c’est un déluge de huées comme aucune salle de basket en France n’est capable d’en produire aujourd’hui. Les Eagles crient « anti-béarnais ! » et entonnent « Limoges... Allez... Allez... » sur l’air des chants grecs. C’est ça, la culture.\\n\\nPrésentation du Limoges CSP. Une minute de bonheur intégral. Rien que pour ça, Beaublanc mérite un pèlerinage. Les Béarnais de Pro B savent désormais à quoi ressemble un match d’Euroleague à Limoges. C’est à la hauteur du Partizan Belgrade et de l’Aris Salonique. A la mi-temps, dans le cadre du tirage au sort de la Semaine des As, le président Didier Gadou fait un discourt couvert par une monumentale bronca. La rancune est tenace en Limousin.\\n\\n22h25 – Un scénario d’Hollywood\\n\\nSoutenus par une trentaine de Péones, engloutis dans Beaublanc, les Béarnais sont venus pour gâcher la fête. Et ils s’y appliquent. Même lorsque le buffle limousin rentre dans le match les deux cornes en avant, ils font preuve d’une totale sérénité. L’équipe est parfaitement équilibrée, complète, puissante, et le peu d’impact de Georgi Joseph, un moment incertain, ne se ressent pas. Le chauve Slovène Marko Maravic, intégré dans la semaine, s’entend déjà comme Béarnais en foire avec Michael Bauer. Antoine Mendy, pas émotif pour un euro, est insolent et plante 21 points.\\n\\nL’Elan Béarnais est la meilleure équipe de Pro B, cela paraît une évidence. D’ailleurs, le CSP l’apprend à ses dépens. Sa réussite dans le deuxième quart-temps est indigente (3 sur 12) et, dans le troisième, il est plusieurs fois à la limite du point de rupture. Une énorme poussée d’adrénaline envahit alors Beaublanc.\\n\\nL’ambiance est digne d’un Final Four d’Euroleague, mais le niveau de jeu est bien de la Pro B. Le CSP n’y arrive pas.\\n\\nAvec ce trois-points de l’omniprésent Teddy Gipson (18 points, 8 rebonds, 7 passes... 5 balles perdues), la messe paraît dite. Le fabuleux décor aura donné lieu, croit-on, à une mauvaise pièce.\\n\\nL’Elan mène alors de 11 points à trois minutes de la fin. Pourtant, porté par son incroyable public, qui a toujours la foi, le CSP se bat jusqu’à son dernier souffle.\\n\\nContrairement au général Lee, il ne capitule pas. L’Elan n’a pas réussi à « tuer » le match, et il va le payer très cher. Le CSP remonte à la force du poignet. John McCord, 37 ans à la fin du mois, ne tremble pas et inscrit les deux derniers paniers du temps réglementaire. Egalisation à 70. Le film du match semble écrit par un scénariste d’Hollywood.\\n\\n22h40 – Eric Girard remercie son public\\n\\nEric Girard s’est échauffé pendant 45 minutes, courant dans tous les sens, mimant chaque action litigieuse non sifflée pour son équipe. Là, il fait le tour du parquet, le pouce levé en direction du public, pendant qu’Alhaji Mohammed est tombé à genoux sur le parquet. Le public chante « mais ils sont où les Béarnais ? » et quelques joueurs sur le terrain reprennent le refrain, en sautillant, et en faisant semblant de scruter l’horizon.\\n\\nPourtant, avec deux trois-points d’Antoine Mendy, l’un de l’aile gauche, puis le même de l’autre côté, l’Elan a cru pouvoir se refaire. Surtout que le meneur limougeaud Brent Darby, coulé sur son siège par des crampes, n’a pu conduire ses troupes en prolongations. En plus, les Béarnais sont des spécialistes cette saison du money time. Mais cette fois – avec un John McCord (19 pts, 13 rbds) MVP héroïque de la soirée -, les Limougeauds n’ont pas lâché leur étreinte. John Ford a apporté sa contribution, Karim Souchu a sorti la tête hors de l’eau, Vincent Mouillard a parfaitement suppléé Darby. Teddy Gipson a raté deux lancers, un signe. En perdition, Mike Bauer a clôturé la prolongation par un air ball. 85-80. Victime du sortilège de Beaublanc, l’Elan Béarnais a fini par craquer. Egalité parfaite sur les deux matches. Et encore, Alhaji Mohammed a loupé un lay-up tout cuit. Personne ne lui en veut. Le come-back du CSP tient déjà du miracle.\\n\\n« Il faut remercier le peuple limougeaud car, sincèrement, les joueurs ont gagné une partie du match, mais le public a gagné la deuxième partie » lâche Eric Girard. « On ne va pas se taper sur le ventre, on n’a pas fait un bon match de basket, ni en attaque, ni en défense. On a été à la peine, on n’a pas joué collectivement. Pau a été bien meilleur que nous pendant 35, 37 minutes. Notre basket m’attriste dans un sens, mais je me dis que malgré tout, on arrive à gagner. J’espère que les joueurs vont comprendre qu’individuellement, on n’a pas le talent pour rivaliser avec ce type d’équipe (...) On s’améliore lorsque Darby n’est pas sur le terrain. C’est peut-être un début d’explication, faudra y réfléchir. Tout ça va nous donner un bel élan pour la suite ».\\n\\nLa suite ? Toute une ville imagine aujourd’hui que le prochain clasico se jouera en Pro A.\\n\\n[armelse]\\n\\nMinuit – Rumeur en ville\\n\\nLes plus radicaux des supporters limougeauds avaient pour habitude d’aller à l’hôtel des joueurs palois afin de perturber leurs nuits. La rumeur court en ville que le coach Didier Dobbels, bien au courant de la tradition, a choisi un hébergement à Angoulême afin que la troupe soit au calme. En fait, l’Elan Béarnais s’est installé tout naturellement au Novotel de Limoges.\\n\\n6h15 – ici France Bleu Limousin\\n\\nTous les matins depuis lundi, France Bleu Limousin propose des face à face entre des personnalités historiques du CSP et de l’Elan Béarnais. Stéphane Ostrowski vs Paul Henderson, André Sardin vs Pierre Seillant, et même Jacques Deglane du Populaire du Centre vs Marc Duthu de Sud Ouest. Sont également appelés à la barre, Michel Gomez, qui a coaché avec brio les deux équipes, et les supporters. 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Les Français d’Espagne étaient en forme avec Mathias Lessort à 10 points et 8 rebonds, Andrew Albicy à 10 points et 7 passes et Antoine Diot à 9 points et 5 passes.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nLuke Sikma (19 points, 12 rebonds, 6 passes)\\n\\nBon sang ne saurait mentir... Avec 33 d’évaluation, Luke Sikma, le rejeton du septuple All Star NBA, Jack Sikma, a réalisé sa meilleure performance de la saison au meilleur moment (il avait déjà fait une pointe à 31).\\n\\nIndispensable dans la victoire de l’Alba Berlin en prolongation, Sikma était au four et au moulin avec 19 points, 12 rebonds et 6 passes, le tout à un excellent 8/11 aux tirs. A 15 points, 6 rebonds et 6 passes sur le Top 16, Sikma est clairement la plaque tournante de l’Alba.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nThéo Maledon (15 points, 2 rebonds, 2 passes)\\n\\nIl n’a encore que 17 ans mais Théo Maledon semble déjà savoir comment gérer son effort et passer la seconde si besoin. Passé en l’occurrence de 5 points, 2 rebonds, 1 passe en saison régulière à 11 points, 3 passes et 2 rebonds sur ce Top 16, le minot de l’Asvel a réussi son meilleur score offensif de la saison, et donc de sa carrière en EuroCup face à Francfort.\\n\\nInscrivant 15 des 29 premiers points de son équipe, Maledon a mis l’Asvel sur les bons rails pour le reste de la partie. Il y ajoute 2 rebonds et 2 passes, et aussi 3 balles perdues. Maledon n’a décidément pas froid aux yeux et l’Asvel reste invaincue au Top 16.\\n\\n\\n\\n\\nTheo Maledon performing some magic tricks in EuroCup. He's only 17... (via @EuroCup): pic.twitter.com/qkjMLjfzQV https://t.co/nRQwjvQ2F2\\n\\n\\n— Alberto De Roa (@AlbertoDRoa) November 6, 2018\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n144-57\\n\\nC’est le score final à l’évaluation dans la victoire à plus de 100 points de Kazan contre Zagreb (105-70). Seul Andrija Stipanovic (16 points, 9 rebonds) a pu placer une évaluation en double figure pour le Cedevita, enseveli sous le rouleau compresseur russe. A 19 points, 10 passes, 3 rebonds et 3 interceptions, Jamar Smith est le plus gros contributeur à 29.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’Asvel toujours invaincue\\n\\nFace à Francfort, l’ASVEL a fait confiance à sa défense pour s’imposer en toute sérénité (70-58). Auteur de 15 des 29 premiers points de son équipe, Théo Maledon a parfaitement lancé ses troupes en rentrant ses 4 premiers tirs (plus ses 5 premiers lancers).\\n\\nTenant les Skyliners sous les 17 points à chaque période, l’ASVEL a fait le métier de bout en bout, avec Mantas Kalnietis qui termine le travail avec 13 points et 4 passes. Alpha Kaba termine aussi avec une belle ligne de stats : 6 points, 9 rebonds, 3 contres.\\n\\nLe CSP toujours capot\\n\\nEn déplacement en Andalousie, le CSP Limoges a livré une belle partie contre Malaga mais ça n’a encore pas été suffisant pour décrocher la 1ère victoire du club limousin dans ce Top 16 (79-72). Avec un 3e revers d’affilée, Limoges est pour ainsi dire condamné à l’élimination, ou un improbable exploit !\\n\\nSur ce match pourtant, les hommes de Coach Peronnet ont été exemplaires avec un come back vaillant au retour des vestiaires. Mais avec Dwight Hardy (13 points) et Isaiah Miles (12 points) en meilleurs scoreurs, le CSP a logiquement dû s’incliner face aux coups de boutoirs de Mathias Lessort (10 points, 8 rebonds) et Giorgi Shermadini (13 points, 5 rebonds).\\n\\nMonaco s’impose au Pionir\\n\\nIl n’y avait encore eu aucune victoire à l’extérieur dans le Groupe E mais Monaco vient d’y remédier en allant s’imposer à Belgrade, dans la mythique salle du (feu) Pionir (72-68). Jarrod Jones (16 points, 11 rebonds) et Paul Lacombe (12 points) ont équilibré l’attaque de la Roca Team qui a fait la course en tête de bout en bout, sauf pour un retour du Partizan en dernier quart.\\n\\nEric Buckner (11 points, 7 rebonds, 2 passes, 2 contres) a aussi été très actif avec 24 d’évaluation en 22 minutes seulement. Côté Partizan, Bandja Sy (6 points, 6 rebonds, 3 interceptions) a finalement été un des plus adroits à trois points pour son équipe qui a déchiré en début de match (4/22)...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 15 points (4/9 aux tirs), 2 passes, 2 rebonds, 3 balles perdues en 24 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 12 points (4/10 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 3 balles perdues en 23 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 10 points (4/4 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 20 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (3/5 aux tirs), 7 passes, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 10 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 9 points (4/5 aux tirs), 5 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 13 minutes\\n\\nAlpha Kaba (Asvel) : 6 points (2/6 aux tirs), 9 rebonds, 3 contres, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 6 points (2/5 à trois points), 6 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre en 26 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 6 points (2/7 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 6 points (2/9 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 24 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 passe en 19 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (M0naco) : n’a pas joué\\n\\nAmine Noua (Asvel) : n’a pas joué\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 3e journée\\n\\nGROUPE E\\nPartizan Belgrade – Monaco (68-72)\\nVilnius – Alba Berlin (86-94 ap)\\n\\nGROUPE F\\nFrancfort – ASVEL (58-70)\\nUlm – Krasnodar (81-84)\\n\\nGROUPE G\\nMalaga – Limoges (79-72)\\nValence – Etoile Rouge (92-76)\\n\\nGROUPE H\\nZenit St Petersbourg – Andorre (71-80)\\nKazan – Zagreb (105-70)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLes bilans du Top 16 :\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nLuke Sikma (19 points, 12 rebonds, 6 passes)\\n\\nBon sang ne saurait mentir... 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A 15 points, 6 rebonds et 6 passes sur le Top 16, Sikma est cl\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Le président du Fenerbahçe avoue un déficit de 15M€, une fois et demie le futur budget de l’ASVEL !" }, {"role": "assistant", "content":"Le président du Fenerbahce Ali Koç a annoncé sur la télévision officielle du club que la section basket présente un déficit de 15 millions d’euros à la suite du retrait de Dogus, le précédent sponsor. 15 millions d’euros, c’est une fois et demi le budget que compte présenter la saison prochaine l’ASVEL pour son retour en Euroleague.\\n\\nCependant le président a tenu à rassurer ses supporters, le club continuera d’avoir un gros budget pour maintenir son équipe compétitive, par respect pour l’entraîneur Zeljko Obradovic.\\n\\n« Tant que M. Obradovic restera avec nous, nous fournirons ce budget d’une manière ou d’une autre. Nous ne devrions pas parler trop fort, mais nous essayons de continuer », a expliqué Ali Koç.\\n\\nOn notera également que Beko, une entreprise d’électroménager devenue sponsor principal du club en décembre 2018, est la propriété de la Koç Holding, un fond d’investissements dont Ali Koç est membre. Et de plus ce dernier semble être fortement attaché au club, ayant été membre du conseil d’administration de la section football entre 2006 et 2012.Photo: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"BCL: Nanterre maître chez lui, Dijon étouffé à Athènes" }, {"role": "assistant", "content":"Quatre jours après avoir vaincu LDLC ASVEL (79-78) à domicile en JeepElite, Nanterre a fait une excellente opération ce mercredi en Basketball Champions League en disposant du PAOK Salonique à Maurice Thorez (79-70).\\n\\nLe match fut serré de bout en bout et les Nanterriens n’ont pu se créer un écart qu’à partir du dernier quart-temps. Maladroit aux tirs (9 points à 3/10), le capitaine Lahaou Konaté a compensé sa maladresse par son intensité au rebond (9 rebonds dont 5 offensifs) et sa défense (3 interceptions). Cette victoire est importante car elle relance Nanterre 92 dans la course aux huitièmes de finale; les hommes de Pascal Donnadieu sont désormais quatrièmes de leur poule devant leur adversaire de la veille. De bonne augure avant la réception de l’Elan Chalon en championnat ce week-end, pour conclure cette série de matchs a domicile de la meilleure des manières.\\n\\nDijon a probablement dit adieu a la qualification pour les huitièmes de finale de la Champions League en s’inclinant lourdement sur le parquet de l’AEK Athènes (80-56). Les hommes de Laurent Legamme ont subi la foudre d’un Vince Hunter surdominant dans la peinture (22 points et 9 rebonds à 90% aux tirs !).Côté bourguignon, seuls Obi Emegano et Gavin Ware ont dépassé la barre des 10 points dans un match avec très peu d’adresse pour la JDA (16,7% à 3-points et seulement 56,2% aux lancers francs). Le club grec, vainqueur de la dernière édition de la Champions League et déjà qualifié avant ce match, revient grâce cette victoire à égalité avec l’Hapoel Jérusalem d’Amar’e Stoudemire à la première place de cette poule C. Dijon quant à lui tentera lors de ses trois derniers matchs d’arracher la cinquième ou sixième place, qualificative pour la phase finale de la FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto: Lahaou Konate (Nanterre, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le clasico Limoges-Pau (2) – Jean Fauret (journaliste à La République des Pyrénées): «A Limoges, il y a une ferveur, une pression sur le club, qu’il n’y a pas à Pau»" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir donné récemment la parole à son confrère du Populaire du Centre à Limoges, Matthieu Marot, le micro est dirigé cette fois vers le responsable de la rubrique basket à la République des Pyrénées à Pau, Jean Fauret. Thème de l’interview : le clasico.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis quand êtes-vous responsable de la rubrique basket de la République des Pyrénées ?\\n\\nJe suis aux sports depuis 2002 et responsable du basket depuis 2008. Auparavant, c’était Gérard Cayron qui était en numéro 1 et moi en backup. C’est quand il a quitté les sports que j’ai repris la rubrique quasiment tout seul. Je fais aussi le tennis, c’est mon sport, j’y ai beaucoup joué. A Pau, nous avons Jérémy Chardy que je suis depuis qu’il a treize ans, on est copains, et je vais chaque année à Roland-Garros pour le suivre ou pour les matches de Coupe Davis.\\n\\nVotre journal est vendu exclusivement dans les Pyrénées Atlantiques ? Pas dans les Landes ?\\n\\nNon, ça n’a jamais été le cas. J’imagine qu’il y a quelques Landais qui passent la « frontière » et qui vont jusqu’à Orthez acheter La République. Maintenant avec le numérique, on a des abonnés de toute la France. Je sais qu’il y a pas mal de gens à Paris qui sont abonnés pour suivre entre autre le sport et l’Elan en particulier.\\n\\nPour votre journal, le Clasico est-il toujours un moment fort de l’année ?\\n\\nSurtout le match à domicile. Pour celui au palais on en parlera plus que le match lambda. Je n’ai pas encore réfléchi au traitement de la semaine prochaine (NDLR : l’interview a eu lieu la semaine dernière) mais on en parlera jeudi, vendredi, samedi. Peut-être une page le jeudi et le vendredi et une double le samedi.\\n\\nDe l’extérieur, on a l’impression que la rivalité est surtout féroce à Limoges vis-à-vis de l’Elan Béarnais. Qu’en est-il exactement ?\\n\\nC’est aussi mon impression. A Limoges, ils n’ont que le CSP qui cristallise 100% de l’attention alors qu’à Pau c’est plus diffus. Et l’Elan ne devient « intéressant » que quand il gagne. Cette année, l’affluence a eu du mal à décoller et il y a eu une montée en puissance sur les derniers matches. C’est parce que ça gagne que ça devient un produit attractif quelque soit l’adversaire.\\n\\nAlors qu’à Limoges toute nouvelle est importante, peu importe le contexte sportif ?\\n\\nVoilà. Victoire ou défaite, à la limite peu importe. Le basket cristallise toute l’attention. A Limoges, il y a une ferveur, une pression sur le club, qu’il n’y a pas à Pau.\\n\\n« Les Limougeauds ont trouvé une nouvelle tête de Turc avec Léo Cavalière »\\n\\nA l’époque d’Orthez, le public de la Moutète était au moins aussi chaud et inconditionnel que celui de Limoges. Pourquoi cette ardeur a-t-elle décliné au fur et à mesure ? C’était un public plus campagnard, plus proche de ses joueurs ?\\n\\nOui, par la force des choses certainement moins urbain. Avant, il y avait des Palois qui se déplaçaient à Orthez mais peut-être que 80% du public c’était de l’orthézien et du landais. Un public rural qui pouvait s’identifier, s’attacher à l’équipe de l’époque qui ne changeait pas tous les ans comme aujourd’hui. C’est compliqué aujourd’hui pour un public de s’identifier à des joueurs et, par rapport au clasico, aux joueurs de s’identifier à l’histoire. Qui dans l’équipe de Pau va avoir le palpitant qui va monter parce que c’est Limoges le week-end suivant ? Il n’y en a pas beaucoup.\\n\\nLéopold Cavalière ?\\n\\nC’est le seul aujourd’hui qui véhicule cette fibre beaucoup plus qu’un (Yannick) Bokolo pour qui c’est la cinquième saison au club mais c’est un garçon gentil qui ne va pas polémiquer parce que c’est Limoges. Je ne pense pas qu’il soit anti-Limougeaud primaire !\\n\\nRémi Lesca avait bien repris le flambeau ?\\n\\nOui et ça avait redonné un peu de souffle au rendez-vous. Ils se sont un peu perdus de vue durant les saisons Pro B. Je l’ai bien vu avec la décla qu’a balancé Léo il y a quinze jours. « Le scenario vraiment sympa serait de gagner là-bas et de priver Limoges de Leaders Cup. Ce serait la cerise sur la gâteau. » Derrière le tweet a été vu quasiment 20 000 fois. Au-delà de tous les commentaires où il se fait défoncer. Je pense qu’il va être bien reçu là-bas. Ça a donné un peu de grain à moudre aux Limougeauds qui pour le coup savent à qui s’attaquer cette année. Ils ont trouvé la nouvelle tête de Turc avec Léo.\\n\\nLéopold Cavalière a-t-il un lien particulier avec les supporters ?\\n\\nOui mais ils sont tous assez prêts des supporters. Ils vont boire des coups après les matches à la fan zone. Ils vont discuter. Ici, il n’y a pas trop de frontières entre les joueurs et les supporters. Après, Léo c’est un garçon d’ici, il est né à Albi, il a grandi à Toulouse, il a été formé au club. Il véhicule les valeurs de l’Elan. Ce n’est pas le plus doué mais il donne tout, il ne s’échappe pas. On dit que c’est un peu le style de Didier Gadou, en moins délié et en plus intérieur. Le coéquipier que l’on adore et l’adversaire que l’on déteste.\\n\\nLe fait que ce soit les Américains qui soient les moteurs de l’équipe a-t-il un impact négatif sur le public ?\\n\\nOui et non. Non dans le sens que tant que les joueurs se battent à 100%, il y a une reconnaissance de l’effort fourni qu’ils soient français ou américains. S’il n’y a pas de tricheurs, le public va s’en rendre compte et s’identifier assez facilement aux étrangers. C’est le cas avec Vitalis Chikoko pour qui c’est sa troisième saison. C’est un garçon très gentil et on peut l’identifier à l’Elan Béarnais. Tous les nouveaux de cette année, ce ne sont pas des cons. On le voit avec la cote d’amour de (Mickey) McConnell.\\n\\nLes dernières années, les piques étaient surtout balancées entre Didier Gadou, le directeur exécutif de l’Elan Béarnais, et Frédéric Forte, le président du CSP. Cela avait relancé le clasico.\\n\\nC’est venu à partir du 100e il y a deux ans où les deux ont commencé à se chamailler et c’est vrai que ça a remis un peu d’épice pour ce rendez-vous. Avec le décès de Forte, je ne pense pas que Didier va cette année s’amuser à allumer les Limougeauds. Il n’y a plus d’angles d’attaque.\\n\\nFrédéric Forte représentait vraiment le CSP ?\\n\\nEt il avait du répondant.\\n\\nC’était du premier ou du deuxième degré ?\\n\\nJe pense qu’au départ c’est du deuxième degré mais une fois attaqué, on va dire que c’était du premier degré et demi. L’idée au départ c’était de faire rire mais ne me marche pas trop sur les pieds quand même ! Mais je pense que les deux se respectaient.\\n\\nQuand vous vous déplacez à Limoges, avez-vous des remarques sur le fait d’être palois, notamment à l’hôtel ?\\n\\nA l’hôtel, non, car je vais à l’Ibis au centre-ville et je pense qu’ils s’en foutent un peu. Mais, oui, on y va en voiture et avec la plaque minéralogique, on se fait vite repérer. On fait toujours attention où on se gare. Il y a quelques précautions à prendre mais je n’ai jamais eu peur pour ma personne.\\n\\nPour la 100e édition, vous aviez échangé des articles avec Le Populaire ?\\n\\nOui. C’était vraiment chouette. Ils avaient fait les articles de Limoges et moi de Pau. Je leur avis pris une page sur Bonato car si c’est moi qui l’avait eu, il ne se serait pas livré autant. A contrario, j’avais fait une double page avec Freddy Hufnagel.\\n\\nCela prouve qu’il y a eu une paix des braves également du côté des médias qui à la grande époque se cherchaient un peu ?\\n\\nOui, on s’entend bien et les uns comme les autres, on a aucun problème à s’échanger des articles. C’est gagnant-gagnant.\\n\\nC’était important pour tout le monde de gagner la 100e édition à domicile ?\\n\\nOui. On sentait les jours précédents la pression des grands rendez-vous comme pour une finale des playoffs ou un gros match d’Euroleague. Un peu comme pour l’inauguration du palais : le match à ne pas louper, à gagner absolument.\\n\\nEt ils leur ont mis une plumée (89-57) ?\\n\\nC’était même frustrant car les Limougeauds n’ont pas existé.\\n\\n« Il y a toujours ces braises qui sont là et qui pourraient raviver la flamme si les deux équipes se retrouvaient en playoffs sur une série »\\n\\nCela faisait longtemps que l’Elan Béarnais n’avait pas connu de tels résultats. Ca se ressent dans l’intérêt de vos lecteurs ?\\n\\nSur la première année de Eric Bartecheky, il y a eu une troisième place partagée. C’était juste avant la Leaders Cup. C’était presque aussi bien. Pour retrouver une deuxième place, il faut remonter à la saison 2003-2004. C’est l’année du dernier titre quand ils ont battu Gravelines 2-0 en finale à l’époque de Marc Salyers. Au niveau des ventes, c’est difficile de savoir si les victoires font davantage vendre que les défaites ou les crises mais il n’y a pas un bond spectaculaire le jour des victoires de l’Elan. Pour doper les ventes, il faudrait qu’il y ait des titres, pas des victoires de saison régulière. Par contre, on se fait un devoir de bien les traiter à chaque match. Ce qui démontre que le clasico est un évènement spécial, c’est qu’on y va à deux avec le photographe comme pour Boulazac. On peut voir quand ça gagne sur le site Internet, il y a un peu plus de commentaires. Ça ne se traduit pas forcément par plus d’argent pour le journal (rires). En revanche, un gros fait divers, là, oui, on voit une montée des ventes, + 5, 8, 10%. Mais le sport, non.\\n\\nC’est toujours la Section Paloise en rugby qui est le club numéro 1 de la ville et a-t-elle droit à ce type de rivalité ?\\n\\nToujours mais dans le top 14, il n’y a pas ce rendez-vous annuel. Pour la Section chaque rendez-vous à domicile est un gros match. J’y suis allé pour la première fois de la saison samedi, il y avait 13 000 spectateurs alors qu’ils sont 11e. Ils font un peu plus que deux fois plus que l’Elan. Le stade a été agrandi l’an dernier et je pense pas qu’ils soient descendus une fois en-dessous de 12 000. C’est entre 12 et 16 000.\\n\\nCe clasico Limoges-Pau a maintenant plus de trente ans d’âge. Va-t-il perdurer ?\\n\\nSelon le prési Seillant, la vraie rivalité a commencé quand Orthez a gagné la Korac en 1984 puisque Limoges l’avait gagnée en 82 et 83. On peut dire vue d’ici qu’aujourd’hui c’est un peu artificiel. Il n’y a plus de personnes à qui s’identifier, les dirigeants c’est un peu calme plat. Quelque part on peut dire que nous, les journalistes, on entretient le mythe du clasico. Pour la première fois l’an dernier ce n’était pas plein ; il y avait 7 000 spectateurs. C’était un lundi soir à 20h45 hors vacances scolaires et c’était télévisé. Même en Pro B c’était plein. Mais il y a toujours ces braises qui sont là et qui pourraient raviver la flamme si les deux équipes se retrouvaient en playoffs sur une série. Une demi-finale, deux matches à Pau, deux matches à Limoges ou le contraire et la belle chez l’un, chez l’autres, oui. Je pense qu’il y aurait de nouveau des histoires à raconter. Cette année c’est la première fois depuis longtemps où les deux équipes pourraient se qualifier pour les playoffs. Autrement, Pau n’a fait qu’une fois la Leaders Cup et cette année-là, Limoges n’y était pas. Par contre, ce qui peut être sympa, c’est que Limoges devrait jouer sa qualif à la Leaders Cup face à Pau. Il faudrait que ça arrive assez vite car chaque année, il y a le match aller, le match retour. On le fait mousser avant, pendant, et voilà (...) Je lisais ce matin les vœux du président de l’Elan Didier Rey et il y écrit qu’il a déjà parlé aux joueurs du match alors qu’il y a celui contre Fos auparavant. Il leur a dit : « Limoges approche à grands pas et ce match-là n’est pas comme les autres. C’est LE match à gagner. » Il faut dire qu’avant d’être président Didier Rey était un vieux de la vieille de La Moutète qui est au courant de toute l’histoire. Je pense qu’il maîtrise mieux ces clasicos qu’un Youri Verieras (NDLR : le président de Limoges). Il n’a pas du louper beaucoup des 100 clasicos. S’il a pris du galon au club c’est qu’à la base c’est un fidèle parmi les fidèles. C’est un chef d’entreprise sur le Bassin de Lacq qui est d’abord devenu partenaire du club. Il s’est retrouvé naturellement président. C’est d’abord par amour du basket et de l’Elan.\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis quand êtes-vous responsable de la rubrique basket de la République des Pyrénées ?\\n\\nJe suis aux sports depuis 2002 et responsable du basket depuis 2008. Auparavant, c’était Gérard Cayron qui était en numéro 1 et moi en backup. 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En s’affichant sur la face avant du maillot, Harmonie Mutuelle devient le Partenaire Majeur du club et nous sommes très fiers d’avoir contribué à la mise en place de ce partenariat historique », commente François Gandolfi, directeur associé de l’agence Seven.\\n\\nHarmonie Mutuelle en chiffres :\\n• Plus de 4,6 millions de personnes protégées\\n• Près de 1 700 élus sur le territoire représentant les adhérents et les clients\\n• Près de 60 000 entreprises clientes\\n• 4 547 collaborateurs\\n• 2,44 milliards d’euros de cotisations santé bruts de réassurance\\n• Près de 1000 services de soins et d’accompagnement mutualistes au sein du Groupe." }, {"role": "user", "content":"Le clasico Limoges-Pau (1): Des faits, des chiffres et des punchlines" }, {"role": "assistant", "content":"Comme Olympiakos-Panathinaikos en Grèce, Real-Barça en Espagne, et le derby de Bologne quand les deux équipes jouent dans la même division, Limoges Cercle Saint-Pierre vs. Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez est le match le plus sulfureux de l’année en Jeep Elite.\\n\\nBasketEurope y consacre sa semaine avant la 104e édition de dimanche avec pour commencer un rappel des faits et des chiffres fondamentaux pour comprendre pourquoi cette confrontation mérite le label de Clasico.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1\\n\\n14 octobre 1978. La date de la première rencontre entre Limougeauds et Orthéziens à La Moutète. Large victoire de l’Elan Béarnais 113-80. La rivalité a démarré un peu plus tard avec les deux Coupe Korac gagnées par Limoges (1982 et 83) et suivies par celle d’Orthez (1984). Elle a pris de l’ampleur car les deux clubs se partagèrent le gâteau national : 11 titres de champion pour le CSP, 9 pour l’Elan Béarnais. Chacun avait ses figures bien identifiables : Richard Dacoury, Stéphane Ostrowski, ou encore Don Collins face à Freddy Hufnagel, les frères Gadou et Freddy Fauthoux. Matois, charismatique, le président béarnais Pierre Seillant joua un rôle fondamental dans cette rivalité. Ce n’est qu’au fil du temps que le terme de clasico fut employé. La 100e édition, il y a deux ans, fut très nostalgique car avec le turnover dans les effectifs il est impossible de faire perdurer la tradition aussi efficacement. Dans la Haute-Vienne et les Pyrénées Atlantique, on fit redescendre du grenier les belles histoires d’autrefois. La ferveur -pour ne pas dire aussi une forme d’animosité- est d’ailleurs beaucoup plus forte du côté des fans limougeauds. Contrairement à Madrid et Barcelone, Limoges et Pau sont deux villes moyennes et elles ne pouvaient pas posséder éternellement le leadership national. Toutefois, cette 104e édition avec un Elan Béarnais qui a le vent en poupe et un CSP qui doit assurer sa place à la Leaders Cup, s’annonce palpitante.\\n\\n2\\n\\nLes deux lancers-francs marqués par Freddy Hufnagel au buzzer lors de l’acte III de la finale de 1987 ont permis la victoire 82-81 et un premier titre de champion de France pour l’Elan. « C’est un symbole. C’est le symbole de sa saison, une saison placée pour lui sous le signe de la réussite totale. C’aurait été injuste que Freddy rate ses lancers. Trop injuste », déclara à chaud le président Pierre Seillant. Avec le recul, Freddy Hufnagel eut plusieurs versions pour décrire ce qui se serait passé si jamais il n’avait pas atteint la cible dont celle-ci : « Les deux lancers-francs, on m’en a souvent reparlé. Et là, je me dis : ‘‘ Qu’est ce que ça aurait été si je les avais manqués!’’ Tout ma vie on m’aurait serré la main comme on dit bonjour à un gars dont tout le monde sait qu’il est cocu, sauf lui : ‘‘ Bonjour, ça va\u202f? Et dans la tête, tu te dis : le pauvre...’’ Sur le coup, Greg (Beugnot) et Jacques (Monclar) ont été sympas. Au moment d’aller sur la ligne, ils auraient pu venir me casser les cou... Ils m’ont laissé tranquille ».\\n\\n5 et 6\\n\\nCinq, c’est le nombre de victoires consécutives (Le Mans, Fos, Châlons-Reims, Boulazac et Chalon) en Jeep Elite du CSP qui est invaincu depuis que François Peronnet a remplacé Kyle Milling comme coach. Avec six victoires de rang (Chalon, Nanterre, Châlons-Reims, Le Mans, Gravelines et Fos), l’Elan Béarnais fait un peu mieux. La dernière défaite des Palois remonte au 16 novembre face à Antibes.\\n\\n10\\n\\nMai 1993. 71-69 pour Pau. Les Limougeauds font tourner la balle et au buzzer Jim Bilba expédie un trois-points qui change tout. L’arbitre Philippe Mailhabiau fait signe qu’il accorde le panier mais la table de marque intervient et son collègue Pascal Dorizon l’annule. Pas d’arbitrage vidéo, à l’époque. Grosse, grosse colère des Limougeauds après avoir visionné la cassette de la troisième manche de cette finale aux couteaux. S’estimant lésé, le staff du CSP menace : « Nous n’irons pas jouer à Pau tant que notre réclamation ne sera pas instruite, » tonne le président Jacques Valade qui exprime une exigence disons peu réaliste : « Nous voulons jouer 10 secondes 2 et reprendre le match à 72-71 en notre faveur. Pour le moment, nous considérons que nous menons toujours 2-0. Ou on nous rend justice ou nous refusons d’aller à Pau mercredi puisqu’il est impossible de gagner là-bas. » Le résultat de cette manche sera entériné. Limoges ira bien à Pau trois jours plus tard pour y gagner 68-64 et remporter la série en quatre manches avec un nouveau titre de champion de France à la clé.\\n\\n12\\n\\nLe nombre de pages plus la Une consacrées à la 100e édition du clasico par Le Populaire du Centre le vendredi 13 janvier 2017. Alors que le match était à l’extérieur.\\n\\n23\\n\\n28 janvier 1990. Le CSP, qui court vers son premier Final Four européen de la Coupe des Champions alias l’Euroleague, est invaincu en France depuis 23 journées. Qui va mettre fin à cette invincibilité ? Orthez de la paire de coachs, Kenny Grant/Robert Bialé, à La Moutète, forcément. Avec un score fleuve que l’on affectionnait à l’époque, 115-101, et avec deux joueurs à trente points et plus, Stéphane Ostrowski (30) d’un côté et Jose Waitman (34) de l’autre.\\n\\n27\\n\\nLe mercredi, Stéphane Ostrowski était annoncé indisponible pour une quinzaine de jours. Un forfait confirmé le jeudi et le vendredi. Intox ? Miracle ? En tous les cas, le samedi, il était bien en tenue, joua 38 minutes, scora 27 points à 9/10 aux tirs du champ, 9/9 aux lancers-francs, capta 8 rebonds et fit 4 passes. Victoire du CSP, 121-106, grâce aussi aux 35 points de Mike McGee -un fabuleux shooteur à trois-points et... une crasse sur la ligne des lancers-francs- et aux 28 de Michael Brooks. « Nous surpris ? Pas du tout puisque Stéphane Ostrowski après s’être rendu à Lourdes est remonté vers Limoges dans le car de l’Elan Béarnais », ironisa t-on dans le camp orthéziens. Au CSP, on expliqua que le joueur avait effectué une échographie de contrôle le samedi matin et qu’il ne s’agissait en fait que d’une petite élongation. Des étirements, un échauffement, pas de douleurs et Ostro décida de jouer avec l’efficacité décrite.\\n\\n28/39\\n\\n85%. Le pourcentage de réussite dans les tirs du CSP lors de la première mi-temps d’un clasico en octobre 1989. C’était le temps du style flamboyant de Michel Gomez. « C’est très agréable de jouer comme ça ; j’ai toujours rêvé de jouer comme les Lakers », se régala Richard Dacoury auteur de 32 points. « Je ne dis pas qu’on joue comme eux mais il y a des points communs, jeu rapide, défense et surtout une philosophie de jeu très proche de la leur. » Ce que le Dac’ ne savait pas encore, c’est qu’il jouera à Bercy contre Magic Johnson et les Lakers deux ans plus tard.\\n\\n39\\n\\n1993. Cette année-là, Limoges va être sacré champion d’Europe à Athènes. Mais c’est encore et toujours les Béarnais qui vont les faire chuter en saison régulière après une série de 18 victoires consécutives. Score : 61-55 après prolongation. 50-50 à l’issue du temps réglementaire. Plus de deux fois moins de points que trois ans auparavant ! Le coach serbe Bozidar Maljkovic, sa défense, son jeu sur attaque placée ultra maîtrisée, est passé par là. Les Limougeauds sont contrariés car ils ont mené durant 39 minutes. Mais un géant de 2,31m a mis 22 points (73% de réussite) et pris 18 rebonds dont 12 offensifs : le Roumain Gheorghe Muresan.\\n\\n40\\n\\nDon Collins, alias Le Cobra, est l’un des joueurs les plus fantastiques jamais vus au CSP donc en France, dont la NBA ne voulait plus en raison de son addiction à la drogue. L’Américain scora 40 points en 1989 avec 17 paniers sur 20 tentés ! Ajoutez à cela 5 rebonds, 5 passes et une défense comme toujours harassante. « Ce qui nous a manqué pour battre Limoges ? Collins. Aujourd’hui, on a vu du très, très grand Collins », lâcha le coach béarnais George Fisher après la victoire du CSP, 108-97.\\n\\n51-51\\n\\nVainqueur des deux éditions la saison dernière, l’Elan Béarnais a égalisé à 51 victoires et... un nul. Oui, le « nul » a longtemps existé dans le basket français.\\n\\n64\\n\\nLe nombre de Clasico disputé comme joueur, entre 1982 et 2002, par Didier Gadou, l’actuel directeur exécutif de Pau. Un record pour l’éternité.\\n\\n100\\n\\nForcément, la 100e édition disputée à Pau le 15 janvier 2017 fut montée en épingle. Un supporter béarnais brandit une pancarte où l’on pouvait lire : « Aussi fragiles que votre porcelaine ». Il avait raison. Le CSP explosa en mille morceaux : 89-57. « CSP : le 100e clasico de la honte, » titra à sa Une Le Populaire.\\n\\n133\\n\\n133 à 111. Non, il ne s’agit pas du résultat d’un match de All-Star Game mais du score du Orthez-Limoges du 17 avril 1985 à La Moutète. Le plus élevé de l’histoire des clasico mais aussi du club du Béarn. 32 points pour John McCullough, 29 pour Christian Ortéga, 26 pour Paul Henderson... Olé ! Quatre ans plus tard, le CSP répondait par un 124-101 à Beaublanc. Avant que l’Elan ne quitte La Moutète, 41 clasico avaient eu lieu et 21 avaient vu le vainqueur atteindre ou dépasser les 100 points.\\n\\n135\\n\\nLes matches Limoges-Pau ne représentent pas le plus grand nombre d’éditions en Pro A/Jeep Elite. Le record est détenu avec les Le Mans/Villeurbanne qui existent depuis la saison 1962-63 avec comme seule interruption les trois saisons que le MSB alors appelé SCM a passé en Pro B. Mais on n’a jamais parlé de clasico... Certains savent mieux valoriser la tradition que d’autres.\\n\\n\\nThe Derby\\n\\nPassé brièvement par l’Elan Béarnais, l’Américain Anthony Goods, actuellement à Nancy, a réalisé un (bon) documentaire sur la rivalité entre les deux clubs. Ce premier tournage lui a pris cinq mois durant son temps libre. Pierre Seillant, Didier Gadou, Freddy Hufnagel, Florent Pietrus, Laurent Foirest, Richard Dacoury, Stéphane Ostrowski, Greg Beugnot, Frédéric Weis, Michel Gomez, Yann Bonato, Jim Bilba, Xavier Popelier, quelques autres, et... Frédéric Forte font partis des intervenants. C’est en français traduit en anglais. Et inversement.\\n\\n\\nLa bagarre de 1987\\n\\nQuelque part, tout a commencé un an auparavant avec une altercation entre le Franco-Sénégalais d’Orthez, Ben Kaba, et l’Américain Mike Davis. Le premier avait voulu balancer une chaise sur la tête du second mais c’est son équipier Paul Henderson qui l’avait prise en pleine poire. « Kaba, c’était un guerrier bantou. Il ne te demande pas d’explications, il te coupe d’abord en deux. L’autre a évité la chaise et c’est Paul qui voulait les séparer qui a tout pris. Et il est revenu avec nous dans le bus le nez défoncé, en sang, ouvert, opéré en arrivant », expliqua plus tard Freddy Hufnagel.\\n\\nDonc nous sommes à La Moutète le 2 mai 1987 pour la deuxième manche de la finale. Avant le match, Pierre Seillant et Michel Gomez échangent des noms d’oiseau. La tension est palpable.\\n\\nLe Limougeaud Alain Forestier shoote de l’aile gauche. Au même moment, Paul Henderson et Clarence Kea se prennent à bras le corps dans la raquette. Qui a commencé ? Henderson -qui est alors détesté un peu partout en France ; on dira qu’il y avait un « contrat » sur sa tête- pour les Limougeauds. Kea pour les Orthéziens. Personne ne miserait alors un dollar sur Henderson car Kea est un ancien boxeur poids lourds. 130 kg. Mais les joueurs, ceux qui étaient sur le terrain comme sur le banc, s’en mêlent, à commencer Jacques Monclar qui prend Henderson par la gorge puis un bourre-pif de la part de Franck Butter et Ben Kaba qui cherche la confrontation directe avec Kea. L’altercation se termine sur la table de presse où Ben Kaba se retrouve en mauvaise posture.\\n\\n« Il était en train d’étrangler Kaba. Je suis arrivé derrière en tant que délégué de salle. Je l’ai pris par les hanches. Je me suis aperçu qu’il était tellement large et costaud que j’ai appliqué une recette de rugby de l’époque, je lu ai mis la main sur les parties. Il a commencé à faire des moulinets... Deux jours après il vient me voir et il me dit « T’es quand même gonflé, à ton âge, on ne fait pas ça ! »», raconta Pierre Seillant.\\n\\nCela se termina aussi vite que ça avait commencé. On vit quelques képis sur le terrain... mais une fois que chacun avait déposé les armes. Pas folle la Maréchaussée!\\n\\nA l’époque, de tels matches étaient diffusés l’après-midi sur Antenne 2 et, choqué, le journaliste Patrick Chêne fustigea exagérément les acteurs alors qu’en France, il s’agissait d’un incident très exceptionnel.\\n\\n« Même si le jeu est dur sur le terrain, il y a un respect mutuel. Il ne faut rien exagérer », estima Freddy Hufnagel. « Ce n’était sans doute pas le jour pour faire ça. C’est la finale du championnat, devant la télé, mais ça peut arriver n’importe quand », compléta Jacques Monclar.\\n\\nOn était bien loin du scandale qui était survenu quelque temps auparavant dans le championnat national lorsque Barcelone fut déclaré forfait lors du troisième match de la finale suite à une bagarre générale. Ou ce que l’on voit si souvent au rugby et presque quotidiennement au hockey-sur-glace.\\n\\nCette bagarre a évidemment largement contribué à l’époque à exacerber la rivalité entre les deux clubs et leurs supporters. Avec Internet, les images sont réapparues près de trois décennies plus tard et ont... ravivé la flamme.\\n\\n\\nLes punchlines\\n\\n« Ils ont été marqués par notre victoire à Padoue en finale de la Coupe Korac 1982. On a gagné en prime time à la télévision devant 8 millions de téléspectateurs. On a créé un trouble dans le basket français et ils nous ont énormément jalousés. » Xavier Popelier, ancien président du CSP, dans Le Populaire.\\n\\n« Quand il (Pierre Seillant) dit avoir attrapé Clarence Kea par les parties intimes, c’est juste de la vantardise. Il a tendance à embellir les choses. » Xavier Popelier, ancien président du CSP, dans Le Populaire.\\n\\n« Pourquoi ne pas obliger Orthez à mettre un plancher, ce serait quand même mieux que de jouer dans le caca d’oie... ». Jean-Michel Sénégal, ancien joueur du CSP, dans Maxi-Basket. Considérant cette réflexion comme une insulte, Henri Page et quelques autres Orhéziens envoyèrent au meneur de jeu limougeaud pour les vœux une petite boîte contenant... de la fiente d’oie.\\n\\n« On va travailler dur cette semaine pour arriver en pleine forme et puis... ce n’est pas souvent que je tiens des propos comme ça mais vraiment si on pouvait aller les claquer là-bas ça serait bien, ça serait même très très bien ». Didier Rey, actuel président de l’Elan Béarnais, à propos du match de dimanche prochain, sur France Bleu Béarn.\\n\\n« Entre joueurs, on était pourtant assez potes. J’ai commencé ma carrière internationale avec Monclar, Vestris, Deganis, Demory. En équipe de France, j’étais en chambre avec Jacques Monclar. Et je ne me levais pas tous les matins en me disant : ‘‘ allez, aujourd’hui je vais tuer un Limougeaud\u202f!’’ » Freddy Hufnagel, ancien joueur de l’Elan Béarnais, dans Sud Ouest.\\n\\n« La vraie histoire commence en 1982 quand Limoges gagne la Korac. En 84, on gagne à notre tour. C’est là que démarrent les hostilités. Ils sont jaloux de notre réussite. » Pierre Seillant, ancien président de l’Elan Béarnais, dans La République des Pyrénées.\\n\\n« Seul le niveau ordurier d’une petite frange du public de Limoges était inacceptable. J’ai été personnellement sali au propre comme au figuré. On m’a craché dessus et je suis sorti de Beaublanc sous escorte de la police. C’est le seul endroit en France où c’est arrivé, et à plusieurs reprises. » Pierre Seillant, ancien président de l’Elan Béarnais dans sa biographie, « Au cœur de l’Elan Béarnais ».\\n\\n« Il ne se passe pas une défaite de Limoges sans que ça me fasse sourire, c’est comme ça. » Pierre Seillant, ancien président de l’Elan Béarnais, dans La République des Pyrénées.\\n\\n« Dans la vie, ce qui compte ce n’est pas seulement la première fois. Parce que des fois, quand on est le premier, on ne s’en remet pas (...) Et puis, on ne va pas tout le temps nous comparer à Limoges ! Il faut bien qu’il y ait un concurrent à Limoges, sinon vous vous emmerderiez tous ! » Pierre Seillant, alors président de l’Elan Béarnais après le titre de champion d’Europe du CSP en 1993, dans Maxi-Basket.\\n\\n« J’ai connu une époque, j’ai assisté à des événements impensables aujourd’hui. J’ai vu Mathieu Bisseni étrangler un arbitre, des envahissements de terrain avec des bagarres générales et l’intervention des gendarmes. J’ai aussi vu Pierre Seillant faire un crochepied aux arbitres... C’était un autre monde, sans ralenti ni réseaux sociaux ». Didier Gadou, directeur exécutif et ancien joueur de l’Elan Béarnais, dans La République des Pyrénées.\\n\\n« P... Que c’est bon ! » Didier Gadou, directeur exécutif et ancien joueur de l’Elan Béarnais, après le titre de champion de France 2008 obtenu à Limoges dans La République des Pyrénées.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=E4Nam1hYJZw\\n\\n« Ils ont toujours grandi pour essayer de faire comme nous ! C’est deux clubs qui sont proches, mais on a toujours une longueur d’avance, on les voit toujours dans le rétroviseur. » Frédéric Forte, ancien président et joueur du CSP, à France Bleu.\\n\\n« Quand tu gagnais le clasico, il y avait une satisfaction particulière. Evidemment, quand tu le perdais, c’était mitigé mais ça pouvait aussi servir de tremplin. Quand on perd après prolongation sur le panier de McCord en 2009, derrière on fait 11 victoires consécutives. » Didier Dobbels, ancien joueur et coach du CSP et ancien coach de l’Elan Béarnais dans Le Populaire.\\n\\n« Kaba, Bisseni et Henderson mettaient des coups en douce mais ça restait du basket. En fait, le problème, c’est qu’ils ont toujours mal vécu qu’on soit plus titré qu’eux. Alors ils cherchaient des artifices... » Stéphane Ostrowski, membre du Directoire et ancien joueur du CSP dans Le Populaire.\\n\\n« La rivalité se transmettait oralement du plus vieux au plus jeune. Moi je n’étais pas Limougeaud mais à la fin je les détestais. C’était viscéral. » Frédéric Weis, ancien joueur du CSP, au Populaire.\\n\\n« Sur le terrain, il y avait 50% de l’équipe de France. Mais à mon époque à Limoges, c’était moins prononcé qu’avant. Mais malgré tout aux rassemblements des Bleus il n’était pas simple de faire une équipe avec Palois et Limougeauds. Il y avait une animosité, une agressivité quand on se retrouvait. Les Palois restaient dans leur coin. » Yann Bonato, ancien joueur du CSP, dans L’Equipe.\\n\\n« Didier Gadou ! Il était mythique car il faisait mal. Si tu n’avais pas deux, trois gros hématomes aux cuisses après l’avoir croisé, c’est que tu ne l’avais pas croisé ! Les genoux et les coudes traînaient... Physiquement, tu en sortais marqué. » Yann Bonato, ancien joueur de Limoges, à L’Equipe.\\n\\n« J’ai souvenir de Freddy Fauthoux qui tombe en arrière lors d’un duel. Au passage, il me met une grosse baffe dans la gueule. Rien n’était gratuit. Ces deux-là (Didier Gadou et Fred Fauthoux) étaient l’essence même du classique, de la mauvaise foi incarnée. Fauthoux se transcendait sur ce match-là, tout en gardant une certaine lucidité pour mettre des paniers importants à la con ! » Yann Bonato, ancien joueur du CSP, dans L’Equipe.\\n\\n« Je ne me souviens pas particulièrement d’une baffe donnée à Bonat’. Ce devait être une tape amicale, comme d’habitude. (Il éclate de rire) En fait, je crois que je lui ai donné en me relevant, même si je ne me souviens pas vraiment de celle-ci... Tu sais, contre Limoges, mettre un taquet, c’était souvent le moyen d’inverser un peu la tendance quand le match ne se déroulait pas comme prévu... Si tu étais dominé côté basket, il fallait bien essayer d’envenimer les choses, histoire que la tendance s’inverse. Alors, la petite claquasse, le coup de coude, c’étaient juste presque des gestes techniques à disposition qu’on se réservait pour ces matches-là... Même si derrière, j’ai toujours adoré et adore toujours aller boire un coup avec Bonat’ ! » Freddy Fauthoux, ancien joueur de l’Elan Béarnais sur lnb.fr\\n\\n« Je pense qu’avec Pierre Seillant nous sommes les deux favoris des supporteurs de Limoges. Sur le terrain, je pouvais être le pire des coquins. Quand tu es de Pau, tu ne rêves que de jouer et gagner à Limoges. Décrocher un titre sur leur parquet est ce qu’il y a de plus beau. » Freddy Fauthoux, ancien joueur de Pau, au Parisien.\\n\\n« J’avais une cassette VHS. C’était celle de la bagarre de la finale de 87. Dans le bus nous amenant à Limoges, je sortais alors la cassette et je la mettais. Pour expliquer à ceux qui ne le savaient pas – ou pas assez – l’histoire de ce match. Pour qu’ils la comprennent. Pour les conditionner. Pour leur dire que ces mecs là sont forts à Limoges, mais que nous on est super ! ». Freddy Fauthoux, ancien joueur de l’Elan Béarnais, au Populaire.\\n\\n« Il y avait tellement de supporteurs, qu’on avait dû être escortés par des policiers pour monter les quelques marches qui séparent les vestiaires du car. On recevait une pluie, mais ce n’était pas de l’eau, et aussi une pluie de noms d’oiseaux... Des gens se collaient au bus pour ne pas qu’on parte. » Freddy Fauthoux, ancien joueur de l’Elan à propos du titre de Pau en 1998, au Parisien.\\n\\n« Pour moi, le gros changement par rapport à nos premières rencontres, c’est le passage de l’Elan à Pau. L’équipe est beaucoup moins sympathique que par le passé. Avant, c’était un peu une équipe irréductibles, avec un super public. (...) Aujourd’hui, l’Elan, c’est une équipe pro, avec un public agressif et malsain que je n’aime pas du tout. » Richard Dacoury, ancien joueur du CSP, avant la demi-finale de 1994 dans La République des Pyrénées.\\n\\n« Mon premier match en pro, c’était en préparation à Limoges et les trois kops étaient là. Comme toujours on s’est fait siffler, insulter, il y a eu des gestes... Quand on voit à quel point ils nous détestent, on ne peut que les détester en retour. Quand on va à Beaublanc, personne n’est là pour nous accueillir, personne ne nous dit bonjour, ils font semblant de ne pas nous voir. Alors oui, je déteste Limoges. Et puis Frédéric Fauthoux était haï là-bas et moi aussi je suis Landais. » Rémi Lesca, ancien joueur de l’Elan Béarnais dans Sud-Ouest.\\n\\n« Avec Limoges, la règle c’est : pas de cadeau. S’il y a une grosse faute à faire, je la ferai. Chaque match est comme une finale. » Rémi Lesca, ancien joueur de l’Elan Béarnais dans Sud-Ouest.\\n\\n\\nSur twitter\\n\\nDidier Gadou, directeur exécutif de Pau-Lacq-Orthez et Frédéric Forte, président du Limoges CSP s’interpellaient parfois sur twitter. Vertement. Tous les deux avaient porté le maillot vert dans chaque camp (plus le jaune pour Forte). Cet échange musclé date de septembre 2017.\\n\\nLes supporters ne s’épargnent pas non plus avec un courant bien plus important dans le sens Limoges-Pau. Voici juste deux exemples.\\n\\n« Il y a bien pire que prendre une rouste à Pau : écouter Claude Bergeaud commenter un #clasico »\\n\\n« Bonjour à tous, sauf à ceux qui supportent un club nommé CSP #Clasico #BeatCSP »\\n\\n[armelse]\\n\\n1\\n\\n14 octobre 1978. La date de la première rencontre entre Limougeauds et Orthéziens à La Moutète. Large victoire de l’Elan Béarnais 113-80. La rivalité a démarré un peu plus tard avec les deux Coupe Korac gagnées par Limoges (1982 et 83) et suivies par celle d’Orthez (1984). Elle a pris de l’ampleur car les deux clubs se partagèrent le gâteau national : 11 titres de champion pour le CSP, 9 pour l’Elan Béarnais. Chacun avait ses figures bien identifiables : Richard Dacoury, Stéphane Ostrowski, ou encore Don Collins face à Freddy Hufnagel, les frères Gadou et Freddy Fauthoux. Matois, charismatique, le président béarnais Pierre Seillant joua un rôle fondamental dans cette rivalité. Ce n’est qu’au fil du temps que le terme de clasico fut employé. La 100e édition, il y a deux ans, fut très nostalgique car avec le turnover dans les effectifs il est impossible de faire perdurer la tradition aussi efficacement. Dans la Haute-Vienne et les Pyrénées Atlantique, on fit redescendre du grenier les belles histoires d’autrefois. La ferveur -pour ne pas dire aussi une forme d’animosité- est d’ailleurs beaucoup plus forte du côté des fans limougeauds. Contrairement à Madrid et Barcelone, Limoges et Pau sont deux villes moyennes et elles ne pouvaient pas posséder éternellement le leadership national. Toutefois, cette 104e édition avec un Elan Béarnais qui a le vent en poupe et un CSP qui doit assurer sa place à la Leaders Cup, s’annonce palpitante.\\n\\n2\\n\\nLes deux lancers-francs marqués par Freddy Hufnagel au buzzer lors de l’acte III de la finale de 1987 ont permis la victoire 82-81 et un premier titre de champion de France pour l’Elan. « C’est un symbole. C’est le symbole de sa saison, une saison placée pour lui sous le signe de la réussite totale. C’aurait été injuste que Freddy rate ses lancers. Trop injuste », déclara à chaud le président Pierre Seillant. Avec le recul, Freddy Hufnagel eut plusieurs versions pour décrire ce qui se serait passé si jamais il n’avait pas atteint la cible dont celle-ci : « Les deux lancers-francs, on m’en a souvent reparlé. Et là, je me dis : ‘‘ Qu’est ce que ça aurait été si je les avais manqués!’’ Tout ma vie on m’aurait serré la main comme on dit bonjour à un gars dont tout le monde sait qu’il est cocu, sauf lui : ‘‘ Bonjour, ça va\u202f? Et dans la tête, tu te dis : le pauvre...’’ Sur le coup, Greg (Beugnot) et Jacques (Monclar) ont été sympas. Au moment d’aller sur la ligne, ils auraient pu venir me casser les cou... Ils m’ont laissé tranquille ».\\n\\n5 et 6\\n\\nCinq, c’est le nombre de victoires consécutives (Le Mans, Fos, Châlons-Reims, Boulazac et Chalon) en Jeep Elite du CSP qui est invaincu depuis que François Peronnet a remplacé Kyle Milling comme coach. Avec six victoires de rang (Chalon, Nanterre, Châlons-Reims, Le Mans, Gravelines et Fos), l’Elan Béarnais fait un peu mieux. La dernière défaite des Palois remonte au 16 novembre face à Antibes.\\n\\n10\\n\\nMai 1993. 71-69 pour Pau. Les Limougeauds font tourner la balle et au buzzer Jim Bilba expédie un trois-points qui change tout. L’arbitre Philippe Mailhabiau fait signe qu’il accorde le panier mais la table de marque intervient et son collègue Pascal Dorizon l’annule. Pas d’arbitrage vidéo, à l’époque. Grosse, grosse colère des Limougeauds après avoir visionné la cassette de la troisième manche de cette finale aux couteaux. S’estimant lésé, le staff du CSP menace : « Nous n’irons pas jouer à Pau tant que notre réclamation ne sera pas instruite, » tonne le président Jacques Valade qui exprime une exigence disons peu réaliste : « Nous voulons jouer 10 secondes 2 et reprendre le match à 72-71 en notre faveur. Pour le moment, nous considérons que nous menons toujours 2-0. Ou on nous rend justice ou nous refusons d’aller à Pau mercredi puisqu’il est impossible de gagner là-bas. »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Vitalis Chikoko (Pau) va vivre son cinquième clasico. Une sorte de record pour un joueur étranger à l’époque contemporaine.\\n\\nSources : BasketNews, Le Populaire du Centre, La République des Pyrénées, Sud-Ouest, Maxi-Basket, L’Equipe, Au cœur de l’Elan Béarnais. Merci à Hugues Blondeau pour sa précieuse contribution." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Le top 10 des cancres aux lancers-francs" }, {"role": "assistant", "content":"Le pourcentage de réussite aux lancers-francs est le meilleur élément de comparaison entre les joueurs d’un championnat, d’une génération et à travers les âges.\\n\\nNous avons choisi cette fois de mettre en évidence les pires résultats à l’issue des matches allers. Que constate t-on?\\n\\nQue ce sont comme attendu des intérieurs qui squattent les dernières places.\\n\\nNous avons inclus une colonne avec les pourcentages de réussite en carrière en Jeep Elite. Cela permet de constater que Rasheed Sulaimon vaut beaucoup mieux que ses performances de la saison -il est actuellement blessé- et qu’il devrait corriger le tir lorsqu’il reviendra en piste.\\n\\nNous avons maintenu Bangaly Fofana dans le classement alors qu’officiellement il a disparu lors de la dernière journée aller faute d’un nombre insuffisant de tentatives.\\n\\nL’Antibois Fernando Raposo est bel et bien le dernier de la classe sur la longueur. Il n’y a pas de cause perdue: le Strasbourgeois Youssoupha Fall est passé en une saison de 39,4 à 59,5% en modifiant sa gestuelle.\\n\\n[table id=170 /]\\n\\nPhoto: Bangaly Fofana (BCM)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Des trois clubs français, seul Villeneuve d’Ascq s’est imposé" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 17 points et 11 rebonds de la pivot américano-slovène Shante Evans, Villeneuve d’Ascq a vaincu les voisines belges de Braine, 73-61. Les Nordistes n’avaient plus gagné en Euroleague depuis le 7 novembre et une victoire sur Schio soit cinq défaites de rang.\\n\\nIl s’agit de l’unique succès français de la soirée puisque Charleville a échoué comme prévu face à la Dream Team russe de Koursk (62-88) où la meilleure joueuse du monde actuelle Breanna Stewart (27 points, 7 rebonds, 5 passes) a fait merveille comme d’habitude.\\n\\nBourges a également mordu la poussière, en Russie, face à Orenbourg (65-72). Avec 19 points, Alexia Chartereau fut la Berruyère la plus offensive.\\n\\nLes Tango (6-3) sont toujours deuxièmes du groupe A à égalité avec Prague alors que Villeneuve (3-6) occupe la sixième place tout comme Charleville dans le groupe B avec le même record.\\n\\nPhoto: Romy Bar (Villeneuve, FIBA)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=eoXRRn1wqfU" }, {"role": "user", "content":"Analyse: Et si l’URSS renaissait?" }, {"role": "assistant", "content":"Comme pour la Yougoslavie, l’hypothèse est bien peu probable. Mais, pour le plaisir, imaginons quelle équipe pourrait présenter une URSS réunifiée.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNous avons « rêvé » une équipe de Yougoslavie réunifiée (voir ici – lien). Pratiquement en même temps que ce pays implosait, un autre mastodonte du basket-ball mondial éclatait en mille morceaux, l’URSS (disparue le 25 décembre 1991). Née de la révolution russe de 1917, l’URSS s’est bâtie sous la forme d’un « empire communiste » dictatorial (quel empire ne l’a pas été ?) mais aussi d’un État utilisant le sport comme moyen de propagande. Avec à la clé une immense moisson de médailles en basket-ball entre 1947 et 1990 : 14 médailles d’or, 3 d’argent et 4 de bronze à l’Euro (soient 21 médailles en... 21 éditions de l’Euro !), 3 d’or (1967, 1974 et 1982), 3 d’argent et 2 de bronze aux Mondiaux (soient 8 médailles en... 8 participations !), 2 d’or (la fameuse finale de 1972 et 1988), 4 de bronze et 3 de bronze aux JO (soient 9 médailles en... 9 participations !). Bref, un palmarès incroyable, à 100 % de réussite...\\n\\nBien évidemment, avec l’éclatement de l’URSS, les résultats sportifs des pays issus de cette dissolution s’en sont ressentis, même si la Russie et la Lituanie (principaux pays « fournisseurs » de joueurs à l’époque communiste) présentent de très enviables résultats : pour la Russie, une médaille d’or, une d’argent et 2 de bronze à l’Euro, 2 d’argent au Mondial et une de bronze aux JO ; pour la Lituanie, une d’or, 3 d’argent et une de bronze à l’Euro, une de bronze au Mondial et 3 de bronze aux JO. Des résultats similaires pour des pays diamétralement opposés : 2,8 millions d’habitants sur 65 000 km2 pour la Lituanie, 146,8 millions sur 17 125 000 km2 pour la Russie, donc 52 fois plus peuplée dans un pays 263 fois plus vaste ! Et pourtant, c’est le « nain » qui présente le meilleur bilan depuis 1990...\\n\\nSélection contrastée\\n\\nL’URSS était composée de « républiques » qui sont aujourd’hui devenues 15 pays différents, dont certaines grandes places fortes de basket : outre la Russie et la Lituanie, citons l’Estonie, la Géorgie, la Lettonie ou l’Ukraine. Des nations qui, bon an mal an, produisent d’excellents joueurs de basket, voire des stars internationales, comme l’intérieur letton Kristaps Porzingis. Cependant, même en Lituanie, pays où le basket est le « sport roi », on ne trouve plus de nos jours une densité de joueurs de très haut niveau comparable à celle des plus puissants pays de l’ex-Yougoslavie. Et cela se ressent dans la « sélection d’ex-URSS » que nous nous sommes amusés à réaliser.\\n\\nC’est sans doute au poste de meneur que le problème est le plus aigu. Aucun poste 1 d’ex-URSS en NBA, un seul (Lukas Lekavicius, Lituanie) en Euroleague, dans un rôle de remplaçant au Pana (4,3 pts, 1,6 passe). À ses côtés, le seul nom qui se distingue est celui de Mantas Kalnietis (LDLC Asvel, Lituanie), qui fait aujourd’hui le bonheur du public villeurbannais après plusieurs bonnes saisons en Euroleague ou en Eurocup. En bref, de très bons joueurs, mais aucune « tête d’affiche ».\\n\\nEn poste 2, la situation est plus intéressante. Le titulaire du poste serait le shooter fou russe Alexey Shved (Khimki Moscou) qui, malgré ses tendances solistes, délivre quand même 7,4 passes par match pour aller avec ses 25,3 points. Pour le suppléer, au Lituanien de Kaunas Marius Grigonis, nous préférons Dmitry Kulagin (Kuban, Russie), pion important de son club comme de son équipe nationale.\\n\\nÀ l’aile, deux noms se dégagent, ceux de Davis Bertrans (San Antonio Spurs, Lettonie) et de Sergey Karasev (Zenit Saint-Petersburg, Russie). Mais, là encore, il s’agit de bons joueurs, pas de stars du jeu.\\n\\nEn revanche, à l’intérieur, le choix devient compliqué. Pour le poste d’ailier fort, Kristaps Porzingis (New York Knicks, Lettonie) est évidemment indiscutable (en supposant, comme pour tous les autres, qu’il n’est pas blessé). Plusieurs noms se proposent pour la place de remplaçant (Rodions Kurucs, Paulius Jankunas, Donatas Motiejunas, Andrey Vorontsevitch) mais nous leur préférons le talentueux Géorgien Tornike Shengelia (Vitoria).\\n\\nQuant au poste de pivot, il serait dans notre équipe « fantasmée » occupé par Jonas Valenciunas (Toronto Raptors, Lituanie) et par le fils de l’immense (à tous les sens du terme) Arvydas, Domantas Sabonis (Indiana Pacers, Lituanie). Entre Timofey Mozgov (Orlando Magic, Russie), Alex Len (Atlanta Hawks, Ukraine), Arturas Gudaitis (Milan, Lituanie), Artsiom Parakhouski (Vilnius, Belarus), Giorgi Shermadini (Malaga, Géorgie), plusieurs joueurs de très bon niveau pourraient les remplacer en cas de besoin, mais nous donnerions sans doute le poste à Goga Bitadze (Buducnost Podgorica, Géorgie), joueur de 19 ans et 2,11 m produisant déjà 11,5 points, 5,9 rebonds et 1,6 contre en phase de qualification pour le Mondial ou 20,0 points, 7,5 rebonds et 3,5 contres pour ses deux premiers matchs en Euroleague !\\n\\nEn résumé, nous pourrions donc disposer d’une équipe comprenant :\\n\\n– Mantas Kalnietis, Alexey Shved, Davis Bertrans, Kristaps Porzingis, Jonas Valenciunas pour le cinq majeur.\\n\\n– Lukas Lekavicius, Dmitry Kulagin, Sergey Karasev, Tornike Shengelia et Domantas Sabonis pour le deuxième cinq.\\n\\n– Marius Grigonis et Goga Bitadze pour les deux derniers spots.\\n\\nAu total, cinq Lituaniens, trois Russes, deux Lettons et deux Géorgiens.\\n\\nDe quoi donner de sévères suées à pas mal d’adversaires, notamment à l’intérieur. Mais sans doute cette sélection aurait bien du mal face à notre équipe « d’ex-Yougoslavie » comme face aux « vrais » États-Unis.\\n\\nDe toutes les manières, cette sélection ne verra très probablement jamais le jour. Mais il n’est pas interdit de rêver !\\n\\n[armelse]\\n\\nNous avons « rêvé » une équipe de Yougoslavie réunifiée (voir ici – lien). Pratiquement en même temps que ce pays implosait, un autre mastodonte du basket-ball mondial éclatait en mille morceaux, l’URSS (disparue le 25 décembre 1991). Née de la révolution russe de 1917, l’URSS s’est bâtie sous la forme d’un « empire communiste » dictatorial (quel empire ne l’a pas été ?) mais aussi d’un État utilisant le sport comme moyen de propagande. Avec à la clé une immense moisson de médailles en basket-ball entre 1947 et 1990 : 14 médailles d’or, 3 d’argent et 4 de bronze à l’Euro (soient 21 médailles en... 21 éditions de l’Euro !), 3 d’or (1967, 1974 et 1982), 3 d’argent et 2 de bronze aux Mondiaux (soient 8 médailles en... 8 participations !), 2 d’or (la fameuse finale de 1972 et 1988), 4 de bronze et 3 de bronze aux JO (soient 9 médailles en... 9 participations !). Bref, un palmarès incroyable, à 100 % de réussite...\\n\\nBien évidemment, avec l’éclatement de l’URSS, les résultats sportifs des pays issus de cette dissolution s’en sont ressentis, même si la Russie et la Lituanie (principaux pays « fournisseurs » de joueurs à l’époque communiste) présentent de très enviables résultats : pour la Russie, une médaille d’or, une d’argent et 2 de bronze à l’Euro, 2 d’argent au Mondial et une de bronze aux JO ; pour la Lituanie, une d’or, 3 d’argent et une de bronze à l’Euro, une de bronze au Mondial et 3 de bronze aux JO. Des résultats similaires pour des pays diamétralement opposés : 2,8 millions d’habitants sur 65 000 km2 pour la Lituanie, 146,8 millions sur 17 125 000 km2 pour la Russie, donc 52 fois plus peuplée dans un pays 263 fois plus vaste ! Et pourtant, c’est le « nain » qui présente le meilleur bilan depuis 1990...\\n\\nSélection contrastée\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Kristaps Porzingis (Chris Elise, BasketUSA) et Alexey Shved (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"NM1, LFB, LF2, N1F: 15 clubs sanctionnés par le contrôle de gestion !" }, {"role": "assistant", "content":"Conformément aux dispositions du Titre VII des Règlements Généraux FFBB, la Commission de Contrôle de Gestion s’est réunie les 11, 12 et 13 Décembre 2018 pour statuer sur les clubs LFB/LF2/NM1, à partir des comptes définitifs 2017/18. Voici ses décisions.\\n\\nDans le cadre de ces séances, la Commission a eu à se prononcer sur 15 procédures ouvertes au préalable, ouvertes à l’encontre de certains clubs.\\n\\nVous retrouverez ci-après les décisions adoptées par la Commission de Contrôle de Gestion. Il convient de rappeler que conformément aux dispositions de l’article 924 des Règlements Généraux FFBB, les clubs peuvent interjeter appel devant la Chambre d’Appel FFBB à l’encontre de ces décisions.\\n\\nIl est par ailleurs indiqué, que l’article L.132-2 du Code du Sport prévoit que les relevés de décisions des organismes de Contrôle de Gestion sont rendus publics.\\n\\nCi-après les décisions de la Commission de Contrôle de Gestion :\\n\\nLFB 2018/19 :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClubs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGriefs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDécisions CCG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRoche Vendée BC\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 2 000 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nESB Villeneuve d’Ascq LM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 4 000 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLF2 2018/19 :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClubs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGriefs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDécision CCG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMontbrison Féminin BC\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSans suite\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBC Saint-Paul Rezé\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 4 000 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18 + Production de documents incomplets, ou non fiables, ou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRetrait de 2 points au classement du championnat LF2 2018/19\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNF1 2018/19 :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClubs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGriefs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDécision CCG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nS. Illkirch Graffenstaden\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 2 000 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNM1 2018/19 :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClubs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGriefs\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDécision CCG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nUS Aubenas Basket\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 2 450 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLa Charité Basket 58\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalités financières de 2 800 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGET Vosges\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18 + Production de documents incomplets, ou non fiables, ou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalités financières de 6 200 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCEP Lorient\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18 + Production de documents incomplets, ou non fiablesou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 1 600 €\\n\\n\\nRetrait de points au classement du championnat NM1 2018/19 :\\n\\n\\n. 3 points en Phase 1 . 2 points en Phase 2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSAS SP BC Orchies\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 6 000 €\\n\\nRetrait d’1 point au classement du championnat NM1 2018/19 (Phases 1 et 2)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRueil AC Equipe 1ère\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18 + Production de documents incomplets, ou non fiables, ou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 9 700 € Interdiction de recrutement à l’encontre de l’équipe première masculine du club pour la saison 2018/2019\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSASP St Quentin Basket-Ball\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDépassement de l’encadrement des charges de personnel 2017/18 + Non-respect du budget validé 2017/18 + Non- respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 1 500 €\\n\\n\\nRetrait de points au classement du championnat NM1 2018/19 :\\n\\n\\n. 3 points en Phase 1 . 2 points en Phase 2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVendée Challans Basket\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNon-respect du budget validé 2017/18 + Non-respect de l’obligation de constitution du fonds de réserve 2017/18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPénalité financière de 1 800 €\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEtoile de Charleville Mézières Ardennes\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nProduction de documents incomplets, ou non fiables, ou ne présentant pas la réalité de la situation financière du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRetrait d’1 point au classement du championnat NM1 2018/19 (Phases 1 et 2)\\n\\n\\nInterdiction de recrutement à l’encontre de l’équipe première du club\\n\\n\\n\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"Le concours de photos de la FIBA est ouvert" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Internationale a lancé son désormais annuel concours de photos ouvert à tous. Le thème cette année est « comment le basket-ball peut-il changer une vie? » Des prix récompenseront les meilleures photos.\\n\\nVos photos sont à envoyer ici.\\n\\nOn vous laisse apprécier le cliché... stupéfiant du vainqueur de l’édition de 2018, Mario Bejagan Cardenas, pris... dans un cimetière." }, {"role": "user", "content":"Leaders Cup: Qui va accompagner l’ASVEL et Pau ?" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la dernière journée aller est programmé ce week-end, seuls Lyon-Villeurbanne et Pau-Lacq-Orthez sont assurés de participer à la Leaders Cup (15-17 février). Comme pas moins de dix équipes sont entre 8 et 10 victoires, il existe de multiples combinaisons pour déterminer les 8 élus sachant que certains candidats s’affrontent directement.\\n\\nPour vous permettre de vous faire votre propre idée, voici le classement actuel avec les attaques/défenses et le programme du week-end.\\n\\n\\n\\n\\n\\nEquipe\\n\\n% vict.\\nMatches\\n\\n\\n\\n\\nMJ\\nV\\nD\\n\\n\\nAtt\\nDef\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\nASVEL\\n81.3%\\n16\\n13\\n3\\n\\n\\n83.3\\n73.9\\n\\n\\n2\\n\\nPau\\n68.8%\\n16\\n11\\n5\\n\\n\\n80.8\\n76.2\\n\\n\\n3\\n\\nNanterre\\n62.5%\\n16\\n10\\n6\\n\\n\\n81.8\\n78.8\\n\\n\\n4\\n\\nBourg-en-Bresse\\n62.5%\\n16\\n10\\n6\\n\\n\\n81.9\\n79.8\\n\\n\\n5\\n\\nDijon\\n62.5%\\n16\\n10\\n6\\n\\n\\n78.1\\n73.2\\n\\n\\n6\\n\\nLevallois\\n56.3%\\n16\\n9\\n7\\n\\n\\n83\\n81.8\\n\\n\\n7\\n\\nStrasbourg\\n56.3%\\n16\\n9\\n7\\n\\n\\n81.3\\n78.6\\n\\n\\n8\\n\\nGravelines\\n56.3%\\n16\\n9\\n7\\n\\n\\n81.4\\n82.4\\n\\n\\n9\\n\\nLimoges\\n56.3%\\n16\\n9\\n7\\n\\n\\n82.6\\n81.3\\n\\n\\n10\\n\\nLe Mans\\n50%\\n16\\n8\\n8\\n\\n\\n82.1\\n80.2\\n\\n\\n11\\n\\nBoulazac\\n50%\\n16\\n8\\n8\\n\\n\\n77.1\\n77.6\\n\\n\\n12\\n\\nMonaco\\n50%\\n16\\n8\\n8\\n\\n\\n78.9\\n76.3\\n\\n\\n13\\n\\nChâlons-Reims\\n43.8%\\n16\\n7\\n9\\n\\n\\n82.5\\n87.2\\n\\n\\n14\\n\\nChalon/Saône\\n43.8%\\n16\\n7\\n9\\n\\n\\n87.5\\n83.6\\n\\n\\n15\\n\\nLe Portel\\n31.3%\\n16\\n5\\n11\\n\\n\\n80\\n85.3\\n\\n\\n16\\n\\nCholet\\n25%\\n16\\n4\\n12\\n\\n\\n79.9\\n87.9\\n\\n\\n17\\n\\nFos-sur-Mer\\n25%\\n16\\n4\\n12\\n\\n\\n77.6\\n84.8\\n\\n\\n18\\n\\nAntibes\\n18.8%\\n16\\n3\\n13\\n\\n\\n75.8\\n86.8\\n\\n\\n\\n\\nSamedi 19 janvier:\\n\\n18h30 Le Mans/Dijon\\n\\n20h00 Villeurbanne/Cholet\\n\\n20h00 Strasbourg/Bourg\\n\\n20h00 Fos/Gravelines\\n\\n20h00 Nanterre/Chalon\\n\\n20h00 Le Portel/Monaco\\n\\nDimanche 20 janvier\\n\\n18h30 Limoges/Pau\\n\\nLundi 21 janvier\\n\\n20h45 Boulazac/Châlons-Reims\\n\\nPhoto: DeMarcus Nelson (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Antoine Michon (Caen) vers la sortie" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré la victoire du Caen BC à Quimper (79-85), le club normand a décidé de se séparer de son coach Antoine Michon arrivé l’été dernier et qui est sous contrat jusqu’en 2020 indique Ouest France. Les dirigeants caennais l’ont rencontré pour lui notifier qu’il fait l’objet d’une mise à pied à titre conservatoire. Une procédure traditionnelle avant un licenciement.Le CBC est actuellement avant-dernier de Pro B.\\n\\nMichaël Déjardin, responsable technique du centre de formation, assurera l’intérim pour la venue de Gries-Oberhoffen en attendant la nomination d’un nouveau coach." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Selon Eurobasket.com, Bourges est le 3e club d’Europe, Montpellier le 8e" }, {"role": "assistant", "content":"Comme pour les masculins, le site eurobasket.com réalise un ranking actualisé pour les clubs féminins européens. Sont pris en compte les résultats dans les ligues nationales, ceux dans les deux coupes d’Europe, les résultats lors des cinq dernières semaines, sachant que ceux en playoffs rapportent plus de points que ceux obtenus en saison régulière. Les pays sont classés aussi en fonction des résultats obtenus les saisons précédentes.\\n\\nSi deux clubs russes, le Dynamo Kourks et UMMC Ekaterinbourg sont en tête, le Tango Bourges Basket se classe troisième et Lattes-Montpellier huitième.\\n\\nSix autres équipes apparaissent dans le top 100: Lyon 14e, Basket Landes 35e, Tarbes 39e, Charleville 69e, Villeneuve d’Ascq 70e, Nantes-Rezé 86e,\\n\\n\\n\\n\\n1. Kourks\\n\\n192\\n\\n\\n2. Ekaterinb.\\n\\n191\\n\\n\\n3.Bourges\\n\\n167\\n\\n\\n4.Girone\\n\\n165\\n\\n\\n5.Cukurova\\n\\n163\\n\\n\\n6.Prague\\n\\n159\\n\\n\\n7.Salamanque\\n\\n154\\n\\n\\n8. Montpellier\\n\\n154\\n\\n\\n9.Fenerbahce\\n\\n152\\n\\n\\n10.Sopron\\n\\n150\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Cristina Ouvina (Bourges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Allemagne: Hambourg devrait bénéficier d’une nouvelle salle" }, {"role": "assistant", "content":"A Hambourg, il y a deux salles. La Alsterdorfer Sporthalle qui contient de 4 200 à 7 000 places et la Barclaycard Arena qui peut recevoir près de 14 000 spectateurs pour le handball. La première est jugée un peu étroite et la seconde un peu trop large pour l’ordinaire. Qu’à cela ne tienne !\\n\\nLe projet d’une nouvelle arèna multifonctionnelle a vu le jour. Son nom, l’Elbdome du nom du fleuve qui traverse la ville. Elle permettrait d’accueillir entre 6 et 9 000 spectateurs. Son coût: environ 150 millions d’euros.\\n\\nL’Elbdome serait vouée à servir de résidence à deux clubs: celui de handball, le HSV Hambourg et celui de basket, les Hamburg Towers actuellement deuxième de Pro A, ce qui correspond... à notre Pro B. Des concerts, des congrès et des foires seraient également programmés à l’Elbdome qui devrait être financée par des fonds privés." }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 7. La Chorale de Roanne s’est enfin imposer à Saint-Chamond" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne avait perdu les six derbies de la Loire face à Saint-Chamond. La septième tentative a été la bonne. Les hommes de Laurent Pluvy ont été s’imposer hier soir chez leur bête noire, 83-76.\\n\\nFerndinand Prénom (18 points et 7 rebonds), Matt Carlino (16 points, 5 passes) et Clément Cavallo (11 points, 6 rebonds) on été les plus prolixes. C’est pourtant le SCBVG qui était en tête à la 30e minute (59-55) mais Matt Carlino a été transcendant dans le money time marquant 12 de ses 16 points dans le dernier quart-temps. Les hommes d’Alain Thinet ont perdu 26 balles et concédé 16 rebonds offensifs. Beaucoup trop !\\n\\nAvec deux victoires d’avance sur Orléans et Vichy-Clermont, Roanne est toujours un solide leader de la Pro B." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Strasbourg-Klaipeda" }, {"role": "assistant", "content":"La série noire continue pour la SIG qui, hier soir, pour le compte de la Basketball Champions League, s’est fait dominer au Rhénus par les Lituaniens du Neptunas Klaipeda, 80-90. Voici les highlights du match." }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Andrew Albicy au sommet de son art" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAndrew Albicy à 31 d’éval’ !\\n\\nLe meneur tricolore d’Andorre réalise à nouveau une grande saison en Liga. 3e meilleur passeur et 4e meilleur intercepteur la saison dernière, Albicy confirme cette saison qu’il fait partie des meilleurs meneurs du meilleur championnat européen.\\n\\nAvec un double double à 17 points et 10 passes, il réalise tout simplement le meilleur match de sa saison à 31 d’évaluation, avec un parfait 6/6 à deux points. C’est aussi son meilleur match en carrière en Liga ! Avec des prestations de premier ordre en EuroCup également, Albicy est au sommet de son art.\\n\\n\\n\\n\\n☝️🏀@andrewalbicy per @gcolom24 és l'assistència segura @catalanaocc del partit d'ahir.#MaiPor pic.twitter.com/kKe6MmTHBD\\n\\n\\n— MoraBancAndorra (@morabancandorra) January 13, 2019\\n\\n\\nFabien Causeur se remet en selle\\n\\nPar ailleurs, Fabien Causeur a bien rebondi après un 0 pointé la semaine passée. Il termine à 14 points et 3 passes dans la victoire étriquée du Real Madrid. Il nous avait déjà fait le coup entre la 13e journée (2 petits points) et la 14e journée (12 points, 5 passes, 4 rebonds).\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=PG4CcPaarnI\\n\\n\\nLes Français du Barça champions d’hiver\\n\\nOfficiellement champions d’hiver pour la première fois depuis 2011, le Barça (14 victoires – 2 défaites) peut être satisfait de sa première partie de saison. Cela brise une hégémonie de 2 saisons du Real Madrid, actuellement 3e avec le même bilan que Vitoria (12 victoires – 4 défaites).\\n\\nThomas Heurtel a encore été solide aux manettes ce week-end dans la victoire contre Breogan. Il termine à 10 points et 5 passes en 15 minutes de jeu seulement. De même, Kevin Séraphin a été ménagé avec 7 minutes de jeu seulement, pour 4 points.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=aRqZz893p6k\\n\\n\\nLanding Sané réussit son meilleur match\\n\\nDepuis 8 matchs de Ligue Adriatique, Landing Sané n’avait toujours pas atteint les doubles figures. C’est chose faite depuis ce weekend avec un match très complet et efficace pour 24 d’évaluation. Avec 12 points, 8 rebonds, 4 interceptions, 3 passes et 1 contre, Sané était partout sur le terrain dans la victoire de son équipe.\\n\\n\\nBandja Sy décolle !\\n\\nS’il fait air ball sur son tir à trois points dans le coin, Bandja Sy a bien fini son action. Sur une passe d’Alex Renfroe qui passait par là, Sy a décollé pour un poster mémorable contre Novo Mesto. Il finit avec 13 points et 6 rebonds dans un succès cavalier seul du Partizan.\\n\\n\\nLe duel de Moscou pour le CSKA\\n\\nEncore en rodage cette saison, le CSKA Moscou n’a pas été aussi dominateur qu’à son habitude face à un Khimki en regain de forme pour le coup. Mais ce sont bien les coéquipiers de Nando De Colo (7 points, 4 rebonds, 2 passes) qui remportent le derby de la capitale russe (75-65). Nando a été un peu tête en l’air avec 5 ballons perdus.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 17 points (7/9 aux tirs), 10 passes, 3 interceptions, 2 rebonds, 1 balle perdue en 29 minutes (victoire 97-88 face à Burgos)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 14 points (5/8 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 98-96 face à Saragosse)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 10 points (4/7 aux tirs), 5 passes, 1 interception, 1 rebond en 15 minutes (victoire 94-80 face à Lugo)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 8 points (3/4 aux tirs), 1 rebond en 17 minutes (défaite 83-67 face à Valence)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 6 points (3/3 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 16 minutes (victoire 83-67 face à Gran Canaria)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 4 points (2/5 aux tirs), 6 rebonds, 4 balles perdues en 14 minutes (victoire 82-76 face à Estudiantes)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 4 points (2/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes (victoire 94-80 face à Lugo)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 1 point (0/1 au tir), 6 rebonds, 4 interceptions, 2 contres, 1 passe, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 68-67 face à Badalone)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 1 passe en 4 minutes (victoire 83-67 face à Gran Canaria)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception en 13 minutes (victoire 80-77 face à Patras)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 15 minutes (victoire 76-74 face à Rethymno)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 0 point (0/4 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 18 minutes (défaite 82-76 face à Holon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 15 points (5/10 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 86-79 face à Varese)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 2 points (1/4 aux lancers), 1 rebond en 5 minutes (défaite 102-98 face à Pesaro)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 12 points (5/6 aux tirs), 8 rebonds, 4 interceptions, 3 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 89-81 face à Zadar)\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (2/5 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 87-70 face au FMP Belgrade)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 19 points (6/9 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception en 29 minutes (victoire 98-95 face à Szczecin)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 7 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 5 balles perdues en 15 minutes (victoire 75-65 face au Khimki)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : pas de match\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 13 points (5/8 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 87-55 face à Novo Mesto)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 8 points (3/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 91-78 face à Ljubljana)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 5 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 10 minutes (victoire 89-64 face à Sakarya)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 97-78 face à Afyon)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 97-78 face à Afyon)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Poirier et Lessort brillent en Liga\\n\\nCrédits photo : ACB\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAndrew Albicy à 31 d’éval’ !\\n\\nLe meneur tricolore d’Andorre réalise à nouveau une grande saison en Liga. 3e meilleur passeur et 4e meilleur intercepteur la saison dernière, Albicy confirme cette saison qu’il fait partie des meilleurs meneurs du meilleur championnat européen.\\n\\nAvec un double double à 17\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Ventspils-Le Mans" }, {"role": "assistant", "content":"En sombrant dans le dernier quart-temps (16-27), Le Mans a échoué dans sa tentative de s’imposer à Ventspils en Lettonie (77-88). Les Sarthois conservent le point average mais leurs chances de qualification apparaissent désormais bien minces. Voici les highlights du match.\\n\\nPhoto: Juice Thompson (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Châlons-Reims prolonge d’un mois la pige de Yannis Morin" }, {"role": "assistant", "content":"Le CCRB a prolongé d’un mois la pige médicale de l’intérieur Yannis Morin (2,08m, 25 ans) qui s’étend ainsi jusqu’au 15 février.\\n\\nLe champion de France 2018 avec Le Mans en est à 8,1 points (60,4% de réussite aux tirs) et 3,4 rebonds pour 10,7 d’évaluation à raison de 19′ en moyenne en 9 matches." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Gravelines-Le Portel, côté terrain et côté supporters" }, {"role": "assistant", "content":"L’Opalico Gravelines-Le Portel en vidéo, côté terrain et côté supporters." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Landerneau, Terre de Breizh" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Féminine propose un documentaire réalisé par Julien Chesneau et Damien Mingot sur le Landerneau Bretagne Basket, promu cette saison dans l’élite du basket féminin français. On y trouve les témoignages de Stéphane Leite (entraîneur), Erwan Croguennec (président), Marie Butard (capitaine) et Patrick Leclerc (maire de Landerneau) pour mieux comprendre la montée en puissance du premier club breton en LFB depuis Rennes. Le docu est intitulé « Landerneau, Terre de Breizh ».\\n\\nPhoto: Landerneau BB\\n\\nhttps://www.facebook.com/liguefemininedebasket/videos/310052389624886/" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Briana Day (Nantes-Rezé) élue Joueuse de la Semaine" }, {"role": "assistant", "content":"Classé 23e au ranking après la saison régulière, Nantes-Rezé a créé une (bonne) surprise en éliminant les Polonaises de Energa Torun lors du premier tour des playoffs de l’Eurocup, 86-79 et 77-81.\\n\\nLa pivot américaine Briana Day (1,93m, 24 ans) a joué un rôle majeur lors du match retour en Pologne en réalisant un étonnant double double: 24 points et 22 rebonds plus 2 passes et 2 contres. Cela lui vaut d’être élu Joueuse de la semaine en Eurocup.\\n\\nL’Américaine est venue en Loire-Atlantique pour suppléer Elodie Bertal-Christmann qui après avoir signé au NRB a pris sa retraite sportive en raison d’une maternité. Formée à Syracuse, Briana Day évoluait la saison dernière en Belgique, à Namur. Elle tourne en double double en Eurocup avec 14,0 points et 11,6 rebonds et aussi 1,3 contre. Bref, une bonne affaire.Photo: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’interview de Mathias Lessort avant le match Malaga-Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, le Limoges CSP est à Malaga pour la troisième journée du top 16 de l’Eurocup et y affronter Unicaja qui a pour l’instant un bilan équilibré d’une victoire et une défaite.\\n\\nDans l’effectif espagnol, le pivot international français Matthias Lessort tourne à 10,3 points (65,7% aux tirs) et 4,8 rebonds en 21′ de moyenne.\\n\\nFrance 3 Limousin a réalisé cette interview.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball\\n\\nhttps://www.facebook.com/france3limousin/videos/288645412008935/" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Paul Lacombe, Vitalis Chikoko ou Miro Bilan: Qui sera élu le Joueur du Mois de Décembre ?" }, {"role": "assistant", "content":"Paul Lacombe (Monaco), Vitalis Chikoko (Pau) et Miro Bilan (Lyon-Villeurbanne) sont les trois nominés pour l’élection du Joueur du Mois de Décembre de la Jeep Elite.\\n\\nPaul Lacombe a établi durant la période 18,5 points, 6,7 rebonds, 5,5 passes, 2,7 interceptions et 23,7 d’évaluation. Vitalis Chikoko 19,2 points , 5,5 rebonds, 2,0 passes, et 21,7 d’évaluation et Miro Bilan 18,2 points, 7,7 rebonds, et 20,2 d’évaluation.\\n\\nVous pouvez voter ICI.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/526421431181606/" }, {"role": "user", "content":"Strasbourg cherche un backup à Mike Green" }, {"role": "assistant", "content":"Après s’être fait piéger par Châlons-Reims au Rhénus (90-97), la SIG Strasbourg s’est donc fait rincer par la JDA Dijon en Bourgogne (55-80). La voici doublement au pied du mur. En Basketball Champions League où elle reçoit ce soir les Lituaniens du Neptunas Klapeida. Ce sera toujours sans Mardy Collins, touché au genou. Or les Alsaciens (6-4) ont besoin d’une victoire s’ils veulent sécuriser leur place dans le quatuor de tête. Puis, samedi, toujours au Rhénus, pour battre Bourg et ainsi se voir délivrer un billet pour la Leaders Cup.\\n\\nLes DNA ont interrogé le président Martial Bellon qui évidemment a fait part de son mécontentement.\\n\\n« Clairement, après un début de saison plutôt correct, nos leaders ne sont pas au rendez-vous. Cette année, on a construit une équipe qu’on pensait hiérarchisée, contrairement à celle de l’année dernière. On a essayé de tenir compte des erreurs de la saison passée, mais ça suppose, dans la mesure où vous hiérarchisez une équipe, que les leaders tiennent leur rôle. Et ce n’est clairement pas le cas (...) Je me suis adressé aux joueurs le 5 janvier, pour les placer en face de leurs responsabilités. Je n’avais plus pris la parole depuis la défaite contre Monaco en avril dernier, un match de sinistre mémoire également ; quand je convoque les joueurs pour leur parler, ils savent que c’est important. »\\n\\nOn l’a vu face à la JDA, le meneur Mike Green est actuellement dans une mauvaise passe et le staff estime qu’il a besoin d’un backup.\\n\\n« Ludovic (Beyhurst) apporte des choses, mais il faut encore qu’il progresse et ce n’est pas à lui de porter l’équipe sur ses épaules. On a des pistes, mais il ne s’agit pas de prendre n’importe qui non plus. »\\n\\nPhoto: Mike Green (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Solo Diabaté (SLUC Nancy) : «J’ai eu peur pour ma carrière, mais aussi pour ma santé»" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé à Nancy en septembre, Souleyman Diabaté (1,83m, 31 ans) a d’abord été recalé de la visite médicale. Un problème au coeur lui a été diagnostiqué, suite à une contre expertise de la LNB, il a été déclaré apte à jouer. En toute sincérité, l’international ivoirien revient sur cet épisode compliqué, sur sa saison en Macédoine ou encore sur les chances de la Côte d’Ivoire de se qualifier pour la coupe du Monde.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue s’est-il passé lors de votre arrivée à Nancy ?\\n\\nC’était en septembre, je revenais des matchs de qualification pour la coupe du Monde avec la Côté d’Ivoire. J’arrive à Nancy, j’étais en contact permanent avec le coach, je viens pour signer le contrat, ce qui a été fait sauf qu’à la visite médicale on me dit que j’ai un problème au coeur. Ils m’ont dit qu’il fallait que j’arrête le basket. Avec mon agent, nous avons logiquement décidé de faire une contre expertise que l’on a réalisé avec le médecin de la LNB, qui m’a dit que j’étais apte à jouer. A partir de ce moment-là on est entré dans une sorte de bras de fer avec Nancy (sourire). Entre temps ils ont signé John Cox et je sais qu’ils avaient une masse salariale encadrée donc c’était un peu compliqué de trouver un terrain d’entente. J’avais envie de venir à Nancy et le club voulait que je signe donc il suffisait juste de trouver le bon compromis, ce qui a été fait grâce au président et au coach. Je suis très content d’être là !\\n\\nAvez-vous eu peur que votre carrière soit terminée ?\\n\\nSi... Pendant l’attente du résultat de la contre expertise j’y pensais tout le temps. La résultat a mis du temps à arriver donc avec mon agent on commençait à se poser la question de savoir si ce n’était pas parce que les résultats étaient négatifs que ça mettait autant de temps... Donc oui j’ai eu peur pour ma carrière, mais au-delà du basket j’ai eu peur pour ma santé. C’est difficile de se dire qu’on est malade, en plus le coeur ce n’est pas la cheville ou le genou, c’est sérieux. Je suis passé par plusieurs sentiments (sourire) !\\n\\nQu’avez-vous fait pendant ce temps ?\\n\\nJe me suis entraîné, mais je n’aime pas trop aller m’entraîner avec les équipes même si mon agent avait parlé avec le coach de Rouen qui était d’accord pour m’accueillir pour m’entraîner. Finalement je n’y suis pas allé parce que je n’étais pas sûr, j’attendais la réponse de la ligue, mais j’ai continué à jouer au basket avec des amis. J’ai continué à m’entraîner tout seul, c’était moins intense forcément donc au cas où les nouvelles n’étaient pas bonnes, c’était moins de risques de pris. J’ai continué de m’entretenir comme ça, tout seul ou avec des amis.\\n\\nComment vous sentez-vous physiquement ?\\n\\nHonnêtement, les deux premiers jours j’avais beaucoup de courbatures. maintenant, ça va. Je pense que je suis encore dans l’excitation de la reprise, il va falloir attendre deux ou trois semaines avant de pouvoir vraiment juger mon état physique. Mais ça va, j’ai fait des trucs à l’entraînement que je ne pensais pas pouvoir faire après tout ce temps d’arrêt. Je suis content et je pense que le coach est aussi agréablement surpris par ma forme actuelle qui n’est pas celle qu’il attendait forcément, mais qui est quand même au-dessus de celle qu’il croyait ! Pour l’instant tout le monde est content.\\n\\n« J’ai signé jusqu’en 2020 mais pourquoi pas prolonger après si tout se passe bien et que le club veut aussi me garder »\\n\\nC’est un club que vous connaissez déjà et vous avez joué votre meilleur basket en France, dans quel état d’esprit arrivez-vous ici ?\\n\\nJe connais déjà le club et le coach, c’est très positif pour moi. Je connais pas mal de monde, Marcellus Sommerville et John Cox, on a l’habitude de jouer les uns contre les autres. Meridis Houmounou, Philippe Braud, j’ai joué avec, etc. L’intégration a été assez simple. J’arrive en me disant que le SLUC est sixième alors que l’objectif c’est de monter donc je me dit qu’il faut que je sois prêt tout de suite, qu’il faut que je sois performant tout de suite, même si je sais que j’aurai forcément besoin de temps. Je dois être exigeant avec moi-même pour répondre aux objectifs du club. Il faut performer tout de suite personnellement et en tant qu’équipe. Je suis très, très motivé.\\n\\nC’est le challenge de remonter en Jeep Elite qui vous intéresse ?\\n\\nC’est sûr. Mais j’ai aussi beaucoup bougé ces derniers temps donc j’étais à la recherche de stabilité. Châlons-Reims m’avait aussi proposé un contrat de deux ans, mais pour des raisons que moi-même je ne serais pas capable d’évoquer j’ai refusé. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai pas accepté le contrat (rires). Tant pis pour moi. Aujourd’hui, je suis content d’être à Nancy. C’est un bon challenge pour moi. J’ai beaucoup apprécié mon passage ici donc si je peux participer à leur montée, ce serait la possibilité de laisser une trace à Nancy donc ça serait sympa (sourire).\\n\\nQue pensez-vous du championnat de Pro B ?\\n\\nJe ne connais pas la Pro B, j’ai uniquement vu quelques matchs de Rouen et je trouve qu’ils jouent un bon basket. Mais je dois avouer que je ne connais pas du tout la Pro B. J’ai eu différent échos. D’un côté, on m’a dit que c’est très difficile de jouer en Pro B et d’un autre côté on m’a dit que c’est plutôt facile. Chacun son jugement, on verra.\\n\\nQue pensez-vous du SLUC ?\\n\\nOn a une bonne équipe parce que le coach a réussi à bien mixer entre jeunesse et expérience. Il y a un peu de tout, mais c’est à nous de trouver la bonne alchimie pour aller tous dans la même direction. Et je pense que c’est déjà le cas donc à moi de me mettre dans le rang. L’équipe est vraiment bien, il y a une bonne ambiance, on s’entraine vraiment bien avec beaucoup d’intensité. Il y a beaucoup de talent donc si on est sérieux on devrait pouvoir y arriver.\\n\\nVotre priorité était-elle de revenir en France ?\\n\\nPas spécialement, mais à 31 ans j’avais peut-être aussi envie de me poser pour retrouver une certaine stabilité. Pour moi Nancy c’est un bon choix, même si c’est la Pro B. Je pense que c’est un bon choix, c’est un bon challenge, et si on arrive à atteindre notre objectif pourquoi pas s’inscrire dans la durée avec Nancy. J’ai signé jusqu’en 2020 mais pourquoi pas prolonger après si tout se passe bien et que le club veut aussi me garder. Personnellement je ne serais pas contre, mais étape par étape. Pour l’instant il faut déjà monter en Jeep Elite.\\n\\n« On nous donne nos primes... pas à temps, mais ce n’est pas ça le plus important. Le plus important c’est de pouvoir participer aux différentes compétitions »\\n\\nQue pensez-vous de votre expériences en Macédoine ?\\n\\nEn Macédoine je n’ai pas pu expérimente leur championnat parce qu’il commençait en mars et je suis parti en février. Avec eux je jouais uniquement en Ligue Adriatique et en Eurocup. Mais la Ligue Adriatique... Magnifique ! Personnellement j’ai beaucoup aimé. Tous les gens qui ont joué dans ce championnat diront que c’est bien parce que le niveau est bon et c’est un style de jeu différent. J’ai beaucoup aimé. L’Eurocup aussi était intéressante même si on n’avait pas de chance d’aller loin. On a voyagé, on a joué contre des bonnes équipes. C’était une découverte enrichissante.\\n\\nAu niveau de l’organisation du club ?\\n\\nJe ne suis pas tellement à cheval sur ces choses-là, mais je trouve quand même que le minimum était fait. Du moment que je suis bien logé et que la salle d’entrainement est bien, pour moi tout est bon. Le reste ce sont des détails qui m’importent peu. Au niveau des contrats c’est globalement la même chose qu’en France sauf qu’il faut toujours faire attention dans ce genre de pays... En France, on a la chance d’avoir des loi qui concernent tout ça, mais là-bas... Justement j’ai dû aller jusqu’au tribunal de la FIBA avec le club de Macédoine.\\n\\nY a-t-il encore une possibilité pour que la Côte d’Ivoire se qualifie pour la Coupe du monde ?\\n\\nOui, mais c’est vrai que c’est compliqué. On a trois matchs, on doit avoir un différentiel de point total de 65 points après ces trois matchs. Je pense qu’on a des chances de battre le Mali de 30 points, sans leur manquer de respect. Ils ne jouent rien donc ils auront beaucoup d’absents. C’est une opportunité à saisir. Le Rwanda ne joue rien non plus donc c’est aussi à prendre. Ensuite, on verra contre le Nigeria, mais il faut déjà que l’on gagne nos trois matchs.\\n\\nEst-ce bien organisé autour de la sélection nationale ?\\n\\nC’était bien organisé à un certain moment. Je pense qu’aujourd’hui on a perdu un peu de professionnalisme et beaucoup de moyens financiers. A l’époque, le président de la fédération nationale était quelqu’un de très riche qui injectait son propre argent dans la fédération. Il travaillait aussi au ministère des sports donc c’était plus facile pour débloquer des fonds. Aujourd’hui on a un peu de mal mais on arrive quand même à faire le minimum. On nous donne nos primes... pas à temps, mais ce n’est pas ça le plus important. Le plus important c’est de pouvoir participer aux différentes compétitions.\\n\\n« Je pense à des business en Côte d’Ivoire »\\n\\nPape Philippe Amagou qui a été votre coéquipier en sélection et à Roanne vient de prendre sa retraite. Pensez-vous à votre reconversion ?\\n\\nForcément, on y pense tous. J’ai d’ailleurs parlé à Pape il y a pas longtemps, il m’a dit qu’il a aussi arrêté à cause de ses problèmes de dos sinon je pense qu’il aurait continué. Aujourd’hui il travaille dans les finances. Chacun sa reconversion. Personnellement, je pense à des business en Côte d’Ivoire.\\n\\nComment vous étiez-vous retrouvé en France, au centre de formation de Dijon à l’époque ?\\n\\nJ’ai ma sœur qui habite avec son mari à Paris. A l’époque où j’ai commencé le basket en Côte d’Ivoire, son mari a écrit un mail au président de la Fédération Française de basket en lui disant qu’il avait un beau-frère qui joue en Afrique et qui aimerait bien venir en France pour jouer. J’ai beaucoup de chance parce que Charenton a répondu. Apparemment Michael Toti, qui est aussi ivoirien a vraiment plus au club donc on m’a fait confiance. A ce moment-là des papiers ont été faits pour que je vienne et finalement je n’ai pas obtenu mon visa. Je suis resté en Côte d’Ivoire un an de plus. L’année d’après, j’ai fait voyage en France avec mon club ivoirien. Du coup je me suis entraîné avec Charenton et je suis resté. C’est comme ça qu’a débuté ma carrière en France. Je suis arrivé à 14 ans, j’ai fait mes trois ans cadets. A l’issue de ça, je devais rester avec la Nationale 2 de Charenton mais ça ne se passait pas très bien avec mon coach. Du coup Dijon et Nancy m’ont contacté pour faire des tests avec le centre de formation. Au SLUC, je n’avais pas beaucoup de chance parce qu’il y avait aussi Seidou N’Joya, qui a un peu le même profil que moi mais qui est plus jeune. A Dijon ça s’était bien passé et c’est monsieur Monclar qui a accepté de me prendre dans le centre de formation et directement entraînement avec les pros. J’ai eu beaucoup, beaucoup de chance.\\n\\nAvez-vous la nationalité française ou avez-vous songé à la demander ?\\n\\nNon pas encore, mais ça fait des années que j’aurais dû l’avoir. Je me souviens qu’à Nancy, à l’époque, le GM m’avait dit qu’il pouvait s’en occuper. Négligeant que je suis j’ai laissé traîner mais je pense que cette année je vais la faire.\\n\\nA la FIBA, vous êtes enregistré comme Mouloukou Souleyman Diabaté. C’est votre premier prénom, Mouloukou ?\\n\\nOui c’est mon premier prénom. Mais tout le monde à l’habitude de m’appeler « Solo », qui est un diminutif de Souleyman en Afrique.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue s’est-il passé lors de votre arrivée à Nancy ?\\n\\nC’était en septembre, je revenais des matchs de qualification pour la coupe du Monde avec la Côté d’Ivoire. J’arrive à Nancy, j’étais en contact permanent avec le coach, je viens pour signer le contrat, ce qui a été fait sauf qu’à la visite médicale on me dit que j’ai un problème au coeur. Ils m’ont dit qu’il fallait que j’arrête le basket. Avec mon agent, nous avons logiquement décidé de faire une contre expertise que l’on a réalisé avec le médecin de la LNB, qui m’a dit que j’étais apte à jouer. A partir de ce moment-là on est entré dans une sorte de bras de fer avec Nancy (sourire). Entre temps ils ont signé John Cox et je sais qu’ils avaient une masse salariale encadrée donc c’était un peu compliqué de trouver un terrain d’entente. J’avais envie de venir à Nancy et le club voulait que je signe donc il suffisait juste de trouver le bon compromis, ce qui a été fait grâce au président et au coach. Je suis très content d’être là !\\n\\nAvez-vous eu peur que votre carrière soit terminée ?\\n\\nSi... Pendant l’attente du résultat de la contre expertise j’y pensais tout le temps. La résultat a mis du temps à arriver donc avec mon agent on commençait à se poser la question de savoir si ce n’était pas parce que les résultats étaient négatifs que ça mettait autant de temps... Donc oui j’ai eu peur pour ma carrière, mais au-delà du basket j’ai eu peur pour ma santé. C’est difficile de se dire qu’on est malade, en plus le coeur ce n’est pas la cheville ou le genou, c’est sérieux. Je suis passé par plusieurs sentiments (sourire) !\\n\\nQu’avez-vous fait pendant ce temps ?\\n\\nJe me suis entraîné, mais je n’aime pas trop aller m’entraîner avec les équipes même si mon agent avait parlé avec le coach de Rouen qui était d’accord pour m’accueillir pour m’entraîner.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA/Liga ABA" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Eric Girard (Le Portel): «On a vu un excellent petit meneur»" }, {"role": "assistant", "content":"« On a vu un excellent petit meneur. Au moins pendant vingt minutes, il a amusé les deux nôtres. »\\n\\nLe compliment vient du coach de l’ESSM Le Portel, Eric Girard, et s’adresse au nouvel américain du BCM Gravelines, Kendall Anthony, listé à 1,70m. Il est beaucoup plus grand que l’ancien Manceau et Villeurbannais Shawnte Rogers, 1,63m, mais sa taille défie toutefois les lois du basket.\\n\\nL’ancien étudiant de Richmond sortait du faible championnat islandais avec des statistiques ronflantes (31,5 points, 64,1% à trois-points et 8,8 passes) et le joker médical de Edgar Sosa a prouvé qu’il avait sa place en Jeep Elite. Virevoltant, il s’est fendu de 32 belles minutes pour 15 points (4/11 aux shoots) et 6 passes.\\n\\nPour espérer encore participer à la Leaders Cup, le BCM avait la nécessité de s’imposer au Portel dans cet Opalico et dans une ambiance festive, les Gravelinois ont cette fois résisté à la tentative de retour des Portellois: 86-71. Kendall Anthony a du laisser le trophée de MVP du match à Alain Koffi et ses jambes de jeune homme, auteur de 9 points, 12 rebonds, 4 interceptions, 2 passes et 2 contres." }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Monaco dans l’antre du Partizan Belgrade" }, {"role": "assistant", "content":"Les Monégasques vont disputer ce soir un match crucial du Top 16 d’Eurocup, face au Partizan Belgrade dans le bouillant Aleksandar-Nikolic Hall. Quelques semaines après y avoir triomphé, face à l’Etoile Rouge de Belgrade (91-75 le 14 novembre dernier), les hommes de Saso Filipovski tenteront de réitérer leur exploit face à l’autre club de la capitale serbe.\\n\\nBattu à Vilnius lors de la première journée de Top 16 (80-74), le Partizan s’est ensuite repris face à Berlin la semaine dernière, en s’imposant facilement à domicile, 78-66. Ainsi, à la veille de cette journée du Groupe E, toutes les équipes, y compris Monaco, ont 1 victoire et 1 défaite au compteur. Meilleur marqueur de l’équipe belgradoise, Vanja Marinkovic devra être surveillé de très près dans la peinture. Le jeune arrière serbe de 22 ans tourne à 13,1 points par match depuis le début de la compétition.\\n\\nCette rencontre face au Partizan sera également l’occasion pour le capitaine monégasque, Amara Sy, de retrouver son petit frère, Bandja. Joueur important de son groupe, il était encore dans le cinq majeur face à Alba Berlin, scorant 10 points avec un 2 sur 3 à 3-points.\\n\\n« Le Partizan a changé d’entraîneur (NDLR: est arrivé l’Italien Andrea Trinchieri, 50 ans) et cette équipe a évolué, elle joue très collectif, avec une grosse défense. Il faudra respecter la balle, car chaque ballon perdu est sanctionné par une contre-attaque. Le Partizan s’est renforcé avec deux nouveaux joueurs (Alex Renfroe et le pivot serbe Nikola Jankovic). L’atmosphère de la salle fait que l’on ne s’entend pas. Il faudra jouer avec beaucoup de concentration, se regarder dans les yeux et faire front, » a annoncé Filipovski avant de s’envoler pour Belgrade.\\n\\nAvec le retour de Gerald Robinson et l’arrivée d’Eric Buckner, la Roca Team retrouve des couleurs.\\n\\n« Gerald a beaucoup d’envie et de jus... Il faut du temps pour intégrer un nouveau joueur, mais Eric nous offre de nouvelles options très intéressantes dans la peinture. On a vu qu’il peut aussi jouer en même temps qu’Elmedin Kikanovic », souligne le coach de la Roca Team.\\n\\nSamedi soir face aux Antibois, en Jeep Elite, les Monégasques ont été un peu plus adroits que lors des précédentes rencontres en concrétisant 12 de leurs 23 tentatives à 3-points. De quoi espérer avant ce déplacement en Serbie.\\n\\n« On connaît la difficulté de la tâche : le Partizan vient de battre Berlin, ils se sont renforcés avec Alex Renfroe à la mène (12 passes face à l’Alba). Chaque point va compter. Mais on a les moyens de contrarier cette équipe du Partizan et de prendre la victoire », confie Paul Lacombe.\\n\\nPhoto: Jarrod Jones (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Dijon-Strasbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Vivre ou revivre les meilleurs moments de la victoire de la JDA Dijon obtenue hier soir face à la SIG Strasbourg, 80-55." }, {"role": "user", "content":"Levallois: Nobel Bongou-colo en pigiste médical de Rasheed Sulaimon" }, {"role": "assistant", "content":"Nobel Boungou-colo (2,02m, 30 ans) fait son retour en France en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon à Levallois.\\n\\nAprès cinq saisons à Limoges, le natif de Brazzeville est passé par le Khimki Moscou, puis pour la saison 2017-18 par le CDB Séville (13,0 points et 4,0 rebonds en 9 matches) et Auxilium Fiat Turin (6,3 points et 3,0 rebonds en 8 matches). Il était sans club depuis le début de saison.\\n\\nPhoto: Levallois" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Nando De Colo est le joueur que les GM aimeraient embaucher" }, {"role": "assistant", "content":"Euroleague.net a réalisé son traditionnel sondage auprès des généraux managers des clubs d’Euroleague. Trois Français sont distingués.\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) est celui que les GM aimeraient signer, Vincent Poirier (Vitoria) est pour eux le meilleur rebondeur et Rodrigue Beaubois (Efes Istanbul) se classe deuxième au classement des shooteurs les plus purs.\\n\\nEt pour les GM, c’est certain: Fenerbahçe et le Real seront au Final Four!" }, {"role": "user", "content":"VTB League : Ian Hummer (ex-Monaco) vers Novgorod" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, l’ailier américain Ian Hummer (2,01m, 28 ans) a signé dans le club russe du Nizhny Novgorod qui est 9e de la VTB League avec 5 victoires et 7 défaites.\\n\\nL’ancien étudiant de Princeton a été discret en Jeep Elite sous le maillot de Monaco avec 12 matches cette saison à 6,6 points, 4,4 rebonds et 1,2 passe en 19′ de moyenne.\\n\\n\\n\\n\\nIan Hummer has signed with Nizhny Novgorod, I am told.\\nHummer has started the season with AS Monaco\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) January 14, 2019\\n\\nPhoto: ASM" }, {"role": "user", "content":"La phrase: Didier Rey (président de Pau): «Si on pouvait aller les claquer là-bas ça serait bien, ça serait même très très bien»" }, {"role": "assistant", "content":"Dimanche, ce sera la 104e édition du clasico Limoges-Pau. A partir de demain et jusqu’à samedi, BasketEurope va offrir à ses abonnés une série d’articles et d’interviews pour bien comprendre ce que représente ce choc sans nul autre pareil en Jeep Elite.\\n\\nPas besoin d’attendre l’entre-deux pour voir les premières frictions. La preuve, cette punchline du président béarnais Didier Rey sur France Bleu Béarn en date de samedi soir :\\n\\n« On va travailler dur cette semaine pour arriver en pleine forme et puis... ce n’est pas souvent que je tiens des propos comme ça mais vraiment si on pouvait aller les claquer là-bas ça serait bien, ça serait même très très bien »." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Barcelone est champion d’hiver" }, {"role": "assistant", "content":"Même s’il reste encore une journée, le FC Barcelone est certain de terminer premier à l’issue de la phase aller. Grâce à leur victoire ce week-end sur Bréogan (94-80), les Barcelonnais possèdent toujours deux victoires de plus que Vitoria et le Real Madrid.\\n\\nC’est la sixième fois que les Catalans terminent le premier tour de la compétition en tant que leaders depuis la saison 1996-97, saison de la mise en place du système de compétition actuel. Pour reprendre la formulation espagnole, ils sont « champions d’hiver ».\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\n\\n\\nPlace\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\nPts M.\\nPts E.\\n%V\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nF.C. Barcelone\\n16\\n14\\n2\\n1409\\n1211\\n87.50\\n\\n\\n\\n2\\nBaskonia Vitoria\\n16\\n12\\n4\\n1356\\n1135\\n75.00\\n\\n\\n\\n3\\nReal Madrid\\n16\\n12\\n4\\n1421\\n1272\\n75.00\\n\\n\\n\\n4\\nUnicaja Malaga\\n16\\n11\\n5\\n1350\\n1293\\n68.75\\n\\n\\n\\n5\\nIberostar Tenerife\\n16\\n10\\n6\\n1292\\n1214\\n62.50\\n\\n\\n\\n6\\nValence\\n16\\n10\\n6\\n1271\\n1240\\n62.50\\n\\n\\n\\n7\\nBAXI Manresa\\n16\\n9\\n7\\n1304\\n1290\\n56.25\\n\\n\\n\\n8\\nD.S. Joventut Badalone\\n16\\n9\\n7\\n1240\\n1256\\n56.25\\n\\n\\n\\n9\\nTecnyconta Saragosse\\n16\\n8\\n8\\n1316\\n1351\\n50.00\\n\\n\\n\\n10\\nMoraBanc Andorre\\n16\\n7\\n9\\n1311\\n1346\\n43.75\\n\\n\\n\\n11\\nSan Pablo Burgos\\n16\\n6\\n10\\n1291\\n1325\\n37.50\\n\\n\\n\\n12\\nMonbus Obradoiro\\n16\\n6\\n10\\n1234\\n1300\\n37.50\\n\\n\\n\\n13\\nCB Breogan\\n16\\n6\\n10\\n1239\\n1311\\n37.50\\n\\n\\n\\n14\\nFuenlabrada\\n16\\n6\\n10\\n1256\\n1359\\n37.50\\n\\n\\n\\n15\\nGran Canaria\\n16\\n5\\n11\\n1275\\n1318\\n31.25\\n\\n\\n\\n16\\nEstudiantes Madrid\\n16\\n5\\n11\\n1277\\n1365\\n31.25\\n\\n\\n\\n17\\nUCAM Murcia\\n16\\n5\\n11\\n1190\\n1276\\n31.25\\n\\n\\n\\n18\\nDelteco GBC\\n16\\n3\\n13\\n1178\\n1348\\n18.75\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTous les champions d’hiver\\n\\n * 1996-97 – Real Madrid\\n * 1997-98 – Baskonia Vitoria\\n * 1998-99 – Real Madrid\\n * 1999-00 – Valencia Basket\\n * 2000-01 – Barcelone Lassa\\n * 2001-02 – Barcelone Lassa\\n * 2002-03 – Valence Basket\\n * 2003-04 – Kirolbet Baskonia Vitoria\\n * 2004-05 – Real Madrid\\n * 2005-06 – Barcelone Lassa\\n * 2006-07 – Real Madrid\\n * 2007-08 – Real Madrid\\n * 2008-09 – Kirolbet Baskonia Vitoria\\n * 2009-10 – Barcelone Lassa\\n * 2010-11 – Barcelone Lassa\\n * 2011-12 – Real Madrid\\n * 2012-13 – Real Madrid\\n * 2013-14 – Real Madrid\\n * 2014-15 – Unicaja Málaga\\n * 2015-16 – Valence Basket\\n * 2016-17 – Real Madrid\\n * 2017-18 – Real Madrid\\n * 2018-19 – Barcelone Lassa\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (Barça)" }, {"role": "user", "content":"Analyse: Et si la Yougoslavie se réunifiait ?" }, {"role": "assistant", "content":"Cela n’arrivera certainement pas. Mais rêvons un peu à une Yougoslavie réunifiée. Et surtout à l’équipe nationale qu’elle présenterait : terrifiante !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\\n\\nMalheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\\n\\nEt les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team), la Serbie (sous le nom de République fédérale de Yougoslavie puis de Serbie) deux médailles d’argent également. Et le palmarès de ces pays en compétitions européennes de jeunes depuis 2000 n’est pas moins impressionnant : quatre médailles dont deux d’or pour la Slovénie, une d’argent pour le Monténégro, dix dont cinq en or pour la Croatie, vingt-deux médailles dont douze en or pour la Serbie ! Autant dire que le réservoir de joueurs de ces pays reste tout bonnement incroyable pour une population totale d’un peu plus de 21 millions de personnes (dont 7,1 pour la Serbie et 4,1 pour la Croatie). Et l’on se prend à rêver : à quoi ressemblerait aujourd’hui une sélection « yougoslave » et quels pourraient être ses ambitions ?\\n\\nTypée NBA\\n\\nAlors, s’il ne fallait en retenir que douze, quels seraient les noms composant une (très) hypothétique sélection « yougoslave », ne tenant compte que de la qualité des joueurs et non de leur éventuelle complémentarité ?\\n\\nAu poste de meneur, deux noms se dégagent : Milos Teodosic (Serbe, LA Clippers) et Goran Dragic (Slovène, Miami Heat). Certes, le second est blessé et a annoncé sa retraite internationale, mais il reste un immense joueur, tout comme le premier.\\n\\nÀ l’arrière, nous aurions deux joueurs au profil assez différent : le shooter Bogdan Bogdanovic (Serbe, Sacramento Kings) et le jeune prodige Luka Doncic (Slovène, Dallas Mavericks), capable d’évoluer sur tous les postes extérieurs voire en ailier fort.\\n\\nAu poste d’ailier, c’est l’autre Bogdanovic, Bojan (Croate, Indiana Pacers), qui serait titulaire, avec en relais Mario Hezonja (Croate, New York Knicks).\\n\\nÀ l’intérieur, au poste d’ailier-fort, le titulaire ne peut être que Dario Saric (Croate, Minnesota Timberwolves), suppléé par Nemanja Bjelica (Serbe, Sacramento Kings).\\n\\nEnfin, le poste de pivot serait partagé entre Nikola Jokic (Serbe, Denver Nuggets) et Nikola Vucevic (Monténégrin, Orlando Magic).\\n\\nÀ ce « dix majeur », il est possible de piocher dans une jolie brochette de noms pour y choisir les deux derniers joueurs : Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul), Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce), Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich), Jusuf Nurkic (Bosnien, Portland Trailblazers).\\n\\nAu total, les dix joueurs « majeurs » de cette équipe évoluent actuellement en NBA (même si Teodosic serait sur le point de revenir en Europe). Elle comprendrait quatre Serbes, trois Croates, deux Slovènes et un Monténégrin.\\n\\nImaginez un cinq majeur Teodosic-Doncic-Bojan Bogdanovic-Saric-Jokic : de quoi empêcher de dormir la plupart des équipes nationales dans le monde. Surtout quand le banc est composé de Dragic-Bogdan Bogdanovic-Hejonza-Bjelica-Vucevic. Aucune baisse de régime à attendre avec les rotations... L’équipe écraserait sans doute la compétition aux Euros et pourrait sans doute titiller les États-Unis lors des Mondiaux ou des Jeux Olympiques.\\n\\nEt sans NBA ?\\n\\nReste que, on le sait, les joueurs de NBA ne sont pas toujours disponibles pour les compétitions d’équipes nationales. Il faut alors faire appel à ceux qui évoluent en Europe (en partant de l’hypothèse, pour notre propos, que l’Euroleague et la FIBA Europe auraient cessé leur stupide conflit). Un problème pour notre équipe « yougoslave » ? Pas forcément. Certes, les noms seraient un peu moins ronflants, mais pas sûr que leurs adversaires apprécient plus que cela de se retrouver face à une armada composée de joueurs évoluant pour la plupart au plus haut niveau européen. Voyez un peu ce que pourrait donner cette sélection :\\n\\nAu poste de meneur, Vasilije Micic (Serbe, Anadolu Efes Istanbul) serait accompagné de Nemanja Gordic (Bosnie-Herzégovine, Buducnost Podgorica) ou de Stefan Markovic (Serbe, Khimki Moscou).\\n\\nÀ l’arrière, outre Stefan Jovic (Serbe, Bayern Munich), on trouverait Marko Guduric (Serbe, Fenerbahce). Ou Krunoslav Simon (Croate, Anadolu Efes Istanbul).\\n\\nÀ l’aile, Nikola Kalinic (Serbe, Fenerbahce) pourrait être suppléé par Vladimir Micov (Serbe, Olimpia Milan).\\n\\nLe poste d’ailier-fort serait tenu par Milan Macvan (Serbe, Bayern Munich) et Jaka Blazic (Slovène, Barcelone) ou Vladimir Lucic (Serbe, Bayern Munich).\\n\\nEnfin, au pivot, Ante Tomic (Croate, Barcelone) ferait équipe avec Nikola Milutinov (Serbe, Olympiakos) ou Bojan Dubljevic (Monténégrin, Valence).\\n\\nBref, l’équipe « européenne » resterait sacrément redoutable pour n’importe quel opposant, États-Unis exceptés peut-être.\\n\\nCes deux équipes « rêvées » montrent surtout l’extraordinaire profondeur du réservoir de ces pays, capables notamment de sortir des pivots de haut niveau « à la chaîne ». Pensez que des Emeldin Kikanovic ou des Miro Bilan qui font les beaux jours de la Jeep Élite ne figureraient qu’au-delà de la dixième place d’un hypothétique classement des pivots « yougoslaves » actuels.\\n\\nTout ceci n’est qu’un « rêve », qu’un fantasme qu’on aimerait un jour voir se réaliser (d’autant plus si cela correspondait à une complète pacification des relations entre les divers États de l’ex-Yougoslavie), tout en sachant que ce ne sera probablement pas le cas. Mais cela permet surtout de se remémorer à quel point ces pays figurent parmi les plus importantes « terres de basket » au monde avec les États-Unis et la Lituanie.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa Yougoslavie a été un très grand pays de basket. Pour s’en convaincre, il sufit de rappeler son palmarès au cours des dix ans précédant le début des guerres civiles dans le pays (1991) : médaille d’or aux Euros 1989 et 1991, médailles de bronze et d’argent aux Jeux olympiques 1984 et 1988, médailles de bronze et d’or aux championnats du monde 1986 et 1990.\\n\\nMalheureusement, la Yougoslavie est donc entrée dans un cycle de guerres civiles effroyable (plus de 150 000 morts) qui a duré dix ans et conduit à son éclatement. Aujourd’hui, après de multiples soubresauts, l’ex-Yougoslavie est composée de sept pays indépendants : Serbie, Croatie, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Macédoine et Kosovo.\\n\\nEt les successeurs des glorieux joueurs de l’époque dorée de la Yougoslavie (les Divac, Danilovic, Kukoc, Radja et autres) évoluent aujourd’hui dans l’équipe de leurs pays respectifs. Avec des résultats plus que respectables. Depuis 1993, la Serbie a récolté six médailles à l’Euro (trois or, deux argent et une bronze), la Slovénie a remporté la dernière édition, la Croatie deux médailles de bronze. Au Mondiaux, sur les six éditions disputées depuis 1994, la Serbie (sous diverses appellations) a remporté deux médailles d’or et une d’argent, la Croatie une de bronze. Quant aux Jeux olympiques, depuis 1992, ils ont vu la Croatie décrocher une médaille d’argent (la fameuse finale contre la « vraie » Dream Team),\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Luka Doncic et Milan Macvan (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le Caen BC est lanterne rouge, les fans grognent" }, {"role": "assistant", "content":"Avec seulement trois victoires, le Caen BC est bon dernier de Pro B à égalité avec Chartres et sa défaite face à Nantes à domicile (69-81) n’a pas arrangé ses affaires.\\n\\nLe site actu.fr a pris le pouls auprès des supporters et ceux-ci ne sont pas tendres avec l’équipe en général et le coach Antoine Michon en particulier. Les qualificatifs « catastrophique » et « pathétique » sont cités. Certains fans ont la nostalgie d’Hervé Coudray, aujourd’hui au Havre et qui n’avait pas vu son contrat renouvelé en fin de saison dernière.\\n\\nLe site a interrogé le Directeur sportif Eric Fleury, l’un des principaux artisans de la remontée du club normand. Voici sa réponse:\\n\\n« Je tiens à vous préciser quand même que personne ne voulait reprendre la présidence en 2012 et que le club allait certainement disparaître ! La suite... on la connaît. [...]On a toujours essayé de prendre des décisions quand il fallait. On continuera d’en prendre dans la mesure du possible sans mettre en péril les finances du club. On continuera à se battre pour que les Caennais puissent venir voir du basket au Palais sauf peut-être jusqu’au jour où les rancœurs, les critiques, et insultes finiront par nous lasser vous permettant si vous en avez le courage de prendre notre relève ! »" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Après 7 défaites de rang, Villeneuve d’Ascq a renoué avec la victoire" }, {"role": "assistant", "content":"Kim Gaucher (14 points et 12 rebonds) et Kristen Mann (16 points et 6 rebonds) ont eu beau une fois de plus mouiller le maillot, Mondeville a échoué à gagner son premier match de la saison (56-67). Voilà qui a fait l’affaire de Villeneuve d’Ascq qui restait lui aussi sur une mauvaise série et qui revenait d’un long périple à Ekaterinbourg.\\n\\n« On apprécie collectivement cette victoire parce qu’un mois et demi sans succès, ça fait long », a lâché Fred Dusart dans La Voix des Sports. « On savait qu’en faisant l’Euroleague, il y aurait des moments difficiles. On était sur une série de sept défaites consécutives, alors c’est d’abord un plaisir de gagner de nouveau. La spirale de la défaite, c’est dur mentalement pour les joueuses, le staff et les supporters. »\\n\\nAlors que Magali Mendy (8 points et 6 d’éval) a été un peu en retrait, c’est Johanne Gomis qui s’en est donnée à coeur joie avec 20 points, 6 rebonds et 3 passes. Les Nordistes ont encore néanmoins pas mal de choses à corriger comme leur (mal)adresse à trois-points, 5/23 contre l’USOM.\\n\\nPhoto: Romy Bar et Angela Bjorklund (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Etude sur la popularité des clubs, le formidable impact du Zalgiris Kaunas" }, {"role": "assistant", "content":"Les fans des équipes de l’Euroleague remplissent en moyenne 66% des capacités des salles. C’est la conclusion d’une étude réalisée par Dimitrije Curcic pour RunRepeat.\\n\\nSeulement deux équipes, Zalgiris Kaunas et le Maccabi Tel-Aviv atteignent plus de 90% de remplissage de leur salle. Les supporters de Zalgiris montrent que la Lituanie est une terre de basket-ball: 5% de la population de Kaunas (300 000 habitants) se rendent à l’aréna à chaque match. Les fans de Baskonia Vitoria suivent de près, avec 4,6%, et Buducnost rassemble 3,8% des habitants de Podgorica pour la troisième place. A l’inverse, 7 équipes sont sous la moyenne de la ligue avec 0,2% de la population de la ville dans l’aréna. Les deux dernières places sont pour deux clubs d’Istanbul.\\n\\nAu passage, l’analyste répète une donnée fondamentale: les équipes titulaires d’une licence de longue durée (11 équipes possèdent la licence) doivent jouer dans des arénas d’une capacité minimale de 10 000 places. Les clubs associés doivent disposer d’une salle d’au moins 5 000 places. Or, si l’ASVEL a l’intention de construire une aréna d’au moins 10 000 places, le projet du Paris Basketball est de s’installer dans la future aréna olympique de la Porte de la Chapelle dont la capacité maximale est prévue à... 8 000 sièges.\\n\\nLe Real Madrid est ultra dominant sur les réseaux sociaux avec plus de 18,3 millions d’adeptes sur les 3 réseaux majeurs (Instagram, Facebook, Twitter), mais il le doit évidemment à l’interaction avec la puissance de sa section football.\\n\\nZalgiris est la seule équipe dont la popularité sur les réseaux sociaux dépasse la population de sa ville natale, regroupant 120% de la population de Kaunas." }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : le Real Madrid en patron" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la reprise après les Fêtes de fin d’année, pas de gueule de bois pour les champions en titre. Le Real Madrid a parfaitement maîtrisé son sujet contre le Maccabi Tel Aviv avec le premier double double de la saison de Sergio Llull (11 points, 10 passes) et un match quasi-parfait de Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds).\\n\\nDans les autres matchs de la soirée, et avant le duel très attendu entre l’Olympiakos et le Panathinaikos, l’Efes Istanbul et Milan ont renoué avec le succès pour bien commencer la nouvelle année. Enfin, le Khimki Moscou a donné la leçon à Gran Canaria dans un remix de la finale EuroCup de 2015...\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Real tout en maîtrise\\n\\nBien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).\\n\\nLe Real a fait la différence en 2e mi-temps, avec Sergio Llull qui termine enfin en double double cette saison à 11 points et 10 passes. Avec 6 joueurs en double figure contre seulement 3 pour le Maccabi, le contraste était criant en faveur du Real. Fabien Causeur termine à 0 pointé mais Madrid a shooté à 50% à trois points (11/22) et 55% à deux points (22/40).\\n\\n\\nVassilije Micic se rappelle au bon souvenir du Bayern\\n\\nFace à son ancien club, Vassilije Micic (20 points, 4 rebonds, 5 passes, 2 interceptions) était ultra-concentré. La preuve : il n’a rien manqué durant les 8 premières minutes de jeu avec 13 points pour parfaitement l’Efes Istanbul. Malgré un retour du Bayern en 3e quart, l’Efes n’a pas tremblé et entame donc la deuxième moitié de la saison par un succès solide (92-77).\\n\\nSans Rodrigue Beaubois, Adrien Moerman (14 points, 7 rebonds) a bien participé à la victoire turque, avec James Anderson et Bryant Dunston tous deux à 16 points. En face, Munich n’a pu compter que sur deux joueurs en double figure, dont Vladimir Lucic à 14 points, 7 rebonds.\\n\\n\\nMilan met la gomme en attaque\\n\\nPodgorica n’aura pas fait long feu contre Milan. Dès le 1er quart, les Lombards ont mis le feu aux poudres avec Mike James à 10 points et 6 passes et Mindaugas Kuzminskas (14 points à 4/4 à trois points). Scorant 36 points sur la période, puis 56 en 1ère mi-temps, Milan a établi deux nouveaux records du club et n’a pas eu à lutter pour s’imposer (111-94).\\n\\nVladimir Micov (20 points) et Mindaugas Kuzminskas (19 points) ont été les principaux artificiers, tandis que Mike James termine à 17 points et 8 passes. Dans ce festival offensif, Dairis Bertans a également brillé avec 17 points à 5/6 à trois points. On a également eu droit à un bon duel de jeunes pivots : Arturas Gudaitis (14 points, 12 rebonds, 3 contres) face à la jeune pépite Goga Bitadze (23 points, 8 rebonds, 3 contres).\\n\\n\\nLe Khimki explose Gran Canaria\\n\\n27-6 : c’est le score hallucinant du 2e quart en faveur du Khimki. La troupe moscovite a frappé fort avec Dee Bost qui apporte 20 points et n’a jamais plus été rejointe après ce jeu de massacre avant la pause (99-70). Comme en 2015 en fait, lors de la finale d’EuroCup, Khimki a fait exploser GranCa chez elle, avec la plus large défaite du club insulaire en compétition européenne.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 14 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (3/4 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 14 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nEn verve face à son ancienne équipe du Bayern, Vassilije Micic a été chirurgical dans son travail face à la défense bavaroise. Après l’interception d’Adrien Moerman, le meneur serbe se joue tranquillement de Dedovic puis de Radosevic avec une volte avant de servir Tibor Pleiss pour le panier tout cuit. Style, vista et efficacité, le trident de la réussite !\\n\\n\\n\\n\\nVasilije Micic DIME 👀#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/dJ1AOE10N7\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 3, 2019\\n\\n\\nLes résultats de la 16e journée\\n\\nJeudi 3 janvier :\\nEfes Istanbul – Bayern Munich (92-77)\\nMilan – Podgorica (111-94)\\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (91-79)\\nGran Canaria – Khimki Moscou (99-70)\\n\\nVendredi 4 janvier :\\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\\nBarcelone – Darussafaka (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 16e journée\\n\\nMardi 8 janvier :\\nKhimki Moscou – Fenerbahçe (18h)\\nZalgiris Kaunas – Efes Istanbul (19h30)\\nOlympiakos – Vitoria (20h)\\nGran Canaria – Real Madrid (21h30)\\n\\nMercredi 9 janvier :\\nDarussafaka – CSKA Moscou (18h15)\\nPanathinaikos – Bayern Munich (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Podgorica (20h05)\\nMilan – Barcelone (20h45)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Real tout en maîtrise\\n\\nBien porté par Michael Roll (23 points à 6/7 à trois points) et Alex Tyus (17 points, 8 rebonds), le Maccabi Tel Aviv a finalement dû céder aux coups de boutoir du champion en titre. Gustavo Ayon (18 points, 9 rebonds) a été pour ainsi dire parfait avec un 9/10 aux tirs et un 31 d’évaluation quasiment sans forcer (91-79).\\n\\nLe Real a fait la\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Villeneuve d’Ascq a dévoilé son projet avec Ann Wauters" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’une conférence de presse, le staff de Villeneuve d’Ascq a exposé la mission que l’internationale belge Ann Wauters va avoir au sein du club.\\n\\nRappel: en championnat, l’ESBVA est à 5 victoires pour autant de défaites alors qu’en Euroleague, elle se contente de 2 victoires en 7 matches.\\n\\n« En s’associant avec Ann Wauters, nous voulions quelqu’un d’emblématique, qui a de l’expérience et qui connaît le club. Dans un premier temps, elle aidera Fred (Dussart, le coach) pour les joueuses intérieures. Et d’autre part, il nous manque peut-être de l’agressivité, de la niaque. Le mental et l’état d’esprit peuvent être améliorés grâce à ses conseils. Nous voulons afficher de nouvelles choses », a expliqué le président Carmelo Scarna.\\n\\nPour Ann Wauters, 38 ans, il s’agit d’un pas décisif vers sa reconversion au sein de sa société Smart Mind même si l’heure de la retraite n’a pas encore sonné car elle envisage de participer à l’Euro l’été prochain.\\n\\n« Il faut pouvoir gérer la pression, soigner sa concentration, corriger les attitudes. J’ai envie de faire partager mon expérience et avec notre société, fondée il y a quelques mois, nous avons développé un modèle basé sur sept ‘high-performing’ attitudes. Il n’existe pas une seule attitude pour le sport de haut niveau, mais plusieurs attitudes, comme il y a plusieurs personnalités, qu’il faut connaître pour pouvoir mettre ensemble » a t-elle indiqué.\\n\\nA la rentrée sera lancé le projet de l’Académie Wauters Basket Villeneuve d’Ascq, à destination des joueuses de grande taille.\\n\\n« Ce projet, sous l’encadrement d’Ann Wauters en partenariat avec le club villeneuvois, aura pour objectif d’identifier, de détecter les potentiels chez les jeunes joueuses de grande taille, issues de la métropole lilloise, voire de l’Eurométropole. En collaboration avec le club amateur ESBVA et le centre de formation, cette académie doit être un tremplin vers une carrière de haut niveau », explique le club sur son site internet.\\n\\nPhoto: Virginie Brémont (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Julien Monclar (GM de Blois): «C’est notre confiance qui est fragile»" }, {"role": "assistant", "content":"Si l’ADA Blois n’avait pas été recalé administrativement en raison d’un centre de formation non homologué, elle serait aujourd’hui en Jeep Elite. Mais elle est toujours en Pro B et à la 13e place avec 5 victoires et 7 défaites. Une situation nouvelle qui ne peut être comparée qu’à sa première saison dans la division avec 7 défaites lors des 9 premières journées.\\n\\nAvant de reprendre l’entraînement, les joueurs ont eu droit à une séance d’introspection concoctée par le staff du club. Le General Manager du club Julien Monclar s’explique dans La Nouvelle République:\\n\\n« On sort de trois saisons de pleine réussite sportive. Et la saison d’avant (2014-2015) on avait déjà fait une finale en N1. Or là, on vit des moments plus difficiles. Les joueurs ? Ils savent ce que c’est, ils ont l’habitude. Mais pour l’environnement du club, c’est compliqué, car il avait oublié ce goût. Ce goût, celui de la difficulté, c’est pourtant celui du sport. Déjà, nous avons un effectif qui a des qualités évidentes. C’est notre confiance qui est fragile, on l’a encore vu a Orléans. Quand ça commence à se gâter, on n’a pas encore la capacité à encaisser, à se relever. Il n’y a pas de recette magique par rapport à ça. Mais il y a en revanche des choses que l’on peut ajouter au quotidien, des efforts que l’on doit faire. Quand on traverse une passe difficile, plus on baisse la tête, plus cette période dure... Plus on se bouscule, plus on fait ces efforts, plus on se donne des chances d’en sortir... »" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Le président de l’AEK Athènes tonne contre l’Euroleague et son fonctionnement" }, {"role": "assistant", "content":"Makis Angelopoulos, le propriétaire de l’AEK Athènes, a envoyé en cette fin de semaine une charge en direction de l’Euroleague et de son fonctionnement lors d’une interview accordée à SPOR FM 94.6. Ainsi, à propos des équipes qui bénéficient d’une assurance de participer à la compétition reine pendant dix ans, il a déclaré :\\n\\n«Malheureusement, il existe un problème qui, à mon avis, sera bientôt résolu d’une manière ou d’une autre. Environ 650 équipes jouent au basket-ball en Europe, impliquant des milliers de joueurs et d’entraîneurs. Onze équipes dominantes ne peuvent pas commander le reste avec des pratiques de concurrence déloyale. C’est à la fois un souhait et quelque chose sur lequel on m’a informé. »\\n\\nPour lui, c’est tout le modèle de l’Euroleague qui est pernicieux :\\n\\n«Ceux qui aiment le basketball devraient être concernés par cela. ECA voit les choses différemment. Il existe un modèle qui a fait ses preuves dans le football. Il aurait dû y avoir un lien direct entre les compétitions, donc les revenus et l’image générale seraient clairs pour les sponsors. »\\n\\nPour lui le système de la Basketball Champions League est meilleur :\\n\\n« Les équipes ne voudront pas jouer un an en EuroLeague pour réaliser leurs rêves. Nous voyons déjà Hapoel Jerusalem et Brose Bamberg qui ont préféré le BCL. Si la BCL s’améliore, les ligues nationales feront de même. »\\n\\nMakis Angelopulous estime par ailleurs que le jeu est pipé à l’intérieur même de l’Euroleague :\\n\\n«Il y a aussi une concurrence déloyale au sein de l’Euroleague, entre les onze équipes et les cinq autres qui participent pendant une saison puis font faillite ou sont au bord de la faillite. La compétition est également injuste pour les ligues nationales, car les revenus d’une ligue privée constituent un avantage par rapport aux équipes dont les revenus sont plus faibles. Seul l’argent compte, pas les critères sportifs ou le basket-ball. Pourquoi ne devrions-nous pas avoir la chance de voir un nouveau Pop 84 (NDLR : l’équipe de Split du début des années 90 avec Toni Kukoc)? L’élément de surprise a été supprimé. Il n’y aura jamais d’exemple de Leicester en basketball. »" }, {"role": "user", "content":"EuroCup – Top 16 : Andrew Albicy et l’Asvel à la Une" }, {"role": "assistant", "content":"Le Top 16 est lancé et si l’Asvel a réalisé un bel exploit en allant s’imposer à Krasnodar, les deux autres clubs français ont trébuché d’entrée de jeu à l’extérieur. Limoges n’aura pas réussi à accrocher l’Etoile Rouge à Belgrade tandis que Monaco est tombé sur un mur à Berlin.\\n\\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions) a mis tout le monde d’accord sur cette 1ère journée. Il termine à un brillant 37 d’évaluation, en tête d’un clan tricolore bien dense avec Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres) et Paul Lacombe (20 points, 10 rebonds).\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)\\n\\nC’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).\\n\\nC’est également un beau pied de nez au destin quand on sait qu’Albicy n’a jamais été reconnu pour son adresse de loin. Mais, à force de travail, il peut désormais briller dans ce secteur de jeu aussi, le rendant d’autant plus dangereux quand il utilise son premier pas éclair vers le cercle... Meilleur joueur de la journée et de loin, Albicy a frappé très fort !\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nAlpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres)\\n\\nDécisif en défense dans les dernières minutes du match, Alpha Kaba a établi de nouveaux records aux rebonds, contres et à l’évaluation (26). Il a été le leader de la révolte et finit avec une fiche de stats des plus replètes à l’arrivée : 16 points, 13 rebonds, 4 contres.\\n\\nAvec 9 rebonds offensifs, Kaba a réalisé la meilleure performance de la saison d’EuroCup. Pas mal sachant que le fugace Hawk (en ligue d’été NBA) revient tout récemment d’une longue blessure. Avec ses qualités physiques et une progression continue dans son travail technique, Kaba peut faire une grosse différence à ce niveau de compétition.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n0/15\\n\\nC’est le bilan catastrophique à trois-points des Monégasques après trois quart temps face à l’Alba Berlin. Ce sera évidemment bien trop peu pour concurrencer le club allemand à domicile, à 7/17 dans l’exercice. Yakuba Ouattara brisera enfin la glace en dernier quart et Monaco termine à 2/20, loin de sa moyenne à 33% cette saison.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’Asvel commence par un exploit\\n\\nA la traîne mais jamais décrochée, l’Asvel a réalisé un bel exploit face à un des ogres de la compétition, le Lokomotiv Krasnodar. Derrière l’activité monumentale d’Alpha Kaba (16 points, 13 rebonds, 4 contres), les hommes de Mitrovic ont réussi à faire le trou dans le crunch, avec un 10-1 impulsé par Kaba et David Lighty (15 points).\\n\\nAmine Noua (13 points) et Theo Maledon (8 points) ont également été essentiels dans la fin de match pleine de sang-froid des jeunes pousses villeurbannaises... oui, sauf pour l’ultime balle perdue par Maledon qui a permis un dernier tir de Vitaly Fridzo, raté heureusement ! C’est la première victoire de l’Asvel à l’extérieur en Top 16, un bon signe quand on sait que Charles Kahudi n’était pas en tenue et qu’Alexis Ajinça vient tout juste de signer son contrat.\\n\\nPas de miracle à Belgrade pour le CSP\\n\\nRevenu à égalité en début de dernier quart avec Jonathan Rousselle au layup, le CSP Limoges n’a cependant pas tenu la fin de match à Belgrade. L’Etoile Rouge a prévalu à domicile avec notamment Filip Covic qui a scoré ses 12 points dans l’ultime période (83-71).\\n\\nMal parti avec un 1er quart perdu de 9 (25-16), Limoges s’est compliqué la tâche dans ce Top 16, déjà atteint de justesse. William Howard et Axel Bouteille ont été les frères siamois dans ce match avec 11 points, 4 passes pour le premier et 11 points, 4 rebonds pour le second ; les deux à 13 d’éval’.\\n\\nMonaco chute à Berlin\\n\\nA 0/15 à trois-points après trois quarts temps, Monaco pouvait finalement s’estimer heureux de ne pas être largués plus loin que 12 points. Mais en terminant à 2/5 derrière l’arc et pas plus convaincante offensivement en dernier quart, la Roca Team n’a pas pu rivaliser avec l’Alba Berlin, maitre chez lui (83-74).\\n\\nLuke Sikma (17 points, 5 passes) et Tim Schneider (16 points à 4/4 à trois points) ont été les bourreaux du club de la Principauté. Face à son ancien club, Elmedin Kikanovic a réussi un match plein à 26 points et 8 rebonds. Paul Lacombe termine quant à lui à 20 points, 10 rebonds et 4 passes. Monaco aura besoin d’une réaction lors de la 2e journée contre Vilnius.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 22 points (8/11 aux tirs), 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions, 2 balles perdues en 29 minutes pour 37 d’évaluation\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 20 points (7/15 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes, 5 balles perdues en 34 minutes\\n\\nAlpha Kaba (Asvel) : 16 points (8/13 aux tirs), 13 rebonds, 4 contres, 2 interception, 1 passe, 3 balles perdues en 25 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 13 points (6/10 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 12 points (5/7 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 11 points (4/7 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception en 31 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 11 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 20 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 8 points (1/6 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 5 points (2/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (M0naco) : 3 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 11 minutes\\n\\nLivio Jean-Charles (Asvel) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds en 8 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 1ère journée\\n\\nGROUPE E\\nVilnius – Partizan Belgrade (80-74)\\nAlba Berlin – Monaco (83-74)\\n\\nGROUPE F\\nKrasnodar – ASVEL (65-67)\\nUlm – Francfort (70-63)\\n\\nGROUPE G\\nEtoile Rouge Belgrade – CSP Limoges (83-71)\\nValence – Malaga (85-74)\\n\\nGROUPE H\\nKazan – St Pétersbourg (68-67)\\nCedevita Zagreb – Andorre (81-87)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nTous les bilans de la 1ère phase :\\n\\nLe bilan de la 10e journée\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\nAndrew Albicy (22 points, 8 passes, 5 rebonds, 4 interceptions)\\n\\nC’était le match de tous les records pour Andrew Albicy. Auteur de son meilleur score avec 22 points, il fait encore mieux avec 37 d’évaluation au total. Déjà détenteur du record d’interceptions (5), il a non seulement établi son nouveau record perso en EuroCup mais il a aussi pris un peu plus le contrôle du livre des records d’Andorre en devenant le premier à l’évaluation et aux trois points réussis (6/8).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"U16: Douze joueurs retenus pour le Tournoi de Sakarya en Turquie" }, {"role": "assistant", "content":"Afin de préparer le tournoi International U16 masculin qui aura lieu à Sakarya (Turquie) du 28 janvier au 1 février 2019, le staff de l’Equipe de France a sélectionné 12 joueurs pour participer à un stage à l’INSEP qui se tiendra en amont.\\n\\nLa majorité des joueurs évoluent avec le Centre Fédéral. Ce sont des 2003 à l’exception de trois joueurs dont Rayan Rupert, le fils de Thierry et frère d’Iliana de Bourges.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPRENOM\\nNé le\\nTaille\\nClub . \\n\\n\\nBAL\\nAdama\\n18/12/2003\\n192\\nCFBB\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n14/07/2003\\n215\\nCFBB\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nHugo\\n13/02/2003\\n172\\nASVEL\\n\\n\\nDESSERT\\nBrice\\n25/03/2003\\n206\\nCFBB\\n\\n\\nDIENG\\nOusmane\\n21/05/2003\\n199\\nCFBB\\n\\n\\nHAMON CRESPIN\\nMaël\\n03/09/2004\\n202\\nNancy\\n\\n\\nKASIAMA\\nKenny\\n05/03/2003\\n201\\nCFBB\\n\\n\\nMANET\\nNoah\\n01/05/2004\\n191\\nCFBB\\n\\n\\nMIENANDI\\nHugo\\n23/05/2003\\n200\\nLeMans\\n\\n\\nRUPERT\\nRayan\\n31/05/2004\\n187\\nCFBB\\n\\n\\nTRAORE\\nArmel\\n23/01/2003\\n196\\nCFBB\\n\\n\\nTRAORE\\nYohan\\n15/02/2003\\n203\\nCFBB\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\nAssistants : David Gallois et Eric Kehlhoffner\\n\\nPhoto: Naoll Balfournier (INSEP)" }, {"role": "user", "content":"Le comte de Bouderbala procèdera au tirage au sort de la Leaders Cup" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort de la Leaders Cup sera effectué le jeudi 24 janvier à 12h dans The Lucky Nugget Saloon, Frontierland, au Parc Disneyland et c’est le Comte de Bouderbala qui sera le maître de cérémonie.\\n\\nLe Comte de Bouderbala, alias Ami Ameziane, est un humoriste franco-algérien dont le premier spectacle a attiré 1,2 million de téléspectateurs dans toute la France. Il a la particularité d’avoir été un basketteur de bon niveau. Il a fréquenté un an l’université de Connecticut, fait une finale du championnat d’Afrique avec l’Algérie en 2000 et il a évolué en Nationale 1, 2 et 3. Son CV révèle qu’il parle six langues et dialectes.\\n\\nLa LeadersCup réunira du 15 au 17 février les 8 équipes de tête de la Jeep Elite à l’issue du cycle aller." }, {"role": "user", "content":"Officiel : Jordan Theodore signe à l’AEK Athènes" }, {"role": "assistant", "content":"En discussion avec l’AEK Athènes, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) vient officiellement de s’engager avec le club grec.\\n\\nSur Twitter, la formation grecque a annoncé la signature de l’ancien joueur de Bourg-en-Bresse pour le reste de la saison 2018/19. A Milan la saison dernière, le natif d’Englewood est auparavant passé par Bourg-en-Bresse ou encore Banvit avec qui il avait été élu MVP de Champions League en 2017.\\n\\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.\\n\\n\\n\\n\\nΈσκασε η «βόμβα»... O Jordan Theodore (29 χρ., 1μ.83) υπέγραψε στην ΑΕΚ BC έως το τέλος της αγωνιστικής περιόδου 2018-2019.#AEKBC #Welcome\\n“Τhe bomb” has exploded... Jordan Theodore (29, 1.83m), has signed a contract with AEK BC until the end of the 2018-2019 season. pic.twitter.com/m8BHjCSqrt\\n\\n\\n— AEK B.C. (@aekbcgr) January 3, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Officiel : Kerem Kanter quitte Bourg et Fréjus Zerbo prolonge" }, {"role": "assistant", "content":"Comme attendu du côté de Bourg-en-Bresse, Kerem Kanter (2,08m, 23 ans) quitte le club tandis que Fréjus Zerbo (2,08m, 29 ans) est prolongé.\\n\\nSur son site, la « Jeu » annonce que suite aux difficultés rencontrées par l’intérieur turc pour s’acclimater à la Jeep Elite, il a été décidé, d’un commun accord, de mettre un terme à leur collaboration. De son côté, Fréjus Zerbo est arrivé en tant que pigiste médical mi-novembre et il vient officiellement d’être prolongé pour le reste de la saison par les dirigeants burgiens.\\n\\nPhoto : Guilherme Amorin" }, {"role": "user", "content":"Pro B: L’UJAP Quimper va se délocaliser à la Brest Arena pour recevoir Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"L’UJAP Quimper affrontera la Chorale de Roanne, actuellement leader de Pro B, à la Brest Arena, le 13 avril prochain, apprend on dans Ouest France.\\n\\n« C’est une opération financière qui vise à attirer l’attention sur le club auprès d’éventuels autres partenaires », commente Bernard Kervarec, le président de l’Ujap. Et puis, il s’agit pour nous de montrer que l’on est capable de remplir une salle de basket avec 4\u2009000 ou 5\u2009000 spectateurs. Or, l’Arena est une place forte. »\\n\\nLa Brest Arena devait à l’origine abriter l’Etendard mais celui-ci a été rétrogradé en Régionale. L’équipe féminine du Brest Bretagne Handball est son club résident. 70km séparent les deux villes du Finistère." }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Victoires pour Lyon et Nantes, Basket Landes menacé" }, {"role": "assistant", "content":"Nantes Rezé a fait une bonne pioche avec la meneuse espagnole Ana Suarez (1,70m, 31 ans) qui était précédemment à Tarbes. Hier soir, elle a largement contribué à la victoire de l’équipe nantaise au premier tour des playoffs de l’Eurocup féminine face à Torun (86-79) avec 26 points et 6 passes.\\n\\nUn peu auparavant, Lyon avait réussi sa mission de s’imposer en Russie face à Vidnoje (83-52) notamment grâce à son Américaine Alysha Clark (15 points, 5 rebonds, 3 passes et 5 interceptions).\\n\\nEn revanche, Basket Landes a perdu une grande partie de ses chances de se qualifier en craquant dans le dernier quart-temps (11-27), à domicile, face à Venise (68-77). Avec 15 points et 4 passes Céline Dumerc a été encore une fois la numéro 1 de son équipe dans ces deux secteurs.\\n\\nLes matches retours se tiendront la semaine prochaine.\\n\\nPhoto: Ana Suarez (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Leo Westermann (Zalgiris Kaunas) absent entre quatre et six semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Forfait face à Gran Canaria la semaine dernière, Leo Westermann (1,97m, 26 ans) va devoir observer une période de convalescence plus importante qu’un simple match.\\n\\nSur son site, le Zalgiris Kaunas annonce que son joueur, touché au genou, sera indisponible pour une durée estimée entre quatre et six semaines.\\n\\nCette saison, Leo Westermann compile en moyenne 6,1 points, 1,9 rebond et 3,1 passes décisives dans le championnat lituanien, et 6,4 points, 2,1 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 5,9 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Le baromètre des non-JFL, épisode 2 (2e partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Neuf journées de championnat se sont écoulées depuis le premier épisode de notre baromètre sur les non-JFL de Jeep Élite. Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la deuxième. Après les nouveaux arrivants et les joueurs décevants ou devant en montrer plus, place à ceux qui donnent – au moins en partie – satisfaction.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.\\n\\nMention bien\\n\\nSans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.\\n\\nÀ Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, Mykal Riley semble avoir trouvé la bonne carburation, tournant à 16,4 d’éval sur les huit derniers matchs, alors que Vee Sanford se montre plus irrégulier tout en affichant un rendement moyen très intéressant.\\n\\nNe seraient quelques « trous d’air », Blake Schilb (Châlons-Reims) mériterait lui aussi une mention encore plus prestigieuse, capable qu’il est de réaliser des matchs pleins, noircissant toutes les catégories statistiques. De son côté, le pivot dijonnais Gavin Ware exploite à merveille son temps de jeu assez réduit (à peine plus de 22 mn/match) pour produire avec régularité ses 13 pts et 5 rebonds. Moins constant, son coéquipier Ryan Pearson sait dans ses bons jours prouver toutes ses qualités offensives, mais aussi, dans les moins bons (heureusement plus rares), passer totalement à travers (0/8 au Portel, 2/10 à Villeurbanne).\\n\\nPour Fos-sur-Mer, Ron Lewis continue sur la lancée de son début de saison, faisant parfois preuve d’irrégularité (« mal » classique chez les shooters) mais restant productif avec un fort temps de jeu. Quant à son compère Malik Hairston, il a su se remettre en route après son année blanche et affiche désormais un fort niveau de jeu (16,9 d’éval sur les neuf derniers matchs, malgré un 0 à Nanterre).\\n\\nAu Mans, deux joueurs laissent un sentiment mitigé, Richard Hendrix et Michael Thompson. Tous deux produisent de belles stats (notamment sur les derniers matchs, concernant « Juice » Thompson) mais le premier peine à trouver sa place dans le collectif manceau et à justifier pleinement son pedigree Euroleague, alors que le second a du mal à se glisser dans la peau du « patron » de l’équipe. Mais le MSB tourne mieux depuis quelques matchs, ils n’y sont pas étrangers.\\n\\nDu côté du Portel, Anthony Hilliard se montre productif dans une équipe qui souffre, sans grand coups d’éclat mais avec une certaine constance. Chez les Metropolitans de Levallois, Jaron Johnson s’est bien ressaisi après un début de championnat compliqué, notamment en termes d’adresse : de 10/34 (29,4 %) au shoot (dont 0/12 à 3 pts...) sur les cinq premiers matchs, il est passé sur les suivants à 48/83 (57,8 %) dont 25/46 à 3 pts (54,3 %). Quant à son coéquipier Ekene Ibekwe, il continue avec constance, sans briller mais sans faille, de faire son job de rotation intérieure derrière Julian Wright et Mouph’ Yarou (voir plus loin). Chez le leader villeurbannais, le quatuor Mantas Kalnietis-DeMarcus Nelson-David Lighty-Miro Bilan assure avec constance, le pivot croate ayant même rendu quelques très belles copies au cours des derniers matchs de l’année. À Monaco, la doublette intérieure Jarrod Jones-Elmedin Kikanovic est à son avantage. Après un début de saison compliqué, le premier a trouvé la mire et produit une dizaine de beaux matchs avant un « accident industriel » (2/16 au shoot, -8 d’éval lors de la dernière journée à Bourg-en-Bresse !) qui ternit un peu le tableau. Le second, lui, a assuré une bonne production, pas toujours constante, alors que son équipe peinait. L’arrivée de Buckner devrait permettre aux deux joueurs de s’économiser pour la suite du championnat.\\n\\nÀ Nanterre, Adas Juskevicius apporte assez régulièrement son adresse alors qu’Haukur Palsson semble très bien gérer son replacement en poste 4, avec des statistiques en hausse (19,5 d’éval sur les deux derniers matchs).\\n\\nEnfin, à Strasbourg, Quentin Serron ne produit pas de stats mirobolantes mais se fond dans un collectif qui « penche » vers l’intérieur, avec Youssoupha Fall et Ali Traoré. Lui reste à régler la mire à 3 pts : 26,1 %...\\n\\nLes « ténors » de la Jeep Élite\\n\\nDernière catégorie de notre baromètre, celle qui regroupe les joueurs donnant toute satisfaction. Et ils sont nombreux.\\n\\nÀ Antibes, Tim Blue prouve semaine après semaine qu’il est parfaitement remis de ses problèmes de santé, alors qu’à Boulazac, Kenny Cherry poursuit sur sa lancée du début de saison et s’affirme comme le patron de son équipe.\\n\\nÀ Bourg-en-Bresse, le trio Zack Wright-Zack Peacock-Youssou Ndoye produit plus de la moitié des points et de l’éval de la JL, c’est dire son impact. Près de là, à Chalon-sur-Saône, Juan Palacios s’impose comme un intérieur dominant du championnat alors que Justin Robinson continue d’impressionner, même si ses trois derniers matchs ont montré un net fléchissement (6 d’éval moyenne contre plus de 20 précédemment). De son côté, Cholet espère que Frank « le tank » Hassell va poursuivre l’aventure au club, vu son impact intérieur. À Châlons-Reims, Devin Ebanks continue d’affoler les compteurs, son club aimerait simplement qu’il mette autant d’ardeur de l’autre côté du terrain...\\n\\nDavid Holston, le meneur dijonnais, continue d’animer avec bonheur une équipe bien classée alors que Taylor Smith, le petit pivot gravelinois, continue sur sa lancée de la saison passée, passant même de 15,2 à 16,9 d’éval moyenne.\\n\\nDeux équipes se félicitent par ailleurs de leur recrutement. À Levallois, Roko-Leni Ukic, Julian Wright et Mouph’ Yarou forment une colonne vertébrale particulièrement efficace pour leur équipe. Et à Pau-Lacq-Orthez, la triplette CJ Harris-Donta Smith-Vitalis Chikoko, déjà performante avant qu’il arrive, profite à plein de l’élan (sans jeu de mots) donné à l’équipe par Mickey McConnell, que le club ne peut que se féliciter d’avoir réussi à prolonger.\\n\\nReste à voir, pour les Béarnais comme pour tous les autres non-JFL de Jeep Élite, comment leurs performances évolueront en début d’année 2019. Rendez-vous pour le prochain baromètre de BasketEurope !\\n\\n[armelse]\\n\\nNous avons vu dans la première partie de ce deuxième épisode de notre « Baromètre des non-JFL de Jeep Élite » (à voir ici) quels sont les non-JFL qui ont été coupés lors de ces deux derniers mois, ceux qui les ont remplacés, ceux qui sont à la peine et ceux qui laissent sans doute leur équipe sur leur faim. Voyons maintenant ceux qui font le bonheur de leurs clubs, à des degrés divers. Et ils sont nombreux.\\n\\nMention bien\\n\\nSans « casser la baraque », bon nombre de non-JFL donnent satisfaction, produisant un rendement à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre, parfois un peu plus, d’autres un peu moins.\\n\\nÀ Antibes, c’est le cas de Aigars Skele, arrière letton adroit et rentable : 12,4 d’éval moyenne. Dans le Périgord, à Boulazac, ce sont Akil Mitchell (très régulier entre 11 et 20 d’éval sur les huit derniers matchs) et Travis Leslie qui entrent dans la même catégorie. Ils contribuent aux bons résultats du BBD. Du côté de Bourg-en-Bresse, Garrett Sim n’entre pas dans la catégorie des « très bien » pour la seule raison qu’il est un tout petit peu moins productif que la saison passée. Mais il reste d’une régularité de métronome depuis son retour de blessure : une seule fois sous les 10 d’évaluation en sept matchs. À Chalon-sur-Saône, après un début délicat, Mykal Riley\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Donta Smith (Pau, LNB/Hervé Bellenger), Akil Mitchell (Boulazac, BBD/Linda Chasseriau), Justin Robinson (Chalon, LNB/Hervé Bellenger)" }, {"role": "user", "content":"Ambiance: Louisville-Kentucky vs. Panathinaikos-Olympiakos" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est le derby d’Athènes entre le Panathinaikos et Olympiakos dans le cadre de l’Euroleague et le nouveau coach américain du Pana, Rick Pitino a été mis au parfum de ce qui l’attendait par un compatriote.\\n\\n« Eh bien, le manager général des Memphis Grizzlies (Chris Wallace) que j’ai embauché aux Boston Celtics. Il a déclaré que Louisville-Kentucky est comme un match de championnat d’église comparé à celui-ci. »\\n\\nOn vous met ces deux vidéos pour bien comprendre que l’on n’a pas la même conception du chant en Grèce comme aux Etats-Unis!\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=GNQe3Dro4TA" }, {"role": "user", "content":"L’interview du shooteur avec Adas Juskevicius (Nanterre) : «Le tir le plus difficile, c’est le tir ouvert!»" }, {"role": "assistant", "content":"Sniper lituanien de Nanterre 92, Adas Juskevicius (1,94m, 29 ans) a participé au concours de tirs à trois points du All Star Game lors duquel il a été éliminé au premier tour par Bastien Pinault après avoir dû se départager avec le rack en or. International passé par Kaunas, Saragosse ou encore Vilnius, il a répondu à nos « questions spéciales shooteurs ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nAh, en Lituanie on a vraiment cette culture du shoot. Nous sommes une très bonne « école » du shoot. En Lituanie tout le monde shoot, c’est vraiment l’une des premières si ce n’est la première chose que l’on apprend. Les remerciements vont aux coachs qui nous apprennent à shooter. Et il a aussi la persévérance de chacun dans l’exercice. Tout dépend de la manière dont on va se pousser à travailler.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nJe préfère shooter avec avoir dribbler. Je préfère ça à un catch and shoot.\\n\\nLe tir le plus compliqué :\\n\\nLe tir le plus difficile dans un match, c’est le tir ouvert ! Tout simplement parce que je ne suis pas habitué à prendre des tirs complètement ouverts dans un match. Je préfère avoir un défenseur avec le bras levé devant moi. Je suis meilleur dans cette configuration.\\n\\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\\n\\nJe pencherais pour Ray Allen et Reggie Miller.\\n\\nVotre shooteur préféré :\\n\\nJe dirais le Lituanien Arvydas Macijauskas.\\n\\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\\n\\nSimas Jasaitis ! Nous avons joué ensemble la saison dernière au Panevėžio Lietkabelis.\\n\\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\\n\\nStephen Curry ou Klay Thompson. J’ai joué contre eux en compétition internationale, j’étais avec la sélection lituanienne et eux avec Team USA.\\n\\nUn shooteur qui vous inspire ?\\n\\nStephen Curry. Parce qu’il est capable de mettre des tirs très compliqués quand il veut, il shoote vite, il shoote haut... Tout ce qu’il fait c’est du très, très haut niveau.\\n\\nLes secrets d’un bon tir :\\n\\nTravailler dur et avoir un bon mental.\\n\\nQue pensez-vous d’une ligne à quatre points ?\\n\\nJe n’y ai jamais vraiment pensé, je ne sais pas trop quoi dire à ce sujet.\\n\\nUn tir en carrière ?\\n\\nMon shoot marqué d’avant le milieu de terrain à l’Eurobasket contre Israël.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nAh, en Lituanie on a vraiment cette culture du shoot. Nous sommes une très bonne « école » du shoot. En Lituanie tout le monde shoot, c’est vraiment l’une des premières si ce n’est la première chose que l’on apprend. Les remerciements vont aux coachs qui nous apprennent à shooter. Et il a aussi la persévérance de chacun dans l’exercice. Tout dépend de la manière dont on va se pousser à travailler.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nJe préfère shooter avec avoir dribbler. 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Dans un même temps, le club antibois serait à la recherche d’un soutien pour Tim Blue sur le poste 4.\\n\\nCette saison, Viktor Gaddefors compile en moyenne 7 points, 2,8 rebonds et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 7,5.\\n\\n\\n\\n\\nInitialement annoncé de retour début 2019, Viktor #Gaddefors ne sera finalement pas rétabli avant la prochaine trêve internationale. En parallèle les #Sharks devraient s'activer sur le poste 4 pour trouver un back-up à Tim Blue. À suivre dans @Nice_Matin ! #JeepELITE\\n\\n\\n— Vivien Seiller (@VSeiller) January 3, 2019\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Ça sera finalement au moins trois mois d’absence pour Tornike Shengelia (Vitoria)" }, {"role": "assistant", "content":"Ce qui était déjà un coup dur pour Vitoria quand la durée d’indisponibilité de Tornike Shengelia (2,06m, 27 ans) était estimée à un mois devient un coup de massue quand elle passe à trois mois, minimum.\\n\\nTouché au genou dimanche dernier face au Real Madrid, l’international géorgien ne devait manquer « que » quatre semaines mais c’est finalement pour une durée bien plus longue qu’il sera éloigné des parquets, annonce son coach Velimir Perasovic. « Au mieux, ça sera trois mois », a déclaré ce jeudi le technicien croate lors de la conférence d’avant match face au Fenerbahce.\\n\\nCette saison, Tornike Shengelia compile en moyenne 12,7 points, 4,5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 15,4.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Adidas Next Generation Tournament Valence : Tom Digbeu dans le meilleur cinq" }, {"role": "assistant", "content":"Fils de l’ancien international tricolore Alain, Tom Digbeu (1,92m, 17 ans) a une nouvelle fois fait parler de lui ces derniers jours.\\n\\nJuste avant le nouvel an, entre le 28 et le 30 décembre se tenait à Valence le Adidas Next Generation Tournament qui accueille les meilleures équipes U18 d’Europe sur plusieurs week-ends avant le dernier rendez-vous lors du Final Four d’Euroleague.\\n\\nLors de ce week-end, l’ASVEL a remporté un match pour deux défaites, tandis que Valence a fait un sans-faute avec trois victoires. De son côté, Tom Digbeu, qui porte les couleurs du FC Barcelone, a compilé en moyenne 14,8 points, 5,8 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 15,8. Il a été élu dans le cinq majeur idéal de ce week-end, alors que le Barça affiche le même bilan que Villeurbanne.\\n\\nProchain rendez-vous le week-end du 25 au 27 janvier à Munich, en Allemagne.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Grèce : l’AEK Athènes en discussion avec Jordan Theodore" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours sans club depuis la fin de saison dernière, Jordan Theodore (1,83m, 29 ans) serait proche de l’AEK Athènes.\\n\\nSelon Sportando, celui qui était proche de rejoindre l’Etoile Rouge de Belgrade, en discussion avec Limoges, en partance pour le Buducnost et enfin pour Darussafaka serait maintenant sur le point de signer avec le club grec. L’ancien joueur de Banvit souhaiterait avoir la possibilité de rejoindre une équipe d’Euroleague à tout moment, chose que la formation athénienne ne serait pas d’accord de lui offrir.\\n\\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Serie A.\\n\\n\\n\\n\\nJordan Theodore and AEK Athens are discussing a contract.\\nJordan Theodore wants an EuroLeague escape in the deal but the Greek team doesn't seem interested in adding outs in his contract.\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) January 3, 2019\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Andrew Albicy (Andorre) : «Je n’ai pas hésité à prendre les shoots»" }, {"role": "assistant", "content":"En ouverture de la première journée du Top 16 d’Eurocup, Andorre est allé cherche un important succès sur le parquet du Cedevita Zagreb.\\n\\nPortés par Andrew Albicy au sommet de son art avec 22 points, 5 rebonds, 8 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 37, les joueurs d’Ibon Navarro sont venus à bout des coéquipiers de l’ancien Manceau Justin Cobbs.\\n\\nL’international français nous a donné son ressenti suite à cette rencontre.\\n\\n« On a fait un bon match, vraiment solide. Ce n’est pas facile de gagner à Zagreb surtout qu’on n’a pas bien géré la fin de match. Mais la victoire c’est le plus important sachant que chaque match est important. L’équipe va beaucoup mieux depuis deux matchs. On revient à ce qu’on faisait avant la fenêtre internationale, il faut maintenant continuer comme ça surtout en championnat. Personnellement, je me suis senti bien sur le match. J’ai pris les shoots en rythme, je n’ai pas hésité et aujourd’hui c’est rentré donc tant mieux. »\\n\\nCette saison, Andrew Albicy tourne en moyenne à 10,1 points, 1,3 rebond et 4,6 passes décisives entre la Liga Endesa et l’Eurocup. Bientôt l’Euroleague pour l’ancien joueur du Paris-Levallois ?\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Ann Wauters va s’investir à Villeneuve d’Ascq" }, {"role": "assistant", "content":"A 38 ans, Ann Wauters va revenir à Villeneuve d’Ascq avec qui elle a remporté l’Eurocup en 2015 mais non comme joueuse. Selon les informations de La Voix du Nord, l’internationale belge « va collaborer avec le club via sa société axée sur la performance et la psychologie du sport. Elle devrait faire travailler les joueuses intérieures et intervenir auprès du groupe sur les aspects mentaux. » Elle va créer par ailleurs créer son académie de basket, l’AWBVA pour « Académie Wauters Basket Villeneuve-d’Ascq ».\\n\\nAnn Wauters a prolongé sa carrière internationale en remportant avec la Belgique la médaille de bronze à l’Euro 2017 et en parvenant en demi-finale de la Coupe du monde 2018.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : Frank Hassell prolonge avec Cholet pour le reste de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Embarqué dans le laborieux exercice 2018/19 de Cholet (16e, 4v-11d), Frank Hassell (2,08m, 30 ans) apporte pleine satisfaction à son club depuis sont arrivée début octobre.\\n\\nLe prolonger pour le reste de la saison était l’objectif premier de CB et c’est maintenant chose faite, comme l’annonce son agent Daryl Graham sur Twitter. Passé par Banvit, Varese ou Sakarya, le « Tank » a élu domicile en France depuis sa signature à Boulazac en 2015/16. A l’intersaison 2016, il a rejoint Le Portel où il est resté deux ans avant de partir et de s’engager avec Cholet après quelques semaines sans club.\\n\\nCette saison, Frank Hassell compile en moyenne 14,9 points et 8,3 rebonds pour une évaluation de 17,4.\\n\\n\\n\\n\\nOfficial: Frank Hassell @tankHassell6 extends with @CB_officiel for the rest of the season. #Octagon\\n\\n\\n— Daryl T. Graham (@controlthegame1) January 3, 2019\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: Monaco avec Gerald Robinson à Berlin" }, {"role": "assistant", "content":"Après Limoges et Villeurbanne, c’est au tour de l’AS Monaco de faire son entrée dans le top 16 de l’Eurocup à Berlin face à l’Alba, ce jeudi à 18h30.\\n\\nL’Alba Berlin est l’ancien club d’Elmedin Kikanovic et Gerald Robinson et c’est une place forte du basket allemand avec 8 titres de champion. Pour sa sixième participation à l’Eurocup, l’équipe berlinoise a terminé deuxième du groupe B lors de la phase régulière, avec 7 victoires et 3 défaites au compteur. Les hommes du coach espagnol Aito Garcia Reneses se sont par ailleurs imposés à deux reprises au Limoges CSP (102 à 93 à Limoges, 84 à 76 à Berlin). C’est aussi l’équipe qui délivre le plus de passes décisives (23,9/match), avec une grosse adresse à 3 points (41,1% de réussite).\\n\\nDu côté de l’effectif, l’Alba s’est renforcé en décembre avec la signature du pivot camerounais Landry Nnoko (2,08m). De plus, Berlin dispose d’une équipe composée de joueurs expérimentés et performants en Eurocup, à l’image de Martin Hermannsson. L’arrière islandais, révélé la saison passée sous le maillot de Châlons-Reims, tourne à 12,7 points et 4,3 passes par match. Sans oublier le meilleur marqueur de l’équipe allemande dans la compétition : le Lituanien Rokas Giebraitis (14,1 points). Ou le meilleur rebondeur : Luke Sikma, le cousin de l’ancien coach limougeaud, Kyle Milling (6,7).\\n\\n« Alba est l’une des meilleures équipes de la compétition avec de surcroît un entraîneur de légende à sa tête. Les Berlinois jouent avec une très grande intensité en attaque, avec des sprints très bien placés. De plus, Alba dispose de très bons tireurs à 3-points. Mais nous devrons jouer notre basket pour être compétitifs face à Berlin », souligne le coach monégasque, Sasa Filipovski.\\n\\nFace à l’Alba Berlin, la Roca Team, qui est mal en point en Jeep Elite (13e, 7 victoires et 8 défaites dont la dernière à Bourg, 90-100) enregistrera le grand retour de son arrière américain Gerald Robinson, qui avait été touché aux adducteurs le 14 novembre, lors de la victoire à Belgrade face à l’Etoile Rouge.\\n\\nCette rencontre dans la mythique salle berlinoise, sera également l’occasion pour Elmedin Kikanovic de fouler le parquet sur lequel il a brillé entre 2015 et 2017. Sous la tunique berlinoise, Kika avait inscrit 19,6 points de moyenne en 31 matchs d’Eurocup et avait même terminé 2ème meilleur scoreur de la compétition à l’issue de la saison 2016/17.\\n\\n\\n\\n\\nErster Gameday im @EuroCup-TOP16! Heute um 18:30 Uhr empfangen wir @ASMonaco_Basket inkl. Elmedin Kikanovic und Gerald Robinson in der @MBArenaBerlin (wobei letzterer womöglich ausfällt).\\n\\n\\nPreview: https://t.co/Njc7rd59BL pic.twitter.com/rxgYdIKebr\\n\\n\\n— ALBA BERLIN (@albaberlin) January 3, 2019\\n\\nPhoto: Gerald Robinson (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Solo Diabate va finalement porter le maillot du SLUC Nancy" }, {"role": "assistant", "content":"Le cas Solo Diabate (1,82m, 31 ans) a entraîné un nouveau rebondissement. Déclaré dans un premier temps inapte à la pratique du basket par la LNB, l’arrière ivoirien a demandé une contre-expertise qui a été positive! Il va donc pouvoir porter le maillot du SLUC Nancy et sera présent à l’entraînement dès ce matin.\\n\\n« Il lui faudra bien sûr un temps de remise en forme suffisant pour retrouver son niveau. S’il peut donner des coups de mains à l’équipe à la fin du mois de janvier, c’est bien.Puis, on espère pouvoir l’utiliser avec tout son potentiel après la trêve de février. Il est en tout cas extrêmement motivé », commente Philippe Durst, le président du SLUC à L’Est Républicain.\\n\\nSolo Diabate a tourné à 10,6 points et 7,1 passes la saison dernière à Astrum Levice en Slovaquie." }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Les highlights de Krasnodar-ASVEL et Etoile Rouge Belgrade-Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL a réussi un grand exploit en allant s’imposer en Russie au Lokomotiv Kuban Krasnodar, 67-65, avec 16 points, 13 rebonds dont un record de la saison de 9 offensifs, 2 interceptions et 4 contres pour 26 d’évaluation au compte de son pivot Alpha Kaba.\\n\\nUn peu plus tard, Limoges faisait de la résistance à Belgrade mais laissait finalement à l’Etoile Rouge la victoire, 71-83. Avec 20 points, Dwight Hardy a été le plus efficace des Limougeauds.\\n\\nVoici les highlights des deux matches.\\n\\nPhoto: Alpha Kaba (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le zapping 2018 du Mans champion de France" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket a réalisé ce zapping de l’année 2018 qui fut très riche pour lui avec un titre de champion de France à la clé. Nombreux extraits de match, dunks de DJ Stephens, hurlements de David Cozette, blagues de Antoine Eito, shoots improbables de Chris Lofton, célébration devant la cathédrale. Tout y est.\\n\\nPhoto: DJ Stephens" }, {"role": "user", "content":"L’interview du shooteur avec Jarell Eddie (SIG) : «Il m’est arrivé plusieurs fois de mettre 6, 7 ou 8 tirs à trois points dans un match»" }, {"role": "assistant", "content":"Finaliste du concours à trois points du All Star Game, Jarell Eddie (2,01m, 27 ans) a rejoint la SIG Strasbourg seulement début novembre mais il a très rapidement montré ses qualités de sniper. L’ailier strasbourgeois a répondu à nos « questions spéciales shooteurs ». Les interviews des deux autres concurrents du concours de tirs suivront cette semaine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nEn high school, j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nLe catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.\\n\\nLe tir le plus compliqué :\\n\\nJe dirais n’importe quel tir à l’intérieur des trois points ! Quand il faut faire un dribble dans les trois points et tirer, pourquoi pas, mais quand il faut encore se rapprocher près de la raquette c’est le plus compliqué pour moi.\\n\\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\\n\\nC’est fou, mais j’ai vraiment envie de dire Stephen Curry parce que tous les autres joueurs que l’on peut mettre dans cette discussion étaient de très bons shooteurss en catch and shoot et des scoreurs comme Ray Allen, Reggie Miller, Rip Hamilton ou Larry Bird... C’était tous des scoreurs, mais pour la façon dont Steph Curry peut rentrer des catch and shoot aussi facilement qu’un tir après un dribble de la même distance, je dois dire Stephen Curry.\\n\\nVotre shooteur préféré :\\n\\nHum... Déjà, Kobe Bryant était mon joueur préféré, il savait shooter. Mais je dirais que mon shooteur préféré serait Ray Allen ou alors Klay Thompson. Leur jeu offensif est très similaire, dans la façon dont ils sortent des écrans, qu’ils prennent les shoots. Le seul rival est Stephen Curry. Je choisis Ray Allen et Klay Thompson.\\n\\nUn shooteur sous-côté :\\n\\nJe dirais JJ Redick. Pour moi, il fait partie du top 3 des meilleurs shooteurs en NBA.\\n\\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\\n\\nKyle Korver, c’est sûr !\\n\\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\\n\\nStephen Curry et Klay Thompson.\\n\\nUn shooteur qui vous inspire ?\\n\\nKlay Thompson dans la façon dont il est capable de tirer, la distance d’où il peut prendre les tirs. C’est quelqu’un qui m’inspire.\\n\\nSi vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\\n\\nJe garde mon tir. Je suis très confortable dans mon shoot. Mais je n’ai pas du tout eu cette gestuelle dès le début. J’avais vraiment un très moche et mauvais shoot quand j’étais jeune, je partais de derrière ma tête. Je n’ai pas amélioré ma gestuelle avant le lycée et j’ai travaillé sur la rapidité à partir de l’université.\\n\\nLe secret d’un bon tir :\\n\\nLa confiance !\\n\\nQue pensez-vous d’une ligne à quatre points ?\\n\\nJe suis totalement pour ! Ça rajouterait un nouvel élément au jeu. Je pense que ça serait cool. Déjà, pour moi, tous les tirs marqués derrière la ligne médiane devraient compter plus que trois points.\\n\\nUn tir en carrière à raconter ?\\n\\nJe ne me rappelle pas avoir été particulièrement clutch dans un match. Par contre, j’ai déjà réalisé de plutôt bonnes performances globales où je shootais particulièrement bien. Il m’est arrivé de marquer six, sept ou huit trois points dans un même match, en saison, en playoffs. Ça m’est arrivé plusieurs fois.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nEn high school j’étais un joueur très complet pouvant aller au cercle ou prendre shoots, mais quand je suis arrivé à l’université j’étais trop lent pour continuer à driver donc j’ai commencé à shooter. J’ai passé tellement de temps au gymnase à m’entraîner à shooter à trois points parce que c’est là-dedans que je pensais pouvoir être utile dans le jeu. A ce moment-là mon rôle dans l’équipe était de shooter. C’est vraiment lors de ma deuxième année à l’université que je me suis vraiment mué en joueur complet à shooteur.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nLe catch and shoot, de n’importe que spot. Je suis très confiant dans mon tir, surtout en catch and shoot.\\n\\nLe tir le plus compliqué :[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : LNB / IS / Bellenger" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La traversée de l’Atlantique de Boris Diaw" }, {"role": "assistant", "content":"Vous voulez continuer de suivre les aventures de Boris Diaw en dehors du basket? Ce reportage -en anglais- vous emmène traverser l’Atlantique- sur son bateau. En voyant les images, on ne lui en veut pas d’avoir préféré passer de capitaine d’équipe de basket à capitaine sur mer.\\n\\nVous pouvez revoir l’Episode 1 et la montée du Stromboli ici." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Le baromètre des non-JFL, épisode 2 (1ère partie)" }, {"role": "assistant", "content":"Neuf journées de championnat se sont écoulées depuis le premier épisode de notre baromètre sur les non-JFL de Jeep Élite. Et les fortunes de ce contingent étranger continuent d’être très variées. Ce qui nécessite de répartir cette analyse en deux parties. Voici la première.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».\\n\\nIls sont partis\\n\\nNous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). Quant à Danny Gibson (Cholet), il a à la fois payé son faible rendement et les questions qui se posaient sur la validité de son passeport camerounais. Corey Fischer (Fos-sur-Mer) a lui quitté les bords de la Méditerranée à la fin de sa pige, correcte mais sans plus (9,6 d’éval). Enfin, deux joueurs ont changé de boutique : après sa pige réussie à LDLC Asvel, Eric Buckner s’est engagé à Monaco, où il n’a mis qu’un match avant de faire éclater ses qualités. De son côté, London Perrantes, peu à son aise à Limoges, est parti à Cholet, où il s’est imposé comme un patron, tournant à 16,2 d’éval (contre 8,8 au CSP).\\n\\nIls sont arrivés\\n\\nOutre les « cas particuliers » Buckner et Perrantes, douze nouveaux non-JFL ont déposé leur paquetage en Jeep Élite. Avec une « arrivée-retour », celle de Sergii Gladyr, le sniper ukrainien revenu à Monaco, où il évoluait la saison dernière, après avoir passé le début de la saison sans club. Un retour gagnant (12,3 d’éval), le joueur n’ayant rien perdu de son adresse à 3 pts ni de sa rugosité défensive.\\n\\nDu côté d’Antibes, l’arrivée de Taurean Green et de Chris Otule a redonné des couleurs à une équipe en souffrance. Le premier s’est imposé comme le maître à jouer des Sharks, malgré une baisse de régime en toute fin d’année alors que le second alterne bon et moyen mais se montre plus convaincant que lors de la saison dernière à Gravelines-Dunkerque (10,9 d’éval avec Antibes contre 5,0 au BCM).\\n\\nÀ Bourg, le départ de Kanter a été compensé par l’arrivée de Mike Moser, difficile à juger sur ses deux premières sorties, aux antipodes l’une de l’autre : 2 puis 24 d’éval. À voir sur la durée.\\n\\nChâlons-Reims en manque de meneur fiable, Abreu a laissé sa place à l’ancien nancéen Zabian Dowdell qui, sans révolutionner le jeu du CCRB, lui apporte plus de stabilité – au profit notamment de Blake Schilb et Devin Ebanks. Pour sa part, Dijon a remplacé Arnold par Tarence Kinsey, extérieur référencé en Europe mais qui peine à trouver ses marques (4,8 d’éval en quatre matchs).\\n\\nLe Mans, lui, a fait appel au belge Jonathan Tabu pour remplacer Conger, un choix qui a posé question sur ses six premières sorties (à peine 6 d’éval moyenne) avant un dernier match pétaradant (28 pts et 11 pds, 35 d’éval, contre Fos). Une étincelle isolée ou un véritable départ ?\\n\\nPour remplacer Rothbart, Le Portel a fait appel à O. D. Anosike, déjà vu brièvement (et sans relief particulier) à Strasbourg lors des playoffs 2013-2014. Bien que manquant de régularité, il a pris une place importante dans le dispositif d’Éric Girard (11,5 d’éval, 6 fois dans le cinq majeur sur 8 matchs).\\n\\nÀ Levallois, Durand Scott est là en tant que pigiste médical de Rasheed Sulaimon. Après deux premières sorties difficiles (-5 d’évaluation cumulée), il semble commencer à prendre son rythme. Pour sa part, Jordan Taylor amène à Limoges une stabilité à la mène qui manquait à son prédécesseur. Elle se traduit plus par la belle série du CSP (une défaite puis quatre victoires depuis son arrivée) que par ses statistiques personnelles (6,8 pts à 34,4 %, 8,6 d’éval).\\n\\nEnfin, Jarell Eddie occupe le poste de « 4 au large » que recherchait Strasbourg. Avec une réussite contrastée : plus ailier qu’intérieur, Eddie est une vraie menace à 3-pts (51,6 % de réussite !) mais pèse peu dans les autres secteurs de jeu.\\n\\nLe bal des éclopés\\n\\nComme chaque saison, les infirmeries des clubs de Jeep Élite se remplissent à mesure que les matchs s’accumulent. À Antibes, Skele a manqué deux matchs, alors que le décevant Trevor Thompson n’a plus foulé les parquets depuis la sixième journée, tout comme Viktor Gaddefors. À Châlons-Reims, Pape Badji n’a lui joué que cinq matchs, son retour de blessure à la 12e journée s’étant conclu par une rechute dès après le match suivant. Antywane Robinson (Cholet) s’est quant à lui blessé lors de la 10e journée (avec une reprise non-concluante lors de la 12e). À Gravelines-Dunkerque, c’est le meneur Edgar Sosa qui est arrêté, pour plusieurs semaines (sans compter la menace d’une suspension pour avoir bousculé un arbitre).\\n\\nLongtemps blessé en 2017-2018, Cameron Clark commençait à retrouver la bonne carburation avant d’à nouveau se blesser. De retour après trois matchs manqués, il effectue pour le moment un retour « en douceur ».\\n\\nAu Portel, le meneur Brandyn Curry a manqué cinq matchs avant d’effectuer (journée 10) un retour convaincant mais irrégulier. Quant à son coéquipier Jeffrey Crockett, il a effectué ses premiers pas en Jeep Élite lors de la 12e journée, alternant le très bon (27 d’éval en J13) et sorties médiocres (2 d’éval lors du dernier match).\\n\\nÀ la peine depuis le début de la saison, Rasheed Sulaimon (Levallois) est arrêté depuis la 11e journée. Jaraun Burrows (Fos) a pour sa part manqué six matchs et il effectue un retour timide (4 d’éval moyenne) alors qu’il avait brillé avant de se blesser : 16 puis 24 d’éval (J6 et 7).\\n\\nÀ Monaco, Lazeric Jones a manqué quatre matchs avant de revenir en J12 et d’alterner sorties moyennes et coups d’éclat (25 d’éval contre Strasbourg, J14). Quant à son coéquipier Gerald Robinson, blessé après la 3e journée, il n’est revenu que le temps de deux parties (J9 et 10) avant de rejoindre à nouveau l’infirmerie. Et lui aussi a alterné le bon et le moins bon.\\n\\nLe Nanterrien Demetrius Treadwell, de son côté, a démarré sa saison en J7, prenant petit à petit sa place d’intérieur remplaçant combatif et régulier. Une définition qui s’applique aussi, dans une moindre mesure, à Akos Keller (Pau-Lacq-Orthez), qui se montre plus limité en attaque. Son coéquipier Taqwa Pinero a pour sa part manqué neuf matchs, une coupure qui semble lui avoir permis de retrouver un peu d’adresse (31 % avant sa blessure, 57 % depuis son retour, sur deux matchs).\\n\\nÇa ne va pas fort\\n\\nPassons maintenant aux joueurs restés valides sur cette première partie de saison (avec parfois un match manqué, pour certains). Quelques-uns éprouvent de grandes difficultés, comme Olivier Troisfontaines, à l’adresse toujours en berne (33,4 %) et sur lequel Erman Kunter semble de moins en moins compter (10 minutes en cumulé sur les deux derniers matchs). De même, Obi Emegano (Dijon) continue à éprouver des difficultés à se mettre au niveau de la Jeep Élite, alors que Moses Ehambe (Le Portel) voit toutes ses stats baisser par rapport à la saison précédente. Enfin, sans qu’il puisse paraître menacé, A. J. Slaughter (LDLC Asvel) manque cruellement de régularité et ses dernières sorties (trois matchs sur quatre à 3 ou moins d’éval) ne rassurent guère. Reste le cas particulier de Louis Adams (Châlons-Reims), jeune joueur payé comme un stagiaire (25 000 €, selon nos estimations) pour une production... de stagiaire ! Il passe en effet 2,7 minutes sur le terrain pour une production totalement anecdotique de 0,4 d’éval.\\n\\nOn en attend plus\\n\\nDe nombreux joueurs non-JFL ne présentent pas le rendement attendu, laissent à penser qu’ils peuvent « mieux faire ». C’est le cas à Antibes de Louis Campbell : le « général » orchestre la manœuvre des Sharks mais est statistiquement peu rentable (6,2 d’éval en 23,4 minutes). À Boulazac, c’est Raymond Cowels qui déçoit, avec un rendement bien inférieur à celui qu’il avait l’an dernier à Hyères-Toulon. La même remarque s’applique à Lamonte Ulmer (Bourg), moins rentable qu’avec le CCRB la saison passée. À Cholet, Michael Young marque (15,4 pts) mais son comportement semble quelque peu agacer son coach. Quant à Jimmy Baron (Châlons-Reims), il est en souffrance depuis la 10e journée (7,2 d’éval sur les six derniers matchs).\\n\\nPlus au sud, Marcus Dove (Fos) réalise quelques belles prestations (cinq matchs à 19 ou plus d’éval) mais « se rate » trop souvent (six matchs à 6 ou moins d’éval). Du côté de Gravelines, Myles Hesson a rattrapé une première partie de saison décevante à l’occasion d’un dernier match conclu par 22 pts et 29 d’éval, une prestation que le BCM serait ravi de le voir réitérer. Il serait également très content, on peut l’imaginer, que Scott Wood sorte plus souvent de sa coquille de « joueur de l’ombre » et apporte plus souvent sa belle adresse à 3-pts (41,6 %). Au Portel, Darnell Williams semble avoir pâti de l’arrivée d’O. D. Anosike, réalisant quelques prestations très médiocres (-5 d’éval à Nanterre par exemple) et ayant perdu sa régularité d’avant. Du côté de Limoges, sans qu’ils soient décevants ni que leurs stats soient médiocres, on peut penser que les chauds supporters locaux aimeraient que Dwight Hardy et Isaiah Miles apportent encore plus que ce qu’ils produisent. Et le constat est le même pour Samardo Samuels, qui semble toutefois reprendre des couleurs depuis l’arrivée de François Peronnet aux commandes de l’équipe. À Monaco, Derek Needham défend et se montre régulier, mais l’ASM en attend certainement plus de lui à la création (3,3 pds en 27,4 minutes). Le club de Nanterre, lui, aimerait sans doute que ses cadres supposés soient à l’unisson à leur meilleur. Dominic Waters, parfois brillant, est aussi capable de se « trouer » alors que Julian Gamble ne fait que trop rarement admirer ses qualités offensives. Enfin, à la SIG, deux joueurs laissent insatisfait : Mike Green, qui ne pèse pas assez sur le jeu de son équipe, et Mardy Collins, parfois trop soliste et forçant trop (3/12 à Boulazac, 2/11 à Levallois, etc.).\\n\\n[armelse]\\n\\nLa Jeep Élite peut se révéler un formidable révélateur de talents, mais aussi se montrer impitoyable pour ceux qui n’arrivent pas (ou ne peuvent pas) se mettre au niveau. C’est en grande partie ce qui explique le fort nombre de mouvements enregistré dans les équipes de l’élite française au cours de ces deux derniers mois : pas moins de onze joueurs non-JFL ont quitté le club qui les avait accueillis et quatorze ont fait leurs premiers pas dans une nouvelle équipe – dont deux qui ont « changé de crémerie ».\\n\\nIls sont partis\\n\\nNous évoquions leurs difficultés lors de notre premier épisode, la sentence a fini par tomber sur eux : Alex Abreu (Châlons-Reims), Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Robert Arnold (Dijon) et Robert Rothbart (Le Portel) ont été obligés de faire leurs bagages faute de répondre aux attentes de leur club. D’autres départs surprennent plus, comme celui de Ian Hummer à Monaco ou celui de Demetrius Conger au Mans. Pour le premier, si son implication n’attirait aucun reproche, c’est son faible impact offensif qui a joué en sa défaveur. Pour Conger, il semble que ce soit plus une question d’inadaptation à l’équipe qui ait entraîné son départ. Autre joueur qui avait plutôt bien commencé avant de disparaître de la circulation, faute d’implication défensive dans son cas, Kerem Kanter (Bourg-en-Bresse). Quant à Danny Gibson (Cholet), il a à la fois payé son faible rendement et les questions qui se posaient sur la validité de son passeport camerounais.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Mike Green (Strasbourg, FIBA), Jonathan Tabu (Le Mans, FIBA), Gerald Robinson (Monaco, Eurocupbasketball), Scott Wood (Gravelines, BCM)." }, {"role": "user", "content":"Le site toulousain Hoopdiary.net fête ses huit ans" }, {"role": "assistant", "content":"L’excellent site Hoopdiary.net fête ses huit ans et son webmaster, Frank Cambus, se fend d’un petit édito pour rappeler sa vocation.\\n\\n« Depuis quelques années, Hoop Diary a été orienté vers l’histoire du basket en Midi-Pyrénées, et plus spécifiquement sur l’histoire du basket toulousain. L’histoire du basket à Toulouse des années 30 à nos jours figure d’ailleurs aussi sur le site du Toulouse Basket Club, qui évolue actuellement en Nationale 1, l’intégralité du dossier a été repris par le webmaster. »\\n\\nIl évoque aussi l’Académie du basket version Occitanie:\\n\\n« Pour la deuxième année consécutive, l’Académie du basket récompense les personnalités du basket régional. En 2018, pour marquer la naissance de la nouvelle région Occitanie, l’Académie a été ouverte aux deux anciennes régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.\\n\\nUn groupe de travail constitué pour l’occasion désigne les nouveaux académiciens, qui sont récompensés lors de l’AG de la Ligue. Cette année, le 23 juin, cinq nouveaux académiciens ont été récompensés, sous le parrainage d’André Souvré, Académicien 2017.\\n\\nCes cinq ont marqué l’Occitanie par leur parcours ou leur passage:\\n\\n * Appolo Faye, légende du CSP Limoges qui a joué à Montpellier en fin de carrière,\\n * Marie-France Chaumeil, joueuse de Graulhet en première division\\n * L’équipe de Valence-Condom qui réalise un parcours exceptionnel en Coupe de France 1997\\n * René Lavergne, fondateur du mini-basket notamment\\n * Francis Jordane, entraineur de l’équipe de France masculine »\\n\\nSi vous ne connaissez pas ce site, on ne peut que vous recommander la story à propos de l’incroyable retournement de situation entre Antibes et Toulouse lors des barrages de 1989 et qui fut l’avènement de Jacques Monclar comme coach. A voir ici et ici." }, {"role": "user", "content":"Italie : 5 à 6 semaines d’absence pour Kaleb Tarczewski (Milan), remplacé par Alen Omic ?" }, {"role": "assistant", "content":"Touché au pouce droit, Kaleb Tarczewski (2,13m, 25 ans) va être écarté des terrains pour une durée de cinq à six semaines. Le club souhaiterait pallier son absence.\\n\\nSelon Vijesti, Milan serait même sur le point de trouver un accord avec le Buducnost Podgorica pour le transfert d’Alen Omic. Dragan Bokan, le président du Buducnost, a déclaré au site monténégrin que le club transalpin a envoyé la plus grosse offre pour un joueur depuis le départ de Bojan Dubljevic pour Valence en 2012. Il y a bien des discussions mais le deal n’a pas encore été trouvé.\\n\\nHasard du calendrier, Milan reçoit justement Podgorica en Euroleague ce vendredi pour le compte de la seizième journée de championnat.\\n\\nCette saison, Kaleb Tarczewski compile en moyenne 10,6 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 15,3 en Serie A, et 5,3 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 6,4 en Euroleague. Alex Omic, qui est déjà passé par Milan (2012-15) tourne, lui, à 7,6 points et 5 rebonds entre l’Euroleague et la Ligue Adriatique.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : un mois d’absence pour Tornike Shengelia (Vitoria)" }, {"role": "assistant", "content":"Mauvaise nouvelle pour Vitoria qui perd son meilleur joueur, Tornike Shengelia (2,06m, 27 ans) pour une durée estimée à au moins 3 ou 4 semaines, annonce l’Euroleague.\\n\\nBlessé au genou dimanche face au Real Madrid, l’international géorgien a passé des examens qui ont révélé que les ligaments ont été touchés. Par conséquent, l’intérieur de Baskonia va devoir prendre du repos et être soumis à des séances de physiothérapie.\\n\\nC’est la deuxième blessure de la saison pour l’ancien joueur des Brooklyn Nets qui s’est déjà cassé le nez et qui avait dû jouer avec un masque. Cette saison, Tornike Shengelia compile en moyenne 12,7 points, 4,5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de de 15,4.\\n\\nDixième du classement d’Euroleague, Vitoria (7v-8d) est toujours à la lutte pour une place en playoffs. Pour rappel, c’est dans sa salle qu’est organisé le Final Four 2019. En ACB, c’est nettement mieux pour Vitoria qui est troisième avec 10 victoires et 4 défaites.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : 72,7% à trois points pour l’ancien nanterrien Erik Murphy !" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré une taille de 2,08m, Erik Murphy (28 ans) est le shooteur le plus redoutable de toute l’Eurocup.\\n\\n\\nEn neuf matchs de coupe d’Europe cette saison avec Francfort, l’ancien joueur de la SIG et de Nanterre a tenté 33 tirs derrière l’arc pour 24 réussites, ce qui fait un pourcentage hallucinant de 72,7%. Ce qui est étonnant, c’est qu’en championnat allemand l’international finlandais affiche un pourcentage de réussite d’un peu plus de 34%, rien d’extraordinaire donc.\\n\\nNé à Lyon, l’ancien joueur du Besiktas a donc été l’un des grands artisans de la qualification de son équipe pour le Top 16 avec en moyenne 16,1 points et 3,9 rebonds pour une évaluation de 16,7. L’ASVEL affrontera Francfort dans le cadre de la troisième et quatrième journée du Top 16 d’Eurocup, les 16 et 22 janvier.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: L’ASVEL à Krasnodar s’attaque d’entrée au favori de la poule" }, {"role": "assistant", "content":"Pour son entrée dans le top 16 de l’Eurocup, LDLC ASVEL démarre ce soir, à 18h30, par le plus costaud: le Lokomotiv Kuban Krasnodar en Russie.\\n\\n« C’est le très grand favori de notre poule, cela ne fait aucun doute. On va tout faire pour créer la surprise. On travaille bien, on a des certitudes collectives dans notre jeu... A nous de nous concentrer au maximum pour faire de notre mieux ! « , commente le coach Zvezdan Mitrovic. Ce qui peut donner confiance aux Villeurbannais, ce sont leurs 20 victoires en 25 matches au dernier trimestre de 2018.\\n\\nDans la phase préliminaire de l’Eurocup, l’équipe russe, elle, n’a perdu qu’un seul de ses 10 matches face à l’Alba Berlin (75-83) avant de prendre sa revanche au retour en Allemagne (92-82). Le Limoges CSP était lourdement tombé à Krasnodar (64-82) avant de limiter la casse à Beaublanc (64-72).\\n\\nLes deux hommes qui ont établi jusqu’ici les meilleures statistiques sont l’ailier Jamel McLean (2,02m, 30 ans, 10,4 points, 5,4 rebonds) et l’arrière Mateusz Ponitka (1,98m, 25 ans, 10,4 points, 5,0 rebonds) mais en fait l’équipe est très compacte. Le Lokomotiv est toutefois privé actuellement de son pivot Moustapha Fall qui est victime d’une pubalgie.\\n\\nQuant à l’ASVEL, elle a fait le déplacement sans un autre international français, Charles Kahudi, qui a loupé le dernier match de championnat face à Levallois et le All-Star Game en raison d’une petite hernie discale. L’ASVEL espère le récupérer pour le match d’Eurocup de la semaine prochaine face à Ulm à l’Astroballe.\\n\\nLes Villeurbannais se sont rendus en Russie en avion privé.\\n\\nPhoto: Mateusz Ponitka (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF]Cathy Melain (coach Basket Landes): «Dans l’état actuel des choses, on correspond davantage à un club d’Eurocup»" }, {"role": "assistant", "content":"Cathy Melain, 44 ans, n’était pas la saison dernière une rookie comme les autres en Ligue Féminine. Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. Et puis aussi parce qu’elle a comme meneuse à Basket Landes Céline Dumerc, une amie, avec qui elle a gagné plusieurs couronnes.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’entretien.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?\\n\\nC’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir (sourire). Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\\n\\nMême s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\\n\\nC’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\\n\\nLes départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\\n\\nCe sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\\n\\nFrédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\\n\\nOn le ressent, c’est une évidence ! Basket Landes n’a jamais été au top français donc ça fait moins bizarre que Villeneuve (sourire). On n’a pas les mêmes joueuses parce qu’on n’a pas le même budget. C’est malheureusement une évidence. Quand on a de l’argent, on peut proposer de meilleurs contrats et avoir des joueuses qui ont de meilleurs CV. Etc. L’argent c’est le nerf de la guerre. Basket Landes avance au niveau du budget mais comme les autres avancent beaucoup on ne s’en rend pas compte.\\n\\nMamignan Touré est l’une des meilleures joueuses de 3×3 au monde. Est-ce profitable pour le 5×5 ?\\n\\nOui. Le 3×3 oblige à avoir une agressivité continuelle parce qu’on n’a pas le temps de faire autrement. Ça pousse les gens à prendre des responsabilités, à prendre des risques, tout le temps et sur un rythme qui est très élevé. C’est très intéressant. Et dans son cas ça lui fait du bien car elle en avait la capacité et pas forcément la conscience. Ça la booste car elle se rend compte qu’elle peut faire des choses. Il faut maintenant faire le transfert de cette agressivité dans le 5×5 et il faut que ça se fasse avec intelligence car forcément il n’y a pas le même espace quand on est à cinq que lorsqu’on est à trois.\\n\\nA-t-elle maintenant dans son esprit le fait qu’elle peut être candidate aux Jeux Olympiques de Tokyo ?\\n\\nJe pense qu’elle ne le fait pas dans ce sens-là. Elle ne se dit pas, les Jeux en 5×5 c’est compliqué, en 3×3 c’est plus facile. Elle apprécie fondamentalement le 3×3. Après effectivement c’est un bonus. Je ne lui ai pas demandé, mais je suppose qu’elle est heureuse d’avoir une chance de pouvoir y aller, ça parait naturel même si rien n’est fait. Ça laisse des chances à des personnes qui ne sont pas loin mais qui ne peuvent pas intégrer l’équipe de France de 5×5 pour les JO. On est un peu en attente avec le 3×3, savoir comment ça peut s’intégrer, comment faire l’un avec l’autre. Ce n’est pas comme si c’était deux disciplines différentes avec des joueuses de 5×5 et des joueuses de 3×3. Pour l’instant elles sont dans les deux. Y aura-t-il des joueuses pros de 3×3 ou est-ce que ça sera toujours une double discipline ? Je ne maîtrise pas mais j’y pense.\\n\\n« Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur »\\n\\nL’objectif du club est de jouer à terme l’Euroleague ?\\n\\nJe pense que les gens en ont envie car c’est l’étape suivante. Maintenant, il faut être à la fois ambitieux et réaliste. Dans l’état actuel des choses on correspond davantage à un club d’Eurocup ne serait-ce que financièrement. C’est horrible, mais tout est lié à ça. Si on demande à une joueuse qui est depuis dix ans en Euroleague de venir ici, elle va dire « je préfère rester en Euroleague » et sur le contrat, on ne peut pas la payer. Il faut jouer sur d’autres cordes de sensibilité mais... il faut de l’argent pour exister. Si c’est pour perdre tous ses matche et être content d’aller visiter des villes européennes... Il faut un roster qui soit large car une saison d’Euroleague c’est 14 matches avant même de commencer les playoffs. Si tu n’es pas prêt, construit pour, ça peut être hyper dangereux.\\n\\nContrairement à la Jeep Elite où il y a beaucoup de surprises, en Ligue Féminine, ce sont toujours les plus gros clubs qui sont les premiers ?\\n\\nIl n’y en a pas beaucoup mais il y en a quand même. Le dernier exemple, c’est Tarbes en finale. Il y a toujours ce petit espoir qu’un petit aille manger des gros. Mais effectivement ce n’est pas régulier. Et quoiqu’il arrive au final c’est le gros qui gagne.\\n\\nLa ligue a fêté ses 20 ans. Le niveau de jeu et d’organisation des clubs ont-t-il évolué durant cette période ?\\n\\nLe niveau remonte. A une époque, il y avait Bourges et Valenciennes, deux grosses équipes qui se partageaient les titres d’Euroleague, et puis ensuite il y a eu des années un peu plus faibles et on s’en est rendu compte sur les résultats en Euroleague. Et je trouve que là, ça remonte. Cette saison est très révélatrice, on passe un vrai cap. Il y a de gros clubs qui ont de grosses ambitions, que ce soit Lyon, Montpellier, Charleville, qui déjà en France ont envie de titiller Bourges, d’exister en Euroleague. Ils ne veulent pas se contenter de participer. On remonte bien. Je ne sais pas jusqu’où ça peut aller car notre économie est encore un peu faiblarde pour aller au bout.\\n\\nIl n’y a plus beaucoup de joueuses qui font carrière douze ans dans le même club comme vous à Bourges. Finalement, les filles copient les garçons ?\\n\\nDouze ans, c’est beaucoup ! Il y en a encore qui sont fidèles à leurs clubs même si ce n’est pas autant. Les joueuses ne bougent pas tous les ans. Il y a plein de cas où elles sont quatre, cinq ans dans le même club. Il y a encore une forme d’attachement. Même si comme partout, il y a des gens qui changent régulièrement. Ça a toujours été présent.\\n\\nLes filles ne courent pas le cachet systématiquement ?\\n\\nNon. Ou elles prennent le temps. Ce n’est pas la recherche du cachet à tout prix même s’il y a plus d’opportunités d’aller voir ailleurs. Quand des clubs en France grandissent, il y a des projets intéressants. Il y a aussi la possibilité d’aller à l’étranger, c’est plus facile aujourd’hui qu’il y a des années. Tout est lié : l’équipe de France est performante, ça veut dire que les joueuses sont de valeur et donc les clubs viennent chercher les Françaises.\\n\\nVos joueuses connaissent-elles votre palmarès ? Trois Euroleague gagnées en France, deux titres de championnes d’Europe, ça les fait rêver ?\\n\\nUne partie le sait, certaines ont une vague idée et certaines pas du tout (rires). Je n’ai pas l’impression qu’elles focalisent sur ça et moi non plus.\\n\\nÇa ne sert pas pour asseoir son autorité ?\\n\\nCa facilite un peu la première rencontre. Tu es inconnue en tant que coach mais comme personne. Mais ça ne suffit pas que les gens connaissent ton nom soit très bien soit vaguement que derrière ça va bien se passer. Tu ne joues plus, t’entraîne, tu veux guider des gens et il faut que tu sois capable de prouver des choses qui font que l’équipe avance. Je reviens à ce que je disais auparavant : je ne voulais pas du tout entraîner une équipe pro après mon arrêt. Entraîner, ça ne se fait pas comme ça !\\n\\nAvec votre palmarès et le fait d’être une femme, ça provoque encore plus d’attente pour une rookie ?\\n\\nEffectivement, tu es rookie sans l’être. Un peu comme Jimmy Verove l’année dernière à Nice. Mais ça ne suffit pas. Ce n’est pas une garantie de succès. Ce n’est pas parce que tu as été joueur à haut niveau que tu seras un bon entraîneur. Si tu t’arrêtes à ça, tu vas droit dans le mur. Il faut travailler comme n’importe qui.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment se passe la vie dans le Sud-Ouest quand on est Bretonne puis Berruyère et Parisienne ?\\n\\nC’est totalement différent et il n’y a pas besoin de le vivre pour le savoir (sourire). Ça se passe très bien dans le sens où j’ai été extrêmement bien accueilli. Cet accueil a favorisé mon intégration. Il y a des personnes à l’intérieur du club, autour du club et un public qui font que tu ne peux qu’aimer ce club et ce lieu.\\n\\nMême s’il s’est déplacé de Saint-Sever à Mont-de-Marsan, est-ce encore un club rural ?\\n\\nC’est difficile pour moi de faire une comparaison, je ne peux qu’avoir un jugement ponctuel. Je pense que c’est un club qui cherche à se structurer, à se professionnaliser mais qui a une grande sensibilité sur maintenir les valeurs qui ont fait ses qualités depuis des années. Ils cherchent à avoir cet équilibre-là. Ils ne veulent pas rentrer dans un professionnalisme froid comme ils ont conscience qu’il faut construire une base pour que le club soit solide. Si un jour on fait un match à Mont-de-Marsan et que les joueuses ne se sont pas battues, mais que tu as gagné, ils ne sont pas contents. Ils veulent que les gens se battent. C’est ça aussi qui fait l’identité de club.\\n\\nLes départs de Queralt Casas à Charleville et de Cierra Bravard à Tarbes sont vos choix ou vous n’avez pas pu financièrement les conserver ?\\n\\nCe sont deux cas différents. Queralt Casas, c’était son choix. Elle souhaitait franchir une marche dans sa carrière, rejouer l’Euroleague à un âge un peu plus avancé. Quant à Cierra, c’était notre choix.\\n\\nFrédéric Dussart, le coach de Villeneuve, dit qu’il y a une montée en puissance financière de Lattes-Montpellier, Lyon et aussi Charleville. Ressentez-vous ça aussi à Basket Landes ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Marie-Michelle Milapie et Miranda Ayim (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Féminines: La Française Alyssa Lawrence joueuse n°1 de la meilleure équipe suédoise" }, {"role": "assistant", "content":"Avec 9 victoires en autant de match, A3 Basket est en tête du championnat national suédois. L’équipe de Umea, une ville située dans le nord du pays a bien clôturé l’année 2018 en étrillant sur ses terres le deuxième du classement, Avilk Basket, 92-55. La meilleure joueuse d’A3 Basket est une Franco-Américaine, née à Dunkerque, dont nous vous avons déjà parlé, Alyssa Lawrence (1,83m, 23 ans).\\n\\nLa fille de l’ancien joueur de Pro A, Larry Lawrence, opère comme power forward et elle tourne pratiquement en double double avec 14,7 points et 9,1 rebonds alors que l’on dénombre trois Américaines, une Allemande et une Croate dans l’équipe.\\n\\nL’équipe suédoise est beaucoup moins à l’aise en Eurocup puisqu’elle y a perdu ses six matches mais Alyssa Lawrence y présente là aussi les meilleures stats: 16,8 points (60,7% de réussite aux tirs) et 8,6 rebonds.\\n\\nMais en fait sa grande spécialité est le contre et avec 2,2 blocks de moyenne, elle se positionne au 6e rang dans ce secteur en Eurocup.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Quand Klemen Prepelic se retrouve 13e homme au Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Champion d’Europe en 2017 avec la Slovénie dans un rôle majeur (13,8 points en 25′), pistolero sans limite de cartouches à Limoges (15,8 points, 35,1% à trois-points) puis à Levallois (15,4 points, 31,6% à trois-points), Klemen Prepelic (1,92m, 26 ans) apprend au Real Madrid... à regarder un match du banc de touche.\\n\\nLe Slovène n’a participé qu’à 9 des 15 matches d’Euroleague du Real pour une moyenne qui se situe à 7′ en temps de jeu. 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Avec 18 points, 11 rebonds et 30 d’évaluation, Séraphin a donné la leçon au jeune islandais, Tryggvi Hlinason. Il a aussi offert une victoire au Barça contre Obradoiro (79-73), avec un bon Thomas Heurtel (11 points, 4 rebonds).\\n\\nBarcelone est bien lancé cette saison, 1er de la Liga en cette fin d’année 2018, et déjà qualifié pour la Copa Del Rey avec ce 12e succès en 14 matchs. A 8 victoires et 7 défaites en Euroleague, les Catalans sont aussi dans les clous à la 7e position.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Pkq6-IMBfvQ\\n\\n\\nMathias Lessort super efficace !\\n\\nEn 9 minutes, Mathias Lessort a cumulé 14 points, 2 rebonds, 2 interceptions et même un contre. Et ce, à 7/7 aux tirs. Pour la fine bouche, il a ajouté ce petit dunk arrière pas piqué des hannetons. On fait rarement plus efficace dans un si court temps de jeu, impressionnant !\\n\\nhttps://twitter.com/SomosEurope/status/1079377544980373506\\n\\n\\nUne fin de match cruelle pour Aaron Cel\\n\\nA -5 à 15 secondes la fin, Lublin était donnée pour mort... Mais une fin de match folle avec une interception de Lublin conclu d’un trois points de Joe Thomasson. Puis un lancer et une nouvelle balle perdue de Torun avec Cheickh Mbodj qui se perd en dribble. Thomasson s’occupe du trois points de la gagne de très loin ! Incroyable retournement de situation !\\n\\nDans ce match dingue, Aaron Cel avait auparavant réussi un match plein avec un 36 d’évaluation, dont 25 points à 8/9 aux tirs et 5 rebonds. Une défaite cruelle !\\n\\n\\nAmath M’Baye en double double\\n\\nUn poil sous les 10 points et 5 rebonds de moyenne à l’année, Amath M’Baye a aidé ses moyennes avec son premier double double de la saison à 11 points et 11 rebonds contre Trente. Malheureusement, ça n’a pas suffi pour Bologne qui encaisse sa 7e défaite (71-65). A la nouvelle année, Bologne pointe donc en négatif à 6 victoires pour 7 défaites.\\n\\nPar ailleurs, Mam Jaiteh a été prolongé à Turin après sa pige convaincante (6 points, 4 rebonds en 12 minutes de moyenne sur 8 matchs). Il a signé jusqu’à la fin de saison !\\n\\n\\nRodrigue Beaubois dégaine plus vite que son ombre\\n\\nIl n’a pas joué longtemps : 14 minutes. Mais Rodrigue Beaubois a tout de même trouvé le temps de planter 17 points, plus 3 rebonds et 2 passes dans une victoire facile d’Efes Istanbul contre Izmir (101-74). La troupe de Coach Ataman est 2e au classement avec 9 victoires et 3 défaites.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=qO-sG4FsMDU\\n\\n\\nEspagne\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 18 points (6/7 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 14 points (7/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 contre en 9 minutes (victoire 94-81 face à San Sebastian)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (4/9 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes (victoire 91-74 face à Vitoria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 79-73 face à Obradoiro)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre en 18 minutes (victoire 89-74 face à Saragosse)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (2/7 aux tirs), 6 passes, 3 interceptions, 2 balles perdues en 27 minutes (victoire 96-82 face à Estudiantes)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/8 aux tirs), 4 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (défaite 91-74 face au Real Madrid)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes (défaite 81-74 face à Burgos)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué (victoire 89-74 face à Saragosse)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 6 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception en 14 minutes (victoire 78-68 face au PAOK)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 0 point (0/1 au tir), 1 passe, 1 interception en 7 minutes (défaite 71-61 face à Prometheus)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : prochain match le 2 janvier face à l’Hapoel Tel Aviv\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 11 points (4/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 39 minutes (défaite 71-65 face à Trente)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 6 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (défaite 100-87 face à Cremona)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – blessé au genou\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 3 passes en 7 minutes (défaite 86-72 face à l’Etoile Rouge)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 3 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 86-77 face à Novo Mesto)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 25 points (8/9 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 93-91 face à Lublin)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 14 points (4/11 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 34 minutes (victoire 85-80 face à Kalev)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : pas de match\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 14 points (3/8 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 106-89 face à Belgrade)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 1 point (1/2 aux lancers), 3 rebonds, 2 interceptions en 21 minutes (victoire 72-66 face à Ljubljana)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 17 points (5/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 14 minutes (victoire 101-74 face à Izmir)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 101-74 face à Izmir)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 91-61 face à Darussafaka)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Mokoka et Toupane en mode record\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nKevin Séraphin en patron\\n\\nPour son 2e match en Liga depuis son retour de blessure, Kevin Séraphin a sorti une performance de gala pour les Fêtes de fin d’année. 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Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nFranck Butter fait partie des champions d’Europe limougeauds de 1993. Il a aujourd’hui 55 ans. Vous pouvez apercevoir sa longue carcasse de 210 cm les soirs de match à Beaublanc mais rarement en ville car l’ancien pivot international est sérieusement handicapé au pied et doit s’appuyer sur une béquille. On s’est donné rendez-vous dans un café proche de la gare des Bénédictins pour qu’il nous raconte sa vie d’avant, de héros, et aussi celle d’aujourd’hui, de souffrance.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\\n\\nJ’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\\n\\nQuand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\\n\\nMon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\\n\\nJe suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Franck, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.\\n\\nJ’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »\\n\\n« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »\\n\\n« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe. Je me suis fait une entorse à la cheville à Monaco quand j’étais avec les espoirs à Orthez en tombant sur le pied d’Angelo François-Elocie. On rentre en train. Je vois le médecin qui me dit « tu t’es fait une entorse ». Je me fais soigner pendant trois mois et j’ai repris les entraînements. Durant les deux premiers mois d’arrêt, je n’ai pas été chercher mon salaire. A l’époque, tu allais chez le trésorier, tu signais le registre. C’est mon agent qui m’a appelé en me disant que le président venait de le prévenir que je n’avais pas été chercher mon salaire. C’était mon premier contrat et j’étais mal à l’aise d’être payé alors que je ne jouais pas. Il m’a dit que ça n’avait rien à voir. Je suis allé signer le registre et j’ai touché mon salaire.\\n\\nJ’ai repris et au bout de deux mois le président (Pierre) Seillant m’a dit « Franck, on n’est pas content de toi ». Je venais de Limoges et j’étais sensé être un bon joueur en devenir. Je lui ai répondu que « le problème c’est que lorsque je finis les entraînements, j’ai la cheville qui me fait mal ». Je lui ai dit aussi « jouons franc jeu : on va voir un bon spécialiste et s’il dit qu’il n’y a rien c’est que je suis un fainéant ». On a pris rendez-vous chez le professeur (Gérard) Saillant. Il m’a dit que j’avais les ligaments pétés. J’étais rassuré parce que j’avais quelque chose mais il fallait que je me fasse opérer. Et donc j’ai toujours compensé sur l’autre jambe gauche. Et c’est pour ça qu’en 1990 je me pète le talon d’Achille de mon pied gauche. D’ailleurs, j’allais toujours à droite. Le mec qui aurait eu un peu de jugeote et qui m’aurait fait aller à gauche, j’aurais été incapable de jouer ! Il y avait moins de scouting à l’époque, ça m’arrangeait ! A chaque fois que j’allais au rebond, je ne sautais que sur une jambe.\\n\\nDans tous les clubs que j’ai fait, les corps médicaux étaient catastrophiques. A Montpellier on faisait les déplacements sans kiné parce qu’il fallait l’indemniser, et ça c’était en 96-98. On s’est professionnalisé au niveau des salaires mais pas du médical. On allait voir parfois des guérisseurs, des acupuncteurs, des gourous !\\n\\nJ’avais un peu de douleur mais rien de comparable avec maintenant. Je n’ai jamais été guéri. Dès l’instant que tu as une entorse et que tu t’entraînes un mois et demi dessus, tu te pètes tous les cartilages et tu n’as pas de calcification. En équipe de France, ils rigolaient quand ils voyaient ma cheville. Moi aussi j’en rigolais mais aujourd’hui j’en pleure plus que j’en rigole. Ça n’a fait qu’empirer. Faire une carrière sur une jambe et avoir Boja (Maljkovic) comme coach, je peux dire que j’ai souffert le martyr. Ça fait dix ans qu’ils m’ont bloqué la cheville et là je me suis fait opérer des orteils car comme je n’avais pas d’amplitude au niveau de la cheville ce sont eux qui compensaient. J’ai une douleur aigüe, comme un coup de cutter, tout le temps.\\n\\nEn 2000, j’ai arrêté le basket et le sport, toutes activités physiques. Pendant dix ans, je n’ai pas pu marcher. Quand je descendais des brouettes de bois, au bout de dix mètres, il fallait que j’attende car j’avais l’impression d’avoir le pied dans un étau. Quand tu es sportif de haut niveau et que tu te vois diminué comme ça, il y a des moments tu chiales. A 46 ans, j’ai vu le remplaçant du Professeur Saillant -qui lui-même est venu au rendez-vous pour me voir et me dire que j’étais entre de bonnes mains-, il m’a fait une prothèse et j’ai pu remarcher même si au boulot je piétine pas mal. Mais il y a quatre ans, j’ai failli y passer, j’ai fait une double embolie pulmonaire car mon Talon d’Achille, qui a été opéré deux fois en six mois en 1990, a re-pété. Déchirure. Je suis allé aux urgences mais ils ne m’ont pas donné tout ce qu’il fallait et j’ai fait une phlébite. J’avais du mal à avaler, j’ai passé un examen et un scanner et ils m’ont hospitalisé en urgence. J’avais une partie du poumon qui n’était pas vascularisé et j’avais plein de caillots de sang. Le médecin m’a dit, « heureusement que vous êtes un ancien sportif de haut niveau, vous avez un cœur musclé. Sinon, je pense que vous ne seriez pas là avec nous aujourd’hui. » Je me suis mis à beaucoup marcher, 20-25km, et donc j’ai eu des problèmes d’orteils. Je suis au centre antidouleurs, avec un psy, je fais de la relaxation pour accepter la douleur.\\n\\nD’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl (rires). Se retrouver à 55 ans dans cet état-là... Malgré ça, si c’était à refaire à 18 ans, je resigne de suite. »\\n\\n« Un Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. »\\n\\n“C’était le début du professionnalisme. Des mecs comme Apollo (Faye) jouaient avec des baskets pas terribles, pas toujours sur du parquet, parfois du béton. Nous, sauf une année sur la moquette à Orthez, on jouait sur du parquet avec de bonnes chaussures mais les niveaux d’entraînement étaient différents.\\n\\nJ’ai joué avec Tom Scheffler comme Américain et George Fisher comme coach, la Coupe des Champions contre Kaunas et (Arvydas) Sabonis. Je me blesse la première année mais comme je revenais de blessure, j’ai très peu joué la deuxième année. Mon agent, Didier Rose, me dit que plein de clubs me voulaient et essentiellement Nantes. Et aussi Caen où je n’avais que 2 000F d’augmentation. Didier me dit, « je sais quels joueurs ils veulent prendre dans les deux équipes. Si tu vas à Nantes, tu vas être troisième voire quatrième pivot et il faut que tu joues 40 minutes car là tu as perdu du temps, sinon après tu seras grillé. C’est lui qui m’a orienté vers Caen. A Caen, j’ai eu Djordje Andrijasevic comme coach (NDLR : Et aussi Frédéric Forte comme jeune équipier).\\n\\nIl fallait rattraper le temps perdu. J’ai commencé le basket très tard, à 18 ans et demi. Je suis arrivé d’Excellence Départementale ici à Limoges sans fondamentaux. Tu passes de deux entraînements par semaine à trois par jour. Pierre Dao (NDLR : le coach) ne voulait pas que je reste dans ma chambre à glander entre les entraînements, alors j’allais chez André Sardin (NDLR : un dirigeant du club), qui avait un magasin d’électro-ménager, je livrais des machines à laver. J’allais manger au Foyer des Jeunes Travailleurs. Je m’entraînais le matin et l’après-midi avec l’équipe Une et les espoirs.\\n\\nOn se plaignait que l’on n’avait pas de grands mais est-ce qu’on savait les modeler ? Non. Joby (NDLR : Georges Vestris) n’avait pas le droit à l’erreur car il faisait 2,14m. Et puis les grands explosent beaucoup plus tard, ils sont à point à 26-27 ans. Ce que j’entends au CSP ou même au rugby, c’est « il n’y a pas de leader, de mec qui en veut. » Comment en 2018 avec les salaires qu’il y a tu peux entendre ça ? Je n’avais pas de fondamentaux mais quand il y avait une balle par terre, je plongeais dessus. En 1995, Michel Gomez me dit, « Franck, il faut que tu viennes en équipe de France. » Je lui réponds, « Michel, j’ai le bras dans le plâtre. » Il insiste. « Tu veux que je fasse GO ? » (Il rit). J’y suis allé. Du coup, quand j’entends ça, ça me révolte. Comme j’ai démarré tard, j’ai toujours été un joueur qui a travaillé pour l’autre. Quand ici je faisais des blocs et que Michael Young marquait un panier, j’étais super content. De toutes façons, j’étais incapable de marquer 20 points par match. C’est l’avantage au basket, tu as d’autres possibilités. Tu prends des rebonds -avec ma taille, ça aide-, tu fais des blocs, et tu défends. Mais il y en a, ça ne les intéresse pas. Ce qu’ils veulent, c’est marquer des points. A ce moment-là, tu fais un sport individuel. C’est vrai que là, tu peux changer de joueur tout le temps. Nous, il n’y avait que deux étrangers.\\n\\nUn Français qui se serait comporté comme Boja (Maljkovic) ne serait pas resté, il se serait fait virer. Les joueurs auraient trouvé que c’était trop dur. Je m’en rappellerai toujours : on fait un match amical, il reste trois minutes, il demande de nous échauffer, nous qui étions sur le banc. On se demandait ce qu’il voulait, ce n’était pas le mec a changer cinq joueurs d’un coup... Fin du match. Ligne de fond. On a fait au moins une dizaine de suicides ! Ça a payé !\\n\\nL’année d’après je voulais partir mais les dirigeants m’ont demandé de rester pour compenser l’année où j’avais été blessé. Je ne pouvais pas dire non. Je suis parti en 1994 donc je n’ai pas fait le deuxième Final Four avec Boja en 1995. »\\n\\n« J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas »\\n\\n« J’ai revu Michael Young pour la première fois pour les « vingt ans » (NDLR : en 2013, les champions d’Europe de 1993 se sont retrouvés à Paris et à Limoges et Michael Young avait beaucoup grossi). C’est impressionnant ! Richard (Dacoury) s’est occupé de le chambrer. Il rigolait, il savait très bien qu’il allait se faire chambrer. Quand on arrête, on appelle ça la « petite mort ». Quand il a arrêté le footballeur (José) Touré a failli se suicider. C’est ça qui est difficile. Sous prétexte que le mec a gagné du fric, il n’a pas le droit d’être fragile. Les gens pensent qu’il l’a cherché. Mais non ! C’est hyper dur. J’ai fait deux ans au Mans, deux ans de trop. Physiquement j’étais cuit mais je n’avais pas envie d’arrêter.\\n\\nJe suis revenu ici car j’avais une maison. Ma femme est d’ici. Tu es à Limoges, tu continues à voir les matches. Tu reviens toujours à l’endroit où tu as eu de bons souvenirs. J’ai passé deux ans au centre de formation de Limoges, trois ans ici où on a eu de super résultats plus les beaux-parents qui sont là. Je savais que je n’allais pas rester dans le milieu. Entraîneur ? Reprendre le baluchon ? Non. Et puis je ne suis pas méchant. C’est ce que je vois avec Jean-Marc Dupraz (NDLR : son équipier quand le CSP a été champion d’Europe) qui considère qu’il a en face de lui des joueurs professionnels et donc il y a des choses qu’on n’a même pas à dire, c’est logique. Je m’aperçois que finalement, non. Répétez tout le temps, « l’envie, la gnac... » J’ai pris un petit club en Excellence Départementale, Panazol. Ils sont venus me chercher, ils voulaient changer d’entraîneur. OK. Ils voulaient monter mais aux entraînements, je me retrouvais avec 6 joueurs, 4 joueurs... Et le samedi ils veulent tous jouer. Non ! Ce n’est pas une question de voir de haut les petits clubs mais quand tu t’engages, c’est à fond. C’est ce que je vais dire à mon petit-fils. Un club ce n’est pas une garderie. Du coup, même si les mecs ont un boulot à côté, je ne comprends pas qu’on ne se fasse pas ça à fond. Je suis déjà très dur avec moi. Je me suis rendu compte que j’ai beaucoup d’humour mais c’est beaucoup nerveux, c’est une façon d’évacuer les choses (il rit). Je chambrais mais je me chambrais aussi moi-même. Quand tu es à l’école avec des mecs comme Freddy Hufnagel, Philip Szanyiel, Franck Cazalon, tu prends des notes.\\n\\nOui, je me sens un peu en représentation du champion d’Europe 1993. A Limoges, au boulot, et même ailleurs. Sous forme de boutade, je dirais que ce sont plus les petits-fils aujourd’hui ! Les deux titres qu’il y a eu avec Fred (Forte) ont permis d’avoir une nouvelle génération. Ça te colle à la peau et ce n’est pas désagréable plutôt que d’entendre « la grande gigue ». Même si ça me gêne un peu car en gros, il faut que tu avances en regardant dans le rétroviseur. Il faut que tu te serves de ce que tu as fait.\\n\\nJ’ai été consultant sur Pathé Sport pour les matches de basket. Je faisais le bord terrain, notamment au All-Star Game. Ce n’était pas évident. Mais je crois que je n’ai jamais trop voulu rester dans le milieu du basket même si j’avais le projet éventuel d’intégrer le club. Mais comme en 2000 ça s’est cassé la gueule... Donc je me suis fait un nettoyage de la cheville et j’ai fait une formation à l’AFPA. J’ai fait une remise à niveau... Le mien était bas (rires). J’ai fait une formation de vendeur délégué commercial pendant huit mois. J’ai eu le diplôme. Je suis rentré chez Paru-Vendu pour vendre de l’espace publicitaire à Limoges. C’était agréable car je rencontrais des anciens dirigeants ou des gens qui continuaient à aller au basket. J’avais une Smart comme voiture et tout le monde rigolait en me voyant. Après, j’avais un ami en commun, le franchisé de Quick, qui en ouvrait un autre. Il recherchait un directeur et il m’a demandé si ça m’intéressait. Je n’y suis pas allé tête baissée, parfois je me pose trop de questions. On a discuté. J’ai dit OK mais avec une période d’essai de trois mois. J’ai fait des burgers pendant trois mois et certaines personnes me voyant disaient que j’étais descendu bien bas. Les plus âgés ce sont les managers, ils ont trente ans et moi j’en avais quarante-deux. C’est super intéressant et je remercie la personne qui m’a tendu la perche. Je suis directeur. Je ne me suis jamais lancé comme propriétaire d’un restaurant par peur de foutre tout en l’air ce que j’avais construit.\\n\\nActuellement, je suis en accident de travail. Je suis arrêté depuis mars 2017 et je me suis fait opérer en juin 2017. Je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé. Je vais voir comment ça va se passer avec mon employeur. Les gens ont parfois honte de parler de choses comme ça car il galère. Moi, je ne galère pas, je souffre !\\n\\nJe sais que Laura Flessel a voulu mettre en place quelque chose pour la reconversion des sportifs de haut niveau. Il y a du gros boulot à faire. Quand tu es jeune, tu as déjà beaucoup moins de douleurs. Et puis tu t’entraînes, tu te dépenses. Alors que là tu te retrouves avec un corps qui est dans le rouge dans tous les sens. Tu n’as pas envie d’avoir mal parce que tu es une chochotte mais parce que tu souffres. Du coup, tu ne fais plus rien car t’as peur d’avoir mal. Tu te lèves de la chaise, tu as mal au dos. Tu as un problème de pied. Mais à côté de ça, je re-signe tellement j’ai eu à côté de bons moments qui te permettent d’oublier certaines douleurs.\\n\\nJ’ai regardé les rugbymen d’Afrique du Sud, qui ont la Maladie de Charcot, des trucs comme ça. Je suis intransigeant et c’est dur ce que je vais dire : les mecs qui sont chargés, c’est bien fait pour eux. Je me rappellerai toujours du sondage qu’ils avaient fait à l’époque des Jeux de Los Angeles. « Vous vous chargez, vous allez être champion olympique, mais vous mourrez à quarante ans. » 80% des gens, quelque chose comme ça, disaient « oui ». Mais comment peux-tu déjà te dire dès le matin, « je triche » ? Je sais bien que le dimanche matin quand ils vont faire un tour de vélo avec des copains certains sont chargés. Si l’un de mes petits-fils veut faire du vélo, je ferai tout pour le convaincre de faire autre chose. »\\n\\n« A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard »\\n\\n« Je continue d’aller à tous les matches du CSP. C’est mon seul plaisir -même si cette année il est un peu effrité- car comme je ne peux pas marcher longtemps -si je reste debout les douleurs s’accentuent-, je reste chez moi. Et je m’estime heureux car je ne suis pas dans un fauteuil roulant.\\n\\nQuand tu viens à Limoges, il faut savoir que tu dois toujours être à 120%, minimum. A l’époque, tu venais pour avoir des titres, être champion de France, minimum. A Mulhouse, j’étais troisième pivot derrière Curtis Kitchen et Sza-Sza (Philip Szanyiel) et donc j’étais habitué à ne pas jouer 40 minutes. Mais quand un mec a l’habitude de jouer 40 minutes ça ne sera pas le cas à Limoges surtout quand tu as cinq étrangers et qu’il y a forcément un Américain qui va être devant toi. Il faut accepter de baisser ton temps de jeu.\\n\\nPremier entraînement, 2 500 personnes, tu sais à quoi t’attendre. Il faut sortir du terrain en ayant mouillé le maillot et si c’est le cas jamais le public ne va te critiquer. Si tu ne te fais pas respecter, si un mec marque deux ou trois layups, si tu ne lui fais pas comprendre qu’ici c’est Limoges, si tu ne défends pas ton territoire, le public va te prendre en grippe. Pour moi, ça me parait logique. C’était déjà comme ça quand je jouais. Quand tu mets le maillot de Limoges, tu es une autre personne. Les Limoges-Pau, c’était extraordinaire. Quand Pau est venu gagner de vingt points l’année dernière, j’ai vu les mecs à la fin se serrer la main, discuter, moi, je serai rentré direct dans les vestiaires. Ça m’aurait rendu malade. Et quand je vois ça aujourd’hui, j’en suis toujours malade. Tu as le droit de perdre contre une équipe plus forte que toi mais donne tout ! Et si tu ne donnes pas tout, ça va se retourner contre toi. A Limoges, le public est exigeant mais patient. Il ne va pas prendre un grippe un joueur parce qu’il a raté deux lancers-francs. Ce qu’il faut, c’est éviter que la mèche s’allume. Une fois qu’elle est allumée c’est trop tard. Il ne faut pas toucher à leur bébé. Donc, à mon avis, quand tu recrutes un joueur, il faut lui demander s’il a le mental pour faire ça.\\n\\nNous, on avait la chance d’avoir seulement deux étrangers, ce qui fait que les Français avaient plus de temps de jeu. Là, quand tu vois les mecs devant toi qui ne se bougent pas le cul, qui savent que s’ils vont en Italie ou en Espagne, ils multiplient par deux leurs salaires, et que malgré tout ils jouent plus que toi, pfttt... Les boules. Que le public gronde, c’est logique. Il est connaisseur. C’est la quatrième génération de spectateurs. Celle des Korac, la nôtre avec le titre de champion d’Europe, celle du triplé en 2000 et l’actuelle. Il y a des gens qui pleurent quand ils perdent un match. Certains sont partis en déplacement avec une voiture en Allemagne. Il faut respecter ça. C’est pour ça, quand on parle d’une nouvelle salle ici, j’aurai peur que ça change l’ambiance. Il y aura des règles de sécurité à respecter, tu seras vachement plus loin. A Beaublanc, il y a le bois de la charpente... L’odeur... Quand je rentre au palais des sports, je ressens tout ça. »\\n\\nCLUBS ET PALMARES\\n\\n1984-85 : Limoges CSP, 1985-87 : Elan Béarnais Orthez, 1987-88 : Caen BC, 1988-90 : Mulhouse BC, 1990-94 : Limoges CSP, 1994-97 : Montpellier PB, 1997-99 : Le Mans SB.\\n\\n68 sélections en équipe de France entre 1985 et 1996. Participation aux championnats d’Euroe 1989 et 1995 .\\n\\nChampion d’Europe (1993), champion de France (1985, 86, 91, 93, 94),\\n\\nDe gauche à droite, premier rang: Frédéric Forte, Franck Butter, Richard Dacoury, Michael Young. Deuxième rang: Marc Mbahia, Willie Redden, Jim Bilba, Jimmy Verove, Jean-Marc Dupraz. Il manque Jurij Zdovc sur la photo.\\n\\n[armelse]\\n\\n« J’ai été recruté par Pierre Dao, qui était au Bataillon de Joinville et qui intégrait Limoges. Je suis natif de Montereau, à côté de Fontainebleau, là où il y avait le BJ. Il est venu discuter avec mes parents. Il les a fait venir trois jours ici pour visiter la ville, les infrastructures, le centre de formation. Ils étaient hébergés à l’hôtel. Vraiment un mec super, Dao. J’avais des problèmes de santé car je grandissais beaucoup et comme j’étais le dernier de la famille, j’étais très chouchouté. J’avais commencé le basket très tard car il ne fallait pas que je me fatigue. Ce fut d’ailleurs un problème sur les terrains car j’avais du mal à me rendre méchant car j’étais très couvé. C’est à force de prendre des coups dans la gueule que j’ai réagi.\\n\\nJ’ai donc intégré le centre de formation du CSP avec Hugues Occansey, Jean-Manuel Sousa, Emile Popo, Olivier Garry, Jean-Philippe Blanchet, Christian Dussoulier. On mettait des doudounes aux clubs de Nationale 2 de l’époque comme La Rochelle. On avait un coach extraordinaire, Fabien Texier, qui était scout en même temps. Ce qui m’a marqué, c’est qu’un jour, il me dit « Franck, reviens en défense. » Je lui réponds que je suis fatigué. Il me met sur le banc et je ne rentre pas de la deuxième mi-temps. Je prends la douche, on monte dans le bus. Fabien me dit de venir le voir. « Qu’est-ce que tu m’as dit sur le terrain ? » « J’étais fatigué, coach. » « Tu a fais quoi avant de faire du basket ? » « Je travaillais en usine. 8h-12h, 14h-17h. » « D’accord. La semaine prochaine, tu fais 8h-12h, 14h-17h au palais des sports. Tu te débrouilles, tu fais des shoots, de la musculation, je passerai. » Je l’ai fait. Le vendredi soir, il me dit « t’es fatigué ? » (Rires).\\n\\nQuand je suis parti de chez moi, dans La République de Seine-et-Marne, c’était marqué, « Le Limoges CSP en contact avec Franck Butter ». Le club était en Excellence Départementale. Je travaillais à la chaîne. Je faisais des sabots pour les semoirs agricoles. J’en faisais tant à l’heure. Toute la journée. J’avais trois-quart d’heure pour manger, j’amenais ma gamelle. J’avais un CAP d’employé de bureau. J’aurais pu faire autre chose mais comme tous les étés en juillet, août -je ne partais pas en vacances-, je travaillais pour gagner de l’argent, je suis resté en contrat intérimaire jusqu’en décembre et après ils m’ont fait signer mon contrat. J’ai fait ça pendant huit mois.\\n\\nMon père, qui était allemand, était menuisier dans cette usine-là, ma mère était femme de ménage. Mon père est arrivé après la guerre clandestinement. Il était rentré dans la Jeunesse Hitlérienne (NDLR : organisation qui, de 1926 à 1945, regroupa les jeunes du Parti Nazi et qui était obligatoire sous peine de lourdes sanctions). Il avait une vingtaine d’années et il a appris le français sur le tas. Il est décédé il y a deux ans, il aurait eu 89 ans. Ma mère est née du côté de Bar-le-Duc. Elle s’appelle Koch. Ça veut dire Cuisinier. Et mon père Butter. Cuisine au Beurre (rires). Mon père a eu son permis à 44 ans. Avant il avait une mobylette. Ils ont eu une voiture très tard et on est parti en vacances très tard. Il faisait 1,80m et ma mère 1,70m. Ma sœur qui a huit ans de plus que moi fait 1,69m, mon frère 1,92m. Et puis moi 2,10m. S’ils en avaient fait un autre, il aurait fait 2,75m (rires) !\\n\\nJe suis arrivé au boulot et les mecs m’ont dit, « Frank, tu vas au Limoges CSP ? » « Je ne sais pas, j’ai mon boulot ici. » « Vas-y ! » Et quand Pierre Dao est revenu une deuxième fois à la maison, il a posé la question cruciale, « combien voulez-vous qu’il gagne ? » Mon père a dit qu’ils me laissaient partir car sinon j’allais peut-être leur reprocher toute ma vie de ne pas l’avoir fait. Je gagnais 3 250F à l’usine. Mon père a dit « autant. » Pierre Dao a répondu : « 5 000F ». Et il a donné 10 000F au club. J’ai signé comme espoir.\\n\\nJ’avais le poster du Limoges CSP dans ma chambre et trois mois après j’étais avec eux dans le vestiaire. On les avait vus en mars en finale de la Coupe Korac à la TV (NDLR : en direct sur Antenne 2) et je suis arrivé en mai. Il y avait Ed Murphy, Apollo Faye, tout ça. Et à Limoges, tu es vite sollicité. Tu ne payes pas les boîtes de nuit. Quand tu es jeune, ça va vite. C’est bien de savoir d’où tu viens, de galérer un peu avant. Si j’avais eu une vie facile avant de venir ici, j’aurais peut-être été un petit con, enfin un grand con. »\\n\\n« D’un côté, je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait et de l’autre, je suis épuisé. Parfois, je n’en peux plus. Je me dis que je courais comme un lapin. Enfin, un lapin de 2,10m, ça n’existe pas. Sauf à Tchernobyl »\\n\\n« J’ai pratiquement fait ma carrière que sur une jambe.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"L’agent Bouna Ndiaye à propos de Sekou Doumbouya: «Si début mars, tout va bien, on fera probablement le choix d’aller à la draft»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Populaire a interrogé l’agent Bouna Ndiaye à propos de son joueur, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans). Il est dithyrambique:\\n\\n« Chez les ailiers, on a drafté Yakhouba Diawara, Nicolas Batum et Evan Fournier. On va trouver certaines choses chez les uns et pas chez les autres. Nico a une intelligence de jeu illimité. Evan est sans doute le plus gros travailleur de France voire du monde. Mais Sekou est peut-être l’ailier au potentiel le plus excitant jamais vu dans le basket français. Il a un potentiel illimité. Il deviendra celui qu’il veut devenir. Tout dépendra de son envie. Il devra travailler s’il veut être All Star (NBA) mais il a tout pour y arriver. »\\n\\nLa question est: le Limougeaud va t-il se présenter à la draft dès juin prochain? Réponse:\\n\\n« On avance par périodes de trois mois. On fera un point en mars mais aujourd’hui, je le trouve bien même s’il peut encore s’améliorer. Mentalement, il est stable. Il a un comportement professionnel. Il est ami avec tout le monde : américains ou français, jeunes ou âgés. Si début mars, tout va bien, on fera probablement le choix d’aller à la draft. Si on a un doute à cause d’un problème physique ou mental, on fera une dernière évaluation en mai. Lui a envie de partir. Comme tous les gamins, il ne veut pas attendre. S’il me montre qu’il est prêt dans son comportement et son investissement, je l’accompagnerai. Ce qu’il est capable de faire ici, il pourra le faire n’importe où dans le monde. »\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] Cathy Melain (coach Basket Landes): «J’ose espérer que l’on a choisi une coach et une présidente sans faire attention à leur sexe»" }, {"role": "assistant", "content":"Cathy Melain, 44 ans, n’était pas la saison dernière une rookie comme les autres en Ligue Féminine. Déjà parce qu’elle est la seule femme et d’autre part en raison de son immense palmarès avec deux titres de championnes d’Europe, trois Euroleague et huit titres de championnes de France. Et puis aussi parce qu’elle a comme meneuse à Basket Landes Céline Dumerc, une amie, avec qui elle a gagné plusieurs couronnes.\\n\\nL’entretien est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?\\n\\nJe ne l’ai pas décidé ! (Sourire) Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : à l’époque DTN) m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.\\n\\nDe quels coaches avez-vous le plus appris ?\\n\\nIl y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. Si je décide de faire comme quelqu’un d’autre, je m’y perds donc il faut rester soi-même.\\n\\nLe stress est-il plus important que lorsqu’on est joueuse ?\\n\\nIl est complètement différent. Quand on est joueuse, on est dans l’action alors que lorsqu’on est entraîneur, on se sent un peu en dehors de tout ça. On n’a pas la possibilité d’avoir la main sur quelque chose. On a le stress de ne pas avoir autant de maîtrise qu’en tant que joueuse.\\n\\nDepuis que vous êtes coach, êtes-vous toujours une aussi grosse consommatrice de matchs à la télé et d’articles sur le basket ?\\n\\nOui même s’il y a beaucoup de vidéos qui sont liées au scouting. J’en regarde autant mais plus sur des équipes du championnat de France et d’Eurocup et ensuite pour recruter les gens. Et puis quand il me reste du temps, je regarde d’autres matchs.\\n\\nCéline Dumerc disait qu’avant que vous preniez le coaching de l’équipe, vous vous demandiez si c’était possible d’être amies et d’avoir une relation professionnelle comme celle-ci. Alors quel est le bilan un an après ?\\n\\nOui c’est possible mais ça demande des ajustements. Quand on est amies, on peut partager le fin fond de sa pensée, avoir une forme de confidence importante. Mais il ne faut pas qu’elle fasse mon métier et que je fasse le sien. Pour certaines choses, il faut mettre un mur car ce ne sont pas des discussions qu’il faut avoir. C’est vrai que si elle n’était pas ma joueuse, je discuterais sur des aspects basket, du coaching, des choix, comment je ressens les choses. Mais c’est ma joueuse et il ne faut pas que je rentre sur ces choses-là. C’était le réglage qu’il a été nécessaire de faire. Après, il y a des choses qui sont très intéressantes. Pour ma première année, c’était un énorme avantage de l’avoir dans l’équipe car je la connais, je lui fais confiance, je sais ce qu’elle pense, quels sont les messages qu’elle va faire passer dans le vestiaire, du moins l’idée générale. Je savais très bien que je pouvais m’appuyer sur son leadership.\\n\\nCette saison, vous allez la décaler comme deuxième arrière. Elle qui pense aux autres avant de penser à elle-même et qui rechigne parfois à prendre des shoots, il va falloir qu’elle change cette mentalité-là ?\\n\\nC’est le challenge qu’on lui donne et elle a adhéré totalement car elle se rend compte que comme elle est perfectionniste et que ça ne se passe pas exactement comme elle l’a imaginée, ça l’énerve. C’est sa grande qualité et c’est ce qui a fait cette joueuse-là car elle est hyper rigoureuse. Mais à un moment donné, elle se prenait plus la tête à savoir si le jeu était fait comme il le fallait plutôt qu’à mettre en place son jeu à elle. Comme ça, c’est lui libérer l’esprit.\\n\\nElle a 36 ans. Est-ce aussi l’économiser physiquement ?\\n\\nSur certaines choses mais il y en a d’autres où il va falloir qu’elle prenne l’habitude. Mine de rien, lorsque tu es extérieure, tu as beaucoup plus de courses, sur les contre-attaques, le jeu demi-terrain. Ce qu’elle va gagner en passant à l’aile, elle va le dépenser autrement. Elle ne va pas être sous des pressions tout terrain mais elle va prendre beaucoup d’écrans. Ça va être différent comme fatigue physique à part si elle la joue tranquille mais j’en doute (sourire). Ça va toujours être intense car elle est intense naturellement.\\n\\nÇa fait maintenant six ans qu’elle a été exposée aux Jeux de Londres. Est-elle encore la chouchoute du public quand vous vous déplacez ?\\n\\nC’est toujours le cas mais un peu moindre. Quoiqu’il arrive les gens la connaissent, viennent la voir. C’est effectivement moins important qu’à la sortie des JO où c’était monstrueux, inimaginables mais ça reste un centre d’intention.\\n\\nVous qui avez connu le succès mais dans un cercle plus fermé, avez-vous été surpris qu’une basketteuse puisse être adulée ainsi ?\\n\\nUn choc, non, car c’est juste la preuve du « pouvoir » des JO. Les Jeux Olympiques ont un impact qui est incomparable avec n’importe quelle compétition. Dans l’esprit des gens, ce n’est pas du tout la même chose d’être champion du monde que d’être champion olympique parce qu’on va tabler sur un cercle beaucoup plus importants de spectateurs. Des spectateurs sportifs et pas uniquement basket.\\n\\nC’était télévisé sur France Télévisions.\\n\\nC’est pour ça que c’est l’impact des JO avec tout ce que ça comprend. Effectivement, ça passe sur la télé publique. Je n’aime pas l’expression « sport mineur » mais disons que sont exposés des sports qui ne passent pas souvent à la télé. Et si ces sports-là sont performants, les gens regardent. Moi la première, aux JO je regarde des sports que je ne regarde jamais.\\n\\n« J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! »\\n\\nEst-ce une fierté pour Basket Landes et les deux intéressées, Marie-Laure Lafargue* et vous, d’être des femmes comme présidente et coach alors qu’il n’y a pas d’autres doublettes comme ça ?\\n\\nOn a même une assistante femme ! (NDLR : Julie Barennes). Il n’y a pas d’actions féministes, ce n’est pas fait pour que l’on parle de nous. Il y a un trio de dirigeants qui fonctionnent ensemble et pour amener toujours une dynamique, ils se passent la main. On a eu Pierre Dartiguelongue comme président, ensuite Didier Massy et maintenant c’est Marie-Laure, qui est redevenue salariée du club. Avoir une présidence tournante permet de rester en activité. On ne s’endort pas sur ses lauriers, ça stimule les uns et les autres. Je trouve ça hyper intéressant. J’ose espérer que l’on a choisi une coach et une président sans faire attention à leur sexe.\\n\\nA l’inverse, vous êtes la seule femme coach en Ligue Féminine. A quoi attribuez ça ? Au manque de vocation ? A un certain sexisme ?\\n\\nIl n’y a pas que moi, il y a aussi Valérie Garnier en équipe de France. Je pense qu’il y a peut-être un manque d’ambition des femmes et aussi des habitudes. C’est la réalité, il y a beaucoup, beaucoup plus d’entraîneurs hommes que de femmes à n’importe quel niveau. Nous, les femmes, sommes-nous un peu plus sages dans nos ambitions ? On a plus de mal à y croire donc à l’affirmer et donc à se vendre. Il y en a moins sur le marché donc il y en a moins en poste. J’ai eu un seul entraîneur femme dans ma carrière de joueuse, Jacky Delachet, quand je suis entrée à l’INSEP. Ça remonte ! C’est vrai que j’ai été habituée à des hommes. Est-ce cette habitude qui fait qu’il y en a toujours beaucoup plus ? Il faudrait demander à ceux qui décident (rires).\\n\\nPour vous, Valérie Garnier, qui a été internationale, qui a longtemps coaché en Ligue Féminine notamment à Bourges, en équipe de France, et maintenant en Turquie -c’est la première femme à l’étranger-, c’est un exemple à suivre ?\\n\\nJ’ai un grand respect pour ce qu’elle a réussi à faire. Elle a eu une progression constante dans la proposition des postes qu’elle a eu. Je ne dirais pas que c’est un exemple dans le sens où je n’en suis pas à me dire que je vais faire comme elle. En fait, je vie au jour le jour. Je ne me dis pas, si Valérie a réussi à faire ça, je vais faire ça. J’ai un grand respect pour ce qu’elle a fait mais je ne suis pas dans la comparaison.\\n\\nA ce propos, que pensez-vous de la génération 2018 de l’équipe de France ? Elle est dans le top 8 des compétitions internationales depuis 1999. C’est votre génération qui a initié ça ?\\n\\nÇa ne me rend pas fière de ce que j’ai pu faire mais d’être française en règle générale. Je suis super heureuse que l’on soit un pays qui soit toujours présent, qui soit capable de toujours évoluer quelque soit les générations, les gens qui passent. Ce n’est pas lié à une génération, à deux ou trois personnes, mais à un pays. Ça valorise tout le travail qui est fait, dès que les personnes commencent, tout au long de la formation, puis ensuite les mettre dans des conditions pour évoluer au plus haut niveau en pro pour qu’elles continuent à progresser et maintenir une sorte de statut de ce qu’est maintenant l’équipe de France. Le plus dur c’est d’avoir cette continuité. Certains pays tombent sur une génération dorée et vont être performants tant qu’ils sont là et le jour où ils s’en vont, il n’y a plus rien. Alors qu’en ayant fait le travail autour, on est présent quelque soit les individus qui composent l’équipe de France.\\n\\nL’équipe de France juniors a eu des médailles depuis 2008 jusqu’à l’année dernière. C’est l’assurance ensuite d’avoir de bons résultats à l’âge adulte ?\\n\\nJe considère que la génération qui est la plus « importante », c’est U18. C’est là qu’on y voit l’effet de la formation française du plus jeune âge aux pôles, aux centres de formation et au Centre Fédéral. C’est vrai qu’avoir des performances en U18 ce sont de bons signes pour la suite. Ce n’est pas une vérité, on ne peut pas affirmer que si on est champion ou sur le podium en U18 pendant dix ans notre équipe senior va être performante. Mais il y a des effets. Chez les U20, les meilleures de la génération commencent déjà à intégrer l’équipe senior. On le voit dans l’équipe de France actuelle avec les générations 94 et 98 championnes d’Europe et d’autres qui ont fait des médailles. Il y a des jeunes sur qui on peut s’appuyer, qui ont toutes les qualités requises pour faire perdurer l’équipe de France au plus haut niveau.\\n\\nPARCOURSJOUEUSE\\n1984-1989 Rennes (NF2)\\n1999-1993 Centre Fédéral (NF1)\\n1993-1994 Tarbes\\n1994-1995 Aix en Provence\\n1995-2003 Bourges\\n2003-2005 Venise\\n2005-2009 BourgesENTRAÎNEUR :\\nCLUBS\\n2011-2013 Bourges (centre de formation)\\n2013-2017 Centre Fédéral\\nDepuis 2017 Basket LandesEQUIPES NATIONALES\\n2008-2009 Équipe de France U16F (assistante)\\n2010 Équipe de France U17 (assistante)\\n2012 Équipe de France U18F (assistante)\\n2013 Équipe de France U19F (assistante)\\n2014-2015 Équipe de France U16F\\n2016 Équipe de France U17F\\n2017 Équipe de France U18F\\n\\n*Lors de sa prise de présidence, Marie-Laure Lafargue a fourni quelques chiffres sur le club:\\n\\nBasket Landes a le 7 ème budget de LFB avec 1.487 M€ en dessous de la moyenne des clubs de Ligue qui est à 1.716 M€ et Bourges est à 3.354 M€\\n\\n23% de recettes spectateurs contre 7,5 % au plan national\\n\\n30,8% de subventions publiques contre 47,5% au plan national\\n\\n44,62% partenariat privé contre 38,6% au plan national\\n\\n50 000 spectateurs en 2018 à Mitterrand et 88,7 % de remplissage sur la saison, probablement le plus important public de France en remplissage et en recettes sur 2017-2018\\n\\n1 008 abonnés , 29% de l’agglomération montoise, 26% de Tursan/chalosse , 15% pays dacquois et côte sud , 12% du Gabardan/Armagnac , 6% du nord des Landes et 12% hors département.\\n\\n468 partenaires de 150€ a 80000€ , contre 10 partenaires pour 150000€ en tout en 2008.\\n\\n26% des partenaires sont issus de l’agglo montoise, 44% du reste du département, 12% de Nouvelle Aquitaine et 18% National.\\n\\n29% de subventions publiques , soit l’un des plus faible taux de la LFB, réparties entre 310,5M€ du Conseil Départemental (dont 260M€ pour le centre de formation) , 70 M€ de la Région , et 30M€ de l’agglo.\\n\\nA suivre demain.\\n\\n[armelse]\\n\\nA quel moment avez-vous choisi de faire une carrière de coach professionnel ?\\n\\nJe ne l’ai pas décidé ! (Sourire) Je n’avais aucun plan de carrière en tant qu’entraîneur. C’est l’occasion qui s’est présentée. Après ma carrière, Jean-Pierre De Vincenzi (NDLR : à l’époque DTN) m’avait conseillée de passer le concours de professerat de sport et d’intégrer la formation française au sein des équipes de France jeune et ensuite à l’INSEP. J’étais plus partie sur de la formation. Ça me plaît d’entraîner les jeunes et je ne voulais pas dès mon arrêt de carrière entraîner des pros direct.\\n\\nDe quels coaches avez-vous le plus appris ?\\n\\nIl y a des choses qui nous plaisent et d’autres qui nous déplaisent de chaque coach. Tous m’ont inspirée et m’ont permis de me dire quel coach je veux être. C’est vrai que j’ai des sensibilités avec certains coaches que j’ai beaucoup apprécié mais je ne me suis pas dit telle personne fait ça, je dois faire ça car on a chacun notre personnalité et il faut que je sois en cohérence avec ce que je suis. C’est s’inspirer mais pas faire du copier/coller. 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En attendant ce qui est plus ou moins en cours à Strasbourg, Paris, Reims, Villeurbanne, Limoges et Levallois dans un lieu indéterminé.\\n * Que Zvezdan Mitrovic (Villeurbanne) imite son successeur à Monaco Saso Filipovski (Monaco) qui quelques semaines après son arrivée en France s’exprime déjà dans la langue des spectateurs qui constituent son auditoire.\\n * Que l’Elan Béarnais gagne sa bataille populaire contre le rugby à Pau.\\n * Que Nanterre batte un nouveau record de spectateurs à l’U-Arena.\\n * Que l’équipe de France masculine soit cet été sur le podium à la Coupe du monde en Chine et que l’équipe de France féminine soit championne d’Europe en Serbie.\\n * Que Youssoupha Fall puisse jouer avec l’équipe de France.\\n * Que le Strasbourgeois Ludovic Beyhurst prouve toujours un peu plus que l’on peut être un joueur majeur même à 1,72m. Ca donnera confiance à M. 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Idem pour la Presse Quotidienne Régionale (PQR), le moteur de l’information pour la Jeep Elite.\\n * Que les fans, les journalistes, tout le monde en fait mettent les lettres de LDLC ASVEL dans le bon ordre.\\n * Qu’il n’y ait pas de contentieux administratifs en fin de saison dans le style de « l’affaire de Blois ».\\n * Que l’ASVEL nous fasse mentir quand on dit qu’elle va se jeter dans la gueule du loup de l’Euroleague à la rentrée 2019-20.\\n * Que l’on puisse avoir un classement des meilleures performances par catégories statistiques depuis la création de la LNB en 1987.\\n * Que le Limougeaud Jerry Boutsiele, l’Antibois Fernando Raposo et le Gravelinois Bangaly Fofana soient à plus de 50% aux lancers-francs (c’est mal parti).\\n * Que Paul Lacombe signe un bail à vie avec la Jeep Elite.\\n * Que la performance de la SIG Strasbourg en matière de réseaux sociaux soit pris en modèle.\\n * Que le public du Chaudron du Portel continue d’être aussi enthousiaste.\\n * Que la FIBA et l’Euroleague mettent fin à leur ridicule conflit. 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Et que BasketEurope double son nombre d’abonnés. On n’est jamais mieux servi que par soi même !\\n\\nPhoto: Sud France Arena de Montpellier (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Bonne année 2019 aux lecteurs de BasketEurope !" }, {"role": "assistant", "content":"La Rédaction de BASKETEUROPE vous souhaite une TRES bonne année 2019.\\n\\nQue vous ayez encore plus de plaisir à jouer, à coacher, à arbitrer, à regarder du basket... et à le lire sur votre site préféré!" }, {"role": "user", "content":"Il y a un an, les deux derniers messages de Frédéric Forte" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien international et actuellement consultant sur RMC Sport Stephen Brun a mis en ligne sur twitter le mail que Frédéric Forte adressa aux collaborateurs du Limoges CSP le 31 décembre 2017 à 17h18. Soit quelques instants avant son décès.\\n\\nUn supporter du club, Jean-Marc Bégouin, a pour sa part re-tweeté une réponse que le président du CSP lui avait adressé. Un message incroyablement prémonitoire:\\n\\n« J’ai appris que le bonheur d’un jour pouvait ne pas passer la nuit. »\\n\\nIl était 16h23...\\n\\n\\n\\n\\n1 an 🙏😢 #FF pic.twitter.com/NcRWteCLPh\\n\\n\\n— Stephen Brun (@StephBrun41) December 31, 2018\\n\\n\\n\\n\\nUn an déjà ...........#TuNousManques #CSPnation pic.twitter.com/6ah4UgAxMR\\n\\n\\n— Jean-Marc Bégouin (@BegouinFabien) December 31, 2018\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF]Top 10 des salaires français et étrangers: Le Villeurbannais Mantas Kalnietis est le joueur le mieux payé en France" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la troisième saison consécutive, BasketEurope.com offre en exclusivité à ses abonnés les salaires des joueurs de Jeep Elite après ceux des coaches. Nous prenons ainsi le relai de BasketHebdo, BasketNews, Maxi-Basket et BasketHebdo deuxième version, qui les ont tour à tour publiés sur les deux dernières décennies.\\n\\nVous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVoici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.\\n\\nQue remarque t-on ?\\n\\nQue 15 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.\\n\\nQue ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.\\n\\nA propos des Français, Youssoupha Fall grâce son contrat avec Vitoria flirte avec le salaire de Charles Kahudi, indéboulonnable numéro 1 depuis son arrivée à l’ASVEL en 2015.\\n\\nOn mesure le décalage entre les espérances de Limoges à propos de Mam Jaiteh comparé à ses performances. Cela s’appelle un flop.\\n\\nCôté étrangers, en fait Mantas Kalnietis est de très loin le numéro 1 puisqu’il est toujours sous contrat avec Milan et le club lombard met de sa poche la moitié du salaire de 650 000€. Le Lituanie est un VRAI joueur majeur d’Euroleague comme l’atteste son CV et son style de jeu cérébral.\\n\\nLes big men de valeur sont prisés, ce qui explique les salaires de Miro Bilan et Elmedin Kikanovic. Le Croate a signé à l’ASVEL jusqu’en 2020 et le Bosniaque a prolongé à Monaco pour la même durée.\\n\\nLe Manceau Richard Hendrix est un peu cher étant donné son rendement depuis le début de saison, mais pas vis-à-vis de son passé en Euroleague/Eurocup.\\n\\nNeuf joueurs de Jeep Elite sont ainsi à 250 000 euros et davantage. Ils n’étaient que cinq l’an dernier et quatre il y a six ans.\\n\\nC’est par ordre alphabétique que nous allons publier chaque jour une équipe de Jeep Eliteavec ses salaires. Bonne lecture !\\n\\n*Les salaires sont en Euros et annuels nets. Ce ne sont pas des chiffres officiels mais des estimations obtenues auprès d’acteurs de la Jeep Elite. La marge d’erreur est de +ou- 10%.\\n\\nVoir ici les salaires de 2016-17.\\n\\nVoir ici les salaires de 2017-18.\\n\\nLes tops 20 des salaires des joueurs français et des joueurs étrangers :\\n\\n[table id=165 /]\\n\\n[table id=159 /]\\n\\nVous pouvez commander le magazine SPECIAL SALAIRES ici sur notre boutique.\\n\\n[armelse]\\n\\nVoici en préambule les top 10 des salaires des Français et le top 10 des salaires des étrangers.\\n\\nQue remarque t-on ?\\n\\nQue 16 des 20 top-salaires sont réservés à Villeurbanne, Monaco et Strasbourg. Les trois plus grosses masses salariales.\\n\\nQue ce sont les étrangers les mieux payés. Trois Français seulement figureraient dans un top 10 scratch.\\n\\nA propos des Français,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Mantas Kalnietis, Villeurbanne (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Les photos: L’hommage de Hervé Beddeleem à Frédéric Forte" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a un an, dans la soirée du 31 décembre, disparaissait le président du Limoges CSP, Frédéric Forte. Le soir même ou le lendemain matin, la nouvelle créait un choc dans tout le basket français. Actuellement sur les réseaux sociaux, joueurs, coaches, dirigeants et supporters rendent hommage au défunt.\\n\\nVoici notamment trois photos que Hervé Beddeleem, le directeur exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque partage sur twitter, en rappelant que Frédéric Forte fut l’équipier d’Olivier Bourgain, l’actuel directeur sportif du CSP, au sein du club du nord." }, {"role": "user", "content":"L’interview du shooteur avec Bastien Pinault, le vainqueur du concours à trois points du All Star Game" }, {"role": "assistant", "content":"Vainqueur du concours à trois points du All Star Game LNB 2018, Bastien Pinault (1,95m, 25 ans) est de plus en plus reconnu en France pour ses aptitudes de shooteur à longue distance. La veille, alors qu’il avait enchaîné plusieurs séries à plus de 20 réussites, le sniper de l’Elan Chalon a répondu à nos « questions spéciales shooteurs. » Les interviews des trois autres concurrents du concours de tirs suivront cette semaine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nMon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai mis très longtemps avant de réussir à le battre à un concours de shoots. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois-points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nMon tir préféré, je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.\\n\\nVotre spot préféré :\\n\\nJe ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. En même temps, au shoot, soit c’est partout soit c’est nulle part.\\n\\nLe tir le plus compliqué :\\n\\nLes tirs en fin de possession. Quand tu es à trois ou quatre derrière la ligne et qu’on te balance une balle et qu’après il faut te débrouiller, genre « tiens Bastien, vas-y ! » (rires). Je pense que c’est le plus dur.\\n\\nLe meilleur shooteur de l’histoire :\\n\\nRay Allen ! Tous les jours ! Les doigts dans le nez !\\n\\nVotre shooteur préféré :\\n\\nRay Allen aussi, évidemment.\\n\\nUn shooteur sous-côté :\\n\\nJe n’en ai vraiment aucune idée...\\n\\nLe meilleur shooteur avec qui vous avez joué :\\n\\nMoi-même (rires) ! Un qui était très, très adroit c’est Juice Thompson avec qui j’étais à Pau et qui joue maintenant au Mans.\\n\\nLe meilleur shooteur contre qui vous avez joué :\\n\\nJe ne me souviens plus de son nom, mais il y avait un bon shooteur à Capo d’Orlando l’année dernière. Il avait une super gestuelle. Il a bien joué contre nous, mais je ne sais pas si c’était sur un match ou s’il a fait ça toute la saison. Il m’avait impressionné, j’avais kiffé le joueur (ndlr, Mirza Alibegovic a fait 4/6 puis 5/10 à trois points contre Chalon en Champions League. Il tournait l’année dernière à 36% à trois-points). Ah non, je dirais Jarell Eddie ! Il a planté quand on a joué à Strasbourg (ndlr, 6/8 à trois points) !\\n\\nUn shooteur qui vous inspire :\\n\\nJaycee Carroll, le shooteur du Real Madrid. En France, je dirais Cédric Ferchaud. Une grosse gestuelle du basket français.\\n\\nSi vous pouviez prendre le shoot d’un joueur :\\n\\nRay Allen j’adorais, vraiment. Le gainage, les appuis, c’était un truc de malade. Ce joueur c’était une machine de guerre. Dans n’importe quel sens où il arrivait, il était capable de se re-situer !\\n\\nLes secrets d’un bon tir :\\n\\nTravailler. Je ne pense pas que le secret ce soit une gestuelle parfaite parce que plein de shooteur ont des gestuelles pas très élégantes. Il faut se sentir à l’aise, avoir confiance en soi, ne pas avoir peur de balancer. Et la répétition.\\n\\nUne ligne à quatre-points :\\n\\nÇa serait marrant ! On rajoute une ligne entre le milieu de terrain et celle à trois points. Une ligne à quatre-points ça serait bien et pas bien parce que ça spécialiserait encore plus les shooteurs en shooteurs. Ce serait rigolo, mais à voir...\\n\\nUn tir en carrière à raconter :\\n\\nMon tir derrière la planche, bien sûr. On est à moins deux, le match c’est Evreux contre Boulazac en demi-finale des playoffs de Pro B. Il doit rester six secondes en sortie de temps mort. On fait un système pour donner le ballon à Joe Burton au post-up à la base parce qu’il était inarrêtable. Finalement, BA Walker se retrouve avec le ballon dans le corner et il shoot. Il est bien défendu et fait air ball. Guillaume Constantin fait une petite tape sur la balle qui se dirige vers la touche bordure de raquette à gauche et je pense que pour une des seules fois de ma carrière je vais au rebond offensif – parce que défensif j’y vais parfois (sourire) -, je trainais par là et après je n’ai pas réfléchi. Je savais qu’il restait peut-être une ou deux secondes, j’ai pris la balle je l’ai balancé au-dessus, ça a tapé deux ou trois fois le cercle et c’est tombé dedans. Je pense que je peux faire difficilement mieux pour l’instant...\\n\\n[armelse]\\n\\nComment avez-vous appris à aussi bien shooter ?\\n\\nMon père, que j’ai amené avec moi ici au All Star Game. C’était un shooteur de base et il m’a un peu transmis les caractéristiques du shoot je pense. J’ai tout de suite été attiré part ça dans mon jeu. C’est ce qui me fait « vibrer » sur le terrain. Mettre des gros trois points, importants ou pas importants, c’est toujours plaisant. Certains c’est le dunk, d’autres c’est le cross, moi c’est le trois points. Il faut de tout pour faire une équipe.\\n\\nVotre tir préféré :\\n\\nMon tir préféré je dirais une petite sortie de stagger (ndlr, double écran) avec appuis droite-gauche. Au niveau du poste de deuxième arrière. Ceux-là je les kiffe.\\n\\nVotre spot préféré :\\n\\nJe ne sais même pas si j’ai de spot préféré. Dans le corner c’est souvent le cadeau, mais je ne pense pas que j’ai de spot favori. Ça dépend de la confiance du moment. En même temps soit c’est partout soit c’est nulle part au shoot.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : LNB / IS / Bellenger" }, {"role": "user", "content":"L’ancien manceau DJ Stephens viré par les Memphis Grizzlies" }, {"role": "assistant", "content":"Un an après avoir remporté le concours de dunk du all-Star Game LNB, DJ Stephens (1,96m, 28 ans) a été coupé par les Memphis Grizzlies. C’est le General Manager Chris Wallace qui a annoncé la nouvelle.\\n\\nAlors qu’il avait re-signé au Mans pour une saison supplémentaire, Dalent Jameral (ce sont ses prénoms) Stephens avait finalement préféré s’engager avec les Grizzlies pour retourner en NBA à travers un two-way contract; il y avait joué trois matches en 2013-14.\\n\\nMais s’il est apparu 10 fois en G League’s pour 7,9 points et 5,0 rebonds en 23 minutes, il n’a joué qu’un seul match en NBA, le 8 décembre face aux Los Angeles Lakers pour 2 points et 1 interception en 7 minutes." }, {"role": "user", "content":"Les voeux des étrangères de la Ligue Féminine... en français" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Féminine a demandé à plusieurs joueuses étrangères de présenter leurs meilleurs voeux pour 2019. Voici le résultat...\\n\\nAvec Endy Miyem en bonus.\\n\\n\\n\\n\\n⌚️Plus que quelques heures avant la nouvelle année 🎉 , il reste encore un peu de travail pour @dreamingtree44 #MailisPokk #TinaTrebec @anasuarez500 @zofi_hruscakova @Clars_santos @NathalieEsie @Endidi711 pic.twitter.com/Li9591Mt3T\\n\\n\\n— LFB (@basketlfb) December 31, 2018" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Record d’affluence égalé à l’occasion de Vitoria-Real Madrid, 15 544 spectateurs" }, {"role": "assistant", "content":"La Buesa Arena de Vitoria était à guichets fermés hier pour la réception du Real Madrid, égalant ainsi le record de l’histoire de la Liga Endesa, Vitoria-Real Madrid du 3 janvier 2016: 15 544 spectateurs.\\n\\n\\nLes quatre meilleures affluences de la Liga Endesa ont été réalisées à Vitoria.\\n\\nLes meilleures affluences\\n\\n\\n\\n\\nSaison\\nMatch\\nPublique\\nLes équipes\\n\\n\\n2018-19\\nSaison régulière\\n15 544\\nKIROLBET Baskonia-Real Madrid\\n\\n\\n2015-16\\nSaison régulière\\n15 544\\nLaboral Kutxa Baskonia – Real Madrid\\n\\n\\n2017-18\\nPlayoffs (Finale, 3ème)\\n15 512\\nKIROLBET Baskonia-Real Madrid\\n\\n\\n2011-12\\nSaison régulière\\n15,504\\nCaja Laboral – Real Madrid\\n\\n\\n2006-07\\nSaison régulière\\n15 414\\nL. A Ceramica Bilbao Basket-Tau\\n\\n\\n2003-04\\nPlayoffs (Finale, 4ème)\\n15 350\\nAdecco Estudiantes – FC Barcelone\\n\\n\\n2011-12\\nPlayoffs (demi-finales, 4ème)\\n15 219\\nCaja Laboral – Real Madrid\\n\\n\\n2003-04\\nPlayoffs (1/4 de finale, 3ème)\\n15 200\\nEstudiantes Adecco – Real Madrid\\n\\n\\n2003-04\\nPlayoffs (Finale, 3ème)\\n15 200\\nAdecco Estudiantes – FC Barcelone\\n\\n\\n1990-91\\nPlayoffs (demi-finales, 2e)\\n15.104\\nFC Barcelone – Estudiantes CP\\n\\n\\n1990-91\\nPlayoffs (4ème finale)\\n15.101\\nFC Barcelone – Montigalá Joventut\\n\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"La photo – Nick Galis dans les rues d’Athènes" }, {"role": "assistant", "content":"Cette fresque a été dénichée par nos confrères de Basket 24 dans le centre-ville d’Athènes. Elle représente la légende Nick Galis, un Américano-Grec qui propulsa la Grèce vers le titre de championne d’Europe en 1987. Une preuve supplémentaire que le basket fait véritablement partie de la culture du pays." }, {"role": "user", "content":"Programme TV: Le départ du top 16 de l’Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Semaine allégée puisque la Jeep Elite et la BCL font relâche mais appétissante néanmoins avec notamment le départ du top 16 de l’Eurocup et le choc en Ligue Féminine, Bourges-Montpellier.\\n\\nMercredi 2 janvier:\\n\\n18h30 – Krasnodar/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Belgrade/Limoges – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\nJeudi 3 janvier:\\n\\n18h – Berlin/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – Madrid/ Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Milan/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h30 – Gran Canaria/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nVendredi 4 janvier\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Kaunas/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sort Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Barcelone/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nDimanche 6 janvier\\n\\n18h30 – Bourges/Montpellier – LFB – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Jonathan Rousselle (Limoges, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF]En Direct avec Zachery Peacock (Bourg-en-Bresse) : «La façon dont Vince Carter jouait m’a donné envie de faire la même chose»" }, {"role": "assistant", "content":"MVP en titre de Jeep Elite et leader incontesté de la JL Bourg, Zachery Peacock (2,03m) qui a fêté ses 31 ans samedi dernier était présent au Media Day LNB il y a quelques semaines à Paris. L’intérieur burgien s’est prête au jeu du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nOui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nC’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.\\n\\nVotre modèle étant plus jeune :\\n\\nQuand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. Je n’ai eu le même don que lui concernant la détente, mais il m’a vraiment permis de m’intéresser au basket. Il est toujours mon modèle aujourd’hui.\\n\\nLe meilleur coach pour lequel vous avez joué :\\n\\nJ’ai envie de dire que je joue actuellement pour lui, Savo Vucevic. Je pense que l’une des meilleures qualités pour un coach est de savoir parler, faire passer son message et savoir apprendre. Je pense qu’il est très bon là-dedans. Il fait aussi attention à notre condition physique, à notre santé physique. C’est important pour un coach de le faire. Comme il a été joueur, il comprend exactement ce qu’on ressent.\\n\\n« Tim Blue me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire. »\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJ’ai envie de dire Bourg-en-Bresse. L’amour que je reçois ici c’est incroyable ! C’est la première fois que... Je ne sais pas si c’est la première fois que je le réalise ou si c’est la première fois que ça arrive, mais ici c’est incroyable. L’atmosphère est folle.\\n\\nLe pire souvenir de joueur :\\n\\nJe n’en ai pas vraiment. Si on parle de douleur, je dirais l’année dernière. Nous avions de grandes ambitions, faire les playoffs. Mais la façon dont ça s’est terminé ça m’a vraiment touché parce que nous voulions tous jouer ces playoffs. C’est d’autant plus difficile quand on voit comment se passe la saison. Elle a très bien commencé, mais très mal terminé.\\n\\nLe meilleur souvenir de joueur :\\n\\nJe pense que c’est le titre de Pro B remporté avec la JL Bourg en 2017. Être élu MVP de la saison l’an dernier reste aussi un très bon souvenir.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nJe dirais Trey Lewis qui est passé par Bourg la saison dernière. Il a été très impressionnant dans sa façon de shooter, d’aller au cercle. C’est le plus talentueux avec qui j’ai joué.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nTim Blue ! Son niveau, son talent. Il me rappelle un peu Kevin Durant. Il est grand mais il peut tout faire.\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nCelui de MVP de Jeep Elite. Je suis très fier d’avoir remporté ce trophée. Après avoir gagné le titre en Pro B et le championnat je comprends que les gens aient pu dire que je n’allais pas pouvoir avoir ce même rendement au niveau au-dessus. Je suis très fier d’être resté concentré, d’avoir travailler dur pour remporter ce trophée en première division aussi.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nJe n’en ai aucune idée. Je ne regarde pas vraiment les stats. Je suis plus inquiet par le fait de gagner le match ou pas. Si nous avons gagné c’est un bon match, tant pis pour les stats (rires).\\n\\n« En dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! »\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJ’irais chercher chez le nouveau poste 4 de Levallois, Julian Wright. Il a un très bon crossover. C’est très simple mais vraiment efficace. Si je pouvais voler un move et l’ajouter à mon jeu, ça serait ça. Ça serait fou.\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nActuellement je dirais LeBron James. Evidemment je payerais pour voir jouer mon gars Vince Carter, même s’il ne lui reste plus beaucoup de temps ! (rires)\\n\\nPourquoi le numéro 15 :\\n\\nVince Carter, bien sûr ! Depuis le début il est avec moi, c’est comme ça ! (sourire)\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nIl est aujourd’hui retraité. Il s’est retiré il y a quelques années. C’est Vedran Morovic avec qui j’ai joué à Boulogne-sur-Mer. Depuis cette période, nous sommes très proches, on se voit tous les étés. Il y a lui et aussi Anthony Smith. Nous avons commencé nos carrières ensemble dans les deux même clubs.\\n\\nLa ville ou vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJ’ai beaucoup apprécié Francfort. C’est ce genre de villes dans lesquelles chaque jour de la semaine il y a quelque chose à faire, à voir. C’est bien sûr parce que c’était une base américaine donc la ville a un peu été américanisée. Ça aide.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nEn dehors du basket j’adore faire des grandes balades avec mon chien, un bulldog anglais ! Ça semble bizarre, mais je suis très sérieux ! Si je suis en forme, je veux que toutes les personnes qui vivent chez moi soient en forme donc on va beaucoup marcher. Je joue beaucoup avec lui. J’aime bien jouer au tennis de table aussi. J’ai également la chance de pouvoir jouer au golf et je pense que je vais prendre une licence parce que j’adore le challenge qu’il y a dans ce sport. Sinon, il y a la lecture et j’aime regarder des films.\\n\\nLe principal sujet de conversation dans le vestiaire :\\n\\nOn parle beaucoup du fait de rester concentrés.\\n\\nUne règle à changer dans le basket :\\n\\nJe n’aime pas les nouveaux critères des fautes antisportives. Surtout quand on essaye de stopper la balle et que c’est tout de suite considéré comme étant antisportif. Même si dans ta tête tu y vas pour chercher la balle, pour les arbitres non et c’est tout de suite antisportif.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJ’aurais été dans le business d’une manière ou d’une autre. Dans l’entrepreunariat parce que je ne vois pas travailler pour quelqu’un. J’aime être mon propre boss.\\n\\nL’après basket :\\n\\nJe pense que je continuerai dans le basket. Faire quelque chose autour du basket pour aider les jeunes générations à comprendre que ce n’est pas que la partie physique qui importe pour être professionnel mais aussi et surtout la partie mentale. Je serai sans doute dans le développement de joueurs. Ça serait l’idéal pour moi.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nOui je m’en souviens ! Je jouais en Allemagne, à Giessen. C’était un match à domicile mais je ne me souviens plus contre qui c’était. Ça reste un bon souvenir, j’avais bien joué (ndlr, le 2 octobre 2010 victoire face à Bonn, Zachery Peacock a commencé dans le cinq de départ pour 21 points et 6 rebonds en 24 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nC’est difficile pour moi de donner ça à quelqu’un. Je suis le joueur que je suis parce que je me pousse et je me critique encore plus que n’importe qui. Je voudrais dire : moi.\\n\\nVotre modèle étant plus jeune :\\n\\nQuand j’étais plus jeune, le premier joueur que j’ai vu qui m’a coupé le souffle était Vince Carter. Il jouait contre Miami et la façon dont il sautait, dunkait et la façon dont il jouait ça m’a vraiment donné envie de faire la même chose. 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Soit quatre fois moins que la moyenne européenne mais en fait le différentiel est supérieur car le système fiscal et le système de charges sociales pénalisent les clubs français vis-à-vis de la concurrence.\\n\\n« Ainsi, quand l’Olympiakos ou le Panathinikos présentent une masse salariale de 10M€, il s’agit quasiment de 10M€ de salaires net d’impôt », note Basket Le Mag, qui reproduit le commentaire d’une personnes travaillant dans l’un des clubs les plus puissants d’Europe : « Seuls les clubs russes publient des chiffres officiels, mais je suis presque sûr que certains cachent de l’argent. »\\n\\nPhoto: Alexey Shved" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Nantes-Poitiers devant 4 601 spectateurs à La Trocardière" }, {"role": "assistant", "content":"Les Journées de Noël sont synonyme de belles affluences y compris en Pro B. 4 601 spectateurs ont ainsi assisté au match Nantes-Poitiers à La Trocardière et l’Hermine en a profité pour réaliser ce reportage inside. Une défaite, 79-89, a terni quelque peu la soirée.\\n\\nPhoto: Hermine" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les meilleures actions de Lahou Konaté lors du All-Star Game LNB" }, {"role": "assistant", "content":"Le Nantérien Lahou Konate a été élu MVP du All-Star Game LNB 2018. Voici ses meilleures actions de la soirée.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger, LNB" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] David Cozette (consultant RMC Sport): «On espère que les gens qui regardent le foot vont basculer vers le basket»" }, {"role": "assistant", "content":"De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. Il a popularisé des expressions comme « saucisse » ou « chaud-brûlant » et, toujours bien documenté et avec un allant jamais pris en défaut, il peut s’enflammer dans les grandes occasions et aussi -ce qui est encore plus remarquable- rendre captivant des matches qui intrinsèquement ne le méritent pas. Voici la deuxième partie de l’entretien longue durée.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nExiste-t-il une concurrence entre RMC et Canal+ Sport qui diffuse la Basketball Champions League et les compétitions internationales des équipes nationales ?\\n\\nJe ne crois pas. Ce que je sais, c’est que le basket est quelque chose d’importantissime pour le groupe RMC. Ce n’est pas une posture. François Pesenti (NDLR/ Directeur des sports du groupe) le répète souvent. Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.\\n\\nLe basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?\\n\\nC’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.\\n\\nLes audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?\\n\\nHonnêtement, je n’en sais rien. On ne me donne pas les chiffres mais je sais que c’est l’objectif, évidemment. On se dit que c’est juste quelque chose de mécanique quand on sait qu’il y avait beaucoup moins de gens qui avaient nos chaînes il y a encore quelques mois. On l’a vu avec le grand embouteillage du premier jour, beaucoup de gens se sont rués sur les opérateurs pour récupérer RMC (NDLR : 200 000). Lorsqu’il y a des matches de Ligue des Champions de foot, il y a des matches d’Eurocup les mêmes soirs et quand il y a des matches d’Europa il y a des matches d’Euroleague. On a tous le même réflexe : à la mi-temps du match de foot, tu ne vas pas regarder les pubs mais tu vas aller sur la chaîne juste après et dans ce cas c’est le basket. On espère que les gens qui regardent le foot vont basculer vers le basket et à ce moment-là c’est à nous d’être bons et de réussir à les interpeller en racontant des histoires. Il faut que ces gens-là qui sont le grand public et pas le microcosme basket qui suit ça depuis longtemps, se rendent compte que ça peut être spectaculaire, compétitif, etc.\\n\\n« La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important »\\n\\nA votre niveau, ressentez-vous une progression au fil du temps dans les structures des clubs de Jeep Elite ?\\n\\nOui. Déjà, il y a encore quelque temps il y avait des salles qui n’étaient pas de grandes salles de basket, à la Maison des Sports de Chalon, sans remonter à La Moutète d’Orthez. Rouen jouait en Pro B à la salle des Cotonniers (NDLR : Et même en Pro A). Je crois aussi que la ligue pousse à ce que les staffs aient plus le réflexe marketing. Ils sont sensibles à leur image. On a vu le débat qui a été lancé sur les maillots et qui a fait avancer les choses. La ligue met aussi la pression pour que les éclairages dans les salles soient améliorés car pour nous diffuseur c’est hyper important. Le même match bien éclairé va sembler très bien et moyen s’il est mal éclairé. Il faut se rappeler qu’il y a quelque temps il y avait des salles avec les lignes dans tous les sens du handball et du volleyball. Il y a eu l’apparition des panneaux LED. Tout le package a sensiblement évolué et c’est tellement important pour par exemple les gens qui regardent la Ligue des Champions et qui basculent à Pau où c’est une grande et belle salle avec en plus des jeux de lumière. Il y a peut-être des gens qui ne sont excités que par la NBA et qui trouvent que le reste est ringard et qui vont regarder ça en se disant que c’est sexy aussi.\\n\\nVous êtes aussi accueilli par des pros dans les clubs alors qu’auparavant c’était des bénévoles ?\\n\\nA chaque fois que je vais dans un club, je rencontre celui qui incarne le club, le manager général, le directeur sportif et ou le président et le coach. C’est toujours avec eux que l’on va à la salle le matin ou au match directement et avec qui on va discuter. Effectivement, on voit tout autour d’autres personnes mais je n’ai pas une vision assez proche pour pouvoir juger. Dans le passé, on tombait déjà sur le président, le manager général et le coach. Je ne me rends pas assez compte que les staff en back office ce sont déployés mais je me doute que oui car je vois plus de monde graviter autour des équipes que par le passé où c’était une personne et trois bénévoles. Aujourd’hui, il y a partout quelqu’un qui s’occupe des réseaux sociaux.\\n\\nEt lors de vos déplacements à l’étranger, comment sont les relations avec les clubs sur un plan organisationnel ?\\n\\nC’est variable. J’ai le souvenir que lorsqu’on allait faire des matches d’Euroleague dans les années quatre-vingt-dix en Italie c’était la classe absolue avec des média guides super luxueux, tout un staff qui t’accueillait, la salle de presse et tout. Mais il y avait aussi des clubs d’Euroleague où il y avait rien du tout. C’est l’Europe avec ses différences culturelles et de moyens. C’est aussi difficile de comparer la France avec les autres clubs en Europe car chez nous parfois les clubs n’ont pas beaucoup de moyens et mettent tout sur l’équipe et il n’y a pas grand monde autour. Tu sais qu’aujourd’hui en Euroleague, tu es obligé d’avoir un staff de ouf derrière tellement il y a de contraintes. D’ailleurs quand on se déplace, là où l’on voit qu’il y a le plus de monde autour de l’équipe c’est à l’ASVEL. J’ai identifié plein de gens là-bas et d’autres encore dont je ne sais pas exactement ce qu’ils font. Oui, tu ressens qu’il y a du monde.\\n\\nRessentez-vous que les clubs de Jeep Elite multiplient leur communication sur les réseaux sociaux depuis quelques mois et spécialement depuis la rentrée ?\\n\\nOui, je pense qu’ils ont tous pris ce pli-là. La com’, c’est quand ils vont tourner des petites vidéos. A ce niveau-là, Bourg-en-Bresse est vraiment remarquable. Il ne fait pas partie des trois, quatre clubs historiques prestigieux du championnat de France mais au niveau des structures ils sont vachement en pointe au niveau com et marketing. Certains sont un peu à la ramasse et d’autres sont vraiment épatants sur ce qu’ils font sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Parfois avec Antoine (Eito) ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent »\\n\\nIl y a trois ans, vous me disiez que le meilleur joueur à l’interview était Stephen Brun. Et maintenant qu’il est consultant sur RMC Sport, qui est-ce ?\\n\\n(Il réfléchit) Il n’y a plus de mec aussi cinglé que Stephen Brun, c’est pour ça que je ne trouve pas en fait (sourire). Celui qui a le sens de la formule, de la punch line pour utiliser un mot de jeune, ce que Stephen a clairement. Celui qui a un peu le sens de l’humour, qui quand ça ne va pas ne va pas avoir un discours tiède. Jonathan Rousselle est plutôt un bon candidat. A la fin du match à Strasbourg, je lui ai posé des questions de façon claire et il a répondu de façon claire. Il n’a pas caché le fait que ça n’allait pas au CSP.\\n\\nAntoine Eito ?\\n\\nSi ! Quand je dis qu’il n’y a plus de joueur aussi fou que Stephen Brun, ce n’est pas vrai puisqu’il y a Antoine Eito qui est largement aussi fou que Stephen. Parfois avec Antoine ça va quasiment trop loin quand il fait des références qui deviennent de la private joke et il faut que j’arrive à le rendre audible par tous les gens qui regardent. Il ne faut pas que les gens puissent se dire, « ils sont entre-eux, je ne vais pas les déranger, je vais changer de chaîne. » C’est un exercice délicat, la limite est fine.\\n\\nVous êtes souvent pris à partie -dans le bon sens du terme- par des joueurs au cours d’un match ?\\n\\nTrès souvent des mecs se tournent plus vers Stephen que vers moi. Quand Jeremy Nzeulie était à 1/23 aux shoots ou quelque chose comme ça au bout de trois matches, Stephen discutait avec lui car ils sont très complices depuis Nanterre, et quand il lui dit « touche ma main , tu vas avoir un fluide », et qu’il met deux shoots à trois-points, évidemment que Jeremy regarde Stephen et qu’il y a un bel échange entre les deux au cours du match. Il fait ça avec pas mal de joueurs. Ils nous prennent aussi à témoins sur des décisions d’arbitre comme si nous on pouvait influer là-dessus (sourire).\\n\\nD’Etienne Lalou, Jo Choupin, Jean Raynal, Bernard Père, Patrick Chêne, Patrick Montel, qui vous a inspiré ?\\n\\nJe n’ai jamais entendu parlé d’Etienne Lalou ! (NDLR : Un romancier, essayiste et journaliste qui commenta du basket à l’ORTF dans les années soixante au même titre que par exemple Léon Zitrone). Je n’ai jamais vraiment eu de modèle. Lorsque je regardais des matches quand j’étais adolescent c’était Antenne 2 qui diffusait des matches en deuxième partie de soirée, le mercredi ou le jeudi, de Limoges et Orthez. C’était plus les joueurs qui me faisaient rêver et les commentateurs, je ne les identifiais pas forcément, aussi je n’ai jamais eu de vrais modèles. Plus qu’un journaliste, ce qui m’a fait rêver durant mes années d’adolescence et d’école de journalisme, c’est le traitement du sport par Canal.\\n\\nDonc plutôt Charles Biétry ?\\n\\nOui complètement mais plus pour l’école qu’il représentait même si je dois être un peu trop familier avec un peu trop de folie pour Charles qui aime bien la rigueur. Je ne lui ai jamais demandé. J’étais complètement admiratif de ce qu’il a représenté à la tête de Canal et de la façon dont ils ont révolutionné dans le traitement du sport à la télé, de l’âge de 15 à 25 ans avant que je commence à bosser vraiment dedans.\\n\\nA Canal+, ils prenaient le micro après avoir travaillé leur sujet en amont, ce qui n’était pas toujours le cas avant ?\\n\\nOui et même si je ne ressemble pas par exemple à Grégoire Margotton, j’ai appris cette rigueur-là aussi au-delà de parfois s’enflammer, de faire un peu le show. Ça c’est la personnalité de chacun et heureusement que l’on est un peu différent. Mais à la base on est journaliste, on a quand même plaisir à sortir une info, à avoir de la rigueur, de ne pas dire n’importe quoi quand on raconte des histoires. Au-delà des « saucisses », je me suis quand même inspiré de la rigueur des traitements du sport à Canal.\\n\\nVous allez voir les joueurs chaque matin du match ?\\n\\nÇa dépend. Plus en début de saison. Limoges, je les ai quand même fait cinq fois en trois semaines entre la coupe d’Europe et le championnat et dans ce cas, je viens plutôt deux heures avant à la salle, ils arrivent en même temps, et c’est là que je me pose avec le coach, avec un joueur qui arrive sur le parquet. Par contre, si c’est une équipe que je ne connais pas du tout ou peu, on essaiera de s’organiser pour les voir avant pour discuter un peu.\\n\\nVous avez ainsi des notes avant de commenter les matches ?\\n\\nOui, chacun à ses marottes. Je sais que Charles c’est une chemise cartonnée. Moi, je préfère avoir des feuilles sous plastique avec les infos intemporelles et les bios précises de chacun des joueurs qui me servent toute l’année et que je ne retouche pas. Quand tu fais 150 matches dans l’année, tu ne vas pas réécrire des fiches ! Et juste au milieu un espace pour écrire au crayon à papier tout ce qui est info du moment, blessures, statistiques réactualisées.\\n\\n« Je suis identifié par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? »\\n\\nDes expressions comme « chaud-brûlant » sont donc le fruit de votre imagination, ce ne sont pas des reprises d’autres journalistes de télé ou de radio ?\\n\\nÇa a dû m’arriver de reprendre ponctuellement des expressions déjà sorties par George Eddy ou Jacques Monclar mais j’essaie autant que faire se peut d’avoir mon propre vocabulaire. C’est comme ça que tu es identifié. George est identifié par « attention ! messieurs, dames » ou « contre en haute altitude » et moi par les « saucisses », « chaud-brûlant » ou « que fait la police ? ». Il faut être vigilant car tu ne dois pas les sortir trop souvent car sinon ça devient relou mais pas plus du tout car c’est aussi ce qui fait ta marque. Il faut les utiliser à bon escient pour que les gens aient plaisir à les entendre mais il ne faut pas les saouler. C’est toujours une question de dosage.\\n\\nJacques Monclar a laissé au basket français beaucoup de ses expression et aussi de ses surnoms car c’était le roi pour en donner aux joueurs, et qui sont repris aujourd’hui par tout le monde ?\\n\\nC’est quelqu’un qui a le sens ultime de la formule. Quand ça passe à la postérité c’est plutôt valorisant. Tout commentateur rêve de ça. A mon tout petit niveau ça me fait toujours un plaisir fou. Je ne sais même pas pourquoi ça a été le cas de « Thomas Heurtel, donne-moi ton short ! ». C’était lié à un moment tellement fort que ça a plus imprimé. Quatre ans plus tard, il y a encore des gens qui viennent me brancher lors de matches et qui font une photo en répétant ça.\\n\\nAvez-vous senti une différence de notoriété en fonction des chaînes où vous avez commenté des matches ?\\n\\nOui mais pas du tout pour ce que vous pouvez imaginer ! J’ai connu une énorme différence de notoriété à partir du moment où je suis sorti du basket et que j’ai fait L’Equipe du Soir sur L’Equipe 21. C’est une émission qui est présentée par Olivier Ménard du lundi au vendredi de 22h30 à minuit et c’est à 95% foot. J’étais chroniqueur pendant un an et en plus quand Mémé était en vacances c’est moi qui l’ai remplacé à la présentation. En terme de notoriété, ça a tout changé mais c’est redescendu juste après ! C’était 1, une chaîne de la TNT, et 2, on traitait du foot. Après, je suis retourné sur une chaîne à péage pour parler de basket et forcément ce n’est plus la même chose.\\n\\nEt quand vous changez de chaîne, vous avez l’impression que le vrai fan de basket vous suit et vous reconnaît ?\\n\\nLes gens viennent me voir, oui, quand même. Mais je peux aller passer un week-end au bord de la mer avec Hervé Mathoux et Grégoire Margotton, je suis sûr que je ne serai jamais emmerdé.\\n\\nPhotos: Palais des sports de Pau (ville de Pau), Antoine Eito et Boris Diaw (FIBA)\\n\\n[armelse]\\n\\nExiste-t-il une concurrence entre RMC et Canal+ Sport qui diffuse la Basketball Champions League et les compétitions internationales des équipes nationales ?\\n\\nJe ne crois pas. Ce que je sais, c’est que le basket est quelque chose d’importantissime pour le groupe RMC. Ce n’est pas une posture. François Pesenti (NDLR/ Directeur des sports du groupe) le répète souvent. Ça a été le droit le plus important derrière le foot anglais avant la saison dernière sachant que maintenant il y a la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Et on n’a pas laissé tomber le basket en faisant moins de match pour autant. Ça reste un enjeu fort pour la chaîne et le groupe. Sans polémiquer, je ne suis pas certain que le basket soit aussi important pour le groupe Canal qu’il ne l’est pour le groupe RMC parce qu’ils ont beaucoup d’autres sports et parce que culturellement ça n’a jamais été la première des priorités.\\n\\nLe basket a pris de l’importance cette saison sur vos différents supports ?\\n\\nC’est bien la preuve que lorsque François Pesenti dit ça, ce n’est pas du pipeau. Il passe souvent le message aux gens de la radio et à ceux d’émissions plus grand public qui ne vont pas avoir le réflexe, que telle chose sur le basket est importante. Stephen (Brun) va ponctuellement dans le Moscato Show qui est une émission qui a une énorme audience, c’est un vrai signe. Que sur la chaîne de news ou les documentaires, il y ait systématiquement un sujet de basket, c’est pareil.\\n\\nLes audiences du basket ont-elles progressé depuis que RMC Sport diffuse la ligue de champion de foot ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Après Mondeville, Mélanie Plust rejoint le Hainaut pour la fin de saison" }, {"role": "assistant", "content":"Mélanie Plust avait déjà fait une pige de cinq matches à Mondeville pour pallier l’absence de Kim Gaucher (3,2 points, 1,2 rebonds). Cette fois l’arrière nordiste (1,73m, 29 ans) signe jusqu’à la fin de saison au Hainaut en raison de la blessure au ménisque de Jenny Fouasseau.\\n\\nNée à Condé-sur-Escaut, à quinze kilomètres de St Amand-les-Eaux, la championne d’Europe U20 en 2009 a porté en début de carrière le maillot de l’USAPH (1999-2004 et 2007-2008) et déjà du Hainaut Basket (2008-2009).\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Les plus belles photos du All-Star Game LNB 2018" }, {"role": "assistant", "content":"Travis Cohn (Quimper)\\n\\nJaron Johnson (Levallois)\\n\\nKevin Harley (Poitiers)\\n\\nBastien Pinault (Chalon)\\n\\nJustin Robinson (Chalon)\\n\\nPaul Lacombe (Monaco)\\n\\nAlain Béral (Président LNB), Bastien Pinault (Chalon), Justin Robinson (Chalon), Lahaou Konate (Nanterre), Kevin Harley (Poitiers) et David Denave.\\n\\nLahaou Konate (Nanterre)\\n\\nPhotos: LNB, Hervé Bellenger" }, {"role": "user", "content":"La photo: Le parquet du MSB dans les Landes" }, {"role": "assistant", "content":"Le sigle dans le rond central est trompeur. Il ne s’agit pas de la salle d’entraînement du Mans Sarthe Basket. Il s’agit bien en revanche de son parquet qui a été installé à Gamarde-les-Bains et qui bénéficie ainsi au Dax-Gamarde Basket 40, club landais, qui opère en Nationale 2." }, {"role": "user", "content":"Vidéos: Les meilleurs moments du All-Star Game, le concours des meneurs, de dunk et de trois-points" }, {"role": "assistant", "content":"A voir ou revoir les meilleurs moments du All-Star Game 2018.\\n\\nPhoto: Kevin Harley (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Lahaou Konaté (Nanterre), MVP du All Star Game : «J’ai juste kiffé le moment»" }, {"role": "assistant", "content":"Grand artisan de la victoire de la sélection française face à la sélection étrangère lors du 33e All Star Game LNB, Lahaou Konaté a été élu MVP du match des étoiles avec 33 points à 13/17 aux shoots.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.\\n\\n« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. Ça s’est fait tout seul, c’est monté crescendo, mais on avait quand même à coeur de gagner même sans défense. J’ai juste profité de l’instant et mes tirs ouverts sont rentrés. Ce n’était vraiment pas de prise de tête, c’est juste du kiffe. J’ai déjà fait Bercy donc j’étais assez libéré dans cette salle, même si rien n’est facile avec le peu d’échauffement qu’on a. C’est anecdotique d’être MVP du All Star Game pour un joueur mais c’est plaisant d’avoir cette distinction dans ce genre d’événement. Je profite de tous les trophées. Toute la soirée j’étais sur mon téléphone, j’ai filmé, j’ai essayé de kiffer le moment et faire profiter les gens qui me suivent sur les réseaux sociaux. C’est plaisant, c’est un moment unique dans une carrière. J’étais un peu déçu du concours de tirs, mais bon. Par contre j’ai bien aimé le concours de dunks et Kevin Harley avait vraiment a coeur de gagner. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, l’ailier nanterrien s’est exprimé sur cette récompense. Il a juste savouré ce moment particulier dans une saison.\\n\\n« C’est un accomplissement dans une carrière de participer au All Star Game. C’est juste un sentiment de bonheur. Même dans ces matchs-là je reste un compétiteur. Ça s’est fait tout seul, c’est monté crescendo, mais on avait quand même a coeur de gagner même sans défense.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"All-Star Game: Les Français s’imposent aux étrangers dans un match tout feu, tout flamme (153-147). Lahaou Konate (Nanterre) élu MVP" }, {"role": "assistant", "content":"Sur une échelle défensive de 0 à 10, pas sûr qu’il faille indiquer le chiffre 1 pour cette édition 2018 du All-Star Game suivi à l’AccorHôtels Arena par un record de 15 988 spectateurs. Beaucoup (trop ?) de dunks, de shoots à trois-points dans un fauteuil, de rebonds d’une main, d’allers-retours sans opposition. Sûr que les all-stars ne risquaient pas la blessure !\\n\\nComme à l’habitude, on a vu quelques frivolités qui n’ont pas cours en compétition comme un numéro de dribbles de Julian Wright, un vol plané de Paul Lacombe, une tentative de coast to coast de Youssoupha Fall et surtout les attractions qui, comme on le dit, font la joie des petits et des grands.\\n\\nOn aura noté aussi que le joueur le plus jeune à avoir jamais participé à un All-Star Game, le Villeurbannais Théo Maledon, 17 ans, est entré en jeu au bout de 7 minutes, a marqué son premier panier sur un layup, le second sur un dunk et le troisième sur un trois-points. Il est sorti du terrain avec 11 points, 5 passes et 4 rebonds. Comme pour un match de Jeep Elite finalement.\\n\\nDonc, on en était à 41 partout après un quart-temps, à 88-83 pour la sélection française à la mi-temps -avec 20 points du Nanterrien Lahou Konate- et à 123-117 après 30’... Ce qui serait déjà pas mal sur un match entier. Même que George Eddy, le speaker de la cérémonie, demandait un peu de défense pour la gagne.\\n\\nLes 170 points en 1990 à Nancy -qui sont au All-Star Game LNB ce que fut le 8,90m de Bob Beamon aux JO de Mexico pour le saut en longueur- ne furent pas approchés mais 153 à 147 est un beau score !\\n\\nSur l’ensemble, les Français, qui ont presque toujours mené au score, méritent leur victoire. Ils ont atteint le score faramineux de 200 à l’évaluation. Ils égalisent ainsi à 14 le nombre de victoires des Etrangers dans l’histoire de ce All-Star Game.\\n\\nEt avec ses 33 points à 13/17 aux shoots (!), Lahou Konate mérite amplement son trophée de MVP. Si les Etrangers l’avaient emporté, Justin Robinson (21 points, 14 rebonds) se serait probablement vu attribuer le trophée, ce qui aurait permis à Chalon de réaliser un improbable triplé.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Lahaou Konate (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Kevin Harley (Poitiers), vainqueur du concours de dunk : «Cette ambiance nous porte»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est peut-être le concours le plus attendu par les spectateurs présents dans l’enceinte de l’AccorHotels Arena, le concours de dunks. En décembre 2017, DJ Stephens reversait la salle parisienne avec une performance jamais vue pendant que Kevin Harley, joueur de Poitiers en Pro B, arrivait quatrième de ce concours. Cette année, ce même joueur remporte le concours de dunks.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès le concours, Kevin Harley s’est exprimé sur sa victoire.\\n\\n« C’est énorme. Je l’avais déjà fait l’année dernière mais je ne pense pas que j’étais favori. C’est une satisfaction de dire qu’il n’y a pas de Pro B ou Pro A. Ça montre que ce n’est pas parce qu’ils sont en Pro A qu’ils sont plus athlétiques. C’est un plaisir. L’année dernière m’a vraiment appris à m’imprégner de l’ambiance de la salle, du fonctionnement du concours et de l’organisation. L’année dernière je suis venu le jour même donc c’était dans le rush, même si ça s’est vraiment bien passé. J’appréhendais vachement plus l’année dernière que cette année. Il y a une petite pression parce qu’on sait que c’est ce que tout le monde attend. Les gens nous attendent, mais ce n’est pas méchant, ils veulent juste nous voir. On a des entrées de feu à chaque fois. Cette ambiance nous porte vraiment, ça nous pousse à nous dépasser pour faire plaisir au public. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès le concours, Kevin Harley s’est exprimé sur sa victoire.\\n\\n« C’est énorme. Je l’avais déjà fait l’année dernière mais je ne pense pas que j’étais favori. C’est une satisfaction de dire qu’il n’y a pas de Pro B ou Pro A. Ça montre que ce n’est pas parce qu’ils sont en Pro A qu’ils sont plus athlétiques. C’est un plaisir.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Poitiers Basket 86" }, {"role": "user", "content":"All-Star Game – Concours de dunks: Le meilleur dunkeur de France est en Pro B, c’est le Poitevin Kevin Harley" }, {"role": "assistant", "content":"C’est après une excellente vidéo musicale d’entrée en scène avec les quatre acteurs qu’a débuté ce qui est toujours la cerise du gâteau du All-Star Game : le concours de dunks. Pas de susperstar cette fois comme en 2018 avec le Manceau DJ Stephens mais des spécialistes venus de Jeep Elite mais aussi pour moitié de Pro B.\\n\\nAkil Mitchell a laissé s’envoler toutes ses chances de succès en ratant tous ses dunks lors du premier passage. Dommage, le Boulazacois a réussi ensuite un dunk de la ligne des lancers... mais en mordant. Jaron Johnson n’a pas été aidé par les mauvaises passes de ses équipiers de Levallois, Julian Wright et Roko-Leni Ukic, ce qui lui a fait perdre beaucoup de temps.\\n\\nFinale entre joueurs de Pro B. Tarvis Cohn, 1,88m, a fait des bonds de Marsupilami mais Kevin Harley, le seul Français du lot, a décroché la queue du Mickey en sautant par-dessus Yakuba Ouattara -un double vainqueur du concours- ponctué d’un dunk arrière, puis lors de l’ultime passage toujours avec un dunk arrière mais avec rebond du ballon au préalable.\\n\\nKevin Harley avait été éliminé en demi-finale l’an dernier. Travis Cohn possède à son palmarès une victoire au concours de dunks en Islande (2014), Jaron Johnson en Israël (2018) et Akil Mitchell fut finaliste en Australie (2016).\\n\\nDemi-finale: 1) Kevin Harley (193 décibels), Travis Cohn (193), 3) Jaron Johnson (189), 4) Akil Mitchell (98).\\n\\nFinale: 1) Kevin Harley (194), 2) Travis Cohn (188).\\n\\nClassement: 1) Kevin Harley (Poitiers), 2) Travis Cohn (Quimper), 3) Jaron Johnson (Levallois), 4) Akil Mitchell (Boulazac)\\n\\nPhoto: Kevin Harley (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Bastien Pinault (Chalon) : «Les deux concours c’est un super bonus pour Chalon qui est un super club»" }, {"role": "assistant", "content":"Après le concours de meneurs, c’est le concours de shoot à trois points qui avait lieu à l’AccorHotels Arena. Après s’être qualifié au tie-break face à Adas Juskevicius, Bastien Pinault a remporté le concours une nouvelle fois au tie-break face au serial shooteur de la SIG et déjà vainqueur en G-League, Jarell Eddie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès le match, les deux joueurs se sont exprimés sur ce concours.\\n\\nBastien Pinault :\\n\\n« Pour l’instant c’est un bon départ pour Chalon, maintenant il ne manquerait plus que Justin Robinson soit MVP du match et ça serait parfait. On était surtout venus pour s’amuser et passer un bon moment parce que c’est quand même la fête du basket français. Gagner les deux concours c’est un super bonus et c’est une belle pub pour l’Elan Chalon qui est un super club. C’est la première fois que ça se joue au tie break, mais c’est mieux de faire compliqué, la victoire est plus belle... Même si j’avoue qu’à 17 je n’étais pas serein parce que sur les entraînements qu’on a fait je pense que ça ne s’est pas joué en dessous de 20 entre Jarell et moi.«\\n\\nJarell Eddie :\\n\\n« Je suis déçu de moi parce que je pense que je suis passé à côté, j’ai perdu ce concours. C’est proche, j’aurais vraiment pu le gagner mais je ne l’ai pas fait, j’ai fait une sous-performance. Je suis un shooteur facile, c’est aussi un bon shooteur. Il y avait de bons compétiteurs, c’est un bon concours. C’est une belle atmosphère ici, il y a un bon public. La seule comparaison que je peux faire avec le concours de G-League c’est que je suis venu ici, mais que j’ai perdu au deuxième round. Il y a aussi le fait de faire le premier tour, de retourner s’asseoir et de se relever, c’est assez compliqué, mais ça fait partie du jeu. »\\n\\n[armelse]\\n\\nBastien Pinault :\\n\\n« Pour l’instant c’est un bon départ pour Chalon, maintenant il ne manquerait plus que Justin Robinson soit MVP du match et ça serait parfait. On était surtout venus pour s’amuser et passer un bon moment parce que c’est quand même la fête du basket français. Gagner les deux concours c’est un super bonus et c’est une belle pub pour l’Elan Chalon qui est un super club. C’est la première fois que ça se joue au tie-break, mais c’est mieux de faire compliqué, la victoire est plus belle... 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Il a aussi prouvé qu’il avait un gros mental quand il a marqué 4 de ses 5 shoots supplémentaires face au cercle dont le dernier panier bonus alors que l’Américain Jarrel Eddieau au même endroit a craqué. Dans le temps réglementaire les deux finalistes avaient obtenu le même nombre de points, 17.\\n\\nS’il n’y a pas eu de super crack, le niveau du concours à trois-points a été homogène au point qu’il a fallu aussi cinq shoots supplémentaires pour départager Bastien Pinault et Adas Juskevicius en demi-finale.\\n\\nDemi-finale : Jarrel Eddie (23 points), Bastien Pinault (21 points + 6), Adas Juskevicius (21 points +4), Scott Wood (15 points).\\n\\nFinale : Bastien Pinault (17 points +5), Jarrel Eddie (17 points +2).\\n\\nClassement : 1) Bastien Pinault (Chalon), 2) Jarrel Eddie (Strasbourg), Adas Juskevicius (Nanterre), 4) Scott Wood (Gravelines).\\n\\nPhoto: Bastien Pinault (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Justin Robinson (Elan Chalon) : «Bastien Pinault doit maintenant gagner le concours à trois points !»" }, {"role": "assistant", "content":"En ouverture du 33e All Star Game LNB, le traditionnel concours des meneurs opposait Justin Robinson, Killian Hayes, Théo Maledon et Roko Ukic. C’est le micro meneur de l’Elan Chalon qui l’a emporté.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.\\n\\n« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »\\n\\nKillian Hayes s’est aussi exprimé sur cette expérience unique.\\n\\n« Déjà voir 15 000 personnes en entrant dans Bercy c’est quelque chose. J’étais déjà venu jouer en Coupe de France ici, mais ce n’était pas rempli. C’est une super expérience et on voit bien que tout le monde est là pour passer un bon moment. Ce qui est difficile dans ce concours c’est de trouver son rythme, on était tous un peu froid, on n’a pas vraiment pu s’échauffer. C’est surtout ça. Justin Robinson ? Il est tout petit, il se faufile dans le slalom, c’est plus facile pour lui, mais c’est aussi un vrai shooteur. »\\n\\nLa pépite de l’ASVEL, Théo Maledon a malheureusement été éliminé en deux manches sèches mais il retient l’atmosphère de cette salle à guichets fermés.\\n\\n« C’est la première fois que je viens à Bercy pour jouer. C’est impressionnant de voir tout ce monde. Malheureusement ça a tourné court, j’ai perdu 2-0. Ça reste toujours un bon moment, c’est toujours bien d’être là et de voir comment c’est fait. Ça s’est joué sur des petits détails. J’ai glissé, une petite passe qui part sur le côté, un petit tir raté. Ça crée la différence et tout de suite on paye ce retard. Justin Robinson est un très bon joueur qui mérite ce trophée, il a été élu joueur du mois en octobre. C’est un des meilleurs... même je pense peut-être le meilleur meneur de Jeep Elite. Félicitations à lui.C’est vraiment une très belle expérience de venir ici. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès la rencontre, le joueur de Jean-Denys Choulet a tenu à souligner le talent des deux jeunes Théo Maledon et Killian Hayes qui, à 17 ans, participent à leur premier All Star Game.\\n\\n« J’étais notamment contre deux très jeunes joueurs, mais très bons. Dans quelques années, ils seront très forts. Ça fait forcément quelque chose de gagner ce concours, je n’aime pas perdre (sourire) ! A chaque fois que je fais quelque chose je me donne à fond et ce soir ça m’a amené jusqu’à la victoire. J’ai dit à Bastien (Pinault) que j’ai gagné le concours de meneurs et qu’il doit donc maintenant gagner celui à trois points ! Je suis maintenant très impatient de jouer le match. »[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Antibes Sharks" }, {"role": "user", "content":"All-Star Game – Concours des meneurs: Justin Robinson (Chalon) vainqueur de Roko-Leni Ukic (Levallois) en finale" }, {"role": "assistant", "content":"Blessé au pied, le Gravelinois Benjamin Sene n’a pas pu défendre sa triple couronne et c’est Justin Robinson, par ailleurs meilleur passeur de Jeep Elite, qui a inscris son nom au palmarès du concours des meneurs. Le point guard américain a remporté ses quatre manches.\\n\\nLe duel de générations a tourné en faveur des aînés puisqu’en demi-finale Roko-Leni Ukic et Justin Robinson ont battu respectivement Théo Maledon et Killian Hayes, 17 ans, deux manches à zéro.\\n\\nClassement : 1- Justin Robinson (Chalon), 2- Roko-Leni Ukic (Levallois), 3-Killian Hayes (Cholet) et Théo Maledon (Villeurbanne).\\n\\nLes réactions des joueurs sont ici.\\n\\n\\n\\n\\nRetrouvez en vidéo les manches de la finale du @SFR #SkillsChallenge entre @Callmescoop12 et @RokoLeni10 #ASG2018 pic.twitter.com/8VcKvMW2VS\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) December 29, 2018\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Pour recruter, Cholet Basket doit avoir le feu vert du contrôle de gestion" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket est suspendu à la décision de son pivot Frank Hassell de rester au club au-delà du 31 décembre. En attendant de connaître sa réponse, CB cherche déjà un joueur extérieur avec une expérience européenne.\\n\\nSeulement pour avoir le droit de recruter, le staff choletais doit obtenir le feu vert de la DNCCG.\\n\\n« Nous avons déposé un dossier la semaine passée, nous attendons la réponse début janvier », indique le président Didier Barré à Ouest France. « Soit elle est refusée, soit elle est acceptée, soit elle est acceptée en partie, c’est-à-dire avec une augmentation mais en deçà de celle demandée. En tout cas, cela ne remettrait pas du tout en cause la pérennité du club. »\\n\\nLe club précise qu’à l’exception de l’interrogation qui existe pour Frank Hassell, aucun départ n’est prévu de l’effectif.\\n\\nPhoto: Frank Hassell (CB)" }, {"role": "user", "content":"La photo: Manu Ginobili à l’honneur sur un playground de Buenos Aires" }, {"role": "assistant", "content":"Cette énorme fresque consacrée à Manu Ginobili est visible sur un playground de Buenos Aires. Une preuve supplémentaire que El Manu est une légende en Argentine." }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Rick Pitino réussit sa première avec le Pana" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Fenerbahçe confirme sa prise de pouvoir au sommet avec le CSKA Moscou et le Real Madrid qui ont chuté chez les poursuivants directs, le Panathinaikos s’est offert une bonne bouffée d’air frais avec la première réussie de Rick Pitino. Le Pana a battu le CSKA Moscou de 12 points, avec une grosse pression défensive et du spectacle en attaque (96-84).\\n\\nLe Bayern Munich et Gran Canaria sont les deux autres gagnants de la soirée. Munich peut encore espérer quelque chose dans la deuxième partie de saison l’an prochain. Une seconde phase qui s’annonce palpitante avec pas moins de 6 équipes qui se tiennent dans un mouchoir de poche, entre 8 victoires – 7 défaites et 7 victoires – 8 défaites.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nRick Pitino abat le CSKA pour sa première\\n\\nAvec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.\\n\\nNando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points, 10 rebonds) a brillé mais le CSKA n’a jamais pu se remettre d’un 2e quart à sens unique (36-18).\\n\\n\\nLe Fener s’impose au finish\\n\\nA -6 sous les 2 minutes, Fenerbahçe n’a pas craqué devant son public. Au contraire, la troupe d’Obradovic a passé un 8-0 conclu d’un panier plus la faute de Luigi Datome (17 points, 7 rebonds). Dans un match fermé à double tour, qui a vu l’expulsion de Sergio Llull dans un mauvais soir, le Real a failli faire le hold up mais le Fener veillait (65-63).\\n\\nJoffrey Lauvergne (4 points, 2 rebonds) et Fabien Causeur (2 points, 2 rebonds, 2 passes) ont contribué dans ce match sous haute intensité défensive. Sans Kostas Sloukas, Marko Guduric a encore délivré dans le crunch time pour lancer le run décisif. Avec ce nouveau succès arraché de haute lutte, le Fener en est à 11 victoires d’affilée et seul en tête du classement !\\n\\n\\nLe Bayern fait 4 sur 5\\n\\nLes nouveaux venus se sont mis en valeur pour Podgorica avec Norris Cole (27 points, 6 passes) et Goga Bitadze (17 points, 7 rebonds) qui ont longtemps donné du fil à retordre aux Munichois. Mais le Bayern a fini par s’imposer à domicile (93-88). Derrick Williams (21 points) a torturé la défense monténégrine avec des dunks à répétition.\\n\\nA -16 en 3e quart, Williams mais aussi Braydon Hobbs (14 points) ont lancé le retour des Bavarois. Avec un 10/12 à trois points au retour des vestiaires, le Bayern a repris le contrôle du match pour de bon. Podgorica n’avait pas le répondant en dernier quart (28-18). Edwin Jackson termine à 4 points, 2 rebonds, 2 passes. Munich est en forme avec 4 victoires sur ses 5 derniers matchs.\\n\\n\\nGran Canaria reste dans le coup\\n\\nDans le dernier match de 2018, Gran Canaria a fait régner la logique du terrain. Face à Kaunas, les insulaires ont pu compter sur un collectif de 11 joueurs et un gros effort défensif en 2e quart (16-9). Ils ont tenu leur écart de bout en bout (73-66) derrière un bon Xavier Rabaseda (15 points, 8 rebonds).\\n\\nGranCa remporte là une victoire importante face à un concurrent direct. A 6 victoires pour 9 défaites, le club de Kim Tillie est encore dans le coup pour les playoffs. Il faudra évidemment jouer serré avec 6 équipes qui se tiennent entre la 6e et la 12e place...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (4/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 25 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 14 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 4 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre en 11 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 12 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nC’est le basket moderne ! Le pivot remonte le terrain en dribble et sert parfaitement son compère de raquette, Joffrey Lauvergne qui dunke les deux mains dans la marmite. Le Fener remporte une 11e victoire d’affilée et creuse l’écart avec ses poursuivants qui ont tous deux perdu...\\n\\n\\n\\n\\nThe @JanVesely24 DIME ➡ The STRONG @1JOLOLO finish!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/M7n37efQTx\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 15e journée\\n\\nMercredi 27 décembre :\\nKhimki Moscou – Vitoria (77-85)\\nDarussafaka – Olympiakos (79-75)\\nMaccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\\nBarcelone – Efes Istanbul (80-65)\\n\\nJeudi 28 décembre :\\nFenerbahçe – Real Madrid (65-63)\\nPanathinaikos – CSKA Moscou (95-83)\\nBayern Munich – Podgorica (93-88)\\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (73-66)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 16e journée\\n\\nJeudi 3 janvier :\\nEfes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\\nMilan – Podgorica (20h45)\\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\nGran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\\n\\nVendredi 4 janvier :\\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\\nBarcelone – Darussafaka (21h)\\n\\nA lire aussi : Barcelone et Vitoria se requinquent\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nRick Pitino abat le CSKA pour sa première\\n\\nAvec beaucoup de trappes sur les scoreurs du CSKA, qui ont forcé 14 ballons perdus, le Panathinaikos s’est imposé avec brio pour la première de Rick Pitino (96-84). Nick Calathes (14 points, 10 passes) a comme toujours alimenté l’attaque hellène, avec Ioannis Papapetrou (17 points) qui revient fort après sa blessure.\\n\\nNando De Colo (17 points, 4 ballons perdus) a notamment été pris pour cible des trappes du Pana. Will Clyburn (24 points\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine: Mondeville fait revenir Courtney Hurt" }, {"role": "assistant", "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelques jours, c’est confirmé: l’USO Mondeville se renforce avec la venue de la puissante intérieure américaine Courtney Hurt (1,85m, 28 ans), qui détient un passeport bosnien, et qui a déjà porté ses couleurs de 2013 à 2015.\\n\\nCourtney Hurt évoluait à la saison passée à Montpellier (15,0 points et 5,6 rebonds). En avril, elle avait été victime d’une rupture des ligaments croisés et n’a plus rejoué depuis.\\n\\nMondeville n’a pas encore gagné un match cette saison.\\n\\nPhoto: BLMA" }, {"role": "user", "content":"Les chiffres et les records du All-Star Game LNB" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est la 33e édition du All-Star Game LNB. Voici quelques chiffres et quelques records:\\n\\n0\\n\\nAucun des tenants de 2017 ne sera pas présent. DJ Stephens (dunk) et Heiko Schaffartzik (trois-points) ne sont plus dans la ligue -les organisateurs avaient envisagé d’inviter l’Allemand-, alors que Benjamin Sene (meneurs) et Amara Sy (MVP du match) sont blessés.\\n\\n1\\n\\nLe nombre de fois où un quidam a marqué du milieu du terrain lors du « tir à 100 000€. C’était en 2013. Son nom: Thomas Béreau. Deux autres ont touché l’anneau, un la planche, les sept autres ont fait un airball.\\n\\n2,21m\\n\\nLe pivot de Strasbourg Youssoupha Fall est le plus grand joueur à disputer un All Star Game LNB depuis sa création en 1987.\\n\\n4\\n\\nGermain Castano (Orléans) est assistant coach au All Star Game pour la 4ème fois, un record. La première fois, c’était en 2005.\\n\\n6\\n\\nLe nombre de fois où Eddie Viator a sifflé au All-Star Game.\\n\\n7\\n\\nLe nombre de fois où Jean-Luc Monschau a coaché au All-Star Game. Il détient le nombre de participations devant Michel Gomez (6) et Greg Beugnot (5).\\n\\n8\\n\\nLe nombre de sélections au All-Star Game de l’intérieur de Gravelines, Alain Koffi. Le record est de 13 sélections par Jim Bilba.\\n\\n17\\n\\nLe nombre de rebonds captés par Andy Fields en 1988.\\n\\n17 ans, 6 mois et 17 jours\\n\\nLe meneur de l’ASVEL Théo Maledon est le plus jeune participant de l’histoire du All-Star Game. Il bat ainsi le record de Fabien Dubos en 1996 (17 ans, 10 mois et 2 jours). Antoine Rigaudeau (18 ans, 5 mois et 15 jours) et Tony Parker (18 ans, 7 mois et 12 jours) sont les suivants au palmarès.\\n\\n19h25\\n\\nLa soirée sera diffusée en direct à 19h25 sur RMC SPORT 2. Le match sera également diffusé en léger différé sur RMC SPORT 1 à 21h30 ce même samedi puis rediffusé le dimanche 30 décembre à 22h30 sur RMC SPORT 2 et le lundi 31 décembre sur RMC SPORT 3 à 11h30.\\n\\n21\\n\\nLe nombre de passes effectuées par Andrew Albicy en 2015.\\n\\n27\\n\\nUne sélection française affrontent une sélection étrangère depuis 1992. Les Etrangers mènent 14-13.\\n\\n44\\n\\nLe nombre de points inscrits par Yann Bonato. C’était en 1995 à Pau.\\n\\n226\\n\\nLe nombre de points inscrits par Stéphane Ostrowski lors de ses 11 All-Star Game.\\n\\n5 000\\n\\nChaque équipe jouant le match All-Star représentera une association. Ainsi, l’équipe des All Stars français représentera la Fondation CAP NF tandis que l’équipe des All Stars étrangers représentera l’association PLAY International. Chaque association se verra remettre un chèque de 5.000 € à la fin du match. Ce don sera bonifié de 5.000 € supplémentaires en faveur de l’association représentée par l’équipe gagnante.\\n\\n15 988\\n\\nLe nombre record de spectateurs qui ont réservé leurs places. Véritable référence en Europe, le All Star Game LNB affichera complet pour la 16ème fois consécutive.\\n\\nLE PROGRAMME\\n\\n17h30 : Ouverture des portes\\n\\n19h00: Début du All Star Game 19h05 : « SFR Skills Challenge »\\n\\nConcours des Meneurs – Qualifications et Finale\\n\\n19h30: « PEAK 3 points Shoot-Out »\\n\\nConcours de Tirs à 3 Points – Qualifications\\n\\n19h40 : Présentation des Equipes All Stars\\n\\n20h15 : All Star Game\\n\\nArbitres : Hugues THEPENIER, Paul ANTIPHON et Maxime BOUBERT Commissaire : Philippe MAILHABIAU\\n\\nFin du 1er Quart-Temps : « PEAK 3 points Shoot-Out » Concours de Tirs à 3 Points – Finale\\n\\nFin du 2ème Quart-Temps : « Jeep® Dunk Contest » Concours de Dunks – Qualifications et Finale\\n\\nFin du 3ème Quart-Temps : « AMAZON Shoot à 100.000 » Fin du match : Remise des Trophées\\n\\nPhoto: Théo Maledon (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Alexis Ajinça, le retour : à quoi peut-on s’attendre ?" }, {"role": "assistant", "content":"Ayant quitté la Pro A le 18 décembre 2013 pour rejoindre la Nouvelle Orléans et la NBA, Alexis Ajinça vient de réaliser le trajet inverse en cette fin d’année 2018.\\n\\nLe pivot tricolore a signé avec l’ASVEL pour la fin de saison, et si tout se passe bien pour un projet ambitieux qui verra le club de Villeurbanne de retour en Euroleague la saison prochaine. C’est un deal gagnant – gagnant a priori car le joueur aussi bien que le club peuvent en tirer un gros bénéfice.\\n\\nMais il y a également quelques questions en suspens, dont la première concerne évidemment le genou gauche d’Ajinça, opéré à plusieurs reprises, et plus généralement le niveau de jeu du pivot après un an et demi sans la moindre minute officielle.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nRetrouver la forme physique\\n\\nPrivé de compétition depuis avril 2017, Ajinça devrait revenir petit à petit en forme, pour la Leaders Cup selon Tony Parker, en février. Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. Opéré au tendon rotulien du genou gauche en décembre 2017, puis de nouveau en mars 2018, Ajinça n’a plus joué depuis deux saisons pour ainsi dire. Ça commence à faire...\\n\\nUn an et demi plus tard, le pivot de 2,18m va avoir besoin de temps pour retrouver son souffle déjà, puis son niveau de jeu. Si la santé tient, et c’est un assez gros « si » à l’heure de ces lignes, Ajinça est évidemment un sacré joker pour l’Asvel en championnat, comme en EuroCup.\\n\\nSon talent offensif et son gabarit en font aisément un des meilleurs pivots dans les deux compétitions. Pour rappel, il tournait à 17 points, 5 rebonds en Euroleague et 14 points, 7 rebonds en Pro A juste avant de rallier la Nouvelle Orléans.\\n\\nAvec l’Asvel en Euroleague la saison prochaine, ça aurait de la gueule avec une French Team revisitée. Mais tout ça dépend encore de la forme de l’ancien Champion d’Europe... Mais honnêtement, on a envie de revoir un Ajinça dominateur. Surtout après un deuxième passage NBA finalement assez terne.\\n\\n\\nUn deuxième passage NBA frustrant\\n\\nA 6 points (53% de réussite aux tirs), 4 rebonds et 1 contre de moyenne avec les Pélicans sur ses 4 dernières saisons, le Stéphanois a fait ce qu’il a pu dans un temps de jeu limité derrière Anthony Davis. L’opération financière est réussie mais l’expérience sportive restera frustrante...\\n\\nEn concurrence avec Omer Asik pendant trois saisons en Louisiane, Ajinça n’a jamais vraiment réussi à le dépasser dans la rotation, malgré ses qualités offensives bien supérieures. A cause de blessures ou de choix sportifs, le pivot français n’a pas réussi à s’inscrire sur le long-terme à la Nouvelle Orléans, avec l’arrivée de DeMarcus Cousins qui a considérablement restreint son temps de jeu.\\n\\nCapable de grosses sorties, comme ce soir d’avril 2016 quand il a placé 28 points et 15 rebonds dans une victoire (pour du beurre) contre les Lakers, Ajinça a toujours été au niveau offensivement. Sur de courtes séquences ou sur des plus longues quand il était titulaire « pour se montrer« , Ajinça a toujours été assez productif avec ses bonnes mains et sa capacité à étirer le jeu pour un pivot.\\n\\nSimplement, pour lui comme pour d’autres pivots massifs, le jeu est devenu de plus en plus compliqué car trop rapide. Comme pour ses collègues Omer Asik (sans club), Jeff Withey (au Tofas Bursa) ou encore Donatas Motiejunas (à Shandong), Ajinça n’a pas trouvé sa place dans le « small ball » de la NBA.\\n\\n\\nUne sacrée bonne nouvelle pour le basket français\\n\\nA 30 ans seulement, Ajinça est cependant loin d’être fini. Dans le contexte européen, le néo-Villeurbannais devrait pouvoir faire quelques dégâts offensivement. Le jeu plus posé, sur demi terrain, lui permettra de peser davantage. De même, avec moins de matchs, il n’en sera que plus efficace.\\n\\nEt, à vrai dire, ce rôle de revanchard qui a beaucoup à prouver, c’est un rôle taillé sur-mesure. Il faudra un peu de patience aussi à l’image de l’adaptation d’un Derrick Williams sur plusieurs semaines au Bayern. Mais on dire ce qu’on voudra : Alexis Ajinça à l’Asvel, c’est une sacrée bonne nouvelle pour le basket français !\\n\\nAvec l’occasion de se relancer individuellement, tout en participant au retour d’un club tricolore en Euroleague, Ajinça a une opportunité en or devant lui. On espère qu’il pourra la saisir à pleines pognes, à savoir en pleine possessions de ses moyens physiques.\\n\\nSon record en carrière à 28 points\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=M0baeQPfzew\\n\\nAlexis Ajinça en Euroleague, il y a cinq ans\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nRetrouver la forme physique\\n\\nPrivé de compétition depuis avril 2017, Ajinça devrait revenir petit à petit en forme, pour la Leaders Cup selon Tony Parker, en février. Et ensuite à pleine puissance pour les playoffs. Opéré au tendon rotulien du genou gauche en décembre 2017, puis de nouveau en mars 2018, Ajinça n’a plus joué depuis deux saisons pour ainsi dire. Ça commence à faire...\\n\\nUn an et demi plus tard, le pivot de 2m38\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Avec les joueuses de Basket Landes en Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Ce reportage nous emmène avec les joueuses de Basket Landes lors de leur déplacement à Fribourg, en Suisse, pour le compte de l’Eurocup où les attendait une victoire, 85-70.\\n\\nPhoto: Mamignan Toure (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF] David Cozette (consultant RMC Sport): «J’ai commenté plus de 2 000 matches de basket»" }, {"role": "assistant", "content":"De par son parcours et sa compétence, David Cozette est devenu la voix du basket français. Il a popularisé des expressions comme « saucisse » ou « chaud-brûlant » et, toujours bien documenté et avec un allant jamais pris en défaut, il peut s’enflammer dans les grandes occasions et aussi -ce qui est encore plus remarquable- rendre captivant des matches qui intrinsèquement ne le méritent pas. L’entretien longue durée est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?\\n\\nPour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.\\n\\nComment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à Ma Chaîne Sport/SFR/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?\\n\\nQuand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.\\n\\nAvez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?\\n\\nJ’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.\\n\\nPour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?\\n\\nOui car c’est comme ça que tu te construis ta culture et que tu te découvres ta passion. Pour beaucoup il y a un lien de ce genre-là. Je n’ai jamais joué au hockey mais j’ai trouvé ça formidable à l’adolescence et j’ai suivi l’équipe de Rouen et le basket c’est parce que j’y jouais gamin. Ensuite, quand tu es jeune journaliste, tu dépannes à droite, à gauche, et j’ai fait un nombre de sports incalculable mais très ponctuellement. J’ai commenté tout le volley-ball aux Jeux Olympiques d’Athènes pour le groupe Canal car Bruno Poulain, qui était le numéro 1, commentait le basket avec George Eddy. J’ai aussi commenté pas mal de handball à L’Equipe et même du hockey-sur-glace. J’avais aussi fait le championnat d’Europe de hand en 98 en Autriche pour le groupe Canal. Basket, hand, volley, c’est de la même famille mais à l’époque d’Eurosport on était tous jeunes et on faisait plein de choses et c’était hyper formateur. J’ai fait de l’équitation, du hockey-sur-gazon aux Jeux Olympiques d’Atlanta, du patinage artistique à Bercy, une fois en cabine pour dépanner une course de karting parce que le mec ne s’est jamais présenté. J’ai fait des interviews en bord de court au tennis, à Bercy ou Monaco, quand Canal avait les droits.\\n\\nVotre passage à L’Equipe vous a aussi permis d’écrire ?\\n\\nJ’en garde encore maintenant un souvenir ému et fier quelque part car depuis que je suis arrivé en école de journalisme, je crois qu’il n’y a pas eu une seule journée où je n’ai pas lu L’Equipe. Même quand je partais deux semaines en vacances à l’époque où je ne pouvais pas l’avoir sur tablette, je lisais tout à la suite en rentrant. Je me suis donc retrouvé à écrire alors que ça paraissait improbable parce que ce n’était pas mon média et que j’étais loin de ça quand j’étais à Canal. Quand on me l’a proposé la première fois, j’étais comme un gamin. C’était pour une « chandelle », une sorte de billet d’humeur sur le basket. J’ai dû peser chaque mot pendant plus d’une journée alors que les mecs doivent mettre quarante-cinq minutes à l’écrire. Je voulais que ça soit parfait.\\n\\nCela fait combien d’années que vous commentez du basket. Et combien de matches par an ?\\n\\nSinon l’année de L’Equipe, j’ai dû en commenter au minium 60-70. Ça va très vite puisqu’à un championnat d’Europe, tu en fais une quinzaine plus toute la saison. Et les grosses années, comme l’année dernière, j’en ait fait pas loin de 150 avec championnat et coupes d’Europe. J’ai commencé à faire le championnat de France en 1994 et au départ j’étais le backup de Bruno (Poulain) et George (Eddy). Il faut compter une grosse vingtaine d’années et une moyenne d’un peu plus de 100 par an. Donc ça fait plus de 2 000 matches.\\n\\nVous êtes un peu comme dans une représentation de théâtre. Est-ce une sorte de routine ou avez-vous toujours le trac ou le stress ?\\n\\nDu stress, j’en ai jamais eu. Du trac, oui, mais honnêtement avant un match j’en n’ai plus du tout. Ce qui n’est peut-être pas une bonne chose ! Ça s’enchaîne tellement et c’est au bout d’un moment le même cadre. Avant une émission en plateau, un peu. La dernière fois que j’ai eu le trac ça devait être pour des gros rendez-vous, sur Canal quand je commentais l’équipe de France et qu’on savait que l’on touchait un autre public. J’avais moins l’impression d’être entre amis et il fallait que je fasse attention à ce que je disais pour rendre mon propos compréhensible à tout le monde.\\n\\nVos commentaires sont intimistes, complices avec le téléspectateur alors qu’à France Télévisions, ils disaient s’adresser à un grand public et qu’ils ne pouvaient pas se permettre ça ?\\n\\nQuand on change d’audience, ça peut changer la façon de commenter, tout à fait.\\n\\n« L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin »\\n\\nCette année, RMC Sport diffuse un nombre considérable de matches avec de nouveaux canaux qui sont apparus pour l’Euroleague ?\\n\\nCeux-là ne sont pas commentés mais il y a au minimum un match le jeudi et un autre le vendredi et parfois deux par jour. Et les autres sont effectivement sur des canaux live avec juste le signal mais pas de commentaires. L’année dernière, on a fait 294 matches et on aurait pu en faire 300 si des séries en quarts de la Jeep Elite et la finale de Ligue féminine avaient été plus loin. Et surtout ce n’est pas sur 365 jours car il ne faut pas compter juillet-août. C’est donc une moyenne d’un match par jour et je crois que le max que l’on ait fait c’est trois, plusieurs fois. Par exemple, on a fait des samedis en playoffs avec deux matches féminins et un match de garçons. On a fait des semaines avec une quinzaine de matches produits, ce qui est énorme. Ça coûte quand même cher.\\n\\nC’est un record de tous les temps ?\\n\\nJe n’ai pas souvenir de ça et j’ai été fidèle au suivi du basket à la télé. Il y a une époque avec Sport+ quand on avait encore l’Euroleague en plus du championnat où on en faisait pas mal mais jamais autant. Déjà parce qu’il y a chaque semaine trois matches de championnat de France alors qu’avant ça ne se faisait jamais, c’était deux maximum. Ça change tout. Ça fait un tiers de matière en plus à produire. Et surtout parce qu’on a l’Euroleague et en plus l’Eurocup avec trois clubs français. A l’époque de Canal, on a eu championnat + Euroleague mais jamais championnat + deux coupes d’Europe où l’on diffuse à chaque fois les trois clubs français. Non, jamais, et en plus la différence est très importante.\\n\\nAvez-vous des retours de téléspectateurs sur votre programmation ? Les gens ont-ils conscience de cette profusion ?\\n\\nTu vois passer parfois des commentaires sur les réseaux sociaux. Des gens qui disent « encore un match, je ne sais plus où donner de la tête ! » J’imagine qu’à part quelques psychopathes, tu es obligé de faire des choix sinon tu n’as plus de vie sociale. Ou alors tu as du temps en journée pour les enregistrer et les regarder le lendemain. Les gens sont bien sûr contents d’avoir un choix.\\n\\nAvez-vous des retours qualitatifs sur l’émission Buzzer, sur ce que vous faites, ce que vous dites, sur vos scoops ?\\n\\nL’année dernière, on avait plutôt des bons retours. On essaye à chaque fois de choisir des angles particuliers plus que de montrer des résumés de match car au basket on ne peut pas montrer les deux buts d’un match de foot. On préfère mettre en valeur des gens, raconter des histoires humaines sur des joueurs. On a mis des images d’Euroleague. Nicolas Baillou a tourné l’année dernière aux quatre coins de l’Europe et j’étais très content de montrer chaque semaine soit un sujet sur un joueur français en Euroleague ou de montrer de grandes histoires comme la rivalité entre le Pana et l’Olympiakos. On était même sur place pour commenter ce match. On a montré la rivalité du clasico, Pau-Limoges. Je pense que les gens ont apprécié.\\n\\nQui se charge d’assurer la programmation ? Ça doit être un casse-tête sachant que les principaux clubs français sont dans deux coupes d’Europe différentes ?\\n\\nSans trahir de secrets industriels, oui, la programmation, c’est compliqué. Avec la ligue et les clubs, on essaye de trouver les meilleures solutions pour ne pas trop léser les clubs mais aussi pour nous pour avoir une programmation qui soit intéressante pour le grand public. Le grand public veut des noms de clubs prestigieux, des marques comme ça serait pour le Real Madrid et Barcelone, des clubs qui marchent bien sur le moment, les derbies, tout ça. Quand on voit que 40% des clubs jouent en coupes d’Europe, mardi et mercredi, c’est vrai que c’est compliqué pour leur laisser suffisamment de repos entre deux matches. Ce n’est pas toujours simple pour le match du lundi.\\n\\nQui a le final cut ?\\n\\nDans l’absolu, c’est la ligue. Si tout d’un coup on était devenu fou et que l’on décidait de mettre un Monaco-Strasbourg un lundi soir et que tous les deux jouent le mardi en coupes d’Europe, ça nous serait refusé. Il y a des règles, il faut 48h entre deux matches, etc. Parfois il faut argumenter pour avoir le meilleur compromis, des affiches qui soient sexys pour le téléspectateur et le fait que l’on ne peut pas faire jouer une équipe à 24h d’intervalle.\\n\\n« Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches »\\n\\nCombien de journalistes et de consultants êtes-vous à vous partager le travail ?\\n\\nSans prendre en compte ceux qui nous dépannent ponctuellement, il y a trois consultants : Stephen Brun, Fred Weis et Raphaël Desroses. En journalistes staffés qui sont commentateurs, il y a moi, Alex Biggerstaff et Nicolas Baillou. Il y a des journalistes de desk qui font les sujets, etc, des chefs d’édition qui préparent les émissions. Il y a des journalistes qui nous dépannent ponctuellement comme Fred Mazéas quand Nicolas Baillou est parti tourner un bout de temps à l’étranger et que Alex Biggerstaff et moi ont enchaînent. Romain Grimaud peut le faire aussi en cabine sur des matches d’Euroleague ou d’Eurocup.\\n\\nVis-à-vis des années quatre-vingt-dix, existe-t-il une grande évolution en matière de production, de travail journalistique ?\\n\\nLe grand changement c’est pour préparer des matches. Tout est beaucoup plus facile avec Internet même quand tu ne vas pas sur place. Avec le recul, je n’arrive même pas à me souvenir, à concevoir comment on arrivait tous à préparer nos matches. A l’époque d’Eurosport, on faisait des matches en cabine et on ne tapait pas 3615 Euroleague sur son Minitel. Internet a été un énorme changement. Le traitement du sport à la télé en production a vraiment changé ces dernières années. Il y a eu l’âge d’or du sport à la télé et depuis, du fait que les droits coûtent très chers, tous les diffuseurs font très attention aux moyens de production. Sans doute que pour un match de foot de l’équipe de France, tu auras tous les moyens ultimes mais en fonction de ce que ça génère en audience, chacun va faire attention aux moyens de prod qu’il met. En plus, avec la nouvelle technologie, il y a beaucoup de nouveaux moyens de produire de façon différente. Quand tu produits un match, que ça te coûte une fortune et qu’il faut en faire plus de 100 dans la saison, tu es obligé de faire attention. Ça ne s’applique pas qu’au basket mais à tous les autres sports et à toutes les chaînes.\\n\\nPour la production, il y a moins de personnel qu’il y a vingt ans ?\\n\\nOui car on arrive à produire différemment. Je vais schématiser, c’est un peu comme quand j’avais vingt ans et que je partais en reportage pour France 3 Haute-Normandie. Il y avait le caméraman, le preneur de son, l’éclairagiste, moi, et parfois même celui qui conduisait la voiture ! Là, Nicolas Baillou est parti en Turquie, il a fait une interview de (Zeljko) Obradovic et fait plein de sujets toute la semaine à Istanbul, il est tout seul. Sans rentrer dans les détails, dans la façon aussi de capter le match et de le retransmettre, il y a une évolution.\\n\\nA suivre.\\n\\n[armelse]\\n\\nSur combien de chaînes avez-vous commenté du basket ?\\n\\nPour faire de manière sommaire, et sachant que certaines chaînes changent de nom, depuis 1992 ça fait : Eurosport, Pathé Sport, le groupe Canal+ donc Canal ponctuellement avec des matches de championnat d’Europe, Sport+ et Canal+ Sport, L’Equipe et SFR devenu RMC. Quand je suis arrivé à Pathé à l’été 99, ça s’appelait encore AB Sport les derniers mois.\\n\\nComment vous êtes-vous retrouvé de Canal+ à L’Equipe puis à SFR/Ma Chaîne Sport/RMC ? C’est vous qui avez suivi le basket ou le basket qui vous a suivi ?\\n\\nQuand je suis arrivé d’Europort à Pathé qui avait récupéré les droits, c’est eux qui m’ont appelé pour que je continue à commenter le basket chez eux. Ensuite Pathé a été croqué par le groupe Canal+ et c’est comme ça que je me suis retrouvé à continuer à faire du basket sur Canal. Ensuite c’est de moi-même que je suis parti du groupe Canal. C’est moi qui voulait aller à L’Equipe et eux qui voulaient m’accueillir. Ce sont Fabrice Jouhaud (NDLR : Directeur de la Rédaction) et Cyrille Linette (Directeur Général) qui m’ont dit qu’ils étaient intéressés. L’Equipe venait de récupérer les douze matches en clair du championnat de France en plus du championnat espagnol. Ils avaient besoin de quelqu’un et ils ont pensé à moi et moi je cherchais du taf. On s’est trouvé facilement. Je suis parti de L’Equipe parce que le groupe SFR récupérait Ma Chaîne Sport, augmentait le nombre de matchs diffusés et ils m’ont sollicité.\\n\\nAvez-vous commenté d’autres sports que le basket durant toutes ces années ?\\n\\nJ’ai très longtemps fait du hockey-sur-glace que j’aimais beaucoup, de 1992 à 1999. J’étais arrivé à Eursport pour le commenter aux Jeux Olympiques d’Albertville. J’ai eu droit à des championnats du monde chaque année et j’ai eu la chance d’en faire une petite dizaine et les Jeux Olympiques de Lillehammer et Nagano sur place. Je connaissais le hockey car j’ai passé toute mon enfance à Rouen où il y avait une grande équipe de hockey-sur-glace et je la suivais pour les médias pour lesquels je bossais, principalement Radio France Normandie.\\n\\nPour bien connaître des sports comme le basket et le hockey, il vaut mieux être né dans une ville où il existe une équipe de première division ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: David Cozette avec Edwin jackson (RMC) et Limoges-Berlin (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Mickey McConnell va rester à Pau jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Très bonne nouvelle pour l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez: le meneur de jeu américain Mickey McConnell (1,83m, 29 ans) et le club ont passé un accord afin qu’il puisse poursuivre son chemin dans le Béarn jusqu’à la fin de la présente saison.\\n\\nSi l’Elan a remporté 9 de ses 11 matches alors qu’il tenait la mène, c’est que Richard Barton « Mickey » McConnell est devenu le boss de l’équipe à laquelle il apporte 12,9 points, 5,9 passes et 3,9 rebonds en moyenne.\\n\\n« Depuis que Mickey a intégré l’équipe, chacun est à sa place, ça défend, ça attaque. C’est « l’alchimiste » du groupe ! les négociations ont été difficiles car jusqu’au cours de ces toutes dernières heures, Mickey et ses représentants ont été approchés par des clubs français mais aussi espagnols. C’est forcément une excellente nouvelle pour notre club et au nom de l’ensemble des dirigeants, je tiens à remercier tous nos partenaires et supporters qui ont su, encore hier soir dans ce magnifique Palais des Sports, nous témoigner de leur soutien et ont contribué eux aussi à cette réussite », a commenté le Directeur Exécutif Didier Gadou.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Récap Euroleague : Barcelone et Vitoria se requinquent" }, {"role": "assistant", "content":"Outre les victoires des mal classés, Darussafaka contre l’Olympiakos et le Maccabi Tel Aviv face à Milan, ce sont les clubs espagnols qui sortent vainqueurs de cette première soirée de la 15e journée d’Euroleague. Barcelone et Vitoria se sont effectivement imposés, respectivement face à l’Efes Istanbul et le Khimki Moscou.\\n\\nCe soir, on a droit à un duel de poids-lourds entre le Fener et le Real Madrid, une reprise de la dernière finale de l’an passé pour finir l’année comme il se doit.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Barça renverse l’Efes\\n\\nKevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.\\n\\nL’Efes a été complètement étouffé en 2e mi-temps avec 7 points en 3e quart, et à peine mieux en 4e avec 8 points ! Rodrigue Beaubois (8 points) et Adrien Moerman (7 points) n’ont rien pu faire dans l’échec stambouliote, avec un 0/13 à trois points qui fait très mal en 2e mi-temps...\\n\\n\\nVitoria enchaîne\\n\\nA part pour la pause technique de 20 minutes pour remplacer le plexi brisé par Tornike Shengelia en 3e quart, tout s’est passé comme sur des roulettes pour Vitoria en déplacement à Moscou (85-77). Darrun Hillard a été le détonateur en dernier quart, scorant 12 des ses 14 points dans les 8 dernières minutes du match.\\n\\nAuteur d’un contre de folie sur Garlon Green qui partait au dunk, Vincent Poirier finit sa soirée à 6 points, 4 rebonds et 2 contres. Ça fait surtout 5 victoires sur les 7 dernières journées pour Vitoria qui s’est bien redressé après un début de saison coton. Luca Vildoza (10 points, 7 passes) a fait le show avec des passes à la pelle (tout comme Marcelinho à 10) et un shoot de très loin à trois points au buzzer !\\n\\n\\nDavid Blatt piégé contre son ancien club\\n\\nLe Darussafaka a profité de la venue de son ancien coach, David Blatt, pour mettre fin à une série de 12 revers de rang. Le Dacka n’avait plus gagné depuis le 16 octobre dernier et sa seule victoire contre Podgorica. L’Olympiakos s’est fait surprendre dès le 1er quart (24-12) et a été incapable de surmonter son débours initial (79-75).\\n\\nToney Douglas (19 points, 9 passes et 5 interceptions) a été le grand artisan de cette victoire, bien aidé par Zanis Peiners qui termine à 16 points et 9 rebonds. Chez les Reds, Janis Strelnieks (15 points) a terminé meilleur scoreur, seul joueur adroit à trois points pour l’Oly qui finit à 8/27 de loin...\\n\\n\\nL’heure de gloire de Johnny O’Bryant\\n\\nAnonyme en NBA après quatre saisons entre Milwaukee, Denver et Charlotte, Johnny O’Bryant a débarqué en Europe cet été. Face à Milan, il a lâché le meilleur match de sa vie à 32 points, plus 5 rebonds, 3 passes et 3 interceptions en 31 minutes, à 10/15 aux tirs, pour 44 d’évaluation dans une victoire sur le fil (94-92). Le dernier à avoir fait 44 d’éval’ pour le Maccabi ? Un certain Nikola Vujcic en 2006/07...\\n\\nMilan continue de perdre des matchs, malgré le retour la semaine passée de Nemanja Nedovic (17 points) et les efforts de Mike James (16 points, 8 passes) et Vladimir Micov (16 points, 8 rebonds, 6 passes). Alex Tyus (16 points, 7 rebonds, 3 contres) a rentré les lancers de la gagne sans trembler, et le Maccabi peut encore espérer aux playoffs...