diff --git "a/lower_court_test_set_fr.jsonl" "b/lower_court_test_set_fr.jsonl" new file mode 100644--- /dev/null +++ "b/lower_court_test_set_fr.jsonl" @@ -0,0 +1,414 @@ +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. 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Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. 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Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. 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Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge.\nB. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci.\nC. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour de justice genevoise a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. 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Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e.\nB. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._.\nC. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._.\nD. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e.\nE. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. 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En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps.\nB. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016.\nC. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour de justice genevoise .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois .\nB. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re.\nC. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice genevoise a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017).\nB. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants.\nC. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. 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Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents.\nB. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision.\nC. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour de justice genevoise (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nA.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition.\nB. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens.\nC. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du du Tribunal cantonal du canton de Vaud et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. 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Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. 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A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. 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A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Cour de justice genevoise et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour de justice genevoise a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. 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Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. 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A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision.\nC. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. 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A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse.\nB. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. 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La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Tribunal f\u00e9d\u00e9ral , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour de justice genevoise , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9.\nA.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018).\nB. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois , Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. 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Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour de justice genevoise (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. 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Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge.\nB. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance.\nC. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations.\nD. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. 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Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs.\nB. Par jugement du 26 avril 2018, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h.\nC. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. 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Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. 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Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche.\nB. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure.\nC. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._.\nD. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. 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Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. 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Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. 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Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. 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Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. 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Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. 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Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._.\nB. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._.\nC. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014.\nB. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017.\nC. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal.\nD. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. 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Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice genevoise a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A.\nA.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011.\nA.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012.\nA.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012.\nB. Statuant le 23 octobre 2018, le Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. 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Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. 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Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017.\nB. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC.\nC. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours.\nB. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance.\nC. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. 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L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. 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Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. 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L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines.\nB. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte.\nC. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance.\nD. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision.\nE. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour de justice genevoise . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018).\nB. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois . Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019.\nC. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond.\nD. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs.\nB. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS.\nC. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012.\nB. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse.\nC. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. 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Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour de justice genevoise a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. 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Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. 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Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._.\nB. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat.\nC. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. 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Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. 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Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. 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Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. 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En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. 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Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. 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Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour de justice genevoise du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Lower court", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %.\nB. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu.\nC. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 36238, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par jugement du 27 f\u00e9vrier 2015, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu A.X._ coupable de violation d'une obligation d'entretien et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 100 jours-amende \u00e0 1'000 francs le jour, peine compl\u00e9mentaire \u00e0 celle prononc\u00e9e par la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de Gen\u00e8ve le 22 mars 2013. Il l'a \u00e9galement condamn\u00e9 \u00e0 payer \u00e0 la plaignante, B.X._, un montant de 5'346 francs \u00e0 titre de juste indemnit\u00e9 pour les frais de d\u00e9fense obligatoires occasionn\u00e9s par la proc\u00e9dure. Il a mis les frais de proc\u00e9dure \u00e0 sa charge. B. Par jugement du 22 mars 2016, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 l'appel de A.X._ et l'a condamn\u00e9 \u00e0 verser \u00e0 B.X._ une somme de 2'187 francs pour ses frais de d\u00e9fense en proc\u00e9dure d'appel et \u00e0 payer les frais de la proc\u00e9dure d'appel. La cour cantonale a retenu les faits suivants. Durant la p\u00e9riode du 1er octobre 2011 au 1er janvier 2014, A.X._ n'a pas pay\u00e9 \u00e0 son ex-\u00e9pouse la contribution d'entretien qui lui \u00e9tait due \u00e0 raison de 7'500 francs mensuellement selon d\u00e9cision judiciaire. Concernant les moyens financiers \u00e0 disposition de A.X._, la cour cantonale a retenu que celui-ci avait un train de vie ais\u00e9 et qu'il n'avait produit aucune pi\u00e8ce permettant d'\u00e9tayer l'\u00e9tendue de ses ressources. De plus, m\u00eame en admettant qu'il n'avait pas les moyens de s'acquitter de la contribution d'entretien, elle a consid\u00e9r\u00e9 qu'il n'avait pas fait tous les efforts qui pouvaient \u00eatre attendus de lui afin de disposer des moyens pour s'acquitter de celle-ci. C. A.X._ interjette un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 mars 2016. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation du jugement. Principalement, il demande son acquittement et, subsidiairement, le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Il requiert l'effet suspensif pour son recours. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 36313, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Dans le cadre d'une affaire p\u00e9nale, l'avocat Y._ a requis la r\u00e9cusation du procureur A._ au motif que ce dernier \u00e9prouverait une certaine inimiti\u00e9 \u00e0 l'\u00e9gard de son \u00e9tude du fait que son associ\u00e9e, l'avocate X._, d\u00e9fendait B._, \u00e9pouse du procureur, dans un dossier qui les opposait tous les deux. Le 26 novembre 2015, B._ a \u00e9crit \u00e0 son avocate, l'accusant de \u00ab violation de la sph\u00e8re priv\u00e9e et du secret professionnel, aggrav\u00e9e par l'absence de mandat \u00bb. Elle reprochait \u00e0 X._ d'avoir autoris\u00e9 l'acc\u00e8s \u00e0 son dossier \u00e0 un associ\u00e9 de son \u00e9tude, celui-ci ayant ensuite utilis\u00e9 ces informations dans le cadre de l'affaire p\u00e9nale pr\u00e9cit\u00e9e. B. Le 4 d\u00e9cembre 2015, l'avocate X._ a d\u00e9nonc\u00e9 le procureur A._ pour violation du secret de fonction. Par acte du 15 d\u00e9cembre 2015, l'avocat Y._ s'est joint \u00e0 cette d\u00e9nonciation et a \u00e9galement d\u00e9pos\u00e9 une plainte p\u00e9nale pour le m\u00eame motif. Ils lui reprochaient en substance d'avoir inform\u00e9 B._ de l'existence de la requ\u00eate de r\u00e9cusation d\u00e9pos\u00e9e par Y._. C. Par ordonnance du 18 d\u00e9cembre 2015, le Procureur du Minist\u00e8re public central, division affaires sp\u00e9ciales, contr\u00f4le et mineurs, du canton de Vaud n'est pas entr\u00e9 en mati\u00e8re sur la d\u00e9nonciation de X._ et la d\u00e9nonciation/plainte de Y._ contre le procureur A._. D. Par arr\u00eat du 16 f\u00e9vrier 2016, la Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par X._ et Y._ contre l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re pr\u00e9cit\u00e9e. E. Contre ce dernier arr\u00eat, X._ et Y._ d\u00e9posent un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale devant le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Ils concluent, principalement, \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'ordonnance de non-entr\u00e9e en mati\u00e8re du 18 d\u00e9cembre 2015 est annul\u00e9e et le dossier renvoy\u00e9 au Minist\u00e8re public central pour instruction compl\u00e9mentaire au sens de l'art. 309 CPP; \u00e0 titre subsidiaire, ils requi\u00e8rent l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et le renvoi de la cause \u00e0 la cour cantonale pour nouveau jugement. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale et le Minist\u00e8re public central y ont renonc\u00e9. ", "lower_court": "Chambre des recours p\u00e9nale du Tribunal cantonal vaudois"} +{"id": 37420, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A.A._ est mari\u00e9 et p\u00e8re de trois enfants, dont l'a\u00een\u00e9, B.A._, n\u00e9 en 1991. Il a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 de directeur de la B._, \u00e0 U._, \u00e0 partir du 1 er janvier 2012 et a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9, \u00e0 ce titre, d'allocations familiales pour ses trois enfants, augment\u00e9es d'un suppl\u00e9ment de 100 fr. pour famille nombreuse. En vue d'obtenir un baccalaur\u00e9at universitaire en droit, son fils a\u00een\u00e9 a poursuivi des \u00e9tudes \u00e0 l'Universit\u00e9 de V._ ainsi qu'\u00e0 l'Universit\u00e9 de U._, o\u00f9 il \u00e9tait immatricul\u00e9 jusqu'au 15 septembre 2013. \u00c0 partir du 16 septembre 2013, il a entrepris une ma\u00eetrise bilingue en droit aupr\u00e8s des universit\u00e9s de U._ et W._. Par d\u00e9cision du 29 janvier 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 14 janvier 2016, le Service cantonal d'allocations familiales genevois (SCAF) a demand\u00e9 \u00e0 A.A._ la restitution de 5'400 fr., correspondant, d'une part, aux allocations de formation professionnelle vers\u00e9es en faveur de son fils B.A._ de septembre 2013 \u00e0 ao\u00fbt 2014 et, d'autre part, \u00e0 l'allocation pour famille nombreuse vers\u00e9e les mois de septembre 2013 \u00e0 f\u00e9vrier 2014. Le SCAF fondait sa demande de restitution sur le fait que B.A._ avait effectu\u00e9 son service civil du 19 ao\u00fbt 2013 au 7 septembre 2014, de sorte que la formation de celui-ci avait \u00e9t\u00e9 interrompue pendant ce temps. B. Par jugement du 7 novembre 2016, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 le recours contre la d\u00e9cision sur opposition du 14 janvier 2016. C. A.A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation, sous suite de frais et d\u00e9pens, en concluant \u00e0 ce que le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral constate qu'il n'est pas tenu de rembourser la somme de 5'400 fr. pour la p\u00e9riode litigieuse. Subsidiairement, il demande le renvoi de la cause \u00e0 la juridiction cantonale pour nouveau jugement dans le sens des consid\u00e9rants. L'intim\u00e9 conclut implicitement au rejet du recours. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) ne se sont pas d\u00e9termin\u00e9s. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38536, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9 en 2009, est le fils des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Le 10 janvier 2010, la Justice de paix du district de Lavaux-Oron a attribu\u00e9 aux parents l'autorit\u00e9 parentale conjointe sur l'enfant et ratifi\u00e9 une convention pr\u00e9voyant qu'en cas de dissolution du m\u00e9nage commun, l'attribution de sa garde serait laiss\u00e9e \u00e0 leur appr\u00e9ciation, une contribution \u00e9tant alors vers\u00e9e pour son entretien et un droit de visite \u00e9tant accord\u00e9 au parent non gardien. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en juin 2012. L'enfant est rest\u00e9 vivre aupr\u00e8s de sa m\u00e8re. En raison du conflit parental, les relations personnelles entre l'enfant et ses parents ont fait l'objet de plusieurs ordonnances de mesures superprovisionnelles et provisionnelles. Par ordonnance de mesures provisionnelles du 1er septembre 2014, la Juge de paix a interdit \u00e0 la m\u00e8re de transf\u00e9rer le domicile de l'enfant au Danemark, lui a provisoirement retir\u00e9 le droit de d\u00e9terminer le lieu de r\u00e9sidence de l'enfant, a confi\u00e9 provisoirement l'enfant \u00e0 son p\u00e8re, a ordonn\u00e9 \u00e0 la m\u00e8re de ramener l'enfant au plus vite \u00e0 son p\u00e8re avec les papiers officiels utiles \u00e0 sa prise en charge, et a invit\u00e9 les parents \u00e0 organiser l'exercice du droit de visite de la m\u00e8re, conform\u00e9ment \u00e0 la convention qu'ils avaient sign\u00e9e lors de la vie commune. Cette d\u00e9cision a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par arr\u00eat du 5 novembre 2014 de la Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud. B. Par d\u00e9cision du 10 septembre 2015, la Justice de paix a notamment maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe de A._ et B._ sur C._, le droit de garde restant attribu\u00e9 au p\u00e8re et un droit de visite \u00e9tant fix\u00e9 en faveur de la m\u00e8re. Le 9 mars 2016, la Chambre des curatelles a partiellement admis le recours interjet\u00e9 par le p\u00e8re contre cette d\u00e9cision, celle-ci \u00e9tant r\u00e9form\u00e9e en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ est attribu\u00e9e exclusivement au p\u00e8re. C. Agissant le 10 juin 2016 par la voie du recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, A._ conclut \u00e0 la r\u00e9forme de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale sur C._ demeure conjointe. La cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. L'intim\u00e9 et le SPJ ont conclu au rejet du recours, l'intim\u00e9 sollicitant en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. ", "lower_court": "Chambre des curatelles du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 38605, "year": 2017, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par d\u00e9cision du 2 d\u00e9cembre 2016, la Caisse nationale suisse d'assurance en cas d'accidents (ci-apr\u00e8s: la CNA) a supprim\u00e9, avec effet au 1er janvier 2017, les prestations qu'elle allouait \u00e0 A._ pour les suites d'un accident survenu le 17 juillet 2015. L'envoi postal recommand\u00e9 de la d\u00e9cision n'ayant pas \u00e9t\u00e9 retir\u00e9 \u00e0 l'issue du d\u00e9lai de garde, la CNA a envoy\u00e9, le 6 janvier 2017, une deuxi\u00e8me notification sous pli simple en informant l'assur\u00e9 que cet envoi ne modifiait pas le d\u00e9lai de recours l\u00e9gal et qu'une \u00e9ventuelle opposition devait donc \u00eatre form\u00e9e dans les 30 jours \u00e0 compter de la date de notification du premier envoi. Le 6 f\u00e9vrier 2017, le pr\u00e9nomm\u00e9 s'est oppos\u00e9 oralement \u00e0 la d\u00e9cision. Il a fait valoir que depuis l'accident il n'arrivait plus \u00e0 g\u00e9rer son quotidien et qu'il avait par ailleurs perdu son trousseau de cl\u00e9s, de sorte qu'il n'avait que r\u00e9cemment eu acc\u00e8s \u00e0 sa bo\u00eete aux lettres et pris connaissance de la d\u00e9cision litigieuse. Par d\u00e9cision sur opposition du 10 f\u00e9vrier 2017, l'assureur-accidents a d\u00e9clar\u00e9 l'opposition irrecevable pour cause de tardivet\u00e9. Le lendemain, la doctoresse B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne et m\u00e9decin traitant, a fait parvenir \u00e0 la CNA un avis m\u00e9dical, dat\u00e9 du 10 f\u00e9vrier 2017, dont il ressort que l'assur\u00e9 avait du mal \u00e0 g\u00e9rer seul ses affaires. Il souffrait de multiples troubles depuis son accident et les personnes qui l'assistaient habituellement n'avaient pas pu lui pr\u00eater leur concours pour contester la d\u00e9cision de la CNA d\u00e8s lors qu'elles \u00e9taient absentes durant le d\u00e9lai d'opposition (courriel du 11 f\u00e9vrier 2017). B. Saisie d'un recours de l'assur\u00e9, la Chambre des assurances sociales de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a annul\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 la CNA dans le sens des consid\u00e9rants. C. La CNA interjette un recours en mati\u00e8re de droit public. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et \u00e0 la confirmation de sa d\u00e9cision sur opposition. L'intim\u00e9, la juridiction cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique (OFSP) ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 38865, "year": 2017, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. C._, n\u00e9e en 2010, est la fille des parents non mari\u00e9s A._ et B._. Les parents se sont s\u00e9par\u00e9s en 2012. C._ vit avec sa m\u00e8re, le p\u00e8re b\u00e9n\u00e9ficiant d'un droit de visite assez large. Le 21 mai 2014, une curatelle de surveillance des relations personnelles a \u00e9t\u00e9 institu\u00e9e et D._ a \u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9 en qualit\u00e9 de curateur. Suite \u00e0 une requ\u00eate du p\u00e8re et avec le consentement de la m\u00e8re, l'autorit\u00e9 de protection de l'enfant et de l'adulte des Montagnes et du Val-de-Ruz (APEA) a attribu\u00e9 l'autorit\u00e9 parentale conjointe aux deux parents. B. Le 18 septembre 2015, la m\u00e8re a notamment requis la suppression de l'autorit\u00e9 parentale du p\u00e8re. Le 8 d\u00e9cembre 2015 le p\u00e8re a demand\u00e9 que l'APEA prononce la garde partag\u00e9e. Par d\u00e9cision du 5 septembre 2016, l'APEA a rejet\u00e9 la requ\u00eate en suppression de l'autorit\u00e9 parentale; maintenu l'autorit\u00e9 parentale conjointe; rejet\u00e9 la requ\u00eate en limitation du droit de visite; institu\u00e9 une garde altern\u00e9e sur C._, qui s'exercera du lundi au lundi, une semaine sur deux, selon un calendrier \u00e9tabli par le curateur; ordonn\u00e9 la reprise de la m\u00e9diation; maintenu la curatelle, mais renonc\u00e9 \u00e0 son extension; enfin, confirm\u00e9 D._ en qualit\u00e9 de curateur. Statuant le 21 d\u00e9cembre 2016, la Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 les recours respectifs des parents contre cette d\u00e9cision. C. Agissant par la voie du recours en mati\u00e8re civile le 17 janvier 2017, A._ a conclu \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat attaqu\u00e9 et \u00e0 sa r\u00e9forme, en ce sens que l'autorit\u00e9 parentale exclusive et la garde exclusive sur C._ lui sont attribu\u00e9es, que le droit de visite du p\u00e8re est modifi\u00e9, celui-ci pouvant voir sa fille durant un soir de la semaine, \u00e0 l'exception du mercredi soir, un week-end sur deux, du vendredi soir \u00e0 18h00 au dimanche soir \u00e0 18h00, ainsi que la moiti\u00e9 des vacances scolaires, selon un planning d\u00e9fini par le curateur, enfin, qu'aucune m\u00e9diation n'est ordonn\u00e9e. Il n'a pas \u00e9t\u00e9 requis d'observations sur le fond du recours. D. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 6 f\u00e9vrier 2017, le recours a \u00e9t\u00e9 assorti de l'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour des mesures de protection de l'enfant et de l'adulte du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 39282, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VS", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A.a. Le 14 septembre 2016, B._ Ltd. ( poursuivante) a fait notifier \u00e0 A._ S\u00e0rl ( poursuivie) un commandement de payer les sommes de 129'326 fr. 16 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 et de 10'887 fr. 06 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 8 ao\u00fbt 2016; elle a invoqu\u00e9 une sentence arbitrale du 14 juillet 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition. A.b. Le 31 octobre 2016, la poursuivante a fait notifier \u00e0 la poursuivie un commandement de payer les sommes de 8'799 fr. 65 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 14 juillet 2016 et de 2'217 fr. 40 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% d\u00e8s le 29 septembre 2016; elle a invoqu\u00e9 une autre sentence arbitrale rendue le 29 septembre 2016 ( poursuite n\u00b0 xxxxxx de l'Office des poursuites du district de Sierre). Cet acte a aussi \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9 