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 13 points (6/7 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 5 balles perdues en 22 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 balles perdues en 14 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds en 16 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLe duo français de Barcelone a été dominant face à l’autre duo français de l’Efes Istanbul. Sur cette action, Thomas Heurtel déborde la défense turque et sert parfaitement Kevin Séraphin qui détonne par-dessus Rodrigue Beaubois !\\n\\n\\n\\n\\n.@MT28APRIL turns the corner and feeds @french_savage who IGNITES the 'Dunk of the Night' 💥 pic.twitter.com/jwya234A7B\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 28, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 15e journée\\n\\nMercredi 27 décembre :\\nKhimki Moscou – Vitoria (77-85)\\nDarussafaka – Olympiakos (79-75)\\nMaccabi Tel Aviv – Milan (94-92)\\nBarcelone – Efes Istanbul (80-65)\\n\\nJeudi 28 décembre :\\nFenerbahçe – Real Madrid (18h30)\\nPanathinaikos – CSKA Moscou (20h)\\nBayern Munich – Podgorica (20h30)\\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 16e journée\\n\\nJeudi 3 janvier :\\nEfes Istanbul – Bayern Munich (18h30)\\nMilan – Podgorica (20h45)\\nReal Madrid – Maccabi Tel Aviv (20h45)\\nGran Canaria – Khimki Moscou (21h30)\\n\\nVendredi 4 janvier :\\nFenerbahçe – Vitoria (18h45)\\nZalgiris Kaunas – CSKA Moscou (19h)\\nOlympiakos – Panathinaikos (20h)\\nBarcelone – Darussafaka (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Barça renverse l’Efes\\n\\nKevin Séraphin a annoncé la couleur sur sa page Twitter après le match : « On n’abandonne jamais ». Et de fait, de -17 en 1ère mi-temps, le Barça a réussi à inverser la tendance pour emporter le match de 15 points (80-65). Séraphin termine à 13 points et 8 rebonds, juste derrière Pierre Oriola à 14 points tandis que Thomas Heurtel apporte 8 points et 3 passes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : le gros dunk de Kevin Séraphin sur Rodrigue Beaubois" }, {"role": "assistant", "content":"Petit à petit, Kevin Séraphin (2,06m, 29 ans) retrouve des sensations avec le FC Barcelone et il a montré jeudi soir dans la victoire face à l’Anadolu Efes (80-65) que son corps est en bonne santé.\\n\\nEn 22 minutes, l’ancien joueur de Cholet a compilé 13 points et 8 rebonds pour une évaluation de 15. En plus de ce bon match au niveau statistiques, l’international français est monté au dunk sur un de ses compatriotes, lui aussi formé à Cholet Basket, Rodrigue Beaubois.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : ASVEL Time avec David Lighty" }, {"role": "assistant", "content":"Il fait partie des Américains les plus fidèles du championnat de France avec six saisons au compteur. David Lighty (1,98m, 30 ans) a passé deux ans à Nanterre entre 2012 et 2014 puis deux autres à l’ASVEL entre 2014 et 2016 avant de revenir à Villeurbanne lors de l’été 2017.\\n\\nTrès apprécié du public français, le double champion de France (2013 et 2016) est l’invité de l’émission mensuelle du club villeurbannais, ASVEL Time. Dans cette émission, le natif de Cleveland évoque la forme actuelle de son équipe, les objectifs. Il s’exprime également sur son coach, Zvezdan Mitrovic, son pivot Miro Bilan et son meneur Mantas Kalnietis.\\n\\nSujet inévitable du côté de l’ASVEL: l’ancien joueur de Trento a donné son avis sur l’arrivée de la formation villeurbannaise en Euroleague dès la saison prochaine. 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Il se retrouva sous le maillot des Harlem Globe Trotters à jouer à Paris, mais aussi anonymement dans la France profonde. Voici en quatre volets cette incroyable histoire.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn préparant les stands, les tentes et les tables de la 3e fête de l’âne et vide-greniers, programmée le premier dimanche de juillet, ces ouvriers sont loin d’imaginer que le meilleur basketteur du monde, un véritable extra-terrestre, a foulé la même herbe cinquante-quatre ans auparavant.\\n\\nCourgeoût, que l’on écrivait alors Courgeoust, est niché dans le Perche, à une grosse cinquantaine de kilomètres d’Alençon, le chef-lieu de l’Orne. La population a peu variée. Le village comptait 479 habitants en 1960. Une église, des fermes, un cimetière. La France profonde dans toute sa splendeur.\\n\\nLes Harlem Globe Trotters avaient donc passé trois jours à Paris où Wilt Chamberlain, en provenance de Los Angeles, les avait rejoints. Ils avaient ensuite voyagé jusqu’à Cherbourg, l’une des huit villes françaises visitées cette année-là. Trois cents kilomètres de route. Leur venue dans le Cotentin avait été organisée conjointement par l’ASA Marine, le Comité de la Foire Exposition, et l’AS Cherbourg. Le 4 juin, les Globies firent le show à la Gare Maritime, un bâtiment de style Art déco, par lequel transitaient les voyageurs embarquant ou débarquant sur les paquebots des lignes transatlantiques. Cherbourg, oui, mais pourquoi Courgeoust ?\\n\\nEntre Paris et Milan\\n\\n« J’y étais ! », lance fièrement Jean Goujon. Cet octogénaire avait trente ans à l’époque. Il était trésorier du comité de basket de l’Orne et en fut ensuite le président pendant vingt ans. Il gratte dans sa mémoire : « j’ai vu une deuxième fois les Harlem, au Mans. » Place des Jacobins, en plein air. Jean Goujon se souvient que le comité départemental de basket n’était pas intervenu dans la venue de la troupe américaine et instantanément, il loue le dynamisme du comité des fêtes de Courgeoust. « C’était pour eux une tradition d’avoir des événements de grande importance. »\\n\\nLa consultation de quelques documents aux Archives Départementales de l’Orne à Alençon corrobore ses souvenirs. Ce sont MM. Vallée et Martin, respectivement maire et président du Syndicat d’initiative, qui étaient à l’origine des manifestations festives. Courgeoust avait pris l’habitude d’organiser des courses de stock-car, une des spécialités de la région. C’est ainsi que le Syndicat d’Initiative avait noué des liens privilégiés avec Andy Dixon, qui avait amené en France ce type de compétition automobile des Etats-Unis au début des années cinquante. Pas besoin de circuit en bitume, les courses de stock cars se contentent d’un pré, et de bottes de foin et de bidons pour délimiter la piste. Andy Dixon, qui fut à son inauguration, en 1984, le directeur du Palais des Sports de Paris-Bercy, était aussi connu pour mettre sur pied des combats de boxe, et servait d’intermédiaire en France à Abe Saperstein, le proprio des Harlem Globe Trotters. CQFD.\\n\\nPour le dimanche de Pentecôte, le Syndicat d’initiative de Courgeoust s’offrit ainsi les Harlem Globe Trotters pour deux millions d’anciens francs. Soit à peu près 4 000€ d’aujourd’hui. Pas une vilaine affaire, et un véritable exploit car la troupe américaine n’avait pas l’habitude de se produire dans des patelins. Wilt Chamberlain n’avait-il pas joué deux ans plutôt devant le secrétaire-général du Parti Communiste, Nikita Khrouchtchev, au stade Lénine de Moscou ? Les Courgeoustiens avaient pleinement conscience de cette fleur. « Saperstein se pencha sur la carte détaillée de la France, cherchant vainement Courgeoust qui l’avait sollicité pour sa grande attraction mondiale », rapportèrent les organisateurs dans l’édition locale de Ouest France. « Il ne trouva rien, bien sûr, et il fallut lui expliquer longuement ce qu’est Courgeoust, ses réalisations passées, ses succès passés, pour qu’il accepte d’inscrire le nom de la petite localité du Perche, entre Paris, Bruxelles, Genève et Milan, sur son calendrier 1960. »\\n\\nL’événement fut suffisamment étonnant pour que Sport et Vie dépêche sur place Pierre Tessier, le journaliste de la rubrique basket de L’Equipe, et deux photographes. Le cliché panoramique que publia ce mensuel dans son édition de juillet 1960 est l’un des plus incroyables, décalées, magnifiques jamais pris en France autour d’un terrain de basket-ball. Le meilleur joueur de NBA dans un pré de la campagne française ! Bien plus étonnant encore que le dunk devant la Tour Eiffel.\\n\\nUn député, un sénateur, une miss\\n\\nEmile Levêque, 93 ans, était alors le propriétaire du champ, en plein centre du village, près de la ferme que l’on aperçoit en arrière-plan avec le clocher de l’église. La colline verdoyante formait des gradins naturels. Les spectateurs restaient debout ou posaient leurs fesses par terre, sans chichi. Les organisateurs ont disposé des fauteuils et des chaises, pas tous occupés, et quelques bottes de foin. Ce que l’on ne voit pas, c’est à l’opposé une tribune officielle en bois d’une huitaine de rangs.\\n\\nLes panneaux de basket –en plexiglass, s’il vous plait- ont été amenés dans un camion par les Harlem Globe Trotters. Pas question, évidemment, de jouer au basket sur de l’herbe, aussi on a eu recours à un parquet. « A cette époque il existait des loueurs de parquet, à la dimension que l’on voulait », renseigne Jean Goujon. « Ca tenait très bien, il suffisait d’avoir une surface plane. J’ai usé des tas de godasses sur les parquets de l’époque en dansant et ils ne bougeaient pas. C’était monté par des spécialistes pour la danse ou pour des matches de basket. »\\n\\nAutour du maire a pris place une belle brochette de notables : un député, un sénateur, le secrétaire-général de la sous-préfecture de Mortagne, un chef d’escadron, un commandant de gendarmerie, ainsi que Mlle Besnier, reine de Courgeoust et ses deux demoiselles d’honneur. « Elles se hissèrent sur la pointe des pieds pour embrasser les Harlem avant le coup d’envoi », s’amusa Pierre Tessier dans son reportage. Ouest France parle de « plusieurs milliers de personnes », mais les incertitudes atmosphériques ont retenu à la maison nombre de candidats spectateurs. D’ailleurs on constate sur les photos que les rangs sont relativement clairsemés. Tout le monde est en habits du dimanche et on a accroché des guirlandes et des drapeaux. C’est la fête au village et une façon de célébrer l’amitié franco-américaine. Cela fait tout juste seize ans que les Américains ont libéré la Normandie. Une grande bannière étoilée accrochée à une centaine de ballons de baudruche a été lâchée dans le ciel. C’est un véritable show à l’américaine avec une ballerine japonaise sur cycle, des jongleurs, un acrobate et des champions du monde de tennis de table. Le premier entre-deux est donné par Roland Boudet, député de la 2e circonscription, qui est forcément hypnotisé par la taille du géant de Philadelphie.\\n\\nViolentes averses\\n\\nRoland Boudet avait-il lu l’avant-veille un article de présentation dans Ouest France ? On y voit Abe Saperstein, debout sur une chaise, mesurer avec un mètre à ruban Wilt Chamberlain. Ce type avait décidemment un sens extraordinaire de la mise en scène, même si l’Echassier est présenté ainsi davantage comme une bête curieuse que comme un basketteur d’exception. Les informations ont vraisemblablement été fournies directement par Saperstein via Andy Dixon, et revisitées par le chroniqueur local : « Considéré comme le meilleur joueur des Etats-Unis, il est sans doute le plus grand basketteur de tous les temps. Ce splendide athlète mesure 2,16m. »\\n\\nFaut-il préciser qu’à Courgeoust, pas plus qu’ailleurs en France, personne n’avait entendu parler de Wilt Chamberlain et de la National Basketball Association. Et d’après Jean Goujon, l’essentiel du public venu de l’Orne, mais aussi de la Sarthe et de l’Eure-et-Loir était complètement profane. « A part quelques basketteurs, les gens méconnaissaient l’existence même des Harlem et bien entendu de Chamberlain. Il y avait un club à Mortagne et au Mesle-sur-Sarthe, mais la culture basket n’existait pas du tout à Courgeoust. »\\n\\nLa télévision n’avait pas encore pénétré les milieux ruraux. La venue des Harlem Globetrotters représentait une sortie exceptionnelle pour une France laborieuse qui ne connaissait pas encore la société des loisirs. Pour une population monochrome, la venue de Noirs américains constituaient aussi un événement, un choc, et tout autant un émerveillement. Ouest France affirme que le « public a été emballé par ces véritables jongleurs et qu’il n’a pas ménagé ses vigoureux applaudissements à ces géants du ballon au panier. » Dans ce contexte champêtre, Wilt Chamberlain a réalisé quelques dunks qui tiennent du prodige. La photo de Sport et Vie restitue parfaitement ce moment surnaturel. C’est juste UNBELIEVABLE. D’ailleurs, Emile Levêque dit avoir apprécié « la taille des joueurs, l’adresse et leur souplesse. » Il croit se souvenir que les joueurs avaient dû effectuer une séance de dédicaces et précise qu’un repas était servi à chaque fois sous une chaumière pour les compétiteurs. Le journaliste local regrette simplement que de violentes adverses soient venu interrompre ce « programme parfait ».\\n\\nIl n’y avait évidemment pas d’hôtel à Courgeoust et les Trotters sont remontés dans leur car dès la fin de leur exhibition. Leur venue avait provoqué un mini-embouteillage sur ces routes campagnardes étroites. « En terminant ce papier », écrit Ouest France, « félicitons comme il le mérite le service de la gendarmerie qui a réussi à canaliser les nombreuses voitures venues conduire les spectateurs. »\\n\\nDans son autobiographie, « Wilt », Chamberlain dit avoir joué avec les Harlem Globetrotters plusieurs étés avant de rejoindre les Los Angeles Lakers, en 1968, et de s’être consacré pendant les vacances aux plaisirs de la plage dont le volley-ball. Il n’évoque évidemment pas son bref passage à Courgeoust. Pour lui, c’était une journée ordinaire.\\n\\n[armelse]\\n\\nEn préparant les stands, les tentes et les tables de la 3e fête de l’âne et vide-greniers, programmée le premier dimanche de juillet, ces ouvriers sont loin d’imaginer que le meilleur basketteur du monde, un véritable extra-terrestre, a foulé la même herbe cinquante-quatre ans auparavant.\\n\\nCourgeoût, que l’on écrivait alors Courgeoust, est niché dans le Perche, à une grosse cinquantaine de kilomètres d’Alençon, le chef-lieu de l’Orne. La population a peu variée. Le village comptait 479 habitants en 1960. Une église, des fermes, un cimetière. La France profonde dans toute sa splendeur.\\n\\nLes Harlem Globe Trotters avaient donc passé trois jours à Paris où Wilt Chamberlain, en provenance de Los Angeles, les avait rejoints. Ils avaient ensuite voyagé jusqu’à Cherbourg, l’une des huit villes françaises visitées cette année-là. Trois cents kilomètres de route. Leur venue dans le Cotentin avait été organisée conjointement par l’ASA Marine, le Comité de la Foire Exposition, et l’AS Cherbourg. Le 4 juin, les Globies firent le show à la Gare Maritime, un bâtiment de style Art déco, par lequel transitaient les voyageurs embarquant ou débarquant sur les paquebots des lignes transatlantiques. Cherbourg, oui, mais pourquoi Courgeoust ?\\n\\nEntre Paris et Milan\\n\\n« J’y étais ! », lance fièrement Jean Goujon. Cet octogénaire avait trente ans à l’époque.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Laurent Legname (Dijon): «On s’entraîne comme de la merde...»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour une équipe qui joue les premiers rôles en Jeep Elite et qui dispute la Basketball Champions League, la déroute de la JDA Dijon au Portel fait tâche: 90-69 sachant que les Bourguignons étaient menés 33-15 après un quart-temps.\\n\\nLe coach Laurent Legname n’a pas été tendre avec ses ouailles:\\n\\n« Il n’y a rien à dire. On s’entraîne comme de la merde depuis deux bonnes semaines, cela donne trois matches de merde. On ne peut pas se permettre de jouer comme cela, ce n’est pas mon équipe. Il faut profiter de cette trêve. Si certains ont pris le melon, il faut se reconcentrer sur nous-mêmes. Tout le monde sait comment ça se passe ici au Portel. À moi de changer, j’ai sûrement été trop gentil, ils (les joueurs, ndlr) vont retrouver le vrai Legname. »\\n\\nPhoto: JDA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Nobel Boungou Colo sur les tablettes du Paris Basketball" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le Paris Basketball a obtenu sa troisième victoire de la saison face à Evreux (80-54) et n’est lus relégable à ce jour, Le Parisien révèle que Nobel Boungou Colo (2,02m, 30 ans) s’entraîne actuellement avec l’équipe et pourrait être enrôlé par le club jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nDepuis son départ de Limoges avec qui il a été champion de France, Nobel Boungou Colo a porté les maillots du Khimki Moscou (9,8 points, 3,8 rebonds), de Séville (13,0 points, 4,0 rebonds) et de Turin (6,3 points et 3,0 rebonds).\\n\\n«Paris ne tombera pas. Je vous le promets, » a assuré le président David Kahn." }, {"role": "user", "content":"François Peronnet (Limoges): «On ne mérite pas de gagner»" }, {"role": "assistant", "content":"Victoire 89-84 pour Limoges dans le derby face à Boulazac avec un double double pour l’intérieur Jerry Boutsiele (11 points et 11 rebonds) mais le moins que l’on puisse dire, c’est que le coach du CSP, François Peronnet, n’était pas extatique au moment de faire des commentaires à France Bleu Limousin:\\n\\n« Il y a deux équipes qui ont fait preuve d’un bel engagement et d’une belle intensité. Il y a eu du déchet dans le jeu mais sur 40 minutes, il y a eu du combat. Il n’y a pas eu énormément de course mais par contre sur le jeu demi-terrain, il y a eu de vrais efforts, des contacts durs. Sur le plan du match, on est extrêmement chanceux de gagner ce soir. On ne mérite pas. La pièce est tombée du bon côté. Mais ce n’est pas bon. »\\n\\nA Boulazac, c’est Kenny Chery qui a été le plus efficace avec 20 points, 8 passes et 6 rebonds. Et preuve que le match s’est joué à rien dut tout, c’est le BBD qui présente la meilleure évaluation finale: 101-99 ! Un chiffre qui vient étayer les propos du coach du CSP.\\n\\nPhoto: CSP\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleulimousinofficiel/videos/600068233774293/" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 14/20 à trois-points pour la triplette du Mans, Michael Thompson, Jonathan Tabu, Terry Tarpey" }, {"role": "assistant", "content":"Ils étaient tous les trois en souffrance à trois-points depuis le début de la saison. Terry Tarpey (3/4), Jonathan Tabu (5/9) et Michael Thompson (6/7) ont trouvé la cible provençal hier soir à Antarès et dans un match très offensif Le Mans a balayé Fos, 108-84. Le début de bagarre entre Cameron Clark et Malik Hairston, qui a entraîné une faute disqualifiante pour chacun, fut en définitive une simple péripétie.\\n\\nCe furent les premiers paniers primés de Terry Tarpey qui, après six mois d’immobilisation dus à des blessures, avait été jusqu’ici douze fois en échec. Après une longue période d’errance, Juice Thompson semble avoir retrouvé définitivement la « patte ». Quant à l’international belge Jonathan Tabu, il a effectué un match extrêmement plein avec 28 points, 11 passes et 35 d’évaluation.\\n\\nLe MSB qui était en chute libre depuis quelque temps (2 victoires sur les 8 derniers matches) s’est donc rattrapé à la branche provençale mais la qualification à la Leaders Cup est encore loin d’être acquise pour le champion de France qui va devoir guerroyer à Bourg avant d’accueillir Dijon. Deux adversaires directs.\\n\\n\\n\\n\\n🖨️ Scan......................✅@Jontabs9...........................🆗\\n\\n\\n└ Allumage des moteurs 🔥 pic.twitter.com/d3RunMA9ME\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) December 28, 2018\\n\\nPhoto: Terry Tarpey (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Felipe Reyes prolonge avec le Real Madrid jusqu’en 2020" }, {"role": "assistant", "content":"L’infatigable Felipe Reyes (2,06m, 38 ans) qui était en fin de contrat en juin prochain vient de prolonger l’aventure madrilène pour une saison de plus.\\n\\nCelui qui aura 39 ans en mars prochain serait tombé d’accord avec la Maison Blanche pour porter le maillot du Real Madrid une seizième saison de suite, selon Encestando. Avec Madrid, le natif de Cordoba a tout gagné : six championnats, deux Euroleague, une Eurocup, six coupes d’Espagne ou encore trois Supercoupe.\\n\\nCette saison, Felipe Reyes compile en moyenne 6,4 points et 3,4 rebonds entre la Liga Endesa et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (Cholet): «Si on ne faisait pas ces conneries dans le money time, on serait à 4 victoires et non à 2 victoires et 2 défaites»" }, {"role": "assistant", "content":"mC’est dans une salle à guichets fermés et après une prolongation que Cholet Basket a repoussé les assauts de l’Elan Chalon (98-94) et les supporters limougeauds n’auraient pas reconnu l’ancien meneur du CSP, London Perrantes, qui a fait feu de tout bois avec un double double: 19 points et 12 passes plus quatre rebonds.\\n\\nPourtant, les Choletais ont senti le vent du boulet comme l’a fait remarquer leur coach Erman Kunter en conférence de presse:\\n\\n« On n’est pas encore très fort mentalement, on a une chance de tuer le match, à +13, on loupe le tir et derrière, on ne défend pas bien. On est encore trop soft en défense sur les 1 contre 1. Les gars, ils ne lâchent pas, ils jouent jusqu’au bout. Au moins on n’a pas perdu notre lucidité, on gagne le match, on gagne un peu en confiance. On n’est pas bon dans le money-time, si on ne faisait pas ces conneries dans le money-time on serait à 4 victoires et non à 2 victoires et 2 défaites. Pour moi le joueur qui fait une grosse performance, c’est Abdou (Ndoye). Il a contrôlé Robinson, il a très bien défendu, 5 rebonds, seulement 2 ballons perdus sur 37 minutes, c’est bien. Il faut qu’il continue. Il fait des erreurs, mais il comprend les erreurs qu’il fait et ça, c’est très important. C’est une très bonne chose pour un jeune joueur. Je pense qu’avec tous les joueurs que l’on a dans l’équipe, on ne lâche pas et ça, c’est un très bon signe. On cherche toujours un joueur, si Frank (Hassell) reste, on n’en cherchera pas deux. On n’est pas bon en 1 contre 1, il faut qu’on travaille dessus. Si on doit faire quelque chose, il faut que l’on ajoute un joueur, un joueur extérieur.»\\n\\nQuant à Maxime Pacquaut, l’assistant bourguignon qui officiait à la place de Jean-Denys Choulet suspendu, il a tressé des lauriers à Frank Hassell (18 points et... 17 rebonds) et Pape Sy auteur de 17 points et 6 rebonds:\\n\\n« La différence se fait sur les rebonds offensifs, notamment en fin de match. C’est vrai qu’Hassell est réputé pour ça, il a brillé dans ce domaine. Juan Palacios loupe des lancers, sans ça, on plie le match, mais on ne peut pas lui en vouloir, car il fait un très bon match. On s’est beaucoup reposé sur Ousmane Camara et Juan Palacios et quand Ousmane s’est blessé, ils ont appuyé là-dessus. On n’a pas su appuyer sur leurs défauts et puis Pape Sy, il fait un énorme match. On a perdu contre plus fort que nous ce soir. »\\n\\nPhoto: Frank Hassell (CB)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : deuxième victoire de suite pour le Paris Basketball qui sort de la zone rouge" }, {"role": "assistant", "content":"Victorieux à Blois dimanche dernier, le Paris Basketball vient d’enchaîner un deuxième succès de suite face à Evreux à domicile.\\n\\nC’est avec sérieux et la manière que les joueurs de Jean-Christophe Prat ont surclassé l’ALM Evreux 82-64. Les Parisiens ont pu compter sur des Gary Florimont et Sylvain Francisco scoreurs qui ont tous les deux inscrit 15 points. Le meneur de jeu explosif a ajouté 2 rebonds, 3 interceptions et 4 passes décisives pour terminer avec une évaluation de 18. En face, Steeve Ho You Fat a été le seul à surnager avec 25 points et 6 rebonds pour dix fautes provoquées et une évaluation de 25.\\n\\nGrâce à cette victoire, le club de David Kahn, qui serait sur le point de proposer un contrat à Nobel Boungou-Colo, sort de la zone rouge et monte à la seizième place (3v-8d) avec un match de retard sur les deux derniers, Chartres et Caen.\\n\\nProchain rendez-vous pour les deux équipes le 11 janvier 2019. Paris sera en déplacement à Aix-Maurienne tandis que Evreux accueillera Saint-Chamond.\\n\\nPhoto : Paris Basketball" }, {"role": "user", "content":"Une association ASVEL/Olympique Lyonnais pour la construction de l’Arena ?" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL de Tony Parker et l’Olympique Lyonnais de Jean-Michel Aulas vont-ils s’associer pour édifier la fameuse Arena qui doit voir le jour dans la métropole lyonnaise? C’est possible révèle Le Progrès.\\n\\nD’un côté l’ASVEL a l’intention de construire une Arena à Villeurbanne sur le site George Lyvet (jusqu’à 12 000 places et d’un coût de 60M€) avec des travaux débutants en 2019. De l’autre l’OL a annoncé vouloir posséder une salle fermée (jusqu’à 15 000 places et d’un coût de 60 à 80 M€) pour diversifier son offre du Groupama Stadium.\\n\\n« Le projet de salle de Jean-Michel Aulas ? C’est très, très bien ! » assure Tony Parker dans la quotidien lyonnais » Cela fait longtemps que nous en parlons ensemble. Il y a des synergies à trouver et il n’y a aucune guerre entre nous ! Je serais ravi de travailler avec Jean-Michel et pourquoi pas trouver un deal « gagnant-gagnant ». J’ai toujours dit que l’union fait la force. »" }, {"role": "user", "content":"[REDIFF]Interview Killian Hayes (Cholet) : «Je souhaiterais être drafté haut en 2020. Ensuite, je ne veux pas être un role player...»" }, {"role": "assistant", "content":"MVP de l’Euro U16 en 2017, dans le cinq all-star cet été au championnat du monde U17, Killian Hayes (1,96m, 17 ans) est un espoir mondial du basket. Le Choletais est attendu cette saison comme une révélation de la Jeep Elite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé votre été ?\\n\\nC’était un bon été. J’étais avec l’Equipe de France U17 et on a réussi à atteindre tous les objectifs du coach. C’est-à-dire dépasser les quarts de finale du mondial et ramener une médaille. Mais battre les Américains c’était un peu plus dur... (sourire) (NDLR: défaite 52-95).\\n\\nEt le NBA Global Camp de Trévise ?\\n\\nC’est la deuxième fois que j’y participais. Cette année j’ai pu y aller avec mes gars Théo Maledon et Malcolm Cazalon. C’est intéressant, mais ces événements la sont toujours spéciaux parce que les joueurs ne font pas vraiment ce qu’ils font habituellement sur un terrain. Tout le monde veut se faire voir donc des pivots vont prendre des tirs à trois points, par exemple. Mais c’était une bonne expérience et pour notre part on a réussi à se montrer.\\n\\nC’était votre priorité de signer professionnel avec Cholet ?\\n\\nAvant de partir en Equipe de France, j’ai observé avec attention toutes les propositions et j’ai eu une réunion avec le General Manager du club et le coach Regis Boissié. Il m’a expliqué le style de joueurs qu’il voulait, le style de jeu qu’il voulait développer qui est similaire à celui des Espoirs. J’étais déjà à l’aise dans ce style de jeu et ça m’a aidé à prendre ma décision.\\n\\nQuelles autres propositions aviez-vous ?\\n\\nLes plus intéressantes, celles qu’on a étudié avec beaucoup d’attention c’est Ludwisbourg, en Allemagne, et Vienne avec le coach Mike Brown.\\n\\nVotre père DeRon est toujours aussi présent auprès de vous ?\\n\\nOui il est toujours là. Maintenant, il n’est plus dans le club mais il est toujours là. Il regarde mes entraînements et j’ai toujours mes entraînements individuels avec lui.\\n\\nQue vous apporte-t-il dans votre formation ?\\n\\nIl me permet de garder les pieds sur terre. On parle toujours de tout et n’importe quoi. Sur le terrain il va m’aider à acquérir des gestes techniques. On travaille beaucoup sur la répétition pour que je sois confiant dans ce que je fais.\\n\\nQuel est votre rapport avec les Etats-Unis ?\\n\\nToute ma famille du côté de mon père est américaine. J’y vais tous les étés ce qui me permet de les voir régulièrement. Il y avait un autre basketteur dans la famille. Mon oncle jouait au basket mais il s’est blessé au genou avant d’aller à la fac et il n’a pas pu continuer. Sinon, j’ai la double nationalité et je suis parfaitement bilingue.\\n\\nAvez-vous déjà été tenté par la High School ou la NCAA ?\\n\\nOui quand j’étais en minime. J’étais intéressé par une High School aux Etats-Unis, mais mon père a dit que c’était mieux pour moi de rester en Europe. Mon jeu me permettait plus de me démarquer en Europe alors qu’aux Etats-Unis des joueurs comme moi il n’y a que ça.\\n\\nPour revenir à Cholet, comment s’est passé votre première saison en Jeep Elite ?\\n\\nJ’aurais aimé jouer plus parce que je me sentais prêt. Même si je loupais l’entraînement du matin à cause des cours, je montrais des trucs très intéressants aux entraînements donc j’aurais aimé passer plus de temps sur le terrain. Je crois d’ailleurs que sur la fin de saison j’ai vraiment montré que j’aurais dû jouer tout au long de l’année. Mais ce n’est pas grave.\\n\\nCette saison votre rôle devrait être différent ?\\n\\nComplètement. Je vais plus jouer et c’est aussi pour ça que j’ai choisi de rester. En même temps, c’est comme partout, si on s’entraîne bien on joue.\\n\\nAvez-vous senti la différence entre jouer avec les espoirs et les adultes ?\\n\\nJ’ai senti que le jeu était plus mature. Il a très vite fallu que je sois mature parce que je faisais beaucoup de pertes de balle avec les espoirs en début de saison. Au fur et à mesure de la saison ce chiffre a baissé et je crois que c’est grâce aux entraînements des pros. J’ai appris à garder mon calme sur le terrain, ralentir le jeu.\\n\\nDes joueurs vous ont-ils pris sous leur aile l’année dernière ?\\n\\nDavid Michineau. J’étais tout le temps avec lui et Abdoulaye Ndoye, on parlait beaucoup.\\n\\nAvez-vous eu l’impression de progresser dans le championnat Espoirs ?\\n\\nNotre équipe a dominé toute l’année donc j’ai surtout progressé grâce au temps passé avec les pros à l’entraînement. L’entraînement des pros m’a aidé à me faciliter les choses en Espoirs. Presque toute l’équipe s’entraînait avec les pros donc quand on jouait le week-end c’était plus simple.\\n\\n« Mon point fort c’est tout ce qui est jeu de transition, un contre un. Je suis très à l’aise là-dedans »\\n\\nSelon vous, quel est votre vrai poste de jeu ?\\n\\nJe suis un combo, 1-2. J’aime bien avoir la balle dans les mains, mais je sais aussi courir sans la balle et faire ce que fait un poste 2. Cette année je vais être utilisé en poste 1 et quand il y aura Tywain McKee je jouerai en 2. Lui aussi n’aime pas toujours monter la balle donc on pourra alterner selon les possessions.\\n\\nQuels joueurs sont des exemples pour vous ?\\n\\nDans le style de jeu, je dirais Manu Ginobili dans sa créativité et ses appuis. J’aime aussi James Harden. Tout le monde sait qu’il score mais j’aime sa lecture de jeu, tout ce qui est sorti d’écran, pick and roll. Il est très bon dans ça.\\n\\nVous regardez beaucoup de basket NBA et Euroleague ?\\n\\nJe regarde surtout les highlights. Il faudrait vraiment que je commence à regarder les matchs en entier pour pouvoir étudier le jeu.\\n\\nQuels sont vos points forts et les axes que vous devez travailler ?\\n\\nMon point fort c’est tout ce qui est jeu de transition, un contre un. Je suis très à l’aise là-dedans. J’ai aussi développer un tir après dribble et j’aime beaucoup faire ça. Par contre je dois vraiment travailler sur le catch and shoot. Ça rentre, mais je ne suis pas très à l’aise avec ça.\\n\\nQuel serait votre plan de carrière idéal ?\\n\\nJe souhaiterais être drafté haut en 2020. Ensuite, je ne veux pas être un role player, je veux direct faire mes marques pour m’imposer. Je voudrais être All Star. Il y aussi 2024 (NDLR: les Jeux Olympiques à Paris)... J’ai encore le temps d’y réfléchir. C’est loin, mais il va falloir y penser vite.\\n\\nVous lisez et regardez tous les reportages qui vous concernent ?\\n\\nOn me montre tout ça. Mais je regarde surtout les scouting reports pour voir ce que j’ai à améliorer.\\n\\nQuels sont vos centres d’intérêt en dehors du basket ?\\n\\nLa musique, le rap particulièrement. Je passe beaucoup de temps sur YouTube. Je viens de m’acheter une PS4 donc maintenant je joue beaucoup à GTA et NBA 2K.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé votre été ?\\n\\nC’était un bon été. J’étais avec l’Equipe de France U17 et on a réussi à atteindre tous les objectifs du coach. 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Leur durée d’indisponibilité est estimée à « quelques semaines ». Double mauvaise nouvelle pour le meneur français qui ne disputera pas le concours de meneurs du All Star Game LNB.\\n\\nContacté, le club nous a indiqué qu’il allait se mettre à la recherche d’un renfort pour pallier ces absences.\\n\\nCette saison, Edgar Sosa et Benjamin Sene compilent respectivement 16,1 points, 2,3 rebonds et 5,3 passes décisives pour une évaluation de 12,8, et 8,3 points, 2 rebonds et 5 passes pour une évaluation de 9,4.\\n\\n\\n\\n\\nEdgar Sosa @Edgarsosa10 (cuisse) et Benjamin Sene @Benji6Sene (pied) sont forfaits pour ce soir face aux @SharksAntibes et vont devoir observer quelques semaines d’arrêt.#TousBCM #BCMSHARKS\\n\\n\\n— BCM Basketball (@BCMBasket) December 27, 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket" }, {"role": "user", "content":"Jeep®ÉLITE : le Palais des Sports de Pau à guichets fermés pour la réception de Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Béarnais accueille Nanterre ce jeudi soir à l’occasion de la quinzième journée de Jeep Elite et le Palais des Sports de Pau sera à la fête.\\n\\nComme l’indique le journaliste Jean Fauret, la salle de Pau-Lacq-Orthez affichera complet. Les 7700 places disponibles pour ce match de Noël ont trouvé preneur. C’est la première fois depuis le 4 février 2017 et la réception de l’Elan Chalon que le Palais des Sports sera à guichets fermés.\\n\\nEntre deux à 20h45, en direct sur RMC Sport 2.\\n\\n\\n\\n\\nCe soir pour @EBPLO – @Nanterre92 le Palais des sports de Pau sera plein (7700 spectateurs) pour la première fois depuis le 4 février 2017 et la venue de @ELANCHALON\\n\\n\\n— Jean Fauret (@JeanFauret) December 27, 2018\\n\\nPhoto : Eric Traversié" }, {"role": "user", "content":"Reportage - Equipe de France féminine 3x3 : dans les coulisses du projet olympique" }, {"role": "assistant", "content":"Si le 3x3 avait un âge, il serait en plein dans sa période d’adolescence, où de nombreux changements arrivent avant l’émancipation. En France, la discipline évolue à vitesse grand V. À quelques mois de ses JO, elle compte désormais une équipe professionnelle chez les hommes comme chez les femmes. La Plagne Aura 3x3 (pour Ligue Auvergne Rhône-Alpes) marche dans les pas de Paris 3x3 et ouvre un peu plus la voie à la professionnalisation d’une discipline rythmée qui passionne les foules et, désormais, plus seulement durant les étés.\\n\\nCelui de 2023 s’est soldé par de nombreuses frustrations. L’équipe de France féminine a terminé deuxième en Coupe du monde, deuxième aux Jeux européens, deuxième à la finale des Women’s Series... et s’est arrêtée dès les quarts de finale de la Coupe d’Europe. “Le point noir” d’une campagne estivale qui s’est pourtant soldée avec plus de matches remportés que lors du merveilleux été 2022. Une campagne qui s’est aussi clôturée par l’officialisation de la qualification à Paris 2024, l’objectif capital de l’été. Finalement, ces résultats positifs mais contrastés ont surtout eu le mérite de montrer que se consacrer durant un an à la préparation des Jeux olympiques n'était pas de trop.\\n\\n“Il y a 99 % de chance que les quatre olympiennes soient dans l’équipe professionnelle”\\n\\nDémarrée sous la parure “équipe de France”, l’équipe professionnelle a pris le naming et les nouvelles teintes de bleu de La Plagne Aura. Le nom change, mais l’objectif reste le même : se préparer aux Jeux Olympiques. Et si de nombreux questionnements quant à l’organisation de cette première saison existent, une chose est sûre pour Yann Julien, le sélectionneur de l’équipe de France. Les quatre joueuses qui participeront à Paris 2024 se trouvent dans ce groupe de huit : “Le poids de la spécialisation est tellement important qu'il y a 99 % de chance que les quatre olympiennes soient parmi les huit professionnelles.”\\n\\nUne position qui ne laisse pas la place à la sélection de joueuses professionnelles du 5x5 appelées en équipe de France 3x3 l’été ou pendant les trêves internationales. Durant le dernier stage en date à Landerneau, début novembre, Yann Julien et son staff ont pu profiter d’un groupe très complet. 12 joueuses qui, réparties en quatre équipes à l’occasion d’un tournoi international, se sont toutes hissées sur le podium. Parmi elles, Sixtine Macquet, Maud Stervinou ou encore Marie Pardon ont pu briller sans pour autant marquer des points pour participer au Graal de 2024.\\n\\nDémonstration des Bleues à Landerneau 🇫🇷🤩\\n\\nTriplé Français au Tournoi International Innoveo de Landerneau avec la victoire de l'équipe composée de Marie Pardon, Noémie Brochant, Marie-Michelle Milapie et Maud Stervinou (MVP).\\n\\n➕ d'infos : https://t.co/xZtBlfawsW pic.twitter.com/JZlSgknTev\\n\\n— 3x3 FFBB (@3x3ffbb) November 11, 2023\\n\\n\\n\\nL’échéance olympique : l’échec de ne pas y être ?\\n\\n“Si on avait pu construire un groupe avec 12 joueuses, on l’aurait fait”, avoue Yann Julien. Finalement, il se compose de huit joueuses mais c’est peut-être une bonne chose pour le sélectionneur. Moins de joueuses équivaut à moins de déçues car à la fin, quatre se retrouvent seulement dans la sélection olympique pendant que l’autre moitié sera sa première supportrice.\\n\\nCette fin, Anna Ngo Ndjock y songe même si l’échéance est encore lointaine : “On a toutes nos chances d’avoir notre place aux JO. On s’entend toutes très bien, nous sommes dans une compétition saine”, ajoute l’ancienne joueuse de Landerneau. Qu'elle soit prise ou non dans la liste, accepter cette année de professionnelle de 3x3 a été pour elle automatique : “C’est un projet d’une vie, je n’ai pas eu besoin de vite réfléchir quand on me l’a proposé. Peu importe la finalité de tout cela, ça me rapportera toujours du positif. Je n’ai rien à perdre.”\\n\\nLa MVP du dernier Open de France et championne du monde U23 en 2022 aura 25 ans lors des Jeux Olympiques. Malgré un joli palmarès dans la discipline, elle ne fait peut-être pas autant figure de favorite face à la formation championne du monde en 2022 et vice-championne du monde en 2023. Qu’importe, “c’est le rêve ultime”, dit-elle, alors une potentielle déception était un risque à prendre. D’autant que ce projet prépare également aux autres échéances habituelles de l’été 3x3, étant les Women’s Series et la Coupe d’Europe - lors d’une année olympique, il n’y a pas de Coupe du monde. Devenir professionnelle de la discipline, c’est aussi viser plus loin pour les plus jeunes du groupe : “On peut aussi penser aux JO 2028, donc il va falloir se tourner vite vers l’avenir et s’en remettre en cas de déception.”\\n\\n“L’annonce de la sélection finale m’anime plus que je ne la redoute”\\n\\nDavantage installée chez les séniors bleues, Hortense Limouzin appréhende aussi l’annonce, mais “elle l’anime plus qu’elle ne la redoute”. Elle assure même rester positive si elle était amenée à ne pas participer aux JO : “À huit mois des Jeux, c’est facile de dire cela mais ce serait une déception qui permettrait d’avoir envie de performer et de se dépasser pour l’équipe de France. C’est comme cela que Yann imagine le projet”.\\n\\nJustement, le principal intéressé Yann Julien aura les cartes en mains. Il essaie de ne pas trop y penser mais assure déjà assumer toutes les responsabilités de ce choix cornélien : “Ce n’est pas marrant lorsque l’on a un groupe qui fonctionne bien avec des joueuses qui se donnent à 150%. C’est la réalité du très haut niveau, on sait que l’on ne peut pas emmener tout le monde. Avec le staff, notre responsabilité est de trouver la meilleure équipe possible.” La décision s'appuie ainsi sur “la complémentarité, le profil des joueuses qui vont composer l’équipe et la vision du basket que l’équipe de France souhaite développer.”\\n\\nL’équipe de France d’aujourd’hui et de demain, avec ou sans pivot à son bord ?\\n“Nous avons un vivier de jeunes joueuses intéressantes. Les rassemblements, comme le projet professionnel, servent à construire l’équipe de France d’aujourd’hui, de demain, d’après-demain. On ne va pas construire les Jeux Olympiques de Los Angeles en six mois. Par le passé, nous avons fait le pari de jouer avec deux petites. Nous avons vu cet été que les adversaires se sont adaptées. Sortir du schéma classique était dans l’optique de poser plus de problèmes à l’adversaire en termes de mobilité, notamment en fin de match. Nous avons toujours préféré jouer avec nos forces et payer en retour plutôt que de se passer de nos qualités pour s’adapter aux adversaires. Est-ce que nous allons partir aux JO avec cette configuration ? Ce qui est sûr c’est que nous voulons jouer un basket fait de mouvement. Et c’est aussi possible avec Jodie Cornelie, notre grande de l’équipe professionnelle qui possède une motricité intéressante.”\\n\\n\\nUne année 3x3 : organisation d’une saison inédite\\n\\nChoisir, c’est renoncer. En acceptant ce projet unique de se consacrer au 3x3, les huit joueuses professionnelles sont sorties - un an - du système 5x5. Logique mais pas sans conséquence ni sans une phase nécessaire d’adaptation. Le maître mot dans la discipline.\\n\\nEn s'engageant dans le projet, Hortense Limouzin savait qu’elle ne ferait pas autant de compétitions qu’en 5x5. Et ce n’est pas vraiment un problème pour l’ancienne meneuse de Saint-Amand : “À force d’enchaîner les matches en 5x5, on oublie la valeur que cela a d’évoluer au plus haut niveau français”, note Hortense Limouzin qui enchaînait depuis plusieurs saisons l’été 3x3 et la reprise 5x5 sans longue interruption. Le retour au jeu à Landerneau était néanmoins salutaire : “En plus de reprendre le rythme et voir quels sont nos axes d'amélioration, retrouver les terrains nous a permis de regoûter à cette saveur.”\\n\\nEn Haute-Loire, Laëtitia Guapo et ses coéquipières ont participé à leur deuxième tournoi international, le premier en tant que représentantes de La Plagne Aura. Et comme en Bretagne, elles ont fait forte impression en remportant la compétition devant un public venu nombreux pour admirer certaines des futures olympiennes.\\n\\n“Les semaines où les joueuses sont en travail individuel nous permettent de nous organiser sur l’aspect logistique, car nous avons peu de temps durant les camps”\\n\\nLors de cette saison “test” pour le basket 3x3 français, les semaines de stage collectif et les tournois organisés en France - avant des tournées à l’étranger - remplissent l’emploi du temps de ces professionnelles. Dans le reste des cases du calendrier, lorsque les joueuses sont seules, se trouvent des temps en autonomie appelés “de décharge”. Une nouveauté dans leur vie de basketteuses professionnelles.\\n\\nEt il faut bien cela après une belle semaine de cohésion à Vernoux-en-Vivarais en Auvergne-Rhône-Alpes où, autour de plusieurs activités collectives et extérieures, le groupe entier a pu repartir à zéro et prendre le temps de spécifier le travail avant de commencer ce projet. Plus sérieusement, ces temps de décharge représentent quasiment la moitié de l’emploi du temps de ces huit athlètes. Cela permet de se remettre en forme physiquement mais aussi mentalement avant de réenclencher un travail d’équipe intense et une vie en collectivité spécifique au 3x3. Dans cette discipline, on se construit une vraie famille.\\n\\nHortense Limouzin réalise ainsi ses temps de décharges chez elle et travaille individuellement au CREPS de Lille. Après un court passage dans le centre de Clairefontaine pour soigner une blessure, Myriam Djekoundade la rejoindra dans le nord de la France. Le CREPS de Rouen met aussi ses équipements à disposition de deux joueuses : Anna Ngo Ndjock et Jodie Cornelie. Anna a aussi opté pour partager ses temps de décharge en région parisienne, dans le club où elle a grandi pour rester proche de sa famille. Durant ces semaines loin des yeux du staff, les huit professionnelles suivent les consignes des préparateurs physiques et de Yann Julien qui leurs envoient ce qu’ils attendent.\\n\\nPour le staff, c’est aussi le temps de remettre à jour certaines tâches qu’ils délaissent durant les semaines de rassemblement : “Les semaines où les joueuses sont en travail individuel nous permettent de nous organiser sur les aspects logistique, administratif car nous avons peu de temps durant les camps”, indique le sélectionneur. C’est aussi le moment pour Yann Julien de remplir d’autres fonctions, notamment en tant que responsable du 3x3 à la FFBB.\\n\\n\\nRelations avec les autres nations : “Des tournées en Asie ou en Amérique sont très difficiles à construire”\\n\\nDernière page traitée avec Yann Julien, et non des moindres : la suite de la préparation olympique. Durant les mois qui ont précédé la mise en œuvre de l’équipe professionnelle et les premières semaines de stage, il a toujours été question d’anticipation. Pour organiser les rassemblements, les tournois ou encore connaître les modalités de ce projet. Pour aménager le programme des prochains mois, anticiper devient désormais un véritable casse-tête.\\n\\nÀ moins de 250 jours des Jeux olympiques, l’envie des joueuses et de Yann Julien est de se confronter aux autres nations. Affronter ces dernières semaines la Hongrie, la République tchèque ou la Mongolie est un premier pas, mais pas vraiment au niveau de ce que retrouveront les Bleues lors des JO. Durant l’été, l’entraîneur pensait d’ailleurs retrouver dès le mois de décembre les Etats-Unis ou encore les joueuses canadiennes - pour les meilleures déjà professionnelles de la discipline. C’est finalement mission impossible pour la fin de l’année 2023. Pour le moment, les tournois amicaux sont envisagés avec les autres grandes équipes mais pas encore programmés.\\n\\n“Avec les Etats-Unis et le Canada, il nous a fallu deux mois pour savoir officiellement que la tournée que l’on voulait positionner au mois de décembre n’était pas possible. Les deux pays participent à l’America Cup. On essaie d’anticiper pour avoir des billets d’avion moins chers... tout un aspect logistique que l’on aimerait construire le plus tôt possible et ce n’est pas toujours simple. Des tournées en Amérique et en Asie sont très dures à construire. Les nations veulent se préserver. En Chine, ils sont du genre à se cacher. Nous allons peut-être pouvoir l’affronter, mais face à quelle équipe ? Les moins de 23 ans plutôt que le groupe olympique.”\\n\\nUne part d’ombre existait avant le démarrage de cette préparation olympique unique, ambitieuse et parfois même controversée. Elle s’est peu à peu dissipée avec l’annonce du projet La Plagne Aura, un partenariat qui tombe à pic ! Le groupe professionnel français se heurtera encore à des difficultés qu’il ne pourra pas contrôler mais par sa force et sa confiance collective, il en résulte toujours des éclaircies. La lumière la plus puissante est en tous les cas attendue le 26 juillet 2024, lorsque la flamme olympique illuminera Paris." }, {"role": "user", "content":"Les 12 garçons et les 10 filles qui vont entrer à l’INSEP" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a dévoilé la liste des 12 garçons et des 10 filles qui feront leur rentrée en septembre 2021, au sein du Pôle France BasketBall – Yvan Mainini à l’INSEP.\\n\\nLes 12 garçons :\\n\\nNOMPrénomNaissancePosteTailleClubPôleALLARDYannis05/01/20073194NanterreÎle-de-FranceAMOUSSAKévin25/07/20062195Le Mans SCMPays de la LoireBISSAYCyprien26/02/20065200Chorale RoanneLyonnaisBOULEFAAJonas16/01/20073195CTC AgenAquitaineEBUNANGOMBECristopher26/07/20071189SPO RouenHaute NormandieESSENGUENoa18/12/20063195Orléans LBCentreMBOUNGOLO MUNANGAHenri-Soprano13/03/20062196Orléans LBCentreMONRAZELLudjian04/04/20063195,5Grand GousierGuadeloupeROUYARDSofiann10/08/20064196Baie MalhaultGuadeloupeSOULHACTalis19/09/20061184SC CharentonÎle-de-FranceTRAORENolan28/05/20061188SC CharentonÎle-de-FranceYIMGA MOUKOURIVictor16/02/20064199Levallois SCÎle-de-France\\n\\n\\nLes 10 filles :\\n\\nNOMPrénomNaissancePosteTailleClubPôleANGLOMANell12/06/20062180,5Evreux ACHaute NormandieBOSSARBérengère20/01/20062175Villeneuve d’AscqNord-Pas de CalaisBRUNAnouk10/04/20061/2171Reims BasketChampagneCOLASStella05/10/20061/2172La Tronche MeylanAlpesCOUMESColine05/12/20064188Ouest ToulousainPyrénéesGUILLETMélissa01/03/20062/3181Roche Vendée BCPays de la LoireJARNAC-SAYAHSaina02/01/20064188Baie MalhaultGuadeloupeKEITAFanta10/09/20065186Marne-la-ValléeÎle-de-FrancePITARCH GRANELInès06/05/20062/3182La Tronche MeylanAlpesRIOAinoah21/05/20064186Rezé Basket 44Pays de la Loire" }, {"role": "user", "content":"Vaincue au Mans, l’ASVEL recule à la 7e place" }, {"role": "assistant", "content":"Après Dijon deux fois, Bourg et Chalon, l’ASVEL a de nouveau chuté au Mans (105-96). Un véritable exploit pour des Manceaux en mode guerriers servis par la performance de leurs deux stars, le pivot anglais Ovie Soko (28 points et 8 rebonds) et le shooting guard américano-kosovar Scott Bamforth (31 points, 9/15 aux shoots), qui n’a décidé que 30 minutes avant le match de jouer alors qu’il souffrait d’une douleur au pied.\\n\\nLors de la conférence d’après-match, celui-ci a voulu remercier ses équipiers.\\n\\n« C’était un super match, on a bien joué car on a joué ensemble. Les gars m’ont fait de bonnes passes avec de bons écrans, donc c’était plus facile pour moi de mettre mes paniers. Toute l’équipe m’a mis dans de bonnes conditions et c’est grâce à cet effort collectif qu’on a gagné, » relate Le Maine Libre.\\n\\nLe MSB a supporté les conséquences du déchaînement de Guershon Yabusele auteur en première mi-temps de 22 points dont un 6/6 à trois-points ! Thomas Heurtel (19 passes, 8 passes, 5 rebonds) n’a pas non plus fait semblant sur le parquet d’Antarès. Pourtant, face à l’armada villeurbannaise, les Manceaux ont su recoller in-extremis au score lors du temps réglementaire grâce à une pénétration de Scott Bamforth puis faire une belle différence dans l’extra-time.\\n\\n« On prend 52 points lors des 15 dernières minutes, ce n’est pas possible de faire ça », a tonné le coach de l’ASVEL Tony Parker.\\n\\n\\nRéactions 🎙️\\n\\nElric Delord : \\ Chacun a apporté sa pierre à l'édifice\\ pic.twitter.com/KSff1UaStY\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) March 17, 2021\\n\\n\\n\\nS🔥C🔥O🔥T🔥T BAMFORTH\\n\\n↪️31 pts\\n↪️60% aux tirs\\n↪️ 4 passes\\n↪️ 11/11 aux lancers francs\\n↪️ 28 d'éval pic.twitter.com/9DwaTOY9e7\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) March 17, 2021\\n\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Axel Bouteille et Nando De Colo étaient chauds comme la braise" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français, fort de vingt-quatre joueurs répartis sur huit pays du Vieux Continent, ne faiblit pas. Au contraire, il nous régale encore une fois. En Turquie, Mouhammadou Jaiteh a été performant et Nando De colo continue d’étaler tout son talent. Du côté ibérique, Axel bouteille a eu un coup de chaud et a permis a Malaga de s’imposer face au Gran Canaria d’Andrew Albicy.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAxel Bouteille avait la main chaude\\n\\nS’il avait déjà rendu une excellente copie face à Monaco la semaine dernière en Eurocup, le Varois Axel Bouteille a eu un nouveau coup de chaud en championnat ce week-end face Gran Canaria (victoire 82-76). En compilant, 25 points à 9/17 aux tirs dont 4/6 à trois-points, l’arrière des Bleus a été plus précieux pour Malaga dans ce match avec notamment untrès bon passage dans le troisième quart.\\n\\n\\nMalgré la défaite, Mam’ Jaiteh fait des étincelles\\n\\nFace au leader de BSL, l’Anadolu Efes, Mam’ Jaiteh n’a pas pu éviter la déroute de son équipe (défaite 63-102). Mais, malgré 7 ballons perdus, le pivot a compilé 21 points, 5 rebonds, 4 passes pour un total de 10 d’évaluation. Cependant, Gaziantep présente un bilan équilibré de 12 victoire pour 12 défaites dans ce championnat et peut encore s’accrocher à l’espoir d’obtenir une place pour les playoffs.\\n\\n\\nNando De Colo fait le show\\n\\nSon coach au Fener, Igor Kokoskov, le surnomme le « Jason Kidd européen ». Face à Bahçesehir (victoire 78-61), Nando De Colo a fait honneur au standing auquel il est associé. Avec 24 points, 4 rebonds et 6 passes, l’arrière a porté Fenerbahçe et a été le principal artisan de cette victoire. En compilant 18,0 points, 2,9 rebonds, 5,5 passes pour 18,3 d’évaluation en moyenne dans le championnat, le joueur de 33 ans marche sur l’eau. Être le Jason Kidd européen est un bien beau compliment pour un bien beau joueur.\\n\\n\\nLe 5 majeur de la semaine\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 2 points (0/4 aux tirs dont 0/3 à trois-points et 2/4 aux lancers-francs), 8 passes, 1 interception pour 10 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 76-82 face à Gran Canaria).\\n\\nLéo Westermann (Barça) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 13 points (5/10 aux tirs dont 2/4 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 2 passes, 1 interception, 2 ballons perdus pour 7 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Défaite 89-95 à l’Estudiantes Madrid).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 25 points (9/17 aux tirs dont 4/6 à trois-points et 3/5 aux lancers-francs), 6 rebonds, 3 passes pour 28 d’évaluation pour 28 minutes de jeu (Victoire 82-76 face à Gran Canaria).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (4/7 aux tirs dont 3/5 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes, 3 interceptions, 3 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 85-74 à Vitoria).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 2 points (1/5 aux tirs), 1 contre pour -4 d’évaluation en 7 minutes de jeu (Défaite 74-85 face au Real Madrid).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 6 points (3/7 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 1 rebond, 3 passes, 1 ballon perdu pour 2 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 95-89 face à Bilbao).\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 15 points (6/11 aux tirs dont 1/3 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 ballon perdu pour 17 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Défaite 60-78 à San Sebastián).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds pour 1 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Victoire 69-61 face à Andorre).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 5 points (2/5 aux tirs dont 1/2 à trois-points), 3 rebonds, 1 contre pour 4 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Défaite 61-69 à Séville).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : 0 point, 2 rebonds pour 2 d’évaluation en 5 minutes de jeu (Victoire 69-61 face à Andorre).\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : Pas de match.\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 6 points (2/4 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 ballon perdu pour 7 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Victoire 88-74 à Siauliai).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 2 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 2 ballons perdus pour -3 d’évaluation en 11 minutes de jeu (Victoire 84-71 à Nevezis).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 7 points (3/12 aux tirs dont 1/5 à trois-points), 6 rebonds, 6 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 10 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Défaite 83-96 face au Stal Ostrów Wielkopolski).\\n\\n10 points (4/7 aux tirs dont 2/4 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 2 ballons perdus pour 16 d’évaluation en 33 minutes (Victoire 104-98 face au Pszczolka Start Lublin).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : N’est pas entré en jeu.\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 15 points (7/13 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 9 rebonds, 1 passe, 2 ballons perdus pour 17 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 89-87 face à Sloboda).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : Pas de match.\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 2 points (1/4 aux tirs), 1 rebond, 2 passes, pour 2 d’évaluation en 9 minutes de jeu (Victoire 102-63 face à Gaziantep).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : 24 points (8/14 aux tirs dont 1/3 à trois-points et 7/7 aux lancers-francs), 4 rebonds, 6 passes, 2 ballons perdus pour 26 d’évaluation en 27 minutes (Victoire 78-61 à Bahçesehir).\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 21 points (7/17 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 7/11 aux lancers-francs), 5 rebonds, 4 passes, 1 contre, 7 ballons perdus pour 10 d’évaluation en 32 minutes de jeu (Défaite 63-102 à l’Anadolu Efes).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 9 points (2/12 aux tirs dont 0/7 à trois-points et 5/5 aux lancers-francs), 6 rebonds, 5 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 10 d’évaluation 38 minutes de jeu (Victoire 75-69 à Belediyesi).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 12 points (5/8 aux tirs dont 1/3 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 interception, 1 ballon perdu pour 11 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 102-63 face à Gaziantep).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 6 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 contre pour 7 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 75-61 face au Zenit Saint Petersbourg).\\n\\nPhoto d’ouverture : Nando De Colo (Fenerbahce.org – Burak Saltık)\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAxel Bouteille avait la main chaude\\n\\nS’il avait déjà rendu une excellente copie face à Monaco la semaine dernière en Eurocup, le Varois Axel Bouteille a eu un nouveau coup de chaud en championnat ce week-end face Gran Canaria (victoire 82-76). En compilant, 25 points à 9/17 aux tirs dont 4/6 à trois-points, l’arrière des Bleus a été plus précieux pour Malaga dans ce match avec notamment untrès bon passage dans le troisième quart.\\n\\n\\nMalgré la défaite, Mam’ Jaiteh fait des étincelles\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Jérémy Leloup (Pau) : «Je suis furieux par rapport à ce qui se passe»" }, {"role": "assistant", "content":"De la soirée béarnaise, on peut retenir la nouvelle déroute subie à Bourg: 88-58. Le -3 de CJ Williams à l’évaluation et le -1 de Tony Wroten. Le 4/23 général à trois-points. Le fait que l’écart n’a fait qu’augmenter à chaque quart-temps. Mais encore plus l’énorme malaise qui a transpiré des propos de Jeremy Leloup en conférence d’après-match, rapporté par La République des Pyrénées suite à l’éviction du coach Laurent Vila:\\n\\n« Voilà, je ne sais plus trop quoi dire sur le match, j’ai plutôt envie de parler de ce qui s’est passé: qu’on apprenne que quel que soit le résultat, le coach ne fait potentiellement plus partie de l’effectif, sauf que lui ne le sait pas ! Nos dirigeants vont devoir faire quelque chose et arrêter de faire des trucs comme ça. C’était déjà le cas avec Shannon Evans, là on continue, il n’y a aucune communication ! (...) On apprend ça par la presse, c’est inacceptable ! (...) Je suis furieux par rapport à ce qui se passe. »\\n\\nLaurent Vila va être remplacé par Eric Bartecheky, 48 ans, qui a déjà été le coach du club de 2015 à 2017. Il n’avait plus de poste depuis son éviction de Gravelines (6 victoires, 17 défaites), il y a un an. Il va lui falloir trouver les mots et les options stratégiques pour remettre à flots un bateau qui est en train de couler à pic.\\n\\nPhoto: Jeremy Leloup (Elan Béarnais)" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : l’explosion de la Belgique" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Mario Nakic – Ostende (Photo : BCL)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la Belgique.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour une surprise, c’en est une. Et une belle ! Si la saison passée, pour son intégration à notre étude sur les U21 en Europe, l’Euromillions Basketball League (EBL), la première division belge (10 clubs), avait fait plutôt bonne figure, elle s’installe cette année tout en haut de tableau. Alors, certes, la Belgique fait assez pâle figure sur le plan européen, avec un seul club engagé en BCL, Ostende, qui n’a pas réussi à se qualifier pour le Top 16. Mais l’EBL reste un championnat de bon niveau, où les U21 peuvent s’épanouir en toute liberté.\\n\\nAinsi, ils sont pas moins de 59 U21 à avoir mis au moins une fois les pieds sur les parquets d’EBL, personne ne fait mieux dans les grands championnats européens. Et ils y sont plutôt productifs : 3,06 points et 2,83 d’évaluation en 9,19 minutes de moyenne, les troisièmes meilleurs chiffres de notre comparatif pour les 11 grands championnats. Et ils sont en forte progression sur la saison passée : 2,22 pts et 1,60 d’éval en 7,71 mn.\\n\\nCette belle présence se confirme pour les joueurs étant un minimum responsabilisés (au moins 5 mn/match sur la moitié des matchs joués par leur équipe, entre 6 et 10 au moment de l’arrêt de nos stats) : ils ont été 37 dans ce cas (personne ne fait mieux dans les grands championnats) pour 4,54 pts et 4,31 d’éval en 13,16 mn, des chiffres moyens (5e à chaque fois) mais en nette progression sur 2019-20 (3,90 pts et 3,38 d’éval en 13,8 mn). En poussant plus loin l’analyse, on s’aperçoit que l’EBL figure dans le haut du panier dans tous les secteurs : 19 U21 jouent plus de 10 minutes (3e de notre analyse) dont 9 plus de 20 mn (1er) ; ils sont 15 à marquer plus de 5 pts et 4 plus de 10 pts (1er à chaque fois) ; ils sont également 14 à produire plus de 5 d’éval et 4 plus de 10 (1er et 2e respectivement).\\n\\nAutant dire que les jeunes Belges, mais pas seulement puisque 6 étrangers ont un rôle, se montrent plutôt responsabilisés et performants.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLe cinq majeur U21 de 2020-21 illustre bien cette variété de provenance de ses jeunes joueurs les plus prometteurs. Ils ne sont que deux Belges pour un Croate, un Monténégrin et un Hollandais.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationMario Nakic2OstendeCroatie2001520,614,416,4Pavle Djurisic5BruxellesMontenegro20001027,612,612,3Vrenz Bleijenbergh4AnversBelgique2000925,710,313,2Seppe D’Espallier3LouvainBelgique1999838,09,414,3Keye van der Vuurst de Vries1OstendePays-Bas2001919,98,98,4Moyenne2000,208,2026,3611,1212,92\\n\\nPlutôt jeunes dans l’ensemble – un seul joueur né en 1999, deux en 2001 –, les membres de ce cinq majeur se montrent extrêmement productifs. Parmi les 11 grands championnats étudiés, ils se classent 3e pour les points et l’évaluation, avec le deuxième plus important temps de jeu. Ce qui est frappant par rapport à la saison passée, c’est que, s’ils sont un peu plus « vieux » que leurs prédécesseurs, les membres du cinq majeur de cette saison sont surtout beaucoup plus productifs. La saison dernière, ils valaient 7,36 pts et 7,80 d’éval en 20,18 mn. Donc, en 6 mn de plus, ils marquent pratiquement 4 pts de plus et génèrent 5 points de plus à l’éval. Des jeunes très prometteurs, donc.\\n\\nDeux joueurs présents dans le cinq majeur auraient pu figurer cette saison encore dans ce palmarès. Nathan Kuta (Okapi, Pays-Bas, 2000) a perdu du temps de jeu en changeant de club (il évoluait à Limbourg la saison dernière) et son rendement s’en est ressenti : 5,7 pts et 8,2 d’éval en 16,5 mn contre 8,1 pts et 11,4 d’éval en 21,3 mn. Pour sa part, Amar Sylla (Ostende, Sénégal, 2001) a un peu progressé : 7,8 pts et 9,9 d’éval en 20,4 mn contre 7,7 pts et 7,4 d’éval en 21,3 mn la saison dernière. Mais nous leur avons préféré des joueurs aux performances supérieures ou, pour Keye van der Vuurst de Vries, un rendement intéressant pour un poste de jeu – meneur – généralement moins propice aux bonnes évaluations.\\n\\nLe MVP : Mario Nakic\\n\\nMeilleur aux points marqués et à l’éval sans pour autant être le joueur le plus présent sur le parquet, le grand arrière shooteur croate Mario Nakic (2,01 m) est déjà un pion important de son équipe. Très adroit (60,7 % à deux-points, 70,0 % à trois-points), il est également bon rebondeur (3,8 par match). Seul bémol : il perd un peu trop de ballons, 2,4 par match. Mais s’il était déjà parfait à moins de 20 ans... (il est né le 14 juin 2001)\\n\\nEn ce qui concerne les enfants du pays, le MVP belge est Vrenz Bleijenbergh, le filiforme ailier-fort (2,03 m, 87 kg !) d’Anvers, le premier du classement en EBL. Lui aussi tient une place de choix dans l’effectif avec un beau rendement. À suivre, tout comme Mario Nakic.\\n\\nEn conclusion\\n\\nL’EBL n’est plus un petit Poucet en Europe en matière d’U21. Les jeunes joueurs y ont des responsabilités et y performent. Il sera intéressant de suivre l’évolution de ce championnat, afin de voir si ces brillants résultats sont un épiphénomène ou s’ils se répètent dans les années à venir. En tout cas, la Belgique a trouvé sa place sur l’échiquier européen du basket professionnel en ce qui concerne les jeunes joueurs.\\n\\nProchain championnat étudié : la Liga ACB espagnole.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nPour une surprise, c’en est une. Et une belle ! Si la saison passée, pour son intégration à notre étude sur les U21 en Europe, l’Euromillions Basketball League (EBL), la première division belge (10 clubs), avait fait plutôt bonne figure, elle s’installe cette année tout en haut de tableau. Alors, certes, la Belgique fait assez pâle figure sur le plan européen, avec un seul club engagé en BCL, Ostende, qui n’a pas réussi à se qualifier pour le Top 16. Mais l’EBL reste un championnat de bon niveau, où les U21 peuvent s’épanouir en toute liberté.\\n\\nAinsi, ils sont pas moins de 59 U21 à avoir mis au moins une fois les pieds sur les parquets d’EBL, personne ne fait mieux dans les grands championnats européens. Et ils y sont plutôt productifs : 3,06 points et 2,83 d’évaluation en 9,19 minutes de moyenne, les troisièmes meilleurs chiffres de notre comparatif pour les 11 grands championnats. 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Son équipe s’est imposée, 73-78.\\n\\nSa moyenne s’établit à 15,6 points, 4,6 rebonds, 4,5 passes et 1,7 interception en 22 matches.\\n\\nSa précocité est à mettre en parallèle avec celle de la Lituanienne de l’ASVEL Juste Jocyte, 15 ans, qui n’a toutefois pas encore réellement performé en Ligue Féminine." }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Le long format «Table Talk» de l’Euroleague contre le racisme" }, {"role": "assistant", "content":"Le racisme est au centre du dernier documentaire de l’Euroleague intitulé « Table Talk », produit pour soutenir #NotInOurWorld, la campagne de sensibilisation conjointe entre l’organisation et l’association des joueurs de l’Euroleague.\\n\\nAgir contre les préjugés et les discriminations dans le basket, et plus précisément celles à l’encontre des basketteurs noirs. Tel est l’objectif de cette grande campagne de l’Euroleague. Au total, l’organisation produit un long format de 27 minutes qui amène plus largement à réfléchir sur ces questions urgentes.\\n\\nPlusieurs joueurs d’Euroleague, notamment Howard Sant-Roos (Panathinaikos), Shaquille McKissic (Olympiacos) ou encore Ilimane Diop (Baskonia Vitoria), confient leurs expériences et l’influence du racisme dans la construction de leur carrière, et leur vie.\\n\\nÉgalement interrogé, l’ancien joueur de Valence, Larry Abia, se souvient d’un incident, lorsqu’il s’est vu refuser la possibilité de louer un appartement en raison de sa couleur de peau.\\n\\n« Un jour, je suis allé à un rendez-vous pour un appartement et deux Espagnols plus âgés sont venus. Ils étaient les propriétaires. J’ai dit « bonjour » et ils se sont retournés, surpris, comme s’ils ne m’avaient pas vu. J’étais le seul là-bas. Puis ils m’ont dit que l’appartement avait déjà été loué. J’ai répondu : « Ce n’est pas possible, je suis le premier à venir le voir. Comment peut-il déjà être loué ? En me retournant, j’ai entendu le mari dire : « Nous ne le lui louerons pas parce qu’il vient de l’étranger. Il est noir ». »\\n\\nLa vidéo, en anglais, est à regarder ci-dessous :\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Orléans surpasse Dijon mais perd Darius Johnson-Odom pour le reste de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Une victoire à la Pyrrhus est une expression employée dans les chroniques sportives lorsqu’une équipe gagne un match mais que celui-ci donne lieu à une ou des blessures. Elle est parfaitement adaptée à la situation d’Orléans.\\n\\nL’OLB a remporté un succès de prestige face à la JDA Dijon, 74-69, alors que son retard dans le deuxième quart-temps est monté jusqu’à 17 points. Le meneur Paris Lee en a été le détonateur avec 16 points, 8 passes et... 6 interceptions. Très bien. Les Orléanais sont plus que jamais des candidats au top 8. Mais...\\n\\nDéjà, l’OLB a perdu LaMonte Ulmer dès la 4e minute et La République du Centre rapporte qu’il souffrait d’une douleur pectorale. Surtout, Darius Johnson-Odom (1,87m, 31 ans), a été victime d’une rupture du tendon d’Achille. Saison évidemment terminée. Le meneur américain, c’était jusque là 16,4 points, 4,8 passes et 3,2 rebonds. On mesure la perte subie et il ne sera pas facile de dénicher un remplaçant de sa valeur surtout à ce moment-là de la saison.\\n\\nPhoto: Darius Johnson-Odom (OLB)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats : La Jeep Elite, 24ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end, se déroulait la 24ème journée.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nIshmail Wainright (SF/US-Oug/26)\\n\\nStrasbourg\\n\\n31 d’éval (12 pts à 5/6 dont 2/3 à 3 pts, 7 rbds, 8 pds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Sylvain Francisco\\n\\nRoanne\\n\\n22 d’éval\\n\\nSG Darius Johnson-Odom\\n\\nOrléans\\n\\n26\\n\\nSF Ishmail Wainright\\n\\nStrasbourg\\n\\n31\\n\\nPF Bonzie Colson\\n\\nStrasbourg\\n\\n25\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n20\\n\\nB Maxime Courby\\n\\nBourg\\n\\n24\\n\\nMVP européen:\\n\\nScott Bamforth (SG/US-Kos/31)\\n\\nLe Mans\\n\\n24 d’éval (20 pts à 7/12, 4/4 aux LF, 4 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Sylvain Francisco\\n\\nRoanne\\n\\n22 d’éval\\n\\nSG Scott Bamforth\\n\\nLe Mans\\n\\n24\\n\\nSF Nicolas Lang\\n\\nLimoges\\n\\n24\\n\\nPF Steeve Ho You Fat\\n\\nRoanne\\n\\n21\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n20\\n\\nB Maxime Courby\\n\\nBourg\\n\\n24\\n\\nMVP français:\\n\\nNicolas Lang (SF/30)\\n\\nLimoges\\n\\n24 d’éval (23 pts à 5/11, 9/9 aux LF, 2 rbds, 4 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nGérald Ayayi (PG/Fra/19)\\n\\nPau\\n\\n10 d’éval (11 pts à 3/8 dont 1/2 à 3 pts, 4/4 aux LF, 2 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleurs marqueurs:\\n\\nBonzie Colson\\n\\nNicolas Lang\\n\\nStrasbourg\\n\\nLimoges\\n\\n23 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nPierre Pelos\\n\\nBourg\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleurs passeurs :\\n\\nBenoit Mangin\\n\\nCodi Miller-McIntyre\\n\\nIshmail Wainright\\n\\nParis Lee\\n\\nLe Portel\\n\\nBourg\\n\\nStrasbourg\\n\\nOrléans\\n\\n8 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Monaco 10-1\\n 2. Dijon 12-2\\n 3. Bourg 9-3\\n 4. Strasbourg 8-4\\n 5. Boulogne-Levallois 10-5\\n 6. ASVEL 7-4\\n 7. Le Mans 6-5\\n 8. Orléans 6-6\\n 9. Gravelines-Dunkerque\\n 10. Nanterre 5-6\\n 11. Limoges 5-7\\n 12. Le Portel\\n 13. Chalon 4-8\\n 14. Chalons-Reims 4-9\\n 15. Cholet 3-7\\n 16. Roanne 3-9\\n 17. Pau-Lacq-Orthez 3-10\\n 18. Boulazac 1-8\\n\\nPhoto: Ishmail Wainright (SIG)" }, {"role": "user", "content":"Les résumés by TCL : Monaco et la JL bourg sur la bonne dynamique" }, {"role": "assistant", "content":"Si Monaco a remporté son dixième match de suite à l’issue d’une prestation aboutie du côté du Portel vendredi soir (81-71), la Jeu a quant à elle consolidé sa place sur le podium après une courte victoire face aux Manceaux d’Ovie Soko (86-85). Si vous avez manqué les deux matchs, pas de panique ! BasketEurope et son partenaire TCL, vous offrent les highlights des matchs.\\n\\n\\nMonaco reçu 10/10\\n\\nLa Roca Team a totalement dicté sa loi face à des Portelois qui ont crânement joué leur chance mais malheureusement pour eux, ils ont craqué dans les derniers instants. Sous l’impulsion de Wilfried Yeguete et Damien Inglis, Monaco a démarré fort (36-19, 13′) mais s’est fait rattraper par l’ESSM qui lui a infligé un 8-0 pour revenir à seulement cinq petites unités d’écart à la pause (36-41).\\n\\nCôté Monégasque, la réponse ne s’est pas faite attendre après la pause et c’est avec un 10-0 que J’J O’Brien et Dee Bost ont remis les pendules à l’heure (40-51). Tranquillement, Monaco a imposé son jeu aux Portelois grâce au bon passage de Mathias Lessort dans le troisième quart (49-64). En fin de match, l’absence de Boris Dallo et l’expulsion de Mathieu Wojciechowski ont coûté cher aux hommes d’Eric Girard permettant à Monaco de dérouler et ainsi acter un nouveau succès (81-71).\\n\\n\\nLa JL s’impose sur le fil\\n\\nDans cette affiche, le match a tenu toutes ses promesses. Les Manceaux ont pris le meilleur départ, sous la houlette de Scott Bamforth et Ovie Soko, et menaient de onze points à l’issue de premier quart (27-16). Bourg a resserré la vis dans ce second acte en infligeant un 11-0 aux Manceaux pour revenir dans le match et égaliser sur un panier primé de Zach Wright. Bourg a mené mais Le Mans à repris le contrôle avant la pause (45-42).\\n\\nSi les deux équipes ont souvent fait jeu égal dans ce match, ils se sont répondu coup pour coup jusqu’au « Money Time » (74-74). La première sommation est venue de la Jeu grâce à Zach Wright et Pierre Pelos (79-86). Le Mans, de son côté n’a pas lâché prise et s’est accroché pour revenir à 85-86 grâce à Scott Bamforth, et a même eu le tir de la gagne. Mais voilà, Vitto Brown a manqué sa tentative au buzzer et a fait le bonheur des Burgiens qui ont engrangé une neuvième victoire en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Scott Bamforth (MSB – Dominique Breugnot Photographer)" }, {"role": "user", "content":"Moustapha Fall (Asvel) : «Partir ou rester, je n’en sais rien»" }, {"role": "assistant", "content":"Sous contrat jusqu’à l’été 2021, le pivot de l’Asvel Moustapha Fall (2,18 m, 29 ans) fait le point sur son état de forme et ses objectifs à court et moyen terme.\\n\\nAprès avoir réalisé une excellente année avec Turk Telekom en BCL lors de la saison 2019-2020, Moustapha Fall a découvert cette année l’Euroleague avec l’Asvel. Compétition dans laquelle l’international français montre toutes ses qualités de scoreur, contreur mais aussi de rebondeur et de passeur (9,3 points à 68,5 % aux tirs, 5,5 rebonds, 1,9 passe décisive et 4 fautes provoquées pour 14,5 d’évaluation en 22 minutes).\\n\\n« Il y a eu des hauts et des bas. J’ai plutôt bien commencé la saison, avec du rythme, mais je me suis fracturé la côte après ça. J’ai été absent pendant environ un mois et j’ai eu un peu de mal à mon retour. J’avais besoin de temps pour récupérer. Mais après, j’ai recommencé à retrouver mon rythme. Dans l’ensemble, j’ai été assez bon jusqu’à présent« , accorde-t-il à Eurohoops.\\n\\nL’ancien joueur de Poitiers, Monaco ou encore Chalon-sur-Saône sera sans doute très demandé sur le marché à compter de l’expiration de son contrat en juin 2021.\\n\\n« Ma priorité cet été d’avoir une bonne situation. Je pense que la situation est la plus importante. Si vous avez une bonne situation, vous serez plus performant. Il faut juste que je trouve une équipe qui a besoin de moi et on verra ce qui se passera. Je ne sais pas si je vais partir ou si je vais rester, je n’en sais rien. Je veux juste terminer cette saison aussi bien que possible et voir les opportunités que j’ai cet été. »\\n\\nPhoto : Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Elric Delord (coach Le Mans) : «TJ Parker est vraiment un mec bien»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est le choc Le Mans-Villeurbanne et une occasion pour le coach manceau, Elric Delord, qui a fait ses classes à l’ASVEL, de dire tout le bien qu’il pense de son collègue villeurbannais, TJ Parker, dans Ouest France:\\n\\n« Je l’aime énormément. C’est comme un frère pour moi. Je pense que c’est réciproque. On s’appelle régulièrement au téléphone. Je pense qu’il n’y a pas eu une semaine sans qu’on se soit appelé. On a une vision du basket, des choses, assez similaire. Je ne veux pas trop en dire. Un moment donné, en début de saison, c’était un peu compliqué à l’Asvel. Faute de résultats, tout le monde lui tombait dessus. Ce n’est pas parce que vous commencez ou que vous êtes le frère de... que vous êtes un incompétent. TJ a toutes les compétences. Aujourd’hui, personne ne peut dire le contraire. Quand tu arrives à battre Barcelone et Vittoria deux fois, Milan, Valence... Ce n’est pas comme s’il avait les dix meilleurs joueurs d’Europe et qu’il n’avait plus qu’à rester assis pour les regarder jouer. Non, il a un réel impact sur cette équipe-là qui a vraiment progressé. Couper Freeman était un bon choix. (Court silence). TJ Parker est vraiment un mec bien. »\\n\\nPhoto: ASVEL" }, {"role": "user", "content":"Australie: Une pré-sélection de 22 joueuses pour les JO de Tokyo" }, {"role": "assistant", "content":"22 Opals ont été sélectionnées afin de participer à un camp d’entraînement d’une semaine du 22 au 28 mars en vue des Jeux Olympiques de Tokyo.\\n\\nCette liste comprend des joueuses qui ne pourront pas y participer du fait qu’elles opèrent à l’étranger.\\n\\nAucune joueuse n’est actuellement en Ligue Féminine mais plusieurs ont transité par la France (Rebecca Allen, Cayla George, Leilani Mitchell, Jenna O’Hea, Stéphanie Talbot, Marianna Tolo, Sami Whitcomb).\\n\\n« Avec des membres de l’équipe et des entraîneurs basés dans le monde entier, nous aurons des possibilités limitées de nous entraîner et de jouer ensemble avant les Jeux olympiques de Tokyo », a d’ailleurs déclaré la coach Sandy Brondello.\\n\\nA Tokyo, l’Australie sera dans le groupe C avec Porto Rico, la Chine et la Belgique.\\n\\nJoueuseClubRebecca Allen Valencia Basket (Espagne)Zitina AokusoJCU TownsvilleSara BlicavsJayco SouthsideLiz Cambage Jayco Southside / Las Vegas Aces (WNBA)Rebecca Cole Jayco SouthsideKatie-Rae EbzeryPerth LynxDarcee GarbinPerth LynxCayla GeorgeDeakin Melbourne BoomersShyla GuérisonJCU TownsvilleTessa LaveyVillawood Properties Bendigo SpiritTess MadgenDeakin Melbourne BoomersEzi MagbegorDeakin Melbourne Boomers / Seattle Storm (WNBA)Tiana Mangakahia Syracuse U. (États-Unis)Leilani MitchellJayco Southside Flyers / Washington Mystics (WNBA)Lauren NicholsonJCU TownsvilleJenna O’HeaJayco SouthsideMaddison RocciCapitales UCJaz Shelley Oregon U. (États-Unis)Alanna SmithAdelaide LightningStéphanie TalbotAdelaide Lightning / Seattle Storm (WNBA)Marianna ToloCapitals UCSami WhitcombGalatasaray (Turquie) / New York Liberty (WNBA)\\n\\nPhoto: Liz Cambage (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Tenerife-Riga en BCL ouvert à 545 spectateurs" }, {"role": "assistant", "content":"545 personnes vont être autorisées à assister au match Lenovo Tenerife-VEF Riga de Champions League qui va se tenir mercredi au palais des sports Santiago Martín.\\n\\nLes billets ne peuvent être achetés que sur le site Web du club (www.cbcanarias.net) et chaque acheteur n’a le droit qu’à un seul billet. La vente est activée de manière échelonnée, tout d’abord pour les VIP, puis les abonnés 2019-20 et enfin le grand public, jusqu’à épuisement des stocks.\\n\\nLes sièges sont nominatifs et non transférables pour se conformer au protocole sanitaire et les possesseurs de billets devront prouver leur identité à l’entrée de la salle. Les masques seront évidemment obligatoires ainsi que la désinfection des mains avec du gel hydroalcoolique.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB : Miranda Ayim (Basket Landes) terminera sa carrière à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"L’internationale canadienne de Basket Landes, Miranda Ayim (1,90m), va mettre fin à sa carrière de joueuse à la fin de la saison, alors qu’elle aura 33 ans annonce Sud Ouest.\\n\\nMiranda Ayim est sociétaire du club landais depuis 2015 après être passée par la Turquie et deux saisons à Toulouse. 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Il s’impose finalement 98-89. L’équipe de Zvezdan Mitrovic a été emmenée par un trio composé de Mathias Lessort, Dee Bost et Damien Inglis, auteur d’une évaluation cumulée de 73. Le premier, avec un double-double (21 pts et 11 rbds), est le meilleur pivot de la semaine. Il en est également le meilleur rebondeur avec 11 unités ainsi que le MVP français pour la sixième fois de la saison. Le dernier est le meilleur intérieur européen. Côté andalou, Francis Alonso s’est mis en valeur. Avec 28 d’évaluation, il est le meilleur arrière de la journée. Quant à Yannick Nzosa, il a profité des absences de Volodymyr Gerun et de Malcolm Thomas pour obtenir le titre de Rising Star pour la troisième fois de la saison.\\n\\nPour le second duel franco-espagnol, Nanterre recevait la Joventut Badalona. Le club altoséquanais devait s’imposer d’au moins 6 points pour se qualifier pour les quarts de finale. Il enregistrait les retours de Nikola Rebic et de Marcquise Reed pour l’occasion. Nanterre domine le début de match et mène au score pendant les 15 premières minutes. Cependant, il n’atteindra les 6 points d’avance qu’en une seule occasion. Le club catalan reprend le leadership à compter de la 16ème minute et ne le perdra plus. Il gagne le match 95-88 et se qualifie. Son leader a été l’ancien arrière du Barca Pau Ribas. Avec notamment un joli 11/11 aux lancers-francs, il est le Meilleur Sixième Homme européen de la semaine.\\n\\nBoulogne-Levallois se déplaçait à Belgrade pour y affronter le Partizan. Il devait l’emporter pour assurer sa qualification en quarts. Le club serbe récupérait Novica Velickovic mais perdait Rade Zagorac. Les trois premiers quarts sont équilibrés et aucun ne se joue par plus de trois points. A l’issue des 30 premières minutes, le Partizan mène de trois points. Dans le dernier quart, le club français hausse le ton en défense et limite son hôte à 11 points. Il réussit ainsi à l’emporter 75-70 et à assurer sa qualification. L’équipe de Jurij Zdovc a été portée par son ailier américain Anthony Brown, auteur de 18 points avec un joli 5/8 à 3 points. Du côté serbe, Rashawn Thomas s’est mis en avant. Avec 31 d’évaluation, il est le meilleur intérieur de la semaine.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=nIbb6FcqFf0&ab_channel=BuzzerBeaters\\n\\nEnfin, Bourg, déjà éliminé et sans victoire, se déplaçait à la Virtus Bologna, qualifiée et invaincue. La rencontre paraissait par conséquent très déséquilibrée. Le club français enregistrait les retours de Danilo Andjusic, Luka Asceric et Alen Omic. Il ne mènera jamais lors de ce match et l’écart dépasse les 10 points dès la sixième minute. Le club italien l’emporte largement 83-62. La victoire a été collective avec cinq joueurs qui ont dépassé les 10 d’évaluation. Bourg n’a donc pas réussi à remporter la première victoire de son histoire en Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nDans le groupe F, le Lokomotiv Kuban Krasnodar recevait Trento à la Basket Hall devant 1 516 spectateurs. Les deux clubs étaient à la lutte pour la qualification et le club italien l’avait emporté à l’aller de 12 points. Le club russe gagne les deux premiers quarts et mène déjà de 16 points à la mi-temps. La suite de la rencontre est équilibrée et Gary Browne replace son équipe à 12 points à 44 secondes du terme. Un tir à 3 points de Nigel Williams-Goss dans la foulée offrira la qualification pour les quarts à son équipe. Le Lokomotiv Kuban s’impose au final 100-86. L’équipe d’Evgeny Pashutin a été emmenée par un trio Mindaugas Kuzminskas-Mantas Kalnietis-Drew Gordon, qui a presque égalé l’évaluation de Trento avec 88. Avec 26 points et 9 rebonds, le premier est le MVP de la semaine. Le second en est le meilleur meneur ainsi que le meilleur passeur avec 10 unités pour la troisième fois de la saison.\\n\\nDans le groupe G, le Cedevita Olimpija Ljubljana recevait le Buducnost Podgorica. Les deux équipes se disputaient la dernière place qualificative du groupe. Le club slovène s’était imposé de 3 points à l’aller. Les trois premiers quarts sont équilibrés et le club monténégrin mène d’un point au bout de 30 minutes. Mais il limite son adversaire à 9 points dans le dernier quart pour s’envoler vers la victoire 79-66 et vers la qualification. Le leader du Buducnost a été l’ailier canado-nigérian Melvin Ejim avec 20 points et 8 rebonds.\\n\\nDans le groupe H, Gran Canaria recevait l’Unics Kazan, déjà qualifié. Le club insulaire devait l’emporter pour continuer l’aventure. Et il est à la hauteur en remportant les trois premiers quarts. Il mène de 20 points au bout de 30 minutes. Malgré une dernière période ratée, Gran Canaria s’impose 96-90 et assure sa qualification. L’équipe de Porfi Fisac a été emmenée par son axe 1-5 composé d’AJ Slaughter et de Matt Costello, avec une évaluation cumulée de 40. Du côté russe, Jamar Smith, avec 32 points, est le meilleur marqueur de la journée. Il établit me record du Top 16 en la matière. Il est également le Meilleur Sixième Homme de la semaine.\\n\\nEnfin, Andorra recevait Mornar Bar. Le club monténégrin, déjà éliminé, n’a pas résisté et a perdu largement 89-61. Sept joueurs de l’équipe d’Ibon Navarro a atteint ou dépassé les 10 d’évaluation. C’est donc la fin du parcours européen pour les deux équipes.\\n\\nLa Virtus Bologna est la seule invaincue et la meilleure équipe du Top 16 devant l’Unics Kazan et Monaco.\\n\\nA l’opposé, seul Bourg reste vierge de toute victoire. Le bilan des clubs français est de 11 victoires et 13 défaites. Deux d’entre eux se sont qualifiés pour les quarts de finale.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nMindaugas Kuzminskas (SF/Lit/31)\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n33 d’éval (26 pts à 9/15 dont 3/5 à 3 pts, 9 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Mantas Kalnietis\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Francis Alonso\\n\\nMalaga\\n\\n28\\n\\nSF Mindaugas Kuzminskas\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n33\\n\\nPF Rashawn Thomas\\n\\nPartizan Belgrade\\n\\n31\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n31\\n\\nB Jamar Smith\\n\\nUnics Kazan\\n\\n29\\n\\nMeilleur 5 européen:\\n\\nPG Mantas Kalnietis\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Francis Alonso\\n\\nMalaga\\n\\n28\\n\\nSF Mindaugas Kuzminskas\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n33\\n\\nPF Damien Inglis\\n\\nMonaco\\n\\n20\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n31\\n\\nB Pau Ribas\\n\\nBadalona\\n\\n27\\n\\nMVP français:\\n\\nMathias Lessort (C/25)\\n\\nMonaco\\n\\n31 d’éval (21 pts à 8/11, 11 rbds, 2 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nYannick Nzosa (C/RDC/17)\\n\\nMalaga\\n\\n16 d’éval (16 pts à 8/9, 3 rbds, 4 ct, 3 bps)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nJamar Smith\\n\\nUnics Kazan\\n\\n32 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nMathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nMantas Kalnietis\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n10 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 5-1\\n 2. Badalona 4-2\\n 3. Nanterre 2-4\\n 4. Malaga 1-5\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Boulogne-Levallois 4-2\\n 2. Lokomotiv Kuban Krasnodar 3-3\\n 3. Trento\\n 4. Partizan Belgrade 2-4\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 6-0\\n 2. Buducnost Podgorica 3-3\\n 3. Cedevita Olimpija\\n 4. Bourg 0-6\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 5-1\\n 2. Gran Canaria 3-3\\n 3. Andorra\\n 4. Mornar Bar 1-5\\n\\nEn gras, les équipes qualifiées. En italique, les équipes éliminées\\n\\nPhoto: Mindaugas Kuzminskas (Lokomotiv Kuban, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Les U21 en Europe 2020-21 : coup de moins bien pour l’Allemagne" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Philipp Herkenhoff – Rasta Vechta (Photo : BBL)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à l’Allemagne.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa BBL, le championnat de première division allemand, connaît de fortes fluctuations dans la place qu’il accorde aux U21. S’il avait réussi à atteindre le podium final de notre étude de l’an passé, le championnat allemand est retombé cette saison en fin de « ventre mou » de cette même hiérarchie, la faute au départ de certains joueurs vers d’autres horizons (Killian Hayes en premier lieu) et à la limite d’âge qui fait exclure les joueurs nés en 1998 – ils représentaient une bonne part des jeunes joueurs efficaces de la compétition.\\n\\nDe ce fait, même si la BBL permet à un nombre relativement constant de joueurs U21 d’entrer sur le parquet (50 cette saison contre 49 la saison dernière et 56 celle d’avant), leur rendement est moindre (2,13 points et 2,02 d’évaluation contre 2,48 pts et 2,56 d’éval l’an dernier) alors que leur temps de jeu a plutôt augmenté (7,35 mn contre 7,06 en 2019-20). Cela étant, ces chiffres, basés sur des équipes ayant joué entre 17 et 20 matchs, figurent en bonne place dans notre étude, entre la 4e et la 6e place des 11 grands championnats.\\n\\nEn outre, plus de la moitié de ces U21 entrés en jeu, 26 exactement, ont un véritable rôle, jouant plus de 5 minutes par match sur au moins 5 matchs. Un chiffre en augmentation sur les années précédentes, contrebalancé par le rendement en baisse de ces joueurs : 3,80 pts et 3,71 d’éval en 11,77 minutes contre 4,75 pts et 5,01 d’éval en 14,07 mn la saison passée. Des chiffres qui font figurer la BBL dans les dernières places de notre étude (7 ou 8e). Pour autant, tout n’est pas noir. Il y a 15 U21 à jouer plus de 10 mn/match (4e meilleur total des 11 grands championnats), chiffre en forte augmentation sur la saison précédente (ils étaient 10), dont 2 jouent plus de 20 mn en moyenne. Et leur rendement n’est finalement pas si mauvais : s’il n’y a qu’un U21 à dépasser les 10 pts/match (5e meilleur total), ils sont 8 à marquer plus de 5 pts (4e). Il en va de même pour l’évaluation : 2 dépassent les 10 par match (4e) et 5 les 5 d’éval (6e).\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLa BBL fait moins appel que la saison passée à la main-d’œuvre U21 étrangère : ils ne sont que 3 à avoir joué cette saison contre 5 l’an dernier. Deux ont eu un rôle, mais aucun suffisant pour figurer dans notre cinq majeur.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationPhilipp Herkenhoff4VechtaAllemagne1999622,010,210,7Justus Hollatz1HambourgAllemagne20011618,45,76,7Nelson Weidemann1GöttingenAllemagne19991815,35,75,6Malte Delow2BerlinAllemagne20011311,03,24,6Joshua Obiesie2WurzburgAllemagne20001614,05,34,5Moyenne2000,0013,8016,146,026,42\\n\\nIntégralement allemand, ce cinq majeur rassemble des joueurs de cinq clubs différents (ce qui n’est pas si fréquent) nés entre 1999 et 2001 – des joueurs disposant donc déjà d’une certaine expérience. Pour autant, il ne fait pas d’étincelles. En matière de minutes jouées, de points et d’évaluation, le cinq majeur U21 de BBL se situe au 8e rang de notre étude, alors qu’il avait brillé l’an passé. Mais sans ses 1998 et sans Killian Hayes, les jeunes Allemands rentrent dans le rang. Le seul membre du cinq majeur de la saison passée qui aurait pu prétendre à y figurer de nouveau est Jonas Mattisseck (Alba Berlin, 2000) mais ses prestations sont plutôt orientées à la baisse (4,4 pts et 2,8 d’éval contre 5,2 pts et 5,2 d’éval l’an passé) alors que son temps de jeu a augmenté : 18,5 mn contre 16,4. La concurrence est forcément rude au sein d’une écurie qui dispute l’Euroleague...\\n\\nParmi les joueurs de ce cinq majeur, on note la présence de deux nés en 2001, dont Justus Hollatz, qui affiche déjà la deuxième meilleure éval à moins de 20 ans. Pour sa part, Joshua Obiesie (2000, Würzburg), qui avait connu une mauvaise saison dernière (3,4 pts et 1,6 d’éval en 8,4 mn) après une saison 2019-19 très prometteuse (5,6 pts et 5,7 d’éval en 14,4 mn) remonte la pente, même s’il ne montre pas encore de progrès par rapport à deux ans auparavant.\\n\\nLe MVP : Philipp Herkenhoff\\n\\nLe grand intérieur (2,08 m) évolue certes chez l’actuel dernier de la BBL et les blessures (au pied) l’ont empêché de jouer un grand nombre de matchs, mais il domine de la tête et des épaules notre cinq majeur, étant le seul à dépasser les 10 pts et les 10 d’éval. Des performances en net progrès sur la saison dernière, où il valait 5,8 pts et 6,9 d’éval en 17 mn. Reste à voir s’il reprendra sa progression une fois rétabli de ses soucis physiques.\\n\\nEn conclusion\\n\\nSi elle régresse par rapport à la saison passée, la BBL tient toutefois son rang, d’autant que ses clubs n’hésitent pas à aligner de très jeunes joueurs : 1 de 2003 et 5 de 2002 (2e meilleur total à chaque fois) ont eu droit à du temps de jeu. Et pratiquement toute la division s’intéresse aux U21, seul Chemnitz n’en ayant aligné aucun. Même si les chiffres sont plutôt orientés à la baisse, la BBL continue à prouver qu’elle est devenue un championnat où les U21 peuvent s’exprimer, même si elle n’aligne plus de « stars » telles que Killian Hayes.\\n\\n–\\n\\nProchain championnat étudié : l’Euromillions Basketball League belge.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nLa BBL, le championnat de première division allemand, connaît de fortes fluctuations dans la place qu’il accorde aux U21. S’il avait réussi à atteindre le podium final de notre étude de l’an passé, le championnat allemand est retombé cette saison en fin de « ventre mou » de cette même hiérarchie, la faute au départ de certains joueurs vers d’autres horizons (Killian Hayes en premier lieu) et à la limite d’âge qui fait exclure les joueurs nés en 1998 – ils représentaient une bonne part des jeunes joueurs efficaces de la compétition.\\n\\nDe ce fait, même si la BBL permet à un nombre relativement constant de joueurs U21 d’entrer sur le parquet (50 cette saison contre 49 la saison dernière et 56 celle d’avant), leur rendement est moindre (2,13 points et 2,02 d’évaluation contre 2,48 pts et 2,56 d’éval l’an dernier) alors que leur temps de jeu a plutôt augmenté (7,35 mn contre 7,06 en 2019-20). Cela étant, ces chiffres, basés sur des équipes ayant joué entre 17 et 20 matchs, figurent en bonne place dans notre étude, entre la 4e et la 6e place des 11 grands championnats.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le dispositif #NORACISM du Limoges CSP" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le cadre de son action #NORACISM, la Ligue Nationale de Basket annonce soutenir le Limoges CSP.\\n\\nÀ l’occasion de leur projet d’engagement #NORACISM contre le racisme et les discriminations dans le sport, le club professionnel de basket, Limoges CSP a entièrement modifié son identité́ visuelle : logo, tenues de matchs...\\n\\nCes tenues créées en collaboration avec l’équipementier Craft, ont été dévoilées à l’occasion du premier match du mois de mars à Beaublanc contre la LDLC ASVEL et seront portées lors de tous les matchs du mois de mars à domicile.\\n\\nLe Limoges CSP met aux enchères ces tenues (maillots et shorts) portées par les joueurs à l’occasion de ces 3 matchs. Les bénéfices seront reversés à la Ligue des droits de l’Homme. Chaque tenue sera accompagnée d’un certificat justifiant qu’elles ont bien été portées par le joueur et le maillot sera dédicacé par ce dernier.\\n\\nMise à prix : 100 euros sur https://dexyma.com/\\n\\nLes maillots sont également disponibles à la vente pour le grand public sur la boutique du Limoges CSP. Le maillot collector Homme #NORACISM est en vente pour 65€. Le short collector Homme #NORACISM est en vente pour 60€. Ces 2 articles sont également disponibles en taille enfant.\\n\\nCes nouvelles tenues s’intègrent dans le projet global #NORACISM porté par le Limoges CSP qui a changé son identité visuelle, s’est associé avec Daömey pour une collection capsule, va sortir un clip mi-mars, avec Manu Key (teasing du clip) et organisera un séminaire sur le thème du racisme avec la Ligue des droits de l’Homme et le CDES Limoges le 17 mars prochain\\n\\nlire cet article\\n\\n. Plus d’infos sur le dispositif global ICI.\\n\\nPhoto : Nassir Mokhtari / nass_mkv sur IG" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les 29 points en 20′ de Chacho Rodriguez lors de Brescia-Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur espagnol Sergio « Chacho » Rodriguez a été TRES productif lors du match Berscia Milan puisqu’il a marqué 29 points en 20 minutes avec 4/4 à deux-points, 6/8 à trois-points et 3/3 aux lancers-francs. 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Elle se poursuivra cette semaine par un colloque « Outils actuels et Outils de demain face au racisme » organisé en collaboration avec le Centre de Droit et d’Economie du Sport le mercredi 17 mars avec de nombreux intervenants du monde sportif professionnel.\\n\\nAlain Beral, Président de la Ligue Nationale de Basket :\\n\\n« Le sport ne doit pas être utilisé pour exprimer de la haine, mais pour se rassembler autour de son équipe aussi bien sur le parquet que dans les tribunes sans discrimination d’aucune sorte. A la Ligue Nationale de Basket, cette diversité nous la revendiquons et nous continuerons à lutter contre toutes les formes de discrimination au sein de notre sport. »" }, {"role": "user", "content":"Lettre ouverte de Elham Rupert" }, {"role": "assistant", "content":"Elham Rupert, femme de Thierry Rupert, et mère de Iliana et Rayan, a écrit une lettre ouverte à différents médias dont BasketEurope qui ont fait part de la condamnation du CHU de Tours à lui verser des idemnités. Nous la publions bien volontiers.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"JO: L’arèna de Saitama pour le basket-ball limitée à 10 500 spectateurs ?" }, {"role": "assistant", "content":"Les organisateurs des Jeux Olympiques de Tokyo, prévus du 24 juillet au 9 août, ont proposé de limiter de moitié le taux d’occupation des installations sportives en raison de la propagation du COVID-19. C’est le journal Sankei qui a rapporté hier cette information.\\n\\nToutes les épreuves de basket-ball auront lieu à la Saitama Super Arena, qui peut recevoir 21 000 spectateurs. Sa capacité serait alors limitée à 10 500.\\n\\nLe 9 mars, l’agence Kyodo, citant des sources, a rapporté que les autorités japonaises ont prévu d’interdir aux étrangers de venir au Japon pour les JO.\\n\\nDes décisions définitives devraient être prises à la mi-avril.\\n\\nPar ailleurs, ces mêmes autorités japonaises ont appelé les pays étrangers à limiter à 11 le nombre de personnes qui accompagneront les chefs d’Etat, et seulement à 4 ceux qui accompagneront des ministres.\\n\\nLe 12 mars, le président du Comité international olympique, Thomas Bach, a déclaré que les athlètes qui participeront aux JO ne seront pas tenus d’être vaccinés contre le coronavirus." }, {"role": "user", "content":"Marie-Sophie Obama (présidente ASVEL) : «foutez lui la paix à Marine !»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour 20 minutes, la présidente déléguée de Lyon ASVEL Fémininin, Marie-Sophie Obama, explique que ce n’est pas un vrai désavantage de jouer les deux matches de quart-de-finale d’Euroleague face à Sopron en Hongrie.\\n\\n« La règle des bulles sanitaires est connue depuis le début de la saison d’Euroligue : il ne pouvait pas y avoir d’aller-retour classique dans le contexte Covid-19. Les contraintes et l’impact économique d’une bulle sanitaire sont assez lourds donc on a fait le pari de ne pas candidater. Et puis ce n’est pas forcément évident pour les joueuses d’être enfermées toute une semaine à 20 minutes de leur domicile. Jusque-là, dans la compétition, ça s’est avéré être un faux avantage pour les équipes ayant accueilli des hubs. Enfin, quasiment toutes à part Sopron (rires). À chaque fois, on a vécu des moments forts en partant avec tous les salariés. Il y a un esprit de mission avec tout le club mobilisé, ce qui crée une énergie positive. »\\n\\nSur un tout autre point, et après avoir répondu qu’elle n’est pas choquée que Marine Johannès soit surnommée la « Steph Curry au féminin », Marie-Sophie Obama se dit agacée par certaines exigences formulées à l’encontre de sa joueuse :\\n\\n« Ça m’agace qu’on lui fasse toujours le procès de ne pas être assez leader. Beaucoup de monde attend d’elle qu’elle reprenne le flambeau de Céline Dumerc en équipe de France. Regardez déjà tout ce qu’elle peut vous offrir et foutez-lui la paix à Marine ! Que chacun soit comme il est. Elle ne raffole pas des caméras, c’est comme ça. On voudrait des sportifs qui soient à la fois des bons communicants, des ambassadeurs, des militants... »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague Féminine : Adversaire de l’ASVEL en quart-de-finale, Sopron est toujours invaincu cette saison" }, {"role": "assistant", "content":"Les joueuses de l’ASVEL sont arrivées hier à Sopron où l’attendent mercredi et vendredi deux matches contre l’équipe locale, qui décideront de sa qualification ou non pour le Final Four. Elles seront privées à cette occasion de leur double championne WNBA, l’Américano-Israélienne Alysha Clark, blessée.\\n\\nAlors que les Lionnes doivent batailler chaque week-end dans le championnat de France (10 victoires, 5 défaites), le Sopron Basket n’est pas placé dans les mêmes conditions dans le championnat hongrois puisqu’il a remporté ses 22 matches. Plus significatif encore de son omnipotence, il possède la meilleure attaque du championnat (88,0) et la meilleure défense (56,0). Ca ne doit pas être très drôle à suivre, le championnat hongrois.\\n\\nPlus significatives sont ses performances en Euroleague. Les Hongroises ont remporté leurs 6 premiers matches. Soit deux fois contre Bourges, deux fois contre Basket Landes et deux fois contre Galarasaray. Ce fut plus serré qu’en championnat avec tout de même une marge moyenne de 12,1 points gonflée par la victoire sur Basket Landes de 30 points.\\n\\nA la lecture des statistiques, on s’aperçoit qu’il y a trois joueuses à surveiller plus particulièrement. La première, c’est la Franco-Américaine Gabby Williams (ex-Montpellier), toujours aussi éclectique puisqu’elle tourne à 16,5 points, 4,2 rebonds, 3,2 passes et 2,2 interceptions. Il y a aussi les deux Serbes Jelena Brooks (15,2 points et 5,3 rebonds) et Tina Krajisnik (11,2 points et 8,2 rebonds). Ajoutons à ce trio la Hongroise Berdanett Hatar (6,5 points et 3,5 rebonds) qui a la particularité de mesurer 2,08m, et qui n’a joué pour l’instant que deux matches.\\n\\nBref, ça ne sera pas de la tarte pour Marine Johannes and Co.\\n\\nPhoto: Gabby Williams (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: La 5e plus grosse défaite de Pau à domicile" }, {"role": "assistant", "content":"Dans son édition de ce lundi, la République des Pyrénées revient sur la déculottée prise par l’Elan Béarnais face à Orélans samedi, 72-101, et signale qu’il s’agit de la 5e plus grosse défaite du club dans son palais.\\n\\nLa plus cuisante remonte à 2007-08 contre Villeurbanne (-44) suivie par une autre face au Mans en 2008-09 (-34).\\n\\nLa République des Pyrénées titre « Etat d’urgence » à la Une et « Un désastre » dans les pages intérieures et fait intervenir Rémi Lesca pour lui demander l’ambiance dans le vestiaire après le match.\\n\\n« On s’est parlé. CJ (Williams) amène vachement de fraîcheur par rapport à ça. Il vient d’arriver et n’a pas vu la situation se dégrader. Ca nous fait du bien qu’il nous parle et nous réconforte. Il faut arrêter de regarder cette série de défaites, c’est pesant. Il faut aller de l’avant le plus vite possible pour retrouver cette confiance et enfin gagner un putain de match, c’est tout. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe en 2020-21 : 15 ligues, trois coupes d’Europe, 737 joueurs de 44 nationalités" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Fedor Zugic – Buducnost Podgorica (Photo : Eurocup)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Vous pourrez découvrir cette étude développée sur 23 articles à partir de demain.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n15 ligues et trois coupes d’Europe, près de 740 joueurs de 44 nationalités... Ils ont 21 ans ou moins et évoluent au plus haut niveau en Europe. Mais quelles sont les ligues qui accordent le plus de temps de jeu à ces U21 ? Et quels sont les joueurs les plus prometteurs ?\\n\\nLa saison passée, entre le 17 avril et le 25 mai (à retrouver ICI, ce dernier article recensant à sa fin les liens vers tous les autres articles du dossier), nous avions publié une importante étude en 24 actes sur le rôle que tenaient les joueurs de 21 ans et moins, les U21, dans les principales ligues professionnelles de basket en Europe.\\n\\nCette année, nous avons « profité » des fenêtres internationales et du fait que la plupart des grandes compétitions de club étaient à l’arrêt (exceptées l’Euroleague, l’Eurocup ainsi que les championnats « mineurs », Croatie, Russie, Serbie) pour effectuer notre travail de compilation de statistiques, portant sur 11 grands championnats, 4 ligues « mineures » et 3 coupes d’Europe.\\n\\nNous avons ainsi pris en compte tous les U21 (les joueurs nés en 1999 ou après, ayant 21 ans ou moins au moment du démarrage de leur championnat) des plus grands championnats nationaux européens : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grèce, Israël, Italie, Lituanie et Turquie. À ceux-ci, nous avons ajouté deux championnats « supra-nationaux », la Ligue Adriatique (qui regroupe les meilleurs clubs de la plupart des pays de l’ex-Yougoslavie) et la VTB League, qui oppose les plus forts clubs russes à d’autres de pays limitrophes, Kazakhstan, Biélorussie ou Estonie.\\n\\nPour aller plus loin, nous avons inclus à cette étude quatre championnats que l’on peut considérer comme de « deuxième division » afin de mesurer s’ils constituaient une passerelle avec leurs « premières divisions » : l’ABA2 (deuxième division de la Ligue Adriatique), championnats nationaux croate (auquel les grands clubs tels que le Cibona Zagreb ou Split, que l’on retrouve également en Ligue Adriatique, participent) et serbe (les gros clubs locaux ne participent qu’aux playoffs, se concentrant sur la Ligue Adriatique lors de la première phase) ainsi que SuperLeague russe, l’équivalent russe de notre Pro B. Enfin, nous avons recensé les U21 ayant foulé le parquet dans les trois plus importantes coupes d’Europe des clubs, Euroleague, Eurocup et Basketball Champions League (BCL).\\n\\n462 U21 dans les 11 ligues majeures\\n\\nÀ l’arrivée, nous avons pu comptabiliser 737 joueurs U21 (soit 4 de moins que la saison passée) ayant joué au moins une seconde dans l’une ou plusieurs de ces compétitions (par exemple, un U21 du Cibona Zagreb peut avoir joué en championnat croate et en Ligue Adriatique, il n’est comptabilisé qu’une fois dans notre étude). 462 d’entre-eux ont évolué dans l’une ou l’autre des onze ligues majeures d’Europe (24 de plus que la saison passée), 300 en « deuxième division » (18 de mieux qu’en 2019-20), alors que 31 joueurs (10 de mieux que l’an passé) ont évolué dans l’une des coupes d’Europe sans le faire dans leur championnat domestique ou en jouant dans une compétition exclue de cette étude (la République Tchèque, pour Nymburk, ou la Pologne, pour Gdynia, par exemple). De façon plus globale, ils ont été 174 (29 de mieux que l’an dernier) U21 à avoir évolué au moins une seconde dans l’une ou l’autre de ces coupes d’Europe. À noter : si le total global du nombre de U21 entrés au moins une fois en jeu est en très légère diminution alors que pour chaque « catégorie » (grands championnats, championnats mineurs, coupes d’Europe), il est en augmentation, cela tient au fait que bon nombre de joueurs ont évolué dans plusieurs compétitions : par exemple, un Russe évoluant régulièrement en SuperLeague peut avoir joué également en VTB League et dans une coupe d’Europe, il n’est comptabilisé qu’une seule fois dans notre total global.\\n\\nPar ailleurs, si ce chiffre de 737 joueurs semble élevé, il faut le relativiser : il concerne aussi bien le joueur déjà accompli qui évolue 30 minutes par match pour 12 ou 13 d’évaluation que le très jeune qui a passé en tout et pour tout une seconde sur un parquet de l’élite de son pays. C’est pourquoi nous nous sommes attachés à mesurer combien de U21 jouaient réellement dans leurs championnats respectifs. À partir d’un principe simple : sont retenus ceux qui ont participé à au moins un tiers des matchs de leur équipe et ont eu droit à plus de 5 minutes de temps de jeu moyen. Là, de 737, on passe à 399 joueurs (71 de plus que l’an passé) ayant un véritable rôle (même mineur). Nous en avons dénombré 225 dans les grandes ligues (un chiffre à comparer aux 161 de la saison passée !) et 184 dans celles de « deuxième division » (23 de plus que l’an dernier) – 16 ayant aussi eu du temps de jeu dans un championnat mieux coté (VTB ou Ligue Adriatique), 6 n’ayant joué que dans une coupe d’Europe (comme la saison dernière – ils sont 89 U21 à avoir du temps de jeu en coupes d’Europe, dont 83 également en club). Le chiffre total ne correspond pas à l’addition des trois sous-totaux, nous avons déduit les « doublons », ces U21 ayant joué dans deux types de championnats.\\n\\nLes « bons » championnats pour les U21\\n\\nPartant de là, quels sont les championnats qui font le plus jouer de U21 ? Les clubs qui leur donnent le plus leur chance ? Pour quel résultat (faire jouer des jeunes si le club est bon dernier n’a pas la même valeur que s’il se bat pour les play offs...) ? Quels sont les meilleurs jeunes de ces championnats ? Et, au final, quels sont les meilleurs U21 évoluant en Europe ?\\n\\nNous vous proposons une étude championnat par championnat, en commençant par les « grandes ligues » avant d’aborder les « deuxièmes divisions » puis les coupes d’Europe et de terminer sur une synthèse en cinq parties. Au total, ce seront donc 23 articles que vous allez pouvoir découvrir dans les jours et semaines à venir sur les U21 d’Europe.\\n\\nAvec, pour démarrer, ceux qui évoluent dans la BBL allemande.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n15 ligues et trois coupes d’Europe, près de 740 joueurs de 44 nationalités... Ils ont 21 ans ou moins et évoluent au plus haut niveau en Europe. Mais quelles sont les ligues qui accordent le plus de temps de jeu à ces U21 ? Et quels sont les joueurs les plus prometteurs ?\\n\\nLa saison passée, entre le 17 avril et le 25 mai (à retrouver ICI, ce dernier article recensant à sa fin les liens vers tous les autres articles du dossier), nous avions publié une importante étude en 24 actes sur le rôle que tenaient les joueurs de 21 ans et moins, les U21, dans les principales ligues professionnelles de basket en Europe.\\n\\nCette année, nous avons « profité » des fenêtres internationales et du fait que la plupart des grandes compétitions de club étaient à l’arrêt (exceptées l’Euroleague, l’Eurocup ainsi que les championnats « mineurs », Croatie, Russie, Serbie) pour effectuer notre travail de compilation de statistiques, portant sur 11 grands championnats, 4 ligues « mineures » et 3 coupes d’Europe.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 29ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait la 29ème journée de l’Euroleague.\\n\\nDans l’un des deux matchs au sommet de la journée, le leader, le FC Barcelona, se déplaçait dans la capitale espagnole pour y affronter le Real, sixième. Le club catalan récupérait pour l’occasion son intérieur Pierre Oriola. Il débute parfaitement la rencontre par un 7-0. Les débats seront équilibrés par la suite et le Real ne mènera au score en tout et pour tout que pendant trois minutes. Le Barca réussit à contrôler la partie et remporte une victoire importante chez son rival 81-76. Il a réussi un joli 11/22 à 3-points. Le leader de l’équipe de Sarunas Jasikevicius a été Nikola Mirotic, auteur d’un match complet. Avec 24 d’évaluation, il est le meilleur intérieur de la semaine. Du côté madrilène, Walter Tavares est le co-meilleur rebondeur avec 11 unités et ce, pour la cinquième fois de la saison. Avec cette victoire, le Barca est la première équipe qualifiée pour les Playoffs.\\n\\nDans le second match au sommet, le CSKA Moscou recevait Milano à la Megasport Arena devant 4 297 spectateurs. Cette rencontre opposait le deuxième au troisième. Le club moscovite enregistrait le forfait de Janis Strelnieks alors que Zach LeDay était de retour pour le club lombard. Ce dernier réalise un premier quart parfait, tant sur le plan offensif en marquant 30 points que sur le plan défensif en ne concédant que 10 points à son adversaire. Doté de 20 points d’avance, il gère la suite du match et s’impose finalement 84-76. Le CSKA n’aura jamais mené dans cette partie. L’équipe d’Ettore Messina a été porté par Kevin Punter. Starter à la mène en l’absence de Malcolm Delaney, il a réalisé un match offensif abouti. Avec 32 points, il est le meilleur marqueur de la journée. Il en est de plus le meilleur meneur. Du côté russe, Tornike Shengelia s’est mis en valeur. Avec un double-double (20 points et 10 rebonds), il est le MVP européen de la semaine. Suite à cette rencontre, les deux équipes inversent donc leur rang au classement.\\n\\nLe Bayern Munich, quatrième, se déplaçait à Vitoria pour y affronter le TD Systems Baskonia. La première mi-temps a été très équilibrée et l’écart n’a jamais dépassé les sept points. A la pause, les deux équipes sont à égalité. Au retour des vestiaires, l’équipe basque réalise un gros troisième quart qu’il gagne de 15 points. Malgré un retour du Bayern dans le dernier quart, Baskonia crée la surprise et s’impose 78-71. Cette rencontre s’est résumé à un duel de pivots entre Tonye Jekiri et Jalen Reynolds. Le premier a été le leader de son équipe avec un match complet (15 points, 9 rebonds, 5 passes). Il a été bien servi par son meneur Pierria Henry, meilleur passeur de la semaine avec 10 unités pour la quatrième fois de la saison. Le second, avec 34 d’évaluation, est le MVP de la journée malgré la défaite. Le Bayern Munich perd une place et sort du Top 4.\\n\\nL’Anadolu Efes, cinquième, recevait le Zalgiris Kaunas. Il n’y a pas eu de suspens dans cette rencontre où le club lituanien n’a jamais mené au score. Le club stambouliote a remporté les trois premiers quarts et mène de 28 points après 30 minutes. Il remporte facilement ce match 89-62. L’équipe d’Ergin Ataman a été emmenée par son duo de meneurs Vasilije Micic-Shane Larkin, auteur d’une évaluation cumulée de 48. L’Anadolu Efes profite de la défaite du Bayern pour prendre la quatrième place.\\n\\nEn clôture de la journée, Fenerbahce, septième, se déplaçait à Valencia. Le club turc déplorait l’absence de son arrière Marko Guduric. Contre toute attente, c’est le club espagnol qui démarre le mieux la rencontre. Il remporte les deux premiers quarts et mène de 9 points à la pause. Au retour des vestiaires, le club stambouliote serre la vis en défense. Il n’encaisse que 8 points dans le troisième quart. Cependant, il ne peut marquer que 11 points. Dans le dernier quart, Valencia repart de l’avant et assure une belle victoire 66-52. Son leader a été le meneur belge Sam Van Rossom avec 17 points à 7/9.\\n\\nLe Zenit St Petersburg, huitième, se déplaçait au Pirée pour y affronter l’Olympiacos. Il récupérait pour ce match KC Rivers. Le club russe démarre le match très fort et remporte le premier quart de 13 points. L’écart monte jusqu’à 17 points mais le club grec remporte les deux quarts suivants et revient à 2 points. Dans le dernier quart, il limite son adversaire à 5 petits points et remporte une belle victoire 75-61. L’équipe de Georgios Bartzokas a été portée par un duo Sasha Vezenkov-Vassilis Spanoulis qui a cumulé 31 d’évaluation. Du côté russe, Mateusz Ponitka est le co-meilleur rebondeur de la journée avec 11 unités, ce qui est une bonne performance pour un ailier.\\n\\nL’ASVEL recevait l’Alba Berlin. Le club rhônalpin enregistrait le retour d’Antoine Diot alors que le club de la capitale allemande déplorait l’absence de Maodo Lo. L’ASVEL remporte les deux premiers quarts et mène de 9 points à la mi-temps. Mais au retour de la pause, la dynamique s’inverse et le club berlinois remporte les deux quarts suivants. Il prend le leadership à la 34ème minute pour s’envoler vers la victoire (95-89). L’Alba a été emmené par un trio Peyton Siva-Simone Fontecchio-Johannes Thiemann, auteur d’une évaluation cumulée de 67. Le second est même le meilleur ailier de la semaine. Du côté villeurbannais, Guerschon Yabusele s’est mis en évidence. Avec 20 d’évaluation, il est le MVP français pour la seconde fois de la saison. De plus, Matthew Strazel a pleinement profité de ses 19 minutes de jeu pour obtenir le titre de Rising Star de la journée pour la seconde fois de la saison lui aussi.\\n\\nLe Panathinaikos recevait le Maccabi Tel-Aviv. Le club grec limite son adversaire à 9 points dans le premier quart qu’il remporte de 16 points. Le Maccabi réagit et remporte les deux quarts suivants pour prendre l’avantage de 3 points au bout de 30 minutes. Mais le Panathinaikos réitère sa performance du premier quart et l’emporte 81-63. Le leader de l’équipe d’Oded Katash a été Konstantinos Mitoglou. Avec 23 d’évaluation, il est le meilleur pivot européen de la semaine.\\n\\nEnfin, l’Etoile Rouge Belgrade recevait le Khimki Moscou. Cette rencontre opposait les deux dernières équipes. Privé d’un certain nombre de joueurs dont Alexey Shved, le Khimki gagne malgré tout le premier quart de 7 points. Mais le club serbe remporte les trois suivants et s’impose 92-81. Il a été porté par un trio composé de Jordan Loyd, Corey Walden et Dejan Davidovac, auteur d’une évaluation cumulée de 68. Le premier est même le meilleur arrière de la semaine. Du côté russe, Errick McCollum s’est mis en avant en sortie de banc. Avec 33 d’évaluation, il est le Meilleur Sixième Homme de la semaine.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, de Milano, du CSKA Moscou et de l’Anadolu Efes.\\n\\nPour la première place, le Barca est hors de danger immédiat. Les 8 premiers sont encore concernés par la pole position.\\n\\nPour la seconde place, Milano, le CSKA Moscou, l’Anadolu Efes et le Bayern Munich sont à la lutte. Les 11 premiers sont concernés par cette lutte.\\n\\nPour le Top 4, les mêmes équipes se la disputent. Et les 12 premiers plus le Maccabi Tel-Aviv peuvent encore en faire partie.\\n\\nPour terminer, le Top 8 concerne les 16 premiers. Seul le Barca est déjà qualifié.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nJalen Reynolds (C/US/28)\\n\\nBayern Munich\\n\\n34 d’éval (18 pts à 8/11, 2/2 aux LF, 10 rbds, 7 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Kevin Punter\\n\\nMilano\\n\\n28 d’éval\\n\\nSG Jordan Loyd\\n\\nEtoile Rouge Belgrade\\n\\n27\\n\\nSF Simone Fontecchio\\n\\nAlba Berlin\\n\\n20\\n\\nPF Nikola Mirotic\\n\\nBarcelona\\n\\n24\\n\\nC Jalen Reynolds\\n\\nBayern Munich\\n\\n34\\n\\nB Errick McCollum\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n33\\n\\nMVP européen:\\n\\nTornike Shengelia (PF/Geo/29)\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n33 d’éval (20 pts à 8/10 dont 3/4 à 3 pts, 10 rbds, 2 pds, 4 int)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Kevin Punter\\n\\nMilano\\n\\n28 d’éval\\n\\nSG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n18\\n\\nSF Simone Fontecchio\\n\\nAlba Berlin\\n\\n20\\n\\nPF Nikola Mirotic\\n\\nBarcelona\\n\\n24\\n\\nC Konstantinos Mitoglou\\n\\nPanathinaikos\\n\\n23\\n\\nB Tornike Shengelia\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n33\\n\\nMVP français:\\n\\nGuerschon Yabusele (PF/25)\\n\\nASVEL\\n\\n20 d’éval (20 pts à 7/10 dont 2/3 à 3 pts, 4/4 aux LF, 2 rbds, 2 pds, 3 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nMatthew Strazel (PG/Fra/18)\\n\\nASVEL\\n\\n11 d’éval (9 pts à 2/3 dont 1/2 à 3 pts, 4/4 aux LF, 1 rbd, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nKevin Punter\\n\\nMilano\\n\\n32 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nWalter Tavares\\n\\nMateusz Ponitka\\n\\nReal Madrid\\n\\nZenit St Petersburg\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nPierria Henry\\n\\nBaskonia\\n\\n10 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 21-8\\n 2. Milano 19-10\\n 3. CSKA Moscou 18-10\\n 4. Anadolu Efes\\n 5. Bayern Munich 18-11\\n 6. Real Madrid 17-12\\n 7. Fenerbahce\\n 8. Zenit St Petersburg 16-12\\n 9. Baskonia 15-14\\n 10. Valencia\\n 11. Zalgiris Kaunas\\n 12. Olympiacos 13-16\\n 13. ASVEL 12-17\\n 14. Maccabi Tel-Aviv 11-16\\n 15. Alba Berlin 11-18\\n 16. Panathinaikos 10-17\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 8-21\\n 18. Khimki Moscou 3-25\\n\\nPhoto: Jalen Reynolds (Bayern Munich, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Germain Castano (coach Orléans) : «C’est une bonne semaine, une très très bonne semaine»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce samedi, Orléans a remporté son premier succès de la saison à l’extérieur en disposant d’une faible équipe de Pau-Lacq-Orthez (72-101) dans son palais des sports.\\n\\nAprès cinq échecs, souvent de justesse, Orléans est enfin parvenu à s’imposer à l’extérieur. Une victoire sérieuse avec l’état d’esprit recherché par le coach Germain Castano. Et avec seulement 72 points encaissés.\\n\\n« Le +30, c’est tant mieux mais le plus important, c’est la victoire. Je trouve qu’on leur a fait beaucoup de cadeaux en première mi-temps, des ballons perdus, des paniers faciles en contre-attaque, des erreurs défensives. Et en début de deuxième mi-temps, c’était différent. On était plus concentrés, on a laissé moins de choses. Quand vous encaissez 13 points et que vous en mettez 28 sur le troisième quart-temps, c’est quand même plus facile. Je ne dis pas qu’on n’était pas sérieux en première mi-temps, mais on a été très efficaces sur la deuxième. »\\n\\nPlus qu’efficace, il s’agit de la plus large victoire de l’équipe orléanaise (+29) loin de ses bases depuis qu’elle évolue au plus haut niveau français, à égalité avec le succès à Châlons... en 2006 ! Ce succès vient couronner une très belle semaine, après la victoire contre Roanne (108-100). L’OLB (6 victoires – 6 défaites) monte à la 8e place de Jeep Elite.\\n\\n« C’est une bonne semaine, une très très bonne semaine. Aujourd’hui, Pau est un concurrent direct (pour le maintien). On les a battu deux fois, c’est une très bonne chose. J’ai beaucoup aimé les attitudes collectives. Après, on peut profiter mais il faut vite passer à autre chose parce que dès mardi, on a un match difficile et excitant et on va essayer de les prendre les uns après les autres.«\\n\\nL’OLB enchaînera ce mardi avec la réception de la JDA Dijon, le dauphin de Monaco, au palais des sports. Coup d’envoi à 19 heures.\\n\\nPhoto : Germain Castano (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Boulogne-Levallois à l’affiche sur Sport en France et La Chaîne L’Équipe" }, {"role": "assistant", "content":"Si les Metroplitans 92 ont validé leur qualification pour les quarts de finale d’Eurocup et ont imité Monaco qui s’est qualifié une semaine plus tôt, les hommes de Jurij Zdovc enchaînent avec Limoges en Jeep Elite mardi soir et contre l’Asvel samedi en coupe de France. De son côté, Strasbourg se déplacera en Grèce sur le parquet de l’AEK Athènes mardi soir à 18h30. Tandis que le SLUC Nancy accueillera l’Hermine de Nantes dimanche à 15h20, pour le compte de la 9e journée en retard de PRO B.\\n\\nNDLR (1) : la rencontre d’Euroleague entre le Maccabi Tel-Aviv et LDLC Asvel a été reportée au 4 avril.\\n\\nNDLR (2) : Ce programme ne comprend que les matchs de Jeep Elite et de Pro B diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe et de Sport en France. Tous les autres matchs de Jeep Élite et de Pro B sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nMardi 16 mars :\\n\\n18h30 – AEK Athènes/ Strasbourg – BCL – Canal+Sport\\n\\n20h30 – Limoges/Boulogne-Levallois – Jeep Elite – Sport en France\\n\\nJeudi 18 mars :\\n\\n18h00 – Zenit Saint Petersbourg/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Alba Berlin/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport live 8\\n\\n21h00 – Real Madrid/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\nVendredi 19 mars :\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Valence – Euroleague – RMC Sport Live 3\\n\\n20h00 – Panathinaïkos/Étoile Rouge de Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 4\\n\\n20h30 – Bayern Munich/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – Milan/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 20 mars :\\n\\n18h45 – ASVEL/Boulogne-Levallois – Coupe de France – La Chaîne L’Équipe\\n\\nDimanche 21 mars :\\n\\n15h20 – SLUC Nancy/Nantes – PRO B – France 3 Grand Est\\n\\nPhoto : Metropolitans 92 (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Italie : Marco Belinelli et Milos Teodosic les plus suivis sur Facebook" }, {"role": "assistant", "content":"L’international italien Marco Belinelli, de retour de NBA, est le joueur le plus suivi sur Facebook des joueurs de Serie A. Il devance son équipier serbe Milos Teodosic ainsi que les Milanais Sergio Rodriguez et Luigi Datome et ces quatre-là sont les seuls à avoir plus de 100 000 followers. Surprise, l’Argentin Luis Scola n’est que 10e de ce palmarès.\\n\\nSont également indiqués les joueurs les plus suivis par club. On constate que personne n’est performant à Cantu.\\n\\nNomEquipeNombreEquipeNomNombreMarco BelinelliVirtus Bologna359.867Fortitudo BolognaPietro Aradori29.322Milos TeodosicVirtus Bologna279.509Virtus BolognaMarco Belinelli359.867Sergio RodriguezMilano239.132BresciaDavid Moss21.096Luigi DatomeMilano229.745BrindisiRiccardo Visconti6339Carlos DelfinoPesaro53.498CantùSha’Markus Kennedy234Austin DayeVenezia50.006CremonaGiuseppe Poeta6368Pietro AradoriFortitudo Bologna29.322MilanoSergio Rodriguez239.132Bruno CerellaVenezia26.231PesaroCarlos Delfino53.498David MossBrescia21.096Reggio EmiliaLeonardo Candi3817Luis\\nScolaVarese18.864SassariStefano Gentile7955Andrea CinciariniMilano14.410TrentoLuca Lechthaler738Kyle HinesMilano13.983TrevisoMatteo Chillo770Matteo TamboneVarese12.411TriesteTommaso Laquintana5140Stefano GentileSassari7955VareseLuis Scola18.864Brian SacchettiBrescia7943VeneziaAustin Daye50.006\\n\\nPhoto: Marco Belinelli (Virtus Bologne)" }, {"role": "user", "content":"Italie : fin de série pour la Virtus Bologne, après 14 mois sans défaite à l’extérieur" }, {"role": "assistant", "content":"Après plus de 14 mois sans défaite à l’extérieur, Brindisi a mis fin à la série d’invincibilité à l’extérieur de la Virtus Bologne ce samedi (91-85).\\n\\nL’incroyable série de l’équipe d’Aleksandar Djordjevic se termine après 24 matchs sans défaite loin de ses bases. Elle avait débutée le 8 janvier 2020 après la victoire de la Virtus Bologne contre le Partizan (sans tenir compte des matchs sur terrain neutre). Contre Brindisi, Marco Belinelli (8 points à 2/11) et Milos Teodosic (15 points à 5/14) sont passés à côté.\\n\\n« Leurs individualités étaient vraiment inspirées, notamment Bostic (27 points). Ils nous ont punis avec leur qualité athlétique, et parfois nous n’étions pas assez concentrés au niveau des fautes. Cela dit, nous voyons que Brindisi réalise une excellente saison, alors félicitations à eux. La première défaite à l’extérieur ? C’est dommage mais ça devait arriver tôt ou tard, malheureusement c’est arrivé ce soir », note Aleksandar Djordjevic.\\n\\nPhoto : Milos Teodosic (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Laurent Serres (président Boulazac) : «Depuis le mois d’octobre, nous militons pour que cette saison n’ait pas d’enjeux sportifs»" }, {"role": "assistant", "content":"Suite au report du match de hier soir entre Cholet et Boulazac prévu à La Meilleraie, le président du BBD, Laurent Serres, s’est fendu d’un communiqué. Le voici :\\n\\n« Le club de Cholet est venu nous informer de cas de Covid dans leur effectif à quelques minutes du match.\\n\\nNous avons vu à la sortie des vestiaires qu’il manquait des joueurs et avons alors compris qu’ils venaient d’être mis à l’isolement.\\n\\nLa ligue a alors été informée de la situation, et il nous a été demandé d’attendre leur décision.\\n\\nPendant ce temps-là, nous avons eu des échanges constructifs avec les dirigeants de Cholet, mais aussi avec les arbitres qui ont immédiatement déclaré que dans ces conditions ils ne souhaitaient pas arbitrer le match.\\n\\nLe commissaire de la rencontre nous a mis en relation téléphonique avec la ligue qui elle-même faisait le lien avec la commission sanitaire. Ces derniers ont confirmé que le protocole sanitaire permettait la tenue du match... Contre toute évidence.\\n\\nLa ligue nous a donc demandé (aux présidents de Cholet et moi-même) de confirmer notre refus de jouer.\\n\\nLe BBD aurait pu rester silencieux et faire porter la responsabilité de l’annulation du match au club de Cholet. Nous aurions pu profiter de la situation pour jouer contre une équipe affaiblie, voire même pénalisée par la commission de discipline de la ligue.\\n\\n« L’intérêt » du BBD aurait donc été de ne pas prendre position, et de rentrer sur le parquet. Mais face à cette situation, il n’était pas possible de privilégier nos intérêts personnels.\\n\\nNous le répétons depuis le début de la saison, il ne faut pas que la crise sanitaire laisse un club sur le bord de la route. Il ne doit pas y avoir de perdant.\\n\\nNous avons donc fait le choix de la cohérence et de la solidarité avec Cholet en ayant la sécurité sanitaire de tous comme priorité indiscutable.\\n\\nLa décision du Maire de fermer la salle a ensuite mis fin à ces discussions.\\n\\nDepuis le mois d’octobre, nous militons pour que cette saison n’ait pas d’enjeux sportifs, qu’il n’y ait pas de relégations. Et que la saison prochaine se dispute à 20 clubs pour permettre tout de même 2 montées de la ProB. Le refus de s’inscrire dans cette logique met la pression sur les clubs qui prennent des risques économiques pour se maintenir. Et l’épisode d’hier soir est encore une illustration des tensions que cela engendre.\\n\\nNous avons souhaité rester fidèles à nos valeurs, et nous réveillons ce dimanche matin avec le sentiment d’avoir eu la bonne attitude ».\\n\\nLaurent Serres\\n\\nPhoto: BBD" }, {"role": "user", "content":"Turquie: Mam Jaiteh ne peut éviter une déroute de Gaziantep face à Anadolu Efes" }, {"role": "assistant", "content":"Anadolu Efes a torpillé Gaziantep dans le championnat turc: 102-63 et obtenu ainsi sa 23e victoire en 24 matches.\\n\\nAdrien Moerman et Rodrigue Beaubois ont marqué respectivement 2 et 12 points du côté des vainqueurs alors que dans le camp de Gaziantep, Mam Jaiteh a fait son possible pour sauver les meubles : 21 points (7/17 aux shoots), 5 rebonds, 4 passes, 1 contre, mais aussi 7 balles perdues.\\n\\nGaziantep présente néanmoins un bilan équilibré: 12-12." }, {"role": "user", "content":"NBA: Axel Toupane obtient un two-way contract aux Milwaukee Bucks" }, {"role": "assistant", "content":"Alex Toupane (1,99m, 28 ans) est récompensé de ses excellente prestations (17,1 points, 8,1 rebonds) dans la bulle de G-League avec les Santa Cruz Warriors. Les Milwaukee Bucks lui ont offert un « two-way contract » et il aura ainsi la possibilité de jouer en NBA, y compris en playoffs.\\n\\nL’international compte actuellement 25 matches à son actif en NBA dont déjà 2 avec les Bucks.\\n\\nAxel Toupane avait signé en début de saison un contrat avec la SIG Strasbourg mais il n’avait joué qu’un match lors de la 1ère journée contre Le Mans. Il avait été blessé et une clause dans ce contrat lui avait permis ensuite de rejoindre la G-League. Il avait ainsi décliné sa sélection en bleu pour la fenêtre de novembre.\\n\\nSes performances lui permettent incontestablement d’être un sérieux candidat à l’équipe de France pour les Jeux Olympiques de Tokyo, lui qui a été médaillé de bronze lors de la Coupe du monde en Chine en 2019.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Laurent Vila (coach Pau) : «On ne peut pas faire des matches comme celui-là, c’est ridicule»" }, {"role": "assistant", "content":"« On ne peut pas faire des matches comme celui-là, c’est ridicule. Je suis déçu et remonté... Très remonté (...) Il faut arrêter de penser à son petit égo, il faut tout donner à l’équipe car aujourd’hui, on met le club en danger avec de pareils comportements. Je suis désolé mais aujourd’hui je ne peux pas protéger des joueurs qui ne s’engagent pas, qui font les danseuses ou les pleureuses. Aujourd’hui, pas de cadeaux, c’est fini. Le mec prêt à s’engager à 100% jouera, le mec qui servira le collectif jouera, les autres regarderont. Jusqu’à ce qu’ils changent de comportement. »\\n\\nVoici ce qu’a déclaré en substance le coach palois Laurent Vila en conférence de presse, propos rapportés par Sud Ouest. Ce que les spectateurs sur LNBTV ont vu n’était pas beau à voir. Dans son palais, l’Elan a été martyrisé par Orléans, une équipe de milieu de tableau: 72 à 101 ! Les défaillances individuelles sont forcément nombreuses. On notera ainsi que les deux recrues américaines n’ont pas été à la hauteur. CJ Williams a mis du temps a obtenir ses 8 points et il atteint péniblement 6 à l’évaluation. Quant à Tony Wrotten, il a joué 11 minutes et il s’est surtout signalé par ses 4 balles perdues.\\n\\nA l’inverse, le quatuor d’Américains de l’OLB (Darius Johnson-Odom, LaMonte Ulmer, Luke Fischer, Paris Lee) a été redoutable obtenant 79 des 117 de l’évaluation orléanaise.\\n\\nAujourd’hui, l’Elan Béarnais est en discussion avec des repreneurs américains, mais aujourd’hui aussi, il est en marche pour une 3e relégation en Pro B. Avec 3 victoires et 10 défaites, les Palois ne devancent plus au classement que Boulazac. L’heure est grave. Laurent Vila a raison de durcir le ton, mais il est forcément le premier sur la site si les décideurs actuels du club -qui exactement?- optent pour un nouveau changement.\\n\\nMardi, Pau se rend à Bourg. Bigre ! Et surtout samedi prochain, la visiteuse du palais des sports sera la Chorale de Roanne. Et là, il ne faudra pas se louper." }, {"role": "user", "content":"Julien Espinosa (coach Chalon) : «nous avons manqué de réalisme en défense»" }, {"role": "assistant", "content":"La SIG Strasbourg est plus à son aise en Jeep Elite qu’en BCL où elle a cette semaine concédé une deuxième défaite d’affilée dans le top 16. Elle s’est imposée hier soir face à Chalon, 92-96. A la faveur de la défaite de Boulogne-Levallois à Dijon, la voici qui intègre le top 4 (12 victoires, 8 défaites), même si le nombre de matches inégal des équipes rend le classement peu lisible.\\n\\nAu tableau d’honneur, on retrouve l’ailier US Ishmail Wainright (1,96m, 26 ans), qui a fonctionné en mode triple double même s’il n’a pas été réalisé: 12 points (5/6 aux shoots), 8 passes et 7 rebonds. Il a ajouté 3 interceptions pour obtenir 31 à l’évaluation.\\n\\nA l’inverse, l’Elan Chalon est toujours coincé dans la deuxième moitié du classement (4 victoires, 8 défaites). Comme l’a noté le coach bourguignon, Julien Espinosa, en conférence de presse -propos repris sur le site de la SIG-, c’est en défense que son équipe a pêchée.\\n\\n« 96 points encaissés c’est trop ! Cela met la barre très haute pour le niveau offensif à produire. Cela ne veut pas dire que nous n’avons pas fait l’effort, mais nous avons manqué de réalisme en défense. On essaye de pousser en défense, en étant capable de mettre plus de pression, mais un des axes de progression est de pouvoir mettre plus de pression sur l’attaque adverse. Ce qui demande plus de coordination. Nous avons fait des erreurs ce soir. Dans le premier quart temps nous n’avons pas mis assez de pression et ensuite, nous corrigeons le tir dans le deuxième quart temps.\\nEn deuxième mi-temps, nous manquons de réactivité et de spontanéité dans notre défense collective. On a eu des retards qui ont donné de bonnes opportunités à la SIG Strasbourg et qui a été particulièrement réaliste en attaque. Ils n’ont presque rien raté avec 55% de réussite à 3 points. Ils ont été brillants dans ce secteur. Nous savions qu’ils avaient des joueurs capables d’aligner des tirs.\\nIls ont fait une belle performance. J’ai malgré tout quelques regrets concernant notre prestation défensive car ils y a des situations que nous aurions pu faire tourner à notre avantage. Mais il faut apprendre de cela et passer le cap d’ici le prochain match. »\\n\\nPhoto: Charlotte Geofffray (Elan Chalon)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : L’ASVEL relègue Limoges à la 11e place" }, {"role": "assistant", "content":"L‘Asvel s’est réveillée et s’est imposée facilement face à Limoges (83-60) pour le compte de la 24e journée de Jeep Elite. Après ses quatre défaites de suite toutes compétitions confondues, les Rhodaniens ont bien réagi et remportent leur septième match de la saison en Jeep Elite pour 4 revers.\\n\\nC’était un rendez-vous historique du championnat de France. Limoges face à Villeurbanne. Cela aurait dû être un match au sommet, joué dans un chaudron bouillant qu’est Beaublanc, mais en raison du COVID-19, il n’est resté qu’un silence de cathédrale. Si lors du match aller il y a quelques semaines, le Limoges CSP a joué les yeux dans les yeux face à l’Asvel à l’Astroballe, les joueurs de Mehdy Mary ont énormément souffert ce samedi à l’occasion du match retour.\\n\\nLes Villeurbannais étaient revanchards. Avec le retour de David Lighty, les hommes de TJ Parker ont rapidement pris les commandes du match grâce à une solide défense et une adresse insolente (6/6 à trois-points puis 9/16) qui leur ont permis de terminer le premier quart avec douze unités d’avance (15-27). Dans le second acte, tout s’est accéléré, Jerry Boutsiele et le CSP n’ont pas pu empêcher le raz-de-marée des Rhodaniens. Bien plus agressif dans le jeu et appliqué offensivement, Villeurbanne a délivré pas moins de 14 passes décisives dans cette première mi-temps et a montré son visage de patron pour être largement en tête à la pause (33-48).\\n\\nNicolas Lang et Jerry Boutsiele trop seuls\\n\\nAprès avoir suffoqué, Limoges a retrouvé des couleurs dans le troisième quart avec Nicolas Lang (23 points, 9/20 aux tirs dont 4/9 à trois-points et 9/9 aux lancers-francs) et Jerry Boutsiele (11 points, 5/11 aux tirs, et 7 rebonds) pour réaliser un rapproché à onze points en collant un 11-2 à l’Asvel. Les Villeurbannais leur ont répondu aussitôt et s’en sont remis à Thomas Heurtel (15 points et 6 rebonds) et Amine Noua (13 points, 3 rebonds et 3 passes) pour passer un 20-4 fatal aux Limougeauds et mettre un terme au suspense de cette rencontre.\\n\\nEn manque de rotations et diminué après les blessures en cours de match de Marcus Ginyard et Grismay Paumier, Limoges a couru après le score toute la soirée, comptant jusqu’à 27 points de retard. Avec seulement 34,5 % de réussite aux tirs, les hommes de Mehdy Mary ont explosé en vol. Englué dans une spirale négative, relégué à la 11e place, le CSP devra se remobiliser avant de recevoir un autre gros bras du championnat, Boulogne-Levallois, mardi soir à Beaublanc.\\n\\nMedhy Mary (Coach CSP Limoges) : « Nous nous sommes vraiment bien entraînés cette semaine. Face à une équipe revancharde, pleine de qualités et très vigilante, il était dur de jouer et de faire face à cette intensité défensive. » a avoué le coach du CSP à France Bleu Limousin. « Nous avons eu des moments où nous les avons repoussés et d’autres où nous avons fait de mauvaises choses. Il y a mieux à faire et nous avons payé cher notre maladresse en première mi-temps. »\\n\\nTJ Parker (Coach LDLC Asvel) : « Je suis satisfait. Nous avons vraiment montré notre vrai visage vis-à-vis de ce que nous avons fait en Euroleague avec de l’intensité défensive. C’est ce qui nous manquait sur les derniers matchs, nous l’avons montré ce soir et ça change tout. C’est comme ça qu’on gagne les matchs, on ne doit pas le faire qu’en Euroleague face aux grosses équipes, il faut aussi le faire en Jeep Elite, nous avons de la rotation, il faut profiter de ça » a déclaré le coach villeurbannais au micro de La Chaîne L’Équipe.\\n\\nJerry Boutsiele (CSP Limoges) : « Le début résume clairement le match. Offensivement, nous n’avons pas pu jouer et exécuter nos systèmes. Ils étaient beaucoup plus intenses qu’au match aller. Revenir face à une équipe comme ça, c’est compliqué. Au troisième quart-temps nous avons eu un sursaut d’orgueil mais c’est aussi le moment où le match a basculé. Les blessures nous ont coûté des rotations, mais il faut faire avec. »\\n\\nPhoto : Thomas Heurtel (Infinity Nine Media – Alexia Leduc)" }, {"role": "user", "content":"Les 6 infos de la semaine : le retour de Thomas Heurtel, première pour les clubs français en Eurocup..." }, {"role": "assistant", "content":"Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 7 au 13 mars. Au sommaire, la qualification historique de Monaco et de Boulogne-Levallois pour les quarts de finale d’Eurocup, le retour de Thomas Heurtel dans le championnat de France, onze ans plus tard, mais aussi le tirage au sort des adversaires des Bleues à l’EuroBasket 2021.\\n\\nDeux clubs français qualifiés pour les quarts de finale de l’Eurocup, une première\\n\\nJamais depuis la refonte de la C2 deux clubs français ne s’étaient qualifiés pour les quarts de finale. C’est désormais chose faite en Eurocup, version 2020-2021. Après Monaco la semaine dernière, Boulogne-Levallois a validé son ticket pour la suite de la compétition en s’imposant sur le fil face au Partizan Belgrade (75-70) mercredi soir. Après sa défaite contre Badalone (88-95), Nanterre est éliminé.\\n\\nAyant terminé premiers de leurs groupes, l’AS Monaco et les Metropolitans 92 auront l’avantage du terrain en quart de finale (au meilleur des trois matchs) respectivement contre le Buducnost Podgorica et Gran Canaria (match aller le 23 mars).\\n\\n\\nHuge night for @lokobasket, @GranCanariaCB and @Metropolitans92 as they qualified for Quarterfinals after winning in Round 6 of the Top 16!#RoadToGreatness pic.twitter.com/VTZvpsahCB\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) March 10, 2021\\n\\n\\nDe son côté, Strasbourg est condamné à ne plus perdre après ses deux défaites en autant de rencontres dans le top 16 de la Basketball Champions League, la dernière en date contre Novgorod (68-73).\\n\\nEuroleague : la licence A se rapproche pour l’Asvel et le Bayern Munich, l’Alba Berlin invité deux ans de plus\\n\\nLors de son dernier conseil d’administration, l’Euroleague a expliqué avoir bien avancé sur l’officialisation de la licence A pour l’Asvel et le Bayern Munich, permettant aux deux clubs une garantie de jouer 10 ans consécutivement dans la compétition.\\n\\nL’Alba Berlin obtient de son côté une invitation pour les deux prochaines saisons d’Euroleague. Le club allemand a fêté dignement la nouvelle en s’imposant jeudi soir contre l’Asvel à l’Astroballe (89-95), la quatrième défaite de rang pour l’équipe villeurbannaise.\\n\\nOnze ans plus tard, le retour de Thomas Heurtel dans le championnat de France\\n\\nToujours à Villeurbanne, un mini-événement s’est produit ce mardi en Jeep Elite : le retour de Thomas Heurtel dans le championnat de France onze ans après son dernier match avec Strasbourg. Un retour gâché par la JDA Dijon (victoire 76-84), mardi soir. En quête de sensations, l’international tricolore a inscrit 9 points (4/7 aux tirs, dont 1/4 à 3-points), réalisé 2 passes décisives mais a également perdu 5 ballons.\\n\\n\\n✨🇫🇷 Quel plaisir de voir Thomas Heurtel en #JeepELITE !\\n\\n😬 Et c'est que le début ⤵️\\n\\n@MT28APRIL x @LDLCASVEL pic.twitter.com/CysUpGldiw\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) March 11, 2021\\n\\n\\nEuroBasket 2021 : les Bleues connaissent leurs adversaires\\n\\nLe tirage au sort de l’EuroBasket féminin (17 au 27 juin) s’est tenu cette semaine en Espagne. Lors de la phase de groupe, qui aura lieu à Strasbourg et à Valence, l’équipe de France défiera la Croatie, la République Tchèque et la Russie. Les Bleues de Valérie Garnier abordent ce championnat d’Europe avec de grandes ambitions (abonnés), alors que, blessée depuis le début de la saison et opérée à deux reprises, Bria Hartley pourrait manquer la compétition, mais aussi les Jeux Olympiques qui auront lieu un mois plus tard.\\n\\n\\nJ-1⃣0⃣0⃣ avant l'@EuroBasketWomen et le 1er tour à Strasbourg\\nOn a tellement hâte ! 🤩\\n▶ https://t.co/USinJWTeh1 pic.twitter.com/t86NAEqUca\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) March 9, 2021\\n\\n\\nTokyo 2021 : Les Jeux Olympiques sans spectateurs étrangers\\n\\nSelon les médias japonais, les Jeux Olympiques auront lieu sans spectateurs étrangers cet été (à Tokyo du 23 juillet au 8 août). Le gouvernement japonais et le comité d’organisation devraient tenir une réunion avec le Comité international olympique (CIO) d’ici la fin du mois pour prendre une décision formelle. Une compétition pendant laquelle l’équipe de France de basket arborera bien la marque Jordan, comme depuis 2017.\\n\\nLe Real Madrid fête ses 90 ans !\\n\\nCette semaine, la section basket du Real Madrid a fêté ses 90 ans ! Avec 91 trophées dans son escarcelle, le club de la capitale, 10 fois champion d’Europe, est l’un des plus prestigieux du monde. Malgré tout, l’équipe de Pablo Laso vit une campagne européenne compliquée en Euroleague. Après sa défaite dans le Clasico (76-81) contre le Barça mercredi, le Real Madrid terminera la saison régulière à 0/6 contre les autres équipes espagnoles de la compétition (Barcelone, Baskonia et Valence).\\n\\n... Mais aussi\\n\\n * Où en sont les Français des Etats-Unis ? (abonnés)\\n * La cession de l’Elan Béarnais aux Américains bouclée fin avril, début mai ?\\n * La Brésilienne Clarissa Dos Santos renforce Villeneuve d’Ascq\\n \\n\\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, c’est ici.\\n\\nPhoto : Thomas Heurtel (Infinity Nine Media)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de la Basketball Champions League, 2ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la deuxième journée du Top 16 de la Basketball Champions League (BCL).\\n\\nTout d’abord, Strasbourg recevait Nizhny Novgorod, sixième de la VTB League. Après sa défaite initiale, le club alsacien se devait de réagir et de l’emporter face au club russe qui débutait après le report de son premier match. Le club français commence parfaitement la rencontre et gagne le premier quart de 9 points. Il comptera jusqu’à 15 points d’avance mais Nizhny Novgorod remporte les trois quarts suivants. Ce dernier reprend le leadership en début de dernier quart et ne le laissera plus. Il s’impose donc 73-68 et remporte une victoire importante. L’équipe de Zoran Lukic s’est imposée grâce à son banc (51 points marqués contre 11 au banc strasbourgeois) avec, notamment, Kasey Shepherd et Sergey Toropov. Ce dernier est même co-meilleur rebondeur de la journée avec 11 unités. Strasbourg enchaine une deuxième défaite qui la place en mauvaise position en vue de la qualification.\\n\\nDans le groupe I, l’Happy Casa Brindisi recevait le Pinar Karsiyaka. Ces deux équipes sont deuxièmes de leur championnat national respectif. Le club italien était handicapé par les absences de D’Angelo Harrison et Alessandro Zanelli. Il prend malgré tout les devants d’entrée dans cette rencontre et ne sera mené au score qu’une minute et 47 secondes en tout et pour tout. Le club turc remonte dans le dernier quart mais Brindisi s’impose au final 83-79 et remporte sa première victoire du Top 16. L’équipe de Frank Vitucci a été emmenée par un trio composé de Darius Thompson, Nick Perkins et Josh Bostic, auteur d’une évaluation cumulée de 71. Elle place ainsi deux joueurs dans le Meilleur Cinq de la semaine avec Thompson à la mène et Perkins au pivot. Avec 33 d’évaluation, le premier est même le MVP de la journée. Il établit le record d’évaluation sur un match du Top 16. Du côté turc, Amath M’Baye est le meilleur intérieur de la semaine et le MVP français pour la seconde fois cette saison.\\n\\nDans l’autre match, l’Hapoel Holon, petit poucet du groupe, se déplaçait au Tofas Bursa. Le club turc devait composer sans son meneur Semaj Christon. Cela ne l’empêche pas de remporter le premier quart de 8 points. Mais le club israélien gagne les trois quarts suivants. Il crée la surprise et s’impose 93-81. L’Hapoel Holon signe ainsi sa seconde victoire en autant de matchs. Il a été porté par le duo de forwards Isaiah Miles et Chris Johnson. Du côté du Tofas Bursa, Berk Ugurlu s’est mis en valeur. Il est ainsi le meilleur meneur européen de la semaine.\\n\\nDans le groupe J, le match au sommet opposait les deux équipes espagnoles, San Pablo Burgos et Tenerife. L’équipe insulaire n’a jamais mené dans cette rencontre et le Champion d’Europe en titre s’est largement imposé 101-79. La victoire de l’équipe de Joan Penarroya a été collective avec 6 joueurs avec plus de 10 d’évaluation. Elle lui permet de prendre la tête du groupe.\\n\\nL’équipe surprise de la saison, le VEF Riga, recevait Igokea. Elle était cependant sérieusement handicapée par les forfaits de Marcis Vitols, Aigars Skele, Arnolds Helmanis et Alexander Madsen. Malgré un bon début du club letton, le représentant de la Republika Srpska prend les commandes du match à partir du milieu du deuxième quart et s’impose tranquillement 91-75. Le leader d’Igokea a été l’ailier Edin Atic. Avec 26 d’évaluation, il est le MVP européen de la semaine. Il a égalé le record d’évaluation d’un joueur européen au Top 16.\\n\\nDans le groupe K, l’AEK Athènes recevait le Türk Telekom. L’équipe de la capitale grecque était privée pour l’occasion de Nikos Zisis, de Vlado Jankovic et de Yanick Moreira. Elle remporte cependant les trois premiers quarts et mène de 11 points après 30 minutes de jeu. Le club turc remporte le dernier quart mais s’incline 74-65. Le leader de l’AEK a été le meneur Daryl Macon avec 20 points et notamment un joli 10/10 aux lancers-francs.\\n\\nDans le groupe L, le Casademont Zaragoza recevait le Brose Bamberg. Il n’y a pas eu de suspens dans cette rencontre et l’équipe espagnole a gagné tous les quarts. Zaragoza s’est tranquillement imposé 77-65. En 17 minutes, Jacob Wiley, récemment arrivé de Gran Canaria, a pris 11 rebonds. Cela fait de lui le co-meilleur rebondeur de la semaine.\\n\\nEnfin, Nymburk recevait Sassari. Le club tchèque devait composer avec les absences de sa star, Vojtech Hruban, et de Petr Benda. Du côté de Sassari, Vasilije Pusica et Eimantas Bendzius n’étaient pas présents. Après 16 minutes équilibrées, Sassari prend l’avantage et s’envole au score. Il comptera un maximum de 14 points d’avance. Mais Nymburk remporte les deux derniers quarts et revient dans le coup. Alors qu’elle n’a plus mené depuis la 13ème minute, elle revient à un petit point à 47 secondes du terme grâce à un tir à 3 points de Lukas Palyza. Et c’est Hayden Dalton qui marque un panier quasiment au buzzer pour donner une victoire surprise 90-89 à Nymburk. Le meneur américain Jerrick Harding a été le leader du club tchèque. Avec 28 points, il est le meilleur marqueur de la semaine. Il établit ainsi le record du Top 16. De plus, Lubos Kovar s’est mis en évidence et est le Rising Star. Malgré la défaite, plusieurs joueurs de Sassari figurent au tableau d’honneur de la journée. Stefano Gentile en est le meilleur arrière, Miro Bilan, le meilleur pivot européen et Filip Kruslin, le Meilleur Sixième Homme européen. De même, le second est co-meilleur rebondeur. Et Marco Spissu est le meilleur passeur pour la troisième fois de la saison avec 10 unités. Il établit le record du Top 16.\\n\\nA l’issue de la journée, six équipes sont invaincues. Zaragoza est la meilleure d’entre elles devant San Pablo Burgos et l’Hapoel Holon.\\n\\n5 équipes n’ont pas remporté de victoires dont Strasbourg. Le Tofas Bursa est la moins bonne.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nDarius Thompson (PG/US/25)\\n\\nBrindisi\\n\\n33 d’éval (23 pts à 9/12 dont 1/2 à 3 pts, 4/4 aux LF, 5 rbds, 6 pds, 4 int, 3 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Darius Thompson\\n\\nBrindisi\\n\\n33 d’éval\\n\\nSG Stefano Gentile\\n\\nSassari\\n\\n19\\n\\nSF Edin Atic\\n\\nIgokea\\n\\n26\\n\\nPF Amath M’Baye\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n16\\n\\nC Nick Perkins\\n\\nBrindisi\\n\\n20\\n\\nB David Kravish\\n\\nBamberg\\n\\n27\\n\\nMVP européen:\\n\\nEdin Atic (SF/Bos/24)\\n\\nIgokea\\n\\n26 d’éval (23 pts à 7/11 dont 4/7 à 3 pts, 7 rbds, 3 pds, 3 bps)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Berk Ugurlu\\n\\nTofas Bursa\\n\\n21 d’éval\\n\\nSG Stefano Gentile\\n\\nSassari\\n\\n19\\n\\nSF Edin Atic\\n\\nIgokea\\n\\n26\\n\\nPF Amath M’Baye\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n16\\n\\nC Miro Bilan\\n\\nSassari\\n\\n18\\n\\nB Filip Kruslin\\n\\nSassari\\n\\n17\\n\\nMVP français:\\n\\nAmath M’Baye (PF/31)\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n16 d’éval (21 pts à 7/14, 5 rbds, 1 pd, 5 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nLubos Kovar (PF/Tch/20)\\n\\nNymburk\\n\\n12 d’éval (8 pts à 3/4 dont 2/3 à 3 pts, 4 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nJerrick Harding\\n\\nNymburk\\n\\n28 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nMiro Bilan\\n\\nJacob Wiley\\n\\nSergey Toropov\\n\\nSassari\\n\\nZaragoza\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nMarco Spissu\\n\\nSassari\\n\\n10 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe I:\\n\\n 1. Hapoel Holon 2-0\\n 2. Pinar Karsiyaka 1-1\\n 3. Brindisi\\n 4. Tofas Bursa 0-2\\n\\nGroupe J:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 2-0\\n 2. Tenerife 1-1\\n 3. Igokea\\n 4. VEF Riga 0-2\\n\\nGroupe K:\\n\\n 1. AEK Athènes 1-0\\n 2. Nizhny Novgorod\\n 3. Türk Telekom 1-1\\n 4. Strasbourg 0-2\\n\\nGroupe L:\\n\\n 1. Zaragoza 2-0\\n 2. Nymburk\\n 3. Sassari 0-2\\n 4. Bamberg\\n\\nPhoto: Darius Thompson (Brindisi, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (ex-Monaco) admis à l’hôpital en raison du COVID-19" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien entraîneur de l’AS Monaco et de l’Etoile Rouge de Belgrade, Sasa Obradovic, 52 ans, a été admis cette semaine dans un hôpital de Belgrade rapportent les médias serbe. Il souffre d’une légère pneumonie et il a besoin qu’on lui ventile de l’oxygène.\\n\\n« Ca va mieux, je suis fort », a écrit brièvement Obradovic sur les réseaux sociaux.\\n\\nSasa Obradovic a commencé la saison en tant qu’entraîneur de l’Etoile Rouge, mais en raison de mauvais résultats, il a été remplacé par Dejan Radonjic." }, {"role": "user", "content":"Pau Gasol : «j’espère que mon histoire pourra en inspirer d’autres»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une lettre ouverte pour L’Expansion, Pau Gasol revient sur les raisons de son retour au FC Barcelone, deux décennies après son départ en NBA. Voici des extraits :\\n\\n« De retour à la maison, à Barcelone, au Barça. Cela a certainement une signification très particulière pour moi. Je vis cette nouvelle étape avec un mélange d’émotions et avec la sensation de revenir à mes racines, dans ce club qui m’a donné l’opportunité de grandir en tant que joueur et de rêver de la possibilité d’atteindre le sommet. Je reviens vingt ans après mon départ. C’est quelque chose de difficile à décrire, quelque chose d’extraordinaire. Sans aucun doute, un cadre idéal pour clore ma carrière de joueur et contribuer autant que je peux au club qui m’a tant donné.\\n\\nAu cours de ces derniers mois, j’ai évalué différentes options pour revenir sur les terrains, en tenant toujours compte des critères de mon équipe médicale. Je ne pouvais ignorer la réalité de ma blessure, à laquelle je fais face depuis plus de deux ans, ni la nécessité d’aller pas à pas vers le retour à la compétition souhaité. Dès le début, la conversation avec le Barça a été sincère: ils ont compris ma situation et l’importance d’établir un plan progressif pour ma mise en place. Nous avons établi un scénario dans lequel mon incorporation serait graduelle et dépendante de la réaction de mon corps. Et dans ce processus, je dois remercier mon grand ami Juan Carlos Navarro pour son implication et son travail et la confiance de l’entraîneur de basket-ball du FC Barcelone qui est aussi mon ami Saras Jasikevicius.\\n\\nJe suis venu faire partie d’un projet ambitieux qui a montré sa force à la fois dans la ligue ACB et en Euroleague, en plus de remporter récemment la Copa del Rey. Mon souhait est de mettre mon expérience et mes compétences à la disposition du club à des moments clés de la saison et d’aider l’équipe à remporter les deux trophées qui restent à jouer. Je suis conscient de la responsabilité qui revient de porter à nouveau le maillot du Barça et je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour aider l’équipe à atteindre ses objectifs.\\n\\nJ’admire et respecte le travail de Sarunas Jasikevicius et de toute son équipe technique qui, avec le club, ont construit une grande équipe. J’ai eu le plaisir de faire sa connaissance en tant que coéquipier en 2000-2001 et de célébrer avec lui la Copa del Rey et la ligue ACB que nous avons remportées au cours de cette saison inoubliable. Saras a réussi à transférer l’éclat de son jeu sur les bancs. C’est un coach avec une grande vision et qui sait transmettre son caractère, son dévouement et sa passion au vestiaire pour obtenir le dévouement de tous les membres de l’équipe. C’est un honneur d’être à son service et d’apporter ma contribution au projet. Et tout cela aux côtés de grands joueurs, dont certains sont aussi de bons amis, comme c’est le cas de Víctor, Álex et Pierre, que j’ai croisé dans plusieurs championnats nationaux par équipes; et, bien sûr, de Niko Mirotic. En plus de jouer avec l’équipe nationale espagnole, nous avons partagé un vestiaire pour deux équipes de la NBA: les Bulls et les Bucks. Il va sans dire qu’avec Niko, je partage un lien personnel très spécial (...)\\n\\nJe ne dis pas que c’était une décision facile. Le bien-être de ma famille est une priorité pour moi, et en raison de la pandémie, les déplacements et la mobilité transocéaniques sont difficiles. Tout changement nécessite de l’adaptabilité, de la concentration sur ce qui est important et de l’enthousiasme envers la décision prise. En tant que famille, nous avons franchi le pas en acceptant le défi. Le soutien de ma femme a été fondamental. Maintenant, je veux me concentrer sur mon travail quotidien pour faire de mon mieux. Je suis conscient qu’il n’y aura pas beaucoup de joueurs dans mon «cinquième» et que je devrai m’adapter à la vitesse et à l’intensité du jeu de premier niveau après des mois de travail à un rythme plus lent. Mais pour moi, tous ces facteurs sont des incitations à continuer à poursuivre cet objectif extraordinaire et j’espère que mon histoire pourra en inspirer d’autres avec des obstacles différents ou similaires sur leur chemin. Leur apprendre que, même si quelque chose est compliqué, cela ne veut pas dire que c’est impossible et qu’il faut jeter l’éponge. Cela vaut toujours la peine d’essayer une fois de plus, surtout si vous aimez ce que vous faites et y croyez. »\\n\\nPhoto: FC Barcelone" }, {"role": "user", "content":"Italie : Le guard des Milwaukee Bucks, Donte DiVincenzo, ne sera sans doute pas au TQO" }, {"role": "assistant", "content":"En raison du COVID-19 et de retards administratifs inhérents, Donte DiVicenzo (1,93m, 24 ans) ne devrait pas disposer d’un passeport italien à temps pour le Tournoi Pré-Olympique de Belgrade et ainsi il ne pourra pas renforcer l’équipe nationale italienne.\\n\\nDonte DiVicenzo est guard aux Milwaukee Bucks -son apport est de 10,3 points, 4,8 rebonds et 2,9 passes- et il fut surnommé le... Michael Jordan du Delaware et aussi The Big Ragu en raison de ses origines italiennes.\\n\\nToutefois, l’Italie possède sous le coude un autre « naturalisé », plus jeune, avec Paulo Banchero (2,08m, 18 ans), lui aussi Américano-Italien et qui suit sa scolarité à Duke." }, {"role": "user", "content":"Cinq cas de Covid-19 à Cholet Basket, le maire fait évacuer la salle" }, {"role": "assistant", "content":"Cinq cas de covid-19 se sont déclarés au sein du groupe de joueurs et du staff de Cholet Basket (Nianta Diarra, Lasan Kormah, Yoan Makoundou, un assistant-coach et le kiné) peu de temps avant son match face à Boulazac. Les tests avaient été effectués en prévision de la rencontre de mardi à Monaco. Les deux équipes ne souhaitaient pas jouer le match prévu à 18h30.\\n\\nSelon Ouest France, la LNB voulait, elle, que le match soit maintenu quand le maire de la ville, Gilles Bourdouleix, a ordonné la fermeture de La Meilleraie.\\n\\n« Dans le cadre de leur déplacement en avion à Monaco pour disputer la rencontre de la 25ème journée de Jeep ELITE contre l’AS Monaco le 15 mars prochain, la délégation de Cholet a dû effectuer des tests PCR. Des résultats positifs aux tests ont été constatés avant le début de la rencontre Cholet Basket / Boulazac Basket Dordogne. Les deux présidents de deux clubs de Cholet Basket et Boulazac Basket Dordogne ont alors décidé de ne pas jouer la rencontre. La Commission Sportive de la Ligue Nationale de Basket a pris acte de la décision des deux Présidents des deux clubs. La rencontre n’aura pas lieu. Le dossier sera traité dans les meilleurs délais, » a indiqué la LNB dans un communiqué.\\n\\n\\nJ’ai fait évacuer la Meilleraie. Je soutiens les clubs de @CB_officiel et de @BoulazacBasketD qui ne voulaient pas jouer pour cause de cas + au Covid. Face à l’irresponsabilité de @LNBofficiel, il faut savoir prendre des décisions pour le bien de tous! #Cholet #Choletais\\n\\n— Gilles BOURDOULEIX (@GBOURDOULEIX) March 13, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Quand Vassilis Spanoulis est toujours Kill Bill" }, {"role": "assistant", "content":"A 38 ans, Vassilis Spanoulis peut encore mériter parfois son surnom de Kill Bill. Il a été fidèle à sa légende hier soir lors du match entre Olympiacos et le Zenit Saint-Petersbourg.\\n\\nA la mi-temps, le Zenit menait 30-41. De là, est venue la réaction de l’Olympiacos, qui a signé un 45-20 en seconde période et un spectaculaire 21-5 dans le dernier quart-temps. Victoire 75-61. C’est Spanoulis qui a sonné la révolte. Le Grec a terminé le match avec 16 points (6/7 aux shoots) , dont 11 au quatrième quart-temps.\\n\\n« Nous n’avons pas bien commencé le match. Nous avons parlé de choses dans les vestiaires et nous nous sommes dit que nous allions dépenser beaucoup d’énergie et faire les bonnes choses, et nous avons joué une excellente seconde mi-temps. Nous sommes l’Olympiacos et à chaque fois, nous devons nous battre avec fierté – même si nous n’allons pas dans le top huit – pour représenter ce club et les fans qui nous entourent. C’est une question de respect pour cette organisation », a t-il commenté.\\n\\nCette vidéo de Eurohoops nous offre tous ses paniers:\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pro B: 28 points et 36 d’évaluation pour Hugo Besson (Saint-Quentin), 19 ans, face à Blois" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques semaines, on vous parlait de la « très bonne surprise du début de saison » à propos de Saint-Quentin. On ne croyait pas si bien dire. SQBB est aujourd’hui en tête de la Pro B à égalité avec Quimper au nombre de victoires-défaites (8-3) mais avec un point-average supérieur. Faut-il encore noter que Fos/Mer n’a que 7 victoires mais un match en moins.\\n\\nEn fait, la journée d’hier soir a servi de chamboule-tout puisque d’un côté Quimper est allé plumer le leader Denain dans le Nord (58-80 avec 29 points de Bathiste Tchouaffé à 11/14 aux shoots)) alors que les Picards ont totalement maîtrisé Blois dans leur salle dans un match placé sous le signe de l’offensive (99-84, 57 points pour les Picards à la mi-temps). Il s’agit de la troisième défaite de rang des Blésois.\\n\\nL’artisan principal du succès de SQBB a été le combo-guard Hugo Besson (1,91m), 19 ans -il est né le 26 avril 2001-, qui a planté 28 points. Il a ainsi égalé son record en carrière établi lors de la 1ère journée face à Fos. Et comme il a fait preuve d’une adresse insolente (10/12 aux shoots dont 5/7 à trois-points, 3/3 aux lancers) et ajouté 7 rebonds et 4 passes, il a pulvérisé son record à l’évaluation: 36 !\\n\\nHugo Besson tourne à la moyenne de 17,8 points, 4,8 rebonds et 2,6 passes pour 15,9 d’éval.\\n\\nHugo Besson est prêté par l’Elan Chalon. Il est issu d’une célèbre famille de basketteurs. Son père, Jean-Paul Besson a joué en Pro A et Pro B (Angers, Roanne et Vichy) et est le coach des espoirs de Boulogne-Levallois. Son grand-père, Paul, a été finaliste de la Coupe des Coupes avec Vichy en 1970 et entraîneur de l’équipe de France féminine, vice-championne d’Europe en 1993. Et son oncle Jean-Philippe fut lui aussi basketteur pro et est aujourd’hui assistant-coach à Fos.\\n\\nL’une des particularités d’Hugo est de n’avoir jamais porté le maillot de l’équipe de France en jeunes...\\n\\nPhoto: Hugo Besson (SQBB)\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"La justice reconnaît la responsabilité du CHU de Tours dans le décès de Thierry Rupert" }, {"role": "assistant", "content":"La Cour administrative d’appel de Nantes a confirmé qu’il y a eu une faute médicale du CHU de Tours dans la prise en charge de Thierry Rupert, décédé en 2013 pour insuffisance cardiaque, à l’âge de 35 ans, après plus de six mois dans le coma, rapporte France Bleu.\\n\\nEn cause: le Thiopental, un anesthésique, qui n’aurait pas dû être administré au patient.\\n\\n« L’administration de ce produit [...] était contre-indiquée car elle représentait un facteur d’aggravation de l’insuffisance respiratoire et donc de l’anoxie cérébrale dont le patient a été atteint, à l’origine de l’état neurovégétatif dans lequel il s’est trouvé jusqu’à son décès le 10 février 2013. Dans ces conditions, la faute médicale commise au décours de l’intervention [...] doit être retenue », affirme l’arrêt de la Cour administrative d’appel.\\n\\nLa Cour administrative d’appel condamne le CHU à verser à Mme Rupert et ses deux enfants près de 20.000 €.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"NM1 : Pour assurer sa pérennité, Dax-Gamarde fait appel aux dons" }, {"role": "assistant", "content":"Pour sa 2e saison en Nationale 1, le Dax-Gamarde Basket a annoncé un budget prévisionnel de 500 000 euros, l’un des plus maigres de la division, mais l’absence de public comme ailleurs se fait sentir dans les finances.\\n\\nAfin de pouvoir payer les salaires et les frais de déplacement, le DGB a décidé de faire appel aux dons, en espérant un appoint supplémentaire des collectivités.\\n\\n« Cela ne m’amuse pas du tout d’avoir à faire le mendiant. C’est pourtant la seule manière qu’on ait pour assurer l’existence du club et repartir la saison prochaine en NM1 », confie le président Jean Lamaignère à Sud Ouest.\\n\\n\\n\\nIl est à noter que le club des Landes ne la joue pas pour autant en solo puisqu’il reversera 30% des sommes perçues au centre hospitalier de Dax.\\n\\n« On sait que l’on n’est pas les seuls à avoir des besoins ! C’est normal de filer un coup de main. Etre solidaire c’est essentiel. »\\n\\nLes dons qui ouvrent à une réduction d’impôts peuvent être faits sur le site du club, www.dgb40.fr" }, {"role": "user", "content":"Mathias Lessort (Monaco) : «je n’ai pas abandonné l’idée de rejoindre la NBA un jour»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour Monaco Tribune, le pivot de la Roca Team Mathias Lessort (2,05m, 25 ans), d’origine martiniquaise, revient sur son arrivée en métropolole:\\n\\n« Les recruteurs de Chalon-sur-Saône m’ont repéré alors que j’étais en pôle en Martinique. Lors d’une tournée à Roanne, ils m’ont fait visiter les structures et j’ai signé là-bas à l’âge de 15 ans. C’était un rêve éveillé d’arriver en France, de voir les infrastructures, une salle de 5 000 places, un terrain en parquet, des vestiaires neufs, des choses que l’on ne retrouve pas en Martinique. Je n’ai pas hésité une seule seconde au moment de rejoindre le centre de formation de Chalon-sur-Saône, avec qui j’ai découvert la Pro A (aujourd’hui Jeep Élite). C’est là-bas que je me suis construit en tant qu’homme. Je suis ensuite parti à Nanterre lors de la saison 2016-2017. Sportivement, il y avait un excellent projet. J’ai vécu à Nanterre la saison la plus aboutie de ma carrière. Je me suis révélé, j’ai été sélectionné pour la première fois en équipe de France, j’ai été drafté, j’ai signé dans un club d’Euroligue, j’ai gagné deux titres (Coupe de France, Coupe d’Europe FIBA), c’était vraiment une année fabuleuse. »\\n\\nOn y apprend par ailleurs qu’il a toujours la NBA quelque part dans sa tête:\\n\\n« J’ai été sélectionné à la 50e place lors de la Draft NBA 2017. La NBA a toujours été un rêve. Quand j’ai été drafté, j’ai ressenti plusieurs émotions, de la joie, de la déception, de la crainte, de l’excitation. Au 76ers de Philadelphie, il y avait plusieurs intérieurs, Nerlens Noël, Dario Saric Joël Embiid. Je savais que je n’allais pas avoir beaucoup d’opportunités aux Sixers. Entre temps, j’avais signé à Brose Baskets (Allemagne), mais ça ne s’est finalement pas fait à cause de la clause NBA. J’ai malheureusement raté la première Summer League à Utah et la moitié de la seconde à Las Vegas. J’ai sympathisé avec Joël Embiid, qui m’a fait visiter la ville, avec qui je me suis entraîné. C’est une expérience inoubliable. Et je n’ai pas abandonné l’idée de rejoindre la NBA un jour. Il y a des joueurs qui ont rejoint la NBA beaucoup plus tard que moi. »\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Lucile Bongiovanni et Pierre Fleutelot (Dijon): « A la JDA, on veut développer toutes les compétences »" }, {"role": "assistant", "content":"Lucile Bongiovanni est responsable marketing et communication de la JDA Dijon. Pierre Fleutelot est chargé de la communication et du marketing digital. Si Dijon réalise des exploits insensés depuis quelques saisons sur le parquet, en coulisses, et particulièrement au service comm, le club est également à la pointe de ce qui se fait en France. Plongée dans l’autre vestiaire de la JDA.\\n\\nComment un club de basket peut travailler en communication dans une période aussi compliquée que celle que nous vivons aujourd’hui ?\\n\\nLB : On a essayé de rester en contact avec tous nos fans, mais c’est vrai qu’on a ciblé en priorité nos partenaires, privés et publics, ceux qui nous font vivre et puis dans un deuxième temps, le grand public. On a toujours gardé ça en tête. Le Covid nous a éloigné, nous éloigne encore. On a fait comme toutes les entreprises françaises. Aujourd’hui, la JDA n’est plus simplement un club de basket ou de hand, nous sommes un groupe. Il y a une holding, des filiales, on a une manière d’agir qui est celle d’une entreprise. Quand on a compris qu’on n’aurait plus de public, on a tout fait pour garder le plus de lien possible avec nos partenaires. Pour qu’ils se sentent toujours investis. On a réalisé beaucoup de contenus exclusifs, a continué à les mettre en avant, à poser leurs marques à nos côtés. On a voulu que nos valeurs perdurent. C’était notre fil directeur. Pour le grand public, on s’est beaucoup appuyé sur les réseaux sociaux.\\n\\nPF : La situation nous a poussé mais nous a aussi permis de sortir de ce que l’on faisait habituellement, pour aller chercher des nouveautés pour nous rapprocher des gens. Nous n’avions plus les soirs de matches, il fallait trouver autre chose. On a fait des visioconférences, beaucoup de choses avec les joueurs, par exemple, des blindtests avec Axel Julien et des fans sur Facebook. On a cherché à garder du lien. Le retour du sportif et des matches a fait du bien, évidemment. On a lancé un groupe What’sApp avec les partenaires pour diffuser du contenu exclusif, les intégrer au sein du groupe, pour qu’ils se sentent au sein des déplacements par exemple. On a produit des live de qualités – on l’a fait sur le hand, bientôt sur le basket – pour avoir une meilleure qualité de visionnage. La situation nous a poussé à être innovants, à se remettre en question et accroitre notre communication.\\n\\nEn 2020, la JDA a été le club de basket le plus cité dans les médias nationaux, la Basketball Champions League vous a cité au rang de ses bons élèves en communication. Est-ce que vous sentez l’image du club changer ?\\n\\nLB : La communication est censée tirer le sportif et le reste de l’entreprise. C’est la partie émergée de l’iceberg. En l’occurrence, en ce moment, c’est une combinaison d’efficacité. Les résultats du sportif nous ont mis en lumière. Depuis cinq ans, les résultats vont crescendo. On gagne la Leaders Cup 2020, six mois après, on remporte le bronze au Final 8 de la BCL. Et dans le même temps, on avait une stratégie, un plan de comm, des chartes, des choses qui ont permis à la communication de la JDA de remonter à la surface de ce qui est dit, vu, commenté. On avait une forme de cohérence entre ce qui se passe sur le terrain et dans les bureaux. La même recette : faire beaucoup avec peu. Sans faire pleurer dans les chaumières, tout le monde connait notre budget. Mais on a plein de gens dévoués et une vraie envie de faire grandir le club.\\n\\nPF : Au niveau local, la JDA brille énormément et le foot n’est pas en meilleure posture actuellement. Beaucoup de choses vont dans notre sens. Et oui, on cherche à se démarquer par nos contenus. Je trouve qu’on a réussi à prendre un bon tournant au bon moment.\\n\\nUn alignement de planètes favorable ?\\n\\nLB : Oui. Tout a commencé il y a six ans, quand Thierry Degorce, Nathalie Voisin et Jean-Louis Borg ont repris le club. Thierry et Nathalie sont des entrepreneurs, ils ont une boite énorme qui fait 120 millions de CA en France. Ils ont permis de sortir de la dimension « petit club ». On veut prendre de la place, avoir une portée internationale en Europe. On est un groupe et chaque filiale veut mettre la marque JDA en avant. Aujourd’hui, le basket a le vent en poupe, demain, ce sera peut-être une autre activité. Donc l’arrivée d’une présidence puissante, des personnes compétentes sur le terrain et en dehors, et puis surtout le développement de ces compétences est en train de payer. Quand on voit les parcours d’Axel Julien, Alex Chassang qui sont arrivés au club sans grande réputation et qui sont maintenant dans le Team France Basket. Ça c’est la marque JDA : développer les compétences.\\n\\n« La volonté de Thierry Degorce, c’est de professionnaliser les choses. Depuis son arrivée, on est passé de trois à une vingtaine de salariés aujourd’hui »\\n\\nPF : Un autre élément important pour nous a été de jouer la BCL. Au niveau communication, tu as une véritable force de frappe et un vrai accompagnement par les équipes de la BCL, et derrière de la FIBA. Ils ont amené plein de choses, plein d’outils. La Covid nous a forcé à créer de nouveaux aspects de communication chez nous mais grâce à la BCL, on a importé beaucoup de choses nouvelles. On connait le championnat de France et les limites de la LNB sur ces aspects – c’est toujours une question d’argent derrière – mais de participer à la BCL nous a donné accès des nouvelles façons de faire. On a pu échanger aussi avec plein de clubs qui évoluent sur des marchés différents avec d’autres contraintes et d’autres cahiers des charges. Les échanges avec la BCL sont toujours fructueux et intéressants parce qu’il y a une vraie volonté de professionnaliser et de développer la communication. Ils n’ont peur de personne. Ils veulent jouer dans la cour des grands et ils s’en donnent les moyens. En ce sens, ils sont comme nous la JDA, ils travaillent dur pour se donner les moyens de leurs ambitions. Dans la communication et le digital, ils sont là, ils sont innovants. Ils ont 2 millions de fans sur Facebook, ils bossent avec Twitch. Pour nous, ça nous a vraiment permis de sortir de ce qui se fait en France. J’ai eu la chance de rencontrer l’équipe de communication de la BCL au premier F4 d’Athènes, même chose la deuxième année à Saragosse. Ils m’ont beaucoup apporté. Des regards différents, des outils différents. C’est une plus-value terrible. Des liens aussi, des contacts privilégiés avec des réseaux comme Twitter, Facebook, Instagram. C’est très très pro et les clubs en bénéficient.\\n\\nQuelles sont les prochaines innovations à attendre à la JDA ?\\n\\nPF : Ce sera bientôt officiel, la JDA va être certifiée Iso 9001. Certifier notre façon de travailler, comme un label, qui permet de montrer aux yeux des autres entreprises, la qualité de ton travail. La ligue de football professionnelle ou encore la UArena de Nanterre par exemple, disposent de ce label. Des mastodontes dans le domaine sportif et donc ce label, dans le basket ou le hand, c’est du jamais-vu. C’est très important pour nous. La volonté de Thierry Degorce, c’est de professionnaliser les choses. Depuis son arrivée, on est passé de trois à une vingtaine de salariés aujourd’hui. Rien n’est laissé au hasard.\\n\\nPhoto: JDA Dijon" }, {"role": "user", "content":"Dimitris Itoudis (coach CSKA Moscou) : «Je suis plein d’énergie, de détermination à me battre, j’ai plus de motivation que quiconque»" }, {"role": "assistant", "content":"6 défaites sur les 9 derniers matches, le CSKA Moscou est dans une mauvaise passe. C’est dû à des blessures, à commencer par celle de l’intérieur serbe Nikola Milutinov, aux états d’âme de Mike James, à quelques échecs de peu de points, mais aussi à de grosses bévues comme face à Efes (-30). Le coach grec Dimitris Itoudis s’en explique à Sports.ru.\\n\\n« Il est clair que nous avons une équipe complètement différente de celle que nous avions en janvier. Nous avons dû faire plusieurs remplacements. Nous avons dû résoudre plusieurs difficultés. Tout le monde sait quels problèmes nous avons eu, ce qui a assurément affecté l’équipe. J’espère que vous pouvez tout voir. Mais cela ne signifie pas que nous ne voyons pas de signaux indiquant que les choses iront mieux (...) Et nous sommes toujours en playoffs (NDLR: le CSKA est 3e à égalité avec le Bayern Munich avec 18 victoires et 10 défaites). Nous ne nous sommes pas en relâche. Nous continuons à bâtir une équipe. Nous avons dû faire des remplacements, nous avons dû reconstruire le jeu, nous avons dû jouer des matchs sans joueurs importants... L’équipe a beaucoup de problèmes (...) Ici, les victoires sont tenues pour acquises. Mais ce n’est pas le cas. Et cette année, on peut le voir. Maintenant, nous n’avons plus la même équipe qui était championne. Nous avons la troisième génération de joueurs. Mais nous avons du caractère. J’ai du caractère. Les joueurs ont du caractère. La direction a du caractère. Et nous traiterons tous les problèmes. »\\n\\nLe coach grec a t-il son avenir dans la capitale russe? C’est la question qui agite actuellement l’univers basketballistique moscovite.\\n\\n« Mon contrat expire après la saison, et je ne sais pas ce qui va se passer ensuite. On dirait que j’ai tout laissé tomber ? Est-ce que vous voyez ça ? Non, je me bats. Je suis plein d’énergie, de détermination à me battre, j’ai plus de motivation que quiconque. J’ai assez de notoriété, d’argent, de tout... Mais j’ai plus de motivation que quiconque dans cette salle et au-delà. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : à 0/6 face aux équipes espagnoles, le Real Madrid est en danger" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa défaite dans le Clasico (76-81) contre le Barça mercredi, le Real Madrid est dans le dur. L’équipe de Pablo Laso a même perdu tous ses matchs contre les autres équipes espagnoles : Barcelone, Baskonia et Valence.\\n\\nÀ cinq matchs de la fin de la saison régulière d’Euroleague, le Real Madrid n’a pas encore obtenu son billet pour les playoffs. 7e (17 victoires, 12 défaites) avec seulement une défaite de moins que le Zalgiris Kaunas, 9e, le vainqueur 2018 vit une saison compliquée. Départ de Facundo Campazzo, succession de blessures (Rudy Fernandez, Sergio Llull, Nicola Laprovittola, Carlos Alocen, Usman Garuba, Trey Thompkins ou encore Anthony Randolph, indisponible depuis décembre), finale de Coupe du Roi perdue à domicile contre l’éternel rival barcelonais... Mais aussi un zéro pointé sur la scène contre les autres équipes espagnoles.\\n\\nPourtant, le club de la capitale – qui a fêté ses 90 ans dernièrement – est en tête de la Liga Endesa (22 victoires – 1 défaite). Le coach Pablo Laso reste confiant pour les prochaines semaines.\\n\\n« Je ne regarde pas seulement Barcelone, je regarde toutes les équipes... Et je vois la mienne capable de gagner n’importe qui. Nous pouvons aussi perdre contre n’importe qui, mais si nous jouons comme aujourd’hui, nous gagnerons plus que nous ne perdrons », confiait-il après la défaite dans le Clasico mercredi.\\n\\nIl faut dire que depuis qu’il a pris les rênes de l’équipe en 2011, l’entraineur espagnol n’a manqué les playoffs qu’à une seule reprise. C’était lors de sa première saison européenne sur le banc madrilène. Depuis, il a toujours été en quarts de finale, se qualifiant six fois pour le Final Four et remportant l’Euroleague à deux reprises (2015 et 2018). D’ici avril, Madrid affrontera dans l’ordre le CSKA Moscou, l’Asvel, l’Anadolu Efes, l’Olympiacos et Fenerbahçe et ne devra pas multiplier les faux pas afin d’obtenir son ticket pour les quarts. Sous peine de devoir démarrer plus vite que prévu son nouveau cycle.\\n\\nPhoto : Real Madrid (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"David Tebib, nouveau président de l’Association Nationale des Ligues de Sport Professionnel" }, {"role": "assistant", "content":"David Tebib, Président de la Ligue Nationale de Handball a été élu à l’unanimité pour 3 ans à la Présidence de l’Association Nationale des Ligues de Sport Professionnel (ANLSP).\\n\\nDavid Tebib succède à Patrick Wolff, qui durant dix ans, a œuvré pour donner la place et le crédit reconnus aujourd’hui à l’ANLSP au sein des instances sportives et dans les relations avec l’ensemble des pouvoirs publics. L’action de David TEBIB devra répondre aux nombreux enjeux qui se posent aujourd’hui pour le développement du sport professionnel et l’unité du sport français. Le premier défi est de continuer à travailler avec les autorités au retour du public dans les compétitions sportives et la prise en compte du sport professionnel pour les aides d’urgence et le plan de relance afin de faire face à la crise économique engendrée par la pandémie de la Covid 19.\\n\\n\\nQu’est-ce que l’ANLSP ?\\nLes ligues professionnelles ont décidé en 2006 d’unir la diversité de leurs disciplines et la convergence de leurs intérêts au sein de l’Association Nationale des Ligues de Sport Professionnel (ANLSP), créée en mars\\n2006, à l’initiative des ligues professionnelles françaises de Basket-ball, de Football, de Handball, de Rugby et de Volley. La Ligue Nationale de Cyclisme a rejoint l’ANLSP en 2015.\\nLes objectifs principaux de l’ANLSP sont de :\\n• Participer à la gouvernance du sport français et contribuer à l’unité du mouvement sportif.\\n• Permettre au sport professionnel français de se développer et d’être compétitif face aux autres championnats européens.\\n• Etre un outil de développement en partageant les bonnes pratiques déployées par chacune des ligues et en mutualisant leurs expériences.\\nL’ANLSP assure le suivi des réglementations, tant en France qu’à l’échelle européenne, et veille à faire évoluer favorablement l’environnement juridique, économique et social du sport professionnel en sauvegardant les valeurs du sport et notamment les fondements du « modèle européen», basé sur l’unité, la solidarité, la transparence, la formation et la performance.\\nL’ANLSP est notamment membre du Conseil d’administration de l’Agence Nationale du Sport et du CNOSF ainsi que représentée dans la commission permanente du sport féminin et l’instance nationale du supportérisme." }, {"role": "user", "content":"U21 d’Europe : 81 ont joué dans les fenêtres de qualification à l’Euro, Filip Petrusev superstar !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Kenan Kamenjas (Bosnie-Herzégovine), Deni Avdija (Israël), Filip Petrusev (Serbie) – Photos : FIBA Europe\\n\\nAvant de publier dans les prochains jours notre désormais traditionnel dossier sur la place des U21 en Europe, voici en guise d’amuse-bouche une étude sur les jeunes joueurs de 21 ans et moins ayant pris part avec leur sélection nationale aux fenêtres de qualification à l’EuroBasket. Où il est montré, une nouvelle fois, que la valeur n’attend pas le nombre des années !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIls ont été nombreux à critiquer le principe des fenêtres internationales décidées par la FIBA Monde (car elles s’appliquent à tous les continents, rappelons-le) pour les qualifications aux divers championnats continentaux. Entrechoquage de calendrier avec les compétitions de clubs, absence des joueurs de NBA et d’Euroleague sur fond, en Europe, de conflit entre la FIBA Europe et l’ECA (le promoteur de l’Euroleague), les arguments n’ont pas manqué. Pourtant, s’il est un point sur lequel ces fenêtres ont montré leur utilité, c’est bien sur la capacité d’un pays à aligner une sélection de joueurs compétitifs, même en l’absence des NBAers et de ceux évoluant dans une équipe d’Euroleague. En bref, ces fenêtres ont mis en avant les pays disposant d’un profond réservoir de joueurs, la France notamment a pu s’en féliciter. Autre avantage de ces fenêtres, elles ont permis à de nombreuses nations de permettre à leurs jeunes pousses d’effectuer (pour la plupart) leurs premiers pas avec leur sélection senior.\\n\\nC’est ainsi que, entre 2020 et cette année, ils ont été pas moins de 81 joueurs nés en 1999 ou après à avoir évolué sous le maillot de leur pays dans ces fenêtres, à l’échelon européen. Un chiffre assez impressionnant : il signifie que les 32 équipes concernées en Europe par ces fenêtres, chacun a mis sur le terrain 2,5 U21 à au moins une reprise. Un chiffre qu’il faut moduler. En effet, deux pays n’en ont aligné aucun : le Danemark et... la France ! Pour une raison « simple » : les meilleurs U21 français évoluent en NBA (Théo Maledon, Killian Hayes, Sekou Doumbouya) alors que ceux évoluant en France (ou dans des clubs étrangers pour quelques cas, comme Tom Digbeu par exemple) n’ont pas encore le niveau international ou passent après un nombre trop important de joueurs plus âgés sur le même poste.\\n\\nLe profil-type\\n\\nQuel est le profil-type de cet U21 en sélection nationale ? C’est un joueur né en 2000, qui a participé à pratiquement la moitié des matchs de ces fenêtres (2,5 matchs sur 6 maximum) et qui, en 13,2 minutes, a marqué 5,0 points et généré 5,6 d’éval. En somme, un joueur qui dispose d’un véritable rôle dans sa sélection, pas venu là uniquement pour faire le nombre. Plus dans le détail, on constate qu’ils sont 52 à avoir évolué plus de 10 minutes par match, que 9 d’entre-eux ont marqué plus de 10 points de moyenne et 35 plus de 5 points. En matière d’évaluation, ils sont 38 à en avoir une supérieure ou égale à 5,0, dont 12 affichant une éval de 10 ou plus. Et 31 de ces U21 ont joué 3 matchs ou plus sur 6 possibles.\\n\\nForte génération 2000\\n\\nSi l’on s’intéresse aux classes d’âge, on constate que les joueurs les plus jeunes à avoir participé à ces fenêtres sont nés en 2003, en somme des adolescents de 16 à 18 ans au début de ces fenêtres. Ils sont cinq nés cette année-là à avoir joué, dont deux avec un véritable rôle : le Bulgare du Real Madrid Konstantin Konstantadinov (1 match, 20,3 mn, 11 pts, 10 d’éval) et le Polonais jouant à Ulm (Allemagne) Jeremy Sochan, auteur d’un match à 18 pts et 20 d’éval en 29 mn dans un match décisif pour la qualification face à la Roumanie !\\n\\nChez les 2002 (17-19 ans, donc), ils sont 9 à être entrés en jeu, dont 2 avec de vraies responsabilités : Gabriele Procida, l’Italien de Cantu, auteur de 2 matchs à 12,7 mn, 5,0 pts et 5,5 d’éval et, surtout, le Turc Alperen Sengun (Besiktas), appelé à quatre reprises pour 12,0 pts et 14,0 d’éval en 23,1 mn. Logiquement, les joueurs plus âgés sont en plus grand nombre. Pour ceux nés en 2001, 11 sont entrés en jeu, dont 5 avec un vrai rôle. Chez les 2000, ces chiffres passent à 30 et 15 alors que les 1999 sont 26 à avoir joué dont 14 avec des responsabilités.\\n\\nOn notera dans ces chiffres le « poids » des joueurs nés en 2000, qui sont du reste 3 à figurer dans nos deux « cinq majeur » (voir plus bas). Il n’y sont devancés, en nombre, que par les 1999 (4 joueurs).\\n\\nRoumanie et Monténégro fans de U21\\n\\nNous l’avons vu, 30 des 32 nations européennes ayant participé aux fenêtres qualificatives ont mis sur le terrain au moins un U21 lors d’une rencontre. Les trois pays ayant le plus fait appel à cette jeune main-d’œuvre sont d’une part la Roumanie (6 joueurs dont 3 avec un vrai apport, entre 5,0 et 7,8 pts/match), l’Estonie (également 6 joueurs, dont 3 responsabilisés, Henri Drell (Pesaro, 18,5 mn sur 5 matchs, 7,8 pts, 6,6 d’éval) figurant aux côtés de Kristian Kullamae et Kaspar Treier, tous deux dans notre Top10) et le Monténégro (5 dont 2 avec de véritables responsabilités, Dino Radoncic (Saragosse), qui a joué tous les matchs pour 19,3 mn, 5,0 pts et 7,3 d’éval, et Marko Simonovic (Mega Soccerbet), qui figure dans notre Top 10 à voir plus bas).\\n\\nViennent ensuite, avec 4 U21, la République Tchèque (dont Vit Krejci (Saragosse, 2 matchs, 21,0 mn, 5,5 pts, 8,0 d’éval), la Pologne (2 joueurs responsabilisés, Jeremy Sochan et Aleksander Balcerowski, présents dans notre Top10) et, de manière plus surprenante tant le pays semble se désintéresser de ses jeunes, l’Italie, dont les 4 U21 ont eu un véritable rôle, jouant plus de 11 mn, marquant entre 3,8 et 7,0 pts et produisant de 3,2 à 7,3 d’éval).\\n\\nBesiktas, Real Madrid et Ulm en force\\n\\nSi les 81 U21 entrés en jeu évoluent pour la plupart pour des clubs différents, dont trois en NCAA et un, l’Israélien Deni Avdija, en NBA (Washington Wizards), quelques clubs disposent dans leur effectif de jeunes joueurs très prometteurs, de nationalité variée. Ils sont trois clubs à avoir envoyé 3 U21 en sélection nationale. Le Besiktas turc est ainsi l’équipe d’Alperen Sengun (dans notre Top10), de Sehmus Hazer (12,0 mn sur 3 matchs, 5,7 pts et 7,3 d’éval) et de Furkan Haltali (4,3 mn sur 2 matchs, 1,0 pt, -0,5 d’éval), tous Turcs. Pour sa part, le Real Madrid a fourni plusieurs sélections nationales, dont un seul Espagnol, Carlos Alocen (21,9 mn sur 2 matchs, 4,0 pts, 7,5 d’éval), à côté d’un Italien, Matteo Spagnolo (11,0 mn sur 5 matchs, 3,8 pts, 3,2 d’éval en étant né en 2003) et d’un Bulgare déjà mentionné, Konstantin Konstantadinov.\\n\\nDe même, le club allemand d’Ulm « fait dans l’international » avec deux Polonais, Jeremy Sochan et Igor Milicic (1 match, 4,4 mn, 2 pts, 2 d’éval) et le Hongrois Maté Fazekas (1 match, 1,9 mn, 2 pts, 3 d’éval). De leur côté, cinq clubs ont fourni deux joueurs : le Cibona Zagreb (2 responsabilisés), Gran Canaria (1 avec un vrai rôle), le Zalgiris Kaunas (2 responsabilisés), Ostende (1) et Saragosse (2). Où l’on peut noter la prépondérance des clubs espagnols, représentant 7 joueurs (dont 5 avec un vrai rôle) dont un seul espagnol...\\n\\nNotre Top10\\n\\nQuels ont été les U21 qui se sont le plus distingués à l’occasion de ces fenêtres internationales ? Nous avons choisi de distinguer les 10 qui, à notre avis, se sont montrés les plus à leur avantage, en privilégiant l’évaluation. Avant d’entrer dans le détail des noms, on notera que le club serbe de Mega Soccerbet, « élevage » de jeunes à fort potentiel destinés à la NBA, place deux de ses poulains dans la liste. Par ailleurs, fort logiquement, les joueurs les plus âgés, nés en 1999 et 2000, représentent une forte majorité de ce Top10, avec 7 joueurs, avec à leurs côtés un 2001, Deni Avdija, un 2002, Alperen Sengun et même un 2003, Jeremy Sochan.\\n\\nAutre point à souligner, la petite (par sa superficie et sa population) Estonie place deux joueurs dans le Top10 – le pays balte travaille à son avenir, même si ces joueurs évoluent à l’étranger en club. Seule la Pologne, avec Jeremy Sochan et Aleksander Balcerowski, fait aussi bien. Par ailleurs, il est frappant de constater que seuls trois joueurs (Filip Petrusev, Kenan Kamenjas et Alperen Sengun) appartiennent à des clubs de leur pays natal – on pourrait presque y ajouter Marko Simonovic, le Monténégro étant encore rattaché à la Serbie lors de la naissance du joueur.\\n\\nUn Filip Petrusev bluffant\\n\\nDans le détail, on ne peut être que bluffé par les performances du pivot serbe Filip Petrusev qui, s’il n’a joué que deux matchs qualificatifs, a été tout simplement énorme : 24,5 points, 28,5 d’éval. De même, le NBAer Deni Avdija a montré pourquoi il évoluait désormais aux Wizards, en produisant 25 d’éval lors de son seul match sous le maillot israélien. Juste derrière, il est peut-être moins connu mais se montre très prometteur, le Bosnien Kenan Kamenjas, ultra-dominant dans son championnat national et en D2 de Ligue Adriatique, fait fort avec ses 16,0 pts et 22,0 d’éval. Peu connu lui aussi, qui plus est n’évoluant pas dans l’équipe première d’Ulm, le Polonais Jeremy Sochan a, comme nous l’avons déjà dit, frappé les esprits lors de son seul match, avec 18 pts et 20 d’éval alors qu’il est né en 2003.\\n\\nAutre joueur pas forcément répertorié, le Finlandais Elias Valtonen s’est distingué en ajoutant 5,0 rebonds et 3,5 passes à ses 10,8 pts pour produire 17,0 d’éval. Vient ensuite un joueur bien plus coté, le Turc Alperen Sengun, auteur de cartons mémorables avec son club en championnat et produisant 12,0 pts et 14,0 d’éval lors de ces fenêtres. Pas mal pour un joueur né en 2002. L’Estonien Kristian Kullamae est également à remarquer pour ses 16,0 pts alors que Marko Simonovic, le compère des raquettes de Filip Petrusev au Mega Soccerbet, ne marque « que » 8,8 pts mais prend 6,2 rbds pour une éval de 12,8.\\n\\nEnfin, le Polonais Aleksander Balcerowski s’est lui aussi imposé dans les raquettes pour générer 11,0 d’éval (merci à ses 81,8 % d’adresse à deux-points !) alors que l’Estonien Kaspar Treier a gobé 6,5 rbds pour aller avec ses 8,8 pts pour lui aussi 11,0 d’éval. Pour finir, notons que, en moyenne, le membre de ce Top10 a joué un peu plus de 3 matchs et pratiquement 25 minutes à chaque apparition pour une moyenne de 14,3 pointes et 17,5 d’éval. Il est clair que ces dix joueurs sont des noms à retenir pour les années à venir !\\n\\nJoueurPosteNationalitéClubAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationFilip Petrusev5SerbieMega Soccerbet2000234,124,528,5Deni Avdija2IsraélWashington Wizards – NBA2001124,021,025,0Kenan Kamenjas5BosnieSpars2000428,116,022,0Jeremy Sochan2PologneUlm2003129,018,020,0Elias Valtonen3FinlandeTubingen1999423,510,817,0Alperen Sengun4TurquieBesiktas2002423,112,014,0Kristian Kullamae1EstonieBurgos1999528,616,013,8Marko Simonovic5MonténégroMega Soccerbet1999620,28,812,8Aleksander Balcerowski4PologneGran Canaria2000313,87,311,0Kaspar Treier3EstonieSassari1999421,58,811,0\\n\\nPhotos : FIBA Europe\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nIls ont été nombreux à critiquer le principe des fenêtres internationales décidées par la FIBA Monde (car elles s’appliquent à tous les continents, rappelons-le) pour les qualifications aux divers championnats continentaux. Entrechoquage de calendrier avec les compétitions de clubs, absence des joueurs de NBA et d’Euroleague sur fond, en Europe, de conflit entre la FIBA Europe et l’ECA (le promoteur de l’Euroleague), les arguments n’ont pas manqué. Pourtant, s’il est un point sur lequel ces fenêtres ont montré leur utilité, c’est bien sur la capacité d’un pays à aligner une sélection de joueurs compétitifs, même en l’absence des NBAers et de ceux évoluant dans une équipe d’Euroleague. En bref, ces fenêtres ont mis en avant les pays disposant d’un profond réservoir de joueurs, la France notamment a pu s’en féliciter. Autre avantage de ces fenêtres, elles ont permis à de nombreuses nations de permettre à leurs jeunes pousses d’effectuer (pour la plupart) leurs premiers pas avec leur sélection senior.\\n\\nC’est ainsi que, entre 2020 et cette année, ils ont été pas moins de 81 joueurs nés en 1999 ou après à avoir évolué sous le maillot de leur pays dans ces fenêtres, à l’échelon européen. Un chiffre assez impressionnant : il signifie que les 32 équipes concernées en Europe par ces fenêtres, chacun a mis sur le terrain 2,5 U21 à au moins une reprise. Un chiffre qu’il faut moduler. En effet, deux pays n’en ont aligné aucun : le Danemark et...\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : L’ASVEL sans Alysha Clark en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Seule équipe française rescapée à ce stade, l’ASVEL se présentera en quart-de-finale de l’Euroleague sans son Américano-Israélienne Alysha Clark (1,81m, 33 ans) qui a été victime d’une entorse de la cheville à Villeneuve d’Ascq.\\n\\nLes Lyonnaises doivent affronter Sopron en Hongrie les mercredi 17 et vendredi 19 et c’est un sacré coup dur quand on sait que Alysha Clark est la 2e marqueuse (13,8 points) et la 3e rebondeuse (5,0) de l’équipe de Valéry Demory.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Guerschon Yabusele (Asvel) au Maccabi Tel Aviv la saison prochaine ?" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement 14e d’Euroleague et loin de ses standards européens, le Maccabi Tel Aviv s’apprête à effectuer un grand changement la saison prochaine.\\n\\nAfin de renforcer son secteur intérieur, le club israélien ciblerait Guerschon Yabusele (2,03 m, 25 ans), l’international français de l’Asvel, mais aussi Devin Booker (2,07 m, 30 ans), en partance du Khimki Moscou, ou encore le natif de Tel Aviv, T.J. Leaf (2,08 m, 23 ans), coupé par le Thunder en début de saison.\\n\\nSelon la presse israélienne, le joueur formé au Maccabi Tel Aviv, Yovel Zoosman ne serait pas reconduit tandis que Dragan Bender, Elijah Bryant et Tyler Dorsey seraient également sur le départ.\\n\\n\\nYovel Zoosman will become a free agent and is expected to recieve Euroleague offers. Bender, Dorsey and Bryant are all expected to leave\\n\\n— Roi Cohen (@RoiCohen99) March 12, 2021\\n\\n\\nPhoto : Guerschon Yabusele (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine : Bria Hartley espère toujours disputer les JO de Tokyo, mais..." }, {"role": "assistant", "content":"Dans Basketball, la revue fédérale, on apprend que Bria Hartley (1,73m, 28 ans) a profité de son indisponibilité suite à une opération au genou droit en septembre, en raison d’une rupture des ligaments croisés, pour... se faire également opérer de la hanche, en décembre.\\n\\nQuand sera t-elle d’aplomb ? C’est la question que se pose tous les fans des Bleues dans la perspective de l’EuroBasket et des JO de Tokyo.\\n\\n« Avec les ruptures des croisés, on parle d’un arrêt entre six et neuf mois. Du fait que mon ménisque a aussi été touché on est plutôt dans la partie haute. Mais personne ne se remet de la même manière. »\\n\\nLa Franco-Américaine a déjà tiré un trait sur sa saison avec le Galatasaray. Pour le reste...\\n\\n« Mon objectif c’était bien évidemment les Jeux Olympiques. Pour l’EuroBasket cela me semble compliqué. Je ne sais pas vraiment si je serai en mesure de disputer une compétition de ce niveau en juin. Mais pour les Jeux... »\\n\\nA savoir dans quelle forme sera la Newyorkaise après une inactivité de près d’un an.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : SIG TV Live débarque ce samedi" }, {"role": "assistant", "content":"Ce samedi, Strasbourg accueille Chalon dans le cadre de la 24ème journée de Jeep Elite. À partir de ce match et jusqu’à la fin de la saison, la SIG va proposer à ses fans une nouvelle approche télévisée.\\n\\nVoilà quelques semaines que le club alsacien travaillait afin de faire évoluer son offre à ses partenaires, abonnés et supporters. À compter de ce samedi, la SIG produira elle-même ses matchs en championnat de France. Ils seront bonifiés par un duo de commentateurs.\\n\\nEn parallèle, le club strasbourgeois proposera 45 minutes avant le coup d’envoi un plateau TV retransmis en direct sur la page Facebook du club ainsi que sur LNB TV, la plateforme qui diffuse gratuitement l’ensemble des matchs du championnat de France et dont l’application est disponible depuis quelques jours. Actualité du club, interviews et autres contenus « made in Strasbourg » rythmeront le compte à rebours d’avant-match. Ce plateau nommé « SIG TV Live » sera de retour à la mi-temps et en après-match afin de débriefer la rencontre.\\n\\nLe rendez-vous est donc donné ce samedi à 17h15 pour le lancement de ce dispositif en marge de Strasbourg – Chalon (coup d’envoi à 18h).\\n\\n\\n📺 SIGTV LIVE 📺\\n\\nCe samedi 13 mars, vous allez pouvoir regarder votre match face à @ELANCHALON dans des conditions dignes d’une véritable chaîne télé 🤩\\n\\n🔜 Rendez-vous ce samedi à 17h15 pour la première de SIGTV Live, en direct ! https://t.co/XzVkv3ZEdd pic.twitter.com/HBEm4QrRkv\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) March 12, 2021\\n\\n\\nPhoto : Strasbourg (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pau : La cession aux Américains de CSG bouclée fin avril, début mai ?" }, {"role": "assistant", "content":"Comme il le dit lui-même, l’avocat David Bonnemason-Carrère, mandaté par le maire de Pau, François Bayrou, a la charge de piloter l’arrivée des Américains de Counterpoint Sports Group à la tête de l’Elan Béarnais. Dans une longue interview à La République des Pyrénées, il fait un point de la situation.\\n\\n« Oui, on peut dire que l’essentiel des décisions n’est plus pris par la gouvernance actuelle », assure t-il.\\n\\nLes représentants de CSG devrait venir à plusieurs en Béarn dans les prochaines semaines:\\n\\n« Au niveau de la cession, il faudrait que tout soit bouclé entre la fin avril et la mi-mai. Jamal Mashburn, Rick Pitino s’il le peut, la partie financière et marketing de CSG avec Tom Houston, un leader dans le projet, devraient venir à Pau début avril, c’est ce qui est prévu. Sur la partie basket, il faut qu’ils voient ce qu’ils vont faire (...) Je les sens toujours à fond, il n’y a aucun essoufflement. Ils sont énormément dans l’analyse. On va changer de modèle économique avec avec des investissements dans d’autres domaines d’activités. Ils ont besoin d’analyser et de voir leur retour sur investissement. «\\n\\nSelon les informations données par David Bonnemason-Carrère, le projet de CSG comprend de l’immobilier dont un hôtel cinq étoiles, de la restauration, des résidences, la volonté d’exploiter le Zénith et un volet social. Les Américains envisagent aussi la possibilité de faire des aménagements au palais des sports pour faire monter sa capacité à 9-10 000 places.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Italie : Ettore Messina de retour à la tête de l’équipe nationale ?" }, {"role": "assistant", "content":"Selon La Gazzetta dello Sport, Ettore Messina pourrait reprendre l’équipe d’Italie à la suite du Tournoi de Qualification Olympique de Belgrade ou des JO si celle-ci se qualifie. Il remplacerait Romeo Sacchetti.\\n\\nEttore Messina, 61 ans, actuellement coach de Olimpia Milan, a déjà été deux fois le patron de la Squadra Azzurra, de 1992 à 1997 et de 2015 à 2017.\\n\\nLa Gazzetta dello Sport ajoute que si Ettore Messina décline la proposition, le poste devrait être proposé à Walter de Raphaele, l’entraîneur de Reyer Venise." }, {"role": "user", "content":"N1 : 10 000 vues pour les matches du Caen BC sur Facebook live" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y a pas que les matches de Jeep Elite, de Pro B et de Ligue Féminine qui sont diffusés en direct. Ceux du Caen BC en Nationale 1 aussi.\\n\\nLes matches sont captés avec pas moins de 5 caméras et retransmis sur Facebook Live avec les commentaires du désormais célèbre speaker Pierre Salzmann. Il est possible ainsi de se connecter sa télévision à internet. Actu.fr révèle que les audiences, en hausse, sont significatives: 10 900 vues pour CBC-Orchies le 26 février, et 9 900 pour CBC-Chartres le 6 mars.\\n\\nPlus étonnant encore: près d’un millier de commentaires de fans sont faits à chaque match. La passion pour le basket est bien vivante à Caen." }, {"role": "user", "content":"Euroleague – TJ Parker : «Désormais, on va faire jouer ceux qui veulent défendre»" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir été vaincue face à Dijon mercredi soir en championnat, l’équipe de Tony Parker s’est à nouveau inclinée ce jeudi face à Berlin (89-95) et concède ainsi un quatrième revers consécutif toutes compétitions confondues.\\n\\nL’affaire semblait pourtant bien embarquée. Avec le retour d’Antoine Diot mais toujours sans Walton Jr, les Villeurbannais ont réalisé une bonne entame en étant très adroits (12/15 aux tirs) et en contrôlant le rebond (9 contre 2, côté berlinois). A l’issue de ce premier quart, les hommes de TJ Parker se sont retrouvés logiquement en tête avec sept unités d’avance (30-23).\\n\\nDavid Lighty est quant à lui resté scotché sur le banc en raison d’une gène au dos et son absence de percussion dans le jeu s’est faite sentir mais les Rhodaniens ont maitrisé leur sujet dans le deuxième acte et se sont offert un joli matelas d’avance (52-43, +9) à la pause.\\n\\nUne histoire de dernière minute\\n\\nAu retour des vestiaires, la dynamique était du côté de l’Alba, sous l’impulsion du meneur US, Peyton Siva, qui inscrivait onze points consécutif. Quant à l’Asvel, elle a pu compter sur le bon passage de Guerschon Yabusele (20 points, 5/7 aux tirs dont 2/3 à trois-points) et Ismael Bako (12 points, 4/6 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs, et 5 rebonds) pour relever la tête et entamer les dix dernières minutes du match en leader (73-70).\\n\\nÀ la peine et beaucoup moins incisifs, Villeurbanne a ensuite subi. La puissance offensive berlinoise a parlé et a imposé un scénario qui ressemblait au match aller. Martyrisés par Simone Fontecchio (19 points) et Peyton Siva (21 points), les Rhodaniens ont baissé pavillon à une minute de la sirène cette fois-ci. L’Asvel devra se vite se réveiller car l’attend un déplacement à Beaublanc pour jouer samedi Limoges en Jeep Elite où elle n’a plus de droit à l’erreur.\\n\\nTJ Parker (Coach LDLC ASVEL) : « Je n’ai pas envie de mettre ce résultat sur le compte de la fatigue. Sur 95 points encaissés, on en prend 43 sur des un contre un. Désormais, on va faire jouer ceux qui veulent défendre. On a l’impression qu’un seul joueur manquait et que tous les autres avaient oubliés ce qu’il fallait faire. David (Lighty) donne tout, tout le temps, il est cramé à tous les matchs. Concernant Paul Lacombe, je suis content de son match. On a souvent dit quand ce n’était pas bon, il faut dire quand c’est satisfaisant. On a construit cette équipe pour pouvoir faire tourner, il faut que les joueurs appelés soient prêts. »\\n\\nMatthew Strazel (LDLC Asvel) : « En première mi-temps on était dans le match, mais, même si on était devant, on n’était pas dans ce qu’on recherchait défensivement. On fait une mauvaise entame de deuxième, chaque balle perdue s’est payée cash. Je pense que l’enchaînement des défaites commence à nous peser. En Jeep Élite on doit faire une série de victoires pour remonter. »\\n\\nPeyton Siva (Alba Berlin) : « Notre équipe a fait un meilleur travail défensif en deuxième mi-temps. Ils ont marqué trop de points en première mi-temps. Nous ne leur avons pas donné de tirs faciles. Nous voulons simplement nous améliorer et utiliser ces matchs d’EuroLeague pour continuer à acquérir de l’expérience. Nous sommes encore une jeune équipe en ce qui concerne l’expérience de l’EuroLeague ».\\n\\nPhoto : Antoine Diot (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B : Les matches du vendredi 12 au mardi 16 mars avec ceux à la TV" }, {"role": "assistant", "content":"Jeep ÉLITE\\nVendredi 12 mars\\n18h00 ESSM Le Portel – AS Monaco Basket\\n20h00 Le Mans Sarthe Basket – JL Bourg-en-Bresse\\n\\n\\nSamedi 13 mars\\n17h00 JDA Dijon – Boulogne-L.Metropolitans 92 En direct sur SPORT EN FRANCE\\n18h00 SIG Strasbourg – Elan Chalon/Saône\\n18h30 Cholet Basket – Boulazac Basket Dordogne\\n19h00 EB Pau-Lacq-Orthez – Orléans Loiret Basket\\n19h05 Limoges CSP – LDLC ASVEL En direct sur La Chaine L’Equipe\\n20h00 Chorale Roanne – BCM Gravelines-Dunkerque\\n20h00 Nanterre 92 – Champagne Basket\\n\\n\\nLundi 15 mars\\n19h00 AS Monaco Basket – Cholet Basket\\n\\n\\nMardi 16 mars\\n19h00 Elan Chalon/Saône – Boulazac Basket Dordogne\\n19h00 Orléans Loiret Basket – JDA Dijon\\n19h00 Le Mans Sarthe Basket – LDLC ASVEL\\n20h00 JL Bourg-en-Bresse – EB Pau-Lacq-Orthez\\n20h00 Nanterre 92 – Chorale Roanne\\n20h30 Limoges CSP – Boulogne-L.Metropolitans 92 En direct sur SPORT EN FRANCE\\n\\n\\nJeudi 18 mars\\n17h00 BCM Gravelines-Dunkerque – SIG Strasbourg\\n19h00 Champagne Basket – ESSM Le Portel\\n\\nPROB\\nVendredi 12 mars\\n17h00 Saint-Quentin Basket-Ball – ADA Blois En direct sur SPORT EN FRANCE\\n19h00 ALM Evreux Basket Eure – BC Souffelweyersheim\\n19h00 Rouen Métropole Basket – JA Vichy-Clermont Métropole\\n20h00 Lille Métropole Basket – Poitiers Basket 86\\n20h00 ASC Denain Voltaire – Béliers de Kemper\\n20h00 Antibes Sharks – Aix-Maurienne Savoie Basket\\n\\n\\nSamedi 13 mars\\n15h20 Paris Basketball – Saint-Chamond Basket VDG\\n\\n\\nMardi 16 mars\\n19h00 Nantes Basket Hermine – BC Souffelweyersheim\\n20h00 Aix-Maurienne Savoie Basket – SLUC Nancy\\n\\nToutes les autres rencontres de Jeep® ÉLITE et toutes celles de PROB sont disponibles en direct et en replay sur LNB.tv\\n\\nLe Comité Sanitaire de la LNB a décidé le report de la rencontre suivante :PROB : 9ème Journée\\n– Fos Provence Basket / BC Gries-Oberhoffen du 13/03/2021" }, {"role": "user", "content":"Leandro Bolmaro (Barcelone) : «J’ai dû choisir entre l’athlétisme et le basket»" }, {"role": "assistant", "content":"Le prometteur arrière du FC Barcelone Leandro Bolmaro se livre sur son parcours et son amour pour l’athlétisme.\\n\\nLeo Bolmaro (2,01 m, 20 ans) fait partie de ces joueurs à fort potentiel qui ont choisi de ne pas brûler les étapes avant de rejoindre la NBA. Drafté en 23e position par les New York Knicks cet été, l’Argentin a décidé de poursuivre son apprentissage en Europe, au FC Barcelone. En Liga Endesa (5,0 points, 1,7 passe en 14 minutes) comme en Euroleague (2,4 points, 1,2 passe en 8 minutes), l’arrière du Barça apporte son énergie dans la rotation catalane. Il faut dire que physiquement, l’ancien espoir d’athlétisme tient la route.\\n\\n« J’ai commencé l’athlétisme très jeune, quand j’avais 5-6 ans parce que ma sœur en faisait. C’est devenu de plus en plus important pour moi et j’ai commencé à beaucoup aimer ce sport. J’ai dû abandonner quand j’avais 15 ans parce que je devais choisir entre le basket et l’athlétisme. C’était un choix difficile, mais je suis très heureux de jouer au basket maintenant« , détaille l’Argentin dans un entretien à l’Euroleague.\\n\\nChampion national d’heptathlon U14 en 2014 (discipline qui combine 100 m haies, saut en longueur, javelot, saut en hauteur, lancer du poids et 800 m), Leo Bolmaro était un athlète multidisciplinaire sautant en hauteur à 1,94 m et en longueur à 6,80 m. Pour ce fan d’Usain Bolt et de Manu Ginobili, la coordination et la technique étaient les clés se son succès dans ce sport. Une fois qu’il a commencé le basket, son amour pour l’athlé n’a pas disparu. L’un de ses rêves est d’ailleurs d’aller aux Jeux Olympiques et, si l’Argentine se qualifie, de se faufiler pour aller voir l’événement d’athlétisme.\\n\\n« J’ai beaucoup travaillé sur ma coordination pour sauter par-dessus les obstacles et cette coordination m’aide au basket. Entre les obstacles, vous devez faire trois pas. Si vous en prenez quatre, vous pourriez vous tuer ou perdre la course. Donc j’ai toujours dû faire trois pas longs et fermes tout en étant concentré. Je suis sûr que cela m’a aidé dans le basket aussi. C’était plus facile pour moi d’aller au panier, je suppose. Peut-être si je n’avais pas fait de compétition en athlétisme, je serais un basketteur terrible. »\\n\\nEncore aujourd’hui, le prometteur argentin rêve parfois de retourner sur la piste d’athlétisme.\\n\\n« Je veux encore faire de l’athlétisme parfois, mais je me concentre sur le basket et je veux devenir un meilleur joueur tous les jours. En vous entraînant avec Saras (NDLR, son coach Sarunas Jasikevicius) et Nick Calathes, vous apprenez quelque chose de nouveau tous les jours. Saras était un grand joueur et il a joué meneur aussi, donc ça aide beaucoup, chaque conseil et chaque correction est bonne à prendre. J’essaie de les écouter et de devenir un meilleur joueur chaque jour, mais le simple fait de m’entraîner avec eux m’aide beaucoup.«\\n\\nPhoto : Leandro Bolmaro (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Liz Mills, coach du Kenya : «Certaines femmes doivent faire tomber les barrières et montrer l’exemple à la prochaine génération»" }, {"role": "assistant", "content":"L’Australienne Liz Mills a fait un énorme buzz mondial en étant à la tête de l’équipe du Kenya qui s’est qualifiée à l’AfroBasket pour la première fois depuis 28 ans. C’est la première femme qui, comme coach, a réussi à conduire une équipe de garçons vers un grand tournoi de la Fédération Internationale. Un exemple pour toute la gente féminine. Interrogée par As, elle a déclaré:\\n\\n« Je suis très fière, sans aucun doute. Mais en même temps, il est triste qu’en 2021, nous devions parler de ce type de jalons. J’espère que dans les années à venir, nous verrons une augmentation drastique du nombre de femmes à la tête d’équipes, hommes et femmes. J’espère que cela arrivera à un point où il semblera normal qu’il y ait des entraîneures et que nous ne soyons pas obligés de continuer à parler de genre quand il s’agit de coaching. »\\n\\nLiz Mills insiste sur le fait qu’elle n’a pas eu de mal à se fondre dans le groupe kenyan, ni en tant que femme, ni en tant que blanche.\\n\\n« Depuis que je suis arrivée, ils m’ont très bien accueilli. Après plus d’une décennie d’entraînement sur le continent africain, j’ai une réputation que les joueurs connaissent, ils savaient ce que j’allais apporter à l’équipe. C’est un vestiaire avec des joueurs avec beaucoup de personnalité, ça a été très amusant de travailler avec eux. Ici, en Afrique, de nombreux entraîneurs étrangers travaillent avec des équipes de tout le continent. Malheureusement, oui, j’ai subi une discrimination fondée sur le sexe, mais au sein des équipes auxquelles j’ai fait partie, j’ai toujours été très bien accueillie. De plus, je suis ici depuis tellement d’années que je fais partie de la communauté, tout le monde me connaît, ils savent que je travaille pour aider le basket africain à grandir. J’ai été bien traitée là où j’ai été, des managers aux joueurs. Les plus gros problèmes sont généralement avec des équipes rivales, d’autres fédérations... des gens qui ne voient pas comme normal que j’apparaisse en tant qu’entraîneur. Mais bon, c’est une mentalité de la vieille école qui, j’espère, disparaîtra bientôt. »\\n\\nL’Australienne a d’autres objectifs :\\n\\n« Il est essentiel que les jeunes filles voient qu’il y a des femmes fortes, intelligentes et qui réussissent à des postes de direction. Vous ne pouvez pas vous attendre à ce qu’elles rêvent de réaliser de grandes choses si elles n’ont pas ces modèles. Certaines femmes doivent faire tomber les barrières et montrer l’exemple à la prochaine génération. C’est crucial, et j’espère que même de manière modeste, je pourrai faire ma part pour éclairer la voie pour les femmes sur les bancs de basket-ball (...) Maintenant, je veux diriger une équipe africaine dans une Coupe du monde, des Jeux Olympiques... »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Endesa devrait continuer à être le naming de la liga ACB" }, {"role": "assistant", "content":"La compagnie d’électricité et de gaz Endesa va continuer d’être le partenaire naming de la liga ACB jusqu’en 2023-24 annonce le site spécialisé 2Playbook.\\n\\nEndesa est le naming de la ligue depuis dix ans et son apport est de quatre à six millions d’euros par saison, ce qui a permis à la liga ACB d’atteindre les 30M€ de chiffres d’affaire lors de la saison 2019-20, pour la première fois de son histoire. Endesa et Movistar, via le sponsoring et le contrat audiovisuel contribuent à plus de 60% du CA de l’ACB.\\n\\nEn parallèle, les nouvelles règlementations gouvernementales pour les sites de paris oblige l’ACB à rechercher des sponsors dans des secteurs alternatifs, puisque 888Sport ne pourra pas continuer avec la même visibilité qu’il a aujourd’hui." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Kostas Papanikolaou (Olympiacos) absent jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà écarté ces trois derniers mois après une blessure au dos, l’international grec Kostas Papanikolaou restera à l’infirmerie jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nCe vendredi, Kostas Papanikolaou (2,04 m, 30 ans) subira une nouvelle opération. L’ancien joueur NBA (5,7 points, 2,2 rebonds et 1,9 passe en 14 matchs d’Euroleague cette saison) repassera sur billard après l’échec de sa dernière intervention dans le haut du dos.\\n\\nL’ailier manquera la fin de la saison régulière d’Euroleague avec l’Olympiacos – actuellement 13e – et pourrait également zapper le tournoi qualification olympique (TQO) avec la Grèce, tournoi qui aura lieu fin juin à Victoria (Canada). Pour rappel, l’équipe de France affrontera lors du premier tour des Jeux Olympiques le vainqueur de ce TQO mais aussi les Etats-Unis et l’Iran.\\n\\nPhoto : Kostas Papanikolaou (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Monaco affrontera le Buducnost Podgorica, Boulogne-Levallois défiera Gran Canaria en quarts" }, {"role": "assistant", "content":"Qualifiés pour les quarts de finale de l’Eurocup, les deux derniers représentants français Monaco et Boulogne-Levallois pourraient se retrouver en demi-finale.\\n\\nAprès Monaco la semaine dernière, Boulogne-Levallois a obtenu son ticket pour le Top 8 de l’Eurocup en s’imposant face au Partizan Belgrade (75-70) ce mercredi soir. Outre cette qualification, le Kuban Krasnodar et Gran Canaria ont également validé leur billet grâce à leurs victoires respectives face à Trente (100-86) et l’Unics Kazan (96-90).\\n\\nAyant terminé premiers des groupes E et F, l’AS Monaco et les Metropolitans 92 auront l’avantage du terrain en quart de finale (au meilleur des trois matchs) respectivement contre le Buducnost Podgorica (deuxième du groupe G) et Gran Canaria (deuxième du groupe H). Les matchs allers se dérouleront le mardi 23 mars et les retours (à Podgorica et Gran Canaria) le vendredi 26 mars. En cas d’égalité, la belle aura lieu le mercredi 31 mars.\\n\\nEn cas de victoires en quarts, les deux formations de Jeep Elite se retrouveraient en demi-finale. Pour rappel, le vainqueur de cette demi-finale serait qualifié pour l’Euroleague la saison prochaine car les deux finalistes de l’Eurocup – sauf si Valence se qualifie pour les playoffs en C1 – obtiendront leur ticket pour la grande compétition européenne.\\n\\nDe l’autre côté du tableau, la Virtus Bologne (premier du groupe G) sera opposée à la Joventut Badalone (deuxième du groupe E), et l’Unics Kazan (premier du groupe H) défiera un autre club russe : le Lokomotiv Kuban Krasnodar (deuxième du groupe F).\\n\\nLes affiches des quarts de finale :\\nMonaco – Buducnost Podgorica\\nBoulogne-Levallois – Gran Canaria\\nVirtus Bologne – Joventut Badalone\\nUnics Kazan – Kuban Krasnodar\\n\\n\\nHuge night for @lokobasket, @GranCanariaCB and @Metropolitans92 as they qualified for Quarterfinals after winning in Round 6 of the Top 16!#RoadToGreatness pic.twitter.com/VTZvpsahCB\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) March 10, 2021\\n\\n\\nPhoto : Milos Teodosic (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : le déplacement de l’Asvel à Tel-Aviv est décalé du 18 mars au 4 avril" }, {"role": "assistant", "content":"Le déplacement de l’Asvel sur le parquet Maccabi Tel Aviv (Israël), comptant pour la 30e journée de la saison régulière et initialement prévu le 18 mars, est décalé au 4 avril, annonce l’Euroleague.\\n\\n« Le match a été reporté et reprogrammé en raison de la législation française imposant des mesures de quarantaine à l’Asvel au retour d’un déplacement en dehors de l’Union européenne« , explique l’organisation dans un communiqué.\\n\\nCette reprogrammation s’intercale entre trois déplacements en Russie : le 31 mars à Moscou contre le Khimki, le 2 avril à Saint-Pétersbourg contre le Zenit et le 8 avril à Moscou contre le CSKA, pour les 32e, 33e et 34e journées de saison régulière. Ce déplacement à Tel Aviv au coeur de cette série de quatre rencontres à l’extérieur permet à Villeurbanne d’éviter une quarantaine qui aurait suivi le match s’il s’était tenu le 18 mars.\\n\\nAvant cet enchaînement européen, l’Asvel a un calendrier bien rempli avec quatre matchs de Jeep Elite (Limoges le 13 mars, Le Mans le 16 mars, Nanterre le 23 mars et Châlons-Reims le 28 mars), deux rencontres européennes à domicile (contre Berlin ce jeudi 11 mars et le Real Madrid le 25 mars) et un quart de finale de Coupe de France le 20 mars contre Boulogne-Levallois.\\n\\nPhoto : Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"BCL : Strasbourg déjà au bord de l’élimination après son revers contre Novgorod" }, {"role": "assistant", "content":"Défaite mercredi soir face à Nizhny Novgorod (68-73), la SIG concède déjà son second revers consécutif en deux sorties du Top 16 de Basketball Champions League. Les quarts de finale s’éloignent dangereusement.\\n\\nLe déplacement à l’AEK Athènes la semaine prochaine sera déjà celui de la dernière chance. Strasbourg n’aura pas le droit à l’erreur après le faux pas de mercredi soir. Pourtant, les hommes de Lassi Tuovi avaient pris le meilleur départ au Rhénus, avec un impeccable 12-2 en trois minutes. Le coach de Novgorod, Zoran Lukic, a eu beau gesticuler dans tous les sens, ses joueurs n’avaient pas les yeux en face des trous et les Strasbourgeois en ont profité (22-13).\\n\\nDans le deuxième quart-temps, Shephred et Astapkovich (7 points à 3/9 aux tirs) ont accéléré, mais le collectif alsacien a répondu, bien aidé par l’activité d’Ishmail Wainwright (11 points à 4/7 aux tirs, 3/3 aux lancers-francs, 8 rebonds) et de Brandon Jefferson (20 points à 5/13 aux tirs dont 3/10 à 3-points, 7/8 aux lancers-francs, 3 rebonds, 16 d’évaluation) pour conserver un matelas appréciable à la pause (36-29).\\n\\nStrasbourg précipite sa propre chute\\n\\nC’est au retour sur le parquet que le match bascule. La SIG encaisse un 3-11 et ne trouve plus la solution face aux Russes. L’insaisissable Kasey Shephred (26 points à 10/18 aux tirs dont 3/7 à trois-points, 7 rebonds, 3 passes pour 26 d’évaluation) donne le ton pour prendre les commandes du match (41-42). En fin de quart, Strasbourg retrouve de la hargne pour débuter le dernier acte en tête (57-54).\\n\\nLe souffle court, les hommes de Lassi Tuovi sont finalement victimes d’une panne d’adresse (32 % aux tirs contre 41 % côté russe), avec sept minutes sans inscrire un panier dans le jeu, s’accrochant à seulement quatre lancers-francs de Bonzie Colson (13 points à 4/11 aux tirs) sur la fin de match. Avec une lucidité en berne, ce quart a ressemblé à un long chemin de croix pour les Alsaciens. Les Russes ont repris la tête pour ne plus la céder (68-73).\\n\\nAvec deux défaites en autant de matchs, la SIG est déjà condamnée à ne plus perdre, à commencer par le déplacement à Athènes lors de la troisième journée du Top 16, mardi 23 mars (20 h 30).\\n\\nPhoto : Brandon Jefferson (Basketball Champions League)" }, {"role": "user", "content":"LFB : L’ASVEL prise dans le tourbillon Lisa Berkani" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la 5e fois de la saison, l’ASVEL a chuté hier soir à Villeneuve d’Ascq, qui lui restait sur 6 revers d’affilée.\\n\\nLes Nordistes, qui avaient pris de l’avance à la mi-temps (32-25) ont su se remettre d’un terrible trou d’air (17-0) pour s’imposer 73-71.\\n\\nSi les Lyonnaises ont pu compter sur Marine Johannes et sa polyvalence (21 points, 7 rebonds, 7 passes), l’ESBVA a bénéficié de l’omniprésence de Lisa Berkani (1,75m, 23 ans) : 22 points, 8 passes et... 8 balles perdues. Celle-ci a achever son show en transformant deux lancers-francs décisifs.\\n\\nCe n’est pas très rassurant pour l’ASVEL qui mercredi prochain va se mesurer à Sopron en quart-de-finale de l’Euroleague. Il y a eu hier soir quelques défaillances individuelles (Michelle Plouffe avec -3 d’évaluation, Alysha Clark avec 1), alors que pour son retour Helena Ciak n’a joué que 10 minutes.\\n\\nSur le plan national, les Lionnes comptent désormais cinq défaites de plus que Bourges et deux de plus que Basket Landes, qui a repoussé hier soir Charleville, 76-64." }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Boulogne-Levallois renverse le Partizan Belgrade et se qualifie pour les quarts de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Mené de 9 points à l’entame du dernier quart-temps, Boulogne-Levallois a arraché sa qualification grâce à sa victoire renversante contre le Partizan Belgrade (75-70), à Ljubljana (Slovénie). Les Metropolitans terminent premiers de leur groupe et rejoignent Monaco dans le Top 8 de l’Eurocup. Ils affronteront Gran Canaria en quarts de finale.\\n\\nIl y aura bien deux équipes françaises dans le Top 8 de l’Eurocup, version 2020-2021. Mais que ce fut dur pour les Metropolitans dans ce match délocalisé à Ljubljana à la demande du club francilien. Complètements muets pendant 35 minutes, les hommes de Jurij Zdovc ont renversé le Partizan Belgrade dans la douleur.\\n\\nIl faut dire que d’entrée de jeu, les deux équipes ont été dépassées par l’enjeu. Quand le Partizan Belgrade débute par un vilain 0/5 à 3-points, Boulogne-Levallois ne fait pas mieux à l’intérieur et manque d’agressivité au rebond (16 à 10 pour les Serbes à la mi-temps). L’adresse extérieure (7/13 à 3-points à la pause) maintient les coéquipiers de David Michineau dans le match malgré un récital de Rashawn Thomas à l’intérieur (15 points à 6/9 aux tirs, 4 interceptions et 4 fautes provoquées en première mi-temps), intraitable face à Vitalis Chikoko et Tomer Ginat (35-35 à la pause).\\n\\n-9 à 8’40 du terme, mais Anthony Brown prend feu\\n\\nAu retour des vestiaires, les hommes d’Aleksandar Matovic accélèrent et prennent les devants grâce à l’activité de Joshua Perkins (10 points). Totalement absents offensivement, à la création comme à l’intérieur, les Mets perdent ballons sur ballons (22 pertes de balles) et ne survivent que par leur adresse extérieure (59-56 à la fin du 3e acte). Le festival de balles perdues continue à l’entrée du quatrième quart-temps. Menés 65-56 à 8’40 du terme, Lahaou Konaté (10 points) et ses consorts réussissent finalement une formidable remontée, notamment grâce à l’indiscipline du Partizan, dans la pénalité à 6 minutes de la fin. C’est sur un nouveau shoot du parking signé Anthony Brown que les Franciliens creusent finalement l’écart dans la dernière minute (73-69), pour ne plus être repris.\\n\\nUne victoire qui tient presque du miracle tant le niveau de jeu proposé était poussif. Les hommes de Jurij Zdovc terminent d’ailleurs à 69 à l’évaluation, contre 79 pour les Serbes. Dominés au rebonds (33 à 31) et dans l’agressivité (22 pertes de balles), c’est grâce à leur adresse (14/28, 50 % à 3-points) que les Mets sont allés chercher la qualification, quand les Serbes, eux, ont laissé filer 11 lancers francs (16/27). Les Metropolitans peuvent remercier Anthony Brown (18 points à 5/8 à 3-points), auteur d’un excellent money time.\\n\\nPremier de son groupe (4 victoires – 2 défaites), Boulogne-Levallois aura l’avantage du terrain en quarts de finale face à Gran Canaria. L’équipe d’Andrew Albicy termine deuxième de son groupe après sa victoire du soir contre l’Unics Kazan (96-90).\\n\\nJurij Zdovc (coach Boulogne-Levallois) : « C’était un match fou. Je tiens à féliciter mes joueurs pour cette victoire. On n’a pas abandonné, on a eu des mauvais moments, on a très vite été pénalisés par les fautes. Mais on n’a rien lâché, les joueurs ont trouvé l’énergie supplémentaire pour s’imposer. On a hâte de jouer les quarts de finale.«\\n\\n\\n🎟️🏀Direction les #quartsdefinale de l'@EuroCup !!️✅\\n👏 BRAVO à l'équipe et au staff pour la qualification👏 #GoMets92 #Top8 #Eurocup #Qualifiés pic.twitter.com/UTjJP6tslX\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) March 10, 2021\\n\\n\\nPhoto : David Michineau (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Les Français des États-Unis : Gobert en mode All-Star, Toupane se montre en G-League, Ayayi invaincu avant la March Madness" }, {"role": "assistant", "content":"Cette saison, ils sont 35 Français à évoluer en NBA, en G-League ou en première division de NCAA. Revue d’effectif des représentants tricolores en Amérique.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAu 8 mars, date à laquelle nous avons arrêté nos statistiques, ils étaient 11 Français à évoluer en NBA, 3 en G-League et 22 en première division de NCAA. Un nombre conséquent qui cache des réalités très diverses.\\n\\nLes Français de NBA\\n\\nÀ la mi-saison de NBA, 11 joueurs ont foulé les parquets de la grande ligue. Parmi eux, le trio majeur Rudy Gobert – Evan Fournier – Nicolas Batum. Signé pour le troisième plus gros contrat de l’histoire en décembre dernier, le premier justifie sur le terrain sa deuxième sélection All-Star consécutive (14,2 points, 13,1 rebonds et 2,7 contres de moyenne). Avec le Utah Jazz, le défenseur de l’année 2018 et 2019 domine la conférence Ouest avec le meilleur bilan de la ligue (27 victoires – 9 défaites). Le second, principale arme offensive du Magic, affiche de son côté un bilan collectif beaucoup plus délicat (13 victoires – 23 défaites, 14e à l’Est). Embêté par des douleurs au dos, le Français a manqué 15 matchs depuis le début de la saison. Mais quand il est là, il reste efficace (18,5 pts à 44,9 % aux tirs). Agent libre à l’été 2021, Evan Fournier peut vivre une fin de saison mouvementée. Quant au troisième, Nicolas Batum, il revit depuis qu’il a quitté le banc de Charlotte pour les Clippers, où il est devenu une pièce majeure du dispositif angelinos (9,0 points, 4,8 rebonds, 2,4 passes, 1,2 interception en 29 minutes). Véritable glue-guy, il excelle des deux côtés du terrain chez un candidat au titre, le tout en shootant à 43,9 % à 3-points.\\n\\n\\nRudy. 🌟\\n\\nPour sa 2de sélection #NBAAllStar, Rudy Gobert compile 10 PTS, 7 REB en 14 minutes de jeu.#TeamLeBron pic.twitter.com/dRJzFg5a7P\\n\\n— NBA France (@NBAFRANCE) March 8, 2021\\n\\n\\nD’autres Frenchies se montrent en 2021. Propulsé titulaire, Théo Maledon a su saisir sa chance dans la très jeune équipe du Thunder. Depuis fin janvier et son record en carrière à 24 points face à Brooklyn, le rookie a trouvé son rythme de croisière (7,8 points, 3,3 passes, 3,0 rebonds, 1,0 interception) et signé son premier double-double (13 points, 12 passes) contre Atlanta. Également en vue en sortie de banc chez les Nets (2e à l’Est, 24 victoires – 13 défaites), Timothé Luwawu-Cabarrot (7,2 points, 2,4 rebonds, 1,3 passe) trouve sa place chez un prétendant au titre. Revenu dans le cinq de départ avant le All-Star break, Frank Ntilikina profite quant à lui de l’élan collectif des Knicks, dans le top 5 à l’Est, pour engranger de la confiance (5,8 points dont 61,9 % à 3-points en 9 matchs). Mais il continue d’être annoncé dans de nombreuses rumeurs de transferts.\\n\\n\\nNtilikina a encore été très propre hier soir. Impeccable au shoot il termine à 3/3 à 3-pointspic.twitter.com/oC1fnFEQAB\\n\\n— Knicks France (@KnicksFrance) March 5, 2021\\n\\n\\nPour les autres, l’exercice est plus chaotique. C’est le cas des jeunes Pistons Kilian Hayes et Sekou Doumbouya, bons derniers de la ligue (10 victoires – 26 défaites). Le premier, blessé à la hanche depuis début janvier et a minima indisponible encore un mois, ne s’est pas encore révélé (4,6 points à 27,7 % aux tirs, 3,6 passes). Le second, encore très jeune – tout juste 20 ans – n’a pas convaincu Dwane Casey de lui donner sa chance et a même réduit son rendement (4,2 points en 13 minutes cette saison contre 6,4 points en 20 minutes l’an dernier). Toujours à l’Est, Vincent Poirier et Adam Mokoka n’ont pas gagné de minutes en bout de rotation à Philadelphie et Chicago par rapport au début d’exercice. Le second a toutefois rebasculé en G-League pour les playoffs (lire ci-dessous). Enfin, un nouveau Français a foulé les parquets en NBA... Il s’agit de Killian Tillie avec les Memphis Grizzlies (2 matchs seulement). Une liste à laquelle on peut également ajouter Ian Mahinmi, 34 ans et toujours free agent.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueursÉquipesMinutesPointsRebondsPassesMatchsRudy GobertUtah Jazz30,714,213,11,336/36Evan FournierOrlando Magic29,218,52,53,621/36Nicolas BatumLos Angeles Clippers29,59,04,82,435/38Théo MaledonOklahoma City Thunder25,77,83,03,331/36Thimoté Luwawu-CabarrotBrooklyn Nets19,77,22,41,334/37Frank NtilikinaNew York Knicks14,15,80,80,89/37Sekou DoumbouyaDetroit Pistons13,74,22,30,732/36Killian HayesDetroit Pistons21,14,61,13,67/36Adam MokokaChicago Bulls6,01,60,60,67/34Vincent PoirierPhiladelphie 76ers3,60,70,70,26/36Killian TillieMemphis Grizzlies10,51,51,002/32\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLes Français de G-League\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe 10 février, la G-League a fait son grand retour, avec un calendrier réduit – 15 matchs de saison régulière puis playoffs en matchs à élimination directe – et une bulle sanitaire à Orlando. Quatre Français étaient présents en Floride, dont Adam Mokoka, seul à avoir basculé de la NBA à la bulle de G-League sur cette période. Deux d’entre eux ont participé aux playoffs, qui se terminent vendredi.\\n\\n\\n\\n\\n\\nPremier de cordée, Axel Toupane, leader des Santa Cruz Warriors, la franchise affiliée aux Golden State Warriors. Avec son équipe, l’ancien joueur de Strasbourg a pris la deuxième place de la saison régulière (11 victoires – 4 défaites). À quelques mois des Jeux Olympiques, l’ailier a brillé à Orlando (17,9 points, 8,0 rebonds, 3,3 passes et 1,7 interception de moyenne), terminant deuxième meilleur marqueur de son équipe. En quarts de finale, le Français a claqué 24 points à 10/13 aux tirs et 11 rebonds. Stoppé en demi-finale par le Magic de Lakeland, futur vainqueur, il termine sur un vilain 3/17 aux tirs (dont un 1/8 à 3-points) mais se donne une chance d’intéresser un effectif NBA pour la fin de saison.\\n\\n\\n\\nAxel Toupane (@toups_33) régale en G-League 😤 pic.twitter.com/bG1PsGAauD\\n\\n— First Team (@FirstTeam101) March 2, 2021\\n\\n\\nÉgalement présent aux playoffs grâce à son two-way contract, Adam Mokoka est arrivé en cours de route avec les Austin Spurs. Dans un rôle polyvalent, l’ailier n’a jamais donné l’impression de forcer. En atteste son quart de finale – perdu contre les Delaware Blue Coats – à 13 points à 5/6 aux tirs (2/2 à 3-points), 5 rebonds et 1 interception en 22 minutes.\\n\\nQuant à ceux présents dans la bulle en saison régulière, on retrouve Elie Okobo (Long Island Nets). Le meneur y a affiché un rendement correct (8,9 points, 5,1 passes, 3,4 rebonds) mais n’a shooté qu’à 38 %, dont un léger 30 % à 3-points. De là à convaincre une franchise NBA ? Probablement pas, même s’il se donne jusqu’au 25 mars et la trade deadline pour se décider sur la suite. Même chose pour l’ailier Jaylen Hoard, coupé par le Thunder avant la saison et présent en Floride dans un rôle de remplaçant avec le OKC Blue (9,7 points, 4,8 rebonds, 2,0 passes, à 19 % derrière l’arc). Un peu juste pour convaincre un staff NBA.\\n\\nJoueursÉquipesMinutesPointsRebondsPassesMatchsAxel ToupaneSanta Cruz Warriors31,717,98,03,39/15Elie OkoboLong Island Nets27,28,93,45,114/15Jaylen HoardOklahoma City Blue22,09,74,82,015/15Adam MokokaAustin Spurs22,45,84,31,84/15\\n\\nLes Français de NCAA\\n\\nEn NCAA, ils sont officiellement 24 à être inscrits parmi les 347 universités de division 1, même si d’autres joueurs Français évoluent dans des facs de D2 ou D3. Cela étant, deux d’entre eux, Kevin Kone (Mississippi Valley State) et Tanguy Touzé (Jacksonville State) n’apparaissent pas – ou plus – dans les effectifs de ces équipes, sans que nous n’ayons pu en trouver l’explication. Deux autres n’ont pas joué le moindre match, les très prometteurs Daniel Batcho (Arizona) et Alex Tchikou (Alabama), out pour la saison. Du reste, les Français de NCAA, dont la saison régulière est sur le point de s’achever, n’ont pas eu les mêmes responsabilités dans des équipes aux niveaux très disparates.\\n\\n\\nThe last unbeaten team in the country:\\n\\nNo. 1️⃣ @ZagMBB pic.twitter.com/CYfBqgbP6m\\n\\n— SportsCenter (@SportsCenter) February 28, 2021\\n\\n\\nIl y a d’abord ceux dont le rôle est prépondérant dans une université de grande renommée avec, en tête de liste, le combo-guard Joel Ayayi (Gonzaga). Joueur majeur de la seule fac invaincue de saison régulière – une première depuis 2015, 24 victoires en autant de matchs – le petit frère de Valériane vit une saison junior (3e année) prolifique avec les Bulldogs (11,3 points, 6,8 rebonds et 3,2 passes en 31 minutes). Il figure parmi les cinq finalistes pour recevoir le trophée Jerry West, qui récompense le meilleur arrière universitaire de la saison. Annoncé en fin de premier tour ou début de deuxième selon diverses mock draft, son avenir se dessine du côté de la NBA.\\n\\nUn autre Frenchie aux qualités athlétiques impressionnantes, Yves Pons (Tennessee), réalise une saison senior (4e année) de haute voltige (9,4 points, 5,2 rebonds, 1,6 contres). Celui qui a retiré son nom de la draft 2020 est nommé parmi les 10 joueurs en lice pour recevoir le trophée Naismith du meilleur défenseur universitaire et a toutes ses chances d’être drafté en début de deuxième tour. Tous deux tenteront de booster leur cote lors de la March Madness, le tournoi universitaire national, qui débute le 18 mars.\\n\\nAutre senior à fort potentiel, Olivier Sarr (2,13 m, envergure de 2,21 m) vit un exercice collectif très moyen pour une fac du niveau de Kentucky mais se montre individuellement (10,7 points, 5,2 rebonds). L’ancien de l’Insep vise le second tour de draft mais ne participera pas à la March Madness.\\n\\n\\nYVES PONS SAID NOPE 😳 @Vol_Hoops pic.twitter.com/oOPQXKmjsm\\n\\n— SEC Network (@SECNetwork) March 7, 2021\\n\\n\\nParmi les autres prospects venus de l’Hexagone, Joshua Mballa a réalisé de très belles performances (15,1 points, 9,9 rebonds) dans une université, certes, moins prestigieuse que celles citées précédemment (Buffalo, 76e), mais suffisamment en vue pour attirer, si ce ne sont des scouts NBA, des clubs de LNB. Idem pour Alexis Yetna, auteur d’une saison convaincante (9,5 points, 7,3 rebonds) du côté South Florida après une année blanche (genou). Ces deux juniors – sans doute à l’avenir professionnel – ont encore un an à effectuer aux États-Unis s’ils souhaitent aller au bout de leur cursus.\\n\\n\\nCongratulations to @UBmenshoops junior forward Josh Mballa on being named #Big4Hoops Player of the Week. Mballa averaged 18.3 points and 10 rebounds in three wins for the Bulls this week. For the week, Mballa shot 61% from the floor, as well as 10-of-12 from the charity stripe. pic.twitter.com/kxRQgFroQl\\n\\n— Big 4 Hoops (@Big4Hoops) March 2, 2021\\n\\n\\nDans leur année sophomore (deuxième année), Yvan Ouedraogo (Nebraska, 128e), Kane Milling (Nevada, 98e), Nicolas Elame (Arlington, 246e) et Eddy Kayouloud (Central Arkansas, 321e) ont encore à prouver. Même chose pour Clarence Nadolny (Texas Tech, 17e) et Nicholas Evtimov (Colgate, 8e), tous deux en bout de banc chez des prétendants au titre à la March Madness, ou encore le freshman (première année) Melvyn Ebonkoli, aperçu à seulement six reprises à Missouri State. Pour ces derniers, il est encore trop tôt pour se prononcer sur une carrière professionnelle – a minima niveau Pro B – une fois partis de NCAA.\\n\\nJoueursAnnéeUniversitéClassement universitéMatchsMinutesPointsRebondsPassesJoël AyayiJuniorGonzaga12430,611,36,83,2Yves PonsSeniorTennessee182228,29,45,20,8Olivier SarrSeniorKentucky592425,210,75,21,3Josh MballaJuniorBuffalo761827,815,19,92,1Alexis YetnaJuniorSouth Florida2121627,39,57,30,8Yvan OuedraogoSophomoreNebraska1282214,93,43,70,4Kane MillingSophomoreNevada982422,55,02,21,0Eddy KayouloudSophomoreCentral Arkansas3212427,910,55,22,3Nicolas ElameSophomoreArlington2462124,86,74,12,6Clarence NadolnySophomoreTexas Tech17219,11,91,00,5Nicholas EvtimovSophomoreColgate814,04,01,00,0Melvyn EbonkoliFreshmanMissouri State9362,30,70,80,2Alex TchikouFreshmanAlabama7BlesséDaniel BatchoFreshmanArizona46Blessé\\n\\nPour les autres français, difficile de dire s’ils peuvent prétendre jouer au niveau professionnel. Axel Okongo et Ludgy Debaut terminent leur cursus dans l’anonymat, tandis que Ludovic Duféal, Christian Lorng, Paul Djoko et Andre Touré abordent leur dernière année sans certitude d’avenir. Pour eux, le passage par la NCAA aura été l’occasion de découvrir l’atmosphère des campus américains, potentiellement de décrocher un diplôme et de jouer au basket, même si une carrière professionnelle semble bien illusoire.\\n\\nJosaphat BilauSophomoreWichita State65115,40,71,10,3Anthony KabalaFreshmanLong Island U (LIU)21712,00,01,00,0Paul DjokoJuniorNorthern Kentucky2051210,80,92,00,3Ludovic DuféalJuniorGardner-Webb1892623,23,94,30,8Andre TouréJuniorSouthern U. Jaguars281137,71,51,50,3Christian LorngJuniorAmerican University19799,32,72,00,1Ludgy DebautSeniorEast Carolina1771715,23,02,90,4Axel OkongoSeniorEastern Michigan313108,30,61,60,0Kevin KoneJuniorMississippi Valley State347N’apparaît pas dans le rosterTanguy TouzéSeniorJacksonville State156N’apparaît pas dans le roster\\n\\nVous pouvez suivre au quotidien l’actualité de la NBA, de la G-League et de la NCAA sur BasketUSA.com.\\n\\nPhoto d’ouverture : Rudy Gobert – Axel Toupane – Joel Ayayi (NBA – G-League – NCAA)\\n\\n[armelse]\\n\\nAu 8 mars, date à laquelle nous avons arrêté nos statistiques, ils étaient 11 Français à évoluer en NBA, 3 en G-League et 22 en première division de NCAA. Un nombre conséquent qui cache des réalités très diverses.\\n\\nLes Français de NBA\\n\\nÀ la mi-saison de NBA, 11 joueurs ont foulé les parquets de la grande ligue. Parmi eux, le trio majeur Rudy Gobert – Evan Fournier – Nicolas Batum. Signé pour le troisième plus gros contrat de l’histoire en décembre dernier, le premier justifie sur le terrain sa deuxième sélection All-Star consécutive (14,2 points, 13,1 rebonds et 2,7 contres de moyenne). Avec le Utah Jazz, le défenseur de l’année 2018 et 2019 domine la conférence Ouest avec le meilleur bilan de la ligue (27 victoires – 9 défaites). Le second, principale arme offensive du Magic, affiche de son côté un bilan collectif beaucoup plus délicat (13 victoires – 23 défaites, 14e à l’Est). Embêté par des douleurs au dos, le Français a manqué 15 matchs depuis le début de la saison. Mais quand il est là, il reste efficace (18,5 pts à 44,9 % aux tirs). Agent libre à l’été 2021, Evan Fournier peut vivre une fin de saison mouvementée. Quant au troisième, Nicolas Batum, il revit depuis qu’il a quitté le banc de Charlotte pour les Clippers, où il est devenu une pièce majeure du dispositif angelinos (9,0 points, 4,8 rebonds, 2,4 passes, 1,2 interception en 29 minutes). Véritable glue-guy, il excelle des deux côtés du terrain chez un candidat au titre, le tout en shootant à 43,9 % à 3-points.\\n\\n\\nRudy. 🌟\\n\\nPour sa 2de sélection #NBAAllStar, Rudy Gobert compile 10 PTS, 7 REB en 14 minutes de jeu.#TeamLeBron pic.twitter.com/dRJzFg5a7P\\n\\n— NBA France (@NBAFRANCE) March 8, 2021\\n\\n\\nD’autres Frenchies se montrent en 2021. Propulsé titulaire, Théo Maledon a su saisir sa chance dans la très jeune équipe du Thunder...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Hugo Benitez (Bourg) : «Mon rôle est en train de changer»" }, {"role": "assistant", "content":"À 20 ans, le meneur Hugo Benitez s’impose comme l’un des joueurs les plus prometteurs de Jeep Elite. Avec l’arrivée de Codi Miller-McIntyre fin février à la JL Bourg, il se prépare à s’adapter.\\n\\nPour une première saison chez les pros, Hugo Benitez (1,87 m, 20 ans) s’affirme. Que cela soit en Jeep Elite (4,5 points à 46,1 % aux tirs, 3,0 passes et 2,4 rebonds en 16 minutes) ou en Eurocup (3,4 points à 45,7 % aux tirs, 2,9 passes et 1,1 interception en 17 minutes), le meneur est responsabilisé dans la rotation burgienne. Lukas Nicot, commentateur de Sport en France, lui consacre un vlog en parallèle de la rencontre entre Bourg et Nanterre.\\n\\n« C’est un joueur qui a la maîtrise du jeu. Ce n’est pas un joueur qui va avoir une grosse créativité et un gros scoring mais il est capable de driver l’équipe. Il a la capacité de trouver ses partenaires. Et en plus, il s’est considérablement renforcé dans le secteur défensif. Donc il a la capacité de prendre le relais de joueurs un peu plus expérimentés« , accorde Frédéric Sarre, directeur sportif de la JL Bourg.\\n\\nUne maturité également affichée en dehors du terrain, quand Lukas Nicot lui parle de son nouveau rôle avec l’arrivée du meneur américain Codi Millier-McIntyre en Bresse fin février.\\n\\n« On a de nouveaux joueurs : Codi (Miller-McIntyre) qui est arrivé, il a fait un très bon match, il s’est très bien intégré. Il y a Danilo (Andjusic) qui est bien revenu aussi. Forcément, mon rôle est en train de changer des dernières semaines. Je n’ai pas fait un bon match ce soir (NDLR : 2 rebonds, 1 passe contre Nanterre) mais il faut que je m’adapte« , lance l’intéressé.\\n\\nDans ce vlog, Hugo Benitez emmène Lukas Nicot découvrir l’envers du décor de la JL Bourg, avec notamment un passage par la salle d’entraînement. On vous laisse découvrir en vidéo.\\n\\nPhoto : Hugo Benitez (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats : La Jeep Elite, 23ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end, se déroulait la 23ème journée.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nGarrett Sim (PG/US/30)\\n\\nChalon\\n\\n31 d’éval (26 pts à 10/13 dont 6/9 à 3 pts, 4 rbds, 4 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Briante Weber\\n\\nGravelines\\n\\n26 d’éval\\n\\nSG Marcos Knight\\n\\nMonaco\\n\\n28\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n23\\n\\nPF Chris Horton\\n\\nCholet\\n\\n21\\n\\nC Martins Meiers\\n\\nChalon\\n\\n24\\n\\nB Garrett Sim\\n\\nChalon\\n\\n31\\n\\nMVP européen:\\n\\nBenjamin Sène (PG/Fra/26)\\n\\nBoulazac\\n\\n27 d’éval (18 pts à 7/8 dont 7/7 à 2 pts, 4/4 aux LF, 2 rbds, 4 pds, 4 int)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Dee Bost\\n\\nMonaco\\n\\n25 d’éval\\n\\nSG Axel Julien\\n\\nDijon\\n\\n19\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n23\\n\\nPF Petr Cornélie\\n\\nPau\\n\\n18\\n\\nC Martins Meiers\\n\\nChalon\\n\\n24\\n\\nB Benjamin Sène\\n\\nBoulazac\\n\\n27\\n\\nRising star :\\n\\nKenny Baptiste (SF/Fra/21)\\n\\nLe Mans\\n\\n15 d’éval (10 pts à 4/5 dont 2/2 à 3 pts, 6 rbds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nGarrett Sim\\n\\nChalon\\n\\n26 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nChris Horton\\n\\nCholet\\n\\n12 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nJordon Crawford\\n\\nChalon\\n\\n13 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Monaco 9-1\\n 2. Dijon 11-2\\n 3. Bourg 8-3\\n 4. Boulogne-Levallois 10-4\\n 5. Strasbourg 7-4\\n 6. ASVEL 6-4\\n 7. Le Mans\\n 8. Limoges 5-6\\n 9. Le Portel\\n 10. Orléans\\n 11. Gravelines-Dunkerque\\n 12. Nanterre 4-6\\n 13. Chalon 4-7\\n 14. Chalons-Reims 4-8\\n 15. Cholet 3-7\\n 16. Roanne 3-8\\n 17. Pau-Lacq-Orthez 3-9\\n 18. Boulazac 1-8\\n\\nPhoto: Garrett Sim (Elan Chalon)" }, {"role": "user", "content":"Kevin Punter (Milan) : «Peut-être que je suis sous-estimé»" }, {"role": "assistant", "content":"Longtemps sous-estimé par le passé, Kevin Punter (1,93 m, 27 ans) meilleur scoreur de l’Olimpia Milan en Euroleague, s’épanouit dans son rôle de leader.\\n\\nTroisième d’Euroleague, l’Olimpia Milan a passé un cap collectif cette saison. Nul doute que l’apport de Kevin Punter (14,3 points, 1,7 passe, 1,6 rebonds en 26 minutes), qui flirte avec le 50/40/90 au pourcentage au shoot, joue fortement dans la très belle saison européenne de l’équipe italienne (3e, 18 victoires, 10 défaites).\\n\\n« Nous sommes l’une des équipes les plus profondes d’Euroleague. Cette année, nous avons su créer un collectif, mettre nos egos de côté et nous battre pour un seul objectif. Souvent, lorsque vous avez beaucoup de grands joueurs dans une équipe, ça ne fonctionne pas toujours. J’ai l’impression que nous avons fait un excellent travail collectif en jouant ensemble depuis août. Tout le monde ici se bat pour le même objectif« , confie-t-il à Eurohoops.\\n\\nDepuis le début de la saison, l’ancien meneur de l’Etoile Rouge de Belgrade dispose d’un rôle clé dans l’effectif milanais et n’hésite pas à prendre les rênes de l’équipe dans le money time. Comme contre l’Olympiacos, son ancien club, totalisant 27 points à 8/12 au tir, son record en carrière, et 5 passes décisives, en janvier.\\n\\n« Peut-être que je suis sous-estimé, oui. J’ai l’impression que beaucoup de défenseurs dorment sur moi depuis que je suis en Europe. Les gens ne me connaissent pas assez. Si vous ne savez pas quelque chose, vous n’y faites pas attention, vous l’oubliez. C’est du basket, ça arrive. Cela m’arrive depuis que je suis plus jeune. Je suis un peu habitué à ça. »\\n\\nIl faut dire que l’Américain s’épanouit sous les ordres de son coach, Ettore Messina.\\n\\n« Croyez-le ou non, l’entraîneur nous donne beaucoup de libertés pour être nous-mêmes. C’est la chose la plus importante avec autant de talent dans une équipe. Il faut que ces gars soient libres d’être eux-mêmes. Et l’entraîneur a fait un excellent travail depuis le premier jour en nous entraînant durement et en laissant les gars être eux-mêmes. Nous devons donner beaucoup de crédit au coach pour cela. »\\n\\nCe jeudi soir, l’Olimpia Milan pourra compter sur son meneur lors de son déplacement chez l’ogre CSKA Moscou (18 heures), actuellement deuxième d’Euroleague.\\n\\nPhoto : Kevin Punter (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Coupe du Monde U19 : Les deux équipes de France connaissent leurs adversaires" }, {"role": "assistant", "content":"Les équipes participant à la Coupe du monde U19 2021 masculine en Lettonie et à la Coupe du monde U19 féminine 2021 en Hongrie sont désormais connues et les deux équipes de France font partie des qualifiés.\\n\\nLe processus de qualification pour les deux événements a été impactée par la suspension des compétitions FIBA l’été dernier, seules les équipes africaines ont pu réserver leurs places directement via les championnats continentaux.\\n\\nLe Mali et le Sénégal se sont qualifiés pour la compétition masculine au Championnat d’Afrique U18, tandis que l’Égypte et le Mali se sont qualifiés pour le tournoi féminin en tant que meilleures équipes du Championnat d’Afrique U18, les deux événements s’étant tenus en décembre 2020.\\n\\nLes championnats continentaux de jeunes n’ont pas eu lieu dans les autres continents l’année dernière en raison de la pandémie COVID-19 et le rankig mondial de la FIBA pour les jeunes hommes et jeunes femmes a été utilisé pour déterminer les autres équipes qualifiées pour les Coupes du monde respectives.\\n\\nLes dates des tirages au sort des deux compétitions auront lieu ultérieurement.\\n\\n\\nCoupe du Monde U19 Masculine\\n\\nSites : Daugavpils et Riga, Lettonie\\nDates: 3 au 11 juillet 2021\\n\\nAfrique: Mali, Senegal\\nAmérique : USA, Canada, Argentine, Puerto Rico\\nAsie/Oceanie: Australie, Chine, Corée, Japon\\nEurope: Espagne, France, Lituanie, Turquie, Serbie, Lettonie\\n\\n\\nCoupe du Monde U19 Féminine\\n\\nSite: Debrecen, Hungary\\nDates: 7 au 15 août, 2021\\n\\nAfrique : Egypte, Mali\\nAmérique : USA, Canada, Brésil, Argentine\\nAsie/Oceanie: Australie, Chine, Japon, Corée\\nEurope: Espagne, France, Italie, Russie, République Tchèque, Hongrie" }, {"role": "user", "content":"Andrew Albicy, ambassadeur de l’équipe esports Gameward" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir validé son ticket pour l’Euro 2022 et lancé sa chaîne Twitch il y a quelques semaines, le meneur international français, Andrew Albicy et meneur à Gran Canaria se lance dans l’esports en devenant ambassadeur du club esports professionnel GameWard.\\n\\nUne collaboration prometteuse et cohérente qui confirme l’envie du meneur d’affirmer sa présence dans le monde du gaming et de l’esports avec un club qui est rapidement devenu l’une des références majeures en France. GameWard est aujourd’hui le club esports résident officiel de Boulogne-Billancourt et dispose notamment d’un des meilleurs écosystèmes de performance d’Europe, ce qui lui permet de jouer au plus haut niveau français et international sur des jeux comme League of Legends, Fortnite, Teamfight Tactics, NBA2K ou aussi Trackmania.\\n\\n« Je suis très heureux de débuter cette aventure avec GameWard. Je me retrouve dans les valeurs, le professionnalisme et les ambitions du club. Ce partenariat représente pour moi une formidable opportunité d’en apprendre plus sur cette discipline qui me passionne. J’ai toujours eu cette envie de transmettre à la nouvelle génération les valeurs du sport que l’on retrouve dans l’univers de l’esports », déclare Andrew Albicy.\\n\\nUne collaboration qui fait sens. En effet, l’international français a commencé sa carrière au Paris Levallois – aujourd’hui Metropolitans 92 – partenaire de l’équipe NBA2K de GameWard, championne de France sur le célèbre jeu de basket. A travers son rôle d’ambassadeur, Andrew souhaite transmettre son expertise de sportif professionnel sur des thématiques communes aux esportifs telles que l’hygiène de vie, la gestion de l’échec, ou encore le développement de l’aspect cognitif et mental d’un athlète.\\n\\nCe partenariat est aussi l’occasion pour lui de continuer à développer sa présence dans le gaming grâce à l’expertise de GameWard, qui le conseille déjà sur ses sessions de streams et le forme aux codes spécifiques du milieu. Au programme : création de contenu sur sa chaîne Twitch “Swaggy_drew6”, streaming sur des jeux tels Call of Duty, Fortnite ou encore NBA2K ainsi que l’intervention de nombreux invités appartenant au monde du sport et de l’esports.\\n\\nUne soirée de lancement sur Twitch avec l’équipe NBA2K GameWard\\n\\nPour lancer cette collaboration, Andrew sera rejoint par l’équipe NBA2K de GameWard pour un live sur sa chaîne Twitch ce jeudi 11 mars à 20h30. Lors de la première partie de la soirée XorteK casteur GameWard animera une session questions/réponses entre Andrew et les joueurs, l’occasion pour la communauté d’en apprendre davantage sur les futures étapes de cette collaboration.\\n\\n« Nous sommes très heureux d’accueillir Andrew Albicy dans la famille GameWard. Notre passion du gaming et nos valeurs communes seront le socle de cette collaboration qui verra s’écrire une belle histoire. Ce sera également l’occasion d’encore plus renforcer nos liens avec le monde du basket, et de proposer du contenu original pour nos fans« , a déclaré David Laniel, président de GameWard." }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Pro B, 8ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Vendredi et samedi, se déroulait la 8ème journée.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nYunio Barrueta (SF/Cub/27)\\n\\nEvreux\\n\\n31 d’éval (28 pts à 10/12 dont 6/8 à 3 pts, 3 rbds, 5 pds, 3 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Austin Tilghman\\n\\nEvreux\\n\\n29 d’éval\\n\\nSG Yunio Barrueta\\n\\nEvreux\\n\\n31\\n\\nSF Xavier Forcada\\n\\nNantes\\n\\n29\\n\\nPF David Skara\\n\\nDenain\\n\\n31\\n\\nC Allan Dokossi\\n\\nFos\\n\\n22\\n\\nB Jean-Victor Traoré\\n\\nLille\\n\\n22\\n\\nMVP européen:\\n\\nDavid Skara (PF/Cro/26)\\n\\nDenain\\n\\n31 d’éval (31 pts à 13/26, 4/4 aux LF, 12 rbds, 1 pd, 3 ct)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Mathieu Guichard\\n\\nSt Chamond\\n\\n20 d’éval\\n\\nSG Ilari Seppala\\n\\nAix-Maurienne\\n\\n29\\n\\nSF Xavier Forcada\\n\\nNantes\\n\\n29\\n\\nPF David Skara\\n\\nDenain\\n\\n31\\n\\nC Allan Dokossi\\n\\nFos\\n\\n22\\n\\nB Jean-Victor Traoré\\n\\nLille\\n\\n22\\n\\nMVP français:\\n\\nHugo Besson (PG/19)\\n\\nSt Quentin\\n\\n28 d’éval (24 pts à 8/11 dont 4/6 à 3 pts, 4/4 aux LF, 10 rbds, 1 pd, 5 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nHugo Besson (PG/Fra/19)\\n\\nSt Quentin\\n\\n28 d’éval (24 pts à 8/11 dont 4/6 à 3 pts, 4/4 aux LF, 10 rbds, 1 pd, 5 bps)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nIlari Seppala\\n\\nAix-Maurienne\\n\\n38 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nAmin Stevens\\n\\nRouen\\n\\n14 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nAustin Tilghman\\n\\nEvreux\\n\\n10 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Denain 8-3\\n 2. Blois 7-3\\n 3. Fos\\n 4. St Quentin\\n 5. Quimper\\n 6. Vichy-Clermont 6-3\\n 7. Nancy 7-4\\n 8. Nantes 6-4\\n 9. Paris 5-5\\n 10. Evreux\\n 11. Souffelweyersheim 4-6\\n 12. Rouen\\n 13. Lille 4-7\\n 14. St Chamond\\n 15. Poitiers 3-7\\n 16. Antibes\\n 17. Gries-Oberhoffen 2-7\\n 18. Aix-Maurienne 2-8\\n\\nPhoto : Yunio Baruetta (Evreux)" }, {"role": "user", "content":"Une expérience indispensable : Visitez le musée virtuel de Cholet Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket a souvent été cité en exemple pour la mise en lumière de son histoire à travers son site internet ou son exposition de panneaux réalisée à l’occasion des 40 ans du club et installée dans les travées de la Meilleraie.\\n\\nAfin de permettre à toutes et tous de découvrir ou redécouvrir cette exposition (qui a été réactualisée), le club a créé un musée virtuel accessible dans l’onglet du même nom : http://bit.ly/museecb\\n\\nVous y retrouverez plus de 150 panneaux retraçant l’histoire du club, répartis en 6 catégories :\\n\\n– Le club\\n\\n– Saison par saison\\n\\n– Joueurs et staff\\n\\n– Centre de Formation\\n\\n– Association\\n\\n– Camps Été\\n\\nChaque panneau vous donne la possibilité de consulter les articles de presse ou les photos individuellement !\\n\\nPour info : du fait de la grande quantité d’infos dans ce musée, certaines pages peuvent être longues à s’afficher lors de votre première venue. Soyez patient." }, {"role": "user", "content":"Louis Labeyrie (Valence) : «Lire, c’est moins facile que regarder une vidéo sur YouTube, mais il faut faire l’effort»" }, {"role": "assistant", "content":"Non sans humour et authenticité, l’international français Louis Labeyrie s’est livré sur ses loisirs et sa vision du monde.\\n\\nHors norme. Tel est le titre choisi par la Liga Endesa pour qualifier – à raison – l’intérieur de Valence, Louis Labeyrie (2,08 m, 29 ans).\\n\\n« Les gens me remercient souvent de dire un peu de vérité. Je n’ai pas l’habitude du mensonge. La vérité se trouve souvent dans les livres. Lire, c’est moins facile que regarder une vidéo sur YouTube ou Facebook, mais il faut faire l’effort. Tu peux lire du Marc Lévy, du Platon, tu peux lire ce que tu veux, mais il faut lire !«\\n\\nL’atypique médaillé de bronze aux championnats du monde 2019 a également donné son avis sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Les réseaux sociaux, c’est les bas fonds. Après, il y a beaucoup de gens gentils sur les réseaux sociaux, il y a ma maman qui met des petites photos de chats. Les réseaux sociaux sont vraiment nocifs parce que cela entraine les gens à s’énerver. Ils se verraient dans la rue, même avec des avis opposés, ils se mettraient pas sur la gueule, ils ne se battraient pas. C’est pour ça que je tweete rarement et je pense qu’il faut s’en détacher un petit peu. »\\n\\nMVP du mois de novembre en Liga Endesa et auteur d’une campagne européenne de qualité avec Valence, Louis Labeyrie reste le même, d’années en années, avec les mêmes routines.\\n\\n« Avant le match, j’écoute de tout, par exemple le Boléro de Ravel. Bon, on va pas se mentir, c’est pas du goût de tout le monde. Mais moi, ça me fait vibrer. »\\n\\nPhoto : Louis Labeyrie (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Jean-Denys Choulet (coach Roanne) : «Il y en a quelques uns qui ont gâché le spectacle, c’est dommage»" }, {"role": "assistant", "content":"Au sortir d’un match au scénario dingue remporté par Orléans (108-100), Jean-Denys Choulet (Roanne) s’est plaint de l’arbitrage.\\n\\nEn conférence de presse, le coach de la Chorale de Roanne, Jean-Denys Choulet, a d’abord poussé un coup de gueule sur l’arbitrage.\\n\\n« S’il y avait eu du public, ça aurait été un match exceptionnel pour eux. C’est une belle promotion du basket. Je trouve simplement qu’il y en a quelques uns qui ont gâché cet excellent spectacle, et c’est dommage. Je ne mets jamais en cause l’honnêteté ou la malhonnêteté des gens. Jamais je ne mettrai ça en cause dans l’arbitrage. Simplement, entre deux équipes qui défendent, une a 20 fautes de plus que l’autre. Trois joueurs sortis pour 5 fautes... Ce n’est pas normal. »\\n\\nLe coach roannais a également insisté sur les enseignements à tirer.\\n\\n« Même si l’adresse était mieux, on a encore pêché sur les pertes de balles et la gestion du match par moment avec des tirs longue distance qui ne s’imposaient pas. Comme on les mets pas souvent, on perd. Mais ce match est plus un encouragement qu’autre chose, on n’est pas loin de mériter de gagner. »\\n\\nDe son côté, Germain Castano (coach Orléans) regrette la tournure offensive prise par ce match, alors que son équipe s’était préparée à un match défensif. Il se projette déjà sur le déplacement à Pau, samedi prochain (19 heures).\\n\\n« Tout le monde parle d’un marathon qui commence. Oui, c’est un marathon. Donc c’est bien de commencer avec une victoire. Maintenant, ce que j’ai dit aux mecs, c’est qu’on se lance un petit défi, il faut qu’on en prenne à l’extérieur, on en a pas encore pris. Cette physionomie de match, elle me dérange un peu parce qu’à l’extérieur, en encaissant 100 points, pas sûr qu’on gagne. »\\n\\nPhoto : Jean-Denys Choulet" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel (Asvel) : «Ce n’est pas facile d’intégrer un gros joueur à ce moment-là de la saison»" }, {"role": "assistant", "content":"Mardi soir, Dijon a battu l’Asvel (76-84) pour la deuxième fois de la saison, gâchant le grand retour de Thomas Heurtel, onze ans après son dernier match avec Strasbourg dans le championnat de France.\\n\\nDe retour dans l’Hexagone jusqu’à la fin de la saison avec l’Asvel pour tenter de remporter le titre de champion de France, Thomas Heurtel (1,86 m, 31 ans) n’a pas brillé sous ses nouvelles couleurs. Contre la JDA Dijon, l’international aux 77 sélections a inscrit 9 points (4/7 aux tirs, dont 1/4 à 3-points), réalisé 2 passes décisives mais a surtout perdu 5 ballons, offrant plusieurs contre-attaques aux hommes de Laurent Legname.\\n\\n« Cela faisait trois mois que je n’avais pas joué en club, je ne suis pas à 100% physiquement et cela a été un peu difficile. Je ne peux que m’améliorer. J’ai été super bien accueilli mais ce n’est pas facile d’intégrer un gros joueur à ce moment-là de la saison. Cela a peut-être déstabilisé l’équipe qui était sur une bonne lancée en Euroleague », explique le Biterrois dans les colonnes du Progrès.\\n\\nSous contrat avec le Barça jusqu’en 2021, le deuxième Français le plus capé en C1 (Euroleague) depuis 1958 (226 matchs) avait rompu son contrat catalan avant de rejoindre l’Asvel en février dernier, dans la perspective d’un deuxième tournoi olympique (à Tokyo, du 25 juillet au 7 août 2021).\\n\\n« J’aurais pris (l’Asvel), même sans les Jeux. Je suis un basketteur et c’est pour être sur le terrain », assurait-il néanmoins lundi en conférence de presse.\\n\\nLe calendrier chargé qui attend l’Asvel d’ici au 15 juin – entre 31 et 36 matches – devrait permettre au champion d’Europe 2013 de retrouver du temps de jeu.\\n\\nPhoto : Thomas Heurtel (Infinity Nine Media)" }, {"role": "user", "content":"Orléans-Roanne : Une altercation entre Darius Johnson-Odom et Teyvon Myers à la sortie de la salle" }, {"role": "assistant", "content":"Hier soir, Orléans s’est imposé à Roanne sur un score fleuve, 108-100. C’est une chose. Seulement, Le Progrès rapporte que Darius Johnson-Odom de l’OLB et Teyvon Myers de la Chorale ont échangé des coups alors que les Roannais rejoignaient leur bus devant le palais des sports. Les deux joueurs s’étaient déjà frittés sur le parquet.\\n\\nL’intervention des membres des deux clubs a rapidement calmé les esprits et le directeur général de Roanne, Nicolas Reveret, a apporté le point de vue de la Chorale :\\n\\n« Teyvon Myers est victime d’une agression, il s’est défendu. Johnson-Odom a pris soin d’aller enlever ses bijoux... De les déposer dans sa voiture avant de revenir en découdre avec Myers. On ne portera pas plainte car il n’y a pas de répercussions physiques mais j’attends que le club d’Orléans communique car je ne veux pas que l’on pâtisse de quoi que ce soit dans cette histoire ».\\n\\nPhoto: Teyvon Myers (Chorale Roanne)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : La colère monumentale de Gianmarco Pozzecco" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach italien Gianmarco Pozzecco a piqué une énorme colère lors de la conférence de presse d’après-match qui a suivi la défaite de son équipe, le Dinamo Sassari face à Nymburk, 90-89.\\n\\n« Je pense que ce qui s’est passé lors de la dernière possession est incroyable, j’ai demandé aux arbitres d’aller regarder l’action parce que j’étais sûr que nos adversaires avaient touché le ballon. Cela ne s’est pas produit et je ne pense pas que ce soit correct, les gars ont fait un long voyage de 25 heures pour arriver ici et jouer ce match. Tout le monde peut faire des erreurs mais ici on parle d’autre chose. »\\n\\nPozzecco était surnommé « La Mouche atomique » quand il était joueur. On comprend pourquoi...\\n\\nA côté de lui, le Croate Miro Bilan demeure stoïque mais plus tard, dans un tweet ironique, il a indiqué qu’un voleur est rentré par effraction dans le vestiaire de son équipe et a piqué tout l’argent des joueurs ! Belle soirée.\\n\\n\\nGreat organization and hospitality here in Nymburk, Czech Republic. During the international game of BCL, somebody broke into our lockerroom and literally opened every our bag and jacket and stole all our cash. Also the 'funny' thing is that we all this covid rules...\\n\\n— Miro Bilan (@M1roB1lan) March 9, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Livio Jean-Charles est sorti de sa boîte !" }, {"role": "assistant", "content":"Nos Français ne sont jamais aussi bien exportés en Europe. Parmi les 250 joueurs hexagonaus disséminés aux quatre coins du globe, nombreux sont ceux qui font briller le basket national à travers leurs expériences. En Espagne, Youssoupha Fall est MVP de la 18e journée de Liga ACB (son match s’est disputé en janvier, mais la journée s’est terminée la semaine dernière) et Louis Labeyrie a participé au carton de Valence à Manresa. Du côté de la Grèce, Livio Jean-Charles, plutôt timide jusqu’ici, s’est mis a briller en Euroleague, tandis qu’Amath M’Baye fait feu de tout bois en Turquie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAmath M’Baye encore étincelant\\n\\nLe Pinar Karsiyaka Izmir qui n’a fait qu’une bouchée de Buyukcekmece (117-82) pour les retrouvailles entre Amath M’Baye (26 points à 8/9 aux tirs dont 5/6 à trois-points, 2 rebonds et 2 passes décisives en 22 minutes) et l’international britannique Gabriel Olaseni. L’ailier fort de 31 ans continue d’éclabousser de son talent dans le championnat turc et tourne en moyenne à 15,3 points, 4 rebonds, 2,2 passes pour 15 d’évaluation en moyenne.\\n\\n\\nLouis Labeyrie réalise une jolie performance face à Manresa\\n\\nAprès ses deux défaites en Euroleague à Istanbul et Tel-Aviv, Valence voulait retrouver la victoire dimanche soir sur son parquet. Face à Manresa de l’ancien Manceau et Portelois Jonathan Tabu et de la gloire locale, Rafa Martinez, les Andalous ont réagi et se sont imposés avec la manière 112-82. L’ailier-fort international Louis Labeyrie s’est distingué et a participé à la victoire en inscrivant 10 points (à 4/5 aux tirs) et en prenant 3 rebonds en 18 minutes de jeu.\\n\\n\\nLivio Jean-Charles a brillé face à Vitoria\\n\\nLivio Jean-Charles (27 ans, 2,06 m) s’est distingué la semaine dernière. Arrivé en Grèce l’été dernier, l’ancien de l’ASVEL doit se contenter de ne jouer que l’Euroleague, l’Olympiakos ayant été relégué en deuxième division après son refus de jouer un match contre le Pana la saison dernière et n’alignant qu’une équipe B dans le championnat local.\\n\\nFace à Vitoria et Youss’ Fall, l’ailier-fort a inscrit 15 points à 6/7 aux tirs, 2 rebonds, 2 passes pour 19 d’évaluation en 32 minutes mais n’a pas permis d’éviter la lourde défaite de son équipe 66-91, ce qui laisse les playoffs s’éloigner.\\n\\n\\nLe 5 majeur de la semaine\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match (J25)\\n\\nLéo Westermann (Barça) : Pas de match.\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 0 points (0/3 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 1 passe, 1 interception pour -3 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Victoire 86-84 face à Séville).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : Pas de match.\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 11 points (4/10 aux tirs dont 1/5 à trois-points et 2/4 aux lancers-francs), 5 rebonds, 1 passe, 2 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 74-58 à Murcie).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria) : 10 points (2/3 aux tirs et 6/7 aux lancers-francs), 3 rebonds, 2 contres, 3 ballons perdus pour 13 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 87-78 face à Obradoiro).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 9 points (3/8 aux tirs dont 1/2 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 2 passes, 1 ballon perdu pour 7 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 91-87 à Obradoiro).\\n\\n0 point (0/4 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 3 rebonds, 2 passes, 1 ballon perdu pour -2 d’évaluation en 14 minutes (Défaite 94-97 à Gran Canaria).\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (4/5 aux tirs dont 1/2 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 passe, 2 interceptions pour 16 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 112-82 face à Manresa).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 2 points (1/6 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 3 rebonds, 2 passes, 2 ballons perdus pour 0 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 84-86 à Bilbao).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 6 points (1/3 à trois-points et 3/4 aux lancers-francs), 5 rebonds, 1 interception, 1 ballon perdu pour 11 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 68-82 à San Pablo Burgos).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : N’est pas entré en jeu.\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 13 points (2/8 aux tirs dont 1/5 à trois-points et 8/10 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions pour 11 d’évaluation en 28 minutes (Victoire 82-80 à Gilboa Galil).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 5 points (2/4 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 interception pour 6 d’évaluation en 6 minutes de jeu (Victoire 102-78 à la Juventus Utenos).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 3 points (1/1 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 2 passes pour 5 d’évaluation en 6 minutes de jeu (Victoire 72-66 face à Klaipeda).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : Pas de match.\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 4 points (2/2 aux tirs), 1 rebond pour 5 d’évaluation en 3 minutes de jeu (Victoire 75-73 face à Astana).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : Pas de match.\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 5 points (2/8 aux tirs dont 1/5 à trois-points), 5 rebonds, 1 ballon perdu pour -1 d’évaluation en 31 minutes de jeu (Défaite 71-76 au Krka Novo Mesto).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match (J23).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match (J23).\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 8 points (2/5 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 5 ballons perdus pour 8 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 90-60 à Fethiye Belediyespor).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 26 points (8/9 aux tirs dont 5/6 à trois-points et 5/5 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 29 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 117-82 face à Büyükçekmece).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match (J23).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 15 points (5/7 aux tirs dont 2/2 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 2 ballons perdus pour 19 d’évaluation en 32 minutes de jeu (Défaite 66-91 à Vitoria).\\n\\n8 points (4/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 4 ballons perdus pour 8 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 94-79 face à l’Étoile Rouge de Belgrade).\\n\\nPhoto : Livio Jean-Charles (Olympiakos BC)\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAmath M’Baye encore étincelant\\n\\nLe Pinar Karsiyaka Izmir qui n’a fait qu’une bouchée de Buyukcekmece (117-82) pour les retrouvailles entre Amath M’Baye (26 points à 8/9 aux tirs dont 5/6 à trois-points, 2 rebonds et 2 passes décisives en 22 minutes) et l’international britannique Gabriel Olaseni. L’ailier fort de 31 ans continue d’éclabousser de son talent dans le championnat turc et tourne en moyenne à 15,3 points, 4 rebonds, 2,2 passes pour 15 d’évaluation en moyenne.\\n\\n\\nLouis Labeyrie réalise une jolie performance face à Manresa\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite: Villeurbanne voit Monaco et Dijon prendre leurs distances" }, {"role": "assistant", "content":"Si jamais le Final 8 envisagé ne peut se tenir et si le titre de champion de France se joue sur la saison régulière, l’ASVEL est mal embarquée après sa défaite hier à l’Astroballe face à la JDA Dijon (76-84). Voici désormais les hommes de TJ Parker lestés de 2 défaites de plus que leur adversaire du soir et 3 de plus que le leader Monaco. C’est beaucoup.\\n\\nVilleurbanne peut avancer l’excuse de s’être présenté sans plusieurs titulaires puisqu’en plus de Antoine Diot et Derrick Walton Jr, il lui faisait défaut son métronome David Lighty, alors que Ismaël Bako n’a joué que 4 minutes. Et, évidemment, Thomas Heurtel (9 points, 2 passes et... 5 balles perdues) n’est pas encore dans une forme olympique.\\n\\nTrois Dijonnais ont été dominants. Pour commencer, l’intérieur belge Hans Vanwijn (15 points, 5 rebonds), puis Axel Julien (15 points avec un 4/6 à trois-points, 5 passes) et l’inévitable David Holston (18 points, 9 passes). Ce sont ses coups de boutoir -dont un panier en total déséquilibre du bord de touche quasi décisif-,qui ont permis à la JDA de faire la différence dans l’ultime quart-temps alors qu’il avait été abordé avec un score de parité à 56. Les Dijonnais ont eu d’autant plus de mérite de faire preuve d’une grande intensité qu’ils étaient demeurés sans jouer près d’un mois alors que l’ASVEL est dans un rythme européen.\\n\\n\\n« Quand on voit leur dynamique actuelle, c’est un véritable exploit ! Les joueurs ont été admirables dans l’engagement, dans le combat. Il fallait tenir pendant 40 minutes, et on a tenu. On a été très cohérent, en impactant aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. On a limité les ballons perdus à 10, alors qu’on était un peu plus haut les derniers matches. Tout le monde a apporté : c’est un véritable exploit qui fait du bien, valide le travail, et j’espère qu’il va donner de la confiance pour la suite », a commenté le coach de la JDA Laurent Legname en conférence d’après-match, propos rapportés par Le Bien Public.\\n\\nL’ASVEL ne va pas avoir droit à beaucoup de droit à l’erreur si elle veut rejoindre le duo de tête alors qu’il lui reste à négocier encore 6 matches d’Euroleague.\\n\\nPhoto: David Holston (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Monaco s’impose à Malaga et rencontrera Buducnost en quart de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y avait pas de véritable suspense hier soir à Malaga pour l’AS Monaco, assurée avant le coup d’envoi de se qualifier pour les quarts de finale de l’Eurocup. Appliqués, les hommes de Zvezdan Mitrovic se sont imposés en Andalousie, 98-89.\\n\\nAvec un cinquième succès en six rencontres lors de son déplacement sur le parquet de Malaga, Monaco n’a pas baissé le pied malgré l’absence d’enjeu. Les Monégasques ont démarré solidement, menant de six points à l’issue du premier quart-temps. Mais Malaga est revenu et s’est appuyé sur Jaime Fernandez (28 points) et Axel Bouteille (17 points, 6 passes). Les Espagnols se sont totalement relancés et menaient de sept longueurs à la mi-temps avant de maintenir Monaco sous pression tout au long du troisième quart-temps.\\n\\nLa Roca Team s’est remis dans le match et a mieux négocié son dernier quart. Les dix dernières minutes ont vu les joueurs de la Principauté serrer la vis en défense et augmenter leur intensité en attaque sous l’impulsion de Damien Inglis (16 points, 7/10 aux tirs dont 1/2 à trois points et 1/1 aux lancers-francs, 4 rebonds, 1 passe, 1 contre pour 20 d’évaluation), Dee Bost (21 points, 8/12 aux tirs dont 5/6 à trois-points, 2 rebonds, 3 passes pour 22 d’évaluation) et Mathias Lessort (21 points, 8/11 aux tirs et 5/8 aux lancers-francs, 11 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 31 d’évaluation). La Roca Team a infligé un 13-2 à Malaga en un peu plus de quatre minutes pour se détacher au tableau d’affichage et continuer de précipiter encore un peu plus la chute des Andalous dans ce Top 16.\\n\\nAu final, Monaco s’impose de neuf unités (89-98) et termine facilement leader de son groupe devant la Joventut Badalone, vainqueur de Nanterre (88-95) dans l’autre match de la soirée. La Roca Team affrontera en quart de finale les Monténégrins de Buducnost, vainqueurs de Ljubljana (79-66), qui n’avaient besoin que d’une marge de quatre points sur les Slovènes pour se qualifier.\\n\\nMirko Ocokoljic (Assistant coach AS Monaco): » Je pense que nous avons très bien joué dès le début de la saison de l’EuroCup et que nous avons mérité la première place. Ce n’était pas facile à faire, quand nous avons vu le groupe, quand nous avons vu les équipes... »\\n\\nFotis Katsikaris (Coach Unicaja Malaga) : « Ils ont totalement dominé le match, surtout en deuxième mi-temps. Comme je l’ai dit avant le match, ils ne vous laissent pas jouer confortablement, de la façon dont ils jouent, non seulement en défense mais aussi en attaque. Lors du dernier quart, nous avons voulu mettre un coup de collier, mais nous n’avons pas pu. Ils ont marqué beaucoup de points sur des renversements de situation, après des rebonds offensifs et d’autre part, leur défense était très physique. C’était un problème pour nous aujourd’hui, car il nous manquait encore quelques arrières pour avoir plus de créativité et ne pas seulement marquer par Jaime Fernandez. »\\n\\nMathias Lessort (AS Monaco) : « C’est toujours un moment spécial de jouer contre mon ancienne équipe, j’étais heureux de venir ici et de voir les fans. J’ai essayé de tout donner sur le terrain et je pense que c’était un bon match. Nous avons l’avantage du terrain pour le prochain tour, nous allons donc nous concentrer sur ce point et essayer d’en tirer le meilleur parti pour atteindre les demi-finales. »\\n\\nPhoto : Axel Bouteille (Unicaja Malaga – Mariano Pozo)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Pas de miracle pour Nanterre éliminé du Top 16 par Badalone" }, {"role": "assistant", "content":"Face à Badalone, Nanterre n’a pas créé d’exploit et s’est incliné 88-95. Dominé dans la seconde partie du match par des Espagnols appliqués et sérieux qui ont fait parler leur collectif, les hommes de Pascal Donnadieu peuvent nourrir des regrets.\\n\\nIl y a eu de la vaillance, il y a eu de la résistance, mais il n’y a pas eu de miracle. Une victoire par au moins 6 points d’écart aurait offert a Nanterre son billet pour les quarts de finale de l’Eurocup et un alléchant duel face à la Virtus Bologne mais il n’en est rien.\\n\\nAvec une entame sérieuse, Nanterre a fait déjouer des Espagnols qui ont alors bafouillé leur basket et n’ont pu s’appuyer que sur leur intérieurs Ante Tomic et Vladimir Brodzianski. En rythme et d’humeur offensive, Nanterre a bonifié son bon premier quart grâce à Marcquise Reed et Tyler Stone qui a saisi l’opportunité offerte par Pascal Donnadieu en débutant le match dans un cinq inédit.\\n\\nFranciliens et Espagnols sont montés en intensité après un bon quart d’heure offensif. En place défensivement, la Joventut a mieux négocié ce quart et a posé davantage de problèmes à Nanterre. Côté nanterrien, Marcquise Reed a crevé l’écran (27 points, 10/15 aux tirs dont 2/3 à trois-points et 5/5 aux lancers-francs, 1 rebond, 1 passe, 2 interceptions pour 26 d’évaluation) et a permis aux siens de rentrer aux vestiaires avec seulement deux petits points de retard (45-47).\\n\\nSeulement ensuite, les hommes de Pascal Donnadieu se sont retrouvés sans solutions et Badalone a développé son jeu pour prendre le large dans ce troisième quart (47-58, 25e). Nanterre n’a pas pu rivaliser dans l’intensité physique et encaissait un terrible 11-2.\\n\\nA l’entame du dernier acte, une mission impossible attendait Nanterre. De belles intentions mais trop peu face au réalisme des Espagnols qui avec expérience ont géré la fin de match avec un Pau Ribas (16 points) impeccable sur la ligne des lancers-francs (11/11) et un Ante Tomic des grands soirs (18 points (9/12 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 1 interception pour 17 d’évaluation).\\n\\nPascal Donnadieu (Coach Nanterre 92) : « Sur la globalité de notre parcours européen, être en vie lors du dernier match du Top 16, ça reste une campagne européenne tout à fait correcte. Le bilan de cette compétition avec une équipe très jeune, c’est forcément positif. La qualification de Badalone est justifiée. Débuter avec des 5 fuyants ça a bien marché, mais le plus dur face à des équipes qui savent s’adapter, c’est de continuer. Quand on joue des équipes potentiellement plus fortes, il faut les surprendre. Ce soir on joue notre 128e match de Coupe d’Europe, dont 44 en Eurocup. Pour un club monté en 2011 c’est une fierté. Il faut que cela fasse grandir les joueurs. On peut être satisfaits de notre campagne européenne, mais pas de notre saison en Jeep Elite. La Jeep Elite c’est un basket âpre et agressif, et il va falloir que mes joueurs soient bien connectés. Pour l’instant notre niveau n’est pas suffisant. »\\n\\nIsaia Cordinier (Nanterre 92) : « Bien sûr qu’il y a de la déception. On avait beaucoup d’espoir, on pensait pouvoir jouer les yeux dans les yeux mais il aurait fallu faire plus de stops. On laisse des pourcentages trop élevés. Il faut faire mieux. On aurait voulu se qualifier en quarts de finale, c’était notre objectif. Mais on n’a battu aucun des deux gros. On a encore du travail »\\n\\nAnte Tomic (Joventut Badalone) : « C’était un match très important pour nous. Nous savions que ce match nous donnerait la possibilité de jouer les quarts de finale, ce qui est un grand accomplissement pour ce club et pour la plupart des joueurs ici, même pour moi, c’est la première fois que je me retrouve dans le top 8. C’est une grande réussite pour le club et pour les gars.\\n\\nPhoto : Isaia Cordinier et Xavi Lopez-Arostegui (Eurocup – Claire Macel)" }, {"role": "user", "content":"Féminines : Paige Bueckers, plus forte que Diana Taurasi ?" }, {"role": "assistant", "content":"La meneuse de jeu de UConn, Paige Bueckers (1,80m, 19 ans), est la nouvelle sensation du basket américain. Pour sa première année dans la plus célèbre université américaine, elle est la leader de son équipe aux points (19,8 par match), en passes décisives (6,2), aux interceptions (2,4) et au pourcentage de tir à 3-points (47,6%) alors que UConn a compilé un record de 21-1 et a remporté le tournoi de la Big East.\\n\\nPour certains experts, Paige Bueckers est encore meilleure que Diana Taurasi, Maya Moore et Breanna Stewart au même âge. Ainsi, son style de jeu est similaire à celui de Taurasi avec une capacité de tirs, de passes et de dribbles incroyables et avec un brin de maturité supplémentaire. Lors de la récente victoire contre Butler, elle a établi le record de l’équipe avec 14 passes décisives en un seul match. Plus tôt cette saison, elle est devenue la première femme de UConn à marquer 30 points en trois matchs consécutifs. Son coach Geno Auriemma a dû la pousser afin qu’elle pense davantage à elle en attaque. Elle n’a pris en moyenne que 12 tirs par match au cours des huit premières rencontres de la saison avant de porter ce nombre à plus de 18 lors des sept matchs suivants.\\n\\n« Je ne peux pas compter combien de fois il (NDLR: son coach) m’a dit d’arrêter de passer autant le ballon et de simplement shooter. J’ai toujours été une joueuse qui passe d’abord, j’ai toujours aimé impliquer tout le monde. Mais je pense que cette équipe a besoin que je cherche à tirer davantage. »\\n\\nPaige Bueckers a été élue à la fois Big East Freshman de l’année et Joueuse de l’année de la conférence. Une seule autre joueuse de l’histoire da la Big East avait réussi cela avant elle, Maya Moore, en 2008. Ses exploits l’ont rendu extrêmement populaire aux Etats-Unis et elle compte 662 000 abonnés sur son compte Instagram.\\n\\nPaige Bueckers est l’une des 11 demi-finalistes pour le Naismith Player of the Year, et elle est également sur la liste des finalistes pour les trophées Wade et Wooden, qui récompensent la meilleure joueuse universitaire de l’année. Aucune étudiante de première année n’a jamais remporté ces prix. Sera-t-elle la première ?\\n\\n« Je considère un peu tout comme un défi. J’adore les défis. Personne ne peut me mettre plus de pression que moi. J’attends vraiment beaucoup de moi. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Dzanan Musa (Anadolu Efes) : «L’organisation du club est similaire à celle des franchises NBA»" }, {"role": "assistant", "content":"Un mois après son arrivée à l’Anadolu Efes, l’ancien espoir bosnien de NBA, Dzanan Musa (2,06 m, 21 ans), s’est confié à la télévision turque.\\n\\n« Je suis très heureux d’avoir rejoint l’Anadolu Efes. C’est une équipe historique, l’une des meilleures équipes d’Europe, ni ce n’est la meilleure. Je suis très heureux de faire partie de ce groupe et d’apporter à cette équipe de toutes les façons », expose-t-il à Sporx TV.\\n\\nPour le moment, il s’adapte progressivement au jeu de l’Anadolu Efes. S’il n’a joué que 8 petites minutes en Euroleague, Dzanan Musa a déjà frôlé le triple double en championnat contre Fethiye Belediyespor, le 28 février (10 points, 9 passes et 8 rebonds en 24 minutes).\\n\\n« Istanbul est une de mes villes préférées au monde, j’aime déjà être ici. Le club est très professionnel, similaire à l’organisation des franchises NBA. Il y a tout ce qu’il faut ici. La seule chose que vous avez à faire est de jouer au basket, c’est un très bon environnement. Et l’Euroleague est l’une des deux meilleures ligues du monde donc vous devez travailler dur, mais vous devez aussi croire en vous, être patient et déterminé sur le parquet pour atteindre vos rêves. »\\n\\nL’ailier bosnien découvre peu à peu ses équipiers. Et quand il doit déjà se prononcer sur le plus drôle du groupe, il nomme un Français...\\n\\n« Le plus marrant du groupe, c’est Rodrigue Beaubois. Il est très silencieux mais quand il dit quelque chose, il est vraiment drôle. »\\n\\nPhoto : Dzanan Musa (Anadolu Efes)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Rudy Gobert invite Emmanuel Macron a venir voir un match de basket" }, {"role": "assistant", "content":"Ce sont les viennoiseries qui lui manquent le plus quand il est aux Etats-Unis, sa maîtresse de CP suit ses matches et il invite le Président de la République à venir voir un match de NBA...\\n\\nC’est ce que l’on apprend notamment dans cette vidéo sympa publiée sur Neo sur l’international des Utah Jazz, Rudy Gobert.\\n\\n\\nIl est une véritable star aux États-Unis, il est le sportif français le mieux payé au monde, pourtant @RudyGobert27 est encore méconnu en France. 🏀 #NBAallstar pic.twitter.com/K2wAt2n6Xk\\n\\n— neo (@neotvofficiel) March 9, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"La photo: Mado Bonnet, l’internationale qui a donné son nom à la salle de l’ASVEL féminin" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un tweet, Julie Nublat-Faure, adjointe au maire de Lyon, a rendu hommage à Madeleine Supt-Bonnet, connue sous le nom de Mado Bonnet, dont le gymnase situé dans le 8e arrondissement où joue l’équipe féminine de l’ASVEL porte le nom.\\n\\nNée en 1934, décédée à l’âge de 71 ans, Mado Bonnet fut sélectionnée 27 fois en équipe de France et participa au championnat d’Europe de 1954 et 56 avec un record de 20 points contre l’Autriche.\\n\\nCette arrière qui a débuté le basket à Alès avant de rejoindre l’AS Montferrand dans les années 50 a terminé sa carrière au F.C Lyon.\\n\\nSur la photo, elle porte le numéro 3.\\n\\n\\nPremier rang, numéro 3️⃣. Madeleine Supt-Bonnet, dite Mado, pose pour les championnats d'Europe 1956 en pleine Guerre Froide. Avec 27 sélections 🇫🇷 c'est alors un pilier de l'équipe.\\n\\nElle rejoindra le FCL Basket 🏀 et donnera son nom à la salle de @ASVEL_Feminin au coeur du 8ème. pic.twitter.com/Mdkp3BXaBS\\n\\n— Julie Nublat-Faure (@NublatFaure) March 8, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Les JO de Tokyo se dérouleront sans spectateurs étrangers" }, {"role": "assistant", "content":"Selon l’agence de presse japonaise Kyodo News, le gouvernement japonais a décidé d’interdir aux spectateurs étrangers d’assister aux Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo cet été, dans le cadre des efforts visant à empêcher la propagation du COVID-19.\\n\\nLe gouvernement a conclu qu’il n’était pas possible d’accueillir des fans venus de l’étranger compte tenu des inquiétudes du public japonais concernant le coronavirus et du fait que des variants plus contagieux ont été détectées dans de nombreux pays, selon des responsables, qui se sont exprimés sous couvert d’anonymat.\\n\\nLe gouvernement japonais et le comité d’organisation devraient tenir une réunion avec le Comité international olympique (CIO) ce mois-ci pour prendre une décision formelle sur l’absence de visiteurs étrangers.\\n\\nAvec cette décision, le gouvernement devra également revoir sa stratégie de croissance, étant donné qu’il comptait sur les visiteurs étrangers pour relancer l’économie japonaise. Alors que le report d’un an des jeux a fait grimper le coût à au moins 164 milliard de yens (15 milliards de dollars), le comité d’organisation s’attendait à tirer 90 milliards de yens de la vente de billets. Le comité doit maintenant procéder au remboursement des détenteurs de billets étrangers et il devrait examiner séparément ce qu’il faut faire avec les spectateurs étrangers invités par des entreprises commanditaires des jeux." }, {"role": "user", "content":"Un poster pour les 18 joueurs/euses professionnel/les de Seine-et-Marne" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’inauguration en 2017 du Wall of Fame (dont la 3ème promotion sera bientôt révélée) dans les locaux de Comité à Pouilly-le-Fort, et qui met à l’honneur les internationaux formés dans le 77, ce poster met en lumière les joueuses et joueurs qui jouent dans une division professionnelle. Au cours de cette saison 2020-2021 (et sous réserve de futures signatures...), on compte donc 18 joueuses et joueurs formés en Seine-et-Marne, et qui évoluent en Jeep ® Elite, en Pro B, en NM1 et en Ligue Féminine de Basket.\\n\\nCes posters seront envoyés dans tous les clubs de Seine-et-Marne pour être affichés dans les gymnases, et seront aussi distribués lors des prochains évènements du Comité.\\n\\nLes 18 joueurs/joueuses :\\n(dans l’ordre du poster, de haut en bas et de gauche à droite)\\n\\nJoueur/joueuseClub actuelClubs d’origineVincent PoirierPhiladelphie Sixers (NBA)Bussy BCAndrew AlbicyCB Gran Canaria (Espagne)Coulommiers, Marne-la-ValléeWilfried YegueteAS Monaco (Jeep® Elite)CS MeauxRenathan Ona EmboChorale Roanne (Jeep® Elite)Marne-la-ValléeAssane N’DoyeElan Chalon (Jeep® Elite)Chelles BC, Marne-la-ValléeSamir MekdadRouen (Pro B)Marne-la-ValléeRaphaël DesrosesVanves (NM1)Dammarie, AvonCatherine Mosengo-MasaLanderneau (LFB)Val d’Europe, Marne-la-ValléeBryan PambaRennes (NM1)Ozoir, Marne-la-ValléeDylan Affo MamaBoulazac (Jeep® Elite)Roissy-en-BrieYoan MakoundouCholet (Jeep® Elite)Melun, Marne-la-ValléeRosaire MalongaAndrézieux (NM1)Le MéeMaël LebrunRennes (NM1)Provins,Val d’EuropeChristelle DialloCharleville-MézièresMarne-la-ValléeBrice DessertPôle France (NM1)Moissy BCJohan RandriamananjaraQuimper (Pro B)Val d’EuropeBastien VautierSLUC Nancy (Pro B)Rozay-en-brie, Marne-la-ValléeMatthew StrazelLDLC ASVEL (Jeep® Elite)Marne-la-Vallée" }, {"role": "user", "content":"Une collaboration entre Limoges et La Rochelle" }, {"role": "assistant", "content":"Maxime Carène (2,09m, 19 ans) a été mis à la disposition du Stade Rochelais Rupella, qui opère en Nationale 1, tout en restant dans les rangs du Limoges CSP. Ce sont les effets bénéfiques de la licence AS, qui un temps a servi à l’éclosion de Vincent Poirier.\\n\\nSud Ouest évoque la possibilité d’un rapprochement plus intensif entre les deux clubs liés par la proximité de Crawford Palmer, le directeur sportif du CSP, avec Aymeric Jeanneau, manager général de La Rochelle, qui furent équipiers à la SIG Strasbourg.\\n\\nCrawford Palmer a visité les installations du club de rugby de La Rochelle, qui servent aux basketteurs, et Aymeric Jeanneau devrait se rendre à Limoges pour mieux comprendre le fonctionnement du CSP.\\n\\n« Il n’y a ni convention, ni filière, ni partenariat ou autres. Nous sommes dans un accord oral. Je dirais que nous sommes plus dans un retour d’expérience à partager avec des réflexions à mener. Mais c’est une piste de travail », explique Aymeric Jeanneau.\\n\\nLe club rochelais ne cache pas son ambition d’évoluer un jour en Pro B et veut ainsi s’inspirer du plus prestigieux des clubs français qui, il y a quatre décennies, fit de même en visitant l’ASPO Tours alors au sommet national.\\n\\nPhoto: Aymeric Jeanneau" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket Féminin à Valence et Strasbourg : Les Bleues pour une qualification directe en quarts de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Avant les Jeux Olympiques de Tokyo, l’équipe de France aura pour ambition de remporter l’or à l’EuroBasket qu’elle organise conjointement avec l’Espagne du 17 au 27 juin. Elle connaît maintenant ses premiers adversaires.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nJorge Garbajosa, président de la Fédération espagnole, et Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB, ont été chargés dimanche de dévoiler sur la Plaza del Ayuntamiento de Valencia le compte à rebours de l’EuroBasket féminin 2021, et vingt-quatre heures plus tard s’est tenu le tirage au sort de l’épreuve dans une ville qui s’est donnée la spécialité d’être l’hôte de grands évènements nationaux et continentaux. Il s’agit d’une co-organisation franco-espagnole et c’est la cinquième fois que la France va servir de terre d’accueil au championnat d’Europe féminin après 1962, 1976, 2001 et 2013, mais cette fois ce sera uniquement pour une phase de groupe, à Strasbourg. La FFBB, qui avait obtenu les droits d’organisation de la phase finale, a préféré pour des raisons budgétaires que ce soit l’Espagne et Valence qui en profitent.\\n\\n« C’est l’occasion de revoir en présentiel certains acteurs, l’Espagne, FIBA Europe, quelques joueuses. Ça nous donne un peu d’espoir », a noté le président de la FFBB Jean-Pierre Siutat, à l’issue de la cérémonie. « On souhaite que cet EuroBasket féminin puisse se dérouler dans des conditions à peu près normales avec du public dans les salles. L’Espagne va faire du très bon travail et on espère faire de même à Strasbourg pour réussir cet Euro. Et puis après, on verra sur le plan sportif. »\\n\\nLe président de la Fédération espagnole, Jorge Garbajosa, a rappelé que depuis le jour de désignation comme organisateurs les obstacles se sont accumulés, mais il assure vouloir organiser le meilleur Eurobasket féminin de l’histoire. « L’Espagne et la France sont deux des pays leaders du basket-ball et deux des fédérations qui ont la capacité d’organiser cet événement et Valence et Strasbourg sont deux villes passionnées par le basket. Nous allons essayer de faire en sorte que le plus grand nombre possible de personnes puissent voir les matchs en présentiel, » a assuré pour sa part Kamil Novak, le secrétaire-général de FIBA Europe.\\n\\nLes retrouvailles avec la Russie\\n\\nAvant le tirage au sort, les deux pays hôtes ont eu la possibilité d’inviter une équipe sur leur site et la FFBB a choisi celle de Belgique comme partenaire à Strasbourg. Les Belgian Cats, qui étaient également têtes de série, ont été placées dans le groupe C. Une décision qui n’a pas eu l’heur de plaire à son coach, Philip Mestdagh : « Si j’avais eu un mot à dire, j’aurais préféré jouer à Valence directement bien sûr. Cela évite le voyage et octroie un jour de récupération en plus, c’est important dans un tournoi de ce niveau », a-t-il expliqué à l’agence Belga. « L’objectif sera de terminer premier de notre groupe pour se qualifier directement pour les quarts, ce qui nous donne aussi un jour de récupération en plus et ne nous oblige pas à jouer un match de plus. Le but sera d’office de terminer dans le top 6, ce qui nous donne une place pour les tournois de qualifications pour la Coupe du monde 2022 en Australie (du 22 septembre au 1er octobre). Pour la continuité des Belgian Cats, c’est très important de pouvoir y être. »\\n\\nLe tirage au sort a donné, par ordre d’importance, la Russie, la République Tchèque et la Croatie comme adversaires à la France. Il fut un temps où la Russie, héritière de l’URSS, était un épouvantail mais elle a sérieusement rétrogradé dans la hiérarchie internationale. Le dernier véritable indice, c’est sa 8e place à l’Euro précédent, en 2019. « La Russie, ça fait longtemps qu’on ne l’a pas jouée, » note la coach, Valérie Garnier. En compétition officielle, pas depuis l’Euro 2015. Les Bleues ont remporté leurs huit derniers matches face aux Russes, leur dernière défaite remonte à 2007, soit juste avant qu’elles ne commencent leur ascension dans la sphère internationale. Mais attention à la parfois fausse vérité de la loi des séries.\\n\\n« On sait que c’est une équipe de grande taille sur tous les postes. Il y a de jeunes générations qui ont performé ces dernières années, en U20 et U18. Elles sont emmenées par les joueuses qui jouent à Ekaterinbourg et à Koursk dont (Maria) Vadeeva. Ça en fait un candidat sérieux, » insiste la coach des Bleues. Maria Vadeeva, c’est un centre de 1,93m et 22 ans, qui joue à UMMC Ekaterinbourg dont les chiffres lors des qualifications à cet Euro en imposent : 15,5 points (58,6%), 9,5 rebonds, 1,8 contre, 1,5 interception pour 24,2 d’évaluation. L’autre danger majeur vient de l’ailière du Dynamo Koursk Raisa Musina (1,90m), même âge juvénile, qui a aligné 18,3 points et 6,5 rebonds dans la même épreuve.\\n\\nLa République Tchèque a connu son apogée avec le championnat du monde de 2010 qu’elle a organisé et qui s’était conclu par une médaille d’argent. Depuis, elle est rentrée dans le rang comme en atteste sa 15e place à l’Euro 2019. « Les leaders de la République Tchèque jouent à Prague, alors que les joueuses de la Croatie sont éparpillées un peu partout en renforcent des équipes européennes. Ce sont des équipes qui se rapprochent de plus en plus car le niveau européen augmente », insiste Valérie Garnier. On peut tout de même constater que la France n’a jamais perdu depuis que la Croatie est indépendante, soit en 12 rencontres.\\n\\nTerminer premier de la poule sera très utile car cela permettrait d’être dispensé de huitième de finale et de se retrouver directement en quart avec une période de repos bienvenu. Les Bleues croiseront alors une équipe du groupe C. Soit possiblemet la Bosnie-Herzégovine qui a comme leader une inévitable Américaine naturalisée, Jonquel Jones (1,98m, 27 ans), elle aussi membre d’UMMC Ekaterinbourg, auteure de 24,5 points et 13,3 rebonds en qualif. La Slovénie constitue un souvenir doux-amer pour la France, qui était tombée, 68-62, à Celje, en 2018, avant de se reprendre brillamment à Charleville, 88-44. La Turquie est un peu en retrait si on en juge à sa 14e place à l’Euro 2019 et elle a toujours une Américaine sous la main -a priori Quanitra Hollingwworth, un pivot de 1,97m. « La Turquie, c’est un basket rude, toujours très limite. Et la Belgique est l’un des fortes nations », complète Valérie Garnier.\\n\\nL’inconnue Bria Hartley\\n\\nLe programme de préparation de l’équipe de France doit être divulgué à la fin de ce mois et Valérie Garnier compte pré-sélectionner 15, 16 ou 17 joueuses. « Je ne suis pas encore bien positionnée mais avec le peu de temps que l’on aura pour se préparer, il faudra faire un groupe un peu plus restreint que parfois. »\\n\\nL’équipe de France sera regroupée pour un premier stage à l’issue du championnat de Ligue Féminine. Avec ou sans Bria Hartley ? C’est actuellement la question majeure tant la Franco-Américaine est devenue en 17 sélections un élément constitutif des succès des Bleus, de par sa polyvalence et sa capacité à scorer dans le money time. L’été dernier, avec le Phoenix Mercury, Bria Hartley réalisait sa meilleure saison WNBA avec 14,6 points, 4,5 passes et 2,9 rebonds quand, patatras, à la fin août, elle a été victime d’une rupture des ligaments du genou droit. Depuis, elle est en convalescence aux Etats-Unis et on ne sait pas si elle a l’intention de rejoindre d’ici mai le Galatasaray ou du moins le Mercury pour une saison WNBA aux contours encore mal définis. Ou pour parler plus crûment, si elle sera apte à jouer l’Euro puis les JO de Tokyo. « On est en contact avec elle et notre staff médical avec le sien, avec sa préparatrice, environ tous les dix jours. On suit son évolution et pour l’instant, on est encore un peu dans l’inconnu. C’est pour l’instant compliqué de se positionner », reconnaît Valérie Garnier.\\n\\nMême si l’équipe de France ne manque pas d’atouts, le forfait de Bria Hartley sera un sacré coup dur pour un groupe qui n’a jamais caché qu’il vise un titre de champion d’Europe qui lui échappe depuis 2009 alors que depuis il est monté systématiquement sur le podium. « On a des ambitions très fortes, d’aller au bout, sachant qu’il y a quand même d’autres équipes comme la Serbie, la Belgique et l’Espagne qui ont la même ambition que nous. Il y a parfois des surprises qui peuvent arriver en cours de compétition. Je pense que la Serbie arrive aujourd’hui à maturité. C’est une équipe très compétitive. L’Espagne est chez elle et je ne vais pas vous refaire son palmarès. Et puis il y a la Belgique, qui est une des nations européennes montantes, qui a déjà fait de très belles performances sur les dernières compétitions. »\\n\\nLe compte à rebours de la Plaza del Ayuntamiento de Valencia indique une centaine de jours avant l’EuroBasket. D’ici là bien des situations peuvent évoluer. Notamment celle de la pandémie de coronavirus.\\n\\nNB: C’est le Groupe Canal+ qui détient les droits pour l’EuroBasket féminin. W9 retransmettra le cas échéant en clair la demi-finale et la finale de l’équipe de France.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nJorge Garbajosa, président de la Fédération espagnole, et Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB, ont été chargés dimanche de dévoiler sur la Plaza del Ayuntamiento de Valencia le compte à rebours de l’EuroBasket féminin 2021, et vingt-quatre heures plus tard s’est tenu le tirage au sort de l’épreuve dans une ville qui s’est donnée la spécialité d’être l’hôte de grands évènements nationaux et continentaux. Il s’agit d’une co-organisation franco-espagnole et c’est la cinquième fois que la France va servir de terre d’accueil au championnat d’Europe féminin après 1962, 1976, 2001 et 2013, mais cette fois ce sera uniquement pour une phase de groupe, à Strasbourg. 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La maladie peut être asymptomatique, mais dans certains cas, elle provoque des douleurs fortes notamment au moment des règles et/ou une infertilité.\\n\\nL’internationale Sandrine Gruda et Delphine Traore, la femme d’Ali Traore, aujourd’hui aux Sharks d’Antibes, en parlent librement dans « Bavard’âges » sur Instagram.\\n\\nUne vidéo de témoignage très utile pour beaucoup de femmes.\\n\\nLa vidéo est ICI.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Serbie : Saso Filipovski n’est plus le coach du Partizan Belgrade" }, {"role": "assistant", "content":"Le Slovéno-Macédonien Saso Filipovski n’a pas eu plus de réussite au Partizan Belgrade qu’à Monaco où il fut un coach éphémère lors de la saison 2018-19. Les deux parties viennent de s’entendre pour une séparation.\\n\\nFilipovski, 46 ans, avait repris l’équipe de Belgrade début novembre en remplacement de Vlado Scepanovic. Depuis, il a guidé le Partizan vers le Top 16 de l’Eurocup, mais neuf défaites sur les onze derniers matchs toutes compétitions confondues ont amené le club à prendre la décision de le remplacer par Aleksandar Matovic qui fait partie du staff depuis 2017.\\n\\n\\nSporazumni raskid saradnje sa Sašom Filipovskim, prvi tim do kraja sezone predvodi Aleksandar Matović!\\n\\n📑 https://t.co/qkUv5zL6or#KKPartizan pic.twitter.com/eT9T6aVMuh\\n\\n— KK Partizan Mozzart Bet (@PartizanBC) March 8, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : un Top 20 à forts contrastes, Nobel Boungou colo est numéro 1" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Jean-Victor Traoré (Lille), Ali Traoré (Antibes), Tyren Johnson (Blois) – (photos : LMBC – Antibes/MaxPPP – Blois/Tuan Nguyen)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a fait découvrir son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour finir l’examen des 22 plus hauts salaires de la division dont certains, on pourra s’en rendre compte, ne dépareilleraient pas à l’étage supérieur.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès avoir dévoilé les salaires de l’ensemble des joueurs (ou presque) de la Pro B, voici maintenant venu le temps de faire une petite synthèse de ces chiffres. Et, plus particulièrement, de s’intéresser aux joueurs de Pro B les mieux payés. Si, à l’ordinaire, nous réalisons un Top 10 de ces salaires, nous avons cette année décider d’établir un Top 20, tant les chiffres sont proches entre ces deux valeurs : ainsi, alors que le 10e salaire de la division est de 70 000 € (4 joueurs sont payés à ce niveau), le 20e (trois joueurs) est à 60 000 €, soit une différence d’environ 1 000 € nets par mois.\\n\\nUn Paris royal\\n\\nÀ l’examen de ce classement, la première chose qui saute aux yeux est le salaire « royal » pour la division que touchent les deux « anciens » évoluant au Paris Basket, Nobel Boungou-colo et Amara Sy. Ils ne sont que douze en Jeep Élite à gagner mieux leur vie que le premier ! Et guère plus d’une trentaine pour le second. Autant dire qu’en descendant en Pro B, ces deux joueurs réputés et au CV épais comme un bottin n’ont pas perdu au change.\\n\\nAutre élément frappant, la prépondérance des joueurs français – ou tout du moins JFL pour le cas d’Abdel Kader Sylla, Seychellois mais jouant en France depuis de longues années. Sur 22 joueurs dans notre Top 20 (ils sont trois à la vingtième place ex aequo...), ils ne sont « que » 10 non-JFL. Pis, sur les 13 premiers (quatre 10e ex aequo), ils ne sont que 5. On pourrait en conclure que les clubs choisissent leurs JFL, quitte à payer les meilleurs au prix fort (ce qui est vrai pour un certain nombre d’équipes), avant de se préoccuper des non-JFL. Mais ce constat est en partie (et seulement en partie) faussé par le fait qu’Antibes, hormis le contrat délirant signé à Cleanthony Early (et rompu presqu’avant d’avoir commencé...), a misé sur une équipe franco-française pour débuter sa saison, en payant bien des joueurs plutôt estampillés Jeep Élite que Pro B comme Sadio Doucouré, Gédéon Pitard ou, plus encore, Ali Traoré. Ce qui amène à cet autre constat : tous les Français (et JFL) figurant dans ce Top 20 ont eu une carrière plus ou moins importante à l’étage supérieur. Pour certains, descendre en Pro B leur permet de gagner du temps de jeu et des responsabilités (Alexis Tanghe, Gédéon Pitard, Pierre-Étienne Drouault), pour d’autres il s’agit de se « ménager une retraite », en jouant à un niveau moins exigeant tout en restant rémunérateur une fois les meilleures années derrière eux (on pense à Amara Sy, Ali Traoré, etc.) – le tout en ayant un rôle de « grand frère » dans des effectifs comportant un nombre plus ou moins important de jeunes joueurs (Milan Barbitch, Juhann Bégarin, Ismaël Kamagaté à Paris, Étienne et Léopold Ca ainsi que Jean-Marc Pansa ou Vincent Amsallem à Antibes).\\n\\nUne élite resserrée\\n\\nPlus généralement, si l’on met à part le cas particulier des deux Parisiens, « NBC » et « l’Amiral », on constate que le haut du panier des salaires de Pro B est des plus resserrés. Entre le 3e et le 20e de ce Top 20, il n’y a guère que 25 000 € d’écart sur l’année, soit grosso modo 2 500 € par mois (les contrats des non-JFL, notamment, étant pour la plupart établis sur 10 mois). On s’aperçoit également que plusieurs clubs offrent des salaires confortables à un ou deux joueurs majeurs de leur effectif, l’exemple le plus marquant étant sans doute celui de Jean-Victor Traoré à Lille, le deuxième joueur le mieux payé de l’équipe, Jonathan Kazadi, n’émargeant qu’à 42 000 €. Sans parler, une nouvelle fois, du Paris Basket, où hormis Nobel Boungou-colo et Amara Sy, aucun joueur ne touche plus de 42 000 € par an !\\n\\nAutre constatation : certains clubs misent gros sur un fort contingent – clubs figurant évidemment parmi les plus fortunés de la division. Ainsi, Fos-Provence place cinq joueurs dans notre Top 20 et Antibes quatre, suivis par Nantes et Rouen qui en ont trois.\\n\\nPas forcément une garantie de résultats\\n\\nEst-ce que d’avoir un ou des joueurs très bien payés pour la Pro B garantit de bons résultats collectifs ? La réponse est mitigée. Si Blois (1er de Pro B) et Fos-Provence (4e) ne peuvent que se féliciter de leurs investissements, Nancy (7e), Paris (8e) et Nantes (9e) répondraient sans doute de manière moins enthousiaste. Et que dire de Rouen (13e), Antibes (15e) et Lille (16e) ? Pour eux, Amin Stevens, Pierre-Étienne Drouault et Zimmy Nwogbo (Rouen), Sadio Doucouré, Jean-Marc Pansa, Gédéon Pitard et Ali Traoré (Antibes) ou Jean-Victor Traoré (Lille) ne suffisent pas à faire gagner l’équipe, quel que soit leur rendement personnel. Et c’est pourtant dans une optique collective que ces clubs ont signé des joueurs à prix fort...\\n\\nUn rendement très variable\\n\\nEn outre, bien payer un joueur (à l’aune de la Pro B s’entend) n’est pas forcément synonyme de haut rendement. L’exemple le plus flagrant, en se limitant aux chiffres, est celui d’Amara Sy, qui génère pour le moment un tout petit 4,6 d’évaluation. Cela étant, son cas particulier mérite d’être modulé : s’il n’est plus le joueur de ses meilleures années, le vétéran (40 ans) a surtout pour excuse recevable d’avoir été longuement blessé et d’être en phase de retour. D’autres ont moins « d’excuses » à faire valoir, comme Jean-Michel Mipoka (6,4 d’éval), Jean-Victor Traoré (8,4) ou Abdel Kader Sylla (6,6), alors qu’Alexis Tanghe (7,1 d’éval) justifie son salaire par un travail de l’ombre qui ne se quantifie que rarement dans les stats. À l’inverse, un Nik Caner-Medley (16,9 d’éval), un Amin Stevens (17,9), un Tyran de Lattibaudière (18,1) ou un Pierre-Étienne Drouault (18,2) justifient pleinement leurs émoluments, de même qu’un Tyren Johnson (14,8), un Kevin McClain (15,4) ou un Zimmy Nwogbo (15,7). Par ailleurs, certaines performances sont à nuancer. Ainsi, à Antibes, Jean-Marc Pansa (11,3 d’éval) et Ali Traoré (11,7) se partagent le poste de pivot avec en sus Étienne Ca, au sein d’un effectif assez bizarrement conçu. De même, Jamar Diggs (12,7 d’éval) et Édouard Choquet (13,2) se partagent la mène à Fos-Provence, jouant également régulièrement côte-à-côte. Quant à René Rougeau, bien en-deça de ses performances de la saison passée (11,1 d’éval contre 18,9 l’an dernier), il pâtit de son déplacement sur le poste 3 et de la place que prend Ludovic Négrobar sur son habituel poste 4.\\n\\nEn définitive, ce Top 20 montre qu’un joueur français ayant du mal à faire son trou en Jeep Élite ou se ménageant une fin de carrière un peu moins ardue qu’à l’étage supérieur peut gagner sa vie de manière très correcte en Pro B, de même qu’un joueur étranger en progression (et pouvant viser plus haut dans le futur) ou limité pour l’étage supérieur.\\n\\n1 – Nobel Boungou Colo (Paris Basketball, FRA/CGO) : 180 000,00 €\\n\\n2 – Amara Sy (Paris Basketball, FRA/MLI) : 140 000,00 €\\n\\n3 – Tyren Johnson (Blois, USA) : 85 000,00 €\\n\\n4 – Sadio Doucouré (Antibes, FRA) : 84 000,00 €\\n\\n5 – Nik Caner-Medley (Fos-Provence, USA/ARM) : 80 000,00 €\\n\\n5 ex aequo – Terry Smith (Nantes, USA/ARM) : 80 000,00 €\\n\\n7 – Jean-Marc Pansa (Antibes, FRA) : 75 000,00 €\\n\\n7 ex aequo – Jean-Michel Mipoka (Fos-Provence, FRA) : 75 000,00 €\\n\\n7 ex aequo – Jean-Victor Traoré (Lille, FRA) : 75 000,00 €\\n\\n10 – Abdel Kader Sylla (Nantes, SEY) : 70 000,00 €\\n\\n10 ex aequo – Amin Stevens (Rouen, USA) : 70 000,00 €\\n\\n10 ex aequo – Alexis Tanghe (Blois, FRA) : 70 000,00 €\\n\\n10 ex aequo – Ron Lewis (Nancy, USA) : 70 000,00 €\\n\\n14 – Kevin McClain (Fos-Provence, USA/ALL) : 68 000,00 €\\n\\n14 ex aequo – Tyran De Lattibaudière (Nancy, JAM) : 68 000,00 €\\n\\n16 – René Rougeau (Nantes, USA) : 65 000,00 €\\n\\n16 ex aequo – Gédéon Pitard (Antibes, FRA) : 65 000,00 €\\n\\n16 ex aequo – Jamar Diggs (Fos-Provence, USA) : 65 000,00 €\\n\\n19 – Pierre-Étienne Douault (Rouen, FRA) : 63 000,00 €\\n\\n20 – Edouard Choquet (Fos-Provence, FRA) : 60 000,00 €\\n\\n20 ex aequo – Zimmy Nwogbo (Rouen, NIG) : 60 000,00 €\\n\\n20 ex aequo – Ali Traoré (Antibes, FRA) : 60 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès avoir dévoilé les salaires de l’ensemble des joueurs (ou presque) de la Pro B, voici maintenant venu le temps de faire une petite synthèse de ces chiffres. Et, plus particulièrement, de s’intéresser aux joueurs de Pro B les mieux payés. Si, à l’ordinaire, nous réalisons un Top 10 de ces salaires, nous avons cette année décider d’établir un Top 20, tant les chiffres sont proches entre ces deux valeurs : ainsi, alors que le 10e salaire de la division est de 70 000 € (4 joueurs sont payés à ce niveau), le 20e (trois joueurs) est à 60 000 €, soit une différence d’environ 1 000 € nets par mois.\\n\\nUn Paris royal\\n\\nÀ l’examen de ce classement, la première chose qui saute aux yeux est le salaire « royal » pour la division que touchent les deux « anciens » évoluant au Paris Basket, Nobel Boungou-colo et Amara Sy. Ils ne sont que douze en Jeep Élite à gagner mieux leur vie que le premier ! Et guère plus d’une trentaine pour le second. Autant dire qu’en descendant en Pro B, ces deux joueurs réputés et au CV épais comme un bottin n’ont pas perdu au change.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Iggy Mockevičius (Le Mans) : «vous n’avez pas encore vu le vrai Iggy, j’ai juste commencé à montrer un aperçu !»" }, {"role": "assistant", "content":"Plutôt que par son prénom, le pivot lituanien du Mans, Egidijus Mockevičius (2,08m, 28 ans), se fait appeler par son surnom Iggy. Le site du club lui a demandé si c’est une référence au chanteur américain Iggy Pop.\\n\\n« En fait, je n’en ai absolument aucune idée ! Ce surnom remonte à l’université. Mes coéquipiers n’arrivaient pas à prononcer mon nom correctement, alors ils sont arrivés avec le coach à très vite convenir de m’appeler Iggy. Je ne sais pas d’où c’est venu, encore moins s’il y a un rapport avec Iggy Pop. Depuis j’ai gardé ce surnom parce que c’est plus simple pour les gens..., et puis je l’aime bien ce surnom, je suis à l’aise avec. »\\n\\nLes big men de son style ne sont pas légion en Jeep Elite et le début de saison du Lituanien a été laborieux (4,7 points et 3,6 rebonds en 16′ par match). Un problème d’adaptation ? Une autre explication: il a été contaminé par le COVID-19.\\n\\n« J’ai été touché par le coronavirus, oui. J’ai été aussi un peu blessé. Mais je pense qu’il y avait aussi un besoin d’adaptation aux spécificités de ce championnat. Je n’ai pas la naïveté de penser que ce n’était lié qu’à mon état physique. Je devais apprendre les systèmes, apprendre de mes coéquipiers leur façon de jouer, apprendre à m’adapter à des profils de joueurs très athlétiques... le coach a été patient avec moi, il m’a fait confiance. Je commence maintenant à montrer ce que je suis capable d’apporter. Je n’en suis qu’au début. Je peux et je dois apporter plus. Vous n’avez pas encore vu le vrai Iggy, j’ai juste commencé à montrer un aperçu ! (...) Je me considère comme un joueur solide en défense. Un bon rebondeur aussi. Un joueur qui n’a pas peur d’aller au contact, de jouer physique et de s’occuper des tâches dites ingrates. Je suis là pour faire gagner l’équipe en apportant de la dureté. »\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"3×3 : Lille et Reims accueilleront les Opens de France 2021 et 2022" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Française de BasketBall (FFBB) et GRDF ont dévoilé ce jeudi 25 mars 2021 les villes qui accueilleront les deux prochaines éditions de l’Open de France 3×3 : il s’agit de Lille Métropole, les 16 et 17 juillet prochains, et de Reims pour l’édition 2022.\\n\\nDiscipline olympique pour la première fois aux Jeux de Tokyo cet été, le 3×3 est un axe de développement majeur de la Fédération. Pour répondre à l’engouement que suscite la discipline en France, la Fédération continue de développer la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF, avec cette année un nombre record de 24 Opens Plus répartis sur tout le territoire, entre mai et juillet 2021.\\n\\nPendant 10 semaines*, tous les joueurs et toutes les joueuses licenciés FFBB ou titulaires d’une licence Superleague pourront créer leur équipe, participer à un maximum d’Opens Plus et tenter de se qualifier pour le tournoi final : l’Open de France. Cette année, il regroupera les 12 meilleures équipes masculines et les 12 meilleures équipes féminines sur l’esplanade du Champ de Mars à Lille. Pour la première fois depuis sa création, l’Open de France se déroulera sur deux jours, les 16 et 17 juillet*, afin de permettre aux équipes de mieux récupérer et de maintenir un haut niveau de performance jusqu’aux finales. Le prize money global de l’Open de France cette saison s’élèvera à 20 000 €.\\n\\nPour mémoire, lors de la saison 2019, près de 200 équipes féminines et masculines avaient participé aux 17 Opens Plus organisés à travers la France.\\n\\n* sous réserve de conditions sanitaires permettant l’organisation de compétitions sportives\\n\\nJean-Pierre Siutat, président de la FFBB :\\n\\n« Dans un contexte extrêmement difficile et malgré les incertitudes qui pèsent sur notre activité, nous pensons que le 3×3 fera partie des solutions pour réamorcer la pratique du basket sur tous les territoires. Je me réjouis d’autant plus de voir que la Superleague 3×3 GRDF continue de se développer avec un réseau de tournois de plus en plus dense. Pour la première fois, nous sommes en mesure de faire une double annonce avec le choix de Lille cette année et Reims en 2022, preuve s’il en faut de l’attractivité grandissante de cet événement. Je tiens d’ailleurs à remercier les Collectivités, la région Hauts-de-France, la Métropole Européenne de Lille et la Ville de Reims, de nous accompagner dans l’organisation de ces deux événements. On avait assisté l’été dernier à Nantes à un Open de France de très haut niveau et je ne doute pas qu’en choisissant ces deux places fortes du basket hexagonal, le succès sera à nouveau au rendez-vous. Cet été, ce rendez-vous exceptionnel assurera au 3×3 une très belle exposition, juste avant celle des Jeux de Tokyo fin juillet et de la Coupe d’Europe à Paris en Septembre. »\\n\\nJérôme Chambin, Directeur de la Communication et du Digital et Directeur du Développement de GRDF :\\n\\n« GRDF est fier d’accompagner cette année encore la Superleague 3×3 GRDF. Avec l’entrée de la discipline aux Jeux Olympiques cet été, nous mesurons tout le chemin accompli depuis 2014 avec la FFBB et les différents organisateurs d’Opens Plus pour faire grandir le basket 3×3. Je suis très heureux que la Métropole Européenne de Lille en 2021 et la Ville de Reims en 2022 accueillent les prochaines éditions de l’Open de France 3×3. Ce sera une nouvelle occasion de démontrer cette montée en puissance et d’assister à un spectacle sportif de haut niveau. »\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Yann Rosso sera le 15e arbitre français aux Jeux Olympiques" }, {"role": "assistant", "content":"Yann Rosso a été désigné pour officier aux Jeux Olympiques de Tokyo. Selon les calculs de Vincent Janssen, il sera le 15e arbitre français à avoir cet honneur.\\n\\nLe recordman est Yvan Mainini, qui a arbitré trois fois aux Jeux Olympiques. Trois arbitres ont officié lors de finales.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Orléans : Armoni Brooks arrive en pigiste médical" }, {"role": "assistant", "content":"À la recherche de deux pigistes médicaux pour remplacer Darius Johnson-Odom et Lamonte Ulmer, blessés, Orléans vient d’officialiser la signature de l’arrière américain Armoni Brooks.\\n\\nL’un des deux remplaçants recherchés dans le Loiret a été trouvé. Le club vient d’annoncer la signature d’Armoni Brooks (1,90 m, 22 ans), qui va connaître sa première expérience en Europe. Formé à l’université de Houston, le natif de Waco au Texas n’a pas été drafté en 2019. Il dispose tout de même d’une belle expérience en G-League.\\n\\nAprès avoir intégré les College Park Skyhawks en 2019-2020 (10,7 points de moyenne en 20 minutes en 43 matchs), il a pris part à la bulle d’Orlando cette année avec les Rio Grande Valley Vipers, franchise affiliée aux Houston Rockets. Auteur de performances remarquées (16,8 points à 42,7 % de réussite aux tirs, 3,8 rebonds et 3 passes décisives en 30 minutes), ce sont surtout ses qualités de scoreur qui ont plu à Germain Castano.\\n\\n« C’est un arrière qui possède un gros bras. C’est un jeune joueur très adroit à longue distance. Nous avons pu le constater lors de sa dernière année en G-League. Nous avions besoin d’un joueur capable de finir les actions de nos créateurs, c’est un pur scoreur », détaille Germain Castano par communiqué de presse.\\n\\nPhoto : Armoni Brooks – Houston (NCAA)" }, {"role": "user", "content":"ASVEL – Paul Lacombe : L’homme... du banc" }, {"role": "assistant", "content":"En Euroleague, Paul Lacombe (1,95m, 30 ans) joue un peu plus de 11 minutes pour des statistiques faméliques: 2,2 points et 1,5 rebond. En Jeep Elite, c’est mieux mais sans être fracassant: 16′, 6,1 points et 8,6 d’évaluation. Seulement, c’est sur seulement 10 matches. Il n’a pas joué contre Limoges, trois petites minutes face au Mans. Contre Nanterre, 10 Villeurbannais sont entrés en jeu, pas lui. Il est tout autant demeuré scotché sur le banc face à Boulogne-Levallois.\\n\\nOn parle là d’un médaillé à la Coupe du monde en Chine, pierre angulaire de l’équipe de France lors des fenêtres de qualification à cette compétition, et qui brilla à Monaco, sans pour autant pouvoir décrocher un contrat à l’étranger.\\n\\nLuc Paganon du Progrès a cherché à en savoir davantage sur ce pur Lyonnais qui a signé un contrat de quatre ans avec l’ASVEL mais a reçu une fin de non-recevoir à sa demande d’interview. Il a rappelé à défaut le commentaire que le coach TJ Parker a fait récemment sur son compte après le match de Coupe de France face à Boulogne-Levallois:\\n\\n« Non, il n’y a pas de souci avec Paul. Nous sommes douze joueurs, il jouera mais là, c’était un choix. Un joueur peut faire des bonnes choses et ne pas jouer ensuite. On a construit une grosse équipe, c’est comme ça. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (Bourg) : «Ce soir, je n’ai pas reconnu mon équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Mercredi soir, la JL Bourg a concédé sa première défaite de la saison à domicile en Jeep Elite, contre Gravelines (67-84).\\n\\nA l’Ekinox, la soirée fut longue et sans réaction. Bien contenus par la défense des Maritimes, les Burgiens ont manqué d’adresse (37% au tir au total), mais aussi d’agressivité, perdant progressivement le fil du match. Pour le coach Savo Vucevic, il n’y a pas grand-chose à retenir.\\n\\n« Il n’y a eu qu’une seule équipe sur le terrain, c’est Gravelines. Pourquoi ? Je ne sais pas, c’est difficile à expliquer. Il faut prendre le temps d’analyser mais ce soir, je n’ai pas reconnu mon équipe. On a tout fait à l’envers, c’est peut-être le pire match de notre saison. Il n’y avait pas le mental ce soir sur le terrain, et quand il n’y a pas le mental, on ne peut rien produire. On va essayer de trouver les remèdes« , confie Savo Vucevic en conférence de presse.\\n\\nCôté BCM, c’est tout l’inverse. De la discipline, du collectif, et quatre joueurs à plus de 16 points (Nikolic, Weber, Morency, Ware). L’équipe revient à un bilan neutre (7 victoires, 7 défaites) et se rapproche d’Orléans, 8e (7 victoires, 6 défaites). Le coach Serge Crevecoeur a beaucoup aimé les attitudes, quant à Romuald Morency, il est fier de ses coéquipiers.\\n\\n« Je suis très fier du groupe, très fier de tous les gars qui sont entrés sur le terrain. C’était vraiment une super victoire d’équipe. Je pense qu’on est en train de monter de niveau de plus en plus sur les derniers matchs et c’est une belle récompense qu’on s’offre. On tient une équipe du Top 3 à 67 points, on a eu quelques trous sur les derniers matchs mais aujourd’hui, on a gardé le niveau 40 minutes et tout le monde est très content de ça« , apprécie t-il.\\n\\nGravelines poursuivra son chemin avec un déplacement à Dijon mardi prochain. De son côté, la JL Bourg devra remettre les pendules à l’heure à Roanne dès samedi (19 h).\\n\\nPhoto : Briante Weber (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : LDLC Asvel / Real Madrid – La dernière de la saison à domicile" }, {"role": "assistant", "content":"Face au Real Madrid de Fabien Causeur, l’Asvel a l’occasion de s’offrir une dernière victoire de prestige cette saison en Euroleague. Pour cela, la formation villeurbannaise devra serrer les rangs.\\n\\nTrop souvent inconstante dans l’effort ces dernières semaines, l’Asvel s’en est sortie miraculeusement face à Nanterre mardi soir (96-92) après prolongations, un exercice où elle avait sombré face au Mans la semaine précédent. Mais ce soir, à l’Astroballe, les Villeurbannais ne seront pas les seuls à devoir se relancer. Après sa défaite face au Khimki Moscou, le Real Madrid n’a plus le droit à l’erreur (7e, 17 victoires, 13 défaites) pour décrocher son billet pour les playoffs, à quatre journées de la fin de la saison régulière. Alors que ses poursuivants sont très près – les Madrilènes ne comptent qu’un succès d’avance sur le Zenit (8e), Baskonia (9e) et Valence (10e) – et que le Real débute un véritable marathon de 7 matchs en 15 jours.\\n\\nLors du match aller, les hommes de Pablo Laso s’étaient ressaisis dans le quatrième quart-temps pour battre les protégés de T.J. Parker sur le score de 91 à 84 dans la capitale espagnole... même si l’Asvel menait 70-58 à une minute de la fin du troisième acte. Sergio Llull, Rudy Fernandez, Walter Tavares, Trey Thompkins et Fabien Causeur avaient crucifié Lyon-Villeurbanne, malgré les 21 points de Norris Cole et Guerschon Yabusele.\\n\\nPablo Laso (Coach Real Madrid) : « L’Asvel est l’une des équipes les plus physiques de la ligue. Ses joueurs sont athlétiques et ils sont capables de se jouer en un-contre-un. Ils sont grands, forts et courent beaucoup sur le terrain. Ces derniers temps, ils jouent ouvert, ce qui les rend encore plus dangereux. C’est une équipe bien construite avec des joueurs doublés à chaque poste et des rythmes de jeu différents. Nous avons beaucoup souffert à Madrid, et nous devrons être sérieux en défense pour essayer de contrôler le tempo qui sera l’une clé pour gagner le match. Notre équipe travaille bien. Nos deux dernières victoires nous ont donné de la confiance, mais nous savons que cela ne servira pas à grand-chose une fois le match terminé. »\\n\\nFace à la Maison blanche, les Villeurbannais devront verrouiller le rebond et produire un effort collectif pour pouvoir éloigner Walter Tavares et Trey Thompkins de la raquette et ainsi développer un jeu de transition. L’Asvel possède toutefois une ligne d’intérieurs physique, notamment avec Moustapha Fall et Guerschon Yabusele. Sur le plan défensif, Norris Cole devra fournir un travail de sape et mettre sous pression l’Argentin Nicolas Laprovittola – qui devrait avoir un temps de jeu conséquent, Carlos Alocen ne semblant pas à 100% – afin d’éviter que le chef d’orchestre du Real mette le bal en route.\\n\\nLes compositions probables\\n\\nPhoto : Rudy Fernandez et David Lighty (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Le bilan du Top 16 de l’Eurocup : La France toujours troisième" }, {"role": "assistant", "content":"Les quarts de finale de l’Eurocup se jouent cette semaine.\\n\\nC’est le moment de faire le bilan du Top 16.\\n\\nTout d’abord, nous allons commencer par les classements des différents groupes:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 5-1\\n 2. Badalona 4-2\\n 3. Nanterre 2-4\\n 4. Malaga 1-5\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Boulogne-Levallois 4-2\\n 2. Lokomotiv Kuban Krasnodar 3-3\\n 3. Trento\\n 4. Partizan Belgrade 2-4\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 6-0\\n 2. Buducnost Podgorica 3-3\\n 3. Cedevita Olimpija Ljubljana\\n 4. Bourg 0-6\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 5-1\\n 2. Gran Canaria 3-3\\n 3. Andorra\\n 4. Mornar Bar 1-5\\n\\nEn gras, les équipes qualifiées\\n\\nLe Top 5 général est le suivant:\\n\\n 1. Virtus Segafredo Bologna 6-0\\n 2. Unics Kazan 5-1\\n 3. AS Monaco\\n 4. Joventut Badalona 4-2\\n 5. Boulogne-Levallois\\n\\nLe bilan par nation:\\n\\n 1. Italie\\n\\n2 équipes\\n\\n1 en quarts\\n\\n9v-3d-75%\\n\\n2. VTB League\\n\\n2\\n\\n2\\n\\n8v-4d-66,7%\\n\\n3. France\\n\\n4\\n\\n2\\n\\n11v-13d-45,8%\\n\\nEspagne\\n\\n4\\n\\n2\\n\\n11v-13d-45,8%\\n\\n5. ABA League\\n\\n4\\n\\n1\\n\\n9v-15d-37,5%\\n\\nL’Italie est le vainqueur de ce classement par nation en se référant au pourcentage de victoires au Top 16. Elle ne qualifie pourtant qu’une équipe sur deux en quarts mais celle-ci est la seule ayant un bilan immaculé.\\n\\nLa VTB League, meilleure ligue en saison régulière est encore deuxième sur ce Top 16. Elle est la seule qui envoie toutes ses équipes en quarts.\\n\\nDerrière viennent la France et l’Espagne avec exactement le même bilan. La première conserve donc la position acquise après la saison régulière. Elle réussit l’exploit de qualifier deux équipes en quarts. Mais son bilan est est terni par le parcours sans victoire de Bourg. Quant à l’Espagne, Malaga est une des déceptions majeures de la saison et plombe son bilan.\\n\\nEnfin l’Adriatic League, envoie une équipe en quarts. Ce qui, en soit, est une réussite.\\n\\nLes quarts de finale:\\n\\nMonaco-Buducnost Podgorica\\n\\nBoulogne-Levallois-Gran Canaria\\n\\nVirtus Bologna-Badalona\\n\\nUnics Kazan-Lokomotiv Kuban Krasnodar\\n\\nLes leaders statistiques:\\n\\nMeilleures évaluations:\\n\\n 1. Vince Hunter (Virtus Bologna) 20,7\\n 2. Mathias Lessort (Monaco) 20,2\\n 3. JaCorey Williams (Trento) 20,2\\n 4. Kendrick Perry (Cedevita Olimpija) 19,7\\n 5. Jaka Blazic (Cedevita Olimpija) 19,2\\n 6. AJ Slaughter (Gran Canaria) 19\\n 7. Willie Reed (Buducnost Podgorica) 18,3\\n 8. Isaia Cordinier (Nanterre) 18,3\\n 9. Milos Teodosic (Virtus Bologna) 17,5\\n 10. Nenad Dimitrijevic (Badalona) 16,5\\n\\nMeilleurs marqueurs:\\n\\n 1. Jaka Blazic (Cedevita Olimpija) 21,2\\n 2. AJ Slaughter (Gran Canari) 19,2\\n 3. Rob Gray (Monaco) 18,5\\n 4. JaCorey Williams (Trento) 18\\n 5. Isaia Cordinier (Nanterre) 16,8\\n\\nMeilleurs rebondeurs:\\n\\n 1. Jordan Morgan (Unics Kazan) 9\\n 2. JaCorey Williams (Trento) 7,7\\n 3. Alpha Kaba (Nanterre) 7,3\\n 4. Vince Hunter (Virtus Bologna) 7,2\\n 5. Luke Maye (Trento) 7\\n\\nMeilleurs passeurs:\\n\\n 1. Milos Teodosic (Virtus Bologna) 7,2\\n 2. Stefan Markovic (Virtus Bologna) 6,8\\n 3. Kendrick Perry (Cedevita Olimpija) 6,8\\n 4. Jaime Fernandez (Malaga) 5,7\\n 5. Justin Cobbs (Buducnost Podgorica) 5,7\\n\\nLes meilleures performances sur un match:\\n\\nEvaluation:\\n\\nJaka Blazic (Cedevita Olimpija) 41\\n\\nPoints:\\n\\nJamar Smith (Unics Kazan) 32\\n\\nRebonds:\\n\\nAlpha Kaba (Nanterre) et Luke Maye (Trento) 15\\n\\nPasses:\\n\\nStefan Markovic (Virtus Bologna) 13\\n\\nMVP :\\n\\nVince Hunter (C/US/26)\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n20,7 d’éval (13,3 pts à 69%, 7,2 rbds, 1,5 pds)\\n\\nVince Hunter a été le leader de la meilleure équipe du Top 16. En Lega, en à peine 16 minutes, il tourne à 11,4 d’évaluation (9,4 pts à 63,6%, 4,4 rbds, 1 pd).\\n\\nLe pivot américain a passé 2 saisons à UTEP dans la Conference USA. Il y est Freshman of the year en 2014. Sorti de NCAA non drafté en 2015, il tente l’aventure NBA avec les Sacramento Kings. Mais il est coupé après un match de pré-saison. Il rejoint alors Reno et la D-League où il est All-Star. Il termine la saison au Panathinaikos pour sa première expérience européenne. Il y joue 8 matchs d’Euroleague pour 4 pts de moyenne. Puis il rejoint Saratov et la VTB League l’année suivante. Il tente ensuite à nouveau l’aventure NBA avec Memphis (4 matchs pour 1,5 pts). Il revient alors en Europe à l’AEK Athènes. Il y gagne la BCL et la Coupe Intercontinentale. Il signe enfin à la Virtus le 22 juillet 2019.\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Kendrick Perry\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\nSG AJ Slaughter\\n\\nGran Canaria\\n\\nSF Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\nPF Vince Hunter\\n\\nVirtus Bologna\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\nMVP européen :\\n\\nMathias Lessort (C/Fra/25)\\n\\nMonaco\\n\\n20,2 d’éval (13,2 pts à 67,4%, 6,7 rbds, 1 pd)\\n\\nL’intérieur français, deuxième du Top 16 à l’évaluation derrière Hunter, a réussi à emmener l’AS Monaco en quarts de finale. En Jeep Elite, ses stats sont les suivantes: 16,4 d’éval (11,8 pts à 61,8%, 7 rbds, 2,1 pds).\\n\\nFormé à Chalon, il rejoint Nanterre en 2016. Il y gagne la FIBA Europe Cup et la Coupe de France. Drafté au second tour (50ème choix) par Philadelphia, il passe ensuite 3 saisons en Europe, à l’Etoile Rouge Belgrade, Malaga et au Bayern Munich. Il dispute 52 matchs d’Euroleague pour 6,5 pts de moyenne. Il est revenu en France cet été pour signer à Monaco et se relancer.\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG AJ Slaughter\\n\\nGran Canaria\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\nPF Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\nC Alpha Kaba\\n\\nNanterre\\n\\nMeilleur 5 français :\\n\\nPG David Michineau\\n\\nBoulogne-Levallois\\n\\nSG Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\nSF Maxime Courby\\n\\nBourg\\n\\nPF Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\nC Alpha Kaba\\n\\nNanterre\\n\\nRising star :\\n\\nYannick Nzosa (C/RDC/17)\\n\\nMalaga\\n\\n9 d’éval (7,7 pts à 74,1%, 2,5 rbds, 0,3 pds)\\n\\nPhoto: Mathias Lessort (Monaco, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : la Ligue Adriatique toujours plus forte" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Filip Petrusev – Mega Soccerbet (Photo : Mega Soccerbet – Ivica Veselinov)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la Ligue Adriatique.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi elle a connu un petit « creux » la saison passée, la Ligue Adriatique reste toujours tout en haut du podium en ce qui concerne les U21. Ce championnat, qui regroupe les meilleures équipes de Bosnie-Herzégovine, de Croatie, du Monténégro, de Serbie et de Slovénie, en fait un championnat de l’ex-Yougoslavie au niveau de jeu fluctuant selon les divers événements économiques. Des places fortes telles que l’Étoile Rouge ou le Partizan de Belgrade ne peuvent aujourd’hui prétendre à de très hauts résultats dans les coupes d’Europe auxquelles ils participent. Mais, quel que soit le niveau de l’ABA League (l’autre nom de la Ligue Adriatique), que l’on peut situer entre la première moitié de la Jeep Élite pour les meilleurs et le haut de tableau de Pro B pour les derniers du classement, elle reste une terre d’élection pour les U21 de ces divers pays.\\n\\nBien sûr, avec seulement 13 clubs en compétition (le club slovène de Primorska Koper est forfait général pour la saison), la Ligue Adriatique n’aligne pas autant de U21 que d’autres championnats à 16 ou 18 équipes. Mais, lorsqu’il s’agit de les faire jouer de manière régulière, seule la Belgique fait mieux.\\n\\nDans le détail, ils ont été 46 à entrer au moins une fois en jeu cette saison, un net rebond après les 30 de la saison dernière, et même mieux qu’en 2018-19, où ils étaient 44. En outre, ces jeunes joueurs sont des plus rentables : ils valent 4,28 points et 3,69 d’évaluation en 11,80 minutes (contre 3,99 pts et 3,17 d’éval en 11,33 mn l’an dernier et 4,69 pts et 4,26 d’éval en 12,41 mn la saison précédente) – personne ne fait mieux en Europe. Et il en va de même pour les U21 réellement responsabilisés, qui n’ont jamais été aussi performants. Les 31 jeunes dans ce cas ont passé en moyenne 15,87 mn sur le parquet pour 5,88 pts et 5,37 d’éval (1er temps de jeu et 1e moyenne de points de l’étude, 2e à l’éval derrière la Turquie), contre 5,49 pts et 5,02 d’éval en 15,48 mn la saison dernière (19 joueurs) et 5,71 pts et 5,15 d’éval en 15,07 mn (32 joueurs) il y a deux saisons. Par ailleurs, aucun autre championnat ne voit autant de U21 passer plus de 10 mn/match sur le terrain (23) ni plus de 20 mn (7). Et s’il y a 15 Belges qui marquent plus de 5 pts contre 13 de la Ligue Adriatique, les deux voient 4 de ces U21 dépasser les 10 pts/match. Le constat est le même à l’évaluation : l’ABA League est 2e pour le nombre de joueurs à 5 d’éval et plus (11) mais 1e pour ceux à plus de 10 : 5 joueurs. Et si l’on s’inquiétait un peu la saison dernière sur l’absence de très jeunes joueurs, on note cette année que deux joueurs de 2003 et 4 de 2002 ont du temps de jeu.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLa tendance à la hausse de la Ligue Adriatique prend sa pleine mesure avec son cinq majeur U21, qui cette saison explose tous les compteurs. Pensez que celui de la saison dernière valait 11,58 pts et 12,50 d’éval en 24,70 mn et celui de la précédente 11,60 pts et 11,24 d’éval en 24,2 mn, cela nous fait une hausse d’environ 3 pts et 4 unités d’éval d’une année sur l’autre. Inutile de préciser qu’aucun cinq majeur U21 d’un autre grand championnat ne fait aussi bien.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationFilip Petrusev5Mega SoccerbetSerbie20001631,723,628,4Marko Simonovic4Mega SoccerbetMonténégro19991730,716,219,8Mateo Dreznjak2Cibona ZagrebBosnie19991230,513,411,6Roko Prkacin4Cibona ZagrebCroatie20021326,912,611,9Marko Pecarski4FMPSerbie20001215,27,310,0Moyenne2000,0014,0027,0014,6216,34\\n\\nOutre Stefan Djordjevic et Aleksa Radanov nés en 1998 et donc hors du cadre de notre étude, deux autres membres du cinq majeur U21 de la saison passée ne sont pas sélectionnés cette saison. Le Bosnien Dalibor Ilic (Igokea, 2000) est passé de 8,3 pts et 10,1 d’éval à 6,4 pts et 7,6 d’éval alors que le Serbe Nikola Miskovic (Mega Soccerbet, 1999) souffre de l’arrivée de Filip Petrusev sur son poste, ne produisant plus que 4,9 pts et 3,1 d’éval en 13,2 mn contre 9,5 pts et 7,0 d’éval en 26,2 mn la saison dernière.\\n\\nDu côté des nouveaux venus, Mateo Dreznjak a très bien réussi la transition entre la D2 de Ligue Adriatique avec Siroki (il valait 15,1 pts et 14,9 d’éval en 32,8 mn) à l’étage supérieur. Pour leur part, Marko Pecarski (4,4 pts et 4,6 d’éval en 8,9 mn l’an dernier) et Roko Prkacin (5,2 pts et 3,6 d’éval en 15,0 mn la saison passée) affichent de beaux progrès, le deuxième étant même impressionnant pour un joueur en 2002.\\n\\nEnfin, Marko Simonovic reste stable dans ses productions : il était à 16,2 pts et 18,1 d’éval en 29,0 mn, ses stats sont assez similaires alors qu’il doit partager la raquette avec un intérieur plus envahissant que la saison passée, Filip Petrusev.\\n\\nLe MVP : Filip Petrusev\\n\\nLedit Filip Petrusev est l’incontestable MVP U21 de la Ligue Adriatique, et même de la Ligue tout court, qu’il domine aux points et à l’éval, étant 3e aux rebonds (7,44 par match, le premier étant son coéquipier Marko Simonovic avec 8,74) et 2e au contre (1,1, juste devancé par Taylor Smith, l’ancien du BCM, qui en réalise 1,6 par match). Passé les deux saisons précédentes par l’université de Gonzaga (17,5 pts, 7,9 rbds et 18,7 d’éval en 25,9 mn la saison dernière) après des années à Vitoria (il y arrive en 2014) puis en high school américaine (à partir de 2016), le grand intérieur (2,11 m) est revenu au pays dans l’espoir d’être drafté haut à la fin de la saison. Ce qui risque de se produire, d’autant qu’il a également montré lors des matchs de la Serbie pour les qualifications à l’Euro qu’il dominait également à ce niveau : en 2 matchs, 24,5 pts (68,0 % à deux-points, 50,0 % à trois-points), 7,0 rbds pour 28,5 d’éval en 34,1 mn.\\n\\nEn conclusion\\n\\nSi de nombreux jeunes joueurs de l’ex-Yougoslavie s’expatrient de bonne heure, aux États-Unis ou en Espagne notamment, dans l’espoir d’une vie meilleure, l’immense réservoir de ces pays fait qu’ils sont toujours capables de retenir de très forts prospects et, surtout, de les amener au plus haut niveau. La Ligue Adriatique n’a peut-être jamais été aussi forte qu’aujourd’hui en matière de développement de ses U21.\\n\\nProchain championnat étudié : la VTB League.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’Esake grecque, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Winner League israélienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Serie A italienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la LKL lituanienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BSL turque, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nSi elle a connu un petit « creux » la saison passée, la Ligue Adriatique reste toujours tout en haut du podium en ce qui concerne les U21. Ce championnat, qui regroupe les meilleures équipes de Bosnie-Herzégovine, de Croatie, du Monténégro, de Serbie et de Slovénie, en fait un championnat de l’ex-Yougoslavie au niveau de jeu fluctuant selon les divers événements économiques. Des places fortes telles que l’Étoile Rouge ou le Partizan de Belgrade ne peuvent aujourd’hui prétendre à de très hauts résultats dans les coupes d’Europe auxquelles ils participent. Mais, quel que soit le niveau de l’ABA League (l’autre nom de la Ligue Adriatique), que l’on peut situer entre la première moitié de la Jeep Élite pour les meilleurs et le haut de tableau de Pro B pour les derniers du classement, elle reste une terre d’élection pour les U21 de ces divers pays.\\n\\nBien sûr, avec seulement 13 clubs en compétition (le club slovène de Primorska Koper est forfait général pour la saison), la Ligue Adriatique n’aligne pas autant de U21 que d’autres championnats à 16 ou 18 équipes. Mais, lorsqu’il s’agit de les faire jouer de manière régulière, seule la Belgique fait mieux.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne : un Panini 2.0 pour renforcer les liens avec les fans en Liga ACB" }, {"role": "assistant", "content":"Avant-gardiste, la ligue espagnole mise, comme la NBA, sur la blockchain pour s’adapter à un monde en constante évolution.\\n\\n« L’avenir de la Liga ACB passe par la blockchain. » Le PDG de la ligue, Jose Miguel Calleja Bermejo, anticipe les prochaines étapes à franchir pour améliorer le produit que constitue le basket espagnol.\\n\\n« L’objectif de l’ACB est de trouver la manière dont le fan peut voir le produit de son point de vue, avec tout le contenu à portée de main. Le plus réaliste et actuel est la fameuse blockchain. C’est un environnement qui nous donnera la capacité de créer des micro-marchés en impliquant tous ceux qui veulent partager notre produit », détaille-t-il à Palco23.\\n\\nLa blockchain, ce sont des cartes vidéo virtuelles à collectionner. Le principe : une sorte de Panini 2.0 où des internautes s’échangent des extraits de match. La NBA a ouvert la voie à cette technologie innovante en vendant pour près de 240 millions de dollars de packs de cartes virtuelles à collectionner à plus de 65 000 personnes fin février, lors de son événement NBA Top Shot. La Liga ACB, qui dispose de sa propre application, espère à travers ce même principe adapter ses contenus aux demandes des fans, notamment son jeune public.\\n\\n« Il est essentiel de déterminer un modèle de ligue professionnelle plus profonde et plus puissante qui se démarque des autres, en créant une marque, à l’image et à la ressemblance de la Liga, de la Premier League ou des Six Nations, qui transcende le sport. Pour y parvenir, l’amélioration de la concurrence est essentielle, car sans un bon contenu, il n’y a pas de bon produit. Ce que nous faisons maintenant va devenir obsolète à court terme« , conclut le PDG.\\n\\nPhoto : Carlos Alocen (Real Madrid)" }, {"role": "user", "content":"Alperen Sengun (Besiktas) : «Je veux aller en NBA le plus vite possible»" }, {"role": "assistant", "content":"Le prodige turc du Besiktas, Alperen Sengun (2,06 m, 18 ans), a manifesté son envie de jouer en NBA le plus tôt possible.\\n\\nSi vous ne le connaissez pas, sachez qu’à seulement 18 ans, Alperen Sengun a réalisé une performance XXL contre la Suède (24 points et 12 rebonds) pour qualifier la Turquie à l’ EuroBasket 2022 en février dernier. Il est éligible à la draft NBA 2021.\\n\\n« Je veux y aller en NBA le plus vite possible et m’y développer. Mais je ne veux pas y penser pour le moment, cela a un impact négatif sur mon jeu. J’y penserai à la fin de la saison. Je ne sais pas ce qui va se passer, je peux rester à Besiktas ou participer à la Draft. Je déciderai à la fin de la saison, je suis ici et concentré pour le moment« , a-t-il expliqué à Turkish Anadolu News Agency.\\n\\nMalgré sa jeunesse, l’intérieur bondissant est déjà l’un des joueurs majeurs du championnat turc (19,3 points, 9,3 rebonds et 2,4 passes décisives en 28 minutes), et pas loin d’être notre MVP des U21 en Turquie cette saison. Il a pris dernièrement conseil auprès de l’ancien All-Star et champion NBA, Mehmet Okur.\\n\\n« J’ai eu l’occasion de travailler avec Mehmet Okur, c’est très précieux. Je lui parle depuis deux ans et j’avais vraiment envie de travailler avec lui avant de participer à la draft. Ce fut une surprise pour moi qu’il soit venu à Istanbul. Nous avons parlé, travaillé et nous sommes toujours en contact. Nous travaillerons plus dur avant l’été. Avant d’aller en NBA, je veux retravailler avec Mehmet Okur. C’est une expérience formidable. »\\n\\nPhoto : Alperen Sengun (Besiktas)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Bruno Cingala-Mata en pigiste médical au SLUC Nancy jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir débuté la saison à Boulazac en Jeep Elite, Bruno Cingala-Mata rebondit au SLUC Nancy, à l’étage inférieur.\\n\\nMalgré deux victoires obtenues avec un seul pivot dans ses rangs depuis la blessure de Vincent Vent, le SLUC a préféré trancher rapidement le choix du pigiste médical. L’actuel 4e de Pro B (9 victoires, 4 défaites) a choisi l’intérieur polyvalent formé à Cholet plutôt que Ferdinand Prénom, venu passer des tests médicaux à Nancy selon l’Est Républicain.\\n\\nBruno Cingala-Mata (2,00 m, 28 ans) connait bien la Pro B puisqu’il a évolué à Fos, Evreux et Gries. C’est d’ailleurs dans le club alsacien qu’il a explosé aux yeux de tous lors de la saison 2019-2020 (9,2 points, 7,2 rebonds pour 12,9 d’évaluation). Fort rebondeur, et agressif au panier, il viendra proposer une option intéressante à l’effectif de François Peronnet.