d'opposition. B. Le 13 d\u00e9cembre 2016, la poursuivante a requis l' exequatur des deux sentences arbitrales (ch. II-III) et la mainlev\u00e9e d\u00e9finitive des oppositions faites par la poursuivie aux commandements de payer (ch. IV-V). Par jugement du 6 avril 2017, la Juge suppl\u00e9ante I du district de Sierre a d\u00e9clar\u00e9 ex\u00e9cutoires les sentences arbitrales rendues les 14 juillet et 29 septembre 2016 (ch. 1-2), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 129'247 fr. 05 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 15 f\u00e9vrier 2016 (ch. 3), lev\u00e9 d\u00e9finitivement l'opposition au commandement de payer n\u00b0 xxxxxx \u00e0 concurrence de 8'773 fr. 75 avec int\u00e9r\u00eats \u00e0 5% l'an d\u00e8s le 14 juillet 2016 (ch. 4), mis les frais et d\u00e9pens \u00e0 la charge de la poursuivie (ch. 5). Statuant le 5 octobre 2017, la Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais (Juge unique) a rejet\u00e9 le recours de la poursuivie, avec suite de frais et d\u00e9pens. C. Par m\u00e9moire mis \u00e0 la poste le 27 octobre 2017, la poursuivie interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant au maintien des oppositions aux commandements de payer. Des observations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Chambre civile du Tribunal cantonal du canton du Valais"} +{"id": 40541, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1994, ressortissant fran\u00e7ais et allemand, est atteint d'une maladie cong\u00e9nitale (b\u00eata-thalass\u00e9mie majeure). Il est domicili\u00e9 chez ses parents en France. Le p\u00e8re de l'enfant, B._, de nationalit\u00e9 fran\u00e7aise, travaille au service de C._; il est affect\u00e9 \u00e0 U._ depuis 2008. A ce titre, il est assujetti de mani\u00e8re obligatoire aupr\u00e8s de l'assurance-vieillesse et survivants (AVS) et de l'assurance-invalidit\u00e9 (AI). Apr\u00e8s s'\u00eatre vu refuser une premi\u00e8re demande de prestations, A._ a, par l'interm\u00e9diaire de ses parents, requis de l'assurance-invalidit\u00e9 la prise en charge d'une formation professionnelle initiale dans le domaine de la restauration et de l'h\u00f4tellerie en Suisse. Par d\u00e9cision du 2 juillet 2013, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a rejet\u00e9 cette nouvelle demande au motif que l'enfant n'\u00e9tait pas assujetti \u00e0 l'AVS/AI suisse. B. Statuant par un juge unique le 6 octobre 2014, le Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'enfant contre cette d\u00e9cision. Le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a, par arr\u00eat 9C_807/2014 du 9 septembre 2015, partiellement admis le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._, annul\u00e9 le jugement du Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral et renvoy\u00e9 la cause \u00e0 celui-ci pour qu'il statue dans une composition conforme \u00e0 la loi. Par jugement du 24 octobre 2016, le Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a admis le recours form\u00e9 par A._ en ce sens que la d\u00e9cision du 2 juillet 2013 a \u00e9t\u00e9 annul\u00e9e et la cause renvoy\u00e9e \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire au sens des consid\u00e9rants et nouvelle d\u00e9cision. C. L'office AI forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 la confirmation de la d\u00e9cision du 2 juillet 2013. A._ conclut au rejet du recours, en se r\u00e9f\u00e9rant int\u00e9gralement au jugement entrepris. L'Office f\u00e9d\u00e9ral des assurances sociales (OFAS) propose l'admission du recours. L'intim\u00e9 a r\u00e9it\u00e9r\u00e9 ses conclusions apr\u00e8s avoir pris connaissance des observations de l'OFAS, puis d\u00e9pos\u00e9 un certificat m\u00e9dical (courrier du 12 octobre 2017). ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 41718, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A.a. A._, n\u00e9e en 1969, a travaill\u00e9 aupr\u00e8s de diff\u00e9rents employeurs, en qualit\u00e9 de femme de chambre, d'employ\u00e9e d'entretien et de manutentionnaire. All\u00e9guant souffrir de d\u00e9pression et de fatigue, ainsi que de douleurs au dos et au ventre, elle a d\u00e9pos\u00e9 une premi\u00e8re demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 au mois de juin 2005. La requ\u00eate a \u00e9t\u00e9 rejet\u00e9e par l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 du canton de Gen\u00e8ve (ci-apr\u00e8s: l'office AI; d\u00e9cision du 6 d\u00e9cembre 2006). En bref, l'administration a consid\u00e9r\u00e9, en se fondant essentiellement sur les conclusions d'une expertise pluridisciplinaire du Centre d'expertise m\u00e9dicale de Nyon (CEMed; rapport des doctoresses B._, sp\u00e9cialiste en m\u00e9decine interne g\u00e9n\u00e9rale et en rhumatologie, et C._, sp\u00e9cialiste en psychiatrie et psychoth\u00e9rapie, du 25 septembre 2006), que l'assur\u00e9e pr\u00e9sentait une pleine capacit\u00e9 de travail dans toute activit\u00e9. A.b. Le 8 novembre 2017, A._ a pr\u00e9sent\u00e9 une nouvelle demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9. Elle y indiquait avoir travaill\u00e9 depuis le mois de novembre 2012 comme vendeuse en boulangerie et \u00eatre en incapacit\u00e9 totale de travail depuis le 22 mai 2017, en raison notamment de diverticulites et de varices ovariennes bilat\u00e9rales, qui s'ajoutaient aux probl\u00e8mes de dos et au trouble anxio-d\u00e9pressif dont elle souffrait. L'office AI a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette demande, consid\u00e9rant que l'assur\u00e9e n'avait pas rendu plausible une aggravation de son \u00e9tat de sant\u00e9 (d\u00e9cision du 9 mars 2018). B. Statuant le 22 ao\u00fbt 2018 sur le recours form\u00e9 par A._, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve, Chambre des assurances sociales, l'a rejet\u00e9. C. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont elle demande l'annulation. Elle conclut \u00e0 ce qu'il soit dit et jug\u00e9 que la juridiction cantonale a viol\u00e9 son droit d'\u00eatre entendue, ainsi qu'au renvoi de la cause \u00e0 cette derni\u00e8re pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. ", "lower_court": "la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 41783, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "JU", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1980, et B._, n\u00e9e en 1981, se sont mari\u00e9s en juin 2004. Deux enfants sont issus de cette union: C._, n\u00e9e en 2006, et D._, n\u00e9e en 2009. Les conjoints se sont s\u00e9par\u00e9s le 2 janvier 2016. Par d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale du 28 avril 2017, la Juge civile du Tribunal de premi\u00e8re instance du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Juge civile) a notamment autoris\u00e9 les conjoints \u00e0 vivre s\u00e9par\u00e9s pour une dur\u00e9e ind\u00e9termin\u00e9e d\u00e8s le 2 janvier 2016, attribu\u00e9 la garde des enfants conjointement aux parties et condamn\u00e9 le mari \u00e0 verser des contributions d'entretien de 720 fr., respectivement 570 fr. par mois en faveur de ses filles. Une pension mensuelle en faveur de l'\u00e9pouse d'un montant de 1'630 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, de 1'770 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et de 1'565 fr. depuis ao\u00fbt 2017 a en outre \u00e9t\u00e9 mise \u00e0 sa charge. B. Le 1er juin 2017, le mari a appel\u00e9 de ce jugement en ce qui concerne la contribution \u00e0 l'entretien de l'\u00e9pouse. Par arr\u00eat du 29 janvier 2018, la Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura (ci-apr\u00e8s: Cour civile) a rejet\u00e9 l'appel et confirm\u00e9 la d\u00e9cision de premi\u00e8re instance. C. Par acte post\u00e9 le 5 mars 2018, le mari exerce un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 29 janvier 2018. Il conclut \u00e0 ce qu'il soit condamn\u00e9 \u00e0 verser mensuellement \u00e0 l'\u00e9pouse, \u00e0 titre de contribution d'entretien, 780 fr. de janvier \u00e0 d\u00e9cembre 2016, 815 fr. de janvier \u00e0 juillet 2017 et 1'055 fr. depuis ao\u00fbt 2017, sous d\u00e9duction des montants d\u00e9j\u00e0 vers\u00e9s. Subsidiairement, il demande le renvoi du dossier \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Le recourant sollicite en outre le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. L'intim\u00e9e propose le rejet du recours. L'autorit\u00e9 cantonale a renonc\u00e9 \u00e0 pr\u00e9senter des observations. D. Par ordonnance