\\n\\n« Bruno est un joueur qui a la capacité de jouer sur les postes 3-4-5. Sur deux mois, nous allons jouer un match tous les trois jours. Nous allons vivre de situations où les joueurs seront en situation de fautes, peut-être des blessures, peut être des coups de moins bien.... Cette polyvalence nous sera grandement utile. Bruno est un athlète lorsque les adversaires seront fatigués, son intensité doit nous aider a impacter le bloc défensif adverse« , indique le directeur sportif, Sylvain Lautie, dans un communiqué de presse.\\n\\nPhoto : Bruno Cingala-Mata (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Le pathétique Tony Wroten quitte Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Comme on s’y attendait, l’aventure entre l’ancien NBAer Tony Wroten (1,98m, 27 ans, 145 matches dans la ligue US à 11,1 points en moyenne) et l’Elan Béarnais est terminé.\\n\\n« Alors que l’équipe restait sur 7 défaites consécutives, on attendait forcément beaucoup de ce meneur référencé, vu au Palais sous le maillot de Wloclawek en janvier 2020. Arrivé hors de forme, il n’aura pas du tout eu l’impact escompté, ni permis à l’équipe de stopper cette spirale négative (11 défaites actuellement) l’ayant fait plonger à la 17ème place du classement général, » écrit le club dans un communiqué.\\n\\nC’est peu dire. Tony Wroten a été même pathétique puisqu’il affiche 0,5 point et -1 d’évaluation en 4 matches. Pas loin d’un record pour un Américain.\\n\\nLe club est à la recherche d’un renfort au poste de meneur de jeu." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Luka Doncic devient membre honoraire du Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Luka Doncic a reçu ce mardi la plus haute distinction possible au sein du Real Madrid : il vient d’être nommé membre honoraire du club.\\n\\nPassé par l’académie avant de devenir une star en Europe, Luka Doncic (2,01 m, 22 ans) a fait les beaux jours du Real Madrid pendant six années avant de rejoindre la NBA et les Dallas Mavericks. Sous la tunique madrilène, le prodige slovène a glané 7 titres en 216 matchs avec l’équipe A, dont une Euroleague, trois couronnes nationales, une coupe Intercontinentale et deux Copa del Rey. À seulement 22 ans, Luka Doncic a reçu cette distinction en compagnie du pilote Carlos Sainz Sr.\\n\\n« Le Real Madrid souhaite exprimer publiquement sa reconnaissance pour la carrière de ces deux personnalités du sport mondial, qui sont des modèles de nos valeurs et affichent au quotidien leur allégeance au Real Madrid et leur passion pour notre club. »\\n\\n\\nMuchas gracias!!!! #HalaMadrid 🙏🙏 https://t.co/hfNAhZ1TJ8\\n\\n— Luka Doncic (@luka7doncic) March 23, 2021\\n\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=LJEvoaKZeks\\n\\nPhoto : Luka Doncic (Real Madrid)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Boulogne-Levallois à la peine contre Gran Canaria" }, {"role": "assistant", "content":"Boulogne-Levallois a été dominé à domicile par Gran Canaria (74-84) mardi soir lors du match aller des quarts de finale d’Eurocup. Les Metropolitans devront s’imposer vendredi en Espagne pour forcer un match d’appui.\\n\\nSoirée difficile pour les clubs français en Eurocup. Après la défaite de Monaco contre Podgorica, Boulogne-Levallois a également manqué ses débuts en quart de finale aller, à domicile, face à Gran Canaria. Mais si les Monégasques peuvent s’en vouloir d’avoir lâché une victoire qui leur tendait les bras, les Metropolitans 92, eux, ont été dominés sans conteste par les Espagnols.\\n\\nLe meneur des Bleus Andrew Albicy (2 points à 1/5 aux tirs, 3 passes décisives), de retour à Levallois, n’a pas véritablement pesé sur le jeu. Mais ses coéquipiers n’ont pas eu besoin de lui (6 joueurs à plus de 10 points) pour avoir le contrôle du match (18 balles perdues pour les Franciliens contre 12 pour les Espagnols). L’ancien Villeurbannais, A.J. Slaughter, a pris ses responsabilités dans le dernier quart-temps pour offrir la victoire aux siens et prendre une sérieuse option sur les demi-finales.\\n\\nTrès en vue en raison de l’absence de Brandon Brown (Covid-19), David Michineau (15 points, 4 passes décisives) et sa belle activité n’ont pas suffit, tandis que Lahaou Konaté (0 point, -2 d’évaluation en 20 minutes) et ses consorts américains Archie Goodwin, Anthony Brown et Josh Owens n’ont pas permis aux Mets d’inverses le cours du match.\\n\\n« Gran Canaria a marqué 84 points, c’est trop. Sans deuxième meneur, je savais que ce serait très difficile. Nous pouvons bien jouer, mais nous ne pouvons pas traduire un bon match en victoire car nous avons besoin d’un autre créateur. Nous avons été trop égoïstes en attaque, le ballon ne bougeait plus. Et lorsque vous êtes égoïste, vous perdez des balles et vous n’avez pas un bon espacement pour la défense de transition. Ils ont marqué au moment où nous aurions peut-être pu inverser le jeu« , note le coach Jurij Zdovc en conférence de presse.\\n\\nCette quatrième défaite en onze jours après des revers à Dijon, Limoges et Villeurbanne ne va pas accroître la confiance des hommes de Jurij Zdovc, qui doivent impérativement s’imposer vendredi (20 h) à Las Palmas pour arracher un match d’appui mercredi prochain à Marcel-Cerdan.\\n\\nPhoto : A.J. Slaughter (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : le hold-up parfait de Podgorica à Monaco en quart" }, {"role": "assistant", "content":"Sur un game-winner de Justin Cobbs dans les dernières secondes, le Buducnost Podgorica a renversé l’AS Monaco en quart de finale d’Eurocup (76-77) à Gaston-Médecin. La Roca Team n’a déjà plus le droit à l’erreur dans cette confrontation pour arracher un match d’appui.\\n\\nJustin Cobbs avait quitté le championnat de France en 2018 après un titre glané avec Le Mans sur le terrain de Monaco. Le meneur du Buducnost Podgorica a joué un autre mauvais tour mardi soir à l’équipe de la principauté. À trois secondes de la fin du match, il inscrit le panier décisif qui permet à l’équipe monténégrine de prendre une belle option sur les demi-finales dans ce duel d’Eurocup au meilleur des trois manches.\\n\\nPourtant, la Roca Team avait largement de quoi faire valoir sa supériorité. La meilleure défense de la compétition (72,4 points) a fini par céder sous la pression de l’intenable Willie Reed (24 points à 11/17 aux tirs, 13 rebonds pour 35 d’évaluation), malgré la belle prestation de Mathias Lessort à l’intérieur (13 points à 3/7 aux tirs, 7 rebonds et 8 fautes provoquées pour 21 d’évaluation) et la lucidité offensive de Rob Gray (18 points à 3/6 à 3-points pour 15 d’évaluation).\\n\\nLes hommes de Zvezdan Mitrovic comptaient encore six unités d’avance à deux minutes de la fin (74-68, 38′), mais ont laissé revenir Podgorica. Quelques erreurs d’inattention auront été fatales, notamment celle de Dee Bost (13 points à 3/12 aux tirs, 3 ballons perdues), qui évite au ballon de sortir... pour offrir une contre-attaque aux Monténégrins, conclue par Justin Cobbs à 3-points (74-73, 39′). Mathias Lessort a eu la balle de match près du cercle sur la remise en jeu à deux secondes du terme mais l’international français a manqué son shoot.\\n\\n« Monaco a montré que c’était une équipe très physique. À la fin, on est un peu chanceux. Et probablement qu’on méritait cette chance. On doit rester concentrés. C’est juste 1-0, rien n’est fait« , reconnait Dejan Milojevic, coach de Podgorica depuis fin janvier.\\n\\n« C’est difficile de perdre comme ça. Nous regarderons la vidéo demain, analyserons nos erreurs et nous essayerons de gagner ce prochain match. Nous devons forcer un match 3 et revenir ici et gagner sur notre terrain« , note le Monégasque Rob Gray.\\n\\nElle aurait pu s’offrir un voyage bien plus tranquille à Ljubljana (Slovénie) vendredi (18h) pour le match retour mais la Roca Team a les atouts pour arracher une belle, qui se jouerait à la maison.\\n\\nPhoto : Rob Gray (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"N1 : Laurent Buffard ne sera plus le coach d’Angers" }, {"role": "assistant", "content":"En mauvaise posture au classement (13e, 6 victoires en 17 matches), l’Etoile Angers Basket va se maintenir en Nationale 1 du fait que la FFBB a décidé de l’arrêt de la compétition à l’issue de la première phase et de ne pas procéder à des descentes. Pour autant, le club du Maine-et-Loire va changer de coach.\\n\\nLe staff angevin a pris la décision de ne pas prolonger le contrat de Laurent Buffard, qui est en poste depuis 2017 et la fusion entre Angers BC et Saint-Léonard, alors que le club était en Nationale 2.\\n\\nLaurent Buffard, 57 ans, possède un riche CV avec notamment des passages à Cholet, Valenciennes et Ekaterinbourg.\\n\\nPhoto: Cholet Basket" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Le nouveau coup de Mam’ Jaiteh" }, {"role": "assistant", "content":"Cette semaine encore, nos expatriés nous ont livré des prestations de haut-vol et ont une nouvelle fois bien exporté le basket français en Europe. En Serbie, Stéphane Gombauld ne s’arrête plus, même si son club de Mladost ne gagne plus. En Turquie, Adrien Moerman a joué un rôle prépondérant dans le choc face au Pinar Karsiyaka. Enfin, Mam’ Jaiteh ne cesse de performer à Gazantiep.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMouhammadou Jaiteh continue de briller\\n\\nMême oublié des Bleus, Mam’ Jaiteh réalise la saison de sa vie dans un championnat turc plus que relevé, lui qui n’a cessé de franchir des paliers depuis son départ de Limoges en 2018. Le pivot est le meilleur rebondeur de la BSL (10,7 prises par match). Meilleur marqueur de son club (15,8 points à 64 %), il maintient son équipe, dixième budget, en course pour les play-offs. Dimanche face au Socar Petkim, il a encore fait feu de tout bois en claquant 25 points et en prenant 10 rebonds, menant Gaziantep à la victoire (76-64). Ces performances sont presque devenues une habitude pour celui qui se distingue aussi contre les gros du championnat (18 points et 15 rebonds contre Fenerbahçe, 19 et 14 contre l’Efes Istanbul).\\n\\n\\nStéphane Gombauld ne fait pas de quartier\\n\\nFidèle à lui-même et comme la semaine dernière, c’est dans l’efficacité aux tirs et au rebonds que Stéphane Gombauld s’exprime le mieux. Avec 6 tirs réussis sur 8 pour le compte de Mladost face au KK Dynamic (Défaite 108-110 en Ligue serbe), l’ailier guadeloupéen conforte sa moyenne de réussite aux tirs : 64,6 % à deux-points, 23,5 % à trois-points (son petit point faible) et 83,3 % aux lancers francs. Il peut aussi démontrer de grandes facultés dans les airs en comptabilisant cette fois 7 rebonds, pour une moyenne de 6,1 prises sur les 24 matchs qu’il a joué.\\n\\n\\nAdrien Moerman cartonne dans le choc des leaders\\n\\nAdrien Moerman a réalisé une performance de haute volée, sa meilleure de la saison avec le club stanbouliote. Avec 24 points à 7/11 aux tirs dont 5/7 à trois-points, 9 rebonds et 3 passes décisives pour 31 d’évaluation, l’ailier-fort a porté l’Anadolu Efes dans le succès 98-89 face à son dauphin en championnat, le Pinar Karsiyaka. Le club d’Izmir étant amputé du très important Amath M’Baye en raison de la Covid-19, Adrien Moerman et ses coéquipiers se devaient de répondre présent pour continuer leur glorieux parcours en championnat (1er avec 24 victoires pour 1 défaite).\\n\\n\\nLe 5 majeur de la semaine\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 10 points (3/5 aux tirs dont 2/3 à trois-points et 2/5 aux lancers-francs), 3 rebonds, 4 passes, 1 interception, 4 ballons perdus pour 12 d’évaluation en 19 minutes (Victoire 90-81 face à San Sebastian).\\n\\nLéo Westermann (Barça) : 5 points (2/7 aux tirs dont 1/4 à trois-points), 1 passe, 3 ballons perdus pour -1 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Victoire 79-55 face à Malaga).\\n\\n2 points (1/4 aux tirs dont 0/3 à trois-points), 1 rebond, 5 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Victoire 80-64 à Valence).\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 18 points (6/9 aux tirs dont 3/5 à trois-points et 3/3 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 interception, 5 ballons perdus pour 13 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Défaite 72-85 face à Vitoria).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 5 points (2/8 dont 1/5 à trois-points), 2 rebonds, 1 passe pour -1 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Défaite 55-79 au Barça).\\n\\n15 points (6/9 aux tirs dont 3/4 à trois-points), 1 rebond, 2 passes pour 15 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 85-83 à Obradoiro).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 12 points (5/6 aux tirs dont 2/2 à trois-points), 4 rebonds, 1 ballon perdu pour 14 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 95-77 face à Séville).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 2 points (1/3 aux tirs), 3 rebonds, 3 ballons perdus pour -3 d’évaluation en 8 minutes de jeu (Victoire 85-72 à Bilbao).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 8 points (3/8 aux tirs dont 1/2 à trois-points dont 1/1 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 ballon perdu pour 7 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Défaite 83-90 face à Badalone).\\n\\n13 points (5/9 aux tirs dont 2/3 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes pour 11 d’évaluation en 22 minutes (Victoire 113-104 à Sarragosse).\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 5 points (2/5 aux tirs dont 1/2 à trois-points), 1 rebond, 1 interception, 2 ballons perdus pour 2 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 64-80 face au Barça).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 7 points (3/6 aux tirs dont 1/2 à trois-points), 3 rebonds, 1 ballon perdu pour 6 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Défaite 77-95 au Real Madrid).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 5 points (2/4 aux tirs dont 1/3 à trois-points), 3 rebonds, 1 contre, 2 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Victoire 75-65 à Fuenlabrada).\\n\\n0 points (0/6 aux tirs dont 0/4 à trois-points), 7 rebonds, 3 passes, 1 ballon perdu, 1 contre pour 1 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Victoire 92-86 face à Manresa).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : 0 points (0/1 à trois-points) pour -2 d’évaluation en 5 minutes de jeu (Défaite 77-95 au Real Madrid).\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 5 points (2/4 aux tirs dont 0/2 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 7 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 79-70 au Maccabi Haifa).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 0 points (0/1 aux tirs et 0/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 passe, 2 interceptions, 1 contre, 2 ballons perdus pour 3 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Défaite 71-76 face au Pieno Zvaigzdès).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 12 points (5/11 aux tirs dont 2/5 à trois-points), 5 rebonds, 1 interception pour 11 d’évaluation en 27 minutes de jeu (Défaite 88-93 face à Sopot).\\n\\n5 points (2/8 aux tirs dont 1/5 à trois-points), 6 rebonds, 4 passes, 1 interception pour 9 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 91-96 face à Wroclaw).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : Pas de match.\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 12 points (6/8 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 7 rebonds, 6 passes, 2 contres, 2 ballons perdus pour 22 d’évaluation en 26 minutes (Défaite 108-110 face au KK Dynamic).\\n\\n12 points (5/6 aux tirs et 2/4 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 contre pour 17 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Défaite 80-90 face à Nikšić en Ligue Adriatique 2).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 4 points (2/5 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 1 rebond, 5 passes, 5 ballons perdus pour -1 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 65-74 face à Split).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 13 points (5/9 aux tirs dont 3/6 à trois-points), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 13 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 98-89 au Pinar Karsiyaka).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 25 points (10/12 aux tirs et 5/11 aux lancers-francs), 10 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 28 d’évaluation en 34 minutes de jeu (Victoire 76-64 face à Izmir).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 24 points (7/11 aux tirs dont 5/7 à trois-points et 5/6 aux lancers-francs), 9 rebonds, 3 passes pour 31 d’évaluation en 37 minutes de jeu (Victoire 98-89 au Pinar Karsiyaka).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 5 points (2/4 aux tirs et 1/3 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe, 3 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 84-80 face à l’Alba Berlin).\\n\\nPhoto d’ouverture : Mouhammadou Jaiteh (Gaziantep Basketbol)\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMouhammadou Jaiteh continue de briller\\n\\nMême oublié des Bleus, Mam’ Jaiteh réalise la saison de sa vie dans un championnat turc plus que relevé, lui qui n’a cessé de franchir des paliers depuis son départ de Limoges en 2018. Le pivot est le meilleur rebondeur de la BSL (10,7 prises par match). Meilleur marqueur de son club (15,8 points à 64 %), il maintient son équipe, dixième budget, en course pour les play-offs. Dimanche face au Socar Petkim, il a encore fait feu de tout bois en claquant 25 points et en prenant 10 rebonds, menant Gaziantep à la victoire (76-64). Ces performances sont presque devenues une habitude pour celui qui se distingue aussi contre les gros du championnat (18 points et 15 rebonds contre Fenerbahçe, 19 et 14 contre l’Efes Istanbul).\\n\\n\\nStéphane Gombauld ne fait pas de quartier\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Pau : David Bonnemason-Carrère vers la présidence" }, {"role": "assistant", "content":"David Bonnemason-Carrère est devenu hier soir administrateur à la SEM (société d’économie mixte) Elan Béarnais par le biais du vote de l’ensemble des actionnaires privés. Selon les informations de la République des Pyrénées, il devrait succéder à Didier Rey, qui vient de démissionner, à la présidence du club.\\n\\nDavid Bonnemason-Carrère est l’avocat palois, qui a pour mission de la part du maire François Bayrou, de mener les négociations avec les Américains de CounterPoint Sports Group de Rick Pitino et Jamal Mashburn. Un conseil d’administration devrait lui offrir la présidence la semaine prochaine.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Le lancer-franc raté de Chris Warren qui relance Villeurbanne" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur américain de Nanterre, Chris Warren a marqué au buzzer un panier dans un geste désarticulé et obtenu un lancer-franc bonus. 83-83. Seulement, la balle a roulé sur le cercle et comme contre Le Mans, l’ASVEL a été poussée en prolongation. Seulement, cette fois, c’est elle qui en ressortie vivante. 96-92.\\n\\nSur l’ensemble du match, Isaia Cordinier (25 points, 24 d’évaluation) et Marcquise Reed (21 points, 24 d’évaluation) d’un côté et Thomas Heurtel (23 points, 7 rebonds, 4 passes) de l’autre, ont été les plus productifs.\\n\\nCette victoire permet à l’ASVEL de ne pas se faire décrocher (peut-être) définitivement par le peloton de tête.\\n\\nPhoto: Chris Warren (Nanterre)" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : la Turquie joue la carte de l’élite" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Alperen Sengun – Besiktas (Photo : BSL)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la Turquie.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui l’eut cru ? 7e de notre étude en 2018-19 puis 8e en 2019-20, ne devançant que les « mauvais élèves » que sont l’Italie, la Grèce et la VTB League, la Basketbol Super Ligi (BSL) turque bondit cette saison au 4e rang ! Pas forcément en jouant sur la quantité, même si tous les indicateurs sont au vert en la matière, mais plutôt en s’appuyant sur une élite assez remarquable.\\n\\nRéputé pour être l’un des championnats nationaux les plus compétitifs derrière l’Espagne, la BSL oppose 16 équipes, dont les deux pensionnaires d’Euroleague, le Fenerbahce et l’Anadolu Efes. Les 16 clubs ont disputé 21 matchs et, au moment de l’arrêt de nos statistiques, seul Belediye n’avait aligné aucun U21 sur le terrain. De leur côté, les 15 autres équipes ont donné un minimum de temps de jeu à 49 U21 (5e total de notre comparatif), un chiffre en hausse : il était de 47 la saison dernière et de 41 en 2018-19. Qui plus est, ces jeunes joueurs se montrent de plus en plus rentables : 2,49 points et 2,64 d’éval en 6,23 mn cette saison (4e moyenne aux points et à l’éval) contre 1,66 pt et 1,84 d’éval en 6,07 mn la saison dernière et 2,33 pts et 2,41 d’éval en 7,79 mn celle d’avant.\\n\\nCette progression est encore plus flagrante lorsque l’on se concentre sur les U21 ayant un véritable rôle, entrant en jeu au moins 5 mn/match sur la moitié des matchs. Ils sont 18 dans ce cas cette saison (7e total du comparatif), contre 17 l’an dernier et 16 un an plus tôt. Et ils se montrent productifs : 5,19 pts et 5,57 d’éval en 12,89 mn, c’est très bien, il s’agit même de la meilleure moyenne de notre étude en ce qui concerne l’éval ! L’année dernière, les mêmes stats se situaient à 3,06 pts et 3,24 d’éval en 9,81 mn alors qu’elles étaient de 4,09 pts et 3,91 d’éval il y a deux saisons. Une évolution très positive, qui est surtout le fait d’une élite de quelques joueurs. Ainsi, ils sont 3 à jouer plus de 20 mn/match (3e total) mais seulement 10 plus de 10 mn (7e total), ils sont également 3 à plus de 10 pts/matchs et à plus de 10 d’éval (3e de l’étude dans les deux cas) mais tout juste 4 à plus de 5 pts (7e de l’étude) et 6 à plus de 5 d’éval (4e). Autre enseignement intéressant, la BSL ne se destine pas tellement aux plus jeunes joueurs : ils ne sont que 2 nés en 2002 et 4 en 2001 sur les 18 U21 qui jouent vraiment, une faible proportion.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLes très jeunes joueurs sont donc peu présents en BSL, mais lorsqu’ils y sont, ils s’y font remarquer, il suffit de regarder notre cinq majeur, qui comporte deux joueurs nés en 2002 et un autre né en 2001. Mais, c’est bien connu, la valeur n’attend pas le nombre des années. Et cette « marmaille » explose les compteurs turcs. La saison passée, le cinq majeur U21 valait 4,96 pts et 5,60 d’éval en 13,04 mn et son prédécesseur 6,14 pts et 5,82 d’éval en 16,66 mn. Avec ses 11,40 pts et 12,94 d’éval (2e moyennes de l’étude) en 22,18 mn cette saison, ces stats sont multipliées par au moins deux !\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationAlperen Sengun4BesiktasTurquie20022128,019,026,4Sehmus Hazer2BesiktasTurquie19991933,415,014,6Dzanan Musa4Anadolu EfesBosnie1999324,013,013,0Tarik Biberovic3FenerbahceTurquie20011913,05,25,0Furkan Haltali5BesiktasTurquie20021812,54,85,7Moyenne2000,6016,0022,1811,4012,94\\n\\nTrois des cinq membres du cinq majeur U21 de cette saison étaient déjà de la fête la saison passée, les deux autres représentant des cas particuliers : Tarik Biberovic n’évoluait quasiment qu’en Euroleague jusqu’à la saison passée alors que le Bosnien Dzanan Musa revient en Europe en tant que joueur confirmé après avoir ciré les bancs de NBA pendant deux saisons.\\n\\nLes trois autres ont la particularité d’avoir évolué à Banvit Bandirma la saison dernière et, du fait de l’arrêt du club, d’avoir dû changer de casaque, tous les trois pour Besiktas ! Où ils montrent certains progrès. Furkan Haltali est le moins impressionnant, lui qui valait 3,5 pts et 5,0 d’éval en 11,2 mn la saison dernière. Sehmus Hazer, lui, pointait à 7,2 pts et 5,8 d’éval en 18,8 mn – il a donc quasiment doublé son rendement. Quant à Alperen Sengun, qui valait 4,7 pts et 6,3 d’éval en 12,7 mn, de quoi être co-MVP la saison passée avec Yigitcan Saybir (1999, 3,7 pts et 4,4 d’éval en 11,0 mn cette saison, en retrait de ses 4,8 pts et 6,1 d’éval de la saison passée, toujours à l’Anadolu Efes), il a littéralement explosé, devenant incontestable numéro 1 des U21 turcs.\\n\\nLe MVP : Alperen Sengun\\n\\nLe grand ailier-fort (2,08 m) de Besiktas fait très forte impression cette saison. À 18 ans, il est déjà deuxième marqueur de BSL, 2e rebondeur (9,5 rebonds), 1er contreur (1,7 contre) et 1er à l’éval (26,4) ! Entendons-nous bien : pas chez les U21 mais de la ligue turque, devant des joueurs comme Mam’ Jaiteh, Adrien Moerman ou Jan Vesely ! Le tout avec une belle adresse de près : 66,1 % à deux-points. Comme il n’est pas (encore ?) parfait, le jeune homme sait qu’il doit s’améliorer à trois-points (20,0 %). Mais, pour le reste, il fait déjà partie du gratin européen. Toutes classes d’âge confondues.\\n\\nEn conclusion\\n\\nTout n’est pas encore parfait en Turquie, mais la BSL recèle quelques impressionnantes pépites et s’améliore nettement en matière de formation et de place attribuée aux jeunes joueurs. Ce qui se traduit par des résultats intéressants en compétitions internationales de jeunes : la Turquie a décroché l’argent à l’Euro U18 2019 et le bronze à l’Euro U16 2018. Une tendance qui demande à être confirmée sur la durée. Mais il semble bien que la Turquie n’ait pas fini de faire parler d’elle dans la catégorie des U21.\\n\\nProchain championnat étudié : la Ligue Adriatique.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’Esake grecque, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Winner League israélienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Serie A italienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la LKL lituanienne, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQui l’eut cru ? 7e de notre étude en 2018-19 puis 8e en 2019-20, ne devançant que les « mauvais élèves » que sont l’Italie, la Grèce et la VTB League, la Basketbol Super Ligi (BSL) turque bondit cette saison au 4e rang ! 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Certaines personnes aiment l’école, d’autres non. Nous devons donner aux jeunes un autre moyen de se rapprocher de leurs rêves, de se faire remarquer, de démontrer leur talent. Si la situation financière de leur famille n’est pas très bonne, c’est une façon de gagner de l’argent », estime t-il.\\n\\nL’Américain possède la capacité de bien analyser les styles de basket différents qui existent en Europe, en Chine et en NBA:\\n\\n« La VTB League et le style européen sont assurément spéciaux. J’appellerais ça un basket intelligent. Il faut y réfléchir davantage, il faut vraiment constamment apprendre quelque chose de nouveau, jeter un regard neuf sur le jeu. Ce ne sont pas seulement les données physiques qui comptent, mais aussi l’approche même pour comprendre le basket-ball. En Chine, le basketball est plus un spectacle, les fans veulent voir combien de points vous pouvez marquer en un seul match. Nous parlons ici de l’équipe, de l’interprétation de certaines situations, de la connaissance du jeu, d’une simple compréhension de l’endroit où se déplacer. En NBA, tout dépend de vos capacités: actions individuelles, shoots, isolement. Mais si vous voulez comprendre le jeu, en être bien familiarisé, vous devez absolument regarder le basket européen. »\\n\\nIsaiah Kanan évoque par ailleurs avec sagesse son expérience de l’ouragan Katrina, survenu en 2005, l’un des plus dévastateurs de l’histoire des Etats-Unis. Plus de 1 800 personnes avaient trouvé la mort le long de la côte sud des Etats-Unis dont la majorité à La Nouvelle-Orléans :\\n\\n« Je viens de Biloxi, Mississippi, et notre ville a été durement touchée par les effets de l’ouragan. J’avais 14 ans. Je ne savais rien du monde à part courir avec des amis et passer du bon temps. Imaginez simplement comment toute ma courte vie a éclaté à ce moment-là devant mes yeux. J’ai dû grandir un peu plus tôt. Notre famille a tout perdu, nous sommes restés sans abri pendant un mois. Ce fut une expérience qui a changé la vie de toute ma famille. Mais cela m’a montré que vous ne pouvez pas tout investir dans des choses matérielles, parce que tout ce que vous avez peut disparaître. Cela m’a fait apprécier la vie en elle-même. Mon point de vue sur de nombreuses choses a changé. Des choses que certaines personnes jugent importantes, mais qui ne le sont pas. Vous pouvez récupérer toutes les choses matérielles, mais vous ne pouvez jamais récupérer votre vie. J’ai commencé à comprendre ce qui compte vraiment. Les gens, l’expérience. J’ai gagné de l’argent dans ma carrière, mais je ne le dépense pas en bijoux ou en voitures. Mieux vaut passer du temps avec ma famille ou partir en voyage avec ma famille, aider ma communauté, ma ville natale, enfin, sortir manger avec mes amis. Je n’ai pas besoin de trois voitures et de jets privés. Bien sûr, je peux aller acheter tout cela, mais cela ne me rendra pas heureux. »\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Italie : Avec ses 2,10m, Christian Di Giuliomaria est devenu officieusement le plus grand coach de Serie A" }, {"role": "assistant", "content":"L’ensemble du staff technique de Cantù a été testé positif au COVID-19 si bien que c’est Christian Di Giuliomaria, entraîneur de l’équipe U15, qui a coaché l’équipe contre Milan.\\n\\nL’une de ses particularités est de mesurer 210 centimètres. Il devient ainsi le plus grand entraîneur de l’histoire de la Serie A même si – comme le prévoit le règlement de la Lega Basket – il n’apparaîtra pas sur les tablettes car le match sera attribué à Piero Bucchi. Au total, 11 entraîneurs officiels mesurant au moins deux mètres ont dirigé une équipe de équipe A. Le plus grand fut l’ancienne superstar yougoslave Kresimir Cosic avec la Virtus Bologne.\\n\\nKresemir COSIC209V. BO 87-8818-14 (56.2)Massimo MASINI208Mtct 87-90 e 97-98, Des 90-917-20 (25.9)Teoman ALIBEGOVIC207UD 03-05, Sca 06-0842-57 (42.4)Petar SKANSI206Pes 81-84, Fab 84-85, Ve 87-88\\nV. RM 88-89, Tv 90-93, F. BO 97-99201-133 (60.2)John SUTTER205CA 78-798-18 (30.8)Joe ISAAC203VA 85-89 e 92-93, RE 89-91, NA 91-9295-68 (58.3)Sandro DELL’AGNELLO203LI 06-07, Pes 13-15, CE 15-17, BR 17-1842-92 (31.4)Veljko MRSIC203VA 06-072-9 (18.2)Terry DRISCOLL201V. BO 78-8049-21 (72.1)Ottorino FLABOREA200BS 74-7514-18 (43.7)Giovanni GAVAGNIN200VA 65-66, NA 66-67, CE 75-76 e 78-8037-48 (43.5)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : le président de l’Élan Béarnais Didier Rey démissionne !" }, {"role": "assistant", "content":"Président de l’Élan Béarnais depuis 2015, Didier Rey a remis ce mardi sa lettre de démission aux membres du Conseil d’administration du club.\\n\\nUne page se tourne à Pau. Alors que le club est en pleine tourmente sur le terrain et en coulisses, son président Didier Rey a annoncé sa démission dans un communiqué de presse. Le club avait changé d’entraîneur la semaine dernière, avec l’arrivée d’Eric Bartecheky, mais a concédé samedi soir sa onzième défaite consécutive, contre Roanne (60-81), et reste relégable, alors que le rachat du club par un groupe américain n’est pas encore fixé.\\n\\n« Aujourd’hui se profile un nouveau projet ambitieux pour l’Elan et c’est tant mieux ! Si ce projet est bon pour l’Elan, il doit bien évidemment voir le jour. Je n’y ai pas été et je n’y suis toujours pas associé. Je n’ai, manifestement, plus la confiance de l’actionnaire majoritaire qui le porte. Ceci perturbe visiblement la vie du club« , expose Didier Rey par communiqué.\\n\\nDidier Rey reste néanmoins actionnaire et administrateur du club, auquel il n’a pas manqué de rappeler son « attachement total, comme en témoigne (sa) participation personnelle à la dernière recapitalisation ».\\n\\n\\n🖊️ | Communiqué officiel\\nDémission du Président Didier Rey : https://t.co/hO24SAPYHc pic.twitter.com/WkZuddyOfL\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) March 23, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Audio : Richard Dacoury évoque le Limoges CSP sur France Inter" }, {"role": "assistant", "content":"Le livre Bonnes vacances ! qui dissèque la saison légendaire 1999-2000 du Limoges a été réédité et l’un de ses auteurs, François Chevalier, était l’invité, en compagnie de l’emblématique Richard Dacoury, joueur de 1978 à 1996 et désormais vice-président et porte parole du CSP, de L’Oeil du Tigre sur France Inter. Le thème: le basket à Limoges.\\n\\nC’est à écouter ICI." }, {"role": "user", "content":"La Commission Sportive de la LNB donne match perdu par forfait à Cholet contre Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la Ligue Nationale de Basket annonce que sa Commission Sportive a donné match perdu par forfait à Cholet Basket en ce qui concerne son match contre Boulazac, prévu à La Meilleraie le 13 mars. Cette sanction est assortie d’une amende. Le club du Maine-et-Loire a la possibilité de faire appel.\\n\\n« A la lecture des rapports d’incident des officiels, la Commission Sportive, s’est déclarée compétente pour le traiter.\\nLa Commission Sportive a également saisi la Commission Juridique, de Discipline et des Règlements concernant le club de BOULAZAC BASKET DORDOGNE.\\n\\nRappel des faits :\\nConformément au protocole médical et en prévision de la rencontre, le club de CHOLET BASKET a fait tester ses joueurs le lundi 8 mars 2021, qu’à réception des résultats le mardi 09 mars, un joueur a été testé positif, et placé à l’isolement. Conformément au protocole médical, la rencontre susvisée devait se dérouler.\\n\\nEn préparation du match face à l’AS MONACO BASKET prévu le Lundi 15 mars 2021 et conformément au protocole de la compagnie aérienne exigeant un test PCR de moins de 72h, le club de CHOLET BASKET a fait tester ses joueurs le samedi 13 mars 2021 au matin.\\n\\nA environ quarante-cinq minutes avant le début de la rencontre, le club de CHOLET BASKET a reçu les résultats des tests susvisés et a été informé que deux joueurs et un entraîneur avaient été diagnostiqués positifs à la covid-19 ; ceux-ci ont alors été placés à l’isolement sans délai.\\n\\nA la suite de ces résultats, le Président de Cholet Basket a clairement manifesté la volonté de ne pas disputer la rencontre et le Président du club de BOULAZAC BASKET DORDOGNE a clairement émis le souhait d’être solidaire avec la volonté du Président du club de CHOLET BASKET de ne pas jouer la rencontre.\\n\\nLa décision de non tenue de la rencontre a été constatée du fait des actions du club recevant empêchant ainsi le déroulement de celle-ci.\\n\\nLe premier arbitre a alors indiqué aux joueurs de rentrer aux vestiaires.\\n\\nAttendu que par la suite, le Maire de Cholet, a pris la parole au micro en ordonnant l’évacuation de la salle.\\n\\nIl apparaît que la décision du Maire de Cholet intervient manifestement postérieurement à la décision de l’arbitre de renvoyer les acteurs du jeu aux vestiaires et de ne pas officier sur la rencontre.\\n\\nLa Commission Sportive, ayant pris connaissance des pièces du dossier :\\n\\nLe protocole médical prévoit à son article 4.4 « Cas particulier : Fourniture des résultats après H-36 » que « Pour tout résultat de tests étant remonté à moins de 36h de la rencontre prévue, alors la rencontre se disputera si les conditions suivantes sont respectées : – Disponibilité de 7 joueurs professionnels et d’un entraîneur (principal ou assistant N° 1). Un joueur est considéré comme disponible lorsque ce Commission Sportive dernier est régulièrement qualifié par la Commission d’Homologation et de Qualification de la LNB, et présente un résultat négatif à un test RT-PCR conforme pour la rencontre. »\\n\\nEn l’espèce, les résultats positifs ont été fournis moins de 36 heures avant le début de la rencontre ; Attendu que 11 joueurs (dont 9 professionnels) de CHOLET BASKET dont les 2 joueurs diagnostiqués positif à la covid-19 étaient inscrit sur la feuille de marque ; Attendu que 7 joueurs professionnels de CHOLET BASKET inscrits sur la feuille de marque étaient considérés comme disponibles pour disputer la rencontre.\\n\\nDeux entraîneurs de CHOLET BASKET étaient inscrits sur la feuille de marque.\\nUn entraîneur était diagnostiqué positif à la covid-19 mais l’autre entraîneur de l’équipe de CHOLET BASKET était diagnostiqué négatif à la covid-19 et donc disponible pour la rencontre.\\n\\nLa Commission relève que l’ensemble des conditions prévues par l’article 4.4 du protocole médical étaient réunies, que par conséquent le match devait se dérouler.\\n\\nLa Commission retient qu’étant l’équipe à domicile, le club de CHOLET BASKET est reconnue comme l’organisateur de la rencontre, qu’à ce titre c’est sur lui que repose la responsabilité de la non tenue de la rencontre tel que prévu par l’article 315.1.1 des règlements de la LNB « Sauf dispositions contraires, exceptionnelles, et expressément stipulées, pour toutes les rencontres prévues par la LNB ou organisées avec leur agrément (challenges, matches amicaux, manifestations de prestige ou de solidarité) le club ou le comité organisateur est responsable de la mise en place de tous moyens propres à assurer le déroulement correct de la manifestation dont il a la charge, qu’il organise ou qu’il parraine. »\\n\\nDans le cadre de cette mission de service public, la Ligue Nationale de Basket est notamment chargée de faire respecter le principe fondamental d’égalité ;\\n\\nLa Commission retient notamment que lors du match FOS PROVENCE BASKET contre UJAP QUIMPER 29, disputé le 22 novembre 2020, comptant pour la finale de la Leaders Cup PRO B, une situation identique s’est produite et qu’il a été fait application du protocole médical pour une situation identique et qu’il n’y aurait lieu de faire de différence de traitement.\\n\\nL’article 333.1 des règlements de la LNB dispose que « Une équipe perd la rencontre par forfait si : [...] ses actions empêchent la rencontre de se jouer [...] »\\n\\nLa Commission considère que par ses actions et son refus de jouer, le club de CHOLET BASKET a sciemment et délibérément empêché la bonne tenue de la rencontre.\\n\\nLa Commission retient que la décision d’évacuation de la Meilleraie par le Maire de Cholet n’a pas d’incidence quant au fait que la rencontre n’ait pas eu lieu, la décision du Maire de Cholet étant intervenue postérieurement à la décision du Président de CHOLET BASKET de demander à son équipe de ne pas disputer la rencontre et ayant pour conséquence d’obliger l’arbitre à renvoyer les équipes aux vestiaires.\\n\\nLa Commission Sportive de la Ligue Nationale de Basket a décidé :\\n\\n– de donner match perdu par forfait au club de Cholet Basket concernant la rencontre de Jeep® ELITE J24 CHOLET BASKET / BOULAZAC BASKET DORDOGNE initialement prévue le 13 mars 2021\\n\\n– le club de Cholet Basket devra acquitter une mesure administrative de 10 000 euros à la Ligue Nationale de Basket et rembourser les frais de déplacement du club de Boulazac sur justificatifs ainsi qu’une somme forfaitaire de 6.000 € et réglera les frais des arbitres, du commissaire, du représentant fédéral et des officiels de table de marque.\\n\\n\\nLe club a fait appel de cette décision auprès de la Chambre d’Appel de la FFBB, l’appel de la présente décision n’est pas suspensif. »" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre : 52 185 spectateurs sur les réseaux sociaux pour Le Mans-Orléans en Coupe de France" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion des Quarts de Finale de la Coupe de France, Le Mans Sarthe Basket, qui recevait Orléans ce samedi 20 mars à la salle Christian Baltzer, a mis en place une nouvelle fois une production TV propre au club. Ceci afin de permettre à tous ses fans de suivre ce match depuis chez eux dans les meilleures conditions possibles.\\n\\nLa diffusion a été une grande réussite avec 52 185 spectateurs sur de multiples canaux dont la page facebook de BasketEurope.\\n\\nGrâce aux moyens techniques de Momentum Productions, aux commentaires de Jonathan Lateur et Vincent Royet, et au partenariat mis en place spécifiquement sur cette rencontre avec l’influenceur Hoopsidia, cette réalisation du MSB a été vue par 30 584 personnes sur YouTube (23 683 sur la chaîne d’Hoopsidia, 4 830 sur celle de la FFBB et 2 071 sur celle de l’OLB) et 21 601 sur Facebook, ce qui représente un total de 7 099 heures de visionnage." }, {"role": "user", "content":"Eurocup : l’Euroleague en ligne de mire pour Monaco et Boulogne-Levallois ?" }, {"role": "assistant", "content":"Ce mardi soir, Monaco et Boulogne-Levallois affrontent respectivement le Buducnost Podgorica et Gran Canaria en quart de finale de l’Eurocup, avec vue sur l’Euroleague.\\n\\nAlors que l’Asvel attend la validation de sa licence A lui assurant un statut permanent en Euroleague, les Monégasques et les Metropolitans rêvent aussi de la compétition reine la saison prochaine. Car, s’ils remportent respectivement leurs quarts de finale, les deux clubs français se rencontreront en demi-finale, assurant donc la présence de l’un d’entre eux en finale d’Eurocup.\\n\\nEt, cette année, cela tombe plutôt bien. Car les deux finalistes de la C2 peuvent accéder à l’étage supérieur à condition que le vainqueur de la dernière Eurocup (Valence en 2019, la compétition ayant été suspendue en 2020) ne se qualifie pas pour les playoffs de la C1. A quatre journées de la fin de la fin de la saison régulière, les Valencians sont 9e ex aequo, avec seulement une défaite de plus que le Real Madrid, 7e et le Zenit, 8e, à la lutte pour les playoffs. L’espoir est donc permis.\\n\\nMais, pour les deux quarts de finalistes de C2, pas question de brûler les étapes. Il faudra déjà l’emporter deux fois contre des cadors européens (au meilleur des trois matchs) en quart de finale. Boulogne-Levallois, sur les rotules lors de ses trois derniers matchs européens, devra l’emporter contre Gran Canaria d’Andrew Albicy et A.J. Slaughter (ex Asvel), et Monaco face à Podgorica de Justin Cobbs (ex Le Mans).\\n\\n« On veut y aller étape par étape. L’important a toujours été de construire sur la durée. Mais si l’Euroleague nous tombe dessus, on fera face ! », dénote Pierre-Christophe Baguet, maire de Boulogne-Billancourt, dans les colonnes de l’Equipe.\\n\\nCar les salles des deux équipes ne dépassent pas les 3 000 sièges, et leurs budgets, nettement inférieurs à deux des mastodontes de C1, pourraient poser problème. Encore faut-il déjà passer l’obstacle des quarts de finale.\\n\\nLe programme des quarts de finale d’Eurocup :\\nMatch 1 : Monaco – Podgorica (mardi 23 mars, 18 h, RMC Sport 1)\\nMatch 1 : Boulogne-Levallois – Gran Canaria (mardi 23 mars, 20 h, RMC Sport 2)\\nMatch 2 : Podgorica – Monaco (terrain neutre, vendredi 26 mars, 18 h, RMC Sport 1)\\nMatch 2 : Gran Canaria – Boulogne-Levallois (vendredi 26 mars, 20 h, RMC Sport 2)\\nMatch 3 : Si besoin, Monaco – Podgorica (mercredi 31 mars, à définir).\\nMatch 3 : Si besoin, Boulogne-Levallois – Gran Canaria (mercredi 31 mars, à définir).\\n\\nPhoto : Rob Gray (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"7 matchs en 15 jours... Le marathon qui attend le Real Madrid, en déplacement à l’Asvel ce jeudi" }, {"role": "assistant", "content":"Ces prochains jours, le Real Madrid va disputer 7 matchs en seulement 15 jours.\\n\\nEt pas des moindres car, outre le déplacement à Obradoiro ce mardi en Liga Endesa – rencontre qui aurait dû avoir lieu en janvier -, le Real Madrid joue surtout sa survie en Euroleague. Pour rappel, l’équipe de Pablo Laso pointe à la 7e place du classement (17 victoires, 13 défaites) de la compétition mais ne compte qu’un succès d’avance sur le Zenit (8e), Baskonia (9e) et Valence (10e), dont les calendriers respectifs semblent tous trois relativement plus abordables.\\n\\nCar le Real devra d’abord se déplacer à Villeurbanne jeudi (20 h 45), mais aussi recevoir l’Anadolu Efes, assurément l’une des équipes les plus en forme de la compétition (30 mars), et l’Oympiacos (2 avril) – 12e et toujours en lice pour les playoffs – avant un ultime match à l’extérieur chez un autre concurrent direct : Fenerbahce (8 avril). Le tout entrecoupé de rencontres de championnat d’Espagne, alors que la fatigue s’accumule et que le club devra faire sans Sergio Llull, Rudy Fernandez ou encore Anthony Randolph, toujours à l’infirmerie.\\n\\nPhoto : Real Madrid (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B : tout comprendre au ranking" }, {"role": "assistant", "content":"On le sait, la Ligue Nationale de Basket a décidé que, au cas où la saison régulière en Jeep Élite et en Pro B ne pourrait aller à son terme, titres de champion, montées et descentes seraient attribués par l’application d’un ranking. Mais les modalités de cette procédure n’ont pas forcément été bien comprises par tout le monde – il faut avouer qu’elles ne sont pas toujours évidentes... Tentative d’éclaircissement.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa saison régulière de Jeep Élite comme celle de Pro B compte normalement 34 journées. Mais, on ne peut que le déplorer, l’actuelle pandémie a eu des conséquences désastreuses sur le calendrier et rien ne garantit aujourd’hui que ces saisons régulières pourront aller à leur terme, surtout en cas de nouvelle vague de contaminations.\\n\\nPour parer à cette éventualité et, contrairement à la saison dernière, pouvoir attribuer des titres de champion (de Jeep Élite et de Pro B) et décider de montées et de descentes, la LNB a pris le parti, en concertation avec tous les clubs, de mettre en place un ranking qui entrerait en œuvre en cas d’interruption prématurée de la saison.\\n\\nPour tout comprendre de ce ranking, voici ses modalités, expliquées le plus clairement possible :\\n\\nDans quel cas s’appliquerait le ranking ?\\n\\nTout d’abord, il faut se souvenir qu’il y a une différence entre Jeep Élite et Pro B, suivant les décisions prises par le Comité directeur de la LNB : si la saison régulière de chaque division peut aller à sa fin, la Jeep Élite connaîtra, dans la mesure du possible, un « Final 8 » remplaçant les habituels playoffs tandis que la Pro B s’achèvera avec sa dernière journée de saison régulière, le premier étant champion, les deux premiers montant en Jeep Élite et les deux derniers étant relégués en Nationale 1.\\n\\nSi la situation sanitaire ne permet pas d’aller au bout de ces saisons régulières, deux cas de figure peuvent se présenter :\\n\\n– le plus catastrophique serait qu’il n’y ait pas 17 journées (la moitié des matchs de saison régulière, donc) disputées dans leur intégralité. Dans ce cas de figure, le ranking ne s’applique pas, aucun titre n’est décerné, il n’y a ni montées ni descentes – comme à la fin de la saison passée, donc ;\\n\\n– au moins 17 journées COMPLÈTES (tous les matchs de la journée se sont joués, voir ci-dessous) ont pu avoir lieu mais moins de 34, le ranking entre alors en œuvre.\\n\\nÀ NOTER : si la saison régulière de Jeep Élite peut aller à sa fin mais que le Final 8 ne peut avoir lieu, le ranking n’entre pas en œuvre. Le premier de la saison régulière est titré, les deux derniers descendent et les places européennes sont attribuées en fonction du classement.\\n\\nQu’est-ce qu’une journée COMPLÈTE ?\\n\\nIl s’agit tout simplement d’une journée du championnat (la journée 3, par exemple) pour laquelle tous les matchs (9 dans chaque division) ont pu avoir lieu.\\n\\nUn point très important est à noter : ces 17 journées minimum peuvent aussi bien être des journées concernant les matchs aller que des journées concernant les matchs retour. Autrement dit, il n’est pas nécessaire que la phase aller du championnat soit complétée pour que le ranking puisse entrer en œuvre – on pourrait se retrouver avec le cas de 10 journées aller et 8 journées retour complètes, le ranking s’appliquerait.\\n\\nAu jour où ces lignes sont écrites (20 mars), 5 journées de Jeep Élite ont été complétées et 9 de Pro B.\\n\\nComment est calculé le ranking ?\\n\\nLes modalités de calcul du ranking partent d’un principe qui s’applique aux deux divisions, mais avec certaines différences entre Jeep Élite et Pro B.\\n\\nÀ la base, il s’agit de prendre en compte les résultats sportifs obtenus par les clubs lors de quatre saisons : l’actuelle (2020-21) et les trois précédentes (donc de 2017-18 à 2019-20). À chacune de ces saisons est attribuée un « poids » dans le calcul final du ranking : les points acquis lors de la saison en cours pèsent pour 30 % dans le calcul final, les trois précédentes ayant un poids respectif (en remontant dans le temps), de 27 %, 23 % et 20 %.\\n\\nUn premier critère concerne les deux divisions, les points attribués en coupe de France : le vainqueur de cette compétition empoche 6 points, le finaliste 4 et les demi-finalistes 1 (que ces équipes soient de l’une ou l’autre division).\\n\\nEn Pro B, les points sont acquis par une équipe sur une saison sur ce principe :\\n\\n1 point par victoire en saison régulière, les perdants des demi-finales de playoffs prennent 1 point, le finaliste 2 et le vainqueur 4. En sus, le champion de Pro B acquiert 5 points alors que, pour la Leaders Cup, le finaliste prend 1 point et le vainqueur 2.\\n\\nEn Jeep Élite, les modalités sont un peu différentes :\\n\\nChaque équipe marque 5 points de « prime de participation à la Jeep Élite ». Ensuite, chaque victoire en saison régulière vaut 2 points. Les équipes éliminées en quart-de-finale de playoffs remportent 4 points, celles éliminées en demi-finales 8 alors que le finaliste en prend 12 et le vainqueur 16. En ce qui concerne la Leaders Cup, les éliminés des demi-finales gagnent 2 points, le finaliste 4 et le vainqueur 6.\\n\\nÀ NOTER : une équipe cumule les points de ranking obtenus sur les trois dernières saisons et celle en cours quelle que soit la division (Jeep Élite ou Pro B) dans laquelle elle a évolué et évolue encore. Ainsi, une équipe qui aurait fait l’aller-retour entre Pro B et Jeep Élite au cours des quatre saisons prises en compte cumulerait pour son ranking ses points acquis en Jeep Élite comme ceux acquis en Pro B.\\n\\nQue sont les points « Label » ?\\n\\nLa LNB a mis en œuvre il y a quelques années les « Label », un système permettant de récompenser les équipes des deux divisions faisant un bon travail de structuration de leur club. En fonction des résultats obtenus par les clubs en la matière, ils ont pu se voir décernés des Label Or, Label Argent ou Label Bronze.\\n\\nCes Labels entrent en compte dans le ranking à hauteur de 10 %, sur la saison 2020-21. Autrement dit, les Labels retenus sont ceux obtenus par des clubs en 2020 et ils seront inclus dans le capital point des équipes bénéficiaires à hauteur de 10 % du total.\\n\\nComment sont calculés les points Label ?\\n\\nNous vous passerons le détail du calcul de ces points Label, quelque peu complexe. Toujours est-il que, si nous avons bien compris et bien appliqué la formule, une équipe récompensée d’un Label Or pourra ajouter 5,2 points à son total 2020-21, une Label Argent 4,16 points et une Label Bronze 3,12 points.\\n\\nEn somme, cela ne bouleverse pas le classement, mais représente tout de même deux ou trois victoires en Jeep Élite (et bien plus en Pro B).\\n\\nLes clubs récompensés d’un Label sont listés ICI.\\n\\nQui est concerné par le ranking ?\\n\\nUne notion très importante, et pas toujours claire, est à bien prendre en compte : le ranking n’entre en œuvre QUE dans le cas où les critères sportifs, qui prédominent, ne peuvent être appliqués.\\n\\nConcrètement, cela signifie que, dans le cas d’un arrêt du championnat avec 17 à 33 journées complétées, si l’équipe en tête de la compétition ne peut mathématiquement être rejointe par son plus proche poursuivant (par exemple si l’équipe A, première, dispose de 2 victoires de plus que l’équipe B, deuxième, et que 33 journées complètes ont eu lieu), alors cette équipe est championne, quel que soit le classement au ranking de ces deux équipes. De même, si le dernier du classement ne peut mathématiquement dépasser le 16e du classement, il est relégué et ce même si son classement au ranking est meilleur que celui du club qui le précède au classement de la saison régulière.\\n\\nLe ranking n’est mis en application que dans le cas où plusieurs équipes peuvent être mathématiquement concernées (par une montée, une descente, un titre ou une place européenne). Par exemple, si trois équipes A, B et C sont 15e, 16e et 17e du classement avec 1 victoire d’écart entre le 15e et le 17e alors que le championnat est arrêté avec plus de 2 journées incomplètes, c’est le ranking qui détermine le classement de ces trois équipes. Si A figure derrière B et C au ranking, c’est donc A qui descend dans un tel cas de figure. De même, si X et Y sont premiers avec 1 victoire d’écart alors que 3 journées restent incomplètes, c’est la position au ranking de ces deux équipes qui déterminera le champion : si Y est devant X au ranking, c’est Y qui sera champion.\\n\\nÀ l’inverse, il faut bien préciser qu’une équipe qui serait dernière au ranking (ou 17e) mais ayant réalisé une saison 2020-21 qui lui permet mathématiquement d’échapper à la relégation n’est PAS concernée par le ranking. Ainsi, si l’équipe F est 18e au ranking mais achève la saison en cours à la 7e place avec 6 victoires d’avance sur le 17e alors que seules 3 journées sont incomplètes, cette équipe F n’est pas concernée par le ranking, elle conserve sa place dans la division.\\n\\nPar ailleurs, le ranking peut entrer en application pour départager deux équipes ex-aequo : c’est celle qui aura un meilleur ranking qui devancera l’autre.\\n\\nQu’en est-il du cas particulier du Paris Basketball ?\\n\\nÀ l’issue de la saison 2017-18, qu’il a achevé en dernière position de Jeep Élite, le Hyères-Toulon Var (HTV) a disparu du paysage professionnel, cédant ses droits d’inscription LNB au Paris Basketball. Depuis, le club parisien évolue en Pro B. Et, du fait d’avoir racheté ces droits, le Paris Basketball s’est vu attribuer pour son ranking les points acquis par le HTV lors de la sa saison 2017/18 (soit 17 points, comptant à hauteur de 20 % dans le ranking total).\\n\\nPS : si malgré nos efforts, certains points de cet article ne vous semblaient pas clairs, n’hésitez pas à nous laisser vos questions dans les Commentaires, nous ferons de notre mieux pour y répondre au plus vite.\\n\\nTous documents : LNB\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nLa saison régulière de Jeep Élite comme celle de Pro B compte normalement 34 journées. 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Le premier des deux poules accédera en Pro B et il n’y aura pas de descentes. Une mesure évidemment prise par la fédération en raison du contexte sanitaire.\\n\\nActuellement, c’est Rennes (13 victoires, 7 défaites), qui apparaît en tête de la poule A au nombre de points, mais en fait Tours (13-5) possède un meilleur pourcentage de victoires. Et attention à Toulouse qui n’a joué que 17 matches mais qui n’a perdu que 4 fois.\\n\\nDans la poule B, cela se jouera entre Caen (18-2) et Saint-Vallier (16-2). Les Drômois sont en position préférentielle puisqu’ils ont le point-average pour eux suite à leurs deux larges victoires sur le CBC (64-78 et 83-67)." }, {"role": "user", "content":"LFB : Tiffany Clarke, deux ans de plus à La Roche" }, {"role": "assistant", "content":"Qualifiée jusqu’ici de joueuse de Ligue 2, l’Américano-Jamaicaine Tiffany Clarke (1,84m, 30 ans) a parfaitement réussi son examen de passage dans la division supérieure, ce qui a incité La Roche VBC a lui offrir deux saisons de contrat supplémentaires.\\n\\nAprès 18 matches, l’intérieure US tourne à 16,4 points (60% de réussite), 5,4 rebonds pour 17,1 d’évaluation.\\n\\nTiffany Clarke a joué auparavant à Calais, Chartres et Angers.\\n\\n\\n🔴 – Tiffany Clarke prolonge à @larochevendee 2 saisons supplémentaires ! 🚨\\n\\nLa fameuse bonne nouvelle du jour qui était partagée sur la Place Napoléon ! 🤩#BEATIGRESS | @ClarkeNoKent 🐯 pic.twitter.com/nugKKBeRZN\\n\\n— La Roche Vendée Basket Club (@larochevendee) March 22, 2021\\n\\n\\nPhoto: LFB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Reportage sur l’après-basket de Pape Philippe Amagou" }, {"role": "assistant", "content":"Un reportage de France 3 Pays de la Loire sur Pape Philippe Amagou, 36 ans, qui fut champion de France avec Le Mans (2 fois), Nancy et Limoges, et qui a lancé deux magasins de réparation multi-médias dans le centre-ville du Mans. 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C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBien sûr, le championnat lituanien continue à accorder une part importante aux U21, qui lui permet de figurer dans le trio de tête de notre étude. Pourtant, l’analyse des temps de jeu et du rendement de ces jeunes joueurs entraîne une certaine circonspection.\\n\\nTout d’abord parce que, même si la LKL lituanienne reste un terrain d’expression assez exceptionnel pour les U21, le rendement global de ces jeunes joueurs évolue de façon inversement proportionnelle au nombre de jeunes concerné. Que ce soit en comptabilisant tous les joueurs ayant passé au moins une seconde sur le parquet ou en se concentrant sur ceux qui ont un véritable temps de jeu, la LKL progresse (sans pour autant exploser les compteurs, par le fait que le championnat n’implique que 10 équipes, ayant joué entre 16 et 21 matchs au moment de la prise en compte de nos statistiques). Mais, à l’inverse, leur rendement se restreint : les 39 U21 entrés en jeu cette saison (7e total) ont joué en moyenne 10,60 minutes pour 3,73 points et 2,95 d’évaluation (à chaque fois 2e meilleure moyenne de notre étude), contre 4,78 pts et 4,88 d’éval en 12,0 mn la saison passée (28 joueurs) et 3,22 pts pour 3,28 d’éval en 8,55 mn (31 joueurs) il y a deux ans. Quant aux 23 (5e total) ayant eu un vrai temps de jeu cette saison, ils ont généré 5,61 pts et 4,81 d’éval en 14,63 mn (2e pour les points et le temps de jeu, 3e pour l’éval), contre 6,39 pts et 6,59 d’éval en 16,32 mn pour 18 joueurs la saison dernière et 5,73 pts et 5,92 d’éval en 14,36 mn la précédente (14 joueurs).\\n\\nEnsuite, même si ce contingent U21 présente donc un bon rendement – bien qu’en net retrait sur les saisons précédentes –, il le doit en grande partie à la présence d’une forte colonie étrangère. Un phénomène qui prend de l’ampleur : alors qu’en 2018-19, un seul étranger avait passé quelques secondes sur le parquet, trois avaient du temps de jeu la saison passée, dont le MVP de l’époque (le Grec Georgios Kalaitzakis), tandis que, cette saison, 5 jouent longtemps (dont un États-Unien, Efrem Montgomery, embauché par Nevezis comme joueur étranger malgré ses 21 ans – il tourne à 5,1 pts et 3,9 d’éval) et 3 figurent dans notre cinq majeur U21. Des stats qui montrent que la Lituanie s’ouvre sur l’étranger, accueillant des jeunes prometteurs d’un peu partout dans le monde, mais aussi que la filière locale tend un peu se restreindre. Une tendance qui n’est pas sans conséquence, nous le verrons plus loin, en conclusion.\\n\\nAvant de passer au cinq majeur, notons que la LKL se situe dans le haut du panier sur des stats révélatrices : 20 des 23 U21 responsabilisés passent plus de 10 mn/match sur le parquet (2e de l’étude et largement premier au ratio joueurs à plus de 10 mn/joueurs responsabilisés) et 2 plus de 20 mn (5e de l’étude). Ils sont par ailleurs 12 à plus de 5 pts (3e) et 2 à plus de 10 (4e), 10 à plus de 5 d’éval (3e) mais un seul à plus de 10 (5e). Des chiffres on ne peut plus flatteurs.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nGlobalement, le cinq majeur U21 de LKL présente des stats très avantageuses, avec ses 9,94 pts et 9,62 d’éval (4e moyennes de l’étude) en 20,72 mn (5e). Mais, si ces chiffres sont supérieurs à ceux de 2018-19 (8,34 pts et 9,52 d’éval en 18,82 mn), ils sont en retrait par rapport à la saison passée (10,08 pts et 12,30 d’éval en 23,82 mn).\\n\\nEn outre, ce cinq majeur « all around » est marqué par une forte présence étrangère : à côté des deux joueurs lituaniens du Zalgiris Kaunas, Rokas Jokubaitis et Marek Blazevic, on trouve un Allemand, le pivot Ariel Hurkporti, un Grec, Panagiotis Kalaitzakis, et le Français Tom Digbeu, le fils de l’ex-international Alain.\\n\\nNous avons donc décidé d’établir également un cinq majeur 100 % lituanien qui ne manque pas d’un certain panache, même s’il est en retrait des meilleurs U21 étrangers. Ainsi, ces produits locaux valent 7,76 pts et 7,44 d’éval en 15,94 mn, des stats qui placeraient ce cinq majeur en 4e position aux points et à l’éval de notre comparatif (en excluant le cinq majeur « all around » de LKL).\\n\\n5 majeur all aroundJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationPanagiotis Kalaitzakis3NevezisGrèce19992030,314,113,4Ariel Hukporti5NevezisAllemagne2002821,510,69,3Rokas Jokubaitis1ZalgirisLituanie20001619,18,49,9Tom Digbeu3Cbet PrienaiFrance20012118,28,36,6Marek Blazevic5ZalgirisLituanie2001814,58,38,9Moyenne2000,6014,6020,729,949,62\\n\\n5 majeur lituanienJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationRokas Jokubaitis1ZalgirisLituanie20001619,18,49,9Marek Blazevic5ZalgirisLituanie2001814,58,38,9Lukas Uleckas3Rytas VilniusLituanie19991818,08,27,0Domantas Vilys1NevezisLituanie20001918,07,76,4Nojus Mineikis3Neptunas KleipedaLituanie2000910,16,25,0Moyenne2000,0014,0015,947,767,44\\n\\nLa saison passée, seul un Grec, Georgios Kalaitzakis, faisait partie du cinq majeur U21. Il est retourné dans son pays, au Pana, alors qu’Arnas Velicka prenait le chemin de Champagne Basket puis de l’Allemagne. Quant au MVP de 2019-20 Gytis Masiulis et à Tadas Sedekerskis, nés en 1998, ils sont sortis du cadre de cette étude.\\n\\nLes MVP : Panagiotis Kalaitzakis et Rokas Jokubaitis\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=djqjb2leCwE\\n\\nLaissé « orphelin » par son frère jumeau rentré au Panathinaïkos après une seule saison en Lituanie, Panagiotis Kalaitzakis (2,00 m) n’a visiblement pas souffert de la séparation, parvenant même à décrocher un titre de MVP U21 qui s’était refusé à Georgios. Le tout en affichant de beaux progrès au sein d’un club classé 9e (sur 10) de LKL : lui qui générait 9,5 pts et 8,2 d’éval en 24,5 mn a augmenté ses moyennes d’environ 5 unités, devenant un joueur majeur de son équipe. Précis de près (58,1 % à deux-points), le grand ailier doit maintenant progresser de loin (28,5 % à trois-points).\\n\\nDans une équipe en tête du championnat et faisant bonne figure en Euroleague, le meneur Rokas Jokubaitis (1,93 m) progresse de manière régulière, gagnant une bonne unité par rapport à la saison passée sur les points (7,4 l’an dernier) et l’éval (8,8). S’il manque encore d’adresse à trois-points (28,2 %), il est déjà précis à plus courte distance (58,3 % à deux-points) et gère bien l’équipe : 4,3 passes par match. Il est du reste de plus en plus impliqué en Euroleague, dont il a disputé 26 rencontres à raison de 21,1 mn/match pour 6,8 pts, 2,7 passes et 7,4 d’éval. Solide !\\n\\nEn conclusion\\n\\nComparé aux autres grands championnats, la LKL lituanienne reste une valeur (très) sûre, installée sur le podium même si la Belgique lui en a soufflé la deuxième marche. Mais cette stabilité est un trompe-l’œil, le rendement de ces joueurs connaissant une légère baisse alors que les U21 les plus rentables sont pour une bonne part étrangers. Cette chute de régime des jeunes lituaniens se traduit du reste dans les résultats obtenus par les sélections de jeunes : en U20, la dernière médaille (argent) remonte à 2016, en U18 à 2017 (bronze) et en U16 à 2016 également (argent), les trois équipes se classant entre la 5e et la 9e place depuis. Est-ce lié à une tendance de fond ou à un simple creux générationnel ? Seules les prochaines années pourront nous répondre.\\n\\nProchain championnat étudié : la Basketbol Super Ligi turque.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’Esake grecque, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Winner League israélienne, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Serie A italienne, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nBien sûr, le championnat lituanien continue à accorder une part importante aux U21, qui lui permet de figurer dans le trio de tête de notre étude. Pourtant, l’analyse des temps de jeu et du rendement de ces jeunes joueurs entraîne une certaine circonspection.\\n\\nTout d’abord parce que, même si la LKL lituanienne reste un terrain d’expression assez exceptionnel pour les U21, le rendement global de ces jeunes joueurs évolue de façon inversement proportionnelle au nombre de jeunes concerné. Que ce soit en comptabilisant tous les joueurs ayant passé au moins une seconde sur le parquet ou en se concentrant sur ceux qui ont un véritable temps de jeu, la LKL progresse (sans pour autant exploser les compteurs, par le fait que le championnat n’implique que 10 équipes, ayant joué entre 16 et 21 matchs au moment de la prise en compte de nos statistiques). Mais, à l’inverse, leur rendement se restreint :\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Le focus de l’Euroleague sur Moustapha Fall" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot de l’Asvel Moustapha Fall (2,18 m, 29 ans) se livre sur sa première saison en Euroleague.\\n\\nCette semaine, l’Euroleague a réalisé une vidéo sur l’international français de 29 ans, rookie dans la plus grande des compétitions européennes. Compétition dans laquelle il montre toutes ses qualités de scoreur, de contreur mais aussi de rebondeur et de passeur (9,3 points à 68,5 % aux tirs, 5,5 rebonds, 1,9 passe décisive et 4 fautes provoquées pour 14,5 d’évaluation en 22 minutes).\\n\\n« Mous sent le jeu et c’est rare pour un gars de sa taille. Il peut faire tellement de choses, je pense qu’il ne réalise même pas le potentiel qu’il a encore. Il peut shooter, passer, contrer, prendre des rebonds... Tous les big men ne peuvent pas faire tout ce qu’il fait« , détaille David Lighty à son propos.\\n\\nLa vidéo est à voir ci-dessous, et c’est en anglais :\\n\\nPhoto : Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Dino Radja : «ce ne serait pas facile pour Antetokoúnmpo de jouer en Europe»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Croate Dino Radja, 53 ans, a joué comme ailier-fort en Europe et en NBA (Boston Celtics) et il est souvent questionné sur les différences entre les deux styles de jeu. Radja vient d’évoquer le Grec Giannis Antetokoúnmpo et il est tranchant :\\n\\n« Ils ne défendent pas en NBA, alors que quand vous venez en Europe, vous avez cinq joueurs devant vous qui savent ce qu’ils font. Ils ferment les couloirs, ils ne vous laissent pas obtenir de rebonds offensifs. Nous avons joué contre la Grèce dans le tournoi pré-olympique avec Antetokoúnmpo et c’était la tactique. A cette époque, Giannis était déjà un bon joueur, il n’avait pas remporté le MVP, mais il était au top. Ne le laissez pas entrer dans la raquette, bloquez-le, ne le laissez pas prendre le ballon dans la transition. Laissez faire tout le reste. Antetokoúnmpo a marqué 9 points. Ce ne serait pas facile pour lui de jouer en Europe. »\\n\\nA l’appui de l’opinion du Croate, le rendement relativement limité de Antetokoúnmpo à la Coupe du monde 2019 (14,8 points et 8,8 rebonds), alors qu’il venait d’être reconnu comme le meilleur joueur de la ligue américaine. Dino Radja est par ailleurs critique sur la facilité avec laquelle les assists sont délivrées en NBA.\\n\\n« Les statistiques sont devenues un problème de marketing. Aujourd’hui, tout est assist. Votre coéquipier fait un dribble, peut-être deux, nous comptons ça pour des passes décisives « .\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Pro B, 24ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"La semaine passée se déroulait la 24ème journée de Pro B.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nParker Jackson-Cartwright (PG/US/25)\\n\\nSt Quentin\\n\\n45 d’éval (33 pts à 10/14 dont 7/10 à 3 pts, 3 rbds, 11 pds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Parker Jackson-Cartwright\\n\\nSt Quentin\\n\\n45 d’éval\\n\\nSG Michael Oguine\\n\\nSouffelweyersheim\\n\\n22\\n\\nSF Chris-Ebou Ndow\\n\\nDenain\\n\\n23\\n\\nPF Tarekeyi Edogi\\n\\nSt Chamond\\n\\n23\\n\\nC Allan Dokossi\\n\\nFos\\n\\n20\\n\\nB Jamar Diggs\\n\\nFos\\n\\n23\\n\\nMVP européen:\\n\\nTerry Smith (PG/US-Arm/35)\\n\\nNantes\\n\\n25 d’éval (24 pts à 7/13 dont 5/10 à 3 pts, 3 rbds, 5 pds, 3 int, 3 bps)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Terry Smith\\n\\nNantes\\n\\n25 d’éval\\n\\nSG Ilari Seppala\\n\\nAix-Maurienne\\n\\n16\\n\\nSF Chris-Ebou Ndow\\n\\nDenain\\n\\n23\\n\\nPF Jordan Aboudou\\n\\nVichy-Clermont\\n\\n19\\n\\nC Allan Dokossi\\n\\nFos\\n\\n20\\n\\nB Charles-Henri Bronchard\\n\\nVichy-Clermont\\n\\n22\\n\\nMVP français:\\n\\nCharles-Henri Bronchard (PF/38)\\n\\nVichy-Clermont\\n\\n22 d’éval (16 pts à 5/8, 6 rbds, 3 pds)\\n\\nRising Star:\\n\\nIsmael Kamagate (C/Fra/20)\\n\\nParis\\n\\n21 d’éval (14 pts à 7/7, 6 rbds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nParker Jackson-Cartwright\\n\\nSt Quentin\\n\\n33 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nJean-Marc Pansa\\n\\nAntibes\\n\\n14 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nParker Jackson-Cartwright\\n\\nSt Quentin\\n\\n11 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. St Quentin 9-3\\n 2. Quimper\\n 3. Fos 8-3\\n 4. Nancy 9-4\\n 5. Blois 8-4\\n 6. Vichy-Clermont 7-4\\n 7. Denain 8-5\\n 8. Paris 7-5\\n 9. Nantes\\n 10. Evreux 6-5\\n 11. Rouen 5-7\\n 12. Lille 5-8\\n 13. Souffelweyersheim 4-8\\n 14. St Chamond 4-9\\n 15. Aix-Maurienne 3-9\\n 16. Poitiers\\n 17. Antibes\\n 18. Gries-Oberhoffen 2-7\\n\\nPhoto: Parker Jackson-Cartwright (SQBB)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Tonye Jekiri (Vitoria) absent de 6 à 8 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien intérieur de l’ASVEL, le Nigérian Tonye Jekiri (2,12m, 26 ans), aujourd’hui à Vitoria, va être absent de six à huit semaines en raison d’une entorse au genou qui est survenue lors du match de Liga Endesa face à Bilbao.\\n\\nEn 30 matches d’Euroleague, Jekiri a apporté 6 points et 4,3 rebonds. Il ne pourra plus ainsi participer à la saison régulière alors que son équipe (9e avec 16 victoires et 14 défaites) est en bataille pour accéder au top 8 et qu’il lui reste quatre matches au programme.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Antibes : Temidayo Yussuf, nouveau renfort à l’intérieur" }, {"role": "assistant", "content":"Pour faire face à l’indisponibilité de Sadio Doucouré, blessé au genou, les Sharks ont engagé l’intérieur américano-nigérian Temidayo Yussuf en tant que pigiste médical.\\n\\nAlors que Michael Fakuade (ex-Orléans et Châlons-Reims) était attendu sur la Côte d’Azur, les Sharks ont finalement jeté leur dévolu sur Temidayo Yussuf (2,01 m, 24 ans). Meilleur rebondeur et troisième meilleur marqueur du championnat portugais (19,7 points à 55%, 10,0 rebonds et 3,4 passes décisives pour 25,4 d’évaluation en 23 rencontres), c’est un candidat sérieux au titre de MVP de la saison avec le SC Lusitania qui rejoint Antibes jusqu’au 22 avril.\\n\\nFormé à Long Beach State University, l’intérieur est arrivé en Europe cette saison, après un an sans jouer. Finalement, il s’est imposé au Portugal comme un élément incontournable de son équipe, faisant parler son gabarit impressionnant (120 kilos) dans la raquette. Il tentera de relancer Antibes, actuellement 17e de Pro B.\\n\\n« Tem est un joueur puissant et possédant de très bonnes mains. Adroit à l’intérieur, voire même à 3 points, il possède un physique idéal pour la Pro B et le niveau supérieur. Ses statistiques dans une ligue où beaucoup d’intérieurs sont étrangers et expérimentés en attestent », indique le coach des Sharks, Daniel Goethals, par communiqué.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=DJWsx7zT_mY&ab_channel=JCKSports\\n\\nPhoto : Temidayo Yussuf (Long Beach State University)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : Dijon-Orléans et ASVEL-Limoges en demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a effectué, ce matin, le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France masculine.\\n\\nMardi 6 avril 2021 à 20h00*\\nDijon (Jeep® ÉLITE) – Orléans (Jeep® ÉLITE)\\n\\nJeudi 15 avril 2021 à 20h00*\\nLyon-Villeurbanne (Jeep® ÉLITE) – Limoges (Jeep® ÉLITE)\\n\\n*Les horaires peuvent être modifiés à la demande des clubs." }, {"role": "user", "content":"Tony Parker officialise sa liaison avec la joueuse de tennis Alizé Lim" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de l’ASVEL, Tony Parker, a officialisé hier sur Instagram sa liaison avec la joueuse de tennis Alizé Lim. Celle-ci avait été révélée l’été dernier par Nice Matin puis Paris-Match.\\n\\nAncienne étudiante à la Sorbonne, Alizé Lim, 30 ans, est classée 634e joueuse mondiale au classement WTA après être parvenue à la 135e place en août 2014. Elle a été auparavant en couple avec le tennisman Jérémy Chardy et le champion olympique de natation Florent Manaudou. Elle a également été consultante pour France Télévisions.\\n\\nTony Parker est divorcé de l’actrice Eva Longoria et de Axelle Francine avec qui ils ont eu deux enfants.\\n\\nPhoto: Instagram Tony Parker" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : l’Italie ne décolle pas des derniers rangs" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Alessandro Pajola – Virtus Bologne (Photo : Virtus Bologne)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à l’Italie.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl ne fait toujours pas bon être un jeune joueur en Italie. Comme lors des précédentes éditions de notre étude, les U21 de la Lega Basket Serie A figurent en effet parmi les moins bien lotis des grands championnats européens. Pour faire bref, il n’y a guère que la VTB League à faire pire en la matière. Pour le Forza Italia !, on repassera...\\n\\nCette saison, les 15 équipes de la Serie A italienne ont disputé, au moment de l’arrêt de nos statistiques, entre 17 et 18 matchs. Et l’on ne peut pas dire que les U21 se soient bousculés sur les parquets. Certes, le championnat italien a un peu relevé la tête depuis la saison passée, catastrophique à tous les niveaux pour ces jeunes joueurs. Mais ce n’est que pour retrouver, à peu près, le rendement de 2018-19, qui n’avait vraiment rien de brillant : la Serie A était classée 9e des 10 grands championnats étudiés.\\n\\nCertes, cette saison, ils ont été 39 à avoir le droit d’entrer au moins une fois sur le terrain. Et ils sont en moyenne très jeunes, nés aux alentours de la mi-2001 (aucun championnat n’aligne un contingent moins âgé). Mais ils ne font que des apparitions fugaces, avec un rendement famélique : 1,39 point et 0,83 d’éval pour 5,80 minutes, soit les 11e moyennes de points et d’éval (sur 11...) et le 9e temps de jeu moyen. En 2019-20, ils étaient 28 à avoir joué, pour 1,34 pt et 0,79 d’éval en 5,78 mn. Et 38 en 2018-19 pour 1,17 pt et 1,16 d’éval en 4,52 mn. On le voit, il y a un léger mieux sur le nombre de joueurs alignés, mais leur rendement laisse toujours autant à désirer.\\n\\nLe constat est à peu près le même si l’on se focalise sur les U21 ayant eu un minimum de temps de jeu (5 mn/match sur la moitié des matchs disputés par l’équipe, sauf cas de blessure). Leur nombre a un peu augmenté : 11 cette saison contre 7 et 8 les deux précédentes. Mais ils passent beaucoup moins de temps sur le parquet – 11,80 mn contre 15,01 mn et 13,81 mn les années précédentes – et leur rendement s’en ressent douloureusement : 3,49 pts et 2,99 d’éval (9e et 10e moyennes de notre étude, sur 11...) contre 4,31 pts et 3,96 d’éval la saison passée et 3,80 pts et 3,65 d’éval la précédente. Pas brillant.\\n\\nEt ça ne s’arrange pas lorsque l’on regarde les stats plus en détail. Ils ne sont que 6 (10e total) à avoir eu droit à plus de 10 mn/match, aucun n’atteignant la barre des 20 mn (personne ne fait pire en Europe). Pas mieux pour les points marqués : 4 au dessus de 5 pts/match (7e total), pas un seul à plus de 10 pts (11e). Ni pour l’éval : 2 à plus de 5 (10e) et pas un seul à plus de 10 (10e ex-aequo). Le plus inquiétant pour la formation italienne, c’est que sur les 11 U21 qui jouent, 4 sont étrangers, deux d’entre-eux figurant même dans le cinq majeur. Seule petite compensation : la Serie A a vu un joueur né en 2003 et un autre de 2002 avoir droit à du temps de jeu. D’autres pays font mieux, mais c’est encourageant, du moins si la tendance se confirme ces prochaines saisons.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nLorsqu’on s’intéresse aux statistiques du cinq majeur U21 de Serie A, le constat n’est pas plus enthousiasmant que ce que nous avons déjà vu. Il passe peu de temps sur le parquet – 14,52 mn (10e moyenne) – et se montre peu productif : 5,44 pts et 5,48 d’éval, 10e moyenne dans les deux cas. C’est un peu mieux que les saisons précédentes avec pourtant un temps de jeu réduit (4,86 pts et 4,94 d’éval en 17,14 mn en 2019-20, 5,42 pts et 5,38 d’éval en 16,46 mn en 2018-19), mais cela reste faible.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationGabriele Procida2CantuItalie20021815,06,76,6Alessandro Pajola1Virtus BologneItalie19991018,26,09,4Henri Drell3PesaroEstonie20001415,45,64,1Giordano Bortolani2BresciaItalie20001610,75,54,1Jordan Bayehe4CantuCameroun19991813,33,43,2Moyenne2000,0015,2014,525,445,48\\n\\nPar rapport au cinq majeur U21 de la saison passée, deux joueurs sont toujours présents, Henri Drell (4,8 pts et 3,5 d’éval en 17,1 mn l’année dernière), en légère progression, et Alessandro Pajola, co-MVP cette saison. Pour le reste, deux joueurs ont été atteints par la limite d’âge – Andrea Mezzanotte et Carl Wheatle – alors que Paul Eboua (2000) est parti tenter sa chance aux États-Unis, figurant dans le roster des Long Island Nets, la « filiale » de G-League de Brooklyn. Pour sa part, Giordano Bortolani effectue sa première vraie saison en Serie A après deux saisons dans les divisions italiennes inférieures, parcours également effectué par Jordan Bayehe.\\n\\nLes MVP : Gabriele Procida et Alessandro Pajola\\n\\nNous avons décidé de nommer deux co-MVP, l’un affichant une meilleure éval mais le second se distinguant par son jeune âge.\\n\\nGabriele Procida est un arrière-ailier de 2,00 m qui évolue chez l’avant-dernier du classement italien, mais il y progresse à grande vitesse. La saison dernière, il n’avait droit qu’à 4,0 mn par match, pour 1,3 pt et 0,1 d’éval. En outre, il se montre plutôt adroit : 58,5 % à deux-points, 45,3 % à trois-points. Ce qui rend encore plus étonnant son mauvais pourcentage aux lancers francs : 56,5 %. Mais en jouant dans un environnement favorable (Cantu fait jouer pas mal de jeunes, dont Jordan Bayehe), il ne peut que progresser.\\n\\nPour sa part, Alessandro Pajola (1,94 m) évolue dans un tout autre contexte, celui d’une très forte écurie d’Eurocup, la Virtus Bologne, donc aux côtés de monstres sacrés tels que Milos Teodosic et Marco Belinelli. Et le jeune meneur sait tirer parti des conseils du maestro Teodosic. Il fait ainsi preuve d’une belle adresse (60,7 % à deux-points, 41,2 % à trois-points) et délivre 2,9 passes par match. Une belle progression par rapport à la saison passée, où il valait 3,4 pts et 4,6 d’éval en 12,6 mn. En Eurocup, ses stats sont logiquement un peu en retrait : 3,3 pts (66,7 % à deux-points mais 10,0 % à trois-points) et 2,7 passes pour 6,0 d’éval. Mais réussir à gagner du temps de jeu dans une équipe aussi complète que la Virtus Bologne montre bien le potentiel du joueur.\\n\\nEn conclusion\\n\\nMême en cherchant bien, difficile de trouver des points positifs à la Serie A en ce qui concerne les U21. Ils sont peu nombreux, jouent peu, ont un rendement très médiocre. Et les résultats des équipes de jeunes lors des derniers Euros démontrent que la formation passe vraiment au second plan en Italie : en U20, le dernier bon résultat de la Squadra Azzura remonte à 2016 (5e), à 2017 en U18 (5e) et à 2019 en U16 (3e). Ce dernier résultat peut laisser entrevoir une éclaircie dans le ciel bien sombre de la péninsule italienne, mais cela demande à être confirmé dans les saisons à venir, le présent n’ayant rien de bien positif à offrir.\\n\\nProchain championnat étudié : la Betsafe LKL lituanienne.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’Esake grecque, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Winner League israélienne, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nIl ne fait toujours pas bon être un jeune joueur en Italie. Comme lors des précédentes éditions de notre étude, les U21 de la Lega Basket Serie A figurent en effet parmi les moins bien lotis des grands championnats européens. 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Et ce n’est sans doute pas une tendinite, » a commenté après le match le coach du CSP, Mehdy Mary, propos rapportés par Le Populaire.\\n\\nSi la gravité de la blessure est confirmée, le staff du CSP va se mettre à la recherche d’un pigiste médical qui doit être recruté en Europe en raison des mesures de sécurité liées à la pandémie.\\n\\nLe coach de Gravelines, Serge Crevecoeur en a profité pour faire une tirade à propos du calendrier extrêmement dense à venir:\\n\\n« Je pense que ça va péter de partout. Certains devront assumer un calendrier comme ça. J’ai très peur pour l’intégrité de l’être humain et la poursuite de son métier. Après, pour moi, il n’y a plus d’équité depuis très longtemps. »\\n\\n\\n📄🏀 Le Limoges CSP se qualifie pour les demi-finales de la Coupe de France mais redoute le pire pour Romeo Travis.\\n\\nLe club limougeaud va regarder le marché des intérieurs.\\n\\n📸 @ThierrySallaudhttps://t.co/YZperJsQ1G pic.twitter.com/flZgs03bna\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) March 21, 2021\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Boulogne-Levallois et Monaco face à leur destin en quart-de-finale d’Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Nouvelle semaine européenne pour nos équipes françaises. Boulogne-Levallois sera opposé à Gran Canaria et Monaco jouera Podgorica, dans une double confrontation directe (mardi et vendredi) dans le cadre des quarts de finale d’Eurocup, le tout en direct sur RMC Sport. Mardi, Strasbourg accueille les Grecs de l’AEK Athènes sur Canal+Sport pour un match de la dernière chance dans ces quarts de finale de Basketball Champions League. L’Asvel quant à elle, retrouvera les parquets d’Euroleague et recevra le Real Madrid de Fabien Causeur, jeudi soir à 20h45.\\n\\nPour ce qui est de la Pro B, Poitiers recevra Antibes vendredi soir, en direct sur France 3 Nouvelle Aquitaine. En Jeep Elite, Cholet jouera Orléans samedi à 17h sur Sport en France et Boulazac recevra Limoges à 18h sur France 3 Nouvelle Aquitaine.\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend que les matchs de Jeep Élite et de Pro B diffusés sur les chaînes de télévision de L’Équipe et de Sport en France (ainsi que des chaînes régionales de France 3). Tous les autres matchs de Jeep Élite et de Pro B sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nMardi 23 mars :\\n\\n18h00 – Monaco/Podgorica – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n20h00 – Boulogne-Levallois/Gran Canaria – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n20h30 – Strasbourg/AEK Athènes – BCL – Canal+Sport\\n\\nJeudi 25 mars :\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Étoile Rouge de Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 3\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n20h45 – ASVEL/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Valence/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport Live 4\\n\\nVendredi 26 mars :\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Zenit Saint Petersbourg – Euroleague – RMC Sport live 3\\n\\n18h00 – Poitiers/Antibes – Pro B – France 3 Nouvelle Aquitaine (*)\\n\\n18h00 – Podgorica/Monaco – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Zalgiris Kaunas/Maccabi Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 4\\n\\n19h00 – Vitoria/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Olympiakos/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport Live 3\\n\\n20h00 – Gran Canaria/Boulogne-Levallois – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Barcelone/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport Live 4\\n\\nSamedi 27 mars :\\n\\n17h00 – Cholet/Orléans – Jeep Elite – Sport En France\\n\\n18h00 – Boulazac/Limoges – Jeep Elite – France 3 Nouvelle Aquitaine(*)\\n\\n(*) France 3 Nouvelle Aquitaine est accessible, selon votre opérateur Internet pour la télévision par Internet, sur le numéro suivant : Free : 326, Orange : 339, Bouygues : 337, SFR/Numericable : 455, Fransat : 325\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 30ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait la 30ème journée de l’Euroleague.\\n\\nTout d’abord, le match de l’ASVEL au Maccabi Tel-Aviv a été reporté au 4 avril.\\n\\nC’était une journée capitale pour la suite de la saison puisque les six premiers s’affrontaient.\\n\\nLe match au sommet opposait l’AX Armani Exchange Milano au FC Barcelona, soient deux des trois premiers. Le club italien n’a mené au score qu’en tout et pour tout trois minutes lors de cette rencontre. Les Catalans ont remporté tous les quarts et limité leur hôte à 56 points marqués. Ils remportent ainsi une belle et importante victoire 72-56. Leur leader a été son intérieur star Nikola Mirotic, auteur de 22 d’évaluation en 23 minutes. Il a été bien servi par son meneur Nick Calathes. Avec 11 passes décisives, il est le meilleur passeur de la journée pour la huitième fois de la saison. Milano descend à la quatrième place suite à cette défaite.\\n\\nLe Bayern Munich, cinquième, recevait le deuxième, l’Anadolu Efes. Le club stambouliote remporte les deux premiers quarts et mène de 9 points à la pause. L’écart est monté jusqu’à 15 points. Au retour des vestiaires, la dynamique s’inverse et le club bavarois revient petit à petit. Il finit par reprendre l’avantage à la 37ème minute. Les deux équipes rentrent dans la dernière minute à égalité. Vasilije Micic donne l’avantage à son équipe d’un point à 11 secondes du terme mais fait faute sur Vladimir Lucic dans la foulée. L’extérieur serbe va rentrer les deux lancers et donner la victoire au Bayern 80-79. L’équipe d’Andrea Trinchieri a été emmenée par un duo composé de Jalen Reynolds et de Vladimir Lucic, et auteur d’une évaluation cumulée de 41. Le second est le meilleur arrière européen de la semaine. L’Anadolu Efes descend à la troisième place et est le grand perdant de la semaine.\\n\\nLe CSKA Moscou, quatrième, se déplaçait dans la capitale espagnole pour y affronter le Real. Le club moscovite enregistrait le retour de Janis Strelnieks pour l’occasion mais perdait Darrun Hilliard. Contre toute attente, le club russe remporte les deux premiers quarts et mène de 14 points à la mi-temps. Dans le troisième quart, le Real revient à sept points. Mais le CSKA gère le dernier quart et l’emporte finalement 96-89. Il n’a perdu que 6 ballons dans toute la rencontre. L’équipe de Dimitris Itoudis a été portée par le trio Will Clyburn-Johannes Voigtmann-Mike James qui a cumulé une évaluation de 75. Le premier est le Meilleur Sixième Homme de la semaine alors que le second en est le meilleur pivot européen. Du côté madrilène, Walter Tavares, auteur d’un double-double, est le meilleur pivot de la journée et Jaycee Carroll en est le meilleur Sixième Homme européen. Le pivot cap-verdien est également le meilleur rebondeur avec 13 unités et ce, pour la sixième fois de la saison. Le CSKA Moscou prend la deuxième place et est le grand vainqueur du jour.\\n\\nLe Fenerbahce, septième, recevait le Zalgiris Kaunas. Le club turc récupérait Marko Guduric et Alex Perez mais perdait Edgaras Ulanovas. Il n’y a eu aucun suspens dans cette rencontre et le club stambouliote a remporté les quatre quarts. Il s’impose largement 84-61. L’équipe d’Igor Kokoskov a réussi un joli 10/18 à 3-points et a dominé son adversaire dans le domaine du rebond (39 à 25). Elle a été emmenée par le duo Nando De Colo-Jan Vesely, auteur d’une évaluation cumulée de 55. Le premier est le MVP français pour la onzième fois de la saison ainsi que le meilleur meneur européen de la journée. De plus, Tarik Biberovic a profité de l’absence d’Ulanovas et a mis à profit ses 15 minutes de temps de jeu pour obtenir le titre de Rising Star de la semaine. Fenerbahce remonte à la sixième place grâce à cette victoire.\\n\\nLe Zenit St Petersbourg, huitième, recevait Baskonia devant 2 553 spectateurs. Après un premier quart assez équilibré, le club russe remporte le deuxième quart de 16 points puis le troisième quart. A l’issue des 35 premières minutes, le Zenit mène de 14 points. C’est à ce moment que tout s’écroule pour lui. Le club basque lui inflige alors un 19-0 en 4 minutes et 30 secondes et réussit l’exploit de s’imposer 79-75. L’équipe de Dusko Ivanovic a dominé dans le secteur des rebonds (38 à 30). Son leader a été Alec Peters. Ayant démarré la rencontre au poste d’ailier, il intègre le meilleur Cinq de la semaine. Cette victoire permet à Baskonia de revenir dans la course à la qualification en Play-Offs.\\n\\nValencia se déplaçait au Khimki Moscou. Le club espagnol déplorait l’absence de son pivot monténégrin Bojan Dubljevic. Il prend d’emblée les commandes du match et mène de 10 points au bout de 10 minutes. Le club de la banlieue moscovite ne mènera jamais et l’écart monte jusqu’à 17 points. Au final, Valencia s’impose 77-68. L’équipe de Jaume Ponsarnau a été emmenée par son secteur intérieur et notamment le duo Mike Tobey-Derrick Williams. Ce résultat permet à Valencia revenir dans la bataille pour le Top 8.\\n\\nL’Alba Berlin recevait l’Olympiacos. Le club de la capitale allemande récupérait pour l’occasion Jayson Granger. Malgré cela, l’Alba remporte les deux premiers quarts et mène de cinq points à la pause. Mais le club du Pirée rattrape son retard dans le troisième quart puis prend l’avantage dans le dernier. L’Olympiacos gagne le match 84-80. Son leader a été son intérieur Sasha Vezenkov. Avec 31 points et notamment un superbe 6/7 à 3 points, il est le meilleur marqueur de la semaine. En ajoutant 10 rebonds, il récolte une évaluation de 41 et est le MVP de la journée.\\n\\nEnfin, dans un duel de mal classés, l’Etoile Rouge Belgrade se déplaçait à Athènes pour y affronter le Panathinaikos. Dejan Davidovac manquait à l’appel du côté serbe. Au terme d’une première mi-temps équilibrée, les deux équipes se neutralisent. L’Etoile Rouge remporte les deux quarts suivants et prend définitivement le contrôle de la partie à partir de la 29ème minute. Il finit par s’imposer 86-82. Le principal artisan de cette victoire est l’Américain Jordan Loyd. Avec 27 points, il est le meilleur arrière de la semaine. Du côté grec, le duo Howard Sant-Roos-Ioannis Papapetrou s’est mis en valeur. Le premier, qui a débuté la rencontre au poste de meneur, intègre le meilleur Cinq de la semaine. Le second en est le meilleur ailier européen.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de l’Anadolu Efes et de Milano.\\n\\nPour la première place, le Barca reste hors de portée. Les 6 premiers sont encore concernés par cette place. Le Real Madrid et le Zenit ne sont plus en course.\\n\\nPour la seconde place, le CSKA Moscou, l’Anadolu Efes, Milano et le Bayern Munich sont à la lutte. Les 11 premiers sont concernés par cette lutte.\\n\\nPour le Top 4, Fenerbahce vient s’ajouter aux équipes précédentes pour la bataille.\\n\\nPour terminer, le Real, le Zenit, Baskonia et Valencia sont à la lutte directe pour le Top 8. Les 15 premiers peuvent encore y prétendre. L’Alba Berlin n’en fait plus partie. Le Barca est le seul à avoir assuré sa place.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nSasha Vezenkov (PF/Chy-Bul/25)\\n\\nOlympiacos\\n\\n41 d’éval (31 pts à 10/16 dont 6/7 à 3 pts, 5/5 aux LF, 10 rbds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Howard Sant-Roos\\n\\nPanathinaikos\\n\\n26 d’éval\\n\\nSG Jordan Loyd\\n\\nEtoile Rouge Belgrade\\n\\n30\\n\\nSF Alec Peters\\n\\nBaskonia\\n\\n22\\n\\nPF Sasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n41\\n\\nC Walter Tavares\\n\\nReal Madrid\\n\\n31\\n\\nB Will Clyburn\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n30\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n23 d’éval\\n\\nSG Vladimir Lucic\\n\\nBayern Munich\\n\\n19\\n\\nSF Ioannis Papapetrou\\n\\nPanathinaikos\\n\\n20\\n\\nPF Sasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n41\\n\\nC Johannes Voigtmann\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n24\\n\\nB Jaycee Carroll\\n\\nReal Madrid\\n\\n18\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n23 d’éval (16 pts à 5/7 dont 3/4 à 3 pts, 1 rbd, 6 pds, 3 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nTarik Biberovic (SF/Bos-Tur/20)\\n\\nFenerbahce\\n\\n7 d’éval (8 pts à 3/5 dont 2/2 à 3 pts, 2 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nSasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n31 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nWalter Tavares\\n\\nReal Madrid\\n\\n13 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nNick Calathes\\n\\nBarcelona\\n\\n11 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 22-8\\n 2. CSKA Moscou 19-10\\n 3. Anadolu Efes 19-11\\n 4. Milano\\n 5. Bayern Munich\\n 6. Fenerbahce 18-12\\n 7. Real Madrid 17-13\\n 8. Zenit St Petersburg 16-13\\n 9. Baskonia 16-14\\n 10. Valencia\\n 11. Zalgiris Kaunas 15-15\\n 12. Olympiacos 14-16\\n 13. ASVEL 12-17\\n 14. Maccabi Tel-Aviv 11-17\\n 15. Panathinaikos 10-18\\n 16. Alba Berlin 11-19\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 9-21\\n 18. Khimki Moscou 3-26\\n\\nPhoto: Sasha Vezenkov (Olympiakos, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Derrick Gordon : «Quand je serai le premier joueur gay d’Euroleague, ça fera parler»" }, {"role": "assistant", "content":"Premier joueur de l’histoire de la NCAA à assumer publiquement son homosexualité, Derrick Gordon, actuellement à l’Apollon Limassol (Chypre), se dévoile dans un entretien à La Gazzetta.\\n\\nEn avril 2014, Derrick Gordon (1,91 m, 29 ans) est devenu le premier joueur universitaire à faire son coming-out. Une décision assumée et respectée sur les terrains, jusqu’en décembre dernier, où l’arrière a subi les insultes de l’un de ses adversaires.\\n\\n« Ce joueur a beaucoup parlé, tout au long du match, et j’ai répondu. Il y a eu un trashtalk, ce qui est courant dans le basket. Je n’ai aucun problème avec ça... jusqu’au moment où je suis tombé au sol et il m’a traité de « tapette ». Je lui ai répondu « qu’est-ce que tu as dit ? », et il l’a répété... Ce fut un gros choc pour moi. Personne dans ma vie ne m’avait jamais dit ça, en face-à-face. Ça m’a beaucoup surpris. Je ne pouvais pas croire ce que j’avais entendu. J’espérais qu’il dise autre chose, mais finalement non...«\\n\\nL’Américain avait ensuite écrit sur l’incident sur ses réseaux sociaux, ce qu’il referait à nouveau, si nécessaire, pour faire passer son message. Derrick Gordon espère devenir le premier joueur ouvertement gay à évoluer en Euroleague.\\n\\n« Je rêve de pouvoir évoluer dans une équipe du top 5 d’Euroleague, d’écouter l’hymne de la compétition et de me tenir debout en tant que premier athlète homosexuel de la compétition. Ce sera un grand moment pour moi quand ça arrivera. Je sais que la route est encore longue et c’est pourquoi je suis heureux de faire ce que je fais. Il y aura des moments, quand j’atteindrai le niveau de l’Eurocup ou de l’Euroleague, où je devrai jouer en Serbie ou en Russie. J’attends de tels moments avec impatience. Quand ce jour viendra et quand je serai le premier joueur gay d’Euroleague, l’histoire s’écrira, ça fera parler. Ce sera un pas en avant pour beaucoup. »" }, {"role": "user", "content":"Russie : Plus de 5 000 spectateurs autorisés au Zenit Saint-Petersbourg" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que partout en Europe, les matches se tiennent à huis clos, la Russie fait exception et le Zenit Saint-Petersbourg va même pouvoir augmenter les affluences à la Sibur Arena.\\n\\nLes autorités locales viennent de donner l’autorisation au club d’ouvrir au public 75% de la salle dont la capacité est un peu supérieure à 7 000 places. Ce sont donc plus de 5 000 spectateurs qui pourront assister aux matches d’Euroleague et de VTB League.\\n\\nLe Zenit doit notamment recevoir l’ASVEL le 2 avril.\\n\\nPhoto: Arturas Gudaitis (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : Limoges qualifié pour les demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, en quart-de-finale, le Limoges CSP a battu le BCM Gravelines (72-65) et rejoint ainsi l’ASVEL, Orléans et Dijon en demi-finale de la Coupe de France.\\n\\nHugo Invernizzi a été le plus performant des joueurs du CSP avec 16 points, 8 rebonds, et 3 passes pour 21 d’évaluation.\\n\\nLe tirage au sort des demi-finales aura lieu demain au siège de la fédération à Paris.\\n\\nLimoges (Jeep Elite) – Gravelines-Dunkerque (Jeep Elite) : 72-65\\n" }, {"role": "user", "content":"Le clip de la campagne»No Racism» du Limoges CSP" }, {"role": "assistant", "content":"À l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, le Limoges CSP présente le clip de la campagne #NoRacism : « Sur le terrain comme dans la rue, unis tous ensemble. »\\n\\n🎙 Musique : Manu Key 🎥 Réalisation : Inside City www.insidecity.com" }, {"role": "user", "content":"Lassi Tuovi (coach Strasbourg) complimente Dijon : «C’est une machine!»" }, {"role": "assistant", "content":"En deuxième mi-temps, la JDA Dijon n’a pas fait de quartiers face à la SIG Strasbourg (49-27) et s’est au final largement imposée (83-63) et ainsi qualifiée pour les demi-finales de la Coupe de France. Après le match, le coach de la SIG, Lassi Tuovi a été très louangeur pour l’équipe de Laurent Legname :\\n\\n« Avant tout je tiens à féliciter Dijon pour leur qualification pour le top 4 de cette Coupe de France,» peut-on lire sur le site de la SIG. « Je pense que tout le monde l’a vu, ils l’ont mérité. La manière dont ils ont joué et surtout en deuxième mi-temps, était impressionnante. Ils ont montré une nouvelle fois qu’ils étaient une des meilleures équipes et une des favorites pour le championnat. Comme pour Bonzie à Athènes qui n’était pas à 100%, l’histoire s’est répétée ce soir avec deux autres joueurs. Nous avons un gros match mardi donc nous ne pouvons pas prendre de risques. Malheureusement Ike et Jaromir n’ont pas pu jouer aujourd’hui mais j’espère les avoir mardi.\\n\\nA la mi-temps nous avons 12 passes pour 9 pertes de balles. Si tu as peur de jouer contre Dijon, tu ne peux pas jouer. Il faut être prêt à se faire des passes et si tu perds la balle, 9 en l’occurrence, c’est beaucoup mais on a essayé. En deuxième mi-temps, 13 pertes de balles mais seulement 3 passes...ça veut tout dire ! Notre énergie et notre confiance collectif ont chuté, mais ça montre aussi à quel point ils ont su détruire notre jeu. Ils ont fait un très bon boulot et maintenant c’est à nous d’analyser cette défaite pour en tirer les leçons. Je suis impatient d’analyser ce match pour leur proposer une réponse samedi prochain lors de leur venue en Jeep ELITE.\\n\\nIls avaient également des blessés. Donc, l’impact des absents n’est pas aussi important. Mais la manière dont ils ont joué : c’est une machine ! Même quand nous étions bons, je n’ai jamais vu chez eux de la frustration ou de la panique. Ils ont su appuyer sur les pédales pour continuer à avancer ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Interview Nicolas Chapart : « Maintenant que la FIBA est sur Twitch, on y est pour rester »" }, {"role": "assistant", "content":"Le 25 février dernier, la Fédération internationale de basket (FIBA) a pris un nouveau virage numérique en annonçant une collaboration pluri-annuelle avec la plateforme de streaming Twitch. L’accord prévoit 600 heures de direct et en accès gratuit par an, avec notamment la diffusion de l’Euroleague féminine, de compétitions de 3×3 et de tournois de jeunes. Depuis début mars, la FIBA diffuse déjà en France sur Twitch les matches de Strasbourg en playoffs de BCL, commentés par la First Team. Nicolas Chapart, responsable digital de la FIBA, décline les tenants et aboutissants de ce nouveau partenariat.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCela fait plusieurs années que la FIBA diffuse des matches en direct sur les réseaux sociaux, notamment sur YouTube ou Facebook. Quelles sont les raisons de ce choix de se lancer à cœur ouvert dans le marché du numérique et du digital ?\\nL’ADN de la FIBA, c’est d’organiser des événements. Chaque année, on organise une centaine de compétitions de basket à travers le monde. Une minorité de ces 100 événements sont dits « premium » : la Coupe du Monde, l’EuroBasket, l’AmeriCup... Pour toutes ces compétitions à la demande forte, le système de distribution se fait dans un schéma traditionnel avec les diffuseurs. Au-delà de ces événements, il y a la partie cachée de l’iceberg, c’est-à-dire toutes les compétitions de deuxième niveau qui, pendant de longues années, étaient jouées mais n’étaient pas montrées. Et, avant l’ère de YouTube et de Facebook où tout s’est accéléré ces dernières années, c’était assez compliqué d’investir de l’argent pour essayer de distribuer via des broadcasteurs traditionnels, ça nous coûtait cher et ça ne nous rapportait pas grand-chose. On a eu une opportunité avec l’évolution des plateformes digitales : on a réfléchi à comment mettre à disposition tout le reste de ces compétitions, qui trouveraient leur public, et ce à moindre coût. C’est ce qu’on a fait et on a vu que ça prenait. C’est comme cela qu’on arrive aujourd’hui à diffuser 3 500 matchs gratuitement sur YouTube, Facebook et maintenant Twitch, toujours dans le but de démocratiser le sport.\\n\\nDepuis plusieurs mois, de nombreuses personnalités se servent de Twitch pour communiquer avec les jeunes, dernièrement Jean Castex ou Emmanuel Macron. Est-ce qu’investir cette plateforme, c’est un moyen de rajeunir votre audience ?\\nQue ce soit YouTube ou Facebook, ça fait un peu bizarre de dire ça, mais ce sont déjà des plateformes un peu plus traditionnelles, même si elles ne sont pas si vieilles que ça, avec leur propre style de consommation. Disons que le public de ces plateformes commence déjà à être un peu plus vieux et plus passif que le public de Twitch, qui est une plateforme avec une audience relativement jeune, et où le public est plus dans l’interaction, la discussion, l’affinité avec les streamers ou commentateurs. L’idée de ce partenariat, c’est que Twitch nous donne les moyens d’essayer de produire des contenus à partir de nos matchs « live » et rendre l’expérience plus interactive afin de toucher une audience plus jeune. Donc il y a deux approches : parler à des fans plus jeunes et créer une communauté basket sur Twitch, mais aussi faire découvrir nos projets, typiquement comme la BCL, sous un autre angle que la diffusion télévisée traditionnelle.\\n\\n« On a choisi Erwan Abautret et Thomas Dufant, de la First Team, car ils ont déjà une crédibilité en France et ils apportent leur style à nos compétitions, quelque chose d’organique et d’authentique à leur univers »\\n\\nEst-ce que c’est aussi une opportunité d’intéresser un public de basket qui s’intéresse à d’autres compétitions, comme la NBA, mais pas forcément au basket international ?\\nOui, ça fait effectivement partie de l’enjeu. Mais c’est surtout pour rendre nos compétitions plus visibles, pour créer cette connexion, et aussi le fait d’utiliser des personnalités, déjà existantes ou grandissantes, qui vont clairement rafraichir l’image de la FIBA et de ses compétitions. Si on prend l’exemple de la BCL, on a choisi Erwan Abautret et Thomas Dufant, de la First Team, (NDLR : pour les commentaires) car ils ont déjà une crédibilité en France et ils apportent leur style à nos compétitions, quelque chose d’organique et d’authentique à leur univers. Ça nous permet de faire découvrir nos produits sous d’autres angles, avec des personnes qui ont une connaissance du basket et qui peuvent apporter une touche plus drôle, plus fine et surtout plus locale. Car jusqu’à présent, tout ce qu’on diffusait était en anglais donc il pouvait y avoir une barrière pour certains de nos fans. Alors qu’ici, on va travailler dans le langage des audiences qu’on cherche à cibler, ce qui sera normalement beaucoup plus authentique.\\n\\nLa plateforme Twitch s’est démocratisée ces dernières années mais tout le monde n’est pas forcément avisé sur son fonctionnement. Comment ça marche ?\\nC’est une plateforme libre d’accès sur laquelle on peut se connecter librement ou en tant qu’utilisateur, comme YouTube. La grosse différence avec YouTube, c’est qu’il s’agit d’une plateforme faite pour du live : les gens viennent pour voir du direct. Ce qui fonctionne vraiment sur Twitch, et c’est là où on a un challenge, c’est qu’il s’agit d’un écosystème où les individus sont très forts : ce sont des chaînes qui vivent autour d’une personnalité, surtout dans le gaming, et c’est sur ça que se construisent les communautés, et comme cela que les chaînes se rémunèrent. La communauté peut par exemple rémunérer le streamer avec des petits pourboires pour les supporter. C’est le business model de Twitch et ce n’est pas forcément celui qu’on veut développer à la FIBA, sachant que nous ne sommes pas une personne physique. Mais il y a vraiment cet aspect de communauté qui est très important.\\n\\nTWITCH, QU’EST-CE QUE C’EST ?Twitch est une plateforme qui permet aux utilisateurs de regarder des vidéos en streaming et en direct sur n’importe quel support (ordinateur, smartphone, tablette). La retransmission en direct comprend traditionnellement un commentaire audio de la personnalité qui diffuse la vidéo sur sa chaîne, appelé généralement « streamer », et qui a la possibilité d’interagir avec sa communauté, notamment via un chat. Originellement utilisée pour du jeu vidéo, cette plateforme s’est diversifiée pour diffuser toutes sortes d’autres contenus : dans le cas de la chaîne de la FIBA, des matches et des contenus de basket, à voir ou revoir. Créé en 2011, Twitch est la propriété d’Amazon depuis 2014.\\n\\nVous avez débuté la diffusion début mars avec les playoffs de BCL en France, bientôt suivis de compétitions de 3×3, de l’Euroleague féminine et de tournois de jeunes...\\nCes compétitions continueront d’être diffusées sur toutes les plateformes. Simplement, avec Twitch, qui nous donne les moyens de créer de nouveaux formats, nous allons essayer de construire une expérience qui sera différente de ce que les fans peuvent voir pour une même compétition sur un autre réseau. On n’a pas encore défini l’ensemble des formats de diffusion mais on veut créer quelque chose d’authentique. Parce qu’on veut créer cette communauté sur Twitch, on se doit de trouver des façons de diffuser et de présenter ces compétitions qui répondront aux utilisateurs de Twitch, et ce dans une dizaine de pays, dont la France. Le but, c’est de travailler avec des personnes qui parlent à leur sauce de basket FIBA. On ne va pas forcément essayer de leur dicter une façon de faire, on veut travailler ensemble pour qu’eux, natifs de Twitch, viennent avec des bonnes idées de formats pour que les gens soient heureux de venir et de s’engager pour regarder ces compétitions. Le 3×3 aura peut-être un style particulier, l’Euroleague féminine peut-être un autre... On n’est pas sectaires, on veut explorer des pistes, comme un laboratoire. Pendant deux ans, on va essayer de trouver les bonnes façons de communiquer et de diffuser.\\n\\nConcernant le lancement du dispositif avec les matches de la SIG Strasbourg, dernier représentant français dans la compétition cette saison, pourquoi avoir choisi Erwan Abautret et Thomas Dufant de la First Team et Broky Brawks ?\\nLa First Team, on avait déjà travaillé avec eux pour la Coupe du Monde. Ce sont des gens qu’on connait et qui nous correspondent. On sait ce qu’ils font, on aime ce qu’ils font, ils ont une crédibilité, une authenticité en France. Ils ont l’expérience du streaming donc, pour nous, c’était un choix assez naturel parce que ce projet avec la BCL s’est lancé en très peu de temps, en seulement quelques semaines. Et concernant Browky Brawks (NDLR : 381 600 abonnés sur Twitter, 194 300 followers sur Twitch), c’est la First Team qui l’a proposé et ça a du sens car c’est quelqu’un qui connaît le stream, qui aime le basket, donc ce choix était facile. On voulait sortir de ce côté plus traditionnel, plus posé, plus cadré et corporate. Ils amènent de la fraîcheur, cet aspect sans filtre, sans tabou, proche de leur communauté. Si je suis fan de basket et que je les écoute, ce qu’ils disent est pertinent, ce ne sont pas juste des gens qui sont là pour être rigolos, il y a une vraie analyse derrière. Donc on les laisse plus ou moins parler de ce qu’ils veulent et comment ils le veulent. C’est du gagnant-gagnant.\\n\\n« La balle est dans notre camp pour faire en sorte que tout se passe bien et donner envie à Twitch et Amazon de continuer l’aventure au-delà de ces deux ans »\\n\\nIl y a eu un pic de 8 000 spectateurs pour la première entre Turk Telekom et Strasbourg en BCL, c’est un départ encourageant ?\\nSachant que c’est seulement sur un territoire, oui c’est très bien. La question maintenant, c’est de faire tenir ce projet sur le long terme, que Strasbourg gagne ou perde, et de transférer cette communauté sur les autres compétitions. On a le premier Masters de basket 3×3 qui commence le week-end prochain à Doha, c’est notre prochain gros test. Puis on aura le Final Four de l’Euroleague féminine, la première semaine d’avril. On aura une diffusion globale et on pourra comparer les chiffres avec une diffusion sur YouTube ou sur Facebook par exemple.\\n\\nVous avez annoncé la diffusion de 600 heures de basket en direct par an sur la chaîne Twitch de la FIBA à compter du printemps 2021. Quel est l’avenir de cet engagement ?\\n600 heures, c’est le minimum qu’on s’est engagés auprès de Twitch à diffuser. Sur les 3 500 matchs de basket FIBA – soit 7 000 heures de basket – qu’on a dans une année, ce n’est pas un problème. En revanche, on veut le faire d’un point de vue qualitatif, avec cette touche « Twitch friendly », de façon optimale. Donc ça nous a semblé une bonne offre. On veut utiliser Twitch pour amener de l’interaction. Le partenariat est de deux ans, on verra s’il continuera après ou pas, ça se discutera en fonction de nos résultats. Maintenant, la balle est dans notre camp pour faire en sorte que tout se passe bien et donner envie à Twitch et Amazon de continuer l’aventure au-delà de ces deux ans. On veut leur montrer qu’ils ont fait le bon choix en travaillant avec nous. Ce que je peux vous dire, c’est que maintenant que la FIBA est sur Twitch, on y est pour rester. On est excités et on invite tous les fans de basket de France de continuer à s’investir sur Twitch et à créer une discussion dans les deux sens. On sera hyper réceptifs à leurs retours et on souhaite les impliquer au maximum dans la création de ces nouveaux produits.\\n\\n\\n😲 Première fois à ma connaissance qu'une fédération internationale (@FIBA) signe un partenariat avec Twitch !\\nCe n'était à mon avis qu'une question de temps, et ravi que le monde fédéral du basket soit le pionnier !https://t.co/kXFizu4tFW pic.twitter.com/V7ywEqNWLM\\n\\n— Nico Besombes (@NicoBesombes) February 24, 2021\\n\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nCela fait plusieurs années que la FIBA diffuse des matches en direct sur les réseaux sociaux, notamment sur YouTube ou Facebook. Quelles sont les raisons de ce choix de se lancer à cœur ouvert dans le marché du numérique et du digital ?\\nL’ADN de la FIBA, c’est d’organiser des événements. Chaque année, on organise une centaine de compétitions de basket à travers le monde. Une minorité de ces 100 événements sont dits « premium » : la Coupe du Monde, l’EuroBasket, l’AmeriCup... Pour toutes ces compétitions à la demande forte, le système de distribution se fait dans un schéma traditionnel avec les diffuseurs. Au-delà de ces événements, il y a la partie cachée de l’iceberg, c’est-à-dire toutes les compétitions de deuxième niveau qui, pendant de longues années, étaient jouées mais n’étaient pas montrées. Et, avant l’ère de YouTube et de Facebook où tout s’est accéléré ces dernières années, c’était assez compliqué d’investir de l’argent pour essayer de distribuer via des broadcasteurs traditionnels, ça nous coûtait cher et ça ne nous rapportait pas grand-chose. On a eu une opportunité avec l’évolution des plateformes digitales : on a réfléchi à comment mettre à disposition tout le reste de ces compétitions, qui trouveraient leur public, et ce à moindre coût. C’est ce qu’on a fait et on a vu que ça prenait. C’est comme cela qu’on arrive aujourd’hui à diffuser 3 500 matchs gratuitement sur YouTube, Facebook et maintenant Twitch, toujours dans le but de démocratiser le sport.\\n\\nDepuis plusieurs mois, de nombreuses personnalités se servent de Twitch pour communiquer avec les jeunes, dernièrement Jean Castex ou Emmanuel Macron. Est-ce qu’investir cette plateforme, c’est un moyen de rajeunir votre audience ?\\nQue ce soit YouTube ou Facebook, ça fait un peu bizarre de dire ça, mais ce sont déjà des plateformes un peu plus traditionnelles, même si elles ne sont pas si vieilles que ça, avec leur propre style de consommation. Disons que le public de ces plateformes commence déjà à être un peu plus vieux et plus passif que le public de Twitch, qui est une plateforme avec une audience relativement jeune, et où le public est plus dans l’interaction, la discussion, l’affinité avec les streamers ou commentateurs. L’idée de ce partenariat, c’est que Twitch nous donne les moyens...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : Nicolas Chapart, responsable digital (à gauche), et Gustavo Arellano, responsable du développement commercial, à la FIBA." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Jean-Denys Choulet (Roanne) : «je suis triste de voir ce que certains joueurs font à Pau-Orthez»" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne a réalisé une excellente opération dans le but de se maintenir en Jeep Elite. Non seulement, elle s’est imposée à un adversaire direct, mais en plus elle y a mis la forme: victoire de 21 points (60-81) à Pau !\\n\\nUn succès dû notamment à la combinaison de performances de Français (22 d’évaluation pour Sylvain Francisco, 15 pour Steeve Ho You Fat) et d’Américains (21 pour Juvonte Reddic, 17 pour Jamel Artis).\\n\\nLa Chorale a maintenant deux victoires d’avance sur son adversaire du soir et un solide point average. Le coach Jean-Denys Choulet peut s’en réjouir, mais il a eu un mot pour le club béarnais et son ancien président en conférence d’après-match, propos rapportés par Sud Ouest:\\n\\n« Je n’ai jamais vu une équipe comme ça à Pau. Là-bas, il y a un personnage que je respecterai toute ma vie, c’est Pierre Seillant. On aurait presque pu travailler ensemble et je suis triste pour lui, triste de voir ce que certains joueurs font à Pau-Orthez. Je souhaite du courage à Eric (Bartecheky), je sais qu’il en a. »\\n\\nChoulet n’a pas cité de nom mais on peut souligner que la prestation de l’ailier américain Tony Wrotten (-4 d’évaluation, 0,5 points en 4 matches) fut une fois de plus pitoyable alors que celle de CJ Williams (4) fut à peine plus convaincante. Avec eux, ils ne faut pas confondre recrue et renfort ! Mais ils ne sont pas les seuls à avoir été à la ramasse face à Roanne. Il n’y a pas eu d’effet Bartecheky, de déclic psychologique... Le mal est très profond et dépend de la composition même de l’équipe.\\n\\nOui, Pierre Seillant peut être bien triste. Son Elan Béarnais a concédé une 11e défaite consécutive et file tout droit vers la Pro B." }, {"role": "user", "content":"Les 6 infos de la semaine : la valse des entraîneurs en Jeep Elite, Céline Dumerc fait durer le plaisir" }, {"role": "assistant", "content":"Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 14 au 20 mars. Au sommaire, les changements de coachs imminents et futurs en Jeep Elite à Pau, Bourg et Dijon, mais aussi la prolongation surprise de Céline Dumerc à Basket Landes ou encore la fin de l’aventure de l’Asvel en Euroleague féminine.\\n\\nJeep Elite : Laurent Vila, Eric Bartecheky, Laurent Legname, Kyle Milling, Savo Vucevic... La valse des entraîneurs\\n\\nTrois ans et demi plus tard, Eric Bartecheky est de retour sur le banc de Pau, où son premier passage avait été couronné de succès. Il remplace sur le champ Laurent Vila, qui laisse à son successeur une équipe béarnaise en grand danger (17e, 3 victoires, 12 défaites). En atteste d’ailleurs le coup de gueule de Jérémy Leloup, mécontent de la manière dont ce changement a été annoncé dans le vestiaire.\\n\\n\\n🔴 OFFICIEL\\n⚪️ La Direction de la JL a pris la décision d’accorder sa confiance à Laurent Legname, actuel coach de la @jdadijonbasket, pour mener le futur cycle sportif qui commencera à l’été 2021.\\n\\nLire le communiqué 🔗 https://t.co/qCafmie4HU pic.twitter.com/jcv1gCqYSk\\n\\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) March 18, 2021\\n\\n\\nAutre changement important, cette fois-ci pour la saison 2021-2022, Laurent Legname quittera la JDA Dijon en fin d’exercice pour la JL Bourg, où le coach actuel, Savo Vucevic, ne prendra pas part au nouveau cycle du club bressan. On connait déjà le nom du successeur du technicien varois en Côte d’Or : il s’agit de Kyle Milling, qui avait déjà succédé à Laurent Legname à Hyères-Toulon en 2015.\\n\\nLigue féminine : Céline Dumerc prolonge finalement l’aventure d’une saison supplémentaire à Basket Landes !\\n\\nÉnorme surprise cette semaine en Ligue Féminine ! Basket Landes annonce la prolongation de Céline Dumerc pour une saison supplémentaire. Selon le club, la fédération française de basketball (FFBB) a accepté de prolonger la période de transition qui doit amener Cap’s à devenir à plein temps la manager générale des Bleues.\\n\\n\\nIl n'y a que les C*** qui ne changent pas d'avis, non?!?\\n\\nRendez-vous sur la page Facebook de Basket Landes – Officiel pour voir la conférence de presse et les dessous de cette décision\\n+ d'informations ➡️https://t.co/vuk0yd3pkH pic.twitter.com/7G07UNRpym\\n\\n— Céline Dumerc (@capsule19) March 19, 2021\\n\\n\\nEuroleague féminine : plus de clubs français en lice après l’élimination de l’Asvel féminin à Sopron en quart de finale\\n\\nLourdement battues à l’aller contre Sopron (94-66), l’Asvel féminin a redressé la barre au retour (62-75), pour l’honneur, dans la bulle hongroise. Dernières représentantes françaises en Euroleague version 2020-2021, les joueuses de Valéry Demory n’évitent pas pour autant l’élimination avec une défaite globale de 156-141 en quart de finale. Sopron est ainsi qualifié pour le Final Four avec Ekaterinbourg, Fenerbahce et Salamanque.\\n\\nDe son côté, Charleville a nettement dominé l’équipe suisse de Fribourg (85-56) en quart de finale d’Eurocup. Les Flammes Carolo sont qualifiées pour le Final Four (9-11 avril) où elles retrouveront Valence, qui a éliminé Villeneuve d’Ascq.\\n\\nArrêt définitif des championnats amateurs et plan massif d’aides aux clubs\\n\\nLa crise sanitaire continue de lourdement toucher le pays et a entraîné la suspension des activités sportives en intérieur pour les majeurs et les mineurs depuis de longs mois. Elle contraint la FFBB à prendre la décision d’arrêter définitivement l’ensemble de ses championnats amateurs pour la saison en cours.\\n\\n\\nLe Bureau Fédéral de la FFBB a acté l'arrêt définitif de l’ensemble de ses championnats métropolitains (départementaux, régionaux et nationaux) pour la saison en cours. Plus de précisions ici 👇🏻https://t.co/VP1rzEZdlu\\n\\n— Fédération Française de BasketBall (@ffbasketball) March 19, 2021\\n\\n\\nJeep Elite : Orléans s’offre Dijon mais perd deux cadres sur blessure\\n\\nDouble coup dur pour Orléans. Dans sa très belle victoire contre Dijon, 2e du championnat (74-69), l’OLB a perdu Darius Johnson-Odom, victime d’une rupture du tendon d’Achille, et LaMonte Ulmer, qui souffre d’un pneumothorax avec décollement de la plèvre. Le premier ne disputera pas la fin de la saison et le second sera indisponible quatre à six semaines. Malgré de très bons résultats depuis la reprise de Jeep Elite et une qualification pour les demi-finales de la Coupe de France, le club est en quête d’un pigiste médical.\\n\\n\\n🙏Toutes nos pensées vont à notre guerrier @KingMe_DJ1 foudroyé sur le parquet du Palais des sports lors du 2ème QT face à la JDA Dijon et qui sera éloigné des terrains plusieurs mois. Le staff est en quête d'un nouveau joueur. pic.twitter.com/aCzAWmY289\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) March 17, 2021\\n\\n\\nLigues, clubs et organisations s’engagent contre les discriminations\\n\\nDans le cadre de la semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme, les ligues de sport professionnel s’unissent pour combattre toute forme de discrimination au sein de leur sport. La Ligue Nationale de Basket (LNB) s’est associée à cette opération en affirmant son engagement dans toutes les salles. Le Limoges CSP s’est également emparé de l’opération en modifiant entièrement son identité visuelle. Ses tenues créées pour l’occasion seront portées lors de tous les matchs du mois de mars à domicile. De son côté, l’Euroleague a publié un long-format de 27 minutes contre le racisme, intitulé « Table Talk ».\\n\\n\\nLimoges CSP x @Craftsportsfr\\nUn maillot pour lutter contre un mal universel qu’est le racisme. #NoRacism : le voilà. ✊🏼✊🏽✊🏾✊🏿 pic.twitter.com/Xqq5mHwsEM\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) March 13, 2021\\n\\n\\n... Mais aussi\\n\\n * En direct avec... Danilo Andjusic (JL Bourg), meilleur scoreur de Jeep Elite (abonnés)\\n * Les 12 garçons et 10 filles qui vont entrer à l’INSEP\\n * Le retour des spectateurs en Espagne\\n\\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, c’est ici.\\n\\nPhoto : Céline Dumerc (Basket Landes)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : ASVEL, Dijon, Orléans et Montpellier qualifiés" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL, Dijon et Orléans se sont qualifiés hier soir pour les demi-finales de la Coupe de France masculine, et Lattes-Montpellier pour la finale des féminines.\\n\\nChez les hommes, la principale surprise est venu du Mans où Orléans, bien qu’handicapé par deux blessures majeures, a dominé l’équipe locale avec le trio Paris Lee (17 points, 7 passes) – Luke Fischer (14 rebonds, 9 passes), Chima Moneke (12 points, 9 rebonds).\\n\\nLyon-Villeurbanne (Jeep Elite) – Boulogne-Levallois (Jeep Elite) : 74-73; Dijon (Jeep Elite) – Strasbourg (Jeep Elite) : 83-63; Le Mans (Jeep Elite) – Orléans (Jeep Elite) : 78-84\\n\\n\\nLe quatrième quart-de-finale finale se tient ce dimanche.\\n\\n18h00 – Limoges (Jeep Elite) – Gravelines-Dunkerque (Jeep Elite) – en direct sur la chaine Youtube du CSP Limoges\\n\\n\\nChez les femmes, invaincu en championnat, le Bourges Basket a subi la loi au Prado de Lattes-Montpellier, emmené par la meneuse belge Julie Allemand (16 points, 5 rebonds).\\n\\nSamedi 20 mars :\\nBourges – Lattes-Montpellier : 70-78\\n\\nL’autre demi-finale se tiendra le samedi 27 mars.\\n\\n\\nSamedi 27 mars à 20h00 : Charleville-Mézières – Landerneau – En direct sur la page Youtube de la FFBB\\n" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de la Basketball Champions League, 3ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la troisième journée du Top 16 de la Basketball Champions League (BCL).\\n\\nTout d’abord, Strasbourg se déplaçait à Athènes pour y affronter l’AEK, troisième de son championnat. Sans victoire au compteur, le club alsacien se devait de réagir. Le club grec enregistrait le forfait de Marcus Slaughter pour l’occasion. Strasbourg démarre bien le match et remporte le premier quart de 7 points. Il mène au score pendant quasiment toute la première mi-temps. Après 30 minutes, les deux équipes sont à égalité. Mais le club de la capitale grecque prend le dessus dans le dernier quart et finit par l’emporter 77-68. Il a réussi un joli 8/14 à 3-points. Son leader a été l’ailier Linos Chrysikopoulos avec 15 points à 6/7 aux tirs. De même, son meneur remplaçant, Dimitris Moraitis, a profité de ses 20 minutes de temps de jeu pour obtenir le titre de Rising Star. Du côté strasbourgeois, c’est le meneur Jean-Baptiste Maille qui s’est mis en avant. Avec 21 d’évaluation, il est le MVP français de la semaine. Il établit ainsi le record d’évaluation pour un joueur français lors du Top 16. Il est également le Meilleur Sixième Homme européen. Strasbourg finit la phase aller vierge de toute victoire.\\n\\nDans le groupe I, le match au sommet opposait l’Hapoel Unet-Credit Holon au Pinar Karsiyaka. La dernière recrue du club israélien, Nathan Sestina, n’était pas encore arrivée. Dans le premier quart, Holon limite son adversaire à 8 points et mène de 8 points à l’issue des 10 premières minutes. Mais le club turc remporte les trois quarts suivants et s’impose tranquillement 72-63. Il a été porté par son pivot américain Raymar Morgan. Avec un joli double-double (24 points et 12 rebonds), il est le Meilleur Sixième Homme de la semaine. Les deux équipes sont à égalité avec 2 victoires et une défaite.\\n\\nDans l’autre match, Brindisi recevait le Tofas Bursa. Le club italien perdait Ousman Krubally pour cette rencontre alors que le club turc perdait Berkan Durmaz mais récupérait Semaj Christon. Le score a joué au yo-yo pendant tout le match. Brindisi mène de 7 points à l’issue du premier quart mais le Tofas Bursa revient à égalité à la mi-temps. Puis le club italien reprend 11 points d’avance 10 minutes plus tard avant qu’une fois de plus les Turcs recollent. Malgré un 7-0 infligé à son hôte dans les deux dernières minutes, il échoue malgré tout à deux petits points et Brindisi s’impose 77-75. L’équipe de Frank Vitucci a été emmenée par un trio composé de Josh Bostic, Derek Willis et Nick Perkins, et auteur d’une évaluation cumulée de 65. Le premier est le meilleur arrière de la semaine alors que le dernier en est le meilleur rebondeur avec 13 unités. Celui-ci égale ainsi le record de la saison sur un match. Du côté du Tofas Bursa, le duo Tarik Phillip-Tomislav Zubcic s’est mis en valeur. Le premier est le meilleur arrière européen de la journée alors que le second en est le meilleur intérieur. Le Tofas Bursa se retrouve donc avec 3 défaites pour débuter le Top 16.\\n\\nDans le groupe J, Tenerife recevait le VEF Riga. Le club espagnol enregistrait le forfait de Spencer Butterfield alors que le club letton récupérait Arnolds Helmanis. Sans surprise, le club insulaire remporte les trois premiers quarts et mène de 16 points au bout de 30 minutes. Il s’impose finalement facilement 77-64. Le leader de Tenerife a été son pivot Giorgi Shermadini. Avec 31 d’évaluation, il est le MVP de la semaine. C’est la troisième fois de la saison qu’il est le meilleur européen de la journée et il établit de plus le record d’évaluation du Top 16 pour un européen. Enfin, il est le meilleur marqueur avec 25 points. Il a été bien servi par son meneur Marcelinho Huertas qui, lui, est le meilleur passeur avec 8 unités.\\n\\nDans le groupe K, Nizhny Novgorod se déplaçait dans la capitale turque pour y affronter le Türk Telekom. Contre toute attente, le club russe remporte les trois premiers quarts et mène de 20 points à l’issue des 30 premières minutes. Nizhny Novgorod remporte au final une belle victoire 84-71 au Türk Telekom. L’équipe de Zoran Lukic a été emmenée par un trio russe composé d’Anton Astapkovich, d’Andrei Vorontsevich et d’Ivan Strebkov, auteur d’une évaluation cumulée de 65. Le premier est le meilleur ailier de la semaine alors que le dernier en est le meilleur meneur.\\n\\nA l’issue de la journée, cinq équipes sont invaincues. Zaragoza est la meilleure d’entre elles devant San Pablo Burgos.\\n\\n5 équipes n’ont pas remporté de victoires dont Strasbourg. Le VEF Riga est la moins bonne.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nGiorgi Shermadini (C/Geo/31)\\n\\nTenerife\\n\\n31 d’éval (25 pts à 9/14, 9 rbds, 3 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Ivan Strebkov\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n19 d’éval\\n\\nSG Josh Bostic\\n\\nBrindisi\\n\\n24\\n\\nSF Anton Astapkovich\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n24\\n\\nPF Tomislav Zubcic\\n\\nTofas Bursa\\n\\n22\\n\\nC Giorgi Shermadini\\n\\nTenerife\\n\\n31\\n\\nB Raymar Morgan\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n29\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Ivan Strebkov\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n19 d’éval\\n\\nSG Tarik Phillip\\n\\nTofas Bursa\\n\\n20\\n\\nSF Anton Astapkovich\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n24\\n\\nPF Tomislav Zubcic\\n\\nTofas Bursa\\n\\n22\\n\\nC Giorgi Shermadini\\n\\nTenerife\\n\\n31\\n\\nB Jean-Baptiste Maille\\n\\nStrasbourg\\n\\n21\\n\\nMVP français:\\n\\nJean-Baptiste Maille (PG/27)\\n\\nStrasbourg\\n\\n21 d’éval (10 pts à 4/4 dont 2/2 à 3 pts, 8 rbds, 4 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nDimitris Moraitis (PG/Grè/22)\\n\\nAEK Athènes\\n\\n4 d’éval (5 pts à 2/5 dont 1/2 à 3 pts, 2 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nGiorgi Shermadini\\n\\nTenerife\\n\\n25 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nNick Perkins\\n\\nBrindisi\\n\\n13 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nMarcelinho Huertas\\n\\nTenerife\\n\\n8 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe I:\\n\\n 1. Pinar Karsiyaka 2-1\\n 2. Brindisi\\n 3. Hapoel Holon\\n 4. Tofas Bursa 0-3\\n\\nGroupe J:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 2-0\\n 2. Tenerife 2-1\\n 3. Igokea 1-1\\n 4. VEF Riga 0-3\\n\\nGroupe K:\\n\\n 1. Nizhny Novgorod 2-0\\n 2. AEK Athènes\\n 3. Türk Telekom 1-2\\n 4. Strasbourg 0-3\\n\\nGroupe L:\\n\\n 1. Zaragoza 2-0\\n 2. Nymburk\\n 3. Sassari 0-2\\n 4. Bamberg\\n\\nPhoto: Giorgi Shermadini (Tenerife, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : Israël en constante amélioration" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Yam Madar – Hapoel Tel-Aviv (Photo : Hapoel Tel-Aviv)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à Israël.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPetit à petit, Israël se place sur la carte des pays « européens » (Israël est situé géographiquement en Asie mais joue avec l’Europe pour des questions géopolitiques) en matière de temps de jeu accordé à ses U21. Depuis la première publication de cette étude, en 2018-19, le pays a toujours trusté les avant-postes (successivement 5e en 2018-19 et 4e la saison passée) et il continue à progresser, même si cela ne se traduit pas dans son classement, d’autres ayant encore plus évolué positivement.\\n\\nCette saison, la Winner Basketball Super League, ainsi que s’appelle le championnat national, progresse pratiquement sur tous les plans. Certes, le nombre de U21 étant entrés au moins une fois en jeu est en retrait sur l’année passée : 33 contre 43. Mais il dépasse celui de la saison précédente – 30 – et, surtout, le rendement de ces jeunes joueurs est à la hausse. Plutôt performants en 2018-19 avec 1,92 point et 1,65 d’éval en 6,91 minutes, ces U21 valent cette saison 2,49 pts et 2,01 d’éval en 6,88 mn, soit respectivement les 4e, 6e et 5e meilleurs résultats de notre comparatif. Mieux encore, si l’on se concentre sur les U21 un minimum responsabilisés (ayant donc passé au moins 5 mn/match sur le parquet sur au moins la moitié des 21 matchs disputés), la Winner League se distingue. Certes, ils ne sont que 13 à avoir eu ces possibilités (9e total de notre étude) mais il faut se souvenir que ce championnat ne rassemble que 13 équipes. Surtout, son rendement est des plus intéressants : 5,37 pts (3e de l’étude) et 4,58 d’éval (4e) en 14,40 mn (3e). Une belle hausse face aux deux saisons précédentes : 4,60 pts et 4,36 d’éval en 14,38 mn la saison dernière, 3,99 pts et 3,93 d’éval en 13,32 mn la précédente.\\n\\nCes bons chiffres sont principalement liés à l’existence d’une élite U21 particulièrement performante. Ainsi, s’ils ne sont que 8 (8e de notre analyse) à jouer plus de 10 mn/match, ils sont 3 à plus de 20 mn/match, 3e total du comparatif. De même, ils sont 6 à plus de 5 pts et 5 à plus de 5 d’éval (6e dans les deux cas) mais un joueur à plus de 10 pts et de 10 d’éval les hisse au 5e rang sur ces critères.\\n\\nPour le reste, le championnat israélien se distingue par deux de ses caractéristiques : il ne fait jouer aucun U21 étranger et bien peu de très jeunes joueurs – ils ne sont que 2 de 2002 à avoir eu du temps de jeu.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nL’évolution du cinq majeur U21 israélien montre clairement la progression du championnat, mais aussi que d’autres ont encore plus progressé. Cela est évident en termes de temps de jeu : la saison passée, le cinq majeur U21 de Winner League était celui qui jouait le plus en Europe avec 21,9 mn/match. Cette saison, il joue 22,44 mn mais n’est plus que 3e.\\n\\nC’est surtout au niveau des points marqués que la hausse du niveau est palpable : en 2018-19, les cinq U21 les plus rentables engrangeaient 6,44 pts puis 8,26 la saison suivante, alors qu’ils sont à 9,48 cette année, grâce notamment à un MVP à plus de 16 pts par match. À l’évaluation, le cinq majeur U21 de cette saison est en revanche un peu en retrait, passé de 8,64 la saison passée à 8,38. Un rendement qui reste intéressant, positionnant la Winner League à la 5e place de notre étude (comme pour les points).\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationYam Madar2Hapoel Tel-AvivIsraël20001231,916,616,6Noam Dovrat2Rishon LeZionIsraël20021225,38,87,1Noam Avivi4Rishon LeZionIsraël19991119,78,16,9Amit Suss3Be’er ShevaIsraël19991321,97,76,9Yotam Hanochi4Gilboa GalilIsraël20001313,46,24,4Moyenne2000,0012,2022,449,488,38\\n\\nDu cinq majeur U21 de la saison passée subsistent deux joueurs, Yam Madar (alors à 8,0 pts et 8,7 d’éval en 21,0 mn) et Noam Dovrat (4,8 pts et 4,6 d’éval en 17,8 mn), tous deux en forte progression à tous les niveaux. Pour sa part, le MVP U21 de la saison passée, Deni Avdija (2001), est parti en NBA alors que Michael Brisker et Yovel Zoosman ont été atteints par la limite d’âge (nés en 1998).\\n\\nLe MVP : Yam Madar\\n\\nImpressionnante progression que celle de l’arrière (1,90 m) de l’Hapoel Tel-Aviv, également capitaine de son équipe. En une saison, il a doublé ses stats, justifiant l’intérêt que lui avaient porté les Boston Celtics, qui l’ont sélectionné au deuxième tour lors de la dernière draft. Alors certes, le joueur qui effectue sa troisième saison au club évolue dans une équipe de bas de tableau (11e sur 13 équipes). Mais il fait preuve d’une belle adresse (51,6 % à deux-points, 34,3 % à trois-points) tout en animant bien le jeu, avec ses 4,9 passes. Né le 21 décembre 2000, Yam Madar pourrait encore figurer deux ans dans notre étude, mais pas sûr qu’il soit encore en Winner League la saison prochaine...\\n\\nEn conclusion\\n\\nCela fait maintenant plusieurs années qu’Israël fait preuve d’un bel intérêt pour les U21, ce qui s’est traduit par deux titres de champion d’Europe U20 en 2018 et 2019. La concurrence parmi les championnats les plus ouverts aux U21 est rude, mais la Winner League tient très bien son rang, progressant d’année en année.\\n\\nProchain championnat étudié : la Lega A italienne.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’Esake grecque, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nPetit à petit, Israël se place sur la carte des pays « européens » (Israël est situé géographiquement en Asie mais joue avec l’Europe pour des questions géopolitiques) en matière de temps de jeu accordé à ses U21. Depuis la première publication de cette étude, en 2018-19, le pays a toujours trusté les avant-postes (successivement 5e en 2018-19 et 4e la saison passée) et il continue à progresser, même si cela ne se traduit pas dans son classement, d’autres ayant encore plus évolué positivement.\\n\\nCette saison, la Winner Basketball Super League, ainsi que s’appelle le championnat national, progresse pratiquement sur tous les plans. Certes, le nombre de U21 étant entrés au moins une fois en jeu est en retrait sur l’année passée : 33 contre 43. Mais il dépasse celui de la saison précédente – 30 – et, surtout, le rendement de ces jeunes joueurs est à la hausse. Plutôt performants en 2018-19 avec 1,92 point et 1,65 d’éval en 6,91 minutes, ces U21 valent cette saison\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Officiel : pas de spectateurs de l’étranger aux Jeux Olympiques de Tokyo" }, {"role": "assistant", "content":"C’est officiel : les spectateurs de l’étranger ne seront pas autorisés à assister aux Jeux olympiques (23 juillet au 8 août) et paralympiques ré-organisés cet été à Tokyo. Une annonce a été faite ce samedi dans ce sens après une réunion du Comité international olympique, du Comité international paralympique, du gouvernement métropolitain de Tokyo, du comité d’organisation de Tokyo 2020 et du gouvernement japonais.\\n\\nLa décision est due à la persistante de la pandémie de Covid-19, et il est peu probable que le Japon soit ouvert aux touristes étrangers d’ici l’été. Aussi, il a été estimé qu’une décision devait être prise dès maintenant.\\n\\nUne déclaration conjointe des cinq parties impliquées dans la réunion a été diffusée:\\n\\n« Actuellement, la situation de Covid-19 au Japon et dans de nombreux autres pays du monde est toujours très difficile et un certain nombre de variants sont apparues, tandis que les voyages internationaux restent sévèrement limités à l’échelle mondiale. Compte tenu de la situation actuelle de la pandémie, il est hautement improbable que l’entrée au Japon soit garantie cet été pour les personnes venant de l’étranger. Afin de donner plus de clarté aux détenteurs de billets résidant à l’étranger et de leur permettre d’ajuster leurs projets de voyage à ce stade, les parties du côté japonais sont parvenues à la conclusion qu’elles ne pourront pas entrer au Japon au moment des Jeux Olympiques et Paralympiques. Cette conclusion contribuera en outre à garantir des Jeux sûrs et sécurisés pour tous les participants et le public japonais. »" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : Silvia Dominguez a écrit une lettre à ses équipières pour les motiver" }, {"role": "assistant", "content":"La meneuse et capitaine espagnole de Perfumerias Avenida Salamanque, Silvia Domínguez (1,65m, 34 ans), est atypique et elle l’a confirmé en écrivant une lettre en anglais à ses équipières avant le match retour d’Euroleague face à Gérone.\\n\\n« Parfois, j’ai du mal à m’exprimer dans une langue qui n’est pas ma langue maternelle, j’ai donc décidé d’écrire quelque chose à tout le monde. Ce sera une bataille de 80 minutes, et de la première à la dernière minute, il n’y a pas de temps pour être déprimée, en colère, faible, stressée... toutes ensemble, nous pouvons surmonter toutes ces émotions en nous soutenant les unes les autres. On peut revenir au sentiment qu’on avait dans les 2 premières bulles: on ne se sentait pas invincible, mais on avait le sentiment d’être inarrêtable. Nous avons vécu beaucoup de choses, de bons matches, de mauvais matches, des blessures, des moments difficiles, mais ce que nous savons tous, c’est que lorsque nous nous jouons avec passion, sourions et nous amusons sur et en dehors du terrain , l’atmosphère que nous avons créée était le cadre parfait.\\n\\nJouer un Final Four est l’une des meilleures expériences de ma carrière, et je crois vraiment que tout le monde dans cette équipe mérite de vivre cela. Nous travaillons dur et nous savons ce que nous devons faire pour y parvenir, alors je vous demande juste de VOUS ARRÊTER une seconde et de mettre votre ÉNERGIE, votre ESPRIT et votre CORPS à 220% dans le match d’aujourd’hui. Oubliez les problèmes que vous pouvez avoir en dehors du basket, la douleur que vous pouvez ressentir dans votre corps, le stress, les doutes, l’avenir, les défaites précédentes ... Concentrez-vous simplement sur les 80 prochaines minutes et profitez de la route vers votre premier Final Four . 1, 2, 3... AVENIDA ! ».\\n\\nSalamanque a battu Girone et s’est qualifié pour le Final Four.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : L’ASVEL se rebiffe mais est éliminée" }, {"role": "assistant", "content":"Lourdement battue lors du match aller (94-66), l’ASVEL s’est rebiffée lors du retour, hier soir, obtenant un succès pour l’honneur (62-75) après avoir mené de 22 points (59-37), sans pour autant pouvoir éviter l’élimination avec une défaite globale de 156-141. Cela peut laisser des regrets d’avoir connu une telle défaillance mercredi.\\n\\nMéconnaissable lors du premier match, Marine Johannes a retrouvé ses sensations (16 points, 5 rebonds, 4 passes) et ce sont plusieurs Lionnes qui ont contribué avec efficacité dont Helena Ciak (14 points) et Michelle Plouffe (8 rebonds).\\n\\nSopron est ainsi qualifié pour le Final Four (16-18 avril) avec Ekaterinbourg, Fenerbahçe et Salamanque. Le site sera connu plus tard.\\n\\nPhoto: Marine Johannes (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Jeep Elite, 25ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se déroulait la 25ème journée.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nJerry Boutsiele (C/Fra/28)\\n\\nLimoges\\n\\n28 d’éval (19 pts à 8/11 dont 1/1 à 3 pts, 11 rbds, 2 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Paris Lee\\n\\nOrléans\\n\\n28 d’éval\\n\\nSG Scott Bamforth\\n\\nLe Mans\\n\\n28\\n\\nSF Travis Leslie\\n\\nChalons-Reims\\n\\n21\\n\\nPF Dominique Archie\\n\\nChalons-Reims\\n\\n25\\n\\nC Jerry Boutsiele\\n\\nLimoges\\n\\n28\\n\\nB Thomas Heurtel\\n\\nASVEL\\n\\n25\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Benoit Mangin\\n\\nLe Portel\\n\\n28 d’éval\\n\\nSG Scott Bamforth\\n\\nLe Mans\\n\\n28\\n\\nSF Terry Tarpey\\n\\nLe Mans\\n\\n19\\n\\nPF Guerschon Yabusele\\n\\nASVEL\\n\\n21\\n\\nC Jerry Boutsiele\\n\\nLimoges\\n\\n28\\n\\nB Thomas Heurtel\\n\\nASVEL\\n\\n25\\n\\nRising star :\\n\\nHugo Benitez (PG/Fra/20)\\n\\nBourg\\n\\n10 d’éval (4 pts à 1/2, 2/2 aux LF, 2 rbds, 4 pds, 4 int, 3 bps)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nScott Bamforth\\n\\nLe Mans\\n\\n31 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nJerry Boutsiele\\n\\nMouphtaou Yarou\\n\\nLimoges\\n\\nBoulazac\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nKenneth Smith\\n\\nLimoges\\n\\n9 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Monaco 10-1\\n 2. Dijon 12-3\\n 3. Bourg 10-3\\n 4. Strasbourg 9-4\\n 5. Boulogne-Levallois 10-6\\n 6. Le Mans 7-5\\n 7. ASVEL\\n 8. Orléans 7-6\\n 9. Limoges 6-7\\n 10. Gravelines-Dunkerque\\n 11. Nanterre 5-7\\n 12. Chalon 5-8\\n 13. Le Portel\\n 14. Chalons-Reims 5-9\\n 15. Roanne 4-9\\n 16. Cholet 3-7\\n 17. Pau-Lacq-Orthez 3-11\\n 18. Boulazac 1-9\\n\\nPhoto: Jerry Boutsiele (Limoges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : ASVEL vs Boulogne-Levallois sur L’Equipe, les autres matches sur YouTube et Facebook" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end les quatre quarts de finale de la Coupe de France masculine et la première demi-finale de la Coupe de France féminine seront à suivre en direct. ASVEL vs Boulogne-Levallois sur La Chaîne L’Equipe, les autres matches sur YouTube et Facebook.\\n\\nSamedi 20 mars\\n\\n19h00 – Lyon-Villeurbanne (Jeep Elite) – Boulogne-Levallois (Jeep Elite) – en direct sur la chaine l’Equipe (canal 21 de la TNT)\\n\\n20h00 – Bourges (LFB) – Lattes-Montpellier (LFB) – en direct sur la chaine Youtube de la FFBB\\n\\n20h00 – Dijon (Jeep Elite) – Strasbourg (Jeep Elite) – en direct sur la page Facebook de la FFBB\\n\\n20h00 – Le Mans (Jeep Elite) – Orléans (Jeep Elite) – en direct sur la page Facebook et la chaine Youtube de la FFBB\\n\\nDimanche 21 mars\\n\\n18h00 – Limoges (Jeep Elite) – Gravelines-Dunkerque (Jeep Elite) – en direct sur la page Facebook de la FFBB" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : la Grèce reste au fond de la classe" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Nikos Chougkas – Ionikos (Photo : Ionikos)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la Grèce.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis que nous nous livrons à notre étude sur la place des U21 dans les grands championnats européens (dont c’est le troisième opus), l’Esake (ou A1 League) grecque figure parmi les parents pauvres, ayant même décroché une piteuse dernière place la saison passée. Cette saison, cela va un tout petit peu mieux pour les jeunes hellènes, qui repassent devant l’Italie et la VTB League, comme il y a deux saisons. Cela étant, les chiffres montrent qu’il n’y a pas de quoi être fier. Déjà parce que, sur les 12 équipes participant au championnat, deux (Charilaos et Larissa) n’ont pas aligné ne serait-ce qu’une seconde un U21 lors des 12 à 14 matchs disputés au moment d’arrêter nos statistiques.\\n\\nEnsuite, lorsque l’on regarde le nombre total de U21 ayant foulé le parquet au moins une seconde, on ne peut que constater la décrue : de 33 l’an passé, l’Esake passe cette saison à 21, personne ne fait moins en Europe. Petite consolation, le rendement de ces joueurs progresse légèrement : de 1,39 point et 1,15 d’évaluation en 5,11 minutes en 2019-20, on est passé cette année à 1,75 pt et 1,74 d’éval en 6,44 mn. Pas de quoi pavoiser mais cela hisse l’Esake à la 7e place de cette étude en ce qui concerne les points et l’éval.\\n\\nDéjà clairsemé, le contingent U21 grec réduit comme peau de chagrin si l’on s’arrête à ceux qui ont quelques responsabilités : comme la saison passée, ils sont 8 (personne ne fait moins en Europe, une fois de plus) alors qu’ils étaient 17 en 2018-19. Cependant, leur rendement reste honorable : avec 4,16 pts et 4,05 d’éval en 13,91 mn, ils figurent en milieu de classement des grands championnats européens. De surcroît, ces performances sont en hausse : les 8 U21 de la saison passée valaient 3,86 pts et 4,04 d’éval en 11,34 mn, ceux de 2018-19 3,51 pts et 3,32 d’éval en 11,94 mn. Cela dit, cette hausse est à relativiser, car elle est principalement le fait d’un joueur, le MVP U21 de Grèce, à découvrir plus bas. En effet, il est seul à jouer plus de 20 mn/match, seul à plus de 5 pts/match, seul à plus de 5 d’éval. L’arbre qui cache une forêt bien malingre...\\n\\nAutre signe peu encourageant, alors que l’Esake faisait la saison passée partie des ligues faisant le plus jouer de très jeunes joueurs, seul un 2003 a eu cette saison un peu de temps de jeu. Il s’agit de Lefteris Mantzoukas, dont le passage de Peristeri (3,1 pts, 2,2 d’éval en 12,2 mn) à Patras s’est traduit par une baisse des stats : 1,5 pt et 2,0 d’éval en 9,4 mn.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nAprès un piteux exercice 2019-20 (4,48 pts et 4,77 d’éval en 12,04 mn), le cinq majeur U21 de l’Esake de cette saison redresse un peu la tête : 5,26 pts et 5,40 d’éval en 15,64 mn. Mais cela reste étique : il s’agit des 11e (sur 11) moyennes de points et d’évaluation et du 9e temps de jeu de cette étude.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationNikos Chougkaz4IonikosGrèce20001422,010,712,4Muhaymin Mustafa3IonikosTurquie1999917,44,34,4Nikolaos Rogkavopoulos3AEKGrèce20011314,24,23,5Georgios Kalaitzakis2PanaGrèce19991012,13,73,7Zois Karampelas1PeristeriGrèce20011212,53,43,0Moyenne2000,0011,6015,645,265,40\\n\\nDu cinq majeur de la saison passée, seuls trois joueurs auraient pu prétendre y figurer à nouveau, les deux autres étant atteints par la limite d’âge (nés en 1998). Mais si Zois Karampelas (3,7 pts et 3,6 d’éval en 11,5 mn, des chiffres qui montrent une stagnation) figure toujours dans ce cinq majeur, Dimitris Moraitis (passé de Kolossos à l’AEK pour 3,1 pts et 1,9 d’éval en 14,4 mn) et Giorgos Kamperidis (passé lui de Panionios au PAOK, 2,4 pts et 1,5 d’éval en 9,3 mn) n’ont plus de stats suffisantes pour avoir cet honneur tout à fait virtuel.\\n\\nDes quatre autres membres du cinq majeur actuel en sus de Karampelas, un seul évoluait la saison dernière en Grèce, Nikolaos Rogkavopoulos (2,1 pts et 3,1 d’éval en 6,2 mn). Muhaymin Mustafa jouait, lui, dans son pays natal au Tofas Bursa (2,9 pts et 2,1 d’éval en 10,2 mn), Georgios Kalaitzakis ayant pour sa part pris le chemin de la Lituanie où, avec Nevezis, il valait 12,2 pts et 10,6 d’éval en 28,4 mn – ses stats actuelles semblent bien faibles en comparaison, mais le niveau du Pana n’a rien à voir avec celui de Nevezis...\\n\\nLe MVP : Nikos Chougkaz\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=aX5RMDbcL1E\\n\\nEnfin, le MVP U21 incontestable de l’Esake évoluait la saison passée en NCAA, aux Northwestern State Demons, pour 9,2 pts et 11,5 d’éval en 24,6 mn. Des stats que l’ailier-fort de 2,08 m continue de bonifier après sa seule année passée aux États-Unis, il prend près de 6,3 rebonds pour aller avec ses 10,7 points. La façon dont il va continuer à progresser ou non va être intéressante à suivre dans les années à venir.\\n\\nEn conclusion\\n\\nIl y a un petit mieux en Grèce, mais vraiment tout petit. L’Esake continue, année après année, à figurer dans les trois championnats qui traitent le moins bien leurs U21. Et rien ne semble annoncer un quelconque renversement de tendance.\\n\\nProchain championnat étudié : la Winner Basketball Super League israélienne.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Jeep Élite française, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis que nous nous livrons à notre étude sur la place des U21 dans les grands championnats européens (dont c’est le troisième opus), l’Esake (ou A1 League) grecque figure parmi les parents pauvres, ayant même décroché une piteuse dernière place la saison passée. 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L’URSS, c’est notamment chez les hommes deux médailles d’or olympiques (1972 et 88), trois au championnat du monde, et... 14 au championnat d’Europe.\\n\\nIl y est notamment confirmé que Anatoli Myshkine, qui fut l’un des protagonistes de la médaille d’or au championnat du monde de 1982 à Cali fut privé de championnat d’Europe, un an plus tard en France, lorsque le KGB l’a pris en flagrant délit de possession de devises étrangères et de produits achetés à l’étranger destinés à être revendus dans son pays. Une pratique qui était... courante.\\n\\nLes auteurs racontent par ailleurs que c’est après la seconde guerre mondiale que les sportifs soviétiques sont devenus des ambassadeurs de l’URSS et seule la victoire était acceptable. Ainsi, Nikolai Romanov, ministre des Sports à l’époque, avait témoigné :\\n\\n« Si nous perdions, la presse bourgeoise en profiterait pour critiquer notre nation dans son ensemble et nos athlètes, ce qui était déjà arrivé auparavant. Pour obtenir la permission de concourir au niveau international, j’ai dû envoyer une lettre spéciale à Staline garantissant la victoire. Ainsi, on était responsable des résultats, et les conséquences d’un échec étaient très graves. »\\n\\nLes conséquences ? Les purges staliniennes ne sont pas qu’un mythe. Figure également dans le livre le témoignage du meneur arménien Armenak Alachachian, qui raconte:\\n\\n«Dans les duels contre le Real Madrid dans les années 1960 c’était une question d’État, ils nous ont demandé de gagner ou de mourir.»\\n\\nArmenak Alachachian a remporté la Coupe des Champions, actuellement Euroleague, en 1961, 1963 et 1965. Il est décédé dix-sept ans après la fin de l’Union Soviétique." }, {"role": "user", "content":"Ligue 2 : A 24 ans, Mathilde Combes dit stop ! «Je ne sais pas où je vais atterrir, mais j’ai hâte de voir la suite»" }, {"role": "assistant", "content":"Avoir 24 ans, encore un an de contrat à l’USO Mondeville en Ligue 2 et stopper sa carrière, c’est le choix de Mathilde Combes qui l’explique à Ouest France. En cause, la routine.\\n\\n« C’est tout à fait ça. On se lève toute la semaine pour aller à l’entraînement. Je ne vais pas vous mentir, il y a certains matins où c’est plus difficile que d’autres. Quand on fait ça pour préparer un match et qu’on apprend qu’il est reporté 1 h 30 avant le coup d’envoi... Ou en sachant que personne ne va venir nous voir, ça use. Ce n’était pas une année facile pour prendre du plaisir, mais il y a d’autres paramètres qui entrent en compte (...) Je suis partie de chez moi à 12 ans pour le basket et depuis, c’est lui qui dicte toutes mes décisions. Tout ce que je fais, c’est en rapport avec le basket alors dire stop, c’est avoir l’impression que tout s’arrête, qu’on n’a plus rien. Lors du premier confinement, je revenais de blessure, je n’avais pas d’équipe. Cette période m’a permis de me rendre compte qu’il y avait une vie à côté du basket. Ce moment m’a fait réfléchir et évoluer. »\\n\\nMathilde Combes ne sait pas quel va être son avenir professionnel mais elle n’a pas peur du vide pour autant :\\n\\n« Non. Je ne sais pas où je vais atterrir, mais j’ai hâte de voir la suite. Quoi qu’il arrive, je sais que je vais vivre des expériences nouvelles. Je n’ai jamais travaillé dans la « vraie vie », je ne sais pas ce que c’est et j’ai envie de découvrir ça, de me fixer de nouveaux challenges. J’aimerais faire quelque chose qui me plaît, mais je sais que ce n’est pas toujours facile. 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Elle contraint la FFBB à prendre la décision d’arrêter définitivement l’ensemble de ses championnats métropolitains (départementaux, régionaux et nationaux) pour la saison en cours.\\n\\nLe Bureau Fédéral de la FFBB, réuni à Paris le 19 mars, a acté l’arrêt définitif de toutes les compétitions fédérales à l’exception des divisions qui bénéficient de la dérogation au confinement et à l’interdiction de déplacement et peuvent ainsi continuer de pratiquer le basket-ball en entrainements et en compétitions sur tout le territoire.\\n\\nLa Ligue Féminine, la Ligue Féminine 2 et la Nationale Masculine 1 poursuivent donc leur championnat et des échanges auront lieu très prochainement pour finaliser leur saison, conformément aux dispositions règlementaires votées le 11 décembre 2020.\\n\\nLes championnats des divisions inférieures sont intégralement et définitivement arrêtés à l’exception des championnats ultra-marins. En effet, la perspective de disputer 50% des rencontres, même dans les territoires ayant pu débuter leurs championnats en septembre dernier, ne peut plus être envisagée. Dans ces divisions, la saison 2020/21 ne donnera lieu à aucune montée et aucune descente.\\n\\nDans l’optique d’une autorisation de reprise de la pratique dans les semaines qui viennent, la Fédération laissera les Ligues, avec le soutien des Comités, proposer des compétitions alternatives afin d’offrir la possibilité aux licencié.es de disputer des rencontres compétitives d’ici la fin de la saison.\\n\\nAu titre de cette saison 2020/21, face à cette situation exceptionnelle, la FFBB, ses Ligues et ses Comités ont unanimement décidé de mettre en place un plan massif d’aides de 12 millions d’euros à destination directe des clubs. Une communication envers les clubs sera organisée très rapidement afin de préciser les modalités de ces aides.\\n\\nUn travail est d’ores et déjà engagé pour préparer la saison 2021/22 dans les meilleures conditions avec l’espoir d’une reprise normale de nos compétitions. Un plan de relance, en cours d’élaboration, sera présenté pour accompagner cette reprise et répondre à la forte demande de basket en France.\\n\\nJean-Pierre Siutat (Président de la FFBB):\\n\\n« La FFBB a souhaité prendre le temps de consulter et de concerter avant de prendre une décision aussi importante pour l’ensemble de nos clubs et nos licencié.es. En effet, depuis septembre, la situation est très différente entre les territoires. Nous avons aujourd’hui décidé de « stopper » les championnats amateurs métropolitains car il n’était plus envisageable de réaliser même une partie de ces compétitions, comme initialement espéré. Cette décision, terriblement frustrante, n’a pas été facile à prendre. Certains ont pensé que la FFBB souhaitait faire jouer « coûte que coûte ». Ce n’est pas ce principe qui nous a animés, mais celui de tenter jusqu’au dernier moment, de permettre aux 57 000 équipes engagées et à des milliers de joueuses et de joueurs de réaliser des matches officiels cette saison, dans le cadre de leur championnat. Malgré une fin de saison repoussée à fin juin, cette perspective n’est plus atteignable aujourd’hui. Nous avons demandé à nos Ligues et Comités de proposer des pratiques alternatives aux clubs et aux licencié.es dès que possible, en particulier autour du 3×3, qui pourra se pratiquer plus rapidement en extérieur. Nous avons également décidé de soutenir économiquement les clubs en finançant une partie des engagements et des licences sur cette saison. C’est un effort global considérable de près de 12 millions d’euros que la FFBB, ses Ligues et Comités, vont réaliser pour aider les clubs, avant de se tourner vers la saison prochaine et proposer un plan de relance qui tiendra compte des dispositifs prévus par le gouvernement, dont le tant attendu Pass’Sport. Nous en détaillerons rapidement les modalités lors de visio-conférences avec les Ligues, les Comités et les clubs. »" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Charleville se qualifie pour le Final Four et aura Valence comme adversaire" }, {"role": "assistant", "content":"Les Flammes de Charleville se sont qualifiées pour le Final Four de l’Eurocup où elles retrouveront le KSC Szekszard, Reyer Venezia et le Valencia Basket Club, qui a éliminé Villeneuve d’Ascq, 81-67.\\n\\nLes Flammes ont nettement dominé l’équipe suisse du BCF Elfic Fribourg avec une victoire de 85-56, fondée sur la force intérieure du duo Endy Miyem et Evelyn Akhator qui ont marqué respectivement 18 et 14 points.\\n\\nReyer Venezia affrontera le KSC Szekszard en demi-finale, et Charleville le Valencia Basket Club.\\n\\nLe lieu du Final Four, prévu du 9 au 11 avril, sera annoncé ultérieurement.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"JO Tokyo : Cinq équipes en préparation à Las Vegas" }, {"role": "assistant", "content":"Selon ESPN, cinq équipes devraient se préparer aux Jeux Olympiques de Tokyo dans la « bulle » de Las Vegas.\\n\\nIl s’agit des équipes des États-Unis, d’Australie, d’Argentine, d’Espagne et une invitation a été également lancée au Nigéria.\\n\\nCes équipes seront regroupées du 7 au 16 juillet alors que les Jeux Olympiques de Tokyo auront lieu du 23 juillet au 8 août.\\n\\nHuit pays ont une place garantie aux Jeux Olympiques: le Nigéria, l’Iran, la France, les États-Unis, l’Australie, l’Argentine, le Japon et l’Espagne. Quatre autres participants seront déterminés lors des tournois de qualification au Canada, en Croatie, en Serbie et en Lituanie." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite – Didier Gadou (Élan Béarnais) : «Je reconnais, je le répète, on a été maladroit»" }, {"role": "assistant", "content":"Au lendemain de l’arrivée du nouvel entraîneur Eric Bartecheky, le directeur de l’Élan Béarnais Didier Gadou est revenu lors d’une conférence de presse sur l’actualité du club palois, actuellement en opération maintien. Nos confrères de France Bleu Béarn Bigorre en font état.\\n\\nCe jeudi Eric Bartecheky est arrivé en remplacement en tant qu’entraîneur principal de Laurent Vila. Cependant le temps presse, le club est toujours avant-dernier de Jeep Élite. Didier Gadou et son staff ne se sont pas facilités les choses avec une communication pour le moins maladroite concernant la mise à l’écart de Laurent Vila :\\n\\n« La presse a eu des infos que nous ne comptions pas divulguer et qui n’étaient pas tout à fait justes puisque je répète que Laurent Vila a été reçu, et il le savait par l’intermédiaire d’un texte que je lui avais envoyé avant de partir à Bourg-en-Bresse. Il avait eu l’info par son agent, on venait de perdre de trente points contre Orléans, on avait vu des joueurs le dimanche... On était à la recherche d’une solution en cas d’échec à Bourg-en-Bresse donc on avait anticipé pour faire une jonction possible avec une prise en main de notre entraîneur. Il fallait qu’on soit un petit peu dans l’activité pour trouver des solutions pour la suite. »\\n\\nCependant la forme n’y est toujours pas et tout se serait fait par texto :\\n\\n« C’est vrai que la maladresse est peut-être là, je le reconnais, le l’ai expliqué à Laurent. Mais on a pris un rendez-vous. Pourquoi ? Parce que Laurent a été très vexé de voir ça dans la presse. Je reconnais, je le répète, on a été maladroit, je l’ai été et je m’en suis excusé. Mais la vérité, c’est aussi qu’on a proposé un autre schéma à Laurent, d’intégrer le staff. Tout ça on comptait lui dire après, on avait besoin de savoir quel allait être le résultat de Bourg, comment allait se comporter l’équipe. »\\n\\nSi Laurent Vila s’est laissé le temps de la réflexion quant à son reclassement dans le staff palois, le directeur exécutif du club a évoqué l’épisode d’Eric Bartecheky, qui avait quitté le club pour aller au Mans en 2017 :\\n\\n« Il ne nous avait pas planté, c’est la loi du marché sportif. Je m’entends très très bien avec Eric. Je vous rappelle que c’est moi qui suis allé le chercher la première fois. Quand il est parti, il y a eu une surenchère, c’est quelqu’un qui a de la valeur chez nous. En plus bien lui en a fait puisqu’il a été champion de France avec Le Mans. Malheureusement, on n’avait pas les moyens de le retenir, et maintenant, je suis content qu’il revienne nous prêter un coup de main et je regrette qu’on soit obligé de laisser partir un technicien comme Laurent Vila, un homme qui oeuvre non seulement sur le terrain, mais en dehors du terrain pour la construction du club. Donc oui, c’est un moment difficile pour le club, mais pour moi aussi. »\\n\\nPhoto : Didier Gadou (Élan Béarnais Youtube)" }, {"role": "user", "content":"LFB – Céline Dumerc (Basket Landes) : «S’ils n’étaient pas venus me proposer de re-signer, je n’aurais pas changé d’avis»" }, {"role": "assistant", "content":"Elle devait prendre sa retraite sportive à l’issue de la saison, Céline Dumerc a finalement décidé de jouer un an de plus. Caps vient de s’engager pour la saison 2021-2022 à Basket Landes.\\n\\nAlors que cette saison 2020-2021 devait être le dernier de sa carrière de joueuse professionnelle, Céline Dumerc (1,69 m, 38 ans), légende parmi les légendes du basket-ball français, a décidé de rempiler à Basket Landes.\\n\\n« C’est vrai que cela n’a pas été évident, cela n’a pas tout suite été clair dans ma tête. Quand j’ai vu Marie-Laure, Audrey et Pierre (NDLR : Marie-Laure Lafargue, Audrey Lacroix et Pierre Dartiguelongue) débarquer à la maison, j’ai eu l’impression de vivre le remake cinq ans en arrière quand j’ai quitté Bourges pour venir ici. Je ne l’avait pas vu venir. J’aime tellement ce club et pouvoir donner un coup de main dans cette situation si particulière me tenait à coeur. S’ils n’étaient pas venus me proposer de re-signer, je n’aurai pas changé d’avis, « a t-elle avoué.\\n\\nElle sera donc encore joueuse de l’équipe de Julie Barennes sur les parquets la saison prochaine et explique que c’est le coeur qui a parlé :\\n\\n« On a la chance de vivre des émotions incroyables en faisant du sport de haut-niveau, d’autant plus dans ce club et avec cette année et cette équipe. L’envie de jouer est toujours là, mais maintenant je sais que cette envie de jouer sera toujours en moi, je ne me vois pas un jour détester ce sport-là. »\\n\\nCaps rempile pour un an et elle assure qu’elle ne se prononcera plus sur sa date de fin de carrière et continuera de jouer temps que son corps et sa santé lui permettront. De son côté, la FFBB a accepté de prolonger la période de transition qui doit l’amener à devenir à plein temps la manager générale des Bleues.\\n\\n\\nIl n'y a que les C*** qui ne changent pas d'avis, non?!?\\n\\nRendez-vous sur la page Facebook de Basket Landes – Officiel pour voir la conférence de presse et les dessous de cette décision\\n+ d'informations ➡️https://t.co/vuk0yd3pkH pic.twitter.com/7G07UNRpym\\n\\n— Céline Dumerc (@capsule19) March 19, 2021\\n\\n\\nPhoto : Céline Dumerc (Basket Landes – Just a pics)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les coulisses de la réalisation d’un match à Antares" }, {"role": "assistant", "content":"Momentum Production nous propose les coulisses de la réalisation d’un match de Jeep Elite -en l’occurence Le Mans vs Villeurbannel- à 4 caméras. Caméra 1 alignée sur la ligne médiane, en plan large. Caméra 2 à côté de la caméra 1, en plan serré. Caméra 3 en steadycam bord de terrain et caméra 4 en plan large « aérien »." }, {"role": "user", "content":"Surprise ! Céline Dumerc prolonge sa carrière d’une saison à Basket Landes" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué que nous publions ci-dessous, Basket Landes annonce que Céline Dumerc, 1,69m, 38 ans, a décidé de poursuivre sa carrière de joueuse d’une saison supplémentaire ! Selon le club, la FFBB a accepté de prolonger la période de transition qui doit amener Cap’s à devenir à plein temps la manager générale des Bleues.\\n\\n« C’est avec une immense fierté, joie et espoir de vivre de nouveaux moments partagés, que le club de Basket Landes a le plaisir de vous annoncer que Céline Dumerc (9pts, 3.6 PD, 10,7 d’évaluation moyennes cette saison) a accepté de rempiler pour une saison supplémentaire en 2021-2022.\\n\\nLe casse-tête du remplacement de l’une des meilleures joueuses françaises et européennes des 20 dernières années vient donc de trouver l’issue la plus évidente.\\n\\nQui d’autre pouvait-on convaincre pour prendre sa suite à l’issue d’une saison à la fois exemplaire sportivement mais si frustrante dans ces circonstances COVID privant notre capitaine d’une dernière danse à la hauteur de sa carrière ?\\n\\nBien sûr le respect que nous lui devons nous avait résolu à consentir à ce choix sans sourciller. Mais la voir chaque weekend et chaque semaine réaliser encore des performances de si haut niveau nous a convaincus de briser le pacte.\\n\\n5 ans plus tard, comme lorsqu’elle nous avait accordé l’écoute de notre projet, elle a donc accepté de nouveau de répondre à notre invitation, au profit d’une flamme encore vive d’amour du jeu et d’un engagement sans faille pour les couleurs de notre club.\\n\\nAlors merci Céline de nous offrir cette « dernière dernière danse ». Tu nous accordes là un témoignage de ton immense respect pour le club. Tu nous redonnes là un élan incroyable pour poursuivre la bagarre.\\n\\nNous savons le privilège qui est le nôtre, dirigeants, bénévoles, supporters, partenaires. Comme te l’a dit Pierre Dartiguelongue lorsqu’on est venu te rencontrer il y a une quinzaine de jours avec Audrey Lacroix refaisant le chemin vers Bourges il y a 5 ans : 40 ans dans une carrière XL sera un chiffre si symbolique pour notre département des Landes !\\n\\nMerci également à la Fédération Française de Basket qui t’accompagnera de nouveau dans cette étape en te permettant de prolonger la transition vers ta reconversion auprès de l’Equipe de France féminine.\\n\\nCap sur 2021-2022 qui passera dès mercredi vers la dernière ligne droite d’un championnat aux contours encore incertains et aux aléas quotidiens interminables. C’est pour aborder ces défis avec toute la sérénité nécessaire que nous avons décidé de lever le voile ce matin. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eric Bartecheky (coach Pau) : «Par rapport à mon histoire passée, le break à Gravelines, j’ai tout à prouver»" }, {"role": "assistant", "content":"Trois ans et demi plus tard, Eric Bartecheky est de retour à Pau où son premier passage avait été couronné de succès. Cette fois, il trouve une équipe en lambeaux, partie pour redescendre en Pro B si un sérieux coup de barre ne lui est pas donné. Celui qui succède à Laurent Vila comme coach a donné sa première conférence de presse rapportée par Sud Ouest.\\n\\nIl assure que c’est un plaisir de revenir dans le Béarn:\\n\\n« Je me doutais que quelque chose allait se passer, surtout après Orléans mais je ne pouvais pas savoir que j’étais un candidat qui les intéressait. Dans mes décisions, j’ai toujours fait appel au feeling. Assez rapidement, j’ai senti que je dirai oui parce que c’est l’Elan. C’est le club qui m’a le plus plu, sans faire injure aux autres mais les gens, le Palais, la région... »\\n\\nMais, évidemment, c’est une tâche très ardue qui l’attend avec un match capital face à la Chorale de Roanne demain :\\n\\n« La situation est compliquée. On est bien obligé d’observer ça, les joueurs ont des qualités, si je suis venu c’est parce que j’y crois aussi. Il y a beaucoup de points d’interrogations. Je ne suis pas un magicien, mais je vais y mettre du Bartecheky. De toute façon, je ne sais faire que ça. Par rapport à mon histoire passée, le break à Gravelines, j’ai tout à prouver. Je suis à nouveau à 100%, je veux me donner à fond. Depuis deux, trois mois ma vie a changé. »\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : une France qui stagne" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Yoan Makoundou – Cholet (Photo : BCL)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à la France.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl fut un temps où la Jeep Élite était le championnat européen majeur où les U21 étaient les plus nombreux. Un temps révolu. Non pas que les clubs français rechignent à mettre ces jeunes joueurs sur le terrain – même si l’on constate une légère décrue – mais plutôt parce qu’ils ont été dépassés par ceux d’autres pays. En outre, ces jeunes, qu’ils jouent peu ou beaucoup, ne figurent pas parmi les plus rentables de notre étude en matière de rendement statistique. Ce qui n’incite pas vraiment les entraîneurs à les mettre sur le terrain. En quelque sorte, le serpent se mord la queue...\\n\\nIl n’y a guère qu’en Belgique (un championnat impliquant 10 équipes) avec 6 à 10 matchs joués, et la deuxième division de la Ligue Adriatique (7 matchs), de niveau bien inférieur à la Jeep Élite, que l’on a aussi peu joué qu’en France par la faute de ce satané virus : au moment de l’arrêt de nos statistiques, chaque équipe avait joué entre 8 et 13 matchs. Un contexte qui explique en partie la décrue du nombre de U21 ayant eu l’occasion de fouler le parquet : difficile de tenter des expériences lorsque l’on ne sait pas quand on va jouer ni le nombre de matchs total que comportera la saison. À cet égard, le redémarrage du championnat apportera peut-être des évolutions à la tendance ici constatée. Une tendance qui tient aussi au fait que de plus en plus de jeunes joueurs descendent en Pro B pour trouver du temps de jeu et s’aguerrir : rien que depuis le début de cette saison, quatre U21 (Théo Rey, Hugo Robineau, Arthur Bruyas et Essome Miyem, dans le cadre d’une licence ASP pour ce dernier, lui permettant de jouer alternativement avec Strasbourg et Souffelweyersheim) sont partis en Pro B, y rejoignant d’autres jeunes joueurs comme Louis Marnette, Mathis Dossou-Yovo ou Hugo Besson.\\n\\nCela étant dit, on peut constater que 54 U21 ont foulé le parquet cette saison en Jeep Élite, troisième meilleur total de notre analyse, un chiffre toutefois en retrait par rapport aux saisons précédentes : 63 en 2019-20, 60 en 2018-19. Globalement, leur rendement n’a pas évolué : 1,60 point et 1,49 d’éval (à chaque fois 9e des grands championnats européens de clubs) en 5,62 minutes contre 1,34 pt et 1,41 d’éval en 5,19 mn l’an passé et 1,66 pt et 1,89 d’éval en 5,75 mn la saison précédente. Plutôt jeunes (en moyenne nés en toute fin de 2000), ces U21 Français (on compte cette saison sept étrangers entrés en jeu mais un seul, le Lituanien Arnas Velicka, parti en Allemagne, ayant eu des responsabilités) ne font donc ni mieux ni pire que leurs prédécesseurs.\\n\\nCe qui se confirme lorsque l’on se penche sur ceux qui ont eu un vrai rôle (au moins 5 mn/match sur au moins la moitié des rencontres disputées par le club, sauf blessure). Ils sont 20 dans ce cas cette saison (6e meilleur total de l’étude) contre 21 les deux saisons précédentes. Et leur rendement est plutôt en hausse : 3,59 pts et 3,53 d’évale en 11,6 mn contre 3,06 pts et 3,76 d’éval en 10,96 mn la saison passée et 3,2 pts et 4,06 d’éval en 11,07 mn la précédente. Pour autant, la France se classe 8e de notre étude au niveau des points et de l’éval et 9e pour le temps de jeu. Cela dit, les U21 actuels les plus intéressants voient leur temps de jeu augmenter : ils sont 13 cette saison (5e total de l’étude) à jouer plus de 10 mn/match, contre 11 la saison passée et 9 la précédente. Mais un seul joue plus de 20 mn, Arnas Velicka. Le Lituanien est également le seul joueur à avoir tourné à plus de 10 pts et 10 d’éval de moyenne avant de quitter Champagne Basket après 11 matchs disputés. Plus généralement, le temps de jeu et le rendement des U21 français responsabilisés est dans la moyenne de cette étude, se positionnant le plus souvent entre la 4e et la 5e place, avec notamment 7 joueurs à plus de 5 pts et 6 à 5 d’éval ou plus. Rien de bien mirobolant, mais une certaine densité à noter, donc.\\n\\nJusqu’ici, la Jeep Élite était réputée pour aligner et faire jouer régulièrement un nombre important de très jeunes joueurs, de 17-18 ans. C’est un peu moins vrai cette saison. Si le phénomène Victor Wembanyama (2004) est le seul de sa classe d’âge à évoluer dans un grand championnat national, aucun 2003 n’a eu l’honneur du parquet alors que seuls trois joueurs nés en 2002 ont eu cette chance, contre, par exemple, 4 en Lituanie et en Ligue Adriatique, 5 en Allemagne, 6 en Belgique.\\n\\nLe cinq majeur\\n\\nEn ce qui concerne le cinq majeur des U21 de Jeep Élite, ce qui saute tout de suite aux yeux, c’est sa baisse de rendement par rapport à ses prédécesseurs : ceux de la saison passée valaient 6,38 pts et 8,58 d’éval en 18,16 mn, ceux de la précédente 7,38 pts et 8,5 d’éval en 20,66 mn. Contre 6,22 pts et 6,64 d’éval en 16,40 mn cette année. Une décrue constante qui s’explique en grande partie par la sortie du cadre de cette étude des 1998 (ils étaient trois dans le cinq majeur la saison passée) ainsi que par le départ de forts potentiels comme Théo Maledon.\\n\\nAutre enseignement frappant : alors que le cinq majeur U21 de 2018-19 était celui qui avait le plus de temps de jeu en Europe, celui de cette année est 7e, alors qu’il est 6e aux points marqués et 7e à l’éval. Voilà un autre symptôme marquant du nivellement par le bas de l’élite des U21 évoluant en France (la nuance tenant au fait que certains, comme Théo Maledon ou Killian Hayes, sont déjà en NBA, alors que certains potentiels comme Malcolm Cazalon ou Tom Digbeu évoluent ailleurs en Europe, sans oublier ceux qui s’expriment en Pro B).\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationYoan Makoundou4CholetFrance2000815,57,39,1Hugo Benitez1BourgFrance20011017,24,97,6Ivan Février4NanterreFrance1999916,86,76,3Matthieu Gauzin1ccrbFrance20011118,06,25,3Matthew Strazel1AsvelFrance2002814,56,04,9Moyenne2000,609,2016,406,226,64\\n\\nLa constitution de ce cinq majeur appelle quelques commentaires. Tout d’abord sur deux absents qui auraient pu y figurer. Arnas Velicka (1999) aurait fait un beau MVP s’il n’avait quitté le CCRB pour l’Allemagne (11,4 pts et 11,7 d’éval en 25,2 mn). Pour sa part, l’interminable Victor Wembanyama (2,20 m, 2004) a montré de très belles choses (3,0 pts et 6,5 d’éval en 10,0 mn) mais n’a pu jouer que deux matchs avant de se blesser. Nul doute qu’une fois rétabli il continuera à monter en puissance.\\n\\nPour le reste, Hugo Benitez, qui avait fini la saison précédente sur les chapeaux de roue (9,2 d’éval en 17,2 mn) a confirmé en ce début de saison, s’imposant comme un élément important de la rotation burgienne. Ludovic Beyhurst, lui, n’a pas validé son excellent passage à Limoges en fin de saison dernière, peinant cette saison à trouver ses marques (2,4 pts et 2,9 d’éval en 13,7 mn), d’où son absence de ce cinq majeur, où figure le bien connu Ivan Février ainsi que deux très jeunes joueurs, Matthieu Gauzin et Matthew Strazel, qui n’en finit pas d’épater en Jeep Élite comme en Euroleague, du haut de ses 18 ans.\\n\\nLe MVP : Yoan Makoundou\\n\\nQuant au MVP de ce début de saison, il s’agit sans contestation possible de Yoan Makoundou (2,06 m), intérieur athlétique qui a littéralement explosé cette saison, se montrant capable, surtout sur ses derniers matchs, d’énormes performances : 19 pts, 5 rebonds et 24 d’éval à Strasbourg, 14 pts, 7 rbds, 2 contres et 20 d’éval à Gravelines-Dunkerque. Et il a réalisé des sorties du même tonneau en BCL, démontrant qu’il s’agit d’un garçon réellement très prometteur (lire le portrait que nous lui avions consacré ICI).\\n\\nEn conclusion\\n\\nAlors qu’elle figurait dans le haut du classement des championnats nationaux il y a deux saisons, la Jeep Élite est depuis rentrée dans le rang. Elle figure toujours parmi les compétitions permettant au plus grand nombre de U21 de s’exprimer. Mais, si le nombre est toujours là, la qualité d’ensemble de ces jeunes joueurs est plutôt à la baisse, pour des raisons que nous avons déjà évoquées. Il faudra voir, dans les prochaines années, si les U21 qui ont été s’aguerrir en Pro B remonteront à l’étage supérieur et pourront rehausser le niveau. En attendant, on constate que la marche entre le championnat Espoirs et la Jeep Élite est toujours aussi haute pour la plupart des joueurs.\\n\\nProchain championnat étudié : l’Esake grecque.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la Liga ACB espagnole, c’est ICI\\n\\n–\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nIl fut un temps où la Jeep Élite était le championnat européen majeur où les U21 étaient les plus nombreux. Un temps révolu. Non pas que les clubs français rechignent à mettre ces jeunes joueurs sur le terrain – même si l’on constate une légère décrue – mais plutôt parce qu’ils ont été dépassés par ceux d’autres pays. En outre, ces jeunes, qu’ils jouent peu ou beaucoup, ne figurent pas parmi les plus rentables de notre étude en matière de rendement statistique. Ce qui n’incite pas vraiment les entraîneurs à les mettre sur le terrain. En quelque sorte, le serpent se mord la queue...\\n\\nIl n’y a guère qu’en Belgique (un championnat impliquant 10 équipes) avec 6 à 10 matchs joués, et la deuxième division de la Ligue Adriatique (7 matchs), de niveau bien inférieur à la Jeep Élite, que l’on a aussi peu joué qu’en France par la faute de ce satané virus : au moment de l’arrêt de nos statistiques, chaque équipe avait joué entre 8 et 13 matchs. Un contexte qui explique en partie la décrue du nombre de U21 ayant eu l’occasion de fouler le parquet : difficile de tenter des expériences lorsque l’on ne sait pas quand on va jouer ni le nombre de matchs total que comportera la saison. À cet égard, le redémarrage du championnat apportera peut-être des évolutions à la tendance ici constatée. 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Par ailleurs, deux matches de Pro B sont visibles en clair sur les stations régionales de France 3.\\n\\nJeep® ÉLITE\\nSamedi 20 mars\\n18h30 Cholet Basket – AS Monaco Basket\\n19h00 EB Pau-Lacq-Orthez – Chorale de Roanne\\nDimanche 21 mars\\n17h00 Elan Chalon/Saône – ESSM Le Portel\\nMardi 23 mars\\n19h00 LDLC ASVEL – Nanterre 92\\nMercredi 24 mars\\n20h00 JL Bourg-en-Bresse – BCM Gravelines-Dunkerque\\n\\nPROB\\nVendredi 19 mars\\n18h00 Saint-Quentin BB – Lille Métropole Basket\\n19h00 JA Vichy-Clermont Métropole – Saint-Chamond Basket VCB\\n19h00 Fos Provence Basket – Poitiers Basket Basket\\n19h00 ADA Blois – Rouen Métropole Basket\\n20h00 Antibes Sharks – Béliers de Kemper\\nDimanche 21 mars\\n15h20 SLUC Nancy – Nantes Basket Hermine\\nà partir de 15h45 (léger différé) sur France 3 Lorraine et France 3 Pays de la Loire\\n15h45 Paris Basketball – ASC Denain Voltaire PDH\\nen direct sur France 3 Paris Ile-de-France et France 3 Nord-Pas de Calais\\nMercredi 24 mars 2021\\n19h00 BC Gries-Oberhoffen – Fos Provence Basket\\n\\nPour suivre la rencontre Nancy / Nantes sur France 3 :\\nTNT Canal 3 en région Lorraine et Pays de la Loire – Sur les Boxes : Bouygues canal 485 ou 489 – Free canal 317 ou 321 – Orange canal 320 ou 316 – SFR canal 450 ou 446 – Satellite : Canal Sat canal 369 ou 358 et sur LNB.tv\\n\\nPour suivre la rencontre Paris / Denain sur France 3 :\\nTNT Canal 3 en région Ile-de-France et Nord-Pas de Calais – Sur les Boxes : Bouygues canal 488 ou 487 – Free canal 320 ou 319 – Orange canal 319 ou 318 – SFR canal 449 ou 448 – Satellite : Canal Sat canal 368 ou 367 et sur LNB.tv" }, {"role": "user", "content":"Gabby Williams (Sopron): Une option pour l’équipe de France... après les JO" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la très large victoire (94-66), mercredi, du Sopron Basket sur l’ASVEL lors du match aller de quart-de-finale d’Euroleague, Gabby Williams (1,80m) s’est révélée la numéro 1 à l’évaluation (25) avec 24 points (10/16 aux shoots), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception et 1 balle perdue.\\n\\nCe n’est pas surprenant. L’ex-Montpelliéraine est l’une des meilleures joueuses d’Euroleague et au-delà de ses statistiques offensives, il faut savoir que sa spécialité, c’est la défense. Son poste de prédilection est small forward mais elle peut jouer en 4 et au Chicago Sky, son coach James Wade, l’utilise comme... meneuse. Un tel don d’ubiquité est rare à ce niveau. A propos de WNBA, l’été dernier, en venant du banc, elle a obtenu ses meilleures stats dans la ligue: 7,7 points, 4,0 rebonds, 2,0 passes et 1,3 interception en 25′.\\n\\n\\nComme Bria Hartley, Gabby Williams est issue de la prestigieuse université de Connecticut et comme Bria Hartley elle possède le passeport français grâce à sa grand-mère, ce que nous avait expliqué en détails sa mère.\\n\\n« Ma famille du côté de ma mère est française. Ma grand-mère est née en France et une partie de ma famille vit à Paris », a t-elle expliqué au site swish-swish. « Pour moi, c’était super de pouvoir jouer ici. Déjà parce que je jouais en Espagne avant, où je ne comprenais pas le catalan, et en Italie, où je ne comprenais pas grand chose non plus (rires). Là, pouvoir rendre visite à ma famille, comprendre et parler la langue, ça m’a permis de me sentir un peu plus chez moi. »\\n\\nIl est d’ailleurs à remarquer que c’est comme française qu’elle a été déclarée dès son arrivée en Europe, à Naples. A priori, Gabby Williams est encline à jouer pour l’équipe de France. Seulement, comme elle n’a pas opté avant 16 ans pour la nationalité française, elle est considérée par la Fédération Internationale comme une naturalisée. Or, la FIBA en accepte une seule par équipe nationale à la fois. La place est occupée depuis novembre 2018 par Bria Hartley, qui a apporté un bonus très appréciable aux Bleus au poste de combo guard.\\n\\nSeulement, victime d’une blessure au genou, Bria Hartley est incertaine pour l’Euro et les JO de Tokyo de cet été. A la question de savoir si Gabby Williams pouvait représenter une option de remplacement, lors d’une récente conférence de presse, la coach Valérie Garnier a été claire: pas question pour le moment de bouleverser le groupe France.\\n\\n« Je connais sa motivation et elle parle le français. Je suis allée voir un match à Lattes l’année dernière et j’ai parlé avec elle. On a remis éventuellement l’étude de ce dossier après les Jeux olympiques de 2021. »\\n\\nMême si c’est pour éventuellement 2022, même s’il est logique, humain, de donner la priorité à Bria Hartley qui s’est investie avec ardeur en équipe de France, il ne faut pas négliger la candidature de Gabby Williams qui si elle continue à progresser au fil des ans -elle n’a que 24 ans- pourrait aussi postuler à Team USA.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Focus sur Guershon Yabusele (ASVEL)" }, {"role": "assistant", "content":"L’Euroleague a réalisé cette vidéo sur l’ailier villeurbannais Guershon Yabusele. C’est en anglais.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pro B : L’Américano-Nigérian Ike Iroegbu en pigiste à Rouen" }, {"role": "assistant", "content":"L’Américano-Nigérian Ike Iroegbu (1,88m, 25 ans) est le nouveau pigiste médical du RMB pour pallier l’absence de Ryan Harrow.\\n\\nAprès avoir satisfait aux contraintes sanitaires imposées par son statut de joueur extra-communautaire arrivant des Etats-Unis et observé une septaine d’isolement, ce combo guard intégrera dimanche après-midi les entrainements collectifs avec sa nouvelle équipe pour être opérationnel pour la réception de l’équipe du Paris BR au Kindarena le vendredi 26 mars.\\n\\nREPÈRES :\\n\\n * Né le 14 mars 1995\\n * Binational Américain et Nigérien\\n * Ike a joué avec la sélection Nigerienne en 2017 à l’AfroBasket (2ème) et est nommé dans le meilleur cinq majeur du tournoi, et en 2021.\\n\\nPARCOURS :\\n\\n * 2013-17 : Washington State Cougars (NCAA)\\n * 2017-18 : Agua Caliente Clippers (G-League)\\n * 2018-19 : Science City Jena (Allemagne) puis Lietkabelis (Lituanie)\\n * 2019-20 : Capital City (G-League)\\n * 2020-21 : Rasta Vechta (Allemagne) puis Rouen Métropole Basket\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=k4MLDISoWu0&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Décès de l’ancien international Jean-Daniel Vinson" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien international Jean-Daniel Vinson est décédé à l’âge de 82 ans.\\n\\nCet ailier de 1,88m fut l’un des symboles du Stade Français Paris dont il était le président d’honneur, et il a obtenu 25 sélections en équipe de France de 1957 à 1963, ce qui lui a permis de participer au championnat du Monde de 1963 où les Bleus se classèrent 5e.\\n\\nPhoto: Club des internationaux" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Un salaire minimum annuel de 28 000 euros" }, {"role": "assistant", "content":"Une nouvelle convention collective dans le basket espagnol, signée par l’Association espagnole des employeurs de basket-ball et l’Association des joueurs professionnels de basket-ball (ABP) et qui réglemente les droits et les obligations des clubs et des joueurs professionnels jusqu’au 30 juin 2022, entre en vigueur.\\n\\nL’accord stipule, parmi de nombreux autres points, que la rémunération mensuelle minimale pour les joueurs sera de 28 000 euros. De plus, lorsqu’un club souhaite renouveler le contrat d’un joueur, il doit offrir au moins le même salaire que celui-ci avait avec le contrat précédent.\\n\\nD’autre part, cette convention établit les conditions du Fonds spécial de garantie qui sert à garantir le paiement de certaines dettes contractées par les clubs auprès des joueurs qui participent ou ont participé aux compétitions organisées par l’ACB. À ce fonds, l’ACB alloue 1,8 million d’euros et les joueurs peuvent recevoir un maximum de 90 000 euros par saison.\\n\\nL’accord stipule également que les clubs ne peuvent pas disputer plus de 75 matches nationaux par saison, sauf accord, et que l’ACB ne programme pas de compétitions entre le 24 et le 26 janvier. De plus, il est prévu un repos hebdomadaire minimum d’un jour et demi et d’accorder aux joueurs 45 jours calendaires de vacances entre juin et juillet." }, {"role": "user", "content":"LFB : Valériane Vukosavljevic (Basket Landes) absente pour environ quatre semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Nouveau coup dur pour Basket Landes. Après la blessure de Nevena Jovanovic, c’est Valériane Vukosavljevic qui est à son tour sur la touche. L’ailière de 26 ans avait été ménagée face à Montpellier, match auquel elle n’avait pas pris part en raison d’une douleur au genou. Après des examens complémentaires réalisés cette semaine, il s’avère que l’internationale devra être éloignée des terrains pour environ 4 semaines. Cependant le staff landais espère son retour pour les playoffs.\\n\\nLa coach Julie Barennes devra faire sans sa joueuse pour les quatre derniers matchs de cette saison régulière. Le club Landais se laisse le choix de recourir ou non à un joker médical pour pallier cette absence.\\n\\n\\nIl y a des fois où il faut accepter faire quelques pas en arrière pour pouvoir sauter aussi loin voire plus loin que je l’imagine ! 🦋\\n\\n4 semaines. 4 semaines d’arrêt mais 4 semaines où je vais pouvoir me soigner afin d’appréhender au mieux la fin de saison 1/2 pic.twitter.com/urgRDrH0E4\\n\\n— Valériane Ayayi Vukosavljevic (@valeriane_ayayi) March 18, 2021\\n\\n\\nPhoto : Valériane Vukosavljevic (Basket Landes – Just a pics)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite – Laurent Legname : «Je souhaite emmener la JL Bourg au sommet du basket français»" }, {"role": "assistant", "content":"Après six saisons à la JDA Dijon, Laurent Legname rejoindra la JL Bourg à partir de la saison prochaine pour une durée de trois ans. Il s’est présenté ce jeudi lors d’un point presse.\\n\\nLe nouveau cycle de la JL Bourg s’écrira avec Laurent Legname. Le technicien varois de 43 ans a accepté l’offre présentée par le président Julien Desbottes et le directeur sportif Frédéric Sarre, malgré d’autres opportunités, notamment à l’étranger. C’est à Bourg-en-Bresse qu’il se voit progresser dans sa carrière d’entraîneur.\\n\\n« Après six années à la JDA, j’avais besoin de changer, c’était un cheminement personnel. Dijon voulait me garder mais il fallait que je trouve un club qui soit porteur d’ambitions similaires à mes attentes. J’ai vu que Bourg avait progressé au niveau des structures, et sportivement des choses se mettaient en place depuis l’accession de Pro B en Jeep Elite, il y a quatre ans. Il m’a semblé que c’était le meilleur choix à ce moment de ma carrière pour progresser et essayer d’aller encore plus haut. J’avais besoin de ce challenge et pourquoi pas emmener la JL Bourg au plus haut sommet du basket français », expose le futur coach des Burgiens.\\n\\nHeureux d’annoncer la venue de Laurent Legname sur le banc de la Jeu, le président Julien Desbottes est revenu sur ce choix.\\n\\n« La courbe d’ascension du club et celle de Laurent (NDLR : Legname) m’ont semblé converger. Nous avons beaucoup réfléchi car nous tenons beaucoup à Savo (NDLR : Vucevic) et il fallait tourner cette page qui nous a amené au plus haut de notre histoire aujourd’hui. »\\n\\nQuand il s’agit de parler d’objectifs, l’actuel coach dijonnais, prend les choses les unes étape par étape :\\n\\n« C’est trop tôt pour en parler. Déjà, il y a une saison à terminer avec nos clubs respectifs et après nous aurons le temps d’en parler. Pour ma part, je n’ai jamais fixé d’objectif de finir premier, troisième ou dans le top 8. Le but est de gagner le plus de matches possible et normalement si on gagne le maximum de matchs, nous sommes pas loin des premières places. C’est un championnat homogène, tellement difficile, il ne faut pas se mettre plus que pression que ça. Bien sûr, tout le monde me connait et connait mon envie de gagner, ça ne changera pas. Sans pression excessive, il faudra prendre match par match et aller le plus loin possible en Eurocup et en championnat pour tutoyer les sommets. »\\n\\nQuant à l’issue de la saison avec Dijon, Laurent Legname n’hésitera pas à bousculer son futur club lors d’une confrontation directe, surtout si c’est pour terminer sur un titre.\\n\\n« Si je ne finis pas sur un titre, je ne pense pas qu’on va me reprocher mes six années à Dijon. Du moins, je n’espère pas. Après, bien sûr, comme toutes les équipes, nous allons tout faire pour ramener un titre en championnat ou en coupe de France. Maintenant, la saison est tellement particulière avec des matchs à répétitions et beaucoup de blessés. Nous verrons au moment où nous allons enchaîner trois matches par semaine. Cependant, je vais tout faire pour essayer de gagner ces deux titres là, même s’il y a des grosses écuries en face comme Monaco, l’Asvel, Boulogne-Levallois et Bourg. Si nous n’avons pas de titre, nous aurons quand même accompli de très belles choses tous ensemble. »\\n\\nPhoto : Laurent Legname (JDA Dijon)" }, {"role": "user", "content":"Kyle Milling succède à Laurent Legname à la JDA Dijon" }, {"role": "assistant", "content":"A peine Laurent Legname a t-il annoncé qu’il rejoint la JL Bourg que la JDA Dijon rend officiel le nom de son successeur, Kyle Milling, 46 ans, qui lui aussi appartient à la filière Hyères-Toulon.\\n\\nNé dans l’Illinois, aux Etats-Unis, le 27 juillet 1974, Kyle Milling a lancé sa carrière à l’université de Santa-Barbara (1992-1994) avant de rejoindre celle des Ducks de l’Oregon (1995-1997).\\n\\nAprès un passage au Japon, il est repéré à l’âge de 23 ans par le staff de l’Hermine de Nantes et démarre ainsi sa carrière en France tout en obtenant sa naturalisation. Fort de son style jeu défensif et athlétique, il enchaine les expériences à Reuil, Pau-Lacq-Orthez et termine au Hyères-Toulon Basket pendant 7 saisons (2002-2009) avec l’actuel directeur sportif de la JDA, Jean-Louis Borg, comme coach.\\n\\nC’est également du côté de la rade de Toulon qu’il débute sa carrière de technicien en tant qu’assistant coach avant de prendre les rênes de l’équipe en 2015.\\n\\nPour sa première saison en bout de banc, il propulse le HTV en Jeep Elite et obtient le titre de meilleur coach de Pro B. La saison suivante et malgré le plus petit budget du championnat, il met son ADN défensive et son expérience au service du groupe en maintenant le club varois en première division.\\n\\nPerformance qui ne passe pas inaperçue et qui intéresse les grosses cylindrées, comme Limoges où il s’engage en mai 2017. Dans le Limousin, il réalise une très bonne première saison, décrochant la 4e place au classement, qualifiant le CSP en demi-finales des playoffs mais aussi au Top 16 de l’Eurocup. La saison suivante, le CSP se sépare de lui en novembre 2018.\\n\\nÀ la suite de cette expérience, il décide de prendre du recul avant de s’engager en mai 2020 avec le club des B-Corsairs de Yokohama (Japon) où il évoluait jusqu’à présent.\\n\\nPhoto: JDA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : blessé, Ali Traoré (Antibes) sera absent contre Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Souffrant d’un traumatisme au genou, Ali Traoré (2,05 m, 36 ans) a été arrêté par le staff médical des Sharks d’Antibes.\\n\\nL’intérieur sera absent pour la réception de Quimper, ce vendredi (20 h). Le joueur effectuera des examens complémentaires afin de connaître la gravité de sa blessure et la durée de son indisponibilité.\\n\\nL’ancien international tricolore a précisé sur les réseaux sociaux qu’il a été mis au repos pour raison médicale et familiale.\\n\\nSportando annonce par ailleurs le recrutement d’un nouvel intérieur en début de semaine prochaine : le Nigérian Michael Fakuade (2,02 m, 32 ans), déjà vu à Châlons-Reims et Orléans.\\n\\nPhoto : Ali Traoré (Sharks d’Antibes)" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France Féminine : Deux matches contre l’Espagne à Toulouse en préparation" }, {"role": "assistant", "content":"Jacques Commères (Directeur des Équipes de France et de la Performance) et Valérie Garnier (entraîneur de l’Équipe de France féminine) ont dévoilé ce jeudi le programme de préparation des Bleues en vue de l’EuroBasket 2021 (17 au 27 juin). Il y aura six matches de préparation face à des équipes européennes, à Toulouse puis Mulhouse notamment.\\n\\nLes Bleues joueront ainsi deux fois face à l’Espagne, qui est championne d’Europe en titre. Ces matches étaient prévus en février mais avaient dû être reportés en raison de cas de COVID-19 au sein de la sélection espagnole.\\n\\nMi-avril, Valérie Garnier annoncera la composition du Groupe France qui débutera la préparation à l’EuroBasket le dimanche 16 mai à Toulouse. Son commentaire :\\n\\n« Nous avons de grandes ambitions avec l’Équipe de France féminine cet été, avec pour commencer l’Euro 2021 dont le 1er tour et deux quarts de finale se déroulent en France. Pour cela, nous avons construit une campagne de préparation ambitieuse malgré les contraintes actuelles, avec six matches et des adversaires du top niveau européen. Au-delà de l’Espagne, championne d’Europe en titre, l’Italie, la Suède et la Turquie sont des équipes très compétitives ».\\n\\n\\nPREPARATIONDatesMatchLieuDimanche 16 maiDébut du stageToulouseDimanche 23 mai à 17h00*France-EspagneToulouse – Palais des SportsLundi 24 mai à 17h00*France-EspagneToulouse – Palais de SportsVendredi 28 maiDébut du stageMulhouseMardi 1erjuin à 20h30*France-Italieà définirMercredi 2 juin à 20h30*France-Italieà définirSamedi 5 juin à 20h30*France-SuèdeMulhouse – Palais des SportsDimanche 6 juin à 17h00*France-TurquieMulhouse – Palais des SportsEUROBASKETDatesMatchLieuVendredi 11 juinDébut du stageStrasbourgJeudi 17 juin1ertour / France-CroatieStrasbourg – Rhénus SportVendredi 18 juin1ertour / Rép. Tchèque-FranceStrasbourg – Rhénus SportDimanche 20 juin1ertour / France-RussieStrasbourg – Rhénus SportLundi 21 juinMatch de barrageStrasbourg – Rhénus SportMercredi 23 juinQuart de finaleStrasbourg – Rhénus SportJeudi 24 juinTransfert en EspagneSamedi 26 juinDemi-finaleValence (Espagne)Pavelló Municipal Font de Sant LluísDimanche 27 juinFinaleValence (Espagne)Pavelló Municipal Font de Sant Lluís\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"N2 : Des repreneurs potentiels pour Hyères-Toulon" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’un rapprochement avec le Hyères FC de Mourad Boudjellal ne semble plus pour l’instant d’actualité, Var Matin annonce que des investisseurs sont sur un projet de reprise du Hyères-Toulon Var Basket. Il s’agit de l’imprimeur Riccobono et du spécialiste de transport sanitaire Loudane.\\n\\n« Ensemble, les entrepreneurs ont rencontré les dirigeants et envisagent la possibilité de recréer une SASP (Société anonyme sportive professionnelle) appelée à gérer l’équipe première – actuellement en N2 – et les contrats pros. Un sésame pour bien structurer le club et à nouveau envisager un retour au premier plan », écrit le quotidien.\\n\\nRappelons que les droits sportifs du HTV, qui descendait de Pro A en Pro B, avait été cédés en 2018 au Paris Basketball et le club varois était reparti en N3. Contacté, le manager général d’Hyères-Toulon, William Dumas, complète :\\n\\n« Avant de parler d’objectifs et d’ambitions sur le terrain, il faut des bases. Depuis septembre, on travaille sur l’arrivée d’investisseurs. On cherche à développer le club, mais pas par n’importe quel moyen. »" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Laurent Legname (coach Dijon) aux commandes de la JL Bourg la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelques semaines, la JL Bourg annonçait le départ de son coach Savo Vucevic en juin 2021. Le club bressan révèle l’identité de son successeur pour les trois prochaines saisons. Il s’agit de Laurent Legname, l’actuel entraineur de la JDA Dijon.\\n\\nÀ l’été 2021, un nouveau cycle débutera bien au sein de la JL Bourg. La direction de l’actuel 3e de Jeep Elite a choisi Laurent Legname (43 ans) pour remplacer Savo Vucevic, apprend-on par un communiqué ce jeudi matin. De son côté, la JDA Dijon remercie le technicien varois pour son investissement, même si le club regrette déjà son futur départ.\\n\\n« Laurent Legname a souhaité activer sa clause contractuelle de sortie. De ce fait, il n’effectuera pas sa dernière année de contrat sur le banc de la Jeanne pour la saison 2021-2022. En conséquence, le club prend acte de sa décision et la respecte même si elle n’était pas désirée par la direction. Nous le remercions pour ses six saisons passées à la JDA et lui souhaitons chaleureusement le meilleur dans la poursuite de sa carrière de coach. Cependant, la saison actuelle n’étant pas terminée, nous avons entière confiance en sa capacité à faire briller son effectif comme il a su le faire jusque-là« , souligne le club dijonnais par ce communiqué.\\n\\nAvant d’être un coach reconnu, Laurent Legname s’était fait un nom en tant que joueur à Hyères-Toulon. C’est ensuite dans le costume d’entraineur qu’il s’est épanoui, d’abord avec son fidèle à son club de coeur, puis à la JDA Dijon, qu’il a menée progressivement vers les sommets du basket français et même européen. Cinquième de la saison 2017-18, troisième en 2018-19, vainqueur de la Leaders Cup en 2020, médaillé de bronze en BCL cette saison... Son départ sera regretté en Côte d’Or.\\n\\nLe coach s’est engagé dans l’Ain pour trois saisons et se présentera lors d’une conférence de presse ce soir à 18h30 sur YouTube. En attendant cette nouvelle aventure, la saison actuelle est loin d’être terminée. Chacun de leur côté, Laurent Legname et Savo Vucevic, menant tous deux leur équipe dans le top 3 de Jeep Elite, tenteront d’aller chercher un titre en fin de saison.\\n\\n\\n🔴 OFFICIEL\\n⚪️ La Direction de la JL a pris la décision d’accorder sa confiance à Laurent Legname, actuel coach de la @jdadijonbasket, pour mener le futur cycle sportif qui commencera à l’été 2021.\\n\\nLire le communiqué 🔗 https://t.co/qCafmie4HU pic.twitter.com/jcv1gCqYSk\\n\\n— JL Bourg Basket (@JLBourgBasket) March 18, 2021\\n\\n\\nPhoto : Laurent Legname (LNB)" }, {"role": "user", "content":"Italie: Le président de la Fortitudo Bologne décide de geler les salaires des joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Mécontent des résultats de son équipe, la direction de la Fortitudo Bologne a pris la décision de bloquer le paiement des salaires des joueurs, indique le Corriere di Bologna.\\n\\nLa décision leur a été communiquée oralement par le président Christian Pavani, qui se sent « trahi » et les joueurs ont par la suite reçu un courrier qui a officialisé ce choix. Il s’agit, semble t-il, d’une tentative de secouer l’équipe en vue du match décisif de vendredi soir contre Reggio Emilia.\\n\\nAprès de récentes défaites, Fortitudo est dernier du classement de Serie A en compagnie de quatre autres équipes: Varèse, Cantù, Trente et Reggio Emilia, son prochain adversaire.\\n\\nPas sûr que cette méthode ait l’effet escompté et à savoir si elle est légale." }, {"role": "user", "content":"L’ancien international allemand Shawn Bradley paralysé suite à un accident de la circulation" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien joueur de la NBA et international allemand, Shawn Bradley (2,29m, 48 ans), a révélé être paralysé depuis deux mois après qu’un véhicule l’ait heurté alors qu’il faisait du vélo près de chez lui dans l’Utah. L’accident a provoqué une blessure traumatique à la moelle épinière.\\n\\n« Avec sa femme Carrie à ses côtés 24 heures sur 24 et soutenu par une équipe incroyable de spécialistes en réadaptation et de sa famille, Bradley a le moral », indique un communiqué. « Il prévoit d’utiliser son accident comme plate-forme pour sensibiliser davantage le public à l’importance de la sécurité à vélo.»\\n\\nShawn Bradley fut membre de l’université de Brigham Young avant de partir en mission pendant deux ans en Australie en tant que membre de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours.\\n\\n« Son très fort sens de la foi est mis à l’épreuve alors qu’il participe à une thérapie physique exténuante et apprend à faire face aux défis de la paraplégie », indique le communiqué. « Les médecins l’ont informé que son chemin vers la guérison sera à la fois long et ardu, peut-être un défi physique encore plus difficile que de jouer au basket-ball professionnel. »\\n\\nShawn Bradley a joué 832 matches en NBA à 8,1 points et 6,3 rebonds. Né à Landstuhl, en Allemagne, il possède la double nationalité et il a disputé au côté de Dirk Nowitzki le championnat d’Europe 2001 (4,6 points et 3,6 rebonds) obtenant avec l’équipe allemande la 4e place." }, {"role": "user", "content":"En direct avec... Danilo Anđušić (JL Bourg) : «J’aimerais retourner en Euroleague, c’est mon objectif principal»" }, {"role": "assistant", "content":"L’histoire entre le club et l’ancien du Partizan Belgrade ne devait durer qu’un temps, mais voilà, un an et demi après, l’idylle continue avec la Jeu. La JL Bourg aime Danilo Anđušić (1,95m, 29 ans) et le Serbe aime la Jeep Elite. Véritable pilier de cette équipe, le natif de Belgrade continue de faire les beaux jours dans l’Ain en tant que meilleur scoreur du championnat (19,5 points en moyenne par match). Entre obligations familiales et temps libre, Danilo Anđušić a pris le temps de répondre à nos questions pour notre traditionnelle rubrique « En direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nJ’avais 16 ans. J’étais encore en formation au KK Mega Bemax et c’est là que j’ai commencé à jouer avec l’équipe professionnelle et à m’entraîner avec eux. Et si je me souviens bien, c’était juste un match dans un camp d’entraînement mais j’ai eu droit à quelques minutes. Mon premier match officiel c’était à l’âge de 17 ans en deuxième division serbe. J’en garde un très bon souvenir car cette année-là, j’ai décidé d’aller en ligue professionnelle pour voir ce que c’était et à quel point c’était dur, parce que je pensais que c’était vraiment important pour la suite de ma carrière et ça m’a beaucoup aidé. Vous savez, c’est vraiment différent quand vous jouez avec des joueurs expérimentés.\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nQuand j’étais petit, mon modèle était Miloš Vujanić. Ensuite, mon idole était Allen Iverson et je dois dire que j’ai de très bons souvenirs car j’ai eu l’occasion de jouer contre lui quand il était Besiktas lors de la saison 2010-2011 et que je jouais avec Vrsac en Eurocup. Je rêvais d’être comme eux quand j’étais jeune. Plus tard, j’ai eu l’occasion de travailler avec Miloš Vujanić parce qu’il était assistant coach au Partizan Belgrade et nous étions de bons amis. J’ai donc appris quelque chose de lui et je suis heureux de cela.\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nC’est difficile de choisir parce que comme je l’ai dit pour mon joueur préféré, j’ai joué contre beaucoup de grands joueurs. Pour moi, le plus coriace a été Juan Carlos Navarro. C’est un joueur génial et incroyable, il était partout sur le terrain et marquait de n’importe quelle position. Il y a eu aussi Tony Parker quand j’ai joué contre lui en équipe nationale ainsi que Vassilis Spanoulis (Olympiakos).\\n\\nQui est le meilleur joueur actuel de Jeep Elite ?\\n\\nCette saison, je dirai Isaia Cordinier (Nanterre 92). J’aime beaucoup ce joueur et sa façon de jouer, il va devenir un très bon joueur d’Euroleague. C’est le meilleur mais après c’est moi (rires).\\n\\nQuel a été le joueur qui vous a le plus marqué ?\\n\\nCeux qui m’ont le plus impressionné sont Miloš Teodosić, Keith Langford et Raül López. Tous ont quelque chose de spécial, c’est pour ça qu’ils m’ont marqué et je ne peux pas n’en choisir qu’un.\\n\\n« je n’irai jamais à l’Étoile Rouge de Belgrade car j’ai joué pour le Partizan et les supporters le prendraient mal »\\n\\nQuel est le club dans lequel vous rêvez de jouer ?\\n\\nJe ne sais pas. Je n’ai pas de volonté de jouer pour un club spécifique ou un club dont je rêve. J’aimerais juste retourner en Euroleague, c’est mon objectif principal. Sinon, j’aimerais quand même jouer pour Istanbul un jour, parce que je n’ai jamais eu la chance de jouer en Ligue turque. La ligue turque est l’une des meilleures en Europe après l’Espagne. Et sinon, je n’irai jamais à l’Étoile Rouge de Belgrade car j’ai joué pour le Partizan et les supporters le prendraient mal. (Rires)\\n\\nQuelle est la salle proposant la meilleure ambiance ?\\n\\nLa salle avec la meilleure ambiance est celle du Partizan Belgrade. Les fans du Partizan sont les meilleurs aux monde. Pour eux, le club est une sorte de religion. Lors des matchs, vous entrez sur le terrain et vous ne pouvez pas entendre vos coéquipiers lorsque vous parlez sur le terrain. Cette ambiance fait partie des meilleurs moments de ma carrière. Ce ne sont pas seulement les meilleurs supporters en Europe mais dans le monde.\\n\\nEt la ville où vous avez préféré jouer ?\\n\\nJ’aime Kazan (Russie). C’est l’une de mes villes préférées. J’ai évolué dans un bon club avec de supers co-équipiers. Et ensuite c’est l’Espagne, j’aime beaucoup le pays, le style de vie et le type de basket. Probablement que l’Espagne est le pays que j’aime le plus parce car j’ai appris la langue et c’était une belle expérience.\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir ?\\n\\nMon premier titre avec le Partizan. C’est vraiment le souvenir le plus important. Le Partizan est un grand nom du basket en Europe. Depuis que je suis enfant, j’ai fait le choix du Partizan et je suis toujours allé voir les matchs en étant petit. Pour moi, l’opportunité d’avoir revêtu ce maillot a été comme porter celui de l’équipe nationale. Je ne peux vraiment pas décrire avec des mots ces moments. C’est le premier club avec lequel j’ai gagné un championnat (NDLR : en 2012), la coupe nationale et également avec qui j’ai joué l’Euroleague. Si un jour je dois en parler à mes enfants, ce sera certainement le premier club que j’évoquerais.\\n\\nÀ l’inverse, quel est votre moins bon souvenir ?\\n\\nJe n’en ai pas. Partout où je suis allé, j’ai vécu des expériences incroyables.\\n\\nAvez-vous un match référence ?\\n\\nJe dirai que l’un de mes meilleurs match était contre le Champagne Basket cette saison en Jeep Elite (Défaite 108-103 après prolongations), j’ai marqué 40 points. (NDLR : Danilo Anđušić a terminé le match avec 40 points (14/24 aux tirs dont 9/14 à trois-points, et 3/4 aux lancers-francs), 4 rebonds et 4 passes pour 38 d’évaluation).\\n\\n« Si je n’avais pas été basketteur, j’aurai été joueur de football »\\n\\nSi vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel serait-ce ?\\n\\nSi je pouvais, je volerais le crossover d’Allen Iverson car c’est mon idole.\\n\\nPourquoi avoir choisi le 33 comme numéro de maillot ?\\n\\nJe porte le 33 depuis de nombreuses années. Déjà quand j’étais plus jeune, je portais le 33. Quand je suis arrivé en professionnel j’ai gardé ce numéro et depuis j’essaye de le porter quand c’est possible.\\n\\nAvec quels joueurs avez-vous le plus d’affinités ?\\n\\nMes deux meilleurs amis jouent au basket. L’un joue en Hongrie et l’autre en Roumanie et ce sont ceux avec qui j’ai le plus d’affinités. Sinon je me suis fait beaucoup d’amis depuis que je joue au basket parce que j’ai joué dans de nombreux clubs, dans de nombreux pays et avec de nombreux joueurs. Je suis heureux de pouvoir les appeler « mes amis », mais je ne citerai pas leurs noms car il y en a beaucoup et j’ai peur d’en oublier.\\n\\nQuels sont vos sujets de conversation dans les vestiaires ou entre les entraînements ?\\n\\nOn parle de tout et de rien. Je veux dire qu’on parle d’un tas de choses sur la vie... mais nous parlons surtout de basket. Nous sommes souvent ensemble et nous venons tous de différents pays. Nous apprenons aussi à nous connaître les uns et les autres.\\n\\nAvec qui monteriez-vous votre cinq de légende ?\\n\\nJ’aime ce genre de jeu. (rires) Pour mon cinq de légende je prendrai : Miloš Teodosić (Virtus Bologne), Keith Langford (AEK Athènes), Bogdan Bogdanovic (Hawks d’Atlanta), Dalibor Peršić et Alex Mumbrú.\\n\\nQue feriez-vous si vous ne jouiez pas au basket ?\\n\\nQuand j’étais plus jeune, quand je sortais jouer avec les autres enfants de mon âge, je jouais toujours au football. Si je n’avais pas été basketteur, j’aurai été joueur de football. J’ai toujours adoré ce sport.\\n\\nOù vous voyez-vous après le basket ?\\n\\nEt bien, je suis content de voir ce que je suis devenu. Je ne sais pas si je resterai dans le basket ou non, mais j’ai quelques idées sur ce que j’aimerais faire après. Mais le plus important, c’est de profiter de mes enfants et de ma famille et puis avoir une « vie normale » que je puisse apprécier.\\n\\nPhoto d’ouverture : Eurocup\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nJ’avais 16 ans. J’étais encore en formation au KK Mega Bemax et c’est là que j’ai commencé à jouer avec l’équipe professionnelle et à m’entraîner avec eux. Et si je me souviens bien, c’était juste un match dans un camp d’entraînement mais j’ai eu droit à quelques minutes. Mon premier match officiel c’était à l’âge de 17 ans en deuxième division serbe. J’en garde un très bon souvenir car cette année-là, j’ai décidé d’aller en ligue professionnelle pour voir ce que c’était et à quel point c’était dur, parce que je pensais que c’était vraiment important pour la suite de ma carrière et ça m’a beaucoup aidé. Vous savez, c’est vraiment différent quand vous jouez avec des joueurs expérimentés.\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nQuand j’étais petit, mon modèle était Miloš Vujanić. Ensuite, mon idole était Allen Iverson et je dois dire que j’ai de très bons souvenirs car j’ai eu l’occasion de jouer contre lui\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Nicolas Lang va t-il battre les records de Robert Smith aux lancers-francs ?" }, {"role": "assistant", "content":"Avant-hier, Nicolas Lang a mis 17 points lors de la victoire de Limoges sur Boulogne-Levallois (85-79) mais sans tirer de lancers-francs. Aussi, il reste sur un parfait 47 sur 47.\\n\\nC’est forcément très impressionnant. Une chose est de faire des séries d’une centaine de lancers et même davantage à l’entraînement, une autre de réaliser cela de match en match et sous la pression. Il faut le bon geste et le sang-froid.\\n\\nCe qu’il y a de bien avec le lancer-franc, c’est que c’est l’élément qui est le plus cohérent à comparer de génération en génération car la ligne a toujours la même distance qui la sépare de la planche: 4,60m.\\n\\nLors de la saison 1987-88, le meneur de jeu américain Robert Smith, alors à Monaco, accomplissait un fabuleux exploit: 99/100 sur tout le championnat avec 90 lancers de suite. Son seul raté fut enregistré à Nantes début octobre.\\n\\nLa question qui se pose est: Nicolas Lang peut-il battre ces deux records ? Nous ne lisons pas dans le marc de café, aussi on ne vous donnera pas la réponse aujourd’hui. Mais, on peut vous fournir un indice. Limoges ayant joué 13 matches auquel l’Alsacien a tous participé, il en shoote donc 3,6 en moyenne. Aussi s’il joue les 34 matches de la saison régulière -si celle-ci va bien sûr au bout-, il devrait largement dépassé la centaine puisqu’il tourne sur des bases de 123.\\n\\nNicolas Lang est encore loin d’égaler le Petit Robert mais il pourrait très vite dépasser la deuxième marque, celle d’un autre Américain, Carmine Calzonetti, meneur de jeu de Nantes, qui en avait réalisé 51 de suite pour un total de 51/52, ce qui avait constitué le record national avant la performance extraordinaire de Robert Smith.\\n\\nPhoto: BCM Gravelines" }, {"role": "user", "content":"La place des U21 en Europe 2020-21 : l’Espagne en forte régression" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Usman Garuba – Real Madrid (Photo : Euroleague)\\n\\nPour la troisième année consécutive, BasketEurope vous propose un dossier complet sur la place qu’occupent les U21 dans les principales compétitions européennes. Aujourd’hui, pour notre analyse par ordre alphabétique des grands championnats nationaux, place à l’Espagne.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nD’année en année, la situation des U21 espagnols en Liga ACB (ou Liga Endesa de son nom commercial) se montre de plus en plus inquiétante. Certes, les résultats des équipes nationales de jeunes montrent que la formation ibérique reste de qualité, mais les jeunes pousses du pays ont de plus en plus de mal à se faire une place dans les effectifs des 19 équipes du championnat (où Andorre et Manresa ne font jouer aucun U21). Seuls quelques prospects de très haut niveau ont voix au chapitre, les autres places de jeunes étant occupées par des U21 venant d’un peu partout dans le monde (Brésil, Congo, Sénégal, Pologne, Estonie, Chili, Serbie, etc.).\\n\\nUne situation qui n’a pas que des avantages, loin s’en faut. Et ce d’autant plus que le rendement moyen de tous ces jeunes, Espagnols et étrangers confondus, n’inspire pas à l’optimisme. S’ils n’ont jamais été aussi nombreux à entrer en jeu au moins une fois depuis trois ans (56 au total), leur rendement s’effondre : ces U21 valent 1,68 point et 1,28 d’évaluation en 6,17 minutes, là où les 39 de la saison passée marquaient 1,86 pt et généraient 1,09 d’éval en 6,42 mn – et 2,22 pts et 2,36 d’éval en 6,6 mn en 2018-19. Quant aux Espagnols, c’est la soupe à la grimace : sur ces 56 U21 entrés en jeu, seuls 25 sont du pays et leur rendement est le plus mauvais de cette analyse, en ce qui concerne les grands championnats : 1,33 pt et 1,10 d’éval en 5,85 mn.\\n\\nCa ne s’arrange pas pour ceux qui ont un minimum de responsabilités (au moins 5 mn/match sur au moins la moitié des matchs de l’équipe). Ils sont certes 24 à avoir ainsi pu jouer cette saison, mais pour 3,13 pts et 2,77 d’éval en 10,40 mn, les plus mauvais chiffres de notre analyse. Si l’on se limite aux Espagnols, c’est encore plus grave : 2,63 pts et 2,54 d’éval en 10,08 mn. Des chiffres à rapporter à ceux de 2019-20 (4,26 pts et 3,76 d’éval en 13,13 mn pour 14 U21) et de 2018-19 (4,51 pts et 4,66 d’éval en 13,47 mn pour 17 joueurs, Espagnols et étrangers confondus). La baisse est donc constante et l’Espagne rejoint les bas-fonds du classement de notre étude. Ce qui ne va pas en s’améliorant si l’on approfondit l’analyse : 1 seul U21 – étranger – joue plus de 20 mn, un seul – le même – marque plus de 10 pts et produit plus de 10 d’éval. Et la litanie des mauvaises nouvelles se poursuit lorsqu’on regarde les années de naissance des joueurs : un seul 2003 joue et trois 2002, dont un seul Espagnol. Difficile de dire que les clubs de Liga ACB jouent le jeu de la formation espagnole !\\n\\nLes cinq majeurs\\n\\nComme l’année dernière, la singularité du championnat espagnol nous amène à proposer trois cinq majeurs : un pour les Espagnols, un pour les étrangers et un « all around ».\\n\\nCommençons par le cinq majeur espagnol, qui comporte deux « habitués », Usman Garuba et Carlos Alocen, que son passage de Saragosse au Real Madrid n’a pas empêché de continuer à performer, même si c’est dans de moindres proportions (il valait 7,0 pts et 7,3 d’éval en 20,2 mn la saison dernière dans une équipe nettement moins forte). On notera par ailleurs que trois de ces cinq joueurs évoluent dans les deux plus grosses écuries ibériques, Barcelone et le Real Madrid.\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationUsman Garuba5Real MadridEspagne20022117,14,86,7Sergi Martinez3BarceloneEspagne19991815,04,15,2Joel Parra3BadaloneEspagne20002111,32,73,7Jaime Pradilla4ValenceEspagne2001169,03,63,6Carlos Alocen1Real MadridEspagne20001713,24,43,5Moyenne2000,4018,6013,123,924,54\\n\\nDu côté des étrangers, Leandro Bolmaro est le seul à avoir figuré dans le cinq majeur de la saison passée (4,4 pts et 3,7 d’éval en 13,0 mn) et se montre en légère progression. Comme le Brésilo-Italien, les quatre autres membres de ce cinq majeur étranger sont des habitués du championnat espagnol, où ils évoluent pour certains depuis au moins quatre ans. On notera bien sûr qu’ils disposent de plus de temps de jeu que leurs homologues espagnols, en étant qui plus est plus efficaces...\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationDino Radoncic4San SebastianSerbie19992128,110,412,0Leandro Bomaro2BarceloneBrésil-Italie20002013,44,75,5Yannick Nzosa5MalagaRD Congo20031811,54,05,4Olek Balcerowski5Gran CanariaPologne20001611,24,83,9Dovydas Giedraitis2EstudiantesLituanie20001618,56,42,8Moyenne2000,4018,2016,546,065,92\\n\\nEn retenant les meilleures performances des uns et des autres, on aboutit à un cinq majeur « all around » comprenant deux Espagnols, un Serbe, un Brésilo-Italien et un Congolais, peut-être le plus prometteur du lot : en effet, Yannick Nzosa, à tout juste 17 ans, est déjà capable de très belles performances en Liga ACB comme en Eurocup (des matchs à 16 ou 19 d’éval au Top16 de la compétition !).\\n\\nJoueurPosteClubNationalitéAnnée naissanceMatchsMinutesPointsEvaluationDino Radoncic4San SebastianSerbie19992128,110,412,0Usman Garuba5Real MadridEspagne20022117,14,86,7Sergi Martinez3BarceloneEspagne19991815,04,15,2Leandro Bomaro2BarceloneBrésil-Italie20002013,44,75,5Yannick Nzosa5MalagaRD Congo20031811,54,05,4Moyenne2000,6019,6017,025,606,96\\n\\nLes performances de ce cinq majeur « all around » sont très correctes mais ne figurent pas parmi les meilleures de ce que nous avons pu voir dans notre étude. Ainsi, en matière de points marqués, ils sont 9e sur 11 (seules la Grèce et l’Italie font moins bien) et 6e pour l’évaluation et le temps de jeu. Plus préoccupant, toutes ces statistiques (hormis l’éval) sont en baisse par rapport aux deux années précédentes. En 2019-20, les cinq « all around » valaient 6,56 pts et 6,74 d’éval en 17,94 mn alors qu’en 2018-19, ils produisaient 7,20 pts et 7,84 d’éval en 18,2 mn. Une tendance peu réjouisssante pour le championnat espagnol.\\n\\nLes MVP\\n\\nComme pour les cinq majeurs, nous vous proposons trois MVP, un Espagnol, un étranger et un « all around ».\\n\\nLe MVP espagnol : Usman Garuba\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=aStHbgma9Yk\\n\\nIl est sans doute une preuve de plus du déclin espagnol en matière de U21 en Liga ACB : alors qu’il semble plafonner, au moins statistiquement parlant (4,7 pts et 7,9 d’éval en 17,3 mn la saison passée), Usman Garuba continue de dominer tous les autres jeunes joueurs ibériques tout en évoluant dans une très grosse écurie. Mais il ne gagne pas de temps de jeu et son adresse aux lancers francs laisse de plus en plus à désirer : 40,0 % cette saison. Il va lui falloir franchir un palier, désormais...\\n\\nLe MVP étranger : Dino Radoncic\\n\\nLe talentueux ailier serbe (2,02 m) est un vieil habitué de l’Espagne, lui qui y joue depuis 2013. Passé par les écoles de Barcelone et du Real, il a ensuite fréquenté Burgos, Murcie et Ténérife avant d’atterrir cette saison à San Sebastian. Certes, l’équipe figure en dernière place du classement de la Liga ACB, mais le natif de Giessen (Allemagne) n’en réalise pas moins une saison impressionnante. Lui qui valait la saison dernière, partagée entre Murcie et Ténérife, 4,3 pts et 4,2 d’éval avec le premier club et 2,0 pts et 1,8 d’éval avec le second a quasiment triplé ses moyennes. 2020-21 semble vraiment être l’année de l’éclosion pour lui. Il sera à suivre de près dans le futur.\\n\\nLe MVP « all around » : Dino Radoncic\\n\\nMarquant deux fois plus de points et produisant deux fois plus d’éval que n’importe lequel des autres U21 évoluant en Espagne, Dino Radoncic est indiscutablement le MVP U21 de la Liga ACB.\\n\\nEn conclusion\\n\\nLa Liga ACB dispose d’un MVP qui porte beau, Dino Radoncic. Mais c’est à peu près le seul point de satisfaction que l’on peut retenir de cette étude. Le niveau des U21 qui jouent tend à régresser alors que la place accordée aux jeunes Espagnols se réduit comme peau de chagrin. Certes, on dénombre quelques belles pépites comme Jaime Pradilla ou Yannick Nzosa, mais ils sont un peu des arbres cachant une forêt en décrépitude...\\n\\nProchain championnat étudié : la Jeep Élite française.\\n\\nPour retrouver l’article introductif de ce dossier, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur la BBL allemande, c’est ICI\\n\\nPour retrouver l’article sur l’EBL belge, c’est ICI\\n\\n–\\n\\n[armelse]\\n\\nD’année en année, la situation des U21 espagnols en Liga ACB (ou Liga Endesa de son nom commercial) se montre de plus en plus inquiétante. Certes, les résultats des équipes nationales de jeunes montrent que la formation ibérique reste de qualité, mais les jeunes pousses du pays ont de plus en plus de mal à se faire une place dans les effectifs des 19 équipes du championnat (où Andorre et Manresa ne font jouer aucun U21). Seuls quelques prospects de très haut niveau ont voix au chapitre, les autres places de jeunes étant occupées par des U21 venant d’un peu partout dans le monde (Brésil, Congo, Sénégal, Pologne, Estonie, Chili, Serbie, etc.).\\n\\nUne situation qui n’a pas que des avantages, loin s’en faut. Et ce d’autant plus que le rendement moyen de tous ces jeunes, Espagnols et étrangers confondus, n’inspire pas à l’optimisme. S’ils n’ont jamais été aussi nombreux à entrer en jeu au moins une fois depuis trois ans (56 au total), leur rendement s’effondre :\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Pro B, 9ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Vendredi et samedi, se déroulait la 9ème journée.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques de la journée:\\n\\nMVP :\\n\\nHugo Besson (PG/Fra/19)\\n\\nSt Quentin\\n\\n36 d’éval (28 pts à 10/12 dont 5/7 à 3 pts, 3/3 aux LF, 7 rbds, 4 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Parker Jackson-Cartwright\\n\\nSt Quentin\\n\\n31 d’éval\\n\\nSG Hugo Besson\\n\\nSt Quentin\\n\\n36\\n\\nSF Bathiste Tchouaffé\\n\\nQuimper\\n\\n32\\n\\nPF Amin Stevens\\n\\nRouen\\n\\n29\\n\\nC Kentan Facey\\n\\nSouffelweyersheim\\n\\n26\\n\\nB Ismael Kamagate\\n\\nParis\\n\\n30\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Thomas Cornely\\n\\nBlois\\n\\n22 d’éval\\n\\nSG Hugo Besson\\n\\nSt Quentin\\n\\n36\\n\\nSF Bathiste Tchouaffé\\n\\nQuimper\\n\\n32\\n\\nPF Thomas Hieu-Courtois\\n\\nLille\\n\\n25\\n\\nC Olivier Cortale\\n\\nSt Chamond\\n\\n17\\n\\nB Ismael Kamagate\\n\\nParis\\n\\n30\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nBathiste Tchouaffé\\n\\nQuimper\\n\\n29 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nDustin Thomas\\n\\nSouffelweyersheim\\n\\n15 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nParker Jackson-Cartwright\\n\\nSt Quentin\\n\\n15 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. St Quentin 8-3\\n 2. Quimper\\n 3. Fos 7-3\\n 4. Denain 8-4\\n 5. Blois 7-4\\n 6. Nancy\\n 7. Vichy-Clermont 6-4\\n 8. Nantes\\n 9. Paris 6-5\\n 10. Evreux\\n 11. Rouen 5-6\\n 12. Lille 5-7\\n 13. Souffelweyersheim 4-7\\n 14. St Chamond 4-8\\n 15. Aix-Maurienne 3-8\\n 16. Poitiers\\n 17. Antibes\\n 18. Gries-Oberhoffen 2-7\\n\\nPhoto: Hugo Besson (SQBB)" }, {"role": "user", "content":"Juste Jocyte (Asvel) : «J’ai senti que j’étais prête à quitter mon pays»" }, {"role": "assistant", "content":"Âgée d’à peine 15 ans, la jeune phénomène de l’Asvel féminin, Juste Jocyte a disputé ce mercredi sa première phase finale d’Euroleague avec le groupe pro lors de la lourde défaite des Lyonnaises en quart de finale aller contre Sopron.\\n\\nElle n’en finit plus de battre des records de précocité. Juste Jocyte (1,86 m, 15 ans) était déjà devenue la plus jeune joueuse du monde, tous sports collectifs confondus, à disputer un match international, avec la sélection A lituanienne, à seulement 13 ans. Ce mercredi, la gauchère est devenue l’une des plus jeunes joueuses de l’histoire à participer à des phases finales d’Euroleague. Lors du match aller contre Sopron, elle a inscrit 2 points et réalisé 1 passe décisive en 3 minutes.\\n\\n« Quand il y a un tel phénomène, tout le monde en entend vite parler dans le microcosme du basket. Juste ne passe pas inaperçue, d’autant qu’elle assimile les choses avec une rapidité déconcertante« , décrit Marie-Sophie Obama, présidente déléguée de Lyon Asvel Féminin, à 20 minutes.\\n\\nLa jeune Lituanienne affiche une maturité à toute épreuve et une capacité d’adaptation exceptionnelle pour son âge. Ce sont Tony Parker et Nicolas Batum qui l’ont convaincu de rejoindre le projet villeurbannais, et son académie, jusqu’en 2025.\\n\\n« J’avais plusieurs offres en Europe et dans des lycées américains mais j’ai fait confiance à Tony (Parker), qui est quelqu’un de spécial. J’ai senti que j’étais prête mentalement à quitter mon pays, car le développement du basket féminin n’y est pas bon. Ce changement de vie n’est pas facile pour une ado comme moi. Je sais que je ne suis pas venue ici pour me faire des amis mais pour m’entraîner dur et devenir une meilleure basketteuse« , lance l’intéressée.\\n\\nUtilisée cette année comme ailière par Valéry Demory, Juste Jocyte est apparue huit fois en en LFB cette saison. Celle qui rêve de WNBA découvre petit-à-petit le haut niveau et espère faire pleinement partie du groupe professionnel dès la saison prochaine.\\n\\nPhoto : Juste Jocyte (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Dans l’intimité des Metropolitans 92" }, {"role": "assistant", "content":"Cette fois, le journaliste Lukas Nikot est en immersion avec les Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois lors d’un déplacement à Dijon.\\n\\n« Pendant 2 jours j’ai suivi cette équipe de Jeep Elite. Voyage en car et en train, des insides à l’hôtel, le protocole COVID, le match face à la JDA, le retour à Levallois et plein d’autres surprises. Plongez dans l’intimité d’un vestiaire et découvrez les joueurs de Boulogne-Levallois comme vous ne les avez jamais vu ! Lahaou Konaté, David Michineau, Bastien Pinault, Maxime Roos, Neal Sako, Anthony Brown, Vitalis Chikoko, Archie Goodwin, Tomer Ginat & Josh Owens. »" }, {"role": "user", "content":"Antibes – Ali Traore mis «au repos»" }, {"role": "assistant", "content":"En 11 matches, Ali Traore, 36 ans, a fourni 11,3 points et 6,5 rebonds et n’a pu empêcher les Sharks d’Antibes d’aligner six défaites consécutives et de pointer à l’avant-dernière place de Pro B.\\n\\nSelon Nice Matin, en dehors, la situation est loin d’être au beau fixe.\\n\\n« Selon nos informations, le natif d’Abidjan ne s’entendrait pas avec certains de ses partenaires et les rapports avec le nouveau coach Daniel Goethals seraient tendus. A l’heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de vous confirmer si la décision émane des dirigeants ou si elle est partagée par le joueur. »\\n\\nLe joueur a précisé sur les réseaux sociaux qu’il a été mis au repos pour raison familiale et médicale.\\n\\nSportando annonce par ailleurs le recrutement d’un nouveau joueur intérieur en début de semaine prochaine qui serait le Nigérian Michael Fakuade (2,02m, 32 ans) déjà vu à Châlons-Reims et Orléans.\\n\\nPhoto: Sharks" }, {"role": "user", "content":"David Lighty (Asvel) sur les tablettes du Bayern Munich et du Maccabi malgré son contrat longue durée" }, {"role": "assistant", "content":"Indiscutable et sous contrat jusqu’en 2024 à l’Asvel, David Lighty pourrait quitter les rangs villeurbannais selon le journaliste serbe Nemanja Zoric.\\n\\nAprès l’intérêt du Maccabi Tel Aviv pour Guerschon Yabusele, voilà que le club israélien aurait des vues sur l’indéboulonnable David Lighty (1,98 m, 32 ans). Tout comme le Bayern Munich, autre gros poisson européen.\\n\\nSelon Nemanja Zoric, l’Américain pourrait faire ses valises malgré son contrat longue durée entre Rhône et Saône. Une information à prendre avec des pincettes tant l’Asvel compte sur son ailier (11,9 points à 55,1 % aux tirs, 3,1 rebonds, 2,1 passes décisives pour 12 d’évaluation en 25 minutes en Euroleague).\\n\\n\\nDavid Lighty is on the lists of Bayern Munich and Maccabi, the player is under contract with ASVEL till 2022, but he will probably not continue with the French team despite his contract. I'm told\\n\\n— Nemanja Žorič (@zoric_nemanja) March 17, 2021\\n\\n\\nPhoto : David Lighty (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : l’Asvel féminin s’incline très lourdement contre Sopron en quart de finale aller" }, {"role": "assistant", "content":"Dernières représentantes françaises en Euroleague, les joueuses de l’Asvel ont été largement dominées mercredi soir face aux Hongroises de Sopron (94-66) en quart de finale aller. Leurs chances de qualification pour le Final Four de l’Euroleague sont quasi nulles.\\n\\nLa marche était trop haute. Encore invaincues cette saison, les joueuses de Sopron ont fait honneur à leur statut de favorites. Privées d’Alysha Clark, les Lionnes n’ont pas existé en Hongrie. Complètement étouffées par la défense adverse, elles n’auront été dans le coup que dix minutes (20-20 à la fin du premier acte). Tout au long de la partie, les joueuses de Valéry Demory ont fait preuve de beaucoup d’imprécision (21 ballons perdus), laissant de trop nombreuses contre-attaques aux Hongroises. Absente du cinq de départ, Marine Johannes s’est manquée (3 points à 0/2 aux tirs, 5 balles perdues, 0 d’évaluation en 30 minutes), tandis qu’aucune Lyonnaise ne s’est réellement démarquée. Pas même Aleksandra Crvendakic (14 points) qui retrouvait son ancien club.\\n\\nCôté Hongrois, les joueuses de David Gaspar se sont régalées et ont fait preuve d’une adresse remarquable (7/13 à 3-points, 65,1 % aux tirs). L’ex-Montpelliéraine Gabby Williams a surnagé (24 points à 10/16 aux tirs, 5 rebonds, 25 d’évaluation). Tout comme Jelena Brooks (19 points à 8/12 aux tirs), et Tina Krajisnik (15 points à 7/9 aux tirs, 7 rebonds). Constantes dans l’effort, elles ont outrageusement dominé la rencontre. En atteste leur 120 d’évaluation... contre 54 pour les Lionnes. Et un dernier panier totalement déséquilibré au buzzer signé Gabby Williams, évidemment.\\n\\nA moins d’un incroyable retournement de situation, l’Asvel féminin ne jouera pas le premier Final Four de son histoire en Euroleague. Les Lyonnaises sont condamnées à l’exploit lors du match retour, vendredi à 20 h, toujours dans la bulle de Sopron. Pour cela, il faudra s’imposer de 29 points pour espérer se qualifier...\\n\\n\\n❌ Les Lionnes s'inclinent 66 à 94 mais il reste 40 minutes à jouer dans ce combat pour le Final Four ➡ Deuxième round ce vendredi !#ASVElles #EuroLeagueWomen pic.twitter.com/mETf0VSMiG\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) March 17, 2021\\n\\n\\nPour revoir le match :\\n\\nPhoto : Michelle Plouffe (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pau officialise la venue du coach Eric Bartecheky" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, l’Elan Béarnais Pau Lacq Orthez officialise la mise à l’écart de Laurent Vila et son remplacement par Eric Bartecheky, 48 ans, qui a déjà eu les rennes de l’équipe entre 2015 et 2018.\\n\\n« Au retour de Bourg, l’entraîneur Laurent Vila a été reçu par le Président Didier Rey et le Directeur Exécutif Didier Gadou. Lors de cet entretien, il lui a été remis une lettre de dispense d’activité, alternative aux négociations.\\n\\nLaurent Vila donnera prochainement sa décision quant au choix qui lui a été proposé de quitter le club ou bien d’intégrer le staff technique pour relever le challenge de fin de saison. La présence de ce technicien reconnu, œuvrant depuis bientôt deux décennies au service du club (1999-2006, puis retour à partir de 2010) serait un atout indéniable en cette période délicate.\\n\\nA compter de ce jour, Eric Bartecheky est nommé head coach de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nLe Président Didier Rey et la Direction du club regrettent profondément les divers articles relatifs à l’avenir de Laurent Vila parus depuis lundi, marquant un non-respect pour ce fidèle de l’Elan Béarnais.\\n\\nAprès 10 défaites consécutives, l’arrivée d’Eric Bartecheky doit être synonyme d’un électrochoc pour le groupe et d’une prise de conscience de la gravité et de l’urgence de la situation. »\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Orléans : LaMonte Ulmer absent au moins un mois" }, {"role": "assistant", "content":"Ce mardi, Orléans a signé une victoire de prestige contre la JDA Dijon (74-69) mais a perdu ses deux meilleurs scoreurs, sortis sur blessure. LaMonte Ulmer souffre d’un pneumothorax.\\n\\nDouble coup dur pour Orléans. Outre Darius Johnson-Odom, victime d’une rupture du tendon d’Achille et indisponible pour la suite de la saison, le club va devoir se passer de LaMonte Ulmer (1,98 m, 34 ans). Sorti après 4 minutes de jeu, l’ancien joueur de Châlons-Reims a passé la nuit à l’hôpital. Les examens ont révélé que l’ailier souffrait d’un pneumothorax avec décollement de la plèvre, souligne La République du Centre. Selon son coach Germain Castano, son absence sera « d’un mois à un mois et demi ».\\n\\nJusqu’à présent, LaMonte Ulmer était le deuxième meilleur marqueur d’Orléans (14,0 points à 58,0 % aux tirs, 4,2 rebonds et 0,9 passe décisive pour 15,5 d’évaluation en 23 minutes). Avec cette double blessure, Orléans devrait rapidement se mettre en quête d’un pigiste médical.\\n\\nPhoto : LaMonte Ulmer (OLB)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine: Villeneuve d’Ascq s’offre un quart-de-finale face à l’ogre Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Saint-Amand est tombé face au KSC Szekszard (66-53), Villeneuve d’Ascq s’est qualifié pour les quarts-de-finale de l’Eurocup en éliminant le Sparta Vidnoje (62-69). Lisa Berkani (1,75m, 23 ans) a été une nouvelle fois impressionnante avec 23 points, 6 rebonds et 5 passes.\\n\\nLes Nordistes vont avoir à faire aux Espagnoles de Valence, l’une des équipes les plus fortes de l’épreuve, emmenée par l’Australienne Rebecca Allen (19,3 points et 4,0 rebonds), passée par Lyon. Les Espagnoles ont remporté jusqu’ici leurs quatre matches avec une marge de impressionnante de 28,8 points, et elles ont en plus l’avantage du terrain. Le Final Four ne pourra être atteint qu’au terme d’un exploit.\\n\\nDe son côté, Charleville est opposé aujourd’hui en 8e de finale au VBW CEKK Cegled, un club hongrois.\\n\\n\\n👀🇫🇷 @berkani_lisa24 (23 PTS, 6 REB & 5 AST) was all business in the Round of 16 !@ESBVALM | #EuroCupWomen pic.twitter.com/8CC2aHx6nw\\n\\n— EuroCup Women (@EuroCupWomen) March 16, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le retour de Pau Gasol au Barça: tout a commencé avec une discussion avec Juanca Navarro" }, {"role": "assistant", "content":"Pau Gasol (2,15m, 40 ans) a passé hier l’examen médical traditionnel et il est revenu pour les médias du club sur son choix de revenir au FC Barcelone.\\n\\n« Tout a commencé par une conversation avec Juan Carlos (Navarro), qui en plus d’être un ami est impliqué dans la section basket du club. Je lui ai parlé de la possibilité que j’envisageais de retourner en Europe. Il y avait un intérêt de la part de certaines équipes européennes, mais j’ai ensuite évoqué l’idée que si je devais retourner en Europe, ce devait être avec le Barça », a t-il affirmé.\\n\\nGasol explique que l’affaire a été vite bouclée après qu’il ait eu une conversation avec le coach Sarunas Jasikevicius qu’il connait de longue date. Ils ont notamment évoqué ensemble son retour progressif à la compétition.\\n\\n« Je n’ai pas joué au basket depuis près de deux ans, je suis assez vieux pour le monde du sport et nous devons y aller petit à petit. Et me voici avec un projet et dans une très belle étape, qui, nous l’espérons, fonctionnera. Nous ferons tout notre possible pour y arriver. Nous nous adaptons toujours au calendrier. Cela a été un changement, une décision importante, qui implique également une certaine composante sur le plan émotionnel, je suis impatient et excité de commencer, de continuer à me rapprocher du moment du retour sur le terrain et de pouvoir aider l’équipe. »\\n\\nPhoto: FC Barcelone" }, {"role": "user", "content":"Ligue 2 féminine : Les présidents veulent des playoffs et un passage à 14 clubs" }, {"role": "assistant", "content":"10 des 12 présidents de Ligue 2 féminine ont adressé un courrier à Roxana Maracineanu, la Ministre déléguée aux ports, et à Jean-Pierre Siutat, le président de la FFBB, dans lequel ils demandent de faire jouer des playoffs cette saison, et un passage de la Ligue féminine et de la Ligue 2 de 12 à 14 clubs.\\n\\nLes présidents reprochent à la fédération d’avoir pris la décision d’annuler les playoffs alors que les clubs avaient souhaité à une majorité de 8/11 leur maintien.\\n\\n« Il convient donc de respecter cette décision collégiale, l’inverse étant complètement contraire aux principes démocratiques et d’engagement qui nous animent tous et qui définissent nos instances », écrivent les présidents.\\n\\nCeux-ci souhaitent augmenter le nombre d’équipes dans les deux divisions afin d’avoir un volume de matches plus important. Interrogé par Ouest France, le coach de Mondeville Romain L’Hermitte argumente :\\n\\n« Comment font les garçons, comment fait l’ASVEL ? On s’entraîne 8 fois par semaine pour jouer 22 matches dans une saison. Ce n’est pas normal. On aimerait conserver nos meilleures joueuses, obtenir des recettes, attirer des partenaires. Pour ça, on a besoin de jouer davantage. »" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : la licence A se rapproche pour l’Asvel et le Bayern Munich, l’Alba Berlin invité deux ans de plus" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de son dernier conseil d’administration, l’Euroleague a expliqué avoir bien travaillé avec les représentants de l’Asvel et du Bayern Munich en vue de l’officialisation de leur licence A. L’Alba Berlin obtient de son côté une wild card pour deux saisons.\\n\\nCe n’est plus qu’une question de semaines voire de jours pour que l’Asvel et le Bayern Munich obtiennent le précieux sésame : une licence A. Celle-ci assure à son détenteur 10 ans de présence en Euroleague.\\n\\n« Les conditions d’intégration du Bayern Munich et de l’Asvel en tant que clubs licenciés à long terme ont été convenues. Des progrès ont été réalisés avec les deux organisations. Des échanges supplémentaires permettront de conclure à des accords dans les semaines à venir« , détaille le conseil d’administration.\\n\\nPar ailleurs, l’Alba Berlin – actuellement 15e de l’Euroleague et présent dans la compétition depuis deux saisons – vient d’obtenir une invitation pour les deux prochaines années, soit jusqu’en 2022-2023. Les exigences demandées par l’organisation ont été remplies.\\n\\n\\nWir freuen uns riesig auf zwei weitere Jahre in der besten Liga Europas!\\n\\nDie @EuroLeague hat heute beschlossen, dass wir eine Wildcard für die Saisons 2021/2022 und 2022/2023 erhalten. pic.twitter.com/Q3qq6fu73v\\n\\n— ALBA BERLIN (@albaberlin) March 8, 2021\\n\\n\\nDe plus, le conseil d’administration a validé son nouveau règlement pour la fin de la saison. En cas de forfait d’une équipe pour le Final Four pour cause de restriction sur les voyages internationaux ou d’indisponibilité du nombre minimum de joueurs en période de Covid-19, l’équipe la mieux classée à l’issue de la saison régulière serait appelée pour la remplacer (sous réserve de deux remplacements maximum au Final Four). Si plus de deux sont concernées, alors le Final Four organisé à Cologne (Allemagne) pourrait être délocalisé ou annulé.\\n\\nPhoto : Guerschon Yabusele (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Résumé by TCL : Bourg-En-Bresse vs Nanterre 92 (23e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Les Bressans n’ont pas manqué leur retour à la compétition en Jeep Élite, s’appuyant sur un collectif qui a fait bien des misères aux Nanterriens d’Isaïa Cordinier (19 points, 8 rebonds, 4 passes) avec six joueurs à 8 points et plus et une menace diversifiée au cours de la rencontre. La JL Bourg a maitrisé son sujet pour s’imposer 97-72.\\n\\nRetrouvez les meilleurs moments du match grâce à notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Résumé by TCL : Boulazac vs Roanne (23e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Sous pression, le BBD a décroché un premier succès cette saison en allant puiser au bout de ses ressources mentales. Après un combat acharné, Ronald March permettait aux siens de repasser devant (68-70). Les Périgourdins ont répondu par un cinglant 14-0, avec un John Flowers en dynamiteur de loin et une paire Best-Sene décisive (21 et 18 points) pour s’imposer 82-72. Boulazac respire mais le maintien est encore loin pour la troupe de Thomas Andrieux.\\n\\nLes highlights du match, c’est ici et avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Résumé by TCL : Gravelines-Dunkerque vs Le Mans (23e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Emmené par un Briante Weber de gala (24 points, 4 passes décisives) et un trio McCree-Nikolic-Ware déchaîné, le BCM a stoppé la belle série mancelle en s’imposant 91-77. En difficulté en première mi-temps, les hommes de Serge Crevecoeur ont trouvé les solutions après le repos pour changer la donne et s’imposer confortablement.\\n\\nVous avez manqué le match ? Pas de panique, notre partenaire TCL vous offre le récap du match !\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket féminin 2021: La France dans un groupe avec la Croatie, la République Tchèque et la Russie" }, {"role": "assistant", "content":"Le tirage au sort de l’EuroBasket féminin (17 au 27 juin) s’est tenu ce midi à à l’Auditorium Santiago Grisolia de la Cité des Arts et des Sciences de Valence, en Espagne.\\n\\nLors de la phase de groupe, l’équipe de France trouvera sur son chemin la Croatie, la République Tchèque et la Russie.\\n\\nLes équipes classées 1ère de chaque groupe seront directement qualifiées pour les quarts-de-finale. Les équipes classées 2e et 3e disputeront des barrages. Les équipes classées 4e seront éliminées.\\n\\nLes phases de groupe se tiendront à Valence (Pavello Municipal Font de San Lluis, 8 200 places) et Strasbourg (Rhénus Sport, 6 100 places), du 17 au 22 juin, et la phase finale à Valence (23 au 27 juin)." }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine : Bourges-Montpellier et Charleville-Landerneau en demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a effectué ce matin le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France féminine.\\n\\nLe programme des demi-finales\\n\\nSamedi 20 mars à 20h00*\\nBourges (LFB) – Lattes-Montpellier (LFB)\\n\\nDimanche 27 mars à 20h00*\\nCharleville Mézières (LFB) – Landerneau (LFB)\\n\\n*Les horaires peuvent être modifiés à la demande des clubs.\\n\\nLa finale aura lieu le samedi 24 avril à l’Accor Arena à Paris." }, {"role": "user", "content":"L’équipe de France portera la marque Jordan aux Jeux Olympiques" }, {"role": "assistant", "content":"Les fédérations françaises d’athlétisme, de basket-ball, de football et de handball ont refusé l’accord passé par le Comité International Olympique et que Le Coq Sportif soit leur sponsor technique aux prochains Jeux Olympiques de Tokyo. Elles paieront ainsi chacune une amende de 400 000 euros pour pouvoir arborer leurs propres sponsors.\\n\\nDe cette manière, l’équipe de France de football pourra porter Nike sur le maillot et éviter de verser une importante compensation à la marque américaine. En 2012, pour les Jeux de Londres, la FFF avait dû lâcher cinq millions d’euros à la marque américaine pour jouer avec Adidas.\\n\\nLa FFBB, pour sa part, continuera de porter la marque Jordan Brand, tandis que les fédérations de handball et d’athlétisme maintiendront leurs relations avec Adidas.\\n\\n« Avec un contrat signé en 2017 jusqu’en 2025, la situation était compliquée pour nous. D’autant que Jordan Brand avait la volonté de nous accompagner pendant les Jeux, » a commenté le président Jean-Pierre Siutat à L’Equipe.\\n\\nLe CNOSF a indiqué que les fonds obtenus par ces amendes seront reversés à titre d’aides supplémentaires aux autres fédérations." }, {"role": "user", "content":"Club le plus prestigieux d’Europe, le Real Madrid fête ses 90 ans" }, {"role": "assistant", "content":"La section basket du Real Madrid fête aujourd’hui ses 90 ans. C’est le club le plus prestigieux d’Europe avec 91 trophées, sans compter la Coupe latine, les championnats de Castille et les 25 tournois de Noël qui ont eu le label officiel de la FIBA jusqu’en 1980. Le Real a été 10 fois champion d’Europe.\\n\\nAu palmarès des coaches, Pedro Ferrandiz (27 trophées) devance Lolo Sainz (22) et Pablo Laso (20). Qui est le joueur le plus marquant sachant que le Real a hébergé Arvidas Sabonis, Drazen Petrovic, Luka Doncic, Wayne Brabender, etc ? Le quotidien AS a tranché, c’est Clifford Luyk, un Américain naturalisé né en 1941, 2,02m, qui a gagné 33 trophées comme joueur dont 6 Coupe des Champions (C1) et 14 titres de champion d’Espagne.\\n\\n« Il a marqué un avant et un après dans le basket espagnol et c’est probablement le plus important de l’histoire du club. »\\n\\nLes trophées du Real Madrid :\\n\\nCompétitionsTitresCoupe des Champions/Euroleague10Ligue espagnole35Copa del Rey28Supercoupe d’Espagne7Intercontinental5Coupe des vainqueurs de coupe d’Europe4Coupe Korac1Coupe ULEB1\\n\\nPhoto: Clifford Luyk" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 27 et 28èmes journées" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait les 27 et 28èmes journées de l’Euroleague.\\n\\nTout d’abord, mardi et mercredi, se disputait la 27ème journée de l’Euroleague.\\n\\nLe leader, le FC Barcelona, se déplaçait à Athènes pour y affronter le Panathinaikos. Le club espagnol récupérait pour l’occasion son ailier Victor Claver alors que le club grec enregistrait les retours de Shelvin Mack et Mario Hezonja. Le Pana n’a jamais mené dans ce match. Le Barca a remporté le premier quart de 9 points et géré tranquillement le reste du match. Il s’impose au final 85-77. L’équipe de Sarunas Jasikevicius a été emmenée par le duo Nikola Mirotic-Cory Higgins, auteur d’une évaluation cumulée de 48. Cette victoire permet au club catalan de conserver la tête de la compétition reine.\\n\\nLe CSKA Moscou, deuxième, se déplaçait à Tel-Aviv pour y affronter le Maccabi. Le club russe enregistrait le retour de Daniel Hackett. Après un premier quart équilibré, le club de la capitale russe limite son hôte à 10 points dans le deuxième quart et le gagne de 18 points. Le club de la capitale économique d’Israël remporte les deux quarts suivants et revient au score. Mais le CSKA l’emporte finalement 84-80. Le leader de l’équipe de Dimitris Itoudis a été son ailier Will Clyburn, avec 21 points à 8/12. Elle se met ainsi hors de portée pour la deuxième place.\\n\\nEn clôture de la journée, le match de la journée opposait Milano, troisième, au Fenerbahce, huitième. Les deux équipes sont à la lutte pour le Top 4. Le club stambouliote devait composer pour ce match sans Edgaras Ulanovas. Après une première mi-temps disputée, il remporte le troisième quart de 11 points et s’envole vers une belle victoire 100-92. L’équipe d’Igor Kokoskov a été portée par un trio composé de Jan Vesely, Dyshawn Pierre et Nando De Colo, auteur d’une évaluation cumulée de 82. Le premier, avec 35 d’évaluation et à 2 passes décisives du triple-double, est le meilleur intérieur de la semaine. Le Fenerbahce Istanbul réalise la performance de la journée. Les deux équipes conservent malgré tout leurs positions.\\n\\nLe Real Madrid, quatrième, se déplaçait à Moscou pour y affronter le dernier, le Khimki. La star de cette dernière, Alexey Shved, était de retour. Grâce un très bon deuxième quart, le club de la banlieue moscovite mène de 7 points à la pause. Mais le club de la capitale espagnole efface ce retard dans les 10 minutes suivantes. Les deux équipes se tiennent lors du dernier quart et le Real mène d’un petit point à l’entrée de la dernière minute. Alexey Shved marque alors un panier à 17 secondes du terme pour donner une victoire inespérée à son équipe 78-77. L’équipe d’Andrei Maltsev a été emmenée par un trio Jordan Mickey-Alexey Shved-Errick McCollum, auteur d’une évaluation cumulée de 70. Du côté madrilène, Walter Tavares est le meilleur rebondeur de la semaine pour la quatrième fois de la saison avec 11 unités. Le Khimki réalise la plus grosse surprise de la semaine. Quant au Real, il sort du Top 4 et descend à la septième place.\\n\\nLe cinquième, le Bayern Munich, se déplaçait à l’Etoile Rouge Belgrade et avait l’occasion de prendre la quatrième place en cas de victoire. Le club serbe récupérait Langston Hall pour ce match alors que le club bavarois perdait Diego Flaccadori. Après un premier quart où le Bayern a le leadership, le club de la capitale serbe gagne les deux quarts suivants et mène de 7 points à l’issue des 30 premières minutes. Puis le Bayern remonte et égalise à 3 minutes du terme. Il inflige alors un 8-0 à son adversaire en 1 minute 20. Malgré un 0-5 final, le Bayern s’impose difficilement 78-76. Le leader de l’équipe d’Andrea Trinchieri a été encore une fois son meneur Wade Baldwin, avec 27 points à 10/14. Le Bayern Munich prend donc la quatrième place.\\n\\nEn ouverture de la journée, le Zenit St Petersburg, sixième et à la lutte pour le Top 4, recevait l’Alba Berlin à la Sibur Arena devant 2 394 spectateurs. Le club russe récupérait Tarik Black et Dmitry Khvostov mais perdait KC Rivers. Contre toute attente, le club de la capitale allemande remporte les deux premiers quarts et mène de 5 points à la mi-temps. Mais le Zenit efface ce retard dans le quart suivant et limite son opposant à 4 petits points dans le dernier quart. Il s’impose finalement 87-71. Il a été porté par le trio Kevin Pangos-Mateusz Ponitka-Will Thomas, qui a cumulé 72 d’évaluation. Suite à cette victoire, le Zenit remonte à la cinquième place.\\n\\nL’Anadolu Efes, septième et à la lutte pour le Top 4, recevait Valencia, dans la course pour la qualification en Playoffs. Le club espagnol domine le premier quart et mène de 5 points à l’issue des 10 premières minutes. Mais le club stambouliote reprend l’avantage dans la foulée et remporte les trois autres quarts. Il s’impose au final 99-83. Le quatuor Sertac Sanli-Rodrigue Beaubois-Shane Larkin-Vasilije Micic a une évaluation cumulée supérieure à celle de Valencia. L’Anadolu Efes gagne ainsi une place au classement alors que Valencia se fait distancer dans la lutte pour le Top 8.\\n\\nLe Zalgiris Kaunas, en course pour les Playoffs, recevait une ASVEL en pleine confiance. Antoine Diot était absent pour cette rencontre. Après une première mi-temps équilibrée, le club lituanien réalise un très bon troisième quart, remporté de 12 points. L’avantage sera décisif et il gagne la rencontre 85-75. Joffrey Lauvergne a été le leader du Zalgiris avec 18 points et 6 rebonds. Il a été bien secondé par le jeune meneur Rokas Jokubaitis. Avec 10 points et 5 passes, il est le Rising Star de la semaine pour la neuvième fois de la saison.\\n\\nEnfin, Baskonia recevait l’Olympiacos à la Buesa Arena. Le club du Pirée mène au score pendant les 13 premières minutes. Puis le club basque prend le leadership et s’envole irrémédiablement. Le score final sera de 91 à 66 pour Baskonia. Avec 19 points et 8 passes, Luca Vildoza a mené son équipe à la victoire.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de Milano et du Bayern Munich.\\n\\nJeudi et vendredi se disputait la 28ème journée.\\n\\nDans le derby espagnol qui clôture la semaine, le leader, le FC Barcelona recevait le TD Systems Baskonia. Pour l’occasion, le club catalan déplorait le forfait de Pierre Oriola. Le Barca démarre la rencontre très fort défensivement et limite son adversaire à 4 points dans le premier quart. La dynamique s’inverse dans le quart suivant et le Barca ne marque cette fois que 8 points. Baskonia finit par égaliser à la 25ème minute mais ne réussit pas à passer devant. Le Barca repart de l’avant et remporte finalement la rencontre 71-57. Le leader de l’équipe de Sarunas Jasikevicius a été l’intérieur star Nikola Mirotic, auteur d’un double-double, 18 points et 10 rebonds. Elle enregistre sa deuxième victoire de la semaine et conserve la tête.\\n\\nDans le match au sommet de la journée, l’Anadolu Efes, sixième, recevait le deuxième, le CSKA Moscou. Contre toute attente, le club russe n’a jamais mené dans cette rencontre et n’a gagné aucun quart. Le club stambouliote s’impose très facilement 100-70 et crée la plus grosse surprise de la journée. L’équipe d’Ergin Ataman a été emmenée par Vasilije Micic. Avec 29 d’évaluation, il est le meilleur meneur européen de la semaine. L’Anadolu Efes est le grand gagnant de la journée et monte à la cinquième place. Quant au CSKA, il est distancé pour la première place.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano, troisième, se déplaçait au Zalgiris Kaunas, à la lutte pour une qualification en Playoffs. Le club lombard déplorait les forfaits de Malcolm Delaney et d’Andrea Cinciarini. Malgré cela, il a toujours mené au score et remporte le match 69-64. Le leader de Milano a été Shavon Shields, auteur de 23 points. Il est le meilleur ailier de la semaine. Du côté lituanien, c’est Joffrey Lauvergne qui s’est mis en évidence. Il est le meilleur pivot européen. Suite à cette défaite, le Zalgiris est distancé dans la lutte pour le Top 8.\\n\\nLe quatrième, le Bayern Munich, recevait le Panathinaikos. Le club athénien gagne le premier quart de 7 points mais le club bavarois remporte les quarts suivants et s’impose finalement 76-71. Wade Baldwin conduit l’équipe d’Andrea Trinchieri à une deuxième victoire cette semaine. Cette fois, avec 34 d’évaluation, il est le meilleur meneur de cette période.\\n\\nEn ouverture de la journée, le Zenit St Petersburg, cinquième, était opposé au Real Madrid, septième. Ces deux équipes sont à la lutte pour le Top 4. Le club madrilène démarre le match tambour battant et mène de 11 points après 10 minutes puis encore de 9 à la pause. Puis le le club russe inverse la tendance en remportant le troisième quart de 15 points. Il mène ainsi de 6 points après 30 minutes. Le Real revient à égalité à 3 minutes du terme puis passe un 8-0 à son hôte. Ce rush final lui assure la victoire 75-71. Walter Tavares a été décisif avec 16 points et 9 rebonds en seulement 23 minutes. Le Real Madrid remporte une belle victoire chez un concurrent direct et le passe au classement.\\n\\nLe Fenerbahce, huitième, se déplaçait en France pour y affronter l’ASVEL. Le club turc récupérait Edgaras Ulanovas pour l’occasion. La rencontre a été très disputée et l’écart maximal a été de 8 points pour le Fenerbahce en début de match. Les deux équipes sont à égalité à l’entrée de la dernière minute. Mais un 6-2 dans le final donne la victoire au Fenerbahce 90-86. Le leader de l’équipe d’Igor Kokoskov a été son meneur Nando De Colo. Avec 27 d’évaluation, il est le MVP français pour la dixième fois de la saison et la septième d’affilée. Sa deuxième partie de saison est phénoménale. Avec cette victoire, le Fenerbahce remonte d’une place et se met hors de danger immédiat pour le Top 8.\\n\\nLe Maccabi Tel-Aviv recevait Valencia. Le club espagnol remporte le premier quart mais le Maccabi remporte les trois quarts suivants et s’impose assez facilement 84-72. L’équipe d’Ioannis Sfairopoulos a été portée par le duo Tyler Dorsey-Ante Zizic, auteur d’une évaluation cumulée de 45.\\n\\nL’Olympiacos recevait l’Etoile Rouge Belgrade. Le club serbe n’a quasiment jamais mené au score et le club grec remporte facilement la rencontre 94-79. L’équipe de Georgios Bartzokas a été emmenée par son duo de forwards Sasha Vezenkov-Shaquielle McKissic, auteur d’une évaluation cumulée de 50.\\n\\nEnfin, le Khimki Moscou recevait l’Alba Berlin pour un match opposant deux des trois derniers. Le club moscovite a remporté les deux premiers quarts et mène de 6 points à la pause. Au retour des vestiaires, la tendance s’inverse et le club allemand remporte largement les deux quarts suivants. L’Alba Berlin s’impose tranquillement 100-81. Le trio Marcus Eriksson-Simone Fontecchio-Luke Sikma a cumulé 91 d’évaluation, soit plus que celle du Khimki. Le premier, avec 41 d’évaluation, est le MVP de la semaine. Il est également le meilleur marqueur avec 36 points. Du côté du Khimki, Jordan Mickey s’est mis en évidence avec 29 points et 9 rebonds. Il est le meilleur pivot de la semaine. De plus, Alexey Shved en est le meilleur passeur avec 12 unités.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de Milano et du Bayern Munich.\\n\\nLa bataille pour la première place concerne les 11 premiers.\\n\\nPour la seconde place, la bataille se joue entre la 2ème et la 5ème place. Les 14 premiers sont encore concernés.\\n\\nLes clubs entre la 2ème et la 7ème place se disputent le Top 4 et les 14 premiers peuvent encore se mêler à cette lutte.\\n\\nLes 16 premiers sont concernés par la qualification en play-offs.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nMarcus Eriksson (SG/Suè/27)\\n\\nAlba Berlin\\n\\n41 d’éval (36 pts à 11/16 dont 10/13 à 3 pts, 4/4 aux LF, 4 rbds, 2 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Wade Baldwin\\n\\nBayern Munich\\n\\n34 d’éval\\n\\nSG Marcus Eriksson\\n\\nAlba Berlin\\n\\n41\\n\\nSF Shavon Shields\\n\\nMilano\\n\\n27\\n\\nPF Jan Vesely\\n\\nFenerbahce\\n\\n35\\n\\nC Jordan Mickey\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n31\\n\\nB Othello Hunter\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n26\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n29 d’éval\\n\\nSG Marcus Eriksson\\n\\nAlba Berlin\\n\\n41\\n\\nSF Shavon Shields\\n\\nMilano\\n\\n27\\n\\nPF Jan Vesely\\n\\nFenerbahce\\n\\n35\\n\\nC Joffrey Lauvergne\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n24\\n\\nB Sertac Sanli\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n26\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n27 d’éval (24 pts à 9/15 dont 3/5 à 3 pts, 3/3 aux LF, 4 rbds, 6 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nRokas Jokubaitis (PG/Lit/20)\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n14 d’éval (10 pts à 3/9, 4/4 aux LF, 2 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nMarcus Eriksson\\n\\nAlba Berlin\\n\\n36 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nWalter Tavares\\n\\nReal Madrid\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nAlexey Shved\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n12 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 20-8\\n 2. CSKA Moscou 18-9\\n 3. Milano 18-10\\n 4. Bayern Munich\\n 5. Anadolu Efes 17-10\\n 6. Real Madrid 17-11\\n 7. Fenerbahce\\n 8. Zenit St Petersburg 16-11\\n 9. Zalgiris Kaunas 15-13\\n 10. Baskonia 14-14\\n 11. Valencia\\n 12. ASVEL 12-16\\n 13. Olympiacos\\n 14. Maccabi Tel-Aviv 11-15\\n 15. Alba Berlin 10-18\\n 16. Panathinaikos 9-17\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 7-21\\n 18. Khimki Moscou 3-24\\n\\nPhoto: Marcus Eriksson (Berlin, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Le choc ASVEL/Dijon en direct sur la chaîne L’Équipe" }, {"role": "assistant", "content":"Après plusieurs semaines d’arrêt, la Jeep Elite a repris ses droits le week-end dernier et peut désormais débuter son sprint final. Au programme de cette nouvelle semaine de Jeep Elite, deux matchs : ASVEL/Dijon mardi soir à 21h et Limoges/ASVEL samedi soir à 19h05, le tout sur la chaîne L’Équipe. Parallèlement, l’Euroleague, l’Eurocup et la BCL continuent. Jeudi, l’ASVEL recevra l’Alba Berlin en Euroleague, Monaco ira à Malaga et Nanterre sera opposé à Badalone pour tenter d’arracher la qualification au Top 16 d’Eurocup. Mercredi, Boulogne-Levallois rencontrera le Partizan Belgrade à Ljubljana (Slovénie) et Strasbourg recevra les Russes de Nizhny Novgorod en BCL.\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend que les matchs de Jeep Elite et de Pro B diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe et de Sport en France. Tous les autres matchs de Jeep Élite et de Pro B sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nMardi 09 mars :\\n\\n19h00 – Malaga/Monaco – Eurocup – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Nanterre/Badalone – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Bologne/JL Bourg – Eurocup – RMC Sport Live 5\\n\\n21h00 – ASVEL/Dijon – Jeep Elite – La Chaîne L’Équipe\\n\\nMercredi 10 mars :\\n\\n20h30 – Partizan Belgrade/Boulogne-Levallois – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n21h00 – Strasbourg/Nizhny Novgorod – BCL – Canal+Sport\\n\\nJeudi 11 mars :\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Panathinaïkos/Maccabi Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h45 – ASVEL/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Real Madrid/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nVendredi 12 mars :\\n\\n17h00 – Saint-Quentin/Blois – PRO B – Sport en France\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Vitoria/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h00 – Olympiakos/Zenit Saint Petersbourg – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n21h00 – Valence/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nSamedi 13 mars :\\n\\n19h05 – Limoges/ASVEL – Jeep Elite – La Chaîne L’Équipe\\n\\nPhoto : Tomer Ginat (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Quels joueurs seraient récompensés lors du All-Star weekend de l’Euroleague 2020-21, s’il existait ?" }, {"role": "assistant", "content":"En NBA, le All-Star weekend est toujours un événement passionnant pour les fans. Quels joueurs seraient récompensés cette année si un événement de ce type était organisé par l’Euroleague à la mi-saison ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis de nombreuses années, l’Euroleague est considérée comme la deuxième meilleure ligue du monde derrière la NBA. Le format est clair : une saison régulière, un quart de finale et un Final Four. Mais l’Euroleague a-t-elle les moyens, en plus de son schéma traditionnel, d’organiser un All-Star break en milieu de saison ? Le calendrier très serré des compétitions européennes, combinées aux compétitions nationales, rendrait difficile, voir impossible sa réalisation. Qu’importe. Quels joueurs verrait-on cette saison si un All-Star weekend, basé sur le schéma NBA (All-Star game, concours de dunks et de 3-points), était adopté par l’Euroleague ? BasketEurope se lance à l’eau.\\n\\nLe All-Star Game\\n\\nComme en NBA, nous avons sélectionné 24 joueurs (cinq de départ et remplaçants) qui mériteraient de participer au match des étoiles version Euroleague, sur des critères sportifs.\\n\\nLes starters\\n\\nExtérieurs\\n\\nMike James (CSKA Moscou) : 19,4 points à 50,0 %, 5,9 passes, 3,3 rebonds (19,8 d’évaluation)\\nDeuxième à l’évaluation, décisif dans le money time... la plaque tournante du collectif du CKSA Moscou.\\n\\nNando de Colo (Fenerbahce) : 15,5 points à 58,7 %, 3,1 rebonds, 4,2 passes, 1,4 interception (18,7 d’évaluation)\\nAbsent en début de saison, le MVP 2015-2016 de la compétition s’est mué en meneur à son retour. Meilleur tireur de lancer-franc de la compétition (96,3 %), quatrième à l’évaluation, la tête pensante du Fener.\\n\\nVasilje Micic (Anadolu Efes) : 16,3 points à 53,8 %, 5,0 passes, 2,5 rebonds, 1,2 interception (16,4 d’évaluation)\\nL’homme en forme du moment. Auteur d’un match incroyable contre le Fener (37 points, 44 d’évaluation), c’est le leader naturel de l’équipe d’Ergin Ataman.\\n\\nCory Higgins (FC Barcelone) : 12,9 points à 52,1 %, 2,5 rebonds, 2,5 passes, 1,0 interception (14,4 d’évaluation)\\nDeuxième option de la meilleure équipe d’Euroleague, c’est l’homme le plus utilisé par Sarunas Jasikevicius. Troisième tireur de lancer-franc de la compétition (94,3 %), il n’a pas manqué un seul match.\\n\\nShavon Shields (Olimpia Milan) : 13,6 points à 57,4 %, 4,1 rebonds, 1,3 passe, 1,1 interception (15,5 d’évaluation)\\nL’un des plus réguliers de la compétition. Devenu au fil du temps le pilier de l’Olimpia Milan (28 minutes par match), au pourcentage au shoot impressionnant (47,4 % à 3-points, dans le top 10).\\n\\nMarius Grigonis (Zalgiris Kaunas) : 14,4 points à 52,6 %, 2,3 rebonds, 3,0 passes (14,9 d’évaluation)\\nExcellent shooteur (47,3 % à 3-points), intraitable au lancer-franc (96,3 %), percutant par intermittence, c’est l’homme le plus utilisé par Martin Schiller. Il maintient le Zalgiris dans la course aux playoffs (9e).\\n\\nIntérieurs\\n\\nNikola Mirotic (FC Barcelone) : 16,7 points à 66,4 %, 6,2 rebonds, 0,8 passe, 1,0 interception (21,2 d’évaluation)\\nJoueur majeur de l’équipe leader d’Euroleague, numéro un à l’évaluation. Sans aucun doute, il n’y aurait pas de All-Star Game sans lui.\\n\\nWalter Tavares (Real Madrid) : 11,6 points à 66,8 %, 8,1 rebonds, 1,8 contre, 0,9 interception (18,4 d’évaluation)\\nDeuxième contreur et rebondeur de la compétition, c’est le pivot le plus décisif d’Euroleague. De plus en plus incisif en attaque, c’est aussi l’homme le plus utilisé par Pablo Laso.\\n\\nNikola Milutinov (CSKA Moscou) : 9,8 points à 67,0 %, 8,6 rebonds, 0,8 passe, 0,5 contre (17,9 d’évaluation)\\nVéritable référence à son poste, c’est le meilleur rebondeur de la compétition mais aussi le sixième à l’évaluation. Blessé début février jusqu’à la fin de la saison, il mérite tout de même sa sélection.\\n\\nNikola Kalinic (Valence) : 10,2 points à 62,3 %, 3,3 rebonds, 3,2 passes, 0,8 interception (12,3 d’évaluation)\\nJoueur du mois de février, décisif dans le sprint final, joueur complet par excellence. Préféré à Bojan Dubljevic à Valence.\\n\\nLes remplaçants\\n\\nExtérieurs\\n\\nShane Larkin (Anadolu Efes) : 14,7 points à 48,9 %, 4,4 passes, 2,7 rebonds, 1,6 interception (17,0 d’évaluation)\\nMoins percutant que l’an dernier, mais toujours aussi décisif, la belle série de l’Anadolu le propulse au All-Star Game. Tout de même neuvième à l’évaluation et troisième aux interceptions.\\n\\nWade Baldwin (Bayern Munich) : 15,4 points à 48,4 %, 4,0 passes, 2,9 rebonds, 1,3 interception (13,5 d’évaluation)\\nIl a métamorphosé l’équipe de Munich cette année. Défenseur et scoreur, il est le joueur le plus utilisé par Andrea Trinchieri cette saison.\\n\\nKevin Pangos (Zenit) : 12,6 points à 50,4 %, 6,3 passes, 2,0 rebonds, 0,6 interception (13,8 d’évaluation)\\nChef d’orchestre décisif d’une équipe du Top 8, c’est sa régularité qui est récompensée. Et parce qu’il en faut bien un du Zenit, au moins. Préféré à Arturas Gudaitis.\\n\\nScottie Wilbekin (Maccabi Tel Aviv) : 14,5 points à 48,2 %, 4,3 passes, 2,4 rebonds, 1,2 interception (14,6 d’évaluation)\\nSaison ternie par les résultats en demi-teinte de son équipe. Mais il reste le leader du Maccabi, l’homme le plus utilisé par Ionnis Sfairopoulos (27 minutes).\\n\\nJordan Loyd (Étoile Rouge Belgrade) : 17,0 points à 50,6 %, 3,5 rebonds, 3,1 passes, 1,1 interception (15,8 d’évaluation)\\nSi l’Étoile Rouge de Belgrade n’est pas convaincante cette saison, Jordan Loyd est bien le seul à surnager. Troisième scoreur de la compétition, il est aussi celui qui provoque le plus de fautes (5,1 par match).\\n\\nNemanja Nedovic (Panathinaïkos) : 16,7 points à 51,8 %, 3,8 passes, 2,0 rebonds, 0,8 interception (14,8 d’évaluation)\\nQuatrième scoreur de l’Euroleague, il a pris le jeu du Pana à son compte cette saison.\\n\\nSergio Rodriguez (Olimpia Milan) : 10,5 points à 61,1 %, 4,3 passes, 2,0 rebonds, 0,8 interception (11,8 d’évaluation)\\nLe MVP 2014 de la compétition n’a rien perdu de sa superbe. Statistiques qui ne reflètent pas son apport dans le jeu de l’Olimpia Milan (3e). Préféré à Kevin Punter.\\n\\nDavid Lighty (Asvel) : 11,9 points à 55,1 %, 3,1 rebonds, 2,1 passes, 1,1 interception (12,0 d’évaluation)\\nL’excellence de David Lighty se chiffre au-delà des statistiques. Scoreur naturel, défenseur hors-pair. Préféré à Vladimir Lucic et Kostas Sloukas pour la dernière place sur le poste extérieur.\\n\\nIntérieurs\\n\\nJalen Reynolds (Bayern Munich) : 14,3 points à 61,1 %, 5,9 rebonds, 0,9 passe, 0,5 contre (16,4 d’évaluation)\\nPlus que le leader de la second unit du Bayern, son énergie est précieuse. 10e à l’évaluation, il n’a pas manqué un seul match. Préféré au Bayern à Vladimir Lucic, qui lui, en a loupé 8.\\n\\nAchille Polonara (Baskonia Vitoria) : 11,1 points à 56,1 %, 6,3 rebonds, 1,6 passe, 1,1 interception, 1,1 contre (15,3 d’évaluation)\\nExcellent défenseur, l’Italien s’est démarqué cette saison dans tous les compartiments du jeu. Préféré à Pierra Henry à Baskonia.\\n\\nMoustapha Fall (Asvel) : 9,4 points à 67,5 %, 5,5 rebonds, 1,8 passe, 0,8 contre (14,6 d’évaluation)\\nPièce centrale du puzzle de T.J. Parker, le géant villeurbannais progresse chaque jour et domine les raquettes d’Europe. Malgré un temps de jeu limité, il s’impose comme l’un des intérieurs les plus influents.\\n\\nJan Vesely (Fenerbahce) : 13,0 points à 65,0 %, 5,4 rebonds, 2,7 passes, 0,8 interception, 0,7 contre (17,8 d’évaluation)\\nLe MVP 2018-2019 a connu un début d’exercice en demi-teinte, gêné par des blessures. Mais il reste une référence européenne à son poste. 7e à l’évaluation.\\n\\nTornike Shengelia (CSKA Moscou) : 10,7 points à 48,2 %, 4,7 rebonds, 2,3 passe, 1,1 interception (11,1 d’évaluation)\\nAu-delà des statistiques, c’est l’un des hommes à tout faire de Dimitris Itoudis. La deuxième place du CSKA (3 sélectionnés) au classement le propulse sur le banc du All-Star Game.\\n\\nBrandon Davies (FC Barcelone) : 12,0 points à 58,5 %, 3,8 rebonds, 1,6 passes, 0,7 interception, 0,5 contre (13,5 d’évaluation)\\nBlessé en cours de saison, il justifie sa sélection en étant l’une des principales armes offensives du Barça, leader du classement. Préféré à Arturas Gudaitis, Luke Sikma et Joffrey Lauvergne pour la dernière place.\\n\\nLes suppléants\\n\\nEn cas de blessure, nous avons sélectionné deux suppléants, un sur les postes extérieurs, un sur les postes intérieurs.\\n\\nVladimir Lucic (Bayern Munich) : 13,3 points à 56,9 %, 4,6 rebonds, 1,5 passe, 1,1 interception (17,3 d’évaluation)\\nBaldwin et Reynolds déjà sélectionnés pour le Bayern, Vladimir Lucic, pourtant huitième à l’évaluation (mais absent 8 matchs sur 28), a été laissé sur le carreau. Auteur d’une superbe campagne malgré tout.\\n\\nArturas Gudaitis (Zenit) : 10,6 points à 59,3 %, 4,5 rebonds, 0,8 passe, 0,7 contre, 0,5 interception (14,3 d’évaluation).\\nLa concurrence féroce sur les postes intérieurs a eu raison de sa sélection. Mais le Zenit, dans le top 8, aurait mérité deux représentants. Milutinov blessé, c’est logiquement le Lituanien qui aurait pris sa place.\\n\\nMentions : Kostas Sloukas (Olympiacos) / Luke Sikma (Alba Berlin) / Kevin Punter (Olimpia Milan) / Joffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) / Aleksey Shved (Khimki Moscou) / Marko Guduric (Fenerbahce) / Georgios Papagiannis (Panathinaïkos) / Trey Thompkins (Real Madrid) / Pierria Henry (Baskonia Vitoria) / Norris Cole (Asvel).\\n\\nLes coachs\\n\\nCette saison, difficile de détacher deux coachs tant toutes les équipes se suivent parmi les représentants du top 8.\\n\\nEttore Messina (Olimpia Milan) : 18 victoires – 10 défaites\\nIl mène de main de maître une équipe sans joueur majeur, adroite et solide des deux côtés du terrain.\\n\\nAndrea Trinchieri (Bayern Munich) : 18 victoires – 10 défaites\\nInattendu à ce niveau-là, le tacticien italien a relancé le Bayern avec caractère.\\n\\nSuppléant :\\n\\nXavi Pascual (Zenit) : 16 victoires – 11 défaites\\nAssurément la grosse côte de cette Euroleague, le Zenit est en très bonne posture pour atteindre les playoffs. Coach à l’identité défensive, il est laissé de côté pour ce All-Star Game.\\n\\nConcours de trois-points\\n\\nNous avons sélectionné huit joueurs selon leur pourcentage à 3 points et en ne sélectionnant qu’un joueur par équipe.\\n\\nKyle Kuric (FC Barcelone) : 59,2 % à 3 points\\nLe meilleur au pourcentage, véritable gachette du Barça en sortie de banc.\\n\\nLuigi Datome (Olimpia Milan) : 56,7 % à 3 points\\nPersonnage attachant, deuxième au pourcentage derrière l’arc.\\n\\nWilliam Howard (Asvel) : 51,6 % à 3 points\\nRévélation de l’année au shoot longue distance, pas de concours sans lui.\\n\\nMarius Grigonis (Zalgiris Kaunas) : 47,3 % à 3 points\\nMonsieur propre lituanien, leader-shooteur de son équipe.\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 46,4 % à 3 points\\nTrès beau ratio pourcentage-tirs tentés (3,5 par match).\\n\\nBilly Baron (Zenit) : 44,7 % à 3 points\\nPourcentage solide, récompensé par la belle saison du Zenit.\\n\\nMarcus Eriksson (Alba Berlin) : 41,8 % à 3 points\\nAuteur d’un 10/13 derrière l’arc contre le Khimki, record en Euroleague, il fait partie de ceux qui tentent le plus.\\n\\nAleksey Shved (Khimki Moscou) : 33,5 % à 3 points\\nParce qu’il faut bien un représentant du Khimki au All-Star weekend. Accessoirement celui qui a mis le plus de 3 points (3,14 par match) dans la compétition, mais aussi celui qui en tente le plus.\\n\\nMentions : Mike James (CSKA Moscou), Jarell Eddie (Fenerbahce), Antoine Diot (Asvel), Shavon Shields (Olimpia Milan), Alex Abrines (FC Barcelone), Jaycee Carroll (Real Madrid), Sergey Monia (Khimki Moscou), Charles Jenkins (Olympiacos), Mike Tobey (Valence), Nemanja Nedovic (Panathinaïkos).\\n\\nConcours de dunks\\n\\nShaquielle McKissic (Olympiacos)\\nPetit gabarit explosif, c’est un habitué des Top 10. Et parce qu’il faut bien un représentant de l’Olympiacos au All-Star weekend.\\n\\nAlex Poythress (Zenit)\\nBig man athlétique, il sait aussi se montrer créatif au dunk.\\n\\nWade Baldwin (Bayern Munich)\\nAutre habitué des top 10, c’est un dunkeur naturel capable de monter très haut.\\n\\nJeremy Evans (Olimpia Milan)\\nCertes, il est arrivé en cours de route. Mais qui de mieux qu’un ancien vainqueur de concours NBA pour accompagner ces dunkeurs fous ?\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis de nombreuses années, l’Euroleague est considérée comme la deuxième meilleure ligue du monde derrière la NBA. Le format est clair : une saison régulière, un quart de finale et un Final Four. Mais l’Euroleague a-t-elle les moyens, en plus de son schéma traditionnel, d’organiser un All-Star break en milieu de saison ? Le calendrier très serré des compétitions européennes, combinées aux compétitions nationales, rendrait difficile, voir impossible sa réalisation. Qu’importe. Quels joueurs verrait-on cette saison si un All-Star weekend, basé sur le schéma NBA (All-Star game, concours de dunks et de 3-points), était adopté par l’Euroleague ? BasketEurope se lance à l’eau.\\n\\nLe All-Star Game\\n\\nComme en NBA, nous avons sélectionné 24 joueurs (cinq de départ et remplaçants) qui mériteraient de participer au match des étoiles version Euroleague, sur des critères sportifs.\\n\\nLes starters\\n\\nExtérieurs\\n\\nMike James (CSKA Moscou) : 19,4 points à 50,0 %, 5,9 passes, 3,3 rebonds (19,8 d’évaluation)\\nDeuxième à l’évaluation, décisif dans le money time... la plaque tournante du collectif du CKSA Moscou.\\n\\nNando de Colo (Fenerbahce) : 15,5 points à 58,7 %, 3,1 rebonds, 4,2 passes, 1,4 interception (18,7 d’évaluation)\\nAbsent en début de saison, le MVP 2015-2016 de la compétition s’est mué en meneur à son retour. 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Auteur de 21 points à 7/11 (dont 4/5 à 3 pts), il est le meilleur arrière de la semaine.\\n\\nLe match au sommet du groupe I opposait le Pinar Karsiyaka et le Tofas Bursa, soient deux équipes du Top 4 turc. Le second était privé de son meneur américain Semaj Christon (ex-Limoges) pour l’occasion. Les deux équipes se neutralisent et, au bout de 30 minutes, elles sont à égalité. Le deuxième de la Basketbol Süper Ligi domine le dernier quart et limite son adversaire à 14 points. Le Pinar Karsiyaka s’impose donc 78-70 et remporte un succès important. Son meilleur joueur a été son intérieur interational Amath M’Baye. Auteur de 25 points à 10/14, il est le MVP français de la semaine. L’ailier Metecan Birsen est lui le meilleur rebondeur de la journée avec 12 unités.\\n\\nDans l’autre match, Brindisi recevait l’Hapoel Holon. Le club italien était privé de son arrière star D’Angelo Harrison alors que le club israélien devait se passer d’Isaiah Miles et Richard Howell. La première mi-temps se joue sur une base offensive très élevée et Brindisi mène 50 à 46 à l’issue des 20 premières minutes. L’Hapoel Holon remporte de peu les deux quarts suivants et les deux équipes se retrouvent à égalité à l’entrée de la dernière minute. James Bell donne l’avantage à l’équipe hôte avant qu’un tir à 3-points de Guy Pnini puis un lancer de Willy Workman viennent donner la victoire à l’Hapoel Holon 87-85. Ce match se résume à un duel d’ailiers entre Raphael Gaspardo et Chris Johnson, tous deux auteurs d’une évaluation de 20. Le premier est même le meilleur ailier européen de la semaine. Cette défaite à domicile contre le petit poucet du groupe pour débuter met Brindisi dans une mauvais posture.\\n\\nDans le groupe J, le favori du groupe, le Lenovo Tenerife, se déplaçait à Laktasi pour y affronter Igokea. Malgré les absences de Spencer Butterfield et de Georgios Bogris, le club insulaire gère tranquillement son match et s’impose sans difficultés 82-62. Son leader a été, comme souvent, son pivot Giorgi Shermadini, avec 23 d’évaluation en sortie de banc. Du côté bosnien, Dalibor Ilic, avec 14 d’évaluation, obtient le titre de Rising Star de la semaine pour la seconde fois de la saison.\\n\\nLe champion en titre, l’Hereda San Pablo Burgos, recevait la surprise de cette saison, le VEF Riga. Contre toute attente, le club letton remporte les trois premier quarts et mène de 8 points au bout de 30 minutes. Mais le club espagnol se reprend et remporte le dernier quart. Il mène d’un point à l’entrée de la dernière minute. Puis Aigars Skele donne l’avantage à son équipe avant que Thaddus McFadden n’égalise puis rate le lancer de la victoire pour Burgos. Dans le temps additionnel, Burgos prend le leadership et Kyle Allman permet au club de la capitale lettonne de revenir à un point à 50 secondes du terme. Plus personne ne marquera et le San Pablo Burgos s’impose 76-75. Cette victoire est en grande partie du fait de l’intérieur cubain Jasiel Rivero, auteur d’un joli double-double (25 pts à 9/13, 11 rbds). Cette performance lui permet d’obtenir le tire de MVP de la semaine.\\n\\nDans le groupe L, le match au sommet oppose Sassari à Zaragoza. Le club italien était privé de Vasilije Pusica et d’Eimantas Bendzius alors que le club espagnol déplorait l’absence de Javier Justiz. Le club aragonais démarre très fort et remporte les trois premiers quarts. Il mène de 17 points après 30 minutes de jeu. Malgré un dernier quart remporté par Sassari, Zaragoza s’impose 95-83. Il est emmené par le duo Jonathan Barreiro-Jacob Wiley, auteur d’une évaluation cumulée de 45. Le premier est même le Meilleur Sixième Homme de la semaine ainsi que le co-meilleur marqueur avec 26 points. Malgré la défaite, Sassari place 3 joueurs dans le meilleur Cinq de la journée, Marco Spissu, Jason Burnell et Miro Bilan. Le premier est même le MVP européen ainsi que le co-meilleur passeur avec 8 unités. Le dernier est lui co-meilleur marqueur avec Barreiro.\\n\\nEnfin, Nymburk recevait Bamberg, invaincu lors de la saison régulière. Ce dernier était cependant privé de Tyler Larson, Kenneth Ogbe et Chase Fieler. Le club tchèque remporte les deux premiers quarts et mène de 9 points à la mi-temps. Le club allemand porte les deux suivants mais perd tout de même le match 91-87 et subit sa première défaite de la saison sur la scène européenne. L’équipe d’Oren Amiel a été portée par le duo de guards Omar Prewitt-Retin Obasohan, auteurs tout les deux de 23 d’évaluation. Du côté allemand, Alex Ruoff est le co-meilleur passeur avec Spissu avec 8 unités et Christian Sengfelder est le meilleur intérieur européen.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nJasiel Rivero (PF/Cub/27)\\n\\nSan Pablo Burgos\\n\\n29 d’éval (25 pts à 9/13 dont 2/3 à 3 pts, 11 rbds, 1 pd, 3 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Marco Spissu\\n\\nSassari\\n\\n26 d’éval\\n\\nSG Nick Johnson\\n\\nTürk Telekom\\n\\n25\\n\\nSF Jason Burnell\\n\\nSassari\\n\\n22\\n\\nPF Jasiel Rivero\\n\\nSan Pablo Burgos\\n\\n29\\n\\nC Miro Bilan\\n\\nSassari\\n\\n22\\n\\nB Jonathan Barreiro\\n\\nZaragoza\\n\\n25\\n\\nMVP européen:\\n\\nMarco Spissu (PG/Ita/26)\\n\\nSassari\\n\\n26 d’éval (24 pts à 7/13, 5 rbds, 8 pds, 4 bps)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Marco Spissu\\n\\nSassari\\n\\n26 d’éval\\n\\nSG Tarik Phillip\\n\\nTofas Bursa\\n\\n10\\n\\nSF Raphael Gaspardo\\n\\nBrindisi\\n\\n20\\n\\nPF Christian Sengfelder\\n\\nBamberg\\n\\n23\\n\\nC Miro Bilan\\n\\nSassari\\n\\n22\\n\\nB Jonathan Barreiro\\n\\nZaragoza\\n\\n25\\n\\nMVP français:\\n\\nAmath M’Baye (PF/31)\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n20 d’éval (25 pts à 10/14 dont 2/4 à 3 pts, 2 pds, 3 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nDalibor Ilic (PF/Bos-Ser/21)\\n\\nIgokea\\n\\n14 d’éval (8 pts à 2/2, 4/4 aux LF, 7 rbds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nMiro Bilan\\n\\nJonathan Barreiro\\n\\nSassari\\n\\nZaragoza\\n\\n26 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nMetecan Birsen\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n12 rbds\\n\\nMeilleurs passeurs :\\n\\nAlex Ruoff\\n\\nMarco Spissu\\n\\nBamberg\\n\\nSassari\\n\\n8 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe I:\\n\\n 1. Pinar Karsiyaka 1-0\\n 2. Hapoel Holon\\n 3. Brindisi 0-1\\n 4. Tofas Bursa\\n\\nGroupe J:\\n\\n 1. Tenerife 1-0\\n 2. San Pablo Burgos\\n 3. VEF Riga 0-1\\n 4. Igokea\\n\\nGroupe K:\\n\\n 1. Türk Telekom 1-0\\n 2. Nizhny Novgorod\\n 3. AEK Athènes\\n 4. Strasbourg 0-1\\n\\nGroupe L:\\n\\n 1. Zaragoza 1-0\\n 2. Nymburk\\n 3. Bamberg 0-1\\n 4. Sassari\\n\\nPhoto: Amath Mbaye (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : Saint-Quentin, Souffelweyersheim, Vichy-Clermont, trois réussites économiques et sportives" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Souffelweyersheim (photo : BCS)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour finir les salaires des joueurs et du staff technique de Saint-Quentin, Souffelweyersheim et Vichy-Clermont.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nSaint-Quentin, des économies qui rapportent gros\\n\\nParmi les très bonnes surprises de ce début de saison de Pro B, le SQBB (Saint-Quentin Basket-Ball) figure à la 5e place du classement – et même la 4e ex-aequo, seulement dépassé au panier-average par Fos-Provence – avec un bilan de 6 victoires pour 3 défaites. Et ce sans vraiment casser sa tirelire. En effet, si le club a déclaré en début de saison à la LNB une masse salariale de 620 500 € (9e de Pro B), il n’en a dépensé, selon nos informations, qu’environ 490 000 €. Sans pour autant « s’offrir » un nouveau joueur avant la date butoir du 28 février, malgré l’absence longue durée (il n’aura pas joué un match de la saison) de Carl Ponsar. Et la grille des salaires du SQBB est des plus resserrées : entre les joueurs les mieux payés, Benoît Gillet et Ryan Rhoomes à égalité, et le 8e salaire, la fourchette n’est que de 15 000 €. Seuls les deux joueurs sortant de centre de formation, Hugo Besson et Junior Ouattara, touchent moins. Et, en ce qui concerne le premier nommé tout du moins, cela ne signifie pas, bien au contraire, qu’il soit le moins rentable : 2e temps de jeu de l’équipe (presque 30 minutes par match), meilleur marqueur du club (16,0 points), l’ancien Espoir de Chalon-sur-Saône épate pour sa première saison professionnelle, du haut de ses 19 ans. Quant aux autres joueurs, ils justifient parfaitement leurs émoluments (qui n’ont rien d’extravagant, au contraire), avec une mention spéciale à Parker Jackson-Cartwright, véritable maître à penser de l’équipe. Après avoir frissonné à l’éventualité d’une relégation la saison passée, Saint-Quentin peut cette année espérer terminer dans la première moitié du classement, voire mieux.\\n\\n * Benoît Gillet (FRA) : 45 000,00 €\\n * Ryan Rhoomes (USA) : 45 000,00 €\\n * Lien Phillip (CAN) : 42 000,00 €\\n * Akwasi Yeborah (GBR/GHA) : 35 000,00 €\\n * Parker Jackson-Cartwright (USA) : 35 000,00 €\\n * Carl Ponsar (FRA) : 32 000,00 €\\n * William Pfister (FRA) : 30 000,00 €\\n * Thimothée Bazille (FRA) : 30 000,00 €\\n * Hugo Besson (FRA) : 19 000,00 €\\n * Junior Ouattara (FRA) : 16 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Julien Mahé : 45 000,00 €\\n\\nSouffelweyersheim, le (tout) petit n’a pas peur des gros\\n\\nÀ la lecture des budgets et masses salariales déclarés par les clubs de Pro B en début de saison, on ne pouvait qu’être inquiet pour Souffelweyersheim : avec 372 500 € de masse salariale, le club alsacien figurait en dernière place du classement, loin derrière Aix-Maurienne, 17e avec 510 000 € pour le même poste de dépenses. Qu’espérer avec des moyens inférieurs à ceux de pas mal de clubs de NM1 ? La réponse est simple : 10e du classement avec 4 victoires pour 5 défaites. Pas de quoi négliger ce qui se passe derrière, il reste encore beaucoup de chemin avant la fin de la saison (si elle a lieu...). Mais, d’ores et déjà, le BCS peut se flatter d’avoir réussi son recrutement, tout en ne proposant pas plus de 35 000 € à un joueur. La triplette étrangère assure bien son job – même si Michael Oguine devra se montrer un peu plus adroit une fois remis sur pied après son opération du ménisque – alors que le contingent français, pour sa quasi-totalité payée au tarif d’un joueur sortant de centre de formation, fait plus que satisfaire le staff. La clé de la réussite, c’est une excellente répartition des tâches, avec huit joueurs à plus de 20 minutes par match et six à plus de 10 d’évaluation. Et si Timothé Vergiat ne rejoint pas ce club, ce n’est pas parce qu’il ne mène pas bien le jeu (3,9 passes) mais parce que son adresse laisse à désirer (29,5 % aux tirs). Mais il est jeune (22 ans) et il ne peut que s’améliorer, tout comme Essome Miyem, prêté par les voisins de la SIG. Sans nom ronflant, avec seulement trois étrangers et des Français qui font plutôt bien ce qu’ils ont à faire (avec une mention pour Louis Marnette et ses 46,4 % à trois-points), Souffel’ peut envisager un maintien serein si les blessures ne viennent pas enrayer la belle mécanique.\\n\\n * Dustin Thomas (USA) : 35 000,00 €\\n * Kentan Facey (JAM) : 34 000,00 €\\n * Jason Bach (FRA) : 32 000,00 €\\n * Michael Oguine (NIG/USA) : 28 000,00 €\\n * Louis Marnette (FRA) : 25 000,00 €\\n * Sylvain Sautier (FRA) : 25 000,00 €\\n * Oumarou Sylla (FRA) : 24 000,00 €\\n * Gary Berchel (FRA) : 20 000,00 €\\n * Timothé Vergiat (FRA) : 16 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Stéphane Eberlin : 45 000,00 €\\n\\nVichy-Clermont, les « vieux » vous saluent bien !\\n\\nL’auteur de ces lignes (pas exactement un perdreau de l’année non plus) a parfois moqué gentiment l’âge « avancé » des tauliers auvergnats : 35 ans pour David Denave, 38 pour Charles-Henri Bronchard, 39 pour Mo’ Koné. Mais ce qui (lui) fait surtout plaisir, c’est de voir que ces joueurs, les mieux payés de l’effectif vichysso-clermontois – et figurant parmi les bons salaires de Pro B –, méritent largement leurs émoluments, représentant trois des quatre meilleures évaluations de l’équipe. Seul intrus, le meneur américain James Batemon, fine gâchette s’il en est (54,0 % à trois-points sur 4,6 tentatives par match). Un peu plus bas dans la grille des salaires, Jordan Aboudou, Johan Lofberg (remplacé pour blessure par l’Américano-nigérian Daniel Utomi) et Thomas Ceci-Diop tiennent eux aussi la baraque alors que le combo-guard camerounais formé au Portel Samir Gbetkom démontre qu’il a toute sa place en Pro B, progressant d’année en année. Et comme les jeunes Serge Mourtala et Mamadou Guissé donnent eux aussi satisfaction en termes de performances, on comprend que la JAV figure en haut de classement : 6e (4e ex-aequo avec Fos-Provence, en fait) avec 6 victoires pour 3 défaites. Pour peu que l’équipe reste en bonne santé et conserve son équilibre collectif (10 joueurs entre 13 et 29 minutes), tout laisse à croire qu’elle peut continuer sur sa lancée. Et, finalement, les places donnant droit à l’accession en Jeep Élite ne sont qu’à une victoire des Auvergnats. Cela peut donner des idées...\\n\\n * Mohamed Koné (FRA/CIV) : 58 000,00 €\\n * David Denave (FRA) : 56 000,00 €\\n * Charles-Henri Bronchard (FRA) : 50 000,00 €\\n * James Batemon (USA) : 47 000,00 €\\n * Jordan Aboudou (FRA) : 40 000,00 €\\n * Johan Lofberg (SWE) : 40 000,00 €\\n * Thomas Ceci-Diop (FRA) : 30 000,00 €\\n * Samir Gbetkom Bikantchou (CAM) : 26 000,00 €\\n * Serge Mourtala (NER) : 22 000,00 €\\n * Mamadou Guissé (FRA/BEL) : 15 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Guillaume Vizade : 45 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). 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Cette discipline est un mélange de rugby, de basket-ball et de lutte, et elle compte déjà une ligue de 22 équipes.\\n\\nJouées sur un terrain de basket, les joueurs enfilent des genouillères et des coudières avant de se lancer dans un sport de contact brutal. L’objectif est de mettre le ballon dans le panier, mais les règles du non-contact, inévitables au rugball, sont évidemment laissées de côté. Au lieu de cela, les adversaires se jettent les uns sur les autres, souvent même lorsque le ballon est loin d’eux car il est nécessaire de protéger le porteur du ballon.\\n\\nEn matière d’esthétisme, on fait mieux !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=fruR2AaXSeE&ab_channel=Kaliya" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Girone de Laia Palau et Alfred Julbe remporte la Coupe de la Reine" }, {"role": "assistant", "content":"Et un trophée de plus pour Laia Palau, âgée aujourd’hui de 41 ans ! A près avoir échoué lors de quatre finales consécutives contre Avenida Parfumeries, Spar Girona a remporté la Coupe de la Reine pour la première fois de son histoire, grâce à sa victoire en finale sur Valencia, 72-62. Laia Palau a apporté 9 points et 5 passes alors que c’est l’arrière américaine Chelsea Gray (1,80, 28 ans) qui a été proclamée MVP.\\n\\nC’est aussi la consécration pour l’ancien entraîneur de Limoges, Alfred Julbe, qui a débarqué au club en novembre malgré la bonne dynamique de l’équipe. Le sexagénaire peut désormais se vanter d’avoir remporté la Coupe avec une équipe ACB, la Joventut Badalona en 1997, et avec une autre de la Ligue féminine.\\n\\n\\n👀 Laia Palau\\n🎯 @Paoferrari57 #CopaReinaLFEndesa pic.twitter.com/N1j530D3df\\n\\n— Gigantes del Basket (@GIGANTESbasket) March 4, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"LFB – La Brésilienne Clarissa Dos Santos renforce Villeneuve d’Ascq" }, {"role": "assistant", "content":"La pivot internationale brésilienne Clarissa Dos Santos (1,85m, 32 ans) renforce Villeneuve d’Ascq.\\n\\nCelle-ci est bien connue en France pour avoir déjà porté les maillots de Bourges, Charleville et Lyon. Elle a par ailleurs joué en WNBA et remporté diverses médailles avec l’équipe nationales dans les compétitions continentales.\\n\\nLa Brésilienne a débuté cette saison en Turquie à Izmit Belediyespor pour 11,8 points et 11,3 rebonds.\\n\\n\\nClarissa DOS SANTOS est bien arrivée à Villeneuve d'Ascq !\\n\\nNotre intérieure brésilienne est arrivée à Villeneuve d'Ascq ce week-end. Elle retrouvera le groupe villeneuvois après le déplacement à Valence (Espagne) où les Guerrières disputeront la prochaine fenêtre d'Eurocoupe. pic.twitter.com/l1QzwA730E\\n\\n— ESBVA-LM (@ESBVALM) March 7, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Résumé by TCL : Monaco vs Pau-Lacq-Orthez (23e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Monaco a conforté sa première place en venant à bout de Pau-Lacq-Orthez. Mais que ce fut dur ! Les Palois avaient déjà réussi à poser des problèmes aux Monégasques à l’aller pour finalement s’incliner de quatre points. Malgré une entame difficile (22-14), l’EBPLO a encore embêté la Roca Team, débutant notamment le deuxième quart-temps par un 14-5 afin de passer brièvement en tête (27-28). La victoire se jouera finalement en prolongation, JJ O’Brien et Mathias Lessort ont été dominateurs à l’intérieur pour faire la différence et assurer la victoire en faveur de la Roca Team (102-95).\\n\\nRetrouvez les meilleurs moments du match dans un résumé de notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Espagne : 38 points pour AJ Slaughter (Gran Canaria) face à Estudiantes Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"L’Américano-Polonais AJ Slaughter (1,91m, 33 ans) a réalisé une performance de très haute volée lors du match Gran Canaria vs Estudiantes Madrid: 38 points (13/15 à deux-points, 3/7 à trois-points, 3/3 aux lancers-francs). Il a obtenu une évaluation de 41. Le tout en près de 39 minutes. Son équipe a eu gain de cause en prolongation, 97-94.\\n\\nL’ancien joueur de Chalon, Cholet, Strasbourg et Villeurbanne est arrivé à Grand Canaria en novembre et il a complètement re-dynamisé l’équipe insulaire (14,3 points, 3,2 passes et 2,3 rebonds), si bien que son contrat a été prolongé jusqu’en 2023.\\n\\n\\n🔥✖ AJ FUCKING SLAUGHTER ✖🔥pic.twitter.com/2Sz9L2hwzx\\n\\n— CB Gran Canaria (@GranCanariaCB) March 6, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Mehdy Mary (Limoges) : «On a été très faibles en termes d’adresse, ça nous arrive pas souvent»" }, {"role": "assistant", "content":"« On a été très faibles en termes d’adresse, ça nous arrive pas souvent. On a abusé des tirs à trois-points en 2e mi-temps. On a peut-être crû que le match était gagné avant la fin. On s’est peut-être laissé griser par nos quinze points d’avance. On a mal géré les moments où on avait un avantage relativement conséquent. »\\n\\nC’est le commentaire du coach du CSP, Mehdy Mary, à la fin du match, propos repris par L’Union. Cela fait toujours très mal de perdre quand vous menez de 15 points (20-35) au milieu du 2e quart-temps, que le meilleur joueur d’en face (Dominic Waters) est sorti pour cinq fautes dans le money time et que vous avez encore l’occasion d’égaliser au buzzer par Phil Scrubb.\\n\\nMais, de fait, les Limougeauds ont fait preuve d’une gabegie à trois-points (6/28), à l’image du trio Invernizzi-Lang-Scrubb (2/18 !), et d’un manque de caractère à l’inverse du Champagne Basket.\\n\\nAvec leur trois victoires d’affilée, les Marnais ont quitté la zone rouge alors que les Limougeauds ont perdu une belle occasion de solidifier leur place dans le top 8.\\n\\nPhoto: Hugo Invernizzi (CSP)" }, {"role": "user", "content":"Les 6 infos de la semaine : le sprint final de Jeep Elite est lancé, Monaco déjà qualifié en Eurocup..." }, {"role": "assistant", "content":"Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 28 février au 5 mars. Au sommaire, la reprise de Jeep Elite, les résultats mitigés des équipes françaises en coupes d’Europe, mais aussi les déboires du Khimki Moscou sous fond de salaires impayés...\\n\\n\\nJeep Elite : c’est reparti !\\n\\nAprès un arrêt de plusieurs semaines, la Jeep Elite a repris ses droits ce week-end. En ouverture, Gravelines a balayé Le Mans (91-77) vendredi soir. Samedi, l’AS Monaco a conforté sa place de leader en l’emportant après prolongation contre Pau (102-95), qui poursuit sa série noire (7 défaites de rang), et Boulazac a remporté sa première victoire face à Roanne. À suivre : Bourg-Nanterre ce dimanche (20 h 30) et Asvel-Dijon ce mardi (21 h). Pour être informés de tous les changements d’effectifs depuis le début de la saison, retrouvez notre guide de Jeep Elite avant le sprint final (abonnés).\\n\\nCerise sur le gâteau, la LNB a également lancé son application, LNB TV, permettant à tous les passionnés de Jeep Elite et de Pro B de regarder gratuitement les matchs de leurs équipes favorites en direct, en replay ou en résumé sur leur téléphone, ordinateur ou tablette.\\n\\n\\nEuroleague : fin de série pour l’Asvel, battue à Kaunas puis contre Fenerbahce\\n\\nAprès six victoires consécutives, la très belle série de l’Asvel s’est arrêtée en Euroleague. Ce mardi, les hommes de T.J. Parker se sont inclinés en Lituanie face au Zalgiris Kaunas (85-75). Trois jours plus tard, les Villeurbannais ont joué les yeux dans les yeux face à Fenerbahce mais ont faibli dans le money time, dominé par le Français Nando De Colo (86-90). Les Turcs enchainent une 12e victoire en 13 rencontres.\\n\\nParmi les autres faits marquants de la semaine européenne, on retrouve l’écrasante victoire de l’Anadolu Efes Istanbul face au CSKA Moscou (100-70) ou encore le record de 10 3-points inscrits par Marcus Eriksson lors de la victoire de l’Alba Berlin sur le Khimki Moscou. Retrouvez les derniers ajustements d’effectifs des clubs d’Euroleague à quelques semaines de la fin de la saison régulière (abonnés).\\n\\n\\nEurocup : Monaco qualifié, Nanterre et Boulogne-Levallois sur le qui-vive avant le dernier match de groupe en Top 16\\n\\nEn cette semaine européenne, les clubs français ont vécu des émotions partagées. Monaco a validé son billet pour les quarts de finale de l’Eurocup en battant Nanterre (98-94). De leur côté, les hommes de Pascal Donnadieu auront tout de même une chance de se qualifier lors de leur dernier duel du Top 16. Pour cela, il faudra battre Badalone de 6 points ou plus ce mardi à domicile (20 heures). Même dilemme pour Boulogne-Levallois après la correction infligée par le Lokomotiv Kuban (83-61). Les Metropolitans devront l’emporter au Partizan Belgrade ce mercredi (20 h 30).\\n\\n\\n🚨 QUALIF’ TOUJOURS POSSIBLE 🚨\\n\\nBadalone ayant perdu face à Malaga, le match de mardi prochain sera donc décisif 🤩😍\\n\\nLes nanterriens pourront valider leur ticket pour les 1/4 de Finale en battant @Penya1930 de 6pts ou plus 🔥🏀\\n\\n😤 MARDI = FINALE DU TOP 16 😤#WeAreJSF pic.twitter.com/qtc7No07yM\\n\\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) March 2, 2021\\n\\n\\nEn BCL, la première journée de Top 16 n’a pas tourné à l’avantage de Strasbourg, battu à Ankara contre Turk Telekom (83-76).\\n\\n\\nSalaires impayés, départs de joueurs majeurs, victoire contre le Real Madrid... La folle semaine du Khimki Moscou, au bord de l’implosion\\n\\nMalgré sa victoire mardi contre le Real Madrid (78-77) en Euroleague, mettant fin à une série de 17 défaites consécutives, le Khimki Moscou est en posture très délicate. Les joueurs quittent un à un le projet moscovite. Après Greg Monroe, Jonas Jerebko, Dairis Bertans ou le non-retour de Devin Booker, c’est au tour de Janis Timma de jeter l’éponge.\\n\\n\\n📸 Pics of the game vs. @RMBaloncesto\\n⠀#ХимкиРеал #KHIRMB pic.twitter.com/F9PfqPm3nO\\n\\n— BC Khimki (@Khimkibasket) March 3, 2021\\n\\n\\nDe son côté, un autre club d’Euroleague, le Zalgiris Kaunas, connaît des retards de paiement. Kaunas, club dont le budget est pourtant supérieur à celui des 9 autres équipes réunies de Lituanie.\\n\\n\\nBourges n’en finit plus de gagner : 14e victoire consécutive en Ligue Féminine\\n\\nOn n’arrête plus Bourges en Ligue Féminine. Après leur victoire face à Montpellier, Les Tango ont signé leur 14e victoire de rang en championnat face à Villeneuve d’Ascq (81-76). Pendant ce temps, Basket Landes s’est incliné contre Tarbes dans le derby du sud-ouest (66-70), perdant au passage leur internationale serbe Nevena Jovanovic.\\n\\nBourges, Charleville, Landerneau et Montpellier se sont qualifiés pour les demi-finales de la Coupe de France.\\n\\n\\n🔥 @elineldebrink MVP hier soir avec 26 points & des tirs clutchs ! #FiertéTango pic.twitter.com/7I7bvF3uLO\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) March 4, 2021\\n\\n\\n\\nUn rappeur au Paris Basketball (Pro B)... en tant que joueur, c’est fait !\\n\\nCoup de buzz ou coup de génie ? Khadimou Rassoul Cheick Fall, alias Sheck Wes, a bel et bien signé au Paris Basketball. L’arrivée du joueur a été officialisée par le club en début de semaine. Annoncé au poste de meneur, le rappeur américain de 22 ans rejoindra les rangs de l’effectif professionnel à partir du mois de mai.\\n\\n\\nWE DROPPING IN PARIS !!!!!!!!!! BALLING LIKE A PRO !!! pic.twitter.com/T8O4fFyrJV\\n\\n— Sheck Jesus (@sheckwes) March 1, 2021\\n\\n\\nParmi les autres mouvements de la semaine en France, on retrouve le départ du Belge Manu Lecomte de Pau, les arrières des Slaves Maj Kovacevic en renfort à Gries-Oberhoffen et Josip Bilinovac à Quimper. Mais aussi le retour de Mamadou Dia à Fos-Provence... à presque 43 ans !\\n\\n... Mais aussi\\n\\n * Joakim Noah prend bien sa retraite\\n * Le Real Madrid prépare déjà son effectif pour la saison prochaine\\n * Laurent Legname sur le départ de la JDA Dijon ?\\n\\nAu quotidien, la rédaction de Basket Europe vous propose de nombreux contenus pour vous faire vivre au plus près les événements du basket français et européen, en accès libre ou premium pour nos abonnés. Pour faire partie de ce cercle de privilégiés, c’est ici.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite : Vainqueur de Roanne, Boulazac n’est plus capot" }, {"role": "assistant", "content":"Cela faisait un an que le BBD n’avait pas gagné un match de Jeep Elite, les 8 premiers de la saison s’étaient soldés par autant d’échecs. Cette victoire face à la Chorale de Roanne (82-72), un autre mal classé, était devenu INDISPENSABLE.\\n\\nPrivé de son pivot Mouphtaou Yarou (deuil familial), Boulazac a pu compter sur son meneur Benjamin Sène, étincelant, auteur de 18 points à 7/8 aux shoots, 4 passes, 4 interceptions et 27 d’évaluation, et aussi sur les 21 points de l’arrière canadien Aaron Best.\\n\\n« J’ai une pensée pour les supporters, les partenaires, le staff, les joueurs, le club. On a eu pas mal de coups durs. On pense fort à Mouphtaou », a souligné le coach Thomas Andrieux en conférence de presse, propos repris par Sud Ouest. « L’équipe a fait preuve de beaucoup de solidarité ce soir. Roanne nous a bien impacté au rebond. On a mis du coeur. Quand ils repassent devant, j’ai cru qu’on n’aurait pas le coup de reins nécessaire pour gagner. »\\n\\nCeci dit, le chemin pour se sortir du guêpier est encore long et ardu. Chalon et Châlons-Reims ont également profité de la journée pour connaître le succès. Il faudra que le BBD ramène de l’un de ses deux prochains déplacements, à Chalon et Cholet, une autre victoire.\\n\\nPhoto: Benjamin Sène (BBD)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de l’Eurocup, 5ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la cinquième journée du Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nTout d’abord, le bilan des clubs français lors de cette journée est négatif avec une victoire pour trois défaites.\\n\\nMonaco recevait Nanterre à la salle Gaston-Médecin. Les Monégasques avaient remporté le match aller de 28 points et se qualifiaient pour les quarts en cas de victoire. Ses deux nouvelles recrues, Branden Frazier et Ibrahima Fall Faye étaient absentes pour cette rencontre alors que, côté nanterrien, Nikola Rebic et Marcquise Reed manquaient à l’appel. Le match a été très équilibré pendant toute la première mi-temps puis le club de la Principauté prend l’avantage au retour des vestiaires. L’écart monte même jusqu’à 14 points. Mais le club altoséquanais remonte dans le dernier quart et revient à 3 points à 30 secondes du terme. Monaco réussit à garder l’avantage et l’emporte finalement 98-94.\\n\\nL’équipe de Zvezdan Mitrovic a été emmenée par le duo Marcos Knight-Mathias Lessort, auteur d’une évaluation cumulée de 52. Le premier est le meilleur ailier de la semaine. Quant au second, il est le meilleur pivot européen. Il est également le MVP français de la journée pour la cinquième fois de la saison. Du côté de Nanterre, Ivan Février a profité du fait d’être starter pour être le Rising Star de la semaine. La victoire de l’AS Monaco l’envoie donc en quarts de finale de la compétition. Quant à Nanterre, il doit attendre le résultat de Badalona pour espérer conserver une chance de qualification.\\n\\nBoulogne-Levallois recevait le Lokomotiv Kuban Krasnodar. Le club français s’était imposé à l’aller de 4 points et jouait sa qualification en cas de victoire. Malheureusement, le club francilien n’a pas existé dans ce match. Il a perdu les trois premiers quarts et était mené de 24 points après 30 minutes. Finalement, le club russe s’impose 83-61, reste en vie et récupère le point-average. Au niveau de l’évaluation, le club russe s’impose 118 à 43. Il a été emmené par le duo de guards Will Cummings-Nigel Williams-Goss qui a cumulé 59 d’évaluation, soit presque 1,5 fois celle des Metropolitans. Le premier est le Meilleur Sixième Homme de la semaine alors que le second en est le meilleur arrière. De plus, Drew Gordon est le meilleur rebondeur avec 11 unités. Malgré la défaite, Boulogne reste en position de se qualifier avant la dernière journée.\\n\\nEnfin, Bourg, déjà éliminé, recevait le Buducnost Podgorica et avait pour objectif de décrocher la première victoire de son histoire en Top 16 de l’Eurocup. Cependant, le club bressan était handicapé par les absences de Codi Miller-McIntyre, Danilo Andjusic, Luka Asceric, Alen Omic et Thibault Daval-Braquet. Malgré cela, Bourg mène de 2 points à l’issue de 30 premières minutes très disputées. Mais le club de la capitale monténégrine gagne le dernier quart de 5 points et l’emporte 92-89. Le leader de l’équipe de Dejan Milojevic a été Willie Reed, auteur d’un match parfait en attaque et meilleur pivot de la semaine. Il est rejoint dans le meilleur Cinq par l’intérieur de Bourg Zachery Peacock, co-meilleur marqueur avec 29 points. Buducnost se donne le droit de jouer une finale pour la qualification lors de la dernière journée face au Cedevita Olimpija.\\n\\nDans le groupe E, dans le derby espagnol, Badalona recevait Malaga. Le club catalan pouvait assurer sa qualification en cas de victoire. La situation lui était facilitée par le fait que Malaga était déjà éliminé et qu’il déplorait de nombreuses absences (Alberto Diaz, Dario Brizuela, Malcolm Thomas et Volodymyr Gerun). Contre toute attente, le club andalou est dans le coup et n’est mené que d’un point à la mi-temps. Il remporte même les deux quarts suivants pour créer la surprise et s’imposer 90-77. Cette victoire, l’équipe de Fotis Katsikaris la doit en grande partie à son meneur international espagnol Jaime Fernandez. Auteur de 33 d’évaluation et d’un joli double-double (22 points et 10 passes), il remporte le titre de MVP de la semaine.\\n\\nDans le groupe F, Trento recevait le Partizan Belgrade. Les deux équipes étaient à égalité au classement et le club serbe a remporté le match aller de 28 points. Après une première mi-temps équilibrée, le club italien réalise un gros troisième quart et le remporte 25-8. Puis il gère le dernier quart pour gagner le match 69-54. Le leader de l’équipe d’Emanuele Molin a été le pivot américain JaCorey Williams qui a marqué 16 points à 8/11. Elle ne reprend pas le point-average mais se positionne en tête du groupe.\\n\\nPour le match au sommet du groupe G, le Cedevita Olimpija Ljubljana recevait la Virtus Segafredo Bologna. Ce dernier étant déjà qualifié, il fallait une victoire au club slovène pour se qualifier également. Le club italien domine la première mi-temps et compte jusqu’à 13 points d’avance. Puis c’est le club de la capitale slovène qui reprend l’avantage en seconde mi-temps. Les deux équipes rentrent dans la dernière minute à égalité. Et c’est Marco Belinelli qui marque à 3 points à 2 secondes du buzzer pour envoyer les deux équipes en prolongations. Sur une dynamique positive, l’équipe d’Emilie-Romagne remporte aisément le temps additionnel et gagne le match 108-98. Elle a été emmenée par un quatuor composé de Vince Hunter, Kyle Weems, Milos Teodosic et Marco Belinelli, et auteur d’une évaluation cumulée de 97, soit plus que celle de l’équipe adverse. Marco Belinelli est même le Meilleur Sixième Homme européen de la semaine alors que Milos Teodosic en est le meilleur passeur pour la troisième fois de la saison avec 12 unités. Du côté slovène, Jaka Blazic s’est mis en évidence. Ses 29 points font de lui le co-meilleur marqueur ainsi que le meilleur arrière européen de la journée.\\n\\nDans le groupe H, le match au sommet opposait l’Unics Kazan à Andorra devant 2 621 spectateurs. Le club russe était déjà qualifié mais a géré tranquillement le match. Il l’a remporté largement 85-63 et reste invaincu. L’équipe de Dimitris Prifitis a été portée par son duo d’intérieurs américains John Brown-Okaro White, auteur de 44 d’évaluation, soit seulement 6 de moins que celle de l’équipe de la principauté.\\n\\nEnfin, l’Herbalife Gran Canaria se déplaçait au Mornar Bar. L’équipe monténégrine devait se passer des services de Jacob Pullen et d’Isaiah Whitehead alors que l’équipe espagnole était privée d’Andrew Albicy, Stan Okoye et Earl Clark. La première mi-temps part sur des bases offensives élevées et Mornar Bar mène 48-38 à la pause. Mais la dynamique s’inverse par la suite et Gran Canaria revient quasiment à hauteur à la fin du troisième quart et finit par emporter la victoire 85-81. L’équipe de Porfi Fisac a été emmenée par le duo AJ Slaughter-Javier Beiran. Le second est le meilleur ailier européen de la semaine. La victoire permet au club insulaire de prendre la deuxième place.\\n\\nA l’issue de cette journée, deux équipes sont encore invaincues, l’Unics Kazan et la Virtus Bologna. Elles sont toutes les deux qualifiées et ont été rejointes par l’AS Monaco. Il reste donc 5 places à distribuer.\\n\\nA l’opposé, seul Bourg reste vierge de toute victoire et est éliminée. L’autre équipe éliminée est Malaga.\\n\\nLe bilan des clubs français est pour l’instant de 9 victoires et 11 défaites.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nJaime Fernandez (PG/Esp/27)\\n\\nMalaga\\n\\n33 d’éval (22 pts à 6/11, 9/10 aux LF, 6 rbds, 10 pds, 4 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Jaime Fernandez\\n\\nMalaga\\n\\n33 d’éval\\n\\nSG Nigel Williams-Goss\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n27\\n\\nSF Marcos Knight\\n\\nMonaco\\n\\n28\\n\\nPF Zachery Peacock\\n\\nBourg\\n\\n31\\n\\nC Willie Reed\\n\\nBuducnost\\n\\n28\\n\\nB Will Cummings\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n32\\n\\nMeilleur 5 européen:\\n\\nPG Jaime Fernandez\\n\\nMalaga\\n\\n33 d’éval\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n27\\n\\nSF Javier Beiran\\n\\nGran Canaria\\n\\n23\\n\\nPF Ivan Février\\n\\nNanterre\\n\\n13\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n24\\n\\nB Marco Belinelli\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n21\\n\\nMVP français:\\n\\nMathias Lessort (C/25)\\n\\nMonaco\\n\\n24 d’éval (12 pts à 3/5, 6 rbds, 1 pd)\\n\\nRising star :\\n\\nIvan Février (PF/Fra/22)\\n\\nNanterre\\n\\n13 d’éval (12 pts à 5/8 dont 2/4 à 3 pts, 7 rbds)\\n\\nMeilleurs marqueurs:\\n\\nJaka Blazic\\n\\nZachery Peacock\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\nBourg\\n\\n29 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nDrew Gordon\\n\\nLokomotiv Kuban\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nMilos Teodosic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n12 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 4-1\\n 2. Badalona 3-2\\n 3. Nanterre 2-3\\n 4. Malaga 1-4\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Trento 3-2\\n 2. Boulogne-Levallois\\n 3. Lokomotiv Kuban Krasnodar 2-3\\n 4. Partizan Belgrade\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 5-0\\n 2. Cedevita Olimpija 3-2\\n 3. Buducnost Podgorica 2-3\\n 4. Bourg 0-5\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 5-0\\n 2. Gran Canaria 2-3\\n 3. Andorra\\n 4. Mornar Bar 1-4\\n\\nEn gras, les équipes qualifiées. En italique, les équipes éliminées\\n\\nPhoto d’ouverture: Isaia Cordinier/Mathias Lessort (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite – Le point complet sur les effectifs avant le sprint final" }, {"role": "assistant", "content":"Après le récapitulatif des mouvements d’Euroleague, la rédaction de Basket Europe vous présente les effectifs de chaque équipe de Jeep Elite avant le sprint final de 25 journées à jouer en trois mois. Depuis le 28 février, les équipes ne peuvent plus recruter, hormis jokers médicaux.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBoulazac – 18e (0 victoire – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Cameron Wells (1,86 m, 32 ans, Gravelines), Jérémy Nzeulie (1,88 m, 30 ans, sans club), Mouhammad Faye (2,06 m, 35 ans, Promitheas Patras, Grèce).\\nDéparts : Bruno Cingala-Mata (2,00 m, 27 ans, sans club), Edgar Sosa (1,88 m, 33 ans, Rasta Vechta, Allemagne), Dylan Affo Mama (1,96 m, 21 ans, Évreux, Pro B), Hamady N’Diaye (2,13 m, 33 ans, Pau-Orthez).\\n\\nLanterne rouge de Jeep Elite – et seule équipe à n’avoir toujours pas gagné – Boulazac n’a pas été épargné par les blessures en début de saison. Les dirigeants du club ont enclenché l’opération maintien. D’abord pigistes médicaux, Cameron Wells et Jérémy Nzeulie resteront dans le Périgord jusqu’à la fin de la saison. Pour compenser l’absence de Jean-Frédéric Morency, blessé à l’épaule et indisponible jusqu’à la fin de l’exercice, le BBD a choisi l’international sénégalais Mouhammad Faye. Thomas Andrieux devra à la fois faire confiance à de très jeunes joueurs et compter sur l’apport de joueurs d’expérience dans le sprint final.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Benjamin Sene (1,88 m, 26 ans, FRA), Cameron Wells (1,86 m, 32 ans, USA), Paul Billong (1,93 m, 19 ans, FRA).\\nArrières : Aaron Best (1,93 m, 28 ans, CAN), Jérémy Nzeulie (1,88 m, 30 ans, FRA).\\nAiliers : Kevin Harley (1,96 m, 26 ans, FRA), Léo Billon (2,00 m, 20 ans, FRA).\\nAilier-forts : John Flowers (2,00 m, 31 ans, USA), Mouhammad Faye (2,06 m, 35 ans, SEN), Jean-Frédéric Morency (2,00 m, 31 ans, FRA, out).\\nPivots : Mouphtaou Yarou (2,06 m, 30 ans, BEN), Owen Klassen (2,08m, 29 ans, CAN), Babacar Mbye (2,13 m, 19 ans, GAM).\\n\\nBoulogne-Levallois – 4e (9 victoires – 4 défaites)\\n\\nArrivées : Archie Goodwin (1,96 m, 26 ans, sans club), Josh Owens (2,06 m, 32 ans, Bahcesehir Koleji Istanbul, Turquie).\\nDéparts : Rob Gray (1,85 m, 26 ans, Monaco), Assem Marei (2,06 m, 28 ans, Galatasaray, Turquie), Paul Stoll (1,80 m, 35 ans, sans club).\\n\\nDevant mener de front Jeep Elite et Eurocup (en bonne posture pour se qualifier pour les quarts de finale), les Metropolitans ont étoffé quelque peu leur effectif. Depuis le début de la saison, les blessés sont remplacés par des pigistes médicaux (Assem Marei, Paul Stoll), sans que cela ne vienne perturber le bon fonctionnement du groupe de Jurij Zdovc. L’ancien de NBA Archie Goodwin et l’intérieur Josh Owens seront présents jusqu’à la fin de la saison. Suffisant pour compenser l’absence de longue durée de Miralem Halilovic ?\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Brandon Brown (1,83 m, 31 ans, USA), David Michineau (1,91 m, 26 ans, FRA), Assemian Moulare (1,83 m, 18 ans, FRA).\\nArrières : Anthony Brown (1,99 m, 28 ans, USA), Bastien Pinault (1,95 m, 27 ans, FRA).\\nAiliers : Maxime Roos (2,02 m, 25 ans, FRA), Lahaou Konate (1,96 m, 29 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Tomer Ginat (2,02 m, 26 ans, ISR), Josh Owens (2,06 m, 32 ans, Miralem Halilovic (2,05 m, 29 ans, BIH, blessé).\\nPivots : Vitalis Chikoko (2,08 m, 29 ans, ZIM), USA), Neal Sako (2,10 m, 21 ans, FRA).\\n\\nBourg-en-Bresse – 3e (7 victoires – 3 défaites)\\n\\nArrivées : Codi Miller-McIntyre (1,90 m, 26 ans, Partizan Belgrade, Serbie).\\nDéparts : Kadeem Allen (1,85 m, 27 ans, Niners Chemnitz, Allemagne), Théo Rey (1,94 m, 21 ans, Gries-Oberhoffen, Pro B, prêt), Ivan Buva (2,08 m, 29 ans, Rytas Vilnius, Lituanie).\\n\\nPour la première saison européenne de son histoire, la JL Bourg a débuté sur les chapeaux de roues. Les choses se sont gâtées dernièrement dans l’Ain avec un enchaînement de blessures (Omic, Scrubb, Daval-Braquet) et le départ prématuré du meneur Kadeem Allen. Le joker médical Ivan Buva est déjà reparti, tandis qu’une seule arrivée est à noter : celle de Codi Miller-McIntyre. Suivie peut-être de la signature du pivot Bangaly Fofana, attendu en Bresse pour compenser la blessure de Thibault Daval-Braquet. Eliminé d’Eurocup avant un baroud d’honneur contre la Virtus Bologne la semaine prochaine, la Jeu de Danilo Anjusic – meilleur marqueur de la saison avec 19,7 points par match – se concentrera sur le championnat... et la préparation d’un nouveau cycle. Le coach Savo Vucevic ne rempilera pas la saison prochaine.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Zack Wright (1,83 m, 36 ans, USA-BIH), Codi Miller-McIntyre (1,90 m, 26 ans, USA), Hugo Benitez (1,87 m, 20 ans, FRA).\\nArrières : Danilo Andjusic (1,95 m, 29 ans, SRB), Luka Asceric (2,01 m, 24 ans, SRB-FRA).\\nAiliers : Thomas Scrubb (1,98 m, 29 ans, CAN-GBR), Maxime Courby (1,99 m, 30 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Zachery Peacock (2,03 m, 33 ans, USA), Pierre Pelos (2,05 m, 28 ans, FRA).\\nPivots : Alen Omic (2,16 m, 28 ans, SLV), Thibault Daval-Braquet (2,10 m, 24 ans, FRA, blessé).\\n\\nChalon-sur-Saône – 15e (3 victoires – 7 défaites)\\n\\nArrivées : Sean Armand (1,96 m, 29 ans, sans club), Jordon Crawford (1,68 m, 30 ans, sans club), Martins Meiers (2,08 m, 29 ans, Astana, Kazakhstan).\\nDéparts : D.J. Cooper (1,83 m, 30 ans, Dnipro, Ukraine), Teyvon Myers (1,88 m, 26 ans, Roanne), Eric Buckner (2,08 m, 30 ans, Astana, Kazakhstan).\\n\\nLa récente blessure longue durée d’Ousmane Camara vient contrecarrer les plans de Julien Espinosa. Le club s’est séparé, en plus des ratés de début de saison – D.J. Cooper et Teyvon Myers – d’Eric Buckner. Numériquement, le secteur intérieur chalonnais se retrouve décimé et ne peut se permettre une nouvelle blessure. Heureusement, les arrivées en cours de route de Sean Armand et Jordon Crawford sur les lignes arrières ont été convaincantes. 15e de Jeep Elite, Chalon est en posture instable avant d’affronter le sprint final.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Jordon Crawford (1,68 m, 30 ans, USA), Garrett Sim (1,81 m, 30 ans, USA), Ismael Roche (1,80 m, 19 ans, FRA).\\nArrières : Sean Armand (1,96 m, 29 ans, USA), Babacar Niasse (1,93 m, 20 ans, FRA).\\nAiliers : Rafi Menco (2,00 m, 27 ans, ISR), Assane Ndoye (2,04 m, 24 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Myles Hesson (1,98 m, 30 ans, GBR), Mickaël Gelabale (2,04 m, 37 ans, FRA).\\nPivots : Martins Meiers (2,08 m, 29 ans, LET), Ousmane Camara (2,05 m, 31 ans, FRA, blessé), Yvann Mbaya (2,08 m, 20 ans, FRA).\\n\\nChampagne Basket – 16e (3 victoires – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Dominic Waters (1,85 m, 34 ans, Be’er Sheva, Israël), Joshiko Saibou (1,88 m, 30 ans, sans club), Gani Lawal (2,06 m, 32 ans, Al Rayyan, Qatar).\\nDéparts : Jalen Adams (1,90 m, 25 ans, Erie BayHawks, G-League), Arnas Velicka (1,92 m, 21 ans, Brunswick, Allemagne), Ekene Ibekwe (2,06 m, 35 ans, Roanne).\\n\\nParmi les effectifs aux rotations courtes, celui de Champagne Basket pourrait avoir la palme d’or, même si l’équipe s’est renforcée dernièrement. Contraint de revoir ses lignes arrières avec les départs de Jalen Adams – meilleur marqueur de Jeep Elite – et Arnas Velicka – meneur titulaire -, le coach Cédric Heitz a jeté son dévolu sur Dominic Waters et Joshiko Saibou, deux joueurs d’expérience. L’intérieur Ekene Ibekwe a été remplacé par le globe-trotteur Gani Lawal. Les interrogations sont plurielles et l’objectif maintien ne sera pas chose aisée.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Dominic Waters (1,85 m, 34 ans, USA), Matthieu Gauzin (1,91 m, 20 ans, FRA).\\nArrières : Jessie Begarin (1,90 m, 32 ans, FRA), Joshiko Saibou (1,88 m, 30 ans, GER).\\nAiliers : Travis Leslie (1,93 m, 30 ans, USA), Dominique Archie (2,01 m, 33 ans, USA), .\\nAiliers-forts : François Matip (2,00 m, 21 ans, FRA), Junior Mbida (2,06 m, 31 ans, CAM).\\nPivots : Jimmie Taylor (2,08 m, 25 ans, USA), Gani Lawal (2,06 m, 32 ans, USA).\\n\\nCholet – 14e (3 victoires – 6 défaites)\\n\\nArrivées : Gerry Blakes (1,96 m, 26 ans, Bamberg, Allemagne), Aaron Jones (2,06 m, 27 ans, Bilbao, Espagne), Chris Horton (2,02 m, 26 ans, Gravelines-Dunkerque), Ian Miller (1,90 m, 29 ans, Promitheas Patras, Grèce).\\nDéparts : Chauncey Collins (1,83 m, 25 ans, Denizli, Turquie), Terell Parks (2,05 m, 29 ans, Herzliya, Israël), Kyvon Davenport (2,03 m, 24 ans, Boudivelnyk Kiev, Ukraine), Hugo Robineau (1,90 m, 20 ans, Gries-Oberhoffen, Pro B, en prêt).\\n\\nLe moins que l’on puisse dire, c’est que la saison choletaise n’est pas un long fleuve tranquille. L’effectif a été remodelé de toutes pièces en cours de route. Après les départs de Chauncey Collins, Terell Parks, Kyvon Davenport et Hugo Robineau en prêt, Cholet a recruté Gerry Blakes, Aaron Jones et surtout le MVP de Jeep Elite de la saison dernière, Chris Horton, de retour à la Meilleraie à peine 6 mois après l’avoir quittée. Eliminée de BCL, l’équipe d’Erman Kunter a du talent sur tous les postes mais devra rapidement proposer un jeu collectif digne de ce nom pour s’éloigner du bas de tableau. Ian Miller, deuxième meilleur marqueur de Jeep Elite l’an passé avec Roanne (17,2 points), débarque dans les Mauges comme pigiste médical.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Michael Stockton (1,85 m, 31 ans, USA), Karlton Dimanche (1,94 m, 21 ans, FRA).\\nArrières : Gregor Hrovat (1,96 m, 26 ans, SLV), Ian Miller (1,90 m, 29 ans, USA, pigiste), Gerry Blakes (1,96 m, 26 ans, USA, blessé).\\nAiliers : Lasan Kromah (1,98 m, 29 ans, USA-LIB), Vafessa Fofana (1,98 m, 28 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Yoan Makoundou (2,06 m, 20 ans, FRA), Nianta Diarra (2,01 m, 27 ans, MAL).\\nPivots : Chris Horton (2,02 m, 26 ans, USA), Aaron Jones (2,06 m, 27 ans, USA).\\n\\nDijon – 2e (10 victoires – 2 défaites)\\n\\nArrivées : Gerald Robinson (1,85 m, 31 ans, Pesaro, Italie).\\nDéparts : Aucun.\\n\\nD’outsider à favori, il n’y a qu’un pas. En allant chercher un habitué du championnat de France, l’arrière Gerald Robinson (passé par Nanterre et Monaco), en cours de saison, la JDA Dijon s’est renforcée. L’objectif ? Avoir une longueur de banc suffisante pour ne pas se mettre dans le rouge dans le sprint final, qui débute en mars. Eliminé au 1er tour en BCL, l’effectif – plus que stable – de Laurent Legname est composé de 10 joueurs pour mener de front Jeep Elite et Coupe de France... Et faire bonne figure dans une compétition comme dans l’autre.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : David Holston (1,73 m, 35 ans, USA), Axel Julien (1,84 m, 28 ans, FRA).\\nArrières : Chase Simon (2,00 m, 31 ans, USA), Gerald Robinson (1,85 m, 31 ans, USA).\\nAiliers : Jaron Johnson (1,96 m, 28 ans, USA), Charles Galliou (2,02 m, 25 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Hans Vanwijn (2,05 m, 26 ans, BEL), Abdoulaye Loum (2,09 m, 29 ans, FRA).\\nPivots : Alexandre Chassang (2,03 m, 26 ans, FRA), Jacques Alingué (2,01 m, 32 ans, FRA).\\n\\nGravelines-Dunkerque – 12e (4 victoires – 6 défaites)\\n\\nArrivées : Erik McCree (2,03 m, 27 ans, Bakken Bears, Danemark), Khalid Boukichou (2,08 m, 28 ans, sans club), Gavin Ware (2,06 m, 27 ans, sans club), Briante Weber (1,86 m, 29 ans, sans club), Aleksej Nikolic (1,91 m, 26 ans, Partizan Belgrade, Serbie).\\nDéparts : Gaylor Curier (1,97 m, 28 ans, Lille, Pro B), Quincy Ford (2,03 m, 28 ans, Patras, Grèce), Cameron Wells (1,86 m, 32 ans, Boulazac), Chris Horton (2,02 m, 26 ans, Cholet).\\n\\nEn à peine 10 rencontres de Jeep Elite, Gravelines-Dunkerque a déjà fait un sacré ménage cette saison, mettant à la porte Quincy Ford, Cameron Wells, Chris Horton et le pigiste Gaylor Curier. Remplacés par des habitués du championnat de France : Erik McCree, Gavin Ware, Briante Weber et Khalid Boukichou. Le BCM a par ailleurs signé l’arrière Aleksej Nikolic, champion d’Europe 2017 avec la Slovénie, libéré par le Partizan Belgrade. Il remplace Corey Davis, souhaitant rester au près de ses proches aux États-Unis après un deuil. La période de transition imposée par la LNB en février n’a pu être que bénéfique pour Serge Crevecoeur afin de créer un collectif en terre du nord.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Briante Weber (1,86 m, 29 ans, USA), Lucas Bourhis (1,77 m, 21 ans, FRA).\\nArrières : Corey Davis (1,86 m, 23 ans, USA, indisponible), Vojdan Stojanovski (1,94 m, 33 ans, MAC), Aleksej Nikolic (1,91 m, 26 ans, SLV).\\nAiliers : Romuald Morency (2,02 m, 25 ans, FRA), Pape Sy (2,02 m, 32 ans, FRA), Paul Rigot (2,01 m, 26 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Erik McCree (2,03 m, 27 ans, USA), Itay Segev (2,04 m, 25 ans, ISR, blessé).\\nPivots : Gavin Ware (2,06 m, 27 ans, USA), Khalid Boukichou (2,08 m, 28 ans, BEL).\\n\\nLe Mans – 6e (6 victoires – 3 défaites)\\n\\nArrivées : aucune.\\nDéparts : aucun.\\n\\nLe seul effectif de Jeep Elite à ne pas avoir modifié son roster depuis le début de la saison. Mais le MSB avait-il besoin de renfort ? Probablement pas. Epargné par les blessures après la pige médicale d’Alain Koffi – depuis signé pour le reste de la saison – en remplacement de Williams Narace, le collectif d’Elric Delord poursuit sa route, sans coupe d’Europe. Outre la Coupe de France, l’effectif est taillé pour aller chercher le Top 8.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Kaza Kajami-Keane (1,85 m, 27 ans, CAN), Antoine Eïto (1,86 m, 32 ans, FRA).\\nArrières : Scott Bamforth (1,88 m, 31 ans, USA-KOS), Valentin Bigote (1,96 m, 29 ans, FRA).\\nAiliers : Terry Tarpey (1,95 m, 27 ans, FRA), Kenny Baptiste (1,97 m, 21 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Williams Narace (2,01 m, 23 ans, CAM), Vitto Brown (2,03 m, 25 ans, USA), Alain Koffi (2,07 m, 37 ans, FRA).\\nPivots : Ovie Soko (2,01 m, 30 ans, GBR), Egidijus Mockevicius (2,08 m, 28 ans, LIT).\\n\\nLe Portel – 9e (5 victoires – 5 défaites)\\n\\nArrivées : Charles-Noé Abouo (1,96 m, 31 ans, sans club), Georgi Joseph (1,98 m, 38 ans, sans club).\\nDéparts : Wesley Gordon (2,06 m, 26 ans, Larissa, Grèce), Jamar Abrams (2,01 m, 31 ans, Poitiers, Pro B).\\n\\nSurprenant en ce début de saison dispersé malgré plusieurs blessures (Umeh, Wojciechowski, Eliezer-Vanerot), le collectif quasi franco-français d’Eric Girard aborde la suite du championnat sans épée de Damoclès au-dessus de la tête. Les jokers Charles-Noé Abouo et Georgi Joseph ont donné satisfaction et resteront sur la Côte d’Opale. Mais l’enchaînement des matchs reste une véritable interrogation pour ce groupe, notamment au niveau du secteur intérieur, court et vieillissant.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Benoît Mangin (1,88 m, 32 ans, FRA), Mehdy Ngouama (1,88 m, 25 ans, FRA).\\nArrières : Boris Dallo (1,96 m, 27 ans, FRA), Michael Umeh (1,88 m, 26 ans, NIG).\\nAiliers : Charles-Noé Abouo (1,96 m, 31 ans, CIV), Mathieu Wojciechowski (2,03 m, 28 ans, FRA), Damien Nseke Ebele (1,99 m, 20 ans, FRA),\\nAiliers-forts : Mikyle McIntosh (2,01 m, 26 ans, CAN), Cyrille Eliezer-Vanerot (2,03 m, 25 ans, FRA).\\nPivots : Johan Passave-Ducteil (1,98 m, 35 ans, FRA), Georgi Joseph (1,98 m, 38 ans, FRA).\\n\\nLimoges – 8e (5 victoires – 5 défaites)\\n\\nArrivées : Kenneth Smith (1,91 m, 27 ans, Anvers, Belgique), Romeo Travis (1,98 m, 36 ans, sans club).\\nDéparts : DeMarcus Nelson (1,93 m, 35 ans, sans club), Benoit Mbala (2,00 m, 25 ans, Aix-Maurienne, Pro B).\\n\\nRarement l’effectif limougeaud n’a été aussi stable à l’intersaison estivale. Cela dit, Mehdy Mary a dû ajuster quelque peu son équipe après le départ de DeMarcus Nelson (raisons personnelles) et Benoit Mbala (manque de temps de jeu). Limoges est allé chercher Kenneth Smith, meilleur passeur du championnat belge la saison passée, et Romeo Travis, champion de France 2018 avec Le Mans. Malgré ses bientôt 37 ans, l’intérieur semble apporter à un groupe taillé pour jouer les troubles-fêtes en fin de saison, en Jeep Elite comme en Coupe de France.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Kenneth Smith (1,91 m, 27 ans, USA), Ludovic Beyhurst (1,72 m, 22 ans, FRA), Timothé Crusol (1,92 m, 19 ans, FRA).\\nArrières : Philip Scrubb (1,91 m, 28 ans, GBR-CAN).\\nAiliers : Nicolas Lang (1,99 m, 30 ans, FRA), Marcus Ginyard (1,95 m, 33 ans, USA).\\nAiliers-forts : Hugo Invernizzi (1,98 m, 28 ans, FRA), Romeo Travis (1,98 m, 36 ans, USA-MCD).\\nPivots : Jerry Boutsiele (2,07 m, 28 ans, FRA), Grismay Paumier (2,05 m, 32 ans, CUB).\\n\\nLyon-Villeurbanne – 5e (6 victoires – 3 défaites)\\n\\nArrivées : Derrick Walton (1,85 m, 25 ans, sans club), Thomas Heurtel (1,89 m, 31 ans, FC Barcelone, Espagne).\\nDéparts : Allerik Freeman (1,90 m, 26 ans, Qingdao Eagles, Chine), Rihards Lomazs (1,93 m, 24 ans, Göttingen, Allemagne).\\n\\nSeul représentant français en Euroleague, l’Asvel a déjà joué 37 matchs officiels cette saison. Bien plus que n’importe qu’elle autre équipe de Jeep Elite. Alors que la saison européenne touche à sa fin – plus que 6 matchs de saison régulière en Euroleague – les Villeurbannais abordent cette reprise de championnat avec 14 joueurs. Principale recrue, l’international français Thomas Heurtel, non qualifié pour l’Euroleague, devra s’insérer dans un collectif déjà bien huilé. Sur le papier, l’effectif de T.J. Parker est talentueux et – de loin – le plus complet de Jeep Elite, à l’heure où il faudra jouer 25 journées en trois mois.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Thomas Heurtel (1,89 m, 31 ans, FRA), Antoine Diot (1,93 m, 32 ans, FRA), Derrick Walton (1,85 m, 25 ans, USA), Matthew Strazel (1,82 m, 18 ans, FRA).\\nArrières : Norris Cole (1,88 m, 32 ans, USA), Paul Lacombe (1,95 m, 30 ans, FRA).\\nAiliers : David Lighty (1,98 m, 32 ans, USA), William Howard (2,03 m, 27 ans, FRA), Charles Kahudi (1,99 m, 34 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Guerschon Yabusele (2,01 m, 25 ans, FRA), Amine Noua (2,03 m, 24 ans, FRA).\\nPivots : Moustapha Fall (2,18 m, 29 ans, FRA), Ismael Bako (2,08 m, 25 ans, BEL), Kevarrius Hayes (2,06 m, 24 ans, USA).\\n\\nMonaco – 1e (8 victoires – 1 défaite)\\n\\nArrivées : Rob Gray (1,85 m, 26 ans, Boulogne-Levallois), Branden Frazier (1,91 m, 28 ans, Fethiye, Turquie), Ibrahima Fall Faye (2,09 m, 24 ans, Anvers, Belgique).\\nDéparts : Wesley Saunders (1,96 m, 27 ans, Fortitudo Bologne, Italie), Darral Willis (2,06 m, 24 ans, Brescia, Italie), Nikola Rebic (1,88 m, 25 ans, Nanterre).\\n\\nDéjà qualifié pour les quarts de finale de l’Eurocup, Monaco a ajouté de la profondeur de banc à son effectif, déjà l’un des plus fournis de Jeep Elite, au cours de la saison. Rob Gray – 17,7 points en 9 matchs d’Eurocup – s’est déjà révélé être l’une des plus belles pioches de la Roca Team, dont le secteur extérieur affiche complet (Bost, Knight, Gray, Frazier, Ndoye) hormis Khedeen Carrington, toujours à l’infirmerie. Leader du championnat de France, l’équipe de Zvezdan Mitrovic s’est même renforcée à l’intérieur en ramenant le pivot franco-sénégalais Ibrahima Fall Faye de Belgique, auteur d’un très beau début de saison à Anvers. L’AS Monaco vise un doublé Jeep Elite – Eurocup et se donne les moyens d’y parvenir.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Dee Bost (1,88 m, 31 ans, USA-BUL), Rudy Demahis-Ballou (1,87 m, 19 ans, FRA), Branden Frazier (1,91 m, 28 ans, USA).\\nArrières : Marcos Knight (1,88 m, 31 ans, USA), Rob Gray (1,85 m, 26 ans, USA), Khadeen Carrington (1,93 m, USA, blessé), Yohan Choupas (1,93 m, 21 ans, FRA).\\nAiliers : Abdoulaye Ndoye (1,99 m, 23 ans, FRA), J.J. O’Brien (2,00 m, 28 ans, USA).\\nAiliers-forts : Damien Inglis (2,04 m, 25 ans, FRA), Ibrahima Fall Faye (2,09 m, 24 ans, FRA-SEN).\\nPivots : Mathias Lessort (2,06 m, 25 ans, FRA), Wilfried Yeguete (2,00 m, 29 ans, FRA).\\n\\nNanterre – 10e (4 victoires – 5 défaites)\\n\\nArrivées : Nikola Rebic (1,88 m, 26 ans, Monaco), Marcquise Reed (1,90 m, 25 ans, Prometey, Ukraine).\\nDéparts : Dwight Buycks (1,91 m, 31 ans, sans club).\\n\\nToujours en course en Eurocup, Nanterre essaie tant bien que mal de jouer sur les deux tableaux, malgré un effectif relativement court. MVP du championnat de France en 2013, le pari Dwight Buycks n’a pas fonctionné. Nanterre l’a remplacé en faisant venir Nikola Rebic de Monaco et Marcquise Reed, deuxième meilleur marqueur de Jeep Elite avec la Chorale de Roanne l’an passé. Pascal Donnadieu peut s’appuyer sur la très belle saison de l’international français Isaïa Cordinier pour viser le Top 8 de Jeep Elite... et pourquoi pas les quarts de finale d’Eurocup.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Chris Warren (1,78 m, 31 ans, USA), Nikola Rebic (1,88 m, 26 ans, SER).\\nArrières : Isaïa Cordinier (1,96 m, 24 ans, FRA), Marcquise Reed (1,90 m, 25 ans, USA).\\nAiliers : Damien Bouquet (1,96 m, 26 ans, FRA), Lucas Dussoulier (2,03 m, 24 ans, FRA, blessé).\\nAiliers-forts : Tyler Stone (2,03 m, 29 ans, USA), Ivan Février (2,04 m, 22 ans, FRA), Victor Wembanyama (2,19 m, 17 ans, FRA).\\nPivots : Alpha Kaba (2,08 m, 25 ans, FRA), Brian Conklin (2,01 m, 31 ans, USA), Samuel Eyango-Dingo (2,07 m, 19 ans, FRA).\\n\\nOrléans – 11e (4 victoires – 6 défaites)\\n\\nArrivées : aucune.\\nDéparts : Fernando Raposo (2,04 m, 31 ans, sans club).\\n\\nHormis le départ de Fernando Raposo, arrivé lui-même en tant que pigiste médical et reparti 10 jours plus tard après s’être blessé à l’entrainement, l’effectif de Germain Castano n’a pas bougé d’un poil. Normal, Orléans ne joue pas de Coupe d’Europe, n’a pas de blessé de longue date, n’est pas dans le rouge en Jeep Elite et la Coupe de France (quart de finale au Mans fin mars) ne bousculera pas le calendrier dans le Loiret.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Paris Lee (1,83 m, 25 ans, USA), Malela Mutuale (1,88 m, 29 ans, FRA).\\nArrières : Darius Johnson-Odom (1,87 m, 31 ans, USA), Neftali Difuidi (1,93 m, 19 ans, FRA).\\nAiliers : LaMonte Ulmer (1,98 m, 34 ans, USA), Giovan Oniangue (1,96 m, 29 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Chima Moneke (1,98 m, 25 ans, NIG), Landing Sane (2,11 m, 30 ans, FRA).\\nPivots : Luke Fischer (2,11 m, 26 ans, USA-ARM), Gary Florimont (2,02 m, 33 ans, FRA).\\n\\nPau-Lacq-Orthez – 17e (3 victoires – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Hamady N’Diaye (2,13 m, 33 ans, Boulazac), Justin Bibbins (1,73 m, 24 ans, Legia Varsovie, Pologne), C.J. Williams (1,96 m, 31 ans, sans club), Tony Wroten (1,98 m, 27 ans, sans club).\\nDéparts : Shannon Evans (1,85 m, 26 ans, Bahcesehir Koleji Istanbul, Turquie), Manu Lecomte (1,80 m, 25 ans, Prienai, Lituanie).\\n\\nL’Elan Béarnais connait un premier tiers de championnat tumultueux. Depuis le départ de Shannon Evans – meilleur joueur de Jeep Elite à l’évaluation (24,2) – l’équipe de Laurent Vila reste sur six défaites de rang et se situe dans la zone rouge avant d’aborder le sprint final. Reste que le club, en situation financière délicate, a sorti le grand jeu à quelques jours de la date butoir du marché des transferts en s’attachant les services de deux joueurs d’expérience : les anciens NBAers C.J. Williams (ex-Dijon) et Tony Wroten. De quoi regarder devant, alors que deux victoires séparent seulement Pau de son rival limougeaud, 8e de Jeep Elite.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Justin Bibbins (1,73 m, 24 ans, USA, blessé), Rémi Lesca (1,80 m, 30 ans, FRA), Gérald Ayayi (1,88 m, 19 ans, FRA).\\nArrières : Vee Sanford (1,93 m, 30 ans, USA), Tony Wroten (1,98 m, 27 ans, USA).\\nAiliers : Jérémy Leloup (2,02 m, 34 ans, FRA), C.J. Williams (1,96 m, 31 ans, USA), Digué Diawara (2,06 m, 22 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Petr Cornelie (2,11 m, 25 ans, FRA), Ousmane Drame (2,06 m, 29 ans, GUI-USA).\\nPivots : Nicolas De Jong (2,10 m, 32 ans, FRA), Hamady N’Diaye (2,13 m, 33 ans, SEN).\\n\\nRoanne – 13e (3 victoires – 6 défaites)\\n\\nArrivées : Jamel Artis (2,01 m, 27 ans, Utena, Lituanie), Renathan Ona Embo (1,94 m, 22 ans, sans club), Teyvon Myers (1,88 m, 26 ans, Chalon-sur-Saône), Ekene Ibekwe (2,06 m, 35 ans, Châlons-Reims).\\nDéparts : Mathis Keita (1,92 m, 29 ans, Poitiers, Pro B), Nijal Pearson (1,96 m, 23 ans, Lahti, Finlande).\\n\\nDéçu par l’apport de Nijal Peason et Mathis Keita, entre autres, Jean-Denys Choulet a grandement modifié son effectif avec les renforts de Jamel Artis, Renathan Ona Embo et Teyvon Myers. Puis Ekene Ibekwe est également arrivé dans le but de compenser la longue suspension de Boubacar Touré après son mauvais geste contre Miralem Halilovic. Densifié, l’effectif de la Chorale est paré pour l’objectif maintien.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Sylvain Francisco (1,80 m, 23 ans, FRA), Renathan Ona Embo (1,94 m, 22 ans, FRA).\\nArrières : Ronald March (1,96 m, 27 ans, USA), Teyvon Myers (1,88 m, 26 ans, USA), Thomas Ville (1,88 m, 25 ans, FRA).\\nAiliers : Jamel Artis (2,01 m, 27 ans, USA), Clément Cavallo (2,00 m, 30 ans, FRA), Arthur Bruyas (1,94 m, 20 ans, FRA).\\nAiliers-forts : Steeve Ho You Fat (2,03 m, 32 ans, FRA), Jackson Rowe (2,01 m, 24 ans, CAN), Ladji Meite (2,05 m, 20 ans, CIV),\\nPivots : Juvonte Reddic (2,06 m, 28 ans, USA), Ekene Ibekwe (2,06 m, 35 ans, NIG), Boubacar Touré (2,13 m, 25 ans, SEN, suspendu 10 matchs).\\n\\nStrasbourg – 7e (7 victoires – 4 défaites)\\n\\nArrivées : Ike Udanoh (2,02 m, 31 ans, Trieste, Italie).\\nDéparts : Axel Toupane (2,01 m, 28 ans, Santa Cruz Warriors, G-League), Ebuka Izundu (2,08 m, 24 ans, Zeleznik, Serbie).\\n\\nLe nouveau cycle impulsé cette saison à la SIG prend forme. Après le départ en tout début de saison d’Axel Toupane en G-League, le collectif de Lassi Tuovi joue la stabilité. Un seul changement est à noter avec le départ d’Ebuka Izundu, remplacé par Ike Udanoh. Toujours en lice en Basketball Champions League et en Coupe de France, Strasbourg a une vraie carte à jouer, sur tous les tableaux... À condition de ne pas accumuler les blessés, alors que 9 joueurs majeurs devraient se partager le temps de jeu dans le sprint final de Jeep Elite.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nMeneurs : Brandon Jefferson (1,75 m, 29 ans, USA), Jean-Baptiste Maille (1,90 m, 27 ans, FRA), Jayson Tchicamboud (1,86 m, 19 ans, FRA).\\nArrières : DeAndre Lansdowne (1,88 m, 31 ans, USA), Jaromir Bohacik (1,97 m, 28 ans, CZE).\\nAiliers : Bonzie Colson (1,98 m, 25 ans, USA).\\nAiliers-forts : Léo Cavalière (2,03 m, 24 ans, FRA), Ishmail Wainright (1,96 m, 26 ans, USA).\\nPivots : Yannis Morin (2,08 m, 27 ans, FRA), Ike Udanoh (2,02 m, 31 ans, NIG), Essomé Miyem (2,10 m, 19 ans, FRA).\\n\\nPhoto : Euroleague (ASVEL)\\n\\n[armelse]\\n\\nBoulazac – 18e (0 victoire – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Cameron Wells (1,86 m, 32 ans, Gravelines), Jérémy Nzeulie (1,88 m, 30 ans, sans club), Mouhammad Faye (2,06 m, 35 ans, Promitheas Patras, Grèce).\\nDéparts : Bruno Cingala-Mata (2,00 m, 27 ans, sans club), Edgar Sosa (1,88 m, 33 ans, Rasta Vechta, Allemagne), Dylan Affo Mama (1,96 m, 21 ans, Évreux, Pro B), Hamady N’Diaye (2,13 m, 33 ans, Pau-Orthez).\\n\\nLanterne rouge de Jeep Elite – et seule équipe à n’avoir toujours pas gagné – Boulazac n’a pas été épargné par les blessures en début de saison. Les dirigeants du club ont enclenché l’opération maintien. D’abord pigistes médicaux, Cameron Wells et Jérémy Nzeulie resteront dans le Périgord jusqu’à la fin de la saison. Pour compenser l’absence de Jean-Frédéric Morency, blessé à l’épaule et indisponible jusqu’à la fin de l’exercice, le BBD a choisi l’international sénégalais Mouhammad Faye. Thomas Andrieux devra à la fois faire confiance à de très jeunes joueurs et compter sur l’apport de joueurs d’expérience dans le sprint final.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France féminine : Bourges, Charleville, Landerneau et Montpellier en demi-finales" }, {"role": "assistant", "content":"Sous les ailes d’une époustouflante Alexia Chartereau (28 points à 10/12 aux shoots, 7 rebonds), Bourges a remporté le quart-de-finale au sommet de Coupe de France face à Lyon.\\n\\nBien que privé de Olivia Epoupa, Charnay a poussé Lattes-Montpellier en prolongation. Coralie Chabrier (20 ans) s’est mise en évidence avec 18 points. Landerneau a tombé Basket Landes grâce notamment au duo Ezinne Kalu (25 points) – Luisa Geiselsoder (19 points, 10 rebonds). Quant aux Flammes de Charleville, elles ont étouffé Villeneuve d’Ascq, notamment dans le 3e quart-temps (20-6).\\n\\nLe tirage au sort des demi-finales aura lieu demain, lundi 8 mars. La finale se tiendra le samedi 24 avril à l’Accor Arena de Paris.\\n\\nLes Résultats:\\nLattes-Montpellier (LFB) – Charnay (LFB) : 86-84 a.p.\\nCharleville-Mézirères (LFB) – Villeneuve d’Ascq (LFB) : 90-57\\n\\nBourges (LFB) – Lyon (LFB) : 83-68\\nLanderneau (LFB) – Basket Landes (LFB) : 86-73\\n." }, {"role": "user", "content":"Guerschon Yabusele (Asvel) : «La boxe m’a aidé à jouer au basket»" }, {"role": "assistant", "content":"Guerschon Yabusele, alias The Dancing Bear, est revenu sur son choix de revenir à l’Asvel pour découvrir l’Euroleague.\\n\\nDe retour en France cette saison, quatre ans après son départ de Rouen, Guerschon Yabusele (2,03 m, 25 ans) s’est imposé comme un titulaire en puissance du côté de l’Asvel. Auteur d’un exercice prometteur en Euroleague (9,9 points à 52,9 % aux tirs, 4,0 rebonds, 0,9 interception, 0,7 contre en 24 minutes), l’international français est revenu sur ses choix de carrière et de vie dans un entretien accordé à l’Euroleague.\\n\\n« Je suis pro depuis 5-6 ans. Vous savez, je commence à m’habituer au haut niveau mais l’Euroleague, c’était vraiment un nouveau challenge pour moi. Je n’avais joué en Euroleague mais c’est assurément l’une des meilleures ligues. L’Asvel était l’une des meilleurs options que je puisse avoir : jouer en Euroleague et être en France près de ma famille et de mes amis en même temps. J’ai grandi en faisant de la boxe et en jouant au foot dehors. Après ça, j’ai décidé de commencer à jouer au basket. Je n’avais jamais pensé que ça pouvait être ma vie, mais je suis tombé amoureux de ce jeu. La boxe m’a probablement aidé à jouer au basket, à me déplacer rapidement, à être plus agile. »\\n\\nCoéquipier exemplaire, David Lighty le côtoie depuis plusieurs années. Il loue ses qualités athlétiques mais aussi mentales.\\n\\n« Quand je suis arrivé en France, c’était un jeune homme. De voir tout le parcours qu’il a accompli pour devenir professionnel... « Sky is the limit » pour lui. Ce qu’il fait pour sa taille, pour sa rapidité, c’est assez impressionnant. Tant qu’il est concentré, je pense qu’il peut réussir tous les objectifs qu’il se fixe. »\\n\\nSon coach à Lyon-Villeurbanne, T.J. Parker, lui prédit un bel avenir.\\n\\n« Il a un talent énorme et il est encore très jeune mais il a déjà joué en Chine, en G-League... Son avenir dépend de lui. 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Pour certains clubs, le sponsor est attaché à leur nom et est leur principal source de revenus.\\n\\n« C’est un sport particulièrement fragmenté, car à l’exception de Spar, qui donne son nom à Uni Girona et à CB Islas Canarias, tous deux en Endesa Women’s League, aucune entreprise n’a plus d’un accord en tant que sponsor principal, » écrit 2Playbook. « Les seules exceptions sont Movistar et Unicaja, bien que tous deux exploitent deux actifs complémentaires: dans le cas de la banque, le nom de Baloncesto Málaga, dont il est également l’actionnaire majoritaire, et le parrainage de la Copa del Rey de l’ACB, tandis que la téléco le fait avec CB Estudiantes et l’ACB elle-même. »\\n\\nC’est le secteur alimentaire qui est le plus concerné avec sept contrats, devant les banques avec cinq accords. 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Voici pour continuer les salaires des joueurs et du staff technique de Saint-Chamond, Rouen et Quimper.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nQuimper au-dessus de ses moyens\\n\\nSi l’on dit que les Béliers de Kemper vivent au-dessus de leurs moyens, ce n’est certainement pas pour signifier qu’ils font n’importe quoi avec leur budget, bien au contraire ! Avec le 8e budget et la 8e masse salariale de Pro B (635 500 € déclarés), le club breton confirme son excellent parcours de la saison passée et peut même rêver d’accession à la Jeep Élite, n’étant devancé au classement par Blois qu’au panier-average (7 victoires-2 défaites). Outre la présence d’un entraîneur « magique » (si tant est que cela existe) sur son banc, l’ancien international Laurent Foirest, l’UJAP s’est surtout signalé par un recrutement des plus avisés, et qui plus est très rentable. Si le « taulier » David Jackson assure sans fioriture (mais avec une adresse un peu défaillante, 39,2 % aux tirs dont 31,1 % à trois-points), tout comme le pivot Ryan Reid, c’est surtout du côté de la jeune garde quimpéroise qu’il faut regarder pour trouver les meilleures affaires. Deux noms ressortent : celui, assez attendu, de Bathiste Tchouaffé, qui confirme brillamment sa fin de saison passée à Poitiers (14,7 points, 15,3 d’évaluation, avec 56,3 % aux tirs dont 50,0 % à trois-points), et celui moins évident de prime abord de Jules Rambaut qui, au sortir d’une bonne saison en NM1 avec Bordeaux, montre qu’il a tout à fait sa place à l’étage supérieur (7,6 pts à 63,3 % aux tirs dont 47,1 % à trois-points, 9,7 d’éval), le tout pour un tout petit salaire. Le seul à avoir un peu peiné, par la faute de blessures principalement, est le meneur lituanien Ovijidus Varanauskas qui, encore sur le flanc, va être provisoirement remplacé par l’arrière international croate Josip Bilinovac. Un effectif équilibré, très rentable pour son coût, voilà une recette qui pourrait bien amener les Béliers vers la Jeep Élite !\\n\\n * David Jackson (USA) : 58 000,00 €\\n * Junior Etou (RDC) : 45 000,00 €\\n * Ovidijus Varanauskas (LTU) : 45 000,00 €\\n * Ryan Reid (JAM) : 40 000,00 €\\n * Charly Pontens (FRA) : 38 000,00 €\\n * Bathiste Tchouaffé (FRA) : 38 000,00 €\\n * Paul-Lou Duwiquet (FRA) : 30 000,00 €\\n * Jimmy Djimrabaye (CAF) : 30 000,00 €\\n * Johan Randriamananjara (FRA) : 20 000,00 €\\n * Jules Rambaut (FRA) : 16 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Laurent Foirest : 65 000,00 €\\n\\nRouen peut faire grise mine\\n\\nAvoir de bons moyens n’est pas forcément synonyme de réussite, le Rouen Métropole Basket peut en parler. Fort d’une masse salariale de 723 500 € annoncés, 6e de Pro B, le club de Seine-Maritime végète à une 13e place (3 v.