pr\u00e9sidentielle du 23 mars 2018, l'effet suspensif a \u00e9t\u00e9 admis pour les arri\u00e9r\u00e9s de contributions d'entretien dues jusqu'\u00e0 la fin du mois de f\u00e9vrier 2018 et rejet\u00e9e pour le surplus. ", "lower_court": "Cour civile du Tribunal cantonal du canton du Jura"} +{"id": 41849, "year": 2018, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2017, le Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers a reconnu X._ coupable de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et l'a condamn\u00e9 \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 d'un an avec sursis pendant deux ans, \u00e0 une amende de 2'000 francs \u00e0 titre de peine additionnelle, la peine privative de libert\u00e9 de substitution \u00e9tant de 20 jours en cas de non-paiement fautif, ainsi qu'aux frais de la cause arr\u00eat\u00e9s \u00e0 2'400 francs. B. Par jugement du 26 avril 2018, la Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 l'appel de X._. Elle a retenu les faits suivants. Le samedi 27 juin 2015 \u00e0 23h37, la voiture A._ immatricul\u00e9e xxx, conduite par X._, a \u00e9t\u00e9 mesur\u00e9e \u00e0 une vitesse de 140 km/h (apr\u00e8s d\u00e9duction de la marge de s\u00e9curit\u00e9 de 6 km/h) par un radar immobile surveill\u00e9 par la police neuch\u00e2teloise au lieudit \" Rosi\u00e8res \" \u00e0 Noraigue, sur la H10 en direction de Fleurier. La vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e0 cet endroit, situ\u00e9 hors localit\u00e9, est fix\u00e9e \u00e0 80 km/h. C. X._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral. Il conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 la r\u00e9forme du jugement attaqu\u00e9 en ce sens qu'il est acquitt\u00e9 de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR, reconnu coupable de violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR et condamn\u00e9 \u00e0 une peine-p\u00e9cuniaire assortie du sursis. Subsidiairement, il conclut \u00e0 l'annulation du jugement attaqu\u00e9 et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour qu'elle prononce son acquittement de l'infraction de violation des r\u00e8gles fondamentales de la circulation routi\u00e8re au sens de l'art. 90 al. 3 et 4 let. c LCR et sa condamnation pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re en application de l'art. 90 al. 2 LCR ainsi que pour nouvelle d\u00e9cision sur la peine et les frais et d\u00e9pens de la proc\u00e9dure cantonale. ", "lower_court": "Cour p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 42093, "year": 2018, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Le 18 novembre 2015, vers 12 h 25, A._ circulait en v\u00e9lo sur la piste cyclable, se trouvant sur la route du Camp, depuis Saconnez-d'Arve. Arriv\u00e9 \u00e0 l'intersection avec le chemin de la Milice, il a d\u00fb faire un \u00e9cart sur sa gauche pour \u00e9viter une collision avec le v\u00e9hicule automobile conduit par X._ qui venait en sens inverse et bifurquait elle-m\u00eame sur sa gauche pour prendre le chemin de la Milice. Ce faisant, A._ s'est retrouv\u00e9 face \u00e0 B._, motocycliste, qui circulait derri\u00e8re la voiture de X._ et avait \u00e9galement entrepris de bifurquer \u00e0 gauche. B._ est tomb\u00e9 au sol en tentant d'\u00e9viter A._. Celui-ci n'a pu \u00e9viter le choc avec le motocycliste, ce qui a caus\u00e9 sa chute et entra\u00een\u00e9 chez lui de multiples l\u00e9sions, en particulier \u00e0 l'\u00e9paule droite et \u00e0 la main gauche. B. Par jugement du 13 f\u00e9vrier 2018, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a reconnu X._ coupable de l\u00e9sions corporelles par n\u00e9gligence \u00e0 l'encontre de A._. Il l'a condamn\u00e9e \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 50 jours-amende, \u00e0 30 fr. le jour, avec sursis pendant trois ans, ainsi qu'\u00e0 verser \u00e0 A._ une indemnit\u00e9 pour ses honoraires d'avocat et \u00e0 assumer les frais de la proc\u00e9dure. C. Par arr\u00eat du 23 ao\u00fbt 2018, la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a rejet\u00e9 avec suite de frais et d\u00e9pens l'appel form\u00e9 contre ce jugement par X._. D. Cette derni\u00e8re forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale aupr\u00e8s du Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat. Elle conclut, avec suite de frais et d\u00e9pens, \u00e0 l'annulation de cette d\u00e9cision et \u00e0 son acquittement, subsidiairement au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouveau jugement. Elle sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer sur le recours, l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente y a renonc\u00e9, le minist\u00e8re public et A._ ont conclu \u00e0 son rejet, ce dernier, avec suite de frais et d\u00e9pens. Leurs \u00e9critures ont \u00e9t\u00e9 transmises aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. X._ y a bri\u00e8vement r\u00e9pondu. Son \u00e9criture a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e aux autres participants \u00e0 la proc\u00e9dure. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 43017, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par prononc\u00e9 du 29 avril 2016, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e de la Chambre patrimoniale cantonale du canton de Vaud a accord\u00e9 l'assistance judiciaire \u00e0 M.B._ et N.B._ dans le proc\u00e8s en mati\u00e8re de droit des constructions qui les oppose \u00e0 X._ et consorts; les b\u00e9n\u00e9ficiaires devaient payer une franchise mensuelle de 2'000 fr. et \u00e9taient exon\u00e9r\u00e9s d'avances ainsi que des frais judiciaires. Par d\u00e9cision du 17 mai 2017, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a \u00e9tendu l'assistance judiciaire \u00e0 la commission d'office d'un avocat en la personne de Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, ainsi qu'\u00e0 l'exon\u00e9ration de s\u00fbret\u00e9s en garantie des d\u00e9pens; la franchise mensuelle \u00e0 payer a \u00e9t\u00e9 port\u00e9e \u00e0 3'000 fr. Me A._ et Me U._ ont \u00e9tabli chacun une liste d'op\u00e9rations pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017; il en ressort un total d'heures consacr\u00e9es \u00e0 la cause B._ de 144,85, soit 118,45 pour Me A._ et 26,4 pour Me U._. B. Par prononc\u00e9 du 22 janvier 2018, la Juge d\u00e9l\u00e9gu\u00e9e a fix\u00e9 l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office allou\u00e9e \u00e0 Me A._ ou Me U._, l'un \u00e0 d\u00e9faut de l'autre et sans cumul d'op\u00e9rations, \u00e0 21'813 fr.80, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Sur les 144,85 heures invoqu\u00e9es par les avocats, elle a retranch\u00e9 33,15 heures, dont 15,2 heures consacr\u00e9es \u00e0 l'\"attention\" \u00e0 divers fax, courriels ou courriers et 4 heures pour l'\"inspection locale\" du 22 novembre 2017. Par arr\u00eat du 18 avril 2018, la Chambre des recours civile du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 le recours d\u00e9pos\u00e9 par A._. C. A._ interjette un recours constitutionnel subsidiaire. Il conclut principalement \u00e0 la fixation de l'indemnit\u00e9 interm\u00e9diaire de conseil d'office de M.B._ et N.B._ \u00e0 25'675 fr.90, vacation et TVA incluses, pour la p\u00e9riode du 28 octobre 2016 au 20 d\u00e9cembre 2017. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, M.B._ et N.B._ concluent implicitement \u00e0 l'admission du recours. Pour sa part, la Chambre des recours civile se r\u00e9f\u00e8re aux consid\u00e9rants de son arr\u00eat. ", "lower_court": "du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 43756, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._ a travaill\u00e9 en qualit\u00e9 d'employ\u00e9e administrative au service de la soci\u00e9t\u00e9 B._ S\u00e0rl et \u00e9tait, \u00e0 ce titre, assur\u00e9e obligatoirement contre le risque d'accident aupr\u00e8s de Zurich Compagnie d'Assurances SA (ci-apr\u00e8s: la Zurich). Le 6 novembre 2014, elle a \u00e9t\u00e9 victime d'un accident de la circulation qui a entra\u00een\u00e9 une contracture musculaire cervicale bilat\u00e9rale et des cervicalgies post-traumatiques, post-AVP avec traumatisme cervical de d\u00e9c\u00e9l\u00e9ration. Elle a \u00e9t\u00e9 incapable de travailler du 7 au 26 novembre 2014, date \u00e0 laquelle elle a repris son activit\u00e9 \u00e0 un taux de 100%. La Zurich a pris en charge le cas. Le 13 janvier 2015 elle a consult\u00e9 le service des urgences de l'H\u00f4pital C._, se plaignant d'une r\u00e9apparition de la symptomatologie et de c\u00e9phal\u00e9es occipitales. Le m\u00e9decin qui l'a examin\u00e9e a attest\u00e9 une incapacit\u00e9 de travail enti\u00e8re du 13 au 28 janvier 2015. L'incapacit\u00e9 de travail a \u00e9t\u00e9 prolong\u00e9e de mani\u00e8re successive jusqu'au 30 ao\u00fbt 2015. La Zurich a alors confi\u00e9 une expertise \u00e0 la Clinique D._ SA (rapport du 10 ao\u00fbt 2015 du docteur E._, sp\u00e9cialiste en neurochirurgie, et son compl\u00e9ment du 23 septembre 2015). Se fondant sur les conclusions de l'expertise, l'assureur-accidents a rendu une d\u00e9cision, le 28 septembre 2015, confirm\u00e9e sur opposition le 29 ao\u00fbt 2016, par laquelle il a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9e aux prestations d'assurance (frais de traitement et indemnit\u00e9 journali\u00e8re) \u00e0 compter du 26 novembre 2014. B. Saisie d'un recours, la Cour de droit public du Tribunal cantonal de la R\u00e9publique et canton de Neuch\u00e2tel l'a rejet\u00e9 par jugement du 16 f\u00e9vrier 2017. C. Par arr\u00eat du 6 novembre 2017 (8C_221/2017), le Tribunal f\u00e9d\u00e9ral a rejet\u00e9 le recours en mati\u00e8re de droit public form\u00e9 par l'assur\u00e9e contre le jugement cantonal. D. Par lettre du 30 avril 2018 (timbre postal) A._ demande la r\u00e9vision de l'arr\u00eat du 6 novembre 2017 en requ\u00e9rant le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. La d\u00e9fenderesse s'en remet \u00e0 justice quant \u00e0 la recevabilit\u00e9 de la demande de r\u00e9vision et conclut \u00e0 son rejet. La cour cantonale et l'Office f\u00e9d\u00e9ral de la sant\u00e9 publique ont renonc\u00e9 \u00e0 se d\u00e9terminer. ", "lower_court": "Tribunal f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 43936, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": NaN, "canton": NaN, "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A.a. A._, n\u00e9 en 1955, a travaill\u00e9 \u00e0 plein temps comme directeur de l'association B._ depuis le 1 er mai 2010. En octobre 2010, il a subi une intervention chirurgicale en raison d'un an\u00e9vrisme c\u00e9r\u00e9bral de l'art\u00e8re p\u00e9ricalleuse droite. Il a repris son activit\u00e9 habituelle \u00e0 50 % d\u00e8s le 26 mars 2011, puis d\u00e9pos\u00e9 une demande de prestations de l'assurance-invalidit\u00e9 le 14 avril 2011. Par d\u00e9cision du 7 septembre 2012, l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour les assur\u00e9s r\u00e9sidant \u00e0 l'\u00e9tranger (ci-apr\u00e8s: l'office AI) a, en se fondant sur l'avis du m\u00e9decin de son Service m\u00e9dical r\u00e9gional (du 8 juin 2012), octroy\u00e9 \u00e0 l'assur\u00e9 une demi-rente d'invalidit\u00e9 d\u00e8s le 1 er novembre 2011. A.b. Initiant une r\u00e9vision, l'office AI a requis des informations sur la situation professionnelle de l'assur\u00e9 aupr\u00e8s de l'association B._. Par courrier du 7 novembre 2014, l'employeur a indiqu\u00e9 que A._ percevait un salaire de 5'968 fr. comme co-directeur de l'association \u00e0 mi-temps depuis le 1 er juillet 2013. Interpell\u00e9, l'assur\u00e9 a confirm\u00e9 sa r\u00e9mun\u00e9ration de 5'968 fr. par mois, puis remis son nouveau contrat de travail (du 24 mars 2015). Le 18 mars 2016, l'office AI a supprim\u00e9 le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 une demi-rente de l'assurance-invalidit\u00e9 avec effet au 1 er octobre 2012. A.c. Parall\u00e8lement, l'office AI a, par d\u00e9cision du 18 mai 2016, demand\u00e9 \u00e0 A._ le remboursement de la somme de 54'339 fr. correspondant aux prestations vers\u00e9es \u00e0 tort \u00e0 compter du 1 er octobre 2012. B. Statuant le 23 octobre 2018, le Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral a, d'une part, rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mars 2016 et confirm\u00e9 dite d\u00e9cision. D'autre part, il a partiellement admis le recours form\u00e9 par l'assur\u00e9 contre la d\u00e9cision du 18 mai 2016 et l'a r\u00e9form\u00e9e en ce sens que A._ devait restituer la somme de 33'562 fr. C. A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement dont il demande l'annulation. Il conclut \u00e0 l'annulation des d\u00e9cisions des 18 mars et 18 mai 2016. Le 27 d\u00e9cembre 2018, l'assur\u00e9 a d\u00e9pos\u00e9 une \u00e9criture compl\u00e9mentaire. ", "lower_court": "Tribunal administratif f\u00e9d\u00e9ral"} +{"id": 44404, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "NE", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._, ressortissant turc n\u00e9 en 1963, divorc\u00e9 et p\u00e8re de quatre enfants domicili\u00e9s en Turquie, a fait l'objet d'une d\u00e9cision de renvoi de Suisse rendue le 18 octobre 2016 par le Service des migrations du canton de Neuch\u00e2tel, au motif que l'int\u00e9ress\u00e9 ne disposait pas d'autorisation de s\u00e9jour. A deux reprises, le 2 novembre 2016, puis \u00e0 nouveau le 15 f\u00e9vrier 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une requ\u00eate tendant \u00e0 l'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec C._. Cette derni\u00e8re a d\u00e9finitivement renonc\u00e9 au mariage avec A._ le 16 mars 2017. B. Le 6 juin 2017, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande d'ouverture d'une proc\u00e9dure pr\u00e9paratoire de mariage avec B._ - ressortissante suisse n\u00e9e en 1948, divorc\u00e9e, sans enfant, et handicap\u00e9e physique -, d\u00e9clarant entretenir une relation de couple avec elle depuis d\u00e9cembre 2015 et faire m\u00e9nage commun depuis janvier 2017. Le m\u00eame jour, l'Officier d'\u00e9tat civil de la Ville de X._ a entendu s\u00e9par\u00e9ment les candidats au mariage. B.a. Par d\u00e9cision du 22 juin 2017, l'Office de l'\u00e9tat civil de la Ville de X._ (ci-apr\u00e8s : Office de l'\u00e9tat civil) a refus\u00e9 son concours \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration du mariage des fianc\u00e9s A._ et B._, au motif que le mariage envisag\u00e9 n'\u00e9tait pas destin\u00e9 \u00e0 fonder une communaut\u00e9 conjugale, mais qu'il s'agissait plut\u00f4t, de la part du fianc\u00e9, d'\u00e9luder les dispositions sur l'admission et le s\u00e9jour des \u00e9trangers. B.b. Par d\u00e9cision du 10 janvier 2018, le D\u00e9partement de la justice de la s\u00e9curit\u00e9 et de la culture (ci-apr\u00e8s : DJSC) a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s contre le prononc\u00e9 de l'Office de l'\u00e9tat civil. B.c. Par arr\u00eat du 29 novembre 2018, la Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel a rejet\u00e9 le recours des fianc\u00e9s \u00e0 l'encontre de la d\u00e9cision du DJSC. C. Par acte du 20 d\u00e9cembre 2018, A._ et B._ exercent un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral, concluant principalement \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat entrepris et \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que l'autorisation n\u00e9cessaire \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration de leur mariage leur est accord\u00e9e. Au pr\u00e9alable, les recourants sollicitent le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire pour la proc\u00e9dure f\u00e9d\u00e9rale. Des r\u00e9ponses n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour de droit public du Tribunal cantonal du canton de Neuch\u00e2tel"} +{"id": 44645, "year": 2019, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par jugement du 5 mars 2019, le Tribunal de police de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a condamn\u00e9 A._, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 30 jours. B. Par arr\u00eat du 15 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale d'appel et de r\u00e9vision de la Cour de justice genevoise a admis l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a r\u00e9form\u00e9 celui-ci en ce sens que le pr\u00e9nomm\u00e9 est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine d'une quotit\u00e9 nulle. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. En Suisse, A._ a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 : -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de cinq mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour vol, violation de domicile, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2013, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 90 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour entr\u00e9e ill\u00e9gale, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de trois mois ainsi qu'\u00e0 une amende de 300 fr., pour activit\u00e9 lucrative sans autorisation, s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2014, \u00e0 une peine privative de libert\u00e9 de 10 jours ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2015, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2017, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 120 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 200 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal et contravention \u00e0 la LStup; -en 2018, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende ainsi qu'\u00e0 une amende de 100 fr., pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, d\u00e9lit et contravention \u00e0 la LStup. B.b. Du 6 f\u00e9vrier au 25 juin 2018, A._ a continu\u00e9 \u00e0 s\u00e9journer en Suisse sans autorisation, sans \u00eatre en possession d'un passeport valable et sans disposer de moyens de subsistance. C. Le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 15 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais, \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que A._ est condamn\u00e9, pour s\u00e9jour ill\u00e9gal, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 30 jours-amende \u00e0 30 fr. le jour. ", "lower_court": "Cour de justice genevoise"} +{"id": 44746, "year": 2019, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Le 9 avril 2019, A._, ressortissant canadien domicili\u00e9 en Angleterre, a d\u00e9pos\u00e9 \u00e0 Gen\u00e8ve une plainte p\u00e9nale contre inconnu, pour escroquerie, subsidiairement abus de confiance et blanchiment d'argent. Il a indiqu\u00e9 qu'il avait, le 10 juillet 2018, command\u00e9 sur le site Internet B._ des billets pour assister \u00e0 la finale de la coupe du monde de football, en Russie, en cas de victoire de l'Angleterre en demi-finale, pour un prix de 36'800 EUR. Titulaire d'un compte bancaire aupr\u00e8s de Banque C._ \u00e0 D._, il avait donn\u00e9 ordre \u00e0 celle-ci de d\u00e9biter son compte au b\u00e9n\u00e9fice de la soci\u00e9t\u00e9 B._, aux Pays-Bas, aupr\u00e8s de la banque E._ aux Pays-Bas. L'Angleterre ayant perdu la demi-finale, une personne du \"customer service\" de la soci\u00e9t\u00e9 B._ avait confirm\u00e9 \u00e0 A._ que sa commande serait annul\u00e9e et la somme de 36'800 EUR restitu\u00e9e apr\u00e8s d\u00e9duction de 10% du montant \u00e0 titre de frais. Selon l'int\u00e9ress\u00e9, aucun montant ne lui avait pourtant \u00e9t\u00e9 restitu\u00e9. Le site Internet de B._ avait disparu et les d\u00e9marches entreprises par sa banque aupr\u00e8s de la banque E._ en vue d'identifier l'ayant-droit \u00e9conomique du compte bancaire sur lequel le paiement avait \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e9taient rest\u00e9es vaines. B. Par ordonnance du 23 mai 2019, le Minist\u00e8re public de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve a refus\u00e9 d'entrer en mati\u00e8re sur cette plainte. C. Par arr\u00eat du 9 juillet 2019, la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise a rejet\u00e9 le recours form\u00e9 par A._ contre cette ordonnance. D. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que la cause est renvoy\u00e9e au minist\u00e8re public en vue de l'ouverture d'une instruction et, subsidiairement, \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 pr\u00e9c\u00e9dente pour nouvelle d\u00e9cision. E. Invit\u00e9s \u00e0 se d\u00e9terminer, la cour cantonale s'est r\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l'arr\u00eat du 9 juillet 2019, tandis que le minist\u00e8re public a conclu au rejet du recours. ", "lower_court": "la Chambre des recours p\u00e9nale de la Cour de justice genevoise"} +{"id": 46141, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A.A._, n\u00e9e en 1983, m\u00e8re de deux filles n\u00e9es en 2012 et 2015, a b\u00e9n\u00e9fici\u00e9 d'une aide financi\u00e8re de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral du canton de Gen\u00e8ve depuis le 1 er juin 2015, apr\u00e8s que son \u00e9poux B.A._, p\u00e8re des enfants, eut quitt\u00e9 le domicile conjugal en avril 2015. Par d\u00e9cision du 24 janvier 2018, l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a supprim\u00e9 le versement des prestations d'aide financi\u00e8re \u00e0 l'int\u00e9ress\u00e9e et lui a demand\u00e9 la restitution de 10'038 fr. 95, correspondant aux prestations vers\u00e9es entre le 1 er ao\u00fbt et le 31 d\u00e9cembre 2017, motif pris qu'elle n'avait pas communiqu\u00e9 le retour au domicile de son \u00e9poux, malgr\u00e9 les questions pos\u00e9es par l'assistante sociale, et que l'Hospice n'\u00e9tait pas en mesure d'\u00e9valuer les revenus du groupe familial. Saisi d'une opposition, le directeur g\u00e9n\u00e9ral de l'Hospice g\u00e9n\u00e9ral a confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 24 janvier 2018. Il a consid\u00e9r\u00e9 en outre que les conditions d'une remise de l'obligation de restituer n'\u00e9taient pas r\u00e9alis\u00e9es (d\u00e9cision sur opposition du 20 avril 2018). B. A.A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 la d\u00e9cision sur opposition \u00e0 la Chambre administrative de la Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve. Apr\u00e8s avoir entendu les parties en comparution personnelle et B.A._ \u00e0 titre de renseignement, la cour cantonale a rejet\u00e9 le recours par jugement du 25 juin 2019. C. A.A._ forme un recours en mati\u00e8re de droit public ainsi qu'un recours constitutionnel subsidiaire. Elle conclut \u00e0 l'annulation du jugement cantonal et de la d\u00e9cision sur opposition, ainsi qu'\u00e0 la constatation qu'elle n'est pas tenue \u00e0 restitution des prestations vers\u00e9es entre les mois d'ao\u00fbt et d\u00e9cembre 2017 \u00e0 hauteur de 10'038 fr. 95. Pr\u00e9alablement, elle demande l'octroi de l'effet suspensif \u00e0 son recours ainsi que le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire totale. La Chambre administrative d\u00e9clare n'avoir aucune observation \u00e0 formuler au sujet du recours. L'intim\u00e9 a conclu au rejet de la requ\u00eate d'effet suspensif, sans se d\u00e9terminer sur le fond. D. Par ordonnance du 25 septembre 2019, le juge instructeur a admis la requ\u00eate d'effet suspensif. ", "lower_court": "Cour de justice de la R\u00e9publique et canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 46581, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. Par jugement du 1er juillet 2019, le Tribunal de police de l'arrondissement de l'Est vaudois a condamn\u00e9 A._, pour violation grave des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une peine p\u00e9cuniaire de 20 jours-amende \u00e0 100 fr. le jour, avec sursis durant trois ans, ainsi qu'\u00e0 une amende de 500 francs. B. Par jugement du 22 octobre 2019, la Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par A._ contre ce jugement et a confirm\u00e9 celui-ci. La cour cantonale a retenu les faits suivants. B.a. A._ est n\u00e9 en 1953. Son casier judiciaire fait \u00e9tat d'une condamnation, en 2009, pour infraction \u00e0 la l\u00e9gislation sur la circulation routi\u00e8re, conducteur se trouvant dans l'incapacit\u00e9 de conduire (v\u00e9hicule automobile, alcool\u00e9mie qualifi\u00e9e). Son fichier ADMAS r\u00e9v\u00e8le que le pr\u00e9nomm\u00e9 a fait l'objet de cinq mesures administratives en mati\u00e8re de circulation routi\u00e8re entre 2004 et 2012, soit deux avertissements, un retrait de permis d'une dur\u00e9e de trois mois pour \u00e9bri\u00e9t\u00e9, ainsi que deux retraits d'une dur\u00e9e de quatre mois chacun pour vitesse excessive, associ\u00e9s \u00e0 un cours d'\u00e9ducation. B.b. Le 30 mars 2018, A._ a circul\u00e9 au volant de son automobile \u00e0 une vitesse de 111 km/h, marge de s\u00e9curit\u00e9 d\u00e9duite, sur un tron\u00e7on pour lequel la vitesse maximale autoris\u00e9e \u00e9tait de 80 km/h. L'installation utilis\u00e9e pour la mesure de la vitesse \u00e9tait un mod\u00e8le Traffic Observer de type LMS (laser), contr\u00f4l\u00e9 annuellement par l'Institut de m\u00e9trologie METAS. C. A._ forme un recours en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre le jugement du 22 octobre 2019, en concluant, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens qu'il est condamn\u00e9, pour violation simple des r\u00e8gles de la circulation routi\u00e8re, \u00e0 une amende. Subsidiairement, il conclut \u00e0 son annulation