-6 d.) bien loin de ses ambitions de montée. Si les trois plus gros salaires du club, Amin Stevens, Pierre-Étienne Drouault et Zimmy Nwogbo n’ont rien à se reprocher en termes de performances individuelles, le reste de l’effectif n’est pas forcément au niveau attendu et, surtout, la mayonnaise n’a pas pris avec le meneur slovène Matic Rebec (qui aurait dû émarger à 52 000 € sur la saison), malgré son indéniable vision du jeu. Celui-ci parti pour la deuxième division italienne, le RMB vient de faire appel à l’américano-jamaïcain Ryan Harrow, passé par le Bétis Séville et Peristeri, pour le remplacer. À voir si cela permettra au club de reprendre des couleurs. En tout cas, si Marcus Gomis est plutôt une bonne affaire, Emmanuel Monceau, très souvent blessé, a fini par lasser le staff rouennais, qui ne compte plus sur lui, alors qu’il a quand même le 4e salaire du club. La montée semble loin, reste au RMB à montrer un meilleur visage pour la fin de saison.\\n\\n * Amin Stevens (USA) : 70 000,00 €\\n * Pierre-Etienne Douault (FRA) : 63 000,00 €\\n * Zimmy Nwogbo (NIG) : 60 000,00 €\\n * Emmanuel Monceau (FRA) : 48 000,00 €\\n * Earvine Bassoumba (CON) : 36 000,00 €\\n * Samir Mekdad (FRA/ALG) : 35 000,00 €\\n * Benoît Injai (FRA) : 27 000,00 €\\n * Quentin Ruel (FRA) : 24 000,00 €\\n * Marcus Gomis (FRA) : 18 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Alexandre Ménard : 66 000,00 €\\n\\nSaint-Chamond prend son temps\\n\\nOn s’était habitué à voir Saint-Chamond fréquenter le haut de tableau de la Pro B, finissant par oublier que le club ne disposait pas de moyens mirobolants, comme le démontre sa masse salariale de 611 500 € déclarés (environ 506 000 € engagés actuellement), soit la 10e du championnat. Le début de la saison, qui voit le club de la Vallée du Gier stagner à la 12e place (4 v.-6 d.), pourrait ressembler à un symptôme de retour à la normale si ce n’est que l’on sait que les Couramiaux se distinguent surtout par un collectif huilé, qui prend forcément du temps à se mettre en place. Cette volonté de privilégier le collectif se retrouve dans la grille des salaires, les cinq plus gros émoluments variant de 40 000 € à 50 000 €. On retrouve sans surprise ces cinq joueurs en haut de la feuille des stats, entre 10,1 d’éval (Jonathan Hoyaux, qui a un peu perdu la mire) et 18,1 pour le pivot Jérôme Cazenobe. Mais, pour la reprise du championnat, celui-ci ne sera pas de la partie, blessé. Il sera remplacé par Tarekeyi Edogi, un intérieur américano-nigérian qui sera donc le deuxième étranger de l’effectif avec le sobre et efficace (54,5 % à trois-points) Américain Marcus Relphorde. Pour le reste, Théo Bouteille montre de belles choses lorsqu’il est apte pour un tout petit salaire (7,3 d’éval) alors que Sofiane Briki prouve que ses ennuis de santé appartiennent au passé (7,7 pts à 49,0 % aux tirs dont 46,5 % à trois-points, 7,3 d’éval) pour un tarif très compétitif. En bref, Saint-Chamond ne s’est pas trompé dans son recrutement et a dépensé à bon escient, reste simplement à trouver la bonne carburation pour viser plus haut.\\n\\n * Mathieu Guichard (FRA) : 50 000,00 €\\n * Jérôme Cazenobe (FRA) : 48 000,00 €\\n * Jonathan Hoyaux (FRA) : 45 000,00 €\\n * Marcus Relphorde (USA) : 45 000,00 €\\n * Olivier Cortale (FRA) : 40 000,00 €\\n * Sofiane Briki (FRA) : 25 000,00 €\\n * Mohamed Queta (FRA) : 22 000,00 €\\n * Théo Bouteille (FRA) : 21 000,00 €\\n * Florian Léopold (FRA) : 18 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Alain Thinet : 50 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nQuimper au-dessus de ses moyens\\n\\nSi l’on dit que les Béliers de Kemper vivent au-dessus de leurs moyens, ce n’est certainement pas pour signifier qu’ils font n’importe quoi avec leur budget, bien au contraire ! Avec le 8e budget et la 8e masse salariale de Pro B (635 500 € déclarés), le club breton confirme son excellent parcours de la saison passée et peut même rêver d’accession à la Jeep Élite, n’étant devancé au classement par Blois\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage de France 3 sur la rentrée de Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Le Boulazac Basket Dordogne reçoit ce soir la Chorale de Roanne au Palio. C’est un match sinon décisif du moins extrêmement important pour le BBD qui est toujours dans les starting blocks après 8 matches.\\n\\nFrance 3 Nouvelle Aquitaine a réalisé ce reportage sur le club avec l’interview du nouveau venu, le Sénégalais Mouhammad Faye, de Benjamin Sène et Thomas Andrieux." }, {"role": "user", "content":"Khimki Moscou-Alba Berlin : Un record de 10 trois-points pour Marcus Eriksson" }, {"role": "assistant", "content":"Le swingman suédois de l’Alba Berlin, Marcus Eriksson (2,01m, 27 ans) a réalisé une performance qui fera date face au Khimki Moscou. Il a marqué 36 points avec un 10 sur 13 à trois-points.\\n\\nEriksson a marqué 17 de ses points au cours des cinq dernières minutes pour emmener son équipe vers une victoire confortable dans la dernière ligne droite, 81-40.\\n\\nEriksson rejoint ainsi Andrew Goudelock, qui a établi ce record pour le Fenerbahce Istanbul en 2014, et Shane Larkin, qui l’a égalé deux fois la saison dernière, comme les seuls joueurs à avoir réussi 10 trois-points en un seul match. Ses 36 points constitue un record personnel et un record du club en Euroleague.\\n\\n« J’ai simplement réussi à obtenir de bons shoots », a déclaré Eriksson. «Mes coéquipiers m’ont très bien trouvé et j’ai eu de bons écrans. C’était la clé de notre attaque en seconde période. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Monaco: 5 matches au programme avant le quart-de-finale d’Eurocup" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivé hier en Principauté, le meneur américain Brandon Frazier (1,91m, 28 ans) n’est pas encore qualifié. En revanche, le pivot sénégalais mais JFL Ibrahima Fall Faye (2,09m) sera aligné aujourd’hui par Monaco face à Pau.\\n\\n« Je l’avais remarqué déjà lorsqu’il était espoir à Chalon. J’avais demandé à l’époque à Amara Sy des renseignements sur lui », révèle le coach Zvezdan Mitrovic dans Monaco Matin. « C’est satisfaisant de pouvoir compter sur lui désormais. Dans le calendrier qui est le notre, son impact devrait bien nous aider. »\\n\\nRappel: Ibrahima Fall Faye a été formé à Chalon avec Mathias Lessort et il arrive en provenance d’Anvers où il tournait en Eurocup à 15,1 points, 6,8 rebonds et 1,7 contre et où il avait la 2e évaluation (14,7).\\n\\nD’ici le 23 mars et le match aller de son quart-de-finale d’Eurocup, la Roca Team se voit proposer cinq matches. Assurée de terminer premier du top 16 et d’avoir ainsi l’avantage du terrain en cas de match d’appui, l’AS Monaco sera opposée soit à Olimpija Ljubljana (Slovénie), soit au Buducnost Podgorica (Monténégro). Tout à fait jouable pour l’équipe leader du championnat de France et qui compte bien affirmer sa position.\\n\\nPhoto: Ibrahima Faye (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague – ASVEL 86, Fenerbahçe 90. Nando De Colo : «ce soir, c’est un nouveau pas en avant pour nous»" }, {"role": "assistant", "content":"Après Barcelone, l’Asvel a une nouvelle fois regardé un grand d’Europe dans les yeux, mais le Fenerbahçe d’un éblouissant Nando De Colo s’est imposé (86-90). Pour T.J. Parker et ses joueurs, les playoffs s’éloignent, sans doute pour de bon.\\n\\nL’Asvel y a cru jusqu’au bout, elle a joué les yeux dans les yeux avec Fenerbahçe mais la réalité a rattrapé les Villeurbannais.\\n\\nFace à une équipe qui restait sur onze victoires lors de ses douze derniers matchs, Villeurbanne a connu un début de match quelque peu compliqué, Marko Guduric et les siens réalisaient déjà un écart dans ce premier quart (5-15 puis 9-18). Combatifs, les hommes de TJ Parker ont recollé au score grâce a leur sniper longue distance maison, William Howard (12 points, 4/10 aux tirs dont 2/7 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs, 3 rebonds, 2 passes pour 12 d’évaluation en 25 minutes de jeu) encore une fois épatant. Si les Turcs ont eu aussi de la réussite aux 6,75m (6/10), les Rhodaniens ont profité de leurs errements (9 ballons perdus) pour repointer le bout de leur nez sur un dunk rageur d’Ismael Bako à la sirène (38-40).\\n\\nEt soudain, Nando De Colo a surgi...\\n\\nInfluent sur le jeu, principal pourvoyeur de jeu de son équipe, Nando De Colo (24 points (9/15 aux tirs dont 3/5 à trois-points et 3/3 aux lancers-francs), 4 rebonds, 6 passes pour 27 d’évaluation en 32 minutes) a mené a la baguette le Fener même quand celui-ci était coupable d’un léger flottement permettant à l’Asvel de reprendre la tête sur un shoot au buzzer du grand David Lighty (15 points, 6/10 aux tirs dont 3/3 à trois-points, 2 rebonds, 1 passe pour 13 d’évaluation en 24 minutes). L’Asvel pouvait aborder le dernier acte de ce match en tête (60-59).\\n\\nVilleurbannais et Turcs se rendaient coup pour coup mais c’est dans une fin match finalement à couper au couteau que le Fenerbahçe a fait la différence. L’arrière des bleus, Nando De Colo, nous a rappelé ce pourquoi il était si redoutable. Il a planté un tir primé assassin à 13 secondes du buzzer pour offrir la victoire aux Turcs. Villeurbanne était à terre et ne s’est pas relevée.\\n\\nIgor Kokoskov (Fenerbhaçe) : « C’est une équipe très difficile à jouer. Très physique et forte. Ils jouaient beaucoup dans la raquette et en triangle. Mais dans l’ensemble, je suis vraiment heureux pour notre équipe. Le mérite revient aux joueurs. Ils sont venus concentrés, préparés mentalement et ils ont accepté le défi. C’était un match très difficile. Je suis très satisfait du résultat... Nando De Colo est le Jason Kidd du basket européen ».\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : « Nous savons où nous sommes en ce moment. Nous savons que mars est un mois très difficile. Nous savons que nous pouvons progresser grâce à une victoire, mais nous savons aussi que nous pouvons reculer rapidement. Nous devons donc rester concentrés. C’est le plus important. Et c’est ce que nous avons fait ce soir. Ce n’était pas un match facile. Deux matches en une semaine, c’est dur, mais nous avons réussi. Je suis vraiment heureux d’être de retour en France, même si ce n’est qu’un match et que je n’ai pas le temps d’en faire trop. Mais le plus important est d’aller match par match, et ce soir, c’est un nouveau pas en avant pour nous ».\\n\\nPhoto : Nando De Colo, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Gravelines balaye Le Mans en un quart-temps" }, {"role": "assistant", "content":"14-0 pour entamer le troisième quart-temps. Si bien que le BCM Gravelines, qui était mené 38-46 à la mi-temps, passe en tête. Et ça continue, au point que les Nordistes infligent un 30 à 8 aux Manceaux durant cette troisième tranche de 10′. Ils ne seront plus jamais inquiétés. Victoire finale, 91-77.\\n\\n« On a paniqué, on rate des choses faciles, » lâchera Williams Narrace en conférence de presse, propos repris par Le Maine Libre. « A la fin, il y a eu de l’énervement aussi car il y a la frustration de laisser passer cette chance. »\\n\\nLa preuve? Terry Tarpey a écopé d’une faute technique puis d’une cinquième. Antoine Eito de deux techniques d’affilée. Disqualification.\\n\\nEito (1 d’évaluation), comme Sam Bamforth (6 points), Iggy Mockevicius (-1 d’éval) et encore plus Vitto Brown (0/6 aux tirs) -mais lui c’est fréquent- n’étaient pas dans un grand soir, au contraire du meneur du BCM, Briante Weber (24 points, 26 d’évaluation), bien aidé par son compère Erik McCree (16 points, 9 rebonds).\\n\\n« C’est un match référence, sûrement notre meilleur depuis le début de la saison, » a savouré le coach nordiste Serge Crevecoeur. « A la mi-temps, j’ai recentré les joueurs sur ou deux points, pas plus. Le travail de la semaine m’avait aussi donné confiance sur ce qu’on pouvait faire. »\\n\\nL’équipe 1bis du BCM Gravelines-Dunkerque peut visiblement regarder vers le haut.\\n\\nPhoto: Briante Weber (LNB)" }, {"role": "user", "content":"L’Euroleague veut s’ouvrir au-delà du cercle des fans et au Royaume Uni" }, {"role": "assistant", "content":"Luca Scafati, directeur du développement commercial de l’Euroleague, s’exprime dans Palco 23. On retient la volonté de l’organisation de s’ouvrir vers un nouveau public et son intention de voir une franchise s’implanter au Royaume-Uni. A savoir également, l’Euroleague vient de s’engager avec Elevate Sports afin de se développer en termes de stratégie marketing, de vente de billets, d’hospitalité premium et d’expérience de fans.\\n\\n« Le Final Four a connu une très grande évolution depuis 2002, nous en sommes très heureux, » affirme t-il. « Mais nous devons toucher un public différent et avoir une présence plus importante sur le territoire où nous allons, même si nous ne nous sommes jamais arrêtés. Chaque jour, nous essayons de nous améliorer et l’accord va dans ce sens. Nous voulons offrir une expérience plus complète aux fans, pas seulement dans les matches. Nous voulons donner plus, c’est notre future stratégie. Cet accord est un très bon retour car nous sommes très inspirés par le modèle américain, pour le championnat et dans les événements. » Il poursuit : « Notre Final Four a un très grand nombre de fans. Ceux qui suivent le plus l’événement sont des fans de basket puristes. Ce que nous voulons faire, inspiré du modèle américain, c’est qu’il y ait un intérêt générique autour de l’événement qui ne concerne pas seulement le fan, mais tout type de public : du plus jeune à un public pas 100% passionné de basket. Les Américains n’ont pas autant de fans hardcore que ça et ils ont été en mesure d’attirer un grand nombre de publics d’intérêts différents et c’est ce que nous voulons faire. Nous souhaitons une expérience différente dans la vente de billets premium, qui en Europe est liée à la nourriture et aux boissons. Mais aux États-Unis, c’est bien plus : ce sont des espaces pour les gens d’affaires qui peuvent étendre leurs réseaux, des espaces pour les familles et pour la génération Z. Il y a aussi différents événements autour des soirées qui peuvent attirer ce public. Nous regardons vers l’avenir pour créer autre chose que nous ne faisons pas aujourd’hui. »\\n\\nAu cours des prochaines années, l’Euroleague veut se développer sur les marchés russes et italiens (avec une wild card pour la Virtus Bologne ?), donc au Royaume Uni, et sur d’autres continents.\\n\\n« L’objectif principal est en Europe, mais c’est une compétition qui vient de l’extérieur de l’Europe, nous poursuivons nos efforts pour atteindre des marchés tels que les États-Unis et la Chine, où le basket-ball a une présence importante. Mais nous sommes toujours en Europe car nous devons nous améliorer pour les fans. » Et à propos du Royaume Uni : « Ce n’est pas un marché de basket-ball, mais c’est pourquoi nous pensons qu’il est attractif. Nous voulons toucher un public qui n’est pas composé de puristes de basket. Nous voulons que ce soit un public qui aille au-delà du basket, qui suit les joueurs dans leur vie hors du terrain, qui suit les événements... Le Royaume-Uni est un territoire avec une tradition sportive, avec un grand public. Londres est un candidat potentiel pour l’avenir. Il y a du basket là-bas, ce n’est pas professionnel, mais des jeunes jouent et il y a du basket de rue. La NBA a rempli les salles là-bas. C’est un marché d’avenir. »\\n\\nPhoto: O2 Arena, Londres" }, {"role": "user", "content":"Savo Vucevic (coach Bourg) : «Je ne voulais pas faire l’année de trop»" }, {"role": "assistant", "content":"Après cinq années passées du côté de la JL Bourg, Savo Vucevic (64 ans) quittera ses fonctions d’entraîneur à la fin de la saison 2020-2021 de Jeep Elite.\\n\\nArrivé dans l’Ain il y a cinq ans, Savo Vucevic laissera sans aucun doute un très beau souvenir de son passage. Cette saison, la JL Bourg a connu la première campagne européenne de son histoire. Un changement de dimension impulsé par le coach franco-monténégrin, qui ne renouvellera pas son contrat à l’issue de la saison.\\n\\n« Cinq ans, c’est déjà pas mal. Je n’aurais jamais pensé rester si longtemps. Nous étions en Pro B, et aujourd’hui nous sommes au Top 16 de l’Eurocup. On ne peut pas rester éternellement dans un club. Il faut choisir le bon moment pour partir, et des deux côtés savoir quand il faut mettre fin à une collaboration. Je ne voulais pas faire l’année de trop. C’était une collaboration magnifique avec deux parties qui se respectaient mutuellement, qui ont tout fait pour que ça marche. Je suis content et fier de travailler dans ce club. Je ne pourrai pas recommencer un nouveau cycle, je dois terminer le mien, et une autre personne en commencera un autre« , confie-t-il à La Voix de l’Ain.\\n\\nEn effet, le conseil de surveillance du club a dernièrement jugé important de démarrer un nouveau cycle sportif, pour lequel Savo Vucevic n’a pas souhaité candidater. Il prendra probablement une pause après son passage en Bresse.\\n\\n« J’ai été dans le basket toute ma vie. Il y aura peut-être un break, mais pas la retraite. J’ai pratiquement toujours eu un petit break après mes départs. C’est bien de prendre un peu de recul, et de faire un bilan. »\\n\\nSon successeur n’est pas encore connu. Si Laurent Legname, coach de la JDA Dijon, était pressenti, cette rumeur a été démentie par son président Thierry Degorce.\\n\\nPhoto : JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : Nantes, Paris, Poitiers, faire mieux quels que soient les moyens" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Paris (photo : Paris Basket)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour continuer les salaires des joueurs et du staff technique de Nantes, Paris Basket et Poitiers.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nNantes doit faire mieux\\n\\nLorsque l’on aligne la 4e masse salariale de Pro B (798 000 €), difficile de se contenter d’une 9e place au classement (5 victoires-4 défaites). Pourtant, c’est en milieu de classement que se situe pour le moment l’Hermine de Nantes. Au « banc des accusés » (les tenir pour seuls responsables serait par trop réducteur) figurent quelques-uns des plus hauts salaires du club, René Rougeau – loin de ses prestations de la saison passée (8,8 points et 11,1 d’évaluation contre 13,7 pts et 18,9 d’éval) –, Xavier Forcada (6,3 d’éval sur trois matchs joués seulement) et Abdel Kader Sylla (6,6 d’éval). Pour sa part, Terry Smith justifie son gros salaire à la marque (17,1 pts), un peu moins dans l’organisation du jeu (2,3 passes pour 2,8 balles perdues en presque 30 minutes). Côté satisfactions, Ludovic Negrobar continue de progresser (13,6 d’éval) alors que Josh Ajayi est une bonne pioche pour son modeste salaire (9,2 d’éval). Et Jérôme Sanchez, s’il gagne moins qu’à Boulazac en Jeep Élite (70 000 € la saison dernière) apporte plus que sa pierre à l’édifice (11,0 d’éval). Bref, Nantes attend que tout son effectif se hisse à son meilleur niveau pour espérer mieux qu’une place dans le ventre mou de la Pro B.\\n\\n * Terry Smith (USA/ARM) : 80 000,00 €\\n * Abdel Kader Sylla (SEY) : 70 000,00 €\\n * René Rougeau (USA) : 65 000,00 €\\n * Ludovic Negrobar (FRA) : 50 000,00 €\\n * Xavier Forcada (ESP) : 50 000,00 €\\n * Gary Chathuant (FRA) : 45 000,00 €\\n * Jérôme Sanchez (FRA) : 45 000,00 €\\n * Josh Ajayi (NIG/USA) : 42 000,00 €\\n * Thibault Desseignet (FRA) : 35 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Jean-Baptiste Lecrosnier : 50 000,00 €\\n\\nParis Basket fait le grand écart\\n\\nParis Basket fait un peu figure d’énigme en Pro B. Sa masse salariale déclarée en début de saison est en effet de 1 135 000 €, mais si l’on calcule le montant des salaires de tous ses joueurs – même en y ajoutant les charges sociales –, on est encore loin du compte (plutôt aux alentours de 800 000 € bruts dépensés). Pourtant, Nobel Boungou-colo et Amara Sy pèsent plus que lourd dans ces montants, avec leur salaire qui n’a pas tant d’équivalents que cela en Jeep Élite. Mais, de leur côté, les jeunots prometteurs que sont Milan Barbitch, Juhann Bégarin, Ismaël Kamagaté ou même Valentin Chéry, ne coûtent pas bien cher tout en faisant plus qu’assurer leur tâche. En fait, il n’est pas impossible que le Paris Basket se soit gardé une « poire pour la soif », sous la forme de la signature de Ryan Boatright (1,83 m, 28 ans), un meneur référencé au plus haut niveau, passé par le Cedevita Zagreb, le Besiktas Istanbul, Malaga, l’Olimpija Ljubljana, Saratov et le Rytas Vilnius. Signé juste avant la clôture des transferts (fin février), le joueur n’a sans doute pas fait le chemin vers la capitale pour rien. À voir s’il permettra au Paris Basket de regarder un peu plus vers le haut du classement, lui qui figure actuellement à un 8e rang (5 v. – 4 d.) peu en rapport avec les moyens du club.\\n\\n * Nobel Boungou Colo (FRA/CGO) : 180 000,00 €\\n * Amara Sy (FRA/MLI) : 140 000,00 €\\n * Gauthier Denis (FRA) : 42 000,00 €\\n * Valentin Chéry (FRA) : 42 000,00 €\\n * Dustin Sleva (USA) : 40 000,00 €\\n * Milan Barbitch (FRA) : 25 000,00 €\\n * Juhann Begarin (FRA) : 25 000,00 €\\n * Kevin Franceschi (FRA) : 25 000,00 €\\n * Ismaël Kamagaté (FRA) : 23 000,00 €\\n * Lois Gendrey (FRA) : 19 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Jean-Christophe Prat : 70 000,00 €\\n\\nPoitiers veut ne plus se faire peur\\n\\nBien mal embarqué en début de saison (6 défaites sur ses 7 premiers matchs), le Poitiers Basket 86 a débarqué son coach, Jérôme Navier, suppléé par son ex-assistant Andrew Thornton-Jones, et cassé sa tirelire pour remodeler son effectif. Au revoir Christopher McKnight, bien loin de ses prestations passées en Pro B (6,5 d’éval en 4 matchs contre 11,2 en 2018-19 avec Blois), bonjour à Jamar Abrams et Mathis Keita, en provenance tous deux de Jeep Élite. Et Soriah Bangura vient juste d’arriver pour renforcer la raquette. Pour le reste, si Laurence Ekperigin justifie amplement ses émoluments, de même qu’Akeem Williams, Kevin Mendy et Abdoulaye M’Baye ne produisent vraiment pas assez pour leur salaire (respectivement 7,4 et 5,1 d’éval). De son côté, Dwayne Lautier-Ogunyele fournit des prestations en rapport à son salaire (10,2 pts, 8,6 d’éval), la bonne surprise venant de Jim Seymour, qui progresse bien (4,3 pts, 5,9 d’éval). Pour le moment, tout cela permet à la 14e masse salariale de Pro B annoncée (565 000 €) de figurer au... 14e rang de la division (3 v. – 6 d.) mais il va falloir tout de même montrer des progrès pour se maintenir sans sueurs froides.\\n\\n * Laurence Ekperigin (ANG/USA) : 52 000,00 €\\n * Kevin Mendy (FRA) : 50 000,00 €\\n * Abdoulaye M’Baye (FRA) : 50 000,00 €\\n * Dwayne Lautier-Ogunyele (FRA/ANG) : 38 000,00 €\\n * Akeem Williams (ANG/USA) : 32 000,00 €\\n * Sade Aded Hussein (FRA) : 20 000,00 €\\n * Jim Seymour (FRA) : 20 000,00 €\\n * Thomas Prost (FRA) : 17 000,00 €\\n * Clément Desmonts (FRA) : 17 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Andrew Thornton-Jones\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nNantes doit faire mieux\\n\\nLorsque l’on aligne la 4e masse salariale de Pro B (798 000 €), difficile de se contenter d’une 9e place au classement (5 victoires-4 défaites). Pourtant, c’est en milieu de classement que se situe pour le moment l’Hermine de Nantes. Au « banc des accusés »\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Un retour des fans avant la fin de la saison ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le gouvernement espagnol va attribuer une aide directe aux équipes de la Ligue Endesa. Au total, quelque 25 millions pourraient couvrir la quasi-totalité des pertes causées par le Covid-19.\\n\\nCet apport doit compenser la baisse des revenus suite à la pandémie, en billetterie et sponsoring. D’autre part, les clubs ont dû recourir à des dépenses supplémentaires liées au protocole COVID-19 (équipements de protection individuelle, tests, frais de déplacement et d’hébergement ...). On estime que ces dépenses ont dépassé un demi-million d’euros dans certains clubs.\\n\\nL’ACB est par ailleurs en pourparlers avec le gouvernement pour tester le retour du public dans les salles, bien qu’il n’y ait toujours pas de date fixée pour cela.\\n\\n«Nous sommes à un moment où nous pouvons attendre avec impatience les mois à venir pour le retour des fans. Je veux qu’ils reviennent dans les gradins avant la fin de la saison », a proclamé Antonio Martin, le président de la liga." }, {"role": "user", "content":"La phrase – Tom Dibgeu : «Lorsque je suis tombé au sol, j’ai pensé que j’étais heureux d’être encore en vie»" }, {"role": "assistant", "content":"Prêté par le Zalgiris Kaunas, Tom Digbeu (1,99m, 19 ans) a trouvé sa place au Prienai CBet où il obtient, en tant que small forward, 19 minutes par match pour 8,9 points.\\n\\nSur LKL TV, le fils du légendaire Alain Digbeu est revenu sur le vol plané qu’il a effectué sur un dunk face à Neptunas en 2020.\\n\\n«Lorsque je suis tombé au sol, j’ai pensé que j’étais heureux d’être encore en vie. De tels actions ne sont pas une nouvelle expérience pour moi. C’est toujours amusant quand ça marche pendant un match. »" }, {"role": "user", "content":"Tony Wroten (Pau) : «Aider cette équipe à relever la tête et viser les playoffs»" }, {"role": "assistant", "content":"Arrivés tous deux quelques jours avant la clôture du marché des transferts de Jeep Elite fin février, les deux américains Tony Wroten (1,98 m, 27 ans) et C.J. Williams (1,96 m, 31 ans) livrent leurs premières impressions sous le maillot de Pau.\\n\\nPour Tony Wroten, l’ancien des 76ers et des Grizzlies en NBA, tout s’est fait en moins de 24 heures. Son arrivée dans le Béarn lui permet de regoûter à la compétition.\\n\\n« Tout s’est fait très vite. C’est beaucoup de fatigue mais, à l’arrivée, il y a un challenge excitant que je viens relever. La situation était vraiment compliquée aux Etats-Unis. Mon objectif est d’aider cette équipe à relever la tête, voir plus haut et viser les playoffs. C’est ma première expérience en France mais j’ai déjà joué face à des formations françaises comme Dijon, Strasbourg ou même l’Elan Béarnais il n’y a pas si longtemps avec Wloclawek, alors je connais le bon niveau de ce championnat. Le club dispose d’une belle salle, de bonnes infrastructures. Je suis simplement triste pour le moment de savoir qu’on ne pourra pas de suite aller au contact des supporters car c’est ce que je préfère : partager des émotions avec les fans pendant les matchs. J’espère que cela sera vite possible. »\\n\\nQuant à C.J. Williams, il connait déjà le championnat de France puisqu’il a évolué à Dijon lors de la saison 2015-2016.\\n\\n« Ce n’est pas la première fois que je viens en Europe. Je connais la France depuis mon expérience à Dijon et j’en ai gardé d’ailleurs un bon souvenir. En raison de la crise sanitaire, le contexte n’est pas évident et les opportunités de jouer ne sont pas si nombreuses alors quand en plus, tu connais déjà un peu ton futur environnement, tu n’hésites pas beaucoup avant de signer. L’équipe n’est pas bien classée mais avec une victoire ou deux, tu peux vite remonter au classement. Tout reste à faire dans ce championnat. Je n’ai pas d’objectif principal, je veux juste gagner des matchs et on verra où cela nous mène, étape par étape. Il y a beaucoup de matchs au programme d’ici juin et c’est tant mieux. Les entraînements, c’est bien, mais je sais que pour que je retrouve le rythme dont j’ai besoin, rien ne vaut la compétition et l’enchaînement des rencontres. Bien entendu, je ne serais pas à 100% dès ce week-end à Monaco, mais ça va venir.«\\n\\nLe rendez-vous est pris. Pau, 17e au classement, reprend la compétition ce samedi (17h) à Monaco en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Opéré d’une tumeur au cerveau en 2015, Kyle Kuric livre son histoire" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une vidéo publiée par la Liga Endesa (Espagne), l’arrière du FC Barcelone, Kyle Kuric (1,93 m, 31 ans), s’est confié sur la façon dont sa vie a changé à l’annonce de sa maladie.\\n\\nEn novembre 2015, la vie de Kyle Kuric bascule. Diagnostiqué d’une tumeur au cerveau, l’américano-slovaque a dû subir plusieurs opérations graves pour enlever la tumeur et traiter des complications postopératoires. Le défi était de taille mais l’arrière s’est non seulement rétabli avec succès, revenant sur les parquets cinq mois plus tard, tout en continuant à progresser depuis, jusqu’à obtenir un rôle important dans la rotation du Barça depuis 2018.\\n\\n« Je ne pouvais pas vraiment comprendre ce qui se passait. Ils m’ont simplement dit : « Vous avez une tumeur et nous allons opérer ». Plus tard, j’ai découvert à quel point c’était grave.«\\n\\nDans cette vidéo, le tireur d’élite explique comment il a fait face à la maladie et comment sa vision du monde avait changé. Après avoir surmonté la chirurgie, Kyle Kuric a notamment créé une liste de 93 choses à faire.\\n\\n« Tant que vous ne traversez pas une situation où votre vie change brusquement, vous ne la comprenez pas. J’ai donc dressé une liste de certaines des choses les plus importantes que je veux faire et des choses que j’ai faites. J’ai ajouté quelques petites choses qui ont été importantes dans le passé. Et puis j’ai ajouté des choses qui vont changer dans le futur, ce que je veux faire. Je pense que c’est environ 93, quelque chose comme ça.«\\n\\nLe shooteur du Barça est également revenu sur la vague de soutien dont il a fait preuve, avant et après son retour, sur les réseaux sociaux. Mais aussi son premier match après 5 mois de convalescence.\\n\\n« C’était la première fois que je reculais sur le terrain et que je jouais. C’était vraiment comme si je marchais sur le terrain, comme si j’étais à ma place. Nous avions la foule en arrière-plan. Tout le monde était un peu excité. Tu travailles pendant 4 à 5 mois juste pour recommencer à jouer. »\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Laurent Legname (coach Dijon) sur le départ en fin de saison pour rejoindre un club d’Euroleague ?" }, {"role": "assistant", "content":"Thierry Degorce, président de la JDA Dijon, a confirmé le probable départ de son entraîneur Laurent Legname (43 ans) en fin de saison.\\n\\nInterrogé par Le Bien Public, Thierry Degorce atteste des intérêts de plusieurs clubs à l’égard de son coach, en place depuis 2015. Selon le président de la JDA Dijon, Laurent Legname a choisi d’activer sa clause de sortie à l’intersaison pour rejoindre, non pas la JL Bourg en recherche d’un technicien afin de démarrer son nouveau cycle, mais une équipe à forte ambition, et pourquoi pas en Euroleague.\\n\\n« Le coach a toujours été courtisé. Il a encore une année de contrat, mais il a activé sa clause, qui est assez restrictive, pour quelques clubs européens seulement, dont Bourg ne fait pas partie. C’est un des meilleurs coachs du championnat, tout le monde le sollicite et j’en ferais de même si j’étais de l’autre côté. Il n’y a pas non plus beaucoup de clubs qui répondent à ses ambitions. On a eu cette chance, pendant six ans, d’avoir le même entraîneur, le staff aussi. Est-ce qu’on arrive à la fin d’une histoire pour en démarrer une autre ? C’est encore un peu tôt pour le dire, je pense qu’on y verra plus clair dans un mois. S’il doit s’en aller, Jean-Louis Borg (directeur des opérations) a aussi les compétences pour coacher et pourquoi pas reprendre le flambeau. Quoi qu’il arrive, la défense restera dans l’ADN du club. »\\n\\nLa JDA a déjà commencé à réfléchir sur le potentiel remplaçant du technicien varois. Mais avant, le coach et ses joueurs tenteront de glaner un nouveau trophée, après la Leaders Cup remportée en 2020.\\n\\nPhoto : LNB." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : l’Anadolu Efes Istanbul inflige sa plus grosse défaite depuis 20 ans au CSKA Moscou, +30 !" }, {"role": "assistant", "content":"Après cinq victoires consécutives en Euroleague, toutes d’un écart supérieur à 14 points – sauf celle à Barcelone – l’Anadolu Efes Istanbul a récidivé hier soir avec une victoire de haut standing contre le CSKA Moscou (100-70), champion 2019 en titre.\\n\\nL’Anadolu Efes est décidément l’équipe en forme du moment. Le CSKA n’a rien pu faire contre le collectif turc porté par le Serbe Vasilije Micic (21 points à 5/14 aux tirs, 6 rebonds, 8 passes décisives, 3 interceptions et 8 fautes provoquées pour 29 d’évaluation en 35 minutes). Le club russe a subi sa plus grosse défaite dans l’ère moderne en Euroleague depuis 2000.\\n\\nLe coach turc Ergin Ataman estime que le niveau de son équipe est nettement supérieur à celui de l’an dernier, alors que son équipe occupait pourtant la première place de l’Euroleague avant l’arrêt de la saison.\\n\\n« Tout le monde me demande si nous avons retrouvé le même niveau que l’an dernier. Non, nous sommes meilleurs que l’an dernier. Nous avons fait preuve de beaucoup de caractère ce soir. Nous avons passé un très mauvais moment à Moscou il y a trois mois lorsque nous avons perdu contre eux (défaite 100-65, NDLR). Mais nous avons eu une réunion de deux ou trois heures après le match et, ce soir, j’ai vu le caractère et les progrès affichés depuis. C’est très important pour notre avenir, pour notre objectif cette saison en Euroleague« , note Ergin Ataman (coach Anadolu Efes).\\n\\nAprès leur superbe victoire contre leur rival Fenerbahce (106-74) à l’extérieur ou encore celle face à Valence (99-83), les finalistes de l’édition 2019 se présentent de plus en plus comme de sérieux prétendants au titre. Et en prime, l’Anadolu n’a toujours pas perdu dans le championnat turc... après 22 journées !\\n\\nPhoto : Vasilije Micic, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Les 35 joueurs français ont joué dans toutes les franchises de NBA" }, {"role": "assistant", "content":"L’historien du basket Vincent Janssen a calculé qu’en 23 ans (1997-20), au moins un joueur français a joué dans toutes les franchises NBA, au nombre de 30. Il s’agit d’un record d’Europe et, hors Etats-Unis, évidemment, seul le Canada a été un peu plus rapide... de trois mois.\\n\\nOn s’aperçoit que la franchise la plus fréquentée par les frenchies a été les Denver Nuggets avec 6 joueurs.\\n\\nAu total, 35 Français ont joué au moins un match dans la ligue américaine. La France devance ainsi la Serbie (28) et la Croatie (16) et son contingent est plus du double supérieur à celui de l’Espagne.\\n\\nFrance1Tariq Abdul-Wahad2Jérôme Moïso3Tony Parker4Antoine Rigaudeau5Boris Diaw6Mickaël Piétrus7Johan Petro8Yakhouba Diawara9Ronny Turiaf10Joakim Noah11Mickaël Gelabale12Ian Mahinmi13Nicolas Batum14Alexis Ajinça15Rodrigue Beaubois16Kevin Séraphin17Pape Sy18Evan Fournier19Nando De Colo20Rudy Gobert21Joffrey Lauvergne22Damien Inglis23Axel Toupane24Timothé Luwawu-Cabarrot25Frank Ntilikina26Guerschon Yabusele27Elie Okobo28Vincent Poirier29Adam Mokoka30Sekou Doumouya31William Howard32Jaylen Hoard33Killian Tillie34Théo Maledon35Killian Hayes\\n\\nPAYSJoueursFRANCE35SERBIE28CROATIE21ESPAGNE16ALLEMAGNE14LITUANIE14GRECE13SLOVENIE11TURQUIE11RUSSIE10BOSNIE-HERZEGOVINE9ITALIE8UKRAINE8ANGLETERRE7LETTONIE7MONTENEGRO7GEORGIE5PAYS-BAS5REP TCHEQUE4ISRAEL4POLOGNE3FINLANDE2SUEDE2SUISSE2AUTRICHE1BULGARIE1DANEMARK1ECOSSE1ESTONIE1HONGRIE1IRLANDE1ISLANDE1MACEDOINE1NORVEGE1ROUMANIE1SLOVAQUIE1\\n\\nPhoto: Tony Parker" }, {"role": "user", "content":"Evan Fournier : «J’investis à 100% en France parce que je veux y rentrer après ma carrière»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce jeudi, l’international français Evan Fournier était l’invité de BFM Business. L’occasion pour l’arrière du Magic d’Orlando de faire le point sur ses projets d’investissements.\\n\\n« J’essaie de bien placer mon argent, dans l’immobilier, dans les placements, et un petit peu de plaisir car il en faut pour investir. J’investis à 100% en France parce que je suis persuadé de rentrer vivre en France après ma carrière. Par exemple, j’investis dans les salles de basket Hoops Factory. J’ai envie de faire avancer les choses dans le basket. Alors, forcément, des salles dans Paris et ailleurs en France, ça m’intéresse d’investir dedans. »\\n\\nLe Français a notamment acheté un immeuble à Boulogne, qui servira probablement de locaux commerciaux. C’est Elite Patrimoine, un family office basé à Toulouse et Bordeaux, qui gère ses gains.\\n\\n« Je ne veux pas forcément suivre la trace de Tony Parker dans le business. C’est d’autant différent qu’il a déjà pris sa retraite, moi je suis encore en pleine carrière, il me reste encore 8 à 10 ans à jouer, j’espère. On n’est vraiment pas dans le même timing. Par contre, oui, la façon dont il gère son argent est très intéressante et je peux apprendre de ça, bien sûr. »\\n\\n\\nEvan Fournier (Joueur NBA Orlando Magic): \\J'investis 100% en France\\.\\n\\n🎙 @EvanFourmizz, @hchevrillon pic.twitter.com/vZrNMmDKkx\\n\\n— BFM Business (@bfmbusiness) March 4, 2021\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Bonzie Colson (Strasbourg) dans le radar du Zalgiris Kaunas" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le journaliste lituanien Donatas Urbonas, le joueur de Strasbourg Bonzie Colson (1,98 m, 25 ans) intéresse fortement le Zalgiris Kaunas pour la saison prochaine.\\n\\nAuteur d’un début de saison remarqué sous le maillot de la SIG Strasbourg, , l’ailier américain attise les convoitises. Sa performance XXL en Basketball Champions League contre Riga (31 points à 11/23 aux tirs, dont 4/9 à 3 points, 7 rebonds et 4 interceptions pour 30 d’évaluation en 34 minutes) fait forcément parler dans les pays baltes.\\n\\nS’il rejoint le club lituanien la saison prochaine, l’ancien du Darussafaka pourrait jouer en Euroleague aux côtés du Français Joffrey Lauvergne, sous contrat jusqu’en 2023. Étant donné ses performances, il sera quoi qu’il en soit difficile de le conserver en Alsace.\\n\\n\\nBonzie Colson is on Zalgiris Kaunas radar for the next season, sources tell me and @MosesB1.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) March 4, 2021\\n\\n\\nPhoto : Basketball Champions League" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : Gries-Oberhoffen, Lille, Nancy, à moyens différents, objectifs variés" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Lille (photo : LMBC – Christophe Delrue)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour continuer les salaires des joueurs et du staff technique de Gries-Oberhoffen, Lille et Nancy.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nGries-Oberhoffen, se maintenir sans folies\\n\\nLorsqu’on présente la 12e masse salariale de Pro B (582 000 €), on vise évidemment plus le maintien que les hautes sphères de la division. Et, il faut l’avouer, l’affaire n’est pour le moment pas bien embarquée, Gries-Oberhoffen figurant à la dernière place du classement avec 2 petites victoires en 9 matchs. En outre, le BCGO n’a pas été épargné par les mouvements d’effectif et les blessures. Peu à leur aise, Jérémy Bichard et Franck Séguéla sont retournés en NM1 alors qu’Hugo Robineau arrivait des Espoirs de Cholet et Jacques Eyoum de ceux du Mans. Côté infirmerie, Warren Woghiren n’a pu jouer que deux matchs avant de se blesser, suivi par Asier Zengotitabengoa après 4 rencontres et, « cerise sur le gâteau », Amanze Egekeze à l’occasion des fenêtres de qualification avec la sélection du Nigéria. Gries-Oberhoffen a fait appel au meneur bosnien Filip Adamovic fin janvier et, dernièrement, à l’arrière slovène Maj Kovacevic pour remplacer les manquants. Si Kevin Dinal et Brandon Edwards font plus que justifier leur haut salaire (à l’échelle du BCGO) et si Louis Cassier fait un excellent début de saison, les deux Espagnols de l’équipe – Asier Zengotitabengoa et Josep Franch – ainsi que Jean-François Kebe n’ont pas apporté autant que souhaité. Reste à voir si la greffe « yougoslave » va prendre et permettre au BCGO d’échapper au couperet.\\n\\n * Kevin Dinal (FRA) : 50 000,00 €\\n * Brandon Edwards (USA) : 42 000,00 €\\n * Jean-François Kebe (FRA) : 41 000,00 €\\n * Asier Zengotitabengoa (ESP) : 40 000,00 €\\n * Josep Franch (ESP) : 40 000,00 €\\n * Amanze Egekeze (NIG/USA) : 40 000,00 €\\n * Louis Cassier (FRA) : 32 000,00 €\\n * Filip Adamovic (BOS) : 25 000,00 € (sur 5 mois)\\n * Warren Woghiren (FRA) : 20 000,00 €\\n * Jacques Eyoum (FRA) : 9 600,00 € (sur 6 mois)\\n\\nCoach :\\n\\n * Ludovic Pouillart : 50 000,00 €\\n\\nLille joue à se faire peur\\n\\nEncore une équipe à petits moyens (13e masse salariale, 570 000 €) qui a dû faire des paris pour son recrutement, paris pas tous gagnants : Marshall Moses n’avait pas le rythme, Carlos Novas-Mateo peinait à se mettre au niveau. D’autant plus que leurs remplaçants, Dinma Odiakosa et Gaylor Curier, n’ont pour le moment pas encore montré grand-chose. Quand en plus le plus gros salaire du club, Jean-Victor Traoré, ne se montre vraiment pas au niveau de sa précédente saison (6,6 points et 8,4 d’évaluation cette saison contre 12,3 pts et 18,2 d’éval la précédente), cela fait beaucoup. L’excellent début de saison des (relativement) bien payés Jonathan Kazadi, Nicolas Taccoen et Thomas Hieu-Courtois ne compense pas tout, pas plus que le bon rendement de Raijon Kelly, le meneur américain à petit prix. Les Red Giants doivent s’attendre à souffrir pour se maintenir.\\n\\n * Jean-Victor Traoré (FRA) : 75 000,00 €\\n * Jonathan Kazadi (CH) : 42 000,00 €\\n * Nicolas Taccoen (FRA) : 38 000,00 €\\n * Thomas Hieu-Courtois (FRA) : 35 000,00 €\\n * Luc Loubaki (FRA) : 28 000,00 €\\n * Raijon Kelly (USA) : 25 000,00 €\\n * Lorenzo Thirouard-Samson (FRA) : 15 000,00 €\\n * Louis Rucklin (FRA) : 15 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Jean-Marc Dupraz : 60 000,00 €\\n\\nNancy attend plus de ses cadres\\n\\nAvec ses 835 000 € de masse salariale, le SLUC Nancy figure dans le trio de tête des équipes de Pro B les mieux pourvues en la matière. Pour un résultat pour le moment pas tout à fait à la hauteur des espérances. 7e avec 6 victoires pour 4 défaites, le SLUC n’est pas là où on l’attendait, en haut du classement. L’une des raisons de cette petite déception tient au rendement peut-être un peu moins bon qu’attendu de Tyran de Lattibaudière et de Ron Lewis. Non pas que leurs statistiques soient mauvaises (14,0 points et 18,1 d’éval pour le premier, 17,2 pts et 13,8 d’éval pour le second), mais ils pourraient faire mieux. Tout comme Mérédis Houmounou, dont les 6,9 d’éval peinent à justifier un salaire confortable pour la Pro B. À l’inverse, les « minots » du cru, Enzo Goudou-Sinha et Bastien Vautier, continuent à progresser et justifient la confiance placée en eux. Enfin, il est à noter qu’Andell Cumberbatch se montre bien plus complet que celui qu’il remplace, Yannick Franke, mais sans faire passer Nancy à un niveau supérieur. Cela étant, la qualité est là, ne reste qu’à hausser le niveau défensif (82,1 points encaissés, c’est beaucoup) et à trouver du liant pour que le SLUC redresse la tête.\\n\\n * Ron Lewis (USA) : 70 000,00 €\\n * Tyran De Lattibaudière (JAM) : 68 000,00 €\\n * Mérédis Houmounou (FRA) : 52 000,00 €\\n * Enzo Goudou-Sinha (FRA) : 50 000,00 €\\n * Bastien Vautier (FRA) : 48 000,00 €\\n * Charles Nkaloulou (RDC) : 40 000,00 €\\n * Andell Cumberbatch (USA/JAM) : 36 000,00 € (sur 6 mois)\\n * Anthony Labanca (FRA) : 32 000,00 €\\n * Vincent Vent (FRA) : 28 000,00 €\\n * Lucas Ugolin (FRA) : 18 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * François Perronet : 72 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nGries-Oberhoffen, se maintenir sans folies\\n\\nLorsqu’on présente la 12e masse salariale de Pro B (582 000 €), on vise évidemment plus le maintien que les hautes sphères de la division. Et, il faut l’avouer, l’affaire n’est pour le moment pas bien embarquée, Gries-Oberhoffen figurant à la dernière place du classement avec 2 petites victoires en 9 matchs. En outre, le BCGO n’a pas été épargné par les mouvements d’effectif et les blessures.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Grèce – Dimitris Diamantidis : «Je voudrais rejouer la finale de la Coupe du monde 2006 contre l’Espagne»" }, {"role": "assistant", "content":"Dimitris Diamantidis, 40 ans, est une légende du Panathinaikos, du basket grec et européen. Gazzetta.gr a réalisé avec lui une interview express. Voici quelques extraits :\\n\\nQuel fut l’adversaire le plus difficile? «Je ne peux pas vous en donner un. Mais (Vasilis) Spanoulis en fait certainement partie ».\\n\\nA t-il déjà pleuré après un match ? « J’ai été triste, mais non, je n’ai pas pleuré. Je crois que malgré ce que j’ai fait à un niveau élevé et mes titres, il y a des choses plus sérieuses dans la vie. Le sport, le basket-ball, les victoires, c’est bien, mais il y a des choses plus importantes dans la vie que le basketball. »\\n\\nPourquoi porte t-il le numéro 13 ? «Quand je suis allé à Hercules, j’avais 19 ans et quand vous êtes le plus jeune, il y a une hiérarchie. En tant que plus jeune, j’ai pris le maillot qui restait et c’était celui-là, je n’avais pas les moyens de choisir. Depuis lors, jusqu’au jour où j’ai terminé ma carrière, je n’ai pas changé mon numéro, parce que je l’aimais ».\\n\\nPourquoi il n’est jamais allé en NBA ? « Parce que j’ai passé un bon moment ici. J’étais très heureux auprès de ma famille et de mes amis et je n’avais aucune raison particulièrement sérieuse pour me faire changer d’avis. »\\n\\nS’il pouvait rejouer un match ? « Je voudrais rejouer la finale de la Coupe du monde 2006 contre l’Espagne. Pour changer au moins notre mentalité et comment nous sommes entrés dans le match, nous aurions pu essayer d’en faire davantage. J’aimerais pouvoir changer cela (NDLR: après avoir battu les Etats-Unis en demi-finale, 101-95, la Grèce s’était lourdement inclinée en finale, 70-47). «\\n\\nS’il avait trois souhaits, quels seraient-ils ? «Je n’en veux pas trois. Je veux une seule chose : avoir la santé pour moi et le monde entier »." }, {"role": "user", "content":"Dusko Ivanovic (coach Vitoria) : «Vitoria est une ville qui vit pour le basket-ball»" }, {"role": "assistant", "content":"Dusko Ivanovic, 63 ans, est le coach de Baskonia Vitoria, un club qu’il avait déjà fréquenté deux fois avant d’en reprendre le coaching en 2019. La première fois, c’était après son triplé avec Limoges en 2000 et jusqu’en 2005, et la deuxième fois de 2008 à 2012. Sous sa direction, Baskonia a été deux fois finaliste de l’Euroleague et a remporté le championnat national à trois reprises et quatre fois la Copa del Rey.\\n\\nSitué au Pays Basque, Vitoria-Gasteiz n’est pas l’une des plus grandes ou des plus célèbres villes d’Espagne et c’est ce qui convient parfaitement au Monténégrin.\\n\\n« Je me suis adapté à Vitoria rapidement, mais simplement parce que je m’adapte rapidement à toutes les situations. J’ai changé beaucoup de villes et de pays quand j’ai joué et nous tous, professionnels, sommes obligés de nous adapter rapidement aux changements », a-t-il déclaré au site de l’Euroleague. « Mais pour vous dire la vérité, à Vitoria, c’était beaucoup plus facile que dans de nombreux autres endroits. Le club avait une excellente organisation, prenait soin de tous ceux qui venaient de l’extérieur de la ville, et les gens de Vitoria vivent pour le sport, vivent pour le basket-ball.Vitoria compte environ 250 000 habitants et pour moi, cela en fait la taille idéale pour les personnes mariées, pour les sportifs qui n’ont peut-être pas beaucoup de temps pour les loisirs. Il y a de nombreux bons restaurants, de nombreux endroits à visiter. Il existe de nombreux endroits où vous pouvez simplement vous promener. Vitoria est la capitale verte de l’Europe et je pense vraiment qu’elle le mérite. »\\n\\nEt bien sûr, les habitants de Vitoria se sont habitués à voir Dusko Ivanovic dans les rues de leur ville. Ivanovic ne parle d’eux qu’avec respect.\\n\\n« Pour vous dire la vérité, Vitoria est une ville qui vit pour le basket-ball, mais les gens ici sont très respectueux. Ils vous connaissent, ils vous saluent. Mais ils ne vous arrêtent pas dans la rue. Les gens ici sont gentils et aimants et c’est très important pour nous les professionnels, non seulement lorsque vous gagnez, mais aussi lorsque vous perdez. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Lancement imminent de l’application LNB TV" }, {"role": "assistant", "content":"Regarder des matchs de Jeep Elite et de Pro B depuis son téléphone ou sa tablette, c’est désormais possible grâce au lancement de l’application LNB TV.\\n\\nDepuis le début de la saison, tous les matchs de Jeep Elite et de Pro B sont disponibles en direct et en replay sur LNB TV. Désormais, l’application qui va avec est disponible gratuitement sur IOS et Android. Des résumés de matchs seront également postés.\\n\\nAprès son retour en clair sur La Chaine L’Equipe et Sport en France, la Ligue Nationale de Basket se lance l’objectif de donner plus de visibilité aux championnats de France.\\n\\n\\n🔝 Gros week-end en vue sur les parquets de #JeepELITE & #PROB !\\n\\n🆕📲 TOUS LES MATCHS SERONT À SUIVRE GRATUITEMENT SUR L'APPLICATION LNB TV\\n\\niOS 👉 https://t.co/HQlpFhMjGF\\nAndroid 👉 https://t.co/ek6786Sj7R pic.twitter.com/yxG930eqCS\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) March 5, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B : Le point des contrats professionnels enregistrés au 4 mars" }, {"role": "assistant", "content":"La date butoir de libre recrutement de joueurs professionnels et de mutation entre clubs évoluant au sein d’une même division était le 28 février.\\n\\n\\n• Les clubs pouvaient jusqu’au 28 février recruter librement des joueurs dans la limite des 16 contrats et pour muter au sein d’une même division.\\n. Les dossiers complets (lettre de sortie comprise) devaient être déposés/réceptionnés à cette date auprès des services de la LNB.\\n• A compter du 1er mars de la saison en cours et jusqu’à la fin de la saison régulière, les clubs auront la possibilité d’effectuer uniquement trois recrutements de pigistes médicaux, conformément et selon les dispositions de l’article 115, dans la limite du nombre maximum de 16 contrats de joueurs. Du fait de l’article 114 des règlements, ce pigiste ne pourra avoir évolué au sein d’un club de la même division ou de NM1 (sauf exception joueur non rémunéré).\\n• Pour rappel, le recrutement, l’homologation des contrats et la qualification des joueurs devront respecter les principes définis aux articles 113,115 et 131 des règlements de la LNB.\\n\\n\\nLe point des contrats professionnels enregistrés au 4 mars\\n\\nBoulazac Basket Dordogne 14 Aix-Maurienne Savoie Basket 14\\nBoulogne-Levallois Metropolitans 92 15 Antibes Sharks 12\\nJL Bourg-en-Bresse 14 ADA Blois 9\\nChampagne Basket 14 ASC Denain Voltaire PDH 13\\nElan Chalon/Saône 13 ALM Evreux Basket Eure 12\\nCholet Basket 15 Fos Provence Basket 12\\nJDA Dijon 10 BC Gries-Oberhoffen 15\\nBCM Gravelines-Dunkerque 16 Lille Métropole Basket 11\\nLe Mans Sarthe Basket 11 SLUC Nancy 10\\nESSM Le Portel 12 Nantes Basket Hermine 9\\nLimoges CSP 12 Paris Basketball 13\\nLDLC ASVEL 15 Poitiers Basket 86 13\\nAS Monaco Basket 15 Béliers de Kemper 11\\nNanterre 92 12 Rouen Métropole Basket 11\\nOrléans Loiret Basket 9 Saint-Chamond Basket VDG 11\\nEB Pau-Lacq-Orthez 14 Saint-Quentin Basket-Ball 12\\nChorale Roanne 13 BC Souffelweyersheim 12\\nSIG Strasbourg 11 JA Vichy-Clermont Métropole 10" }, {"role": "user", "content":"LNB : trois matchs en clair pour la reprise des championnats" }, {"role": "assistant", "content":"Trois matchs de Jeep Elite et de Pro B seront diffusés en clair à la télévision sur Sport en France et La Chaine L’Equipe du vendredi 5 au mardi 9 mars.\\n\\nTout d’abord, Nantes affrontera Antibes (Pro B) sur Sport en France vendredi 5 mars à 17 h. Dimanche 7 mars, Bourg-en-Bresse recevra Nanterre (Jeep Elite), toujours sur Sport en France, à 20 h 30. Enfin, le duel de haut de tableau de Jeep Elite entre l’Asvel et Dijon sera retransmis sur La Chaine l’Equipe mardi 9 mars à 21 h.\\n\\nLes autres rencontres de Jeep Elite et de Pro B sont à retrouver en direct commenté sur LNB TV. Retrouvez les autres affiches de la semaine dans notre programme TV.\\n\\nPROGRAMME DES RENCONTRES DU 5 AU 11 MARS\\n\\nJeep® ÉLITE\\nVendredi 5 mars 2021\\n19h00 BCM Gravelines-Dunkerque – Le Mans Sarthe Basket\\nSamedi 6 mars 2021\\n17h00 AS Monaco Basket – EB Pau-Lacq-Orthez\\n18h00 Boulogne-Levallois Metropolitans 92 – ESSM Le Portel\\n18h00 Elan Chalon/Saône- Cholet Basket\\n18h30 Boulazac Basket Dordogne – Chorale Roanne\\n19h00 Champagne Basket – Limoges CSP\\nDimanche 7 mars 2021\\n20h30 JL Bourg-en-Bresse- Nanterre 92 en direct sur SPORT EN FRANCE\\nMardi 9 mars 2021\\n19h00 Orléans Loiret Basket – Chorale Roanne\\n21h00 LDLC ASVEL – JDA Dijon en direct sur La Chaîne L’Equipe\\n\\nPROB\\nVendredi 5 mars 2021\\n17h00 Nantes Basket Hermine – Antibes Sharks en direct sur SPORT EN FRANCE\\n19h00 Aix-Maurienne Savoie Basket – Rouen Métropole Basket\\n20h00 Saint-Chamond Basket VDG – Saint-Quentin Basket-Ball\\n20h00 Poitiers Basket 86 – ALM Evreux Basket Eure\\nSamedi 6 mars 2021\\n19h00 ADA Blois – Lille Métropole Basket\\n19h00 Béliers de Kemper – SLUC Nancy\\n19h00 Fos Provence Basket – Paris Basketball\\n20h00 BC Souffelweyersheim – ASC Denain Voltaire PDH\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Pro B : À 43 ans, l’inépuisable Mamadou Dia est de retour à Fos-Provence, accompagné de Jonathan Augustin-Fairell" }, {"role": "assistant", "content":"Frustré par l’arrêt du championnat de Nationale 2, le capitaine emblématique Mamadou Dia (2,03 m, 43 ans) revient à Fos-Provence, en compagnie de Jonathan Augustin-Fairell (2,01 m, 27 ans), pigiste médical de Jaraun Burrows.\\n\\nBelle surprise en Provence. Deux ans après avoir annoncé sa retraite professionnelle et après avoir vu son maillot être accroché à Parsemain, Mamadou Dia signe un retour inattendu à Fos-Provence. Le « Maire » vient apporter une rotation supplémentaire à Rémi Giuitta en vue du sprint final de Pro B (25 rencontres à disputer en trois mois).\\n\\nL’ancien intérieur de Feurs et Saint-Chamond, qui s’entraînait déjà régulièrement avec le groupe pro des Byers, apportera son expérience au reste du groupe. Son n°11 ayant été retiré, celui qui qui fêtera ses 43 ans le 28 mars prochain portera le numéro 43. Il est qualifié pour la réception du Paris Basket de son ami Amara Sy, samedi.\\n\\nJonathan Augustin-Fairell en pigiste médical\\n\\nFos-Provence annonce également une seconde arrivée : celle de Jonathan Augustin-Fairell. L’intérieur des Bahamas connaît bien la Pro B après y avoir notamment été très productif dès sa première saison, à Rouen en 2016-2017 (14,5 points, 6,8 rebonds en moyenne par match). Il a ensuite été un élément important du succès de Blois lors de son titre de champion de France de Pro B en 2017-2018 (12 points, 6,7 rebonds en moyenne). Après des passages à Dijon, Cholet et à l’étranger (Belgique, Argentine et Israël), il arrive dans le sud de la France.\\n\\nRémi Giuitta (coach de Fos-Provence) : « C’était difficile de trouver un joueur avec un passeport européen-Cotonou dans le secteur intérieur, notamment avec les contraintes supplémentaires liées à la fermeture des frontières françaises. Nous sommes assez contents d’avoir pu trouver un accord avec Jonathan Augustin-Fairell. C’est un joueur qui connaît très bien la Pro B et la France, et qui ne devrait pas nécessiter de trop de temps d’adaptation. Il sera en forme tout de suite. Concernant Mamadou Dia, au delà de mon attachement personnel, nous sommes très contents qu’il ait pu faire le chemin retour pour nous prêter main-forte grâce au partenariat qui nous lie avec nos amis de Sapela. On connaît l’importance de joueurs comme lui, qui sans aucun doute saura nous rendre de précieux et fiers services comme il l’a toujours fait depuis qu’il est chez nous, que ce soit sur du court-terme avec nos difficultés actuelles d’effectif que sur du plus long terme avec l’enchaînement des matchs prévu jusqu’à la fin de saison.«\\n\\nPhoto : Fos-Provence." }, {"role": "user", "content":"Argentine: Une joueuse allaite sa fille sur le banc à la mi-temps d’un match !" }, {"role": "assistant", "content":"Les images d’Antonella González, qui a allaité sa fille de onze mois à la mi-temps d’un match, sont devenues virales en Argentine et la joueuse a demandé que cela serve à montrer qu’on le peut reprendre ce type d’activité après une grossesse.\\n\\n« Je lui donne toujours le sein avant le début du match, mais à ce moment-là, nous en avions tous les deux besoin, j’en avais aussi un peu besoin. C’était réciproque. Nous avions déjà fini le briefing technique, nous nous réchauffions pour recommencer le match et j’ai dit à l’entraîneur que j’avais besoin d’un peu de temps. C’était très naturel. »\\n\\nCe geste insolite s’est produit dimanche au cours du match de la Ligue de Basketball Féminine que Rocamora a remporté 61-44 sur Vélez Sarsfield. Antonella González a apporté 8 points, 2 rebonds et 1 passe dans cette victoire.\\n\\nLa meneuse diplômée en psychomotricité a déclaré que ses coéquipières « ne considéraient pas cela comme quelque chose d’étrange » malgré le fait qu’elle n’avait jamais allaité auparavant « pendant un match. »\\n\\nPeu de temps après, le club lui-même a partagé deux autres photos avec cette phrase: « Que toutes les mères sentent que c’est possible »." }, {"role": "user", "content":"Pau : Les repreneurs américains n’ont pas mis la main à la poche pour le recrutement de Tony Wroten et CJ Williams" }, {"role": "assistant", "content":"Sur le site de l’Elan Béarnais, le Directeur Exécutif, Didier Gadou, s’exprime sur les renforts du club durant le « break », l’arrière Tony Wroten (1,96m, 27 ans) et l’ailier CJ Williams (1,96m, 31 ans).\\n\\n« Quand on recrute des éléments de la trempe de Tony Wroten ou de CJ Williams, ce n’était pas pour les engager en tant que pigistes médicaux pour quelques semaines. Cela s’inscrit dans le cadre d’une ambition sportive jusqu’à la fin de la saison. Je sais que beaucoup de personnes se sont posées la question de savoir si les repreneurs américains évoqués ces dernières semaines avaient aidé financièrement le club afin d’engager ces deux joueurs et je peux leur répondre que non, ce n’est pas le cas. Quand on a établi le budget en juin 2020, nous sommes partis sur des sommes quasi certaines, car nous n’avions pas de vision claire à propos d’une saison dont le déroulement était lié à l’évolution de la situation sanitaire de notre pays. En octobre – novembre, des aides de l’Etat sont venues consolider nos provisions. On a décidé de faire une reprise sur ces provisions afin de consolider notre équipe pour la suite du championnat. Il s’agit d’un pilotage de budget en fonction des contraintes économiques et des objectifs sportifs, qu’il faut mener dans un contexte de grande incertitude puisque nous ne savions pas, jusqu’au 22 février dernier, si le championnat allait être disputé jusqu’à son terme. Comme l’a souhaité le Directeur Sportif Dominique Loueilh et le staff sportif dans son ensemble, le club a répondu présent pour épaissir l’effectif et attaquer ainsi dans les meilleures conditions la dernière longue ligne droite du championnat. »\\n\\nA propos des blessés, il est précisé que le meneur Justin Bibbins, sévèrement touché à la cheville gauche, va attaquer la réathlétisation. La date de son retour à la compétition n’a pas encore été établie. L’intérieur Hamady Ndiaye a été opéré à la main. Il sera forfait pour la reprise à Monaco.\\n\\nPhoto: Tony Wroten" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : Denain, Évreux, Fos-Provence, petits et gros moyens visent haut" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Évreux (photo : ALM Évreux – Sabine de Leest)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour continuer les salaires des joueurs et du staff technique de Denain, Évreux et Fos-Provence.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires sont publiés quotidiennement, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nDenain fait plus avec moins !\\n\\n10 % de moins sur la masse salariale (pour un montant de 548 500 € déclarés, 13e de Pro B), cela n’encourage pas forcément à faire des pronostics très optimistes. Et pourtant, avec ce tout petit budget, l’ASC Denain Voltaire réussit à figurer sur le podium provisoire de la Pro B, avec 7 victoires pour 3 défaites. Épatant ! Et pourtant, tout n’a pas été simple en début de saison pour coach Rémy Valin et ses troupes. Il a d’abord fallu se séparer du pivot américano-germanique Justin Raffington, pas au niveau, après trois matchs de Leaders Cup. Puis ce fut au tour du meneur Tyler Laser de prendre la porte, du fait d’un comportement « particulier ». Pour les remplacer, Denain a fait appel au bien connu Congolais Ruphin Kayembe à l’intérieur et au jeune meneur Stephen Brown. De nouvelles têtes guère mieux payées que leurs coéquipiers, où le Croate David Skara comme un bon scoreur alors que le jeune Matthieu Missonnier (23 ans), débarquant de NM1, montre qu’il a tout à fait le niveau. Et Denain est l’une des excellentes surprises de la division.\\n\\n * Stephen Brown (USA) : 44 000,00 €\\n * Chris-Ebou Ndow (NOR) : 40 000,00 €\\n * David Skara (CRO) : 37 000,00 €\\n * Ruphin Kaymebe (RDC/BEL) : 35 000,00 €\\n * Matthieu Missonnier (FRA) : 28 000,00 €\\n * Rigo Edzata (RDC) : 25 000,00 €\\n * Anthony Racine (FRA) : 25 000,00 €\\n * Armand Mensah (FRA) : 21 000,00 €\\n * Ismaël Cadiau (FRA) : 20 000,00 €\\n * Quentin Losser (FRA) : 18 000,00 €\\n * Brahim Dohou (FRA) : 18 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Rémy Valin : 55 000,00 €\\n\\nÉvreux, un changement et ça repart !\\n\\nEncore une équipe qui a dû retoucher son effectif après de mauvais premiers choix dans ses recrues étrangères. Le Ghanéen Bashir Ahmed n’aura pas eu le temps de jouer un match, l’Argentin Pedro Barral deux (il devait toucher 40 000 € sur la saison). Pour les remplacer, Neno Asceric s’est tourné vers Yunio Barrueta, figure bien connue de Pro B et le meneur Austin Tilghman. Bonnes pioches : depuis l’arrivée du jeune meneur américain (25 ans), l’ALM a enregistré 4 victoires pour une seule défaite, de quoi reprendre des couleurs au classement : 11e avec 4 victoires pour 5 défaites. Pour le reste, si l’on excepte Antoine Wallez encore une fois lourdement blessé, tout roule pour Évreux, avec un Amadou Sidibe très fort rebondeur (11,7 par match), un Barrueta scoreur (17,3 points) et un Jhornan Zamora complet 13,2 pts, 4,3 rbds, 4,2 pds). Le tout pour une enveloppe globale de 545 500 €, 16e de Pro B. À noter également, la très bonne première saison pro de Dimitri Radnic, qui délivre 4,1 pds pour aller avec ses 6,6 pts.\\n\\n * Yunio Barrueta (CUB) : 45 000,00 €\\n * Amadou Sidibe (CIV/USA) : 42 000,00 €\\n * Jhornan Zamora (ESP/VEN) : 40 000,00 €\\n * Antoine Wallez (FRA) : 36 000,00 €\\n * Jean-Philippe Dally (FRA) : 35 000,00 €\\n * Fabien Paschal (FRA) : 35 000,00 €\\n * Dimitri Radnic (FRA) : 20 000,00 €\\n * Anthony Da Silva (FRA) : 15 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Nedeljko Asceric : 50 000,00 €\\n\\nFos-Provence, jeunes et vieux font l’affaire !\\n\\nGros calibre de la division (750 000 € de masse salariale, 5e de Pro B), Fos-sur-Mer s’est fait remarquer à l’intersaison par le recrutement de l’habitué de la Jeep Élite Jean-Michel Mipoka et, mieux encore, de l’ancien d’Euroleague Nik Caner-Medley. Tous les deux sont très bien payés pour la division, mais ils justifient pleinement leurs émoluments, tout d’abord par leur contribution au bon début de saison des BYERS (4e avec 6 v.-3 d.), ensuite par leur rendement (16,9 d’éval pour l’Américano-Azéri de 37 ans, une influence sur le jeu qui va bien au-delà de ses stats pour le Toulousain de 35 ans). Mais plus que sur ces valeurs sûres, c’est sur sa jeune garde que Fos-Provence a réussi son coup. Bodian Massa (23 ans) est l’un des bons pivots de la Pro B alors qu’Allan Dokossi (21 ans), promis à alterner entre Pro B et NM1 avec Sorgues, a littéralement explosé, comme le montrent ses 17,8 d’éval. À environ 1 000 € le point d’éval, il n’a aucun équivalent en Pro B ! Seul point noir dans la saison des BYERS : la blessure longue durée de Lucas Hergott.\\n\\n * Nik Caner-Medley (USA/AZE) : 80 000,00 €\\n * Jean-Michel Mipoka (FRA) : 75 000,00 €\\n * Kevin McClain (USA/ALL) : 68 000,00 €\\n * Jamar Diggs (USA) : 65 000,00 €\\n * Edouard Choquet (FRA) : 60 000,00 €\\n * Jaraun Burrows (BAH) : 58 000,00 €\\n * Karim Atamna (FRA) : 40 000,00 €\\n * Lucas Hergott (FRA) : 35 000,00 €\\n * Bodian Massa (FRA) : 25 000,00 €\\n * Sullivan Hernandez (FRA) : 21 000,00 €\\n * Allan Dokossi (FRA/CAF) : 18 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Rémi Giuitta : 50 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue cette saison...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). 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On connaît les tourments dramatiques du Khimki Moscou, on découvre par la voix de son président Paulius Motiejunas, que le Zalgiris Kaunas creuse ses dettes et a des retards dans le paiement des salaires.\\n\\n« Le soutien des sponsors diminue également, car les bénéfices de tout le monde diminuent, nous essayons de ne pas les perdre, ce qui est à peu près réussi. Fondamentalement, la situation est telle que nous sommes en retard avec les salaires des joueurs. »\\n\\nComme beaucoup de clubs en Europe, le Zalgiris espère avoir des aides de l’Etat.\\n\\n«Si nous ne recevons pas de compensation, les dettes s’éterniseront et nous réfléchirons à la manière de les rembourser à partir des saisons à venir. La situation est vraiment triste. Nous ne demanderions pas de compensation si nous avions des spectateurs, mais maintenant il n’y a pas de canne à pêche (sic) avec laquelle nous pouvons gagner de l’argent. »\\n\\nLe Zalgiris a présenté en début de saison un budget prévisionnel de 9,2 millions d’euros et la billetterie devait représenter 2,6M€. Le club a perdu un total de 6M€ en raison de la pandémie. Remigijus Milašius, président de la LKL, la ligue lituanienne, précise de son côté que l’ensemble des clubs ont perdu 13M€.\\n\\n« Nous avons clairement indiqué où nous perdons de l’argent: les téléspectateurs, pas de revenus publicitaires. Il y a aussi la location des salles. Par exemple, l’arèna de Klaipėda n’est pas la propriété de Neptūnas, toutes les salles sont concédées sur le principe de concessions ou appartiennent à des centres sportifs. »\\n\\nInscription à AI Marketing\\n\\nPhoto: Paulius Jankunas (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Fenerbahçe : Une 11e victoire en 12 matches à Milan" }, {"role": "assistant", "content":"On n’arrête plus Fenerbahçe Istanbul qui vient de remporter sa 11e victoire en 12 matches à Milan: 92-100.\\n\\nAvec 20 points, Nando De Colo a été un fois encore l’artificier en chef des Turcs mais on remarque aussi dans la feuille de stats le (presque) triple double de l’intérieur tchèque Jan Vesely, auteur de 13 points, 10 rebonds et 8 passes. L’ensemble du match a été marqué par une très forte adresse à plus de 6,75m: 12/23 pour le Fener, 13/25 pour Armani.\\n\\nUn tel festival offensif ne plaît pas à tout le monde, à commencer par le coach italien Ettore Messina :\\n\\n« C’était un de ces matches où il suffit de complimenter son adversaire car il était meilleur. Nous avons joué un bon match, nos chiffres offensifs étaient excellents, sauf quelques minutes au troisième quart-temps où nous avons perdu un peu le contrôle, perdu quelques balles, mais les leurs étaient encore meilleurs. La clé était les rebonds, à un moment donné, ils ont marqué trois fois sur trois au rebond offensif et c’est ce qui a fait pencher le match. De toute évidence, vous ne pouvez pas vous attendre à gagner en prenant 100 points. »\\n\\nFenerbahçe est implanté dans le top 8, à hauteur du Real Madrid (16-11), tandis que Milan demeure dans le carré d’as (17-10), mais 6 équipes se tiennent à une victoire près. Autant dire que tout reste à faire.\\n\\nPhoto: Jan Vesely (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Erman Kunter (coach Cholet) : «On a été particulièrement touchés par le Covid : 8 cas sur 14 joueurs»" }, {"role": "assistant", "content":"« On va commencer samedi notre nouvelle saison si l’on peut dire, mais j’espère surtout qu’on ne s’arrêtera pas encore une fois. Parce que là, vraiment, ça devient compliqué. Pour toutes les équipes d’ailleurs. On a été particulièrement touchés par le Covid : 8 cas sur 14 joueurs. Si on coupe encore une fois, on ne s’en sortira pas. Parce qu’il devient très difficile de programmer les entraînements et les matches. Vous essayez de monter en régime et on coupe. Et ça recommence encore. Psychologiquement, pour les joueurs, ça fait très très mal. J’espère donc qu’on va aller jusqu’au bout à partir de samedi. »\\n\\nLors d’une conférence de presse -propos repris par Ouest France-, le coach Erman Kunter a commenté la reprise du championnat, qui pour son équipe va se faire samedi à Chalon. Actuellement 14e avec 3 victoires et 6 défaites, CB ne manque pas d’ambition et vise toujours le possible Final 8, qui est également synonyme de coupe d’Europe.\\n\\n« On veut y aller, bien sûr. Mais avec un programme aussi chargé, avec un calendrier tellement dense, le championnat, habituellement très ouvert, l’est encore plus. Pour toutes les équipes, une vraie bataille s’annonce. Il y a bien sûr l’Asvel et Monaco qui sont au-dessus, mais entre toutes les autres équipes, cela va être serré. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB : Basket Landes perd face à Tarbes et sa Serbe Nevena Jovanovic" }, {"role": "assistant", "content":"Bourges a été à la traîne une mi-temps face à Villeneuve d’Ascq (31-39) mais les Tango ont réussi à accélérer par la suite et ont remporté le match (81-76) avec la suédoise Elin Eldebrink en meneuse scoreuse (26 points à 8/11).\\n\\nAvec cette 14e victoire d’affilée, les filles de Olivier Lafargue se détachent un peu plus au classement car pendant ce temps Basket Landes a perdu face à Tarbes dans le derby du sud-ouest suite notamment à la performance d’une autre Suédoise, Regan Magarity, auteure de 22 points et 11 rebonds pour 27 d’éval.\\n\\nUn résultat qui est en contradiction avec leur exploit à Lyon, qui fait que les filles de Julie Barennes ont trois défaites de plus que le leader Bourges qui sera ainsi très difficile à déloger d’ici la fin de la saison.\\n\\nDe plus, les Landaises perdent leur internationale serbe Nevena Jovanovic, qui doit se faire opérer alors qu’elle tournait à 7 points, 2,7 passes et 2,5 rebonds depuis son arrivée.\\n\\nPhoto: Nevena Jovanovic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"TQO 3×3 : Samuelson (ex-Charleville) remplace Collier (Montpellier) dans la sélection américaine qui sera face à la France" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que le 3×3 fera ses débuts cet été aux Jeux Olympiques de Tokyo, Team USA ajuste sa sélection pour le Tournoi Qualificatif Olympique (TQO) de mai prochain en Autriche.\\n\\nL’ex-ailière des Flammes Carolo, Katie Lou Samuelson (1,91 m, 23 ans), a été appelée ce mercredi pour compléter la sélection nationale américaine de 3×3. Elle tentera de qualifier Team USA lors du TQO de Graz (Autriche) du 26 au 30 mai, pour lequel les trois meilleures équipes gagneront leur billet.\\n\\nDésormais au CB Avenida (Espagne), Samuelson, habituée des événements mondiaux de 3×3, remplace numériquement la nouvelle joueuse de Montpellier, Napheesa Collier (1,88 m, 24 ans), qui faisait à l’origine partie de l’équipe avec Stefanie Dolson (Chicago Sky), Allisha Grey (Dallas Wings) et Kelsey Plum (Las Vegas Aces).\\n\\n« Je suis très excitée de faire partie de cette équipe. C’est un honneur de pouvoir participer à ce tournoi pour, je l’espère, me qualifier pour les Jeux Olympiques. Je suis ravie de jouer à nouveau en 3×3. Le 3×3 a toujours été extrêmement amusant pour moi, et j’ai hâte de représenter à nouveau les États-Unis« , expose Katie Lou Samuelson à la FIBA.\\n\\nLors de ce TQO, Team USA affrontera l’équipe de France, l’Allemagne, l’Uruguay et l’Indonésie dans le groupe le plus relevé du plateau. Il faudra sortir des poules en terminant dans les deux premiers puis gagner deux autres matchs (quarts de finale et demi-finales ou match pour la troisième place) pour se rendre à Tokyo.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"La débâcle du Khimki Moscou continue, Janis Timma claque la porte" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré leur victoire mardi contre le Real Madrid (78-77) en Euroleague, mettant fin à une série de 17 défaites consécutives, les joueurs du Khimki Moscou continuent de quitter le club en pleine saison, sur fond de salaires impayés.\\n\\nCette fois, après Greg Monroe, Jonas Jerebko ou Dairis Bertans... C’est au tour de Janis Timma (2,03 m, 28 ans) de jeter l’éponge. Selon les médias russes, l’international letton a fait ses affaires et est reparti en Lettonie, déçu – entre autres – de ne pas avoir débuté le match de VTB League contre Stelmet le 28 février dernier. Le club et le joueur lui-même ont refusé de commenter la situation. Cependant, son agent, Stanislav Rizhov, a décidé de parler.\\n\\n« Il serait insensé de tout nier. Je ne commenterai pas tout en détail, car c’est une question qui relève du joueur et des entraîneurs. Mais il y a de la tension dans l’équipe, tout le monde est stressé, la mauvaise humeur prévaut et cela conduit à des expulsions d’émotions. On espère que la victoire contre le Real contribuera à améliorer l’ambiance, car la Russie ne peut se permettre de perdre un club comme le Khimki« , indique l’agent de Janis Timma à krepsinis.net.\\n\\nRIA Novosti rapporte également que les salaires du club n’ont pas été payés depuis 3 mois et que la dette du club envers les joueurs est déjà de 2,8 millions d’euros. Pour rappel, Devin Booker, sous contrat, n’est toujours pas revenu à l’entraînement.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Espagne: La liga ACB espère une aide gouvernementale" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à Europa Press, le président de l’ACB, Antonio Martin, a confirmé qu’il travaille avec le Conseil supérieur des sports (CSD) à un plan d’aide financière pour les clubs secoués par le choc de la pandémie. Il a précisé que « nous ne parlons pas de cette année, mais des suivantes. Pour le moment, ils nous écoutent, nous reçoivent, l’intériorisent et étudient s’il est possible d’accorder cette aide. »\\n\\nAntonio Martin a rappelé qu’une année sans public a pour conséquence de se passer de 2,17 millions de fans, et que l’impact de la billetterie dans le basket-ball est absolument différent de celui dans le football car celle-ci représentait en moyenne 23% du revenu total des clubs, et dans certains cas jusqu’à 40%. « Notre obligation est de leur apporter de l’aide: nous chercherons toutes les aides possibles tant au niveau privé que public, sans virer au rouge, pour apaiser les tensions de trésorerie, et au niveau du public. »\\n\\nAntonio Martin a par ailleurs appelé à harmoniser le calendrier européen, insistant que le fait que l’ACB « veut une Euroleague super puissante et spectaculaire », mais que « l’offre de divertissement actuelle est sauvage; nous devons résoudre cela parce que c’est quelque chose d’inconfortable et qui va à l’encontre de l’intérêt du public. »" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Boulogne-Levallois sévèrement corrigé par le Lokomotiv Kuban" }, {"role": "assistant", "content":"Face au Lokomotiv Krasnodar, les Metropolitans 92 sont totalement passés à côté de leur match et se sont inclinés lourdement (61-83). Après avoir perdu le point-average à Trento, Boulogne l’a égaré aussi face aux Russes et avec cette défaite, aucune équipe de ce groupe F ne sera qualifiée avant le dernier round.\\n\\nL’entame de match fut médiocre. Une fâcheuse habitude bien trop récurrente pour Boulogne-Levallois cette saison. Totalement crispés par l’enjeu, les hommes de Jurij Zdovc se sont retrouvés sans solution en attaque en plus de ne pas être dans le rythme en défense. Ils encaissaient un 8-0 d’entrée. En fin de quart, Boulogne-Levallois se réveillait mais sans empêcher Krasnodar de prendre l’ascendant sur le match. Les Russes bien plus agressifs comptaient déjà huit unités d’avance à l’entame du second quart (14-22).\\n\\nKrasnodar a tout balayé sur son passage dans ce second acte et a fait régner sa loi sous l’impulsion de Kevin Hervey (12 points, 4 rebonds et 2 interceptions pour 13 d’évaluation en 26 minutes) et Nigel Williams-Goss (19 points, 7/11 aux tirs dont 2/3 à trois-points et 3/5 aux lancers francs, 7 rebonds, 6 passes pour 27 d’évaluation en 32 minutes de jeu). Les Franciliens étaient totalement déboussolés en attaque et ont cumulé les pertes de balles (11 ballons perdus) en plus de se faire dominer en défense malgré de bons efforts défensifs qui n’ont pas portés leurs fruits. Seul Maxime Roos (12 points), Anthony Brown (15 points) et Brandon Brown (11 points) surnageaient mais ne permettaient pas d’arrêter la spirale infernale du club Russe. Boulogne rentrait aux vestiaires avec un gros retard (28-48).\\n\\nLes Mets étaient dominés à tous les étages dans ce troisième quart et Krasnodar ne s’arrêtait pas en si bon chemin en continuant d’imprimer une intensité monstre en défense. Côté francilien, les attaques étaient laborieuses et les pertes de balles s’accumulaient, Maxime Roos et les siens étaient totalement largués, tandis que le trio Will Cummings, Kevin Hervey et Nigel Williams-Goss (49 points à eux trois dans ce match) continuait de pilonner (43-67).\\n\\nLe dernier quart a été anecdotique pour les Mets. Les maux de la première mi-temps ont été les mêmes et s’ils n’ont pas cessé de se battre, le rouleau compresseur russe écrasait tout sur son passage. Au bord de l’élimination, les russes ont fait parler leur expérience dans ce match capital en provoquant 19 pertes de balles côté Metropolitans 92.\\n\\nMaxime Roos (Metropolitans 92) : « On a essayé de nouvelles choses ce soir mais ça n’a pas marché. Ils ont été plus agressifs que nous. Ils ont joué à un meilleur niveau que nous ce soir. Ils ont bien fermé en défense sur les switchs. C’est un axe de travail pour la semaine. Il va falloir être focus pour réagir face au Portel. On va bien regarder ce match, ils nous ont fait déjouer. Il faudra faire beaucoup mieux face au Partizan. »\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Tirage au sort de l’EuroBasket féminin le lundi 8 mars, la France tête de série" }, {"role": "assistant", "content":"Les têtes de série ont été annoncées aujourd’hui, soit avant le tirage au sort de l’EuroBasket 2021, qui aura lieu à l’Auditorium Santiago Grisolia de la Cité des Arts et des Sciences à Valence, en Espagne, le 8 mars. La France est tout naturellement parmi les quatre équipes têtes de série avec l’Espagne, la Belgique et la Serbie.\\n\\nLes 16 équipes qualifiées ont été classées en fonction de leurs performances à l’EuroBasket 2019 et aux éliminatoires à l’EuroBasket 2021, à parts égales.\\n\\nLes équipes participantes seront réparties en quatre groupes de quatre équipes chacun.\\n\\nLa France et l’Espagne, hôtes de l’EuroBasket féminin de la FIBA 2021, avaient le droit de choisir une fédération partenaire, qui jouera dans le pays concerné.\\n\\nAprès avoir été sélectionnée par la France, la Belgique sera tirée au sort dans l’un des groupes de Strasbourg, mais ne peut pas aller dans le même groupe que la France car les deux pays ont la même tête de série.\\n\\nPendant ce temps, l’Espagne a choisi la Slovaquie comme partenaire; les deux équipes seront tirées au sort dans le même groupe à Valence.\\n\\nLe tirage au sort aura lieu à l’Auditorium Santiago Grisolia de la Cité des Arts et des Sciences à 12h00 CET le lundi 8 mars et pourra être suivi en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA et sur la page Facebook FIBA Women’s EuroBasket .\\n\\nLes anciennes joueuses de l’équipe nationale Anna Montanana et Cathy Melain assisteront au tirage au sort des groupes, représentant les deux co-hôtes, tandis que la légende espagnole Amaya Valdemoro sera l’une des présentatrices.\\n\\nL’EuroBasket féminin de la FIBA aura lieu du 17 au 27 juin 2021, avec la phase de groupes, la qualification pour les quarts de finale et les quarts de finale correspondants se déroulant à Strasbourg et Valence et la compétition se concluant par la phase finale à Valence.\\n\\nDans un communiqué, la FFBB précise qu’elle a fait le choix d’inviter la Belgique car elle a souhaité accueillir un pays limitrophe qui dispose d’une communauté de fans très active lors des différentes compétitions internationales.\\n\\n« Nous avons souhaité accueillir la Belgique lors du premier tour de l’EuroBasket Women 2021 à Strasbourg pour plusieurs raisons. La Belgique est une équipe en pleine progression, proposant un basket de grande qualité et nous sommes ravis d’offrir aux spectateurs des matches de haut niveau sur notre territoire. Par ailleurs, il existe une véritable communauté basket en Belgique : de nombreux fans suivent et soutiennent leur équipe nationale pendant toutes les compétitions. Nous serons ravis de les accueillir à Strasbourg et sommes convaincus qu’ils se déplaceront si les conditions le permettent en juin prochain, » commente le président Jean-Pierre Siutat." }, {"role": "user", "content":"Vasilje Micic au Real Madrid la saison prochaine pour 2,5 millions par an ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le nom de Vasilje Micic (1,97 m, 27 ans, Anadolu Efes) circule à nouveau dans les vestiaires du Real Madrid. Le Serbe pourrait s’inviter dans la capitale espagnole l’an prochain contre 2,5 millions d’euros la saison.\\n\\nLe Real Madrid prépare un nouveau cycle. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le Real voit grand. Après avoir prolongé son coach Pablo Laso pour deux saisons supplémentaires, les Madrilènes s’attaquent à la restructuration de leur effectif pour la saison prochaine.\\n\\nSelon Marca, le nouveau meneur de l’Asvel jusqu’à la fin de la saison Thomas Heurtel aurait déjà signé au Real pour l’exercice 2021-2022. Toujours selon le média espagnol, le favori pour accompagner l’international français sur les lignes arrières serait le Serbe Vasilje Micic. Déjà ciblé par les Merengues à l’été 2019, le maître à jouer de l’Anadolu Efes Istanbul serait la priorité de Pablo Laso.\\n\\nEn fin de contrat en juin prochain à Istanbul, le combo-guard pourrait également se laisser tenter par la NBA, puisque ses droits sont détenus par Oklahoma City, la franchise du Français Théo Maledon. Vasilje Micic (16,1 points, 4,9 passes décisives et 1,1 interception de moyenne en Euroleague cette saison) pourrait se voir proposer 2,5 millions d’euros par saison.\\n\\nJalen Reynolds, Tyler Dorsey et Nemanja Nedovic aussi sur la liste ?\\n\\nDe son côté, Mozzart Sport indique que le Real Madrid a coché d’autres noms au cas où la signature de Vasilje Micic échouerait sur les lignes arrières. Parmi eux, l’actuel meneur du Panathinaikos Nemanja Nedovic.\\n\\nSelon Ser Deportivos, le pivot du Bayern Munich Jalen Reynolds, déjà passé par le FC Barcelone, serait également l’une des priorités du Real pour seconder Walter Tavares dans la peinture. Le shooteur Tyler Dorsey, actuellement au Maccabi Tel Aviv (11 points de moyenne, 39 % à 3 points cette saison) serait également sur les tablettes madrilènes.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Joffrey Lauvergne : «Le président français ne me connaissait pas. Mais le lituanien, si !»" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste de L’Equipe, Yann Ohnona est parti en reportage en Lituanie où il a rencontré Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans), qui revit avec le Zalgiris Kaunas. Dans la continuité de ses sorties précédentes, le Mulhousien de naissance s’est fendu de 18 points et 6 rebonds hier soir face à l’ASVEL.\\n\\nIl lui a été rappelé qu’il avait rencontré, à la fin septembre, le président Emmanuel Macron lors de sa visite dans le pays, ainsi que le président lituanien, Gitanas Nauseda.\\n\\n« Le président français ne me connaissait pas. Mais le lituanien, si ! » a t-il indiqué en riant, prouvant -mais est-ce nécessaire ?- que le basket-ball est plus populaire en Lituanie qu’en France.\\n\\nPar ailleurs, Joffrey Lauvergne, qui n’est pas réapparu en équipe de France depuis l’Euro 2017, n’a pas totalement écarté la perspective d’y revenir, tout en faisant preuve d’une extrême prudence :\\n\\n« Si je suis appelé ? Eh bien qu’on m’appelle déjà ! A chaque période son message, sa vérité. »\\n\\nN’est-il pas dans le jeu FIBA un intérieur idéal pour les Bleus capable de jouer avec rage sur les deux postes ?\\n\\nPhoto: Zalgiris Kaunas" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Tom Digbeu et Stéphane Gombauld en forme" }, {"role": "assistant", "content":"Les fenêtres internationales étant terminées, les championnats nationaux reprenaient leurs droits le week-end dernier et pour tout dire, nos français dispersés aux quatre coins de l’Europe sont revenus en forme. Yakuba Ouattara flambe en Espagne, Tom Digbeu s’éclate en Lituanie, Stéphane Gombauld ne s’arrête pas de briller en Serbie et Amath M’Baye continue de faire le bonheur du Pinar Karsiyaka en Turquie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nYakuba Ouattara performant malgré la défaite\\n\\nYakuba Ouattara a été une nouvelle fois auteur d’une belle prestation avec Séville, malgré la défaite d’une courte tête à domicile face à Saragosse (82-85) en Liga Endesa. Avec 19 points, l’international réalise l’une de ces meilleures sorties de la saison mais n’a pas permis à Séville d’empocher une précieuse victoire face à un concurrent direct dans la course au maintien en Liga ACB.\\n\\n\\nTom Digbeu continue d’impressionner en Lituanie\\n\\nAprès une année difficile, Tom Digbeu revient en forme, et en force, avec son club lituanien de Prienai. Du haut de ses 19 ans, le fils d’Alain Digbeu continue son bonhomme de chemin. Ce week-end, l’arrière a claqué 20 points dans la large défaite de son équipe face au Rytas Vilnius (67-97). S’il continue sur sa lancée, un retour au Zalgiris, où il pourrait jouer l’Euroleague, n’est pas à exclure et fait partie des étapes sans doute obligatoires avant de se lancer dans le grand bain de la draft NBA.\\n\\n\\nStéphane Gombauld casse encore la baraque avec Mladost\\n\\nAprès un double double et une marque à 18 points la semaine derniere, on n’arrête plus Stéphane Gombauld ! L’ancien de l’ADA Blois s’est distingué une nouvelle fois en championnat de Serbie. Face à Napredak, le natif de Saint-Claude (Guadeloupe) s’est offert une nouvelle belle performance avec 25 points et a été l’un des grands artisans de la victoire du Mladost Zemum (92-74).\\n\\n\\nAmath M’Baye est de retour aux affaires\\n\\nAprès la fenêtre internationale avec l’équipe de France avec laquelle il a validé le billet pour l’EuroBasket, Amath M’Baye est revenu au Pinar Karsiyaka tout feu, tout flamme. Face à Bahçesehir, il a inscrit 19 points en 28 minutes de jeu pour un total de 20 d’évaluation. Arrivé la saison dernière dans le club d’Izmir, celui-ci l’a prolongé jusqu’en 2022, bien évidemment satisfait de son rendement. Le Bordelais de 30 ans, médaillé de bronze avec l’équipe de France lors de la dernière Coupe du Monde continue de rayonner en Turquie.\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Pas de match.\\n\\nLéo Westermann (Barça) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 15 points (6/11 aux tirs dont 3/4 à trois-points), 3 rebonds, 1 ballon perdu pour 12 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 91-77 face à l’Estudiantes Madrid).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 8 points (3/6 aux tirs dont 1/3 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes, 1 ballon perdu pour 5 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 96-81 face à San Pablo Burgos).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 12 points (5/6 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 4 ballons perdus, 2 contres pour 13 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Victoire 90-74 face à Fuenlabrada).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 4 points (1/4 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 2/4 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 ballon perdu pour 10 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Défaite 77-91 à Malaga).\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 7 points (3/8 aux tirs dont 1/3 à trois-points), 3 rebonds, 1 interception pour 5 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 72-84 à Andorre).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 19 points (7/14 aux tirs dont 3/7 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception pour 19 d’évaluation en 28 minutes de jeu (Défaite 82-85 face à Saragosse).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 11 points (5/7 aux tirs dont 1/2 à trois-points), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre pour 12 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Victoire 84-72 face à Valence).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : N’est pas rentré en jeu.\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : Pas de match.\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 11 points (5/6 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 interception, 1 ballon perdu pour 17 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Victoire 85-72 face à Klaipeda).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 20 points (6/14 aux tirs dont 0/5 à trois-points et 8/10 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes, 1 interception, 2 contres, 5 ballons perdus pour 17 d’évaluation en 35 minutes de jeu (Défaite 67-97 face au Rytas Vilnius).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 9 points (4/9 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 1/4 aux lancers-francs), 9 rebonds, 7 passes pour 17 d’évaluation en 31 minutes de jeu (Victoire 94-87 à Starogard Gnański).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 2 points (1/2 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe pour 8 d’évaluation en 12 minutes de jeu (Défaite 56-87 à Kazan).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 25 points (11/14 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 interception, 4 ballons perdus pour 25 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Victoire 92-79 face à Napredak).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 7 points (2/3 aux tirs dont 1/1 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 1 contre pour 7 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 86-84 face au Borac Cacak).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’est pas rentré en jeu.\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 14 points (6/11 aux tirs et 2/6 aux lancers-francs), 13 rebonds, 3 passes, 2 contres, 1 ballon perdu pour 22 d’évaluation en 35 minutes de jeu (Défaite 77-84 face à Besiktas).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 19 points (7/14 aux tirs dont 3/8 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 5 passes, 2 contres, 1 interception, 1 ballon perdu pour 20 d’évaluation en 28 minutes (Victoire 96-83 à Bahçesehir Koleji).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 6 points (3/3 aux tirs), 6 rebonds, 1 interception, 2 contres, 1 ballon perdu pour 11 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Défaite 74-75 face au CSKA Moscou).\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nYakuba Ouattara performant malgré la défaite\\n\\nYakuba Ouattara a été une nouvelle fois auteur d’une belle prestation avec Séville, malgré la défaite d’une courte tête à domicile face à Saragosse (82-85) en Liga Endesa. Avec 19 points, l’international réalise l’une de ces meilleures sorties de la saison mais n’a pas permis à Séville d’empocher une précieuse victoire face à un concurrent direct dans la course au maintien en Liga ACB.\\n\\n\\nTom Digbeu continue d’impressionner en Lituanie\\n\\nAprès une année difficile, Tom Digbeu revient en forme, et en force, avec son club lituanien de Prienai. Du haut de ses 19 ans, le fils d’Alain Digbeu continue son bonhomme de chemin. Ce week-end, l’arrière a claqué 20 points dans la large défaite de son équipe face au Rytas Vilnius (67-97). 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Pour tenter de réveiller son équipe, le coach Pablo Laso a lancé à un moment sur le terrain Felipe Reyes, bientôt 41 ans. Cela a eu son effet, mais donc insuffisant.\\n\\nLes Russes ont mis fin ainsi à une série de 17 défaites consécutives et ont remporté leur troisième victoire de la saison. Quant au Real, il plonge à la 7e place (16 victoires, 11 défaites) et n’est plus du tout certain de jouer les playoffs. Les blessures de Rudy Fernandez, Sergio Llull, Antony Randolph Trey et Anthony Thompkins font du mal à son efficacité.\\n\\n« Notre première mi-temps a été affreuse, » a lâché le coach Pablo Laso. « Nous nous sommes battus en seconde période, mais c’était trop tard. Vous regardez les statistiques et voyez que nous avons perdu le ballon 23 fois. Il est impossible de gagner une partie en perdant le ballon 23 fois. »\\n\\nPhoto: Jordan Mickey (Khimki, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Belgique : Les minutes attribuées aux joueurs belges dans le championnat ont augmenté de 63,5% en une saison" }, {"role": "assistant", "content":"L’EuroMillions Basketball League a longtemps utilisé les services de joueurs américains jusqu’à l’excès. La Dernière Heure vient de sortir des statistiques qui remettent sérieusement en cause cette stratégie.\\n\\nLes minutes attribuées aux joueurs belges ont augmenté de 63,5% en une saison, ce qui est évidemment considérable. Ainsi, au Limburg Untied, 62,2% du temps de jeu était consacré aux Américains, alors que cette saison, ce sont les Belges qui sont devenus majoritaires avec 68,8%.\\n\\nLe corollaire de cette progression, ce sont les responsabilités accrues. Ainsi, les joueurs nationaux inscrivent 68,2 % de points en plus que la saison dernière.\\n\\nVoici qui est réjouissant, notamment pour l’équipe nationale et son futur. Mais, car il y a un mais, souligné par le quotidien wallon:\\n\\n« Reste que pour beaucoup de clubs, ce changement, il est loin d’être voulu. Il a plutôt été dicté par des conditions économiques qui ne leur permettent plus de dépenser des sommes astronomiques pour s’attacher les services de joueurs étrangers de renom, comme ce fut le cas par le passé. »\\n\\nPhoto: Pierre-Antoine Gillet (Ostende, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : Aix-Maurienne, Antibes et Blois, le grand écart" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Blois (Photo : ADA Blois – Nguyen Tuan)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B. Voici pour commencer les salaires des joueurs et du staff technique d’Aix-Maurienne, Antibes et Blois.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). Et, comme toujours, les sommes indiquées peuvent comporter une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nAix-Maurienne, petits moyens pour petits résultats\\n\\nPetit Poucet de la Pro B, Aix-Maurienne présente cette saison le 17e budget de la division (1 344 000 €) et sa 17e masse salariale (510 000 €). Des moyens modestes qui expliquent facilement la 17e place de l’AMSB au classement à l’heure où nous écrivons ces lignes. L’effectif d’Aix-Maurienne a subi quelques retouches en cours de saison : AJ Hess n’a eu le temps d’effectuer qu’un match de Leaders Cup avant de prendre la porte alors que Xavier Ford est parti après trois matchs décevants. Ils ont été remplacés par Ilari Seppälä pour le premier – de retour au club après une bonne prestation la saison précédente –, le second par Antonio Ballard. À noter : Rodrigue Munsi-Kaniki n’ayant pas convaincu dans son rôle de quatrième joueur étranger, le club a fait appel à Benoît Mbala, coupé par Limoges, pour tenir ce rôle. Globalement, on notera les petits salaires proposés par le club, aucun joueur n’émargeant à plus de 45 000 € la saison. Avec une sérieuse diminution pour Fréjus Zerbo, habitué à Limoges à toucher plus de 100 000 € la saison.\\n\\n * David Ramseyer (FRA/CH) : 45 000,00 €\\n * Théo Léon (FRA) : 40 000,00 €\\n * Frejus Zerbo (CIV) : 35 000,00 €\\n * Henri Kantonen (FIN) : 35 000,00 €\\n * Ilari Seppälä (FIN) : 35 000,00 €\\n * Benoit Mbala (CMR) : 35 000,00 € (sur 6 mois)\\n * Kadri Moendadze (FRA) : 35 000,00 €\\n * Corentin Carne (FRA) : 30 000,00 €\\n * Rodrigue Munsi-Kaniki (RDC/FRA) : 24 000,00 €\\n * Antonio Ballard (USA) : 24 000,00 € (sur 6 mois)\\n\\nCoach :\\n\\n * Emmanuel Schmitt : 42 000,00 €\\n\\nAntibes, l’OVNI du basket français\\n\\nLes Sharks d’Antibes ne font rien comme tout le monde. Mais il ne le font pas forcément bien... Ainsi, ils ont créé la surprise à l’intersaison en signant pour 5 ans (!) Cleanthony Early, joueur américain ayant quelques matchs NBA à son actif mais arrivant d’Arabie Saoudite (et signé pour 130 000 € la saison !). Pour un résultat catastrophique : égoïste au possible (entre 16 et 20 shoots par match !), pas du tout concerné par l’équipe (on l’a vu sur son téléphone pendant les temps-morts...), s’étant mis à dos une bonne partie du roster et du staff, il n’a en fait duré que le temps de... 5 matchs ! Non sans avoir « réussi », entretemps, à avoir la peau de coach Nikola Antic, qui s’était montré peu enthousiasmé par la recrue qu’on lui avait imposée et avait fini par entrer en conflit avec ses dirigeants. Il a été remplacé provisoirement par son adjoint, Anthony Stanford, alors que le roster de l’équipe se distingue, jusqu’à la fin de la trève, par son caractère franco-français : aucun joueur étranger dans l’effectif (Byron Wesley et le Finlandais Carl Lindbolm ont été engagés pour la fin de saison, de même que le coach belge Daniel Goethals). Une configuration qui ne donne pour le moment guère de résultats, Antibes pointant à la 15e position du classsement malgré quelques beaux salaires, notamment ceux de Sadio Doucouré et Jean-Marc Pansa. On notera également le petit salaire d’Ali Traoré, qui émargeait à 140 000 € la saison passée à Strasbourg. Reste à voir si avec ses deux renforts, les Sharks justifieront enfin leur budget confortable (3e de Pro B) et leur forte masse salariale (2e de Pro B avec 915 000 € déclarés à la LNB). Le doute est permis...\\n\\n * Sadio Doucouré (FRA) : 84 000,00 €\\n * Jean-Marc Pansa (FRA) : 75 000,00 €\\n * Gédéon Pitard (FRA) : 65 000,00 €\\n * Ali Traoré (FRA) : 60 000,00 €\\n * Etienne Ca (FRA) : 45 000,00 €\\n * Léopold Ca (FRA) : 30 000,00 €\\n * Sidy N’Dir (FRA/CMR) : 25 000,00 €\\n * Vincent Amsellem (FRA) : 5 000,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Anthony Stanford : nc\\n\\nBlois, des placements sûrs\\n\\nÀ Blois, on vise encore et toujours la montée en Jeep Élite. Et on s’en donne les moyens, avec une masse salariale de 716 000 € (4e de Pro B). Des sommes astucieusement investies puisque l’ADA figure en première place du classement de Pro B (7 victoires-2 défaites), le tout avec des joueurs très rentables. On pense principalement à Mathis Dossou-Yovo, le jeune intérieur de 20 ans produisant 12,7 points et 14,6 d’évaluation pour un tout petit salaire. Quant aux cadres, Tyren Johnson, Alexis Tanghe, Benjamin Monclar et Thomas Cornely, ils se montrent à la hauteur de leur salaire (même si cela ne se voit pas forcément dans les stats pour Tanghe, 7,2 pts et 7,1 d’éval, mais c’est le stabilisateur du jeu intérieur de l’équipe). Mention enfin à Mbaye Ndiaye, le jeune Sénégalais frais émoulu du centre de formation de Bourg-en-Bresse (où il avait montré n’avoir plus rien à faire en Espoirs – 24,5 pts et 32,5 d’éval lors du camp LNB la saison passée !) et assurant déjà 6,8 pts, 5,5 rbds et 10,7 d’éval pour des revenus guère supérieurs à ceux d’un Espoir. En somme, aucune fausse note à déplorer dans le recrutement blésois.\\n\\n * Tyren Johnson (USA) : 85 000,00 €\\n * Alexis Tanghe (FRA) : 70 000,00 €\\n * Benjamin Monclar (FRA) : 52 000,00 €\\n * Thomas Cornely (FRA) : 50 000,00 €\\n * Lamine Sambe (FRA) : 40 000,00 €\\n * Mbaye Ndiaye (SEN) : 32 000,00 €\\n * Cédric Bah (FRA/CIV) : 32 000,00 €\\n * Mathis Dossou-Yovo (FRA) : 30 000,00 €\\n * Matteo Legat (FRA) : 21 000,00 €\\n * Sya Plaucoste (FRA) : 16 500,00 €\\n\\nCoach :\\n\\n * Mickaël Hay : 65 000,00 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les salaires de Jeep Élite, publiés à partir du 12 janvier dernier, et comme toujours réservés à nos abonnés (pour s’abonner, c’est ICI), voici venu le temps de dévoiler les salaires des joueurs et coachs de toutes les équipes de Pro B.\\n\\nCes salaires seront publiés quotidiennement à partir d’aujourd’hui, à raison de trois équipes par article.\\n\\nComparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue...\\n\\nComme toujours, les salaires que nous vous indiquons sont des salaires annuels nets, sauf pour les joueurs arrivés en cours de saison, pour lesquels nous publions le salaire pour la durée du contrat (durée mentionnée pour chaque joueur concerné). 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Il s’est exprimé sur le sujet sur la chaîne ERT3 et on y apprend que les Grecs ont employé la même recette que les Bleus.\\n\\n«Nous n’avons rencontré le malheur qu’au championnat du monde, où nous aurions certainement pu faire un pas de plus, mais je ne sais pas si nous aurions atteint les médailles. Au niveau des fenêtres, nous sommes de loin la meilleure équipe d’Europe et, je le dis pas seulement pour les résultats, 15-3 est un résultat formidable, et aussi parce que les défaites ont été concédées quand nous avions un roster très défavorable. Nous avons néanmoins beaucoup de joueurs, 34, qui sont venus en équipe nationale et quelques nouveaux. Le point culminant était dans la dernière fenêtre où nous avons eu sept jeunes. Il est important que la Grèce ne soit absente d’aucune phase finale. »\\n\\nLa Grèce a constitué un pool de joueurs, à l’image du Team France\\n\\n« Pour moi je considère que c’est un succès et j’en suis très heureux, de ce point de vue je le vois comme une médaille, car c’est un programme depuis trois ans et demi. Ce n’était pas notre idée, nous en avions discuté avec les Français et nous avons vu que c’était la bonne approche, nous l’avons appliquée aux données grecques et cela a très bien fonctionné. »\\n\\nLa suite du programme, c’est le TQO au Canada:\\n\\n« Pour le moment, les choses sont un peu vagues sur ce que sera l’équipe nationale. Il y a un accord avec M. Pitino, je ne sais pas comment cela fonctionnera car les élections (NDLR: à la fédération grecque) sont en cours. 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Parker ont pris les commandes en fin de premier acte (17-20).\\n\\nEmmenée par Guerschon Yabusele (17 points), l’Asvel fait la course en tête jusqu’à la mi-temps, comptant jusqu’à huit longueurs d’avance (17-25). Mais les Lituaniens, portés par un très bon Joffrey Lauvergne (18 points, 6 rebonds au final) ne perdent jamais le contact, forçant les Villeurbannais à cumuler les pertes de balle (10 au total). L’Asvel rentre aux vestiaires avec un petit avantage (40-42).\\n\\nUn 16-2 qui fait mal\\n\\nEn souffrance face à l’agressivité des Lituaniens dans le troisième acte, les Villeurbannais encaissent un 16-2 fatal à l’entame du dernier quart-temps et ne remonteront jamais leur retard (67-57). Norris Cole et David Lighty n’ont pas pesé sur le jeu, tout comme Guerschon Yabusele, totalement absent au rebond.\\n\\nSi l’Asvel a su revenir plusieurs fois sous les dix points, les coéquipiers de Marius Grigonis (21 points à 5/7 à 3-points) ont parfaitement maîtrisé la fin de match pour s’imposer logiquement (85-75) et ainsi effacer leur récent revers face au Real Madrid. Le Zalgiris reste au contact du Top 8.\\n\\nDominé dans le combat, Villeurbanne enregistre de son côté sa première défaite depuis le 19 janvier. Le club de Tony Parker n’a plus le droit à l’erreur s’il veut encore croire aux playoffs. À commencer par la réception du Fenerbahce de Nando De Colo dès ce vendredi.\\n\\nTJ Parker (coach LDLC ASVEL) : « Je pense qu’ils ont fait un bon match, surtout au troisième quart. Dans l’ensemble, je pense qu’ils ont joué avec beaucoup plus d’énergie que nous. Ils nous ont vraiment mis sous pression sur tout le terrain, ils ont fait du bon travail en défense, et en attaque, nous n’avons pas trouvé les solutions pour imposer notre jeu en plus de nous imposer une défense assez dure. »\\n\\nMartin Schiller (coach Zalgiris Kaunas) : « La clé de la victoire, pour moi, c’était la défense. Nous avons concédé 21 rebonds, donc nous avons été très actifs. Nous avons récupéré le ballon huit fois. Ce n’est pas nécessairement le signe d’une bonne défense, mais cela montre notre activité. Notre pression sur le porteur de balle tout terrain était très bonne et nous a aidés. La deuxième clé défensive était notre défense post-up sur Moustapha Fall. Nos grands ont fait du bon travail, en restant entre lui et le bord et en le coupant du ballon. Enfin et surtout, contrôler William Howard était important pour nous. Il a été tellement chaud lors des deux derniers matchs que nous avons dû mettre l’accent sur ce point, et les gars ont fait du bon travail, donc nous sommes très heureux de la victoire. »\\n\\nMarius Grigonis (Zalgiris Kaunas) : « Nous essayons de toujours avoir une meilleure énergie que nos adversaires, et à un moment donné, nous avons eu une bien meilleure énergie, lorsque Loukas Lekavicius a marqué 6 points d’affilée. C’était le moment clé et je suis très heureux de cette victoire qui est vraiment importante. En ce qui concerne ma propre défense, je ne suis pas du tout heureux, mais l’équipe a fait un grand pas en avant, et il y a eu quelques moments dans ce match où nous avons été très bons en défense. »\\n\\nPhoto : Marius Grigonis et Guerschon Yabusele (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Monaco qualifié pour les quarts de finale après sa victoire solide contre Nanterre" }, {"role": "assistant", "content":"Avant même son dernier match en Top 16 d’Eurocup, l’AS Monaco a validé son billet pour les quarts de finale grâce à sa victoire mardi soir à Gaston Médecin contre Nanterre (98-94). À l’inverse, les protégés de Pascal Donnadieu n’ont plus leur destin en main.\\n\\nTout débute pourtant de la meilleure des manières pour Nanterre. Dès la première action, les hommes en vert proposent une zone, déstabilisant le collectif monégasque (10-2 à la 3e minute). Mais l’adresse de Marcos Knight et de Dee Bost suffit à la Roca Team pour passer en tête (24-22 à la fin du premier quart). Les hommes de Zvezdan Mitrovic alternent bien et mènent à la mi-temps (46-42), malgré déjà 18 points d’Isaïa Cordinier, notamment un 3+1 de grande classe.\\n\\nDisciplinés et bien emmenés en deuxième mi-temps par les agressifs Rob Gray, Marcos Knight et Dee Bost, tous trois irréprochables sur la ligne (19 sur 21 à eux trois), les Monégasques n’ont pas réellement semblé inquiétés par les bons passages d’Alpha Kaba des deux côtés du terrain au troisième quart (72-60). Pourtant, les Nanterriens gardent l’espoir jusqu’au bout avec des énormes shoots derrière l’arc de Damien Bouquet, Ivan Février et Chris Warren (à 8 secondes du terme) dans la dernière minute. Après un dernier lancer franc marqué, Mathias Lessort fixe l’issue de la rencontre, remportée sur le score de 98 à 94.\\n\\nQuatre joueurs monégasques terminent la rencontre à plus de 20 à l’évaluation (Knight, Lessort, Gray, Bost). MVP de la rencontre, Marcos Knight termine à 19 points (4/8 au tir, 5/5 aux lancers, 9 rebonds, 6 passes pour 28 d’évaluation). Côté vaincu, les 23 points d’Isaïa Cordinier et le match très propre de Damien Bouquet (12 points, 7 passes, 3 rebonds) n’ont pas suffit à palier aux absences de Marcquise Reed (Covid) et Nikola Rebic (toujours en Serbie).\\n\\n« Je tiens à féliciter mes joueurs pour la qualification, lance le coach de Monaco, Zvezdan Mitrovic, en conférence de presse. Vous savez, après trois semaines sans jouer, vous ne pouvez pas être réguliers tout au long du match. Il y a eu des moments brillants mais aussi des grosses erreurs de notre part. Je retiens que nous avons gardé le contrôle du match. »\\n\\n« On était venus ici pour gagner, pour jouer notre place dans la compétition. Je pense qu’on a fait un match cohérent. On a vu les progrès par rapport à notre première confrontation au début du tour de la compétition mais c’est dommage, regrette Isaïa Cordinier en conférence de presse. Il faut qu’on continue sur cette lancée, on peut gagner beaucoup de matchs en jouant comme ça. »\\n\\nNanterre attend désormais le résultat de l’autre match du groupe E entre Badalone et Malaga (début du match à 20h45). En cas de victoire de Badalone ce soir, les Nanterriens seront éliminés de la compétition.\\n\\n\\n🤩 La #RocaTeam est en quart de finale de l’EuroCup 👏\\nGrâce à un succès à domicile 98-94 🆚 @Nanterre92, la #RocaTeam valide son ticket pour le Top 8🔥 pic.twitter.com/bDRZj7Saxb\\n\\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) March 2, 2021\\n\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"BCL : Strasbourg s’incline en ouverture du Top 16 contre Turk Telekom" }, {"role": "assistant", "content":"Seul rescapé français en Basketball Champions League après les éliminations au 1er tour de Dijon, Limoges et Cholet, la SIG Strasbourg a vécu une entame difficile de Top 16 en s’inclinant à l’extérieur contre Turk Telekom (83-76), l’une des grosses cylindrées de la compétition.\\n\\nEn manque de rythme par séquences et privés d’Ishmail Wainwright (Covid), les Strasbourgeois ont manqué de peu leurs débuts dans le Top 16 de BCL en Turquie. Il faut dire que les hommes de Lassi Tuovi n’avaient plus joué depuis le 6 février et un déplacement en Jeep Elite à Boulogne-Levallois.\\n\\nPortés par Yannis Morin, de retour et bien en jambes, les coéquipiers de Bonzie Colson ont pourtant accroché les Turcs dans le premier quart-temps (25-20). En attestent les caviars distribués par Jean-Baptiste Maille et Brandon Jefferson. Mais la différence se fait dans le deuxième quart-temps, où Turk Telekom passe un 16-2 grâce à Nick Johnson (21 points au final) mais aussi grâce à leurs nouvelles recrues estampillées Euroleague, Marcus Foster (12 points en première mi-temps) et Johnny O’Bryant (sanctionnant dos au panier et à 3 points), lancés par Burak Goren. À la mi-temps, les Turcs mènent 46-37.\\n\\nNick Johnson était trop fort\\n\\nLe retour des vestiaires tourne en faveur des hommes en blanc, qui reviennent à trois petits points dès l’entame du troisième quart-temps (53-50). Mais, jusqu’à la fin, l’écart se stabilise de nouveau autour des 10 points en faveur de Turk Telekom et ne redescend jamais en-dessous d’une seule possession. Bien emmené offensivement par Nick Johnson et Kyle Wiltjer (14 points au final), le collectif de Turk Telekom a fait parler sa profondeur de banc en verrouillant la raquette. Dominés au score tout au long du match, les Strasbourgeois s’inclinent 83 à 76.\\n\\nCôté turc, l’ancien Nanterrien Nick Johnson termine à 21 points à 7/11 au tir, 6 rebonds, 4 passes et 1 contre. Côté Strasbourgeois, Bonzie Colson (18 points à 7/15, 7 rebonds et 3 passes) et Brandon Jefferson (15 points à 5/11) ont surnagé, en vain. Les hommes de Lassi Tuovi ont souffert à trois points (8/23).\\n\\n« Turk Telekom était extrêmement bien préparé. Leur staff a étudié nos forces avec beaucoup de sérieux. C’est comme ça que ça marche quand vous jouez en Top 16 de BCL. Nous n’avons pas mal joué mais aujourd’hui, le niveau était si fort que chaque erreur de notre part était payée cash de l’autre côté du terrain », confie le coach strasbourgeois Lassi Tuovi en conférence de presse.\\n\\n8 000 personnes devant le match sur Twitch\\n\\nCette rencontre marque également des débuts prometteurs avec la première diffusion d’un club français sur la chaîne Twitch de la FIBA. Lors du quatrième quart-temps, près de 8 000 personnes étaient devant la rencontre.\\n\\n\\nVous étiez + de 8 000 à suivre la rencontre de la @sigstrasbourg en @BasketballCL avec nous 🔥\\n\\n👉 On se revoit mercredi prochain pour un nouveau match !\\n\\n❓ Vous avez bien aimé ? pic.twitter.com/VsLbJFCCgo\\n\\n— First Team (@FirstTeam101) March 2, 2021\\n\\n\\nPhoto : Basketball Champions League" }, {"role": "user", "content":"Euroleague – Le point complet sur les effectifs de chaque équipe à la mi-saison" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis le 24 février, la date butoir du marché des transferts d’Euroleague, les effectifs des écuries européennes sont fixés. La rédaction de Basket Europe fait le point sur les acquisitions et départs de chaque équipe en vue des playoffs, à huit journées de la fin de la saison régulière.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1er – FC Barcelone (18 victoires – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Pau Gasol (2,15 m, 40 ans, sans club), Leo Westermann (1,98 m, 28 ans, Fenerbahce).\\nDéparts : Thomas Heurtel (1,89 m, 31 ans, Asvel).\\n\\nEn froid avec son coach, Thomas Heurtel a écourté son séjour catalan pour rebondir à l’Asvel où il ne disputera pas l’Euroleague. Début janvier, il a numériquement été remplacé par un autre international français, Leo Westermann. En Catalogne, le meneur a rejoint Sarunas Jasikevicius, avec lequel il a déjà évolué au Zalgiris Kaunas, pour un rôle en bout de banc (1,6 point, 1,5 rebond et 1,3 passe en 12 minutes en huit matchs). L’attraction de cette fin de saison concernera le retour de Pau Gasol dans son club formateur, 20 ans plus tard, même s’il ne sera probablement pas compétitif avant la fin de la saison régulière. Sur le papier, la profondeur de l’effectif barcelonais est impressionnante.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Sarunas Jasikevicius.\\nMeneur : Nick Calathes, Leo Westermann, Leandro Bolmaro.\\nArrière : Cory Higgins, Kyle Kuric, Sergi Martinez.\\nAilier : Alex Abrines, Adam Hanga, Victor Claver (blessé).\\nAilier-fort : Nikola Mirotic, Brandon Davies, Rolands Smits.\\nPivot : Pau Gasol (blessé), Artem Pustovyi, Pierre Oriola.\\n\\n2e – CSKA Moscou (17 victoires – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Michael Eric (2,10 m, 32 ans, Turk Telekom), Gabriel Iffe Lundberg (1,93 m, 26 ans, Zielona Gora).\\nDéparts : aucun.\\n\\nBlessé à l’épaule droite et contraint de se faire opérer fin janvier, la tour de contrôle moscovite Nikola Milutinov manquera probablement la fin de saison. Pour le remplacer, le CSKA Moscou est allé chercher l’expérimenté Michael Eric à Turk Telekom Ankara mi-février. Quelques jours plus tard, le club russe s’est également renforcé sur les lignes arrières avec Gabriel Iffe Lundberg (25,3 points, 48,4% à trois points, 5,8 rebonds, 4,3 passes, 1 interception pour 24 d’évaluation avec le Danemark en qualifications à l’EuroBasket), auteur d’une première remarquée face à l’Olympiacos (13 points, 3/6 à trois points, 4 rebonds, 3 passes et 2 interceptions en 26 minutes).\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Dimitris Itoudis.\\nMeneur : Mike James, Daniel Hackett, Ivan Ukhov, Alexander Khomenko.\\nArrière : Darrun Hilliard, Iffe Lundberg, Janis Strelnieks.\\nAilier : Will Clyburn, Nikita Kurbanov.\\nAilier-fort : Tornike Shengelia, Johannes Voigtmann, Semen Antonov.\\nPivot : Joel Bolomboy, Michael Eric, Nikola Milutinov (out).\\n\\n3e – Olimpia Milan (17 victoires – 9 défaites)\\n\\nArrivées : Jeremy Evans (2,06 m, 33 ans, sans club).\\nDéparts : aucun.\\n\\nÉpargné par les blessures depuis le début de la saison, l’Olimpia Milan a jugé nécessaire d’étoffer son secteur intérieur après l’indisponibilité, mi-février, de Zach Leday (cuisse droite) pendant plusieurs semaines. Le club italien a jeté son dévolu sur l’averti Jeremy Evans, ancien de NBA mais aussi passé par Darussafaka et le Khimki (9,2 points et 5,3 rebonds en 48 matchs d’Euroleague). Un mouvement d’épaisseur en vue des playoffs, que Milan n’a jamais joué depuis la refonte de l’Euroleague en 2016-2017.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Ettore Messina.\\nMeneur : Sergio Rodriguez, Malcolm Delaney, Andrea Cinciarini.\\nArrière : Kevin Punter, Michael Roll, Riccardo Moraschini.\\nAilier : Shavon Shields, Luigi Datome, Vladimir Micov.\\nAilier-fort : Zach Leday (blessé), Kyle Hines, Jeff Brooks (blessé).\\nPivot : Kaleb Tarczewski, Jeremy Evans, Paul Biligha.\\n\\n4e – Real Madrid (16 victoires – 10 défaites)\\n\\nArrivées : Alex Tyus (2,04 m, 33 ans, Galatasaray).\\nDéparts : Facundo Campazzo (1,78 m, 29 ans, Denver Nuggets).\\n\\nPour combler la blessure d’Anthony Randolph (out toute la saison, rupture du tendon d’achille) et soulager Walter Tavares dans la raquette, le Real Madrid s’est renforcé avec l’arrivée d’Alex Tyus, venu de Turquie début janvier. En 9 journées, l’intérieur américain, vainqueur de la compétition avec le Maccabi Tel Aviv en 2014, a apporté de l’énergie en bout de banc (2,4 points, 2,6 rebonds en 11 minutes). Avec le départ de Facundo Campazzo à l’automne et la nouvelle blessure de Sergio Llull, le Real manque d’un leader à la mène mais dispose d’une vraie profondeur de banc, notamment à l’aile.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Pablo Laso.\\nMeneur : Sergio Llull (blessé), Nicolas Laprovittola.\\nArrière : Fabien Causeur, Jaycee Carroll, Carlos Alocen.\\nAilier : Rudy Fernandez (blessé), Gabriel Deck, Alberto Abalde.\\nAilier-fort : Trey Thompkins, Usman Garuba, Jeffery Taylor (blessé), Anthony Randolph (out).\\nPivot : Walter Tavares, Alex Tyus, Felipe Reyes.\\n\\n5e – Bayern Munich (16 victoires – 10 défaites)\\n\\nArrivées : David Kramer (1,96 m, 24 ans, G-League), James Gist (2,06 m, 34 ans, Étoile Rouge de Belgrade), D.J. Seeley (1,93 m, 31 ans, Saragosse).\\nDéparts : T.J. Bray (1,96 m, 28 ans, Saragosse puis Panathinaïkos), Malcolm Thomas (2,06 m, 32 ans, Unicaja Malaga).\\n\\nAprès seulement 10 rencontres d’Euroleague, Malcolm Thomas avait été remplacé en Bavière par un grand nom de la compétition, James Gist. L’intérieur US bénéficie de grandes responsabilités dans l’effectif d’Andrea Trinchieri (5,9 points, 3,1 rebonds en 22 minutes lors de ses 11 rencontres). L’arrière T.J. Bray a également quitté le Bayern pour le Panathinaïkos, après un passage en prêt par Saragosse. Il a été remplacé par D.J. Seeley (9,4 points, 2,9 passes en 25 minutes et 14 matchs). Le jeune international allemand David Kramer, qui a fait ses débuts en Euroleague après deux ans de G-League, arrive aussi en renfort avec un rôle limité (à peine rentré en jeu contre Tel Aviv, 1 minute pour son premier match). L’effectif aura besoin de tout son banc pour décrocher son billet pour les playoffs.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Andrea Trinchieri.\\nMeneur : Wade Baldwin, Nick Weiler-Babb, Zan Sisko.\\nArrière : D.J. Seeley, David Kramer, Nihad Dedovic, Diego Flaccadori.\\nAilier : Vladimir Lucic, Paul Zipser, Robin Amaize.\\nAilier-fort : Jalen Reynolds, JaJuan Johnson.\\nPivot : James Gist, Leon Radosevic.\\n\\n6e – Zenit Saint-Pétersbourg (15 victoires – 10 défaites)\\n\\nArrivées : Tarik Black (2,06 m, 29 ans, sans club).\\nDéparts : aucun.\\n\\nSurprise du début de saison, le Zenit Saint-Pétersbourg a décidé d’étoffer son secteur intérieur en ajoutant à son effectif mi-janvier Tarik Black (10,5 points, 5,2 rebonds en 37 matchs d’Euroleague avec le Maccabi Tel Aviv). Blessé depuis son arrivée, il pourrait fortement aider une équipe en perte de vitesse, qui vient de perdre 4 de ses 5 derniers matchs. Sans star, le collectif de Xavi Pascual est bien placé dans la course aux playoffs. Le club russe recevra 6 fois lors de ses 8 dernières confrontations de saison régulière.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Xavi Pascual.\\nMeneur : Kevin Pangos, Denis Zakharov, Dmitry Khvostov (blessé).\\nArrière : K.C. Rivers, Billy Baron, Vitaly Fridzon.\\nAilier : Mateusz Ponitka, Austin Hollins.\\nAilier-fort : Alex Poythress, Andrey Zubkov, Vladislav Trushkin.\\nPivot : Will Thomas, Arturas Gudaitis, Tarik Black (blessé).\\n\\n7e – Anadolu Efes Istanbul (15 victoires – 10 défaites)\\n\\nArrivées : Dzanan Musa (2,06 m, 21 ans, sans club).\\nDéparts : aucun.\\n\\nD’une stabilité à toute épreuve, l’Anadolu Efes a enclenché sa marche en avant en 2021 grâce à 7 victoires en 8 matchs, la dernière en date de 30 points contre l’autre club d’Istanbul, Fenerbahce. Pas besoin donc de changer de méthode pour Ergin Ataman, malgré l’arrivée de l’ailier bosnien Dzanan Musa mi-janvier après un passage en NBA aux Brooklyn Nets. L’effectif stambouliote est taillé pour les playoffs mais devra terminer la saison régulière par 5 déplacements en 6 matchs.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Ergin Ataman.\\nMeneur : Shane Larkin, Dogus Balbay.\\nArrière : Vasilije Micic, Rodrigue Beaubois, Bugrahan Tuncer.\\nAilier : James Anderson, Dzanan Musa, Krunoslav Simon.\\nAilier-fort : Chris Singleton, Adrien Moerman.\\nPivot : Tibor Pleiss (blessé), Sertac Sanli, Bryant Duntson.\\n\\n8e – Fenerbahce (15 victoires – 11 défaites)\\n\\nArrivées : Kyle O’Quinn (2,06 m, 30 ans, sans club), Marko Guduric (1,96 m, 25 ans, sans club).\\nDéparts : Leo Westermann (1,98 m, 28 ans, FC Barcelone), Johnny Hamilton (2,13 m, 26 ans, Mornar Bar, prêt).\\n\\nEn désaccord avec le plan de jeu du coach Igor Kokoskov, Léo Westermann a quitté le Fener à la mi-saison. Idem pour le pivot Johnny Hamilton, très peu utilisé en Euroleague, qui a filé au Monténégro pour le reste de la saison. Depuis ces deux départs, l’équipe turque va mieux. Il faut dire que l’apport de Marko Guduric, arrivé en décembre, a été instantané (11,5 points, 3,5 passes et 3,2 rebonds en 25 minutes lors de ses 11 matchs) : 10 victoires consécutives début 2021 en Euroleague. L’arrivée de l’ancien NBAer Kyle O’Quinn à l’intérieur, pour sa première expérience européenne, est prometteuse.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Igor Kokoskov.\\nMeneur : Nando De Colo, Ali Muhammed.\\nArrière : Marko Guduric, Lorenzo Brown, Melih Mahmutoglu.\\nAilier : Edgaras Ulanovas, Dyshawn Pierre, Jarell Eddie, Tarik Biberovic.\\nAilier-fort : Danilo Barthel, Kyle O’Quinn.\\nPivot : Jan Vesely, Ahmet Duverioglu.\\n\\n9e – Valence (14 victoires – 12 défaites)\\n\\nArrivées : aucun.\\nDéparts : Quino Colom (1,88 m, 31 ans, Etoile Rouge de Belgrade).\\n\\nValence avance dans l’ombre du Real et du Barça, mais avance bien. Aucun renfort n’est à signaler, malgré le départ de Quino Colom en décembre. L’effectif espagnol n’a connu aucune blessure majeure jusqu’à maintenant, alternant le bon (trois victoires de rang contre le CSKA Moscou, le Real Madrid et le Zenit en février) et le moins bon (7 défaites en 9 matchs entre décembre et janvier). Avec un secteur intérieur performant, Valence peut encore croire aux playoffs.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Jaume Ponsarnau.\\nMeneur : Martin Hermannsson, Sam Van Rossom,\\nArrière : Klemen Prepelic, Vanja Marinkovic, Guillem Vives (blessé), Josep Puerto.\\nAilier : Nikola Kalinic, Fernando San Emeterio, Joan Sastre.\\nAilier-fort : Derrick Williams, Louis Labeyrie, Jaime Pradilla.\\nPivot : Bojan Dubljevic, Mike Tobey.\\n\\n10e – Zalgiris Kaunas (14 victoires – 12 défaites)\\n\\nArrivées : aucun.\\nDéparts : aucun.\\n\\nSi l’effectif lituanien n’a pas bougé d’un poil par rapport au début de saison, l’exercice du Zalgiris Kaunas se résume à des séries. De victoires (4 consécutives lors des 4 premières journées, 6 de suite entre décembre et janvier) et de défaites (6 de rang entre novembre et décembre). Le collectif de Martin Schiller vient d’enchainer deux défaites chez le Barça et le Real, avant de recevoir l’Asvel et Milan et d’aller à Istanbul (Anadolu Efes puis Fenerbahce). La lutte pour les playoffs sera rude.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Martin Schiller.\\nMeneur : Thomas Walkup, Lukas Lekavicius, Rokas Jokubaitis.\\nArrière : Marius Grigonis, Steve Vasturia.\\nAilier : Arturas Milaknis, Patricio Garino (blessé), Karolis Lukosiunas.\\nAilier-fort : Nigel Hayes, Augustine Rubit, Paulius Jankunas.\\nPivot : Joffrey Lauvergne, Martinas Geben, Marek Blazevic.\\n\\n11e – Baskonia Vitoria (13 victoires – 13 défaites)\\n\\nArrivées : aucun.\\nDéparts : aucun.\\n\\nSi la fin de l’intersaison estivale du Baskonia Vitoria a été très active, il n’en a rien été en cours de saison. Le champion d’Espagne en titre n’a pas jugé utile de se renforcer en vue des playoffs malgré un effectif court. Les Basques peuvent y croire mais auront un calendrier difficile (déplacements au FC Barcelone, Zénit, Panathinaïkos et Valence, réceptions de l’Olympiacos, Bayern, Olmipia Milan et Efes Istanbul).\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Dusko Ivanovic.\\nMeneur : Pierria Henry, Luca Vildoza.\\nArrière : Zoran Dragic, Arturs Kurucs.\\nAilier : Rokas Giedraitis, Tadas Sedekerskis, Raieste Sander.\\nAilier-fort : Alec Peters, Achille Polonara.\\nPivot : Youssoupha Fall, Tonye Jekiri, Ilimane Diop.\\n\\n12e – LDLC Asvel (12 victoires – 14 défaites)\\n\\nArrivées : Derrick Walton (1,85 m, 25 ans, sans club), Thomas Heurtel (1,89 m, 31 ans, FC Barcelone, non qualifié).\\nDéparts : Allerik Freeman (1,90 m, 26 ans, Qingdao Eagles), Rihards Lomazs (1,93 m, 24 ans, Göttingen).\\n\\nSeul représentant français en Euroleague, l’Asvel a tatonné en début de compétition, pour la première saison de T.J. Parker sur le banc villeurbannais. Les profils d’Allerik Freeman – pas assez défenseur – et de Rihards Lomazs – trop frêle en Europe – n’ont pas convaincu entre Rhône et Saône. Derrick Walton a pris le chemin inverse en janvier, mais n’a pris part qu’à 4 rencontres européennes avant de se blesser et devra composer avec la concurrence à son retour. Quant à Thomas Heurtel, il n’est pas qualifié en Euroleague car l’international français a déjà joué avec Barcelone dans cette compétition et n’a pas muté avant la deadline. Il renforcera Villeurbanne en Jeep Elite. Auteur d’une belle série (6 victoires de rang), l’Asvel ne devra pas multiplier les faux pas pour espérer accrocher les playoffs.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : T.J. Parker.\\nMeneur : Norris Cole, Antoine Diot, Derrick Walton, Matthew Strazel, Thomas Heurtel (non qualifié).\\nArrière : Paul Lacombe.\\nAilier : David Lighty, William Howard, Charles Kahudi.\\nAilier-fort : Guerschon Yabusele, Amine Noua.\\nPivot : Moustapha Fall, Ismaël Bako, Kevarrius Hayes.\\n\\n13e – Olympiacos (11 victoires – 15 défaites)\\n\\nArrivées : Kosta Koufos (2,13 m, 31 ans, sans club).\\nDéparts : aucun.\\n\\nPour se qualifier aux playoffs, l’Olympiacos ne doit plus perdre. Problème : l’équipe grecque vient d’enchaîner 7 défaites de suite. Le club du Pirée a renforcé son secteur intérieur avec la signature de Kosta Koufos, l’homme aux 11 saisons NBA, à quelques jours de la deadline européenne. Sur le papier, ce mouvement est censé bonifier la fin d’exercice de l’Olympiacos, privé d’Hassan Martin plusieurs semaines. Mais l’international grec n’a pas joué depuis douze mois et devra rapidement trouver sa place dans le collectif de Georgios Bartzokas, qui doit déjà se passer de Kostas Papanikolaou depuis deux mois.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Georgios Bartzokas.\\nMeneur : Kostas Sloukas, Vassilis Spanoulis.\\nArrière : Aaron Harrison, Charles Jenkins, Giannoulis Larentzakis.\\nAilier : Shaquielle McKissic, Vasilis Charalampopoulos, Kostas Papanikolaou (blessé).\\nAilier fort : Giorgios Printezis, Livio Jean-Charles, Sasha Vezenkov.\\nPivot : Octavius Ellis, Kostas Koufos, Hassan Martin (blessé).\\n\\n14e – Maccabi Tel Aviv (10 victoires – 14 défaites)\\n\\nArrivées : T.J. Cline (2,03 m, 26 ans, Brescia).\\nDéparts : aucun.\\n\\nLe Maccabi Tel Aviv vit une saison frustrante. Sur ses 14 défaites européennes, 8 l’ont été par un écart de moins de 4 points. Le collectif de Ioannis Sfairopoulos reste accrocheur mais ne s’est pas renforcé pour la fin de l’exercice, ou presque. Le club israélien est allé chercher T.J. Cline en Italie mi-janvier. Néanmoins, l’Américain n’a toujours pas joué en Euroleague. Avec deux matchs en retard – soit 10 rencontres à jouer – le Maccabi peut numériquement encore jouer les playoffs. Dans les faits, ce sera compliqué.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Ioannis Sfairopoulos.\\nMeneur : Scottie Wilbekin, Chris Jones, John Dibartolomeo.\\nArrière : Elijah Bryant, Tyler Dorsey, Sandy Cohen.\\nAilier : Yovel Zoosman (blessé), Oz Blayzer, T.J. Cline.\\nAilier-fort : Angelo Caloiaro, Dragan Bender, Omri Casspi.\\nPivot : Ante Zizic, Othello Hunter.\\n\\n15e – Panathinaïkos (9 victoires – 15 défaites)\\n\\nArrivées : Shelvin Mack (1,91 m, 30 ans, sans club), T.J. Bray (1,96 m, 28 ans, Bayern Munich, non qualifié), Mario Hezonja (2,03 m, 25 ans, sans club).\\nDéparts : Marcus Foster (1,90m, 25 ans, Turk Telekom).\\n\\nDepuis le début de la saison, le Pana avait été amené à faire de nombreux changements dans l’effectif (arrivées de Shelvin Mack et T.J. Bray, non qualifié pour l’Euroleague, départ de Marcus Foster en février)... Mais le club d’Athènes a gardé le meilleur pour la fin. Quelques heures avant la date butoir du marché des transferts, ils ont acquis la star croate Mario Hezonja, qui revient en Europe (5,2 points, 1,4 rebonds en 38 matchs d’Euroleague avec Barcelone entre 2012 et 2015) pour le reste de la saison. Trop tard pour espérer dérocher un billet pour les playoffs ? Sans doute. Le club d’Athènes jouera tous les trois jours en mars et devra se déplacer lors de ses deux matchs en retard (au Zénit et au CSKA Moscou).\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Argyris Pedoulakis.\\nMeneur : Nemanja Nedovic, Shelvin Mack, Elefterios Bochoridis.\\nArrière : Mario Hezonja, Howard Saint-Roos, Georgios Kalaitzakis.\\nAilier : Aaron White, Leonidas Keselakis.\\nAilier-fort : Ioannis Papapetrou, Konstantinos Mitoglou, Ben Bentil.\\nPivot : Georgios Papagiannis, Zach Auguste.\\n\\n16e – Alba Berlin (9 victoires – 17 défaites)\\n\\nArrivées : Christ Koumadje (2,21m, 24 ans, Estudiantes Madrid puis Avtodor Saratov).\\nDéparts : aucun.\\n\\nOn arrive aux équipes pour qui les playoffs ne sont plus jouables et les changements dans l’effectif ressemblent davantage à des paris pour la saison 2021-2022 que des ajustements pour la fin de l’exercice en cours, du moins sur la scène européenne. C’est le cas de l’Alba Berlin, qui a annoncé l’arrivée du géant Christ Koumadje fin février. Cet ancien défenseur de l’année de G-League a signé jusqu’en 2023 et pourra jouer quelques minutes en Euroleague cette fin de saison.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Aito Garcia Reneses\\nMeneur : Maodo Lo, Peyton Siva.\\nArrière : Marcus Eriksson, Jayson Granger, Jonas Mattisseck, Malte Delow.\\nAilier : Simone Fontecchio, Niels Giffey, Louis Olinde.\\nAilier-fort : Luke Sikma, Tim Schneider.\\nPivot : Johannes Thiemann, Ben Lammers, Kresimir Nikic, Christ Koumadje.\\n\\n17e – Etoile Rouge de Belgrade (7 victoires – 19 défaites)\\n\\nArrivées : Quino Colom (1,88 m, 31 ans, Valence).\\nDéparts : James Gist (2,06 m, 34 ans, Bayern Munich), Johnny O’Bryant (2,04 m, 27 ans, Turk Telekom), Taylor Rochestie (1,86 m, 34 ans, Hapoel Haïfa), Emanuel Terry (2,06 m, 24 ans, G-League).\\n\\nSaison très compliquée pour l’Etoile Rouge de Belgrade. Le départ de Sasa Obradovic – remplacé par Dejan Radonjic en décembre – n’a pas relancé la saison du club serbe, qui a multiplié les changements d’effectif. La formule – 18 joueurs utilisés en Euroleague cette saison – n’est pas la bonne et la fin de saison européenne devrait laisser de la place aux jeunes, nombreux dans la rotation.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Dejan Radonjic.\\nMeneur : Corey Walden, Langston Hall, Quino Colom.\\nArrière : Jordan Loyd, Branko Lazic, Aleksa Uskokovic, Aleksa Radanov.\\nAilier : Dejan Davidovac, Marko Simonovic, Ognjen Dobric.\\nAilier-fort : Marko Jagidic-Kuridza, Borisa Simanic.\\nPivot : Ognjen Kuzmic, Landry Nnoko, Duop Reath.\\n\\n18e – Khimki Moscou (2 victoires – 23 défaites)\\n\\nArrivées : Anton Ponkrashov (2,00 m, 34 ans, sans club).\\nDéparts : Jonas Jerebeko (2,08 m, 33 ans, sans club), Greg Monroe (2,11 m, 30 ans, sans club).\\n\\nQue dire de ce Khimki Moscou, équipe si prometteuse l’an dernier (13 victoires et 15 défaites à l’arrêt de la saison d’Euroleague), qui n’a plus gagné en Europe depuis le 17 novembre et qui peine à avoir un bilan positif en VTB League (7 victoires – 8 défaites) ? Les problèmes extra-sportifs s’accumulent tandis que l’heure n’est pas à la reconstruction – ou construction – de l’effectif pour la saison prochaine. Derniers exemples en date : Devin Booker est resté aux États-Unis après la naissance de son quatrième enfant et ne devrait pas rejouer sous le maillot russe. Ni Dairis Bertans, qui vient de rompre son contrat.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Andrei Maltsev.\\nMeneur : Stefan Jovic, Vyacheslav Zaytsev, Egor Vialtsev.\\nArrière : Alexey Shved, Erik McCollum, Evgeny Voronov.\\nAilier : Sergey Karasev, Anton Ponkrashov.\\nAilier-fort : Jannis Timma, Evgeny Valiev, Sergey Monia.\\nPivot : Jordan Mickey, Devin Booker (incertain).\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1er – FC Barcelone (18 victoires – 8 défaites)\\n\\nArrivées : Pau Gasol (2,15 m, 40 ans, sans club), Leo Westermann (1,98 m, 28 ans, Fenerbahce).\\nDéparts : Thomas Heurtel (1,89 m, 31 ans, Asvel).\\n\\nEn froid avec son coach, Thomas Heurtel a écourté son séjour catalan pour rebondir à l’Asvel où il ne disputera pas l’Euroleague. Début janvier, il a numériquement été remplacé par un autre international français, Leo Westermann. En Catalogne, le meneur a rejoint Sarunas Jasikevicius, avec lequel il a déjà évolué au Zalgiris Kaunas, pour un rôle en bout de banc (1,6 point, 1,5 rebond et 1,3 passe en 12 minutes en huit matchs). L’attraction de cette fin de saison concernera le retour de Pau Gasol dans son club formateur, 20 ans plus tard, même s’il ne sera probablement pas compétitif avant la fin de la saison régulière. Sur le papier, la profondeur de l’effectif barcelonais est impressionnante.\\n\\nL’effectif de fin de saison :\\nCoach : Sarunas Jasikevicius.\\nMeneur : Nick Calathes, Leo Westermann, Leandro Bolmaro.\\nArrière : Cory Higgins, Kyle Kuric, Sergi Martinez.\\nAilier : Alex Abrines, Adam Hanga, Victor Claver (blessé).\\nAilier-fort : Nikola Mirotic, Brandon Davies, Rolands Smits.\\nPivot : Pau Gasol (blessé), Artem Pustovyi, Pierre Oriola.\\n\\n2e – CSKA Moscou (17 victoires – 8 défaites)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : FC Barcelone / Euroleague / Panathinaïkos" }, {"role": "user", "content":"Après Greg Monroe et Jonas Jerebko, Dairis Bertans déserte à son tour le Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Le basketteur letton Dairis Bertans (1,91 m, 31 ans) a mis fin à son contrat avec le Khimki Moscou, annonce ce mardi le club russe.\\n\\nL’agent du joueur, Arturs Kalnit, a confirmé la raison de son départ sur les réseaux sociaux. Dairis Bertans part à cause d’un salaire non perçu, comme révélé mi-février.\\n\\nAprès les départs de Greg Monroe et de Jonas Jerebko ainsi que le non-retour de Devin Booker, il s’agit du quatrième cadre du Khimki Moscou – bon dernier d’Euroleague – à quitter le navire en cours de route.\\n\\nL’international letton était arrivé à l’été 2019 après son court passage NBA aux New Orleans Pelicans. Cette saison, il avait participé à 20 rencontres d’Euroleague (5,3 points et 1,2 rebond en 17 minutes).\\n\\n\\n⚡ Dairis Bertans is Khimki player no more. 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Je sais que ce que j’ai pu vivre ici ne pourra que m’aider à m’épanouir et montrer ce que je sais faire », confie Manu Lecomte dans un communiqué.\\n\\n\\n🚨| @ManuLecomte20 quitte l'Elan Béarnais et s'engage en faveur du BC Prienai en Lituanie.\\nmerci Manu ! toutes les infos et sa déclaration sont à retrouver ici 👉 https://t.co/vJnA9AGsPd\\n📸 Eric Traversié#ELANation pic.twitter.com/wYgIHq45VK\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) March 2, 2021\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"La France perd une place au ranking FIBA" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Internationale a publié son ranking mis à jour suite à la dernière fenêtre des qualifications à l’EuroBasket 2022. On s’aperçoit que la France perd une place au profit de la Grèce suite à sa lourde défaite face à la Grande-Bretagne (73-94).\\n\\nEvidemment, ce ranking n’a qu’une valeur très relative. 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Elle pourrait alors croire un peu plus à ses rêves de playoffs qui semblaient pourtant envolés il y a quelques semaines.\\n\\nL’ASVEL a frappé un grand coup en s’imposant vendredi face au FC Barcelone (69-76) pour le compte de la 26e journée d’Euroleague. Jamais une équipe française n’avait remporté six victoires consécutives dans l’histoire de la compétition. Par deux fois, Villeurbanne était parvenu dans son glorieux passé (1996-1997 et 1999-2000) à enchaîner cinq victoires dans l’élite européen. Roanne avait été le précurseur dès 1959. Mais depuis, jamais un club français n’avait fait mieux.\\n\\nSi le Zalgiris a perdu trois de ses quatre dernières rencontres dans la compétition, il reste tout de même sur six victoires consécutives à domicile en Euroleague. Pour ce match, l’ASVEL devra encore se passer d’Antoine Diot et de Derrick Walton Jr.\\n\\nLors du match aller, les Rhodaniens sortaient de trois semaines sans compétition, puisque l’ensemble de l’effectif avait été touché par la Covid-19 et ce soir-là ils ne pouvaient compter que sur huit joueurs pro disponibles. Dans ce match, Moustapha Fall et Guerschon Yabusele avaient mené l’ASVEL qui s’était écroulée dans le dernier quart, la faute à une baisse d’intensité qui n’avait pas manqué d’être sanctionnée par les Lituaniens qui avaient fini par s’imposer 83-74 à l’Astroballe. .\\n\\nDeuxième meilleure équipe en termes de pourcentage de réussite à trois-points (41,8 %), Kaunas devra s’appuyer sur cet atout en plus du duo, Joffrey Lauvergne (11 points, 5,7 rebonds, 1,4 passes pour 12,4 d’évaluation en moyenne) et Martinas Geben, qui auront comme mission de contenir les assauts Villeurbannais à l’intérieur. Elle aussi adroite derrière l’arc (46,9 %), l’ASVEL aura besoin de cet apport pour équilibrer son attaque car celle-ci permettra à Moustapha Fall (9,5 points, 5,5 rebonds, 1,9 passes pour 15 d’évaluation en moyenne) et à Guerschon Yabusele de trouver de meilleures solutions à l’intérieur. De leur côté, Charles Kahudi et David Lighty (11,7 points, 3,2 rebonds, 2 passes pour 12 d’évaluation par match) devront comme à leur habitude être très actifs en défense pour espérer mettre en échec Marius Grigonis (14 points, 2,3 rebonds, 3,2 passes et 15 d’évaluation de moyenne par match) et contenir Thomas Walkup, afin que les Lituaniens ne puissent pas donner le tempo du match.\\n\\nMartin Schiller (Coach Zalgiris Kaunas) : « L’ASVEL est l’équipe la plus en forme de la ligue en ce moment. C’est l’équipe la plus athlétique avec Baskonia. L’autre chose qui la rend différente, c’est qu’elle utilise beaucoup les post-up avec Fall au milieu et Kahudi et Lighty dans les ailes. Ils ont aussi un pourcentage élevé à trois points avec Howard. Pour moi, c’est la raison principale pour laquelle ils jouent si bien, alors que Moustapha Fall est leur facteur X. L’ASVEL fait du très bon travail et nous attendons ce match avec impatience ».\\n\\nMarius Grigonis (Zalgiris Kaunas) : « L’ASVEL a le vent en poupe en ce moment. Ils ont gagné 6 matchs d’affilée, dont 3 à l’extérieur. Pour la deuxième fois, ils ont maintenu le leader du championnat, Barcelone, en dessous de 70 points, ce qui montre qu’ils sont en pleine forme en ce moment. Nous devrons trouver un moyen de marquer des points face à leur défense agressive. Nous avons concédé une moyenne de plus de 15 pertes de balles au cours des 4 derniers matchs, nous devrons donc mieux prendre soin du ballon. »\\n\\nPhoto : David Lighty et Marius Grigonis (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Le budget du Zalgiris Kaunas est supérieur à celui des 9 autres équipes réunies" }, {"role": "assistant", "content":"Selon une étude de 15 Minutes, un tiers des budgets des clubs de la LKL, la ligue lituanienne, provient de l’argent des contribuables, soit 5,637 M€ sur un total de 18M€.\\n\\nSachant qu’il y a 10 clubs, le budget moyen est donc de seulement 1,8M€. Mais le chiffre est faussé en raison de la présence du Zalgiris Kaunas car le budget de ses 9 concurrents (8,3M€) est en fait... inférieur au sien (9,7M€). Le soutien des collectivités pour ces clubs est de 3,637M€.\\n\\nLa principale aide municipale pour le Zalgiris est la mise à disposition de la Zalgirio Arena (14 500 places), qui lui a permis de générer 6,5M€ de revenus lors de la saison 2019-20.\\n\\nIl faut savoir que le salaire moyen en Lituanie en 2020 était d’environ 1 400 euros par mois et le salaire minimum d’environ 600 euros.\\n\\nPhoto: Zalgirio Arena" }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Jordan Kilganon envoie un dunk venu d’ailleurs" }, {"role": "assistant", "content":"Le dunkeur canadien Jordan Kilganon a réalisé un nouveau dunk renversé jamais vu auparavant.\\n\\nDepuis plusieurs années, le Canadien régale la planète basket de ses dunks, toujours plus inventifs. À 28 ans, le dunkeur professionnel possède un arsenal d’une centaine de dunks.\\n\\nLors du All-Star Game NBA en 2016, il avait explosé aux yeux du grand public avec son fameux « dunk du scorpion ». Cette semaine, le Canadien a récidivé avec un nouveau dunk renversé, vu dans une vidéo de la FIBA 3×3. Voyez plutôt...\\n\\n\\nJust when you thought you had seen in all... @killerjunior23 does it again 🤯😵🤯😵🤯😵 pic.twitter.com/86ii3Ggi2d\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) March 1, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre : une carte de Luka Doncic vendue 3,8 millions d’euros" }, {"role": "assistant", "content":"Dimanche, un collectionneur a acheté une carte dédicacée de la star slovène Luka Doncic pour la somme de 4,6 millions de dollars, soit environ 3,8 millions d’euros.\\n\\nAlerte record. Signée de la main du joueur des Dallas Mavericks, champion d’Europe 2017, cette carte est la plus chère jamais vendue dans le monde du basket-ball, écrasant le précédent record, déjà détenu par un autre européen, le grec Giannis Antetokounmpo (1,8 million de dollars).\\n\\nPar coïncidence, cette carte a été vendue au collectionneur Bolillo Lajan San le jour de l’anniversaire des 22 ans du prodige slovène." }, {"role": "user", "content":"Joakim Noah prend sa retraite à 36 ans" }, {"role": "assistant", "content":"L’international français Joakim Noah a décidé qu’il était temps de ne plus jouer au basket professionnel, selon Shams Charania.\\n\\nAprès 13 saisons en NBA, Joakim Noah prend sa retraite à l’âge de 36 ans. Le pivot, élu défenseur de l’année 2014, a passé neuf années du côté des Chicago Bulls et est également passé par les New York Knicks, les Memphis Grizzlies et les Los Angeles Clippers, pour un total de 732 matchs dans la grande ligue.\\n\\nIl a également connu une brève carrière internationale avec l’équipe de France, avec laquelle il a remporté la médaille d’argent à l’EuroBasket 2011 en Lituanie. « Jooks » totalise 22 sélections sous le maillot bleu.\\n\\nPhoto : FIBA." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Le rappeur Sheck Wes au Paris Basketball, c’est fait !" }, {"role": "assistant", "content":"Non sélectionné lors de la draft NBA en 2020, Khadimou Rassoul Cheick Fall, plus connu sous son nom d’artiste Sheck Wes (1,88 m, 22 ans), a bel et bien signé au Paris Basketball (Pro B).\\n\\nCette arrivée était dans les tuyaux depuis novembre. C’est désormais officiel, le rappeur Sheck Wes sera bien un joueur du Paris Basketball. À la suite des contacts établis au mois de novembre dernier, les deux partis sont parvenus à un accord. Le jeune homme de 22 ans, annoncé au poste de meneur, rejoindra les rangs de l’effectif professionnel à partir du mois de mai 2021.\\n\\nLe rappeur s’est fait connaître par ses musiques aux influences sportives, notamment avec le titre Mo Bamba (en hommage au coéquipier d’Evan Fournier au Magic d’Orlando), qui comptabilise près de 330 millions de vues sur YouTube. Son niveau de basket, en revanche, reste une énigme, puisqu’il n’a jamais joué en club. Alors, coup de buzz de la part du président américain du Paris Basket, l’homme d’affaires David Kahn, ou bien coup de génie ? Réponse dans quelques mois.\\n\\nPhoto : YouTube" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Nikola Kalinic (Valence) MVP du mois de février" }, {"role": "assistant", "content":"L’international serbe de Valence, Nikola Kalinic (2,02, 31 ans), a été élu MVP du mois de février en Euroleague. Il succède à Jan Vesely (Fenerbahce).\\n\\nInvaincu en février avec Valence, l’ailier a aussi vécu un mois de rêve sur le plan individuel (15,3 points, 5,7 passes décisives et 3,7 rebonds pour 21,3 d’évaluation en trois rencontres) : record de points égalé contre le CSKA Moscou (22 points) puis premier double-double dans la compétition (12 points, 10 passes décisives) à Saint-Pétersbourg.\\n\\nÉgalement invaincus en février, les joueurs de l’Asvel Norris Cole, David Lighty et William Howard n’ont pas été choisis.\\n\\n\\nThe BEST PLAYS from the MVP of February!\\n\\n👏 Nikola Kalinic pic.twitter.com/EgAPZN13Xf\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) March 1, 2021\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pro B : L’arrière slovène Maj Kovacevic en renfort à Gries-Oberhoffen" }, {"role": "assistant", "content":"Après la blessure d’Amanze Egekeze, Gries-Oberhoffen, lanterne rouge de Pro B, s’est renforcé avec la signature de l’arrière slovène Maj Kovacevic (1,90 m, 30 ans). L’information a été révélée par ses agents à Sportando.\\n\\nFormé à Krka, le shooteur slovène est un habitué des clubs slaves (Zlatorog, Geoplin Slovan, Nitra, Komarno, Siroki, Helios Suns, Zadar, Krka, Split et Gorica), comptant également une expérience en Grèce (Pangrati Athènes). Il a participé à la Champions League en 2016-2017 avec les Helios Suns.\\n\\nMaj Kovacevic a débuté l’exercice actuel dans le championnat croate avec le KK Velika Gorica (8,3 points à 41,5%, 42,4% à 3 points, 0,9 rebond et 0,7 passe désicive en 19 minutes).\\n\\nPhoto : ABA League" }, {"role": "user", "content":"JO de Tokyo : Le calendrier et les horaires ont été dévoilés" }, {"role": "assistant", "content":"Le calendrier et les horaires des matchs des tournois olympiques de basket-ball masculin et féminin de Tokyo ont été dévoilés.\\n\\nL’épreuve masculine aura lieu du 25 juillet au 7 août et celle des femmes du 26 juillet au 8 août.\\n\\nAvec un nouveau format qui compte 12 équipes réparties en trois groupes dans chaque tournoi, les deux meilleures équipes de chaque poule et les deux meilleures équipes classées troisièmes passeront en quarts de finale.\\n\\nLe tournoi masculin comprend déjà les États-Unis, l’Espagne, l’Argentine, la France, l’Australie, l’Iran, le Nigéria et le Japon. Quatre équipes qui remporteront les tournois de qualification olympique (du 29 juin au 4 juillet) à Victoria (Canada), Split (Croatie), Kaunas (Lituanie) et Belgrade (Serbie), compléteront le plateau.\\n\\nLe jour d’ouverture, l’équipe de France affrontera les États-Unis dans le groupe A à 21h00 (13h00 à Paris).\\n\\nLes quatre quarts de finale se joueront le mardi 3 août, les demi-finales le jeudi 5 août et les matchs pour les médailles de bronze et d’or le samedi 7 août.\\n\\nLe calendrier complet du tournoi olympique masculin de basketball est disponible ici .\\n\\nLes 12 équipes pour le tournoi féminin sont déjà connues.\\n\\nLe 27 juillet, deuxième jour de l’épreuve féminine, l’équipe de France se retrouvera face au Japon à 10 h 00 (02 h 00 à Paris).\\n\\nLes quarts de finale du tournoi féminin se joueront le mercredi 4 août, les demi-finales le vendredi 6 août, le match pour la médaille de bronze le samedi 7 août et la finale le dimanche 8 août.\\n\\nLe calendrier du tournoi olympique de basketball féminin se est disponible ici ." }, {"role": "user", "content":"Sarunas Jasikevicius à propos de Pau Gasol : «La seule chose qui nous inquiète, c’est sa condition physique»" }, {"role": "assistant", "content":"« Pau cherche de l’argent pour un vol privé, j’espère qu’il le trouvera et sera bientôt avec nous. »\\n\\nC’est la plaisanterie faire par le coach du Barça Sarunas Jasikevicius alors que le Barça attend la venue en Catalogne de Pau Gasol cette semaine, afin qu’il passe le traditionnel examen médical.\\n\\n« C’est une très grande aubaine lorsqu’un joueur comme Pau vient dans votre équipe », a déclaré le coach lituanien, des propos recueillis par Mundo Deportivo. « Quand il va arriver, nous devrons voir comment il est, s’il peut aller directement à l’entraînement ou s’il aura besoin de plus de temps pour récupérer. C’est une personne très expérimentée et intelligente qui sait dans quelle équipe elle vient et à quel moment de la saison nous sommes. S’il est bien et apte à jouer, il apportera beaucoup d’expérience et de leadership. Il a vu beaucoup de choses dans sa carrière et il est difficile de le prendre en défaut. Il peut beaucoup nous aider. Mais il faudra faire attention. La seule chose qui nous inquiète, c’est sa condition physique. »" }, {"role": "user", "content":"Italie : Un record de 21 paniers à trois-points pour Milan" }, {"role": "assistant", "content":"Olimpia Milan caracole en tête du championnat d’Italie (16 victoires, 2 défaites) et s’est offert hier un record lors de la large victoire sur la Fortitudo Bologne : 21 paniers à trois-points.\\n\\nKevin Punter en a inscrit 6 sur 7, Michael Roll a mis ses quatre shoots et Sergio Rodriguez ses 3. La réussite générale est remarquable : 21/31. Punter a marqué 22 points en première mi-temps avant que le coach Ettore Messina répartisse le temps de jeu entre ses joueurs. Il a commenté :\\n\\n«Je pense nous avons décidé du sort du match dès le départ. Nous étions très actifs, nous avons bien shooté, avec une excellente circulation du ballon. Les 29 passes décisives sont un beau chiffre, comme le sont évidemment les 21 trois-points. Nous avons profité du fait qu’ils n’avaient pas joué de match depuis 15 jours et le retour à l’esprit de compétition leur a certainement coûté un peu au premier quart-temps. Avoir si bien commencé nous a permis de vivre de ces revenus en seconde période et de limiter le nombre de minutes de joueurs très sollicités en Euroleague. C’était une belle victoire, maintenant nous nous préparons pour une semaine qui sera très exigeante ».\\n\\n\\nDomani ore 1️⃣7️⃣:0️⃣0️⃣ match tra @OlimpiaMI1936 e @FortitudoBO103\\n82 i precedenti, i biancorossi guidano 50 a 32\\n39 quelle giocate a Milano con la Fortitudo capace di vincerne dieci\\n📺 Eurosport 2 ed Eurosportplayer#LBASerieA @UnipolSai_CRP #LBA50 #TuttoUnAltroSport pic.twitter.com/NUIsSgEmMs\\n\\n— Lega Basket Serie A (@LegaBasketA) February 27, 2021\\n\\n\\nPhoto: Michael Roll (Milan)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires Pro B 2020-21 : pour tout savoir sur les salaires de la deuxième division !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Quimper – Saint-Chamond (Photo : Quimper – Jacinthe Nguyen)\\n\\nÀ partir de demain, à raison de trois équipes par jour, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Pro B, dont la première édition date de la saison 2016-17.\\n\\nC’est une enquête, un travail de fourmi mené grâce au concours de plusieurs agents et de clubs qui nous permet de donner ces chiffres. Ils ne sont pas officiels – nous ne sommes pas en NBA – et comporte une marge d’erreur de + ou – 10 %. Comparativement à ce que nous avons pu faire avec les équipes de Jeep Élite, ces salaires de Pro B comportent quelques « oublis », car il ne nous a pas été possible de trouver de manière fiable le salaire de certains joueurs, pour la plupart des joueurs arrivés en cours de saison – la Pro B s’est révélée particulièrement « agitée » de ce point de vue...\\n\\nLes salaires sont donnés en Euros et sont annuels. Lorsque ce n’est pas le cas, c’est précisé. En revanche, les joueurs américains sont payés en dollars et la conversion en euros dépend de la fluctuation du taux de change.\\n\\nNous publierons également les top 20 des joueurs après avoir dévoilé les salaires de toutes les équipes.\\n\\nNous ferons évidemment des commentaires pour chaque équipe mais vous pourrez vous-même apprécier la pertinence des choix des stratèges de chaque club.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\nLa Rédaction" }, {"role": "user", "content":"Ousmane Camara (Chalon) sera indisponible jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Très mauvaise nouvelle pour le joueur et le club: l’intérieur de l’Elan Chalon Ousmane Camara (2,05m, 31 ans) a été victime d’une rupture du tendon d’Achille lors d’un match de préparation ce dimanche face à Roanne. Il sera opéré mercredi.\\n\\n« La blessure de Ousmane est le gros point noir de notre soirée et nous sommes évidemment très tristes pour lui car sa blessure va l’éloigner des parquets jusqu’à la fin de la saison. Nous sommes à la recherche d’un joueur pour terminer la saison sur son poste, » commente le coach Julien Espinosa.\\n\\nOusmane Camara a apporté 3,9 points et 4,8 rebonds en 18′ sur 10 matches cette saison en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 26ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait la 26ème journée de l’Euroleague.\\n\\nLe leader, le FC Barcelona, recevait l’ASVEL au Palau Blaugrana. Le club catalan récupérait Léo Westermann pour l’occasion alors que le club rhônalpin enregistrait les retours de Charles Kahudi et d’Ismael Bako. Quant aux recrues, Pau Gasol est encore bloqué aux Etats-Unis alors que Thomas Heurtel n’était pas qualifié pour l’Euroleague et donc contre son ancien club. Le match a été extrêmement disputé et l’écart n’a jamais atteint la barre des 5 points pendant les 35 premières minutes en dehors de la première minute de la seconde mi-temps où le Barca a mené de 6 points. Puis l’ASVEL a pris la main sur le match dans les cinq dernières minutes et réussi l’exploit de gagner à Barcelone, 76-69. C’est la sixième victoire consécutive de l’ASVEL, ce qui constitue un record pour un club français dans la compétition reine. Elle a également réussi l’exploit de sweeper son adversaire du soir cette saison. L’équipe de TJ Parker a limité le leader de l’Euroleague à 69 points chez lui et réussi un joli 9/18 à 3 points. Son leader a été l’ailier William Howard avec une évaluation de 21. Du côté espagnol, c’est Brandon Davies qui s’est mis en valeur en sortie de banc. Ses 29 d’évaluation lui permettent d’être le meilleur Sixième Homme de la semaine. Malgré la défaite, le FC Barcelona conserve la tête de la compétition. Quant à l’ASVEL, elle crée la principale surprise du jour.\\n\\nLe CSKA Moscou, deuxième, se déplaçait au Pirée pour y affronter l’Olympiacos. Seul Daniel Hackett manquait à l’appel pour le club de la capitale russe alors le club grec récupérait Aaron Harrison mais perdait Hassan Martin. Le club de l’Armée Rouge débutait le match tambour battant, remportait les deux premiers quarts et menait de 18 points à la mi-temps. Au retour des vestiaires, s’opère un changement de physionomie. L’Olympiacos remporte largement le troisième quart et revient à dix points. Il passe même un 15-0 à son invité pour revenir à un point à 4 minutes du terme. Sasha Vezenkov lui permet même de prendre l’avantage une minute et dix secondes plus tard. Puis Georgios Printezis lui redonne l’avantage à 12 secondes de la fin. Mais, à deux secondes du buzzer, Mike James provoque une faute de Vassilis Spanoulis sur un tir à 3 points. Il réussit 2 des 3 lancers et donne la victoire sur le fil à son équipe, 75-74. La victoire moscovite a été collective avec 4 joueurs entre 14 et 16 d’évaluation. L’équipe de Dimitris Itoudis revient ainsi dans la course pour la première place.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano, troisième, recevait le dernier, le Khimki Moscou. En dehors des deux premières minutes, le club russe n’a jamais mené dans ce match et le club lombard a remporté les trois premiers quarts pour mener de 14 points au terme de ceux-ci. Malgré une dernière période perdue, Milano s’impose donc 84-74. Il a largement dominé dans le secteur des rebonds avec 39 unités. Ce fût notamment le fait de Jordan Mickey, meilleur rebondeur pour la seconde fois de la saison avec 11 rebonds. Il a même été le meilleur pivot de la semaine en y ajoutant 23 points. Du côté italien, 4 joueurs ont atteint les 18 d’évaluation. Grâce à cette victoire, Milano revient également dans la course à la première place.\\n\\nEn ouverture de la journée, le Zenit St Petersburg, quatrième, recevait Valencia devant 2 276 spectateurs. Le club espagnol récupérait Joan Sastre pour l’occasion. Contre toute attente, il n’y a pas eu de match et le Zenit n’a remporté aucun quart. Valencia s’impose très largement, 91-62, et crée la deuxième grosse surprise de la semaine. A l’évaluation, l’équipe de Jaume Ponsarnau l’emporte, 121 à 53. Elle a été portée par le trio Nikola Kalinic-Bojan Dubljevic-Mike Tobey, auteur d’une évaluation cumulée de 72. Le premier est le meilleur ailier de la journée et même le meilleur passeur avec 10 unités, ce qui est une performance surprenante pour un joueur de ce poste. Le second est lui le meilleur pivot européen. Le Zenit est le grand perdant de la semaine et sort du Top 4 pendant que son adversaire revient dans la course à la qualification aux playoffs.\\n\\nLe cinquième, le Real Madrid, recevait le Zalgiris Kaunas, à la lutte pour le Top 8. Le club de la capitale espagnole enregistrait le forfait de Sergio Llull pour ce match alors que le club lituanien déplorait celui d’Arturas Milaknis. En dehors des 3 premières minutes, le club madrilène a toujours mené et l’écart est monté jusqu’à 16 points. Le Real s’impose au final 70-58. Il a étonnamment exactement la même réussite à deux points et à trois (14/29) et il a surclassé son adversaire eux rebonds (38 à 22). Son leader a été l’ailier argentin Gabriel Deck avec 19 d’évaluation. Profitant de l’absence de Llull, Carlos Alocen a joué 18 minutes et obtenu une évaluation de 11. Celle-ci lui offre le titre de Rising Star de la semaine pour la seconde fois de la saison. Du côté du Zalgiris, c’est Paulius Jankunas qui s’est mis en avant en sortie de banc. Avec 23 d’évaluation, il est le Meilleur Sixième Homme européen. Le Real Madrid est le grand gagnant de la semaine et intègre le Top 4.\\n\\nLe Bayern Munich, sixième, recevait le Maccabi Tel-Aviv. De manière surprenante, le club israélien domine les 35 premières minutes et le plus gros écart frôle les 10 points. Mais le club bavarois revient dans le dernier quart et reprend l’avantage à la 36ème minute. Cependant, John DiBartolomeo égalise à 18 secondes du terme. 9 secondes plus tard, une faute d’Elijah Bryant donne deux lancers à Nick Weiler-Babb qui les transforme et donne la victoire 72-70 à son équipe. Le Bayern a dominé à l’intérieur, remportant la bataille du rebond (37 à 26). Wade Baldwin a été le leader du Bayern avec 16 points, 5 rebonds et 5 passes.\\n\\nLe derby stambouliote opposait le Fenerbahce et l’Anadolu Efes, soient les deux dernières équipes du Top 8. Le premier restait sur 10 victoires avant la rencontre. Mais l’Anadolu Efes, leader de la BSL, le championnat turc, a largement dominé la rencontre, remporté tous les quarts et gagné la rencontre 106-74. L’équipe d’Ergin Ataman a été portée par la performance de son meneur serbe, Vasilije Micic. Avec 37 points, il est le meilleur marqueur de la journée pour la seconde fois de la saison. En passant, il réalise un sans-faute à 3-points et aux lancers (6/6 et 11/11). En ajoutant 5 passes et 3 interceptions, il obtient un joli 44 d’évaluation qui lui offre le titre de la MVP de la semaine. Son opposant, Nando De Colo, avec 28 d’évaluation, est le MVP français pour la sixième fois d’affiliée et la neuvième de la saison. Cette victoire permet à l’Anadolu Efes de passer devant sa victime du soir.\\n\\nBaskonia recevait l’Etoile Rouge Belgrade, avant-dernier de la compétition. Le club de la capitale serbe récupérait Corey Walden pour cette rencontre. Le club basque a largement dominé le match et menait déjà de 21 points à la mi-temps. Après une seconde mi-temps équilibrée, il s’impose au final 87-67. L’équipe de Dusko Ivanovic a été emmenée par un quatuor composé de Youssoupha Fall, Luca Vildoza, Achille Polonara et Rokas Giedraitis et auteur d’une évaluation cumulée de 84. Polonara est le meilleur intérieur de la semaine alors que Giedraitis en est le meilleur arrière. Baskonia place ainsi deux joueurs dans le meilleur Cinq de la journée.\\n\\nEnfin, l’Alba Berlin recevait le Panathinaikos Athènes. Malgré un premier quart raté, le club allemand remporte tranquillement cette rencontre 74-65. Il a été emmené par son intérieur back-up Johannes Thiemann, auteur de 16 points.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de Milano et du Real Madrid.\\n\\nLa bataille pour la première place se joue entre les trois premiers. Et les 15 premiers sont encore concernés.\\n\\nPour la seconde place, la bataille se joue entre les mêmes équipes. Mais l’Alba Berlin est encore concernée par celle-ci.\\n\\nLes clubs entre la 3ème et la 8ème place se disputent le Top 4 et les 16 premiers peuvent encore se mêler à cette lutte.\\n\\nLa qualification en playoffs se joue entre le Fenerbahce, Valencia et le Zalgiris. Tout le monde sauf le Khimki est encore en course.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nVasilije Micic (PG/Ser/27)\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n44 d’éval (37 pts à 10/12 dont 6/6 à 3 points, 11/11 aux LF, 1 rbd, 5 pds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n44 d’éval\\n\\nSG Rokas Giedraitis\\n\\nBaskonia\\n\\n17\\n\\nSF Nikola Kalinic\\n\\nValencia\\n\\n25\\n\\nPF Achille Polonara\\n\\nBaskonia\\n\\n22\\n\\nC Jordan Mickey\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n29\\n\\nB Brandon Davies\\n\\nBarcelona\\n\\n29\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n44 d’éval\\n\\nSG Rokas Giedraitis\\n\\nBaskonia\\n\\n17\\n\\nSF Nikola Kalinic\\n\\nValencia\\n\\n25\\n\\nPF Achille Polonara\\n\\nBaskonia\\n\\n22\\n\\nC Bojan Dubljevic\\n\\nValencia\\n\\n24\\n\\nB Paulius Jankunas\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n23\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n28 d’éval (24 pts à 10/16, 2 rbds, 8 pds, 5 pds, 3 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nCarlos Alocen (PG/Esp/20)\\n\\nReal Madrid\\n\\n11 d’éval (4 pts à 2/4, 3 rbds, 6 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nVasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n37 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nJordan Mickey\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nNikola Kalinic\\n\\nValencia\\n\\n10 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 18-8\\n 2. CSKA Moscou 17-8\\n 3. Milano 17-9\\n 4. Real Madrid 16-10\\n 5. Bayern Munich\\n 6. Zenit St Petersburg 15-10\\n 7. Anadolu Efes\\n 8. Fenerbahce 15-11\\n 9. Valencia 14-12\\n 10. Zalgiris Kaunas\\n 11. Baskonia 13-13\\n 12. ASVEL 12-14\\n 13. Olympiacos 11-15\\n 14. Maccabi Tel-Aviv 10-14\\n 15. Panathinaikos 9-15\\n 16. Alba Berlin 9-17\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 7-19\\n 18. Khimki Moscou 2-23\\n\\nPhoto: Moustapha Fall (ASVEL)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Semaine européenne pour les clubs français" }, {"role": "assistant", "content":"Que ce soit en Euroleague, en Eurocup ou en BCL, les clubs français vont avoir du pain sur la planche cette semaine. En Euroleague, LDLC Asvel devra se mesurer au Zalgiris Kaunas de Joffrey Lauvergne puis au Fenerbahçe de Nando De Colo pour continuer son parcours fantastique en Euroleague. Strasbourg se déplacera en Turquie et affrontera le Turk Telekom à Ankara, sur Canal + Sport en BCL. De son côté, Nanterre ira sur le parquet de Monaco en Eurocup et tentera de s’imposer pour croire encore en la qualification pour les quarts de finale. Mercredi également, Bourg qui n’a plus rien à jouer ira à Pogdorica et Boulogne-Levallois recevra les russes de Krasnodar pour valider son billet pour les quarts de finale d’Eurocup. Enfin, dimanche, une rencontre de Jeep Élite est au programme : Bourg sera opposé à Nanterre et le match sera diffusé sur Sport en France.\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend que les matchs de Jeep Elite et de Pro B diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe et de Sport en France. Tous les autres matchs de Jeep Élite et de Pro B sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nMardi 2 mars :\\n\\n18h00 – Zenit Saint Petersbourg/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n18h00 – Turk Telekom/Strasbourg – BCL – Canal+Sport\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Valence – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Kaunas/ASVEL – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Monaco/Nanterre – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Panathinaïkos/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h05 – Maccabi Tel Aviv/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h45 – Étoile Rouge de Belgrade/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\nMercredi 3 mars :\\n\\n18h45 – Boulogne-Levallois/Krasnodar – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Vitoria/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h45 – Milan/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n21h00 – JL Bourg/Pogdorica – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 4 mars :\\n\\n18h00 – Zenit Saint Petersbourg/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Efes Istanbul/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h05 – Maccabi Tel Aviv – Valence – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Bayern Munich/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 5 mars :\\n\\n17h00 – Nantes/Antibes – Pro B – Sport en France\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n19h00 – Kaunas/Milan – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n20h00 – Olympiakos/Étoile Rouge de Belgrade – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n21h00 – ASVEL/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Barcelone/Vitoria – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\nDimanche 7 mars :\\n\\n20h30 – JL Bourg/Nanterre – Jeep Elite – Sport en France\\n\\nMardi 9 mars :\\n\\n21h00 – ASVEL/Dijon – Jeep Elite – La chaine l’Equipe\\n\\nPhoto : SIG – Riga (Théo Tetard – BasketEurope)" }, {"role": "user", "content":"Le jour où le basket britannique a raté le virage de la télévision" }, {"role": "assistant", "content":"Le site grec Gazzetta.gr a réalisé un dossier sur le basket en Grande-Bretagne et a demandé l’expertise de plusieurs acteurs. On retient particulièrement deux points. Le premier est l’immense raté qui a empêché le basket d’Outre-Manche de décoller au début du millénaire :\\n\\n« Le problème de la télévision est une histoire tragique..., » raconte Kostis Zompanakis, ancien président des London Towers. « Pour être précis, c’est une histoire qui nous rappelle que nous sommes responsables de nos choix. J’ai donc eu une réunion avec le chef du département des sports de Sky TV, je lui ai demandé comment allait le basket. Il m’a expliqué : « nous sommes très heureux parce que les gens s’assoient et regardent les matchs. Ce sont les couch potatos, ceux qui sont assis toute la journée dans leur canapé et regarder tout. Les matchs viendront après l’intervention du premier ministre, donc personne ne se lève de sa chaise, et continuera à regarder le basket. La magie ! À ce moment-là, une proposition d’une nouvelle chaîne est venue ! Le numérique ITV, qui offrait 11 millions à la ligue pour obtenir les droits en 2003 alors que chaque équipe recevrait environ 130 000 € de la transaction. J’ai essayé de leur faire comprendre que dans ce cas, nous perdrions la confiance que Sky nous accordait, qui, entre-temps, avait atteint 15 à 20 millions d’abonnés. Nous parlons de chiffres effrayants ! On m’a dit que l’accord avec Sky ne prévoyait pas d’argent pour les équipes et donc tout le monde a voté pour obtenir l’accord avec ITV digital. Mais, ITV a fait faillite ! Et en fait, non seulement il a failli, mais nous n’avons même pas obtenu les 11 millions ! Quand nous nous sommes tournés à nouveau vers Sky TV, ils nous ont fermé la porte, pour le dire poliment. D’une manière ou d’une autre, la montée du basketball anglais s’est arrêtée. C’était tragique et en même temps une importante leçon de vie. Que vous êtes également responsable des choix que vous faites. »\\n\\nQuant à la possibilité d’avoir une équipe d’Euroleague à Londres, le journaliste du Scottish Herald, Mark Woods est optimiste :\\n\\n« Je pense qu’à un moment donné dans le futur, cela se produira et la raison en est simple. C’est quelque chose que l’EuroLeague Basketball veut vraiment. C’est aussi quelque chose que veut vraiment IMG (NDLR: l’associé de l’Euroleague), l’un des géants du monde des médias qui emploie beaucoup de personnes à Londres. Ils gèrent tous les deux leur confiance lorsqu’ils choisissent de se lancer dans leurs activités ludiques (...) Il est logique que l’EuroLeague se concentre sur Londres comme l’une des plus grandes villes d’Europe, abritant des entreprises et de grandes marques. Aussi, vivent ici de nombreux Grecs, Espagnols et Lituaniens qui veulent regarder des matchs de basket de haut niveau sur une base hebdomadaire. Je pense donc que l’expansion se poursuivra. Dans tous les cas, ce sera un véritable défi pour l’EuroLeague et IMG de réussir le projet »." }, {"role": "user", "content":"Andrea Trinchieri (coach du Bayern Munich) exige des indemnités du Partizan" }, {"role": "assistant", "content":"L’actuel coach du Bayern Munich, Andrea Trinchieri, exige le paiement des indemnités pour la saison en cours pour laquelle il avait initialement signé un contrat avec le Partizan Belgrade.\\n\\nAprès deux saisons en Serbie, l’entraîneur italien a demandé en juillet 2020 la résiliation de son contrat, qui expirait à l’été 2021, pour rejoindre le Bayern Munich. Les deux parties se sont entendues et Andrea Trinchieri a filé en Allemagne. Mais il semblerait que les équipes ne se soient pas occupées de finaliser la transaction entre elles.\\n\\nSelon Mozzart Sport, le Bayern Munich aurait intenté une action en justice contre le Partizan. Le club allemand demanderait le paiement du salaire des deux derniers mois de la saison dernière mais aussi le paiement intégral de la saison en cours pendant laquelle Andrea Trinchieri entraîne le Bayern Munich. Au cours de ces dernières années, le Partizan a été au coeur d’affaires de salaires impayés.\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"LFB : Bourges s’offre une 13e victoire consécutive à Montpellier" }, {"role": "assistant", "content":"Sans les services de Isabelle Yacoubou, Alix Duchet et Magali Mendy -le BLMA était privé pour sa part de Julie Allemand-, Bourges a pris la mesure de Lattes-Montpellier dans l’Hérault (68-76) et conservé ainsi son invincibilité en Ligue Féminine.\\n\\nComme l’indique l’évaluation (71-103), les Tango ont été globalement dominatrices mais l’écart ne s’est fait que dans le money time. Elles ont pu compter sur l’expérience de Elin Eldebrink, Alexia Chartereau et Kristen Mann, et encore sur la solide contribution de Iliana Rupert (meilleure évaluation du match avec 23). Leur adresse aux lancers-francs (21/23) a été par ailleurs une assurance tous-risques. Au BLMA, la paire US Napheesa Collier-Myisha Hines-Allen a été en total manque de réussite avec un vilain 8/26 aux shoots.\\n\\nGrâce à un superbe collectif, Bourges a dominé le premier quart-temps (15-25, 60% de réussite aux shoots, puis 15-29). Mais autour de Ana Dabovic (12 points), le BLMA lui a infligé un 7-0, a égalisé à 37, et ait passé pour la première fois en tête à 40-39 sur un trois-points de Nabala Fofana au buzzer de la mi-temps.\\n\\nAprès un partage du leadership, Bourges a pris les commandes pour ne plus les lâcher (59-67) et un trois-points de Alexia Chartereau leur a définitivement donné la victoire.\\n\\n\\n💃 @elineldebrink 🆚 @R0MY4 #FiertéTango pic.twitter.com/YDHa7Vg5Dt\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) February 28, 2021\\n\\n\\nPhoto: Kristen Mann (Bourges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : L’international croate Josip Bilinovac à Quimper" }, {"role": "assistant", "content":"Les Béliers de Kemper annoncent que le meneur Josip Bilinovac (1,91m, 30 ans) et le club ont trouvé un accord jusqu’à la fin de la saison 2020-2021. L’international croate assurera la mène aux côtés de Charly Pontens.\\n\\nPassé par la Bosnie à Siroki pendant 5 ans, en Pologne avec Trèfle Sopot puis en Croatie avec Jolly JBS Sibenik et 5 ans avec le Cibona, Josip Bilinovac a été sacré champion de Croatie en 2019 avec ce dernier club. Il possède un bon QI basket et est capable d’évoluer aux postes de meneur et d’arrière. A Zagreb, il tournait cette saison à 6,8 points, 1,2 rebond et 2,5 passes décisives en 18 minutes de jeu.\\n\\nSon passeport :\\nNé le : 30 Décembre 1990 (30 ans)\\nTaille : 191 cm\\nNationalité : Croate\\nPoste : Meneur\\nSon parcours :\\n2010-2015 : HKK SIROKI (Bosnie Herzégovine)\\n2015-2016 : Trefl Sopot (Pologne)\\n2016-2017 : Jolly JBS Sibenik (Croatie)\\n2017-2021 : Cibona (Croatie)" }, {"role": "user", "content":"Le journaliste espagnol Jose Manuel Cortizas décède du coronavirus à l’âge de 58 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Spécialisé dans le basket, le journaliste sportif d’El Correo, Jose Manuel Cortizas, est décédé ce samedi après-midi à l’hôpital de Cruces à l’âge de 58 ans.\\n\\nLe basket espagnol est en deuil. José Manuel Cortizas est mort des suites du coronavirus, contre lequel il se battait depuis plus de trois semaines, comme le rapportent les médias basques. Il suivait quotidiennement le club de Bilbao (Liga Endesa) mais aussi le golfeur espagnol John Rahm lors des principaux tournois qu’il a disputés.\\n\\nDepuis l’annonce de son décès, de nombreuses réactions et messages émouvants ont été postés sur les réseaux sociaux.\\n\\n\\nNos cuesta encontrar las palabras entre tanto dolor. Nos deja nuestro mejor biógrafo, un periodista con mayúsculas, uno de los nuestros.\\n\\nHasta siempre amigo,\\nNo te olvidaremos jamás\\n\\nNota por el fallecimiento de José Manuel Cortizas: https://t.co/C8JpuKZqXJ #GoianBegoCorti pic.twitter.com/rYg6wjmo0Y\\n\\n— Surne Bilbao Basket 😎 (@bilbaobasket) February 27, 2021\\n\\n\\n\\nHe decidido hacer un tributo a mi amigo Corti, que falleció ayer. Lo voy a hacer en un hilo de Twitter para que tenga visibilidad. Se nos ha ido un tipo de voz atronadora y gran corazón.\\n\\nDe paso, cuento algunas anécdotas para poner al personaje en perspectiva. Mi amigo Corti. pic.twitter.com/vDEK4vVv6s\\n\\n— Javier Gancedo (@ganchetto) February 28, 2021\\n\\n\\n\\n🙏 Minuto de silencio antes del arranque del duelo entre @gipuzkoabasket y @bilbaobasket por el carismático periodista José Manuel Cortizas, que ha fallecido a los 58 años después de tres semanas luchando contra las consecuencias derivadas de la Covid-19.\\n\\nDescansa en paz ❤️ pic.twitter.com/WcbaTWoA6t\\n\\n— Liga Endesa (@LigaEndesa) February 27, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Gabriel Lundberg : «Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de gens qui méprisent le basket danois en ce moment»" }, {"role": "assistant", "content":"Le nouveau joueur du CSKA Moscou, Gabriel « Iffe » Lundberg (1,93m, 26 ans) s’exprime sur Eurohoops à propos de la non qualification du Danemark, suite à l’échec d’un point face à la Lituanie (77-76), un match auquel il n’a pas pu participer étant retenu par le club moscovite.\\n\\n« Je ne vais pas mentir: c’était dur. C’était difficile de regarder ces matchs. Surtout le dernier contre la Lituanie, car c’était celui qui était décisif. Et comme vous l’avez dit, le fait que ce soit une possession qui a déterminé l’avenir... ça pue. Mais en même temps, je suis extrêmement fier de mes coéquipiers et du basket danois parce que la croissance que nous avons eue au cours des deux derniers mois a été incroyable. Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de gens qui méprisent le basket danois en ce moment, étant donné que nous avons vraiment montré ce que nous sommes capables de faire. Bien sûr, j’aurais voulu jouer. Dans ces circonstances, je ne pouvais pas. Je suis vraiment fier de mes gars.«\\n\\nGabriel Lundberg estime que des jours radieux attendent le basket de son pays:\\n\\n« Nous avons eu une croissance formidable au cours des derniers mois, ces dernières années en général. Non seulement pour notre équipe nationale, mais aussi dans la ligue nationale avec les Bakken Bears. Ils ont réussi à battre toutes ces équipes en Basketball Champions League. Surtout cette saison, la Basketball Champions League est probablement meilleure qu’elle ne l’a jamais été. Pour Bakken Bears, battre les trois équipes du groupe, c’est incroyable. Cela vous dit tout sur le déroulé du basket danois. Nous allons juste continuer à construire et rester motivés. Je pense que nous atteindrons certainement l’un des plus gros tournois dans un proche avenir. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: La soufflante du coach Pablo Laso (Real Madrid) à Usman Garuba" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach Pablo Laso a envoyé une énorme soufflante à Usman Garuba (2,03m) lors du match Real Madrid vs Burgos largement gagné par son équipe, 96-81.\\n\\n« Où est votre tête dans le match ?, » a t-il hurlé.\\n\\nPourtant, lors de la conférence d’après-match, Pablo Laso a voulu associer dans son bouquet de compliments Usman Garuba au pivot capverdien Walter Tavares, qui a été monstrueux avec 27 points, 7 rebonds, 6 contres et 37 d’évaluation.\\n\\n« Ce sont deux joueurs qui nous donnent beaucoup en termes d’énergie, de défense et de rebond, ils ont tous les deux joué un très bon match. Usman a eu une mauvaise minute de manque de concentration, mais je suis très content de son travail. »\\n\\nGaruba a capté 9 rebonds et marqué 5 points. Pas mal pour un jeune de 19 ans (il les aura le 2 mars) !" }, {"role": "user", "content":"LFB : Emmené par Jasmine Bailey, Saint-Amand remporte le derby du nord" }, {"role": "assistant", "content":"Saint-Amand a obtenu sa 2e victoire de la saison à l’occasion du derby du Nord face à Villeneuve d’Ascq et la marge est détonnante: +20 (65-85).\\n\\nPrivées de leur meneuse espagnole, Sandra Ygueravide, les filles de Rachid Méziane s’en sont beaucoup remises à la paire Lisa Berkani-Johanne Gomis, qui ont mis 44 points à elles deux et raflé 38 des 47 points d’évaluation de leur équipe ! Cela signifie qu’il y a eu beaucoup de défaillances individuelles. Ainsi, Haley Peters est sortie du terrain avec -1 d’évaluation et Courtney Hurt avec 2.\\n\\nA l’inverse, Jasmine Bailey s’est rappelée au bon souvenir de la Ligue Féminine en marquant 13 points dans le premier quart-temps et en compilant au final 25 points, 11 rebonds, 6 passes et 2 interceptions pour 32 d’éval.\\n\\nUne sévère remise en question pour l’ESBVA alors que Saint-Amand a fait un pas vers une remontée indispensable au classement.\\n\\nPhoto: Jasmine Bailey (Saint-Amand, LFB)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : En provenance de Vilnius, le meneur Ryan Boatright signe au Paris Basketball" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Sportando, le meneur américain au passeport arménien, Ryan Boatright (1,80m, 28 ans) a signé un contrat de deux ans avec le Paris Basketball.\\n\\nBoatright était jusqu’ici cette saison avec le Rytas Vilnius en Lituanie. Il a a obtenu en moyenne 9,1 points (45,8% à trois-points) et 2,3 passes décisives dans le championnat LKL. En BCL, l’Américain a enregistré 9,7 points, 3,3 passes décisives et 2,3 rebonds.\\n\\nIl a été champion NCAA en 2014 avec l’université de Connecticut et champion de Croatie et MVP de la finale en 2017 avec le Cedevita.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines : 26 U20 à suivre en LFB et en Ligue 2" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Marine Fauthoux – Asvel Féminin (Photo : FIBA)\\n\\nQui sont les meilleures jeunes filles évoluant en championnat de France professionnel ? Celles qui sont déjà les plus accomplies, celles qui sont encore en devenir ou pour le moment juste des espoirs pour le futur ? Après avoir analysé hier la place des U20 dans les deux divisions professionnelles de la LFB, intéressons-nous maintenant aux individualités.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui sont les meilleures jeunes filles évoluant en championnat de France professionnel ? Celles qui sont déjà les plus accomplies, celles qui sont encore en devenir ou pour le moment juste des espoirs pour le futur ? Après avoir analysé hier la place des U20 dans les deux divisions professionnelles de la LFB, intéressons-nous maintenant aux individualités.\\n\\nNous l’avons vu dans notre précédent article sur le sujet, plus de 100 jeunes filles de 20 ans et moins sont entrées en jeu au moins une minute dans au moins un match de LFB ou de Ligue 2 depuis le début de la saison (44 en LFB, 62 en Ligue 2). Un chiffre impressionnant, qui cache bien évidemment de grandes disparités entre la joueuse qui n’a fait que poser le bout d’une basket sur le parquet, le temps de finir un quart-temps, et celle qui dispose déjà d’un rôle majeur dans son équipe.\\n\\nLuisa Geiselsoder, la « MVP » de LFB\\n\\nPour évoquer les joueuses U20 les plus intéressantes de LFB, commençons par celle qui en est l’indiscutable MVP, tout en étant quelque part « hors concours ». En effet, Luisa Geiselsoder (1,92 m, 2000), l’Allemande de Landerneau, est déjà dans sa cinquième année professionnelle malgré son jeune âge. Il n’en reste pas moins que l’intérieure née à Ansbach présente des statistiques qui en font une joueuse majeure : en 25 mn/match, elle marque 14,8 points (10e marqueuse de la LFB) avec une adresse à deux-points de 60,8 % (6e en ne prenant en compte que les joueuses ayant un nombre significatif de tirs), prend 5,1 rebonds, donne 0,9 passe, générant 15,9 d’évaluation (12e de LFB). Parmi les U20 évoluant en LFB, pas une seule autre ne dépasse les 10 points et une seule passe la barre des 10 d’évaluation. François Gomez, l’entraîneur de Tarbes, pointe « une excellente saison d’une joueuse qui est une très bonne pioche pour son club. En France, on ne peut pas toucher le gratin mondial des joueuses étrangères, question de budget. Mais, grâce à la stabilité de nos clubs et à leur sécurité financière, on commence à intéresser la jeunesse étrangère, d’où d’intérêt d’aller voir ce qui se passe en U18 ou U20 dans certains pays. Du reste, on peut penser que des clubs iront bientôt recruter en Afrique, où il y a de forts potentiels, comme Isabelle Yacoubou en son temps. Il est surprenant qu’il n’y ait pas plus de camps sur ce continent comme celui qu’Endy Miyem a monté au Cameroun. »\\n\\nSi l’on s’en tient aux seules statistiques, la dauphine de Luisa Geiselsoder est Océane Monpierre (1,70 m, 2000), la meneuse le La Roche Vendée passée plus jeune par Bourges. Scoreuse (9,7 pts), rebondeuse (4,3 rbds), passeuse (3,1 pds), complète (13,6 d’éval), son volume de jeu rappelle un peu celui d’Olivia Epoupa. Pour François Gomez, « elle a de grosses qualités athlétiques, de la vitesse. Cette saison, elle a fait un grand bond en avant. »\\n\\nParmi les autres jeunes joueuses de LFB prometteuses, plusieurs cas de figure se présentent. Il y a d’abord celles qui sont gravement blessées et doivent remettre à plus tard la continuation de leurs progrès : Serena Kessler (1,79 m, 2002, Tarbes) s’est déchiré les ligaments croisés, Hatoumata Diakité (1,91 m, 2002, Nantes-Rezé) le ligament antérieur du genou. Il va falloir patienter avant de les voir démontrer leurs qualités sur le parquet, comme il a fallu patienter avant de revoir Iliana Rupert (1,91 m, 2001, Bourges), dont la sévère entorse à la cheville l’a écartée des terrains entre mi-novembre et fin janvier... Mais elle a vite retrouvé ses sensations, comme le montrent ses deux dernières sorties à 18 et 17 d’évaluation. Sur cette lancée, elle peut postuler à une place en équipe de France pour l’Euro et les JO, à 19 ans.\\n\\nDes meneuses à suivre\\n\\nParmi les autres candidates à une place dans un très virtuel « 5 majeur U20 de LFB », plusieurs joueuses ont des arguments à faire valoir. Marie Pardon (1,78 m, 2001, Tarbes) est la meilleure passeuse U20 de LFB (5,0 par match), son coach notant qu’elle « fait de vrais progrès, qu’elle a des qualités athlétiques mais qu’elle doit développer ses aptitudes au scoring. » Autre meneuse de jeu à suivre, Marine Fauthoux (1,73 m, 2001, Asvel). Après deux saisons à Tarbes où elle a montré de très belles choses, la fille du « Petitou » a eu plus de mal cette saison au sein d’une équipe jouant l’Euroleague, tout en se voyant quand même octroyer 18 minutes par match. Pas un échec, donc, loin s’en faut même, mais un passage difficile qui a incité le club à prêter la joueuse à Basket Landes la saison prochaine afin qu’elle s’aguerrisse dans un contexte peut-être moins concurrentiel. De son côté, Sixtine Macquet (1,96 m, 2000, Charnay) monte en puissance au fil des mois – une intérieure qui, comme beaucoup de grands gabarits, va mettre un peu plus de temps que les extérieures à donner son plein potentiel.\\n\\nDerrière ces jeunes filles déjà installées (pas une ne joue moins de 14 minutes par match), d’autres sont des espoirs à plus ou moins long terme : Kendra Chery (1,88 m, 2001, Basket Landes), passée par l’Asvel et La Roche Vendée, est considérée comme un énorme potentiel mais elle laisse François Gomez dubitatif : « c’est une formidable athlète, mais elle doit comprendre qu’il faut travailler sur son basket. On verra son évolution. » Autre grand espoir de sa génération, Janelle Salaun (1,88 m, 2001, Villeneuve d’Ascq) doit encore s’adapter aux rigueurs de la LFB, elle qui sort de l’Insep. Un palier que doit aussi franchir sa coéquipière Zoé Wadoux (1,75 m, 2001, Villeneuve d’Ascq). Enfin, Pauline Astier (1,76 m, 2002, Bourges) fait encore preuve d’irrégularité mais sa dernière sortie (15 pts à 7/8 aux tirs, 7 rbds, 4 pds, 25 d’éval) contre Tarbes démontre un potentiel qu’il ne lui reste plus qu’à exprimer avec constance.\\n\\nPour en finir avec les U20 évoluant en LFB, il faut évidemment évoquer le cas de Juste Jocyte (1,84 m, 2005, Asvel), la très jeune Lituanienne qui a « fait le buzz » à l’occasion de son arrivée à Villeurbanne. Au point que certains s’agacent de l’aspect « marketing » de l’opération, rappelant que l’ailière n’a pour le moment rien prouvé. Ce qui est vrai en championnat de France, où les quelques minutes qu’elle a pu grappiller ne lui ont pas permis de montrer grand-chose. Et il en va à peu près de même en Euroleague féminine (4 matchs, 2,5 mn, 1,0 pt, 1,0 rbd, 1,5 d’éval). En revanche, lors des qualifications à l’Euro 2021 disputés avec sa sélection nationale (éliminée dans son groupe par la Serbie et la Turquie), Juste Jocyte a tout de même eu droit à 19,5 mn et a produit 6,7 pts, 1,3 rbd, 3,0 pds pour 4,3 d’éval. Pas mal pour une jeune fille d’à peine 15 ans. Reste maintenant à voir comment elle va se développer et progresser. Elle a du temps devant elle...\\n\\nNomPrénomClubDate naissanceTaillePosteMJ/possibleMinPtsRbdsPdsEvalGeiselsoder (All)LuisaLanderneau10/02/20001,92511/1125,014,85,10,915,9MonpierreOcéaneRVBC31/10/20001,7111/1125,09,74,33,113,6KesslerSerenaTarbes25/10/20021,7925/1124,08,83,81,67,6PardonMarieTarbes05/01/20011,78111/1130,07,02,15,04,4MacquetSixtineCharnay05/12/20001,96511/1114,06,13,20,25,8RupertIlianaBourges12/07/20011,9142/1120,06,04,00,09,5FauthouxMarineAsvel23/01/20011,73110/1018,04,52,42,04,9CheryKendraBasket Landes16/07/20011,88411/1118,04,33,41,44,5AstierPaulineBourges15/02/20021,76210/1111,03,00,90,72,3WadouxZoéESBVA07/01/20011,75210/119,02,91,10,93,1DiakitéHatoumataNantes27/06/20021,9159/1117,92,35,30,85,8SalaunJanelleESBVA05/09/20011,883-411/119,02,11,10,01,5Jocyte (LIT)JusteAsvel19/11/20051,8436/103,01,20,30,01,0\\n\\nLes principales joueuses U20 de LFB\\n\\nDe beaux espoirs en Ligue 2\\n\\nLa Ligue 2 est un parfait terrain d’expression pour les jeunes filles qui souhaitent avoir très tôt de larges responsabilités ou pour celles qui veulent s’aguerrir en ayant un bon temps de jeu avant de monter à l’étage supérieur. C’est ainsi qu’une Vaciana Gomis (1,72 m, 2002, Mondeville) peut jouer 26 minutes par match pour produire 12,3 pts et 3,1 rbds pour 10,0 d’éval. Ou que Mariama Daramy (1,80 m, 2002, Rezé) score 11,7 pts et prend 4,9 rbds pour 10,9 d’éval en presque 30 mn. Elles aussi internationales jeunes (Mariama Daramy l’ayant été en 3×3 pour le moment), Ewl Guennoc (1,73 m, 2001, Mondeville) et Yohana Ewodo (1,82 m, 2001, Chartres) sont également pleines de promesse. François Gomez s’enthousiasme pour la seconde : « j’aime ! Elle n’est pas encore aboutie, mais je suis sûr qu’on pourra compter sur elle à l’avenir ! »\\n\\nLa Ligue 2 permet également aux très jeunes pousses (2003 à 2005) du Pôle France d’étaler leurs promesses, comme par exemple Sara Roumy (1,80 m, 2003), auteure de 11,7 pts et 9,4 d’éval par match. Mais celle qui attire tous les regards dans l’équipe, c’est Serena Manala. Déjà parce que, née en 2000, elle fait figure d’exception dans un groupe constitué de mineures. Mais aussi parce que, du haut de ses 2,03 m, elle détrône Rose-Marie Scheffler, ancienne internationale dans les années 1980, au palmarès de la plus grande femme de France. Mais Serena Manala n’est certainement pas une « bête de foire », il s’agit d’une véritable basketteuse, aux grandes qualités, mais devant être encore affinées pour se révéler. Un diamant à polir, comme le souligne François Gomez : « elle a la taille, de très bonnes mains. Maintenant, il faut être patient avec elle, la faire travailler sur tout un tas d’aspects, la course, la préparation physique, le suivi diététique, etc. C’est pour cela qu’elle ne peut pas être mieux qu’au Pôle France, même si elle n’a pas encore de contact avec le monde professionnel. Mais, d’ores et déjà, elle va faire des dégâts sur demi-terrain, en U20. »\\n\\nNomPrénomClubDate naissanceTaillePosteMJ/possibleMinPtsRbdsPdsEvalGomisVacianaMondeville20/12/20021,72213/1326,212,33,11,210,0DaramyMariamaRezé11/08/20021,802-312/1229,811,74,92,210,9GuennocEwlMondeville15/05/20011,7313/1331,89,53,44,27,1BussièreLouiseMondeville07/08/20021,8113/1326,49,52,93,69,2EwodoYohanaChartres21/02/20011,82312/1424,38,94,21,39,0MehadjiSirineMontbrison11/08/20001,91512/1414,46,92,50,56,5DrameBintaChartres16/05/20021,71114/1420,36,83,41,46,0JakovljevicHélèneToulouse05/10/20001,75112/1321,56,22,34,19,2RoumySaraPFBB07/11/20031,80214/1427,211,72,91,29,4LacanLeilaPFBB02/06/20041,77111/1420,49,02,01,67,3TouréFatoumataPFBB09/02/20041,71112/1422,17,63,71,37,8ManalaSerenaPFBB31/10/20002,0356/1415,35,83,50,26,2DiarissoOumou SallymataPFBB01/05/20031,89512/1426,45,77,31,27,3\\n\\nLes principales joueuses U20 de Ligue 2\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQui sont les meilleures jeunes filles évoluant en championnat de France professionnel ? Celles qui sont déjà les plus accomplies, celles qui sont encore en devenir ou pour le moment juste des espoirs pour le futur ? Après avoir analysé hier la place des U20 dans les deux divisions professionnelles de la LFB, intéressons-nous maintenant aux individualités.\\n\\nNous l’avons vu dans notre précédent article sur le sujet, plus de 100 jeunes filles de 20 ans et moins sont entrées en jeu au moins une minute dans au moins un match de LFB ou de Ligue 2 depuis le début de la saison (44 en LFB, 62 en Ligue 2). Un chiffre impressionnant, qui cache bien évidemment de grandes disparités entre la joueuse qui n’a fait que poser le bout d’une basket sur le parquet, le temps de finir un quart-temps, et celle qui dispose déjà d’un rôle majeur dans son équipe.\\n\\nLuisa Geiselsoder, la « MVP » de LFB\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Les 6 infos de la semaine : la Jeep Elite va reprendre, Gasol au Barça, Heurtel à l’Asvel..." }, {"role": "assistant", "content":"Vous n’avez pas suivi quotidiennement l’actualité du basket français et international cette semaine ? Pas de panique, la rédaction de Basket Europe vous résume l’essentiel de ce qu’il ne fallait pas louper du 21 au 27 février. Au sommaire, les qualifications à l’EuroBasket 2022, la reprise du championnat de France et le marché des transferts qui s’agite avant la date butoir en Euroleague et en Jeep Elite.\\n\\nC’est officiel, la Jeep Elite et la Pro B iront à leur terme !\\n\\nTerminé le stop and go. Ce lundi, la Ligue Nationale de Basket a décidé de revenir à un rythme normal pour la Jeep Elite comme pour la Pro B à partir du 6 mars. L’assemblée générale a abouti à un quasi consensus. Même si le huis clos est maintenu, les deux championnats iront à leur terme. Une décision valable jusqu’à la fin de la saison, prévue au 15 juin.\\n\\n\\n📃 Communiqué\\n\\n➡️ Retrouvez toutes les décisions prises lors de l'Assemblée Générale de ce lundi 22 février #JeepELITE #PROB #LNB https://t.co/bM3qJAuRJL\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) February 22, 2021\\n\\n\\nLa LNB a par ailleurs présenté les chiffres financiers de la saison passée et les projections pour celle en cours. Pour résumer, la situation n’est pas très positive mais elle aurait pu être bien pire. Pour la LNB, le meilleur moyen d’amortir le choc est de jouer.\\n\\n20 ans après, Pau Gasol revient au Barça\\n\\nLe week-end dernier, les médias espagnols annonçaient le grand retour de Pau Gasol au FC Barcelone. Information démentie par le principal intéressé lundi, puis finalement confirmée sur les réseaux sociaux mardi. Qualifié pour la Liga Endesa et l’Euroleague, la légende espagnole souhaite être suffisamment en forme pour disputer ses cinquièmes et derniers Jeux Olympiques cet été à Tokyo.\\n\\n\\n🔵🔴 I couldn't end such a special day without telling you this...\\n⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀#ForçaBarça pic.twitter.com/YzSKkrSC6Q\\n\\n— Pau Gasol (@paugasol) February 23, 2021\\n\\n\\nParmi les autres transferts des grosses écuries d’Euroleague avant la fermeture du marché cette semaine, on retrouve les retours en Europe jusqu’à la fin de la saison de Mario Hezonja au Panathinaïkos, de Kosta Koufos à l’Olympiacos, David Kramer au Bayern Munich ou encore l’arrivée de Christ Koumadje à l’Alba Berlin.\\n\\nEuroleague : Inarrêtable, l’Asvel décroche une victoire de prestige chez le leader Barcelone, la sixième de suite\\n\\nVingt-quatre ans après sa première victoire au Palau Blaugrana, l’Asvel a réédité l’exploit de battre le Barça à la maison vendredi soir (76-69). Avec cette sixième victoire consécutive en Euroleague, la deuxième face au leader de la compétition, l’Asvel (12e, 12 victoires, 14 défaites) se replace dans la course aux playoffs, à huit journées de la fin de la saison régulière. T.J Parker devient le premier coach français avec le plus de victoires de suite en Euroleague devant Gregor Beugnot (Asvel) et André Vacheresse (Roanne).\\n\\n\\nVOUS ÊTES FANTASTIQUES LES GARS !!! #LDLCASVEL #EuroLeague pic.twitter.com/s9n9WwI0bP\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) February 26, 2021\\n\\n\\nDans les autres rencontres, l’Anadolu Efes a donné une leçon au Fenerbahce dans le derby d’Istanbul (106-74). Vasilije Micic a inscrit 37 points et réalisé 5 passes décisives (44 d’évaluation), son record en carrière. De son côté, le retour de Mike James a permis au CSKA Moscou de battre l’Olympiakos au Pirée, à l’arrache (74-75).\\n\\nThomas Heurtel finira la saison avec l’Asvel\\n\\nEn froid avec Sarunas Jasikevicius, coach du Barça, Thomas Heurtel a été écarté puis a rompu son contrat avec le club catalan en début d’année. Dans le but d’être compétitif pour les Jeux Olympiques de Tokyo cet été, l’international tricolore a choisi de rejouer en club cette saison. Il a choisi Villeurbanne. Il ne pourra porter le maillot de l’Asvel qu’en Jeep Elite et Coupe de France, et non en Euroleague, compétition qu’il a déjà disputé en début de saison avec Barcelone.\\n\\n\\n❗ Le meneur de jeu titulaire de l’équipe de France, Thomas HEURTEL, rejoint LDLC ASVEL jusqu’à la fin de la saison avec le titre de champion de France et la coupe de France dans le viseur !\\n\\n✍ https://t.co/DXZYuyEED0#LDLCASVEL pic.twitter.com/AI29knKECU\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) February 24, 2021\\n\\n\\nD’autres mouvements importants sont à noter en Jeep Elite : l’arrivée de l’ancien joueur NBA Tony Wroten à Pau, celles du meneur américain Branden Frazier et de l’international sénégalais Ibrahima Fall à Monaco, la signature du champion d’Europe 2017 Aleksej Nikolic à Gravelines, celle de Ian Miller à Cholet ou encore la mission sauvetage du pigiste médical Mouhammad Faye à Boulazac. Le marché des transferts de Jeep Elite, hors jokers médicaux, prend fin ce dimanche.\\n\\nEuroBasket 2022 : la France s’incline contre la Grande-Bretagne mais finit en tête de son groupe\\n\\nDéjà assurés de la qualification pour l’Euro 2022 après leur victoire face au Monténégro (73-71), les Français ont terminé ces éliminatoires sur une mauvaise note. Pour la première fois depuis 33 ans, les Bleus s’inclinent contre la Grande-Bretagne (73-94) ce lundi. Vincent Collet, sélectionneur de l’équipe de France, n’a pas manqué de regretter l’état d’esprit affiché par ses joueurs. Il a d’ores et déjà annoncé avoir « 14 ou 15 joueurs » en tête pour les Jeux de Tokyo.\\n\\n\\nLe précieux sésame pour l'@eurobasket 2022 🎟️\\n\\nFélicitations à tous les joueurs ainsi qu'au staff 🙌\\n\\n🅼🅴🆁🅲🅸 🇫🇷 🔥#TeamFranceBasket #EuroBasket pic.twitter.com/XPoZPalj2x\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) February 20, 2021\\n\\n\\nEuroBasket 2022 : La Lituanie arrache sa qualification, la Lettonie n’en sera pas\\n\\nEn difficulté sans ses joueurs majeurs pendant les fenêtres internationales, la Lituanie a dû batailler et attendre les toutes dernières secondes de son dernier match de qualification pour l’Euro 2022 afin d’obtenir le précieux ticket. Ils l’emportent face au Danemark (77-76) après un dernier contre de Mantas Kalnietis. A contrario de la Lettonie qui sera absente de la compétition pour la première fois depuis 1999.\\n\\n\\nIt's been an exciting finish to the #EuroBasket Qualifiers!\\n\\nWho'd you give the 🇲-🇻-🇵 award to on your team? 🧐\\n\\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) February 27, 2021\\n\\n\\nOn connait désormais les 24 qualifiés qui iront en Allemagne, en Géorgie, en Italie et en République Tchèque (phase finale à Berlin) pour le championnat d’Europe prévu du 1er au 18 septembre 2022.\\n\\nL’Euroleague féminine, les playoffs de BCL et des compétitions 3×3 diffusés gratuitement sur Twitch dès le printemps 2021\\n\\nCette semaine, la Fédération internationale de basket (FIBA) a annoncé une collaboration pluri-annuelle avec la plateforme de streaming Twitch. L’accord concerne notamment la diffusion de l’Euroleague féminine, de compétitions de 3×3 et de tournois de jeunes. Avec cet accord, la FIBA prévoit de diffuser gratuitement près de 600 heures de basket par an. A commencer dès la semaine prochaine par les playoffs de BCL.\\n\\n\\n✅La @BasketballCL poursuit son job à la pointe de l'innovation digitale\\n✅Dans le sillage de l'annonce de la @FIBA en collaboration avec @TwitchFR\\n✅Super nouvelle pour la @sigstrasbourg\\n✅Aller chercher les nouveaux fans là où ils sont\\n✅Avec @ErwanAbautret et @justbeliketom https://t.co/3KxsDeuLLy\\n\\n— Thomas Berjoan (@TomBerjo) February 26, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre : Depuis la saison 2017-18, Sergio Llull a manqué 41,2% des matches du Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur de jeu du Real Madrid Sergio Llull (1,90m, 33 ans) a subi une arthroscopie du genou droit et sera absent pour une durée indéterminée en fonction de l’évolution de la blessure. Toutefois, une période d’indisponibilité d’un mois est à prévoir.\\n\\nLes malheurs de l’Espagnol ont commencé en août 2017, lors d’un match amical contre la Belgique pour préparer l’Eurobasket. Il s’était déchiré le ligament croisé antérieur de ce genou droit et des problèmes physiques n’ont cessé depuis de le tourmenter.\\n\\nMarca a calculé que depuis la saison 2017-18, le Real Madrid a disputé 279 matches entre l’Euroleague, la Ligue Endesa, la Copa del Rey et la Super Coupe d’Endesa, et le meneur en a manqué 115, soit 41,2% du total.\\n\\nLlull est donc à l’infirmerie en compagnie de Anthony Randolph (out toute la saison en raison d’une rupture du tendon d’Achille), Rudy Fernandez et Jeffery Taylor. Il est en fin de contrat à l’issue de cette saison et il devrait le prolonger lui qui est dans sa 15e campagne avec le Real.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"LFB : Marie-Laure Lafargue (présidente Basket Landes) se demande si tous les abonnés reviendront après la pandémie" }, {"role": "assistant", "content":"« La billetterie, c’est 40 % de notre budget. »\\n\\nLe Monde s’est penché sur le sort des clubs féminins des différents sports et à ce titre a demandé son témoignage à la présidente de Basket Landes, Marie-Laure Lafargue. Celle-ci précise que le budget de son club est de 1,9 million d’euros et qu’il a demandé à bénéficier du mécanisme de compensation partielle de billetterie mis en place par l’Etat.\\n\\n« Les clubs professionnels peuvent aussi bénéficier d’exonérations de cotisations pour les trois derniers mois de 2020 », ajoute le quotidien du soir.\\n\\nMais plus loin dans l’article, Marie-Laure Lafargue, soucieuse, s’interroge:\\n\\n« Habituellement, plus de la moitié de nos 2 600 places sont occupées par des abonnés. Mais vont-ils tous revenir quand la situation sera revenue à la normale ?«\\n\\nD’une façon générale, Carole Gomez, directrice de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques, estime que:\\n\\n« Le sport féminin a été oublié des réflexions sur le sport de l’aprèsCovid, même s’il y a eu un frémissement en janvier avec la semaine “Sport féminin toujours », impulsée par le Conseil supérieur de l’audiovisuel.\\n\\nPhoto: Basket Landes" }, {"role": "user", "content":"Le meneur US Codi Miller-McIntyre nouveau venu à la JL Bourg" }, {"role": "assistant", "content":"Pour remplacer Kadeem Allen, la JL Bourg a fait appel au meneur US Codi Miller-McIntyre (1,90m, 26 ans).\\n\\nCette saison, celui-ci était au Partizan Belgrade pour 13,1 points (39,5% à trois-points, 3,9 rebonds, 4,5 passes en Eurocup. Une compétition qu’il avait déjà joué avec St. Petersbourg et Ljubljana.\\n\\nAu Partizan, Codi Miller-McIntyre avait été écarté ces dernières semaines par le coach Saso Filipovski (ex-Monaco) car il ne cadrait pas avec sa philosophie de jeu.\\n\\n * 2012-2016 : Wake Forest Demon Deacons\\n * 2016-2017 : Leuven Bears\\n * 2017-2018 : Parma\\n * 2018-2019 : Zenit St. Petersbourg\\n * 2018-2019 : Texas Legends\\n * 2019-2020 : Cedevita Ljubljana\\n * 2020-2021 : Partizan NIS Belgrade" }, {"role": "user", "content":"Ian Miller revient en France, à Cholet Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket annonce la signature de l’arrière américain Ian Miller (1,90m, 29 ans ) jusqu’à la fin de saison.\\n\\nFormé à l’Université de Florida State entre 2010 et 2014, celui-ci est ensuite passé par Fileni NBP et Jesi Manital Torino et Tezenis Verona, trois clubs en Italie, puis le BK Astana (Kazakhstan), Muratbey Usak Sportif Basketbol (Turquie), Gravelines, Hapoel Galil Gilboa (Israël) et Roanne.\\n\\nCette saison, Ian Miller évoluait avec le club grec de ASP Promitheas Patras, où il cumulait 15,6 points, 2,1 rebonds et 3,0 passes en 10 matches d’Eurocup.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=MQS4RzPvheI&fbclid=IwAR3DR45vgB-d1fhYMANdIL_mx5_BrB5if3HcZ4SbM-_hIXzzDRN0SpBDq70&ab_channel=SEBHL" }, {"role": "user", "content":"L’international sénégalais Ibrahima Fall Faye signe à Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la deadline du recrutement en Jeep Elite est demain, l’AS Monaco Basket enregistre la signature du pivot international sénégalais Ibrahima Fall Faye (2,09m, 105 kilos, 24 ans), qui arrive d’Anvers (15,1 points, 6,8 rebonds, 1,1 contre en 10 matches d’Eurocup).\\n\\nIbrahima Fall Faye a été un condisciple de Youssoupha Fall (Vitoria) à la Seed Academy, à Thiès au Sénégal. En 2014, à l’âge de 17 ans, Ibrahima se mettait en lumière en devenant le premier joueur africain à remporter le titre de MVP de la Jordan Brand Classic aux USA, à Brooklyn, dans la catégorie joueurs étrangers.\\n\\nCette même année, il intégrait le Centre de formation de l’Elan Chalon. Il a effectué ses premières apparitions en pro lors de la saison 2016/17. Pour la saison 2017-18, Fall a évolué à Poitiers en Pro B (4,9 points, 4,9 rebonds en 17 mn/match pour 34 matches joués).\\n\\nEn 2018/19, il mettait le cap sur la Belgique, à Louvain puis donc à Anvers. International sénégalais, mais possédant le statut de joueur JFL, Ibrahima Fall Faye a disputé avec les Lions la Coupe du monde 2019 en Chine, et vient de terminer en tête de son groupe de qualification pour l’AfroBasket qui aura lieu à Kigali à la fin de l’été.\\n\\n« C’est une aventure passionnante qui va débuter pour moi avec Monaco. J’intègre une équipe qui joue un beau basket et qui met du physique dans son jeu, comme je l’affectionne. La Roca Team, c’est du lourd. Il y aura une première place à défendre. Je rejoins des supers joueurs, un club ambitieux. De quoi vivre de grands matches, » commente t-il." }, {"role": "user", "content":"37 points pour Vasilije Micic (Anadolu Efes) face au Fener : «Ce fut un jour de chance pour moi aujourd’hui»" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière serbe Vasilije Micic (1,97m, 27 ans) a été une fois encore diabolique lors de la très large victoire, dans le derby d’Istanbul, de l’Anadolu Efes sur Fenerbahçe: 74-106.\\n\\nVasilije Micic a totalisé 37 points en ne loupant que deux shoots, soit 4/6 à deux-points, 6/6 à trois-points et 11/11 aux lancers-francs. En ajoutant 5 passes, il est parvenu à 44 d’évaluation.\\n\\n« Ce fut un jour de chance pour moi aujourd’hui », a t-il commenté, modeste. « J’ai marqué de nombreux tirs difficiles, mais je pense que personnellement j’ai bien commencé le match. Nous avons également joué une excellente défense au premier quart-temps, ce qui nous a donné une confiance supplémentaire. De plus, (Fenerbahce) était ces temps-ci l’équipe dans la meilleure forme mais aujourd’hui, nous avons vraiment stoppé leur attaque. Nous avons vraiment joué dur. Chaque joueur qui est entré sur le terrain a fait un effort supplémentaire, et j’en suis vraiment heureux. Chaque match est une histoire différente », a t-il repris. « Je ne prépare aucun match avec quelque chose de spécial. Je vais sur le terrain et j’essaie de sentir mon corps du mieux que je peux. De plus, nous essayons de trouver ce rythme qui était vraiment parfait pour nous l’année dernière, et je pense que nous nous mettons dans cette forme, ce qui est très important. Cela m’a également aidé à me sentir en confiance en tant que joueur. »\\n\\nDu côté du Fenerbahçe, Nando De Colo n’a rien à se reprocher, et avec 24 points et 28 d’évaluation, il est dans ses standards.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Barça / ASVEL (69-76) – Norris Cole : «Nous croyons les uns dans les autres et nous jouons vraiment bien en ce moment»" }, {"role": "assistant", "content":"Avec une défense à toute épreuve et un collectif très soudé, les Villeurbannais se sont offerts en Catalogne un magnifique exploit face au leader de l’Euroleague, le FC Barcelone, et continuent d’espérer une place en playoffs; ils sont à trois victoires des trois équipes classées huitièmes. De son côté, TJ Parker est devenu l’entraineur français avec le plus de victoires de suite en Euroleague devant Gregor Beugnot (ASVEL) et André Vacheresse (Roanne).\\n\\nRestant sur cinq victoires consécutives, l’ASVEL a balayé le Barça pour une sixième. Qui arrêtera la folle remontée de l’ASVEL vers les playoffs de l’Euroleague ? Déjà vainqueur en novembre dernier lors du match aller, Villeurbanne a débuté le match sous de bons auspices et imposait sa défense petit à petit (15-19). Malgré la redoutable efficacité dans les tirs extérieurs de Nikola Mirotic (19 points à 8/12 aux tirs) et Brandon Davies (22 points et 8 rebonds) à l’intérieur, les Villeurbannais pouvaient toujours rêver de l’exploit à la pause (35-34) malgré une accumulation de fautes et une palanquée de lancers-offerts aux Catalans.\\n\\nEn seconde période, Mirotic essayait de donner de l’air au Barça avec cinq points consécutifs mais l’attaque rhodanienne se réveillait, elle qui était quelque peu grippée en première mi-temps, avec Norris Cole (21 points 3/4 à trois-points et 4 passes pour 19 d’évaluation) et William Howard (13 points à 3/5 à trois-points et 8 rebonds pour 21 d’évaluation) qui se sont chargés de répondre au Barça pour garantir une fin de match pleine de suspense (54-54).\\n\\nEn s’appuyant sur un Moustapha Fall (13 points, 5 rebonds) encore une fois impeccable dans la peinture et sur une bonne adresse collective (9/18 à trois-points), Villeurbanne a mené ce dernier quart-temps et a mis en péril l’assise défensive du Barça. Norris Cole a été une nouvelle fois très important dans le money-time en enfilant son costume de patron pour sceller la victoire (76-69).\\n\\nSarunas Jasikevicius (Coach FC Barcelone) : « C’est une soirée décevante pour nous, car nous n’avons pas joué un bon basket. Il était très important pour nos joueurs de se déconnecter après le calendrier très difficile et nous avons essayé de leur donner du temps libre. Il est temps pour eux de comprendre maintenant qu’ils doivent se remettre dans le bain et jouer le basket que nous sommes capables de jouer. L’ASVEL à fait un bon match et a joué physique, comme nous l’avions prévu. Nous devons comprendre que le trophée de la Copa del Rey est déjà dans le musée. C’est du passé. Nous devons revenir en arrière et donner le meilleur de nous-mêmes, jouer avec beaucoup d’ambition et d’attention vis à vis des détails. Ce soir, nous n’avons pas eu l’ambition que nous avions ces derniers mois. Je suis surpris que notre banc ait été très silencieux. Je pensais qu’après une si longue période sans jouer, les gars seraient excités de jouer et de gagner un match de l’Euroleague, mais ce n’était pas vraiment le cas. Nous devons donner beaucoup de crédit à l’ASVEL, l’une des équipes les plus physiques d’Europe, avec beaucoup de taille dans les positions « trois », « quatre » et « cinq », et des joueurs très compétitifs comme David Lighty et Charles Kahudi. Nous devons maintenant essayer de remédier à cette situation. L’Euroleague est très difficile, comme vous le voyez, la différence entre la première et la cinquième ou sixième place ne se fait qu’en quelques matchs. Nous devons comprendre cela et aller de l’avant ».\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « Ce n’est pas une salle où il est facile de jouer. C’est une grande équipe et vous ne pouvez pas faire d’erreur. Je leur ai dit que nous devions tenir bon, tenir bon, tenir bon, et dans le quatrième quart-temps, on ne sait jamais ce qui peut arriver. Et c’est exactement ce qui s’est passé. A la mi-temps, nous avons fait du bon travail, nous perdions d’un point, puis nous avons égalisé (à la fin du troisième quart-temps) et après cela, nous avons fait un gros quatrième quart-temps. C’est donc une énorme victoire pour nous. La valeur de cette victoire : je ne pense pas que beaucoup d’équipes puissent dire qu’elles ont battu Barcelone deux fois cette année, et c’est ce que nous avons fait. C’est une chose énorme pour nous, pour notre organisation, pour LDLC ASVEL. Donc, félicitations aux gars. Ils se sont battus tout au long du match et c’est énorme pour l’équipe ».\\n\\nNorris Cole (ASVEL) : « Nous savions que le match allait être serré, qu’il allait se jouer dans les dernières minutes. C’est mon travail de m’assurer que nous clôturons les matchs de la bonne manière. Notre équipe a fait du bon travail en se battant ensemble, et nous avons obtenu une belle victoire d’équipe. Nous avons exécuté le plan du match. C’est une bonne équipe à trois-points, alors nous avons essayé de limiter leurs trois-points. Et puis, en attaque, nous avons travaillé et nous avons pris notre temps. En défense, nous avons été efficaces au rebond. Chaque fois qu’ils rataient leurs shoots, on essayait de prendre le rebond pour pouvoir jouer une bonne attaque. Je suis tellement content de nos gars. Nous croyons les uns dans les autres et nous jouons vraiment bien en ce moment. »\\n\\nPhoto : Norris Cole, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines : les U20 ont la part belle en LFB" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Iliana Rupert – Bourges (Photo : Bourges – Anne Perrinet)\\n\\n44 jeunes filles de 20 ans et moins ont cette saison foulé les parquets de la LFB, la première division du basket professionnel féminin. Et elles sont 62 en Ligue 2, la deuxième division professionnelle. Un très important contingent qui garantit le renouvellement de l’élite du basket français au féminin. Quelles sont les raisons d’une telle confiance accordée à ces jeunes filles ? Trois experts du basket féminin – le sélectionneur de l’équipe de France des moins de 20 ans, Jérôme Fournier, et deux coachs habitués à faire jouer leurs jeunes pousses, Aurélie Bonnan (Nantes-Rezé) et François Gomez (Tarbes) –, nous donnent un éclairage sur le sujet.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nElles ont 20 ans ou moins, mais elles jouent déjà en LFB (Ligue Féminine de Basket), l’élite du basket féminin français : elles sont 44* à pouvoir se targuer de cet honneur, dont 21 qui disposent d’un réel rôle – autrement dit être entré en jeu sur au moins la moitié des matchs disputés (sauf blessure) et avoir joué au moins 7 minutes par match. Comparé aux chiffres de la Jeep Élite masculine (54 U21 entrés en jeu cette saison dont 20 avec de vraies responsabilités), ce contingent pourrait paraître « maigre ». Mais ce serait oublier que si l’élite masculine compte 18 équipes, elles ne sont que 12 en LFB, impliquant donc réellement dans leurs prestations près de deux jeunes filles par équipe.\\n\\nMieux, la Ligue 2 (l’équivalent féminin de la Pro B masculine) est un excellent terrain de jeu pour ces jeunes. Déjà parce que c’est à ce niveau qu’évolue, et avec quelques résultats (2 victoires pour 14 défaites cette saison), le Pôle France (et ses 17 joueuses entrées au moins une fois sur le parquet) et ses très jeunes espoirs nées entre 2003 et 2005 à une exception près, nous y reviendrons dans un autre article. Ensuite parce que, même en ne comptant pas ces cadettes représentant ce qui se fait de mieux en France dans ces classes d’âge, il y a 45 jeunes filles de moins de 20 ans à s’ébrouer sur les parquets dans les 11 autres équipes de la division. Et elles sont 31 à jouer plus de 7 minutes par match, dont 25 plus de 10 minutes.\\n\\nCulture club\\n\\nComment expliquer cette profusion de jeunes filles alors même qu’il ne s’agit pas de compenser un éventuel exode des meilleures joueuses françaises vers d’autres championnats (à l’heure actuelle, seule Sandrine Gruda, parmi les internationales françaises, évolue hors de France) ? Pour François Gomez, le coach de Tarbes et ancien entraîneur au Pôle France, la première explication tient « à l’intérêt pour la formation qui fait partie de la culture des clubs. Il y a aussi un aspect économique : former une joueuse susceptible de prendre des responsabilités est une opération qui a un rapport qualité-prix intéressant. » Sélectionneur de l’équipe de France féminine U20, Jérôme Fournier rappelle que « le mérite de la bonne formation de ces jeunes filles revient à la Fédération et aux clubs professionnels avec leurs centres de formation. Les deux entités forment un écosystème très complémentaire, qui permet d’accompagner les jeunes filles jusqu’au plus haut niveau. »\\n\\nAurélie Bonnan, coach de Nantes-Rezé, renchérit sur l’aspect économique : « un club disposant d’un budget peu important comme Nantes-Rezé porte forcément de l’intérêt au développement de jeunes joueuses. Mais il faut pouvoir leur donner du temps de jeu pour les attirer. » Du reste, lorsqu’elles ne sont pas blessées comme Hatoumata Diakité (18 ans, 1,91 m, 17,9 mn, 2,3 points, 5,3 rebonds et 5,8 d’évaluation en 9 matchs joués), les cinq jeunes filles nées entre 2001 et 2002 couvées par Nantes-Rezé n’évoluent qu’avec l’effectif professionnel, et pas seulement pour des raisons sanitaires. « Nous avons choisi de ne pas les faire jouer en Espoirs, où le championnat est de toutes façons arrêté, et de les intégrer au groupe professionnel. Avec les pros, elles apprennent beaucoup car tout va plus vite, tout est plus dur. Parallèlement, l’écart de niveau entre les Espoirs et les pros est moins important chez les filles que chez les garçons. »\\n\\nUne question de maturité ?\\n\\nL’une des idées répandues consiste par ailleurs à dire que les jeunes filles sont mûres plus jeunes que les garçons. Une réalité ? Pour François Gomez, c’est le cas : « une jeune fille comme Marie Pardon (1,78 m, 20 ans, 30 mn/match, 7,0 pts, 5,0 passes, 4,4 d’éval) est en Master 2. Et il y a pas mal de jeunes filles engagées dans des formations simultanées, basket et études, car elles pensent à leur avenir extra-basket. Même si les salaires ont augmenté en LFB (ils dépassaient rarement les 90 000 € par an il y a quelques saisons, alors qu’elles sont une trentaine à gagner entre 100 et 150 000 € aujourd’hui, elles ont conscience qu’il faut également préparer leur vie d’après la compétition. » Jérôme Fournier module cet avis en rappelant que « si les jeunes joueuses on un rapport au jeu plus mâture, elles ne sont finalement pas si mûres que ça, car parfois trop cocoonées... »\\n\\nCe rapport au jeu, Jérôme Fournier le détaille en soulignant l’évolution du basket féminin : « il se ‘masculinise’, avec plus de un-contre-un, plus d’agressivité, plus de spontanéité, de créativité, alors qu’on était auparavant sur un basket très discipliné, un peu stéréotypé. Cette évolution est liée au fait que les joueuses sont de plus en plus athlétiques, certaines jeunes filles arrivent même à dunker ! Par ailleurs, il y a une évolution très notable sur le plan psychologique, les jeunes filles ont de plus en plus confiance en leurs capacités. Et elles sont devenues très exigeantes sur le plan pédagogique tout en étant plus autonomes. Pour le coach, cela implique de mettre beaucoup de sens dans ce qu’il fait, il devient plus un accompagnateur qu’un éducateur. Il faut essayer de faire en sorte que tout le monde travaille dans un sens commun tout en accompagnant les projets individuels, faire prendre conscience aux filles qu’elles ont besoin des autres, de la notion d’intelligence collective. En fait, je suis devenu un facilitateur d’émergence ! »\\n\\nÊtre pro, la finalité\\n\\nPour émerger, encore faut-il que les jeunes filles soient aptes à évoluer au plus haut niveau. Pour les meilleures d’entre-elles, la question se pose peu. Et le trajet est tout tracé : Pôle France, équipes de France de jeunes, centre de formation d’un club professionnel. « Plus de 90 % des filles à très haut niveau sont passées par les pôles Espoir puis le Pôle France avant de rejoindre des clubs professionnels, » souligne Jérôme Fournier. Qui ajoute : « toute l’organisation travaille dans le même sens, amener les filles qui passent par les équipes de France de jeunes vers la sélection adulte. Avec les U20, nous sommes la porte d’entrée vers l’équipe de France senior. Mais les meilleures jeunes, comme Marine Fauthoux ou Iliana Rupert, passent directement des U18 aux adultes et c’est une bonne nouvelle pour l’équipe de France ! »\\n\\nToutes les jeunes filles évoluant actuellement en LFB ou en Ligue 2 ne seront bien évidemment pas internationales, chez les jeunes comme chez les adultes. Mais elles peuvent devenir professionnelles, c’est la finalité de leur présence dans les effectifs des clubs. Cela étant, tout le monde n’aura pas cette chance, comme l’explique Aurélie Bonnan : « des cinq jeunes joueuses que nous avons à Nantes-Rezé, toutes ne feront pas carrière en LFB, certaines iront en Ligue 2. Nous les accompagnons dans ce sens, en formant autant des femmes que des joueuses. » Une réalité à prendre en compte, d’autant que ces jeunes doivent faire leurs preuves : « on construit une équipe autour de joueuses confirmées, pas des plus jeunes, » explique François Gomez. « Pour ces jeunes filles, il faut donc émerger au plus vite, surtout sur les postes extérieurs, car on sait que les intérieures émergent un peu plus lentement. »\\n\\nPar ailleurs, évoluer au niveau professionnel implique d’apprendre à avoir un comportement pro en permanence : « il faut être pro tout le temps, sur et en dehors du terrain, au niveau mental, diététique, etc., » précise François Gomez. Aurélie Bonnan complète ce propos en expliquant que ces jeunes filles doivent « apprendre les règles de vie du groupe professionnel et tous ses à-côtés, notamment les notions d’argent. Être pro, ce n’est pas que dans le jeu. »\\n\\nLa Ligue 2, terroir de qualité\\n\\nSi les meilleures jeunes filles, ou considérées comme telles, sévissent principalement dans les équipes de LFB, le fort contingent présent en Ligue 2 ne doit pas être négligé. Déjà parce que, comme nous l’avons vu précédemment, les très jeunes filles du Pôle France y apprennent le métier. Mais aussi et surtout parce que les clubs de la division permettent à 25 jeunes filles nées entre 2000 et 2003 de jouer 10 minutes ou plus par match (outre trois nées en 2004 qui jouent peu, soit en nombre de minutes (Lisa Cluzeau, Mondeville, 6,1 mn sur 6 matchs), soit en quantité d’apparitions (Maelys De Freitas, Toulouse, 15,3 mn mais un seul match joué)). Et elles y sont performantes : elles sont 11 à inscrire plus de 5 points par match et autant à présenter une évaluation supérieure à 5. Pour Aurélie Bonnan, « la Ligue 2 est un passage forcément intéressant. Une jeune a besoin de jouer pour apprendre à gérer le stress des matchs. Cela fait que la Ligue 2 est un très bon tremplin. » Un propos auquel François Gomez acquiesce en ajoutant que « la Ligue 2 est un très bon terrain de jeu pour la formation, un très bon tremplin pour la LFB. » Ainsi, les joueuses un peu « courtes » pour les centres de formation de LFB peuvent s’aguerrir et se montrer en Ligue 2 et, pour celles qui sortiront du lot, atteindre le niveau supérieur.\\n\\nUn avenir encourageant\\n\\nÀ voir cette foule de jeunes filles progresser sur les terrains de la Ligue féminine, on ne peut qu’être optimiste pour l’avenir de l’équipe de France ainsi que pour celui du championnat français. Sur ce dernier aspect, François Gomez rappelle ainsi que « les joueuses françaises expatriées reviennent au pays car, si elles y gagnent peut-être un peu moins d’argent, elles y bénéficient de la garantie d’être payé et de la protection socaile, le tout dans un championnat de très bon niveau. » Et le même ajoute que « les équipes de France de jeunes sont très bonnes depuis vingt ans. Au ranking, la France figure toujours dan les 3-4 premières nations chez les femmes. Nous sommes une grosse nation de basket féminin. » De quoi conforter une vision souriante que partage également Jérôme Fournier : « je suis optimiste et positif, la situation évolue dans le bon sens. Beaucoup de clubs font confiance à de jeunes joueuses. J’aimerais qu’il y en ait encore plus, mais elles sont déjà nombreuses et la formation est de qualité. »\\n\\nDemain, nous nous intéresserons à certaines individualités de ces U20 féminines.\\n\\n* Les statistiques proposées dans cet article ont été relevées le 18 février, avant la dernière journée de championnat.\\n\\n[armelse]\\n\\nElles ont 20 ans ou moins, mais elles jouent déjà en LFB (Ligue Féminine de Basket), l’élite du basket féminin français : elles sont 44* à pouvoir se targuer de cet honneur, dont 21 qui disposent d’un réel rôle – autrement dit être entré en jeu sur au moins la moitié des matchs disputés (sauf blessure) et avoir joué au moins 7 minutes par match. Comparé aux chiffres de la Jeep Élite masculine (54 U21 entrés en jeu cette saison dont 20 avec de vraies responsabilités), ce contingent pourrait paraître « maigre ». Mais ce serait oublier que si l’élite masculine compte 18 équipes, elles ne sont que 12 en LFB, impliquant donc réellement dans leurs prestations près de deux jeunes filles par équipe.\\n\\nMieux, la Ligue 2 (l’équivalent féminin de la Pro B masculine) est un excellent terrain de jeu pour ces jeunes. Déjà parce que c’est à ce niveau qu’évolue, et avec quelques résultats (2 victoires pour 14 défaites cette saison), le Pôle France (et ses 17 joueuses entrées au moins une fois sur le parquet) et ses très jeunes espoirs nées entre 2003 et 2005 à une exception près, nous y reviendrons dans un autre article. Ensuite parce que, même en ne comptant pas ces cadettes représentant ce qui se fait de mieux en France dans ces classes d’âge, il y a 45 jeunes filles de moins de 20 ans à s’ébrouer sur les parquets dans les 11 autres équipes de la division. 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J’avais fait le nombre car on s’était déplacé avec un effectif réduit. Je suis rentré deux ou trois minutes comme Jean Luent qui était entraîneur-joueur. Je n’ai pas marqué, juste posé un ou deux blocs. »\\n\\nPierre Seillant était au centre de nombreuses 3e mi-temps. Voici la plus mémorable.\\n\\n« La consécration, c’est le jour où on monte en Nationale 1 en espérant, si possible, participer un jour à une coupe d’Europe et pourquoi pas affronter le Real Madrid, un mythe pour nous. Le soir de la montée, la fête a duré 48 heures ! J’étais jeune à l’époque, je supportais bien ! »\\n\\nL’Elan Béarnais de Pierre Seillant a gagné la Coupe Korac (C3) en 1984 avec une finale mémorable à Paris-Coubertin face à l’Etoile Rouge de Belgrade. La aussi largement célébrée.\\n\\n« Il y a eu une grosse fête mais plus à Orthez qu’à Paris avec notamment un supporter qui a grimpé jusqu’au sommet de l’aiguille de l’église pour y installer le drapeau de l’Elan ! 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Quant à Céline Dumerc, c’est elle qui a su parfaitement gérer le money time.\\n\\nIl s’agit pour Basket Landes de la 4e victoire en 10 jours, ce qui lui permet de consolider sa deuxième place au classement avec deux défaites de moins que les Lyonnaises, privées hier soir de leur pivot Helena Ciak, qui en lot de consolation conservent le point-average particulier.\\n\\nPhoto: Miranda Ayim (Basket Landes, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Facundo Campazzo (ex-Real Madrid) : «La NBA, un changement à 360°»" }, {"role": "assistant", "content":"Après une brillante carrière en Europe, l’Argentin Facundo Campazzo (1,78m, 29 ans) s’est envolé à l’automne pour l’Amérique et les Denver Nuggets. L’ancien du Real revient sur son adaptation en NBA.\\n\\nLes premières semaines américaines de « Facu » n’ont pas été simples. D’abord cantonné au banc, le meneur argentin n’a pu afficher qu’une moyenne de 3,5 points et 1,6 passe décisive en seulement 11,8 minutes lors de ses 22 premiers matchs. Mais, à force de travail d’adaptation, il a fait grandir son rôle, affichant désormais 11,1 points, 3,7 passes décisives, 2 rebonds et 1,3 interceptions en 29,2 minutes lors des sept derniers matchs.\\n\\n« Je savais que je venais d’un endroit différent et que le processus d’adaptation allait prendre du temps. Je continue d’essayer de m’adapter le plus rapidement possible. C’est une ligue totalement différente. Il y a quatre mois, je jouais avec le Real Madrid, dans une autre ligue, dans une autre compétition, et du jour au lendemain, c’était un changement à 360°. Je savais ce qui allait arriver, je savais plus ou moins quel serait mon rôle et que j’allais mener à bien ce processus« , confie-t-il lors d’une visioconférence avec Team Facu.\\n\\nLe meneur de jeu se sent de plus en plus confiant dans l’effectif de Mike Malone, notamment offensivement (37,6% à trois points), même si son petit gabarit ne lui permet pas d’être aussi efficace qu’en Europe. 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C’est une autre planète, près de 60 personnes voyagent avec 16 joueurs dont des analystes, des assistants entraîneurs... Le coach a beaucoup d’informations. Ce que fait un seul entraîneur adjoint ici, en Espagne, quatre ou cinq personnes le font en NBA. Il y a de nombreuses facettes intéressantes, tout le monde est spécialisé dans quelque chose. »\\n\\nSur le rôle d’un coach assistant en NBA :\\n\\n« Avec le rythme des matchs et des voyages, il n’y a pas de séances d’entraînement collectif en NBA. Le travail individuel est presque la seule chose que les joueurs font. Nous travaillons chacun avec 3 ou 4 joueurs avec des vidéos, une aide à l’amélioration tactique... c’est presque une relation personnelle. C’est nous qui formons les joueurs chaque jour. »\\n\\nSur Facundo Campazzo, meneur des Denver Nuggets :\\n\\n« Je le connais bien et je parle beaucoup avec lui, il s’adapte. Je lui dis : « Regarde Facu, tu as des choses que personne n’a : vitesse, agressivité ». Petit à petit, il découvre, il a besoin de temps. Jordi Fernandez l’aide beaucoup et il va continuer à progresser parce que nous savons qui nous avons signé et ce que cela nous apportera.«\\n\\nSur le basketball en Afrique :\\n\\n« L’Afrique a toujours eu des talents mais, ce qui s’est passé, c’est que la formation locale n’a jamais été bonne. Des joueurs comme Embiid ou Siakam vont inspirer les jeunes et aider cette génération à se développer davantage. En tant qu’entraîneur du Sénégal, j’aime beaucoup parler aux joueurs, les encourager à s’entraîner l’été. Je pense que les choses vont progresser car maintenant, il y a beaucoup plus d’investissements dans les infrastructures et cela signifie que dans les années à venir, nous verrons beaucoup plus d’Africains en NBA et en Europe.«\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"En direct avec... Tyren Johnson (ADA Blois) : «Mon pire souvenir, c’est à Blois, l’année du titre, en 2018, parce que je n’étais pas heureux à ce moment-là.»" }, {"role": "assistant", "content":"Tyren Johnson (2,01 m, 32 ans) est une figure reconnue de Pro B. Après deux saisons de belle facture à Châlons-Reims puis Hyères-Toulon entre 2012 et 2014 puis diverses expériences autour du monde, c’est à l’ADA Blois qu’il s’est révélé comme l’un des tout meilleurs joueurs de Pro B, décrochant un titre de champion de France et de MVP en 2018. Depuis quatre saisons, Tyren Johnson est l’un des atouts offensifs des blésois et le sera encore jusqu’en 2022. Rencontre avec l’homme à tout faire de l’ADA Blois, invité de notre rubrique « En direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nLe premier match professionnel que j’ai joué, c’était en Belgique avec l’Okapi Aalstar, lors de la saison 2010-2011. Je ne me souviens pas de l’équipe contre qui nous avons joué mais nous avons gagné assez facilement et j’ai marqué 28 points. J’en garde un très bon souvenir, car j’avais une peur bleue de venir en Europe. C’était mon premier match et j’ai finalement pu sortir de ma boîte, jouer et tout a été plus facile par la suite. (NDLR : pour sa première saison professionnelle, Tyren Johnson a cumulé 9,9 points, 4,6 rebonds, 1,8 passe, 1,1 interception et 0,9 contre pour 10,1 d’évaluation en 25 minutes de jeu sur 31 matchs.)\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nPaul Georges (LA Clippers) et Christopher Copeland (NDLR : son coéquipier à l’Okapi Aalstar) m’ont rendu meilleur. Et comme modèle, je dirai Tracy McGrady (Ex-Houston, NBA), mon joueur préféré.\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nL’adversaire le plus coriace contre qui j’ai joué, c’est Cédric Bah, mon coéquipier à Blois. C’est le meilleur gars contre qui j’ai joué sur mon poste en Pro B. Il est fort comme un roc et rapide à la fois. Cédric est très difficile à contenir et à jouer au quotidien, lors des entraînements et des matchs.\\n\\nQui est le meilleur joueur actuel de Pro B ?\\n\\nHumm, Tyren Johnson ! C’est clair ! (rires)\\n\\nQuel a été le joueur qui vous a le plus marqué ?\\n\\nChima Moneke (Orléans) m’a vraiment impressionné. C’est un joueur qui a été sous-estimé, qui avait juste besoin d’une opportunité pour démontrer tout son potentiel. Il a de grandes qualités athlétiques, il est dominant sur son poste et il a un tir très rapide.\\n\\nQui est le meilleur coach actuel de votre championnat ?\\n\\nNotre coach, Mickaël Hay. Avec lui, nous avons été champions de NM1 en 2016, puis il nous a emmenés en playoffs de Pro B dès la première année à ce niveau. En 2018, nous sommes champions de Pro B, ensuite nous allons en playoffs en 2019 et l’année dernière nous étions premiers à l’arrêt des compétitions (NDLR : avec un bilan de 19 victoires pour 4 défaites). Ça ne peut donc être que Mickaël Hay.\\n\\n« Je suis Américain, je suis déjà à l’étranger et je ne veux pas aller dans une ville froide où il n’y a rien à faire. Mais le club n’a pas d’importance »\\n\\nQuel est le club dans lequel vous rêvez de jouer ? Et au contraire, un club où vous ne voudriez pas aller ?\\n\\nJe ne rêvais pas vraiment de jouer en Europe, mais j’accepte n’importe quel travail. Par-là, je veux dire que je peux jouer dans une grande ville comme Paris ou Barcelone. Mais je ne veux pas aller en Russie, je ne pense pas pouvoir aller là-bas. Après, je ne veux pas aller dans une petite ville ennuyeuse. J’ai besoin de bouger constamment. Je suis Américain, je suis déjà à l’étranger et je ne veux pas aller dans une ville froide où il n’y a rien à faire. Mais le club n’a pas d’importance.\\n\\nQuelle est la salle proposant la meilleure ambiance ?\\n\\nLes supporters les plus chauds que j’ai connus sont ceux du club d’Okapi Aalstar : chaque match était complet et les gens ne s’asseyaient jamais.\\n\\nEt la ville où vous avez préféré jouer ?\\n\\nJ’ai adoré jouer à Chihuahua au Mexique, avec Los Soles de Ojinaga. Ça a été l’une de mes meilleures expériences professionnelles. C’est une ville proche des États-Unis et il y a un mode de vie similaire. Le temps est superbe et les conditions de vie sont incroyables. Je n’étais qu’à deux heures trente de ma famille, en Louisiane. Jouer au basket était plus facile, ce n’était pas autant de pression et les gens ne me traitaient pas comme un simple joueur de basket-ball.\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir ?\\n\\nC’était avec Los Soles de Ojinaga, en 2017. Nous avons joué pour le titre de champion de l’État de Chihuahua mais nous avons finalement perdu en finale. Personne ne nous attendait à ce niveau car l’année précédente, nous étions l’une des pires équipes. Quand je suis arrivé, j’ai joué mon premier match avec les pieds brûlés à cause de la cryothérapie. J’ai fait tout le match en jouant sur la pointe des pieds et j’ai inscrit 30 points. (rires) C’était vraiment une année spéciale au vu de ce que nous avons fait avec l’équipe.\\n\\nÀ l’inverse, quel est votre moins bon souvenir ?\\n\\nMon pire souvenir, c’est à Blois, l’année du titre, en 2018, parce que je n’étais pas heureux à ce moment-là. J’ai travaillé très dur pendant de nombreuses années pour gagner un titre, en étant obsédé par la victoire. Lorsque j’ai finalement remporté le championnat, je pensais que j’allais être très heureux mais en fait je me suis senti très mal parce que je me suis aperçu que j’avais raté tant de choses en étant obnubilé par le titre au lieu de profiter de ce qui m’entourait. À l’époque, je ne comprenais pas le basket européen, je pensais, comme on me l’avait appris, que le monde entier était contre moi, j’avais l’impression de jouer contre mon adversaire et aussi contre mon équipe. Ce qui fait que je n’aimais pas forcément mes coéquipiers, je ne cherchais pas à les comprendre, je les jugeais. Ce qui est fou, c’est que maintenant la plupart de ces gars sont des amis proches !\\n\\nAvez-vous un match référence ?\\n\\nC’est assez difficile d’en choisir un seul, j’ai joué beaucoup de matchs où j’ai fourni de grosses prestations. Je dirai que le match contre Fos-Provence lors de la 2e journée de championnat l’année dernière est une référence pour moi (victoire 101-98 après prolongation). J’ai fait un gros match et j’ai réussi de gros shoots. C’était dur mais nous avons gagné et ce match m’a marqué (NDLR : Tyren Johnson a fini la rencontre en tant que MVP et a inscrit 33 points à 61,1% aux tirs, 5 rebonds, 3 passes pour 33 d’évaluation).\\n\\n« Je porte le numéro 2 car mon meilleur ami portait ce numéro et il est décédé il y a trois ans »\\n\\nEt un match dont vous avez honte ?\\n\\nC’était lors de ma première saison professionnelle, avec Okapi Aalstar. Nous jouions contre Liège Basket. J’étais un jeune joueur et mon coach décide de me placer au poste 4 car mon coéquipier qui jouait à ce poste-là était pénalisé par les fautes. C’était la première fois de ma vie que je jouais à ce poste, face au grand frère de Blake Griffin (NDLR: le joueur des Pistons de Detroit), Taylor Griffin. Il m’a littéralement marché dessus, c’était terrible. Les supporters adverses m’ont chambré tout le match, à chaque prise de position, je me faisais dominer et je me retrouvais dans le décor. C’était un grand moment de solitude.\\n\\nSi vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel serait-ce ?\\n\\nSi je pouvais, je volerais le crossover d’Allen Iverson.\\n\\nPourquoi avoir choisi le 2 comme numéro de maillot ?\\n\\nJe porte le numéro 2 car mon meilleur ami portait ce numéro et il est décédé il y a trois ans. À mes débuts en France, je portais le numéro 12 car il n’était pas possible d’avoir le 2 en Pro B et je l’avais pris car j’étais numéro 1 et lui numéro 2, nous étions comme des frères. En 2018, j’ai pu porter son numéro et j’ai décidé de lui faire honneur.\\n\\nAvec quels joueurs avez-vous le plus d’affinités ?\\n\\nJ’ai beaucoup d’affinités avec Torey Thomas (STB Le Havre, NM1), qui jouait avec moi à Blois en 2017-18. Il fait partie de ceux qui ont fait que je suis devenu MVP.\\n\\nQuels sont vos sujets de conversation dans les vestiaires ou entre les entraînements ?\\n\\nNous avons une équipe assez jeune, on plaisante. Nous ne parlons pas vraiment. Nous plaisantons juste beaucoup. Parfois, avec Alexis Tanghe, on parle d’histoires et des différents joueurs. Nous parlons de différentes choses, lui et moi.\\n\\nAvec qui monteriez-vous votre cinq de légende ?\\n\\nJe prendrai Torey Thomas (STB Le Havre, NM1), Benjamin Monclar (ADA Blois) puis Tyren Johnson (rires), Christopher Copeland et Justin Burrell (NDLR : coéquipier de Tyren Johnson à Châlons-Reims en 2012-13).\\n\\nQue feriez-vous si vous ne jouiez pas au basket ? Où vous voyez-vous après le basket ?\\n\\nSi je ne jouais pas au basket, j’aurais aimé être riche (rires). Sinon, j’ai plusieurs options : entraîneur de basket, producteur de musique, photographe ou graphiste/designer. J’aime la photographie et la musique. Je prends des photos depuis l’âge de 20 ans et je fais de la musique depuis mes 13 ans. La musique, c’est quelque chose que j’adore et j’essaie d’en faire quand j’ai du temps libre. Après ma carrière, je ne ferai pas seulement du graphisme et de la musique. J’ai aussi créé des camps de basket pour les jeunes joueurs et je publie des livres, des vidéos, des podcasts, des cours en ligne.\\n\\nPhoto d’ouverture : Tuan Nguyen Photographie\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nLe premier match professionnel que j’ai joué, c’était en Belgique avec l’Okapi Aalstar, lors de la saison 2010-2011. Je ne me souviens pas de l’équipe contre qui nous avons joué mais nous avons gagné assez facilement et j’ai marqué 28 points. J’en garde un très bon souvenir, car j’avais une peur bleue de venir en Europe. C’était mon premier match et j’ai finalement pu sortir de ma boîte, jouer et tout a été plus facile par la suite. (NDLR : pour sa première saison professionnelle, Tyren Johnson a cumulé 9,9 points, 4,6 rebonds, 1,8 passe, 1,1 interception et 0,9 contre pour 10,1 d’évaluation en 25 minutes de jeu sur 31 matchs.)\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nPaul Georges (LA Clippers) et Christopher Copeland (NDLR : son coéquipier à l’Okapi Aalstar) m’ont rendu meilleur. Et comme modèle, je dirai Tracy McGrady (Ex-Houston, NBA), mon joueur préféré.\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nL’adversaire le plus coriace contre qui j’ai joué, c’est Cédric Bah, mon coéquipier à Blois. C’est le meilleur gars contre qui j’ai joué sur mon poste en Pro B. Il est fort comme un roc et rapide à la fois. Cédric est très difficile à contenir et à jouer au quotidien, lors des entraînements et des matchs.\\n\\nQui est le meilleur joueur actuel de Pro B ?\\n\\nHumm, Tyren Johnson ! C’est clair ! (rires)\\n\\nQuel a été le joueur qui vous a le plus marqué ?\\n\\nChima Moneke (Orléans) m’a vraiment impressionné. C’est un joueur qui a été sous-estimé, qui avait juste besoin d’une opportunité pour démontrer tout son potentiel. Il a de grandes qualités athlétiques, il est dominant sur son poste et il a un tir très rapide.\\n\\nQui est le meilleur coach actuel de votre championnat ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Soriah Bangura revient à Poitiers jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Après une pige en Nationale 1, Soriah Bangura (2,00m, 27 ans) rebondit au Poitiers Basket (Pro B). L’intérieur revient dans la Vienne, où il a déjà évolué en 2019.\\n\\nEn grande difficulté en championnat (3 victoires, 6 défaites), le PB 86 a décidé de se renforcer dans la raquette avant la date butoir du marché des transferts, le 28 février.\\n\\nDéjà connu dans le club pour avoir été pigiste médical de Norville Carey début 2019, Soriah Bangura avait disputé six matchs sous le maillot de Poitiers (5,7 points à 41,4% de réussite et 3,5 rebonds pour 5,7 d’évaluation), avant de filer à Lille puis Caen (Pro B), et enfin Pont-de-Chéruy (Nationale 1).\\n\\nCette saison, en dix rencontres, il affichait une petite ligne de statistiques (3,1 points à 25,5% de réussite et 3,9 rebonds pour 2,5 d’évaluation), loin de ses standards de la saison passée en Pro B (11,3 points à 53% et 5,3 rebonds pour 12,9 d’évaluation).\\n\\n« C’est un garçon que nous connaissons, polyvalent sur les postes intérieurs. Il fallait rajouter un joueur dans la raquette. Nous avions besoin d’un élément supplémentaire pour faire face au marathon à venir« , confie l’entraîneur Andy Thornton-Jones à La Nouvelle République.\\n\\nPhoto : PB 86" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de la SIG Strasbourg encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nDavid Logan fait preuve d’une longévité exceptionnelle. L’arrière américano-polonais est le 2e marqueur du championnat d’Italie, à quelques dixièmes de son aîné, l’Argentin Luis Scola. Après son séjour alsacien (2017-18), il était parti en Corée-du-Sud dans un championnat lucratif mais peu compétitif, et il revenu en Europe, à Trévise, pour faire monter le club en Serie A en marquant 36 des 76 points de son équipe lord du Match 3 de la finale contre Capo d’Orlando.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALDominique Gentil32FRA-3Le Havre1325.43.11.58.79.8Romain Duport34FRA-3Le Havre1322.05.81.712.514.2Kyle Weems31ITA-1Bologna1824.44.21.69.911.9Youssoupha Fall25SPA-1Baskonia1812.44.70.56.79.3David Logan38ITA-1De’Longhi Treviso1829.82.63.220.116.9Darion Atkins28TUR-1Fethiye1730.96.61.712.917.0Tremmell Darden39GER-1MHP Riesen Ludwigsburg1618.32.30.86.37.3Tim Abromaitis31SPA-1Malaga2221.44.20.69.010.5Devonte Upson27ITA-1Trieste1317.64.70.66.09.4Erik Murphy30JAP-2Fukushima Firebonds3229.48.92.016.720.6Justin Harper31JAP-1Kyoto Hannaryz1225.36.81.111.513.4David Simon38JAP-1Kyoto Hannaryz3131.97.02.620.320.0Nicolas De Jong32FRA-1Pau-Lacq-Orthez416.32.80.09.38.8Nicolas Lang30FRA-1Limoges CSP928.82.21.617.017.0Hugo Invernizzi27FRA-1Limoges CSP928.33.23.77.810.6Ludovic Beyhurst21FRA-1Limoges CSP813.50.61.32.83.1Jeremy Leloup33FRA-1Pau-Lacq-Orthez1134.13.42.39.411.5Romeo Travis36FRA-1Limoges CSP218.03.00.03.0-1.5Louis Labeyrie28SPA-1Valencia1724.65.90.89.914.4Abdoulaye M’baye32FRA-2Poitiers912.40.91.04.25.1Pape Sy32FRA-1BCM911.81.10.83.74.7Miro Bilan31ITA-1Banco di Sardegna Sassari1828.28.62.017.421.8Thomas Scrubb29FRA-1Bourg-en-Bresse922.44.21.37.810.4Zack Wright35FRA-1Bourg-en-Bresse625.53.34.511.815.7A.J. Slaughter33SPA-1Gran Canaria1121.82.33.112.110.0Jeremy Nzeulie29FRA-1Boulazac220.52.01.54.51.0John Shurna30SPA-1Gran Canaria2222.04.21.07.010.3Tony Taylor30TUR-1Pinar Karsiyaka2025.72.14.812.613.6O.D. Anosike29GRE-1Lavrio213.53.00.54.54.5Jerai Grant31GRE-1Promitheas Patras1028.15.13.213.418.6Mouhammadou Jaiteh26TUR-1Gaziantep1831.711.32.115.422.4Travis Trice27TUR-1Galatasaray529.81.83.612.210.4Scottie Reynolds33ABA L.Cibona322.71.72.714.716.3Antoine Diot31FRA-1ASVEL613.82.23.34.86.5Paul Lacombe30FRA-1ASVEL719.43.92.37.711.1Jacques Alingue32FRA-1Dijon1119.93.81.47.410.4Gauthier Darrigand38FRA-3DGB401221.61.73.29.29.7Arnaud Imhoff27FRA-3Les Sables1319.62.12.39.26.9Antony Labanca26FRA-2Nancy924.02.41.210.08.9Cedric Bah26FRA-2Blois917.95.31.76.27.9Jarell Eddie29TUR-1Fenerbahce726.74.40.414.114.7Issife Soumahoro32FRA-3Cheruy1228.81.80.99.16.0Ali Traore35FRA-2Antibes923.25.92.010.811.7Louis Rucklin21FRA-2Lille916.61.02.13.84.7Nathan Sobey30AUS-1Brisbane Bullets533.63.63.825.220.8Jason Siggers35ISR-1Hapoel Haifa1232.83.43.318.518.0Rodrigue Beaubois32TUR-1Anadolu Efes1022.02.12.410.39.7Artsiom Parakhouski33VTB L.Tsmoki-Minsk525.26.80.211.013.4Vladimir Golubovic34AT-1BC GGMT Vienna132.011.01.015.020.0Thomas Breggion29FRA-3Vanves914.00.81.37.86.1Olivier Cortale23FRA-2Saint-Chamond1027.06.31.911.212.3Jason Bach33FRA-2Souffelweyersheim725.44.40.97.110.9Dee Bost31FRA-1Monaco826.82.44.612.512.1Damien Inglis25FRA-1Monaco815.03.41.36.07.3Gerry Blakes27FRA-1Cholet426.04.51.813.311.8Gabe York27ISR-1Hapoel Tel Aviv626.32.32.711.310.3Omar Cook38SPA-1San Pablo Burgos2122.01.75.75.49.5Ben Mccauley34POL-1Slask Wroclaw422.34.31.515.818.8Boris Dallo26FRA-1Le Portel830.44.63.611.410.1Patrick Gomis21FRA-3La Rochelle Rupella31.30.00.01.00.7Wen Mukubu37BEL-1Limburg United328.37.72.712.715.0Frank Ntilikina22USA-1New York Knicks410.01.00.84.54.0Thomas Heurtel31SPA-1F.C. Barcelona1417.61.64.65.97.9Quentin Serron30SPA-1RETAbet Bilbao1017.21.81.32.93.3Kostja Mushidi22GER-1Basketball Lowen Braunschweig318.32.01.311.78.3Quentin Klingelschmitt20FRA-2Evreux21.00.00.00.00.0\\n\\nPhoto: David Logan" }, {"role": "user", "content":"Le meneur américain Branden Frazier débarque à l’AS Monaco" }, {"role": "assistant", "content":"À la recherche d’un renfort sur ses lignes arrières, l’AS Monaco a jeté son dévolu sur le meneur de jeu américain Branden Frazier (1,91m, 28 ans).\\n\\nCapable d’évoluer aux postes 1 et 2, Branden Frazier a commencé cette saison en Turquie, dans le club de Fethiye Belediyespor (12,1 points, 5,2 passes décisives, 2,7 rebonds de moyenne). Possédant une bonne vision du jeu, il se distingue par ses qualités de passeur mais aussi de finisseur.\\n\\nAprès un cursus à l’université de Fordham, le combo-guard a parcouru l’Europe. D’abord en Hongrie (à Kaposvari), puis en Ukraine, où il a été nommé MVP des finales et du championnat – remporté – avec le Khimik Youjne, avant de se distinguer en Eurocup en étant nommé joueur de l’année par le site eurobasket.com.\\n\\nBranden Frazier a ensuite réalisé deux saisons pleines dans la relevée VTB League (Saratov), tournant à 13,6 points (46,3% à 3 points), 3,9 passes décisives et 2,5 rebonds lors de sa deuxième saison. Il a ensuite découvert l’Espagne (Burgos) et l’Allemagne (Telekom Bonn), où il s’est affirmé comme l’un des joueurs les plus complets du championnat (14 points, 40,7% à 3 points, 4,1 passes décisives).\\n\\n« Branden Frazier a évolué dans des championnats de bon niveau, il a l’expérience du jeu européen et il arrive en bonne condition puisqu’il évoluait jusqu’à présent dans le championnat turc. Il était très important pour nous que le renfort soit capable d’être performant rapidement. Frazier a la réputation d’être un garçon équilibré, avec une bonne mentalité. Il n’a pas un CV incroyable, certes, mais j’ai le sentiment qu’il va pouvoir nous aider rapidement et solidement dans la rotation », note le coach monégasque Zvezdan Mitrovic dans un communiqué.\\n\\nBranden Frazier ne pourra être aligné en Eurocup, le délai de qualification étant passé, mais le New-Yorkais va aider la Roca Team, leader du championnat, dans ses grands objectifs en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Les playoffs de BCL diffusés sur Twitch dès la semaine prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Ce vendredi, la Basketball Champions League (BCL) annonce une collaboration avec Twitch pour diffuser en direct les matchs de la compétition en France. Il s’agit de la première application concrète du deal entre la plateforme de streaming et la Fédération Internationale de Basketball (FIBA).\\n\\nLes playoffs de BCL, qui débutent mardi, seront disponibles en France en direct et gratuitement via la chaîne Twitch de la FIBA. Cette annonce fait suite au nouveau partenariat mondial et pluriannuel présenté plus tôt cette semaine, dont l’objectif est de proposer une approche digitale et gratuite de la compétition. La BCL espère ainsi toucher des publics auquel elle n’avait pas accès et augmenter son avance sur le numérique par rapport aux autres compétitions de clubs.\\n\\nPour les matchs impliquant le dernier club français en lice, la SIG Strasbourg, les matchs seront commentés par Thomas Dufant et Erwan Abautret, de First Team, tout en étant co-diffusés par le célèbre streamer Brawks. Lors d’une diffusion, les fans pourront interagir en ayant accès aux outils interactifs de Twitch.\\n\\n« Nous sommes ravis d’annoncer cette collaboration unique avec Twitch, un service de diffusion en direct utilisé par une grande communauté de superfans. Ce partenariat innovant rapprochera les fans de la BCL en leur offrant de nouvelles façons interactives de s’intéresser au basketball européen de haut niveau. Cette coopération nous permettra également d’élargir notre base de fans, de développer la portée et l’engagement de notre compétition, en particulier auprès des jeunes générations, sur un marché clé comme celui de la France« , explique Patrick Comninos, directeur général de la BCL.\\n\\nLes playoffs débuteront les 2 et 3 mars et se termineront le 7 avril. Les clubs disputeront six matchs chacun (formule aller-retour, trois matchs à domicile, trois à l’extérieur), les deux premières équipes de chaque groupe se qualifiant pour un Final 8 qui conclura la saison début mai 2021.\\n\\n\\nSuperbe nouvelle 🙌\\n\\nTous nos matches en @BasketballCL seront diffusés sur @TwitchFR 👀🍿 https://t.co/WiJDqzyDrd\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) February 26, 2021\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Partizan Belgrade – Boulogne-Levallois relocalisé à Ljubljana en Slovénie" }, {"role": "assistant", "content":"L’Eurocup a annoncé que le prochain match du top 16 qui doit se dérouler le 10 mars prochain entre le Partizan Belgrade et Boulogne-Levallois est transféré à Ljubljana en Slovénie.\\n\\nLa relocalisation de cette rencontre intervient à la demande du club francilien qui ne peut pas se déplacer en Serbie en raison du contexte sanitaire et des restrictions en France, qui interdisent tout déplacement vers des pays en dehors de l’Union européenne, sauf à se retrouver en septaine au retour.\\n\\nLa Slovénie est membre de l’Union Européenne depuis 2004.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’arrivée de Super Mario au Panathinaikos, de la folie !" }, {"role": "assistant", "content":"Seuls certains clubs de football ou le Panathinaikos en basket peuvent engendrer une telle folie. Le Croate Mario Hezonia (2,03m, 25 ans) est arrivé à Athènes et les supporters verts ainsi que les médias athéniens l’ont accueilli à l’aéroport avec les honneurs dûs à sa popularité en ville. Peu importe que l’on soit en pleine pandémie...\\n\\nSuper Mario fera ses débuts mardi à l’OAKA face à Barcelone... dans une salle vide." }, {"role": "user", "content":"Barcelone-ASVEL ce soir : Pau Gasol est toujours aux Etats-Unis" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL affronte ce soir le FC Barcelone en Catalogne pour le compte de l’Euroleague, mais sa nouvelle star, Pau Gasol (2,15m, 40 ans) ne sera ni sur le terrain, ni dans les tribunes. L’ancien joueur NBA ne devrait faire son retour en Espagne que la semaine prochaine, probablement mercredi ou jeudi pour passer la visite médicale obligatoire.\\n\\nMundo Deportivo écrit que les procédures pour que la famille Gasol entre sur le territoire espagnol sont complexes car sa femme est de nationalité américaine. Le couple a eu une fille, il y a peu.\\n\\n« Bien sûr, il n’y a pas d’urgence, ni pour le Barça ni pour Gasol, de voir Pau jouer des matchs en tant que joueur du Barça », écrit le quotidien sportif de Barcelone. « On ne s’attend même pas à ce qu’il travaille au même rythme que ses coéquipiers lors de ses débuts aux Palaos. L’objectif est que Gasol acquière peu à peu une forme physique et une rythme de jeu jusqu’à s’introduire progressivement dans la dynamique de groupe. Il faut voir comment son pied gauche, qui l’empêche de jouer depuis près de deux ans, répond à la montée progressive des efforts. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Mike James de retour, le CSKA Moscou s’impose à l’Olympiakos" }, {"role": "assistant", "content":"Mike James (1,85m, 30 ans) était de retour des Etats-Unis et le CSKA Moscou en a profité pout battre Olympiakos au Pirée, à l’arrache, 74-75. Menés 26-44, les Grecs ont effectué une superbe remontada mais pour échouer sur le fil. Ils ont ainsi subi leur septième défaite consécutive et voient maintenant leurs chances d’aller en playoffs devenir extrêmement minces.\\n\\nJames a marqué 15 points et fait 6 passes, Johannes Voigtmann a marqué 14 points, alors que le Danois Gabriel Lundberg a réussi ses débuts avec 13 points (3/6 à trois-points), 4 rebonds et 3 passes.\\n\\n«Je ne me suis pas entraîné et je n’ai pas joué depuis un certain temps, donc c’était bien de jouer avec mon équipe et c’était bien que nous ayons gagné», a déclaré Mike James.\\n\\n« Je suis content de cette victoire, étant donné que nous avons également pris un nouveau départ, car James était à presque 20 jours d’absence, Toko à 21 jours et Clyburn à 2 mois », a ajouté le coach Dimitris Itoudis.\\n\\nToko Senghelia a joué 22′ pour 8 points et 4 rebonds et Will Clyburn 18′ pour 2 points et 3 passes." }, {"role": "user", "content":"Officiel – L’ancien joueur NBA Tony Wroten débarque à Pau pour la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Les dirigeants palois poursuivent le remodelage de l’effectif avant la date limite du 28 février. Tony Wroten (1,98m, 27 ans), combo-guard référencé outre-atlantique, arrive dans le Béarn.\\n\\nAprès la signature de C.J. Williams la semaine dernière, l’Elan Béarnais, actuellement 17e de Jeep Elite (3 victoires, 8 défaites) fait venir un joueur de gros calibre, Tony Wroten. Le meneur aux 145 matchs NBA a signé pour le restant de la saison.\\n\\nMalgré l’expérience de quatre saisons NBA, entre Memphis et Philadelphie (11,1 points à 41%, 2,1 rebonds et 3 passes décisives), et quelques performances notables, le 25e choix de la draft 2012 n’a pas réussi à s’installer durablement dans la grande ligue, victime notamment d’une rupture partielle des ligaments croisés du genou droit.\\n\\nAprès des passages en G-League, il tente sa chance en Europe en 2018, rejoignant le club estonien du BC Kalev/Cramo Tallinn (15,2 points en 20 minutes sur 15 rencontres de VTB League). Avant de passer par la Pologne, à l’Anwil Wloclawek, où il a disputé la BCL (18,2 points à 50,5% de réussite aux tirs, 3,9 rebonds, 4 passes décisives et 3,2 balles perdues en 27 minutes), et enfin par l’Espagne, à Badalone, pour quatre matchs seulement.\\n\\n« Tony Wroten fait partie des joueurs d’impact dont on a besoin à l’heure de ce défi d’une grosse série de matchs qui nous attend. C’est un joueur qu’on connait bien pour l’avoir croisé l’an passé en BCL alors qu’il évoluait sous les couleurs de Wloclawek. C’était un très bon joueur NBA, il dispose d’une grosse expérience. Il n’a pas joué depuis avril dernier, alors il va falloir le remettre en rythme. Il a besoin d’avoir le ballon en main, de créer du jeu, d’avoir les clés du camion. On va essayer de trouver un mix entre notre jeu d’équipe et son jeu à lui pour arriver à l’incorporer le plus rapidement possible« , indique le coach Laurent Vila dans un communiqué.\\n\\nDoté d’un fort caractère mais reconnu pour son talent, le gaucher vient densifier les lignes arrières béarnaises, composées de Justin Bibbins (remplacé par Manu Lecomte jusqu’à début mars), Rémi Lesca, Vee Sanford et Gerald Ayayi.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=x_Md_SHEzsc&feature=emb_title\\n\\nPhoto : BCL" }, {"role": "user", "content":"Igor Kokoskov (coach Serbie) : «aujourd’hui les «petites» équipes nationales peuvent brouiller les cartes»" }, {"role": "assistant", "content":"La Serbie s’est qualifiée au championnat d’Europe mais on note tout de même qu’elle a perdu chez elle contre la Géorgie (90-94) et surtout face à la Suisse (92-90), ce qui peut paraître étonnant pour un pays de ce standing. Le coach Igor Kokoskov s’est expliqué face aux médias de son pays.\\n\\n« Les Fenêtres en soi sont un système complexe, lorsque nous ajoutons à cela que nous vivons et travaillons en temps de pandémie, cela complique encore la situation », a t-il déclaré. « L’objectif a été atteint, malgré ces conditions, l’équipe nationale a terminé première du groupe et s’est qualifiée pour le championnat d’Europe. Le mérite revient aux joueurs qui se sont comportés de manière très motivée et professionnelle dans toutes ces actions. Nous avons souvent changé la composition de l’équipe, ce qui a conditionné que nous devions nous adapter à la situation. Nous n’avions pas la continuité du roster car de nombreux joueurs jouent en Euroleague, beaucoup d’entre eux n’ont pas pu jouer, et au final quelques joueurs ont été malheureusement positifs et n’ont pas pu apparaître dans les deux fenêtres précédentes. Mais le plus important est que nous ayons réalisé le plan. »\\n\\nL’entraîneur serbe souligne que la Lituanie y a échappé belle face au Danemark. Son meneur Mantas Kalnietis l’a sauvé de l’opprobe.\\n\\n« La Lituanie, qui, tout comme la Serbie, est un pays de basket-ball, était au bord de la relégation ! Aujourd’hui, tout le monde joue au basket, des « petites » équipes nationales qui jouent au complet, surtout dans les fenêtres, sont assez bonnes pour pouvoir brouiller les cartes de certains pays de basket comme la Lituanie et la Serbie. Ils ont une continuité, ils jouent au complet, avec des entraîneurs qui travaillent avec eux depuis sept ou huit ans, et leur coordination est plus grande que les équipes en formation. Si je ne me trompe pas, pour ces trois fenêtres, j’ai fait 12 entraînements et sept matchs et demi. Nous devons être conscients de cela et une certaine « prépuissance » que nous avons parfois ne tient pas, nous devons être objectifs et réalistes. »\\n\\nLa prochaine étape pour la Serbie, c’est le TQO de Belgrade. Igor Kokoskov pourra t-il compter sur tous ces joueurs NBA et sur Nikola Milutinov, actuellement indisponible en raison d’une blessure à l’épaule ?\\n\\n« Je suis en communication avec tous les joueurs, je n’écarterais personne. Ni Nikola, ni Bogdan (NDLR: Bogdanovic, victime d’un arrachement osseux au genou droit en début de saison) qui reviennent de blessures. Au cours des cinq prochains mois, tout ce qui est positif peut arriver dans la convalescence et le retour. Je ne donnerais pas vraiment de noms, il serait plus juste de ne pas les mentionner. Et nous savons très bien qui sont les joueurs leaders de leurs équipes, ils seront certainement les leaders de l’équipe nationale. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de la Chorale de Roanne encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nC’est à la Chorale de Roanne, en Pro B, que l’Alsacien Alexandre Gavrilovic (2,08m, 29 ans) a fait ses débuts en professionnel. Il possède un parcours particulièrement original puisqu’il a été formé aux Etats-Unis (lycée et université de Dayton), il a été champion d’Europe U20, gagné la Leaders Cup Pro B avec la Chorale, joué à Nantes et Evreux, puis il est parti en Bulgarie -champion en 2019-, en Biélorussie et le voici en Russie. Et il tient son rang en VTB League.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALJustin Carter33CRO-1Zadar1720.24.62.29.611.9Alexandre Gavrilovic29VTB L.Nizhny Novgorod1217.73.00.86.86.4Adrien Moerman32TUR-1Anadolu Efes1626.78.11.313.418.0Jamelle Hagins30TUR-1OGM Ormanspor2021.25.21.09.912.2Jamychal Green30USA-1Denver Nuggets1821.36.51.110.914.1Ludovic Chelle37FRA-3Chartres418.81.52.010.810.8Pierre Brun24FRA-3Vendee Challans1013.92.10.23.81.6Gaylor Lobela25FRA-3Orchies917.83.20.46.66.1Steven Gray31GRE-1Peristeri1229.12.92.011.910.8Marcquise Reed25FRA-1Nanterre 92131.03.03.021.024.0Ivan Fevrier21FRA-1Nanterre 92718.62.30.97.77.7Ian Miller29GRE-1Promitheas Patras1223.11.72.812.18.0Guerschon Yabusele25FRA-1ASVEL421.52.81.312.512.3Jean-Michel Mipoka35FRA-2Fos Provence921.21.80.79.36.4Alexis Tanghe30FRA-2Blois919.63.10.97.27.1Ryan Reid34FRA-2UJAP Quimper723.45.02.710.913.6Mohamed Kone39FRA-2Vichy-Clermont721.48.01.06.712.0David Jackson34FRA-2UJAP Quimper729.14.12.714.414.0Kelvin Rivers33VTB L.Zenit St. Petersburg1023.42.81.08.78.2Marc-Antoine Pellin33FRA-3Saint-Vallier1121.22.72.75.78.1James Washington33POL-1Polpharma Staro2531.02.67.311.414.6Ali Traore35FRA-2Antibes923.25.92.010.811.7Sadio Doucoure28FRA-2Antibes732.07.01.415.414.6Theo Leon28FRA-2Aix-Maurienne723.42.44.04.45.9David Ramseyer33FRA-2Aix-Maurienne829.44.41.413.411.1Benoit Mbala25FRA-1Limoges CSP710.91.70.42.62.7John Holland32VTB L.UNICS Kazan822.52.81.610.311.3Damien Inglis25FRA-1Monaco815.03.41.36.07.3Olivier Cortale23FRA-2Saint-Chamond1027.06.31.911.212.3Ivan Almeida31POL-1Anwil Wloclawek1730.27.24.319.620.1Ben Mccauley34POL-1Slask Wroclaw422.34.31.515.818.8Gaetan Meyniel20FRA-3JSA Bordeaux1023.03.23.510.09.4Raphael Desroses40FRA-3Vanves1127.53.62.212.712.5Bryan Pamba-Juille27FRA-3Rennes627.82.23.313.311.0Xavier Forcada32FRA-2Nantes127.02.04.015.017.0\\n\\nPhoto: Alexandre Gavrilovic" }, {"role": "user", "content":"Affaire Zvezdan Mitrovic – ASVEL : Pas de conciliation" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’y a pas eu aujourd’hui de conciliation devant le Conseil des Prud’hommes entre l’ASVEL et son ancien coach Zvezdan Mitrovic qu’elle avait licencié en mai 2020, indique Le Progrès.\\n\\nAussi, les deux parties se retrouveront le 21 septembre prochain pour une « audience de mise en état » qui fixera la date d’une « audience de plaidoirie ». Ce n’est qu’ensuite que sera connu la date de délibéré du jugement.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de l’EB Pau-Lacq-Orthez encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nAu soir de leur carrière, Cheikh Mbodj (2019-20) et Josh Duncan (2008-09) se retrouvent tous les deux au Japon, mais pas dans la même division. Dans la conférence Est de la 1ère division, le club de Duncan, les Chiba Jets, est positionné au 2e rang. Trois Américains, un Espagnol et un Japonais composent le starting five.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALPaul Turpin27FRA-3Le Havre1324.82.52.59.49.2Tyler Cain32ITA-1Pesaro1829.59.41.812.518.8D.J. Strawberry35SPA-1UCAM Murcia1518.91.51.96.33.9Cheikh Mbodj33JAP-2Nishinomiya Storks3028.98.51.516.821.4Josh Duncan34JAP-1Chiba Jets3323.17.21.513.316.5Romain Hillotte29FRA-3Union Tarbes Lourdes1320.52.01.45.24.7Moustapha Diarra33FRA-3Chartres1322.83.71.213.413.6Vojdan Stojanovski33FRA-1BCM1016.80.91.15.74.8Khalid Boukichou28FRA-1BCM521.04.21.412.615.0Romain Dardaine32FRA-3Vendee Challans1229.97.12.512.615.7Florian Pouaveyoun21FRA-3Union Tarbes Lourdes1324.76.20.89.513.5Pierre Pelos28FRA-1Bourg-en-Bresse1020.24.71.110.812.9Travis Leslie30FRA-1Champagne B.831.44.62.516.516.5Bastien Pinault27FRA-1Mets 921217.71.71.25.24.0Matt Mobley26GER-1Fraport Skyliners1530.64.82.720.719.1Jean-Frederic Morency31FRA-1Boulazac818.04.10.35.16.6Leopold Cavaliere24FRA-1Strasbourg715.93.00.94.97.3Alpha Kaba24FRA-1Nanterre 92719.35.10.47.09.1Vitalis Chikoko29FRA-1Mets 92822.15.51.510.913.1Sek Henry33TUR-1Pinar Karsiyaka2025.22.12.910.910.9Danny Agbelese30GRE-1Promitheas Patras1318.35.50.87.911.8Gauthier Darrigand38FRA-3DGB401221.61.73.29.29.7Guillaume Valayer24FRA-3DGB401223.34.80.97.17.8Franck Seguela23FRA-2Gries-Oberhoffen311.71.70.03.00.7Felipe Braga26FRA-3Etoile Angers Basket913.63.40.24.37.0Xane D’almeida37FRA-3DGB40928.13.13.47.79.3Lamine Sambe31FRA-2Blois922.81.42.47.67.0David Denave35FRA-2Vichy-Clermont826.93.36.313.616.3Jean-Michel Mipoka35FRA-2Fos Provence921.21.80.79.36.4Charles-Henri Bronchard38FRA-2Vichy-Clermont822.33.61.810.110.4Ron Lewis36FRA-2Nancy932.94.33.317.113.3Mickael Var30FRA-3Boulogne-sur-Mer1226.07.31.811.012.7Michael Thompson31VTB L.Astana1432.13.56.613.115.2Thibault Daval-Braquet23FRA-1Bourg-en-Bresse57.61.40.40.4-0.2Bandja Sy30SPA-1MoraBanc Andorra1117.24.10.55.66.9Tyrus Mcgee29ISR-1Hapoel Holon830.02.93.416.313.5Miguel Buval30FRA-3Vanves1225.45.41.213.915.5Souarata Cisse34FRA-3CEP Lorient1220.32.51.57.57.6Wilfried Yeguete29FRA-1Monaco717.64.70.94.68.4Kenneth Horton31SPA-1San Pablo Burgos2123.74.61.110.012.1Georgi Joseph38FRA-1Le Portel820.95.82.04.99.9Donta Smith37ISR-1Maccabi Haifa1232.85.65.313.217.9Abdel Kader Sylla30FRA-2Nantes723.64.91.17.08.0Kyan Anderson28BCLFalco531.63.06.414.015.8Akos Keller31POL-1Slask Wroclaw1821.35.21.35.98.9Corentin Carne24FRA-2Aix-Maurienne216.51.02.54.08.0Ekene Ibekwe35FRA-1Champagne B.716.94.70.96.46.0Yohan Choupas20FRA-1Monaco55.00.40.20.6-0.2Alain Koffi37FRA-1Le Mans311.01.70.30.71.3Marko Simonovic34ABA L.Crvena zvezda mts914.73.10.87.18.2Thomas Heurtel31SPA-1F.C. Barcelona1417.61.64.65.97.9Fernando Raposo31FRA-1Orléans111.06.00.03.05.0Chris Dowe29ISR-1Maccabi Haifa432.84.54.817.316.0Ronald Moore32CRO-1Cibona917.71.63.35.87.7D.J. Cooper30FRA-1Chalon329.32.76.79.711.7Justin Dentmon35BCL-QRBakken Bears222.51.06.011.511.5\\n\\nPhoto: Josh Duncan" }, {"role": "user", "content":"Sasa Obradovic (ex-Monaco) poursuit l’Etoile Rouge de Belgrade devant la Chambre de conflits de l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Limogé fin décembre après une série de mauvais résultats en Euroleague avec l’Etoile Rouge de Belgrade, Sasa Obradovic exige du club serbe des indemnités de licenciement.\\n\\nSelon Mozzart Sport, Sasa Obradovic poursuit son ancien club avec qui il était lié à l’origine jusqu’à la saison 2022-2023. Il réclame l’intégralité de son contrat, d’une durée de deux ans plus une optionnelle, mais aussi des bonus liés à la victoire de l’Etoile Rouge en Coupe Korac (coupe nationale) après son départ.\\n\\nLes deux entités règleront le problème à la Chambre de conflits de l’Euroleague, organe créé spécialement en janvier dernier afin de résoudre les différends entre les entraîneurs et les équipes.\\n\\nPour rappel, Sasa Obradović est revenu à l’Etoile Rouge cet été après avoir personnellement payé une compensation à l’AS Monaco pour se retirer du contrat qui le liait à la Roca Team.\\n\\nPhoto : Eurocup" }, {"role": "user", "content":"Les présidents des fédérations de sport de salle alertent le gouvernement sur les conséquences de la crise sanitaire" }, {"role": "assistant", "content":"Denis Masseglia, président du CNOSF, Jean-Pierre Siutat, président de la FFBasket, Philippe Bana, président de la FFHandball, Eric Tanguy, président de la FFVolley, ont tenu une conférence de presse à la Maison du Sport Français ce jeudi, accompagnés de nombreux président.es de fédérations de sport de salle. L’objectif est d’alerter les pouvoirs publics, le gouvernement en premier, sur la situation actuelle des fédérations de sport de salle et des conséquences de la crise sanitaire sur leur écosystème respectif.\\n\\nDepuis plusieurs mois, les sports de salle font face à des restrictions qui affaiblissent leurs clubs, notamment sur la perte de licenciés : entre -15% et -57% en fonction des fédérations. Aujourd’hui, au CNOSF, face aux manques de visibilité et de moyens, ils ont souhaité exprimer la détresse de leurs équipes dirigeantes, de leurs clubs, de leurs licenciés et de l’ensemble des bénévoles qui font la richesse de leur sport.\\n\\nAvec la fermeture des gymnases et l’activité sportive en suspens, il leur est impossible de faire des prévisions sur le report ou l’annulation de leurs championnats et doivent faire face à la gronde croissante et puissante de leurs licenciés, à qui ils ne peuvent apporter de réponse ; il leur est également impossible d’anticiper, seuls, à un plan ambitieux de reprise pour les saisons à venir qui seront très périlleuses, juste avant le grand rendez- vous de Paris 2024.\\n\\nD’un point de vue financier, les aides proposées par le Ministère en charge des Sports ne pourront couvrir tous les manques à gagner des clubs, de plus en plus en danger.\\n\\nLes présidents ont donc souhaité des réponses concrètes, en particulier :\\n\\n– Un retour des pratiquants dans les clubs dès que possible (surtout les jeunes) selon des protocoles sanitaires adaptés ; un soutien significatif pour doter les clubs de masques sportifs ; un « certain » accueil de partenaires et public (dito : la culture) ;\\n\\n– Un fonds de soutien direct pour les fédérations de sports de salle beaucoup plus touchées que les sports en extérieur ;\\n\\n * – Une défiscalisation des licences pour les sports de salle qui n’ont pas pu être pratiqués cette saison ;\\n * – Une visibilité immédiate sur le Pass’Sport, un dispositif simple et efficace au service du monde fédéral qui permet de préparer la saison 2021-22 ;\\n\\n– La création d’emplois aidés au sein des fédérations pour accompagner les clubs en vue d’une relance dès cet été 2021 ;\\n\\n– Une campagne de communication nationale quand tous les sports seront autorisés.\\n\\nL’initiative de regrouper tous les sports de salle autour de ce message commun a permis à chacun de se faire entendre. Aujourd’hui, les président.es des fédérations qui ont pris parole, d’une même voix, espèrent faire écho auprès du Ministère en charge des Sports et surtout, espèrent faire changer les choses. L’ambition est de faire prendre conscience de l’impact sanitaire, sportif, économique et social dans lequel les clubs et les licenciés se trouvent à ce jour. Mais surtout, d’ouvrir le débat avec tous les acteurs pour trouver des solutions, communes, rapides et efficaces.\\n\\nEric Tanguy, Président de la Fédération Française de Volley-Ball :\\n\\n« Nous sommes réunis aujourd’hui pour partager une problématique commune et nos constats. Nous sommes inquiets pour la survie de nos fédérations, nous ne voyons pas le bout du tunnel. La reprise des compétitions et des entraînements est plus que compromise et nous sommes dans une situation très inconfortable vis-à-vis de nos clubs et de nos licenciés. Il est impossible de les satisfaire et ils nous demandent de trouver des solutions. Nous étudions toutes les solutions possibles mais un grand nombre de licenciés ne veulent plus reprendre. Ils ont perdu la volonté et la passion, tandis que certains voient l’œuvre d’une vie disparaître. Il est question de la survie des fédérations, mais il est surtout question de la survie de nos clubs et de nos sports. »\\n\\nPhilippe Bana, Président de la Fédération Française de Handball :\\n\\n« Le sport amateur est en danger et en souffrance. Nous sommes très inquiets et nous comprenons la colère de nos licenciés. Nous sommes réunis ici pour dire stop ; il y a un danger que personne ne voit sur les licenciés et les clubs. L’angoisse est surtout autour de la reprise et de son équilibre financier qui est très instable. Nous avons mis un place un plan de soutien de 5 millions d’euros et nous sommes également en train de sécuriser un plan de reprise, de développement éducatif, sur lequel nous nous mettrons en danger, nous fédération, mais c’est notre rôle. Nous serons solidaires de nos clubs et nous souhaitons le crier devant tout le monde. »\\n\\nJean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française de BasketBall :\\n\\n« Certains sports n’ont pas vu l’ombre d’une compétition depuis près d’un an. Nous représentons, tous ensemble, plus de deux millions de licenciés et plus de 27 000 clubs en souffrance. Nous avons très peu soutien de l’Etat, aucun sur le plan financier. J’estime que 50% de nos bénévoles ne reprendront pas le chemin de nos clubs dans l’avenir. Nous sommes très inquiets pour la saison prochaine malgré un plan de relance que nous essayons de mettre en place. »\\n\\nLes fédérations présentes à cette conférence :\\n\\nFédération française de badminton, Fédération française de basket-ball, Fédération française de boxe, Fédération française de bowling et sports de quille, Fédération française de gymnastique, Fédération française de handball, Fédération française de hockey sur glace, Fédération française de judo, Fédération française de karaté, Fédération française de kick boxing, Fédération française de lutte, Fédération française de savate, Fédération française de sports de glace, Fédération française de tennis de table, Fédération française de volley, Fédération française de taekwondo." }, {"role": "user", "content":"Le géant Christ Koumadje (2,21m) arrive à l’Alba Berlin" }, {"role": "assistant", "content":"Après deux expériences européennes de courte durée, le big men Christ Koumadje (2,21m, 24 ans) a choisi l’Alba Berlin. Il a signé jusqu’en 2023.\\n\\nL’Alba Berlin, 2e de Bundesliga, est dans le dur en Euroleague (16e, 8 victoires, 17 défaites). Ainsi, le champion d’Allemagne en titre se renforce dans la raquette avec l’arrivée du pivot tchadien, élu défenseur de l’année 2019-2020 en G-League avec les Delaware Blue Coats (11,3 points, 10,9 rebonds et 4,0 contres par match). Il est éligible pour jouer à la fois en Euroleague et en Bundesliga dès cette fin de saison.\\n\\n« L’Alba est un club avec une grande histoire et avec un staff de très bonne réputation. C’est une belle opportunité pour moi. J’ai hâte de faire mes preuves au plus haut niveau en Bundesliga, et surtout en l’Euroleague, où le niveau est extrêmement élevé et la ligue est très exigeante« , confie-t-il dans un communiqué du club.\\n\\nChrist Koumadje a suivi un cursus universitaire à Florida State University de 2015 à 2019 puis a participé à la Summer League NBA avec les Philadelphia 76ers. Avant de venir en Allemagne, il était passé en début d’exercice par l’Estudiantes Madrid (1,2 point, 1,0 rebond, 0,3 contres en 6 minutes) et l’Avtodor Saratov (1,2 point, 1,2 rebond en 5 minutes). Pour un total de seulement 11 matchs cette saison." }, {"role": "user", "content":"Boulazac : l’expérimenté Sénégalais Mouhammad Faye arrive en pigiste médical" }, {"role": "assistant", "content":"En recherche d’un pigiste médical depuis la blessure de Jeff Morency début février, Boulazac a mis la main sur l’expérimenté Mouhammad Faye (2,06m, 35 ans).\\n\\nLanterne rouge de Jeep Elite (0 victoires, 8 défaites), le BBD espère relancer sa saison avec l’arrivée de l’ailier fort, passé par le championnat grec durant cinq saisons, mais aussi par l’Euroleague et l’Eurocup avec notamment l’Etoile Rouge Belgrade (Serbie) et Varèse (Italie).\\n\\nDix ans plus tard, le Sénégalais revient en France, là où il avait entamé sa carrière professionnelle à Hyères-Toulon. Il avait débuté l’exercice actuel à Promithéas Patras (Grèce) croisant notamment la JSF Nanterre. Non qualifié pour le Top 16 de l’Eurocup, il avait quitté la Grèce comme quatre de ses coéquipiers.\\n\\n« Mohammad ne sera pas le sauveur à lui tout seul, car cela n’existe pas en sport collectif, mais son profil de compétiteur devrait aider chacun à être à son meilleur niveau de rentabilité pour contribuer au maintien« , note Claude Bergeaud, directeur sportif, dans un communiqué.\\n\\nL’international sénégalais doit encore se soumettre aux tests médicaux règlementaires afin d’intégrer l’équipe dès cette fin de semaine.\\n\\n\\n🚨 Le BBD est heureux de vous annoncer le #recrutement de @MouhammadFaye (2,06m, ailier-fort, 35 ans) en remplacement de Jeff Morency. Nous lui souhaitons la bienvenue dans l'équipe. Plus d'infos : https://t.co/tRSlgwzHS8 pic.twitter.com/Rp6BIcqcPf\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) February 25, 2021\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : Rendez-vous en novembre pour les qualifications à la Coupe du Monde 2023" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France s’est qualifiée pour l’EuroBasket 2022. Très bien. Prochaine étape: les Jeux Olympiques de Tokyo et dans la foulée... les qualifications à la Coupe du Monde 2023. Le calendrier international chamboulé par le COVID-19 nous l’aurait presque fait oublier.\\n\\nCes qualifications concerneront 32 équipes européennes (80 au niveau mondial) et 12 seront qualifiés pour la Coupe du Monde qui aura lieu en Indonésie, Japon et Philippines du 25 août au 10 septembre 2023.\\n\\nSous réserve de confirmation, ces 32 équipes seront réparties pour un premier tour dans 8 poules de 4 équipes avec 3 qualifiés, puis dans 4 poules de 6 équipes dont la moitié seront qualifiés pour la Coupe du Monde.\\n\\nLe tirage au sort pour les groupes aura lieu en mai 2021.\\n\\nIl y aura 6 fenêtres:\\n\\n1ère fenêtre: 22 – 30 novembre 2021\\n\\n2ème fenêtre: 21 février – 1er mars 2022\\n\\n3ème fenêtre: 27 juin – 5 juillet 2022\\n\\n4ème fenêtre: 22 – 30 août 2022\\n\\n5ème fenêtre : 7 – 15 novembre 2022\\n\\n6e fenêtre : 20 – 28 février 2023\\n\\nOn peut imaginer qu’en novembre l’équipe de France sera toujours privée de ses joueurs d’Euroleague, en plus de ceux de NBA. Vincent Collet devra faire avec ceux qui seront ainsi disponibles.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB : A 19 ans, Pauline Astier (Bourges) a battu hier soir tous ses records" }, {"role": "assistant", "content":"Bourges n’a pas fait de cadeau à Tarbes hier soir : 83-48. En épluchant les statistiques, on découvre que le plus gros temps de jeu (33′) et la meilleure évaluation sont revenus à la meneuse Pauline Astier (25 avec 15 points, 7/8 aux shoots, 7 rebonds et 4 passes.)\\n\\nA 19 ans tout juste (elle est née le 15 février 2002), Pauline Astier est bien entendu la benjamine des Tango qui sont presque toutes internationales. Elle a pulvérisé tous ses records de la saison hier soir puisqu’ils étaient de 22′, 7 points, 2 rebonds et 4 passes obtenus sur des matches différents.\\n\\nLe Berry lui a demandé récemment quelle était sa référence avant de jouer en Ligue Féminine, et c’est là que l’on s’aperçoit d’un... important décalage de génération.\\n\\n« Je vais citer Céline Dumerc. Quand j’étais petite, j’étais fan d’elle. Quand elle jouait encore à Bourges, on m’avait offert son maillot et j’avais le numéro 9 comme elle. C’est une joueuse dont je m’inspirais beaucoup quand j’étais petite. On se disait tous qu’on voulait être comme Céline Dumerc, faire comme elle. Céline Dumerc, ça a été un peu l’idôle de toutes les jeunes. Moi la première. Je me rappelle que je la regardais jouer dans mon canapé, un peu comme Isa [Yacoubou]. Maintenant j’ai la chance de pouvoir jouer avec Isa ou jouer contre Céline Dumerc... »\\n\\nAu fait, clin d’oeil du destin, Pauline Astier est originaire de Tarbes et elle est passée par le club de Laloubère avant d’aller à Bourges. Comme... Céline Dumerc.\\n\\n\\n🤩 La soirée de @PaulineAstier3 :\\n\\n– 1ère titularisation en @basketlfb\\n– contre son 1er club, le @tgbbasket\\n– désignée MVP (15 pts/ 7rds/ 4 pds)\\n#FiertéTango pic.twitter.com/2pu5Cibzlq\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) February 25, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"L’international slovène Aleksej Nikolic à Gravelines" }, {"role": "assistant", "content":"Le BCM Gravelines-Dunkerque s’enrichit de l’international slovène Aleksej Nikolic (1,91m, 26 ans), qui a été champion d’Europe en 2017 (3,5 points et 1,4 rebond en 11′ de moyenne sur 8 matches).\\n\\nCe meneur de jeu d’origine serbe dont les deux parents furent joueurs professionnels, est passé par Bamberg, le Partizan Belgrade et Trévise. La saison dernière, en Italie, il pointait à 10,8 points, 4,8 passes et 3,7 rebonds pour 13,1 d’évaluation. Opéré de la hanche, il n’a pas joué depuis le début de la saison.\\n\\nLe BCM a ainsi recruté son 16e et dernier joueur alors que Corey Davis, parti aux Etats-Unis en raison de problèmes familiaux, n’a pas donné de ses nouvelles.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du Orléans LB encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nSouvenirs, souvenirs... En 2008, l’Entente, aujourd’hui OLB, recrute quelques joueurs de bon standing dont Laurent Sciarra et Adrien Moerman, qui venait d’être élu à Nanterre meilleur espoir de Pro B, et ira jusqu’en finale de la Semaine des As et du championnat. La saison suivante, passée par la phase préliminaire, elle se qualifiera pour la saison régulière d’Euroleague. Adrien Moerman y jouera ses 10 premiers matches dans la compétition européenne reine pour 6,2 points et 2,9 rebonds.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALGeoffrey Groselle27POL-1Zielona Góra2527.28.22.216.821.9Adrien Moerman32TUR-1Anadolu Efes1626.78.11.313.418.0D.J. Strawberry35SPA-1UCAM Murcia1518.91.51.96.33.9Michael Fakuade31POL-1King Szczecin1927.06.51.912.415.5Nobel Boungou Colo32FRA-2Paris Basketball833.44.02.617.114.1Gabriel Olaseni29TUR-1Buyukcekmece2031.28.90.915.420.1Amara Sy39FRA-2Paris Basketball618.52.22.04.85.7Junior M’bida30FRA-1Champagne B.1114.52.71.05.47.0Kevin Dinal27FRA-2Gries-Oberhoffen925.29.12.110.017.0Brandon Jefferson29FRA-1Strasbourg1029.22.73.615.014.3Mouhamed Diagne22FRA-3Kaysersberg1122.44.01.66.59.6Kris Joseph32SPA-2UBU Tizona Burgos1227.64.31.610.59.3Abdoulaye Loum29FRA-1Dijon1116.23.80.84.27.4Antoine Eito32FRA-1Le Mans821.11.45.44.88.3Marius Chambre22FRA-3UTBM Tours1220.53.83.46.49.9Vincent Fandelet28FRA-3Rueil AC1028.54.91.712.214.3Thomas Vincent23FRA-3La Rochelle Rupella1317.00.92.56.16.4Valentin Mukuna27FRA-3La Rochelle Rupella1321.54.40.68.28.5Jimmy Djimrabaye28FRA-2UJAP Quimper720.34.60.35.97.7Vincent Vent23FRA-2Nancy919.63.80.96.97.6Loic Akono33FRA-3Boulogne-sur-Mer1220.82.12.68.17.5Marc-Antoine Pellin33FRA-3Saint-Vallier1121.22.72.75.78.1Vincent Ateba35FRA-3Saint-Vallier1121.62.41.48.07.5Jonathan Kazadi29FRA-2Lille927.75.33.813.715.9Gaylor Curier28FRA-1BCM46.00.50.02.01.3Luc Loubaki23FRA-2Lille920.61.11.35.43.7Darius Adams31CHN-1Qingdao2428.37.06.328.225.9Kadri Moendadze26FRA-2Aix-Maurienne829.05.41.110.010.8Paulius Valinskas25LIT-1Lietkabelis1424.73.02.913.211.6Jeremie Douillet29FRA-3Aurore de Vitre1021.76.81.010.912.0Rayan Hamdi21FRA-3Rueil AC38.71.00.32.33.3Marc Judith33FRA-3Vanves97.40.80.70.81.4Mael Lebrun29FRA-3Rennes1027.03.53.55.56.8Hugo Pellure21FRA-3Rennes913.71.21.43.93.7Miralem Halilovic29FRA-1Mets 92520.03.83.09.414.4Georgi Joseph38FRA-1Le Portel820.95.82.04.99.9Yohan Solle29FRA-3Toulouse BC1114.53.10.54.95.2Abdel Kader Sylla30FRA-2Nantes723.64.91.17.08.0Micah Downs34GER-1s.Oliver Würzburg424.53.51.511.08.8Anis Gabsi27FRA-3Vanves928.84.22.07.98.8Murat Kozan27FRA-3Besançon Avenir Comtois927.77.42.413.815.1Aldo Curti33FRA-3UTBM Tours113.04.01.03.08.0Mohamed Queta25FRA-2Saint-Chamond615.21.80.06.85.0Bryan Pamba-Juille27FRA-3Rennes627.82.23.313.311.0Ibrahima Sidibe25FRA-3Cheruy212.01.51.53.0-1.0Chris Evans29ITA-1Virtus Roma135.05.02.015.016.0\\n\\nPhoto: Adrien Moerman, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"L’Euroleague féminine sera diffusée sur Twitch" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération internationale de basket (FIBA) annonce une collaboration pluri-annuelle avec la plateforme Twitch. L’accord concerne notamment la diffusion de l’Euroleague féminine, de compétitions de 3×3 et de tournois de jeunes.\\n\\nLa FIBA mise sur le numérique. Avec cet accord, elle devient la première fédération internationale à investir sur ce nouveau canal numérique dédié principalement au streaming de jeux vidéo. Très prisée par les jeunes générations, la plateforme Twitch, qui appartient à Amazon, intéresse de plus en plus les détenteurs de droits.\\n\\n« La FIBA est ravie d’annoncer cette collaboration unique avec Twitch, un service de streaming en direct utilisé par des millions de personnes dans le monde chaque jour. Cet accord innovant renforcera notre objectif stratégique d’élargir la famille FIBA en offrant du basket-ball toute l’année à plus de fans, sur un service interactif », détaille Andreas Zagklis, secrétaire général de la FIBA.\\n\\nAu total, ce sont près de 600 heures de matchs de basket qui seront désormais diffusés sur Twitch. La FIBA donnera par ailleurs aux streamers de la plateforme un accès à ses contenus officiels afin de leur permettre de créer leurs propres formats. La collaboration débutera au printemps 2021.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B – Vichy-Clermont engage l’Américano-Nigérian Daniel Utomi" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il trouvait ses marques en Pro B (9,4pts, 3reb, 1,7assists, 45% de réussite aux tirs, 33% à trois points), Johan Lofberg va être contraint d’observer une période d’indisponibilité. Touché au genou depuis quelques semaines, la décision de subir une intervention chirurgicale a été prise. Compte tenu de son rôle important dans l’équipe, ainsi que le risque de prolongement de son absence, le club a pris la décision de se renforcer en intégrant l’Américano-Nigérian Daniel Utomi dans son effectif.\\n\\nÂgé de 23 ans, l’ailier Daniel Utomi (1,98m) débute cette année sa carrière de basketteur professionnel après une carrière universitaire réussie entre l’université d’Akron et l’université de USC (Universite of Southern California) tant sur le plan statistiques (14.2pts et 5.5reb) que sur le plan académique (diplômé en management du sport). Pour la saison 2020/2021, Daniel a évolué en Finlande (12.6pts, 3.9 rebonds et 53.7% réussite à 3pts). Il a préféré se libérer de son contrat le liant au club pour saisir une nouvelle opportunité. Fraîchement nanti de son passeport nigérian qui lui offre le statut de joueur cotonou il nous rejoint donc pour palier à l’absence de Johan Lofberg.\\n\\n« La perte de Johan est importante, il a apporté à l’équipe de l’adresse, du jeu sans ballon, de la qualité de passe. Il est d’autant plus dommage de devoir le remplacer alors que nous étions dans une dynamique positive. Je m’associe au club pour le remercier de son professionnalisme et également de son implication dans cette période délicate pour lui. Confiant sur sa capacité à revenir à son meilleur niveau, nous allons suivre l’évolution de sa remise en forme, » indique le coach Guilaume Vizade. « Pour palier à l’absence qui risque d’être longue de Johan Lofberg, nous recherchions un profil de joueur possédant à la fois des qualités physiques certaines pour être en capacité d’affronter le rythme de la fin du championnat, et un joueur ayant été en activité cette année. Daniel présente ces qualités qui lui permettent d’être impactant physiquement, tout en apportant une nouvelle menace dans le tir à trois points et aux rebonds. Déjà sur nos tablettes, Daniel est très vite sorti du lot vis à vis de ces critères, ce qui nous a permis de réagir assez rapidement à la blessure de Johan »" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Le Real Madrid devrait prolonger Pablo Laso" }, {"role": "assistant", "content":"Selon MARCA, Pablo Laso, 53 ans, restera l’entraîneur du Real Madrid pour les saisons à venir. La prolongation de son contrat devrait être officialisée dans les prochaines heures.\\n\\nEn dix saisons, le technicien espagnol a remporté 20 titres (5 Championnats d’Espagne, 6 Coupes du Roi, 6 Super Coupes, 2 euroleague et 1 coupe intercontinentale) et a atteint 28 finales dans les 38 tournois officiels disputés sur la période. Cette réussite fait de lui le meilleur entraîneur du Real Madrid sur les 30 dernières années.\\n\\n« Laso est une figure mythique de notre histoire, à la hauteur de Pedro Ferrándiz (13 saisons) et Lolo Sainz (14 saisons). Il est l’un des grands symboles du basket madrilène » avait déclaré Florentino Perez, président du Real Madrid.\\n\\nPour le moment, le Real Madrid fait partie des équipes qualifiées pour les playoffs de l’EuroLeague avec un bilan de 15 victoires et 10 défaites et est leader de Liga Endesa avec 20 victoires et une seule petite défaite.\\n\\nPhoto : Liga ACB" }, {"role": "user", "content":"Blessé il y a cinq mois, Edwin Jackson (Estudiantes Madrid) est de retour" }, {"role": "assistant", "content":"Cinq mois après sa blessure au poignet droit lors de la troisième journée de Liga Endesa, Edwin Jackson (1,90m, 31 ans) est de retour sur les parquets.\\n\\nL’Estudiantes Madrid aura bien besoin de son scoreur français ces prochaines semaines. Le deuxième club de la capitale pointe actuellement à la 16e place de Liga Endesa (5 victoires, 14 défaites). À en croire le quotidien As, Edwin Jackson est rétabli.\\n\\nAprès n’avoir joué que 51 petites minutes cette saison, l’arrière avait subi le 24 septembre une rupture du ligament scapho-lunaire du poignet droit, avant d’être opéré en octobre. Le processus de guérison de cette blessure, qui peut entraîner une absence jusqu’à neuf mois, a été réduit de moitié par le staff médical.\\n\\n« Le chirurgien nous a dit que l’évolution de sa blessure était très bonne, très positive et en dehors des fourchettes habituelles. L’attitude et la prédisposition d’Edwin sont exceptionnelles. Dès la première minute, il a traité sa blessure avec un grand professionnalisme », confie le kiné du club.\\n\\nDans cette seconde partie de championnat d’Espagne, l’international français découvrira JJ Barea, arrivé récemment dans la capitale. Le coéquipier de John Roberson et d’Alessandro Gentile devrait être en tenue dès samedi contre l’Unicaja Malaga.\\n\\n\\n¡Ha vuelto 🔥 !\\n\\nTras una larga recuperación, EDWIN JACKSON ( @edjacks ) está a las puertas de volver a las canchas.\\n\\nAsí lo cuentan el fisio Óscar Otín, y el propio jugador en este vídeo ofrecido por @AsisaSalud proveedor oficial de Movistar Estudiantes.#LigaEndesa pic.twitter.com/ciM26tkTQU\\n\\n— Movistar Estudiantes (@MovistarEstu) February 24, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Document : Le Rapport Financier des clubs de Jeep Elite et Pro B pour la saison 2019-20" }, {"role": "assistant", "content":"Le Rapport Financier de la Ligue Nationale de Basket pour la saison 2019/20 vient d’être publié. Vous pouvez le trouver ICI. Comme chaque année, les finances des clubs de Jeep Elite et de Pro B sont ainsi rendus publiques. Une transparence unique en Europe.\\n\\nOn découvre notamment que les Métropolitans 92, l’ASVEL, Pau-Lacq-Orthez et Cholet Basket en Jeep Elite et le Paris Basket en Pro B, étaient sérieusement dans le rouge au niveau des résultats d’exploitation à l’issue de la saison 2019-20.\\n\\nDans le document figurent d’autres données très intéressantes comme le nombre de contrats de joueurs professionnels, d’espoirs, le capital social par club et encore les affluences et le nombre d’abonnés où Limoges est numéro 1 devant... Le Portel.\\n\\n« La saison 2019/2020 a été marquée par la crise sanitaire de la Covid-19 et a été par bien des égards hors normes, anxiogène et complexe », explique Philippe Ausseur, Président de la Direction Nationale de Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP). Les résultats nets cumulés de la saison 2019/2020 (488 K€ pour la Jeep® ÉLITE et 595 K€ pour la PRO B) doivent être considérés comme rassurants à court terme mais insuffisants pour donner des marges de manœuvre pour la suite de la crise. Ces résultats n’ont pu être réalisés que grâce à l’exonération partielle des charges patronales et aux indemnités versées par l’Etat Français dans le cadre du dispositif d’activité partielle. La DNCCGCP, grâce à ses outils de modélisation financière, a pu simuler ce qu’auraient été les situations économiques des clubs de la LNB sans les aides. Les résultats nets cumulés au 30 juin 2020 auraient présenté :\\n\\n * Une perte de 4,7 millions d’euros pour la Jeep® ÉLITE ;\\n * Une perte de 2,3 millions d’euros pour la PRO B ;\\n * Soit une perte nette cumulée de 7 millions d’euros pour l’ensemble des clubs professionnels.\\n\\nAu 30 juin 2020, la situation nette cumulée s’établit à 7,3 millions d’euros pour les clubs de Jeep® ÉLITE et à 2,8 millions d’euros pour les clubs de PRO B. Outre l’aspect financier, la grande particularité cette année liée à la Covid-19 réside dans le déroulement de la saison. Cette dernière ayant dû être suspendue au mois de mars 2020, le nombre de matchs disputés a par conséquent significativement baissé. Il en résulte une baisse des recettes de match et des produits liés au sponsoring. La perte sur les produits d’exploitation reste malgré tout limitée grâce au soutien honorable d’un grand nombre de partenaires et d’abonnés qui, par amour pour le basket, ont continué de soutenir les clubs en décidant de maintenir leur engagement. Malheureusement, le contexte actuel risque de s’étendre dans le temps et d’impacter encore fortement la saison 2020/2021. Si grâce au soutien financier apporté par l’Etat et à la bonne gestion des clubs, la situation réelle des clubs est globalement satisfaisante, elle ne suffit néanmoins pas à couvrir les difficultés déjà actées sur l’exercice 2020/2021. »" }, {"role": "user", "content":"Après le Mexique et la Pologne, DJ Cooper (ex-Chalon) file déjà en Ukraine" }, {"role": "assistant", "content":"Décidément, DJ Cooper (1,83m, 30 ans) enchaîne les clubs. Le meneur de jeu vient de s’engager avec le club ukrainien de Dnipro, actuellement 2e de son championnat national (15 victoires et 6 défaites). Il y remplace le champion de France 2015 Pooh Jeter.\\n\\nAprès Monaco, Pau et Gravelines, l’ancien MVP du championnat de France en 2016-2017 avait débuté le présent exercice à l’Elan Chalon après plusieurs années de suspension en raison de dopage... avant de filer au Mexique (Dorados de Chihuahua) en novembre puis en Pologne (Stal Ostrow) en décembre. Il n’y a pas joué le moindre match car n’avait pas réussi les tests médicaux.\\n\\n\\nDnipro is signing PG DJ Cooper, per sources\\n\\nCooper is coming to Ukraine to replace Pooh Jeter as leading guard of reigning Superleague champs\\n\\nFormer French League MVP, Cooper last played in Mexico, signed a deal in Poland in December, but never played after\\n\\n— Oleksandr Proshuta (@alex_proshuta) February 24, 2021\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Mélissa Diawakana revient à Villeneuve d’Ascq en joker médical" }, {"role": "assistant", "content":"Pour combler l’absence de Lisa Berkani, touchée à l’aine depuis mi-décembre, Villeneuve d’Ascq, l’actuel 4e de Ligue Féminine (7 victoires, 6 défaites), fait revenir Mélissa Diawakana.\\n\\nPassée par le centre de formation en 2009-2010, puis au sein de l’équipe professionnelle en 2013-2014, Mélissa Diawakana (1,70m, 28 ans) revient une nouvelle fois à Villeneuve d’Ascq. La native de Kinshasa a signé jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLa globe trotteuse est passée par le Red Star Champigny, Reims, Rennes, Calais, Chartres, Oberhausen (Allemagne), Nottingham (Angleterre), Hanovre (Allemagne), Nice, Lobas Aguascalientes (Mexique), Ruzomberok (Slovaquie), Torun (Pologne) ou encore dernièrement Braine (Belgique), club avec lequel elle a joué en Euroleague (4,1 points à 29,2% de réussite au tir, 2,5 passes décisives et 2 rebonds pour 4 d’évaluation en 18 minutes de moyenne).\\n\\nEn cette fin de saison, « Mel » repose donc ses valises en France. Elle retrouvera un coach qu’elle connait bien puisque Rachid Méziane l’a déjà dirigée sous les couleurs niçoises.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Philippe Ausseur (président de la DNCCGCP) : « La ligue et les clubs ont fait au mieux avec le pire ! »" }, {"role": "assistant", "content":"À la suite de son Assemblée Générale de ce lundi matin, la LNB a présenté, par le biais du président de la Direction du Contrôle de Gestion, Philippe Ausseur, les chiffres financiers de la saison passée et les projections pour celle en cours. Pour résumer, la situation n’est pas très positive mais elle aurait pu être bien pire. Et, souligne la LNB, le meilleur moyen d’amortir le choc est de jouer.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJusque là, tout allait bien... Jusqu’à la crise déclenchée par le SARS-CoV-2 (le nom du coronavirus responsable de la maladie connue sous le nom de Covid-19), la Ligue nationale de basket et ses clubs étaient dans une très belle forme financière : au 30 juin 2019, la situation nette des 36 clubs de Jeep Élite et de Pro B cumulée était positive de 9,075 millions d’euros (M€), selon Philippe Ausseur, le président de la Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels, DNCCGCP). « Une situation nette positive qui a aidé à absorber le choc de la pandémie et de la crise économique, » a-t-il pu rajouter.\\n\\nÀ la sortie de l’Assemblée Générale de ce lundi, qui a entériné la suite des championnats (Jeep Élite et Pro B), les clubs professionnels se sont également vu remettre la synthèse des prévisions financières de la Ligue pour la saison en cours. Avant cela, Philippe Ausseur a dévoilé les chiffres de la saison 2019-20, déjà impactée par le coronavirus, et ses chiffres finalement satisfaisants, « un trompe-l’œil, » selon le dirigeant.\\n\\nAvec un championnat arrêté avant son terme du fait de la pandémie, la Jeep Élite a forcément connu des difficultés économiques. Mais, globalement, plutôt bien contenues : ses produits d’exploitation (en gros, le chiffre d’affaires lié à la billetterie et au sponsoring) ont baissé de 2 % par rapport à la saison précédente, à 93,937 M€, une baisse qui aurait « pu être bien pire sans la bienveillance de partenaires des clubs, » souligne Philippe Ausseur. Quant aux charges d’exploitation (les dépenses, schématiquement), elles ont-elles aussi baissé, de 5 %, pour descendre à 96,888 M€. Soit un déficit d’exploitation de 2,950 M€, couvert par un résultat exceptionnel de 3,594 M€, pour un bénéfice final de 488 000 €. « Les charges d’exploitation ont baissé car les clubs ont géré au plus près, » précise Philippe Ausseur, alors que « le résultat exceptionnel est principalement généré par le modèle économique particulier de LDLC Asvel, avec notamment un apport de ses actionnaires. » Pour le président de la DNCCGCP, « ces bons résultats passés et les aides de l’État ont permis aux clubs d’aborder la saison actuelle de façon un peu plus sereine, même si ce n’est pas suffisant. »\\n\\nL’impact des aides de l’État\\n\\nLorsqu’on entre dans le détail des conséquences de la crise sanitaire sur les comptes du basket professionnel français, on voit que ce sont principalement (et sans surprise) la billetterie et le sponsoring qui ont souffert. En mesurant la différence entre les chiffres projetés en début de saison 2019-20 (avant la pandémie, donc) et ceux réalisés au 30 juin 2020, on constate des baisses respectives de 11 M€ et 4,2 M€ sur ces postes. Est aussi apparu un poste chargé en négatif, les « dotations d’exploitation », de 1,435 M€, qui correspondent aux provisions réalisées par les clubs en prévision d’éventuelles défaillances de certains de leurs partenaires (en clair, compenser les pertes de revenus d’un sponsor faisant faillite et ne pouvant honorer ses échéances).\\n\\nSans système de compensation, ces pertes auraient donc été énormes – et de nombreux clubs en immense difficulté, pour le moins. Comment le choc a-t-il été amorti ? « La bienveillance de sponsors qui n’ont pas demandé de remboursement de prestations non effectuées et les aides de l’État ont largement contribué à réduire les pertes, » note Philippe Ausseur. Ainsi, le chômage partiel a permis de soulager la masse salariale à hauteur de 84 à 100 %, alors que les charges sociales ont été exonérées à hauteur de 4,664 M€. De quoi limiter grandement la casse, comme le souligne Philippe Ausseur, « ce résultat est satisfaisant, grâce à la prudence de tous. Celle-ci a conduit à ce que nous n’allions pas au désastre et à ce que tous les clubs soient en état de poursuivire leur activité. »\\n\\nEn Pro B, la situation est à peu près similaire : le résultat d’exploitation de la saison dernière était plombé par le déficit du Paris Basket, mais son résultat exceptionnel positif amène la division à connaître un bénéfice sur 2019-20 de 595 000 €. Pour le reste, la pandémie a eu globalement les mêmes effets sur la Pro B que sur la Jeep Élite, et les aides de l’État y ont été tout aussi importantes pour la survie des clubs.\\n\\nDes projections un peu moins pessimistes\\n\\nPartant de tous ces chiffres, la DNCCGCP a établi des projections pour l’exercice en cours. En prenant en compte les informations actuelles au niveau de la situation sanitaire et des aides gouvernementales tout en travaillant sur « les hypothèses les plus sombres, avec des matchs à huis-clos jusqu’à la fin de la saison, », les équipes de Philippe Ausseur arrivent à un résultat peu souriant : un résultat d’exploitation en déficit de 11 M€ en Jeep Élite, de 4 M€ en Pro B. Mais, rappelle Philippe Ausseur, « fin octobre-début novembre, nos simulations aboutissaient à un déficit pour la LNB de 23 M€, dont 17 M€ pour la Jeep Élite, contre 15 M€ aujourd’hui. Si nous n’avions rien fait, vous imaginez le désastre que cela aurait été sur les comptes. C’est pour cela qu’il était urgent d’attendre un peu pour connaître les conditions sanitaire et les aides gouvernementales qui nous aident aujourd’hui à être un tout petit peu plus sereins. »\\n\\nSi ces projections se vérifient en fin de saison, la situation se présenterait ainsi :\\n\\n– en Jeep Élite, 9 clubs seraient en situation nette positive, 1 enregistrerait des pertes inférieures à 100 000 € et 8 supérieures à 100 000 € (dont 5 à plus de 500 000 €) ;\\n\\n– en Pro B, 10 clubs seraient en positif, 2 avec une situation nette prévisionnelle entre 0 et – 25 000 € et 6 avec un résultat déficitaire d’au moins 25 000 €.\\n\\nAlors, comme le souligne Alain Béral, président de la LNB, « il y a effectivement des clubs en danger de faillite, notamment parmi ceux qui présentent une situation nette prévisionnelle déficitaire de plus de 500 000 €. Il faut donc rester vigilants. » Mais, rappelle Philippe Ausseur, il faut « signaler la gestion de la Ligue et des clubs, qui a été prudente, s’est faite au plus près de la réalité. La ligue et les clubs ont fait au mieux avec le pire, cette crise sanitaire et économique. »\\n\\nIl faut jouer, « il n’y a pas photo ! »\\n\\nEn tout cas, ce qui semble certain, c’est qu’il fallait jouer. Certes, Alain Béral l’a rappelé, « un match à huis-clos peut coûter jusqu’à 150 000 € à un club de Jeep Élite et 75 000 € à un club de Pro B. » Mais, calcule Philippe Ausseur, « jouer un match à huis-clos coûte moins cher que de ne pas jouer. Si nous avions arrêté les championnats, la situation serait bien pire, les pertes seraient environ du double. En jouant il reste pour les partenaires la visibilité à la télévision ou sur LNBTV alors que l’arrêt aurait entraîné la perte de ces sponsors. Il n’y a donc pas photo entre ces deux scénarios. »\\n\\nEn définitive, la bonne gestion des clubs et de la Ligue associée aux aides gouvernementales ont permis de limiter les dégats. Cela étant, Alain Béral le reconnaît, il n’est pas impossible qu’il y ait « de la casse, que deux ou trois clubs soient en faillite en fin de saison. »\\n\\nLa situation reste donc tendue, il n’y a plus qu’à espérer que la pandémie ne s’aggrave pas et en remette pas en question ces projections...\\n\\n[armelse]\\n\\nJusque là, tout allait bien... Jusqu’à la crise déclenchée par le SARS-CoV-2 (le nom du coronavirus responsable de la maladie connue sous le nom de Covid-19), la Ligue nationale de basket et ses clubs étaient dans une très belle forme financière : au 30 juin 2019, la situation nette des 36 clubs de Jeep Élite et de Pro B cumulée était positive de 9,075 millions d’euros (M€), selon Philippe Ausseur, le président de la Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels, DNCCGCP). « Une situation nette positive qui a aidé à absorber le choc de la pandémie et de la crise économique, » a-t-il pu rajouter.\\n\\nÀ la sortie de l’Assemblée Générale de ce lundi, qui a entériné la suite des championnats (Jeep Élite et Pro B), les clubs professionnels se sont également vu remettre la synthèse des prévisions financières de la Ligue pour la saison en cours. Avant cela, Philippe Ausseur a dévoilé les chiffres de la saison 2019-20, déjà impactée par le coronavirus, et ses chiffres finalement satisfaisants, « un trompe-l’œil, » selon le dirigeant.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de Nanterre 92 encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nIl n’a échappé à personne que le pivot Julian Gamble (2,08m, 31 ans) vu à Nanterre lors de la saison 2018-19, et l’ailier Kyle Weems (2014-15) font actuellement cause commune à la Virtus Bologne où ils s’expriment avec efficacité dans la meilleure équipe d’Eurocup... En attendant la suite de la compétition.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALHugo Suhard28FRA-3Le Havre1326.92.14.310.810.0Suleiman Braimoh31ISR-1Hapoel Jerusalem1227.44.81.716.015.8Julian Gamble31ITA-1Bologna1818.55.21.310.013.1Kyle Weems31ITA-1Bologna1824.44.21.69.911.9Adrien Moerman32TUR-1Anadolu Efes1626.78.11.313.418.0Gerald Robinson31ITA-1Virtus Roma730.12.33.411.99.4Kenny Chery28ITA-1Germani Brescia1825.12.33.010.69.7Taylor Smith29ABA L.Mornar Bar1723.15.42.29.515.1Erik Murphy30JAP-2Fukushima Firebonds3229.48.92.016.720.6Kevin Jones31JAP-1Toyota Alvark2524.07.01.513.617.6Deshaun Thomas29JAP-1Toyota Alvark2319.63.01.112.29.9Hugo Invernizzi27FRA-1Limoges CSP928.33.23.77.810.6Terrance Campbell32SPA-1Sevilla2126.02.04.09.810.0Youssou Ndoye29SPA-1Sevilla2119.84.70.310.19.7Terran Petteway28GRE-1Peristeri1322.92.61.68.25.8Laurence Ekperigin32FRA-2Poitiers928.98.92.011.017.2Devin Oliver28TUR-1Buyukcekmece1931.07.62.312.716.2Dominic Waters34ISR-1Ironi Nahariya725.31.74.97.38.6Diante Garrett32GRE-1Promitheas Patras417.31.81.54.81.8Lahaou Konate29FRA-1Mets 921222.32.01.55.17.5Brandon Thomas36GER-1Giessen1627.23.61.411.511.1Jean-Frederic Morency31FRA-1Boulazac818.04.10.35.16.6Michal Chylinski34POL-1Astoria Bydgosz2228.63.02.311.610.1Jamal Shuler34GRE-1Aris BC1321.51.61.75.84.4Nick Johnson28TUR-1Turk Telekom1231.64.46.713.316.2Mouhammadou Jaiteh26TUR-1Gaziantep1831.711.32.115.422.4Evan Fournier28USA-1Orlando Magic1427.92.53.617.815.1David Lighty32FRA-1ASVEL823.81.61.510.58.5Myles Hesson30FRA-1Chalon1025.24.11.811.78.2William Mensah25FRA-3Mulhouse1323.52.92.89.09.4Warren Racine25FRA-3Rueil AC1030.62.76.115.917.1Alexis Desespringalle29FRA-3Etoile Angers Basket1224.52.81.611.29.4Anthony Da Silva19FRA-2Evreux915.71.12.72.63.7Bathiste Tchouaffe22FRA-2UJAP Quimper727.03.60.915.316.3Loic Akono33FRA-3Boulogne-sur-Mer1220.82.12.68.17.5Jean-Marc Pansa23FRA-2Antibes923.15.30.99.111.3Ali Traore35FRA-2Antibes923.25.92.010.811.7Dallas Moore26CHN-1Guangzhou3730.63.24.923.021.9Jeremy Senglin25SPA-1MoraBanc Andorra1624.72.42.311.910.2Souarata Cisse34FRA-3CEP Lorient1220.32.51.57.57.6Marc Judith33FRA-3Vanves97.40.80.70.81.4Mathias Lessort25FRA-1Monaco822.16.41.89.913.9Armand Mensah21FRA-2Denain1017.71.92.66.37.7Spencer Butterfield28SPA-1Tenerife1613.12.10.46.16.4Johan Passave-Ducteil35FRA-1Le Portel818.32.51.18.38.9Mehdy Ngouama25FRA-1Le Portel820.82.32.08.97.9Adas Juskevicius31VTB L.Parma1323.52.44.414.114.9Alade Aminu33SPA-1RETAbet Bilbao512.41.80.26.25.8Haukur Palsson28SPA-1MoraBanc Andorra1419.42.61.78.67.1Corentin Carne24FRA-2Aix-Maurienne216.51.02.54.08.0Arnaud Kerckhof36FRA-3Orchies723.94.94.73.68.7Yannis Morin27FRA-1Strasbourg823.46.01.49.912.9Fernando Raposo31FRA-1Orléans111.06.00.03.05.0Talib Zanna30ISR-1Hapoel Tel Aviv326.38.30.711.714.7Maxence Dadiet21FRA-3UTBM Tours46.01.30.80.5-0.5Edwin Jackson31SPA-1Movistar Estudiantes226.03.02.58.53.5Justin Edwards28BCL-QRU-BT Cluj Napoca128.07.01.022.021.0\\n\\nPhoto: Julian Gamble (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel à l’ASVEL jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le but d’être compétitif pour les Jeux Olympiques de Tokyo, Thomas Heurtel (1,89m, 31 ans) a choisi de rejouer dans un club cette saison et ce sera à Villeurbanne. Il ne pourra porter le maillot de l’ASVEL qu’en Jeep Elite et Coupe de France puisque la date limite des transferts en Euroleague est dépassée.\\n\\nOn se souvient qu’après Pau, le Biterrois avait signé un contrat de quatre ans avec l’ASVEL Lyon-Villeurbanne en juillet 2009, mais qu’il n’y a jamais joué. Il avait enchaîné sur Strasbourg puis un long séjour en Espagne (Alicante, Vitoria, FC Barcelone) avec un détour de trois saisons à Efes Istanbul.\\n\\nEn froid avec le coach Sarunas Jasikevicius, Thomas Heurtel a été écarté de l’équipe du Barça en début d’année puis il a rompu son contrat avec le club catalan. Il n’a joué que 12 matchs d’Euroleague cette saison à 2,9 points de moyenne. La récente fenêtre internationale à Podgorica lui a permis de renouer à la compétition sous le maillot de l’équipe de France, avec efficacité face au Monténégro.\\n\\n« C’est avec une grande joie que nous allons accueillir Thomas jusqu’à la fin de la saison. Il n’a pas hésité à faire de gros sacrifices financiers pour nous rejoindre. C’est une belle marque de confiance, le signe que LDLC ASVEL est une vraie référence pour les meilleurs basketteurs français. On a vu avec l’équipe de France à quel point Thomas est heureux de pouvoir jouer au basket ! Il est extrêmement motivé pour finir fort l’année et sera un vrai leader pour nous aider à aller chercher des titres sur la scène nationale !, » commente le président Tony Parker.\\n\\nL’ASVEL se retrouve ainsi nantie de 5 meneurs (!) avec Antoine Diot, Norris Cole -qui peut se décaler en 2-, Derrick Walton Jr et Matthew Strazel.\\n\\nLes médias espagnols ont annoncé que l’international avait déjà donné son accord au Real Madrid pour la saison prochaine, mais il n’a pas voulu confirmer l’information lors d’une récente visioconférence.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Gravelines: vers un déficit de fin de saison entre 300 000 et 400 000 euros" }, {"role": "assistant", "content":"C’est officiel depuis lundi, la saison de Jeep Elite ira à son terme. Le staff de Gravelines estime qu’il s’agit d’une bonne nouvelle.\\n\\nComme toutes les équipes de Jeep Elite, le calendrier de l’équipe nordiste s’annonce chargé dans les prochaines semaines. Au mois de mars, Gravelines (12e, 4 victoires, 6 défaites) recevra Le Mans à Sportica, puis se déplacera à Roanne, avant de recevoir Strasbourg et d’aller à Dijon. S’ajoute à cela le quart de finale de Coupe de France face à Limoges.\\n\\n« On va disputer 6 matchs au mois d’avril, peut être 7 si on se qualifie en demi-finale de Coupe, 11 matchs au mois de mai, et encore 6 matchs sur les 15 premiers jours de juin, donc c’est particulièrement chargé. Le vrai soulagement, c’est d’avoir un calendrier, des matchs. Il va falloir surtout gérer les efforts, travailler dans la récupération et rester intelligent pour éviter un maximum de blessures, mais on est très content de jouer, c’est clair », confie Serge Crevecoeur à Nord Littoral.\\n\\nAvec un tel programme, le BCM, dont l’objectif principal reste de se maintenir, réfléchit à se renforcer sur le marché des transferts, à la recherche de la bonne opportunité.\\n\\n« On tâte le terrain, mais on ne va pas prendre n’importe qui. On ne va pas prendre pour prendre, ce n’est pas une obsession. D’autant que Itay Segev va revenir. On aura un renfort de plus dans la raquette déjà. Ce qu’on veut c’est ne pas être dans la charrette, et après si l’équipe venait à trouver un rythme de croisière... pourquoi pas envisager les play-offs, mais on en est loin au classement. On reste les pieds sur terre. Avec tout ce qu’on a connu cette année, on sera content de se maintenir et de préparer la prochaine saison », accorde Hervé Beddeleem, directeur exécutif de Gravelines.\\n\\nSur le plan financier, le BCM Gravelines, comme les autres clubs de LNB, peut déjà se réjouir du maintien du championnat car il pourra continuer de percevoir des aides de l’État. Pour le moment, les dirigeants évaluent le déficit de fin de saison entre 300 000 et 400 000 euros... en espérant un retour d’une partie du public dès les prochaines semaines ?\\n\\nPhoto : BCM" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Nando De Colo au top" }, {"role": "assistant", "content":"La semaine passée étant dévolue à la fenêtre internationale, bien peu de championnats nationaux ont continué à se jouer. C’est ainsi que le seul Stéphane Gombauld, en Serbie, s’est produit dans un championnat national parmi le contingent des Français de l’étranger. C’est la raison pour laquelle, une fois n’est pas coutume, nous mentionnons aujourd’hui les prestations des joueurs français en Euroleague. Avec le Fenerbahce, Nando De Colo a régné face à l’Alba Berlin alors que Youssoupha Fall a été décisif pour Baskonia.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nL’étoile Nando De Colo brille à nouveau\\n\\nFenerbahçe a enregistré une dixième victoire consécutive en Euroleague où son record est désormais de 15-10 et Nando De Colo a été plus qu’efficace dans cette victoire face à l’Alba Berlin (89-85). Le meneur/arrière a mis au supplice la défense allemande. Agressif à l’attaque du cercle et intense dans le jeu, il a animé le collectif offensif du Fener (8 passes décisives). Il a laissé une ardoise conséquente (26 pts et 31 d’évaluation) qui a fait la différence.\\n\\n\\nYoussoupha Fall s’est fait plaisir\\n\\nS’il enregistre des hauts et des bas avec Baskonia Vitoria, Youssoupha Fall (2,21 m, 26 ans) n’a pas connu de turbulences dans la large victoire de son club chez le Khimki Moscou (89-67), jeudi soir. Dans un match important pour les Basques dans la course aux playoffs, le pivot a frôlé le double double avec 14 points, 9 rebonds et 3 contres en 19 minutes pour 21 d’évaluation.\\n\\n\\nStéphane Gombauld mène Mladost à la victoire\\n\\nL’ancien de l’ADA Blois, Stéphane Gombauld (2,02m, 23 ans) s’est distingué en championnat de Serbie. Face à Novi-Pazar, le natif de Saint-Claude (Guadeloupe) a fait sauter la banque et s’est offert un double double (18 points et 13 rebonds), étant l’un des grands artisans de la victoire du Mladost Zemunm (104-90). Avec cette victoire, Zemun consolide sa première place en KLS.\\n\\nESPAGNE\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 9 points (4/8 aux tirs dont 0/3 à trois-points), 1 rebond, 1 passe, 2 interceptions, 2 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Défaite 78-89 à Valence).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 14 points (6/10 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs), 9 rebonds, 3 contres, 2 ballons perdus pour 21 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 89-67 au Khimki Moscou).\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 8 rebonds, 1 interception pour 8 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 89-78 face au Real Madrid).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 8 points (4/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 interception et 3 pertes de balles pour 7 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Défaite 62-86 à Barcelone).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 18 points (9/11 aux tirs), 13 rebonds, 2 passes, 4 ballons perdus pour 24 d’évaluation en 29 minutes de jeu (Victoire 104-90 à Novi Pazar).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 11 points (5/13 aux tirs dont 1/7 à trois-points), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 ballon perdu, 1 contre pour 2 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 76-53 face à l’Olympiakos).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : 26 points (8/15 points dont 1/6 a trois-points et 9/9 aux lancers-francs), 1 rebond, 8 passes, 2 interceptions, 1 contre, 5 ballons perdus pour 31 d’évaluation en 27 minutes de jeu (Victoire 89-84 face à l’Alba Berlin).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 5 points (2/4 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 1/2 aux lancers-francs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 ballons perdus pour 4 d’évaluation en 23 minutes (Victoire 76-53 face à l’Olympiakos).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 5 points (2/4 aux tirs dont 1/1 à trois-points), 2 contres, 1 ballon perdu pour 4 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Défaite 53-76 à l’Anadolu Efes).\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nL’étoile Nando De Colo brille à nouveau\\n\\nFenerbahçe a enregistré une dixième victoire consécutive en Euroleague où son record est désormais de 15-10 et Nando De Colo a été plus qu’efficace dans cette victoire face à l’Alba Berlin (89-85). Le meneur/arrière a mis au supplice la défense allemande. Agressif à l’attaque du cercle\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Pau va terminer la saison avec des comptes positifs" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce aux aides de l’Etat, au soutien des collectivités et des partenaires, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez ne va pas sortir de cette saison dans le rouge, et au contraire compte boucler l’exercice dans le positif. C’est la (bonne) nouvelle révélée dans le quotidien Sud Ouest par le Directeur Exécutif, Didier Gadou:\\n\\n« C’est le défi que nous nous sommes lancé. Il existe deux scénarios: celui du maintien du huis clos jusqu’à la fin de la saison et celui du retour du public avec une certaine jauge limitée. On souhaite bien entendu aller vers le second, avec un retour du public le plus tôt possible et une jauge d’au moins 30%. Mais dans les deux cas, nous bouclerions la saison en positif. »\\n\\nMal en point sur le plan sportif (17e, 3 victoires pour 8 défaites), les Palois veulent faire l’acquisition d’un meneur de jeu d’ici le 28 février, qui est la deadline pour les transferts. L’ancien joueur NBA Tony Wroten (1,98m, 27 ans), actuellement sans club, fait partie des cibles." }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de l’AS Monaco encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nL’AS Monaco est un club neuf au plus haut sommet de la Jeep Elite mais on peut consulter avec des yeux admiratifs la qualité des joueurs, spécialement des étrangers, qui sont passés par la Principauté. Le massif John Bryant (2,10m, 135 kilos) n’a pas laissé une trace indélébile (6 matches joués) mais on se rend compte qu’il a été encore très performant sur les 4 matches à son actif cette saison en Allemagne.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALAaron Cel33POL-1Polski C. Toruń2329.17.63.212.917.9Gerald Robinson31ITA-1Virtus Roma730.12.33.411.99.4Elmedin Kikanovic32TUR-1OGM Ormanspor1822.44.71.211.611.1Ian Hummer30TUR-1Aliaga Petkim Spor1829.14.83.112.413.9Derek Needham30ABA L.Mornar Bar1622.03.14.68.812.8Kim Tillie32JAP-1Ryukyu Golden Kings1817.44.41.65.48.5Brandon Davies29SPA-1F.C. Barcelona1616.23.51.69.310.3Yakuba Ouattara28SPA-1Sevilla1523.44.40.710.110.1Shekinah Munanga23FRA-3Chartres1318.45.30.98.511.8Paul Rigot25FRA-1BCM612.81.70.52.73.0Amara Sy39FRA-2Paris Basketball618.52.22.04.85.7Landing Sane30FRA-1Orléans821.33.40.811.011.3Zack Wright35FRA-1Bourg-en-Bresse625.53.34.511.815.7Anthony Clemmons26ABA L.Igokea1526.32.34.111.912.6Ivan Buva29FRA-1Bourg-en-Bresse314.05.70.710.09.7Junior M’bida30FRA-1Champagne B.1114.52.71.05.47.0John Bryant33GER-1Giessen421.55.82.012.317.3Dylan Ennis29SPA-1Casademont Zaragoza2229.83.03.516.714.4Jamal Shuler34GRE-1Aris BC1321.51.61.75.84.4Moustapha Fall28FRA-1ASVEL619.36.21.58.313.7Paul Lacombe30FRA-1ASVEL719.43.92.37.711.1Norris Cole32FRA-1ASVEL817.61.03.16.85.5Eric Buckner30FRA-1Chalon1019.74.50.98.79.4Jason Jones34FRA-3Etoile Angers Basket1225.87.12.212.914.3Nick Caner-Medley37FRA-2Fos Provence827.97.31.014.416.5Jordan Aboudou29FRA-2Vichy-Clermont822.84.41.313.411.0Lazeric Jones30GER-1Medi Bayreuth415.31.51.54.32.0Hugo Dumortier27FRA-3Boulogne-sur-Mer917.81.44.79.112.6Leopold Ca22FRA-2Antibes918.23.10.95.46.7Luc Loubaki23FRA-2Lille920.61.11.35.43.7Ali Traore35FRA-2Antibes923.25.92.010.811.7Jarrod Jones30ABA L.Cedevita1220.43.21.312.613.4Miguel Buval30FRA-3Vanves1225.45.41.213.915.5Georgi Joseph38FRA-1Le Portel820.95.82.04.99.9Mehdy Ngouama25FRA-1Le Portel820.82.32.08.97.9Melwin Pantzar20SPA-2Valladolid1322.43.32.37.48.8Abdel Kader Sylla30FRA-2Nantes723.64.91.17.08.0Damjan Rudez34FECDonar Groningen230.03.52.015.517.0Benedek Kovacs19BCLFalco14.01.00.00.01.0Demarcus Nelson35FRA-1Limoges CSP629.24.33.711.712.0D.J. Cooper30FRA-1Chalon329.32.76.79.711.7Chris Evans29ITA-1Virtus Roma135.05.02.015.016.0Kyrylo Fesenko34BCL-QRDnipro119.09.01.00.07.0" }, {"role": "user", "content":"Avant même de signer pour le club grec, Mario Hezonja affirmait : « j’irais à Athènes à pied depuis la Croatie pour jouer pour le Panathinaïkos »" }, {"role": "assistant", "content":"À 25 ans, la carrière de Mario Hezonja (2,03m) prend un nouveau tournant. Coupé par les Memphis Grizzlies en décembre dernier, l’ailier croate a décidé de revenir en Europe et portera le maillot vert du Panathinaïkos jusqu’à la fin de la saison. Dans une interview donnée à la gazzetta.gr en 2020, le Croate parlait déjà de son grand amour pour le Pana après avoir paraphé son contrat avec les Portland Trailblazers.\\n\\nBeaucoup de Grecs se posaient la question : « Super Mario, portera-t-il un jour le maillot avec le trèfle sur la poitrine ? ». Décrit comme un « fanatique du Panathinaïkos », Mario Hezonja est l’un des favoris des fans verts sur les réseaux sociaux malgré qu’il n’ait jamais porté ce maillot jusqu’à ce jour. Néanmoins, il poste constamment des informations sur le club et suit de près le parcours de l’équipe. Le rêve du Croate est devenu réalité ce lundi.\\n\\n» Si j’étais libre et que je ne m’engageais pas dans une équipe, j’irais à Athènes à pied depuis la Croatie pour jouer pour le Panathinaïkos » affirmait-il, même si toutefois il n’y pensait concrètement, expliquant les difficultés objectives qui existaient : « Même si je décide de retourner en Europe à l’expiration de mon contrat avec la NBA, mes droits appartiennent à Barcelone. Ce qui signifie que je dois payer un rachat au cas où une équipe voudrait m’acquérir. «\\n\\nVous regardez les matches d’Euroleague ?, lui était-il demandé.\\n\\n» Oui, je regarde l’Euroleague et je regarde autant de matchs que je peux. Mais le basket-ball reste le basket-ball. Partout. Où que vous jouiez. Bien sûr, en l’EuroLeague, le basket est plus organisé. Chaque match est très important et vous devez gagner. Les erreurs ne sont pas pardonnées car au cours de la saison cela peut vous coûter cher. La qualité du jeu est peut être un niveau en dessous de la NBA en raison du fait que dans la NBA, il y a un talent individuel incroyable, mais le talent a également besoin d’espace. Cependant en Euroleague, les équipes sont très bien préparées pour chaque match. En NBA, vous perdez un match en saison régulière et vous vous dites simplement : « Demain est un match différent ». Et vous n’y pensez même pas, surtout si vous êtes dans une équipe qui joue les playoffs. Bien sûr, le fait que vous ayez un ou deux matchs par semaine joue également un rôle. Et peu importe combien vous perdez, vous y réfléchirez et analyserez le match davantage dans le temps qui s’écoulera jusqu’au prochain match « .\\n\\nIl lui était demandé comment est né son amour pour le club.\\n\\n» Tout d’abord à cause de Dimitris Diamantidis. C’est mon joueur préféré de tous les temps. Je me souviens qu’en 2011, nous avons remporté le « Next Generation Tournament » avec le KK Zagreb à Barcelone, suivi du final four de l’EuroLeague. Puis le coach que j’avais dans l’équipe m’a pris à part et m’a dit : « Tout ce que je veux de toi, c’est que tu regardes le numéro 13 du Panathinaïkos. Concentre-toi sur le numéro 13. Cela t’aideras dans ta carrière. Et c’est ce que j’ai fait. J’étais très jeune et je ne comprenais pas beaucoup de choses à ce qu’il faisait. Mais en cours de route et en grandissant, j’ai tout de suite compris ce que le coach voulait me dire. Le jeu de Diamantidis a également élargi le mien. Et quand j’étais plus tard à Barcelone et que je le regardais davantage, je l’aimais encore plus. Et c’était très étrange de l’avoir comme adversaire dans nos matchs. Grâce à lui je suis devenu meneur de jeu en NBA ! C’est mon joueur préféré ! »\\n\\nMario Hezonja a compris qu’il est aussi le favori des fans verts...\\n\\n» Le vert est ma couleur préférée. Et le plus drôle, c’est que chaque fois que je venais à OAKA pour affronter le Panathinaïkos, j’avais l’impression que tout le monde se préparait au combat. Mais au contraire, tout le monde m’a étreint et je me suis dit qu’il m’aimaient vraiment. Cet amour existe depuis et a grandi lorsque j’ai quitté l’Europe pour rejoindre la NBA. Les fans de Panathinaïkos sont les meilleurs au monde. Je les aime beaucoup. Je leur suis reconnaissant et j’admire à quel point ils soutiennent leur équipe. «\\n\\nFormé au FC Barcelone avec lequel il a remporté le championnat d’Espagne en 2014, Mario Hezonja, drafté en 5e position par le Orlando Magic en 2015, n’a jamais confirmé outre-Atlantique, ni en Floride, ni à New York, ni à Portland. Et ce malgré 330 apparitions en NBA pour 6,9 points et 3,1 rebonds de moyenne.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=dMw7XkR8T6o\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Aleksandar Petrovic, coach de la sélection : «Les fenêtres ont apporté une nouvelle lumière au Brésil»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Croate Aleksandar Petrovic, frère de feu Drazen, est le coach du Brésil et se dit enchanté par la formule des fenêtres FIBA.\\n\\n« Je suis sur le banc du Brésil depuis trois ans et demi et je dois dire que les fenêtres ne nous ont apportés que des choses positives. Au cours des 20 dernières années, le Brésil a exploité une génération à travers toutes les frontières possibles et temporelles. Ces sept, huit joueurs ont joué pendant 15 ans. Et puis vint 2017, lorsqu’ils se sont soudainement trouvés dans une impasse où ils n’avaient pas d’autre nom avec lequel ils pourraient compter pour l’avenir du basket brésilien. »\\n\\nLes matches de qualifications ont ainsi permis de regénérer le groupe des internationaux brésiliens.\\n\\n« Il y a toute une nouvelle génération de joueurs sur le terrain, mais pas ceux qui sont cosmétiques, comme des garçons de 18 ans que vous mettez pendant quelques minutes. Ce sont tous des gars qui joueront pour le Brésil pendant les dix prochaines années. Surtout après la fin des tournois pré-olympiques et des Jeux Olympiques, si on gagne à Split. Les fenêtres ont apporté une nouvelle lumière au Brésil. »\\n\\nAu TQO de Split, le Brésil sera dans un groupe qui apparait plus abordable que ceux de Belgrade et Victoria avec l’Allemagne, la Russie, le Mexique, la Tunisie et la Croatie. De plus, certains de ses adversaires pourraient être privés de leurs joueurs NBA qui seront peut-être toujours en course en playoffs.\\n\\n« C’est le cas pour la Croatie car il se peut que Utah avec (Bojan) Bogdanović soit en finale à l’Ouest, ainsi que les Clippers avec (Ivica) Zubac. L’Allemagne, pourrait ne pas avoir (Dennis) Schroeder si les Lakers sont toujours qualifiés. De ce côté-là, nous n’avons aucun risque, nous serons au complet. On passe sous le radar donc on va se positionner et on est conscient qu’on a une chance. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B : Nouveau calendrier, Final 8, audiences TV..." }, {"role": "assistant", "content":"Terminé le stop and go. La Ligue Nationale de Basket a décidé de revenir à un rythme normal pour la Jeep Elite comme pour la Pro B à partir du 6 mars. Il n’y aura pas de playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUne concertation avec les présidents des clubs de Jeep Elite et de Pro B avait été effectuée en amont, ce qui a amené à ce que l’Assemblée Générale de ce lundi matin soit menée tambours battants et aboutisse à un quasi consensus. Il a été décidé que même si le huis clos est maintenu, les deux championnats iront à leur terme. Une décision valable jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nComme l’absence de public et d’hospitalité coûtait, à chaque match, en moyenne 150 000 euros pour les clubs de Jeep Elite et la moitié pour ceux de Pro B, la LNB avait fait le choix de faire fonctionner jusqu’ici au ralenti ses compétitions, quitte à ce que leur lisibilité en souffre énormément. Grâce aux aides de l’Etat, la ligue et les présidents de club ont pris la décision de reprendre un rythme « normal » et même accéléré à partir d’avril, après un mois de mars avec quatre matches par équipe, deux à domicile et deux à l’extérieur -certains clubs étant prêts à en faire davantage. En Jeep Elite, 90 matches on été joués jusqu’ici, il en reste donc 216 au menu. Certains vont frôler l’indigestion. L’objectif est d’arriver à la fin de la saison régulière au 15 juin. C’est une deadline car les internationaux -et il y en a aussi en Pro B- devront alors être mis à la disposition de leurs équipes nationales qui disputeront les Tournoi de Qualification Olympique.\\n\\nLe président de la LNB Alain Béral a éclairé certains points particuliers :\\n\\nLE PROBLEME DES SEPTAINES\\n\\nLes équipes, et tout particulièrement l’ASVEL, qui disputent des matches de coupes d’Europe en dehors de l’Union Européenne sont soumises à des septaines (NDLR : quarantaine de sept jours) à leur retour en France. Ce qui est forcément très perturbant pour la mise en place d’un calendrier déjà délicat à mettre en place.\\n\\n« Lorsqu’une équipe française va jouer en Turquie, lorsqu’elle revient, elle est en septaine, alors que l’équipe turque qui vient de France, on ne lui demande pas d’être en septaine. On n’a pas vraiment les moyens que les clubs s’arrêtent sept jours entre les matches européens et les matches nationaux. Mais s’il faut le faire, on fera avec. »\\n\\n« Les places en coupes d’Europe seront décidées par le classement de la saison régulière«\\n\\nLA POSSIBLE ORGANISATION D’UN FINAL 8\\n\\nC’est dans les cartons. Ce Final 8 serait du format de la Leaders Cup ou du Final 8 de la Basketball Champions League auquel la JDA Dijon a participé à la rentrée. C’est à dire quarts de finale, demis et finale sur un seul match. Le but: décerner ainsi le titre de champion de France. Important mais tout de même moins décisif que lorsque la finale du championnat joué à Paris-Bercy décernait le titre de champion de France et la place en Euroleague.\\n\\nUne condition : les 306 matches de saison régulière devront alors avoir été écoulés. Ce Final 8, organisé par la Ligue, se tiendrait sur un site qui ne serait pas concerné par la compétition.\\n\\n« Lors de la première AG, les clubs avaient donné la main au Comité Directeur pour savoir s’il y aurait un Final 8 potentiellement après la saison régulière. Les clubs le souhaitent même s’ils sont handicapés par l’absence des internationaux. Selon la situation sanitaire, le Comité Directeur acceptera d’organiser ce Final 8 qui servira à déterminer le champion. Mais les places en coupes d’Europe seront décidées par le classement de la saison régulière, justement à cause de l’absence potentielle de ces internationaux. Les présidents de Pro B avaient déjà décidé qu’il n’y aurait pas de Final 8 ou de Final 4 et ce sont les premier et deuxième de la saison qui monteront en Jeep Elite (...) Si on ne va pas au bout de la saison régulière, c’est le ranking qui s’applique. On ne le souhaite pas. Quand on avait décidé cela, on avait imaginé que la saison serait « normale » et malheureusement, elle ne l’est pas. »\\n\\n« Le fait de forcer la dose en terme de calendrier fait que l’on se heurte à un problème de disponibilité des salles »\\n\\nL’ORDONNANCEMENT DES MATCHES :\\n\\nLes championnats sont difficiles à suivre, même pour des yeux avertis, car non seulement les équipes n’ont pas le même nombre de matches mais ceux-ci ne concernent pas les mêmes journées. Cela ne va pas s’arranger tout de suite...\\n\\n« Il n’y a pas que du basket dans les salles des collectivités. Le fait de forcer la dose en terme de calendrier fait que l’on se heurte à un problème de disponibilité des salles et on fait une programmation avec des équipes qui se déplacent quand leur salle est occupée. On n’a pas beaucoup le choix et c’est pourquoi il y a des matches qui sont faits après les autres. Depuis le début de saison et que l’on est bloqué par la COVID, on ne peut pas faire autrement. Il n’y a pas de politique derrière ça, juste un brutal réalisme de disponibilité des équipes et des salles. »\\n\\n« On a toujours dit qu’avoir un club en Euroleague, et peut-être deux un jour, ça intéresse fortement la ligue »\\n\\nL’ASVEL ET LA SURCHARGE DE MATCHES\\n\\n25 journées d’Euroleague ont eu lieu. Il y en a encore ainsi 9 à avaler. Si de plus l’ASVEL se qualifie pour les playoffs -elle est actuellement 12e à 3 victoires des équipes classées 7e et 8e mais dans une spirale vertueuse-, il risque d’y avoir embouteillage.\\n\\n« Pour l’instant, ils font une remontada assez intéressante au classement de l’Euroleague. Il y a beaucoup de disponibilités du club et de ses dirigeants pour trouver des solutions. On a toujours dit qu’avoir un club en Euroleague, et peut-être deux un jour, ça intéresse fortement la ligue. Oui, effectivement, ça pose des problèmes à Villeurbanne car ils ont des matches qui se jouent dans des pays un peu exotiques et quand ils reviennent, il faut qu’ils soient en septaine. Ça nous pose quelques soucis, on fait avec, et on ne pénalisera pas la participation de Villeurbanne à l’Euroleague, et les autres équipes qui sont dans les championnats européens car on sait que les fans aiment bien avoir les matches entre les équipes françaises, mais ils aiment aussi les voir briller en Europe. C’est une étude faite il y a dix-huit mois sur 1 500 personnes, qui a été très claire sur le sujet. La ligue en tient compte et on fera tout ce que l’on pourra. Ils acceptent tous d’avoir un rythme soutenu, et Villeurbanne en particulier, et les deux dirigeants que vous connaissez bien (NDLR : Tony Parker et Gaétan Muller) sont très actifs pour trouver des solutions, et l’équipe de Michel (Mimran) pour trouver des solutions extra-ordinaires pour assumer les deux tableaux. »\\n\\nDES MATCHES AVEC UN PEU DE PUBLIC ?\\n\\nDes spectateurs au compte-gouttes dans les salles d’ici juin ? Ce n’est pas totalement exclu.\\n\\n« Nous travaillons avec toute l’équipe du Ministère des Sports sur la possibilité de jauges partielles ou très réduites. Il n’y aura pas de possibilités d’avoir des salles pleines d’ici la fin de saison. Notre Ministre s’est déplacée à Lyon ce week-end pour pouvoir discuter de ça avec trois clubs, basket (NDLR : ASVEL) , foot (OL) et rugby (LOU), de façon à envisager des protocoles spécifiques, de façon à faire un test. On est très partisan de ça, évidemment. »\\n\\n« Si on veut changer de formule, ça ne sera pas pour la saison prochaine mais pour la suivante«\\n\\nRECRUTEMENT\\n\\nLes clubs de Jeep Elite et de Pro B peuvent recruter jusqu’au 28 février... avec une condition exceptionnelle.\\n\\n« Le Comité Directeur a décidé que compte-tenu de la situation, il acceptait que les clubs aient un joker médical de plus d’ici la fin de la saison car le rythme des matches à partir d’avril sera tel que l’on pourra avoir des risques de casse. »\\n\\nPAS DE MODIFICATION DU NOMBRE D’EQUIPES POUR 2021-22\\n\\nLe règlement prévoit deux descentes de Jeep Elite en Pro B, deux montées de Pro B en Jeep Elite et deux descentes de Pro B en NM1, suivant les classements à l’issue de la saison régulière. Pourtant des clubs aimeraient bien -pour ne pas risquer leur peau, évidemment- que la Jeep Elite passe à 20 clubs pour la saison 2021-22, alors qu’initialement, avant la pandémie, il était prévu une réduction à 16 clubs.\\n\\n« Si on veut changer de formule, ça ne sera pas pour la saison prochaine mais pour la suivante. Effectivement, il y a eu des demandes de certains clubs pour changer, mais ce n’est pas prévu par le Comité Directeur qui n’est pas rentré dans ce sujet-là. Je peux par contre annoncer qu’à partir de la semaine prochaine, il y aura une discussion sur les formats futurs de chacune des deux divisions. Je n’ai pas voulu mettre ça sur le tapis avant cette Assemblée Générale d’aujourd’hui, qui était essentielle pour la fin de cette saison. Les commissions qui travaillaient sur le sujet ont rendu leur copie ; elles ont travaillé pendant tout le deuxième semestre 2020. Depuis, on a un peu affiné ces propositions de plusieurs formats différents pour les années futures. Mais rien pour la saison prochaine puisqu’il aurait fallu décider ça avant le 30 juin dernier. Ceci dit, la discussion va s’ouvrir mais le Comité Directeur a toujours dit qu’on appliquait ce que l’on a décidé. »\\n\\nUNE VOLONTE D’ACCROITE LE NOMBRE DE SPONSORS DE LA LNB\\n\\n« Nous sommes très engagés avec eux et on sait qu’ils nous aiment beaucoup et on est en train de discuter de cette poursuite de partenariats. Ça sera décidé largement avant la fin de la saison. Je vous rappelle que Jeep a des projets de fusion avec d’autres marques et ça leur prend du temps. Mais les résultats sont bons pour tout le monde et on discute de façon positive de tous ces sujets. Pour les autres sponsors, nous aurons certainement de bonnes nouvelles pour la saison prochaine. On en aura besoin puisque l’on a choisi de faire tout en clair et tout gratuit et forcément, il n’y a pas de droits de télévision. On est bien obligé de penser à une économie différente basée beaucoup plus qu’avant sur le sponsoring. »\\n\\n« Il y a de fortes chances que nous continuions à diffuser sur La Chaîne L’Equipe l’an prochain«\\n\\nAUDIENCE TV\\n\\nLes audiences sur La Chaîne L’Equipe pour les matches de Jeep Elite tourne autour des 200 000 spectateurs en moyenne, avec des pics entre 300 et 400 000. Celles de Sport en France devraient tomber pour la première fois dans les prochains jours. Il y a entre 70 et 80 000 inscrits sur la plateforme OTT pour voir les matches sur LNBTV. Ce sont des multiplexes et en fonction des matches les audiences varient. Certaines rencontres atteignent 7-8 000 spectateurs. L’application mobile de cette plateforme OTT sera disponible pour le week-end du 7 mars.\\n\\nMichel Mimran, Directeur Général de la LNB : « Les audiences sur la Chaîne L’Equipe sont très encourageantes. Le pari est en passe d’être réussi et c’est aussi ce que nous dit cette chaîne. Il faut prendre en compte le caractère très spécifique du spectacle puisqu’il est à huis clos, ce qui n’a pas la même attractivité. On connait l’importance du public notamment dans l’ambiance sonore de la télévision. On a des espoirs quand la saison va augmenter dans son rythme et dans son intensité puisqu’on arrive à la fin. On va diffuser plus de matches, et si on a du retour du public, on peut espérer que ce seront des chiffres encore plus encourageants. Le nombre d’inscrits sur la plateforme OTT est également très encourageant. C’est un produit qui est nouveau sur lequel on fonde beaucoup d’espoirs. Il faut que la base de fans et d’inscrits augmente. Pour l’instant, il n’y a pas de négociations puisque le contrat avec La Chaîne L’Equipe continue et on en est satisfait. Il y a de fortes chances que nous continuions à diffuser sur La Chaîne L’Equipe l’an prochain. Peut-être aurons-nous d’autres diffuseurs, alors on répartira les affiches. On a la volonté d’avoir une ou deux affiches sur des chaînes cryptées. Mais notre stratégie est de conserver dorénavant une grande partie de notre diffusion en clair et en gratuit pour nos fans. »\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nUne concertation avec les présidents des clubs de Jeep Elite et de Pro B avait été effectuée en amont, ce qui a amené à ce que l’Assemblée Générale de ce lundi matin soit menée tambours battants et aboutisse à un quasi consensus. Il a été décidé que même si le huis clos est maintenu, les deux championnats iront à leur terme. Une décision valable jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nComme l’absence de public et d’hospitalité coûtait, à chaque match, en moyenne 150 000 euros pour les clubs de Jeep Elite et la moitié pour ceux de Pro B, la LNB avait fait le choix de faire fonctionner jusqu’ici au ralenti ses compétitions, quitte à ce que leur lisibilité en souffre énormément. 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Le conseil de surveillance du club a jugé important de démarrer « un nouveau cycle sportif », pour lequel Savo Vucevic n’a pas souhaité candidater.\\n\\n« Post-Covid, nous nous devons de nous projeter à long terme, il nous semble opportun de penser sur deux, trois voire quatre ans. À ce titre, Savo n’est pas candidat à sa propre succession. Le choix du futur coach n’est aujourd’hui pas entériné. Le but est d’abord qu’on se consacre à notre objectif d’être dans le Top 8. On veut offrir à Savo la porte de sortie qu’il mérite en fin de saison. »Julien Desbottes, président de la JL Bourg\\n\\nSavo Vucevic était arrivé dans l’Ain en 2016 avant de remporter le titre de champion de France de Pro B l’année suivante. Puis d’amener la Jeu en coupe d’Europe cette saison, pour la première fois de l’histoire du club. 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J’espère revenir très vite sur les terrains », confie-t-il sur Twitter.\\n\\n\\nVery happy to come back home.⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀\\nForça Barça! 🔵🔴 pic.twitter.com/6CewIY2Bil\\n\\n— Pau Gasol (@paugasol) February 23, 2021\\n\\n\\n\\nMolt feliç de tornar a casa.\\nForça Barça! 🔵🔴 pic.twitter.com/suE6gKw3Pq\\n\\n— Pau Gasol (@paugasol) February 23, 2021\\n\\n\\nLa légende espagnole a également tenu à « remercier le club et le staff technique qui ont rendu cette collaboration possible dans ces circonstances exceptionnelles. »\\n\\nA bientôt 41 ans, Pau Gasol, qui n’a pas joué depuis mars 2019 en raison de problèmes de pied, s’est engagé jusqu’à la fin de la saison avec l’équipe catalane. Avec, en ligne de mire, les Jeux de Tokyo de juillet 2021, ses cinquièmes Jeux Olympiques. Avec le Barça, il pourra jouer à la fois en Euroleague mais aussi en Liga Endesa." }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de l’ASVEL Lyon-Villeurbanne encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nVous avez le bonjour de Mindaugas Lukauskis, passé par l’ASVEL en 2009-10. L’arrière-ailier lituanien d’1,96m a ensuite navigué en Allemagne, Espagne et Turquie avant de se fixer dans son pays, en changeant régulièrement de club. 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Newbill28JAP-1Osaka Evessa3030.83.05.719.020.8Jordan Taylor31JAP-1Levanga Hokkaido3123.83.85.114.714.9Kim Tillie32JAP-1Ryukyu Golden Kings1817.44.41.65.48.5Justin Harper31JAP-1Kyoto Hannaryz1225.36.81.111.513.4Nick Fazekas35JAP-1Kawasaki Brave Thunders3430.09.53.020.224.6Theo Maledon19USA-1Oklahoma City Thunder2122.22.62.97.57.8Digue Diawara22FRA-1Pau-Lacq-Orthez1116.92.90.65.56.0Nicolas Lang30FRA-1Limoges CSP928.82.21.617.017.0Leo Westermann28SPA-1FC Barcelone421.32.55.88.312.0Miro Bilan31ITA-1Banco di Sardegna Sassari1828.28.62.017.421.8Amara Sy39FRA-2Paris Basketball618.52.22.04.85.7Travis Leslie30FRA-1Champagne B.831.44.62.516.516.5A.J. 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Pour la 33e édition, retransmise depuis le WiZink Center de Madrid et adaptée aux conditions sanitaires, plusieurs joueurs et dirigeants ont été récompensés.\\n\\nParmi les 23 lauréats de cette cuvée 2020 particulière, le colosse du Real Madrid, Walter Tavares (2,21m, 27 ans), a été élu « géant masculin de l’année ». Le meilleur défenseur de l’Euroleague de la saison 2018-2019 a vu ses efforts récompensés et succède à Marc Gasol, primé l’an dernier.\\n\\nDu côté des femmes, Cristina Ouvina (1,77m, 30 ans) succède à Anna Cruz. L’ex-berruyère a parfaitement géré son retour au pays, à Valence, après un an à Prague. Elle obtient le « géant de la joueuse de l’année ».\\n\\nParmi les autres joueurs récompensés, on retrouve Pierra Henry et Luca Vildoza, récents champions d’Espagne avec Baskonia, le « géant de la légende masculine » attribué à Andrès Nocioni, le « géant de la défense » à Usman Garuba (Real Madrid), ou encore « le géant de la progression de l’année » pour Leandro Bolmaro (FC Barcelone).\\n\\nPhoto : Walter Tavares, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Mantas Kalnietis évite à la Lituanie une tragédie nationale" }, {"role": "assistant", "content":"D’un contre puis d’un rebond sur Adama Darboe, l’ancien Villeurbannais Mantas Kalnietis a sauvé la Lituanie d’une élimination, de la honte, d’une tragédie nationale. C’était un match à la vie et à la mort et la Lituanie l’a emporté sur le Danemark par la plus petite marge: 76-77.\\n\\n« Il n’y a pas grand chose à dire. Nous sommes heureux de participer aux Championnats d’Europe. Malheureusement, cela s’est fait d’une manière tellement dramatique. Dans quelques semaines, personne ne se souviendra comment nous l’avons fait. Bien sûr, le match ne s’est pas déroulé comme nous le voulions », a commenté le héros lituanien, par ailleurs meilleur marqueur de son équipe avec seulement 11 points.\\n\\nPrivés de leur star Gabriel Lundberg, les Danois ont réalisé un match admirable autour du trio Kevin Larsen (21 points, 6 rebonds), Adama Darboe (20 points, 6 passes) et Jonas Zohore (12 points, 10 rebonds).\\n\\nLe coach Erez Bittman mesurait la portée de la performance de ses joueurs et la frustration d’être passé si près du plus grand exploit jamais réalisé par son équipe nationale :\\n\\n» Pour un si petit pays comme le Danemark, qui a joué dans le tournoi des petits pays il y a 6-7 ans, venir au match décisif et se battre à nouveau jusqu’aux dernières secondes contre la Lituanie... Je ne peux que rêver à quoi cela aurait pu ressembler aujourd’hui si nous avions joué à Copenhague devant 7 à 8 000 personnes, quelle atmosphère il y aurait eu. Nous sommes très, très déçus, mais nous devons être fiers de ce résultat, car avant la compétition, tout le monde nous avais mis à la 32ème et dernière place de toutes les équipes participantes. 93 à 94% des personnes avant ce match ont déclaré que la Lituanie gagnerait facilement, mais nos gars ont été incroyables, la façon dont ils ont joué, l’esprit qu’ils ont manifesté sur le parquet. »\\n\\n\\nMantas Kalnietis with the HUGE BLOCK to send @ltu_basketball 🇱🇹 to #EuroBasket 2022! pic.twitter.com/lIQJvYrJrC\\n\\n— FIBA EuroBasket (@EuroBasket) February 22, 2021\\n\\n\\nPhoto: Mantas Kalnietis (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Bayern Munich : L’international allemand David Kramer arrive en renfort jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Les effectifs d’Euroleague se complètent ces dernières heures. Après Koufos à l’Olympiacos, Hezonja au Panatinaïkos... David Kramer (1,96m, 24 ans) arrive au Bayern Munich.\\n\\nL’actuel 6e d’Euroleague (15 victoires, 10 défaites), annonce l’arrivée de l’international allemand David Kramer pour le reste de la saison 2020-2021. L’arrière de 24 ans débarque à Munich après une expérience écourtée en G-League, d’abord aux Northern Arizona Suns la saison passée puis aux Austin Spurs.\\n\\n« Je suis très heureux d’avoir cette chance de jouer pour le Bayern Munich. J’ai hâte de jouer à nouveau en Bundesliga et j’ai toujours rêvé de pouvoir faire mes preuves en Euroleague. L’Amérique a été une expérience formidable pour moi, malgré ma blessure l’arrêt prématuré de la saison dernière. Mais je pense que j’ai encore progressé là-bas, à la fois en tant que personne et en tant que basketteur », confie-t-il au site du Bayern Munich.\\n\\nL’ancien du Ratipharm Ulm (de 2015 à 2019) affichait une ligne de statistiques de 6,4 points et 1,8 rebond en 13 minutes lors de sa dernière campagne d’EuroCup, en 2019.\\n\\nPhoto : EuroCup" }, {"role": "user", "content":"À 18 ans, Alperen Sengun envoie la Turquie à l’EuroBasket 2022 !" }, {"role": "assistant", "content":"Auteur d’une énorme prestation face à la Suède (24 points et 12 rebonds dans une victoire 88-80) ce week-end, Alperen Sengun a éclaboussé le match de tout son talent et propulsé la Turquie à l’EuroBasket 2022. L‘ailier-fort de 18 ans explose littéralement cette saison.\\n\\nEn battant la Suède 88-80 lors du 5e match de qualification du Groupe D pour l’EuroBasket 2022, l’équipe nationale de Turquie a saisi sa chance de participer au tournoi final. Avec comme MVP du match un certain Alperen Sengun (2,06 m), tout juste 18 ans et auteur d’un match énorme à 24 points (8/13 aux tirs), 12 rebonds, 3 passes, 2 interceptions et 1 contre (et 0 balle perdue !) pour 30 d’évaluation en 31 minutes. Mieux encore, c’est lui qui a scellé la rencontre avec deux lancers francs réussis à 8 secondes de la fin du match.\\n\\nAprès la rencontre, le joueur de Besiktas est revenu sur sa prestation en se projetant vers le prochain match :\\n\\n« J’ai fait de mon mieux. Je pense que je n’ai pas été bon sur la ligne des lancers francs (NDLR : 7/14 dans l’exercice). J’ai essayé de donner tout ce que je pouvais. Je veux me battre de la même manière au prochain match face à la Croatie. Je veux être utile à l’équipe. «\\n\\nLe jeune homme a certes contribué au succès de son équipe contre la Croatie ce lundi (84-78) mais dans une moindre mesure : 6 points (1/2 aux tirs et 4/6 aux lancers francs), 5 rebonds, 1 passe et 2 contres pour 9 d’évaluation en 25 minutes. On pourrait presque faire la fine bouche, si l’on ne se souvenait qu’il n’a que 18 ans...\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket 2022 : Les 24 équipes qualifiées sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"La Belgique, la Bulgarie, l’Estonie, la Finlande, la France, la Grande-Bretagne, la Hongrie, la Lituanie, la Pologne, les Pays-Bas, la Russie, la Serbie et la Turquie ont assuré leur qualification à l’EuroBasket et rejoignent ainsi les sept équipes – Bosnie-Herzégovine, Croatie, Espagne, Grèce, Israël, Slovénie, et Ukraine – qui se sont qualifiées en novembre 2020 et les quatre co-hôtes, l’Allemagne, la Géorgie, l’Italie et la République Tchèque.\\n\\nL’EuroBasket est prévu du 1er au 18 septembre 2022. La date et le lieu du tirage au sort FIBA EuroBasket 2022 seront annoncés ultérieurement.\\n\\nToutes les équipes qui ne se sont pas qualifiées pour le tour final de l’EuroBasket vont participer au deuxième tour des prééliminatoires européens de la Coupe du monde de basket-ball FIBA 2023, qui aura lieu en août 2021." }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du Limoges CSP encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nPassionnés comme ils sont, les fans du Limoges CSP suivent avec attention le parcours de leurs anciens chouchous. Pas de doute que Adrien Moerman, champion en 2014 et 2015, tient une place spéciale dans leur coeur. Sa réussite en Turquie -avec un arrêt à Barcelone- est exemplaire. Dommage qu’une opération du tendon d’Achille l’ait privé de la Coupe du Monde 2019. Sera t-il enfin récompensé de son talent en bleu aux JO de Tokyo? Le temps presse.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALRomain Duport34FRA-3Le Havre1322.05.81.712.514.2Semaj Christon28TUR-1Tofas Bursa1726.01.43.912.412.2Taurean Green34POL-1Stal Ostrów2526.01.96.29.89.8Adrien Moerman32TUR-1Anadolu Efes1626.78.11.313.418.0Jamar Smith32VTB L.UNICS Kazan1125.82.53.316.415.1Axel Bouteille25SPA-1Malaga1819.12.10.79.97.4Jordan Taylor31JAP-1Levanga Hokkaido3123.83.85.114.714.9Sekou Doumbouya20USA-1Detroit Pistons2212.82.40.64.03.6Brad Wanamaker31USA-1Golden State Warriors2316.01.72.74.76.4Vincent Sanford30FRA-1Pau-Lacq-Orthez930.82.63.216.014.0Klemen Prepelic28SPA-1Valencia2020.71.72.511.510.5Jerome Randle33SPA-1Sevilla717.91.61.79.45.9Leo Westermann28TUR-1Fenerbahce421.32.55.88.312.0Jonathan Rousselle30SPA-1RETAbet Bilbao2125.12.14.710.611.5Shekinah Munanga23FRA-3Chartres1318.45.30.98.511.8Nobel Boungou Colo32FRA-2Paris Basketball833.44.02.617.114.1Paul Rigot25FRA-1BCM612.81.70.52.73.0Zack Wright35FRA-1Bourg-en-Bresse625.53.34.511.815.7Jean-Frederic Morency31FRA-1Boulazac818.04.10.35.16.6Samir Mekdad34FRA-2Rouen610.51.30.82.83.0Brian Conklin31FRA-1Nanterre 92719.44.40.99.411.4Anthony Brown28FRA-1Mets 921230.34.42.713.513.9Paul Stoll35FRA-1Mets 92310.31.30.73.33.0Jean-Baptiste Maille27FRA-1Strasbourg1021.12.94.64.27.2William Buford30TUR-1Darussafaka1517.51.80.76.35.1Kenny Hayes33TUR-1Gaziantep335.02.06.018.319.0Mouhammadou Jaiteh26TUR-1Gaziantep1831.711.32.115.422.4William Howard27FRA-1ASVEL414.83.01.57.59.5Mickael Gelabale37FRA-1Chalon1023.54.11.07.18.3Cliff Hammonds35GRE-1AO Ionikos Nikaias418.51.02.02.01.0Ousmane Camara31FRA-1Chalon1018.44.80.53.95.8Lucas Durand30FRA-3Les Sables1315.30.82.04.52.2Xane D’almeida37FRA-3DGB40928.13.13.47.79.3Jean-Michel Mipoka35FRA-2Fos Provence921.21.80.79.36.4R.T. Guinn39SWE-1Jamtland1716.93.81.59.110.5Edouard Choquet32FRA-2Fos Provence926.23.15.29.013.4Thomas Cornely29FRA-2Blois924.84.85.38.914.3Tautvydas Lydeka37LIT-1Rytas Vilnius312.33.00.34.05.3Gaylor Curier28FRA-1BCM46.00.50.02.01.3Ali Traore35FRA-2Antibes923.25.92.010.811.7Benoit Mbala25FRA-1Limoges CSP710.91.70.42.62.7Timothee Bazille21FRA-2Saint-Quentin816.64.00.14.45.4Frejus Zerbo31FRA-2Aix-Maurienne810.32.40.41.31.9Isaiah Miles26ISR-1Hapoel Holon1228.33.51.010.38.5Edin Bavcic36AT-1BK IMMOunited Dukes1023.88.92.49.415.4Damien Inglis25FRA-1Monaco815.03.41.36.07.3Raphael Desroses40FRA-3Vanves1127.53.62.212.712.5Johan Passave-Ducteil35FRA-1Le Portel818.32.51.18.38.9Mathieu Wojciechowski28FRA-1Le Portel315.72.01.34.03.7Sade Aded Hussein27FRA-2Poitiers89.60.90.33.40.8Ludovic Negrobar29FRA-2Nantes726.75.91.38.113.7Eugene Pooh Jeter37FECDnipro218.51.02.52.51.5Jonathan Hoyaux32FRA-2Saint-Chamond829.53.12.110.810.1Ovidijus Varanauskas29FRA-2UJAP Quimper421.32.34.08.09.0Aldo Curti33FRA-3UTBM Tours113.04.01.03.08.0Dwight Hardy34TUR-1OGM Ormanspor1224.01.11.79.17.3Demarcus Nelson35FRA-1Limoges CSP629.24.33.711.712.0Jermaine Bucknor37GER-2Trier125.03.04.018.017.0\\n\\nPhoto: Adrien Moerman (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Alain Koffi (Le Mans) : «Je ne sais pas jusqu’où j’irai. Après tout dépend du physique»" }, {"role": "assistant", "content":"Revenu au MSB à 37 ans, Alain Koffi apporte son expérience à la jeunesse mancelle... en attendant de revenir sur les parquets.\\n\\nÉcarté des terrains en 2021 depuis sa blessure (aponévrose plantaire), l’international tricolore aux 47 sélections, Alain Koffi (2,07m, 37 ans) travaille d’arrache-pied pour retrouver sa place.\\n\\n« Je suis un vétéran. En France, c’est souvent un terme qui est négatif contrairement aux Anglo-Saxons où l’on insiste sur l’expérience. Je ne sais pas jusqu’où j’irai. Après tout dépend du physique. Et ma blessure actuelle me rappelle aussi à mon âge », confie-t-il au Maine Libre.\\n\\nRotation de luxe au Mans, il n’a eu aucune peine s’acclimater à l’effectif, malgré son rôle initial de pigiste de Williams Narace. Aujourd’hui, malgré une toute petite ligne de statistiques (0,7 point, 1,7 rebond en 3 matchs de Jeep Elite), l’intérieur est ravi de faire partie d’un « groupe sain, où tout le monde se bat et tire dans le même sens » pour sa 18e saison en LNB.\\n\\n« Depuis deux ou trois ans, j’avais du temps de jeu, des stats mais je n’étais pas forcément plus heureux pour autant. Avec l’âge, tu te rends compte que ton cas personnel est secondaire et que le plus important, c’est de gagner. À mon poste, Ovie (Soko) et Iggy (Mockevicius) sont dominants. Moi, je viens en rotation et mon but est de tout donner, quel que soit le temps qu’on me donne, pour ne pas faire baisser l’intensité du match et leur permettre de souffler et revenir encore plus fort. »\\n\\nUn joker en sortie de banc dont le MSB, sur une bonne dynamique (6e de Jeep Elite avec 6 victoires et 3 défaites) aura bien besoin pour terminer le championnat, qui ira à son terme.\\n\\nPhoto : Le Mans Basket" }, {"role": "user", "content":"De balayeur à international camerounais, le fabuleux destin d’Aristide Mouaha" }, {"role": "assistant", "content":"Ce week-end, le rêve d’Aristide Mouaha (1,91m, 20 ans) d’évoluer en sélection nationale du Cameroun est devenu réalité.\\n\\nPour la première fois, Aristide Mouaha a porté le maillot des Lions indomptables. Lors du 3e quart temps face à la Guinée, il a claqué un dunk avant de retomber sur l’un des balayeurs du bord de terrain. Cette rencontre furtive avec le jeune homme lui a rappelé que, lui aussi, il avait occupé cette fonction. Mouaha avait en effet veillé à maintenir le parquet luisant lors du FIBA Women’s AfroBasket 2015. Il a confié son expérience à la FIBA.\\n\\n« J’ai beaucoup de respect pour les balayeurs. C’est en faisant cela que mon amour pour le basket est véritablement né. C’était mon tout premier contact avec ce sport. Le fait d’être si proche du terrain vous permet de mieux voir ce qui s’y passe, de comprendre pourquoi les joueurs font tel ou tel mouvement, et cette proximité a tout changé pour moi. »\\n\\nMême s’il a grandi dans une famille de basket – deux de ses frères jouent au ballon orange – il était plutôt attiré par le football, pour le plus grand dépit des ses parents et de ses frères et sœurs.\\n\\n« Un jour, ma mère m’a appelé et m’a dit que je devais me concentrer sur le basket. Puis, je suis allé voir un match de mon frère. Il avait réussi une telle performance que je m’étais dit que la prochaine fois, je voulais être sur le terrain plutôt que dans les tribunes. »\\n\\nAprès cela, il s’est inscrit à l’académie ALPH puis a découvert l’INJS pendant une année avant de saisir une occasion de poursuivre son parcours en Italie. Mouaha évolue aujourd’hui en 2e division italienne avec le club de Latina. Lors du 2e tour des éliminatoires du FIBA AfroBasket 2021, il a cumulé 8 points et 4 passes décisives contre la Guinée.\\n\\n« Me retrouver devant ma famille, sur ce même terrain que j’essuyais il y a quelques années, était absolument incroyable. C’est la preuve que le travail finit toujours par payer. Quand je repense à tout ce que j’ai vécu pour en arriver là, je me dis que ça en valait vraiment la peine. J’adorerais disputer la Coupe du Monde avec le Cameroun. Ce serait assurément l’un des plus beaux moments de ma carrière. »\\n\\n\\nGod's plan🙏🏾 https://t.co/UPpZ4RSLEJ\\n\\n— Aristide Mouaha (@iamaristide05) November 26, 2020\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"À 17 ans, Jeremy Sochan inscrit 18 points avec l’équipe nationale polonaise" }, {"role": "assistant", "content":"Il est athlétique, souriant et mesure déjà 2,04m. Il est le plus jeune joueur à porter le maillot de la sélection polonaise. À 17 ans, Jeremy Sochan a volé la vedette à sa sélection lors de la victoire de la Pologne contre la Roumanie (88-81).\\n\\nLors de ce match comptant pour les qualifications à l’Eurobasket 2022, le jeune Polonais a compilé une ligne de statistiques tonitruante : 18 points (à 6/10 au shoot, 5/5 aux lancers), 3 rebonds, 2 contres et 1 passe décisive... Et en prime, un dunk ravageur dès le premier quart-temps.\\n\\n\\nWhat an incredible debut for a 17-year-old Jeremy Sochan, posting against Romania 18pts (FG-6/10, FT5/5), 3rebs, 1ast and 2blks. Confident and not afraid of the moment. Became the youngest ever player in Polish history to put on senior national team uniform. #KoszKadra #SicEm pic.twitter.com/e7lcLlK1id\\n\\n— Igor Chytrzynski (@IChytrzynski) February 21, 2021\\n\\n\\nJeremy Sochan a vécu presque toute sa vie en Grande-Bretagne. Sa mère, Aneta, ancienne basketteuse, a fait beaucoup pour lui ouvrir les portes de la sélection polonaise. Evoluant actuellement avec les espoirs de Ratiopharm Ulm (Allemagne) au poste d’ailier, ce travailleur acharné souhaite poursuivre son apprentissage aux Etats-Unis.\\n\\nSource : PAP / Andrzej Grygiel" }, {"role": "user", "content":"La France plonge contre la Grande-Bretagne (73-94) mais sauve sa première place du groupe" }, {"role": "assistant", "content":"On comprend que les Français n’aient pas abordé ce match face à la Grande-Bretagne avec la même rage que s’ils n’avaient pas eu leur billet en poche pour l’EuroBasket. On se doutait bien que les Britanniques seraient revanchards après la déroute du match aller. On imaginait qu’ils pouvaient postuler à leur première victoire depuis 1988, mais jamais on avait crû que la France pouvait perdre la première place du groupe en s’inclinant de plus de 23 points. Et l’impensable fut tout prêt de se produire.\\n\\nLa Grande-Bretagne a prouvé qu’elle n’est absolument pas une petite nation du basket et elle a trouvé en deux joueurs de Jeep Elite des fers de lance en acier : 23 points et 21 d’évaluation pour Myles Hesson (Chalon), et surtout 27 points et 28 d’évaluation pour le classieux et musculeux Ovie Soko (Le Mans), qui est indiscutablement l’un des postulants au trophée de MVP de la saison.\\n\\nIl n’y a pas grand chose de positif à retenir de ces 40 minutes côté bleu, sinon l’activité souvent brouillonne de Mathias Lessort (15 points, 6 rebonds) et par séquences de Isaia Cordinier et Yakouba Ouattara. Pas si grave: l’équipe de France ira à l’Euro en 2022 comme tête de série, et d’ici là l’attendent les Jeux Olympiques de Tokyo avec une toute autre équipe, et... des qualifications à la Coupe du Monde avec probablement pas mal des joueurs de cette fenêtre. Mais ce sont d’autres histoires à raconter...\\n\\nVincent Collet a composé un cinq de départ avec Andrew Albicy, Isaia Cordinier, Axel Bouteille, Amath Mbaye et Jerry Boutsiele. Le démarrage ne ressemblait en rien à celui du match aller où les Français avaient asphyxié d’entrée les Britanniques. Ceux-ci faisaient bien circuler le ballon pour se construire un avantage de 10 points (7-17). « Ils nous mangent en agressivité », lâchait Vincent Collet obligé de demander un premier temps-mort. Malgré plusieurs changements, l’écart montait jusqu’à 13 points (9-22).\\n\\nOvie Soko, le tueur\\n\\nEn fait, les Bleus ne parvenaient pas à prendre le bon rythme du match et manquaient de rigueur. A l’inverse, les Britanniques jouaient sans complexe et le Manceau Ovie Soko, absent au match aller, prenait le relais de Gabriel Oleseni pour jouer des muscles à l’intérieur et faire apprécier sa palette technique (14 points à 5/6 aux shoots et 5 rebonds, en 11′ !).\\n\\nL’écart montait, montait pour atteindre les 23 points (23-46), soit celui du match aller. La première place du groupe était donc en jeu. Offensivement, les Bleus ne parvenait pas à trouver l’homme idoine pour les sortir du pétrin et c’est Maxime Roos, pour ses grands débuts en équipe de France, qui s’avérait le meilleur marqueur avec 9 points. Heureusement, les derniers échanges avant la mi-temps marquait un léger reflux (35-52).\\n\\nLes Bleus revenaient des vestiaires les couteaux entre les dents, et serraient la ceinture défensive de deux crans, mais les Britanniques étaient toujours intenses et un peu sur un nuage. Les Français sollicitaient beaucoup Mathias Lessort mais manquaient trop de tirs à bouts portants et l’écart était toujours très conséquent après 30 minutes (55-73).\\n\\nLes Bleus revenaient à 11 points avec une bonne entrée de Yakuba Ouattara, mais la Grande-Bretagne repartait de plus belle: 67-88. C’était au point que Vincent Collet prenait un temps-mort et, en colère, rappelait à ses joueurs qu’il ne fallait pas perdre de plus de 23 points.\\n\\nLes Français faisaient à peu près tout à l’envers, à l’image de cette passe dans le dos de Mathias Lessort à Isaia Cordinier ou ses shoots précipités d’Andrew Albicy. Heureusement, les Britanniques paraissaient un peu las et curieusement, ils n’ont pas cherché à faire faute lors des 22 dernières secondes pour envoyer les Bleus sur la ligne. On va dire que l’essentiel est sauf.\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\n\\n💪+🎯 = 🗑 @OvieSoko #BritishBasketball pic.twitter.com/c6NrdfXZ6z\\n\\n— GB Basketball (@gbbasketball) February 22, 2021\\n\\n\\nPhoto d’ouverture : Mathias Lessort et Tarik Phillip (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B : Le calendrier du mois de mars" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket a publié le calendrier remanié des matches de Jeep et de Pro B pour le mois de mars, en indiquant ceux qui seront télévisés le premier week-end.\\n\\nJEEP ELITE\\n\\nVendredi 5 mars 2021\\n20h00 Gravelines-Dunkerque Le Mans J23\\n20h00 Châlons-Reims Limoges J23\\n20h30 Boulogne-Levallois Le Portel J23\\nSamedi 6 mars 2021\\n17h00 Monaco Pau-Lacq-Orthez J23\\n20h00 Chalon/Saône Cholet J23\\n20h00 Boulazac Roanne J23\\nDimanche 7 mars 2021\\n20h30 Bourg-en-Bresse Nanterre J23 en direct sur SPORT EN FRANCE\\nMardi 9 mars 2021\\n19h00 Orléans Roanne J13\\n21h00 Lyon-Villeurbanne Dijon J23 en direct sur La Chaîne L’Equipe\\nVendredi 12 mars 2021\\n20h00 Le Portel Monaco J24\\n20h00 Roanne Gravelines-Dunkerque J24\\n20h30 Dijon Boulogne-Levallois J24\\nSamedi 13 mars 2021\\n20h00 Cholet Boulazac J24\\n20h00 Le Mans Bourg-en-Bresse J24\\n20h00 Limoges Lyon-Villeurbanne J24\\n20h00 Nanterre Châlons-Reims J24\\n20h00 Pau-Lacq-Orthez Orléans J24\\n20h00 Strasbourg Chalon/Saône J24\\nLundi 15 mars 2021\\n19h00 Monaco Cholet J25\\n20h00 Bourg-en-Bresse Pau-Lacq-Orthez J25\\n20h00 Chalon/Saône Boulazac J25\\n20h00 Gravelines-Dunkerque Strasbourg J25\\n20h00 Le Mans Lyon-Villeurbanne J25\\n20h00 Limoges Boulogne-Levallois J25\\n20h00 Nanterre Roanne J25\\n20h00 Orléans Dijon J25\\n20h00 Châlons-Reims Le Portel J25\\nSamedi 20 mars 2021\\n18h30 Cholet Monaco J6\\nVendredi 26 mars 2021\\n20h00 Le Portel Chalon/Saône J26\\n20h00 Roanne Bourg-en-Bresse J26\\n20h30 Dijon Gravelines-Dunkerque J26\\n20h30 Boulogne-Levallois Le Mans J26\\nSamedi 27 mars 2021\\n20h00 Cholet Orléans J26\\n20h00 Pau-Lacq-Orthez Nanterre J26\\n20h00 Strasbourg Monaco J26\\n20h00 Boulazac Limoges J26\\nDimanche 28 mars 2021\\n17h00 Lyon-Villeurbanne Châlons-Reims J26\\n\\nPRO B\\n\\nVendredi 5 mars 2021\\n20h00 Blois Lille J8\\n20h00 Quimper Nancy J8\\n20h00 Saint-Chamond Saint-Quentin J8\\n20h00 Souffelweyersheim Denain J8\\n20h00 Nantes Antibes J8\\n20h00 Fos-sur-Mer Paris J8\\n20h00 Vichy-Clermont Gries-Oberhoffen J8\\n20h00 Aix-Maurienne Rouen J8\\n20h00 Poitiers Evreux J8\\nVendredi 12 mars 2021\\n20h00 Lille Poitiers J9\\n20h00 Denain Quimper J9\\n20h00 Gries-Oberhoffen Fos-sur-Mer J9\\n20h00 Evreux Souffelweyersheim J9\\n20h00 Saint-Quentin Blois J9\\n20h30 Antibes Aix-Maurienne J9\\n20h30 Paris Saint-Chamond J9\\n20h30 Rouen Vichy-Clermont J9\\nMardi 16 mars 2021\\n20h00 Nantes Souffelweyersheim J24\\n20h00 Aix-Maurienne Nancy J24\\nVendredi 19 mars 2021\\n20h00 Blois Rouen J24\\n20h00 Fos-sur-Mer Poitiers J24\\n20h00 Vichy-Clermont Saint-Chamond J24\\n20h00 Gries-Oberhoffen Evreux J24\\n20h00 Saint-Quentin Lille J24\\n20h30 Antibes Quimper J24\\nDimanche 21 mars 2021\\n20h00 Paris Denain J24\\n20h00 Nancy Nantes J9\\nVendredi 26 mars 2021\\n20h00 Quimper Blois J25\\n20h00 Nancy Vichy-Clermont J25\\n20h00 Saint-Chamond Nantes J25\\n20h00 Lille Gries-Oberhoffen J25\\n20h00 Denain Saint-Quentin J25\\n20h00 Souffelweyersheim Fos-sur-Mer J25\\n20h00 Evreux Aix-Maurienne J25\\n20h00 Poitiers Antibes J25\\n20h30 Rouen Paris J25\\nDates et horaires sous réserves de modifications" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de l’ESSM Le Portel encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nOn aurait pu croire que Jonathan Tabu était arrivé à l’ESSM -en provenance du Mans- au soir de sa carrière, mais l’international belge est toujours vaillant à 35 ans. Il est retourné en Espagne (il avait déjà connu 3 autres clubs), à Manresa, solide équipe de l’ACB (8e, 10 victoires et 12 défaites) et en sortie de banc, c’est lui qui artille le plus à trois-points (30/94 en 20 matches) avec 23 points en 22 minutes contre Bilbao.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALDrissa Ballo25FRA-3Andrézieux ALS Basket1313.14.80.34.67.1Devaughn Akoon-Purcell27TUR-1Tofas Bursa1626.44.62.115.014.3Ousman Krubally32ITA-1Happy Casa Brindisi1815.73.70.64.97.4Joe Alexander34ISR-1Ironi Nahariya1228.35.31.613.113.1Marko Lukovic28CRO-1Split1424.14.62.913.414.2Kwan Cheatham25ISR-1Ness Ziona824.87.41.013.013.5Lance Goulbourne31JAP-2Pass lab Yamagata Wyverns2725.46.52.213.715.9Mathieu Bigote36FRA-3Vendee Challans1229.81.93.211.39.5Jeffrey Crockett29GRE-1Peristeri912.92.10.74.35.0Jessie Begarin32FRA-1Champagne B.1131.13.22.88.08.4Jonathan Tabu35SPA-1Manresa2015.81.53.47.86.3Elias Lasisi28GER-1HAKRO Merlins Crailsheim1624.52.41.410.411.3Jean-Baptiste Maille27FRA-1Strasbourg1021.12.94.64.27.2Pierre-Etienne Drouault30FRA-2Rouen935.44.13.219.618.2Edgaras Zelionis31LIT-1Pieno Zvaigzdes824.05.42.313.517.9O.D. Anosike29GRE-1Lavrio213.53.00.54.54.5Thomas Smallwood25FRA-3UTBM Tours615.22.70.39.58.8Jimmy Djimrabaye28FRA-2UJAP Quimper720.34.60.35.97.7Mohamed Kone39FRA-2Vichy-Clermont721.48.01.06.712.0Karim Atamna40FRA-2Fos Provence810.90.91.42.53.8Charles-Henri Bronchard38FRA-2Vichy-Clermont822.33.61.810.110.4Edouard Choquet32FRA-2Fos Provence926.23.15.29.013.4Samir Gbetkom22FRA-2Vichy-Clermont718.92.01.97.38.0Mickael Var30FRA-3Boulogne-sur-Mer1226.07.31.811.012.7Mounir Bernaoui23FRA-3USAP1026.65.11.012.212.1Jean-Victor Traore35FRA-2Lille921.74.31.37.39.2Dinma Odiakosa35FRA-2Lille718.64.40.77.18.0Trae Golden29CHN-1Fujian SBS2626.03.97.028.526.6Antonio Ballard32FRA-2Aix-Maurienne529.87.42.015.219.8Vladimir Ilic21FRA-3GET Vosges1121.13.61.58.48.3Garry Chathuant37FRA-2Nantes722.43.61.47.46.1Juwann James33FECDonar Groningen220.02.52.08.510.0D’angelo Harrison27ITA-1Happy Casa Brindisi1530.94.44.119.118.4Tom Foucault26FRA-3Besançon Avenir Comtois1132.93.63.514.113.2Toarlyn Fitzpatrick31GRE-1AO Ionikos Nikaias1122.16.21.49.612.4Vanly Meite22FRA-3La Rochelle Rupella710.72.00.63.33.0Dejan Sencanski36FRA-3Chartres620.83.51.310.713.7Jakim Donaldson37ISR-1Bnei Herzeliya427.07.82.54.07.5Jermaine Bucknor37GER-2Trier125.03.04.018.017.0" }, {"role": "user", "content":"Mario Hezonja revient en Europe et signe avec le Panathinaïkos jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Le Panathinaïkos annonce la venue de l’ailier croate Mario Hezonja (2,03m) pour le reste de la saison 2020-2021.\\n\\nÀ 25 ans, la carrière de Mario Hezonja prend un tournant. Coupé par les Memphis Grizzlies en décembre dernier, l’ailier croate a décidé de revenir en Europe jusqu’à la fin de la saison. Il portera le maillot vert du Panathinaïkos.\\n\\n« Nous tenons à remercier chaleureusement la direction du FC Barcelone pour l’excellente coopération qui a contribué à ce transfert », indique le club dans un communiqué ce lundi.\\n\\nFormé au FC Barcelone avec lequel il a remporté le championnat d’Espagne en 2014, Mario Hezonja, drafté en 5e position par le Magic d’Orlando en 2015, n’a jamais confirmé les attentes placées en lui outre-Atlantique, ni en Floride, ni à New York, ni à Portland. Et ce malgré 330 apparitions en NBA pour 6,9 points et 3,1 rebonds de moyenne.\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Vichy-Clermont signe le Nigérian Daniel Utomi" }, {"role": "assistant", "content":"Daniel Utomi a paraphé un contrat avec la JA Vichy-Clermont Métropole, actuellement 6e de Pro B (6 victoires et 3 défaites). L’annonce a été faite par son agent Charles Misuraca à Sportando.\\n\\nL’arrière américain a récemment acquis le passeport nigérian. Après deux années universitaires à Akron et USC, il avait débuté sa saison en Finlande, au Kauhajoki Basket, pour 12,6 points à 53,7% à 3 points, avant l’arrêt du championnat." }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet : « 14 ou 15 joueurs pour la préparation aux JO de Tokyo »" }, {"role": "assistant", "content":"Suite à la qualification à l’EuroBasket 2020, Vincent Collet a donné une longue interview pour revenir sur la victoire sur le Monténégro, la performance de Thomas Heurtel, le dernier match demain face à la Grande-Bretagne, sur le bilan général de ces fenêtres, et aussi sur la préparation pour les Jeux Olympiques de Tokyo.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nSur la célébration de la qualification :\\n\\nNous l’avons un peu fêtée. Nous avons la chance d’avoir un GM très organisé, en la personne de Boris Diaw, qui avait anticipé du point de vue de l’intendance. On n’a pas accompli d’exploits mais on sait très bien que c’est très important pour notre basket d’être présent de façon régulière dans les compétitions internationales. C’est fondamental. Donc c’est quelque chose que l’on a fêté. (...) C’est à l’intéressé de vous donner le nom du Château ! Il y avait une petite bouteille de la Vallée du Rhône et une ou deux de chez lui. Pas de l’Utah (sourire). Ça deuxième maison.\\n\\nSur le match contre le Monténégro :\\n\\nEn ce qui concerne le soulagement, c’est évident. On savait quand même que l’on avait encore une autre possibilité de se qualifier. On avait observé le match entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, et comme je le craignais, on allait être dans l’obligation de gagner l’un des deux matches, ce qui n’était pas forcément le cas en arrivant au Monténégro. Si les Allemands avaient gagné hier, une défaite par moins de 24 points contre la Grande-Bretagne nous suffisait pour nous qualifier. Mais au-delà de ça, comme je l’avais dit mardi, on souhaitait gagner les deux matches et continuer avec ce groupe à avancer. La première mi-temps a été vraiment compliquée. On s’attendait à ce que les Monténégrins nous rentrent dedans et ce d’autant plus qu’ils étaient dans l’obligation impérative de victoire. On n’a pas bien démarré offensivement, on a perdu une multitude de balles pour certaines non provoquées. C’est nous qui échappions le ballon, j’ai parlé de savonnette. On a fait un certain nombre d’erreurs directes qui ont eu des conséquences lourdes puisqu’on a donné 14 points de jeu rapide à nos adversaires en première mi-temps. Si on n’était qu’à 6 points à la mi-temps, c’était un moindre mal par rapport à ce que l’on avait produit avec une maladresse importante, 1/10 à trois-points, 8/14 aux lancers, toutes ces balles perdues. On le devait au fait que défensivement, on était relativement solide... Quand on pouvait défendre car quand on perdait la balle, plusieurs fois on a été pris sur des situations de surnombre. Mais malgré tout, avec la défense, on a réussi à s’accrocher. La défense est symbolisée par le fait que l’on a quasiment mis sous cloche (Justin) Cobbs. On n’a pas vu (Nikola) Ivanovic non plus. Mais, il y en a d’autres qui ont émergé, comme (Petar) Popovic en première mi-temps, (Marko) Simonovic par la suite, et quelques autres à différents moments du match. On est encore monté défensivement en deuxième mi-temps, surtout dans le dernier quart-temps. Et en attaque, on a trouvé davantage de fluidité. On a déjà arrêté de perdre la balle, seulement trois en deuxième mi-temps, et on a eu la chance de tenir avec les Dijonnais quelques artificiers. Alexandre Chassang a eu un très bon passage où il nous a maintenu et Axel Julien a ajouté deux paniers à trois-points. Dans le money time, Thomas (Heurtel) a fait preuve de sang-froid, de maîtrise, en marquant quelques gros shoots. Isaia Cordinier a eu également deux plays décisifs, à la fin. On s’en sort bien. C’est un match où l’on a été mené quasiment tout le temps et nos adversaires peuvent nourrir des regrets. Ils ont fait un excellent match et il s’en est fallu de peu qu’ils parviennent à leurs fins.\\n\\n« Il faut des leaders. Andrew (Albicy) est l’incarnation de tout ça, l’esprit de sacrifice, de ne jamais lâcher, la façon dont il a défendu tout le match sur Cobbs »\\n\\nSur l’état d’esprit généré depuis trois ans avec les fenêtres et sa part dans la capacité à rester mobilisé dans les moments difficiles :\\n\\nC’est difficile à évaluer de la part du coach. Pour avoir la vraie bonne réponse, il faudrait interroger tous les acteurs. Je crois que l’on a une vraie solidarité. Pour le match contre la Grande-Bretagne, on va partager davantage le temps de jeu mais on souhaite malgré tout le gagner car ça fait référence aux valeurs et à l’identité que l’on veut donner à ce Team France. Ce sont les joueurs qui portent ça en eux. Il faut des leaders. Andrew (Albicy) est l’incarnation de tout ça, l’esprit de sacrifice, de ne jamais lâcher, la façon dont il a défendu tout le match sur Cobbs. On le trouve aussi chez les autres. Il y a une vraie volonté de prouver des choses et c’est d’autant plus remarquable que pas mal de ces joueurs, bien sûr, n’iront pas aux Jeux Olympiques et certainement pas non plus au championnat d’Europe. Mais ils ne se posent pas de question, il y a une forme d’abnégation qui nous aide et qui nous permet de faire ces choses-là. Dans un registre différent, on avait gagné de 17 points en République Tchèque, en étant mené au début du 4e quart-temps. Je crois que l’on avait fini par un 17-0. Là, en première mi-temps, on n’était pas du niveau escompté mais par contre sur l’intensité, dans l’envie, on était déjà là. On savait que ça serait difficile. J’avais insisté sur le fait qu’il ne fallait pas se laisser bercer par ce qui se disait ici où là, comme quoi on était quasiment qualifié, que ce n’était que le Monténégro. On était conscient du contexte. Hier, ils jouaient aussi pour le pays, ils ont joué avec un cœur admirable. Pour avoir vu tous leurs matches de la fenêtre, ils ont affiché hier une intensité, une agressivité, qui n’étaient pas comparables avec ce qu’ils ont fait lors de leurs matches précédents. D’ailleurs, ils peuvent s’en vouloir de ne pas avoir mis la même intensité contre la Grande-Bretagne lors du 2e match à Pau.\\n\\nSur la résistance physique de Thomas Heurtel après une si longue période sans compétition :\\n\\nDès lundi, je trouvais que Thomas était vraiment fit. Je l’ai vu arriver dans des rassemblements estivaux parfois en moins bonne forme physique. La difficulté, c’est de transformer ça avec l’intensité des matches. Après, c’était le premier, il y avait l’excitation, ça compense. On a aussi respecté les séquences de repos. La première fois, il a joué 7-8 minutes, après les 2 dernières avant la mi-temps. Je l’ai remis un peu en début de deuxième et c’est là où je pense qu’il a eu plus de mal. Par contre, il a trouvé le deuxième souffle pour à la fin marquer les paniers décisifs, faire des plays qui ont eu beaucoup d’importance. Effectivement, il était physiquement au-dessus de ce que l’on pouvait attendre (...) On en a parlé ensemble avec Thomas, il sait que moi, je préfère qu’il joue. C’est essentiel, notre métier c’est de jouer au basket ! Même s’il a été pas mal physiquement malgré l’interruption, ce n’était que quelques semaines, alors que les Jeux Olympiques c’est dans cinq mois. Ça serait une période d’interruption comme une grosse blessure et on sait que même si on se prépare physiquement, ça ne remplace pas la spécificité de notre sport avec des contacts. Quand on redémarre une saison, on fait une préparation physique et souvent on est court parce qu’il faut encaisser les chocs et ça change beaucoup la donne. Il y a des repères que seul le jeu peut fournir. Donc, je pense que pour lui ça serait bien qu’il puisse rejouer... Comme pour ceux qui ne jouent pas actuellement (NDLR : Frank Ntilikina, Vincent Poirier, Killian Hayes).\\n\\n« Ils ont des joueurs qui sont agressifs, qui vont au cercle, les intérieurs sont très physiques »\\n\\nSur le match de lundi face à la Grande-Bretagne :\\n\\nLa première place du groupe est quand même bien engagée puisqu’il faudrait que les Anglais nous battent de 24 points pour qu’on ne l’ait pas. Mais au-delà de ça, la victoire est importante, même si elle n’est pas vitale, et je vais beaucoup plus partager le temps de jeu. On souhaite par rapport à nos valeurs continuer sur la même lancée, c’est-à-dire jouer avec intensité et faire le mieux possible (...) Bien sûr que les blessures, c’est quelque chose qui nous préoccupe, mais le risque zéro n’existe pas, on espère simplement que ça n’arrivera pas et qu’on va ramener tout le monde dans de bonnes conditions. Même si le match est sans enjeu, pour moi, ça n’existe pas un match amical au niveau de l’équipe nationale. Même quand on fait des matches amicaux, je les appelle matches de préparation parce que l’équipe nationale c’est sacré et tout est important. Effectivement, il y a quelques joueurs que l’on va observer pour la suite et dans cette suite, il y a les Jeux Olympiques de cet été. Il y a beaucoup de joueurs qui ne sont pas là et qui seront là cet été, mais on sait qu’il y a quelques postes à pourvoir, et certains joueurs de cette fenêtre peuvent en être. On prend des informations et un match comme hier est intéressant car grâce à l’énergie de nos adversaires, il y avait des situations où il y avait de la dureté, de l’intensité. Ça a permis de voir certains joueurs dans ce contexte-là. De tous les matches que l’on a joué de ces fenêtres des qualifications au championnat d’Europe, c’était le match le plus dur et le plus intense, et de loin (...) Dans le groupe, c’est l’équipe qui est la plus athlétique avec la nôtre, elle a posé des problèmes très importants aussi bien au Monténégro qu’à l’Allemagne sur ces données-là. Ils ont des joueurs qui sont agressifs, qui vont au cercle, les intérieurs sont très physiques. L’une des révélations de ce groupe de qualification, c’est (Gabriel) Olaseni (2,10m, 29 ans, Buyukcekmece), qui est le meilleur rebondeur du championnat turc (NDLR : 3e en fait, derrière Mam Jaiteh et Alperen Sengun). Il a été bon contre pratiquement toutes les équipes et à chaque match. Vous avez pu remarquer que Ovie Soko n’a pas joué tant que ça hier (22’ pour 12 points, 2 rebonds et 3 passes face à l’Allemagne) alors qu’il est l’un des meilleurs intérieurs du championnat de France. Si vous rajoutez (Myles) Hesson et même le vétéran (Dan) Clark, ça fait un secteur intérieur qui tient vraiment la route. Lorsqu’il y a eu le tirage au sort, on n’imaginait pas que cette équipe aurait autant de consistance. Les arrières sont tous des joueurs assez percutants, à l’image de (Teddy) Okereafor, de (Luke) Nelson, qui est aussi plus polyvalent car c’est aussi un bon shooteur. Ils ont aussi quelques autres joueurs comme Tarik Phillip, qui joue à Jérusalem, qui sont surprenants. Il faudra que l’on soit un peu sur le même tempo qu’au match aller, en première mi-temps, quand on avait su matcher leur agressivité. Ils n’avaient pas pu s’appuyer sur cette valeur athlétique pour trouver des solutions comme lors du match d’hier ou contre le Monténégro à Pau.\\n\\n« Peut-être que cela en amuse certain mais moi, je ne trouve pas ça totalement dans l’esprit sportif »\\n\\nSur le bilan de ces qualifications auxquelles ont participé 18 joueurs :\\n\\nOn ne se fait pas d’illusions sur le niveau de jeu que l’on produit. On essaye de faire le mieux possible dans des conditions compliquées -bulle ou pas. Vous récupérez l’effectif le lundi soir et quatre jours après, il faut jouer contre des équipes qui ont de la qualité. Mais le comportement des joueurs est exemplaire. Est-ce que c’était parce que l’on était dans une bulle, dans un hôtel, mais il y a eu du sérieux et de l’engagement dans tous les entraînements. A ce niveau-là, c’est très bien. La réflexion que j’ai car il y aura d’autres fenêtres pour la qualification aux Mondiaux, c’est que malgré tout, depuis le début de ces qualifications, au fil des années, on voit des joueurs qui partent et on s’aperçoit que, par exemple, les leaders de nos fenêtres à la qualification à la Coupe du monde 2019 ne sont plus dans l’équipe, parce qu’ils jouent aujourd’hui en Euroleague ou en NBA. C’est un éternel recommencement et ce n’est pas évident que l’on puisse trouver à chaque fois des remplaçants. Là, on a eu la chance que Andrew Albicy soit revenu dans une équipe qui ne joue qu’en Eurocup, à Gran Canaria, alors que s’il était resté au Zenit (Saint-Petersbourg) comme l’an passé, ça nous aurait posé des problèmes. C’est un système très compliqué pour les équipes comme nous. C’est pareil pour l’Espagne, la Serbie. Lors de la fenêtre précédente, la Serbie a perdu contre la Suisse et l’Espagne contre la Pologne. Peut-être que cela en amuse certain mais moi, je ne trouve pas ça totalement dans l’esprit sportif. Le but que l’on devrait avoir c’est que toutes les meilleures équipes soient au championnat d’Europe, et pas qu’il y ait de grosses surprises à cause d’un système de qualification qui met en difficulté. Le Monténégro a des jeunes joueurs vraiment intéressants, vous rajoutez (Nikola) Vucevic (Orlando Magic) et (Bojan) Dubljevic, je pense qu’ils méritent d’aller au championnat d’Europe. Malheureusement, ils n’y seront pas et la formule n’y est certainement pas étrangère.\\n\\n« Je pense qu’il y aura quand même un petit processus de sélection pour les derniers postes »\\n\\nSur la préparation des Jeux Olympiques :\\n\\nIl faut que la sélection soit annoncée relativement tôt (NDLR : vers la fin mai) car il y a des contraintes supplémentaires par rapport à un championnat d’Europe, liées au CNSOF. On est en train de travailler sur la préparation. On aura une réunion très importante mercredi pour essayer d’avancer. Pour l’instant, rien n’est encore fixé car ça dépend de pas mal de paramètres. C’est beaucoup plus difficile que des années de championnat d’Europe ou de Coupe du monde pour élaborer le planning des matches amicaux. Les équipes qui jouent le TQO (NDLR : 29 juin au 4 juillet) vont évidemment se préparer avant nous, et elles ne seront donc pas accessibles quand nous on aurait besoin de matches. Aussi, il y a très peu d’équipes disponibles pour jouer des matches amicaux dans les périodes où on en recherche. On avait eu les mêmes problèmes en 2012 et 2016. On est obligé de parler avec différentes sélections en sachant que si elles sont éliminées au TQO, elles ne voudront pas jouer entre le 10 et le 20 juillet parce que leur saison internationale sera terminée. Par contre, si elles passent, elles voudront des matches. Pour l’instant, on ne sait pas quelles équipes on aura et quand. Je souhaiterais un groupe pas trop élargi, mais il faut quand même que l’on puisse sélectionner. Si on a de très fortes convictions avant de démarrer le premier stage, on fera a minima, mais il y a souvent des petits pépins en début de préparation, et puis il y a cette année un élément à prendre en compte, c’est la fin de saison. Quand on voit les résultats de Utah (Rudy Gobert) et même des Clippers (Nicolas Batum), on peut craindre que certains de nos leaders soient retenus pendant le début de la préparation. Donc, il faudra du monde pour fonctionner. Je ne peux pas envisager que d’être moins de 14 ou 15. Est-ce qu’on va sélectionner directement et adjoindre des partenaires d’entraînement ? Je ne pense pas. Je pense qu’il y aura quand même un petit processus de sélection pour les derniers postes (...) Il y a deux mois, on avait dit que l’on irait aux Etats-Unis après la fenêtre de février, on pensait le faire en mars, et c’est totalement impossible. Même si on va aux Etats-Unis, on ne peut pas rencontrer les joueurs. La façon dont fonctionne la NBA leur interdit de rencontrer des gens en dehors de la sphère familiale. On va donc procéder par visio. Je le regrette. Et si par bonheur, ça s’ouvrait fin avril ou mai, je le ferai mais pour l’instant ce n’est pas envisageable.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nSur la célébration de la qualification :\\n\\nNous l’avons un peu fêtée. Nous avons la chance d’avoir un GM très organisé, en la personne de Boris Diaw, qui avait anticipé du point de vue de l’intendance. On n’a pas accompli d’exploits mais on sait très bien que c’est très important pour notre basket d’être présent de façon régulière dans les compétitions internationales. C’est fondamental. Donc c’est quelque chose que l’on a fêté. (...) C’est à l’intéressé de vous donner le nom du Château ! Il y avait une petite bouteille de la Vallée du Rhône et une ou deux de chez lui. Pas de l’Utah (sourire). Ça deuxième maison.\\n\\nSur le match contre le Monténégro :\\n\\nEn ce qui concerne le soulagement, c’est évident. On savait quand même que l’on avait encore une autre possibilité de se qualifier. On avait observé le match entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, et comme je le craignais, on allait être dans l’obligation de gagner l’un des deux matches, ce qui n’était pas forcément le cas en arrivant au Monténégro. Si les Allemands avaient gagné hier, une défaite par moins de 24 points contre la Grande-Bretagne nous suffisait pour nous qualifier. Mais au-delà de ça, comme je l’avais dit mardi, on souhaitait gagner les deux matches et continuer avec ce groupe à avancer. La première mi-temps a été vraiment compliquée. On s’attendait à ce que les Monténégrins nous rentrent dedans et ce d’autant plus qu’ils étaient dans l’obligation impérative de victoire. On n’a pas bien démarré offensivement, on a perdu une multitude de balles pour certaines non provoquées. C’est nous qui échappions le ballon, j’ai parlé de savonnette. On a fait un certain nombre d’erreurs directes qui ont eu des conséquences lourdes puisqu’on a donné 14 points de jeu rapide à nos adversaires en première mi-temps. Si on n’était qu’à 6 points à la mi-temps, c’était un moindre mal par rapport à ce que l’on avait produit avec une maladresse importante, 1/10 à trois-points, 8/14 aux lancers, toutes ces balles perdues. On le devait au fait que défensivement, on était relativement solide... Quand on pouvait défendre car quand on perdait la balle, plusieurs fois on a été pris sur des situations de surnombre. Mais malgré tout, avec la défense, on a réussi à s’accrocher. La défense est symbolisée par le fait que l’on a quasiment mis sous cloche (Justin) Cobbs. On n’a pas vu (Nikola) Ivanovic non plus. Mais, il y en a d’autres qui ont émergé, comme (Petar) Popovic en première mi-temps, (Marko) Simonovic par la suite, et quelques autres à différents moments du match. On est encore monté défensivement en deuxième mi-temps, surtout dans le dernier quart-temps. Et en attaque, on a trouvé davantage de fluidité. On a déjà arrêté de\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Thomas Heurtel (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Le vétéran Kosta Koufos renforce l’Olympiacos" }, {"role": "assistant", "content":"Après la blessure longue durée (5 à 6 semaines) d’Hassan Martin, l’Olympiacos a trouvé son remplaçant pour tenter d’atteindre le Top 8 en Euroligue. Dans un communiqué, le club annonce la venue du vétéran Kosta Koufos (2,13m).\\n\\nA 31 ans, le pivot grec n’avait pas refoulé les parquets depuis février 2020 avec le CSKA Moscou. Il totalisait la saison dernière 17 matchs pour seulement 3,7 points et 2,8 rebonds de moyenne en Euroleague.\\n\\nL’homme aux 11 saisons NBA a signé jusqu’en juin 2021 avec une option pour l’année prochaine. Pour l’Olympiacos, l’incertitude reste grande à deux raisons : tout d’abord car il n’a pas rejoué depuis douze mois, mais aussi car il s’agit d’un profil très différent d’Hassan Martin.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"La phrase – Jean-Luc Monschau : «Pour rester en forme physique, certaines personnes font de la marche. Moi, je marche dans la salle quand j’entraîne...»" }, {"role": "assistant", "content":"Son nom a longtemps été associé avec la réussite du SLUC Nancy avec qui il a été deux fois champion de France (2008 et 2011), trois fois finaliste (2005, 2006 à 2007), et gagné la Coupe de France (2009).\\n\\nA bientôt 70 ans -il les aura en juin-, Jean-Luc Monschau est toujours coach, à Pfastatt, une commune de la banlieue de Mulhouse, où il possède une maison. Il a rejoint le club de Mulhouse-Pfastatt en 2014 et ils sont aujourd’hui en Nationale 1. JLM explique sa longévité à L’Est Républicain :\\n\\n« J’aime ça. C’est précieux pour moi, physiquement et intellectuellement, de rester en activité. Pour rester en forme physique, certaines personnes font de la marche. Moi, je marche dans la salle quand j’entraîne... »" }, {"role": "user", "content":"LFB : Pierre Vincent à l’ASVEL ? «Ce n’est pas d’actualité...»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Progrès a annoncé que Valéry Demory pourrait ne pas aller au terme de son contrat avec l’ASVEL et que Pierre Vincent, actuellement coach à Schio, en Italie, pourrait être son successeur.\\n\\n« Ce n’est pas d’actualité, parce que j’ai encore un an de contrat à Schio, comme Valéry Demory à l’Asvel. Je suis très bien à Schio, le club et les filles sont très sympas et, pour trouver mieux, ce serait compliqué. Mais, parfois, il faut que je pousse mes dirigeants pour être plus ambitieux. Et, si je devais en partir, il faudrait que je trouve un projet qui m’émoustille, parce que je ne me vois pas terminer ma carrière tranquillement dans un fauteuil... » confie l’ancien coach de l’équipe de France et de Bourges au quotidien lyonnais.\\n\\nPierre Vincent précise que l’ASVEL ne l’a pas contacté mais qu’il laisse la porte ouverte." }, {"role": "user", "content":"Alexandre Chassang : le col bleu des Bleus" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot de la JDA Dijon, Alexandre Chassang (2,03m, 26 ans) est l’une des révélations de ces deux dernières saisons, de la Jeep Elite et des fenêtres internationales.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAlors que la saison de Jeep Elite connaît un break très probablement pas définitif, la JDA Dijon occupe le deuxième rang, dans les baskets de Monaco, avec 10 victoires et 2 défaites. On commence à être habitué au « miracle » dijonnais mais cette performance est tout à fait remarquable quand on sait que la JDA a vu partir à l’inter-saison deux de ses piliers américains, l’arrière au passeport nigérian Rasheed Sulaimon, devenu hors de prix, et l’intérieur Richard Solomon, très actifs dans la conquête de la Leaders Cup, ainsi que le troisième larron, l’ailier Lamonte Ulmer, aujourd’hui à Orléans.\\n\\n« C’est sûr que Richard et Rasheed étaient très importants dans notre système. Ils nous ont beaucoup manqués au début. On a eu la chance de beaucoup s’appuyer sur les joueurs qui étaient présents les autres années », explique Alexandre Chassang quand on lui demande d’analyser la transition. « Maintenant, Chase Simon apporte beaucoup de créativité et il commence à rentrer un peu dans le rôle de Rasheed Sulaimon, et ça nous fait beaucoup de bien. Jaron Johnson a eu beaucoup de mal en début de saison mais là, il commence à vraiment comprendre son rôle. Et puis, on a l’arrivée de Gerald Robinson (NDLR : en provenance de Pesaro) qui va encore nous faire du bien dans la créativité et pouvoir laisser Axel (Julien) et David (Holston) respirer un peu plus. »\\n\\nL’une des raisons qui font que l’équipe bourguignonne est toujours aussi performante, c’est justement la montée en puissance de Alexandre Chassang qui présente depuis la rentrée ses meilleures statistiques en carrière : 12,6 points (60,4% aux shoots), 3,1 rebonds et 2,6 passes pour 13,3 d’évaluation, en plus de tenir un solide rôle défensif. Il a prolongé cet été à la JDA jusqu’en 2022.\\n\\n« Je ne sais pas si c’est l’année de Dijon, mais c’est sûr que l’on est sur notre lancée depuis trois ans. On finit dans le top 3 et on était même premiers à égalité l’année dernière. C’est sûr que l’on aura un coup à jouer. L’équipe que je crains le plus, c’est Monaco car on a toujours du mal à les battre. En trois ans, on ne les a battus qu’une fois, à la Leaders Cup. Et bien sûr l’ASVEL, qui fait une deuxième grosse partie de saison en Euroleague, et qui sera bien sûr à surveiller quand l’Euroleague sera finie. Ça va être dur de les stopper. »\\n\\n\\n\\n« L’Euro peut-être dans quelques années, mais les JO, je n’y pense pas du tout »\\n\\nTout n’est pas parfait puisqu’après avoir participé fin septembre/début octobre au Final 8 de la saison 2019-20 de la Basketball Champions League et avoir empoché la troisième place, quelques semaines plus tard, la JDA s’est brisée contre le mur de la qualification de l’édition suivante après de lourdes défaites inattendues face à Nymburk (-40) et Tofas Bursa (-39). Probablement les limites d’un effectif un peu court avant le renfort de Gerald Robinson. Aussi, n’est-ce pas finalement un mal pour un bien alors que se présente une deuxième partie de saison de Jeep Elite qui sera très intense avec plusieurs matches par semaine.\\n\\n« Cela aurait été compliqué mais on aime toujours bien jouer tous les tableaux, à la JDA, et c’est important d’être sur le tableau européen. Mais c’est sûr que l’enchaînement des matches va être incroyable et ça sera peut-être bien de se concentrer sur cette compétition. »\\n\\nPour revenir à Alexandre Chassang, c’est une belle success story de quelqu’un qui s’est même pris un temps à douter de son avenir de basketteur professionnel, et qui a trouvé le bon club, le bon coach -Laurent Legname- et le bon poste, en passant d’ailier-fort à pivot.\\n\\n« Je me suis recentré, j’ai travaillé et j’ai eu la chance de tomber sur un coach qui a confiance en moi et qui savait comment me rendre meilleur. Le travail paye et ça donne envie de continuer pour voir jusqu’où je peux aller. »\\n\\nPas de frime chez le Dijonnais, un vrai col bleu, qui sait d’où il vient, qui connait son périmètre de compétence et celui de la concurrence. Alors quand on lui parle de Tokyo et des Jeux Olympiques, il freine des deux baskets :\\n\\n« Je suis déjà très heureux d’être aux fenêtres. L’équipe pour les JO, c’est un autre niveau. Il y a pas mal de joueurs devant moi. Guershon Yabusele, Livio Jean-Charles, Louis Labeyrie ne peuvent pas être là. Je fais mon travail pour les fenêtres quand on m’appelle. L’Euro peut-être dans quelques années, mais les JO, je n’y pense pas du tout. »\\n\\nEt si les Bleus se sont qualifiés hier soir pour le championnat d’Europe 2022 grâce à leur victoire sur le Monténégro, ils doivent une fière chandelle au Dijonnais qui a planté 5 de ses 6 shoots, notamment quand l’accès adverse était verrouillé, et obtenu la meilleure évaluation (17) de son équipe.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nAlors que la saison de Jeep Elite connaît un break très probablement pas définitif, la JDA Dijon occupe le deuxième rang, dans les baskets de Monaco, avec 10 victoires et 2 défaites. On commence à être habitué au « miracle » dijonnais mais cette performance est tout à fait remarquable quand on sait que la JDA a vu partir à l’inter-saison deux de ses piliers américains, l’arrière au passeport nigérian Rasheed Sulaimon, devenu hors de prix, et l’intérieur Richard Solomon, très actifs dans la conquête de la Leaders Cup, ainsi que le troisième larron, l’ailier Lamonte Ulmer, aujourd’hui à Orléans.\\n\\n« C’est sûr que Richard et Rasheed étaient très importants dans notre système. Ils nous ont beaucoup manqués au début. On a eu la chance de beaucoup s’appuyer sur les joueurs qui étaient présents les autres années », explique Alexandre Chassang quand on lui demande d’analyser la transition. « Maintenant, Chase Simon apporte beaucoup de créativité et il commence à rentrer un peu dans le rôle de Rasheed Sulaimon, et ça nous fait beaucoup de bien. Jaron Johnson a eu beaucoup de mal en début de saison mais là, il commence à vraiment comprendre son rôle. 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Son équipe a attendu le dernier quart-temps pour taper du poing sur la table (30-12) et l’emporter 88-81.\\n\\nDanilo Andjusic a été une fois encore fondamental dans ce succès (20 points, 4/8 à trois-points, 6 passes) alors que son équipier à la JL Bourg, Luka Asceric a eu droit à 9 minutes, pour sa 2e sélection à 24 ans, et il a compilé 3 points et 3 rebonds. Nikola Rebic (Nanterre) a ajouté 9 points et 6 rebonds). Quant à Filip Petrusev (2,10m, 20 ans), il a prouvé tout son savoir faire naissant : 22 points, 8 rebonds, 27 d’évaluation.\\n\\n« Après avoir appris que nous avions obtenu une place au Championnat d’Europe avec la victoire contre la Géorgie, nous sommes entrés dans le match d’aujourd’hui un peu vide émotionnellement. Nous ne l’avons pas abordé de manière frivole, mais simplement ce vide a laissé une certaine trace. La victoire d’aujourd’hui est importante malgré la fait que le match n’était pas beau et que le nombre de balles perdues (15) a montré que l’attaque n’était pas fluide. Nous avons également eu des problèmes avec leur zone, que nous n’avons pas réussi à casser en tirant trois points, « a déclaré Kokoškov .\\n\\nPour l’entraîneur du Fenerbahçe, il ne faut pas trop en demander à une équipe construite de bric et de broc :\\n\\n» Nous quittons Tbilissi satisfaits après deux victoires en deux matches contre des équipes contre qui nous avions perdu lors des matches précédents. La Suisse et la Géorgie jouent toujours avec la même équipe, elles sont ensemble depuis de nombreuses années, elles sont bien coordonnées et bien organisées. Elles ont beaucoup d’avance sur nous parce que nous avons également eu beaucoup de nouvelles personnes dans l’équipe dans pour cette fenêtre. »\\n\\nLa Serbie aura une équipe bien différente lors du Tournoi de Qualification Olympique qu’elle va organiser. Malgré une très forte concurrence, Danilo Andjusic et Filip Petrusev pourraient y avoir accès.\\n\\nPhoto: Danilo Andjusic (FIBA)\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Une double dose d’ASVEL sur RMC Sport et La Chaîne L’Équipe" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France va participer en 2022 à son 39e championnat d’Europe. Au programme TV de cette semaine, le match face à la Grande-Bretagne (ce soir à 17h00) n’aura comme enjeu pour les deux équipes que la première place du groupe. Tandis que les deux équipes de l’ASVEL joueront vendredi soir avec au menu, le Barça pour les masculins sur RMC Sport et Basket Landes pour les féminines en prime-time sur La Chaîne L’Équipe.\\n\\nLundi 22 février :\\n\\n17h00 – France/Grande-Bretagne – Qualifications Euro 2022 – Canal+Sport\\n\\n18h00 – Zénit Saint Pétersbourg/Milan – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 25 février :\\n\\n18h00 – Zenit Saint Petersbourg/Valence – Euroleague – RMC Sport Live 12\\n\\n20h00 – Olympiacos/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 13\\n\\n20h30 – Bayern Munich/Maccabi Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 12\\n\\n20h45 – Milan/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 14\\n\\n21h00 – Real Madrid/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 15\\n\\nVendredi 26 février 2021 :\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Vitoria/Étoile Rouge de Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Alba Berlin/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Barcelone/ASVEL -Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – ASVEL/Basket Landes – LFB – La Chaîne L’Équipe\\n\\nPhoto : Marine Johannes" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Vainqueur de la BCL, San Pablo Burgos lance un SOS" }, {"role": "assistant", "content":"Récent vainqueur de la Basketball Champions League et de la Coupe intercontinentale, Hereda San Pablo Burgos a lancé un SOS par l’intermédiaire de son président, Félix Sancho, en direction du Conseil supérieur des sports (CSD) et de la Junta de Castilla y León.\\n\\n« On veut lancer un appel aux institutions, on se sent le grand oublié de la pandémie », a t-il déclaré lors d’une conférence de presse. « Si nous voulons que le sport continue, nous devons l’aider, nous traversons une période très difficile, économiquement parlant, pour les clubs de basket. Nous sommes dans une situation où nous générons 100% des dépenses et nos revenus sont réduits de 80%, une situation qui est aggravée par l’absence de billetterie, et l’abandon des sponsors. »\\n\\n« Il est dommage que cette année, avec le niveau de compétition auquel nous avons joué, nous n’ayons pu voir aucun match avec du public », a déclaré Sancho, qui estime que le club castillan est « le plus touché de la ligue entière « en ce qui concerne l’absence de supporters dans les tribunes. « Au cours des deux dernières années, nous avons eu un afflux maximum de public dans notre salle. Nous nous sommes retrouvés dans un scénario que nous n’aurions jamais pu imaginer. Nous étions préparés à tout dans ce club, sauf à ne pas pouvoir compter sur le soutien le plus important, celui des supporters » , a-t-il souligné.\\n\\nFélix Sancho a rappelé également que les dépenses ont augmenté avec le coût des soins de santé, comme celui des tests médicaux afin de pouvoir poursuivre la saison." }, {"role": "user", "content":"Liz Mills, la globe-trotteuse australienne qui a qualifié le Kenya pour l’AfroBasket" }, {"role": "assistant", "content":"Qualifié pour l’AfroBasket 2022 pour la première fois depuis 1993 (!), le Kenya possède la particularité d’avoir une femme comme coach, l’Australienne Liz Mills.\\n\\nCelle-ci a débuté dans la profession à 16 ans dans son pays natal et avec sa jumelle Vik, elle est arrivée sur le continent africain en 2008 pour y développer les activités sportives. C’est ainsi qu’elle a gagné le championnat de Zambie avec les Heroes Play United dès sa première saison avec l’équipe, puis elle s’est occupée des U20 garçons et filles, avant de retourner en Australie afin de terminer ses études. Elle est passée ensuite par le Kenya, la Namibie, l’Afrique du Sud, le Rwanda et de nouveau la Zambie et le Cameroun où elle a été assistant-coach de l’équipe masculine.\\n\\n« Ces cinq dernières années, le Kenya a grandi en basket-ball, le niveau de compétence s’est énormément amélioré, je suis vraiment excitée de voir où va le basket kenyan », avait-t-elle déclaré en prenant en mains la sélection nationale.\\n\\nC’est samedi face à l’Angola, onze fois sacré champion continental que les Morans -le surnom des Kenyans- sont parvenus à conquérir leur billet pour l’AfroBasket. Pourtant, le match était mal engagé avec un 9-22 au bout d’un quart-temps. Les Kenyans sont revenus au score et à cinq secondes du buzzer, Tylor Ongwae a enfilé le costume du héros pour marquer le panier décisif, 74-73.\\n\\n« C’est fabuleux d’aller au Rwanda. Nous avons battu une des grandes nations du continent et c’est un superbe sentiment, » a savouré Liz Mills, avant de poursuivre : « Nous sommes venus ici pour gagner des matchs. Nous avons vaincu l’Angola et nous souhaitons maintenant faire pareil contre le Mozambique. Nous avons mal débuté la partie, mais connaissant la maturité de mes joueurs, j’étais convaincue qu’à un moment donné, la situation allait tourner en notre faveur. Une fois notre défense mise en place, je savais que notre attaque allait s’améliorer, et c’est effectivement ce qui est arrivé. »\\n\\nLe président de la Fédération kenyane (KBF), Paul Otula, a déclaré qu’il souhaitait que les Morans se hissent dans le top cinq continental. Avec Liz Mills, il estime que tout est possible.\\n\\nA noter que c’est Brigitte Affidehome Tonon, qui en 2017 a inscrit son nom dans les annales de l’histoire en devenant la première femme à diriger une équipe nationale masculine en Afrique lorsqu’elle a guidé le Bénin vers les éliminatoires régionaux de l’ AfroBasket cette année-là.\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pour le première fois depuis 1999, la Lettonie sera absente de l’Euro" }, {"role": "assistant", "content":"On ne verre pas la Lettonie et sa superstar des Dallas Maverixks Kristaps Porziņģis ainsi que Davis Bertans (Washington Wizards) au championnat d’Europe 2022. C’est cruel et injuste car les Baltes ont perdu d’un point (65-66) face à la Bulgarie, qui a pu bénéficier de la participation d’un naturalisé bidon, le Monégasque Dee Bost, auteur de 18 points, 4 rebonds et 4 passes. Sans lui...\\n\\nDans son groupe, la Lettonie n’a obtenu au final qu’une seule victoire alors que la Bosnie-Herzégovine en compte quatre, la Grèce trois et la Bulgarie deux.\\n\\nLa Lettonie est un petit pays par le nombre d’habitants (1,9 million) mais grand par l’intérêt qu’il porte au basket. C’est lui qui remporta la première édition de l’Euro en 1935 et il avait répondu à chaque édition depuis 1999, soit 9 de suite. Un drame national et le coach Robets Štelmahers en a bien conscience.\\n\\n« Je tiens à m’excuser auprès de tous les supporters qui ont cru en nous. Je veux assumer l’entière responsabilité de la défaite », a déclaré l’entraîneur dans l’introduction de la conférence de presse. Et quand il lui a été demandé s’il compte démissionner, il a répondu qu’il envisage sérieusement cette possibilité.\\n\\nDairis Bertans, qui a été mis à la disposition de son équipe nationale à cette occasion par le Khimki Moscou mais sans faire de miracle (4 points à 1/6, 4 passes et 3 rebonds) alors que son équipier en Russie Janis Tima a apporté 14 points, est venu à la rescousse de son coach.\\n\\n« Chacun de nous pouvait mieux jouer. Non seulement l’entraîneur est coupable, mais nous sommes tous coupables ensemble. »\\n\\nPhoto: Dairis Bertans (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du Mans SB encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nUne bien jolie liste. On y trouve des joueurs nés au Mans (Jeremy Leloup et Tom Foucault, et encore Pierre-Etienne Droualt), un Américain marié avec une Sarthoise (Taylor Rochestie), des joueurs qui sont devenus ensuite internationaux dans un autre pays (Aaron Cel en Pologne, Bobby Dixon en Turquie, Justin Cobbs au Monténégro), mais évidemment le plus beau fleuron des expats est Nicolas Batum formé au club.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALNicolas Batum32USA-1LA Clippers2429.14.82.410.214.5Brandon Taylor26ITA-1Reggio Emilia1832.83.34.615.614.3Youssoupha Fall25SPA-1Baskonia1812.44.70.56.79.3Aaron Cel33POL-1Polski C. Toruń2329.17.63.212.917.9Raviv Limonad36ISR-1Ness Ziona1120.62.34.13.75.7Taurean Green34POL-1Stal Ostrów2526.01.96.29.89.8Demetrius Conger30GER-1Ratiopharm Ulm1318.82.81.37.06.9Ali Muhammed37TUR-1Fenerbahce1619.32.12.48.58.7Kendrick Ray26TUR-1Aliaga Petkim Spor1830.82.44.815.614.1Obi Emegano27SPA-1Fuenlabrada2125.42.91.49.98.4Shannon Shorter31JAP-1Chiba Jets3225.34.93.711.814.3Jeremy Leloup33FRA-1Pau-Lacq-Orthez1134.13.42.39.411.5Romeo Travis36FRA-1Limoges CSP218.03.00.03.0-1.5Petr Cornelie25FRA-1Pau-Lacq-Orthez1127.56.80.811.813.7Kevin Mendy28FRA-2Poitiers930.23.31.97.77.3Pape Sy32FRA-1BCM911.81.10.83.74.7Gregory Bengaber23FRA-3Union Tarbes Lourdes1316.31.81.52.81.9Amara Sy39FRA-2Paris Basketball618.52.22.04.85.7Nobel Boungou Colo32FRA-2Paris Basketball833.44.02.617.114.1Zack Wright35FRA-1Bourg-en-Bresse625.53.34.511.815.7Matthieu Gauzin19FRA-1Champagne B.1117.91.51.76.25.3Mouphtaou Yarou30FRA-1Boulazac825.47.81.011.816.4Brandon Bowman36GER-1Giessen1622.24.21.59.39.9Lahaou Konate29FRA-1Mets 921222.32.01.55.17.5Jonathan Tabu35SPA-1Manresa2015.81.53.47.86.3Pierre-Etienne Drouault30FRA-2Rouen935.44.13.219.618.2Earvine Bassoumba24FRA-2Rouen920.24.81.05.39.3Olivier Hanlan27GRE-1Iraklis1328.52.92.512.88.5Antoine Diot31FRA-1ASVEL613.82.23.34.86.5Mickael Gelabale37FRA-1Chalon1023.54.11.07.18.3Jacques Alingue32FRA-1Dijon1119.93.81.47.410.4Jean-Philippe Dally24FRA-2Evreux929.63.82.012.813.0Thomas Ceci-Diop28FRA-2Vichy-Clermont820.94.41.55.57.4Junior Zero23FRA-3USAP1219.02.80.67.15.9Marc-Antoine Pellin33FRA-3Saint-Vallier1121.22.72.75.78.1Soriah Bangura27FRA-3Cheruy812.33.60.12.53.0Louis Rucklin21FRA-2Lille916.61.02.13.84.7Gedeon Pitard31FRA-2Antibes930.33.25.48.912.7Taylor Rochestie35ABA L.Crvena zvezda mts717.91.33.67.47.7Rodrigue Beaubois32TUR-1Anadolu Efes1022.02.12.410.39.7Michael Thompson31VTB L.Astana1432.13.56.613.115.2Justin Cobbs29ABA L.Buducnost VOLI1328.82.02.815.715.5Wilfried Yeguete29FRA-1Monaco717.64.70.94.68.4Darius Washington35BEL-1Brussels620.73.32.29.010.0Charles Kahudi34FRA-1ASVEL621.72.20.77.75.8D.J. Stephens30FECPrometey Kamianske325.76.71.013.016.3Giordan Watson35FECOradea323.01.73.015.313.3Tom Foucault26FRA-3Besançon Avenir Comtois1132.93.63.514.113.2Shy Ely33GER-2MLP Academics Heidelberg432.33.53.512.014.5Brahim Dohou21FRA-2Denain54.40.60.20.41.0Antoine Wallez24FRA-2Evreux221.53.00.08.56.5Yannis Morin27FRA-1Strasbourg823.46.01.49.912.9Richard Hendrix34JAP-1Niigata Albirex1030.98.93.512.219.1Izzet Turkyilmaz30TUR-1Bursaspor12.00.00.00.0-1.0" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du BCM Gravelines-Dunkerque encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nTout comme Villeurbanne, le BCM a eu dans son effectif Rickey Paulding. C’était en 2006-07 et la saison suivante, celui-ci s’engageait avec le EWE Baskets Oldenburg et il y est toujours depuis ! En Allemagne, Paulding est devenu une légende et en plus de trophées collectifs, il s’est vu décerner trois fois celui de joueur le plus sympathique.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALKyle Gibson33POL-1Slask Wroclaw1528.72.22.313.512.1Aaron Cel33POL-1Polski C. Toruń2329.17.63.212.917.9Trey Lewis28ISR-1M. Rishon1226.52.01.914.311.2Rickey Paulding38GER-1EWE Baskets Oldenburg1625.12.41.115.913.3Taylor Smith29ABA L.Mornar Bar1723.15.42.29.515.1Richard Solomon28JAP-1Toyama Grouses2926.911.11.316.922.6Hamady N’diaye33FRA-1Pau-Lacq-Orthez816.02.90.44.65.8Ousmane Drame27FRA-1Pau-Lacq-Orthez1120.64.51.37.38.4Jonathan Rousselle30SPA-1RETAbet Bilbao2125.12.14.710.611.5Giovan Oniangue29FRA-1Orléans925.63.21.310.19.3Abdoulaye M’baye32FRA-2Poitiers912.40.91.04.25.1Marcus Slaughter35GRE-1AEK Athens514.64.00.82.46.0Mathis Keita28FRA-1Roanne612.31.51.82.83.0Gary Mcghee32SPA-2Leyma Coruña1024.77.30.09.712.3Steven Gray31GRE-1Peristeri1229.12.92.011.910.8Maxime Courby30FRA-1Bourg-en-Bresse1022.03.00.97.07.8Andrew Albicy30SPA-1Gran Canaria2223.91.54.08.07.5Jean-Frederic Morency31FRA-1Boulazac818.04.10.35.16.6Benjamin Sene26FRA-1Boulazac829.41.65.613.412.9D.J. Kennedy31TUR-1Pinar Karsiyaka1825.66.02.38.313.3William Buford30TUR-1Darussafaka1517.51.80.76.35.1Sek Henry33TUR-1Pinar Karsiyaka2025.22.12.910.910.9Ian Miller29GRE-1Promitheas Patras1223.11.72.812.18.0Marcus Dove35JAP-2Bambitious Nara2923.29.21.611.017.4Trey Jones30JAP-2Gunma Crane Thunders3425.93.95.316.919.8William Howard27FRA-1ASVEL414.83.01.57.59.5Abdoulaye Loum29FRA-1Dijon1116.23.80.84.27.4Myles Hesson30FRA-1Chalon1025.24.11.811.78.2Ousmane Camara31FRA-1Chalon1018.44.80.53.95.8Johan Grebongo26FRA-3Mulhouse1225.75.31.811.312.1Meven Le Douarin22FRA-3Les Sables1316.81.01.07.13.6Aurelien Rigaux32FRA-3Caen BC1120.31.74.16.08.3Valentin Bigote28FRA-1Le Mans920.81.82.811.110.3Seraphin Saumont26FRA-3Caen BC1019.94.91.74.65.9Fabien Paschal29FRA-2Evreux919.73.91.213.112.4Jean-Michel Mipoka35FRA-2Fos Provence921.21.80.79.36.4Jimmy Djimrabaye28FRA-2UJAP Quimper720.34.60.35.97.7Paul-Lou Duwiquet25FRA-2UJAP Quimper718.32.02.64.97.1Jordan Aboudou29FRA-2Vichy-Clermont822.84.41.313.411.0Terry Allen27GER-1Hamburg Towers1427.24.51.511.011.5Loic Akono33FRA-3Boulogne-sur-Mer1220.82.12.68.17.5Hugo Dumortier27FRA-3Boulogne-sur-Mer917.81.44.79.112.6Nicolas Taccoen34FRA-2Lille920.44.01.34.48.7Frejus Zerbo31FRA-2Aix-Maurienne810.32.40.41.31.9Michael Thompson31VTB L.Astana1432.13.56.613.115.2Adonis Thomas27VTB L.Astana1330.54.51.811.910.3Chris Johnson30ISR-1Hapoel Holon1028.85.61.817.019.1Richard Howell30ISR-1Hapoel Holon316.34.01.77.08.3Justin Cobbs29ABA L.Buducnost VOLI1328.82.02.815.715.5John Holland32VTB L.UNICS Kazan822.52.81.610.311.3Romain Gregoire29FRA-3Aurore de Vitre1125.73.71.110.711.3Louis Marnette19FRA-2Souffelweyersheim724.13.43.010.911.6Karvel Anderson29TUR-1Buyukcekmece1531.32.42.715.210.8Mathieu Wojciechowski28FRA-1Le Portel315.72.01.34.03.7Ojars Silins27VTB L.Astana1022.73.10.87.87.8Adam Mokoka22USA-1Chicago Bulls57.40.80.82.22.4Wen Mukubu37BEL-1Limburg United328.37.72.712.715.0Basile David21FRA-2Saint-Quentin12.00.01.00.01.0Aldo Curti33FRA-3UTBM Tours113.04.01.03.08.0Arnaud Kerckhof36FRA-3Orchies723.94.94.73.68.7Alain Koffi37FRA-1Le Mans311.01.70.30.71.3Shawn King38POL-1Stal Ostrów2013.65.10.93.17.7Fernando Raposo31FRA-1Orléans111.06.00.03.05.0Kendall Anthony27ISR-1Bnei Herzeliya731.31.34.013.610.0Quentin Serron30SPA-1RETAbet Bilbao1017.21.81.32.93.3Dwight Buycks31FRA-1Nanterre 92421.31.33.39.57.3Edgar Sosa32FRA-1Boulazac323.71.73.312.311.0Djibril Marico21FRA-2Saint-Quentin11.00.00.00.00.0D.J. Cooper30FRA-1Chalon329.32.76.79.711.7" }, {"role": "user", "content":"Bosko Radovic, coach du Monténégro : «Les rebonds et Heurtel ont été la clé du match»" }, {"role": "assistant", "content":"A la Bemax Arena de Podgorica, les Monténégrins ont tout tenté, ont joué un match (presque) parfait, mais à la fin, c’est la France qui a gagné (71-73) et les voici interdit d’EuroBasket.\\n\\nLe coach Boško Radović a tenu à féliciter ses joueurs :\\n\\n« Nous avons joué le meilleur match des qualifications. Je suis fier des gars, ils ont parfaitement joué pendant 38 minutes. La clé a été leurs rebonds offensifs, leurs 16 rebonds supplémentaires (27-43) et la grande qualité individuelle d’Heurtel. Nous devons relever la tête, essayer de battre l’Allemagne. Il y a aussi des choses positives, nous avons de nouveaux gars – Simonović, Drobnjak, Radončić (...) Il est difficile de perdre un match comme celui-ci, surtout quand il a une telle importance. Nous nous sentons très mal parce que nous ne nous sommes pas qualifiés. Que devrions nous faire? C’est notre meilleur match en qualifications, mais ce n’était pas suffisant. La France est l’équipe la plus expérimentée, elle compte de très bons joueurs, qui ont été plus calmes dans les moments clés et ils ont ont pris l’avantage qu’ils voulaient. »\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket 2022 : Les Belges remercient l’ASVEL d’avoir libéré Ismaël Bako" }, {"role": "assistant", "content":"La Belgique s’est qualifiée pour son 5e EuroBasket d’affilée grâce à sa victoire sur un Danemark privé de sa star Gabriel Lundberg. L’écart final très important (88-65, soit 23 points) s’est dessiné en deuxième mi-temps.\\n\\n“Nous étions sans doute un peu nerveux et nous n’avons alors pas suivi assez rigoureusement notre plan de match. Après le repos, ce fut bien meilleur: plus de rigueur en défense, un meilleur contrôle de la partie et puis nous avons mieux partagé le ballon”, a commenté le coach Dario Gjergja pour La Dernière Heure.\\n\\nAvec 10 points et 14 d’évaluation, le pivot de l’ASVEL Ismaël Bako (2,08m, 25 ans) a joué un rôle majeur dans cette victoire et Dario Gjergja n’a pas manqué de remercier le club villeurbannais et son président Tony Parker d’avoir libéré le joueur alors qu’il y avait un match d’Euroleague face au Bayern Munich au programme.\\n\\n“Merci à eux pour cet effort qui a permis à Ismaël d’être avec nous ce soir et de nous apporter une grosse aide dans cette qualification«\\n\\nLes autres Belges de Jeep Elite ont également été de bons contributeurs: 12 points et 5 passes pour Manu Lecomte (Pau), 4 points et 3 rebonds pour Hans Vanwijn (Dijon) et 8 points et 4 rebonds pour Khalid Boukichou (Gravelines).\\n\\nLes Belges ont un dernier match à livrer face à la République Tchèque avant d’en finir avec ces qualifications.\\n\\nPhoto: Ismaël Bako (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 25ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait la 25ème journée de l’Euroleague.\\n\\nLe leader, le FC Barcelona, recevait au Palau Blaugrana l’ancienne équipe de son entraineur, le Zalgiris Kaunas, à la lutte pour la qualification en Playoffs. Le club catalan récupérait pour ce match Alex Abrines mais ne présentait pas Léo Westermann. Quant au club lituanien, il enregistrait le retour de Steve Vasturia après une longue absence. Après un premier quart disputé, l’équipe de Sarunas Jasikevicius s’est envolée ensuite et a largement remporté la rencontre 86-62. Elle a été emmenée par le duo Cory Higgins-Pierre Oriola, auteur d’une évaluation cumulée de 54, soit presque autant que celle du Zalgiris. Le premier est le meilleur arrière de la semaine alors que le second en est le meilleur pivot. De plus, profitant de l’absence du meneur français, Leandro Bolmaro a eu le droit à 20 minutes qu’il a mises à profit pour récolter les honneurs du titre de Rising Star de la journée. Cette victoire permet au Barça de conserver le leadership et de se mettre hors de portée immédiate de ses poursuivants.\\n\\nLe match du CSKA Moscou contre le Panathinaikos a été reporté pour des cas de Covid dans l’équipe grecque.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano, troisième, recevait le Maccabi Tel-Aviv. Le club lombard déplorait le forfait de son intérieur américain Zach LeDay mais récupérait Sergio Rodriguez et Vladimir Micov. En dehors du premier panier du match, le club israélien n’a jamais mené et Milano s’est largement imposé 87-68. L’équipe d’Ettore Messina a eu une belle réussite aux tirs de 60,7%. Elle a été portée par un trio composé de Sergio Rodriguez, Shavon Shields et Kyle Hines, cumulant 58 d’évaluation. Milano est le grand vainqueur de la semaine et prend la deuxième place au CSKA Moscou.\\n\\nEn clôture de la journée, le Real Madrid, quatrième, se déplaçait à Valencia pour un derby espagnol. Parmi le club de la capitale, les retours de Nicolas Laprovittola et de Jaycee Carroll compensaient la blessure de Rudy Fernandez. Contre toute attente, c’est le club valencian qui démarre sur les chapeaux de roues, remporte les deux premiers quarts, inscrit 55 points et mène de 20 points à la mi-temps. Le Real gagne les deux quarts suivants mais s’incline 78-89 face à Valencia qui crée la principale surprise de la journée. Le leader de l’équipe de Jaume Ponsarnau a été son meneur belge Sam Van Rossom. Le Real Madrid est le principal perdant de la semaine et perd la quatrième place.\\n\\nL’ASVEL recevait le Bayern Munich, cinquième. Le club villeurbannais avait laissé Ismael Bako à disposition de la sélection belge pour les matchs de qualification à l’Eurobasket. L’équipe de TJ Parker crée la surprise et gagne les trois premiers quarts. Elle mène ainsi de 14 points au bout de 30 minutes. Malgré un retour du club bavarois dans le dernier quart, l’ASVEL réussit l’exploit de battre le Bayern 87-79 et remporte sa cinquième victoire d’affilée. Il a été emmené par un trio composé de David Lighty, William Howard et de Moustapha Fall, auteur d’une évaluation cumulée de 61, soit seulement 6 de moins que celle du Bayern. Pour ce dernier, Vladimir Lucic s’est mis en valeur et est le meilleur ailier de la semaine. Suite à cette défaite, le Bayern perd une place.\\n\\nLe Zenit St Petersburg, sixième, se déplaçait à Belgrade pour y affronter l’Etoile Rouge, en difficultés. Cette dernière était handicapée par de nombreuses absences (Corey Walden, Langston Hall, Johnny O’Bryant, Landry Nnoko et Quino Colom). Le club russe, quant à lui, récupérait Alex Poythress. Sans surprise, le Zenit remporte les deux premiers quarts et mène de 12 points à la mi-temps. Au retour des vestiaires, le club serbe revient petit à petit et finit par prendre l’avantage de 3 points à 55 secondes du terme. Mais un lancer d’Arturas Gudaitis puis un tir à 3 points de Kevin Pangos donnent la victoire au Zenit 76-75. Son leader a été son meneur star Kevin Pangos, auteur de 25 points et 7 passes. Cette victoire lui permet de prendre la quatrième place.\\n\\nFenerbahce, septième et à la lutte pour le Top 4, recevait l’Alba Berlin. Ce dernier récupérait Peyton Siva pour l’occasion. Le club turc remporte les trois premiers quarts et mène de 13 points à 3 minutes du terme. Mais il encaisse un 10-0 en une minute et quarante secondes et le club de la capitale allemande revient à 3 points. Fenerbahce réagit alors et inflige un 7-0 à son adversaire. Il s’impose finalement 89-84 et signe une dixième victoire d’affilée. L’équipe d’Igor Kokoskov a été emmenée par Nando De Colo, auteur de 26 points et 8 passes. Ses 31 d’évaluation font de lui le MVP français pour la huitième fois de la saison et la cinquième d’affilée. Il est également le meilleur meneur de la semaine et le meilleur marqueur.\\n\\nL’autre club stambouliote, l’Anadolu Efes, huitième, recevait l’Olympiacos. Ce dernier déplorait le forfait d’Aaron Harrison. De façon surprenante, le club grec remporte le premier quart et mène de 15 points au bout de 10 minutes. Mais le club hôte rectifie le tir immédiatement et inflige un 32-8 dans la période suivante. Il reprend la tête du match à la 15ème minute et ne la laissera plus. Il remporte cette rencontre facilement 76-53 (dont un 65-27 sur les 3 derniers quarts). L’équipe d’Ergin Ataman a été emmenée par son axe 1-5 remplaçant Shane Larkin-Bryant Dunston, auteur de 59 d’éval à eux deux, soit plus que l’équipe du port de la capitale grecque. Les 32 d’évaluation du meneur lui ont permis d’obtenir le titre de MVP de la semaine. Du côté de l’Olympiacos, c’est Sasha Vezenkov qui s’est mis en avant. Il est le meilleur intérieur de la journée.\\n\\nEnfin, Baskonia se déplaçait dans la banlieue moscovite pour y affronter le Khimki. Le club basque ne perd aucun quart et s’impose facilement 89-67. Son leader a été le pivot français Youssoupha Fall, auteur de 21 d’éval en 18 minutes. A ses côtés, Rokas Giedraitis est le meilleur arrière européen de la journée. Du côté russe, Alexey Shved est le meilleur passeur pour la troisième fois de la saison.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, de Milano, du CSKA Moscou et du Zenit St Petersburg.\\n\\nLa qualification en Playoffs se joue entre l’Anadolu Efes et le Zalgiris. Tout le monde sauf le Khimki est encore en course.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nShane Larkin (PG/US-Tur/28)\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n32 d’éval (21 pts à 6/12 dont 4/8 à 3 points, 5 rbds, 5 pds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n31 d’éval\\n\\nSG Cory Higgins\\n\\nBarcelona\\n\\n27\\n\\nSF Vladimir Lucic\\n\\nBayern Munich\\n\\n23\\n\\nPF Sasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n21\\n\\nC Pierre Oriola\\n\\nBarcelona\\n\\n27\\n\\nB Shane Larkin\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n32\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n31 d’éval\\n\\nSG Rokas Giedraitis\\n\\nAlba Berlin\\n\\n17\\n\\nSF Vladimir Lucic\\n\\nBayern Munich\\n\\n23\\n\\nPF Sasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n21\\n\\nC Pierre Oriola\\n\\nBarcelona\\n\\n27\\n\\nB Shane Larkin\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n32\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n31 d’éval (26 pts à 8/15, 9/9 aux LF, 1 rbd, 8 pds, 5 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nLeandro Bolmaro (SG/Arg-Ita/20)\\n\\nBarcelona\\n\\n17 d’éval (8 pts à 2/5, 4/4 aux LF, 5 rbds, 6 pds, 3 bps)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nNando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n26 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nYoussoupha Fall\\n\\nAchille Polonara\\n\\nShavon Shields\\n\\nOthello Hunter\\n\\nMoustapha Fall\\n\\nOgnjen Kuzmic\\n\\nWaltares Tavares\\n\\nTrey Thompkins\\n\\nBaskonia\\n\\nBaskonia\\n\\nMilano\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\nASVEL\\n\\nEtoile Rouge\\n\\nReal Madrid\\n\\nReal Madrid\\n\\n9 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nAlexey Shved\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n10 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 18-7\\n 2. Milano 16-8\\n 3. CSKA Moscou\\n 4. Zenit St Petersburg 14-9\\n 5. Real Madrid 15-10\\n 6. Bayern Munich\\n 7. Fenerbahce\\n 8. Anadolu Efes 14-10\\n 9. Zalgiris Kaunas 13-11\\n 10. Valencia 13-12\\n 11. Baskonia 12-13\\n 12. ASVEL 11-14\\n 13. Olympiacos\\n 14. Maccabi Tel-Aviv 10-13\\n 15. Panathinaikos 9-14\\n 16. Alba Berlin 8-17\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 7-17\\n 18. Khimki Moscou 2-22\\n\\nPhoto: Shane Larkin (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket 2020 : Il ne reste plus que deux tickets en jeu" }, {"role": "assistant", "content":"La Belgique, la Bulgarie, la Finlande, la France, la Grande-Bretagne, la Hongrie, la Pologne, les Pays-Bas, la Russie, la Serbie et la Turquie ont rejoint les sept équipes – Bosnie-Herzégovine, Croatie, Grèce, Israël, Slovénie, Espagne et Ukraine – qui s’étaient qualifiées en novembre pour l’EuroBasket 2022, aux côtés des quatre co-hôtes que sont la République tchèque, l’Allemagne, la Géorgie et l’Italie.\\n\\nL’Estonie et la Macédoine du Nord restent en lice dans le groupe B, tandis que le Danemark et la Lituanie se battront pour la dernière place du groupe C.\\n\\nGroupe A\\n1. y-Israël 10 (5-0)\\n2. y-Espagne 8 (3-2)\\n3. y-Pologne 7 (2-3)\\n4. x-Roumanie 5 (0-5)\\n\\nGroupe B\\n1. h-Italie 9 (4-1)\\n2. y-Russie 8 (3-2)\\n3. Estonie 6 (2-2)\\n4. Macédoine du Nord 4 (0-4)\\n\\nGroupe C\\nBelgique – Danemark 88-65\\nRépublique tchèque – Lituanie 74-94\\n\\n1. y-Belgique 9 (4-1)\\n2. Lituanie 8 (3-2)\\n3. Danemark 7 (2-3)\\n4. h-République tchèque 5 (1-4)\\n\\nGroupe D\\nTurquie – Suède 88-80\\nCroatie – Pays-Bas 57-65\\n\\n1. y-Croatie 9 (4-1)\\n2. y-Pays-Bas 8 (3-2)\\n3. y-Turquie 7 (2-3)\\n4. x-Suède 6 (1-4)\\n\\nGroupe E\\n1. h-Géorgie 9 (4-1)\\n2. y-Serbie 8 (3-2)\\n3. y-Finlande 7 (2-3)\\n4. x-Suisse 6 (1-4)\\n\\nGroupe F\\nUkraine – Slovénie 70-65\\n\\n1. y-Slovénie 10 (4-2)\\n2. y-Ukraine 8 (3-2)\\n3. y-Hongrie 7 (3-1)\\n4. x-Autriche 5 (0-5)\\n\\nGroupe G\\nAllemagne – Grande-Bretagne 81-83\\nMonténégro – France 71-73\\n\\n1. y-France 9 (4-1)\\n2. y-Grande-Bretagne 8 (3-2)\\n3. x-Monténégro 7 (2-3)\\n4. h-Allemagne 6 (1-4)\\n\\nGroupe H\\nGrèce – Bosnie-Herzégovine 60-84\\nLettonie – Bulgarie 65-66\\n\\n1. y-Bosnie-Herzégovine 9 (4-1)\\n2. y-Grèce 8 (3-2)\\n3. y-Bulgarie 7 (2-3)\\n4. x-Lettonie 6 (1-4)\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pau Gasol à Barcelone : Pas encore fait !" }, {"role": "assistant", "content":"C’est un scoop mondial de MundoDeportivo: Pau Gasol (2,15m, 40 ans) de retour au FC Barcelone, le club qui l’a lancé dans le circuit pro. Seulement, l’intéressé a douché les enthousiasmes sur les réseaux sociaux en assurant que pour le moment il se concentre sur la rééducation de son pied gauche meurtri.\\n\\n\\nAfter hearing the news out of Spain today, I wanted to share that I remain focused on my recovery and I am not ready to get back to competing just yet. As soon as I have something to announce, I will do so via my social media channels.\\n\\nThank you very much for your support!\\n\\n— Pau Gasol (@paugasol) February 20, 2021\\n\\n\\nC’était Toni Freixa, l’un des candidats à la présidence du Barça, qui a été le premier à lâcher la bombe d’un possible retour au bercail de l’aîné des Gasol.\\n\\nEn fait, Gasol a semble t-il toujours l’espoir d’obtenir un dernier contrat avec une franchise NBA pour lui permettre d’être pleinement opérationnel pour les Jeux Olympiques de Tokyo en juillet." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Le président de la fédération espagnole espère avoir du public pour l’EuroBasket" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de la Fédération espagnole, Jorge Garbajosa, a déclaré à l’agence de presse Efe qu’il a bon espoir de pouvoir accueillir du public lors de l’EuroBasket féminin qui va se tenir pour une phase de groupe -l’autre est programmée à Strasbourg- et la phase finale à Valence, du 17 au 27 juin.\\n\\n« L’objectif est de jouer cet EuroBasket avec une Fonteta pleine. Nous ne perdons pas espoir même si nous savons que chaque jour qui passe est plus compliqué. Nous espérons pouvoir avoir un public car cela signifiera que la situation pandémique s’est améliorée. » Il a insisté sur le fait qu’il envisageait au moins une partie du public dans les gradins. «Nous allons continuer à travailler sur le plan A, qui est celui qui prévoit que nous en aurons mais il y a un plan B et nous attendrons de voir si nous mettons en œuvre l’un ou l’autre mais ce sera un grand EuroBasket », at-il affirmé, précisant que si celui-ci se joue à huis-clos, il faudra « se tourner davantage vers les réseaux sociaux et virtuels »." }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de la JDA Dijon encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nDans la liste ci-dessous 21 joueurs sont des trentenaires. Les deux plus âgés sont Ali Muhammed alias Bobby Dixon et David Simon. Celui-ci est passé par la JDA en début de carrière (2007-08). Ces dernières années, après avoir été MVP de la Ligue Adriatique en 2012, il a fréquenté plusieurs pays asiatiques: Japon, Chine, Corée et Philippines.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALDrissa Ballo25FRA-3Andrézieux ALS Basket1313.14.80.34.67.1Michael Young26ISR-1Ironi Nahariya733.45.71.716.116.4Tyler Cain32ITA-1Pesaro1829.59.41.812.518.8Ali Muhammed37TUR-1Fenerbahce1619.32.12.48.58.7Obi Emegano27SPA-1Fuenlabrada2125.42.91.49.98.4Nick Fazekas35JAP-1Kawasaki Brave Thunders3430.09.53.020.224.6David Simon38JAP-1Kyoto Hannaryz3131.97.02.620.320.0Richard Solomon28JAP-1Toyama Grouses2926.911.11.316.922.6Jeremy Leloup33FRA-1Pau-Lacq-Orthez1134.13.42.39.411.5Terrance Campbell32SPA-1Sevilla2126.02.04.09.810.0Malela Mutuale29FRA-1Orléans920.22.03.12.84.9Abdoulaye M’baye32FRA-2Poitiers912.40.91.04.25.1Gavin Ware27FRA-1BCM521.45.61.610.412.6Lamonte Ulmer34FRA-1Orléans925.34.40.914.816.6Olivier Romain32FRA-3Chartres1328.12.95.211.615.8Junior M’bida30FRA-1Champagne B.1114.52.71.05.47.0Steven Gray31GRE-1Peristeri1229.12.92.011.910.8Rasheed Sulaimon26SPA-1Casademont Zaragoza1418.12.11.47.16.1Kevin Dinal27FRA-2Gries-Oberhoffen925.29.12.110.017.0Kris Joseph32SPA-2UBU Tizona Burgos1227.64.31.610.59.3Myles Hesson30FRA-1Chalon1025.24.11.811.78.2Noah Burrell23FRA-3Rueil AC824.43.33.010.414.1Vincent Fandelet28FRA-3Rueil AC1028.54.91.712.214.3Valentin Bigote28FRA-1Le Mans920.81.82.811.110.3Xane D’almeida37FRA-3DGB40928.13.13.47.79.3Jean-Philippe Dally24FRA-2Evreux929.63.82.012.813.0Alexis Tanghe30FRA-2Blois919.63.10.97.27.1Dimitri Radnic21FRA-2Evreux825.41.14.16.69.3Louis Weber22FRA-3Boulogne-sur-Mer1219.32.23.95.47.3Rion Brown29ABA L.Cedevita1125.54.72.511.316.5Isaiah Miles26ISR-1Hapoel Holon1228.33.51.010.38.5Marc Judith33FRA-3Vanves97.40.80.70.81.4Gary Berchel22FRA-2Souffelweyersheim413.01.81.35.04.8Mateo Landry20FRA-3Caen BC43.80.80.03.02.8Benjamin Monclar32FRA-2Blois825.32.83.013.114.9Eliot Maraux24FRA-3GET Vosges1119.92.93.87.78.3Johan Passave-Ducteil35FRA-1Le Portel818.32.51.18.38.9Charles Kahudi34FRA-1ASVEL621.72.20.77.75.8Aldo Curti33FRA-3UTBM Tours113.04.01.03.08.0Olivier Yao-Delon25FRA-3La Rochelle Rupella623.52.81.28.87.5Kervin Bristol32BCL-QRLondon Lions112.04.02.06.011.0\\n\\nPhoto: David Simon" }, {"role": "user", "content":"Monténégro 71, France 73 : Les Bleus qualifiés pour le championnat d’Europe !" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France va participer en 2020 à son 39e championne d’Europe. Mais que ce fut dur dans la salle de Podgorica... Heureusement vide. Heureusement aussi que Thomas Heurtel s’est brouillé avec Barcelone et s’est retrouvé libre pour cette dernière fenêtre. Le meneur bitterrois a joué beaucoup plus que prévu (26′) et son apport a été indispensable même s’il n’a transformé que 2 de ses 9 shoots à plus de 6,75m. Il a marqué 14 points dont deux lancers décisifs et sa vitesse a posé de constants problèmes aux Monténégrins. Impossible de voir qu’il était demeuré sans compétition de longues semaines.\\n\\nLes Monténégrins, qui jouaient leur survie, étaient stratégiquement bien préparés et ce sont eux qui ont imposé le rythme du match avec un collectif fort de sept joueurs du Buducnot Podgorica. Ils ont provoqué beaucoup d’erreurs de mains des Français et Marko Simonovic (2,14m, 21 ans) a été très performant à l’intérieur. Le shooting guard Petar Popovic (17 points) a été comme prévu un danger constant et heureusement que le naturalisé Justin Cobbs (7 points à 2/10), une nouvelle fois, n’a pas été à la hauteur de l’évènement.\\n\\nLe match face à la Grande-Bretagne n’aura comme enjeu pour les deux équipes que la première place du groupe. L’équipe de France des fenêtres de l’Euro a fait le job comme celle des qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nVincent Collet alignait un cinq de départ composé de Andrew Albicy, Axel Bouteille, Isaia Cordinier, Amath Mbaye et Mathias Lessort. Si Amath Mbaye ouvrait le score d’un trois-points, les premiers échanges étaient déjà marqués par des approximations, des balles perdues (8 pour les Bleus dans le premier quart-temps !), des fautes inappropriées. Probablement de la nervosité liée à l’enjeu. Le Monténégro défendait dur et les Français marquaient au compte-gouttes. 4-10 (6e).\\n\\nL’introduction de Thomas Heurtel, comme meneur ou shooting guard, apportait de la variété offensive mais sur un trois-points de Nikola Ivanovic bien au-delà de la ligne médiane, les Monténégrins menaient 17-13 après dix minutes.\\n\\nLes Monténégrins étaient à la fois agressifs, imposaient leur tempo, et marquaient la moitié de leurs points sur des lancers (18 en 20′). A l’inverse, les Bleus manquaient totalement de sérénité et continuaient de multiplier les pertes de balle bêtes et méchantes. Ils n’arrivaient pas à se libérer et l’attaque marchait au ralenti avec un 1/10 à trois-points. Seulement 31 points marqués en première mi-temps avec 36 encaissés dont 20 pour la paire Petar Popovic-Justin Cobbs. Et cette impression d’avoir oublié d’enlever le frein à main.\\n\\nEt Thomas Heurtel a surgi...\\n\\nLe début du troisième quart avait le même profil et les Français étaient dans le brouillard avec neuf points de débours, 46-35. Il fallait s’en remettre aux tirs à mi-distance de Alexandre Chassang, puis plus tard à deux trois-points de son équipier de Dijon, Axel Julien, pour demeurer à flots. Et puis, deux bonnes séquences d’affilée d’Albicy permettaient aux Bleus de revenir à 46-45. C’était toujours une guerre de tranchées avec 53-50 pour le Monténégro après 30 minutes.\\n\\nLes Monténégrins s’offraient des 2+1 et conservaient leur marge autour d’une demi-douzaine de points. Le big man Marko Simonovic était dominant dans la peinture.\\n\\nSeulement, les qualités athlétiques des Français prenaient enfin le pas sur la stratégie des Monténégrins. Ils passaient en tête à 64-65 à 4e de la fin sur un trois-points de Thomas Heurtel. Jusque là, les Français n’avaient mené que 1’19 durant le match.\\n\\nLe money time fut extrêmement crispant. Egalité à 68 alors qu’il restait 78 secondes. A 40 secondes de la fin, Isaia Cordinier inscrivait un super flotteur avec le lancer en prime. 68-71. Ce sont deux lancers-francs de Thomas Heurtel qui permettaient de conserver cet avantage. A 2 secondes du terminus, Marko Simonovic obtenait deux lancers, inscrivait le premier, loupait volontairement le second pour que ses équipiers récupèrent le ballon, mais c’est Thomas Heurtel qui surgissait pour le capter. Ouf !\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\n\\nDUNK DE l'ANNEE @izaycordinier\\n\\n🎥 @fiba #TeamFranceBasket #EuroBasket pic.twitter.com/BsM5fiGofV\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) February 20, 2021\\n\\n\\n\\nThe 22 nations already qualified to @EuroBasket 2022\\n\\n4 hosts: 🇨🇿-🇬🇪-🇩🇪-🇮🇹\\n\\n18 qualified teams (15 returning from 2017)\\n🇧🇪\\n🇧🇦 (first time since 2015)\\n🇧🇬 (first time since 2011)\\n🇭🇷\\n🇫🇮\\n🇫🇷\\n🇬🇷\\n🇭🇺\\n🇮🇱\\n🇳🇱 (first time since 2015)\\n🇵🇱\\n🇷🇺\\n🇷🇸\\n🇸🇮 (defending champions)\\n🇪🇸\\n🇹🇷\\n🇬🇧\\n🇺🇦\\n\\n— Ennio Terrasi Borghesan (@ennioterbo) February 20, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Selon Le Progrès, Valéry Demory pourrait être écarté de l’ASVEL en fin de saison" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le quotidien Le Progrès, Valéry Demory pourrait être écarté de son poste de coach de l’ASVEL à la fin de la saison et n’irait pas ainsi au terme de son contrat de cinq ans.\\n\\nLe quotidien lyonnais annonce même que son remplaçant pourrait être Pierre Vincent, actuellement à Schio, ou la coach de l’équipe de France Valérie Garnier. Interrogée, la présidente Marie-Sophie Obama a répliqué:\\n\\n« qu’il s’agissait d’une rumeur de plus de radio basket. Laissez-nous surtout travailler dans ce contexte difficile. Nous avons assez de sujets à traiter que de parler des coaches qui sont encore sous contrat. »\\n\\nArrivé en 2017, Valéry Demory a emmené le club du Rhône à son premier titre de champion de France en 2019 et les coéquipières de Marine Johannès sont qualifiées pour les quarts-de-finale de l’Euroleague.\\n" }, {"role": "user", "content":"6 clubs français font partie du Top 50 européen" }, {"role": "assistant", "content":"Les saisons régulières d’Eurocup et de Basketball Champions League (BCL) sont terminées. Des trois principales coupes d’Europe, il reste ainsi 50 équipes encore en course.\\n\\nNous allons détailler ce Top 50 par nation.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n 1. Espagne: 11 clubs\\n\\n * FC Barcelona\\n * Real Madrid\\n * TD Systems Baskonia\\n * Valencia\\n * Joventut Badalona\\n * Unicaja Malaga\\n * Morabanc Andorra\\n * Herbalife Gran Canaria\\n * Lenovo Tenerife\\n * Hereda San Pablo Burgos\\n * Casademont Zaragoza\\n\\nDes 12 clubs espagnols au départ, 11 font partie du Top 50. Seul Bilbao n’a pas réussi à passer le cap de la première phase.\\n\\nL’Espagne regroupe plus d’un cinquième de cette élite européenne. Elle concerne ainsi les 11 premiers de la Liga Endesa sauf Manresa et auxquels il faut ajouter Gran Canaria.\\n\\nElle justifie ainsi pleinement son statut de meilleure ligue du vieux continent.\\n\\n2. VTB League: 6 clubs\\n\\n * CSKA Moscou\\n * Zenit St Petersbourg\\n * Khimki Moscou\\n * Unics Kazan\\n * Lokomotiv Kuban Krasnodar\\n * Nizhny Novgorod\\n\\nLa ligue transnationale, située sur les continents européens et asiatiques, comptait 7 équipes au début. Seul le Tsmoki Minsk a failli. Et il faut préciser que ce dernier n’a pas été engagé au titre de la VTB League (non reconnue par la FIBA) mais au titre du Bélarus.\\n\\nCes 6 équipes sont constituées du Top 7 de la VTB avec Zielona Gora en sus.\\n\\nFrance: 6 clubs\\n\\n * ASVEL\\n * Monaco\\n * Boulogne-Levallois\\n * Bourg\\n * Nanterre\\n * Strasbourg\\n\\nLa France alignait 9 équipes sur la scène européenne en début de saison. Les mauvais performances en BCL ont éliminé trois de ceux-ci.\\n\\nElle compte ainsi 6 clubs dans le Top 50, soit les 4 plus gros budgets du championnat plus Bourg (6ème budget) et Nanterre. Ce dernier, avec le 11ème budget français, réalise l’exploit d’intégrer le club des 50 meilleures équipes européennes.\\n\\nABA League: 6 clubs\\n\\n * Etoile Rouge Belgrade\\n * Partizan Belgrade\\n * Buducnost Podgorica\\n * Mornar Bar\\n * Cedevita Olimpija Ljubljana\\n * Igokea Aleksandrovac\\n\\nL’ABA League, autre ligue transnationale, est constituée de clubs de pays de l’ex Yougoslavie. Elle a réussi un superbe carton plein en envoyant tous ses représentants dans le Top 50 (2 serbes, 2 monténégrins, 1 slovène, 1 bosnien). Seuls trois ligues ont réalisé ce sans-faute mais c’est la seule avec plus d’un club.\\n\\nCes 6 clubs font partie du Top 7 (avec le Mega Soccerbet) de l’ABA.\\n\\n5. Turquie: 5 clubs\\n\\n * Anadolu Efes Istanbul\\n * Fenerbahce Istanbul\\n * Pinar Karsiyaka\\n * Tofas Bursa\\n * Türk Telekom Ankara\\n\\nAvec le même nombre de représentants que la France au départ, la Turquie ne compte que 5 clubs dans l’élite européenne. 4 ont été éliminés, soit presque la moitié.\\n\\nCe constat marque le recul de la Basketbol Süper Ligi cette saison. Elle reste cependant toujours considérée comme faisant partie du deuxième niveau avec la VTB et derrière l’Espagne.\\n\\nLes 5 équipes faisant partie du Top 50 sont également les 5 premières au classement de la BSL.\\n\\nItalie: 5 clubs\\n\\n * AX Armani Exchange Milano\\n * Virtus Segafredo Bologna\\n * Dolomiti Energia Trento\\n * Happy Casa Brindisi\\n * Dinamo Banco di Sardegna Sassari\\n\\nAvec un représentant de moins que la France, l’Italie enregistre le même nombre d’éliminés après la première phase.\\n\\nLe top 5 de la Lega fait partie de l’élite européenne à l’exception de Venezia (éliminée en Eurocup) et remplacé par Trento (seulement 12ème).\\n\\n7. Allemagne: 3 clubs\\n\\n * Bayern Munich\\n * Alba Berlin\\n * Brose Bamberg\\n\\nPour des raisons liées au contexte sanitaire et économique, l’Allemagne ne présentait qu’une seule équipe en Europe et en BCL. Malgré tout, tous ses représentants ont fait bonne figure. Seul Ulm a été éliminé mais de peu.\\n\\nGrèce: 3 clubs\\n\\n * Panathinaikos Athènes\\n * Olympiacos Le Pirée\\n * AEK Athènes\\n\\nEn dehors de l’Euroleague, seul l’AEK Athènes a réussi à atteindre la seconde phase. Les trois clubs grecs du Top 50 européen sont trois clubs historiques. Ce sont deux des trois premiers du championnat national ainsi qu’une équipe de......deuxième division (l’Olympiacos).\\n\\n9. Israël: 2 clubs\\n\\n * Maccabi Tel-Aviv\\n * Hapoel Holon\\n\\nLe pays ne comptait pas d’équipe en Eurocup. Le Maccabi Rishon LeZion a en effet préféré décliner l’invitation de l’ECA.\\n\\nDeux des trois représentants israéliens sont encore en course à ce stade de la saison, ce qui est une bonne performance.\\n\\n10. Lituanie: 1 club\\n\\n * Zalgiris Kaunas\\n\\nLe leader de la LKL est également une Licence A de l’Euroleague. Aucune autre équipe n’a réussi à le rejoindre le gotha européen.\\n\\nRépublique Tchèque: 1 club\\n\\n * Era Nymburk\\n\\nRégulier dans la performance en BCL ces dernières années, Nymburk est également largement en tête de la NBL. Il possède 4 victoires d’avance sur son premier poursuivant, Opava, et s’y est imposé il y a deux semaines de 34 points.\\n\\nPaf League: 1 club\\n\\n * VEF Riga\\n\\nCette ligue, qui regroupe les meilleurs clubs lettons et estoniens, réussit l’exploit d’avoir un club dans le Top 50 continental. Pour cela, le club de la capitale lettonne a éliminé Peristeri et le Rytas Vilnius.\\n\\nAux portes du Top 50 ou éloignés de lui cette saison, un certain nombre d’équipes font une bonne saison et ambitionnent de l’intégrer la saison prochaine. Les principaux favoris sont Manresa, Darussafaka, Dijon, Le Mans, Venezia et Ludwigsburg.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n 1. Espagne: 11 clubs\\n\\n * FC Barcelona\\n * Real Madrid\\n * TD Systems Baskonia\\n * Valencia\\n * Joventut Badalona\\n * Unicaja Malaga\\n * Morabanc Andorra\\n * Herbalife Gran Canaria\\n * Lenovo Tenerife\\n * Hereda San Pablo Burgos\\n * Casademont Zaragoza\\n\\nDes 12 clubs espagnols au départ, 11 font partie du Top 50. Seul Bilbao n’a pas réussi à passer le cap de la première phase.\\n\\nL’Espagne regroupe plus d’un cinquième de cette élite européenne. Elle concerne ainsi les 11 premiers de la Liga Endesa sauf\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Jean-Baptiste Maille (Strasbourg, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications EuroBasket 2022 : La Grande-Bretagne tombe l’Allemagne sur le fil, 83-81" }, {"role": "assistant", "content":"Décidément, l’Allemagne n’est capable que de s’imposer à la France dans ce groupe G des qualifications à l’EuroBasket 2002. Lors du premier match de la bulle de Podgorica, elle est tombée une deuxième fois face à la Grande-Bretagne, 83-81, sur un panier au buzzer de Luke Nelson.\\n\\nLe match a été serré pendant 40 minutes. L’intérieur Gabriel Olaseni (2,10m) a été le Britannique le plus efficace avec 20 points et 8 rebonds. Le meneur de jeu Luke Nelson a scoré 17 points alors que Myles Hesson (Chalon) et Ovie Soko (Le Mans) ont apporté 12 points chacun. Maik Zirbes a été le meilleur marqueur allemand avec 14 points avec un 6/6 aux tirs.\\n\\nLa Grande-Bretagne est ainsi idéalement positionnée pour participer à l’EuroBasket et ne peut désormais que souhaiter une victoire de la France sur le Monténégro ce soir.\\n\\nLa boxscore est ICI.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Boulazac : Jérémy Nzeulie prolongé jusqu’à la fin de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il est aux qualifications à l’AfroBasket 2022 avec le Cameroun, Jeremy Nzeulie (1,88m, 30 ans) s’est entendu avec le Boulazac Basket Dordogne pour une prolongation de contrat jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSans club depuis un an, l’ancien Strasbourgeois avait été embauché dans un premier temps comme pigiste médical de Kévin Harley. En 2 matches, il a apporté jusqu’ici 4,5 points, 2,0 rebonds et 1,5 passe en 21′ au BBD en Jeep Elite." }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de Cholet Basket encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nLe centre de formation de Cholet Basket étant extrêmement prolifique, il y a ici la quantité et une qualité inégalable. 5 joueurs français (Rudy Gobert, Michael Gelabale, Nando De Colo, Rodrigue Beaubois, Killian Hayes) sont où ont été en NBA, 7 jouent actuellement à l’étranger et 4 dans des clubs d’Euroleague (Rodrigue Beaubois, Fabien Causeur, qui lui a été formé au Havre, Nando De Colo, Charles Kahudi).\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALTorey Thomas35FRA-3Le Havre721.72.63.15.37.7Romain Duport34FRA-3Le Havre1322.05.81.712.514.2Isaiah Cousins26ISR-1Gilboa Galil1123.62.32.511.48.5Michael Young26ISR-1Ironi Nahariya733.45.71.716.116.4Rudy Gobert28USA-1Utah Jazz2429.313.71.313.323.8Fabien Causeur33SPA-1Real Madrid1420.81.91.911.411.2Peter Jok26SPA-1UCAM Murcia1613.82.30.35.85.1Ilkan Karaman30TUR-1Aliaga Petkim Spor28.01.51.06.05.5Kevin Jones31JAP-1Toyota Alvark2524.07.01.513.617.6Jerry Boutsiele28FRA-1Limoges CSP927.97.61.815.116.2Nicolas De Jong32FRA-1Pau-Lacq-Orthez416.32.80.09.38.8Jonathan Rousselle30SPA-1RETAbet Bilbao2125.12.14.710.611.5Romuald Morency25FRA-1BCM1026.54.81.07.19.7Pape Sy32FRA-1BCM911.81.10.83.74.7Gary Florimont33FRA-1Orléans818.33.60.55.57.4Zachery Peacock33FRA-1Bourg-en-Bresse1026.12.72.412.411.8Junior M’bida30FRA-1Champagne B.1114.52.71.05.47.0Pierre-Etienne Drouault30FRA-2Rouen935.44.13.219.618.2Quentin Ruel21FRA-2Rouen814.02.30.94.33.5Michael Kessens29GER-1Fraport Skyliners1518.45.70.78.710.3David Michineau26FRA-1Mets 921222.11.63.78.18.5A.J. Slaughter33SPA-1Gran Canaria1121.82.33.112.110.0Darel Poirier23GRE-1Charilaos TM426.37.31.514.016.3Toddrick Gotcher27GRE-1Charilaos TM535.85.23.621.622.8Corentin Lopez23FRA-3Kaysersberg829.32.52.812.19.4Mickael Gelabale37FRA-1Chalon1023.54.11.07.18.3Steeve Ho You Fat32FRA-1Roanne825.54.41.68.910.4Junior Etou26FRA-2UJAP Quimper523.84.60.612.211.4Jean-Michel Mipoka35FRA-2Fos Provence921.21.80.79.36.4Nando De Colo33TUR-1Fenerbahce822.62.96.015.518.5Malcolm Rhett28POL-1GTK Gliwice1024.57.61.611.815.4Rodrigue Beaubois32TUR-1Anadolu Efes1022.02.12.410.39.7Kadri Moendadze26FRA-2Aix-Maurienne829.05.41.110.010.8Matthieu Robin28FRA-3Aurore de Vitre1128.15.54.68.615.0Abdoulaye Ndoye22FRA-1Monaco822.82.12.05.47.4Florian Leopold20FRA-2Saint-Chamond1013.43.60.24.84.7Ivan Almeida31POL-1Anwil Wloclawek1730.27.24.319.620.1Rigo Edzata23FRA-2Denain1018.14.20.66.79.3Olivier Troisfontaines31BEL-1Filou Oostende523.43.21.610.69.4Youri Morose23FRA-3Rennes925.35.61.314.316.2Said Ben Driss35FRA-3Rennes718.64.01.08.68.3Raphael Desroses40FRA-3Vanves1127.53.62.212.712.5Charles Kahudi34FRA-1ASVEL621.72.20.77.75.8Meredis Houmounou32FRA-2Nancy725.43.63.06.47.1Ryan Evans30BCLBakken Bears626.86.05.210.015.0Ivan Maras34BEL-1Okapi Aalstar335.38.74.318.320.7Haukur Palsson28SPA-1MoraBanc Andorra1419.42.61.78.67.1Melvyn Govindy23FRA-3Kaysersberg622.38.70.516.518.8Killian Hayes19USA-1Detroit Pistons720.71.13.64.62.3Justin Burrell32JAP-1Nagoya Diamond Dolphins2730.08.63.215.221.3Yannis Morin27FRA-1Strasbourg823.46.01.49.912.9Jonathan Arledge29GRE-1Peristeri411.32.50.52.31.8Demarcus Nelson35FRA-1Limoges CSP629.24.33.711.712.0Bruno Cingala-Mata27FRA-1Boulazac316.74.30.03.33.7Warren Woghiren22FRA-2Gries-Oberhoffen217.08.00.04.010.0\\n\\nPhoto: Rodrigue Beaubois (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Sensation ! Pau Gasol est de retour au FC Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"A 40 ans, Pau Gasol (2,15m) va revenir au FC Barcelone, pratiquement 20 ans après avoir quitté le club pour entamer une longue et fructueuse carrière en NBA.\\n\\nLa légende espagnole est inactive depuis une fracture au pied gauche survenue il y a deux ans et il a un dernier objectif avant de mettre fin à sa carrière: participer aux Jeux Olympiques de Tokyo. Il a espéré avoir un ultime contrat en NBA mais visiblement, il s’est résolu à revenir en Europe pour s’engager avec le club qui l’a vu s’épanouir et retrouver une forme olympique.\\n\\n« Pau Gasol arrivera à Barcelone dans les prochains jours pour être sous le commandement de Sarunas Jasikevicius, avec qui il entretient de très bonnes relations depuis leur rencontre au Barça au début du siècle. La star de Sant Boi entretient également une excellente relation avec Nikola Mirotic, avec qui il a joué avec deux équipes en NBA, les Chicago Bulls et les Milwaukee Bucks », écrit Mundo Deportivo, qui réalise le scoop et qui précise que Gasol ne sera pratiquement pas rémunéré au Barça*.\\n\\nLe palmarès de Pau Gasol est immense avec 1 226 matches en NBA, deux titres en 2009 et 10, il a été une fois champion du monde, trois fois champion d’Europe, gagné deux médailles d’argent et une de bronze aux JO, une multitude de trophées individuels, qui en font l’un des 2 ou 3 meilleurs joueurs européens de tous les temps.\\n\\nLa Catalan a déjà disputé quatre Jeux Olympiques : Athènes 2004, Pékin 2008, Londres 2012 et Rio 2016.\\n\\n*En fait, Pau Gasol va signer au minimum prévu par la convention collective, qui pour les joueurs de 26 ans et plus est de 68 337 euros bruts par saison. Gasol facturera la partie proportionnelle à la date de son contrat, soit un peu moins de la moitié de cette somme.\\n\\n\\nLast Euroleague game for Gasol: 20th december 2000, Barcelona-Verona 96-84, Pau had 18 pts on 6/7 2pts and 1/2 3pts.\\n\\nYou may know the point guard of that Barcelona. pic.twitter.com/MhqODGycCJ\\n\\n— Marco Pagliariccio (@loupaya) February 20, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Mathias Lessort : « C’est sûr que j’ai envie de retourner en Euroleague, c’est l’objectif »" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France et aussi l’AS Monaco peuvent compter sur l’explosivité de Mathias Lessort (2,05m), qui entre le championnat national, l’Eurocup, les qualifications à l’EuroBasket 2022, et peut-être les Jeux Olympiques de Tokyo, a beaucoup de challenges excitants à relever en perspective.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nUne des clés pour le match de demain contre le Monténégro, c’est d’être prêt physiquement. Comment vous y préparez-vous ?\\n\\nIl faut que l’on reste fidèle à nous-même, que l’on respecte l’identité de cette équipe. Peu importe contre qui l’on joue, il faut toujours que l’on soit physique, que l’on utilise nos capacités athlétiques. On a juste à jouer notre jeu et à respecter nos principes.\\n\\nUne victoire contre le Monténégro et vous êtes qualifié pour le championnat d’Europe. Vous avez hâte d’y être après cette semaine à Podgorica ?\\n\\nOui, on a hâte d’y être. C’est un match très important. On veut gagner les deux matches. Si on bat le Monténégro, on ne veut pas arriver contre les Anglais la fleur au fusil et croire que l’on est en vacances. On veut gagner les deux matches, peu importe le résultat contre le Monténégro. On travaille bien, on a fait une bonne semaine d’entraînement.\\n\\nComment est la vie quand on est bloqué au troisième étage de l’hôtel Hilton de Podgorica ?\\n\\n(Sourire) Ce n’est pas forcément facile mais heureusement, on est en 2021 et il y a beaucoup de choses à faire. Il y a le téléphone, les jeux vidéo, on a des films, des séries, on a beaucoup de choses pour passer le temps. Même si on aurait bien aimé visiter Podgorica, qui est une belle ville, se balader, faire un peu de tourisme. Mais on prend les choses du bon côté, on est plus concentré sur le basket que d’habitude, même si comme je le disais, on a beaucoup de passe-temps.\\n\\nAprès votre belle performance contre l’Allemagne, vous attendez-vous à être scouté, trappé ?\\n\\nJe ne sais pas comment lls vont me défendre. Il faut demander à leur coach ! Je m’attends à tout. S’il me trappe, il y aura d’autres personnes de l’équipe, d’autres menaces, qui vont avoir des opportunités. Ça sera tant mieux pour l’équipe si je me fais trapper car on a un bon collectif. Il y aura des déséquilibres dans la défense que l’on saura exploiter.\\n\\n« En début d’année, on était plus ou moins privilégiés mais les Français se sont plaints, aussi tout s’est fermé à Monaco »\\n\\nAvec Monaco, vous êtes performant aussi bien en Jeep Elite qu’en Eurocup. Quel regard avez-vous sur cette saison ?\\n\\nCollectivement, c’est sûr que l’on est dans ce que l’on veut. On est premier de notre groupe en Eurocup et aussi en Pro A, même si on sait qu’avec la différence de match, ça ne veut pas forcément dire grand-chose. C’est une saison qui se passe bien mais on n’a pas encore atteint nos objectifs. Il nous reste encore des matches en Eurocup pour finir premier de notre poule et avoir l’avantage du terrain. En Pro A, la décision a été apparemment prise de finir la saison, et le but c’est de gagner le plus de matches possible pour rester premier et être dans la meilleure position pour aborder les playoffs.\\n\\nMonaco a perdu les deux dernières finales. Y a-t-il une grosse attente de la part du club et comment vivez-vous le confinement là-bas ? Avez-vous le sentiment d’être un peu privilégié en tant que Monégasque ?\\n\\nDéjà, je n’habite pas à Monaco. En début d’année, on était plus ou moins privilégiés mais les Français se sont plaints, aussi tout s’est fermé à Monaco (sourire). Il y a le couvre-feu. En revanche, c’est sûr : pour se réveiller le matin, on voit le soleil, le beau temps, ça met de bonne humeur, même s’il y a des restrictions sanitaires. Au niveau des matches, on sent que les dirigeants nous mettent beaucoup la pression. Ils n’ont pas envie que l’on commette les mêmes erreurs qui ont été commises avant. Après, on est encore loin d’une finale, on n’est même pas encore à la moitié de la saison de Jeep Elite et en Eurocup, il nous reste encore deux matchs dans la phase de poule avant d’entamer les playoffs.\\n\\nQuelles équipes craignez-vous le plus pour le titre d’Eurocup ?\\n\\nLes deux équipes contre qui on a perdu, Bologne et le Loko (NDLR : Lokomotiv Kouban Krasnodar). Le Loko est moins bien et ce n’est pas sûr qu’il passe le prochain tour. Bologne continue de perfomer. Je ne sais plus s’ils sont invaincus ou s’ils ont perdu un match (NDLR : la Virtus a en fait remporté jusqu’à présent ses 14 matches d’Eurocup). C’est clairement l’équipe favorite pour le titre. On ne les craint pas, mais contre eux, on a perdu deux fois (85-94 et 68-74), même si c’était deux matches serrés et en plus on avait un effectif réduit.\\n\\nVous étiez dans l’équipe qui a battu les Américains aux JO. Ça vous excite de les retrouver ou avez-vous un peu peur qu’ils veuillent prendre leur revanche ?\\n\\nIls vont être revanchards, c’est sûr, mais je ne crois pas que l’on doit avoir peur. On a montré que l’on était capable de rivaliser avec eux, même si ça sera certainement un effectif différent. Mais, non, on n’a pas à avoir peur, on a la chance de pouvoir jouer contre la meilleure équipe du monde, c’est une opportunité.\\n\\nLa saison dernière, vous étiez en Euroleague avec le Bayern Munich. Est-ce que ça vous manque ? Avez-vous l’ambition d’y retourner le plus vite possible ?\\n\\nDire que ça me manque, ça voudrait dire que je ne suis pas heureux là où je suis. Donc, je ne dirai pas que ça me manque, mais c’est sûr que c’est un objectif. Après la NBA, c’est le meilleur championnat du monde et quand on a goûté à ça, on a envie d’y rester. C’est comme lorsqu’un joueur a joué en NBA, il fait tout pour y rester. Des joueurs font des sacrifices financiers, vont en G-League plutôt que de retourner en Europe parce qu’ils ont envie de re-jouer en NBA. Quand on a joué au haut niveau, on n’a pas envie de retourner à l’étage inférieur mais parfois ce sont des étapes, c’est reculer pour mieux sauter. C’est sûr que j’ai envie d’y retourner, c’est l’objectif, mais dire que ça me manque ça voudrait dire que je ne suis pas satisfait de là où je suis.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nUne des clés pour le match de demain contre le Monténégro, c’est d’être prêt physiquement. Comment vous y préparez-vous ?\\n\\nIl faut que l’on reste fidèle à nous-même, que l’on respecte l’identité de cette équipe. Peu importe contre qui l’on joue, il faut toujours que l’on soit physique, que l’on utilise nos capacités athlétiques. On a juste à jouer notre jeu et à respecter nos principes.\\n\\nUne victoire contre le Monténégro et vous êtes qualifié pour le championnat d’Europe. Vous avez hâte d’y être après cette semaine à Podgorica ?\\n\\nOui, on a hâte d’y être. C’est un match très important. On veut gagner les deux matches. Si on bat le Monténégro, on ne veut pas arriver contre les Anglais la fleur au fusil et croire que l’on est en vacances. On veut gagner les deux matches, peu importe le résultat contre le Monténégro. On travaille bien, on a fait une bonne semaine d’entraînement.\\n\\nComment est la vie quand on est bloqué au troisième étage de l’hôtel Hilton de Podgorica ?\\n\\n(Sourire) Ce n’est pas forcément facile mais heureusement, on est en 2021 et il y a beaucoup de choses à faire. Il y a le téléphone, les jeux vidéo, on a des films, des séries, on a beaucoup de choses pour passer le temps. Même si on aurait bien aimé visiter Podgorica, qui est une belle ville, se balader, faire un peu de tourisme. 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A leur arrivée à Monastir, cinq membres de la délégation ougandaise ont été testés positifs à la COVID-19 et mis en isolement pendant que le reste de l’équipe était retesté.\\nDes tests s’étant avérés positifs, la FIBA a décidé de reporter tous les matches de l’Ouganda prévus dans le cadre des éliminatoires du FIBA AfroBasket 2021 et les joueurs testés négatifs ont reçu l’autorisation de quitter la Tunisie. A son arrivée à Paris, Ishmail Wainright a été tenu de faire un nouveau test et celui-ci s’est avéré positif. Conformément au protocole sanitaire mis en place, le joueur, bien qu’asymptomatique, a été de suite placé à l’isolement. Le club s’est organisé afin de lui fournir le matériel nécessaire pour qu’il puisse s’entretenir physiquement et vivre cet isolement dans les meilleures conditions.\\nIshmail Wainright repassera des tests médicaux, dont un test PCR, en fin de semaine prochaine afin de savoir s’il pourra rejoindre l’équipe en Turquie. 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Gani Lawal est un rebondeur solide et athlétique, capable de scorer. En 2011, il avait fait une brève apparition en Jeep Elite avec Roanne." }, {"role": "user", "content":"Andrew Albicy et les Bleus : «On joue ensemble à Call of Duty, on rigole, on s’occupe, on se prépare pour la guerre !»" }, {"role": "assistant", "content":"Andrew Albicy (1,78m, 31 dans quelques jours) est toujours un piranha en défense, il consacre beaucoup de temps aux jeux-vidéos et il aborde pour ces fenêtres une nouvelle paire de sneakers flamboyantes. Interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment vous sentez-vous avant ce match contre le Monténégro ?\\n\\nHâte de partir en guerre, tout simplement... Les journées sont un peu longues puisqu’on n’est pas chez nous, mais on s’entraîne bien car on sait que ça va être un gros match. Ils sont chez eux, ils ont tout fait pour organiser cette dernière fenêtre. Pour eux, il y a un grand enjeu. Nous, on sait que notre base c’est la défense et on va s’appuyer sur ça.\\n\\nAvez-vous l’intention de les étouffer comme ça s’était passé avec la Grande-Bretagne à Pau ?\\n\\nSi on peut faire comme contre la Grande-Bretagne, on va se faciliter clairement la tâche. En tous les cas, je serai le premier à faire ça. Ils ont des arrières qui ont de l’expérience, qui jouent ensemble depuis deux ou trois ans, je crois. Ça ne sera pas facile de les tenir mais si on joue physique avec eux, qu’on les étouffe dès le début, qu’on les empêche de jouer leur jeu correctement, c’est une équipe qui n’aime pas ça et on peut vraiment les faire déjouer.\\n\\nQue change le retour de Thomas Heurtel au niveau des arrières, notamment sur le plan offensif ?\\n\\nPour moi, pas grand-chose, je continue de jouer de la même façon. L’arrivée de Thomas, c’est un plus pour nous. Il a un jeu offensif plus varié que le mien. On sait qu’il a un niveau d’expérience au-dessus du nôtre. On va l’utiliser, tout simplement.\\n\\nA l’image de Justin Cobbs au Monténégro, il y a pas mal de naturalisés dans les équipes de l’Est. Etes-vous choqué par ça ?\\n\\nÇa devient une habitude, donc je ne peux plus être choqué. C’est devenu un business de donner des passeports pour certains Américains. Ainsi, ils sont davantage payés dans leurs clubs, ils ont une valeur plus importante. C’est comme ça, il faut faire avec.\\n\\n« J’ai ouvert ma chaîne Twitch car ça permet de pas mal échanger avec une communauté egame dans le basket »\\n\\nComment se passe votre vie collective au troisième étage de l’Hôtel Hilton de Podgorica ?\\n\\n(Sourire) Comme on a pu le voir sur certains réseaux, on joue à la console. On essaye de s’occuper comme on peut. On vit très bien tous ensemble. C’est un moment que l’on attend -en tous les cas pour moi- pour couper un peu par rapport à la saison, retrouver les gars en équipe de France. On est super contents de se retrouver. C’est à table ou dans les soins que l’on partage un peu plus de temps ensemble, on rigole pas mal, beaucoup même, on se lâche. Pour les entraînements, c’est beaucoup plus sérieux.\\n\\nEtes-vous davantage organisé au niveau des jeux sur console vis-à-vis de la fenêtre de Pau ?\\n\\nOn était déjà pas mal en place à Pau mais là on l’est encore davantage. Avec certains des gars, c’est l’un de nos passe-temps préférés. On joue ensemble à Call of Duty, on rigole, on s’occupe, on se prépare pour la guerre !\\n\\nVous avez lancé votre chaîne Twitch autour du gaming esport. Vous avez l’intention, comme certains footballeurs, d’avoir votre équipe ?\\n\\nPour l’instant, je ne sais pas trop, mais c’est un milieu qui me plaît énormément. Je m’investis pas mal dedans au niveau de mon temps. Je ne sais pas encore ce que je vais faire dans ce milieu mais c’est à développer. J’ai ouvert ma chaîne Twitch car ça permet de pas mal échanger avec une communauté egame dans le basket. Pourquoi pas un jour investir dans une agence.\\n\\nEtes-vous en équipe de France le capitaine des jeux-vidéos, et pouvez-vous aussi nous en dire davantage sur les belles chaussures que vous allez avoir pour cette fenêtre ?\\n\\nJe ne vais pas dire que je suis le capitaine, mais c’est vrai que je mets beaucoup en avant mon côté gaming. Il y a pas mal de joueurs qui ont ouvert leurs chaînes, comme Amath (Mbaye), Rudy (Gobert) l’avait fait avant. C’est super intéressant. On peut jouer ensemble, c’est vraiment cool. En ce qui concerne mes sneakers, je suis sponsorisé par une marque qui s’appelle cross-over culture et ils m’ont fait une paire spéciale pour l’équipe de France. On a fait une collaboration avec un customer qui a fait une belle chaussure.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nComment vous sentez-vous avant ce match contre le Monténégro ?\\n\\nHâte de partir en guerre, tout simplement... Les journées sont un peu longues puisqu’on n’est pas chez nous, mais on s’entraîne bien car on sait que ça va être un gros match. Ils sont chez eux, ils ont tout fait pour organiser cette dernière fenêtre. Pour eux, il y a un grand enjeu. Nous, on sait que notre base c’est la défense et on va s’appuyer sur ça.\\n\\nAvez-vous l’intention de les étouffer comme ça s’était passé avec la Grande-Bretagne à Pau ?\\n\\nSi on peut faire comme contre la Grande-Bretagne, on va se faciliter clairement la tâche. En tous les cas, je serai le premier à faire ça. Ils ont des arrières qui ont de l’expérience, qui jouent ensemble depuis deux ou trois ans, je crois. 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Bien sûr, il faut s’habituer aux circonstances, mais néanmoins c’est amusant et nous nous y sommes habitués. (...) Nous sommes une très, très bonne génération. Si le potentiel maximum est exploité par l’équipe allemande, alors je nous vois assurément tout en haut ! «\\n\\nComme on peut le constater, l’équipe allemande comprend une majorité de joueurs qui possèdent peu de sélections, à l’exception de l’ailier Robin Benzing (2,10m, 32 ans), qui a généré 15,8 points à 42,3% de réussite à trois-points lors des 4 premiers matchs.\\n\\nL’équipe allemande :\\n\\nIsmet Akpinar (Bahcesehir Basketbol Istanbul / TUR, 45 sélections), Robin Benzing (Casademont Zaragoza / ESP, 148), Justus Hollatz (Hamburg Towers, 0), Bennet Hundt (Brose Bamberg , 4), Karim Jallow (Basketball Löwen Braunschweig, 9), Lukas Meisner (Basketball Löwen Braunschweig, 2), Andreas Obst (ratiopharm Ulm, 25), Kenneth Ogbe (Brose Bamberg, 2 ), Andreas Seiferth (medi Bayreuth, 51), Christian Sengfelder (Brose Bamberg, 6), Jan-Niklas Wimberg (NINERS Chemnitz, 1), Maik Zirbes ( Shabab Al Ahli / UAE, 73).\\n\\nPhoto: Robin Benzing (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague – LDLC ASVEL / Bayern Munich : Une 5e victoire consécutive" }, {"role": "assistant", "content":"Cinquième victoire d’affilée en Euroleague pour l’ASVEL. Les Villeurbannais ont battu le Bayern Munich ce vendredi à l’Astroballe, 87-79, résistant au retour des Bavarois en fin de match.\\n\\nMême sans Charles Kahudi (côtes), Derrick Walton Jr (adducteurs) ni Ismael Bako (en sélection belge), les hommes de T.J. Parker ont su dompter le Bayern.\\n\\nLes Villeurbannais ont longtemps maîtrisé leur sujet, comptant jusqu’à 18 points d’avance dans le troisième quart-temps mais ont vu les Allemands revenir à égalité à moins de deux minutes de la fin. Les Rhodaniens se sont alors montrés très solides pour faire la différence lors des ultimes possessions.\\n\\nL’ASVEL s’en remet à Norris Cole\\n\\nComme à son habitude, David Lighty a fourni un gros travail (19 points, 5/10 aux tirs dont 2/3 à trois-points et 7/8 aux lancers-francs, 2 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 21 d’évaluation) alors que Moustapha Fall prenait 7 rebonds offensifs. D’habitude souverain dans sa raquette, le Bayern d’Andrea Trinchieri s’est fait bousculer et se voyait infliger un 11-2 avant de rentrer aux vestiaires (44-35).\\n\\nAvec 18 points d’avance après vingt-cinq minutes de jeu, l’ASVEL avait idéalement négocié son retour sur le parquet. Les efforts fournis par le duo formé de Wade Baldwin (très doué mais dispendieux) et du couteau suisse Vladimir Lucic ont permis aux allemands d’infliger aux Villeurbannais un 23-8 pour revenir à égalité dans le money-time mais l’inévitable Norris Cole passait une nouvelle fois par-là et permettait à son équipe de l’emporter dans les dernières secondes.\\n\\nT.J. Parker (Coach LDLC ASVEL) : « C’est une bonne victoire, nous savons que Munich est une grande équipe. Ils étaient menés de 18 points, mais ils se battent à chaque match et ne lâchent jamais prise. Nous avons construit cette victoire étape par étape, nous avons réussi à mettre de gros shoots, à provoquer des fautes, à aller sur la ligne de lancers-francs, et cela a fait la différence. Nous jouons contre de grandes équipes de l’Euroleague, elles sont toutes capables de marquer beaucoup de points, nous devons donc essayer de faire de notre mieux, de leur rendre la tâche la plus difficile possible et c’est ce que nous avons fait ce soir ».\\n\\nMoustapha Fall (LDLC ASVEL) : « La différence par rapport au début de la saison est que nous ne paniquons pas de la même manière. Ils peuvent revenir mais nous restons calmes, nous savions quoi faire et c’est comme ça que nous avons gagné ».\\n\\nPhoto : Moustapha Fall et Vladimir Lucic, Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Avant Monténégro vs France – Dino Radoncic : «nous allons gagner les deux matches»" }, {"role": "assistant", "content":"En perdant face à la Grande-Bretagne à Pau (74-59), le Monténégro a hypothéqué ses chances de se qualifier pour l’EuroBasket et son ailier Milko Bjelica expose parfaitement la problématique pour son équipe.\\n\\n« Je pense que nous sommes dans une situation qui n’est pas la meilleure. Comme on le sait, tout n’est pas entre nos mains, nous allons de match en match, et nous suivrons également les autres matchs de notre groupe. J’espère qu’il y aura une chance. »\\n\\nPour les Monténégrins, le match d’ouverture entre l’Allemagne -qui est qualifiée d’office comme pays co-organisateur- et la Grande-Bretagne est fondamental. Une victoire des Britanniques rendrait obligatoire pour eux un succès sur l’équipe de France.\\n\\n« Nous devons aborder ces deux matchs avec force. Cela ne dépend pas de nous, mais nous pensons seulement que nous avons la bonne approche. Et nous allons gagner les deux matches », déclare Dino Radončić.\\n\\nMéthode Coué ? Lors du match « aller », les Monténégrins avait fait une bonne première mi-temps avant de laisser filer les Français dans le troisième quart-temps, où ils avaient inscrit beaucoup de paniers faciles en contre-attaques.\\n\\n« Nous avons joué contre la France sur leur terrain, nous avons perdu, mais ce n’était pas un rapport de force réaliste. Je pense que c’est une autre histoire maintenant et nous avons une chance », estime Bjelica. « Ce sera certainement un match difficile », complète Radončić. « Les Français se sont renforcés (NDLR: avec Thomas Heurtel). Nous avons mal joué contre eux la dernière fois, mais nous espérons que cette fois nous corrigerons les erreurs et que nous pourrons faire un bien meilleur résultat. Nous devons jouer dur contre les Français. Nous espérons que la Grande-Bretagne aura le pire résultat possible (face à l’Allemagne), et que nous battrons au moins les Allemands comme dans la dernière bulle. «\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Zvezdan Mitrovic (Monaco) : «c’est plus facile de coacher en Jeep Elite maintenant qu’à mes débuts»" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion de son 51e anniversaire, le site de l’AS Monaco a interviewé son coach Zvedan Mitrovic.\\n\\nTout d’abord Coach Z, comme on l’appelle dans la Principauté, se dit heureux de se retrouver à la tête de la Roca Team après ses deux saisons à l’ASVEL.\\n\\n« C’était un vrai plaisir, ça s’est évidemment bien passé. Vous savez je considère Monaco comme ma deuxième maison. Je me sens très bien ici, particulièrement dans ces moments difficiles pour tout le monde. À Monaco, il fait bon d’y vivre. C’est un coin de quiétude, bien qu’on soit confronté à toutes les incertitudes liées au virus dans nos vies. C’est l’un des meilleurs endroits à être sur terre ! (rires) C’est vraiment très plaisant d’être ici, c’est au-delà du professionnel. Il y a, à Monaco, une partie de ma vie et de mes amis.«\\n\\nA propos des progrès offensifs de son équipe, il explique :\\n\\n« C’est un tout ! Vous le savez, on a la meilleure équipe en défense de la compétition. Une fois arrivés dans le top 16 d’EuroCup, on devait améliorer notre attaque. L’une des explications, c’est la signature de Rob Gray, un joueur très offensif, qui nous a aidé en attaque. Il fait peser une menace constante sur nos adversaires. Il nous aide en attaque mais globalement l’équipe se connaît mieux. Forcément, ça se ressent en attaque où des automatismes ont été créés. Ce temps d’adaptation était inévitable, surtout quand il y a de nouveaux joueurs dans l’équipe. Dans le sport, les joueurs ont besoin de se connaître entre eux pour mieux jouer, plus se trouver en transition, être plus efficace. C’est la principale explication. Mais tous ces bons résultats sont surtout expliqués par notre défense. »\\n\\nSur un plan personnel, le fougueux Monténégrin estime qu’il a gagné en expérience:\\n\\n\\n« Désormais je connais bien le championnat français, c’est plus facile de coacher en JeepElite maintenant qu’à mes débuts. C’est ma sixième saison dans le championnat. Pour l’EuroCup c’est différent, j’y avais déjà coaché avant. Ma carrière est longue, j’ai appris de chaque expérience. Année par année tu essayes de travailler sur différents points car tu dois t’améliorer. Il faut regarder ce qui se fait ailleurs aussi. Là, par exemple, je suis devant un match d’EuroLeague (ndlr : Khimki – Baskonia). Je dois rester à l’affut de ce qui se fait de nouveau. Tout coach qui veut gagner, doit être en mesure de suivre les dernières méthodes de travail. C’est le rôle de l’entraîneur de comprendre le basket moderne, savoir ce qui se fait en Europe, ou en NBA et NCAA aussi évidemment.«" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du Champagne Basket encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nSur les dernières saisons, des joueurs référencés sont passés par le CCRB devenu le Champagne Basket. Certains comme Nicolas De Jong, Jean-Baptiste Maille, Yannis Morin, David Michineau et encore plus Martin Hermannsson (Berlin puis Valence) ont depuis grimpé dans la hiérarchie. Il faut se souvenir également que le meneur Benoît Mangin a fait 3 saisons à Reims puis une à Châlons-Reims (2010-11) avant d’en enchaîner 10 au Portel.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALRomain Duport34FRA-3Le Havre1322.05.81.712.514.2Miha Vasl28SLO-1Prievidza2234.05.03.817.214.1Tyler Cain32ITA-1Pesaro1829.59.41.812.518.8Michael Fakuade31POL-1King Szczecin1927.06.51.912.415.5Nicolas De Jong32FRA-1Pau-Lacq-Orthez416.32.80.09.38.8Remi Lesca30FRA-1Pau-Lacq-Orthez1117.91.51.54.54.0Martin Hermannsson26SPA-1Valencia2216.21.22.57.76.9Gary Florimont33FRA-1Orléans818.33.60.55.57.4Lamonte Ulmer34FRA-1Orléans925.34.40.914.816.6John Flowers31FRA-1Boulazac828.53.01.311.99.8Louis Cassier23FRA-2Gries-Oberhoffen919.65.20.311.013.0Jean-Baptiste Maille27FRA-1Strasbourg1021.12.94.64.27.2David Michineau26FRA-1Mets 921222.11.63.78.18.5Jerry Smith33GRE-1Ermis Agias1325.62.52.314.210.6Devin Ebanks31GRE-1Iraklis16.00.00.01.0-2.0Ben Bentil25GRE-1Panathinaikos1015.23.91.38.08.7Tyren Johnson32FRA-2Blois825.15.13.013.914.9Jules Rambaut22FRA-2UJAP Quimper716.62.91.08.110.3Edouard Choquet32FRA-2Fos Provence926.23.15.29.013.4Florent Tortosa31FRA-3Saint-Vallier1124.23.31.911.011.5Pape Beye30FRA-3Saint-Vallier1120.84.50.712.112.8Gedeon Pitard31FRA-2Antibes930.33.25.48.912.7Sadio Doucoure28FRA-2Antibes732.07.01.415.414.6Drew Gordon30VTB L.Avtodor Saratov1221.96.40.78.610.8Quentin Losser21FRA-2Denain1013.53.00.64.65.3Pape Badji28BEL-1Okapi Aalstar425.39.81.015.519.5Johan Passave-Ducteil35FRA-1Le Portel818.32.51.18.38.9Benoit Mangin32FRA-1Le Portel831.52.65.89.311.9Garry Chathuant37FRA-2Nantes722.43.61.47.46.1Nikola Knezevic21FRA-3Besançon Avenir Comtois1110.31.30.52.72.3Deshawn Stephens31BCLBakken Bears625.37.81.315.220.2Edward Daniel30GRE-1Iraklis1112.74.20.73.25.4Justin Burrell32JAP-1Nagoya Diamond Dolphins2730.08.63.215.221.3Yannis Morin27FRA-1Strasbourg823.46.01.49.912.9Patrick Richard30BCL-QRU-BT Cluj Napoca132.02.06.015.017.0\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Italie : Pas un championnat pour les jeunes" }, {"role": "assistant", "content":"Ces statistiques qui concernent les joueurs de 24 ans et moins démontrent que la Serie A n’est pas un championnat pour les jeunes. Seuls quatre (Burnell, Strautins, Maye et Candi) des 66 jeunes répertoriés ont en moyenne joué au moins 24 minutes.\\n\\nCe classement prend en compte les étrangers. Ainsi, Jason Burnell, Luke Maye et Sha’Markus Kennedy sont Américains, et Arturs Strautins est Letton.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPTS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRBDS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n13.6\\n\\n\\n\\n\\nArturs STRAUTINS\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n7.5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLuke MAYE\\n\\n\\n\\n\\nTrento\\n\\n\\n\\n\\n13.4\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n6.5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nArturs STRAUTINS\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n12.6\\n\\n\\n\\n\\nLuke MAYE\\n\\n\\n\\n\\nTrento\\n\\n\\n\\n\\n6.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSha’Markus KENNEDY\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n9.8\\n\\n\\n\\n\\nSha’Markus KENNEDY\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n5.0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLeonardo CANDI\\n\\n\\n\\n\\nReggio Emilia\\n\\n\\n\\n\\n9.1\\n\\n\\n\\n\\nAndrea PECCHIA\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n4.9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPDS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEVAL.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n3.6\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n18.6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTommaso BALDASSO\\n\\n\\n\\n\\nF.Bologna\\n\\n\\n\\n\\n3.3\\n\\n\\n\\n\\nArturs STRAUTINS\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n15.4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAlessandro PAJOLA\\n\\n\\n\\n\\nV.Bologna\\n\\n\\n\\n\\n3.2\\n\\n\\n\\n\\nLuke MAYE\\n\\n\\n\\n\\nTrento\\n\\n\\n\\n\\n12.5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLeonardo CANDI\\n\\n\\n\\n\\nReggio Emilia\\n\\n\\n\\n\\n2.6\\n\\n\\n\\n\\nSha’Markus KENNEDY\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n11.9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAndrea PECCHIA\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n1.8\\n\\n\\n\\n\\nTommaso BALDASSO\\n\\n\\n\\n\\nF. Bologna\\n\\n\\n\\n\\n9.7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nINTS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n% LF\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAlessandro PAJOLA\\n\\n\\n\\n\\nV. Bologna\\n\\n\\n\\n\\n1.9\\n\\n\\n\\n\\nArturs STRAUTINS\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n86.8\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n1.2\\n\\n\\n\\n\\nLeonardo CANDI\\n\\n\\n\\n\\nReggio Emilia\\n\\n\\n\\n\\n86.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLeonardo CANDI\\n\\n\\n\\n\\nReggio Emilia\\n\\n\\n\\n\\n1.1\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n74.5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n% TIRS 2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n% TIRS 3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nMoy.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJason BURNELL\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n57.4\\n\\n\\n\\n\\nTommaso BALDASSO\\n\\n\\n\\n\\nF.Bologna\\n\\n\\n\\n\\n46.7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSha’Markus KENNEDY\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n52.9\\n\\n\\n\\n\\nArturs STRAUTINS\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n40.5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAndrea PECCHIA\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n51.4\\n\\n\\n\\n\\nLuke MAYE\\n\\n\\n\\n\\nTrento\\n\\n\\n\\n\\n40.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : Jason Burnell (FIBA)\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Nando De Colo (Fenerbahçe) de nouveau brillant face à Berlin" }, {"role": "assistant", "content":"Face à l’Alba Berlin, Fenerbahce a enregistré une dixième victoire consécutive (89-85) en Euroleague où son record est désormais de 15-10 et Nando De Colo a été implacable dans cette victoire.\\n\\nLe Français a marqué 11 points en six minutes. Il est ensuite sorti en raison de deux fautes personnelles mais il est revenu toujours aussi chaud, marquant 26 points et faisant 8 passes pour 31 d’évaluation.\\n\\nC’est un match d’Euroleague. Chaque semaine, nous savons que ce sera difficile de gagner, mais nous essayons de nous concentrer sur notre équipe. Nous savions avant le match que l’ALBA est une équipe formidable, peut-être l’équipe qui joue le meilleur basket-ball de cette Euroleague. Ils savent comment bouger le ballon, ils savent jouer ensemble, alors nous avons juste essayé de respecter le plan et d’être ensemble. Nous voulons aller plus loin, mais nous devons prendre les matchs un par un et nous concentrer sur ce que nous devons faire », a commenté De Colo." }, {"role": "user", "content":"LFB: Lyon-Bourges reporté" }, {"role": "assistant", "content":"Le Bureau Fédéral, réuni ce vendredi 19 février, valide le report de la rencontre de Ligue Féminine de Basket entre LYON ASVEL FEMININ et BOURGES BASKET, prévue samedi 20 février et qui devait être diffusé sur La Chaîne L’Equipe.\\n\\nSuite aux difficultés rencontrées par le club de Bourges Basket et au regard des dernières déclarations du Ministre de la santé (jeudi 18 février) concernant l’évolution de la pandémie, le Bureau Fédéral, après consultation des deux clubs et leur retour favorable, valide le report de la rencontre prévue le samedi 20 février entre Lyon Asvel Féminin et Bourges Basket.\\n\\nIl demande également que le protocole LFB en vigueur (version 12) soit actualisé, après consultation des instances gouvernementales, et en concertation avec les 12 présidents et 12 capitaines de clubs LFB, signataires de l’actuel protocole." }, {"role": "user", "content":"Eurobasket 2022 : La Serbie qualifiée, 22 points et 5 passes de Danilo Andjusic (Bourg) contre la Géorgie" }, {"role": "assistant", "content":"La Serbie est qualifiée pour l’EuroBasket 2022 suite à sa victoire sur la Géorgie à Tbilissi, 66-92. C’est en deuxième mi-temps (+20) que les Serbes ont fait une différence importante au score.\\n\\nL’arrière de la JL Bourg, Danilo Andjusic a été très en vue avec 22 points à 7/10 aux shoots et 5 passes décisives. Son équipier burgien, Luka Asceric, a joué 2 minutes pour 2 passes, alors que Nikola Rebic (Nanterre) a produit 11 points en 22 minutes.\\n\\nLe grand homme du match a été Filip Petrusev (2,10m, 20 ans) qui a cumulé 27 points à 10/15, 6 rebonds et 2 passes pour 30 d’évaluation.\\n\\nPhoto: Danilo Andjusic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de l’Elan Chalon encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nOn ne peut qu’apprécier la destinée de nombre de joueurs issus du centre de formation de l’Elan: Axel Bouteille, Clint Capela, Yakuba Ouattara, David Michineau, Joffrey Lauvergne, Abdoulaye Loum, Mathias Lessort, et d’autres qui sont en croissance. A l’inverse, Victor Mopsus fut à 15 ans, 3 mois et 10 jours, le plus jeune joueur à entrer sur un terrain de Jeep Elite depuis la création de la ligue en 1987, et à 21 ans, il a dû se réfugier en NM1 pour poursuivre son apprentissage.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALJosh Bostic33ITA-1Reggio Emilia1827.73.91.913.711.2John Roberson32SPA-1Movistar Estudiantes1822.71.82.713.011.7Justin Robinson25ITA-1Pesaro1931.52.74.912.111.9Marcus Thornton27GER-1Niners Chemnitz1526.21.13.811.99.0Axel Bouteille25SPA-1Malaga1819.12.10.79.97.4Tyler Kalinoski28ITA-1Germani Brescia1424.13.03.110.612.1Jerome Tillman33JAP-2Nagoya3527.97.11.514.517.3Clint Capela26USA-1Atlanta Hawks2029.114.71.113.724.8Vincent Sanford30FRA-1Pau-Lacq-Orthez930.82.63.216.014.0Nicolas Lang30FRA-1Limoges CSP928.82.21.617.017.0Yakuba Ouattara28SPA-1Sevilla1523.44.40.710.110.1Brandon Davies29SPA-1F.C. Barcelona1616.23.51.69.310.3Jaka Klobucar33TUR-1Buyukcekmece134.05.04.08.06.0Khalid Boukichou28FRA-1BCM521.04.21.412.615.0Zack Wright35FRA-1Bourg-en-Bresse625.53.34.511.815.7Jeremy Nzeulie29FRA-1Boulazac220.52.01.54.51.0David Michineau26FRA-1Mets 921222.11.63.78.18.5Bastien Pinault27FRA-1Mets 921217.71.71.25.24.0A.J. Slaughter33SPA-1Gran Canaria1121.82.33.112.110.0Scott Suggs31GRE-1Iraklis1226.33.10.99.69.3Adam Smith28GRE-1AO Ionikos Nikaias1232.02.24.416.315.1Joffrey Lauvergne29LIT-1Zalgiris1318.34.71.410.914.0Marcus Dove35JAP-2Bambitious Nara2923.29.21.611.017.4Kris Joseph32SPA-2UBU Tizona Burgos1227.64.31.610.59.3Moustapha Fall28FRA-1ASVEL619.36.21.58.313.7Malcolm Delaney31ITA-1Milano624.23.23.09.510.0Jaron Johnson28FRA-1Dijon1024.22.31.48.17.3Abdoulaye Loum29FRA-1Dijon1116.23.80.84.27.4L’hassane Niangane26FRA-3DGB401212.92.20.32.62.8Michel Jean-Baptiste Adolphe41FRA-3UTBM Tours1217.45.10.96.08.0Mathis Dossou Yovo20FRA-2Blois921.07.11.012.714.6Jordan Aboudou29FRA-2Vichy-Clermont822.84.41.313.411.0Mohamed Kone39FRA-2Vichy-Clermont721.48.01.06.712.0Pape Beye30FRA-3Saint-Vallier1120.84.50.712.112.8Gedeon Pitard31FRA-2Antibes930.33.25.48.912.7Jean-Victor Traore35FRA-2Lille921.74.31.37.39.2Etienne Ca23FRA-2Antibes823.15.60.87.19.8Hugo Besson19FRA-2Saint-Quentin829.14.02.916.013.1Frederic Bourdillon29ISR-1Hapoel Holon1224.13.02.68.511.3Nate Wolters29VTB L.UNICS Kazan921.83.33.410.412.2Mathias Lessort25FRA-1Monaco822.16.41.89.913.9Matthieu Missonnier23FRA-2Denain1024.61.24.34.05.8Pierre-Antoine Gillet29BEL-1Filou Oostende425.05.50.813.313.8Ibrahima Faye Fall23BEL-1Telenet Giants Antwerp724.74.11.411.311.6Elston Turner30GRE-1PAOK1324.52.21.810.58.5Victor Mopsus21FRA-3Toulouse BC1122.22.83.75.57.7Mareks Mejeris29VTB L.Parma1324.54.41.88.912.1Anthony Ireland29FECKormend324.71.75.014.712.7Jonathan Hoyaux32FRA-2Saint-Chamond829.53.12.110.810.1Marcus Denmon30CHN-1Shanghai2823.43.53.417.316.0Alade Aminu33SPA-1RETAbet Bilbao512.41.80.26.25.8Devin Booker29VTB L.Khimki Moscow Region821.35.91.314.517.4Ekene Ibekwe35FRA-1Champagne B.716.94.70.96.46.0\\n\\nPhoto: Victor Mopsus (Elan Chalon)" }, {"role": "user", "content":"Cédric Heitz (coach du Champagne Basket) critique Jalen Adams, Arnas Velicka et Ekene Ibekwe" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe champenoise reste sur deux succès consécutifs (à Pau et contre Bourg-en-Bresse). Dans L’Union, le coach Cédric Heitz revient sur les ajustements qu’il vient d’effectuer dans son effectif et qui ont visiblement changé la donne :\\n\\n« C’était vraiment une opportunité. Les deux joueurs viennent de la même agence. (Joshiko) Saibou était un peu dos au mur depuis l’été dernier. On n’aurait jamais pu avoir Saibou pour le budget d’Arnas (Velicka). Dans l‘ensemble, on n’a rien dépensé dans les mouvements qu’on a effectués. »\\n\\nSi avec Dominic Waters la mayonnaise a pris, ce n’était pas la même histoire avec la ligne arrière composée du Lituanien, Arnas Velicka et de l’Américain, Jalen Adams, ou bien avec Ekene Ibekwe, parti depuis à la Chorale de Roanne :\\n\\n« On voulait avoir des garçons plus impliqués dans le projet collectif. Que ce soit Jalen Adams ou Arnas (Velicka), ils ne l’étaient pas vraiment. C’est un fait. Ekene (Ibekwe) non plus. Ils n’étaient pas dans la volonté de gagner des matches et de faire progresser l’équipe au classement. Arnas voulait avoir de l’exposition pour pouvoir aller en NBA. Il a quand même du potentiel à 21 ans seulement. Il était quand même à 11 points et 5 passes en Jeep Élite à cet âge-là, ça laisse augurer des bonnes choses. Mais, il ne joue que pour ses stats, pas pour faire gagner l’équipe. Jalen a toujours voulu aller en G-League (l’antichambre de la NBA) et en NBA, il s’est donc fichu de nous depuis le début. »\\n\\nPhoto : CCRB" }, {"role": "user", "content":"Isaia Cordinier (Nanterre) : « Il va falloir faire attention à la santé des joueurs »" }, {"role": "assistant", "content":"Aucun doute : Isaia Cordinier (1,96m, 24 ans) est l’un des ténors actuel du basket français, comme il le montre en Jeep Elite et en Eurocup. Avant qu’il ne parte sous d’autres cieux, on va encore pouvoir profiter de ses qualités aériennes aussi bien avec Nanterre qu’avec l’équipe nationale lors de cette fenêtre à Podgorica.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuelle est l’ambiance à Podgorica ?\\n\\nC’est pratiquement le même groupe que lors des fenêtres de février et de novembre 2020. L’ambiance est au top. La qualité des entraînements monte au fur et à mesure avec de l’intensité. C’est cool, ça se passe bien.\\n\\nComment appréhendez-vous ces fenêtres ?\\n\\nC’est une expérience différente, une opportunité à saisir pour pouvoir apprendre, pour goûter à la compétition internationale. L’objectif est toujours le même : gagner des matches.\\n\\nVincent Collet dit que vous êtes l’un des leaders de ces fenêtres. Est-ce quelque chose dont vous avez conscience ?\\n\\nCe que je peux dire, c’est que je me sens de plus en plus confortable de par mes premières fenêtres. Je gagne en confiance. Il y a des joueurs qui ont plus de sélections, qui sont là depuis plus longtemps et j’essaye d’apprendre d’eux, et du staff. Je veux continuer à aider l’équipe et à gagner le plus de matches possible pour la qualifier à l’Euro, ce qui reste le principal objectif.\\n\\nComme Nanterre dispute l’Eurocoup, avez-vous l’impression d’avoir eu jusqu’ici une saison à peu près normale et comment appréhendez-vous la deuxième partie si, comme c’est très probable, vous allez reprendre un rythme très soutenu en mars ?\\n\\nLe fait de jouer en Eurocup, forcément, ça nous a fait du bien parce qu’on a pu jouer des matches. Une saison normale, avec tout le contexte, ce n’est pas le mot que j’utiliserai. Le problème, c’est qu’on n’avait aucune visibilité sur le championnat. Là, le rythme va être presque « infernal ». Imaginons que toutes les équipes françaises aillent loin en coupes d’Europe, ce que je souhaite, ça va faire énormément de matches. Il va falloir faire attention à la santé des joueurs pour la récupération, etc. Le fait de jouer l’Eurocup, ça nous a permis de garder le rythme comparé à des équipes françaises qui ne jouent pas de coupes d’Europe. Pour ces équipes-là, ça n’a pas été évident.\\n\\n« L’objectif, ça reste de gagner ces deux derniers matches et de bien finir ces qualifications à l’Euro »\\n\\nVotre cote monte de match en match. Où en êtes-vous quant à votre réflexion sur l’avenir ? Vous êtes toujours focalisé sur la NBA ou maintenant comme il y a des clubs d’Euroleague qui s’intéressent à vous, est-ce une deuxième option ?\\n\\nJe suis vraiment concentré sur le présent. Cet été, je serai libre de tout contrat donc c’est à ce moment-là que l’on se posera. Je joue pour être performant, pour gagner des matches, pour aider mes équipes à le faire. En tous, les cas, mes objectifs restent les mêmes.\\n\\nOn connaît vos qualités de dunkeur. Pourquoi n’avez-vous pas participé au concours digital de dunks de la LNB et que pensez-vous du vainqueur, Allan Dekossi de Fos/Mer ?\\n\\nJe n’ai pas participé parce que j’en n’avais pas envie, tout simplement (rires). J’aime bien mais cette année, j’ai préféré me concentrer sur la saison. Allan Dekossi a des qualités athlétiques énormes, il fait une grosse saison à Fos. C’est bien pour lui, qu’il continue à travailler sur cette lancée.\\n\\nDans vos objectifs, y a-t-il le fait d’être dans la pré-sélection pour les Jeux Olympiques de Tokyo ? Et pensez-vous que ces deux matches de qualifications sont un test important sur le plan individuel pour prouver que vous méritez d’être dans une pré-sélection ?\\n\\nAu vu de ma saison, pour le moment, je pense que je peux jouer ma chance. C’est vrai que ça pourrait être sympa de pouvoir faire partie de l’aventure. Mais ici, il faut plus se concentrer sur le fait de qualifier l’équipe avant de penser gagner une place. Si tu fais partie d’une équipe qui perd, tu seras moins important que si tu fais partie d’une équipe qui gagne. L’objectif, ça reste de gagner ces deux derniers matches et de bien finir ces qualifications à l’Euro.\\n\\nLe Monténégro a une ligne arrière assez réputée avec Justin Cobbs et Nikola Ivanovic. Vous avez-vous retrouvez en opposition directe avec au moins un de ces joueurs. Avez-vous vu des vidéos ? Des choses sont prévues comme eux ?\\n\\nOn sait que ce sont leurs deux principaux créateurs sur les lignes arrières. On va forcément avoir une défense précise sur eux en fonction de leurs qualités. Il faut essayer de leur rendre la vie la plus difficile possible et ça va passer par l’intensité, jouer de nos qualités athlétiques. Et en amont, pas mal de vidéos pour bien cibler leurs qualités et ce qu’ils font de moins bien pour avoir la défense la plus efficace possible.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQuelle est l’ambiance à Podgorica ?\\n\\nC’est pratiquement le même groupe que lors des fenêtres de février et de novembre 2020. L’ambiance est au top. La qualité des entraînements monte au fur et à mesure avec de l’intensité. C’est cool, ça se passe bien.\\n\\nComment appréhendez-vous ces fenêtres ?\\n\\nC’est une expérience différente, une opportunité à saisir pour pouvoir apprendre, pour goûter à la compétition internationale. L’objectif est toujours le même : gagner des matches.\\n\\nVincent Collet dit que vous êtes l’un des leaders de ces fenêtres. Est-ce quelque chose dont vous avez conscience ?\\n\\nCe que je peux dire, c’est que je me sens de plus en plus confortable de par mes premières fenêtres. Je gagne en confiance. Il y a des joueurs qui ont plus de sélections, qui sont là depuis plus longtemps et j’essaye d’apprendre d’eux, et du staff. Je veux continuer à aider l’équipe et à gagner le plus de matches possible pour la qualifier à l’Euro, ce qui reste le principal objectif.\\n\\nComme Nanterre dispute l’Eurocoup, avez-vous l’impression d’avoir eu jusqu’ici une saison à peu près normale et comment appréhendez-vous la deuxième partie si, comme c’est très probable, vous allez reprendre un rythme très soutenu en mars ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : LDLC ASVEL / Bayern Munich – T.J. Parker : « Si vous n’êtes pas prêts à leur impact physique vous êtes en difficulté, comme nous l’avions été d’entrée au match aller »" }, {"role": "assistant", "content":"Barcelone, CSKA Moscou, Real Madrid, Fenerbahçe ou encore Milan. Les cadors sont là, bien accrochés au sommet de l’Euroleague où figurent deux invités surprise : le Zenit Saint Petersbourg et le Bayern Munich. Opposés aux Villeurbannais ce vendredi soir à l’Astroballe, les hommes d’Andréa Trinchieri seront-ils en mesure de stopper leur série de victoires ?\\n\\nAvec quatre victoires et un très gros match contre Milan (78-69), Villeurbanne a réalisé un parcours incroyable depuis le début de l’année. Candidats aux playoffs, l’Olympiakos, Valence et Vitoria sont tombés aux mains des Français qui présentent un bilan de 10 victoires et 14 défaites. T.J. Parker et son équipe peuvent encore se prendre à rêver d’une participation aux playoffs de la compétition malgré six déplacements à l’extérieur sur le dernier tiers de cette saison régulière.\\n\\nFace au Bayern, l’ASVEL se devra de continuer sur la même dynamique et tentera de flirter avec les statistiques de ses deux derniers matchs (66,2% à deux-points et 44,4% à trois-points) et s’appuiera sur le tempo donné par Antoine Diot et Norris Cole pour flairer les bons coups en transition. La clé du match sera aussi de contenir Vladimir Lucic (13,6 points et 4,8 rebonds) et Jalen Reynolds, qui peuvent être les principaux dangers dans ce match, compte-tenu de leur efficacité dans les duels.\\n\\nCe soir deux meneurs de gros calibre s’affrontent : Norris Cole (13,5 points) et Wade Baldwin IV (14,3 points et 3,8 points par match). Sur les derniers matchs, le double champion NBA avec Miami, a montré qu’il est le leader de l’équipe et il n’est pas exclu qu’il puisse prendre les choses en main en utilisant sa rapidité et son QI basket face à Wade Baldwin, joueur rugueux et redoutable sur son stop-and-pop, si l’on lui laisse de l’espace.\\n\\nAprès les prolongations contre l’Alba Berlin (101-95) il y a deux semaines, l’équipe d’Andrea Trinchieri se retrouve à la cinquième place avec un record pour une équipe Allemande de 15 victoires et 9 défaites.\\n\\nT.J. Parker (Coach LDLC ASVEL) : « Cette équipe joue très bien, avec d’excellents joueurs comme Baldwin, Reynolds ou Lucic, que nous connaissons bien. Suis-je surpris ? Ils ont un très bon coach. Il a amené sa patte défensive et ils mettent beaucoup de pression. Si vous n’êtes pas prêts à leur impact physique vous êtes en difficulté, comme nous l’avions été d’entrée au match aller. Nous devons être vraiment concentrés dès les premières minutes », déclare T.J. Parker à nos confrères du Progrès. « Nous sommes sur une bonne dynamique et nous devons continuer à avoir un bon ratio (passes décisives/balles perdues). Quand c’est le cas, nous sommes dans le coup. »\\n\\nVladimir Lucic (Capitaine Bayern Munich) : « Lyon est une équipe très physique et athlétique et ils sont en grande forme en ce moment, comme pratiquement aucune autre équipe de l’EuroLeague. Moustapha Fall avec son gabarit change la donne des deux côtés du terrain et nous devons nous y adapter. Déjà l’année dernière c’était très difficile face à cette équipe. »\\n\\nAndrea Trinchieri (Coach Bayern Munich) : « Comme lors du premier match, nous les retrouvons dans leur meilleur moment de la saison. L’ASVEL joue superbement bien en ce moment et a remporté un très gros match contre Milan. Leur équipe est légèrement différente, mais leur identité de jeu est très claire. Leur système est construit autour de Moustapha Fall. Norris Cole, David Lighty et Guerschon Yabusele sont dans une forme incroyable et tout le monde défend d’une façon assez agressive, physique et dure. Ils ont une très grande profondeur de banc, sont très athlétiques et prennent de la place, c’est donc une tâche très difficile qui nous attend. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Jalen Reynolds et Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Amath Mbaye : «Pouvoir me considérer comme un international français, ça me rend extrêmement heureux»" }, {"role": "assistant", "content":"Ça marche fort pour Amath Mbaye (2,06m, 31 ans) avec son équipe turque du Pinar Karşıyaka, un club situé à Izmir, qui est placé en deuxième position du championnat national derrière Anadolu Efes et devant Fenerbahçe, et depuis qu’il a intégré l’équipe de France, en 2018. Il a prouvé à la Coupe du monde en Chine et lors des différentes fenêtres qu’il en est devenu un rouage important.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDans quel état d’esprit et physique vous trouvez-vous ?\\n\\nJe me sens bien. Les fenêtres, c’est toujours une bonne coupure pour moi et, je pense, pour les autres aussi par rapport à la saison qui peut être un peu éprouvante en club. Pouvoir revenir, retrouver des potes, une bonne ambiance, et d’avoir l’opportunité de travailler ensemble pour avoir un objectif commun.\\n\\nVous allez jouer contre le Monténégro, une équipe qui a des postes 4 fuyants, plutôt lourds. Vous allez vous retrouver en opposition directe avec eux. Comment comptez-vous les perturber ?\\n\\nJe ne donne pas mes secrets avant le match ! C’est une équipe que l’on a déjà rencontré et des profils que je connais assez bien, que ce soit en club et en équipe nationale. Il y a toujours des 4 fuyants ou qui jouent un peu plus à l’intérieur. Je ne pense pas que c’est quelque chose qui va me poser problème individuellement.\\n\\nQue pensez-vous de Maxime Roos, un rookie qui partage avec vous le poste 4, et un ancien, Thomas Heurtel, avec qui vous étiez en équipe de France jeune ?\\n\\nThomas était aussi avec nous pour la prépa à la Coupe du monde. Malheureusement, il a été blessé. Ça ne fait donc pas si longtemps que je l’avais vu et c’est toujours un plaisir de le retrouver sur les terrains. Maxime, c’est un super potentiel, un super gars en dehors des terrains, et sur les terrains avec des bras énormes, avec qui je commence à faire un peu connaissance. Il m’a contré quelques fois, je n’aime pas trop ça ! Comme d’habitude, on a un très bon groupe et que ce soit les anciens ou les nouveaux, c’est toujours un plaisir de partager le terrain avec ces gars-là.\\n\\n« Notre jeu en club est un peu plus « libéré ». Ici, c’est beaucoup plus structuré »\\n\\nComment ça se passe actuellement en Turquie ? Avez-vous l’impression de jouer dans de bonnes conditions sanitaires ?\\n\\nOn n’a pas vraiment de problèmes, à part le fait que l’on joue à huis clos. C’est un peu chiant pour notre équipe, vu que l’on a l’un des publics les plus chauds et les plus actifs de Turquie. On avait eu pas mal de cas (de Covid), huit dans l’équipe, juste avant la dernière fenêtre (en novembre). On avait dû reporter deux matches. Mais depuis, on a joué tous nos matches et on n’a aucun problème.\\n\\nVous faites une bonne saison avec votre équipe. Y a-t-il espoir de battre Efes pour le titre national ?\\n\\nJe pense, c’est l’objectif. C’est vrai qu’ils jouent à un très bon niveau en ce moment, mais je pense que nous aussi. Sur une série de cinq matches, je pense que tout est possible. C’est sans aucun doute notre objectif d’arracher un titre cette année.\\n\\nPensez-vous que l’on sous-estime votre équipe, par rapport à Efes et Fenerbahçe ?\\n\\nEn deux ans, je n’ai toujours pas perdu contre Fener, aussi je ne m’en fais pas trop. Fener est aussi super fort, j’en suis parfaitement conscient. On a un très bon groupe, que ce soit le staff et les joueurs, on se connait très bien, ça fait deux ans que presque tout le monde est ensemble. L’année dernière, on avait eu de très bons résultats avant la coupure. On a beaucoup de confiance en nous et on sait que l’on peut aller loin si on continue à travailler comme on le fait.\\n\\nAvez-vous l’objectif de retrouver l’Euroleague à laquelle vous avez goûté avec Milan ?\\n\\nMon objectif c’est de continuer à prendre du plaisir à jouer au basket. Que ce soit à Karşıyaka et en équipe de France, j’ai appris à en reprendre après une année difficile à Milan. Je me suis rendu compte combien c’était important d’être heureux sur le terrain, ça participe aussi à ton bonheur en-dehors du terrain. Si j’arrive à trouver une opportunité en Euroleague qui va continuer à me permettre de m’épanouir, sur et en dehors du terrain, je vais la saisir sans aucun doute.\\n\\nEtes-vous surpris vis-à-vis de ce que fait votre ancienne équipe de Milan en Euroleague ?\\n\\nPas du tout. Ils ont une très bonne équipe. L’organisation a toujours été top. Quand j’étais là-bas, j’avais un problème avec le coach, je ne m’entendais pas bien avec lui. Je ne pense pas qu’il était très bien adapté avec le club en général. Ils ont fait des bons changements et leur effectif est très référencé. Ils ont fait ce fallait pour se mettre dans la position où ils sont aujourd’hui, et ça ne m’étonne pas du tout.\\n\\nVous êtes arrivé assez tardivement en équipe de France, à 29 ans. Que vous a apporté le fait d’être international et notamment de faire la Coupe du monde ? Ça vous a permis de passer un cap ?\\n\\nJe pense, oui. Déjà, au niveau personnel, c’est une très grande fierté. Ça m’apporte beaucoup du fait de pouvoir me considérer comme un international français, ça me rend extrêmement heureux. C’est aussi un basket complètement différent par rapport à ce que l’on joue en club. Notre jeu en club est un peu plus « libéré ». Ici, c’est beaucoup plus structuré. C’est ça qui a fait qu’il m’a fallu une petite période d’adaptation mais maintenant que je me suis adapté, je peux en profiter et ça m’apprend beaucoup de choses.\\n\\nTout le monde a envie d’être dans les 12 pour les Jeux Olympiques. Comment appréhendez-vous le processus de sélection ? Vos coéquipiers sont des concurrents ? Regardez-vous ce qu’ils font en club pour essayer de deviner ce que sera la pré-sélection ?\\n\\nNon, pas du tout, honnêtement. Jusqu’à présent, je me suis toujours débrouillé pour faire un peu au jour le jour, et laisser mon travail parler pour moi. Il y a toujours une compétition saine quand on est sur le même terrain, mais à part ça, je ne fais pas trop attention à ce qui se passe sur les autres terrains. Je pense plus à mes objectifs en club et à mes objectifs individuels. Et le reste arrivera...\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nDans quel état d’esprit et physique vous trouvez-vous ?\\n\\nJe me sens bien. Les fenêtres, c’est toujours une bonne coupure pour moi et, je pense, pour les autres aussi par rapport à la saison qui peut être un peu éprouvante en club. Pouvoir revenir, retrouver des potes, une bonne ambiance, et d’avoir l’opportunité de travailler ensemble pour avoir un objectif commun.\\n\\nVous allez jouer contre le Monténégro, une équipe qui a des postes 4 fuyants, plutôt lourds. Vous allez vous retrouver en opposition directe avec eux. Comment comptez-vous les perturber ?\\n\\nJe ne donne pas mes secrets avant le match ! C’est une équipe que l’on a déjà rencontré et des profils que je connais assez bien, que ce soit en club et en équipe nationale. Il y a toujours des 4 fuyants ou qui jouent un peu plus à l’intérieur. Je ne pense pas que c’est quelque chose qui va me poser problème individuellement.\\n\\nQue pensez-vous de Maxime Roos, un rookie qui partage avec vous le poste 4, et un ancien, Thomas Heurtel, avec qui vous étiez en équipe de France jeune ?\\n\\nThomas était aussi avec\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite en mai : Le président d’Orléans préconise des back to back" }, {"role": "assistant", "content":"Interrogé par La République du Centre, le président du Orléans Loiret Basket, Didier Nourault, est formel: il faut que la saison de Jeep Elite, qui doit reprendre en mars, finisse par un Final 8 pour désigner le champion de France. Ceci doit être décidé lundi lors de l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket.\\n\\nEn ce qui concerne la cadence des matches -on évoque 11 rencontres en mai-, Didier Nourault estime que ce n’est pas un obstacle insurmontable et préconise des back to back made-in-NBA.\\n\\n« Au mois de mai, il y aura beaucoup de ponts, des disponibilités. Ce n’est pas idiot... Les joueurs disent qu’ils peuvent jouer tous les trois jours. Reste à savoir si les salles seront toutes accessibles au regard du calendrier des autres sports. Sur onze matches, dans l’absolu, on pourrait fort bien imaginer des rencontres à Limoges et à Boulazac, en l’espace de trois jours. Cela ne ferait qu’un seul déplacement, car ce serait sur la même route. 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Je pense que nous devons continuer à travailler et ça ira mieux pour nous, » a t-il déclaré.\\n\\nBaskonia est actuellement 11e (12 victoires et 13 défaites) et Fall génère 7,1 points et 3,3 rebonds en seulement 12′ par match." }, {"role": "user", "content":"Yakuba Ouattara : «Mon objectif est de gagner une équipe d’Euroleague»" }, {"role": "assistant", "content":"Yakuba Ouattara (1,90m, 29 ans) vit sa première expérience à l’étranger, en Espagne, au Real Bétis Séville. Retrouver l’équipe de France avec ces fenêtres peut être l’occasion d’une bouffée d’air pur comme ce fut le cas en novembre où il avait été l’appelé de la dernière heure.\\n\\n« Avant ça, je revenais d’une blessure. J’avais repris deux ou trois semaines avant. Je manquais clairement de rythme. Le fait d’être revenu en équipe de France, de m’entraîner avec le groupe avec l’intensité qu’on y met, et de jouer ces matches m’avaient permis de me retrouver moi-même et de montrer ce dont j’étais capable. En plus, on a eu l’arrivée d’un nouveau coach, c’était un bon timing. »\\n\\nLe Real Betis Seville (17e, 5 victoires, 16 défaites) se traîne en Liga Endesa et c’est là aussi une... nouvelle expérience pour l’ancien Monégasque.\\n\\n« J’ai pratiquement toujours eu l’habitude de jouer dans des équipes où l’on gagnait. Cette saison, c’est un peu compliqué au niveau des victoires. Mais j’aime beaucoup la liga Endesa, c’est l’un des meilleurs championnats européens, si ce n’est le meilleur. Il y a beaucoup de styles de jeu pratiqué là-bas. On court beaucoup, on a beaucoup de libertés dans le jeu offensif. Je vois une bonne différence par rapport au championnat de France. Les équipes sont très compétitives, la moindre erreur est payée cash. C’est beaucoup moins athlétique que le championnat de France mais ça joue très bien au basket. Avec un peu plus de victoires, ça serait parfait ». Il enchaîne : « L’objectif du club en début de saison était de jouer le maintien. J’avoue que je m’attendais à ce que l’on fasse un peu mieux quand même de par l’effectif que l’on avait. Mais on a eu beaucoup de mal à trouver une dynamique d’équipe, à jouer ensemble. Avec l’arrivée de Joan Plaza, beaucoup de choses ont changé, on commence à être de mieux en mieux et sur cette deuxième partie de saison, ça sera beaucoup mieux. »\\n\\nLe 21 juillet 2017, Yakuba Ouattara avait signé un two-way contract avec les Brooklyn Nets mais il n’a jamais posé ses baskets en NBA, se contentant de la G-League. On sent que le rêve est passé :\\n\\n« Y retourner, ce n’est plus vraiment une priorité pour moi, ni un objectif. Si ça se présente, c’est sûr que je serai bien content. Mon objectif est de gagner une équipe d’Euroleague, soit en Liga Endesa soit n’importe où en Europe. Jouer au plus haut niveau possible. »\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs de la JL Bourg encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nLe meneur américano-macédonien Jordan Theodore a réussi un joli parcours depuis son départ de la JL en 2015 (il y avait joué 17 matches de Jeep Elite), passant notamment par Milan, alors qu’il effectue sa deuxième saison à UNICS Kazan. Il a été MVP de la SuperCoupe d’Italie, de la Coupe Intercontinentale et de la Basketball Champions League.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALTomas Kyzlink27ITA-1Reggio Emilia1828.62.61.910.27.3Trey Lewis28ISR-1M. Rishon1226.52.01.914.311.2Jordan Theodore31VTB L.UNICS Kazan724.32.45.010.313.0Malcolm Cazalon19ABA L.Mega Bemax1719.11.21.47.77.3Thomas Kennedy33JAP-1Hiroshima Dragonflies3324.84.01.714.812.9Youssou Ndoye29SPA-1Sevilla2119.84.70.310.19.7Ludovic Chelle37FRA-3Chartres418.81.52.010.810.8Lamonte Ulmer34FRA-1Orléans925.34.40.914.816.6Jackie Carmichael30ABA L.Igokea1421.93.62.07.68.4Kevin Dinal27FRA-2Gries-Oberhoffen925.29.12.110.017.0John Flowers31FRA-1Boulazac828.53.01.311.99.8Kerem Kanter25GRE-1Kolossos H Hotels1425.86.61.516.416.9Garrett Sim30FRA-1Chalon924.02.62.77.75.9Chase Simon31FRA-1Dijon1125.02.51.511.39.6Lucas Plasse23FRA-3Mulhouse1317.11.43.34.44.3Bathiste Tchouaffe22FRA-2UJAP Quimper727.03.60.915.316.3Charles-Henri Bronchard38FRA-2Vichy-Clermont822.33.61.810.110.4Alexis Tanghe30FRA-2Blois919.63.10.97.27.1Johan Randriamananjara20FRA-2UJAP Quimper79.72.31.03.74.6Mbaye Ndiaye21FRA-2Blois917.05.41.36.810.7Marc-Antoine Pellin33FRA-3Saint-Vallier1121.22.72.75.78.1Xavier Gaillou31FRA-3Saint-Vallier1019.62.73.96.58.8Frejus Zerbo31FRA-2Aix-Maurienne810.32.40.41.31.9William Pfister25FRA-2Saint-Quentin816.44.50.92.15.5Chris Johnson30ISR-1Hapoel Holon1028.85.61.817.019.1Bali Coulibaly25FRA-3CEP Lorient1224.35.31.114.414.3Jerome Cazenobe31FRA-2Saint-Chamond1029.67.43.511.118.1Rob Gray26FRA-1Mets 92416.81.31.810.08.5Gilvydas Biruta29LIT-1Prienu CBet915.42.91.36.16.1Raphael Desroses40FRA-3Vanves1127.53.62.212.712.5Thomas Van Ounsem21FRA-3JSA Bordeaux1024.53.70.911.49.5Georgi Joseph38FRA-1Le Portel820.95.82.04.99.9Johan Passave-Ducteil35FRA-1Le Portel818.32.51.18.38.9Mathieu Wojciechowski28FRA-1Le Portel315.72.01.34.03.7Thibault Desseignet22FRA-2Nantes719.31.02.17.75.9Garry Chathuant37FRA-2Nantes722.43.61.47.46.1Jerome Sanchez30FRA-2Nantes723.73.74.08.312.3Abdel Kader Sylla30FRA-2Nantes723.64.91.17.08.0Thomas Prost24FRA-2Poitiers612.00.70.84.22.3Meredis Houmounou32FRA-2Nancy725.43.63.06.47.1Devin Booker29VTB L.Khimki Moscow Region821.35.91.314.517.4Ognjen Carapic22ABA L.FMP Beograd1011.71.31.63.84.1\\n\\nPhoto: Jordan Theodore" }, {"role": "user", "content":"Lahaou Konate : «Je sais que j’ai un rôle plutôt dans l’ombre»" }, {"role": "assistant", "content":"Joueur de devoir, Lahaou Konate (1,96m, 29 ans) des Metroplitans de Boulogne-Levallois est devenu au fil du temps l’un des piliers de l’équipe de France pour les fenêtres internationales.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous apportez de l’énergie sur le terrain et de la joie de vivre en dehors. Comment vous sentez-vous au sein de l’équipe de France ?\\n\\nJe me sens très bien. Je sais que je suis un privilégié d’être ici. C’est pour ça que j’essaie de donner le maximum que ce soit sur ou en dehors du terrain. Je pense que c’est pour ça que je suis ici. Le staff me demande beaucoup d’énergie, d’intensité. Je sais que j’ai un rôle plutôt dans l’ombre. Les missions défensives sont en général un peu pour les gars comme moi. J’ai pu discuter un peu avec Vincent pendant ces deux jours et il m’a clairement dit de mettre de l’intensité défensivement, il compte sur moi pour le jeu sans ballon. On essaye d’appliquer cela sur le terrain.\\n\\nComment avez-vous vécu le début de saison, vous qui avez été atteint par le Covid ? Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?\\n\\nAujourd’hui, je me sens très bien. C’est vrai que c’était compliqué pour moi en début de saison avec le Covid, et après je suis revenu trop vite et je me suis blessé au mollet. Et suite à cette blessure, j’ai eu une petite bactérie à l’estomac qui m’a aussi freiné. J’ai pu me soigner, bien me remettre physiquement et aujourd’hui, Dieu merci, tout va bien.\\n\\n« Depuis tout jeune, je suis les JO. C’est un rêve ultime »\\n\\nQue pensez-vous de l’arrivée chez les Bleus de Maxime Roos, qui est votre équipier chez les Bleus ?\\n\\nJe suis très content pour lui. Je le connais depuis un bon petit bout de temps. De voir qu’il progresse et qu’il s’épanouit au sein de notre collectif, notamment en jouant en 4, c’est vraiment une belle récompense de le voir faire partie de ce groupe durant cette fenêtre. Il le mérite. C’est un bosseur, il est humble. J’espère que ça va être dans la continuité de tout ça, qu’il va continuer à progresser et à travailler dur.\\n\\nIl y a une petite colonie de Parisiens en équipe de France avec les Nanterriens. Ça créé une ambiance particulière ? Certains soutiennent le PSG ?\\n\\nIl y a une très bonne ambiance, notamment avec Isaia (Cordinier), Mathias Lessort, Amtah Mbaye. On est issu de Paris, on charrie un peu avec Nicolas Barth, le kiné. Il y en a qui sont de Marseille et c’était marrant hier (NDLR : mardi) de voir leurs têtes.\\n\\nQuels sont vos souvenirs des Jeux Olympiques et est-ce un rêve de jouer les Américains ?\\n\\nPour ma part, je n’ai jamais fait les JO (rires). Comme spectateur, c’est toujours plaisant de voir l’équipe de France faire de gros matches, notamment à la Coupe du monde face aux Américains. Depuis tout jeune, je suis les JO. C’est un rêve ultime. Mais déjà de pouvoir participer aux qualifications, pour nous c’est énorme. On sera derrière cette équipe de France aux JO.\\n\\n« En tant que joueur, ce n’est pas facile de ne pas savoir quand on va jouer »\\n\\nL’Assemblée Générale de la Ligue doit décider dans quelques jours de la suite à donner au championnat. Comment vivez-vous cette attente de savoir si la saison va se poursuivre de façon très dense où arrêter définitivement ?\\n\\nOn est l’affût. On aimerait être fixé sur notre sort. En tant que joueur, ce n’est pas facile de ne pas savoir quand on va jouer. On a pu voir dans les journaux une sorte de planning, on ne sait pas si cela va se tenir. On est impatient de connaître la suite de la saison, si on va pouvoir la finir ou pas. On est impatient de connaître le verdict de la ligue.\\n\\nJurij Zdovc, le coach de Boulogne-Levallois, a la réputation d’être très exigeant. L’est-il avec vous et l’objectif est-il d’être champion cette année ?\\n\\nTrès exigeant, c’est la méthode yougo. Un peu comme ici, il me demande beaucoup d’intensité. C’est moi qui suis souvent en mission défensive sur les gros scoreurs. Après, on n’a pas parlé d’objectifs de gagner le titre, mais je pense que c’est un coach qui est très ambitieux et on a un groupe qui l’est aussi. On espère pouvoir aller le plus loin possible, en championnat ou en coupe de France, notamment contre l’ASVEL qui ne va pas être facile au prochain tour.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nVous apportez de l’énergie sur le terrain et de la joie de vivre en dehors. Comment vous sentez-vous au sein de l’équipe de France ?\\n\\nJe me sens très bien. Je sais que je suis un privilégié d’être ici. C’est pour ça que j’essaie de donner le maximum que ce soit sur ou en dehors du terrain. Je pense que c’est pour ça que je suis ici. Le staff me demande beaucoup d’énergie, d’intensité. Je sais que j’ai un rôle plutôt dans l’ombre. Les missions défensives sont en général un peu pour les gars comme moi. J’ai pu discuter un peu avec Vincent pendant ces deux jours et il m’a clairement dit de mettre de l’intensité défensivement, il compte sur moi pour le jeu sans ballon. On essaye d’appliquer cela sur le terrain.\\n\\nComment avez-vous vécu le début de saison, vous qui avez été atteint par le Covid ? Comment vous sentez-vous aujourd’hui ?\\n\\nAujourd’hui, je me sens très bien. C’est vrai que c’était compliqué pour moi en début de saison avec le Covid, et après je suis revenu trop vite et je me suis blessé au mollet. Et suite à cette blessure, j’ai eu une petite bactérie à l’estomac qui m’a aussi freiné. J’ai pu me soigner, bien me remettre physiquement et aujourd’hui,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Une arèna de 13 000 places pour Francfort en 2025" }, {"role": "assistant", "content":"Les Skyliners de Fraport prévoient de disposer d’une nouvelle arèna pour le démarrage de la saison 2025/26.\\n\\nLa ville de Francfort (750 000 habitants) va en construire une pour un coût de 150 millions d’euros. Elle contiendra 13 000 sièges, dont environ 700 sièges VIP et 1 600 sièges affaires. 130 événements sont prévus annuellement, dont 70 concerts, 50 événements sportifs et 10 autres événements (par exemple assemblées générales et salons).\\n\\n« Une grande arèna urbaine moderne donnerait à Francfort un site de basket ambitieux, et la perspective de franchir une étape importante », estime le président de la ligue allemande, Stefan Holz. « Nous voyons à travers l’Europe et dans divers sports que la croissance en un endroit est principalement initiée par une nouvelle arèna. Tirer parti de ce potentiel de croissance pour le plus beau sport en salle au monde dans la ville de Francfort- et plus généralement dans la région métropolitaine Rhin/Main- avec l’aide la nouvelle salle aiderait certainement easyCredit BBL à aller de l’avant. »\\n\\nLes Skyliners de Fraport sont actuellement une équipe moyenne du championnat allemand (10e avec 7 victoires et 12 défaites)." }, {"role": "user", "content":"Pro B : Saint-Quentin, la très bonne surprise du début de saison" }, {"role": "assistant", "content":"Dans nos prédictions de début de saison, nous avions classé Saint-Quentin à la 14e place, à peine mieux que nos confrères de Basket Le Mag, qui voyaient le SQBB 17e. Résultat, à la pause de mi-février, l’équipe entraînée par Julien Mahé occupe une magnifique 4e place ex-aequo, devant des cadors de la division comme Nancy, Paris, Rouen ou Nantes. Julien Mahé dévoile les ingrédients de cette recette très réussie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme beaucoup de clubs aux moyens limités (1 759 000 € de budget, 12e de Pro B, et 620 000 € de masse salariale, 14e), le Saint-Quentin Basket-Ball (SQBB) a été obligé de se liver à de nombreux paris dans son recrutement, tant en ce qui concerne son contingent étranger que pour les quatre U23 obligatoires (le club ne dispose pas d’un centre de formation agréé). Ce qui explique que les médias spécialisés ont classé le SQBB en fin de classement dans leurs prédictions, d’autant que l’équipe sortait d’une saison plutôt chaotique pour son retour en Pro B : au moment de l’interruption de la saison, Saint-Quentin figurait à la 17e place (7 victoires-16 défaites), en position de relégable, donc. La faute notamment à une défense « portes ouvertes », encaissant 85,8 points par match (seul Évreux faisait pire, avec 86,3 pts).\\n\\nCertes, Julien Mahé avait repris les rênes de l’équipe après que Thomas Giorguitti, l’un des artisans de la remontée en Pro B, ait passé la main sur un bilan de 4 v.-14 d. Mais ses trois victoires en cinq matchs ne laissaient pour autant pas présager un exercice 2020-21 aussi réussi qu’il l’est pour l’instant. À l’heure de la trève internationale, le SQBB est en effet 5e de Pro B (6 victoires pour 3 défaites), seulement devancé au point-average par Fos-Provence. Et les hommes de Julien Mahé ont « refermé les portes » : pour l’heure, le SQBB n’encaisse plus que 73,2 pts par match (12,6 de moins que la saison passée !), ce qui en fait la troisième équipe de Pro B dans ce secteur (derrière Paris, 71,1 pts, et Quimper, 73,1 pts). Qui plus est, après un départ laborieux mais toutefois encourageant, conclu par deux revers, à Fos-sur-Mer (71-73) et à Antibes (79-83), le SQBB n’a plus connu la défaite, hormis un « accident de parcours » à domicile face à Denain (62-69), l’autre équipe surprise de ce début de saison (3e avec une victoire de plus que Saint-Quentin).\\n\\nL’atout défense\\n\\nPour Julien Mahé, l’entraîneur du SQBB, le chaotique début de saison de l’équipe a contribué à son actuelle réussite : « notre groupe vit bien ensemble, il s’est construit sur notre difficile début de saison. Avec la pandémie, nous avons eu du mal à faire venir nos joueurs étrangers, ce qui nous a beaucoup retardés dans notre préparation. En fait, nous avons eu un déclic en novembre, période qui nous a permis d’achever notre travail de préparation. Et nous avons ensuite pu concrétiser en gagnant à Paris (90-83), ce qui a évidemment contribué à nous donner confiance. »\\n\\nLe SQBB fonctionne avec un effectif réduit : l’ailier Carl Ponsar, recruté à l’intersaison, n’a pas pu jouer une seconde, blessé, alors que Junior Ouattara, tout frais émoulu du centre de formation de Villeurbanne, s’est heurté aux dures réalités de la Pro B, bénéficiant de peu de minutes après une préparation pourtant encourageante. Bref, Saint-Quentin s’appuie sur un socle de huit joueurs en tout et pour tout. Et une ligne de conduite très claire : « nous ne lâchons pas défensivement, c’est ce qui fait notre caractère. Comme nous ne sommes pas très adroits (43,4 % aux tirs, 14e de Pro B) et que nous tirons beaucoup à trois-points (29,7 par match pour 31,8 % de réussite), la défense nous permet de rester à flots. Et si les tirs rentrent, nous pouvons faire un écart. Nous avons un socle défensif cohérent, avec Parker Jackson-Cartwright et Akwasi Yeboah en première ligne. Ils défendent dur, donc tout le monde suit. »\\n\\nHugo Besson et Parker Jackson-Cartwright, les excellents paris à la mène\\n\\nL’Angelino Parker Jackson-Cartwright (1,80 m, 25 ans) et le Britannico-Ghanéen Akwasi Yeboah (1,98 m, 23 ans) sont du reste les bonnes pioches étrangères du recrutement. Arrivant du championnat anglais, le premier « était un pari, » souligne Julien Mahé. « Il venait d’Angleterre, mais on voyait qu’il avait du potentiel. Comme il est arrivé tard, il n’a pu prendre ses marques, s’adapter, qu’en novembre. Au début, il partait un peu trop souvent vers le cercle et, en défense, il cherchait trop l’interception (NDLR : il en réussit 3,2 par match). »\\n\\nL’un des bons points de l’intersaison du SQBB est d’avoir par ailleurs pu conserver pour la quatrième saison de suite le capitaine Benoît Gillet (1,90 m, 34 ans) ainsi que les deux étrangers de l’intérieur, le Canadien Lien Phillip (2,00 m, 31 ans) et le New-Yorkais Ryan Rhoomes (2,03 m, 28 ans), trois joueurs d’expérience, apportant du liant sur et en dehors du terrain.\\n\\nMais la grande satisfaction du recrutement saint-quentinois, c’est évidemment Hugo Besson (1,91 m, 19 ans). Arrivant de Chalon-sur-Saône où il écrasait le championnat Espoirs (25,0 pts, 4,0 rbds, 4,6 pds) tout en butant sur le passage à l’équipe fanion (6,3 mn/match sur 12 rencontres à 1,4 pt et 1,2 d’évaluation en Jeep Élite la saison passée), l’Angevin a rapidement pu montrer son savoir-faire. « Pendant l’absence de Parker Jackson-Cartwright en début de saison, il a eu les clés de l’équipe et il en a profité pour gagner la confiance du staff et de ses équipiers. Il y a encore du déchet dans son jeu, il doit notamment épurer sa sélection de tirs, mais il n’a que 19 ans. S’il était déjà parfait, il ne serait pas chez nous ! » sourit Julien Mahé. Cela étant, le meneur-arrière risque de ne pas traîner en Pro B : pour sa première saison à cet étage, il vaut déjà 16,0 points (40,3 % aux tirs dont 28,1 % à trois-points, son principal point faible actuellement), 3,8 rbds, 2,7 pds et 12,3 d’évaluation. « Il est un peu dans le dur actuellement au niveau de l’adresse, mais c’est un excellent shooteur, » précise Julien Mahé. « En outre, il fait des efforts défensifs, il comprend bien les défenses que nous proposons. Du reste, nous avons l’une des meilleures défenses de Pro B alors qu’il joue 30 minutes par match, c’est significatif. »\\n\\n« Timothée Bazille n’est plus le même joueur, plus le même garçon que lorsqu’il est arrivé«\\n\\nLes autres jeunes joueurs du SQBB n’en sont pas au même stade qu’Hugo Besson mais Julien Mahé reste optimiste à leur égard : « Junior Ouattara découvre le monde professionnel, il ne s’entrainaît pas trop avec les pros, à Villeurbanne. Il va avoir besoin d’un peu de temps. Quant à Timothée Bazille, nous avons beaucoup discuté avec Limoges pour le conserver une deuxième saison. Aujourd’hui, ce n’est plus le même joueur, plus le même garçon que lorsqu’il est arrivé, même s’il est encore trop inconstant. »\\n\\nAvec tous ces points positifs, qu’attendre de la suite du championnat, pour peu qu’il perdure ? « Nous espérons que le championnat continue. Et nous l’abordons avec humilité. Nous savons pouvoir battre tout le monde mais aussi n’avoir de marge sur personne. Et nous ne sommes pas à l’abri d’une blessure. L’un de nos objectifs, c’est que le groupe progresse. Il est jeune, les joueurs sont motivés à l’idée de se maintenir en haut de tableau. Donc, j’espère que nous allons progresser. Maintenant, vu la situation actuelle, il n’est pas facile de se motiver quand on ne sait pas quand on va jouer ni qui on va jouer. Et nous attendons le retour du public. J’espère qu’au printemps, nous pourrons jouer avec une jauge. Cela permettra aux joueurs de partager ces moments avec notre public. »\\n\\nPhotos : Grégory Portelette www.com1declic.net\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nComme beaucoup de clubs aux moyens limités (1 759 000 € de budget, 12e de Pro B, et 620 000 € de masse salariale, 14e), le Saint-Quentin Basket-Ball (SQBB) a été obligé de se liver à de nombreux paris dans son recrutement, tant en ce qui concerne son contingent étranger que pour les quatre U23 obligatoires (le club ne dispose pas d’un centre de formation agréé). Ce qui explique que les médias spécialisés ont classé le SQBB en fin de classement dans leurs prédictions, d’autant que l’équipe sortait d’une saison plutôt chaotique pour son retour en Pro B : au moment de l’interruption de la saison, Saint-Quentin figurait en 17e position (7 victoires-16 défaites), en position de reléguable, donc. 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Les Sharks d’Antibes ont signé Daniel Goethals, 51 ans, qui a a paraphé un contrat de deux ans et demi, jusqu’en juin 2023, et qui remplace ainsi Anthony Stanford, qui assurait l’intérim à la tête de l’équipe professionnelle après le départ de Nikola Antic, et qui va retrouver son poste initial d’assistant.\\n\\nInternational belge pendant plus de vingt ans, « Big Dan » a été actif dans le basketball féminin jusqu’en 2014, avant de prendre la tête de plusieurs formations belges de première division puis de l’Union Neuchâtel en Suisse.\\n\\n«J’ai déjà eu l’occasion de travailler avec les jeunes par le passé et c’est évidemment un défi auquel je m’identifie. Mon objectif est de faire évoluer nos jeunes joueurs avec l’aide d’anciens comme Ali Traoré ou Gédéon Pitard qui sont de gros compétiteurs. 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Les anciens joueurs des Mets de Boulogne-Levallois encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nLes Metropolitans, un club qui a porté diverses appellations, a essaimé des joueurs un peu partout, dans les championnats français inférieurs, vers des destinations exotiques et en NBA. A propos, une pensée pour l’international Vincent Poirier, actuellement dans la meilleure équipe de la Conférence Est, Philadelphie (19 victoires, 10 défaites) mais pour connaître ce qu’il y a de pire pour un joueur: le banc. Depuis la rentrée, il est entré 4 fois et pour moins de 5′ en moyenne. 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C’est en première division chypriote qu’il a fait ses premiers pas en pro avec l’Etha Engomi de Nicosie. Il est retourné l’année suivante aux USA, pour une saison de D-League avec les Los Angeles D-Fenders avant de signer pour deux saisons en Europe, la première en Italie (Pistoïa, Série A) et la seconde en France sous les couleurs de la JDA Dijon. Ses statistiques de fin de saison en Pro A furent de 11.9 pts (à 40% de réussite), 2.7 rbds, 1.5 pds/m.\\n\\nAprès une nouvelle saison en D-League avec les Texas Legends, il parvint à mettre un pied en NBA en 2017 aux Los Angeles Clippers qui lui ont offert un « two-way contract » qui lui permet d’évoluer avec l’équipe de développement de la franchise en G-League, les Agua Caliente Clippers of Ontario mais aussi en ligue majeure. Il a effectué 35 rencontres avec en point d’orgue, un match abouti (15 pts) et le tir de la gagne face à Atlanta en janvier 2018.\\n\\nLa saison suivante, il a disputé 15 matches supplémentaires en NBA avec les Minnesota Timberwolves tout en jouant plus régulièrement avec l’équipe affiliée en G-League des Iowa Wolves. La saison dernière, toujours en G-League, il portait les couleurs des Long Island Nets, là même où évolue cette saison Elie Okobo.\\n\\nLe coach Laurent Vila : « CJ est un poste 3/2 vraiment complet qui dispose d’une bonne adresse à 3 points. Il sait se fondre dans un collectif, amener du contrôle dans le jeu. C’est un bon passeur et apporte aussi beaucoup de l’autre côté du terrain avec du rebond et de la défense. Il a souvent eu pour mission de défendre sur les joueurs d’impact des équipes adverses, il aime cela. Les échanges que j’ai pu avoir avec lui m’ont permis de voir qu’il connait parfaitement la situation de la JeepELITE depuis son passage dijonnais. Il a notamment pu en discuter avec pas mal de joueurs qui évoluent en France et avec qui il est en contact. C’est quelqu’un qui va énormément nous apporter, de part son expérience et son fighting spirit. »" }, {"role": "user", "content":"Maxime Roos : «J’ai vu Thomas Heurtel gagner des médailles alors que moi, je ne jouais qu’en 3e division régionale»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier de Boulogne-Levallois Maxime Roos (2,02m, 26 ans le 24 mars) est le rookie de l’équipe de France lors de cette fenêtre à Podgorica. Il porte un regard frais et même émerveillé sur cette première sélection.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuels sont vos premiers sentiments vis-à-vis de ce stage à Podgorica ?\\n\\nJe suis très content d’être là, très excité. J’avais déjà été partenaire d’entraînement, donc je savais un peu à quoi m’attendre. La différence c’est que là, je suis dans les douze. Il y a deux, trois joueurs que je ne connaissais pas, on apprend à se connaître.\\n\\nAviez-vous été surpris d’être convoqué ? Aviez-vous eu des échanges avec Vincent Collet au préalable et qu’attend-il de vous ?\\n\\nJe n’avais pas eu d’échanges avant la sélection. Ça faisait partie de mes objectifs individuels, déjà sur la première fenêtre que j’avais loupée. Après, j’ai continué à faire mon bout de chemin avec le club. J’avais une grosse attente sur cette fenêtre-là. Je l’ai appris après tout le monde, à l’issue d’un entraînement, par Lahaou (Konate). Il est revenu sur le terrain me dire « félicitations ! ». Ça faisait partie de mes objectifs mais ça reste une surprise. C’est toujours extraordinaire d’apprendre sa première sélection. J’ai parlé avec Vincent du rôle que je peux avoir. Ça va être assez similaire à ce que je fais en club, c’est-à-dire m’utiliser principalement sur le poste 4, même si je peux doubler sur les postes 4 et 3. C’est pour amener cette polyvalence et l’activité que je peux avoir, de course, sur la défense, sur les contres, etc.\\n\\nAu Monténégro, il y a des intérieurs un peu lourds, et vous aurez un moyen de les déséquilibrer. Est-ce une cible particulière pour vous ?\\n\\nAvec les Métros, on a joué les deux clubs du Monténégro en Eurocup (Buducnost VOLI Podgorica et Mornar Bar) et leur équipe nationale est faite à 90% avec ces deux équipes-là. Je connais déjà les joueurs en face, les postes 4. (Danilo) Nikolic est un assez grand poste 4 (2,05m), un peu plus lent, qui joue aussi en périphérie. J’ai cette capacité de course et aussi athlétique à utiliser contre eux. Il va falloir qu’on les fatigue, que l’on ait une dimension athlétique un peu plus grande que la leur.\\n\\n« Pour 2021, je dois conserver les pieds sur terre, c’est un peu short, mais il y a toujours la possibilité des JO de 2024 »\\n\\nAvez-vous regardé les matches précédents à la télévision, et qu’aviez-vous ressenti ? Vous sentiez-vous concerné ?\\n\\nBien sûr, je regardais tous les matches. C’est l’équipe de France, on est derrière en tant que joueur français. C’est du basket français à l’international, c’est toujours important de supporter son pays encore plus quand c’est notre sport de prédilection. Ils ont fait de gros matches, ils ont envoyé des messages à tout le monde lors de ces fenêtres. On sait que ce ne sont pas des matches faciles, en plus avec les conditions actuelles. Le public français a aussi besoin de ça, de voir du sport, voir leurs équipes performer. Ça leur permet de s’occuper un peu l’esprit dans cette période difficile. Et puis, je regardais l’équipe de France depuis tout petit. J’ai vu Thomas Heurtel gagner des médailles alors que moi, je ne jouais qu’en 3e division régionale, et aujourd’hui je me retrouve à être son coéquipier. Les rêves que l’on a pu avoir enfant se concrétisent petit à petit et c’est toujours agréable de vivre ça.\\n\\nAvez-vous eu droit à un bizutage pour cette première en bleu et qu’allez-vous faire de ce premier maillot ?\\n\\nPour le bizutage, j’avais déjà pas mal pris quand j’étais partenaire d’entraînement (sourire), entre les chansons d’anniversaire, aller chercher des ballons dans les tribunes. Pour le moment, pas encore. Les horaires d’entraînement sont chronométrés, on doit libérer la salle directement. Le maillot, je pense que je vais le garder, il sera pour ma famille. Je ne pense pas que je le donnerai à un fan mais le donner à mes parents pour les remercier de tout ce qu’ils ont fait pour moi pour me permettre d’arriver là, même si ce n’est que le début.\\n\\nMaintenant que vous êtes en équipe de France, rêvez-vous d’aller aux JO ou restez-vous les pieds sur terre, sachant qu’il y a des joueurs de NBA et d’Euroleague qui seront de retour ?\\n\\nBien sûr que l’on sait que les joueurs NBA et d’Euroleague seront les premières options. Pour 2021, je dois conserver les pieds sur terre, c’est un peu short, mais il y a toujours la possibilité des JO de 2024. Ça fait partie de mes objectifs sur le terme : continuer à progresser en club, à m’impliquer. J’ai mis les deux pieds dedans aujourd’hui et je vais gratter ce que j’ai à gratter au fur et à mesure, profiter un maximum, donner tout ce que j’ai à donner pour l’équipe et le maillot.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuels sont vos premiers sentiments vis-à-vis de ce stage à Podgorica ?\\n\\nJe suis très content d’être là, très excité. J’avais déjà été partenaire d’entraînement, donc je savais un peu à quoi m’attendre. La différence c’est que là, je suis dans les douze. Il y a deux, trois joueurs que je ne connaissais pas, on apprend à se connaître.\\n\\nAviez-vous été surpris d’être convoqué ? Aviez-vous eu des échanges avec Vincent Collet au préalable et qu’attend-il de vous ?\\n\\nJe n’avais pas eu d’échanges avant la sélection. Ça faisait partie de mes objectifs individuels, déjà sur la première fenêtre que j’avais loupée. Après, j’ai continué à faire mon bout de chemin avec le club. J’avais une grosse attente sur cette fenêtre-là. Je l’ai appris après tout le monde, à l’issue d’un entraînement, par Lahaou (Konate). Il est revenu sur le terrain me dire « félicitations ! ». Ça faisait partie de mes objectifs mais ça reste une surprise. C’est toujours extraordinaire d’apprendre sa première sélection. J’ai parlé avec Vincent du rôle que je peux avoir. Ça va être assez\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Décès de Evelyne Golhen, médaillée de bronze au championnat du monde de 1953" }, {"role": "assistant", "content":"Son nom n’est probablement connu que des spécialistes. Pourtant Evelyne Golhen, une arrière d’1,70m, fut médaillée de bronze lors du 1er championnat du monde FIBA en 1953 à Santiago du Chili (défaite de 4 points contre les Etats-Unis et de 10 face au Chili). La Havraise est décédée à l’âge de 88 ans.\\n\\nAu Chili où les médias locaux dirent d’elle qu’elle était « une reine plus jolie que le soleil ». Elle fut licenciée à l’ASA Normand Le Havre, le club d’une autre internationale, Anne-Marie Colchen, meilleure joueuse française de sa génération." }, {"role": "user", "content":"Khimki Moscou : salaires impayés, interdiction de recruter" }, {"role": "assistant", "content":"Le Khimki Moscou est une château de cartes qui est en train de s’écrouler. Un coach licencié (Rimas Kourtinaitis), des joueurs millionnaires dont le contrat est rompu (Greg Monroe et Jonas Jerebko), un Américain (Devin Booker) qui demeure aux Etats-Unis prétextant une paternité, des blessures mystérieuses, et 15 défaites consécutives en Euroleague pour un bilan de deux victoires en 23 matches.\\n\\nEt voici que la rumeur de salaires non versés se confirme; début février, une source proche du club avait déclaré à RIA Novosti que les joueurs n’avaient pas été payés depuis deux mois. L’Association des joueurs d’Euroleague (ELPA) a porté plainte auprès de l’Euroleague et celle-ci a interdit au club russe de recruter de nouveaux joueurs « en raison d’une possible violation des règles du fair-play financier ».\\n\\nLe jury financier a maintenant 30 jours pour étudier les accusations de non-paiement et prendre une décision définitive.\\n\\nPhoto: Errick McCollum (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel : «j’ai eu des offres de plein d’équipes en Europe dont Villeurbanne»" }, {"role": "assistant", "content":"Au-delà des deux matches face au Monténégro et la Grande-Bretagne, qualificatifs pour l’EuroBasket 2022, le retour de Thomas Heurtel (1,88m, 31 ans) en bleu est l’attraction de cette semaine à Podgorica.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuelles sont vos premières impressions avec ce retour en équipe de France ?\\n\\nJe suis content de remettre ce maillot, surtout après ma blessure et ce championnat du monde que j’avais loupé. Je suis content aussi de retrouver des sensations dans le 5 contre 5, content de retrouver du plaisir à jouer au basket.\\n\\nComment vous êtes-vous entretenu physiquement ces dernières semaines, avec un préparateur physique ?\\n\\nC’était assez compliqué avec la situation dans laquelle on est pour trouver une salle et des infrastructures pour garder la forme. J’ai contacté certaines personnes à Barcelone qui m’ont donné les clés d’une salle, qui s’appelle Next MVP, c’est plus ou moins comme la Hoops Factory en France. Je m’entraînais deux fois par jour, le matin et l’après-midi, individuellement. J’ai essayé de faire du mieux possible pour venir en équipe de France et garder la forme.\\n\\nEstimez-vous être actuellement au maximum de votre niveau ?\\n\\nPhysiquement, je me sens plutôt bien mais au niveau collectif, ça fait deux mois que je n’ai pas joué. Je recommence à reprendre des sensations petit à petit. Je ne pense pas que je serai au top de ma forme contre le Monténégro et l’Angleterre mais pour quelques minutes, je serai opérationnel.\\n\\n« C’est peut-être mieux de préparer mon corps à de futures saisons très importantes qui arrivent »\\n\\nComment avez-vous vécu toute cette période extrêmement longue avec votre opération du genou, le COVID-19 et puis cette rupture avec Barcelone ?\\n\\nC’est une période compliquée, surtout la blessure, qui m’a fait louper le championnat du monde et presque toute la saison dernière. Ma situation avec mon ex-équipe de Barcelone fut un mois très compliqué pour moi et ma famille. Je suis content que ça soit résolu. J’ai déjà tourné la page et j’espère que le futur sera brillant.\\n\\nOn a pu lire dans la presse que vous pourriez signer à l’ASVEL et au Real Madrid la saison prochaine. Que pouvez-vous en dire ?\\n\\nRéellement, j’ai eu des offres de plein d’équipes en Europe dont Villeurbanne, c’est vrai. Je n’ai pas encore pris ma décision de savoir si je vais finir la saison dans un club ou pas. Quand ça sera le moment voulu, vous le saurez !\\n\\nN’est-ce pas obligatoire de finir la saison dans un club dans la perspective des Jeux Olympiques ?\\n\\nC’est peut-être mieux que je finisse la saison dans un club. Je vais prendre la décision dans les jours à venir. Mais c’est peut-être mieux de préparer mon corps à de futures saisons très importantes qui arrivent.\\n\\nBeaucoup de gens auraient aimé entendre votre voix après votre séparation avec Barcelone. On n’a entendu que des rumeurs vis-à-vis de ce qui s’est passé à Istanbul. Que pouvez-vous en dire aujourd’hui ?\\n\\nMerci de la question mais on est là pour parler de l’équipe de France. Comme je l’ai dit, la page de Barcelone, je l’ai tournée.\\n\\nL’objectif principal, ce sont les Jeux Olympiques de Tokyo. Quels souvenirs conservez-vous de ceux de Rio et notamment du match contre les Etats-Unis ?\\n\\nLes JO avaient eu un goût amer. On n’y avait pas forcément fait une bonne prestation. Contre les Américains j’avais fait un bon match (18 points, 8 rebonds, 9 passes) malgré la défaite (97-100). C’est sûr qu’à Tokyo, on a une carte à jouer et j’espère que je ferai partie de l’aventure et que l’on pourra faire une belle médaille.\\n\\nAvez-vous eu l’occasion de regarder à la télévision les autres matches de qualifications à cet Euro. Cela fait longtemps que vous êtes parti du championnat de France, aussi connaissiez-vous les joueurs présents ici ?\\n\\nJ’ai regardé les deux matches précédents qui se sont disputés à Pau. Je connaissais certains joueurs et il y en a d’autres que j’apprends à connaître pendant ces jours de stage. Pour l’instant, tout se passe bien. Il y avait déjà un groupe homogène que l’on avait vu à Pau où ils ont fait deux bons matches. J’espère que l’on va faire les mêmes prestations ici au Monténégro.\\n\\nL’avis de Lahou Konate sur Thomas Heurtel :\\n\\n« Dès les premiers entraînements, on voit que c’est Thomas Heurtel ! On voit très bien son potentiel. Je suis dans son équipe à l’entraînement et ça me permet de bien l’analyser. Ça fait plaisir d’avoir un gros joueur comme Thomas dans notre effectif pour pouvoir affronter le Monténégro et les Anglais car on sait très bien que ça va être de gros matches. Je pense qu’il va vraiment beaucoup nous apporter, que ce soit offensivement et défensivement. J’espère qu’il va faire deux gros matches, se qualifier et fêter ça tous ensemble. »\\n\\nL’avis de Maxime Roos sur Thomas Heurtel :\\n\\n« A l’entraînement, je suis dans son équipe et ça me permet de découvrir son jeu avec lui. Ça se passe vraiment bien. Il a une anticipation sur le jeu qui est vraiment incroyable. Il voit tout, il n’y a pas de perte de temps sur les passes, sur les choix qu’il fait. Il m’a vraiment impressionné sur les premiers entraînements. Ça reste un accomplissement en soi car il fait partie des joueurs que j’ai vu à la télé en étant jeune, en me disant « ah ! J’aimerais bien être à leur place ! Je vais travailler pour. » Aujourd’hui, je me retrouve à lui faire des passes, il me fait des passes, des alley oops. C’est gratifiant. Et en plus sous le maillot de la France, c’est génial. Comme j’avais pu côtoyer Boris Diaw sur sa dernière année de carrière en club. C’est ce que tout jeune joueur espère un jour pouvoir faire et ça se concrétise, c’est assez fou. »\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQuelles sont vos premières impressions avec ce retour en équipe de France ?\\n\\nJe suis content de remettre ce maillot, surtout après ma blessure et ce championnat du monde que j’avais loupé. Je suis content aussi de retrouver des sensations dans le 5 contre 5, content de retrouver du plaisir à jouer au basket.\\n\\nComment vous êtes-vous entretenu physiquement ces dernières semaines, avec un préparateur physique ?\\n\\nC’était assez compliqué avec la situation dans laquelle on est pour trouver une salle et des infrastructures pour garder la forme. J’ai contacté certaines personnes à Barcelone qui m’ont donné les clés d’une salle, qui s’appelle Next MVP, c’est plus ou moins comme la Hoops Factory en France. Je m’entraînais deux fois par jour, le matin et l’après-midi, individuellement. J’ai essayé de faire du mieux possible pour venir en équipe de France et garder la forme.\\n\\nEstimez-vous être actuellement au maximum de votre niveau ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB: Bonne soirée pour Nantes et Tarbes" }, {"role": "assistant", "content":"Nantes-Rezé et Tarbes ont fait une bonne affaire dans la perspective d’un maintien en Ligue Féminine.\\n\\nRoche Vendée s’est écroulé dans le dernier quart-temps, prenant un 0-16 pour commencer et encaissant finalement un 11-36 pour terminer à 65-82. Le plus étonnant, c’est que la pivot chilienne des Déferlantes Ziomara Morrison (17 points, 10 rebonds) était exclue du jeu pour 5 fautes. Gros match de Marie Mané, auteure de 20 points.\\n\\n« On ne dépend pas d’une joueuse et tout le monde a répondu présent, on est restée ensemble », a savouré la Mozambicaine Leia Dongue interrogée par Presse Océan.\\n\\nDe son côté, Tarbes n’a pas fait de détails à Charnay (63-85), sous la vive impulsion de Margaux Galliou-Loko (22 pts), Jamie Scott (19 pts) et Regan Magarity (19 pts, 11 rbds). Du côté des Pinkies, si Vionise Pierre-Louis (22pts) a été efficace, Olivia Epoupa a été très discrète (2 points, 2 d’éval).\\n\\nDéfait face à Lyon (63-77), c’est Saint-Amand, tout comme Charnay, qui fait la mauvaise opération de la soirée. Les Nordistes sont toujours lanterne rouge (1 victoire, 11 défaite) à une victoire de Charnay et deux de Nantes et Tarbes.\\n\\nPhoto: Marie Mané (Nantes-Rezé, LFB)" }, {"role": "user", "content":"La Belgique à même de se qualifier pour son 5e EuroBasket d’affilée" }, {"role": "assistant", "content":"Encore une victoire et les Belges participeront à leur 5e EuroBasket consécutif. A priori, ils devraient tomber le Danemark affaibli samedi, et ils auront ensuite un éventuel filet de sauvetage contre la République Tchèque, lundi. Contre les Danois, ils bénéficieront du soutien de leur pivot Ismaël Bako, que Villeurbanne a bien voulu libérer pour l’occasion. En fait, les Belgian Lions ont l’intention de remporter les deux rencontres afin de terminer premiers de leur groupe, ce qui serait loin d’être dénué d’intérêt.\\n\\n“Un tel scénario serait historique pour l’équipe nationale masculine. Cela nous éviterait par exemple de croiser des équipes comme l’Espagne et la France, ou d’autres vainqueurs de groupe dès le premier tour de l’Euro. Cela augmente automatiquement les chances de qualification pour le tour final », analyse le manager général des Lions, Jacques Stas, pour La Dernière Heure. “Il s’agira sans doute d’une compétition très relevée car l’événement a désormais lieu tous les quatre ans et non plus tous les deux ans comme auparavant. Chaque nation fera donc le maximum pour y figurer avec ses meilleurs éléments. Mais le but pour les Lions serait de réaliser le meilleur résultat de leur histoire dans cette compétition. Cela signifierait donc un top 8 avec une qualification pour les quarts de finale. »\\n\\nLa Belgique aura donc de l’ambition, mais Jacques Stas y met une condition :\\n\\n“Encore faut-il que tout le monde soit disponible au même moment. Mais de plus en plus de joueurs belges parviennent à s’illustrer favorablement au sein de championnats étrangers plus huppés et sont en forme actuellement. C’est un signe. Le championnat belge, dont le niveau a baissé ces dernières années, devient lui de plus en plus vite trop petit pour nos talents et c’est dommage. Je pense d’ailleurs que, dans le contexte actuel, il faudrait encore plus limiter le nombre de joueurs étrangers afin d’obliger les clubs à miser sur les Belges et quelques étrangers avec une vraie plus-value.”\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Le Lokomotiv Kuban se sépare de son étoile Jordan Crawford pour indiscipline" }, {"role": "assistant", "content":"Le Lokomotiv Kuban a officiellement annoncé la résiliation du contrat avec le combo guard américain Jordan Crawford (1,93m, 32 ans). La raison de cette décision est « les violations répétées du règlement intérieur du club par le joueur ».\\n\\nDans un communiqué publié sur le site web du club, le vice-président du Lokomotiv Kuban, Ginas Rutkauskas, a déclaré :\\n\\n« Les joueurs n’ont pas que des droits, comme recevoir un salaire, mais aussi des responsabilités. Si un joueur a enfreint à plusieurs reprises les règlements adoptés par le club et quitte également les sites de l’équipe sans autorisation en attendant les préparatifs des matchs les plus importants de la saison, alors, malheureusement, nous n’avons qu’une seule chose à faire: nous séparer de lui. L’équipe doit compter sur ceux qui sont prêts pour le combat et sont concentrés sur les résultats, uniquement des joueurs disciplinés, de vrais professionnels, ceux qui ne placent pas leurs objectifs personnels au-dessus des objectifs de l’équipe. »\\n\\nAvec le départ de l’Américain, le club russe perd gros car en 13 matchs de VTB League, l’ancien joueur NBA a obtenu en moyenne 18,4 points, 2,3 rebonds et 3,2 passes décisives. En Eurocup, Jordan Crawford a joué 14 matchs avec une moyenne de 16,6 points, 1,9 rebond et 2,2 passes décisives.\\n\\nÀ la peine dans le groupe E du Top 16 de l’Eurocup, le club russe se doit de gagner les deux prochains matchs face à Boulogne-Levallois le 3 mars et Trento une semaine plus tard, afin de conserver une chance de se qualifier en quart de finale.\\n\\nPhoto : Eurocup – Fedor Aebor" }, {"role": "user", "content":"Que sont-ils devenus ? Les anciens joueurs du Boulazac BD encore en activité" }, {"role": "assistant", "content":"Nous vous permettons de savoir où en sont statistiquement tous les joueurs passés par les clubs actuels de Jeep Elite et qui sont toujours en activité. Ces chiffres sont compilés en partenariat avec Proballers, les experts des statistiques de basket.\\n\\nPas moins de 23 anciens joueurs du BBD appartiennent aux deuxième et troisième divisions françaises (Pro B et Nationale 1). L’une des plus belles réussites est l’Anglais Ovie Soko, arrivé en Dordogne à sa sortie de l’université de Duquesne en 2014 et qui est aujourd’hui à 30 ans l’un des joueurs majeurs de Jeep Elite avec Le Mans.\\n\\nJoueurAgeLigueEquipe actuelleMJMINREBPDSPTSEVALRosaire Malonga25FRA-3Andrézieux ALS Basket1326.13.93.512.511.7Kyle Gibson33POL-1Slask Wroclaw1528.72.22.313.512.1Aaron Cel33POL-1Polski C. Toruń2329.17.63.212.917.9Akil Mitchell28ISR-1M. Rishon1230.69.31.814.819.6Darryl Monroe34ISR-1M. Rishon1232.57.53.811.016.7Patrick Miller28ISR-1Ness Ziona1034.72.64.718.817.0Jarvis Williams27ITA-1Vanoli Cremona1728.58.90.712.517.2Dustin Ware30POL-1King Szczecin1323.01.92.59.89.1Kenny Chery28ITA-1Germani Brescia1825.12.33.010.69.7Patrik Auda31JAP-1Yokohama B-Corsairs2825.15.71.714.214.2Remi Lesca30FRA-1Pau-Lacq-Orthez1117.91.51.54.54.0Nicolas De Jong32FRA-1Pau-Lacq-Orthez416.32.80.09.38.8Osiris Eldridge32TUR-1Buyukcekmece1929.14.82.210.411.4Olivier Romain32FRA-3Chartres1328.12.95.211.615.8Alexandre Aygalenq23FRA-3Vendee Challans1218.31.60.95.34.4Giovan Oniangue29FRA-1Orléans925.63.21.310.19.3Travis Leslie30FRA-1Champagne B.831.44.62.516.516.5Pierre-Etienne Drouault30FRA-2Rouen935.44.13.219.618.2Johnny Berhanemeskel28FRA-1Nanterre 92715.71.70.34.32.4Alpha Kaba24FRA-1Nanterre 92719.35.10.47.09.1Shawn Jones28POL-1Anwil Wloclawek518.07.00.08.810.4Stephan Gauthier25FRA-3Etoile Angers Basket1227.75.51.915.813.1Gauthier Darrigand38FRA-3DGB401221.61.73.29.29.7Gaetan Clerc29FRA-3La Rochelle Rupella1329.23.43.912.014.6Ovie Soko29FRA-1Le Mans927.07.62.717.420.4David Jackson34FRA-2UJAP Quimper729.14.12.714.414.0Alexis Tanghe30FRA-2Blois919.63.10.97.27.1Jonathan Boucaud25FRA-3Cheruy211.50.00.01.0-2.5Hugo Dumortier27FRA-3Boulogne-sur-Mer917.81.44.79.112.6Issife Soumahoro32FRA-3Cheruy1228.81.80.99.16.0Lionel Gaudoux25FRA-3Cheruy1225.58.51.316.719.7Marc-Antoine Pellin33FRA-3Saint-Vallier1121.22.72.75.78.1Xavier Gaillou31FRA-3Saint-Vallier1019.62.73.96.58.8Dinma Odiakosa35FRA-2Lille718.64.40.77.18.0Raymond Cowels30POL-1PGE Spójnia2031.85.21.914.713.4Jason Siggers35ISR-1Hapoel Haifa1232.83.43.318.518.0David Ramseyer33FRA-2Aix-Maurienne829.44.41.413.411.1Quincy Diggs30AT-1Oberwart1830.15.73.612.815.1Ibrahim Saounera33FRA-3CEP Lorient1229.92.23.211.310.8Lasan Kromah29FRA-1Cholet830.62.62.812.07.5Nianta Diarra27FRA-1Cholet916.13.90.36.77.7Karvel Anderson29TUR-1Buyukcekmece1531.32.42.715.210.8Mohammad Diop21FRA-3GET Vosges1113.81.40.74.52.7Michael Umeh36FRA-1Le Portel120.03.00.03.03.0Victor Mopsus21FRA-3Toulouse BC1122.22.83.75.57.7Jerome Sanchez30FRA-2Nantes723.73.74.08.312.3Meredis Houmounou32FRA-2Nancy725.43.63.06.47.1Arnaud Kerckhof36FRA-3Orchies723.94.94.73.68.7Tyler Larson29GER-1Brose Bamberg216.51.02.50.0-5.5\\n\\nPhoto: Ovie Soko" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Un soir de match avec Isaïa Cordinier" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste de Sport en France, Lukas Nicot, nous emmène avec Isaïa Cordinier, un soir de match à Maurice-Thorez. « Forcément c’est ce jour là que le capitaine de Nanterre 92 décide d’envoyer le poster de l’année... »\\n\\nCa, c’est du reportage inside !" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B: Vers un redémarrage en mars" }, {"role": "assistant", "content":"Les présidents des clubs de Jeep Elite et de Pro B ont voté aujourd’hui à la majorité pour une reprise de la compétition en mars et l’Assemblée Générale de la LNB devrait entériner cette décision lundi.\\n\\nLe calendrier s’annonce coton puisque les clubs de Jeep Elite n’ont joué jusqu’à présent qu’entre 8 matches (Boulazac) et 13 (Boulogne-Levallois).\\n\\n« Les clubs devront donc se prononcer lundi sur cette reprise, qui semble désormais acquise, en valider les modalités et avaliser la suppression des play-offs tels qu’ils étaient prévus puisque le retard pris ne permet pas d’organiser une phase finale s’étendant sur plusieurs semaines », précise L’Equipe.\\n\\nIl reste donc à savoir de quelle façon le championnat de Jeep Elite pourra se terminer et comment le champion sera désigné. Dès la fin de la saison régulière ou par un Final 8." }, {"role": "user", "content":"Médias: L’Euroleague 7e évènement sportif le plus suivi en janvier, la Jeep Elite 8e" }, {"role": "assistant", "content":"Quel a été l’évènement sportif le plus suivi en France en janvier, tous médias confondus (TV, presse, radio, internet, réseaux sociaux, plateformes vidéos) ? C’est le championnat du monde de handball qui a su occuper le terrain à cette époque de l’année. Ceci est le résultat d’un baromètre Sport Tracker de Vertigo et l‘Observatoire du Sport Business.\\n\\nLe basket-ball n’est pas si mal classé derrière les ligues de foot et de rugby et quelques évènements ponctuels (Vendée Globe, Coupe du Monde de Biathlon), grâce à l’Euroleague (7e) et la Jeep Elite (8e) bien que celle-ci ne joue que par intermittence, ce qui la pénalise." }, {"role": "user", "content":"Suzuki prend la route de l’Esport avec la FFBB Hoops League" }, {"role": "assistant", "content":"SUZUKI France devient Partenaire Officiel de la FFBB Hoops League, compétition esport sur le jeu Rocket League lancée par la Fédération Française de BasketBall en décembre 2020. Ce nouvel asset permettra de compléter la prise de parole déjà existante de SUZUKI France autour du basketball et de la FFBB.\\n\\nFournisseur Officiel de la FFBB depuis juillet 2019, Suzuki effectue ses premiers pas dans l’esport à travers Rocket League et son mode Hoops, jeu particulièrement pertinent pour la marque puisqu’il mêle l’univers automobile à celui du basketball.\\n\\nCette association permettra à SUZUKI France de toucher une nouvelle cible, de rajeunir son image de marque et de continuer à prendre la parole autour du basketball dans une période où l’ensemble de la discipline et des pratiquants sont impactés par la crise sanitaire.\\n\\nAccompagné par l’agence SEVEN by You First Sports, SUZUKI France renforce son engagement dans le basketball, auprès de la communauté de la FFBB et se positionne comme un partenaire novateur et actif. SUZUKI France devient ainsi le premier partenaire de l’histoire de cette compétition, promise à un bel avenir national et international avec le soutien de l’éditeur américain Psyonix.\\n\\nLe partenariat FFBB Hoops League x SUZUKI France sera à retrouver dès le mercredi 17 février sur toutes les plateformes de la compétition et lors des lives sur la plateforme Twitch. Un dispositif de visibilité complet sera proposé à la marque et de nombreuses activations seront prévues d’ici à la remise des trophées aux vainqueurs de la compétition, qui interviendra lors des Finales de la Coupe de France en avril prochain.\\n\\nGilbert KINGOLD, Directeur Adjoint – Département Automobile SUZUKI France :\\n\\n« Nous sommes très fiers de devenir le premier Partenaire Officiel de la FFBB Hoops League. Cette opportunité nous a été présentée en exclusivité par la FFBB et l’agence SEVEN pour prolonger nos engagements existants dans le basketball. Aux vues des perspectives nouvelles que ce partenariat représentait (nouvelle cible, nouveaux canaux de communication, engouement grandissant de l’esport en France, etc.), nous ne pouvions pas passer à côté. »\\n\\nJean-Pierre SIUTAT, Président de la Fédération Française de BasketBall :\\n\\n« Je suis très heureux que notre partenaire SUZUKI France ait choisi de nous accompagner dans l’esport. La FFBB Hoops League, lancée récemment, rencontre déjà un beau succès auprès de l’exigeante communauté des fans. Avec SUZUKI à nos côtés, nous partons à la conquête d’un tout nouveau terrain de jeu. »\\n\\nQuentin BRAVET et François GANDOLFI, co-fondateurs et Directeurs associés de l’agence SEVEN by You First Sports :\\n\\n\\n« Nous sommes ravis d’accompagner SUZUKI pour ses premiers pas dans l’esport. Ce partenariat avec la FFBB Hoops League, qui se déroule sur Rocket League, est pleinement cohérent pour une marque automobile et s’inscrit comme un complément parfait à leur partenariat existant avec la FFBB. Un nouvel asset prometteur qui va nous permettre de renforcer la présence de SUZUKI dans le basketball et ainsi étoffer le plan d’activation que nous menons tout au long de l’année. »\\n\\nA propos de la FFBB Hoops League\\n\\nLa FFBB, en collaboration avec l’agence internationale de marketing spécialisée dans l’esport, Freaks 4U Gaming, a créé la FFBB Hoops League. Ayant pour volonté de proposer une offre à destination à la fois des amateurs de basket et des initiés de l’esport, la FFBB s’est orientée vers Rocket League et son mode Hoops. En effet le jeu, accessible à tous gratuitement sur toutes les plateformes depuis septembre 2020, revendique 60 millions de joueurs à travers le monde, tandis que son mode Hoops s’inscrit naturellement dans l’ADN de la culture basket. La FFBB a donc lancé le 16 décembre dernier la « FFBB Hoops League » : une série de tournois hebdomadaires ouverts à tous, les « Hoops League Series », permettront de se qualifier aux « Hoops League Masters ». Ces tournois sont commentés en direct sur Twitch par deux influenceurs Esport. Cette première saison prendra fin en avril 2021 et les trophées seront remis aux joueurs à l’occasion des finales de la Coupe de France de basket." }, {"role": "user", "content":"Limoges CSP : La nouvelle direction attaque l’ancienne devant le tribunal de commerce" }, {"role": "assistant", "content":"L’actuelle direction du Limoges CSP lance une procédure devant le tribunal de commerce de Limoges où il a assigné l’ancien président du conseil de surveillance, Jean-Léonard Picot, et l’ancien président du directoire Youri Verieras.\\n\\n« Selon nos informations, plusieurs décisions actées par Youri Verieras auraient contribué au déficit du Limoges CSP qui demanderait plus de 400.000 euros de dommages et intérêts. Contacté ce mercredi matin, l’ancien président du directoire, aujourd’hui directeur général du SLUC Nancy, s’est contenté de dire qu’il réserverait ses arguments « pour le tribunal, », écrit Le Populaire, qui détaille toutes les facettes de l’affaire.\\n\\nQuant à Jean-Léonard Picot, il marque sa surprise et ajoute :\\n\\n« J’ai découvert certaines choses après l’AG de 2019 alors que je n’étais plus président. On cherche à m’impliquer dans quelque chose auquel je n’ai pas participé. Mon rôle n’était pas de gérer l’entreprise mais de vérifier sa gestion. On me reproche de ne pas avoir alerté mais il aurait fallu avoir des éléments pour le faire. Je ne peux pas contrôler des choses dont je ne suis pas au courant. »" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet à propos de Thomas Heurtel : «il y a de l’excitation chez lui, il est en forme»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans la bulle de Podgorica, l’équipe de France a deux matches à livrer: face au Monténégro, samedi, et à la Grande-Bretagne, lundi. Il lui faut au moins une victoire pour être certaine de se qualifier à l’EuroBasket 2022. Le coach Vincent Collet et le manager général adjoint Boris Diaw font le point.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuel est le contexte général de cette fenêtre ?\\n\\nBoris Diaw : Elle est différente pour nous puisque nous devions cette fois nous déplacer. Nous avons eu la chance de voyager dans de bonnes conditions, en vol privé. On est rentré dans une bulle sanitaire dès Paris et dès l’hôtel, nous avons commencé à nous couper du reste du monde. Nous avons été pris en charge ici dans la bulle du Monténégro. Tous les joueurs sont très motivés. La petite différence vis-à-vis de d’habitude c’est que le staff est réduit. Nous ne pouvions être que 25 personnes au maximum. Patrick Beesley (GM du Team France) et Frank Kuhn (préparateur physique) ne sont pas là avec nous au Monténégro.\\n\\nVincent Collet : Le contexte est clairement établi. Une victoire sur les deux matches à venir nous qualifierait quels que soient les autres résultats. Si d’aventure nous étions battus deux fois, nous regarderons les résultats des adversaires avec beaucoup d’attention. Si, par exemple, la Grande-Bretagne perdait contre l’Allemagne samedi, il faudrait que l’on perde de moins de 23 points lundi contre la Grande-Bretagne. Mais ce n’est pas du tout notre état d’esprit en venant au Monténégro. Notre qualification ne dépend que de nous et nous voulons remporter ces deux matches, même si nous savons que celui contre le Monténégro, en particulier, va être difficile. L’objectif est de terminer le chemin de qualification dès samedi soir. On n’a pas beaucoup de temps pour se mettre en place, c’est encore un peu plus réduit par rapport à une configuration habituelle avec des créneaux d’entraînements écourtés. Ça demande beaucoup de concentration aux joueurs.\\n\\nComment avez-vous décidé de restreindre le staff ?\\n\\nBD : C’était difficile de faire les différents choix. Si on avait pu, évidemment tout le monde aurait participé à cette fenêtre. On a décidé de privilégier le médical sachant que de toutes façons, les conditions sont difficiles pour faire de la préparation physique. Le choix aurait été différent, par exemple, sur un regroupement sur l’été de deux mois où on a vraiment le temps de travailler. Là, nous n’avons que quatre jours d’entraînement avant de commencer le premier match. Il y aurait eu de toutes façons très peu de préparation physique. Ce n’est pas une remise en forme comme après l’été, c’est une fenêtre au milieu de la saison. Les joueurs arrivent de leurs clubs et sont déjà préparés physiquement. C’est plus du maintien, une routine que les joueurs ont déjà en place. C’est pour ça que l’on a décidé, malheureusement, de ne pas venir avec Frank.\\n\\nLes quatre équipes sont-elles logées dans le même hôtel à Podgorica et les croisez-vous à l’intérieur ou est-ce que tout est entièrement cloisonné ?\\n\\nBD : Toutes les équipes sont dans le même hôtel. Les salles de repas sont les unes à côté des autres. La seule équipe que nous avons croisé pour l’instant, ce sont les Monténégrins, qui mangent à côté de nous et qui s’entraînent juste après nous. On les a croisés de loin. Quinze minutes sont prévues entre les deux entraînements pour désinfecter le banc et différentes choses à la salle. Je ne sais pas si les autres équipes sont déjà arrivés à l’hôtel où si elles arrivent aujourd’hui. Chaque équipe à son étage, nous sommes au 3e.\\n\\n« Quand tu reprends, ce n’est pas le premier jour qui compte vraiment, c’est au bout de trois, quatre jours, voir comment il va encaisser la succession d’efforts »\\n\\nDans quelle forme se trouve Thomas Heurtel sachant qu’il n’a pas joué depuis plusieurs semaines et qu’il jouait peu lors de ses derniers matches avec Barcelone ?\\n\\nBD : Personnellement, je le trouve très bien, en forme, affûté. Pour avoir discuté avec lui avant de nous retrouver, je sais que Thomas a quand même pu continuer à s’entraîner individuellement sur ces dernières semaines.\\n\\nVC : On n’a fait qu’un vrai entraînement, hier soir, et court. On s’est échauffé en répétant nos systèmes pendant une bonne demi-heure, donc il y a eu globalement une demi-heure de jeu avec beaucoup d’interruptions dans un premier temps. On a traversé seulement sur le dernier quart d’heure mais il était vraiment bien. Comme quiconque n’a pas joué depuis un certain temps, il y a de l’excitation chez lui. Il était vraiment en forme. Comme l’a dit Boris, il s’est entraîné. Il s’est même adjoint les services d’un préparateur physique venu de France ces derniers temps. Il est affûté. Je pourrai mieux répondre à cette question dans trois jours. Dès ce soir on va faire une séance plus dure. Il y a aussi la répétition. Quand tu reprends, ce n’est pas le premier jour qui compte vraiment, c’est au bout de trois, quatre jours, voir comment il va encaisser la succession d’efforts. Mais la première impression est bonne.\\n\\nY a-t-il eu des conditions spécifiques pour le faire venir en terme d’assurances étant donné qu’il n’a pas de club actuellement ?\\n\\nPatrick Beesley : Sans rentrer dans les détails, bien sûr qu’il y a des dispositions particulières puisqu’il y a plusieurs critères. Le premier, c’est que Thomas n’a plus d’employeur, le second c’est que c’est un énorme contrat, et le troisième c’est qu’il sort de blessures. Donc, bien entendu, il y a des dispositions particulières et la fédération a fait le nécessaire pour qu’il soit assuré.\\n\\nQu’attendez-vous de Isaia Cordinier ?\\n\\nVC: Il s’est installé l’an passé en équipe de France. On a vu sur la fenêtre de novembre qu’il a augmenté son volume de jeu, ses prérogatives. Aujourd’hui, on le considère comme l’un des leaders de cette équipe des fenêtres. J’avais pu dire à l’issue de la fenêtre de novembre qu’il était même l’un des joueurs que l’on regardait au-delà même des fenêtres. Il y a bien sûr ce qu’il peut faire avec nous lors de ces fenêtres mais aussi toute l’année avec Nanterre. C’est quelqu’un qui est aujourd’hui dans une phase de progression et j’espère ardemment que cette fenêtre le confirme, qu’il soit vraiment l’un de nos fers de lance pour ces deux matches contre le Monténégro et la Grande-Bretagne.\\n\\n« Les fers de lance de cette équipe, ce sont ses meneurs, Justin Cobbs et (Nikola) Ivanovic »\\n\\nParlez-nous des forces du Monténégro ?\\n\\nVC : Il en a plusieurs. La première, c’est que la majorité de ses joueurs sont issus de Buducnost Podgorica, qui a joué au premier tour de l’Eurocup contre Boulogne et qui est maintenant dans le groupe de Bourg-en-Bresse. Les fers de lance de cette équipe, ce sont ses meneurs, Justin Cobbs et (Nikola) Ivanovic. Ce sont deux bons joueurs de un-contre-un et ce sont eux les principaux responsables de la création dans l’équipe. Beaucoup de choses tournent autour du pick and roll. Ils aiment les switchs parce que dans ce cas-là, ils se retrouvent opposés aux grands et ils ont une vraie capacité à créer pour eux et pour les autres. Ivanovic est vraiment un scoreur. Cobbs, on le connaît bien puisqu’il a été un joueur majeur de notre championnat, en particulier lors du titre du Mans en 2018. Ils ont des postes 4 qui sont des shooteurs très corrects, à l’image de (Danilo) Nikolic. Il y a deux frères, Zoran joue poste 5. Ils ont un jeune joueur qui alterne les deux positions : (Marko) Simonovic, qui offensivement a une palette intéressante. C’est une équipe qui développe un basket vraiment technique. C’est du basket serbe. C’est le Monténégro aujourd’hui mais l’école est yougoslave. Il faudra que l’on soit capable d’amener de l’agressivité, de la vitesse parce que je pense que l’on a un vrai avantage dans ce domaine-là. Si on est capable de courir, de jouer vite, on peut leur poser de vraies difficultés. Et aussi de les faire défendre car comme toute équipe yougoslave, ils sont malins mais je pense que l’on peut les faire souffrir si on arrive à les déplacer, en particulier dans les reprises défensives. Certains joueurs sont un peu lourds, un peu lents. Défensivement, il faut faire ce que l’on avait fait il y a un an, à Nantes : mettre beaucoup de pression dès la montée de balle sur Ivanovic et Cobbs, pour tenter de les user dans la durée.\\n\\nFort de l’expérience à Pau, y a-t-il un réel avantage de jouer à domicile quand c’est à huis clos ? Les statistiques en Euroleague laissent apparaître que l’avantage est faible ?\\n\\nVC : L’avantage du terrain est bien sûr moindre. C’est d’autant plus important dans un endroit où l’ambiance aurait été chaude. On sait que la salle (Bemax Arena) porte son équipe. C’était le cas pour Podgorica en Euroleague il y a deux ans et ça l’aurait été pour l’équipe nationale. C’est sûr que c’est préférable pour nous de jouer dans ce contexte-là, même si personnellement j’aurais préféré que la salle soit pleine et chaude, quitte à ce que ce soit encore plus dur. L’avantage qu’ils ont c’est qu’ils jouent vraiment à domicile. C’est-à-dire que quand on a joué à Pau, on n’avait pas de joueurs de Pau, alors qu’eux, la moitié de l’équipe joue dans cette salle-là toute l’année. Il y a deux critères pour le match à domicile. Il y a bien sûr l’atmosphère, l’ambiance, le public, mais il y a aussi les repères. Et eux, ils sont chez eux, vraiment. C’est à prendre en compte aussi, malgré tout.\\n\\n« Ce que je souhaite, c’est que l’on prenne la décision de rejouer et ce de façon définitive et régulière »\\n\\nQuel est votre avis sur cette drôle de saison de Jeep Elite qui n’a pas beaucoup de lisibilité. Etes-vous inquiet pour ce qui pourrait survenir derrière ?\\n\\nVC: Forcément. L’inquiétude est là pour tous les acteurs du basket et du sport en général. Ce que je souhaite, c’est que l’on prenne la décision de rejouer et ce de façon définitive et régulière pour que l’on puisse aller au bout de cette saison. C’est vrai que pour l’instant c’est difficile à suivre. Au sein d’une même journée, il y a un match d’une 8e journée et un autre de la 12e, et au bout du compte, les équipes n’ont pas le même nombre de matches, ça rend les choses difficiles. J’espère que les décisions qui vont être prises dans les jours qui viennent vont aller dans le sens d’une reprise totale qui servirait notre sport, même si on sait que économiquement c’est très compliqué pour les clubs. Notre secteur d’activité fait partie des plus touchés par cette pandémie. Il faudrait être fou pour ne pas être inquiet par rapport à ce qui se passe.\\n\\nLe projet qui va être présenté demain aux présidents prévoit 17 matches pour chaque équipe en mai et juin. N’avez-vous pas peur que cela puisse fatiguer les joueurs, à commencer par ceux de l’ASVEL, qui font l’Euroleague ?\\n\\nVC: Vous savez, les joueurs aiment jouer et quand on joue davantage, on réduit les entraînements. On ne peut pas tout avoir et il faut avoir un peu de flexibilité. Je n’ai aucune importance dans le processus de décision, je tiens à le dire (sourire), mais par contre je milite pour le fait qu’il y ait des matches. Il n’y a pas de solutions parfaites. Il y a des équipes qui n’ont joué que 8-9 matches et si on veut finir la saison, ça veut dire qu’elles vont maintenant en disputer 26. A l’ASVEL, il y a 13 ou 14 joueurs et je pense qu’ils peuvent s’en sortir même avec des matches rapprochés. Si on peut le faire en NBA, je pense que l’on peut jouer trois fois par semaine en France. Nos joueurs ne sont pas moins capables de le faire. Ce n’est pas quelque chose qui m’inquiète beaucoup. C’est une concession que l’on doit faire pour pouvoir jouer car le plus important c’est de jouer. C’est ce que je pense, humblement.\\n\\nPhoto d’ouverture: Thomas Heurtel (FIBA)\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nBoris Diaw : Elle est différente pour nous puisque nous devions cette fois nous déplacer. Nous avons eu la chance de voyager dans de bonnes conditions, en vol privé. On est rentré dans une bulle sanitaire dès Paris et dès l’hôtel, nous avons commencé à nous couper du reste du monde. Nous avons été pris en charge ici dans la bulle du Monténégro. Tous les joueurs sont très motivés. La petite différence vis-à-vis de d’habitude c’est que le staff est réduit. Nous ne pouvions être que 25 personnes au maximum. Patrick Beesley (GM du Team France) et Frank Kuhn (préparateur physique) ne sont pas là avec nous au Monténégro.\\n\\nVincent Collet : Le contexte est clairement établi. Une victoire sur les deux matches à venir nous qualifierait quelque soit les autres résultats. Si d’aventure nous étions battus deux fois, nous regarderons les résultats des adversaires avec beaucoup d’attention. Si, par exemple, la Grande-Bretagne perdait contre l’Allemagne samedi, il faudrait que l’on perde de moins de 23 points lundi contre la Grande-Bretagne. Mais ce n’est pas du tout notre état d’esprit en venant au Monténégro. Notre qualification ne dépend que de nous et nous voulons remporter ces deux matches, même si nous savons que celui contre le Monténégro, en particulier, va être difficile. L’objectif est de terminer le chemin de qualification dès samedi soir. On n’a pas beaucoup de temps pour se mettre en place, c’est encore un peu plus réduit par rapport à une configuration habituelle avec des créneaux d’entraînements écourtés. 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J’imagine qu’il était en colère, nerveux, et il m’a frappé par derrière, quand je ne regardais pas. Il m’a fracturé la mâchoire... Sur le coup, je suis sonné. Quand j’ai réalisé ce qui venait de se passer, j’ai cherché à l’atteindre. Heureusement que des joueurs sont intervenus, cela n’aurait fait qu’empirer la situation. »\\n\\nBoubacar Toure a évoqué des « multiples coups bas » pour expliquer son mauvais geste. Il a porté plainte en arguant que Miralem Halilovic lui a touché les parties génitales.\\n\\n« Il a d’abord dit, après la partie, que je l’avais frappé en premier. Quelques jours après le match, il m’a envoyé un message pour me dire qu’il s’excusait, qu’il ne voulait pas me causer de préjudice, que tout s’était produit à chaud. Je pense surtout qu’après ma plainte, son avocat ou les gens qui l’entourent lui ont conseillé de s’excuser et de dire que j’avais touché ses parties génitales. Ça n’est jamais arrivé. C’est sûrement un conseil qu’on lui a donné, car il sait qu’il va au devant de gros problèmes devant le tribunal, donc c’est la façon qu’il a trouvée pour essayer d’alléger une éventuelle condamnation. »\\n\\nQuant à la suspension de 10 matches dont a écopé le Sénégalais, voici ce qu’en pense Halilovic :\\n\\n« Ça m’a fait sourire... Je peux vous montrer des photos de la radio de ma mâchoire pour prouver à quel point c’est une fracture sérieuse. L’intervention devait durer 1 h 30, mais c’était tellement abîmé qu’ils ont mis trois heures à m’opérer, ils m’ont mis deux plaques et deux vis. J’en ai pour trois mois d’arrêt au total. Il aurait fallu que je sois mort sur le parquet pour qu’il soit sanctionné toute la saison ? C’est ridicule. Nous irons jusqu’au bout avec mes avocats devant le tribunal pour qu’il écope de la sanction qu’il mérite. »\\n\\nPhoto: Metropolitans" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Joffrey Lauvergne MVP de la King Mindaugas Cup lituanienne" }, {"role": "assistant", "content":"Si ce week-end était en quelque sorte réservé aux coupes nationales, cela n’a pas empêché nos expatriés de performer sur le Vieux Continent. En Espagne, Fabien Causeur s’est montré impérial en demi-finale de la Copa Del Rey. Du côté de la Lituanie, Joffrey Lauvergne a réalisé un gros week-end avec deux solides prestations qui lui on valu le titre de MVP. Enfin, en Turquie, Amath M’Baye et Mam’ Jaiteh sont restés fidèles à eux-mêmes et ont livré des prestations de haut vol.\\n\\n\\nFabien Causeur décisif en Espagne\\n\\nAprès une première phase joliment maîtrisée, victoires 85-74 contre Valence en quarts et 85-79 contre Tenerife en demi-finale, le Real Madrid qui avait remporté le trophée la saison dernière a été vaincu en finale face au Barça de Léo Westermann (73-88). Quant à lui, Fabien Causeur, qui avait fait feu de tout bois lors de la demie – 18 points à 8/11 aux tirs, 3 rebonds et 2 passes décisives pour 17 d’évaluation en 29 minutes -, a été moins en vue ce dimanche. L’arrière international breton termine la rencontre avec 5 points à 2/7 aux tirs et 2 rebonds en 22 minutes.\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne élu MVP\\n\\nLe 28 janvier dernier, Joffrey Lauvergne a prolongé son contrat avec le Zalgiris Kaunas jusqu’en 2023. Après une expérience NBA mitigée et deux saisons au Fenerbahçe, l’ancien du Partizan semble avoir trouvé en Lituanie un environnement qu’il affectionne et dans lequel il s’épanouit, malgré l’absence de fans dans les salles. Au sein d’une institution du basket européen, il livre la meilleure saison d’Euroleague de sa carrière : 11,6 points et 5,9 rebonds de moyenne.\\n\\nEn Lituanie, Zalgiris est un ogre et l’a démontré lors du Final Four de la « King Mindaugas Cup », la coupe du Roi lituanienne, ce week-end. En demi-finale, les tenants du titre ont disposé du Neptunas Klaipeda, grâce à un coup de collier qui s’est avéré décisif lors du quatrième quart-temps. Le pivot tricolore a été dominateur avec 28 points à 13/19 et 10 rebonds en 25 minutes. En finale à la Cido Arena, Zalgiris a imposé sa loi au Lietkabelis Panevezys grâce à une belle répartition des points et avec un Joffrey Lauvergne à nouveau efficace : 11 points à 5/6 et 4 rebonds en 25 minutes.\\n\\nPour couronner le tout, il se voit décerner le trophée de MVP pour la toute première fois de sa carrière. L’intérieur continue de garnir son étagère de trophées avec une nouvelle coupe, lui qui a déjà gagné deux Coupes de France avec l’Élan Chalon, deux de Serbie avec le Partizan Belgrade et deux de Turquie avec le Fener.\\n\\n\\nAmath M’Baye et Mam’ Jaiteh continuent de s’éclater en Turquie\\n\\nEn Turquie, où le championnat se poursuivait, le poste 4 du Pinar Karsiyaka Amath M’Baye s’est illustré face au Turk Telecom. Avec 28 points (11/17 dont 3/5 à trois-points), l’international tricolore a ajouté 6 rebonds, 2 passes et 1 contre pour atteindre 26 d’évaluation. En toute fin de match, il nous a même ébloui de toute sa classe en claquant un dunk plein de rage pour sceller la victoire de son équipe (80-69).\\n\\nMam’ Jaiteh semble s’épanouir complètement à l’étranger. Actuel meilleur rebondeur du championnat turc, joueur majeur de BSL, il pourrait bien changer de statut à l’issue de cette saison à Gaziantep. Mais pour l’instant, Mam’ Jaiteh a continué de soigner ses lignes de stats lors de la victoire de son équipe à Ormanspor (81-80) avec 17 points (7/12 aux tirs) et 9 rebonds. Sous les couleurs de Gaziantep, le pivot francilien enchaîne les cartons et a déjà terminé 9 matchs (sur 17) en double-double et produit des statistiques (15,4 points à 67%, 10,9 rebonds et 2,1 passes décisives pour 22,2 d’évaluation) à la hauteur de son exceptionnelle saison rookie avec Boulogne-sur-Mer, en 2012/2013. Mais il s’agissait alors de Pro B...\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : Pas de match.\\n\\nLéo Westermann (Barça) : 5 points (2/2 aux tirs dont 1/1 à trois-points), 1 rebond, 3 passes pour 9 d’évaluation en 16 minutes de jeu (Victoire 103-93 face à Malaga en quart de finale de la Coupe du Roi).\\n\\n4 points (1/4 aux tirs dont 0/3 à trois-points et 2/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes, 1 ballon perdu pour 5 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Victoire 77-68 face à Vitoria en demi-finale de la Coupe du Roi).\\n\\n0 points (0/2 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 3 rebonds, 4 passes, 2 ballons perdus pour 2 d’évaluation en 7 minutes de jeu (Victoire 88-73 face au Real Madrid en finale de la Coupe du Roi).\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : Pas de match.\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 6 points (2/4 aux tirs dont 2/3 à trois-points) pour 4 d’évaluation en 7 minutes de jeu (Défaite 93-103 face au Barça en quart de finale de la Coupe du Roi).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (2/6 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 4 rebonds, 3 interceptions, 2 ballons perdus, 1 contre pour 3 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 85-74 face à Valence en quart de finale de la Coupe du Roi).\\n\\n18 points (7/11 aux tirs dont 4/8 à trois-points), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 17 d’évaluation en 29 minutes de jeu (Victoire 85-79 face à Tenerife en demi-finale de la Coupe du Roi).\\n\\n5 points (2/7 aux tirs dont 1/4 à trois-points), 2 rebonds, 3 ballons perdus pour -2 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Défaite 73-88 face au Barça en finale de la Coupe du Roi).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 5 points (2/3 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 ballon perdu pour 6 d’évaluation en 11 minutes de jeu (Victoire 96-87 face à Badalone en quart de finale de la Coupe du Roi).\\n\\n0 points (0/1 aux tirs), 1 rebond, 2 ballons perdus pour -3 d’évaluation en 7 minutes de jeu (Défaite 68-77 face au Barça en demi-finale de la Coupe du Roi).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : Blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/3 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 7 rebonds, 1 interception pour 7 d’évaluation en 27 minutes de jeu (Défaite 74-85 face au Real Madrid en quart de finale de la Coupe du Roi).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : Pas de match.\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes pour 6 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Victoire 90-71 face à Obradoiro).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : Pas de match.\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 6 points (2/3 à trois-points), 1 rebond, 1 interception pour 7 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Défaite 81-100 au Maccabi Tel Aviv).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Pas sur la feuille de match (Victoire 95-76 face au Pieno Zvaigzdes).\\n\\n28 points (13/19 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs), 10 rebonds, 1 interception, 1 contre pour 32 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 84-72 face à Klaipeda en demi-finale de la Coupe de Lituanie).\\n\\n11 points (5/6 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 passes, 4 ballons perdus pour 12 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 76-69 face à Lietkabelis en finale de la la Coupe de Lituanie).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 15 points (6/7 aux tirs et 3/6 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Défaite 91-94 à la Juventus Utenos).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : Pas de match.\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 7 points (3/3 aux tirs dont 1/1 à trois-points), 2 rebonds, 2 ballons perdus pour 7 d’évaluation en 11 minutes de jeu (Victoire 86-80 face à Avtodor).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 6 points (2/8 aux tirs dont 0/3 à trois-points et 2/3 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe pour 6 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 97-87 à Sloga).\\n\\n10 points (3/9 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 4/4 aux lancers-francs), 5 rebonds, 1 contre pour 11 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 69-93 face au Mega SoccerBet en quart de finale de la Coupe de Serbie).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 5 points (2/6 aux tirs dont 1/5 à trois-points), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 3 ballons perdus pour 1 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 93-69 face à Mladost en quart de finale de la Coupe de Serbie).\\n\\n2 points (1/4 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 1 rebond, 2 passes, 2 interceptions pour 1 d’évaluation en 12 minutes de jeu (Victoire 82-75 face à Vojvodina en demi-finale de la Coupe de Serbie).\\n\\n5 points (2/4 aux tirs dont 1/3 à trois-points), 4 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 11 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 60-73 face à l’Étoile Rouge de Belgarde en finale de la Coupe de Serbie).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 12 points (5/10 aux tirs dont 2/4 à trois-points), 2 rebonds, 6 passes, 1 contre pour 16 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 94-83 à Büyükçekmece)\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : 24 points (6/11 aux tirs dont 3/5 à trois-points et 9/10 aux lancers-francs), 4 rebonds, 4 passes, 10 ballons perdus pour 16 d’évaluation en 29 minutes de jeu (Défaite 81-84 face à Tofas).\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 17 points (7/12 aux tirs et 3/7 aux lancers-francs), 9 rebonds, 1 interception, 1 ballon perdu pour 17 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 81-80 à Ormanspor).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 28 points (11/17 aux tirs dont 3/5 à trois-points et 3/4 aux lancers-francs), 6 rebonds, 2 passes, 1 contre, 4 ballons perdus pour 26 d’évaluation en 36 minutes de jeu (Victoire 80-69 face à Izmir).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : Pas de match." }, {"role": "user", "content":"La Colombie interdit son territoire au Brésil en raison du COVID-19" }, {"role": "assistant", "content":"Les autorités sanitaires colombiennes ont opposé leur veto à l’entrée dans le pays de l’équipe brésilienne pour participer à la troisième fenêtre de qualification pour l’AmeriCup 2022, ce en raison d’un variant du coronavirus qui se propage au Brésil.\\n\\nL’entraîneur du Brésil, Aleksandar Petrovic, qui était parti en famille à Zagreb, est arrivé lundi à Cali et a attendu en vain l’arrivée de son équipe. 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Celui-ci met en lumière les joueurs et entraîneurs qui ont vécu à l’étranger et les difficultés qu’ils ont rencontré. Kyle Hines, Nick Calathes, Alex Abrines, Dimitris Itoudis, la championne WNBA Breanna Stewart et d’autres y apportent leur témoignage.\\n\\nLe coach du FC Barcelone a fréquenté un lycée américain avant de se rendre à l’université de Maryland.\\n\\n« J’ai quitté mon pays la première fois à l’âge de 17 ans », déclare Jasikevicius. « Pour un enfant, quitter l’Union soviétique pour les États-Unis revenait à passer du noir au blanc. C’était une adaptation exigeante, vraiment. Les 3-4 premiers mois, tout a été un choc. Une autre culture, une nourriture, des coutumes, des situations différentes, comme aller à l’église avec la famille le dimanche matin, d’autres situations comme ça. Dans une langue complètement différente. Même si à ce moment-là, je parlais bien l’anglais, je devais aussi gérer l’argot (slang). J’ai également dû m’habituer à des joueurs noirs locaux, qui étaient complètement différents de moi. Je ne comprenais rien au monde dans lequel ils avaient grandi avec beaucoup de violences, de guns, de racisme. Je ne comprenais pas le racisme aux Etats-Unis. Aussi c’était vraiment choquant. »\\n\\nEn tant qu’entraîneur, Jasikevicius a admis qu’il préférait avoir comme joueurs des étrangers qui avaient déjà joué en Europe.\\n\\n« Il est très important pour moi, en tant qu’entraîneur, de ne pas avoir de joueurs dans l’équipe qui viennent des États-Unis pour la première fois en Europe. Je pense qu’ils ont un très gros choc culturel. Comme je l’ai dit, lorsque je suis arrivé aux États-Unis pour la première fois, j’ai également été choqué, donc il en va naturellement de même pour les Américains qui viennent en Europe. Ensuite, vous essayez de les aider à comprendre ce qui se passe en Europe. 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J’ai eu un excellent leadership de la part de gars comme Kieron Achara, Pops Mensah-Bonsu, Luol Deng et des gars qui m’ont drivé, au point où maintenant, quand les jeunes arrivent, nous savons comment les diriger, comment nous voulons que l’équipe fasse et ce que représente GB Basketball, ce qui contribue à maintenir cette culture. »\\n\\nSi la Grande-Bretagne parvient à se qualifier, ça sera sa cinquième participation à un EuroBasket et cela laisserait un héritage positif aux futures générations.\\n\\n«Mon objectif a toujours été de m’assurer d’aider l’équipe comme je le peux pour me qualifier pour l’EuroBasket. Je n’ai jamais joué à un tournoi majeur au niveau international senior, et je veux y parvenir avant la fin de mes jours de sportif. Je veux aider à établir GB en tant qu’équipe de haut niveau, en augmentant notre profil et notre impact sur la scène internationale, et nous allons certainement dans ce sens. Nous ne voulons pas que GB Basketball soit négligée – nous voulons gagner, être remarqués et mettre en lumière les talents que nous avons dans ce pays. »\\n\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B : les jeunes ont la cote, Allan Dokossi, Ismaël Kamagaté et Hugo Besson au top" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture: Ismaël Kamagaté (Paris), Louis Marnette (Souffelweyersheim), Bathiste Tchouaffé (Quimper) – crédits photo: FFBB – BCS – Studio JAE/Jacinthe Nguyen\\n\\nMême s’il ne s’agit pas là de sa vocation principale – la division est une compétition dotée d’une récompense majeure, la montée en Jeep Élite –, la Pro B permet à de nombreux jeunes joueurs de s’aguerrir, de s’épanouir, de lancer leur carrière professionnelle avant, pour les meilleurs d’entre-eux, de partir à l’échelon supérieur, voire plus haut encore...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous ne le saviez sans doute pas, mais ils sont 72 joueurs nés en 1998 ou après, ceux que l’on nomme les U23 (les moins de 23 ans), à être entrés au moins une fois sur le parquet d’un match de championnat de Pro B (nous n’avons pas pris en compte ceux qui n’avaient joué qu’en Leaders Cup) cette saison. Un chiffre d’autant plus respectable que les 18 clubs de cette division ont fait appel à au moins deux de ces U23 – en moyenne, un club de Pro B a donc fait appel à 4 U23 au cours de la saison.\\n\\nCertes, l’on sait que les clubs de Pro B ne disposant pas d’un centre de formation agréé (ils sont quatre dans ce cas, Denain, Saint-Chamond, Saint-Quentin et Souffelweyersheim) doivent impérativement avoir quatre de ces U23 sous contrat pour éviter une amende. Mais rien n’oblige ces clubs à les faire pénétrer sur le terrain. Et pourtant, ils sont 47 à avoir joué au moins 5 matchs (chaque club de Pro B ayant disputé entre 8 et 10 rencontres) et 49 à avoir un temps de jeu moyen supérieur à 5 minutes par match – et il sont 25 à jouer plus de 15 minutes, signe qu’ils ont un véritable rôle dans l’effectif.\\n\\nEn analysant les statistiques de tous ces jeunes joueurs (arrêtées au 8 février), plusieurs chiffres méritent que l’on s’y arrête.\\n\\nLes U23 par points\\n\\nIls sont 22 U23 à présenter une moyenne de points supérieure ou égale à 5,0 points par match, dont 6 qui marquent plus de 10 points à chaque rencontre. Tout en haut de ce classement figure Hugo Besson (Saint-Quentin, 2001) avec 16,0 points, devant Bathiste Tchouaffé (Quimper, 1998), 13,9 pts, Mathis Dossou-Yovo (Blois, 2000), 12,7 pts, Juhann Bégarin (Paris, 2002), 12,4 pts, Hugo Robineau (Gries-Oberhoffen, 2000) et Louis Marnette (Souffelweyersheim, 2001), 11, 4 pts. Une belle brochette de jeunes gens entre 18 et 23 ans ayant fréquenté (sauf Bégarin) des centres de formation de clubs de Jeep Élite et étant descendus en Pro B chercher des responsabilités.\\n\\nLes temps de jeu\\n\\nSur les 72 U23 entrés en jeu en Pro B cette saison, 40 ont pu fouler le parquet plus de 10 minutes par matchs. Ils sont même 12 à avoir joué 20 minutes et plus, avec Hugo Besson, encore lui, en tête de liste avec ses 29,6 mn/match. Il devance Juhann Bégarin (28,3 mn) et Bathiste Tchouaffé (27,0 mn), signe qu’il faut passer du temps sur le terrain pour marquer.\\n\\nLes rebonds\\n\\nNeuf U23 prennent plus de 4 rebonds par match, 7 d’entre-eux en prenant au moins 5. Le meilleur rebondeur de la bande est Ismaël Kamagaté (Paris, 2001), avec 8,6 rebonds, devant Allan Dokossi (Fos-Provence, 1999), 8,2 rbds, Warren Woghiren (Gries-Oberhoffen, 1998, qui n’a joué que deux matchs avant de se blesser), 8,0 rbds, Mathis Dossou-Yovo, 7,1 rbds et Bastien Vautier (Nancy, 1998), 6,3 rbds.\\n\\nLes passes décisives\\n\\nLes chiffres en matière de passes décisives sont bien moins élevés que ceux des rebonds, le poste de meneur étant souvent confié à des joueurs expérimentés. Ce qui n’empêche pas certains clubs de faire confiance à des U23. Ainsi, Enzo Goudou-Sinha (1998) est meneur titulaire à Nancy et distille 4,4 passes par match, meilleur U23 de Pro B dans ce secteur. Il devance Dimitri Radnic (Évreux, 1999), 4,1 pds, Thimoté Vergiat (Souffel, 1998), 3,8 pds et Louis Marnette, 3,3 pds.\\n\\nÀ l’évaluation\\n\\nStatistique essentielle pour mesure l’apport d’un joueur (au moins sur les aspects offensifs, mais aussi défensifs, avec contres, rebonds défensifs ou interceptions), l’évaluation met en valeur l’apport de ces U23 : ils sont 28 à générer une éval de 5 ou plus par match, dont 12 à 10 et plus. Comme le montre le tableau ci-dessous, ce n’est pas le meilleur marqueur U23 du championnat qui présente la meilleure éval, mais Allan Dokossi, un poste 3-4 qui noircit toutes les cases, avec ses 75,0 % aux tirs (!) ainsi que ses 1,2 contre et 1,1 interception, d’où cette belle éval de 17,8. Pas mal pour un joueur promis, en début de saison, à passer plus de temps en N1 avec Sorgues via une licence AS ! Suit Ismaël Kamagaté, jeune pivot à l’affolante progression, qui shoote à 66,6 % et réalise 1,8 contre par match en plus de ses 9,1 pts et 8,6 rbds ! Pour sa part, Bathiste Tchouaffé est, avec son nouveau club de Quimper, sur la lancée de sa fin de saison dernière à Poitiers, tirant à 55,0 % dont 45,1 % à trois-points et ne perdant que 0,9 balle en 27 mn de temps de jeu. Quant à Mathis Dossou-Yovo, encore timide la saison passée à Évreux pour sa première expérience en Pro B, il a quasiment triplé ses stats, tirant à 51,3 % dont 36,1 % à trois-points et à 68,1 % aux lancers francs (contre 40,0 % la saison passée...). Enfin, parmi ces meilleurs U23 à l’éval, Hugo Besson se révèle comme étant le meilleur marqueur, mais voit son éval limitée par une sélection de tirs encore à polir : 40,3 % aux shoots (sur 13,8 tirs par match !) dont 28,1 % à trois-points. Ceci, en sus de ses 2,7 balles perdues par match, lui montrent clairement ses axes de progression. Rien de plus logique pour un joueur né en 2001, qui n’a pas encore fêté ses 20 ans.\\n\\nLe Top12 à l’évaluation\\n\\nNomPrénomClubAnnée naisMatchsMinPtsRbdsPdsEvalDokossiAllanFos1999921,99,98,20,917,8KamagatéIsmaelParis2001824,69,18,60,916,0TchouafféBathisteQuimper1998827,013,93,60,814,6Dossou-YovoMathisBlois2000921,112,77,11,014,6BessonHugoSt Quentin2001929,616,03,82,712,3MarnetteLouisSouffel2001824,811,43,83,312,3RobineauHugoGries2000627,212,34,32,812,0BégarinJuhannParis2002728,312,43,92,610,7Ndiaye (SEN)MbayeBlois1999917,06,85,51,310,7VautierBastienNancy1998919,16,26,30,810,7RambautJulesQuimper1998816,68,13,01,010,5WoghirenWarrenGries1998217,04,08,00,010,0\\n\\nPar année de naissance\\n\\nLe benjamin du championnat s’appelle Romain Hoetzel, il est né le 1er juillet 2004 et est entré 7 fois en jeu pour Gries-Oberhoffen (dont trois comme titulaire !), et pas pour faire de la figuration : son temps de jeu moyen est de 12,3 mn/match, il marque 2,0 pts, prend 1,1 rbd et donne 1,3 pd pour 2,1 d’éval. Pas mal pour un gamin de 16 ans.\\n\\nS’il y a donc un 2004 dans le championnat, aucun 2003 n’a en revanche évolué en Pro B cette saison. Ils sont 7 de la génération 2002 à l’avoir fait, dont deux avec un véritable rôle : Juhann Bégarin et Vincent Amsellem à Antibes (11,9 mn, 3,3 pts, 3,2 d’éval).\\n\\nLa génération 2001 est la mieux représentée avec 20 joueurs entrés sur le terrain, dont 12 ayant un rôle important, avec en tête de liste Hugo Besson et Louis Marnette. Du côté des 2000, ils sont 16 entrés en jeu et 8 réellement responsabilisés, Mathis Dossou-Yovo et Hugo Robineau en tête. Les 1999 ne sont plus « que » 14 entrés en jeu, mais 10 jouent régulièrement, avec Allan Dokossi et le Sénégalais de Blois Mbaye Ndiaye comme meilleurs représentants. Enfin, les 1998 ont eux aussi été 14 à entrer en jeu, mais un seul n’a que peu ou pas de responsabilités (Ismaël Cadiau à Denain, 4 matchs joués pour 4,5 mn, 0,5 pt et 1,0 d’éval). Et les meilleurs de cette génération sont Bathiste Tchouaffé et Bastien Vautier.\\n\\nLes U23 par club\\n\\nOn ne peut que s’en féliciter, les 18 clubs de Pro B alignent peu ou prou des U23 sur le terrain. Avec toutefois quelques nuances importantes : si Blois, Évreux, Gries-Oberhoffen et Saint-Quentin font appel à 5 U23, Aix-Maurienne n’en fait jouer que 2, les douze autres clubs en présentant 3 ou 4. En outre, tous les clubs n’accordent pas le même temps de jeu à leurs U23. Ainsi, à Paris, les 4 jeunes du club se partagent 84,5 mn/match. Suivent les deux clubs alsaciens, Souffel avec 73,0 mn/match pour 4 joueurs et Gries-Oberhoffen avec 71,3 mn répartis entre 5 joueurs. Bois (68,0 mn pour 5 joueurs) et Quimper (56,5 mn pour 4 joueurs) montrent également qu’on peut viser les sommets de la Pro B tout en faisant confiance à ses jeunes troupes. À l’inverse, Aix-Maurienne n’accorde que 7,5 mn à ses 2 U23 entrés en jeu. Fos-Provence donne 27,4 mn à ses trois U23, Allan Dokossi en accaparant 21,9. De son côté, Rouen accorde 30,8 mn à ses trois U23, Nantes 31,1 mn et Poitiers 32,0 mn à leurs quatre jeunes joueurs. Il est également à relever que les 5 U23 de Blois ont joué 34 matchs au total (pour 9 matchs joués par le club, suivis par les quatre U23 de Saint-Chamond ayant joué 33 matchs (10 matchs pour Saint-Chamond), 32 matchs cumulés par les 4 U23 d’Antibes (9 matchs), 29 matchs à 4 à Denain (10 matchs), 28 matchs pour 4 joueurs à Souffel (8 matchs) et 27 matchs à 4 pour Paris (8 matchs). À l’autre bout de l’échelle, les deux U23 d’Aix-Maurienne ont connu un total de 9 entrées en jeu (pour 8 matchs joués par le club), les 3 de Fos-Provence ont joué 14 matchs (9 matchs), les 4 Nantais ont foulé le parquet à 18 reprises (8 matchs), les 3 Rouennais 19 parties (9 matches) de même que les 4 Lillois (9 matchs également).\\n\\nNotre cinq majeur\\n\\nDe tout ce qui précède, nous avons dégagé un « cinq majeur » que l’on devrait en intégralité retrouver à plus haut niveau dans les années qui viennent (et ils ne sont sans doute pas les seuls). Il est ainsi composé :\\n\\nMeneur : Hugo Besson, plus un combo-guard qu’un meneur pur, un grand talent en devenir.\\n\\nArrière : Bathiste Tchouaffé, qui a eu du mal à percer en Jeep Élite et a eu l’intelligence de venir en Pro B montrer sa valeur.\\n\\nAilier : Allan Dokossi, Franco-Centrafricain qui a littéralement explosé cette saison, mûrissant sans perdre ses exceptionnelles qualités athlétiques.\\n\\nAilier-fort : Mathis Dossou-Yovo, à la peine à l’étage supérieur avec Chalon-sur-Saône puis lors de son passage à Évreux, il montre toute l’étendue de son talent cette saison.\\n\\nPivot : Ismaël Kamagaté, qui progresse à pas de géant (il ne valait « que » 6,1 pts et 9,2 d’éval la saison passée) et attire déjà les regards des scouts NBA.\\n\\nEn conclusion\\n\\nLa Pro B se révèle donc un championnat idéal pour des jeunes joueurs issus de centres de formation de Jeep Élite n’arrivant pas à percer directement dans l’élite. En venant s’aguerrir à l’étage inférieur, ils gagnent du temps de jeu, de l’assurance, voient leurs stats augmenter et leur expérience s’affiner. Reste que la transition n’est pas si « facile » qu’elle en a l’air : en dehors d’exceptions telles que Hugo Besson, rares sont les joueurs qui réussissent à s’imposer en Pro B dès leur première saison à ce niveau. Des Allan Dokossi, Bathiste Tchouaffé, Mathis Dossou-Yovo et bien d’autres sont là pour le confirmer. Mais, avec de la patience, de la discipline et du travail, pas mal de ces joueurs montrent leurs qualités en Pro B, une étape qui peut les amener vers de plus hauts sommets.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous ne le saviez sans doute pas, mais ils sont 72 joueurs nés en 1998 ou après, ceux que l’on nomme les U23 (les moins de 23 ans), à être entrés au moins une fois sur le parquet d’un match de championnat de Pro B (nous n’avons pas pris en compte ceux qui n’avaient joué qu’en Leaders Cup) cette saison. Un chiffre d’autant plus respectable que les 18 clubs de cette division ont fait appel à au moins deux de ces U23 – en moyenne, un club de Pro B a donc fait appel à 4 U23 au cours de la saison.\\n\\nCertes, l’on sait que les clubs de Pro B ne disposant pas d’un centre de formation agréé (ils sont quatre dans ce cas, Denain, Saint-Chamond, Saint-Quentin et Souffelweyersheim) doivent impérativement avoir quatre de ces U23 sous contrat pour éviter une amende. Mais rien n’oblige ces clubs à les faire pénétrer sur le terrain. 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La prestation de Isaïa Cordinier (13 points, 6 rebonds, 5 passes décisives, 6 interceptions) n’a pas suffi à calmer les deux diablotins de la JDA qui ont à nouveau brillé avec l’aide du trio Jaron Johnson, Hans Vanwijn et Jacques Alingue.\\n\\nRevivez la 10e victoire consécutive des Dijonnais grâce à notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Pour le quotidien AS, Thomas Heurtel a déjà signé avec le Real Madrid pour la saison prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le media espagnol AS, Thomas Heurtel (1,89m, 32 ans en avril), qui est actuellement avec l’équipe de France à Podgorica, a déjà signé un contrat avec le Real Madrid pour la saison prochaine.\\n\\nEn froid avec le coach Sarunas Jasekevicius, Thomas Heurtel s’est libéré de ses engagements avec le FC Barcelone mais n’a pas pu signer cette saison avec un club d’Euroleague avant la deadline.\\n\\n« Au moins deux ou trois autres signatures doivent venir », écrit AS. « Un shooteur, un autre meneur et un pivot. Sergio Llull, pour sa part, et malgré le fait qu’il termine officiellement son contrat en juin, a un engagement qui va au-delà de cet été. D’une manière ou d’une autre, sa prolongation est assurée. Pouce qui concerne le reste de l’équipe, Rudy (Fernandez), Causeur, Taylor et Thompkins ont tous signé jusqu’en 2022; Randolph, jusqu’en 2023 et Tavares, 2024. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Un téléspectateur sur cinq a regardé la Coupe de Lituanie" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la première fois, la King Mindaugas Cup, soit la Coupe de Lituanie qui se joue sur le modèle d’un Final 4, s’est tenue à huis clos à Panevėžys et l’évènement a été très suivi à la télévision sur la chaîne LRT.\\n\\n«Une personne sur cinq qui a regardé la télévision ce week-end a choisi le basket-ball. Les chiffres ne sont pas surprenants car nous savons que ce sera toujours un bon produit. Les audiences de ce tournoi sont constantes et élevées chaque année », a déclaré Ramūnas Grumbinas, le producteur du département des sports de LRT.\\n\\nAucune autre émission n’a été autant suivie durant le week-end dans le pays et en nombre cela donne 200 000 personnes, un chiffre comparable aux audiences des matches de basket sur La Chaîne L’Equipe. A la différence que la France dénombre près de 68 millions d’habitants et la Lituanie 2,8 millions.\\n\\nPhoto: Zalgiris Kaunas" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : ASVEL vs Limoges (11e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"LDLC ASVEL a affiché sa maîtrise dans le choc du week-end face à Limoges pour renouer ainsi avec la victoire en championnat.\\n\\nLes Limougeauds ont fait mieux que résister, puisqu’ils ont mené au score durant toute la première mi-temps. Mais l’ASVEL a fait parler sa puissance de frappe et Moustapha Fall (19 points, 11 rebonds, 3 passes décisives) et Antoine Diot (14 points, 6 rebonds, 4 passes) ont rapidement replacé les Villeurbannais en tête. Les efforts de Jerry Boutsiele (26 points, record en carrière) et de la paire Ginyard-Scrubb (15 et 16 points) n’auront pas suffi.\\n\\nRetour sur la victoire avec les highlights de notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Real Madrid : Rudy Fernandez probablement absent plusieurs semaines" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier international du Real Madrid, Rudy Fernandez (1,96m, 36 ans en avril) n’a pas participé à la finale de la Copa del Rey perdue face au FC Barcelone. Il s’est blessé lors de la demi-finale face à Tenerife.\\n\\n« Après les tests effectués aujourd’hui sur notre joueur Rudy Fernández par les services médicaux du Real Madrid, il a été diagnostiqué une blessure au lombaire « , a annoncé le club dans un communiqué.\\n\\nLe Real n’a pas indiqué la durée de l’indisponibilité de son joueur mais celle-ci pourrait être de plusieurs semaines. Au cours de sa carrière, Rudy Fernandez a souffert de mal de dos de façon chronique. Avec 5,0 points en moyenne, il affiche actuellement sa plus faible moyenne en 11 saisons d’Euroleague.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"En direct avec... Valentin Bigote (Le Mans) : «Il me manque encore un titre...»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans Sarthe Basket peut compter sur l’arrière Valentin Bigote (1,96 m, 29 ans), qui entame sa troisième année au sein du club. Originaire des Hauts-de-France, il a démarré en Nationale 3 chez lui à Grande-Synthe avant de transiter tout naturellement en 2010 par les Espoirs du BCM Gravelines-Dunkerque. Aujourd’hui, celui qui est connu pour son shoot à très longue distance nous parle des Warriors, de ses aspirations et de sa volonté de jouer en Espagne dans notre rubrique du « En Direct »...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel a été le premier match que vous avez joué en pro ?\\n\\nMon premier match en professionnel, c’était donc à Gravelines mais après, dire contre qui la première fois, je sais même pas. Je jouais en fin de match avec les jeunes donc je n’ai pas trop de souvenir. Ça fait un moment en plus maintenant (rires) (NDLR: 1 minute de temps de jeu face au Havre lors de la 20e journée de la saison 2010-11). J’avais joué en coupe d’Europe aussi quand il y avait des blessés.\\n\\nVous en gardez quand même un bon souvenir ?\\n\\nHonnêtement, les deux années où j’étais à Gravelines (2010-2012), il y avait une très bonne entente, une bonne cohésion, tout le monde s’entendait bien sur les parquets comme dans les vestiaires. La première année, je ne m’entrainais pas encore tout le temps avec les pros mais on avait un groupe génial. On gagnait beaucoup de matchs pour ne pas dire tous.\\n\\n« Je suis fan des Warriors, donc de (Stephen) Curry, (Kevin) Durant (NDLR : parti depuis deux saisons aux Brooklyn Nets), ils font des matchs impressionnants. Ils sont grands, rapides, inarrêtables »\\n\\nUn joueur vous a-t-il rendu meilleur ?\\n\\nPas vraiment un. J’ai écouté les conseils de beaucoup de joueurs, surtout en début de carrière. J’ai plus observé et pris pas mal de conseils mais sans avoir réellement un modèle. Surtout au début de ma carrière, j’étais bien entouré. Le comportement, la façon de s’entraîner, des discussions ou des conseils, la mentalité à adopter, tout est bon à prendre.\\n\\nQui est le meilleur joueur actuellement selon vous en Jeep Elite ?\\n\\nLa saison est relativement courte donc c’est difficile de jauger. En ce qui concerne l’Euroleague, j’avoue que je ne regarde pas les matchs (rires). C’est compliqué mais cette année, il y a Norris Cole (LDLC Asvel) et Nando de Colo (Fenerbahçe Istanbul) qui sont toujours, ou très souvent, les meilleurs joueurs du match, donc oui, peut-être entre eux à la rigueur. Je suis davantage la NBA. Je suis fan des Warriors, donc de (Stephen) Curry, (Kevin) Durant (NDLR : parti depuis deux saisons aux Brooklyn Nets), ils font des matchs impressionnants. Ils sont grands, rapides, inarrêtables.\\n\\nQui est le meilleur coach actuellement selon vous ?\\n\\nEn Pro A, je dirais Laurent Legname (JDA Dijon). C’est, pour moi, celui qui tire le meilleur de ses joueurs. Il a un style, et ce depuis quelques années, mais les joueurs s’adaptent toujours bien donc ça veut dire que, des deux côtés, ça se passe bien.\\n\\nUn coach qui vous a marqué ?\\n\\nQuand j’étais à Boulogne-sur-Mer (2012-2013), Germain Castano. Il m’a donné la chance de vraiment débuter ma carrière et c’est lui qui m’a donné confiance en moi. J’avais 18 ans, ça m’a permis de me lancer. C’était différent de Gravelines parce que je ne jouais pas tout le temps avec eux... Mais Christian Monschau m’a aidé à cette époque aussi. Arriver de Nationale 3 à la Pro A, ça fait quelque chose !\\n\\nQuel est le club dans lequel vous rêvez de jouer ?\\n\\nFranchement, je n’ai pas un club ciblé en particulier. Après, j’ai toujours voulu jouer en Espagne, c’est un autre style de jeu et ça pourrait être une bonne expérience pour moi. Je pense que c’est la meilleure ligue après la NBA avec beaucoup de bons joueurs que ce soit à Burgos, Tenerife, Baskonia, Andorre ou Barcelone. Tous les clubs, qu’ils soient gros ou petits, sont sympas et tous très attirants.\\n\\nEt au contraire, un où vous ne voudriez pas aller ?\\n\\nNon, pas un spécialement. Je ne vais pas en citer parce que je n’ai pas de haine envers un club en particulier (rires).\\n\\nDans quelle ville avez-vous préféré jouer ?\\n\\nEn France, c’est vraiment Monaco, j’ai beaucoup aimé. A l’étranger, il y en a quelques-unes. Rome par exemple, c’est une belle ville même si la salle en soi ce n’était pas terrible, mais la ville le soir est incroyable.\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir basket ?\\n\\nIl me manque encore un titre mais à Nantes, on a fait un super parcours jusqu’en finale des playoffs (2016-2017). C’était ma deuxième année et la défaite en finale... C’était une grosse déception pour moi.\\n\\n« Au Mans, l’année dernière, on a affronté Monaco en Coupe de France et j’ai scoré 35 points avec peu de tirs ratés »\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nJe pense que ces dernières années, c’était l’Asvel ou Monaco, enfin les grosses équipes qu’on a pu affronter. C’est très difficile de jouer contre elles.\\n\\nAvez-vous un match de référence ?\\n\\nAu Mans, l’année dernière, on a affronté Monaco en Coupe de France et j’ai scoré 35 points avec peu de tirs ratés. Mon meilleur match en carrière, je pense. J’avais pris beaucoup de plaisir et c’est normal quand ça se passe hyper bien comme ça.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur, lequel ce serait ?\\n\\nJ’en n’ai pas spécialement. Si je pouvais me rapprocher de certains joueurs, je dirais Nando de Colo. Ce n’est pas un modèle mais, avec sa taille, il arrive quand même à produire de bonnes perfs, donc si je pouvais au même poste faire deux, trois actions comme lui, ça serait pas mal, un bon plus.\\n\\nPourquoi avoir choisi ce numéro de maillot ?\\n\\nJe ne sais pas. Le 8. Ça l’a toujours été, comme Kobe (rires). Et quand je suis arrivé à Nantes, je n’avais pas vraiment le choix donc j’ai pris le 10 pour un an. De retour à Dijon, j’ai récupéré le 8 sauf que quand je suis parti au Mans, ce n’était pas possible parce qu’il y avait déjà Antoine Eito au numéro 8 donc au final je suis resté sur le 10. Ça s’est bien passé et maintenant je suis toujours avec.\\n\\n« Ce qui m’attire le plus, c’est l’immobilier même après ma carrière »\\n\\nAvec quels joueurs avez-vous le plus d’affinités ?\\n\\nOn s’entend tous très bien ! Après c’est vrai que je joue avec Antoine (Eito) depuis un moment donc peut-être un peu plus avec lui. Mais honnêtement, oui, que des bonnes personnes que ce soit pour agir ou penser.\\n\\nAvec qui monteriez-vous votre cinq de rêve ?\\n\\nCurry en meneur... En fait je vais prendre les Warriors mais avec moi dedans (rires). (Klay) Thompson, il est à mon poste, mais j’ai toujours adoré leur type de jeu donc, oui, avec ceux-là. Il faut des rebondeurs derrière donc Draymond Green et... aller on va dire Kevon Looney. Tous les Warriors en fait, c’est mon équipe ! (rires)\\n\\nQu’auriez-vous fait sans le basket ?\\n\\nJe pense que je travaillerais dans l’immobilier, parce que j’ai toujours aimé ça. J’ai commencé rapidement ma carrière de basketteur mais la fin se rapproche donc je vais devoir y penser bientôt. Ce qui m’attire le plus c’est l’immobilier, même après ma carrière. Garder un pied dans le basket ? Je peux pas encore le dire.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel a été le premier match que vous avez joué en pro ?\\n\\nMon premier match en professionnel, c’était donc à Gravelines mais après, dire contre qui la première fois, je sais même pas. Je jouais en fin de match avec les jeunes donc je n’ai pas trop de souvenir. Ça fait un moment en plus maintenant (rires) (NDLR: 1 minute de temps de jeu face au Havre lors de la 20e journée 2010-11). J’avais joué en coupe d’Europe aussi quand il y avait des blessés.\\n\\nVous en gardez quand même un bon souvenir ?\\n\\nHonnêtement, les deux années où j’étais à Gravelines (2010-2012), il y avait une très bonne entente, une bonne cohésion, tout le monde s’entendait bien sur les parquets comme dans les vestiaires. La première année, je ne m’entrainais pas encore tout le temps avec les pros mais on avait un groupe génial. 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Les 15 joueurs sélectionnés ont répondu présents, mais Nemanja Đurišić, Milko Bjelica et Marko Simonović ont rejoint leurs coéquipiers seulement hier avec de bonnes excuses.\\n\\n« Les 15 joueurs ont été mis à notre disposition et nous en sommes satisfaits. Pour des raisons objectives, plusieurs se sont joints à nous avec 24 heures de retard. Nemanja Đurišić est en retard à cause des compagnies aériennes, Milko Bjelica avait des obligations à Belgrade et Marko Simonović a joué en finale de la Coupe de Serbie. Nous avons eu 12 joueurs pour le premier entraînement, et le soir nous étions au complet », a révélé le coach Boško Radović.\\n\\nLes « Rouges » ont besoin de deux victoires pour espérer se qualifier à l’EuroBasket.\\n\\n« Des matches extrêmement exigeants nous attendent, notamment celui contre la France, qui est l’une des sélections les plus fortes d’Europe, quelle que soit la composition dans laquelle elle jouera. Ils ont justifié le rôle de favoris dans notre groupe, et cette fois ils seront renforcés par (Thomas) Heurtel. Cependant, nous avons besoin de victoires et c’est ainsi que nous allons nous comporter. Nous devons être au plus haut niveau, tactique, mental et physique, afin de les battre. »\\n\\nPhoto: Marko Simonovic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"L’Euroleague et le CSKA Moscou privent le Danemark de son rêve de se qualifier à l’EuroBasket" }, {"role": "assistant", "content":"Le conflit délétère entre la Fédération Internationale et l’Euroleague va mettre fin à la belle histoire danoise avant même son dénouement.\\n\\nAprès leurs victoires sur la Lituanie et la République Tchèque, les Danois sont à même de se qualifier pour l’Eurobasket. Il leur reste deux matches au programme dans la bulle de Vilnius, face à la Belgique et de nouveau la Lituanie. En cas de victoire sur l’équipe balte, ils se qualifieraient au championnat d’Europe pour la première fois depuis 1955 ! C’est « peut-être l’un des matchs les plus importants de l’histoire du basket-ball danois, » a déclaré la fédération.\\n\\nMais la mission difficile est devenue impossible. Leur meilleur joueur est Gabriel Lundberg (1,93m, 26 ans), qui tourne en 4 matches de qualification à 25,3 points (48,4% à trois-points), 5,8 rebonds, 4,3 passes, 1,0 interception pour 24 d’évaluation. Il a marqué 38 points lors du premier match à Vilnius face à la Lituanie. Jusqu’ici, il portait le maillot du club polonais de Stelmet Enea Zielona Gora, mais ses excellentes performances (il a tourné à 20,4 points, 3,8 rebonds, et 5,4 passes en VTB League et a été élu Joueur du Mois de décembre) lui ont valu l’intérêt du CSKA Moscou, qui a payé environ 250 000 euros d’indemnités de transfert à Zielona Gora.\\n\\n« La fédération a examiné les possibilités d’amener Lundberg aux deux matches contre la Belgique et la Lituanie les 20 et 22 février, ou seulement à l’un d’entre eux, mais les réalités actuelles à Moscou rendent cela irréaliste, » a déclaré la Fédération danoise dans un communiqué.\\n\\nElle souligne que Lundberg n’est que le cinquième Danois à entrer en Euroleague et cite le joueur :\\n\\n« Avoir la possibilité de représenter le Danemark a été une expérience incroyable pour moi. L’un des plus grands honneurs que vous puissiez connaître en tant qu’athlète est d’être autorisé à représenter votre pays dans le sport que vous pratiquez, ce fut donc un plaisir. Mais bien sûr, ce n’est pas un adieu, c’est juste un évènement. Je ne sais pas quand ce sera le cas, mais je suis sûr que je jouerai un jour à nouveau pour l’équipe nationale. Cependant, je voudrais également dire qu’il est très dommage que je ne puisse pas terminer ce que nous avons commencé il y a tant d’années. Je pense vraiment que nous avons encore une chance, même si je n’y suis pas. Je voulais juste en faire partie, mais j’encourage les gars et je vais regarder les matchs. 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Évidemment, tout ce que nous allons faire sera basé sur ce qui existe déjà. Cela demande du raisonnement et de l’intelligence. Les règles s’appliqueront à la fois à l’admission et au maintien (dans la ligue), nous n’allons donc pas étrangler les clubs », a t-il promis.\\n\\nUmberto Gandini souhaite que tout soit mis en place pour le 1er juillet 2022. Cela concerne des contrôles financiers, des règles administratives et encore commerciales communes.\\n\\n« Mais bien sûr, vous devez savoir à quoi vous vous heurtez. Le thème des infrastructures est un sujet large et typiquement italien. Il y a des règles. Ici aussi je pense qu’il faut un peu de réalisme, dans le passé on parlait de palais de sport avec un minimum de 5 000 places. Nous connaissons très bien les difficultés, mais nous avons des initiatives comme celles de Brindisi et de Cantù qui vont dans notre sens. Il y aura une nouvelle arèna à Milan (NDLR: un palais des sports de 16 000 places à Santa Giulia construit pour le tournoi de hockey-sur-glace des JO d’hiver de 2026). Ce sont des clubs qui ont décidé d’investir pour s’engager dans une voie importante (...) Ensuite, à la fin de ce chemin d’écriture des textes, nous définirons également un format pour les saisons 2021/22 et 2022/23 qui devrait être le temps zéro pour nous. »\\n\\nA propos des soubresauts constatés récemment dans la ligue, son président commente :\\n\\n« Au cours de cet été, nous avons vécu une période difficile, et je suis heureux de le dire aujourd’hui, au cours de laquelle VL Pesaro et Carpegna Prosciutto ont été tenté de ne pas s’inscrire en Serie A. Et je suis très heureux de les avoir vu redémarrer avec de nombreux soutien et pour se retrouver aujourd’hui en finale de la Coupe d’Italie. C’est une belle histoire. A propos du renoncement de Rome, je peux dire que cela ne peut être attribué à la gestion actuelle de la ligue. Nous étions tous convaincus que Claudio Toti (NDLR: le propriétaire) avait pris toutes les dispositions pour le transfert de propriété qui ne s’est alors pas produit et a conduit à son renoncement. »\\n\\nInfrastructure .\\n\\nGouvernement sans financement. Dans le plan de relance, il y a très peu, et sera probablement révisé, pour les installations sportives. Plus lié à un discours sport-banlieue, de quelques centaines de milliers d’euros. Le sport est le moteur de l’économie. De nombreux événements internationaux sont également organisés en Italie. Il y a tellement d’opportunités. Nous espérons qu’il s’agit d’un volant d’inertie pour permettre la récupération des systèmes actuels. Il y aura une nouvelle arène à Milan (Santa Giulia).\\n\\nLigue étrange. Nous avons tout fait pour jouer des nombres pairs. Nous avons fait le choix de revenir au nombre pair, en essayant d’élargir l’audience. Nous avons commencé en 16, au bout d’un chemin complexe. Nous avons parlé à sept équipes A2 qui ont dit non dans cette situation. Découvrir maintenant qu’il y a une pléthore d’équipes qui ont hâte d’être promues au rang A est un petit sourire.\\n\\nAide financière.Nous avons tout de suite travaillé sur la question de la liquidité et des interventions en faveur des parrainages. J’ai tout de suite réalisé que nous aurions pu faire peu seuls. Le comité 3.0 est donc né, représentant le sport de haut niveau qui souffre terriblement. Le travail de dialogue avec le ministre Spadafora nous a conduit à avoir des solutions utiles, comme le crédit d’impôt pour commandites. Avec eux, nous avions négocié que dans Refreshment 5 il y aurait des interventions un peu plus directes et visant ce que nous avions demandé. Une facilité de liquidité qui manque à tout le système, et une intervention directe de rafraîchissements et de crédits pour les parrainages pour l’année prochaine. L’espoir est que ce document, le Ristoro 5, mis de côté pour la crise gouvernementale et qu’il était prêt, est la première mesure que prendra le gouvernement Draghi. C’est une intervention qui ne concerne pas seulement nous, mais tout le pays.\\n\\nBlocco retrocessioni. Indubbiamente vale sia per salire che per scendere. Quando una squadra di dilettanti da A2 sale in A1 si ritrova in un mondo nuovo, e la stessa cosa accade al contrario. Mitigare questo, indubbiamente è un obiettivo della lega. Mitigare può essere quello di lavorare su numeri diversi, o pensare di avere una lega chiusa per un certo periodo di tempo. Potrebbe anche essere intelligente, e ne parleremo, di fare un punto fermo per permettere il consolidamento delle varie realtà.\\n\\nL’affaire Rome est une blessure . Au cours de cet été, nous avons vécu une période, et je suis heureux de le dire aujourd’hui, au cours de laquelle VL Pesaro et Carpegna Prosciutto ont tenté de ne pas s’inscrire en Serie A. Et je suis très heureux de l’avoir vu redémarrer avec le soutien de nombreux et pour se retrouver aujourd’hui en finale de la Coupe d’Italie. C’est une belle histoire. Sur le renoncement à Rome, je sens que je peux dire que cela ne peut être attribué à la gestion actuelle de la ligue. Nous étions tous convaincus que Claudio Toti avait pris toutes les dispositions pour le transfert de propriété qui ne s’est alors pas produit et a conduit à la renonciation." }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Orléans vs Monaco (11e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Orléans était opposé ce week-end au leader monégasque. Les deux équipes ont livré une bataille intense de 40 minutes, qui a vu Monaco arracher la victoire à la dernière seconde. L’OLB a réalisé un départ canon avec Chima Moneke qui a planté 7 des 9 premiers points de son équipe dont un 3-points et un 2+1 (9-2). Monaco a très vite rectifié le tir mais les Orléanais sont tout de même rentrés aux vestiaires avec 7 points d’avance (45-38).\\n\\nMatthias Lessort a alors ramené la formation du Rocher pratiquement à lui tout seul avant que Rob Gray fasse le show. Landing Sané et Giovan Oniangue ont répondu pour maintenir Orléans en vie. Ces derniers auraient pu être les héros du matchs avant que J.J. O’Brien vienne délivrer la Roca Team au buzzer.\\n\\nRetour sur la victoire de Monaco face à Orléans avec les highlights by TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Le Portel vs Boulogne-Levallois (9e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Boulogne-Levallois se devait de réagir après avoir perdu du terrain en tête de classement suite à deux revers à Roanne puis face à Strasbourg. Mission accomplie pour les Metropolitans 92 qui ont réussi à se faciliter la tâche d’entrée de jeu avant un retour des Portelois dans le troisième quart-temps grâce au duo Wojciechowski et Passave-Ducteil. Mais Boulogne-Levallois n’a pas laissé aux locaux l’opportunité de s’enflammer dans le dernier acte, s’en remettant à Bastien Pinault et à David Michineau pour repasser à +15 (59-74) et refaire ainsi un écart définitif pour s’imposer (73-86).\\n\\nTriste de ne pas avoir pu voir le match ? Pas de panique, BasketEurope et TCL sont là pour vous offrir ses highlights.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Kadeem Allen (ex-Bourg) débarque chez les Niners Chemnitz dans la BBL allemande" }, {"role": "assistant", "content":"Ce lundi, Kadeem Allen (1,85m, 27 ans) s’est engagé avec le club allemand des Niners Chemnitz en BBL. Le club de la Saxe est actuellement 9e du championnat allemand avec un bilan de 7 victoires et 11 défaites.\\n\\nLe meneur américain était rentré aux États-Unis durant la trêve hivernale et avait fait savoir à la JL Bourg qu’il ne souhaitait pas revenir en France. Les deux parties s’étaient donc mises d’accord sur une rupture de contrat.\\n\\nTrès décevant, Kadeem Allen a disputé avec le club de l’Ain neuf rencontres d’Eurocup et six de Jeep Élite cette saison (8,8 points et 2,5 passes en 17 minutes de jeu en moyenne).\\n\\nPhoto : JL Bourg – Jacques Cormarèche" }, {"role": "user", "content":"Gilles Thomas est le nouveau Directeur du Pôle France BasketBall Yvan Mainini" }, {"role": "assistant", "content":"Gilles Thomas est le nouveau Directeur du Pôle France BasketBall Yvan Mainini (PFBB) et il aura comme adjoint, Jean-Aimé Toupane, qui devient Directeur sportif du Pôle France, tout en conservant la direction de l’équipe junior en NM1 et l’équipe de France U20 masculine. Après 4 années à la tête du PFBB, Tahar Assed-Liégeon devient Directeur du Pôle Formation, indique la FFBB.\\n\\nGilles Thomas, 64 ans, a été le DTN de plusieurs sports (Baseball, Softball et Cricket), Directeur Technique National de la Fédération de Hockey sur Gazon après avoir été à la FFBB adjoint au DTN de 1997 à 2001, il occupe à nouveau ce poste depuis 2007.\\n\\nInternational sénégalais, Jean-Aimé Toupane a évolué 13 saisons en Pro A et Pro B. Il est le père de l’international Axel Toupane.\\n\\nPhoto: Gilles Thomas (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"Décès de l’ancien Américain du championnat de France, Ansley Truitt" }, {"role": "assistant", "content":"Figure de la Nationale 1 (la Jeep Elite actuelle) des années soixante-dix, l’Américain Ansley Truitt est décédé à l’âge de 70 ans.\\n\\nPivot de 2,06m, il avait joué 16 matches pour les Dallas Chaparrals en ABA -la ligue concurrente de la NBA- avant de venir en France, à Denain (1973-75), époque Jean-Pierre Staelens et Hervé Dubuisson et Caen (75-78) avec des moyennes de points allant de 18,4 à 23,6. Il a également porté le maillot des Cheminots de Cherbourg.\\n\\nPhoto: L’Equipe Basket Magazine" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Les trois heures de show du All-Star Game de la VTB League" }, {"role": "assistant", "content":"Voici une plongée dans le All-Star Game 2021 de la VTB League. Trois heures de show à la russe avec concours de dunks, de trois-points, des attractions diverses et... des spectateurs !\\n\\nPour ménager le suspense, on ne vous dit pas quels sont les différents vainqueurs. Il faut tout de même savoir que Vitaly Fridzon (1,96m, 35 ans) du Zenit St. Petersbourg, s’est distingué avec son 16/26 à trois-points pour un total de 57 points. Evidemment, question défense, ce n’est pas le match de référence.\\n\\nPour ceux qui veulent se contenter du concours de dunks, on a mis une deuxième vidéo qui lui est consacrée.\\n\\nPhotos: VTB League" }, {"role": "user", "content":"Pro B – Bernard Kervarec (président Quimper) : «je suis pour des playoffs»" }, {"role": "assistant", "content":"Tout sera décidé le 22 février lors de l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket, mais la tendance chez les présidents est de poursuivre les saisons de Jeep Elite et de Pro B, même à huis clos. Avec ou sans playoffs. Le président de Quimper, Bernard Kervarec y est favorable, comme il l’explique à Ouest France :\\n\\n« Je suis pour des playoffs parce que si on n’en fait pas, le championnat va perdre de son intérêt au fil du temps, avec des équipes qui ne seront plus concernées ni par la montée, ni par le maintien. Cela fausserait beaucoup de choses. On peut faire des playoffs sur une semaine, avec des matches secs ! J’entends dire qu’on n’avait pas voté pour ça. Mais on n’avait pas non plus voté pour des matches à huis clos. Tout ce qui a été voté peut être revoté. C’est tellement inédit, tout ce que l’on vit, qu’il faut savoir s’adapter. »" }, {"role": "user", "content":"Milan gagne ses trois matches de Coupe avec un écart moyen de 29 points !" }, {"role": "assistant", "content":"Le Milan Armani Exchange a dévoré le Jambon Carpegna Pesaro lors de la finale de la Coupe d’Italie, 87-59 (+28), et a remporté ainsi le septième trophée de l’histoire du club.\\n\\nLes Milanais menaient déjà de 27 points, 48-21, à la mi-temps, et en ont eu jusqu’à 38 d’avance à 74-36.\\n\\nLuigi Datome (2,03m, 33 ans) a obtenu la meilleure évaluation de la finale (26), cumulant 15 points, 5 rebonds, 2 passes et 1 interception en seulement 16 minutes.\\n\\nAuparavant, Milan avait dominé UnaHotels Reggio Emilia en quart-de-finale (80-52, +28) et le Reyer Venise en demi-finale (96-65, +31). Cela fait une moyenne en trois matchs de + 29 !\\n\\n« Ce furent trois matches très solides, c’est donc une victoire qui nous donne confiance en vue de la dernière ligne droite du championnat et de l’Euroleague », certifie le coach milanais Ettore Messina. « Je ressens de la gratitude pour M. Armani, pour sa famille, pour Leo Dell’Orco car à l’issue d’une saison difficile comme la précédente, ils ont exprimé leur confiance dans ce que le staff et moi voulions faire. Ils avaient foi et patience en croyant en nous en tant que personnes plutôt qu’en tant que professionnels. Je me sens vraiment chanceux d’être à Olimpia en ce moment. Mais nous avons déjà le Maccabi jeudi et nous allons essayer de faire un pas en avant. Dans les playoffs, tout est réinitialisé. Nous espérons être dans les bonnes conditions «\\n\\n« C’est bien quand un groupe travaille sérieusement chaque jour avec énergie et sacrifices pour atteindre les objectifs qu’il veut atteindre », a commenté pour sa part Luigi Datome. « Lorsque cet effort est récompensé par un titre, il est juste de le célébrer. Aujourd’hui, nous le faisons, mais nous devons regarder vers l’avenir. Mon objectif est toujours de gagner et j’apprécie chaque trophée. C’est un groupe ambitieux qui se consacre à son travail. C’est un groupe sain dont il est bon d’en faire partie (...) Nous restons humbles, ambitieux et affamés».\\n\\nCela promet !\\n\\nPhoto: Luigi Datome (Olimpia)" }, {"role": "user", "content":"Joffrey Lauvergne, MVP de la Coupe de Lituanie" }, {"role": "assistant", "content":"Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans) a été élu MVP de la Coupe de Lituanie, la King Mindaugas Cup, après avoir cumulé 11 points, 4 rebonds et 2 passes, lors de la finale remportée par le Zalgiris Kaunas sur Panevėžys Lietkabelis (76-69) et surtout grâce à son évaluation de 35 en demi-finale face à Klaipeda (28 points et 10 rebonds).\\n\\n« Je suis content que nous ayons réussi à remporter le trophée du KMT, et quand nous gagnons, c’est toujours fun », a déclaré Lauvergne lors de la conférence de presse. « Le trophée de MVP est comme un bonus à tout cela. La sensation est encore plus agréable. »\\n\\nL’intérieur français avait déjà gagné deux Coupes de France (Chalon), deux de Serbie (Partizan Belgrade) et deux de Turquie (Fenerbahçe) mais c’est la première fois de sa carrière, sinon en jeune, qu’il reçoit un trophée de MVP.\\n\\nOn lui a demandé avec qui il serait heureux de partager le titre de MVP, et Joffrey Lauvergne a opté pour Thomas Walkup, qui a obtenu une évaluation de 31 en finale.\\n\\n« Je choisirais Thomas en raison de sa finale de haute volée et du plaisir général de jouer avec lui »." }, {"role": "user", "content":"Copa del Rey: Le Barça étouffe le Real Madrid, 88-73" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la troisième fois en quatre ans, le FC Barcelone a ravi la Copa del Rey au Real Madrid, en démontrant une supériorité manifeste (73-88). Il s’agit du premier titre comme coach pour le Lituanien Sarunas Jasikevicius et aussi pour le meneur Léo Westermann, qui a joué 7 minutes pour 4 passes et 3 rebonds.\\n\\nLe Barça a infligé dans le premier quart-temps un 14-0 qui lui a permis de prendre la tête: 18-7, 20-11, puis 52-31 à la mi-temps après marqué 32 points dans le deuxième quart-temps. Le Real était étouffé et il n’a jamais pu refaire véritablement surface.\\n\\nCory Higgins (20 points), élu MVP, Nick Calathès (12 points, 9 passes) et Brandon Davies (10 points, 8 rebonds) ont été les principaux artisans de la victoire catalane, alors que le pivot madrilène Walter Tavares a obtenu la meilleure évaluation du match (28) avec 18 points et 9 passes. En 22′, Fabien Causeur a marqué 5 points mais obtenu une évaluation négative (-2).\\n\\n« Je suis très heureux. Mon premier titre officiel avec le club a pris du temps, mais j’espère que c’est le premier d’une longue série. Je suis très fier de tout le monde, joueurs, entraîneurs et c’est dédié à tous les Catalans qui nous ont soutenus, » a commenté Nikola Mirotic.\\n\\nPhoto : ACB" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : L’Équipe de France masculine et du basket féminin à l’affiche sur Canal+Sport et La Chaîne L’Équipe" }, {"role": "assistant", "content":"Si l’Euroleague reprend ses droits à partir de cette semaine, la fenêtre internationale est également au programme. L’équipe de France occupera le devant de la scène avec les derniers matchs de qualification à l’EuroBasket 2022 face au Montenegro et à la Grande-Bretagne (samedi 20 et lundi 22 février). La Chaîne L’Equipe nous propose pour sa part un match au sommet de Ligue Féminine, Lyon-Bourges.\\n\\nJeudi 18 février :\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 12\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Olympiacos – Euroleague – RMC Sport Live 13\\n\\n20h45 – Milan/Maccabi Tel Aviv – Euroleague – RMC Sports Live 12\\n\\n21h00 – Vitoria/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 13\\n\\nVendredi 19 février :\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Fenerbahçe/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h45 – LDLC ASVEL/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n20h45 – Etoile Rouge de Belgrade/Zenit Saint Petersbourg – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Valence/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nSamedi 20 février :\\n\\n17h45 – LDLC ASVEL/Bourges – LFB – La Chaîne L’Équipe\\n\\n20h45 – Monténégro/France – Qualification Euro 2022 – Canal+Sport\\n\\nLundi 22 février :\\n\\n17h00 – France/Grande-Bretagne – Qualification Euro 2022 – Canal+Sport\\n\\nPhoto : FFBB" }, {"role": "user", "content":"Le bilan de la saison régulière de la BCL : la confirmation Jerry Boutsiele (Limoges) et la révélation Yoan Makoundou (Cholet)" }, {"role": "assistant", "content":"Le 27 janvier dernier, se disputait le dernier match de la saison régulière de la Basketball Champions League (BCL). Des 32 équipes sur la ligne de départ, il n’en reste plus aujourd’hui que la moitié. Avant le début du Top 16 le 2 mars, c’est l’occasion de faire le bilan de la phase initiale.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nTout d’abord, voici les classements des différents groupes:\\n\\nGroupe A:\\n\\n 1. Tenerife 4-2\\n 2. Sassari 4-2\\n 3. Bakken Bears 3-3\\n 4. Galatasaray 1-5\\n\\nGroupe B:\\n\\n 1. Tofas Bursa 4-2\\n 2. Nymburk\\n 3. Dijon\\n 4. Keravnos Nicosie 0-6\\n\\nGroupe C:\\n\\n 1. Hapoel Holon 4-2\\n 2. AEK Athènes\\n 3. Cholet 2-4\\n 4. Tsmoki Minsk\\n\\nGroupe D:\\n\\n 1. Zaragoza 5-1\\n 2. Nizhny Novgorod 4-2\\n 3. Falco Szombathely 3-3\\n 4. Start Lublin 0-6\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Strasbourg 4-2\\n 2. VEF Riga\\n 3. Peristeri 2-4\\n 4. Rytas Vilnius\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Bamberg 6-0\\n 2. Pinar Karsiyaka 4-2\\n 3. Bilbao 2-4\\n 4. Fortitudo Bologna 0-6\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Türk Telekom Ankara 5-1\\n 2. Igokea 3-3\\n 3. Hapoel Jerusalem 2-4\\n 4. Limoges\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 5-1\\n 2. Brindisi 4-2\\n 3. Ostende 2-4\\n 4. Darussafaka 1-5\\n\\nNB: En Gras, les équipes qualifiées.\\n\\nLe Top 5 général est le suivant:\\n\\n 1. Brose Bamberg 6-0\\n 2. Hereda San Pablo Burgos 5-1\\n 3. Casademont Zaragoza\\n 4. Türk Telekom Ankara\\n 5. Era Nymburk 4-2\\n\\nLe bilan par nation:\\n\\n 1. Allemagne\\n\\n1 équipe\\n\\n1 au Top 16\\n\\n6v-0d-100%\\n\\n2. Espagne\\n\\n4\\n\\n3\\n\\n16v-8d-66,7%\\n\\n3. Rép. Tchèque\\n\\n1\\n\\n1\\n\\n4v-2d-66,7%\\n\\nPaf League\\n\\n1\\n\\n1\\n\\n4v-2d-66,7%\\n\\n5. Turquie\\n\\n5\\n\\n3\\n\\n15v-15d-50%\\n\\n6. ABA League\\n\\n1\\n\\n1\\n\\n3v-3d-50%\\n\\n7. VTB League\\n\\n2\\n\\n1\\n\\n6v-6d-50%\\n\\nGrèce\\n\\n2\\n\\n1\\n\\n6v-6d-50%\\n\\nIsraël\\n\\n2\\n\\n1\\n\\n6v-6d-50%\\n\\n10. France\\n\\n4\\n\\n1\\n\\n12v-12d-50%\\n\\n11. Hongrie\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n3v-3d-50%\\n\\nDanemark\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n3v-3d-50%\\n\\n13. Italie\\n\\n3\\n\\n2\\n\\n8v-10d-44,4%\\n\\n14. Lituanie\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n2v-4d-33,3%\\n\\nBelgique\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n2v-4d-33,3%\\n\\n16. Pologne\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n0v-6d-0%\\n\\nChypre\\n\\n1\\n\\n0\\n\\n0v-6d-0%\\n\\n17 ligues étaient représentées au départ de la saison régulière, soit 7 de plus qu’en Eurocup.\\n\\nL’Allemagne est la meilleure nation en terme de pourcentage de victoires. Pour des raisons liées à la situation sanitaire et à ses répercutions économiques, elle n’alignait qu’un seul représantant, le Brose Bamberg. Mais celui-ci a fait un parcours parfait dans un groupe pourtant difficile.\\n\\nEnsuite, l’Espagne a logiquement placé 3 de ses 4 représentants au Top 16. Seul Bilbao a failli et est le principal club éliminé dans la première phase. Elle a réussi a remporter les deux tiers de ses matchs.\\n\\nViennent ensuite les deux belles surprises de la phase, la République Tchèque et la Paf League (ligue regroupant les clubs de Lettonie et d’Estonie). En effet, l’Era Nymburk et le VEF Riga se sont qualifiés pour le Top 16 et en seront les petits poucets.\\n\\nLa Turquie avait le contingent le plus important au départ avec 5 clubs. Avec un bilan seulement équilibré, elle en qualifie 3 pour la phase suivante. Dans celle-ci, elle aura toujours le nombre de clubs le plus important mais à égalité avec l’Espagne. Les deux éliminés, Galatasaray et Darussafaka, sont les principales déceptions de la phase initiale avec Bilbao.\\n\\nSuivent 4 ligues majeures avec également un bilan mitigé: l’ABA, la VTB, la Grèce et Israël. La VTB League a été plombée par la performance du Tsmoki Minsk, membre de la ligue mais qualifié comme représentant biélorusse.\\n\\nPuis, en 10ème position, se place la France. Au contraire de ses représentants en Eurocup, ses 4 clubs n’ont pas brillé en BCL. Seul Strasbourg se qualifie pour le Top 16. Dijon n’a perdu que 2 matchs mais dans les grandes largeurs et est éliminé. Dans un groupe à sa portée, Limoges n’a pas réussi à se qualifier non plus. Dijon et Limoges constituent les principales déceptions françaises sur la scène européenne cette saison. Enfin, Cholet n’a pas démérité mais a échoué dans sa quête de qualification.\\n\\nEn dessous de la barre des 50% de victoires, l’Italie envoie pourtant 2 de ses 3 clubs à la phase suivante. Mais la Fortitudo Bologna avec 6 défaites en autant de matchs a largement contribué à ce mauvais bilan.\\n\\nEnfin, viennent les deux principales ligues sans représentant au Top 16, la Lituanie et la Belgique, puis les deux ligues sans victoire en BCL cette saison, la Pologne et Chypre.\\n\\nLes groupes du Top 16:\\n\\nGroupe I:\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\nTofas Bursa\\n\\nHappy Casa Brindisi\\n\\nHapoel Unet-Credit Holon\\n\\nGroupe J:\\n\\nLenovo Tenerife\\n\\nHereda San Pablo Burgos\\n\\nKK Igokea Aleksandrovac\\n\\nVEF Riga\\n\\nGroupe K:\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\nTürk Telekom Ankara\\n\\nSIG Strasbourg\\n\\nAEK Athènes\\n\\nGroupe L:\\n\\nCasademont Zaragoza\\n\\nDinamo Banco di Sardegna Sassari\\n\\nBrose Bamberg\\n\\nEra Nymburk\\n\\nLes leaders statistiques:\\n\\nMeilleures évaluations:\\n\\n 1. TaShawn Thomas (Jerusalem) 22\\n 2. Raymar Morgan (Karsiyaka) 21,3\\n 3. Yanick Moreira (AEK Athènes) 20,5\\n 4. Tomislav Zubcic (Tofas Bursa) 20,3\\n 5. Andrew Andrews (Darussafaka) 20,2\\n 6. DeShawn Stephens (Bakken Bears) 20,2\\n 7. QJ Peterson (Bakken Bears)\\n 8. Jason Thompson (Zaragoza) 20\\n 9. D’Angelo Harrsion (Brindisi)\\n 10. Bonzie Colson (Strasbourg) 19,8\\n\\nMeilleurs marqueurs:\\n\\n 1. Keith Langford (AEK Athènes) 21,5\\n 2. QJ Peterson (Bakken Bears) 21,3\\n 3. Bonzie Colson (Strasbourg) 20,2\\n 4. Raymar Morgan (Karsiyaka) 19,5\\n 5. D’Angelo Harrison (Brindisi) 19,3\\n\\nMeilleurs rebondeurs:\\n\\n 1. Jerry Boutsiele (Limoges) 9,3\\n 2. Michale Kyser (Riga) 8,5\\n 3. Andre Williamson (Nicosie) 8,3\\n 4. Miro Bilan (Sassari) 8,2\\n 5. Ondrej Balvin (Bilbao) 7,7\\n\\nMeilleurs passeurs:\\n\\n 1. Speedy Smith (Limoges) 10\\n 2. Omar Cook (Burgos) 7,8\\n 3. Nick Johnson (Ankara) 7,3\\n 4. Marco Spissu (Sassari) 7,2\\n 5. Tamir Blatt (Jerusalem) 6,5\\n\\nLes meilleures performances sur un match:\\n\\nEvaluation:\\n\\nSteven Gray (Peristeri) 47\\n\\nPoints:\\n\\nSteven Gray (Peristeri) 39\\n\\nRebonds:\\n\\nAlexandre Chassang (Dijon), Chris Johnson (Holon) et Isaiah Pineiro (Riga) 13\\n\\nPasses:\\n\\nMarco Spissu (Sassari) 15\\n\\nMVP :\\n\\nTaShawn Thomas (PF/US/27)\\n\\nHapoel Jerusalem\\n\\n22 d’éval (17,5 pts à 70,6% dont 60% à 3pts, 6,2 rbds, 1,2 pds)\\n\\nTaShawn Thomas a été le leader d’une équipe de l’Hapoel Jerusalem qui n’a pas réussi à se qualifier pour le tour suivant mais qui n’a pas démérité pour autant.\\n\\nL’intérieur américain a effectué un cursus universitaire complet partagé entre Houston et Oklahoma. A sortie d’université en 2015, il n’est pas drafté et débute sa carrière en Europe en Allemagne à Mitteldeutscher. Puis il part en Italie à Cremona. Il débarque la saison suivante en Israël où il vient de passer les 4 dernières années. Après une année à l’Hapoel Holon, il signe à l’été 2018 à l’Hapoel Jerusalem. Il dispute sa quatrième saison d’affilée en BCL.\\n\\nEn Israël, avec une équipe 4ème (9v-4d), ses stats sont les suivantes: 18,5 d’éval, 13 pts, 6,8 rbds, 3 pds\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG QJ Peterson\\n\\nBakken Bears\\n\\nSG Andrew Andrews\\n\\nDarussafaka\\n\\nSF D’Angelo Harrison\\n\\nBrindisi\\n\\nPF TaShawn Thomas\\n\\nHapoel Jerusalem\\n\\nC Raymar Morgan\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\nMVP européen :\\n\\nTomislav Zubcic (PF/Cro/31)\\n\\nTofas Bursa\\n\\n20,3 d’éval (17 pts à 52,9% dont 45,5% à 3 pts, 6 rbds, 3 pds)\\n\\nArrivé en cours de saison, l’international croate a réussi a contribué à qualifier le Tofas Bursa pour le Top 16. Formé au Cibona Zagreb, il est sélectionné à la draft 2012 au second tour en 56ème position par les Toronto Raptors. Mais il ne jouera jamais en NBA. Il fera une tentative en G-League au Oklahoma City Blue en 2015-16.\\n\\nIl joue sa première saison hors de Croatie en 2013 au Lietuvos Rytas Vilnius. Il écume les meilleurs championnats européens, l’Espagne (Manresa), la VTB League (Saratov, Nizhny Novgorod, Enisey Krasnoyarsk) et la Turquie (Trabzonspor et Tofas Bursa). Enfin, il dispute 39 matchs d’Euroleague avec le Cibona et le Cedevita.\\n\\nCette saison, en Turquie, le Tofas Bursa est 4ème. Il tourne à 10,2 d’éval (12 pts, 2,8 rbds, 1,6 pds).\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Marco Spissu\\n\\nSassari\\n\\nSG Phil Scrubb\\n\\nLimoges\\n\\nSF Vojtech Hruban\\n\\nNymburk\\n\\nPF Tomislav Zubcic\\n\\nTofas Bursa\\n\\nC Giorgi Shermadini\\n\\nTenerife\\n\\nMVP français:\\n\\nJerry Boutsiele (C/28)\\n\\nLimoges\\n\\n15,3 d’éval (13 pts à 53% dont 0% à 3pts, 9,3 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur 5 français :\\n\\nPG Axel Julien\\n\\nDijon\\n\\nSG Nicolas Lang\\n\\nLimoges\\n\\nSF Hugo Invernizzi\\n\\nLimoges\\n\\nPF Yoan Makoundou\\n\\nCholet\\n\\nC Jerry Boutsiele\\n\\nLimoges\\n\\nRising star :\\n\\nYoan Makoundou (PF/Fra/20)\\n\\nCholet\\n\\n13,4 d’éval (10,4 pts à 66,7% dont 50% à 3pts, 5,2 rbds, 0,4 pds)\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nTout d’abord, voici les classements des différents groupes:\\n\\nGroupe A:\\n\\n 1. Tenerife 4-2\\n 2. Sassari 4-2\\n 3. Bakken Bears 3-3\\n 4. Galatasaray 1-5\\n\\nGroupe B:\\n\\n 1. Tofas Bursa 4-2\\n 2. Nymburk\\n 3. Dijon\\n 4. Keravnos Nicosie 0-6\\n\\nGroupe C:\\n\\n 1. Hapoel Holon 4-2\\n 2. AEK Athènes\\n 3. Cholet 2-4\\n 4. Tsmoki Minsk\\n\\nGroupe D:\\n\\n 1. Zaragoza 5-1\\n 2. Nizhny Novgorod 4-2\\n 3. Falco Szombathely 3-3\\n 4. Start Lublin 0-6\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Strasbourg 4-2\\n 2. VEF Riga\\n 3. Peristeri 2-4\\n 4. Rytas Vilnius\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Bamberg 6-0\\n 2. Pinar Karsiyaka 4-2\\n 3. Bilbao 2-4\\n 4. Fortitudo Bologna 0-6\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Türk Telekom Ankara 5-1\\n 2. Igokea 3-3\\n 3. Hapoel Jerusalem 2-4\\n 4. Limoges\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 5-1\\n 2. Brindisi 4-2\\n 3. Ostende 2-4\\n 4. Darussafaka 1-5\\n\\nNB: En Gras, les équipes qualifiées.\\n\\nLe Top 5 général est le suivant:\\n\\n 1. Brose Bamberg 6-0\\n 2. Hereda San Pablo Burgos 5-1\\n 3. Casademont Zaragoza\\n 4. Türk Telekom Ankara\\n 5. Era Nymburk 4-2\\n\\nLe bilan par nation:\\n\\n 1. 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Preuve de sa redoutable efficacité offensive, il est également le deuxième marqueur de la ligue chinoise, CBA, avec les Tanjin Pioneers (32,1 points).\\n\\nPar rapport à la fenêtre précédente, il manque également Emir Hadžibegović, qui s’est gravement blessé au genou et Jovan Kljajić. En revanche, Petar Popović, pilier de l’équipe nationale, blessé la dernière fois, est de retour.\\n\\nLa figure la plus connue de l’équipe est l’Américain Justin Cobbs (ex-Gravelines et Le Mans), auteur de 13,0 points et 4,5 rebonds lors de ces qualifs.\\n\\nLe Monténégro occupe la 2e place du groupe, à égalité avec la Grande-Bretagne, mais avec un point-average particulier défavorable (-2), qui pourrait coûter cher au moment du bilan final.\\n\\n« Nous allons essayer de faire quatre ou cinq jours de bons entraînements et de créer une telle atmosphère que nous mourrons pour chaque ballon lors de ces deux matches. Les joueurs, tout le monde, doit être conscient que nous avons besoin de deux victoires pour réussir. Nous devons jouer deux matches exceptionnels, physiquement et tactiquement, à plus de 100% de nos possibilités, pour atteindre l’objectif souhaité, » souhaite le coach.\\n\\nLes sélectionnés:\\n\\nNikola Ivanović (Budućnost Voli), Justin Cobbs (Budućnost Voli), Igor Drobnjak (Studentski centar), Petar Popović (Budućnost Voli), Nemanja Vranješ (Mornar), Fedor Žugić (Budućnost Voli), Suad Šehović (Budućnost Voli), Dino Radončić (Saint-Sébastien Gipuzkoa), Andrija Slavković (Studentski centar), Nemanja Đurišić (Estudiantes), Danilo Nikolić (Budućnost Voli), Marko Simonović (Mega Sokerbet), Milko Bjelica (Mornar), Zoran Nikolić (Budućnost Voli) , Vasilije Baćović (Studentski centar)\\n\\nPhoto : Marko Todorovic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Mariella Fasoula, la digne fille de Panayotis Fasoulas" }, {"role": "assistant", "content":"Panayotis Fasoulas (2,13m), alias « L’Araignée » fut le pivot de l’équipe de Grèce championne d’Europe en 1987. Il est aujourd’hui candidat à la présidence de la fédération grecque. Mais c’est sa fille Mariella (1,93m, 23 ans) qui a fait l’actu la semaine dernière en inscrivant face à la Bulgarie un panier décisif sur un rebond offensif, qui a permis à la Grèce de se qualifier pour l’EuroBasket, qui va se tenir à Valence et Strasbourg, du 17 au 27 juin. Sur la durée des qualifications, Mariella Fasoula a été la meilleure marqueuse (12,5 points) et rebondeuse (7,5) de son équipe.\\n\\nComme son père, Mariella a eu une formation américaine. C’est ce qu’elle raconte à Gazzetta.fr:\\n\\n» Je me souviens que mes débuts étaient à Memphis, lorsque nous avons déménagé là-bas pour suivre mon frère. J’avais alors 8 ans et je me rappelle du moment où j’ai attrapé le ballon entre mes mains. Mes parents m’avaient envoyée partout ! A la natation, au ballet, au volley, mais rien ne m’attirait particulièrement... Un jour, j’ai vu mon père jouer avec mon frère Giannis, sur le terrain de basket et ça m’a intéressé aussitôt ! J’ai commencé à jouer et très vite j’ai postulé pour m’inscrire dans une académie pour apprendre les fondamentaux... A vrai dire, les premières expériences ont été un peu... traumatisantes (rires). Tous les entraîneurs ont encouragé mes parents à me faire changer de sport ! Oui, au début je n’étais bonne du tout. Je ne savais pas exactement ce qui m’arrivait. Mais mes parents – et je le reconnais – ne m’ont pas dit d’arrêter et je me suis lentement améliorée. »\\n\\nMariella confie que son père n’a pas joué un rôle direct dans sa décision de jouer au basket.\\n\\n« Dans la décision elle-même, pas un rôle spécial. Je veux dire dans le sens de la pression pour faire du basket. J’apprécie beaucoup cela et je le lui ai dit à plusieurs reprises. Je suis très fière de dire que mon implication dans le basket-ball était purement ma propre décision et n’est pas due à une poussée de mon père et je le remercie deux fois de m’avoir laissé faire mon choix. Il n’a jamais été un coach pour moi. Il était généralement strict et toutes ses remarques se sont concentrées sur mes erreurs et mes faiblesses et sur les choses dont j’avais besoin pour m’améliorer. »\\n\\nLa fille a vécu gamine dans un environnement basket, avec à la maison coupes et trophées et elle a cherché à en savoir davantage sur la carrière de son père.\\n\\n« Sur tout ce qui s’est passé au cours de l’Eurobasket de 87. J’ai tout cherché, tout vu et tout lu, je suis très fière de mon père et peut-être qu’à travers ce processus j’ai beaucoup aimé cette équipe et je suis hyper passionnée quand je porte son maillot. L’équipe nationale est une âme, c’est une équipe, c’est une charge émotionnelle et bien sûr un effort pour prouver que le basket-ball féminin mérite plus de respect et d’organisation en Grèce. »\\n\\nLa question lui est posée de savoir comment elle vit la candidature de son père à la présidence de la fédération.\\n\\n«Je n’entre pas du tout dans le processus de commenter les élections, car ce n’est pas un processus qui devrait affecter les joueurs. Maintenant, je soutiendrai clairement mon père dans tout ce qu’il décide de faire, surtout lorsqu’il s’agit d’un processus électoral. Quel que soit le résultat, ni ma vie d’athlète, ni bien sûr ma relation avec mon père ne changeront. Il sera toujours pour moi un joueur très important dans l’histoire du basket grec, un Hall of Famer, pour tout ce qu’il a fait dans sa carrière et bien sûr pour l’homme qu’il est. Tout le reste vient en second... «\\n\\n\\n🚨 @FasoulaMariella with the most important 🏀 of the Qualifiers as she sends @HellenicBF 🇬🇷 to the #EuroBasketWomen Final Round! pic.twitter.com/GooCPAOfaR\\n\\n— FIBA Women's EuroBasket (@EuroBasketWomen) February 6, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Nando De Colo intronisé au Hall of Fame de la VTB League" }, {"role": "assistant", "content":"La VTB United League a intronisé Kyle Hines, Nando De Colo et Janis Blums à son Hall of Fame; le commentateur Roman Skvortsov faisant également partie de la classe 2021.\\n\\nNando De Colo, 33 ans, a joué pour le CSKA Moscou de 2014 à 2019. Il a été 5 fois champion de la VTB United League, 3 fois MVP (2015, 2016, 2018) une fois MVP des playoffs (2017), trois fois VTB League All-Stars et c’est le meilleur marqueur de l’histoire de la VTB League parmi les joueurs étrangers (2296 points).\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"LF2 : Angers consolide sa première place" }, {"role": "assistant", "content":"Angers a fait un pas supplémentaire vers la (re)montée en Ligue Féminine avec une victoire à Toulouse, 71-75. Voici comment les filles de David Gautier -qui a prolongé jusqu’en juin 2023- sont toujours en tête avec une victoire d’avance sur Reims -qui compte un match de plus- et Aulnoye, et deux sur leur adversaire du jour.\\n\\nSeule imperfection : les Angevines n’ont pas réussi à reprendre le point average particulier sur Toulouse qui les avait battues à l’aller de cinq points.\\n\\n« Il y avait beaucoup d’enjeux, un succès nous permettait de consolider un peu plus encore notre première place », résume la meneuse Isis Arrondo, auteure de 12 points et 5 passes, au Courrier de l’Ouest. « Le seul petit bémol c’est de ne pas avoir enfoncé le clou lorsque nous avons compté plus de dix longueurs d’avance. Ce manque de constance, c’est un peu notre péché mignon. »\\n\\nIl reste encore 8 journées pour que l’objectif de l’UFAB devienne réalité.\\n\\nPhoto: UFAB" }, {"role": "user", "content":"Copa del Rey : L’éternel clasico en finale" }, {"role": "assistant", "content":"Le Real Madrid va disputer sa 8e finale consécutive de la Copa del Rey face à son ennemi juré, le FC Barcelone. Les hommes de Pablo Lasso vont ainsi tenter de récupérer un 7e trophée en dix ans.\\n\\nC’est grâce notamment à un Fabien Causeur de gala (18 points, 3 rebonds) et à l’Argentin Gabriel Deck (18 points, 7 rebonds) que les Madrilènes ont pu terrasser Lenovo Tenerife, 85-79, après avoir remonté un déficit de 18 points (22-40) pour lequel le Brésilien Marcelinho Huertas (22 points, 5 passes) avait grandement participé.\\n\\n« L’équipe n’a pas craqué et a continué à travailler jusqu’à ce qu’elle trouve son moment. C’était une victoire méritée par le travail effectué pendant les 40 minutes, » a commenté Pablo Laso.\\n\\nDans l’autre demi-finale, le FC Barcelone a eu beaucoup mois de soucis à éliminer Baskonia Vitoria puisqu’après avoir mené de 20 points, les Catalans se sont imposés 77-68. Les Basques sont toutefois revenus au score en fin de match mais le Barça a assuré sa qualification aux lancers-francs. Nikola Mirotic (16 points, 5 rebonds) a été une fois de plus très en vue, au contraire de Youssoupha Fall, qui s’est contenté de 7′ de jeu et d’un rebond.\\n\\nLa finale se tiendra aujourd’hui à 18h30.\\n\\nLe palmarès des Clasico en coupe:\\n\\nCoupe Généralissime\\n\\n1949 – Liguilla: le Barça termine premier et le Real Madrid, deuxième\\n\\n1951 – REAL MADRID 47-36 FC Barcelone\\n\\n1961 – REAL MADRID 76-51 FC Barcelone\\n\\nChampionnat d’Espagne – Copa del Rey\\n\\n1977 – REAL MADRID 97-71 FC Barcelone\\n\\n1978 – FC BARCELONE 103-96 Real Madrid\\n\\n1981 – FC BARCELONE 106-90 Real Madrid\\n\\n1982 – FC BARCELONE 110-108 Real Madrid\\n\\nCoupe du roi ACB\\n\\n1988 – FC BARCELONE 84-83 Real Madrid\\n\\n1989 – REAL MADRID 85-81 FC Barcelone\\n\\n2001 – FC BARCELONE 80-77 Real Madrid\\n\\n2007 – FC BARCELONE 69-53 Real Madrid\\n\\n2010 – FC BARCELONE 80-61 Real Madrid\\n\\n2011 – FC BARCELONE 68-60 Real Madrid\\n\\n2012 – REAL MADRID 91-74 FC Barcelone\\n\\n2014 – REAL MADRID 77-76 FC Barcelone\\n\\n2015 – REAL MADRID 77-71 FC Barcelone\\n\\n2018 – FC BARCELONE 92-90 Real Madrid\\n\\n2019 – FC BARCELONE 94-93 Real Madrid\\n\\nPhoto: Gabriel Deck (Real Madrid, ACB)" }, {"role": "user", "content":"VTB League : Ce dimanche, un All-Star Game à Moscou avec 50% de public" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la troisième année consécutive, le Dynamo Stadium de Moscou va accueillir aujourd’hui le All-Star Game de la VTB League avec un match entre les Stars du Monde et les Stars de Russie.\\n\\nLes autorités locales autorisent le remplissage de 50% de l’enceinte et tous les billets ont été vendus; les organisateurs ont pris soin de préciser qu’il ne fallait pas en acheter au marché noir.\\n\\nCertaines stars feront défaut dont ceux du CSKA Moscou, Mike James, qui a rejoint les Etats-Unis en raison d’un deuil familial, ainsi que Nikola Milutinov et Tornike Shengelia, qui sont blessés.\\n\\nLe principe de ce All-Star Game est le même que celui de la Ligue Nationale de Basket. Entre chaque quart-temps, les spectateurs pourront assister à des concurs de dunks et de trois-points. Les organisateurs préparent également d’autres surprises pour le public. La directrice générale de la ligue, Ilona Korstine, en a parlé aux Izvestia :\\n\\n«Étant donné que cette année l’évènement se tiendra le 14 février, jour de la Saint-Valentin, nous avons pensé qu’il serait logique de développer ce sujet. Sur la base de l’oeuvre de William Shakespeare « Roméo et Juliette », nous avons créé une bande dessinée avec un parti pris basket. Nous avons adapté le scénario. Nos personnages principaux sont un basketteur et sa pom-pom girl. Tout au long du match, une relation amoureuse se développera entre eux. Pour que personne ne se trompe dans les rebondissements du scénario, il y aura cette bande dessinée pour chaque spectateur, ce qui permettra de naviguer dans l’intrigue. Je suis sûr que ce sera intéressant. Pour ce spectacle, le compositeur a écrit de la musique spécialement pour nous. Autrement dit, nous n’emprunterons pas un morceau de musique, mais créerons notre propre produit unique. Nous avons fait un choix en faveur d’une chorale de 100 personnes. »\\n\\nUne autre attraction de la soirée sera les commentaires du célèbre présentateur de télévision Ivan Urgant, connu pour son grand amour pour la NBA. Une sorte de George Eddy à la russe.\\n\\nLe 5 de départ des Stars russes: Alexey Shved (Khimki), Nikita Mikhailvskii (Avtodor), Staniskav Ilnitskiy (Lokomotiv-Kuban), Andrei Zubkov (Zenit), Semen Antonov (CSKA).\\n\\nLe 5 de départ des Stars du monde: Marcus Keene (Kalev), Jamar Smith (UNICS), Mateusz Ponitka (Zenit), Mindaugas Kuzminskas (Lokomotiv-Kuban), Jordan Mickey (Khimki).\\n\\nLes Participants: au concours de dunks:\\n\\nJohn Brown III (UNICS)\\n\\nDerek Cooke (Tsmoki-Minsk)\\n\\nAleksandr Petenev (Avtodor)\\n\\nTyus (Battle (Enisey)" }, {"role": "user", "content":"Pro B: C’était la soirée de Evans Ganapamo (Paris Basketball)" }, {"role": "assistant", "content":"Jusque là son record en Pro B était de 12 points et cette saison, il n’avait pas fait mieux que 5 unités. Autant dire que ce fut hier soir LA soirée de Evans Ganapamo (2,01m, 26 ans). Lors de la victoire face à Nantes (71-58), l’ailier du Paris Basketball a marqué 24 points, en ne loupant qu’un seul de ses 5 shoots à deux-points, en transformant ses 5 essais à trois, et son seul lancer. Pour faire bonne mesure, il a pris 5 rebonds et fait 2 interceptions pour obtenir une évaluation de 29.\\n\\nEvans Ganapamo est international centrafricain mais né à Montpellier, où il a vécu jusqu’à ses 12 ans, il possède tout naturellement le passeport français. Il a été formé aux Etats-Unis, en NCAA, à New Orleans et Prairie View A&M, et il a transité par l’Allemagne et le SRB Rosenheim avant d’arriver dans la capitale. Comme il est considéré comme « Cotonou » et pas JFL, il n’avait joué que 4 matches la saison dernière en Pro B se contentant essentiellement de l’équipe de Nationale 2.\\n\\nLors de trois matches de qualification à la Coupe du monde 2019, il a été l’auteur de 12,7 points (40,0% à trois-points) en 19′ de moyenne avec les Fauves de Centrafrique avec qui ont trouvait Maxime Zianveni, Max Kouguere et encore Jimmy Djimrabaye. « C’est un honneur de porter le maillot de mon équipe nationale. Nous voulons décrocher notre qualification pour les gens au pays, qui ont besoin de réconfort en cette période si délicate, » avait-il alors déclaré mais la Centre-Afrique n’avait pu terminer que 4e de son groupe.\\n\\nLors des 3 matches de qualifications à l’Afrobasket 2022, Evans Ganapamo est monté en puissance, s’inscrivant dans le 5 majeur et affichant 17,0 points et 2,7 rebonds. Mais en novembre, les Fauves n’ont gagné qu’un seul de leurs trois matches et il leur faudra faire des exploits dans quelques jours, lors de la fenêtre à Monastir, en Tunisie.\\n\\n\\nUn @iamEvansG bien déter, t'as dead ça 💪🏀\\n9/10 aux tirs dont 5/5 à 3Pts 💯\\n\\n🎥 @DebeureJ pic.twitter.com/YCekWay3lQ\\n\\n— Paris Basketball (@ParisBasketball) February 14, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Les fans français favorables à un retour dans les enceintes sportives limitées à 50% de leur capacité" }, {"role": "assistant", "content":"Les Français sont favorables à un retour dans les enceintes sportives dans la limite de 50% de leur capacité. Cela concerne les Ligue 1 et 2 de foot, les ligues de rugby, de hand et de volley, ainsi que la Jeep Elite de basket.\\n\\nC’est une information livrée par une enquête effectuée par l’Observatoire du Sport Business en collaboration avec YouGov pour le Grand Public et Vertigo Research pour les fans et les professionnels du sport, à découvrir dans cette vidéo :\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Conner Frankamp naturalisé géorgien: Un scandale de plus" }, {"role": "assistant", "content":"En tant que pays co-organisateur, la Géorgie est assurée de participer à l’Eurobasket. Cela n’empêche pas les Géorgiens d’être performants lors des qualifications (4 victoires en 4 matches) et c’est à Tbilissi qu’ils vont recevoir coup sur coup la Serbie et la Finlande pour tenter de conserver la première place de leur groupe.\\n\\nVoulant consolider son effectif, la Géorgie a eu recours à la bonne vieille méthode très en vogue dans les pays de l’est de l’Europe: la naturalisation express d’un Américain, en l’occurence Conner Frankamp (1,85m, 25 ans).\\n\\nA sa sortie de fac, Conner Frankamp a joué en Bulgarie et en Crète et bien sûr n’est jamais passé par la case Géorgie. Il est actuellement le meneur de UCAM Murcie pour 16,5 points, 3,8 passes et 2,4 rebonds.\\n\\nIl découvrira son nouveau pays et ses nouveaux compatriotes le 19 de ce mois. Il ne devait jouer qu’un match car la Géorgie utilise déjà les services du combo guard américain, Thad McFadden, qui avait marqué 33 points et fait 7 passes lors de la victoire détonnante sur la Serbie, 94-90. Rappelons que la Fédération Internationale n’autorise qu’un seul naturalisé par équipe sur la feuille de match. Seulement, McFadden a demandé à être dispensé de cette « fenêtre », ce qui laisse la place entièrement libre à Frankamp.\\n\\nCette naturalisation est gagnant-gagnant... gagnant. Pour la Georgie, le joueur, et son club.\\n\\n« La République de Géorgie, dont les lois permettent la naturalisation d’athlètes de haut niveau pour faire grandir le basket-ball, en l’occurrence, est l’un des pays les plus enclins à délivrer des passeports pour mettre du talent au service de son équipe nationale. Comme Frankamp, les joueurs actuels de la Ligue Endesa tels que Thad McFadden (Burgos) ou Matt Janning (Manresa) sont également géorgiens bien qu’ils n’aient jamais résidé dans le pays », note La Verdad.\\n\\nAutre conséquence: Frankamp va bénéficier d’une licence communautaire dans la Liga Endesa dès qu’il fera ses débuts en compétition officielle, ce qui ouvrira de belles perspectives à UCAM Murcie.\\n\\nFinalement, dans l’histoire, la seule perdante, c’est la morale." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Gran Canaria, le club de Andrew Albicy, accuse des retards de paiement dans les salaires" }, {"role": "assistant", "content":"Le club de Herbalife Gran Canaria, dont le meneur de jeu est Andrew Albicy, a des problèmes de trésorerie dus à l’absence de recettes aux guichets.\\n\\nUn article de La Provincia de Las Palmas rapporte que les salaires de décembre des joueurs et du staff technique ont été versés avec retard alors que ceux de janvier sont toujours en attente.\\n\\nL’administration du club reconnaît le retard et dit mettre tout en œuvre pour apporter une solution.\\n\\nEn Liga Endesa, l’équipe des îles Canaries est à la 13e place du classement, tandis qu’en Eurocup, elle a accédé au Top-16, où elle a gagné un match pour trois défaites.\\n\\nPhoto: Andrew Albicy, Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Le basket sur grand écran : 20 films et documentaires du monde entier" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : NBAE\\n\\nTout le monde ou presque connaît les films Space Jam, Les Blancs ne savent pas sauter, Coach Carter ou les documentaires tels que The last dance. Mais, au-delà de ces succès au box-office, il existe bon nombre de films, documentaires, séries ou court-métrages d’un peu partout dans le monde qui abordent toutes sortes de sujets de société au travers du prisme du basket-ball, des plus badins aux plus graves. Quelques-uns sont plutôt connus dans nos contrées, d’autres beaucoup moins, comme ces long-métrages évoquant la Serbie, l’Iran, la Chine, la Turquie ou Israël. Au cinéma, le basket-ball est un bon moyen de s’ouvrir à d’autres cultures, à d’autres horizons, à d’autres histoires ! La preuve en 20 exemples.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nDocumentaires :\\n\\n * The Final Shot (2021), par Florent Bodin (FRA)\\n\\nÀ voir en version originale française sur Netflix\\n\\nAprès The Last Dance en hommage à Michael Jordan, c’est au tour de Tony Parker de voir son histoire racontée sur Netflix. Le biopic, d’une heure et 28 minutes, sorti ce 6 janvier, retrace le parcours de TP, meneur déjà déterminé qui arrive à San Antonio à 19 ans, devient titulaire au bout de seulement cinq matchs et remporte son premier titre de champion NBA à 21 ans. De son arrivée en 2CV à l’INSEP à l’apogée du Big Three jusqu’à sa retraite et à la présidence de l’Asvel, de nombreux témoignages racontent son parcours, dont le sien, bien sûr.\\n\\nBande-annonce officielle française :\\n\\n * Aulcie (2020), par Dani Menkin (ISR-USA)\\n\\nDisponible à l’achat au format numérique sur le site du Centre d’Art et de Culture Juive en VOSTFR\\n\\nAulcie Perry était un basketteur anonyme aux États-Unis, il est devenu une légende en Israël. Découvrez comment un recruteur du Maccabi Tel-Aviv l’a repéré en 1976 alors qu’il jouait sur un playground à Harlem avant de le signer et de l’embarquer dans une formidable épopée : en 1977, le « club nation » remporte sa première Coupe d’Europe des clubs (l’ancêtre de l’Euroleague, qu’il gagna également en 1981) et s’impose neuf fois dans son championnat national pendant les neuf ans où Aulcie Perry joue pour le club ! En 1978, il se convertit au judaïsme et devient citoyen israélien sous le nom d’Elisha ben Avraham. Dans ce documentaire, Aulcie Perry aborde lui-même ces périodes fastes de sa vie mais aussi sa chute, la drogue, la prison... Et son amour pour Israël, où il est retourné vivre une fois rendu à la liberté.\\n\\nBande-annonce en VOST (anglais) :\\n\\n * Le coup parfait (2013), par Nicolas de Virieu (FRA)\\n\\nDocumentaire créé en collaboration avec L’Équipe disponible ci-dessous\\n\\nCe documentaire résume la saison historique qu’a connu le Limoges CSP en 1993, avec l’extraordinaire finale victorieuse de l’Euroleague contre Trévise (59-55). La plupart des acteurs ce cet exploit témoignent et dévoilent l’état d’esprit dans lequel ils ont abordé cette finale. Pour retrouver Boja Malkovic, Michael Young, Jurij Zdovc, Richard Dacoury, Jim Bilba, le regretté Fred Forte et les autres.\\n\\n * Once Brothers (2010), par Michael Toulajian (USA)\\n\\nDocumentaire officiel en VOSTFR ci-dessous.\\n\\nCoproduit par la chaîne sportive américaine ESPN, ce documentaire retrace l’amitié brisée entre le pivot serbe Vlade Divac et l’arrière croate Dražen Petrović. Tous deux ont joué pour l’équipe nationale de Yougoslavie de 1986 à 1990 et remporté titres européen et mondial ensemble. Mais un geste du premier (il jette à terre un drapeau croate à terre à la fin de la finale victorieuse au Mondial 1990) le brouille avec le second, alors que la guerre de Yougoslavie est sur le point d’éclater. Ils n’auront jamais l’occasion de se réconcilier, le « Mozart croate » trouvant la mort dans un accident de la route en 1993. Entre remords et drame historique, Vlade Divac témoigne de manière touchante et émouvante.\\n\\nhttps://youtu.be/PKVBz5nFKJE\\n\\n * The Other Dream Team (2012), par Marius A. Markevičius (LIT-USA)\\n\\nDocumentaire officiel en VOST (anglais) ci-dessous.\\n\\nEn 1990, venant tout juste de déclarer son indépendance, la Lituanie se retrouve confrontée à une tentative de coup d’État fomentée par l’URSS pour renverser son gouvernement. C’est dans ce contexte tendu que l’équipe nationale de basket-ball lituanienne se prépare pour les Jeux olympiques de Barcelone de 1992. Ce documentaire retrace toute l’épopée de cette équipe, du rôle joué par le groupe de rock psychédélique californien Grateful Dead dans leur préparation jusqu’au formidable impact en Lituanie de la médaille de bronze récoltée par ses joueurs face à l’équipe de la CEI (une fédération d’États de l’ancienne URSS), le rival honni. Avec des témoignages d’Arvydas Sabonis, Bill Walton, Sarunas Marciulonis ou David Stern, entre de nombreux autres.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZYgeqoJ4B4Q\\n\\n * Nowitzki : Der Perfekte Wurf (2014), par Sebastian Dehnhardt (GER)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD & Blu-ray sur eBay ou Rakuten\\n\\nLa légende de NBA made in Germany : Dirk Nowitzki. Ce documentaire met en lumière les débuts de l’ailier-fort en Allemagne et comment sa rencontre avec Holger Geschwindner (joueur dans les années 60-70 et mentor de toujours de Nowitzki) l’a conduit au Texas et au sommet de la NBA avec les Mavericks de Dallas (1998-2019). Pour en parler, Dirk Nowitzki et ses proches interviennent ainsi que de nombreux joueurs qu’il a pu affronter comme Steve Nash, Vince Carter, Yao Ming et Kobe Bryant, pour ne citer qu’eux.\\n\\nBande-annonce officielle en version originale :\\n\\n * The Iran Job (2012), par Till Schauder (GER-USA)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD sur Rakuten\\n\\nMeneur de jeu ayant évolué en Israël, au Vénézuéla, en Argentine ou à Porto Rico, Kevin Sheppard prend en 2007 la direction de l’Iran, un pays avec lequel les États-Unis ont rompu toutes relations diplomatiques en 1979. Après un premier passage à Téhéran, il arrive à Chiraz en 2008 et tombe amoureux du pays et de ses habitants, qui l’accueillent à bras ouverts et lui font découvrir leur riche culture. Un amour qui va durer, le natif des Îles Vierges passant ensuite six saisons dans le club universitaire de Téhéran ! C’est cette épopée, et la vie iranienne au quotidien, en particulier celles de ces femmes avec lesquelles Kevin Sheppard se lie d’amitié, que décrit ce documentaire.\\n\\nBande-annonce officielle en VOST (anglais) :\\n\\n * Basket Europe Tour (2020), par Corentin Rodriguez (FRA)\\n\\nDocumentaire officiel ci-dessous.\\n\\nCorentin Rodriguez a parcouru six pays (Espagne, Italie, Slovénie, Croatie, Serbie et Grèce) pour découvrir la façon dont les ressortissants de ces contrées exprimaient leur passion pour la balle orange. En allant à la rencontre de joueurs amateurs et professionnels ainsi que de supporters, le réalisateur met en évidence les spécificités de chaque culture, comme « l’inat » serbe (terme mélangeant obstination et orgueil) ou les Forte, Franco, Fermo et Fiero bolognais, points cardinaux et guides des joueurs de la Virtus Bologne.\\n\\n\\nFilms :\\n\\n * Playoff (2012), par Eran Riklis (ISR-GER)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD & Blu-ray sur eBay et Rakuten\\n\\nLe film s’inspire de la carrière de l’entraîneur israélien d’origine allemande Ralph Klein, ici renommé Max Stoller. En 1982, le coach, qui vient de mener le Maccabi Tel-Aviv au titre de champion d’Europe et d’acquérir un statut de légende en Israël, part en Allemagne de l’Ouest pour prendre sous son aile l’équipe nationale, avec pour cible les championnats du monde à Los Angeles. Face à une équipe démotivée par le contexte politique du pays et une presse israélienne qui l’accuse de trahison, Stoller réussira-t-il à atteindre son objectif ? Son parcours semé d’embûches lui permettra également de renouer avec son passé, sa jeunesse d’avant-guerre.\\n\\nBande-annonce officielle en VOSTFR :\\n\\n * High Flying Bird (2019), par Steven Soderbergh (USA)\\n\\nÀ voir en version française sur Netflix\\n\\nAlors que la NBA est en plein « lock out » (arrêt des activités de la ligue par blocage des propriétaires de franchises), Ray Burke, un agent de joueurs, tente de convaincre l’une de ses recrues de s’élancer dans un pari risqué afin de tourner la situation en la faveur de ses clients. S’il n’y a que très peu de basket au sens sportif du terme dans ce film tourné avec un Iphone 8, le réalisateur arrive à proposer un contenu haletant en abordant des problèmes sociétaux d’aujourd’hui.\\n\\nBande-annonce officielle en version française :\\n\\n * Chacun pour tous (2018), par Vianney Lebasque (FRA)\\n\\nDisponible avec l’abonnement MyCanal ou en VOD sur AmazonPrime\\n\\nLors des Jeux paralympiques de Sydney en 2000, l’équipe d’Espagne de basket-ball des déficients mentaux avait remporté la médaille d’or avant qu’on ne découvre que la plupart de ses joueurs (10 sur 12) n’étaient en réalité pas handicapés. C’est cette histoire que Vianney Lebasque retranspose en France, dans un film qui traite avec légèreté cet épisode peu connu sans tomber dans la caricature. Sous la houlette d’un Jean-Pierre Darroussin bourru, l’équipe va petit à petit abattre les barrières entre valides et déficients mentaux de l’équipe.\\n\\nBande-annonce officielle française :\\n\\n * La Finale (2018), par Robin Sykes (FRA)\\n\\nDisponible à l’achat numérique sur AmazonPrime ou en DVD sur Rakuten\\n\\nAlors que son grand-père Roland (joué par Thierry Lhermitte) est de plus en plus diminué par la maladie d’Alzheimer, J.B. (Ryan Bensetti) ne rêve que de sa finale de basket à Paris. Contraint de devoir s’occuper de Roland le jour J, J.B. emmène son grand-père avec lui à la capitale. Et, bien sûr, rien ne se passe comme prévu. Traitant sur un mode léger mais touchant la maladie d’Alzheimer, ce premier film a permis à son réalisateur, Robin Sykes, de remporter deux trophées au Festival International du Film de Comédie de l’Alpe d’Huez : le Prix d’interprétation pour Thierry Lhermitte et le Grand Prix pour le réalisateur.\\n\\nBande-annonce officielle :\\n\\n * La Légende (2018), par Florian Hessique (FRA)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD sur Amazon\\n\\nTout sourit à Jean-Christophe Markovic, 25 ans, qui arrive à l’apogée de sa carrière de basketteur professionnel. Convoité par de grands clubs, il surprend tout son monde en signant pour Angers, son club formateur qui vient d’accéder à la première division. En fait, Jean-Christophe s’est gravement blessé au genou, ce qu’il a caché à tout le monde. Et ce qui ne l’empêche pas de convoiter une place en équipe de France, au prix de mille souffrances. Acteur, réalisateur, scénariste, Florian Hessique est également un ancien basketteur de bon niveau.\\n\\nBande-annonce officielle :\\n\\n * Champions (2018), par Javier Fesser (ESP)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD sur Amazon\\n\\nInspiré comme Chacun pour tous (voir plus haut) par la fameuse tricherie de l’équipe d’Espagne de basket-ball des déficients mentaux aux Jeux paralympiques de 2000, Campeones (Champions, en français) s’en démarque toutefois par son traitement. Dans cette version espagnole, Marco, entraîneur d’une équipe espagnole professionnelle, se retrouve condamné, après quelques écarts de conduite, à s’occuper d’une équipe de basketteurs handicapés mentaux, qu’il doit préparer pour un championnat de basket adapté. En s’appuyant sur des acteurs réellement handicapés, Javier Fesser a réalisé une comédie touchante, qui a remporté trois prix Goya en Espagne (l’équivalent des César français, dont celui du meilleur film).\\n\\nBande-annonce officielle en version française :\\n\\n * La Basketteuse n°5 (1957), par Xie Jin (CHN)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD sur Amazon\\n\\nDoyen de cette liste, La Basketteuse n°5 est le premier film chinois en couleurs sur le monde du sport. Il raconte l’histoire de Tian Zhenzhua, ancien grand joueur obligé d’interrompre sa carrière parce qu’il a refusé de perdre un match truqué et devenu 18 ans plus tard entraîneur de l’équipe féminine de Shanghai. Dans l’équipe, la meilleure joueuse, celle au numéro 5, s’appelle Lin Xiaojie. Lorsqu’elle se blesse et que Tian Zhenzhua l’emmène à l’hôpital, il y rencontre la mère de la jeune fille, Lin Jie, qui n’est autre que l’ancien amour que Tian Zhenzhua avait été obligé de quitter après l’histoire du match truqué.\\n\\n * Trois secondes (2017), par Anton Megerdichev (RUS)\\n\\nDisponible à l’achat en DVD & Blu-ray sur Amazon\\n\\nLa finale du tournoi de basket-ball des Jeux olympiques de 1972 à Munich a été l’un des matchs les plus controversés de l’histoire de ce sport. Archi-favoris, les États-Unis ont en effet été battus 51-50 par l’URSS à l’issue d’une partie dont les trois dernières secondes n’ont pas fini de faire débat. Ce film retrace cette histoire et son contexte (la Guerre froide, le massacre d’athlètes israéliens pendant ces JO). Un succès au box-office : Trois secondes est devenu le film le plus rentable de l’histoire du cinéma russe.\\n\\nImages France Télévision de la fin du match :\\n\\nBande-annonce officielle en version originale russe :\\n\\n\\nCourts-métrages\\n\\n * Fierrot le Pou (1990), par Mathieu Kassovitz (FRA)\\n\\nDisponible sur Arte.TV et sur Youtube (vidéo ci-dessous)\\n\\nChaque samedi, Fierrot, jeune Parisien maladroit, se rend dans un gymnase pour travailler sur son tir. De l’autre côté du terrain, la ravissante Solange vient faire de même à la même heure. Comment faire pour impressionner la belle ? Ce court-métrage ouvrira les portes du grand écran à Mathieu Kassovitz (La Haine, Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain, Munich... ), obtenant notamment le Prix du Jury jeune au Festival européen du film court de Brest (1991).\\n\\nhttps://youtu.be/e9QjriF9G-A\\n\\n\\nMais également...\\n\\nNDLR : les films et documentaires présentés ci-dessous ne sont a priori pas disponibles en version française ou en version originale sous-titrée. Mieux vaut donc comprendre le serbe ou le turc pour les apprécier...\\n\\n * Accroché au ciel (2000), par Ljubiša Samardžić (SRB)\\n\\nDisponible sur Youtube en serbe\\n\\nNous sommes à Belgrade, peu après les bombardements de l’OTAN de 1999, qui ont transformé la ville en champ de ruine. Kaja habite près d’une usine ravagée par les explosions. Bien que craignant d’être envoyé au front ou d’être la victime d’un nouveau bombardement, Kaja tente avec ses voisins de remettre en état le terrain de basket tout proche. Jeunes et vieux mettent la main à la pâte afin d’oublier, même un court moment, les horreurs de la guerre. Nebeska Udica (en serbe, ou Sky Hook en anglais) a été présenté en compétition officielle lors du Festival de Berlin 2000.\\n\\nBande-annonce en serbe :\\n\\n * Bağlar (2016), par Melis Birder et Berke Bas (TUR)\\n\\nÀ la croisée des chemins entre film et documentaire, Bağlar retrace l’histoire d’une équipe de basket de ce quartier de la ville turque de Diyarbakir enchaînant les victoires alors que les tout proches combats entre forces turques et kurdes font rage. Un film engagé qui plonge le spectateur dans le quotidien d’une Turquie rongée par la pauvreté et les troubles politiques.\\n\\nBande-annonce officielle en VOST (anglais) :\\n\\n * 1 na 1 (2002), par Mladen Matičević (SRB)\\n\\nDisponible (très difficilement) en DVD\\n\\nJedan na jedan (un contre un en français) se déroule dans un quartier du Nouveau Belgrade, les Blokovi. Là, Mačak (« le chat »), jeune surdoué du basket, gagne sa vie en jouant (et en remportant...) des un contre un. Lorsque le frère de l’un de ses amis est menacé par la bande menée par un gangster nommé Koma, Mačak doit jouer l’avenir de ce proche contre le meilleur joueur d’un quartier voisin. Il gagne, mais Koma ne respecte pas ses engagements. Mačak va alors trouver d’autres solutions pour régler le problème...\\n\\nBande-annonce officielle en version originale :\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nDocumentaires :\\n\\n * The Final Shot (2021), par Florent Bodin (FRA)\\n\\nÀ voir en version originale française sur Netflix\\n\\nAprès The Last Dance en hommage à Michael Jordan, c’est au tour de Tony Parker de voir son histoire racontée sur Netflix. Le biopic, d’une heure et 28 minutes, sorti ce 6 janvier, retrace le parcours de TP, meneur déjà déterminé qui arrive à San Antonio à 19 ans, devient titulaire au bout de seulement cinq matchs et remporte son premier titre de champion NBA à 21 ans. De son arrivée en 2CV à l’INSEP à l’apogée du Big Three jusqu’à sa retraite et à la présidence de l’Asvel, de nombreux témoignages racontent son parcours, don le sien, bien sûr.\\n\\nBande-annonce officielle française :\\n\\n * Aulcie (2020), par Dani Menkin (ISR-USA)\\n\\nDisponible à l’achat au format numérique sur le site du Centre d’Art et de Culture Juive en VOSTFR\\n\\nAulcie Perry était un basketteur anonyme aux États-Unis, il est devenu une légende en Israël. Découvrez comment un recruteur du Maccabi Tel-Aviv l’a repéré en 1976 alors qu’il jouait sur un playground à Harlem avant de le signer et de l’embarquer dans une formidable épopée : en 1977, le « club nation » remporte sa première Coupe d’Europe des clubs (l’ancêtre de l’Euroleague, qu’il gagna également en 1981) et s’impose neuf fois dans son championnat national pendant les neuf ans où Aulcie Perry joue pour le club ! En 1978, il se convertit au judaïsme et devient citoyen israélien sous le nom d’Elisha ben Avraham. Dans ce documentaire, Aulcie Perry aborde lui-même ces périodes fastes de sa vie mais aussi sa chute, la drogue, la prison... Et son amour pour Israël, où il est retourné vivre une fois rendu à la liberté.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"ASVEL-Limoges : 200 000 téléspectateurs et un pic à 310 000" }, {"role": "assistant", "content":"Le Directeur Général de la Ligue Nationale de Basket, Michel Mimran, a annoncé sur Twitter que le match ASVEL-Limoges, diffusé hier vendredi sur La Chaîne L’Equipe, a réalisé une moyenne de 200 000 téléspectateurs avec un pic à 310 000.\\n\\nLes (bonnes) audiences se confirment ainsi dans les mêmes eaux depuis le début de la saison même si le championnat de Jeep Elite fait du stop and go et n’a pu s’installer comme prévu dans la case du lundi soir.\\n\\n\\nAudience sympa pour le choc @LDLCASVEL – @limogescsp hier soir, avec 200 000 spectateurs en moyenne et un pic à 310 000 ... #lnb\\n\\n— Michel Mimran (@Michel_Mimran) February 13, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : 28 points et 10 rebonds pour Joffrey Lauvergne en demi-finale de la Coupe" }, {"role": "assistant", "content":"Superbe performance de Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans) en demi-finale de la Coupe de Lituanie, intitulée « King Mindaugas Kup ». Le Français a réalisé un double double avec 28 points (13/19 aux tirs) et 10 rebonds réalisés en 25 minutes, et le Zalgiris Kaunas a battu Neptunas Klaipeda, 84-72.\\n\\nIl s’agit du 2e match le plus prolifique en attaque de Lauvergne après ses 29 points face au Khimki Moscou en Euroleague.\\n\\nEn finale, Zalgiris affrontera Lietkabelis, qui s’est imposé à la Juventus Utena 84-73.\\n\\nPhoto: Zalgiris" }, {"role": "user", "content":"Eliminatoires Americup 2022 : 7 joueurs de Jeep Elite avec l’équipe du Canada !" }, {"role": "assistant", "content":"Dans le cadre des éliminatoires de l’Americup 2022, pas moins de 7 joueurs de Jeep Elite sur 16 sont dans la sélection du Canada coachée par Gordon Herbert, passé par Pau et Paris.\\n\\nLes Canadiens joueront quatre matchs au total entre le 17 et le 21 février, deux fois face aux îles Vierges américaines et Cuba, dans un environnement protégé (bulle) à San Juan, Porto Rico.\\n\\n« En ces temps extraordinaires, c’est un choix personnel pour nos joueurs et notre personnel de participer ou non à cette fenêtre », a déclaré Glen Grunwald, président de Basketball Canada. « Je tiens à féliciter chacun pour son engagement à représenter notre pays. »\\n\\nDeux de ces matchs avaient été reportés car l’équipe canadienne n’a pas pu participer à la deuxième fenêtre de ces éliminatoires FIBA AmeriCup 2022.\\n\\nLe Canada (1-1) est actuellement quatrième du groupe C qui comprend Cuba (1-2), la République dominicaine (3-1) et les îles Vierges américaines (1-2).\\n\\nAnthony Bennett – Ailier- 203 – Toronto, ON – N / A\\n\\nAaron Best – Arrière – 192- Scarborough, ON – Boulazac (France)\\n\\nJohnny Berhanemeskel – Arrière – 192 – Ottawa, ON – Nanterre (France)\\n\\nCadougan junior – Arrière – 185 – Toronto, ON – Fraser (CEBL)\\n\\nJadon Cohee -Arrière – 192- Langley, BC – Mgzavrebi (Géorgie)\\n\\nKadre Gray – Arrière – 185 – Toronto, ON – Hamilton Honey Badgers (CEBL)\\n\\nJermaine Haley – Arrière – 201- Vancouver, BC – University of West Virginia (NCAA)\\n\\nKaza Kajami-Keane – Arrière – 188- Ajax, ON – Le Mans (France)\\n\\nOwen Klassen – Centre – 208- Kingston, ON – Boulazac (France)\\n\\nKyle Landry – Centre – 208 – Calgary, AB – BlackJacks d’Ottawa (CEBL)\\n\\nMiKyle McIntosh – Ailier – 201 – Pickering, ON – Le Portel (France)\\n\\nConor Morgan – Ailier – 205 – Victoria, BC – Joventut Badalone (Espagne)\\n\\nAdika Peter-McNeilly – Arrière – 190 – Toronto, ON – Edmonton Stingers (CEBL)\\n\\nPhil Scrubb – Arrière – 190 – Richmond, BC – Limoges (France)\\n\\nThomas Scrubb – Ailier – 200 – Richmond, BC – Bourg (France)\\n\\nGrant Shephard – Ailier- 208- Kelowna, BC – Université Carleton (U SPORTS)\\n\\nPhoto: Phil Scrubb (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Nancy / Aix-Maurienne, 93-78 – Emmanuel Schmitt (Aix-Maurienne) : «On est trop gentils et peut-être que certains se voient trop beaux «" }, {"role": "assistant", "content":"Le SLUC Nancy a retrouvé des couleurs avec ce succès face à Aix-Maurienne (93-78), après deux défaites consécutives. En l’absence de Vincent Vent dans la raquette nancéienne, Bastien Vautier a très bien repris le flambeau.\\n\\nDans un match sérieux et appliqué, le SLUC n’a fait qu’une bouchée des Savoyards. Inconstants et maladroits, les hommes d’Emmanuel Schmitt ont été submergé en première mi-temps avec un 14-2 concédé dans le premier quart et un 14-4 dans le second qui leur ont été fatals.\\n\\nAlors qu’ils étaient entrés aux vestiaires avec 50 point dans la musette, les Aixois ont offert un meilleur visage dans le troisième quart temps en infligeant un 18-6 au SLUC. Si Aix avait serré la vis en défense, Nancy a su trouver des solutions pour garder son matelas d’avance (69-53) et a pu compter sur un Bastien Vautier présent au four et au moulin (21 points, 9/16 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs, 15 rebonds, 1 passes et 1 ballon perdu pour 28 d’évaluation).\\n\\nFrançois Peronnet (Coach Nancy) : « J’ai apprécié la prestation au niveau de l’implication et de la concentration du groupe. En face, Aix a été capable de remonter en pression dans le troisième quart, mais on a su répondre. Bastien (NDLR : Vautier) a déjà montré ce type d’agressivité la semaine dernière à Vichy. Il fait des efforts et on ne peut que le féliciter. Lucas (NDLR : Ugolin) a aussi fait de bonnes choses. C’est un garçon qui a beaucoup progressé depuis un an et demi ».\\n\\nLucas Ugolin (Nancy) : « Dans le troisième quart-temps, ils ont commencé à mettre plus de pression et augmenté leur intensité, mais on n’a pas flanché. On a dû s’adapter comme Vincent (Vent) n’était pas là. On a eu un peu de mal au début. Personnellement, j’ai pu montrer au coach que je suis là ».\\n\\nFréjus Zerbo (Aix-Maurienne) : « On commence mal le match. Dans le deuxième quart-temps, on a lâché. Quand on encaisse 50 points à la mi-temps, il faut réagir. On l’a fait, mais ça ne suffit pas. Le break arrive à point nommé pour nous ».\\n\\nEmmanuel Schmitt (Aix-Maurienne) : « Ce qui me gêne le plus, c’est le contenu et l’attitude de certains à certains moments. On savait qu’on pouvait souffrir contre une équipe comme Nancy, qui peut potentiellement inscrire 100 points à chaque match. On a eu le mérite de ne pas lâcher, mais ce n’est pas suffisant. On est trop gentils et peut-être que certains se voient trop beaux ».\\n\\nPhoto d’ouverture : Lucas Ugolin (BasketEurope, Théo Tetard)" }, {"role": "user", "content":"Monaco 86, Orléans 85 – JJ O’Brien a deux dixièmes du buzzer" }, {"role": "assistant", "content":"Le shoot de Abdoulaye Ndoye a dévissé. Il s’en est suivi un cafouillage sous le panneau d’Orléans. JJ O’Brien (2m, 28 ans) a réussit à capter la sphère et de trois mètres à l’envoyer dans le cylindre. Il restait deux dixièmes de seconde. Monaco l’a emporté à Orléans, 85-86.\\n\\nC’est la première fois que l’OLB tombe dans son palais des sports depuis neuf matches, toutes compétitions confondues. D’autant plus rageant que les Orléanais ont souvent fait la course en tête notamment grâce aux 15 points de Malela Mutuale et les 14 de Chima Moneke, et qu’ils ont refait par la suite un retard de neuf points.\\n\\nLe pivot de la Roca Team, Mathias Lessort (21 points, 12 rebonds) a été une fois de plus décisif. Avec 8 victoires en 9 matches, les Monégasques sont de solides leaders.\\n\\nPhoto: JJ O’Brien (ASM)" }, {"role": "user", "content":"Christophe Le Bouille (président Le Mans) : «Il faut finir la saison régulière car les aides de l’État vont continuer avec le huis clos»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que c’est l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket qui le décidera le lundi 22 février, il apparaît qu’une majorité de présidents de Jeep Elite et de Pro B est favorable à une reprise complète de la compétition. C’est au moins l’avis de celui du Mans, Christophe Le Bouille.\\n\\n« Il faut finir la saison régulière car les aides de l’État vont continuer avec le huis clos. Ça permet de compenser une partie des pertes et de limiter la casse. Mais seulement de la limiter car il va y avoir de la casse... », déclare t-il dans Le Maine Libre.\\n\\nChristophe Le Bouille estime en revanche qu’il sera difficile d’assurer des playoffs sachant que les trois-quarts de la saison régulière restent à jouer.\\n\\n« Après, est-ce qu’il y aura tout de même un événement de fin de saison, mais différent ? C’est dans les discussions. »\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"26 points, record en carrière pour le Limougeaud Jerry Boutsiele – «Oui, j’ai envie de jouer un jour en Euroleague»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP a succombé à l’Astroballe face à une ASVEL à l’effectif plus large, 84-75.\\n\\nJerry Boutsiele (2,07m, 28 ans) a longtemps tenu son équipe à bouts de bras grâce à une production offensive de très haut de gamme. Alors qu’il avait en face les 2,18m de Moustapha Fall, l’intérieur international s’est fendu de 26 points, son record en carrière, avec 9/15 aux tirs du champ, 8/13 aux lancers-francs, et il a ajouté 4 rebonds à son actif.\\n\\n« Oui, j’ai envie de jouer un jour en Euroleague », a reconnu le big man en conférence de presse, propos repris par Matthieu Marot du Populaire. En attendant, Jerry Boutsiele sera l’un des atouts majeurs de l’équipe de France lors des deux matches à venir face au Monténégro et à la Grande-Bretagne.\\n\\n\\nJerry Boutsiele : \\Oui, j'ai envie de jouer un jour en Euroleague mais je n'ai pas commencé ce match en me disant que je devais montrer ce dont j'étais capable face à une formation de ce niveau. Cela aurait été une erreur. J'ai abordé cette rencontre comme n'importe quelle autre\\\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) February 12, 2021\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Copa del Rey : Le FC Barcelone a dû recourir à une prolongation pour écarter Malaga" }, {"role": "assistant", "content":"Le FC Barcelone a eu besoin d’une prolongation pour écarter Unicaja Malaga en quarts-de-finale de la Copa del Rey à Madrid, 103-93.