et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour compl\u00e9ment d'instruction et nouvelle d\u00e9cision, apr\u00e8s qu'une expertise - destin\u00e9e \u00e0 confirmer la vitesse calcul\u00e9e par le syst\u00e8me de mesure - a \u00e9t\u00e9 diligent\u00e9e. ", "lower_court": "Cour d'appel p\u00e9nale du Tribunal cantonal du canton de Vaud"} +{"id": 47004, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Espace_Mittelland", "canton": "FR", "legal_area": "civil_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 1970, et B._, n\u00e9e en 1972, se sont mari\u00e9s le 9 mai 1997. Deux enfants sont issus de leur union: C._, n\u00e9 en 1998, et D._, n\u00e9 en 2001. Les \u00e9poux vivent s\u00e9par\u00e9s depuis le 15 d\u00e9cembre 2012. B. B.a. La s\u00e9paration des parties a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e par une d\u00e9cision de mesures protectrices de l'union conjugale rendue le 5 juin 2013 par la Pr\u00e9sidente du Tribunal civil de la Gruy\u00e8re, pr\u00e9voyant notamment le versement d'une contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. en faveur de l'\u00e9pouse. B.b. Par m\u00e9moire du 5 novembre 2015, A._ a d\u00e9pos\u00e9 une demande unilat\u00e9rale en divorce devant le Tribunal civil de la Gruy\u00e8re (ci-apr\u00e8s: le Tribunal). B.c. Par jugement du 30 novembre 2018, le Tribunal a notamment dissous par le divorce le mariage des parties, r\u00e9gl\u00e9 les questions de l'autorit\u00e9 parentale, de la garde, du droit de visite et de l'entretien de l'enfant D._ et arr\u00eat\u00e9 la contribution d'entretien de l'\u00e9pouse \u00e0 4'480 fr. par mois jusqu'\u00e0 la retraite de l'\u00e9poux. Le r\u00e9gime matrimonial a \u00e9t\u00e9 dissous conform\u00e9ment \u00e0 une convention de liquidation des 12 et 20 janvier 2016 et les prestations de libre passage acquises durant le mariage ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties par moiti\u00e9. B.d. Par arr\u00eat du 7 janvier 2020, la Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois a rejet\u00e9 l'appel form\u00e9 par l'ex-\u00e9poux tendant en substance \u00e0 la r\u00e9duction du montant et de la dur\u00e9e de la contribution d'entretien due \u00e0 l'ex-\u00e9pouse. C. Par acte du 4 f\u00e9vrier 2020, l'ex-conjoint interjette un recours en mati\u00e8re civile au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre l'arr\u00eat pr\u00e9cit\u00e9. Il conclut en substance \u00e0 ce que l'arr\u00eat soit r\u00e9form\u00e9 en ce sens que l'appel soit partiellement admis et que le jugement du 30 novembre 2018 soit modifi\u00e9 en ce sens que la contribution d'entretien mensuelle de 4'480 fr. pr\u00e9vue en faveur de l'ex-\u00e9pouse soit due jusqu'au 30 avril 2020, subsidiairement jusqu'au 31 d\u00e9cembre 2022. Encore plus subsidiairement, le recourant conclut \u00e0 l'annulation de l'arr\u00eat et au renvoi de la cause \u00e0 l'autorit\u00e9 cantonale pour nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Des d\u00e9terminations n'ont pas \u00e9t\u00e9 requises. ", "lower_court": "Cour d'appel civil du Tribunal cantonal fribourgeois"} +{"id": 47723, "year": 2020, "label": "approval", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "GE", "legal_area": "penal_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._, n\u00e9 en 2003, fait l'objet d'une mesure de placement au sens de l'art. 15 DPMin depuis le 20 janvier 2019. Ensuite de sa disparition du Foyer de B._ o\u00f9 il r\u00e9side durant l'\u00e9t\u00e9 et vu l'absence d'effet des mesures \u00e9ducatives prises par le foyer en raison du comportement probl\u00e9matique de l'int\u00e9ress\u00e9, le Juge des mineurs a prononc\u00e9, le 25 juillet 2019, un mandat disciplinaire \u00e0 son encontre, pour une dur\u00e9e de 7 jours, \u00e0 effectuer \u00e0 l'Etablissement de d\u00e9tention pour mineurs et jeunes adultes \" C._ \" \u00e0 D._, voire, si aucune place n'\u00e9tait disponible, au Centre pour mineurs \" E._ \" \u00e0 F._. B. Par arr\u00eat du 29 juillet 2019, la Chambre p\u00e9nale de recours de la Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve a d\u00e9clar\u00e9 irrecevable le recours form\u00e9 par A._ contre la d\u00e9cision pr\u00e9cit\u00e9e et transmis la cause, pour raison de comp\u00e9tence, au Pr\u00e9sident de l'autorit\u00e9 concordataire de recours, frais de la proc\u00e9dure \u00e0 la charge de l'Etat. C. A._ recourt en mati\u00e8re p\u00e9nale au Tribunal f\u00e9d\u00e9ral contre cet arr\u00eat, dont il demande, avec suite de frais et d\u00e9pens, principalement la r\u00e9forme en ce sens que son recours soit d\u00e9clar\u00e9 recevable, la cause \u00e9tant renvoy\u00e9e \u00e0 la cour cantonale afin qu'elle se prononce au fond. Il requiert, par ailleurs, le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. Le recourant produit notamment une d\u00e9cision du 9 ao\u00fbt 2019 par laquelle l'autorit\u00e9 concordataire de recours au sens du Concordat latin sur la d\u00e9tention p\u00e9nale des personnes mineures d\u00e9clare irrecevable le recours ainsi transmis. Invit\u00e9s \u00e0 formuler des observations sur le recours, le Tribunal des mineurs du canton de Gen\u00e8ve y a renonc\u00e9, cependant que la Cour de justice a indiqu\u00e9 persister dans son appr\u00e9ciation. Elle souligne n'avoir aucune comp\u00e9tence en mati\u00e8re de sanction disciplinaire et renvoie au droit concordataire en ce domaine. Cette prise de position a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e au recourant. Par courrier du 7 f\u00e9vrier 2020, ce dernier a contest\u00e9 l'interpr\u00e9tation des r\u00e8gles concordataires donn\u00e9es par la cour cantonale. Cette r\u00e9plique a \u00e9t\u00e9 communiqu\u00e9e \u00e0 titre de renseignement au minist\u00e8re publique et \u00e0 la cour cantonale. ", "lower_court": "Cour de justice du canton de Gen\u00e8ve"} +{"id": 48143, "year": 2020, "label": "dismissal", "language": "fr", "region": "Region_Lemanique", "canton": "VD", "legal_area": "social_law", "explainability_label": "Baseline", "text": "Faits : A. A._ a \u00e9t\u00e9 mis au b\u00e9n\u00e9fice d'une rente enti\u00e8re de l'assurance-invalidit\u00e9 du 1 er octobre 2003 au 31 mars 2006, puis d'un quart de rente \u00e0 compter du 1 er avril 2006 fond\u00e9 sur un taux d'invalidit\u00e9 de 45,65 % (cf. jugement de la Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud du 10 f\u00e9vrier 2009, r\u00e9formant une d\u00e9cision de l'Office de l'assurance-invalidit\u00e9 pour le canton de Vaud du 26 juin 2008 [ci-apr\u00e8s: l'office AI]). En juin 2013, l'office AI a ouvert une proc\u00e9dure de r\u00e9vision du droit \u00e0 la rente. Sur recommandation du Service m\u00e9dical r\u00e9gional, l'office AI a confi\u00e9 un mandat d'expertise orthop\u00e9dique au docteur B._, sp\u00e9cialiste en chirurgie orthop\u00e9dique et traumatologie de l'appareil locomoteur. Ce m\u00e9decin a d\u00e9pos\u00e9 son rapport le 8 juin 2015, selon lequel l'assur\u00e9 disposait d'une capacit\u00e9 de travail enti\u00e8re dans une activit\u00e9 adapt\u00e9e aux limitations fonctionnelles d\u00e9crites. Sur la base des conclusions de l'expert, qui s'est encore d\u00e9termin\u00e9 le 3 octobre 2015, l'office AI a maintenu le droit de l'assur\u00e9 \u00e0 un quart de rente par d\u00e9cision du 10 juillet 2017, compte tenu du taux d'invalidit\u00e9 qu'il a fix\u00e9 \u00e0 39,6 %. B. A._ a d\u00e9f\u00e9r\u00e9 cette d\u00e9cision au Tribunal cantonal. Par jugement du 19 d\u00e9cembre 2019, la juridiction cantonale a rejet\u00e9 le recours au sens des consid\u00e9rants et confirm\u00e9 la d\u00e9cision du 10 juillet 2017. En bref, elle a ni\u00e9 que les conditions d'une r\u00e9vision de la rente \u00e9taient r\u00e9alis\u00e9es, de sorte que le taux d'invalidit\u00e9 fix\u00e9 en 2009 \u00e0 45,65 % devait \u00eatre maintenu. C. A._ interjette un recours en mati\u00e8re de droit public contre ce jugement. A titre principal, il conclut \u00e0 sa r\u00e9forme en ce sens que le droit \u00e0 une rente enti\u00e8re d'invalidit\u00e9 lui soit reconnu \u00e0 compter du 1 er juin 2013. Subsidiairement, il demande l'annulation du jugement cantonal et le renvoi de la cause au Tribunal cantonal ou \u00e0 l'office AI pour instruction compl\u00e9mentaire et nouvelle d\u00e9cision dans le sens des consid\u00e9rants. Par ailleurs, il sollicite le b\u00e9n\u00e9fice de l'assistance judiciaire. ", "lower_court": "Cour des assurances sociales du Tribunal cantonal du canton de Vaud"}