\\n\\nUnicaja a été emmené offensivement par un brillant Dario Brizuela (1,88m, 26 ans), qui a marqué 33 points avec un 5/8 à trois-points mais perdu aussi 9 ballons. C’est Brizuela, en transes, qui a été à l’origine du 19-0 infligé aux Catalans et d’un écart de vingt points dans le premier quart-temps (29-9).\\n\\nLéo Westermann (5 points, 3 passes) a fait partie de ceux qui ont amené la défense du Barça à se durcir, tandis de Cory Higgins (22 points) alimentait la marque sans relâche. Unicaja repartait de plus belle après la pause (55-65) mais les Catalans renversaient la table avec un 24-5. Pourtant Malaga n’a pas lâché le match et ce n’est que dans l’ultime minute de la prolongation que les Catalans ont fait la différence. Axel Bouteille a eu droit à seulement 7 minutes de jeu pour 6 points.\\n\\n« En tant qu’entraîneur, je dois assumer mes responsabilités, préparer mentalement mon équipe, et je ne l’ai pas fait », a concédé le coach du Barça, Sarunas Jasikevicius. « Nous sommes entrés sur le terrain avec la peur, sans défense et Unicaja n’avait rien à perdre. Espérons qu’en 24 heures, nous pourrons reprendre des forces, voir ce que nous avons mal fait et que nous serons prêts pour un match physique. »\\n\\nLe FC Barcelone affrontera en demi-finale Baskonia Vitoria, vainqueur de la Joventut Badalona, 96-97, avec 5 points de Youssoupha Fall.\\n\\nPhoto: Brandon Davies (FC Barcelone, ACB)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre : Le CSKA Moscou a payé 550 000 euros de buyout pour deux joueurs" }, {"role": "assistant", "content":"L’infirmerie du CSKA Moscou est très occupée actuellement avec la présence du Géorgien Toto Shengelia, de l’Américain Will Clyburn et surtout du Serbe Nikola Milutinovic, qui est forfait pour le reste de la saison.\\n\\nAussi, le club de l’Armée russe a recruté le Nigérian Michael Eric (2,11m, 32 ans) et le Danois Gabriel Lundberg (1,93m, 26 ans). Seulement, ceux-ci étaient sous contrat, et il a fallu dédommager leurs deux clubs, respectivement Turk Telekom et Zielona Gora. Selon le journaliste Lituanien, Donatas Urbonas, le montant des buyouts s’est élevé à un coquet 550 000 euros.\\n\\nPar comparaison, c’est presque autant que les deux plus gros salaires de l’ASVEL réunis.\\n\\n\\nCSKA Moscow were big spenders this week. They paid ~€550k for buyouts of Iffe Lundberg (Zielona Gora) and Micheal Eric (Turk Telekom), I was told. CSKA are missing top 3 of 4 CSKA players by efficiency at the moment.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) February 12, 2021\\n\\n\\nPhoto: Gabriel Ludberg (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jayce Carroll (Real Madrid) : «Le premier conseil que je donnerais à un enfant est de ne pas shooter à trois-points»" }, {"role": "assistant", "content":"A 37 ans, Jayce Carroll (1,88m) est toujours un shooteur d’élite, qui fait le bonheur du Real Madrid depuis dix ans après un passage de deux saisons à Gran Canaria. Alors, quand dans El Pais, il parle de longévité et qu’il donne des conseils sur le shoot à trois-points, on se doit de l’écouter.\\n\\n« J’apprécie beaucoup le basket et je viens m’entraîner tous les jours avec le sourire. J’adore continuer à performer et aider l’équipe dans les minutes dont je dispose. Le secret ? Je suis mormon. Je n’ai jamais bu d’alcool ni fumé. Je mène une vie assez saine. J’ai toujours beaucoup travaillé en salle avec Juan Trapero (NDLR: le préparateur physique du club), avec une préparation spécifique. J’essaie également de prendre bien soin de ce que je mange. J’adore les glaces et les bonbons, mais j’essaie de les limiter et de manger beaucoup de viande et de légumes. »\\n\\nVoici le conseil qu’il donne à un jeune pour apprendre à shooter de loin:\\n\\n« Le premier conseil que je donnerais à un enfant est de ne pas shooter à trois-points. Vous devez vous entraîner sur la ligne jusqu’à ce que vous obteniez la technique parfaite, puis, lorsque vous avez assez de force, sortez en pour tirer à trois-points. Vous devez d’abord apprendre à feinter le shoot à trois-points et à pénétrer. Mon père ne m’a pas laissé tirer à trois-points avant l’âge de 14 ans. À 14 ans, il m’a dit: «Allez, maintenant tu peux» et cela a tout changé. Lorsque vous n’avez pas assez de force, la technique en souffre. »\\n\\nA propos des tirs décisifs, il commente :\\n\\n« C’est une question de confiance plus que de caractère. Et la confiance se gagne avec toutes les heures que vous passez à améliorer votre tir, avec tous les tirs que vous faites tout au long de votre carrière. Ensuite, il est important de savoir que l’équipe a confiance en vous. La vie d’un tireur est la confiance. L’objectif est le talent, la génétique et, surtout, le travail. Vous voyez souvent comment le travail bat le talent. C’est pourquoi vous ne devez pas arrêter de travailler dur. »\\n\\nEt à propos de la pression :\\n\\n« Jouer au basket est un luxe. C’est mon rêve et mon métier depuis que j’ai 10 ans. J’ai eu la grande bénédiction de pratiquer ce sport depuis longtemps. Et bien sûr, dans ce dernier moment dans lequel vous jouez un match ou un titre, il y a beaucoup de pression. Mais cette pression n’a rien à voir avec le fait de pouvoir payer l’électricité ou acheter de la nourriture. Les conséquences de l’échec d’un triples ne sont pas comparables à celles de ne pas pouvoir joindre les deux bouts. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Russie : Kristina Gulina, basketteuse de talent et star de TikTok" }, {"role": "assistant", "content":"Son nom est Kristina Gulina. Il ne vous dit probablement rien. Sachez que cette jeune basketteuse russe compte 260 000 abonnés et 13,5 millions de likes sur TikTok, une application mobile de partage de vidéo et de réseautage social, qui fait fureur chez les jeunes.\\n\\nDonc Kristina Gulina, 18 ans, a fait de la danse, du dessin et de la gymnastique rythmique avant de se consacrer à fond au basket. Elle joue au GUTID de Saint-Petersbourg et elle eu des contacts avec le Dynamo Koursk et UMMC Ekaterinbourg mais elle a préféré demeurer dans sa ville pour suivre ses études. Elle ambitionne toutefois de se rendre dans une université américaine ou en Espagne.\\n\\nEt TikTok dans tout ça ? Rien à voir avec le basket.\\n\\n« Tout a commencé avec l’application Musical.ly, qui est devenue plus tard TikTok », raconte t-elle à Sports. « Je l’ai téléchargé car il était possible de tourner des vidéos avec de la musique, je ne savais même pas que vous pouviez créer un compte. Mes amis et moi avons filmé des vidéos stupides, et il semble que je les ai toutes enregistrées dans des brouillons. Mais une fois, mon amie et moi avons filmé une vidéo avec des gens jetant de la crème fouettée et l’attrapant avec leur bouche. Nous l’avons fait, puis j’ai – par hasard, semble-t-il – publié. Puis j’ai quitté l’application, comme toujours, et le lendemain matin, j’ai reçu beaucoup de notifications, la vidéo a obtenu 100 000 vues, 20 000 likes. Je n’ai jamais eu ça, j’ai été très surprise. Bien que plus tard, j’ai quand même abandonné tout cela et je n’ai pas continué, car il était difficile de comprendre quoi que ce soit. Et plus tard cette application est devenue TikTok, j’ai commencé à comprendre un peu, à regarder ce que les gens font, ce qu’ils filment. Et l’été dernier, quand j’étais en vacances, je me suis dit, pourquoi pas, pourquoi ne pas montrer ma vie, quelques belles vues, autre chose. Je m’intéressais à cette industrie depuis l’enfance, j’aimais le montage vidéo. J’ai commencé à télécharger des vidéos et, progressivement, l’intérêt des abonnés a commencé à grandir. Alors j’ai commencé à faire du tik-tok. »\\n\\nVoici donc comment Kristina Gulina est devenu très populaire sur tik-tok. Le pourquoi ? Impossible à comprendre pour un adulte et pas forcément non plus pour une ado, qui est étonnée des réactions de ses fans.\\n\\n« Ils m’ont même dit quelque chose du genre : « Chris, merci beaucoup, grâce à toi j’ai perdu mon grand complexe. » Comment puis-je, en photographiant mon visage et ma vie, aider les gens, à perdre des complexes? Mais je pense que c’est très cool. J’étais heureuse de pouvoir apporter quelque chose de bien à ce monde. »\\n\\nEt... Voyons l’aspect positif de son succès: le basket-ball en sort gagnant:\\n\\n« En fait, je n’ai commencé à montrer le basket-ball dans mon profil que durant les six derniers mois. Avant, les gens ne savaient même pas que j’étais fan de basket. Je ne l’ai pas du tout annoncé, ils n’ont vu que mon visage et ma vie. Mais à un moment donné, lorsque j’ai tourné une vidéo de motivation avec le basket-ball, la couverture a beaucoup augmenté, j’ai réalisé que les gens aimaient ça. J’ai commencé à incorporer davantage de basket-ball dans mon contenu et la popularité est montée en flèche. Certains m’ont même écrit que grâce à moi, ils sont allés à la section basket ! Même les adultes qui ne faisaient que regarder TikTok se sont soudainement levés et sont allés jouer au basket. »" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: A la découverte de Joshiko Saibou (Champagne Basket)" }, {"role": "assistant", "content":"Le Champagne Basket nous présente son nouveau meneur, l’Allemand Joshiko Saibou (1,88m, 30 ans).\\n\\n« On a une équipe assez jeune donc je vais essayer d’aider les plus jeunes, de leur donner quelques conseils et de leur faire profiter de mon expérience. Je vais jouer agressif comme je sais le faire », promet-il." }, {"role": "user", "content":"Vidéos : Rafal «Lipek» Lipinski, l’as du dunk" }, {"role": "assistant", "content":"Nom : Rafal « Lipek » Lipinski. Taille: 1,89m. Poids: 78kg. Détente verticale: 1,27m. Nationalité: polonaise. Date de naissance: 29 décembre 1991.\\n\\nSa spécialité? Le 3×3. Et encore? Une deuxième ? Il suffit de regarder cette vidéo que vient de concocter la FIBA pour la connaître aussitôt. On en a mis une deuxième en bonus, qui date de 2015.\\n\\n\\nIt's been 10 years you don't wanna face Lipek 🇵🇱 in a dunk contest 😱😱 pic.twitter.com/UxocnrShZJ\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) February 12, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Filip Petrusev : La NBA via une solide éducation" }, {"role": "assistant", "content":"Le Serbe Filip Petrusev (2,11m) est un surdoué mais il fait preuve d’une louable patience et il a déjà multiplié les expériences pour parvenir à son objectif : la NBA.\\n\\nForcément, on est plein d’attention pour un jeune homme de 20 ans, qui est le meilleur marqueur (23,6 points) avec la meilleure évaluation (28,44), le 2e rebondeur (7,6) et 3e contreur (1,19) de la Ligue Adriatique avec le KK Mega Soccerbet.\\n\\nD’ailleurs, cela fait déjà quelques années que l’on suit Filip Petrusev, qui a gagné deux fois l’or avec la Serbie à l’Euro U18, en 2017 et 2018. La seconde fois, il s’était fendu de 21,0 points, 8,7 rebonds et 3,1 passes – avec 29 points en finale contre la Lettonie. Il avait été privé du trophée de MVP par Marko Pecarski (2,08m), qui formait avec lui une paire de tours infernales dans la peinture et qui, statistiquement, avait fait encore plus fort avec 24,7 points et 11,0 rebonds sur le tournoi. Pecarski a signé depuis un contrat de trois ans avec le FMP Belgrade, et il est loin d’être dans les standards de son ancien camarade de promo (7,3 points et 4,0 rebonds cette saison).\\n\\nLes chiffres de Petrusev ont été tout aussi excellents au Mondial U19 en 2019 avec un double double de moyenne : 19,3 points, 10,1 rebonds, 2,6 passes, 1,6 interception et 2,0 contres.\\n\\nL’Espagne puis les Etats-Unis\\n\\nSa première expérience à l’étranger a eu pour cadre l’Espagne, au centre de formation de Baskonia Vitoria. Son frère cadet David a choisi ensuite la même voie. « Si nous avions été guidés par une carrière professionnelle et des revenus, les deux ne seraient pas allés en Espagne à l’âge de 14 ans et en Amérique à 16 ans », explique leur père, Dejan. « Car, déjà à 15 ans, Filip aurait pu être professionnel en Espagne. Il a eu l’opportunité de signer un très bon contrat. Mais il était au début du développement de son basket-ball et de son chemin de vie. La priorité devrait être le développement du basket-ball, qui d’année en année, à mesure que le basket-ball évolue, dure de plus en plus longtemps, surtout en ce qui concerne les pivots. Son objectif est de jouer un jour en NBA, et pour avoir une chance d’y arriver, il a encore beaucoup de travail à faire. C’était notre condition de base. Nous n’avons pas pensé à l’argent, ils en avaient toujours assez. En plus du basket-ball, la partie académique était tout aussi importante, cela permettait d’apprendre et à maîtriser la langue espagnole. Nous avons aimé l’ensemble du package que nous avons vu cet été-là quand ils nous ont accueillis et simulé sa journée de travail. De retour à Belgrade, nous nous sommes assis, avons accepté et soutenu Filip, qui aimait beaucoup l’ensemble et était prêt à aller à Vitoria. »\\n\\nA Vitoria, les frères Petrusev sont allés dans une bonne école privée, et ils ont rapidement maîtrisé l’espagnol et ainsi pu suivre les cours sans difficulté. Ils étaient hébergés dans une ambiance familiale propice à leur bien-être, leurs parents leur rendaient régulièrement visite et pourtant Filip n’est pas resté très longtemps. Là aussi, le père met l’accent sur le fait qu’il ne souhaitait pas que son fils vive une carrière de basketteur en accéléré. « Au début de la deuxième année, Filip a été transféré de l’équipe de développement junior à l’équipe de développement senior, à l’âge de 15 ans. On a vu que tôt ou tard, cette voie irait dans le sens du basket professionnel, et qu’il aurait de moins en moins de temps et d’opportunités pour poursuivre ses études. Nous avons convenu qu’ils iraient tous les deux en Amérique, car c’est possible là-bas que l’éducation et le basket-ball soient à un niveau tout aussi élevé en même temps. »\\n\\nGood Morning America, donc. Mais pas question déjà d’une inscription à la fac. L’ancien entraîneur de l’Etoile Rouge de Belgrade, Ivo Simovic, désormais à l’université de Loyola, les a aidés dans le choix de sa destination. Le père s’est rendu sur place, à l’Avon Of Farms, pour avoir la confirmation que ce lycée serait en adéquation avec les ambitions du fiston. Il y a appris l’anglais, mais pour pouvoir bénéficier d’un meilleur environnement basket, il a bifurqué ensuite sur la Monteverde Academy, en Floride. Là, il s’est retrouvé dans l’œil des scouts de la NCAA. « Il y avait 20-30 offres de bonnes universités. Nous en avons d’abord filtré dix, puis nous l’avons réduit à cinq, où nous avons effectué des visites officielles où les universités montrent aux parents et aux étudiants ce qu’ils peuvent offrir. Nous avons opté pour Gonzaga, principalement en raison de leur tradition dans le travail et le développement de joueurs non américains de grande taille. » De fait, outre le Dreamteamer John Stockton, les Bulldogs de Gonzaga contribuèrent largement à la formation de Jean-Claude Lefèbvre, il y a soixante ans, Rony Turiaf et Kim Tillie, et maintenant de Joël Ayayi, et aussi du Lituanien Domantas Sabonis, du Japonais Rui Hachimura, du Brésilien JP Batista, et encore du Polonais Przemek Karnowski.\\n\\nA Gonzaga, Filip Petrusev a confirmé toutes ses dispositions avec une moyenne de 17,5 points et 7,9 rebonds lors de la deuxième année. Elu Meilleur joueur de la Conférence WCC, il a été introduit dans la deuxième équipe All-American par le NABC et USA Today. « Les deux années ont été très bonnes. Au cours de la première, il a eu l’opportunité de s’adapter au basket-ball, au style de vie étudiant, de s’entraîner et de jouer avec de bons joueurs, tels que Rui Hachimura et Brandon Clark, qui ont été draftés au premier tour. Lors de la suivante, il a eu plus d’occasions de jouer. Cependant, après le tournoi final à Las Vegas, où Gonzaga a remporté la première place de la conférence, les sports universitaires ont été interrompus. Nous étions ensemble en Amérique pendant trois ou quatre mois, attendant de voir ce qui allait se passer avec la suite de la saison et la draft. Quand nous avons vu que la saison était incertaine, que le projet avait été repoussé à novembre, nous avons décidé de retourner à Belgrade. Nous avons contacté des personnes de plusieurs clubs qui ont proposé leurs options, nous avons aimé la présentation de Miško Ražnatović (NDLR : le boss de Beobasket) et nous avons décidé de ne pas retourner aux États-Unis. »\\n\\nC’est ainsi que Petrusev a quitté les Zags et qu’il ne s’est pas présenté à la draft, où il était seulement annoncé comme un milieu ou une fin de deuxième tour. Comme on le sait, les franchises NBA ne choisissent pas forcément les meilleurs basketteurs mais ceux qui ont un style qui correspond à leurs critères. Les scouts reconnaissent qu’il a déjà un corps fait pour la NBA, avec de belles épaules larges et de longs bras, que son QI basket est élevé, mais ils lui reprochent un manque de qualités athlétiques et qu’il n’exploite pas toujours à fond son potentiel. « Il a tendance à terminer les actions avec le moins d’énergie nécessaire, préférant un layup à un dunk, ce qui permet à ses adversaires de l’arrêter plus facilement... Peut-être trop concentré sur des actions en finesse », remarque ainsi Nbadraft.net.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=NMHNqV0ZfAA&ab_channel=voja2kprod\\n\\nIl suit toujours des cours de Gonzaga en ligne\\n\\nLe club a changé plusieurs fois de nom au gré de ses nouveaux partenaires, Mega Vizura, Mega Leks, Mega Bemax pour devenir Mega Soccerbet, mais il a conservé sa vocation : développer et exposer quelques-uns des plus beaux prospects de l’agence Beobasket. C’est ainsi que Nikola Jokic, Vasilije Micic, mais aussi Timothé Luwawu-Cabarrot, Adam Mokoka, Luka Asceric et Alpha Kaba y ont transité, Malcolm Cazalon perpétuant actuellement la tradition française. Cette saison, à l’exception de Milenko Topic, 33 ans, et Dayton Smith, 26 ans, les 15 autres joueurs sont nés entre 1999 et 2004. « En faisant venir Filip Petrusev, nous sommes sur la bonne voie pour compléter l’équipe pour la prochaine saison où, selon la tradition, nous serons les plus jeunes de la ligue ABA. Nous sommes sûrs que Filip s’intégrera très rapidement dans le système Mega et contribuera à l’obtention des meilleurs résultats possibles », avait communiqué le club à l’annonce de sa signature. De fait, Mega Soccerbet est une équipe très jeune, mais compétitive, classée 3e en Adriatic League, et Petrusev est son moteur à réaction.\\n\\nFilip Petrusev y poursuit son apprentissage, sa maturation. « Il est possible que j’ai mûri plus tôt, et cela a été influencé par certaines circonstances de la vie et la décision de partir très tôt à l’étranger », commente t-il à Zurnal. « Dès l’âge de 14 ans, j’ai vécu seul, d’abord en Espagne, puis en Amérique, et j’ai dû faire des choses auxquelles, si j’étais resté à la maison avec mes parents, je n’aurais même pas pensé. Aussi, en Amérique, mon jeune frère m’a rejoint, je m’en suis occupé. J’avais le sentiment d’une grande responsabilité, loin de chez moi, je devais m’occuper de lui de la meilleure façon possible. Il était nécessaire pour moi de m’occuper de beaucoup de choses, de prendre mes propres décisions avec le sentiment constant de devoir savoir si vous ferez tout bien ou pas. Tout cela m’a probablement aidé à mûrir plus tôt, et ma mère a l’habitude de dire que j’ai quitté la maison quand j’étais enfant et qu’après seulement quelques années, je suis revenu en tant qu’adulte. »\\n\\nAlors que beaucoup de parents souhaitent que leur progéniture gagne le plus vite possible un maximum d’argent, les Petrusev sont empreints de sagesse. Ils suivent avec attention l’aîné mais aussi David qui, après être sorti diplômé de Monteverde, a entamé un troisième cycle dans le New Jersey, dans le but d’obtenir ensuite une bourse en NCAA et toujours d’y allier basket et études. Il faut savoir aussi que s’il a quitté le campus de Gonzaga, Filip continue d’en suivre des cours en ligne avec l’intention de décrocher un diplôme en gestion du sport. « Il est difficile de parler de vos enfants, en particulier des choses positives. Parce que les parents sont responsables des bonnes choses que fait l’enfant et coupables des mauvaises. Nos fils sont très indépendants et confiants. Ils ont un objectif fondamental qu’ils essaient d’atteindre avec notre soutien. Mais ils ignorent les difficultés qui les attendent en cours de route. Nous sommes très heureux qu’ils soient très jeunes et qu’ils avancent vers leurs objectifs. Je fais des affaires privées depuis quinze ans, je peux organiser moi-même mes horaires de travail. Ma femme est dans une bonne entreprise où elle a trouvé une compréhension exceptionnelle des managers lorsque nous devons voyager. Nous sommes très heureux que les gens aient reconnu que notre priorité est d’être avec les enfants chaque fois que nous le jugeons important. Nous avons eu la compréhension et le soutien de nos plus proches, ainsi que de nos amis et associés », conclut le père. Chez les Petrusev, performance sportive rime avec éducation.\\n\\nx\\n\\nPhoto : Mega Soccerbet" }, {"role": "user", "content":"Pour le magazine allemand FIVE, la Jeep Elite est la 4e ligue en Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Quelles sont les meilleures ligues de basket-ball en Europe ? Le magazine allemand FIVE s’est attelé à la tâche pour établir un classement avec le concours du coach Adam Radomirovic, en décernant des points suivant différents critères, comme la couverture TV, les budgets, etc.\\n\\nPas de surprise: il ressort de cette analyse que la ligue espagnole ACB est numéro 1. Elle devance la ligue turque, la VTB League et... la Jeep Elite appelée ici LNB/Pro A. Suivent les ligues allemande, italienne, grecque, adriatique, lituanienne et israélienne." }, {"role": "user", "content":"Le Mans SB : Christophe Le Bouille et Yves de la Fouchardière réélus à la présidence du club" }, {"role": "assistant", "content":"A l’issue de l’assemblée générale ordinaire du Mans Sarthe Basket, le Conseil de surveillance s’est réuni ce jeudi 11 février 2021 à l’Abbaye Royale de l’Epau. Après avoir validé les comptes clos au 30 juin 2020, les membres de l’AG ont procédé à l’élection à l’unanimité des membres « privés » du Conseil de surveillance, à savoir :\\n\\nMonsieur Yves de la FOUCHARDIERE\\n\\nMonsieur Benoit DROUIN (SYVOL)\\nMonsieur Jean-Pierre GOISBAULT\\nMonsieur Guénaël GRAGNIC (CFSP)\\nMonsieur Dominique PAYEN (OPTI FINANCE)\\nMonsieur Christophe MAURIER (SADRIN RAPIN)\\nMonsieur Olivier LHERMITTE (ACCORD IMMOBILIER)\\nMonsieur Léonard PRUNIER (CHARCUTERIE PRUNIER PERE ET FILS)\\n\\nPour rappel, les membres représentant les collectivités sont : Monsieur Nordine ARIK (Ville du Mans), Madame Anne Marie CHOISNE (Ville du Mans), Monsieur Christophe COUNIL (Le Mans Métropole), Monsieur, François EDOM (Le Mans Métropole), Madame Delphine DELAHAYE (Département de la Sarthe), Monsieur Gérard GALPIN (Département de la Sarthe), Madame Catherine PAINEAU (Département de la Sarthe), Madame Véronique RIVRON (Département de la Sarthe), Monsieur Daniel COUDREUSE (Région des Pays de la Loire).\\n\\nLe nouveau Conseil a alors élu à l’unanimité Président du Conseil de surveillance : Monsieur Yves de la FOUCHARDIERE.\\n\\nPuis les membres du Conseil de surveillance ont décidé à l’unanimité de renouveler dans leurs fonctions de membres du Directoire pour une nouvelle période de quatre années :\\n\\nMonsieur Christophe LE BOUILLE, membre du Directoire. Monsieur Éric MAGNETTO, membre du Directoire. Monsieur Arnaud LEPROUX, membre du Directoire.\\n\\nEnfin les membres du Conseil de surveillance ont renouvelé à l’unanimité dans ses fonctions de Président du Directoire Monsieur Christophe LE BOUILLE et ce pour une durée de mandat égale à celle de son mandat de membre du Directoire.\\n\\nDéclaration d’Yves de la FOUCHARDIERE :\\n\\n« Je suis très heureux de poursuivre ma mission auprès du MSB.\\nC’est un vrai plaisir de travailler avec Christophe LE BOUILLE et son équipe de salariés et de bénévoles. Le MSB est à l’image de son département et de sa ville : modeste, travailleur et ambitieux. Ce club a un patrimoine extraordinaire et nous ferons tout notre possible pour qu’il continue à rayonner et reste une des références du basket français. Un grand merci aux collectivités et aux partenaires privés qui continuent, malgré la crise, à soutenir sans relâche notre club. »\\n\\nDéclaration de Christophe LE BOUILLE :\\n\\n« Je remercie les actionnaires et les membres du conseil de surveillance pour leur confiance. La stabilité de la gouvernance doit également nous permettre d’envisager l’avenir avec plus de sérénité. L’objectif du directoire reste celui de faire progresser le club, le moderniser tout en gardant à l’esprit les valeurs qui nous importent : performance, rigueur, proximité. »\\n\\nPhoto: Christophe Le Bouille" }, {"role": "user", "content":"Lyon – Basket Landes sera diffusé sur La Chaîne L’Equipe le 26 février" }, {"role": "assistant", "content":"La chaîne L’Équipe diffusera le vendredi 26 février, à 21h, une nouvelle rencontre au sommet en Ligue Féminine entre Lyon et Basket Landes. Il s’agira de la troisième diffusion de la saison, en clair et sur une chaîne nationale, pour la Ligue Féminine.\\n\\nLe match entre Basket Landes et Bourges début janvier avait réuni 270 000 téléspectateurs en moyenne.\\n\\nAu match aller, Lyon s’était imposé sur le parquet de Basket Landes 63-75 (journée 5, décalée au 30 janvier 2021).\\n\\nSamedi 20 février à 17h45\\n\\nLyon – Bourges – 14e journée du championnat de Ligue Féminine À suivre en direct sur la chaîne L’Équipe (TNT, canal 21)\\n\\nVendredi 26 février à 21h00\\n\\nLyon – Basket Landes – 16e journée du championnat de Ligue Féminine À suivre en direct sur la chaîne L’Équipe (TNT, canal 21)\\n\\nPhoto: Céline Dumerc (Basket Landes, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Après sa pige à Bourg, Ivan Buva signe à Rytas Vilnius" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa pige à la JL Bourg, le pivot croate Ivan Buva (2,08m, 29 ans) va rejoindre la Lituanie et Rytas Vilnius annonce le club.\\n\\nAvec Bourg, le Croate a assuré 12,8 points, 2,8 rebonds et 1,5 passe pour 10,3 d’évaluation en Eurocup.\\n\\n« Je suis heureux qu’un club comme Rytas m’ait proposé de le rejoindre et d’avoir l’opportunité de venir dans le pays du basket », déclare Ivan Buva qui a également joué en Espagne, Turquie, Croatie, Bosnie-Herzégovine, Italie et Chine.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro 2022 : Danilo Andjusic, Luka Asceric (Bourg) et Nikola Rebic (Nanterre) avec la Serbie" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de Serbie disputera à Tbilissi, Géorgie, les deux derniers matches des qualifications pour le Championnat d’Europe 2022, les 19 et 21 février. Elle aura comme adversaires l’équipe locale et la Suisse.\\n\\nLe coach Igor Kokoškov a sélectionné 16 joueurs dont trois de Jeep Elite (Nikola Rebic, Danilo Andjusic, et le francophile Luka Asceric) ainsi que Vasilije Micic et Marko Guduric qui jouent pour des clubs d’Euroleague, Miroslav Raduljica, qui est actuellement en Chine, et l’étoile montante, Filip Petrusev.\\n\\nLa sélection: Vasilije Micić (Efes Istanbul), Ognjen Jaramaz (Partizan Belgrade), Nikola Rebić (Nanterre), Nemanja Nenadić (FMP Belgrade), Aleksa Avramović (Estudiantes Madrid), Danilo Andjusic (Bourg), Luka Asceric (Bourg), Marko Guduric (Fenerbahce Istanbul), Nemanja Dangubic (Partizan Belgrade), Marko Lukovic (Split), Dalibor Ilic (Igokea), Marko Radovan (FMP Belgrade), Miroslav Raduljica (Zejiang Lions), Filip Petrusev (Mega), Dragan Apic (Buducnost), Stefan Djordjevic (FMP Belgrade).\\n\\nPhoto: Nikola Asceric (Bourg)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro 2022 : Manu Lecomte, Hans Vanwijn, Khalid Boukichou et Ismael Bako dans la sélection belge" }, {"role": "assistant", "content":"Quatre joueurs de Jeep Elite sont dans les 15 sélectionnés belges qui vont disputer les qualifications à l’EuroBasket 2022.\\n\\nLes Lions vont affronter le Danemark et la République Tchèque dans la bulle de Vilnius en Lituanie. Ils ont encore besoin d’une victoire pour être assuré de la qualification.\\n\\nLa sélection : Jonathan Tabu (Manresa), Manu Lecomte (EB Pau-Orthez), Alex Libert (Spirou Charleroi), Thomas Akyazili (Bahçesehir Istanbul), Retin Obasohan (Nymburk), Jean-Marc Mwema (Ostende), Loïc Schwartz (Ostende), Vincent Kesteloot (Anvers Giants), Vrenz Bleijenbergh (Anvers Giants), Pierre-Antoine Gillet (Ostende), Hans Vanwijn (JDA Dijon), Khalid Boukichou (BCM Gravelines), Andy Van Vliet (Siauliai), Ismael Bako (ASVEL Villeurbanne), Maxime De Zeeuw (Hapoel Holon)\\nCoach: Dario Gjergja\\n\\nPhoto: Manu Lecomte (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Roanne : 10 matches de suspension pour Boubacar Toure suite à son vilain geste à l’encontre de Miralem Halilovic, les Métropolitans mécontents de la légereté de la peine" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la Chorale de Roanne indique que la commission de discipline de la Ligue Nationale de Basket a infligé 10 matchs de suspension au Sénégalais Boubacar Toure (2,11 m, 25 ans), suite au coup asséné à Miralem Halilovic lors du match Roanne vs Boulogne-Levallois du 30 janvier. Victime d’une fracture de la mâchoire, l’intérieur des Mets est indisponible pour plusieurs mois.\\n\\n« Le pivot sénégalais de la Chorale Roanne Basket encourait 15 matchs de suspension en raison du caractère délibéré de son mauvais geste, mais le jury s’est montré attentif à ses explications et à la sincérité des regrets exprimés lors de son passage devant la commission de discipline jeudi après midi. Le club a décidé de ne pas faire appel de cette décision », précise la Chorale.\\n\\nDans un autre communiqué, les Mets ont exprimé leur mécontentement envers, à leur sens, la légèreté de la sanction :\\n\\n« Le Comité Directeur du club de Boulogne-Levallois Metropolitans 92 prend acte de la décision de la commission de discipline de la LNB rendue publique par la Chorale de Roanne suite à l’agression subie par Miralem Halilovic lors du match de Jeep® Elite du 30 janvier 2021.Nous regrettons que la victime de l’agression écope d’une sanction beaucoup plus lourde dans la durée que son agresseur... Les Metropolitans 92 renouvellent leur soutien à Miralem Halilovic dans cette épreuve. Le club le soutient dans l’action judiciaire entamée à l’encontre de son agresseur et se réserve le droit de se constituer partie civile. »\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne" }, {"role": "user", "content":"LFB – Matthieu Chauvet, un an de plus à Charnay" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach tourangeau Matthieu Chauvet, 44 ans, prolonge d’un an son contrat avec le CBBS Charnay, annonce le club.\\n\\nAprès Isère Pont Savoie Basket (2003-2005), Challes (2005-2008), La Roche Vendée Basket (2008-2011), et Toulouse (2011-2003), où il avait été élu Coach de l’Année de Ligue Féminine, Matthieu Chauvet s’était retrouvé sans poste avant de rebondir à Charnay en 2016.\\n\\nIl a fait monter le CBBS en Ligue Féminine et celui-ci est actuellement 9e ex-aequo avec 2 victoires et 9 défaites, tout en obtenant récemment la signature de la meneuse internationale Olivia Epoupa." }, {"role": "user", "content":"Coupe d’Italie : La Virtus Bologne sortie en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"Privée de Marco Belinelli et trop tolérante en défense, la Virtus Bologne s’est fait sortir en quart-de-finale de la Coupe d’Italie par le Reyer Venise (82-89).\\n\\nLes 15 points de Milos Teodosic, les 14 de Kyle Weems et de Vince Hunter n’ont pas été suffisants pour contrer une équipe vénitienne emmenée par Michael Bramos (23 points) et Stefano Tonut (22).\\n\\nDans l’autre quart-de-finale de la soirée, Milan a dominé Reggiana, 80-52.\\n\\nLes deux derniers quarts-de-finale, Brindisi-Trieste et Sassari-Pesaro, ont lieu aujourd’hui." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Le Real et Tenerife en demi-finales de la Copa del Rey" }, {"role": "assistant", "content":"Au cours du match d’ouverture des quarts-de-finale de la Copa del Rey à Madrid, Lenovo Tenerife a dominé de bout en bout Hereda San Pablo Burgos (87-76) avec 18 points de l’Uruguayen Bruno Fitipaldo et du Finlandais Sasu Salin.\\n\\nLors de la deuxième rencontre, le Real Madrid a battu Valence , 85-74, grâce notamment aux excellentes performances de Gabriel Deck et Trey Thompkins (23 points et 22 d’éval chacun). Fabien Causeur a marqué 4 points en 20′ et dans le camp de Valence, Louis Labeyrie a cumulé 2 points et 7 rebonds en 28′.\\n\\n\\nQUARTS DE FINALE\\n\\nJEUDI 11 FÉVRIER\\n\\nLenovo Tenerife – Hereda San Pablo Burgos: 87-76\\n\\nReal Madrid – Valence : 85-74\\n\\nVENDREDI 12 FÉVRIER\\n\\n18h30: TD Systems Baskonia Vitoria – Joventut Badalona\\n\\n21h30: Barcelone – Unicaja Malaga\\n\\n\\nDEMI FINALES\\n\\nSAMEDI 13 FÉVRIER\\n\\n16h00: Real Madrid – Lenovo Tenerife\\n\\n19h00: Demi – finale 2 Vainqueur C – Vainqueur D\\n\\n\\nFINALE\\n\\nDIMANCHE 14 FÉVRIER\\n\\n18h30: Vainqueur Demi-finale 1 – Vainqueur Demi-finale 2" }, {"role": "user", "content":"En 2020, la JDA Dijon a été le club le plus mentionné à la TV et radio devant... Boulazac et le Champagne Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Mediatree, le basket-ball a été mentionné 123 859 fois sur 418 chaînes de TV et Radio en 2020 et la surprise vient des clubs les plus cités. Car si ses performances en Basketball Champions League ont servi de moteur à la JDA Dijon pour se retrouver en numéro1, les deux autres équipes sur le podium, le Boulazac Basket Dordogne et le Champagne Basket ne sont pas a priori des têtes d’affiche de la Jeep Elite. Probablement faut-il y trouver comme explication une très bonne couverture radio/TV régionale pour ces trois clubs.\\n\\nPar ailleurs, surfant sur les résultats de la JDA Dijon, auquel il appartenait jusqu’à cet été, Jérémy Leloup figure dans le top 5 des joueurs les plus mentionnés après le trio de NBA Gobert-Batum-Fournier.\\n\\nMediatree a par ailleurs recueilli la répartition du temps d’affichage publicitaire des différentes marques lors du clasico Limoges-Pau, du 6 février diffusé sur La Chaîne L’Equipe. Les annonceurs de la LNB occupent les premières places avant ceux du CSP.\\n\\nMediatree est une société française créée en 2007, leader de la fourniture de veille audiovisuelle en France et éditrice de logiciels dont elle détient les brevets.\\n\\nKeywords est la plateforme d’enregistrement automatisé de veille médiatique audiovisuelle opérée et éditée par Mediatree. Elle est conçue pour rechercher et trouver rapidement une couverture TV et Radio par mot clé.\\n\\nKeywords enregistre 24/7 en HD plus de 5 000 chaînes régionales, nationales et internationales. Avec cette couverture médiatique unique, Keywords est la garantie d’être un outil d’aide à la performance permettant d’alimenter les sociétés de production et les journalistes en contenu.\\n\\nKeywords permet d’avoir des alertes en temps réel lorsque les\\nmots clés sont mentionnés à la télévision et à la radio et d’exporter à tout moment les extraits dans la meilleure qualité vidéo possible jusqu’à 1 an après la date de diffusion originale." }, {"role": "user", "content":"Fabien Causeur (Real Madrid) : «j’essaie de ne pas regarder les chiffres. Par exemple, je ne sais pas combien de points j’ai»" }, {"role": "assistant", "content":"Fabien Causeur (1,95m, 33 ans) a été à l’arrêt pendant un mois en octobre-novembre en raison d’une contamination au COVID-19 mais il pète la santé actuellement pour sa 4e saison avec le Real Madrid avec une réussite de près de 52% à trois-points entre l’Euroleague et la Liga Endesa. A quoi a t-il pensé lorsqu’il a été testé positif ?\\n\\n« La première chose, de pouvoir me reposer chez moi -j’étais à Bilbao avec l’équipe », répond t-il à AS. « Il y a toujours un peu de tracas à savoir comment tout va se passer, mais je savais que la tête est essentielle dans toute maladie et que je devais rester fort. C’est une période difficile qui génère de l’inquiétude et de l’incertitude, parfois comme une blessure, mais la vie est comme ça. Cela m’a rendu plus calme que tous mes coéquipiers aient des résultats négatifs. »\\n\\n\\nA propos de son excellente forme actuelle, il commente :\\n\\n« Les gens qui me connaissent depuis quatre ans savent que je reste dans les parages après chaque entraînement. Je suis confiant: j’ai profité des absences de certains coéquipiers pour avoir plus de minutes. Je préfère que tout le monde soit en bonne santé, mais j’ai accéléré ce mois-ci. Je me souviens de (Jaycee) Carroll l’année dernière. Avant la Coupe, au cours des deux semaines précédentes, il n’en a pas marqué un, puis il a fait un tournoi spectaculaire. Et c’est le meilleur tireur d’Europe, donc les séries nous affectent tous. Mais j’essaie de ne pas regarder les chiffres. Par exemple, je ne sais pas combien de points j’ai. »\\n\\nEt à la question de savoir s’il vit la saison la plus difficile de sa carrière, pas de doute :\\n\\n« Oui, sûrement à cause de tous les protocoles et du fait de jouer sans fans, car cela impacte beaucoup les joueurs et enlève un peu ce sentiment de bonheur quand on joue. Les gens vous motivent, lorsqu’ils vous soutiennent ou non, mais ils sont toujours là. Et puis dans l’équipe, nous avons eu une mauvaise série de blessures, mais cela fait partie du sport. Il faut toujours regarder en avant. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=FeAD6cF66Q4&ab_channel=RealSPGHighlights\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B: Le programme du week-end avec deux matches en clair" }, {"role": "assistant", "content":"Voici le programme des matches du week-end en Jeep Elite et Pro B avec deux matches en clair.\\n\\nJeep ELITE\\n\\nVendredi 12 février 2021\\n\\n18h00 : ESSM Le Portel / Boulogne-Levallois Metropolitans 92\\n\\n20h00 : Orléans Loiret Basket / AS Monaco Basket\\n\\n21h00 : LDLC ASVEL / Limoges CSP en direct sur La chaine L’Equipe\\n\\nSamedi 13 février 2021\\n\\n20h00 : Nanterre 92 / JDA Dijon en direct sur SPORT EN FRANCE\\n\\nPROB\\n\\nVendredi 12 février 2021\\n\\n19h00 : SLUC Nancy / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n\\n20h00 : Lille Métropole Basket / Béliers de Kemper\\n\\nSamedi 13 février 2021\\n\\n16h30 : Paris Basketball / Nantes Basket Hermine\\n\\n20h00 : BC Souffelweyersheim / JA Vichy-Clermont Métropole" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Depuis que Marko Guduric est arrivé, Fenerbahçe a gagné ses 9 matches" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier serbe de Fenerbahçe Marko Guduric (1,98m, 25 ans) a déclaré qu’il était heureux de son retour dans le club turc après un épisode aux Memphis Grizzlies.\\n\\n« Je me sens bien, ça fait du bien de retourner à Fenerbahce. A partir du moment où j’ai su que je ne retournerais pas dans la ligue NBA, Fenerbahce a été ma première option, je me sens chez moi là-bas. Je connais beaucoup de gens à Istanbul, c’est une ville que j’aime vraiment, j’ai beaucoup d’amis dans le club », a déclaré Guduric dans une interview à MaksBet sport.\\n\\nDepuis l’arrivée de Guduric, le Fenerbahçe a joué 9 matches en Euroleague et obtenu autant de victoires, alors qu’il avait gagné 5 fois en 15 matches auparavant. Il y a certainement un rapport de cause à effet, sachant que le Serbe apporte 12,2 points (45,5% à trois-points), 4,0 rebonds et 3,4 passes.\\n\\n« A propos de l’équipe, je suis très satisfait car nous jouons bien. Je peux dire que je connais bien l’équipe parce que j’ai regardé presque tous les matchs cette saison avant de venir. Quand je suis rentré d’Amérique en Serbie, j’ai regardé tous les matchs, ça n’avait pas l’air d’aller bien à l’époque. À mon arrivée, plus précisément à mon retour, je savais que je pouvais aider l’équipe, mais je ne peux pas dire que je m’attendais à faire cette série de neuf victoires en Euroleague. Je pense que nous pouvons continuer à gagner si nous restons en bonne santé. La chimie est bonne, nous progressons de plus en plus. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Non, Tony Parker ne soutient pas Frédéric Thiriez candidat à la présidence de la FFF" }, {"role": "assistant", "content":"Frédéric Thiriez, ex-président de la Ligue Professionnelle de foot (LFP), est l’un des candidats déclarés à la présidence de la Fédération Française de Football dont l’élection se tiendra en mars. Il est soutenu par des personnalités du football mais aussi d’autres sports comme l’ancienne athlète Murielle Hurtis, le tennisman Yannick Noah et Tony Parker.\\n\\nSauf que le président de l’ASVEL n’a pas donné son accord et le fait savoir vertement sur les réseaux sociaux.\\n\\n« J’apprends avec surprise faire parti de la liste de soutien de Frédéric Thiriez à la présidence de la FFF via son site internet. Je démens fortement ces informations et je n’apprécie pas que l’on utilise mon image sans mon autorisation ! »\\n\\nQuestion au passage : en quoi cela est un gage de compétence d’avoir l’appui de gens qui n’appartiennent pas à la sphère de l’activité concernée ?\\n\\n\\nJ’apprends avec surprise faire parti de la liste de soutien de Frédéric Thiriez à la présidence de la FFF via son site internet. Je démens fortement ces informations et je n’apprécie pas que l’on utilise mon image sans mon autorisation ! pic.twitter.com/6gojpn2f4Q\\n\\n— Tony Parker (@tonyparker) February 11, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Yohan Senez (président Denain) : «avec la crise sanitaire, le huis clos est la seule possibilité de « tenir bon »»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la Ligue Nationale de Basket doit décider en Assemblée Générale de la suite à donner à la saison 2020-21, en Jeep Elite comme en Pro B, le président de Denain, Yohan Senez, membre par ailleurs du Comité Directeur de la LNB, est formel: il faut jouer, même sans public. C’est l’opinion qu’il a exprimé au site 5by5:\\n\\n“Le huis clos est en contradiction avec notre rôle social et notre modèle économique. Notre job c’est de donner du plaisir aux gens, de vivre des émotions, de les partager ensemble. Mais avec la crise sanitaire, le huis clos est la seule possibilité de « tenir bon » dans l’attente du retour du public dans nos salles, en nous appuyant sur les supports numériques qui permettent de suivre les championnats et les rencontres en ligne. C’est une avancée majeure pour le basket professionnel français qui prend tout son sens dans la période. Je veux dire également qu’il y a un vrai « contrat de confiance » avec l’État : le gouvernement n’a pas souhaité l’arrêt de nos championnats et a mis des aides financières compensatoires en face de cette volonté. Pour justement nous permettre de tenir économiquement à huis clos. Alors ce n’est bien sûr pas l’idéal, ce huis clos, ces salles désespérément vides, mais c’est la seule possibilité de survivre à la période.”\\n\\nPhoto: AS Denain" }, {"role": "user", "content":"Eric Buckner quitte Chalon pour Astana au Kazakhstan" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Chalon avait beaucoup misé en début de saison sur un axe 1-5 alléchant avec DJ Cooper et l’athlétique Eric Buckner, vu au préalable à Villeurbanne et Monaco. Or, après le meneur, voici que le club bourguignon se sépare de son pivot.\\n\\n« Avec un début de saison compliqué au sein de l’effectif, Eric Buckner n’a pas trouvé son rythme. Eric et l’Elan Chalon ont donc décidé mutuellement de mettre fin à leur collaboration. Nous lui souhaitons une bonne continuation pour la suite de sa carrière à Astana. Le club est actuellement à la recherche d’un nouveau joueur. Nous vous tiendrons informé », explique l’Elan dans un communiqué.\\n\\nEn 10 matches de Jeep Elite, Eric Buckner (2,08m, 30 ans) a tourné à 8,7 points et 4,5 rebonds. Il rejoint donc le club d’Astana situé à Nur-Sultan au Kazakhstan, qui est 10e de VTB League avec 4 victoires et 10 défaites.\\n\\n« C’est un échec pour lui et pour nous », déclare le directeur général de l’Elan Chalon, Rémy Delpon au JSL. « Il devait être normalement l’un des joueurs majeurs du recrutement et tout le monde était unanimement content de le voir signer pour deux ans. Les différentes discussions n’ont pas donné lieu à beaucoup d’évolution. Je sais qu’il n’était pas forcément satisfait non plus de sa situation donc c’était dans l’intérêt des deux de trouver une solution. Elle est tombée mercredi soir. »\\n\\nPhoto: Elan" }, {"role": "user", "content":"Ekene Ibekwe: Du Champagne Basket à Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Emiliano Carchia de Sportando, l’intérieur du Nigéria Ekene Ibekwe (2,06m, 35 ans) a trouvé un accord avec la Chorale de Roanne.\\n\\nIbekwe a joué 7 matches en début de saison avec le Champagne Basket pour 6,4 points et 4,7 rebonds pour 5,9 d’évaluation. C’est un habitué du championnat de France puisqu’il a également porté les maillots de Chalon, Levallois et Pau.\\n\\n\\nEkene Ibekwe has reached an agreement with Chorale Roanne, sources tell @Sportando.\\nIbekwe started the season with Chalons-Reims averaging 7 points and 5 rebounds per game\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) February 11, 2021\\n\\n\\nPhoto: Metropolitans" }, {"role": "user", "content":"Julien Monclar : « le huis-clos permet de sauvegarder des prestations de communication qui n’existent pas s’il n’y a pas de matchs »" }, {"role": "assistant", "content":"Jouer à huis-clos ou ne pas jouer ? Cette question semble diviser une bonne partie des clubs de Jeep Élite comme de Pro B. En attendant que la LNB décide ou non de la poursuite de ces compétitions lors de son AG du 22 février prochain, et avec des perspectives de retour du public dans les salles peu encourageantes, le constat est clair : que l’on joue à huis-clos ou que l’on ne joue pas du tout, les clubs vont connaître des pertes. Mais est-ce que jouer à huis-clos ne serait pas moins pénalisant financièrement parlant que de ne pas jouer du tout ? Nous avons échangé avec Julien Monclar, le directeur des opérations de l’ADA Blois, pour en savoir plus sur le sujet.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl y a environ trois semaines (le 19 janvier), Julien Monclar déclarait que « personne n’aime jouer à huis-clos, mais un match non-joué coûte encore plus d’argent qu’un match disputé sans spectateurs. » Un propos qui nous a amenés à interroger ce même Julien Monclar pour entrer dans le détail de ces problématiques économiques.\\n\\nPour vous, il faut donc jouer, même à huis-clos ?\\n\\nNous n’aimons pas le huis-clos, mais nous devons faire avec et jouer. C’est de notre intérêt économique. Peut-être pas à très court terme, sur un match, mais sur le moyen terme, les saisons à venir. Si nous ne jouons pas, le public, les partenaires, etc. vont tous se détourner.\\n\\nAvec l’espoir que le huis-clos soit bientôt levé ?\\n\\nPersonne ne sait quand le huis-clos finira. Et le problème est que la façon dont cette problématique est gérée n’est pas toujours cohérente. La LNB nous accompagne très bien sur les initiatives multimédia (production de matchs, de plateaux, etc.) mais pas sur le reste de la crise.\\n\\nVous avez déclaré qu’un match non-joué coûtait plus d’argent qu’un match à huis-clos. Pouvez-vous entrer dans le détail de ce propos ?\\n\\nIl est clair que le huis-clos ne permet pas de générer certaines rentrées d’un match avec du public : il y a la perte sèche de la billetterie, de la buvette, de la boutique, de certaines prestations que nous offrons à nos partenaires (hospitalité, etc.). De surcroît, nous perdons sur les places à l’année, pour les abonnés et les VIP. Théoriquement, nous devrions rembourser ou compenser les sommes versées par abonnés et VIP au prorata : par exemple, si 25 % des matchs se déroulent à huis-clos et que l’on a facturé 100 à un abonné ou à un VIP, il faudrait lui rembourser (ou compenser) 25. Nous avons vu, la saison dernière, qu’une bonne part de nos partenaires et de nos abonnés ne nous demandaient pas le remboursement de ces sommes. Mais rien n’assure qu’il en soit de même cette année.\\n\\n« Le match que nous avons joué face à Quimper, diffusé sur France 3 Bretagne et France 3 Val de Loire, a fait un carton d’audience »\\n\\nÀ défaut de public, il existe malgré tout des opérations possibles avec vos partenaires ?\\n\\nPour nous, le budget partenaires pèse financièrement plus que la billetterie. Dans ce budget, il y a toute la partie « hospitalité » qui n’est pas assurée lors d’un match à huis-clos. En revanche, le huis-clos permet la sauvegarde des prestations de communication (qui représentent environ 40 % du budget partenaire), voire un peu de développement, à la marge. Mais cela n’est possible que si les matchs ont lieu. Pour sauvegarder ces prestations, il faut proposer des idées. Par exemple, nous avons un partenaire automobile qui fait gagner à chaque match une voiture à un spectateur s’il réussit un tir du milieu du terrain. Actuellement, ce n’est évidemment pas possible, mais nous diffusons des spots de pub de nos partenaires lorsque nous produisons nous-même des matchs retransmis sur LNB.TV. Et, pour les matchs retransmis à la télé (sur la chaîne L’Équipe, sur Sport en France ou sur une chaîne régionale de France 3), nous offrons une forte exposition à nos partenaires par affichage sur les maillots, sur le parquet, etc. Pour les partenaires, cette exposition est intéressante : lorsqu’un match se joue avec du public, il y a 2 300 à 2 500 personnes dans la salle alors qu’une retransmission télévisée en attire beaucoup plus. Le match que nous avons joué face à Quimper, diffusé sur France 3 Bretagne et France 3 Val de Loire, a fait un carton d’audience. C’est très bien pour le club de Quimper, mais aussi pour nous et nos partenaires, qui ont eu une visibilité importante.\\n\\nMême si ces prestations limitent les pertes, il faut de toutes manières que les clubs soient le plus prudents possible, en termes budgétaires ?\\n\\nDepuis que la crise a démarré, les clubs se sont organisés pour faire du mieux possible. En outre, l’État a attribué de nombreuses aides : exonération des charges, mécanisme de compensation de la billetterie à fin 2020, possibilité ponctuelle de recours au chômage partiel pour les employés... Grâce à ces aides, beaucoup de clubs ont pu améliorer leur bilan 2019-20, surtout grâce au chômage partiel entre avril et juin. Maintenant, ces diverses aides et le résultats de l’exercice 2019-2020 doivent être utilisés par les clubs pour pérenniser leur activité basket, pas pour servir d’opportunité budgétaire (NDLR : pour acheter/remplacer des joueurs, notamment).\\n\\n[armelse]\\n\\nIl y a environ trois semaines (le 19 janvier), Julien Monclar déclarait que « personne n’aime jouer à huis-clos, mais un match non-joué coûte encore plus d’argent qu’un match disputé sans spectateurs. » Un propos qui nous a amenés à interroger ce même Julien Monclar pour entrer dans le détail de ces problématiques économiques.\\n\\nPour vous, il faut donc jouer, même à huis-clos ?\\n\\nNous n’aimons pas le huis-clos, mais nous devons faire avec et jouer. C’est de notre intérêt économique. Peut-être pas à très court terme, sur un match, mais sur le moyen terme, les saisons à venir. Si nous ne jouons pas, le public, les partenaires, etc. vont tous se détourner.\\n\\nAvec l’espoir que le huis-clos soit bientôt levé ?\\n\\nPersonne ne sait quand le huis-clos finira. Et le problème est que la façon dont cette problématique est gérée n’est pas toujours cohérente.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Tuan Nguyen" }, {"role": "user", "content":"Un avenir sombre pour les joueurs nationaux en Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Le Serbe Dimitrije Curcic de Run Repeat a réalisé un dossier statistique très complet intitulé « Un avenir sombre pour les joueurs nationaux en Euroleague ».\\n\\nDimitrije Curcic a analysé 2 634 joueurs de l’EuroLeague sur 21 saisons pour voir comment les chiffres globaux et les contributions des joueurs nationaux ont évolué ces dernières années par rapport aux premières saisons.\\n\\nSes principales conclusions sont :\\n\\n * Le temps des joueurs nationaux passé sur les terrains au cours des 3 dernières saisons de l’EuroLeague a diminué de 36% par rapport aux 3 premières saisons.\\n * Le temps de jeu des jeunes joueurs nationaux (U26) a chuté de 66% au cours de la même période.\\n * Et... les équipes françaises (donc l’ASVEL) et grecques sont les seules équipes qui ont maintenu le niveau de temps de jeu des joueurs nationaux au fil des ans.\\n\\nAu cours des cinq premières saisons de l’EuroLeague, 44% de toutes les minutes sur le terrain ont été accordées à des joueurs nationaux. Au cours des trois dernières saisons, ce nombre est tombé en dessous de 30% et a tendance à baisser encore.\\n\\nUn petit rebond au cours des saisons 2020 et 2021 pourrait être attribué à l’indisponibilité de certains joueurs étrangers en raison de l’épidémie de COVID-19.\\n\\nLes jeunes joueurs nationaux (de moins de 26 ans) ont subi une baisse encore plus marquée au cours de la même période. 27% de tout le temps de jeu disponible a été accordé à cette catégorie au cours des 3 premières années d’EL et a chuté de 63% au cours des 3 dernières années.\\n\\nA l’exception de la Grèce et de la France, les équipes de tous les autres pays accordent désormais beaucoup moins de temps aux joueurs nationaux par rapport aux premières années de l’EuroLeague.\\n\\nLes talents locaux de Russie, d’Israël, de Turquie et d’Italie sont confrontés à la baisse la plus spectaculaire du temps de jeu avec une diminution de plus de 50%. Par exemple, les joueurs italiens ont utilisé 39% du temps de jeu disponible jusqu’en 2003. Les 3 dernières saisons, ce nombre a chuté de 76% à à peine 9%.\\n\\nLes joueurs U26 font face à une diminution du temps de jeu dans tous les pays de l’EuroLeague. L’Italie, la Russie et la Turquie n’accordent pas plus de 5% du temps de jeu aux jeunes joueurs nationaux.\\n\\n7 pays sur 10 ont réduit le temps de jeu des U26 de plus de 50%.\\n\\nPlus intéressant encore, seuls 5 pays ont accordé aux jeunes talents locaux plus de minutes sur le terrain qu’aux jeunes talents étrangers.\\n\\nCompte tenu de la tendance à la baisse du nombre de jeunes joueurs, nous ne pouvons que nous attendre à ce que les équipes continuent de donner à l’avenir la priorité aux joueurs étrangers par rapport aux talents nationaux.\\n\\nPhoto: Matthew Strazel (ASVEL, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Un record de 26 paniers à trois-points dans un match" }, {"role": "assistant", "content":"Les Lituaniens sont connus pour aimer les shoots à trois-points et y exceller. Il faut donc prendre en considération le record établi mardi en NKL (la Pro B locale) par Vytis Šakiai, le club des frères Lavrinovic : 26 marqués (sur 43 shoots) dans un match face à Vilkaviški remporté 120 à 97.\\n\\nLa meilleure performance en professionnel était détenue jusqu’ici par le Zalgiris Kaunas avec 23 paniers primés en 2004 lors d’un match de LKL (la Jeep Elite lituanienne). Même en Ligue régionale, personne n’a jamais marqué autant derrière la ligne à 6,75m.\\n\\nMarijus Užupis, l’un de tireurs d’élite de Šakiai, n’a pas pu jouer en raison d’une blessure grave depuis un certain temps, mais il a indirectement contribué au record, en... informant son équipe qu’elle était en passe de le battre.\\n\\n« Užupis, assis sur un banc à la fin du troisième quart ou au début du quatrième quart-temps, a déclaré que nous avions déjà marqué 20 trois-points, et nous nous sommes souvenus que nous avions jadis marqué 22 trois-points face à Joniškis Delikates », a déclaré l’ailier Paulius Beliavičius. « On s’est dit: pourquoi ne pas essayer de s’améliorer ? C’est comme ça que ça s’est passé. «\\n\\nAu cours du premier quart-temps, Vytis a marqué 8 paniers à trois-points, 5 dans le deuxième, 9 dans la troisième et... seulement 4 dans le dernier." }, {"role": "user", "content":"N1 : Une 11e victoire de rang pour Caen" }, {"role": "assistant", "content":"Pour les 53 ans de son coach, Fabrice Courcier, le Caen BC lui a offert comme cadeau d’anniversaire une 11e victoire de rang, face à Besançon, 84-79.\\n\\nSeulement, les Normands se sont faits peur puisqu’ils menaient 66-51 et ils ont été déboussolés dans le dernier quart-temps, permettant aux Bisontins de revenir sur leurs pas, en vain.\\n\\nFlorian Thibedore (19 points) et Moise Diame (12 points, 9 rebonds) ont été les deux Caennais les plus efficaces, alors que Murat Kozan (18 points, 7 rebonds) a été solide côté Besançon.\\n\\n« On a fait un match sans contrôle, sans respecter le fil conducteur. On a peut-être cherché à se faire plaisir individuellement en oubliant les valeurs qui sont les nôtres depuis le début. Mais cette victoire est importante, elle compte autant que les dix autres, » a commenté Fabrice Courcier à Actu.fr.\\n\\nLe Caen BC n’a connu qu’une seule défaite depuis le début de saison (11-1), et se retrouve ainsi leader de la Poule B au pourcentage de victoire devant Saint-Vallier (12-2) et Chartres (11-3)." }, {"role": "user", "content":"Nikola Mirotic et la NBA : «comme toujours, vous aviez deux stars dans votre équipe et tout tournait autour d’elles»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à Mundo Deportivo, le pivot du FC Barcelone Nikola Mirotic (2,08m, 29 ans) revient sur la raison qui l’a poussé à quitter la NBA, à l’été 2019, alors qu’il y avait fait sa place (319 matches, 12,3 points et 5,9 rebonds en moyenne).\\n\\n« Si vous regardez mes dernières années aux États-Unis, je n’étais qu’un autre joueur de « pick and pop « , qui ne tire que de l’extérieur ou joue la contre-attaque... Le travail que l’on attendait de moi était plus ou moins connu : shooter cinq ou six triples, en marquer deux ou trois, quelques rebonds et tout le monde était content. Je savais qu’il y avait autre chose que je pourrais donner à l’équipe. Mais comme toujours, vous aviez deux stars dans votre équipe et tout tournait autour d’elles. Et là, comme vous pouvez le voir, je suis beaucoup plus en poste bas, je joue plus en un contre un... et c’est très agréable de pouvoir prendre un dernier shoot et de gagner le match. »\\n\\nLa question lui est posée de savoir ce que représente pour lui un clasico et au-delà quelles sont ses relations avec le Real Madrid, son club avant de partir en NBA.\\n\\n« Je suis motivé car c’est un clasico. Contre les meilleures équipes d’Europe, comme le CSKA, l’Efès, Madrid, je suis toujours super motivé. Madrid en fait partie. La seule chose étrange est de jouer à Madrid sans public, si je dois être honnête, car ils ne vous sifflent pas... Et je préfère jouer avec le public. Madrid a un très bon public et donc quand vous gagnez là-bas, c’est beaucoup mieux. »\\n\\nNikola Mirotic a prolongé son contrat avec le Barça jusqu’en 2025. Jusqu’au terme de sa carrière ?\\n\\n« Oui, j’ai renouvelé l’été dernier, j’ai ajouté deux ans de plus. Et je suis très heureux et reconnaissant de cette confiance. Quand je pense à 2025, cela me semble long... J’aurai 34 ans. Pas à pas, année après année, c’est comme ça que je fais face à la vie, je ne sais même pas ce que sera demain. Bien sûr, j’ai prolongé parce que je voulais être ici plus longtemps, c’est évident. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre : + de 21M€, l’impact économique moyen de la Copa del Rey" }, {"role": "assistant", "content":"Plus de 21 millions d’euros, c’est l’impact économique direct et indirect de La Copa del Rey.\\n\\nLe record est détenu par Malaga en 2020, avec un impact de plus de 25 millions, dépassant son précédent record: 21 millions en 2014, selon les études que le club a publiées. Au cours des sept dernières saisons, le plus faible impact a été enregistré à Madrid en 2019 avec 20M€.\\n\\nEn raison de l’absence du public, l’édition de 2021 qui se tient à partir d’aujourd’hui au WiZink Center de Madrid sera à mettre à part dans les bilans.\\n\\nCette édition aurait du se tenir à Burgos. La Ligue ACB entendait encourager le club local, qui est en plein essor ces dernières années. Mais la pandémie persistante du COVID-19 a obligé les organisateurs à se rabattre sur la capitale du pays." }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Fabien Causeur en état de grâce" }, {"role": "assistant", "content":"Le contingent français, fort de vingt-quatre joueurs répartis sur huit pays du Vieux Continent, ne faiblit pas. En Espagne, Fabien Causeur fait des étincelles, alors que Malcolm Cazalon et Stéphane Gombauld se distinguent dans les championnats de l’ex-Yougoslavie.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Turquie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMalcolm Cazalon confirme sa bonne forme\\n\\nMalcolm Cazalon a été grandement responsabilisé lors de la courte victoire de Mega SocccerBet contre le KK Mornar Bar en Ligue adriatique. Titulaire, l’arrière/ailier de 19 ans a marqué 14 points à 5/12 aux tirs (0/4 à 3-points), pris 6 rebonds et donné 2 passes décisives en 32 minutes. Son équipe, menée 51 à 39 à la mi-temps, est remontée dans le dernier quart-temps pour l’emporter sur le fil 90-89.\\n\\n\\nFabien Causeur MVP du derby madrilène\\n\\nPour le cinquième match consécutif, Fabien Causeur (1,96 m, 33 ans) a passé la barre des 10 points en Liga Endesa avec le Real Madrid. Dimanche, le Breton a terminé MVP du derby madrilène entre son club et l’Estudiantes Madrid. En 28 minutes, l’arrière gaucher a réussi 6/9 aux tirs (dont un parfait 3/3 à trois-points) en plus de 2 rebonds, 2 passes décisives, 3 ballons interceptés et aucun de perdu. De quoi finir à 21 d’évaluation en 28 minutes lors de cette victoire à l’extérieur 79 à 65.\\n\\n\\nStéphane Gombauld décisif avec Mladost\\n\\nL’ancien blésois Stéphane Gombauld (2,02m, 23 ans) a signé un contrat avec Mladost Zemun, un club de la D2 de la Ligue adriatique qui joue aussi dans le championnat serbe (nommé KLS). Ce week-end, l’ailier s’est distingué en KLS face à Tamis en inscrivant 18 point avec un joli 7/9 aux tirs dont 2/2 à trois-points). Le natif de Saint-Claude (Guadeloupe) n’est pas toujours régulier depuis son arrivée à Belgrade, mais il tient une place importante dans son équipe. En dix-sept matchs de championnat, il affiche 13,1 points et 5,7 rebonds de moyenne, en 23 minutes.\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 7 points (2/4 aux tirs dont 1/2 à trois points et 2/3 aux lancers-francs), 3 passes,1 interception, 1 ballon perdu pour 12 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 83-77 face à Manresa).\\n\\nLéo Westermann (Barça) : 2 points (1/3 aux tirs dont 0/1 à trois points), 2 rebonds, 10 passes, 2 ballons perdus pour 8 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 90-73 à Bilbao).\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 9 points (3/7 aux tirs dont 3/5 à trois points), 4 passes, 1 interception, 2 ballons perdus, 1 contre pour 10 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 73-90 face au Barça).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 9 points (4/9 aux tirs dont 1/5 à trois points), 1 rebond, 2 passes pour 7 d’évaluation en 16 minutes de jeu (Victoire 85-68 à Fuenlabrada).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 11 points (2/6 aux tirs dont 2/5 à trois points et 5/6 aux lancers-francs), 1 rebond, 4 passes, 1 interception et 2 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 98-87 face à Murcie).\\n\\n16 points (6/9 aux tirs dont 3/3 à trois points et 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 3 interceptions, 1 contre pour 21 d’évaluation en 28 minutes de jeu (Victoire 79-65 chez l’Estudiantes Madrid).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 2 points (0/1 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe pour 3 d’évaluation en 8 minutes de jeu (Victoire 81-79 à Tenerife).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : Blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/6 aux tirs dont 0/5 à trois points), 8 rebonds, 2 contres, 2 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 89-81 face à Séville).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 13 points (6/9 aux tirs dont 1/2 à trois points), 6 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 contre pour 18 d’évaluation en 28 minutes de jeu (Défaite 81-89 à Valence).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : Pas de match.\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : 3 points (1/2 à trois points), 1 ballon perdu pour 1 d’évaluation en 6 minutes de jeu (Défaite 81-89 à Valence).\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 3 points (1/4 aux tirs dont 1/1 à trois points), 7 rebonds, 4 passes, 1 ballon perdu pour 6 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 90-92 face à Ness Ziona).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 12 points (5/7 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs), 5 rebonds pour 15 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Victoire 103-53 face à Nevezis).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : Pas de match.\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 14 points (6/10 aux tirs dont 0/4 à trois points et 2/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions pour 20 d’évaluation en 27 minutes de jeu (Victoire 88-72 à Gdynia).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 10 points (4/7 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 7 rebonds, 1 passe, 1 ballon perdu pour 14 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Victoire 97-93 à Zielona Góra).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 18 points (7/9 aux tirs dont 2/2 à trois points et 2/4 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 interception, 2 contres, 2 ballons perdus pour 19 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 97-94 face à Tamis).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 14 points (5/12 aux tirs dont 0/4 à trois points et 4/6 aux lancers-francs), 6 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 1 ballon perdu pour 11 d’évaluation en 32 minutes (Victoire 90-89 face à Mornar Bar).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 16 points (7/12 aux tirs et 2/5 aux lancers-francs), 19 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 4 ballons perdus pour 27 d’évaluation en 34 minutes de jeu (Victoire 68-61 face à Galatasaray).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 12 points (4/10 aux tirs dont 1/4 à trois points et 3/3 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 interception, 4 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 32 minutes (Défaite 77-86 à Darüssafaka).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 9 points (4/7 aux tirs dont 1/3 aux lancers-francs), 8 rebonds, 1 passe, 2 interceptions pour 15 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 84-80 face à Besiktas).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 5 points (1/2 à trois points et 2/2 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 interception, 1 contre pour 8 d’évaluation en 14 minute de jeu (Défaite 77-88 face au Panathinaikos).\\n\\nPhoto d’ouverture : Fabien Causeur (Liga ACB)\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMalcolm Cazalon confirme sa bonne forme\\n\\nMalcolm Cazalon a été grandement responsabilisé lors de la courte victoire de Mega SocccerBet contre le KK Mornar Bar en Ligue adriatique. Titulaire, l’arrière/ailier de 19 ans a marqué 14 points à 5/12 aux tirs (0/4 à 3-points), pris 6 rebonds et donné 2 passes décisives en 32 minutes. Son équipe, menée 51 à 39 à la mi-temps, est remontée dans le dernier quart-temps pour l’emporter sur le fil 90-89.\\n\\n\\nFabien Causeur MVP du derby madrilène\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Un deuxième projet de reprise de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez" }, {"role": "assistant", "content":"L’Equipe révèle qu’un second projet de reprise de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, en sus de celui des Américains de Counterpointe Sports Groupe, est dans les cartons. Il est mené par les frères Darnauzan, Simon et Thomas, anciens joueurs du club, avec l’appui de l’ancien capitaine de l’équipe de France de rugby, Jérôme Thion, qui est passé par les espoirs de l’Elan Béarnais.\\n\\nLe maire François Bayrou a donné sa préférence au projet américain d’une envergure supérieure. « De notre côté, nous avons bouclé notre projet sportif et nous sommes toujours en discussion avec des investisseurs intéressés« , indique Thomas Darnauzan qui servirait de relais si l’affaire ne se fait pas avec CSG.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Edito – Une C1 fermée ? Levée de boucliers au foot ! Et au basket ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le débat fait rage dans le monde du sport européen au sujet du projet de Super League de foot poussés par les quelques clubs les plus riches. Vincent Duluc, le célèbre éditorialiste de L’Equipe, a pris clairement position contre le principe d’une ligue fermée. Un principe pourtant accepté en basket. Pourquoi ?\\n\\nFoncez lire d’édito de notre confrère Vincent Duluc dans L’Equipe d’aujourd’hui*. Tout est dit. « Le football est confisqué par une caste ». Le modèle pyramidal du sport européen au « mérite » remplacé par le « lobby » et la « dictature » des plus grands clubs et de leur « avidité » au sein d’une ligue fermée. Aujourd’hui, le monde du football se mobilise très majoritairement pour la défense de ce modèle.\\n\\nEn basket ?\\n\\nAlors que l’Euroleague a déjà mis en place la Super League dont rêve les puissants du football, dans l’opinion publique générale autour de notre sport, ce constat ne soulève pas la même levée de boucliers. Une sorte d’acceptation résignée existe. Evidemment, l’Euroleague a pris son envol en 2000, face à une fédération internationale qui n’a pas senti venir le danger et qui n’avait alors pas le dynamisme ni la vision de proposer autre chose.\\n\\nMais vingt ans plus tard, quel est le bilan ? Les dangers que font peser les 11 clubs détenteurs d’une licence A en Euroleague sur l’organisation du basket européen sont désormais bien connus : guerre du calendrier avec les ligues nationales (l’Euroleague lorgne sur le créneau des droits télés du week-end), avec les équipes nationales pour les fenêtres qualificatives aux grandes compétitions. Partout en Europe, des acteurs de premier plan comme Jean-Pierre Siutat ou Alain Béral ou le président de la fédération espagnole, Jorge Garbajosa, dénoncent les dangers de l’attitude de l’Euroleague qui fait cavalier seul pour ses intérêts en tous domaines. Et tout ça pour quoi ?\\n\\nEn football, à défaut d’être acceptable, l’avidité des plus grands clubs est au moins compréhensible. Les revenus générés par la C1 sont énormes. En basket, ils n’existent pas.\\n\\nIl n’y a pas d’intérêt économique à jouer en Euroleague. Le Khimki Moscou cette saison est en cessation de paiement. Il vient grossir les rangs des clubs qui ont explosé en cours de vol ces dix dernières années et ont été définitivement rayés de la carte. Tout ça pour quelques années de participation en Euroleague, où il faut dépenser mais sans rentrées en retour. Le modèle n’est pas viable.\\n\\nPar exemple, Tony Parker a déclaré récemment que si l’ASVEL devient détentrice d’une licence A, ses droits télés liés à sa participation en Euroleague vont passer de 500 000 euros annuels à 1,5 million ou 2 millions d’euros par an. Soit.\\n\\nUn puits sans fond\\n\\nMais depuis trois saisons, combien l’ASVEL a-t-elle dépensé pour obtenir cette licence ? Et quid des investissements ensuite à faire pour bien figurer dans cette compétition ? Et l’investissement pour la nouvelle salle ? Il faut prendre Parker et Nicolas Batum et leurs associés au sérieux quand ils disent qu’ils en sont de leur poche. C’est tout à leur honneur.\\n\\nContrairement au foot, l’Euroleague est une machine à créer du déficit. Chaque année, le Barca et le Real perdent environ 30 millions d’euros pour ne citer qu’eux. La section foot, elle-même endettée dans des proportions colossales, éponge ensuite la « petite » dette de la section basket. Partout en Europe les grands clubs fonctionnent grâce à des mécènes de nature diverse. Sans l’intelligence de TP à s’associer à l’OL, combien de temps aurait tenu seul l’ASVEL ? Tony Parker a trouvé son mécène en la personne de Jean-Michel Aulas. Tant mieux pour l’ASVEL et le basket français si le patron de l’OL est prêt à perdre de l’argent pour soulever des trophées en basket, alors que cela devient beaucoup plus difficile et coûteux à faire en football.\\n\\nMais comment accepter alors les dangers et la mainmise de quelques clubs sur le basket européen, ce qui est aujourd’hui dénoncé haut et fort dans le football, alors même que le motif du crime – l’argent – n’existe même pas dans le basket ? Le débat dans le football fait ressortir chaque jour un peu plus l’absurdité de la situation dans le basket." }, {"role": "user", "content":"Décès de Jean-Paul Gitta, chantre du basket mulhousien" }, {"role": "assistant", "content":"Nous apprenons le décès du journaliste Jean-Paul Gitta, qui était l’historien du sport mulhousien et du basket-ball en particulier.\\n\\nJournaliste aux Dernières Nouvelles d’Alsace, il a écrit pas moins de six livres et tenu quelque temps un blog de grande qualité, appelé « le blog de JPG » , qui attirait 50 000 visiteurs chaque mois, et qui couvrait la Nationale 2 et la Nationale 3, et dont le rayonnement dépassait le périmètre alsaco-lorrain.\\n\\n« C’est vrai que c’est très animé le samedi » reconnaissait-il à Vosges Matin. « Les soirs-là, je m’installe devant l’ordinateur vers 19 h 30 et je le quitte sur les\u2002coups de 2 h 30 du matin. Mais j’aime ça. A un point que\u2002je n’aurais pas imaginé au départ. »\\n\\nLa Rédaction de BasketEurope présente ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches." }, {"role": "user", "content":"Aaron Cel : «J’ai refusé les meilleurs clubs. Je suis avec le Polski Cukier, pour le meilleur et pour le pire»" }, {"role": "assistant", "content":"A Toruń pour la quatrième saison consécutive, Aaron Cel (2,05m) enchaîne les performances et porte son équipe à bout de bras. Agé de 33 ans, le natif d’Orléans réalise la meilleure saison de sa carrière. Le Franco-Polonais a donné une interview au quotidien sportif WP SportoweFakty.\\n\\nAprès 14 essais, vous avez enfin réussi à décrocher votre première victoire à l’extérieur (88-72 à Gdynia), précise le journal.\\n\\n« Oh, oui, enfin. C’est bien dit. Nous avons pris une grande inspiration. Cette série désastreuse sans victoire dans les matchs à l’extérieur était dans nos têtes. Surtout que dans de nombreux matchs, nous étions vraiment proches de la victoire. En fait, nous n’avons vraiment perdu qu’à Sopot. Dans tous les autres, nous étions en tête. Souvent même à la toute fin du match (...) Après chaque nouvelle défaite, nous avons pensé à venir à l’entraînement et à continuer à travailler sur nos faiblesses. Il n’y a eu aucun moment de doute. C’est bien que nous ayons enfin réussi à briser cette spirale. Nous espérons qu’il ne sera pas trop tard dans le contexte de la lutte pour les playoffs. La 8e place est toujours notre objectif. Bien que les chances ne soient pas trop grandes... Nous allons nous battre jusqu’à la dernière rencontre. Le point positif est que nous allons jouer 4 des 5 derniers matchs à Toruń et que nous nous sentons forts à la maison. Nous avons un très bon équilibre (9 victoires et 2 défaites). Mais nous savons que tout ne dépend pas de nous. Nous ne nous faisons pas d’illusions, ce n’est pas une situation confortable pour un sportif. C’est pourquoi, pour aider la chance, nous devons d’abord gagner nos matchs et ensuite compter sur les résultats favorables des autres matchs. »\\n\\nPendant de nombreuses années, Aaron Cel était au sein d’équipes qui se battaient pour le titre de champion de Pologne. Maintenant, Polski Cukier est en bas du tableau, avec un solde négatif (10-15). Un changement de statut important.\\n\\n« Est-ce difficile ? Pas nécessairement. C’est juste différent. Chaque saison est une histoire différente, une page différente à écrire. Je savais que cette année je ne me battrai pas pour le podium, même si je pensais que les résultats seraient un peu meilleurs. Le fait que Polski Cukier ne joue pas pour le podium ne me pose aucun problème. Je savais ce pour quoi j’ai signé et quelle sera la saison. Toruń m’a beaucoup donné et je veux rendre la pareille au club. Je prends cette saison comme un défi, quelque chose que je n’ai jamais eu auparavant dans ma carrière. J’aime le rôle du joueur expérimenté, qui peut aussi donner un bonus aux jeunes joueurs. Ce n’est pas une saison perdue pour moi, juste une mauvaise chose à laquelle je penserai longtemps. Il est impossible de jouer pour le podium et d’être au top pendant toute la carrière. Si tout se passe comme prévu, le club continuera à fonctionner, je voudrais mettre fin à ma carrière ici. C’est mon plan. »\\n\\nOn a beaucoup parlé en Pologne du fait que Aaron Cel pourrait quitter l’équipe et aller dans un club qui se bat pour titre de champion de Pologne comme Stelmet ou Stal Ostrów. Il ne nie pas l’opportunité.\\n\\n« Je ne veux pas mentionner les noms des clubs. Que cela reste un secret. En fait, il y a eu des discussions, j’ai reçu des appels. Je tiens à remercier tout le monde de s’être intéressé à moi. Je leur souhaite bonne chance, ma place est toujours à Toruń. Ai-je pensé à changer de club ? Non. Pas même pour un instant. Bien que j’admette que je ne voudrais pas terminer la saison le 21 mars. Je ne veux pas avoir autant de vacances ! »\\n\\nPhoto d’ouverture : Aaron Cel." }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Le Nigérian Michael Eric en renfort au CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que Mike James fera défaut lors des prochains matchs, en raison d’un nouveau deuil familial qui l’oblige à retourner aux Etats-Unis avec la permission du club, le CSKA Moscou fait appel au pivot nigérian Michael Eric (2,10m, 32 ans), qui est en provenance du Turk Telecom Ankara.\\n\\nAprès un séjour aux Etats-Unis et un transit dans les clubs des divisions inférieures en Grèce et en Italie, Michael Eric a gagné l’Eurocup et joué en Euroleague avec Darussafaka (2018-19) puis Baskonia Vitoria (2019-20). Il a disputé 57 matchs avec une moyenne de 8,4 points, 3,9 rebonds et 0,7 contre. Le Nigérian a remporté le titre de champion d’Espagne en 2020.\\n\\nCette saison, en 19 matchs dans la Ligue turque, Michael Eric obtenu en moyenne 11,0 points (57,4% des tirs à deux-points), 6,2 rebonds et 1,0 contre.\\n\\n« De toute évidence, après avoir tous été choqués par la blessure de Nikola Milutinov -nous savons tous ce que Nikola nous apportait avec son double-double, son éthique de travail, son expérience-, nous étions très attentif au marché », comment le coach Dimitris Itoudis. « Nous avons évalué toutes les possibilités avec le Président et tous mes assistants, nous sommes arrivés à la conclusion que Michael Eric nous correspondait avec son expérience en EuroLeague, sa taille et sa grande volonté -parce que j’ai parlé avec lui. Il comprend la transition, il sait quelle position il prend, quelles chaussures il doit porter. Nous avons également tenu compte de l’opinion des joueurs qui ont joué avec lui – Toko (Shengelia), Darrun (Hillard) et Will (Clyburn). Il est très motivé et j’espère qu’il restera en bonne santé et aidera l’équipe dans ce que nous voulons accomplir. »\\n\\n" }, {"role": "user", "content":"En direct avec... Wilfried Yeguete (Monaco) : «Si je n’étais pas dans le basket, je serais dans l’humanitaire»" }, {"role": "assistant", "content":"Pour la deuxième année consécutive, Will Yeguete (2,01 m, 29 ans) continue d’être un élément majeur pour la Roca Team de l’AS Monaco. Reconnu comme un rebondeur émérite, cet intérieur tonique a fait ses premières expériences dans le basket à l’université de Florida avec les Gators. Le basket est chez les Yeguete un sport de famille avec un père ex-joueur international reconnu en Côte d’Ivoire et un frère cadet passé en N3 (Saint- Nazaire). Revenu en France en 2014, Will a débuté en pro au Havre avant de rejoindre Pau. Il signa ensuite pour trois saisons au Mans (2016-2019) où il développa pleinement tout son potentiel. Le Girondin rêve secrètement de jouer aux... Spurs ou du moins en Euroleague.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuel a été le premier match que vous avez joué en pro ?\\n\\nC’était pendant la présaison en 2014, fin août, et si je me souviens bien c’était face à Nancy. Honnêtement, je ne me rappelle pas de grand-chose, je ne pense pas qu’on ait gagné. Pour mon début de carrière en professionnel en France, je me rappelle que je faisais beaucoup de fautes, c’était vraiment intense et ce n’était pas propre. J’avais du mal à défendre et ça m’arrivait de faire trois à quatre fautes par match.\\n\\nVous en gardez tout de même un bon souvenir ?\\n\\nOui parce que c’était un premier match, c’était le début de ma carrière. Avant c’était la Floride mais je n’avais pas de club. J’ai eu de la chance parce qu’au début, je n’avais pas grand-chose à ma portée. Je m’entraînais avec Le Mans et je me suis blessé, j’avais vraiment mal au dos. Quand je suis revenu, j’ai eu l’offre du Havre et j’ai sauté sur l’occas tout de suite. Au bon endroit au bon moment. Les blessures qui arrivent te ralentissent dans ta carrière. J’ai eu de la chance d’en avoir que des petites heureusement mais c’est un sacré frein.\\n\\nAvez-vous un modèle ?\\n\\nEn général, je cite ceux que j’ai connu à l’université comme Scottie Wilbekin (Maccabi Tel-Aviv), Patrick Young (Hapoël Gilboa Galil) qui a joué à Galastaray et Olympiakos. Et un autre pote à moi qui s’appelle Casey Prather qui est en Israël (Hapoël Eilat) mais qui est passé par le Khimki Moscou et en Australie. Ces trois là m’ont vraiment aidé à devenir meilleur. En pro, je citerais Ricardo Greer, lors de ma première année au Havre. Malgré son âge, il arrivait à dominer de très bons défenseurs et être très efficace, je l’ai vraiment beaucoup observé. Il avait une très bonne lecture du jeu c’est vraiment une force. Il était hyper impressionnant pour moi. Il y a aussi Carmelo Anthony mais moins que Greer en tout cas.\\n\\n« En pro, tu as des joueurs qui partent, qui viennent, il y a moins ce côté humain. A l’université, tu joues avec tes potes, il n’y a pas de contrat, pas d’égo. »\\n\\nQui est le meilleur joueur actuel selon vous ?\\n\\nLe meilleur pour moi, dans le monde entier, c’est LeBron James. Ce qu’il arrive à faire à son âge (36 ans) à chaque match, c’est impressionnant. Il y a des très bons potentiels autour mais lui, il peut encore jouer cinq ans minimum sans souci.\\n\\nEt un joueur qui vous a marqué ?\\n\\nJ’ai joué contre Anthony Davis (Los Angeles Lakers) quand j’étais à l’université et honnêtement, c’est un joueur qui m’a impressionné. Très grand, très fin, très rapide, très mobile. J’ai eu la chance de jouer contre lui deux ou trois fois, niveau talent c’est pur.\\n\\nDans quel club aimeriez-vous jouer à l’avenir ?\\n\\nJ’ai toujours voulu jouer chez les Spurs comme Tonio (Parker). Ils n’ont pas toujours eu des superstars et j’ai toujours été fan. J’ai toujours admiré ce club. Et si je reste en bonne santé, j’aimerais bien aussi passer en Euroleague. Je veux continuer à jouer au basket tant que je peux, progresser que ce soit en France ou en Europe et gagner des titres. L’important c’est de rester en bonne santé et de garder de bonnes capacités. Ca fait sept ans que je suis en pro, je continue de prendre du plaisir, je ne me fixe aucune limite.\\n\\nEt au contraire, un club où vous ne voudriez pas aller ?\\n\\nLa Russie ça me tente pas trop. J’y suis allé quelques fois, toute l’Europe de l’Est ça m’intéresse moins. C’est très différent de l’Europe de l’Ouest. Si je n’ai pas le choix j’irais c’est sûr mais ça me chauffe moins.\\n\\nQui est le meilleur coach actuellement selon vous ?\\n\\nJ’ai toujours été fan de Gregg Popovich (San Antonio Spurs). J’aime bien aussi Erik Spoelstra, le coach de Miami. Il a toujours tenu son rôle, je l’admire aussi. En Europe, j’ai bien aimé être coaché par Sasa Obradovic l’année dernière à Monaco. C’est un coach assez spécial, vraiment différent de ceux que j’ai eu avant et au niveau de ses exigences vis-à-vis des joueurs, tu joues dans ton axe et il arrive à en extraire le meilleur. Après je citerai mon coach à l’université (NDLR : Wilfried Yeguete a joué de 2010 à 2014 chez les Gators de Florida), Billy Donovan qui a signé aux Chicago Bulls. Il m’a recruté à la sortie du lycée et il m’a coaché toutes mes années à l’université. Humainement, entre 18 et 21 ans, il m’a beaucoup appris. Il m’a vu grandir et m’a permis de devenir un homme entre guillemets. Pour l’avoir eu pendant quatre, il m’a fait évoluer que ce soit en dehors ou sur le terrain. C’est vraiment plus qu’un coach. Il nous a ouvert ses portes par rapport à sa famille, c’est quelqu’un de très impliqué. Au niveau universitaire, ton coach te voit grandir et progresser. C’est pas du business, humainement, c’est carré. En pro, tu as des joueurs qui partent, qui viennent, il y a moins ce côté humain. A l’université, tu joues avec tes potes, il n’y a pas de contrat, pas d’égo.\\n\\nQuelle est la salle où vous avez pu jouer avec la meilleure ambiance ?\\n\\nQuand j’étais l’université, face à Kentucky, à la Rupp Arena. Je crois que l’on peut y mettre dans les 23 000 personnes. Après j’ai eu la chance de jouer en Final Four dans le Cowboys Stadium (aujourd’hui AT1T Stadium), le stade de l’équipe de foot américain de Dallas. C’était au moins 80 000 personnes, c’était vraiment impressionnant aussi. Jouer devant autant de gens, c’est incroyable et c’est une ambiance de dingue.\\n\\nEt en France ?\\n\\nA Limoges, une belle salle, les supporters sont là. C’est une bonne atmosphère quand tu joues là-bas. On avait joué à Strasbourg aussi, je crois pour une demi-finale de championnat en playoffs, et c’était pas mal. Et oui je pense aussi à Antarès (Le Mans) l’année où on a été champion (2017-2018), t’avais 6 000 personnes toutes en orange, ça envoie. J’aime bien aussi la salle de Pau, quand j’y étais (2015-2016) c’était une très belle année, on était allé en playoffs. La salle de Paris (le POPB) pour la Coupe de France c’était pas mal. Après, il y en a beaucoup de bien: je pense à l’Asvel, Nanterre aussi pas mal. J’ai des potes qui ont fait un derby en Serbie, c’est une toute autre ambiance, les supporters n’ont pas le même type d’engouement qu’en France. La Grèce ça m’avait impressionné, entre Panathinaikos et Olympiakos, ça lance des fumigènes dans le stade, les gens sont en transe, à la limite, ils vivent pour ça. En Turquie aussi, il y a une grande ferveur.\\n\\n« Mon meilleur souvenir ? Je dirais être champion de France avec le Mans en 2018. On a cravaché sur tous les matchs. »\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir ?\\n\\nJe dirais être champion de France avec le Mans en 2018. On a cravaché sur tous les matchs. Je pense aussi à l’université même si on n’a pas été champion, c’était quelque chose d’unique. On a été invaincu en Conference pendant bien deux mois (30 victoires consécutives).\\n\\nA l’inverse, un moins bon ?\\n\\nQuand j’étais en benjamin, c’était une finale de coupe départementale (Meaux – Seine-et-Marne). J’avais la balle en main, je n’ai pas pu tirer et on a perdu le match. J’avais 10-11 ans, en 2002-2003. Je n’ai pas pu prendre le shoot, hyper frustrant. A la sortie de l’université aussi, j’étais blessé et aucun club ne voulait de moi. Les blessures qui arrivent te ralentissent dans ta carrière. J’ai eu de la chance d’en avoir que des petites, heureusement, mais c’est un sacré frein.\\n\\nQui a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nJe dirais Anthony Davis, Joel Embiid (Philadelphia 76ers), Moustapha Fall (ASVEL), quand il était à Chalon 2016-2017. Il était costaud, difficile à canaliser pour ne pas dire inarrêtable. J’en ai pas d’autres en tête. Ah! si, Devin Booker (Khimki Moscou) quand il a joué à Chalon (2015-2016). Il a vite explosé d’ailleurs quand il est arrivé en France.\\n\\nAvez-vous un match de référence ?\\n\\nJe pense que c’était au Mans, quand j’ai fait un match à 20 rebonds. Aussi quand mes parents sont venus me voir jouer au Mans face à Gravelines. J’étais content parce qu’on avait gagné et aussi pour eux de m’avoir vu jouer. J’avais fait une bonne perf en plus.\\n\\nEt au contraire, un match dont vous n’êtes pas fier ?\\n\\nJe dirais la demi-finale de la Leaders Cup l’année dernière. Quand on perd sur un alley oop contre Dijon. J’étais sur le joueur qui marque (Richard Solomon). Je prends un petit écran et voilà c’est un des matchs qui m’a fait le plus mal au cœur. On était revenu dans le match et... c’était peut-être une erreur de communication ou je sais pas. Ca fait parti du basket, c’est comme ça et on fera mieux en tout cas dans mon futur.\\n\\nSi vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel ce serait ?\\n\\nJ’ai toujours adoré le fadeway de Dirk Nowitzki (NDLR auparavant aux Dallas Mavericks). Un des meilleurs joueurs de tous les temps. Le sien était incontrable.\\n\\nPourquoi ce numéro de maillot ?\\n\\nTrès bonne question ! C’était le numéro de mon père. C’est un hommage pour tout ce qui l’a fait, tout ce qu’il m’a donné. (NDLR : Originaire de République centrafricaine, Lugen Yeguete a joué au basket à Abidjan en Côte d’Ivoire).\\n\\nAvez-vous plus d’affinités avec certains joueurs ?\\n\\nA Monaco, je dirais Dee Bost déjà depuis l’année dernière et J.J. O’Brien. Après je m’entends bien avec tout le monde. Damien Inglis, Abdou Ndoye et (Yohan) Choupas, ce sont tous des joueurs français que je connais depuis un bout de temps maintenant.\\n\\n« J’avais commenté des matchs en NCAA, il y’a deux ans, j’ai eu des bons retours et ça m’a plu »\\n\\nQuels sont vos sujets de conversation dans les vestiaires ou entre les entraînements ?\\n\\nOn a parlé des transferts en NBA parce que certains connaissent du monde là-bas. On parle de tout ce qui se passe en Europe par rapport au Covid et le vaccin, comment ça peut encore impacter la saison. Les matchs à l’extérieur. Un peu de tout et de rien mais c’est vrai qu’avec l’actualité qu’il y a en ce moment on se pose beaucoup de questions.\\n\\nAvec qui monteriez-vous votre Five de légende ?\\n\\nUn Five de légende, woohoo y’en a beaucoup ! Magic Johnson pour commencer. C’est difficile... En deux Michael Jordan. En trois Kevin Durant, LeBron et en pickmen, j’hésite entre Olajuwon et Shaq. Très américain c’est vrai mais pour moi, c’est ça.\\n\\nQu’est-ce que vous feriez si vous n’étiez pas dans le basket ?\\n\\nJe serais dans l’humanitaire. Rentrer dans une association ou une ONG comme l’UNICEF ou l’ONU pour pouvoir aider les personnes dans le besoin. Voyager dans le monde pour aider les enfants qui en ont besoin. J’aurais aimé faire pilote, plus jeune, mais c’était un peu compliqué (rires). Mais oui l’humanitaire car j’adore voyager, j’adore pouvoir être là pour aider sur place. Le contact humain c’est le plus important. Avoir un contact avec des personnes qui sont des autres cultures, c’est vraiment ça que j’aurais essayé de faire.\\n\\nOù vous voyez-vous après le basket ?\\n\\nAlors soit à la télé quelque part en train de commenter un match, j’aimerais bien, soit en tant que scout. Je pense que je peux avoir les qualités pour faire ça. Je ne sais pas si j’ai les compétences pour faire du coaching. Garder un pied dans le basket parce que ça peut m’ouvrir des portes pour du boulot. J’avais commenté des matchs en NCAA, il y’a deux ans, j’ai eu des bons retours et ça m’a plu. C’était pour un Big 12/SEC Challenge. J’ai commencé à prendre des cours pour pouvoir commenter de la meilleure des façons.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQuel a été le premier match que vous avez joué en pro ?\\n\\nC’était pendant la présaison en 2014, fin août, et si je me souviens bien c’était face à Nancy. Honnêtement, je ne me rappelle pas de grand-chose, je ne pense pas qu’on ait gagné. Pour mon début de carrière en professionnel en France, je me rappelle que je faisais beaucoup de fautes, c’était vraiment intense et ce n’était pas propre. J’avais du mal à défendre et ça m’arrivait de faire trois à quatre fautes par match.\\n\\nVous en gardez tout de même un bon souvenir ?\\n\\nOui parce que c’était un premier match, c’était le début de ma carrière. Avant c’était la Floride mais je n’avais pas de club. J’ai eu de la chance parce qu’au début, je n’avais pas grand-chose à ma portée. Je m’entraînais avec Le Mans et je me suis blessé, j’avais vraiment mal au dos. Quand je suis revenu, j’ai eu l’offre du Havre et j’ai sauté sur l’occas tout de suite. Au bon endroit au bon moment. Les blessures qui arrivent te ralentissent dans ta carrière. J’ai eu de la chance d’en avoir que des petites heureusement mais c’est un sacré frein.\\n\\nAvez-vous un modèle ?\\n\\nEn général, je cite ceux que j’ai connu à l’université comme Scottie Wilbekin (Maccabi Tel-Aviv), Patrick Young (Hapoël Gilboa Galil) qui a joué à Galastaray et Olympiakos. Et un autre pote à moi qui s’appelle Casey Prather qui est en Israël (Hapoël Eilat) mais qui est passé par le Khimki Moscou et en Australie. Ces trois là m’ont vraiment aidé à devenir meilleur. En pro, je citerais Ricardo Greer, lors de ma première année au Havre. Malgré son âge, il arrivait à\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Première défaite à domicile de Quimper depuis mai 2019" }, {"role": "assistant", "content":"La dernière défaite des Béliers de Kemper à domicile en championnat remontait à mai 2019. Saint-Quentin a mis fin hier soir à la série, 70-75.\\n\\nLes Picards ont su tenir à la fois David Jackson (10 points) et Baptiste Tchouaffé (4).\\n\\n« Il faut bien qu’ils s’attendent à être cernés, mais il faut aussi qu’ils changent leur manière de voir les choses, parfois. Un grand joueur sait trouver autre chose », a commenté le coach Laurent Foirest en conférence d’après-match, propos repris par Ouest France. « David a trop essayé de se rassurer avec des shoots rapides. Bathiste a été un peu moins intense que ce qu’il peut être. Dans ces moments-là, il est moins bon. Mais ce ne sont pas eux qui nous font perdre le match. »\\n\\nAvec trois matches en dix jours, les Quimpérois sont actuellement soumis à un rythme très soutenu. Ils ont besoin de nouvelles ressources. Le Lituanien Ovidijus Varanauskas absent pour deux bons mois, les Béliers sont à la recherche d’un pigiste médical. Ils n’ont pas pu faire affaire avec le Slovène Matic Rebec, qui a quitté Rouen pour Ravenne en 2e division italienne, pour le double de salaire de ce que lui proposaient les Bretons a confié le coach." }, {"role": "user", "content":"Kaza Kajami-Keane (Le Mans): «Je suis un meneur de jeu dans le sens littéral du terme»" }, {"role": "assistant", "content":"Fils d’un Jamaïcain et d’une Espagnole, Canadien né dans l’Ontario, un Etat anglophone, le meneur du Mans Kaza Kajami-Keane se débrouille en français comme il le confirme au site du MSB.\\n\\n« Oui, je parle français, mais je ne dirais pas que je le parle très bien. Je comprends quand on me parle en français, mais je ne suis pas très à l’aise pour parler en français... (en français) Je parle avec mes coéquipiers en français, mais parfois j’ai des soucis avec certains mots que je ne connais pas pour dire ce que je veux, mon vocabulaire français est trop limité, alors je préfère répondre en anglais. »\\n\\nA la question de savoir pourquoi il a choisi le MSB à l’inter-saison alors qu’il avait joué en Europe aux Pays-Bas et au Danemark, il répond:\\n\\n« En premier, le coaching staff. J’ai ressenti que c’était une équipe solide, sérieuse et qui savait où elle allait, ça m’a tout de suite mis à l’aise. Je me suis dit que le MSB était un endroit où je pouvais progresser et gagner des matchs dans un championnat plus relevé que ceux que j’avais déjà connus. J’aimais le discours d’Elric (NDLR: Delord, le coach), et je ne suis pas déçu par sa façon de coacher, son approche du jeu et des joueurs. Ensuite, je pense que le championnat de France est un des plus forts d’Europe surtout en termes de densité : il y a beaucoup de fortes équipes ici. Enfin, on m’avait dit que la ville était sympa, pas très loin de Paris en plus si on a envie. JD Jackson, qui est assistant-coach dans l’équipe nationale du Canada, m’a dit que la ville était très agréable, l’encadrement du club excellent et que les fans étaient des vrais passionnés de basket. Tout cela formait un ensemble très séduisant et donc j’ai opté pour le MSB... et j’en suis très content ! D’ailleurs, à propos de JD, c’est vraiment spécial de voir son maillot accroché en haut de la salle, je comprends mieux la relation qu’il y a entre lui et ce club en voyant ça. »\\n\\nAu-delà de ses stats (12,5 points, 42,9% à trois-points, 3,3 passes, 1,3 rebond), l’international canadien est apprécié pour sa faculté d’adaptation en fonction des circonstances :\\n\\n« Je suis un meneur de jeu dans le sens littéral du terme. C’est à moi d’organiser le jeu et d’impliquer tout le monde. Individuellement je suis prêt à faire ce qu’il faut pour faire gagner l’équipe. Si je dois me concentrer sur la défense d’un joueur, je le fais. Si je dois scorer, je peux le faire. Je dirais que mon premier rôle est d’être un playmaker et ensuite d’apporter ce qu’il faut pour faire gagner l’équipe et que ça peut changer à chaque match. J’ai toujours aimé les meneurs qui étaient des vrais meneurs : Mike Bibby, Jason Kidd, Steve Nash... Tony Parker aussi. Ce sont des joueurs qui dirigent leur équipe, qui contrôlent le tempo et qui font ce qu’il faut pour faire gagner leur équipe. C’est comme ça que j’ai envie de jouer. »\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Liga ACB : Unicaja injecte 6 millions d’euros pour sauver le club de Malaga" }, {"role": "assistant", "content":"La banque espagnole Unicaja, propriétaire du club de Malaga, a versé 6 millions d’euros pour compenser les pertes dues à la crise sanitaire lors de la saison 2019-2020.\\n\\nLa crise n’est pas que sportive pour l’Unicaja Malaga. Déjà éliminé dans le Top 16 de l’Eurocup après 10 défaites toutes compétitions confondues, le 9e de Liga ACB enregistre des pertes importantes depuis l’arrivée du Covid. Heureusement, le club espagnol peut compter sur l’inconditionnel soutien de la banque Unicaja, son partenaire majeur. L’établissement bancaire, propriétaire et seul actionnaire du club de Liga ACB, a d’abord injecté 2,8 millions d’euros pour « rétablir le solde des fonds propres » en 2019 avant d’effectuer un deuxième versement de 3,2 millions d’euros, selon les données de 2Playbook Intelligence. Au total, 6 millions d’euros ont été injectés.\\n\\nL’Unicaja Malaga avait terminé l’exercice 2019-2020 avec un chiffre d’affaires de 8,2 millions d’euros et 20 % de pertes, soit 2,8 millions d’euros en moins. Des pertes compensées par l’actionnaire. Puis la baisse des droits TV en Espagne, entre autres, a impacté de nouveau les finances du club, qui vit habituellement grâce à sa billetterie, ses abonnés et ses partenaires. Pour rappel, plus de la moitié de la saison actuelle s’est déroulée sans public dans les tribunes, une situation qui continuer d’inquiéter en Espagne.\\n\\n« L’impact négatif sur l’économie de nos clubs est considérable et la grande responsabilité dont ils ont fait preuve ces derniers mois mérite confiance pour le retour progressif de leurs supporters avec une sécurité maximale. »Antonio Martin, président de la Liga ACB.\\n\\nSur le plan sportif, l’équipe d’Axel Bouteille, défaite dernièrement par Nanterre et Monaco en Eurocup, a rebondi ce dimanche en mettant fin à leur disette en Liga ACB contre Fuenlabrada (85-68) et tentera de rejoindre le carré final de la Coupe du Roi ce vendredi contre le Barça." }, {"role": "user", "content":"Silvia Domínguez (Espagne) : «Nous avons quelque chose dans nos veines et cela s’appelle la compétitivité»" }, {"role": "assistant", "content":"On sait que la meneuse Silvia Domínguez (1,66m, 34 ans) a du tempérament. Cela se ressent dans cette lettre ouverte où elle exprime sa confiance dans l’équipe espagnole, à quelques mois de l’EuroBasket et des JO de Tokyo. Extraits :\\n\\n« Il n’est pas passé inaperçu récemment que les experts de la FIBA ne nous ont pas choisis, l’Espagne, pour gagner l’EuroBasket cet été, dans lequel nous allons être co-organisateurs avec la France. On s’en fiche. Nous utiliserons cela comme motivation.\\n\\nPour ce qui est de l’expérience gagnante, nous en avons davantage que d’autres équipes en Europe depuis 2013, année où nous avons remporté notre premier EuroBasket en France. Après avoir terminé troisième en 2015, nous avons de nouveau gagné en 2017 et, plus récemment, en 2019. Pendant ce temps, nous avons également atteint la finale de la Coupe du monde 2014 et celle des Jeux olympiques de Rio.\\n\\nCombien de temps l’Espagne peut-elle rester au sommet, ou parmi les meilleurs pays, surtout quand vous voyez de grandes joueuses comme Marta Xargay et Anna Cruz annoncer leur retraite de l’équipe nationale ? Nous nous posons cette question depuis un certain temps. Nous savons que cela prendra fin à un moment donné, mais les années suivent les années et nous sommes toujours là, au sommet.\\n\\nNotre force mentale nous a aidés. Nous sommes allés à d’autres championnats en admirant les effectifs d’autres équipes comme la France, mais nous avons quelque chose dans nos veines et cela s’appelle la compétitivité.\\n\\nJe ne sais pas ce que pensent les équipes quand elles doivent affronter l’Espagne, même si je suis sûr qu’elles n’aiment pas ça parce que nous ne sommes pas un adversaire facile. Mentalement, on sait que si on pousse fort sur une équipe pendant 40 minutes, son niveau peut baisser (...)\\n\\nEn tant que joueuses, faire partie de l’équipe nationale a été très important pour notre carrière. Même quand j’ai été coupée avant un gros tournoi, cela m’a fait travailler plus dur pour ne pas être exclu la prochaine fois. En 2010, la Coupe du monde a eu lieu en République tchèque alors que j’étais encore jeune et que j’étais coupée. Cela m’a vraiment motivée pour avoir ma meilleure saison à Perfumerías Avenida et nous avons fini par gagner l’Euroleague féminine.\\n\\nChaque fois que j’ai eu une déception, cela a alimenté mon désir de travailler plus dur pour que les entraîneurs n’aient aucun doute sur ma présence dans l’équipe. Bien sûr, ces sept dernières années, Lucas (NDLR: Mondelo, le coach) m’a donné beaucoup de confiance, même si j’étais blessée, en me sélectionnant. Je voulais qu’il m’aide sur et en dehors du terrain. Je l’apprécie, mais je comprends aussi que je dois continuer à travailler pour garder ma place parce que je veux la mériter.«\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"NBA et NCAA : où en sont les Français des États-Unis ? Batum, Fournier, Gobert, Ayayi au top" }, {"role": "assistant", "content":"En attendant le démarrage prochain de la G-League, où devraient se produire quelques ressortissants de notre pays, ils sont 34 Français à évoluer en division 1 de la NCAA ou en NBA. Revue d’effectif.\\n\\nPhoto d’ouverture : Nicolas Batum – Joël Ayayi – Olivier Sarr (photos : Clippers – Gonzaga – Kentucky)\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCette saison, au 5 février (jour où nous avons arrêté nos statistiques), ils étaient 10 Français à jouer en NBA et 24 autres en première division NCAA (ou tout du moins à être normalement présent dans le roster). Un nombre assez conséquent, qui recouvre des réalités très diverses, entre NCAA et NBA bien sûr, mais au sein même de chaque championnat aussi.\\n\\nCommençons par la NBA. Sur les dix joueurs qui ont évolué dans la « Grande ligue », deux (Killian Hayes et Frank Ntilikina) n’ont pas tellement eu l’occasion de montrer leur talent par la faute de blessures, le second étant de surcroît peu utilisé par son coach lorsqu’il est valide. Deux autres, Vincent Poirier et Adam Mokoka, jouent les utilités, passant de temps à autres quelques minutes sur le parquet mais cirant surtout le banc plus qu’à leur tour. Restent six joueurs à être entrés sur le terrain très régulièrement et à disposer d’un temps de jeu d’au moins 19 minutes (à l’exception de Sekou Doumbouya). Là aussi, plusieurs cas de figure se présentent : Doumbouya voit son temps de jeu et, par voie de conséquence, son rendement baisser depuis la saison passée (6,4 points en 19,8 mn) ; de leur côté, Thimoté Luwawu-Cabarrot et Théo Maledon s’installent dans la rotation de leur équipe avec un rendement très correct (le premier en relais de rien moins que Kevin Durant, Kyrie Irving et James Harden, le second comme rookie s’affirmant dans une équipe décidée à « tanker » – perdre un maximum de matchs afin d’avoir plus de chances d’obtenir une bonne position à la prochaine draft).\\n\\nReste le « trio majeur » des Français de NBA, à savoir Nicolas Batum, Evan Fournier et Rudy Gobert. Le premier revit depuis qu’il a quitté le banc de Charlotte pour les Clippers, où il est devenu une pièce majeur du dispositif angelinos, l’huile des rouages Kawhi Leonard et Paul George, le tout en shootant à 46,2 % à trois-points. Evan Fournier, lui, reste l’une des deux principales armes offensives d’Orlando avec Nikola Vucevic, tout en produisant des stats un poil inférieures à celles de la saison passée (18,5 pts à 46,7 % aux tirs, contre 17,6 pts à 44,2 % cette saison). Enfin, Rudy Gobert continue à planer sur les raquettes NBA, même s’il a connu un match sans face aux Denver Nuggets et leur pivot-star Nikola Jokic, qui lui a laissé, le 31 janvier, une addition à 47 points (17/26 aux tirs), 12 rebonds et 5 passes alors que le Français ne pouvait produire que 12 points (4/7 aux tirs), 8 rebonds et 1 passe. Pour le reste, le meilleur défenseur NBA de 2018 et 2019 reste dans ses standards habituels, même s’il marque un petit peu moins que les années précédentes et que son adresse aux lancers-francs est moindre qu’à l’habitude (55,2 % cette saison contre 63 à 68 % les saisons précédentes).\\n\\nMatchsMinutesPointsRebondsPassesNicolas BatumClippers22/2329,310,24,72,5Sekou DoumbouyaPistons20/2112,54,32,30,6Evan FournierMagic13/2228,417,62,53,6Rudy GobertJazz22/2229,813,213,41,4Killian HayesPistons7/2121,14,61,13,6Thimoté Luwawu-CabarrotNets23/2319,07,32,21,3Théo MaledonOKC20/2022,37,42,62,7Frank NtilikinaKnicks4/2310,54,51,00,8Vincent PoirierSixers4/234,51,01,00,3Adam MokokaBulls6/206,91,80,70,7\\n\\nJoël Ayayi au top en NCAA\\n\\nEn NCAA, ils sont donc 24 à être officiellement inscrits dans une fac de division 1 (d’autres joueurs Français évoluent dans des facs de D2 ou D3). Cela étant, deux d’entre-eux, Kevin Koné (à Mississippi Valley State) et Tanguy Touzé (qui vient d’arriver à Jacksonville State) n’apparaissent pas dans les rosters de ces équipes, sans que nous ayons pu en trouver l’explication. Deux autres joueurs n’ont pour le moment encore joué aucun match, mais pour une autre raison : ils sont blessés. Ce sont Daniel Batcho (Arizona) et Alex Tchikou (Alabama). Dommage, ils font partie des joueurs les plus prometteurs de cette liste.\\n\\nIl y a en effet des niveaux très disparates entre les divers joueurs évoluant en NCAA. Déjà parce que, sur les 347 facs composant la D1, on passe pour les premières d’un niveau sensiblement équivalent à une bonne Pro B a minima à des équipes, passées les 100 premières places, qui présentent un niveau N2 pour certaines voire pré-nationale pour les plus faibles. Autant dire que briller dans une fac au-delà de la 100e place ne garantit en rien que le joueur faisant ces bonnes stats aura les capacités d’évoluer à un niveau Jeep Élite ou Pro B dans le futur.\\n\\nEn fait, seuls cinq joueurs (hors blessés) semblent sortir du lot et pouvoir rêver d’une carrière professionnelle au moins au niveau Pro B. Celui qui semble le plus à même de viser haut est Joël Ayayi, joueur majeur de Gonzaga, l’une des toutes meilleures facs NCAA – on devrait sans doute le retrouver rapidement en NBA. Ce qui peut également être le cas d’Yves Pons : même s’il ne présente pas des stats mirobolantes pour un joueur senior, ses incroyables qualités athlétiques peuvent attirer des scouts NBA. La remarque vaut également pour Olivier Sarr, qui vaut certainement mieux que ce que ses stats laissent présager. Pour sa part, Joshua Mballa (Buffalo, 107e) réussit de très belles performances, mais dans une équipe de niveau moindre. La NBA est sans doute un doux rêve pour lui, mais on devrait le retrouver en France dans les divisions professionnelles. Ce qui peut aussi être le cas d’Alexis Yetna, qui reprend plutôt bien à South Florida après une année blanche par la faute des blessures.\\n\\nPour les autres, difficile de dire s’ils peuvent prétendre jouer au niveau professionnel. Ainsi, Yvan Ouedraogo (Nebraska, 170e) et Eddy Kayouloud (Central Arkansas, 313e) sont considérés comme de beaux espoirs, ont déjà connu la sélection en équipe de France jeunes, mais leurs performances restent moyennes dans des équipes de faible niveau. À voir comment ils vont évoluer. Pour d’autres, le passage par la NCAA aura été l’occasion de découvrir l’atmosphère des campus américains, potentiellement de décrocher un diplôme et de jouer au basket, même si une carrière professionnelle semble bien illusoire.\\n\\nJoueurAnnéeFacClassement FacMatchsMinutesPointsRebondsPassesDaniel BatchoFreshmanArizona40BlesséMelvyn EbonkoliFreshmanMissouri State10624,00,00,50,5Anthony KabalaFreshmanLong Island U (LIU)15312,00,01,00,0Alex TchikouFreshmanAlabama8BlesséKane MillingSophomoreNevada1221922,64,62,10,9Nicolas ElameSophomoreUT Arlington2321324,76,84,22,7Yvan OuedraogoSophomoreNebraska1701120,55,15,50,5Eddy KayouloudSophomoreCentral Arkansas3131625,58,44,32,2Nicholas EvtimovSophomoreColgate1514,04,01,00,0Josaphat BilauSophomoreWichita State7695,60,91,20,3Clarence NadolnySophomoreTexas Tech10137,52,10,90,5Joël AyayiJuniorGonzaga21830,211,77,33,4Alexis YetnaJuniorSouth Florida1261127,810,57,60,6Joshua MballaJuniorBuffalo1071027,815,010,12,4Paul DjokoJuniorNorthern Kentucky246710,70,61,70,1Ludovic DuféalJuniorGardner-Webb2081825,34,14,71,1Andre TouréJuniorSouthern U. Jaguars25976,01,40,90,3Kevin KoneJuniorMississippi Valley State347N’apparaît pas dans le rosterChristian LorgnJuniorAmerican University175413,03,52,80,3Yves PonsSeniorTennessee131627,19,44,80,9Axel OkongoSeniorEastern Michigan32359,40,82,20,0Olivier SarrSeniorKentucky771623,710,35,61,1Ludgy DebautSeniorEast Carolina1331414,92,93,00,4Tanguy TouzéSeniorJacksonville State193N’apparaît pas dans le roster\\n\\nVous pouvez suivre au quotidien l’actualité de la NBA et de la NCAA sur BasketUSA.com\\n\\n[armelse]\\n\\nCette saison, au 5 février (jour où nous avons arrêté nos statistiques), ils étaient 10 Français à jouer en NBA et 24 autres en première division NCAA (ou tout du moins à être normalement présent dans le roster). Un nombre assez conséquent, qui recouvre des réalités très diverses, entre NCAA et NBA bien sûr, mais au sein même de chaque championnat aussi.\\n\\nCommençons par la NBA. Sur les dix joueurs qui ont évolué dans la « Grande ligue », deux (Killian Hayes et Frank Ntilikina) n’ont pas tellement eu l’occasion de montrer leur talent par la faute de blessures, le second étant de surcroît peu utilisé par son coach lorsqu’il est valide. 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La saison passée, elle s’est fendue de 16,1 points, 9 rebonds, 3,3 passes décisives, 1,5 contre et 1,6 interception de moyenne.\\n\\nDu très haut de gamme. De quoi donner un coup de fouet aux performances du BLMA actuellement 8e de Ligue Féminine avec 5 victoires et autant de défaites.\\n\\nPARCOURS :\\n2015 – 2019 : Université de Connecticut (UCONN) (NCAA)\\n\\nÉté 2019 et 2020 : Minnesota Lynx (WNBA)\\n\\n\\nPALMARÈS :\\n\\nÉté 2014 : Championne Americup U18\\nÉté 2015 : Championne du Monde U19\\n\\n2016 : Championne NCAA\\n\\nÉté 2019 : Rookie de l’Année en WNBA & Selection au WNBA All Star Game\\nÉté 2019 : Championne Americup" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Dijon vs Chalon-sur-Saône (17e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Emmenés par un trio Holston-Julien-Simon précieux dans les moments chauds, les Dijonnais ont tiré leur épingle du jeu pour s’imposer 85-75 face à Chalon-sur-Saône et signer une quatrième victoire consécutive. 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Sur ces 60%, certains ont reçu deux doses, tandis que d’autres viennent juste de recevoir juste la première.\\n\\n7% du total des joueurs et du personnel de la Winner League ont déjà contracté le COVID-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinés, tandis que 20% ne sont pas intéressés à être vaccinés pour le moment.\\n\\nLe président de la Ligue, Shmuel Frankel, a déclaré:\\n\\n«Je suis très heureux que dans quelques semaines 80% seront vaccinés et j’espère que nous serons en mesure de convaincre les 20% restants de le faire dans un proche avenir. Nous, et ceux qui n’auront pas besoin d’être testés avant chaque match, leur expliquerons l’importance du vaccin » .\\n\\nUn tiers des 9 millions d’habitants d’Israël ont déjà reçu au moins une injection. Le pays a le projet de vacciner plus de 60 % de sa population d’ici le mois de mars\\n\\n\\nכ-60% מהשחקנים ואנשי הצוות בליגת ווינר סל כבר התחסנו. יו\\ר המנהלת @shmuelfr: \\שמח שבעוד מספר שבועות נהיה קרוב לוודאי הליגה הכי מחוסנת בעולם\\https://t.co/9qYDgV3ywC\\n\\n— Winner League (@WinnerLeague) February 9, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : Le tirage au sort des quarts-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Française de BasketBall a procédé ce matin au tirage au sort des quarts de finale de la Coupe de France masculine, qui devront se dérouler, au plus tard, le samedi 20 mars 2021.\\n\\nEn raison de la crise sanitaire actuelle et les nombreuses incertitudes qui entourent les évènements sportifs, la Fédération Française de BasketBall a souhaité modifier l’organisation des quarts de finale de la Coupe de France masculine (Trophée Robert Busnel) et ce, avec l’accord de la Mairie de Trélazé, organisateur du Top 8. Les quarts de finale de la compétition devront donc se jouer au plus tard le samedi 20 mars 2021 dans les salles des clubs recevants.\\n\\nLimoges (Jeep® ÉLITE) – Gravelines-Dunkerque (Jeep® ÉLITE)\\nDijon (Jeep® ÉLITE) – Strasbourg (Jeep® ÉLITE)\\nLe Mans (Jeep® ÉLITE) – Orléans (Jeep® ÉLITE)\\nLyon-Villeurbanne (Jeep® ÉLITE) – Boulogne-Levallois (Jeep® ÉLITE)\\n\\nLa finale de la Coupe de France masculine se jouera le Samedi 24 avril 2021 à l’Accor Arena à Paris" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Boulogne-Levallois vs Strasbourg (12e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Strasbourg a souffert mais a assuré l’essentiel sur le parquet de Boulogne-Levallois afin de signer une quatrième victoire consécutive. Emmenés par un DeAndre Lansdowne en grande forme (17 de ses 19 points, à 7/8 à la pause), les Alsaciens ont dominé les débats dans le deuxième quart-temps (28-10), passant notamment un 12-0 pour compter 20 longueurs d’avance après 20 minutes (27-47). Les Metropolitans 92 ont tout tenté pour revenir au retour des vestiaires. Les 3-points d’Anthony Brown (17 points) et Maxime Roos ont ramené les locaux à -13 peu avant le début du quatrième quart-temps (42-55). Dans le sprint final, Strasbourg a toutefois su garder le contrôle, profitant des erreurs de son adversaire pour refaire un écart et Ike Udanoh a alors scellé la victoire de la SIG sur un dunk en contre-attaque suite à la 26e balle perdue des Metros (63-71).\\n\\nLes highlights du matchs vous sont offerts par notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Allemagne : Après avoir quitté le Champagne Basket, Arnas Velicka signe dans le club de Dennis Schröder" }, {"role": "assistant", "content":"Son contrat rompu au Champagne Basket, le meneur de jeu lituanien Arnas Velicka (1,95m, 21 ans) va terminer la saison dans le club allemand des Braunschweig Lions, qui est la propriété de l’international et joueur des Los Angeles Lakers, Dennis Schröder.\\n\\nArnas Velicka a obtenu une moyenne de 11,4 points, 2,8 rebonds et 5,2 passes avec le club marnais mais la venue de Dominic Waters réduisait fortement son temps de jeu.\\n\\nDans le championnat allemand, les Lions de Brunschweig sont actuellement à la 11e position avec 5 victoires et 7 défaites.\\n\\n« L’accent que nous mettons sur le développement des jeunes joueurs est connu des joueurs de basket de toute l’Europe. Arnas Velicka est un joueur parfaitement adapté à notre programme, nous sommes donc heureux de son arrivée. Arnas est un joueur qui peut parfaitement jouer des situations à deux contre deux, accélérer le jeu et avoir d’excellentes capacités défensives », a déclaré Nilas Mittmann, le directeur sportif des Lions\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce : 7 cas de COVID-19 au Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"Le Panathinaikos a annoncé que trois autres membres de son équipe ont été testés positifs au Covid-19, ce qui porte à sept le nombre de membres du personnel contaminés, ce qui concerne des joueurs et des entraîneurs.\\n\\n«Le personnel médical surveille systématiquement l’état d’un total de sept patients en suivant toutes les dispositions, conformément aux protocoles sanitaires de prise en charge des cas, » indique le Pana.\\n\\nL’équipe grecque est actuellement 15e de l’Euroleague avec un bilan de 9 victoires et 14 défaites. Il n’y a pas cette semaine de matches dans la compétition européenne, le calendrier étant consacré aux coupes nationales.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Rachid Meziane, deux ans de plus à Villeneuve d’Ascq" }, {"role": "assistant", "content":"« Tandis que nous venons de terminer les matchs aller, les dirigeants de l’ESBVA-LM ont décidé de renouveler leur confiance envers Rachid MEZIANE au poste d’entraîneur de l’équipe première pour les 2 prochains exercices, soit jusqu’en juin 2023. En poste depuis avril 2019, le technicien auvergnat, qui fêtera ses 41 ans ce mercredi, a su apporter sa vision du jeu et aider le club à retrouver un statut plus en adéquation avec une ambition retrouvée. Notamment en se qualifiant pour la coupe d’Europe au terme d’une saison 2019-2020 particulière compte tenu de la situation actuelle. Très investi dans la vie de l’ESBVA-LM, Rachid pense également à l’avenir du club en gardant toujours un œil avisé sur les jeunes du Centre de Formation et sur l’Académie des Grandes. De retour dans leur PALACIUM récemment rénové qui sera le symbole de cette ambition retrouvée, Rachid Meziane à la tête de ses GUERRIERES voudra confirmer cette dynamique lors des matchs retour. »\\n\\nC’est par ce communiqué que Villeneuve d’Ascq a annoncé maintenir sa confiance au Clermontois qui, après avoir été assistant à Challes-les-Eaux, a été coach à Nice (2012-17) et Montpellier (2017-18). Il est également l’assistant de Valérie Garnier en équipe de France depuis 2014.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Iliana Rupert : «À chaque fois que je rentre en Martinique, j’ai l’impression d’être une super star !»" }, {"role": "assistant", "content":"Née à Sèvres dans les Hauts-de-Seine, passée dans plusieurs villes de métropole, la Berruyère Iliana Rupert n’oublie pas pour autant ses origines martiniquaises.\\n\\n« Petite, avec mon père, je suivais davantage le basket masculin. Mais plus je grandis et plus je mesure l’impact des joueuses de la Martinique. Et pas uniquement d’ailleurs dans le basket. Il y a un tel potentiel. Un tel engouement aussi. À chaque fois que je rentre en Martinique, j’ai l’impression d’être une super star ! », confie t-elle à France Info Outre Mer.\\n\\nElle donne également des nouvelles de son frère, Rayan, 16 ans :\\n\\n« Il m’a dépassée ! Rayan mesure désormais 1 mètre 98 ou quelque chose comme ça. Il suit mes traces puisqu’il est en formation au Centre Fédéral. Nous partageons une même passion pour le basket. Nous sommes également très proches. Ma mère aide beaucoup Rayan sur le plan mental. Pour ma part, je suis plus dans la technique avec lui. Mais je demeure admirative de tout ce qu’il réussit. Une grande sœur très fière du parcours de son petit frère ! »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B – Audrey Sauret (GM de Nantes): «On voit de plus en plus de femmes à des postes de direction»" }, {"role": "assistant", "content":"A 44 ans, l’ancienne internationale Audrey Sauret est la Manager Générale du Nantes Basket Hermine, en Pro B. Rare qu’une femme ait de telles responsabilités dans le basket-ball masculin français. La revue fédérale Basketball l’a interrogée sur cette singularité:\\n\\n« J’ai toujours eu la conviction que beaucoup de femmes n’avaient pas la volonté de prendre des directions dans les clubs après leur carrière. A une époque, les joueuses arrêtaient à la trentaine et s’orientaient vers leur famille. C’était un autre choix de vie. Et la société sportive était un peu à l’image de la société classique ou les postes de direction étaient fortement occupés par des hommes. On voit de plus en plus de femmes à des postes de direction, que ce soit à la Fédération ou dans des clubs féminins. C’est une étape importante ».\\n\\nA propos de la trajectoire de son club, vainqueur de la Leaders Club Pro B en 2019, mais qui a butté jusqu’à présent sur les dernières marches pour accéder à la Jeep Elite, Audrey Sauret glisse:\\n\\n« C’est un club d’une grande métropole qui est très riche en sports professionnels. Quasiment tous les sports sur Nantes sont représentés en première division. Il ne manque que le basket. Il y a donc ce challenge (de monter) et l’exploitation de la nouvelle salle (NDLR: La Trocardière, 4 200 places) qui a été mise à disposition l’année où je suis arrivée. On est parti d’un peu loin en billetterie, mais on était vraiment sur quelque chose d’intéressant, de positif, même dans les résultats sportifs. »" }, {"role": "user", "content":"Grèce : 12 équipes, 7 changements d’entraineurs" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’embauche de Sotiris Manolopoulos à Peristeri, le nombre de changements d’entraîneur en Basket League est désormais de sept et touche six équipes sur douze !\\n\\nPeristeri en est à son deuxième changement. Plus tôt dans la saison, Argyris Pedoulakis avait remplacé Nikos Papanikolopoulos, qui n’a pas été laissé longtemps sans travail puisqu’il a pris la place de Linos Gabriel à Larissa.\\n\\nLES CHANGEMENTS D’ENTRAÎNEURSCLUBSANCIENS COACHESNOUVEAUXPanathinaikosGeorge VovorasOded KatashPeristeriNikos Papanikolopoulos – Argyris PedoulakisSotiris ManolopoulosHerculeVangelis ZiagosAsterios KalyvasPAOK SaloniqueCostas MexasAris LykogiannisLarissaLinos GabrielNikos PapanikolopoulosIonikosStergios KoufosVangelis Agelou\\n\\nPhoto: Sotiris Manolopoulos" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Boulazac vs Nanterre (3e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Les Nanterriens ont ainsi renoué avec la victoire en infligeant à Boulazac sa 8e défaite consécutive. Au Palio, les hommes de Pascal Donnadieu ont fait le dos rond en première mi-temps (42-41) pour mieux prendre les commandes de la partie en troisième quart-temps. Ivan Février puis Marcquise Reed (21 points, 5 interceptions) par deux fois de loin ont permis aux Franciliens de passer un 11-0 déjà fatal (42-52). Nanterre continuait son oeuvre et le alley-oop conclu par Alpha Kaba, ex-joueur du BBD, a rapidement mis un terme au suspense. L’écart a alors dépassé les 20 points et Nanterre s’est finalement imposé 96-74.\\n\\nRevivez la victoire de Nanterre face à Boulazac avec les highlights présentés par notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : Pas de Top 8 à Trélazé" }, {"role": "assistant", "content":"Selon une information de Ouest France, le Top 8 de Coupe de France ne se tiendra pas, comme initialement prévu, à l’Arena Loire de Trélazé, dans la banlieue d’Angers. L’édition précédente avait déjà été annulée.\\n\\n« Du côté de la Fédération, cette décision est motivée par la volonté de ne pas faire se rassembler huit équipes sur un même site. Si la crise sanitaire avait purement et simplement eu raison de l’édition 2020 de la Coupe de France, ce n’est pas le cas en 2021. Les quarts et demi-finales se joueront bien... mais pas à Trélazé. La FFBB aurait décidé de revenir à un format basique : les matchs se dérouleront sur le parquet des équipes qui seront tirées au sort en premier ce mardi 9 février », indique le quotidien.\\n\\nBoulogne-Levallois, Dijon, Gravelines, Le Mans, Limoges, Orléans, Strasbourg et Villeurbanne sont les 8 qualifiés pour les quarts-de-finale." }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Orléans vs Gravelines-Dunkerque (7e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Les Orléanais savaient qu’ils allaient devoir fournir une grosse performance pour vaincre une équipe de Gravelines-Dunkerque a priori en meilleure forme Les troupes de Germain Castano ont relevé le défi en démarrant très fort afin de se mettre le match dans la poche, avec notamment un 15-4 d’entrée, marqué par une grosse adresse à 3-points. L’OLB n’a pas levé le pied au retour des vestiaires, bien au contraire. Paris Lee et Darius Johnson-Odom (23 points chacun) se sont occupés de saler l’addition, + 32 après 30 minutes (82-50) pour un score final sans appel de 104-69.\\n\\nVous avez manqué le match ? Pas de panique, notre partenaire TCL vous offre les highlights.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Audience : Un pic à plus de 290 000 téléspectateurs pour Limoges-Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Le Directeur Général de la Ligue Nationale de Basket, Michel Mimran, a annoncé sur les réseaux sociaux que le clasico entre Limoges et Pau a frôlé un pic à 300 000 téléspectateurs samedi soir sur La Chaîne L’Equipe.\\n\\n\\nBelle audience samedi soir pour le \\Classico LNB\\ @limogescsp–@EBPLO (Pau), avec un pic à plus de 290 000 spectateurs sur @lachainelequipe.\\nLa LNB en Clair, on continue.\\n\\n— Michel Mimran (@Michel_Mimran) February 8, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Le Champagne Basket remplace le Lituanien Arnas Velicka par l’Allemand Joshiko Saibou" }, {"role": "assistant", "content":"Surprise: le grand espoir lituanien Arnas Velicka (1,92m, 21 ans) quitte le Champagne Basket après 11 matches pour 11,4 points, 5,2 passes et 2,8 rebonds.\\n\\n« Le club marnais et le joueur lituanien ont trouvé un accord pour une séparation à l’amiable. La configuration et le rythme de cette saison inédite (11 matchs en 6 mois) ne permettent pas de développer dans le temps imparti la stratégie élaborée pour la montée en puissance du jeune joueur lituanien. Dans ce contexte, l’apport d’expérience nécessaire souhaité par le club et matérialisé par l’arrivée de Dominic Waters place Arnas Velicka dans un rôle différent de celui-ci envisagé en début de saison. Le Champagne Basket souhaite le meilleur à Arnas pour la suite de sa carrière, » explique le club dans un communiqué.\\n\\nA sa place, le club de la Marne engage le meneur allemand Joshiko Saibou (1,88m, 30 ans) en provenance du Telekom Baskets Bonn où il était à 6,5 points et 2,5 passes lors de la saison 2019-20. Il a également joué à l’Alba Berlin de 2017 à 2019.\\n\\nInternational allemand aux 10 sélections, Joshiko Saibou avait notamment obtenu 19 points et 6 rebonds en 20 minutes contre la France, en février 2020, lors d’un match comptant pour les qualifications à l’Euro 2022.\\n\\nSaibou avait été licencié par le club de Bonn cet été pour avoir répandu pendant des semaines des théories du complot sur le coronavirus et avoir participé à une manifestation à Berlin.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WhuC3qbG6-M&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Le Mans vs Roanne (15e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans a confirmé sa bonne forme actuelle en disposant de Roanne au terme d’une prestation aboutie. Malgré un bref retour à -5, les Roannais ont à nouveau subi le joug sarthois au retour des vestiaires, Ovie Soko s’illustrant à son tour avec trois paniers pour offrir 15 longueurs d’avance aux siens (63-48). Un écart que les Manceaux ont su conserver jusqu’à la fin, ce malgré tous les efforts de la paire March-Reddic auteure de 24 points chacun (97-84).\\n\\nRevivez la victoire du Mans Sarthe Basket avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Chalons-Reims vs Bourg-en-Bresse (9e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Sur la lancée de ses précédentes sorties en 2021, Châlons-Reims a montré un visage agressif en première mi-temps, avec le trio Taylor-Archie-Leslie. Même si les Burgiens se sont démenés dans le 4e quart-temps sous l’impulsion de Maxime Courby et Danilo Andjusic on fire (40 points) pour rester devant, le Champagne Basket a pu compter sur un Jessie Begarin « clutch » avec un 3-points et un panier à mi-distance décisifs (102-98). Dominic Waters sanctionnait deux erreurs adverses (une faute antisportive et une perte de balle) avec une passe lumineuse pour Dominic Archie (22 points) puis deux lancers pour un succès, 108-103.\\n\\nRevivez la belle victoire des Champenois avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Italie: 30 points et 10 rebonds face à Cremona, la magie Luis Scola continue" }, {"role": "assistant", "content":"Luis Scola a visiblement une tête de turc: Cremona. Au match aller, le pivot argentin avait marqué 34 points. Pour le match retour, il en a inscrit 30 et ajouté 10 rebonds. Par le jeu de deux prolongations, l’increvable vice-champion du monde 2019 a joué, à 40 ans, 36 minutes pour y parvenir.\\n\\nJeudi, Openjobmetis Varèse (5 victoires et 9 défaites) avait également battu Happy Brindisi, 76-74, à domicile, et les Lombards ont ainsi abandonné la dernière place du classement aux voisins de Cantu (5-13). Ils occupent désormais l’avant-dernier rang avec un record de cinq victoires et onze défaites. Ce renouveau est inattendu car ils ont payé récemment un lourd tribut au COVID-19.\\n\\nVisiblement le coach Massimo Bulleri était heureux :\\n\\n«C’était un super match, nous voulions le gagner de bas en haut et nous l’avons fait. Les gars étaient incroyables, je suis sans voix. Compte tenu du fait que nous avons joué jeudi et de la période que nous avons traversée et de tout ce que cela signifiait de ne pas s’entraîner, cette victoire est à encadrer. Quelques séquences ont mal tourné, mais dans les moments cruciaux nous avons fait les bons choix: le tap-in de Strautins, les bombes de Beane, les paniers de Scola, la défense. Chacun a posé sa brique pour cette victoire. Je suis très heureux pour les garçons qui méritent cela et bien plus ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=0JyRH3dJIeg&ab_channel=FaltaT%C3%A9cnica\\n\\nPhoto: Openjobmetis Varèse" }, {"role": "user", "content":"Boulazac : 0/8 et Jeff Morency sur le flanc" }, {"role": "assistant", "content":"8 matches, autant de défaites: la situation du Boulazac Basket Dordogne est TRES préoccupante. Face à Nanterre, les Boulazacois ont failli dans le troisième quart-temps pour chuter lourdement au Palio: 74-96.\\n\\n« C’est l’analyse de tous les matches, on s’écroule en deuxième mi-temps », a lâché Mouphatou Yarou à Sud Ouest. « Je ne sais pas si c’est le manque de rotation mais on doit attaquer la deuxième mi-temps plus dur », reprenait le coach Thomas Andrieux.\\n\\nAlors que le championnat est désormais sur pause, le coach n’a pas laissé entendre que le club allait chercher du renfort.\\n\\n« Il faut qu’on puisse travailler au complet et enchaîner. (Kevin) Harley et (Cameron) Wells (NDLR: un meneur) out, ce sont des éléments extérieurs majeurs. On avait imaginé un meneur américain associé à Benjamin Sène qui est un poste 1-2. Il faut qu’on trouve cette association. »\\n\\nLe BBD a enregistré ce week-end un nouveau coup dur avec la blessure à l’épaule de l’ailier Jeff Morency dont l’indisponibilité est pour l’instant indéterminée. Il a certainement également vu d’un mauvais oeil la victoire du Champagne Basket face à Bourg. Cinq équipes sont dans sa ligne de mire au classement, avec un nombre de matches joué inégal, mais toutes ont déjà 3 victoires à leur actif. L’historique de la Pro A/Jeep Elite ne plaide pas en sa faveur quand on a démarré aussi mal une saison.\\n\\nPhoto: Jeff Morency (BBD)" }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro: Le Manceau Ovie Soko dans la pré-sélection britannique" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur du Mans Ovie Soko était absent de la précédente fenêtre qui s’est tenue à Pau; il apparaît dans la liste de 24 noms publiée par la fédération britannique pour celle qui aura comme cadre la « bulle » de Podgorica, au Monténégro. Myles Hesson (Chalon), Dwayne Lautier-Ogunleye (Poitiers), Matt Marsh (ASVEL) et Akwasi Yeboah (Saint-Quentin) sont également dans la pré-sélection.\\n\\nLa Grande-Bretagne aura à livrer deux matches cruciaux, contre l’Allemagne (20 février) et la France (22). Les Bleus sont les leaders du groupe G avec 3 victoires et 1 défaite, tandis que la Grande-Bretagne et le Monténégro sont à égalité à la deuxième place. L’Allemagne occupe actuellement la quatrième place, mais elle est qualifiée d’office en tant qu’hôte de l’EuroBasket 2022.\\n\\nTeddy Okereafor peut égaler le record du nombre de matches disputés consécutivement s’il est dans le roster pour les matches contre l’Allemagne et la France. Le record actuel de 49 matchs d’affilée a été établi par Bill McInnes en 1976. Par ailleurs, Dan Clark (106 sélections) se rapproche du recordman de tous les temps, Eric Boateng, qui comptabilise 116 sélections.\\n\\nNOMPOSÂGETAILLEÉQUIPES.Kavell Bigby-WilliamsF / C25210Pallacanestro Cantù (ITA)6Dan ClarkF / C32210Real Betis (ESP)106Ashley HamiltonF32201Raiders de Plymouth (GBR)26Myles HessonF30198Élan Chalon (FRA)43Cameron Hildrethg18195Worthing Thunder (GBR)0Kyle Johnsong31195UMFN Njardvik (ISL)83Dwayne Lautier-Ogunleyeg24190Poitiers 86 (FRA)6Callum LawsonF24197Thor Thorlakshofn (ISL)0Matt MarshF / C18210ASVEL (FRA)0Aaron MenziesC24220Ourense (ESP)0Ben Mockfordg31188Flyers Bristol (GBR)41Gareth Murrayg36200Glasgow Rocks (GBR)60Luke Nelsong25190Göttingen (GER)23Teddy Okereaforg28193Flyers Bristol (GBR)47Gabe OlaseniC29208Büyükçekmece (TUR)38Rex Pfluegerg24198Newcastle Eagles (GBR)1Tarik Phillipg27190Tofas (TUR)8Jacob Roundg20192Levitec Huesca (ESP)1Ovie SokoF29201Le Mans (FRA)dixJosh Steelg24192Ciudada Ponferrada (ESP)4Devon Van Oostrumg28190Landstede (NED)40Patrick Whelang24195Real Murcie (ESP)0Deane WilliamsF24203Keflavik (ISL)0Akwasi YeboahF23198Saint-Quentin (FRA)4\\n\\nPhoto: Ovie Soko (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Les affiches ASVEL/Limoges et Nanterre/Dijon sur l’Equipe et Sport en France !" }, {"role": "assistant", "content":"Avant la trêve liée aux fenêtres internationales, les différentes coupes d’Europe (Euroleague, Eurocup et BCL) font une pause, l’Euroleague reprenant la semaine prochaine (et les deux autres coupes en mars). Au mince programme de cette semaine, deux alléchantes rencontres de Jeep Elite, avant que l’équipe de France masculine occupe le devant de la scène avec les derniers matchs de qualification à l’EuroBasket 2022 face au Montenegro et à la Grande-Bretagne (les 20 et 22 février prochains).\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend, pour la Jeep Elite et la Pro B, que les matchs diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe et de Sport en France (et sur les antennes régionales de France 3, le cas échéant). Tous les autres matchs des deux championnats français sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nVendredi 12 février :\\n\\n21h00 – LDLC ASVEL/Limoges (J11) – La Chaîne L’Équipe\\n\\nSamedi 13 février :\\n\\n20h00 – Nanterre 92/JDA Dijon (J9) – Sport en France\\n\\nPhoto : LNB" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 24ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulaient la 24ème journée de l’Euroleague.\\n\\nEn ouverture de la journée, le leader, le FC Barcelona, recevait l’Anadolu Efes, à la lutte pour la qualification en Playoffs. Prenant le contrepied de la logique, l’équipe turque a toujours mené dans ce match. Elle est encore devant de 8 points à l’entrée de la dernière minute. Malgré un 8-2 encaissé dans le final, l’Anadolu Efes crée la première et principale surprise de la journée et s’impose en Catalogne 88-86. Il a su prendre soin du ballon et n’en a perdu que 6. L’équipe d’Ergin Ataman a été emmenée par son duo de meneurs, Vasilije Micic et Shane Larkin. Ils ont cumulé 52 d’évaluation, soit plus de la moitié de celle de l’équipe. Le premier est le meilleur meneur de la journée et également le MVP européen. Cette victoire permet au club stambouliote de rentrer dans le Top 8.\\n\\nDans la foulée, le deuxième, le CSKA Moscou, se déplaçait à Valencia. Le club moscovite récupérait Mike James, réintégré, mais perdait son duo intérieur Tornike Shengelia-Nikola Milutinov. L’équipe espagnole remporte le premier quart mais perd les trois suivants. Les deux équipes sont à égalité au moment d’entrer dans la dernière minute. Mike Tobey répond à deux lancers de Mike James pour envoyer le match en prolongations. A 23 secondes du terme, Mike James donne l’avantage à son équipe grâce encore une fois à deux lancers. Mais une faute de Johannes Voigtmann donne l’occasion à Martin Hermannsson d’offrir la victoire à son équipe. Mais il rate le premier lancer et transforme le second pour une deuxième prolongation. C’est finalement Nikola Kalinic qui donne la victoire à son équipe 105-103 au bout de deux prolongations. L’équipe de Jaume Ponsarnau a largement dominé dans le secteur des rebonds et réussi à atteindre un total de 50. Elle a été porté par un trio slave du sud constitué de Klemen Prepelic, Nikola Kalinic et Bojan Dubljevic. Ce dernier est le meilleur rebondeur de la semaine avec 12 unités. Du côté du CSKA, Mike James a réalisé une grosse performance offensive. Il est le meilleur marqueur de la semaine avec 37 points mais également le MVP de la semaine pour la seconde fois de la saison.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano, troisième, se déplaçait à Villeurbanne pour y affronter l’ASVEL. L’équipe française perdait Charles Kahudi pour ce match alors que son concurrent italien enregistrait le forfait de Sergio Rodriguez et de Vladimir Micov. Pendant trois premiers quarts accrochés, c’est le club lombard qui mène au score la plupart du temps. Au bout de 30 minutes, il est devant de 4 points. Mais, au terme d’un magnifique dernier quart remporté de 13 points, le représentant français crée la surprise et gagne le match 78-69. Son adresse aux tirs à deux points a été phénoménale avec 71,1% (27/38). Le duo leader de l’équipe de TJ Parker a été David Lighty-Moustapha Fall. Ce dernier est le meilleur pivot européen de la semaine.\\n\\nEn clôture de la journée, pour un duel 100% espagnol, le Real Madrid, quatrième, recevait Baskonia. En Liga Endesa, les deux équipes sont respectivement première et quatrième. En dehors du premier point du match, l’équipe basque a toujours eu le leadership sur la rencontre. Grâce à une grosse défense, il s’impose finalement à l’extérieur 84-64. Le leader de l’équipe de Dusko Ivanovic a été son meneur argentin Luca Vildoza. De plus, Pierria Henry est le co-meilleur passeur de la journée avec 10 unités et ce, pour la quatrième fois de la saison. Enfin, Carlos Alocen, profitant de l’absence de Nicolas Laprovittola et de 18 minutes de temps de jeu, est le Rising Star de la semaine.\\n\\nLe Zenit St Petersburg, cinquième se déplaçait chez le huitième, Fenerbahce. Le club stambouliote récupérait pour l’occasion Danilo Barthel et Kyle O’Quinn. Après trois premiers quarts très accrochés, c’est Fenerbahce qui est en tête d’un tout petit point. Il remporte tranquillement le dernier quart et engrange une victoire importante 92-84. L’équipe d’Igor Kokoskov a shooté à 58,5% avec notamment un joli 10/18 à 3 points. Elle a été emmenée par sa paire de guards Nando De Colo et Marko Guduric, auteure d’une évaluation cumulée de 51. Le premier est le MVP français pour la septième fois de la saison et la quatrième d’affilée. Le second est le meilleur arrière de la semaine. Du côté russe, c’est Wil Thomas qui s’est mis en valeur. Il est le meilleur intérieur de la journée. Suite à cette victoire, Fenerbahce remonte d’une place et vient se mêler à la lutte pour le Top. Le Zenit, quant à lui, perd une place.\\n\\nDans le derby allemand, le Bayern Munich, sixième, recevait l’Alba Berlin. Le club bavarois enregistrait les retours dans son effectif de Vladimir Lucic et de Nihad Dedovic. Contrairement à toute attente, c’est le club de la capitale qui débute la rencontre le plus fort. Il mène de 16 points après 10 minutes. Mais le Bayern remporte les trois quarts suivants et a un avantage de 5 points à 22 secondes du terme. Deux tirs à 3 points, de Vladimir Lucic puis de Wade Baldwin, envoie le match en prolongations. De la même façon, le Bayern termine le temps additionnel sur un 7-1 pour remporter la victoire 101-95. L’équipe d’Andrea Trinchieri a été portée par un trio constitué de Jalen Reynolds, Vladimir Lucic et Paul Zipser, auteur d’une évaluation cumulée de 81. Le second est même le meilleur ailier de la semaine. Du côté de l’Alba, Ben Lammers est le meilleur pivot de la journée alors que Luke Sikma en est le co-meilleur passeur, ce qui est une sacrée performance pour un intérieur. Il est d’ailleurs l’auteur d’un double-double (10 rebonds et 10 passes) pas courant. Le Bayern Munich prend la cinquième place et est le grand vainqueur de la journée. L’Alba Berlin, quant à lui, ne peut mathématiquement plus intégrer le Top 4.\\n\\nEnfin, dans le derby de la capitale grecque, l’Olympiacos recevait le Panathinaikos. Le club hôte n’a remporté aucun quart-temps lors de cette rencontré et s’est inclinée de façon surprenante 77-88. Le leader de l’équipe d’Oded Katash a été le cubain Howard Sant-Roos avec 20 points et 5 passes.\\n\\nLes matchs Zalgiris Kaunas-Etoile Rouge Belgrade et Maccabi Tel-Aviv-Khimki Moscou ont été reportés pour cause de Covid.\\n\\nLes cinq premiers ont perdu lors de cette journée.\\n\\nA l’issue de celle-ci, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de Milano et du Real Madrid.\\n\\nLes deux premiers sont à la lutte pour le leadership alors que les 13 premiers peuvent encore l’obtenir. L’ASVEL n’est plus dans la course.\\n\\nLa bataille pour le Top 4 concerne les clubs classés de la 2ème à la 7ème place et les 15 premiers sont encore concernés.\\n\\nLa qualification en Play-offs se joue entre le 6ème et la 9ème place. Tout le monde sauf le Khimki est encore en course.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nMike James (PG/US/30)\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n31 d’éval (37 pts à 11/27, 11/13 aux LF, 3 rbds, 7 pds, 4 int, 6 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Marko Guduric\\n\\nFenerbahce\\n\\n23\\n\\nSF Vladimir Lucic\\n\\nBayern Munich\\n\\n26\\n\\nPF Will Thomas\\n\\nZenit St Petersburg\\n\\n26\\n\\nC Ben Lammers\\n\\nAlba Berlin\\n\\n20\\n\\nB Mike James\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n27\\n\\nMVP européen:\\n\\nVasilije Micic (PG/Ser/27)\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n30 d’éval (26 pts à 8/13, 3 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Marko Guduric\\n\\nFenerbahce\\n\\n23\\n\\nSF Vladimir Lucic\\n\\nBayern Munich\\n\\n26\\n\\nPF Will Thomas\\n\\nZenit St Petersburg\\n\\n26\\n\\nC Moustapha Fall\\n\\nASVEL\\n\\n20\\n\\nB Johannes Voigtmann\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n27\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n28 d’éval (24 pts à 7/11 dont 2/4 à 3 points, 8/9 aux LF, 3 rbds, 7 pds, 4 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nCarlos Alocen (PG/Esp/20)\\n\\nReal Madrid\\n\\n7 d’éval (7 pts à 3/5 dont 1/2 à 3 points, 2 rbds, 4 pds, 3 bps)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nMike James\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n37 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nBojan Dubljevic\\n\\nValencia\\n\\n12 rbds\\n\\nMeilleurs passeurs :\\n\\nLuke Sikma\\n\\nPierria Henry\\n\\nAlba Berlin\\n\\nBaskonia\\n\\n10 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 17-7\\n 2. CSKA Moscou 16-8\\n 3. Milano 15-8\\n 4. Real Madrid 15-9\\n 5. Bayern Munich\\n 6. Zenit St Petersburg 13-9\\n 7. Fenerbahce 14-10\\n 8. Anadolu Efes 13-10\\n 9. Zalgiris Kaunas\\n 10. Valencia 12-12\\n 11. Baskonia 11-13\\n 12. Olympiacos\\n 13. Maccabi Tel-Aviv 10-12\\n 14. ASVEL 10-14\\n 15. Panathinaikos 9-14\\n 16. Alba Berlin 8-16\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 7-16\\n 18. Khimki Moscou 2-21\\n\\nPhoto: Mike James (CSKA Moscou, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"L’internationale de l’ASVEL Marième Badiane a eu un enfant en décembre : «J’ai tout mis en place pour reprendre le plus rapidement possible»" }, {"role": "assistant", "content":"La nouvelle de sa maternité avait fait sensation et Marième Badiane a accouché d’une petite Jaya à la fin décembre. L’heureux papa est lui aussi basketteur : le meneur de jeu Arthur Bouedo a joué pour l’université de Wyoming, Roanne, Châlons-Reims et encore Charleville-Mézières.\\n\\n« Devenir parents, ça nous est arrivé comme ça. Ce n’était pas programmé », révèle l’internationale de l’ASVEL au Télégramme. « J’imaginais davantage avoir des enfants après car ça ne me semblait pas évident à gérer dans une carrière de sportive de haut niveau. Mais devenir maman pendant ne devrait pas être un problème. Mon club a été surpris et le monde sportif professionnel en général n’est pas prêt à accueillir ce genre de nouvelle, alors que la maternité est une des plus belles choses qui puisse arriver. Pour moi, en tout cas, c’est le plus important ».\\n\\nA 26 ans, Marième Badiane a encore de belles années de basket devant elle. La Bretonne s’y prépare même si elle sait que le temps joue contre elle pour être compétitive pour postuler à une place en équipe de France pour l’Euro et les JO.\\n\\n« J’ai tout mis en place pour reprendre le plus rapidement possible. J’ai travaillé avec un préparateur physique durant ma grossesse. En ce moment, je fais venir un coach afin de ne pas prendre trop de kilos et de ne pas trop perdre de masse musculaire. Mon congé maternité s’achève fin mars. Le championnat sera presque terminé. Je ne sais pas si je pourrai rejouer ou pas. Ça dépend s’il y a des play-offs ou pas... »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les deux dernières minutes de CSKA Moscou vs Kalev Tallinn en VTB League" }, {"role": "assistant", "content":"Avec les blessures de Nikola Milutonov et Tornike Shengelia, le CSKA Moscou est beaucoup moins pimpant, en Euroleague et aussi en VTB League.\\n\\nDarrun Hillard a eu beau se démener comme un beau diable (38 points), le club de l’Armée s’est fait battre 102-107 par le Kalev Tallinn, un club estonien, avant-dernier du classement. Le CSKA compte 4 défaites comme Unics Kazan alors que le Zenit St. Petersbourg n’a chuté qu’une fois.\\n\\nVoici les deux dernières minutes du match, en temps effectif et en Version Originale !\\n\\n\\nLast 2 minutes of the @cskabasket vs Kalev game 🍿 pic.twitter.com/C5uOxMxIuV\\n\\n— VTB League (@VTBUL) February 7, 2021\\n\\n\\nPhoto: Janis Kaufmanis (Tallinn)" }, {"role": "user", "content":"Féminines: Awak Kuier, la perle finlandaise" }, {"role": "assistant", "content":"La Finlande ne s’est pas qualifiée pour l’EuroBasket et elle n’a gagné qu’un seul de ses six matches, face au Portugal. Mais les qualifications ont eu le mérite de mettre en exergue Awak Kuier, une ailière d’1,95m et 19 ans, meilleure marqueuse (17,0 points) et rebondeuse (7,8) de son équipe, connue pour ses qualités athlétiques hors normes.\\n\\nSes parents avaient fui la guerre au Soudan du Sud et se sont installés en Egypte. Awak y est née et grandi jusqu’à ce que la Finlande accueille sa famille dans le cadre du Programme des Nations unies pour les réfugiés. Elle a appris le basket à la HBA Märsky, la même académie qui a formé Lauri Markkanen, et elle a eu comme entraîneur Mirka Dettmann, l’épouse de l’entraîneur de l’équipe nationale finlandaise masculine, Henrik Dettmann. C’est contre la France qu’elle a disputé son premier match avec l’équipe nationale A, le 11 novembre 2017, cumulant cinq points et six rebonds en 23 minutes.\\n\\nAvec sa taille et son envergure, elle a la capacité depuis plusieurs années de dunker et elle a attiré l’attention de différents scouts internationaux, y compris ceux de la WNBA.\\n\\nElle était très excitée lors de ces qualifications de jouer face à la Belge Emma Meesseman, l’une des meilleures joueuses au monde, et elle s’est fendue de 20 points et 7 rebonds. La Finlande s’est inclinée comme attendu, 47-80.\\n\\n« Nous avons commencé courageusement, mais à la fin, l’énergie s’est épuisée et la différence de points est devenue assez grande. Je suis complètement satisfaite de mon propre jeu, mais j’aurais pu avoir une meilleure réussite aux tirs », a t-elle déclaré faisant référence à son 1/7 derrière l’arc.\\n\\n\\nYou don't see this everyday! Awak Kuier with two dunks in two minutes! #Sudenpennut pic.twitter.com/DP1cpVhkSi\\n\\n— Basket.fi (@basketfinland) January 5, 2019\\n\\n\\n\\n🌟 19-year-old Awak Kuier 🇫🇮 went off in Window 3 of the #EuroBasketWomen Qualifiers!\\n\\n📊 25 PPG | 10 RPG | 3 APG pic.twitter.com/0B50GUj4xE\\n\\n— FIBA Women's EuroBasket (@EuroBasketWomen) February 7, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Quand Milos Teodosic ensorcelle son adversaire" }, {"role": "assistant", "content":"Lors du match du championnat d’Italie, Reggio Emilia – Virtus Bologne, le meneur serbe Milos Teodosic a réalisé un tour de passe passe façon Harlem Globe Trotters, mais dans un vrai match. Regardez, c’est stupéfiant !\\n\\n\\nMAMMA MIA TEODOSIC!!!!!!!pic.twitter.com/K9sTpiIYVl\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) February 7, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Les highlights de Limoges-Pau" }, {"role": "assistant", "content":"Les meilleurs moments du clasico, Limoges-Pau, qui a vu à Beaublanc la victoire du CSP, 96-87." }, {"role": "user", "content":"Champagne Basket vs Bourg: Record de points pour Danilo Andjusic, en vain" }, {"role": "assistant", "content":"C’est un record qui doit avoir un goût amer. Le Serbe Danilo Andjusic (1,95m, 29 ans) a battu hier soir le record de points de la saison sur un match: 40.\\n\\nIl n’a pas gâché les munitions puisqu’il affiche un 14/24 aux shoots avec un superbe 9/14 à trois-points, et un 3/4 aux lancers. Avec 4 rebonds et 4 passes, il s’est propulsé à une évaluation de 38.\\n\\nSeulement, la JL Bourg, son équipe, a échoué en prolongation face au Champagne Basket, 108-103, où les responsabilités ont été mieux partagées.\\n\\nEt puis, Andjusic a commis à 20 secondes de la fin une faute anti-sportive sur Jimmie Taylor qui a constitué un tournant négatif pour la JEU.\\n\\n« C’est dur de défendre sur lui », a constaté le coach marnais, Cédric Heinz en conférence de presse, propos rapportés par L’Union. « On lui a mis la pression jusqu’au bout et on a fait un travail de sape sur les autres joueurs aussi. Il a été exceptionnel. On ne voit pas des performances comme ça tous les jours. Mais on peut mettre 40 points et faillir. »\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Strasbourg: 8e victoire en 10 matches" }, {"role": "assistant", "content":"Strasbourg a fait une très bonne opération en s’imposant à Boulogne-Levallois (63-71). Si Andre Lansdowne a été le meilleur marqueur de la SIG (19 points), c’est Bonzie Colson qui a obtenu une fois encore la meilleure évaluation (21). Les Alsaciens ont su résister au retour des banlieusards Parisiens qui étaient menés de 20 points à la mi-temps, 27-47 !\\n\\n« Bien évidemment le plan de jeu, face à une équipe qui joue peu de possessions, était de mettre de la vitesse pour ne pas les laisser imposer un rythme lent », a expliqué en conférence de presse le coach alsacien Lassi Tuovi. « Nous leur avons provoqué beaucoup de pertes de balles en première mi-temps et nous avons réussi à les amener dans le style de match qu’on souhaitait. Mais il ne faut pas oublier que Boulogne-Levallois est une équipe de haut niveau et ils sont revenu avec une défense plus dure, leur permettant de revenir doucement dans le match. Il est clair que l’écart qu’on a réussi à faire à la mi-temps nous a permis de remporter ce match. Je retiens que nous venons de gagner un 8ème match en 10 rencontres. La maturité de cette équipe augmente, tout comme la confiance. On l’a vu en fin de match quand nous avons su résister. Je suis fier du travail accompli depuis plusieurs semaines qui nous permet aujourd’hui de venir battre une forte équipe sur son parquet ».\\n\\nPhoto: Bonzie Colson (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de l’Eurocup, 4ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la quatrième journée du Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nTout d’abord, le bilan des clubs français lors de cette journée est équilibré avec deux victoires pour deux défaites.\\n\\nMonaco recevait Badalona à la salle Gaston-Médecin. Après avoir perdu de 7 points au match aller, le club de la Principauté se devait de l’emporter sous peine de faire une croix sur la première place du groupe. Après avoir perdu le premier quart de peu, il remporte les trois suivants et s’impose largement 97-82. L’équipe de Zvezdan Mitrovic n’a perdu que 5 ballons pendant ce match. Son leader a été l’Américano-Bulgare Dee Bost, auteur d’un double-double (17 pts et 11 pds). Il est le meilleur meneur de la semaine. Du côté catalan, c’est Joel Parra qui s’est mis en évidence. Il est le meilleur ailier de la journée. Cette victoire permet à l’AS Monaco de reprendre à la fois le point-average particulier et la tête du groupe.\\n\\nDans le même groupe, pour un second duel franco-espagnol, Nanterre recevait l’Unicaja Malaga à Maurice Thorez. Le club francilien s’était imposé en Andalousie de 9 points. Ce match opposait les deux équipes en difficultés au classement. Le club espagnol enregistrait le forfait du pivot ukrainien Volodymyr Gerun. C’est Nanterre qui démarre le mieux le match et remporte le premier quart de 13 points. Dans le deuxième quart, Malaga renverse la tendance et s’impose de 19 points. Au terme d’une première mi-temps faite de montagnes russes, l’équipe espagnole mène de 6 points. Puis Nanterre recolle au score à l’issue du troisième quart mais est mené à l’entrée des deux dernières minutes. Cependant, le club altoséquanais inflige un 8-0 à son adversaire, dont 6 pour le seul Alpha Kaba, et l’emporte finalement 80-74. Il a largement dominé dans le secteur des rebonds (46 à 26). L’équipe de Pascal Donnadieu a été emmenée par son pivot Alpha Kaba. Il a réussi un gros double-double avec 21 points et 15 rebonds. Cette performance fait de lui le MVP de la journée. De plus, il égale la meilleure performance d’un joueur français cette saison. Enfin, il est le meilleur rebondeur de la semaine pour la troisième fois cette saison. Du côté malagueño, le meilleur joueur est le jeune pivot Yannick Nzosa. Il est le Rising Star de la semaine. La défaite élimine Malaga de la compétition. C’est une grosse déception le club espagnol malgré le remplacement de Luis Casimiro par Fotis Katsikaris.\\n\\nDe son côté, Boulogne-Levallois se déplaçait à Trento. Leader invaincu de son groupe, le club français s’était imposé de 6 points à l’aller. Il devait se passer des services de Miralem Halilovic et enregistrait le retour de Tomer Ginat. Les Metropolitans mènent tout au long du premier quart. A l’issue de celui-ci, c’est l’équipe italienne qui prend les commandes. Le dernier quart est très disputé et c’est Boulogne-Levallois qui mène à 5 minutes 30 du terme. Mais Trento termine sur un 14-2 et s’impose 67-57. Le leader de l’équipe d’Emanuele Molin est encore une fois l’intérieur américain Luke Maye. Trento reprend ainsi le point-average et réussit les débuts européens du nouvel entraineur.\\n\\nEnfin, Bourg recevait le Cedevita Olimpija Ljubljana à Ekinox. Le club bressan, sans victoire jusqu’alors, s’était incliné de 3 points dans la capitale slovène. Une victoire lui était nécessaire pour éviter l’élimination. En dehors des deux dernières minutes de la première mi-temps, Bourg n’a jamais mené dans cette rencontre et s’incline lourdement 64-77. L’équipe de Jurica Golemac a été portée par le duo Rion Brown-Kendrick Perry. Elle prend un avantage très important dans l’optique de la qualification alors que Bourg est éliminé.\\n\\nDans le groupe F, le Partizan Belgrade recevait le Lokomotiv Kuban Krasnodar. Ce dernier l’avait emporté au match aller de 7 points. Le club russe gagne les deux premiers quarts et mène à la pause de 13 points. Mais le club serbe limite son adversaire à 8 points dans le troisième quart et revient à 4 points. A l’entrée de la dernière minute, il est toujours mené de 3 points. Mais Josh Perkins, auteur de 5 points consécutifs, donne la victoire à son équipe 71-69. Le leader de l’équipe de Saso Filipovski est l’intérieur américain Rashawn Thomas avec 23 pts et 8 rbds. Grâce à cette victoire, le Partizan conserve la deuxième place mais ne récupère pas le point-average.\\n\\nDans le groupe G, le Buducnost Podgorica recevait la Virtus Segafredo Bologna à Moraca. Le club italien l’avait largement emporté à l’aller de 22 points. Après un quart-temps et demi disputé, il se détache inexorablement pour s’imposer 99-89. L’équipe de Sasa Djordjevic a été emmenée par son duo de guards Milos Teodosic-Stefan Markovic, qui a collecté une évaluation cumulée de 46. Le premier est le meilleur marqueur de la journée avec 26 points. Le second en est le meilleur passeur avec 13 unités. Il est également le meilleur arrière de la semaine. La Virtus Bologna est ainsi qualifiée pour les quarts de finale.\\n\\nDans le groupe H, l’Unics Kazan recevait Mornar Bar à la Basket Hall Kazan devant 2 382 spectateurs. L’équipe russe s’était imposée à l’aller de 17 points à Bar et serait qualifiée en cas de victoire. Mais les Monténégrins n’ont jamais mené dans ce match et l’Unics Kazan s’est très facilement imposée 86-61. Aucun joueur ne s’est réellement mis en avant du côté russe et ce fût une victoire collective. L’équipe de Dimitris Priftis reste invaincue et est qualifiée pour les quarts de finale.\\n\\nEnfin, le MoraBanc Andorra recevait l’Herbalife Gran Canaria au Poliesportiu d’Andorra. L’équipe andorrane avait remporté le match aller de 3 points à l’extérieur. Mais l’équipe insulaire remporte les trois premiers quarts et mène de 15 points à l’issue des 30 premières minutes. Gran Canaria s’impose finalement 79-74. L’équipe de Porfi Fisac a été emmenée par John Shurna, auteur de 21 points et 7 rebonds. Il est le meilleur intérieur de la semaine. Du côté andorran, c’est Tomasz Gielo qui s’est mis en évidence. Il est le meilleur Sixième Homme de la journée.\\n\\nA l’issue de la troisième journée, deux équipes sont encore invaincues, l’Unics Kazan et la Virtus Bologna. Elles sont toutes les deux qualifiées.\\n\\nA l’opposé, Bourg et Malaga sont vierges de toute victoire et sont éliminées.\\n\\nLe bilan des clubs français est pour l’instant de 8 victoires et 8 défaites. Deux clubs sont en position de se qualifier pour les quarts de finale.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nAlpha Kaba (C/Fra/25)\\n\\nNanterre\\n\\n33 d’éval (21 pts à 6/9, 15 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Dee Bost\\n\\nMonaco\\n\\n32 d’éval\\n\\nSG Stefan Markovic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n20\\n\\nSF Joel Parra\\n\\nBadalona\\n\\n17\\n\\nPF John Shurna\\n\\nGran Canaria\\n\\n24\\n\\nC Alpha Kaba\\n\\nNanterre\\n\\n33\\n\\nB Tomasz Gielo\\n\\nAndorra\\n\\n24\\n\\nRising star :\\n\\nYannick Nzosa (C/RDC/17)\\n\\nMalaga\\n\\n19 d’éval (13 pts à 5/6, 5 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nMilos Teodosic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n26 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nAlpha Kaba\\n\\nNanterre\\n\\n15 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nStefan Markovic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n13 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 3-1\\n 2. Badalona\\n 3. Nanterre 2-2\\n 4. Malaga 0-4\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Boulogne-Levallois 3-1\\n 2. Partizan Belgrade 2-2\\n 3. Trento\\n 4. Lokomotiv Kuban Krasnodar 1-3\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 4-0\\n 2. Cedevita Olimpija 3-1\\n 3. Buducnost Podgorica 1-3\\n 4. Bourg 0-4\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 4-0\\n 2. Andorra 2-2\\n 3. Gran Canaria 1-3\\n 4. Mornar Bar\\n\\nEn gras, les équipes qualifiées. En italique, les équipes éliminées\\n\\nPhoto: Alpha Kaba (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Obtenir le dossier complet sur les salaires des joueurs et des coaches de Jeep Elite 2020-21" }, {"role": "assistant", "content":"Pendant trois semaines et demi, nous vous avons présenté un dossier complet sur les salaires des joueurs et des coaches de Jeep Elite. En voici ci-dessous le sommaire.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n * Strasbourg : Bonzie Colson, un as dans le jeu alsacien\\n * Roanne : Les paris n’ont pas tous fonctionné\\n * Pau-Lacq-Orthez : Deux big men comme top-salaires\\n * Orléans : Chima Moneke, la TRÈS bonne affaire !\\n * Nanterre : L’étoile Isaia Cordinier\\n * Monaco : Mieux pour moins cher !\\n * Lyon-Villeurbanne : Riche pour la Jeep Elite, modeste pour l’Euroleague\\n * Limoges : l’ère de la raison ?\\n * Le Portel : Priorité aux Français\\n * Le Mans : Scott Bamforth, Ovie Soko et Williams Narace, les bonnes pioches\\n * Gravelines-Dunkerque : la valse des Américains\\n * Dijon : la fidélité paye\\n * Cholet : Michael Stockton, le premier de la classe\\n * Châlons-Reims : la mauvaise farce de Jalen Adams\\n * Chalon-sur-Saône : Mickaël Gelabale et Ousmane Camara, ça coince !\\n * Bourg-en-Bresse : le « nouveau riche » est porté par ses Yougos\\n * Boulogne-Levallois : 9 joueurs à 120 000 euros et davantage\\n * Boulazac : Yarou, bonne affaire suffisante ?\\n\\nLes tops :\\n\\n * Le Top 5 par poste : il n’y a pas que Lyon-Villeurbanne !\\n * Les dix plus hauts salaires non-JFL : Vitalis Chikoko en pleine embellie\\n * Les dix plus hauts salaires : Moustapha Fall et Guerschon Yabusele au top\\n * Les dix plus hauts salaires français : LDLC Asvel a mis le paquet\\n * Les coachs de Jeep Elite : Zvezdan Mitrovic toujours le numéro 1\\n\\nLes bonnes et pires affaires :\\n\\n * Les 15 meilleures affaires de Jeep Élite : Hugo Benitez, Boubacar Toure et Yoan Makoundou, le trio gagnant\\n * Les bonnes affaires JFL par poste : jeunes loups et vieux guerriers se distinguent\\n * Les 15 pires affaires de Jeep Élite : Que les gros salaires baissent la tête !\\n * Les bonnes affaires non-JFL par poste : Boubacar Touré, Chima Moneke, Arnas Velicka, les trouvailles de l’année\\n * Les mauvaises affaires JFL par poste : De Mous’ Fall à Rémi Lesca, des cas très différents\\n * Les mauvaises affaires non-JFL par poste : Trop payés, David Holston, David Lighty ou Zack Peacock ?\\n\\nPhoto: Phil Scrubb (Limoges CSP, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview – Axel Bouteille (Unicaja Malaga) : «Bien sûr que j’ai envie d’aller aux JO»" }, {"role": "assistant", "content":"Actuellement dans sa deuxième saison en Espagne, Axel Bouteille (2,00 m, 25 ans) a su s’affirmer dans la Liga Endesa avec Bilbao puis Malaga. Après deux saisons en demi-teinte à Limoges, l’arrière-ailier natif de Roanne a changé de dimension. De quoi en faire un candidat à l’équipe nationale pour les Jeux Olympiques ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nComment s’était passée votre première saison à Bilbao ? Comment la décririez-vous ?\\n\\nC’était une saison spéciale pour moi, il s’est passé tellement de choses. Je suis arrivé dans un club qui venait de monter en Liga ACB, avec comme objectif de se maintenir. Et nous étions classés 5e à l’arrêt des compétitions ! Nous avons gagné beaucoup de matchs, c’était super. Individuellement, c’est la meilleure saison de ma vie.\\n\\nEt votre adaptation ? La présence de Johnathan Rousselle vous a-t-elle rassuré ?\\n\\nOui, ça s’est bien passé. Nous étions déjà ensemble à Limoges et nous avons continué l’aventure à Bilbao. Le coach de Bilbao, Alex Mumbrú, m’a donné une grande confiance. Avec Johnathan, c’était notre première expérience à l’étranger et ça nous a permis de beaucoup apprécier cette saison-là ensemble.\\n\\nVous gardez sans doute de bon souvenirs de votre passage à Bilbao ?\\n\\nJe ne savais pas vraiment à quoi m’attendre en partant là-bas. Je voulais aller jouer en Espagne et j’ai eu cette opportunité. Les conditions étaient juste super, ce ne sont que des bons souvenirs et une expérience que je n’oublierais pas. Bilbao, c’est une ville et un club que j’adore. J’y ai vécu tellement de bons moments. On avait un super groupe. On a enchaîné les succès. En tant que promu, c’était inattendu mais on a travaillé pour et on a vu le soutien qu’on avait derrière nous. C’était une saison unique pour moi, je le répète la meilleure de toutes.\\n\\n« Bien sûr, j’aimerais jouer en Euroleague. Mais, pour l’instant, je suis à Malaga, où l’important est de gagner des matchs«\\n\\nComment décririez-vous le jeu espagnol ?\\n\\nÀ part le style de jeu en lui-même, il y a les matchs qui sont beaucoup mieux préparés. Il y a beaucoup de scouting. Et puis le niveau de jeu est, tout simplement, très bon. J’adore vraiment le jeu pratiqué en Espagne. Ce style un peu basé sur l’instinct, ça m’a plu et ça me plaît bien. Vraiment.\\n\\nPasser de Beaublanc et ses 5 000 personnes à la Bilbao Arena de 10 000 places, c’est spectaculaire ?\\n\\nOui, c’est sûr. C’est une super salle et c’est plus grand, l’ambiance est multipliée par deux. Nous avions entre 8 000 et 10 000 personnes à chaque match. Bilbao est une ville qui aime énormément le basket et le sport en général.\\n\\nVous avez eu l’occasion de partir à Malaga au mois de février 2020, comment s’est organisé votre transfert ?\\n\\nÇa s’est décidé en février, pendant que j’étais en rassemblement avec l’équipe de France. C’était une situation particulière. Je n’ai pas demandé à quitter Bilbao et je ne l’aurais pas fait de moi-même, car j’étais dans l’optique de finir ce que l’on avait commencé avec Bilbao et de voir ce qu’on pouvait faire en playoffs. Puis j’ai reçu un coup de fil et j’ai compris que j’allais partir à Malaga. Ma saison se passait super bien et du jour au lendemain je suis parti vers une autre bonne opportunité. Ça l’était aussi pour le club parce que Bilbao a reçu quelque chose financièrement parlant (NDLR: Malaga a versé 150 000 euros à Bilbao pour son transfert). Je comprends leur position, le fait que le club avait besoin de cela aussi. Niveau intégration, ça s’est bien passé. J’ai joué deux matchs avec ma nouvelle équipe puis le championnat s’est arrêté. Plus tard, nous avons participé à la bulle de Valence pour finir la saison. Et nous avons été proches de nous qualifier pour les demi-finales.\\n\\nQuelles sont vos ambitions pour les années à venir ?\\n\\nJe n’ai pas d’objectifs précis. Je veux juste donner le meilleur de moi-même, faire du mieux possible et on verra où ça mène. Bien sûr, j’aimerais jouer en Euroleague. Mais, pour l’instant, je suis à Malaga, où l’important est de gagner des matchs. Je cherche juste à bien jouer sur le moment présent.\\n\\nEst-ce que vous avez un joueur ou un modèle qui vous a rendu meilleur ?\\n\\nDans ma carrière, non. Je dirai plutôt que c’est un collectif. Quand j’étais à Chalon, nous avons eu des belles années. Nous avons vécu des choses en jeunes, puis en professionnel. Je ne peux pas donner un joueur en particulier, mais à Chalon, j’ai côtoyé beaucoup de personnes et de bons joueurs avec qui j’ai aimé jouer.\\n\\nAvez-vous un match référence dans votre carrière ?\\n\\nJ’ai eu beaucoup de bons matchs avec Bilbao mais je pense surtout à mon match face à Burgos (34 points à 12/14 aux tirs dont 5/6 à trois-points et 6 rebonds pour 39 d’évaluation). C’était un gros match, j’ai battu des records. Ce jour-là, il nous manquait Jo (NDLR : Jonathan Rousselle) et un autre joueur mais nous avons quand même réussi à l’emporter à l’extérieur. Individuellement, je pense que c’était mon meilleur match en carrière mais je retiens aussi mes grosses performances contre le Real Madrid ou le Barça. Et collectivement, je dirai à Chalon-sur-Saône lors du match 5, quand nous sommes champions de France face à Strasbourg en 2017.\\n\\nEst-ce que cette saison peut être celle de la confirmation ?\\n\\nBilbao et Malaga, c’est différent. J’avais énormément de responsabilités avec Bilbao et cette saison, j’ai quand même moins de temps de jeu que l’année dernière (NDLR: 19′ au lieu de 32, pour 9,9 points et 7,5 rebonds). La concurrence n’est pas la même à Malaga, il y a un effectif dense. Ce n’est que ma deuxième saison en Espagne, je vais essayer de jouer mon jeu et on verra bien.\\n\\nComment gérez-vous la pandémie ?\\n\\nMalheureusement, on y est habitués. Nous faisons beaucoup de tests et nous prenons des précautions pour pouvoir nous entraîner et jouer. On essaye de gérer ça au mieux, mais le plus embêtant, c’est de jouer sans supporters.\\n\\n« J’essaie de faire du mieux possible et de donner tout ce que je peux lors des fenêtres internationales. »\\n\\nVous allez retrouver l’équipe de France dans quelques jours, vous qui étiez l’une des bonnes surprises de la dernière fenêtre internationale, quel est votre sentiment à ce sujet ?\\n\\nLors de la dernière fenêtre, le match contre la Grande-Bretagne était vraiment une satisfaction pour moi (15 points à 5/6 à trois-points). Je suis content que ça se soit bien passé et d’avoir pu aider l’équipe à ma manière, en plus du fait que le coach et mes coéquipiers m’ont fait confiance. Nous avions à coeur de faire deux bons matchs, nous avons remporté les deux ! Je suis forcément très content d’y retourner.\\n\\nLa poule des JO a été révélée et la France rencontrera l’Iran et les États-Unis, et sans doute le Canada ou la Grèce. Quelle est votre réaction face à ce tirage au sort ?\\n\\nÇa ne va pas être simple du tout. De toutes façons, ce sont les Jeux Olympiques. Ça sera difficile mais l’équipe de France a un bon effectif. Il est important que notre équipe soit ambitieuse pour pouvoir aller loin dans cette compétition. C’est possible d’aller loin.\\n\\nEt les JO ? Ça vous trotte dans un coin de la tête ?\\n\\nJ’essaie de faire du mieux possible et de donner tout ce que je peux lors des fenêtres internationales. Après, le sélectionneur fera ses choix. Je me concentre sur moi-même et on verra ce qui se passera mais bien sûr que j’ai envie d’aller aux JO. Qui n’aurait pas envie d’y aller ?\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\nComment s’était passée votre première saison à Bilbao ? Comment la décririez-vous ?\\n\\nC’était une saison spéciale pour moi, il s’est passé tellement de choses. Je suis arrivé dans un club qui venait de monter en Liga ACB, avec comme objectif de se maintenir. Et nous étions classés 5e à l’arrêt des compétitions ! Nous avons gagné beaucoup de matchs, c’était super. Individuellement, c’est la meilleure saison de ma vie.\\n\\nEt votre adaptation ? La présence de Johnathan Rousselle vous a-t-elle rassuré ?\\n\\nOui, ça s’est bien passé. Nous étions déjà ensemble à Limoges et nous avons continué l’aventure à Bilbao. Le coach de Bilbao, Alex Mumbrú, m’a donné une grande confiance. Avec Johnathan, c’était notre première expérience à l’étranger et ça nous a permis de beaucoup apprécier cette saison-là ensemble.\\n\\nVous gardez sans doute de bon souvenirs de votre passage à Bilbao ?\\n\\nJe ne savais pas vraiment à quoi m’attendre en partant là-bas. Je voulais aller jouer en Espagne et j’ai eu cette opportunité. Les conditions étaient juste super,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"San Pablo Burgos remporte la Coupe intercontinentale" }, {"role": "assistant", "content":"Les Espagnols de Hereda San Pablo Burgos ont vaincu les représentants sud-américains, les Argentins de Quimsa, 82-73, et remporté ainsi à Buenos Aires, la Coupe Intercontinentale FIBA 2021.\\n\\nBurgos, qui a remporté le titre de la Basketball Champions League lors du Final 8 de l’année dernière, a été propulsé par une attaque performante qui a marqué 56 points en première mi-temps.\\n\\nL’équipe espagnole a été emmenée par le combo guard américano-géorgien Thad McFadden (1,88m, 33 ans), qui a marqué 16 points et distribué cinq passes, et Vitor Benite, qui a scoré 19 points. L’arrière brésilien a été élu MVP du match.\\n\\nAu cours de cette rencontre, le MVP de la BCL America, Brandon Robinson, a fait le show avec 25 points tandis que Diamon Simpson a ajouté neuf points et 10 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"EuroBasket Féminin à Valence et Strasbourg : Les 16 équipes sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"Les 16 équipes qui participeront à l’EuroBasket féminin prévu du 17 au 27 juin prochains à Valence et Strasbourg sont désormais connues.\\n\\nOrganisées lors de trois fenêtres en novembre 2019, novembre 2020 et février 2021, les qualifications ont vu 33 équipes se disputer ces 16 billets. Les neuf vainqueurs de groupe et les cinq équipes les mieux classées en deuxième position ont rejoint les co-hôtes, la France et l’Espagne pour participer à la 38e édition de l’EuroBasket.\\n\\nLa Biélorussie, la Belgique, la Croatie, la République tchèque, la Russie, la Serbie, la Slovaquie, la Slovénie et la Suède se sont qualifiées comme vainqueurs de groupe, tandis que la Bosnie-Herzégovine, la Grèce, l’Italie, le Monténégro et la Turquie ont été deuxièmes.\\n\\nToutes les équipes classées deuxième ont été classées selon les règles officielles, les résultats contre les équipes classées quatrième n’ayant pas été pris en compte dans tous les groupes de quatre.\\n\\n#ÉQUIPERECORD+/-1Italie (Q)3-1+522Monténégro (Q)3-1+223Bosnie-Herzégovine (Q)3-1+214Turquie (Q)2-2+255Grèce (Q)2-2+126Lettonie2-2+11septHongrie2-2+78Ukraine2-2+29Grande Bretagne2-2-1\\n\\nLe tirage au sort de l’Eurobasket aura lieu le 8 mars 2021 à Valence, les équipes étant réparties en quatre groupes de quatre équipes chacun. La cérémonie sera diffusée en direct sur la chaîne YouTube de la FIBA et sur les comptes sociaux FIBA Women’s EuroBasket." }, {"role": "user", "content":"Un coach grec au Qatar : «nous nous arrêtons de nous entraîner deux fois pour prier pendant au moins 5 minutes»" }, {"role": "assistant", "content":"Le Grec Vassilis Bratsiakos est le coach du Al Sadd Sports Doha, au Qatar, dans la Péninsule arabique. Il a comme assistant un compatriote, Giannis Damalis, et deux autres dans son équipe comme joueurs, Fotios Lampropoulos, 37 ans, et Kostas Vasiliadis, 36 ans. Il fait part à gazzetta.gr de son expérience.\\n\\n« J’ai été contacté par Manos Manouselis, qui s’était auparavant assis sur le banc d’Al Sadd et avait une proposition d’entraîneur en Chine. Il m’a demandé si la perspective de prendre sa place m’intéressait, à partir du moment où il m’apprécie en tant que coach... Parce qu’à ce moment-là, je n’avais pas de proposition de haut niveau, j’ai accepté le défi et cela s’est avéré être la bonne décision ! Ici, nous faisons notre travail, nous nous occupons de ce que nous aimons sans nous soucier d’autre chose que du basket. Tout bon ! » explique t-il.\\n\\nA propos du choc culturelle, il raconte :\\n\\n« Ils sont fidèles à leur religion. Ils prient un nombre de fois considérable, jour et nuit. Nous nous arrêtons de nous entraîner deux fois pour prier pendant au moins 5 minutes. Ils le font aussi pendant les matches, avant l’échauffement et parfois à la mi-temps. Quant aux femmes, on ne voit que leurs yeux, rien n’est visible, elles sont vêtues de noir et c’est quelque chose de complètement étranger à nous qui sommes habitués au contraire. De plus, je pense que c’est le pays le plus calme du monde ! Vous pouvez sortir à 2 heures du soir, courir 10 kilomètres, revenir et personne ne vous a dérangé. »\\n\\nKostas Vasiliadis ajoute :\\n\\n« C’est exactement sur quoi je voulais m’arrêter, sur la question de la sécurité. Vous voyez rarement la police errer dans les rues. Tout est surveillé par des caméras. Au Qatar, il y a des caméras partout et si la moindre chose arrive, la sécurité apparaîtra sans... appel téléphonique. Cela vous rassure, vous pouvez sortir à tout moment, vous promener, parcourir de longues distances même sur une route sombre qui en Grèce sera redoutée. Il n’y a rien de tel ici, pas de peur. «\\n\\nVassilis Bratsiakos considère que les coaches grecs ont très bonne réputation dans ce pays de moins de 2,8 millions d’habitants.\\n\\n« Les entraîneurs qui ont travaillé les années précédentes en dehors de la Grèce et continuent de travailler ont fait un excellent travail et cela est également vrai au Qatar. Nous avons créé une communauté grecque et nous sommes traités avec beaucoup de respect. «" }, {"role": "user", "content":"Italie: Milan s’enrichit de l’Italo-Polonais Jakub Wojciechowski" }, {"role": "assistant", "content":"Olimpia Milano a annoncé avoir trouvé un accord jusqu’à la fin de la saison avec le pivot polonais Jakub Wojciechowski (2,13m, 31 ans), qui possède la nationalité sportive italienne.\\n\\n« Nous avons choisi Jakub pour avoir plus de profondeur dans le secteur intérieur et être prêt à affronter n’importe quelle situation, avec un jeune homme très motivé pour saisir l’opportunité qui lui est offerte », a déclaré Christos Stavropoulos, le directeur général d’Olimpia. « Je suis très heureux d’avoir cette opportunité », a ajouté pour sa part Wojciechowski, « c’est une opportunité très importante pour ma carrière, que j’espère exploiter en aidant l’équipe et en faisant tout ce qu’on me demandera ».\\n\\nJakub Wojciechowski est arrivé en Italie à l’âge de 16 ans pour jouer dans les équipes de jeunes de Benetton Treviso et a également porté les maillots de Casalpusterlengo, Brescia, Turin, Veroli, Mantoue en A2 et en Serie A de Cantù, Cremona, Capo d’Orlando et Brindisi. À Orlandina, il a produit sa meilleure saison avec une moyenne de 8,9 points et 6,1 rebonds lors de la saison 2017-18. L’année dernière, il était au Legia Varsovie, et dans le passé, il était également passé en Pologne par Anwil Wloclawek, tandis que cette année il était à Biella en A2 avec 10,3 points et 7,5 rebonds par match.\\n\\nPhoto: Legia Varsovie" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Murcia en équipe remplaçante en cas de défection à la Copa del Rey" }, {"role": "assistant", "content":"L’ACB a tout prévu en amont de sa Copa del Rey, y compris que le COVID-19 pouvait contaminer en amont une équipe et l’empêcher de participer à l’évènement qui va avoir lieu du 11 au 14 février à Madrid.\\n\\nLors d’une Assemblée Générale, il a été décidé que l’UCAM Murcia, qui était classée 9e à la fin des matches allers, le 10 janvier, est prévue comme remplaçante. Il faut savoir que Murcia n’avait pas pu jouer à temps l’ensemble des matches allers, évidemment en raison du report de matches par faute de la pandémie.\\n\\nDe plus, lors de cette même assemblée, il a été établi que, si un cas de COVID apparaît dans l’une des équipes pendant la compétition, celle-ci se poursuivra sans elle.\\n\\nLes 8 équipes qualifiées sont: Real Madrid, Iberostar Tenerife, FC Barcelone, TD Systems Baskonia Vitoria, Hereda San Pablo Burgos, Valencia Basket, Unicaja Malaga et Joventut Badalona." }, {"role": "user", "content":"Limoges 96, Pau 87 – Nicolas Lang bat son record de points (30) en carrière le soir du clasico" }, {"role": "assistant", "content":"Les Palois n’ont pas trouvé la clé de la serrure pour enfermer Nicolas Lang, qui a battu ce soir son record de points en carrière (27) pour en inscrire 30.\\n\\nIl a fallu attendre la 37e minute pour que le Limougeaud rate son 7e shoot à trois-points après en avoir transformé 6. Il a également mis 4 de ses 5 shoots à deux-points et ses 4 lancers, prolongeant dans ce domaine son sans-faute depuis le début de saison (30/30).\\n\\nNicolas Lang a ajouté 5 rebonds et 3 passes pour parvenir à 35 d’évaluation.\\n\\nCette performance individuelle est couplée à une victoire collective (96-87) totalement méritée pour laquelle Philip Scrubb (15 points, 8 passes, 27 d’éval) a également apporté une solide contribution.\\n\\nRésultat des courses: Limoges peut croire plus que jamais au top 8 alors que Pau glisse dans la zone rouge.\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Neal Sako jouera à la fois pour Boulogne-Levallois et Rueil" }, {"role": "assistant", "content":"Peu utilisé à Boulogne-Levallois en raison de la concurrence malgré d’évidentes qualités (6 matches à 5′ de moyenne), l’intérieur Neal Sako (2,11m, 23 ans) va bénéficier d’une licence AS, ce qui lui permettra de porter en même temps les couleurs du Rueil Athletic Club, en Nationale 1. Un double emploi qui en son temps avait réussi à Vincent Poirier.\\n\\nIl s’agit d’un retour au club pour Neal Sako, natif des Yvelines, arrivé au basket sur le tard, à 16 ans, et qui lors de la saison 2018-19 avait porté les maillot de Rueil et de... Levallois.\\n\\nPhoto: RAC" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Les clubs de l’ACB d’accord pour augmenter le nombre de joueurs non-européens et JFL" }, {"role": "assistant", "content":"Les clubs de l’ACB ont approuvé à l’unanimité un accord avec la fédération espagnole qui va faire passer dans chaque équipe le nombre de joueurs non européens, donc principalement américains, de deux à trois et les joueurs formés localement (JFL) de quatre à cinq.\\n\\nD’autres institutions doivent encore donner leur feu vert, mais il est noté que l’arrivée de Jorge Garbajosa et Antonio Martin aux présidences de la FEB (fédération) et de l’ACB a favorisé le dialogue entre les deux parties ces dernières années.\\n\\nL’ACB est considérée comme la meilleure ligue nationale en Europe mais la présence des joueurs nationaux a diminué de 6% au cours des cinq dernières années; il n’y en avait que 83 lors de la saison 2019-20, alors que les jeunes Espagnols excellent dans les compétitions internationales de jeunes. Parallèlement, l’Espagne a importé un total de 745 joueurs étrangers dans les catégories masculines et féminines, selon le rapport Basketball migration report 2020 de la FIBA. Un record d’Europe." }, {"role": "user", "content":"108e classico Limoges-Pau : L’heure est grave pour l’Elan Béarnais" }, {"role": "assistant", "content":"Ce soir, c’est le 108e classico (54 victoires à 52 pour Limoges, un nul) au goût si particulier puisqu’il se joue à huis clos à Beaublanc, loin de la fureur habituelle.\\n\\n« Contre Limoges, avec ou sans public, c’est un classico de fait », estime toutefois le coach Laurent Vila dans les colonnes de la République des Pyrénées. « Pour nous, c’est un ressort qui peut aussi être un déclic. Le match est télévisé (NDLR: sur la Chaîne L’Equipe) et tout le monde guettera le résultat. C’est donc un classico qui compte. »\\n\\nDe fait, s’il n’est plus question de suprématie nationale, ce Limoges-Pau est pour l’Elan Béarnais une occasion de se refaire la cerise. Après 6 défaites d’affilée, il pointe actuellement à la 15e place avec une seule victoire d’avance sur le Champagne Basket, relégable, et qui vient de le battre (86-97). Ce n’est pas encore un classico pour la survie mais l’heure est déjà grave.\\n\\nDans L’Equipe, Greg Heuss, le directeur général et cofondateur de CSG, qui est en passe de racheter le club, lâche une phrase lourde de sens :\\n\\n« C’est une préoccupation sérieuse pour notre organisation, nous avons besoin que ce club reste en Jeep Élite. »\\n\\n\\nL'ambiance monte devant Beaublanc... pic.twitter.com/EyKq5IL5qn\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) February 6, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: 24 points pour Nando De Colo, 9e victoire de suite du Fenerbahçe" }, {"role": "assistant", "content":"Le Fenerbahçe est métamorphosé. A la peine, et même à la dérive en début de saison, le club turc vient d’obtenir sa 9e victoire de suite face au Zenit Saint-Petersbourg, 92-84.\\n\\nNando De Colo, aussi, a retrouvé toute sa vigueur. Le Nordiste termine meilleur marqueur du match avec 24 points (5/7 à deux-points, 2/4 à trois-points, 8/9 aux lancers), plus 7 passes pour 28 d’évaluation. Marko Guduric a ajouté 19 points et Jan Vesely 16. Ces trois-là forment un sacré trio.\\n\\n« La seule chose qui nous importe, c’est de marquer un point de plus que l’autre équipe. Parfois, vous pouvez contrôler le rythme du jeu, mais nous ne nous en soucions pas. Nous pouvons jouer lentement ou vite, tant que nous gagnons des matchs, tout va bien« , a commenté le coach Igor Kokoskov.\\n\\nSa remontada permet au Fener d’occuper aujourd’hui la 6e place au classement (14-10), doublant son adversaire du soir.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jean-Denys Choulet (Roanne) : «les personnes qui sont le plus en forme actuellement sont les coachs et les joueurs, et pas les arbitres»" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne a opposé une belle résistance au Mans, mais s’est avouée vaincu face à une équipe à l’évidence plus robuste (97-84). En conférence de presse, comme le rapporte Le Maine Libre, le coach Jean-Denys Choulet était grincheux vis à vis de l’arbitrage :\\n\\n« Les pertes de balle (17) nous tuent. Le Mans a proposé une défense très agressive. À chaque fois qu’on est revenu pas loin, il y a eu quelque chose. Je parle notamment de l’arbitrage. Attention, je ne remets pas en question la victoire du MSB, mais il y a des choses sifflées qui sont flagrantes et pénibles, en plus dans des moments importants de la rencontre. Il n’y a pas besoin de balancer des techniques à tour de bras, sans discuter. Les personnes qui sont le plus en forme actuellement sont les coachs et les joueurs, et pas les arbitres qui font seulement trois affiches par mois. Il y a une différence de rythme entre tous ces acteurs d’un même match. Ensuite, l’absence de notre pivot a été très préjudiciable (NDLR: Boubacar Touré). Mais il n’était pas là et c’est mérité. De son côté, Juvonte Reddic était inarrêtable en première période, mais il s’est essoufflé par manque de rotation dans le secteur intérieur. »" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : ASVEL / Milan (78-69) – David Lighty : «nous n’avons pas abandonné, nous avons continué à nous battre»" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de TJ Parker a déjà fait aussi bien que celle de Zvezdan Mitrovic la saison dernière avec une dixième victoire hier soir. C’est aussi la quatrième consécutive, après avoir été longtemps en souffrance dans ce match.\\n\\nFace à une équipe de Milan qui restait sur six succés consécutifs, l’ASVEL visait une quatrième victoire à la suite malgré les absence de Charles Kahudi (côtes) et Derrick Walton Jr (adducteurs). Pollué un temps par du déchet technique (5 pertes de balle), les Villeurbannais ont réussi à rester à flots grâce à leur bonne adresse dans le premier-quart (20-23).\\n\\nMilan faisait tout de même la course en tête en s’appuyant sur un bon travail collectif (12 passes et 1 seule balle perdue à la pause) tandis que l’ASVEL continuait de compter sur son adresse (61,5 % de réussite) et n’accusait un retard que de trois points malgré une dizaine de pertes de balle dans cette première mi-temps (37-40).\\n\\nNorris Cole, David Lighty et William Howard ont encore frappé\\n\\nAu retour des vestiaires, les hommes de TJ Parker étaient quelque peu à la traîne (39-49) et avaient perdu leur adresse ainsi que le précieux contrôle du rebond mais ils se sont ressaisis et ont sur revenir sur les talons des Lombards juste avant le money-time.\\n\\nUne nouvelle fois décisif, Norris Cole (6/11 aux tirs dont 0/3 à trois-points, 4 rebonds et 4 passes) a porté dans ce dernier quart les Villeurbannais, qui infligeaient un 14-2 à leur adversaire du soir. Alors que l’ASVEL était en place défensivement, en attaque, William Howard réussissait de gros shoots (3/5 à trois-points, 7 rebonds et 2 passes) et permettait à son équipe de glaner un magnifique succès face au 3e de la saison régulière.\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « Nous avons perdu quatre ballons dans la deuxième mi-temps, et puis nous sommes revenus stop après stop. C’est comme ça que nous avons gagné nos matchs, l’équipe fait un gros effort. C’est l’Euroleague, ce n’est pas facile, ils ont de grands joueurs et on a eu des tirs difficiles. Après cela, quand nous sommes revenus après la mi-temps, nous avons eu une attitude différente. Chaque entraîneur de l’Euroleague est un grand entraîneur. C’est toujours un plaisir d’aller sur le terrain et moi, en tant que rookie, d’aller contre les meilleurs et d’essayer de faire le mieux possible ».\\n\\nDavid Lighty (ASVEL) : « Je pense que nous nous sommes montrés en deuxième mi-temps, que nous avons montré le basket de l’ASVEL. En première mi-temps, ils avaient un peu plus d’énergie que nous et ils ont eu les ballons. En deuxième mi-temps, nous avons joué en équipe, nous n’avons pas abandonné, nous avons continué à nous battre et, à la fin, nous avons gagné. Nous devons continuer. Nous essayons de prendre un match à la fois, c’est tout ce que nous pouvons faire. Nous avions un but en début de saison et nous avons commencé un peu lentement, mais nous devons utiliser cette dynamique et continuer à avancer ».\\n\\nMalcolm Delaney et Amine Noua (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Les « mauvaises affaires » non-JFL par poste : Trop payés, David Holston, David Lighty ou Zack Peacock ?" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Johnny Berhanemeskel (Nanterre), Egidijus Mockevicius (Le Mans), Jaromir Bohacik (Strasbourg) – (Photos : Nanterre/Hélène Brasseur – MSB/Dominique Breugnot – SIG/P. Gigon)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. La rédaction a ensuite analysé les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Après les « pires affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus, et le « Flop5 » JFL – voici les moins bonnes affaires non-JFL par poste.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les « Flop5 » JFL par poste de jeu, au tour des non-JFL par poste de jeu pour conclure ce Spécial Salaires Jeep Élite. Pour définir ces Flop5, comme à l’habitude, nous avons établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. Et un joueur à l’évaluation faiblarde peut faire figure de « mauvaise affaire » du fait d’un temps de jeu réduit (nous avons cependant décidé de ne retenir que les joueurs passant plus de 10 minutes par match sur le terrain, ce qui a éliminé quelques Espoirs entrés de manière sporadique sur le terrain).\\n\\nComme pour les Flop5 JFL, les clubs les plus fortunés sont les mieux représentés en ce qui concerne les non-JFL : 4 joueurs pour Lyon-Villeurbanne, 3 pour Boulogne-Levallois, 2 pour Monaco (à égalité avec une belle brochette de clubs : Dijon, Gravelines-Dunkerque, Chalon-sur-Saône, Nanterre, Limoges, Strasbourg). La présence de joueurs de ces divers clubs indique surtout que les dirigeants de ces structures ont beaucoup misé sur un ou deux non-JFL pour porter leur équipe. Et, même sans démériter, les salaires élevés perçus par ces joueurs peuvent les amener à figurer dans nos Flop5. Dans le détail, voici ces présumées « mauvaises affaires », qui sont loin d’en être toutes :\\n\\nSur le poste 1\\n\\nSi les 5,5 d’évaluation de Norris Cole à LDLC Asvel « piquent » quelque peu pour un joueur figurant parmi les 10 mieux payés du championnat, il faut rappeler que Villeurbanne dispose de quatre meneurs (Antoine Diot, Matthew Strazel, Derrick Walton en sus de Cole) et que, s’il est très en retrait en Jeep Élite, l’ancien double champion NBA se montre bien plus à son avantage en Euroleague, surtout ces dernières semaines. Derrière lui, on trouve un trio de joueurs qu’il est bien sûr impossible de qualifier de mauvaise affaire. Dee Bost, Brandon Brown ou plus encore David Holston sont les maîtres à jouer de leur équipe et ils produisent de belles stats tout en faisant gagner leurs couleurs. Mais comme ils sont bien ou très bien payés, leur ratio éval/salaire en pâtit. Enfin, Edgar Sosa, moins bien payé mais supposé meneur titulaire d’une petite équipe, est souvent blessé et pas forcément convaincant dans son rôle, ce qui a amené Boulazac à chercher à s’en séparer. Il est sans doute la réelle mauvaise affaire de ce Flop5...\\n\\nClubNomNationalitéSalaire annuelEvalRatioNorris ColeAsvelUSA250 000,00 €5,52,20Dee BostMonacoUSA210 000,00 €12,45,90Brandon BrownBoulogneUSA160 000,00 €11,16,94David HolstonDijonUSA190 000,00 €15,07,89Edgar SosaBoulazacDOM/USA125 000,00 €10,78,56\\n\\nSur le poste 2\\n\\nLe Flop5 des arrières non-JFL rassemble des joueurs au profil très différent, présents dans ce classement pour des raisons tout aussi variées. Le Macédonien Vojdan Stojanovski pâtit de son jeu, axé sur le collectif, dans une équipe en plein marasme et où il semble avoir perdu la confiance de son coach. De son côté, DeAndré Lansdowne amène sans doute moins que ce qu’espérait la SIG alors qu’Allerik Freeman, de moins en moins utilisé par TJ Parker, peine à justifier son confortable salaire (il vient du reste d’être libéré pour partir en Chine). Pour sa part, Garrett Sim présente des stats plutôt en retrait sur ses précédentes prestations, mais il a passé la première partie de la saison à tenter de surnager dans le marasme chalonnais sans démériter. Enfin, Johnny Behanemeskel est le non-JFL le moins bien payé de Jeep Élite mais il produit logiquement peu, d’autant que son temps de jeu est des plus réduits derrière Isaïa Cordinier ou Marcquise Reed.\\n\\nClubNomNationalitéSalaire annuelEvalRatioVojdan StojanovskiBCMMKD90 000,00 €3,84,22DeAndré LansdowneStrasbourgUSA150 000,00 €8,15,40Allerik FreemanAsvelUSA180 000,00 €11,76,50Garrett SimChalonUSA99 500,00 €7,77,74Johnny BerhanemeskelNanterreERI40 000,00 €3,17,75\\n\\nSur le poste 3\\n\\nJaromir Bohacik présente un peu le même profil que Stojanovski chez les arrières, un joueur d’Europe de l’Est pas forcément hyper-athlétique et surtout capable de s’exprimer dans un collectif très huilé. D’où des difficultés avec le jeu pratiqué en Jeep Élite. Marcus Ginyard, lui, revient doucement de blessure et, en pleine forme, il vaut mieux que ses 2,8 d’éval. Quant à David Lighty et JJ O’Brien, on peut considérer qu’ils sont plutôt mal payés pour leur réel impact sur le jeu de leur équipe, les stats ne reflétant pas toujours cette influence. Enfin, Jaron Johnson a vu son éval pratiquement divisée par deux depuis la saison passée (13,9, à Chalon), où il touchait 140 000 €.\\n\\nClubNomNationalitéSalaire annuelEvalRatioJaromir BohacikStrasbourgTCH120 000,00 €2,11,75Marcus GinyardLimogesUSA110 000,00 €2,82,55David LightyAsvelUSA180 000,00 €8,54,72J.J. O’BrienMonacoUSA165 000,00 €8,75,27Jaron JohnsonDijonUSA110 000,00 €7,46,73\\n\\nSur le poste 4\\n\\nPourtant pas bien cher payés, les deux premiers ailiers-forts de ce Flop5 tiennent de l’erreur de recrutement, Itay Segev (comme Bohacik ou Stojanovski) ne s’adaptant pas trop à la Jeep Élite alors que Jackson Rowe, qui plus est régulièrement blessé, digère mal la transition entre NCAA et basket professionnel. Derrière eux, Zack Peacock, qui a vu son salaire diminuer de 50 000 € quand même, pâtit surtout de la profondeur accrue de l’effectif burgien, impliquant une dilution des responsabilités et donc des stats plus modestes – ce qui n’empêche pas le joueur de rester un rouage essentiel de la JL. Pour sa part, Tyler Stone, sans décevoir, ne se montre pas aussi rentable qu’espéré dans son rôle « d’intérieur-extérieur » shootant derrière l’arc. Dernier de notre Flop5, le Bosnien Miralem Halilovic produit déjà de très bonne stats alors qu’il revient tout juste de blessure. Mais comme il a copieusement été augmenté depuis son transfert d’Orléans (il était à 115 000 € l’an passé), son ratio éval-salaire a dégringolé. Mais de là à parler de mauvaise affaire, il y a un gouffre.\\n\\nClubNomNationalitéSalaire annuelEvalRatioItay SegevBCMISR80 000,00 €4,05,00Jackson RoweRoanneCAN75000,00 €3,85,07Zachery PeacockBourgUSA200 000,00 €11,15,55Tyler StoneNanterreUSA130 000,00 €9,37,15Miralem HalilovicBoulogneBOS190 000,00 €14,77,74\\n\\nSur le poste 5\\n\\nEncore un joueur de l’Europe de l’Est qui a du mal à s’adapter au jeu pratiqué en Jeep Élite : Egidijus « Iggy » Mockevicius est un pivot à l’ancienne, près du sol, qui commence à prendre ses marques – ses dernières sorties montrant même qu’il est tout sauf une mauvaise affaire. Les trois suivants ont le profil du pivot étranger bien payé (même si Eric Buckner a beaucoup diminué ses émoluments en quittant Monaco, où il était à 230 000 € la saison dernière) et plutôt performant mais pas suffisamment pour hisser leur ratio éval-salaire en dehors de ce Flop5. Cela étant, si Buckner déçoit, dans la mesure où l’on attendait plus dans une équipe de niveau inférieur à celui de Monaco, Vitalis Chikoko et Ismaël Bako font très bien ce qu’ils savent faire, le premier en tant que titulaire, le second en tant que remplaçant derrière Moustapha Fall. Enfin, le Cubain Grismay Paumier, arrivant tout droit de Pro B, fait correctement son job de pivot remplaçant derrière un titulaire de très bon niveau (Jerry Boutsiele). D’où un temps de jeu limité et, logiquement, des stats légères.\\n\\nClubNomNationalitéSalaire annuelEvalRatioEgidijus MockeviciusLe MansLIT110 000,00 €5,85,27Eric BucknerChalonUSA165 000,00 €9,55,76Vitalis ChikokoBoulogneZIM270 000,00 €15,85,85Ismaël BakoAsvelBEL170 000,00 €10,05,88Grismay PaumierLimogesCUB80 000,00 €5,36,63\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les « Flop5 » JFL par poste de jeu, au tour des non-JFL par poste de jeu pour conclure ce Spécial Salaires Jeep Élite. Pour définir ces Flop5, comme à l’habitude, nous avons établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. Et un joueur à l’évaluation faiblarde peut faire figure de « mauvaise affaire » du fait d’un temps de jeu réduit (nous avons cependant décidé de ne retenir que les joueurs passant plus de 10 minutes par match sur le terrain, ce qui a éliminé quelques Espoirs entrés de manière sporadique sur le terrain).\\n\\nComme pour les Flop5 JFL, les clubs les plus fortunés sont les mieux représentés en ce qui concerne les non-JFL : 4 joueurs pour Lyon-Villeurbanne, 3 pour Boulogne-Levallois, 2 pour Monaco (à égalité avec une belle brochette de clubs : Dijon, Gravelines-Dunkerque, Chalon-sur-Saône, Nanterre, Limoges, Strasbourg). La présence de joueurs de ces divers clubs indique surtout que les dirigeants de ces structures ont beaucoup misé sur un ou deux non-JFL pour porter leur équipe. Et, même sans démériter, les salaires élevés perçus par ces joueurs peuvent les amener à figurer dans nos Flop5. Dans le détail, voici ces présumées « mauvaises affaires », qui sont loin d’en être toutes :\\n\\nSur le poste 1\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Le PAOK Salonique met ses fans à contribution, et ça marche !" }, {"role": "assistant", "content":"En proie à de sévères problèmes économiques, le PAOK Salonique a proposé à ses fans d’acheter des actions du club et les résultats dépassent ses espérances.\\n\\n4 011 personnes très exactement de plusieurs pays en dehors de la Grèce -Allemagne, Australie, Suède...- ont acheté pour 200 000 euros d’actions.\\n\\n« La réponse est un choc. Le cœur et l’âme du PAOK parlent. Et cela prouve l’amour que nous avons tous pour le PAOK. Un amour sans limites... », écrit le club dans un communiqué.\\n\\nA l’entendre, l’opération est loin d’être terminée :\\n\\n« Nous vous rappelons qu’il y a aussi l’engagement de la famille d’Ivan Savvidis pour doubler le montant de la participations des amis du club. Autrement dit, si des actions d’une valeur totale de 500 000 euros sont achetées, la famille Savvidis achètera un pourcentage d’actions correspondant. »\\n\\nIvan Savvidis est un homme d’affaires d’origine géorgienne, qui possède notamment le club de foot du PAOK.\\n\\nLes fans du PAOK sont réputés pour leur ferveur unique. Rappel en vidéo:" }, {"role": "user", "content":"Russie : Alexey Schved ne veut plus jouer en équipe nationale" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un entretien à Sports.ru, le nouveau directeur général de l’équipe nationale russe, Sergei Panov, évoque les relations conflictuelles entre les clubs spécialement d’Euroleague et les internationaux.\\n\\n« Il existe un statut de joueur, selon lequel, lorsqu’ils sont appelés en équipe nationale, les clubs sont obligés de répondre positivement », explique t-il. « Si les clubs ne le font pas, ils sont sanctionnés par des amendes. La façon dont les équipes vont répartir ces amendes – qu’elles soient réglées par le club ou qu’ils les répercutent sur les joueurs – est leur affaire (...) Maintenant c’est allé trop loin, il n’y a pratiquement plus de joueurs des équipes d’Euroleague dans l’équipe nationale. Ce statut du joueur a refait surface. Les clubs se sont vu imposer des sanctions, en réponse, ils ont proposé de changer le statut du joueur et d’y inscrire qu’en cas de match, les clubs ont le droit de garder le joueur dans leur roster. Cela ne semble pas très logique, mais le temps de jeu devrait être garanti. Les clubs réagissent ainsi : alors, si nous envoyons un joueur en équipe nationale, il devrait y avoir aussi des minutes garanties pour lui. Mais ni l’une ni l’autre de ces mesures ne sont appropriées, il y a donc un dialogue. Ce dialogue se poursuit à un autre niveau, le processus est en cours. Nous verrons bientôt où cela mènera. »\\n\\nEn tous les cas, un joueur ne veut plus entendre parler de la sélection nationale, c’est le fantasque arrière du Khimki Moscou, Alexey Shved :\\n\\n« C’est sa position personnelle, il ne veut pas jouer pour l’équipe nationale. Nous lui avons parlé, et il s’est mis dans cette situation. Mais attendons, c’est encore un jeune homme (NDLR: 32 ans, tout de même), j’espère qu’il se rendra compte que l’équipe nationale est une partie importante de la carrière de tout athlète. »\\n\\nA propos des faibles responsabilités accordées aux joueurs russes dans les équipes d’Euroleague, Sergei Panov avoue :\\n\\n« Bien sûr, le temps de jeu des basketteurs russes nous déprime, cela laisse beaucoup à désirer. Mais c’est avant tout une question pour les joueurs eux-mêmes, de se battre pour avoir des minutes. Donc, vous devez prouver au head coach qu’avec votre travail acharné, votre attitude, vous méritez davantage de minutes. »\\n\\nPhoto: Alexey Shved (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"La liste des candidat(e) au Pôle France pour la rentrée prochaine" }, {"role": "assistant", "content":"La FFBB a révélé une liste de 21 filles et 20 garçons qui ont été convoqués par les entraîneurs nationaux pour prendre part à la semaine de détection (1-5 mars) qui déterminera les entrants au Pôle France Yvan Mainini à la rentrée prochaine." }, {"role": "user", "content":"Une opération FFBB-MAIF avec les équipes de France en soutien aux clubs amateurs" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une période où les clubs et structures sportives ont plus que jamais besoin de soutien et dans la continuité des actions mises en place avec ses fédérations partenaires, MAIF souhaite accompagner la Fédération Française de BasketBall dans sa démarche de valorisation de l’engagement écoresponsable des clubs.\\n\\nAinsi, durant toute l’année 2021, les points marqués par les Équipes de France féminine et masculine lors des matchs se déroulant dans l’Hexagone seront convertis en dons par la Mutuelle au profit de clubs labellisés « FFBB Citoyen MAIF » et engagés dans une démarche de développement durable. Cette initiative, qui donne le coup d’envoi du programme Sport Planète, s’inscrit au cœur de la stratégie de mobilisation de MAIF pour un sport responsable et citoyen, qui soit bon, aussi, pour la santé de la planète.\\n\\nLes Équipes de France de basket mobilisées en faveur des clubs amateurs\\n\\nDans le cadre du lancement du programme Sport Planète visant à encourager des pratiques sportives écoresponsables, MAIF accompagne la FFBB dans la mise en œuvre et le déploiement d’un dispositif solidaire inédit, dès le 5 février prochain. À compter de cette date et durant toute l’année, lors des matchs se jouant en France, chaque point marqué par les Équipes de France féminine et masculine sera monétisé par MAIF, selon le barème suivant : 5 000 euros lorsque l’Equipe de France marquera 100 points ou plus, 4 000 euros pour un score de 75 points à 99 points, 3 000 euros pour un score de moins de 75 points. À l’issue de chaque match, un chèque du montant sera remis à un club local labellisé « FFBB Citoyen MAIF », afin de favoriser le développement ou la mise en œuvre de projets écoresponsables.\\n\\nLes clubs bénéficiaires seront choisis sur la base de deux critères :\\n\\n * – L’ancrage local : le chèque sera remis à un club issu de la ligue régionale, en fonction du lieu où se dérouleront les matches des Équipes de France. Pour les deux matchs de l’Équipe de France féminine initialement prévus les 5 et 7 février au Palais des Sports de Toulouse, ce sont deux clubs de la région Occitanie, le Basket Club Fabrègues et le SO Millau Basket, qui ont été retenus. Compte tenu de l’annulation des matchs et dans le souci de maintenir le soutien aux deux clubs récipiendaires, un challenge de lancers francs impliquant les joueuses de l’Equipe de France a été organisé.\\n * – Le projet proposé : dès que le calendrier des matchs des Équipes de France sera dévoilé par la FFBB, les ligues régionales concernées informeront les clubs de la région labellisés « FFBB Citoyen MAIF » afin que ceux-ci puissent proposer leur candidature. Un jury, présidé par la Championne d’Europe et vice- championne olympique Céline Dumerc, désignera les clubs lauréats. .\\n\\nAu total, et sous réserve du maintien de la tenue des rencontres en fonction de l’évolution du contexte sanitaire, ce sont donc entre 10 et 12 matchs qui bénéficieront de ce dispositif en 2021, et autant de possibilités pour les associations sportives locales de valoriser leur démarche, dans différentes villes françaises. Fortement impliquée auprès du monde sportif, MAIF travaille par ailleurs à la déclinaison de cette opération avec d’autres fédérations partenaires.\\n\\nJean-Pierre SIUTAT Président de la Fédération Française de BasketBall« Je suis très heureux que MAIF renforce son engagement auprès de nos clubs labellisés « FFBB Citoyen MAIF ». Partout en France, la FFBB et des clubs vont au-delà de leur mission première et s’engagent dans une démarche structurante en faveur du développement durable. L’éclairage et les moyens supplémentaires que cette belle initiative de MAIF vont apporter aux clubs amateurs retenus est un formidable coup de pouce. Cela contribuera à impliquer encore davantage de clubs et de pratiquants dans cette démarche pour un sport plus responsable. Cela démontre également les liens indéfectibles qui existent entre les clubs amateurs et les Equipes de France. J’en remercie sincèrement MAIF. »\\n\\nDominique MAHÉ Président MAIF« Avoir un impact positif sur l’environnement grâce au sport, c’est le défi sur lequel nous travaillons avec nos fédérations partenaires et associations écoresponsables via notre dispositif MAIF Sport Planète. Le sport est un formidable vecteur de mobilisation, et nous nous réjouissons aujourd’hui, aux côtés de la FFBB, de pouvoir engager les Équipes de France féminine et masculine au soutien des clubs amateurs en accompagnant le développement de projets écoresponsables.»\\n\\n\\nDans une période où les clubs et structures sportives ont plus que jamais besoin de soutien, @MAIF et la @ffbasketball dévoilent un dispositif solidaire, autour des matchs des Équipes de France masculine et féminine se jouant en France. (@FRABasketball) pic.twitter.com/qi8PimUCtH\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) February 5, 2021\\n\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Thomas Heurtel: La piste ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Selon L’Equipe, Thomas Heurtel (1,88m, 31 ans), libéré de son contrat avec le FC Barcelone, pourrait rejoindre l’ASVEL pour le restant de la saison, alors que différentes sources l’envoient au Real Madrid pour la prochaine.\\n\\nSi l’affaire est conclue, le meneur international, qui a besoin de compétition pour candidater à l’équipe de France pour les JO de Tokyo, ne pourrait jouer qu’en Jeep Elite puisque la date limite des transferts en Euroleague était le 6 janvier. L’ASVEL attend de savoir quelle sera la décision de l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket, qui le 22 février, doit décider de la suite donnée à la saison.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Bourg: Thibault Daval-Braquet victime d’une rupture des ligaments du genou" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la JL Bourg informe que son pivot Thibault Daval-Braquet (2,10m, 24 ans) sera indisponible pour toute la saison. Celui-ci a apporté 0,4 point et 1,4 rebond en 8 minutes sur 5 matches de Jeep Elite.\\n\\n« Mercredi soir lors du match contre le Cedevita Olimpija Ljubljana en Eurocup, Thibault Daval-Braquet, alors titularisé dans le cinq de départ, a dû quitter les parquets après 19 secondes de jeu suite à une très mauvaise réception après un saut. Des examens médicaux effectués ce jeudi 4 février ont confirmé les craintes émises par notre staff médical et donc ont révélé la nature exacte de la blessure : Thibault souffre d’Thibault Daval-Braquet,droit. La saison est donc malheureusement terminée pour notre jeune pivot. Une opération est prévue dans les prochaines semaines. Le staff sportif et médical du club veillera évidemment à l’accompagner au mieux quotidiennement tout au long de sa rééducation. L’ensemble du club lui adresse ses pensées positives et lui souhaite un bon rétablissement afin de le retrouver au plus vite sur les parquets ! »\\n\\nPhoto: JL" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Les joueurs du Khimki Moscou ne seraient plus payés depuis deux mois" }, {"role": "assistant", "content":"Le Khimki Moscou annonce un budget de 24M€ mais... ne paye plus ses joueurs depuis deux mois. C’est ce qu’a déclaré une source proche du club à RIA Novosti.\\n\\nVoilà qui confirme que le club de la capitale russe est en pleine déconfiture puisque sur le terrain, Khimki a remporté deux victoires en 23 matches en Euroleague, et est à la huitième place avec six victoires en 12 matches en VTB League.\\n\\nFin janvier, le club a annulé les contrats avec le pivot américain Greg Monroe et l’ailier suédois Jonas Jerebko, qui a révélé aux médias de son pays que le Khimki lui doit plusieurs milliers d’euros. Le pivot américain Devin Booker s’est envolé pour les États-Unis, et ainsi n’est plus pour le moment à la disposition de l’équipe.\\n\\nL’équipe russe a également refusé de prendre un avion privé pour Israël, où elle devait rencontrer jeudi le Maccabi de Tel Aviv -Israël n’autorise actuellement pas les avions commerciaux dans le pays, mais une dérogation a été accordée pour les jets privés-, mais le Khimki a refusé d’en profiter, visiblement pour des problèmes d’argent.\\n\\nPhoto: Alexey Shved (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Andrew Albicy lance ce soir sa chaîne Twitch" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur international de Gran Canaria, Andrew Albicy se lance officiellement dans le milieu du gaming avec sa chaîne twitch. Une initiative en adéquation avec sa passion pour l’univers du gaming et du esport.\\n\\nC’est sous le surnom de « Swaggy_Drew6 » que Andrew Albicy fait son entrée sur la plateforme de streaming. C’est ce soir à 21h30 en direct sur sa chaîne Twitch, qu’il se lancera avec à ses côtés d’anciens joueurs professionnels, des pointures sur Call of Duty. Il sera accompagné de deux streamers de renom LowAn, qui a remporté les plus importants tournois européens au sein d’équipes comme Ascentia, MythiX et Millenium ainsi que de Zylewr un ancien joueur professionnel de l’équipe Ascentia avec laquelle il devient champion de France contre Vitality sur Cod Ghost.\\n\\n» Ca faisait déjà un moment que je souhaitais me lancer sur Twitch. J’ai hâte de vous faire découvrir mon univers et d’échanger avec ma communauté. J’ai préparé pas mal de surprises pour les prochaines semaines. »\\n\\nUne reconversion en prévision\\n\\nCe lancement est aussi une façon pour le meneur français de continuer de se faire une place dans le milieu du esport. Conscient des nombreuses passerelles entre le monde du sport et celui du esport, Andrew Albicy souhaite aussi utiliser la plateforme de streaming pour échanger et partager son quotidien avec sa communauté. L’international français ambitionne de s’investir de façon plus concrète afin d’en apprendre plus sur les codes et l’univers du esport / gaming. Il avoue déjà penser à suivre les traces de plusieurs anciens sportifs de haut niveau qui sont aujourd’hui en poste dans le milieu, tels que Julien Benneteau (Capitaine Fed Cup, Team GameWard) ou encore Matthieu Péché (vice champion olympique canoë kayak, manager de l’équipe Esport Vitality sur le jeu Counter Strike).\\n\\nUn univers gaming aux inspirations manga\\n\\nA cette occasion, il fait appel à l’illustrateur Vivi Zama spécialiste de l’univers des mangas qui a déjà travaillé et accompagné d’autres streamers et influenceurs comme Inoxtag, Sofyann, McFly et Carlito ou encore Lena Situations. Pour Albicy, Vivi Zama créer des personnages à son effigie aux allures de manga qui font références à ses personnages de jeux vidéos préférés comme Zelda ou encore Naruto. On peut découvrir toutes les créations de son nouveau monde et de ses nouveaux personnages sur sa chaîne Twitch et aussi via ses réseaux sociaux." }, {"role": "user", "content":"Le match Cholet-Monaco reporté à cause du Covid-19" }, {"role": "assistant", "content":"Le combat contre le Covid-19 est loin d’être terminé. C’est au tour de Cholet Basket d’être impacté par le virus. Trois cas positifs ont été détectés dans l’équipe. Conséquence: le match face à Monaco, qui était prévu demain à 18h30 est reporté.\\n\\n\\n🚨 Nous vous informons que le Comité Sanitaire de la @LNBofficiel a décidé le report à une date ultérieure de la rencontre @CB_officiel vs @ASMonaco_Basket , initialement programmée le 6 février 2021 à 18h30, en raison de plusieurs tests positifs dans l'effectif choletais. pic.twitter.com/EDXGmR50A2\\n\\n— Cholet Basket (@CB_officiel) February 5, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"SIG Strasbourg : Un nouveau mandat de 4 ans pour le Conseil de Surveillance" }, {"role": "assistant", "content":"Le Conseil de Surveillance supervise l’activité et la gestion du Directoire. Cette instance est composée des sociétés actionnaires (SIG & Entreprises SAS qui regroupe 92 entreprises, SIG & Territoire SAS qui regroupe 600 supporteurs), mais aussi d’autres composantes du club comme le Club Affaires (qui fédère les partenaires du club). Des personnalités qualifiées complètent le Conseil de Surveillance dont les membres sont issus de différents horizons professionnels.\\n\\n\\nLes mandats du Conseil de Surveillance arrivaient à échéance en 2020. L’Assemblée Générale des Actionnaires s’est réunie le 22 décembre afin de procéder à la nomination du prochain Conseil de Surveillance composé de 15 membres et élu pour les 4 prochaines années.\\n\\nMembres renouvelés :\\n\\n * Christelle BOOS – Chef de produits chez Hager Group, matériel électrique\\n * Robert FEDIDA – Directeur des écoles Omnis, Horizon, Estudia, Oscar, enseignement supérieur privé/formation professionnelle, représentant permanent de SIG & Entreprises\\n * Richard HIRSCHNER – PDG de Super U Eschau, commerce/artisanat\\n * Geoffroy ROEDERER – Président de Roederer SAS, courtage en assurances\\n * Laurent RUH – Directeur Général de RH Propreté, nettoyage, représentant permanent du Club Affaires de la SIG\\n * Alain SAINT MICHEL – Directeur commercial d’Hager Group en retraite, matériel électrique\\n * Pierre SOLER-COUTEAUX – Avocat au barreau de Strasbourg, Professeur Agrégé de Droit Public\\n * Guy SPEHNER – Consultant en gestion de risques en retraite, représentant permanent de SIG & Territoire\\n * Vincent TRIPONEL – Directeur associé de Cushman & Wakefield, immobilier\\n * Michel VANNIER – Gérant de Vanvet, prêt à porter\\n\\nMembres nouvellement élus :\\n\\n * Didier FRANK – Gérant de Frank Immobilier, immobilier\\n * Clément HAGENBACH – Secrétaire Général de Stradim, immobilier\\n * Sophie LACOGNE – Directrice Régionale Grand Est, Groupe DUVAL, immobilier\\n * Christophe SCHALK – Président de Mediarun, régie publicitaire\\n * Nicolas SCHULE – Président de Café Sati, torréfaction de café\\n\\nLa 1ère réunion du Conseil de Surveillance nouvellement élu s’est déroulée le 2 février 2021.\\n\\nRobert FEDIDA a été réélu Président du Conseil de Surveillance pour un mandat de 4 ans.\\nGeoffroy ROEDERER conserve la Présidence de la Commission Ethique du Conseil de Surveillance.\\nChristophe SCHALK prend la présidence de la Commission Finances.\\nBernard BRAUN, membre du Directoire, reste Président de la Commission Mise en Concurrence, organe mixte (Directoire et Conseil de Surveillance)." }, {"role": "user", "content":"ASVEL vs Milan – Ettore Messina : «Nous sommes confrontés à une équipe extrêmement athlétique, qui s’est beaucoup améliorée depuis le début de l’année «" }, {"role": "assistant", "content":"Etant donné les résultats obtenus par l’ASVEL en janvier, Olimpia Milan est extrêmement prudent avant le match de ce soir à l’Astroballe. Le club lombard a notamment repéré que William Howard (57,5%) et Antoine Diot (48,2%) sont dans le top 5 des joueurs les plus adroits à trois-points, en compagnie de... deux Milanais, Gigi Datome (55,3%) et Zach LeDay (52,5%). Le meneur de jeu Norris Cole, qui a marqué 42 points lors des deux derniers matchs, a également été la cible des scouts d’Olimpia.\\n\\n« Nous sommes confrontés à une équipe extrêmement athlétique, qui s’est beaucoup améliorée depuis le début de l’année comme en témoigne sa séquence de quatre victoires consécutives (NDLR: en ne prenant pas en compte la défaite face à Olympiakos lors d’un match en retard). Jouer contre ce type de basket athlétique et la créativité de leurs arrières sera probablement le plus gros problème. Nous avons de lourdes absences (NDLR: le meneur espagnol Sergio Rodriguez est annoncé forfait pour... raisons personnelles et l’ailier serbe Vlado Micov à cause d’une entorse de la cheville), donc notre discipline tant en attaque qu’en défense sera la clé pour avoir la chance de gagner ce match », analyse le boss Ettore Messina, qui vient de coacher son 350e match d’Euroleague avec un solde de victoires impressionnants: 253.\\n\\nUne victoire permettrait aux Milanais de passer devant le CSKA Moscou au classement, lui chipant la 2e place.\\n\\n«Il est important d’entrer immédiatement dans le match avec un très haut niveau de concentration », souligne l’arrière américain Michael Roll. « L’Asvel est une très bonne équipe, comme ils l’ont montré récemment, avec beaucoup de mouvement offensif, alors que pour nous, il est essentiel de gagner le plus de matchs à l’extérieur possible ».\\n\\nL’ASVEL se présentera de son côté sans son capitaine Charles Kahudi (côte cassée) ni Derrick Walton Junior (adducteurs). Rappelons que l’année dernière, à l’Astroballe, elle s’était imposée 89-82 grâce notamment à 19 points de David Lighty et 18 de Jordan Taylor.\\n\\nAprès ce match, les Villeurbannais auraient du se rendre au Portel. Ils avaient demandé à ce que ce rendez-vous soit décalé au lundi mais la salle de l’ESSM n’est pas disponible, aussi il a été annulé. La prochaine échéance sera ainsi Limoges à domicile le vendredi 12 février.\\n\\nPhoto: Kevin Punter (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Alexia Chartereau (Bourges) annoncée à l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Selon BeBasket, Alexia Chartereau (1,90m, 22 ans) va rejoindre l’ASVEL la saison prochaine. C’est une énorme surprise car l’intérieure internationale avait prolongé pour 3 saisons à Bourges en février dernier et la présidente Agnès St Ges comptait sur elle et Iliana Rupert pour être les piliers des prochaines équipes tango.\\n\\nA son âge, le palmarès d’Alexia Chartereau est déjà très copieux avec deux médailles d’argent à l’EuroBasket en 2017 et 2019, un titre de championne du monde 3×3 en 2015, un titre de championne de France en 2018, et trois Coupe de France en 2017, 2018 et 2019. Elle a été élue meilleure jeune en championnat de France, en 2017 et 2018.\\n\\nStatistiquement, Alexia Chartereau n’a fait que progresser depuis son arrivée à Bourges, passant cette année après 11 matches à 15,6 points (37% à trois-points) et 6,7 rebonds pour 17 d’évaluation. C’est une sérieuse candidate au titre de MVP de la ligue féminine.\\n\\nL’ASVEL est en train de se constituer une très solide équipe pour la prochaine saison puisqu’elle a annoncé, il y a peu, qu’elle faisait revenir au club la meneuse belge Julie Allemand.\\n\\nLa tradition de la Ligue Féminine d’effectuer des transferts dès le mois de janvier est tout à fait originale. Le 20 février, La Chaîne L’Equipe va proposer un ASVEL-Bourges qui va constituer en la matière un sacré clin d’oeil.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : 37 points de Mike James mais le CSKA Moscou tombe à Valence" }, {"role": "assistant", "content":"Mike James est indispensable au CSKA Moscou mais parfois ça ne suffit pas. L’Américain a mis les bouchées double face à Valence : 37 points (7/12 à deux-points, 4/15 à trois-points, 11/13 aux lancers, 6 passes, 4 interceptions, 3 rebonds, 31 d’évaluation), il a envoyé son équipe en prolongation -il y en a eu deux-, mais celle-ci a été fatale, 103-105.\\n\\nKlemen Prepelic et Nikola Kalinic ont chacun marqué 22 points pour propulser l’équipe espagnole vers la victoire, Martin Hermansson en a inscrit 17 et Bojan Dubljevic en a ajouté 14. Louis Labeyrie a pour sa part compilé 8 points et 7 rebonds.\\n\\n« Ce fut une belle victoire pour nous. Deux prolongations, c’était un match vraiment incroyable. Nous sommes un peu déçus d’avoir perdu les deux derniers matchs et nous n’étions pas au même niveau d’énergie et de concentration », a commenté Nikola Kalinic.\\n\\nJohannes Voigtmann a scoré 19 points et Nikita Kurbanov 17 pour le CSKA, qui s’est rendu en Espagne sans Nikola Milutinov et Tornike Shengelia et a perdu son deuxième match consécutif pour tomber à 16 victoires et 8 défaites.\\n\\n« Nous voulions gagner ce match. Mais parfois, ce n’est pas le cas. Mais nous sommes déterminés à sortir de cette situation dans laquelle nous nous sommes retrouvés – en tant qu’équipe, en tant que collectif et nous allons grandir davantage. Nous sommes sur la bonne voie, « a voulu positiver le coach du CSKA, Dimitris Itoudis.\\n\\nPhoto: Mike James (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Jean-Pierre Siutat et l’affluence à l’Euro féminin à Strasbourg : « on espère faire carton plein »" }, {"role": "assistant", "content":"Les deux matches France-Espagne féminin à Toulouse ont été annulés en raison d’un cas de Covid au sein de la délégation espagnole. Le président Jean-Pierre Siutat, la coach Valérie Garnier, et la general manager Céline Dumerc, ont analysé les conséquences de ce double forfait avec une projection sur l’avenir, à commencer par l’organisation en France de la première phase de l’Euro en juin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nJean-Pierre Siutat : On est tous très attristés par ce forfait de l’équipe espagnole. J’ai eu un appel cette nuit de Jorge Garbajosa, qui est le président de la fédération espagnole, qui m’a indiqué leurs difficultés liées à un cas Covid, au sein de leur staff. Les règles gouvernementales ne leur permettaient pas de partir sur Toulouse et on était aussi dans une situation de risque d’infecter la délégation française. On a tout de suite décidé d’annuler ces rencontres. Je l’ai eu de nouveau ce matin, d’autres tests sont en cours, et a priori, d’autres personnes de la délégation seraient touchées. Il ne faut pas prendre de risques, c’est la priorité numéro 1, même si évidemment sur le plan sportif, on souhaitait faire ces deux rencontres. Je peux vous confirmer que l’Espagne était très motivée pour venir. Nous avons travaillé ensemble pendant 48 heures pour faire venir (Astou) Ndour, leur joueuse pivot qui était au Sénégal, ce qui n’était pas simple. Ce qu’a souligné Garbajosa ce matin, c’est que l’on a vraiment en ce moment des relations assez extraordinaires, la France et l’Espagne. Ils nous doivent ces deux rencontres puisqu’on avait été faire en Espagne deux rencontres amicales. On va tout faire pour honorer ces rencontres et pourquoi pas en recaler le plus tôt possible une à Toulouse. On a fait le nécessaire avec la ligue régionale et les collectivités locales et je pense que les conditions étaient exceptionnelles pour l’accueil de la délégation.\\n\\nCéline Dumerc : Il y a énormément de déception quant à l’annulation de ces deux rencontres. Tout le groupe avait à cœur de jouer ces matches qui plus est sur une chaîne en clair. Quand on s’engage sur un processus de stage et que ça se conclue par deux matches, c’est un peu plus excitant. Maintenant, la décision qui a été prise est la meilleure. Il faut en priorité penser au côté sanitaire. Malheureusement, depuis quelque temps ce genre de contretemps se produit de manière régulière et il faut peut-être s’apprêter à être confronté à d’autres plus tard. Heureusement, on l’a appris suffisamment tôt pour réorganiser et retomber sur nos pattes. Les filles ont à cœur de re-porter le maillot de l’équipe de France, ça fait un an qu’elles n’ont pas fait de matches, c’est reporté à un peu plus tard.\\n\\nValérie Garnier : On s’était préparé depuis le début de la semaine à ces deux confrontations. Quand on l’a annoncé aux joueuses et au staff, c’était une déception car c’était deux confrontations très intéressantes sur le plan sportif. Il faut l’avouer, c’est un ralentissement dans notre planification de travail. On ne va pas tout jeter, c’est très important pour nous de profiter de chaque fenêtre FIBA pour se rassembler, se préparer à nos objectifs très élevés sur l’Euro et les Jeux Olympiques. On va continuer nos efforts à l’entraînement, réorganiser les contenus. On va raccourcir un peu se stage pour permettre aux joueuses qui vont réintégrer les clubs de bénéficier d’un peu de repos. On sait que la saison est intense et va être longue. Ce sont en quelque sorte des travaux de mise en pratique de ce que l’on pourrait être amené à vivre, par exemple en début de campagne. Il y a peut-être un match de préparation qui sera annulé et il faudra trouver les moyens de s’adapter. Il faudra faire de toutes ces contraintes une force.\\n\\n« Il faut être optimiste car j’espère que l’on va être tous vaccinés, que les beaux jours vont nous permettre d’être peut-être dans une meilleure situation »\\n\\nComment se passe ce stage ?\\n\\nVG : On va arrêter le stage vendredi soir. On va donc faire encore trois jours d’entraînement en adaptant nos séances, peut-être en faisant plus attention au contenu technique et tactique. Nous avons la chance d’avoir une fédération qui tient compte de nos demandes. On a déjà eu l’opportunité de se retrouver en novembre, soit neuf mois jour pour jour après le TQO. Il y avait une très grosse envie des joueuses de se retrouver et on s’est retrouvé comme si on s’était quitté hier. Là, dès le premier entraînement, les filles switchent de mode automatique club à équipe de France. Bien sûr, la désillusion est grande car avoir la chance de faire une double confrontation contre l’Espagne, avec tout l’éclairage qu’il y avait sur le basket féminin, il y avait une excitation et une détermination dans mon groupe qui était formidable. Mais comme je l’ai dit : ça va faire partie de notre capacité à nous adapter car on n’est pas à l’abri que ça recommence. Il y a trois générations qui se côtoient depuis l’Euro 2019 et c’est très positif. Elles prennent du plaisir à être ensemble, à échanger, au point qu’elles nous ont même demandés à avoir une salle qui leur est dédiée où elles peuvent partager ensemble des instants de jeu. Je leur donne de petites thématiques de travail. Le groupe vit très bien. On peut être dans l’efficacité immédiate et le travail à long terme par rapport à des objectifs plus lointain.\\n\\nLa Ligue Féminine a payé un lourd tribut au Covid en début de saison avec beaucoup de matches annulés. On a l’impression qu’il y a moins de cas actuellement. Est-ce statistiquement le cas ?\\n\\nJPS : Il y a de moins en moins de cas, c’est vrai. Les joueuses touchées ont peut-être tendance à être immunisées. On peut aussi considérer que le travail a été globalement fait au sein des clubs pour protéger le groupe des joueuses professionnelles et du staff. On a est à date un peu moins touché mais il faut voir ce qui va se passer avec les virus variant. On a vu aussi lors des fenêtres, qui ont été faites dans les bulles, qui ont été organisées en Euroleague et en Eurocup, que les choses se sont globalement bien passées. D’après ce que me disait Garbajosa, en Espagne, les matches se jouaient. Là, c’est donc un concours de circonstances. Est-ce que c’est un croisement du fait qu’ils avaient un stage commun avec le 3×3 et le basket traditionnel, qui a permis de déclencher des cas au sein de la délégation ?\\n\\nStrasbourg va accueillir la première phase de l’Euro. En ces temps de pandémie, comment fonctionne la location ? Et s’il n’y a pas de public ou si la jauge est limitée, qui prend le risque financier ? La fédération, la FIBA, y a-t-il une assurance ?\\n\\nJPS: Oui, la billetterie fonctionne bien. On croise les doigts pour jouer cette compétition avec du public. Il faut dire qu’avant d’aller à Strasbourg, on a prévu de faire un bout de préparation à Mulhouse. J’ai rendez-vous dans une dizaine de jours à la mairie. Cela a été le premier territoire de France touché par le Covid et on voulait marquer notre solidarité vis-à-vis de ça. On a deux belles rencontres prévues sur Mulhouse. A Strasbourg, on espère faire carton plein. On n’est pas inquiet si la pandémie a disparu d’ici là. Si on est à huis clos, on négociera. Je prendrai ma deuxième casquette et j’essaierai de négocier le bout de gras avec la fédération internationale. On veut absolument que ça soit une valorisation du basket féminin. Je rappelle qu’on était sur la semaine du sport féminin et que l’on avait vraiment envie de faire ces matches à Toulouse, en misant sur La Chaîne L’Equipe. La retransmission aurait battu des records, très sincèrement. Deux belles rencontres France-Espagne avec le champion d’Europe et le vice-champion d’Europe. Le deuxième match dimanche à 18h et avec le couvre-feu, on aurait eu beaucoup de monde. On est aussi déçu de ça car c’était intéressant de valoriser une fois de plus notre basket féminin (...) Il faut être optimiste car j’espère que l’on va être tous vaccinés, que les beaux jours vont nous permettre d’être peut-être dans une meilleure situation. J’espère que tout ce que l’on a vécu là sera derrière nous au moment des Jeux. Le sport amateur c’est différent, on en parlera cette semaine. Je veux faire un clin d’œil à Céline, qui a tout connu. C’est sa dernière saison et on ne pensait pas qu’elle finirait sa carrière exceptionnelle comme ça. Elle a joué son premier match à huis clos dans son club d’origine, elle a fait son 500e match en Ligue Féminine à huis clos, elle a fait aussi sa dernière saison en Euroleague de cette manière. C’est dommage pour elle et j’ai un gros coup de cœur pour elle car elle méritait mieux, finir avec des salles pleines pour honorer ce qu’elle a été.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nJean-Pierre Siutat : On est tous très attristés par ce forfait de l’équipe espagnole. J’ai eu un appel cette nuit de Jorge Garbajosa, qui est le président de la fédération espagnole, qui m’a indiqué leurs difficultés liées à un cas Covid, au sein de leur staff. 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On va tout faire pour honorer ces rencontres et pourquoi pas en recaler le plus tôt possible une à Toulouse. On a fait le nécessaire avec la ligue régionale et les collectivités locales et je pense que les conditions étaient exceptionnelles pour l’accueil de la délégation.\\n\\nCéline Dumerc : Il y a énormément de déception quant à l’annulation de ces deux rencontres. Tout le groupe avait à cœur de jouer ces matches qui plus est sur une chaîne en clair. 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Ils sont disponibles dans leur intégralité, en live et en replay et sont tous commentés.\\n\\nPhoto: Speedy Smith et Jerry Boutsiele (Limoges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Mourad Boudjellal, futur propriétaire du Hyères Toulon Var Basket ?" }, {"role": "assistant", "content":"Après le club de rugby de Toulon, l’homme d’affaires Mourad Boudjellal est devenu l’actionnaire majoritaire du club de foot de Hyères, le HFC. Dans Var Matin, on a pu lire qu’il avait également un oeil sur le club de basket, le Hyères Toulon Var Basket, redescendu en Nationale 2.\\n\\n« C’est en bonne voie. Il y a de très bons dirigeants au HTV et de très bonnes bases. Et c’est un sport sain. N’oublions pas que si le club est descendu en N3, c’est en prenant un coup de poignard dans le dos. »\\n\\nEn fait, perclus de dettes, le HTV est passé en 2018 de la Pro A à la 5e division et ses droits sportifs ont été rachetés par le Paris Basketball.\\n\\n« Le club a un passé glorieux, avec des coaches qui ont fait des miracles et un vrai public basket. Il mérite de revenir au premier plan. »" }, {"role": "user", "content":"Brésil : A 28 ans, Lucas Nogueira met fin à sa carrière" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot brésilien, Lucas Nogueira (2,13m), est obligé à 28 ans de prendre sa retraite en raison de blessures diverses. Il a annoncé la nouvelle à travers une déclaration publiée sur son compte Instagram.\\n\\n« Écrire cette note est très difficile pour moi, car le basket a toujours fait partie de ma vie. J’ai eu des moments très heureux, mais aussi de nombreux moments tristes. Certes, les moments les plus tristes ont été ceux qui m’ont forcé à m’éloigner des terrains à cause des blessures. J’ai toujours su que retourner sur les terrains après deux ans sans jouer serait très difficile. Un défi. Mais j’étais prêt à relever ce défi. Cependant, mardi dernier, cela s’est reproduit, alors j’ai pris la décision difficile de demander à quitter Basquete Cearense. Maintenant, je veux me reposer, être avec ma famille et penser à de nouvelles directions pour l’avenir.«\\n\\nNogueira avait vu sa carrière décoller à Estudiantes Madrid avant de jouer 141 matches aux Toronto Raptors de 2014 à 2018. Il était revenu en Espagne, à Fuenlabrada, avant de jouer au Bahreïn et d’essayer de se faire une santé dans son pays natal. 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Carl est un joueur expérimenté, international finlandais, qui va pouvoir encadrer nos jeunes JFL au sein du vestiaire et apporter ses multiples qualités sur le terrain.».\\n\\nSon parcours :\\n\\n2008-2010 Espoon Honka (Finlande)\\n\\n2010-2011 Frankfurt Skyliners (Allemagne)\\n\\n2011-2012 Helsinki Seagulls (Finlande)\\n\\n2012-2013 Tampereen Pyrintö (Finlande)\\n\\n2013-2014 Bisons Loimaa (Finlande)\\n\\n2014-2017 Helsinki Seagulls (Finlande)\\n\\n2017-2018 KK Darda (Croatie) – Utenos Juventus (Lituanie) – Helsinki Seagulls (Finlande)\\n\\n2018-2020 HydroTruck Radom (Pologne)\\n\\n2020-2021 Stal Ostrów (Pologne)" }, {"role": "user", "content":"Charles Kahudi (ASVEL) : Ce sera minimum 4 semaines d’absence" }, {"role": "assistant", "content":"« Touché aux côtes en toute fin de match face à l’Etoile Rouge de Belgrade vendredi dernier, Charles KAHUDI souffre d’une fracture des côtes et sera absent pour une durée de 4 semaines minimum. »\\n\\nC’est par ce bref communiqué que l’ASVEL officialise l’indisponibilité de son capitaine qui en Euroleague a assuré jusqu’ici 23 minutes en moyenne sur 22 matches pour 6,5 points et 2,3 rebonds. Seul David Lighty a été présent lors des 23 matches de la compétition.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: L’analyse de Bourg – Ljubljana dans La Récup" }, {"role": "assistant", "content":"Le Directeur sportif Frédéric Sarre et Luka Asceric sont les invités de « La Récup », qui revient sur la défaite hier de la JL Bourg face à Ljubljana, 64-77, lors de la 4e journée du Top 16 de l’Eurocup, et qui sonne le glas des derniers espoirs de qualification des Bressans." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Les clubs vont demander une aide de l’Etat de 10-12M€ pour éviter des faillites" }, {"role": "assistant", "content":"Le basket espagnol se mobilise pour affronter une autre année qui va mettre les comptes dans le rouge en raison du Covid-19. Les clubs de l’ACB font face à un nouvel effondrement de leurs revenus en 2020-2021 en raison de l’absence de public dans les salles, ce qui cause un manque à gagner d’environ 20% dans les budgets. Aussi, ils vont demander au Conseil supérieur des sports (CSD) une aide directe comprise entre 10 et 12 millions d’euros pour éviter la faillite de nombre des équipes de la ligue.\\n\\n« Selon des sources d’un club historique de l’ACB, l’injection minimum requise par les clubs pour pouvoir faire face à la baisse des revenus de 2019-2020 et 2020-2021 se situe entre 500 000 euros et 600 000 euros », écrit le site spécialisé Palco23.\\n\\nLe président de Monbus Obradoiro, José Luis Mateo, se plaint du fait que le basket-ball est toujours comparé au football :\\n\\n« Il est normal que nous ayons une préoccupation plus grande que celle manifestée par le football, car aucun club de la Ligue Endesa n’a 90% de son budget couvert par les droits de télévision. Nous mettre dans le même sac lorsque nous abordons cette question ne montre qu’une ignorance absolue de ce secteur de la part des autorités politiques », affirme José Luis Mateo, qui critique également le fait que des milliers de spectateurs aient accès à un concert mais pas aux matches de la Ligue Endesa." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Tornike Shengelia blessé, le CSKA Moscou est dans le pétrin" }, {"role": "assistant", "content":"Le cas Mike James n’était pas encore réglé que le CSKA Moscou perdait pour le reste de la saison son intérieur serbe Nikola Milutinov, réputé pour sa capacité à aspirer les rebonds (8,6 de moyenne et 9,8 points).\\n\\nEt voici que c’est au tour de l’ailier-fort géorgien Tornike Shengelia (2,06m, 30 ans) de rejoindre l’infirmerie. Il s’est blessé au genou lors d’un match de VTB League que le club de la capitale russe, privé également de Will Clyburn, a perdu. Il s’agit de sa première défaite face aux Polonais de toute l’histoire.\\n\\nCe sont de nouveaux tests qui vont déterminer la durée de l’indisponibilité de Shengelia sachant que celui-ci vaut 10,8 points et 4,8 rebonds en Euroleague. En Euroleague où le CSKA (16-7) est maintenant devancé par le FC Barcelone 17-6) alors que Milan (15-7) a la possibilité de revenir à sa hauteur.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"JO Tokyo : Les Etats-Unis envisagent de se préparer à Las Vegas et veulent pouvoir changer de joueurs jusqu’au dernier moment" }, {"role": "assistant", "content":"Adversaires désignés de l’équipe de France aux JO de Tokyo, les Etats-Unis sont en train de planifier la création d’une bulle pré-olympique à Las Vegas où elles inviteraient l’Australie et l’Espagne, a déclaré le directeur général de USA Basketball, Jerry Colangelo, lors d’un entretien à ESPN.\\n\\nCe concept créerait un environnement dans lequel les joueurs pourraient limiter les déplacements et l’exposition possible au COVID-19 avant d’aller au Japon. Team USA envisage d’ouvrir le camp d’entraînement la semaine du 4 juillet, alors que les playoffs de NBA se poursuivront.\\n\\nPar ailleurs, USA Basketball a demandé aux autorités compétentes de pouvoir modifier les règles en matière de publication des rosters.\\n\\n« Habituellement, les listes doivent être établies plusieurs semaines à l’avance, mais les playoffs de NBA se déroulant jusqu’à trois jours avant que l’équipe américaine ne soit programmée pour son premier match olympique, Colangelo appelle à des changements. L’équipe américaine a demandé à autoriser les changements dans le roster même pendant les Jeux olympiques », écrit ESPN. « Ce que nous recherchons, c’est la flexibilité pour remplacer les joueurs très tardivement et pour obtenir les meilleurs joueurs sur le terrain. Cela ne s’applique pas seulement à nous mais à tous les pays, » estime Colangelo." }, {"role": "user", "content":"LFB : Elodie Naigre et Eziane Kalu vers Lattes-Montpellier" }, {"role": "assistant", "content":"C’est Le Télégramme qui l’annonce: en plus du coach Stéphane Leite, qui devrait y remplacer le Belge Thibaut Petit, deux joueuses de Landerneau devraient se diriger vers Lattes-Montpellier la saison prochaine.\\n\\nIl s’agit de l’intérieure Elodie Naigre (1,82m, 25 ans), qui réalise une saison époustouflante avec les Bretonnes (14,6 points, 7,2 rebonds et 2,9 passes) et de l’arrière Américano-Nigériane Eziane Kalu (1,73m, 28 ans, 15,8 points, 3,4 rebonds et 4,8 passes).\\n\\n« D’ailleurs, pour la succession du coach sur les bords de l’Elorn, il semblerait que Wani Muganguzi, assistant depuis deux saisons, tiendrait la corde pour le moment. Surtout après la probable prolongation à Charnay de Matthieu Chauvet, dont le nom avait circulé au LBB à l’annonce du départ de Stéphane Leite », ajoute le quotidien breton.\\n\\nPhoto: Landerneau BB" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Nanterre / Malaga (80-74) – Alpha Kaba : «La qualification, c’est dans les têtes de tout le monde «" }, {"role": "assistant", "content":"La victoire était quasiment obligatoire pour la JSF Nanterre si elle voulait conserver ses chances pour une qualification aux quarts-de-finale. Avec une solide prestation face à l’Unicaja Malaga ce mercredi soir, les hommes de Pascal Donnadieu se sont imposés dans le money-time (80-74) et se rapprochent du duo de tête, Monaco-Badalone.\\n\\nNanterre offre un premier quart-temps solide. Un ton au-dessus dans l’agressivité, la JSF pousse son adversaire du soir à la faute. Les Espagnols ne rentrent pas immédiatement dans la rencontre, notamment en raison de la pression défensive proposée par les franciliens. Cinq ballons perdus, six fautes d’équipe, cinq petits rebonds : Malaga ne trouve pas la solution. Nanterre mène logiquement 26-13 après dix minutes.\\n\\nMalaga le sait : une nouvelle défaite est synonyme d’élimination. Les joueurs de Fotis Katsikaris montrent alors un tout nouveau visage durant le second quart-temps. Nanterre va se faire punir avec un 14-3 de Malaga qui n’est plus qu’à quelques points d’égaliser. En panne et orpheline de son capitaine, Isaia Cordinier vissé sur le banc de touche avec 3 fautes, elle ne parvient pas à stopper l’hémorragie et rentre aux vestiaires avec un retard de 8 unités (36-42).\\n\\nConnus pour perdre pied durant le troisième quart-temps, les Andalous sont pourtant loin de craquer. Entre Malaga et Nanterre, le match s’est équilibré et les deux équipes se rendent coup pour coup, en plus de proposer un jeu plus net et propre avec des défenses appliquées et disciplinées. Pour valider son bon match Alpha Kaba ramène Nanterre à égalité sur un panier bonifié d’une faute à la fin du troisième quart temps (57-57).\\n\\nA l’entame du quatrième quart, Malaga est plutôt solide et les Nanterriens peinent à répondre aux assauts espagnols en plus d’accumuler des pertes de balles. Pascal Donnadieu décide de stopper une nouvelle fois l’hémorragie avec un temps-mort qui permet à son équipe de corriger le tir et de passer devant au score par Alpha Kaba qui terminera le match avec 21 points, 15 rebonds, 6/9 aux tirs et 9/12 aux lancers-francs pour 33 d’évaluation en 35 minutes de jeu ! Nanterre s’impose sur le fil (80-74) et peut encore rêver au Top 8.\\n\\nFotis Katsikaris (Coach Unicaja Malaga) : « Mon équipe a beaucoup de talent mais nous n’avons pas eu l’effort supplémentaire de tout le monde pour gagner. Nous avons eu des tirs ouverts à la fin et nous les avons tous manqués. Cela montre l’état psychologique de mon équipe en ce moment. Nous manquons de présence dans la peinture, de grands. On ne peut pas avoir trop d’attentes sur (Yanick) Nzosa même s’il a un grand potentiel, qu’il est très mature. »\\n\\nAxel Bouteille (Unicaja Malaga, 12 points ce soir) : “On est sur une grosse série de défaites. Dans les moments clefs, on ne met pas les shots qu’il faut mettre, on ne prend pas le rebond qu’il faut prendre et ça nous fait mal. Aujourd’hui on est dans le match jusqu’à la fin mais ça ne suffit pas. On est tout le temps dans les matchs mais il manque toujours quelque chose. On n’arrive pas à jouer un bon basket sur 40 minutes. »\\n\\nAlpha Kaba (Nanterre 92) : C’est une grosse équipe en face. Ils sont repassés à +8. Nous voir réagir comme ça et c’est bien. On a la capacité de le faire. Mon rôle c’est d’apporter de l’intensité, défendre et prendre des rebonds. Tout le monde a apporté. On n’a pas lâché. On va essayer d’aller chercher chaque match. Il n’y a rien d’inaccessible. On a une bonne cohésion d’équipe en ce moment. La qualification on en parle, c’est dans les têtes de tout le monde. Pour le mental et pour l’équipe, c’est un très bonne chose. J’essaie d’apporter ce que je sais faire, comme tout le monde dans cette équipe. On va aller chercher chaque match à présent. On a une équipe taillée pour.”\\n\\nPascal Donnadieu (Coach Nanterre 92) : » Je suis satisfait de laisser cette équipe de Malaga à moins de 80 points. On a remis les joueurs au niveau depuis plusieurs semaines. On a travaillé les aspects offensifs pour gagner en fluidité. Isaia (NDLR : Cordinier) est redevenu humain ce soir, c’est bien de gagner quand il est peu moins bon offensivement (8 points à 2/8), mais il reste très impactant défensivement. On ne se fixe pas de limites. Mais on sait très bien que Badalona et l’ASM sont en ballotage favorable mais la Jeep Elite est notre pain quotidien et c’est là qu’on doit performer. Ce Top 16, ce sont des matchs d’un niveau relevé. Je suis content de ce qu’on propose avec une effectif jeune. Battre Malaga deux fois, c’est une performance. Si nous devons sortir de la compétition honorablement, nous aurons quand même proposé des matchs intéressants. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Alpha Kaba (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Le jeu international au fil du temps : davantage de passes décisives, moins de balles perdues et de points des intérieurs..." }, {"role": "assistant", "content":"Le rapport d’analyse descriptive de la FIBA 2020, développé par la Fédération Internationale et l’Association mondiale des entraîneurs de basketball (WABC), a été publié.\\n\\nCe rapport analyse les équipes et les joueurs individuellement lors des derniers événements de la FIBA au niveau international. Grâce à la collaboration avec la NBA, une analyse comparative avec les analyses WNBA et NBA a également été incluse.\\n\\nL’objectif de ce rapport est de fournir un aperçu général des indicateurs de performance clés dans les Coupes du monde U17 et U19 masculin et féminin, les Coupes du monde FIBA senior masculin et féminin et les tournois olympiques masculins et féminins.\\n\\nCertains des principaux points saillants du rapport sont les suivants:\\n\\nLes tentatives en trois points continuent d’augmenter dans les matches des jeunes et des seniors\\n\\nIl y a eu une tendance croissante dans presque toutes les formes de compétition internationale en ce qui concerne le nombre de tentatives à trois-points par match. Il y a eu une légère augmentation aux Jeux olympiques masculins de 22,6 en 2008 à 23,4 en 2016, les playoffs de la NBA étant désormais plus conformes à ces chiffres qui sont passés de 14,7 en 2008 à 21,5 en 2016.\\n\\nLes Coupes du monde masculines et féminines U19 ont connu une augmentation du nombre de tentatives à trois-points au cours des cinq dernières éditions, tandis que le pourcentage de trois-points était à son plus haut niveau aux Jeux olympiques féminins de 2016, bien que les tentatives aient fluctué.\\n\\nDes pourcentages de réussite aux tirs supérieurs au niveau de l’élite\\n\\nLe pourcentage global en tirs du champ, qui prend en compte les différentes valeurs des tentatives de placement à deux et trois-points, lors de la Coupe du monde 2019 était exactement le même que lors des playoffs de la NBA 2019, à 50,9% après avoir constaté des différences minimes. en faveur de la compétition FIBA en 2010 et 2014.\\n\\nLe pourcentage global des tirs du champ a également augmenté aux Jeux olympiques féminins et en playoffs de la WNBA, les chiffres étant à leur plus haut niveau en 2016 par rapport aux éditions précédentes en 2008 et 2012.\\n\\nLa répartition des points par poste évolue\\n\\nLe pourcentage de points marqués à la fois par les arrières et les joueuses du périmètre lors de la Coupe du monde fémiine est passé de 33,1% en 2010 à 50,5% lors de la dernière édition de 2018, tandis que le pourcentage de points marqués par les intérieures est passé de 66,9% à 49,4%. .\\n\\nBien que ce pourcentage ait été plus constant lors de la Coupe du monde masculine, une augmentation du pourcentage de points marqués par les joueurs dans les positions du périmètre a également été enregistrée. En 2019, les joueurs du périmètre représentaient 28,4% de tous les points marqués, contre 17,2% en 2010.\\n\\nDavantage de passes décisives, moins de balles perdues\\n\\nLe nombre de passes décisives aux Jeux olympiques masculins a continué d’augmenter, passant de 13,4 en 2008 à 17,2 en 2012 et 19,7 lors de la dernière édition en 2016.\\n\\nPendant ce temps, lors de la Coupe du monde féminine U17, les balles perdues ont baissé avec une diminution progressive dans chacune des quatre dernières éditions, passant de 20,4 en 2012 à 17,8 en 2018.\\n\\nAugmentation du nombre de matchs serrés à la Coupe du monde masculine\\n\\nParmi les trois dernières Coupes du monde, l’édition 2019 a vu le pourcentage le plus élevé de matchs serrés – décidés par six points ou moins – avec 34,9% des 92 matchs totaux, tout en enregistrant également une baisse du pourcentage de matchs gagnés / perdus par plus de 14 points.\\n\\nLe rapport en anglais est ICI.\\n\\nPhoto: Argentine-France (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Layshia Clarendon, star de la WNBA, après son ablation des seins : « Je me sens libre »" }, {"role": "assistant", "content":"Layshia Clarendon (29 ans, 1,75m), meneuse du New York Liberty, ressent une « euphorie de genre » après avoir retiré ses seins.\\n\\n« La liberté, enfin. » Nommée parmi les 50 héros LGBTQ + se battant pour l’égalité par le magazine Queerty, Layshia Clarendon a souhaité partager son expérience. La meneuse, qui s’identifie comme transgenre et non binaire, a reçu une opération des seins le 13 janvier dernier. La star de la WNBA l’a annoncé sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Il est difficile de mettre des mots sur la sensation de voir ma poitrine pour la première fois sans seins, de voir ma poitrine comme je l’ai toujours vue et de ressentir un sentiment d’euphorie de genre [...]. Je n’ai généralement pas peur de partager des nouvelles publiquement, mais la quantité de haine, de mythes et d’ignorance entourant l’existence des personnes transgenres et non binaires m’a fait débattre du partage de cette joie. Je veux que les personnes trans sachent et voient que nous avons toujours existé et que personne ne peut nous effacer. Je veux que les gens se souviennent que ma liberté est votre liberté parce qu’aucun de nous n’est libre tant que nous ne sommes pas tous libres. »\\n\\n\\nI’m usually not scared to share news publicly but the amount of hate, myths & ignorance actually had me debating sharing this joy. I had Top Surgery! I’m feeling free & euphoric in my body & want Trans people to know and see that we’ve always existed & no one can erase us! 🏳️\u200d⚧️✊🏽❤️ pic.twitter.com/6ERDPoQGwb\\n\\n— Layshia Clarendon (@Layshiac) January 29, 2021\\n\\n\\nLayshia Clarendon franchit ainsi une nouvelle étape dans la lutte pour la reconnaissance des droits et de la visibilité des personnes transgenres. La franchise du New York Liberty soutient d’ailleurs pleinement sa joueuse et « son choix de vivre de manière authentique ».\\n\\n« Le Liberty a été et continuera d’être une organisation qui célèbre l’individualité de tous. 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Après les « pires affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus – voici les moins bonnes affaires JFL par poste.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès nous être intéressés aux joueurs qui, tous postes et toutes nationalités confondus, constituaient ce que nous avons qualifié de « plus mauvaises affaires » de la Jeep Élite, nous nous concentrons aujourd’hui sur les « Flop5 » par poste de jeu, en commençant par les JFL (les non-JFL seront abordés dans un article ultérieur). Pour définir ces Flop5, comme à l’habitude, nous avons établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. Et un joueur à l’évaluation faiblarde peut faire figure de « mauvaise affaire » du fait d’un temps de jeu réduit (nous avons cependant décidé de ne retenir que les joueurs passant plus de 10 minutes par match sur le terrain, ce qui a éliminé quelques Espoirs entrés de manière sporadique sur le terrain).\\n\\nCela étant dit, il est clair que d’être bien payé dans un club de haut de tableau et bénéficiant d’un gros budget « aide » sérieusement à se retrouver dans nos différents Flop5. Ainsi, sur les 25 joueurs recensés ici, 17 évoluent pour LDLC Asvel (6 joueurs), Monaco (4) et Boulogne-Levallois (3), soient les trois plus gros budgets et les trois plus importantes masses salariales du championnat. À l’autre bout du spectre, Roanne (14e masse salariale) voit deux de ses joueurs recensés dans nos Flop5, la faute à leur rendement limité, même comparé à un salaire peu élevé. Poste par poste, voici ces Flop5 :\\n\\nSur le poste 1\\n\\nSi Antoine Diot et David Michineau se retrouvent dans ce Flop5, c’est surtout lié au fait qu’ils bénéficient d’un salaire important tout en n’étant pas forcément titulaire de leur poste, d’où des statistiques loin d’être mirobolantes. Mais ils restent malgré tout des joueurs de haut niveau et ne sont pas de « mauvaises affaires ». Le cas de Rémi Lesca et de Ludovic Beyhurst est radicalement différent : ces deux meneurs, s’ils sont aussi des remplaçants dans leur club, touchent un tout petit salaire et, de surcroît, leurs stats sont faiblichonnes – Beyhurst peut même être considéré comme une déception, lui qui avait tant épaté à Limoges la saison passée. Cela étant, eux non plus ne sont pas vraiment de « mauvaises affaires », ils sont à peine mieux rémunérés que certains Espoirs. Enfin, Antoine Eito se situe pratiquement à mi-chemin entre les deux précédents duos, étant plutôt bien payé, proposant de bonnes stats (les meilleures de ce Flop5), mais pas suffisantes pour concurrencer les meilleurs rapports statistiques-salaire de notre étude.\\n\\nClubNomSalaire annuelEvalRatioAntoine DiotAsvel200 000,00 €6,53,25Rémi LescaPau45 000,00 €2,04,44David MichineauBoulogne150 000,00 €7,95,27Ludovic BeyhurstLimoges48 000,00 €2,75,63Antoine EitoLe Mans130 000,00 €8,56,54\\n\\nSur le poste 2\\n\\nHormis Thomas Ville, fidèle roannais restant à un salaire proportionnel à ses stats, les principales mauvaises affaires sur le poste d’arrière sont des joueurs plutôt bien payés. Bastien Pinault, malgré un salaire confortable, est un remplaçant dont le temps de jeu fluctue selon le rendement du titulaire du poste. Abdoulaye Ndoye, lui, a du mal à confirmer au sein de l’armada monégasque ses prestations choletaises : surtout utilisé pour ses qualités défensives, son manque de responsabilisation en attaque (et une adresse en berne, 39,5 % aux tirs) entraîne un ratio évaluation/salaire pas bien reluisant. La remarque est à peu près la même pour Lahou Konaté, principalement utilisé en tant que chien de garde défensif (3,2 tirs par match en 22,2 minutes). Quant à Pape Sy, guère épargné par les blessures ces dernières saisons, son salaire décroît (180 000 € en 2017 à Strasbourg, 140 000 € la saison passée à Gravelines) pratiquement en parallèle de ses prestations.\\n\\nClubNomSalaire annuelEvalRatioBastien PinaultBoulogne120 000,00 €3,63,00Abdoulaye NdoyeMonaco160 000,00 €6,33,94Lahaou KonatéBoulogne160 000,00 €7,44,63Pape SyBCM110 000,00 €5,65,09Thomas VilleRoanne55 000,00 €3,05,45\\n\\nSur le poste 3\\n\\nComme sur le poste de meneur, les ailiers membre de notre Flop5 doivent pour certains (Charles Kahudi, William Howard) leur présence à leur salaire plus que confortable dans une équipe où la concurrence sévit, pour d’autres (Charles Galliou, Clément Cavallo) à des prestations très mitigées ou surtout axées sur l’aspect défensif (qui ne se reflète pas vraiment dans les stats). Quant à l’inusable Mickaël Gelabale, il offre toujours un rendement satisfaisant, mais comme son salaire reste inchangé alors que ses stats baissent, il se retrouve à entrer dans notre Flop5...\\n\\nClubNomSalaire annuelEvalRatioCharles KahudiAsvel275 000,00 €5,82,11Charles GalliouDijon55 000,00 €2,24,00William HowardAsvel180 000,00 €9,55,28Clément CavalloRoanne75000,00 €4,05,33Mickaël GelabaleChalon130 000,00 €7,96,08\\n\\nSur le poste 4\\n\\nComme les autres gros salaires de Lyon-Villeurbanne (en somme tous ses joueurs pro sauf Matthew Strazel), Guerschon Yabusele et Amine Noua se retrouvent en lice pour un Flop5 alors même qu’ils réalisent de bonnes prestations, entre 11,7 et 12,3 d’éval. Hugo Invernizzi, statistiquement rentable à Limoges, est dans la même lignée par « la faute » d’un salaire replet. Pour Damien Inglis, l’interprétation brute pourrait être douloureuse : il est passé de 85 000 € et 13,0 d’éval la saison passée à Strasbourg à 6,4 cette saison avec une belle augmentation. Mais ce constat est à nuancer par le fait que l’ailier-fort a quitté une place de titulaire (à 26 mn/match) pour une autre de remplaçant (à 14 mn). Et Inglis a bien hissé son niveau de jeu depuis que l’autre poste 4 de Monaco, Darral Willis, a quitté le club. Enfin, Ivan Février semble avoir quelques difficultés à s’adapter au jeu nanterrien et son adresse en souffre – ainsi que son éval par voie de conséquence. Et même si son salaire n’est pas énorme, son ratio éval-salaire n’est évidemment pas reluisant.\\n\\nClubNomSalaire annuelEvalRatioGuerschon YabuseleAsvel300 000,00 €12,34,10Damien InglisMonaco120 000,00 €6,45,33Ivan FévrierNanterre75 000,00 €4,76,27Amine NouaAsvel180 000,00 €11,76,50Hugo InvernizziLimoges140 000,00 €10,47,43\\n\\nSur le poste 5\\n\\nUne fois n’est pas coutume, ce n’est pas un gros salaire qui figure en tête de ce Flop5, mais un pivot en fin de carrière, relevant de blessure et arrivé au Mans en tant que troisième option au poste de pivot (derrière Ovie Soko et Iggy Mokevicius). D’où un temps de jeu limité, et une faible adresse qui contribue à une toute petite éval. Pour sa part, Ousmane Camara, dont les stats déclinent régulièrement depuis cinq ans, ne justifie pas la (petite) hausse de salaire qu’il a connue. Quant à Wilfried Yeguete, Mous’ Fall et Mathias Lessort, ils rejoignent le fort contingent de joueurs de ce Flop5 y devant leur présence à leur haut salaire.\\n\\nClubNomSalaire annuelEvalRatioAlain KoffiLe Mans78 000,00 €1,31,67Ousmane CamaraChalon144 000,00 €6,14,24Wilfried YegueteMonaco185 000,00 €8,34,49Moustapha FallAsvel300 000,00 €13,74,57Mathias LessortMonaco250 000,00 €14,35,72\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès nous être intéressés aux joueurs qui, tous postes et toutes nationalités confondus, constituaient ce que nous avons qualifié de « plus mauvaises affaires » de la Jeep Élite, nous nous concentrons aujourd’hui sur les « Flop5 » par poste de jeu, en commençant par les JFL (les non-JFL seront abordés dans un article ultérieur). 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Dans la colonne des passifs financiers, il y a 308 710 euros à court terme, correspondant à la subvention accordée par l’Institut insulaire des sports de Gran Canaria avec régularisation en 2020-2021.\\n\\nGran Canaria est actuellement engagé dans le Top 16 de l’Eurocup (0 victoire, 3 défaites) et positionné à la 14e place de la Liga Endesa (7-14).\\n\\nPhoto: AJ Slaughter (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"FIBA Europe Cup : Les 8e de finale ont été dévoilés" }, {"role": "assistant", "content":"Les duels de huitièmes de finale de la FIBA Europe Cup ont été tirées au sort au siège du Bureau régional de la FIBA Europe à Munich.\\n\\nÀ la fin de la saison régulière, les deux meilleurs clubs de chacun des six groupes, ainsi que les quatre meilleures équipes classées en troisième position, se sont qualifiés pour les playoffs, les 16 clubs qualifiés étant divisés en équipes classées et non classées.\\n\\nLe tirage au sort a été effectué avec la restriction que les équipes du même groupe de saison régulière ne peuvent pas être tirées les unes contre les autres.\\n\\nLes huitièmes de finale sont les suivants:\\n\\nPaire 1: BC CSU Sibiu v UNAHOTELS Reggio Emilia\\nPaire 8: BC Dnipro v CSM CSU Oradea\\n\\nPaire 4: BC Prometey v Belfius Mons-Hainaut\\nPaire 5: Arged BMSLAM Stal v Heroes Den Bosch\\n\\nPaire 2: Fribourg Olympic v BC Balkan\\nPaire 7: BC Parma v Rilski Sportist\\n\\nPaire 3: Iraklis BC v Anwil\\nPaire 6: Ironi Ness Ziona v BC Kyiv Basket\\n\\nLes huitièmes de finale et les quarts de finale se joueront par élimination simple dans quatre hubs de quatre équipes chacun, selon la tranche des barrages, du 23 au 25 mars.\\n\\nLes hôtes des quatre hubs des huitièmes de finale et des quarts de finale seront annoncés ultérieurement.\\n\\nLa saison de FIBA Europe Cup se terminera par un Final Four en avril." }, {"role": "user", "content":"Australie : 9 joueurs NBA dont Ben Simmons dans la pré-sélection pour les JO" }, {"role": "assistant", "content":"Les trois fois olympiens Joe Ingles (Utah Jazz) et Patty Mills (San Antonio Spurs) ainsi que le double All-Star NBA Ben Simmons (Philadelphia 76ers) sont en tête de la liste des 24 joueurs australiens qui sont dans la pré-sélection pour les JO de Tokyo 2021.\\n\\nL’équipe olympique des Boomers comprend sept joueurs qui ont participé aux Jeux olympiques de Rio 2016: Ingles, Mills, Aron Baynes (Toronto Raptors), Ryan Broekhoff (agent libre NBA), Matthew Dellavedova (Cleveland Cavaliers), Chris Goulding (Melbourne United) et Brock Motum (Galatasaray, Turquie).\\n\\nCinq joueurs sont appelés pour la première fois en équipe nationale A : Josh Green (Dallas Mavericks), Will McDowell-White (Rio Grande Valley Vipers), Will Magnay (New Orleans Pelicans), Duop Reath (Etoile Rouge Belgrade, Serbie) et Matisse Thybulle (76ers de Philadelphie).\\n\\nAu total, l’équipe australienne comprend 12 joueurs ayant une expérience de la NBA, dont 9 sont actuellement dans les rosters.\\n\\nLes Boomers se rendront à Tokyo pour obtenir leur toute première médaille aux Jeux Olympiques et le feront sous la tutelle de Brian Goorjian, qui paricipera cette année à ses troisièmes Jeux Olympiques en tant que head coach des Boomers.\\n\\nEn annonçant l’équipe olympique pour les Jeux olympiques de Tokyo, Goorjian a déclaré:\\n\\n«C’est une équipe bien équilibrée, sélectionnée par poste, avec un bon mélange d’expérience couplée à de nombreux nouveaux joueurs talentueux. Ce sont nos 24 meilleurs joueurs disponibles et elle comprend une représentation significative de la NBL, montrant la force de notre ligue locale où le niveau de compétition est reconnu dans le monde entier. J’ai parlé à chaque joueur au cours des quinze derniers jours et j’ai été extrêmement impressionné, par leur désir irrésistible de jouer pour l’Australie à Tokyo. »\\n\\nL’un des joueurs qui manquera à l’équipe qui se rendra à Tokyo est la légende Andrew Bogut, qui a annoncé sa retraite en décembre.\\n\\n«Ma dernière expérience avec les Boomers a eu lieu aux Jeux olympiques de Pékin en 2008 quand Andrew Bogut faisait partie de l’équipe et il est étonnant de voir à quel point la culture verte et or a pris de l’importance pour les joueurs depuis lors», a expliqué Goorjian.\\n\\nLes Jeux olympiques de Tokyo 2020 seraient les quatrièmes Jeux pour Patty Mills et Joe Ingles qui, dans un communiqué conjoint, ont déclaré:\\n\\n«Nous sommes tous les deux ravis d’être à nouveau appelés dans l’équipe australienne des Boomers et nous sommes déterminés à diriger ce groupe à la fois expérimenté et rempli de jeunes talents à une médaille olympique insaisissable ».\\n\\nAprès avoir été appelé dans cette équipe, Ben Simmons a déclaré:\\n\\n«Ce serait un honneur incroyable de jouer pour mon pays. Je sais que les choses sont incertaines pour le moment, mais j’ai été en contact avec l’entraîneur Goorjian et nous espérons pouvoir rejoindre les Boomers.\\n\\n\\n\\nNuméro NomClub1Deng ADELFaucons (NBL)2Aron BAYNESToronto Raptors (NBA)3Ryan BROEKHOFFAgent libre NBA4Xavier COOKSSydney Kings (NBL)5Mitch CREEKSE Melbourne Phoenix (NBL)6Matthieu DELLAVEDOVACleveland Cavaliers (NBA)septDante EXUMHouston Rockets (NBA)8Josh GIDDEYAdélaïde 36ers (NBL)9Chris GOULDINGMelbourne United (NBL)dixJosh VERTDallas Mavericks (NBA)11Isaac HUMPHRIESAdélaïde 36ers (NBL)12Joe INGLESUtah Jazz (NBA)13Nick KAYReal Betis (Espagne)14Jock LANDALEMelbourne United (NBL)15Mitch McCARRONMelbourne United (NBL)16Will McDOWELL-WHITERio Grande Valley Vipers (G-L)17Will MAGNAYNew Orleans Pelicans (NBA)18Thon MAKERAgent libre NBA19Patty MILLSSan Antonio Spurs (NBA)20Brock MOTUMGalatasaray (Turquie)21Mitch NORTONPerth Wildcats (NBL)22Duop REATHEtoile Rouge Belgrade (Serbie)23Ben SIMMONSPhiladelphie 76ers (NBA)24Matisse THYBULLEPhiladelphie 76ers (NBA)\\n\\nPhoto: Ben Simmons" }, {"role": "user", "content":"3 x 3: La liste des sites des tournois Open Plus dévoilée" }, {"role": "assistant", "content":"La Fédération Française de BasketBall a dévoilé ce mercredi la liste des sites qui accueilleront les tournois Open Plus de la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF.\\n\\nDiscipline olympique pour la première fois aux Jeux de Tokyo cet été, le 3×3 est un axe de développement majeur de la Fédération dans le cadre de son plan FFBB 2024. Pour accompagner l’intérêt grandissant du 3×3 en France, la FFBB a décidé d’augmenter le nombre d’Opens Plus pour passer à 24 tournois répartis sur tout le territoire entre mai et juillet 2021. La Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF se conclura par l’Open de France 3×3 le weekend du 17 juillet (sous réserve de conditions sanitaires permettant l’organisation de compétitions sportives). Pour mémoire, lors de la saison 2019, près de 200 équipes féminines et masculines avaient participé aux 17 Opens Plus organisés à travers la France.\\n\\nChaque Open Plus est ouvert à tous les licenciés FFBB et aux titulaires d’une Licence Superleague. 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La fédération espagnole a en effet prévenu la FFBB dans la nuit de mardi à mercredi, que l’un des membres de son staff venait d’être testé positif à la COVID-19 et que l’ensemble de l’équipe espagnole était donc placé à l’isolement.\\n\\n« C’est avec regret que la FFBB est donc dans l’obligation d’annuler ces deux matches, initialement prévus vendredi 5 et dimanche 7 février, afin de ne faire prendre aucun risque aux joueuses et au staff de l’Équipe de France mais aussi aux organisateurs et bénévoles présents au Palais des Sports de Toulouse », écrit la fédération dans un communiqué.\\n\\nLa sélection espagnole 3X3 qui était logée dans le même hôtel et qui devait participer à un tournoi international avec l’Équipe de France 3X3 à l’Insep en fin de semaine, est aussi placée à l’isolement et ne participera donc pas à ce tournoi.\\n\\n« Le président de la FEB, Jorge Garbajosa, a tenu à remercier la Fédération française à la fois pour les facilités offertes lors de la planification de ces matches, ainsi que pour la compréhension démontrée avant l’annulation qui doit maintenant être décidée », écrit pour sa part la fédération espagnole dans un communiqué.\\n\\nPhoto: Marine Johannes (FFBB)" }, {"role": "user", "content":"5 joueuses de Ligue Féminine dans la pré-sélection du Canada" }, {"role": "assistant", "content":"Moins de six mois avant l’ouverture des Jeux olympiques de Tokyo, l’équipe féminine du Canada est toujours obligée d’organiser ses camps d’entraînement... en ligne.\\n\\nVingt joueuses ont été sélectionnées pour « l’événement virtuel » de cette semaine dont cinq joueuses de Ligue Féminine: Miranda Ayim (Basket Landes), Sami Hill (Nantes-Rezé), Nayo Raincock-Ekunwe (Lyon), Jamie Scott (Tarbes) et Kim Gaucher (Mondeville, L2) qui est pourtant... enceinte. 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Canada Basketball devrait organiser un camp d’entraînement à Edmonton avant les Jeux de Tokyo.\\n\\n * Natalie Achonwa, ailière, Minnesota Lynx (WNBA) / Famila Schio (Italie).\\n * Kayla Alexander, ailière, Minnesota Lynx (WNBA) / Mithra Castors Braine (Belgique).\\n * Laeticia Amihere, ailière, South Carolina (NCAA).\\n * Miranda Ayim, ailière, Basket Landes (France).\\n * Bridget Carleton, arrière, Minnesota Lynx (WNBA).\\n * Shay Colley, arrière.\\n * Quinn Dornstauder, centre, Cadi La Seu (Espagne).\\n * Aaliyah Edwards, arrière, UConn (NCAA).\\n * Nirra Fields, arrière, Anatalya 07 (Turquie).\\n * Kim Gaucher, arrière, USO Mondeville (France).\\n * Ruth Hamblin, centre, Politechnika Gdanska (Pologne).\\n * Sami Hill, arrière, Nantes Reze Basket (France).\\n * Aislinn Konig, arrière, Fribourg (Suisse).\\n * Miah-Marie Langlois, arrière.\\n * Kia Nurse, arrière, New York Liberty (WNBA).\\n * Shaina Pellington, arrière, Arizona (NCAA).\\n * Daneesha Provo, arrière, Eisvogel Freiburg (Allemagne).\\n * Nayo Raincock-Ekunwe, ailière, Lyon ASVEL (France).\\n * Merissah Russell, arrière, Louisville (NCAA).\\n * Jamie Scott, arrière, Tarbes (France).\\n\\nPhoto: Nayo Raincock-Ekunwe (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vincent Collet et Valérie Garnier : «L’esprit olympique c’est d’y aller pour monter sur le podium»" }, {"role": "assistant", "content":"Les deux entraîneurs de l’équipe de France, Valérie Garnier et Vincent Collet, ont donné à distance une visioconférence commune. Ça tombe bien : les deux équipes auront aux Jeux Olympiques de Tokyo les Etats-Unis comme adversaire et une ambition de médaille.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQu’est-ce que vous inspire ce tirage au sort ?\\nValérie Garnier : On l’a bien sûr suivi en direct avec mes assistants. C’est un groupe qui nous apparaît fort, épineux même. Il y a deux facettes. Celle d’être avec les USA, qui dominent le basket féminin mondial, ce qui fait qu’on ne pourra pas les rencontrer en quarts-de-finale. La deuxième réflexion, c’est que c’est un groupe fort car les équipes se rapprochent les unes des autres. Le Japon, c’est le pays hôte avec l’incertitude liée au public. Il ne faut pas oublier que le Nigéria a fini 8e du dernier championnat du monde, qu’il a fait -5 face aux USA au dernier TQO. On sait que si l’on termine 2e, il y aura des histoires de point average. Dans ce groupe les équipes sont proches les unes des autres comparé aux autres groupes avec la Corée et Porto-Rico, qui risquent de prendre des écarts importants.\\n\\nVincent Collet : La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’en ayant les Américains dans notre poule, on ne peut pas les jouer, en cas de qualification, en quart-de-finale dans le deuxième tirage au sort. De même, les deux meilleures troisièmes ne peuvent pas affronter une équipe présente dans leur groupe. Ça c’est la bonne nouvelle. Il faut savoir qu’avant ce tirage au sort, on savait que l’Argentine jouerait avec l’Espagne. Aussi, soit nous étions avec l’Australie, soit avec les Américains. On peut bien sûr penser que pour ces Jeux, ils vont faire une armada et ils sont les indiscutables favoris, aussi bien dans le basket masculin que féminin. Malgré tout, si nous étions avec l’Australie, c’est une équipe que l’on sait redoutable avec pas du tout une évidence qu’on les batte, et on avait le risque de croiser les Américains en quart-de-finale. De ce point de vue-là, on peut plutôt être satisfait. Si on passe au chapeau 3, clairement, je ne suis pas très content de ce tirage, même si c’est difficile d’en parler aujourd’hui car les TQO n’auront lieu que du 29 juin au 4 juillet, et on ne sait pas comment les meilleures équipes auront récupéré leurs joueurs NBA. Je rappelle que la demi-finale de Conférence NBA se termine le 18 juin et que la finale de Conférence peut aller jusqu’au 6 juillet. Cela veut dire que les Bucks, qui peuvent aller loin, pourraient priver Giannis Antetokounmpo de ce TQO. Au même titre que certains Canadiens même si la plupart sont dans des équipes qui ont peu de chances d’aller loin. Mais, pour mémoire, le Canada, c’est quand même Jamal Murray (Denver Nuggets), Corey Joseph (Sacramento Kings), Shai Gilgeous-Alexander, qui joue avec Théo Maledon à Oklahoma et qui met 20 points, 6 rebonds, 6 passes, Dillon Brooks, 15 points à Memphis, Andrew Wiggins, 18 aux Warriors, RJ Barrett, 19 aux Knicks assortis de 7 rebonds, Brandon Clarke, 13 points et 7 rebonds aux Grizzlies, Dwight Powell 10 aux Mavs. Heureusement, Tristan Thompson ne joue plus beaucoup aux Cavs, et Kelly Olynik, la même chose. Vous rajoutez Khem Birch (Orlando Magic), Chris Boucher qui met quand même 17 et 8 aux Toronto Raptors, des joueurs en Europe qui ne sont pas mauvais comme Kevin Pangos du Zenit Saint-Petersbourg, et vous allez là une possible potentiel armada. Ce n’est pas du tout sûr que ces joueurs soient au TQO mais c’est possible. Dans ce cas, on peut dire que l’on est tombé dans un groupe très difficile. J’aimerais bien être 2e, mais il faut envisager de se battre pour simplement notre qualification. Il faudra jouer tous nos matches à fond. Notre 3e adversaire (l’Iran), il faudra le respecter, le battre, et certainement par une marge importante pour prétendre à cette qualification. On savait qu’avec ce nouveau format les groupes allaient tous être forts et le nôtre n’est pas le moins fort des trois.\\n\\n« On risque de commencer les JO avec 17 matches entre les matches de préparation, le championnat d’Europe, et les 2, 3, 4 matches que l’on va faire entre les deux »\\n\\nQue pensez-vous de la formule de la compétition, qui est raccourcie, et qui donne de l’importance à chaque match, avec le besoin d’être le meilleur 2e ou le meilleur 3e, qui impose d’avoir des compétences mathématiques ?\\n\\nVG : C’est quelque chose à prendre en compte. Après notre parcours européen, ça sera une bonne chose. Effectivement, ça oblige à des calculs et quand je dis que l’on a une poule complexe, c’est que je ne pense pas que les écarts seront importants. Les meilleurs 2e et 3e seront désignés au point-average et c’est pour ça que c’est compliqué. S’il y a des équipes plus faibles à envisager, c’est éventuellement la Corée et Porto-Rico qui sont dans les autres poules, et on peut penser que certaines équipes feront des écarts très importants. Nous, je le répète, le Nigéria était 8e à la Coupe du Monde, 4 joueuses renforcent nos équipes françaises, une autre qui a joué en Asie et à Galatasaray. A une époque, il y avait un gap très important avec les équipes africaines, ce n’est plus le cas. Le Japon c’est l’inconnu quoiqu’elles nous ont battus à un match de poule aux JO de 2016. Elles sont à -2 au dernier TQO contre le Canada et à -8 contre la Belgique. Elles ont une de leurs stars qui joue en WNBA, une meneuse de très haut vol, des joueuses extérieures shooteuses et très agressives. C’est un basket qui ne ressemble en aucun cas à la Chine, si ce n’est dans l’adresse. C’est un peuple qui s’inspire de ce qui se fait ailleurs, aux Etats-Unis, en France, en Espagne. Ils font un mixte qui en fait une équipe très dangereuse et ils l’ont prouvé sur les derniers résultats. Ça veut dire qu’il faudra faire attention au moindre point ou alors battre les trois équipes ! On va être effectivement dans un calcul. On risque de commencer les JO avec 17 matches entre les matches de préparation, le championnat d’Europe, et les 2, 3, 4 matches que l’on va faire entre les deux. On va être impacté donc que ce soit raccourci, c’est plutôt une bonne nouvelle. Comme le fait de ne pas avoir les Etats-Unis en quart-de-finale.\\n\\nVC : Bien évidemment que le format resserré donne de l’importance à chaque match. Pour l’équipe de France masculine comme la féminine, ça peut poser un problème car on est avec l’équipe favorite du tournoi. Comment seront-elles disposées dans les phases de poule ? Il faudra jouer ce match à 200% pour au moins limiter l’écart. Bien sûr, on les a battus il y a un an et demi mais ça sera dans une autre configuration. On doit se préparer à un match particulièrement difficile car ils seront certainement revanchards. On sait déjà que les matches contre le Canada et l’Iran seront les plus décisifs. Je mets une croix sur le match contre le Canada, il faut que l’on arrive à les battre pour passer dans les meilleures conditions. La suite de la compétition, ce sont les trois premiers avec les meilleurs deuxièmes qui sont dans un chapeau avec tirage au sort contre les quatre autres équipes. Clairement, la position de meilleur deuxième est intéressante, mais elle est forcément plus difficile à atteindre quand tu joues contre les Américains qu’une autre équipe potentiellement première. Il faut garder notre confiance et maintenir notre ambition, aussi ce que je vois c’est que l’on ne jouera pas les Américains en quart-de-finale. Et contre n’importe quelle autre équipe du plateau, nous avons nos chances. Ça, c’est important.\\n\\nQuelle sera la préparation de l’équipe de France masculine ?\\n\\nVC : Elle n’est pas encore totalement arrêtée. Nous avons évoqué hier avec Patrick Beesley et Jacky Commères le fait d’accélérer le processus après la fenêtre du mois de février, du 15 au 23. Nous allons essayer à ce moment-là de finaliser cette préparation. Le tirage au sort avait de l’importance pour voir quelles équipes on va pouvoir solliciter pour trouver nos derniers matches. Pour l’instant, nous n’avons que deux matches prévus, contre l’Espagne, les 8 et 10 juillet. Avant le TQO, les équipes se prépareront entre elles, nous, on n’aura pas commencé notre préparation, et après il n’y a pratiquement pas d’équipes qui cherchent des matches sur la scène mondiale. Le Japon, qui joue avec l’Espagne, pourrait être un éventuel opposant (NDLR : le contenu de la préparation des deux équipes de France devrait être connue en mars).\\n\\nQuels sont les objectifs pour les deux équipes ?\\n\\nVG : On joue le Japon en match d’ouverture. J’ai le souvenir d’un championnat du monde en 2014 où on joue la Turquie en ouverture devant 10 000 personnes. Je ne sais pas comment ça va se passer au Japon. Ça veut dire que l’on sera dans la difficulté dès le premier match, ça va être dès le début un match capital, il va falloir être immédiatement prêt. Ce qui est bien c’est que l’on a à chaque fois deux jours de repos et de travail pour l’adversaire suivant. La première étape, c’est la qualification pour les quarts-de-finale. Ensuite, c’est d’atteindre le dernier carré tant désiré et quand on est dans le dernier carré, il ne faut pas laisser passer l’opportunité d’attraper une médaille.\\n\\nVC : L’objectif, c’est d’être sur le podium, même si c’est un objectif qui est très élevé par rapport à la concurrence que l’on peut découvrir et deviner. Bien sûr, sur la plus haute marche possible. Parfois en sport, il arrive des choses incroyables. Mais avant de penser à ça, comme l’a dit Valérie, il faut respecter les étapes. Il n’y a pas beaucoup d’écart entre être peut-être sur le podium et se faire éliminer de quelques points par rapport au groupe que l’on a. Si le Canada est au complet, sur le papier, ils n’ont rien de moins que nous, et ce que font leurs joueurs en NBA, c’est encore plus impressionnant que la troupe française. Il faut que l’on ait tout ça en tête. Ça ne doit pas nous empêcher de garder notre ambition. L’esprit olympique c’est d’y aller pour monter sur le podium. C’est notre objectif.\\n\\n« De toute façon, si tu veux aller sur le podium, il faut être dans les trois meilleurs et même si le groupe est difficile, il faut arriver à survivre »\\n\\nNos équipes de France ont parfois tendance à mieux s’exprimer quand l’adversité est plus grande. Or, ça sera le cas aux JO. Ça peut vous aider d’avoir une telle adversité ?\\n\\nVC : Je vais être honnête : quand j’ai vu le tirage ce matin à 11h, c’est l’une des premières choses que je me suis dit. A chaque fois que l’on a eu un groupe en apparence difficile, et c’était encore le cas à la Coupe du monde 2019, ça nous a servi. C’était la même chose en 2011. De toute façon, si tu veux aller sur le podium, il faut être dans les trois meilleurs et même si le groupe est difficile, il faut arriver à survivre.\\n\\nVG : Ce n’est pas que c’est plus facile pour l’entraîneur, mais quand on est dans la difficulté, les filles le savent, et de façon consciente ou inconsciente, elles sont parfois plus concernées. A partir du moment où l’on s’est fixé des objectifs très ambitieux pour les deux compétitions, il faut être en alerte. En alerte sur les basics défensifs, de replis, de rebonds, comme on a pu le faire au TQO 2020. Et là, on peut avoir une équipe très solide pour atteindre nos objectifs.\\n\\nVincent, que pouvez-vous nous dire sur l’Iran, qui est a priori l’équipe la plus faible ?\\n\\nVC : Sincèrement, je ne connais pas pour l’instant encore beaucoup l’Iran. On les a joués en 2014 à la Coupe du monde et on avait été surpris par leurs qualités de basket. C’était un coach serbe, le papa de Becirovic (NDLR : de son prénom Mehmed, « Memi ») qui la coachait. Il faudra les respecter dans un contexte différent car aux derniers Jeux, on avait battu assez facilement la Chine et le Venezuela et dès que l’on avait fait l’écart, on pouvait se relâcher, alors que là, on ne sera pas dans cette configuration, d’autant plus que c’est le 3e match et on saura ce qui s’est passé avant. Probablement que dans tous les cas de figure, il faudra jouer à fond ces 40 minutes. Bien sûr que l’on va maintenant se pencher sur leur composition d’équipe, on va essayer d’avoir un maximum d’infos sur leurs dernières compétitions.\\n\\nEt Valérie, sur le Nigeria ?\\n\\nVG : Si mes sources sont bonnes, le Nigeria a été en 2018 la première équipe africaine à rentrer dans le top 8 mondial. Elles ont perdu d’un point contre le Canada qui a fini 7e. C’est une équipe au dernier TQO qui n’a perdu que de 5 points contre les USA, 76-71. Comme je l’ai dit tout à l’heure, il y a 6 ou 7 joueuses qui renforcent des clubs européens. Ça en fait une équipe dangereuse et plus comme par le passé quand on jouait une équipe africaine.\\n\\nEquipe de France masculine :\\n\\n25 juillet : France – USA\\n\\n28 juillet : France – Vainqueur du TQO\\n\\n31 juillet : France – Iran\\n\\nEquipe de France féminine :\\n\\n27 juillet : France – Japon\\n\\n30 juillet : France – Nigeria\\n\\n2 août : France – USA\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nQu’est-ce que vous inspire ce tirage au sort ?\\nValérie Garnier : On l’a bien sûr suivi en direct avec mes assistants. C’est un groupe qui nous apparaît fort, épineux même. Il y a deux facettes. Celle d’être avec les USA, qui dominent le basket féminin mondial, ce qui fait qu’on ne pourra pas les rencontrer en quarts-de-finale. La deuxième réflexion, c’est que c’est un groupe fort car les équipes se rapprochent les unes des autres. Le Japon, c’est le pays hôte avec l’incertitude liée au public. Il ne faut pas oublier que le Nigéria a fini 8e du dernier championnat du monde, qu’il a fait -5 face aux USA au dernier TQO. On sait que si l’on termine 2e, il y aura des histoires de point average. Dans ce groupe les équipes sont proches les unes des autres comparé aux autres groupes avec la Corée et Porto-Rico, qui risquent de prendre des écarts importants.\\n\\nVincent Collet : La première chose qui me vient à l’esprit, c’est qu’en ayant les Américains dans notre poule, on ne peut pas les jouer, en cas de qualification, en quart-de-finale dans le deuxième tirage au sort. De même, les deux meilleures troisièmes ne peuvent pas affronter une équipe présente dans leur groupe. Ça c’est la bonne nouvelle. Il faut savoir qu’avant ce tirage au sort, on savait que l’Argentine jouerait avec l’Espagne. Aussi, soit nous étions avec l’Australie, soit avec les Américains. On peut bien sûr penser que pour ces Jeux, ils vont faire une armada et ils sont les indiscutables favoris, aussi bien dans le basket masculin que féminin. Malgré tout, si nous étions avec l’Australie, c’est une équipe que l’on sait redoutable avec pas du tout une évidence qu’on les batte, et on avait le risque de croiser les Américains en quart-de-finale. De ce point de vue-là, on peut plutôt être satisfait. Si on passe au chapeau 3, clairement, je ne suis pas très content de ce tirage, même si c’est difficile d’en parler aujourd’hui car les TQO n’auront lieu que du 29 juin au 4 juillet, et on ne sait pas comment les meilleures équipes auront récupéré leurs joueurs NBA. Je rappelle que la demi-finale de Conférence NBA se termine le 18 juin et que la finale de Conférence peut aller jusqu’au 6 juillet. Cela veut dire que les Bucks, qui peuvent aller loin, pourraient priver Giannis Antetokounmpo de ce TQO. 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Il a obtenu également avec 22 la meilleure évaluation du match.\\n\\n\\nMouhammadou Jaiteh en pleine bourre !\\n\\nMam’ Jaiteh a réalisé un gros match dans la victoire de Gaziantep chez le Fenerbahçe Istanbul. Le pivot français a cumulé 15 points (6/11 aux tirs), 12 rebonds et 6 passes décisives pour 23 d’évaluation en 36 minutes. Bien aidé par son trio d’américains Trevis Simpson (22 points à 6/10 à 3-points) – Kenny Hayes (20 points et 6 passes décisives) – Rashard Kelly (17 points, 7 rebonds et 3 passes décisives), Gaziantep a arraché sa neuvième victoire de la saison, en 19 rencontres. Mouhammadou Jaiteh, qui a fait l’objet d’une rumeur de contacts avec l’Anadolu Efes Istanbul plus tôt dans la semaine, continue sa très bonne saison en Turquie.\\n\\n\\nMalcom Cazalon continue son bonhomme de chemin\\n\\nAprès quelques sorties peu concluantes sous les couleurs du Mega Soccer Bet, Malcolm Cazalon commence à s’y imposer. L’arrière de 19 ans réalise une jolie performance face à l’Étoile Rouge de Belgrade en compilant 15 points, à 3/4 à trois points. Le Mega Soccer Bet s’incline (92-85) malgré le bon match de l’ancien de Villeurbanne et Bourg-en-Bresse.\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 2 points (1/2 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 5 rebonds, 1 passe, 3 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Défaite 80-81 face au real Madrid).\\n\\nLéo Westermann (Barça) : 9 points (3/7 aux tirs dont 3/6 à trois-points), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception et 2 ballons perdus pour 9 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Victoire 92-63 face à Murcie).\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 6 points (3/7 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 1 rebond, 3 passes, 1 ballon perdu pour 5 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Défaite 72-80 à Obradoiro)\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 3 points (1/4 aux tirs dont 1/3 à trois-points), 2 rebonds, 1 passe et 1 ballon perdu pour 2 d’évaluation en 16 minutes de jeu (Défaite 85-89 face à Valence).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 15 points (4/10 aux tirs dont 3/5 aux trois-points et 4/5 aux lancers-francs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception, 1 contre pour 22 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Victoire 81-80 face à Gran Canaria).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 12 points (5/6 aux tirs et 2/4 aux lancers-francs), 4 rebonds, 2 ballons perdus pour 11 d’évaluation en 18 minutes de jeu (Victoire 89-61 face à Saragosse).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : Blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 8 points (3/5 aux tirs dont 2/3 à trois-points), 3 rebonds, 1 interception, 1 contre et 1 ballon perdu pour 7 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 89-85 à Malaga).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : Pas de match.\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 10 points (5/7 aux tirs dont 0/2 à trois-points), 2 rebonds pour 9 d’évaluation en 12 minutes de jeu (Défaite 83-89 face à Tenerife).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : Pas de match.\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 7 points (3/5 aux tirs dont 0/1 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 interceptions, 2 passes pour 10 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 85-71 à Bnei Herzeliya).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 9 points (4/7 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 2 ballons perdus pour 9 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Défaite 87-90 à la Juventus Utenos).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 3 points (1/6 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 3 rebonds, 1 interception, 1 contre et 1 ballon perdu pour -1 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Victoire 105-99 à Šiaulai).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : Pas de match.\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : Pas de match.\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 11 points (3/6 aux tirs et 5/6 aux lancers-francs), 5 rebonds, 3 ballons perdus pour 10 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 110-91 à Radnički).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 15 points (6/7 aux tirs dont 3/4 à trois-points), 5 passes, 1 interception, 2 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Défaite 92-85 à l’Étoile Rouge de Belgrade).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 15 points (6/11 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs), 12 rebonds, 6 passes, 1 contre, 5 ballons perdus pour 23 d’évaluation en 36 minutes de jeu (Victoire 102-97 au Fenerbahçe).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 17 points (6/9 aux tirs dont 2/4 à trois-points et 3/6 aux lancers-francs), 8 rebonds, 2 contres, 1 interception, 1 passe, 4 ballons perdus pour 19 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 90-71 face au Tofas Bursa).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 16 points (6/10 aux tirs dont 3/4 à trois-points et 1/1 aux lancers-francs), 7 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 ballon perdu pour 20 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 100-76 à Bahçesehir Koleji).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 7 points (3/5 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 ballon perdu pour 6 d’évaluation en 13 minutes de jeu (Défaite 79-90 face à Armani Exchange Milan).\\n\\n6 points (3/4 aux tirs dont 0/1 à trois-points), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 8 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Défaite 74-76 face à Barcelone).\\n\\nPhoto d’ouverture : Malcom Cazalon (ABA Liga)" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Basketball Champions League, 6ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Ces deux dernières semaines, se déroulait la sixième et dernière journée de la saison régulière de la Basketball Champions League (BCL).\\n\\nLors de cette journée, les clubs français ont un bilan équilibré avec deux victoires et deux défaites.\\n\\nLa JDA Dijon se déplaçait à Nicosie pour y affronter le Keravnos. Le club bourguignon devait gagner pour avoir une chance de se qualifier mais il n’avait pas son destin entre les mains. Il devait de plus se passer des services de son ailier américain Jaron Johnson. Malgré cela, il n’y a eu aucun suspens. Le club chypriote a été limité à 23 points marqués sur les trois derniers quarts. Le club français s’impose au final 79-44. Le leader de l’équipe dijonnaise a été le belge Hans Vanwijn, décalé au poste d’ailier sur ce match et auteur d’un joli double-double (22 pts et 10 rbds). Sa performance lui permet d’être nommé MVP de la journée. Sa victoire ne sera pas suffisante pour se qualifier. L’élimination en saison régulière est une contre-performance pour l’équipe de Laurent Legname.\\n\\nCholet recevait l’Hapoel Holon. Le club des Mauges devait l’emporter pour avoir la possibilité de se qualifier. Il avait perdu le match aller de 10 points. Malheureusement, le club français n’a pas remporté un seul quart-temps et n’a jamais été en mesure de s’imposer. Il s’incline lourdement 89-71. L’équipe a été emmenée par un quatuor Maxime De Zeeuw-CJ Harris-Willy Workman-Tyrus McGee, auteur d’une évaluation cumulée équivalente à celle de Cholet. Du côté français, le jeune intérieur Yoan Makoundou s’est encore mis en valeur avec 27 d’évaluation en sortie de banc. Sa prestation lui vaut les honneurs de meilleur Sixième homme européen, de MVP français et de Rising Star. Les deux derniers lui sont attribués pour la seconde fois d’affilée. Il établit même le record d’évaluation pour un jeune joueur (moins de 22 ans) cette saison. Cholet est donc éliminée de la compétition.\\n\\nStrasbourg se déplaçait en Lituanie pour y affronter le Rytas Vilnius. C’était un match sans enjeu puisque Strasbourg avait verrouillé la première place du groupe et Rytas était déjà éliminé. Le club alsacien effectuait le déplacement sans Léopold Cavalière ni Yannis Morin. Strasbourg effectue un bon début de match et mène presque jusqu’à la mi-temps. A partir de là, le club de la capitale lituanienne prend les devants et les conservera jusqu’au bout. Rytas s’impose 81-77. Le leader de l’équipe victorieuse a été son pivot américain Keith Benson, auteur de 17 points à 6/8 et 9 rebonds.\\n\\nEnfin, Limoges recevait l’Hapoel Jerusalem à Beaublanc. Déjà éliminé, le club français était opposé à une équipe à la lutte pour la qualification. Au terme d’un match très disputé, les deux équipes sont à égalité à l’entrée de la dernière minute. Mais le CSP finit la rencontre sur un 7-2 et remporte 88-83 la dernière rencontre de sa saison européenne. L’équipe de Mehdy Mary a été emmenée par un quatuor composé de Jerry Boutsiele, Hugo Invernizzi, Nicolas Lang et Kenneth Smith, auteur d’une évaluation presque au même niveau que celle de l’Hapoel. Le meneur américain est même le meilleur passeur de la journée avec 13 unités. Suite à cette défaite, l’Hapoel Jerusalem est éliminée elle aussi.\\n\\nDans le groupe A, le match le plus important opposait Galatasaray à Sassari. L’équipe sarde se qualifiait pour le Top 16 en cas de victoire. Elle était privée pour cette rencontre d’Ethan Happ et de Vasilije Pusica alors que l’équipe stambouliote devait se passer d’Alex Hamilton et Assem Marei. Sassari a bien contrôlé le match et remporte les trois premiers quart-temps. Il gagne la rencontre 92-81 et s’assure la qualification. L’équipe de Gianmarco Pozzecco a été emmenée par un duo Marco Spissu-Eimantas Bendzius, qui a obtenu une évaluation cumulée de 51. Le premier est le meilleur meneur de la journée alors que le second est le meilleur intérieur européen.\\n\\nDans l’autre match, les Bakken Bears recevaient Tenerife. La victoire de Sassari met le club danois hors course pour la qualification. Malgré tout, Tenerife s’incline largement 96-78 pour la dernière rencontre européenne d’Iberostar comme sponsor-titre avant l’intronisation de Lenovo. Le leader de l’équipe d’Aarhus a été l’intérieur Ryan Evans, avec notamment 8 passes décisives. Il intègre même le meilleur Cinq de la journée. Du côté espagnol, c’est Fran Guerra qui s’est mis en évidence. Il est le meilleur pivot européen.\\n\\nDans le groupe B, Nymburk recevait le Tofas Bursa. Dans un match offensif, le club turc s’est imposé 103-97 et qualifie les deux équipes. DeVaughn Akoon-Purcell a été décisif pour le Tofas avec 23 points et 9 rebonds en sortie de banc. Il est le meilleur Sixième homme de la journée.\\n\\nDans le groupe C, l’AEK Athènes se déplaçait en Bélarus pour y affronter le Tsmoki Minsk. Ce match était décisif pour la qualification. Mais en dehors de 5 premières minutes accrochées, le club de la capitale grecque a toujours mené dans cette rencontre. Il remporte les 3 premiers quarts et mène de 12 points au bout de 30 minutes. Il s’impose au final 95-90 et se qualifie. L’équipe d’Ilias Papatheodorou a été portée par un trio expérimenté Keith Langford-Matt Lojeski-Yanick Moreira. Le premier est le meilleur marqueur de la journée avec 32 points.\\n\\nDans le groupe D, le match au sommet opposait Nizhny Novgorod au Falco Szombathely. Le vainqueur obtenait son billet pour le tour suivant. Le club russe était privé pour l’occasion de son ailier Anton Astapkovich. Malgré cela, il démarre fort le match et remporte les deux premiers quarts. A la pause, Nizhny Novgorod mène de 9 points. Mais le retour des vestiaires change la donne et Szombathely retourne la situation en 10 minutes. Le dernier quart sera en faveur du club russe qui l’emporte 73-68.Le duo Artem Komolov-Luke Petrasek a été décisif. L’équipe d’Alexandre Gavrilovic jouera donc le Top 16.\\n\\nDans l’autre match, sans enjeu, le Casademont Zaragoza recevait le Start Lublin. L’équipe hôte s’est imposée 94-82 sans surprise. Son leader a été l’ailier argentin Nicolas Brussino, tout proche d’un triple-double (14 pts, 8 rbds, 10 pds). Du côté polonais, l’ancien joueur de Nancy, Yannick Franke s’est mis en évidence et est le meilleur arrière de la journée.\\n\\nDans le groupe E, le VEF Riga recevait Peristeri pour un match décisif pour la qualification. Le club letton enregistrait le forfait d’Arnolds Helmanis alors que le club grec devait se passer des services de Vangelis Mantzaris, Jorge Gutierrez et Jonathan Arledge. Le club hôte commence bien la rencontre et remporte les deux premiers quarts. Il mène ainsi de 13 points à la mi-temps. Mais le club de la capitale grecque redresse la barre et égalise à 4 secondes du terme par son pivot expérimenté Ioannis Bourousis. Mais, dans la foulée, Kristers Zoriks crucifie Peristeri d’un tir à 3 points au buzzer et envoie son équipe au Top 16. L’arrière américain Kyle Allman a été le meilleur joueur de son équipe alors que Michale Kyser et le co-meilleur rebondeur de la journée. Le VEF Riga est une des bonnes surprises de la saison régulière.\\n\\nDans le groupe F, le match décisif opposait le Pinar Karsiyaka à Bilbao. Tous les deux étaient encore en course au moment de s’affronter. Le club basque déplorait toutefois les forfaits de Ludvig Hakanson et Jaroslaw Zyskowski. Malheureusement pour lui, il n’y a eu aucun suspens dans cette rencontre. L’équipe d’Amath M’Baye a remporté les 3 premiers quarts et son avance monte jusqu’à 25 points. Malgré un très bon dernier quart de Bilbao, le Pinar Karsiyaka s’impose 85-76 et se qualifie. Bilbao va pouvoir se concentrer sur l’opération maintien en Liga Endesa. Le leader de l’équipe d’Ufuk Sarica a été son pivot Raymar Morgan.\\n\\nDans l’autre match, totalement sans enjeu, le Brose Bamberg a battu la Fortitudo Bologna 83-68. Le club allemand finit ainsi invaincu alors que le club italien finit sans victoire au compteur. Le premier est une des bonnes surprises alors que le second est une grosse déception. 6 joueurs ont atteint la barre des 10 d’évaluation au sein de Bamberg.\\n\\nDans le groupe G, le Türk Telekom Ankara recevait Igokea. Les deux équipes sont qualifiées notamment grâce à la victoire limougeaude pour le club bosnien. Le club de la capitale turque réussit son entame de match et mène de 9 points à la pause. Malgré un retour dans le troisième quart, le Türk Telekom s’impose 94-86. Il a été emmené par un joli trio composé de Michael Eric, Sam Dekker et Nick Johnson, et qui a obtenu une évaluation cumulée de 75. Le premier, auteur d’un double-double (21 pts et 12 rbds), est le meilleur pivot de la semaine et co-meilleur rebondeur.\\n\\nDans le groupe H, Brindisi recevait San Pablo Burgos. Cette confrontation décidait de la première place du groupe. Dans un match accroché, un deuxième quart réussi a suffi au champion en titre pour s’assurer la victoire 90-86. C’est le secteur intérieur qui a été décisif avec le duo Jasiel Rivero-Maksim Salash. Le premier est même co-meilleur rebondeur de la journée.\\n\\nDans l’autre match, dans un duel de clubs éliminés, Ostende a battu Darussafaka 77-67. Malgré son élimination, le club belge a réussi sa compétition.\\n\\nPour terminer, les clubs français affichent un bilan équilibré de 12 victoires pour 12 défaites. Strasbourg est le seul qualifié pour la suite de la compétition.\\n\\nBamberg est la seule équipe invaincue.\\n\\n3 équipes n’ont pas gagné de match, la Fortitudo Bologna, le Start Lublin et le Keravnos Nicosie.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nHans Vanwijn (PF/Bel/25)\\n\\nDijon\\n\\n33 d’éval (22 pts à 8/12, 4/4 aux LF, 10 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Marco Spissu\\n\\nSassari\\n\\n27 d’éval\\n\\nSG Yannick Franke\\n\\nStart Lublin\\n\\n25\\n\\nSF Hans Vanwijn\\n\\nDijon\\n\\n33\\n\\nPF Ryan Evans\\n\\nBakken Bears\\n\\n25\\n\\nC Michael Eric\\n\\nTürk Telekom\\n\\n30\\n\\nB DeVaughn Akoon-Purcell\\n\\nTofas Bursa\\n\\n31\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Marco Spissu\\n\\nSassari\\n\\n27 d’éval\\n\\nSG Yannick Franke\\n\\nStart Lublin\\n\\n25\\n\\nSF Hans Vanwijn\\n\\nDijon\\n\\n33\\n\\nPF Eimantas Bendzius\\n\\nSassari\\n\\n24\\n\\nC Fran Guerra\\n\\nTenerife\\n\\n24\\n\\nB Yoan Makoundou\\n\\nCholet\\n\\n27\\n\\nMVP français:\\n\\nYoan Makoundou (PF/20)\\n\\nCholet\\n\\n27 d’éval (20 pts à 9/12, 2/2 aux LF, 8 rbds)\\n\\nRising star :\\n\\nYoan Makoundou (PF/Fra/20)\\n\\nCholet\\n\\n27 d’éval (20 pts à 9/12, 2/2 aux LF, 8 rbds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nKeith Langford\\n\\nAEK Athènes\\n\\n32 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nMichale Kyser\\n\\nMichael Eric\\n\\nJasiel Rivero\\n\\nVEF Riga\\n\\nTürk Telekom\\n\\nSan Pablo Burgos\\n\\n12 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nKenneth Smith\\n\\nLimoges\\n\\n13 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe A:\\n\\n 1. Tenerife 4-2\\n 2. Sassari 4-2\\n 3. Bakken Bears 3-3\\n 4. Galatasaray 1-5\\n\\nGroupe B:\\n\\n 1. Tofas Bursa 4-2\\n 2. Nymburk\\n 3. Dijon\\n 4. Keravnos Nicosie 0-6\\n\\nGroupe C:\\n\\n 1. Hapoel Holon 4-2\\n 2. AEK Athènes\\n 3. Cholet 2-4\\n 4. Tsmoki Minsk\\n\\nGroupe D:\\n\\n 1. Zaragoza 5-1\\n 2. Nizhny Novgorod 4-2\\n 3. Falco Szombathely 3-3\\n 4. Start Lublin 0-6\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Strasbourg 4-2\\n 2. VEF Riga\\n 3. Peristeri 2-4\\n 4. Rytas Vilnius\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Bamberg 6-0\\n 2. Pinar Karsiyaka 4-2\\n 3. Bilbao 2-4\\n 4. Fortitudo Bologna 0-6\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Türk Telekom Ankara 5-1\\n 2. Igokea 3-3\\n 3. Hapoel Jerusalem 2-4\\n 4. Limoges\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 5-1\\n 2. Brindisi 4-2\\n 3. Ostende 2-4\\n 4. Darussafaka 1-5\\n\\nNB: En Gras, les équipes qualifiées." }, {"role": "user", "content":"La FFBB réfléchit à un arrêt des compétitions amateurs" }, {"role": "assistant", "content":"Le Comité directeur de la Fédération Française de Basket-Ball (FFBB) se réunira à 20h00 ce mercredi soir sous la direction de son président, Jean-Pierre Siutat, avec comme ordre du jour l’éventualité de l’arrêt des compétitions amateurs. Dans un mail envoyé aux Ligues régionales et aux Comités départementaux, la FFBB a mis en oeuvre une consultation de ses différentes instances du basket français sur le sujet :\\n\\n« La pandémie mondiale ne nous permettra pas d’aller au bout de la saison de nos compétitions amateurs, en respectant les formats que nous avons finalisés avant le 31/12/2020, à moins que le gouvernement (NDLR : le ministère de la Jeunesse et des Sports) autorise la modification de nos règlements sportifs. »\\n\\n\\n\\nSi un arrêt des compétitions est acté, ce qui semble très probable, la FFBB étudie la possibilité d’organiser d’autres formes de compétition – tournois ou matchs amicaux par exemple -, en espérant que la situation sanitaire permette la reprise des entraînements, condition sine qua non à toute forme de compétition.\\n\\nPar ailleurs, comme les clubs ont déjà reversé aux Comités départementaux le produit des licences (joueurs et autres) et les droits d’engagement à une compétition et que ces sommes n’ont pas été « consommées » (la saison ayant été interrompue), la FFBB et les Ligues régionales proposent que ces sommes alimentent une « contribution financière » servant de pot commun aux clubs pour les aider financièrement.\\n\\nLes résultats de cette consultation seront donc examinés à l’occasion du Comité directeur de ce soir.\\n\\nAffaire à suivre..." }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Ma Vie de Commentateur de Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste de Sport en France, Lukas Nicot, nous emmène dans les coulisses d’un match de basket, en l’occurence JL Bourg-Orléans LB, qu’il a commenté avec Angelo Tsagarakis. Le titre de la vidéo: « Ma vie de commentateur de basket »." }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Les bonnes affaires non-JFL par poste : Boubacar Touré, Chima Moneke, Arnas Velicka, les trouvailles de l’année" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Arnas Velicka – Champagne Basket (Photo : Champagne Basket – Teddy Picaudé)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Désormais, la rédaction analyse les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Après les « meilleures affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus, puis JFL par poste, voici, par poste de jeu, les bonnes affaires non-JFL.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui sont les JNFL (Joueurs Non Formés Localement) qui représentent les meilleures affaires en fonction de leur poste de jeu ? Rappelons que, pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Une forme de calcul qui favorise les plus bas salaires, mais qui reste tout de même éloquente à de nombreux niveaux.\\n\\nSi certains de ces joueurs étrangers qualifiés de « bonnes affaires » ne sont plus des inconnus dans nos contrées depuis belle lurette (un Zack Wright ou un Travis Leslie, pour n’en citer que deux, évoluent en Jeep Élite depuis pas mal d’années), d’autres au contraire sont de véritables « trouvailles », des joueurs généralement jeunes et entamant leur parcours professionnel ou passés jusque-là sous le radar des recruteurs de Jeep Élite. C’est ainsi qu’un Chima Moneke (25 ans) a fait ses classes en Pro B pendant deux saisons avant d’attirer l’attention d’Orléans – qui n’a depuis qu’à se féliciter d’un joueur qui tourne à 18,4 d’évaluation pour un salaire « cadeau » !\\n\\nSur le poste 1\\n\\nAu poste de meneur, le jeune lituanien Arnas Velicka (21 ans), passé dans ses jeunes années par le Zalgiris Kaunas et Barcelone – on a vu pire comme écoles de formation ! – confirme les espoirs placés en lui et, surtout, démontre qu’il a eu tout à fait raison de signer pour un tout petit salaire à Champagne Basket, où il exprime des qualités qui lui vaudront très certainement de partir vers des cieux plus rémunérateurs la saison prochaine. Derrière, Brandon Jefferson, Michaël Stockton et Zack Wright justifient année après année leur salaire, que celui-ci ait baissé (Zack Wright était à 180 000 € la saison passée) ou au contraire augmenté (Brandon Jefferson était à 90 000 € à Orléans, Michaël Stockton touchait 100 000 € à Cholet). Quant au Canadien Kaza Kajami-Keane, il offre de bonnes prestations rapportées à son salaire très mesuré. Le Mans ne doit pas se plaindre de sa signature.\\n\\nNomClubNationalitéSalaire annuelEvalRatioArnas VelickaChampagneLIT65 000,00 €12,118,62Brandon JeffersonStrasbourgUSA100 000,00 €16,916,90Michaël StocktonCholetUSA130 000,00 €21,516,54Kaza Kajami-KeaneLe MansCAN80 000,00 €11,013,75Zack WrightBourgBOS/USA135 000,00 €16,011,85\\n\\nSur le poste 2\\n\\nComme souvent ces dernières années, le poste d’arrière figure rarement parmi ceux sur lesquels les clubs dépensent le plus d’argent. D’une part parce qu’ils privilégient généralement les postes intérieurs, d’autre part parce qu’ils font de plus en plus appel à des « combo guards », capables de jouer sur le poste de meneur et d’arrière. Ici figurent cinq joueurs qui sont de « purs » arrières et qui se distinguent, à l’exception de Sean Armand, par un salaire des plus modeste. Ce qui ne les empêche pas de proposer un rendement très correct, même si Ronald March ne satisfait qu’à moitié son coach. Mais il est à noter que lui, comme Charles-Noé Abouo, sont surtout connus comme de bons joueurs de Pro B. Et ils prouvent qu’ils peuvent exister à l’étage supérieur. Pour le reste, si Vincent Sanford (160 000 € l’an passé à Limoges) a vu son salaire sérieusement décroître du fait de ses prestations mitigées en Haute-Vienne, Sean Armand justifie la confiance de Chalon (où il avait réalisé une pige convaincante la saison passée) alors que le Slovène Gregor Hrovat, sans faire de bruit, prend une place notable dans le dispositif choletais pour un tarif très serré.\\n\\nNomClubNationalitéSalaire annuelEvalRatioCharles-Noé AbouoLe PortelCIV60 000,00 €10,717,83Gregor HrovatCholetSLV60 000,00 €9,515,83Ronald MarchRoanneUSA60 000,00 €8,614,33Vee SanfordPauUSA90 000,00 €12,614,00Sean ArmandChalonUSA140 000,00 €17,312,36\\n\\nSur le poste 3\\n\\nComme le poste d’arrière, celui d’ailier est rarement celui sur lequel les clubs investissent le plus. Et ils font souvent confiance à des joueurs connus sous nos latitudes, comme Travis Leslie et LaMonte Ulmer, qui le rendent bien alors que leur salaire n’a rien de mirobolant (Ulmer touchait la même somme à Dijon la saison passée, Leslie était à 140 000 € à Pau). Pour le reste, il est intéressant de constater que de recruter dans des championnats « exotiques » ou à tout le moins de niveau moindre que la Jeep Élite peut s’avérer une bonne pioche. Le Belge Hans Vanwijn et l’Israélien Rafi Menco ne doivent certainement pas décevoir leur club, surtout au prix où ils ont été signés. Enfin, Lasan Kromah démontre que sa première expérience malheureuse en Jeep Élite (4 matchs à 2,0 d’éval à Boulazac en 2018-19) n’était qu’un accident et qu’il a sa place dans cette division, sans pour autant s’y montrer dominant. Mais à son tarif, il a toute sa place.\\n\\nNomClubNationalitéSalaire annuelEvalRatioTravis LeslieChampagneUSA90 000,00 €16,218,00Hans VanwijnDijonBEL90 000,00 €15,216,89LaMonte UlmerOrléansUSA120 000,00 €17,614,67Rafael MencoChalonISR80 000,00 €10,012,50Lasan KromahCholetUSA70 000,00 €8,412,00\\n\\nSur le poste 4\\n\\nNous l’avons déjà évoqué plus haut, Chima Moneke est l’une des deux ou trois plus belles réussites du recrutement de l’intersaison, tous clubs confondus. Repéré en Pro B, il fait encore mieux à l’étage supérieur ! Quant à Dominique Archie, son cas interpelle : il était à 110 000 € la saison passée à Châlons-Reims (l’ancienne appellation de Champagne Basket) et tournait à 11,5 d’éval – en perdant 25 000 €, il a gagné 4,5 d’éval cette saison ! Viennent ensuite trois joueurs signés pour des tarifs raisonnables pour des intérieurs et apportant de fiers services à leur équipe. On notera notamment le cas de l’Israélien Tomer Ginat, qui évolue dans la forte équipe de Boulogne-Levallois et y tient toute sa place au milieu d’une raquette où il fréquente quand même Vitalis Chikoko et Miralem Halilovic !\\n\\nNomClubNationalitéSalaire annuelEvalRatioChima MonekeOrléansNIG80 000,00 €18,423,00Dominique ArchieChampagneUSA85 000,00 €16,118,94Mikyle McIntoshLe PortelCAN100 000,00 €13,313,30Tomer GinatBoulogneISR120 000,00 €14,712,25Owen KlassenBoulazacCAN90 000,00 €11,012,22\\n\\nSur le poste 5\\n\\nSi Chima Moneke est une très bonne affaire, Boubacar Touré est une très très bonne affaire ! Pensez : alors que le moindre pivot étranger, surtout lorsqu’il mesure plus de 2,10 m (Touré est à 2,13 m), peut prétendre à 120 000 € ou bien plus, le jeune Sénégalais, sortant tout juste de sa fac NCAA d’Eastern Michigan, a signé au tarif d’un aspirant tout en se montrant aussi performant que le titulaire sur son poste, Juvonte Reddic, en moins de temps de jeu (16,0 mn contre 29,7) et pour trois fois moins cher ! Mais son très mauvais geste sur Miralem Halilovic risque de lui coûter également très cher... Derrière lui, Mouph’ Yarou a vu son salaire baisser après sa grosse blessure de la saison passée (180 000 € à Boulogne-Levallois) mais il démontre qu’il s’est bien rétabli. Bien payés, Ovie Soko et Luke Fischer justifient parfaitement leurs émoluments tandis que Brian Conklin, moins payé qu’à Limoges (140 000 € la saison passée), se montre plus efficace (10,3 d’éval en 2019-20).\\n\\nNomClubNationalitéSalaire annuelEvalRatioBoubacar ToureRoanneSEN45000,00 €12,026,67Mouphtaou YarouBoulazacBEN125 000,00 €15,512,40Ovie SokoLe MansGB160 000,00 €19,011,88Luke FischerOrléansUSA150 000,00 €17,811,87Brian ConklinNanterreUSA110 000,00 €11,710,64\\n\\n[armelse]\\n\\nQui sont les JNFL (Joueurs Non Formés Localement) qui représentent les meilleures affaires en fonction de leur poste de jeu ? Rappelons que, pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Une forme de calcul qui favorise les plus bas salaires, mais qui reste tout de même éloquente à de nombreux niveaux.\\n\\nSi certains de ces joueurs étrangers qualifiés de « bonnes affaires » ne sont plus des inconnus dans nos contrées depuis belle lurette (un Zack Wright ou un Travis Leslie, pour n’en citer que deux, évoluent en Jeep Élite depuis pas mal d’années), d’autres au contraire sont de véritables « trouvailles », des joueurs généralement jeunes et entamant leur parcours professionnel ou passés jusque-là sous le radar des recruteurs de Jeep Élite. C’est ainsi qu’un Chima Moneke (25 ans) a fait ses classes en Pro B pendant deux saisons avant d’attirer l’attention d’Orléans – qui n’a depuis qu’à se féliciter d’un joueur qui tourne à 18,4 d’évaluation pour un salaire « cadeau » !\\n\\nSur le poste 1\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le Maccabi Tel-Aviv a Mam Jaiteh dans ses radars" }, {"role": "assistant", "content":"Selon Walla.co.il, le Maccabi Tel Aviv aurait jeté son dévolu sur Mouhammadou Jaiteh (2,08m, 26 ans) pour la saison prochaine.\\n\\nL’intérieur international porte actuellement le maillot du Royal Hali Gaziantep. Après 17 matchs, il tourne en moyenne en double double dans la ligue turque avec 15,4 points (67%% aux tirs), 10,9 rebonds, 2,1 passes décisives et 1 contre en 31 minutes." }, {"role": "user", "content":"Boulogne-Levallois engage l’intérieur américain, Josh Owens" }, {"role": "assistant", "content":"Suite à la blessure de Miralem Halilovic -mâchoire fracturée-, le staff des Metropolitans 92 engage pour le reste de la saison l’intérieur américain, Josh Owens (2,06m, 32 ans), en provenance de Bahcesehir Koleji Istanbul.\\n\\nFormé à l’université de Stanford, Josh Owens a commencé sa carrière professionnelle en 2012 en G-League avec l’équipe de Idaho Stampede.\\nIl a rejoint ensuite, dans l’ordre, Hapoel Tel Aviv (Israel), puis Dolomiti Energia Trento et Umana Reyer Venezia (Italie), Pınar Karşıyak et Tofaş (Turquie), et Hapoel Jerusalem (Israël).\\n\\nÀ l’été 2019, il retourne pour une saison en Italie avec Reggio Emilia (10 points, 5,5 rebonds, 13,7 d’évaluation), avant de signer pour sa 10ème année professionnelle à Bahcesehir Koleji Istanbul (Turquie) en début de saison 2020-2021. Il y a disputé 21 rencontres pour une moyenne de 7,1 points, 5,7 rebonds, 12,2 d’évaluation." }, {"role": "user", "content":"BCL: Strasbourg avec l’AEK Athènes, Novgorod et Türk Telekom" }, {"role": "assistant", "content":"Les groupes des playoffs de la Basketball Champions League ont été établis lors d’un tirage au sort, qui a eu lieu mardi à la Patrick Baumann House of Basketball à Mies, en Suisse.\\n\\nVoici les résultats du tirage au sort:\\n\\nLes playoffs débuteront les 2 et 3 mars et se termineront les 6 et 7 avril. Les clubs disputeront chacun six matchs dans un système de matches allers-retours (trois matchs à domicile, trois à l’extérieur), les deux premières équipes de chaque groupe se qualifiant pour un Final 8 qui conclura la saison 2020-21 et qui se déroulera au cours de la première semaine de mai.\\n\\nLe lieu du Final 8 sera annoncé après la fin des Playoffs, début avril. Un tirage au sort supplémentaire déterminera le bracket du Final 8 et aura lieu la semaine suivant l’annonce.\\n\\nL’horaire complet des matchs des Playoffs sera communiqué ultérieurement." }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Les 15 « pires affaires » de Jeep Élite : Que les gros salaires baissent la tête !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Abdoulaye Ndoye, Wilfried Yeguete (Monaco), Jaromir Bohacik (Strasbourg) – Photos : AS Monaco – SIG Strasbourg-P. Gigon)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. À partir d’aujourd’hui, la rédaction analyse les « mauvaises » affaires du championnat. Pour commencer, voici les « pires affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus – les prochains articles détailleront les moins bonnes affaires par poste et par nationalité (JFL ou non-JFL).\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès les « bonnes affaires », voici le tour des « mauvaises affaires », celle des joueurs dont le rendement n’est pas vraiment en rapport avec le salaire. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. Et un joueur à l’évaluation faiblarde peut faire figure de « mauvaise affaire » du fait d’un temps de jeu réduit.\\n\\nCeci étant dit, quels sont les 15 « pires affaires » de Jeep Élite, les joueurs qui, schématiquement, sont les moins « rentables » du championnat ? Voici leur liste, suivie de quelques commentaires sur ces noms :\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioAlain KoffiLe Mans78 000,00 €1,31,67Jaromir BohacikStrasbourg120 000,00 €2,11,75Charles KahudiAsvel275 000,00 €5,82,11Norris ColeAsvel250 000,00 €5,52,20Marcus GinyardLimoges110 000,00 €2,82,55Antoine DiotAsvel200 000,00 €6,53,25Abdoulaye NdoyeMonaco160 000,00 €6,33,94Bastien PinaultBoulogne120 000,00 €4,84,00Charles GalliouDijon55 000,00 €2,24,00Guerschon YabuseleAsvel300 000,00 €12,34,10Vojdan StojanovskiBCM90 000,00 €3,84,22Ousmane CamaraChalon144 000,00 €6,14,24Rémi LescaPau45 000,00 €2,04,44Wilfried YegueteMonaco185 000,00 €8,34,49Moustapha FallAsvel300 000,00 €13,74,57\\n\\nLe profil de ces « mauvaises affaires » est très varié : on y trouve des joueurs étrangers qui ne s’adaptent pas bien aux spécificités du championnat français (Jaromir Bohacik en est la parfaite illustration), des membres de grosses escouades très bien payés mais aux responsabilités diluées au sein d’un effectif pléthorique, des joueurs de rotation au temps de jeu réduit, d’autres qui reviennent de blessure (Marcus Ginyard en est un exemple), d’autres encore qui souffrent clairement. Ainsi, Alain Koffi, pas épargné par le covid ni par les blessures, n’est en ce début de saison que l’ombre du très bon joueur qu’il fut – et même avec un salaire réduit par rapport aux années passées, son 1,3 d’éval fait mal.\\n\\nPour le quintette de LDLC Asvel présent dans ce « Flop15 » (Charles Kahudi, Norris Cole, Antoine Diot, Guerschon Yabusele, Moustapha Fall), il est bien sûr impossible de dire que ces joueurs sont mauvais ou trop payés. Ils sont au salaire qui est le leur pour de bonnes raisons. Et ils démontrent leurs qualités aussi bien en Jeep Élite qu’en Euroleague. Mais, au sein d’un effectif de 13-14 professionnels, on ne leur demande pas de produire 15 d’éval à chaque match. Cela étant, il est vrai que Charles Kahudi n’a pas encore trouvé son rythme de croisière en championnat.\\n\\nDeux joueurs de Monaco, le deuxième club le plus fortuné de Jeep Élite, font également partie de ce classement. Pour Will Yeguete, les réflexions s’appliquant à Villeurbanne sont tout aussi pertinentes en son cas. Pour Abdoulaye Ndoye, d’autres paramètres entrent en ligne de compte : le passage d’un statut de joueur majeur à Cholet à celui d’un « joueur parmi d’autres » à Monaco, un temps de jeu réduit, une nécessaire adaptation à un nouvel environnement, tout cela amène à ce que son éval ait dégringolé depuis la saison passée (14,0 à Cholet) alors que son salaire suivait une courbe totalement inverse (60 000 € l’année dernière).\\n\\nPour le reste, Bastien Pinault entre un peu dans la même catégorie que les joueurs de Villeurbanne ou de Monaco cités précédemment alors que Charles Galliou joue peu, principalement dans un rôle de défenseur, le tout pour un salaire très réduit. Vojdon Stojanovski, de son côté, a comme Jaromir Bohacik besoin d’un collectif huilé pour s’exprimer – et pour son malheur, ce n’a pas vraiment été la marque de fabrique du BCM en ce début de saison. Quant à Ousmane Camara, il souffre dans une équipe elle aussi en difficultés même si elle connaît du mieux sur ses derniers matchs. Enfin, Rémi Lesca n’a pas un très gros temps de jeu (17,7 minutes) mais pâtit principalement d’une adresse totalement défaillante : 22,3 % aux tirs dont 20,8 % à trois-points. Impossible de ne pas être en difficultés avec de tels chiffres. Mais au vu de son salaire, à peine supérieur à celui d’un Espoir, que demander de plus ?\\n\\nDe manière plus globale, on s’aperçoit qu’ils ne sont que quatre non-JFL à figurer dans ce Flop15 et que, hormis Norris Cole, ce ne sont pas de très gros salaires. En parlant de salaire, justement, il est clair que de toucher une forte somme (à l’échelle du championnat français s’entend) a un impact sur le ratio que nous utilisons : il faudrait à Guerschon Yabusele ou à Mous’ Fall tourner à plus de 45 d’éval pour figurer dans notre Top15, par exemple ! Dans tous les cas, le résultat est là : sept des membres de ce Flop15 touchent 150 000 € ou plus et ils sont onze à gagner plus de 100 000 € par saison.\\n\\nMais, insistons bien sur ce sujet, si ces quinze joueurs proposent un ratio évaluation/salaire peu réjouissant, cela n’en fait en rien de mauvais joueurs. Aucun ne « vole » sa place en Jeep Élite ou son salaire.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès les « bonnes affaires », voici le tour des « mauvaises affaires », celle des joueurs dont le rendement n’est pas vraiment en rapport avec le salaire. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). 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Le Champagne Basket avait montré un visage exceptionnel en première mi-temps la semaine dernière face à Boulogne-Levallois avant de sombrer. Cette fois, les hommes de Cédric Heitz ont livré le match parfait afin de signer un précieux succès (73-87) grâce à Dominic Waters déjà « clutch » seulement quelques jours après son arrivée chez les Champenois.\\n\\nRevivez la victoire du Champagne Basket dans un résumé offert par notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"JO de Tokyo : La France dans le groupe des Etats-Unis et de l’Iran" }, {"role": "assistant", "content":"Les Etats-Unis, l’Iran et le vainqueur du Tournoi de Qualification (TQO) de Victoria seront les adversaires de l’équipe de France cet été au tournoi olympique de Tokyo.\\n\\nLes Bleus auront à faire à deux adversaires redoutables avec bien sûr les Etats-Unis, qui voudront prendre leur revanche suite à leur défaite à la Coupe du Monde 2019, et le vainqueur du TQO de Victoria qui devrait être le Canada ou la Grèce. L’Iran apparaît comme le petit poucet du groupe.\\n\\nGroupe A : 1- Iran, 2- France, 3- Etats-Unis, 4- Vainqueur du TQO du Canada\\n\\nGroupe B : 1- Australie, 2- Vainqueur du TQO de Croatie, 3- Vainqueur du TQO de Serbie, 4- Nigeria\\n\\nGroupe C: 1- Argentine, 2- Japon, 3- Espagne, 4- Vainqueur du Groupe de Lituanie\\n\\nLes douze nations qualifiées sont réparties en trois groupes composés de quatre équipes. Après un premier tour disputé sous forme de championnat, les deux meilleures équipes de chaque groupe et les deux meilleures troisièmes se qualifient pour une phase à élimination directe (quarts, demis et finales).\\n\\nLes groupes du TQO:\\n\\n\\nPour les connoisseurs, comment on détermine \\les meilleures équipes classées 3e de leurs groupes ?\\\\nSelon le règlement officiel, dans l'ordre d'application des critères :\\n1-Bilan victoires-défaites\\n2-La différence entre points marqués/points encaissés\\n3-Le nombre de pts marqués\\n\\n— Thomas Berjoan (@TomBerjo) February 2, 2021\\n\\n\\nPhoto: Evan Fournier (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"JO de Tokyo : Les Bleues avec les Etats-Unis, le Japon et le Nigéria" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe de France féminine aura les Etats-Unis, le Japon et le Nigeria comme adversaires au premier tour du tournoi olympique de Tokyo cet été. Le tirage au sort n’aura pas été clément avec les Bleues puisque outre l’épouvantail américain, le Japon est une équipe en pleine ascension et sera à domicile, alors que le Nigéria n’est pas à sous-estimer.\\n\\nGroupe A : 1- Corée, 2- Serbie, 3- Canada, 4- Espagne.\\n\\nGroupe B : 1- Nigéria, 2- Japon, 3- France, 4- Etats-Unis.\\n\\nGroupe C : 1- Australie, 2- Porto Rico 3- Chine, 4- Belgique.\\n\\nLes douze nations qualifiées sont réparties en trois groupes composés de quatre équipes. Après un premier tour disputé sous forme de championnat, les deux meilleures équipes de chaque groupe ainsi que les deux meilleures troisièmes se qualifient pour une phase à élimination directe (quarts, demis et finales).\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Élan Chalon vs Le Mans (14e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Le Mans semble avoir trouvé son rythme de croisière après avoir signé un troisième succès de suite sur le parquet de Chalon-sur-Saône ce vendredi soir. En difficulté face à la paire Armand-Buckner en début de partie, la troupes d’Elric Delord a offert un basket bien plus affirmé, avec Ovie Soko en leader pour faire la différence.\\n\\nRevivez les meilleurs moments de la rencontre avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"DeAndre Lansdowne (Strasbourg) : «Peu importe la manière parfois, il faut gagner»" }, {"role": "assistant", "content":"DeAndre Lansdowne a eu droit aux félicitations de son coach à l’issue de la victoire de la SIG Strasbourg sur Cholet Basket, 75-72. Le poste 2 américain de 1,88m et 31 ans a été l’auteur de 16 points à 7/13 aux shoots.\\n\\nCe succès a été obtenu d’autant plus aux forceps que les Choletais terminent le match avec une meilleure évaluation: 83-88. Le jeune intérieur de CB Yoan Makoundou (2,06m, 20 ans) a été une fois de plus remarquable avec 19 points (8/9) et 5 rebonds pour 24 d(évaluation.\\n\\n« Je n’étais pas confiant à 100% avant le match. Entre les petits bobos, l’intégration de Ike et le long voyage... » a commenté le coach de la SIG, Lassi Tuovi en conférence de presse. « Il y avait beaucoup d’incertitudes. Nous avons bien commencé le match, ce qui a montré que la préparation était bonne. Ce soir nous avons vu une bataille avec de la fatigue et beaucoup d’efforts. Ce n’était pas un concours de beauté, pas le plus beau match, mais nous avons empoché la victoire. C’est l’essentiel. Je dois donner du crédit au match de DeAndre. Il ne force pratiquement jamais. Il peut jouer 5 minutes sans tirer et prendre ses responsabilités après. Ce soir il met huit points dans le dernier quart et son entrée a éteint Gerry Blakes. Avoir un joueur comme lui sur le banc, qui peut t’aider et être là quand il faut, c’est un dimant pour le coach. Il intercepte deux balles importantes, il n’a pas forcé et a été le facteur X ce soir, c’est certain. Après la victoire contre Roanne et celle de ce soir nous pouvons regarder un peu plus vers le haut et moins ce qui se passe derrière nous au classement. En ce sens aussi cette victoire est importante ».\\n\\nDeAndre Lansdowne a ajouté :\\n\\n« Cette victoire est une bonne chose au classement. Nous ne savons pas de quoi l’avenir sera fait ni si nous arriverons à jouer tous les matches, mais quand tu joues une équipe qui est derrière toi et contre qui tu veux montrer que tu es meilleure, tu dois la battre. Peu importe la manière parfois, il faut gagner. C’est ce qu’on s’est dit avant le match et redis à la mi-temps : nous devons gagner ce match. Nous allons jouer probablement bientôt de très bonnes équipes du top 5 à l’extérieur, c’est d’autant plus important de gagner à la maison. C’est important pour se mettre en bonne position pour la suite. On prend les matches les uns après les autres et nous allons tout faire pour essayer de créer des surprises à l’extérieur ».\\n\\nPhoto: DeAndre Lansdowne (SIG)" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Gravelines-Dunkerque vs Boulazac (12e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Gravelines-Dunkerque a sorti une grosse deuxième mi-temps pour venir à bout de Boulazac. Le collectif du BBD, emmené par Cameron Wells et John Flowers, a posé bien des problèmes aux locaux en début de match. Le BCM a alors relevé la tête avant de rentrer au vestiaire (48-49) emmené par Corey Davis (26 points) en leader offensif et Briante Weber (21 points) qui c’était mis sur son 31.\\n\\nGrâce à notre partenaire TCL, revivez les meilleurs instants du match.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 22ème et 23ème journées" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulaient les 22ème et 23ème journées de l’Euroleague.\\n\\nTout d’abord, mardi et mercredi se jouait la 22ème journée.\\n\\nLe match au sommet de cette journée opposait le FC Barcelona au Zenit St Petersburg, soit le premier contre le troisième. Après un début de match équilibré, le club catalan marque 28 points dans le deuxième quart pour prendre 11 points d’avance à la mi-temps. Il continue ensuite d’augmenter son avance jusqu’à en compter 19 points à la fin du troisième quart-temps. Le club russe réalise un excellent dernier quart et finit à 4 petits points de son adversaire du soir (85-81). L’équipe de Sarunas Jasikevicius était emmenée par son duo d’arrières Cory Higgins-Kyle Kuric et bien servi par son meneur Nick Calathes, meilleur passeur la semaine avec 12 unités. Cette victoire permet au Barca de conserver la tête et de distancer le Zenit qui descend à la quatrième place.\\n\\nLe CSKA Moscou, deuxième, effectuait un déplacement à priori facile à Berlin pour y affronter l’Alba. Le club de la capitale russe enregistrait le forfait de son meneur star, Mike James, mis à l’écart. Cette absence a forcément équilibré les débats et effectivement le score est serré tout le long du match. A 28 secondes du terme, Maodo Lo inscrit un panier à 3-points qui permet à l’équipe allemande de revenir à un point. Mais Tornike Shengelia inscrit deux lancers qui donnent la possibilité au CSKA de s’imposer difficilement (71-68). En plus d’être décisif, l’intérieur georgien a été le leader statistique de son équipe. Ce résultat permet au CSKA de rester à égalité avec le Barca.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano, quatrième, recevait l’Olympiacos Le Pirée, à la lutte pour une place dans le Top 8. Pour l’occasion, le club lombard récupérait Vladimir Micov. En dehors du premier point de la partie, le club du port d’Athènes n’aura jamais mené. Malgré un rapproché dans le troisième quart, le club italien s’impose tranquillement 90-79. Il a réussi à ne perdre que 7 ballons lors de ce match. L’équipe d’Ettore Messina a été portée par sa paire arrière Malcolm Delaney-Kevin Punter, auteur d’une évaluation cumulée de 58. Avec 27 points à 8/12, le second est même le MVP européen de la semaine. Quant au premier, il est le meilleur meneur. Du côté grec, c’est Sasha Vezenkov qui est, de façon surprenante, le leader de l’équipe. Il est ainsi le meilleur ailier européen. Ce succès permet à Milano de prendre la troisième place. Il est le grand vainqueur de la journée.\\n\\nLe Real Madrid, cinquième et à la lutte pour le Top 4, recevait le Panathinaikos. Le club de la capitale espagnole enregistrait les retours de Sergio Llull et de Rudy Fernandez et le forfait de Nicolas Laprovittola. Le Real a démarré très fort la rencontre, remporté les deux premiers quarts et mène 49-27 à la mi-temps. Le club grec gagne les deux quarts suivants mais ce n’est pas suffisant pour inquiéter le club madrilène qui s’impose 76-66. Le leader de l’équipe de Pablo Laso a été l’Argentin Gabriel Deck, auteur à lui seul de la moitié de l’évaluation du Panathinaikos. Cette performance lui permet d’être le meilleur ailier de la semaine.\\n\\nEn clôture de la journée, le match opposait deux équipes à la lutte pour une place en Play-Offs. Valencia, neuvième, recevait le sixième, le Zalgiris Kaunas. Le club espagnol récupérait Klemen Prepelic et Bojan Dubljevic pour l’occasion. Après 12 premières minutes équilibrées, c’est le club lituanien qui prend les devants à la faveur d’un très bon deuxième quart. Il mène de 7 points à 40 secondes du terme. Mais Valencia réussit un 8-0 et Sam Van Rossom inscrit un 3 points qui donne l’avantage à son équipe à 3 secondes du terme. Cependant, dans la foulée, Marius Grigonis donne la victoire au Zalgiris 79-78 par le biais d’un exploit individuel. L’équipe de Martin Schiller a eu une jolie adresse à 3-points (9/17). Cette victoire a été collective avec 6 joueurs à au moins 10 d’évaluation. C’est le cas notamment du jeune meneur Rokas Jokubaitis, détenteur de la deuxième évaluation de l’équipe. Cela lui permet d’être pour la huitième fois de la saison le Rising Star de la semaine.\\n\\nLe Bayern Munich, septième et à la lutte pour la qualification en Play-Offs, se déplaçait chez le dernier, le Khimki Moscou. Le club bavarois perdait Vladimir Lucic pour ce match alors que le club russe récupérait Alexey Shved et Janis Timma mais perdait Sergey Karasev, Stefan Jovic, Jordan Mickey et Andrei Desiatnikov. En toute logique, le Bayern remporte le premier quart de 11 points. Cependant, le Khimki s’approprie les deux quarts suivants et mène à la fin du troisième quart. Le Bayern reprend le leadership aussitôt et le conserve au bout d’une lutte acharnée. Il s’impose finalement 95-93. L’équipe d’Andrea Trinchieri a été emmenée par un trio composé de Nick Weiler-Babb, James Gist et Jalen Reynolds, auteur d’une évaluation cumulée de 94, soit plus que celle du Khimki. Le premier a réalisé un match complet et obtenu une évaluation de 38. Celle-ci lui offre la distinction de MVP de la semaine. Le second est le meilleur Sixième homme. Du côté russe, Alexey Shved est le meilleur marqueur de la semaine avec 32 points.\\n\\nL’Anadolu Efes, dernier classé du Top 8, recevait l’Etoile Rouge Belgrade au Sinan Erdem Sports Hall. Le club de la capitale serbe voit revenir Langston Hall dans l’effectif et enregistre le forfait d’Ognjen Kuzmic. Favori de cette rencontre, le club stambouliote remporte les 3 premiers quarts et mène de 23 points au bout de 30 minutes. Malgré un relâchement dans le dernier quart, il s’impose 86-72. Le leader de l’équipe d’Ergin Ataman a été le meneur Shane Larkin, auteur de 23 points en 23 minutes en sortie de banc. Son match lui a permis d’être le meilleur Sixième homme européen.\\n\\nFenerbahce était opposé au Maccabi Tel-Aviv à Istanbul. Ces deux équipes sont en course pour une éventuelle qualification en Play-Offs. Kyle O’Quinn faisait ses débuts en Euroleague pour le club hôte. Le club israélien remporte le premier quart mais c’est le club turc qui domine le reste de la rencontre et la remporte 82-75. L’équipe d’Igor Kokoskov a été porté par son duo d’ailiers, Dyshawn Pierre et Jan Vesely. Le second, avec une évaluation de 29, est le meilleur intérieur de la semaine. Le Maccabi Tel-Aviv se retrouve distancé suite à cette défaite.\\n\\nEnfin, dans un duel d’équipes mal classées, l’ASVEL recevait Baskonia Vitoria. Le club villeurbannais récupérait pour ce match Paul Lacombe et Amine Noua mais devait se passer de Derrick Walton et de Guerschon Yabusele. Le club basque domine le début de rencontre, remporte les deux premiers quarts et mène de 11 points à la mi-temps. Mais le club rhônalpin n’encaisse que 7 points dans le troisième quart et reprend l’avantage. Il confirmera celui-ci dans le dernier quart pour gagner le match 83-77. Le duo David Lighty-Norris Cole a été décisif dans cette victoire. Celle-ci lui permet de quitter l’avant-dernière place.\\n\\nA l’issue de cette journée, le FC Barcelona est leader devant le CSKA Moscou. Milano et le Zenit St Petersburg complètent le Top 4.\\n\\nLe leader, le FC Barcelona, se déplaçait en Grèce pour y affronter l’Olympiacos, à la lutte pour le Top 8. Il devait se passer des services de son ailier, Alex Abrines. Le club catalan démarre parfaitement la rencontre et remporte les deux premiers quarts. A la mi-temps, il mène de 10 points. Mais le club de la capitale grecque réalise un très bon troisième quart et prend la tête à la 29ème minute. Il mène ainsi de 2 points à l’entrée de la dernière minute. Cependant, le club espagnol marque 4 points consécutifs par Nikola Mirotic et Cory Higgins pour terminer le match et le gagner 76-74. L’équipe de Sarunas Jasikevicius a été emmenée par un quatuor composé de Pierre Oriola, Nikola Mirotic, Nick Calathes et Cory Higgins et dont aucun ne se détache vraiment. Du côté grec, le pivot Octavius Ellis est le meilleur rebondeur de la semaine avec 13 unités. Suite à cette rencontre, le Barca conserve la tête alors que l’Olympiacos est décroché dans la course à la qualification pour les Play-Offs.\\n\\nLe CSKA Moscou, deuxième, recevait à la Megasport Arena, et devant 4 516 spectateurs, le Bayern Munich, septième et à la lutte pour le Top 4. La première mi-temps est très équilibrée avec un premier quart très offensif puis un deuxième quart très défensif. En seconde période, le club russe se détache dans le troisième quart et mène de 10 points à la 30ème minute. Mais le club bavarois ne concède que 6 petits points dans le dernier quart et se retrouve à égalité à l’entrée de la dernière minute. Un panier de Jalen Reynolds puis un lancer de DJ Seeley donneront une victoire surprise du Bayern 69-66. Ce match s’est résumé à un duel de pivots entre Nikola Milutinov et Jalen Reynolds. Le second l’a emporté de justesse et intègre le meilleur Cinq de la semaine. Son concurrent intègre le meilleur Cinq européen. Grâce à cette victoire, le Bayern Munich gagne une place et prend la sixième.\\n\\nDans le match au sommet de la journée entre le troisième et le quatrième, Milano recevait le Zenit St Petersburg au Mediolanum Forum. Le club lombard récupérait son ailier danois Shavon Shields pour l’occasion. La première mi-temps est à l’avantage du Zenit qui remporte les deux premiers quarts et mène de 8 points à la mi-temps. Mais la physionomie du match change totalement après le retour des vestiaires. Milano remporte les deux quarts suivants et gagne la seconde mi-temps de 15 points. Il s’impose donc 82-76. Son leader a été le pivot américain Kyle Hines, auteur de 20 d’évaluation en sortie de banc. Suite à cette défaite, le Zenit sort du Top 4.\\n\\nLe Real Madrid, cinquième, recevait l’Alba Berlin et avait l’occasion de profiter de la rencontre Milano-Zenit pour prendre la quatrième place. Le club de la capitale allemande perdait pour ce match son meneur Peyton Siva. L’opposition paraissait déséquilibrée et effectivement le club berlinois n’a jamais mené. Le Real a remporté les trois premiers quarts et mène de 12 points à l’issue. Il s’impose au final 72-63. Il a été emmené encore une fois par son pivot cap-verdien Walter Tavares. Le Real Madrid prend donc position dans le Top 4.\\n\\nEn clôture de la journée, le Zalgiris Kaunas, sixième et à la lutte pour le Top 4, se déplaçait au TD Systems Baskonia. De manière surprenante, malgré son statut de favori, le club lituanien n’a remporté aucun quart-temps et s’incline 81-68. L’équipe basque a été portée par le duo Alec Peters-Pierria Henry, auteur d’une évaluation cumulée de 42. Le Zalgiris perd une place et se retrouve à batailler pour une place dans le Top 8.\\n\\nLe Fenerbahce Istanbul, dans la course pour la qualification en Play-Offs, se déplaçait chez le dernier, le Khimki Moscou. Le club stambouliote enregistrait le forfait de sa dernière recrue, Kyle O’Quinn. La logique a été parfaitement respectée dans ce match. Le club turc a remporté tous les quart-temps et gagné facilement le match 107-76. L’évaluation totale du Fenerbahce est de 155. Quatre joueurs ont dépassé la barre des 20 d’évaluation. C’est notamment le cas de Nando De Colo qui est le meilleur meneur européen. Il est également le MVP français de la semaine et ce pour la sixième fois de la saison dont trois d’affilée. Grâce à cette victoire, Fenerbahce rentre dans le Top 8.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=gYcGTJiLNpU&ab_channel=BeyondTheArc\\n\\nValencia, également à la lutte pour une place en Play-Offs, se déplaçait à Athènes pour y affronter le Panathinaikos. Le club grec récupérait pour ce match Georgios Papagiannis et Ioannis Papapetrou mais perdait Howard Sant-Roos. Le club espagnol était favori de cette confrontation mais il n’a jamais pu mener au score. Le Panathinaikos remporte tous les quart-temps et s’impose tranquillement 91-72. Les leaders de l’équipe ont été deux joueurs sortant du banc, Eleftherios Bochoridis et Georgios Papagiannis. Valencia est décroché dans la course à la qualification et sa place en Euroleague pour la saison prochaine est en danger.\\n\\nEnfin, dans un duel de mal classés, l’ASVEL se déplaçait à l’Etoile Rouge Belgrade. Le club serbe récupérait Ognjen Kuzmic mais perdait Johnny O’Bryant alors que le club villeurbannais récupérait Guerschon Yabusele mais perdait Allerick Freeman. Ce dernier démarre bien le match et remporte les deux premiers quarts. Il mène de 7 points à la mi-temps. Mais, après la pause, l’équipe de Dejan Radonjic revient et mène d’un point à une minute du terme. Le représentant français finit sur un 4-0 signé Norris Cole. L’ASVEL s’impose finalement 81-78. Il a été porté par son duo de meneurs Norris Cole-Antoine Diot, auteur de 47 d’évaluation cumulée.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, de Milano et du Real Madrid.\\n\\nLes deux premiers sont à la lutte pour le leadership alors que les 13 premiers peuvent encore l’obtenir. L’ASVEL n’est plus dans la course.\\n\\nLa bataille pour le Top 4 concerne les clubs classés de la 2ème à la 6ème place et tout le monde sauf l’Etoile Rouge et le Khimki peuvent l’intégrer.\\n\\nLa qualification en Play-offs se joue entre le 5ème et la 9ème place. Tout le monde sauf le Khimki est encore en course.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nNick Weiler-Babb (SG/US/25)\\n\\nBayern Munich\\n\\n38 d’éval (25 pts à 8/13 dont 4/6 à 3 pts, 8 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Malcolm Delaney\\n\\nMilano\\n\\n25 d’éval\\n\\nSG Nick Weiler-Babb\\n\\nBayern Munich\\n\\n38\\n\\nSF Gabriel Deck\\n\\nReal Madrid\\n\\n29\\n\\nPF Jan Vesely\\n\\nFenerbahce\\n\\n29\\n\\nC Jalen Reynolds\\n\\nBayern Munich\\n\\n22\\n\\nB James Gist\\n\\nBayern Munich\\n\\n29\\n\\nMVP européen:\\n\\nKevin Punter (SG/US-Ser/27)\\n\\nMilano\\n\\n33 d’éval (27 pts à 8/12 dont 4/4 à 2 pts, 2 rbds, 5 pds)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n23 d’éval\\n\\nSG Kevin Punter\\n\\nMilano\\n\\n33\\n\\nSF Sasha Vezenkov\\n\\nOlympiacos\\n\\n20\\n\\nPF Jan Vesely\\n\\nFenerbahce\\n\\n29\\n\\nC Nikola Milutinov\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n21\\n\\nB Shane Larkin\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n24\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n23 d’éval (18 pts à 7/9 dont 2/2 à 3 points, 2/2 aux LF, 3 rbds, 3 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nRokas Jokubaitis (PG/Lit/20)\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n16 d’éval (10 pts à 5/5, 3 rbds, 6 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nAlexey Shved\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n32 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nOctavius Ellis\\n\\nOlympiacos\\n\\n13 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nNick Calathes\\n\\nBarcelona\\n\\n12 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 17-6\\n 2. CSKA Moscou 16-7\\n 3. Milano 15-7\\n 4. Real Madrid 15-8\\n 5. Zenit St Petersburg 13-8\\n 6. Bayern Munich 14-9\\n 7. Zalgiris Kaunas 13-10\\n 8. Fenerbahce\\n 9. Anadolu Efes 12-10\\n 10. Olympiacos 11-12\\n 11. Valencia\\n 12. Maccabi Tel-Aviv 10-12\\n 13. Baskonia 10-13\\n 14. ASVEL 9-14\\n 15. Panathinaikos 8-14\\n 16. Alba Berlin 8-15\\n 17. Etoile Rouge Belgrade 7-16\\n 18. Khimki Moscou 2-21\\n\\nPhoto : Nick Weiler-Babb (Bayern Munich, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Les bonnes affaires JFL par poste : jeunes loups et vieux guerriers se distinguent" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Isaïa Cordinier – Nanterre (Photo : Nanterre – Claire Macel)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. À partir d’aujourd’hui, la rédaction analyse les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Après les « meilleures affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus, voici, par poste de jeu, les bonnes affaires JFL.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui sont les JFL (Joueurs Formés Localement) qui représentent les meilleures affaires en fonction de leur poste de jeu ? Rappelons que, pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Une forme de calcul qui favorise les plus bas salaires, mais qui reste tout de même éloquente à de nombreux niveaux.\\n\\nSur le poste 1\\n\\nEn ce qui concerne les meneurs de jeu, Hugo Benitez est, et de loin, le meilleur rapport qualité-prix de Jeep Élite, tous postes et toutes nationalités confondues, du reste. Avec son contrat aspirant, il réalise des performances que pas mal de meneurs confirmés pourraient lui envier, et ce dans une équipe de haut de tableau (4e). Les trois joueurs qui le suivent sont également jeunes, voire très jeunes (Matthieu Gauzin va bientôt avoir 20 ans, Matthew Strazel a 18 ans). Notons toutefois que seuls Sylvain Francisco et Benjamin Sene dépassent les 10,0 d’évaluation, un beau rendement pour un salaire des plus raisonnables.\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioHugo BenitezBourg20 000,00 €8,040,00Sylvain FranciscoRoanne75 000,00 €14,619,47Matthieu GauzinChampagne32 000,00 €4,514,06Matthew StrazelAsvel40 000,00 €5,413,50Benjamin SeneBoulazac100 000,00 €13,213,20\\n\\nSur le poste 2\\n\\nC’est sans doute le poste de jeu, toutes nationalités confondues, où l’on observe les moins bons rapports qualité-prix, en tout cas, le seul où un joueur n’atteint pas un ratio de 10 à notre petit calclul. Comme pour les meneurs, la première place est trustée par un Espoir qui, s’il ne flambe pas, ne coûte pas bien cher. En revanche, les trois joueurs qui suivent ont de l’expérience et du talent, au point que leur bon salaire (pour Lang et Cordinier surtout) ne les empêche pas d’obtenir un ratio très correct grâce à leurs belles performances. À ce sujet, Isaïa Cordinier se distingue et l’on peut avancer sans grand risque de se tromper qu’il faudra débourser bien plus cher la saison prochaine pour s’offrir ses services. Quant à Paul Lacombe, qui produit tout de même une bonne évaluation dans le très étoffé effectif villeurbannais, son ratio est moyen, mais il démontre surtout qu’il n’y a pas tant d’arrières JFL de bon niveau dans notre championnat...\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioGérald AyayiPau20 500,00 €3,115,12Isaïa CordinierNanterre150 000,00 €17,311,53Boris DalloLe Portel100 000,00 €11,011,00Nicolas LangLimoges140 000,00 €14,810,57Paul LacombeAsvel150 000,00 €11,17,40\\n\\nSur le poste 3\\n\\nC’est presque une exception : aucun des cinq ailiers JFL au bon rapport qualité-prix n’est un Espoir. À défaut, Romuald Morency a fait ses armes en Pro B et accomplit sa première véritable saison en Jeep Élite à Gravelines-Dunkerque, avec un rendement intéressant, surtout ramené à son salaire. Derrière, Jérémy Leloup gagne beaucoup moins qu’à sa meilleure époque, mais il continue à aligner les bonnes performances. Son coéquipier palois, Digué Diawara, commence enfin à concrétiser le potentiel qu’on lui prêtait alors que Giovan Oniangue, comme bien d’autres, s’épanouit dans le jeu proposé par Germain Castano à Orléans. Enfin, si Terry Tarpey est le mieux payé de ces cinq ailiers, il est également celui qui produit les meilleures stats, ce qui ne surprendra personne : lorsqu’il n’est pas blessé (sa faiblesse), le Franco-Américain est un joueur de très bon niveau.\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioRomuald MorencyGravelines70 000,00 €10,314,71Jérémy LeloupPau80 000,00 €11,414,25Giovan OniangueOrléans75 000,00 €9,312,40Digué DiawaraPau55 000,00 €6,812,36Terry TarpeyLe Mans110 000,00 €13,512,27\\n\\nSur le poste 4\\n\\nRetour à « l’ordinaire » sur le poste d’ailier-fort, l’Espoir Yoan Makoundou dominant le classement. Et ce n’est qu’un début : au vu de ses dernières prestations (20 points et 9 rebonds en BCL, notamment), il devrait prendre de plus en plus de place dans le dispositif choletais et voir ses stats encore s’améliorer. Derrière, on trouve deux joueurs surtout connus en Pro B, Williams Narace connaissant même cette année sa première saison en Jeep Élite. Mais pour eux, la transition entre les deux échelons ne pose pas de problème. Pour sa part, Georgi Joseph a séduit Le Portel au point que, arrivé en tant que pigiste, il a été conservé pour la saison. Enfin, après plusieurs années décevantes, Petr Cornelie montre enfin toutes ses qualités, tout en restant à un tarif abordable.\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioYoan MakoundouCholet30 000,00 €7,023,33Steeve Ho You FatRoanne75 000,00 €12,416,53Williams NaraceLe Mans72 000,00 €10,114,03Georgi JosephLe Portel65 000,00 €8,913,69Petr CorneliePau108 000,00 €12,711,76\\n\\nSur le poste 5\\n\\nLes pivots français ne sont pas forcément chers, ce qui ne les empêche pas d’offrir des prestations de très bon niveau. Un Johan Passave-Ducteil, un Nianta Diarra (Franco-Malien) ou un Gary Florimont ne ruinent pas leur employeur et ils assurent pourtant très largement leur tâche. De leur côté, Nicolas De Jong et Yannis Morin sont mieux payés mais leur rendement est supérieur, ceci compensant cela.\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatioJohan Passave-DucteilLe Portel60 000,00 €10,417,33Nicolas De JongPau120 000,00 €16,013,33Gary FlorimontOrléans55 000,00 €6,812,36Nianta DiarraCholet72 000,00 €8,411,67Yannis MorinStrasbourg120 000,00 €12,910,75\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQui sont les JFL (Joueurs Formés Localement) qui représentent les meilleures affaires en fonction de leur poste de jeu ? Rappelons que, pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). 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Pour l’Euroleague, l’Etoile Rouge en compte déjà sept avec les Américains Corey Walden, Jordan Loyd, Langston Hall et Johnny O’Bryant, le Camerounais Landry Nnoko, l’Australien Duop Reath et l’Espagnol Quino Colom.\\n\\nCotey Walden compile en Euroleague 10,9 points, 2,3 passes décisives, 2 rebonds et 1 interception.\\n\\nRécemment, l’Etoile Rouge a obtenu un passeport serbe pour Charles Jenkins et Kevin Punter.\\n\\nA l’inverse, l’équipe nationale serbe, déjà riche en joueurs nationaux d’excellence, se refuse à utiliser les services d’un naturalisé.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Monaco vs Le Portel (16e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"En route vers sa septième victoire consécutive en Jeep® ÉLITE, Monaco n’a laissé aucune chance au Portel, rapidement dépassé par les événements, entre le dunk monstrueux de Mathias Lessort et le show Bost, Gray et N’Doye de loin.\\n\\nEn partenariat avec TCL, nous vous proposons de revoir tous les highlights du match.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Équipe de France féminine – Valérie Garnier : « je pourrais faire une liste de 36 noms, pour les Jeux olympiques ! »" }, {"role": "assistant", "content":"Photo : Valérie Garnier – Céline Dumerc (Bacot/FFBB)\\n\\nRéunie en stage à Toulouse pour la semaine afin de continuer sa préparation à l’EuroBasket et aux Jeux olympiques de cet été, l’équipe de France féminine a effectué ce matin sa première session d’entraînement. Quatre journées de préparation vont suivre, ainsi que deux matchs, vendredi et dimanche, contre l’Espagne (en clair et en direct sur la chaîne L’Équipe). Valérie Garnier, la sélectionneuse de l’équipe de France, et Céline Dumerc, sa managère générale, font le point sur l’état physique des troupes et leur état d’esprit.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nArrivées hier (dimanche), les joueuses ont donc connu leur premier entraînement ce matin. « Nous sommes dans l’esprit de continuer à travailler sur la préparation de l’Euro et des JO, » souligne Célinde Dumerc. « En outre, les deux matchs de la fin de semaine vont nous permettre de montrer que le basket continue à exister, que le travail avance bien. » Pour Valérie Garnier, il s’agit aussi d’une « opportunité de travailler sereinement sur ces fenêtres FIBA, puisque nous sommes déjà qualifiées pour ces deux compétitions. »\\n\\nComment vont les joueuses ? Sont-elles toutes aptes à s’entraîner ?\\n\\nValérie Garnier : Comme vous le savez, nous déplorons le forfait de Clarince Djaldi-Tabdi, qui s’est blessée samedi soir, en championnat. Mais toutes les autres joueuses sont aptes, même si celles qui sortent d’une « bulle » en Euroleague ou en Eurocup semblent plus fatiguées que lors de la précédente fenêtre internationale, en novembre. Cela étant, l’enthousiasme est toujours présent, surtout avec l’opportunité de jouer par deux fois l’Espagne : c’est un gage de réussite de cette fenêtre ! Pour certaines filles, ces « bulles » Euroleague se sont terminées en joie ou en déception. Mais elles ont l’habitude et l’aptitude à basculer entre leurs objectifs en club et ceux en équipe de France. Je leur fais entièrement confiance.\\n\\nLe calendrier très dense de la fin de saison ne risque-t-il pas d’impacter les joueuses ?\\n\\nVG : Si, mais c’est pour cela qu’il y a un Groupe France, d’autant que nous avons un grand réservoir de joueuses françaises. Avec ce calendrier, il faudra peut-être un peu décaler la préparation pour les filles qui feraient une finale de championnat en cinq manches. Et il faut s’adapter à cette saison si particulière, avec un Euro et des JO ensuite. Il va falloir doser le travail, écouter les filles, mesurer l’impact de la saison sur elles. Mais aussi transformer ces conditions particulières en opportunité formidable de ramener deux médailles dans la même saison.\\n\\nLe fait qu’Olivia Epoupa ait repris la compétition avec Charnay doit vous réjouir ?\\n\\nVG : Comme elle, nous pensions qu’il fallait qu’elle retrouve le terrain. J’échange régulièrement avec elle depuis novembre, sur son état physique, sa réathlétisation. Je suis ravie de la voir de retour sur le terrain, je suis assidument tous les matchs de Charnay. On sais que nous allons avoir besoin d’elle.\\n\\nL’équipe de France va affronter par deux fois l’Espagne. Y a-t-il un désir de revanche après la défaite en finale de l’Euro 2019 (66-86) ?\\n\\nVG : Il est clair que, pour un coach, il n’y a pas besoin de trouver de source de motivation particulière pour les joueuses, il y a un parfum de revanche. Cela étant, nous avons quand même déjà gagné deux matchs chez elles, en 2019. Mais les matchs à venir sont importants, ils vont nous permettre de nous situer par rapport au début de la préparation, en novembre dernier. Après, ce sont des matchs de préparation, pas des matchs de compétition, mais comme ils sont face à l’Espagne, ce ne sont pas des matchs « normaux ». Dans les conditions actuelles, ils vont nous donner la possibilité de rendre le basket féminin visible. Il faut donc faire du mieux possible, ce qui passe par gagner des matchs, s’habituer à la victoire pour bien se préparer pour les grands rendez-vous.\\n\\nC’est du reste sans doute la première fois qu’un match amical de l’équipe de France féminine sera visible en clair à la télévision. Ressentez-vous un intérêt accru par rapport à cela ?\\n\\nCéline Dumerc : Intérieurement, pas spécialement. Mais nous avons conscience de la chance d’être télévisées, de pouvoir partager avec le public alors qu’il ne peut être présent dans les salles. Ce n’est jamais plaisant de jouer dans une salle vide, mais la télévision nous donne tout de même une motivation supplémentaire. Il faut saisir cette chance d’être télévisées car ce n’est pas simple de faire parler de nous. En plus, face à l’Espagne, il n’y a pas mieux ! Les joueuses ont conscience de tout cela, ça nous promet de belles rencontres pour vendredi et dimanche.\\n\\n« Pour nous, il s’agit d’un dossier très important, que nous suivons de près »\\n\\nPar ailleurs, où en est Bria Hartley, qui devait venir soutenir l’équipe mais a dû rester aux États-Unis ?\\n\\nVG : Son arrivée était organisée puis, avec les nouvelles restrictions américaines (qui l’auraient obligée à observer une quatorzaine de retour aux États-Unis), il a été décidé qu’elle ne vienne pas. Mais nous restons en contact permanent avec son agent. Pour nous, il s’agit d’un dossier très important, que nous suivons de près. Quant à son état de santé, pour le moment, tout se passe bien en matière de rééducation. C’est plutôt positif. Mais il faudra voir au fur et à mesure comment cela évolue.\\n\\nY a-t-il d’autres joueuses que celles présentes que vous souhaiteriez voir ?\\n\\nVG : Avec la situation particulière que nous connaissons actuellement, nous travaillons un peu au jour le jour. Ainsi, Abi Gaye n’avait pu vernir en novembre, ce qui nous avait permis de voir d’autres joueuses, mais elle est là pour ce stage. Ensuite, je pourrais faire une liste de 36 noms, pour les Jeux olympiques ! Nous avons des noms en tête, que je suis au fil du championnat. Nous nous laissons le droit de choisir le nombre de joueuses qui feront parti du groupe pour cette campagne 2021.\\n\\nLe programme de la préparation est déjà figé ?\\n\\nVG : La planification (date de début de la campagne, des matchs de préparation, de reprise après l’Euro, les matchs en Espagne et en France, le déplacement au Japon) est déjà effectuée, le programme est entre les mains de Jacky Commères, le directeur des équipes de France et de la performance.\\n\\n[armelse]\\n\\nArrivées hier (dimanche), les joueuses ont donc connu leur premier entraînement ce matin. « Nous sommes dans l’esprit de continuer à travailler sur la préparation de l’Euro et des JO, » souligne Célinde Dumerc. « En outre, les deux matchs de la fin de semaine vont nous permettre de montrer que le basket continue à exister, que le travail avance bien. » Pour Valérie Garnier, il s’agit aussi d’une « opportunité de travailler sereinement sur ces fenêtres FIBA, puisque nous sommes déjà qualifiées pour ces deux compétitions. »\\n\\nComment vont les joueuses ? Sont-elles toutes aptes à s’entraîner ?\\n\\nValérie Garnier : Comme vous le savez, nous déplorons le forfait de Clarince Djaldi-Tabdi, qui s’est blessée samedi soir, en championnat. Mais\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Bourg-en-Bresse vs Orléans (6e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Héroïques, les Bressans, privés d’Alen Omic, Thomas Scrubb et Danilo Andjusic, ont su résister à une équipe d’Orléans euphorique en début de match (24- 36) pour mieux dominer après le repos et s’imposer 88-82 !\\n\\nVous avez manqué le match ? Pas de panique, notre partenaire TCL vous offre le récap’\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Le match Maccabi-Khimki ajourné car le club russe a refusé de prendre un avion privé" }, {"role": "assistant", "content":"L’Euroleague a annoncé que le match entre le Maccabi Tel Aviv et le Khimki Moscou n’aura pas lieu jeudi comme prévu.\\n\\nIsraël a adopté la semaine dernière des restrictions interdisant l’atterrissage et le décollage des avions effectuant des vols commerciaux. Cependant, le ministère israélien des Sports a pu obtenir dimanche soir une exemption permettant aux avions privés d’atterrir. La demande a été initiée par des représentants du Maccabi.\\n\\nNéanmoins, le match ne se tiendra pas car le Khimki, pris dans des difficultés financières et obligé de se serrer la ceinture, refuse catégoriquement de voyager en avion privé.\\n\\nPour les mêmes raisons, le match du Maccabi contre Anadolu Efes d’Istanbul avait également été reporté." }, {"role": "user", "content":"Décès de l’ancien entraîneur de l’équipe de France, Jean Luent" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien entraîneur de l’équipe de France, Jean Luent, est décédé à l’âge de 85 ans.\\n\\nJean Luent avait été au préalable international à 6 reprises, puis entraîneur de l’Elan Béarnais Orthez de 1972 à 1979, qu’il a fait monter en 1ère division. Il avait ensuite pris l’équipe de France de 1983 à 1985, la qualifiant pour les Jeux Olympiques de Los Angeles. Lassé par le haut niveau, il s’était tourné alors vers Lourdes et Monségur dans les Landes.\\n\\n« Jean était un coach à l’ancienne, très impulsif, qui n’avait pas sa langue dans la poche, raconte l’ancien Pierre Seillant dans Sud Ouest. « C’était un coach mais aussi un copain. On avait l’esprit gavroche, on rigolait beaucoup ensemble. Et c’était un grand technicien, qui avait l’ambition de réussir sa deuxième carrière. Il nous a fait franchir un cap. Je me souviens des 10 jours qu’on avait passé ensemble, à New York, en 1976, pour y recruter Abu Bakr, le deuxième américain de l’Elan. C’est avec lui que nous avons disputé notre premier match de Coupe d’Europe, contre Badalona, en 1977. On a fait de très belles choses ensemble. C’est lui qui m’a appris le basket, ma culture a été forgée au contact de Jean puis de George Fisher qui lui a succédé ».\\n\\nPhoto: Jean Luent, à l’extrême droite, avec l’équipe d’Orthez en 1973 (Elan Béarnais)" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Roanne vs Boulogne-Levallois (7e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Le choc des extrêmes a tourné en faveur des Choraliens qui ont signé leur troisième victoire de la saison dans un match terni par une altercation sanctionnée de quatre expulsions, en milieu de troisième quart-temps (Boubacar Touré pour Roanne, Lahaou Konaté, Maxime Roos et Neal Sako pour Boulogne-Levallois).\\n\\nRevivez les highlights du match avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre) : «On doit faire beaucoup mieux en Jeep Elite «" }, {"role": "assistant", "content":"A trois jours d’un match décisif face à Malaga pour continuer de croire en la qualification au Top 8 de l’Eurocup, le coach Nanterrien, Pascal Donnadieu fait le point sur son équipe à la mi-saison dans une interview vidéo sur le facebook du club.\\n\\nUn point sur le Top 16 d’Eurocup :\\n\\n« En ce qui concerne l’Eurocup, c’est une performance pour le club dans la mesure où on n’avait jamais accédé au Top 16. C’est la première fois de notre histoire. Il faut savoir que, quand on voit les groupes du Top 16, c’est du lourd. Bien évidemment derrière l’Euroleague mais c’est une compétition où il y a encore des grosses équipes, ne serait-ce que dans notre poule avec Badalone et Malaga, qui sont deux clubs historiques espagnols, et Monaco. C’était une satisfaction d’accéder à ce Top 16 et de s’en servir pour pourquoi pas se qualifier mais en sachant que les trois équipes paraissent sur le papier plus armées, mais aussi surtout pour continuer de progresser et d’avancer dans notre saison. Globalement, c’est le bilan qu’on peut en tirer avec un match difficile à domicile face à Monaco, une performance encourageante contre Badalone, surtout sur les aspects offensifs, qui a été concrétisée par une très belle victoire contre Malaga. Il est aussi très important de souligner qu’on a commencé le match contre Malaga avec 3 jeunes JFL : Isaia Cordinier qui est maintenant un joueur référencé, Alpha Kaba qui nous a sorti un match de qualité avec un double double (15 points et 10 rebonds) et Ivan Février qui a 21 ans et qui a fait un match très complet avec 11 d’évaluation et +20 aux ratio +/-. Permettre à des joueurs jeunes JFL de s’exprimer dans cette compétition relevée est un objectif du club. Pour l’Eurocup, nous sommes dans nos standards et l’équipe continue d’avancer avec une progression ces 10 derniers joueurs qui reste à confirmer. »\\n\\nAprès un mois de Janvier compliqué, Pascal Donnadieu dresse un bilan contrasté en Jeep Elite :\\n\\n« La Jeep Elite, le format et le fait qu’on soit toujours dans l’incertitude rend les choses compliquées pour toutes les équipes, pas uniquement pour Nanterre. On reste sur deux prestations qui sont pas abouties et décevantes en ce qui concerne les matchs de Cholet et du Portel. Il est clair qu’il faut qu’on s’améliore dans le contexte de la Jeep Elite, peu importe le calendrier et les échéances. Encore une fois, je n’ai pas été satisfait du contenu contre Le Portel et Cholet. Surtout le match du Portel où on intégrait deux nouveaux joueurs et on a peut être manqué un peu d’automatismes, mais il est clair qu’on doit faire beaucoup mieux en Jeep Elite et être capable de produire de meilleures prestations surtout au niveau du contenu. »\\n\\nUn effectif jeune, basé sur des JFL et une mayonnaise qui a du mal à prendre :\\n\\n« Cela avait été souligné en début de saison, en ce qui concerne l’effectif 2020-2021, du à la situation sanitaire et à la situation sanitaire des clubs, nous avons réduit le budget et la masse salariale. Je suis solidaire à 100% avec le club et les décisions des dirigeants. Nous sommes partis sur un projet un petit peu différent du fait de ce contexte-là, en essayant d’impliquer de jeunes joueurs français sur du moyen et long terme. Aujourd’hui nous sommes sur un projet avec ces joueurs-là, forcément de temps en temps, on manque de constance qu’elle soit individuelle ou collective, on se doit de s’améliorer là-dessus. Je tenais à souligner que d’une saison à l’autre, les objectifs peuvent être différents, par rapport à des situations économiques ou sanitaires, c’est ce qui se passe cette année. Si nous pouvons réaliser nos objectifs à court terme, c’est très bien mais nous sommes partis sur un projet peut être différent des autres années donc cela demande un peu plus de patience, de l’exigence, c’est pour ça que les matchs contre Le Portel et Cholet m’ont déplu de par ce qu’on a proposé au niveau de la qualité de notre basket. Bien évidement et généralement, les résultats sont liés mais c’est aussi un message que j’adresse aux supporters notamment : Il faut prendre le temps de regarder ce qui a été dit en début de saison et voir aussi le projet que nous essayons de mettre en place. À Nanterre nous avons été habitués à déjouer les pronostics et a gagné des titres mais cette année cela peut s’apparenter à une saison de transition, en tout cas moi, c’est comme ça que je le vois. »\\n\\nActuellement en train de réaliser une saison de feu, l’international français Isaia Cordinier affole les stats en Jeep Elite et en Eurocup :\\n\\n« (...) Encore une fois de par le niveau de jeu qu’il montre et de par ses attitudes, il est dans des statistiques vraiment exceptionnelles que ce soit en Eurocup ou en Jeep Elite, sachant que ça reste quand même encore un jeune joueur en tant que capitaine. Profitons de ces mois avec lui pour bonifier son passage à Nanterre, c’est un joueur à qui je souhaite toute la réussite en fin de saison parce que je pense que beaucoup de personnes ne rendent pas compte de son énorme potentiel. »\\n\\nLa jeunesse Nanterienne : Victor Wembanyama et Arnaud Mensah ? Où en sont-ils ?\\n\\n« C’est vrai que cette période fait qu’on a moins d’échanges avec les partenaires et les supporters donc j’en profite pour donner des nouvelles de Victor (NDLR : Wembanyama). Il est dans la deuxième phase de sa rééducation. Il devrait si ça se passe bien, rejoindre les parquets d’ici quelques semaines. Dans tous les cas, la réeducation est dans la normalité de ce qui se passe par rapport à la blessure qu’il a eue, donc on espère le voir bientôt. Bien évidemment, on veut qu’il retrouve rapidement les parquets parce qu’il était en train de monter en puissance et c’est aussi un des objectifs de la fin de saison. Nous avons aussi un oeil très intéressé sur ce que fait Armand Mensah à Denain (Pro B). Il est en train de progresser au fil des matchs, bien mis en confiance par le club de Denain et notamment Rémy Valin et Maxence Broyer qui font un gros travail. Déjà félicitations à Armand pour son bon début de saison et aussi de bonne augure pour la suite de sa carrière et nous on a la voit sous les couleurs nanterriennes à court et à moyen terme. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Pascal Donnadieu (LNB – Claire Macel)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Les 15 «meilleures affaires» de Jeep Élite : Hugo Benitez, Boubacar Toure et Yoan Makoundou, le trio gagnant" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Yoan Makoundou – Cholet (Photo : BCL)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope vous a proposé son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. À partir d’aujourd’hui, la rédaction analyse les « bonnes » et « mauvaises » affaires du championnat. Pour commencer, voici les « meilleures affaires » de Jeep Élite, toutes nationalités et tous postes confondus – les prochains articles détailleront les meilleures (et les moins bonnes) affaires par poste et par nationalité (JFL ou non-JFL).\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMaintenant que nous avons dévoilé l’ensemble des salaires des joueurs et coachs de Jeep Élite pour cette saison 2020-21, une petite synthèse s’impose, permettant de déterminer quelles sont les « meilleures » et « moins bonnes » affaires du championnat. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. À l’inverse, il est plus facile pour un Espoir responsabilisé de proposer un ratio flamboyant, alors qu’il est rétribué sur de toutes petites bases.\\n\\nCeci étant dit, quels sont les 15 « meilleures affaires » de Jeep Élite, les joueurs qui, schématiquement, justifient le plus leur salaire (et pourraient même réclamer une augmentation) ? Voici leur liste, suivie de quelques commentaires sur ces noms :\\n\\nNomClubSalaire annuelEvalRatio1- Hugo BenitezBourg20 000,00 €8,040,002- Boubacar ToureRoanne45 000,00 €12,026,673- Yoan MakoundouCholet30 000,00 €7,023,334- Chima MonekeOrléans80 000,00 €18,423,005- Sylvain FranciscoRoanne75 000,00 €14,619,476- Dominique ArchieChamp. B.85 000,00 €16,118,947- Arnas VelickaChamp. B.65 000,00 €12,118,628- Travis LeslieChamp. B. 90 000,00 €16,218,009- Charles-Noé AbouoLe Portel60 000,00 €10,717,8310- Johan Passave-DucteilLe Portel60 000,00 €10,417,3311- Brandon JeffersonStrasbourg100 000,00 €16,916,9012-Hans VanwijnDijon90 000,00 €15,216,8913- Michaël StocktonCholet130 000,00 €21,516,5414- Steeve Ho You FatRoanne75 000,00 €12,416,5315- Gregor HrovatCholet60 000,00 €9,515,83\\n\\nIl n’est guère surprenant, au vu du mode de calcul retenu, de trouver deux Espoirs parmi les trois « meilleures affaires », puisqu’ils émargent à un très faible salaire annuel. Ce qui, par ailleurs, ne retire rien à la qualité de leurs performances, le meneur de Bourg Hugo Benitez comme l’intérieur choletais Yoan Makoundou figurant parmi les principales révélations de la saison (même si Benitez avait déjà montré de belles choses la saison passée).\\n\\nHors Espoirs, la surprise de la saison s’appelle Boubacar Touré : le pivot sénégalais, fraîchement émoulu de l’université, a été signé à un tout petit prix pour servir de doublure à un intérieur bien plus expérimenté, Juvonte Reddic. Au final, il s’avère plus rentable, ce qui a bien sûr incité Roanne à le resigner pour la saison prochaine. Seul bémol – de taille : le joueur risque une grosse sanction après avoir cassé la mâchoire de Miralem Halilovic d’un coup de poing. Une longue suspension pourrait mettre fin à son aventure roannaise.\\n\\nLes deux autres belles surprises de la saison sont le fait de joueurs connus en Pro B et qui prouvent qu’ils peuvent faire aussi bien sinon mieux en Jeep Élite. Chima Moneke s’éclate dans le jeu orléanais alors que Sylvain Francisco a les clés du camion roannais.\\n\\nDerrière eux, le trio du Champagne Basket se retrouve haut dans ce classement à la fois par leur salaire modeste (Travis Leslie a gagné jusqu’à 140 000 € l’année dans les saisons précédentes) et par leur impeccable rendement : les deux « vieux routiers » que sont Dominique Archie et Travis Leslie encadrent fièrement le jeune meneur lituanien Arnas Velicka.\\n\\nOn notera que la plupart des joueurs cités dans ce classement sont peu payés : ils ne sont que deux à toucher 100 000 € ou plus, les meneurs Brandon Jefferson et Michael Stockton – ce qui au passage ne fait que revaloriser leurs performances (respectivement 16,9 et 21,5 d’éval). Près de cette barrière, le Belge Hans Vanwijn est la bonne pioche de la JDA Dijon, l’ailier réalisant des prestations de tout premier plan.\\n\\nPour finir, on relèvera le fait que faire de bonnes affaires n’implique pas forcément obtenir de bons résultats. Sur les quinze membres de ce classement, ils ne sont que cinq à évoluer dans une équipe figurant parmi les huit premières : Hans Vanwijn à Dijon (2e), Hugo Benitez à Bourg (4e), Charles-Noé Abouo et Johan Passave-Ducteil au Portel (6e) et Brandon Jefferson à Strasbourg (8e). À l’opposé, les 16e et 17e du classement, Roanne et Champagne Basket, font jouer six joueurs de ce classement.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nMaintenant que nous avons dévoilé l’ensemble des salaires des joueurs et coachs de Jeep Élite pour cette saison 2020-21, une petite synthèse s’impose, permettant de déterminer quelles sont les « meilleures » et « moins bonnes » affaires du championnat. Pour les définir, nous avons simplement établi un ratio entre l’évaluation d’un joueur (au 18 janvier) et son salaire annuel, sous la forme (Evaluation/Salaire) x 100 000 (ce afin d’obtenir un nombre comportant un ou deux chiffres avant la virgule). Bien évidemment, cet exercice comporte des limites, ne serait-ce que parce qu’il défavorise les plus hauts salaires, notamment lorsqu’ils font partie d’effectifs pléthoriques où les responsabilités sont diluées. À l’inverse, il est plus facile pour un Espoir responsabilisé de proposer un ratio flamboyant, alors qu’il est rétribué sur de toutes petites bases.\\n\\nCeci étant dit, quels sont les 15 « meilleures affaires » de Jeep Élite, les joueurs qui, schématiquement, justifient le plus leur salaire (et pourraient même réclamer une augmentation) ? 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Or, les Béarnais n’ont plus qu’une victoire d’avance sur leur adversaire du jour qui est reléguable.\\n\\nLe coach Laurent Vila est le premier inquiet de la situation et il demande du renfort :\\n\\n« On leur donne tout au long du match ces balles qui leur offrent des paniers faciles, de la confiance avec ce jeu rapide qu’ils aiment », a t-il déclaré en conférence de presse. « Il faut faire plus d’efforts autant en attaque qu’en défense. On ne bouge pas, on ne se responsabilise pas. Nous sommes statiques. On ne fait des efforts défensifs que par à-coups, comme si c’était suffisant. Il faut que nous soyons animés par un autre état d’esprit, un autre caractère. On joue un peu comme des zombies, une équipe malade ou blessée et sans réaction, c’est préoccupant. Je sais que tout le monde a fait le maximum mais on doit faire plus alors je me demande qu’elles sont nos ressources. Si notre meilleur niveau c’est ce basket-là, alors on n’est pas au niveau. On perd contre Châlons-Reims à domicile, qui n’a qu’une seule victoire au compteur et jamais dépassé les 87 points...Il y a des efforts, je le vois bien, mais il faut plus de dureté. Il va falloir trouver des solutions, ça concerne nous-mêmes mais il faut aussi qu’on renforce l’équipe. Il manque un, deux joueurs, des éléments de caractère qui nous apportent plus d’impact. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Deux rencontres France-Espagne au féminin sur La Chaîne L’Equipe" }, {"role": "assistant", "content":"Avant la trêve liée aux fenêtres internationales, la plupart des compétitions se poursuivent. En plus de deux rencontres de Jeep Elite et d’une de Pro B en fin de semaine, l’équipe de France féminine prépare l’EuroBasket et le tournoi de qualification olympique en rencontrant par deux fois ses meilleures ennemies espagnoles à Toulouse.\\n\\nMise à jour : Comme vous le savez sans doute, les deux matchs France-Espagne féminines de vendredi et dimanche sont annulés...\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend, pour la Jeep Elite et la Pro B, que les matchs diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe et de Sport en France (et sur les antennes régionales de France 3, le cas échéant). Tous les autres matchs des deux championnats français sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv.\\n\\nMardi 2 février :\\n\\n19h00 – Monaco/Badalone – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h00 – Trente/Boulogne-Levallois – Eurocup – RMC Sport Live 4\\n\\nMercredi 3 février\\n\\n20h00 – Nanterre 92/Unicaja Malaga – Eurocup – RMC Sport Live 4\\n\\n20h50 – JL Bourg/Olimpija Ljubljana – Eurocup – RMC Sport Live 5\\n\\nJeudi 4 février :\\n\\n19h00 – Zalgiris Kaunas/Etoile Rouge Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Maccabi Tel Aviv/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h45 – Valence/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h50 – Barcelone/Anadolu Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nVendredi 5 février :\\n\\n17h00 – Lille/Antibes Sharks – Pro B (J6) – Sport en France\\n\\n18h45 – Fenerbahçe Istanbul/Zenit Saint-Pétersbourg – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h30 – Bayern Munich/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport 8\\n\\n20h30 – JDA Dijon/Elan Chalon – Jeep Elite (J17) –Sport en France\\n\\n20h45 – LDLC Asvel/Olimpia Milan – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Real Madrid/Baskonia Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 9\\n\\n21h00 – France/Espagne Femmes – Amical – La Chaîne L’Equipe (ANNULÉ)\\n\\nSamedi 6 février :\\n\\n21h00 – Limoges CSP/Pau-Lacq-Orthez – Jeep Elite (J7) – La Chaîne L’Equipe\\n\\nDimanche 7 février :\\n\\n18h00 – France/Espagne Femmes – Amical – La Chaîne L’Equipe(ANNULÉ)\\n\\nPhoto : FFBB/Bacot" }, {"role": "user", "content":"Indisponibilité d’au mois trois mois pour Miralem Halilovic (Boulogne-Levallois)" }, {"role": "assistant", "content":"« Le club des Metropolitans 92 vous informe que suite au coup volontairement porté à notre joueur Miralem Halilovic, lors du match de Jeep® Elite face à Roanne, ce dernier souffre d’une fracture déplacée de la mâchoire. Il subira dans les prochains jours une réduction chirurgicale ainsi qu’une ostéosynthèse. Indisponible pour une durée minimum de 3 mois, Miralem sera probablement absent des parquets jusqu’à la fin de la saison. Le club lui apporte tout son soutien et lui souhaite un bon rétablissement. »\\n\\nC’est par ce communiqué que le club de Boulogne-Levallois donne des nouvelles de son intérieur bosniaque, qui a été victime d’un mauvais coup de Boubacar Touré lors du match à Roanne.\\n\\nS’estimant avoir été victime de plusieurs coups en douce, le Sénégalais a classiquement présenté ses excuses sur les réseaux sociaux mais il va devoir passer devant la commission de discipline de la Ligue nationale dans les prochains jours et il risque une très lourde sanction.\\n\\n\\nAfter receiving multiple cheap shots from my opponent, I over reacted in my response. It is unfortunate that some players feel the need to make unfair plays but that does not justify my behavior. 1/2\\n\\n— booballer (@booballer21) January 30, 2021\\n\\n\\n\\nIt was not a good example for the young fans watching on LNB TV. I apologize to Halilovic, his teammates and my teammates. @ChoraleRoanne @LNBofficiel @Metropolitans92 2/2\\n\\n— booballer (@booballer21) January 30, 2021\\n\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Espagne : Un excellent Fabien Causeur sauve le Real Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Le Real Madrid a eu toutes les peines du monde à barrer la route à Herbalife Gran Canaria et a remporté ainsi sa 18e victoire en 19 matches en ACB. Les « Blancs » ont été tout heureux que Matt Costello loupe un trois-points qui aurait entraîné une prolongation. Andrew Albicy a alors choisi de marquer un panier à deux-points insuffisant, 81-80.\\n\\nDans cette victoire, Fabien Causeur (1,96m, 33 ans) a été le meilleur marqueur du Real -à égalité avec Rudy Fernandez- avec 15 points. Il a obtenu également avec 22 la meilleure évaluation du match.\\n\\nPhoto: ACB" }, {"role": "user", "content":"Pro B – Blois 83, Quimper 68 – Benjamin Monclar : «on a été en mode rouleau compresseur tout le temps»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ADA Blois a pris une option sur la montée en tombant le leader invaincu, Quimper, et avec la manière: 83-68. Les Blésois ont fait preuve d’une belle agressivité et menaient déjà 26-16 à l’issue du premier quart-temps.\\n\\nBenjamin Monclar (1,90m, 32 ans) lancé des flèches dans tous les sens (5/10 à trois-points pour 24 points et autant d’évaluation), et un autre Français, Mathis Dossou-Yovou, s’est régalé à l’intérieur (17 points à 6/7 aux tirs). L’évaluation générale (108-67) montre que la domination de l’ADA a été sans partage. Tout le monde n’a pas été à la hauteur côté breton, notamment le Jamaïcain Ryan Reid, qui est sorti du terrain avec -1 d’évaluation.\\n\\n« C’est une victoire qui fait plaisir devant une très belle équipe qui était deuxième l’an passé », a commenté Benjamin Monclar en conférence d’après-match, propos repris par La Nouvelle République. « Cette formation était invaincue jusqu’à présent alors bien sûr on est ravis, surtout avec la retransmission à la télé. Le troisième quart-temps, offensivement, a fait la différence. Après, on a été en mode rouleau compresseur tout le temps et on laisse Quimper à 68 points. C’est surtout là que la victoire s’est dessinée. »\\n\\n\\nQuant au Quimpérois Charly Pontens, il reconnaît être tombé sur un os:\\n\\n« Sans manquer de respect aux équipes que nous avons jouées depuis le début du championnat, elles étaient beaucoup moins fortes que Blois. Quand on se déplace chez l’une des plus belles formations de ces trois dernières années, on s’aperçoit de la différence qu’il y a entre elle et nous. Il n’y a pas besoin de regarder les stats pour voir qu’on a été dominés dans tous les compartiments du jeu. Sur la physionomie du match, on mérite cet écart. On a maintenant plusieurs matchs à enchaîner pour se refaire une santé. »\\n\\nPhoto: Benjamin Monclar (ADA Blois)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Zvezdan Mitrovic toujours le numéro 1 des coaches" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope a sorti son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici maintenant les salaires de l’ensemble des coaches.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe Monténégrin Zvezdan Mitrovic touche à Monaco le même salaire qu’à l’ASVEL et en Euroleague et sa tête dépasse assez nettement du groupe de 18 coaches de la Jeep Elite.\\n\\nLes coaches du top 4 sont étrangers ou ont une double nationalité.\\n\\nErman Kunter et Jean-Denys Choulet sont dans des clubs peu fortunés mais leurs bons salaires sont en rapport avec leur expérience, moins avec le classement de leur équipe à l’heure où ces lignes sont écrites (Cholet 13e et Roanne 16e). Eric Girard est un cran en-dessous alors que son CV est étoffé et ses responsabilités au club importantes, mais à l’ESSM Le Portel, on vit chichement.\\n\\nCe qui saute aux yeux, c’est que Laurent Legname perçoit un salaire qui est en-dessous de ce à quoi il pourrait prétendre étant donné ses résultats sportifs depuis maintenant plusieurs saisons. C’est aussi le cas de Pascal Donnadieu, mais sa position dans le cercle familial de Nanterre est très spécifique.\\n\\nIl y a enfin la dernière catégorie à laquelle nous pouvons accrocher l’étiquette de « débutants », du moins au niveau de la Jeep Elite, quoique Germain Castano et Cédric Heitz en sont à leur 4e saison dans la division. Leurs salaires vont de 65 à 85 000 euros et on y recense 9 coaches. Y trouver TJ Parker est une incongruité puisque si c’est un rookie, c’est aussi un coach d’Euroleague – sans compter que son « coach associé », Freddy Fauthoux, gagne plus que lui !\\n\\nOn observe que le salaire plancher s’est élevé puisqu’il y a trois ans, ils étaient deux a percevoir les mêmes revenus que Thomas Andrieux et même trois à être à 60 000 €. A contrario, les plus gros émoluments sont en retrait (Vincent Collet était à 280 000 € et Sasa Obradovic à 250 000 € la saison passée), de même que le salaire moyen des 18 coachs de Jeep Elite : il est passé de 126 110 € l’année dernière à 104 030 € cette saison – soit environ 22 080 € de moins perçu sur l’année.\\n\\nZvezdan MITROVIC – Monaco – MTN : 240 000 €\\n\\nJurij ZDOVC – Boulogne-Levallois – SLO : 180 000 €\\n\\nSavo VUCEVIC – Bourg – MON/FRA : 137 500 €\\n\\nErman KUNTER – Cholet – TUR/FRA : 120 000 €\\n\\nJean-Denys CHOULET – Roanne – FRA : 120 000 €\\n\\nLaurent LEGNAME – Dijon- FRA : 100 000 €\\n\\nPascal DONNADIEU – Nanterre – FRA : 100 000 €\\n\\nEric GIRARD – Le Portel – FRA : 90 000 €\\n\\nJulien ESPINOSA – Chalon – FRA : 90 000 €\\n\\nMehdy MARY – Limoges – FRA : 85 000 €\\n\\nElric DELORD – Le Mans – FRA : 85 000 €\\n\\nSerge CREVECOEUR – Gravelines- BEL : 85 000 €\\n\\nLassi TUOVI – Strasbourg – FIN : 80 000 €\\n\\nLaurent VILA – Pau – FRA : 80 000 €\\n\\nCédric HEITZ – Champagne Basket – FRA : 75 000 €\\n\\nT.J. PARKER – Lyon-Villeurbanne – FRA: 70 000 €\\n\\nGermain CASTANO – Orléans – FRA : 70 000 €\\n\\nThomas ANDRIEUX – Boulazac – FRA : 65 000 €\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nLe Monténégrin Zvezdan Mitrovic touche à Monaco le même salaire qu’à l’ASVEL et en Euroleague et sa tête dépasse assez nettement du groupe de 18 coaches de la Jeep Elite.\\n\\nLes coaches du top 4 sont\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Étienne Bulidon : Ostéo de l’Asvel et podcasteur santé, à propos d’Antoine Diot : « soigner mon pote d’enfance et le voir dans les vestiaires, c’est le top ! «" }, {"role": "assistant", "content":"Un jour ostéopathe à son cabinet, l’autre à l’Asvel et le lendemain encore podcasteur santé, nombreuses sont les casquettes d’Étienne Bulidon. L’ostéo lyonnais évoque pour BasketEurope le parcours l’ayant conduit jusqu’à l’Asvel et la création de sa série de podcasts Et surtout la santé.\\n\\nÉtienne Bulidon a toujours été mêlé de près ou de loin au basket. Il débute chez lui à Thoissey (dans l’Ain), tout juste âgé de six ans. Avec l’ambition de devenir professionnel, il poursuit sa carrière avec les benjamins de la JL Bourg, où il fait la connaissance d’Antoine Diot (aujourd’hui à LDLC Asvel) et continue en cadets France. Suite à une blessure qui l’amène à côtoyer kinésithérapeutes et ostéopathes, il prend goût au contact « manuel et intellectuel » qu’apporte le métier d’ostéo. Il entame alors des études en la matière à Lyon tout en continuant à jouer au basket, jusqu’en Nationale 2, avant d’abandonner sa carrière sportive pour se consacrer à son métier. Au terme de ses cinq années d’études, avoue-t-il, « tu n’es pas encore un bon ostéo, les basketteurs ne t’écoutent pas forcément. Je suis donc parti faire mes armes dans un cabinet en y soignant le grand public. »\\n\\nUn ostéo voyageur\\n\\nEn 2013, Etienne Bulidon décide de mettre son activité en pause le temps d’un tour du monde riche de rencontres (médecins de tous les continents, chamans...). A son retour, il croise l’ex-pro Victor Samnick (aujourd’hui à l’Avenir Serreslousiens Colombins Horsarrois, Nationale 2), avec qui il échange durant quelques séances à son cabinet. Fort de ses compétences dans le métier et sur les conseils de l’ancien joueur de Pro A, Étienne Bulidon se rapproche à nouveau du monde du basket en 2016 en commençant à travailler avec Léo Westermann. « Comment cela s’est-il passé ? J’ai fait une soirée où Nicolas Lang est venu avec Léo avant que ce dernier ne parte au CSKA Moscou. Nous avons sympathisé et je l’ai accompagné une fois qu’il s’est installé là-bas. » Tout en faisant des allers-retours en Russie en fonction des besoins de Westermann (2017-2018), il travaille avec d’autres joueurs en France comme Nicolas Lang, son ancien coéquipier de jeunesse Antoine Diot et, par son entremise, Louis Labeyrie. Bouche à oreille aidant, notre ostéopathe prend également sous son aile Nando De Colo, alors coéquipier de Léo Westermann. Après le départ du club moscovite des deux joueurs – Westermann en 2017, De Colo en 2019 –, Étienne se consacre pleinement à sa carrière en France, à Lyon plus précisément. Il intervient à l’Asvel une fois par semaine et reçoit également les joueurs au sein de son cabinet lorsque c’est jugé nécessaire.\\n\\nEn parallèle de son activité au cabinet, Etienne Bulidon s’occupe également des joueuses de l’équipe féminine de l’ASVEL. Il se rend dans les lovaux du club une fois par semaine puis les reçoit, au sein de son cabinet, dès qu’elles ont besoin de ses services. De fil en aiguille, Étienne Bulidon étend sa collaboration avec les kinés de l’Asvel masculin et participe activement au suivi des joueurs du club lyonnais. De quoi forcément le réjouir de travailler à nouveau avec Antoine Diot : « soigner mon pote d’enfance et le voir dans les vestiaires, c’est le top ! (rires) »\\n\\nEt surtout la santé !\\n\\nEn plus de son travail d’ostéopathe à son cabinet et à l’Asvel, Étienne Bulidon propose également, depuis mars 2019, une série de podcasts intitulée Et surtout la santé. Les 47 épisodes déjà disponibles sont, selon leur auteur, « des conversations avec des spécialistes de la santé ou des sportifs de haut niveau avec lesquels on rentre dans le détail d’une pratique mais aussi des débats sur divers sujets tels que l’effet placebo, la façon de réagir quand on apprend que l’on est atteint d’un cancer, la PNL, etc. »\\n\\nÉtienne Bulidon poursuit en précisant : « il ne s’agit pas de faire l’éloge du travail d’un invité mais plutôt de débattre sur ses idées. Les débats avec des experts permettent au travers d’arguments concrets d’aller au cœur du sujet, de manière claire et précise. Les podcasts durent de une heure à une heure et demie, ce qui permet de rentrer en profondeur dans les différents thèmes qu’évoquent les invités. L’idée est de débattre, d’argumenter, c’est un format plus intéressant qu’une simple interview. Dans un podcast, chacun exprime ses idées et on les confronte, avec respect. »\\n\\nPour compléter ces débats entre experts (qui s’adressent à un très large public, pas forcément spécialiste) et toucher un public simplement intéressé par le bien-être et la santé, Et surtout la santé invite des sportifs pour évoquer leur expérience. Comme lorsqu’il rencontre l’ex-rugbyman Raphaël Poulain, auteur du livre « Quand j’étais superman ». Un ouvrage dans lequel il raconte notamment son passage au Stade Français et la médiatisation liée aux calendriers des dieux du stade. Dans ce podcast, il y est question de virilité, d’excès, de femmes, de burnout ou encore de psychologie. Nicolas Lang (podcast n°5) est également venu évoquer sa routine pour optimiser ses performances et de nombreux autres conseils pour garder la forme et la santé.\\n\\nLe succès est au rendez-vous : en moins de deux ans, les podcasts d’Étienne Bulidon ont été téléchargés à plus de 500 000 reprises ! De quoi encourager l’ostéo à continuer sur sa lancée et à proposer tous les 15 jours de nouveaux podcasts sur différents thèmes autour de la santé. Le dernier épisode mis en ligne le 31 janvier étant en compagnie de Gilles Walch, chirurgien orthopédiste de l’épaule de renommée internationale. Comme tous les autres épisodes de la série, celui-ci sera disponible gratuitement sur les principales plates-formes de diffusion de podcasts, Spotify, Deezer, iTunes, Ausha, etc.\\n\\nVous pouvez contacter Étienne Bulidon sur Instagram : @etiennebulidon\\n\\nPhotos/dessin : Étienne Bulidon – Ouverture : Étienne Bulidon et Louis Labeyrie" }, {"role": "user", "content":"Igor Kokoškov va coacher la Serbie et Fenerbahçe (presque) en même temps" }, {"role": "assistant", "content":"La Serbie a encore besoin d’une victoire pour se qualifier à l’Euro 2022. La prochaine et dernière bulle est prévue en Géorgie à Tbilissi, en février.\\n\\nLa question fondamentale pour les Serbes est de savoir qui mènera l’équipe nationale contre la Géorgie le 19 février. Ce jour-là, le coach Igor Kokoškov, a un autre match à son programme, à Istanbul, avec Fenerbahçe et contre l’Alba Berlin.\\n\\n« Notre sélectionneur Igor Kokoškov fait tout pour être sur le banc de l’équipe nationale, mais ce jour-là le Fener a un match et c’est un cas de force majeure. Permettez-moi de ne pas répéter l’ampleur du problème que la FIBA a avec l’Euroleague, dans lequel les équipes nationales, y compris la nôtre, sont des dommages collatéraux », explique le vice-président de la fédération, Nenad Krstić à Zurnal.\\n\\nIgor Kokoškov sera du rassemblement à Belgrade, puis du vol en charter pour Tbilissi. Le 18, il repartira à Istanbul pour remplir ses obligations avec le club turc et il reviendra en Géorgie le 20 pour être présent le 21 pour le match face à la Suisse !\\n\\nC’est donc l’assistant Dejan Milojević, qui sera le coach titulaire face à la Géorgie.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Féminines : Emprisonnée cet été en Biélorussie, Yelena Leuchanka signe au Panathinaikos" }, {"role": "assistant", "content":"La Biélorusse Yelena Leuchanka a fait l’actualité à ses dépens cet été en étant emprisonné dans son pays après avoir manifesté contre le dictateur Alexandre Loukachenko.\\n\\nA 37 ans, Yelena Leuchanka (1,96m) reprend la compétition au Panathinaikos, actuellement 2e au classement de la ligue grecque, avec plusieurs équipes dont... l’Olympiakos.\\n\\nLa Biélorusse a déjà joué dans huit pays dont les Etats-Unis (NCAA et WNBA), la Chine et la Russie (Ekaterinbourg). Elle était dernièrement au Liban." }, {"role": "user", "content":"Espagne: 10/10 pour le Barça en janvier" }, {"role": "assistant", "content":"Le FC Barcelone a signé un parfait 10/10 au mois de janvier entre les matches d’Euroleague et ceux de la liga Endesa. Le 10e a été gagné hier face à UCAM Murcie, 92-63.\\n\\nLes Catalans ont été long à se réveiller et ils étaient menés 2-14 dans le premier quart-temps. Le coach Sarunas Jasikevicius a eu recours au bon vieux procédé de déclencher une faute technique et cela s’est avéré efficace. Le rouleau compresseur a fait son oeuvre, le Barça a signé un 25-9 si bien que le match était joué à 62-45. Kyle Kuric a été le meilleur marqueur du Barça avec 15 points.\\n\\nLéo Westermann a été longtemps discret, obligeant son coach à faire appel à Adam Hanga comme meneur, mais il s’est rattrapé en plantant trois paniers à trois-points pour un total de 9 points, 4 rebonds, 2 passes et 2 balles perdues.\\n\\nAu classement du championnat, le FC Barcelone est toujours dauphin du Real Madrid (17-3) alors qu’en Euroleague, il est seul leader (17-6) depuis la défaillance du CSKA Moscou." }, {"role": "user", "content":"Portrait : Nikola Milutinov (CSKA Moscou), l’aspirateur à rebonds" }, {"role": "assistant", "content":"Beaucoup d’experts conviennent que le Serbe Nikola Milutinov (2,12m, 26 ans) est actuellement le meilleur joueur européen qui n’a pas encore posé ses baskets en NBA. Pour le bonheur du CSKA Moscou où il servait d’aspirateur à rebond. Mais hier on a appris que le Serbe aura très probablement besoin d’une opération à l’épaule droite qui va le contraindre à une rééducation pour le reste de la saison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl est des moments qui s’écrivent pour l’Histoire. Le 30 décembre à Milan, Nikola Milutinov a capté 16 rebonds sous le panneau italien, un record de l’Euroleague doublé d’un second, celui du nombre de rebonds offensifs pour son équipe, 30. Jusque-là, Cuadre-Michael Lollis (Ulker Istanbul en novembre 2001), Gregor Fuchka (FC Barcelone, février 2005) et Travis Watson (Fortitudo Bologne, février 2006) n’avaient pas fait mieux que 11 prises offensives.\\n\\nEvidemment, sur la saison, il est dominateur dans l’exercice avec une moyenne de 4,41 rebonds offensifs contre 3,30 au pivot du Real Madrid, Walter Tavares, tout en étant le numéro 1 en incluant les rebonds défensifs avec 8,59 prises. « J’aime avoir des rebonds, je me sens bien et cela me motive. J’essaye de me mettre dans la bonne position, pour voir où ira le ballon. Parfois j’ai raison, parfois pas, mais pour l’instant ça se passe bien, » commente-t-il en toute simplicité.\\n\\nSa constance dans la performance (12,3 points à 66,0%, 12,5 rebonds et seulement un total de 3 balles perdues sur le mois) lui a permis d’être élu MVP de l’Euroleague en décembre, d’autant que le CSKA Moscou a gagné ses 6 matches. Le Serbe paraît aussi à l’aise face à des centres petits et rapides comme Kyles Hines de Milan et Hassan Martin de l’Olympiakos, que contre un big man comme Moustapha Fall de l’ASVEL ou le roi des contres, Bryant Dunston d’Anadolu Efes.\\n\\nBoudé par les San Antonio Spurs\\n\\nMais qui est ce joueur qui était un peu noyé dans l’équipe nationale de Serbie (14’ de temps de jeu moyen pour 7,0 points à... 77,8% de réussite, et seulement 2,3 rebonds) lors de la Coupe du Monde 2019 ? Savez-vous qu’il a un point commun avec Tim Duncan qui s’était engagé avec succès dans la natation jusqu’à ce que la seule piscine des Iles Vierges soit détruite par un ouragan ? Faire de la natation fut pour Nikola Milutinov, alors âgé de sept ans, le choix de ses parents, qui estimaient que les cours en piscine développeraient ses muscles et qu’il pourrait jouer au football, au basket et à d’autres sports dans la rue pendant ses temps libres. Sa brève carrière de nageur s’est interrompue lorsque des copains ont voulu pousser le jeune garçon dans le bassin, mais qu’il a glissé sur le rebord, se cassant la mâchoire et perdant connaissance. Ses parents l’ont alors inscrit judicieusement dans la section basket de la Kader Novi Sad Academy. « J’ai commencé à jouer au basketball à l’âge de 7 ou 8 ans. Je suis tombé amoureux du basket. J’étais au Partizan, à Belgrade, c’était le plus grand club de Serbie et cela signifiait beaucoup pour moi de jouer pour cette équipe. C’était un grand pas quand j’ai commencé à jouer en Euroleague, c’était une super expérience et j’ai aimé ça. »\\n\\nDès l’enfance, Nikola était toujours en compagnie de son frère cadet, Branislav, avec qui il a joué à l’académie de basket-ball. Leur père, Miroslav, les a toujours exhortés à s’inquiéter pour leurs études et à réfléchir à ce qu’ils aimeraient faire dans la vie en plus du basket-ball. Nikola pensait que, comme son grand-père, il serait associé à la construction de bâtiments et que Branislav serait engagé dans l’architecture, ce qui leur permettrait de travailler ensemble. Cependant, il n’a jamais emprunté cette voie, son succès au niveau des jeunes a convaincu ses parents qu’il pouvait gagner sa vie grâce au basket-ball. Il a été notamment vice-champion du monde U19 en 2013 avec Nikola Jokic comme équipier, de quoi alerter les scouts de la NBA d’autant que l’adversaire victorieux était les Etats-Unis.\\n\\n« La productivité du centre prometteur repose en grande partie sur ses outils physiques impressionnants à ce stade. Véritable 7 pieds (2,13m) avec une belle longueur et une mobilité formidable, le natif de Novi Sad ressemble sans aucun doute à un big man de la NBA », écrivait ainsi le site spécialisé Draft Express. Et pourtant ses rapports avec les Etats-Unis ont toujours été, disons troubles. Deux ans plus tard, il souhaitait s’y rendre pour effectuer des workouts mais suite à une erreur du système informatique de l’ambassade américaine, Milu ne put obtenir le document requis et fut contraint de rester en Serbie. « Probablement que cela se produit une fois tous les 100 ans. Et cela m’est arrivé pendant l’année de la draft ! J’étais incroyablement bouleversé de ne pas pouvoir aller aux États-Unis. »\\n\\nMalgré tout, après avoir étudié de près le jeu du Serbe et découvert son énorme potentiel, les scouts des San Antonio Spurs, qui s’étaient rendus en Serbie, l’ont chaudement recommandé aux décideurs de la franchise texane et Milutinov a été sélectionné comme 26e choix. « Après la draft, je n’ai pas regretté d’être resté en Serbie. J’ai eu la chance d’assister à la cérémonie en famille et entre amis, ce fut un moment très émouvant. Quand j’ai vu mes parents pleurer, j’ai réalisé à quel point c’était important pour eux. Ensuite, je me suis senti comme une personne encore plus heureuse. »\\n\\nQue s’est-il passé depuis ? Pas grand-chose. Celui qui rêve de la ligue américaine depuis que, gamin, il voyait son idole Vlade Divac rayonner sous le maillot des Sacramento Kings, est laissé à l’abandon dans son coin. « Pour aller en NBA, vous devez recevoir une invitation. Je n’ai pas reçu une seule proposition officielle, il y a seulement eu des conversations. Les Spurs ne montraient aucun intérêt sérieux pour moi. Je ne peux pas y aller moi-même, ils doivent montrer le désir de me voir, et depuis toutes ces années ils ne l’ont jamais fait. Mais je ne le regrette pas car j’ai passé cinq excellentes années à Athènes. » Et comme il a signé cet été pour trois saisons au CSKA Moscou, il faudra au moins attendre 2023 pour le voir, éventuellement, sous une tunique NBA.\\n\\nLe 3e salaire d’Euroleague\\n\\nSi à 26 ans, Nikola Milutinov cumule déjà 181 matches d’Euroleague, c’est qu’il y a joué deux saisons avec le Partizan Belgrade puis cinq autres avec Olympiakos avant de débarquer à Moscou. « J’ai passé cinq belles années à l’Olympiakos, j’ai encore beaucoup d’amis dans l’équipe, j’ai de bons souvenirs de Grèce et Athènes sera toujours ma ville et j’adorerai toujours revenir, » déclare t-il. « J’ai beaucoup appris de joueurs comme Spanoulis et Printezis, j’ai appris tous les jours, je les ai écoutés et ils m’ont façonné. Ils m’ont aidé, ils m’ont mis sur la carte, ils m’ont donné une chance de jouer au plus haut niveau en Euroleague, ils ont cru en moi dès le premier jour. Je leur en suis reconnaissant et je serai toujours à leurs côtés. C’était difficile de partir et de quitter Athènes. Je n’ai pas eu de mal à décider où je voulais aller, mais c’était difficile de quitter la ville et tous mes amis. »\\n\\nAller au CSKA était pour lui une évidence. « Jusqu’à présent dans ma carrière, toutes les décisions ont été plus ou moins difficiles, mais pas ça. Un club avec de grandes traditions, un président qui vit pour l’équipe, un entraîneur primé, une excellente organisation, un Moscou fort et beau. C’est un honneur pour moi d’être un joueur du CSKA, je connais la responsabilité et les objectifs que porte ce nom célèbre. »\\n\\nLes Russes accueillent toujours chaleureusement les Serbes, l’équipe de l’armée est le club frère du Partizan, dans lequel Milutinov a passé trois ans. Le CSKA est l’un des deux principaux prétendants à la victoire en Euroleague avec Barcelone, le centre a rapidement trouvé un langage commun avec Dimitris Itoudis, qui parle couramment le serbe, et il a également retrouvé de vieilles connaissances en Daniel Hackett et Janis Strelnieks, avec lesquels il a joué à l’Olympiakos. Milutinov possède déjà une belle collection de trophées mais il lui manque celui de l’Euroleague. « Le CSKA a toujours des objectifs élevés. Je veux gagner, je veux gagner l’Euroleague, ce que je n’ai pas encore fait, donc ça me motive. Je veux travailler plus dur pour atteindre cet objectif. Le stress est quelque chose auquel nous sommes tous habitués dans nos vies. Où que vous soyez, il y a de la pression. »\\n\\nPour le séduire définitivement, le CSKA a déroulé le tapis rouge. Dans un contexte sanitaire et économique anxiogène, il est l’un des rares joueurs en Europe dont le salaire a considérablement augmenté : +150% vis-à-vis de celui qu’il percevait à Olympiakos. L’équipe de l’armée a mis sur la table un contrat de 2,5 millions de dollars par an, ce qui en fait avec Mike James le troisième en Europe après ceux de Nikola Mirotić au Barça et Shane Larkin à Anadolu Efes.\\n\\nNikola Milutinov est un centre à l’ancienne, qui ne s’aventure pas au-delà de la peinture, au point qu’il a n’a pris que trois tirs à trois-points de toute sa carrière en Euroleague pour en marquer un seul. Mais pour l’ancien coach des Cleveland Cavalier et d’Olympiakos, David Blatt, pas de doute : « C’est une belle signature pour le CSKA. Milutinov, à mon avis, est le meilleur centre d’Europe, il peut tout faire sur le terrain. Il est encore jeune, il ne fait que commencer son voyage. Nico est génial maintenant, mais a le potentiel pour devenir encore plus fort. Il possède un fort caractère, et en même temps, il est bon en tant que coéquipier, » déclarait-il en apprenant son arrivée dans la capitale russe.\\n\\nLe Serbe s’est très vite acclimaté à la vie moscovite. Il a assisté au principal match de football du pays, le derby entre le CSKA et le Spartak, et il est allé soutenir l’équipe de hockey-sur-glace de l’Armée. Il adore le tennis, bien sûr la natation, et comme n’importe qui de sa génération, jouer à la console et il prétend avoir bien maîtrisé FIFA sur Playstation. Un passe-temps adapté aux longs hivers russes.\\n\\nChou blanc avec l’équipe nationale\\n\\nLe tableau serait parfait si Milutinov n’avait pas multiplié les rendez-vous ratés avec son équipe nationale. Il n’a pas participé au Tournoi de Qualification Olympique en 2016, préférant jouer dans la ligue d’été de la NBA. Au bout du compte, ce n’est pas pour ça qu’il s’est lié avec les Spurs. Un an plus tard, re-belote. Nikola Milutinov et Nemanja Dangubic se sont rendus sur les sites de San Antonio pour préparer la nouvelle saison pendant que leur équipe disputait l’EuroBasket. Bilan : la Serbie a perdu en finale contre la Slovénie et Milutinov s’est retrouvé sans médaille d’argent au Championnat d’Europe. Jusqu’ici, il n’a pas participé qu’à un seul Euro, celui de 2015 quand il avait 20 ans et qu’il était le 12e homme de l’équipe.\\n\\nEt pourtant, à l’entendre, l’équipe nationale et lui sont régis par une relation amoureuse. « Cela signifie beaucoup pour moi quand je suis dans l’équipe de la Serbie, c’est vraiment un sentiment spécial, » déclarait-il avant la Coupe du monde en Chine. « Surtout quand je vois quel genre de concurrence il y a dans l’équipe et à mon poste. Cette année c’est une très bonne équipe et c’est incroyable quand tu te réveilles et que tu réalises que tu fais partie de quelque chose d’aussi grand. »\\n\\nLa Serbie attend qu’il fasse preuve avec l’équipe nationale des qualités hors du commun affichées en Euroleague. Mais en raison de sa blessure à l’épaule, son retour avec les Bleus est remis à une date ultérieure.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nIl est des moments qui s’écrivent pour l’Histoire. Le 30 décembre à Milan, Nikola Milutinov a capté 16 rebonds sous le panneau italien, un record de l’Euroleague doublé d’un second, celui du nombre de rebonds offensifs pour son équipe, 30. Jusque-là, Cuadre-Michael Lollis (Ulker Istanbul en novembre 2001), Gregor Fuchka (FC Barcelone, février 2005) et Travis Watson (Fortitudo Bologne, février 2006) n’avaient pas fait mieux que 11 prises offensives.\\n\\nEvidemment, sur la saison, il est dominateur dans l’exercice avec une moyenne de 4,41 rebonds offensifs contre 3,30 au pivot du Real Madrid, Walter Tavares, tout en étant le numéro 1 en incluant les rebonds défensifs avec 8,59 prises. « J’aime avoir des rebonds, je me sens bien et cela me motive. J’essaye de me mettre dans la bonne position, pour voir où ira le ballon. Parfois j’ai raison, parfois pas, mais pour l’instant ça se passe bien, » commente-t-il en toute simplicité.\\n\\nSa constance dans la performance (12,3 points à 66,0%, 12,5 rebonds et seulement un total de 3 balles perdues sur le mois) lui a permis d’être élu MVP de l’Euroleague en décembre, d’autant que le CSKA Moscou a gagné ses 6 matches. 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Il avait un rendement supérieur en Jeep Elite avec 13,3 points, 2,9 rebonds et 1,6 passe en 7 matches.\\n\\nIl a déjà fait un bref passage en Chine au cours de la saison 2019-20.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Strasbourg : Bonzie Colson, un as dans le jeu alsacien" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de la SIG Strasbourg.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes temps changent. Secouée par la crise financière, la SIG a vu son budget baisser de 16% à 6 393 000 euros et surtout sa masse salariale de 29% à 1 685 000, la plus forte chute en pourcentage de la Jeep Elite. Cinq clubs (Villeurbanne, Monaco, Boulogne-Levallois et aussi Bourg et Limoges) sont désormais devant elle au classement.\\n\\nIl y a quatre ans, AJ Slaughter (220 000€) bénéficiait du 5e revenu des étrangers, Erving Walker (190 000€) du 9e, Mam Jaiteh (200 000€) percevait le 2e salaire des Français, Pape Sy (170 000€) le 3e et Jeremy Leloup (155 000€) le 8e. Personne comme coach n’était mieux payé que Vincent Collet (240 000€), par ailleurs patron des Bleus.\\n\\nLes Alsaciens ont revu leur effectif de fond en comble durant l’été avec trois recrues françaises de bon standing, dont deux All-Stars de Châlons-Reims (Morin et Maille) mais en étant très raisonnables dans la distribution des billets de banque. Jean-Baptiste Maille a gagné 40 000€ dans l’affaire, Yannis Morin 30 000€ et Léo Cavalière 10 000€.\\n\\nL’ancien ailier de Darüşşafaka Bonzie Colson (10,8 points et 5,0 rebonds) est l’une des bonnes affaires de la Jeep Elite. Le Palois Shannon Evans parti, il est devenu son top scoreur (19,4 points) et le 2e à l’évaluation (21,3). Sa constance s’exprime aussi en Basketball Champions League avec 19,6 points, 6,4 rebonds et 19,0 d’éval.\\n\\nLes performances du meneur Brandon Jefferson (17,1 points, 49,3% à trois-points, 3,4 passes et 3,1 rebonds ) et de l’ailier Ishmail Wainright (11,9 points et 4,1 rebonds) sont également très honorables. A l’inverse, l’arrière De Andre Lansdowne (9,0 points, 40,5% aux tirs, 8,1 d’évaluation) est en retrait des performances de ses compatriotes. Mais c’est surtout l’inadaptation à la Jeep Elite du Tchèque Jaromir Bohacik (24,6% de réussite aux shoots, 2,1 d’éval) qui choque quand on regarde le rapport tarif/rendement. Pas facile de sortir du cocon de Nymburk.\\n\\nA noter que l’intérieur nigérian Ekuba Izundu n’était qu’à 60 000 euros sur la saison. Avec 4,6 d’éval, il était faiblard et il a été coupé après 8 matches.\\n\\nAinsi, le Finlandais Lassi Tuovi gagne trois fois moins que Vincent Collet en son temps. La différence entre le standing du coach de l’équipe de France et celui d’un éternel assistant qui a pris le relais et ainsi du galon.\\n\\n * Bonzie COLSON (USA) : 180 000 €\\n * DeAndré LANSDOWNE (USA) : 150 000 €\\n * Jaromir BOHACIK (CZE) : 120 000 €\\n * Yanis MORIN (FRA) : 120 000 €\\n * Ishmail WAINRIGHT (USA) : 110 000 €\\n * Jean-Baptiste MAILLE (FRA) : 100 000 €\\n * Brandon JEFFERSON (USA) : 100 000 €\\n * Léopold CAVALIERE (FRA) : 80 000 €\\n * Essome MIYEM (FRA) : 40 000 €\\n * Ebuka IZUNDU (NGR) : 24 000€ (sur 4 mois)\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Lassi TUOVI (FIN) : 80 000 €\\n * Frank KUHN (FRA) : 35 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nLes temps changent. Secouée par la crise financière, la SIG a vu son budget baisser de 16% à 6 393 000 euros et surtout sa masse salariale de 29% à 1 685 000, la plus forte chute en pourcentage de la Jeep Elite. Cinq clubs (Villeurbanne, Monaco, Boulogne-Levallois et aussi Bourg et Limoges) sont désormais devant elle au classement.\\n\\nIl y a quatre ans, AJ Slaughter (220 000€) bénéficiait du 5e revenu des étrangers, Erving Walker (190 000€) du 9e, Mam Jaiteh (200 000€) percevait le 2e salaire des Français, Pape Sy (170 000€) le 3e et Jeremy Leloup (155 000€) le 8e. Personne comme coach n’était mieux payé que Vincent Collet (240 000€), par ailleurs patron des Bleus.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Bonzie Colson (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Coupes d’Europe : Les clubs français pourront se déplacer hors Union Européenne pour «motifs impérieux»" }, {"role": "assistant", "content":"Afin de freiner la pandémie de coronavirus, le Premier ministre Jean Castex a annoncé ce vendredi une série de nouvelles restrictions, notamment la fermeture des frontières aux pays hors Union Européenne.\\n\\nCela va t-il interdire à certains clubs français engagés dans les coupes d’Europe la poursuite de la compétition, sachant que la Russie, la Serbie et encore Israël n’appartiennent pas à l’UE* ?\\n\\nHeureusement, des dérogations ont été mises en place pour des « motifs impérieux », et la liste est en ligne sur le site du ministère de l’Intérieur. Il existe notamment les « motifs impérieux professionnels » et on peut lire que cela concerne:\\n\\n« (Les) Sportifs professionnels de haut niveau pour la participation à des rencontres validées par le ministère des sports\\nPièce exigible : carte professionnelle, certificat délivré par l’organisateur en lien avec le ministère des sports. »\\n\\nMonaco Matin écrit à ce sujet que:\\n\\n« De son côté, la Ligue Nationale de Basket s’apprêterait à faire partir un courrier au Ministère des sports pour l’alerter de la situation. »\\n\\n*Pour les déplacements à l’intérieur de l’UE, un test PCR de moins de soixante-douze heures sera obligatoire.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"LFB : Tiffany Clarke (Roche Vendée) réalise la 2e évaluation de l’histoire de la ligue" }, {"role": "assistant", "content":"Tiffany Clarke (1,83m, 29 ans) a réalisé une ligne statistique qui va faire date. Face à Charnay, l’intérieure américano-jamaïcaine de Roche Vendée a compilé 35 points à 13/15 aux tirs du champ, 9/9 aux lancers-francs, 8 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, aucune balle perdue et aussi 7 fautes provoquées.\\n\\nIl s’agit du record de points en Ligue Féminine de la saison mais surtout son évaluation (45) est la 2e de tous les temps !\\n\\nSous ses ailes, les Vendéennes sont allées s’imposer à Charnay, 87-108. Caroline Hériaud (13 points, 9 passes) et Ornella Bankole (20 points, 4 rebonds) ont également apporté une importante contribution à cette victoire.\\n\\nPhoto: Claire Porcher/Infinity Nine Media" }, {"role": "user", "content":"Pau : Un budget de 8M€ pour la saison 2021-22 ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le rachat possible sinon probable de l’Elan Béarnais par les Américains de Counter-Pointe Sports Group a fait débat au conseil de la Communauté d’agglomération de Pau, et son président François Bayrou a précisé que les négociations exclusives devraient encore durer deux mois. Sud Ouest rapporte ses propos.\\n\\n« L’opération sera difficile car ça n’a jamais été fait. Il faut marier des cultures différentes. Mais si ce projet arrive à son terme, nous récupérerons notre mise de départ, et même un peu plus. C’est un projet original, novateur, ambitieux. Et une chose est certaine: il n’y a pas de cadavres dans les placards. »\\n\\nSur les motivations de CSG, François Bayrou avance une hypothèse... originale:\\n\\n« Les Américains spéculent probablement sur le fait que l’Elan peut devenir source de droits TV, qui peuvent exploser. Il y a aussi l’idée, à terme, d’un financement par les supporters, qui n’engagent pas la collectivité. »\\n\\nMême ses opposants sont visiblement favorables à cette opportunité. Ainsi Olivier Dartigolles, du Parti Communiste, a déclaré:\\n\\n« Les noms qui circulent sont des noms qui rayonnent au Panthéon du basket américain... »\\n\\nDans son édition de dimanche, Sud Ouest précise qu’une délégation de CSG est attendue à Pau dans le prochains jours. L’ancien palois Taqwa Pinero, qui a servi d’intermédiaire, pourrait en faire partie.\\n\\n« Selon nos informations, CSG s’engagerait à investir autour de 12 millions d’euros sur 4 ans avec une montée en charge progressive du budget... Pour la saison 2021-22, il serait porté aux alentours de 8M€. »\\n\\nEn attendant, les Palois ont concédé hier soir une 6e défaite d’affilée très inquiétante face au Champagne Basket (86-97); ils n’ont plus qu’une victoire d’avance sur les Marnais.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"La belle victoire de Roanne sur Boulogne-Levallois ternie par le vilain geste de Boubacar Toure" }, {"role": "assistant", "content":"Roanne s’est offert une superbe victoire (80-67) face à Boulogne-Levallois, le deuxième de la Jeep Elite, qui sera précieuse au moment du décompte final pour le maintien.\\n\\nC’est l’arrière Ronald March (1,96m, 27 ans) qui a emmené la Chorale vers la victoire avec 21 points et 9 rebonds pour 23 d’évaluation. Leur manque d’adresse à trois-points (3/21) n’a pas été fatale car les hommes de Jean-Denys Choulet ont accompli un très solide travail défensif. Leur avantage à l’évaluation (91-61) est spectaculaire.\\n\\nMalheureusement, cette victoire est ternie par le très vilain geste de l’intérieur sénégalais Boubacar Touré (2,13m, 25 ans) sur Miralem Halilovic, qui devrait lui coûter une lourde suspension. Voulant venir au secours de leur équipier, Neal Sako, Lahou Konate et Maxime Roos ont pénétré sur le terrain, ce qui leur a valu une exclusion.\\n\\n\\nBabacar Touré vrille complètement en frappant Miralem Halilovic. Joueur expulsé et bientôt lourdement sanctionné #JeepElite pic.twitter.com/L3mHiguV5O\\n\\n— Cyril Camacho (@cyril_cmch) January 30, 2021\\n\\n\\nPhoto: Babacar Toure (Chorale Roanne)" }, {"role": "user", "content":"LFB : L’ASVEL tape du poing sur la table à Basket Landes, 63-75" }, {"role": "assistant", "content":"C’est le retour en force de l’ASVEL. Hier soir, les filles de Valéry Demory se sont imposées sans discussion à Basket Landes, 63-75.\\n\\nDu haut de son 1,97m, Helena Ciak a été dominatrice avec 20 points, 4 rebonds, 2 contres et 2 interceptions, recevant un parfait concours de Alysha Clark (14 points, 4 rebonds, 3 passes) et Aleksandra Crvendakic (12 points, 4 passes, 3 interceptions). Les Landaises ont souffert de leur manque d’adresse générale (37%).\\n\\n« Il y a un niveau de différence entre nos deux équipes », a commenté la coach Julie Barennes, propos repris par Sud Ouest. « Offensivement on s’est un peu retrouvé par rapport à nos prestations dans la bulle d’Euroleague à Bourges. Mais il nous manque de l’adresse sur les moments importants. »\\n\\nBasket Landes (9-2) demeure le dauphin de Bourges mais l’ASVEL (7-3) fond au classement sur l’équipe de Céline Dumerc.\\n\\nPhoto: Lyon, FIBA" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de l’Eurocup, 3ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la troisième journée du Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nTout d’abord, le bilan des clubs français lors de cette journée est équilibré avec deux victoires pour deux défaites.\\n\\nMonaco se déplaçait à Badalona pour le duel des invaincus du groupe E. Pour l’occasion, le club catalan récupérait Pau Ribas mais perdait Shawn Dawson. La Roca Team débute bien le match et remporte le premier quart de 4 points. Le deuxième quart se résume à un duel de séries. Le club espagnol marque 9 points d’affilée pour débuter la période puis le représentant français fait une série de 14 points consécutifs. L’AS Monaco mène ainsi à la pause de deux petits points. Mais Badalona remporte le troisième quart de 8 points et gère la dernière période. Il s’impose 79-72 et reste invaincu. L’équipe de Carles Duran a réussi un joli 10/20 à 3 points. Son leader a été le meneur Nenad Dimitrijevic, auteur de 22 points à 8/11 dont 3/3 à 3 points. Sa performance lui vaut les honneurs du titre de meilleur sixième homme européen. Après ce match, les deux équipes sont en position de se qualifier pour les quarts.\\n\\nDans le même groupe, pour un second duel franco-espagnol, Nanterre se déplaçait à Malaga. L’objectif commun des deux équipes était de remporter sa première victoire de la phase et de conserver des chances de se qualifier. La première mi-temps est très disputée et les deux protagonistes se partagent les quart-temps. Au retour des vestiaires, le club altoséquanais hausse le ton en défense et remporte le troisième quart de 13 points. Cet écart est décisif et Nanterre réalise une performance en s’imposant en Andalousie 92-83. Il n’a perdu que 7 ballons lors de ce match. L’équipe de Pascal Donnadieu a été emmenée par le duo Isaia Cordinier-Chris Warren, auteur de la moitié de l’évaluation collective. Le premier est même le meilleur ailier de la semaine ainsi que le MVP français pour la troisième fois de la saison. Du côté malagueño, c’est Tim Abromaitis qui s’est mis en valeur en sortant du banc. Avec ses 32 d’évaluation, il est le meilleur sixième homme de la journée. De même, le jeune pivot Yannick Nzosa a profité des 17 minutes passées sur le terrain pour s’arroger le titre de Rising Star. A la surprise générale, le club espagnol reste vierge de toute victoire dans ce Top 16.\\n\\nDe son côté, Boulogne-Levallois recevait le Dolomiti Energia Trento à Marcel Cerdan. Ce match était très important pour les franciliens dans l’optique de la qualification. Mais ils démarrent très mal le match. Ils ne marquent en effet que 9 points dans le premier quart et sont menés de 12 à l’issue de celui-ci. Ils redressent cependant la barre et remportent le second quart de 11 points. Après une seconde mi-temps équilibrée, c’est l’équipe italienne qui mène de 3 points à 20 secondes du terme. Et c’est Anthony Brown qui marque un tir à 3 points du corner au buzzer pour envoyer le match en prolongations. En surfant sur le momentum, le club français gagne la rencontre 92-86. L’équipe de Jurij Zdovc a été portée par son trio extérieur David Michineau-Archie Goodwin-Anthony Brown. Le premier est le meilleur meneur européen de la semaine. Du côté italien, Luke Maye a encore une fois été très bon et est le meilleur intérieur de la journée. Avec cette victoire, les Metropolitans restent leaders invaincus et prennent l’avantage dans la course aux quarts.\\n\\nEnfin, Bourg se déplaçait dans la capitale slovène pour y affronter le Cedevita Olimpija. Pour ce match, le club bressan récupérait Zack Wright alors que le club hôte enregistrait le retour d’Ivan Marinkovic. Le match a été très accroché mais le club slovène a quasiment toujours mené. Malgré tout, Pierre Pelos permet à Bourg de revenir à un point à 19 secondes du terme. Mais 2 lancers de Mikael Hopkins parachèvent la victoire 94-91 du Cedevita Olimpija. L’équipe de Jurica Golemac a dominé la rencontre dans le secteur des rebonds (32-23). Le trio composé de Jaka Blazic, Mikael Hopkins et Kendrick Perry a été décisif avec une évaluation cumulée de 84 dont 41 pour le seul Blazic. L’arrière slovène égale le record de la saison et est le MVP de la semaine. Il est également le meilleur marqueur avec 30 points. Le dernier est, quant à lui, le meilleur meneur de la journée. Le Cedevita place ainsi deux joueurs dans le meilleur Cinq de la semaine. Bourg reste donc sans victoire au compteur et se retrouve décroché pour la qualification.\\n\\nDans le groupe F, le Lokomotiv Kuban Krasnodar recevait le Partizan Belgrade à la Basket Hall devant 1 240 spectateurs. Le club russe devait gagner pour ne pas se retrouver en grandes difficultés. De plus, il ne pouvait pas compter sur ses dernières recrues, Nigel Willams-Goss et Drew Gordon. Le club serbe, quant à lui, enregistrait les forfaits majeurs de Codi Miller-McIntyre et Rashawn Thomas. L’équipe d’Evgeny Pashutin réalise un bon début et remporte les deux premiers quarts. Elle réussira à maintenir l’écart après le retour des vestiaires et s’impose 74-67. La victoire a été collective pour le Lokomotiv Kuban avec 5 joueurs à au moins 10 d’évaluation. Le Partizan a cumulé seulement 58 d’évaluation. Celui-ci reste cependant en position de qualifiable.\\n\\nDans le groupe G, la Virtus Segafredo Bologna recevait le Buducnost Voli Podgorica. Il n’y a eu aucun suspens lors de cette rencontre. Le club italien menait déjà de 12 points au bout de 10 minutes et a remporté tous les quart-temps. Il s’impose finalement 87-65 et reste sans défaite. L’équipe de Sasa Djordjevic a distribué pas moins de 30 passes décisives. Dont 10 pour le seul Milos Teodosic qui est le meilleur passeur de la journée. Elle a été emmenée par le trio Vince Hunter-Marco Belinelli-Giampaolo Ricci. Ce dernier est le meilleur intérieur européen de la semaine.\\n\\nDans le groupe H, l’Unics Kazan se déplacait au Monténégro pour y affronter Mornar Bar. Pour ce match, le club de la côte adriatique enregistrait les forfaits de Jacob Pullen et de sa dernière recrue, Johnathan Hamilton. Malgré un premier quart équilibré, le club russe a facilement dominé la rencontre et remporté la victoire 87-70. L’équipe de Dimitris Priftis a pris 13 rebonds de plus que son hôte. C’est notamment dû à Jordan Morgan qui en a pris 14 et qui est le meilleur rebondeur de la journée. C’est également le meilleur pivot de la semaine. L’Unics Kazan garde donc la tête du groupe et prend un avantage certain dans la course à la qualification.\\n\\nEnfin, le MoraBanc Andorra se déplaçait à Gran Canaria dans un duel de représentants de la Liga Endesa. Le club de la principauté a mené quasiment pendant tout le match, prenant jusqu’à 10 points d’avance. Malgré un rapprochement de l’équipe insulaire, Andorra s’impose 66-63. Le leader de l’équipe d’Ibon Navarro a été le meneur américano-sénégalais Clevin Hannah, meilleur marqueur et passeur du MoraBanc. Suite à cette défaite, Gran Canaria se retrouve en difficultés.\\n\\nA l’issue de la troisième journée, 4 équipes sont encore invaincues. La Virtus Bologna est la première d’entre elles devant l’Unics Kazan, Boulogne-Levallois et Badalona.\\n\\nLe bilan des clubs français est pour l’instant de 6 victoires et 6 défaites. Deux clubs sont en position de se qualifier pour les quarts de finale.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nJaka Blazic (SG/Slo/30)\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n41 d’éval (30 pts à 8/13 dont 5/8 à 3 pts, 9/10 aux LF, 7 rbds, 4 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Kendrick Perry\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n21 d’éval\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n41\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n28\\n\\nPF Luke Maye\\n\\nTrento\\n\\n27\\n\\nC Jordan Morgan\\n\\nUnics Kazan\\n\\n24\\n\\nB Tim Abromaitis\\n\\nMalaga\\n\\n32\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG David Michineau\\n\\nBoulogne-Levallois\\n\\n21 d’éval\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n41\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n28\\n\\nPF Giampaolo Ricci\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n17\\n\\nC Jordan Morgan\\n\\nUnics Kazan\\n\\n24\\n\\nB Nenad Dimitrijevic\\n\\nBadalona\\n\\n23\\n\\nMVP français:\\n\\nIsaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n28 d’éval (24 pts à 11/17 dont 2/3 à 3 pts, 3 rbds, 3 pds, 4 int)\\n\\nRising star :\\n\\nYannick Nzosa (C/RDC/17)\\n\\nMalaga\\n\\n12 d’éval (8 pts à 3/4, 6 rbds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nJaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n30 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nJordan Morgan\\n\\nUnics Kazan\\n\\n14 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nMilos Teodosic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n10 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Badalona 3-0\\n 2. Monaco 2-1\\n 3. Nanterre 1-2\\n 4. Malaga 0-3\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Boulogne-Levallois 3-0\\n 2. Partizan Belgrade 1-2\\n 3. Lokomotiv Kuban Krasnodar\\n 4. Trento\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 3-0\\n 2. Cedevita Olimpija 2-1\\n 3. Buducnost Podgorica 1-2\\n 4. Bourg 0-3\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 3-0\\n 2. Andorra 2-1\\n 3. Mornar Bar 1-2\\n 4. Gran Canaria 0-3\\n\\nPhoto: Jaka Blazic (Cedevita Olimpija, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Le club basque de Gipuzkoa Basket est monté en Liga Endesa avec un budget de 443 249€" }, {"role": "assistant", "content":"Gipuzkoa Basket, qui était la saison dernière en Leb Oro et qui a obtenu le droit d’accéder à la Liga Endesa, a révélé ses comptes pour 2019-20 avec un résultat net de 3 290 euros. Très bien. Mais on peut être étonné -encore une fois- du très faible montant du chiffre d’affaires qui était de 443 249 euros. Soit deux fois moins que Souffelweyersheim (892 000€), le plus modeste de Pro B.\\n\\n« A l’issue de la saison 2019-2020, la dette à long terme du club de basket s’élevait à 202 492 euros, contre 386 571 euros en 2018-2019. La dette à court terme, quant à elle, s’élève à 2,02 millions d’euros, en ligne avec l’année précédente », précise palco23.\\n\\nPas de folie pour la saison en cours puisque le club basque projette des revenus de l’ordre de 2,55M€, le minimum requis en ACB, et un budget à l’équilibre. A côté, à Boulazac, 18e de Jeep Elite, c’est l’opulence: 3,38M€.\\n\\n." }, {"role": "user", "content":"En direct avec... Jo Passave-Ducteil (Le Portel) : « j’ai un jeu totalement particulier »" }, {"role": "assistant", "content":"L’intérieur Jo Passave-Ducteil (1, 98 m, 35 ans), vétéran du basket français, a tout gagné avec Nanterre. Après avoir effectué ses débuts en professionnel en 2003 à Saint-Etienne, il est parti ensuite pour un petit tour de France en passant par Limoges, Nanterre, Bourg, Dijon, Châlons-Reims et, actuellement, Le Portel en Jeep Élite. Il est l’invité de notre rubrique « En direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nJ’en garderai toujours un bon souvenir. C’était avec Saint-Etienne en Pro B à l’époque, face à Antibes et Stéphane Ostrowski. J’ai commencé face à une légende du basket français et je me rappellerai toujours l’instant où mon coach m’a dit : « Tu rentres, tu défends sur lui ». C’était un grand moment car ma culture basket n’était pas très élevée à ce moment-là puis on m’a expliqué sa carrière. C’est un souvenir à la fois marrant et dont je suis fier.\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nJe n’ai pas eu de modèle. C’est le collectif qui m’a rendu meilleur, car j’ai un jeu totalement particulier. J’ai besoin que l’équipe s’adapte car je ne suis pas un intérieur comme les autres, vu ma petite taille. Mes timings de position, les passes, tout cela est différent comparé à un intérieur de 2,10 m. Pour aller au panier, il faut que je « plie » le défenseur sinon on sait tous ce qui va se passer (rires).\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nTrabzonspor. Quand nous arrachons le titre en Eurochallenge dans les dernières secondes sur un panier de TJ Campbell (64-63). Je crois qu’on ne peut pas faire meilleur scénario.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite ? Celui qui vous a marqué ?\\n\\nC’est difficile de répondre car nous avons joué que sept matchs pour l’instant donc je n’ai pas pu voir tous les joueurs. En outre, il y a des joueurs qui sont bons individuellement mais qui n’ont pas forcément de résultats collectifs alors que d’autres sont bons et leur équipe obtient de bons résultats. Je suis très terre à terre, je pense que tu valorises les joueurs quand l’équipe gagne. Dans toute ma carrière, j’ai croisé beaucoup de joueurs qui m’ont marqué. S’il faut n’en citer qu’un, je dirai mon pote Alexis Ajinça, j’ai eu de la chance de gagner un titre face à lui mais il était pénible, je n’ai jamais vu un poste 5 aussi dominant dans le championnat. Parmi les joueurs marquants, je citerai aussi Edwin Jackson, Amara Sy, David Lighty pour ce qu’il réalise avec l’ASVEL et son aura de champion incroyable puis le « nain maléfique » David Holston, il est vraiment pas mal.\\n\\n« Le public quand on jouait là-bas, c’était magique, et les playoffs resteront à jamais gravés dans ma mémoire »\\n\\nDans quel club aimeriez-vous jouer ? Et au contraire, un club où vous ne voudriez pas aller ?\\n\\nLe Real Madrid ! Fabien Causeur, il vend du rêve ! Que ce soit au football ou au basket, c’est le Real Madrid. Je vais également citer le CSKA Moscou, car c’est la première équipe d’Euroleague contre laquelle j’ai joué. Voir le jet privé, les conditions dans lesquelles ils évoluaient, c’était fou. À l’inverse, je ne vais pas donner de club où je n’aurai pas aimé jouer, je mets un joker là-dessus, je n’ai pas envie de polémiquer.\\n\\nQuelle est la salle proposant la meilleure ambiance ?\\n\\nJe dirai Nanterre, à Coubertin pendant les playoffs. Et Nanterre à la Halle Carpentier quand nous avons battu le Partizan Belgrade. Pouvoir amener l’Euroleague de là où je viens, dans le 13e à Paris, d’avoir ses potes d’enfance, de collège et de lycée présents dans la salle alors qu’ils n’y connaissent rien au basket mais qui viennent juste pour toi, qui font du bruit pour la présentation des joueurs, c’est juste fou. Le public quand on jouait là-bas, c’était magique, et les playoffs resteront à jamais gravés dans ma mémoire.\\n\\nEt la ville où vous avez préféré jouer ?\\n\\nToutes les émotions, tous les titres que j’ai gagné, c’était avec Nanterre. J’ai eu la chance d’évoluer à Limoges, où j’ai pu « cultiver » la gagne et découvrir le monde pro. J’ai vécu mes deux premières finales perdues là-bas, c’était contre Poitiers, un « ennemi », et contre Tours donc en termes d’envie et de supporters, j’étais à la bonne école. En arrivant à Nanterre, j’ai gagné mes premiers titres et à force de soulever des trophées, tu y prend goût. Limoges m’a insufflé cette envie et, grâce à Nanterre, j’ai pu concrétiser ma faim de titre.\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir ?\\n\\nJe le maintiens, je le répète et je le martèle, gagner c’est vraiment dur. Tous les titres que j’ai gagné sont de supers souvenirs.\\n\\nA l’inverse, quel est votre moins bon souvenir ?\\n\\nToutes les finales que j’ai perdues (rires).\\n\\nAvez-vous un match référence ? Ou à l’inverse un moins bon ?\\n\\nForcément, il y a des matchs référence mais tout est lié à la gagne, à la victoire. Je fais une campagne européenne top mais le week-end du final 4 d’Eurochallenge, je crois que c’est mon cousin qui a pris l’avion, ce n’est pas moi. J’ai été nul en demis. En finale, il me manquait de la réussite et je pense que si je suis coach, je ne me remets pas dans le match. Mais Pascal Donnadieu me connaît, sait me dire les choses pour me titiller et me dit : « Tu crois que tu vas faire quelque chose de positif ce week-end ? », ça a suffi à me remettre dedans et mon week-end se résume à deux choses : un rebond et une passe (NDLR : voir la vidéo ci-dessous). C’est con, mais ce rebond et cette passe font qu’on est champions. (Rires)\\n\\n« Au Portel, ils me saoulent tous avec le jeu Among Us, on a des geeks cette année ! »\\n\\nSi vous pouviez voler le move d’un joueur, lequel serait-ce ?\\n\\nJ’aimerais tellement faire comme Shaquille O’Neal, le spin move avec le tomar à une main en mode animal et celui de Dwight Howard au Magic d’Orlando. Si je pouvais avoir leur animosité, ça serait exceptionnel.\\n\\nPourquoi avoir choisi le 13 comme numéro de maillot ?\\n\\nJe suis né le 13 juillet 1985, j’ai grandi dans le 13e à Paris. C’est une façon de représenter un peu le 13e arrondissement. Quand je suis passé pro à Saint-Etienne, Alain Thinet et Fabien Romeyer m’ont demandé mes objectifs à court et à long terme et je leur ai dit que je voulais absolument jouer une coupe d’Europe et que, si ça se faisait, je choisirais le 42 pour le clin d’oeil à Saint-Etienne. En championnat c’est le 13 et si il y a de la coupe d’Europe, c’est le 42.\\n\\nAvec quels joueurs avez-vous le plus d’affinités ?\\n\\nC’est dur cette question car dans tous les clubs où j’ai évolué, j’ai conservé des liens. Je citerai un joueur qui a pris sa retraite, Steve Jallabert, et un autre qui est coach maintenant, Guillaume Pons. Quant aux autres qui jouent encore, ils le savent donc je n’ai pas besoin de les donner.\\n\\nQuels sont vos sujets de conversation dans les vestiaires ou entre les entraînements ?\\n\\nAu Portel, ils me saoulent tous avec le jeu Among Us, on a des geeks cette année ! Mais, franchement c’est marrant. Nous avons beaucoup de débats : NBA contre Europe ou bien Luka Doncic contre Jayson Tatum. Franchement, on a des super débats.\\n\\nAvec qui monteriez-vous votre Cinq de légende ?\\n\\nCe serait un « sept de légende » : je prendrai Jérémy Nzeulie, Marc Judith, Xavier Corosine, Trent Meacham, David Lighty, Yanis Morin et Lahaou Konaté et ça serait coaché par Guillaume Pons.\\n\\nQue feriez-vous si vous n’étiez pas dans le basket ? Où vous voyez-vous après le basket ?\\n\\nJe travaille à ma reconversion. Je fais des études de general management et j’aimerais bien faire profiter un club de mon expérience, afin qu’il se structure et qu’il atteigne le haut-niveau avec une approche de joueur. Cela peut aider un club à mieux comprendre les joueurs car souvent il y a de l’incompréhension. J’aimerais aussi travailler sur les centres de formation. Ce sont des choses que j’aimerais bien réaliser avec mes capacités, pas qu’avec le basket mais avec le sport dans son ensemble car je crois beaucoup au format club multisports comme Barcelone ou Madrid.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nQuel souvenir gardez-vous de votre premier match professionnel ?\\n\\nJ’en garderai toujours un bon souvenir. C’était avec Saint-Etienne en Pro B à l’époque, face à Antibes et Stéphane Ostrowski. J’ai commencé face à une légende du basket français et je me rappellerai toujours l’instant où mon coach m’a dit : « Tu rentres, tu défends sur lui ». C’était un grand moment car ma culture basket n’était pas très élevée à ce moment-là puis on m’a expliqué sa carrière. C’est un souvenir à la fois marrant et dont je suis fier.\\n\\nQuel joueur vous a rendu meilleur ?\\n\\nJe n’ai pas eu de modèle. C’est le collectif qui m’a rendu meilleur, car j’ai un jeu totalement particulier. J’ai besoin que l’équipe s’adapte car je ne suis pas un intérieur comme les autres, vu ma petite taille. Mes timings de position, les passes, tout cela est différent comparé à un intérieur de 2,10 m. Pour aller au panier, il faut que je « plie » le défenseur sinon on sait tous ce qui va se passer (rires).\\n\\nQuel a été votre adversaire le plus coriace ?\\n\\nTrabzonspor. Quand nous arrachons le titre en Eurochallenge dans\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture : FFBB" }, {"role": "user", "content":"Le CSKA Moscou conserve Mike James" }, {"role": "assistant", "content":"Le CSKA Moscou a annoncé que sa star américaine Mike James demeurait avec le club et reviendra aux entraînements après avoir purgé sa suspension. James pourrait jouer lors du prochain match de VTB League contre Zielona Gora prévu lundi.\\n\\nJames a fait la déclaration suivante à propos de l’incident qui a conduit à sa suspension:\\n\\n« Le 8 janvier, mon grand-père est décédé des suites d’un cancer du poumon. Depuis ce moment, ma vie personnelle est allée de haut en bas et de nombreux changements se sont produits. Malheureusement, cela a affecté ma vie professionnelle, beaucoup de malentendus sur le club et moi sont apparus dans les médias. Premièrement, je veux dire que c’est une question très personnelle pour moi, ce ne sont pas des informations que j’aimerais voir dans les médias. Deuxièmement, je voudrais également souligner qu’il y avait plusieurs façons de faire face aux problèmes, et dans cette situation, je n’ai pas choisi la meilleure façon pour moi ou pour le club que je représente. Par conséquent, je tiens à m’excuser et à dire que l’attention et les problèmes causés ne sont pas du tout ce à quoi je voudrais associer les souvenirs de mon grand-père. Pour le CSKA et moi, cela restera un problème interne, nous le réglerons en équipe. Je serais heureux si les gens mettaient tout cela au passé. »\\n\\nLe président du CSKA Moscou, Andrei Vatutin, a déclaré ce qui suit :\\n\\n« Nous avons eu certains problèmes, mais je ne veux pas parler de leur contenu maintenant, c’est notre affaire interne. Il a fallu beaucoup de temps pour régler les choses et écouter tout le monde. De retour de Berlin, nous nous sommes réunis en équipe et avons parlé franchement, en essayant de trouver une solution professionnelle dans l’intérêt des intérêts communs. Il n’y avait pas de moyen facile de sortir de cette situation et nous avons choisi, avec les entraîneurs et l’équipe, une voie qui implique une grande quantité de travail en commun – et c’est naturel pour une équipe sportive de haut niveau. Il est clair que les évaluations ne peuvent être faites qu’au fil du temps. Mais nous sommes unis dans cette décision, et c’est très important pour moi. J’espère que tout fonctionnera et que nous grandirons en équipe. Mike fait toujours partie de notre équipe, nous avançons ensemble.. »" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Roanne : Les paris n’ont pas tous fonctionné" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Babacar Touré (Photo : Chorale de Roanne)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de la Chorale de Roanne.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès une saison 2019-20 très chaotique, Roanne espérait se stabiliser cette année et offrir un meilleur visage à ses supporters. Pour arriver à ces fins, la Chorale a, contrairement à la plupart des autres équipes de Jeep Élite, augmenté (très légèrement) sa masse salariale, passée de 1 339 500 € (17e de la saison) à 1 368 000 €, soit un gain de 28 500 €. Bien évidemment, il n’y a là pas de quoi révolutionner le recrutement...\\n\\nLa principale recrue consiste peut-être en la prolongation de coach Jean-Denys Choulet, qui a sous ses ordres une escouade moins bien payée que lui, à une exception près, celle de Juvonte Reddic. Pour le reste, on constate que six joueurs émargent au même montant de 75 000 € et que les trois autres professionnels de l’effectif gagnent entre 45 000 et 60 000 €.\\n\\nÉvidemment, lorsqu’on ne peut offrir que de tels salaires, il faut tenter des paris. Et il ne sont pas toujours gagnants. Déjà, Juvonte Reddic ne justifie que partiellement ses émoluments, ses 4,7 rebonds en 29,7 mn par match faisant désordre pour un pivot. Pis, les deux rookies Nijal Pearson (coupé très récemment et remplacé par Teyvon Myers, tout juste viré de Chalon) et Jackson Rowe sont à la peine (respectivement 4,3 et 3,8 d’éval), tout comme Ronald March, débauché à petit prix en Pro B mais loin de ses prestations réalisées avec Aix-Maurienne la saison passée (8,6 d’éval contre 15,4).\\n\\nÀ côté de cela, il y a de belles satisfactions. Tout d’abord Sylvain Francisco, recruté à l’échelon inférieur (Paris) pour venir occuper le poste de meneur titulaire : une très belle réussite, avec ses 14,6 d’éval, mieux que ce qu’il faisait à Paris (13,7) ! Autre motif de réjouissance, l’excellente saison de Steeve Ho You Fat, qui justifie son augmentation de salaire (55 000 € la saison passée) avec ses 12,4 d’éval (contre 9,2 en 2019-20). Enfin, l’inattendu Boubacar Touré, rookie sénégalais, a crevé l’écran avec ses 81,6 % de réussite aux tirs, ses 4,2 rebonds en 16 mn et son contre de moyenne, pour une éval de 12,0. Une sacrée affaire que Roanne s’est empressé de prolonger.\\n\\nQuant aux « anciens » de la maison, Clément Cavallo, Thomas Ville et Mathis Keita, ils ont vu leur salaire augmenter mais n’offrent pas de prestations en rapport, notamment le dernier nommé, qui semble avoir bien du mal à se remettre dans le bain après une saison blanche pour blessure – et qui vient du reste d’être remercié et remplacé par Renathan Ona Embo. Pour compenser les failles, et notamment celles de Jackson Rowe (qui plus est souvent blessé), Roanne a signé dernièrement Jamel Artis, vu la saison dernière à Boulogne-Levallois, où il touchait 180 000 €. Même si la Chorale semble avoir conservé un petit matelas (elle dépenserait 1,154 M€ hors Artis, selon nos informations), on peut supposer qu’il émarge à un montant inférieur. En tout cas, son arrivée ne peut pas faire de mal à une équipe mal en point, 16e avec deux victoires pour cinq défaites (dont un terrible 43-77 à Gravelines-Dunkerque) et présentant la plus mauvaise attaque de la division : 72,4 points par match.\\n\\n * Juvonte REDDIC (USA) : 135 500 €\\n * Mathis KEITA (FRA) : 75 000 € (coupé le 21 janvier)\\n * Sylvain FRANCISCO (FRA) : 75 000 €\\n * Nijal PEARSON (USA) : 75 000 €\\n * Clément CAVALLO (FRA) : 75 000 €\\n * Jackson ROWE (CAN) : 75 000 €\\n * Steeve HO YOU FAT (FRA) : 75 000 €\\n * Ronald MARCH (USA) : 60 000 €\\n * Thomas VILLE (FRA) : 55 000 €\\n * Boubacar TOURE (SNG) : 45 000 €\\n * Arthur BRUYAS (FRA) : 20 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Jean-Denys CHOULET (FRA) : 120 000 €\\n * Guillaume QUINTARD (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès une saison 2019-20 très chaotique, Roanne espérait se stabiliser cette année et offrir un meilleur visage à ses supporters. Pour arriver à ces fins, la Chorale a, contrairement à la plupart des autres équipes de Jeep Élite, augmenté (très légèrement) sa masse salariale, passée de 1 339 500 € (17e de la saison) à 1 368 000 €, soit un gain de 28 500 €. 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Il y avait d’autres matchs remis à nous faire jouer, comme Le Mans, Gravelines ou Cholet. Cela aurait permis en plus de limiter les frais. Jouer Gravelines, par exemple, c’était bien. Au lieu de cela, on nous impose d’aller à Monaco, qui était prévu le 27 décembre. Pourquoi Monaco ? On n’en sait rien. Pour l’ASVEL, qui joue énormément avec Euroleague, on ne comprend pas non plus. Nous sommes les seuls à jouer un match aller/ retour et qui plus, c’est l’ASVEL ! Et pourquoi nous avoir fait jouer le 14 décembre ASVEL / ESSM, rencontre prévue le 14 avril ? On nous dit qu’il faut jouer les matchs reportés et on se tape la journée 27 pour la simple et bonne explication que nous n’avions qu’un match au contraire des autres équipes Au final, on aura joué sept équipes européennes sur nos dix premiers matchs : deux fois ASVEL, Dijon, Strasbourg, Limoges, Nanterre et Monaco. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Alain Weisz (Boulogne-Levallois) : «Nous avons un devoir d’adaptation. Ou le basket pro français peut tomber dans l’oubli»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que la Ligue Nationale de Basket doit décider lors d’une prochaine Assemblée Générale quelle sera la suite à donner à cette saison 2020-21 de Jeep Elite et de Pro B très perturbée par la pandémie avec des matches sporadiques, Alain Weisz, le Directeur des Opérations sportives de Boulogne-Levallois, est direct: il faut jouer ! C’est ce qu’il déclare ce matin dans L’Equipe :\\n\\nA la question de savoir quel est le danger à long terme si ce n’est pas le cas, il argumente :\\n\\n« Il est multiple: perte de respect des partenaires éventuels, de confiance du ministère des sports, incompréhension du public, qui ne sait même plus qu’il y a un championnat, et de l’extérieur. A l’étranger, les observateurs, les agents sont sidérés. En Italie, Grèce, Turquie, Espagne, on fait tout pour jouer. Les Coupes d’Europe, avec des protocoles plus lourds, jouent... Nous sommes quasiment la seule ligue dans cette situation. Même le foot, avec l’affaire Mediapro, avance. On se ridiculise. Alors quoi? Si ça dure trois ou quatre ans, on arrête de jouer quatre ans ? Nous avons un devoir d’adaptation. Ou le basket pro français peut tomber dans l’oubli. »\\n\\nPhoto: Metropolitans" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Étoile Rouge de Belgrade / ASVEL (78-81) – Norris Cole : «C’est mon travail en tant que leader d’être agressif et de terminer le travail»" }, {"role": "assistant", "content":"Troisième victoire consécutive pour le collectif villeurbannais. Portée par une adresse à trois points remarquable (8/12) en première mi-temps et un Norris Cole (22 points, 7/11 aux tirs et 7/7 aux lancers pour 25 d’évaluation) qui a pris ses responsabilités dans le money time, l’ASVEL réalise ainsi un joli rapproché au classement.\\n\\nSans Derrick Walton Junior (adducteurs) et Allerick Freeman (malade) -l’Etoile Rouge était privée de son côté de Johnny O’Briant, suspendu-, les Villeurbannais ont été plus adroits (60,7%) que les Serbes avec notamment un 8/9 derrière l’arc en première mi-temps.\\n\\nA la distribution, Antoine Diot (14 points dont 4/4 à trois points) et Paul Lacombe (6 passes) ont été impeccables et ont permis de créer le plus gros écart du match avant la mi-temps (30-45).\\n\\nTout s’est compliqué dans le 3e quart pour les hommes de T.J. Parker, moins adroits et plus enclin à faire des erreurs. L’ASVEL a ainsi entrouvert la porte à un retour des Serbes portés par un très bon Ognjen Dobric (17 points à 5/11 aux tirs et 4 rebonds). Si Guerschon Yabusele n’a joué que sept petites minutes, il était l’auteur d’un contre magistral pour permettre à son équipe de conserver les commandes du match (56-57).\\n\\nCorey Walden d’un côté et Norris Cole de l’autre nous ont offert un joli duel en fin match dans lequel le double champion NBA allait inscrire 15 des 22 derniers points des Villeurbannais permettant ainsi à son équipe de prendre le chemin de la victoire.\\n\\nL’ASVEL (9-14) est aujourd’hui à la 14e place, encore très loin du Top 8 puisque à quatre succès de Saint-Petersbourg, Kaunas et Fenerbahçe.\\n\\nDejan Radonjic (Coach ER Belgrade) : « Le début de match n’a pas été aussi bon que nous le souhaitions. Nous avons mal joué pendant presque 16 minutes. La défense était molle. Nous avons fait beaucoup d’erreurs. Après, c’était différent. C’était mieux. Mais à la fin, nous avons manqué quelques tirs pour la victoire. »\\n\\nT.J. Parker (Coach ASVEL) : « C’était un match difficile. Comme je m’y attendais, ils sont revenus au score et ont été très durs. Après cela, nous avons trouvé un moyen de gagner. Norris [Cole] a mis quelques gros shoots pour nous. Toute l’équipe a très bien joué sur ces cinq derniers matchs. La clé, c’était la défense. Nous avons eu les stops quand nous en avions besoin. Après ça, ça allait et venait. Des joueurs de haut niveau ont mis de gros shoots. Et ça a tourné à notre avantage. C’était un match difficile, mais nous nous sommes accrochés et nous avons frappé fort en fin de match. C’est en jouant comme ça en défense qu’on peut gagner en davantage de matches ».\\n\\nNorris Cole (ASVEL) : « C’était un match difficile, c’était un match de compétition. C’est une équipe très physique, ce à quoi nous nous attendions. Mais nous étions prêts à relever le défi. C’est une bonne compétition et j’aime ce genre de matchs. Nous voulions nous imposer en deuxième mi-temps et établir un rythme et un rapport physique. Je voulais être plus agressif. Pendant la première mi-temps, l’équipe a joué avec un bon équilibre. C’est mon travail en tant que leader d’aller sur le terrain et d’être agressif, de donner le ton et de terminer le travail. Ce soir, nous avons terminé le match en équipe ».\\n\\nCorey Walden et Norris cole (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Facu Campazzo élu Joueur de la Décennie par un vote populaire" }, {"role": "assistant", "content":"Facundo Campazzo (1,78m, 29 ans), actuellement aux Denver Nuggets, a été élu MVP de la décennie 2011-20 de la ligue espagnole ACB par le biais d’un vote des fans. Le meneur de jeu argentin a battu son ancien coéquipier du Real Madrid, Sergio Llull, en finale, recueillant 55,4% des voix.\\n\\nCampazzo a joué pendant six saisons et quelques mois en ACB de 2014 à novembre 2020, lorsqu’il a quitté le Real Madrid pour signer avec les Nuggets . Au cours de ces six années, il a remporté trois fois le titre de champion (2015, 2018, 2019), la Copa del Rey deux fois (2015, 2020) et la SuperCup quatre fois (2014, 2018, 2019, 2020). En 210 matchs en ACB, il a obtenu en moyenne 10,1 points pour une évaluation de 12,8 .\\n\\nLuka Doncic, la star des Dallas Mavericks a perdu contre Llull 31,4% à 68,6% en demi-finale du scrutin.\\n\\n\\n🌟 @facucampazzo, MVP @movistar_es de la década en la #LigaEndesa\\n¡Enhorabuena! 🇦🇷#MVPMovistarDécada pic.twitter.com/DSQ8k0c9ua\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) January 29, 2021\\n\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Julien Espinosa (coach Chalon) : «Certains joueurs manquent d’humilité et surtout ne sont pas en forme physique»" }, {"role": "assistant", "content":"Après son exploit face à l’ASVEL, l’Elan Chalon est retombé sur terre au Colisée face au Mans. Après une première mi-temps équilibrée (37-35), les Bourguignons ont totalement lâché prise pour se retrouver au buzzer à 69-85.\\n\\nLe grand homme du match a été l’Anglais du MSB, Ovie Soko, qui a cumulé 23 points (7/11) et 8 rebonds pour 26 d’évaluation, alors qu’il a été malade toute la semaine précédente.\\n\\nL’adresse générale (40,6%) des Chalonnais s’explique par la faiblesse aux tirs de Sean Armand (4/11) et surtout de Myles Hesson (2/14). En conférence d’après-match, le coach Julien Espinosa était en pétard comme le rapporte Le Maine Libre :\\n\\n« On a cru qu’après avoir battu l’ASVEL, on allait dérouler contre le MSB. Quelques jours avant le match, j’ai tiré la sonnette d’alarme car je sentais un peu de suffisance dans le groupe. Il faut plus de rigueur. Certains joueurs manquent d’humilité et surtout ne sont pas en forme physique. En seconde mi-temps, on a vu la différence entre des athlètes et nous, des semi-athlètes (...) Le coach est le premier responsable, mais il faut que chacun se regarde dans la glace. On a des bons techniciens, mais mentalement et physiquement, on n’y est pas (...) Ils vont m’entendre à l’entraînement. »\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"FIBA Europe Cup: En place pour le Round of 16" }, {"role": "assistant", "content":"Les deux meilleurs clubs de chacun des six groupes de saison régulière, ainsi que les quatre meilleurs clubs classés au troisième rang, se sont qualifiés pour les playoffs de la FIBA Europe Cup, une compétition à laquelle ne participent pas les clubs français.\\n\\nLes équipes classées sont les suivantes, par ordre alphabétique:\\n\\nArged BMSLAM Stal (POL)\\nBC CSU Sibiu (ROU)\\nBC Dnipro (UKR)\\nBC Parme (RUS)\\nBC Prometey (UKR)\\nIraklis BC (GRE)\\nIroni Ness Ziona (ISR)\\nFribourg Olympic (SUI)\\n\\nLes équipes non sélectionnées sont les suivantes, par ordre alphabétique:\\n\\nAnwil (POL)\\nBC Balkan (BUL)\\nBC Kyiv Basket (UKR)\\nBelfius Mons-Hainaut (BEL)\\nCSM CSU Oradea (ROU)\\nHeroes Den Bosch (NED)\\nRilski Sportist (BUL)\\nUNAHOTELS Reggio Emilia (ITA)\\n\\nLe tirage au sort aura lieu au siège du Bureau régional de la FIBA Europe à Munich, en Allemagne, le mercredi 3 février à 14h00.\\n\\nLes huitièmes de finale et les quarts de finale se joueront suivant la formule des matchs à élimination simple dans quatre hubs de quatre équipes chacun, du 23 au 25 mars.\\n\\nLes hôtes des quatre hubs des huitièmes de finale et des quarts de finale seront annoncés ultérieurement.\\n\\nLa saison de la FIBA Europe Cup se terminera par un Final Four en avril.\\n\\nPhoto: Lorenzo Williams (Parme)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo : Le voyage victorieux de Nanterre à Malaga" }, {"role": "assistant", "content":"Cet « Inside » nous emmène à Malaga, dans le sud de l’Espagne, où Nanterre 92 a réussi une belle performance face à Unicaja, 83-92, dans le top 16 de l’Eurocup." }, {"role": "user", "content":"Italie: 13 joueurs à 35 ans et plus en Serie A, dont les deux meilleurs marqueurs" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a actuellement 13 joueurs de plus de 35 ans et davantage dans les 15 équipes de la Serie A italienne. Leur contribution statistique est si élevée que l’Argentin Luis Scola et l’Américano-Polonais David Logan (ex-Strasbourg) sont les deux meilleurs marqueurs du championnat, et Giuseppe Poeta le 7e passeur. La liste comprend six Italiens, deux naturalisés, deux Européens et trois non-Européens.\\n\\nJOUEURPOSTAIKGNAISEQUIPESTATSLuis\\nSCOLAF-C20710330/04/1980Varese12g, 21.6ppg, 6.5rpg, 1.3spgCarlos\\nDELFINOSF19910329/08/1982Pesaro13g, 14.2ppg, 4.rpg, 2.8apgDavid\\nLOGANPG1857826/12/1982Trevise16g, 19.4ppg, 2.6rpg, 2.9apgStefano MANCINELLIF20310517/03/1983F. Bol.11g, 2.4ppg, 1.4rpg, 0.4apgDavid\\nMOSSSF1959709/09/1983Brescia15g, 7.3ppg, 3.2rpg, 2.3apgDaniele CAVALIEROSG1888310/01/1984Trieste9g, 3.9ppg, 0.9rpg, 2.2apgMarco\\nCUSINC20611228/02/1985F. Bol.5g, 1.0ppg, 2.6rpg, 0.6apgGiacomo DEVECCHISF1969202/04/1985Sassari7g, 2.4ppg, 0.7rpg, 0.6apgVladimir\\nMICOVF20210116/04/1985Milan6g, 6.0ppg, 1.2rpg, 2.0apgMarty\\nLEUNENPF2059903/09/1985Cantù14g, 5.6ppg, 4.9rpg, 4.2apgChristian BURNSF-C20310804/09/1985Brescia12g, 11.2ppg, 6.8rpg, 0.7apgGiuseppe\\nPOETAPG1907912/09/1985Crémone16g, 9.0ppg, 2.4rpg, 5.6apgLuca\\nGANDINIF-C20511307/11/1985Sassari7g, 0.6ppg, 1.4rpg, 0.6apg\\n\\nAprès 17 journées, Luis Scola est donc en tête du classement des meilleurs marqueurs de Serie A. Il est ainsi à même de devenir le deuxième quadra de tous les temps à avoir cet honneur en fin de saison après Mike Mitchell en 1998. Comme on peut le constater, les top scoreurs en Italie sont souvent âgés.\\n\\nSAISONJOUEUREQUIPEAGEMOY1997-98Mike MitchellReggio Emilia4224.12020-21Luis ScolaVarese4121.11986-87Drazen DalipagicVenise3636.51996-97Steve BurttTrieste3534.12019-20Adrian BanksBrindisi3421.21991-92Oscar SchmidtPavie3438.61984-85Drazen DalipagicUdine3430.82013-14Drake DienerSassari3319.42008-09Michael HicksPesaro3318.82016-17Marcus LandryBrescia3219.62000-01Vincenzo EspositoImola3228.01989-90Oscar SchmidtCaserte3233.1\\n\\nPhoto: Luis Scola" }, {"role": "user", "content":"Belgique: Quand un joueur américain est en prise avec la subtilité des règles de coupe d’Europe" }, {"role": "assistant", "content":"La subtilité des règles européennes échappe parfois aux joueurs américains. On peut les comprendre. Exemple: pour se qualifier au top 16 de la Fiba Europe Cup, les Belges de Mons-Hainaut devaient soit gagner d’au moins 3 points face à Iraklis pour terminer premier du groupe A... soit perdre de moins de 5 points pour être parmi les quatre meilleurs troisièmes.\\n\\nLe staff l’a expliqué aux joueurs avant le match, mais... A 4 secondes de la fin, et alors que son équipe menait 66-65, l’arrière US Arik Smith a fait faute.\\n\\n« Quand on a vu depuis le banc qu’il défendait comme un malade, nous nous sommes rendus compte qu’il n’avait pas tout compris. Les arbitres eux-mêmes, qui étaient au courant de la situation, étaient presque désolés de devoir siffler faute », explique le manager Thierry Wilquin dans La Dernière Heure. « Nous en avions parlé avec le staff la veille. Il était préférable de perdre de justesse que de risquer la prolongation. Quand le joueur d’Iraklis a manqué son deuxième lancer-franc à 3 secondes du terme (Ndlr : score à la fin du temps réglementaire : 66-66), nous étions en réalité déçus parce que nous aurions préféré en rester à une défaite 66-67 qu’aller risquer de tout perdre par la suite. »\\n\\nMais tout s’est arrangé dans la douleur dans les 5 minutes supplémentaires, d’extrême justesse puisque les Belges concédaient un retard de 6 points à 4 secondes de la fin. Moment que choisit ce même Arik Smith pour marquer un panier libérateur. Défaite de quatre points, 75-79, et qualification en poche pour Mons-Hainaut. A savoir si l’Américain a vraiment tout compris de sa soirée...\\n\\nPhoto: Arik Smith (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Pau-Lacq-Orthez : Deux big men comme top-salaires" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn est loin à l’Elan Béarnais des fastes du passé et peut-être d’un futur plus radieux s’il est confirmé que des investisseurs américains vont regonfler le budget du club. Si celui-ci est actuellement le 8e de la Jeep Elite (4 785 000 euros contre 5 648 000 la saison précédente), la part de la masse salariale (26%) est la plus basse des 18 équipes et elle a été ramenée à 1 257 000 (-22%), ce qui en fait la 12e du championnat. Le club doit effacer ses dettes.\\n\\nAinsi, on se sera pas surpris que seulement deux salariés dépassent le cap des 100 000 euros. Le Franco-néerlandais Nicolas De Jong mérite tout à fait ses émoluments même si des blessures nuisent involontairement à son rendement. Depuis son arrivée à Pau, c’est plus de 14 points et 4 rebonds en moyenne.\\n\\nPetr Cornelie, un autre big man, ne vole pas non plus l’argent qu’il gagne tant il fait preuve d’une rage dont il n’était pas coutumier. C’est surtout offensivement (11,1 points au lieu de 6,9 en sur les 9 premiers matches) que ce nouvel état d’esprit se ressent. Vincent Collet l’a récompensé en couchant son nom sur la liste du Team France.\\n\\nA 34 ans, Jeremy Leloup a vu l’enveloppe qui lui est allouée se dégonfler de moitié vis à vis de ce qu’il gagnait lors de sa dernière saison (2017-18) à Strasbourg. Peu importe, après 9 matches, le Manceau présente la 2e meilleure moyenne de points et évaluation de ses 14 ans de carrière en Jeep Elite. Evidemment, le contexte sportif n’est pas le même qu’à Strasbourg et Dijon, mais assurément il fait le job. Les autres Français sont au minimum syndical ou pas loin.\\n\\nPas de folie sur les étrangers avec donc deux salaires à 90 000 euros. Vee Sanford a perdu pas moins de 70 000 euros en passant du rival limougeaud au Béarn. La faute à une saison 2019-20 très quelconque qui avait vu ses stats chuter sérieusement (16,4 d’évaluation précédemment à Chalon contre 9,2). Il semble remonter la pente.\\n\\n * Nicolas DE JONG (FRA/NDL) : 120 000 €\\n * Petr CORNELIE (FRA) : 108 000 €\\n * Vincent SANFORD (USA) : 90 000 €\\n * Ousmane DRAME (GUI) : 90 000 €\\n * Jérémy LELOUP (FRA) : 80 000 €\\n * Justin BIBBINS (USA): 56 000 € (sur 7 mois)\\n * Digué DIAWARA (FRA) : 55 000 €\\n * Hamady N’DIAYE (SEN) : 48 000 € (sur 8 mois)\\n * Rémi LESCA (FRA) : 45 000 €\\n * Gerald AYAYI (FRA) : 20 500 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Laurent VILA (FRA) : 80 000 €\\n * Jimmy VEROVE (FRA) : 35 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nOn est loin à l’Elan Béarnais des fastes du passé et peut-être d’un futur plus radieux s’il est confirmé que des investisseurs américains vont regonfler le budget du club. Si celui-ci est actuellement le 8e de la Jeep Elite (4 785 000 euros contre 5 648 000 la saison précédente), la part de la masse salariale (26%) est la plus basse des 18 équipes et elle a été ramenée à 1 257 000 (-22%), ce qui en fait la 12e du championnat. Le club doit effacer ses dettes.\\n\\nAinsi, on se sera pas surpris que seulement deux salariés dépassent le cap des\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Petr Cornelie/Eric Traversié, Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Gerald Robinson officiellement à la JDA Dijon – Laurent Legname : «l nous apportera plus de solutions dans la création de notre jeu»" }, {"role": "assistant", "content":"La JDA Dijon a confirmé cet après-midi la signature du combo guard américain Gerald Robinson (1,85, 31 ans) qui va rejoindre la Bourgogne au 15 février.\\n\\nL’ancien joueur des Bulldogs de Georgia est connu en France et apprécié après ses passages à Nanterre (2015-16) et Monaco (2017-19). Il a ensuite joué pour Promithée Patras (Grèce) et Bursaspor (Turquie). La JDA sera son 3e club de la présente saison puisqu’il l’a commencé à la Virtus Rome avant de passer à Pesaro quand le club de la capitale a mis la clé sous la porte.\\n\\nA Pesaro, en 4 matches, il a tourné à 6,8 points, 4,8 passes et 2,0 rebonds en 19 minutes en moyenne.\\n\\n« Après analyse de la situation globale (calendrier sur la fin de saison), avec une grande possibilité de multiplier les matchs, il nous est apparu nécessaire d’apporter un élément supplémentaire à notre équipe », indique le coach Laurent Legname. « Ne voulant pas perturber l’équilibre du groupe au vu de la très bonne première partie de saison, il est évident que cet élément devrait apporter une plus-value à l’équipe. En ce sens, la venue de Gérald apparaît répondre à ces critères, à la fois par son talent et son expérience dans le championnat français. Complémentaire d’Axel (Julien) et David (Holtson), il nous apportera plus de solutions dans la création de notre jeu. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Découvrez la procédure du tirage au sort des tournois olympiques, qui aura lieu le mardi 2 février" }, {"role": "assistant", "content":"La FIBA annonce que le tirage au sort des tournois olympiques de basket-ball de Tokyo 2020, pour les femmes comme pour les hommes, aura lieu le mardi 2 février, à la Patrick Baumann House of Basketball à Mies, en Suisse.\\n\\nEn raison de la pandémie actuelle, le tirage au sort aura lieu à huis clos et sera diffusé sur les chaînes numériques de la FIBA sur YouTube et Facebook à 10h30 heure locale (CET / GMT +1).\\n\\nVoici les procédures de tirage au sort pour les deux tournois:\\n\\nFéminines :\\n\\nDouze équipes se sont qualifiées pour le tournoi olympique, représentant cinq continents. Ce sont:\\n\\nAfrique: Nigéria\\nAmériques: Canada, Porto Rico et États- Unis\\n\\nAsie: Chine, Japon (hôte) et Corée\\nEurope: Belgique, France, Serbie et Espagne\\nOcéanie: Australie\\n\\nChaque équipe se verra attribuer quatre pots sur la base du classement mondial FIBA féminin, présenté par Nike. Le tirage au sort répartira les équipes en trois groupes de quatre équipes et toutes les équipes seront tirés au sort et placés soit dans le groupe A, B ou C. Il peut y avoir un maximum d’un groupe avec deux équipes européennes et pas plus qu’une équipe d’autres continents dans le même groupe.\\n\\nPREMIER CHAPEAU: USA, Australie, Espagne.\\n\\nDEUXIÈME CHAPEAU: Canada, France, Belgique.\\n\\nTROISIÈME CHAPEAU: Serbie, Chine, Japon.\\n\\nQUATRIÈME CHAPEAU: Nigéria, Porto Rico, Corée du Sud.\\n\\nVous trouverez ci-dessous la procédure de tirage en anglais :\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=X8xEy3wyXRs&feature=emb_logo&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel\\n\\nMasculins:\\n\\nHuit équipes se sont déjà qualifiées pour le tournoi olympique à travers la Coupe du monde 2019, représentant cinq continents. Ce sont:\\n\\nAfrique: Nigéria\\nAmériques: Argentine et États-Unis\\n\\nAsie: Iran et Japon (hôte)\\nEurope: France et Espagne\\nOcéanie: Australie\\n\\nLes quatre places restantes seront attribuées aux quatre équipes qui remporteront les tournois de qualification olympique prévus du 29 juin au 4 juillet 2021, à Victoria, au Canada ; Split, Croatie ; Kaunas, Lituanie ; et Belgrade, Serbie.\\n\\nLes 12 équipes seront divisées en quatre pots sur la base du classement mondial FIBA masculin, présenté par Nike. La répartition des futurs vainqueurs des quatre tournois de qualification olympique est basée sur l’équipe la mieux classée dans chaque épreuve. Le tirage au sort répartira les équipes en trois groupes de quatre équipes chacun. Il peut y avoir au maximum deux équipes européennes dans le même groupe et pas plus d’une équipe d’autres continents dans le même groupe. Toutes les équipes seront tirées au sort et placées dans le groupe A, B ou C.\\n\\nPREMIER CHAPEAU: USA, Espagne, Australie.\\n\\nDEUXIÈME CHAPEAU: Argentine, vainqueur du tournoi de qualification à Belgrade, France.\\n\\nTROISIÈME CHAPEAU: Gagnants des qualifications à Victoria, Kaunas et Split.\\n\\nQUATRIÈME CHAPEAU: Nigéria, Iran, Japon.\\n\\nVous trouverez ci-dessous la procédure de tirage au sort en anglais :\\n\\nPour rappel, le nouveau format permet d’éviter les calculs en poule : chaque match compte pour la qualification. Pas de Brésil-Espagne comme en 2012.\\nLe vainqueur aura joué 6 matches contre 8 auparavant, tout cela participe de la réduction des matches voulue par la FIBA sur ses nouveaux formats pour réduire la charge de travail des joueurs." }, {"role": "user", "content":"Joffrey Lauvergne et le Zalgiris Kaunas : «Je suis à un stade de ma carrière où le plus important est de profiter du basket. J’aime vraiment être ici»" }, {"role": "assistant", "content":"Entre Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans) et le Zalgiris Kaunas, c’est une histoire d’amour. C’est ce qui transpire d’une interview donnée à BasketNews alors que le pivot international a prolongé son contrat avec le club lituanien jusqu’en 2023.\\n\\n« Je suis à un stade de ma carrière où le plus important est de profiter du basket. J’aime vraiment être ici. Non seulement nous gagnons beaucoup de matches, mais il y aussi l’organisation, les coéquipiers, les entraîneurs, j’aime vraiment tout. Lorsque vous êtes plus jeune, vous vous souciez davantage de plein de choses. Maintenant, je me soucie de la situation au niveau du basket. C’est très bien ici et je veux que ça continue. Je parle à Leo (Westermann) tous les jours. Avant même de venir ici, j’avais l’impression de connaître chacun d’eux. J’en savais beaucoup sur eux. En conséquence, je me suis adapté très rapidement, en quelques jours. «\\n\\nAvant même la mise en quarantaine de la Lituanie, Joffrey Lauvergne a réussi à visiter le pays, Palanga, Klaipeda et Trakai.\\n\\n« J’aime l’histoire et la géographie, alors j’aime tout voir moi-même. »\\n\\nFin septembre de l’année dernière, le président Emmanuel Macron s’est rendu en Lituanie et Lauvergne a eu l’occasion de le rencontrer. Ce n’était pas sa première expérience présidentielle.\\n\\n«En 2013, j’étais à une réception avec François Hollande lorsqu’il nous a invités après avoir remporté le Championnat d’Europe. J’ai rencontré le président de la Serbie 2-3 fois parce qu’il aime le basket. Rencontrer de telles personnes est un sentiment spécial. Et vous pouvez voir qu’ils aiment le basket. C’est un grand honneur. »\\n\\nLe Zalgiris a remporté 8 victoires lors des 10 derniers matches, et Joffrey Lauvergne a compilé 13 points, 6,8 rebonds et 1,9 passe au cours de cette séquence. Le 8 janvier, il est devenu le MVP de l’Euroleague de la semaine après avoir réalisé 29 points et 9 rebonds face au Khimki Moscou. Hier, lors de la victoire à Valence (78-79), il s’est fendu d’un double double avec 13 points et 12 rebonds. Tout va bien !\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Féminines: 14 joueuses espagnoles convoquées pour les deux matches contre la France" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur Lucas Mondelo a convoqué 14 joueuses pour les deux matches amicaux avec la France, à Toulouse, les 5 et 7 février.\\n\\n« Il y a des joueuses qui sont toujours dans l’orbite de l’équipe nationale et qui, en raison de circonstances différentes, ne pourront pas être là, comme cela s’est produit avec María Conde lors du précédent rassemblement », a déclaré Mondelo. « Ce rassemblement sera la dernier que nous ferons avant la tournée de cet été. L’objectif est de préparer l’équipe à l’EuroBasket passionnant que nous aurons en juin et aux Jeux de Tokyo en juillet et août . »\\n\\nMaite CazorlaBaseParfumeries AvenidaSilvia DominguezBaseParfumeries AvenidaLaia PalauBaseSpar GéroneLeo RodriguezGarde de tirParfumeries AvenidaAndrea VilaróGarde de tirParfumeries AvenidaBelén ArrojoEavesLointek GernikaMaria CondeEavesUSK PragueLaura QuevedoEavesKutxabank AraskiMaria AraújoAvancerSpar GéroneRachel CarreraAvancerPanier ValencePaula GinzoAvancerLointek GernikaNogaye LoPivotLointek GernikaAstou NdourPivotHatay (TUR)Laura NichollsPivotCasademont Saragosse" }, {"role": "user", "content":"LFB : Kaleena Mosqueda-Lewis prolongée jusqu’à la fin de la saison à Nantes" }, {"role": "assistant", "content":"Le Nantes-Rezé Basket annonce le prolongement du contrat de l’Américaine Kaleena Mosqueda-Lewis (1,80m, 27 ans) jusqu’à la fin de saison alors qu’elle était venue initialement pour une pige d’un mois.\\n\\n“Kaleena est un vrai leader qui est appréciée de toutes et tous. Elle apporte de la densité dont on a besoin sur plusieurs postes. On espère qu’elle montera en puissance,” commente la coach Aurélie Bonnan.\\n\\nKaleena Mosqueda-Lewis a été trois fois championne NCAA avec Connecticut et une fois en WNBA avec le Seattle Storm. Elle a joué précédemment quatre saisons à Charleville.\\n\\nAvec les Déferlantes, elle affiche 9,7 points et 3,7 rebonds en 3 matches." }, {"role": "user", "content":"Dominique Juillot (président de Chalon) : «Ceux qui ont des mécènes ou sont plus dépendants des collectivités sont moins touchés»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans son dernier numéro Basket Le Mag met en lumière quelques aspects des finances des clubs français impactés par la crise sanitaire. Voici des extraits concernant deux questions fondamentales: 1) Pourquoi certains clubs souhaitent continuer à jouer et d’autres pas, 2) Pourquoi dans ces conditions s’être engagé dans une Coupe d’Europe. Les présidents Dominique Juillot (Chalon), Martial Bellon (Strasbourg) et Jérôme Mérignac (Cholet) apportent des éléments de réponses :\\n\\nCertains voudraient jouer chaque semaine, d’autres un minimum, voire pas du tout. Explication : la composition des budgets varie d’un club à l’autre. «Ceux qui ont des mécènes ou sont plus dépendants des collectivités sont moins touchés – c’est pour ça que la Pro B est plus confortable. À l’inverse, ceux qui sont plus vertueux, comme l’Élan, Strasbourg, Bourg, Dijon et j’en oublie, qui ont beaucoup de public dans leur salle et de partenariats privés, sont les plus pénalisés», compare Dominique Juillot. Le président de Strasbourg justement, Martial Bellon, évoque le cas de la SIG : «Je suis président depuis 2010, à l’époque les collectivités le finançaient à 50% en 2010, aujourd’hui c’est 25%. Mon sentiment est que tout ce travail fait en dix ans pour que le privé finance en très grande partie le club est complètement effacé.»\\n\\n. . .\\n\\n«Dans les pertes estimées des clubs de LNB, 75% viennent des clubs jouant les coupes d’Europe. Ça n’a rien d’illogique : on joue à huis clos et on a vendu des prestations sur ces matches. Mais ça interroge : pourquoi jouer les coupes d’Europe et pas en Jeep Élite ?», questionne Martial Bellon, dont l’équipe de Strasbourg dispute la Champions League. «Si on ne jouait pas en coupe d’Europe, on était forfait. Alors qu’en Jeep Élite, on se disait : on a toujours l’espoir de jouer plus tard.»\\n\\nLe club de Cholet, également engagé en BCL, a traversé le même paradoxe. «On s’est positionné l’an dernier avec les clubs de LNB en disant : le huis clos n’est pas viable. Mais en coupe d’Europe, on était obligé de suivre les prérogatives de l’instance», commente Jérôme Mérignac. «On a œuvré auprès de la BCL pour faire d’abord nos matches à l’extérieur, en espérant alors qu’on pourrait avoir une jauge minimale de public en décembre-janvier. Malgré cela, malheureusement, on aura joué nos trois matches à domicile à huis clos.»\\n\\nPhoto: Dominique Juillot (Elan Chalon)" }, {"role": "user", "content":"Le programme de la Jeep Elite et de la Pro B du 29 janvier au 4 février et les matches à la TV" }, {"role": "assistant", "content":"Un point sur tous les matches de Jeep Elite et de Pro B du vendredi 29 janvier au jeudi 4 février avec les programmations TV, indispensable compte tenu des changements dans le calendrier.\\n\\nJeep Elite :\\n\\nVendredi 29 janvier :\\n\\n19h00 : Elan Chalon/ Saône / Le Mans Sarthe Basket\\n\\n19h00 : BCM Gravelines-Gravelines / Boulazac Basket Dordogne\\n\\nSamedi 30 janvier :\\n\\n17h00 : JL Bourg-en-Bresse / Orléans Loiret Basket en direct sur SPORT EN FRANCE\\n\\n18h00 : AS Monaco Basket / ESSM Le Portel\\n\\n18h00 : EB Pau-Lacq-Orthez / Champagne Basket\\n\\n18h30 : Chorale Roanne / Boulogne-Levallois Metropolitans 92\\n\\nLundi 1er février :\\n\\n18h00 : SIG Strasbourg / Cholet Basket\\n\\nPRO B :\\n\\nVendredi 29 janvier :\\n\\n16h30 : Saint-Quentin BB / SLUC Nancy en direct sur SPORT EN FRANCE\\n\\n19h00 : Nantes Basket Hermine / Saint-Chamond Basket VDG\\n\\n19h00 : Aix-Maurienne Savoie Basket / JA Vichy-Clermont Métropole\\n\\n20h00 : Antibes Sharks / Poitiers Basket 86\\n\\nSamedi 30 janvier :\\n\\n16h00 : ALM Evreux / Paris Basketball\\n\\n18h00 : BC Gries-Oberhoffen / Lille Métropole Basket\\n\\nDimanche 31 janvier :\\n\\n5h20 : ADA Blois / Béliers de Kemper en direct sur France 3 Centre et France 3 Bretagne\\n\\n19h00 : ASC Denain Voltaire PDH / Fos Provence Basket\\n\\nMardi 2 février:\\n\\n19h00 : Saint-Chamond Basket VDG / BC Souffelweyersheim\\n\\nJeudi 4 février :\\n\\n18h00 : Saint-Quentin BB / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n\\nPour suivre la rencontre Blois / Quimper sur France 3 :TNT Canal 3 en région Centre Val de Loire et Bretagne – Sur les Boxes : Bouygues canal 476 ou 477 – Free canal 308 ou 309 – Orange canal 307 ou 308 – SFR canal 437 ou 438 – Satellite : Canal Sat canal 356 ou 357 et sur LNB.tv\\n\\nCOMMENT REGARDER LE BASKET\\n\\nLa chaine L’Equipe\\nAccessible gratuitement sur la TNT – Chaine 21 , sur toutes les Boxes et sur lequipe.fr\\n\\nSPORT EN FRANCE\\nAccessible gratuitement sur les Boxes -: Bouygues canal 192 – Free canal 190 – Orange canal 174 – SFR canal 129 – sur Molotov TV et Samsung TV Plus\\net sur www.sportenfrance.com\\n\\nLNB.TV – LA PLATEFORME DIGITALE OTT DE LA LNB\\nAccessible gratuitement sur www.LNB.TV\\nLa plateforme diffuse l’ensemble des matches* de Jeep® ÉLITE et de PROB. Ils sont disponibles dans leur intégralité, en live et en replay et sont tous commentés." }, {"role": "user", "content":"Mbaye Ndiaye (Blois) et Boubacar Touré (Roanne) avec la sélection du Sénégal" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier de Blois Mbaye Ndiaye (2,03m, 22 ans), prêté par Bourg, et le pivot roannais Boubacar Touré (2,13m, 24 ans) font partie de la sélection de 17 joueurs appelés à représenter le Sénégal à la prochaine fenêtre FIBA, du 19 au 21 février à Yaoundé.\\n\\nOn remarque que pour la place de naturalisé, deux joueurs sont en balance, Clevin Hannah et Pierra Henry, tous les deux détenteurs par ailleurs d’un passeport américain.\\n\\nPhoto: Mbaye Ndiaye (ADA Blois)" }, {"role": "user", "content":"Spécial Salaires – Orléans : Chima Moneke, la TRÈS bonne affaire !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Chima Moneke (Photo : OLB – Paage Création)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’Orléans Loiret Basket.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ Orléans, on aime bien les fines gâchettes, capable de faire chauffer le tableau des scores. Et si ses meilleures armes, comme Miralem Halilovic ou Brandon Jefferson, ont migré vers des cieux plus rémunérateurs à l’intersaison, l’OLB a su composer avec une masse salariale en légère baisse (1 482 500 € contre 1 531 500 € la saison passée) pour attirer dans ses rets quelques joueurs de bon standing comme Darius Johnson-Odom, passé par l’Olympiakos et la NBA, et Luke Fischer, qui a sévi en Euroleague avant de rejoindre le Loiret. Et ce en restant raisonnable, même si Johnson-Odom est mieux payé que Chris Evans, le plus haut salaire orléanais de la saison passée.\\n\\nSi, avec le meneur Paris Lee, ces joueurs forment un trio de haute volée, notamment en attaque, la meilleure prise de l’intersaison consiste en la venue en Jeep Élite de Chima Moneke, qui faisait le bonheur de Quimper en Pro B. Pour un tarif très amical, le bondissant Nigérian réalise peu ou prou les mêmes performances qu’à l’étage inférieur (18,4 d’évaluation contre 18,7 l’année dernière) lorsqu’il est valide – il a en effet raté trois matchs par la faute d’une blessure à l’épaule.\\n\\nDernier non-JFL de l’effectif, LaMonte Ulmer perçoit le même salaire qu’à Dijon, mais ses stats ont bien augmenté : 17,6 d’éval contre 11,2 la saison passée. Du côté des joueurs locaux, Landing Sane a consenti un gros effort financier pour signer à l’OLB (il touchait 150 000 € à Monaco pour 5,2 d’éval) tout en justifiant pleinement son chèque de fin de mois : 10,8 d’éval. Quant aux deux fidèles du club, Giovan Oniangue et Malela Mutuale, ils ont été récompensés par une hausse de leurs émoluments (+ 5 000 € pour Oniangue, + 10 000 € pour Mutuale). Deux joueurs « de l’ombre » précieux dans un collectif. Comme l’est également Gary Florimont, pivot remplaçant arrivant de Pro B et capable de donner de bonnes minutes en Jeep Élite pour un petit salaire.\\n\\nAvec son effectif bien hiérarchisé et pétillant, Orléans peut viser plus haut pour peu que l’équipe arrive à gagner à l’extérieur (pour le moment, toutes ses victoires l’ont été à domicile alors que tous ses déplacements se sont soldés par une défaite...).\\n\\n * Darius JOHNSON-ODOM (USA) : 170 000 €\\n * Paris LEE (USA) : 155 000 €\\n * Luke FISCHER (USA/ARM) : 150 000 €\\n * LaMonte ULMER (USA) : 120 000 €\\n * Landing SANE (FRA) : 100 000 €\\n * Chima MONEKE (NGR) : 80 000 €\\n * Giovan ONIANGUE (FRA) : 75 000 €\\n * Gary FLORIMONT (FRA) : 55 000 €\\n * Malela MUTUALE (FRA) : 50 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Germain CASTANO (FRA) : 70 000 €\\n * Thomas DROUOT (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ Orléans, on aime bien les fines gâchettes, capable de faire chauffer le tableau des scores. Et si ses meilleures armes, comme Miralem Halilovic ou Brandon Jefferson, ont migré vers des cieux plus rémunérateurs à l’intersaison, l’OLB a su composer avec une masse salariale en légère baisse (1 482 500 € contre 1 531 500 € la saison passée) pour attirer dans ses rets quelques joueurs de bon standing comme Darius Johnson-Odom, passé par l’Olympiakos et la NBA, et Luke Fischer, qui a sévi en Euroleague avant de rejoindre le Loiret. Et ce en restant raisonnable, même si Johnson-Odom est mieux payé que Chris Evans, le plus haut salaire orléanais de la saison passée.\\n\\nSi, avec le meneur Paris Lee, ces joueurs forment un trio de haute volée, notamment en attaque, la meilleure prise de l’intersaison consiste en la venue en Jeep Élite de Chima Moneke, qui faisait le bonheur de Quimper en Pro B. 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Les rencontres de la journée n°12 du 11 février sont reportées au 31 mars sauf pour les matches Lattes Montpellier – Basket Landes et Roche Vendée – Bourges qui se joueront le 13 mars.\\n\\n2. Les rencontres de quarts de finale de la Coupe de France prévues le 14 février se joueront le 6 mars. Le tirage au sort des demi-finales de la Coupe de France s’effectuera le 8 mars. Pour rappel, la finale se déroulera le samedi 24 avril 2021 à l’Accor Aréna à Paris.\\n\\n3. Les demi-finales de la Coupe de France, initialement prévues le 6 mars, se joueront comme suit :\\n\\n• Si ce sont deux équipes non qualifiées en Coupe d’Europe, la rencontre se jouera le 20 mars ;\\n• Si une ou les deux équipes sont encore qualifiées en Coupe d’Europe, la rencontre se jouera le 28 mars.\\n\\nPour les équipes concernées par cette dernière option, la journée n°20, prévue le 28 mars, sera reportée comme suit :\\n\\n• Avec une équipe qualifiée en Eurocup (Villeneuve d’Ascq ou Charleville), le match se jouera le 14 avril ; • Avec une équipe qualifiée en Euroleague (Lyon), le match se jouera le 10 avril.\\n\\nSi les équipes encore engagées en Eurocup ne se qualifient pas au Final Four alors les rencontres reportées pourront être avancées en fonction des disponibilités." }, {"role": "user", "content":"Equipe féminine des Etats-Unis : 19 joueuses en stage en février" }, {"role": "assistant", "content":"L’équipe féminine des États-Unis va effectuer un minicamp de quatre jours, du 4 au 7 février, à l’Université de South Carolina, en perspective des Jeux Olympiques de Tokyo. Son dernier rassemblement remonte à un an, en février 2020.\\n\\nUn total de 19 joueuses, dont les médaillées d’or olympiques et / ou de la Coupe du monde Sylvia Fowles (Minnesota Lynx), Brittney Griner (Phoenix Mercury), Jewell Loyd (Seattle Storm), Nneka Ogwumike (Los Angeles Sparks), Kelsey Plum (Las Vegas) Aces), Breanna Stewart (Seattle Storm) et A’ja Wilson (Las Vegas Aces) participeront à ce stage avec Ariel Atkins (Washington Mystics), Napheesa Collier (Minnesota Lynx), Diamond DeShields (Chicago Sky), Stefanie Dolson (Chicago Sky), Allisha Grey (Dallas Wings), Chelsea Gray (Los Angeles Sparks), Kelsey Mitchell (Indiana Fever), Tiffany Mitchell (Indiana Fever), Arike Ogunbowale (Dallas Wings), Katie Lou Samuelson (Dallas Wings) et Sydney Wiese (Los Angeles Sparks).\\n\\nA noter que Sue Bird, Diana Taurasi et Elena Delle Donne sont dispensées de ce stage.\\n\\nPhoto: Brittney Griner (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"CSKA Moscou : Toko Shengelia dément s’être battu avec Mike James" }, {"role": "assistant", "content":"Suspendu par le CSKA Moscou, Mike James va t-il rester au sein du club russe ? L’incident dans les vestiaires après le match face au Fenerbahçe avec le coach Dimitris Itoudis est la goutte d’eau qui a pu faire déborder le vase. Le site russe Sports-Express a ajouté que la situation avait empiré avec une bagarre entre l’Américain et le Géorgien Toko Shengelia pendant l’entraînement.\\n\\nShengelia a nié la véracité de cette information par une déclaration sur son compte Twitter:\\n\\n« C’est triste de devoir sortir du silence pour commenter cela, mais je le dois. Avoir une plateforme médiatique ne signifie pas que vous pouvez publier tout ce que vous entendez ou pensez être arrivé. C’est triste de lire quelque chose sur vous qui n’est même pas proche de la vérité. Je ne me suis jamais battu avec un coéquipier de toute ma vie et c’est pourquoi je vous conseille d’essayer de confirmer les choses avant de mentionner des noms et de mettre en jeu des réputations ».\\n\\nSi Mike James quittait le CSKA, il se retrouvera dans une situation similaire à celle de l’ancien meneur du Barça, Thomas Heurtel, c’est à dire sans possibilité de signer pour une autre équipe de l’Euroleague car la date limite pour cela expirait le 6 janvier.\\n\\nPhoto : Toko Shengelia (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Joffrey Lauvergne prolonge à Kaunas jusqu’en 2023" }, {"role": "assistant", "content":"Au plus fort de la saison, le Zalgiris Kaunas construit déjà son futur et c’est ainsi qu’il prolonge son pivot Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans) jusqu’à la fin de l’exercice 2022-2023 suivant le modèle du 1+1.\\n\\nArrivé au Zalgiris cet été, l’international est devenu une pièce indispensable de l’équipe et apporte en Euroleague 11,6 points, 5,8 rebonds et 1,5 passe en 21 minutes. Il est deuxième de l’équipe après Marius Grigonis à l’évaluation (13).\\n\\n« Nous sommes heureux que Joffrey Lauvergne continue de jouer à Kaunas », commente le coach Martin Schiller. « Il est une partie très importante de notre équipe. Nous voyons tous ses qualités de basketteur sur le terrain, mais la façon dont Joffrey est en dehors du terrain est tout aussi importante. La combinaison des deux choses était la raison pour laquelle nous voulions qu’il reste à Kaunas. Il s’identifie au club, est un excellent coéquipier, et en ajoutant cela à ses incontestables capacités de basketteur, il devient clair pourquoi nous avons cherché à le garder à l’avenir. Il est également très important que Joffrey accepte immédiatement notre proposition. Cela montre qu’il fait confiance en notre vision et qu’il aime ce qu’il a découvert au Zalgiris. »\\n\\n\\nIt is with great pleasure that I announce that I have signed a contract extension with @bczalgiris until 2023 !\\nCan’t wait to have the fans back in the @ZalgirioArena 😎 pic.twitter.com/G2xh0AvNsd\\n\\n— Joffrey Lauvergne (@1JOLOLO) January 28, 2021\\n\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Touchée au Covid-19 il y a 8 mois, la future Montpelliéraine Asia Durr : « Serai-je capable de rejouer un jour ? »" }, {"role": "assistant", "content":"Joueuse du New York Liberty en WNBA et censée évoluer cette saison en Ligue Féminine à Montpellier, Asia Durr (1,78m, 23 ans) a contracté le Covid-19 en juin dernier. Huit mois plus tard, l’arrière porte toujours d’importantes séquelles qui l’empêchent de voir à long terme.\\n\\nAlors qu’elle devait disputer la saison de LFB avec Montpellier, elle a dû renoncer à venir en France car pas suffisamment rétablie du Covid-19. Asia Durr fait pourtant partie des jeunes joueuses talentueuses. À 23 ans, l’arrière draftée en deuxième position en 2019 par le New York Liberty à sa sortie de Louisville a dû déclarer forfait pour la saison WNBA 2020 après avoir contracté une forme grave du virus avant le début de la bulle floridienne. Depuis, Asia Durr n’a plus rejoué. Cette semaine, elle sort de son silence pour évoquer son long combat dans une interview sur HBO, pour l’émission Real Sports.\\n\\n« Il y a des jours où je me sens bien, où j’ai l’impression d’être capable d’aller faire mes courses ou faire du ménage. Et d’autres où je ne peux que rester au lit, avec la sensation d’avoir été percutée par un bus. Ma vie a complètement changé depuis le 8 juin. J’ai fait des aller-retours à l’hôpital pour voir des médecins. Je n’arrivais pas à respirer, je crachais du sang. La douleur était tellement forte que j’avais l’impression que quelqu’un me poignardait toutes les secondes directement dans les poumons. Je me réveillais à 2 heures du matin et faisais des aller-retours aux toilettes pour vomir. Je ne pouvais rien garder, j’ai perdu 15 kg. »\\n\\nSi la situation s’est très légèrement améliorée, la championne du monde U17 reste toujours fortement touchée et n’a pas repris le chemin de l’entraînement. Au point de mettre sa prometteuse carrière en suspens.\\n\\n« Je n’ai pas retouché un ballon ni testé mon corps depuis. C’est très difficile pour moi. Les médecins ne m’ont pas autorisé à reprendre l’entraînement physique, ça pourrait dégrader la situation. C’est dur parce que généralement, quand je vis une période difficile, je joue au basket. Là, je ne peux même pas faire ça. Je ne suis même pas capable de tirer un lancer-franc. Est-ce que je serai capable de rejouer un jour ? Cette question m’a traversé l’esprit de nombreuses fois. »\\n\\nSobrement, la directrice sportive du Basket Lattes Montpellier, Edwige Lawson-Wade confie ce jeudi à Basket Europe être toujours en relation avec Asia Durr. Même si aujourd’hui, son arrivée dans le sud de la France n’est plus d’actualité.\\n\\n« Elle ne peut toujours pas faire de sport donc elle ne peut pas venir à Montpellier dans ces circonstances. On se parle régulièrement. Ce qu’elle vit n’est pas facile donc j’essaie de la soutenir et de l’encourager. »\\n\\nEspérons que la deuxième meilleure marqueuse de l’histoire de l’Université de Louisville (2485 points) retrouvera un jour le chemin des parquets. L’arrière a en tout cas tenté de rassurer ses abonnés hier sur Twitter : « Merci à tous pour votre soutien. J’espère qu’en partageant mon combat, cela en aidera d’autres. Prenez au serieux le Covid, c’est réel. Portez un masque, protégez les autres, les jeunes, les athlètes et vous-mêmes. Nous ne sommes pas invincibles. »\\n\\n\\nThanks again everyone for the support. My hope is that in sharing my struggle, it will help others. PLEASE take COVID seriously folks. It’s very real. Wear a mask! Protect each other. Young people, athletes, you too. We are not invincible.\\n\\n— Asia Durr (@A_Hooper25) January 27, 2021\\n\\n\\nPhoto: WNBA" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Malaga – Nanterre (83-92) – Isaia Cordinier : «Nous avons fait un pas en avant en tant qu’équipe»" }, {"role": "assistant", "content":"Grâce à sa victoire, 92-83, à Malaga, dans un match qui se présentait déjà comme celui de la dernière chance, Nanterre reste en course pour la qualification en quart de finale de l’Eurocup.\\n\\nSi la JSF avait pris l’eau contre Monaco avant de perdre de seulement 5 points à Badalone, elle s’est ressaisie hier soir face aux Espagnols de Malaga dans ce troisième match du Top 16 d’Eurocup. Dès les premiers instants, les Franciliens ont pris les commandes et ont compté jusqu’à six points d’avance dans le premier quart-temps.\\n\\nEmmenés par un Tim Abromaitis des grands soirs (26 points et 5 rebonds), Malaga a alors haussé le ton avant la mi-temps. Ce ne sera qu’en fin de troisième quart-temps que les hommes de Pascal Donnadieu ont pu creuser l’écart avec à la manoeuvre l’excellent Isaia Cordinier (24 points, 4 interceptions et 3 passes en 40 minutes de jeu pour 28 d’évaluation) et un très important Alpha Kaba qui a fait le job dans la peinture (15 points et 10 rebonds).\\n\\nAvec ce succès, Nanterre peut encore croire à un retour du diable Vauvert alors que Malaga, son adversaire du soir et de la semaine prochaine, est battu pour la troisième fois en trois matchs dans ce Top 16.\\n\\nFortis Katsikaris (Coach Unicaja Malaga) : « Nanterre a fait un très bon match sur tous les plans. Ils ont été très physiques et agressifs en défense. Nous avons eu des difficultés dans le premier quart-temps, mais nous avons été meilleurs au deuxième, en jouant bien avec un bon équilibre. Le troisième quart-temps a été un désastre pour nous. Notre défense en un contre un, et surtout nos pertes de balles nous ont pénalisés. Nanterre a des joueurs avec beaucoup de talent avec le ballon dans les mains. Une chose que nous devons corriger immédiatement, c’est que lorsque nous avons une avance de 9 points, comme nous l’avons eu aujourd’hui, nous devons jouer intelligemment. Ce n’est pas ce que nous avons fait... « .\\n\\nPascal Donnadieu (Coach Nanterre 92) : « Pour nous, c’est tout comme un exploit car nous savons à quel point l’équipe de Malaga est bonne. L’essentiel, c’est qu’en attaque, nous avons une meilleure circulation du ballon que lors des derniers matchs. De plus, après avoir changé notre défense à la mi-temps, nous ne leur avons permis de ne marquer que 34 points en seconde période. C’était la clé car Abromaitis a fait ce qu’il a voulu en première mi-temps ».\\n\\nIsaia Cordinier (Nanterre 92) : « C’était un effort collectif, c’était un match à gagner et nous avons fait un pas en avant en tant qu’équipe. Chaque joueur sur le terrain, même si c’était pour 5 minutes, a apporté quelque chose à l’équipe. Nous avons construit cette victoire ensemble. Je suis vraiment heureux et maintenant nous devons continuer à travailler pour le prochain match ».\\n\\nPhoto d’ouverture : Isaia Cordinier (Unicaja Malaga – Mariano Pozo)." }, {"role": "user", "content":"Euroleague : ASVEL / Vitoria (83-77) – T.J. Parker : «Nous savons ce qu’il faut pour gagner en Euroleague»" }, {"role": "assistant", "content":"Après une première mi-temps qui laissait à désirer, les hommes de T.J. Parker ont signé une retentissante victoire en reversant Baskonia Vitoria (83-77). Portée par un Norris Cole et un David Lighty des très grands soirs, l’ASVEL empoche ainsi un second succès de suite en Euroleague.\\n\\nAvec son pivot Youssoupha Fall qui avait posé sa patte sur le match en effectuant un impressionnant premier quart-temps (11 points et 14 d’évaluation) et l’Argentin Luca Vildoza en chef d’orchestre (5 passes en 7’30), les Espagnols ont voulu montrer qu’ils voulaient se reprendre après trois défaites consécutives en Euroleague.\\n\\nMais en seconde mi-temps, les Villeurbannais se sont montrés beaucoup plus entreprenants. Norris Cole prenait ses responsabilités derrière l’arc et emportait dans son sillage ses partenaires qui effectuaient un bon travail collectif en faisant un troisième quart-temps parfait qui les relançait totalement.\\n\\nL’ASVEL était métamorphosé des deux côtés du terrain et David Lighty (21 points à 7/10 aux tirs, 3 passes décisive en 26 minutes de jeu pour 21 d’évaluation) devenait intenable ce qui permettait de maintenir l’écart quand les Basques venaient souffle dans la nuque des Villeurbannais dans le money time. Avec cette nouvelle victoire, l’ASVEL continue une belle remontée au classement même si à 12 journée de la fin, elle semble bel et bien exclue de la course aux playoffs...\\n\\nT.J. Parker (Coach LDLC ASVEL) : « Les joueurs ont apporté de l’énergie, surtout en défense. Tout était difficile pour eux. Nous savons ce qu’il faut pour gagner en Euroleague. Les gars sont revenus en deuxième mi-temps et nous avons fait du bon travail. On a fait des stops, on a pris de l’élan en attaque, c’est la clé du basket. Maintenant, pourquoi ne pas continuer. Sur les quatre derniers matchs d’EuroLeague, nous aurions probablement dû faire un 4 sur 4. Nous avons perdu un match et gagné trois des quatre derniers. Le niveau que nous avons atteint est bon ».\\n\\nDusko Ivanovic (Coach Baskonia Vitoria) : « Lors des 20 premières minutes, nous avons joué avec l’énergie, avec la concentration. Puis, surtout au troisième quart temps, c’était totalement différent. On a joué sans énergie, sans concentration. C’était la clé du match. »\\n\\nNorris Cole (LDLC ASVEL) : « En seconde mi-temps, nous sommes revenus plus agressifs. Je voulais être beaucoup plus agressif, essayer de donner le ton pour nous tous. Nous avons bien défendu en équipe, nous avons bien géré les rebonds et nous n’avons pas perdu la balle. Quand nous faisons cela, avec un état d’esprit agressif, nous nous donnons une chance de gagner chaque match. Nous avons fait un match assez compétitif contre l’Olympiacos que nous avons donné, nous sommes revenus et avons rebondi contre Valence. Nous voulions terminer cette série en gagnant. Nous avons gagné deux fois sur trois, maintenant il est temps de partir sur la route et de voir si nous pouvons obtenir une victoire contre l’équipe de l’Étoile Rouge de Belgrade ».\\n\\nA noter que le meneur Derrick Walton Jr, touché aux adducteurs, sera indisponible deux semaines alors que Gershon Yabusele devrait être de retour pour le match à Belgrade ce vendredi.\\n\\nPhoto d’ouverture : Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Ligue Féminine : Bourges termine les matches allers invaincu" }, {"role": "assistant", "content":"Malgré les absences d’Alix Duchet (malade), Isabelle Yacoubou (genou) et de Magali Mendy, qui est restée sur le banc, genou droit bandé, le Tango Bourges Basket a assuré une 11e victoire hier soir à Tarbes pour terminer invaincu le cycle des matches allers de la saison régulière.\\n\\nLa doublette tarbaise Regan Magarity (19 points) – Margaux Galliou-Loko (16 points) a donné du fil à retordre aux Berruyères, qui après avoir dominé le premier quart-temps (14-21) n’ont jamais pu réellement s’échapper. Après 10 dernières minutes placées sous le signe de la défense (9-9), elles l’ont finalement emporté 55-65.\\n\\nIliana Rupert (12 points, 7 rebonds) a confirmé qu’elle a retrouvé toutes ses sensations, Alexia Chartereau apportant pour sa part 11 points et 6 rebonds.\\n\\nDe son côté, Basket Landes est largement ressorti vainqueur de son duel avec Nantes (62-83), et les équipières de Céline Dumerc sont ainsi toujours dans la roue des Tango (9 victoires, 1 défaite).\\n\\nPhoto: Iliana Rupert (FIBA)\\n\\n\\n😍 Sarah Michel de looooooin ! #FiertéTango pic.twitter.com/PN3haPGjeP\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) January 27, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"BCL : Les 16 équipes pour les playoffs sont connues, tirage au sort le 2 février" }, {"role": "assistant", "content":"Les 16 équipes qualifiées pour les playoffs de la Basketball Champions League ont été confirmés, suite à la clôture de la saison régulière hier soir.\\n\\n11 pays et ligues sont représentés, la SIG Strasbourg étant le dernier représentant français.\\n\\nCes équipes sont (par ordre alphabétique):\\nAEK Athènes (GRE), Brose Bamberg (GER), Casademont Zaragoza (ESP), Dinamo Sassari (ITA), ERA Nymburk (CZE), Hapoel Unet-Credit Holon (ISR), Happy Casa Brindisi (ITA) ), Hereda San Pablo Burgos (ESP), Iberostar Tenerife (ESP), Igokea (BIH), Nizhny Novgorod (RUS), Pinar Karsiyaka (TUR), SIG Strasbourg (FRA), Tofas Bursa (TUR), Türk Telekom (TUR) , VEF Riga (LAT).\\n\\nAux fins du tirage au sort des playoffs, les 16 clubs qualifiés ont été classés selon leur position finale au sein de leur groupe respectif pendant la saison régulière et leur place au tirage au sort sera basée sur ce classement. Les équipes ayant terminé 1ère de leur groupe de saison régulière seront placées dans le pot 1, les équipes ayant terminé 2e de leur groupe de saison régulière seront placées dans le pot 2. La procédure de tirage au sort des playoffs est décrite ici .\\n\\nLes 16 équipes joueront six matchs chacune dans un système de matches allers-retours (trois matchs à domicile, trois à l’extérieur), les deux premières équipes de chaque groupe se qualifiant pour un Final 8 qui conclura la saison 2020-21 et qui se déroulera au cours de la première semaine de mai 2021.\\n\\nLe lieu de ce Final 8 (5-9 mai 2021) sera annoncé après la fin des playoffs, début avril. Un tirage au sort supplémentaire déterminera le bracket du Final 8 et aura lieu la semaine suivant l’annonce.\\n\\nLe tirage au sort déterminant les groupes de playoffs aura lieu dans la Maison Patrick Baumann du Basketball à 16h00 le mardi 2 février. La cérémonie sera retransmise en direct sur championsleague.basketball.\\n\\nPhoto: Bonzie Colson (Strasbourg, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Austin Hollins (Zénit Saint-Pétersbourg) : « La pandémie a également contribué à notre unité »" }, {"role": "assistant", "content":"Auteur d’un très bon début d’exercice 2020-2021, l’arrière Austin Hollins (1,93m, 29 ans) n’est pas innocent aux résultats du Zénit Saint-Pétersbourg en Euroleague (4e, 13 victoires – 7 défaites) et en VTB League (1e, 11 victoires – 1 défaite).\\n\\nArrivé en Russie à l’été 2019, Austin Hollins semble être parfaitement épanoui au Zénit Saint-Pétersbourg. Organisateur, shooteur mais aussi bon défenseur, il endosse aujourd’hui un rôle de leader dans le collectif de Xavi Pascual. Il s’est confié au média russe Sports.\\n\\n« Le secret, c’est la confiance. Rien ne peut être réalisé sans la confiance. Nous faisons confiance à notre coach, nous nous faisons confiance. Tout le monde dans l’équipe sait quoi faire et n’essaye pas de faire cavalier seul. Notre entraînement est très intense, nous nous entraînons fort physiquement chaque jour, nous nous battons vraiment et cela se reflète dans les résultats. »\\n\\nDans cette interview, l’arrière du Zenit évoque notamment l’incroyable saison collective de son équipe, mais aussi ses progrès individuels. Meilleur joueur du Zénit à l’évaluation en VTB League (13,9), titulaire en puissance en Euroleague (17 fois titulaires en 19 matchs, 8,4 points en 20 minutes de moyenne), il mise tout sur le collectif.\\n\\n« Nous sommes une vraie famille. Nous jouons ensemble depuis longtemps, nous nous comprenons bien. La pandémie a également contribué à notre unité, car nous avons presque tous été malades du coronavirus, nous étions en quarantaine depuis un certain temps. Des choses comme celles-là maintiennent une équipe unie. »\\n\\nAu point de tirer la comparaison avec l’une des armadas NBA du début des années 2010, les Memphis Grizllies de Marc Gasol, Mike Conley, Zach Randolph ou encore Tony Allen, coachés par son père, Lionel Hollins, entre 2009 et 2013.\\n\\n« On peut comparer ce Zénit à l’équipe que mon père a coaché à Memphis, tout repose sur la défense. Seulement, je dirais que nous sommes bien plus complets parce que les Grizzlies étaient centrés sur la protection de la raquette, ce n’est pas pour rien qu’ils avaient le surnom de « grit and grind ». Mais, dans l’esprit et la compétition, les deux équipes se ressemblent beaucoup. »\\n\\nIl y a deux semaines, Austin Hollins réalisait d’ailleurs une performance de haut vol en VTB League contre Avtodor (25 points, 6/8 à trois points, 3 rebonds). La preuve en vidéo :\\n\\n\\nAustin Hollins was unstoppable against Avtodor today:\\n\\n📊 25 PTS, 3 REB\\n💣 6/8 3-PTS, 7/9 FG@aHolli_20 👏 pic.twitter.com/wbIbhjpOaz\\n\\n— VTB League (@VTBUL) January 10, 2021\\n\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Quimper: Confirmation d’une salle de 3 000 places mais pas dédiée exclusivement au basket" }, {"role": "assistant", "content":"La présidente de Quimper Bretagne occidentale et maire de Quimper, Isabelle Assih a confirmé la construction d’une salle de 3 000 places assises dans le quartier de la gare.\\n\\n« Cette grande salle ne sera pas la salle de l’Ujap (NDLR: devenu les Béliers de Kemper), précise la maire à Ouest France. « L’équipement sera également utilisé par le volley, le tennis, le tennis de table et pourquoi pas le rink hockey. » Et encore pour des concerts, des clubs amateurs et des associations culturelles pour d’autres événements.\\n\\nBernard Kervarec, le président des Béliers de Kemper, se montre satisfait :\\n\\n« Ça correspond à ce que l’on attendait et souhaitait. Sur la jauge (3 000 places en dur), on n’est pas encore tout à fait sur la même longueur d’onde. Mais ce n’est pas le sujet à cette date. On est convoqué mardi prochain avec tous les clubs pros, pour organiser les choses. Cette annonce nous ravit. Elle est cohérente par rapport au programme d’Isabelle Assih. Même si je pense qu’il ne faut partir trop petit. Mais on est très content. Cela met fin à beaucoup d’immobilisme. Est-ce que ce dossier peut faire avancer la reconduction de contrat de Laurent Foirest ? Bien sûr. Ça fait partie du dossier Laurent Foirest ! Ce sera un élément parmi d’autres dans sa décision. Mais les planètes ont l’air de s’aligner... »\\n\\nIl faut encore être patient: fin des travaux en 2024." }, {"role": "user", "content":"Espagne : Trois étrangers par équipe et 5 JFL dès la saison prochaine ?" }, {"role": "assistant", "content":"Selon des informations de Encestando, l’ACB pourrait changer de réglementation pour la prochaine saison en matière de statut des joueurs. Jusqu’à présent, chaque équipe n’avait la possibilité d’utiliser que deux étrangers, qui n’étaient ni européens ni cotonous, et ceux-ci sont essentiellement américains, argentins, canadiens, australiens et cubains.\\n\\nL’ACB négocie avec la Fédération espagnole depuis des semaines et celle-ci a donné son accord pour que la saison prochaine, il soit possible d’engager 3 joueurs étrangers. En échange, il faudra que les équipes soient constituées d’au moins 13 joueurs et que le nombre de JFL -joueurs formés en Espagne- qui était jusqu’à présent d’un minimum de quatre passe à cinq. Pour la plupart des équipes, constituer des équipes de 13 joueurs ou plus est déjà la norme. Ceux qui jouent en Euroleague en ont déjà 14 voire 15 comme le Real Madrid ou le FC Barcelone.\\n\\nL’Association des joueurs professionnels (ABP) a toujours été contre l’augmentation du nombre d’étrangers, reste à voir si sa position varie avec l’introduction du cinquième JFL." }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Nanterre : L’étoile Isaia Cordinier" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de Nanterre 92.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Dans la moyenne », c’est ce qui vient à l’esprit en consultant la liste des salaires de Nanterre 92. D’ailleurs, si le club des Hauts-de-Seine n’a que la 11e masse salariale (1 586 500 euros), celle-ci est très proche de celles de ses concurrents qui le précèdent au classement.\\n\\nIsaia Cordinier touche très naturellement la meilleure paye, lui qui revit après d’importants soucis physiques. Après de la Pro B et un 2e tour de draft NBA en 2016, il avait passé une saison blanche (2017-18) avant de retrouver une partie de ses sensations dans son club d’Antibes à 70 000 euros. Cette saison, il perce réellement à haut niveau comme en témoignent ses deux matches de novembre avec l’équipe de France et ses productions en Eurocup (14,6 points, 40,5% à trois-points, 5,6 rebonds, 2,9 passes et 1,8 interception). Son côté extrêmement spectaculaire est un super bonus. On verra quelle sera sa prochaine destination -plusieurs clubs d’Euroleague sont intéressés- mais il est certain qu’à l’avenir, il vaudra beaucoup plus cher sur le marché.\\n\\nLa masse salariale de la JSF est bien répartie entre Français et étrangers. Chris Warren et Brian Conklin méritent leurs émoluments. Du sûr, c’est la 3e saison au club du premier et la 4e en France du second et la deuxième dans les Hauts-de-Seine. On s’aperçoit que le club des Donnadieu a eu à prix cassés Marcquise Reed (ex-Roanne) et surtout Johhny Berhanemeskel qui, il est vrai, ne vaut pas plus (2,7 d’éval). Le seul vrai couac est celui de l’ancien MVP étranger de Pro A, Dwight Buycks qui a fait un retour en France aussi rapide qu’inconsistant (4 matches, 7,3 d’évaluation), alors qu’il devait être l’une des têtes d’affiche du championnat.\\n\\nInutile de préciser que Victor Wembanyama touche un salaire d’espoir mais... qu’il n’a pas de prix.\\n\\nAvec donc une masse salariale moyenne, Nanterre a déjà réussi à se qualifier pour le Top 16 de l’Eurocup et paraît devoir être compétitif pour une place en playoffs de Jeep Elite. Comme d’habitude.\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n * Isaïa CORDINIER (FRA) : 150 000 €\\n * Tyler STONE (USA) : 130 000 €\\n * Chris WARREN (USA) : 125 000 €\\n * Alpha KABA (FRA) : 120 000 €\\n * Brian CONKLIN (USA) : 110 000 €\\n * Ivan FEVRIER (FRA) : 75 000 €\\n * Lucas DUSSOULIER (FRA) : 66 000 €\\n * Damien BOUQUET (FRA) : 60 000 €\\n * Dwight BUYCKS (USA) : 50 000 € (sur 2 mois)\\n * Nikola REBIC (SRB) : 45 000 € (sur 6 mois)\\n * Marquise REED (USA) : 30 000 € (sur 6 mois)\\n * Johnny BERHANEMESKEL (ERI) : 40 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Pascal DONNADIEU (FRA) : 100 000 €\\n * Franck LE GOFF (FRA): 35 000 €\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n« Dans la moyenne », c’est ce qui vient à l’esprit en consultant la liste des salaires de Nanterre 92. D’ailleurs, si le club des Hauts-de-Seine n’a que la 11e masse salariale (1 586 500 euros), celle-ci est très proche de celles de ses concurrents qui le précèdent au classement.\\n\\nIsaia Cordinier touche très naturellement la meilleure paye, lui qui revit après d’importants soucis physiques. Après de la Pro B et un 2e tour de draft NBA en 2016, il avait passé une saison blanche (2017-18) avant de retrouver une partie de ses sensations dans son club d’Antibes à\\n\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Isaia Cordinier (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Mike James officiellement suspendu par le CSKA Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"« Le 22 janvier, après la fin du match avec Fenerbahce, il y a eu un incident dans le vestiaire de l’équipe avec la participation de Mike James. En conséquence, le club a décidé de suspendre le joueur des entraînements et des matchs. La décision finale sur l’avenir de James au CSKA sera prise dans les prochains jours, et des explications seront également données concernant la situation en rapport avec le départ de Mike pour les funérailles de son grand-père. »\\n\\nC’est par ce communiqué que le CSKA Moscou officialise la suspension de son étoile américaine. James, qui a été élu MVP du mois de novembre de l’Euroleague, est actuellement son meilleur marqueur avec 20,0 points par match et se classe deuxième à l’évaluation avec 20,6 en moyenne.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Tim Blue (Ex-Antibes) signe au Cannet Côte d’Azur Basket en Nationale 2 !" }, {"role": "assistant", "content":"Le club azuréen l’a annoncé sur sa page Facebook, l’ancien joueur emblématique des Sharks d’Antibes entre 2012 et 2020, Tim Blue (2,05m), qui a maintenant 36 ans, arrive au Canet. Le club de Nationale 2 signe une énorme recrue avec un des meilleurs intérieurs de ces dernières années en France.\\n\\nTim Blue a remporté avec Antibes le titre de champion de France Pro B en 2013, la Leaders Cup Pro B et les playoffs d‘accession en 2015, puis participé à deux reprises au All Star Game LNB en 2015 et 2016. Au total le Floridien a porté plus de 300 fois le maillot Antibois et est à ce jour le meilleur rebondeur de l’histoire du club et le second meilleur marqueur.\\n\\nL’intérieur américain viendra apporter toute son expérience dans la raquette cannetane, dans laquelle il sera notamment associé à son ancien coéquipier Guillaume Yango avec qui il a porté les couleurs des Sharks durant la saison 2012-2013, conclue par un titre de champion de France et la montée en Pro A.\\n\\nPhoto d’ouverture : Sharks" }, {"role": "user", "content":"Le kiné de la JL Bourg à propos de Alen Omic : «Je pense qu’il risque de surprendre beaucoup de monde à son retour sur les parquets»" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que son équipe de la JL Bourg est ce soir en Slovénie, son pays, le pivot Alen Omic (2,16m, 28 ans) est demeuré en France. Une blessure au genou l’immobilise pendant 45 jours. Le site du club lui demande de ses nouvelles :\\n\\n« Honnêtement je me sens très bien. On fait du super boulot avec le staff, je viens tous les jours à Ekinox pendant 3 à 4 heures pour travailler sur ma blessure. Zlatan, le kiné du club, m’aide tous les jours et c’est super important pour moi, je fais beaucoup avec lui et avec Thomas Faivre quand Zlatan est en déplacement. Ca fait maintenant 3 semaines, je les remercie vraiment et je vais faire de mon mieux pour revenir très vite et encore plus fort dans l’équipe ! »\\n\\nInterrogé, le kiné précise :\\n\\n“Cela fait 18 jours que je travaille avec lui ainsi que l’ensemble du staff médical du club. Son évolution est très bonne et satisfaisante au niveau de son genou. Chaque jour, nous travaillons en salle de soin et encore plus à la salle de musculation pour renforcer son genou. C’est vraiment agréable de bosser avec un gars comme lui, il est super motivé et il se donne à 100% à chaque instant de sa rééducation pour revenir le plus vite, et surtout pour revenir plus fort ! Je pense qu’il risque de surprendre beaucoup de monde à son retour sur les parquets.”\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Céline Dumerc fait gagner à ses fans son dernier maillot d’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Céline Dumerc fait gagner à ses fans le maillot qu’elle a porté pour son dernier match d’Euroleague, dimanche, face à Bourges.\\n\\nL’arrière de Basket Landes et déjà général manager de l’équipe de France donne plusieurs options à ses supporters: suivre le compte de Basket Landes sur YouTube, partager la vidéo de Basket Landes sur leur profil Facebook, ou encore taguer deux amis dans un commentaire sous la vidéo.\\n\\nEtant donné sa popularité, ça devrait cartonner !\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Nijal Pearson et la Chorale Roanne, c’est officiellement terminé" }, {"role": "assistant", "content":"« La Chorale Roanne Basket a trouvé un accord avec l’arrière américain Nijal Pearson (23 ans, 1,96 m) pour rompre son contrat avant son terme. Le rookie n’est plus un joueur de l’effectif professionnel et peut désormais librement rejoindre une nouvelle équipe afin de poursuivre sa carrière. Les dirigeants le remercient pour son professionnalisme et lui souhaitent le meilleur pour la suite de son parcours », indique le club dans un communiqué.\\n\\nNijal Pearson aura eu une contribution modeste avec la Chorale: 6,3 points, 2,1 rebonds et 1,7 passe en 24′ de moyenne sur 7 matches de Jeep Elite.\\n\\nPhoto: Chorale" }, {"role": "user", "content":"Chalon: Opéré au pied, Babacar Niasse absent pendant 3-4 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"« Babacar Niasse a été opéré ce jour par le Dr Tomes au Centre Orthopédique Médico-Chirurgical Dracy Santé d’un kyste synovial au pied. L’opération s’est bien déroulée, il sera convalescent 3 à 4 semaines. Nous vous tiendrons au courant de son état dans les prochains jours. »\\n\\nC’est par ce communiqué sur les réseaux sociaux que l’Elan Chalon informe de l’indisponibilité de son jeune arrière de 20 ans. Babacar Niasse (1,93m) a eu droit jusqu’ici à 7′ de temps de jeu moyen en 6 matches pour 1,0 point et 0,7 passe.\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Le FC Barcelone consolide sa place de leader face au Zenit St Petersbourg (85-81)" }, {"role": "assistant", "content":"Hier soir dans un match qui a tenu toutes ses promesses, les Barcelonais de Sarunas Jasikevicius se sont imposés face au Zenit St Petersbourg, 85-81, au Palau Blaugrana.\\n\\nEn enregistrant une cinquième victoire consécutive, le FC Barcelone conforte sa place de leader. Dans la bataille entre les deux meilleures défense d’Euroleague, le collectif a primé en plus de la détermination et de l’adresse aux tirs (58,5% à deux-points contre 28,6% aux Russes) face à l’équipe révélation de cette saison, le Zenit, qui a beaucoup misé sur ses shoots à trois-points (13/26).\\n\\nBrandon Davies (18 points) a montré l’exemple et ses compères, Kyle Kuric, Cory Higgins et Nikola Mirotic l’ont imité et ont inscrit 44 points à eux trois, avec un Nick Calathes en distributeur de jeu (12 passes). Barcelone avait affichés ses ambitions dès le début du match en menant à la fin du premier quart-temps (16-14) avec une défense bien en place et une utilisation prudente des possessions.\\n\\nKyle Kuric s’est révélé décisif (16 points) et Cory Higgins (14 points) a quant à lui su faire sauter le verrou russe avec ses pénétrations mettant à mal l’équilibre défensif du Zenit. Si K.C. Rivers et Austin Hollins ont été assez limités offensivement, Kevin Pangos (13 points) et Andrey Zubkov (15 points) ont donné des ailes au Zenit dans le dernier quart faisant perdre pied aux Catalans avant que Davies sonne le glas des espoirs russes à deux minutes de la fin du match.\\n\\nSarunas Jasikevicius (Coach FC Barcelone) : « Nous avons battu une très bonne équipe, une équipe très sérieuse. Pendant trois quarts-temps, nous avons vraiment joué un bon basket. Comme cela arrive souvent dans ces situations, nous nous sommes détendus et c’était en fait une situation dangereuse en fin de match. Nous avions une bonne avance, nous jouions bien au basket et honnêtement, dans cette situation et après tant de matchs, nous aurions dû sceller le match plus tôt et nous ne l’avons pas fait. »\\n\\nXavi Pascual (Coach Zenit) : « Je pense que, d’une manière générale, ils ont été meilleurs que nous. Nous sommes restés plus ou moins dans le match pendant 12-13 minutes, mais après cela, nous avons commis deux balles perdues d’affilée, Barcelone a bien joué à ce moment du match et ils ont pris ce premier avantage. (...) Nous avons joué avec caractère dans les dernières minutes, nous nous sommes battus jusqu’au dernier moment et nous avons essayé d’utiliser nos armes. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Cory Higgins (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Boulogne-Levallois, 3-0 en Eurocup – Jurij Zdovc : «avec une victoire de plus, nous serons très près des quarts de finale»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est grâce à une belle réaction alors qu’ils étaient menés 9-21 à l’issue du premier quart-temps puis un superbe trois-points dans le corner au buzzer d’Anthony Brown (19 points, 8 rebonds, 4 passes) que les Mets ont réussi à décrocher une prolongation qu’ils ont maîtrisé pour s’imposer à Trento, 92-86.\\n\\nOutre Brown, David Michineau (23 points dont une claquette-dunk très spectaculaire, 4 rebonds et 5 passes) et Archie Goodwin (21 points, 5 rebonds, 3 passes) ont fait forte impression.\\n\\nBoulogne est ainsi nanti de 3 victoires en 3 matches, mais son coach Jurij Zdovc demeure prudent:\\n\\n« Au final, on a aussi eu un peu de chance. Avec cinq joueurs de petite taille, on a trouvé le rythme et c’est une grande victoire pour nous, avec toutes ces blessures et ces problèmes. Avançons. Je dis à mes joueurs que nous devons vraiment nous concentrer sur ces deux matchs (NDLR: contre Trento, sachant que le retour aura lieu la semaine prochaine en Italie), car après vient la pause, puis Partizan et Kuban. Ce sont des équipes vraiment ambitieuses, elles veulent aller en Euroleague, elles peuvent acheter des joueurs. Elles seront préparées et il sera très difficile de les battre. Maintenant, nous sommes dans une bonne position et avec une victoire de plus, nous serons très près des quarts de finale. J’espère que la semaine prochaine nous aurons Miki (Tomer Ginat) et nous essaierons de gagner là-bas. »\\n\\nPhoto: Archie Goodwin (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Pro B – Rouen 112, Evreux 113 – «Ce genre de match est très beau... mais seulement quand on le gagne»" }, {"role": "assistant", "content":"Deux prolongations lors du derby normand, Rouen-Evreux, c’est suffisamment rare pour être souligné. Voilà qui explique le score fleuve: 112-113.\\n\\nDans ces conditions, il ne faut pas s’étonner des cartons des rouennais Pierre-Etienne Drouault (32 points, et aussi 6 rebonds et 6 passes) et Zimmy Nwogbo (30 points à 11/15, et aussi 6 rebonds et 5 passes). Sans être très performant offensivement (10 points), l’Ebroïcien Amadou Sidibe a fait aussi un sacré chantier avec 15 rebonds et 8 passes.\\n\\nC’est Drouault qui avait obtenu une deuxième prolongation mais il n’a pas pu concrétiser une autre fois lors de cette tranche de temps supplémentaire et le panier de Jean-Philippe Daly s’est avéré décisif.\\n\\n« J’ai pris énormément de plaisir à coacher mes joueurs, qui se sont battus, qui se sont encouragés, et ont eu un bon état d’esprit. C’est ce qui fait notre force, on a gagné grâce à ça », s’est félicité le coach de l’ALM Neno Asceric en conférence de presse, propos repris par Paris Normandie.\\n\\n« Ce genre de match est très beau... mais seulement quand on le gagne », a conclu son collègue de Rouen, Alexandre Ménard.\\n\\nPhoto: Amadou Sidibe (ALM Evreux)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : 26,3M€ de pertes en 2019-20. Le Real Madrid fait mieux que le Barça !" }, {"role": "assistant", "content":"On a évoqué lundi les pertes du FC Barcelone évaluées à 28,2M€ pour la saison 2019-20. Selon 2Playbook, son rival éternel, le Real Madrid fait un peu mieux -si l’on peut dire- avec 26,3M€. C’est 6,8% de plus d’une année sur l’autre mais moins que prévu, à hauteur de 9%, en raison de réductions de salaire de l’ordre de 10%.\\n\\n« Les Blaugranas s’attendaient à perdre 32,2 millions et ont finalement signé un déficit de 28,2 millions; les Meringues s’attendaient à un résultat négatif de 27,9 millions, pour les 26,3 millions finalement enregistrés », écrit le site spécialisé dans l’économie du sport, qui précise: « Ces deux équipes ont réalisé un chiffre d’affaires de 22,4 millions d’euros, 14,4 millions d’euros pour le Real Madrid et 8 millions d’euros pour le FC Barcelone. »\\n\\nCe qui est extraordinairement faible et ses deux « grands » d’Espagne ont à l’évidence des pieds en argile sur le plan économique.\\n\\n2Playbook ignore le déficit global de tous les clubs de l’ACB pour 2019-20 mais rappelle qu’il était de 66,4 millions d’euros en 2018-19 et que ceux du Barça et du Real représentaient 77% de ce total. Avec le Covid-19 et le huis clos, il n’a fait qu’empirer. Et ça ne va pas s’arranger pour la présente saison.\\n\\nD’ailleurs, les prévisions des deux clubs emblématiques du sport espagnol pour 2020-2021 sont pires du point de vue du résultat net, puisque les pertes devraient s’aggraver à un total de 59,2 millions d’euros: 30,4 millions d’euros correspondent au Real Madrid, pour 28,8 millions d’euros au FC Barcelone.\\n\\nComme le disait Alphonse Allais, une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites\\n\\nPhoto: Walter Tavares (Real, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Selon «Madmoizelle», Diandra Tchatchouang fait partie des 21 meufs françaises qui vont percer en 2021" }, {"role": "assistant", "content":"Diandra Tchatchouang fait partie des 21 meufs françaises qui vont percer en 2021. Ce n’est pas nous qui l’affirmons, mais madmoizelle.com, le site du magazine féminin. L’internationale de Lattes-Montpellier se retrouve au milieu d’influenceuse, journaliste, styliste, chanteuse et encore rappeuse. C’est la seule athlète retenue.\\n\\n« Si on peine encore à donner la parole aux sportives, Diandra Tchatchouang, elle, n’a pas peur de s’en emparer. Basketteuse professionnelle, cette ailière d’1,89m brille aussi bien en équipe de France que derrière son micro, dans son podcast Super-humains dans lequel elle mêle sport et société avec brio », est-il écrit. « Engagée dans la cause féministe, Diandra Tchatchouang a à coeur d’aller au contact des jeunes filles pour les inspirer en créant par exemple la journée Take Your Shot, qui vise à promouvoir des parcours d’excellence féminine en Seine-Saint-Denis. Si vous voulez tout savoir de son parcours exceptionnel, précipitez-vous sur son interview dans notre podcast Conquérantes : La suivre sur les internets : son podcast Super-humains| son Instagram | son Twitter. »\\n\\nNous, ce que l’on espère, c’est que Diandra va percer à l’Euro et aux JO prévus cet été !\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Kyle Kuric (FC Barcelone) : « Jasikevicius est un coach très exigeant »" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview pour Fullbasket TV, l’Américain du FC Barcelone, Kyle Kuric (1,93m, 31 ans), parle des priorités de son coach lituanien, Sarunas Jasikevicius et de ce qu’il recherche chez ses joueurs.\\n\\n« Jasikevicius est un coach très exigeant, il a une mentalité de gagnant, c’est le plus important pour lui. Si vous pouvez l’aider à gagner, vous pouvez jouer, sinon, vous vous asseyez sur le banc et c’est tout. Il n’y a pas beaucoup d’entraîneurs ici avec ce niveau d’intensité. «\\n\\nBien qu’il ait un rôle de scoreur et plus particulièrement de sniper à trois points, Kyle Kuric n’est pas dispensé pour autant d’être performant en défense :\\n\\n« Avec Sarunas Jasikevicius, il faut défendre. Si vous ne pouvez pas défendre un autre joueur, vous ne pouvez pas jouer. Vous pouvez marquer 10 points d’affilée mais si votre adversaire marque également 10 points, vous ne jouez pas. C’est facile, la première chose à faire est de défendre. Avec son arrivée beaucoup de choses ont changé, presque tout. Cela a changé la façon dont nous nous entraînons, les séances vidéo, la communication avec nous. Certaines choses sont mieux, d’autres sont moins bien, c’est différent. »\\n\\nInterrogé sur l’affaire Thomas Heurtel, à qui Jasikevicius reprochait justement son laxisme défensif, Kuric a déclaré que :\\n\\n« C’était une situation difficile pour lui, pour nous et pour le club. Il a fini par partir après avoir conclu un accord avec le club, pour nous c’est comme un business. Nous avons besoin de gagner des matchs et c’est tout. C’est un joueur de haut niveau, il peut marquer des points et faire des passes, mais nous avons un autre meneur de jeu qui peut aussi très bien jouer et qui peut jouer en défense et en équipe. C’est plus important ».\\n\\nCôté compétition, le Barça a repris le leadership de l’Euroleague après avoir battu le CSKA à Moscou, une grande victoire qui s’est faite sans Victor Claver, Nikola Mirotic et Brandon Davies et qui est probablement la plus importante de la saison :\\n\\n« C’était un match très difficile et important pour nous, puisque nous avons pris la tête de l’Euroleague. C’était un match où nous jouons tous ensemble et en équipe. Il est vrai que nous avons eu un mois de décembre irrégulier, mais nous gagnons des matches en équipe, comme nous l’avons fait à Moscou. Gagner est une affaire d’équipe, pas de joueurs seuls ».\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Grèce : le syndicat des joueurs propose de réduire le nombre d’étrangers de 6 à 4" }, {"role": "assistant", "content":"Inquiet pour l’avenir du basket en Grèce, l’Union des Joueurs Grecs (PSAK) demande la réduction des joueurs étrangers dans leur championnat à travers une lettre envoyée aux candidats à la présidence de la fédération.\\n\\nUne fois de plus, le syndicat des joueurs demande à sa fédération de revoir ses positions sur l’avenir du basket grec. Dans le détail, la lettre demande de réduire le nombre de joueurs étrangers de six à quatre en Basket League et la suppression définitive des joueurs communautaires en deuxième division (A2).\\n\\n« Cela concerne non seulement le présent mais aussi l’avenir du basketball grec. Nous avons envoyé des lettres aux candidats à la présidence de la Fédération hellénique de basketball. Avec une grande anxiété, nous attendons leur réponse. »\\n\\nPar ailleurs, le PSAK demande, entre autres, le redémarrage immédiat de tous les championnats des catégories nationales, pour le moment arrêtés en raison de la pandémie de Covid-19. Ou encore la possibilité d’acquérir deux basketteurs libres dans les deuxième, troisième et quatrième divisions avant le 31 décembre." }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Amath M’Baye s’éclate en Turquie !" }, {"role": "assistant", "content":"Semaine contrastée pour nos joueurs évoluant en Europe et s’il n’y a guère de performance majeure à relever en Espagne, Aaron Cel réalise une belle prestation en Pologne. Quant à Amath M’Baye et Mam’ Jaiteh, tout roule pour eux en Turquie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAaron Cel sait voyager\\n\\nMalgré la défaite 79-86 au Spójnia Stargard Szczeciński, Aaron Cel s’est démené pour Polski Cukier Torùn puisqu’il a inscrit 12 points et pris 8 rebonds en 32 minutes pour 17 d’évaluation. À 33 ans, il réalise la meilleure saison de sa carrière et enchaîne les performances pour sa quatrième saison consécutive en Pologne.\\n\\n\\nNouvelle perf pour Amath M’Baye\\n\\nAmath M’Baye, c’est de l’énergie, avec des qualités athlétiques et du shoot, tout ce qu’on aime. L’ailier-fort du Pinar Karsiyaka nous a encore régalé ce week-end avec une nouvelle performance lors de la victoire (85-75) de son équipe du côté d’Izmir. Avec 17 points et 23 d’évaluation en 26 minutes de jeu, il confirme sa très bonne forme à quelques semaines de retrouver l’équipe de France.\\n\\n\\nMam’ Jaiteh a encore frappé\\n\\nCe dimanche se jouait une rencontre de la 18e journée du championnat de Turquie. Gaziantep, qui recevait le Frutti Extra Bursaspor, s’est imposé sur son parquet 77-70. Mam’ Jaiteh a encore une fois livré une partie solide avec 17 points, un joli 7/10 aux tirs et a mené les siens vers la victoire.\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 13 points (3/6 aux tirs et 5/8 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 passe, 3 ballons perdus pour 6 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 81-102 à Fuenlabrada).\\n\\nLéo Westermann (Barça) : 6 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 ballon perdu pour 3 d’évaluation en 13 minutes de jeu. (Victoire 110-68 à San Sebastián)\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 6 points (2/7 aux tirs et 2/6 aux lancers-francs), 1 rebond, 3 passes, 1 ballon perdu pour 2 d’évaluation en 29 minutes de jeu (Défaite 73-96 face à Saragosse).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : 8 points (3/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe pour 7 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Défaite 75-78 face à Séville).\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (4/9 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs), 2 rebonds pour 12 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Victoire 86-79 face à Andorre).\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 1 point (1/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 ballon perdu pour -2 d’évaluation en 7 minutes de jeu (Défaite 61-83 à Valence).\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : Pas de match et blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/2 aux tirs), 7 rebonds, 1 ballon perdu pour 9 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Victoire 83-61 face à Vitoria).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 4 points (1/2 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe pour 7 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 78-75 face à Malaga).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 9 points (3/5 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 interception, 1 contre, 1 ballon perdu pour 8 d’évaluation en 15 minutes de jeu (Défaite 79-86 au Real Madrid).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : N’est pas rentré en jeu.\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Holon) : 4 points (1/4 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 1 ballon perdu pour 3 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 85-96 face à l’Hapoel Haifa).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 7 points (3/4 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception pour 16 d’évaluation en 11 minutes de jeu (Victoire 94-59 face à Nevezis).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 0 point (0/3 aux tirs) pour -3 d’évaluation en 5 minutes de jeu (Défaite 69-92 à Klaipéda).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 12 points (3/9 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs), 8 rebonds, 2 interceptions et 1 passe pour 17 d’évaluation en 32 minutes de jeu (Défaite 79-86 face à Stargard).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 10 points (4/5 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 passe, 2 ballons perdus pour 10 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 66-91 face à Kazan).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 13 points (6/12 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 8 rebonds, 1 contre, 1 ballon perdu pour 12 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 92-77 face à Sarajevo).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 5 points (1/4 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 1 rebond, 3 passes pour 7 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Victoire 72-71 face au Cibona Zagreb).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 5 points (2/8 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe pour 5 d’évaluation en 14 minutes de jeu (Victoire 95-75 face à Ormanspor).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 17 points (7/10 aux tirs et 3/3 aux lancers-francs), 8 rebonds, 1 passe, 3 contres, 3 ballons perdus pour 23 d’évaluation en 21 minutes de jeu (Victoire 77-70 face à Bursa).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 17 points (7/14 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 12 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Victoire 85-75 à Izmir).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 6 points (1/6 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs), 12 rebonds, 2 ballons perdus pour 11 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 95-75 face à Ormanspor).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 5 points (2/5 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 interception, 1 ballon perdu pour 4 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 79-81 au Zalgiris Kaunas).\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAaron Cel sait voyager\\n\\nMalgré la défaite 79-86 au Spójnia Stargard Szczeciński, Aaron Cel s’est démené pour Polski Cukier Torùn puisqu’il a inscrit 12 points et pris 8 rebonds en 32 minutes pour 17 d’évaluation. À 33 ans, il réalise la meilleure saison de sa carrière et enchaîne les performances pour sa\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture : Amath M’Baye (Basketball Champions League)" }, {"role": "user", "content":"Quand Kobe Bryant a fait d’un camp d’entraînement un «enfer absolu» pour Michael Gelabale" }, {"role": "assistant", "content":"C’est aujourd’hui le premier anniversaire de la disparition de Kobe Bryant et de sa fille Gigi, et le site Hoopsyhype en profite pour ressortir un podcast datant de 2018 dans lequel l’ancienne superstar des Los Angeles égrenait quelques souvenirs. L’un concernait l’actuel ailier de l’Elan Chalon, Michael Gelabale, qui a joué 145 matches en NBA.\\n\\n« Hmmm. Voyons voir... Eh bien, nous avions un joueur au camp d’entraînement qui s’appelait Gelabale. C’était un jeune joueur, mais il avait déjà été dans la ligue. Il s’est joint à nous pour le camp d’entraînement et je pouvais dire qu’il était vraiment nerveux. On avait eu une petite altercation quand il jouait pour Seattle et maintenant il était au camp d’entraînement avec moi avec les Lakers et il était face à face avec moi tous les jours, sachant que je n’avais pas oublié ce qui s’était passé et que je n’oublierai jamais. Je n’oublie pas ça. Je pouvais dire qu’il était vraiment, vraiment nerveux et je me suis fait un devoir de faire de son camp d’entraînement un enfer absolu. » .\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"CSKA Moscou: Mike James de nouveau en conflit avec le coach Dimitris Itoudis" }, {"role": "assistant", "content":"Il y a quelque temps Mike James s’était déjà retrouvé en conflit avec son coach au CSKA Moscou, Dimitris Itoudis, ce qui l’avait amené à manquer un match d’Euroleague. Un nouvel incendie s’est déclaré entre l’Américain et le Grec.\\n\\nCelui-ci est survenu après la défaite face à Fernerbahçe. Itoudis a vertement critiqué ses joueurs et ses remarques n’ont pas plus à l’irascible Américain, qui venait d’effectuer son pire match de la saison (11 points, 4 d’évaluation), et qui s’est également chauffé avec certains de ses équipiers.\\n\\nMike James était alors moralement au plus mal car son grand-père qui l’a élevé et qu’il chérissait est décédé. Il voulait assister à ses funérailles et ainsi rejoindre les Etats-Unis mais Dimitris Itoudis s’y est opposé car son tireur d’élite aurait du à son retour en Russie se mettre à l’isolement durant quatorze jours.\\n\\nSelon des sources lituaniennes, Mike James n’a pas fait le voyage à Berlin avec le CSKA. Et selon le journaliste italien de La Repubblica, Fabrizio Lorenzi, le joueur va quitter le club moscovite.\\n\\n\\nMike James is not travelling to Berlin with CSKA Moscow, per sources.\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) January 26, 2021\\n\\n\\n\\nThe story is over. Mike leaves moscow @Eurohoopsnet @AlessandroMagg4 @SportandoIT @Carchia\\n\\n— Fabrizio Lorenzi (@fabry23lorenzi) January 26, 2021\\n\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"La commission européenne soutient la FIFA contre la Super League... Pression sur l’EuroLeague" }, {"role": "assistant", "content":"La fédération internationale de football et ses fédérations membres ont frappé fort le 21 janvier contre la création d’une Super League de football fermée regroupant les plus gros clubs. Et la commission européenne a soutenu clairement cette démarche. Par ricochet, l’EuroLeague de basket est-elle en danger ?\\n\\n« Il n’existe pas de cadre où quelques-uns perturbent la nature plurielle et universelle du football européen », a déclaré récemment Mararitis Schinas, vice-président de la commission européenne. Pour faire suite à un communiqué de la FIFA qui prend fermement position sur le projet de Super League d’une poignée des plus riches clubs du continent qui rêvent d’une ligue fermée. La fédération a annoncé être prête à suspendre les joueurs de ces clubs des plus grandes compétitions internationales. Aucun joueur du PSG ou du Barca à la coupe du monde ni à l’Euro ! « Le mode de vie européen n’est pas compatible avec un football européen réservé aux riches et aux puissants. »\\n\\nLa commission européenne a choisi son camp. « Nous devons protéger le modèle européen du sport, qui repose sur un équilibre entre les clubs et les compétitions nationales », poursuit Schinas. « Pour assurer le développement de la discipline de façon ouverte et non-discriminatoire. » Un modèle pyramidal, ouvert avec des montées et des descentes et des compétitions européennes où les meilleurs de chaque ligue nationale gagnent sur le terrain le droit de jouer à l’échelon supérieur.\\n\\nEn quoi cela concerne le basket européen ?\\n\\nSi on applique à la lettre les préceptes énoncés par la commission, alors le projet de l’Euroleague, qui est en train d’étendre sa compétition tout en la fermant – annonce de licence A à venir en mars pour l’ASVEL et Berlin ? – n’est pas plus légitime que celui de la Super League. Evidemment, les enjeux du football sont tels que ce sport est prioritaire, mais l’exemple du basket montre les ravages d’une compétition européenne reine qui se coupe de se base depuis une décennie.\\n\\nPartout en Europe, les ligues nationales pestent contre l’Euroleague, ses pratiques, son calendrier, son appétit vorace à jouer le week-end pour bénéficier des meilleurs créneaux télévisuels. Alain Béral a pris position à des nombreuses reprises contre Jordi Bertomeu et en septembre 2020, c’est l’union des ligues professionnelles de basket européennes (ULEB) dans son ensemble qui a porté contre ECA auprès de la commission européenne. Même son de cloche auprès des fédérations. Le président Jean-Pierre Siutat pointe clairement depuis dix-huit mois les dangers que fait peser l’Euroleague sur tout l’écosystème. Une entité qui ne pense qu’à ses intérêts, dirigés par une dizaine de clubs qui creusent chaque année des dizaines de millions de dollars de déficits, comblés par des mécènes.\\n\\nLa Bulgare Mariya Gabriel, commissaire européen à l’innovation, la recherche, la culture, l’éducation et la jeunesse, a d’ailleurs rencontré récemment Aleksander Ceferin, président de l’UEFA mais aussi le secrétaire général de la FIBA Andreas Zagklis à ce sujet. « Le modèle européen du sport est important pour le futur d’une Europe unie. Le rôle du basket dans le modèle européen du sport est une partie unique de l’héritage européen, et promeut l’autonomie, l’ouverture et la solidarité. »\\n\\nAprès la Super League, Bruxelles va-t-elle prendre position contre l’EuroLeague ?" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : FC Barcelone / Zenit Saint-Petersbourg – Mateusz Ponitka (Zenit) : «Nous voulons prouver que nous sommes capables de rivaliser avec les grands clubs»" }, {"role": "assistant", "content":"Ce mardi soir pour la 22e journée d’Euroleague, le leader, le FC Barcelone reçoit le troisième, le Zenit Saint-Pétersbourg, pour un choc au sommet. L’équipe du Zénit est la surprise de cette saison et aura été d’une constance louable pour se hisser sur le podium. Cette semaine, les hommes de Xavi Pascual vont affronter deux rivaux du big 4, puisqu’après le Barça (15-6), ils seront confrontés jeudi à Armani Exchange Milan (13-7).\\n\\nCe match-là a une saveur particulière pour le technicien du Zenit Xavi Pascual, puisqu’après avoir dirigé l’équipe réserve du Barça puis l’équipe fanion en 2008 avec les succès qui lui sont associés (4 titres de champions d’Espagne et l’Euroleague 2010), il revient au Palau Blaugrana avec le Zenit. L’équipe russe a déjà enregistré huit victoires à l’extérieur et elle compte en glaner deux victoires supplémentaires à Barcelone et à Milan, ce qui ferait d’elle une véritable candidate au titre.\\n\\nLors de la 2e journée, le Zenit a battu Barcelone, 74-70, au Palais des sports de Yubileyny lors d’un match qui s’est joué dans le money time. Billy Baron et Alex Poythress ont mené les Russes à la victoire avec 16 points chacun. De son côté, Nikola Mirotic fut une fois de plus le leader du FC Barcelone avec 14 points, 7 rebonds et 4 passes, tandis qu’Alex Abrines avait marqué 11 points. Barcelone a mené 63-68 et avait son destin entre ses mains mais le Zenit a su être rigoureux et solide en défense dans les moments difficiles puis Kevin Pangos, Alex Poythress et K.C. Rivers ont fait la différence.\\n\\nLe FC Barcelone (15-6) vient de remporter quatre matches d’affilée dont trois à l’extérieur et affiche un bilan de 8-2 à domicile cette saison. Le Zénit (13-6) a lui remporté ses deux dernières rencontres et cinq de ses six derniers matchs pour se hisser à la troisième place, à deux victoires seulement de Barcelone.\\n\\nSi les deux équipes sont les deux meilleures défenses du championnat, l’ogre barcelonais a la meilleure attaque et compile 52,2% de réussite au shoot. Emmenés par Nick Calathes et la recrue Léo Westermann, les hommes de Sarunas Jasikevicius devront mettre du rythme pour espérer faire sauter le verrou russe. Pour le Zénit, beaucoup d’espoirs sont concentrés à l’intérieur avec Arthuras Gudaitis (10 points de moyenne par match) et le nouvel arrivant, Tarik Black. Will Thomas devra effectuer le travail de sape pour contrôler au mieux la superstar du FC Barcelone, Nikola Mirotic (16 points, 6,7 rebonds et une évaluation de 22,9 par match).\\n\\nLes highlights du match aller :\\n\\nXavi Pascual (Coach Zenit) : « Pour battre Barcelone, nous devons faire beaucoup de choses et le mieux possible. Tout d’abord, nous devons être en rythme durant 40 minutes. Bien sûr, nous devons prendre des risques dans certains domaines, mais nous devons le faire de manière tactique et compétente. Nous sommes face à l’une des meilleures défenses d’Europe. Ils ont de la dimension et de la qualité, dans toutes les situations de jeu. Nous avons besoin que nos joueurs soient capables de marquer dans différentes situations, parce qu’à la fin, il y aura beaucoup de situations dans les dernières secondes. Dans ces moments-là, il est important de prendre les bonnes décisions et de marquer des points. »\\n\\nSarunas Jasikevicius (Coach FC Barcelone) : « Nous avons une excellente relation avec Xavi. Quand je jouais pour lui, je faisais attention aux choses qu’il faisait et à la raison pour laquelle il les faisait, parce que je pensais déjà à devenir entraîneur. J’étais très intéressé et je pense que j’ai beaucoup appris de lui. Je pense que notre basket a des choses qui viennent directement de lui. Cette année-là au Barça a été importante pour mon avenir. Le Zenit joue très bien depuis le début de la saison. Ils ont des idées claires, tout le monde connaît son rôle et a de l’expérience. Tout le monde dans cette équipe sait exactement ce qu’il doit faire ».\\n\\nMateusz Ponitka (FC Barcelone) : « Tout le monde sait que le FC Barcelone est l’une des meilleures équipes de l’Euroleague. Ce match sera un grand défi pour nous. Nous nous attendons à un match très tactique. Il faut se préparer à de fréquents changements de formation défensive et à une variété d’options d’attaque de leur côté. Bien sûr, nous y allons pour gagner. Nous voulons nous battre et prouver que nous sommes capables de rivaliser avec les grands clubs. Nous n’avons rien à perdre. Tout le monde sait que le FC Barcelone joue très bien à domicile. »\\n\\n\\n\\nPhoto d’ouverture : Will Thomas (Zenit, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : L’arrière US Byron Wesley renforce les Sharks d’Antibes" }, {"role": "assistant", "content":"Après la NCAA avec South California, l’arrière Byron Wesley (1,96m, 28 ans), qui arrive à Antibes, s’est illustré en G-League avant de partir pour l’Europe. Fort de plusieurs rencontres de BCL a son actif, il explosera en Israël au Hapoel Kfar Saba/Shalom où il a eu de très bonnes stats avec 20,3 points, 7,3 rebonds et 3,5 passes par match, dans une saison 2017-2018 qui aura été la plus prolifique de sa carrière.\\n\\nByron Wesley évoluait la saison dernière du côté du KTP Basket en Finlande, club d’un certain Tim Blue, ancienne gloire et capitaine des Sharks.\\n\\nPour le coach Anthony Stanford, l’arrivée de Byron Wesley est une vraie plus-value :\\n\\n« Il va apporter une réelle plus-value à notre jeu offensif. C’est un scoreur né. Son gabarit athlétique et sa polyvalence (il est capable d’évoluer sur les postes 1,2 et 3) seront des atouts supplémentaires au collectif déjà en place. Le fait qu’il ait connu plusieurs expériences européennes est aussi un point positif qui va permettre de faciliter son adaptation et son intégration. »\\n\\nL’Américain vient renforcer l’équipe pour le reste de la saison.\\n\\nPhoto : Sharks Antibes" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Monaco : Mieux pour moins cher !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Marcos Knight (Photo : AS Monaco)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’AS Monaco.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCrise aidant, l’AS Monaco a sérieusement réduit la voilure au niveau économique : de 3 595 000 € la saison passée, la masse salariale a dégringolé à 2 694 000 €, soit quelques 900 000 € de moins ! Là où huit joueurs gagnaient 180 000 € ou plus, cinq étant à 200 000 € au moins, la Roca Team ne propose plus cette saison que deux joueurs à plus de 200 000 € et cinq à 180 000 € la saison au moins.\\n\\nDans ce secteur financier, l’une des réussites de Monaco a été d’arriver à convaincre certains de ses joueurs de baisser leurs émoluments – c’est ainsi le cas de Dee Bost (270 000 € l’an passé) ou de J.J. O’Brien (180 000 €). Sportivement, l’effet est moins évident, les deux joueurs affichant des stats en baisse : 12,4 (sa plus mauvaise évaluation depuis ses débuts en France) contre 15,0 d’éval pour Bost, 8,7 contre 13,0 pour O’Brien. Ceci n’empêche pas l’AS Monaco de dominer le championnat de France pour le moment (1er avec 6 victoires pour une défaite).\\n\\nIl faut dire que le recrutement s’est montré plutôt pertinent, exception faite de l’ailier Wesley Saunders, guère adapté aux spécificités de la Jeep Élite, et de Darral Willis, récemment coupé après des prestations en demi-teinte (8,3 d’évaluation). Mais Rob Gray, débauché de Boulogne-Levallois pour remplacer un Khadeen Carrington out pour la saison et payé sur la même base, et, plus encore, Marcos Knight sont d’excellentes pioches pour un salaire sans démesure. Et, à 120 000 €, Damien Inglis constitue toujours une très bonne affaire. Seul « loupé » statistique pour le moment, Abdoulaye Ndoye qui, s’il a vu son salaire bondir (il était à 60 000 € l’an passé à Cholet), propose un rendement en forte baisse (6,3 d’évaluation contre 14,0 une saison plus tôt).\\n\\nReste à évoquer le dernier gros changement de l’intersaison, le départ de Sacha Obradovic et le retour au bercail d’un Zvezdan Mitrovic forcément revenchard et qui perçoit le même salaire qu’à Villeurbanne. Avec la féroce envie de remporter le championnat de France et de briller en Eurocup. Gageons que l’équipe monégasque ne sera pas loin de ces objectifs, la Roca Team faisant déjà aussi bien si ce n’est mieux que la saison passée, pour nettement moins cher !\\n\\n * Mathias LESSORT (FRA) : 250 000 €\\n * Dee BOST (USA/BUL) : 210 000 €\\n * Wilfried YEGUETE (FRA) : 185 000 €\\n * Khadeen CARRINGTON (TTO/USA) : 180 000 €\\n * Jaleel O’BRIEN (USA) : 165 000 €\\n * Abdoulaye NDOYE (FRA) : 160 000 €\\n * Marcos KNIGHT (USA) : 160 000 €\\n * Rob GRAY (USA) : 120 000 € (pour 8 mois)\\n * Damien INGLIS (FRA) : 120 000 €\\n * Darral WILLIS (USA) : 75 000 € (pour 5 mois)\\n * Yohan CHOUPAS (FRA) : 33 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Zvezdan MITROVIC (MTN) : 240 000 €\\n * Mirko OCOKOLJIC (MTN) : 40 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nCrise aidant, l’AS Monaco a sérieusement réduit la voilure au niveau économique : de 3 595 000 € la saison passée, la masse salariale a dégringolé à 2 694 000 €, soit quelques 900 000 € de moins ! 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Ces deux rencontres seront diffusées en direct et en clair sur La Chaîne L’Equipe (canal n°21 de la TNT).\\n\\nLe Groupe France :\\n\\nPrénomNomNaissanceTaillePosteSélPointsClubRomaneBERNIES19931,712670Lattes-Montp.AlexiaCHARTEREAU19981,91450350BourgesHelenaCIAK19891,97591534ASVEL ClarinceDJALDI-TABDI19951,844––Villeneuve d’AscqOliviaEPOUPA19941,65189458CharnayMarineFAUTHOUX20011,7311624ASVEL AbyGAYE19951,9551358Basket LandesSandrineGRUDA19871,974-51932527Schio (Italie)MarineJOHANNES19951,77275671ASVEL MagaliMENDY19901,75227BourgesSarahMICHEL19891,8282372BourgesEndyMIYEM19881,8842111886CharlevilleTimaPOUYE19991,741-2––CharlevilleIlianaRUPERT20011,9451635BourgesDiandraTCHATCHOUANG19911,89387499Lattes-MontpellierValérianeVUKOSAVLJEVIC19941,853103609Basket Landes\\n\\nEntraîneur : Valérie Garnier / Assistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"NM1 : Antoine Linarès, président de Mulhouse: «J’ai l’impression que nous sommes pris au piège. Et qu’on nous envoie à l’abattoir»" }, {"role": "assistant", "content":"Le président du Mulhouse Basket Agglomération, Antoine Linarès, fait partie de ceux qui souhaitent que le championnat de Nationale 1 se mette sur pause en attendant des jours meilleurs. Mais comme il le reconnait lui-même au quotidien L’Alsace, tous les présidents de club ne sont pas en concordance avec lui :\\n\\n« Les intérêts des uns ne sont pas les intérêts des autres. Je fais partie de ceux qui ne veulent pas continuer à disputer un championnat dans ces conditions. Mais certains ne sont pas d’accord et veulent au contraire jouer à tout prix : les grosses armadas de la N1, qui ont d’énormes moyens financiers et veulent monter en Pro B, ou au contraire les équipes plus modestes, qui veulent éviter la relégation. À ce propos, d’ailleurs, je me pose aussi des questions : si nous, nous continuons à jouer, la N2, elle, est à l’arrêt. Que va-t-il se passer en fin de saison ? Y aura-t-il des montées, des descentes ? Là non plus, nous n’avons pas la moindre réponse. Nous sommes dans le flou le plus complet. »\\n\\nLe MBA jongle avec la trésorerie pour survivre mais cela n’aura visiblement qu’un temps :\\n\\n« Nous venons de récupérer le solde des subventions de la Ville de Mulhouse (Ndlr : 170 000 euros) et du Grand Est (Ndlr : 40 000 euros) : c’est une grosse bouffée d’oxygène, qui va nous permettre de tenir encore un moment avant de devoir toucher à notre épargne. Comme nous jouons à nouveau, nous n’avons plus droit au chômage partiel. Nous n’avons pas davantage de recettes liées à la billetterie et à la buvette puisque nous jouons à huis clos. Et nous ne pouvons par ailleurs plus proposer nos prestations habituelles à nos sponsors – qui, pour l’instant, ne nous ont pas fait faux bond. Dans le même temps, nous continuons à payer les salaires et les charges, ainsi que les frais de déplacement, soit environ 40 000 euros par mois. J’ai l’impression que nous sommes pris au piège. Et qu’on nous envoie à l’abattoir. »" }, {"role": "user", "content":"Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB : «L’idée sera de disputer au moins 50 % des matchs d’un championnat pour en valider le classement»" }, {"role": "assistant", "content":"Présent à Landerneau pour la « bulle » d’Eurocup féminine, le président de la fédération, Jean-Pierre Siutat, s’est exprimé dans Le Télégramme sur les perspectives de reprise pour les compétitions de basket amateur et a reconnu être dans le flou :\\n\\n« Je vais être très franc : nous n’avons aucune visibilité. On devait reprendre le 20 janvier et la réunion des sports collectifs avec la Ministre des Sports a reporté l’échéance. Ce qui est certain, c’est qu’on veut tous reprendre ! L’idée sera de disputer au moins 50 % des matchs d’un championnat pour en valider le classement, au plus tard le 30 juin. En Ligue Féminine, on espère, également, pouvoir maintenir les play-offs. »\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Vidéo – Yann Bonato revient sur le triplé historique du CSP Limoges en 2000 : «À mon sens, 2000 a fait de moi une meilleure personne»" }, {"role": "assistant", "content":"20 ans après le triplé du CSP Limoges (Championnat de France, Coupe Korac, Coupe de France), Yann Bonato revient à Beaublanc pour évoquer cette saison 2000 historique, relatée par le livre Bonnes vacances, ouvrage publié par le magazine Entorse.\\n\\n« On a entendu beaucoup de choses, des parasites... Limoges est l’équipe de l’année, bonnes vacances ! » À l’issue de la finale du championnat de France remportée par Limoges sur le parquet de Villeurbanne, Yann Bonato avait lâché cette réplique, devenue culte. 20 ans plus tard, l’ancien international et capitaine de cette équipe légendaire se livre dans un entretien réalisé par François Chevalier et Jérémy Le Bescont pour le magazine Entorse.\\n\\n« Tout a été complètement incroyable depuis le début. De l’intérieur, c’est presque un scénario hitchcockien. C’est du délire du début à la fin parce qu’on ne doit pas faire cette saison, on ne doit pas gagner. A l’intérieur, on est passés par toutes les émotions. »\\n\\nPour cause, dès le début de saison, le CSP connait des difficultés financières sans précédent. « L’affaire Limoges » prend de l’ampleur et chaque match joué peut potentiellement être le dernier, avant une cessation de paiement inévitable. Le 12 janvier 2000, les Limougeauds sont convoqués.\\n\\n« Les dirigeants restants nous ont expliqué que c’était la fin. À ce moment-là, on se rend compte que ce n’est pas normal. Même si, à Limoges, il se passe toujours beaucoup de choses. [...] Quand Claire Chazal ouvre le journal de 20h avec nous, on voit qu’il y a une résonance. On est au milieu de quelque chose qui nous dépasse, c’est évident. Tout le monde nous regarde, on se rend compte qu’il faut être à la hauteur de ce moment. »\\n\\nC’est alors que les joueurs de Limoges, à commencer par Frédéric Weis, baissent leur salaire, à l’unisson, pour « sauver le club ». Suivent alors de nombreuses victoires, notamment celle à Pau. Mais aussi celle en coupe d’Europe, la fameuse Coupe Korac.\\n\\n« Au bout d’un moment, [il y a quelque chose qui] s’est passé dans la tête des gars. On veut rester en vie, on veut sauver le club. On sent qu’on commence à monter en régime, on devient ambitieux, on a les moyens de notre ambition. On a une mission, on veut gagner et marquer l’histoire de ce sport. »\\n\\nYann Bonato lui-même définit cette saison, avec les supporters de l’âme de Beaublanc, comme celle qui l’a « vu passer d’un bon joueur de basket, peut-être scoreur-égoïste, à capitaine, en capacité de partager ». Finalement, le CSP s’adjuge un triplé historique, non sans émotions.\\n\\n« À la fin, on était tous épuisés parce que la saison avait été émotionnellement et physiquement très dure avec Dusko [Ivanovic, coach du CSP cette saison-là, NDLR]. Personnellement, j’étais épuisé, amaigri, fatigué. Pratiquer un sport de haut niveau, c’est dur. Donner du sens à une carrière, c’est encore autre chose. Et quand on l’impression de donner du sens, c’est ça qui génère le moteur de se lever le matin, d’avoir mal. Objectivement, si j’étais resté à Limoges, j’aurais pu jouer plus longtemps, c’est une évidence. Je n’ai plus jamais senti la même flamme après. À mon sens, 2000 a fait de moi une meilleure personne. »\\n\\nLa vidéo a été tournée avec les moyens techniques du CSP Limoges qui la diffuse sur ses réseaux sociaux pour célébrer les 20 ans du triplé et le succès du livre Bonnes vacances qui est bientôt sold out.\\n\\nLa vidéo, réalisée par Tommy Hombert :\\n\\nPhoto : capture d’écran vidéo / Limoges CSP / Entorse" }, {"role": "user", "content":"Chine: 70 points pour Jimmer Fredette c. 68 points pour Marcus Georges-Hunt" }, {"role": "assistant", "content":"Jimmer Fredette (1,88m, 31 ans) s’amuse toujours autant en Chine. L’arrière américain, passé par le NBA et récemment par le Panathinaikos, a marqué 70 points en 53 minutes (7/14 à deux-points... 11/22 à trois-points, et un parfait 23/23 aux lancers-francs), plus 9 passes, 8 rebonds, 4 interceptions, 2 contres et aussi 7 balles perdues.\\n\\nSeulement son équipe de Shangaï a perdu 136 à 129, en double prolongation, face à Sichuan. L’une des raisons est la performance dans le camp adverse de l’un de ses compatriotes, l’ailier Marcus Georges Hunt (1,96m, 26 ans), qui pour sa part a planté 68 points (16/24 à deux-points, 6/11 à trois-points et 18/24 aux lancers).\\n\\nEt les défenses dans tout ça ?\\n\\n\\nJimmer \\Clutch\\ Fredette 🔥@jimmerfredette buries his 11th tripple to put the game into overtime.\\nHe currently posts 61 PTS (highest in #CBA this season), 6 REB, 7 AST, 4 STL, 2 BLK, in 48 minutes. @TheJimmerWatch @JimmerStats @BYUbasketball @thetournament @Ballislife pic.twitter.com/of37nJ4UC9\\n\\n— CGTN Sports Scene (@CGTNSportsScene) January 25, 2021\\n\\n\\nPhoto: Jimmer Fredette" }, {"role": "user", "content":"Dino Radja : «Je préfère regarder un match d’Euroleague que la NBA»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ancien pivot croate Dino Radja, 53 ans, a eu une double expérience: en Euroleague (il a été champion avec Split en 1989 et 90) et en NBA (224 matches avec les Boston Celtics) et il lui a été demandé sa préférence entre les deux compétitions, et sa réponse a été claire et nette :\\n\\n« Le monde a changé. Je pense que la NBA est devenue un All Star Game, où il n’y a pas de défense. Les chiffres ont décollé. Les gens paient pour cela et ils aiment ça. Mais ça ne m’intéresse pas. C’est une époque différente et il faut s’adapter. Certaines choses sont meilleures, d’autres non. Je préfère regarder un match d’Euroleague que la NBA. Je ne me souviens pas de la dernière fois quand j’ai regardé un match de NBA. (James) Harden peut prendre 50 tirs à trois-points dans un match. Je n’aime pas. »\\n\\nDino Radja a également donné son avis sur la réussite du Slovène Luka Doncic dans la ligue américaine :\\n\\n« Il me rappelle beaucoup (Dejan) Bodiroga. Un peu plus costaud mais un énorme talent de basketteur ! Je m’attendais à ce que Doncic réussisse. Mais pas si tôt. Il fait preuve de maturité à un très jeune âge, il a du talent et il travaille dur. Je pense qu’il a pris les bonnes décisions. Je pensais qu’il devait rester en Europe une autre année, mais il m’a surpris. »" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Lyon-Villeurbanne : Riche pour la Jeep Elite, modeste pour l’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nFinancièrement, l’ASVEL n’est pas encore tout à fait un « vrai » club d’Euroleague mais sur le plan national, elle apparaît comme une nantie. Jamais escouade française n’avait été constituée avec un budget prévisionnel proche de 12M€ (qu’en sera-t-il des rentrées d’argent effectives avec des matches de Jeep Elite et d’Euroleague sans public ?) et une masse salariale de 3 557 000€, soit 863 000€ de plus que Monaco.\\n\\nAussi, vous ne trouverez pas ici de millionnaires comme un peu partout en Euroleague, et même aucun salaire à plus de 300 000 euros. Mais à l’inverse, 13 joueurs sont au moins à 100 000€ sachant que Matthew Strazel est un Espoir.\\n\\nLe plus impressionnant, c’est que les Villeurbannais squattent 6 des places du top 9 des salaires des Français et Moustapha Fall et Guershon Yabusele sont en pole position. Seulement à ce tarif-là, le président Tony Parker ne pourra pas retenir les deux internationaux qui ont été jusqu’ici délaissés -surtout Fall- par les grosses écuries européennes. Ces deux-là ont chipé à leur équipier Charles Kahudi une 1ère place qu’il conservait plus ou moins chaque année depuis son arrivée dans le Rhône en 2015.\\n\\nA l’inverse, les non-JFL sont très loin des tarifs en vigueur en Euroleague et finalement si leur rendement en Europe laisse à désirer -sinon le fidèle et régulier David Lighty, qui est sans peur et sans reproche-, il ne faut pas s’en étonner. Quand on a un bon défenseur comme Kevarrius Hayes à 100.000€... il ne faut pas crier au scandale s’il a les mains carrées. Et il n’est pas sûr que l’arrivée de Derrick Walton, meneur peu convaincant il y a deux ans avec Kaunas, change grand-chose, que ce soit au niveau tarifaire ou dans les performances européennes.\\n\\nEvidemment, il n’y a qu’à Villeurbanne, en France, où l’on peut trouver un étranger, le Letton Rihards Lomasz en l’occurrence, qui n’a joué qu’un tiers des matches d’Euroleague et qui tournait en Jeep Elite à 3,6 points avec un modeste 33,3% de réussite pour un shooteur, à 140 000€. Ailleurs, on se ferait des cheveux blancs. Du reste, il a fini par être remercié.\\n\\nCe qui frappe également, c’est que selon nos informations, le salaire de TJ Parker comme head coach est le même que celui qu’il avait comme assistant et qu’il est ainsi moins payé que Freddy Fauthoux.\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n * Guerschon YABUSELE (FRA) : 300 000 €\\n * Moustapha FALL (FRA) : 300 000 €\\n * Charles KAHUDI (FRA) : 275 000 €\\n * Norris COLE (USA) : 250 000 €\\n * Antoine DIOT (FRA) : 200 000 €\\n * William HOWARD (FRA) : 180 000 €\\n * David LIGHTY (USA) : 180 000 €\\n * Amine NOUA (FRA) : 180 000 €\\n * Allerik FREEMAN (USA) : 180 000 €\\n * Ismaël BAKO (BEL) : 170 000 €\\n * Paul LACOMBE (FRA) : 150 000 €\\n * Rihards LOMAZS (LET) : 140 000 €\\n * Kevarrius HAYES (USA) : 100 000 €\\n * Matthew STRAZEL (FRA) : 40 000 €\\n\\nCoachs :\\n\\n * T.J. PARKER (FRA) : 70 000 €\\n * Frédéric FAUTHOUX (FRA) : 100 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nFinancièrement, l’ASVEL n’est pas encore tout à fait un « vrai » club d’Euroleague mais sur le plan national, elle apparaît comme une nantie. Jamais escouade française n’avait été constituée avec un budget prévisionnel proche de 12M€ (qu’en sera-t-il des rentrées d’argent effectives avec des matches de Jeep Elite et d’Euroleague sans public ?) et une masse salariale de 3 557 000€, soit 863 000€ de plus que Monaco.\\n\\nAussi, vous ne trouverez pas ici de millionnaires comme un peu partout en Euroleague, et même aucun salaire à plus de\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Moustapha Fall (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Espagne : La section basket du FC Barcelone a accusé des pertes de 28,2M€ pour la saison 2020-21" }, {"role": "assistant", "content":"La section basket du FC Barcelone a clôturé l’exercice 2019-20 avec des pertes de 28,2 millions d’euros, soit une augmentation de 26,2% de plus d’une année sur l’autre. Selon le site spécialisé 2Playbook, il s’agit du pire résultat, à l’exception de la saison 2017-18.\\n\\nCe « trou » abyssal est dû à la pandémie de COVID-19 conjuguée avec les signatures de Nikola Mirotic, Brandon Davies et Cory Higgins et les renouvellements d’Adam Hanga, Víctor Claver et Thomas Heurtel licencié récemment. En conséquence, les dépenses en « personnel sportif » ont augmenté de 18,3% à 29,2 millions d’euros.\\n\\nCe qui est très spectaculaire, c’est que les revenus de la section basket ne sont que de 8,01M€, soit une baisse de 11,9% par rapport à ce qui était budgété et de 28,8% de moins que lors de la saison précédente. Un seul élément du chiffre d’affaires s’est amélioré: la télévision, qui progresse de 15,4% à 3,2 millions d’euros.\\n\\n« L’activité commerciale et publicitaire, qui est le deuxième générateur de revenus de la section, a plongé de 48,2%, à 2,9 millions d’euros. La raison n’est autre que le départ du fabricant de pneus turc Lassa en tant que sponsor titre, dont le remplacement en tant que sponsor principal a été pris en charge par Assistència Sanitaria, bien que sans droits sur le nom de l’équipe », écrit 2Playbook.\\n\\nEt... le club anticipe que sa section basket perdra 28,8 millions d’euros en 2020-2021, soit 2,1% de plus que la saison précédente.\\n\\nPar ailleurs, le FC Barcelone omnisports, qui « éponge » les dettes de la section basket, présente, lui, un passif financier qui s’élevait au 30 juin à 1 173 millions d’euros, soit une augmentation de 15,3%.\\n\\nChacun appréciera la démesure.\\n\\nPhoto: Nikola Mirotic (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Tony Parker annonce le retour à l’ASVEL de Julie Allemand et le prêt de Marine Fauthoux" }, {"role": "assistant", "content":"Nous ne sommes qu’en janvier mais déjà les tractations en Ligue Féminine battent leur plein pour la saison 2021-22 et, surprise, le président Tony Parker annonce lui-même le retour de l’internationale belge Julie Allemand (1,74m, 24 ans) à l’ASVEL après une saison à Lattes-Montpellier.\\n\\n« L’année dernière, conserver Julie dans l’effectif était vraiment l’une de nos priorités. On n’a jamais voulu se séparer d’elle. Et elle était déçue aussi de quitter le club. Malheureusement, nous n’avons pas trouvé d’accord avec son agent. Cela fait partie du business », explique t-il sur le site du club. « Depuis que je suis Président, donc depuis 2014, c’est la première fois où j’étais vraiment triste de perdre une joueuse. Parce qu’avec Julie, on avait vraiment développé une relation particulière, surtout parce qu’elle est meneuse de jeu et qu’elle était arrivée au club toute jeune... On avait construit quelque chose de spécial. Je l’ai accueillie plusieurs fois à San Antonio, elle était présente pour mon retrait de maillot, etc. On est proche, donc cela m’avait touché de ne pas trouver d’accord. Malgré cela, on a gardé contact et on continuait à échanger. »\\n\\nTony Parker explique que Marine Fauthoux, dont le contrat a été prolongé jusqu’en 2025, va être prêtée pendant deux ans avant de revenir à l’ASVEL.\\n\\n« Autour de ce prêt, nous allons mettre en place un vrai suivi. Elle viendra parfois travailler avec moi à San Antonio, elle aura un préparateur physique pour progresser physiquement. On croit en Marine Fauthoux, de la même manière que l’on a cru en Julie Allemand. Ingrid (Tanqueray) sera aussi présente au poste 1. Notre souhait est toujours qu’elle termine sa carrière avec nous. Je serai toujours fidèle à Ingrid, parce que ce sont nos valeurs. Elle et Pao ont été les premières à signer ici, a accordé leur confiance au projet, à moi. »\\n\\nPhoto: Julie Allemand (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage de «Tout le Sport» sur la Jeep Elite à huis clos" }, {"role": "assistant", "content":"L’émission de France TV, Tout le Sport, a réalisé un reportage sur les clubs de basket de Jeep Elite et le huis clos avec comme témoins Frédéric Donnadieu, le GM de Nanterre, Johan Passave-Ducteil et le président Yann Rivoal du Portel, et Alain Béral, le président de la Ligue Nationale de Basket. « Aujourd’hui, le basket français joue sa survie », estime le journaliste." }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Chalons-Reims vs Boulogne-Levallois (13e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Quelle remontada des Metropolitans 92 ! À -16 (50-34) à la mi-temps, avec un Bastien Pinault en sniper (19 points à 5/6 à trois-points), ils sont revenus pour s’imposer au Champagne Basket de +14 (73-87) grâce à un collectif parfait. Les Mets sont désormais à hauteur de Dijon au classement (8 victoire et 2 défaites), tandis que le compteur de victoire des Champenois reste bloqué à une seule petite victoire.\\n\\nSi vous avez loupé la remontada des Metropolitans 92, pas de panique. Notre partenaire TCL vous offre le récap’ du match.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Pau: L’international belge Manu Lecomte en pigiste médical de Justin Bibbins" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà sous le coup de 5 défaites d’affilée, l’Elan Béarnais enregistre un nouveau pépin. Le meneur de jeu Justin Bibbins (14,5 points et 4.8 passes pour 12,3 d’évaluation), qui avait remplacé Shane Evans, s’est fait une sérieuse entorse à la cheville qui va entraîner plusieurs semaines d’indisponibilité. C’est pourquoi le club fait appel à l’international belge Emmmanuel Lecomte (1.80m, 25 ans) en provenance des Francfort Skyliners (BBL).\\n\\nManu Lecomte a bénéficié d’une formation aux Etats-Unis, aux universités de Miami et Baylor, puis une saison en G-League aux Clippers d’Agua Caliente, la franchise affiliée aux Los Angeles Clippers. Il est ensuite revenu en Europe par le biais de l’Espagne (Murcia et Gran Canaria).\\n\\n« Dès que nous avons su que Justin (Bibbins) allait être arrêté pour plusieurs semaines, nous nous sommes mis en quête d’un pigiste », explique le coach Laurent Vila. « Nous avons dû prendre en compte lors de nos recherches à la fois notre calendrier ainsi que les conditions sanitaires actuelles afin de pouvoir bénéficier d’un renfort dans les meilleurs délais. Nous avons eu la possibilité de faire venir Manu Lecomte qui est un vrai meneur avec beaucoup de punch, un joueur capable de scorer et de faire jouer ses coéquipiers. Il sait créer et peut aussi défendre fort. Je le connais bien, pour l’avoir suivi pendant deux saisons sur la scène internationale avec l’équipe belge des U20. Joueur de rotation en Allemagne où il évoluait aux cotés de notre ancien arrière américain Matt Mobley, il a souhaité de son coté saisir cette opportunité afin de montrer qu’il peut faire de belles choses. »\\n\\nEmmanuel Lecomte\\nNé le 16 août 1995 à Ixelles (Belgique)\\n1.80m – Poste 1\\n\\n2013-2014 : University of Miami (NCAA)\\n33 m, 7.7 pts, 2.3 pds, 2.1 rbds/m\\n\\n2014-2015 : University of Miami (NCAA)\\n38 m, 7.9 pts, 1.8 pds, 1.4 rbds/m\\n\\n2015-2016 : n’a pas joué (règlement NCAA)\\n\\n2016-2017 : Baylor University (NCAA)\\n33 m, 12.2 pts, 3.8 pds, 1.8 rbds/m\\n\\n2017-2018 : Baylor University (NCAA)\\n32 m, 16.4 pts, 3.7 pds, 2.2 rbds/m\\n\\n2018-2019 : Agua Caliente Clippers d’Ontario (G-League)\\n48 m, 14.1 pts, 4.3 pds, 2.1 rbds/m\\nMars 20 : Murcie (Espagne)\\n9 m, 7.1 pts, 1.4 pds, 1.7 rbds/m\\n\\n2019-2020 : Murcie (Espagne)\\n18 m, 6.1 pts, 1.2 pds, 1.2 rbds/m\\nFev’ 20 : Gran Canaria (Espagne)\\n5 m, 5.4 pts, 1 pd/m\\n\\n2020-2021 : Francfort Skyliners (BDL)\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Joffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : «En Russie, à l’hôtel, j’ai refusé de monter dans l’ascenseur car il y avait des gens sans masque»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview au Parisien, le pivot du Zalgiris Kaunas, Joffrey Lauvergne parle des conditions sanitaires en vigueur Lituanie, les mesures étant plus draconiennes qu’actuellement en France:\\n\\n« Ça va, les gens peuvent sortir dans la rue... Après seuls les magasins de premières nécessités sont ouverts, tout le reste est fermé. Il faut demander une autorisation spéciale pour bouger d’une ville à une autre. Mais les Lituaniens sont disciplinés, ils portent le masque sans rechigner. Depuis que je suis arrivé en août j’ai l’impression que les gens respectent les mesures. On sait qu’on doit tous faire des efforts. En tant que sportif on est conscient d’avoir beaucoup de chances de continuer à travailler alors que certaines professions n’ont pas ce choix. »\\n\\nJoffrey Lauvergne estime que c’est positif de pouvoir continuer à jouer et d’apporter ainsi un dérivatif à la population. Il estime que les conditions de sécurité pour les joueurs sont bonnes tout en étant surpris de la permissivité en Russie :\\n\\n« On a la chance de voyager dans des avions privés, on croise quelques personnes dans les hôtels mais on mange dans des salles qui nous sont réservées. Le club, l’Euroleague et les autorités locales font très attention, il y a un maximum de sécurité. Mais c’est évident qu’il y a plus de risque de choper le virus et tomber malade quand on se déplace que de rester chez soi... Quand on va en Russie par exemple, comme la semaine dernière, on s’aperçoit que les mesures sanitaires ne sont pas les mêmes partout. Les gens n’ont pas de masque dans les rues. Les salles accueillent du public, heureusement ils portent des masques. A l’hôtel j’ai aussi refusé de monter dans l’ascenseur car il y avait des gens sans masque. Ça fait bizarre. Dans l’absolu je n’ai personne à risque autour de moi et je suis en bonne santé mais on a pris l’habitude de faire attention. Mais dans l’ensemble on ne se sent pas menacés. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Isaia Cordinier est la cible de Kaunas et du Maccabi Tel-Aviv" }, {"role": "assistant", "content":"Selon le journaliste lituanien Donatas Urbonas de 15mn et son confrère istaélien Moshe Bardos de One, l’international de Nanterre Isaia Cordinier (1,97m, 24 ans) intéresse le Zalgiris Kaunas et le Maccabi Tel-Aviv. Le site lituanien précise que l’ASVEL et différents clubs espagnols sont également sur sa piste.\\n\\nCet intérêt n’est pas surprenant quand on connaît les performances de Isaia Cordinier auteur de 15,1 points (58,7% à deux-points, 42,5% à trois-points), 5,4 rebonds et 2,5 passes pour 19,3 d’évaluation en Eurocup. Il a également été performant avec l’équipe de France lors des fenêtres FIBA de novembre et février.\\n\\nL’international a toutefois déclaré récemment que sa priorité demeure la NBA. Ses droits appartiennent aux Brooklyn Nets.\\n\\n« Je suis souvent en contact avec eux. Ils regardent tous mes matches. Après l’objectif, je l’ai toujours dit : je me lève le matin, je travaille, pour être un jour en NBA. Dans ma tête, ça ne change pas et je ne pense pas que ça changera. Je suis quelqu’un d’assez têtu et quand j’ai quelque chose en tête, je fais tout pour aller le chercher. Au moins, comme ça, je n’aurai pas de regrets. »\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : La Pro B en clair sur France 3 Régions" }, {"role": "assistant", "content":"Une fois n’est pas coutume, le match de Pro B opposant l’ADA Blois aux Béliers de Kemper sera retransmis en clair et en direct sur France 3 Centre et France 3 Bretagne. Le club breton maintiendra-t-il sa série d’invincibilité en signant sa 6ème victoire ? Réponse dimanche.\\n\\nNDLR : Ce programme ne comprend que les matchs de Jeep Elite et de Pro B diffusés sur les chaînes de télévision de L’Equipe, Sport en France et les antennes régionales de France 3. Tous les autres matchs des deux championnats français sont diffusés en direct et en clair sur lnb.tv. De même pour les rencontres annoncées du côté de la LFB, disponibles directement sur lfb.tv.\\n\\nMardi 26 janvier :\\n\\n17h50 – Khimki Moscou/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Anadolu Efes Istanbul/Etoile Rouge Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n18h35 – Fenerbahçe Istanbul/Maccabi Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n18h45 – Boulogne-Levallois/Aquila Trento – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h45 – Badalone/Monaco – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h45 – Olimpia Milan/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\n20h50 – Barcelone/Zenit Saint-Pétersbourg – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\nMercredi 27 janvier :\\n\\n18h45 – Unicaja Malaga/Nanterre 92 – Eurocup – RMC Sport Live 4\\n\\n20h00 – ALBA Berlin/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Olimpija Ljubljana/JL Bourg – Eurocup – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – LDLC Asvel/Baskonia Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 4 (diffusion éventuelle sur un autre canal de RMC Sport, à vérifier)\\n\\n20h50 – Real Madrid/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Valence/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nJeudi 28 janvier :\\n\\n17h50 – Khimki Moscou/Fenerbahçe Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h55 – Maccabi Tel Aviv/Anadolu Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h35 – Olimpia Milan/Zenit Saint-Pétersbourg – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nVendredi 29 janvier :\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Bayern Munich – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n19h50 – ALBA Berlin/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h50 – Panathinaïkos/Valence – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h45 – Etoile Rouge Belgrade/LDLC Asvel – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Baskonia Vitoria/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 30 janvier :\\n\\n17h00 – JL Bourg/Orléans – Jeep Elite (J6) – Sport en France\\n\\nDimanche 31 janvier :\\n\\n15h20 – ADA Blois/Béliers de Kemper – Pro B (J6) – France 3 Centre & France 3 Bretagne\\n\\n17h30 – Saint-Quentin BB/SLUC Nancy – Pro B (J6) – La Chaîne L’Equipe\\n\\nPhoto : Charly Pontens et Jules Rambaut (Crédit : Jacinthe Nguyen – Béliers de Kemper)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Limoges : l’ère de la raison ?" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Nicolas Lang (Photo : CSP Limoges)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du Limoges CSP.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes temps changent, à Limoges. Peu ou pas de mouvements de joueurs, pas de flambée des salaires ou du budget – au contraire, il semblerait qu’une certaine forme de sagesse s’installe sur les bords de la Vienne. Prenez l’effectif limougeaud : en début de saison, ils étaient 8 de l’équipe 2019-20 à rempiler, avec pour seuls nouveaux le Cubain de Pro B Grismay Paumier et le Canadien Philip Scrubb. Quant à la masse salariale, qui se situait à 1 950 000 € la saison passée (6e de Jeep Élite), elle a décru, comme dans beaucoup de clubs, pour se fixer à 1 791 000 € déclarés en début de saison (5e du championnat). Le résultat de cette pondération est plutôt à l’avantage du club : si le CSP s’est incliné devant trois des cadors du championnat (Nanterre, Boulogne-Levallois et Monaco) et dernièrement contre Le Mans, il a remporté ses quatre autres rencontres, dont l’une face à l’épouvantail Bourg-en-Bresse, ce qui lui permet de se placer au 8e rang du championnat.\\n\\nBien sûr, Limoges ne serait pas Limoges sans qu’une « histoire » ne soit venue occuper les supporters de la Haute-Vienne pendant un couvre-feu ou un confinement. Elle fut l’apanage de DeMarcus Nelson, le meneur américain partant aux États-Unis fin novembre pour ne plus en revenir malgré un contrat prolongé de deux saisons. Pour compenser, Limoges a débauché à Anvers, où il brillait (15,0 points, 5,9 passes décisives, 2,6 rebonds pour 16,7 d’évaluation en 32′ en Eurocup), le dénommé Kenneth « Speedy » Smith, plutôt convaincant pour ses premières prestations malgré une adresse fluctuante et une défense pas toujours très rigoureuse. Cela étant, si le non-retour de Nelson a permis d’économiser une belle somme (il a dû percevoir moins du tiers de son contrat annuel de base), le montant des émoluments de Smith n’a pas filtré. Mais même en estimant qu’il est dans les mêmes eaux que celui de Nelson, le CSP avait de quoi recruter, puisqu’il a sorti Romeo Travis de son inactivité (un an sans jouer) pour renforcer le poste 4.\\n\\nEn tout cas, le CSP a réussi à conserver une grande partie de son effectif sans pour autant augmenter significativement tous ses joueurs. Marcus Ginyard (80 000 € l’année passée) et Benoît Mbala (70 000 € la saison dernière, il avait signé pour 100 000 € cette saison) ne proposent pas exactement le meilleur rendement à l’heure actuelle (Ginyard revient de blessure, pour sa défense), le second venant du reste d’être coupé. En revanche, Jerry Boutsiele, qui gagne 40 000 € de plus que la saison passée, ne « vole » pas ses émoluments, avec ses 16,4 d’éval – c’est même, et de loin, le meilleur joueur du CSP depuis le début de la saison. Quant à Nicolas Lang et Hugo Invernizzi, ils touchent la même chose que la saison passée et si Invernizzi est un petit peu en-dessous de ses productions de l’année dernière, l’arrière alsacien est en forte progression : de 9,9 à 15,0 d’éval ! Petite déception, en sens inverse, avec Ludovic Beyhurst, qui ne confirme pour le moment pas du tout son excellente fin de saison limougeaude (10,5 d’évaluation en 12 matchs), ayant perdu sa belle adresse : 29,9 % aux tirs dont 25,4 % à trois-points cette saison contre, la précédente, 57,4 % et 55,8 % respectivement... Mais, à un tarif inchangé, il reste une bonne affaire comme meneur remplaçant.\\n\\n * Jerry BOUTSIELE (FRA) : 200 000 €\\n * DeMarcus NELSON (USA-SRB) : 150 000 € ( parti après 3 mois)\\n * Nicolas LANG (FRA) : 140 000 €\\n * Hugo INVERNIZZI (FRA) : 140 000 €\\n * Philip SCRUBB (CAN) : 120 000 €\\n * Marcus GINYARD (USA) : 110 000 €\\n * Grismay PAUMIER (CUB) : 80 000 €\\n * Benoît MBALA (CMR) : 50 000 € (pour 5 mois)\\n * Ludovic BEYHURST (FRA) : 48 000 €\\n * Timothé CRUSOL (FRA) : 36 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Mehdy MARY (FRA) : 85 000 €\\n * Romain CHENAUD (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nLes temps changent, à Limoges. Peu ou pas de mouvements de joueurs, pas de flambée des salaires ou du budget – au contraire, il semblerait qu’une certaine forme de sagesse s’installe sur les bords de la Vienne. Prenez l’effectif limougeaud : en début de saison, ils étaient 8 de l’équipe 2019-20 à rempiler, avec pour seuls renforts le Cubain de Pro B Grismay Paumier et le Canadien Philip Scrubb. Quant à la masse salariale, qui se situait à 1 950 000 € la saison passée (6e de Jeep Élite), elle a décru, comme dans beaucoup de clubs, pour se fixer à 1 791 000 € déclarés en début de saison (5e du championnat). Le résultat de cette pondération est plutôt à l’avantage du club : si le CSP s’est incliné devant trois des cadors du championnat (Nanterre, Boulogne-Levallois et Monaco), il a remporté ses quatre autres rencontres, dont l’une face à l’épouvantail Bourg-en-Bresse, ce qui lui permet de se placer au 6e rang du championnat.\\n\\nBien sûr, Limoges ne serait pas Limoges sans qu’une « histoire » ne soit venue occuper les supporters de la Haute-Vienne pendant un couvre-feu ou un confinement. 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Mais le club de la principauté ne lâche pas et remporte les deux quarts suivants. Il gagne la seconde mi-temps de 27 points (en marquant 59 points) et le match 90-71. Le leader de l’équipe monégasque a été Mathias Lessort, auteur d’une évaluation de 32. Sa performance lui permet d’être le meilleur pivot de la semaine, le MVP européen et français pour la quatrième fois. Il a été bien secondé par le trio Rob Gray-Dee Bost-JJ O’Brien. L’AS Monaco garde la tête du groupe, reste invaincu et prend un avantage pour la qualification.\\n\\nDans le même groupe, Nanterre se déplaçait à Badalona, favori de celui-ci. Le club catalan était handicapé au poste d’arrière par les absences de Pau Ribas et d’Albert Ventura. Le club des Hauts de Seine remporte le premier quart de 10 points mais Badalona revient à égalité au moment de rentrer aux vestiaires. Puis il prend la tête dans le troisième quart et gère son avance jusqu’au terme. Il remporte la rencontre 95-90. L’équipe de Carles Duran a été emmenée par son meneur nord-macédonien Nenad Dimitrijevic en sortie de banc. Il est le meilleur sixième homme européen de la semaine. Du côté français, le duo Isaia Cordinier-Tyler Stone s’est mis en valeur avec une évaluation cumulée de 44. Le premier est le meilleur ailier de la journée alors que le second en est le meilleur marqueur avec 26 unités. A l’issue des deux premières journées, Nanterre se retrouve en difficultés avec deux défaites.\\n\\nDe son côté, Boulogne-Levallois recevait le Partizan Belgrade à Marcel Cerdan. Ce match opposait les deux équipes victorieuses au premier match. L’équipe francilienne déplorait l’absence de son intérieur israélien Tomer Ginat. En dehors du premier point de la partie, le club serbe n’aura jamais mené. Les Metropolitans sont déjà devant de 11 points après 10 minutes de jeu. Finalement, ils remportent facilement cette rencontre 79-62. L’équipe de Jurij Zdovc a été emmenée par son duo intérieur composé de Maxime Roos et de Miralem Halilovic. Le premier est même le meilleur intérieur européen. Après cette victoire, Boulogne-Levallois est leader invaincu de son groupe.\\n\\nEnfin, Bourg recevait la Virtus Segafredo Bologna. L’équipe bressanne était handicapée par l’absence de deux starters habituels, Zack Wright et Thomas Scrubb. L’équipe de Savo Vucevic s’est bien battue mais n’a réussi à remporter aucun quart. L’équipe italienne a tranquillement géré le match et remporte la rencontre 99-87. Elle a été portée par le duo Milos Teodosic-Vince Hunter, auteur d’une évaluation cumulée de 51. Le premier est le meilleur meneur de la semaine alors que le second en est le meilleur sixième homme. Du côté français, Danilo Andjusic s’est mis en avant. Il est le meilleur arrière de la journée. De plus, le jeune Hugo Benitez a profité de l’absence de Zack Wright pour performer face à Milos Teodosic. Le jour de ses 20 ans, il est le Rising Star de la semaine. Bourg démarre donc le Top 16 avec 2 défaites.\\n\\nDans le groupe F, Trento recevait au BLM Group Arena le Lokomotiv Kuban Krasnodar, un des favoris de la compétition. Le club russe était handicapé par les absences d’Alan Williams, Nigel Williams-Goss et d’Ivan Paunic. Il démarre très mal le match et est déjà mené de 15 points après 10 minutes puis de 22 à la pause. Malgré un énorme troisième quart, il ne parvient pas à refaire son retard et perd le match 96-84. L’équipe de Nicola Brienza a été emmenée par son frontcourt Jeremy Morgan-Luke Maye-JaCorey Williams, auteur d’une évaluation cumulée de 72 d’évaluation. Le second a réalisé un gros double-double (25 points et 15 rebonds) qui fait de lui le MVP de la journée. Pour sa seconde saison professionnelle et sa première en Europe, il est également le meilleur rebondeur.\\n\\nDans le groupe G, le Cedevita Olimpija Ljubljana recevait à l’Arena Stozice le Buducnost Podgorica pour un derby adriatique. Le match a été très disputé et aucun quart-temps n’a été remporté par plus de 5 points d’écart. Le club slovène a réussi un 5-1 dans la dernière minute pour remporter le match 74-71. Le leader de l’équipe de Jurica Golemac a été son meneur américain Kendrick Perry, auteur d’un double-double (16 points et 10 passes). Il est d’ailleurs le meilleur passeur de la semaine.\\n\\nDans le groupe H, le match au sommet opposait l’Unics Kazan à l’Herbalife Gran Canaria devant 2 451 spectateurs. L’équipe insulaire était privée de son duo intérieur Jacob Wiley-Matt Costello pour ce match. L’équipe russe a dominé la majeure partie de la rencontre et l’emporte 73-62. Elle a été emmenée par le pivot russe Artem Klimenko qui profite des absences adverses pour se montrer. L’Unics Kazan prend seul la tête du groupe.\\n\\nEnfin, le MoraBanc Andorra se déplaçait au Monténégro pour y affronter le leader de la Ligue Adriatique, Mornar Bar. Le représentant de l’une des deux principautés de l’Eurocup devait se passer des services d’Haukur Palsson, Bandja Sy et Moussa Diagne. Le club de la côte adriatique domine quasiment tout le match et mène de 4 points à 1 minute et 50 secondes de la fin. Mais l’équipe de la ligue espagnole finit le match sur un 7-0 et l’emporte 74-71. Oriol Pauli a été le leader de l’équipe victorieuse.\\n\\nLe meilleur Cinq de la journée comprend deux français et 3 joueurs d’une équipe française. Le MVP européen et le Rising Star sont également français. De même, le meilleur marqueur joue à Nanterre.\\n\\nA l’issue de la deuxième journée, 5 équipes sont encore invaincues. Monaco est la première d’entre elles devant la Virtus Bologna et Boulogne-Levallois.\\n\\nLe bilan des clubs français est pour l’instant de 4 victoires et 4 défaites. Deux clubs sont en position de se qualifier pour les quarts de finale.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nLuke Maye (PF/US/23)\\n\\nTrento\\n\\n34 d’éval (25 pts à 8/17, 6/6 aux LF, 15 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Milos Teodosic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n24 d’éval\\n\\nSG Danilo Andjusic\\n\\nBourg\\n\\n25\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n23\\n\\nPF Luke Maye\\n\\nTrento\\n\\n34\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n32\\n\\nB Vince Hunter\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n27\\n\\nMVP européen:\\n\\nMathias Lessort (C/Fra/29)\\n\\nMonaco\\n\\n32 d’éval (20 pts à 7/10, 9 rbds, 1 pd, 4 int)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Milos Teodosic\\n\\nVirtus Bologna\\n\\n24 d’éval\\n\\nSG Danilo Andjusic\\n\\nBourg\\n\\n25\\n\\nSF Isaia Cordinier\\n\\nNanterre\\n\\n23\\n\\nPF Maxime Roos\\n\\nBoulogne-Levallois\\n\\n22\\n\\nC Mathias Lessort\\n\\nMonaco\\n\\n32\\n\\nB Nenad Dimitrijevic\\n\\nBadalona\\n\\n24\\n\\nRising star :\\n\\nHugo Benitez (PG/Fra/20)\\n\\nBourg\\n\\n12 d’éval (9 pts à 4/9, 2 rbds, 7 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nTyler Stone\\n\\nNanterre\\n\\n26 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nLuke Maye\\n\\nTrento\\n\\n15 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nKendrick Perry\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n10 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 2-0\\n 2. Badalona\\n 3. Malaga 0-2\\n 4. Nanterre\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Boulogne-Levallois 2-0\\n 2. Partizan Belgrade 1-1\\n 3. Trento\\n 4. Lokomotiv Kuban Krasnodar 0-2\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Virtus Bologna 2-0\\n 2. Buducnost Podgorica 1-1\\n 3. Cedevita Olimpija\\n 4. Bourg 0-2\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 2-0\\n 2. Mornar Bar 1-1\\n 3. Andorra\\n 4. Gran Canaria 0-2\\n\\nPhoto: Luke Maye (Trento, Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"Espagne: Trois mois d’indisponibilité pour Gal Mekel suite au Covid-19" }, {"role": "assistant", "content":"Choper le COVID-19 n’est pas anodin y compris pour un sportif de haut niveau. L’arrière israélien de Unicaja Malaga, Gal Mekel (1,91m, 31 ans), va être absent des terrains en raison d’une complication pulmonaire survenue avec l’infection au tristement célèbre virus.\\n\\nLe joueur souffre d’une « embolie pulmonaire dérivée du covid« , ce qui nécessite un traitement qui l’empêche de faire des efforts physiques de l’intensité nécessaire à la pratique du basket professionnel.\\n\\n« Malheureusement, je vais perdre un peu plus de temps cette saison », a déclaré Gal Mekel par le biais d’un communiqué fourni par le club, dans lequel il estime qu’il a « eu de la malchance, d’abord avec sa main, puis avec le coronavirus et malheureusement il y a eu des complications avec un caillot sanguin dans le poumon, en raison du coronavirus lui-même. »\\n\\nL’objectif de Gal Mekel est « d’aider à nouveau l’équipe dans la dernière partie de la saison » et il souligne que l’important est qu’il se sente « mieux ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Le meneur Mathis Keita, de Roanne à Poitiers" }, {"role": "assistant", "content":"Ecarté, il y a quelques jours, de la Chorale de Roanne, le meneur de jeu Mathis Keita (1,92m, 29 ans) rebondit en Pro B à Poitiers.\\n\\nMathis Keita était à la Chorale depuis 2017 et avait connu la montée en Jeep Elite. En raison d’une rupture des ligaments croisés du genou puis du confinement, il n’avait pas posé ses baskets sur les parquets la saison dernière et pour celle-ci, le coach Jean-Denys Choulet avait fait appel à lui 12′ en moyenne, sur 6 matches, pour 2,8 points, 1,8 passe et 1,5 rebond.\\n\\nIl a été remplacé récemment à Roanne par Renathan Ona-Embo.\\n\\nPhoto: Chorale Roanne" }, {"role": "user", "content":"Bourges n’a pas fait de cadeau à Céline Dumerc pour son dernier match d’Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Sur le terrain, son ancien club de Bourges n’a fait aucun cadeau à Céline Dumerc qui a disputé à 38 ans son dernier match d’Euroleague. Les Tango ont malmené Basket Landes pour s’imposer 92-62 dans un match sans enjeu puisque les deux équipes françaises étaient d’ores et déjà mathématiquement éliminées.\\n\\nL’ancienne capitaine de l’équipe de France a joué 17 minutes pour 8 points, 3 rebonds, 3 passes et 1 interception.\\n\\nC’est Iliana Rupert qui a été le plus en verve du côté de Bourges avec 18 points à 8/10, 4 rebonds et 2 passes. Avant cette « bulle » au Prado, elle sortait de trois mois d’indisponibilité. La FIBA profité de ce match pour lui remettre son trophée de Meilleure Jeunes Européenne de l’année 2020.\\n\\n\\nUn dernier match dans cette compétition dans laquelle j'ai eu l'opportunité de jouer 15 saisons. FINAL4,FINAL8,ou simplement match de groupe.Chaque match a été un pur plaisir de haut niveau! Merci aux coéquipières,adversaires,staffs avec qui j'ai pu vivre ça! #ILoveThisGame pic.twitter.com/NwmRJBQAYb\\n\\n— Céline Dumerc (@capsule19) January 24, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Evan Fournier : «Je n’investis quasiment qu’en France puisque nous pensons y rentrer à la fin de ma carrière»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview pour le Journal du Dimanche, l’international du Orlando Magic, Evan Fournier, évoque sans tabou le sujet de l’argent.\\n\\n« En fait, le plus gros choc a été ma première paie en 2012 à Denver. Je sortais de Poitiers, où je gagnais 3 500 euros par mois. Je participe à la Summer League et on me remet un chèque bonus en mains propres: 160 000 dollars net d’impôt, alors que la saison n’avait pas encore commencé ! A même pas 20 ans. Là oui, j’ai eu le vertige. »\\n\\nDepuis, ses émoluments ont beaucoup grimpé. De 2016 à l’été prochain, Evan Fournier aura gagné dans les 70 millions d’euros. C’est Elite Patrimoine, un family office basé à Toulouse et Bordeaux, qui gère ses gains et c’est sa femme Laura qui s’occupe du quotidien.\\n\\n« Je n’investis quasiment qu’en France puisque nous pensons y rentrer à la fin de ma carrière. »\\n\\nLe joueur du Magic d’Orlando a notamment acheté un immeuble à Boulogne qui probablement servira de locaux commerciaux. S’il s’est fait plaisir en achetant une Mercedes-AMG GT R à environ 180 000 euros, Evan Fournier ne veut pas tomber dans les excès.\\n\\n« Un aller-retour Paris-Orlando en première classe ou en business, c’est tellement cher que parfois ça m’emmerde d’avoir à le faire. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Quimper reçu 5/5" }, {"role": "assistant", "content":"5 matches, 5 victoires. Les Béliers de Kemper sont toujours solidement attachés à la pole position de la Pro B, alors que Blois a connu 1 défaite et cinq équipes 2. Au niveau du classement, c’est un peu plus compliqué en fait car tout le monde n’a pas joué le même nombre de matches et les Bretons vont devoir se mettre à jour.\\n\\nHier soir, les Béliers ont réussi leur examen face au Paris Basketball (72-67) avec 14 points et 6 rebonds du meneur Charly Pontens (1,90m, 25 ans) et 17 points et 4 rebonds de l’ailier Bathiste Tchouaffé (1,96m, 22 ans), qui en a réussi 11 consécutivement dans le money time dont les deux derniers sur une faute antisportive d’Ismaël Kamagaté. Leur maladresse à trois-points (5/27) a coûté cher aux Parisiens.\\n\\n« On est content d’avoir gagné contre Paris, car c’est une équipe qui nous a embêtés. Ils nous ont obligés à faire un match moyen offensivement. C’est tout de même bien de gagner des matches comme ça, où on est moyen offensivement. Ça va nous servira pour la suite », a commenté le coach Laurent Foirest en conférence de presse, des propos repris par Ouest France.\\n\\nPhoto: Charly Pontens (Béliers Quimper)" }, {"role": "user", "content":"JO de Tokyo : Toutes les stars de la NBA dans une liste de 60 joueurs pré-sélectionnés" }, {"role": "assistant", "content":"Environ 60 joueurs ont exprimé leur intérêt, y compris tous les grands noms de la NBA, et ont été invités pour constituer l’équipe américaine pour les Jeux Olympiques de Tokyo, rapporte Adrian Wojnarowski d’ESPN.\\n\\nLes Etats-Unis demeurent sur un échec retentissant à la Coupe du Monde 2019 en Chine avec une 7e place et notamment une défaite face à la France.\\n\\nCertains joueurs pourraient participer à un éventuel 7e match de la finale NBA qui est prévu le 22 juillet, soit à la veille de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques.\\n\\nArgentine, Australie, Espagne, Etats-Unis, France, Iran, Japon, et Nigéria sont déjà qualifiés pour les JO, tandis que les quatre places restantes seront attribuées aux vainqueurs des tournois de qualification olympique.\\n\\nPhoto: Stephen Curry (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le Champagne Basket s’effondre en deuxième mi-temps, Dominic Waters arrive" }, {"role": "assistant", "content":"Il fallait se frotter les yeux pour croire les chiffres que l’on pouvait lire à la mi-temps. Champagne Basket 50, Boulogne-Levallois 34.\\n\\nTravis Leslie avait 13 points, Jessie Begarin, une évaluation de 16 avec 6 points, 7 rebonds et 5 passes. De l’autre côté, Archie Goodwin et Maxime Roos n’avaient toujours pas marqué. Miralem Halilovic et David Michineau seulement 2 points. 23 à 10 au rebond pour les Champenois.\\n\\nEt puis, les Metropolitans ont infligé un violent 6-27 à leurs hôtes et ainsi complètement renversé la table pour s’imposer au final, 73-87.\\n\\nBilan: Bastien Pinault est à 19 points, David Michineau et Archie Goodwin ont planté 10 points en deuxième mi-temps. Jessin Begarin a seulement marqué 3 points et fait 2 passes supplémentaires et aussi cumulé un total de 6 balles perdues. Dans les 20 dernières minutes, le Champagne Basket a été battu au rebond, 14-18.\\n\\n« En première mi-temps, on était resté dans la soute du bus », a commenté Bastien Pinaut, propos repris par L’Union. « C’était vraiment un manque de respect pour Châlons-Reims, mais aussi pour nous-mêmes. On était complètement à côté de nos pompes et notre adversaire avait une adresse incroyable. »\\n\\nAinsi, le Champagne Basket ne compte toujours qu’une victoire en neuf matches. La sonnette d’alarme retentit. L’Américano-Nigérian Ekene Ibekwe s’en va et Dominic Waters (1,85m, 34 ans) arrive. Le meneur américain est notamment passé par Olympiakos et Nanterre lors de la saison 2018-19.\\n\\n« Notre choix est logique dans le contexte car ceux que j’avais impulsés en misant sur la jeunesse ne se sont pas avérés être les bons dans ce contexte, » a déclaré le coach Cédric Heitz.\\n\\n\\nOn est jamais mieux servi que par soi même 😏#JeepELITE @Metropolitans92 pic.twitter.com/GCo2EP2Mq4\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) January 23, 2021\\n\\n\\nPhoto: Dominic Waters (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Interview Greg Heuss, le repreneur du club : «Nous proposerons la possibilité aux fans d’acheter une part de l’Élan Béarnais»" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture, de g. à d. : Rick Pitino, l’Élan Béarnais, Greg Heuss (photos : NBA, Élan Béarnais/Traversié, CSG)\\n\\nGreg Heuss est le PDG de CounterPointe Sports Group (CSG), repreneur probable de l’Élan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. Basé à Seattle, il a travaillé chez Amazon de 1998 à 2000, à l’époque où l’entreprise comptait seulement 13 salariés. Il a également mis à profit ses compétences pour Match.com (ndlr : l’entreprise qui a racheté Meetic). Son profil est très axé sur les nouvelles technologies, c’est d’ailleurs la Blockchain qui fait partie intégrante des projets développés par CSG. Entouré de David Otto, Jamal Mashburn (12 saisons en NBA), Stu Jackson (coach des Knicks en 89/90 et vice-président de la NBA aux côtés de David Stern) et Rick Pitino (coach de l’équipe nationale grec), Greg Heuss a répondu en exclusivité à nos questions à propos de ce projet de reprise de l’historique club béarnais.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui compose votre groupe d’investisseurs en plus de Rick Pitino, Stu Jackson et Jamal Masburn ?\\n\\nNous sommes Counter Pointe Sports Group, la société a été fondée par moi-même et David Otto (NDLR : un avocat d’affaires) en 2019. Auparavant, nous avons géré un fonds de capital-risque et nous sommes investisseurs depuis 25 ans. D’autres membres de l’équipe ont une longue expérience dans la promotion immobilière et dans le domaine du sport aux États-Unis et en Europe.\\n\\nRick Pitino a déclaré que vous aviez l’intention de vous positionner pour le rachat de la franchise des Seattle Supersonics et que prendre en mains un club européen est une bonne première expérience. Vous confirmez ?\\n\\nNous sommes concentrés sur Pau à l’heure actuelle. Nous pensons que nous avons un bon modèle et que nous pouvons apporter des aspects similaires à ce qu’il se fait en NBA. Notre société a été créée et est toujours basée à Seattle, deux des fondateurs habitent là-bas, donc faire revenir les SuperSonics est certainement un objectif à terme.\\n\\nAvez-vous d’autres projets à l’étude en Europe ?\\n\\nOui, nous sommes en train d’étudier plusieurs opportunités en Europe dans le football, le hockey et aussi dans le basket-ball.\\n\\nPourquoi avoir choisi ce projet de Pau, qui est une ville moyenne ?\\n\\nNous apprécions le club et son histoire. Malgré le fait qu’ils soient actuellement dans une période plus compliquée depuis une dizaine d’années, cela reste un projet avec du potentiel. Il reste encore beaucoup à étudier concernant les finances, la façon dont la Covid a affecté le club et si ou plutôt quand ils pourront revenir à des jours meilleurs.\\n\\nLe fait que Tony Parker soit le propriétaire de l’ASVEL et que deux Américains soient propriétaires à Paris a-t-il influencé votre choix ?\\n\\nNon.\\n\\n« Nous aurons une présence à la fois externe et interne dans le club. Du côté sportif comme administratif »\\n\\nÊtes-vous déjà venu à Pau incognito ?\\n\\nOui, un de nos associés a vécu il y a plusieurs années à Pau et un autre a fait une visite en décembre.\\n\\nVous êtes prêts à vous engager pour quatre ans ? Votre ambition est de développer le budget du club. Pour arriver à quel montant ?\\n\\nNous ne nous engagerons pas si nous ne voyons pas de bénéfices à long terme pour le club et pour nous. Bien que nous espérons avoir des résultats immédiats, nous pensons que le club ne va pas se transformer dès la première ou même deuxième année. Cela va prendre du temps de faire revenir le club sur le devant de la scène. Nous avons un process que nous voulons respecter strictement. Concernant le budget, ce n’est pas un sujet que nous pouvons aborder.\\n\\nQuel est votre ambition sportive ? Devenir champion de France ? Davantage ?\\n\\nNous partageons les mêmes objectifs et la même ambition que le club et ses supporters ont eus pendant tellement d’années. Nous voulons bien sûr redevenir champion. Mais le plus important pour nous est de le faire en représentant au mieux le club, les joueurs et la ville de Pau.\\n\\nL’un de vos représentants américains sera-t-il présent à Pau pour devenir le general manager ou avoir un poste de ce genre-là ? Allez-vous conserver les salariés actuels comme le Directeur Général, Didier Gadou ?\\n\\nPour le moment, nous n’avons pas pris de décisions concernant le staff existant et le futur staff. Mais nous aurons une présence à la fois externe et interne dans le club. Du côté sportif comme administratif.\\n\\nAllez-vous mettre en place une connexion de joueurs américains ?\\n\\nJ’espère que nous pourrons attirer des joueurs, pas uniquement en provenance des US, mais bien du monde entier. Nous voulons être en mesure de développer de la meilleure manière possible nos joueurs à la fois sur et en dehors du terrain. CSG, notre groupe, a une volonté de développement de joueurs très forte, donc c’est sûr que nous serons actifs dans ce domaine.\\n\\nQuels sont vos ambitions concernant la tokenisation et cette reprise de l’Élan Bearnais ?\\n\\nLa tokenisation blockchain est un élément majeur de ce qui rend notre société unique. Nous croyons à la démocratisation de ces actifs, en particulier dans le domaine du sport professionnel. Nous proposerons très bientôt la possibilité aux fans et investisseurs d’acheter une part de l’Élan Béarnais. Nous utiliserons les tokens pour cela. Les fans pourront acheter un token, qui représente une part du club, comme une action de bourse.\\nCela n’a jamais été fait auparavant dans un grand club de basket professionnel. L’Élan Béarnais va marquer l’histoire. Nous sommes très impatients de mettre en œuvre cela car Pau va devenir un modèle qui pourra être copié dans beaucoup d’autres sports et d’autres clubs.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQui compose votre groupe d’investisseurs en plus de Rick Pitino, Stu Jackson et Jamal Masburn ?\\n\\nNous sommes Counter Pointe Sports Group, la société a été fondée par moi-même et David Otto (NDLR : un avocat d’affaires) en 2019. Auparavant, nous avons géré un fonds de capital-risque et nous sommes investisseurs depuis 25 ans. D’autres membres de l’équipe ont une longue expérience dans la promotion immobilière et dans le domaine du sport aux États-Unis et en Europe.\\n\\nRick Pitino a déclaré que vous aviez l’intention de vous positionner pour le rachat de la franchise des Seattle Supersonics et que prendre en mains un club européen est une bonne première expérience. Vous confirmez ?\\n\\nNous sommes concentrez sur Pau à l’heure actuelle. Nous pensons que nous avons un bon modèle et que nous pouvons apporter des aspects similaires à ce qu’il se fait en NBA. 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Le club de la capitale russe récupérait Daniel Hackett pour ce match alors que le club stambouliote perdait Johnathan Hamilton. Sa nouvelle recrue, Kyle O’Quinn, n’était pas sur la feuille de match.\\n\\nLe CSKA remporte le premier quart et mène au score pendant les 18 premières minutes. Mais le Fenerbahce revient à égalité au moment de rentrer aux vestiaires. Les deux équipes se tiennent jusqu’à la 37ème minute. A partir de là, le club turc finit sur un 11-5 et remporte la rencontre 89-83. Il crée la surprise de la semaine et remporte sa sixième victoire d’affilée. Quant à l’équipe de Dimitris Itoudis, elle subit sa seconde défaite d’affilée. Le Fener a été emmené par le duo Nando De Colo-Jan Vesely, auteur d’une évaluation cumulée de 70. Le premier, avec une évaluation de 38, est le meilleur meneur de la semaine. C’est aussi le co-meilleur passeur (en plus d’une performance offensive aboutie) et le MVP français pour la cinquième français (et la seconde d’affilée). Après ce match, le CSKA Moscou perd la première place alors que le Fenerbahce revient à égalité avec le huitième.\\n\\nLe Barca, deuxième, se déplaçait à Belgrade pour y affronter l’Etoile Rouge. Celui-ci enregistrait les retours de Jordan Loyd et Landry Nnoko et l’absence de Langston Hall. Du côté catalan, c’est le grand retour dans l’effectif du duo intérieur titulaire Nikola Mirotic-Brandon Davies. La confrontation semblait donc déséquilibrée. Et effectivement, le club de la capitale serbe n’a jamais mené et l’écart maximum a été de 21 points. Au final, le FC Barcelona s’impose 72-60. Il a largement dominé dans le secteur des rebonds (47 à 30). Les leaders de l’équipe espagnole ont été Nick Calathes et Pierre Oriola. Mais la victoire a surtout été collective avec 5 joueurs à plus de 10 d’évaluation et aucun à plus de 17. Elle permet au Barca de prendre la tête de l’Euroleague après cette quatrième victoire d’affilée.\\n\\nLe Zenit St Petersbourg, troisième recevait le septième, l’Anadolu Efes, en position de se qualifier pour les Play-offs. La nouvelle recrue du club russe, Tarik Black n’était pas présent pour ce match. Alors que du côté stambouliote, le club récupérait Krunoslav Simon et le dernier arrivé, Dzanan Musa. Le club des rives de la Neva démarre pied au plancher et remporte les deux premiers quarts. Au bout de 20 minutes, il a déjà marqué 53 points et mène de 22. L’équipe d’Ergin Ataman revient dans la seconde mi-temps mais ne peut empêcher le Zenit de s’imposer 85-78. Le leader de l’équipe de Xavi Pascual a été encore une fois son pivot lituanien Arturas Gudaitis, auteur d’un double-double (11 pts et 10 rbds). Du côté turc, Vasilije Micic réalise un bon match et est le meilleur arrière de la semaine. L’Anadolu Efes perd une place mais reste dans le Top 8.\\n\\nLe quatrième, le Real Madrid, se déplaçait au Maccabi Tel-Aviv. Le club espagnol mène de 9 points après un premier quart très offensif (33-24). Mais le club israélien revient au score à la mi-temps. Dans la seconde partie, les débats sont équilibrés et les deux équipes sont à égalité à 50 secondes du terme. Malgré 4 points de Gabriel Deck, Tyler Dorsey marque 5 points pour donner la victoire au Maccabi, parachevée par un lancer de Scottie Wilbekin. Le Macccabi s’impose donc 86-84 et crée la seconde grande surprise de la journée. L’arrière américano-grec Tyler Dorsey a été le grand homme de cette victoire. En plus d’avoir été décisif en fin de match, il a réalisé un excellent match offensif avec 30 points à 11/14. Il est ainsi le meilleur marqueur de la semaine et aussi le meilleur sixième homme. Le Real Madrid perd la quatrième place suite à cette défaite.\\n\\nDans un duel entre équipes du Top 6, Milan recevait le Bayern Munich. Ces deux clubs sont à la lutte pour une place dans le Top 4. Mais il n’y a pas eu de match. Le club bavarois n’a jamais mené. Après avoir remporté les 3 premiers quarts, le club lombard possède une avance de 28 points. Finalement, le score sera de 75 à 51 pour Milan. L’évaluation collective du Bayern est de 32, soit moins que le duo Zach LeDay-Sergio Rodriguez. L’équipe d’Ettore Messina enchaine une quatrième victoire consécutive et profite de la défaite du Real pour prendre la quatrième place.\\n\\nLe Zalgiris Kaunas recevait l’Olympiacos pour une confrontation entre équipes à la lutte pour le Top 8. Le club grec enregistrait le retour d’Hassan Martin pour ce match. Le club lituanien domine les débats et mène au score la plupart du temps. Mais le club du Pirée reprend l’avantage dans le dernier quart. A 2 minutes du terme, l’Olympiacos mène de 7 points. Mais le Zalgiris passe un 9-0 à son adversaire du soir pour finir. C’est Joffrey Lauvergne qui égalise et Thomas Walkup qui donne la victoire à son équipe au buzzer. Le Zalgiris s’impose 81-79. Son leader a été Joffrey Lauvergne, auteur de 27 d’évaluation en 23 minutes. Cela lui permet d’être le meilleur pivot européen de la semaine. Grâce à cette victoire, le club lituanien remonte à la sixième place.\\n\\nL’ASVEL recevait Valencia, neuvième. Le club villeurbannais a perdu Paul Lacombe pour ce match alors que le club valencian récupérait vanja Marinkovic. Bien que favori, le club visiteur n’a remporté aucun quart et le club français s’est détaché à partir de la fin du troisième quart. Il s’impose finalement 90-77 et crée la surprise. Le leader de l’ASVEL a été William Howard en sortie de banc, auteur de 17 points en 15 minutes. Du côté de Valencia, c’est Nikola Kalinic qui s’est mis en valeur. Il a ainsi été le meilleur ailier de la semaine.\\n\\nEn clôture de la journée, Baskonia recevait l’Alba Berlin à la Buesa Arena. Marcus Eriksson était de retour dans l’effectif berlinois pour ce match. Après une première mi-temps très offensive gagnée par Baskonia 50-46, l’équipe de la capitale allemande réalise un très bon troisième quart, limitant Baskonia à 11 points. Cet avantage sera décisif et l’Alba s’impose 84-77. La victoire berlinoise est surtout collective avec 6 joueurs à 10 d’évaluation ou plus. Du côté espagnol, Pierria Henry est le co-meilleur passeur de la journée avec 9 unités.\\n\\nEnfin, le Panathinaikos recevait le dernier, le Khimki Moscou. Le club grec enregistrait le forfait de Georgios Papagiannis alors que le club de la banlieue moscovite récupérait Stefan Jovic mais perdait Alexey Shved et Devin Booker. La rencontre a été disputée pendant 12 minutes puis le club grec a pris les commandes définitivement. Il s’impose finalement 94-78. L’intérieur Konstantinos Mitoglou a été décisif dans ce match avec un double-double (29 points et 12 rebonds). Il est le MVP de la journée. C’est la seconde fois d’affilée qu’un joueur du Panathinaikos obtient cet honneur. Il est également le meilleur rebondeur de la semaine et ce, pour la seconde fois de la saison. De plus, Georgios Kalaitzakis a eu besoin de 5 minutes seulement pour être le Rising Star de la journée. Du côté du Khimki, malgré la défaite, Jordan Mickey s’est mis en valeur et est le meilleur pivot de la semaine.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du FC Barcelona, du CSKA Moscou, du Zenit St Petersburg et de Milano.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nKonstantinos Mitoglou (PF/Grè/24)\\n\\nPanathinaikos\\n\\n42 d’éval (29 pts à 10/14, 9/9 aux LF, 12 rbds, 2 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n38 d’éval\\n\\nSG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n25\\n\\nSF Nikola Kalinic\\n\\nValencia\\n\\n19\\n\\nPF Konstantinos Mitoglou\\n\\nPanathinaikos\\n\\n42\\n\\nC Jordan Mickey\\n\\nKhimki Moscou\\n\\n30\\n\\nB Tyler Dorsey\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n36\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n38 d’éval\\n\\nSG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n25\\n\\nSF Nikola Kalinic\\n\\nValencia\\n\\n19\\n\\nPF Konstantinos Mitoglou\\n\\nPanathinaikos\\n\\n42\\n\\nC Joffrey Lauvergne\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n27\\n\\nB Tyler Dorsey\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n36\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n38 d’éval (22 pts à 8/9 dont 6/6 à 2 points, 4/4 aux LF, 2 rbds, 9 pds, 4 int)\\n\\nRising star :\\n\\nGeorgios Kalaitzakis (SG/Grè/22)\\n\\nPanathinaikos\\n\\n11 d’éval (7 pts à 1/1, 4/4 aux LF, 1 rbd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nTyler Dorsey\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n30 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nKonstantinos Mitoglou\\n\\nPanathinaikos\\n\\n12 rbds\\n\\nMeilleurs passeurs :\\n\\nNando De Colo\\n\\nPierria Henry\\n\\nFenerbahce\\n\\nBaskonia\\n\\n9 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. Barcelona 15-6\\n 2. CSKA Moscou\\n 3. Zenit St Petersburg 13-6\\n 4. Milano 13-7\\n 5. Real Madrid 13-8\\n 6. Zalgiris Kaunas 12-9\\n 7. Bayern Munich\\n 8. Anadolu Efes 11-10\\n 9. Valencia\\n 10. Olympiacos\\n 11. Fenerbahce\\n 12. Maccabi Tel-Aviv 10-11\\n 13. Baskonia 9-12\\n 14. Alba Berlin 8-13\\n 15. Panathinaikos 7-13\\n 16. Etoile Rouge Belgrade 7-14\\n 17. ASVEL\\n 18. Khimki Moscou 2-19\\n\\nPhoto: Konstatinos Mitoglou (Panathinaikos, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"La FIBA sur le podium des fédérations sportives les plus suivies sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"Selon un rapport publié par l’agence de communication BCW Sports, la Fédération Internationale de Basket-ball se classe à la troisième place des fédérations sportives internationales les plus suivies sur les réseaux sociaux en 2020.\\n\\n12,23 millions. C’est le nombre de followers de la FIBA à l’issue de l’année 2020, tous réseaux sociaux confondus. Ce qui place la Fédération Internationale de Basket à la troisième marche du podium des fédérations sportives les plus suivies, derrière le football (2e, 37,7 millions de followers) mais aussi... le cricket (1e, 59 millions).\\n\\nEn effet, pour la première fois en quatre ans, le classement de BCW Sports prend à la fois en compte les fédérations internationales de sports olympiques mais aussi non-olympiques. Ainsi, ce sont 120 fédérations internationales qui ont été passées en revue sur Instagram, Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube, Périscope et TikTok dans le but de déterminer l’empreinte des réseaux sociaux des fédérations sportives internationales.\\n\\nEn quelques chiffres, la FIBA est la 2e fédération internationale la plus suivie sur Facebook (6,9 millions de followers), la 4e la plus suivie sur Instragram (1 million) et la 5e sur Twitter (437 000). Elle est aussi très active sur LinkedIn (3e, 541 000 followers), YouTube (4e, 1,07 million d’abonnés) et Périscope (1e, 17 000 followers).\\n\\nDans ce classement, il faut également retenir les bons scores obtenus par la FIBA 3×3, qui deviendra sport olympique aux JO de Tokyo 2021. À elle seule, la fédération de 3×3 se classe 7e sur Facebook, (1,6 million de followers) ou encore 8e sur TikTok (17 700 followers).\\n\\n« Notre étude montre que les fédérations internationales petites et plus jeunes ont déjà traversé ce que de nombreuses fédérations traditionnelles sont obligées de faire en ce moment : la transformation numérique. Elles ont été forcées de le faire en raison du manque de couverture dans les médias traditionnels et se développent désormais rapidement. Il est stupéfiant de voir le Teqball et le Cheerleading sont dans le top 10, clairement devant de nombreuses fédérations olympiques plus importantes. Ces fédérations internationales bien établies doivent agir rapidement si elles veulent rattraper les plus jeunes, qui continueront certainement d’avancer rapidement. Ce sera en effet une évolution intéressante à suivre après le Covid. »Lars Haue-Pedersen, directeur général de BCW Sports.\\n\\nLe classement 2020 :" }, {"role": "user", "content":"Tariq Black (Zenit St. Petersbourg), ex-équipier de Kobe Bryant, de DJ Stephens et titulaire de deux diplômes universitaires" }, {"role": "assistant", "content":"A 29 ans, le pivot américain Tariq Black (2,06m) a déjà derrière lui une longue carrière qui l’a emmené en NBA, en G-League, au Maccabi Tel-Aviv pendant deux ans et aujourd’hui au Zenit Saint-Petersbourg. Il a également été, à l’université de Memphis, l’équipier de l’ancien Manceau, DJ Stephens, vainqueur à deux reprises du concours de dunks du All-Star Game de la LNB.\\n\\n« Tout d’abord, c’est une personne incroyable, je l’aime comme un frère », s’enthousiasme t-il lors d’une interview aux Izvestia. « Si nous parlons de ses qualités de jeu, alors il a simplement une détente folle. Je pense que je ne connais qu’une ou deux personnes qui peuvent sauter aussi haut. Il s’agit de Gerald Green et Andrew Wiggins. Ils sont également extrêmement athlétiques. »\\n\\nTariq Black a également eu comme partenaire Kobe Bryant, aux Los Angeles Lakers et il met en exergue son exigence.\\n\\n« Le mot fatigue n’existait pas pour Kobe. Il ne comprenait pas ce que c’était que de se fatiguer et de mal shooter, de mal faire un écran. Dans de telles situations, Bryant pouvait vraiment parler durement avec vous. Mais je n’appellerais pas cela de l’intimidation. C’est la mentalité et le caractère de champion qu’il voulait nous transmettre. Kobe a toujours voulu gagner et il a fait de son mieux pour cela. Même au prix de dommages et de blessures. Je pense que dans toute l’histoire de la NBA, seuls quelques joueurs pouvaient pratiquement remporter le championnat par eux-mêmes. L’un d’eux était Bryant. Je suis content d’avoir pu jouer avec la légende. »\\n\\nL’une des autres caractéristiques de Tariq Black c’est d’être titulaire de deux diplômes de l’enseignement supérieur, au sein des universités de Memphis et de Kansas.\\n\\n«Je ne sais pas s’il y a beaucoup de gars comme moi. Je n’ai pas regardé les statistiques. Je suis allé à l’école supérieure dans ma quatrième année d’université et j’ai obtenu mon diplôme dans ma première année en tant que professionnel. J’ai toujours pensé que l’éducation méritait d’être considérée comme une autre perspective. Vous allez à l’université pour poursuivre une carrière, non ? Pas une carrière de basket-ball, mais acquérir des connaissances qui vous aideront à rester à flot dans n’importe quelle situation, pour nourrir votre famille. Je pense que c’est une sorte de voyage, ne pas arrêter d’apprendre et de se développer de manière globale, au cas où les choses ne vont pas bien dans le sport. Dans le même temps, je ne condamne en aucun cas les personnes qui abrègent leur éducation pour avancer dans le domaine du sport. Par exemple, ils se présentent pour la draft de la NBA après leur première année à l’université. Nous n’avons qu’une seule vie, et vous devez pouvoir utiliser votre chance. Oui, ils doivent tirer des connaissances non pas des livres, mais de l’expérience de la vie. Et en ce sens, il est important de s’entourer des bonnes personnes qui sauront vous guider correctement. Sinon, vous pouvez être pulvérisé sur ces choses qui ne vous aideront certainement pas à obtenir des résultats élevés. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=iT_sqFIX9Cc&ab_channel=RealSPGHighlights\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Lituanie: Les frères Lavrinovic toujours performants à 41 ans" }, {"role": "assistant", "content":"Après de longues carrières dans les meilleurs clubs européens, les jumeaux Darjuš (2,12m) et Kšyštof (2,10m) Lavrinovič sont toujours actifs à 41 ans dans la NKL, la deuxième division lituanienne, au sein de Vytis Šakiai. Ils valent en moyenne 26 points et 11 rebonds à eux deux.\\n\\n« Je suis heureux que cette année mon frère joue beaucoup plus confortable et ait davantage de plaisir que ces dernières années. Je n’ai pas douté de ses compétences, j’ai toujours su qu’il était un basketteur de haut niveau, mais je suis content de le voir récompensé, » a commenté Kšyštof à nklyga.lt.\\n\\nLes jumeaux ont déclaré avoir eu l’été dernier l’opportunité de re-jouer en LKL -la ligue lituanienne- mais qu’ils ont voulu rester à Vytis car ils n’avaient pas pu terminer la saison dernière en raison de l’arrêt des compétitions.\\n\\n« Nous ne regarderons plus leur passeport », a commenté leur coach Erikas Kučiauskas. « Ceux-ci disent qu’ils ont 41 ans, mais ils débordent d’énergie. C’est le genre de personnes qui veulent en tirer le meilleur parti. Ils se battent sur le terrain, se jettent sur chaque balle. C’est un exemple pour les jeunes quelqu’un de cet âge se bat pour chaque balle. Quand nous parlons sur le chemin du retour d’un match, ils disent: «Nous sommes ici pour gagner ce championnat. Il nous manque encore ce titre. «" }, {"role": "user", "content":"Edito – Des investisseurs américains à Pau, une très bonne nouvelle" }, {"role": "assistant", "content":"La reprise probable de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez par les Américains de CounterPointeSports Group (CSG) est une excellente nouvelle pour le basket français et le club.\\n\\nPour la Ligue Nationale de Basket car cela démontre son attractivité, dans la lignée des investissements de Tony Parker à l’ASVEL et de David Kahn et Eric Schwartz au Paris Basketball. Sa sagesse financière -l’effet ravageur de la pandémie de Covid-19 est un phénomène exceptionnel- est ainsi récompensée.\\n\\nPour le club du Béarn, c’est une évidence. Après l’âge d’or, ses résultats sportifs sont devenus quelconques, autrefois fervent, le public s’est tiédi notamment à cause de la concurrence en ville du rugby et du football -sa moyenne de spectateurs lors de la saison 2019-20 était tombée à la 4e place de la Jeep Elite derrière celles de Strasbourg, Villeurbanne et du Mans- et surtout la mairie avait été contrainte de mettre 800 000 euros au pot en 2020 pour éviter une sortie de route mortelle.\\n\\nLe projet de CSG est ambitieux et les repreneurs veulent avoir des hommes à eux au sein du club, à la fois sur le plan sportif et administratif. Logique. Dans la République des Pyrénées, l’actuel président Didier Rey a déclaré être prêt à s’effacer : « Il y aura un avenir qui se fera avec ou sans moi, mais cela est anecdotique, pas important, contrairement à l’avenir de l’Elan. Il y a cinq ans, je suis devenu président parce que personne ne voulait s’y coller. Je m’y suis donné à fond avec honnêteté et énergie. Demain, un nouvel actionnaire majoritaire va arriver et il décidera ce qu’il veut faire, et c’est normal. »\\n\\nVivement le clasico !\\n\\nOn se permet tout de même de conseiller à CSG de ne pas arriver en terrain conquis au pays de la garbure et du magret, de faire preuve de tact, de doigté, de ménager les susceptibilités. Pau n’est pas Paris, le Béarn n’est pas l’Ile-de-France. Il faut innover tout en s’adaptant aux mœurs locales. Changer les habitudes ne va pas de soi. Il faut que les Américains sachent que le prési Pierre Seillant, fils du fondateur du club, avait été menacé de mort lorsqu’il avait annoncé que le club allait déménager d’Orthez à Pau, la « grande ville. »\\n\\nOn s’interroge aussi sur les ambitions sportives des repreneurs. Redevenir une place-forte du basket français, c’est entendu. Gagner un 10e titre de champion de France, c’est officiel. Le dernier remonte à 2004, une éternité. Etre compétitif en Basketball Champions League ou en Eurocup, c’est très probable. Mais au-delà, la zone paraît désormais interdite. L’agglomération paloise et ses 200 000 habitants est étroite à l’échelle européenne, l’orgueilleux Palais des Sports n’est plus dans les standards du XXIe siècle, et CSG n’a certainement pas la surface financière de Norilsk Nickel et Gazprom lesquels soutiennent à bouts de bras, respectivement, le CSKA Moscou et le Zenit Saint-Petersbourg. Pas sûr même que les investisseurs américains aient celle de Massimo Zanetti, le roi du café, qui est le mécène du Virtus Bologne, sachant que ce club prestigieux qui va se doter d’une aréna XXL est sur la liste d’attente pour entrer en Euroleague. Seul Paris, via le Paris Basketball voire les Metropolitans de Boulogne-Levallois peuvent ambitionner à terme de rejoindre le saint des saints.\\n\\nOn revient ainsi à notre idée de départ. L’arrivée d’investisseurs américains est une excellente nouvelle pour la Jeep Elite, sa compétitivité, son exposition. Tout le monde doit s’en réjouir. Y compris les Ultras de Limoges. Le clasico, qui commençait à tourner en rond, va reprendre très vite de la vigueur !\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Espagne: après 11 saisons aux Dallas Mavericks, José Juan Barea renforce Estudiantes Madrid" }, {"role": "assistant", "content":"Movistar Estudiantes Madrid, qui est à la traîne dans le championnat espagnol (15e, 5 victoires pour 11 défaites) fait sensation en enrôlant le meneur portoricain José Juan Barea (1,78m), comme l’a révélé Marc Stein du New York Times.\\n\\nBarea, qui a 36 ans, a passé pas moins de 11 saisons aux Dallas Maverick -et trois aux Minnesota Timberwolves- et fut champion NBA en 2011. Au cours des deux dernières saisons, il n’a disputé que 67 des 157 matchs de saison régulière en raison d’une douloureuse blessure au tendon d’Achille.\\n\\nL’international portoricain a des racines en Espagne, puisque sa famille maternelle est originaire de Ribota de Sajambre.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Greg Monroe et Jonas Jerebko écartés du Khimki Moscou" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir coupé son coach lituanien, Rimas Kourtinaitis, le Khimki Moscou vient officiellement de se séparer « pour raisons personnelles » de deux big men : le pivot américain Greg Monroe (2,11m, 30 ans) et l’ailier suédois Jonas Jerebko (2,08m, 33 ans).\\n\\nEn provenance du Bayern Munich l’été dernier, l’ancien NBAer Greg Monroe n’a disputé que 9 matches avec le Khimki pour 10,3 points et 6,0 rebonds. Jonas Jerebko a connu lui aussi un long parcours en NBA et ses statistiques cette saison étaient également correctes avec 11,5 points et 5,5 rebonds.\\n\\nLe Khimki est la pire équipe d’Euroleague avec seulement 2 victoires (Etoile Rouge et St. Petersbourg) et 21 matches. Il vient encore d’échouer face à Anadolu Efes (-39) et le Panathinaikos (-16) avec Andrei Maltsev comme nouveau coach.\\n\\nPhoto: Greg Monroe (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Lorsque Tanoka Beard (Zalgiris Kaunas) obtint une évaluation de 63" }, {"role": "assistant", "content":"Žalgiris TV a initié les ZalgirisClassics et c’est une extraordinaire performance du pivot américain Tanoka Beard (2,06m, né en 1971) qui est mis cette fois à l’honneur.\\n\\nLors d’un match face au Skipper Bologne, le 22 janvier 2004, celui-ci a battu le record absolu d’évaluation en Euroleague: 63. Pour cela, il avait cumulé 35 points (11/14 à deux-points, 13/13 aux lancers-francs), 19 rebonds, 2 interceptions, 2 contres, 11 fautes provoquées en 38 minutes.\\n\\nAvant d’embrayer sur une fructueuse carrière européenne -il a également joué pour le Real Madrid-, Tanoka Beard était passé par Besançon en 1995-96, réalisant une saison de MVP, jusqu’au moment où lors d’un temps-mort face à Chalon, il frappa son ancien coéquipier des Athlete In Action James Voskuil, qui sous la violence du choc fut victime d’une double fracture de la mâchoire. Le club bisontin n’eut pas d’autres choix que de s’en séparer immédiatement.\\n\\nPhoto: Zalgiris" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : 38 d’évaluation pour Nando De Colo (Fenerbahçe) face au CSKA Moscou !" }, {"role": "assistant", "content":"Nando De Colo (1,96m, 33 ans) est revenu et il a vaincu, et de quelle manière ! Pour son retour sur le parquet du CSKA Moscou avec le maillot de Fenerbahçe cette fois, le Nordiste a réalisé son meilleur match de la saison: 22 points avec une précision diabolique, 8/9 aux tirs du champ, 4/4 aux lancers-francs, 9 passes, 4 interceptions et 2 rebonds pour un superbe 38 d’évaluation. Fenerbahçe s’est imposé 83-89.\\n\\n« C’est une sensation formidable d’être de retour à Moscou », a t-il commenté. « Je ne pouvais pas être ici l’année dernière et c’est génial de revenir là où j’ai passé cinq ans de ma vie. La victoire ce soir, c’est génial pour nous. Ils ont une très bonne équipe et sont forts dans le rebond offensif, en particulier. Et c’est là que nous avons eu un peu de mal en première mi-temps, mais nous avons essayé de le contrôler à la fin. Nous sommes restés fidèles au plan, nous avons joué ensemble, joué fort et c’est tout. «\\n\\nAvec 24 points et 6 rebonds, l’intérieur tchèque du Fener, Jan Vesely, a également été très performant. Ce, au contraire du shooteur du CSKA, Mike James, qui s’est mélangé les pinceaux avec seulement 11 points à 4/15 aux shoots.\\n\\nIl s’agit de la 6e victoire consécutive du Fenerbahçe, qui remonte à la 8e place (11 victoires, 10 défaites) à égalité avec trois autres équipes.\\n\\n« Si j’énumère tout ce que nous avons vécu, cela ressemble à une excuse. Mais dans ce travail, il ne peut y avoir d’excuses; les victoires sont remportées grâce aux joueurs, les entraîneurs sont responsables des défaites, » a commenté le coach Igor Kokoshkov. « Nous avons eu 19 blessures cette année. Il est très difficile de donner des résultats stables dans un tel calendrier. Et tout prend du temps. Vous ne pouvez pas simplement prendre des joueurs et produire automatiquement des résultats. Sinon, tout le monde le ferait. Les gars étaient patients avec moi, j’étais patient avec les gars. C’est une longue saison avec des hauts et des bas. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine : Charleville, Saint-Amand et Villeneuve d’Ascq en 8e de finale" }, {"role": "assistant", "content":"Charleville, Saint-Amand et Villeneuve d’Ascq se sont qualifiés pour les 8e de finale de l’Eurocup. La déception vient de Landerneau et Roche Vendée, qui n’ont pas réussi à passer le stade du premier tour.\\n\\nLes matches des huitièmes de finale et des quarts de finale se dérouleront dans quatre « bulles » du 16 au 18 mars et la saison se terminera par un Final Four du 9 au 11 avril.\\n\\nLes équipes qualifiées pour les huitièmes de finale sont:\\n\\n(1) Reyer Venezia (ITA)\\n(2) Ramla (ISR)\\n(3) Valencia Basket (ESP)\\n(4) KSC Szekszard (HUN)\\n(5) Elazig Il Ozel Idare (TUR)\\n(6) Sparta & K MR Vidnoje (RUS)\\n(7) Charleville-Mezières (FRA)\\n(8) Lointek Gernika Bizkaia (ESP)\\n(9) ACS Sepsi-SIC (ROU)\\n(10) VBW CEKK Cegled (HUN)\\n(11) Villeneuve d’Ascq (FRA)\\n(12) Bellona Kayseri Basketbol (TUR)\\n(13) Saint-Amand Hainaut Basket (FRA)\\n(14) Aluinvent DVTK Miskolc (HUN)\\n(15) BCF Elfic Fribourg (SUI)\\n(16) InvestInTheWest ENEA Gorzow (POL)\\n\\n8e de finale:\\n\\nVeniseGorzowRamlaFribourgValenceMiskolcSzekszardSt AmandElazigKayseriSparta MoscouVilleneuve d’AscqCharleville-MézièresCeglèdGuernicaSepsi-SIC\\n\\nPhoto: Villeneuve d’Ascq (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Le Portel : Priorité aux Français" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’ESSM Le Portel.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDeux Français dans le top3. L’ESSM Le Portel, qui possède la plus faible masse salariale de la Jeep Élite (1 100 000 euros, soit plus de trois fois moins que l’ASVEL), a choisi une stratégie qui va à rebrousse-poil de celle de la plupart des clubs qui ont un compte en banque peu garni : priorité aux Joueurs Formés Localement.\\n\\nLe meneur de 32 ans Benoît Mangin, qui effectue sa 10e saison au club, ce qui représente un cas exceptionnel dans le milieu professionnel, est récompensé de sa fidélité. A titre de comparaison, il gagnait 60 000€ il y a quatre ans. Le natif de Clamart a réalisé statistiquement sa meilleure saison en 2019-20 avec une évaluation de 12,0 contre... 3,9 il y a deux ans. Même s’il n’apparaît pas dans le cinq de départ, il joue 31’ par match et il est la vestale du club.\\n\\nOn note que, pour son retour dans le Nord, Mathieu Wojciechowski bénéficie du même traitement qu’à la JL Bourg avant ses deux saisons en Pologne, alors que Boris Dallo, au parcours zigzaguant, est en progression vis-à-vis de la saison passée à Strasbourg (70 000€ sur 10 mois), ce qui n’est pas le cas de Jo Passave-Ducteil, qui a perdu en route 20 000€ en arrivant de Châlons-Reims.\\n\\nLe staff du Portel est contraint de faire très attention à son budget et c’est ainsi qu’il n’a pas pu prolonger comme il le souhaitait l’ailier américain Jamar Abrams, qui couvrait les postes 3 et 4 avec une certaine efficacité (8,9 points et 4,4 rebonds) et qui se retrouve aujourd’hui chez la lanterne rouge de Pro B, Poitiers ! Sur l’ensemble de la saison, il aurait gagné 70 000 euros.\\n\\nEt si Eric Girard a pu se séparer de Wesley Gordon, très cher pour ce qu’il apportait (2 matches, 6 minutes, 3 points et 2 rebonds) et confirmer le vétéran franco-haïtien Georgi Joseph (38 ans), qui a tout vu et tout connu (11 changements de club depuis son arrivée en France en 2006), impossible de faire des économies du côté de Michael Umeh et Cyril Eliezer-Vanerot alors qu’ils ont fait face à des indisponibilités.\\n\\n * Benoît MANGIN (FRA) : 100 000 €\\n * Mikyle MCINTOSH (CAN) : 100 000 €\\n * Boris DALLO (FRA) : 100 000 €\\n * Michael UMEH (USA/NGR) : 81 000 €\\n * Wesley GORDON (USA) : 80 000 € (32 000 € sur 4 mois)\\n * Cyrille ELIEZER-VANEROT (FRA) : 78 000 €\\n * Mathieu WOJCIECHOWSKI (FRA/POL) : 72 000 €\\n * Jamar ABRAMS (USA): 70 000 € (28 000€ sur 4 mois)\\n * Johan PASSAVE-DUCTEIL (FRA) : 60 000 €\\n * Georgi JOSEPH (FRA/HAI) : 58 500 €\\n * Charles ABOUO (CIV) : 50 000 €\\n * Damien NSEKE EBELE (FRA) : 30 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Eric GIRARD (FRA) : 90 000 €\\n * Jacky PERIGOIS (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nDeux Français dans le top3. L’ESSM Le Portel, qui possède la plus faible masse salariale de la Jeep Élite (1 100 000 euros, soit plus de trois fois moins que l’ASVEL), a choisi une stratégie qui va à rebrousse-poil de celle de la plupart des clubs qui ont un compte en banque peu garni : priorité aux Joueurs Formés Localement.\\n\\nLe meneur de 32 ans Benoît Mangin,\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\nOuverture: Benoit Mangin (ESMM)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : Bourges privé de quart-de-finale pour la 2e fois en 26 participations" }, {"role": "assistant", "content":"Le dernier match de dimanche, Bourges-Basket Landes, n’aura pas d’enjeu. Les deux équipes françaises sont d’ores et déjà éliminées de l’Euroleague. C’est seulement la deuxième fois en 26 participations consécutives depuis la saison 1995-96 -un record européen- que les Berruyères ne disputeront pas les quarts-de-finale.\\n\\nDéjà privées de Alix Duchet et Marissa Coleman, les Tango ont dû affronter une deuxième fois de suite Galatasaray cette fois sans leur pivot Isabelle Yacoubou qui avait été si performante la veille (17 points, 5 rebonds et 4 passes pour une victoire 87-80), alors que Iliana Rupert revenait d’une longue convalescence.\\n\\nC’est dans le dernier quart-temps (16-21) que Bourges a flanché pour s’incliner 65-75. L’équipe turque possède un bataillon de joueuses étrangères de qualité et celles-ci se sont pleinement exprimées avec les 18 points et 7 rebonds de Epiphanny Price, les 14 points et 11 rebonds de Mercedes Russell et encore les 13 points et 8 rebonds de Anete Steinberga.\\n\\nLes Françaises ont été dévorées au rebond (26-54) et c’est Magali Mendy qui s’en sort avec la meilleure note (14) obtenue avec 8 points, 4 rebonds, 3 passes et 3 interceptions.\\n\\nComme cette saison, en raison de la crise sanitaire, les équipes d’Euroleague ne sont pas reversées en Eurocup, la coupe d’Europe se termine très exceptionnellement pour le Tango Bourges Basket dès le mois de janvier.\\n\\nPhoto: Magali Mendy (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jordi Betomeu (PDG de l’Euroleague) : «nous n’avons pas perdu un seul sponsor»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview à l’agence espagnole EFE, le patron de l’Euroleague et de l’Eurocup, Jordi Bertomeu, estime que son organisme et les clubs gèrent au mieux les effets de la pandémie, notamment en n’apportant des modifications au calendrier qu’à la marge:\\n\\n« D’une façon générale, nous avons dû changer les dates de 7% des matchs en Euroleague, et 15% en Eurocup. Avant de commencer la saison, j’étais assez optimiste, je pensais que les règles nous permettraient de la gérer. Le problème des restrictions de voyage ne s’est pas posé. Nous avons eu un assez mauvaise période d’octobre à mi-novembre, mais fin novembre, nous avons déjà commencé à nous remettre dans la normalité comme prévu. Les équipes ont fait du très bon travail et nous jouons normalement chaque semaine. Nous avons passé le Rubicon, avec des moments de difficulté, mais nous sommes satisfaits. »\\n\\nIl reste à supporter l’actuelle troisième vague qui se fait de plus en plus sentir en Europe :\\n\\n« Oui, nous sommes inquiets, mais nous avons un règlement qui nous permettrait de répondre à cela jusqu’à un certain point, si le blocus de l’année dernière est atteint, il faudrait changer de perspective. Si les choses se passent comme elles sont, et je veux être optimiste, lorsque cette vague passera, nous aurons plus de personnes vaccinées et nous ne serons pas au point de l’an dernier. »\\n\\nImpossible évidemment de savoir si le Final Four prévu à Cologne se tiendra à huis clos ou pas:\\n\\n« Il est trop tôt pour le savoir, il faudra attendre. Nous devons exclure que nous ayons une salle pleine, mais je n’exclus pas que nous ayons un public, car l’État allemand où nous allons jouer est l’un de ceux qui ont été efficaces, mais il est impossible de faire une prédiction. J’espère qu’à la fin du mois de mai, nous aurons des fans. Si nous avons 50 ou 30 pour cent, c’est quelque chose que personne ne sait pour le moment... Il ne serait pas raisonnable de penser que l’arèna sera pleine. »\\n\\nLa pandémie a eu un effet financier négatif sur son organisation mais Jordi Bertomeu estime qu’il n’est pas dévastateur:\\n\\n« Cela nous a touchés, mais nous n’avons pas perdu un seul sponsor, au contraire nous en avons ajouté un et renouvelé une télévision. Nous avons dû nous asseoir autour d’une table parce que nous ne pouvions pas leur donner ce que l’accord prévoyait parce que la pandémie ne le permettait pas. Bien sûr, nous avons supporté un impact mais nous l’avons minimisé. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : L’ASVEL face à Sopron et Gabby Williams en quart-de-finale" }, {"role": "assistant", "content":"C’est le Sopron Basket que l’ASVEL affrontera en quart-de-finale de l’Euroleague, les 17 et 19 mars. Un épouvantail. Les Hongroises ont gagné jusqu’ici leurs 6 matches d’Euroleague, notamment face à Bourges (+10 et +7) et Basket Landes (+11 et... +30 ce soir, 84-54).\\n\\nSopron est emmené par trois joueuses majeures: les deux Serbes, le pivot Tina Krajisnik (1,90m, 30 ans) et l’ailière Jelena Brooks (1,90m, 31) et la Franco-Américaine, Gabby Williams (1,80m, 24 ans), qui est encore montée en température depuis sa saison dernière à Montpellier. On sait que sa spécialité c’est la défense et elle possède aussi la meilleure moyenne offensive de son équipe (16,5 points avec 45% de réussite à trois-points), tout en assurant 4,3 points, 3,2 passes et 2,2 interceptions pour 17,3 d’évaluation. Bref, attention danger !\\n\\nCet après-midi, les Lyonnaises ont échoué de peu face à Fenerbahçe (65-67) malgré les 20 points de Marine Johannes et les 8 points, 10 rebonds et 4 passes de Katherine Plouffe. C’est pourquoi elles se retrouvent 2e du groupe B et vont croiser avec Sopron.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=-DwwkhKSEh4&ab_channel=SporNet\\n\\nPhoto: Gabby Williams (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Le Mans : Scott Bamforth, Ovie Soko et Williams Narace, les bonnes pioches" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Scott Bamforth (Photo : MSB – Dominique Breugnot)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du Mans Sarthe Basket.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBon an mal an, Le Mans Sarthe Basket fait le dos rond, réduisant la voilure pour traverser la crise : de 1 852 000 € en 2019-20, sa masse salariale est descendue à 1 605 500 €, soit la 8e de Jeep Élite. Une place qui est également celle du MSB au classement du championnat, même si le bilan de 3 victoires pour 3 défaites du club n’est guère significatif au vu des reports de matchs et cas positifs.\\n\\nSi, la saison passée, le MSB avait « cassé sa tirelire » pour un pivot, Cliff Alexander (payé 200 000 €) qui n’a pas emballé les foules sarthoises (11,0 d’évaluation), le club est resté plus « raisonnable » cette saison dans son recrutement, tout en « profitant » de la crise causée par le coronavirus pour réaliser de bonnes affaires. Ainsi, Scott Bamforth n’a pas caché que la sécurité financière en France avait contribué à sa signature dans la Sarthe pour un salaire plutôt modeste au vu de son CV (quatre saisons en Espagne dont une place de 4e marqueur en 2017). De même, Ovie Soko n’est finalement pas bien cher pour un garçon qui a passé lui aussi plusieurs saisons en première division espagnole. En outre, en plus d’avoir signé pour des montants raisonnables, les deux joueurs sont des plus rentables : 15,8 d’évaluation pour l’arrière américano-kosovar, 18,0 pour l’intérieur anglais.\\n\\nDe son côté, « KKK », alias le meneur canadien Kaza Kajami-Keane, chargé de remplacer un Brandon Taylor qui aura laissé de bons souvenirs dans la Sarthe (17,8 d’éval la saison passée), ne fait pas oublier son prédécesseur (10,7 d’éval) mais il n’est pas exactement au même tarif : 80 000 € contre 140 000 € pour Taylor. Vitto Brown et « Iggy » Mockevicius montrent par ailleurs, avec « KKK », que le MSB n’a pas investi que sur ses étrangers, misant aussi beaucoup sur son fidèle trident composé de Valentin Bigote, Antoine Eïto et Terry Tarpey, les deux derniers ayant été augmentés de 10 000 €. Sans toucher des sommes folles, ils assurent sur le terrain (14,6 cette saison pour Tarpey !) et dans les vestiaires. Pour le reste, si Alain Koffi n’a pas encore récupéré sa santé et si Mockevicius est toujours en phase d’adaptation au jeu pratiqué en France, Le Mans ne peut que se féliciter d’avoir chipé Williams Narace à Nancy (Pro B). Pour un tout petit salaire (72 000 €), le Franco-Camerounais montre qu’il a toute sa place en Jeep Élite et continue de progresser (10,0 d’éval).\\n\\n * Scott BAMFORTH (KOS/USA) : 175 000 €\\n * Ovie SOKO (ANG) : 160 000 €\\n * Valentin BIGOTE (FRA) : 140 000 €\\n * Antoine EITO (FRA) : 130 000 €\\n * Terry TARPEY (FRA/USA) : 110 000 €\\n * Egidijus MOCKEVICIUS (LTU) : 110 000 €\\n * Kaza KAJAMI-KEANE (CAN) : 80 000 €\\n * Alain KOFFI (FRA) : 78 000 €\\n * Vitto BROWN (USA) : 75 000 €\\n * William NARACE (FRA) : 72 000 €\\n * Kenny BAPTISTE (FRA) : 30 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Elric DELORD (FRA) : 85 000 €\\n * Antoine MATHIEU (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nBon an mal an, Le Mans Sarthe Basket fait le dos rond, réduisant la voilure pour traverser la crise : de 1 852 000 € en 2019-20, sa masse salariale est descendue à 1 605 500 €, soit la 8e de Jeep Élite. Une place qui est également celle du MSB au classement du championnat, même si le bilan de 3 victoires pour 3 défaites du club n’est guère significatif au vu des reports de matchs et cas positifs.\\n\\nSi, la saison passée, le MSB avait « cassé sa tirelire » pour un pivot, Cliff Alexander (payé 200 000 €) qui n’a pas emballé les foules sarthoises (11,0 d’évaluation), le club est resté plus « raisonnable » cette saison dans son recrutement,\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Thomas Scrubb (Bourg) victime d’une mononucléose" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la JL Bourg informe que son ailier anglo-canadien Thomas Scrubb (1,98m, 29 ans) est victime d’une mononucléose.\\n\\n« L’année 2021 commence mal pour Thomas Scrubb qui se retrouve éloigné des parquets pour quelques temps. Suite à une forte baisse d’énergie et une grande fatigue, Thomas a passé des examens médicaux ce début de semaine. Ils ont finalement révélé que le joueur était atteint d’une mononucléose. Cette maladie le contraint donc au repos jusqu’à amélioration de son état de santé. Au vu de sa condition physique, le staff sportif et médical estime un retour sur les parquets rapidement. »\\n\\nLa mononucléose infectieuse est une maladie bénigne, mais elle nécessite souvent pour une personne lambda une longue convalescence du fait de la fatigue (asthénie) qui persiste de plusieurs semaines à plusieurs mois.\\n\\nThomas Scrubb pointe à 8,5 points et 4,4 rebonds en Jeep Elite après 8 matches.\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Dans les coulisses de l’exploit de Bourges face à Galatasaray" }, {"role": "assistant", "content":"Pour le 11e épisode de son Journal du Hub, le Tango Bourges Basket évoque la victoire des joueuses d’Olivia Lafargue face à Galatasaray et l’organisation de la société eurofilms qui réalise l’ensemble des rencontres du hub.\\n\\nPhoto: Sarah Michel (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Une place Kobe et Gianna Bryant à Reggio Emilia" }, {"role": "assistant", "content":"Comme annoncé il y a un an, après son décès dans un accident d’hélicoptère, Kobe Bryant va donner son nom à une place de la ville de Reggio Emilia, le prénom de sa fille Gianna, qui a également trouvé la mort dans l’accident, sera également sur la plaque qui sera inaugurée mardi 26 janvier.\\n\\nKobe avait toujours été lié à Reggio Emilia. C’est dans cette ville de 170 000 habitants, située à environ 70 kilomètres au nord-ouest de Bologne qu’il a passé quelques années de son enfance en jouant dans les équipes de jeunes de la Reggiana Basketball, lorsque son père Joe était joueur professionnel dans l’équipe de Reggio, puis à Cantine Riunite.\\n\\nL’espace nommé « Kobe et Gianna Bryant » est une place récemment créée dans la ville émilienne à la suite d’un projet de réaménagement urbain mené par la municipalité, dans le dernier tronçon de via Guasco, surplombant le palais des sports." }, {"role": "user", "content":"Le gouvernement japonais confirme que les Jeux Olympiques de Tokyo se tiendront cet été" }, {"role": "assistant", "content":"Le gouvernement japonais a démenti une information du Times qui affirmait que les Jeux Olympiques de Tokyo allaient être annulés en raison de la pandémie de Covid-19.\\n\\n« Selon un membre éminent de la coalition au pouvoir, il y a accord sur le fait que les Jeux, déjà reportés d’un an, sont condamnés. Le but est maintenant de trouver un moyen qui sauve la face d’annoncer l’annulation qui laisse ouverte la possibilité que Tokyo soit l’hôte à une date ultérieure », a écrit le quotidien britannique.\\n\\nSuite à cet article, les organisateurs des JO de Tokyo ont déclaré que le gouvernement national, le gouvernement métropolitain de Tokyo, le comité d’organisation de Tokyo 2020, le CIO (Comité international olympique) et l’IPC (Comité international paralympique) sont « entièrement concentrés sur l’organisation des Jeux cet été ». Le PDG du Comité olympique australien, Matt Carroll, a qualifié l’article de «rumeurs non fondées»." }, {"role": "user", "content":"Luka Doncic et les Dallas Mavericks en pré-saison face au Real Madrid et en Slovénie ?" }, {"role": "assistant", "content":"Le journaliste du New York Times, Marc Stein, rapporte que Mark Cuban, le propriétaire des Dallas Mavericks, a discuté avec la NBA du projet de voir son équipe jouer un match d’exhibition face au Real Madrid et en Slovénie.\\n\\nCette idée vient évidemment du fait que la superstar de la franchise texane, Luka Doncic (2,01m, 21 ans), est natif de la Slovénie et a joué quatre saisons pour le Real Madrid avant de se rendre dans le Texas.\\n\\nDoncic a déjà participé à un match de pré-saison en Europe mais avec le Real face au Oklahoma City Thunder. C’était en 2016, il avait 17 ans et il avait cumulé 3 points, 5 rebonds et 4 passes pour une victoire du Real, 142-137.\\n\\n\\nMavericks owner Mark Cuban tells @NYTSports that he has already opened discussions with the league about playing exhibition games abroad against Real Madrid as well as in Luka Dončić's native Slovenia once the NBA resumes scheduling preseason games overseas in future seasons\\n\\n— Marc Stein (@TheSteinLine) January 21, 2021\\n\\n\\nPhoto: Luka Doncic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"La Jeep Elite est la 8e compétition la plus suivie en décembre en France sur tous les canaux confondus" }, {"role": "assistant", "content":"Parce que les modes de consommation ont évolué, parce que les « multiécrans » s’impose chaque jour, parce que les réseaux sociaux permettent de connecter plus fréquemment les fans à l’univers du sport, il est devenu nécessaire de connaître l’audience et l’exposition cumulée (médias traditionnels et réseaux sociaux) des évènements sportifs. C’est donc pour répondre à ce besoin que l’Observatoire du Sport Business et Vertigo ont mis en commun leurs expertises afin de produire un outil de mesure de l’impact médiatique des évènements sportifs tous canaux confondus.\\n\\nIls ont calculé l’audience du sport en décembre tous médias confondus, c’est à dire TV, Presse, radio, Internet, réseaux sociaux, plateformes vidéo. Cette première édition de l’étude met en avant le fait que 22% des Français suivent l’actualité sportive.\\n\\nIl en ressort également que la Jeep Elite a été en décembre la 8e compétition la plus suivie derrière la Ligue 1 de foot, la Champions League de foot, le Vendée Globe, le Top 14 de rugby, l’IBU de biathlon -c’est la surprise de ce palmarès; elle est très prisée sur La Chaîne L’Equipe-, la Ligue 2 de foot et la FIS de ski, et devant la Lidl Star Ligue de hand et la Pro D2 de rugby.\\n\\nCe sont 3 315 821 personnes qui ont suivi la Jeep Elite, à comparer au 2 674 049 du mois précédent.\\n\\nLa NBA n’apparait pas dans ce classement. On ne sait pas si elle a été prise en compte.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"François Bayrou, maire de Pau : «Des gens riches pour vous aider à devenir un grand club européen, ce n’est pas facile à trouver»" }, {"role": "assistant", "content":"Le maire de Pau et président de l’agglomération, François Bayrou, a donné hier une conférence de presse pour apporter davantage de détails quant à l’investissement à l’Elan Béarnais de Counterpoint Sports Group avec Rick Pitino, Stu Jackson et Jamal Masburn. L’avocat du club, David Bonnemason-Carrère était à ses côtés et a tenu à préciser :\\n\\n« C’est un projet humain, social, environnemental et immobilier. C’est une inscription dans le temps, ce n’est pas un one shot. Leur volonté est de s’intégrer dans le milieu palois », rapporte la République des Pyrénées.\\n\\nDe son côté, François Bayrou a précisé:\\n\\n« Cette équipe détient de très hautes compétences sportives. Je suis content d’avoir partagé avec des gens de haute crédibilité. Des gens riches pour vous aider à devenir un grand club européen, ce n’est pas facile à trouver. Pour moi, c’était le point essentiel (...) Il y a trois semaines, nous avons signé signé un accord de négociation exclusive. Cet accord, il dit que si on va au bout, ils rachètent les parts de la collectivité pour transformer la SEM en SASP. Ils sont prêts à s’engager pour 4 ans (...) Donner au club une perspective de renommée internationale, ça ressemble à l’ambition que nous devons avoir. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"ASVEL / Valence (90-77) : TJ Parker : «Nous avons tenu l’une des meilleures équipes en attaque à 77 points et c’était la clé»" }, {"role": "assistant", "content":"Deux jours après avoir laissé bêtement filer la victoire contre les Grecs de l’Olympiakos, les Villeubannais ont réagi de la plus belle des façons ce jeudi soir contre Valence (90-77).\\n\\nAvec Moustapha Fall mais toujours sans Amine Noua, ni Paul Lacombe, les hommes de TJ Parker ont débuté le match sur un petit rythme laissant Valence prendre ses aises. Privés de leur côté de deux joueurs majeurs, Klemen Prepelic et Bojan Dubljevic, les Espagnols se sont heurtés à de solides Villeurbannais avec le duo Norris Cole (4 passes) et Antoine Diot (3 passes) précieux dans la distribution du jeu en première mi-temps.\\n\\nLes rebonds verrouillés jusqu’à la pause et la pression défensive, provoquant dix pertes de balles dans le camp de Valence, ont permis à l’ASVEL de rentrer aux vestiaires avec six unités d’avance (40-34).\\n\\nMalgré un 11-0 des Espagnols qui aurait pu les faire douter à l’entame du troisième quart-temps, Villeurbanne se remettait dans le rythme et se donnait de l’air grâce à un William Howard à son meilleur niveau (17 points avec 3/4 aux tirs et 9/9 aux lancers-francs, 1 rebond, 2 passes, 1 ballon perdu pour 24 d’évaluation en 16 minutes de jeu), les rhodaniens ont su gérer la fin de match ce qui leur avait cruellement fait défaut mardi soir dans un match qu’ils n’auraient jamais dû perdre.\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « Après la dure défaite de mardi, tout le monde a été déçu. C’est la seule réaction possible et la seule façon de gagner. Nous avons tenu l’une des meilleures équipes en attaque à 77 points et c’était la clé. Nous avons reçu un bon coup de main des gars du banc, Antoine (Diot) a été super et William Howard nous a donné beaucoup de choses. Tant que nous restons ensemble, nous sommes 12 et c’est comme ça qu’on gagne des matches ».\\n\\nKavarrius Hayes (ASVEL) : « Nous voulons être connus pour notre défense. Nous sommes sortis en apportant de l’énergie et de l’intensité, nous avons été capables de tenir une bonne équipe comme celle-ci en dessous de 80 points. C’est une question de concentration, je pense que nous avons également produit une bonne défense lors de notre dernier match, mais nous devons aller jusqu’au bout et faire 40 minutes complètes pour obtenir une victoire. C’est ce que nous avons fait ce soir ».\\n\\nPhoto d’ouverture : William Howard (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : L’ASVEL qualifiée pour les 1/4 de finale, Bourges toujours en vie" }, {"role": "assistant", "content":"L’ASVEL est qualifiée pour la deuxième fois pour les quarts-de-finale de l’Euroleague après avoir vaincu hier soir (85-74) Prague, se vengeant ainsi de sa défaite d’un point de décembre.\\n\\nTout le monde a apporté son écot du pivot Helena Ciak auteure de 15 points et 6 rebonds à Sara Chevaugeon qui a planté 13 points en 11 minutes, en passant par la Serbe Aleksandra Crvendakic qui a ajouté 15 points. Symboliquement, c’est la Lituanienne Juste Jocyte qui a marqué le dernier panier du match.\\n\\nLes Lionnes ont souffert au rebond (33-51) mais leur bonne défense a contraint les Tchèques à une adresse de seulement 38,4%.\\n\\nVoir la boxscore ICI.\\n\\nUn peu plus tard dans la soirée, Bourges se maintenait en vie grâce à sa victoire sur Galatasaray, 87-80. Il s’agit de sa première victoire en 4 matches dans le groupe D. Le programme lui offre curieusement un autre match face aux Turques ce soir puis face à Basket Landes dimanche; pour se qualifier, les Tango n’ont pas d’autres choix que de gagner les deux fois. Les organismes vont devoir faire preuve d’endurance.\\n\\nAvec 17 points, 4 rebonds et 23 d’évaluation, Isabelle Yacoubou a été une fois de plus très performante dans la peinture. Les Berruyères ont fait preuve d’une bonne adresse générale (33/66) à comparer à celle des Turques (37,3%).\\n\\nVoir la boxscore ICI.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_27bz23mYAw&feature=emb_logo&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel https://www.youtube.com/watch?v=rJOOP7VyEX4&ab_channel=FIBA-TheBasketballChannel\\n\\nPhoto: ASVEL (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Gravelines-Dunkerque : La valse des Américains" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nCommençons par le plus simple : les Français. Pape Sy est le seul à s’intercaler au milieu des étrangers au sommet de la hiérarchie financière et il est très loin des performances accomplies lors de ses deux premières années au BCM, son évaluation ayant chuté de 14 à 5,6. A 32 ans et après quelques blessures, est-il déjà au soir de sa carrière ?\\n\\nRomuald Morency (25 ans) est, lui, une bonne affaire et, avec ses 7,4 points et 5,5 rebonds, il s’est d’emblée installé solidement en Jeep Elite, après cinq saisons de découverte du monde professionnel en Pro B. Paul Rigot et Lucas Bourhis (3,8 d’éval chacun) ont plus de mal à s’adapter à ce niveau.\\n\\nPour le reste, en se penchant sur le cas des non-JFL, on s’aperçoit que, comme à Cholet, le BCM a procédé à pas mal de transformations – le terme convient mieux que celui d’ajustement -, sachant notamment que les deux étrangers les mieux payés ont été coupés fin 2020 ! Le cas le plus spectaculaire est celui de Chris Horton, qui avait effectué une saison de feu dans le Maine-et-Loire et qui n’a pas retrouvé toute sa splendeur au BCM, même si ses statistiques ne sont pas les pires du contingent d’Américains du club (10,0 points, 7,8 rebonds, 12,6 d’évaluation). Le club nordiste s’en est séparé sans bourse déliée mais il aura quand même coûté dans les 85 000 dollars en salaires pour seulement... 5 matches de Jeep Elite. Et il est depuis retourné à... Cholet ! Gravelines avait également investi sur son compatriote Cameron Wells au poste de meneur et lui aussi a été prié d’aller voir ailleurs après avoir laissé une impression très quelconque (11,2 points et 2,6 passes en 5 matches). Coût véritable sur ses quatre mois de présence : 60 000€. Il a rebondi à Boulazac, comme pigiste médical d’Edgar Sosa. L’anonyme Quincy Ford (6,0 points et 3,6 rebonds) ne faisait pas non plus l’affaire, il est également parti.\\n\\nPour les remplacer, le BCM a embauché le puissant pivot belge Khalid Boukichou (ex-Pau et Chalon) à titre temporaire dans un premier temps puis jusqu’à la fin de la saison après qu’il ait démontré qu’il apportait un bonus appréciable et, après notre enquête, l’ailier Erik McCree (un retour), le pivot Gavin Ware (ex-Levallois et Dijon) et le meneur Briante Weber (ex-Boulogne-Levallois). C’est (très) séduisant sur le papier mais il est encore trop tôt pour savoir si c’est concluant. Dans un premier temps, Gravelines va devoir s’extirper de la zone rouge. Et recréer un collectif tout en gérant le fait de disposer de sept non-JFL dans l’effectif – et donc un de trop pour chaque match. Qui sera le prochain à partir ?\\n\\n * Chris HORTON (USA) : 190 000\\n * Cameron WELLS (USA) : 150 000 €\\n * Pape SY (FRA) : 110 000 €\\n * Vojdan STOJANOVSKI (MKD) : 90 000 €\\n * Corey DEVIS (USA) 90 000 €\\n * Itay SEGEV (ISR) : 80 000 €\\n * Khalid BOUKICHOU (BEL) : 70 000 €\\n * Romuald MORANCY (FRA) : 70 000 €\\n * Paul RIGOT (FRA) : 60 000 €\\n * Lucas BOURHIS (FRA) : 30 000 €\\n\\nCoach / Assistant:\\n\\n * Serge CREVECOEUR (BEL) : 85 000 €\\n * Sébastien DEVOS (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\nCommençons par le plus simple : les Français. Pape Sy est le seul à s’intercaler au milieu des étrangers au sommet de la hiérarchie financière et il est très loin des performances accomplies lors de ses deux premières années au BCM, son évaluation ayant chuté de 14 à 5,3. A 32 ans et après quelques blessures, est-il déjà au soir de sa carrière ?\\n\\nRomuald Morency (25 ans) est, lui, une bonne affaire et, avec ses 7,7 points et 5,9 rebonds, il s’est d’emblée installé solidement en Jeep Elite, après cinq saisons de découverte du monde professionnel en Pro B. Paul Rigot (3,0 d’éval) et Lucas Bourhis (3) ont plus de mal à\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Erik McCree (BCM)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Le CSKA Moscou va pouvoir remplir sa salle à moitié !" }, {"role": "assistant", "content":"Alors que dans toutes les salles en Europe on joue à huis clos, à Moscou on continue d’accueillir du public. Le CSKA en a enregistré jusqu’à présent 3 132 spectateurs en moyenne en Euroleague, et ce nombre va augmenter.\\n\\nLes autorités vont permettre aux fans d’occuper la moitié des sièges de l’arèna Megasport qui en compte 13 000 ! Ce sera le cas pour le match de d’aujourdhui face à Fenerbahçe.\\n\\nLe gouvernement russe avait pourtant fini par reconnaître que le COVID-19 avait provoqué en 2020 quelque 186 000 décès, un bilan plus de trois fois supérieur au décompte officiel et qui a fait de la Russie l’un des pays les plus endeuillés au monde.\\n\\nPhoto: CSKA" }, {"role": "user", "content":"Teyvon Myers, de Chalon à Roanne" }, {"role": "assistant", "content":"La valse continue. A peine a t-il quitté Chalon que l’arrière américain Teyvon Myers (1,88m, 26 ans) se retrouve à la Chorale de Roanne jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nTeyvon Myers a tourné à 10,2 points à 41,5% de réussite aux tirs et 4,0 rebonds en moyenne en 5 matchs de Jeep Elite, le tout en 21 minutes de temps de jeu.\\n\\n«Je l’avais trouvé pas mal contre nous en présaison, » explique l’entraineur roannais Jean-Denys Choulet. «Il possède une certaine fiabilité au shoot et apporte aussi une grosse agressivité défensive qui s’accorde bien avec notre jeu. Dans la période actuelle avec les restrictions de déplacement que l’on connait, il présente aussi l’avantage d’être juste à côté de chez nous et de déjà connaitre le championnat. Il s’entrainait tous les jours à Chalon, et sera très motivé et revanchard.»\\n\\n«C’est une saison très spéciale avec la Covid-19 et ces nombreux entrainements sans compétition, alors je suis impatient d’avoir à nouveau un objectif avec ma venue dans l’équipe et deux matchs de championnat à disputer d’ici février» a déclaré pour sa part le joueur. «Je suis plus qu’heureux de cette nouvelle aventure qui m’attend. J’ai entendu de bonnes choses à propos de coach Choulet, j’adhère à sa philosophie et j’observe que les joueurs qu’il a eu à mon poste par le passé ont toujours eu du succès dans leur carrière. D’autant que je vivais dans son ancien logement à Chalon-sur-Saône, nous sommes connectés !»\\n\\nPhoto: Elan Chalon" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B : le calendrier officiel des matches du 22 janvier au 15 février avec les retransmissions TV" }, {"role": "assistant", "content":"La Ligue Nationale de Basket a communiqué le calendrier des matches qui se tiendront du 22 janvier au 15 février en Jeep Elite et en Pro B, avec les retransmissions prévues sur La Chaîne L’Equipe -dont le clasico Pau-Limoges- et Sport en France, et aussi -grande première-, un match de Pro B, Blois-Quimper sur les antennes régionales de France 3.\\n\\nCalendrier des rencontres de Jeep® ÉLITE\\n\\nSamedi 23 janvier 2021\\n19h00 : Champagne Basket / Boulogne-Levallois Metropolitans 92\\nVendredi 29 janvier 2021\\n19h00 : Elan Chalon/ Saône / Le Mans Sarthe Basket\\n19h00 : BCM Gravelines-Gravelines / Boulazac Basket Dordogne\\nSamedi 30 janvier 2021\\n17h00 : JL Bourg-en-Bresse / Orléans Loiret Basket en direct sur La chaine L’ Equipe\\n18h00 : AS Monaco Basket / ESSM Le Portel\\n18h00 : EB Pau-Lacq-Orthez / Champagne Basket\\n18h30 : Chorale Roanne / Boulogne-Levallois Metropolitans 92\\nLundi 1er février 2021\\n18h00 : SIG Strasbourg / Cholet Basket\\nVendredi 5 février 2021\\n20h00 : Le Mans Sarthe Basket / Chorale Roanne\\n20h30 : JDA Dijon / Elan Chalon/Saône en direct sur SPORT EN FRANCE\\nSamedi 6 février 2021\\n18h00 : Boulazac Basket Dordogne / Nanterre 92\\n18h00 : Boulogne-Levallois Metropolitans 92 / SIG Strasbourg\\n18h30 : Cholet Basket / AS Monaco Basket\\n19h00 : Champagne Basket / JL Bourg-en-Bresse\\n20h00 : Orléans Loiret Basket / BCM Gravelines-Dunkerque\\n21h00 : Limoges CSP / EB Pau-Lacq-Orthez en direct sur La chaine L Equipe\\nDimanche 7 février 2021\\n18h00 : ESSM Le Portel / LDLC ASVEL\\nVendredi 12 février 2021\\n20h00 : Orléans Loiret Basket / AS Monaco Basket\\n21h00 LDLC ASVEL / Limoges CSP en direct sur La chaine L’Equipe\\nSamedi 13 février 2021\\n20h00 : Nanterre 92 / JDA Dijon en direct sur SPORT EN FRANCE\\n\\nCalendrier des rencontres de PROB\\n\\n\\nVendredi 22 janvier 2021\\n19h00 : SLUC Nancy / BC Gries-Oberhoffen\\nSamedi 23 janvier 2021\\n16h00 : Béliers de Kemper / Paris Basketball\\n19h00 : Nantes Basket Hermine / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n19h00 : ASC Denain Voltaire PDH / Lille Métropole Basket\\n20h00 : Fos Provence Basket / Saint-Chamond Basket VDG\\n20h00 : Poitiers Basket 86 / BC Souffelweyersheim\\nMardi 26 janvier 2021\\n19h00 : JA Vichy-Clermont Métropole / ASC Denain Voltaire PDH\\n19h00 : Rouen Métropole Basket / ALM Evreux\\nVendredi 29 janvier 2021\\n19h00 : Nantes Basket Hermine / Saint-Chamond Basket VDG\\n19h00 : Aix-Maurienne Savoie Basket / JA Vichy-Clermont Métropole\\n20h00 : Antibes Sharks / Poitiers Basket 86\\nSamedi 30 janvier 2021\\n16h00 : ALM Evreux / Paris Basketball\\n18h00 : BC Gries-Oberhoffen / Lille Métropole Basket\\nDimanche 31 janvier 2021\\n15h20 : ADA Blois / Béliers de Kemper en direct sur France 3 Centre et France 3 Bretagne\\n17h30 : Saint-Quentin BB / SLUC Nancy en direct sur SPORT EN FRANCE\\n19h00 : ASC Denain Voltaire PDH / Fos Provence Basket\\nMardi 2 janvier 2021\\n19h00 : Saint-Chamond Basket VDG / BC Souffelweyersheim\\nJeudi 4 février 2021\\n18h00 : Saint-Quentin BB / Aix-Maurienne Savoie Basket\\nVendredi 5 février 2021\\n17h00 : Lille Métropole Basket / Antibes Sharks en direct sur SPORT EN FRANCE\\n19h00 : ALM Evreux / ADA Blois\\n19h00 : Béliers de Kemper / Fos Provence Basket\\n19h00 : JA Vichy-Clermont Métropole / SLUC Nancy\\nSamedi 6 février 2021\\n18h00 : BC Gries-Oberhoffen / Rouen Métrople Basket\\n20h00 : Poitiers Basket 86 / Paris Basketball\\nMardi 9 février 2021\\n18h00 : Béliers de Kemper / Saint-Quentin BB\\n20h00 : BC Souffelweyersheim / Nantes Basket Hermine\\nVendredi 12 février 2021\\n19h00 : SLUC Nancy / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n20h00 : Lille Métropole Basket / Béliers de Kemper\\nSamedi 13 février 2021\\n16h30 : Paris Basketball / Nantes Basket Hermine\\n20h00 : BC Souffelweyersheim / JA Vichy-Clermont Métropole" }, {"role": "user", "content":"Interview – Nik Caner-Medley (Fos Provence Basket) : «C’est facile quand vous avez 37 ans, vous êtes à l’aise et je ne veux pas être à l’aise : je veux être défié !»" }, {"role": "assistant", "content":"À 37 ans, Nik Caner-Medley (2,03 m) possède un CV inédit en Pro B : 44 matchs d’Euroleague, 34 matchs d’Eurocup, 37 matchs de BCL, etc. L’américano-azéri est venu dans les Bouches-du-Rhône pour aider le club fosséen à remporter son défi : remonter en Jeep Élite. Rencontre avec l’un des vétérans du basket européen.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous en êtes à votre 15e saison professionnelle, quel est votre objectif avec Fos Provence Basket ?\\n\\nPour Fos Provence Basket, l’objectif est la montée en Jeep Élite. Lorsque j’ai parlé avec Rémy (NDLR : Giuitta, l’entraîneur du club) cet été, il m’a dit que c’était vraiment le but du club. J’aime beaucoup Rémy et son style de coaching, je pense que nous avons tout ce qu’il faut pour y arriver.\\n\\n« S’il reste concentré sur son travail, (Allan Dokossi) peut devenir un joueur NBA »\\n\\nVous êtes un joueur complet et un bon shooteur, quel est votre rôle dans l’équipe ? Qu’est-ce que le coach Rémy Giuitta attend de vous ?\\n\\nJ’ai joué en Europe pendant 15 ans. Je pense donc que le coach s’attend à ce que je fasse profiter l’équipe de mon expérience, surtout pour les fins de match, dans les rencontres serrées ou difficiles. Il s’attend à ce que les joueurs vétérans apportent à l’équipe leur leadership et leur expérience.\\n\\nQue pensez-vous de votre jeune co-équipier Allan Dokossi (21 ans, 2,03 m) ?\\n\\nIl est très talentueux. C’est un gaucher doté d’une bonne vision de jeu et d’un très gros potentiel. Il peut jouer comme une sorte d’intérieur/extérieur. Quand vous êtes un jeune joueur, l’une des plus grandes clés de votre réussite est la façon dont vous travaillez. S’il reste concentré sur son travail, il peut devenir un joueur NBA.\\n\\nVous avez rencontré le SLUC Nancy, le 9 janvier dernier, où vous vous êtes inclinés 71-76. Quel regard portez-vous sur cette équipe ?\\n\\nJe pense qu’ils sont très bien entraînés, ils jouent très bien au basket. Ils sont à l’aise dans leur salle, qu’ils aient des fans ou non. Le SLUC est très difficile à jouer. Ils forment une très très bonne équipe, l’une des meilleures de Pro B.\\n\\nQue pensez-vous de la France et de la Jeep Elite ?\\n\\nL’une des raisons pour lesquelles je suis revenu en France, c’est qu’il y a ici les ligues les plus athlétiques et les plus physiques d’Europe, la Jeep Élite et la Pro B, où évoluent beaucoup de jeunes joueurs talentueux. Et je voulais me mettre au défi. J’ai 37 ans, j’aime le défi et jouer contre des jeunes joueurs affamés. C’est facile quand vous avez 37 ans, vous êtes à l’aise et je ne veux pas être à l’aise : je veux être défié ! En outre, j’ai connu une très bonne expérience à Monaco, ce qui m’a donné l’envie de jouer à nouveau en France.\\n\\nQuel regard portez-vous sur votre carrière ?\\n\\nJe suis fier de ma carrière, de ce que j’ai accompli. J’ai été épargné par les blessures et j’ai eu la longévité. Après 15 ans de professionnalisme, je me sens toujours très bien. C’est vraiment enrichissant de voyager et de jouer avec de grands joueurs et entraîneurs.\\n\\nDans votre carrière, avez-vous un match référence ?\\n\\nJ’ai participé à deux finales dans ma carrière, dont l’une à l’occasion d’un Final Four de l’Eurocup, en 2012. Je jouais pour Valence avec Nando de Colo et Florent Pietrus contre le Khimki Moscou, dans leur salle, c’était un match vraiment disputé. Ce match contre le Khimki Moscou en finale de l’Eurocup, c’est un match dont je me rappelle bien que nous n’ayons pas gagné (NDLR : Nik a terminé la partie avec 23 points, 11 rebonds et 38 d’évaluation !)\\n\\n« Sans eux, c’est difficile, mais à choisir entre ne pas jouer et jouer sans fans, je choisis de jouer ! »\\n\\nComment gérez-vous la pandémie ?\\n\\nJ’ai une fille d’un an et ma femme et moi vivons dans le sud de la France. C’est une belle région et c’est calme. Il n’y a pas beaucoup de choses à faire en dehors de l’entraînement. Normalement, pendant la saison, tout ce que je fais, c’est aller à la salle de sport ou rester chez moi, donc ma routine n’a pas beaucoup changé. Cela dit, c’est dur de ne pas pouvoir rendre visite à sa famille à cause des restrictions de voyage. Cette histoire de covid, c’est terrible. Les fans ne peuvent pas venir voir de matchs de basket, des gens perdent leur emploi, d’autres meurent. C’est difficile pour beaucoup de personnes. Je suis heureux d’avoir un emploi, de pouvoir jouer au basket, même si nous jouons moins de matchs. La pandémie est horrible, j’espère vraiment que le pire est derrière nous et que 2021 sera une meilleure année que 2020.\\n\\nEn tant que joueur, c’est difficile de jouer dans une salle vide, sans public ?\\n\\nC’est un gros avantage quand vous êtes dans votre salle, à domicile et que vous avez du public. Normalement, lors des matchs à domicile, vous êtes censés avoir vos fans pour vous soutenir et apporter de l’énergie, mais ce n’est pas le cas, en ce moment. Cela rend tous les matchs un peu plus équilibrés, parce qu’il n’y a pas de supporters pour pousser l’une des deux équipes. Cela étant, l’une des meilleures choses dans le basket, ce sont les fans. Sans eux, c’est difficile, mais à choisir entre ne pas jouer et jouer sans fans, je choisis de jouer ! Après, je suis comme tous les joueurs, j’espère vraiment que les fans pourront revenir bientôt, quand la situation le permettra.\\n\\nPouvez-vous nous parler du Summer Slam, votre camp basket d’une journée à Portland ?\\n\\nJ’apprécie cette question. Summer Slam est une association à but non lucratif que j’ai créée il y a dix ans. Il s’agit d’un camp gratuit d’une journée pour les enfants et adolescents de 5 à 16 ans. Le co-directeur, un bon ami, Colby Emmons et moi-même avons lancé cette initiative parce que nous voulions proposer un programme où toutes les activités, les entraînements et les jeux sont gratuits. Donc, nous avons développé cela et je suis vraiment très fier parce qu’au cours des dix dernières années, nous avons aidé beaucoup d’enfants. Mieux encore : de nombreuses personnes sont venues nous épauler bénévolement, pour aider les enfants et non pour faire de l’argent. C’est une chose magnifique.\\n\\nQu’auriez-vous fait si vous n’aviez pas joué au basket ? Où vous voyez-vous après votre retraite sportive ?\\n\\nJe suis déjà entrepreneur, j’ai commencé il y a environ dix ans en créant quelques petites entreprises. Ainsi, je gère un espace de travail partagé avec des bureaux. Et j’ai investi dans l’immobilier. J’ai également travaillé sur des projets high tech d’analyse de données sportives. J’ai donc fait beaucoup de choses en dehors du basket au cours des dix dernières années en tant qu’entrepreneur, tout en continuant à m’investir dans le domaine du basket-ball pour aider les enfants. À l’avenir, je resterai impliqué dans le basket-ball, peut-être plus par le biais de l’aspect commercial que par le sportif. Je ne suis pas vraiment intéressé par l’entraînement pour le moment, plus par la gestion de carrière de joueurs. Et je vais rester concentré sur le développement de mes activités dans l’immobilier et le commercial.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nVous en êtes à votre 15e saison professionnelle, quel est votre objectif avec Fos Provence Basket ?\\n\\nPour Fos Provence Basket, l’objectif est la montée en Jeep Élite. Lorsque j’ai parlé avec Rémy (NDLR : Giuitta, l’entraîneur du club) cet été, il m’a dit que c’était vraiment le but du club. J’aime beaucoup Rémy et son style de coaching, je pense que nous avons tout ce qu’il faut pour y arriver.\\n\\n« S’il reste concentré sur son travail, (Allan Dokossi) peut devenir un joueur NBA »\\n\\nVous êtes un joueur complet et un bon shooteur, quel est votre rôle dans l’équipe ? Qu’est-ce que le coach Rémy Giuitta attend de vous ?\\n\\nJ’ai joué en Europe pendant 15 ans. Je pense donc que le coach s’attend à ce que je fasse profiter l’équipe de mon expérience, surtout pour les fins de match, dans les rencontres serrées ou difficiles. 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Jusqu’à présent, mon rôle était de conseiller, tandis que la partie commerciale est gérée par d’autres », a déclaré Rick Pitino .\\n\\nLe journaliste grec lui a demandé pourquoi ce choix d’Orthez et pas celui du Panathinaikos :\\n\\n« Je suis l’entraîneur de l’équipe nationale et je devais rester neutre ... »" }, {"role": "user", "content":"Sans club depuis la rentrée, Jeremy Nzeulie va rejouer, à Boulazac" }, {"role": "assistant", "content":"Depuis son départ de Strasbourg, Jeremy Nzeulie (1,88m, 29 ans) était sans club et ainsi privé de compétition depuis dix mois. Il vient de signer à Boulazac comme pigiste médical de Kévin Harley.\\n\\nAprès une montée en puissance à Nanterre -champion de France en 2013, vainqueur de l’EuroChallenge en 2015- et Chalon -champion de France en 2017-, Jeremy Nzeulie a connu deux saisons très délicates à Strasbourg, la première avec une opération au genou gauche, et la seconde se traduisant par 1,8 d’évaluation en 9 matches.\\n\\nLe directeur sportif du BBD, Claude Bergeaud l’a eu comme joueur en 2011 lorsqu’il était le coach de Bordeaux :\\n\\n« Sur le plan personnel, je suis très heureux d’accueillir Jérémy dans notre équipe. J’ai beaucoup d’affection pour ce garçon exceptionnel qui a un parcours magnifique de pugnacité et de persévérance. Il est arrivé à réellement progresser grâce à son travail, et nous espérons le relancer pour qu’il retrouve le niveau qui est le sien. Même si c’est une pige d’un mois ... on ne s’interdit rien pour le futur. Sa réussite sera la nôtre ».\\n\\n\\nAlors joueur dominant à l'@ELANCHALON, Jérémy Nzeulie marquait l'histoire du basket français grâce à un #BuzzerBeater qui permettait à son équipe de battre le @sigstrasbourg et de se sacrer champions de France 2017 🏆\\n\\nNous sommes très heureux de t'avoir dans l'équipe @Jezli9 ! pic.twitter.com/6NFhgHrqxb\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) January 21, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Rick Pitino, Stu Jackson et Jamal Mashburn repreneurs potentiels de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez !" }, {"role": "assistant", "content":"La République des Pyrénées vient de révéler sur son site que Rick Pitino, Jamal Mashburn, et Stu Jackson se sont positionnés pour reprendre l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. C’est le maire François Bayrou qui a fait lui-même l’annonce aux joueurs et salariés du club.\\n\\nRetrouvez l’interview de Greg Heuss, repreneur de Pau-Lacq-Orthez.\\n\\n« C’est un énorme coup qui est en train de se finaliser en Béarn. La mairie de Pau et son agglo, actionnaires largement majoritaires dans la SEM (société d’économie mixte) Elan Béarnais, sont sur le point de concrétiser leur volonté de trouver un repreneur fiable pour l’Elan Béarnais. L’objectif : un désengagement progressif des collectivités au profit d’actionnaires privés pour être en mesure de changer les statuts, de SEM en SASP (société anonyme sportive professionnelle) », écrit le quotidien palois.\\n\\nActuellement coach de l’université d’Iona, Rick Pitino, 67 ans, a été au préalable celui de l’université de Kentucky avec qui il a été champion NCAA, en NBA, du Panathinaikos et il sera celui de l’équipe nationale de Grèce pour le prochain Tournoi de Qualification Olympique.\\n\\nStu Jackson, 65 ans, a également été coach puis general manager et vice-président exécutif en NBA.\\n\\nPassé par l’université de Kentucky, Jamal Mashburn (2,03m), 48 ans, a joué 12 saisons et 611 matches en NBA à 19,1 points en moyenne, et fut All-Star en 2003.\\n\\n\\nL'engagement de Masburn, Pitino et Jackson, serait d'abord sur 4 ans. François Bayrou : \\Ils sont prêts à garantir un niveau de budget qui ferait faire un bond colossal au club, avec des montants à affiner\\ @EBPLO\\n\\n— Jean Fauret (@JeanFauret) January 21, 2021\\n\\n\\nPhoto: Rick Pitino" }, {"role": "user", "content":"Roanne se sépare de Mathis Keita et engage Renathan Ona-Embo" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur Renathan Ona-Embo (1,94m, 22 ans) a signé jusqu’à la fin de la saison à la Chorale Roanne Basket, avec une année supplémentaire en option. Il prend la place de Mathis Keita, suite à l’accord trouvé entre le club et le joueur pour une rupture de contrat.\\n\\nFormé à Marne-la-Vallée, ancien international U16 et U20, Ray Ona-Embo a suivi un cursus NCAA avec les Green Wave à New Orleans entre 2016 et 2020. Il a ensuite porté le maillot de Vrsac en Serbie début 2020 (3 points, 1,7 passe et 2,3 rebonds en 15′ par match).\\n\\n«C’est un garçon intéressant» commente l’entraineur roannais Jean-Denys Choulet. «Il va nous apporter de l’énergie défensive et il est capable de rentrer ses shoots.»" }, {"role": "user", "content":"Grèce : L’ancien président du Panathinakos, Dimitris Giannakopoulos, emmené au poste de police" }, {"role": "assistant", "content":"Le sulfureux Dimitris Giannakopoulos a beau avoir abandonné ses fonctions de président du Panathinaikos, il peut encore fait les choix gras des médias.\\n\\nL’homme d’affaires de 47 ans aurait eu une dispute avec une femme dans une zone de la banlieue nord d’Athènes. Selon des témoins qui se trouvaient sur les lieux du conflit, Giannakopoulos a menotté la femme et tenté de la forcer à monter dans sa voiture.\\n\\nAlertés, les autorités policières ont localisé la voiture à Maroussi, près du stade olympique, et ont procédé à son arrestation. Dimitris Giannakopoulos a été conduit jusqu’au poste de police.\\n\\n« Les informations indiquent que le problème semble avoir été résolu grâce à l’intervention de tiers », écrit infosport.gr." }, {"role": "user", "content":"10′ de vidéo de Marine Johannes : La joueuse la plus excitante de l’histoire du basket féminin ?" }, {"role": "assistant", "content":"Ce titre, vous pouvez l’estimer racoleur, mais on ne peut pas nous accuser d’être franchouillard puisqu’il émane de la Fédération Internationale, qui vient de sortir un clip avec les plus belles actions de Marine Johannes -26 ans aujourd’hui- sous le maillot de l’équipe de France, à l’exclusion ainsi de toutes ses prouesses réalisées en club.\\n\\n\\nMost exciting baller in the history of Women's hoops? 🤔\\n\\n🎂 Happy Birthday @MarineJ5 🇫🇷\\n\\n📽 via @EuroBasketWomen pic.twitter.com/PelvwrizOQ\\n\\n— FIBA (@FIBA) January 21, 2021\\n\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le Letton Rihards Lomazs va quitter l’ASVEL" }, {"role": "assistant", "content":"Les routes du Letton Rihards Lomazs (1,87m, 24 ans) et de l’ASVEL devraient se séparer, ont déclaré des sources à Sportando.\\n\\nPour sa deuxième saison dans le Rhône, le Letton a perdu la confiance du coach TJ Parker et son temps de jeu en Euroleague s’est limitée à un total de 55 minutes en 6 matches alors que l’équipe en a joué 20.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : JL Bourg / Virtus Bologne (87-99) – Savo Vucevic : » je suis très satisfait de mes joueurs et surtout des jeunes.»" }, {"role": "assistant", "content":"Défaite sur son parquet (87-99) face à la Virtus Bologne, la JL Bourg est bonne dernière de son groupe d’Eurocup et la double confrontation dans quinze jours à Ljubjana sera déjà celle de la dernière chance.\\n\\nFace au grand favori de la compétition, la JL a joué les yeux dans les yeux. Malgré un roster bien plus léger (12 pros pour les Italiens et 8 pour la JL), les hommes de Savo Vucevic ont su contenir Bologne tout le match, ne lui laissant qu’une petite avance oscillante entre trois et quatre points malgré le peu de réussite aux shoots (40%).\\n\\nIl fallut attendre la seconde mi-temps pour voir la superstar, Milos Teodosic sortir de sa boite. Plutôt discret jusque là (7 points à la fin du second quart), le meneur serbe a ensuite flairé les bons coups pour compiler 14 points et 2 passes décisives lors du troisième quart-temps et finir la rencontre à 21 points et 6 passes. Malgré les soubresauts burgiens, le duo composé de Vince Hunter (23 points et 11 rebonds) et Julian Gamble est monté en intensité pour contraster avec une première mi-temps où les hommes de Sasa Djordjevic ont perdu 17 ballons.\\n\\nSans son meneur, Zach Wright, ni son facilitateur de jeu, Thomas Scrubb, la Jeu n’a pas paru inhibée, loin de là. Porté par son jeune patron, Hugo Bénitez (9 points, 4/9 aux tirs, et 7 passes), qui fêtait ses 20 ans hier soir, les Burgiens ont fait trembler la Virtus jusqu’à la dernière minute du match avant que Stefan Markovic et Marco Belinelli (19 points) viennent anéantir tout espoir.\\n\\nSavo Vucevic (Coach JL Bourg) : « Il nous manque beaucoup de joueurs, nous avons fait ce que nous pouvions pour le moment, nous avons joué contre la meilleure équipe de cette compétition, je m’attendais à un match difficile. Je félicite Bologne, je suis très satisfait de mes joueurs et surtout des jeunes. C’était une équipe qui a plus d’expérience ».\\n\\nSasa Djordjevic (Coach Virtus Bologne) : « Match difficile. Victoire importante. (Bourg) est une équipe de grande qualité, elle a vraiment joué à fond. Nous avons fait un bon parcours dans le troisième quart-temps, surtout en défense. Nous avons mis un peu d’énergie sur le terrain et Teodosic a fait un excellent travail de gestion de l’équipe. Au final, c’est une victoire importante. 2-0 est un excellent début (pour le Top 16) ».\\n\\nMarco Belinelli (Virtus Bologne) : « Je ne pense pas que nous ayons joué un bon match. Ce soir, c’était un mauvais match pour nous. On n’a pas joué une bonne attaque, une bonne défense. Mais à la fin de la journée, il était important pour nous de gagner le match, surtout à l’extérieur. C’est une bonne équipe et ils ont joué dur. Il faut qu’on joue mieux et j’espère que le prochain match sera bon ».\\n\\nPhoto d’ouverture : Milos Teodosic (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Derrick Williams (Valence) : » Il n’y a que deux personnes qui pour moi sont à ce niveau de tout savoir sur le jeu: LeBron James et Zeljko Obradovic»" }, {"role": "assistant", "content":"L’ailier de Valence Derrick Williams (2,03m, 29 ans), qui a connu une longue carrière en NBA et qui est aussi passé par Fenerbahçe a été extrêmement louangeur avec le coach serbe Zeljko Obradovic, actuellement en congé sabbatique, lors d’un entretien avec NBA Espagne.\\n\\n«C’est un excellent entraîneur», a déclaré Williams. « Il sait tout sur le basketball, c’est probablement la personne la plus intelligente que j’aie jamais rencontrée. Il n’y a que deux personnes qui pour moi sont à ce niveau de tout savoir sur le jeu: LeBron James et Zeljko Obradovic. Ils savent tout sur l’autre équipe, ils savent tout à propos de tous les joueurs de notre équipe. Avoir un coach comme celui-là donne envie de travailler beaucoup plus dur, alors je lui donne beaucoup de crédit... Son amour pour le jeu surpasse tout ce que j’ai jamais vu. C’est un coach et un enseignant à la fois, il vous apprend à jouer de la bonne manière, que cela vous plaise ou non. C’est pourquoi je le respecte tant, parce que vous voulez jouer correctement tous les jours. «\\n\\nDerrick Williams a par ailleurs exprimé sa satisfaction de se retrouver à Valence:\\n\\n« Valence est l’une des meilleures villes d’Europe à vivre. Les gens sont gentils, la nourriture est excellente et le basket est excellent. Vous pouvez vraiment vous amuser. J’ai aussi apprécié mon séjour à Munich et à Istanbul, mais je viens de Californie et c’est ce qui est le plus proche depuis que je suis arrivé ici . »\\n\\nL’Américain est même dythirambique quand il évoque le centre d’entraînement du club, L’Alqueria.\\n\\n» C’est mieux que de nombreuses installations dans lesquelles j’ai été avec des équipes de NBA. Aux États-Unis, il y a une tendance à investir dans des installations, parce que vous voulez que le joueur passe plus de temps là-bas et s’améliore, mais ce n’est pas la même tendance en Europe. Là, vous voyez toute la communauté, tous les enfants et les petits qui utilisent les installations tous les jours. Il y a une jeune génération qui est ici et qui travaille pour s’améliorer chaque jour. C’est ainsi que vous construisez la philosophie de transformer la ville en une véritable ville de basket-ball. Vous voyez beaucoup d’enfants de cinq, six ou sept ans, dix ans ici, s’entraîner dans ces merveilleuses installations, s’améliorant chaque jour. C’est vraiment sympa. C’est incroyable à voir . «\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Cholet: Yoan Makoundou, 20 ans, 20 points et 8 rebonds en BCL" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket a été vaincu à La Meilleraie par l’Hapoël Holon (71-89) et ainsi est éliminé de la Basketball Champions League. On ne peut néanmoins passer sous silence la performance de son intérieur Yoan Makoundou (2,07m, 102kg).\\n\\nLe natif de Melun, formé aussi à Marne-la-Vallée, a aligné, en un peu plus de 26 minutes, 20 points (9/12 aux shoots), 8 rebonds, 1 interception et 1 contre pour 27 d’évaluation. Il est nécessaire de rappeler que le jeune homme a eu 20 ans en août dernier.\\n\\n« C’est un bon match, c’est positif. Je continue de grandir et de monter en puissance. Mais ce qui domine, c’est la frustration car on s’était entraîné dur. Le moral est touché, mais il y a d’autres objectifs, il reste le championnat. Pour l’emporter, il nous manquait de l’énergie et de l’intensité. On a payé cash toutes nos petites erreurs, » a t-il commenté pour Ouest France.\\n\\nIl s’agit de sa deuxième grosse performance d’affilée en BCL après ses 18 points et 9 rebonds face à Minsk. Et preuve qu’il est actuellement en pleine ascension, il a assuré entre-temps 14 points et 7 rebonds face à Gravelines.\\n\\nEncore un joueur Made-in-Cholet qui ira loin...\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Grèce : Panayotis Yannakis évoque sa relation avec son ancien compère Nick Galis" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur Panayotis Yannakis et le shooting, shooting, shooting guard Nick Galis ont formé un tandem légendaire qui a amené l’équipe nationale grecque et l’Aris Salonique aux sommets du basket européen dans les années 80. Panayotis Yannakis, alias Le Dragon, a évoqué sa relation avec son ancien compère de jeu dans une interview pour ANT-1.\\n\\n« Nous sommes des personnages complètement différents. Nikos avait un talent incroyable. C’était un marqueur charismatique et il pouvait mettre le ballon dans le panier de n’importe quelle manière et d’une manière attractive pour tout le monde, pour la télévision, et même pour nous. C’était un showman. Il avait la capacité de marquer avec des pourcentages élevés. Peut-être que cela venait de la façon dont il a appris le basketball en Amérique. Au-delà de cela, nous pouvions parfois nous sentir mal à l’aise l’un avec l’autre parce que nous n’avions pas le même caractère. Néanmoins, il y avait un respect mutuel sur le terrain et pour cette raison, en sont sortis de très bons résultats et un énorme succès. Et cela a motivé beaucoup de monde. Je suis allé à l’Aris parce que je voulais gagner. Je pensais que nous pouvions réaliser de grandes choses. Je pensais que si les Grecs travaillent dur, nous pouvons atteindre des sommets. Et nous l’avons fait. »\\n\\nNick Galis est le meilleur marqueur de tous les temps de la ligue grecque avec la moyenne effarante de 33,4 points. Yannakis, 62 ans aujourd’hui, a pris sa retraite de joueur en 1996 pour embrasser celle de coach et il s’est éloigné de son ancien équipier:\\n\\n« La vérité est que nous ne nous sommes pas revus de nombreuses fois parce que Nikos n’a pas beaucoup de communication avec les autres, mais il y a un respect mutuel, car nous sommes unis par des moments merveilleux que je n’oublierai jamais « ." }, {"role": "user", "content":"TJ Parker (coach de l’ASVEL): «Ma chance est venue et je dois juste être prêt»" }, {"role": "assistant", "content":"À 36 ans, T.J. Parker de LDLC ASVEL est le plus jeune head coach de l’Euroleague, mais la jeunesse n’est qu’un des défis qu’il doit relever en tant que coach principal débutant qui tente d’amener son équipe au plus haut niveau du basket-ball européen. Dans une interview donnée au site de l’Euroleague, le frère du président du club revient sur cette inexpérience qui handicape lui et son équipe.\\n\\n« C’est l’histoire de notre saison », a déclaré Parker après la défaite de mardi face à Olympiakos, en prolongation. « Je pense que nous avons eu deux ou trois matchs comme ça, c’est arrivé à Berlin pour la première fois. Nous étions dans ce match en première mi-temps et tout le monde dans notre équipe a fait l’effort en deuxième mi-temps, ils se sont battus. Et quand on prend un temps mort et qu’on dit des choses précises à faire, il faut le faire. C’est pourquoi je suis si déçu... parce que le match était entre nos mains ».\\n\\nParker est le frère cadet du propriétaire de l’équipe, Tony Parker. Passé par la Northwestern University de Chicago avant de jouer cinq saisons en tant que pro en France, Terence Jonathan s’est blessé avant sa dernière année pro et il a alors attrapé le virus du coaching :\\n\\n« Mon frère a commencé les camps de basket en 2009, quand j’étais encore joueur, et c’est là que j’ai rencontré tous les meilleurs entraîneurs français, et même Gregg Popovich est venu de San Antonio cet été-là », se souvient TJ Parker. « Et j’ai vraiment apprécié les dialogues, en regardant les exercices. Je pense que c’est quelque chose qui m’a fait craquer. Chaque été et chaque fois que j’ai eu la chance d’aller à San Antonio et de faire partie de l’organisation des Spurs, d’échanger avec les entraîneurs, avec Pop, avec n’importe qui, j’ai adoré « , dit-il. « J’aime tout regarder, beaucoup de basket en général : le college, la NBA, l’Euroleague. Bien sûr, quand j’étais davantage aux États-Unis, je regardais plus le college et la NBA. Et depuis l’université, j’aime toutes sortes d’entraîneurs. En particulier, j’ai appris de Bill Carmody, à l’université de Northwestern, avec l’attaque de Princeton, comment jouer sans le ballon et toutes ces choses... Vous savez que vous pouvez prendre un peu de partout. »\\n\\nAvant sa promotion cet été, TJ Parker en était a sa huitième année en tant que numéro 2 sur le banc et le retour de l’équipe en Euroleague avec Zvezdan Mitrovic comme head coach était la dernière étape de sa préparation pour son rôle actuel :\\n\\n« C’est un niveau différent, mais c’est ce que vous recherchez, jouer contre les meilleurs. Et l’année dernière, comme c’est notre première année en tant que nouveau venu dans le nouveau format de l’Euroleague, je pense que nous avons fait une bonne saison. Nous avons gagné 10 matchs, nous aurions pu en gagner plus. »\\n\\nLongtemps il a été l’homme qui avait pour rôle le développement des joueurs et quand on lui parle de style de jeu, il reste sur le même point de mire :\\n\\n« Vous avez toutes sortes de style de jeu au basket qui peuvent fonctionner, mais cela dépend des joueurs. Ce que je veux faire offensivement c’est utiliser toute la force du joueur. Sur le plan défensif, c’est une autre situation, bien sûr. Vous pouvez apporter tous les types de défense, mais l’intensité en défense doit vraiment être de haut niveau, surtout en Euroleague. Vous ne pouvez pas faire d’erreurs. Vous devez être prêt pour les 40 minutes ».\\n\\nTJ Parker est investi dans la mission familiale, dirigée par son frère Tony, qui consiste à faire de l’ASVEL un membre exemplaire de l’élite du basket-ball européen. L’ASVEL, qui en est à sa deuxième saison en Euroleague avec une wild card, devrait bientôt devenir un membre licencié à plein temps de la ligue pour au moins 10 ans :\\n\\n« Tony porte ce projet au plus haut niveau possible. Nous voulons des résultats, mais nous savons que cela prend du temps. Vous savez, nous sommes un nouveau venu, et beaucoup d’équipes attendent de nombreuses années pour arriver là où elles en sont. Nous devons donc être patients et nous essayons de construire l’équipe du mieux que nous pouvons. Cette année, nous pouvons voir que beaucoup de joueurs croient en l’ASVEL. Nous sommes en Euroleague, les joueurs veulent venir jouer et prouver au monde européen qu’ils peuvent jouer au plus haut niveau. »\\n\\nDepuis son poste de coach, tout le travail qu’il fourni est une mission essentielle :\\n\\n« Je suis juste concentré sur l’ASVEL et l’image que nous essayons d’apporter ici. C’est, bien sûr, d’aller sur le terrain et d’essayer de gagner des championnats. Après cela, je sais quel est le travail. J’ai attendu huit ans pour cela. Ma chance est venue et je dois juste être prêt »." }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 19ème et 20ème journées" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulaient les 19ème et 20ème journées de l’Euroleague.\\n\\nPour le compte de la 19ème journée, le leader, le CSKA Moscou, recevait le Zalgiris Kaunas, 5ème. Daniel Hackett et Will Clyburn manquaient à l’appel côté moscovite alors que le représentant lituanien se déplaçait sans Steve Vasturia et Patricio Garino. L’équipe de Joffrey Lauvergne n’a jamais mené dans ce match et l’écart est monté jusqu’à 18 points. Au final, le CSKA s’est imposé 83-73. Il a largement dominé dans le secteur des rebonds (44-26) grâce notamment à son pivot serbe Nikola Milutinov, meilleur rebondeur de la semaine pour la quatrième fois de la saison. Ca a été le meilleur joueur de son équipe, bien secondé par Mike James. Le club de la capitale russe reste donc tranquille leader.\\n\\nLe Zenit St Petersburg, deuxième, se déplaçait au Bayern Munich, sixième. C’est le club russe qui débute le mieux le match. Il remporte les deux premiers quarts et mène sans discontinuer pendant les 25 premières minutes. Mais le Bayern revient dans le troisième quart et reprend l’avantage. C’est Paul Zipser qui met le club bavarois à l’abri en donnant 5 points d’avance à 12 secondes du terme. Le Bayern réalise un excellent résultat et s’impose 82-80. Le leader de l’équipe d’Andrea Trinchieri a été encore une fois son meneur américain Wade Baldwin. Du côté du Zalgiris, c’est Arturas Gudaitis qui s’est mis en valeur. C’est le meilleur pivot européen de la semaine. Avec cette victoire, le Bayern prend la 5ème place alors que le Zenit est le grand perdant de la journée et perd une place.\\n\\nLe FC Barcelona, troisième, effectuait le déplacement à Moscou pour y affronter le Khimki, bon dernier. Beaucoup de joueurs étaient absents pour ce match: Stefan Jovic, Janis Timma, Jonas Jerebko et Greg Monroe côté russe et Thomas Heurtel, bien sûr, Victor Claver, Nikola Mirotic et Brandon Davies côté espagnol. Après une première mi-temps très offensive, le club catalan mène de 6 points (54-48). La seconde mi-temps est plus défensive, ce qui n’empêche pas ce dernier d’augmenter son avance et de s’imposer sans surprise 87-75. Le Barca a largement dominé au niveau des rebonds en en prenant deux fois plus que son hôte du soir. C’est pourtant son backcourt qui a été décisif avec le duo Nick Calathes-Cory Higgins. Le meneur américano-grec est d’ailleurs le meilleur passeur de la semaine pour la sixième fois et établit le record de passes sur un match avec 15 unités. Le Barca prend la 2ème place et est le grand gagnant de la journée.\\n\\nLe quatrième, le Real Madrid, recevait l’Etoile Rouge Belgrade pour un match a priori sans difficulté pour lui. Surtout que Jordan Loyd et Landry Nnoko étaient toujours absents côté serbe. Contre toute attente, le club de la capitale serbe remporte les trois premiers quarts et mène de 8 points à l’issue. Il ne marque que 13 points dans le dernier quart mais parvient à résister au retour madrilène pour s’imposer 79-77. C’est une victoire de prestige pour l’équipe de Dejan Radonjic. Ognjen Dobric a été décisif dans cette victoire et il est le meilleur ailier de la semaine.\\n\\nLe match suivant opposait les deux équipes occupant les deux dernières places du Top 8, Milano et Valencia. Le club lombard était handicapé à l’aile avec les absences de Shavon Shields et Vladimir Micov. Du côté valencian, c’est Bojan Dubljevic qui manquait à l’appel. Après un premier quart équilibré, l »équipe d’Ettore Messina réalise un excellent deuxième quart et prend 18 points d’avance à la pause. Elle n’a plus alors qu’à gérer la suite et s’impose 95-80. L’équipe italienne a eu une très bonne réussite aux tirs avec 61,4% et le tout en tentant presqu’autant de tirs à 3 points qu’à 2 points. Son leader a été Luigi Datome en sortie de banc, auteur de 27 points en 26 minutes. Sa performance lui vaut les honneurs du titre de Meilleur sixième homme de la semaine. Suite à cette rencontre, Milano remonte d’une place alors que Valencia sort du Top 8.\\n\\nL’Olympiacos, aux portes du Top 8, se déplaçait au Maccabi Tel-Aviv sans Aaron Harrison ni Kostas Papanikolaou. Après avoir mené au score pendant les 30 premières minutes, le Maccabi se fait remonter petit à petit. A l’entrée de la dernière minute, le club israélien mène encore de 4 points. Mais c’est Kostas Sloukas qui offre à son équipe la prolongation sur 2 lancers. Et cette fois, c’est l’Olympiacos qui prend les devants et qui s’impose 89-87. Le meneur grec Kostas Sloukas a été décisif pour le club du Pirée avec un joli double-double (21 points et 11 passes). Cette victoire permet à l’Olympiacos d’intégrer le Top 8.\\n\\nBaskonia se déplaçait à Istanbul pour y affronter Fenerbahce. En dehors du premier point, l’équipe basque n’a jamais mené ni remporté de quart-temps. Le club stambouliote a gagné chacune des mi-temps de 10 points et remporte le match facilement 96-76. Le leader de l’équipe d’Igor Kokoskov a été Nando De Colo, auteur de 27 points. C’est le meilleur meneur de la semaine et également le MVP français pour la quatrième fois.\\n\\nToujours à Istanbul, l’Anadolu Efes recevait l’Alba Berlin à la Sinan Erdem Sports Hall. Le club stambouliote était privé pour ce match de Krunoslav Simon et de Tibor Pleiss alors que le club de la capitale allemande déplorait les absences de Marcus Eriksson, Niels Giffey et de Luke Sikma. C’est l’Alba qui prend l’avantage dans la première mi-temps avant qu’un excellent troisième quart gagné 26-9, c’est l’équipe d’Ergin Ataman qui l’emporte 84-76. Adrien Moerman a été le leader de son équipe, bien secondé par Shane Larkin et Bryant Dunston.\\n\\nEnfin, l’ASVEL, sans Amine Noua, se déplaçait à Athènes pour y affronter le Panathinaikos. En dehors des 5 premières minutes, le club de la capitale grecque a toujours mené et remporté 3 des 4 quarts. Il va ainsi gagner facilement cette rencontre 88-71. Il a été emmené par un duo Nemanja Nedovic-Georgios Papagiannis, auteur de 68 d’évaluation cumulée, soit plus que celle de toute l’équipe villeurbannaise, et dont 40 pour le seul Nedovic. L’arrière serbe est ainsi le MVP de la semaine pour la seconde fois de la saison. Il est également le meilleur marqueur pour la troisième fois avec 33 points. L’ASVEL reste donc avant-dernier.\\n\\nJeudi et vendredi se déroulait la 20ème journée.\\n\\nLe match au sommet de cette journée opposait tout simplement les deux meilleures équipes de la compétition. Ainsi, le CSKA Moscou recevait le Barca à la Megasport Arena devant 3 125 spectateurs. Le leader de la ligue débute bien la rencontre et remporte le premier quart de 5 points. Mais ce sera le seul. En effet, le club catalan gagne les trois suivants et prend les commandes juste avant la pause. Il les conservera jusqu’au bout et remporte une belle victoire 88-75. L’adresse a été décisive avec un 12/27 à 3 points pour l’équipe de Sarunas Jasikevicius. Son leader a été l’arrière américain Cory Higgins avec 28 d’évaluation. Après cette rencontre, le CSKA Moscou reste leader mais le FC Barcelona revient à une victoire de son hôte.\\n\\nLe Zenit St Petersburg, troisième, recevait ses voisins baltes du Zalgiris Kaunas, septième. La première mi-temps est très équilibrée et les deux équipes se neutralisent. Mais, au retour des vestiaires, le club de l’ancienne capitale de l’Empire Russe domine les débats et gagne les deux quart-temps. Au final, il l’emporte 77-65. L’équipe de Xavi Pascual a été emmenée par le duo Arturas Gudaitis-Mateusz Ponitka, auteur de la moitié de l’évaluation collective. Le pivot lituanien enchaine un second match d’affilée avec une évaluation de 28. Du côté de Kaunas, le jeune meneur Rokas Jokubaitis s’est mis en valeur en rotation de Thomas Walkup avec la troisième évaluation de l’équipe. Cette performance lui permet d’être le Rising Star de la semaine pour la septième fois. Avec cette défaite, le Zalgiris perd une place mais reste dans le Top 8.\\n\\nPour le second match au sommet de la journée, le Real Madrid se déplaçait au Bayern Munich avec la quatrième place en jeu. C’est le club espagnol qui démarre la rencontre tambour battant et remporte le premier quart de 8 points. Le club bavarois remporte les trois quarts suivant mais le club de la capitale espagnole garde le leadership tout au long de la rencontre.....ou presque puisque Vladimir Lucic donne l’avantage à son équipe sur un tir à 3 points à une minute de la fin. Mais Gabriel Deck égalise à 22 secondes du terme, envoyant le match en prolongations. Cette fois, le Real assure la victoire et l’emporte 81-76. Le leader de l’équipe de Pablo Laso a encore une fois été Walter Tavares, tout proche d’un double-double et auteur de 26 points à 11/14. Il est ainsi le meilleur pivot de la semaine. Le Bayern Munich perd une place et descend à la sixième.\\n\\nL’AX Armani Exchange Milano se déplaçait dans la capitale allemande pour y affronter l’Alba. Celui-ci récupérait pour l’occasion son intérieur américain Luke Sikma. L’équipe allemande a tenu un peu plus d’un quart-temps avant d’être lâchée par le club lombard. Il s’impose 84-70 dans un match géré tranquillement. Il a gagné grâce à son secteur intérieur et notamment le trio Luigi Datome, Zach LeDay et Kyle Hines. Cette victoire permet à Milano de prendre la cinquième place au Bayern.\\n\\nL’Olympiacos, huitième, recevait l’avant-dernier, l’ASVEL. Pour ce match, le club grec récupérait Aaron Harrison mais perdait Hassan Martin. La première mi-temps est très équilibrée et le représentant français mène d’un tout petit point au moment de rentrer aux vestiaires. Mais dans le quart suivant, il limite son hôte à 9 petits points marqués et en prend 9 d’avance. Dans la dernière période, l’ASVEL tient le coup et crée la surprise en s’imposant 69-63. Dans un match très défensif, Guerschon Yabusele a été décisif avec une évaluation de 29. Cela fait de lui le meilleur intérieur de la semaine. L’Olympiacos sort du Top 8 suite à cette défaite.\\n\\nEn ouverture de la journée, l’Anadolu Efes recevait le dernier, le Khimki Moscou. Sans surprise, la domination du club stambouliote a été totale. Il a remporté tous les quarts avec un minimum de 7 points d’avance. Au final, il s’impose 99-60 et provoque le licenciement de Rimas Kurtinaitis. L’équipe d’Ergin Ataman a été portée par son axe 1-5 composé de Shane Larkin et de Sertac Sanli, qui en profite pour se montrer. Cette victoire lui permet de remonter dans le Top 8.\\n\\nValencia recevait à la Fonteta l’Etoile Rouge Belgrade avec pour objectif de rester dans la course pour la qualification aux Play-offs. Mais il enregistrait le forfait de Klemen Prepelic en plus de celui de Bojan Dubljevic. Mais cela n’a pas empêché le club espagnol de facilement dominer cette rencontre et de s’imposer 91-71. Un quatuor composé de Sam Van Rossom, Nikola Kalinic, Louis Labeyrie et Mike Tobey s’est mis en évidence.\\n\\nLe TD Systems Baskonia, de son côté, se déplaçait au Maccabi Tel-Aviv. En dehors des 4 premières minutes, le club israélien aura dominé tout le long de la rencontre et s’impose sans difficultés 91-82. L’équipe d’Ioannis Sfairopoulos a été emmenée par le trio Elijah Bryant-Othello Hunter-Angelo Caloiaro. Cette victoire permet au Maccabi de passer devant son adversaire du soir.\\n\\nEnfin, Fenerbahce recevait le Panathinaikos. Le club stambouliote menait déjà de 19 points après 10 minutes de jeu. Il s’est finalement imposé 100-74. Les leaders de l’équipe ont été Marko Guduric, Edgaras Ulanovas et Jan Vesely, auteurs d’une évaluation cumulée de 56. Après un début de saison raté, le Fenerbahce équilibre donc son bilan.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du CSKA Moscou, du FC Barcelona, du Zenit St Petersburg et du Real Madrid.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nNemanja Nedovic (SG/Ser/29)\\n\\nPanathinaikos\\n\\n40 d’éval (33 pts à 11/17 dont 5/10 à 3 points, 6/6 aux LF, 5 rbds, 6 pds, 4 bps)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Nemanja Nedovic\\n\\nPanathinaikos\\n\\n40\\n\\nSF Ognjen Dobric\\n\\nEtoile Rouge Belgrade\\n\\n21\\n\\nPF Guerschon Yabusele\\n\\nASVEL\\n\\n29\\n\\nC Walter Tavares\\n\\nReal Madrid\\n\\n29\\n\\nB Luigi Datome\\n\\nMilano\\n\\n26\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Nando De Colo\\n\\nFenerbahce\\n\\n30 d’éval\\n\\nSG Nemanja Nedovic\\n\\nPanathinaikos\\n\\n40\\n\\nSF Ognjen Dobric\\n\\nEtoile Rouge Belgrade\\n\\n21\\n\\nPF Guerschon Yabusele\\n\\nASVEL\\n\\n29\\n\\nC Arturas Gudaitis\\n\\nZenit St Petersburg\\n\\n28\\n\\nB Luigi Datome\\n\\nMilano\\n\\n26\\n\\nMVP français:\\n\\nNando De Colo (SG/33)\\n\\nFenerbahce\\n\\n30 d’éval (27 pts à 11/16 dont 4/7 à 3 points, 2 rbds, 3 pds, 3 int, 3 bps)\\n\\nRising star :\\n\\nRokas Jokubaitis (PG/Lit/20)\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n11 d’éval (8 pts à 3/8, 3 rbds, 2 pds)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nNemanja Nedovic\\n\\nPanathinaikos\\n\\n33 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nNikola Milutinov\\n\\nCSKA Moscou\\n\\n14 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nNick Calathes\\n\\nBarcelona\\n\\n15 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. CSKA Moscou 15-5\\n 2. Barcelona 14-6\\n 3. Zenit St Petersburg 12-6\\n 4. Real Madrid 13-7\\n 5. Milano 12-7\\n 6. Bayern Munich 12-8\\n 7. Anadolu Efes 11-9\\n 8. Zalgiris Kaunas\\n 9. Valencia\\n 10. Olympiacos\\n 11. Fenerbahce 10-10\\n 12. Maccabi Tel-Aviv 9-11\\n 13. Baskonia\\n 14. Etoile Rouge Belgrade 7-13\\n 15. Alba Berlin\\n 16. Panathinaikos 6-13\\n 17. ASVEL 6-14\\n 18. Khimki Moscou 2-18\\n\\nPhoto d’ouverture: Nando De Colo (Fenerbahçe, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 1,5 million d’euros, le montant du transfert de Filip Petrusev" }, {"role": "assistant", "content":"Le président de l’Etoile Rouge de Belgrade Nebojsa Covic a évoqué dans l’émission Spoutnik sport le cas de Filip Petrusev (2,11m, 20 ans), qui est un grand espoir du basket serbe. Formé en Espagne (Baskonia Vitoria) et aux Etats-Unis (au lycée puis deux ans à Gonzaga), Petrusev est revenu cet été au pays avec l’équipe de Mega Leks. Nebojsa Covic explique que l’Etoile Rouge a eu l’opportunité de le signer mais que le transfert ne s’est pas fait en raison de son coût exorbitant.\\n\\n« Nous avons eu une discussion, pas directement avec lui, mais avec ses représentants. L’Etoile Rouge n’a tout simplement pas l’argent nécessaire. C’est un joueur de Baskonia, qui nous a demandés de payer 1,5 million d’euros, ce qui m’a fait rire. Après cela, la somme a été ramenée à 800 000, ce qui m’a fait rire encore plus. Nous avions d’autres suggestions, cela ne s’est pas avéré réaliste et nous avons fait le maximum que nous pouvions. Je lui souhaite une belle carrière, il a grandi à Zeleznik, il y a vécu, ses parents sont probablement là-bas encore, et je veux qu’il fasse une carrière exceptionnelle. C’est un gars d’une qualité exceptionnelle, avec des capacités de jeu extraordinaires, et je l’attends la saison prochaine en NBA. »" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Tom Digbeu en grande forme" }, {"role": "assistant", "content":"Que ce soit en Espagne, en Turquie ou en Lituanie, les joueurs français de l’étranger ne se sont pas tourné les pouces ce week-end et ont tous plus ou moins fait le bonheur de leur club avec leur performance. Ainsi, Tom Digbeu continue d’épater en Lituanie, Rodrigue Beaubois se montre clutch en Turquie et Louis Labeyrie confirme sa bonne forme en Espagne.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nRodrigues Beaubois on fire !\\n\\nIl a été décisif ce dimanche pour la 18e journée du championnat turc : Rodrigue Beaubois a donné la victoire à l’Andalou Efes sur le parquet du TT Ankara (84-86). Auteur de 19 points à 6/11 aux tirs, il marque le panier de la gagne à 1,8 seconde de la fin.\\n\\nAvec cette victoire, l’Andalou Efes fait toujours la course en tête avec 16 victoires et aucune défaite. Derrière, le Pinar Karsiyaka et le Fenerbahçe se disputent la 2e place.\\n\\n\\nLouis Labeyrie une nouvelle fois décisif\\n\\nFace à une équipe de Burgos compétitive cette saison en Liga Endesa, Valence est allé chercher une précieuse victoire 83-78 dimanche soir. Si Thaddeus McFadden a terminé meilleur marqueur de la rencontre (25 points), l’ailier-fort Louis Labeyrie a cumulé 21 points à 7/8 aux tirs et 4/9 aux lancers-francs pour un total de 32 d’évaluation en 31 minutes.\\n\\nSemaine après semaine, qui plus est très peu de temps après son retour de blessure, l’international confirme sa bonne forme et réalise sa meilleure saison depuis son arrivée à Valence en 2018.\\n\\n\\nTom Digbeu en passe 20 à Lietkabelis\\n\\nDans la famille Digbeu, je voudrais le fils. Tom (1,99 m, 19 ans), fils d’Alain Digbeu, prêté par le Zalgiris Kaunas (avec lequel il est sous contrat) au Cbet Prienai. Ce week-end en coupe de Lituanie, le joueur français a marqué 20 points face au BC Lietkabelis Panevėžys mais n’a pas pu empêcher la défaite du BC Prienai 90-96.\\n\\nhttps://twitter.com/Kuzeykg/status/1351160994677075975\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 7 points (2/4 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 1 rebonds, 2 passes, 1 interception, 5 ballons perdus pour 2 d’évaluation en 25 minutes de jeu (Défaite 87-108 face à Tenerife).\\n\\nLeo Westermann (Barça) : Pas de match.\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : 9 points (2/6 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs), 2 rebonds, 3 passes, 4 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 70-72 à Andorre).\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : N’a pas joué.\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : Pas de match.\\n\\nYoussoupha Fall (Vitoria Baskonia) : 11 points (4/7 aux tirs et 3/5 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 17 d’évaluation en 20 minutes de jeu (Victoire 103-76 face à Séville).\\n\\nThomas Heurtel (Barça) : Pas de match.\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : Pas de match et blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 21 points (7/8 aux tirs et 4/9 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 interceptions pour 32 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Victoire 83-78 face à San Pablo Burgos).\\n\\nYakuba Ouattara (Séville) : 22 points (10/16 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 6 rebonds, 1 passe, 2 interceptions, 2 ballons perdus pour 21 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Défaite 76-103 à Vitoria).\\n\\nBandja Sy (Andorre) : 3 pts (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 ballons perdus pour -1 d’évaluation en 9 minutes de jeu (Victoire 72-70 face à Bilbao).\\n\\nIbrahim Magassa (Séville) : 2 points (1/4 aux tirs) pour -2 d’évaluation en 9 minutes de jeu (Défaite 76-103 à Vitoria).\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon) : Pas de match.\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : 0 points, 2 rebonds, 1 passe, 1 ballon perdu pour 2 d’évaluation en 10 minutes de jeu (Victoire 103-77 face à Pasvalys).\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 4 points (2/9 aux tirs), 1 rebond, 4 ballons perdus pour -8 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 86-95 à Šiauliai).\\n\\n20 points (8/14 aux tirs et 3/5 aux lancers francs), 3 rebonds, 2 passes, 3 ballons perdus pour 14 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Défaite 96-90 à Lietkabelis).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : Pas de match.\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 7 points (2/5 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 interception, 1 ballon perdu pour 6 d’évaluation en 10 minutes de jeu (Défaite 73-94 face au Lokomotiv Kuban).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 16 points (6/10 aux tirs et 4/5 aux tirs), 6 rebonds, 3 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 26 minutes de jeu (Victoire 78-72 au KK Kolubara LA)\\n\\n3 points (1/5 aux tirs et 1/1 aux lancers-francs), 7 rebonds, 1 interception,1 contre, 2 ballons perdus pour 2 d’évaluation en 19 minutes de jeu (Défaite 78-80 à Cetinje).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : 7 points (2/4 aux tirs et 1/2 aux lancers-francs), 3 passes pour 5 d’évaluation en 12 minutes de jeu (Victoire 90-83 à Zadar).\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 19 points (6/11 aux tirs et 6/8 aux lancers-francs), 3 rebonds, 4 passes pour 19 d’évaluation en 17 minutes de jeu (Victoire 86-84 à Ankara).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 15 points (4/12 aux tirs et 5/5 aux lancers-francs), 7 rebonds, 3 passes, 2 contres, 2 ballons perdus pour 17 d’évaluation en 35 minutes de jeu (Victoire 72-65 face à Ganziantep).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 10 points (4/12 aux tirs et 1/3 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception pour 8 d’évaluation en 34 minutes de jeu (Victoire 86-84 à Ankara).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 6 points (2/5 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 interception pour 8 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 63-69 face à l’ASVEL).\\n\\n0 point (0/1 au tir), 1 contre pour -2 d’évaluation en 4 minutes de jeu (victoire 101-93 à Villeurbanne)\\n\\nPhoto d’ouverture : Tom Digbeu\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nRodrigues Beaubois on fire !\\n\\nIl a été décisif ce dimanche pour la 18e journée du championnat turc : Rodrigue Beaubois a donné la victoire à l’Andalou Efes sur le parquet du TT Ankara (84-86). Auteur de 19 points à 6/11 aux tirs, il marque le panier de la gagne à 1,8 seconde de la fin.\\n\\nAvec cette victoire, l’Andalou Efes fait toujours la course en tête avec 16 victoires et aucune défaite. Derrière, le Pinar Karsiyaka et le Fenerbahçe se disputent la 2e place.\\n\\n\\nLouis Labeyrie une nouvelle fois décisif\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Roanne vs Strasbourg (9e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Face à une équipe roannaise nettement diminuée, la SIG Strasbourg s’est imposée sur le parquet de la Halle Vacheresse ce samedi (78-82) pour le compte de la 9e journée de Jeep Elite. Grâce à cette victoire, la troupe de Lassi Tuovi peut désormais regarder vers le haut du classement avec un bilan positif (5 victoires/4 défaites). Celui de la Chorale de Roanne est plus fragile (2 victoires/5 défaites).\\n\\nRevivez les meilleurs moments de la rencontre avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Limoges et Benoit Mbala, le clap de fin" }, {"role": "assistant", "content":"Le Limoges CSP se sépare de son ailier camerounais Benoit Mbala (2,00m, 25 ans), arrivé à l’été 2019 et à qui il restait un an de contrat après le présent exercice.\\n\\nMbala a eu beaucoup de mal à se faire une place dans la rotation du CSP et en 7 matches, il s’était vu confier 11’ de jeu en moyenne pour 2,6 points et 1,7 rebond.\\n\\nSelon Matthieu Marot du Populaire du Centre, il devrait retourner à Aix-Maurienne et y retrouver un autre ancien Limougeaud, Fréjus Zerbo.\\n\\n\\nLe Limoges CSP a annoncé avoir trouvé un accord pour se séparer de Benoit Mbala, dont le contrat se terminait en juin 2022. L'intérieur devrait retourner à Aix-Maurienne où il formerait une paire relativement physique avec Fréjus Zerbo. https://t.co/xD8Cy6nxTu\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) January 20, 2021\\n\\n\\nPhoto: CSP" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Deal jusqu’à la fin de la saison entre Fenerbahçe et l’ancien NBAer Kyle O’Quinn" }, {"role": "assistant", "content":"Fenerbahce et le pivot américain Kyle O’Quinn (2,06m, 30 ans) se sont mis d’accord sur un contrat pour le reste de la saison selon Nikos Varlas de Eurohoops sur Twitter.\\n\\nO’Quinn tournait à la moyenne de 5,4 points, 4,6 rebonds et 1,4 passe avec les Orlando Magic, les New York Knicks, les Indiana Pacers et les Philadelphia Sixers sur 474 matchs NBA en carrière.\\n\\nFenerbahçe est actuellement sur une série de 5 victoires en Euroleague et se situe à 10-10 au classement général. L’équipe turque clos son recrutement pour la saison après avoir également ajouté Marko Guduric à son effectif.\\n\\n\\nFenerbahce and Kyle O'Quinn is a done deal, expected to be official soon with a contract until the end of season.\\n\\n— Nikos Varlas (@VarlasOCT) January 20, 2021\\n\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=7wpC9bnHcIE&ab_channel=AIRHighlights\\n\\nPhoto d’ouverture : Kyle O’Quinn (Basket USA)" }, {"role": "user", "content":"ASVEL / Olympiakos (93-103 a.p) – TJ Parker : «Ça me fait rigoler quand j’entends qu’on doit faire le top 8»" }, {"role": "assistant", "content":"Hier soir à l’Astroballe, l’ASVEL s’est inclinée après prolongation (93-103) pour un match en retard de la 10e journée de l’Euroleague. Et pourtant les Villeurbannais avaient le match en main, quand soudain...\\n\\nImpensable... Il reste une toute petite poignée de secondes, l’ASVEL mène 86-83 et elle oublie de faire faute sur Kostas Sloukas (23 points, 27 d’évaluation), qui remonte le terrain et qui poignarde l’ASVEL à 8 dixièmes de la sirène sur un tir à trois-points, alors que les Villeurbannais auraient dû l’envoyer sur la ligne des lancers-francs. Punie en prolongations l’ASVEL concède sa quatorzième défaite (93-101) qui la maintient tout en bas du classement et lui fait nourrir une nouvelle fois frustration et regrets.\\n\\nDépassés par un Shaquille McKissic (23 points) et le talent de Sloukas, qui avait été très discret lors du match en Grèce, les Villeurbannais ont couru derrière le score en première mi-temps (37-44). Cependant, petit à petit, ils ont pris confiance et ils ont joué les yeux dans les yeux avec l’équipe grecque à l’image d’un Ismaël Bako et Kavarius Hayes (23 points et 12 rebonds à eux deux) qui ont fait un bon travail dans la peinture.\\n\\nL’ASVEL a eu l’occasion de gagner ce match grâce à l’expérience de David Lighty (18 points et 7 rebonds) mais c’était avant que Sloukas rappelle à tout le monde qu’il est l’un des meilleurs joueurs du continent et qu’il est capable de maintenir la tradition en « grequifiant » une équipe française !\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « Les consignes ont été données lors du temps mort : si on marquait les deux lancers, on devait faire faute directement même s’il restait huit secondes. Je vivais très bien avec un concours de lancers francs... Mais on ne devait pas prendre de tir à trois points. » avouait le coach de l’ASVEL à nos confrères du Progrès. « Ça me fait rigoler quand j’entends qu’on doit faire le top 8. Regardez l’expérience de cette équipe. Combien ont joué l’Euroleague ? C’est une équipe jeune avec quelques vétérans. Il faut regarder la réalité en face (...) C’est l’histoire de notre saison. Je pense que c’est arrivé deux ou trois fois. Nous étions dans le match en première mi-temps et tous les membres de notre équipe ont fait l’effort en deuxième mi-temps, ils se sont battus. Et quand on prend un temps mort et qu’on dit des choses précises à faire, il faut le faire. C’est pourquoi je suis si déçu, même pour nous, pour l’ASVEL, pour l’équipe, parce que le match était entre nos mains ».\\n\\nGeorgios Bartzokas (Coach Olympiakos) : « C’était un match très dur, très difficile. Nous sommes épuisés, même les entraîneurs. Tout d’abord, je considère ce match comme l’un des plus difficiles de la saison. Les raisons : d’abord, j’ai beaucoup de respect pour l’ASVEL, pour son effectif, pour sa façon de jouer. Pour nous, c’est difficile de se mettre au niveau. Et aussi, c’était une bonne réaction après le match perdu vendredi que de venir jouer ici. Bien sûr, nous avions Hassan Martin avec nous aujourd’hui, qui nous a beaucoup aidés, mais nous avons joué en équipe, nous avons eu de la patience et même dans le moment difficile du match, quand nous étions à terre au niveau du score, nous avons trouvé des solutions pour revenir et égaliser au score, enfin, avec ces tirs à trois points de Sloukas. Finalement, en prolongation, nous avons dominé avec notre jeu défensif. Nous avons eu 9 contres sur l’ensemble du match et je pense, si je ne me trompe pas, que 3 étaient en prolongation, donc nous avons eu de grands stops défensifs en fin de match pour réussir à gagner la partie. »\\n\\nKostas Sloukas (Olympiakos) : « Tout d’abord, après notre résultat précédent contre cette équipe, nous étions très contrariés et déçus parce que nous avons fait un très bon travail ce mois-ci et nous avons remporté une victoire. Je pense que tout au long du match, nous avons fait preuve de caractère. Nous avons un peu perdu le rythme du match au troisième quart avec quelques balles perdues stupides, mais l’important est que nous avons montré le cœur de l’Olympiacos, nous sommes revenus et avons pris ce match. »\\n\\n\\n\\nPhoto: Kostas Sloukas (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"En 2020, la JDA Dijon a été davantage citée dans les médias audiovisuels que les... Los Angeles Lakers" }, {"role": "assistant", "content":"La JDA Dijon a été en 2020 l’équipe de basket la plus mentionnée dans les médias audiovisuels (TV et radio) devant les Los Angeles Lakers, champion NBA. C’est l’étonnant résultat qui ressort d’une étude effectuée par Mediatree sur 418 chaînes. Il faut mettre cette performance sur le compte du parcours des Bourguignons en Basketball Champions League\\n\\nSi le retraité et président de l’ASVEL, Tony Parker, est le numéro 1 des joueurs les plus mentionnés, et la NBA de très loin la ligue la plus citée devant l’Euroleague, c’est la Ligue Féminine qui apparaît sur la 3e marche du podium au détriment de la Ligue Nationale de Basket. Là aussi c’est une surprise.\\n\\nPhoto: JDA Dijon (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Monaco / Malaga (90-71) – Mathias Lessort : «L’équipe était en feu, pas seulement moi»" }, {"role": "assistant", "content":"Après avoir fait mordre la poussière à Nanterre la semaine dernière, la Roca Team continue son sans faute dans ce Top 16 d’Eurocup en s’offrant le scalp de Malaga à Gaston-Medecin (90-71).\\n\\nMonaco a su recevoir malgré un début de rencontre compliqué et une adresse qui n’était pas au rendez-vous. Dans un premier temps, les hommes de Zvezdan Mitrovic ont laissé les Andalous mettre en place leur jeu et sont restés bien trop passifs en défense. Durant 20 minutes, Dean Thompson et Axel Bouteille se sont baladés et Malaga a compté jusqu’à 17 points d’avance (35-19, 16e). Mais si Dee Bost et les siens étaient au bord de la rupture en raison d’un manque de rythme, ils n’ont rien lâché et se sont remobilisés en deuxième mi-temps.\\n\\nLes Monégasques se sont alors mis au travail et ont haussé le ton défensivement sous l’impulsion de Mathias Lessort qui était au four et au moulin. Ultra motivé, celui-ci a permis à son équipe de retrouver une dynamique qui fait que ce Monaco-là est capable d’aller très loin en Eurocup. Rob Gray, auteur d’une superbe partie (24 points, 8/16 aux tirs et 4/4 aux lancers-francs, 2 rebonds, 2 interceptions et 1 passe pour 20 d’évaluation en 32 minutes) a lui aussi mis le feu à la défense de Malaga.\\n\\nDans le 3e quart, Monaco a collé un 27-11 à son adversaire du soir qui lui permettait de recoller au score (46-46, 25e) avant de dérouler en mode rouleau compresseur pour étriller Malaga jusqu’à la dernière seconde.\\n\\nZvezdan Mitrovic (Coach AS Monaco) : « Il est tôt pour dresser un bilan, nous n’avons joué que deux matchs, mais c’est bon pour nous. Nous avons battu les deux premières équipes, mais je pense qu’il est très important pour moi et mon équipe de savoir comment nous avons joué en deuxième mi-temps, avec une grande agressivité et une grande énergie. Après cela, nous avons capitalisé sur tout ce que nous avons fait en attaque et je suis très heureux de toutes ces choses ».\\n\\nLuis Casimiro (Coach Unicaja Malaga) : « Je pense que nous avons bien joué en première mi-temps. En deuxième mi-temps, quand Monaco a joué avec plus d’intensité et plus de physique en défense, ils nous ont stoppés. Il était difficile pour nous de jouer de bonnes possessions en attaque, en évitant les écrans et les passes faciles. Ce ne sont que deux matchs, mais le Top 16 n’est pas un long round. C’est encore possible ; nous avons le temps de jouer un bon basket et le prochain match est une autre possibilité pour nous de gagner. Nous devons avancer pas à pas, à chaque match, à chaque entraînement, pour continuer à faire partie du Top 16 »\\n\\nMathias Lessort (AS Monaco) : « L’équipe était en feu, pas seulement moi. C’était un grand match pour nous. Après la victoire à Nanterre, nous sommes en compétition avec cette équipe (NDLR : Malaga) pour la première place du groupe, c’est donc une victoire très importante et nous sommes déjà en route pour la prochaine. Bien sûr, nous devons continuer à jouer comme ça, surtout la façon dont nous avons joué en deuxième mi-temps. En première mi-temps, nous n’avons pas défendu comme nous voulions, mais en deuxième mi-temps, nous avons été beaucoup plus agressifs et nous avons fait le travail ».\\n\\nAxel Bouteille (Unicaja Malaga) : « Je pense que nous avons bien joué ensemble pendant la première mi-temps et nous avons mené d’environ 15 points. Ensuite en deuxième mi-temps, je pense qu’ils ont joué plus physiquement que nous. Pendant la première mi-temps, notre plan de jeu a bien fonctionné parce qu’ils ont manqué des tirs au début. Quand ils ont commencé à les mettre, c’était plus difficile pour nous. Ils ont fait la différence en la deuxième mi-temps. J’ai essayé de donner ce que je peux donner aujourd’hui. Ma cheville va beaucoup mieux, mais j’ai encore du travail à faire. Mathias (Lessort) a fait un bon match ce soir. C’est sûr qu’il a très bien joué à l’intérieur, mais je pense que toute l’équipe de Monaco a mieux joué que nous, surtout en deuxième mi-temps. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Mathias Lessort (Eurocup)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Dijon : la fidélité paye" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : David Holston (Photo : JDA Dijon – FOXAEP)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de la JDA Dijon.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ Dijon, c’est presque la moitié de l’équipe qui est là depuis plusieurs saisons – quatre joueurs sur neuf. Et il n’y a pas à dire, avoir fidélisé ces cadres se révèle des plus rentables pour le club. Certes, David Holston (+ 10 000 €), Axel Julien (+ 30 000 €), Alexandre Chassang (+ 30 000 €) et Abdoulaye Loum (+ 10 000 €) ont tous été augmentés mais, hormis Axel Julien en légère baisse (13,7 d’évaluation contre 14,5 la saison passée), les trois autres proposent a minima les mêmes stats (7,4 les deux années pour Loum) ou progressent (15,5 contre 14,0 pour Holston, 12,6 contre 11,8 pour Chassang).\\n\\nLe revers de la médaille, c’est que, comme le budget de la JDA est à la baisse par rapport à la saison passée, de même que sa masse salariale prévue (1 590 000 €, – 35 000 € sur 2019-20), les dirigeants du club ont dû faire des économies sur le recrutement. Pour le moment, ces économies ne se reflètent pas sur les productions de la JDA en Jeep Élite (3e avec 7 victoires pour 2 défaites), mais les deux dernières prestations de l’équipe en BCL, contre Nymburk et Tofas Bursa (avec deux défaites de 40 et 29 points), montrent les limites de l’effectif.\\n\\nIl devient ainsi évident que Jaron Johnson (7,4 d’éval cette saison, 13,9 et 140 000 € l’an passé à Chalon), Chase Simon (7,9 d’éval) et Jacques Alingue (9,8 d’éval cette saison, 11,5 et 120 000 € la saison dernière au Mans) ne compensent pas les départs respectifs de Lamonte Ulmer (qui valait 11,2 d’éval pour 120 000 €), Rasheed Sulaimon (13,6 d’éval pour 100 000 €) et Richard Solomon (14,2 d’éval pour 180 000 €).\\n\\nLa belle pioche, en revanche, concerne l’ailier belge Hans Vanwijn, qui offre un excellent rapport qualité-prix (14,4 d’éval), dans la droite ligne de ses productions outre-Quiévrain, où il a été deux fois de suite MVP du championnat.\\n\\nReste à voir si la JDA va pouvoir se maintenir dans le haut du classement de Jeep Élite sans retoucher son effectif ni l’allonger – le club semble, d’après nos estimations, avoir peu de marge financière pour recruter un joueur supplémentaire.\\n\\n * David HOLSTON (USA) : 190 000 €\\n * Axel JULIEN (FRA) : 140 000 €\\n * Alexandre CHASSANG (FRA) : 130 000 €\\n * Jaron JOHNSON (USA) : 110 000 €\\n * Chase SIMON (USA) : 110 000 €\\n * Jacques ALINGUE (FRA) : 110 000 €\\n * Hans VANWIJN (BEL) : 90 000 €\\n * Abdoulaye LOUM (FRA) : 80 000 €\\n * Charles GALLIOU (FRA) : 55 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Laurent LEGNAME (FRA) : 100 000 €\\n * Frédéric WISCART-GOETZ (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ Dijon, c’est presque la moitié de l’équipe qui est là depuis plusieurs saisons – quatre joueurs sur neuf. Et il n’y a pas à dire, avoir fidélisé ces cadres se révèle des plus rentables pour le club. Certes, David Holston (+ 10 000 €), Axel Julien (+ 30 000 €), Alexandre Chassang (+ 30 000 €) et Abdoulaye Loum (+ 10 000 €) ont tous été augmentés mais, hormis Axel Julien en légère baisse (13,7 d’évaluation contre 14,5 la saison passée), les trois autres proposent a minima les mêmes stats (7,4 les deux années pour Loum) ou progressent (15,5 contre 14,0 pour Holston, 12,6 contre 11,8 pour Chassang).\\n\\nLe revers de la médaille, c’est que, comme le budget de la JDA est à la baisse par rapport à la saison passée, de même que sa masse salariale\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"BCL : 3e en 2020, la JDA Dijon éliminée prématurément" }, {"role": "assistant", "content":"Troisième de l’édition 2020, la JDA Dijon se retrouve éliminée prématurément de l’édition 2021 de la Basketball Champions League quelques semaines plus tard.\\n\\nLes Bourguignons ont rempli leur contrat en s’imposant très largement à Keravnos Nicosie (44-79) avec 22 points, 10 rebonds et 5 passes de l’ailier belge Hans Vanwijn mais pour se qualifier il leur fallait que Nymburk gagne en République Tchèque face à Tofas Bursa. Or, ce sont les Turcs qui sont sortis victorieux du duel (97-103) grâce à un meilleur 4e quart-temps (19-24).\\n\\nLes Dijonnais payent au prix fort leurs lourds échecs face à Nymburk (-40) et Bursa (-29) alors que les trois équipes finissent à égalité au classement mais sont départagées par le point average.\\n\\nPhoto: David Holston (JDA Dijon, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Iliana Rupert et la WNBA : L’exemple de Sandrine Gruda" }, {"role": "assistant", "content":"Iliana Rupert (1,93m, 19 ans) est née à Sèvres, a passé une partie de son enfance à Pau, a transité par l’INSEP, porte les couleurs tango de Bourges, mais Le Maine Libre la considère aussi comme Sarthoise sachant qu’elle a été formée en partie à Coulaines et que sa maman est installée dans le département. Elle est annoncée dans le top 10 et même peut-être dans le top 5 de la prochaine draft WNBA et dans le quotidien sarthois, elle fait savoir qu’elle a l’intention de mener une carrière à multiples facettes si une franchise américaine fait appel à elle :\\n\\n« Oui, ça peut paraître contraignant pour certaines, mais moi je trouve ça incroyable. Pendant l’année, on peut jouer en Euroleague, puis l’été partir aux Etats-Unis. On n’a pas besoin de choisir. Ca fait de lourdes charges de travail, il faut faire des concessions et des sacrifices, mais je trouve que c’est un plus car on peut affronter les meilleures sur une longue période. C’est ça que je recherche ! Il faut être davantage vigilant et à l’écoute de son corps. »\\n\\nIliana Rupert prend exemple sur la réussite d’une de ses équipières en équipe de France :\\n\\n« Les filles qui y sont allées ne regrettent pas. Sandrine Gruda en est l’exemple parfait, elle a réussi à tout enchaîner pendant six ans et elle a remporté le titre WNBA (NDLR: avec les Los Angeles Sparks en 2016), ça donne envie ! Et elle est toujours au top niveau, donc ça montre bien qu’il est possible de faire une carrière si dense. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Cholet : Michael Stockton, le premier de la classe" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de Cholet Basket.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCholet Basket est une équipe difficile à cerner et à suivre car les changements en début de saison sont perpétuels et brouillent sa lisibilité. C’est la méthode Erman Kunter, qui n’hésite pas à écarter des joueurs étrangers qu’il a choisi mais dont il estime qu’ils ne font pas l’affaire. Ike Nwamu, Chauncey Collins, Kyvon Davenport et Terell Parks sont passés à la trappe alors que CB n’a disputé que 8 matches. Pas loin d’un record national.\\n\\nAutre marque de fabrique de Cholet Basket ces dernières années : l’essentiel de la masse salariale est mis sur les étrangers. Avec simplement 1 435 000 euros à disposition, celle-ci est faible pour une équipe engagée en Basketball Champions League. Seulement 5 clubs français sont moins bien lotis et aucun ne dispute une Coupe d’Europe.\\n\\nCôté français, seul Vanessa Fofana perçoit un salaire dans les standards de la division. Karlton Dimanche, Yoan Makoundou et Hugo Robineau, tous les trois 20 ans, sont à peine sortis des rangs espoirs avec les revenus qui vont avec, et Robineau a été prêté à Gries après avoir eu droit à 2 malheureuses minutes en Jeep Elite.\\n\\nOn conviendra que le salaire du meneur US Michael Stockton est mérité, tout en n’apparaissant pas dans le top 5 des étrangers de la Jeep Elite à son poste. Il possède de très loin la meilleure évaluation du groupe (21,5 contre 14,3 à son dauphin Aaron Jones qui n’a fait que 3 matches) et il est le général, l’âme de l’équipe... et un repère bienvenu pour les fans et les observateurs.\\n\\nLe retour du pivot Chris Horton est pour le moins original. Après une saison réussie en Grèce dans un club modeste -le Kymis BC- il avait perçu le top-salaire du club la saison dernière avec 110 000 euros et il avait comblé son entourage (17,2 points, 9,0 rebonds pour 23,6 d’évaluation) étant ainsi un sérieux candidat au trophée de MVP d’une saison qui a été stoppée net. Son transfert à Gravelines a surpris et il y a été bien en-deca de ses performances choletaises (12,6 d’éval) avant que l’histoire se termine en eau de boudin. Le BCM l’a viré -selon nos informations sans indemnités- et le voici confronté au challenge de démontrer que son rendement est toujours le même depuis un an, avec des revenus en hausse substantielle.\\n\\n * Michaël STOCKTON (USA) : 130 000 €\\n * Chris HORTON (USA) : 115 000 € (19 000 € par mois)\\n * Kyvon DAVENPORT (USA) : 100 000 € (coupé début janvier)\\n * Aaron JONES (USA) : 57 500 € (sur 7 mois)\\n * Gerry BLAKES (USA) : 66 000 € (sur 8 mois)\\n * Vanessa FOFANA (FRA) : 84 000 €\\n * Nanta DIARRA (MLI) : 72 000 €\\n * Lasan KROMAH (USA) : 70 000 €\\n * Gregor HROVAT (SLO) : 60 000 €\\n * Karlton DIMANCHE (FRA) : 50 000 €\\n * Yoan MAKOUNDOU (FRA) : 30 000 €\\n * Hugo ROBINEAU (FRA) : 30 000 € (prêté à Gries-Oberhoffen, Pro B, depuis fin novembre 2020)\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Erman KUNTER (TUR/FRA) : 120 000 €\\n * Sylvain DELORME (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nCholet Basket est une équipe difficile à cerner et à suivre car les changements en début de saison sont perpétuels et brouillent sa lisibilité. C’est la méthode Erman Kunter, qui n’hésite pas à écarter des joueurs étrangers qu’il a choisi mais dont il estime qu’ils ne font pas l’affaire. Ike Nwamu, Chauncey Collins, Kyvon Davenport et Terell Parks sont passés à la trappe alors que CB n’a disputé que 8 matches. 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Fin décembre, nous avons reçu un avis de résiliation du contrat au bout de six mois, et pour nous cette nouvelle a frappé comme un éclair. Tel est le cadeau du Nouvel An ! En fait, en juin, la section de basket-ball du CSKA est à la rue. Par conséquent, formellement, il est possible que l’équipe principale ne soit pas en mesure de terminer complètement la saison. Le problème ici n’est pas que nous n’avons nulle part où jouer. Bien sûr, nous trouverons une salle qui répond aux exigences de l’Euroleague et de la VTB League. La question est qu’en même temps nous nous trouverons privés d’une base d’entraînement pour trois équipes, la principale et les deux équipes de jeunes. De plus, nous perdons un centre médical et de récupération, un bureau, une boutique, un musée, un entrepôt, toute l’infrastructure du club. Le club le plus titré du pays, le grand européen se révèle sans abri. »\\n\\nIl existe des solutions qui sont selon le président du club de l’armée...\\n\\n« ... Très différentes, y compris déménager dans une autre ville. Je pense que vous comprenez parfaitement combien il en coûte pour construire une arèna moderne à Moscou à partir de zéro, pour trouver un terrain pour cela, pour coordonner des projets. Même pour Norilsk Nickel (NDLR: le propriétaire du CSKA basketball), c’est beaucoup d’argent, qui sera incroyablement difficile à rentabiliser. Désormais, tout s’organise de telle manière que le club et la ville risquent de subir de graves pertes au niveau de leur réputation. Dans le même temps, la direction de Norilsk Nickel, bien sûr, est consciente de notre problème et est prête à fournir une assistance maximale au club. Essayons de sortir d’une position difficile la tête haute. Nous nous efforcerons de remédier aux problèmes, mais, je le répète, la décision du ministère de la Défense de démolir de toute urgence l’USK est un coup dur pour la vie du club et ses résultats sportifs. La meilleure solution pour nous serait probablement un déménagement complet à Megasport, mais cela ne sera pas possible l’été prochain, car il n’y a pas de salles d’entraînement dans l’arèna et le site principal est loué pour divers événements. En théorie, nous envisageons la possibilité de construire deux ou trois salles, plus des espaces de bureau. Comme nous le voyons, il y a de la place pour cela. Mais encore une fois, il faut au moins deux ans pour créer un projet, le coordonner, le construire et le peaufiner. En outre, cela exigera une compréhension et un soutien sans réserve de la part du gouvernement de Moscou. Habituellement, les grandes villes veulent avoir des super clubs qui non seulement apportent la renommée, mais poussent également le développement du sport. Je suis sûr que le bureau du maire, contrairement au ministère de la Défense, comprend que laisser sans-abri un club avec une histoire aussi riche, qui est toujours le fleuron du sport russe, est pour le moins une mauvaise idée. Après tout, le CSKA est un trésor national, l’un des symboles de notre pays. »" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Boulazac vs Dijon (16e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Ce samedi 16 janvier, le BBD jouait son premier match officiel en Jeep Elite de la nouvelle année. Un match avancé de la 16ème journée, face à Dijon, qui démontre quelques faiblesses en Basketball Champions League. Mais après cette nouvelle défaite (76-86), Boulazac est toujours à la recherche d’un premier succès.\\n\\nEn partenariat avec TCL, revivez les plus belles actions de ce match.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Italie: Le Finlandais Petteri Koponen va enfin rejouer" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur finlandais Petteri Koponen (1,94m, 32 ans) va enfin retrouver la sensation de la compétition. Banni du Bayern Munich depuis le début de saison, il était reparti se tenir en forme dans son pays avant de contracter avec Reggio Emilia. Le club allemand vient de le libérer après plusieurs jours de tractation.\\n\\nPetteri Koponen a signé un accord avec le club italien jusqu’au 30 juin. Il est le deuxième Finlandais de l’histoire du club après Teemu Rannikko qui y a joué en 2001-02. Ses débuts sont prévus samedi à domicile contre Trento.\\n\\nKoponen est le meilleur joueur de sa génération et il est passé précédemment par la Virtus Bologne, le Khimki Moscou et le FC Barcelone.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Pau-Lacq-Orthez vs Bourg-en-bresse (12e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Passé à côté du money time, l’Élan béarnais n’y arrive plus : les Palois se sont inclinés pour la cinquième fois de suite en Jeep ÉLITE face à la JL Bourg (76-83), ce samedi 16 janvier. Les Bressans, humiliés en début de semaine, se se sont de leur côté pleinement rassurés.\\n\\nVous avez loupé le match ? Retrouvez le résumé de la rencontre avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : L’ASVEL repousse Gdynia, 79-76" }, {"role": "assistant", "content":"Contrairement à Basket Landes et Bourges, l’ASVEL a réussi son entrée dans la deuxième phase de l’Euroleague en s’imposant aux Polonaises de VBW Arka Gdynia, 79-76.\\n\\nMalgré un bon deuxième quart-temps (28-18), les filles de Valéry Demory ont dû cravacher jusqu’au bout en comptant sur une manifeste supériorité au rebond (41 prises à 23). Les responsabilités ont été bien réparties entre les joueuses majeures et si Aleksandra Crvendakic a été la meilleure marqueuse (16 points), Marine Johannes a fait 8 passes alors que Helena Ciak et Nayo Raincock-Ekunwe ont capté 7 rebonds chacune.\\n\\nIl s’agit de la 3e victoire en 4 matches des Lyonnaises qui sont ainsi bien positionnées pour se qualifier pour les quarts-de-finale.\\n\\nPhoto: Aleksandra Crvendakic (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B : Le communiqué de la Ligue Nationale de Basket à propos de la suite de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, la Ligue Nationale de Basket officialise les décisions prises aujourd’hui en visioconférence par le Comité Directeur:\\n\\n« -Pour la Jeep® ÉLITE, il a été décidé que du 20 janvier 2021 au 15 février 2021 chaque équipe participera à 2 matches de championnat dont 1 obligatoirement à domicile à huis clos. Seront joués en priorité les matches ayant fait l’objet d’un report depuis le début du championnat.\\n\\n– Pour la PROB, il a été est décidé que la période du 20 janvier 2021 au 15 février 2021 sera utilisée pour jouer un maximum de matches reportés depuis le début de la saison. Ces matches, qui seront disputés à huis-clos, permettront d’atteindre au minimum 7 journées complètes au 15 février 2021.\\n\\nAfin de statuer sur la suite du déroulement des championnats de Jeep® ÉLITE et de PROB, les clubs de chaque division se réuniront très rapidement afin de mettre en place différents scénarii qui seront ensuite soumis à l’Assemblée Générale.\\n\\nCalendrier des rencontres de Jeep® ÉLITE\\nLes rencontres du week-end :\\n\\nSamedi 23 janvier 2021\\n19h00 : Champagne Basket / Boulogne-Levallois Metropolitans 92\\n\\nLes prochaines rencontres de Jeep® ÉLITE seront programmées à partir du 29 janvier et communiquées d’ici la fin de la semaine\\n\\nCalendrier des rencontres de PROB\\nLes rencontres du week-end :\\n\\nVendredi 22 janvier 2021\\n19h00 : SLUC Nancy / BC Gries-Oberhoffen\\nSamedi 23 janvier 2021\\n18h00 : Béliers de Kemper / Paris Basketball\\n18h00 : ASC Denain Voltaire / Lille Métropole Basket\\n19h00 : Nantes Basket Hermine / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n20h00 : Fos Provence Basket / Saint-Chamond\\n20h00 : Poitiers Basket 86 / BC Souffelweyersheim\\n\\nLes prochaines rencontres de PROB sont programmées à partir du 25 janvier et communiquées d’ici la fin de la semaine. »" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Chalon-sur-Saône vs ASVEL (12e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Chalon a mené de bout en bout face à l’armada la plus impressionnante de France qui avait sans doutes les jambes lourdes pour son 3e match de la semaine. Les héros de la victoire face à l’Asvel (85-75) sont Jordon Crawford (27 points, 9 passes) et Sean Armand (22 points).\\n\\nRetrouvez les highlights de ce match présenté par notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB Youtube" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite et Pro B: Des matches d’ici le 15 février" }, {"role": "assistant", "content":"Lors d’une Assemblée Générale et à une large majorité, la Ligue Nationale de Basket a pris la décision que chaque équipe de Jeep Élite jouera à huis clos deux matchs du 20 janvier au 15 février, un à domicile, l’autre à l’extérieur. Les championnats bénéficieront ensuite d’une... trêve en raison des dates réservées pour la Leaders Cup, qui a été annulée, et de la « fenêtre » pour les équipes nationales.\\n\\nPour la Pro B, l’objectif est que chaque équipe arrive à mi-février à 7 matches. C’est ainsi, par exemple, que les Béliers de Kemper, disputeront... cinq rencontres d’ici au 13 février.\\n\\nUne sage décision afin de permettre aux joueurs de jouer et aux clubs de conserver un lien avec leurs fans à travers les différents médias dont La Chaîne L’Equipe et Sport en France, qui diffusent des rencontres en clair.\\n\\nIl a été également reconnu au cours de cette AG comme important de définir une ligne directrice pour la fin de la saison et la LNB va proposer dans quelques jours différentes formules avec ou sans playoffs, ceux-ci pouvant être raccourcis." }, {"role": "user", "content":"Libéré par le FC Barcelone, Thomas Heurtel est désormais free agent et signera un contrat avec le Real Madrid pour la prochaine saison" }, {"role": "assistant", "content":"Son agent de Beobasket, Misko Raznatovic, et le club viennent d’indiquer que Thomas Heurtel (1,89m, 31 ans) a été « libéré » du contrat qui le liait jusqu’au 30 juin 2022 au FC Barcelone et qu’il est ainsi désormais free agent.\\n\\nDepuis qu’il n’était plus inclus dans le roster du Barça, l’international s’entraînait seul. Sa future destination devrait être bientôt connue mais réglementairement, il ne peut plus jouer en Euroleague lors de la présente saison.\\n\\nSelon l’insider Chema de Lucas, Thomas Heurtel va signer un contrat 1+1 avec le Real Madrid mais seulement à la fin de la saison car il existe une clause dans son contrat de sortie qui lui interdit de jouer dans un club espagnol en 2010-21. Il n’aurait pas l’intention de signer pour un autre club d’ici là.\\n\\n\\nThomas Heurtel and FC Barcelona officially parted ways! Thomas is free agent now!#BeoBasket\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) January 19, 2021\\n\\n\\n\\nEl Barça y Thomas Heurtel han rescindido, de mutuo acuerdo, el contrato que les unía hasta el 30 de junio de 2022, siendo la temporada 2021/22 opcional.https://t.co/VswEnl4rnQ pic.twitter.com/y3FnskfdBQ\\n\\n— Barça Basket (@FCBbasket) January 19, 2021\\n\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"ASVEL vs Olympiakos ce soir- Giorgios Bartzokas : «Je pense toujours que Villeurbanne est une bonne équipe, quel que soit le classement»" }, {"role": "assistant", "content":"Olympiakos retrouve ce soir l’ASVEL à l’Astroballe, quatre jours après s’être fait piéger (64-69) au Pirée. Inutile de préciser que les Grecs veulent leur revanche.\\n\\nBlessés, Kostas Papanikolaou (5,7 points, 5,9 d’évaluation) et Giannoulis Larentzakis (3,9 points, 3 d’éval) ne seront pas sur le terrain ce soir, au contraire de Hassan Martin (9,4 points, 11,5 d’éval) qui était absent vendredi. L’entraîneur de l’Olympiacos, Giorgos Bartzokas, s’est vu demander si son équipe avait appris de sa défaite du premier match :\\n\\n« Nous espérons... On ne sait jamais. Le match est toujours la preuve de la progression d’une équipe, si elle est prête, déterminée et capable d’atteindre ses objectifs. Je tiens à dire que pour moi, la défaite contre Villeurbanne n’était pas seulement le produit d’une sous-estimation de l’adversaire ou d’une approche laxiste du match, mais aussi de la bonne performance de l’adversaire. Je pense toujours que Villeurbanne est une bonne équipe, quel que soit le classement. C’est une équipe talentueuse et athlétique ».\\n\\nLorsqu’on lui a demandé si le plan du match précédent avait été adéquat, mais n’avait pas été appliqué correctement, ou s’il devrait réviser certains aspects en vue du match « retour », le coach grec a répondu:\\n\\n» Les deux. Évidemment, ce ne sont pas seulement les joueurs qui portent la responsabilité d’un résultat négatif, les entraîneurs en portent également la responsabilité. Donc, nos tactiques n’étaient pas non plus les bonnes. Nous apportons des changements, mais c’est important, et je n’utilise pas cela comme une excuse, que deux joueurs, Papanikolaou et Martin, n’aient pas été dans la rotation de l’équipe. »\\n\\nEt il a conclu :\\n\\n« Pour devenir l’équipe que nous devons être, nous devons être bons après les matchs gagnés. Je pense qu’après les défaites, toutes les équipes se rassemblent et ont une motivation supplémentaire pour faire leurs preuves. Cependant, nous sortions de trois victoires consécutives, nous devions gagner un match à domicile et nous ne l’avons pas fait. Je crois que nous allons changer de niveau quand nous ferons cela... Quand nous gagnerons les matchs que nous devons vraiment gagner ».\\n\\nRappelons qu’alors que depuis le match de vendredi l’ASVEL est tombée à Chalon, Olympiakos a pu recharger ses batteries puisque c’est son équipe B qui est engagée en 2e division grecque.\\n\\nPhoto: Kostas Sloukas (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Julien Monclar (GM Blois) : «J’attends de la Ligue un lobbying d’enfer pour que, dès que possible, on puisse remettre tout ou partie du public dans les salles»" }, {"role": "assistant", "content":"C’est aujourd’hui que la Ligue Nationale de Basket doit décider en Assemblée Générale si les championnats de Jeep Elite et de Pro B doivent se poursuivre ou pas. A un rythme très mesuré puisqu’il s’agirait de deux matches en quatre semaines. Interrogé par La République du Centre, Julien Monclar, le manager général de l’ADA Blois, aurait aimé que l’on sorte du stop and go.\\n\\n« Il aurait fallu qu’on choisisse entre jouer tous les week-ends dès maintenant malgré les huis clos ou ne pas jouer du tout. En se disant qu’il restait la possibilité de disputer quoi qu’il arrive au moins une demi-saison entre mars et juin. Ça fait des semaines qu’on avance à vue en faisant du coup par coup sans avoir de visibilité (...) « Personne n’aime jouer à huis clos, mais un match non-joué coûte encore plus d’argent qu’un match disputé sans spectateurs. On peut quand même faire vivre quelque chose à nos abonnés, nos partenaires et aux collectivités. On remplit une bonne partie de nos obligations envers eux. »\\n\\nJulien Monclar ajoute :\\n\\n« J’attends de la Ligue un lobbying d’enfer pour que, dès que possible, on puisse remettre tout ou partie du public dans les salles. Qu’elle soit au feu pour trouver des mécanismes de compensation des pertes de chiffres d’affaires. Mais sûrement pas qu’elle ménage les subtilités de tel ou tel club. »" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine: Basket Landes et Bourges dans les cordes" }, {"role": "assistant", "content":"Basket Landes et Bourges ont très mal entamé la 2e phase de l’Euroleague au Prado en étant battu respectivement par Galatasaray (89-63) et Sopron (74-67).\\n\\nLes Landaises ont d’entrée suffoqué devant le déferlement de points des Turques, étant menées 34 à 22 après dix minutes. Si ce sont plusieurs Américaines qui ont apporté l’essentiel des points du Galatasaray, c’est la la meneuse turque Asena Yalcin qui a été la plus complète avec 9 points, 9 passes et 6 rebonds.\\n\\nBasket Landes n’a tourné qu’à 33,3% de réussite et Valériane Ayayi-Vukosavljevic a été la top-scoreuse avec seulement 13 points.\\n\\nSi le Tango Bourges Basket a effectué un baroud d’honneur dans le dernier quart-temps, il a été dominé précédemment étant mené 62-49 à l’issue du troisième. En plus de l’Américaine Marissa Coleman, Alix Duchet, malade, était absente alors que Iliana Rupert est demeurée sur le banc.\\n\\nIsabelle Yacoubou a été performante avec 20 points (8/12 aux tirs) et 8 rebonds, mais ce fut le cas aussi de plusieurs individualités à Sopron dont la Serbe Jelena Brooks, qui a cumulé 19 points (3/4 à trois-points) et 8 rebonds.\\n\\nLes deux équipes françaises sont désormais en mauvaise posture dans le Groupe D et voient leurs chances de qualification sérieusement entamées.\\n\\nPhoto: Sarah Michel (Bourges, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Australie: Patty Mills, la fierté de ses racines" }, {"role": "assistant", "content":"Regardez Patty Mills (1,83m, 32 ans) chanter l’hymne australien avant un match des Boomers et vous verrez combien il aime ses racines. Le meneur des San Antonio Spurs est est né d’une mère aborigène d’Australie-Méridionale et d’un père indigène du détroit de Torrès et à ESPN Australia, il confie :\\n\\n« Je vais toujours dire ceci: je m’appelle Patrick Mills, je suis un homme Kokatha d’Australie du Sud, et je suis un homme Naghiralgal et Dauareb-Meriam des îles du détroit de Torres. Mes liens et mes racines avec cette terre d’Australie – la mer, les récifs, le ciel, les étoiles – viennent d’une époque et d’un lieu qui existaient bien avant l’invention du basket-ball, et certainement bien avant la création du programme Boomers. J’aime toujours y revenir, c’est mon lien avec tout, ma passion vient de mon peuple et de ce qu’il signifie pour ce pays. Le reste vient de l’adversité et des obstacles que j’ai rencontrés, qui, je le sais, existent toujours pour de nombreux autres peuples aborigènes et des îles du détroit de Torres, en particulier les enfants d’aujourd’hui. Je ne sais pas s’il y a eu un moment déterminant ou non, mais j’ai l’impression que plus je suis loin de chez moi, plus ma connexion est forte. »\\n\\nLes ambitions de Patty Mills pour les Jeux Olympiques de Tokyo sont très élevées alors que l’Australie est toujours à la recherche d’une médaille dans une compétition planétaire. Il veut l’or, ni plus ni moins. Déjà, à la question de savoir s’il sera présent au Japon, il rétorque:\\n\\n« Clair comme du cristal, mon pote. Aucune hésitation. Tout le monde est bien conscient de cela, tout au long du programme, l’équipe, évidemment ‘Goorj’ (l’entraîneur des Boomers Brian Goorjian), et les joueurs aussi. Il n’y a aucun doute là-dessus. Pas une once de vaisseau sanguin dans mon corps dit le contraire, je suis bien évidemment pleinement engagé. »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: La Basketball Champions League, 5ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"Ces deux dernières semaines, se déroulait la cinquième et avant-dernière journée de la saison régulière de la Basketball Champions League (BCL).\\n\\nLors de cette journée, les clubs français ont un bilan équilibré avec deux victoires et deux défaites.\\n\\nCholet recevait le Tsmoki Minsk. Dernier du groupe, le club des Mauges aurai été éliminé en cas de défaite. Le club de la capitale du Bélarus était handicapé à l’intérieur. En effet, en plus du départ de Maksim Salash pour l’Espagne, Vladimir Veremeenko et Klavs Cavars étaient absents. Le club des Mauges a largement dominé le match et remporté tous les quart-temps. Il a donc gagné sans frayeurs ce match couperet 89-71. L’équipe d’Erman Kunter a été emmenée par un trio Gerry Blakes-Yoan Makoundou-Gregor Hrovat, auteur d’une évaluation totale de 76, soit largement plus que l’équipe adverse. Le second, du haut de ses 20 ans, a mis à profit sa titularisation pour cumuler le titre de MVP français de la semaine, celui de Rising Star et enfin intégrer le meilleur Cinq européen. Le dernier est lui le meilleur passeur de la journée. Cette victoire permet à Cholet de laisser la dernière du groupe à son adversaire du soir et de rester dans la course à la qualification.\\n\\nLa JDA Dijon, leader invaincu de son groupe, se déplaçait chez le second, l’Era Nymburk. Malheureusement, en dehors du premier point de la partie, le club bourguignon n’a jamais mené ni même remporté de quart-temps. En première mi-temps, il n’a marqué que 20 petits points. Son adresse globale a été de seulement 26%. Le duo Hayden Dalton-Retin Obasohan a une évaluation supérieure à celle de toute l’équipe de Laurent Legname. Après sa défaite en match en retard à domicile face au Tofas Bursa, Dijon se retrouve 3ème et en position d’éliminé avant la dernière journée.\\n\\nLe CSP Limoges se déplaçait à Laktasi en Bosnie pour y affronter le KK Igokea Aleksandrovac. Dernier de son groupe, il devait l’emporter pour rester en course. Mais le club français débute mal et est déjà mené de 9 points à l’issue du premier quart. Il remonte petit à petit et remporte les deux quarts suivants. Il réussit à reprendre l’avantage dans le dernier quart et mène de 3 points à l’entrée de la dernière minute. Mais le club bosnien inflige un 6-0 à Limoges pour finir et remporte la victoire 73-70. Son leader a été l’ancien pivot de Bourg Jackie Carmichael. Limoges est donc éliminé avant la dernière journée. Le cinquième budget français est la principale déception tricolore sur la scène européenne cette saison.\\n\\nEnfin, Strasbourg recevait le VEF Riga. C’est le match au sommet du groupe qui oppose les deux coleaders. Le vainqueur sera qualifié pour le Top 16. C’est le club letton qui prend le premier les commandes du match et remporte le premier quart de 9 points. Mais le deuxième est pour la SIG qui revient dans le coup à la mi-temps. Au terme d’un second acte équilibré, c’est Bonzie Colson qui envoie le match en prolongations à 8 secondes du buzzer sur un tir à 3 points. Dans la première prolongation, aucune des deux équipes ne marquera dans les 2 minutes et 26 secondes finales, provoquant une seconde prolongation. Cette fois, les Alsaciens prennent la mesure de leur adversaire du soir et remporte la victoire 101-94 au bout de 50 minutes de jeu effectif. Le match s’est résumé à un duel de forwards entre Bonzie Colson et Isaiah Pineiro. Ils font d’ailleurs tous les deux partie du meilleur Cinq de la quinzaine. Le second est également le co-meilleur rebondeur avec 13 unités. Cette victoire envoie donc le club alsacien au Top 16.\\n\\nDans le groupe A, le match au sommet opposait Tenerife à Sassari. Cette confrontation entre les deux coleaders qualifiait le vainqueur pour le Top 16. En dehors des 6 premières minutes, le club italien n’a jamais mené au score et s’incline lourdement 115-85. 4 joueurs de l’équipe de Txus Vidorreta ont atteint la barre des 20 d’évaluation et son leader a été le pivot georgien Giorgi Shermadini. Ce dernier a été très efficace en sortie de banc et sur un temps de jeu relativement réduit. Sa performance lui vaut les honneurs du titre de MVP européen de la journée.\\n\\nDans l’autre match, Bakken Bears bat largement Galatasaray 96-78 et provoque l’élimination du club stambouliote. Il pourra ainsi se concentrer sur sa situation très inconfortable dans son championnat national. Le meneur américain QJ Peterson a été décisif dans cette victoire prestigieuse avec un 37 d’évaluation. Il a notamment marqué 35 points, ce qui en fait le meilleur marqueur de la quinzaine. En ajoutant 7 rebonds et 5 passes décisives, il est largement le MVP de la journée. Le club danois reste en course pour la qualification et se battra à distance avec Sassari.\\n\\nDans le groupe B, le Tofas Bursa recevait le Keravnos Nicosie, déjà éliminé et vierge de victoire. Sans surprise, le club turc s’impose 78-67 et se retrouve en position de qualifiable. Il a été emmené par un trio composé de Tomislav Zubcic, Semaj Christon et Berkan Durmaz. Le premier et le dernier intègrent tous les deux le meilleur Cinq européen. Les deux matchs de la dernière journée seront décisifs.\\n\\nDans le groupe C, l’AEK Athènes se déplaçait à l’Hapoel Holon et se qualifiait en cas de victoire. Mais c’est le club israélien qui gère tranquillement le match et s’impose 77-71. Son leader a été l’ancien ailier de Bourg Chris Johnson. Il a notamment pris 13 rebonds, ce qui fait de lui le co-meilleur rebondeur de la journée. Les deux derniers matchs seront également décisifs dans ce groupe.\\n\\nDans le groupe D, le match au sommet opposait les deux premiers, Nizhny Novgorod et le Casademont Zaragoza. Chaque équipe aura sa mi-temps. La première est dominée par le club russe qui marque 51 points et mène de 9. La seconde est pour l’équipe espagnole. Au final, Artem Komolov envoie le match en prolongations d’un tir à 3-points à 26 secondes du buzzer. Le club de la capitale de l’Aragon marque les 5 premiers points et réussit à l’emporter 98-92. Le secteur intérieur a été décisif pour Zaragoza avec un duo Robin Benzing-Jason Thompson à 46 d’évaluation cumulée. Du côté russe, c’est le duo Luke Petrasek-Ivan Strebkov qui s’est mis en valeur. Le second est même le meilleur meneur européen de la quinzaine. Avec cette victoire, l’équipe du sélectionneur national argentin, Sergio Hernandez, se qualifie pour le tour suivant.\\n\\nDans l’autre match, le Falco Szombathely s’impose largement au Start Lublin 83-59 et reste en course. Le leader de l’équipe hongroise a été Benedek Varadi qui est le meilleur arrière de la journée. Le match opposant Nizhny Novgorod au Falco Szombathely sera donc capital.\\n\\nDans le groupe E, Peristeri recevait le Rytas Vilnius. Le club de la capitale grecque était privé pour ce match de Ryan Harrow, Steven Gray et Jonathan Arledge. Malgré cela, en dehors d’un troisième quart raté, il a dominé cette rencontre et l’a emporté 81-74. L’équipe d’Argirios Pedoulakis a été emmenée par son duo d’ailiers Jaye Crockett-Terran Petteway. Suite à cette défaite, le Rytas est éliminé. Le club grec devra battre le VEF Riga de plus de 3 points lors du dernier match pour se qualifier.\\n\\nDans le groupe F, le match au sommet opposait les deux premiers. Le Brose Bamberg, déjà qualifié, recevait le Retabet Bilbao. Le club basque était handicapé par les absences de Ludvig Hakanson, Jonathan Rousselle et Ondrej Balvin alors que seul Tyler Larson manquait à l’appel côté allemand. Après une première mi-temps équilibrée, le club bavarois se détache au retour des vestiaires et remporte le match 90-75. Il a été emmené par le trio Bennet Hundt-Christian Sengfelder-David Kravish qui a cumulé plus de la moitié de l’évaluation de son équipe.\\n\\nDans l’autre match, Le Pinar Karsiyaka se déplaçait à Bologne pour y affronter la Fortitudo, qui n’a pas encore remporté de match. Et l’équipe d’Amath M’Baye a tranquillement remporté cette rencontre 78-65. Le leader de l’équipe turque a été Raymar Morgan qui est le meilleur pivot de la quinzaine. Cette victoire permet à Karsiyaka de se retrouver en position de qualifiable et élimine la Fortitudo. Lors du dernier match, Bilbao recevra le Pinar Karsiyaka et devra s’imposer de plus de 9 points pour se qualifier.\\n\\nDans le groupe G, le Türk Telekom Ankara se déplaçait à Jérusalem pour y affronter l’Hapoel. En cas de victoire, le club de la capitale turque s’assurerait la qualification au Top 16. C’est le club israélien qui domine la première mi-temps et qui mène de 15 points à la pause. L’écart monte même à 19 points. Mais le Türk Telekom réalise un excellent dernier quart et égalise par Kamar Baldwin à 39 secondes du terme. Et ce même Baldwin mettra un lancer sur deux quasiment au buzzer pour donner la victoire à l’équipe de Burak Goren 78-77. Elle n’aura donc mené qu’une seule fois au score et ce pendant les 3 dernières secondes du match. Celles-ci qualifient donc l’équipe visiteuse pour la suite de la compétition. Igokea et l’Hapoel Jerusalem s’affronteront ainsi à distance avec l’avantage pour le club bosnien.\\n\\nDans le groupe H, l’Hereda San Pablo Burgos recevait Ostende. Le club belge était handicapé par les absences de Simon Buysse, Mario Nakic, Amar Sylla et Servas Buyschaert. A l’issue du premier quart, l’équipe espagnole avait déjà marqué 35 points et menait de 10 points. Puis, dans le troisième quart, elle n’encaisse que 9 points. Au final, l’équipe de Joan Penarroya s’impose 88-73 et se qualifie pour le Top 16. Ostende, quant à lui, est éliminé. Le pivot serbe Dejan Kravic a été le meilleur joueur de la partie.\\n\\nDans l’autre match, Brindisi se déplaçait à Istanbul pour y affronter Darussafaka. Cette rencontre a été très disputée. Le score a joué aux montages russes. Le club stambouliote a pris l’avantage dans le premier quart avant de se faire rejoindre dans le second. Puis il est passé devant dans le 3ème quart. Mais Brindisi revient et prend le leadership à la moitié du dernier quart pour ne plus jamais le lâcher. Il s’impose 87-83 et se qualifie pour la suite de la compétition. Ce match a été un duel d’arrières en D’Angelo Harrison et Andrew Andrews. Ce dernier est le Meilleur sixième homme de la journée.\\n\\nPour terminer, les clubs français affichent un bilan équilibré de 10 victoires pour 10 défaites. Strasbourg est qualifié alors que Limoges est éliminé. Dijon et Cholet sont encore en course mais ne sont pas en position favorable.\\n\\n7 équipes sont qualifiées et 8 sont éliminées. 9 places sont encore en jeu pour la dernière journée.\\n\\nBamberg est la seule équipe encore invaincue.\\n\\n3 équipes n’ont pas encore gagné de matchs, la Fortitudo Bologna, le Start Lublin et le Keravnos Nicosie.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nQJ Peterson (PG/US/26)\\n\\nBakken Bears\\n\\n37 d’éval (35 pts à 13/24 dont 6/13 à 3 pts, 3/3 aux LF, 7 rbds, 5 pds, 3 int)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG QJ Peterson\\n\\nBakken Bears\\n\\n37 d’éval\\n\\nSG Benedek Varadi\\n\\nFalco Szombathely\\n\\n26\\n\\nSF Isaiah Pineiro\\n\\nVEF Riga\\n\\n29\\n\\nPF Bonzie Colson\\n\\nStrasbourg\\n\\n30\\n\\nC Raymar Morgan\\n\\nPinar Karsiyaka\\n\\n30\\n\\nB Andrew Andrews\\n\\nDarussafaka\\n\\n28\\n\\nMVP européen:\\n\\nGiorgi Shermadini (C/Geo/31)\\n\\nTenerife\\n\\n26 d’éval (19 pts à 8/9, 3/3 aux LF, 6 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Ivan Strebkov\\n\\nNizhny Novgorod\\n\\n20 d’éval\\n\\nSG Benedek Varadi\\n\\nFalco Szombathely\\n\\n26\\n\\nSF Berkan Durmaz\\n\\nTofas Bursa\\n\\n17\\n\\nPF Yoan Makoundou\\n\\nCholet\\n\\n26\\n\\nC Tomislav Zubcic\\n\\nTofas Bursa\\n\\n26\\n\\nB Giorgi Shermadini\\n\\nTenerife\\n\\n26\\n\\nMVP français:\\n\\nYoan Makoundou (PF/20)\\n\\nCholet\\n\\n26 d’éval (18 pts à 8/12 dont 2/2 à 3 pts, 9 rbds, 1 pd)\\n\\nRising star :\\n\\nYoan Makoundou (PF/Fra/20)\\n\\nCholet\\n\\n26 d’éval (18 pts à 8/12 dont 2/2 à 3 pts, 9 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nQJ Peterson\\n\\nBakken Bears\\n\\n35 pts\\n\\nMeilleurs rebondeurs :\\n\\nChris Johnson\\n\\nIsaiah Pineiro\\n\\nHapoel Holon\\n\\nVEF Riga\\n\\n13 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nGregor Hrovat\\n\\nCholet\\n\\n12 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe A:\\n\\n 1. Tenerife 4-1\\n 2. Sassari 3-2\\n 3. Bakken Bears 2-3\\n 4. Galatasaray 1-4\\n\\nGroupe B:\\n\\n 1. Nymburk 4-1\\n 2. Tofas Bursa 3-2\\n 3. Dijon\\n 4. Keravnos Nicosie 0-5\\n\\nGroupe C:\\n\\n 1. Hapoel Holon 3-2\\n 2. AEK Athènes\\n 3. Cholet 2-3\\n 4. Tsmoki Minsk\\n\\nGroupe D:\\n\\n 1. Zaragoza 4-1\\n 2. Nizhny Novgorod 3-2\\n 3. Falco Szombathely\\n 4. Start Lublin 0-5\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Strasbourg 4-1\\n 2. VEF Riga 3-2\\n 3. Peristeri 2-3\\n 4. Rytas Vilnius 1-4\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Bamberg 5-0\\n 2. Pinar Karsiyaka 3-2\\n 3. Bilbao 2-3\\n 4. Fortitudo Bologna 0-5\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Türk Telekom Ankara 4-1\\n 2. Igokea 3-2\\n 3. Hapoel Jerusalem 2-3\\n 4. Limoges 1-4\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. San Pablo Burgos 4-1\\n 2. Brindisi\\n 3. Darussafaka 1-4\\n 4. Ostende\\n\\nNB: En Gras, les équipes qualifiées. En italique, les équipes éliminées.\\n\\nPhoto: Bonzie Colson (Strasbourg, FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Gravelines-Dunkerque vs Cholet (17e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Quel match entre Gravelines-Dunkerque et Cholet ! En difficulté dans le premier quart-temps, le BCM a réalisé un spectaculaire comeback pour s’imposer face à Cholet, privé de Chris Horton, testé positif puis négatif à la COVID-19, 100 à 96 après prolongation.\\n\\nRetrouvez le meilleur de la rencontre dans un résumé vidéo de notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Champagne Basket : la mauvaise farce de Jalen Adams" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Arnas Velicka (Photo : Champagne Basket – Teddy Picaudé)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique du Champagne Basket, anciennement Châlons-Reims.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDevenu Champagne Basket, l’ancien club de Châlons-Reims n’a pas vu ses moyens augmenter en changeant d’appellation. Au contraire, même : de 1,406 M€ la saison passée (15e de Jeep Élite), sa masse salariale a dégringolé à 1,160 M€ (17e de Jeep Élite), soit une baisse copieuse de 17,5 %. Et, si l’on peut dire, les résultats « suivent » : le Champagne Basket ne pétille guère avec son bilan d’une seule victoire en 8 rencontres disputées.\\n\\nEt, si la situation n’était déjà pas bien brillante, elle vient encore de s’assombrir avec le départ de son fer de lance, meilleur marqueur (20,3 points) et plus gros salaire, Jalen Adams, qui a préféré partir tenter sa chance en G-League en laissant son club en plan. Très élégant.\\n\\nSeul « avantage » à ce départ, il laisse une certaine marge de manœuvre au club pour recruter : le joueur ne touchera probablement que 40 000 de ses 100 000 € contractuels (pour les quatre mois passés en Champagne) et le club n’a pour le moment investi que 75 % environ du montant budgété de masse salariale, selon nos estimations. Sauf erreur de notre part, le club pourrait ainsi offrir 10 000 € par mois (en brut, soit environ 6 500 € nets) à deux joueurs pour finir la saison.\\n\\nDes renforts qui ne seraient pas inutiles. Car si Jalen Adams donnait satisfaction en attaque, c’était moins le cas en défense et dans l’état d’esprit. Et le reste de l’effectif a fait avec ses moyens : Travis Leslie (140 000 € à Pau la saison passée) et Dominique Archie (110 000 € au CCRB l’an dernier) tiennent l’équipe à bout de bras alors que leur salaire a baissé (16,2 et 16,1 d’éval respectivement) ; le meneur lituanien Arnas Velicka, du haut de ses tout juste 21 ans, fait plutôt bien tourner la baraque (5,6 passes, 12,1 d’éval) pour un tout petit salaire ; Jessie Begarin (à 60 000 € l’an passé) et Junior Mbida donnent ce qu’ils ont à offrir (4,9 d’éval chaque) ; Matthieu Gauzin fait ce qu’il peut en backup de Velicka (4,5 d’éval) à même pas 19 ans. Reste le cas Jimmy Taylor, pivot pas bien cher payé mais pas vraiment dominant (8,3 d’éval, 4,3 rebonds). Et celui d’Ekene Ibekwe, qui n’a jamais été réputé en tant qu’artiste, mais qui n’a jamais produit de si faibles stats (5,9 d’éval), même s’il n’a jamais perçu un plus petit salaire dans nos contrées (il était à 9 000 € par mois l’an passé à Pau-Lacq-Orthez, pour 9,9 d’éval).\\n\\nChampagne Basket a l’obligation de ne pas se tromper dans le recrutement du remplaçant de Jalen Adams s’il veut conserver des chances de maintien. Ce n’est pas forcément le plus simple.\\n\\n * Jalen ADAMS (USA) : 100 000 € (40 000 € sur 4 mois au club)\\n * Travis LESLIE (USA) : 90 000 €\\n * Dominique ARCHIE (USA) : 85 000 €\\n * Jimmie TAYLOR (USA) : 80 000 €\\n * Jessie BEGARIN (FRA) : 75 000 €\\n * Ekene IBEKWE (NGR/USA) : 75 000 €\\n * Arnas VELICKA (LIT) : 65 000 €\\n * Junior M’BIDA (CMR) : 50 000 €\\n * Matthieu GAUZIN (FRA) : 32 000 €\\n * Alexandre DOGBE (FRA) : 22 500 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Cédric HEITZ (FRA) : 75 000 €\\n * Frédéric JAUDON (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nDevenu Champagne Basket, l’ancien club de Châlons-Reims n’a pas vu ses moyens augmenter en changeant d’appellation. Au contraire, même : de 1,406 M€ la saison passée (15e de Jeep Élite), sa masse salariale a dégringolé à 1,160 M€ (17e de Jeep Élite), soit une baisse copieuse de 17,5 %. 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Nous avons perdu Adam (Ariel) , donc nous avons des problèmes de rotation car les règles ici vous obligent à toujours avoir un joueur israélien sur le terrain. Les cinq joueurs doivent être planifiés à l’avance, parfois quelles que soient les circonstances sur le terrain. »" }, {"role": "user", "content":"Le résumé by TCL : Le Portel vs Nanterre 92 (17e journée de Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"Face à Nanterre, l’ESSM Le Portel s’est une nouvelle fois imposé en Jeep (78-75) ce samedi 16 janvier, malgré un effectif réduit. Les Nordistes signent une troisième victoire de rang en championnat alors que Nanterre enchaîne les mauvais résultats.\\n\\nRevivez les meilleurs moments du match avec notre partenaire TCL.\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France 3×3 : Antoine Eito et Léo Cavalière parmi les 8 pré-sélectionnés pour le TQO" }, {"role": "assistant", "content":"Huit joueurs ont été retenus par les sélectionneurs Richard Billant et Karim Souchu pour le stage de l’équipe de France 3×3, du 15 au 21 février, ce en vue du Tournoi de Qualification Olympique, qui se tiendra à Graz du 26 au 30 mai.\\n\\n« Le rassemblement sera découpé en deux temps : un stage de préparation à l’INSEP les deux premiers jours, puis un tournoi international en Allemagne le reste de la semaine. Ce tournoi, dans la ville de Heidelberg permettra de mettre en situation les 8 joueurs présélectionnés après une année sans compétition officielle et de tester ceux avec moins d’expérience dans un contexte de haut-niveau international », indique la FFBB dans un communiqué.\\n\\nDans cette sélection, on trouve deux joueurs de Jeep Elite, Antoine Eito et Léo Cavalière.\\n\\n« Par la suite les sélectionneurs ont jusqu’à fin avril pour communiquer à la FIBA une liste de 6 joueurs pour le TQO selon deux conditions : 4 joueurs qui doivent figurer dans le top 10 français au ranking FIBA 3×3 et 2 joueurs qui peuvent être choisis hors de ce top 10. Seulement 4 d’entre eux s’envoleront pour l’Autriche, fin mai, pour tenter de décrocher la première qualification olympique française. »\\n\\nNOMPRÉNOMNÉE LECLUBCAVALIERELeopold27/04/1996SIG StrasbourgCORREKevin24/03/1988EITOAntoine06/04/1988Le Mans SCMGENTILDominique18/05/1988STB Le HavreHOUMOUNOUMeredis28/11/1988SLUC Nancy BasketPONTENSCharly13/07/1995UJAP QuimperSEGUELAFranck30/05/1997Stade Rochelais BasketWILSONRaphaël10/01/1989BC Sorgues\\n\\nRichard Billant, sélectionneur des Équipes de France 3×3 :\\n\\n« Nous avons très peu d’occasions pour réunir les joueurs afin de les préparer à l’échéance importante qu’est le Tournoi Qualificatif Olympique. Une semaine c’est très court, mais on essaie de faire le maximum sur la période impartie. On remercie vraiment les clubs de jouer le jeu. On va profiter de cette semaine pour peaufiner la liste et travailler pour le TQO. Aujourd’hui nous avons très peu de visibilité sur les championnats donc on espère que les joueurs retenus pourront être présents. »" }, {"role": "user", "content":"Résumé by TCL : Le Mans vs Limoges (8ème journée, Jeep Elite)" }, {"role": "assistant", "content":"En match en retard de la 8e journée de Jeep Élite, Le Mans, qui recevait Limoges vendredi soir, s’est imposé avec la manière (91-68). Après une entame de match ouverte (39-35 pour Le Mans à la mi-temps), les Sarthois ont fait la différence en fin de rencontre, en remportant notamment largement le dernier quart-temps (31-14).\\n\\nEn partenariat avec TCL, découvrez les highlights de ce match :\\n\\nPhoto : LNB YouTube" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Un buzzer beater complètement fou de 26 mètres en Italie" }, {"role": "assistant", "content":"Le Lituanien Paulius Sorokas a marqué un incroyable panier au buzzer de 26 mètres lors du match de A2 italienne, Chieti vs Eurobasket Rome. Tellement incroyable que le cameraman a oublié de suivre la trajectoire du ballon !\\n\\nCe panier du désespoir a permis à Chieti d’obtenir une prolongation, mais peine perdue c’est Rome qui a gagné le match, 91-95.\\n\\n\\n2021.\\nA2.\\nNon csi o prima divisione, ma A2.\\nSorokas di Chieti segna da 26 metri e manda il match contro l'Eurobasket Roma ai supplementari.\\nIl canestro più incredibile degli ultimi anni.\\nUn video che farebbe il giro del mondo.\\nIl cameraman non lo ha ripreso.\\nFine\\n\\n(📽️@LNPSOCIAL) pic.twitter.com/01NDMGjExe\\n\\n— La Giornata Tipo (@parallelecinico) January 18, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Boulazac: Kevin Harley arrêté de 4 à 6 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Meurtri un temps par le COVID-19, toujours en cale sèche après 6 matches, le Boulazac Basket Dordogne annonce l’absence pour 4 à 6 semaines de son arrière-ailier Kevin Harley (1,96m, 26 ans).\\n\\nLors de la défaite face à la JDA Dijon (76-86), malgré une douleur au mollet, il a assuré 12 points, 5 rebonds et 2 passes, un rendement supérieur à sa moyenne sur 6 matches (8,2 points, 2,8 rebonds et 1,5 passe).\\n\\nIl reste à savoir à combien de matches va se traduire cette absence.\\n\\n\\n🚨 Kévin Harley est arrêté suite à une blessure.\\n➡️En attendant son retour, gros plan sur les 12 points qu'il marquait contre Dijon samedi soir au #Palio ! #GoBBD pic.twitter.com/rxs1yOiA3e\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) January 18, 2021\\n\\n\\nPhoto: BBD" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Le reportage dans Stade 2 sur Céline Dumerc" }, {"role": "assistant", "content":"Stade 2 a diffusé hier soir un reportage sur Céline Dumerc, qui vit sa dernière saison de joueuse et par conséquence sa dernière participation à l’Euroleague avec Basket Landes. Elle est cette semaine... à Bourges.\\n\\n\\nA revoir sans modération, le reportage de @stade2 diffusé dimanche soir sur @capsule19, capitaine de @BasketLandes ⤵️ pic.twitter.com/rC23jErpCl\\n\\n— LFB (@basketlfb) January 18, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Eurocup féminine : Landerneau est prêt pour accueillir une Coupe d’Europe" }, {"role": "assistant", "content":"Le Landerneau Basket Bretagne découvre l’Europe et à domicile puisque La Cimenterie va accueillir à partir de demain mardi une bulle d’Eurocup. Reyer Venise, Phantoms Basket Boom -une équipe belge, ce n’est pas évident de le savoir à la lecture de son nom-, et le Fribourg olympique sont ses invités. Les deux premiers du quatuor seront qualifiés pour les 16e de finale.\\n\\nEn raison de la crise sanitaire, les conditions d’accueil sont tout à fait particulières. On peut notamment lire dans le dossier de presse :\\n\\n« La presse ne sera pas autorisée avant, pendant ni après les entraînements des équipes. Aucune conférence de presse ne sera organisée : seuls des “flash interviews”, seront réalisées sur le parquet à l’issue du match. La presse ne sera pas autorisée à accéder à l’espace “flash interviews” : il sera néanmoins possible de poser des questions via le Team Press Officer. »\\n\\nDans Le Télégramme, le responsable commercial, David Le Goff, annonce toutefois que le club n’a pas été impacté par cette crise sanitaire doublé de crise économique:\\n\\n« La réalité, c’est que l’on a perdu aucun partenaire après la saison dernière, on en a gagné une quinzaine de nouveaux. Ils font partie de notre aventure, ce sont eux qui permettent de la vivre, c’est aussi leur victoire. Le LBB, c’est un tout ».\\n\\nC’est aussi grâce à une centaine de bénévoles que le club breton a pu organiser cette bulle en un mois.\\n\\n« L’intérêt, c’est de mettre la lumière sur le club, le territoire, les collectivités. C’est une action de marketing territorial de grande ampleur, de marketing club aussi ».\\n\\nLe coach Stéphane Leite met aussi l’accent sur le fait que jouer une coupe d’Europe est un argument fort pour le recrutement :\\n\\n« La Coupe d’Europe fait venir des joueuses, cela nous a permis de garder des joueuses, d’en faire venir aussi. C’est l’opportunité de toucher des joueuses intéressantes, que l’on ne toucherait pas sinon. C’est un énorme argument. »\\n\\nPhoto: Landerneau Basket Bretagne" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine à Bourges – Alexia Chartereau : «oui, c’est un avantage de jouer à domicile !»" }, {"role": "assistant", "content":"Invaincu en Ligue Féminine, le Tango Bourges Basket est dans une situation beaucoup plus délicate en Euroleague puisque déjà battu par Sopron (60-70) et Basket Landes (66-69). C’est à son tour d’accueillir au Prado la deuxième « bulle » de la compétition, évidemment à huis clos, avec un programme très copieux: 4 matches en 7 jours. Interrogée par Le Berry, Alexia Chartereau (1,90m, 22 ans), qui est actuellement au sommet de son art (18,0 points, 8,5 rebonds et 20,5 d’éval sur les 2 premiers matches), apprécie que l’évènement soit organisé dans le Cher:\\n\\n« Oui, c’est un avantage de jouer à domicile ! On a grillé deux jokers à Sopron, maintenant on n’a plus trop le droit à l’erreur. C’est rassurant de jouer chez nous, même s’il n’y aura pas le public et qu’il va forcément nous manquer. On est chez nous, dans notre salle où l’on s’entraîne tous les jours, il y a des repères, des avantages, on aura le bain froid pour la récup’. Donc profitons de ça ! »\\n\\nLa Berruyère estime que son équipe peut tirer les leçons de ses deux échecs initiaux:\\n\\n« Ça nous a fait du bien. Il y a des erreurs que l’on faisait, mais que l’on ne voyait pas face à une équipe de LFB. Là, ça a été un révélateur. Ça nous a montré que l’on devait s’entraîner tous les jours au niveau « Euroleague ». On ne peut pas, d’un claquement de doigt, se dire « ok, je me mets au niveau Euroleague ». C’est un état d’esprit qu’il faut que l’on adopte pour toute la saison. Ça nous a donc bien servi pour les matchs et les entraînements qui ont suivi. »\\n\\nLe programme TV de la semaine est ICI.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Chalon 85, Asvel 75. Jordon Crowford éclipse les 4 meneurs villeurbannais" }, {"role": "assistant", "content":"L’Elan Chalon a infligé à l’ASVEL sa troisième défaite en Jeep Elite de la saison et la plus lourde (85-75). Apathiques, les Villeurbannais ont été méconnaissables à leur retour du Pirée où ils ont accompli en Euroleague une superbe performance.\\n\\nL’absence de plusieurs joueurs dont celle de Moustapha Fall, malade, ne peut expliquer pareille contre-performance tant l’effectif de l’ASVEL est replet et capable de supporter des forfaits et de jouer sur les deux tableaux. Même l’arrivée tardive des Villeurbannais en France à leur retour de Grèce n’est pas une explication suffisante. Ils sont au courant, c’est le régime de l’Euroleague... Leur adversaire qui pointait en bas de tableau et qui était, lui, en manque de compétition a t-il été pris trop à la légère ?\\n\\nA l’évidence, le retour en Bourgogne de l’arrière US Sean Armand constitue un renfort de poids pour l’Elan. Il s’est fendu hier soir de 22 points, 7 rebonds et 4 passes.\\n\\nLe MVP du match est cependant le mini meneur Jordon Crowford (1,68m, 30 ans) qui, pour son 3e match sous les couleurs de l’Elan, a cumulé 27 points (9/15 aux tirs, 5/7 à trois-points), 9 passes et 2 rebonds pour 29 d’évaluation. A lui seul, il a éclipsé les quatre meneurs de l’ASVEL (Derrick Walton Jr, Norris Cole, Antoine Diot et Matthew Strazel), qui a des degrés divers ont tous tourné au ralenti et qui ne présentent une éval collective que de 17 dont 12 pour le seul Walton.\\n\\nAlors que l’Elan Chalon rebondit au classement, l’ASVEL perd du terrain sur ses principaux rivaux, ce qui est préjudiciable si le titre de champion de France devait être attribué à l’issue de la saison régulière.\\n\\nPhoto: Jordon Crawford (Elan Chalon)" }, {"role": "user", "content":"Programme TV by TCL : Pleins feux sur l’Euroleague féminine" }, {"role": "assistant", "content":"La semaine d’Euroleague féminine avec Basket Landes, Bourges et Lyon sera copieuse et entièrement couverte sur le plan télévisuelle avec l’implication de Sport en France et aussi de France 3 Nouvelle Aquitaine et OL TV.\\n\\nLundi 18 janvier:\\n\\n17h00 – Galatasaray/Basket Landes – Euroleague Féminine – Sport en France et France 3 Nouvelle Aquitaine\\n\\n20h00 – Sopron/Bourges – Euroleague Féminine – Sport en France\\n\\nMardi 19 janvier:\\n\\n16h00 – Lyon/Gdynia – Euroleague féminine – OL TV\\n\\n18h30 – Monaco/Malaga – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n18h30 – Keravnos/Dijon – BCL – Basket +\\n\\n20h00 – Basket Landes/Galatasaray – Euroleague féminine – Sport en France et France 3 Nouvelle Aquitaine\\n\\n20h45 – ASVEL/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Boulogne-Levallois/Partizan Belgrade – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\nMercredi 20 janvier :\\n\\n18h30 – Cholet/Hapoel Holon – BCL – Basket+\\n\\n18h45 – Bourg/Virtus Bologne – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h45 – Badalone/Nanterre – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\nJeudi 21 janvier:\\n\\n16h00 – Lyon/Prague – Euroleague féminine – OL TV\\n\\n18h00 – Zenit St. Petersbourg/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Bourges/Galatasaray – Euroleague féminine – Sport en France\\n\\n20h00 – Maccabi Tel-Aviv/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h45 – ASVEL/Valence – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Milan/Bayern – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n21h00 – Panathinaikos/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\nVendredi 22 janvier:\\n\\n16h00 – Lyon/Fenerbahçe – Euroleague féminine – OL TV\\n\\n17h00 – Sopron/Basket Landes – Euroleague féminine – Sport en France et France 3 Nouvelle Aquitaine\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n19h00 – Etoile Rouge Belgrade/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 5\\n\\n19h00 – Kaunas/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 6\\n\\n21h00 – Vitoria/Berlin – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n22h30 – Galatasaray/Bourges – Euroleague féminine – Sport en France\\n\\nDimanche 24 janvier:\\n\\n15h00 – Bourges/Basket Landes – Euroleague féminine – Sport en France et France 3 Nouvelle Aquitaine\\n\\nPhoto: Ana Suarez (Basket Landes, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Chalon-sur-Saône : Mickaël Gelabale et Ousmane Camara, ça coince !" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de l’Elan Chalon.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nAprès son titre de champion de France en 2017 et un engagement en Basketball Champions League, l’Elan Chalon recensait lors de la saison 2017-18 7 joueurs à 100 000 euros et plus, dont Ousmane Camara, qui provenait alors de Limoges, à 150 000.\\n\\nCette saison, alors qu’ils sortent d’années brinquebalantes et qu’ils ne disputent pas de coupe d’Europe, les Bourguignons sont dans les mêmes eaux financières. Une bonne demi-douzaine de joueurs atteint ce cap si on inclut les deux à 99 500. Le pivot Eric Buckner est au sommet de la hiérarchie avec un traitement qu’il doit à son poste, et à des passages plutôt réussis à l’ASVEL et Monaco. Même si ses statistiques sont un copier/coller de celles obtenues lors de ses 52 matches précédents en Jeep Elite, il est pour l’instant décevant mais il n’a encore que 7 matches au compteur, aussi gardons-nous d’un jugement définitif.\\n\\nAfin de connaître une saison sereine après un démarrage poussif -uniquement des victoires sur Orléans et le Champagne Basket-, l’Elan a fait un effort financier envers Sean Armand, qui avait été épatant lors des 7 matches joués ici même la saison passée avec une moyenne de 17,9 points. C’est un indispensable go to guy.\\n\\nSi les émoluments de Mickaël Gelabale n’ont rien à voir avec le passé –il était à 800 000 dollars aux Seattles Supersonics en 2006-07, il a joué au Real Madrid, au Khimki Moscou et encore à Valence-, il touche encore une bonne paye mais son rendement est très nettement inférieur à ce qu’il était il y a un an (7,9 d’évaluation contre 13,3). Le poids de l’âge -37 ans ? Même constat pour Ousmane Camara, qui lui a 6 ans de moins et qui est tombé à 4,0 points et 5,3 rebonds pour 6,1 d’évaluation contre 8,4 points et 5,9 rebonds pour 10,6 d’éval il y a un an. Il reste du temps pour se refaire, mais c’est pour le moins inquiétant pour quelqu’un qui est 5e au classement des pivots JFL.\\n\\nA l’inverse, l’international israélien Rafael Menco apparaît comme une bonne trouvaille. Il est au même tarif que son compatriote Itay Segev de Gravelines mais avec une évaluation plus de deux fois supérieure (9,7 contre 4,0).\\n\\n * Éric BUCKNER (USA) : 165 000 €\\n * Ousmane CAMARA (FRA 144 000 €\\n * Sean ARMAND (USA) : 140 000 € (pour 8 mois)\\n * Mickaël GELABALE (FRA) : 130 000 €\\n * Myles HESSON (ANG) : 99 500 €\\n * Garrett SIM (USA) : 99 500 €\\n * Teyvon MYERS (USA) : 80 000 €\\n * Rafael MENCO (ISR) : 80 000 €\\n * Jordon CRAWFORD (USA) : 77 000 € (11 000 € par mois sur 7 mois)\\n * Assane NDOYE (FRA) : 72 000 €\\n * D.J. COOPER (USA) : 30 000 € (pour 3 mois)\\n * Babacar NIASSE (FRA) : 30 000 €\\n * Ismaël ROCHE (FRA) : 30 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Julien ESPINOSA (FRA) : 90 000 €\\n * Maxime PACQUAUT (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\nAprès son titre de champion de France en 2017 et un engagement en Basketball Champions League, l’Elan Chalon recensait lors de la saison 2017-18 7 joueurs à 100 000 euros et plus, dont Ousmane Camara, qui provenait alors de Limoges, à 150 000.\\n\\nCette saison, alors qu’ils sortent d’années brinquebalantes et qu’ils ne disputent pas de coupe d’Europe, les Bourguignons sont dans les mêmes eaux financières. 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Cela faisait 10 ans que je vivais dans le mensonge. J’en étais arrivé à un tel point que soit je prenais la parole, soit je mettais un terme à ma carrière. Ma passion pour le jeu était trop forte pour tout plaquer comme ça. Le temps est venu de profiter de la suite de ma carrière sans avoir à cacher ma vraie personnalité. J’espère aider d’autres athlètes gays en Suisse et dans le monde. Cela ne change rien si après une grande victoire, un joueur embrasse sa copine ou son copain. »\\n\\nÀ 27 ans, le Zurichois fait notamment partie de l’équipe de Suisse 3×3, discipline qui fera ses débuts aux Jeux Olympiques de Tokyo. Avec sa Team Lausanne, l’arrière est membre d’une des meilleures équipes du monde. L’ancien top 15 mondial 3×3 dresse un constat alarmant : « Beaucoup de jeunes arrêtent de faire des sports d’équipe lorsqu’ils découvrent qu’ils sont gays. » Le joueur confie plusieurs moments qui l’ont affecté, et dans lesquels il explique le tabou lié à l’homosexualité dans le sport collectif.\\n\\n« Un jour, mon coach nous dit : « Qu’est-ce que vous faites ? Ne soyez pas faibles ! Vous jouez comme des gays. Il faut jouer plus fort en deuxième mi-temps ! Montrez-leur que vous êtes durs... » J’aurais aimé répondre, dire que le mec gay de l’équipe était le seul à avoir joué dur en première mi-temps. Mais je ne pouvais pas. Le plus dur, c’est que toute l’équipe était remobilisée après ce discours. Sérieusement, pourquoi le fait d’être gay est-il associé à la faiblesse ? »\\n\\nLe basketteur termine sur un message d’espoir lié à la suite de sa carrière : « Je suis Marco Lehmann, basketteur 3×3 et gay. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, j’essaie de gagner un World Tour et d’amener la Suisse aux Jeux Olympiques 2024. »\\n\\nPhoto : FIBA." }, {"role": "user", "content":"Niccolò Mannion: «Je suis très fier de dire que je suis italien et né en Italie»" }, {"role": "assistant", "content":"Né à Sienne, d’un père américain et d’une mère italienne, le meneur Niccolò Mannion (1,88m, 19 ans), qui possède la double nationalité, a choisi de jouer pour l’équipe nationale d’Italie.\\n\\nDrafté en 2020 au 2e tour (48e choix), par les Golden State Warriors, il est titulaire d’un two-way contract et il s’apprête à alterner entre la NBA et la G-League. Son autre objectif est de rejoindre la Squadra Azzura pour le Tournoi de Qualification Olympique, sachant que l’Italie est dans le groupe de Belgrade avec la redoutable Serbie.\\n\\n« J’aimerais être là. Je suis très fier de dire que je suis italien et né en Italie. La dernière fois que j’ai été appelé, j’ai vu un groupe de bons gars qui travaillent beaucoup. J’avais 17 ans à l’époque et ils m’ont beaucoup aidé en m’apprenant tout ce que j’avais besoin de savoir. Pour moi, c’était la première fois que je devais jouer au basket en communiquant en italien. La terminologie était différente pour moi et il m’a fallu un certain temps pour suivre, mais le groupe m’a beaucoup aidé. Je suis sûr que pour le pré-olympique on aura un groupe qui se battra à chaque match. «\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le Portel est-il déjà assuré de se maintenir en Jeep Elite ?" }, {"role": "assistant", "content":"Admettons que la saison régulière aille à son terme -les autres hypothèses ne méritent pas pour l’instant qu’on s’y attarde-, l’ESSM Le Portel est-elle déjà assurée de se maintenir en Jeep Elite ?\\n\\nMathématiquement, non, évidemment, mais si on creuse le dossier un peu plus profondément, on en est presque persuadé. Dans une compétition décousue à cause de la pandémie, les Portelois et leur micro budget occupent aujourd’hui une incroyable 6e place avec 5 victoires et 3 défaites. Or, les deux derniers au classement, le Champagne Basket et Boulazac en sont respectivement à 1-7 et 0-6. Cela fait une belle avance. Il faut savoir qu’il y a deux ans, les deux équipes les moins bien classées après 34 matches, Fos et Antibes, avaient gagné 9 et 7 matches.\\n\\nHier soir, les Nordistes ont battu Nanterre, 78-75, en menant à chaque fin de quart-temps. Ce alors que les Nanterriens sont dans un rythme européen -il se sont qualifiés pour le Top 16 de l’Eurocup- alors que les Portelois n’avaient pas joué en compétition depuis décembre, maintenant leur forme physique et mentale avec des matches amicaux. De plus, le coach Eric Girard a dû procéder à des aménagements dans l’effectif qui, faute de finances, n’ont pas tous été en faveur de son équipe.\\n\\nFait remarquable: l’ESSM s’est présenté hier soir avec un seul Américain, Michael Umeh, qui n’a joué que 21 minutes rapportant 11 à l’évaluation sur les 93 de l’équipe (sans oublier le non-JFL Ivoirien Charles-Noé Abouo, auteur de 6 points et 5 rebonds pour 8 d’évaluation). D’ailleurs NEUF joueurs se sont retrouvés avec une évaluation supérieure à 8. La meilleure a été obtenue par le vétéran Jo Passave-Ducteil, 35 ans, avec 17. Autres éléments à prendre en considération, le meneur Benoît Mangin n’a pas fini le match et Le Portel a essuyé un coup de grisou (11-1 pour Nanterre), qui aurait pu le mettre au tapis.\\n\\nMais le groupe a tenu bon. On ne peut pas avancer la ferveur du Chaudron pour expliquer cette troisième victoire d’affilée à la maison puisque comme partout, il est désespérément vide. Il existe simplement cette saison au Portel un élément indéfinissable que l’on appelle une âme.\\n\\nPhoto: Boris Dallo (ESSM)" }, {"role": "user", "content":"Cholet et la Michael Stockton dépendance" }, {"role": "assistant", "content":"On était impatient de voir à l’oeuvre Chris Horton face à son ancienne équipe de Gravelines et cette fois dans le camp de Cholet mais le face à face n’a pas eu lieu. Le pivot américain a été testé positif au COVID-19 le lundi puis... négatif le mardi. La Ligue a refusé qu’il soit aligné dans l’effectif de l’équipe du Maine-et-Loire à Sportica.\\n\\nEst-ce à cause de l’absence de Chris Horton que le puissant Belge du BCM, Khalid Boukichou a fait un festival offensif avec 23 points à 7/9 aux shoots ? Est-ce aussi pour cette raison que Cholet Basket a donné le trousseau de clés du match à son meneur américain, Michael Stockton (1,85m, 31 ans). Celui-ci a joué 42 minutes et a presque tout réussi (32 points à 14/17 aux tirs du champ, 7 passes, 36 d’évaluation), sauf, très curieusement, ses lancers-francs (1/5) dont deux décisifs dans le temps réglementaire.\\n\\nDes lancers, Cholet Basket en a lâché 13 sur 28 alors que Gravelines en a marqué 23 sur 26.\\n\\nC’est ainsi que les Choletais n’ont pu faire la différence en 40 minutes (76-76) avant de lâcher prise en prolongations (100-96).\\n\\n« Encaissser 24 points en 5 minutes de prolongation, c’est inacceptable », rageait le fils de la légende John Stockton en conférence de presse, propos rapportés par Le Courrier de l’Ouest. « Ce soir, on n’a pas montré les caractéristiques d’une équipe qui gagne. Notre force mentale est tombée en panne. »\\n\\nLe Courrier de l’Ouest parle de « Stockton dépendance » et avance un chiffre qui dit tout: lorsque celui-ci s’est retrouvé sur le banc, Cholet encaissa un 14-2 en quatre minutes !\\n\\nPhoto: Michael Stockton (CB)" }, {"role": "user", "content":"Pro B : Poitiers sort du néant" }, {"role": "assistant", "content":"Poitiers n’est plus fanny ! De haute lutte, le PB 86, désormais coaché par Andy Thornton-Jones, a vaincu l’Hermine de Nantes, 66-64, après 5 échecs d’affilée.\\n\\nEn provenance du Portel, l’ailier américain Jamar Abrams (2,01m, 31 ans), a été sollicité 36 minutes et il a apporté 13 points et 7 rebonds mais c’est bien le meneur britannique Akeem Williams (1,84m, 30 ans) qui a été le plus efficace avec 14 points, 5 rebonds et 4 passes.\\n\\n»En Pro B, ce sont des combats tous les week-ends, on a vu deux équipes dans cette dimension-là. Après notre dernier match, raté, nous avons réagi, mais ça reste insuffisant pour gagner car Poitiers était aussi déterminé que nous », a reconnu le coach nantais Jean-Baptiste Le Crosnier, propos rapportés par Presse Océan. « Je m’attendais à ce style de match, l’apport de Jamar Abrams apporte à Poitiers une densité athlétique, c’est une équipe mieux équilibrée. Maintenant, qu’on perde des ballons quand l’adversaire met de l’intensité, je veux bien l’accepter. Mais on a commis des erreurs qu’on ne doit pas faire, qu’on ne peut pas faire. On a donné ainsi de l’énergie à Poitiers qui a su provoquer sa réussite. »\\n\\nAu classement, les Poitevins rejoignent ainsi Gries et Lille. En attendant la prochaine journée... qui n’est pas encore fixée." }, {"role": "user", "content":"Strasbourg à souffert à Roanne – Lassi Tuovi : «ce sont comme des Piranhas qui s’attaquent à tes jambes»" }, {"role": "assistant", "content":"La SIG Strasbourg a fait le job à Roanne avec une courte victoire (72-82). Ces quatre Américains, Bonzie Colson (20), Brandon Jefferson (17), Ishmail Wainright (13) et DeAndre Lansdowne (12) ont inscris 62 points à eux seuls et la SIG a été dominatrice au rebond (39-29) avec 9 prises de Léo Cavalière.\\n\\n« Je m’attendais un peu à ce style de match », a commenté le coach Lassi Tuovi en conférence de presse. « L’entame a été bonne. Elle était l’illustration du bon travail qu’on a fait pendant deux jours, mais à mes yeux il est clair que Roanne est apparu plus frais que nous ce soir. Nous n’étions pas très réguliers dans ce que nous faisions, mais nous avions un plan de jeu et au final on s’en sort. Nous étions fatigués, mais Roanne est une équipe très difficile à jouer. Ils jouent avec une défense très intense. Ce sont comme des Piranhas qui s’attaquent à tes jambes. Ils t’agressent en continu avec une grosse intensité défensive. Nous n’avons pas pu beaucoup préparer ce match et ça s’est vu par moment. Mais heureusement , nous avons élevé notre niveau dans le 3ème quart-temps pour imposer notre jeu et creuser l’écart. J’avais dit ce matin aux joueurs que nous n’avions pas besoin de gagner ce match avant les cinq dernières minutes et que de toute façon il ne fallait pas y compter. Mais, si nous étions bien positionnés lors de ces 5 dernières minutes, nous ne serions pas loin pour remporter ce match. Ce fut le cas. Ce soir encore je suis fier de mon équipe ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: Le Top 16 de l’Eurocup, la 1ère journée" }, {"role": "assistant", "content":"En milieu de semaine, se disputait la première journée du Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nTout d’abord, le bilan des clubs français lors de cette journée est de deux victoires pour deux défaites.\\n\\nDans un duel franco-français, Nanterre recevait Monaco à Maurice Thorez. Les deux clubs font figure d’outsiders dans le groupe derrière les deux équipes espagnoles, Badalona et Malaga. Nanterre est la bonne surprise de la saison européenne côté tricolore. Il a réussi à se qualifier pour le Top 16 et ainsi intégrer le Top 50 européen, ce qui est une performance en soi pour le onzième budget français. Quant à Monaco, deuxième budget français, a confirmé ses ambitions. La logique a été respectée dans ce match et Nanterre n’a jamais mené. Le club de la Principauté a remporté tous les quart-temps et s’impose largement 93-65. Au niveau de l’évaluation, il a dominé 116 à 47. Le duo Marcos Knight-Wilfried Yeguete a cumulé autant d’évaluation que toute l’équipe adverse. Le premier a même été le meilleur ailier de la semaine. Derrière eux, Damien Inglis s’est mis en valeur et est le meilleur intérieur européen de la journée.\\n\\nBoulogne-Levallois, vainqueur de son groupe de saison régulière, se déplaçait au Lokomotiv Kuban Krasnodar, un des favoris de la compétition. Le club russe devait se passer des services de leur nouvelle recrue, Nigel Williams-Goss, d’Alan Williams et d’Ivan Paunic. Du côté français, Paul Stoll et Tomer Ginat manquaient à l’appel. Après un match serré où l’écart maximal a été de 7 points, l’équipe de Jurij Zdovc a largement remporté le dernier quart et a réussi à s’imposer 83-79. L’écart final ne reflète pas la très belle performance du club des Hauts de Seine, emmené par son trio extérieur composé de David Michineau, Archie Goodwin et Anthony Brown. Le meneur est même le MVP français de la semaine. Il intègre même le meilleur Cinq européen.\\n\\nEnfin, Bourg se déplaçait au Monténégro pour y affronter le Buducnost Podgorica. Le club bressan s’est qualifié pour le Top 16 pour la première qualification européenne de son histoire. Et lors de son premier match à ce niveau, il n’a pu remporter aucun quart et s’est largement incliné 108-80. Le club de la capitale monténégrine a réussi un très joli 13/19 aux tirs à 3 points pour une réussite globale de 69,6%. Quant à la JL, ell n’a tiré que 9 lancers-francs, ce qui illustre un manque d’intensité défensive. Le leader de Buducnost a été son meneur remplaçant Nikola Ivanovic, qui a tiré plus de lancers à lui seul que toute l’équipe adverse. Quant au meneur starter, Justin Cobbs, il est le co-meilleur passeur de la semaine avec 10 unités.\\n\\nDans le groupe E, le derby espagnol opposait l’Unicaja Malaga à la Joventut Badalona. Axel Bouteille et Alberto Diaz étaient absents côté andalou alors que Pau Ribas l’était également côté catalan. Après un début de match équilibré, c’est Malaga qui se détache en fin de premier quart. Il mènera au score jusqu’à la fin du troisième quart. Puis Badalona réalise une excellente dernière période qu’il remporte de 11 points. Finalement, l’équipe de Carles Duran sort vainqueur, 95-86, et prend un premier avantage dans la course aux quarts. Elle a été emmenée par un quatuor constitué de Nenad Dimitrijevic, Vladimir Brodziansky, Xabi Lopez-Arostegui et Ante Tomic. Les deux derniers font même partie du meilleur Cinq européen. Du côté de Malaga, Deon Thompson s’est mis en valeur et est le meilleur intérieur de la semaine.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_9hOHMi_3_0&ab_channel=BuzzerBeaters\\n\\nDans le groupe F, le Partizan Belgrade recevait le Dolomiti Energia Trento. Il n’y a pas eu de match et le club de la capitale serbe s’est très largement imposé 71-43. Le club italien n’a ainsi marqué que 4 points dans le deuxième quart. L’évaluation cumulée de l’équipe de Nicola Brienza est de 31, soit 1,5 fois moins que le duo William Mosley-Josh Perkins. Le premier est même le meilleur pivot de la journée.\\n\\nDans le groupe G, la meilleure équipe de la saison régulière, la Virtus Segafredo Bologna, recevait le Cedevita Olimpija Ljubljana. Après un premier quart dominé par l’équipe visiteuse, la Virtus réalise un gros second quart qui lui permettra de gagner le match 90-76. L’équipe de Sasa Djordjevic a été emmenée par le duo Marco Belinelli-Vince Hunter, tous deux en sortie de banc et aussi d’une évaluation cumulée de 58. Malgré la défaite, la paire Kendrick Perry-Jaka Blazic constitue la base arrière du meilleur Cinq de la semaine.\\n\\nDans le groupe H, l’Herbalife Gran Canaria était opposé à Mornar Bar. L’équipe insulaire était handicapée à l’intérieur par les absences de Jacob Wiley et Matt Costello. Le match a été très disputé mais c’est l’équipe monténégrine qui mène la plupart du temps. Cependant, Andrew Albicy inscrit un tir à 3-points pour égaliser à 21 secondes de la fin. Mais celui-ci fait faute au buzzer sur Jacob Pullen qui inscrit les lancers de la victoire. Au terme d’un match très offensif, Mornar bar s’impose donc 102 à 100. Les leaders de l’équipe de la côte Adriatique ont été Isaiah Whitehead et Taylor Smith. Le premier est le meilleur marqueur de la semaine alors que le second en est le meilleur rebondeur. Du côté espagnol, AJ Slaughter s’est démené à la mène en relais d’Andrew Albicy. Il a réussi un match abouti en attaque, ne ratant quasiment rien et a été le co-meilleur passeur de la journée avec 10 passes. Ce match a fait de lui le MVP de la semaine. De plus, le pivot polonais Aleksander Balcerowski profite des absences pour être pour la seconde fois d’affilée le Rising Star de la journée.\\n\\nEnfin, le MoraBanc Andorra recevait l’Unics Kazan. L’équipe russe gère tranquillement la rencontre et remporte le match 73-66. Elle a dominé largement dans le secteur des rebonds, et notamment les rebonds offensifs où Andorra n’en a pris que 3. Le leader de l’équipe de Dimitris Priftis a été le meneur américain Isaiah Canaan.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nAJ Slaughter (SG/US-Pol/33)\\n\\nGran Canaria\\n\\n34 d’éval (23 pts à 7/9 dont 5/6 à 3 pts, 2 rbds, 10 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Kendrick Perry\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n28 d’éval\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n24\\n\\nSF Marcos Knight\\n\\nMonaco\\n\\n25\\n\\nPF Deon Thompson\\n\\nMalaga\\n\\n24\\n\\nC William Mosley\\n\\nPartizan Belgrade\\n\\n22\\n\\nB AJ Slaughter\\n\\nGran Canaria\\n\\n34\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG David Michineau\\n\\nBoulogne-Levallois\\n\\n23 d’éval\\n\\nSG Jaka Blazic\\n\\nCedevita Olimpija\\n\\n24\\n\\nSF Xabi Lopez-Arostegui\\n\\nBadalona\\n\\n18\\n\\nPF Damien Inglis\\n\\nMonaco\\n\\n19\\n\\nC Ante Tomic\\n\\nBadalona\\n\\n18\\n\\nB AJ Slaughter\\n\\nGran Canaria\\n\\n34\\n\\nMVP français:\\n\\nDavid Michineau (PG/26)\\n\\nBoulogne-Levallois\\n\\n23 d’éval (19 pts à 7/14 dont 3/5 à 3 points, 6 rbds, 6 pds)\\n\\nRising star :\\n\\nAleksander Balcerowski (C/Pol/20)\\n\\nGran Canaria\\n\\n10 d’éval (12 pts à 6/11, 3 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nIsaiah Whitehead\\n\\nMornar Bar\\n\\n28 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nTaylor Smith\\n\\nMornar Bar\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleurs passeurs :\\n\\nJustin Cobbs\\n\\nAJ Slaughter\\n\\nBuducnost Podgorica\\n\\nGran Canaria\\n\\n10 pds\\n\\nVoici les classements:\\n\\nGroupe E:\\n\\n 1. Monaco 1-0\\n 2. Badalona\\n 3. Malaga 0-1\\n 4. Nanterre\\n\\nGroupe F:\\n\\n 1. Partizan Belgrade 1-0\\n 2. Boulogne-Levallois\\n 3. Lokomotiv Kuban Krasnodar 0-1\\n 4. Trento\\n\\nGroupe G:\\n\\n 1. Buducnost Podgorica 1-0\\n 2. Virtus Bologna\\n 3. Cedevita Olimpija 0-1\\n 4. Bourg\\n\\nGroupe H:\\n\\n 1. Unics Kazan 1-0\\n 2. Mornar Bar\\n 3. Gran Canaria 0-1\\n 4. Andorra\\n\\nPhoto: AJ Slaughter (Gran Canaria)" }, {"role": "user", "content":"LFB – Retour victorieux pour Olivia Epoupa avec Charnay" }, {"role": "assistant", "content":"10 points à 4/13 aux shoots, 6 rebonds, 7 passes, 4 interceptions et 1 contre... Pour son retour à la compétition et en Ligue Féminine, Olivia Epoupa (1,65m, 26 ans) a été dans ses standards avec Charnay face à Nantes.\\n\\nC’est toutefois l’Américano-haitienne Vionise Pierre-Louis (1,93m) qui a obtenu la meilleure évaluation avec 24, en cumulant 21 points et 9 rebonds. Avant d’arriver en Bourgogne, celle-ci a passé deux saisons en Espagne dans pas moins de quatre clubs sur la période, en étant notamment championne du pays avec Gérone.\\n\\nBref, porté par ces deux joueuses et aussi Meighan Simmons (22 points) et Promise Amukamara (15 points, 5 passes), Charnay a réalisé une excellente opération en prenant largement le meilleur sur Nantes, 76-58.\\n\\nAvec 2 victoires, les filles de Matthieu Chauvet rejoignent leurs adversaires du jour au classement laissant Tarbes et le Hainaut avec la lanterne rouge.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (CBBS)" }, {"role": "user", "content":"Ioannis Bourousis et son séjour en Chine : «ils mangeaient des crocodiles et des chiens. J’allais commander une pizza !»" }, {"role": "assistant", "content":"Le pivot international grec de Peristeri, Ioannis Bourousis (2,15m, 37 ans), qui a fréquenté quelques uns des plus grands clubs d’Europe, dont le Panathinaikos, l’Olympiakos, le Real Madrid et encore Milan, a donné une interview à Gazzetta.gr qui ne manque pas de piquants.\\n\\nA la question de savoir s’il a toujours aimé le basket, il répond:\\n\\n\\n« Non! Pas du tout ! J’aimais le football... Pendant un an, j’ai donc menti à mon père en disant que j’allais au basket. Je n’y suis pas allé, je suis allé au football. L’entraîneur de l’époque, Spyros Pappas, est venu voir mon père et lui a dit: « ton fils ne vient pas »! Mon père pensait que je faisais de vilaines choses. C’est comme ça que j’ai commencé à jouer au basket. «\\n\\nBourousis a également passé deux ans en Chine, il n’a pas apprécié les spécialités culinaires:\\n\\n\\n» Il est très difficile de vivre en Chine. Les Chinois sont des personnages et des gens difficiles. Je ne me sentais pas bien avec la nourriture ! Parfois j’allais déjeuner avec le groupe, ils mangeaient des crocodiles et des chiens. J’allais commander une pizza ! « .\\n\\nEn ce qui concerne l’équipe nationale, malgré son âge avancé, Le Grec est toujours partant, lui qui fut champion d’Europe en 2005 :\\n\\n\\n« Ma relation avec l’équipe nationale de Grèce est une relation d’amour. Si le coach vient, qui qu’il soit et me dit: « Jean, je te veux », alors oui. Mais je ne dirai pas « prends-moi ». « S’ils me proposent de jouer à nouveau, je l’accepterai. »\\n\\n\\n\\nA propos de l’après-basket:\\n\\n\\n« Je trouve que je suis une personne difficile, je ne suis pas encore prêt à devenir entraîneur. Je voudrais être dans le tourisme et la restauration. »\\n\\nEt enfin, en ce qui concerne sa famille:\\n\\n«Je vis dans une maison avec sept femmes. Ma femme, mes trois filles, ma mère, ma belle-mère et une amie. «\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – JL Bourg-en-Bresse : le « nouveau riche » est porté par ses Yougos" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Luka Asceric (Photo : JL Bourg – Jacques Cormarèche)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de la JL Bourg-en-Bresse.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ lire le recrutement de la JL Bourg à l’intersaison, certains ont dû se demander si l’on avait trouvé du pétrole dans la Bresse, entre un pivot international slovène coté en Eurocup et Euroleague, Alen Omic, et un meneur arrivant tout droit de NBA, Kadeem Allen, sans oublier un Thomas Scrubb convaincant à Strasbourg l’année précédente. Une chose est sûre, ces divers recrutements se sont montrés judicieux – à l’exception de celui de Kadeem Allen, nous y reviendrons –, et Bourg-en-Bresse a effectué un excellent début de saison, remportant cinq de ses sept matchs disputés tout en se qualifiant pour la deuxième phase d’Eurocup.\\n\\nPour autant, la JL Bourg n’a pas fait de folies, ce que démontre l’évolution de sa masse salariale, passée de 1,702 M€ la saison passée à 1,998 M€ cette saison (grosso modo + 300 000 €). Et si les deux recrues vedettes, Omic et Allen, l’ont été pour 200 000 € la saison chaque, l’emblématique Zack Peacock, qui émargeait à 250 000 € l’année dernière, a vu son salaire aligné sur celui de ces deux têtes d’affiche. Tête d’affiche devenue unitaire, Kadeem Allen ayant préféré rester aux États-Unis pendant ces fêtes de fin d’année. On peut donc estimer qu’il n’a touché que 80 000 € de son contrat, ce qui laisse une belle marge à la JL Bourg pour recruter un remplaçant.\\n\\nPour le reste, difficile de trouver de « mauvaises affaires » en terre bressanne. Alen Omic est un point d’ancrage qui en fait plus que ce que montre son évaluation, déjà très bonne, de 15,4. Danilo Andjusic, qui était payé 12 000 € par mois la saison passée, s’est vu augmenté et on ne peut pas dire que son rendement en a pâti, au contraire : 17,4 points et 16,7 d’évaluation contre 16,0 pts et 15,5 d’éval la saison passée. Quant à Zack Wright (180 000 € la saison passée), son rendement a suivi une trajectoire inversement propotionnelle à celle de son salaire : 12,0 pts et 16,0 d’éval pour le meneur bosno-américain (contre 8,0 pts et 13,7 d’éval). Zack Peacock, pour sa part, produit ses plus petites stats depuis qu’il joue à Bourg, 13,6 pts et 12,3 d’éval, mais plus parce qu’il est de mieux en mieux entouré que parce qu’il voit son rendement baisser. Enfin, du côté des jeunes joueurs, si Théo Rey a été prêté à Gries-Oberhoffen en Pro B pour y trouver du temps de jeu, et si Thibaut Daval-Braquet peine à se montrer (-0,3 d’éval), Luka Asceric et, plus encore, Hugo Benitez montrent qu’ils ont toute leur place à ce niveau. Le jeune meneur, qui va tout juste avoir 19 ans dans les jours qui viennent, assure déjà 7,1 d’éval, suppléant avec talent les absences pour blessure de Zack Wright, le tout pour un salaire d’aspirant.\\n\\nGlobalement, la JL Bourg fait donc bon usage de l’argent dépensé, notamment auprès de sa filière « yougoslave » au sens large, entre Andjusic, Omic et Asceric mais aussi Zack Wright et son passeport (de complaisance...) bosnien.\\n\\n * Zachery PEACOCK (USA) : 200 000 €\\n * Alen OMIC (SLO) : 200 000 €\\n * Kadeem ALLEN (USA) : 200 000 € (en fait 80 000 € sur 4 mois)\\n * Danilo ANDJUSIC (SER) : 170 000 €\\n * Thomas SCRUBB (CAN) : 170 000 €\\n * Zack WRIGHT (BOS/USA) : 135 000 €\\n * Pierre PELOS (FRA) : 95 000 €\\n * Maxime COURBY (FRA) : 90 000 €\\n * Luka ASCERIC (SER/AUT) : 60 000 €\\n * Thibaut DAVAL-BRAQUET (FRA) : 40 000 €\\n * Hugo BÉNITEZ (FRA) : 20 000 €\\n\\nCoachs / Assistant :\\n\\n * Savo VUCEVIC (MON/FRA) : 137 500 €\\n * Gérald SIMON (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ lire le recrutement de la JL Bourg à l’intersaison, certains ont dû se demander si l’on avait trouvé du pétrole dans la Bresse, entre un pivot international slovène coté en Eurocup et Euroleague, Alen Omic, et un meneur arrivant tout droit de NBA, Kadeem Allen, sans oublier un Thomas Scrubb convaincant à Strasbourg l’année précédente. Une chose est sûre, ces divers recrutements se sont montrés judicieux – à l’exception de celui de Kadeem Allen, nous y reviendrons –, et Bourg-en-Bresse a effectué un excellent début de saison, remportant cinq de ses sept matchs disputés tout en se qualifiant pour la deuxième phase d’Eurocup.\\n\\nPour autant, la JL Bourg n’a pas fait de folies, ce que démontre l’évolution de sa masse salariale, passée de 1,702 M€ la saison passée à 1,998 M€ cette saison (grosso modo + 300 000 €). 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Les travaux ont débuté en juin dernier et le stade occupera quelque 47 000 mètres carrés, avec une capacité de 15 600 spectateurs pour le basket-ball et environ 19 000 pour des événements musicaux." }, {"role": "user", "content":"Comme Monaco, Boulogne-Levallois affirme : «Il faut jouer!»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans un communiqué, le Comité Directeur du Club Boulogne-Levallois METROPOLITANS 92 souhaite communiquer sa position avant la prochaine Assemblée Générale de LNB prévue mardi 19 janvier et celle-ci est en accord avec celle déjà exprimée de l’AS Monaco :\\n\\n« Les résolutions mises au vote lors de cette AG sont uniquement une décision de « STOP and GO » valable pour deux matchs à jouer éventuellement en un mois.\\n\\nNotre attente est une décision nous donnant de la visibilité jusqu’à la fin de saison.\\n\\nA notre connaissance, tous les sports collectifs professionnels européens ne bénéficiant pas de droits télévisuels sont dans la même situation économique que nous.\\n\\nMalgré les problèmes économiques auxquels ils sont également confrontés, ils assurent leur mission qui est de jouer....\\n\\nDans notre pays, l’Etat a accordé différentes aides : exonérations de charges, chômage partiel, fonds de solidarité et dispositif de compensation de la billetterie. Malgré cela la JEEP Elite ne joue qu’épisodiquement.\\n\\nEn persistant dans cette stratégie de « STOP and GO » nous risquons de tuer notre sport. Comment ne pas lasser notre public, nos partenaires ? Comment ne pas nuire à l’exposition médiatique d’un championnat devenu illisible ?\\n\\nNous regrettons que le Basket professionnel donne l’image d’un sport sans vraie stratégie ni gouvernance apparente, incompris de tous les autres acteurs du sport professionnel français.\\n\\nRéagissons, il faut jouer !!!!! »\\n\\nPhoto: Maxime Roos (Metropolitans)" }, {"role": "user", "content":"L’AS Monaco souhaite que la Ligue prenne une décision définitive quant à la suite de la saison" }, {"role": "assistant", "content":"À travers un communiqué, l’AS Monaco exprime sa position sur la prochaine Assemblée Générale de LNB prévue mardi prochain. Le club de la Principauté aimerait qu’une décision définitive soit prise sur la suite de la saison de Jeep Elite et de Pro B.\\n\\n« Nous sommes fortement en désaccord avec l’ordre du jour, selon lequel une seule résolution sera soumise aux voix: « Faut-il décider que chaque équipe participera à 2 matches de championnat dont 1 à domicile du 20 janvier au 15 février 2021?\\n\\nLe vote sur ce point n’est que le report d’une décision majeure qui laisse tout le basket professionnel français dans l’ignorance de l’avenir des championnats Jeep Elite et Pro B.\\n\\nÀ notre avis, la LNB, en tant qu’instance dirigeante, à laquelle les clubs ont délégué le pouvoir de prendre les principales décisions concernant le basket-ball professionnel français, est obligée de développer et de soumettre aux voix les options et formules potentielles pour la fin du championnat de France en cas d’aggravation ou de maintien de la situation épidémiologique.\\n\\nBien sûr, nous sommes tous dans une situation économique difficile. Mais nous devons être réalistes et réaliser que, compte tenu de l’émergence de nouvelles souches de coronavirus, les chances de retour des spectateurs dans les gradins en mars-mai 2021 ont tendance à être nulles, et il est donc désormais d’une importance cruciale de prendre une décision claire et sans ambiguïté sur l’avenir de la saison 2020/21, basée sur les prévisions les plus pessimistes – la fin de la saison avec des gradins vides.\\n\\nMaintes et maintes fois, en prenant la «décision de Salomon», calculée seulement pour 4-6 semaines, nous ne faisons qu’aggraver notre situation.\\n\\nCompte tenu de l’incertitude, les clubs ne savent pas comment gérer les politiques de transfert. Il faut prendre en compte le fait que dans la plupart des championnats d’Europe, qui, contrairement à la France, se jouent selon le calendrier d’origine, les fenêtres de transfert seront fermées d’ici la fin du mois de février et si, soudainement, la ligue décide d’annuler le championnat au plus tard le 1er février, les clubs LNB n’auront même pas d’opportunités d’emploi théoriques pour les joueurs sous contrat. Ainsi, la Ligue, sans prendre de décision définitive maintenant, pourrait encore aggraver les dommages économiques aux clubs, les privant de la possibilité de réduire sérieusement leurs dépenses sur les salaires des joueurs.\\n\\nDe plus, alors que tous les autres championnats de France professionnels des sports d’équipe poursuivent systématiquement la saison, l’incertitude sur l’avenir du basket réduit considérablement l’attrait médiatique pour notre sport, ce qui affectera certainement l’avenir lors de la recherche de sponsors et de partenaires pour les clubs.\\n\\nMalheureusement, le temps est contre nous et pour le bien commun du basket français, il est maintenant nécessaire d’adopter et d’approuver le plan final pour l’achèvement des championnats Jeep Elite et Pro B. »" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: 8 minutes de résumé de Le Mans – Limoges" }, {"role": "assistant", "content":"Le MSB a dominé le CSP hier à Antares, 91-68, avec un excellent jeu collectif et un Anglais Ovie Soko royal (17 points, 6 rebonds, 4 passes et... 5 interceptions). Le match a été diffusé sur La Chaîne L’Equipe. Voici un résumé complet.\\n\\n\\nLa réaction du coach Elric Delord en conférence de presse 🎙️#GoMSB #ToujoursEnsemble pic.twitter.com/ICYuWmaBRh\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) January 16, 2021\\n\\n\\nPhoto: Ovie Soko (MSB)" }, {"role": "user", "content":"Pro B – St Chamond-Nancy : Quand Marcus Relphorde oublie de prendre un shoot à trois-points" }, {"role": "assistant", "content":"Le SLUC Nancy s’est imposé à Saint-Chamond, 84-85. Très important dans la perspective de jouer les premiers rôles en Pro B.\\n\\nL’ailier jamaïcain Tyran De Lattibaudière (2,01m, 29 ans) a été reconnu comme le MVP du match suite à ses 27 points et 8 rebonds pour un joli total à l’évaluation: 35.\\n\\nCe ne fut pas de tout repos. Les Lorrains menaient de 19 points à l’entame du 4e quart-temps (58-77) mais ils ont connu un sacré coup de barre et les Couramiauds leur ont infligé un 16 à 2.\\n\\nL’Est Républicain raconte que Ron Lewis donna trois points d’avance (82-85) au SLUC sur un lancer-franc. Il restait huit secondes au chrono. L’ailier de Saint-Chamond Marcus Relphorde, par ailleurs meilleur marqueur de son équipe avec 19 points, fonça vers le cercle et donna la balle à Jérome Cazenove, qui marqua... deux points. Le SLUC n’en demandait pas temps.\\n\\n« Marcus (Relphorde) n’a pas réalisé que nous étions menés de trois points... », constata le coach de Saint-Chamond Alain Thinet. « Nous sommes revenus à l’arrache, mais nous avons globalement été dominés par Nancy. Ce match, nous le perdons face à un garçon comme De Lattibaudiere, qui nous a dominés de la tête et des épaules. Nous le perdons également sur notre inconstance ».\\n\\nPhoto : Marcus Relphorde (Saint-Chamond)" }, {"role": "user", "content":"Des Américains proches de reprendre le club de Pau ?" }, {"role": "assistant", "content":"Des investisseurs américains sont très intéressés par le rachat de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez. C’est l’information donnée ce matin par La République des Pyrénées.\\n\\n« Selon nos informations, les investisseurs intéressés par la reprise de l’Elan sont Américains, connaissent parfaitement le milieu du basket professionnel dans lequel ils gravitent, et possèdent une surface financière largement suffisante pour avoir séduit et convaincu la Place Royale, sans avoir été refroidi par la crise sanitaire actuelle qui a de lourdes répercussions sur l’économie mondiale », écrit le journaliste Jean Fauret.\\n\\nCette arrivée d’investisseurs américains provoquerait une sérieuse hausse du budget pour un club qui a évité le dépôt de bilan au printemps dernier grâce aux aides de l’Etat.\\n\\nSelon le quotidien palois, l’annonce officielle de la reprise ne devrait pas tarder.\\n\\nRick Pitino, Stu Jackson et Jamal Mashburn repreneurs potentiels de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez !\\n\\nPhoto: Eric Traversie/Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Interview Vincent Collet : « Je préférerais que les joueurs continuent à jouer. Ça me paraît essentiel, à la fois pour le basket et pour l’équipe de France »" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach de l’équipe de France Vincent Collet a analysé ce matin sa sélection pour les deux matches de qualification à l’EuroBasket 2022, qui vont se tenir fin février au Monténégro, avec le retour en bleu de Thomas Heurtel. Il a aussi évoqué les Jeux Olympiques de Tokyo.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est le contexte de cette fenêtre pour l’équipe de France ?\\n\\nAvant de parler de cette liste, je veux repréciser que nous ne sommes pas encore qualifiés. Le fait que les Allemands aient été battus à la fois par les Anglais et les Monténégrins fait que l’on doit encore impérativement gagner un match, sauf si ces mêmes Allemands battaient les Anglais lors de la première rencontre, auquel cas le goal average pourrait être suffisant pour se qualifier. Mais on ne veut pas calculer et l’objectif est clairement de gagner ces dernières rencontres. Le plus vite possible sera le mieux mais comme le premier match est contre le Monténégro, ce sera compliqué car la fenêtre se déroule chez eux. Même si elle est privée de (Nikola) Vucevic et de (Bojan) Dubljevic, l’un jouant en NBA et l’autre en Euroleague, il reste quand même une ossature d’équipe qui peut être performante. On s’attend à un premier match compliqué. En ce qui nous concerne, la sélection est très proche de celle de novembre car, d’une part, elle avait donné satisfaction sur l’état d’esprit et sur ce qu’elle avait produit. C’est ce qui nous a amené à confirmer une grande majorité des joueurs, même quand il y a eu pour certains de petites hésitations avec d’autres joueurs qui pouvaient entrer en compétition. L’autre chose que vous n’aurez pas manqué d’observer, c’est l’arrivée dans le groupe de Thomas Heurtel. C’est une opportunité liée malheureusement à ses difficultés rencontrées avec le club de Barcelone. Il a été mis à l’écart de son équipe et donc on a sauté sur l’occasion. Bien sûr, il est d’accord pour être sélectionné et je me réjouis qu’il puisse renforcer notre équipe pour cette fenêtre. Ça va être pour nous un bon coup de main. L’autre arrivée dans le groupe, c’est Maxime Roos. Déjà, au mois de novembre, j’avais un peu regretté le format de sélection ; on doit l’annoncer un mois avant la fenêtre et c’était mi-octobre alors que les équipes avaient encore à peine joué. On n’avait pas eu le loisir de voir ses progrès en compétition, ce qui était arrivé entre l’annonce de la compétition et la fenêtre elle-même de novembre. Il a confirmé depuis et en plus, derrière Amath Mbaye, on manquait d’un deuxième poste 4 fuyant. C’est un vrai 3 qui peut jouer 4. Depuis le début de la saison, Jurij Zdvoc avec Boulogne l’a beaucoup utilisé sur ce poste-là. On a considéré qu’il pouvait être un véritable apport, surtout contre une équipe monténégrine où les 4 sont souvent des joueurs qui jouent au large, qui tirent à trois-points, comme l’école serbo-croate le fait depuis très longtemps.\\n\\nLe suiviez-vous depuis longtemps ?\\n\\nIl était venu, il y a environ dix-huit mois, sur une fenêtre comme partenaire d’entraînement. Depuis qu’il y a des fenêtres FIBA, on a pour habitude d’annoncer une sélection de 12 joueurs que l’on a toujours complétée par des partenaires d’entraînement, qui ne sont pas directement intégrés dans notre processus de sélection. On le suivait mais, pour moi, depuis le début de saison, il a franchi un palier. Ses performances sont répétées avec une belle régularité. Bien sûr, cela a attiré un peu plus notre attention. Cela d’autant plus qu’il a beaucoup plus joué en poste 4. Pour lui, c’est aussi synonyme de plus grande efficacité parce que je trouve qu’en 3, c’est quelqu’un qui n’utilise pas beaucoup le dribble, il ne pose pas beaucoup la balle par terre. C’est beaucoup moins préjudiciable en poste 4 qu’en 3. Même si c’est un gabarit léger, il a une vraie valeur athlétique, il est long, il va vite, il bouge, il a beaucoup d’activité. Je pense qu’il a des qualités qui peuvent nous aider dans la mission qui est la nôtre d’aller gagner des matches au Monténégro.\\n\\n« On se réjouit d’accueillir Thomas Heurtel, c’est une opportunité pour notre équipe et surtout son profil est très complémentaire de celui d’Andrew »\\n\\nL’accord de Barcelone a-t-il été nécessaire pour pouvoir intégrer Thomas Heurtel, n’y a-t-il pas des problèmes d’assurance ? Il ne joue plus et sauf à trouver un autre club d’ici là, il sera sans compétition au moment de jouer ces matches avec l’équipe de France. D’une façon générale, craignez-vous un manque de rythme puisque pour les joueurs qui sont en Jeep Elite, on ne sait pas s’il y aura des matches d’ici là ?\\n\\nC’est une très bonne question. C’est valable pour tous les joueurs, il faut demander l’accord des clubs. C’est pour cela que la sélection est annoncée un certain nombre de jours avant la fenêtre. C’est une obligation FIBA. La Fédération prévient systématiquement les clubs concernés, Barcelone comme tous les autres. Elle prend en charge l’assurance pendant la période de compétition, il n’y a pas de différence par rapport à d’autres joueurs. Pour la deuxième question, c’est effectivement un souci. J’attends avec impatience la décision qui sera, je crois, prise mardi prochain en ce qui concerne la Jeep Elite. Je préférerai clairement que les joueurs continuent à jouer. Ça me paraît essentiel, à la fois pour le basket et pour l’équipe de France. S’il y avait un arrêt total des compétitions, ça serait un vrai souci pour l’équipe de France qui devra jouer les matches en février au Monténégro.\\n\\nAndrew Albicy est le capitaine et le meneur de jeu titulaire de l’équipe. Le retour de Thomas Heurtel va-t-il changer la donne ?\\n\\nJe peux vous répondre tout de suite : on ne prévoit pas de changer quoi que ce soit. Andrew Albicy sera capitaine en février comme il l’était au mois de novembre. On se réjouit d’accueillir Thomas Heurtel, c’est une opportunité pour notre équipe et surtout son profil est très complémentaire de celui d’Andrew. On peut même imaginer les associer sachant que le Monténégro joue de très longues minutes avec Justin Cobbs et (Nikola) Ivanovic, qui sont également deux meneurs. Ils peuvent jouer de façon séparée mais ils sont sur le terrain un peu plus d’une mi-temps ensemble.\\n\\nMam Jaiteh avait été convoqué pour la fenêtre de novembre, il avait attrapé le COVID-19 et ainsi il n’avait pas pu venir. Vous n’avez pas souhaité le reprendre ?\\n\\nIl fait partie des cas d’hésitation. La bonne tenue de la fenêtre de novembre a motivé certains de nos choix. Avec mes assistants, quand on a réfléchi sur la liste pour février, il était dans les discussions, mais on a préféré confirmer l’attelage Mathias Lessort-Jerry Boutsiele, sachant que Alex Chassang, que l’on avait utilisé pas mal en 4 en novembre, est quand même davantage à l’aise en poste 5. Il nous a semblé que prendre un quatrième poste 5 est quand même un peu un facteur de déséquilibre dans une sélection. C’était difficile de pouvoir utiliser quatre joueurs sur le même poste. Alex peut bien sûr basculer un peu en 4 mais c’est aussi pour ça que l’on a pris Maxime Roos, pour avoir une autre solution en poste 4 derrière Amath Mbaye. J’ai personnellement regardé des matches parmi les derniers que Mam a pu faire en Turquie et effectivement, il a fait des choses intéressantes comme depuis le début de saison. C’est ce qui nous avait amené à la sélectionner en novembre et là c’est plutôt un choix au profit des joueurs que j’ai cité auparavant, qu’au détriment de Mam Jaiteh. On va dire que l’on a joué la continuité.\\n\\nOvie Soko devrait faire partie de cette fenêtre. On voit en Jeep Elite que c’est un très bon joueur et il a été très efficace lors des deux premiers matches avec la Grande-Bretagne. N’est-ce pas une raison supplémentaire de se méfier des Britanniques ? On suppose que vous allez prévenir les joueurs que ce n’est pas parce que vous leur avez mis un carton au premier match que c’est dans la poche pour celui-ci ?\\n\\nTout à fait. Déjà, dans un premier temps, notre objectif est de battre le Monténégro pour assurer cette qualification, mais si d’aventure ce n’était pas le cas, on sait que ce sera plus compliqué contre la Grande-Bretagne. Déjà, on a fait un très bon match contre eux à Pau, ils étaient diminués et ils ont montré deux jours plus tard, en battant assez largement le Monténégro, qu’ils avaient du répondant. C’est une équipe qui est très agressive. Au-delà du basket, quand on joue la Grande-Bretagne, il y a cette notion de combat. C’est une équipe qui joue dur. Dès que l’on avait baissé un peu notre niveau d’agressivité, en deuxième mi-temps, on n’avait plus dominé comme en première. Et ça sans Ovie Soko, qui est le meilleur joueur de cette équipe. On sait qu’il faudra de la vigilance. Mais on espère que l’on aura déjà assuré notre qualification.\\n\\n« Pour moi, il y aura les JO cet été »\\n\\nEtes-vous inquiet sur la tenue des Jeux Olympiques cet été au Japon ? Et avec la saison NBA qui se terminera très tard, est-ce que ce sera un problème pour l’équipe de France ou un avantage vis-à-vis des Etats-Unis ou d’autres pays, qui pourraient aussi avoir une préparation très raccourcie ?\\n\\nLes nouvelles que l’on peut avoir ne m’affolent pas quant à la tenue des JO. On a plutôt la confirmation de leur tenue, même si on sait qu’avec la pandémie, il faut toujours être prudent car il y a des évolutions quasi permanentes. Il ne faut pas trop s’attarder dessus. Pour moi, il y aura les JO cet été. C’est une situation avec la pandémie qui est plus compliquée qu’à l’habitude pour préparer. Les calendriers ne sont même pas connus aujourd’hui. On voit dans le championnat de France la difficulté pour tenir le rythme de la compétition. C’est vraiment très dur pour tout le monde. On sera forcément obligé de s’adapter. Pour les joueurs NBA, on sait que le Match 7 d’une éventuelle finale pourrait se jouer la veille de la cérémonie d’ouverture. On n’est pas sûr d’avoir des joueurs français dans cette finale ! Ca peut arriver, on a quelques joueurs dans de très bonnes équipes et en particulier parmi nos joueurs majeurs. En fonction de ça, on avisera. Avec Patrick (NDLR : Beesley, le directeur de l’équipe de France), on travaille déjà depuis pas mal de temps sur cette préparation et on sait que, un, deux, voire trois joueurs pourraient ne la prendre qu’en cours. On s’adaptera à ça mais on commencera la préparation bien en amont des Jeux. Une équipe, ce n’est pas deux ou trois joueurs mais tout un groupe. Si l’un ou l’autre de nos joueurs est en finale NBA, il sera en train de jouer et il arrivera en forme et les joueurs en question sont en équipe de France depuis de nombreuses années, ils connaissent parfaitement l’équipe et ils ont davantage de facilités pour s’intégrer très vite.\\n\\nQue pensez-vous du début de saison de Timothé Luwawu-Cabarrot dans une équipe à fort potentiel ?\\n\\nQuand on voyait l’équipe de Brooklyn en début de saison, il n’était pas évident qu’il puisse se faire sa place comme ceci. Sur les derniers matches, il est régulier entre 10 et 14 points, il joue une bonne vingtaine de minutes à chaque match. J’avoue que le trade d’il y a deux jours m’inquiète un peu. L’arrivée de James Harden n’est pas forcément une très bonne nouvelle. Mais comme il a été régulier et performant depuis le début de saison, j’espère qu’il aura convaincu son coach de continuer à l’utiliser. Pour nous, c’est forcément une bonne nouvelle. En plus, il a un profil qui peut être complémentaire, par exemple, d’Evan (Fournier). Même si souvent il joue 2, dans le basket international, il peut très bien tenir le poste 3. Il est physique, athlétique. C’est d’autant plus intéressant que depuis le début de saison, Nicolas Batum est systématiquement utilisé sur le poste 4.\\n\\nMalgré la pandémie, êtes-vous déjà allé visiter des joueurs en Europe ou en NBA, et de façon pratique, le coach de l’équipe de France a-t-il accès aux matches d’Euroleague et de NBA qui sont à huis-clos ?\\n\\nPour l’instant, on ne l’a pas fait. On en a parlé avec Boris (NDLR : Diaw. Le manager général adjoint des Bleus) et on situe ça après la fenêtre du Monténégro, probablement à partir du début mars, en espérant que les conditions de déplacement soient davantage facilitées. Pour ce qui est d’accéder dans les salles, c’est de la négociation mais en général ça se passe plutôt bien. Même si c’est du huis-clos, on peut apercevoir lors des matches d’Euroleague ou de NBA quelques personnes derrière. Je pense que l’on pourrait en faire partie avec bien sûr le port du masque obligatoire. Pour l’instant, je suis les joueurs à travers les matches que je peux regarder de façon régulière. La saison NBA ne vient que de démarrer, on n’est qu’à quatre semaines de compétition, il n’y a pas d’urgence. Pour l’Euroleague, c’est un peu différent. On va le faire bien entendu le plus vite possible et quoi qu’il en soit, il n’y a pas de retard. Les Jeux sont au mois de juillet et le contact présentiel avec les joueurs, c’est quand même mieux quand il est plus proche de la compétition. Quand on ira les voir, on rentrera déjà dans le vif du sujet, on ira jusqu’à parler de jeu, de ce que l’on veut mettre en place, on en discutera avec eux.\\n\\n*TLC fait 2,01m et a 25 ans. Ses stats avec les Brooklyn Nets cette saison : 9,2 points (36,5% à trois-points), 2,2 rebonds et 1,2 passe en 21 de temps de jeu moyen sur 13 matches.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est le contexte de cette fenêtre pour l’équipe de France ?\\n\\nAvant de parler de cette liste, je veux repréciser que nous ne sommes pas encore qualifiés. Le fait que les Allemands aient été battus à la fois par les Anglais et les Monténégrins fait que l’on doit encore impérativement gagner un match, sauf si ces mêmes Allemands battaient les Anglais lors de la première rencontre, auquel cas le goal average pourrait être suffisant pour se qualifier. Mais on ne veut pas calculer et l’objectif est clairement de gagner ces dernières rencontres. Le plus vite possible sera le mieux mais comme le premier match est contre le Monténégro, ce sera compliqué car la fenêtre se déroule chez eux. Même si elle est privée de (Nikola) Vucevic et de (Bojan) Dubljevic, l’un jouant en NBA et l’autre en Euroleague, il reste quand même une ossature d’équipe qui peut être performante. On s’attend à un premier match compliqué. En ce qui nous concerne, la sélection est très proche de celle de novembre car, d’une part, elle avait donné satisfaction sur l’état d’esprit et sur ce qu’elle avait produit. C’est ce qui nous a amené à confirmer une grande majorité des joueurs, même quand il y a eu pour certains de petites hésitations avec d’autres joueurs qui pouvaient entrer en compétition. L’autre chose que vous n’aurez pas manqué d’observer, c’est l’arrivée dans le groupe de Thomas Heurtel. C’est une opportunité liée malheureusement à ses difficultés rencontrées avec le club de Barcelone. Il a été mis à l’écart de son équipe et donc on a sauté sur l’occasion. Bien sûr, il est d’accord pour être sélectionné et je me réjouis qu’il puisse renforcer notre équipe pour cette fenêtre. Ça va être pour nous un bon coup de main. L’autre arrivée dans le groupe, c’est Maxime Roos. Déjà, au mois de novembre, j’avais un peu regretté le format de sélection ; on doit l’annoncer un mois avant la fenêtre et c’était mi-octobre alors que les équipes avaient encore à peine joué. On n’avait pas eu le loisir de voir ses progrès en compétition, ce qui était arrivé entre l’annonce de la compétition et la fenêtre elle-même de novembre. Il a confirmé depuis et en plus, derrière Amath Mbaye, on manquait d’un deuxième poste 4 fuyant. C’est un vrai 3 qui peut jouer 4. Depuis le début de la saison, Jurij Zdvoc avec Boulogne l’a beaucoup utilisé sur ce poste-là. On a considéré qu’il pouvait être un véritable apport, surtout contre une équipe monténégrine où les 4 sont souvent des joueurs qui jouent au large, qui tirent à trois-points, comme l’école serbo-croate le fait depuis très longtemps.\\n\\nLe suiviez-vous depuis longtemps ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Jerry Boutsiele (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Olympiakos – ASVEL (63-69) : Superbe exploit de l’ASVEL au Pirée" }, {"role": "assistant", "content":"Complètement hors sujet face au Panathinaïkos mercredi, l’ASVEL s’est rachetée hier soir face l’Olympiakos et réalise un joli exploit en s’imposant en Grèce (63-69).\\n\\nSolide en première période, l’ASVEL a a été présente des deux côtés du terrain avec une intensité défensive et offensive qui n’avait pas été au rendez-vous mercredi soir. Les Villeurbannais ont su contenir le meneur Kostas Sloukas auteur de seulement 2 points et 7 passes.\\n\\nMalgré un Moustapha Fall en retrait (2 d’évaluation), trop pollué par les fautes, Villeurbanne a accru sa domination dans le 3e quart-temps grâce à une très grosse prestation de l’ailier-fort Guerschon Yabusele (19 points (7/11 aux tirs et 2/6 aux lancers-francs), 5 rebonds, 4 passes, 3 interceptions, 2 contres pour 29 d’évaluation en 33 minutes de jeu). L’ASVEL a ainsi compté jusqu’à 12 points d’avance (42-54, 31′). Même si Vassilis Spanoulis et les siens ont tenté de sonner la révolte, les hommes de TJ Parker ont tenu bon malgré une rotation réduite (Allerick Freeman, Paul Lacombe et Kevarrius Hayes non utilisés).\\n\\nNéanmoins, l’ASVEL se sera fait une petite frayeur en voyant les Grecs revenir sur ses talons, à -6 dans la dernière minute mais le principal est assuré et ce succès lui permet de rejoindre l’Etoile Rouge de Belgrade et le Panathinaikos au classement.\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « Nous avons très bien joué ensemble, nous avons fait vivre la balle, nous avons très bien déroulé notre jeu C’est une excellente réaction après le match du Panathinaïkos. La seule façon de gagner en Euroleague, c’est par la défense, et ce soir, nous avons fait un excellent travail. Nous avons gagné, mais je suis sûr qu’ils vont venir avec une sorte de revanche (mardi) et nous devons être prêts ».\\n\\nGuerschon Yabusele (ASVEL) : « Quand nous sommes arrivés en Grèce, nous savions que les deux équipes étaient difficiles à jouer. Nous en avons pris une sur deux. Et ce match était vraiment important. Nous sommes entrés avec beaucoup d’intensité, en défense, en partageant le ballon en attaque. Mes coéquipiers ont fait un excellent travail en me passant le ballon et c’est comme ça que ça s’est passé ce soir. Nous sommes heureux d’avoir gagné le match et nous rentrons en France avec une victoire. Le but, c’est répéter la même performance la semaine prochaine. Pour l’instant, nous essayons de jouer avec beaucoup de défense, de partager le ballon et de jouer ensemble ».\\n\\nPhoto: Charles Kahudi (ASVEL) et Livio Jean-Charles (Olympiakos), Euroleague" }, {"role": "user", "content":"David Lighty (ASVEL): «L’Italie et la France étaient les deux meilleurs endroits pour moi»" }, {"role": "assistant", "content":"Le site Talkbasket.com s’est intéressé à deux des Américains de l’ASVEL, le meneur Norris Cole (1,88m, 32 ans) et l’ailier David Lighty (1,98m, 32 ans). Il a notamment demandé au premier ce qu’il pense du management du président Tony Parker.\\n\\n« Tony est très professionnel. Il prend soin de ses joueurs. Il s’assure que nous avons tout ce dont nous avons besoin; l’organisation fournit toutes les ressources dont nous avons besoin et c’est tout ce que vous pouvez demander. J’ai la chance de pouvoir jouer pour lui et son équipe », répond le double champion NBA, Norris Cole.\\n\\nDavid Lighty a porté le maillot de l’ASVEL entre 2014 et 2016, puis à partir de 2017. L’été dernier, il a signé une prolongation de contrat de trois ans. Cela signifie-t-il qu’il mettra fin à sa carrière à Villeurbanne ?\\n\\n« Je suis toujours ouvert à tout. Nous ne savons jamais ce qui va se passer. C’est une bonne situation et un bon endroit pour moi. Si quelqu’un veut de moi, nous pourrions aller voir quelles sont les meilleures options et les meilleurs détails pour moi et l’équipe. L’Italie et la France étaient les deux meilleurs endroits pour moi (NDLR: il a joué à Cantu, Cremone, Trente et Sassari). J’avais des offres d’autres endroits et équipes, mais je ne pense pas que cette solution était la bonne. En fin de compte, vous ne savez jamais ce qui va se passer. C’est pourquoi quelles que soient les équipes qui m’ont, j’essaye de m’adapter au rôle. »\\n\\nEn tous les cas, au fil du temps, de part sa fidélité et ses performances, David Lighty est devenue une figure à la fois de Villeurbanne et de la Jeep Elite.\\n\\nPhoto: David Lighty (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Lituanie : Face à un calendrier trop copieux, le Zalgiris Kaunas voudrait raccourcir le championnat national" }, {"role": "assistant", "content":"Les matches reportés dans la Ligue lituanienne (LKL) presque chaque semaine, en raison du COVID-19, commencent à poser un difficile dilemme au Zalgiris Kaunas par ailleurs engagé en Euroleague. Quatre de ses matches dans le championnat national ont déjà été ajournés.\\n\\nIl n’y a que 10 équipes en LKL mais lors de la saison régulière, qui va de fin septembre à mai, les équipes jouent quatre fois les unes contre les autres, deux fois à domicile et deux fois à l’extérieur, pour un total de 36 matches.\\n\\nLes champions nationaux ont au moins 50 matches à jouer d’ici la fin de la saison et peut-être jusqu’à 62. Ce menu indigeste a poussé leurs dirigeants à proposer de... raccourcir cette saison régulière en ne faisant jouer que 3 matches les uns contre les autres au lieu de 4.\\n\\nA la connaissance de 15min, les dirigeants des autres clubs sont sceptiques face à une telle proposition car cela les mettraient en porte-à-faux vis à vis de leurs sponsors, à qui ils ont vendu un format de deux allers-retours. De plus, dans un tel format, les équipes joueraient un nombre inégal de matches à domicile et à l’extérieur.\\n\\n« Qui sait, peut-être que les fans pourront revenir dans les arènas au printemps, ce qui est une autre raison pour laquelle la grande majorité des clubs de la LKL ne devrait pas être en faveur d’un raccourcissement de la saison. La ligue elle-même n’a encore pris aucune décision et n’en parle pas. Les options possibles devraient être discutées lors de la réunion du Conseil à la fin du mois de janvier », écrit le site lituanien.\\n\\nIl s’agit d’un énième conflit d’intérêts entre les ligues nationales et l’Euroleague.\\n\\nPhoto: Marius Grigonis (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Les joueurs de A2 privés de matches, «je traverse une dépression, je suis devenu antisocial...»" }, {"role": "assistant", "content":"En Grèce, le championnat de A2 (l’équivalent de la Pro B) est à l’arrêt et les joueurs sont sans ressources. Certains sont obligés de chercher un job de substitution pour survivre. Une demi-douzaine d’entre-eux ont exprimé leur colère et leur indignation à gazzetta.gr.\\n\\n« Ce qui se passe est un grand non-sens. Il n’y a pas de logique. Cela le serait si tous les sports étaient à l’arrêt. Donc, comme vous le comprenez, il y a de la colère et de la folie en nous parce que nous avons le sentiment d’injustice. Tout le monde joue mais pas nous », déplore ainsi Yannis Gagaloudis de Maroussi. « Qui sommes-nous ? Des lépreux ? Avons-nous le choléra ? La peste ? (...) Le fait que A2 ne démarre pas n’est pas un problème de virus pour le moment. J’accepterais cela si aucun sport était en activité. Ils doivent prendre une décision tout de suite pour que nous puissions commencer à jouer. J’ai un enfant de sept ans. Il va normalement à l’école dans une pièce de 30 mètres carrés avec 15 autres enfants, sort normalement dans la cour et joue, fait sa gymnastique, mais le même enfant n’est pas autorisé à s’entraîner sur un terrain de 400 mètres carrés avec 15 autres enfants dans les académies. Que quelqu’un me donne une réponse sérieuse sur les raisons pour lesquelles tout cela se produit. Les spécialistes des maladies infectieuses ont un problème avec nous. Avec le basket.\\n\\n(...) Je respecterais tout cela si le football, le basketball A1, le volleyball étaient fermés, si tout était fermé. Pour le moment, tout est ouvert mais l’A2 est fermé. Uniquement en Grèce et en Andorre où aucun basket n’est joué dans la deuxième catégorie ! Dans tous les états, ils jouent normalement. Je suis vraiment désolé ! Je traverse une dépression. Je suis devenu antisocial, je ne veux pas parler à d’autres personnes, je me bats, je m’assois à la maison et je regarde les plafonds. J’emmène mon enfant à l’école le matin et jusqu’au lendemain je n’ai rien à faire parce que je ne travaille pas.«" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France féminine: 2 matches face à l’Espagne en février sur La Chaîne L’Equipe, Bria Hartley en observatrice" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’Équipe de France masculine en août 2019, lors de sa préparation à la Coupe du Monde, la ville de Toulouse va accueillir l’Équipe de France féminine du 31 janvier au 8 février prochain, dans le cadre de sa préparation à l’EuroBasket 2021 (17 au 27 juin) et aux Jeux Olympiques de Tokyo (23 juillet au 8 août 2021).\\n\\nÀ cette occasion la France affrontera, à huis clos, à deux reprises l’Espagne, double championne d’Europe en titre et numéro 1 sur le continent actuellement. Ces deux rencontres seront diffusées en direct sur la chaîne L’Équipe, le vendredi 5 février à 21h00 et le dimanche 7 février à 18h00.\\n\\nLes joueuses de Valérie Garnier s’entraîneront lors d’un stage toute la semaine au Petit Palais des Sports de Toulouse, ville que l’entraîneur des Bleues connaît bien pour avoir coaché le Toulouse Métropole Basket entre 2008 et 2011. La FFBB organisera ces deux rencontres, sous forme de bulle, dans le respect du protocole sanitaire de la fédération internationale et des autorités françaises comme lors des matchs internationaux de qualification à l’Euro de l’Équipe de France masculine à Pau en novembre dernier.\\n\\nL’Équipe de France féminine n’avait plus disputé de match à Toulouse depuis la préparation aux Jeux Olympiques de Sydney 2000 et deux rencontres 11 et 12 juin 2000 face au Portugal et à Cuba.\\n\\nBlessée au genou fin août dans sa saison WNBA avec Phoenix et opérée fin septembre, Bria Hartley (1,73m, 28 ans) sera présente également lors du stage des Bleues. Actuellement en rééducation, elle viendra échanger avec le staff afin d’évaluer sa participation à l’EuroBasket et aux Jeux Olympiques cet été.\\n\\nLe Groupe France :\\n\\nPrénomNomNaissanceTaillePosteSélPointsClub 2020 / 2021RomaneBERNIES27/06/19931,7012670BLMAAlexiaCHARTEREAU05/09/19981,91450350Bourges BasketHelenaCIAK15/12/19891,97591534LDLC ASVEL FémininClarinceDJALDI-TABDI06/12/19951,844––ESBVA-LMAlixDUCHET30/12/19971,6311627Bourges BasketOliviaEPOUPA30/04/19941,65189458Charnay BasketMarineFAUTHOUX23/01/20011,7311624LDLC ASVEL FémininAbyGAYE03/02/19951,9551358Basket LandesSandrineGRUDA25/06/19871,974-51932527Schio (Italie)MarineJOHANNES21/01/19951,77275671LDLC ASVEL FémininMagaliMENDY06/02/19901,75227Bourges BasketSarahMICHEL10/01/19891,80282372Bourges BasketEndyMIYEM15/05/19881,8842111886Flammes CaroloIlianaRUPERT12/07/20011,9451635Bourges BasketDiandraTCHATCHOUANG14/01/19911,89387499BLMAValérianeVUKOSAVLJEVIC29/04/19941,853103609Basket Landes\\n\\nEntraîneur : Valérie Garnier / Assistants : Olivier Lafargue, Grégory Halin, Rachid Meziane\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"270 000 téléspectateurs en moyenne pour Basket Landes vs Bourges sur La Chaîne L’Equipe" }, {"role": "assistant", "content":"270 000 téléspectateurs, en moyenne, ont regardé le match Tango Bourges Basket contre Basket Landes le samedi 9 janvier sur La Chaîne L’Equipe rapporte le club du Cher et la Ligue Féminine. Les deux équipes étaient alors invaincues en championnat.\\n\\nIl s’agit d’une audience très réjouissante pour ce qui était le premier match de l’histoire de la Ligue Féminine diffusé en clair, et qui est comparable à celles obtenues par des rencontres de Jeep Elite." }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B : Le programme des matchs et de la TV de ce week-end" }, {"role": "assistant", "content":"Il n’est pas facile de suivre un championnat quand il est haché comme actuellement la Jeep Elite et la Pro B, aussi il est bon de faire le point sur les matches du 15 au 17 janvier puisque c’est un week-end « avec ». Il y a même deux rencontres diffusées en clair.\\n\\nRappelons par ailleurs que tous les matchs qui ne sont pas diffusés par la Chaîne l’Equipe et par Sport en France sont en revanche disponibles gratuitement et en direct sur lnb.tv.\\n\\nJEEP ELITE\\n\\nVendredi 15 janvier\\n\\n21h00 : Le Mans / Limoges en direct sur la chaîne l’Equipe\\n\\nSamedi 16 janvier\\n\\n17h00 : Gravelines-Dunkerque / Cholet\\n18h00 : Boulazac / Dijon\\n18h00 : Le Portel / Nanterre\\n20h00 : Roanne / Strasbourg\\n\\n20h30 : Pau-Lacq-Orthez / Bourg-en-Bresse en direct sur Sport en France\\n\\nDimanche 17 janvier\\n\\n17h00 : Chalon-sur-Saône / Lyon-Villeurbanne\\n\\nLa date et l’heure de la rencontre Orléans / Monaco n’est pas encore fixée.\\n\\nPROB\\n\\nVendredi 15 janvier\\n\\n19h00 : Saint-Chamond Basket VDG / SLUC Nancy\\n\\n20h00 : Fos Provence Basket / Aix-Maurienne Savoie Basket\\n\\nSamedi 16 janvier 2021\\n\\n16h30 : Paris Basketball / Antibes Sharks\\n\\n17h00 : Lille Métropole Basket / ALM Evreux\\n\\n18h00 : Saint-Quentin Basket-Ball / ASC Denain Voltaire PDH\\n\\n18h00 : BC Bries-Oberhoffen / Béliers de Kemper\\n\\n18h30 : ADA Blois / JA Vichy-Clermont Métropole Basket\\n\\n20h00 : BC Souffelweyersheim / Rouen Métropole Basket\\n\\n20h00 : Poitiers Basket 86 / Nantes Basket Hermine" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France : Thomas Heurtel dans la sélection pour la fenêtre de février" }, {"role": "assistant", "content":"L’entraîneur de l’Équipe de France masculine, Vincent Collet et le Général Manager des Bleus, Patrick Beesley, ont communiqué ce vendredi une liste de 12 joueurs convoqués pour les deux derniers matchs de qualification à l’EuroBasket 2022*. La France jouera ces rencontres au Sportski centar Moraca de Podgorica (Monténégro), face au Monténégro, le samedi 20 février puis contre la Grande-Bretagne le lundi 22 février.\\n\\nLa principale surprise est la présence du meneur Thomas Heurtel. Celui-ci est actuellement « sans club » dans le sens où il a été banni de l’équipe du FC Barcelone et qu’il s’entraîne individuellement en attendant de trouver un autre point de chute. Maxime Roos (Boulogne-Levallois) connaîtra pour sa part sa première sélection. Ce sont David Michineau et Nicolas Lang qui font les frais de ces ajustements.\\n\\nVainqueurs de leurs deux dernières rencontres en novembre dernier à Pau (victoire face à la Grande-Bretagne 79-56 et l’Allemagne 86-74), les Bleus sont, à ce jour, en tête du Groupe G. Il leur suffira d’une victoire à Podgorica pour assurer leur qualification pour l’EuroBasket 2022.\\n\\nLes Tricolores s’envoleront pour le Monténégro dès le lundi 15 février et n’auront que quelques jours afin de se préparer collectivement avant d’affronter le pays hôte le samedi 20 puis la Grande-Bretagne le lundi 22 (horaires à déterminer). Ces rencontres seront retransmises sur une chaîne du groupe Canal détenteur des droits auprès de la FIBA.\\n\\n*L’EuroBasket 2022 se déroulera du 1er au 18 septembre 2022 dans quatre pays. En Allemagne à Cologne puis Berlin (phase finale), en Géorgie à Tbilissi, en Italie à Milan et en République Tchèque à Prague.\\n\\nListe des joueurs sélectionnés :\\n\\nNomPrénomNaissanceTaillePosteSélectionsPointsClubALBICYAndrew1990178164186CB Gran Canaria (Espagne)JULIENAxel199218411551JDA DijonHEURTELThomas1989188175522FC Barcelona (Espagne)CORDINIERIsaïa19961912425Nanterre 92BOUTEILLEAxel199520121080Unicaja Malaga (Espagne)KONATELahaou17/11/19911962/31445Boulogne LevalloisOUATTARAYakuba199219221482Coosur Real Betis (Espagne)ROOSMaxime19952023/4––Boulogne-LevalloisM’BAYEAmath1989206422158Pinar Karsiyaka (Turquie)CHASSANGAlexandre19942044/5629JDA DijonLESSORTMathias19952065/424148AS MonacoBOUTSIELEJerry1992207529Limoges CSP\\n\\nUne liste complémentaire a également été dévoilée afin de permettre au staff des Bleus, en cas de blessure, de faire appel rapidement à un joueur déjà mobilisé : Jonathan Rousselle (30 ans, 1,95 m – Bilbao), Abdoulaye N’Doye (22 ans, 1,91 m – Monaco), David Michineau (26 ans, 1,84 m – Metropolitans 92) Nicolas Lang (30 ans, 1,98 m – Limoges), Mouhammadou Jaiteh (26 ans, 2,11 m – Gaziantep) et Petr Cornelie (25 ans, 2,11 m – Pau-Lacq-Orthez).\\n\\nSuite à cette annonce, Maxime Roos et Petr Cornelie intègrent le Team France qui compte désormais 49 joueurs.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires – Boulogne-Levallois : 9 joueurs à 120 000 euros et davantage" }, {"role": "assistant", "content":"Équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique des Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl y a deux ans, les Metropolitans, alors exclusivement rattachés à Levallois, présentaient avec 1 641 000 euros la 7e masse salariale de Pro A/Jeep Élite. Depuis, Boulogne est venu s’associer au club de la proche banlieue parisienne et, dans le prévisionnel, les Mets ont grimpé à 2 445 500 euros, si bien que seuls l’ASVEL et Monaco possèdent une bourse plus grande encore.\\n\\nConséquences : pour la saison 2018-19, Mouphatou Yarou et Julian Wright pointaient en tête avec 170 000 euros chacun, David Michineau était à 80 000 et Maxime Ross à 50 000. Aujourd’hui, les Mets ont dans leur roster pas moins de 9 joueurs à 120 000 euros et davantage, considérant que Archie Goodwin a pris la succession de Rob Gray et qu’il est sur une base annuelle supérieure à ce cap (140 000 € sur dix mois).\\n\\nDans sa stratégie, le club des Hauts-de-Seine a choisi de prolonger Vitalis Chikoko jusqu’en 2024 -un investissement rare pour un étranger- et David Michineau jusqu’en 2023. De la même façon, cet été, Lahaou Konate a signé pour quatre saisons et le Bosnien Miralem Halilovic pour deux. Tous ont obtenu des gains salariaux appréciables. Chikoko, l’un des intérieurs les plus forts offensivement du championnat, était à 120 000 euros lors de sa dernière saison à Pau. Venu de Croatie en 2017, Halilovic a perçu 65 000 euros à Orléans pour ses débuts en France. Nanti d’un statut de All-Star, il a donc multiplié depuis ses revenus par trois ! 120 000 euros, c’est ce que gagnait Lahou Konate à Nanterre. Une superbe dernière saison avec la bande à Pascal Donnadieu et un petit crochet par l’Espagne plus tard et le voici avec 40 000 de plus chaque année dans la poche. Michineau, qui est désormais un international des « fenêtres » et Roos, qui est le « régional de l’étape » et qui monte en puissance, ont également vu leurs tarifs revalorisés.\\n\\nPar ailleurs, il n’est pas étonnant de constater que Jurij Zdovc est proche de la barre des 200 000 euros sachant qu’il possède un solide CV international étant notamment passé par l’AEK Athènes et l’équipe nationale de Slovénie.\\n\\n * Vitalis CHIKOKO (ZIM) : 270 000 €\\n * Miralem HALILOVIC (BOS) : 190 000 €\\n * Brandon BROWN (USA) : 160 000 €\\n * Lahaou KONATÉ (FRA) : 160 000 €\\n * David MICHINEAU (FRA) : 150 000 €\\n * Anthony BROWN (USA) : 140 000 €\\n * Tomer GINAT (ISR) : 120 000 €\\n * Bastien PINAULT (FRA) : 120 000 €\\n * Archie GOODWIN (USA) : 98 000 € (pour 7 mois)\\n * Maxime ROOS (FRA) : 80 000 €\\n * Rob GRAY (USA) : 50 000 € (pour 4 mois)\\n * Assem MAREI (EGY) : 45 000 € (pour 3 mois)\\n * Neal SAKO (FRA) : 40 000 €\\n\\nCoach / Assistant :\\n\\n * Jurij ZDOVC (SLO) : 180 000 €\\n * Sacha GIFFA (FRA) : 60 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nIl y a deux ans, les Metropolitans alors exclusivement rattachés à Levallois présentaient avec 1 641 000 euros la 7e masse salariale de Pro A/Jeep Elite. Depuis Boulogne est venu s’associer au club de la proche banlieue parisienne et dans le prévisionnel, les Mets ont grimpé à 2 445 500 euros, si bien que seuls l’ASVEL et Monaco possèdent une bourse plus grande encore.\\n\\nConséquences : pour la saison 2018-19, Mouphatou Yarou et Julian Wright pointaient en tête avec 170 000 euros chacun, David Michineau était à 80 000 et Maxime Ross à 50 000. Aujourd’hui, les Mets ont dans leur roster pas moins de 9 joueurs à 120 000 euros et davantage, considérant que Archie Goodwin a pris la succession de Rob Gray et qu’il est sur une base annuelle supérieure à ce cap.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture : David Michineau (Eurocupbasketball)" }, {"role": "user", "content":"LFB : Retour de l’Américaine Mikaela Ruef à Charnay" }, {"role": "assistant", "content":"Après Olivia Epoupa, le CBBS Charnay enregistre la venue de l’intérieure américaine Mikaela Ruef (1,90m, 30 ans) qui est le joker médical de Gabby Green, blessée.\\n\\nSortie de l’université de Stanford en 2014, Mikaela Ruef est déjà passée par Charnay la saison dernière et aussi par Toulouse en 2017-18 où elle avait été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou. Elle a par ailleurs fréquenté l’Australie et les Canberra Capitals, l’ancien club de... Olivia Epoupa.\\n\\nPhoto: LFB" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: -39, Le Khimki Moscou concède la plus grosse défaite de l’histoire du club, le coach viré" }, {"role": "assistant", "content":"La débandade se poursuit au Khimki Moscou. Les Russes ont pris une déculottée face à Anadolu Efes Istanbul: 60-99. Trente-neuf points d’écart ! Il s’agit de leur 12e défaite consécutive et aussi de la plus importante de toute l’histoire du club. Le record du genre datait d’octobre 2009 face au Panathainaikos Athènes, 66-101.\\n\\nAvec 15 points, 5 rebonds, 5 passes et 2 interceptions, Shane Larkin s’est démultiplié tout comme Rodrigue Beaubois avec 9 points, 6 rebonds et 4 passes. Adrien Moerman a également rendu une belle copie avec 9 points et 6 rebonds.\\n\\n« Nous n’étions pas assez rapides, notre énergie était la moitié de celle des joueurs de l’Efes. En si peu de temps, nous n’avons pas pu résoudre certains problèmes, notamment avec les rebonds, et aujourd’hui nous avons à nouveau perdu cette lutte sous les panneaux, permettant à l’adversaire de prendre 15 rebonds de plus » a lâché le coach Rimas Kourinaitis en conférence de presse.\\n\\nLe Khimki n’a battu jusqu’ici que l’Etoile Rouge de Belgrade et le Zenit Saint-Petersbourg alors que son budget est de 24 millions d’euros. On se demandait encore comment le Lituanien faisait pour tenir en place... Dans l’après-midi, on a appris qu’il était limogé !\\n\\n« Les supporters et partenaires qui aiment et soutiennent le club ne s’attendaient pas à ce que nous nous trouvions dans une situation aussi difficile et que l’équipe démontre de tels résultats », a commenté le directeur général du club, Pavel Astachov. « Nous apprécions la contribution de Rima au développement du club, les meilleures pages de l’histoire lui sont associées, mais dans de telles circonstances, il n’y avait pas d’autres options. »\\n\\nPhoto: Errick McCollum (Khimki, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Euroleague: Le Bayern Munich sur la voie d’une Licence A" }, {"role": "assistant", "content":"Après une période probatoire de deux ans, le Bayern Munich va très probablement bénéficier à la fin de cette saison, comme l’ASVEL, d’une Licence A, qui donne l’assurance de jouer en Euroleague pendant dix ans. Le PDG de l’organisation, Jordi Bertomeu, a rencontré hier la direction du club allemand à cet effet et il a ensuite donné une conférence de presse :\\n\\n« Je suis très optimiste sur le fait que le Bayern Munich deviendra co-actionnaire en plus des onze clubs et actionnaires actuels », a déclaré Bertomeu. «Tout ce qui a été dit lors de notre première réunion à Munich a été conservé, et pour nous, il est très important qu’un associé ait une vision claire. Le Bayern a une très bonne structure et comprend comment les opérations économiques doivent être gérées. Ce n’est pas seulement une marque incroyable mais aussi une cohérence qui est nécessaire au niveau professionnel ».\\n\\nJordi Bertomeu a par ailleurs évoqué ses rapports avec la Fédération Internationale où c’est visiblement le statut quo.\\n\\n« Tout d’abord, je voudrais dire que nous n’avons aucun conflit avec la FIBA », a curieusement répondu Bertomeu. «Ils viennent de démarrer un projet, les fenêtres des équipes nationales, qui est incompatible avec notre calendrier, mais aussi avec le calendrier NBA. Nous développons notre système en Euroleague depuis des années. (...) Malheureusement, il n’y a que 52 semaines dans une année et il faut concilier les ligues nationales, l’Euroleague et les temps de récupération des joueurs. J’espère qu’à l’avenir, nous trouverons à nouveau une formule permettant de combiner tout cela. Mais c’est entre les mains de la FIBA. S’ils pensent que le système actuel est avantageux pour les équipes nationales, ils s’y tiendront probablement. Mon point de vue est le suivant: je veux toujours les meilleurs joueurs sur le terrain, quel que soit le match, quelle que soit la compétition. Je ne peux pas être en faveur d’un système où cela n’existe pas. »" }, {"role": "user", "content":"Octavius Ellis (Olympiakos) : «Moustapha Fall est l’un des meilleurs joueurs de la ligue»" }, {"role": "assistant", "content":"Le coach d’Olympiakos Georgios Bartzokas a été un observateur attentif du match Panathinaikos-ASVEL (88-71) sachant que c’est au tour de son équipe d’affronter ce soir celle de TJ Parker au Pirée.\\n\\nL’Olympiakos est en bien meilleure posture que le Pana puisqu’elle figure dans le top 8 actuel de l’Euroleague (10-8) suite à ses victoires à la suite sur le Khimki Moscou, le Bayern Munich et le Maccabi Tel-Aviv.\\n\\n«Je ne peux pas faire de prédictions », préfère t-il commenter. « C’est un adversaire difficile, surtout après leur lourde défaite face au Panathinaikos. Ils méritent une meilleure place au classement, en raison de leur athlétisme et de leur talent. Ce sera un match difficile demain (NDLR: aujourd’hui). C’est une équipe qui peut vous surprendre positivement et négativement. Elle peut battre n’importe qui lors d’une bonne journée, elle a de l’athlétisme, elle a des big men, il faut avoir de la patience pour trouver de bonnes options, c’est un match de 40 minutes et chaque possession compte. En aucun cas, il ne devrait traverser l’esprit de quiconque que c’est un match facile.«\\n\\nLe coach d’Olympiakos a donné des nouvelles des blessés tout en invitant à la prudence, toujours et encore.\\n\\n« (Aaron) Harrison s’est entraîné normalement, mais (Hassan) Martin ne s’est pas entraîné hier et ne s’entraînera probablement pas aujourd’hui. Ça fait mal. C’est une blessure qui ne peut pas s’aggraver, mais elle est douloureuse. Et avant-hier, il a joué avec une injection. Nous avons discuté avec le groupe: si on veut rester dans les clous, il ne faut pas regarder le classement. Il n’y a pas de place pour aucune sorte de détente. Chaque match est crucial et cela se verra à la fin de cette saison. Peut-être que les victoires dont vous avez besoin pour accéder aux playoffs seront plus nombreuses cette année. »\\n\\nDe son côté, le pivot Octavius Ellis (2,08m, 26 ans) a déclaré:\\n\\n« Dans l’ensemble, ils ont beaucoup de talents, il faut se concentrer sur la défense et les rebonds. Je dois contrôler l’énergie de Fall, c’est l’un des meilleurs joueurs de la ligue et je dois mettre de l’énergie en défense , l’attaquer et le fatiguer. Nous avons parlé dans les vestiaires, nous devons être plus concentrés. À ce stade, nous sommes devenus davantage une équipe et c’est une bonne occasion de créer une dynamique « .\\n\\nA noter que ce Olympiakos-ASVEL est pour le compte du cycle retour. Reporté en raison du Covid-19, le match aller aura lieu... mardi prochain à l’Astroballe.\\n\\nPhoto: Octavius Ellis (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"La photo : Les pionniers de 1964" }, {"role": "assistant", "content":"Vous ne les reconnaissez probablement pas et peut-être vous demandez-vous ce que cette photo fait là. Il s’agit pourtant d’une équipe HISTORIQUE et ce document a été ressorti des archives et publié récemment sur les réseaux sociaux.\\n\\nCette équipe de France juniors (U18) a obtenu la médaille d’argent au championnat d’Europe de 1964 ; elle fut battue en finale par l’URSS. Il fallut attendre 28 ans et le titre de la génération Laurent Sciarra en 1992 -que ce fut long !- pour que la France obtienne une deuxième médaille.\\n\\nDe gauche à droite : (en haut) Camille Mutterer, Michel Longueville, Alain Baudry, Jean-Pierre Staelens, Gérard Lespinasse, Guy Armatol, Gérard Capron, Joe Jaunay (entraîneur) ; (en bas) Pierre Galle, Alain Crapet, René Guérin, Charles Tassin, Daniel Ledent, Christian Petit.\\n\\nLes résultats : France b. Bulgarie : 54-48, France b. Espagne : 48-39, France b. Yougoslavie : 56-52, URSS b. France : 63-35, URSS b. France : 62-41.\\n\\nLes meilleurs marqueurs français furent Jean-Pierre Staelens (9,2 points), Pierre Galle (8,0) et Gérard Lespinasse (7,4)." }, {"role": "user", "content":"Qualifications Euro 2022: Le Manceau Ovie Soko sera présent avec la Grande-Bretagne contre la France le 22 février" }, {"role": "assistant", "content":"Alors qu’il effectue un excellent début de saison avec Le Mans Sarthe Basket, l’intérieur anglais Ovie Soko (2,01m, 29 ans) n’avait pas disputé, fin novembre à Pau, les deux matches de qualification à l’EuroBasket 2022 face à la France (56-79) et le Monténégro (74-59).\\n\\nConvoqué par sa fédération pour la fenêtre de février à Podgorica avec des matches contre l’Allemagne (20 février) et la France (22 février), Ovie Soko a l’intention d’y répondre favorablement.\\n\\nC’est un élément de base de l’équipe de Grande-Bretagne puisqu’il avait tourné à 18,0 points, 9,5 rebonds et 21,5 d’évaluation sur les deux premiers matches de ces qualifications. Une raison supplémentaire de se méfier des Britanniques même s’ils ont été débordés lors du premier match.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Boulazac : Yarou, bonne affaire suffisante ?" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Pour Paul Billong, Aaron Best et Edgar Sosa, c’est Noël à Boulazac (Photo : BBD)\\n\\nÉquipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Voici donc les salaires des joueurs et du staff technique de Boulazac Basket Dordogne.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nS’il est un club qui a payé un lourd tribut au coronavirus en début de saison, c’est bien le Boulazac Basket Dordogne. Avec un bon lot de blessures pour couronner le tout, le BBD a connu une entame d’exercice catastrophique : il est actuellement bon dernier avec 5 défaites en autant de matchs. Des matchs joués pour les trois premiers entre le 17 et le 24 octobre, pour les deux suivants le 19 et le 26 décembre. Donc, trois rencontres en une semaine avant deux mois d’arrêt et deux matchs à suivre.\\n\\nAutant dire qu’il est pratiquement impossible d’évaluer le rendement des joueurs de l’équipe. Disons que Mouphtaou Yarou, qui valait 180 000 € la saison passée à Boulogne-Levallois mais jouait très peu (blessures et place de remplaçant derrière Vitalis Chikoko) montre qu’il a toujours un bon niveau avec ses 15,4 d’évaluation, de même que Benjamin Sene, plus efficace en ce début de saison (13,4 d’éval) que la saison passée (11,9 d’éval) pour 25 000 € de moins par an. Quant à Edgar Sosa, qui a divisé par deux ses émoluments de base par rapport à sa saison 2018-19 à Gravelines-Dunkerque (qu’il n’y avait pas terminée après 18 matchs à 10,7 d’éval), il présente, entre deux blessures (il a été remplacé en décembre par Cameron Wells, coupé auparavant par Gravelines-Dunkerque), la même évaluation qu’à l’époque.\\n\\nPour le reste, les autres joueurs du club proposent pour le moment un rendement à la hauteur de leur salaire : 10,0 pour Owen Klassen ou 6,2 pour Aaron Best, par exemple. Et, outre Benjamin Sene, les JFL font preuve d’un niveau moyen, mais dans la droite ligne de leurs prestations précédentes : Kevin Harley produit 6,0 d’éval contre 7,2 la saison passée (pour 18 000 € de plus par an) et Jean-Frédéric Morency 6,2 d’éval, comme la saison passée, où il était payé 15 000 € de plus.\\n\\nGlobalement, l’argent dépensé par le BBD l’est à bon escient, mais rien pour le moment ne laisse penser qu’un « go to guy », celui qui permettrait au club de se maintenir, va émerger de l’effectif actuel, sauf à ce que Yarou et/ou Sene se subliment.\\n\\n * Edgar SOSA (DOM/USA) : 125 000 €\\n * Mouphtaou YAROU (BEN) : 125 000 €\\n * Benjamin SENE (FRA) : 100 000 €\\n * Owen KLASSEN (CAN) : 90 000 €\\n * John FLOWERS (USA) : 90 000 €\\n * Kevin HARLEY (FRA) 78 000 €\\n * Aaron BEST (CAN) : 65 000 €\\n * Jean-Frédéric MORANCY (FRA) : 65 000 €\\n * Dylan AFFO MAMA (FRA) : 20 000 €\\n\\nCoach/Assistant :\\n\\n * Thomas ANDRIEUX (FRA) : 65 000 €\\n * Jean-Sébastien CHARDON (FRA) : 26 500 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nS’il est un club qui a payé un lourd tribut au coronavirus en début de saison, c’est bien le Boulazac Basket Dordogne. Avec un bon lot de blessures pour couronner le tout, le BBD a connu une entame d’exercice catastrophique : il est actuellement bon dernier avec 5 défaites en autant de matchs. Des matchs joués pour les trois premiers entre le 17 et le 24 octobre, pour les deux suivants le 19 et le 26 décembre. Donc, trois rencontres en une semaine avant deux mois d’arrêt et deux matchs à suivre.\\n\\nAutant dire qu’il est pratiquement impossible d’évaluer le rendement des joueurs de l’équipe. Disons que Mouphtaou Yarou, qui valait 180 000 € la saison passée à Boulogne-Levallois mais jouait très peu (blessures et place de remplaçant derrière Vitalis Chikoko) montre qu’il a toujours un bon niveau avec ses 15,4 d’évaluation,\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Roanne: Opéré au genou, Jackson Rowe sera absent 6 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"« Touché au genou suite à une mauvaise réception la semaine dernière, l’ailier-fort canadien Jackson Rowe (24 ans, 2,01 m) a subi une opération du ménisque ce mardi à Lyon. L’intervention chirurgicale s’est bien déroulée et le rookie sera absent six semaines pour observer une période de repos puis de réathlétisation, », indique la Chorale de Roanne dans un commniqué.\\n\\nJackson Rowe a tourné à seulement 5,0 points et 2,0 rebonds sur les 6 matches auxquels il a participé; le coach Jean-Denys Choulet ne lui a octroyé que 12 minutes par match.\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne" }, {"role": "user", "content":"Israël: Dainius Adomaitis est le nouveau coach d’Hapoël Jerusalem" }, {"role": "assistant", "content":"Le Lituanien Dainius Adomaitis, 46 ans, s’est mis d’accord avec l’Hapoël Jérusalem sur un contrat qui va courir jusqu’en 2022. L’ancien joueur du BCM Gravelines (2003-07), coach de l’équipe de Lituanie et de Rytas Vilnius succède ainsi à Oded Kattash, qui a rejoint le Panathinaikos.\\n\\nSelon 15 minutes, Sarunas Jasikevicius a plaidé la cause de son compatriote auprès des dirigeants de l’Hapoel Jerusalem.\\n\\nL’Hapoel dispose d’un budget de 6-7 millions d’euros qui a été ainsi amputé de 30% en raison du Covid-19." }, {"role": "user", "content":"SIG Strasbourg 101 / VEF Riga 94 – Voyage au bout de la nuit" }, {"role": "assistant", "content":"La qualification sans avoir joué ne lui suffisait pas. Si la SIG Strasbourg était assuré de disputer le deuxième tour de la Basketball Champions League suite à la victoire de Peristeri contre le Rytas Vilnus, les Alsaciens voulaient aussi l’emporter hier soir face à Riga afin d’assurer la première place du groupe. Au bout de deux prolongations irrespirables, la SIG s’est imposée 101-94 aux forceps.\\n\\nFace à Riga, Strasbourg s’est assuré un cinquième succès de rang, remportant un match qu’elle ne méritait pas vraiment de gagner après un démarrage poussif et un final où elle était à la traine. Mais ses qualités mentales et son abnégation se sont encore révélées très importantes et laissent présager que cette SIG là peut remuer ciel et terre.\\n\\nBourreau des Lettons au match aller lors de la victoire de la SIG au buzzer (75-77), Bonzie Colson a encore réalisé un joli numéro (31 points avec 11/23 aux tirs du champ et 5/6 aux lancers-francs), 7 rebonds, 4 interceptions, 1 passe, 1 ballon perdu en 34 minutes de jeu pour une évaluation totale de 30) et c’est lui qui à six secondes de la fin du match, a inscrit un trois-points qui faisait « filoche » pour envoyer Strasbourg en prolongations.\\n\\nSi Riga y a un peu mis du sien en fin de partie en ratant ses lancers-francs (3/8) dans le money-time, la SIG a été chercher une victoire collective et précieuse pour continuer de surfer sur une bonne dynamique comme l’atteste la réaction du banc strasbourgeois quand Ike Udanoh, le nouvel arrivant, remontait le terrain et débordait le secteur intérieur letton pour aller claquer un dunk provoquant par la même occasion une technique récoltée par Alexander Madsen !\\n\\nLa SIG Strasbourg aura un dernier déplacement à Vilnus en Lituanie, le 26 janvier mais il lui faudra auparavant rencontrer Roanne ce samedi en Jeep Elite.\\n\\n\\nLes réactions d’après match :\\n\\nLassi Tuovi (Coach SIG Strasbourg) : « Je donne du crédit à cette équipe de Riga. Ils ont fait le boulot mais nous avons fait ce qu’il fallait de notre côté au moment crucial. Ils nous ont donné l’opportunité comme ils l’ont fait chez eux et nous l’avons saisie, mais je lui accorde un grand crédit. Le plan de match contre nous était bon et on a mis beaucoup de temps pour atteindre l’intensité et pour que la défense travaille à notre façon. »\\n\\nBonzie Colson (SIG Strasbourg) : « C’était mon anniversaire, c’était hier, c’était un super cadeau d’anniversaire, tu sais, je suis juste heureux que nous ayons gagné et que nous nous soyons battus jusqu’à la fin, nous sommes restés ensemble à travers les hauts et les bas du match et nous nous sommes battus. Nous avons montré beaucoup de caractère ce soir. La clé du match c’était les rebonds, nous savions qu’il y avait là une équipe agressive qui pouvait capter beaucoup de rebonds, ils ont beaucoup de gars qui jouent en 1 contre 1 et qui peuvent marquer. Nous voulions donc contrôler le score le mieux possible sur le plan défensif et ensuite le mouvement offensif collectif afin de prendre des shoots plein de confiance et nous l’avons fait. »\\n\\nAlexander Madsen (VEF Riga) : « Nous avions le match en main, nous n’avons pas réussi à jouer notre basket jusqu’au bout. Nous avons craqué aux lancers-francs mais je ne pense pas que ce soit la raison pour laquelle nous perdons ce match. »\\n\\n\\n\\nPhoto: Léo Cavalière (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Panathinaïkos 88 – ASVEL 71: Nemanja Nedovic, 33 points, fait exploser la défense villeurbannaise" }, {"role": "assistant", "content":"Une défense beaucoup trop permissive, un trop pauvre jeu offensif, les Villeurbannais ont été débordés à Athènes. Face à Nemanja Nedovic (33 points, 11/17 aux shoots, 6/6 aux lancers-francs, 5 rebonds et 6 passes, 40 d’évaluation) et au Panathinaïkos, l’ASVEL n’a pas fait d’illusion et s’est inclinée 88-71. Elle ne devance plus désormais au classement que le seul Khimki Moscou.\\n\\nAprès la correction du 1er décembre dernier à l’Astroaballe (93-73), le Panathinaïkos avait à coeur de se venger. Avec orgueil, le shooteur d’élite serbe Nemanja Nedovic a inscrit 13 points complétés de 4 rebonds et 4 passes dès le premier quart-temps mais malgré tout les Villeurbannais étaient encore en course jusqu’à la à la mi-temps (42-45)\\n\\nMais avec un jeu collectif une nouvelle fois encore bien pauvre (10 passes décisives, aucune pour Norris Cole et 1 pour Derrick Walton Junior contre 23 aux Grecs) et une défense bien trop éloignée de ce qui est attendu pour cette compétition, l’ASVEL déroulait le tapis rouge au Pana qui creusait l’écart dans le dernier quart. L’intérieur Georgios Papagiannis (2,20m, 23 ans), auteur de 18 points et 8 rebonds pour 28 d’évaluation était le pendant de Nedovic à l’intérieur.\\n\\nLes Villeurbannais se doivent de très vite réagir mais ce vendredi, c’est une nouvelle équipe grecque qui se dressera devant eux, l’Olympiakos, beaucoup plus compétitif cette saison que son rival du Pana.\\n\\nNemanja Nedovic (Panathinaïkos) : « C’est le nouvel an serbe ce soir et je voulais me donner une raison de faire la fête et je vais devenir fou quelque part... Je plaisante, il y a un confinement, donc je n’ai nulle part où aller. Nous avons tous dû remplacer Ioannis Papapetrou ; c’est un joueur très important pour nous. Et je pense que nous avons fait un excellent travail. J’ai dit à la mi-temps que la défense serait la clé et nous les avons maintenus à 29 points en deuxième mi-temps. Je pense que c’est un grand accomplissement. Nous voulions vraiment cette victoire et nous l’avons finalement obtenue ».\\n\\nGeorgios Papagiannis (Panathinaïkos) : » (Moustapha) Fall (NDLR: 10 points et 9 rebonds) est vraiment bon, surtout au poste bas. Il est dur. C’est vraiment bien de jouer contre lui. J’ai appris de lui et je lui souhaite le meilleur. J’ai essayé de jouer plus vite que lui, de jouer les écrans et de plonger rapidement vers le panier. J’apprends jour après jour, entraînement après entraînement, match après match. J’ai la motivation en moi pour me donner à 100% à chaque match ».\\n\\nPhoto: Nemanja Nedovic (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Le Top5 par poste : il n’y a pas que Lyon-Villeurbanne !" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Zachery Peacock – JL Bourg (Photo : JL Bourg)\\n\\nÀ partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Après les Top10 des salaires « all around », français et étrangers, voici le Top5 JFL et non-JFL des salaires par poste de jeu.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI pour s’abonner.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme l’année passée, Lyon-Villeurbanne et Monaco trustent ce Top5 par poste de jeu. À eux deux, les clubs les plus fortunés de Jeep Élite placent 18 joueurs (11 pour LDLC Asvel, 7 pour la Roca Team). Un nombre équivalent à celui de la saison 2019-20, à la nuance près que ce Top5 concernait 58 joueurs au total la saison passée contre 53 cette année (compte tenu des ex-aequo).\\n\\nQuatre autres clubs placent au moins 4 joueurs dans ce classement, signe qu’ils ont assez massivement investi sur certaines individualités. Ce sont Boulogne-Levallois (6 joueurs), Le Mans (5), Bourg-en-Bresse et Chalon-sur-Saône (4). Preuve que mettre beaucoup d’argent (à l’échelon du championnat de France s’entend) sur quelques joueurs n’est pas forcément signe de réussite, il suffit de regarder où en sont ces clubs au classement, avec toutes les réserves associées à cette chaotique saison : les Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois sont deuxièmes, la JL Bourg quatrième, Le Mans huitième et l’Élan Chalon... seizième ! À l’inverse, Dijon est troisième mais ne place « que » trois joueurs dans ce Top5, où tous les clubs sont représentés par au moins un joueur à l’exception de Champagne Basket, Pau-Lacq-Orthez et Roanne, soit respectivement les 17e, 13e et 14e du classement.\\n\\nLes meneurs\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n1 – Antoine Diot (Lyon-Villeurbanne) : 200 000 €\\n\\n2 – David Michineau (Boulogne-Levallois) : 150 000 €\\n\\n3 – Axel Julien (Dijon) : 140 000 €\\n\\n4 – Antoine Eito (Le Mans) : 130 000 €\\n\\n5 ex-aequo – Benjamin Sene (Boulazac), Benoît Mangin (Le Portel) : 100 000 €\\n\\nLe Top5 JFL des meneurs est quasiment identique à celui de la saison passée. Deux variantes : Benoît Mangin vient s’inviter dans le classement et au contraire des quatre autres joueurs cités, Benjamin Sene a vu son salaire sérieusement diminuer (il était à 125 000 € à Gravelines-Dunkerque la saison passée).\\n\\nTop 5 non-JFL\\n\\n1 – Norris Cole (Lyon-Villeurbanne) : 250 000 €\\n\\n2 – Dee Bost (Monaco) : 210 000 €\\n\\n3 – David Holston (Dijon) : 190 000 €\\n\\n4 – Brandon Brown (Boulogne-Levallois) : 160 000 €\\n\\n5 – Paris Lee (Orléans) : 155 000 €\\n\\nVoici l’un des postes qui a subi l’une des plus sévères baisses par rapport à la saison passée. En 2019-20, le 5e meneur non-JFL le mieux payé touchait 180 000 € et les quatre premiers émargeaient à au moins 220 000 €. Seul David Holston a vu son salaire augmenter, et encore dans de faibles proportions : il était à 180 000 € l’an passé. Mais Norris Cole et Dee Bost ont sérieusement réduit la voilure !\\n\\nLes arrières\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n1 ex-aequo – Abdoulaye Ndoye (Monaco), Lahaou Konaté (Boulogne-Levallois) : 160 000 €\\n\\n3 ex-aequo – Paul Lacombe (Lyon-Villeurbanne), Isaïa Cordinier (Nanterre) : 150 000 €\\n\\n5 ex-aequo – Valentin Bigote (Le Mans), Nicolas Lang (Limoges) : 140 000 €\\n\\nÉtant donné la marge d’erreur qui peut exister dans les salaires que nous vous présentons (+/- 10 %), l’on peut quasiment considérer que ces six joueurs touchent globalement la même somme tous les mois. Si des « têtes d’affiche » présumées (Edwin Jackson, Jérémy Nzeulie) gagnaient bien plus la saison dernière (250 000 et 200 000 € respectivement), la flambée des prix sur ce poste pour des JFL s’est bien calmée. Au profit des non-JFL ?\\n\\nTop 5 NJFL\\n\\n1 – Allerik Freeman (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n\\n2 ex-aequo – Sean Armand (Chalon-sur-Saône – en projection sur 10 mois), Scott Bamforth (Le Mans) : 175 000 €\\n\\n4 ex-aequo – Danilo Andjusic (Bourg), Darius Johnson-Odom (Orléans) : 170 000 €\\n\\nComme souvent, le poste d’arrière est celui où les clubs investissent le moins, de manière globale. Cela étant, certains « mettent le paquet » pour un arrière non-JFL, comme Orléans, Chalon ou Le Mans, ce poste étant le mieux rémunéré de leur effectif. En outre, même si les moyens mis sur ces arrières étrangers sont en décrue, ils sont en hausse comparativement à ce qui est investi sur les arrières JFL.\\n\\nLes ailiers\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n1 – Charles Kahudi (Lyon-Villeurbanne) : 275 000 €\\n\\n2 – William Howard (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n\\n3 – Mickaël Gelabale (Chalon-sur-Saône) : 135 000 €\\n\\n4 ex-aequo – Pape Sy (Gravelines-Dunkerque), Terry Tarpey (Le Mans) : 110 000 €\\n\\nComme sur pratiquement tous les Top5 de ce classement, on constate une baisse moyenne des salaires pour les ailiers JFL. Certes, Charles Kahudi a été un peu augmenté, mais le cinquième, la saison passée, touchait 130 000 €. Et l’on constate le gouffre qui sépare les contrats des Villeurbannais de ceux d’autres équipes.\\n\\nTop 5 NJFL\\n\\n1 ex-aequo – Bonzie Colson (Strasbourg), David Lighty (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n\\n3 – Thomas Scrubb (Bourg-en-Bresse) : 170 000 €\\n\\n3 – J.J. O’Brien (Monaco) : 165 000 €\\n\\n5 – Anthony Brown (Boulogne-Levallois) : 140 000 €\\n\\nPoste stable s’il en est, celui d’ailier non-JFL ne concerne aucun très gros salaire (au-dessus de 200 000 €) mais rassemble pas mal de joueurs plutôt bien payés. Il faut dire que la plupart sont bien connus en France et que le « petit » nouveau Bonzie Colson bénéficie d’un CV appétissant.\\n\\nLes ailiers-forts\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n1 – Guerschon Yabusele (Lyon-Villeurbanne) : 300 000 €\\n\\n2 – Amine Noua (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n\\n3 – Hugo Invernizzi (Limoges) : 140 000 €\\n\\n4 – Alexandre Chassang (Dijon) : 130 000 €\\n\\n5 ex-aequo – Damien Inglis (Monaco), Yannis Morin (Strasbourg) : 120 000 €\\n\\nAprès une année d’embellie (le cinquième touchait 140 000 € la saison passée), le poste d’ailier-fort JFL a connu un certain tassement. Pas en haut de classement, en revanche : avec ses 300 000 €, Guerschon Yabusele est le joueur le mieux payé du championnat, à égalité avec son coéquipier Moustapha Fall. À noter : les deux joueurs figurant déjà dans le classement la saison passée (Amine Noua et Hugo Invernizzi) touchent le même salaire qu’une saison plus tôt.\\n\\nTop 5 NJFL\\n\\n1 – Zack Peacock (Bourg-en-Bresse) : 200 000 €\\n\\n2 – Miralem Halilovic (Boulogne-Levallois) : 190 000 €\\n\\n3 – Ovie Soko (Le Mans) : 160 000 €\\n\\n4 – Darral Willis (Monaco) : 150 000 €\\n\\n5 – Tyler Stone (Nanterre) : 130 000 €\\n\\nComme sur de nombreux autres postes, on constate un sérieux tassement sur celui d’ailier-fort étranger. Déjà, Zack Peacock gagne la bagatelle de 50 000 € de moins que l’an passé ! Et le cinquième (ils étaient deux, DJ Stephens et Devin Oliver) gagnaient 150 000 €. Il y avait déjà une baisse de salaire sur ce poste la saison passée, la tendance se poursuit.\\n\\nLes pivots\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n1 – Moustapha Fall (Lyon-Villeurbanne) : 300 000 €\\n\\n2 – Mathias Lessort (Monaco) : 250 000 €\\n\\n3 – Jerry Boutsiele (Limoges) : 200 000 €\\n\\n4 – Will Yeguete (Monaco) : 185 000 €\\n\\n5 –Ousmane Camara (Chalon-sur-Saône) : 144 000 €\\n\\nIci, les chiffres explosent ! Si l’an passé, un pivot JFL touchait pour la première fois depuis trois ans plus de 160 000 € (à l’exception de Youss Fall, payé par Vitoria), ils sont quatre cette saison ! Il faut dire que les deux têtes d’affiche du championnat ont cassé leur tirelire pour rapatrier en France des pivots internationaux, dont l’un, Mathias Lessort, ayant même joué en Euroleague. Jerry Boutsiele a pour sa part vu son salaire copieusement augmenté alors que Will Yeguete et lui, qui figuraient aux deux premières places la saison passée, descendent dans la hiérarchie (le salaire de Yeguete n’a lui pas évolué).\\n\\nTop 5 NJFL\\n\\n1 – Vitalis Chikoko (Boulogne-Levallois) : 270 000 €\\n\\n1 – Alen Omic (Bourg-en-Bresse) : 200 000 €\\n\\n3 – Chris Horton (Gravelines-Dunkerque puis Cholet) : 190 000 €\\n\\n4 – Ismaël Bako (Lyon-Villeurbanne) : 170 000 €\\n\\n5 – Eric Buckner (Chalon-sur-Saône) : 165 000 €\\n\\nPendant de nombreuses saisons, le pivot non-JFL dominant a été une espèce très recherchée par les clubs ambitieux, d’où des salaires en hausse constante. Les ténors financiers du championnat s’étant tournés vers des pivots JFL comme « première gâchette », il y a logiquement un léger tassement sur les postes 5 étrangers. Cela étant, Vitalis Chikoko continue de voir son salaire augmenter, alors qu’Alen Omic est finalement peu payé au vu de ses références. La situation actuelle a logiquement des effets sur les salaires. Et un Eric Buckner a certainement choisi la voie de la sagesse en acceptant de voir ses émoluments sérieusement réduits (230 000 € l’an passé à Monaco) en compensation de la certitude d’être payé en fin de mois...\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nComme l’année passée, Lyon-Villeurbanne et Monaco trustent ce Top5 par poste de jeu. À eux deux, les clubs les plus fortunés de Jeep Élite placent 18 joueurs (11 pour LDLC Asvel, 7 pour la Roca Team). Un nombre équivalent à celui de la saison 2019-20, à la nuance près que ce Top5 concernait 58 joueurs au total la saison passée contre 53 cette année (compte tenu des ex-aequo).\\n\\nQuatre autres clubs placent au moins 4 joueurs dans ce classement, signe qu’ils ont assez massivement investi sur certaines individualités. Ce sont Boulogne-Levallois (6 joueurs), Le Mans (5), Bourg-en-Bresse et Chalon-sur-Saône (4). Preuve que mettre beaucoup d’argent (à l’échelon du championnat de France s’entend) sur quelques joueurs n’est pas forcément signe de réussite, il suffit de regarder où en sont ces clubs au classement, avec toutes les réserves associées à cette chaotique saison : les Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois sont deuxièmes, la JL Bourg quatrième, Le Mans huitième et l’Élan Chalon... seizième ! À l’inverse, Dijon est troisième mais ne place « que » trois joueurs dans ce Top5, où tous les clubs sont représentés par au moins un joueur à l’exception de Champagne Basket, Pau-Lacq-Orthez et Roanne, soit respectivement les 17e, 13e et 14e du classement.\\n\\nLes meneurs\\n\\nTop 5 JFL\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Eurocup: 25 points en 21 minutes pour Marco Belinelli (Virtus Bologne)" }, {"role": "assistant", "content":"25 points en 21 minutes face à Cedevita Olimpija Ljubljana: Marco Belinelli a débuté en fanfare l’Eurocup et prouvé qu’à 34 ans, il n’est pas rouillé.\\n\\nL’ancien NBAer a transformé 8 de ses 14 tirs du champ mais seulement 6 de ses 10 lancers-francs. Il a ajouté 5 rebonds et 2 passes pour 29 d’évaluation, tout comme l’Américain Vince Hunter (22 points et 9 rebonds).\\n\\nLa Virtus Bologne s’est imposée 90-76.\\n\\n« C’est sûr que c’était un bon match contre une très bonne équipe qui a vraiment joué dur. Ils savent jouer au basket. C’est une équipe vraiment physique. Pour nous, c’était important de bien commencer ce Top 16 et nous l’avons fait. Tout le monde a bien joué et tout le monde a donné quelque chose à l’équipe, » a commenté Belinelli.\\n\\nLa Virtus Bologne est invaincue en Eurocup après 11 matches et fait plus que jamais figure de favorite pour remporter le trophée.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball" }, {"role": "user", "content":"Equipe de France: La liste des sélectionnés pour la fenêtre de février sera dévoilée demain matin" }, {"role": "assistant", "content":"C’est demain, vendredi, que l’entraîneur de l’Equipe de France, Vincent Collet, et le Général Manager du Team France Basket, Patrick Beesley, dévoileront à 10h30, via un communiqué de presse, la liste des joueurs appelés pour participer aux rencontres de février, qualificatives à l’EuroBasket 2022.\\n\\nVincent Collet et Patrick Beesley donneront ensuite à 11h une conférence de presse.\\n\\nDeux matches seront au programme pour les Bleus, à Podgorica, au Monténégro, à huis-clos, le samedi 20 février contre le Monténégro, et le lundi 22 février contre la Grande-Bretagne.\\n\\nPhoto: Isaia Cordinier, FIBA" }, {"role": "user", "content":"Boris Diaw, Vincent Collet, Valérie Garnier... Ils s’engagent pour inciter les Français à se faire vacciner" }, {"role": "assistant", "content":"Avec RMC, 130 acteurs du monde du sport s’engagent pour la vaccination contre le COVID-19.\\n\\nParmi eux, Boris Diaw, Florent Pietrus, Vincent Collet, Valérie Garnier, Jean-Pierre Siutat, Stephen Brun, Frédéric Weisz et encore Jacques Monclar.\\n\\nCes personnalités veulent inciter les Français à se faire vacciner, maîtriser la pandémie et relancer le secteur du sport fortement fragilisé." }, {"role": "user", "content":"Euroleague: L’ancien grand espoir bosnien Dzanan Musa rejoint Anadolu Efes" }, {"role": "assistant", "content":"Anadolu Efes Istanbul a annoncé la signature de l’ailier bosnien Dzanan Musa (2,06m, 21 ans) jusqu’en 2023.\\n\\nMusa était devenu un héros national en menant l’équipe bosniaenne au titre de champion d’Europe U16 en 2015 avec 23,0 points en moyenne. Il fut élu MVP du tournoi.\\n\\nL’ancien joueur du KK Cedevita Zagreb avait été drafté en 29e position par les Brooklyn Nets en 2018 mais il n’a jamais percé en NBA, se contentant de 49 matches à 4,3 points et de la G-League. Il avait été transféré en novembre aux Detroit Pistons mais ceux-ci ont renoncé à ses droits quelques jours plus tard.\\n\\nSon agent Miodrag Raznatovic a rendu publique sa venue à Anadolu Efes, club sponsorisé par une célèbre brasserie en Turquie (Efes), avec humour :\\n\\n« Pour beaucoup, New York est la meilleure ville du monde, tout ce que vous voulez n’est pas difficile à trouver ! Cependant, si vous cherchez une bonne bière, on dirait que l’Europe est une meilleure destination ! ».\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Le Limoges CSP et la Ligue des droits de l’Homme, ensemble contre le racisme" }, {"role": "assistant", "content":"A l’occasion d’une conférence de presse qui s’est déroulée ce jour au siège de la LDH, La Ligue des droits de l’Homme et le Limoges CSP ont annoncé un partenariat historique et pérenne et ont dévoilé les activations du programme #NORACISM qui se déroulera au mois de mars prochain avec le soutien de plusieurs ambassadeurs engagés sur les questions de lutte contre le racisme.\\n\\nPourquoi ce partenariat inédit entre le Limoges CSP et la Ligue des droits de l’Homme ?\\n\\nEngagé depuis de nombreuses années sur les questions liées à la lutte contre le racisme, le Limoges CSP et ses joueurs ont souhaité amplifier leur engagement en 2021. Il a paru évident au Limoges CSP de contacter la Ligue des droits de l’Homme, afin de lui présenter son projet d’engagement contre le racisme et les discriminations dans le sport.\\n\\n« C’est un honneur pour le Limoges CSP d’être désormais aux côtés d’un acteur majeur de la défense des libertés fondamentales », écrit le club limougeaud.\\n\\nLa LDH, qui combat le racisme et l’antisémitisme sous toutes ses formes depuis son origine en 1898, a souhaité s’associer au Limoges CSP, pour prolonger ce combat essentiel dans le domaine du sport dont de nombreux acteurs sont engagés depuis longtemps afin de porter vers le public cette exigence d’égalité.\\n\\nQuelles actions ?\\n\\nChaque joueur et membre du Limoges CSP a participé activement à la mise en place des actions qui seront réalisées durant tout le mois de mars :\\n\\nA l’échelle nationale au gré de la campagne de communication commune de sensibilisation, avec la création du #NoRacism. Le Limoges CSP va modifier entièrement son identité visuelle, son logo et ses tenues de matchs en collaboration avec son équipementier Craft.\\n\\nLe club va mener des actions de sensibilisation via ses joueurs et les ambassadeurs sur ses médias sociaux. La Fédération Française de Basket et la Ligue Nationale de Basket, partenaires de cette action, vont également accompagner le club et la LDH en relayant au plus grand nombre cet engagement contre le racisme. Une branche artistique du projet va également voir le jour par une collaboration avec la marque lifestyle Viven Die.\\n\\nLocalement par des actions concrètes en relation avec les antennes de la LDH de Limoges comme par exemple des interventions de sensibilisation dans les écoles, collèges et lycées, la mise en place de stands de sensibilisation à l’occasion des matchs et des actions auprès des spectateurs, etc... sous réserve de l’amélioration des conditions sanitaires.\\n\\nLe 17 mars, un grand événement de sensibilisation sera co-organisé à Limoges avec le Centre de Droit et d’Economie du Sport. De nombreuses personnalités engagées interviendront avec notamment les ambassadeurs #NoRacism.\\n\\nLes ambassadeurs du projet :\\n\\n * – Malik SALEMKOUR , Président de la Ligue des droits de l’Homme.\\n * – Richard DACOURY , Vice-Président du Limoges CSP, ancien joueur professionnel, Richard joue également un rôle d’ambassadeur pour permettre au club de rayonner en France mais aussi au-delà des frontières. Avec 18 saisons effectuées sous les couleurs du Limoges CSP, Richard Dacoury en est un des plus beaux étendards. Son expérience du très haut niveau sportif, mais aussi du monde de l’entreprise avec une riche carrière chez Coca-Cola constituent de gros atouts pour le futur du club.\\n * – Jerry BOUTSIELE , joueur professionnel du Limoges CSP : pivot du Limoges CSP depuis 3 saisons, référencé comme un des meilleurs pivots français, Jerry sera le porte-parole de tous les joueurs du Limoges CSP.\\n * – Diandra TCHATCHOUANG , joueuse professionnelle de basket : la voix féminine du projet. Athlète engagée, elle est aussi membre de la Commission des athlètes de Paris 2024.\\n * – Thierry DUSAUTOIR , ancien capitaine de l’équipe de France de rugby, meilleur joueur du monde 2011 et chevalier de la légion d’honneur : il sera également ambassadeur du projet et souhaite faire entendre sa voix.\\n * – Olivier DACOURT , ancien footballeur international français, aujourd’hui consultant Canal+ et notamment à l’initiative du documentaire sportif « Je ne suis pas un singe ». Il est également diplômé du Centre de Droit et d’Economie du Sport (manager général de club sportif – janvier 2014).\\n\\nParoles d’ambassadeurs présents à la conférence de presse :\\n\\nMalik SALEMKOUR : “Aujourd’hui plus que jamais, la LDH mène un combat quotidien contre le racisme, l’antisémitisme et toutes les formes de discrimination. Cette lutte ne se divise pas, ne souffre d’aucune relativisation ni hiérarchie. La réponse doit être universelle face à un mal universel.”\\n\\nRichard DACOURY : “On ne sera jamais assez nombreux pour dénoncer le racisme et les discriminations. Nous pouvons toujours agir, il n’est pas trop tard, chacun à son niveau, avec ténacité et détermination, individuellement ou en groupe. Le Limoges CSP, de par sa notoriété et son audience a humblement mais résolument un rôle à jouer et je suis heureux et fier qu’il le fasse aux côtés d’une institution comme la Ligue des droits de l’Homme.”\\n\\nJerry BOUTSIELE : “Joueur professionnel de basket-ball français, il m’a semblé important de faire entendre ma voix et de m’engager contre ces maux trop présents que sont le racisme et les discriminations dans le sport. Je me suis investi dès la genèse du projet. Je souhaite faire bouger les choses et le partenariat entre le Limoges CSP et la Ligue des droits de l’Homme est une chance pour y parvenir. Ensemble contre le racisme ! #NoRacism”.\\n\\nDiandra TCHATCHOUANG : “Je suis ravie et honorée d’accompagner le Limoges CSP et la Ligue des droits de L’homme, en tant qu’ambassadrice de ce très beau projet. Les valeurs fortes qui y sont associées représentent parfaitement nos engagements communs ! Plus que jamais, le monde du sport s’apprête à jouer un rôle majeur face au défi du vivre ensemble. #NoRacism”\\n\\nPhoto d’ouverture: Limoges CSP" }, {"role": "user", "content":"Euroleague féminine : 7 matches de Basket Landes et Bourges sur Sport en France !" }, {"role": "assistant", "content":"7 matches d’Euroleague de Basket Landes et de Bourges, qui sont tous les deux ans le groupe D, seront diffusés en clair sur Sport en France du 18 au 24 janvier a annoncé la chaîne. Le clou du spectacle télévisuel sera ainsi le 24 janvier avec l’affrontement entre les deux clubs français.\\n\\n\\n🚨🏀L'@EuroLeagueWomen arrive sur Sport en France ! 🏀🚨\\n\\n👊🔥Du 18 au 24 janvier suivez @BourgesBasket et @BasketLandes dans la seconde phase de leur groupe D avec @GSBasketbol et @WBSopron !🤩#SEFbasket@ffbasketball@EuroLeagueWomen\\n\\nProgramme de la semaine ⬇️\\n\\n1/2 pic.twitter.com/gn6CYSFdXp\\n\\n— Sport en France (@sport_en_france) January 13, 2021\\n\\n\\n\\nLundi 18/01\\n17h : @GSBasketbol 💥 @BasketLandes\\n20h : @WBSopron💥 @BourgesBasket\\n\\nMardi\\n20h Basket Landes💥Galatasaray\\n\\nJeudi\\n20h Bourges💥Galatasaray\\n\\nVendredi\\n17h Sopron💥Basket Landes\\n22h30 Galatasaray💥Bourges (différé)\\n\\nDimanche 24/01\\n15h Bourges💥Basket Landes#SEFbasket\\n\\n— Sport en France (@sport_en_france) January 13, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Édito : Il faut jouer !" }, {"role": "assistant", "content":"Le 19 janvier, il sera proposé à l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket une alternative. Soit geler les championnats de Jeep Élite et de Pro B jusqu’en mars, en espérant qu’à cette époque le Covid-19 soit sur le reflux et que le gouvernement autorise au moins partiellement les spectateurs dans les salles, soit établir un calendrier avec un minimum de matches du 29 janvier au 15 février -il y aura ensuite la « fenêtre » FIBA avec deux matches de l’équipe de France, les 20 et 22 février. Il n’y a pas de solution parfaite mais cette deuxième formule est la seule acceptable.\\n\\nDemander aux clubs de jouer, par exemple, un match tous les quinze jours, une fois à domicile et une fois à l’extérieur, bref assurer un service minimum ne grèvera pas leurs finances exagérément et maintiendra un flux indispensable.\\n\\nDes faits : On joue actuellement en France dans les quatre autres championnats majeurs, foot, rugby, hand et volley. Les clubs de la Ligue 1 de foot ont disputé jusqu’ici 19 matches, ceux du Top 14 de rugby entre 11 et 14, ceux de la Lidl Starligue de hand entre 10 et 13, et ceux de la Ligue A de volley de 13 à 15.\\n\\nToutes les autres ligues majeures de basket en Europe sont également en activité. Les clubs espagnols comptabilisent de 16 à 18 matches, les italiens entre 12 et 14, et les allemands, qui ont repris plus tardivement, entre 8 et 12, à une exception près.\\n\\nRappel : les clubs de Jeep Elite sont actuellement dans une fourchette de 5 (Boulazac) à 9 (Boulogne-Levallois et Dijon) matches joués.\\n\\nToutes les autres ligues européennes de basket sont dans la même situation économique que les clubs français sachant que nulle part les droits TV sont suffisants pour subvenir à leurs besoins. On n’évoque pas ici l’Euroleague, qui a réussi à maintenir un rythme de matches normal car son économie obéit à d’autres mécanismes, souvent obscurs.\\n\\nPourquoi maintenir un service minimum ? Parce que les joueurs sont faits pour jouer et pas uniquement s’entraîner et aussi pour maintenir un lien avec les fans à travers les différents médias. Ça serait quand même stupide d’avoir un écran noir prolongé alors que la Jeep Elite et parfois la Pro B sont diffusées avec abondance en clair sur La Chaîne L’Equipe et Sport en France. Et puis, croyez-moi, si la PQR, qui demeure d’une fidélité exemplaire au basket à travers les décennies, n’a rien à se mettre sous la dent, elle va se diriger peu à peu vers d’autres sports qui maintiennent une actualité. C’est le principe des vases communicants.\\n\\nLe pari que tout va s’arranger subitement d’ici début mars sur le plan sanitaire et que le cours des choses va reprendre un rythme normal me parait par ailleurs très osé. On doit se souvenir que c’est à partir de la mi-mars que fut déclenché, il y a un an, le premier confinement. Selon les épidémiologistes, l’immunité collective due à la vaccination va prendre plusieurs mois.\\n\\nLes clubs français bénéficient d’un certain nombre d’aides gouvernementales qui leur permet de tenir bon et de faire un « effort » supplémentaire ; ce n’est pas le cas dans tous les pays, du moins au même niveau. J’aimerais que les présidents de clubs qui seront appelés à voter la semaine prochaine cessent le temps d’une élection de voir ce type de dossier par le petit bout de la lorgnette et qu’ils s’intéressent pour une fois à l’intérêt général du basket. Et ceux qui veulent mettre de nouveau à l’arrêt la Jeep Elite pour un temps indéterminé alors que leur club est engagé en Coupe d’Europe – et y joue ! – doivent cesser immédiatement leur parcours européen. On n’a pas non plus compris pourquoi certains clubs ont procédé très récemment à des retouches dans leur équipe si c’est pour ne pas les faire jouer dans les prochaines semaines. Messieurs, soyez un brin visionnaires et cohérents !\\n\\nPhoto: Yoan Makoundou (Cholet/FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Les Français de l’étranger : Louis Labeyrie refait surface" }, {"role": "assistant", "content":"Ils jouent aux quatre coins de l’Europe et font briller le basket français à travers leurs expériences. Chaque semaine, la rédaction de BasketEurope vous propose de recenser les performances des joueurs français évoluant à l’étranger dans de grands championnats, avec leurs statistiques. Cette semaine, Louis Labeyrie a été décisif pour son retour sur les parquets espagnols, Frédéric Bourdillon fait un carton en Israël et Amath M’Baye soigne ses stats en Turquie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLouis Labeyrie revient bien\\n\\nUn mois après sa blessure, Louis Labeyrie retrouvait les parquets de la Liga ACB. À Bilbao, le Barça a déroulé et s’est largement imposé,106-73. L’ailier-fort, auteur de 15 points à 3/3 à trois-points, aura été l’un des grands artisans de la victoire de Barcelone, qui conforte sa place de dauphin en Liga Endesa derrière le Real Madrid.\\n\\n\\nFrédéric Bourdillon, une efficacité létale\\n\\nLa Balkan League n’est pas la plus réputée des ligues européennes mais le Franco-israélien d’Holon Frédéric Bourdillon (1,93m, 29 ans) s’y est distingué lors de cette rencontre, sa première dans cette ligue, face à l’Hapoël Eilat (105-102), avec un record de 34 points obtenus principalement grâce à son 9/13 à trois points. En 32 minutes, il a ajouté 5 rebonds, 1 passe et 1 interception pour parvenir à 36 d’évaluation et sceller la victoire de son équipe.\\n\\n\\nAmath M’Baye continue son chantier\\n\\nLe Bordelais de 30 ans, médaillé de bronze avec l’équipe de France lors de la dernière Coupe du Monde, a inscrit 18 points dont 10/13 aux lancers-francs pour 32 minutes de jeu dans la victoire 86-78 de Pinar Kasiyaka face à Fethiye Belediyespor. Aux côtés de l’arrière-ailier D.J. Kennedy et du meneur Tony Taylor, deux joueurs vus dans le championnat de France auparavant, M’Baye continue de rayonner en Turquie. Arrivé la saison dernière dans le club d’Izmir, celui-ci l’a prolongé jusqu’en 2022, bien évidemment satisfait de son rendement.\\n\\nESPAGNE\\n\\nAndrew Albicy (Gran Canaria) : 11 points (3/8 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs), 8 passes, 2 interceptions, 1 ballon perdu pour 19 d’évaluation en 28 minutes de jeu (Victoire 96-85 face à Badalone).\\n\\nLeo Westermann (Barça) : 0 points (0/3 aux tirs), 4 passes, 1 rebond pour -1 d’évaluation pour 19 minutes de jeu (Victoire 99-76 à Manresa).\\n\\nJonathan Rousselle (Bilbao) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nAxel Bouteille (Malaga) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : Pas de match.\\n\\nYoussoupha Fall (Baskonia Vitoria) : 2 points (0/0 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs), 1 ballon perdu pour 1 d’évaluation en 4 minutes de jeu (Victoire 91-79 à Malaga).\\n\\nThomas Heurtel (Barça) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes Madrid) : Blessé.\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 15 points (6/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 interception pour 22 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 106-73 à Bilbao).\\n\\nYakuba Ouattara (Real Betis Séville) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nBandja Sy (Andorre) : Pas de match.\\n\\nIbrahim Magassa (Real Betis Séville) : 0 points (0/1) aux tirs pour -1 d’évaluation en 5 minutes de jeu (Défaite 76-106 face à Valence).\\n\\nISRAEL\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoël Holon) : 34 points (11/16 aux tirs et 3/3 aux lancers-francs), 5 rebonds, 1 passes, 1 interception pour 36 d’évaluation en 32 minutes de jeu (Victoire 105-102 face à l’Hapoël Eliat en Balkan League).\\n\\nLITUANIE\\n\\nJoffrey Lauvergne (Zalgiris Kaunas) : Pas de match.\\n\\nTom Digbeu (CBet Prienaï) : 14 points (4/10 aux tirs et 4/5 aux lancers-francs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 16 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 93-78 face à Lietkabelis).\\n\\n9 points (3/8 aux tirs et 2/4 aux lancers-francs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe et 4 ballons perdus pour 5 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Défaite 70-92 face à Lietkabelis).\\n\\nPOLOGNE\\n\\nAaron Cel (Polski Cukier) : 8 points (3/10 aux tirs), 7 rebonds, 1 interception, 1 passe pour 9 d’évaluation en 32 minutes de jeu (Défaite 92-98 à Bydgoszcz).\\n\\nRUSSIE\\n\\nAlexandre Gavrilovic (Nizhny Novgorod) : 9 points (2/6 aux tirs et 5/6 aux lancers-francs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 passe pour 9 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Défaite 76-77 à Minsk).\\n\\nSERBIE\\n\\nStéphane Gombauld (Mladost Zemum) : 5 points (1/5 aux tirs et 3/4 aux lancers-francs), 2 rebonds, 1 ballon perdu pour 2 d’évaluation en 22 minutes de jeu (Victoire 64-55 face à Dunav).\\n\\nLIGUE ADRIATIQUE\\n\\nMalcolm Cazalon (Mega SoccerBet) : N’a pas joué, pas sur la feuille de match.\\n\\nTURQUIE\\n\\nRodrigue Beaubois (Anadolu Efes) : 15 points (6/8 aux tirs et 3/3 aux lancers-francs), 3 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 14 d’évaluation en 23 minutes de jeu (Victoire 90-80 face à Galatasaray).\\n\\nNando De Colo (Fenerbahçe) : 14 points (6/12 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs), 4 rebonds, 6 passes, 1 interception, 3 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 30 minutes de jeu (Victoire 72-65 à Ormanspor).\\n\\nMouhammadou Jaiteh (Gaziantep) : 10 points (4/7 aux tirs et 2/7 aux lancers-francs), 9 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 ballon perdu pour 13 d’évaluation en 36 minutes de jeu (Défaite 84-88 face à Afyonkarahisar Belediyespor).\\n\\nAmath M’Baye (Pinar Karsiyaka) : 18 points (4/9 aux tirs et 10/13 aux lancers-francs), 4 rebonds, 1 passe, 3 interceptions, 1 ballon perdu pour 17 d’évaluation en 31 minutes de jeu (Victoire 86-78 à Fethiye Belediyespor).\\n\\nAdrien Moerman (Anadolu Efes) : 12 points (5/6 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 ballons perdus pour 18 d’évaluation en 24 minutes de jeu (Victoire 90-80 face à Galatasaray).\\n\\nGRÈCE\\n\\nLivio Jean-Charles (Olympiakos) : 0 points (0/1 aux tirs), 1 rebond, 1 passe pour 2 d’évaluation en 11 minutes de jeu (Victoire 84-82 face au Bayern Munich).\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLouis Labeyrie revient bien\\n\\nUn mois après sa blessure, Louis Labeyrie retrouvait les parquets de la Liga ACB. À Bilbao, le Barça a déroulé et s’est largement imposé,106-73. L’ailier-fort, auteur de 15 points à 3/3 à trois-points, aura été l’un des grands artisans de la victoire de Barcelone, qui conforte sa place de dauphin en Liga Endesa derrière le Real Madrid.\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Jérôme Mérignac (président Cholet) : «imaginer une demi-jauge ou une salle remplie à 30 ou 35% de sa capacité me semble encore envisageable»" }, {"role": "assistant", "content":"Cholet Basket est favorable au fait de jouer deux matches de Jeep Elite entre le 29 janvier et le 14 février et son président Jérôme Mérignac le fait savoir au Courrier de l’Ouest en expliquant ses raisons :\\n\\n« D’abord par solidarité. Vis à vis des aides que nous recevons de l’Etat, qui ne compensent pas toujours nos pertes, mais qui sont évidemment une bonne chose. Mais aussi parce que le sport, dans cette période compliquée, est une bouffée d’oxygène. Et comme les matches sont télévisés gratuitement, soit sur la chaîne L’Equipe, soit sur la plate-forme de la LNB, nos supporters peuvent quand même en profiter un peu. »\\n\\nLe président choletais estime que le huis-clos pourrait cesser d’ici l’été:\\n\\n« Je sais qu’il sera très compliqué de voir une Meilleraie pleine cette saison. Mais imaginer une demi-jauge ou une salle remplie à 30 ou 35% de sa capacité me semble encore envisageable. Nos supporters ont montré en début de saison qu’ils étaient tout à fait capables de respecter scrupuleusement les gestes barrière. Donc, on espère. »" }, {"role": "user", "content":"LFB: La Slovène Eva Lisec quitte La Roche Vendée pour Koursk" }, {"role": "assistant", "content":"Sa venue cet été à La Roche Vendée avait ressemblé à un mini coup de tonnerre. Seulement cinq mois plus tard, le pivot international slovène Eva Lisec (1,93m, 25 ans) refait ses bagages pour se rendre dans un club russe très huppé: le Dynamo Koursk, qui dispute l’Euroleague.\\n\\nEn 7 matches de Ligue Féminine, les performances de la Slovène ont été très mitigées avec 8,7 points et 6,1 rebonds.\\n\\n« Du coup, Emmanuel Body recherche une nouvelle joueuse pour le secteur intérieur. Certes le genou de Marielle Amant va mieux et Kristina Higgins monte en puissance, cependant une pivot supplémentaire ne serait pas de trop, surtout si La Roche VBC passe les poules d’EuroCup, » écrit Ouest France.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Les dix plus hauts salaires non-JFL : Vitalis Chikoko en pleine embellie" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Vitalis Chikoko – Boulogne-Levallois (Photo : Metropolitans 92)\\n\\nÀ partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Après le Top10 des salaires « all around », voici le Top10 des salaires des joueurs français.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est un fort renversement de tendance : les plus hauts salaires de la Jeep Élite sont désormais versés à des joueurs français plutôt qu’à des non-JFL. Il faut remonter à 2014-15, époque où des Léo Westermann, Amara Sy, Antoine Diot, Charles Kahudi, Edwin Jackson, Adrien Moerman brillaient de mille feux en France avant, pour certains (Westermann, Diot, Moerman, Jackson), d’aller exporter leur talent dans des championnats plus rémunérateurs, pour retrouver pareille balance en faveur des Français. Ainsi, Vitalis Chikoko ne figure cette saison qu’en 4e position dans le Top10 des salaires toutes nationalités confondues alors qu’il est le mieux payé des non-JFL avec ses 270 000 € (rappelons qu’il a démarré en France à 100 000 € à Pau-Lacq-Orthez en 2016-17 !).\\n\\nEn outre, l’on s’aperçoit que peu de clubs misent beaucoup d’argent sur des non-JFL, les salaires semblant plutôt s’orienter à la baisse. Ainsi, le 10e non-JFL le mieux payé de Jeep Élite touche cette saison 180 000 €, contre 200 000 € la saison passée et 230 000 € la précédente ! Il faut en fait remonter à 2014-15 pour retrouver un dixième moins bien rémunéré (150 000 € pour 8 joueurs ex-aequo). En moyenne, le Top10 non-JFL de cette saison est payé 205 000 €.\\n\\nSi Lyon-Villeurbanne truste les premières places du Top10 des salaires accordés à des joueurs français, il n’en va pas de même pour les non-JFL, « seuls » trois joueurs de l’Asvel apparaissant dans notre liste. En revanche, la JL Bourg est bien représentée, avec quatre de ses joueurs. Et il aurait dû y figurer un cinquième si Kadeem Allen (signé pour 200 000 € la saison) n’avait décidé de rester aux États-Unis lors des fêtes de fin d’année.\\n\\nSept clubs (huit si l’on inclut Cholet pour Chris Horton) figurent dans notre Top10 des non-JFL, signe qu’une bonne part d’entre eux ont massivement investi dans un joueur de niveau supérieur pour booster leur effectif. On pense par exemple à Bonzie Colson à Strasbourg ou à Chris Horton à Gravelines-Dunkerque, même si le résultat n’a pas été à la hauteur des espérances du staff du BCM (Chris Horton est reparti à Cholet fin 2020).\\n\\n * Vitalis CHIKOKO (Boulogne-Levallois, Zimbabwe) : 270 000 €\\n * Norris COLE (Lyon-Villeurbanne, USA) : 250 000 €\\n * Dee BOST (Monaco, USA-Bulgarie) : 210 000 €\\n * Alen OMIC (Bourg-en-Bresse, Slovénie) : 200 000 €\\n * Zachery PEACOCK (Bourg-en-Bresse, USA) : 200 000 €\\n * David HOLSTON (Dijon, USA) : 190 000 €\\n * Chris HORTON (Gravelines-Dunkerque/Cholet, USA) : 190 000 €\\n * Bonzie COLSON (Strasbourg, USA) : 180 000 €\\n * Allerik FREEMAN (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n * David LIGHTY (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est un fort renversement de tendance : les plus hauts salaires de la Jeep Élite sont désormais versés à des joueurs français plutôt qu’à des non-JFL. Il faut remonter à 2014-15, époque où des Léo Westermann, Amara Sy, Antoine Diot, Charles Kahudi, Edwin Jackson, Adrien Moerman brillaient de mille feux en France avant, pour certains (Westermann, Diot, Moerman, Jackson), d’aller exporter leur talent dans des championnats plus rémunérateurs, pour retrouver pareille balance en faveur des Français. Ainsi, Vitalis Chikoko ne figure cette saison qu’en 4e position dans le Top10 des salaires toutes nationalités confondues alors qu’il est le mieux payé des non-JFL avec ses 270 000 € (rappelons qu’il a démarré en France à 100 000 € à Pau-Lacq-Orthez en 2016-17 !).\\n\\nEn outre, l’on s’aperçoit que peu de clubs misent beaucoup d’argent sur des non-JFL, les salaires semblant plutôt s’orienter à la baisse. 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Sans critiquer, même le gouvernement n’est pas capable de se projeter plus de 4 semaines. Alors comment nos instances pourraient prévoir les prochains mois avec cette épidémie de Covid-19 ? On peut avoir de l’espoir mais pas annoncer n’importe quoi. Il faut faire preuve d’un peu d’humilité dan cette situation. J’aimerais pouvoir dire à mes abonnés et à mes partenaires le calendrier jusqu’à la fin juin, mais ce n’est pas possible. »\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Les dix plus hauts salaires français : LDLC Asvel a mis le paquet" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Guerschon Yabusele – LDLC Asvel (Photo : Asvel – Infinity Nine Media – Alexia Leduc)\\n\\nÀ partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Après le Top10 des salaires « all around », voici le Top10 des salaires des joueurs français.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCela n’étonnera pas grand-monde, au vu des masses salariales présentées par les clubs de Jeep Élite à la LNB, c’est Lyon-Villeurbanne qui place le plus de joueurs dans le Top10 français des plus hauts salaires du championnat. Les quatre premiers d’entre-eux figurent du reste dans le classement des dix joueurs les mieux payés, toutes nationalités confondues. Mais, si LDLC Asvel a cassé sa tirelire pour des JFL, il n’est pas le seul en ce cas. Ainsi, Monaco paye plus que correctement trois joueurs figurant dans notre Top10, à savoir Mathias Lessort, Wilfried Yeguete et Abdoulaye Ndoye. Et il faut descendre à la 5e place ex-aequo de ce classement pour trouver un joueur n’émargeant pas dans l’une de ces deux grosses cylindrées. Il s’agit du limougeaud Jerry Boutsiele, l’autre « intrus » (ni Villeurbannais ni Monégasque) étant Lahaou Konaté, des Metropolitans 92.\\n\\nLe premier élément frappant dans ce Top10 tient au fait qu’il perçoit une moyenne de 239 000 € par an, une moyenne en hausse constante depuis quatre ans et même par rapport à la saison passée (203 500 €). Mieux encore, pour la première fois depuis que nous publions ces salaires (et probablement pour la première fois depuis toujours), la moyenne du Top10 français est supérieure à celle du Top10 non-JFL, de 205 000 € cette saison (en sérieuse décrue sur les années passées).\\n\\nAutre élément intéressant : si le salaire du 10e joueur français le mieux payé (Lahaou Konaté et Abdoulaye Ndoye, 160 000 €) cette saison est inférieur à celui de son homologue la saison passée (3 joueurs à 180 000 €), il faut remonter loin en arrière (Léo Westermann en 2014-15 à Limoges, 305 000 € payés pour partie par Barcelone) pour trouver mieux payé que Mous’ Fall et Guerschon Yabusele avec leurs 300 000 € chaque cette saison.\\n\\nCes gros salaires français sont-ils des joueurs rentables ? À constater l’évaluation de certains, on pourrait se poser la question. Avec 5,8 d’éval moyenne, Charles Kahudi semble très bien payé, voire une « mauvaise affaire », tout comme Abdou Ndoye (6,3 d’éval), qui paraît avoir du mal à digérer la transition entre son cocon choletais et Monaco. Mais ils sont aussi des joueurs indispensables au collectif, entourés de nombreux autres forts joueurs et luttent sur deux fronts, la Jeep Élite et l’Euroleague ou l’Eurocup. Ceci explique en grande partie cela.\\n\\nMais cela met encore plus en lumière la performance de joueurs comme Mous’ Fall (13,7 d’éval), Guerschon Yabusele (14,0) ou Mathias Lessort (14,3) alors que Jerry Boutsiele démontre qu’il est le joueur majeur de Limoges (16,7). Et surtout le fait que, globalement, les clubs de haut de tableau misent de plus en plus sur de forts joueurs français pour leur effectif, quitte à y consacrer une bonne part de leur masse salariale.\\n\\n * Moustapha FALL (Lyon-Villeurbanne) : 300 000 €\\n * Guerschon YABUSELE (Lyon-Villeurbanne) : 300 000 €\\n * Charles KAHUDI (Lyon-Villeurbanne) : 275 000 €\\n * Mathias LESSORT (Monaco) : 250 000 €\\n * Antoine DIOT (Lyon-Villeurbanne) : 200 000 €\\n * Jerry BOUTSIELE (Limoges) : 200 000 €\\n * Wilfried YEGUETE (Monaco) : 185 000 €\\n * William HOWARD (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n * Amine NOUA (Lyon-Villeurbanne) : 180 000 €\\n * Abdoulaye NDOYE (Monaco) : 160 000 €\\n * Lahaou KONATE (Boulogne-Levallois) : 160 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nCela n’étonnera pas grand-monde, au vu des masses salariales présentées par les clubs de Jeep Élite à la LNB, c’est Lyon-Villeurbanne qui place le plus de joueurs dans le Top10 français des plus hauts salaires du championnat. Les quatre premiers d’entre-eux figurent du reste dans le classement des dix joueurs les mieux payés, toutes nationalités confondues. Mais, si LDLC Asvel a cassé sa tirelire pour des JFL, il n’est pas le seul en ce cas. Ainsi, Monaco paye plus que correctement trois joueurs figurant dans notre Top10, à savoir Mathias Lessort, Wilfried Yeguete et Abdoulaye Ndoye. Et il faut descendre à la 5e place ex-aequo de ce classement pour trouver un joueur n’émargeant pas dans l’une de ces deux grosses cylindrées. Il s’agit du limougeaud Jerry Boutsiele, l’autre « intrus » (ni Villeurbannais ni Monégasque) étant Lahaou Konaté, des Metropolitans 92.\\n\\nLe premier élément frappant dans ce Top10 tient au fait qu’il perçoit une moyenne de 239 000 € par an, une moyenne en hausse constante depuis quatre ans et même par rapport à la saison passée (203 500 €). Mieux encore, pour la première fois depuis que nous publions ces salaires (et probablement pour la première fois depuis toujours), la moyenne du Top10 français est supérieure à celle du Top10 non-JFL,\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Euroleague : Avec 27 points, Nando De Colo (Fenerbahçe) bat son record de la saison face à Vitoria" }, {"role": "assistant", "content":"Face à Victoria, Fenerbahçe a obtenu sa quatrième victoire consécutive lors de la 19e journée de l’Euroleague, 96-76. Nando De Colo en a profité pour battre son record de la saison avec 27 points (4/7 à trois-points) plus 3 passes, 3 interception et 2 rebonds. Jan Vesely ajoutant 17 points et 4 passes.\\n\\n«Nous avons fait un excellent travail ce soir. Je pense que nous nous sommes vraiment concentrés sur notre défense et cela a apporté de l’énergie à l’attaque. Nous avons essayé de jouer ensemble, de respecter ce que l’entraîneur voulait d’abord en défense, et après nous avons simplement fait bouger le ballon et tout va bien. C’est une longue saison, tout le monde doit être prêt. Danilo Barthel nous a manqué, mais tout le monde s’est mobilisé et tout le monde continue de travailler dur pour être une meilleure équipe. »\\n\\nAprès avoir été excellent face au CSKA Moscou, le Franco-Sénégalais Youssoupha Fall a eu droit à seulement 9 minutes de jeu, il n’a pas pris un shoot et s’est contenté de 2 interceptions et 1 rebond.\\n\\nLe Panathinaikos sera le prochain adversaire du Fener, vendredi.\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Scott Bamforth (Le Mans) : «Pour être honnête, le fait qu’en France le salaire soit garanti a aussi compté»" }, {"role": "assistant", "content":"Dans une interview sur le site du club, l’arrière du Mans Sarthe Basket, Scott Bamforth (1,88m, 31 ans), reconnaît qu’il n’a jamais mis les baskets dans le pays qui lui a donné un deuxième passeport, le Kosovo, en sus de l’américain.\\n\\n« J’y ai joué plusieurs matchs pour l’équipe nationale et les fans sont vraiment intéressés par le basket là-bas, il y a un vrai engouement pour ce sport. Je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de visiter le pays parce que le basket prend beaucoup de temps. En plus, comme je me suis blessé, je n’ai pas eu l’occasion de jouer autant de matchs avec l’équipe nationale que j’aurais voulu. »\\n\\nScott Bamforth est un joueur référencé en Europe mais une rupture des ligaments croisés du genou gauche survenue à l’époque de Sassari a quelque peu perturbée sa carrière européenne. Il lui est demandé pourquoi il s’est retrouvé au Mans.\\n\\n« Je ne sais pas vraiment. C’est venu comme ça. Le point de départ, c’est ma discussion avec le coach dont j’ai bien aimé le discours. Ensuite, je me suis renseigné et je trouvais qu’effectivement c’était une opportunité intéressante. Pour être tout à fait honnête, les circonstances ont beaucoup joué. Ne pas savoir comment allaient se dérouler les compétitions européennes a rendu l’importance de jouer une coupe d’Europe très relative pour moi. L’idée de faire voyager des équipes de pays en pays durant une épidémie mondiale me faisait même me dire qu’il n’y aurait peut-être pas de compétitions européennes. Ma priorité est donc devenue de jouer dans un bon club, solide et bien structuré, avec un coach avec lequel je m’entendrais bien. En plus, je n’avais jamais joué en France, et ça m’intriguait de découvrir un nouveau championnat. Pour être encore plus honnête, le fait qu’en France le salaire soit garanti (contrairement à beaucoup d’autres pays) a aussi compté, surtout quand, comme moi, tu as trois enfants à charge.\\n\\nA propos de l’état de forme de son équipe, il commente :\\n\\n« Je trouve que l’équipe fonctionne plutôt bien maintenant, surtout au vu de la situation particulière dans laquelle nous sommes. Je pense que les gens n’ont pas conscience d’à quel point cela impacte la vie et les performances d’une équipe. C’est dur, vraiment, d’être compétitif quand tu ne joues pas pendant plusieurs semaines. Le staff fait d’ailleurs un excellent travail à ce niveau. Individuellement, on a un groupe avec beaucoup de très bons joueurs, un très bon coach... ce qui est difficile c’est d’arriver à tout mettre en place alors qu’on ne sait pas quand on va jouer, contre qui... Lors des derniers matchs, je trouve qu’on a commencé à trouver une dynamique. Nous sommes loin d’être à notre meilleur niveau en tant qu’équipe et ça nous a coûté des matchs. Mais il faut faire avec et donner notre meilleur sur le terrain chaque fois que l’on a l’occasion de jouer. »\\n\\n\\nScott Bamforth toujours en tango en 2021-22 ? C’est possible :\\n\\n» Je suis vraiment chanceux de jouer ici. C’est un superbe endroit pour jouer au basket et c’est une belle ville pour vivre. Je serais vraiment content de rester ici, mais c’est conditionné par une participation à une coupe d’Europe. J’espère que, grâce au vaccin, la pandémie aura disparu pour la saison prochaine, et les compétitions européennes seront alors un critère important pour moi. Mais je pense qu’on a l’équipe pour y arriver et j’espère bien que c’est ce qu’on va faire. Dans ce cas-là, tout est possible et rester ici est quelque chose de tout à fait possible. »\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: MSB" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 – Les dix plus hauts salaires : Moustapha Fall et Guerschon Yabusele au top" }, {"role": "assistant", "content":"Photo d’ouverture : Moustapha Fall – LDLC Asvel (Photo : Asvel – Infinity Nine Media – Alexia Leduc)\\n\\nA partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. Pour démarrer, voici le Top10 des salaires des joueurs, toutes nationalités confondues.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa période plutôt incertaine que nous traversons depuis maintenant un an doit en être l’explication, mais la baisse des des masses salariales déclarées par les clubs (- 9 % en moyenne selon la LNB) se traduit également par un « tassement » des plus hauts salaires de la Jeep Élite. Il faut en effet remonter à la saison 2017-18 pour que le plus haut salaire d’alors, toutes nationalités confondues, soit inférieur à celui de cette saison (Miro Bilan, à Strasbourg, avait touché 220 000 € sur 8 mois, soit 275 000 € sur 10 mois, durée classique des contrats de joueurs étrangers – les Français étant le plus souvent payés sur 12 mois). En effet, cette saison, les deux plus gros salaires, à égalité, sont ceux de Moustapha Fall et de Guerschon Yabusele, qui émargent à 300 000 € chacun.\\n\\nIl est à noter que ces deux plus importants salaires sont dédiés à des joueurs français, les JFL représentant du reste la moitié de ce Top10 – il s’agit là d’une évolution marquante : ces quatre dernières saisons, il n’y a jamais eu plus de deux joueurs français parmi le Top10 global (mais ils étaient 6 en 2014-15).\\n\\nÀ noter également, la prépondérance des joueurs de LDLC Asvel avec, outre Fall et Yabusele, Charles Kahudi, Norris Cole et Antoine Diot.\\n\\nMonaco (Dee Bost et Mathias Lessort) et Bourg-en-Bresse font figurer deux de leurs joueurs dans ce Top10, sachant qu’à la JL Bourg, outre Alen Omic et Zack Peacock, Kadeem Allen aurait dû figurer dans ce classement : il avait signé pour 200 000 € pour la saison, mais ayant quitté le club fin 2020, il n’aura touché que quatre mois de son contrat.\\n\\nDernier point remarquable : tous les joueurs figurant dans ce Top10 présentent une évaluation comprise entre 12,3 (Zack Peacock) et 16,4 (Jerry Boutsiele), preuve d’une compétitivité à la hauteur de leurs émoluments, à l’exception de trois joueurs de Lyon-Villeurbanne : Charles Kahudi (5,8), Norris Cole (6,3) et Antoine Diot (7,6). Difficile pour autant de dire qu’ils ne méritent pas leur salaire : ils font partie d’un effectif pléthorique où temps de jeu et responsabilités sont répartis (et donc dilués) alors que LDLC Asvel se focalise au moins autant sur l’Euroleague que sur la Jeep Élite.\\n\\n * Guerschon YABUSELE (Lyon-Villeurbanne, France) : 300 000 €\\n * Moustapha FALL (Lyon-Villeurbanne, France) : 300 000 €\\n * Charles KAHUDI (Lyon-Villeurbanne, France) : 275 000 €\\n * Vitalis CHIKOKO (Boulogne-Levallois, Zimbabwe) : 270 000 €\\n * Norris COLE (Lyon-Villeurbanne, USA) : 250 000 €\\n * Mathias LESSORT (Monaco, France) : 250 000 €\\n * Dee BOST (Monaco, USA-Bulgarie) : 210 000 €\\n * Antoine DIOT (Lyon-Villeurbanne, France) : 200 000 €\\n * Alen OMIC (Bourg-en-Bresse, Slovénie) : 200 000 €\\n * Zachery PEACOCK (Bourg-en-Bresse, USA) : 200 000 €\\n * Jerry BOUTSIELE (Limoges, France) : 200 000 €\\n\\nLes salaires sont en net annuel. La marge d’erreur est de + ou – 10%.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa période plutôt incertaine que nous traversons depuis maintenant un an doit en être l’explication, mais la baisse des des masses salariales déclarées par les clubs (- 9 % en moyenne selon la LNB) se traduit également par un « tassement » des plus hauts salaires de la Jeep Élite. Il faut en effet remonter à la saison 2017-18 pour que le plus haut salaire d’alors, toutes nationalités confondues, soit inférieur à celui de cette saison (Miro Bilan, à Strasbourg, avait touché 220 000 € sur 8 mois, soit 275 000 € sur 10 mois, durée classique des contrats de joueurs étrangers – les Français étant le plus souvent payés sur 12 mois). En effet, cette saison, les deux plus gros salaires, à égalité, sont ceux de Moustapha Fall et de Guerschon Yabusele, qui émargent\\n\\n[/arm_restrict_content] [arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]" }, {"role": "user", "content":"Eurocup : Pour les GM des clubs, la JL Bourg est l’équipe surprise et Victor Wembanyama la star montante" }, {"role": "assistant", "content":"La Virtus Bologne rafle quantité de prix dans le sondage organisé par l’Eurocup à mi-saison auprès des General Managers des équipes. Cependant, la JL Bourg est considérée comme l’équipe surprise de la compétition et -ce n’est pas une surprise- Victor Wembanyama (2,19m, 17 ans) de Nanterre comme la star montante.\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"La Française des Jeux va poursuivre son partenariat avec la FFBB" }, {"role": "assistant", "content":"Partenaire de la FFBB depuis 2009, FDJ a souhaité poursuivre ses engagements auprès de la FFBB. FDJ continue ainsi d’être partenaire du programme FFBB Citoyen, de la Ligue Féminine de Basketball (LFB), des équipes de France féminine et masculine, et disposera d’une large visibilité lors de leurs matchs respectifs.\\n\\n« FDJ félicite les Équipes de France de basketball brillamment qualifiées pour les Jeux Olympiques de Tokyo et encouragera l’Équipe de France féminine en juin prochain lors du championnat d’Europe, coorganisé par la France et l’Espagne », écrit la Fédération dans un communiqué. « La reconduction du partenariat avec la FFBB confirme l’engagement de FDJ dans la discipline, après la signature, en décembre dernier, de la poursuite de son partenariat avec la NBA. Le basket-ball est, en effet, un sport important pour les paris sportifs et fait partie du top cinq des sports les plus misés par les parieurs français. »\\n\\n« FDJ reste engagée dans le programme « FFBB Citoyen » au travers des trophées « Femmes sur tous les terrains ». Soutenus depuis 2015 par FDJ, qui remet le prix « Coup de cœur », ces trophées mettent en valeur le parcours exemplaire et les initiatives inspirantes de femmes dans le milieu du basket-ball. Partenaire de la Ligue Féminine de Basketball, FDJ sera aussi associée au développement du plan de Mixités 2024 de la FFBB. Ces initiatives visent à promouvoir la pratique du basket-ball au féminin, et encourage la prise de responsabilités par des femmes dans les clubs et les structures fédérales. »\\n\\n« Lancé en 2016, le programme « Sport pour Elles » de FDJ repose sur quatre piliers : l’accès à la pratique sportive pour toutes, notamment celles qui en sont éloignées pour des raisons sociales, économiques ou géographiques ; la féminisation de la gouvernance ; le soutien à la performance de haut niveau ; ainsi que la médiatisation du sport féminin. Ce programme regroupe notamment les initiatives « Buts pour Elles », « Femmes sur tous les terrains » ou encore « La Course By Le Tour avec FDJ », et bientôt le premier « Paris-Roubaix Femmes ». »" }, {"role": "user", "content":"Le chiffre: 14 000, le nombre de personnes qui ont suivi Orléans-Monaco sur les réseaux sociaux" }, {"role": "assistant", "content":"Le chiffre est fourni par le club du Loiret: 14 000 personnes ont suivi le match de 8e de finale de Coupe de France Orléans-Monaco sur la page Facebook de l’OLB et sur YouTube. Un bon score pour un match bien filmé, bien commenté et qui cerise sur le gâteau pour les Orléanais a vu la victoire des leurs, 83-76.\\n\\nConclusion: Les fans n’ont plus accès aux salles mais sont toujours fidèles à leurs équipes.\\n\\n\\n📊 Samedi soir vous étiez plus de 14 000 personnes à suivre la belle qualification orléanaise en direct sur Facebook et YouTube ! Une nouvelle fois un grand merci à tous pour le soutien durant cette période si spéciale 🙏#TousOLB pic.twitter.com/TUUqjHs0Bz\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) January 12, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Pas de reprise des championnats amateurs" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de la première réunion du nouveau comité directeur de la FFBB qui s’est tenue ce week-end à Paris, celui-ci a décidé de ne pas reprendre les championnats amateurs pour l’instant.\\n\\n« Suite aux annonces du Premier Ministre Jean Castex le 7 janvier dernier, la FFBB a décidé de différer la reprise des championnats amateurs. Seuls les mineurs sont autorisés à pratiquer sans aucun contact, » écrit la FFBB dans un communiqué. « La fédération consulte, ce début de semaine, ses ligues régionales, comités départementaux et territoriaux, afin de faire un nouveau point sur la globalité des compétitions. Elle fera une communication précise sur l’issue de la saison dès qu’elle aura plus de précisions de la part du gouvernement sur la situation du sport en France. »" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite & Pro B : C’est l’AG du 19 janvier qui décidera du sort des championnats en février" }, {"role": "assistant", "content":"Comme on pouvait s’y attendre, le comité directeur de la Ligue Nationale de Basket, réuni hier, a pris la décision de convoquer une nouvelle Assemblée Générale le 19 janvier pour décider du sort de la saison sachant qu’il est toujours impossible de recevoir du public.\\n\\nDeux options sont sur la table. Soit geler la compétition en attendant des jours meilleurs, soit que chaque équipe de Jeep Élite et de Pro B joue deux matchs, un à domicile et un à huis clos, entre le 20 janvier et le 15 février... En espérant que le huis clos cesse après la fenêtre internationale, début mars.\\n\\nInterrogé par La Voix du Nord, le président de Denain Yohan Senez, par ailleurs membre du comité directeur de la LNB, est favorable à la deuxième formule. « Un huis clos et un déplacement supplémentaires ne mettront aucun club en péril », alors que le BCM Gravelines et l’ESSM Le Portel ne le sont pas." }, {"role": "user", "content":"Féminines: Anna Cruz met fin à sa carrière internationale «avant que ça ne tourne au vinaigre»" }, {"role": "assistant", "content":"L’arrière espagnole de 1,76m et de 34 ans depuis octobre, Anna Cruz, a choisi de mettre fin à sa carrière internationale et ne participera pas ainsi à l’Euro et aux Jeux Olympiques l’été prochain.\\n\\nAnna Cruz a fait part de sa décision dans une lettre ouverte où l’on ressent une certaine amertume. L’Espagnole possède un CV long comme le bras avec des séjours dans de grands clubs européens (Orenbourg, Koursk, Fenerbahçe), en WNBA, et elle a gagné trois fois l’Euro européen, et elle était sur le podium olympique à Rio en 2016 comme du Mondial en 2018.\\n\\n» Je vous écris à tous aujourd’hui pour vous communiquer une décision importante, sans aucun doute, l’une des plus difficiles que j’ai prises de ma vie : je quitte l’équipe nationale espagnole », déclare Cruz dans sa lettre. « Peut-être que certains d’entre vous penseront que j’aurais pu le faire différemment et à un autre moment, mais j’aimerais tourner cette page douloureuse à ma manière, en étant moi-même et en expliquant grossièrement les raisons pour lesquelles je clos cette étape importante de ma carrière sportive (...) « c’est très compliqué de faire face au quotidien à certaines choses qui ne sont pas conformes à ce que « , dit-elle, » je comprends du professionnalisme de ce sport : le respect et la dignité envers certaines professionnelles qui ont une carrière réussie derrière elles (...) A 34 ans, et avec déjà beaucoup vécu, je pense qu’il est totalement inutile de continuer à tolérer des actes qui vont à l’encontre de mes principes et, avant que tout ce que j’ai vécu ne tourne au vinaigre, je préfère nous séparer », poursuit Cruz. « J’ai aussi le pouvoir de décider pour qui je travaille et pour qui je ne travaille pas. Pour tout cela, je pense qu’il est temps de mettre fin à cette situation et de dire au revoir, la tête haute sachant que j’ai toujours tout donné pour cette équipe qui était autrefois ma famille et qu’elle cessera d’être parce que je comprends que la famille n’est pas traitée comme ça (...) Il est dommage que la direction de cette équipe n’ait pas été gérée de manière cohérente et soit utilisée, à l’occasion, pour nuire à des personnes qui ont plus d’une fois arraché les châtaignes du feu. Je pars triste. Ce n’est pas la fin que j’aurais imaginée à toute une décennie pleine de succès, mais c’est une décision réfléchie et prise en fonction d’où je place mon bien-être et ma santé avant toute médaille. »\\n\\nClairement, tout ne va pas dans le meilleur des mondes au sein de la meilleure équipe d’Europe.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Vidéo: Pierre Seillant raconte les 30 ans du Palais des Sports de Pau" }, {"role": "assistant", "content":"12 janvier 1991 – 12 janvier 2021. Pour les 30 ans du Palais des Sports, le « Prési » Pierre Seillant, qui aura 80 ans dans quelques semaines, raconte pourquoi l’Elan Béarnais est passé d’Orthez à Pau et l’histoire de ce qui demeure la plus belle et plus grande salle consacrée au basket en France.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais" }, {"role": "user", "content":"Spécial salaires Jeep Élite 2020-21 : Vous l’attendiez, le voici !" }, {"role": "assistant", "content":"A partir d’aujourd’hui, équipe par équipe, et au quotidien, BasketEurope sort son désormais traditionnel dossier sur les salaires de Jeep Élite. La première édition date de la saison 2016-17 lorsque nous avions pris le relais de BasketHebdo, BasketNews, Maxi-Basket et BasketHebdo deuxième version.\\n\\nC’est une enquête, un travail de fourmi mené grâce au concours de plusieurs agents et de clubs qui nous permet de donner ces chiffres. Ils ne sont pas officiels – nous ne sommes pas en NBA – et comporte une marge d’erreur de + ou – 10 %.\\n\\nLes salaires sont donnés en Euros et sont annuels. Lorsque ce n’est pas le cas, c’est précisé. En revanche, les joueurs américains sont payés en dollars et la conversion en euros dépend de la fluctuation du taux de change.\\n\\nNous publierons également les top 10 des joueurs, les bonnes et les mauvaises affaires et aussi le récapitulatif des salaires des coaches.\\n\\nNous ferons évidemment des commentaires pour chaque équipe mais vous pourrez vous-même apprécier la pertinence des choix des stratèges de chaque club.\\n\\nComme chaque année, ce dossier est exclusivement réservé à nos abonnés et il est toujours temps de faire partie de ce cercle de privilégiés qui s’agrandit d’année en année. C’est ICI.\\n\\nLa Rédaction\\n\\nPhoto: SIG Strasbourg (FIBA)" }, {"role": "user", "content":"Oded Katash sera toujours le coach de l’équipe d’Israël" }, {"role": "assistant", "content":"En prenant le coaching du Panathinaikos, il apparaissait que Oded Katash abandonnait son poste d’entraîneur de l’équipe nationale d’Israël, mais après un entretien avec la fédération, il a été décidé qu’il allait poursuivre sa mission au moins pour la fenêtre de février.\\n\\nIsraël a gagné ses 4 premiers matches de qualifications à l’Euro 2022 dont une victoire sur l’Espagne à Valence, 95-87. Les Israéliens sont ainsi déjà qualifiés pour le tour final. Il leur reste à jouer les matches retours face à la Roumanie et l’Espagne.\\n\\nCela signifie que l’entraîneur israélien ne sera pas à la tête du Panathinaikos, à la fois pour le match reporté face au Zenit Saint-Petersbourg le 17 février et contre le CSKA Moscou deux jours plus tard.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Pro B: Théo Rey (Bourg) prêté à Gries-Oberhoffen" }, {"role": "assistant", "content":"Après Jacques Eyoum (Le Mans) et Hugo Robineau (Cholet), Gries Oberhoffen se voit prêter par Bourg l’arrière Théo Rey (1,94m, 21 ans).\\n\\nCelui-ci avait connu une saison 2019-20 blanche suite à une rupture du ligament croisé antérieur. Cette saison, en espoirs, il tournait à 13,0 points, 3,7 passes et 2,3 rebonds avec la JL.\\n\\nPhoto: JL Bourg" }, {"role": "user", "content":"Interview – Zachery Peacock (JL Bourg) : « Quand vous obtenez ces victoires et qu’il n’y a personne pour célébrer, c’est frustrant, car nous jouons pour eux »" }, {"role": "assistant", "content":"Élu MVP de Jeep Élite lors de la saison 2017-2018, l’Américain de la JL Bourg Zach Peacock (2,03m, 33 ans) réalise un bon début de championnat avec une moyenne de 13,6 points, 2,6 rebonds, 2,1 passes pour 12,6 d’évaluation en 24 minutes de jeu, dans le contexte d’une équipe de la JL Bourg rayonnante. Rencontre avec l’une des figures de la Jeep Élite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ 33 ans, peut-on dire que vous jouez votre meilleur basket ?\\n\\nNon, je ne joue pas mon meilleur basket, mais c’est la façon dont mon équipe obtient ses succès qui est importante. C’est donc une bonne chose aussi.\\n\\nParlez-nous de la NCAA, où vous avez joué pour Georgia Tech entre 2006 et 2010 ?\\n\\nC’était une expérience merveilleuse. Je pense qu’elle m’a préparé à ce que je suis aujourd’hui et à être capable de jouer au niveau auquel j’évolue. En tant qu’homme, ce sont les quatre meilleures années de ma vie, à juste apprendre et être en compétition. Je n’échangerais cette période contre rien au monde.\\n\\nVous avez gagné le trophée de MVP de Pro B en 2017 puis celui de Jeep Élite l’année suivante avec la JL Bourg. Quel est votre sentiment à ce sujet ?\\n\\nC’est un sentiment merveilleux de savoir que tout le travail et les sacrifices que j’ai fais pendant toutes les années qui ont précédé m’ont permis d’être reconnu à ce point par une ligue entière. C’est un sentiment merveilleux, couplé à celui du devoir accompli. Je me sens vraiment bien.\\n\\nIl y a deux ans, la JL manque les playoffs de peu... Pensez-vous que cette saison sera la bonne ?\\n\\nJe pense que nous avons de très bonnes chances de nous qualifier, surtout maintenant. À l’heure actuelle, vu la façon dont nous jouons et les atouts que nous avons dans cette équipe, je pense très certainement que, sans un accident, nous devrions nous qualifier pour les playoffs.\\n\\n« J’aime le fait que ce soit vraiment difficile pour moi d’identifier un match référence parce que j’ai eu beaucoup de bons matchs pour l’équipe »\\n\\nAvez-vous un match référence ?\\n\\nÀ chaque fois que je joue un match, je me donne à fond. Et chaque fois que je quitte le terrain, j’ai l’impression que c’est ce que j’ai fait de mieux. Je ne peux pas donner de match référence. Par-là, j’aimerais dire que peu importe l’opinion des autres, je fais de mon mieux et j’aime le fait que ce soit vraiment difficile pour moi d’identifier un match référence parce que j’ai eu beaucoup de bons matchs pour l’équipe. J’essaie de n’en choisir qu’un et je ne peux pas (rires).\\n\\nQue pensez-vous de la France et de la Jeep Élite ?\\n\\nLa France en tant que pays est un endroit super où vivre. J’aime bien vivre ici. Une vie si réelle et si tranquille. C’est très différent de ce à quoi j’étais habitué aux États-Unis, mais je trouve de nombreux plaisirs ici. J’apprécie le mode de vie. Bien sûr, il y a beaucoup de choses que j’aime, mais il y a aussi beaucoup de choses que je changerais ou que j’apprends à apprécier. La Jeep Élite est une grande ligue et je pense que de là où elle est partie et là où elle est arrivée, elle a parcouru un beau chemin. Elle se développe vraiment, elle est maintenant reconnue en Europe comme l’un des championnats en hausse, où les meilleures équipes deviennent de plus en plus aptes à rivaliser avec les équipes européennes les plus réputées.\\n\\nCette année, vous jouez l’Eurocup, n’auriez-vous pas aimé jouer l’Euroleague ?\\n\\nCe serait super, une idée géniale, jouer constamment contre les meilleures équipes d’Europe ! Mais, même si l’idée semble charmante, je ne suis pas habitué à cela. Je ne suis pas habitué à jouer plusieurs matchs par semaine. Et donc, je ne sais pas combien de temps il me faudrait pour m’adapter à ce paramètre. Mais je suis sûr que mon corps pourrait s’y adapter. L’Eurocup c’est bien, c’est cool mais l’Euroleague, c’est encore mieux. Alors oui, je suis ok avec cette idée, ça me plaîrait bien (sourire).\\n\\n« Vous vous entraînez et vous vous préparez mentalement pour ce match qui est finalement reporté, c’est une véritable épreuve »\\n\\nQue pensez-vous du meneur de la JDA Dijon, David Holston, qui a été votre successeur au palmarès des MVP de la Jeep Élite ?\\n\\nC’est de loin l’un des meilleurs joueurs du championnat. Il est l’un des joueurs les plus difficiles à défendre. Il est tout seul sur Terre, il est capable de s’arrêter sur une pièce de 10 centimes et il peut aussi tirer. Je pense que c’est un grand joueur. Vous savez qu’il va vous faire courir partout et sauter, vous essayez de vous y préparer mentalement. Et, le plus souvent, ce n’est pas suffisant... (rires) Il faut juste espérer qu’il manque quelques tirs lorsqu’il attaque le panier ou que l’arbitre lui siffle des fautes. C’est vraiment un grand joueur, l’un de mes favoris, j’aime la façon dont il fait les choses sur le terrain.\\n\\nComment vivez-vous avec la pandémie ?\\n\\nJ’en parlais justement l’autre jour, c’est vraiment un défi. C’est un vrai défi, avec les tests constants avant des matchs dont vous ne savez pas si vous allez pouvoir les jouer ou s’ils vont être annulés. Vous vous entraînez et vous vous préparez mentalement pour ce match qui est finalement reporté, c’est une véritable épreuve. Je fais de mon mieux pour rester positif et m’assurer que je prends soin de ma santé mentale en faisant des choses qui m’aident à être heureux. Je le fais pour continuer à être patient avec moi-même et à faire de mon mieux comme tout le monde. J’essaie juste de m’aider à prendre soin de moi mentalement plus que jamais.\\n\\nN’est-il pas difficile de jouer dans des salles vides, sans public ?\\n\\nJe viens de jouer les deux derniers matchs et je me suis dit que je me parlais à moi-même. Vous connaissez le vieux dicton, le cliché, selon lequel on dit que l’on n’apprécie pas vraiment ce que l’on a avant que cela ne disparaisse... Pour moi, même quand le public est là, il n’y a pas de public parce que je ne suis pas un joueur qui se nourrit du public. Mais je suis comme un autre homme au final et j’aimerais qu’il y ait un peu de bruit, je n’avais pas réalisé que ça a un effet sur moi aussi. Je ne sais pas combien de temps nous allons devoir jouer comme ça. Maintenant que je ressens ce manque de public, c’est encore plus important à mes yeux de le voir revenir. Quand vous obtenez ces victoires et qu’il n’y a personne pour célébrer, c’est frustrant, car nous jouons pour eux. Quand le public reviendra dans les salles, on pourra célébrer ces victoires ou, dans une dure défaite, compter sur eux. Ils seront toujours là pour nous soutenir avec des petits mots comme : « Vous vous êtes bien battus, etc. » Ce sont des mots simples et ça me manque. La prochaine fois que nous aurons l’occasion de jouer devant un public, personnellement, je pense que je l’apprécierai davantage.\\n\\n« Si je continue à m’impliquer dans le basket-ball, ce ne serait pas forcément comme coach«\\n\\nQue pensez-vous de votre carrière ?\\n\\n« Je me suis toujours bien senti dans ma carrière comme jusqu’à présent. Je suis content. Bien sûr, il me reste encore beaucoup de choses à vivre dans le basket. Mais à ce stade, j’ai l’impression d’avoir fait du bon travail. J’ai rendu beaucoup de gens heureux, j’ai rendu beaucoup de gens tristes, mais je pense que la plupart du temps, j’ai aimé et j’aime le succès que j’ai eu et le travail accompli au cours de ma carrière.\\n\\nEt vous n’avez jamais pensé aller voir ailleurs ?\\n\\nBien sûr, comme tout le monde, j’ai tendance à réfléchir et à être curieux. Je me demande donc comment ce serait si j’allais dans tel ou tel pays ou dans une autre équipe et tout ça. Mais tel que je suis et la façon dont je pense, c’est ici que je dois être. Donc, malgré l’endroit où mon esprit et mon corps veulent être, je sais que je suis censé être là.\\n\\nOù vous voyez-vous après le basket ?\\n\\nJe me vois faire pas mal de choses. Hommes d’affaires ou bien devenir entraîneur de basket-ball, mais, après avoir joué si longtemps et voir combien de temps je passe loin de ma famille, j’ai des réserves. Mais si je continue à m’impliquer dans le basket-ball, ce ne serait pas forcément comme coach. Je veux quelque chose de plus, aider les joueurs surtout dans leur préparation mentale, car j’ai l’impression qu’il y a encore des manques dans le basket dans ce domaine. Mais oui, c’est comme ça que je me vois, un peu partout, vous savez, je me disperse et j’ai un tas de bonnes situations. En ce qui concerne ma famille, c’est être un père et surtout un homme et je veux être présent dans la vie de ma fille, être actif et présent physiquement.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ 33 ans, peut-on dire que vous jouez votre meilleur basket ?\\n\\nNon, je ne joue pas mon meilleur basket, mais c’est la façon dont mon équipe obtient ses succès qui est importante. C’est donc une bonne chose aussi.\\n\\nParlez-nous de la NCAA, où vous avez joué pour Georgia Tech entre 2006 et 2010 ?\\n\\nC’était une expérience merveilleuse. Je pense qu’elle m’a préparé à ce que je suis aujourd’hui et à être capable de jouer au niveau auquel j’évolue. En tant qu’homme, ce sont les quatre meilleures années de ma vie, à juste apprendre et être en compétition. Je n’échangerais cette période contre rien au monde.\\n\\nVous avez gagné le trophée de MVP de Pro B en 2017 puis celui de Jeep Élite l’année suivante avec la JL Bourg. 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Que parmi ces 16 membres, 5 sont des femmes dont 3 vice-présidentes (contre 3 membres lors de la précédente mandature). Enfin la Ligue Féminine de Basket sera présidée par une femme pour la première fois de son histoire.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Carole Force est la nouvelle présidente de la Ligue Féminine de Basket" }, {"role": "assistant", "content":"Lors de la première réunion du nouveau comité directeur de la FFBB qui s’est tenue ce week-end à Paris, celui-ci a élu Carole Force, Vice-Présidente de la fédération en charge du Haut-Niveau. Elle devient Présidente de la Ligue Féminine de Basket.\\n\\nCarole Force, succède à Philippe Legname à la tête de la Ligue Féminine de Basket, la LFB. C’est la première femme présidente de la Ligue Féminine depuis sa création en 1998.\\n\\nNée le 9 décembre 1968 à Clermont-Ferrand, Carole Force est une ancienne joueuse internationale (98 sélections), vice-championne d’Europe en 1993 avec l’Équipe de France féminine et Yannick Souvré, la Directrice de cette même Ligue Féminine depuis janvier 2020.\\n\\nCarole Force a évolué dans plusieurs clubs : l’AS Montferrand, Challes-les-Eaux, Valenciennes Orchies, le BAC Mirande, et le Stade Clermontois.\\n\\nElue meilleure espoire du championnat de France en 1990, elle a été championne de France en 1992.\\n\\nEn charge des Affaires Publiques au sein de l’entreprise Michelin au siège à Clermont- Ferrand, elle est nommée Chevalier de la Légion d’Honneur en 2016. Elle symbolise la reconversion réussie d’une athlète de haut-niveau dans le monde de l’entreprise, note la FFBB dans un communiqué.\\n\\nPhoto: FFBB" }, {"role": "user", "content":"Bourg: Le Croate Ivan Buva en pigiste médical" }, {"role": "assistant", "content":"Alen Omic indisponible pour 45 jours, la JL Bourg fait appel comme pigiste médical à l’intérieur croate Ivan Buva (2,08m, 29 ans), qui apparait déjà dans le roster de l’Eurocup.\\n\\nIvan Buva a joué 5 matches seulement avec Monaco lors de la saison 2019-20 dont 2 de Jeep Elite (5,5 points, 1,5 rebond, 0,5 passe). Il s’était ensuite tourné vers la Turquie et Gaziantep.\\n\\nIl a également joué en Bosnie, en Chine, en Croatie, en Espagne (Bilbao et Valence) et en Italie.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Ligue des Balkans : 34 points à 9/13 à trois-points pour Frédéric Bourdillon" }, {"role": "assistant", "content":"La Balkan League n’est pas la plus réputée des ligues européennes. On y trouve des équipes de Bulgarie, du Monténégro, de Macédoine et essentiellement d’Israël. Ce sont justement deux équipes de ce pays qui se sont affrontées ce week-end avec une victoire 83-75 de l’Hapoel Holon sur Hapoel Eilat, 83-75.\\n\\nLe Franco-israélien d’Holon Frédéric Bourdillon (1,93m, 29 ans) s’est distingué lors de cette rencontre avec un record de 34 points obtenus principalement avec un 9/13 à trois-points. En 32 minutes, il a ajouté 5 rebonds, 1 passe et 1 interception pour parvenir à 36 d’évaluation.\\n\\nComme c’était son premier match, le voici en tête des marqueurs de la ligue, même si, par exemple, l’Américain Tyron Harris est à 21,9 points après déjà... 8 matches.\\n\\n\\nWHOA! Frederic Bourdillon just lethal from deep going 8/9 from 3 and already up to 29 points with 7 minutes left in the 4th quarter for Hapoel Holon who is elating Eilat 83-75.\\n\\n— Sports Rabbi (@thesportsrabbi) January 9, 2021\\n" }, {"role": "user", "content":"Programme TV : Les clubs français sur tous les fronts européens" }, {"role": "assistant", "content":"Semaine chargée pour les clubs français sur la scène européenne, à commencer par la BCL. En effet, le Limoges CSP, la JDA Dijon et la SIG Strasbourg devront prouver leur valeur face respectivement à Igokea (Bosnie-Herzégovine), Tofas Bursa et le VEF Riga. Normalement, et sauf nouveau contretemps, la rencontre Dijon/Bursa va enfin avoir lieu après deux reports dû à des cas de covid constatés au sein de l’effectif turc. Du côté de l’Eurocup, les Metropolitans 92 de Boulogne-Levallois et la JL Bourg rendront visite au Lokomotiv Kuban et au Buducnost Podgorica tandis que Nanterre et Monaco sont opposés lors de cette phase de groupe. Pour le reste, LDLC Asvel va visiter la Grèce, mardi chez le Panathinaïkos et vendredi à l’Olympiakos tandis que, à l’échelon local, Le Mans-Limoges (La Chaîne L’Equipe) et Pau-Lacq-Orthez/Bourg (Sport en France sont programmés respectivement vendredi et samedi.\\n\\nIl est à noter qu’à l’heure où ces lignes sont écrites, le groupe Canal + n’a pas encore indiqué sur quelle chaîne (Canal + Sport, Canal + Décalé...) seraient diffusés les matchs de BCL des clubs français. Nous indiquerons ces informations dès qu’elles seront en notre possession.\\n\\nMardi 12 janvier :\\n\\n17h15 – Lokomotiv Kuban/Boulogne-Levallois – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n18h30 – Anadolu Efes Istanbul/Alba Berlin – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n18h30 – Igokea/Limoges CSP – BCL – Sur une chaîne du groupe Canal+, pas encore précisée\\n\\n18h45 – Fenerbahçe Istanbul/Baskonia Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\n19h15 – Budućnost Podgorica/JL Bourg – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h05 – Maccabi Tel Aviv/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport Live 9\\n\\n20h30 – JDA Dijon/Tofas Bursa – BCL – Sur une chaîne du groupe Canal+, pas encore précisée\\n\\n20h45 – Olimpia Milan/Valence – Euroleague – RMC Sport Live 10\\n\\nMercredi 13 janvier:\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n19h30 – Bayern Munich/Zenit Saint-Pétersbourg – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Panathinaïkos/LDLC Asvel – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Nanterre 92/Monaco – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h30 – SIG Strasbourg/VEF Riga – BCL – Sur une chaîne du groupe Canal+, pas encore précisée\\n\\n21h00 – Real Madrid/Etoile Rouge Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nJeudi 14 janvier :\\n\\n18h30 – Anadolu Efes Istanbul/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Alba Berlin/Olimpia Milan – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h05 – Maccabi Tel Aviv/Baskonia Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nVendredi 15 janvier :\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n18h00 – Zenit Saint-Pétersbourg/Zalgiris Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n18h00 – Fenerbahçe Istanbul/Panathinaïkos – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h30 – Olympiakos/LDLC Asvel – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h30 – Bayern Munich/Real Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\n21h00 – Le Mans/Limoges CSP – Jeep Elite (J8) – La Chaîne L’Equipe\\n\\n21h00 – Valence/Etoile Rouge Belgrade – Euroleague – RMC Sport Live 9\\n\\nSamedi 16 janvier :\\n\\n20h30 – Pau-Lacq-Orthez/JL Bourg – Jeep Elite (J12) – Sport en France\\n\\nPhoto : Monaco" }, {"role": "user", "content":"Comment les clubs peuvent obtenir un prêt de l’Etat" }, {"role": "assistant", "content":"« Vous avez besoin de liquidités immédiates, pour poursuivre votre activité et faire face à la crise sanitaire ? L’État vous permet d’emprunter jusqu’à 25% du montant de votre dernier exercice, ou un prêt de 50 000 € auprès d’un établissement bancaire. »\\n\\nC’est le message que la fédération délivre actuellement à ses clubs qui sont dans la panade financière. Il est à relayer au maximum sur les réseaux sociaux.\\n\\nPour faire une demande, c’est ICI." }, {"role": "user", "content":"Champagne Basket : Meilleur marqueur de Jeep Elite, Jalen Adams va repartir en G-League" }, {"role": "assistant", "content":"Eliminé hier en Coupe de France par Gravelines, le Champagne Basket est mal en point en Jeep Elite puisqu’il n’a gagné qu’un seul de ses huit premiers matches. Et voici que se présente un sacré coup dur.\\n\\nSelon le toujours bien informé Emiliano Carchia de Sportando, son arrière Jalen Adams (1,90m, 25 ans) va abandonner le navire pour réintégrer son ancien club de G-League les Erie Bayhawks. Or, depuis le départ de Shannon Evans, Jalen Adams est avec 20,3 points en moyenne le meilleur marqueur de Jeep Elite. Il apporte également 3,1 rebonds et 3,0 passes pour une évaluation de 16,4. Ca ne sera pas facile de lui trouver un remplaçant de la même valeur.\\n\\nLe Champagne Basket a confirmé l’information dans la soirée dans un communiqué:\\n\\n« Le club marnais et le joueur US ont décidé de mettre fin à leur collaboration d’un commun accord, après 8 matchs de championnat. Jeune joueur de talent recruté pour la saison 2020/2021, Jalen ADAMS n’a pas caché quelques difficultés à s’adapter à son nouvel environnement en France, et n’aura pas totalement répondu aux attentes du staff. Le joueur quitte le club à compter de ce lundi 11 janvier. Le Champagne Basket souhaite une bonne continuation à Jalen ADAMS pour la suite de sa carrière. »\\n\\n\\nJalen Adams is leaving Chalons-Reims to return to Erie Bayhawks, sources tell @Sportando.\\nAdams will play for New Orleans G League team in Orlando’s bubble\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) January 10, 2021\\n\\n\\nPhoto: Champagne Basket" }, {"role": "user", "content":"Boulazac: Aaron Best absent durant 4 semaines" }, {"role": "assistant", "content":"Toujours en cale sèche en Jeep Elite, Boulazac a accueilli samedi et battu Pau en match d’entraînement, 85-84, après avoir effectué une belle remontée étant donné que les Boulazacois étaient menés de 14 points dans le 3e quart-temps.\\n\\nDéjà privé de son meneur Edgar Sosa, qui se remet d’une blessure à la cheville, le BBD a vu par ailleurs son arrière-ailier canadien Aaron Best (1,93m, 29 ans) se blesser la veille à une cuisse lors d’un entraînement et son indisponibilité est évaluée à quatre semaines.\\n\\nAaron Best c’est 10,2 points en 24′ sur les 5 premiers matches de Jeep Elite.\\n\\nPhoto: BBD" }, {"role": "user", "content":"Coupe de France : L’ASVEL et Gravelines derniers qualifiés pour le Top 8" }, {"role": "assistant", "content":"Gravelines après prolongation et l’ASVEL beaucoup plus aisément se sont qualifiés pour le Top 8 de la Coupe de France dont le plateau est ainsi constitué.\\n\\nLes quarts et demi-finale se tiendront les 20 et 21 mars 2021 à l’Arena Loire de Trélazé (49).\\n\\nRésultats des 8e de finale:\\nVendredi 8 janvier\\nLimoges (Jeep® ÉLITE) – Le Havre (NM1) : 99-69\\n\\nSamedi 9 janvier\\nCholet (Jeep® ÉLITE) – Strasbourg (Jeep® ÉLITE) : 78-82\\nRoanne (Jeep® ÉLITE) – Le Mans (Jeep® ÉLITE) : 74-96\\nOrléans (Jeep® ÉLITE) – Monaco (Jeep® ÉLITE) : 83-76\\nDijon (Jeep® ÉLITE) – Nanterre (Jeep® ÉLITE) : 79-65\\n\\nDimanche 10 janvier\\nGravelines-Dunkerque (Jeep® ÉLITE) – Châlons-Reims (Jeep® ÉLITE) : 104-100 a.p.\\nLDLC ASVEL (Jeep® ÉLITE) – Bourg-en-Bresse (Jeep® ÉLITE) : 86-77\\n\\nJoué au préalable:\\nBoulogne-Levallois (Jeep® ÉLITE) – Blois (Pro B) : 76-59" }, {"role": "user", "content":"Grèce: Le nouveau coach du Panathinaikos, Oded Katash, est... français" }, {"role": "assistant", "content":"Ancien international israélien de grand standing, le nouveau coach du Panathinaikos -adversaire de l’ASVEL mercredi-, Oded Katash, 46 ans, est aussi... français. C’est ce qu’il avait révélé lors de l’Euro 1999, qui avait eu lieu en France et notamment à Toulouse où il possède de la famille.\\n\\nEn fait, c’est par sa mère Fortuna, qui est née en Algérie française qu’il a pu récupérer en 1997 un passeport français.\\n\\n« Ma famille est originaire d’Algérie et ma mère est passée par Toulouse avant de rejoindre Israël. Je dois encore avoir de cousins dans la région... », avait-il confié à l’époque, des propos rapportés alors par L’Equipe. Il avait ajouté : « Ma mère possède depuis toujours la nationalité française car elle est née en Algérie. Mais je n’ai pu faire ma demande de passeport\\nqu’après avoir mis la main sur son certificat de naissance. »\\n\\nC’est un peu tiré par les cheveux mais donc, avec TJ Parker, la France a un deuxième coach en Euroleague et le premier de l’histoire dans un club étranger. A moins qu’un autre entraîneur ait eu lui aussi une double nationalité.\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Comment construire une équipe de champions ? Trois GM victorieux de BCL partagent leur vision" }, {"role": "assistant", "content":"Si le rôle des joueurs et de l’entraîneur est important dans la conquête d’un titre, la responsabilité de créer un groupe compatible et une alchimie en fonction de l’économie d’un club incombe souvent au General Manager (GM). Les GM d’Iberostar Tenerife, de l’AEK et d‘Hereda San Pablo Burgos, tous trois vainqueurs de la Basketball Champions League (BCL) depuis sa création en 2017, livrent leur expérience afin de construire une équipe de champions.\\n\\nDans un grand entretien à la BCL, les GM George Hinas (AEK), Alberto Martinez (Hereda San Pablo Burgos) et Aniano Cabrera (Iberostar Tenerife) partagent leurs secrets pour bâtir « une équipe de champions ». Pour George Hinas, GM de l’AEK Athènes depuis 2016, ce rôle exige une prise de décision éclairée et selon différents angles. Selon lui, la clé est de rester à la pointe du marché des transferts, partie essentielle de son travail. Surtout dans un marché aussi imprévisible que celui du basketball européen.\\n\\n« Il est essentiel d’avoir une connaissance parfaite du marché tous les jours parce que le marché change constamment. Quels sont les joueurs disponibles ? Qui va où ? Quelle équipe a besoin d’un certain joueur ? Quels joueurs sont sur le marché dans la position dont vous avez besoin ? Vous devez vraiment tout savoir sur la façon dont le marché évolue. »George Hinas, GM de l’AEK Athènes.\\n\\nPour Aniano Cabrera, GM de Tenerife, choisir le bon entraîneur fait partie des fondamentaux du travail. « L’embauche de l’entraîneur devrait être la première pierre du projet. C’est aussi la plus difficile à trouver. Avec les joueurs, le marché peut vous donner plus d’opportunités. La première chose à faire est de voir avec l’entraîneur ce dont nous avons besoin, quels joueurs nous avons, quelles options nous pouvons atteindre. À partir de là, nous établissons des priorités. » Bien sûr, le côté humain est aussi élémentaire dans une relation GM – entraîneur. L’une des marques de fabrique d’Alberto Martinez, GM d’Hereda San Pablo Burgos.\\n\\n« Vous recrutez un coach en pensant à celui avec qui vous pourrez faire preuve d’empathie et travailler au quotidien. L’entraîneur est le capitaine du bateau, vous devez ensuite chercher les membres de l’équipage qui feront le travail de la bonne manière. Il faut chercher certains joueurs que l’entraîneur veut, mais on ne peut pas tout baser sur ce que l’entraîneur veut. Si pour une raison ou une autre, il quitte l’équipe, alors un autre entraîneur exigera des joueurs différents. Il faut garder à l’esprit son opinion mais il faut d’abord s’occuper de la position du club, ce qui est le plus important après tout. »Alberto Martinez, GM d’Hereda San Pablo Burgos.\\n\\nUne chose est sûre, il n’y a pas une seule méthode pour devenir un bon GM. En attestent trois visions différentes pour trois titres de BCL. Mais si les trois dirigeants s’accordent sur un point, c’est bien l’importance du relationnel.\\n\\n« Vous ne jouerez pas bien au basket ou vous ne gagnerez pas si vous n’avez pas de bonnes relations en dehors du terrain. L’important, c’est le respect et la personnalité. Les joueurs qui ont de la personnalité entrent sur le terrain avec une mentalité différente. Et ils vous guident vers l’étape suivante, vers le niveau supérieur. »\\n\\nPhoto : FIBA." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Sous le poids de la neige, le toit de la salle historique d’Estudiantes s’est effondré" }, {"role": "assistant", "content":"On n’avait pas vu ça à Madrid depuis 50 ans ! La tempête Filomena a provoqué en Espagne et notamment dans sa capitale de fortes chutes de neige. Celle-ci sont notamment à l’origine de l’effondrement du toit du « réfrigérateur », la salle historique de l’institut Ramiro de Maeztu.\\n\\nUne salle inaugurée en 1957 et qui, jusqu’en 1971, était le siège de l’équipe première d’Estudiantes. Son surnom vient du fait qu’il y faisait plus froid à l’intérieur qu’à l’extérieur.\\n\\nLes dégâts, toujours non évalués, pourraient être plus importants car en consultant des photos publiées par le club, on voit que certains murs de briques sont également sur le point de s’effondrer après avoir présenté des fissures à côté de l’un des piliers qui soutiennent l’édifice.\\n\\nPhotos: Estudiantes:" }, {"role": "user", "content":"L’international mexicain Paul Stoll (ex-Limoges) en pigiste à Boulogne-Levallois" }, {"role": "assistant", "content":"Déjà vu à Limoges la saison passée, l’international mexicain Paul Stoll (1,80m, 35 ans) vient de signer pour un mois à Boulogne-Levallois comme pigiste médical de Brandon Brown.\\n\\nAvec Limoges, Paul Stoll avait disputé 10 rencontres (8 matchs de Jeep Elite, 2 matchs d’Eurocup), tournant à 7,3 points (45,5 % à 2-points, 27,9 %% à 3-points), 2 rebonds, 5,4 passes décisives et 7,8 d’évaluation en 8 matchs de JeepElite. Il s’était rendu ensuite au Maccabi Ashdod en Israël (16,8 points, 3,7 rebonds, 8,8 passes décisives et 19 d’évaluation en 16 matchs), puis au Mexique à deFuerza Regia de Monterrey." }, {"role": "user", "content":"En quelques stats: L’Euroleague, 18ème journée" }, {"role": "assistant", "content":"En Europe, cette semaine, se déroulait la 18ème journée de l’Euroleague. C’était aussi la première journée de la phase retour.\\n\\nLe leader, le CSKA Moscou, se déplaçait à Baskonia Vitoria. Pour l’occasion, il devait se passer des services de Daniel Hackett et de Will Clyburn. Le score a fait les montagnes russes et chaque équipe a gagné à son tour largement les quart-temps. Mais c’est l’équipe basque qui a mené tout au long du match. Et elle est en tête de deux points à l’entrée de la dernière minute. Malgré 2 lancer-francs de Janis Strelnieks, un lancer de Luca Vildoza puis un dernier de Youssoupha Fall donne la victoire à Baskonia 95-93. Cette victoire méritée constitue ainsi la principale surprise de la journée. L’équipe de Dusko Ivanovic a été portée par un quatuor composé de Pierria Henry, Youssoupha Fall, Achille Polonara et Rokas Giedraitis et auteur d’une évaluation cumulée de 97. Ce résultat lui permet de revenir dans la course au Top8. Quant au CSKA, il reste leader.\\n\\nDans le match au sommet et en clôture de la journée, le Real Madrid, deuxième, recevait l’AX Armani Exchange Milano, huitième au classement. Les absents étaient nombreux des deux côtés (Sergio Llull, Rudy Fernandez et Anthony Randolph pour le Real, Shavon Shields et Vladimir Micov pour Milano). Après un début de match équilibré, l’équipe lombarde a pris le leadership à la 14ème minute et l’a conservé jusqu’au bout. L’écart est monté jusqu’à 17 points. Malgré une remontée au score du Real dans le dernier quart, elle vient s’imposer dans la capitale espagnole 80-76 et réalise une grosse performance. C’est la seconde surprise importante de la journée. C’est le duo Malcolm Delaney-Luigi Datome qui a porté l’équipe d’Ettore Messina. Cette victoire lui permet de gagner une place au classement et de prendre la septième. Quant au club hôte, la défaite lui fait perdre deux places et il passe quatrième.\\n\\nLe Zenit St Petersbourg, troisième, effectuait le déplacement à Athènes pour y affronter un Panathinaikos en crise. Seulement 16ème en Euroleague et battu à Lavrio pour sa première défaite dans son championnat domestique, le club grec s’est séparé de son coach, Georgios Vovoras. Pour l’occasion et en attendant l’arrivée d’Oded Kattash, c’est l’ancien assistant Kostas Charalampidis qui avait la charge de l’équipe. Il n’y a cependant pas eu d’électrochoc suite au changement d’entraineur et l’équipe de Xavi Pascual s’est tranquillement imposée 89-77 après avoir compté 25 points d’avance. L’axe 1-5 du club russe composé de Kevin Pangos et Arturas Gudaitis a été décisif avec une évaluation cumulée de 49. Ce résultat permet au Zenit de prendre la deuxième place derrière le CSKA Moscou.\\n\\nLe quatrième, le FC Barcelona, recevait Valencia pour un choc entre équipes espagnoles et du Top 8. Cependant, le club catalan déplorait les absences de son duo intérieur Nikola Mirotic-Brandon Davies ainsi que de Victor Claver et du banni Thomas Heurtel. Il enregistrait malgré tout l’arrivée du meneur français Léo Westermann, libre après son départ de Fenerbahce. Du côté valencian, Bojan Dubljevic et Vanja Marinkovic n’avaient pas fait le court déplacement. En dehors des 5 premières minutes, l’équipe de Sarunas Jasikevicius a toujours mené et remporte une large victoire 89-72. Elle n’a perdu que 6 ballons sur ce match et réalisé un joli 11/19 à 3 points. La victoire a été collective pour le club de la capitale catalane. 6 joueurs ont ainsi dépassé la barre des 10 d’évaluation. Ca a notamment été le cas du jeune intérieur remplaçant Sergi Martinez qui a été le Rising Star de la semaine pour la seconde fois de la saison. Au classement, le Barca passe le Real Madrid et prend la troisième place. Valencia, quant à lui, descend à la huitième place et se retrouve en danger pour la qualification en Play-offs.\\n\\nLe Bayern Munich se déplaçait lui aussi en Grèce pour y affronter l’Olympiacos, à la lutte pour une place dans le Top 8. Les deux équipes étaient privées de leur ailier starter (respectivement Kostas Papanikolaou et Vladimir Lucic). Le combat a été acharné dans ce match, l’écart n’atteignant jamais les dix points. Mais c’est le club du Pirée qui finit par prendre le leadership à partir de la 28ème minute. A l’entrée de la dernière minute, le club hôte mène de 3 points. Un panier de Kostas Sloukas lui permet d’assurer sa victoire (84-82). Le meneur grec a été le leader de son équipe et a intégré le meilleur Cinq de la semaine. Le club bavarois descend à la 6ème place mais reste en course pour le Top 4.\\n\\nLe Zalgiris Kaunas, 6ème, recevait le dernier, le Khimki Moscou. Le club russe qui sortait d’une belle victoire en VTB League à Krasnodar se déplaçait sans Janis Timma, Jonas Jerebko et Greg Monroe. Contre toutes attentes, c’est l’équipe de Rimas Kurtinaitis qui mène à la mi-temps de 9 points. Mais, au retour des vestiaires, l’équipe lituanienne marque 39 points dans le troisième quart qu’il remporte de 26 points. Après un dernier quart bien maitrisé, elle s’impose largement 102-75. Le leader du Zalgiris a été le pivot français Joffrey Lauvergne qui a profité des absences dans le secteur intérieur pour faire un gros match offensif. Cette performance lui permet d’être le MVP de la journée. C’est aussi la seconde fois qu’il est MVP français de la semaine. Et c’est enfin le meilleur marqueur. Il a été bien secondé par Marius Grigonis, meilleur ailier européen. Avec cette victoire, le Zalgiris passe le Bayern et prend la cinquième place.\\n\\nL’Anadolu Efes se déplaçait à Villeurbanne pour y affronter l’avant-dernier de la compétition, l’ASVEL. Des absences majeures amputaient les secteurs intérieurs des deux équipes (Amine Noua et Moustapha Fall pour le club rhodanien et Tibor Pleiss pour le club stambouliote). Il n’y a eu aucun suspens et l’équipe de Tony Parker et Nicolas Batum n’a jamais mené dans ce match. L’écart est même monté à 36 points pour finir à 22 (102-80). Le secteur extérieur a été décisif pour l’équipe d’Ergin Ataman puisque le duo Vasilije Micic-James Anderson est la paire extérieure du meilleur Cinq de la semaine. Ce dernier est même le meilleur rebondeur de la journée, ce qui est rare pour un ailier. Cette victoire lui permet de revenir dans la course aux Play-offs.\\n\\nL’Alba Berlin recevait à la Mercedes-Benz Arena le Maccabi Tel-Aviv. Ce match opposait deux équipes avec le même bilan. Le club de la capitale allemande était privée des services de Peyton Siva, Marcus Eriksson, Simone Fontecchio et Luke Sikma. Le club israélien remporte les deux premiers quarts et compte 15 points au moment de rentrer aux vestiaires, avec seulement 28 points marqués par les berlinois. La suite du match sera équilibrée et le Maccabi s’impose finalement 85-73. L’équipe d’Aito Garcia Reneses a été emmenée par un duo composé de Tyler Dorsey et d’Angelo Caloiaro, auteurs de plus de la moitié de l’évaluation totale. Le premier est le meilleur sixième homme européen alors que le second est le meilleur intérieur de la semaine. Du côté allemand, Jayson Granger est tout de même le meilleur passeur.\\n\\nEnfin, l’Etoile Rouge Belgrade recevait Fenerbahce. Le club de la capitale serbe devait se passer de son backcourt Langston Hall-Jordan Loyd. Après un match très équilibré, l’Etolie Rouge mène de 2 points à 1 minute 30 de la fin. Mais Dyshawn Pierre égalise sur 2 lancers et Lorenzo Brown crucifie son ancienne équipe sur un panier au buzzer (73-71). Le leader du club turc a été l’ailier canadien Dyshawn Pierre. Du côté serbe, Johnny O’Bryant s’est mis en valeur en sortie de banc et a été le meilleur sixième homme de la journée.\\n\\nCette semaine, 3 des 5 premiers ont perdu et notamment les 2 premiers.\\n\\nA l’issue de cette journée, le Top 4 est composé du CSKA Moscou, du Zenit St Petersburg, du FC Barcelona et du Real Madrid.\\n\\nVoici les meilleures performances statistiques du jour:\\n\\nMVP :\\n\\nJoffrey Lauvergne (C/Fra/29)\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n38 d’éval (29 pts à 13/14, 3/3 aux LF, 9 rbds, 2 pds)\\n\\nMeilleur 5 :\\n\\nPG Kostas Sloukas\\n\\nOlympiacos\\n\\n29 d’éval\\n\\nSG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n35\\n\\nSF James Anderson\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n22\\n\\nPF Angelo Caloiaro\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n26\\n\\nC Joffrey Lauvergne\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n38\\n\\nB Johnny O’Bryant\\n\\nEtoile Rouge Belgrade\\n\\n30\\n\\nMeilleur 5 européen :\\n\\nPG Kostas Sloukas\\n\\nOlympiacos\\n\\n29 d’éval\\n\\nSG Vasilije Micic\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n35\\n\\nSF Marius Grigonis\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n21\\n\\nPF Angelo Caloiaro\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n26\\n\\nC Joffrey Lauvergne\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n38\\n\\nB Tyler Dorsey\\n\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n27\\n\\nRising star :\\n\\nSergi Martinez (PF/Esp/21)\\n\\nBarcelona\\n\\n13 d’éval (10 pts à 5/9, 8 rbds, 1 pd)\\n\\nMeilleur marqueur:\\n\\nJoffrey Lauvergne\\n\\nZalgiris Kaunas\\n\\n29 pts\\n\\nMeilleur rebondeur :\\n\\nJames Anderson\\n\\nAnadolu Efes\\n\\n11 rbds\\n\\nMeilleur passeur :\\n\\nJayson Granger\\n\\nAlba Berlin\\n\\n11 pds\\n\\nLe classement:\\n\\n 1. CSKA Moscou 14-4\\n 2. Zenit St Petersburg 11-5\\n 3. Barcelona 12-6\\n 4. Real Madrid\\n 5. Zalgiris Kaunas 11-7\\n 6. Bayern Munich\\n 7. Milano 10-7\\n 8. Valencia 10-8\\n 9. Olympiacos 9-8\\n 10. Baskonia 9-9\\n 11. Anadolu Efes\\n 12. Maccabi Tel-Aviv 8-10\\n 13. Fenerbahce\\n 14. Alba Berlin 7-11\\n 15. Etoile Rouge Belgrade 6-12\\n 16. Panathinaikos 5-12\\n 17. ASVEL\\n 18. Khimki Moscou 2-16\\n\\nPhoto d’ouverture Vasilije Micic (Anadolu Efes, Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Italie : Le Finlandais Petteri Koponen devrait rejoindre Reggio Emilia" }, {"role": "assistant", "content":"Le meilleur joueur finlandais de sa génération, l’arrière Petteri Koponen (1,94m, 32 ans) devrait rejoindre demain Reggio Emilia et le championnat italien, rapporte La Gazzetta di Reggio.\\n\\nArrivé en 2018 au Bayern Munich, et après avoir tourné à 7,8 points et 1,8 passe en moyenne en 2019-20 entre la Bundesliga et l’Euroleague, Koponen n’a pas été intégré à l’effectif bavarois cette saison et il était de retour dans son pays pour s’entraîner. Son agent et le Bayern sont en discussion ce week-end afin qu’il devienne free agent et puisse se rendre à Reggio Emilia." }, {"role": "user", "content":"Espagne: Les 8 équipes qualifiées pour la Copa del Rey sont connues" }, {"role": "assistant", "content":"Les huit équipes qui participeront à la 85e édition de la Copa del Rey (Coupe du Roi) à Madrid du 11 au 14 février sont désormais connues: le Real Madrid, Iberostar Tenerife, FC Barcelone, Baskonia Vitoria, Valence Basket, San Pablo Burgos, Joventut Badalona et Unicaja Malaga.\\n\\nLe Real Madrid, Iberostar Tenerife, Baskonia Vitoria et le Barça seront têtes de série lors du tirage au sort qui se tiendra le 18 janvier.\\n\\nEn raison du Covid-19 et du fait que de nombreux matchs ont été reportés, les clubs avaient décidé que les équipes qualifiées pour la Copa del Rey seraient celles avec le meilleur pourcentage de victoires au 10 janvier." }, {"role": "user", "content":"LFB: L’ASVEL débordée à Lattes-Montpellier, 86-70" }, {"role": "assistant", "content":"Sans Alysha Clark et Helena Ciak, l’ASVEL a été sévèrement battu dans l’Hérault face à Lattes-Montpellier, 86-70.\\n\\nMarine Johannes (28 points dont 12/12 aux lancers-frances et 27 d’évaluation) et Nayo Raincock-Ekunwe (24 points, 10 rebonds et 32 d’éval) sont apparues trop esseulées.\\n\\nDans un festival offensif, les Lattoises ont remporté les trois premiers-quarts-temps (75-56) avant de ralentir un peu dans les dix dernières minutes. Avec 28 points et 11 rebonds, l’arrière-ailière américaine Myisha Hines-Allen (1,85m, 25 ans) a confirmé sa grande classe. Julie Allemand (14 points, 8 passes et 6 rebonds) a une fois de plus produit un match très complet.\\n\\nIl s’agit de la 3e défaite en 8 matches des Lyonnaises qui se retrouvent ainsi larguées par Bourges qui est invaincu en 9 matches. Lattes-Montpellier (3-4) relève ainsi la tête." }, {"role": "user", "content":"SLUC Nancy / Fos Provence 76-71 – Rémy Giuitta (Fos) : «Cette défaite va nous remettre un peu les pieds sur terre»" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa déroute à Denain (92-69), le SLUC Nancy s’est remis la tête à l’endroit face à Fos et s’est imposé 76-71 après avoir passé quasiment un mois sans jouer.\\n\\nMalmenés dès le début de match dans le secteur intérieur et logiquement menés à la pause (33-39), les Lorrains ont totalement « retourné » le match et ont fait mordre la poussière à leur bourreau de la Leaders Cup dans le troisième quart-temps (27-15), avant de gérer plus ou moins la partie en fin de match.\\n\\nFos emmené par son duo d’intérieur Bodian Massa et Allan Dokossi a fait beaucoup de mal au SLUC et a défendu sur tous les ballons pour mettre à mal l’attaque nancéienne mais Ron Lewis (16 points (5/13 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs, 3 rebonds, 3 passes, 2 interceptions et 2 ballons perdus pour 12 d’évaluation en 30 minutes de jeu) a permis à Nancy de rester en vie avec deux paniers « minutes » à trois points pour limiter la casse et rester en vie afin d’éviter que le doute s’installe avant la mi-temps.\\n\\nLe SLUC a totalement inversé la tendance et a compté jusqu’à 9 points d’avance et a su gérer les assauts de Massa et Dokossi grâce à Tyran de Lattibeaudière et Charles Nkaloulou qui ont élevé leur niveau de jeu quand il fallait. De son côté la recrue Andell Cumberbatch a fait très bonne impression en produisant une belle prestation pour sa première sous le maillot du SLUC (10 points, 4/4 aux tirs et 2/3 aux lancers-francs, 5 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 1 contre, 3 ballons perdus pour 15 d’évaluation en 18 minutes de jeu).\\n\\nLe SLUC empoche ainsi sa 3e victoire de la saison face à l’un des favoris du championnat et devra enchaîner samedi prochain à Saint-Chamond.\\n\\n\\nLes réactions d’après-match :\\n\\nCharles Nkaloulou (SLUC Nancy) : « C’est une grosse équipe que nous avions en face. Ça nous a coûté dès le début, on a pas joué pendant un mois et pour nous c’était comme une revanche, on voulait vraiment gagner ce match. Nous n’avions pas de rythme en première mi-temps et en seconde mi-temps nous avons mis beaucoup plus d’agressivité en défense et en attaque nous avons été meilleurs malgré les rebonds que nous avons perdus. Je pense que sur les dernières minutes, nous avons pris des décisions précipitées. On a été perturbé par leur défense mais on s’est adapté. Cette victoire fait plaisir car nous avions une revanche à prendre face à cette équipe «\\n\\nFrançois Peronnet (coach SLUC Nancy) : « En deuxième mi-temps, les joueurs ont trouvé la solution sur la défense des pick and roll, tout en ayant un peu moins de déchets que sur la première mi-temps. Nous avons renversé un match qui était mal embarqué. Fos fait partie des grosses équipes du championnat, mais notre ambition est de jouer les yeux dans les yeux avec ce genre d’équipe. Félicitations aux joueurs d’être allé chercher cette victoire. »\\n\\nRémi Giuitta (coach Fos) : « Je suis déçu. Nous avions entamé le match comme il fallait. Et dans le troisième quart-temps, ça a été catastrophique des deux côtés du terrain... Nous avons laissé trop de largesse à Nancy, qui a pris confiance. Nous avons douté, nous ne nous sommes plus passés la balle comme en première période. Je redoutais les coups de chaud de Nancy. Cette défaite va nous remettre un peu les pieds sur terre. »\\n\\nPhoto d’ouverture : Edouard Choquet et Merédis Houmounou (Théo Tetard)" }, {"role": "user", "content":"Sergio Rodriguez (Milan) : «personne ne pensait que nous pourrions jouer régulièrement en Europe, avec autant de voyages entre pays»" }, {"role": "assistant", "content":"Le meneur Espagnol de Milan, Sergio Rodriguez, dispute à 34 ans sa 11e saison d’Euroleague et celle-ci est évidemment très particulière en raison de la pandémie de COVID-19 comme il le souligne à El Pais.\\n\\n« En voyant comment tout a commencé, personne ne pensait que nous pourrions jouer régulièrement en Europe, avec autant de voyages entre pays. Mais nous avons perfectionné les mesures de protection contre le virus et appris à tout contrôler. Il a été décisif d’avoir autant de tests et d’essais pour arrêter les flambées et traiter les cas individuellement. La plupart des semaines, un problème survient, dû à des cas positifs chez nous ou du côté de l’équipe rivale, ou à des faux positifs. Et quand cela se produit, cela signifie doubler les tests pour la semaine. Nous avons eu des PCR, des tests rapides avant les matchs... diverses méthodes. Il y a eu des semaines où nous avons dû passer des tests tous les jours. Dans notre cas, nous avons un groupe fermé d’environ 30 personnes, nous nous entraînons dans la salle où nous jouons et là nous avons une zone restreinte, sans contact avec le personnel administratif, et les voyages sont en charter. En ne pouvant pas socialiser, tout est assez contrôlé. Nos enfants sont répartis dans deux écoles et chez les plus petits il n’y a guère eu de cas. »\\n\\nPhoto: Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Les Top5 2020 de BasketEurope : LeBron James, Nikola Mirotić et Rudy Gobert sont les élus de notre jury" }, {"role": "assistant", "content":"Quels ont été les meilleurs joueurs dans le monde, en Europe et en France sur l’année calendaire 2020 ? Et qui ont été les meilleurs Français, Européens ou joueurs de toutes nationalités confondues dans ces zones géographiques ? Pour établir les « Top 5 de BasketEurope », la rédaction a conduit une large consultation auprès des journalistes spécialisés et consultants de tous les médias s’intéressant au basket.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn plus de Pascal Legendre et Bruno Ferret, respectivement rédacteur en chef et journaliste de BasketEurope, notre jury comprenait Yann Casseville (Basket Le Mag), Arnaud Lecomte, Amaury Perdriau, Liliane Trévisan, Yann Ohnona (tous du quotidien L’Équipe), Frédéric Weis (RMC Sport, Sport en France), Nicolas Baillou et Stephen Brun (RMC Sport), George Eddy (Canal Plus), Christophe Denis (la Chaîne L’Équipe, Canal Plus France et International), et Angelo Tsagarakis (Sport en France). Il lui a été demandé de désigner, dans l’ordre, les cinq meilleurs joueurs de six catégories :\\n\\n– Le Top5 mondial\\n\\n– Le Top5 des Européens dans le monde\\n\\n– Le Top5 des Français dans le monde\\n\\n– Le Top5 des joueurs évoluant en Europe\\n\\n– Le Top5 des joueurs français évoluant en France\\n\\n– Le Top5 des joueurs étrangers évoluant en France\\n\\nNous avons ensuite tout simplement octroyé 5 points à chaque joueur classé premier, 4 au deuxième, 3 au troisième, 2 au quatrième et 1 au cinquième.\\n\\nLe Top5 mondial\\n\\nQui ont été, pour notre jury, les cinq meilleurs joueurs au monde sur l’année 2020 ? Si le classement des quatre premiers n’a guère laissé place au doute, avec même l’unanimité pour le premier classé (seul cas de cette consultation), la discussion a été plus serrée pour le dernier accessit, comme le montre le tableau ci-après :\\n\\n1LeBron James (USA, L.A. Lakers)65 points2Giánnis Antetokoúnmpo (Grèce, Miwaukee Bucks)40 points3Luka Dončić (Slovénie, Dallas Mavericks)27 points4Anthony Davis (USA, L.A.Lakers)25 points5Nikola Jokić (Serbie, Denver Nuggets)9 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Jimmy Butler (USA, Miami Heat, 8 points), Kahwi Leonard (USA, L.A. Clippers, 6), James Harden (USA, Houston Rockets, 5), Kevin Durant (USA, Brooklyn Nets, 4), Damian Lillard (USA, Portland TrailBlazers, 3), Stephen Curry (USA, Golden State Warriors, 3).\\n\\nComme on pouvait s’y attendre, LeBron James, leader des L.A. Lakers champions NBA 2019-20, termine sur la plus haute marche du podium, et ce pour tous les membres du jury. En revanche, la bataille pour la deuxième place a été plus rude que le score ne le laisse penser entre le MVP en titre de la NBA, le Grec Giánnis Antetokoúnmpo, le champion d’Europe slovène Luka Dončić et l’ailier-fort des Lakers Anthony Davis. Très loin derrière ces quatre joueurs arrive le très polyvalent pivot serbe Nikola Jokić. Si Jimmy Butler et James Harden ont été cités par quatre membres de notre jury contre trois pour Jokić, celui-ci doit sa place dans le Top5 à la deuxième place qui lui a été attribuée par l’un de nos consultants. Au total, on notera que ce sont 11 joueurs, évoluant tous en NBA, qui ont été mentionnés au moins une fois pour ce Top5 mondial. Autre point important à noter : ce sont pas moins de trois joueurs européens qui figurent dans ce Top5 mondial.\\n\\nLe Top5 des Européens dans le monde\\n\\nSurprise dans le Top5 des Européens, Luka Dončić y précède Giánnis Antetokoúnmpo alors que le Grec devance le Slovène dans le Top5 mondial. L’explication est simple : si le duel entre les deux a été très serré (6 premières places pour Antetokoúnmpo, 5 pour Dončić, Jokić en recevant pour sa part deux), le « Greek Freak » n’a pas été mentionné par l’un de nos consultants, qui souhaitait ne pas classer deux fois un joueur (et qui n’avait du reste pas mis Dončić dans son cinq mondial).\\n\\n1Luka Dončić (Slovénie, Dallas Mavericks)56 points2Giánnis Antetokoúnmpo (Grèce, Miwaukee Bucks)53 points3Nikola Jokić (Serbie, Denver Nuggets)42 points4Rudy Gobert (France, Utah Jazz)21 points5Nikola Vučević (Monténégro, Orlando Magic)7 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Goran Dragić (Slovénie, Miami Heat, 6 points), Domantas Sabonis (Lituanie, Indiana Pacers, 4), Bojan Bogdanović (Croatie, Utah Jazz, 2), Bogdan Bogdanovic (Serbie, Atlanta Hawks, 2), Nikola Mirotić (Espagne/Monténégro, Barcelone, 2), Ricky Rubio (Espagne, Phoenix Suns/Minnesota Timberwolves, 2).\\n\\nComme pour le Top5 mondial, les quatre premiers du Top5 européen se dégagent largement du reste du classement. Un classement où l’on dénombre pas moins de six joueurs de l’ex-Yougoslavie (en incluant Nikola Mirotić). Et notre Rudy Gobert national, seul joueur français à figurer dans ce Top5. À noter par ailleurs, un « intrus » s’est glissé dans cette liste de 10 joueurs, Nikola Mirotić étant le seul à ne pas évoluer en NBA (même s’il y a passé plusieurs années, il joue à Barcelone depuis 2019).\\n\\nLe Top5 des Français dans le monde\\n\\nSi une dizaine de joueurs français évoluent régulièrement en NBA, ils ne sont que quatre de cette compétition à figurer dans notre Top5 des Français dans le monde (et six au total sur les 12 joueurs cités) :\\n\\n1Rudy Gobert (Utah Jazz)62 points2Evan Fournier (Orlando Magic)52 points3Nando de Colo (Fenerbahçe)37 points4Nicolas Batum (Charlotte Hornets/L.A. Clippers)16 points5Thimoté Luwawu-Cabarrot (Brooklyn Nets)9 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Moustapha Fall (Türk Telekom Ankara/LDLC Asvel, 5 points), Fabien Causeur (Real Madrid, 5), Adrien Moerman (Anadolu Efes Istanbul, 4), Andrew Albicy (Zenit Saint-Petersburg/Gran Canaria, 2), Ian Mahinmi (Washington Wizards/sans club, 1), Frank Ntilikina (New York Knicks, 1), Amath M’Baye (Pinar Karsiyaka, 1).\\n\\nLa catégorie des « Français dans le monde » est sans doute celle où notre jury a le plus facilement dessiné une hiérarchie. Nul ne s’étonnera de trouver Rudy Gobert et Evan Fournier, deux joueurs majeurs en NBA, aux deux premières places, pas plus que Nando de Colo, l’un des tout meilleurs joueurs d’Euroleague juste derrière. Quant à Nicolas Batum, en chute libre lorsqu’il était aux Hornets, il a démontré en passant aux Clippers qu’il n’avait rien perdu de ses qualités et qu’il pouvait toujours les exprimer dans un contexte favorable. Enfin, Thimoté Luwawu-Cabarrot est récompensé de ses progrès et de sa très belle fin de saison 2019-20 avec les Nets par une place sur le dernier échelon de notre Top5. Parmi les joueurs également cités, on notera la présence de Moustapha Fall, le seul à évoluer actuellement en Jeep Élite, ainsi que celle, plus surprenante, de Ian Mahinmi, joueur de rôle en NBA et n’ayant actuellement pas trouvé de club pour la saison 2020-21.\\n\\nLe Top5 des joueurs évoluant en Europe\\n\\nConsidéré comme l’un des dix meilleurs joueurs européens de l’année 2020, il n’y a rien d’étonnant à retrouver l’Hispano-Monténégrin Nikola Mirotić à la première place des joueurs évoluant en Europe. Et ce avec un quasi-plébiscite : il a été placé en première position par 9 membres de notre jury, 4 autres s’étant prononcés pour Shane Larkin. Mike James complète le trio de tête de ce Top5 :\\n\\n1Nikola Mirotić (Espagne/Monténégro, Barcelone)59 points2Shane Larkin (USA, Anadolu Efes Istanbul)49 points3Mike James (USA, CSKA Moscou)38 points4Facundo Campazzo (Argentine, Real Madrid/Denver Nuggets)14 points5Nando De Colo (France, Fenerbahçe)9 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Miloš Teodosić (Serbie, Virtus Bologne, 6 points), Walter Tavares (Cap-Vert, Real Madrid, 5), Nikola Milutinov (Serbie, Olympiakos/CSKA Moscou, 4), Scottie Wilbekin (USA, Maccabi Tel-Aviv, 3), Alexey Shved (Russie, Khimki Moscou, 2), Tornike Shengelia (Géorgie, Vitoria/CSKA Moscou, 2), Jalen Reynolds (USA, Maccabi Tel-Aviv/Bayern Munich, 2), Nick Calathes (Grèce-USA, Panathinaïkos/Barcelone, 1).\\n\\nSi le Top5 de cette catégorie s’est finalement assez facilement dégagé, ce sont tout de même pas moins de treize joueurs qui ont été cités par les membres de notre jury. Avec un « intrus » : le meneur serbe Miloš Teodosic, seul de la liste à ne pas jouer dans une équipe d’Euroleague, la Virtus Bologne s’alignant en Eurocup (après avoir fréquenté la BCL). Un seul Français, Nando de Colo, a eu les honneurs de notre jury, qui a composé un Top5 très cosmopolite, où figurent deux joueurs provenant des États-Unis mais aussi un Argentin et deux Européens. Du reste, cinq Américains seulement (en comptant Nick Calathes) font partie des 13 joueurs cités, pour sept Européens, un Sud-Américain et un Africain (le Cap-Verdien Walter Tavares). Précisons que si Facundo Campazzo évolue depuis fin novembre en NBA, ce sont bien ses prestations sous le maillot du Real Madrid qui lui ont valu de terminer 4e de ce classement.\\n\\nLe Top5 des Français évoluant en France\\n\\nEncore un classement où, si le tiercé de tête s’est très naturellement dégagé (tout en se livrant une lutte acharnée pour en déterminer l’ordre), la lutte pour les derniers accessits s’est révélée plus sévère et, surtout, à large distance du podium :\\n\\n1Isaïa Cordinier (Nanterre 92)49 points2Moustapha Fall (Türk Telekom Ankara/LDLC Asvel)46 points3Axel Julien (JDA Dijon)44 points4Guerschon Yabusele (LDLC Asvel)19 points5Alexandre Chassang (JDA Dijon)9 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Jerry Boutsiele (CSP Limoges, 8 points), Mathias Lessort (Bayern Munich/Monaco, 8), Livio Jean-Charles (LDLC Asvel/Olympiakos, 6), Charles Kahudi (LDLC Asvel, 5), Mickaël Gelabale (Élan Chalon, 2), Antoine Diot (LDLC Asvel, 1), Paul Lacombe (Monaco/LDLC Asvel, 1), Yakouba Ouattara (Monaco/Séville, 1)\\n\\nPlusieurs choses sautent aux yeux à la lecture de ce Top5 (et de la liste des joueurs cités). En premier lieu, Mous’ Fall et Guerschon Yabusele se retrouvent haut placé alors qu’ils ne jouent en France que depuis février 2020 pour le second et depuis le début de la saison 2020-21 pour le premier. Avec Mathias Lessort, ils font partie des trois joueurs revenus en France courant 2020. À l’inverse, Livio Jean-Charles et Yakouba Ouattara ont profité de l’intersaison pour filer à l’étranger mais leurs précédentes prestations sous les couleurs de Villeurbanne et de Monaco leur ont valu des mentions légitimes. On notera par ailleurs que, outre deux joueurs de la JDA Dijon figurant dans le Top5, ils sont pas moins de six à jouer ou à avoir joué pour l’Asvel sur l’année 2020. Enfin, il faut souligner que si Isaïa Cordinier devance, de peu, Moustapha Fall et Axel Julien, il le doit plus à la régularité de sa présence dans les Top5 de notre jury qu’à ses premières places : alors que Fall et Julien ont été classés cinq fois chacun à la première place, Cordinier ne l’a été que trois fois, le Nanterrien figure neuf fois dans les trois premiers (et a été cité 12 fois dans le Top5) alors que le pivot de l’Asvel a été positionné dix fois sur le podium mais cité 11 fois « seulement » et que le meneur bourguignon n’a été placé que six fois dans le tiercé de tête. En tout cas, ils forment un très beau trio !\\n\\nLe Top5 des étrangers évoluant en France\\n\\n17 : c’est le nombre de joueurs étrangers évoluant en Jeep Élite qui ont été cités par les treize membres de notre jury. Si, une nouvelle fois, les quatre premiers de ce classement se dégagent assez aisément, ce nombre très important de joueurs symbolise aussi le nivellement (plutôt par le haut) de la valeur des non-JFL évoluant dans le championnat français. Et le Top5 final mêle harmonieusement « valeurs sûres » du championnat et nouvelles têtes :\\n\\n1David Holston (USA, JDA Dijon)43 points2Danilo Anđušić (Serbie, JL Bourg)29 points3Michael Stockton (USA, Cholet)20 points3e ex-aequoDavid Lighty (USA, LDLC Asvel)20 points5Vitalis Chikoko (Zimbabwe, Boulogne-Levallois)17 points\\n\\nOnt aussi reçu des voix : Norris Cole (USA, Monaco/LDLC Asvel, 13 points), Miralem Halilovic (Bosnie, Orléans/Boulogne-Levallois, 11), Chris Horton (USA, Cholet/Gravelines-Dunkerque/Cholet, 10), Dee Bost (USA, Monaco, 7), Zachery Peacock (USA, JL Bourg, 6), Ovie Soko (Grande-Bretagne, London Lions/Le Mans, 5), Briante Weber (USA, Boulogne-Levallois/Gravelines-Dunkerque, 4), Assem Mareï (Égypte, Bamberg/Boulogne-Levallois/Galatasaray, 4), Tonye Jekiri (Nigéria, LDLC Asvel/Vitoria, 2), Marcos Knight (USA, Ludwigsbourg/Monaco, 2), Bonzie Colson (USA, Darussafaka/Strasbourg, 1), Scott Bamforth (USA, Buducnost Podgorica/Le Mans, 1).\\n\\nIl n’y a évidemment aucune surprise à retrouver David Holston, le « petit général » de la JDA Dijon sur la plus haute marche du podium. Le maître à jouer des Bourguignons a quand même réussi à faire de son équipe le vainqueur de la Leaders Cup et un premier ex-aequo de saison régulière avant son interruption. Pas de surprise non plus sur les quatre suivants, joueurs précieux pour leur équipe pour diverses raisons. Il est en revanche étonnant de voir que Zachery Peacock a reçu si peu de voix, même s’il est effectivement moins en vue à Bourg depuis l’arrivée de Danilo Anđušić puis, cette saison, d’Alen Omic. Autre petite déception, le faible score de Tonye Jekiri, qui s’est tout de même montré être un pivot dominant en France, au point d’attirer l’attention de Vitoria, gros club d’Euroleague. On notera par ailleurs que quelques joueurs (Ovie Soko, Assem Mareï, Marcos Knight, Bonzie Colson et Scott Bamforth) ont marqué l’un ou l’autre des membres du jury en n’ayant pourtant joué que quelques matchs en France, arrivés qu’ils sont à l’intersaison. Dernier point à souligner : six joueurs (Danilo Anđušić et David Holston 4 fois chacun, Miralem Halilovic 2 fois, Michael Stockton, Norris Cole et Ovie Soko une fois) ont été placés en première position par un membre ou l’autre de notre jury. Une nouvelle preuve de la densité du contingent non-JFL de la Jeep Élite et de son bon niveau.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nEn plus de Pascal Legendre et Bruno Ferret, respectivement rédacteur en chef et journaliste de BasketEurope, notre jury comprenait Yann Casseville (Basket Le Mag), Arnaud Lecomte, Amaury Perdriau, Liliane Trévisan, Yann Ohnona (tous du quotidien L’Équipe), Frédéric Weis (RMC Sport, Sport en France), Nicolas Baillou et Stephen Brun (RMC Sport), George Eddy (Canal Plus), Christophe Denis (la Chaîne L’Équipe, Canal Plus France et International), Angelo Tsagarakis (Sport en France). Il lui a été demandé de désigner, dans l’ordre, les cinq meilleurs joueurs de six catégories :\\n\\n– Le Top5 mondial\\n\\n– Le Top5 des Européens dans le monde\\n\\n– Le Top5 des Français dans le monde\\n\\n– Le Top5 des joueurs évoluant en Europe\\n\\n– Le Top5 des joueurs français évoluant en France\\n\\n– Le Top5 des joueurs étrangers évoluant en France\\n\\nNous avons ensuite tout simplement octroyé 5 points à chaque joueur classé premier, 4 au deuxième, 3 au troisième, 2 au quatrième et 1 au cinquième.\\n\\nLe Top5 mondial\\n\\nQui ont été, pour notre jury, les cinq meilleurs joueurs au monde sur l’année 2020 ? 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Depuis, personne n’a battu Team USA. Et si c’était pour les JO 2021 ? Les Américaines arriveront à Tokyo en grandes favorites mais les spécialistes ont envie de croire à une belle histoire.\\n\\n« Après tout ce que le monde a vécu en 2020, j’ai sérieusement besoin de croire en un conte de fées pour 2021. Je ne suis pas anti-USA, et elles gagneront probablement, évidemment, comme 90% du temps, elles sont ultra favorites. L’or pour le Japon serait juste une histoire incroyable mais c’est désormais une possibilité lointaine après les blessures subies par Tokashiki et Motohashi, qui pourraient rater l’événement. Des nations comme l’Australie, la France ou même le Canada ou la Belgique ont peut-être une chance. Ces dernières pourraient se faufiler pour le bronze. »Paul Nilsen, spécialiste FIBA.\\n\\nSelon les trois spécialistes, la France pourrait avoir une chance de tirer son épingle du jeu. 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Le Français Malcolm Cazalon (Mega Bemax) redoute également ce sérieux adversaire.\\n\\n« C’est un match extrêmement important pour nous. Nous les avons battu en tout début de saison, mais nous ne devons pas nous tromper car ils jouent généralement très bien, leur classement en atteste. C’est une équipe de très haute qualité et expérimentée et c’est à nous de nous battre pendant 40 minutes, de bien utiliser notre énergie afin d’être au plus haut niveau et d’obtenir un résultat positif. »\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Tempête Filomena : l’Olimpia Milan bloqué à Madrid, plusieurs matchs en suspens" }, {"role": "assistant", "content":"Après sa belle victoire vendredi contre le Real en Euroleague, l’Olimpia Milan est resté bloqué à Madrid en raison de la tempête Filomena, qui a frappé la péninsule ibérique. Ce dimanche, le match de championnat italien contre Crémone prévu à 17 h a été reporté, tout comme un match de Liga ACB.\\n\\n24 heures après le match face au Real Madrid, l’équipe d’Ettore Messina est toujours bloquée dans la capitale en raison de la fermeture de l’aéroport de Barajas. La tempête Filomena paralyse littéralement l’Espagne depuis plusieurs heures, sous une tempête de neige et de verglas pendant pratiquement une journée entière.\\n\\nCe samedi, l’aéroport de Madrid affirmait qu’aucun vol ne décollerait avant 23 heures. Le match de championnat prévu ce dimanche à 17 heures, contre le Vanoli Crémone, est donc menacé. Par la suite, les coéquipiers de Luigi Datome recevront Valence ce mardi puis s’envoleront pour Berlin 48 heures plus tard.\\n\\nDans le même temps, la Liga ACB a annoncé le report du match prévu dimanche entre l’Estudiantes Madrid et le Casademont Zaragoza au mardi 12 janvier. Par ailleurs, le match entre Fuenlabrada et MoraBanc Andorre prévu ce samedi soir a été reporté à dimanche soir (21 h) en raison de problèmes logistiques avec les résultats des tests Covid-19 effectués sur le staff et les dirigeants après la détection d’un cas positif et asymptomatique dans l’effectif ce vendredi, en raison de la tempête." }, {"role": "user", "content":"Nick Calathes, le faiseur de jeu de Barcelone" }, {"role": "assistant", "content":"Passé cet été du Panathinaikos au FC Barcelone, le Gréco-Américain Nick Calathes (1,98m, 31 ans) est un formidable playmaker, un passeur d’exception.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNicholas William Calathes possède des origines grecques par le biais de ses grands-parents, qui ont émigré en Floride. Signe du destin, calathès signifie... panier en grec. C’est ainsi qu’il a obtenu en sus de l’américain un passeport grec tout comme son frère aîné Pat, plus grand (2,08m) mais un peu moins talentueux, qui est passé deux fois par le Panathinaikos.\\n\\nSa vie américaine est classique : il a fréquenté un lycée de Floride, remporté deux fois le trophée de Florida Mr. Basketball, et il est resté fidèle à son Etat en acceptant une bourse de l’université de Florida. Il y a joué meneur de jeu, arrière mais aussi ailier et il y a battu des records de passes décisives. Son art de l’assist ne date donc pas de la dernière tournée d’ouzo.\\n\\nRetraite internationale en 2021\\n\\nNick Calathes est vite venu en repérage sur la terre de ses ancêtres puisqu’il était en équipe nationale grecque des moins de 20 ans pour le championnat d’Europe dès 2008. Il y récolta 11,2 points, 3,5 rebonds et 3,7 passes en 22 minutes par match. Un an plus tard, il accédait à l’équipe senior avec à la clé une médaille de bronze à l’Euro 2009. Il n’avait alors qu’un rôle de second couteau mais il a tout de même terminé 5e du tournoi aux interceptions, avec 1,6 par match. Il a ensuite enchaîné le championnat du monde en 2010, l’Euro de 2011, le TQO de 2012, la Coupe du monde de 2014, l’Euro de 2015, le TQO de 2016, l’Euro 2017 et la Coupe du Monde 2019. Son investissement avec l’équipe nationale est donc à saluer et il a bonifié son rendement au fil des années mais plus jamais avec une médaille en récompense. Il a annoncé qu’il prendra sa retraite internationale avec le TQO 2021 et les JO de Tokyo, si tout se passe bien.\\n\\nMeilleur passeur que Magic Johnson ?\\n\\nCe qui caractérise le jeu de Nick Calathes, c’est son QI basket, son leadership, sa polyvalence, son ardeur défensive, y compris face à des meneurs plus rapides et plus petits – sachant que c’est un guard de haute taille avec son 1,98m -, sa capacité à exécuter parfaitement le pick-n-roll et, bien sûr, sa science de la passe. Son coach au Panathinaikos, Rick Pitino, osera même ce compliment ultime : “J’ai coaché contre Magic Johnson, Larry Bird et Isaiah Thomas. Nick Calathes est le meilleur passeur que j’ai jamais vu de ma vie. Tous ses adversaires ont tellement peur de ses passes que, quand il part en pénétration, ils retournent tous vers les joueurs sur lesquels ils défendent pour empêcher un panier facile. Du coup, il s’ouvre le chemin du panier grâce à ses capacités de passeur. »\\n\\nLe joueur parfait ? Non. L’Américano-Grec est tout sauf un shooteur. Sa réussite à trois-points en carrière en Euroleague est très modeste : 28,1 %. Et, surtout, celle aux lancers-francs est épouvantable : 55,8 % en 228 matches. Lui le meneur de jeu, il côtoie ainsi les pires cancres du domaine, qui sont généralement tous des intérieurs. Il fait à peine mieux que Shaquille O’Neal (52,7 %) et Wilt Chamberlain (51,1 %), qui souffraient le martyre lorsqu’ils se présentaient sur la ligne de réparation. Étrange.\\n\\n20 matches de suspension en NBA\\n\\nOn peut résumer le parcours européen de Nick Calathes en plusieurs épisodes :\\n\\nAvril 2009\\n\\nNick Calathes signe un accord de trois ans avec le Panathinakos pour, selon des sources, un revenu net de 2,4 millions d’euros avec maison, voiture et quelques autres avantages. Un package total de l’ordre de ce que touche alors un rookie en NBA. Il est malgré tout sélectionné au 2e tour de la draft par les Minnesota Timberwolves puis échangé avec les Dallas Mavericks. « Je suis ici avec mon frère (Pat). Nous traînons beaucoup. Mon frère est venu ici avant moi donc ça aide beaucoup d’avoir quelqu’un qui est déjà ici depuis un an, » explique-t-il peu après son arrivée. « Je vis dans une belle région, appelée Pefki. Ils (Panathinaikos) m’ont trouvé une belle maison. J’ai un chien nommé Tyson, comme Mike Tyson. Ils m’ont acheté une voiture sponsorisée par Sang Yong pour que je puisse sortir avec les gars. Habituellement, si je sors, c’est après les matchs. Si nous remportons une grosse victoire, tous les gars (de l’équipe) sortent ensemble. Sinon, je dois garder mon esprit sur le jeu. Les gars de l’équipe sont super avec moi, ils m’ont vraiment accepté. J’adore le style de vie ici en Grèce. Je passe aussi beaucoup de temps à la salle, à travailler sur mon jeu. Je ne peux pas demander plus à la Grèce. Les gens sont formidables. C’est une expérience formidable jusqu’à présent. »\\n\\n2010-11\\n\\nAu cours des playoffs de l’Euroleague face au Barça, le Gréco-Américain se distingue lors du mach 4 avec 12 points. « Diamantidis était le MVP de la série, mais Calathes était le joueur clé », estime le coach barcelonais Xavi Pascual. Son coéquipier, Ian Vougioukas, fait le même type de compliment « Calathes a joué quatre matchs exceptionnels, notamment en défense, et a été une clé pour nous. »\\n\\n2013\\n\\nNick Calathes se retrouve au Lokomotiv Kuban et dans l’élection du MVP de la saison, les fans en font le numéro 1 de la VTB League avec 37 % des voix devant Chuck Edson (23 %) et Earl Rowland (16 %). Mieux encore : il est élu MVP de l’Eurocup après avoir établi une moyenne statistique de 14,7 points, 6,5 rebonds et 6,5 passes décisives par match.\\n\\nAoût 2013\\n\\nCalathes répond à l’appel de la NBA. Non pas à Dallas mais aux Memphis Grizzlies, qui ont obtenu les droits sur lui. En 129 matches dans la ligue américaine, il cumule 4,6 points et 2,7 passes en 16’ de temps de jeu moyen.\\n\\nAvril 2014\\n\\nLa ligue annonce que Nick Calathes est suspendu 20 matches pour avoir enfreint sa politique anti-drogue, le privant des playoffs. Il a été testé positif au tamoxifène. Yahoo ! Sports indique que la substance interdite a été trouvée dans un complément alimentaire pris par le joueur. Le tamoxifène est couramment utilisé dans le traitement du cancer du sein chez la femme. Dans le même temps, le médicament, en plus de la NBA, est également interdit d’utilisation par la Major League Baseball et le Comité international olympique, car il réduit les effets secondaires de l’utilisation de stéroïdes et augmente la production de testostérone.\\n\\nSon avocat David Cornwell le défend bec et ongles : « Nos tests ont identifié le tamoxifène dans un supplément que Nick a utilisé pour une situation médicale légitime et nos tests ont confirmé que Nick n’avait pas de testostérone ou de tout autre PED dans son corps – réfutant ainsi la présomption qu’il a utilisé le tamoxifène pour compenser les effets secondaires de utilisation de la testostérone. Malgré ces preuves scientifiques objectives et irréfutables, la réponse de la NBA a été: » Well (Eh bien) « . C’est indéfendable car aucun but légitime n’est servi en suspendant un homme dont la NBA sait qu’il ne triche pas. » Le directeur exécutif du syndicat des joueurs, Ron Klempner porte le même jugement : « La disqualification de Calathes est une erreur et une injustice. »\\n\\n2e joueur à réaliser un triple double en Euroleague\\n\\nJuillet 2015\\n\\nNick Calathes retourne au Panathinaikos avec un salaire revu à la hausse : 7 millions de dollars sur 3 ans.\\n\\nJuin 2018\\n\\nLes deux parties renouvellent le contrat pour la même durée et 6,5 millions d’euros mais sans option pour un retour en NBA. Nick Calathes a choisi de rester au Pana alors que le Khimki Moscou lui avait fait une offre supérieure. Selon Eurohoops, avec 2,55 millions de dollars annuels, il se retrouve le joueur le mieux payé d’Euroleague derrière Alexey Shved (Khimki, 4M$) et Nando De Colo (CSKA Moscou, 2,78M$)\\n\\nAvril 2019\\n\\nAvec 11 points, 18 passes et 12 rebonds en 37 minutes face à Buducnost, Nick Calathes devient l’auteur du troisième triple double de l’histoire de l’Euroleague. Le Croate du Maccabi Tel-Aviv Nikola Vujicic avait réalisé les deux premiers en 2005 et 2006. « C’est génial. Je suis juste heureux d’avoir pu le faire, en particulier pour un grand match comme les playoffs. De plus, j’ai pu le faire grâce à mes coéquipiers, qui m’ont beaucoup aidé. C’est un grand honneur d’être aux côtés d’un gars comme Nikola Vujcic, un joueur légendaire. «\\n\\nJuillet 2019\\n\\nNick Calathes a un fort impact dans le championnat grec et le voici élu MVP pour la troisième année consécutive. Un plébiscite. Il a reçu 57,6 % des voix des capitaines et entraîneurs des équipes de la ligue, 68 % de ceux des journalistes et 61,9 % des fans. Il a sensiblement augmenté son rendement en playoffs (14,0 points, 7,2 passes et 3,3 rebonds) vis-à-vis de la saison régulière (8,6 points, 7,2 passes et 3,3 rebonds). Son efficacité de l’autre côté du terrain s’est traduite par trois trophées de Meilleur Défenseur.\\n\\nLe succès est aussi collectif car le Pana remporte son troisième titre d’affilée de champion de Grèce. Le sixième pour Calathès, qui a également fait partie de l’équipe vainqueur de l’Euroleague en 2011.\\n\\nLe Gréco-Américain en profite pour remercier son coach Rick Pitino : « Il vous donne beaucoup de confiance en tant que joueur. Il est venu et m’a donné du soutien et de la confiance. Il ne m’a pas dit » tu ne tires pas « , » tu ne passes pas » ou des choses comme ça. Il a cru en chaque joueur et lui a donné une grande confiance et c’est ce que vous voulez du point de vue des joueurs, pouvoir avoir un entraîneur qui croit en vous. Cela nous a aidés à grandir en équipe et à nous améliorer. «\\n\\nJanvier 2020\\n\\nL’Euroleague révèle les résultats de l’enquête réalisée auprès des directeurs généraux des 18 équipes qui font toujours de Nick Calathes le meilleur passeur de la compétition. Sans discussion puisque l’international grec reçoit 61,1 % des suffrages.\\n\\nEn 212 matches d’Euroleague, Nick Calathes tient une moyenne de 5,9 passes. Il a égalé son record sur un match (18) face au CSKA Moscou, le 3 janvier dernier.\\n\\nÉté 2020\\n\\nAlors que le sulfureux millionnaire Giannis Giannakopoulos se retire des affaires du club, qui est un gouffre financier, le Panathinaikos ne peut plus honorer les émoluments de Nick Calathes et le Zenit Saint-Petersbourg, nourri par Gazprom, se jette sur la proie. Il lui offre 8,1 millions sur 3 ans, mais le Gréco-Américain ne cède pas à la tentation. Il est au centre du marché de l’inter-saison et c’est le FC Barcelone qui le convainc de signer pour une somme plus modeste (5,5 millions de dollars sur 3 ans) mais des ambitions sportives plus élevées et aussi un climat plus clément. Le Barça complète ainsi un dispositif déjà très bien pourvu en scoreurs avec un meneur capable de donner le ballon à d’autres stars au bon moment et au bon endroit.\\n\\n« Je suis si heureux d’être ici. Si vous demandez à n’importe quel joueur, le Barça est l’une des meilleures équipes où vous voulez jouer en Europe. Après huit ans de présence en Grèce, c’était bien de commencer une étape ailleurs. Et le but est de gagner; gagner l’Euroleague est le principal, mais aussi gagner tous les titres possibles, » commente le Gréco-Américain, ajoutant en ce qui concerne son coach: « Sarunas Jasikevicius et moi sommes amis depuis longtemps, mais maintenant c’est différent parce que la relation est celle d’un duo joueur-entraîneur et que nous la respectons tous les deux. Dorénavant, je dois suivre ses indications sur le terrain et les systèmes qu’il met en place. Il a la même énergie et la même passion pour le jeu, à la fois pour s’entraîner et diriger les matchs, c’est pourquoi je pense qu’il est un si bon entraîneur. »\\n\\nOctobre 2020\\n\\nC’est une photo a priori banale d’un père et d’une mère avec leur enfant à la terrasse d’un restaurant. Seulement, celle que publie La Vangardia représente Nick Calathes et sa famille alors que les joueurs du Barça sont censés être confinés chez eux en raison de trois cas de coronavirus au sein de l’équipe. Mini-Scandale. Pourtant habitué aux médias grecs, Calathes apprend à ses dépens qu’il est une star en Catalogne et que sortir dans les rues ne peut pas être synonyme de tranquillité.\\n\\nNovembre 2020\\n\\nLe 5 novembre, le Barça n’a pas eu de mal à se débarrasser de l’Alba Berlin, pulvérisé en Allemagne 67-103. De plus, Sarunas Jasikevicius a pu faire tourner ses 12 joueurs en les faisant tous jouer au moins 10 minutes et celui qui a eu droit au plus gros de temps de jeu (Thomas Heurtel) a passé 22 minutes sur le terrain.\\n\\nDans ce contexte, Nik Calathes s’est mis en évidence. Il n’a contribué que pour 2 points au tableau d’affichage de son équipe mais a distribué 12 passes. Calathes a égalé ainsi le record dans la compétition du Barça détenu par Thomas Heurtel lors d’un match contre le CSKA en octobre 2018.\\n\\nLa performance de Calathes est d’autant plus remarquable qu’elle a été obtenue en 18 minutes de jeu. S’il avait eu droit à davantage de temps, il aurait sûrement battu son record personnel de 18 passes.\\n\\nDécembre 2020\\n\\nFace à Milan, Nick Calathes a de nouveau battu le record de passes décisives du club sur un match : 14. Il tourne à 7,9 points et 7,2 passes cette saison. Sondés, les GM de l’Euroleague le considèrent toujours à 61,1 % comme le meilleur passeur de la compétition.\\n\\nSarunas Jasikevicius, qui l’a eu comme équipier, l’apprécie énormément. La preuve : il en a fait son général, reléguant peu à peu Thomas Heurtel à un rôle subalterne avant de le laisser moisir sur le banc, lui reprochant de mal défendre, tout le contraire de Calathes. Le Français a ensuite été banni du club par la direction pour avoir cherché à se rendre au Real Madrid. Comme tous les joueurs du Barça, Nick Calathes a souhaité que Thomas Heurtel demeure dans l’effectif mais il n’y avait visiblement pas la place pour deux meneurs à la forte personnalité au sein de la même équipe.\\n\\nx\\n\\n[armelse]\\n\\nNicholas William Calathes possède des origines grecques par le biais de ses grands-parents, qui ont émigré en Floride. Signe du destin, calathès signifie... panier en grec. C’est ainsi qu’il a obtenu en sus de l’américain un passeport grec tout comme son frère aîné Pat, plus grand (2,08m) mais un peu moins talentueux, qui est passé deux fois par le Panathinaikos.\\n\\nSa vie américaine est classique : il a fréquenté un lycée de Floride, remporté deux fois le trophée de Florida Mr. Basketball, et il est resté fidèle à son Etat en acceptant une bourse de l’université de Florida. Il y a joué meneur de jeu, arrière mais aussi ailier et il y a battu des records de passes décisives. 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Une beau coup de projecteurs pour le basket féminin, pour la première fois en clair sur La Chaîne L’Équipe.\\n\\nLe début de la rencontre avait pourtant tourné à l’avantage des Landaises. Bien emmenées par Nevena Jovanovic qui débute par un 3/3 à trois points, les joueuses de Julie Barennes ont affiché une magnifique solidité défensive, empêchant le Tango Bourges de marquer le moindre panier derrière l’arc, pour dominer de 9 points à la mi-temps (32-23).\\n\\nMais, au retour des vestiaires, les joueuses d’Olivier Lafargue ont sonné la révolte. Le collectif de Bourges a infligé un 10-0 aux Landaises, pas aidées par leurs 17 balles perdues, et définitivement décrochées dans le 4e quart-temps lorsqu’Isabelle Yacoubou plante un 3 points sur la tête de Céline Dumerc à trois minutes du terme.\\n\\nBattues après prolongation en Euroleague début décembre, les Berruyères prennent donc leur revanche. Les deux équipes se retrouveront à la fin du mois en Coupe d’Europe. Pour sa 500e, Céline Dumerc (1,69m, 38 ans) est passée à côté de la fin de sa rencontre.\\n\\nCéline Dumerc (Basket Landes), au micro de La Chaîne L’Équipe : « On a eu une vraie panne offensive. Offensivement, on a été très en difficulté. On a pas réussi à s’exprimer, à trouver notre rythme. Laisser Bourges à 66 points, c’est pas cata, c’est pas défensivement que le match se perd mais on a manqué de solutions en attaque. Ce soir, on a essayé, ça ne marchait pas. La faute aussi à Bourges, qui a vraiment bien défendu. On a pas à rougir de cette défaite. C’est sûr qu’on aurait aimé remporter ce match, on l’avait dans les mains pendant 20 minutes, mais Bourges ne l’a pas volé, loin de là. Il faut qu’on se reconcentre pour le prochain match. »\\n\\n\\nC'est terminé ! C'est @BourgesBasket qui s'impose dans ce choc des invaincues en LFB ! Malmenées en première mi-temps, les Berruyères remportent la rencontre de cinq points à Mont-de-Marsan #lequipeBASKET pic.twitter.com/vTqHZUGT4Z\\n\\n— la chaine L'Équipe (@lachainelequipe) January 9, 2021\\n\\n\\n\\n💥 Céline Dumerc (@capsule19), meneuse et capitaine de @BasketLandes, devient la première joueuse à atteindre la barre des 500 matches en #LFB\\n\\n💯💯💯💯💯#LFBStats #LegendeLFB\\ncc @tgbbasket @BourgesBasket @FRABasketball pic.twitter.com/1B5sUGGnHI\\n\\n— LFB (@basketlfb) January 9, 2021\\n\\n\\nPhoto : FIBA" }, {"role": "user", "content":"Joffrey Lauvergne (Kaunas) nommé MVP de la semaine en Euroleague" }, {"role": "assistant", "content":"Joffrey Lauvergne (2,11m, 29 ans) a réalisé une performance XXL (29 points à 13/14 au shoot et 9 rebonds, 38 d’évaluation) pour terrasser le Khimki Moscou (102-75) en Euroleague. Il est logiquement désigné MVP de la semaine.\\n\\nCette 18e journée d’Euroleague signe sans conteste le match référence de Joffrey Lauvergne cette saison. Face à la lanterne rouge du championnat (2 victoires pour 16 défaites), l’Auvergnat a signé son record de points. Avec 92,8% au shoot, l’intérieur se classe même au deuxième rang en termes de précision à deux points dans un match d’Euroleague. Il tourne cette saison à 11,4 points à plus de 63% de réussite aux tirs, 5,6 rebonds, 1,2 passe décisive et 1,6 faute provoquée pour 12,7 d’évaluation en 20 minutes.\\n\\nLe Français devance à l’évaluation l’arrière de l’Anadolu Efes Istanbul, Vasilije Micic, qui a affiché 23 points, 9 passes et 5 interceptions (35 d’évaluation) lors de la victoire stambouliote à l’Astroballe contre l’Asvel. Suivent Johnny O’Bryant (Belgrade, 30 d’évaluation), Kostas Sloukas (Olympiakos, 29 d’évaluation), Devin Booker (Khimki, 28 d’évaluation) et Jayson Granger (Alba Berlin, 28 d’évaluation).\\n\\nPhoto : Euroleague" }, {"role": "user", "content":"Jean-Denys Choulet (Roanne) : « Il nous manque du talent et de l’adresse »" }, {"role": "assistant", "content":"La Chorale de Roanne retrouve la compétition ce samedi 9 janvier avec la réception du Mans en 8es de finale de la Coupe de France à 19 heures à la Halle Vacheresse. L’entraîneur de Roanne Jean-Denys Choulet revient sur le début de saison poussif de son équipe.\\n\\nAvant la réception du Mans Sarthe Basket en Coupe de France, l’entraîneur de la Chorale de Roanne Jean-Denys Choulet s’est exprimé au micro de Chorale TV sur le niveau actuel de son équipe, actuellement 14e de Jeep Elite (2 victoires, 4 défaites).\\n\\n« On fait des choses intéressantes. Mais, sans être méchant, il nous manque du talent et de l’adresse dans cette équipe. Sans talent et sans adresse en Jeep Elite, c’est compliqué. En Pro B, avec du cœur, on peut compenser beaucoup de choses. En Jeep Elite, si on est ouvert et que l’on ne sanctionne pas, c’est très compliqué. C’est ce que j’essaie de faire comprendre. Il faut impérativement qu’on sanctionne lorsque les systèmes de jeu arrivent à un joueur ouvert. On ne peut pas se permettre de rater des tirs ouverts en permanence. Ce n’est pas possible. »\\n\\nDepuis le 1er janvier, certains joueurs roannais sont d’ailleurs cantonnés à devoir effectuer 500 shoots par jour. Faire l’effort pour progresser. Le double champion de France est également revenu sur la récente arrivée de Jamel Artis.\\n\\n« C’est un couteau suisse qui peut jongler sur trois postes, en particulier au poste 3 et 4. C’est là où ça peut nous faire du bien. Ce match (contre le Mans) nous permet de tester Jamel. Le pauvre, on lui met 7 systèmes de jeu dans la tête à assimiler en peu de temps, sur deux positions. On a certains joueurs qui sont là depuis le début de saison et qui ne connaissent pas encore les systèmes sur une position. Il comprend assez vite. Je ne suis pas inquiet. »\\n\\nEnfin, Jean-Denys Choulet a aussi glissé son ressenti sur l’incertitude liée à la fin de la saison.\\n\\n« Tout est un objectif. Jouer le prochain match, c’est un objectif. Jouer la Coupe de France, c’est un objectif, on ne sait pas. On est dans une situation incroyable dans un milieu professionnel à ne pas savoir ce qu’on va faire après le 16 janvier. Comment peut-on travailler dans ces conditions ? Ce qui est important, c’est que la Chorale reste en Jeep Elite la saison prochaine. En cas de ranking, on n’est pas bien. Maintenant, j’espère qu’on finira cette saison. En tout cas, ce qui est sûr et certain, c’est que si on va jusqu’au mois de mars comme ça, des clubs vont mourir. 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De son côté Efes a débuté le match sur courant continu avec un duo Bryant Dunston (14 points, 5 rebonds offensifs) – Chris Singleton (16 points) performant.\\n\\nLe duo de guards Vasilije Micic – Shane Larkin (39 points à deux) a de son côté fait beaucoup de mal à l’ASVEL, tandis que Norris Cole tentait de maintenir le navire à flot (22 points (8/10 aux tirs et 2/2 aux lancers-francs, 1 passe et 3 ballons perdus en 22 minutes de jeu) mais malgré ses efforts l’ASVEL ne parvient pas à se rapprocher à moins de 15 points (47-62) et la formation turque a très bien su gérer les dernières minutes.\\n\\nMeilleure équipe de l’Euroligue la saison passée, l’Anadolu Efes n’est pas à sa vraie place en ce début d’année et elle l’a démontré à l’Astroballe en dominant largement une ASVEL trop passive. A quelques jours d’une double confrontation à Athènes et d’un huitième de finale de coupe de France dimanche, l’ASVEL doit se remettre la tête à l’endroit.\\n\\nTJ Parker (Coach ASVEL) : « On a pas du tout affiché l’énergie et l’intensité que l’on devait mettre. Eux l’ont mis. Ils ont fait exactement ce que nous aurions dû faire chez nous. Après on a beau tirer à 50% de réussite, quand on met une telle équipe en confiance, c’est très difficile avec en plus 19 pertes de balles. Les détails, ce sont des choses que l’on peut maitriser. L’intensité, on sait qu’on peut la mettre. À l’entraînement, ils la mettent tout le temps, les uns contre les autres. Maintenant il faut le faire contre les adversaires et dès l’entame... »\\n\\nWilliam Howard (ASVEL) : « Nous n’avons pas eu le niveau d’intensité requis pour ce genre de match. Et, en Euroleague, c’est rare de pouvoir se remettre d’un tel début de match vu la qualité de nos adversaires. »\\n\\nErgin Ataman (Coach Anadolu Efes) « Bien sûr, je suis satisfait car l’ASVEL, surtout à domicile, a gagné de nombreux grands matchs. Ils jouent très bien au basket à domicile, mais aujourd’hui nous avons fait un très bon travail en défense. Nous ne les avons pas laissés trouver leur pick-and-roll en attaque et les tirs qu’ils obtiennent habituellement après le pick-and-roll. Nous avons pris le contrôle du jeu avec Micic et parfois avec Larkin, et nous avons joué un très bon basket. C’était un match très important pour nous afin de bien commencer la deuxième partie de l’Euroleague, maintenant j’espère que nous pourrons continuer de la même manière. Gagner en déplacement n’est jamais facile car le seul match perdu par l’ASVEL sur ses quatre derniers à domicile l’a été contre le CSKA Moscou et ce dans les 3-4 dernières minutes, dans un match serré. En première mi-temps, nous avons eu une différence de 20 points, et nous avons contrôlé le jeu parce que nous avons eu de très bonnes contributions de nombreux joueurs, comme Anderson. Étant donné que Simon était blessé et n’a pas joué, Anderson a été très bon en attaque et en défense, au rebond. Cela peut sembler facile mais nous avons gagné parce que nous avons joué un très bon basket. »\\n\\nVasilije Micic (Anadolu Efes) : « Nous avons bien joué en attaque aujourd’hui, nous avons eu une soirée incroyable de la part de chaque joueur. Sur le plan défensif, nous avons joué dur. Nous avons mis en place une défense très solide dans la moitié du terrain, et je pense que nous avons montré que nous avons le potentiel dont tout le monde parle. »\\n\\nPhoto: Norris Cole (Euroleague)" }, {"role": "user", "content":"Basket Landes vs Bourges – Le 500e match de Céline Dumerc : «Franchement, ces 499 matches, je ne les ai pas vu passer»" }, {"role": "assistant", "content":"Il y aura deux évènements cet après-midi à la salle François-Mitterrand de Mont-de-Marsan. Pour la première fois un match de la Ligue Féminine sera retransmis en clair, sur La Chaîne L’Equipe. Deuxièmement, l’icône Céline Dumerc va disputer son 500e match dans la Ligue avec Basket Landes (1,69m, 38 ans) et contre son ancien club, Bourges. Sud Ouest est allé à sa rencontre :\\n\\n« Je ne réalise pas vraiment, ça reste un chiffre, un chiffre assez flou. J’étais loin d’imaginer arriver jusque là quand j’ai commencé. Je m’entends encore dire « jouer dix ans dans la même ligue, face aux mêmes équipes, dans les mêmes salles, ça risque d’être ennuyeux. » Mais, non, vingt ans plus tard, je suis toujours excitée de partir en déplacement. Franchement, ces 499 matches, je ne les ai pas vu passer. »\\n\\nQuel est le secret de ce record national ?\\n\\n« D’abord, j’ai très peu été blessée dans ma carrière. Une fois à Tarbes à mes débuts, à mon retour à Bourges où je rate les phases finales, à chaque fois à cause d’une cheville, mais rien de plus grave. Au total, j’ai peut-être du manquer une vingtaine de matches ! Ca explique ma longévité mais aussi la progression de ma carrière. J’ai toujours pu être sur le terrain pour m’entraîner, m’améliorer, être meilleure que la veille. Dès que tu te blesses, tu fais trois pas en arrière, tu perds automatiquement du temps dans l’apprentissage. Ensuite, en jouant onze saisons à Bourges, tu es assurée de jouer les phases finales, ça fait 6-8 matches de plus par an, donc ça aide pour faire péter ce type de record (rires). »\\n\\nPhoto: FIBA" }, {"role": "user", "content":"Jeep Elite/Pro B : Pas de montées ni de descentes si la saison compte moins de 17 matchs !" }, {"role": "assistant", "content":"Après l’annonce du maintien des matchs à huis clos jusqu’à fin janvier, la Ligue Nationale de Basket (LNB) reste dans l’incertitude d’une reprise de ses championnats -son Comité Directeur doit décider lundi de la stratégie à avoir-, alors que le calendrier a déjà été morcelé. L’option de terminer la saison sans playoffs commence à être sérieusement envisagée. C’est à ce moment-là que le ranking imaginé en fin de saison dernière entrerait en jeu. Et, si la saison s’achève avant la fin des matchs aller (soit 17 matchs, en Jeep Elite comme en Pro B), il n’y aura ni montées, ni descentes.\\n\\nAu 31 décembre, la Jeep Élite compte 80 matchs et 18 journées complètes de retard sur le calendrier établi. La Pro B, 82 matchs de retard. Si l’exercice 2020-2021 ne va pas à son terme, la LNB doit alors statuer sur un modèle permettant de garantir l’équité sportive et économique de ses clubs. Elle a d’ores et déjà défini les règles au travers de sa « commission ranking ».\\n\\nLa LNB a retenu plusieurs principes. Tout d’abord, le classement établi sera composé à 90% par des critères sportifs et à 10% par le label décerné par la Ligue. Les résultats sportifs seront calculés en fonction des résultats des quatre dernières années (points attribués de manière dégressive en championnat, playoffs, Leaders Cup et Coupe de France), y compris l’année en cours. Les résultats européens ont été écartés. Concernant le label, il s’agit d’un dispositif ayant pour but d’analyser et de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs. Il est défini chaque année par la LNB. Cette saison, 21 clubs ont par exemple été labellisés. Plus le label est élevé (Or, Argent, Bronze, Promotion), plus le club marquera de points.\\n\\nToutefois, le recours à ce classement exceptionnel pour compléter l’application des règlements ne peut avoir lieu que si au moins 50 % des journées de saison régulière ont eu lieu (17 sur 34) et si aucune solution n’a été trouvée pour terminer la saison, déterminer les qualifications de montée/descente ou repêcher un club. Ce qui signifie que si la saison en cours n’atteint pas 17 journées complètes, le ranking sera celui des dernières quatre saisons achevées (2019-2020, 2018-2019, 2017-2018 et 2016-2017), qui figure ci-dessous. Et, surtout, il n’y aura ni montées ni descentes.\\n\\nPhoto: LNB" }, {"role": "user", "content":"Un match est-il à huis clos quand il y a 183 spectateurs ?" }, {"role": "assistant", "content":"Une polémique est née en Serbie car il semblait d’après les images -ce n’est pas visible sur celle qui sert d’illustration à cet article- qu’un nombre relativement important de personnes/spectateurs a assisté au match d’Euroleague entre l’Etoile Rouge de Belgrade et Fenerbahçe qui s’est déroulé en théorie à huis clos.\\n\\nLe club serbe a annoncé qu’il n’y avait que 183 personnes dans les gradins avec les précisions suivantes dans un communiqué :\\n\\n« Ce nombre de «spectateurs» comprend les membres de la direction de l’Etoile Rouge BC: Assemblée, présidence, conseil d’administration, membres des commissions et membres du pool de parrainage du club. L’Etoile Rouge rappelle que la capacité de la salle « Aleksandar Nikolić » est de 8 000 places et qu’ainsi le taux de remplissage était de 2,29%. »\\n\\nLe club de la capitale serbe a ajouté que toutes les mesures de protection contre le Covid-19 ont été prises.\\n\\n« Tous ceux qui sont entrés dans la salle selon la liste, avaient leur température mesurée et leurs mains et leurs pieds désinfectés. Tous ceux qui étaient présents possédaient des masques ou ils leur ont été attribués à l’entrée de la salle. »\\n\\nL’Etoile Rouge conclut qu’il n’y a pas ainsi de motif de polémique. Chacun aura son avis sur le fait de savoir si l’on peut considérer comme étant à huis clos un match où l’on autorise la présence de 183 personnes dont des sponsors.\\n\\nPhoto: Nando De Colo (Euroleague)" }]